13 bulbe. - Ce. corps calleux. - CL, corps de Luys. - Cip, segment
postérieur
; Cisl, segment sous-lenticulaire de la capsule
n. Cn(a) segment antérieur; Cli(s) segment supérieur; CR(p) segment
postérieur
; CR(i) segment inférieur de la couronne rayonna
dont l'un est antérieur, le second moyen ou supérieur, le troisième
postérieur
, le quatrième inférieur. Ces quatre segments so
mais elles n'atteignent pas les dimensions des fibres des segments
postérieur
et inférieur. Les fibres inférieures se dirigent
(.9), genou de la capsule interne. - Cinq, cingulum. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - cm, sillon calloso-mar
eur. - i, Sillon de l'insula. -Ia,Ip, circonvolutions antérieure et
postérieure
de l'insula. - Li, première circonvolution Iimhiq
onne rayon- nante et dans la capsule interne que sur des plans plus
postérieurs
. Les fibres des couches sagittales du lobe fron
Cil(a), segment antérieur; CR(i), segment inférieur; CR(p), segment
postérieur
; CR(s), segment supérieur de la couronne rayonn
eur de la couronne rayonnante. Cia, segment antérieur; Cip, segment
postérieur
; Cirl, segment rétro-lenticulaire; Cisl, segment
ents supérieur et inférieur de la couronne rayonnante; les segments
postérieur
et sous-lenticulaire de la capsule interne et leu
ule interne (segment antérieur (Cia) et partie adjacente du segment
postérieur
(Cip) voy. en particulier cas Schweigoffer, Fig
née. - Cinq, cingulum. - cm, sillon calloso- marginal. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - CR, couronne rayonnante.
oile choroidienne. - tec, tamia tecta. - Tg, trigone. - Tgp. pilier
postérieur
du trigone. - Th, coupe optique (thalamus). - 1
e a celui du segment antérieur et envoie ses fibres dans le segment
postérieur
ou lenliculo- optique de la capsule interne (Fi
du pédoncule cérébral (voy. coupe sagittale Fig. 282). 3. Segment
postérieur
de la couronne rayonnante. - (CR(p)RTh, Fli, Fi
- (CR(p)RTh, Fli, Fig. 2, 6, 8, 9, 10, 13, -14, 15, 16). Le segment
postérieur
de la couronne rayonnante se comporte en grande
e ses fibres. Dans la région du carrefour ventriculaire, le segment
postérieur
de la couronne rayonnante constitue une cloison
t au microscope. Les fibres de projection qui alimentent le segment
postérieur
de la couronne rayonnante, proviennent de la po
2), de la circonvolution marginale supérieure (Gsm) et de la partie
postérieure
des trois circonvolutions temporales (T,, T,, T3)
rois circonvolutions temporales (T,, T,, T3). Les fibres du segment
postérieur
de la couronne rayonnante se dis- posent en deu
bres de pro- jection. Dans la région occipitale et dans la partie
postérieure
du carrefour ventriculaire, les couches sagitta
FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CEREBRALE. 13 FiG. 8. - Le segment
postérieur
de la couronne rayonnante et ses deux couches sag
ou partie inféro-interne de la couche sagittale externe du segment
postérieur
de la couronne rayon- nante. Fli, faisceau long
aisceau longitudinal inférieur ou couche sagittale externe du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. - Fin, forceps major
amiques. - Sge, Sgi, couches sagittales externe et interne du segment
postérieur
de la couronne rayonnante qui tapissent l'ergot
q d'Azyr. 14 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. FIG. 9. - Le segment
postérieur
de la couronne rayonnante et la partie postérieur
IG. 9. - Le segment postérieur de la couronne rayonnante et la partie
postérieure
du segment supérieur de la couronne rayonnante
Coupe vertico-transversale du lobe pariétal, sectionnant le pilier
postérieur
du trigone, le bourrelet du corps calleux et la
égion adjacente au tronc du corps calleux. - Cing (p), son faisceau
postérieur
. - Cirl, segment rétro- lenticulaire de la caps
sceau longitudinal inférieur ou couche sagittale externe du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. FIBRES DE PROJECTION
e (P2) du gyrus siti) a-22îa2,9 zîia lis, (P [Gsm]) et de la partie
postérieure
des cir- convolutions temporales (rI\, T2, T3)
rés par la laque hématoxylinique, les couches sagittales du segment
postérieur
de la couronne rayonnante, puis abordent le seg
noyau caudé (NC). En arrière il se confond si bien avec le segment
postérieur
de la couronne rayonnante que sa délimitation e
ablir à ce niveau (Fig. 6). Ce segment est tributaire des parties
postérieure
, moyenne et anté- rieure du lobe temporal, en p
p, tapetum. - lec, t2nia tecta. - T7, corps du trigone. - Tgp, pilier
postérieur
du tri- gone. TgV, carrefour ventriculaire. F
o-lenticulaire de la capsule interne. Sa fusion avec le segment
postérieur
. Son origine. Sa direction. 16 ANATOMIE DES
direction. 16 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fc. 10. - Le segment
postérieur
de la couronne rayonnante, ses deux couches sagit
E. 17 capsule interne. Coupe horizontale intéressant les deux tiers
postérieurs
de l'hémi- sphère droit dans larégion thalamiqu
ns larégion thalamique moyenne etsectionnant les segments antérieur
postérieur
et rétrolenticulaire de la capsule interne. Métho
Ci(9), genou de la capsule interne. - Cing, cingulum. - Cip, segment
postérieur
de la cap- sule interne. - Fie, fibres calleuse
- la, circonvolutions antérieures de l'insula. - Ip, circonvolution
postérieure
de l'insula. - i, sillon de l'insula. - ig, indus
s. - Lg, lobule lingual. - Mo, trou de Monro. - mp, sillon marginal
postérieur
de l'insula. - Na, noyau antérieur de la couche o
e. - Tg, trigone. - Tga, pilier antérieur du trigone. - Tgp, pilier
postérieur
du trigone. - Th, couche op- tique (thalamus).
ur. AI], aqueduc de Sylvius. JJ¡'Qp, bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. - CA, corne d'Ammon. Gue, corps genouillé extern
. - coa. commissure anté- rieure. - Fcop, faisceau de la commissure
postérieure
. - Fli, faisceau longitudinal inférieur - Flp,
- Fli, faisceau longitudinal inférieur - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - Pli, faisceau uncinatus. - lc, lame cornée et
ticulée. - slrz, stratum zonale de la couche optique. - Tgp, pilier
postérieur
du trigone. - U, circonvolution du crochet. Vsp
sont : le segment anté- rieur ou lenticulo-caudé (Cia), le segment
postérieur
ou lenliculo-optique (Cip), le segment rétro-le
dient suivant le plan horizontal de l'hémisphère; celles du segment
postérieur
ou lenliculo- optique (Cip) s'irradient suivant
r les coupes vertico-transversales, les segments antérieur (Cia) et
postérieur
(Cip) de la capsule interne se dirigent obliqueme
rne [Ci(g)] ; il diminue ensuite d'avant en arrière dans le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) FiG. 13. - Coupe ho
de l'hémisphère gauche sec- tionnant les segments anté- rieur et
postérieur
de la couronne rayonnante et passant par la r
u. Ce. capsule externe - Cia, segment antérieur; Cip, seg- ment
postérieur
; Cirl, segment r6lrolcnLiculuirc dc la capsule
a, circonvolutions antérieures de l'insula. - Il), circonvolution
postérieure
de l'insuln. - ? première circonvolution ]imb
de la capsule interne et sectionnant t les segments antérieur,
postérieur
et rétro-len- ticulaire de la capsule interne
n- ticulaire de la capsule interne, les segments an- térieur et
postérieur
de la couronne rayonnante. (Méthode de Weiger
relet. - Cia, segment antérieur ; Ci (g) (genou) ; Cip, segment
postérieur
; Cirl, segment rétro-lenticulaire de la cap-
emporale. 4'il ton temporal. Tgo, pilier antérieur. Tgp, pilier
postérieur
d u tri- gone,- Tf1 V, carrel' 0111' \.eu- tr
thalamique de la capsule interne, et sec- tionnant les segments
postérieur
et rétro-lenti- culaire de la capsule in- ter
A Il. avant-mur. C, cuneus. Ce, capsule externe. - Cip, segment
postérieur
; Cirl, segment retro-lenticulaire de la capsu
longi- tudinal inférieur ou couche sagittale externe du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. zu la, circouvo- l
radiations thal;uuiyucs ou couche sagittale interne du segment
postérieur
de la couronne rayonnanle. T,, 7'.2, 1'" les
nage du pied du pédoncule céré- bral intéressant les seg- ments
postérieur
et sous- lenticulaire de la capsule interne,
genouillé externe. - Cgi, corps genouillé interne. - Cip, segment
postérieur
; Cisl, segment sous-lenticu- laire dela capsu
eau longitudinal inférieur ou couche sagittale externe du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. - Fmp, faisceau ma
Radiations thalamiqucs ou couche sa- gittale interne du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. Tt, T, pre- mière,
au lieu de se diriger comme dans les segments anté- rieur (Cia) et
postérieur
(Cip) obliquement en bas et en dedans, est obliqu
upes antérieures et n'atteint que 30 et 25° au voisinage du segment
postérieur
de la couronne rayonnante (CSgt) (Fig. 4 ï).
au lenticulaire qui s'insinue entre les segments antérieur (Cia) et
postérieur
(Cip) à la façon d'un coin et de la forme de la
aire (Cirl) en bas et en dehors. Les rapports qu'affecte le segment
postérieur
ou lenticule-optique de la capsule interne(Cip)
s la forme d'un Y couché dont les bras sont formés par les segments
postérieur
(Cip) et rétro-lenticulaire (Cisl) et la branch
ère et en dedans, correspond au segment antérieur (Cia), la branche
postérieure
oblique en arrière et en dehors comprend les se
e postérieure oblique en arrière et en dehors comprend les segments
postérieur
(Cip) et rétro-lenticulaire (Cirl) situés sur l
ntre la région thalamique et la région sous-thalamique du seg- ment
postérieur
de la capsule interne est comprise entre les deux
sous-thalaml(jue, la capsule interne se réduit à ses seg- ments
postérieur
, 1 rétro-lenticulaire et sous-lenticulaire.
rétro-lenticulaire et sous-lenticulaire. thalamique du segment
postérieur
de la capsule interne. - Cirl, région rétro-lenti
de la couronne rayonnante. - CSgt, les couches sagittales du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. - P, pied du pédoncu
te le genou, disparait et la capsule interne se réduit à la branche
postérieure
de l'angle, c'est-à-dire à ses segments postérieu
it à la branche postérieure de l'angle, c'est-à-dire à ses segments
postérieur
(Cip) et rétro-lenticulaire (Cirl). Ceux-ci ces
. Ci, capsule interne; Cia, son segment antérieur; Cip, son segment
postérieur
; Cirl, son segment rétro-lenticulaire; Cisl, so
erne de la première circom olutionfrontale. - 111p, sillon marginal
postérieur
. - ms, sillon marginal supérieur. - NC, noyau cau
n prérolandique inférieur. - R, scissure de Rolando. S (p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - Sge, Spe, substance
llé externe (Cge) et la zone de Wernicke (W), est séparé du segment
postérieur
(Cip) par une mince lamelle de substance grise
égion, il s'insinue entre les segments rétro-lenticulaire (Cirl) et
postérieur
(Cip), se place en dehors de la partie postérie
culaire (Cirl) et postérieur (Cip), se place en dehors de la partie
postérieure
du segment postérieur (Cip), puis fait corps avec
rieur (Cip), se place en dehors de la partie postérieure du segment
postérieur
(Cip), puis fait corps avec elle. Ces modificat
mmissure antérieure et n'affectent aucune connexion avec le segment
postérieur
de la capsule interne (Fig 15, 24, 28, 33). D
leux. - Ce, capsule externe. - Cia, segment antérieur; Cip, segment
postérieur
; Cirl, segment rétro-lenticulaire de la capsule i
ulaire de la capsule interne. - CSgt, couches sagittales du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. fNC, fibres du noyau
noyau caudé. - la, circonvolutions antérieures; Ip, circonvolutions
postérieures
de l'insula. - Nec, tête; Nu, queue du noyau ca
ibres de projection. - PaTh, pédoncule antérieur; l'pTIt, pédoncule
postérieur
du thalamus. - pCR, pied de la couronne rayonnant
s sont sur- tout nombreuses dans les parties inférieure, interne et
postérieure
du segment antérieur (Cia), au voisinage du gen
ie supérieure de la couche optique, les segments antérieur (Cia) et
postérieur
(Cip) de la capsule interne forment un angle très
nt antérieur (Cia), empiètent sur l'extrémité antérieure du segment
postérieur
(Cip), dont elles masquent les fibres longitudi-
(Fig. 22), l'on voit à découvert l'extrémité antérieure du segment
postérieur
(Cip). Le segment antérieur de la cap- sule int
ique moyenne intéressant le segment antérieur, le genou, le segment
postérieur
et le segment rétro-lenticulaire de la capsule
apsule interne. - Ct(y)Jgenou de la capsule interne. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-len-
isceau longitudinal inférieur. - la, insula antérieur. - Ip, insula
postérieur
. - le, lame cornée et toenia semi-circularis. -fi
us. ma, sillon marginal antérieur de l'insula. -mp, sillon marginal
postérieur
de l'insula. - Na, noyau antérieur de la couche o
llèle). - Tap, tapetum.- Tga, pilier antérieur du trigone. - pilier
postérieur
du trigone (fimbria) 7'.V, trou de Monro. - tth
lamique inférieure. Il occupe la partie antérieure du seg- ment
postérieur
de la région sous-thala- mique et la partie
u pied du pédoncule. s'adosse à l'extrémité antérieure du segment
postérieur
(Cip) en formant le genou de la capsule interne
eur; CiCr¡), genou, dans l'es- pèce faisceau géniculé; Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - coa, commissure antéri
terne de la première circonvolution frontale. - mp, sillon marginal
postérieur
de l'insula. - ms, sillon marginal supérieur de l
ce grise sous-épendymaire. - sJI, sillon de Alonro. - S(p), branche
postérieure
de la scissure de 5ylvius.-sir, stratum zonale.
orne sphénoïdale du ventricule latéral. - Il, bandelette optique.
postérieure
du segment antérieur (Cia). Dans la région sous-t
mique, ce faisceau occupe le cinquième le plus antérieur du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), et plus bas, le ci
bulbaire (cas Schwei- goffer, Fig. 116 à 122, p. 133). 2. Segment
postérieur
ou lenticulo - optique de la capsule interne (C
, 1 li., 15,16, po, 21, 22, 24, 26,28, 41, 43, /¡.7. - Le seg- ment
postérieur
ou lenliculo-optique de la capsule interne est su
ns et en arrière, les moyennes directement en bas et en dedans, les
postérieures
obliquement en bas, en dedans et en avant (Fig. 6
CÉRÉBRALE. 35 Fig. 24. - Le segment sous-lenticulaire et le segment
postérieur
de la capsule interne et les rapports de ce der
us-thalamique et sectionnant les commissures antérieure, moyenne et
postérieure
, les corps genouillés externe et interne, les cou
ule Ouadrijumcau antérieur. -BrQp, bras du tuber- cule quadrijumeau
postérieur
. - C"1. corne d'Ammon. Ce('/), genou du corps cal
rne. - Cia, segment antérieur de la capsule interne. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-lent
commissure antérieure. coin, commis- sure molle. - cop, commissure
postérieure
. - Fa, troisième circonvolution frontale. - FI,
1), glande pinéale. - Il, hippocampe. - la, Ip. insula antérieur et
postérieur
. - le, lame cornée. - lme, lame médullaire extern
cielle.-ma, sillon marginal antérieur de l'insula. - sillon marginal
postérieur
de l'in- sula.- VC, tête du noyau caudé. - \'C'
a incerla de Forel. - 11, bandelette optique. Les fibres du segment
postérieur
(Cip) appartiennent aux régions tha- lamique et
ticulaire (.fla, NL iNl,, (Fig. 7). La limite antérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) correspond au genou (
t dans l'extrémité antérieure du thalamus (Fig. 14-, 21). La limite
postérieure
est formée par les fibres horizontales du segme
Fig. 21, 43). Dans la région sous-thalamique (Fig. 21.), le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) est limité : en ava
isceau lenticulaire de Forci correspond au tiers interne du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), le corps de Luys à
le corps de Luys à son tiers moyen, et la zona incerta à son tiers
postérieur
. Dans la partie inférieure de la région sous- t
aru et le corps de Luys recouvre les deux tiers internes du segment
postérieur
(Cip). En dehors, le segment postérieur de la c
x tiers internes du segment postérieur (Cip). En dehors, le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) es recouvert par les
terne du globus pallidus (NL,, NL, et NL/), et reçoit à son sixième
postérieur
les fibres du segment sous-lenticulaire de la cap
(Fig. 24 et 25). Ce contingent sous-lenticulaire aborde le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) dans toute la hauteur
eau antérieur. - BrQp + Rm, union du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
avec le ruban de Iteil médian. - CA, corne d'Am
s genouillé externe. - Cgi, corps genouillé interne. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-lent
gment rétro-lenticulaire de la capsule interne. Epp, espace perforé
postérieur
. - Flop, faisceau de la commissure postérieure. -
. Epp, espace perforé postérieur. - Flop, faisceau de la commissure
postérieure
. - Fli, fais- ceau longitudinal inférieur. Flp,
Fli, fais- ceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. FI', faisceau de Turck et segment sous-lenticu
sous-thalamique : ses fibres s'insinuent d'abord entre les segments
postérieur
et rétrolenticulaire (Cirl) et (Cip) (Fig. 47), p
rétrolenticulaire (Cirl) et (Cip) (Fig. 47), puis entre le segment
postérieur
(Cip) et le corps genouillé externe (Cge) dont el
spect, ce con- tingent se distingue nettement des fibres du segment
postérieur
(Cip) qui traversent la région thalamique de la
d du pédoncule cérébral en formant le faisceau de Turck. Le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) de la région sous-
n sous- thalamique (Fig. 25) n'est donc pas l'équivalent du segment
postérieur
(Cip) de la région thalamique (Fig. 21). Il rep
que et sous-thalamique de la capsule interne, les fibres du segment
postérieur
(Cip) ne sont pas disposées en lamelles superpo
pédoncule cérébral sont d'origine corticale. Les fibres du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) sont croi- sées à a
RES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 39 Fig. 26. - Les segments
postérieur
, rétro-lenticulaire et sous-lenticulaire de la ca
rébral vus sur une coupe vertico-transversale pas- sant par le bord
postérieur
du putamen, la partie postérieure du thalamus, le
transversale pas- sant par le bord postérieur du putamen, la partie
postérieure
du thalamus, le gan- glion de l'habenula et le
ge, corps genouillé externe. - Cing, cingulum : Cingle). son faisceau
postérieur
. - Cip, segment postérieur; Cirl, segment rétro
- Cing, cingulum : Cingle). son faisceau postérieur. - Cip, segment
postérieur
; Cirl, segment rétro-lenticulaire; Cisl, segment
mé de fibres hori- Ion talcs qui s'irra- dient dans la partie
postérieure
du thala- mus. Son aspect et ses rapports s
ban de Reil médian. - 11Tlc, radiations thalamiques. - S(p) branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - Slri, stratum inter-
et en dedans, passent entre la queue du noyau caudé (NC) et le bord
postérieur
du putamen (NL3), puis abordent le pulvinar (Pu
iés par les nom- breux ponts de substance grise qui relient le bord
postérieur
du putamen à la queue du noyau caudé; les coupe
la corne sphénoïdale (Vsph). Sur les coupes qui passent par le bord
postérieur
du putamen (nul,, Fig. 26), on se rend nettement
nt rétro-lenticulaire (Cirl)de la capsule affecte avec les segments
postérieur
(Cip) et sous-lenliculaire(Cisl). Grâce à la dis-
IBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 41 correspond au segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), reconnais- sable à
la capsule interne (Cirl), est situé sur le prolongement du segment
postérieur
(Cip) et ne s'en distingue que par la direction
forme Fus)), du precuneus (PrC), du pli courbe (Pc) et de la partie
postérieure
des lobes pariétal et temporal, il envoie ses f
; son bord interne est en rapport d'arrière en avant avec la partie
postérieure
du seg- ment postérieur de la capsule interne (
rapport d'arrière en avant avec la partie postérieure du seg- ment
postérieur
de la capsule interne (Cip), puis avec la bandele
ique d'Arnold. Le faisceau de Tiirck (FT) Fig. 25) occupe la partie
postérieure
du segment sous-lenticulaire de la capsule in
e) et sa continuation avec les couches sagittales (CSgt) du segment
postérieur
delà cou- ronne rayonnante. - Cisl, le segment
ion avec le segment inférieur de la couronne rayonnante; le segment
postérieur
de la cap- sule interne au voisinage du pied du
eau antérieur. - BrQp + Rm, union du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
avec le ruban de Heit médian. - CA, corne d'Ammon
rne. - Cia, segment antérieur de la capsule interne. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cisl, segment sous-len
fissure de Meynert. - coa, commissure antérieure. - cop, commissure
postérieure
. - ds, diverticule du subieulum. - 1 ? troisièm
roisième circonvolution frontale. - Fcop, faisceau de la commissure
postérieure
. - fq, sillon fimbrio-godronné. - ll, faisceau le
- Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. FM, fais- ceau rétroflexe de Meynert. - FT, fa
ck. - h, sillon de l'hippocampe. la, insula antérieur. - Ip, insula
postérieur
. - le, lame cornée et tænia semi-circularis. - lm
TOMIE DES CENTRES NERVEUX. rieur de l'insula, - mp, sillon marginal
postérieur
de l'iusula.- SC, tète du noyau caudé.- \'C', q
halamique d'Arnold, le faisceau de Turck et sa fusion avec le segment
postérieur
de la capsule interne et la voie pédonculaire.
ans la finibria (Fi) et l'alvélis intra-ventriculaire. - Cih, segment
postérieur
; Cisl, segment sous-lenticulaire de la capsule
teur oculaire commun. Il résulte de cette disposition que la partie
postérieure
du segment sous-lenticulaire de la capsule inte
ico-transversale passant par le corps genouillé externe, le segment
postérieur
de la zone réticulée du thalamus et sectionnant l
cu- laire de la capsule interne dans la région adjacente au segment
postérieur
. Méthode de Weigert. Alv, alvéus intra-ventri
ns la (imbria ;Ici). - Cge, corps genouillé externe. - Cip, segment
postérieur
; Cirl, segment rétro-lenticu- laire ; Cisl, seg
re. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - Zrp, segment
postérieur
de la zone réticulée du thalamique. Ses aspects
ur. - Cge, Cgi, corps genouillés externe et interne. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne au voisinage immédiat du pi
L, corps de Luys. - C31, commis- sure de Meynert. - cop, commissure
postérieure
. - Ep, épendyme de la voûte de la corne sphénol
de la voûte de la corne sphénoldale. - h'li, faisceau longitudinal
postérieur
ou couche sagittale externe du segment inférieu
bercule mamillaire accessoire. - 7 ? pilier antérieur ; Tgp, pilier
postérieur
du trigone cérébral. - U, circonvolution du croch
et comprennent toutes les fibres de projection corticale du segment
postérieur
(Cip) de la capsule interne, qui ne se sont arr
ventricule et le corps de Luys, appartient en réalité au seg- ment
postérieur
(Cip) de la région sous-thalamique de lacapsule i
(Cip) de la région sous-thalamique de lacapsule interne, la partie
postérieure
, libre, appartient seule au pied du pédoncule, la
u pédoncule décrit sur ces coupes une courbe à concavité interne et
postérieure
; sa partie interne est épaisse en connexion avec
nombreuses fibres transversales du système strio-1uysien; sa partie
postérieure
est en con- nexion avec le locus niger. Les cou
cule quadrijumeau antérieur. - BrQp. bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. - Cal, corne d'Ammon. CB, carrefour olfactif de
ommissure de Meynert. coa. commissure antérieure. - cop, commissure
postérieure
. - ds, diverticule du subiculum. - 7 ? troisièm
? troisième circonvolution frontale. Fcop, faisceau de la commissure
postérieure
. - Fi, fimbria. - Fli, faisceau longitudinal in
r. P.11, faisceau rétrollexe de Meynert. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - la, Ip, insula antérieur et postérieur. - le,
Flp, faisceau longitudinal postérieur. - la, Ip, insula antérieur et
postérieur
. - le, lame cornée et tænia semi-circularis. -
ficielle. - ma, sillon mar- ginal antérieur. - 71p, sillon marginal
postérieur
. XC, tête du noyau caudé. NC', queue du noyau c
temporale profonde. - T'ap, tapetum. Tga, Tgp, piliers antérieur et
postérieur
du trigone. - Il,, troisième ventricule. - VA, fa
- ds, diver- ticule du subiculum. - eF, commissure sous-thalamique
postérieure
de Foret occupant la voûte de l'espace perforé
alamique postérieure de Foret occupant la voûte de l'espace perforé
postérieur
. - Epa, espace perforé antérieur. - troisième cir
on frontale. - f,, sillon olfactif. - Fcop, faisceau de la commissure
postérieure
. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, f
- Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. 1,ilI. faisceau rétro- FIBRES DE PROJECTION DE
e. h, sillon de l'hippocampe. - la, insula an- térieur. -Ip, insula
postérieur
. Lins, lame médullaire superficielle. - Ln, locus
Tott, pédoncule du tubercule mamillaire. - Qp, tubercule quadrijumeau
postérieur
. - Rm, ruban de Heil médian. - RTh, radiations
, + Ip, union de la première circonvolution temporale avec l'insula
postérieur
. - Tap, tapetum. - Tc, tuber cinereum. - Tga, p
nterne au faisceau géniculé; les trois cinquièmes moyens au segment
postérieur
de la capsule interne; quant au cinquième exter
1110 partie). Aq, aqueduc de Sylvius. - Flp. faisceau longitudinal
postérieur
. - xF, entre-croisement ventral de la calotte p
Fiée, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. FPoa, fibres protubérantielles antérieures. -
es protubérantielles antérieures. - Fl'op, fibres protubérantielles
postérieures
. - Gip, ganglion interpédonculaire. - Le, locus
terne et qui, sectionnant dans la région thalamique, les deux tiers
postérieurs
du segment postérieur de la capsule interne, empi
nt dans la région thalamique, les deux tiers postérieurs du segment
postérieur
de la capsule interne, empiète en avant sur le
ire. Aq, aqueduc de Sylvius. - BrQp, bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. - Cge, corps genouillé externe. - Cgi, corps g
, corps de Luys. - CNR, cap- sule du noyau rouge. - cop, commissure
postérieure
. - 1 lp, faisceau longitudinal posté- 56 ANATOM
Ce, corps calleux. Cia, segment antérieur; Ci(g), genou; Cip, segment
postérieur
; FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 59
ulaire de la capsule interne. - CSgt, couches sagittales du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. - Fi, fimbria du pilie
gment postérieur de la couronne rayonnante. - Fi, fimbria du pilier
postérieur
du trigone. - ? fibres du fornix longus. qui bord
obe frontal. - l'LcJe, plexus choroïdes. - PTg, plicature du pilier
postérieur
du trigone cérébral. Rsth, radia- tions strio-t
z, stratum zonale du thalamus. - Tga, pilier antérieur; Tgp, pilier
postérieur
du trigone cérébral. Th, thalamus. tr,c, tienia
ou pédoncules, connus sous le nom dopé- doncules antérieur, moyen,
postérieur
cl inférieur de la couche optique. Ils correspo
, mais la délimi- tation elle-même des pédoncules antérieur, moyen,
postérieur
et inférieur est toule fictive. Il s'agit, dans
iriéto-l'i-oiito-iolaiicli(liies; 3° les fibres cortico-thalamiques
postérieures
ou occi pito-pariétalcs; 4° les fibres cortico-
Jouan, Leu- dot, p. 121, Fig. 96 à 105), retentissent sur la partie
postérieure
du noyau externe du thalamus; celles du lobe oc
.-Poa; fibres transversales antérieures ; Pop, fibres transversales
postérieures
de la protubérance. - l'Tm, pédoncule du tubercul
Qa, tubercule quadriju- meau antérieur; Qp, tubercule quadrijumeau
postérieur
. - Rm, ruban de Reil médian; lil, ruban de Reil
amus. D'autres, celles en particulier qui appartiennent à la moitié
postérieure
du noyau externe (Ne) et proviennent de la partie
t pulvinar), la zone de Wernicke et les segments rétrolenticulaire,
postérieur
et antérieur de la capsule interne. - Coupe hor
ne. - Ci(fl), faisceau géniculé de la capsule interne. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-le
- ma, sillon marginal antérieur de l'insula. - mp, sillon marginal
postérieur
de l'insula. - \'C, tête du noyau caudé. - Nu, qu
. - Tap, tapetum. - pilier antérieur du trigone. - l'gp(Fi), pilier
postérieur
du trigone (fimbria). - 1'le, couche optique (tha
de Wernicke. X ? zone réticulée ou grillagée. Fia. 44. - Le segment
postérieur
du pédoncule inféra-interne du thalamus. - Coupe
ule quadrijumeau antérieur. - l3rQp, bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. - Cl, corne d'Ammon. C13, carrefour olfactif d
roisième circonvolution frontale. - Fcop, faisceau de la commissure
postérieure
. - frl, sillon fimbrio-godronné. - Fli, fais- c
li, fais- ceau longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - 7'W, faisceau rétro- flexe de Meynert. - GQp
rétro- flexe de Meynert. - GQp, ganglion du tubercule quadrijumeau
postérieur
. - h, sillon de l'hippocampe. - i, sillon insul
pocampe. - i, sillon insulaire. - la, insu la antérieur. - Ip, insula
postérieur
. - FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE.
embryonnaire. ma, sillon marginal antérieur. - mp, sillon marginal
postérieur
. - NA, noyau amygda- lien. - A'C, tête du noyau
- Tap, tapetum. - Tria, pilier antérieur du trigone. - Tgp, pilier
postérieur
du trigone. - U, circonvolu- tion du crochet. -
culaire de la capsule interne (Cisl). 3. Fibres cortico-thalamiques
postérieures
ou occipito-pariétales (Radiations thalamiques
amiques postérieures ou occipito-pariétales (Radiations thalamiques
postérieures
, radiations optiques de Gratiolet, pédoncule po
alamiques postérieures, radiations optiques de Gratiolet, pédoncule
postérieur
du thalamus). PpTh, Fig. 10, 14, 15, 16, 20, 21,
, 15, 16, 20, 21, 24, 33, 41, 43). - Les fibres cortico-thalamiques
postérieures
relient le lobe occipital et la partie adjacent
obe occipital et la partie adjacente du lobe pariétal à l'extrémité
postérieure
de la couche optique, en particulier au pulvina
33.) Elles font partie intégrante des couches sagittales du segment
postérieur
de la couronne rayonnante (en particulier de la
e la capsule inlerne (Cirl), puis abordent le pulvinar et la partie
postérieure
du noyau externe, dont elles forment la zone réti
vent le trajet du faisceau de Tiirck (FT), traversent la partie
postérieure
du segment pos- térieur de la capsule interne
a capsule interne (Cip) et s'irradient dans la partie ventrale et
postérieure
du thalamus et dans le corps genouillé intern
l'anse du noyau lenti- culaire (Al) et la partie inlerne du segment
postérieur
(Cip) de la région sous-thalamique de la capsul
t au système visuel et forment, avec les fibres cortico-thalamiques
postérieures
, les radiations optiques de Gratiolet (RTh). El
a capsule interne le même trajet que les fibres cortico-thalamiques
postérieures
, auxquelles elles sont intimement unies. L'étud
Bras, hémisphère gauche, Fig. 93) qu'elles occupent dans le segment
postérieur
de la couche rayonnante à peu près la hau- teur
ECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 69 FiG. 47. - Les segments antérieur,
postérieur
et rétrolenticulaire de la capsule interne, rad
ée de l'avant-mur, se continuant avec l'écorce de la circonvolution
postérieure
de l'insula (Ip). - BrQa, bras du tubercule quadr
capsule interne. - Ci(g), genou de la capsule interne. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-le
e la capsule interne. - coin, com- missure molle. - cop, commissure
postérieure
. - P3, troisième circonvolution frontale. fj, s
ampe. - i, sillon insulaire. - la, in- sula antérieur. - Ip, insula
postérieur
. le, lame cornée et taenia semi-circularis. - Lme
icale au corps genouillé interne et au tubercule quadri- jumeau
postérieur
. laire, - Lné , lame médullaire externe supplém
lenticulaire.- ma, sillon marginal antérieur. - mp, sillon marginal
postérieur
. - A'C, tête du noyau caudé. - 11-C', queue du no
volution temporale. Tga, pilier antérieur du trigone. - Tgp, pilier
postérieur
du trigone. - Th, couche optique. 3, troisième ve
et en avant du corps genouillé externe qu'elles séparent du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), en particulier du fa
ADIATIONS DU CORPS GENOUILLÉ INTERNE ET DU TUBERCULE QUADRI- JUMEAU
POSTÉRIEUR
. - Les radiations du corps genouillé interne (RCg
ions du corps genouillé interne (RCgi) et du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BrQp), appartiennent au sys- tème auditif et p
tubercule quadrijumeau antérieur, le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
, et les radiations de la calotte. - Méthode de
eau antérieur. - BrQp + Rm, union du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
avec le ruban de Iteil médian. Ce, capsule exte
re antérieure. - Epa, espace perforé antérieur. - Epp, espace perforé
postérieur
. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure.
- Epp, espace perforé postérieur. - Fcop, faisceau de la commissure
postérieure
. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, fai
e. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - P.11, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fu, fa
ion le trajet du faisceau de Turck et traversent avec lui la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne (Ci
au de Turck et traversent avec lui la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). Les radiations d
égénérescence du segment rétro-lenti- culaire et souvent du segment
postérieur
de la capsule interne leur trajet est en généra
ile à suivre dans ces cas. Les radiations du tubercule quadrijumeau
postérieur
occupent un niveau plus inférieur que les radia
le nom de région du ruban de Reil; il s'accole ensuite à la partie
postérieure
du ruban de Reil (Fig. 48), dont il se distingu
, et aborde la partie externe du ganglion du tubercule quadrijumeau
postérieur
, dans lequel il se termine (Fig. 44). Il est re
robable que ces radiations occupent la partie supérieure du segment
postérieur
de la couronne rayonnante et la région thalamique
ontrairement à ce que l'on croyait, que les sec- Leurs antérieur et
postérieur
de l'hémisphère, c'est-à-dire les trois quarts
l'hé- misphère cérébral, passent par le genou (Ci(g), les segments
postérieur
(Cip) et sous-lenticulaire (Cisl) de la capsule
). Elles passent dans la région thalamique supérieure par la partie
postérieure
du segment antérieur de la capsule interne (Cia
par le faisceau géniculé (Ci(g) et la partie antérieure du segment
postérieur
(Cip); dans la région sous-thalamique, elles oc
ion sous-thalamique, elles occupent la partie antérieure du segment
postérieur
(Cip), puis forment la partie interne du pied du
de l'hémi- sphère. Elles passent par le genou, les seg- ments
postérieur
et sous-lenticulaire do la capsule interne.
nsaient Meynert, Flechsig, Bris- saud, etc., mais bien de la partie
postérieure
de ce lobe, en particulier de l'opercule roland
ieure du seg- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 16 ment
postérieur
de la capsule inlerne (Cip), situées immédiatemen
sous-tha- lamique, le faisceau dégénéré du bord interne du segment
postérieur
de la capsule inlerne (Cip), est sensiblement é
s'arrêter dans les ganglions centraux. Elles passent par le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) et occupent, dans c
ule cérébral (Fig. 49), et passent par la partie moyenne du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). Les libres de la par
acentral (zone corticale du membre inférieur) passent par la partie
postérieure
du segment pos- térieur de la capsule interne (
interne (Cia) et dans l'extrémité antérieure du thalamus. Le secteur
postérieur
ou occipito-pariétal (coloré en jaune) envoie l
Qt) reçoivent le contingent des fibres du lobe occipital; la partie
postérieure
du noyau externe du thalamus et la région sous-
du secteur moyen de l'hémisphère passent par le genou et le segment
postérieur
de la capsule interne, s'irradient dans la couc
n rose) occupent dans la région tha- lamique le genou et le segment
postérieur
de la capsule interne, dans la région sous-thal
bral les quatre cinquièmes internes. Elles occupent dans le segment
postérieur
de la capsule interne une situation d'autant pl
du thalamus, et occupent dans la région sous-thalamique le sixième
postérieur
du segment postérieur de la capsule interne et
ent dans la région sous-thalamique le sixième postérieur du segment
postérieur
de la capsule interne et le cinquième externe d
, aussi bien dans le pied du pédoncule cérébral que dans le segment
postérieur
de la capsule interne. L'étude des dégénérescen
-lenticulaire (Cisl) de la cap- sule interne et abordent le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) dans la région sous
rtie infé- rieure du segment rétro-lenticulaire (Cirl) et la partie
postérieure
du seg- ment postérieur de la capsule interne (
ent rétro-lenticulaire (Cirl) et la partie postérieure du seg- ment
postérieur
de la capsule interne (Cip), descendent avec le s
postérieur de la capsule interne (Cip), descendent avec le segment
postérieur
de la capsule interne dans le pied du pédoncule c
nsitif (Charcot, Ballet, Brissaud), faisceau cortico-protubérantiel
postérieur
(Flechsig), faisceau occil)ilo-te21îl)oi,o-pî,o
rmédiaire des noyaux des cordons de Goll et de Burdach, les cordons
postérieurs
de la moelle au lobe occipital (Fig. 51). Pour Ch
t bien connu que dans la région thalamique les lésions de la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne (Ci
a région thalamique les lésions de la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) se traduisent par une
ndre, puisqu'il n'existe pas encore à cette hauteur dans le segment
postérieur
de la capsule interne. Mais ce faisceau dégénèr
rare, la lésion porte dans la région sous-thalamiquo sur la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne, c'
dans la région sous-thalamiquo sur la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne, c'est-à-dire sur la régi
nous avons pu le constater, une zone de dégénérescence à la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne, mais
ater, une zone de dégénérescence à la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne, mais cette zone fait déf
dans la région thalamique de la capsule interne, tout le seg- ment
postérieur
, depuis le genou (non compris) jusqu'au segment r
région sous-thalamique par les trois cin- quièmes moyens du segment
postérieur
, occupent les trois cinquièmes moyens du pied d
be du même côté, dégénérescence qui peut être suivie-dans la partie
postérieure
du cordon latéral du côté opposé de la moelle.
on anté- rieur de la moelle; 2° Que dans les lésions de la partie
postérieure
de lacapsule interne, l'hémiplégie et la dégéné
ion 'avec une cellule de l'olive bulbaire et pénètre dans le cordon
postérieur
droit. - fb', fibre des couches profondes du corp
on avec une cellule de l'olive droite et se continue avec le cordon
postérieur
gauche. - fat, cordon antéro-latéral de la moelle
upes G et 1), cordon latéral de la moelle et du bulbe. - Fp, cordon
postérieur
. - g, substance gélatineuse de Rolando,. - L, la
coupe 5) et le cordon latéral de la moelle (coupe Cf. Lp, la partie
postérieure
du [ruban de Reil, son origine dans la valvule
bérance et le bulbe (coupes 3 et 4); sa continuation avec la partie
postérieure
du cordon latéral de la moelle (coupes 5, 6, 1)
ntérieure du tronc encéphalique ou voie pédonculaire. - vp, la voie
postérieure
du tronc encéphalique ou de la calotte. - 5, raci
res arquées en connexion avec les noyaux de l'acoustique. 10, noyau
postérieur
du vague et fibres radiculaires de ce nerf (coupe
oll et de Burdach et se continuaient indirectement avec les cordons
postérieurs
de la moelle. Meynert, eu égard aux cas d'hémia
u pédoncule cérébral et répond aux deux tiers antérieurs du segment
postérieur
de la capsule interne (région pyramidale de la ca
dégénère, qui est composé de fibres centripètes et qui forme le tiers
postérieur
du segment postérieur de la capsule interne.
é de fibres centripètes et qui forme le tiers postérieur du segment
postérieur
de la capsule interne. En 1880, Brissaud subdiv
53) : . 1° Le faisceau externe (a), faisceau cortico-protubérantiel
postérieur
, faisceau temporo- occipito-protubéranliel (Hin
t croisé de la moelle. Dans la capsule interne, il occupe la partie
postérieure
du segment postérieur, se rapproche du genou de l
Dans la capsule interne, il occupe la partie postérieure du segment
postérieur
, se rapproche du genou de la capsule sur les co
ieur de la capsule interne et à la partie antérieure de son segment
postérieur
et contient des fibres du lobe frontal, du noya
sur l'origine des faisceaux cortico-protubéranliels antérieur et
postérieur
, émit (en se basant sur l'étude du développemen
bres d'association. Ces zones, au nombre de trois, seraient : l'une
postérieure
, comprenant le lobe temporo- occipital, le lobe
dans les régions inférieures du névraxe. Les secteurs antérieur et
postérieur
, c'est-à-dire les deux tiers antérieurs du lobe f
tincte, mais une diminution de volume en masse de tout le seg- ment
postérieur
de la capsule interne, surtout dans sa partie moy
é dans la région thalamique moyenne la partie antérieure du segment
postérieur
de la capsule interne en arrière du genou. Fl
la capsule interne en arrière du genou. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - FT, faisceau de Turcs atteint de dégénérescenc
l'es, pédoncule cérébelleux supérieur. - Qp, tubercule quadrijumeau
postérieur
. - Rl, ruban de Iteil latéral. - R1 ? ruban de It
capsule interne et dégénérescence des couches sagittales du segment
postérieur
de la couronne rayonnante et le cas Brichard, F
andiques, par exemple, la méthode de Weigert montre dans le segment
postérieur
de la capsule interne une zone de dégénérescence
plus ou moins haut dans le pied du pédoncule cérébral et le segment
postérieur
de la capsule interne, et une dégénérescence ré
rtère frontale interne et moyenne (Fim), artère frontale interne et
postérieure
(Fip) sont colorées en rose. - Les branches de l'
li courbe (Pc), artères temporales antérieure (Ta), moyenne (Tm) et
postérieure
(Tp) sont colorées en bleu. - Les branches de l
re (Tp) sont colorées en bleu. - Les branches de l'artère cérébrale
postérieure
: artère occipito-temporale antérieure (OTa), a
u tubercule quadrijumeau anté- rieur; sur le tubercule quadrijumeau
postérieur
et le bras de ce tubercule; sur le ruban de Rei
mation réticulée et ses fibres arcifonnes, le faisceau longitudinal
postérieur
, le noyau du ruban de Reil latéral, les olives
ion thalamique inférieure. - Dégénéres- cence complète des segments
postérieur
(Cip), antérieur (Cia) et du genou (Ci(g) de la
mique de la capsule interne. - Dégénérescence complète des segments
postérieur
(Cip) et antérieur (Cia) de la capsule interne, d
res longitudinale de la capsule interne (segments antérieurs (Cia),
postérieur
(Cip), rétro (Cirl) et sous lenticulaires (Cisl
nt par la région sous-optique. Dégéné- rescence complète du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) et du faisceau de T
bus pallidus au thalamus et au corps de Luys, traversent le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) dans les ré- gions
raversent dans les régions thalamique et sous-thalamique le segment
postérieur
de la capsule interne. Ces fibres paraissaient mô
ndeur nature. Fig. 78. - Cas Pradel. Coupe horizontale du segment
postérieur
de la capsule interne dans la région sous-optiq
d'autant plus accusée que la lésion est plus étendue - des segments
postérieur
et inférieur de la couronne rayonnante, des segme
ère frontale interne et moyenne (Fim), artère fron- tale interne et
postérieure
(Fip) sont colorées en rose. - Les branches de l'
e (Fip) sont colorées en rose. - Les branches de l'artère cérébrale
postérieure
: artère temporo-occipitale antérieure (OTa), art
occipitale moyenne (OTm), artère calcarine (K), ou Lemporo-occipitale
postérieure
sont colorées en vert. Le tronc de l'artère c
culo-striées et lenticulo-opLiques), le tronc de l'artère cérébrale
postérieure
(vert) irrigue l'espace perforé postérieur, la
onc de l'artère cérébrale postérieure (vert) irrigue l'espace perforé
postérieur
, la paroi du IIIe ventricule, le pédoncule céré
ur, la paroi du IIIe ventricule, le pédoncule cérébral et la partie
postérieure
du thalamus (artères optiques). L'artère choroï
a circonvolution du crochet, la circonvolution godronnée, le pilier
postérieur
du trigone et la queue du noyau caudé. L'artère
érieur du trigone et la queue du noyau caudé. L'artère communicante
postérieure
(jaune) irrigue l'extrémité an- térieure de la
eur ou pied du pédon- cule qui est toujours sain, ni sur le segment
postérieur
de la capsule interne (Voy. Fig. 49). Le lobe o
ent, non seulement la voie du tapetum, mais encore celle du forceps
postérieur
du corps calleux (Fm) et occupent dans le bourrel
montré dès 1892. Les libres de la pointe occipitale et de la partie
postérieure
des lobules lingual et fusiforme affleurent la
lingual et fusiforme affleurent la surface libre du genou et du bec
postérieur
, les fibres du cunéus et de la scissure pariéto
lus profonde (Voy. T. 1er, pg. 794-799). L'extrémité effilée du bec
postérieur
ne contient pas de fibres occi- pitales, mais l
rescences suivantes : 1° Une dégénérescence très intense du segment
postérieur
de la couronne rayonnante dans les couches sagitt
s la zone de Wernicke (W), le pulvinar (Pul), la partie supérieure et
postérieure
du corps genouillé externe (Cge) le bras du tub
itale, forment le tapetum (Tap) et le faisceau inférieur du forceps
postérieur
du corps calleux (Fm') (Fig. 86). La dégénérescen
res - de la base du cunéus, de la pointe occi- pitale, de la partie
postérieure
des lobules lingual et fusiforme et du sillon col
a partie inférieure du bourrelet, en particulier le bec et le genou
postérieurs
(Fig. 8G). , 3° Une dégénérescence des courtes
téressant le segment antérieur (Cia), le genou (Ci(g), les segments
postérieur
(Cip) et rétro-lenticulaire (Cirl)de la capsule i
t collatérale. Dégénérescence des couches sagittales du segment
postérieur
de la couronne rayon- nante, en particulier
té des radiations du corps genouillé interne (RCgi), du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) en particulier
scissures calca- rine et collatérale. Dégénérescence du segment
postérieur
delà couronne rayon- nante, en particulier
ouronne rayon- nante, en particulier du faisceau longitu- dinal
postérieur
(Fli); des segments rétro et sous-lenticulair
- bercule quadrlju- meau antérieur (Qa). Intégrité du segment
postérieur
do la cap- sule interne (Cip), du faisceau de
rière. Cécité verbale pure. Coupe vertico-transversale de la partie
postérieure
de l'hémisphère gauche. 3/2 grandeur naturelle. D
s en jaune, le foyer ancien en brun. La coupe passe par la partie
postérieure
du bourrelet du corps calleux et par le foyer d
rieure du foyer ancien datant de quatre ans (Fpa). Dans les régions
postérieures
au plan par lequel passe celte coupe, le foyer an
l et ne dépasse pas en avant une ligne verticale rasant l'extrémité
postérieure
de la couche optique; elle sectionne à ce nivea
ce niveau l'isthme de la circonvolution de l'hippocampe et le pilier
postérieur
du trigone. Dans toute l'é tendue de la plaque
du corps calleux dont la partie inférieure ou réfléchie (genou et bec
postérieur
) est complètement dégénérée et, au delà du bour
° Une dégénérescence très intense des couches sagittales des segments
postérieur
et inférieur de la couronne rayonnante (Fig. 89
et de l'isthme de l'hippocampe. A gauche, plaque jaune de la partie
postérieure
du lobule lingual, de la partie adjacente de la
circonvolutions du cunéus. Dégénérescence du tapetum et du forceps
postérieur
du corps calleux. Dégé- nérescences des couches
ière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 117 Le segment
postérieur
de la capsule interne, le pied du pédoncule céréb
sceau transverse du lobule lingual. 4° Une dégénérescence du pilier
postérieur
du trigone cere6ra/(Tgp)qui peut être sui- vie
elette optique. qu'une plaque jaune limitée portant sur la partie
postérieure
du lobule lingual et la partie adjacente de la
partie adjacente de la scissure calcarine et s'étendant sur la partie
postérieure
du pli cunéo-limbique. Cette lésion a entraîné
gp) et antérieur (Tga) du trigone cérébral. - Intégrité du segmen t
postérieur
de la capsule interne (Cip), en particulier du fa
transversale passant par le pli cuneo-limbique (,,cl) et le forceps
postérieur
du corps calleux (Fin) . Plaque jaune du lobule
). Elle montre en outre que les segments rétrolenticulaires (Cirl),
postérieur
(Cip) et antérieur (Cia) de la capsule interne so
le interne. - Dégéné- rescences des couches sagittales des segments
postérieur
et inférieur de la couronne rayonnante dans la
légie facio- linguale. Foyer lacu- naire sectionnant le segment
postérieur
de la capsule interne en arrière du genou.
îné une dégénérescence du deuxième cinquième an- térieur du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), de la lame médullair
g. 99, 100). Il existe enfin (Fig. 98) dans la partie inférieure et
postérieure
de la capsule externe un petit foyer lacunaire
rieure (coa) et des courtes fibres d'association du sillon marginal
postérieur
de l'insula. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nat
randeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 123
postérieur
de la couronne rayonnante. Dans ces cas, on obser
ls la lésion corticale n'intéresse pas le faisceau compact du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. Le cas Jouan (Fig. 9
3 à 4 de haut et 2 de profondeur occupant le pli courbe, la partie
postérieure
et inférieure du pli marginal supérieur (Gsm) l'e
postérieure et inférieure du pli marginal supérieur (Gsm) l'extrémité
postérieure
de la première circonvolution temporale. Cette
e des couches sagittales externe et interne (Sge et Sgi) du segment
postérieur
de la couronne rayonnante, du segment rétrolent
ourbe; 2° dégénérescence du deuxième cinquième antérieur du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) consécutive à la lé
légie facio- lingualo. Foyer lacu- naire sectionnant le segment
postérieur
de la capsule interne en arrière du genou.
légie facio- linguale. Foyer lacu- naire sectionnant li segment
postérieur
de la capsule interne en arrière du genou D
(Fig. 97 et 98). Aucune fibre dégénérée ne se rend dans le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), aucune ne descend
ncule cérébral et du locus niger consécutive à la lésion du segment
postérieur
de la capsule interne immédiatement en arrière du
en arrière du genou. Remarquer dans ce cas l'intégrité de la moitié
postérieure
du pied du pédon- cule cérébral, malgré la lési
férieurs de la circonvolution pariétale ascendante, de la partie
postérieure
des première et deuxième circonvolutions temp
endyme ventriculaire et sectionné les couches sagittales du segment
postérieur
de la couronne rayonnante et la partie adjacent
férenciée du lobe occipital; dégénérescences du tapetum, du forceps
postérieur
et du bourrelet du corps calleux. Il s'agit ici
ire de la capsule interne, s'ajoute une dégénérescence de la partie
postérieure
du noyau externe du thalamus (Ne), et du segmen
partie postérieure du noyau externe du thalamus (Ne), et du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). Cette dernière dégén
dernière dégénérescence occupe dans la région thalamique la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne (Ci
e occupe dans la région thalamique la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip, Fig. 102 et 103).
escence du segment ré t rolen t iculaire (Cirl) et de la partie
postérieure
du seg- ment postérieur(Cip), de la capsule i
olen t iculaire (Cirl) et de la partie postérieure du seg- ment
postérieur
(Cip), de la capsule interne, du pulvinar et d
rescence du segment rétrolenticulairc (Cirl) et de la partie
postérieure
du seg- ment postérICUr(Clp), de la capsule i
La substance blanche des circonvolutions première temporale (Ti) et
postérieure
de l'insula (Ip) étant englobée dans la lésion
Dégénérescence du segment rétrolenticulaire (Cirl) et de la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne (Ci
ent rétrolenticulaire (Cirl) et de la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip); de la lame médullair
urck (FT); ce dernier refoule en avant la zone dégénérée du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) et la sépare du seg
rescence du segment t rétrolenticulaire (Cirl) et de la partie
postérieure
du seg- ntontpostérieur(Cip), de la capsule i
de projection cortico-thalamiques et cortico-rubriques ; sa partie
postérieure
n'envoie pas de fibres de projection dans le pied
i envoie ses fibres dégénérées, soit dans le bourrelet et la partie
postérieure
du tronc du corps calleux, soit dans le faiscea
ccupe toujours le segment moyen de la couronne rayonnante, le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) et les quatre cinqu
cinquièmes internes du pied du pédoncule cérébral. Dans le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) et les quatre cinquiè
cupera dans la région thalamique la partie posté- rieure du segment
postérieure
de la capsule interne (Cip), et dans le pied du p
aide de coupes microscopiques sériées. La dégénérescence du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) s'accompagne toujou
ont dégénérées (cas Schweigoffer, Fig. 119); si elle occupe la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne (Ci
igoffer, Fig. 119); si elle occupe la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), c'est dans la partie
es (cas Scheule, Fig. 108). Ce fait montre donc que dans le segment
postérieur
de la capsule interne - comme du reste dans le
, cortico-bulbaires et cortico-médullaires descendent dans le segment
postérieur
de la région sous-thalamique de la capsule inte
des circonvo- lutions rolandiques. Dégénérescence de la partie
postérieure
du segment poste- rieur do la capsule inter
ascendantes et du lobule paracentral. - Dégénérescence de la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne (Cip,
e paracentral. - Dégénérescence de la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip, Fig. 107), delalame
(les circonvo- lutions rolandiques. Dégénérescence de la partie
postérieure
du segment posté- rieur de la capsule inter
é- rieur de la zone ro- landique. Dégéné- rescence du segment
postérieur
de la cap- sule interne, du noyau externe du
rs le lobe frontal qu'il ne reçoit de fibres le reliant à la moitié
postérieure
de l'hémisphère. Ces règles générales une fois
ons rolandiques. Les dégénérescences secondaires occupent la partie
postérieure
du segment moyen de la couronne rayonnante, et
a capsule externe (Ce), puis pénètrent entre les dentelures du bord
postérieur
du putamen et rentrent ainsi dans la capsule in
i dans la capsule interne (Fig. 107 et 108). Elles occupent la parlie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne (Ci
(Fig. 107 et 108). Elles occupent la parlie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) et sont séparées du s
s Leudot) (Fig. 101 à 105). Le champ de dégénérescence du segment
postérieur
de la capsule interne, abandonne chemin faisant
(Fig. 113). Ici la dégénérescence capsulaire occupe dans le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) un siège plus antér
d'insertion de la deuxième circonvolution frontale (1"2) et la partie
postérieure
de la troisième frontale (Fa) et s'est manifest
l'hémisphère passant par la cavité porencépha- lique et le segment
postérieur
de la capsule interne (en particulier, par la lig
faisceau occipito-frontal (OF + Pl' et OF). Intégrité du seg- ment
postérieur
de la capsule interne (Méthode de Weigert). 2/1 g
FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 137 occupe la partie
postérieure
du segment antérieur de la couronne rayonnante (p
occupe le genou (Ci[g]) et la partie la plus antérieure du segment
postérieur
(Cip) de la capsule interne (Fig. 119).Dans son t
120,, le faisceau dégénéré occupe la partie antérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) ; il est contourné
a pyra- mide bulbaire. 138 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. partie
postérieure
et inférieure de ce lobe et relè\enl de troubles
enl de troubles circulatoires dans le domaine de l'artère cérébrale
postérieure
(Fig. 65, p. 99). Les lésions du lobe pariétal
atteignent le lobe temporal, s'étalent de préfé- rence à la partie
postérieure
et supérieure de ce lobe (Fig. 123). Dans le prem
e, fron- tale ascendante et pariétale ascendante; la circonvolution
postérieure
de l'insula par l'artère pariétale inférieure,
'artère céré- brale antérieure en rose, celui de l'artère cérébrale
postérieure
en vert. Fig. 124. - Cas Heudebert (Bicêtre, 18
raîné une dégénérescence du deuxième cinquième antérieur du segment
postérieur
de la capsule interne, et du deuxième cinquième i
pédoncule cérébral; 2° lésion du lobe occipito-temporal, des segments
postérieur
et inférieur de la couronne rayonnante. Dégénér
deuxième circonvolutions temporales (Ti, 1'=)et la cir- convolution
postérieure
de l'insula (Ip). Dans l'un et l'autre cas il s'a
îné une dégénérescence du deuxième cin- quième antérieur du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) et des fibres radié
ne ayant délruit la face externe du lobe occipital et les parties
postérieure
et moyenne des 2e et 3 cir- convolutions tempor
), le segment rétro-lenticu- laire (Cirl) seul est lésé, le segment
postérieur
(Cip) est intact (sauf dans sa partie anté- rie
u de Tiirck (FT), qui refoule en avant les fibres saines du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), et se place entre le
ostérieur de la capsule interne (Cip), et se place entre les segments
postérieur
(Cip) et rélro-lenticulaire (Cirl) de la capsul
la circonvolution pa- riétale inférieure (Fig. 129), de la partie
postérieure
de la 1 ? circonvolution tempo- rale, de l'oper
ion tempo- rale, de l'opercule pariétal et de la circon- volution
postérieure
del'insula. Cettelésion a sectionné dans la rég
re de la capsule interne (Cirl), la partie adja- cente du segment
postérieur
(Cip), la partie postérieure du noyau externe d
rl), la partie adja- cente du segment postérieur (Cip), la partie
postérieure
du noyau externe du thalamus (Ne), la partie su
ieures (Fig. 133), elle intéresse le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BrQp.), les radiations de la calotte et la parti
ge (Fig. 133). Une seconde zone de dégénérescence occupe le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip); elle est séparée d
ion pariétale inférieure, du gyrus supra-marginalis, de la partie
postérieure
de la première circonvolu- tion temporale, de l
u- tion temporale, de l'opercule pariétal et de la circonvolution
postérieure
de l'insula. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
du pli courbe, de la partie inférieure de il., de de la partie
postérieure
de T¡,de t)pP2Ct Ip i section des couches s
nt rétrolenticulatrc et de la partie posté- rieure du segment
postérieur
de la cap- sale interne, de la partie supérie
sale interne, de la partie supérieure du pulvinar, de la partie
postérieure
du noyau externe du thalamus, du corpsgcnouiH
u corpsgcnouiHë lu- terne, du bras du tubercule quaùrl.1u- meau
postérieur
et do la partie postéro supérieure du noyau
rescence du segment rétro-lenti- culaire (Cirl) et de la partie
postérieure
adja- cente du segment pos- 1 érieur de la ca
(Cip), de la zone réticulée et des fibres radiées de la partie
postérieure
du noyau 144 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
une du pli courbe, do la partie infeiieiire do P., de la partie
postérieure
de T,,de 01)1'2 etlp; section des couches s
nt retrolenticulaire et de la partie posté- rieure du segment
postérieur
de la cap- sule interne, de la partie supérie
sule interne, de la partie supérieure du pulvinar, de la partie
postérieure
du no) au externe du thalamus, du corps genou
du corps genouillé interne, du bras du tubercule quadriju- meau
postérieur
et de la partie postéro- supérieure du noyau
uillé in- terne (Cgi). Dégénéres- cence de la partie du segment
postérieur
de la capsule interne située immédiatement en a
corps genouillé interne (Cgi), du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BrQp) et de la partie postéro-supérieure du
des fibres cortico-thalamiques destinées au pulvinar et à la partie
postérieure
du noyau externe du thalamus, une dégénérescence
olenticulaire de la capsule interne et la partie adjacente du segment
postérieur
elle est divisée dans la région sous-thalamique
en deux parties pour l'arrivée du faisceau de Türcl : : une partie
postérieure
rétrolenticulaire, qui s'épuise dans le pulvinar
ieure rétrolenticulaire, qui s'épuise dans le pulvinar et la partie
postérieure
et ventrale du thalamus et une partie antérieure
ventrale du thalamus et une partie antérieure qui occupe le segment
postérieur
de la capsule interne et descend dans le deuxième
irl) dégénérés de la capsule interne et s'irradier dans l'extrémité
postérieure
du globus pallidus (RGP). Sur les coupes sériées,
, puis se placent dans la région sous-thala- mique entre le segment
postérieur
(Cip) et le segment relro-lenticulairc (Cirl) ; l
me mort à l'Age de 6 ans. - Plaque jaune des parties moyenne et
postérieure
des deuxième et troisième circon- volutions t
res. Méthode de Weigert 2/1 grandeur nature. traversent la partie
postérieure
de Cip, aboutissent à la partie inférieure et
partie postérieure de Cip, aboutissent à la partie inférieure et
postérieure
des noyaux externe et interne du tha- lamus (
nc du noyau caudé (NC) ; d'autre part, dans la partie inférieure et
postérieure
du bourrelet du corps calleux (Ce [Spl]). Dans le
obe frontal se comportent donc comme le lobe occipital et la partie
postérieure
du lobe pariétal. Elles n'envoient pas de fibre
iste une dégénérescence du pied du pédoncule cérébral et du segment
postérieur
de la capsule interne dans la région sous-thala
. 174 à 180), la dégénérescence occupe la partie interne du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) (région sous-thalam
RES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. loi Les lésions du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) (cas Rivaud, Fig. 1
; cas Carré, Fig. 188); les lésions de la partie moyenne du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) font dégénérer la p
pédoncule cérébral (cas James, Fig. 184); les lésions de la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne (Ci
s James, Fig. 184); les lésions de la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) (cas Carré, Fig. 18
étro- lenticulaire (Cirl) empiètent, le plus souvent, sur la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne et
l) empiètent, le plus souvent, sur la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne et entraînent de ce fait la
la couronne rayonnante et détruit presque complètement son segment
postérieur
(Fig. 143 et 144). Cette lésion respecte les no
le troisième segment du noyau lenticulaire; elle ne sectionne le bord
postérieur
du putamen (NL3) qu'en un point très limité,
laquelle elles appartiennent, dans les segments antérieur (Cia),
postérieur
(Cip) ou rétro-lenticulaire de la capsule interne
d'autres occupent le genou de la capsule interne (Ci[g]) et la parlie
postérieure
FiG. 142 el 143. - Cas Rivaud. (Bi- cêtre 189
égénérescence ex- trême de la zone réticulée (Zr) et du segment
postérieur
de la capsule in- terne (Cip).Minceur et dé
micircularis. Atrophie indirecte des piliers antérieur (Tga) et
postérieur
(Tgp) du trigone. externe et interne du tha
la topographie est très visible sur la Fig. 147 sectionne le bord
postérieur
du putamen, longe les couches sagittales du lob
er le faisceau de' Turck (FT), abordent, sur la Fig. 149, la partie
postérieure
du segment postérieur (Cip) de la capsule inter
k (FT), abordent, sur la Fig. 149, la partie postérieure du segment
postérieur
(Cip) de la capsule interne. Celui-ci ne contient
Sg Aq (d). Dégénérescence partielle du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(13r Qlp) (fig. 149). Atrophie secondaire très
aisceau de Vicq d'Azyr ou mamillaire principal (Fmp) et des piliers
postérieur
(Tgp) et antérieur (Tga) du trigone droit. Remarq
ES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 159 la partie supérieure et
postérieure
du noyau rouge (\R) (fin. 1 r8 et 149) du locus n
et à nu une petite zone de sclé- rose (FPyc) qui longe la corne
postérieure
. La substance grise centrale contient un cert
uù.noupepassanL par le renllement cervical. 11 n existe à la partie
postérieure
du cordon antérieur droit et du cordon latéral ga
le infantile. Un fragment grossi de la partie antérieure du segment
postérieur
de la région thalamique de la capsule in- terne
alamique de la capsule in- terne de la Fig. 145, p. 154. Le segment
postérieur
de la capsule interne complètement dégénéré est
-thalamiques traversent en fascicules onduleux si serrés le segment
postérieur
de la capsule interne, qu'elles en masquent la dé
s intervalles plus ou moins volumineux; elles traversent le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) en fascicules ondul
presque une couche con- tinue (Fig. 161). A première vue le segment
postérieur
de la capsule interne paraît con- lenir un gran
la moelle du même côté, où il se place en avant du col de la corne
postérieure
(Fig. lî). FIG. 162. - Cas Rivaud. Coupe passan
ant par le segment antérieur (Cia) le genou (C (g)), les seg- ments
postérieur
(Cip), sous-lenticulaire (Cisl) et rétro-lenticul
ent posléi ieur de la capsule interne. Le tronc de l'artère cérébrale
postérieure
(artères optiques colorées en vert) irrigue l'e
rieure (artères optiques colorées en vert) irrigue l'espace perforé
postérieur
, la paroi du troisième ventricule, les deux tie
erforé postérieur, la paroi du troisième ventricule, les deux tiers
postérieurs
de la couche optique, de la légion sous-optique
gion sous-optique et du pédoncule cérébral. - L'artère communicante
postérieure
et le tronc carotidien (colorés en jaune) irrig
optique, la région du genou et de la partie adjacente e du segment
postérieur
de la capsule interne, le pilier antérieur du tri
rieure (colorée en brun) irrigue la queue du noyau caudé, le pilier
postérieur
et le tronc du Irigone, le segment interne du noy
Irigone, le segment interne du noyau lenticulaire, les trois quarts
postérieurs
du segment postérieur, les segments rétro-lenticu
erne du noyau lenticulaire, les trois quarts postérieurs du segment
postérieur
, les segments rétro-lenticulaire et sous lentic
ure du segment antérieur (Cia) et de la partie adjacente du segment
postérieur
(Cip) de la capsule interne, sans participation
(Cia) et les deux tiers antérieurs de la partie supérieure du segment
postérieur
(Cip) de FiG. 165, 166 et 167. - Cas Racle. Hém
t, à un plan plus élevé que la partie posté- rieure. Dans la partie
postérieure
du segment antérieur de la capsule interne (Cia)
rne du thalamus, et limitent en dedans la zone dégénérée du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). Les coupes sériées
nte. Dégénérescence complète des deux tiers antérieurs du seg- ment
postérieur
(Cip) de la capsule interne. Dégénérescence de la
(Ne, Ni) du thalamus. Intégrité du noyau antérieur et de la partie
postérieure
du noyau externe. Dégénérescence partielle de la
postérieure du noyau externe. Dégénérescence partielle de la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne. Inté
terne. Dégénérescence partielle de la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne. Intégrité du segment rétro
nticulaire de la capsule interne et des couches sagittales du segment
postérieur
de la couronne rayonnante (CSgt). Méthode de \V
extrémité antérieure du thalamus irriguée par l'artère communicante
postérieure
. Elle n'affleure la corticalité cérébrale qu'en u
rale qu'en un point très limité correspon- dant à la circonvolution
postérieure
de 'l'insula (Fig. 103) et à la lèvre sylvienne d
la cortica- lité cérébrale dans la région de la circonvo- lution
postérieure
de l'insula et de la lèvre syhienne de l'opercu
halamique et par la région sous-optique. La dégénérescence du segment
postérieur
de la capsule interne est masquée en grande par
erne, une dégé- nérescence des deux tiers antérieurs du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) dans les parties
Th) (Fig. 167 et 169) et envoyer dans la partie antérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) un faisceau de fibr
hauteur de la région sous-thalamique, la partie antérieure du segment
postérieur
de la capsule interne contient des fibres saine
adjacente à la dégénérescence des deux tiers antérieurs du segment
postérieur
de la capsule interne. Cette dernière peut être
é parfaite du noyau antérieur du thalamus (Na) (Fig. 166), du tiers
postérieur
du segment postérieur de la capsule interne (Cip)
térieur du thalamus (Na) (Fig. 166), du tiers postérieur du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), des seg- ments rét
rieure du segment antérieur (Cia) et la partie adjacente du segment
postérieur
(Cip) de la capsule interne, respecte le faisce
sion a entraîné une dégénérescence de la partie antérieure du quart
postérieur
du segment postérieur de la capsule in- terne
nérescence de la partie antérieure du quart postérieur du segment
postérieur
de la capsule in- terne Cip (Fig. 175 et 176).
capsule externe. 2° Dégénérescence de la partie antérieure du quart
postérieur
de Cip consécutive à la lésion porencé- phaliqu
phalique corticale. 3" Dégénérescence des piliers antérieurs (Tga) et
postérieur
(Tgp; du trigone, des couches sagittales du seg
) et postérieur (Tgp; du trigone, des couches sagittales du segment
postérieur
de la capsule interne (CSgt), et de la partie p
du segment postérieur de la capsule interne (CSgt), et de la partie
postérieure
de la capsule externe (Ce//) consécutive à la lés
de la capsule interne et de la partie adja- cente du segment
postérieur
. Dégéné z rescence du tiers externe du pied d
médian. Dégénéres- cence des couches sagittales du seg- ment
postérieur
do la couronne rayon- nante. 174 ANATOMIE D
détruisant le faisceau de Tiirck et la partie adjacente du segment
postérieur
de la capsule inlerne. Dans le pre- mier cas (R
ulaire de la capsule interne (Cisl), la partie adjacente du segment
postérieur
, les corps genouillés externe et interne, le ru
dian à la partie supérieure de la calotte pédonculaire et le pilier
postérieur
du trigone. Dégénérescence du faisceau de Tiirck
M). Dégénérescence des couches sagittales (Sgi et Sge-d) du segment
postérieur
à la couronne rayonnante, de la partie inférieure
ieur de la cap- sule interne (Cia). 3° La dégénérescence du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) consécutive à la lé
gment sous-lenticulaire (Cisl) et de la partie adjacente du segment
postérieur
de la capsule interne du Cip. Méthode de Weigert.
de la capsule interne et de la partie adja- cente du segment
postérieur
. DL-6- nérescence du tiers externe du pied du
de la capsule interne et de la partie adja- cente du segment
postérieur
. Dégé- nérescence du tiers externe du pied du
é- dian. Dégénéres- cence des couches sagittales du seg- ment
postérieur
de la couronne rayon- nante. - La dégénéres
gion tlialami- que et sous-thalamique la partie antérieure du quart
postérieur
de Cip. Dans le pied du , pédoncule cérébral el
ne, les corps genouillés interne (C¡Ú) et externe (Ce),la partie
postérieure
et inférieure du pulvinar ( l'ul), le ruban d
nt au-des- sous du centre médian de Luys (1\m), enfin le pilier
postérieur
du trigone (Tgp) (Fig. J î6). Les dégéuéres-
- cence très nette des couches sagittales des segments inférieur et
postérieur
de la cou- ronne rayonnante, intéressant plus p
de Mey- nert (CM) (Fig. 176) ; 2° par suite de la lésion du pilier
postérieur
du trigone (Tgp) (F\g. 170), une dégénérescence
parition partielle du feutrage de ce noyau. c. Lésions du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip).-Cliez Segalon (Fig
ns la région thalamique supérieure, le quart antérieur du seg- ment
postérieur
de la capsule inlerne (Cip); l'autre occupe le th
ig. 186) et sectionne, dans la région thalamique moyenne, la partie
postérieure
du segment pos- lu ieur de la capsule interne (
première lésion respecte le genou et la partie adjacente du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), et la zone dégénérée
t dans le pied du pédoncule cérébral (Fig. 188), une situation plus
postérieure
que dans le cas Ségalon; elle occupe en effet l
quième interne. La dégénérescence consécutive à la section du quart
postérieur
de Cip est refoulée en avant par le faisceau de T
183 à 185), la lésion centrale occupe la partie moyenne du segment
postérieur
delà capsule interne et du noyau lenticulaire, et
nne, en outre, la capsule externe, ral.ant-mur et la circonvolution
postérieure
de l'insula. La dégé- nérescence occupe la part
e la couche optique sectionnant la partie antérieure du segment
postérieur
de la capsule interne immédiatement en arrière du
men détruisant le globus pallidus et la partie moyenne du segment
postérieur
de la capsule interne. Dégénéres- cence de la
on capsulaire : 10 Lésion sectionnant le quart antérieur du segment
postérieur
(Cip) de la capsule en arrière du genou. Dégéné
ent interne du pied du pédoncule cérébral. 2° Lésion du quart
postérieur
de Cip, dégénérescence du deuxième cinquième
ent interne du pied du pédonculo cérébral. 2° Lésion du quart
postérieur
de Cip, dégénérescence du deuxième cinquième
. Cas Lavigne. Lé- sion de la partie pos- térieure du segment
postérieur
do lacap- sule interne immé- diatement en ava
k. tine de la partie antérieure du pulvinar (Pul) et de la partie
postérieure
du noyau externe du tha- lamus sectionnant le q
tie postérieure du noyau externe du tha- lamus sectionnant le quart
postérieur
du seg- ment postérieur de la capsule interne.
xterne du tha- lamus sectionnant le quart postérieur du seg- ment
postérieur
de la capsule interne. Dégéné- rescence partiel
iennes; intégrité de l'anse lenticulaire. Dégénérescence du quart
postérieur
du segment postérieur de la capsule interne. Da
l'anse lenticulaire. Dégénérescence du quart postérieur du segment
postérieur
de la capsule interne. Dans la région sous-thal
n centrale qui occupe la partie antérieure du pulvinar et la pallie
postérieure
du noyau externe du thalamus et détruit en part
3). Hémiplégie droite. Lésion de la partie posté- rieure du segment
postérieur
de la capsule interne, immédiatement en avant du
couche oplique, la partie antérieure du pulvinar (Pul), la partie
postérieure
et inférieure du noyau externe (Ne), la partie
égion du ruban de Reil médian; il sec- tionne (Fig. 189) le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) en avant du segment
(1\LI, KLa, NI,3, Fig. 189 et 190). Dégé- nérescence de la partie
postérieure
du seg- ment postérieur (Cip) delà capsule inte
9 et 190). Dégé- nérescence de la partie postérieure du seg- ment
postérieur
(Cip) delà capsule interne immédiatement en ava
(Qa); dégénérescence par- tielle du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BrQp); dégénérescence rétro- grade du ruban de
érescence partielle des radiations strio-luysiennes et de la partie
postérieure
du corps de Luys; intégrité de l'anse lenticulair
. Cas Lavigne. Le- sion de la partie pos- térieure du segment
postérieur
de la cap- sule interne III1111Ó- diatement e
bras du tubercule quadrijumeau antérieur; elle sectionne le segment
postérieur
(Cip) de la capsule interne immédiatement en avan
en avant du segment rétrolenticulaire (Cirl) et s'étend à la partie
postérieure
du globus pallidus et du putamen (Fig.189 et 19
atement en avant du foyer primitif; une dégéné- rescence du segment
postérieur
de la capsule interne qui se place dans la région
91), une dégénérescence partielle du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(Br Qp) et une dégénérescence rétrograde du ruban
lésion du globus pallidus sectionnant la partie moyenne du segment
postérieur
de la capsule interne. 2° Lésion du seg- ment r
u pulvinar (Pul) ; dégénérescence des couches sagittales du segment
postérieur
de la couronne rayonnante (Sge et Sgi) et du fa
RALE. 183 Dégénérescence complète des couches sagittales du segment
postérieur
de lt couronne rayonnante (Sge et Sgi), (faisce
ieur de lt couronne rayonnante (Sge et Sgi), (faisceau longitudinal
postérieur
et radiations thalamiques). Intégrité du tapetu
artielle du corps genouillé interne, des piliers (Tga) antérieur et
postérieur
(Tgp) du trigone et de la commissure antérieure (
nté- rieure. L'une sec- tionne la a partie moyenne du segment
postérieur
de 1 a capsule interne et entraîne une dégé-
anté- rieure. L'une sec- tionne la partie moyenne du segment
postérieur
de la capsule interne et entraîne une dégé-
ion. nérescence de faisceaux importants. L'une siège dans la partie
postérieure
du globus pallidus sectionne dans la région sou
u globus pallidus sectionne dans la région sous-optique, le segment
postérieur
de la capsule interne en avant du faisceau de T
faisceau longitudinal inféiieur, radiations thalamiques) du segment
postérieur
de la couronne rayonnante (Fig. 192, 193, 191)
coa, Fig. 192, 193 et 194); 3° une dégénérescence partielle du pilier
postérieur
du trigone (Tgp), dégénérescence qui peut être
ans le cas Cogery (Fig. 175) où la lésion avait sectionné le pilier
postérieur
et empiété sur la partie externe du pédoncule cér
, lesquels ne sont reliés au manteau qu'à leurs parties antérieure,
postérieure
et inférieure. Les fibres de projection se sont
les n'arrivent à la capsule interne que par les segments antérieur,
postérieur
et inférieur de la couronne rayonnante, la pore
lucidum. Quelle qu'en soit la nature, ce processus est certainement
postérieur
à celui qui dans nos deux cas a déterminé l'absen
de la ligne médiane et occupant à peu près la situation des piliers
postérieurs
du trigone d'un embryon de quatre mois. A en juge
tence de fibres thalamo-corti- cales dans les segments antérieur et
postérieur
de la capsule interne. Etant donnés les résulta
ne des deux hémisphères (Fig. 199 et 200). A droite, les deux tiers
postérieurs
du lobe sphénoïdal sont développés et l'on distin
la face interne des deux hémisphères (à l'exception des trois quarts
postérieurs
de la première circonvolution limbique gauche e
elet saillant qui correspond au pli falciforme de l'insula, au bord
postérieur
du lobe frontal et au trigone olfactif et qui se
ement oblique, la moitié gauche de la figure intéresse un plan plus
postérieur
que la moitié droite. Méthode de Weigert-Pal. 5/2
e, par la partie antérieure de la couche optique (Th) et du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) ; à gauche, par la
e (Cip) ; à gauche, par la partie moyenne du thalamus et du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), par le corps de Lu
orps de Luys (CL), la partie moyenne du thalamus (Th) et du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), et à droite, par l
postérieur de la capsule interne (Cip), et à droite, par la partie
postérieure
du corps strié (NL3) et la corne d'Ammon (C1). Le
par le pédoncule céré- hral (P), les noyaux rouges (NR), la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne (Ci
hral (P), les noyaux rouges (NR), la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), et le corps de Luy
e interne (Cip), et le corps de Luys (CL) il droite, et par la partie
postérieure
de la couche optique à gauche. Méthode de Weige
pied du pédoncule (P), le centre médian de Luys (i\m) et la partie
postérieure
du thalamus (Th). Mé- Iiiode de Weigert-Pal. :
pe vertico-transversale du pédoncule cérébral passant par la partie
postérieure
du thalamus et du corps du trigone, et sectionnan
one, et sectionnant le gan- glion de l'habenula (Gh), la commissure
postérieure
(cop), les noyaux rouges (NU), le ruban de Reil
), les noyaux rouges (NU), le ruban de Reil médian (Ilm). La partie
postérieure
du thalamus (Th) est une masse informe contenan
écorce du rhinencéphale (circonvolution de l'hip- pocampe, partie
postérieure
de la première circonvolution limbique, corne
oins suivre avec facilité les cylindres-axes, soit dans le pilier
postérieur
, soit dans le corps ou les piliers antérieurs.
s, c'est- 'L-dire le long du sillon médian antérieur et à la partie
postérieure
du cordon latéral. La partie périphérique du co
grise; il en est séparé par les segments Moteurs (Cia, Fig. 202) et
postérieur
de la capsule interne (Cip, Fig. 203, 204 et 205)
. 209. - Cas Longery. Coupe passant, par les tubercules quadrijumeaux
postérieurs
(Qp), la partie moyenne de la protubérance (Po)
ent être suivis avec facilité dans leur trajet a travers le segment
postérieur
de la capsule interne. Le thalamus présente d
n faisceau rétroflexe (Fil), le centré médian de Luys (Nm). La partie
postérieure
du thalamus est par contre une masse informe et
corps genouillé interne ou externe (Fig. 206, 207). Quant à^la partie
postérieure
et ventrale du noyau externe du thalamus (fin.2
urent en fascicules serrés et parallèles les segments antérieurs et
postérieurs
de la capsule interne, en passant d'abord entre l
miques, formant à elles seules les fibres des segments antérieur et
postérieur
de la capsule interne. Mais elles n'existent qu
, paraissent nor- maux. Les fibres protubérantielles antérieures et
postérieures
ne sont pas encore com- plètement myélinisées,
ales dans les régions interne supérieure, inférieure, antérieure et
postérieure
des hémisphères (Fig. 213). Leb parties latéral
nésies du corps calleux. Le profond sillon transversal de la parlie
postérieure
de la convexité gauche (Fig.`3t3) appartient pr
téro-supérieure de la scissure interhé- misphérique. Dans la moitié
postérieure
de la scissure, le tronc du corps calleux fait
la base ou corps opto-striés séparés l'un de l'autre à leur partie
postérieure
par le corps du trigone et les plexus choroïdes d
ons d'îlots cor- ticaux appartenant à l'écorce qui tapisse la paroi
postérieure
de la porencéphalie. - Ep, épendyme ventriculai
igert-Pal. 206 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. logue des segments
postérieur
et inférieur de la couronne rayonnante. Ces deux
apports ventriculaires près, il se comporte donc comme les segments
postérieur
et inférieur de la couronne rayon- nante normal
sphère en un faisceau à direction sagittale, l'homologue du forceps
postérieur
d'un cerveau normal. - Fp, faisceau des fibres de
de la capsule interne. En résumé les fibres des segments antérieur,
postérieur
et supérieur de la cou- ronne rayonnante aborde
aux ganglions de la base empruntent la voie des segments antérieur,
postérieur
ou inférieur de la couronne rayonnante. Quant
volumineux, ova- laire, à direction sagittale, le forceps majeur ou
postérieur
du corps calleux (Fm, Fig. 8, p. 14), dont les
u segment antérieur (Cia) et la partie antéro-supérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). Ces segments contien
thalamiques. 210 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. logue du forceps
postérieur
normal, mais d'un forceps postérieur anormalement
TRES NERVEUX. logue du forceps postérieur normal, mais d'un forceps
postérieur
anormalement étiré par suite de l'agénésie du b
malement étiré par suite de l'agénésie du bourrelet et de la partie
postérieure
du tronc du corps calleux. Fig. 227. - Cas Rich
gment antérieur (Cia) et se place à la partie antérieure du segment
postérieur
(Cip). Celui-ci, bien qu'étroit, [contient néanmo
du septum lucidum (PSI) entre les deux noyaux caudés. A la partie [
postérieure
de la coupe, on voit le corps du trigone (Tg) a
orne d'Ammon (CA), la circon- volution godronnée (Cg), et le pilier
postérieur
du trigone (Tgp) dans la région où il s'infléch
s les agénésies du corps calleux n'est pas l'homologue d'un forceps
postérieur
très allongé. Nous n'avons pas eu Fin. 228. - C
ès allongé. Nous n'avons pas eu Fin. 228. - Cas Richard. Le segment
postérieur
de la capsule interne 'dans la région sous-thal
e 'dans la région sous-thalamique. La partie antérieure du segment)
postérieur
(Cip) de la Capsule interne est relativement bi
s descendantes du faisceau géniculé Ci(g). Tout le reste du segment
postérieur
est dépourvu de fibres longitudinales, et n'est
a laque hématoxylinique; il fait complètement défaut dans la moitié
postérieure
de la région thalamique, où la zone réticulée (
(Cirl) contient un grand nombre de fibres qui font suite au segment
postérieur
de la couronne rayonnante et s'irradient dans l
e inférieure basale du noyau caudé (C ? sC). Ici encore, le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) n'existe que dans l
ntient de fibres que dans sa partie antérieure (Ci(g). De la partic
postérieure
du segment postéiieur de la capsule interne, cell
a (Zi) anormalement large. Les couches sagittales (CSgt) du segment
postérieur
de la couronne rayonnante se divisent en abordant
ments de la capsule interne. Les couches sagittales (CSgt) du segment
postérieur
de la couronne rayonnante (Fg. 329 et 230) et l
pent dans la région sous-thalamique la partie antérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cig, Fig. 228, 229, 230)
ne (Cisl) et les radiations olfactives profondes (Rolp). Le segment
postérieur
(Cip) de la capsule interne est traversé par les
la couronne rayonnante (Voy. plus haut, p. 207). Quant au segment
postérieur
de la capsule inlerne (Cip), bien que, sans c
s, s'enchevêtrent dans la zone réticulée, montent dans le segment
postérieur
de la capsule interne, et ne pouvant atteindre
g. 22G et 227 avec les Fig. 202 à 204 du cas Longery). Le segment
postérieur
de la capsule interne pré- sente du l'ente une
par la zone iéticulée relativement large du thalamus, -le segment
postérieur
de la capsule s'étend néanmoins dans cette région
eure et sous-thalamique (Fig. 228,229, 230), par contre, le segment
postérieur
de la capsule inlerne est dépourvu de fibres ve
- Brissaud. Du faisceau dit Bandelette sous- optique dans la racine
postérieure
du thalamus. Nouvelle Iconographie de la Salpètri
déviation nette de la tête du côté opposé en électrisant la partie
postérieure
de la deuxième circon- volution frontale. Il ré
xiste en réalité deux zones corticales, l'une anté- rieure, l'autre
postérieure
dont l'excitation provoque une déviation conjugué
e est celle qu'on observe dans l'hémi- plégie de l'homme. Sa partie
postérieure
est aplatie lorsque l'électrode est appliqué aux
rotation vers la joue du côté opposé et épaississement de sa partie
postérieure
; enfin la rétraction légère de la langue avec apl
de la tête et des yeux occupent chez le macaque (Fig. 241) la partie
postérieure
des première et deuxième circonvolutions fronta
être obtenus, ainsi que Ferrier l'a montré, en excitant des régions
postérieures
de l'hémisphère, le pli courbe, la première circo
le, lorsqu'une lumière ou un son viennent à être perçus. Le centi e
postérieur
occipital ou occipito-temporal des mouvements des
al a une action plus directe sur les muscles des yeux que le centre
postérieur
, car la période latente de ce dernier a une durée
mique supérieure (I) la presque totalité des segments antérieurs et
postérieurs
de la capsule, à l'exception de la partie tout
ent antérieur augmente, une région inexcitable apparaît à la partie
postérieure
du segment postérieur (III), de telle sorte que
une région inexcitable apparaît à la partie postérieure du segment
postérieur
(III), de telle sorte que la zone excitable de
ne au genou de la capsule et à la plus grande partie de son segment
postérieur
. Sur les coupes qui intéressent la région thala
thalamique inférieure et sous-thalamique que le genou et le segment
postérieur
de la capsule interne (coupes VI, VII et VIII). S
e par la lame médullaire externe du noyau lenticulaire. A la partie
postérieure
du segment postérieur, il existe donc une zone in
e externe du noyau lenticulaire. A la partie postérieure du segment
postérieur
, il existe donc une zone inexcitable qui appara
nt extrême antérieur produit l'ouverture des yeux, le point extrême
postérieur
des mouvements des orteils. Horsley et Beevor ont
Pour Charcot et Ballet, la zone sensitive comprend toute la partie
postérieure
de l'hémisphère (lobes occipital et pariétal) e
bord antérieur de la sphère visuelle, et son bord inférieur au bord
postérieur
de la sphère visuelle. En outre, le segment exter
raux de la vision qui passent par les couches sagittales du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. C'est par le même méca
ow enfin, aucune région corticale du lobe occipital et de la partie
postérieure
du pli courbe ne serait dépourvue de fibres mac
u temporal; fin, faisceau maculaire du nerf optique. - Fin, forceps
postérieur
ou major du corps calleux. - Fil, faisceau uncina
ernicke et première circonvolution temporale droite. - 7(/p, pilier
postérieur
du trigone. - VI, carrefour ventriculaire. - 1 ?
plète ou croisée, par lésion bilatérale ou unilatérale de la partie
postérieure
des premières circonvolutions temporales, sont ra
ns élevés occupe la partie antérieure, celle des sons bas la partie
postérieure
de la zone auditive. Quoi qu'il en soit, d'aprè
artie moyenne, car il est aujour- d'hui bien démontré que la partie
postérieure
du lobe temporal gauche chez les droitiers -et
sième circonvolution frontale au pli courbe, en englobant la partie
postérieure
de la première circonvolution temporale. Les cent
s audi- tives des mots, ou centre de Wernicke, siège dans la partie
postérieure
de la pre- mière circonvolution temporale et le
des sons. Le centre des images auditives des mots occupe la partie
postérieure
de la sphère de l'audilion générale; le centre
e Broca, la surdité verbale domine si la lésion a détruit la partie
postérieure
de la première circonvolution temporale, la ci
ielle, suivant que la lésion occupe la partie antérieure ou la partie
postérieure
de la zone du langage, suivant qu'elle détruit
lutions troisièmes frontales. - Cia, Cip, Cirl, segments antérieur,
postérieur
et rciru-lcnliculairc de la capsule interne. -
rc de la capsule interne. - CSgt, les couches sagittales du segment
postérieur
de la cou- ronne rayonnante. l', 7 ? première c
les lésions en foyer localisées dans les segments antérieur (Cia),
postérieur
(Cip), rétro-lenticulaire (Cirl) et sous-lentic
s que le genou (Ci [g]) est touché et que par conséquent le segment
postérieur
de la capsule (Cip) est entamé, la symptomatolo
one rolandique, que les zones dégénérées occupent dans le seg- ment
postérieur
de la capsule interne (Cip) une situation d'autan
es de projection de la corticalité motrice occupent dans le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) une situation d'autan
zone rolandique. Lorsque le genou et la parlie adjacente du segment
postérieur
(Cip) sont lésés, on constate l'existence d'une
sé. C'est en effet par le genou et la partie adjacente du seg- ment
postérieur
de la capsule que passent les fibres provenant de
le syndrome de la paralysie pseudo-bulbaire. Les lésions du segment
postérieur
de la capsule inlerne (Cip) situées plus en arr
sieurs fois, dans des cas de lésions anciennes du tiers ou du quart
postérieur
de Cip (p. 173) une contracture plus intense du m
ceptionnelle. La conséquence ordinaire d'une destruction du segment
postérieur
de la capsule en arrière du genou est l'hémiplé
ion de l'hémisphère. Charcot localisait l'hémichorée dans la partie
postérieure
du segment posté- rieur de la capsule interne (
que nous le montrerons plus loin, et non de l'altération du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). En ISî9,Ifahler etPi
e la région rolandique, tout comme à la suit( de lésions du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). Il n'y a pas dE lo
paru ou n'est représenté que par quelque : rares fibres. Le segment
postérieur
(Cip) représente déjà il cette hauteur le pie(
que L. Tiirck avait montré que les lésions siégeant dans la partie
postérieure
de la capsule interne se traduisaient par une hém
spéciales de la moitié opposée du corps, passaient .dans la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne. Lors
opposée du corps, passaient .dans la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne. Lorsque cette partie pos
e du segment postérieur de la capsule interne. Lorsque cette partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne (Cip)
de la capsule interne. Lorsque cette partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) était détruite, la
sensitivo-sensorielle des hystériques. Charcot désigna cette partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne (Cip)
es hystériques. Charcot désigna cette partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) sous le nom de carr
t le monde est d'accord pour reconnaître qu'une lésion de la partie
postérieure
du seg- ment postérieur de la capsule interne (
our reconnaître qu'une lésion de la partie postérieure du seg- ment
postérieur
de la capsule interne (Cip) se traduit dans certa
itions sur lesquelles nous allons revenir - une lésion du seg- ment
postérieur
de Cip se traduit par une hémianesthésie de la mo
question pour nous est résolue par la négative. Une lésion du tiers
postérieur
du segment postérieur de la capsule interne (Ci
résolue par la négative. Une lésion du tiers postérieur du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) ne produit jamais d
on élève, Long. Si - et c'est là le cas le plus fréquent - le tiers
postérieur
du segment postérieur (Cip) est lésé dans la ré
t c'est là le cas le plus fréquent - le tiers postérieur du segment
postérieur
(Cip) est lésé dans la région thalamique moyenn
venus de la première circonvolution temporale passent par la partie
postérieure
du segment sous-lenticulaire (Cisl) de la capsule
corps genouillé interne, et de là dans le tubercule quadriju- meau
postérieur
(voy. Nerf auditif). Ces fibres peuvent donc être
ues de la corne d'Ammon et du fascia dentata arrivent par le pilier
postérieur
du trigone pour se rendre au tubercule mamillaire
te de la bilatéralité du centre olfactif il faut donc que le pilier
postérieur
du trigone soit intéressé par la lésion. Il en
nt-elles directement et sans neurones intercalaires, par le segment
postérieur
de la capsule interne pour aller s'arboriser dans
des cas, la couche optique était lésée en même temps que le segment
postérieur
de la capsule interne et, dans les très rares c
rt donc de cette discussion que, lorsqu'une altération de la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne s'est
sion que, lorsqu'une altération de la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne s'est traduite pendant la
ciale de ce ganglion, à savoir, en avant du pulvinar, dans la partie
postérieure
et inférieure du noyau externe du thalamus (rég
ions suivies d'autopsies et dans lesquelles une lésion de la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne et
s et dans lesquelles une lésion de la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne et du thalamus, siégeant
n- stratifs à cet égard. Dans ces deux cas, en effet, où le segment
postérieur
de la capsule interne et la couche optique sont
les de la sensi- bilité générale que l'on observe lorsque la partie
postérieure
de Cip est lésée dans la région thalamique infé
n des fibres de la sensibilité générale qui passent t par la partie
postérieure
de Cip ou bien relèvent-ils de la lésion concomit
rêtons. En effet, s'il existait un faisceau sensitif dans la partie
postérieure
de Cip, les lésions de cette partie de Cip dans
ent dans la capsule interne, de même qu'il n'y a pas dans la partie
postérieure
du segment postérieur de cette dernière de faisce
erne, de même qu'il n'y a pas dans la partie postérieure du segment
postérieur
de cette dernière de faisceau compact formé uni
une fois issues du thalamus se mélangent intimement dans ce segment
postérieur
de la capsule interne avec les fibres motrices
e incomplètement la circonvolution olfactive externe, longe le bord
postérieur
de l'espace perforé antérieur qu'elle sépare de
ur origine dans la substance grise des lobes olfactifs antérieur et
postérieur
. Les plus courtes se terminent dans la substanc
, circonvolution godronnée. - Cing, cingulum. Cin,r(p), le faisceau
postérieur
du cingulum. - coa, com- missure antérieure, so
. - FG, faisceau de la calotte de Gudden, ou branche de bifurcation
postérieure
du faisceau mamillaire principal (I·'nah). - Fiel
a, tuber- cule quadrijumeau antérieur. - Qp, tubercule quadrijumeau
postérieur
. - Role, radiations olfactives externes. - Roli
rps du trigone. - Tga, pilier antérieur du trigone. - 7'f/p, pilier
postérieur
du trigone. - Th, couche optique. - Tm, tubercu
oyau caudé. Son sommet mal déterminé atteint le genou et le segment
postérieur
de la capsule interne, sa base est tapissée par
l'avant- mur, ou encore, comme Foville le signalait, dans la partie
postérieure
de la substance perforée antérieure. , Nombre
grandeur nature. Ci(g), genou de la capsule interne. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - ftsc, fibres qui se dé
avant en arrière et pénètrent entre la couche optique et le segment
postérieur
de la capsule interne. Elles forment au thalamu
ris, s'effilent et se terminent en pointe au voisinage de la partie
postérieure
de la couche optique (Fig. 145), et abandonnent
ventriculaire. Coupe vertico-transversale passant par les segments
postérieur
el sous-lenticulaire de la capsule interne, le
endent dans la fimbria et l'alveus intraventriculaire. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cisl, segment sous-len
d'Ammon (Fig. 256), puis se prolonge sur le bord externe du pilier
postérieur
(Fig. 41 ) Il et du corps du trigone (Fig. 7,26
es au plan verlico-lransversal de l'hémisphère. Sur les coupes plus
postérieures
, la couche s'épaissit, les fibres deviennent plus
eau de l'isthme de l'hippocampe, elles se continuent avec le pilier
postérieur
du trigone qu'elles concourent à former en grande
n aux plexus choroïdes. A mesure que l'on considère des coupes plus
postérieures
, la fimbria s'épaissit, son bord interna s'appl
convolution godronnée et n'entre pas dans la constitution du pilier
postérieur
du trigone. 2. pilier postérieur du TRIGONE.(Fi
pas dans la constitution du pilier postérieur du trigone. 2. pilier
postérieur
du TRIGONE.(Fig ? l,ll ? GO.)-Lep111e1'pOSL- ri
Fig. 41, p. 59); sa parlie interne est épaisse, s'adosse au forceps
postérieur
du corps calleux et se continue avec les fibres
nsertion aux plexus choroïdes du carrefour ventriculaire. Le pilier
postérieur
du trigone se porte obliquement en haut, en avant
14, 42 et 268). A ce niveau, une petite partie des fibres du pilier
postérieur
du trigone se porte soit transversalement en de
pects sur les coupes vcrtico- transversalos sé- riées. Pilier
postérieur
du trigone. Son trajet. 376 ANATOMIE DES
os fibres trans- versales ou commis- surales passent par le bec
postérieur
du corps calleux. Les fibres transversales ou
corps calleux. Les fibres transversales ou commissurales du pilier
postérieur
se ren- dent dans le pilier postérieur du côté
s ou commissurales du pilier postérieur se ren- dent dans le pilier
postérieur
du côté opposé. Elles passent par le bec postér
dans le pilier postérieur du côté opposé. Elles passent par le bec
postérieur
du corps calleux, se placent immédiatement en ava
e interne et de la pointe occipitale (Fig. 2GO), forment le forceps
postérieur
du corps calleux cl relient entre elles les deu
mon, le fornix transvers us de Forel. Les fibres obliques du pilier
postérieur
occupent cet espace triangulaire FIG. 957. - La
IBRES DE PROJECTION DE L'ECORCE CÉRÉBRALE. 277 compris entre le bec
postérieur
du corps calleux et le corps du trigone, et con
du trigone controlatéral. Quant aux fibres longitudinales du pilier
postérieur
, elles sont directes et en très petit nombre cr
one. Les fibres longitudinales, transversales et obliques du pilier
postérieur
contiennent à la fois des fibres de la fimbria
trigonale, re- prennent leur indépendance au ni- veau des piliers
postérieur
et anté- lieur. Ces deux cas montrent donc ne
il'e (Alvx), elles n'entrent pas dans la constitu- tion du pilier
postérieur
du trigone el arrivent au corps du trigone pa
es passant : 1° par le bourrelet du corps calleux; 2° par la partie
postérieure
du tronc du corps calleux; 3° par le tronc du
nalc(iL) (Fig. 258,2) concourant avec les libres obliques du pilier
postérieur
à former la lyre de David, mais conserve son in
e du corps calleux, les fibres perforantes du bourrelet et du liers
postérieur
du tronc du corps calleux (fp) (Fig. 259) se co
fusiforme, cuneus, pointe occipitale). La partie antérieure du bec
postérieur
(Spl) (r) contient les fibres commissurales, sain
a thalami, le tubercule mamillaire, le noyau rouge et la commissure
postérieure
. Méthode de Weigert-Pal). 3/1 Grandeur nature.
ommissure de Meynert. coa, commissure antérieure. - cop, commissure
postérieure
. - eF, entrecroisement sous-thalamique pos- tér
volution limbique,. - NR, noyau rouge. - Qa, tubercule quadrijumeau
postérieur
. - SgAq, substance grise centrale de l'aqueduc
y. T. ter 302). Les fibres perforantes du bourrelet et de la moitié
postérieure
du tronc du corps calleux leur sont encore homolo
loin qu'elles se com- portent comme les fibres ammoniques du pilier
postérieur
du trigone, auxquelles elles sont intimement mé
coa, commissure anté- rieure. - eF, entrecroisement sous-thalamique
postérieur
de Forel. - FcG, faisceau de la calotte de Gudd
ur surface de section est arrondie et ovalairc et présente une face
postérieure
libre (fin. 9-5-1, 82), recouverte par l'épendy
suite de lésions du trigone, qu'il s'agisse d'une section du pilier
postérieur
du trigone par une plaque jaune de la scissure
. 266), localisée à l'écorce, sans participation aucune du pilier
postérieur
du trigone au processus primitif. Il existait e
nérescence du tri- gone cérébral : al- meus, fimbria. piliers
postérieur
et anté- rieur, corps du tri- gone ; du tuber
c posté- rieur du corps cal- leux Dégénéres- cence du forceps
postérieur
, du tape- tum, des couches sa- gittales du pl
plus marquée au niveau du corps qu'au niveau des piliers antérieur et
postérieur
(Tgp, Fig. 2go). Le pilier postérieur reçoit en
veau des piliers antérieur et postérieur (Tgp, Fig. 2go). Le pilier
postérieur
reçoit en effet le faisceau commissural sain de l
assant par le bourrelet du corps calleux (ligne L, b) et le forceps
postérieur
. Dégénérescence du forceps postérieur (Cc,Fp) et
ux (ligne L, b) et le forceps postérieur. Dégénérescence du forceps
postérieur
(Cc,Fp) et de la pièce intermé- diaire [Spl(i)]
e intermé- diaire [Spl(i)] du bourrelet du corps calleux, du pilier
postérieur
du trigone (Tgp), du tapetum (Tap), des couches
hes sagittales externe (Sge, Fli) et interne (Sgi, RTh), du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. Dégénérescence du fais
es de la corne d'Ammon (psalterium dorsale), qui passent par le bec
postérieur
du bourrelet du corps calleux ; 2° une dégénéresc
a (Fig. 2Gi), et sectionnant le bourrelet du corps calleux, le pilier
postérieur
du trigone (Tgp) et la partie postérieure recou
u corps calleux, le pilier postérieur du trigone (Tgp) et la partie
postérieure
recourbée du noyau caudé (ni). Dégénérescence d
ie postérieure recourbée du noyau caudé (ni). Dégénérescence du bec
postérieur
du bourrelet du corps calleux (Spl, b), du pili
du bec postérieur du bourrelet du corps calleux (Spl, b), du pilier
postérieur
du trigone (Tgp), de l'alveus intraventriculaire
es sagittales interne (Sgi, IIT11) et externe (Sge, Fli) du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. Dégénérescence du fa
nérescence du tri- COUD cérébral : al- vous, fimbria, piliers
postérieur
et anté- rieur, corps du tri- gone : du tuber
posté- rieur du corps cal- leux. Dégénéres- cence du forceps
postérieur
, du tape- tum, des couches sa- gittales du pl
- sales sériées au delà de la partie rentlée du thalamus. La partie
postérieure
du taenia thalami el le ganglion de l'habenula
rrière des fibres commis- surales du trigone qui passent par le bec
postérieur
du corps calleux. Les fibres dégé- Fig. 269,270
nérescence du tri- gone cérébral : al- vous, fimbria, piliers
postérieur
et anté- rieur, corps du tri- gone ; du tuber
posté- rieur du corps cal- leux. Dégénérés- cence du forceps
postérieur
, du tape- tum,des couches sa- gittales du pla
nérescence du tri- zone cérébral : al- \ eus, fimbria, piliers
postérieur
et anté- rieur, corps du tri- one; du tubercu
poste- rieur du corps cal- leux. Dégénéres- cence du forceps
postérieur
, du tape- tum,dos couches sa- gittales du pla
gi, couche sagittale interne (ou radiations thalamiques) du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. FIBRES DE PROJECTION
en dedans et s'irradient dans le corps genouillé externe et la partie
postérieure
du thalamus. Les autres continuent leur trajet
uche externe plus épaisse adossée aux couches sagittales du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. Ces deux couches son
vé que la Fig. 213, le tapetum et les couches sagittales du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. 294 ANATOMIE DES CEN
ébral : le coips du Lligone n'existe pour ainsi dite pas, le pilier
postérieur
se continuant directement avec le pilier antéri
nser on y distingue un feuillet antérieur ou ventral et un feuillet
postérieur
ou dorsal, séparés l'un de l'autre par toute la l
tive fortement colorée par la laque héma- toxylinique et une partie
postérieure
pâle ou hémisphérique. - FG, faisceau de la calot
a, tubercule quadrijumeau antérieur. - Qp, tubercule quadri- jumeau
postérieur
. - Sg.lg, substance grise de l'aqueduc de Sylvius
de Vicq d'Azyr. - II, le nerf optique et le chiasma dont la partie
postérieure
faiblement colorée par la laque hématoxylinique a
aire la partie antéro-supérieure du psalterium ventral. Le feuillet
postérieur
ou dorsal ou psalterium dorsal (Psld) occupe chez
ie entre dans la constitution de l'entre-croisement sous-thalamique
postérieur
(Forel, Ganser, Schnoplhagen, V. Monakow, Vogt)
kow, Vogt); quelques fibres se terminent dans la substance peiforée
postérieure
(Kôlliker, Vogt); d'autres entrent dans le pédo
aître parmi les autres fibres de l'entre-croisement sous-thalamique
postérieur
; elles se groupent en effet en gros fascicules
irect et croisé et avec l'entroc-roise- sement sous-thala miquo
postérieur
. 298 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. . Le g
mamillaire (PTm), en avant de l'entre-croi- sement sous-thalamique
postérieur
de Forel (cF), le faisceau mamillaire principal
-dessus du noyau rouge, entre dans la consti- tution de la partie
postérieure
el interne de la capsule de ce noyau, se plac
capsule de ce noyau, se place en avant du faisceau lon- gitudinal
postérieur
, lui envoie quelques fibres d'après Külliker,
e, situé de chaque côté du raphé, en avant du faisceau longitudinal
postérieur
: le ganglion profond de la calolle de Gudden (
- coa, commissure antérieure. - eF, entrecroisement sous-thalamique
postérieur
de Forel. - FcG, faisceau de la calotte de Gudd
é quilui arrivent en passant par l'entre-croisement sous-thalamique
postérieur
de Forel. Ainsi renforcé, le pédoncule du tuber
alotte, passe en dedans du locus niger, entre la substance perforée
postérieure
et le pied du pédoncule cérébral, et croise les
de Luys, croisent les fibres de l'entre- croisement sous-thalamique
postérieur
de Forel (eF) et le locus niger; elles passent
e de l'aqueduc de Sylvius, en tra- versant le faisceau longitudinal
postérieur
. Chez les mammifères tels que le lapin, etc. (F
é le long du raphé, immédiatement en avant du faisceau longitudinal
postérieur
. Il est pro- bablement l'homologue du noyau cen
rale du quatrième ventricule, en arrière du faisceau longitu- dinal
postérieur
. C'est un ganglion arrondi, entouré d'une capsule
e là aux amas ganglionnaires des cerveaux inter- meaiaire, moyen,
postérieur
, etc., etc. (fibres cortico-thalamiques, libres
aire de la cap- sule interne. L'irradiation des libres des segments
postérieur
et supérieur de la couronne rayonnante simule s
ur de la couronne rayonnante. - CSgt, couches sagittales du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. - Us, diverticule du s
eur de la couronne rayonnante et de la partie antérieure du segment
postérieur
de la couronne rayonnante simule sur cette coupe
tamen et globus pallidus). Remarquer ici la continuation du segment
postérieur
de la capsule interne avec le pied du pédon- cu
Cge, corps genouillé externe. - Cia. Cip, Cirl, segments antérieur,
postérieur
et rétrolenticulaire de la capsule interne. - coa
Sge, substance grise sous-épendymaire.- Tap, Inpetum. - Tgp. pilier
postérieur
du trigone. - Tg 1-l, carrefour ventriculaire. -
us-corticale (Fig. 144 à li6), sauf au niveau du deuxième cinquième
postérieur
du noyau lenticu- laire, où la lésion fuse en d
le globus pallidus, mais encore la parlie correspondante du segment
postérieur
de la capsule interne (Fig. 147, p. 1JJ). Dans
.) Cette lésion a entraîné : -. 1° Une dégénérescence du 3° quart
postérieur
du segment postérieur de la capsule interne (Ci
traîné : -. 1° Une dégénérescence du 3° quart postérieur du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip Fig. 283 et 284); un
thalamus (Ne) dans la partie adjacente au champ dégénéré du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). Celte dégénérescence
ire externe (Lme) et la substance grise fonda- mentale de la moitié
postérieure
du noyau externe; elle respecte la moitié antérie
le interne. - Dégénérescence des troisième et quatrième cinquième
postérieurs
du segment posté- rieur de la capsule interne (
emniscus profond (PLp), Fig. 28 : i). Dé- générescence de la moitié
postérieure
du noyau externe du thalamus (Ne), de la lame
lissement s'étend, en traînée sur le gyrus supramarginal, la partie
postérieure
du sillon parallèle jusqu'à la face externe du lo
première circonvolution pariétale, l'oper- cule pariétal, la partie
postérieure
et inférieure de la pariétale ascendante, et la p
postérieure et inférieure de la pariétale ascendante, et la partie
postérieure
de la première circonvolution temporale; cette lé
ne dégénérescence du segmentrétro-lenticulaire (Cirl) et de ]a moitié
postérieure
du segment poslérieur (Cip) de la capsule inter
ieure (Fig. 288), la dégénérescence se cantonne dans le rois quarts
postérieurs
du noyau externe et dans le pulvinar. Elle occupe
osté- rieure de la première circonvolution temporale et la partie
postérieure
et inférieure de la P,1l ié- tale ascendante et
sous- lenticulaire (Cisl) et de la partie postérieuie du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) des trois cinquième
nérées pénètrent dans le globus pallidus au niveau de son extrémité
postérieure
, en particulier le long de la lame médullaire int
égion thalamique (Fig. 287), la dégénérescence n'occupe que la moitié
postérieure
du globus pallidus; dans la région sous-thalami
escence est légère, mais très manifeste. Les moitiés antérieures et
postérieures
du segment postérieur de la capsule interne (Cip)
très manifeste. Les moitiés antérieures et postérieures du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) pré- sentent, de ce
) pré- sentent, de ce fait, un aspect bien distinct. Dans la moitié
postérieure
du segment pos- térieur (Cip), les fibres verti
onnexion avec la corticalité céré- brale ; reçoit par son extrémité
postérieure
et sa lame médullaire des fibres qui s'épuisent
nt au corps de Luys en traversant la partie an- térieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), el en suivant le t
ule interne, et convergent vers les parties antérieure, supérieure,
postérieure
et inférieure du globus pallidus, à la manière
ia) (Fig. 19, p. 27, et Fg. 23, p. 33); celles du tronc, le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip); les fibres de la que
terne. - Cia, segment antérieur de la capsule interne; Cip, segment
postérieur
; Cirl, segment rétrolenticulaire. - CSgt, couch
l, segment rétrolenticulaire. - CSgt, couches sagittales du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. - f\-C, fibres du no
projection. - PaTh, pédoncule antérieur du thalamus. TTA, pédoncule
postérieur
du tlialamus. - ? CR, pied de la cou- ronne ray
eux du putamen et convergent tous vers la partie moyenne du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) qu'ils traversent d
CORPS STRIÉ. 323 rieure du globus pallidus, les segments antérieur,
postérieur
et rétrolenticulaire de la capsule interne et l
sule interne. - Ci (g), genou de la capsule interne. - Cip, segment
postérieur
; Cirl, segment rétrolenticulaire de la capsule
ulaire de la capsule interne. - CSgt, couches sagittales du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. - Fi, fimbria du pil
gment postérieur de la couronne rayonnante. - Fi, fimbria du pilier
postérieur
du trigone. - fi, fibres du fornix longus qui bor
lobe frontal. - Plch, plexus choroïdes. - P1'g, plicature du pilier
postérieur
du trigone. - Rsth, radiations strio-thalamiques.
thalamus. Tga, pilier antérieur du trigone cérébral. - Top, pilier
postérieur
. - Th, thalamus. - lsc, taenia semi-circularis.
émité antérieure (Fig. 292), el s'étend du genou (Ci[g]) au segment
postérieur
de la capsule interne (Cip); sa partie postérieur
Ci[g]) au segment postérieur de la capsule interne (Cip); sa partie
postérieure
com- prend surtout des gros faisceaux enchevêtr
ules paral- lèles, fortement colorés par l'hématoxylinc, le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), en interceptant de
au-dessus du sommet du noyau lenticu- laire, traversent le segment
postérieur
de la capsule interne dans les par- tics moyenn
apsule interne. - Ci (g), genou et faisceau géniculé.- Cip, segment
postérieur
de la capsule interne.- coa, commissure antérie
manifeste lorsque les fibres de projection corti- cales du segment
postérieur
de la capsule interne sont complètement dégé- n
strio-thalamiques (Rsth) traversent en lâches fascicules le segment
postérieur
de la capsule interne, croisent les fibres (ftsc)
générescence complète des fibres de projection corticale du segment
postérieur
de la capsule interne. (Cas Rivaud, p. z1, détail
7, p. 69) qui se place entre le globus pallidus (NL,)et le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), puis elles se disp
énérescence complète des fibres de projection corticales du segment
postérieur
de la capsule interne. (Cas Rivaud, p. 151 et s
les nombreux, denses et serrés les deux tiers antérieurs du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), puis se rassemblen
erse obliquement, de bas en haut et de dehors en dedans, le segment
postérieur
de la capsule interne avant de former la couche
sont situées. Elles traversent les deux tiers antérieurs du segment
postérieur
de la cap- sule interne et de la partie supérie
couche sagittale e\.terne; Sgi, couche sagittale interne du segmenl
postérieur
de la couronne rayonnante. - Tap, tapetum. Tga, p
onne rayonnante. - Tap, tapetum. Tga, pilier antérieur ; 7qp pilier
postérieur
du trigone cérébral. lsc, toenia semi-circularis.
re ne traverse pas directement par le plus court chemin, le segment
postérieur
de la capsule interne mais le contourne en écha
3, 251 à 253) et s'enfonce entre le bord antéro- interne du segment
postérieur
de la capsule interne et la substance grise cen
contournent en fascicules si nombreuses et si serrées le seg- ment
postérieur
de la capsule interne qu'elles masquent presque l
et de nombreuses fibres radiées; et la partie adjacente du segment
postérieur
de la capsule interne est cloisonnée par de nom
91, p. 180) et Carré (Fig. 186 à 188, p. 179) (section de la partie
postérieure
du noyau lenticulaire), la dégénérescence respect
générescence respecte l'anse len- ticulaire, retentit sur la partie
postérieure
du corps de Luys et les radia- tions strio-luys
Pour peu que la lésion primitive n'empiète pas trop sur le segment
postérieur
de la capsule interne et sur le thalamus, il est
icules serrés et parallèles (Cas Ronse, Fig. 296 à 301), le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), croiser à angle dr
suivre dans cette partie de son trajet où elle contourne le segment
postérieur
de la capsule interne, et s'irradie dans la par
la couronne rayonnante, empiète un peu sur la partie supérieure et
postérieure
du noyau externe de la couche optique ; elle s'es
ondaires classiques : a) Une dégénérescence très étendue du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) (Fig. 296 et 297) p
gments sous-lenti- culaire et rétrolenticulaire (Cirl), les parties
postérieure
et antérieure du segment posté- rieur (Cip) de
97 et 298) de la région thalamique : 1° Dégé- nérescence du segment
postérieur
(Cip) de la capsule interne consécutive à une lés
halamus. Intégrité du segment rétrolenticulaire (Cirl) et des parties
postérieure
et antérieure du segment postérieur de la capsu
iculaire (Cirl) et des parties postérieure et antérieure du segment
postérieur
de la capsule interne, en particulier du faisceau
7, 298). Une dégénérescence particu- lièrement accusée de la partie
postérieure
du noyau externe du thalamus (Fig. 29G), qui se
très probablement à l'extension de la lésion primitive à la partie
postérieure
du thalamus. 2° La lésion centrale intralenticu
ce cle la région du ruban de Reil médian (RgRm) et de la commissure
postérieure
consécutive à l'extension de la lésion sous-corti
ranuleux (H, Fig. 296 et 297), foyers allongés dans le sens antéro-
postérieur
, situés dans le putamen (NL3) et le deuxième segm
les radiations strio-tha- lamiques (Rsth) qui sillonnent le segment
postérieur
dégénéré de la capsule interne et qui s'irradie
(Imi) qui traversent la partie antérieure non dégénérée du segment
postérieur
de la capsule interne, en par- FiG. 301. - Cas
rt pouvant être suivie le long de la bandelette optique et du segment
postérieur
de la capsule interne du côté opposé il la lési
s'amassent en une couche épaisse le long du bord externe du segment
postérieur
de la capsule interne (X) (Fig. 298). Elles tra
ire (Al) et contournent la partie antérieure non dégénérée du segment
postérieur
de la capsule interne (Fig. 297). D'autres fibr
299), il existe, en outre, une légère dégénérescence de la commissure
postérieure
(cop), consécutive très probablement à l'extens
ette région dont l'irrigation esl assurée par l'artère communicante
postérieure
sont rares. Dans un cas qu'il nous a été donné
pariétale ascendantes, qui sec- tionne la partie moyenne du segment
postérieur
de la capsule interne et envoie un petit t prol
ésion a entraîné une dégénérescence de la partie moyenne du segment
postérieur
de la capsule interne (Fig. 303 à 30), et du pied
à rencontrer à la suite des dégénérescences partielles du seg- ment
postérieur
de la capsule interne. Ce surcroît de dégénéresce
rés d'une zone de dégénérescence qui s'étend à la partie moyenne et
postérieure
du noyau externe du thalamus, et au noyau interne
uronne rayonnante. Dégénérescence de la partie moyenne du seg- ment
postérieur
de la capsule interne; 2° ramollissement de la pa
ayon- nante. Dégénércs- cence de la partie moyenne du segment
postérieur
de la cap- sule interne et du pied du pédoncu
ayon- nante. Dégénéres- cence do la partie moyenne du segment
postérieur
de la cap- sule interno et du pied du pédoncu
amique jusque dans le noyau lenticulaire. Elles traversent le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) soit en avant (Fig.
ment mani- feste dans son trajet le long du bord interne du segment
postérieur
de la capsule interne (Fig. 304) au-dessus et e
sous la forme caractéristique d'un faisceau triangulaire, à sommet
postérieur
, dont les fibres dégénérées traversent le segme
sommet postérieur, dont les fibres dégénérées traversent le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), soit en avant (Fig
très manifeste : on la voit contourner le bord antérieur du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), longer sa face ext
n sous-thala- mique. Dégénérescence de la partie moyenne du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip, d) consécutive à la
, des radiations strio-luysiennes, de la partie antérieure du segment
postérieur
de la capsule interne, du pilier antérieur du t
ayon- nante. Dégénéres- cence do la partie moyenne du segment
postérieur
dola cap- sule interne et du pied du pédoncul
ayon- nante. Dégénéres- cence de la partie moyenne du segment
postérieur
de la cap- sule interne et du pied du pédoncu
ion corticale qu'une lésion corticale même étendue. Dans le segment
postérieur
de la capsule interne les fibres de projection
eur de la couche optique ou corpus album subrotundum, son extrémité
postérieure
, effilée en forme de queue, appartient à la face
r de la capsule interne (Cia) et de la partie antérieure du segment
postérieur
(Cip) de nombreuses fibres radiées qui pénètren
comme nous l'avons indiqué, par la partie posté- rieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) et non pas par le s
- l'oa,Pop, fibres transversales antérieures et fibres transversales
postérieures
de la protubérance. - PTm, pédoncule du tubercu
- Qa, tubercule quadrijumeau antérieur; Qp, tubercule quadrijumeau
postérieur
. - Rm, ruban de Reil médian; lil, ruban de Reil
r les segments antérieur(Cia) (Fig. 21,43,47 et Fig. 291 et 310) et
postérieur
(Cip) de la capsule interne et qui traversent t
tre quelques radiations strio-thalamiques qui traversent le segment
postérieur
de la capsule et le noyau externe du thalamus,
e s'irradient de nombreuses fibres radiées qui traversent la partie
postérieure
du noyau externe du thalamus, occupent la partie
partie postérieure du noyau externe du thalamus, occupent la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne et
oyau externe du thalamus, occupent la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne et proviennent des parties
ure (Fig. 21, p. 31) passe en arrière du noyau antérieur, la courbe
postérieure
circonscritle centre médiandu Luys. Sur les coupe
e nombreuses fibres. Dans cette même région, la courbe de la partie
postérieure
de la lame médullaire interne s'accentue et sép
du ruban de Reil médian (rgRm), du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BrQp) et, plus en dedans, du corps genouillé int
sceau thalamique de Forel et aux radiations de la calotte (RC), les
postérieures
situées au voisinage du centre médian de Luys s
supérieure et externe de la couche optique, corres- pond au segment
postérieur
ou lenliculo-optique de la capsule interne (Cip
de Luys (Nm) (Fig. 21). En dehors, il est recouvert par le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) auquel il correspond
C) (T. Il ? Fig. 285) et le ruban de Reil médian (Rm); 4° son tiers
postérieur
, enfin, est en rapport avec le locus niger (Ln)
stérieur, enfin, est en rapport avec le locus niger (Ln), la partie
postérieure
du pied du pédoncule céré- bral (Fig. 7, p. 10)
capsule interne. Le noyau externe corres- pond en effet au segment
postérieur
(Cip), le pulvinar au segment rétro- lenticulai
quadrijumeau antérieur (BrQa) et le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BrQp) (Fig. 312, Fig. 17, p. 69 et Fig. 24, p. 3
de fibres radiées qui se détachent du segment antérieur, du segment
postérieur
et du segment sous-lenticulaire de la capsule i
ial (Fig. 323, 324, va). Les fibres qui lui arrivent par le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) se dirigent oblique
nées parallèlement à leur axe. Une partie des fibres inférieures et
postérieures
passent par le segment sous-lenticulaire de la ca
ire elle noyau caudé à la couche optique, croisent, dans le segment
postérieur
de la capsule interne les fibres de projection
: ;7 la partie antérieure de la capsule du noyau rouge. Les fibres
postérieures
sont comprises enlre le centre médian de Luys e
s ces régions par un dense feutrage de fibres qui entoure la partie
postérieure
, inférieure et externe du centre médian de Luys
rne (Cirl), lequel ne se trouve plus sur le prolongement du segment
postérieur
(Cip) (Fig. 21, p. 31). Dans la région du noyau
ents : l'un antérieur, compris entre le noyau externe et le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), l'autre postérieur
terne et le segment postérieur de la capsule interne (Cip), l'autre
postérieur
, en rapport avec le pulvinar, la zone de Wernic
tinue avec la zona incerta du même auteur (Zi) (Fig. 32. Le segment
postérieur
de la zone réticulée est beaucoup plus épais qu
ntrale du thalamus, le noyau semi-lunaire de Flechsig, les segments
postérieur
et rétro-lenticulaire de la capsule interne. Coup
égions thalamique et sous-thalamique et sectionnant les commissures
postérieure
, moyenne et antérieure. - Méthode de Weigert (voy
acapsule interne. Ci(g), genou dela capsule interne. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cirl, segment rétro- l
commissure antérieure. - coin, commissure molle. - cop, commissure
postérieure
. -1 ? troisième circonvolution frontale. - FI, fa
sillon insulaire. - la, partie antérieure de l'insula. - Ip, partie
postérieure
de l'insula. - le, lame cornée. - lme, hune méd
ma, sil- lon marginal antérieur de l'insula. - mp, sillon marginal
postérieur
de l'insula. - NC, tête du noyau caudé. - i\'C'
Tap, tapetum. - Tga, pilier antérieur du trigone.- Tgp (Fi) pilier
postérieur
du trigone (Fimbria). - Th, thalamus. - troisième
de 1\'erniclce. - Zi, zona incerla de Forel. - rieure du segment
postérieur
de la zone réticulée disparait bientôt (Fig. 47
rsalement de dedans en dehors qui sert de limite entre les segments
postérieur
(Cip) et rétro-lenticulaire de la cap- sule int
, et en connexion avec deux territoires corticaux distincts. Le noyau
postérieur
, grâce au faible développement du pulvinar ains
ntre le corps genouillé externe, la bandelette optique et la partie
postérieure
du pied du pédoncule cérébral (v. Monakow). Les
disséminées et séparées par de larges intervalles. Dans le segment
postérieur
du noyau externe, en par- ticulier au voisinage
au externe, tantôt au noyau interne, le pulvinar forme il la partie
postérieure
de la couche optique cette saillie volumi- neus
lièrement arrondie, que recouvrent la toile choroïdienne, le pilier
postérieur
du trigone (Tgp) et plus médiatement le bourrelet
corps calleux (Ce [Spl], Fig. 310 et 311). 11 constitue l'extrémité
postérieure
de la couche optique, atteint chez l'homme son
ongement que v. Monakow considère, comme un noyau spécial, le noyau
postérieur
du thalamus. Cette disposition apparaît très nett
est constituée par une ligne transversale passant par la commissure
postérieure
(cop), en arrière du ganglion de l'habenula (Gh
capsule interne n'est pas situé sur le prolongement de son segment
postérieur
(Cip). Cette dispo- sition s'accentue d'autant
la forme d'une gouttière verticale, ouverte en dedans, dont le bord
postérieur
s'implante sur le stratum zonale et dont le bord
le quadrijumeau antérieur. - BrQp, bras du tubercule quadri- jumeau
postérieur
. - CA, corne d'Ammon. Ce, bourrelet du corps call
erveuses du pulvinar. 16 Cing, cingulum; Ciccg(p), son faisceau
postérieur
. -Cirl, segment rétrolenticulaire de la capsule
Fa, circonvolution frontale ascendante. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - ft, fibres tangentielles du ta ! nia tecta. -
ia- tions du tubercule quadrijumeau antérieur. - S(p), prolongement
postérieur
de la scissure de Sylvius. - Sge, substance gri
urrelet du corps calleux, dans la région où il fait suite au pilier
postérieur
. - Tgp, le pilier postérieur du trigone dans la
ans la région où il fait suite au pilier postérieur. - Tgp, le pilier
postérieur
du trigone dans la corne sphénoidale. - tsc. to
tico- thalamique ; elles arrivent par les segments antérieur (Cia),
postérieur
(Cip) et rétro-lenticulaire (Cirl) de la capsul
e, jusque dans les couches sagittales interne et externe du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. Un grand nombre de c
66). Mais le pulvinar reçoit en outre dans sa partie inférieure et
postérieure
le faisceau temporo-thala- mique d'Arnold (V oy
e quadrijumeau antérieur (Br Qa) (Fig. 47, p. 69) et par le segment
postérieur
de la zone réticulée (Zr) (Fig. 312) qui, s'ins
la zone réticulée (Zr) (Fig. 312) qui, s'insinuant entre le segment
postérieur
(Cip) et le segment rétro-lenticulaire de la ca
oup moins accusée que celle de ce dernier. Il est situé à la partie
postérieure
de la calotte du pédoncule cérébral et sur les
et enclavé entre les bras des tubercules quadrijumeaux antérieur et
postérieur
(BrQa, BrQp). Le bras du tuber- GANGLIONS OEFRA
le sépare en arrière du pulvinar, le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BrQp) le limite en avant et le sépare .de la p
rne apparaît libre à l'extérieur, le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BrQp) le sépare en avant du ruban de Reil médi
ce profonde el adhérente reçoit du bras du tubercule qua- drijumeau
postérieur
aux confins de la calotte pédonculaire - de nom-
llé externe, traversent, avec le faisceau de Tiirck (FT), la partie
postérieure
du segment postérieur de la cap- sule interne (
, avec le faisceau de Tiirck (FT), la partie postérieure du segment
postérieur
de la cap- sule interne (Fig. 295), puis entren
rnes,]}. 70). Par l'intermédiaire du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
, le corps genouillé interne est en connexion av
l'habenula, assurent ses connexions avec les régions antérieures et
postérieures
du rhinencéphale . Les connexions du thalamus a
bulbaire. Dans les lésions capsulaires qui sectionnent les segments
postérieur
(Cip) et rétro-lenti- culaire (Cirl) de la caps
système des fibres de projec- * lion ne pouvait arriver au segment
postérieur
de la capsule interne. Dans les deux cas, il ex
313 et 316. -Les fibres thalamo-corlicales des segments antérieur et
postérieur
de la capsule inlerne dans un cas d'agénésie du
il mé- dian, et relient le thala- mus. aux noyaux des cordons
postérieurs
croisés par l'inter- médiaire du ruban de R
s de la couche optique avec le cerveau moyen, situé à la partie
postérieure
et ventrale du noyau externe du thalamus et qui
on du ruban de Reil médian, qu'il se termine surtout dans la partie
postérieure
et ventrale du noyau externe en avant du pulvinar
Burdach du côlé opposé, et par leur intermédiaire avec les cordons
postérieurs
croisés de la moelle épinière. Le pédoncule cér
terne et interne du thalamus, envoie quelques fibres dans la partie
postérieure
du noyau interne et dans le centre médian de Lu
connexion avec le cerveau moyen. Le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BrQp) relie le corps genouillé interne au tube
r (BrQp) relie le corps genouillé interne au tubercule quadrijumeau
postérieur
et, par son intermédiaire, au ruban GANGLIONS I
ion réticulée elles sont croisées et s'effectuent par la commissure
postérieure
. Située à la limite des cerveaux intermédiaire
t les tuber- cules quadrijumeaux à la glande pinéale, la commissure
postérieure
(cop) l'ail saillie dans l'aqueduc de Sylvius
ICI') qui sectionnent les deux lames de la gouttière, la commissure
postérieure
se présente sous l'aspect de deux faisceaux par
ylvius, soit par le sillon sous-pinéal. Les fibres de la commissure
postérieure
sont transversales et paral- lèles dans leur pa
ule quadrijumeau antérieur et la couche oplique (pulvinar et partie
postérieure
des noyaux externe et interne du thalamus), for
l'aque- duc de Sylvius et entrent dans la constitution de la partie
postérieure
de la calotte pédonculaire (parlie ventrale de
rieure de la calotte pédonculaire (parlie ventrale de la commissure
postérieure
). FiG. 317. - La commissure postérieure et la
e ventrale de la commissure postérieure). FiG. 317. - La commissure
postérieure
et la commissure interhabenulaire vues sur un
ylvius. - eih, cour missure interhabenulaire. - cop, com- missure
postérieure
. - cp, couche profonde des fibres du tubercule
trale. par les bras des tubercules quadnju- mraw antérieur et
postérieur
: par la commissure postérieure. Situation
les quadnju- mraw antérieur et postérieur : par la commissure
postérieure
. Situation et trajet delà la commissure pos
ommissure postérieure. Situation et trajet delà la commissure
postérieure
. Ses parties dorsale et ventrale. 37C ANATO
et ventrale. 37C ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La commissure
postérieure
no reçoit pas de fibres de la corticalité cér
ur les lieux d'origine et les lieux de terminaison de la commissure
postérieure
; ses fibres paraissent être de court trajet, ca
est ainsi conduit à admettre que certaines fibres de la commissure
postérieure
, entrent en connexion avec la corticalité céréb
logénèse très précoce des fibres du segment dorsal de la commissure
postérieure
. D'après Boyce, ces fibres corticales dégénérer
on concomitante des voies optiques. D'après Bechterew la commissure
postérieure
dégénérerait en outre il la suite de lésions de l
arkschewitch, Bechterew et Boyce, que chez l' ! tomme la commissure
postérieure
ne reçoit pas de libres de la corticalité céréb
nous n'avons jamais vu la dégénérescence s'étendre II la commissure
postérieure
. Dans les cas de dégénérescence du taenia thala
anglion de l'habenula du côté croisé (Fig. 320), mais la commissure
postérieure
était toujours respectée dans ces cas. A notr
était toujours respectée dans ces cas. A notre avis, la commissure
postérieure
ne dégénère que dans les lésions qui détruisent
du thalamus. Dans ces cas les fibres dégénérées de la com- missure
postérieure
peuvent être suivies (Méthode de Marchi), en part
formation réticulée, en avant et en dehors du faisceau longitudinal
postérieur
. Malgré les connexions si nombreuses de la couc
ses fibres du stratum zonale des faces, supé- rieure, antérieure et
postérieure
du thalamus; d'autres lui arrivent le long de l
de la corticalité cérébrale, et passe par les segments antérieur et
postérieur
de la capsule interne. Les dégénérescences trai
a lhalami reçoit de la corne d'Ammon, par l'intermédiaire du pilier
postérieur
et du corps du trigone, un faisceau assez impor
du pédoncule cérébral, atteindraient ainsi les parties latérales et
postérieures
du thalamus et parviendraient au taenia thalami,
s et parviendraient au taenia thalami, soit en traversant la partie
postérieure
du thalamus, soit par l'intermédiaire du stratu
ulvinar pour se rendre à la commissure pos- térieure et à la partie
postérieure
du ganglion de l'habenula. Cajal nie, par contr
ez l'adulte, sépare la commissure interbabénulaire de la commissure
postérieure
avec laquelle elle ne doit pas être confondue,
autres entrent peut-être en connexion avec le faisceau longitudinal
postérieur
et le noyau de la troisième paire. Faisceau de
au interne du thalamus aux confins du pulvinar, contourne la partie
postérieure
du troisième ventricule et embrasse, dans sa conc
ntricule et embrasse, dans sa concavité, le fais- ceau longitudinal
postérieur
et la partie supérieure du noyau de la troi- si
de Reil médian (Rm), en dehors et en avant du faisceau longitudinal
postérieur
(Fig. 321). Puis il traverse de haut en bas, de
rne. - Cgi, corps genouillé interne. - Flp, faisceau longitu- dinal
postérieur
. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - Gh, gang
ce grise centrale. - sM, sillon de Monro. - Spp, substance perforée
postérieure
. - SI ri, stratum intermedium. - Star : , strat
e, le ganglion interpédonculaire (Gip), situé dans l'espace perforé
postérieur
et découvert par Gudden. Nettement accusé chez
q fascicules, disposés sur une'ligne légèrement courbe, à concavité
postérieure
(Fig. 319, p. 639, T. ICI'). Sur les préparatio
est fort probable qu'elles se terminent dans la substance perforée
postérieure
ou que, se comportant de la façon décrite par Mey
Meynert et qui ne doit pas être confondu avec la substance perforée
postérieure
. Découvert par v. Gudden, bien décrit par Forel
'épaisseur et 5 millimètres de largeur. Elle est située à la partie
postérieure
du troisième ventricule, en arrière de la commi
le choroïdienne et des veines de Galien, au-dessus de la commissure
postérieure
, entre les deux GANGLIONS 1\NFRACORTICAUX : COU
rii s. inferior se continue avec le bord supérieur de la commissure
postérieure
. Composée d'une substance grise molle, creusée
ique; 2° L'étage moyen ou calotte du pédoncule cérébral; 3° L'étage
postérieur
ou calotte de la protubé- rance ; 1° La plus gr
minée sous-lenti- culaire de Reichert, intéressent dans leur partie
postérieure
la calotte pédonculaire, tandis que les coupes
ssent par le tiers moyen de la couche optique (depuis la commissure
postérieure
jusqu'à la commissure molle) sectionnent dans l
us- thalamique, ainsi que nous l'avons vu plus haut, à ses segments
postérieur
et rétro-lenticulaire ; or c'est le segment pos
ses segments postérieur et rétro-lenticulaire ; or c'est le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) Sa face supérieure.
egment rétro-lenticulaire (Cirl) occupe en effet une situation plus
postérieure
, il est séparé de la région sous- optique et de
la région sous-optique en bas et tapisse la face interne du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). Il appar- tient au
aire (FI) dont les fibres peuvent être suivies à travers le segment
postérieur
de la capsule interne jusque dans le globus palli
lenticulo-caudées qui traversent la par- tie supérieure du segment
postérieur
de la capsule interne. - la, circonvolutions anté
re médian de Luys (Fig. 312, 324, 22); il reçoit en outre la partie
postérieure
et amincie du faisceau lenticulaire de Forel do
amygdaliformis (Stilling). Le corps de Luys (CL) occupe la partie
postérieure
et externe de la région sous-optique; il a la f
situé au-dessous du noyau externe du thalamus, en dedans du segment
postérieur
de la région sous-thala- mique de la capsule in
nntlnC ? ressent la partie supérieure des commissures antérieure et
postérieure
du cerveau, sous l'aspect d'un corps ovalaire e
orps ovalaire en contact immédiat avec la partie moyenne du segment
postérieur
de la capsule interne (Fig. 24, 1'ts. 324. - Co
ant-nur. - CA, corne d'Ammon. Ce, cap- sule externe. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cisl, segment sous-lenti
due, se rapproche en grandissant de la partie antérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), occupe d'abord les
t en conservant ses rapports avec la partie antérieure du seg- ment
postérieur
de la capsule interne, dans laquelle il se creuse
ys est plus arrondi, plus globuleux; ses connexions avec le segment
postérieur
de la capsule interne et le pied du pédoncule c
; les bords sont interne et externe ; les extrémités anlérieure et
postérieure
. La face dorsale ou supéro-externe est la plus
erne est en même temps supérieur, il est en rapport avec le segment
postérieur
de la région sous-thalamique de la capsule intern
terne du pied du pédoncule cérébral (Fig. 32 et 325). L'extrémité
postérieure
du corps de Luys est située aux confins du Sur
és, Connexions du corps de Luys. Avec le corps strié. segment
postérieur
de la capsule interne et du pied du pédoncule cér
perforent et cloisonnent dans la région sous-thalamique le segment
postérieur
de la capsule interne, et abordent le corps de
gère du corps de Luys. Les fibres dégénérées proviennent du segment
postérieur
de la capsule interne, passent par les lames mé
aires du globus pallidus, perforent la partie antérieure du segment
postérieur
de la capsule interne avec les fibres strio-luy
es dans la commis- sure de Foret (cF) ou commissure sous-thalamique
postérieure
(Decus- satio subthalamica poslerior, Ganser) (
) (voy. p. 106) qui occupe la sub- stance grise de l'espace perforé
postérieur
(Fig. 325) ; ces fibres relient probablement le
la commissure de Meynert et relierait ainsi les noyaux des cordons
postérieurs
de la moelle avec le globus pallidus du même cô
urone reliant directement le corps de Luys aux noyaux des cor- dons
postérieurs
et ces connexions, si elles existent, ne peuvent
mer cette manière de voir; les fibres qui se détachent de la partie
postérieure
du corps de Luys et qui perforent la capsule inte
ntacte. Sur une série de coupes ininterrompue on voyait à la partie
postérieure
de la région sous-optique les fascicules dégéné
le forme le tuber ;ine°eun et la lame interpédonculaire ou perforée
postérieure
qui appar- ient en réalité au cerveau moyen, pu
u borgne interpédonculaire, au niveau du sommet de la lame perforée
postérieure
, la commissure ventrale de la calotte de Forel
édonculaire, la commissure de Forel ou com- missure sous-thalamique
postérieure
, et dans la substance grise qui double le chias
n arrière des tubercules mamillaires, à la base de la lame perforée
postérieure
, et ne doit pas être confondue avec la commis-
rel, qui appartient à la calotte pédoncu- laire et occupe la partie
postérieure
et ventrale du noyau rouge (Voy. Région de la c
Région de la calotte, IIIe partie). La commissure sous-thalamique
postérieure
(Fig. 325) est en rapport de chaque côté avec l
de la capsule interne. Chez l'homme, la commissure sous-thalamique
postérieure
est essen- tiellement constituée par des fibres
en faisceaux compacts, mais sont disséminées dans la lame perforée
postérieure
, puis se dirigent vers la ligne médiane qu'elles
siennes occupent la partie moyenne de la commissure sous-thalamique
postérieure
. Au-dessus d'elles, à la partie supérieure ou d
à la partie supérieure ou dorsale de la commissure sous-thalamique
postérieure
, on trouve quel- ques fibres qui proviennent du
s tubercules mamillaires, par la lame interpédonculaire ou perforée
postérieure
et la commissure sous-thala- mique postérieure
nculaire ou perforée postérieure et la commissure sous-thala- mique
postérieure
de Forel (Méthode de Weigert). La région sous-o
, cap- sule externe. - Cg, circonvolution godronnée. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cisl, segment sous-len
pCR, pied de la couronne rayonnante. - er, commissure sous-thalamique
postérieure
de Forel. - F, champ de Forel. - FI, faisceau l
septum lucidum. - Spp, lame interpédonculaire ou substance perforée
postérieure
. - Strz, stra- tum zonale du thalamus. Tclt3, t
OMIE DES CENTRES NERVEUX. Les fibres du fais- ceau longitudinal
postérieur
. Les fibres mamil- laires. Commissure de
qui, se détachant de la partie antérieure du faisceau longitudinal
postérieur
,longent de haut en bas la substance grise centr
connus. Unis- sent-elles entre eux les deux faisceaux longitudinaux
postérieurs
? éta- blissent-elles une connexion entre ces f
oisent dans les couches ventrales delà commissure sous-tha- lamique
postérieure
, puis entrent, dans la constitution du pédoncule
Chez l'homme, la couche ventrale de la commissure sous-thalamique
postérieure
est insignifiante; chez la plupart des mammifères
roisés du pilier antérieur du trigone La commissure sous-lhalamique
postérieure
ne parait pas recevoir de fibres du système des
epuis désignée par Ganser sous le nom de commissure sous-thalamique
postérieure
et mérite seule le nom de com- missure de Forel
ndrait, d'après Darkschewitsch et Pribytkow, de la partie basale et
postérieure
du noyau lenticulaire; il longe la commissure d
f périphérique ou de premier ordre, sont assimi- lables aux racines
postérieures
spinales et transmettent aux glomérules olfacti
circonvolution godronnée. - Cing, cingulum. - Cing(p), le faisceau
postérieur
du cingulum. - coa, com- missure antérieure, so
. - FG, faisceau de la calotte de Gudden, ou branche de bifurcation
postérieure
du faisceau mamillaire principal (Fmp). Fiel, fai
a, tuber- cule quadrijumeau antérieur. - Qp, tubercule quadrijumeau
postérieur
. - Role, strie ou radiations olfactives externe
corps du trigone. - Tga, pilier antérieur du trigone. - Tgp, pilier
postérieur
du trigone. Th, couche optique. - Tm, tubercule
s nerfs optiques , le chiasma et les bandelettes optiques; l'autre,
postérieur
ou intra-cérébral, représenté par les radiations
s optiques. - Le nerf optique émerge au-dessus et en dedans du pôle
postérieur
de l'oeil, traverse la cavité orbitaire et le c
substance grise superficielle et moyenne de ce tubercule. Segment
postérieur
ou intra-cérébral. - Du corps genouillé externe
interne. - CSgt, cou- ches sagittales interne et externe du segment
postérieur
de la couronne rayonnante. - F3, zone de Broca.
u temporal; fin, faisceau maculaire du nerf optique. - Fin, forceps
postérieur
ou major du corps calleux. - Fu, faisceau uncinat
ernicke il la zone de Broca. - la, Ip, circonvolutions antérieures et
postérieure
de NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 4
ntre de Wernicke et première circonvolution temporale. - Tgp, pilie
postérieur
du trigone. - n. carrefour ventriculaire. - 1V, z
hiasma des nerfs optiques. (Qa), se détachent les fibres du segment
postérieur
de l'appareil visuel elles comprennent les radi
iculation des neurones visuels antérieurs avec les neurones visuels
postérieurs
s'effectue soit directement, de l'arborisation te
aires et ne s'étendent qu'à la longue et ter- tiairement au segment
postérieur
. Chaque segment de l'appareil nerveux visuel co
nnent vers la papille, située en dedans et un peu au-dessus du pôle
postérieur
de l'oeil. A la périphérie de la rétine, au voisi
au-dessous de la papille et qui correspond très exactement au pôle
postérieur
de l'oeil. Dans la partie centrale de la macula
nse ou de segment de spire dont la convexité re- garde soit l'angle
postérieur
homolatéral, soit l'angle antérieur controla- t
au contraire, la dissociation des fibres maculaires dans la partie
postérieure
de la bandelette, leur dispersion dans tout le
teur oculaire commun en suivant le segment ventral de la commissure
postérieure
. Les expériences faites dans le laboratoire de
missure de Gudden, de commissure infé- rieure, de commissure arquée
postérieure
, un petit faisceau de fibres qui occupe la partie
de fibres qui occupe la partie interne de la bandelette, la partie
postérieure
du chiasma, s'étend d'un corps genouillé à l'au
NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 433 cules quadrijumeaux
postérieurs
et semble appartenir au système auditif (Forel).
et la valvule de Vieussens et décrite par Ilis sous le nom d'isthme
postérieur
(Fig. 337). Le cervelet embrasse le tronc encép
e ou marginale anlérieure le sépare en avant et en haut de l'isthme
postérieur
, une scissure plus profonde encore, la fente cé
e postérieur, une scissure plus profonde encore, la fente cérébrale
postérieure
, le sépare du bulbe racliidien. Le cervelet rep
cervelet d'une part, la région bulbo-protu- béranlielle et l'isthme
postérieur
d'autre part. Situation. Ses parties consti-
ervelet se développe aux dépens d'une partie de la voûte du cerveau
postérieur
ou quatrième vésicule encépha- lique. Il occupe
ronque est en avant et la base échancrée en arrière. L'échancrure
postérieure
, étroite et profonde, loge la faux du cervelet
, d.'incisure marginale posté- rieure, d'échancrure perpendiculaire
postérieure
(Vicq d'Azyr), d'incavaturc perpendiculare comm
nglais). - L'échancrure antérieure, plus large e plus étalée que la
postérieure
, entoure les tubercules quadrijumeaux CI Valeur
ES NERVEUX. ]il ci semi-In- nau P. Vermis supérieur. l'isthme
postérieur
dont la sépare un repli pie-mérien; elle est conn
ure semi-lunaire (esl) ou antérieure, et l'échancrure marsupiale ou
postérieure
(cm). Beall- zig. 331. - Le cervelet, recouvert
re marsupiale. - Go, glande pinéale. - le, lame cornée. - Ll', lobe
postérieur
du cervelet. LS, lobe supérieur du cervelet. NC,
ansversal profond, le sillon supérieur de Vicq d'Azyr (ssV) (sillon
postérieur
et supérieur de quelques auleurs) (Fig. 331, 338,
e) du vermis supérieur et forme le lobe supé- rieur (LS). La partie
postérieure
, beaucoup plus petite, est d'aspect semi- lunai
re, limite l'échancrure marsu- piale en dedans et constitue le lobe
postérieur
(LP). Face inférieure (Fig. 332, 333, 3H). - La
rrière avec l'échancrure marsupiale (em) ; elle loge dans sa partie
postérieure
la fanx du cervelet, et dans sa partie antérieu
ente alors sous l'aspect d'une éminence très convexe dont la partie
postérieure
se continue avec le vcrmis supérieur, dont la p
entant quatre crêtes saillantes, dont l'une est antérieure, l'autre
postérieure
, les deux autres externes (Fig. 3 i e). Le somm
res en formant les expansions ou les ailes de la pyramide. La crête
postérieure
se porte obliquement en haut et en arrière, et
e. - llCv, hémisphères cérébelleux. - Ll, lobe inférieur. Ll', lobe
postérieur
. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. 7'yc, pyram
la face inférieure de l'hémisphère en deux parties inégales : l'une
postérieure
, plus petite, qui appartient au lobe postérieur
s inégales : l'une postérieure, plus petite, qui appartient au lobe
postérieur
(LP) ; l'autre antérieure, plus volumineuse, qu
u cervelet comprend quatre bord ? dont deux sont antérieurs et deux
postérieurs
, et six angles qui sont antérieurs, postérieurs
antérieurs et deux postérieurs, et six angles qui sont antérieurs,
postérieurs
et externes. Les bords antérieurs, (Fig. 333) o
obliques en arrière et en dedans, décrivent une courbe à convexité
postérieure
et correspondent à la partie horizontale du sin
8, 340, 32) ou grand sillon horizon- 1(il de Reil, parcourt le bord
postérieur
, se jette en dehors dans le sillon marginal ant
eure de l'hé- misphère. Il ne correspond pas rigoureusement au bord
postérieur
du cervelet, mais empiète un peu en dedans sur
antérieur; les angles externes, il l'union des bords antérieurs et
postérieurs
; les angles postérieurs, à l'union des bords post
xternes, il l'union des bords antérieurs et postérieurs; les angles
postérieurs
, à l'union des bords posté- rieurs et de l'écha
il G centimètres sur les hémisphères de l'angle antérieur à l'angle
postérieur
. Son épaisseur ne dépasse guère 4 il centimètre
véritable face antérieure concave en avant et qui embrasse ['isthme
postérieur
, la protubérance et le bulbe rachidien. Celte f
ula. - Lca, lobe qua- drilatère antérieur. - Lqp, lobe quadrilatère
postérieur
. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls, l
peu en avant et que les sillons de l'amygdale sont presque antéro-
postérieurs
(Fig. 333). Sur un cervelet recouvert de la pie
du vermis par un sillon sagittal profond, ou encore dans la région
postérieure
du cervelet où les lobes très développés dans l
la profondeur du sillon : c'est ce que l'on observe dans la région
postérieure
du cervelet; ici, grâce au développement consid
et inférieure du cervelet, elle l'est moins pour ceux de la partie
postérieure
. La partie postérieure des hémisphères prend en
let, elle l'est moins pour ceux de la partie postérieure. La partie
postérieure
des hémisphères prend en effet un développement
ux délimitent de chaque côté : 1° le lobe quadrilatère ; 2° le lobe
postérieur
de Henle ; 3° le lobe inférieur ou digastrique;
hères, la subdivision du lobe quadrilatère en régions antérieure et
postérieure
et celle du lobe postérieur en lobe semi-lunair
quadrilatère en régions antérieure et postérieure et celle du lobe
postérieur
en lobe semi-lunaire supérieur, lobe semi-lunaire
° Lobe supérieur, ou lobe de la masse principale du vermis; 2° Lobe
postérieur
, ou lobe des lames transversales ; 3° Lobe infé
lobe supérieur se frag- mente en quatre lobes secondaires, le lobe
postérieur
en deux, soit un total de neuf lobes inégaux de
xion qui sert à délimiter le vermis des hémisphères. Dans le lobe
postérieur
(LP), le développement du vermis (V) est rudi-
st rudi- 1050 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Mode propre au lobe
postérieur
. Mode propre au lobes inférieurs. Crêtes d'
profondes, situées au voisinage du pédicule d'in- sertion du lobe
postérieur
sur la substance blanche centrale du cervelet
e inféro-autérieur) se dis- tinguent du lobe supérieur et du lobe
postérieur
par l'in- dépendance de leur partie médiane o
e et l'autre région comme celles de la région hémisphérique du lobe
postérieur
. Les lamelles hémisphériques s'implanlenl sur u
aux différents lobes du cervelet. LS, lobe supérieur. - LP, lobe
postérieur
. - Ll, lobe inférieur- ? région hémisphérique.
par le sillon supérieur de Vicq d'Azyr (ssV) qui le sépare du lobe
postérieur
, le lobe supérieur constitue un des lobes les plu
et sont d'autant plus volumineux qu'ils occupent une situation plus
postérieure
(Fig. 336). Leurs parties hémisphériques se fus
is et les différencie nettement des lobes des régions inférieure et
postérieure
du cervelet. Sillons principaux du lobe supérie
l médian du cervelet. Le lobe supérieur est coloré en bleu, le lobe
postérieur
en rose, les lobes inférieur, inféro-interne et i
e verticale de l'arbre de vie du vermis. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - fai, fibres arciformes internes du bulbe. -
le lobe du culmen du lobe du déclive, décrit une courbe à convexité
postérieure
très accusée, et se jette à angle droit dans le
viennent exceptionnellement superficiels. Ils se portent de la face
postérieure
du lobe du culmen à la face antérieure du lobe
valvule de Vieus- scns. Les lames et la- melles de sa facc
postérieure
. le lobule central et le lobule du culmen (Fig.
blanc est formé par les fibres de la valvule de Vieusscns. La face
postérieure
est libre et forme la lèvre antérieure du sillon
s de la lingula; la face pos- térieure du cerveau moyen et l'islhme
postérieur
de Ilis.- D'après Retzius. BrQa, bras du tube
cule quadrijumeau antérieur. - BrQp, bras"du tubercule quadrijumeau
postérieur
. - fui, fibres arci- formes;supérieures de l'is
ébelleux supérieur. - Qa, Qp"tubercules quadrijumeaux antérieurs et
postérieurs
. - Tpo, toenia" pontis. IV, nerf pathétique.
ntimes avec la base du pédoncule cérébelleux supérieur et la partie
postérieure
du pédoncule cérébelleux moyen, auxquels la lin
, l'émergence des nerfs pathétiques et les tubercules quadrijumeaux
postérieurs
. La face postérieure, plus étendue que l'antéri
pathétiques et les tubercules quadrijumeaux postérieurs. La face
postérieure
, plus étendue que l'antérieure (Fig. 336), est re
du lobe quadrilatère antérieur (Fig. 358). Les faces antérieure et
postérieure
et le bord supérieur du lobe central sont tapis
ale et se portent de la face antérieure du lobule central a la face
postérieure
de ses ailes. Ce sont en général les lamelles d
antérieure de ce lobe qui sont les plus étendues, celles de la face
postérieure
ne dépassant guère le vermis ou la partie adjac
. Bl, bourgeon terminal. - com, commissure molle. - cop, commissure
postérieure
avec le pédicule de la glande pinéale; les émin
ande pinéale; les éminences situées de chaque côté de la commissure
postérieure
appartiennent aux ganglions de l'habenula. - em,
iale. - esl, échancrure semi-lunaire. - le, lame cornée. - LP, lobe
postérieur
. - 7..f/p, lobe qua- drilatère postérieur. - LS
, lame cornée. - LP, lobe postérieur. - 7..f/p, lobe qua- drilatère
postérieur
. - LS, lobe supérieur. - Lsli, lobe semi-lunaire
oute son étendue, ce lobe présente trois faces qui sont anlérieure,
postérieure
et supérieure. La face anlérieure est tapissée
be central n'apparaît pas à la face supérieure du cervelet. La face
postérieure
forme la lèvre antérieure du sillon transverse
phérique. Ces lobules profonds se jettent en effet soit sur la face
postérieure
du lobe du culmen, soit sur la face antérieure
unissent en une lamelle terminale unique qui s'implante sur la face
postérieure
du lobule suivant. Ce lobule ne comprend donc q
ermis et se termine par une lamelle unique qui se jolie sur la face
postérieure
de l'aile gauche du lobe central. Le 3° lobule
diment hémisphérique du lobule précédent; il forme ensuite la lèvre
postérieure
du sillon post-central gauche. Ce lobule ne pré
ires ont été écartés. Le lobe supérieur est coloré en bleu, le lobe
postérieur
en rose. 13t, bourgeon terminal. - coin, commis
on terminal. - coin, commissure molle ou moyenne. - cop, commissure
postérieure
et sa striation transversale. - em, échancrure ma
cinq lobules secondaires (1, 2, 3, zu, 5). - Lyp, lobe quadrilatère
postérieur
, et ses 4 lobules secon- daires (1, 2, 3, 4). -
age du sillon longitudinal droit, forme un lobule profond à la face
postérieure
du culmen, puis redevient superficiel à 2 centimè
360). IV. - Lobe du déclive (V,dc) : déclive et lobe quadrilatère
postérieur
(Lqp). - (Fig. 338, 339, 340, 341, 342, 336, 358,
, en avant du sillon supérieur de Vicq d'Azyr qui le sépare du lobe
postérieur
, le lobe du déclive représente une sorte de lob
ères et son aspect gé- néral à la fois au lobe supérieur et au lobe
postérieur
du cervelet. Par la fusion de son vermis dans t
e la lingula, le point le plus saillant, le plus convexe et le plus
postérieur
du lobe. Les parties hémisphériques le déborden
ticule; ses parties hémisphériques constituent le lobe quadrilatère
postérieur
ou la parlie postérieure du lobe quadrilatère.
sphériques constituent le lobe quadrilatère postérieur ou la parlie
postérieure
du lobe quadrilatère. Dans la classification des
nte comme le lobe du culmen une face anté- rieure concave, une face
postérieure
convexe et une face supérieure. La face antérie
e convexe et une face supérieure. La face antérieure forme la lèvre
postérieure
du sillon transverse antérieur (Fig. 336). Elle
s qui atteignent le sillon marginal antérieur gauche. Les lobules
postérieurs
ne s'étendent pas à toute la surface du lobe et
te la surface du lobe et sont d'autant plus petits qu'ils sont plus
postérieurs
. Au nombre de deux a trois, ils présentent une
ieur de Vicq d'lr-r, pour former les lamelles et lobules de la face
postérieure
du lobe du dé- clive. Cette face est en effet t
anlé- rieure et inférieure (Fig. 311), puis se ,jettent sur le lobe
postérieur
et représentent de véritables plis de passage p
es plis de passage profonds qui relient le lobe supé- rieur au lobe
postérieur
du cervelet. Les externes, plus longs, décrivent
sont la continuation directe des deux ou trois lobules de la partie
postérieure
de la surface du lobe du déclive. Les lamelles
isinage du sillon marginal antérieur (Fig. 358, 359, 360). II. LOBE
POSTÉRIEUR
OU LOBE DES LAMES TRANSVERSALES Le lobe postéri
360). II. LOBE POSTÉRIEUR OU LOBE DES LAMES TRANSVERSALES Le lobe
postérieur
occupe le cinquième postérieur de la face supé-
LOBE DES LAMES TRANSVERSALES Le lobe postérieur occupe le cinquième
postérieur
de la face supé- rieure et la moitié postérieur
occupe le cinquième postérieur de la face supé- rieure et la moitié
postérieure
de la face inférieure du cervelet. C'est un lob
obe supérieur par le sillon supérieur de Vicq d'Azyr (ssV), le lobe
postérieur
est limité en avant parle sillon post-pyramidal e
perficiel dans la région des hémisphères, sillon qui sépare le lobe
postérieur
du lobe inférieur. Deux profonds sillons, le gr
V) du même auteur, subdivisent sa partie hémi- 1 ic. 3r0. - La face
postérieure
du cervelet et l'échanciure marsupiale. (D'après
unaire - Lqa, lobe quadrilatère antérieur. - Lqp, lobe quadrilatère
postérieur
. - LI', lobe posté- rieur. - LS, lobe supérieur
ulmen du vermis supérieur. V(dc), déclive du vermis supérieur. Lobe
postérieur
. Dimensions. Limites. 462 ANATOMIE DES CENT
unaire inférieur et le lobe grêle. Dans la région du vermis,lc lobe
postérieur
se réduit parfois à un petit lobule dont les di
transversales supérieures d'Arnold; il représente la partie la plus
postérieure
du vermis et se trouve situé sur le prolonge- m
t le fond du sillon post-pyramidal. On peul donc considérer au lobe
postérieur
deux lobes secondaires : 1° Le lobe du bourgeon
sversales inférieures dont la partie moyenne constitue le tubercule
postérieur
el dont les par- ties hémisphériques forment :
, de sillon posl-clical (Schafer), sépare le lobe supérieur du lobe
postérieur
. Superficiel dans la région du vermis où il est
région des hémisphères, grâce au développement considérable du lobe
postérieur
en arrière; en dehors, il atteint le sillon margi
ofondeur du sillon et sont d'autant plus courtes qu'elles sont plus
postérieures
. Les lamelles de sa lèvre postérieure qui appar
s courtes qu'elles sont plus postérieures. Les lamelles de sa lèvre
postérieure
qui appartiennent au lobe semi-lunaire supérieu
des Fig. 339, 3'rl, 313, 314. 131, bourgeon terminal. - LP, lobe
postérieur
. - 11), lobule profond du sillon supérieur de V
q d'Azyr.- Lqa, lobe quadrilatère antérieur. - Ggp, lohe quadrilatère
postérieur
. - LS, lobe supérieur. - Lsli, lobe semi-lunair
et 334. B, bulbe rachidien. - BrQp, bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. - esl, échan- crure semi-lunaire. - Floc, floc
be grêle. - Lqa, lobe quadrilatère antérieur. -Lqp, lobe quadrilatère
postérieur
. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur.-Lsls, lob
ans avec le profond sillon post-pyramidal (spop) qui sépare le lobe
postérieur
du lobe inférieur, et en particulier le tubercule
. 339, 31, 344.) 131, bourgeon terminal. - f.r¡p, lobe quadrilatère
postérieur
. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls, l
act avec les lobes secondaires adjacents. La face superficielle est
postérieure
et sillonnée de lamelles transversales dont la
es secondaires. La face pro- fonde supéro-antérieure forme la lèvre
postérieure
du sillon supérieur ; elle présente constamment
d'être régulièrement curvilignes et sensiblement parallèles au bord
postérieur
du cervelet (Fig. 341). Les lamelles et lobules d
orme, de longueur et de direction. Les lames et lobules des faces
postérieure
, supéro-antérieure et infé- rieure du lobe semi
des lamelles cérébelleuses est caractéristique des lobes des faces
postérieure
et inférieure du cervelet et se rencontre chaqu
inférieure, dont les lames et les lamelles tapissent les deux tiers
postérieurs
de la face inférieure de la branche horizontale
bien développés. Dans l'un et l'autre cas, la face superficielle ou
postérieure
du tubercule valvulaire situé dans le fond de l
ue en deux parties, donl l'antérieur constitue le lobe grêle, el le
postérieur
le lobe semi-lunaire in(é- rieur. Le lobe sem
eaucoup d'analogie avec les lobules du déclive (Fig. 31). La partie
postérieure
(1,1) comprend deux à trois lobules qui ne s'ét
is inférieur et la mem- brane obturatrice du 4e ventricule. Le lobe
postérieur
est coloré en rose, les lobes inférieur, inféro
généralement au voisinage du sillon marginal antérieur à la partie
postérieure
du lobe grêle; en dedans, ils se continuent avec
ire est en général constante ; il n'en est pas de même de la partie
postérieure
qui peut présenter deux segments semi-lunaires
AMIDE ET LOBE DIGASTR1QUE Le lobe inférieur, situé en avant du lobe
postérieur
, est très réduit de vo- lume lorsqu'on le compa
térieur, est très réduit de vo- lume lorsqu'on le compare aux lobes
postérieur
ou supérieur du cervelet; mais, au pointde vuc
e inférieur affecte la forme d'un fer à cheval, inclus dans le lobe
postérieur
; les branches sont situées en arrière du floccu
ns post et pré-pyramidaux délimitent ce lobe et le séparent du lobe
postérieur
et du lobe inféro-interne ou uvulo- amygdalicn.
lons post-pyramidal (spop) et pré-pyra- midal (sprp). L'extrémité
postérieure
de la pyramide est libre et arrondie en tubé- r
ois petits lobules secondaires, aplatis d'avant en arrière, dont le
postérieur
, le plus important et le plus volumineux, légèrem
amide. La lamelle qui tapisse la partie la plus saillante du lobule
postérieur
forme le bord libre et tranchant des ailes. Ell
à ce niveau non seu- lement toutes les lames et lamelles de la face
postérieure
de la pyramide, qui sont d'autant plus larges q
nterne des lobes digastriques- (Fig. 334, 3 il) el qui loge la face
postérieure
du bulbe rachidien. Le lobe inféro-interne comp
ique. - Lqa, lobe quadrilatère antérieur. - Lqp, lobe quadrilatère-
postérieur
. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls, lob
ersales et qui sonl : l'une, inférieure ou superficielle ; l'autre,
postérieure
, en rapport avec la pyramide; la troisième, antér
et se terminent sur la face antérieure des crêtes d'union. La face
postérieure
, en rapport avec la pyramide, est étroite en ba
t tapissée de deux à trois lamelles transversales et forme la lèvre
postérieure
du sillon post-nodulaire (spon). La luelle est
rales de la luette au pédicule d'insertion de l'amygdale. Leur bord
postérieur
est libre, mince et tranchant, et forme une crête
t antérieure, interne et externe; trois bords : externe, interne et
postérieur
, et deux extrémités dont l'une est supérieure,
grêle. - Lqa, lobe quadrilatère antérieur. - Lqp, lobe quadrilatère
postérieur
. - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls, l
est séparé de celui du côté opposé par la vallée de Reil ; le bord
postérieur
, le plus épais, est arrondi et recouvert par l'
e concentration communes dont l'une est antérieure, les deux autres
postérieures
. La lame antérieure, la plus courte, est située
s extrémités supérieure et infé- rieure. Les lames de concentration
postérieures
sont situées l'une au- dessus, l'autre au-desso
çoit à angle plus ou moins aigu les lobules des régions antérieure,
postérieure
et infé- rieure de l'amygdale. De l'enclaveme
trans- versal et dans le sens vertical, le nodule présente une face
postérieure
plane en rapport avec la luette; une face infér
résulte de cette disposition (Fig. 108, 110 et 3 i.7) que la moitié
postérieure
de la face supérieure du nodule est intra-ventric
pul- monaire ; ce sont les valvules de Tarin (VT) (voile médullaire
postérieur
, vêla valvitl-- se) ? îz'-ci2,cztlciîes cerebel
rien qui la sépare de l'extrémité supérieure de l'amygdale. Le bord
postérieur
se continue avec le bord antérieur de l'aile de l
lingula. Lga, lobe quadrilatère antérieur. - Lgp, lobe quadrilatère
postérieur
. - Lsli, lobe semi-lunaire infé- rieur. - Lsls.
pédoncule du flocculus, (p Floc) aplati d'avant en arrière. La face
postérieure
du pédoncule du flocculus est tapissée de quelq
ris, 1786-1790. 2° PROTUBÉRANCE ANNULAIRE, BULBE RACHIDIEN ISTHME
POSTÉRIEUR
Après ablation du cervelet, le cerveau rhomboïd
léger sillon transversal, qui sépare les tubercules quadri- jumeaux
postérieurs
de l'isthme postérieur. Sa limite inférieure est
, qui sépare les tubercules quadri- jumeaux postérieurs de l'isthme
postérieur
. Sa limite inférieure est à peine indiquée par
rofond diverticule triangulaire limité en haut par la lame perforée
postérieure
el compris entre les deux pédoncules cérébraux
(Fig. 362 et 36.'i), on la voit constituée par deux parties : l'une
postérieure
ou supérieure, l'étage postérieur, la ca- lotir
stituée par deux parties : l'une postérieure ou supérieure, l'étage
postérieur
, la ca- lotir' ou legmenlum, qui relie la calot
e parce qu'il ne re- couvre pas les pyramides, mais longe leur face
postérieure
. Il représente une voie auditive secondaire et
en dehors de la pyramide antérieure et sur un plan un peu plus
postérieur
. Elle mesure 12 milli- mètres de longueur sur
quadrijumeau antérieur. - BrQp, bras du tubercule qua- drijumeau
postérieur
. - Cge, corps genouillé externe. Cgi, corps gen
a, tubercule quadrijumeau anté- rieur. - Qp, tubercule quadrijumeau
postérieur
. - RI, faisceau triangulaire de l'isthme ou rub
édecine de la Salpêtrière MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 487 Face
postérieure
. La face postérieure du rhombencéphale pré- sen
ière MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 487 Face postérieure. La face
postérieure
du rhombencéphale pré- sente deux régions bien
u rhombencéphale pré- sente deux régions bien distinctes : l'isthme
postérieur
en haut, la face ' postérieure du bulbe en bas.
ux régions bien distinctes : l'isthme postérieur en haut, la face '
postérieure
du bulbe en bas. Ces régions sont reliées l'une i
sale par laquelle on pénètre dans la cavité du 4 ventricule. Isthme
postérieur
(Fig. 331, 3 : 1 ). L'isthme postérieur représent
ité du 4 ventricule. Isthme postérieur (Fig. 331, 3 : 1 ). L'isthme
postérieur
représente une étroite région rectangulaire for
u nerf pathétique (IV) qui la sépare des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
(Qp), en dehors par le fais- ceau triangulaire
Reil latéral (RI), situé à cheval sur le cerveau moyen et l'isthme
postérieur
. La limite inférieure de l'isthme postérieur
au moyen et l'isthme postérieur. La limite inférieure de l'isthme
postérieur
est masquée par les lamelles cérébelleuses du p
sur loule la surface du pédoncule cérébelleux, Fig. 331. - L'islhme
postérieur
et le cerveau moyen (face postéro-laté- rale)
Retzius.) Grandeur nature. l3rQp,bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. - cops, commissure posté- rieure. - fai, faisc
rébelleux moyen Tpo, t.enia pontis. - Il, nerf pathétique. Face
postérieure
Iti rliomi,etic-plial ? [.hmpostricu) 1 i
e du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) ; dans ces cas, l'isthme
postérieur
parait com- plètement fusionné avec la région d
ïdienne inférieure qui recouvrent le bulbe, on remarque que la face
postérieure
du bulbe présente deux parties bien distinctes,
Le plancher du quatrième ventricule devient alors visible à la face
postérieure
du bulbe, et la majorité des auteurs considèren
t pour celle raison, à la face MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 489
postérieure
du bulbe rachidien, une partie inférieure fermée
indrique comme la moelle épinière, par l'apposition des cordons
postérieurs
; il l'est dans sa partie supérieure, par la m
tercepté par les corps res- ti formes. On remarque sur la face
postérieure
du bul- be : le sillon médian po ? térieur, l
ieure du bul- be : le sillon médian po ? térieur, les pyramides
postérieures
, les corps ros- tif ormes et la membrane obtu
entricule. Le sillon médian pos- térieur (sillon longitudi- nal
postérieur
) appartient à la partie cylindrique du Il bul
l commence au sommet du V épendy- maire, sépare les pyra- mides
postérieures
et se continue avec le siilon de même nom de
duit à la moelle à une légère dépression. La séparation des cordons
postérieurs
de la moelle est établie, F ! G. 3 : ;2. - Le p
établie, F ! G. 3 : ;2. - Le plancher du 41 ventricule et la face
postérieure
du bulbe après ablation du cervelet et de la me
n- cule cérébral. Pcm, pédoncule cérébelleux moyen. - F. pyramide
postérieure
. - Sir. ac, stries acoustiques, particulièremen
par le sillon que par un épais septum névroglique. Les pyramides
postérieures
(Pyp, Fil-. 352) représentent deux petites sail
ux faisceaux cylindriques ou pyrami- daux, qui occupent les parties
postérieure
et latérale du bulbe entre la pyramide postérie
pent les parties postérieure et latérale du bulbe entre la pyramide
postérieure
et le faisceau latéral du bulbe et qui se continu
s atteignent l'angle externe du quatrième ventricule et l'extrémité
postérieure
du sillon Imlho-protubé- rantiel ; ils s'élrang
ion cylindrique du bulbe et se continue avec le sillon col- latéral
postérieur
de la moelle ou sillon de pénétration des racines
tion des racines médul- MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 191 laires
postérieures
. C'est le long de ce sillon que pénètrent dans le
ets radicu- laires du spinal et la ligne de pénétration des racines
postérieures
du pre- mier nerf cervical sont presque superpo
do (TR), qui n'est autre que la sub- stance gélatineuse de la corne
postérieure
, faisant en quelque sorte hernie, et recouverte
transversale) , pour les distinguer des fibres arciformes externes
postérieures
, infiniment moins nombreuses et plus courtes, qu
moins nombreuses et plus courtes, qui se dirigent vers la pyramide
postérieure
du bulbe, ainsi que des fibres arciformes inter
u V et s'insinue entre les parties saillantes (clava) des pyramides
postérieures
. Ses bords adhèrent aux pyramides postérieures
clava) des pyramides postérieures. Ses bords adhèrent aux pyramides
postérieures
du bulbe et aux corps restiforme. ses angles la
pie-mérien, la toile choroïdienne inférieure, qui recouvre la face
postérieure
du bulbe, entoure les diverticules latéraux du qu
leur étendue, et dont les lambeaux restent adhérents aux pyramides
postérieures
lorsqu'on arrache la pie-mère et les plexus choro
triangulaire, im- paire et médiane, tendue entre les deux pyramides
postérieures
(ob, Fig. 15 ? 3 : 55). C'est une formation trè
verticules latéraux du le ventricule (d'après Retzius). Les lobes
postérieur
, supérieur et inféiieur du cervelet ont été enlev
horoïdienne inférieure. Rapports. avec l'autre : l'un vertical,
postérieur
, ou ventriculaire; l'autre transversal, antérie
e transversal, antérieur, ou diverticulaire. Le segment vertical,
postérieur
ou ventriculaire, ligula ou languette postérieu
segment vertical, postérieur ou ventriculaire, ligula ou languette
postérieure
(lv, Fig. 3 : ;f), adhère au corps restiforme et
adhère au corps restiforme et à l'extrémité effilée de la pyramide
postérieure
et recouvre l'aile blanche exlerne, c'est-à-dire
rds interne et supérieur sont profondément déchiquetés et la ligula
postérieure
n'adhère que par une mince et étroite lamelle au
action exercée sur le bulbe. Dans l'un ou l'autre cas, la languette
postérieure
peut être quelquefois renforcée par une strie a
llongée qui se continue sans ligne de démarcation avec la languette
postérieure
et concourt à former la paroi inférieure du div
un tronc nerveux. Le plus souvent elle se comporte comme la ligula
postérieure
, s'insère au 3orps restiforme seulement et se t
cérébrale posté- rieure, et sépare le bulbe du cervelet. La partie
postérieure
de ce feuillet tapisse les valvules de Tarin, l
la toile choroïdienne inférieure, jetée comme un pont sur la partie
postérieure
et supérieure du bulbe et qui se continue en ba
nue en bas avec la 1)ic-mèrc qui re- couvre les parties latérale et
postérieure
du bulbe. Ces deux feuillets sont réunis cnlre
ésente une paroi antérieure très épaisse, ou plancher, et une paroi
postérieure
coudée, le toit, voûte ou tente (Fig. 336). pla
tendent de l'extrémité inférieure TOME II. 32 FIG. 3 ? - La paroi
postérieure
de l'aqueduc de Sylvius. Le plancher du 4° ve
55). L'aile grise ou cendrée (al, Fig. 355) (fossette inférieure ou
postérieure
, trigone du glossopharyngien et du pneumogastri
gne d'insertion de la voûte du quatrième ventricule sur la pyramide
postérieure
, mais en est séparée par l'area postrema de Ret
tion à la voûte du quatrième ventricule, en particulier à la ligula
postérieure
, et qui est réunie à celle du côté opposé par l'o
bec du calamus, s'étend le long de la partie effilée de la pyramide
postérieure
et est séparée de l'aile grise par un fascicule
ise extrême à la face interne, ventriculaire des noyaux des cordons
postérieurs
(Ncp); que le funiculus séparons correspond au
t s'enfonce dans le cervelet (Fig. 336). La voûte, le toit ou paroi
postérieure
du quatrième ventricule comprend donc deux versan
ns la cavité ventriculaire. Il s'étend des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
à la substance blanche centrale du vermis; sur
profondeur du diverticule angulaire augmente et correspond au bord
postérieur
adhérent des valvules de Tarin. Mais il ne s'ét
rin. Mais il ne s'étend dans aucun cas en arrière jusqu'à la limite
postérieure
du nid d'hirondelle, de telle sorte que la substa
Elles présentent une extrémité antérieure renflée el une extrémité
postérieure
étroite, pédiculée, qui s'ouvre dans le quatrième
supérieure et antérieure, qui comprend assez exactement les limites
postérieure
et latérale du nid d'hirondelle et qui correspond
grêle. Lqa, lobe quadrilatère antérieur. - Lqp,, lobe quadrilatère
postérieur
.7,s< : , lobe semi-lunaire inférieur. - Lits
le cérébelleux moyen. Le lobe supérieur est coloré en bleu, le lobe
postérieur
en rose, les lobes inférieur et inféro-antérieur
eur et de l'amygdale. Le lobe supérieur est coloré en bleu, le lobe
postérieur
en rose, les lobes inférieur, inféro-interne et i
obé, grâce aux noyaux du toit qu'elle renferme. Sur les coupes plus
postérieures
(Fig. 336), elle se réduit à un pont transversa
endante du trijumeau. Le lobe supérieur est coloré en bleu, le lobe
postérieur
en rouge, les lobes inférieur et inféro-interne
C'est un noyau épais, compact, prismatique ou cylindrique, à somme
postérieur
, qui mesure 13 à 15 millimètres de longet s'étend
où il s'insère, pai une légère courbure en S, sur un point du bord
postérieur
du corps den- telé au voisinage du hile. Son ex
es de reconnaître les con- nexions intimes qui unissent l'extrémité
postérieur
du bouchon au corps dentelé ; elles montrent cl
rne, ses bords supérieur et inférieur, ses extrémités antérieure et
postérieure
. Son grand axe sagittal est un peu oblique en b
oupe C 6, Fig. 437). Les parties externe, supérieure, inférieure et
postérieure
de l'olive céré- belleuse sont entourées par co
le groupe externe des fibres semi-circu- laires et toute la région
postérieure
et inférieure de la toison; elle est for- mée d
calotte. - FG, faisceau de Gowers. - Flop. faisceau longitu- dinal
postérieur
. - FII, faisceau latéral du bulbe dans son trajet
fibres protubérantielles moyennes. - FPop, fibres protubérantielles
postérieures
. - fsme, fibres semi-circulaires externes. - Gi
des hémisphères cérébelleux (Fo, Fig. 362). La couche profonde et
postérieure
(stratum profondum (Strp), fibres protubérantie
et postérieure (stratum profondum (Strp), fibres protubérantielles
postérieures
[FPop]) occupe surtout les deux tiers infé- rie
la substance grise antérieure de la protubérance (noyaux pontiques
postérieurs
) zip), en un grand nombre de fascicules transvers
rantielles antérieures, en arrière par les fibres protubérantielles
postérieures
(coupe C5, Fig. 361). Un certain nombre de fibr
nnes d'un côté se continuent après entre-croisement avec des fibres
postérieures
du côté opposé et vice-versa. Outre cet entre-c
versant supérieur du toit du live ventricule (Fig. 345) et une face
postérieure
libre, recouverte par la pie-mère, croisée par de
du 4° ven- tricule, disparaissent sous les tubercules quadrijumeaux
postérieurs
et se portent peu à peu, en avant et en dedans,
rps genouillé externe. Cgi, corps genouillé interne. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cirl, 522 ANATOMIE DES
ra-ventriculaire est tapissée par l'épendyme ventriculaire, sa face
postérieure
est recouverte par le feutrage intra-ciliaire (li
-ventriculaire, le pédoncule cérébel- leux supérieur forme la paroi
postérieure
du quatrième ventricule et affecte une surface
section semi-lunaire (Fig. 362, 395 coupes H 3, H 2). Son extrémité
postérieure
est épaisse, arrondie et séparée de celle du cô
, le pédoncule cérébelleux supérieur change de forme. Son extrémité
postérieure
s'effile, son extrémité antérieure s'épaissit e
CENTRES NERVEUX. effet en avant et en dedans, abandonnent la paroi
postérieure
du qua- trième ventricule et la partie postéro-
amps rectangulaires qui sont d'autant plus étroits qu'ils sont plus
postérieurs
. Les champs postérieurs contiennent des fibres
sont d'autant plus étroits qu'ils sont plus postérieurs. Les champs
postérieurs
contiennent des fibres sectionnées perpendiculair
es nerfs pathétiques, dans la région des tuber- cules quadrijumeaux
postérieurs
, les pédoncules cérébelleux supérieurs FIG. 364
Pi,f ig. r19.) ,ly, aqueduc de Sylvius. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. xl<', entre-croisement ventral de la calott
e P4, Fig. 369, p. 536). Très rapidement, les branches latérales ou
postérieures
du fer à cheval dispa- raissent, grâce au trans
vant en arrière, du ruban de Reil médian au faisceau longitu- dinal
postérieur
(coupe P 1, Fig. 364). L'entre-croisement des p
ruban de Reil médian, et dans les régions supérieures que la partie
postérieure
du raphé, celle qui avoisinc le faisceau longit
e postérieure du raphé, celle qui avoisinc le faisceau longitudinal
postérieur
. Pour l'immense majorité des fibres, l'entre-cr
eul, un petit groupe de fibres, appartenant aux fascicules les plus
postérieurs
, les plus supérieurs et les plus internes, s'entr
ngle droit ou aigu, immédiatement en avant du faisceau longitudinal
postérieur
, ainsi que nous l'avons déjà figuré dans le tome
de la formation réticulée de la calotte et du faisceau longitudinal
postérieur
(Fig. 25, p. 37, 26, p. 39) ; il se trouve limi
ciliaire. - fic, feutrage intraciliaire. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - fsme, fsmi, fibres semi-circulaires externes
e présente une surface de section irrégulièrement ovalaire. Sa face
postérieure
et externe, nette- ment convexe, est en rapport
u corps restiforme est libre et tapissée par la pie-mère de la face
postérieure
du bulbe. La face antéro-interne du corps resti
inter-trigéminales. - Floc, flocculus. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - Fit, faisceau latéral du bulbe. fpl, fibres ar
s. - NI', noyau du raphé. Nrp, noyau rétro-pyramidal. - Nixp, noyau
postérieur
du glosso-pharyngien. - avilit;, noyau triangul
SRa, formation réticulée blanche ou alba. - Sl1a (car), son segment
postérieur
ou inter-réticulé; S7 ! c : (cio), son segment
yramides, puis se rendent dans le noyau arqué. Le groupe interne ou
postérieur
des fibres cérébello-olivaires passe, soit à tr
ormation réticulée grise en décrivant une légère courbe à convexité
postérieure
, aborde la lame grise postérieure de l'olive, l
ant une légère courbe à convexité postérieure, aborde la lame grise
postérieure
de l'olive, la perfore ou la côtoie, puis trave
forme un anneau complet, aplati d'avant en arrière et dont la paroi
postérieure
présente les replis les plus volumineux et les pl
bres verticales, abondantes plus particulièrement clans ses parties
postérieure
et externe et qui appartiennent surtout au faisce
triangulaire de la branche vestibulaire de l'auditif. - nixe, noyau
postérieur
du glosso-pharyngien. - Oi, olive bulbaire ou inf
ure et inférieure de l'olive, recouvre la moitié interne de la face
postérieure
de cette dernière, et sépare sa capsule des fibre
s, à l'exception du nerf olfactif et du nerf optique, forme l'étage
postérieur
de la protubérance et la plus grande partie du
bérance et la plus grande partie du bulbe rachidien : c'est l'étage
postérieur
ou dorsal du tronc encé- 1- pllalique, la régio
le rhombencéphale par les fibres transver- sales du pont et la face
postérieure
des pyramides antérieures du bulbe. 1. - ÉTAGE
ur moyen de l'hémisphère cérébral, passe par le genou, les segments
postérieur
et sous-lenticulaire de la capsule interne, et oc
aux, de verticaux qu'ils étaient, et se groupent le long de la face
postérieure
du pied du pédoncule cérébral en petits fascicule
) Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - Fl'oa, fibres protubérantielles antérieures.
a, fibres protubérantielles antérieures. FPop, fibres transversales
postérieures
de la protubé- rance dissociant la voie pédoncu
Feue, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - FPoa, 11'op,fibres transversales antérieures
dinal postérieur. - FPoa, 11'op,fibres transversales antérieures et
postérieures
de la protubérance. z - Lc,locus cwruleus. - Nc
petits sont arrondis et occupent de préférence la partie interne et
postérieure
de l'étage antérieur de la pro- tubérance. Un
. - Nlla, noyau latéral anté- rieur du bulbe. - Nllp, noyau latéral
postérieur
du bulbe. - .\'.11, noyau de v. Monakow ou noya
au système des stries acoustiques (coupe H 10, Fig. 367). La face
postérieure
du faisceau pyramidal est plane ou légèrement c
moelle. - Coa, corne antérieure. Col, corne latérale. - Cop, corne
postérieure
. - FPyc, faisceau pyramidal croisé. - \'I3, noyau
t la corne antérieure, se placent en avant et en dedans de la corne
postérieure
et de la sub- stance gélatineuse de Rolando qu'
euse de Rolando qu'ils refoulent en arrière, et forment à la partie
postérieure
du cordon latéral de la moelle le faisceau pyrami
ent la corne antérieure homola- térale et descendenl dans la partie
postérieure
du cordon latéral de la moelle. Elles présenten
corps du faisceau do Tiirck et du bras du tuber- cule quadrijumeau
postérieur
. Les unes s'accolent au ruban de Reil médian (D
yer capsulaire, ayant sectionné dans la région thalamique la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne, et l
ectionné dans la région thalamique la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne, et la partie adja- cente
aire ne con- courent pas à former ce tractus. Lorsque sa partie
postérieure
est seule visi- ])le à i exLei'Lour, ! ) ne ser
lenticulaire sectionnant, dans la région thalamique, la moi- Lié
postérieure
du segment postérieur de la capsule in- terne
, dans la région thalamique, la moi- Lié postérieure du segment
postérieur
de la capsule in- terne. De la voie pédoncu-
e cordon latéral homolatéral (Fig. 388 et 389) en avant de la corne
postérieure
. Au niveau du collet du bulbe, elles sont renforc
rale et qui sont particulièrement nombreuses dans ce cas. la partie
postérieure
de la voie pédonculaire, se réunissent en petits
re de l'olive bulbaire (Fig. 383, 384), soit , en avant de la corne
postérieure
(Fig. 387 à 389). Leur présence au devant de l'
ans la substance grise centrale de la moelle, à la base de la corne
postérieure
, puis réintègrent le faisceau pyramidal croisé
re-croise- ment pyramidal, Moelle épinière, IVe partie). 2. ÉTAGE
POSTÉRIEUR
OU DORSAL DU TRONC ENCÉPHALIQUE, RÉGION DE LA C
sceaux compacts, forment le ruban de Reil, le faisceau longitudinal
postérieur
, le faisceau central de la calotte, traversent
origines très variées; elles proviennent presque toutes des régions
postérieures
du tronc encéphalique, se portent transversalem
quement en dedans et en avant, en décrivant des courbes à concavité
postérieure
et interne plus ou moins accentuées, puis s'ent
nt avec le ruban de Reil médian. D'autres encore occupent la partie
postérieure
de la calotte dans la région bulbo-protubéranti
ers) (voy. Chap. IV). La substance grise centrale tapisse la face
postérieure
de la for- mation réticulée et la sépare de l'é
e, se continue avec la substance gélatineuse de Rolando de la corne
postérieure
, et con- tient le noyau de terminaison de la pa
filée qui fait suite au champ de Forel, aux fibres de la commissure
postérieure
et v la région du ruban de Reil médian; elle es
onculaire. Située à son origine au-dessous de la partie ventrale et
postérieure
du thalamus, du centre médian de Luys et du cor
tance grise centrale en dedans et les irradiations de la commissure
postérieure
en arrière (Fig. 28, p. 43, Fig. u.8, p. 71, Fi
gert-Pal. 3/1 Grandeur nature. BrQp, bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. - Cge, corps genouillé externe. - eF, entre-cr
t originaire du noyau rouge avec l'entre-croisement sous-thalamique
postérieur
de Forel situé dans la lame perforée postérieure)
ent sous-thalamique postérieur de Forel situé dans la lame perforée
postérieure
). - eM, entre-croisement dorsal de la calotte o
la calotte ou entre-croisement de Meynert. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. Lu, locus niger. - NIII, partie inférieure du
), à la subs- tance grise des tubercules quadrijumeaux antérieur et
postérieur
. La partie antéro-externe de la formation rétic
ceau compact, triangulaire ou piriforme, le faisceau lon- gitudinal
postérieur
(Flp). Ce faisceau, qui se distingue par le gros
défaut en tant que noyau plus ou moins nettement délimité. La zone
postérieure
est plus petite que l'antérieure, elle est situ
ure est plus petite que l'antérieure, elle est située entre le bord
postérieur
de la commissure de Wernekink et la substance g
queduc et contient en dedans et en arrière le faisceau longitudinal
postérieur
, dont les fibres se délimitent mal des autres f
et que la commissure de Wernekink diminue, puis disparaît, la zone
postérieure
s'accroit, atteint en dedans le raphé, puis se
au de la commis- sure de Wernekink. Ses 1103 aux anté- rieur et
postérieur
. Son aspect au- dessous de l'entre- croisem
iamètre transversal. En arrière, il touche au faisceau longitudinal
postérieur
; en avant, aux fibres les plus supé- rieures du
ette coupe, p. 619, Coupe P2, Fig. 420.) Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - FPoa, fibres protubérantielles antérieures. -
. Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - Le, locus c;erulcus. - Lqa. lobe quadrilatèr
cc, faisceau cen- tral de la calotte. - flip, faisceau longitudinal
postérieur
. - Fl'oa, FPom, Fi'op, fibres pro- tubérantiell
a, FPom, Fi'op, fibres pro- tubérantielles antérieures, moyennes et
postérieures
de l'étage antérieur du pont. - Le, locus cerul
s longitudinales de la formation réticulée du faisceau longitudinal
postérieur
en dedans, du pédoncule cérébelleux supé- rieur
, en arrière et en dedans où elles forment le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp), d'autre part, en avant et en dehors où ell
. - Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - fsme, fsme', libres semi-circulaires externe
Fl'oa, FPom, 1"I'op, libres transversales antérieures, moyennes et
postérieures
de la protubérance. - Lig, lingula. - Nft, noya
- Fec, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - fsmi, fibres
u raphé, ce noyau n'atteint pas en arrière le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) dont il est constamment séparé par une co
1('(' blanche. l'o mation rét.cu- lio ; . .[se. longitudinal
postérieur
. - Le corps juxta-restiforme, le noyau de Deiters
tral de la calotte. - Floc, Ilocculus. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - Fit, faisceau latéral du 1)11]be. - FPoa, fibr
ière la couche inter-olivaire et la sépare du faisceau longitudinal
postérieur
(Flp); plus bas, le noyau disparaît et l'espace
ntérieur ou inler-olivaire (coupe Hll) et un long et étroit segment
postérieur
ou inter -réticulé. C'est dans ce dernier segme
erminaison de la branche vestibulaire du nerf auditif. - Nxp, noyau
postérieur
du vague. - noyau de l'hypoglosse. - Oi, olive
ntôt de deux amas plus ou moins parallèles, l'un antérieur, l'autre
postérieur
. Dans la partie postérieure de la formation rét
oins parallèles, l'un antérieur, l'autre postérieur. Dans la partie
postérieure
de la formation réticulée grise, on trouve, en
tance grise de la moelle par un col plus ou moins étroit; sa partie
postérieure
présente toujours un aspect réticulé spécial, e
corne latérale ou processus reticulares de [Lenhossek. - Cop, corne
postérieure
. - NI3, noyau du cordon de [Burdach. - NG, noyau
upérieure de l'olive bulbaire et à celles qui sonl adossées à la face
postérieure
des pyramides antérieures du bulbe. Reil mont
uis redevient profond en s'enfonçant sous le tubercule quadrijumeau
postérieur
et le bras de ce tubercule. Le segment externe du
ral avec le faisceau interne, profond ou vertical, adossé à la face
postérieure
du locus niger, et s'irradierait avec lui dans
ius,puis s'entre-croiserait avec lui et constituerait la commissure
postérieure
du cerveau. Les auteurs qui ont suivi Reil (Bur
partie du ruban de Reil qui s'irradie dans le tubercule quadrijumeau
postérieur
est appelée ruban in{érie1l1', untere Schleife(
leife des unteren ZweihÜgels (Forel); ruban du tubercule quadrijumeau
postérieur
; untere oder latérale Schleife (Bechterew) ; la
s ils croyaient que le corps restiforme se prolongeait dans le cordon
postérieur
de la moelle, et admettaient que le faisceau la
l'entre-croisement supérieur du bulbe provient des noyaux des cordons
postérieurs
, et on l'appela entre-croisement sensitif, bien
uns (Iluguenin, Roller, Flechsig) les fibres des noyaux des cordons
postérieurs
se rendaient après entre-croisement dans les oliv
coupes microscopiques sériées, que les fibres des noyaux des cordons
postérieurs
et de l'entre-croisement supérieur du bulbe mon
e de Meynert sur la participation des fibres des noyaux des cordons
postérieurs
à la constitution de la partie externe de la pyra
différencié. Il tire son origine principale des noyaux des cordons
postérieurs
de la moelle épinière, contribue à former les f
peu en dehors et en arrière et se termine finalemenl dans la partie
postérieure
et inférieure du noyau externe de la couche opt
sous le nom de région du ruban de Reil médian. Noyaux des cordons
postérieurs
(Ncp). -Les noyaux des cordons postérieurs (NCp
an. Noyaux des cordons postérieurs (Ncp). -Les noyaux des cordons
postérieurs
(NCp) ou noyaux de Goll (\`G) et de Burdach (NB),
ans, a la substance gélalinenes f ic. 402. - Les noyaux des cordons
postérieurs
aux confins des corps restiforme et juxta-resti
p. 6î3, coupe H13, Fig. 443.) Cp, extrémité supérieure des cordons
postérieurs
. NCp, masse commune aux noyaux des cordons post
des cordons postérieurs. NCp, masse commune aux noyaux des cordons
postérieurs
. - Crsl, corps restiforme. - fas, fibres arciform
bres arci- formes interréticulées, provenant des noyaux des cordons
postérieurs
et s'entre-croisant à la partie postérieure du
des noyaux des cordons postérieurs et s'entre-croisant à la partie
postérieure
du raphé au niveau du bord supérieur de l'entre-c
noyau juxta-olivaire interne. - 115·l, noyau réticulé, - Nxp, noyau
postérieur
du vague. - A'xn, noyau de l'hypoglosse. - Oi,
res radi- culaires de l'hypoglosse. de Rolando (SgR), à la partie
postérieure
de la formation réticulée (SR) et à la substanc
tion réticulée (SR) et à la substance grise centrale (Sgc); la face
postérieure
irrégulièrement l dentelée est entourée d'une c
ement d'épaisseur (coupe H7,Fig. 400), se continue avec les cordons
postérieurs
de la moelle et segmente la masse grise commune
noyaux déterminent à la surface du bulbe la saillie des pyra- mides
postérieures
et des tubercules cunéiformes (Fig. 352). Ils rep
complètement séparées l'une de l'autre par les fibres des cor- dons
postérieurs
. Le noyau de Burdach (NB) (nucleus funiculi czn
hère dans toute sa hau- tour à la formation réticulée; de sa partie
postérieure
et externe se détache un petit noyau irrégulièr
yau irrégulièrement déchiqueté, plongé au sein des fibres du cordon
postérieur
el uui à la masse principale par des travées gris
Rolando (coupes H16 à H20, Fig. 370, 400, 401, 403), et de la corne
postérieure
. Le noyau interne de Burdach diminue rapidement
extrémité libre, aplatie latéralement et plongée au sein du cordon
postérieur
de la moelle (Fig. 426, p. 630). Les noyaux de
erne) représentent les noyaux de terminaison des libres des cordons
postérieurs
de la moelle ; ils sont situés sur le trajet de l
-croisement compact qui affecte la forme d'un cône de pin, à sommet
postérieur
, c'est l'entre-croisement supérieur ou sensitif d
13 àH1 ? 1 ij. u02,400 et 4H à 446, p. 677 il 680) puis la partie
postérieure
du ra- pliC(coupesHl2 etH13, Fig. H2 et ! 4.3
formant un faisceau complexe, très mal délimité, qui longe la face
postérieure
des pyramides dont le sépare incomplètement le
ig. 428.) Cj, corps juta-restiforme. - 7 ? ), faisceau longitudinal
postérieur
. - fsme, fsmi fibres semi-circulaires externes
nte dans cette région un aspect piriforme ou triangulaire, à sommet
postérieur
et à base antérieure, reliée au ruban de, Reil mé
viennent verticales, abordent le ganglion du tubercule quadrijumeau
postérieur
(GQp) par son extrémité antéro-inférieure et s'y
ter- minaison du nerf cochléaire (NVIIP) au tubercule quadrijumeau
postérieur
croisé ; sa terminaison dans les régions inféri
meau poslérieur (BrQp), le corps genouillé interne (Cgi), la partie
postérieure
du pied du pédoncule cérébral (P) et du locus n
ntérieure diminue d'épaisseur et se porte en arrière; son extrémité
postérieure
s'épaissit et s'unit aux fibres cortico- quadri
ostérieure s'épaissit et s'unit aux fibres cortico- quadrigéminales
postérieures
qui font suite au bras du tubercule quadri- jum
les postérieures qui font suite au bras du tubercule quadri- jumeau
postérieur
et traversent le segment sous-lenticulaire, de la
unes appartiennent au système des fibres corlico-quadrigémi- nales
postérieures
(coupe n° 9 x, Fig. 25), et des radiations de la
laire (cas Richard, xLn, Fig. 231, p. 204). Faisceau longitudinal
postérieur
(Flp). S".\O : '\YJIlE : partie posté- rieure d
Stieda; Hinteres LangsbÜndel de Meynert; fibres spinales des régions
postérieures
(Luys); bord supérieur de la substance réticulé
nom de faisceau longitudinal de Schiitz.) Le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) occupe la partie postéro- interne de la f
en tant que faisceau plus ou moins bien délimité, de la commissure
postérieure
et des noyaux de la troisième paire (coupes n°
es de substance grise. Sur les coupes qui intéressent la commissure
postérieure
, au niveau de l'embouchure de l'aqueduc de Sylv
(coupe n° 6 x, T. ICI', Fig. 321, p. 6H), le faisceau longitudinal
postérieur
apparaît comme un faisceau mince et aplati, app
ouge, la séparent de la substance grise qui double l'espace perforé
postérieur
, puis se recourbent en dedans pour par- ticiper
nt en dedans pour par- ticiper à l'entre-croisement sous-thalamique
postérieur
de Forel (eF) (coupe n° 6 g, T. le,, Fig. 321,
t n° 9 x, Fig. 18, p. 71 et Fig. z, p. 37) le faisceau longitudinal
postérieur
apparaît encore sous l'aspect d'un faisceau obli-
n des tubercules quadrijumeaux antérieurs, le faisceau longitudinal
postérieur
est croisé et en partie dis- socié par les libr
, Fig. 392, p. 554), la surface de section du faisceau longitudinal
postérieur
change de forme. Sa partie interne s'épaissit,
ubercules quadrijumeaux antérieurs les deux faisceaux longitudinaux
postérieurs
, se porte de plus en plus en arrière, à mesure
et unit les extrémités antéro-inlernes des faisceaux longitudinaux
postérieurs
. Il conserve cette apparence dans toute la hau-
e dans toute la hau- teur de la région des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
. Avec la disparition du noyau de la IVe paire (
e (coupes P 1, P2, Fig. 419, 120,j. 617, 618), la cupule de la face
postérieure
disparait et le Flp présente un aspect piriform
4, Fig. 424, 425 à 427, p. 626, 628, 633), le faisceau longitudinal
postérieur
diminue d'épaisseur. Son extrémité effilée disp
les fibres sagittales du raphé. En dehors, le faisceau longitudinal
postérieur
se fusionne'sans limite nette avec le reste de
inue le plus souvent dans l'épaisseur même du faisceau longitudinal
postérieur
et en dissocie les' fascicules les plus antérie
antérieures s'effacent à leur tour, et le faisceau longitu- , dinal
postérieur
fait corps avec le reste de la formation réticulé
issent sur les coupes. Le genou du facial constitue alors la limite
postérieure
du faisceau longitudinal postérieur et le sépar
cial constitue alors la limite postérieure du faisceau longitudinal
postérieur
et le sépare de la substance grise centrale et du
aires de la VIe paire limitent en dehors le faisceau longitu- dinal
postérieur
; au-dessus et au-dessous de ce noyau, il se fusio
ion protubérantielle moyenne : ruban de Reil, faisceau longitudinal
postérieur
, faisceau central de la calotte, noyau réticulé,
extraciliaire de l'olive cérébelleuse. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - NFlp, noyau du faisceau longitudinal postérieu
sceau longitudinal postérieur. - NFlp, noyau du faisceau longitudinal
postérieur
se fusionnant en avant avec le noyau réticulé.
disparition du , noyau central inférieur, le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) cesse d'exister en tant que faisceau plus
c les fibres de la formation réticulée blanche. Il occupe la partie
postérieure
de cette formation, et quoique ses limites anté
sagittales ou vertico-transver- sales-de suivre les fibres les plus
postérieures
de ce faisceau jusque dans la partie postérieur
s fibres les plus postérieures de ce faisceau jusque dans la partie
postérieure
des cordons antérieurs do la moelle dont il procè
res permet toutefois d'af- firmer qu'il concourt à former la partie
postérieure
de la capsule du noyau rouge et qu'il est situé
e et qu'il est situé en dehors et en avant du faisceau longitudinal
postérieur
(voy. cas Rauber, Ille partie, chap. IV). Le fa
s par le noyau central supérieur (nets) et le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp). Au-dessous cle la commissure de Wernekin
e, presque rectiligne et formée par le tronc encéphalique. La paroi
postérieure
, ou toit, est coudée; elle envoie un diverticule
ur des axes principaux du vermis et la fusion des axes de la région
postérieure
du vermis en une branche commune, la branche ho
daires de la face supérieure du culmen; sur ses faces antérieure et
postérieure
légèrement festonnées et irrégulières, s'implan
les deux lèvres de ce profond sillon. Elle se détache de la partie
postérieure
du noyau blanc central, se porte horizontalemen
s de longueur sur 1 il 1 et demi millimètre de large. Son extrémité
postérieure
légèrement renflée reçoit : 1° le court axe com
axes des nombreux lames et lobules profonds qui tapissent la lèvre
postérieure
du sillon transverse antérieur (sta). Sa face i
du vermis. Bt, bourgeon terminal. ça, cordon antérieur. - Cp, cordon
postérieur
de la moelle. - fai, fibres arciformes internes
lle épinière, sépa- rant ainsi le bulbe en deux par- ties : l'une
postérieure
, formée par le noijau de Goll (NCG) terminé p
de Goll (NCG) terminé par une extrémité effilée, et par le cordon
postérieur
(Cp) de la moelle épinière; l'autre, anté- ri
artiennent à la décussation des faisceaux pyramidaux (xPy). L'étage
postérieur
ou calotte est fusiforme et atteint sa plus grand
ig. 407. 2/1 grandeur nature. Méthode de Weigert-Pal. Cp, cordons
postérieurs
.- j'ai, fibres arciformes internes formant l'en
t;</, faisceau longitudinal dorsal. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. ? fibres du laphé s'étendant dans l'étage an-
re, adossée à la substance grise centrale, le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp); fusionnés en bas, ces deux groupes de fi
la division du tronc encéphalique en région anté- rieure et région
postérieure
est encore plus nette. Dans les traînées vertical
sitpe ? ,ficiale pontis (Strs), mince et d'épaisseur égale; l'autre,
postérieure
, le stratum profundum (Strp), adossée à la calo
fim) adossé au stratum profun- dum (Strp), du faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) adjacent à la substance grise centrale du
t [au noyau réticulé (Nrt). Dans le bulbe, le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) peut être suivi jusque .dans le cordon an
e du bulbe (Sgc') et de la moelle épinière (Sgc"). Dans la partie
postérieure
et inférieure du bulbe, on aperçoit la section de
et inférieure du bulbe, on aperçoit la section des noyaux du cordon
postérieur
: le noyau du cordon de Burdach (NCB) adossé à
(NCG), avec son extrémité effilée, entouré par les fibres du cordon
postérieur
de la moelle (Cp). Le noyau du cordon de Goll e
à mesure que la substance blanche centrale s'agrandit. L'extrémité
postérieure
de cette substance est épaisse et renflée; elle r
h) ne diffère de celle de la coupe précédente que par son extrémité
postérieure
renflée et coudée, qui reçoit comme précédemmen
erticale de l'arbre de vie médian. - CI, cordon latéral. - Cp, cordon
postérieur
. ' 1 cEp, crête épendymaire tapissant l'écorce
'oa, FPom, Pl'op, fibres protubérantielles antérieures, moyenne» et
postérieures
. NCI3, noyau du cordon de Burdach. - Nit, noyau l
érébelleux supérieur (Pcs). Quant aux lobes des faces supérieure et
postérieure
du vermis : lobes central, culmen, déclive, bout-
2 intéresse déjà l'écorce des hémisphères cérébelleux. A la parlie
postérieure
et inférieure du vermis se trouvent les premières
des innombrables faisceaux protubérantiels transversaux antérieurs,
postérieurs
et moyens (FPoa, FPop, FPom). Calotte. - La c
llongé de la partie inférieure de la coupe, compris entre le cordon
postérieur
(Cp) et le cordon latéral (CI) de la moelle, appa
érieur à sa pénétration dans le cervelet. - Les étages antérieur et
postérieur
du tronc encé- phalique, l'olive bulbaire, le n
r. - Strs, Strc, Slip, couches transversales antérieure, moyenne et
postérieure
de l'étage antérieur du pont.-Tv, tubercule val
atre îlots ganglionnaires allongés dans le sens sagittal et dont le
postérieur
s'insinue dans la base d'implantation de la bra
ent circonscrite que la partie interne. Des parties supérieure et
postérieure
de la substance blanche centrale se détachent l
brandie horizontale (bh) de l'arbre de vie médian dont l'extrémité
postérieure
, renflée et coudée, reçoit, comme sur les coupe
semi-lunaire supérieur, réduit à une lamelle qui coiffe l'extrémité
postérieure
du bourgeon ternzinal ·(BL) et à un petit îlot in
, formé sur cette coupe par la valvule de Tarin (VT) et l'extrémité
postérieure
du nodule. Le quatrième ventricule (V.j s'enfonce
sulte que les lobules du culmen qui bordent les faces antérieure el
postérieure
ainsi que l'extrémité supérieure de la branche
, elle est remarquable par sa longueur, sa minceur et son extrémité
postérieure
ÉTUDE TOPOGRAPIIIQUE DU RHOMBENCEPHALE. 601 t
le, qui n'a pas son équi- valent dans le vermis. L'axe de la moitié
postérieure
du lobe grêle s'insère de bonne heure sur l'axe
de transition, l'axe commun au tubercule valvulaire et à la partie
postérieure
du lobe grêle, de l'axe commun à la pyramide et à
la région hémisphé- rique (coupe S7, Fig. 415), l'axe de la moitié
postérieure
du lobe grêle s'implante sur la face inférieure
hémisphères augmente dans le sens antéro-postérieur. Son extrémité
postérieure
se prolonge dans le lobe semi-lunaire inférieur e
donc, en réalité, une branche richement ramifiée, destinée au lobe
postérieur
et à la partie postérieure du lobe supérieur du c
nche richement ramifiée, destinée au lobe postérieur et à la partie
postérieure
du lobe supérieur du cer- velet ; elle s'épanou
du lobe semi-lunaire supérieur et du lobe du déclive (quadrilatère
postérieur
), et donne naissance aux axes du lobe grêle.
vie médian. - FPoa, FPop, les fibres transver- sales antérieures et
postérieures
de l'étage antérieur de la protubérance. - fsme,
est le noyau de Monakow situé dans la partie supérieure des cordons
postérieurs
, aux confins du corps restiforme. La coupe intére
rps restiforme. - FPoa, FPop, les fibres transversales antérieures et
postérieures
de la protubérance. - fsme, fibres semi-circula
le celle du sillon transverse antérieur (sta). Le lobe quadrilatère
postérieur
, le lobe semi- TOME II. 39 Fig. 415. - L'arbr
certaines particularités. Le lobe semi-lunaire inférieur et la partie
postérieure
du lobe grêle, s'implantent sur la partie posté
et la partie postérieure du lobe grêle, s'implantent sur la partie
postérieure
de la substance blanche centrale par un pédicul
ment excavée, reçoit un feston de l'olive cérébelleuse, et son bord
postérieur
est relié à la partie postéro-interne de l'oliv
antent radiai- remcnt les axes des lobes quadrilatères antérieur et
postérieur
et du lobe semi- lunaire supérieur, séparés par
a région sous-thalamique, des tubercules quadrijumeaux antérieur et
postérieur
; 2° que la voie pédonculaire ou voie du pied du p
ndeur nature. Aq, aqueduc de Sylvius. - flip, faisceau longitudinal
postérieur
. - xF, entre-croisement ventral de la calotte p
croise à angle droit immédiatement en avant du faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) et se continue avec les fibres les plus i
. Ce petit entre-croisement n'existe qu'a la partie supé- rieure et
postérieure
du pédoncule cérébelleux supérieur. Il peut être
ode de Weigert-Pal, 3/1 grandeur nature. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - Fl'oa, fibres protubérantielles antérieures ap
supérieur, elle n'est représentée que par le faisceau longitudinal
postérieur
en arrière (Flp), le ruban de Reil médian (Rm)
aux noyaux du ruban de Reil latéral (NR1). Le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) est piriforme et relié à celui du côté op
e de l'aqueduc (SgAq) envoie entre les deux faisceaux longitudinaux
postérieurs
dans toute la région corres- pondant aux noyaux
ués sur le même plan que le bord antérieur du faisceau longitudinal
postérieur
. Cette coupe passe au-dessous du noyau de la qu
oupe passe au-dessous du noyau de la quatrième paire, aussi le bord
postérieur
de ce faisceau est-il lisse, non excavé; il att
rs la petite racine motrice descendante du trijumeau (Vd). La paroi
postérieure
de l'aqueduc de Sylvius (Aq) est constituée par l
re. Fcc, faisceau central de la calotte. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
.- FPoa, fibres protubérantielles antérieures. -
res protubérantielles antérieures. - FPop, fibres protubérantielles
postérieures
. - Gip, ganglion interpédonculaire. - Le, locus
sceaux compacts de la formation réti- culée : faisceau longitudinal
postérieur
, faisceau central de la calotte, ruban de Reil
Face, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - FPoa, FPop, fibres transversales* antérieure
inal postérieur. - FPoa, FPop, fibres transversales* antérieures et
postérieures
de la protubérance. - Le, locus ca'ruleus. Arcs
rise centrale du quatrième ventricule (Sgc), le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp), les cellules pigmentées du locus aeruleu
les fascicules arrondis, aber·ants de la voie pédonculaire ; l'autre,
postérieur
et superficiel, le ruban de Reil latéral (RI),
rieur et superficiel, le ruban de Reil latéral (RI), de l'extrémité
postérieure
duquel se détachent de nombreuses fibres obliqu
ansversales moyennes ou intermédiaires (Strc), fibres transversales
postérieures
de la protubérance (Strp). Entre les fibres tra
au central supérieur et fais- ceaux compacts (faisceau longitudinal
postérieur
, faisceau central de la calotte, ruban de Reil
. Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - Le, locus c.eruleus. - Lqa, lobe quadrilatèr
upérieur (Ncs), noyau ovalaire qui s'étend du faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) au ruban de Reil médian (Rm), et qui se tro
es lamelles supérieures du cervelet. L'étage antérieur et l'étaye
postérieur
du tronc encéphalique présentent sur cette coup
refoulement du pédon- cule cérébelleux supérieur (Pcs) à la partie
postérieure
de la calotte. Un grand nombre de fibres de la
ielle moyenne (F Pom). Les fibres des couches antérieures (FPoa) et
postérieures
(FPop) ont presque doublé de volume et se conti
(FPom) et profondes (FPop) s'entre-croisent à angle droit. La moitié
postérieure
du raphé contient en outre un certain nombre de
culièrement abondants de chaque côté du raphé, ainsi qu'à la partie
postérieure
et externe du pont en dedans du pédoncule cérébel
le cérébelleux supérieur (Y es) en dehors, du faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) et du locus cieruleus (Le) en arrière. Fi
ieur et circonflexe, ses faisceaux compacts : faisceau longitudinal
postérieur
, faisceau cen- tral de la calotte, ruban de Rei
ature. ? ce, faisceau central supérieur. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - FPoa, FPom, FPop, fibres transversales antér
. - FPoa, FPom, FPop, fibres transversales antérieures, moyennes et
postérieures
du pont. - Le, locus coeruleus. - Nef, noyau ci
e Hl), des amas diffus de substance grise, qui segmentent sa partie
postérieure
en petits champs rectangulaires et constituent
onstituent les noyaux du corps trapézoïde. Le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) a perdu son aspect piriforme et a diminué
le pédoncule cérébelleux supérieur. - Flp, faisceau lon- gitudinal
postérieur
. - Fil, faisceau latéral du bulbe. - Fo, faisceau
, mal délimité, adossé au raphé en dedans, au faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) en arrière, et qui se fusionne en avant a
ris du reste de la formation réticulée (SR). Le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) est toujours mal délimité, et entouré en
cervicale. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. Cp, cordons
postérieurs
de la moelle. - Cusl, corps restiforme, ses conne
kow (N.11) et de Burdach (\'13) et sa continuation avec les cordons
postérieurs
de la moelle. - Fcc, faisceau central de la calot
s arciformes in- terréticulées du bulbe. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - NB, NCB, noyaux du cordon de Burdacli.- NCG,
de Gowers (FG) et quelques fibres originaires des noyaux du cordon
postérieur
du côlé opposé; ces dernières sont homologues à
- gitudinales de la formation réticulée (SR). Il reçoit à sa partie
postérieure
et externe la petite racine motrice descendante
et qui se fusionne en bas avec la substance gélatineuse de la corne
postérieure
de la moelle épinière. La coupe H 3 intéresse l
la calolte (Fcc), le noyau réticulé (Nrt), le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) et l'olive supérieure ou protubéranlielle (
grosse racine descendante sensitive du triju- meau (Vsd); sa partie
postérieure
reçoit un petit fascicule de fibres qui traverse
ive supérieure, le ruban de Reil médian, le fais- ceau longitudinal
postérieur
et le faisceau central de la calotte. Les noyaux
. - Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - FPoa, FPom, FPop, fibres transversales antér
. - FPoa, FPom, FPop, fibres transversales antérieures, moyennes et
postérieures
de l'étage antérieur de la protubérance. - fsme
du sillon longitudinal, passer en arrière du faisceau longitudinal
postérieur
(Flp), longer le plancher du 4e ventricule (V,,),
as directement avec les fibres radiculaires du trijumeau. La moitié
postérieure
de la coupe sectionne la substance blanche centra
les parois latérales du quatrième ventricule (V,J et son extrémité
postérieure
, épaisse et arrondie, est séparée de celle du c
re et ses rapports avec les fibres protuhérantielles antérieures et
postérieures
.-La calotte protubérantielle, ses fais- ceaux c
Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longi- tudinal
postérieur
. - fsme, fibres semi-circulaires externes du cerv
te, les limites du noyau réticulé (Nrt) et du faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) sont très diffuses; le faisceau central de
que côté de la ligne médiane, en arrière du faisceau longitu- dinal
postérieur
(Flp), on trouve la surface de section arrondie d
ans la calotte, on trouve encore, en arrière du faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) la surface de section arrondie du genou d
cules cérébelleux supérieur (Pes) et inférieur (Pci). Son extrémité
postérieure
s'adosse au bouchon (Nem) qui revêt à peu près la
- liaire. - fc, feutrage intra-ciliaire. - Flp, faisceau longitunal
postérieur
. - fsme, fibres semi-circulaires externes. - fs
ace compris entre le ruban de Reis (Rm) et le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp). Le ruban de Reil médian (Rm) est travers
rf cochléaire aux olives supérieures et au tubercule quadri- jumeau
postérieur
du côté opposé. L'ensemble du trajet de ce syst
eue, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau lon- gitudinal
postérieur
. - Fit, faisceau latéral du bulbe. fsmi, fibres s
a coupe C 5 (Fig. 436, p. 651), en arrière du faisceau longitudinal
postérieur
(Flp), de chaque côté du raphé médian. La, elle
a région des hémisphères les lobes quadrilatères antérieur (Lqa) et
postérieur
(Lqp) et le lobe semi-lunaire supérieur. Ce der
-circulaires internes. - Lqa, Lqp, lobes quadrilatères antérieur et
postérieur
des hémisphères cérébelleux. NB, noyau de l3ech
transverse antérieur (sta), et sectionne l'axe du lobe quadrilatère
postérieur
(Lqp) il sa fusion avec la Bibliothèque des Int
res semi-circulaires internes du cervelet. - Lqp, lobe quadrilatère
postérieur
du cervelet. - Nem, embole. - x\11, entre-croisem
le sillon supérieur de Vicq d'Azyr (ssV). Les lamelles de la partie
postérieure
du vermis appartiennent au déclive et unissent
s appartiennent au déclive et unissent les deux lobes quadrilatères
postérieurs
entre eux. La substance blanche centrale du ver
ce blanche centrale du vermis est très réduite dans le sens antéro-
postérieur
, grâce à la profondeur du sillon transverse antér
térieur (sta). On y con- state deux sortes d'entre-croisements : le
postérieur
, formé de fibres presque parallèles, appartient
sition qui, de chaque côté, est refoulée en arrière par l'extrémité
postérieure
de l'olive cérébelleuse (Oc). Le groupe externe
res semi-circulaires internes du cervelet. - Lqp, lobe quadrilatère
postérieur
. - Nem, embole. - Nt, noyau du- toit. - xNt, entr
grande partie par le segment vertical ou genou du facial. La paroi
postérieure
, beaucoup plus réduite, est convexe et correspond
éml du quatrième ventricule, les subdivise en deux parties, dont la
postérieure
appar- tient à la face ventriculaire du pédoncu
des noyaux du toit (xNt) entoure donc la face supérieure et la face
postérieure
des noyaux du toit, les fibres de la coupe C 4 se
et les lamelles du déclive qui relient les deux lobes quadrilatères
postérieurs
droit et gauche. La substance blanche centrale du
e. La substance blanche centrale du vermis, intéressée il sa partie
postérieure
, au voisinage de l'extrémité antérieure de la bra
sa concavité le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs). L'extrémité
postérieure
de l'olive est volumineuse, épaisse, la coupe i
fascicule qui décrit un courbe très prononcée autour de l'extrémité
postérieure
de l'olive; on ne peut le suivre sur cette coupe
obes du vermis inférieur, le bourgeon le),î21111al(BL), l'extrémité
postérieure
de la branche horizontale de l'arbre de vie (bh)
s, d'inégale longueur, des différents lobes des faces inférieure et
postérieure
du cervelet. Ce sont en avant, et de dedans en
u lobe semi-lunaire inférieur; quant à la partie moyenne de la face
postérieure
de la substance blanche centrale des hémisphères,
blanche centrale des hémisphères céré- belleux. A gauche, la partie
postérieure
du nid d'hirondelle est limitée comme à droite
un postélieur et gauche, l'autre antérieur et droit; le diverticule
postérieur
, long et étroit, s'insinue entre la val- vule d
arties latérales du bulbe; 2° par la fusion de la calotte, ou étage
postérieur
, avec l'étage anté- rieur représenté par la voi
lles présentent toutes une surface de section trian- gulaire à base
postérieure
et d'autant plus accentuée que la coupe est plu
ulus. - PFloc, pédoncule du flocculus. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - Flt, faisceau latéral du bulbe. - FPoa, fibres
gulaire, le noyau triangulaire ou noyau du nerf vestibulaire; noyau
postérieur
de l'acoustique, (NVIIIV) situé sur les parties l
roite, le long du raphé jusqu'au voisinage du faisceau longitudinal
postérieur
(Flp). Les noyaux arqués des pyramides (Narc) e
otubé- ranlielle inférieure, mais a une forme plan-convexe, sa face
postérieure
plane ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 65
calotte (Fcc). En arrière, il est séparé du faisceau lon- gitudinal
postérieur
(Flp) par une couche de fibres beaucoup plus épai
es fibres arciformes qui décrivent des courbes à concavité interne,
postérieure
et supérieure, puis s'entre-croisent au niveau
la formation réticulée (SR). Les dorsales (fad) occupent la partie
postérieure
de la calotte, tra- versent le faisceau longitu
ie postérieure de la calotte, tra- versent le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) et les fibres de la formation réticulée s
ubstance grise centrale du plancher du quatrième ventricule a la face
postérieure
062 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. de la pyram
baire (Oi). Dans le sens antéro-postérieur, elle s'étend de la face
postérieure
de l'olive (Oi)à la substance grise centrale du q
étroite lame grise qui atteint en arrière le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) et qui se fusionne en avant avec le noyau
ou interoli- vaire, la couche intl'1'olivai1'e de Flechsig; l'autre
postérieure
, la couche inlerréti- culée. Les deux couches,
la moelle; que la couche inte1'J'éticlllée con- tient, à sa partie
postérieure
, les fibres descendantes et ascendantes du faisce
re, les fibres descendantes et ascendantes du faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) qui se prolongent dans le cordon antérieur
s. Les fibres arciformes qui, sur cette coupe, traversent la partie
postérieure
de la couche interolitaire (SRa,cio), sont beau
rétrotrigéminales. - Floc, flocculus. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - Fil, faisceau latéral du bulbe. - Fs, faisceau
rminaison de la branche vestibulaire du nerf auditif. - Nixp, noyau
postérieur
du glosso-pharyn- gien. - Oi, olive bulbaire. -
la pyramide (Py) et comprend deux lames, l'une antérieure, l'autre
postérieure
, dentelées et festonnées, réunies en dehors, écar
ais, entoure l'olive d'une véritable capsule, renforcée à sa partie
postérieure
et externe par le faisceau central de la calott
de terminaison du nerf vestibulaire ou noyau triangulaire, ou noyau
postérieur
de l'acoustique (NVIIIv). Il est limité en deda
fj7B, noyau de la branche vestibulaire du nerf auditif. - Nixp, noyau
postérieur
du glosso-pharyngien. - Oi, olive bulbaire ou i
ague ou pneumogastrique (X). Le diamètre transversal de la partie
postérieure
du bulbe s'est encore réduit; la saillie du cor
couche inter-olivaire, alors qu'elles n'en atteignent que la moitié
postérieure
sur la coupe H9 (Fig. 439) et les deux tiers po
la moitié postérieure sur la coupe H9 (Fig. 439) et les deux tiers
postérieurs
sur la coupe H 10 (Fig. 440). Comme sur les cou
, noyau rétropyramidal. - Ayv. noyau du funiculus teres. - Nez, noyau
postérieur
du pneumogastrique. iY''U7t), noyau de la branc
xterne. Le noyau juxta-olivaire externe (Noe) contourne l'extrémité
postérieure
de l'olive (coupe H 10, Fig. 440) et longe sa f
r. Le noyau du raphé (Nr) a presque complètement disparu, la partie
postérieure
de la formation réticulée blanche en contient t
e du plancher du quatrième ventricule et connu sous le nom de noyau
postérieur
ou dorsal du vague (Nxp). Il occupe l'aile gris
d'avant en arrière et de dedans en dehors, qui occupe la périphérie
postérieure
du bulbe et qui contient à sa surface, dans son
nte sensitive du t1'ijumeau (Vsd) et appartiennent déjà aux cordons
postérieurs
du bulbe el tie la moelle épinière. Sur les cou
Cj, corps juxta-restiforme. - Crst, corps restiforme. - Cp, cordons
postérieurs
de la moelle. - Fcd, faisceau cérébelleux direc
ux juxta-olivaire externes. - Nrp, noyau rétropyramidal. - Nxp, noyau
postérieur
du vague. - NXll, noyau de l'hypoglosse. - Oi,
a substance grise se transforme petit à petit en noyaux des cordons
postérieurs
de la moelle. Quant aux fibres du corps l'esti-
forme (ou en proviennent) et dans une partie des noyaux des cordons
postérieurs
qui leur sont homologues. Sur les coupes suivante
s. Sur les coupes suivantes elles font place aux fibres des cordons
postérieurs
. La grosse racine sensitive descendante du trij
cette coupe, en arrière des fascicules qui vont former les cordons
postérieurs
, et en avant des fibres de la formation réticul
l'olive bulbaire (Oi), la partie supérieure des noyaux des cordons
postérieurs
(NCp) et les fibres radiculaires des nerfs gran
ando (SgR) qui lui est annexée, sont apparus les noyaux des cordons
postérieurs
(\Cp), amas gris diffus, contenant un très riche
ne sensitive descendante du trijumeau et qui apparlient aux cordons
postérieurs
(Cp). Les parties externe et anlérieure de ces
on en cordon de Goll et cordon de Burdach. Les fibres des cordons
postérieurs
(Cp) n'atteignent pas la périphérie posté- rieu
en une couche mince, étroite et curviligne qui contourne le cordon
postérieur
(Cp) et la grosse racine sensitive descendante du
p. 615. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nalure. Cp, cordons
postérieurs
. - Crst, corps restiforme. - fcb, fibres arciform
aires externe et interne. - Nrp. noyau rétropyramidal. .Yt/), noyau
postérieur
du vague. noyau de l'hypoglosse. - Oi, olive in
qu'elles traversent. Les fibres arciformes qui occupent la moitié
postérieure
de la formation l'éli- culée ont changé d'aspec
aÏ1'es (fir), naissent du feutrage de fibres des noyaux des cordons
postérieurs
(NCp), traversent en fascicules onduleux et enche
s (NCp), traversent en fascicules onduleux et enchevêtrés la partie
postérieure
des formations réticulées grise (SRg) et blanche
t blanche (SRa), et s'entre-croisent en gros fascicules à la partie
postérieure
du raphé. Cet entre- croisement, qui ne dépasse
qui, prenant leur origine dans les cellules des noyaux des cordons
postérieurs
(NCp), montent dans la couche inter-olivaire et
clair correspondant il l'aile grise, on trouve le noyau dOl'sallou
postérieur
du vague (Nxp), puis le faisceau solitaire (Fs) ,
me ventricule recouvre ensuite la face interne du noyau des cordons
postérieurs
. Coupe H 14 (Fig. 44t.). - Cette coupe intéress
ieur de l'olive (Oi) et la partie supérieure des noyaux des cordons
postérieurs
(NCp). La surface de section du bulbe a pris un
u horizontal qui occupe la périphérie du bulbe, entoure les cordons
postérieurs
(Cp), la racine descendante du trijumeau (Vsd)
que hématoxylinique et leurs connexions avec les noyaux des cordons
postérieurs
(Ncp). Elles s'en- tre-croisent dans la partie
cordons postérieurs (Ncp). Elles s'en- tre-croisent dans la partie
postérieure
du raphé, en arrière des fibres cérébello- oliv
érieure. L'obex et le ventricule d'Arentius. Les noyaux des cordons
postérieurs
etl'entre-croisement piniforme du bulbe. Les for-
gert-Pal. 6/1 grandeur nature. Cp, extrémité supérieure des cordons
postérieurs
de la moelle. - Crst, corps restiforme. - fas,
bres arci- formes interréticulées, provenant des noyaux des cordons
postérieurs
et concourant il l'en- (re-croisement piniforme
sceau solitaire. Narc, noyau arqué. - 'Cp..\'cp, noyaux des cordons
postérieurs
. Nil, noyau latéral du bulbe. - non, noyau juxt
sagittale et s'insinue en arrière entre les deux noyaux des cordons
postérieurs
. - Cette disposition, ainsi que la diminution con
intel'1'éticull : es (fir), et se portent vers le noyau des cordons
postérieurs
(NCp). Elle est adossée en outre au noyau juxta
spinal ou accessoire de Willis (XIe paire). Les noyaux des cordons
postérieurs
(NCp) présentent un aspect spécial, ils contien
éfaut dans les amas gris qui occupent la partie externe des cordons
postérieurs
, et qui d'aspect plus homogène, reliés au noyau
leurs fibres en connexion 'avec le corps restiforme et les cordons
postérieurs
de la moelle, ne participent à la formation, ni
sitif, enfin par une délimitation plus nette des noyaux des cordons
postérieurs
en noyau de Goll (NG) et noyau de l3uwlaclc (NB
FIG. \,4,5. - La région bulbaire inférieure. Les noyaux des cordons
postérieurs
, les fibres arciformes interréticulées et l'ent
418, p. 615. Méthode Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. Cp, cordons
postérieurs
de la moelle. Crst, corps restiforme. fcb, fibres
s, faisceau solitaire. - Varc, noyau arqué. - sCp, noyaux des cordons
postérieurs
. Alla, noyau latéral antérieur du bulbe. - Slip
eurs. Alla, noyau latéral antérieur du bulbe. - Slip. noyau laléral
postérieur
du bulbe. NM, noyau de Monakow. Noi, noyau juxt
losse. 680 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le sillon longitudinal
postérieur
se réduit une simple encoche et ne sépare pas p
e bulbaire. Le noyau juxta-olivaire interne. Les noyaux des cordons
postérieurs
; les fibres arciformes interréticulées et l'ent
ll. - Alla, noyau latéral antérieur du bulbe. - Nltp, noyau latéral
postérieur
du bulbe. Noi, noyau juxta-olivaire interne. NM
réduit à un volumineux faisceau lioi i- zontal, étendu des cordons
postérieurs
(CG, CB) au noyau arqué (Narc) et aux fibres ar
l'épais faisceau de fibres qui longe la base des noyaux des cordons
postérieurs
(NB, NG). Ces fibres appartiennent toutes au sy
ou leznniscales, prennent leur origine dans les noyaux des cordons
postérieurs
et entrent dans la constitution de la couche in
articipent à l'entre- croisement piniforme. Les fibres de la partie
postérieure
de la formation réticulée blanche (SRa) sont, p
. Fir. il ? - La région bulbaire inférieure. Les noyaux des cordons
postérieurs
et l'en- tre-croisement piniforme. - Coupe tran
éma- toxylinique : le faisceau latéral du bulbe en avant, le cordon
postérieur
de la moelle en arrière. Ce dernier forme sur l
e ainsi nettement la masse auparavant unique des noyaux des cordons
postérieurs
. Noyaux de Goll et de Burdach ne sont plus unis
volumineuse qui détermine la saillie connu sous le nom de pyramide
postérieure
du bulbe, et atteint presque la péri- phérie du
un feu- trage de fibres et par l'épaisse couche de fibres du cordon
postérieur
qui le recouvre. Son bord postérieur convexe re
sse couche de fibres du cordon postérieur qui le recouvre. Son bord
postérieur
convexe reste toujours très éloigné de la périphé
stance gélatineuse de Rolando revêt tous les caractères de la corne
postérieure
, mais d'une corne très volumineuse reliée au re
n feutrage de fibres à myéline, la substance spongieuse de la corne
postérieure
. Les noyaux des cordons postérieurs sont moins
ubstance spongieuse de la corne postérieure. Les noyaux des cordons
postérieurs
sont moins proéminents et moins volu- mineux qu
ment moteur et la région du collet du bulbe. Les noyaux des cordons
postérieurs
et la formation réticulée grise. Coupes transvers
la moelle. Coo, corne antérieure. Col, corne lalérale. - Col, corne
postérieure
. - fil', fibres inlcrréliculécs du bulbe. \'l3, n
RVEUX. Le noyau de Goll (NG) affecte une forme en massue ; son bord
postérieur
con- vexe est encore large, sa base devient de
des fibres longitudinales. Nous n'avons pas à revenir sur la partie
postérieure
de la substance grise, sur les noyaux de Goll (
e grise, sur les noyaux de Goll (NG) et de Burdach (NB) et la corne
postérieure
(Cop). La partie ansé- rieure permet de reconna
9 (Fig.449) et une région intermédiaire (SRg), adjacente à la corne
postérieure
(Cop) et qui présente sur les deux coupes un as
t intéressées sur les coupes H19 et H20, elles traversent la partie
postérieure
de la corne latérale (Col) en avant de la base de
térieure de la corne latérale (Col) en avant de la base de la corne
postérieure
. Coupe H21,H22,H23 (Fig. 4.'il, i. : p2, 453).
al (Cl) de la moelle, et la corne antérieure est reliée il la corne
postérieure
par une travée grise plus ou moins déchiquetée,
Coa, corne antérieure décapitée.- Col, corne latérale. - Col, corne
postérieure
. - FPyc, faisceau pyramidal croire. NB, noyau du
c). Celui-ci occupe une profonde excavation comprise entre la corne
postérieure
(Cop) et la corne antérieure (Coa), mais se disti
eliée par une large base à la substance grise centrale et une corne
postérieure
unie cette même sub- stance grise centrale par
al croisé les fibres horizontales qui traversent le col et la corne
postérieure
(Cop), et qui représentent les fibres radiculai
ure (Cop), et qui représentent les fibres radiculaires de la racine
postérieure
de la première paire cervicale (CI). La parti
l, cordon antéro-latéral. Coa, corne antérieure décapitée. Cop, corne
postérieure
. Fl' ! fc, faisceau pyramidal croisé. NG, noyau
ussation de ce faisceau. La substance grise centrale de la moitié
postérieure
du collet du bulbe affecte sur ces trois coupes
riangulaire, à sommet antérieur; sa large base s'adosse aux cordons
postérieurs
(Cop). Elle contient les petites saillies mamel
al croisé en occupant le cordon latéral refoule en arrière la corne
postérieure
et son col. - Les cornes postérieures, qui étai
al refoule en arrière la corne postérieure et son col. - Les cornes
postérieures
, qui étaient situées (coupe H 21, Fig. 451) sur l
e, se rapprochent ainsi l'une de l'autre, en même temps que le bord
postérieur
de la substance grise centrale s'excave sur la
nce grise centrale s'excave sur la ligne médiane et que les cordons
postérieurs
s'étendent dans le sens sagittal, gagnant en ép
Burdach. CG. cordon de Goll. Cl, cordon antéro-latéral. CI. racine
postérieure
de la première paire cervicale. Coa, corne anté-
ère paire cervicale. Coa, corne anté- rieure décapitée. COl', corne
postérieure
. - eCoy, col de la corne postérieure. Cp, cor-
rieure décapitée. COl', corne postérieure. - eCoy, col de la corne
postérieure
. Cp, cor- don postérieur. f ? c, faisceau pyram
orne postérieure. - eCoy, col de la corne postérieure. Cp, cor- don
postérieur
. f ? c, faisceau pyramidal croisé. SgR, substance
ion pyramidale. 690 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. les deux cornes
postérieures
diminuera; en se portant en dedans, a corne pos-
sous-lobaire du vermis et abordent le noyau du toit par sa par- tie
postérieure
et inférieure (bh, Fig. 410 el 165). Les fibres
lièrement arrondi (l'Py, Fig. 436, p. 651), qui longe toute la face
postérieure
du bouchon, puis s'infléchit en avant et se con
s semi-circulaires internes du cervelet. - Lqp, lobe qua- drilatère
postérieur
. - Nem. embole. - Ni, noyau du toit. - xNl, entre
rtout mani- feste pour le feutrage sous-lobaire des lobes des faces
postérieure
et infé- rieure de l'hémisphère (lobes semi-lun
pour le feulrage sous-lobaire des lobes quadrilatères antérieur el
postérieur
. Ici les épais fascicules des fibres semi- circ
ments dans le ver- mis. Petit entre-croise- ment commissural
postérieur
Grand entre-croi- sement commissural antéri
. Elle» enveloppent la face externe, le bord supérieur, l'extrémilé
postérieure
el la partie supé- rieure de la face interne du
érieur el moyen. Après avoir contourné la face externe, l'extrémité
postérieure
et le bord supérieur de l'olive cérébelleuse, l
rectement en dedans et en arrière, et s'entre- croise à l'extrémité
postérieure
de la branche horizontale de l'arbre de vie du
nléro-externes de l'hémisphère. Si la coupe inté- resse l'extrémité
postérieure
de la branche horizontale de l'arbre de vie du ve
dont la convexité correspond au petit enlre -croisement commissural
postérieur
de Stilling. La disposition générale de l'entre
la coupe sagittale mé- diane, le petit entre-croisement commissural
postérieur
présente une surface de section triangulaire et
eon terminal et du tubercule valvulaire, c'est-à-dire l'extré- mité
postérieure
de la branche horizontale (bh) de l'arbre de vie
nt du noyau du toit et séparé du petit entre-croisement commissural
postérieur
par la couche sagiltale de la branche horizonta
l'olive cérébelleuse. Le petit entre-croi- sement commissural
postérieur
a l'extré- mité postérieure de la branche hor
petit entre-croi- sement commissural postérieur a l'extré- mité
postérieure
de la branche horizon- tale de l'arbre de vie
ntéressées au niveau du cro- chet qu'elles décrivent autour du bord
postérieur
de l'olive cérébelleuse et du bouchon. (Voy. co
rement rétréci l'aire des terres inconnues. Les anciens faisceaux
postérieurs
, par l'étude des lésions systématiques, avaient
égions distinctes : les faisceaux de Goll et les zones radiculaires
postérieures
; les faisceaux antéro-latéraux des auteurs avaien
CATION DU SCHEMA A. Corne antérieure de substance grise. B. Corne
postérieure
de substance grise. B'. Substance gélatineuse d
e grise. B'. Substance gélatineuse de Rolando. C. Col de la corne
postérieure
. D. Cellules de la colonne de Clarke. E. Vein
ntérieure. I. Canal central. J. Racines antérieures. K. Racines
postérieures
. L. Commissure antérieure (blanche). M. Commi
s postérieures. L. Commissure antérieure (blanche). M. Commissure
postérieure
(grise). N. Sillon antérieur. 0. Sillon posté
M. Commissure postérieure (grise). N. Sillon antérieur. 0. Sillon
postérieur
. P. Faisceau de Tii1'li, ou pyramidal direct.
estplrol. Y. Faisceau de Burdach, ou zone radiculaire du faisceau
postérieur
. Z. Faisceau de Goll, ou cordon grèle. Z'. Ce
et colorée par la méthode de Pull. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Faisceau antérieur. D. Faisceau latéral.
térieure. C. Faisceau antérieur. D. Faisceau latéral. E. Sillon
postérieur
. F. Sillon antérieur. G. Faisceau postérieur.
latéral. E. Sillon postérieur. F. Sillon antérieur. G. Faisceau
postérieur
. H. Canal central. 1. Commissure antérieure.
ieur. H. Canal central. 1. Commissure antérieure. J. Commissure
postérieure
. IC. Racine postérieure. Figure 2. MOELLE N
1. Commissure antérieure. J. Commissure postérieure. IC. Racine
postérieure
. Figure 2. MOELLE NORMALE. Cellules ganglionn
et colorée par la méthode de Pall. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racines antérieures. D. Faisceau latéral.
érieure. C. Racines antérieures. D. Faisceau latéral. E. Sillon
postérieur
. F. Sillon antérieur. G. Faisceau postérieur
latéral. E. Sillon postérieur. F. Sillon antérieur. G. Faisceau
postérieur
(zone radiculaire). H. Cordon de Coll. I. Com
re). H. Cordon de Coll. I. Commissure antérieure. J. Commissure
postérieure
. K. Racine postérieure. L. Faisceau antérieur
I. Commissure antérieure. J. Commissure postérieure. K. Racine
postérieure
. L. Faisceau antérieur. Figure 4. MOELLE NO
et colorée par la méthode de Pall. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Commissure antérieure. D. Commissure post
. B. Corne postérieure. C. Commissure antérieure. D. Commissure
postérieure
. E. Faisceau antérieur. F. Sillon antérieur.
térieure. E. Faisceau antérieur. F. Sillon antérieur. G. Cordon
postérieur
. II. Faisceau latéral. I. Sillon postérieur.
ntérieur. G. Cordon postérieur. II. Faisceau latéral. I. Sillon
postérieur
. J. Racine postérieure. Figure 6. Portion d
stérieur. II. Faisceau latéral. I. Sillon postérieur. J. Racine
postérieure
. Figure 6. Portion du faisceau latéral de la
et colorée par la méthode de Pali, A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
e de Pali, A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure
postérieure
. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
rieur. 7J. Faisceau antérieur. I. Faisceau latéral. J. Faisceau
postérieur
. Figure 8. MOELLE NORMALE. Corne postérieure.
atéral. J. Faisceau postérieur. Figure 8. MOELLE NORMALE. Corne
postérieure
. Coupe pratiquée dans la région lombaire et col
dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. La corne
postérieure
est vue au grossissement de l'obj. 2, Vérick. A
e. E. Entrée directe de fibres nerveuses dans la corne. F. Racine
postérieure
. G. Coupe transversale des tubes nerveux de la
et colorée par la méthode de Pall. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Cordon antérieur. D. Faisceau latéral.
térieure. C. Cordon antérieur. D. Faisceau latéral. E. Faisceau
postérieur
. F. Sillon postérieur. G. Sillon antérieur.
térieur. D. Faisceau latéral. E. Faisceau postérieur. F. Sillon
postérieur
. G. Sillon antérieur. II. Canal central. 1.
térieur. II. Canal central. 1. Commissure antérieure. J. Racine
postérieure
. Jt. Cellule de la corne antérieure. Figure 1
A. Corne antérieure droite. A'. Corne antérieure gauche. B. Corne
postérieure
droite. B'. Corne postérieure gauche. C. Comm
. Corne antérieure gauche. B. Corne postérieure droite. B'. Corne
postérieure
gauche. C. Commissure blanche. D. Commissure
sure blanche. D. Commissure grise. E. Cordon de Goll. F. Sillon
postérieur
. G. Racine antérieure. II. Sillon antérieur.
stérieur. G. Racine antérieure. II. Sillon antérieur. /. Racine
postérieure
. J. Faisceau latéral. Figure 12. MOELLE D'A
même à ce faible grossissement. =1. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Commissure antérieure. D. Commissure post
. B. Corne postérieure. C. Commissure antérieure. D. Commissure
postérieure
. E. Racine postérieure. F. Sillon postérieur.
C. Commissure antérieure. D. Commissure postérieure. E. Racine
postérieure
. F. Sillon postérieur. G. Sillon antérieur.
re. D. Commissure postérieure. E. Racine postérieure. F. Sillon
postérieur
. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau postérieur
rieure. F. Sillon postérieur. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau
postérieur
sain. 1-J. Zones enflammées des cor- dons ant
nt disséminées et atteignent leur summum d'intensité dans le cordon
postérieur
gauche. Les altérations vasculaires sont remarqua
dans le faisceau latéral gauche. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Faisceau latéral droit un peu altéré. D
re antérieure. E. Canal central. F. Sillon antérieur. G. Sillon
postérieur
. JI, Racine postérieure. 1. Cordon antérieur
central. F. Sillon antérieur. G. Sillon postérieur. JI, Racine
postérieure
. 1. Cordon antérieur sain. /. Faisceau latéra
aisceau latéral altéré. K. Coupe de vaisseau altéré. L'. Faisceau
postérieur
sclérosé. CI. Corne postérieure gauche altéré
e de vaisseau altéré. L'. Faisceau postérieur sclérosé. CI. Corne
postérieure
gauche altérée. Figure 16. - MYÉLITE CAVITA
ltérées. C. Cavité pathologique. D. Sillon antérieur. E. Sillon
postérieur
. F. Corne postérieure. G. Cordon latéral. ? R
thologique. D. Sillon antérieur. E. Sillon postérieur. F. Corne
postérieure
. G. Cordon latéral. ? Racine postérieure. I.
lon postérieur. F. Corne postérieure. G. Cordon latéral. ? Racine
postérieure
. I. Faisceau postérieur. J. Commissure antéri
postérieure. G. Cordon latéral. ? Racine postérieure. I. Faisceau
postérieur
. J. Commissure antérieure. PLANCHE IX Figur
re. B. Groupe de cellules ganglion- naires respectées. C. Corne
postérieure
. D. Racine postérieure. E. Commissure antérie
es ganglion- naires respectées. C. Corne postérieure. D. Racine
postérieure
. E. Commissure antérieure. F. Commissure post
D. Racine postérieure. E. Commissure antérieure. F. Commissure
postérieure
. G. Sillon antérieur. Il. Sillon postérieur.
ure. F. Commissure postérieure. G. Sillon antérieur. Il. Sillon
postérieur
. 7. Cordon postérieur. J. Racine antérieure.
térieure. G. Sillon antérieur. Il. Sillon postérieur. 7. Cordon
postérieur
. J. Racine antérieure. K. Cavité pathologique
ore dans le cordon latéral droit. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Partie saine du cordon anté- ro-latéral.
ordon anté- ro-latéral. D. Commissure antérieure. E. Commissure
postérieure
. F. Sillon antérieur. G. Sillon postérieur.
eure. E. Commissure postérieure. F. Sillon antérieur. G. Sillon
postérieur
. II. Racine postérieure. I. Cordon postérieur
térieure. F. Sillon antérieur. G. Sillon postérieur. II. Racine
postérieure
. I. Cordon postérieur. J. Partie sclérosée du
érieur. G. Sillon postérieur. II. Racine postérieure. I. Cordon
postérieur
. J. Partie sclérosée du cordon la- téral droi
englobée dans la plaque scléreuse. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. n. Sillon postérieur.
scléreuse. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. n. Sillon postérieur. E. Canal central. F.
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. n. Sillon
postérieur
. E. Canal central. F. Commissure antérieure.
ro-latéraux. 1-I. Zones slérosées des mêmes cordons. J. Cordons
postérieurs
sclérosés. Figure 22. SCLÉROSE EN PLAQUES. Ré
ès irrégulière des plaques de sclérose disséminées dans les cordons
postérieurs
, la substance grise, et la plus grande partie du
al gauche. A. Partie indemne de la corne antérieure. B. Corne
postérieure
altérée. C. Racine postérieure. D. Canal cent
de la corne antérieure. B. Corne postérieure altérée. C. Racine
postérieure
. D. Canal central. E. Commissure antérieure.
érieur. G. Cordon antérieur normal. H. Partie indemne du cordon
postérieur
. 1. Cordon latéral droit indemne. J. Zone alt
moins altérée de la même plaque. M. Zone sclérosée du faisceau
postérieur
. Ces deux préparations sont prises sur la même
rrégulières dans la moitié gauche. .iL Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
é gauche. .iL Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure
postérieure
. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
ure. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieur. H. Faisceau
postérieur
sain. I. Zone respectée du faisceau antéro-la
uée dans le faisceau lat. gauche. M. Zone sclérosée du faisceau
postérieur
. N. Zone sclérosée du faisceau latéral droit.
s affectent avec une intensité variable plus marquée dans les cordons
postérieurs
. A. Corne antérieure altérée. A'. Corne antér
Corne antérieure altérée. A'. Corne antérieure indemne. B. Corne
postérieure
altérée. C. Racine postérieure. D. Sillon pos
Corne antérieure indemne. B. Corne postérieure altérée. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
B. Corne postérieure altérée. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
rée. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure
postérieure
. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
sée du cordon pos- térieur droit. N. - Zone sclérosée du cordon
postérieur
gauche. 0. Zone sclérosée du cordon an- térie
cularité d'être presque symétrique. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur
ymétrique. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur très épaissi. E. Commis
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
très épaissi. E. Commissure postérieure. F. S
ine postérieure. D. Sillon postérieur très épaissi. E. Commissure
postérieure
. F. Sillon antérieur. G. Cordon antérieur sai
eure. F. Sillon antérieur. G. Cordon antérieur sain. II. Cordon
postérieur
peu altéré. I. Cordon latéral sain. J. Zone t
altéré. I. Cordon latéral sain. J. Zone très altérée du cordon
postérieur
. IC. Faisceau latéral gauche sclé- rosé. G-
e lésion des cornes antérieures combinée à une sclérose des cordons
postérieurs
. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure.
sclérose des cordons postérieurs. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
stérieurs. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure
postérieure
. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
l. I. Cordon antérieur. J. Zone marginale peu altérée du cordon
postérieur
. A'. Zone sclérosée des cordons postérieurs.
eu altérée du cordon postérieur. A'. Zone sclérosée des cordons
postérieurs
. FIGURE 28. LESION COMBINÉE. Corne antérieure
de la planche précédente, c'est-à-dire qu'il existe de la sclérose
postérieure
et des altérations des cellules des cornes anté-
e droite moins altérée que J. Corne antérieure gauche. B. Corne
postérieure
. C. Racines antérieures. D. Commissure antéri
érieures. D. Commissure antérieure. E. Canal central. F. Sillon
postérieur
. G. Sillon antérieur. Il. Racine postérieure.
central. F. Sillon postérieur. G. Sillon antérieur. Il. Racine
postérieure
. 1. Cordon latéral. E-Z. Cordons postérieurs
érieur. Il. Racine postérieure. 1. Cordon latéral. E-Z. Cordons
postérieurs
sclé- rosés. FIGURE 30. LÉSION COMBINÉE. Co
ns postérieurs sclé- rosés. FIGURE 30. LÉSION COMBINÉE. Cordons
postérieurs
. La figure représente un point des cordons post
NÉE. Cordons postérieurs. La figure représente un point des cordons
postérieurs
sclérosés de la préparation pré- cédente, vu à
e et colorée par la méthode de Pall. La sclérose occupe les cordons
postérieurs
et la presque totalité des faisceaux anléro- la
é des faisceaux anléro- latéraux. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Racine antérieure.
latéraux. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Racine antérieure. E. Commissure antérieu
. D. Racine antérieure. E. Commissure antérieure. F. Commissure
postérieure
. G. Sillon antérieur. H. Sillon postérieur.
eure. F. Commissure postérieure. G. Sillon antérieur. H. Sillon
postérieur
. l. Zone de Westphal du cordon postérieur ind
antérieur. H. Sillon postérieur. l. Zone de Westphal du cordon
postérieur
indemne. J. Partie saine du cordon latéral. K
e Gowers sclérosé. if. Faisceau cérébelleux sclérosé. N. Faisceau
postérieur
sclérosé. 0. Faisceau pyramidal sclérosé. FIG
imitée. A. Corne antérieure. A'. Cellules de la corne. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Canal central. E
eure. A'. Cellules de la corne. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Canal central. E. Commissure postérieure.
érieure. C. Racine postérieure. D. Canal central. E. Commissure
postérieure
. F. Commissure antérieure. G. Sillon postérie
E. Commissure postérieure. F. Commissure antérieure. G. Sillon
postérieur
. Il. Sillon antérieur. 1. Faisceau antérieur
u de Gowers sclérosé. K. Faisceau pyramidal sclérosé. L. Faisceau
postérieur
sclérosé. M. Zone de Westphal respectée. Les
pyramidal croisé correspondant. 1 A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
pondant. 1 A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure
postérieure
. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
ure. G. Sillon antérieur. H. Cordon antérieur sain. I. Faisceau
postérieur
sain. J. Faisceau cérébelleux direct sain.
portant sur le faisceau pyramidal. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
pyramidal. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure
postérieure
. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
rieure. G. Sillon antérieur. H. Faisceau antérieur. I. Faisceau
postérieur
sain. J. Faisceau cérébelleux direct sain.
faisceau pyramidal croisé droit. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Commissure postéri
isé droit. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Commissure postérieure. E. Commissure ant
ure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Commissure
postérieure
. E. Commissure antérieure. F. Sillon postérie
D. Commissure postérieure. E. Commissure antérieure. F. Sillon
postérieur
. G. Sillon antérieur. H. Faisceau pyramidal c
faisceau pyramidal croisé droit. .ri. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Commissure postéri
é droit. .ri. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Commissure postérieure. E. Commissure ant
ure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Commissure
postérieure
. E. Commissure antérieure. F. Sillon antérieu
ieure. E. Commissure antérieure. F. Sillon antérieur. G. Sillon
postérieur
. H. Faisceau de Turck droit dé- généré. I.
cérébelleux directs, et de Gowers. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
de Gowers. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure
postérieure
. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
G. Sillon antérieur. Il. Faisceau pyramidal intact. I. Faisceau
postérieur
normal. J. Cordon de Goll dégénéré. IC. Faisc
t les faisceaux pyramidaux croisés. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
x croisés. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Commissure antérieu
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure antérieure. F. Commissure post
. D. Sillon postérieur. E. Commissure antérieure. F. Commissure
postérieure
. G. Sillon antérieur. ? Racine antérieure. /.
postérieure. G. Sillon antérieur. ? Racine antérieure. /. Cordon
postérieur
indemne. .1-J. Faisceaux pyramidaux dé- génér
cérébelleux directs et de Gowers. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
de Gowers. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Canal central. F.
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Canal central. F. Commissure antérieure.
demne du faisceau antéro-latéral. 1. Partie indemne du faisceau
postérieur
. J. Faisceau de Gowers dégénéré. K. Faisceau
A-.4'. Cornes antérieures alté- rées et asymétriques. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
res alté- rées et asymétriques. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. 1 E. Commissure postér
triques. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. 1 E. Commissure postérieure. F. Commissure a
e. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. 1 E. Commissure
postérieure
. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
I-II. Parties indemnes des faisceaux antéro-latéraux. J. Faisceau
postérieur
. J-J. Faisceaux pyramidaux dé- générés. Fig
ltérée. A'. Région peu altérée de la corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Sillon postérieur. D. Racine postérieure.
altérée de la corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Sillon
postérieur
. D. Racine postérieure. E. Commissure antérie
térieure. B. Corne postérieure. C. Sillon postérieur. D. Racine
postérieure
. E. Commissure antérieure. F. Commissure post
D. Racine postérieure. E. Commissure antérieure. F. Commissure
postérieure
. G. Sillon antérieur. II. Cordon postérieur.
ure. F. Commissure postérieure. G. Sillon antérieur. II. Cordon
postérieur
. 1. Partie indemne du faisceau antéro-latéral
t. Corne antérieure saine. A'. Corne antérieure altérée. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
. A'. Corne antérieure altérée. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
altérée. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure
postérieure
. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
re. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau
postérieur
. /. Faisceau antéro-latéral. J. Racines antér
a-a. Ses cellules ganglion- naires. A'. Corne altérée. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
n- naires. A'. Corne altérée. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Commissure antérieu
altérée. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure antérieure. F. Commissure post
. D. Sillon postérieur. E. Commissure antérieure. F. Commissure
postérieure
. G. Sillon antérieur. H. Cordon latéral. 1.
postérieure. G. Sillon antérieur. H. Cordon latéral. 1. Cordon
postérieur
. FIGURE 48. PARALYSIE INFANTILE (POLIOMYÉLITE
re gauche. » A. Partie non altérée de la corne droite. B. Corne
postérieure
. C. Foyer myélitique droit. C'. Foyer myéliti
oit. C'. Foyer myélitique gauche. D. Vaisseau altéré. E. Racine
postérieure
. F. Commissure antérieure. G. Canal central.
térieure. F. Commissure antérieure. G. Canal central. H. Sillon
postérieur
. I. Sillon antérieur. J. Faisceau latéral.
stérieur. I. Sillon antérieur. J. Faisceau latéral. K. Faisceau
postérieur
. Toutes nos figures de paralysie infantile sont
dach. - A. Corne antérieure. a. L'une de ses cellules. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
eure. a. L'une de ses cellules. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Commissure grise.
ellules. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure grise. H. Sillon antérieur.
ité des cordons pos- térieurs. - A. Corne antérieure. Il. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
rieurs. - A. Corne antérieure. Il. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Commissure antérieu
rieure. Il. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure antérieure. F. Commissure post
. D. Sillon postérieur. E. Commissure antérieure. F. Commissure
postérieure
. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau latéral. -
lassique dans lequel on voit la sclérose presque totale des faisceaux
postérieurs
. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure.
e totale des faisceaux postérieurs. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure sclérosée. D. Sillon p
stérieurs. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
sclérosée. D. Sillon postérieur. E. Commissur
B. Corne postérieure. C. Racine postérieure sclérosée. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure antérieure. F. Commissure post
. D. Sillon postérieur. E. Commissure antérieure. F. Commissure
postérieure
. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau antéro-lat
re. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau antéro-latéral. I. Cordon
postérieur
sclérosé. PLANCHE XXVII FIGURE 53. ATAXIE L
thode de Pall. La lésion occupe son siège habituel dans les cordons
postérieurs
. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. 1
ituel dans les cordons postérieurs. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. 1 C. Racine postérieure sclérosée. D. Canal
érieurs. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. 1 C. Racine
postérieure
sclérosée. D. Canal central. E. Commissure an
clérosée. D. Canal central. E. Commissure antérieure. F. Sillon
postérieur
. G. Sillon antérieur. H. Faisceau antérieur.
ceau latéral. J. Zone antéro-externe de West- phal. K. Faisceau
postérieur
sclérosé. Figure 54. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGR
ieur sclérosé. Figure 54. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. - Corne
postérieure
. La figure représente un point des cordons post
IVE. - Corne postérieure. La figure représente un point des cordons
postérieurs
sclérosés de la pièce précédente, mais la prépa
52-53 ont trait au tabès classique, avec lésions typiques des cordons
postérieurs
et proviennent d'un sujet ayant présenté l'évol
ach étant relativement peu altérés. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
u altérés. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure
postérieure
. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
ordon de Goll. Figure 56. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Cordons
postérieurs
. Coupe longitudinale pratiquée sur les cordons
Cordons postérieurs. Coupe longitudinale pratiquée sur les cordons
postérieurs
sclérosés et colorée au picro-carmin. On voit u
e de Pall. On y voit la lésion particulièrement intense à la partie
postérieure
des cordons posté- rieurs, et ayant envahi les
nt envahi les zones de Lissaüer. - A . Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure sclérosée. D. Sillon p
ssaüer. - A . Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
sclérosée. D. Sillon postérieur. E. Canal cen
B. Corne postérieure. C. Racine postérieure sclérosée. D. Sillon
postérieur
. E. Canal central. F. Sillon antérieur. G.
st altéré dans toute son étendue. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
n étendue. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure
postérieure
. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
. I. Zone antérieure de Westphal. J. Zone de L.issaüer. K. Zone
postérieure
de West- phal. L. Cordon de Goll. Les figur
our montrer le détail des lésions. .4. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Sillon postérieur. D. Commissure postérie
lésions. .4. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Sillon
postérieur
. D. Commissure postérieure. E. Commissure ant
eure. B. Corne postérieure. C. Sillon postérieur. D. Commissure
postérieure
. E. Commissure antérieure. F. Sillon antérieu
rieur. G-G. Zones de Lissaüer indemnes se confondant avec la zone
postérieure
des faisceaux de Bur- dach. J7. Zone antéro-e
midaux est très nettement dessinée. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
dessinée. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure
postérieure
. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
H. Partie fondamentale du fais- ceau antéro-latéral. J. Faisceau
postérieur
. J-J. Faisceaux pyramidaux sclé- rosés. PLA
s la zone des faisceaux pyramidaux. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
yramidaux. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure
postérieure
. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
.1'artie fondamentale des fais- ceaux antéro-latéraux. I. Cordons
postérieurs
. J-J. Faisceaux pyramidaux sclé- rosés. Fig
daux et les cornes anté- rieures. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racines postérieures. D. Sillon postérieu
rieures. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racines
postérieures
. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
ieure. B. Corne postérieure. C. Racines postérieures. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
e. C. Racines postérieures. D. Sillon postérieur. E. Commissure
postérieure
. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
l. Partie fondamentale des fais- ceaux antéro-latéraux. 1. Cordon
postérieur
. J-J. Faisceaux pyramidaux sclé- rosés. FIG
ntérieures de la substance grise. A. Corne antérieure. - B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
e grise. A. Corne antérieure. - B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
ieure. - B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure
postérieure
. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
II. Partie fondamentale du fais- ceau antéro-latéral. 1. Cordon
postérieur
. J-J. Faisceaux pyramidaux al- térés. ' Fig
loppement du manteau blanc de la moelle, et notamment des faisceaux
postérieurs
, et des faisceaux pyramidaux. Ces derniers n'exis
. A. Corne antérieure. a-a-a. Cellules ganglionnaires. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
a-a-a. Cellules ganglionnaires. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Canal central. F.
nnaires. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Canal central. F. Commissure grise. G.
A. Corne antérieure. a-a-a. Cellules ganglionnaires. B. Cornes
postérieures
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
a-a-a. Cellules ganglionnaires. B. Cornes postérieures. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Canal central. F.
aires. B. Cornes postérieures. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Canal central. F. Commissure antérieure.
tribution de la sclérose est beaucoup plus accentuée dans les cordons
postérieurs
que dans les faisceaux latéraux où elle occupe
petite zone du faisceau de Gowers. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
de Gowers. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure
postérieure
. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
olonne de Clarke altérée. K. Faisceau pyramidal altéré. L. Cordon
postérieur
altéré. M. Faisceau cérébelleux direct altéré
oduite, de plus, sur le schéma. - A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
schéma. - A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Commissure antérieu
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Commissure antérieure. F. Commissure post
. D. Sillon postérieur. E. Commissure antérieure. F. Commissure
postérieure
. G. Sillon antérieur. H. Cordon antérieur.
nforme aux descriptions classiques. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
lassiques. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Canal central. F.
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Canal central. F. Commissure postérieure.
térieure. D. Sillon postérieur. E. Canal central. F. Commissure
postérieure
. G. Sillon antérieur. IL Partie fondamentale
u pyramidal. K. Faisceau cérébelleux direct altéré. L. Faisceau
postérieur
altéré. Figure 74. MALADIE DE FRIEDREICH. Col
econdaire des faisceaux pyramidaux. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
yramidaux. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Sillon antérieur.
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Sillon antérieur. F. Commissure antérieur
eur. E. Sillon antérieur. F. Commissure antérieure. G. Faisceau
postérieur
. IL Partie non altérée du faisceau latéral. I
u différente que dans la figure 76. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
figure 76. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Sillon antérieur.
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Sillon antérieur. F. Commissure antérieur
rieur. E. Sillon antérieur. F. Commissure antérieure. G. Cordon
postérieur
. 11. Partie non altérée des faisceaux latéraux.
usées encore que dans la figure 76. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
figure 76. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Sillon antérieur.
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Sillon antérieur. F. Partie non altérée d
antérieur. F. Partie non altérée du faisceau latéral. G. Faisceau
postérieur
. IL Cavité pathologique. I. Commissure antéri
s parois aplaties de celle cavité. A. Corne antérieure. B. Racine
postérieure
. C. Sillon postérieur. D. Partie restante du
e cavité. A. Corne antérieure. B. Racine postérieure. C. Sillon
postérieur
. D. Partie restante du faisceau antéro-latéral.
térieur. D. Partie restante du faisceau antéro-latéral. E. Cordon
postérieur
. F. Faisceau pyramidal dégénéré. G-G. Cavité
nce manchon de substance nerveuse. A. Corne antérieure. B. Racine
postérieure
. C. Sillon postérieur. D. Sillon antérieur.
nerveuse. A. Corne antérieure. B. Racine postérieure. C. Sillon
postérieur
. D. Sillon antérieur. E. Cavité pathologique.
au carmin. Ici la cavité néoplasique s'est développée dans la corne
postérieure
droite qu'elle a complètement détruite. Une mas
euse solide se voit sous forme de tumeur proéminente dans le cordon
postérieur
. Il existe de plus une sclérose des cordons de
une sclérose des cordons de Goll. : 1. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. 0. Sillon postérieur.
de Goll. : 1. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. 0. Sillon postérieur. E. Commissure antérieu
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. 0. Sillon
postérieur
. E. Commissure antérieure. F. Sillon antérieu
ation nette des faisceaux blancs. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Cordon postérieur. D. Faisceau antérieur.
ux blancs. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Cordon
postérieur
. D. Faisceau antérieur. E. Faisceau latéral.
antérieur. E. Faisceau latéral. F. Sillon antérieur. G. Sillon
postérieur
. 77. Cavité centrale. 7. Paroi du âliome. J
ivement épargné la substance grise. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Faisceau antérieur. Û. Rariue postérieure
érieure. B. Corne postérieure. C. Faisceau antérieur. Û. Rariue
postérieure
. E. Sillon antérieur. 1-. Sillon postérieur.
térieur. Û. Rariue postérieure. E. Sillon antérieur. 1-. Sillon
postérieur
. G. Cordon postérieur sclérosé. H. Cavité cen
térieure. E. Sillon antérieur. 1-. Sillon postérieur. G. Cordon
postérieur
sclérosé. H. Cavité centrale. /. Paroi du gli
eaux pyramidaux directs et croisés. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
t croisés. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Canal central entou
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Canal central entouré d'un peu de tissu g
Canal central entouré d'un peu de tissu gliomateux. F. Commissure
postérieure
. G. Sillon antérieur. IL Processus réticulair
yramidaux est également manifeste. .1. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
anifeste. .1. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Sillon antérieur.
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Sillon antérieur. F. Faisceau cérébelleux
E. Sillon antérieur. F. Faisceau cérébelleux direct. n. Faisceau
postérieur
. Il. Cavité pathologique. 1". Substance du gl
par la méthode do - Pall. On y voit la tumeur située à la partie
postérieure
, d'un aspect cordiforme, gagnant la substance g
rdon latéral 1 qui gagne la région antérieure gauche. B-B. Cornes
postérieures
décapitées en partie par les cordons antérieurs
D. Substauce ;;rise centrale. E. Processus réticulaire. F. Sillon
postérieur
. G. Pyramide antérieure. 71. 'fumeur. Figur
s sont à peine reconnais- sables. A. Corne antérieure. B. Corne
postérieure
. C. Sillon antérieur. D. Sillon postérieur.
ntérieure. B. Corne postérieure. C. Sillon antérieur. D. Sillon
postérieur
. E. Faisceau latéral droit. F. Faisceau latér
rise, dont il ne reste que les extrémités des cornes antérieures et
postérieures
. A-A. Cornes antérieures. B-B. Cornes postéri
térieures et postérieures. A-A. Cornes antérieures. B-B. Cornes
postérieures
. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
s. A-A. Cornes antérieures. B-B. Cornes postérieures. C. Racine
postérieure
. D. Sillon postérieur. E. Sillon antérieur.
res. B-B. Cornes postérieures. C. Racine postérieure. D. Sillon
postérieur
. E. Sillon antérieur. F. Cordon antérieur.
térieur. F. Cordon antérieur. G. Faisceau latéral. Il. Faisceau
postérieur
. J. Tumeur. Les pièces de tumeur de la moelle
s nette- ment constaté chez les nouveau-nés, au niveau de la partie
postérieure
des cordons latéraux de la moelle et en dehors
es vertèbres inférieurs, en particulier celle des cerveaux moyen et
postérieur
, est le plus souvent beaucoup plus complexe que c
levée à l'aide d'un billot, qui embrasse par sa concavité la partie
postérieure
de la nuque, le cuir chevelu est incisé suivant
doit enlever d'un seul coup et jusqu'à l'occipital, toute la paroi
postérieure
du canal rachidien. La moelle entourée de sa dure
a alors la moelle perpendiculairement à son axe, au niveau de l'arc
postérieur
de l'atlas et, par ce procédé, la région cervic
e libre du noyau caudé. La section ne doit pas dépasser l'extrémité
postérieure
du sillon marginal supérieur de l'insula. On ag
e d'arrière en avant 3t de dedans en dehors, on rejoint l'extrémité
postérieure
de l'incision précédente, en suivant le bord po
'extrémité postérieure de l'incision précédente, en suivant le bord
postérieur
de l'espace perforé antérieur et le sillon marg
bord postérieur de l'espace perforé antérieur et le sillon marginal
postérieur
de l'insula. On opère de même sur l'autre hémis
nteau ne tient plus alors au tronc encéphalique que par les piliers
postérieurs
du trigone en arrière et la lame mince du septum
p, opercule. - Sik, scissure inter-hémisphé- riquo. - S(p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. Fig. 4. - Coupe de
la, circonvolutions antérieures de l'insula. - Ip, circonvolution
postérieure
de l'insula. - LF, lobe frontal. LT, lobe tempo
tte figure, la capsule interne, son genou, son segment antérieur et
postérieur
, ses rapports avec les ganglions de la base, y
corps calleux. L'hémisphère est ainsi divisé en trois segments : un
postérieur
compre- MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTR
partie correspondante de la protubérance. Les segments antérieur et
postérieur
sont placés jusqu'à durcissement dans le liquid
e fois durcies sont coupées au microtome, les segments antérieur et
postérieur
sont débités en séries dans le sens vertico-trans
ortantes modifications. Les ouvertures des extrémités antérieure et
postérieure
du canal encé- phalo-médullaire ; ne se présent
; ne se présentent pas sous le môme aspect : tandis que l'ouverture
postérieure
est très large et d'aspect losangique, l'ouvertur
sous les noms de vésicules encéphaliques antérieure, moyenne et
postérieure
, ou de première, deuxième et troisième vésicules
, à la région de l'aqueduc de Sylvius. La vésicule encé- phalique
postérieure
, à la protubérance annulaire, au cervelet et au
- PV, prévertèbros. - Sli, Sinus rhomboïdal, c'est-a-liro partio
postérieure
du canal médullaire largement ouvert et encadra
ur. - CI, cerveau intermé- diaire. CM, cerveau moyen. - CP, cerveau
postérieur
. - Ce, cervelet. - fch) fente clioroïdienne. -
- cule. I cule oculaire, avec la crête basilaire, et la branche
postérieure
avec la crête latérale (fig. 18). Au sur et à m
optique rudimentaire, un segment antérieur vasculaire et un segment
postérieur
non vasculaire. Dès qu'il s'est un peu allongé,
un mouvement de torsion sur son axe, de telle sorte que le segment
postérieur
de la vésicule oculaire, donne naissance à la p
lique par une partie rétrécie, comme étranglée, l'isthme du cerveau
postérieur
(Is) de His. Elle se caractérise surtout par l'am
- CI, cer- veau intermédiaire. - CM, cerveau moyen. - CP, cerveau
postérieur
. Ci\ cristallin.' - Fol, fossette olfactive. /M
cérébel- loux. - IN. inflexion de la nuque. z 13, isthme du corveau
postérieur
. - Loi, lobe ottactm. - m, moelle , épinière. -
ntérieure porte, dans la nomenclature de v. Baer, le nom de cerveau
postérieur
proprement dit, de quatrième vésicule cérébrale
t, de quatrième vésicule cérébrale ou de métencéphaloll (CP), et la
postérieure
celui d'arrière-cer- veau, de cinquième vésicul
itée de la troisième vésicule encéphalique, par l'isthme du cerveau
postérieur
de Bis i Is), elle est séparée de la partie pos
e du cerveau postérieur de Bis i Is), elle est séparée de la partie
postérieure
de la vésicule cérébrale antérieure primitive,
oïdienne ; en arrière elle forme la glande pinéale et la commissure
postérieure
. Sa paroi inférieure ou plancher, mince égaleme
es hémi- sphères. antérieure correspond au futur infundibulum, la
postérieure
aux futurs tubercules mamillaires (fig. 22).
sphères sont larges et glolmleuses dans leurs parties supérieure et
postérieure
, où elles sont séparées l'une de l'autre par to
n capuchon le cerveau intermédiaire, le cerveau moyen et le cerveau
postérieur
(fig. 21, 40, 44, 46, 66). Au niveau de leur in
otte. CI, cerveau intermédiaire. - CM, cer- veau moyen. CP, cerveau
postérieur
. CPo, courbure de la protubérance. Cst, corps str
ente en forme de selle. - Gp, glande pinéale. la, isthme du cerveau
postérieur
. - LA, lame alaire. - LF, lame fondamentale, -lt,
a, tubercule quadrijumeau antérieur. - Qp, tubercule qua- drijumeau
postérieur
. - rif, diverticule de l'infundibulum. - ro, rece
vise le tube encéphalique en deux segments, l'un antérieur, l'autre
postérieur
: le premier répond il la vésicule encéphalique a
cule encéphalique antérieure, le second il la vésicule encéphalique
postérieure
. L'angle de celte cour- bure, connue sous le no
base du cerveau intermédiaire devient parallèle à celle du cerveau
postérieur
proprement dit, dont elle est séparée par une f
millaires et par l'infundi- bulum du troisième ventricule; la lèvre
postérieure
, par la future protubé- rance annulaire. Le fon
au futur espace per- DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 73 3 foré
postérieur
et donne naissance il deux diverticules ou fosset
ettes; l'anté- rieur s'insinue entre les tubercules mamillaires, le
postérieur
formera un trou borgne, compris entre les futur
lle présentera dorénavant deux bords : l'angle antérieur et l'angle
postérieur
(fig. 23). L'angle posté- rieur, situé au voisi
térieur (fig. 23). L'angle posté- rieur, situé au voisinage du bord
postérieur
du cerveau moyen, correspond il la plus grande
du Dédoublement do la saillie du vertex en angle antérieur et
postérieur
. Fie. 23. - Embryon humain de 12,1 mm. de longu
yen.- CN, courbure de la nuque. - Co, cordon ombilical. - CP, cerveau
postérieur
. - Cav, courbure antérieure du vertex. - CPo. c
rieure du vertex. - CPo. courbure de la protubérance. - Cpv, courbure
postérieure
du vertex. CU, courbure unciformc. - fst. l'ent
ssette olfactive. -Gs, ganglions spinaux. . - Is, isthme du cerveau
postérieur
. - 11',lèyre rhomboïdale. - M, moelle. - .111, me
OMIE DES CENTRES NERVEUX. cerveau moyen, puis empiète sur la partie
postérieure
du cerveau inter- médiaire ; il s'ouvre au sur
cerveau inter- médiaire ; il s'ouvre au sur et à mesure que l'angle
postérieur
se ferme. De très bonne heure et pendant que le
aire. - CM, cerveau moyen. CA', courbure de la nuque. z CP, cerveau
postérieur
. - CPo, courbure de la protubérance. - jcli, fent
se- rotina. - fst, fente en forme de selle. - Is, isthme du cerveau
postérieur
. lr. lèvre rhomboïdale. Lola, lobe olfactif ant
courbure, le qua- trième ventricule s'élargit, la voûte du cerveau
postérieur
s'applique presque sur la voûte de l'arrière-ce
de l'arrière-cerveau (fig. 24), et les parties latérales du cerveau
postérieur
s'étirent en forme d'auricules, pour former les
u canal neural. ^Cavité de l'arrière- cerveau et du cer- veau
postérieur
. . Les commissures primitives restent minces pe
ente- longitudinale. Au niveau de Y arrière-cerveau et du cerveau
postérieur
(fig. 32), la cavité du canal encéphalique devi
alique devient prismatique, grâce à l'interposition entre les bords
postérieurs
de la moelle, de la membrane obturatrice du quatr
- ' mesurant 6,9 mm. (D'après W. His.) Fo, faisceau, ovalaire ou
postérieur
. LA, lame alaire. - LF, lame fondamentale. - Le,
ois pans. Mais cet aspect se perd plus haut, et l'isthme du cerveau
postérieur
comme le cerveau moyen, ne sont plus formés que
e par deux demi- cylindres, réunis par un bord antérieur et un bord
postérieur
saillants. La cavité circonscrite par le cervea
quadrijumeaux et à la calotte des pédoncules cérébraux; le cerveau
postérieur
, au cervelet et à la protubérance ; l'ARRiÊRE-c
ofonds, et deux latéraux beau- coup plus larges. Le sillon médian
postérieur
, de moitié moins profond que Y antérieur, prése
CL, corno latérale.- Fa, formation arlplée. - Fa, faisceau ovalairo
postérieur
. Le. lame épondyniairo. Lge, laine grise extern
s. Apparition du sillon médian antérieur. Torsion de la corne
postérieure
. La lame alaire est prismatique ; elle donne na
. La lame alaire est prismatique ; elle donne naissance il la corne
postérieure
et reçoit les terminaisons des racines des nerf
ière, un petit faisceau longitudinal, à section ovalaire, le cordon
postérieur
primitif ou cordon ovalaire de His (Fo), pre- m
e, à la colonne de Clarke, au pro- cessus eticulai.s et à la partie
postérieure
du cordon latéral (IIinterseitenstrang). Dans
rices, non plus directement en dehors, mais en avant; leur partie
postérieure
, connue sous le nom de corne latérale (CL), env
précèdent toujours dans leur évo- lution, les cornes et les cordons
postérieurs
. Les cornes postérieures sont , encore informes
leur évo- lution, les cornes et les cordons postérieurs. Les cornes
postérieures
sont , encore informes (fig. 26, 27, 28), alors
t déjà nettement accentuées. Vers la fin du deuxième mois, la corne
postérieure
subit un mouvement de torsion tel, que sa face do
stérieure subit un mouvement de torsion tel, que sa face dorsale ou
postérieure
devient interne; le cordon ovalaire ou postérieur
face dorsale ou postérieure devient interne; le cordon ovalaire ou
postérieur
, qui repré- sente le futur cordon de Burdach, l
rdon postéro-latéral. Fa, formation arquée. Fo, faisceau ovalaire
postérieur
? p,lame dpendymaire.- Lge, lamo grise externe.
sillon marginal. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 81 et la corne
postérieure
commence a se délimiter de sa portion cervicale.
e temps, se produisent des modifications importantes dans la partie
postérieure
du canal central. Celui-ci s'oblitère d'arrière [
arrière par une pointe droite, qui s'insinue entre les cor- Ions
postérieurs
et donne inser- tion à un cordon névroglique le
ostérieurs et donne inser- tion à un cordon névroglique le septum
postérieur
(fig. 30), lequel s'étend jusqu'à la surface de
rimée à ce niveau. Cette dépression corres- pond au sillon médian
postérieur
, lequel ne peut être comparé au sil- lon médi
eur ni embryolo- siquement,ni morphologi quement. Entre le septum
postérieur
et le faisceau ovalaire, apparaît le cor- don
aissent que fort tardivement. L'apparition le la commissure grise
postérieure
est également tardive, et concorde avec la di
tardive, et concorde avec la disparition complète du prolongement
postérieur
effilé du : anal central. L'évolution de la sub
ie embryonnaire; ils correspondent exactement au premier u Septum
postérieur
. Sillon médian pos- térieur. Cordon de Goll
Sillon médian pos- térieur. Cordon de Goll. Commissure gl'isG
postérieure
. j Renflements cer- vicaux et lombaires.
o-latéral. - Ce, canal central. - CL, corne late- rale. - CP, corne
postérieure
. - Fo, faisceau ova- laire postérieur. - Rm, ra
ne late- rale. - CP, corne postérieure. - Fo, faisceau ova- laire
postérieur
. - Rm, racine motrice. -Rs, racine sousitive. -
o-latéral. - Ce, ca- nal central. - CL, corne latérale. -CI', corne
postérieure
. - 1·G, faisceau de Goll. - Fo, faisceau ovalai
corne postérieure. - 1·G, faisceau de Goll. - Fo, faisceau ovalaire
postérieur
. - Le, lame épendymairc. - Ilm, racine motrice.
ombreuses anastomoses trans- versales puis les artères spi- nales
postérieures
. Ces deux systèmes artériels longitudinaux, d
rigent en arrière ci atteignent la ligne de pénétration des racines
postérieures
(iig. soj. . Les deux artères spinales antérieu
dian antérieur (fig. 28, 29, 30). L'apparition des artères spinales
postérieures
est plus tardive que celle des antérieures. Ell
. Apparition ulté- rieure des artères spinales antérieures et
postérieures
ou systèmes artériels longitudinaux. Fusion
ro-latéral. - FG, faisceau de Goll. - Fo (1,'B), faisceau on-alaire
postérieur
ou faisceau do Burdach. - Le. lame élxn<lyna
s et aux pyramides posté- rieures du bulbe. tration des racines
postérieures
, et se portent vers l'extrémité postérieure de
e. tration des racines postérieures, et se portent vers l'extrémité
postérieure
de l'artère du sillon médian antérieur. Les a
de même que les artères radiées, destinées aux parties latérales et
postérieures
de la moelle; elles ne se mon- trent guère avan
y. Histo- .. 4 genèse, p. 138 et suiv.). 2. VÉSICULE ENCÉPHALIQUE
POSTÉRIEURE
PRIMITIVE Cerveau rhomboïdal (Hautcnhirn, His).
RIEURE PRIMITIVE Cerveau rhomboïdal (Hautcnhirn, His). Le cerveau
postérieur
et Y arrière-cerveau, qui procèdent de la troisiè
t se réunissent à angle très aigu, au niveau de l'isthme du cerveau
postérieur
; ils donnent naissance aux hémisphères cérébel
opposé; elle donne naissance aux corps restiformes et aux pyramides
postérieures
du bulbe. Chez l'embryon du deuxième mois, l'an
ourbure du pont apparaît (fig. 18, 22, 23, 34), la voûte du cerveau
postérieur
s'applique peu à peu sur la voûte de l'arrière-ce
er- ..., veau; la partie supérieure ou protubérantielle, au cerveau
postérieur
pro- .. prement dit. Un sillon profond, médian
: i FlG. 31. -Coupe transversale do la vésicule encépha- lique
postérieure
primitive d'un embryon humain de 10mm,2 âgé d'e
e semaines et demie. (D'après W. His.) Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - Fs, faisceau soli- taire. LA, lame alaire. -
uche grise de la . substance réticulée. Faisceau longitu- dinal
postérieur
' et formation blanche ré- ticulée. 1 Lame
f de His (primâre Vorderstrangfeld), le futur faisceau longitudinal
postérieur
de la calotte, l'homologue du cordon antérieur de
tre semaines et demie. (D'après W. His.) Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. Fs, faisceau solitaire. - LA, lame alaire. - t
iron cinq semaines. (D'après \V. His.) Plp, faisceau longitudinal
postérieur
. Fs, faisceau solitaire. LA, lamo alaire. (r. lèv
fovea poster·ior· du plancher du quatrième ventricule; la fossette
postérieure
correspond assez exactement à l'aile grise. b
le, et se termine enfin en pointe au-dessous de l'isthme du cerveau
postérieur
. Le sillon labial externe ne représente au nive
viron cinq semaines. (D'après W. His.) Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - Fs, faisceau solitaire. LA, lame alaire. LF, l
nter-olivaire. - Crst, corps restiforme. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - Fs, faisceau solitaire. - LA, lame alaire. l
phale d'un em- bryon humain d'environ trois mois, vus par la face
postérieure
. (Dessiné d'après nature.) AC, arrièrc-cervea
de la moelle. Sih, sillon inter-hémispberiquo. - smp, sillon médian
postérieur
. - sp, sillons primitifs. st, sillon transverse
e région enfin, à cheval sur les deux faces, correspond à la partie
postérieure
des hémisphères et des vermis. Au niveau des hé
lie les deux lobes semi-lunaires supérieurs, ainsi que le tubercule
postérieur
(tuber valvuhe), qui relie les deux lobes semi-
brane obturatrice (fig. 20, ob). Au niveau de l'isthme du cerveau
postérieur
, la lame alaire donne nais- sance aux pédoncule
ne possèdent que le système des fibres de la calotte. Le cerveau
postérieur
et l'arrière-cerveau donnent naissance à neuf p
e du cordon ganglion- naire, lequel donne de chaque côté du cerveau
postérieur
et de l'arrière- cerveau, trois ganglions dont
rf vestibulaire, et le ganglion déni- culé du facial. Le ganglion
postérieur
se subdivise de très bonne heure, et donne nais
lons de Monro. Le plancher du cerveau moyen, comme celui du cerveau
postérieur
et de l'arrière-cerveau, donne naissance aux fi
melle interpédonculaire, connue sous le nom de substance per- forée
postérieure
et qui fait partie du plancher du troisième ventr
8. Encéphale d'un embryon humain d'environ trois mois, vu par la face
postérieure
après ablation des hémisphères cérébraux, de la
iaire. - CM, cerveau moyen. CP, cerveau postél'icul ? cop, commissure
postérieure
. - Op, glande pinéale, HCe, hémisphères ce]-ebc
es ce]-ebcHcux.7,innexiou de la protubérance. A-, isthme du cerveau
postérieur
. DI, moelle épinière. Th, thalamus. tUI, tænia th
uadrijumeaux supérieurs et inférieurs, appelés encore antérieurs et
postérieurs
. La partie adjacente au cerveau intermédiaire,
quadrijumeau antérieur et du pulvinar. . Le tubercule quadrijumeau
postérieur
fournit le ruban de Reil latéral, ou faisceau t
'isthme de l'encéphale, ainsi que le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. - Très volumineux au début, où il occupe le po
stitution du ruban de Reil. Le ganglion du tubercule quadrijumeau
postérieur
, dont les libres entrent également dans la cons
és. Ce ganglion forme chez les mammifères le tubercule quadrijumeau
postérieur
, dont les dimensions égalent à peu près celles
les poissons et les oiseaux, le ganglion du tubercule quadrijumeau
postérieur
se réduit à une mince lamelle grise, qui occupe
meaux antérieurs avec le ncrf optique. Tubercule quadri- jumeau
postérieur
. 96 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Face extern
t. Dans la lig. ,t0, la paroi latérale droite des cerveaux moyen et
postérieur
a été enlevée pour montrer l'aqueduc de Sylvius,
vée pour montrer l'aqueduc de Sylvius, l'isthme du ? ." , " ! cerveau
postérieur
et le 4" ventricule. AC, arrière-cerveau. AqS,
rieur. - CI, cerveau intermédiaire.CM, cerveau moyen. CP, cerveau ,
postérieur
. cop, commissure postérieure. Cu, lame du cervele
diaire.CM, cerveau moyen. CP, cerveau , postérieur. cop, commissure
postérieure
. Cu, lame du cervelet. 7 ? BC. face interne de l'
otte. - CI, cerveau intermédiaire. CM, cerveau moyen. - CP, cerveau
postérieur
. - Cst, corps strié. - Fi, fossotte inter- pédo
glande pinéale. - HC, hémisphères cérébraux. - LS, isthme du cerveau
postérieur
. - Lola, lobe olfactit antérieur. - Lolp, lobe
postérieur. - Lola, lobe olfactit antérieur. - Lolp, lobe olfactif
postérieur
. - lt, lame terminale embryonnaire. Pch, pli chor
culaire subit par la suite d'importantes modi- fications. La partie
postérieure
de la lame alaire, ou partie rétro-lhala- mique
sale, le TOI'us inlermedius de His, qui fait saillie dans la partie
postérieure
du troisième ventricule, de telle sorte que l'a
ps pituitaire. - Lola, lobo olfactif antérieur. Lolp, lobo olfactif
postérieur
. - lt, lame terminale embryonnaire. - NI, nerf ol
l'infundibulum. - saa, sillon arqué antérieur. - sap, sillon arque
postérieur
. -sh, sillon do l'habenula. s.11, sillon de Monro
- CI, cerveau intermédiaire. - CM, cerveau moyen. - cop, commissure
postérieure
. - CP, cerveau postérieur. - Cv, lame du cervel
- CM, cerveau moyen. - cop, commissure postérieure. - CP, cerveau
postérieur
. - Cv, lame du cervelet. - (si, fente en forme
u- ]um. IP, inflexion de la protubérance. - IS, isthme du cerveau
postérieur
. - l ! "lame terminale embryon- uaire. - ob, oh
ectiligne, mais affecte la forme d'une ligne brisée dont le segment
postérieur
, presque vertical, forme la lèvre antérieure de
a vie intra-utérine, puis rapidement aigu (fig. 43, 44). Le segment
postérieur
ou mamillaire, donne naissance à la substance per
perforée posté- - rieure, aux tubercules mamillaires et à la partie
postérieure
du tuber cine- .i Le plancher du cer- veau
de ce plancher. A Formations qui duo- pendent du segment t
postérieur
. Fig. 44. - Coupe vertico-médiane de l'encéphal
protubérance. - Lola,lobo olfactif antérieur. - Lôlp, lobe olfactif
postérieur
. M, moelle. - ob, obex. - Po, protubérance. - Qa,
Qa, tu- bercule quadrijumeau antérieur. Qp, tubercule quadrijumeau
postérieur
. Ry, recessus geniculi. rif, recessus de l'infu
ber cinereum,. il donne ainsi naissance à deux diverticules dont le
postérieur
constitue l'infundibulum, et l'antérieur le div
térieur, de même que la plus grande partie de la substance perforée
postérieure
, appartient au plancher du cerveau moyen. Le pl
t le développement présente des particularités curieuses : son lobe
postérieur
n'est autre que le diverticule de l'infundibulu
bulum, il en est distinct chez les poissons, chez lesquels la paroi
postérieure
de l'infun- DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 1
, et qui divise la paroi supérieure en deux parties inégales, l'une
postérieure
, l'autre antérieure. - La partie postérieure
ties inégales, l'une postérieure, l'autre antérieure. - La partie
postérieure
ou rétro-pinéale est petite et forme la commissur
rtie postérieure ou rétro-pinéale est petite et forme la commissure
postérieure
; ses fibres apparaissent de bonne heure, et relie
enti) que lui a donné Pawlowsky. Embryologiduement, la commis- sure
postérieure
n'est pas l'équivalent des autres commissures du
n de la pa- roi supérieure en deux parties inéga- les. Partie
postérieure
ou rétro-pinéale et formations qui en dé- p
a paroi antérieure se continue avec la toile choroïdienne, sa paroi
postérieure
avec la lame nerveuse qui " donne naissance à l
érieure avec la lame nerveuse qui " donne naissance à la commissure
postérieure
. Chez les mammifères et en particulier chez l'h
développe que beaucoup plus tardivement, en même temps que le lobe
postérieur
ou occi- pital, et représente un diverticule de
divise la paroi interne en deux régions, l'une antérieure, l'autre
postérieure
; la région antérieure ou préthalamique est vert
rieur située enlavant du trou de Monro (fig. 41, 42, 44). La région
postérieure
ou thalazizique correspond à la lame falciforme d
plis font saillie dans la cavité ventriculaire; ils partent du bord
postérieur
du trou de Monro, et se portent en bas vers l'ext
urche), de sillon marginal (Randfurche, Arnold), ou de sillon arqué
postérieur
de His (hintere Bogenfurche) (fig. 42, sap) ; le
en une partie antérieure, le lobe olfactif antérieur, et une partie
postérieure
, le lobe olfactif postérieur. Pro- fond à son o
obe olfactif antérieur, et une partie postérieure, le lobe olfactif
postérieur
. Pro- fond à son origine, le sillon arqué antér
optique. ep, cerveau antérieur. - um, cerveau moyen. - CP, cerveau
postérieur
. - CStr, corps strié. - FiCp, face interne des ci
obe occipital. - Lola, lobe olfactif antérieur. - Lolp, lobe olfactif
postérieur
. z LP, lobe pariétal. - LT, lobe temporal. It,
paroi interne, en deux parties inégales : l'une antérieure, l'autre
postérieure
. La partie antérieure, la plus étendue, donnera
ra naissance aux circonvolutions cérébrales de la région. La partie
postérieure
, plus étroite, est comprise entre le sillon arqué
pézoïde de His (Area tra- pezoïdes), et appartient au lobe olfactif
postérieur
(fig. 41, 42, 44). La lame terminale embryonnai
avant (fig. 42). Lobes olfactifs. Les lobes olfactifs antérieur et
postérieur
, sont creux au début et leur cavité forme le pl
obe olfactif antérieur se recourbe en arrière et forme avec le lobe
postérieur
, un fer à cheval dont la convexité regarde en ava
PEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 109 se place au-dessous du lobe olfactif
postérieur
vers. la fin du deuxième mois (fig. 51); à mesu
lfactif en avant et le sépare du gyrus fornicatus. Le lobe olfactif
postérieur
(fig. 7, u9), compris entre l'incisura prima de
fissura prima. Lola, lobe olfactif antérieur. - Lolp, lobe olfactif
postérieur
. - li, lame ter- minale embryonnaire. - NI, ner
(Voy. structure de l'écorce cérébrale). La cavité du lobe olfactif
postérieur
s'ouvre largement au début dans la corne fronta
actif; on peut lui consi- dérer avec His, trois segments qui sont :
postérieur
, moyen et antérieur. Le . segment postérieur, c
is segments qui sont : postérieur, moyen et antérieur. Le . segment
postérieur
, correspond au sillon qui prolonge la fosse sylvi
laire. Le segment moyen, le plus large, correspond au lobe olfactif
postérieur
dont il rétrécit la cavité; le segment antérieu
t convexe dans le sens transversal, et ses extrémités antérieure et
postérieure
atteignent la base du cerveau antérieur (fig. 4
eignent la base du cerveau antérieur (fig. 48 et 51). L'extrémité
postérieure
ou thalamique est aplatie latéralement; un sill
, corps strié. - Lola, lobo olfactif antérieur. - Lolp, lobe olfactif
postérieur
. - It, lame terminale embryouuaire. - Po, pédon
artie soit le recessus op- tique, soit la cavité du lobe olfactif
postérieur
, et répond aux segments moycn et pos- térieur
ra prima; elle sépare le lobe olfactif antérieur du lobe olfactif
postérieur
, et ce rapport persiste chez l'adulte, où cet
lobe pariota].TLo/ff, ! obc olfactif antérieur. Lolp, lobe olfactif
postérieur
. -jVl, nerf olfactif. - PO. pédicule optique. v
antérieur. C'est par cet espace que passeront les libres du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) pour se rendre au p
intime, ainsi que nous l'avons vu plus haut, avec le lobe olfactif
postérieur
ou substance perforée antérieure. L'extrémité p
e olfactif postérieur ou substance perforée antérieure. L'extrémité
postérieure
ou temporale du noyau caudé, en constitue la qu
prérolandique supérieur. - R, scissurede Rolande sap. sillon arqué
postérieur
. - Sih, scissure inter-hémisphérique. - SI, sep
ue. - SI, septum lucidum. ssl, sillon semi-lunaire. - S(p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - Sss, surface sutur
e, ttenia tecta. - 7'</, corps du trigone cérébral. T,9p, pilier
postérieur
du trigone. - Th, tha- lamus. - V3, troisième v
s montrent les diffé- rences que présentent les segments antérieur,
postérieur
et retro-lenticulaire de la cap- sule interne;
t retro-lenticulaire de la cap- sule interne; les fibres du segment
postérieur
passent parle sillon semi-lunaire, par conséque
ire. Cia, segment antérieur de la capsule interne. Cip (ss( segment
postérieur
de la capsule interne passant par le sillon semi-
- CM, cerveau moyen. coa, commissure antérieure. - cop, commissure
postérieure
. -- Cst, corps strié ? FC, écorce cérébrale. - Fi
Pttl, pulvinar. - saa, sillon arqué antérieur. - sap, sillon arqué
postérieur
. - Sih, scissure interhémisphérique. - SI, Septum
c, ttenia tecta. - 1'ga, pilier antérieur du trigone. - 7'u. pilier
postérieur
du trigone. - Th, thalamus. TM, trou de Monro. -
rébral, se portent en bas et en dedans, et constituent le seg- ment
postérieur
ou lezztic2clo-oyliue de la capsule interne (Cip)
compris entre le sillon choroïdien et le sillon ammonique ou arqué
postérieur
, s'étend de l'extrémité antérieure du lobe temp
l de Schmidt. po, scissuro pariéto- occipitale. - sap, sillon arqué
postérieur
. SI, septum lucidum. - T, lobe temporal. Tp, tr
al. Tp, trigone. - Typo, pilier antérieur du trigone. - Tgp, pilier
postérieur
du trigone. - ? 7t+7'A, thalamus et région sous
de pmeaie, les Hures au trigone U1 Vert;elH ellUnllellC les piliers
postérieurs
du trigone, dont les fibres entrent en connexion
es fibres entrent en connexion avec . la corne d'Ammon. Les piliers
postérieurs
limitent le lobe sphénuïdal en dedans; ils sont
i- théliale; celle-ci s'insère, d'une part, au corps et aux piliers
postérieurs
du trigone, et d'autre part, à la couche optiqu
es latéraux, décrivent une courbe autour de la partie supérieure et
postérieure
du noyau caudé. Ils ne dépas- sent pas le trou
eau, le tronc du corps calleux se termine en pointe et forme un bec
postérieur
, mince et effilé, très analogue au bec an- téri
stérieur, mince et effilé, très analogue au bec an- térieur. Le bec
postérieur
donne insertion au fornix transverse, s'enroule
us le nom de bourrelet ou splénium. Le trigone s'applique à la face
postérieure
i Rapports des plexus choroïdes avec la c
m s'insinue alors entre ces deux organes et peut atteindre le genou
postérieur
, séparant ainsi le bec postérieur du tronc du c
rganes et peut atteindre le genou postérieur, séparant ainsi le bec
postérieur
du tronc du corps calleux. Ce fait, peu commun ch
nc, en résumé, qu'une formation fort tardive; son développement est
postérieur
à celui des fibres du trigone cérébral et de la
à la paroi externe de l'hémisphère, et le sillon ammonique ou arqué
postérieur
, à la paroi interne. Scissures et circonvolut
l'hémisphère. Le sillon ammonique, sillon marginal ou sillon arqué
postérieur
, apparaît vers le deuxième mois de la vie embryon
lobe lingual. - Lala, lobe olfactif antérieur. - Lolp, lobe olfactif
postérieur
. - It, lame terminale embryonnaire. - ? itri, c
um lucidum. - so, sillon sus-orbitaire. - Tg, trigone. - T(Ip, pilier
postérieur
du trigone. - U, uncus. DÉVELOPPEMENT DU SYST
be pariétal, par les plis de passage pariéto-limbiques antérieur et
postérieur
; le cuneus, par un pli profond mais constant, le
affecte la forme d'un arc vertical, dont les segments antérieur et
postérieur
, circonscrivent DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEU
issure de Sylvius, qui devient la branche antérieure, et le segment
postérieur
plus long, qui devient la branche postérieure o
érieure, et le segment postérieur plus long, qui devient la branche
postérieure
ou horizontale de cette scissure. L'opercule fe
erme peu à peu vers les septième et huitiè- me mois, la branche
postérieure
et la bran- che antérieure de la scissure de
de son développement, en sillon marginal anté- rieur, supérieur et
postérieur
. Un sillon oblique en haut et en arrière, le ,
llon de ou sillon insulaire, divise l'insula en deux parties, l'une
postérieure
ou temporale, qui forme la circonvolution postéri
arties, l'une postérieure ou temporale, qui forme la circonvolution
postérieure
de l'in- sula, l'autre antérieure triangulaire,
branche antérieure de la scissuro de Sylvius. - '<;(p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. 130 ANATOMIE DES C
(a), branche antérieure de la scissure de Sylvius. - S(p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - T, lobe temporal.
férieure se subdivise en deux parties : l'une antérieure, l'autre
postérieure
. La partie antérieure entoure la branche postér
ure, l'autre postérieure. La partie antérieure entoure la branche
postérieure
de la scissure sylvienne, et se con tinue ave
lobe temporal en formant le gyrus marginal supé- rieur; la partie
postérieure
con- tourne la branche verticale de la scissu
e externe, par trois circonvolutions parallèles à direction antéro-
postérieure
: les première, deuxième et troisième circonvolut
prérolandique supérieur. - R, scissure de Rolando. - S(p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - Sih, scissure inte
neuroblastes, et leur migration dans les couches plus externes, est
postérieure
à la formation du myelospongium. Comme il a été
ouche grise externe n'est pas partout la même. Large dans sa partie
postérieure
, elle s'amincit dans sa partie moyenne, puis s'
représente les premiers rudiments de la corne antérieure; la partie
postérieure
, don- nera naissance à la substance grise de la
e postérieure, don- nera naissance à la substance grise de la corne
postérieure
, et la mince pièce intermédiaire, au col de la
ne postérieure, et la mince pièce intermédiaire, au col de la corne
postérieure
. Les neuroblastes de la corne postérieure, envo
iaire, au col de la corne postérieure. Les neuroblastes de la corne
postérieure
, envoient pour la plupart leur Sou développe- z
corno posté- rieure forment les fi- bres arquées et les libres
postérieures
des cordons latéraux cylindre-axe dans les ré
ron et mesurant Gmm,9. (D'après W. His.) ro, faisceau ovalairc ou
postérieur
. - LA, lame alaire. - LF, lame fondamentales Le,
du sillon.-tlspa, artère spinale antérieure. - lspp, artère spinale
postérieure
. - CL, corne- latérale. - p'a; formation arquée.
, corne- latérale. - p'a; formation arquée. - ro, faisceau ovalaire
postérieur
. - Le, lame épendymaires. - Lge, lame grise ext
ale distance du sillon collatéral antérieur et du sillon collatéral
postérieur
; elle est située, par conséquent, en arrière de
lupart se bifurquent et forment un faisceau longitudinal, le cordon
postérieur
primitif; sur des Chaîne ganglion- z naire du
rtébrés supérieurs. Fibres centrales des ganglioblastes. Cordon
postérieur
primitif. Fi(;. 86. - Celltiles et groupes de
d'un embryon de poulet de 15 jours. (D'après R. y Cajal.) A, racine
postérieure
. - B, racine antérieure. - C, rameau postérieur d
Cajal.) A, racine postérieure. - B, racine antérieure. - C, rameau
postérieur
de la paire rachidienne. - D, rameau antérieur
es s'éparpillent en effet bientôt après leur entrée dans le cerveau
postérieur
. Le nerf de Wrisberg par ;ontre, formé par les
cine caudale du ta- cial. Noyaux do termi- naison des racines
postérieures
. Fibres périphéri- ques et tronc des nerfs
ngements, qui, gagnant les scissures longitudi- nales antérieure et
postérieure
, allaient jusqu'à la pie-mère. Vignal, à l'aide
llules épendymaires du voisinage des sillons mé- dians antérieur et
postérieur
de la moelle présentent à noter quelques partic
antérieures. loi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cône épendymaire
postérieur
. 1 Faisceau épcndy- mairc antérieur. Sillon
ymaire postérieur. 1 Faisceau épcndy- mairc antérieur. Sillon
postérieur
et sa signification. 1 1 Apparition des c
cellules épendymaires donnent naissance à un petit cône épendymaire
postérieur
(Retzius), insigni- fiant, qui s'étend du canal
. 26 à 30). Les prolongements des cellules épendymaires du segment,
postérieur
de la lame alaire, qui limitent en arrière le c
réunis- sent en un épais faisceau sagittal, le faisceau épendymaire
postérieur
, ou septum postérieur, qui atteint la périphéri
is faisceau sagittal, le faisceau épendymaire postérieur, ou septum
postérieur
, qui atteint la périphérie de la moelle, et que l
éré comme d'origine pie-mérienne. L'origine pie- mérienne du septum
postérieur
n'est plus soufenable aujourd'hui. Il ne se for
scissure médiane analogue à celle du plancher; le soi-disant sillon
postérieur
n'atteint pas, comme on l'a enseigné pendant lo
qui n'est guère plus profond que le sillon d'émergence des racines
postérieures
(fig. 90). Les cellules épendymaires de la régi
ionnée, région qui correspond à celle des futures cornes et cordons
postérieurs
, perdent nécessairement leurs connexions avec l
latérale de la moelle, celle qui correspond à la corne et au cordon
postérieurs
, est dépourvue de filaments épendymaires.(v. Leu-
e (v. Lenhossek) ; les prolongements des cellules araignées géantes
postérieures
s'irradient profondément dans les cordons posté
nées géantes postérieures s'irradient profondément dans les cordons
postérieurs
. p. - Les cellules araignées de la corne antéri
ules épendymaires se transforment, après l'oc- clusion de la partie
postérieure
du canal central, en cellules araignées de Deit
ieure. Cellules araignées du voisinage do la commissure grise
postérieure
. 1;i8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules
. Cellules névrogli- ques superficielles. l'a montré, le septum
postérieur
comme centre de rayonnement (fig. 90). Les prol
us des courbes à peu près parallèles à la ligne qui sépare la corne
postérieure
du cordon postérieur, et se terminent à la supe
rès parallèles à la ligne qui sépare la corne postérieure du cordon
postérieur
, et se terminent à la superficie de la moelle san
un nerf sensitif, la branche centrale avec une fibre radi- culaire
postérieure
. Les cellules du ganglion auditif (ganglion spira
ncs de la moelle , que ces cylindres-axes appartiennent aux racines
postérieures
(c'est-à-dire aux cellules des ganglions rachid
chat de deux jours montrant toutes les collatérales. La commissure
postérieure
est formée par un seul faisceau. Méthode rapide
oyait Golgi, dans la sub- stance gélatineuse de Rolando et la corne
postérieure
, mais se trouvent disséminées dans toute l'éten
se dirige vers la moelle et se continue avec une fibre radiculaire
postérieure
, dont l'autre se dirige vers la périphérie pour
aux. FIG. 108. - Cellule nerveuse cylindre- axe court de la corne
postérieure
de la moelle lombaire d'un embryon de vache d
e rapide do Golgi. (D'après v. Gehuchten.) Les libres des racines
postérieures
se bifurquent sous un angle obtus et les deux b
es qui en proviennent de- viennent fibres constitutives des cordons
postérieurs
. La fibre a, avant de se bifurquer, émet une br
de Gerlacla, donnait naissance dans la moelle épinière aux racines
postérieures
, et recevait les dendrites rami- iiées des cell
ures, et recevait les dendrites rami- iiées des cellules des cornes
postérieures
d'une part et des cellules des cornes antérieur
h, en tout comparable à un réseau capillaire, dans lequel la racine
postérieure
représentait l'artère et la racine antérieure la
vieille . date, on observe un certain degré d'atrophie des racines
postérieures
et du cordon postérieur correspondant, ainsi qu
e un certain degré d'atrophie des racines postérieures et du cordon
postérieur
correspondant, ainsi qu'une diminution du nombre
i qu'une diminution du nombre des cellules des cornes antérieure et
postérieure
du même côté, tous phéno- mènes qui sont d'auta
éral du ventricule, ainsi qu'au niveau des extrémités antérieure et
postérieure
de ses cornes frontale et occipitale. La substa
isième ventricule et en particu- lier au voisinage de la commissure
postérieure
, les cellules épendymaires sont disposées, d'ap
des prolon- gements qui forment les cônes épendymaires antérieur et
postérieur
de Retzius (fig. 90, p. 153). 2° Les cellules
{a ! )\ierc)tcxfes ^poissons. continue avec une fibre des racines
postérieures
de la moelle, tandis que l'autre se porte à la
e, c'cst-a-diro celle qui entre dans la consti- tution d'une racine
postérieure
. Le cylindre-axe de la fibre périphérique est b
ellulai- rcs. contestée. L'étude de la dégénérescence des racines
postérieures
, après leur section en dedans ou en dehors du g
t en arrière toute l'épaisseur de la moelle et entre dans la racine
postérieure
, où on peut le poursuivre au delà du ganglion s
hale, développés aux dépens de la vési- cule encéphalique primitive
postérieure
(Cerveau rhomboïdal), sont situés à la partie i
érieure (Cerveau rhomboïdal), sont situés à la partie inférieure et
postérieure
de l'encéphale. , Le cervelet occupe les fosses
les fosses occipitales inférieures; il est recouvert par la partie
postérieure
du cerveau, dont il est séparé par une fente prof
ps calleux se recourbe en bas à sa partie antérieure et à sa partie
postérieure
(fig. 151). En avant il forme le genou (Cc[g])
ure de 2,5 il 3 centimètres; elle est moins étendue que l'extrémité
postérieure
, et sépare complètement les lobes frontaux dans
ètement les lobes frontaux dans leur moitié antérieure. L'extrémité
postérieure
de la grande scissure inter-hémisphérique mesur
parito-limbique antérieur. - aplp, pli de passage parioto-limbique
postérieur
. - R, scissure de Rolando. - sec, sinus du corps
s, deux bords et deux extrémités. Les extrémités sont antérieure et
postérieure
, les bords sont t. supérieurs et inléro-externe
7eae' ? '/eMeou/e/)'OM/a/ répond à la fosse frontale, l'extré- mité
postérieure
oulole occipital, à la fosse occipitale supérieur
phère en deux parties inégales, l'une antérieure, frontale, l'autre
postérieure
, sphéno-occipitale La partie anté- rieure de la
misphérique. - Spa, espace perforé antérieur. - Spp, espace perforé
postérieur
. - Ti, T., T'a, première, deuxième et troisième c
ieure de l'insula. - io. sillon inter-occipital. - Ip, circonvolution
postérieure
de l'in- sula. - ip, sillon inter-pariétal. - i
lon calloso-marginal. - cola, commissure antérieure. -cop, commissure
postérieure
. Fus, lobule fusiforme. - Il, circonvolution de
,) du gyrus supra-marginalis (Gsm). Le bord supérieur de la branche
postérieure
de la scissure de Sylvius présente au niveau du
le lobe tempo- ral au lobe pariétal an niveau de l'extré- mité
postérieure
de la scissure de Syl U vins. Scissure de R
a]), une branche verticale ascendante (S [v]) et une grande branche
postérieure
(S [p]). La branche horizontale antérieure (S [
tinue dans le lobe frontal la direction de la branche horizon- tale
postérieure
; très profonde, elle comprend toute l'épaisseur
ntérieure, se dirige en haut et en avant, et pénètre dans la partie
postérieure
de la troisième circonvolution fron- tale (F,).
prise entre la branche horizontale antérieure (S [aj) et la branche
postérieure
(S pl), porte le nom d'opercule; (fig. 150, 1go
lobes temporal et pariétal s'anastomosent au niveau de l'extrémité
postérieure
de la scissure de Sylvius par des plis de passage
on pariétale ascendante de circon- volution rolandique, ou centrale
postérieure
(Pa). L'extrémité supérieure de la scissure de
le d'Ecker (po) (fig. 150, 159, 161- à 1G91, à cheval sur la partie
postérieure
du bord supérieur de l'hémisphère, sépare le lo
- la, circonvolutions antérieures de l'insula.- Ip, circonvolution
postérieure
de l'insnla. - ip, sillon inter-pariétal.-P,, P
en bas dans l'angle que forment la branche verticale et la branche
postérieure
de la scissure de Sylvius, dont il est toujours s
R, scissure de Rolando. - S(a), branche antérieure. - Ses), branche
postérieure
. - S(v), branche verticale de la scissure de Sylv
- S'(1», éperon inférieur. - S"(N), éperon supérieur de la branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - soe, sillon orbita
troisième circonvolution avec la première en fournit le contingent
postérieur
. La moitié externe du lobule orbitaire est quel
plis verticaux de (lromier. - R, scissure de Rolando. S(p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvitis. - S(v), branche ver
n origine elle se porte transversalement en dehors, forme la limite
postérieure
du lo- bule orbitaire (oF3), se ré- fléchit s
, et verticale, ascendante (S[v]) de cette scissure, et' une partie
postérieure
, le pied ou partie operculaire (Op F 3)' situé en
mbrasse l'extrémité externe du sillon fronto-marginal (fm). Le bord
postérieur
de la partie orbitaire est longé par la «racine
. - ic, incisure du cap. - io, sillon inter-occipital. - lp, insula
postérieur
. ip, sillon inter.-pariétal. - ipo, incisure pr
, sillon inter-occipital. - ic, incisure du cap. - tp, circonvolution
postérieure
de l'insula. ip, sillon inter-pariétal. - ipo,
de la scissure de Rolando, et se termine au- ' dessus de la branche
postérieure
de la scissure de Sylvius, en s'anasto- z mosan
forme l'opercule rolandique (OpR) et recouvre les circonvo- lutions
postérieures
de l'insula (Ip). Deux incisures de la scissure d
les.. ,. La circonvolution pariétale ascendante (Pa) forme la lèvre
postérieure
de la scissure de Rolando, son bord postérieur
(Pa) forme la lèvre postérieure de la scissure de Rolando, son bord
postérieur
donne insertion aux circon- volitions pariétale
sure de Sylvius. S(a), S(p), Sv), branches antérieure, verticale et
postérieure
de la scissure tle Sylvius. - T,, T., première et
elles sont constituées parla scissure de Rolando (R) et la branche
postérieure
de la scissure de Sylvius (S [p]). Elles sont c
les, en arrière de la scissure de Sylvius et au niveau de la partie
postérieure
de ce lobe, où il s'anastomose largement avec l
te (]la).- Synonymie. Processi enlcooidei vertical di mezzo (partie
postérieure
) (Rolando). - Deuxième pli ascendant (Gratiolet).
de la scissure de Rolando. Elle se continue en bas, avec la partie
postérieure
du pli de passage fronto-pariétal inférieur et
a circonvolution pariétale ascendante ('a), au-dessus de la branche
postérieure
de la scissure de Sylvius (SIl se dirige d'abord
ale ascendante MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 20.'i dont il longe le bord
postérieur
; puis il décrit une grande courbure il . concav
ompt scissure de Rolando. - R, scissure de Rolando. - S(p), branche
postérieure
delà scissure de Sylvius; S'(p), son éperon infér
a. - la, insula antérieur. - io, sillon intcr-occipital. - Ip, insula
postérieur
. - ip, sillon inter-pariétal. - ipo, incisure p
m) de Gratiolet ou premier pli de passage pariéto-temporal, l'autre
postérieure
, le pli courbe (Pc). Première circonvolution pa
pli de passage pariéto-temporal de Broca, qui contourne l'extrémité
postérieure
de la scissure de Sylvius. - Celle partie antér
NERVEUX. ]li courbe. médiaire de Jensen, puis coiffe l'extrémité
postérieure
du sillon paral- - - lèle (t,), en décrivant un
'Ecker, ou deuxième pli de passage priéto-tem2oral de Broca. L'anse
postérieure
, se jette sur la deuxième circonvolution occipita
sa branche antérieure; S(v), sa brandie verticale; S(p), sa branche
postérieure
. - Tp, circonvolution temporale profonde. - T,,
'une pyramide triangulaire, dont le sommet correspond à l'extrémité
postérieure
de l'hémisphère, au pôle occipital de Broca, do
pli vertical de Gromier. - R, scissure de Rolando. - 5(1'), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - l ? T ? 7·,,· prem
umineux, superficiels et constants, affectent une direction antéro -
postérieure
, et établissent l'anastomose du lobe pariétal a
re circon- volution occipitale. deux parties, l'une supérieure et
postérieure
, qui correspond à la première circonvolution oc
longeant la scissure inter-hémisphérique et con- tourne l'extrémité
postérieure
du sillon occipital transverse, où elle s'anas- -
. ' 18 Deuxième nircon- volution occipitale. lnc. 169. - Face
postérieure
du cerveau. (D'après la photo- graphie d'une pi
g. 1r91. Les limites de la face externe rie 1 î0. - lace externe et
postérieure
de l'hémisphère gauche. (D'après la photographi
prérolandique supérieur. - R, scissure de Rolando. - S(p;,hranclic
postérieure
de la scissure de Sylvius. - 1 ? T,T3, première
eprésentées par une ligne fictive, qui s'étendrait de l'ex- trémité
postérieure
de la scissure de Sylvius (S), à l'incisurc pré-o
porte en arrière et un peu en haut, parallèlement à la branche
postérieure
de la scissure de Sylvius (S[p]) qu'il con- t
considérer une partie anté- rieure ou horizontale etune partie
postérieure
ou verti- cale. Sa partie antérieure ou horiz
doublée (fig. 170,172). On trouve quelquefois entre l'extrémité
postérieure
de la scissure de Sylvius, et l'extrémité cor
rérolandique inférieur. - R, scissure de Rolando. - S(p : , branche
postérieure
de la scissure de Sylvius ; S'(p), son éperon i
ent Furchenconflux) de Jensen(x) (fig. 170, 172). De la terminaison
postérieure
de ce sillon, dépend donc l'indépendance plus ou
temporales superior (Ecker). - Pli temporal supérieur; Pli marginal
postérieur
ou inférieur (Gratio- let). - Partie inférieure
on temporale (T,) s'étend du sommet du lobe temporal, à l'extrémité
postérieure
de la scissure de Sylvius, qu'elle con- tourne
l'insula, dont elle est séparée (fig. 173) par le sillon, marginal
postérieur
de l' in- sula ou rigole inférieure de Broca (m
érieur de l' in- sula ou rigole inférieure de Broca (mp). Sa partie
postérieure
s'élargit et donne naissance à un, quelquefois
convolutions temporales trans- verses de Heschl. Le sillon marginal
postérieur
(mp) sépare l'insula propre- ment dit, de la ré
il se continue quelquefois, avec le rameau ascendant de la branche
postérieure
de la scissure de Sylvius (fig. 160). .. MORPHO
sverse antérieure ou de circonvolution de Heschl. La circonvolution
postérieure
, beaucoup plus variable dans son volume et sa c
ons antérieures de l'insula. ic, incisure du cap. /p, circonvolutions
postérieure
, de l'insula.- io, sillon inter-occipital. ip,
e l'opercule.- ma; sillon marginal antérieur. - mp, sillon marginal
postérieur
. - ms, sillon marginal supérieur. - Oi,0>,03
ieure (Gsm) dont il est séparé par l'éperon supérieur de la branche
postérieure
de la scissure de Sylvius (S"[p]). Le sillon ma
e postérieure de la scissure de Sylvius (S"[p]). Le sillon marginal
postérieur
(mp) ou la rigole inférieure de Broca, le plus
se dirige obliquement en bas en décri- vant une courbe à convexité
postérieure
, et s'unit il angle aigu -au sillon marginal su
et s'unit il angle aigu -au sillon marginal supérieur; son segment
postérieur
sépare l'insula de la région rétro-insulaire de
llée de Sylvius) se divise en branches anté- riezcre, ascendante et
postérieure
, c'est de ce pli que part également le sillon p
ralement par trois cinq plis radiés, disposés en éventail, dont les
postérieurs
se subdivisent fréquemment en deux plis secondair
tronqué de l'insula, du pôle de Broca (PI), som- Sillon marginal
postérieur
. · Sillon marginal antérieur. Seuil de l'in
a moins étendue, se termine en pente douce, dans le sillon marginal
postérieur
(mp). . Schnopfhagen distingue deux parties dan
nopfhagen) la plus étendue, qui appartient au lobe frontal; l'autre
postérieure
, plus étroite, la circonvolution postérieure de
lobe frontal; l'autre postérieure , plus étroite, la circonvolution
postérieure
de l'insula (Ip) [gyrus insulæ posterior), qui
marginal supérieur, à 1, 1 et demi ou 2 cent, en avant de son angle
postérieur
. Ce sillon profond et constant, qui mesure au niv
té- rieure de l'insula qui appartient au lobe frontal, de la région
postérieure
, laquelle se termine dans le lobe temporal près
vers l'opercule de la troisième circonvolution frontale (Op F,,), la
postérieure
vers l'opercule rolandique (OpR). La base de la
a]) et l'incisure pariétale de l'opercule (ipop). La circonvolution
postérieure
(Ip) ou pli postérieur de Broca, plus étroite,
ale de l'opercule (ipop). La circonvolution postérieure (Ip) ou pli
postérieur
de Broca, plus étroite, . mais plus longue que
rochet (U), sous forme d'un pli étroit qui borde le sillon marginal
postérieur
(mp), se porte en haut, en augmentant de largeu
argeur, pour se terminer par une extré- mité rétrécie, dans l'angle
postérieur
de l'insula, au-dessous de l'opercule de la deu
e de l'hémisphère le cuneus (c), du précunéus (Prc) et de la partie
postérieure
du lobe limbique (L,). Cette scissure, très pro
ois petits plis parallèles, étendus du sommet du cunéus à la partie
postérieure
du lobe ]imbique (fig. 182, 183). Le pli supérieu
-postérieurs du cunéus (fig. 183). Scissure calcarine (K). Partie
postérieure
de la scissure des hippocampes (Gratio- let). -
rieto- occipitale. - PrC, précunéus. - aplp, pli pariéto-limbique
postérieur
. - r,>·l, pli rétro- limbique. - sec, sinus
7-,pla, pli pariéto-limbique antérieur. 'n/p, pli pariéto-limbirlue
postérieur
. 7r7,1, pli rétro-limbidue. - Tztl, pli temporo
troi- sième sillon temporal. - Tg, corps du trigone. - Tgp, pilier
postérieur
du trigone.- Th, thalamus. - TM, trou de Monro.
sous le nom de plis cunéo-linguaux (7t dg), siègent dans la moitié
postérieure
de la scissure calcarine, et ne s'aperçoi- vent
ral de Meynert (parc) (fig. 151, 177, 180, 182). Au niveau du coude
postérieur
de la scissure calloso-marginale, se r Plis a
t séparée par un pli de passage, le pli de passage pariéto-limbique
postérieur
de Broca (plp). Dans l'immense majorité des cas,
.- pli pariéto-limbirlue antérieur. - "'pl/" pli parir;to-limhirlue
postérieur
. - irrl, pli rétro-limbirlue. - scc, sinus du cor
circonvolution temporale.- 7'y/, trigone ventriculaire. Tgp, pilier
postérieur
du trigone.- Th, thalamus.- U, circonvolution du
c le troisième sillon temporal (ot + t3) (fig. 180). Dans sa moitié
postérieure
, cette scissure, parallèle à la scissure cal- c
cunéus est formé de deux circonvolutions, l'une antérieure, l'autre
postérieure
, sépa- rées par un sillon vertical plus ou moin
182). Deux plis de passage, les plis pariéto-limbiques antérieur et
postérieur
, (-pla, ;,pli) relient les deux circonvolutions
elient les deux circonvolutions du précunéus au lobe lim- bique. Le
postérieur
est toujours superficiel, et fait une saillie plu
zpla, pli pariéto-limbique antérieur. - 7upll, pli pariéto-limbique
postérieur
. - pli rétro-limbique. - xcll, pli tem- poro-li
li cunéo-limbique (-cl), sa face antérieure profonde forme la lèvre
postérieure
de la scissure pariéto-occipitale; elle est relié
la scissure calcarine (K) qui la sépare du cuneus (C), et la partie
postérieure
ou occipitale de la scissure collatérale (ot) q
ronto-limbique. - 7tpla, Tcplp, plis pariéto-limbidues antérieur et
postérieur
. - 7t'f'l, pli retro-limbique. - S, scissure de
tteint pas le pôle occipital, mais contourne en général l'extrémité
postérieure
de la scissure collatérale, pour s'unir à la tr
? (tt il [fig. 180); elle présente en outre, au niveau de la partie
postérieure
du tronc du corps calleux, trois crêtes ou ourl
? s' (Tpla, -plp), dont l'antérieur peut être profond et dont le ,
postérieur
est en général superficiel. Ces replis, ces crête
sinus du corps calleux (sec). L'incisure de l'ourlet sous-pariétal
postérieur
est en général la plus profonde, et limite souv
de, et limite souvent en avant le pli de pas- sage pariéto-timbique
postérieur
(7tplp) (fin. 182). L'isthme du lobe limbique (
s le nom de uncus, pli, unciforme, gyrus uncinatus(\]). L'extrémité
postérieure
du crochet adhère au pilier postérieur du trigo
uncinatus(\]). L'extrémité postérieure du crochet adhère au pilier
postérieur
du trigone, et donne insertion en dedans au vel
e. -1tpla, pli pariéto-limbique antérieur. p/jo, pli parieto-limbique
postérieur
. - 1tpoi, pli de passage pariéto-oecipital inte
n de l'hippocampe (L,), et lorsqu'on relève le bord libre du pilier
postérieur
du trigone (Tgp) qui la recouvre. Elle apparaît a
ES CENTRES NERVEUX. La circonvolution godronnée (Cg) suit le pilier
postérieur
du trigone (Tgp) jusqu'au niveau du bourrelet d
i fronto-limbique. xpla, Ttplp, plis pariéto-limbiques antérieur et
postérieur
. tzpoi, pli de passage parieto- occipital inter
nvolution temporale. - ta, troisitmc sillon temporal. - Tgp, pilier
postérieur
du trigone. - Th, thalamus. - Tm, tubercule mamil
ise le lobule olfactif en deux par- tics, l'une antérieure, l'autre
postérieure
. La partie antérieure ou le lobe olfactif antér
tri- gone (Toi) et le carrefour olfactifs de Broca (CB). La partie
postérieure
ou lobe olfactif postérieur (Lolp), comprend l'
our olfactifs de Broca (CB). La partie postérieure ou lobe olfactif
postérieur
(Lolp), comprend l'espace quadrilatère de Foville
nale de Broca (bd). Le lobe olfactif antérieur (Lola) est séparé du
postérieur
par un sil- lon transversal, le sillon primaire
taire du lobe frontal. Le lobe olfactif antérieur aussi bien que le
postérieur
sont situés à la face inférieure de l'hémisphère,
ise. En arrière, le pédoncule olfactif s'épaissit au niveau du bord
postérieur
du lobe frontal en une petite pyramide, le tube
partie interne de l'espace pevfové antérieur (Spa). Lobe olfactif
postérieur
(Lolp). Espace perfore antérieur de Vicq d'Azyr
e Vicq d'Azyr ou espace quadrilatère de Foville. Le lobe olfactif
postérieur
(Lolp) comprend Y espace perforé antérieur (Spa)
ontales microscopiques, fig. 280, 296, 314 et 319 à 322.) La partie
postérieure
de l'espace perforé antérieur répond a la face in
circonvolution limbique. - Lg, lobule lingual. mp, sillon marginal
postérieur
. NA, noyau amygdalien. - oP,(G¡'), partie orbit
le olfactif. 7,i,l, pli rétro- limbique. Qp. tubercule quadrijumeau
postérieur
. Rôle, racine olfactive externe ? 77/, sillon d
place on constate une région absolument lisse, qui occupe la partie
postérieure
du lobule orbitaire et que Broca a désignée sous
nche antérieure ..... S(a) Sa branche verticale . S(v) Sa branche
postérieure
...^.. S(p) L'éperon supérieur de cette branc
érieur de cette branche ..........' S"(p) Incisures de la branche
postérieure
: Incisure frontale de l'opercule. ifop Incis
Sillons : 4. Sillon marginal antérieur.. ma 2. Sillon marginal
postérieur
. mp 3. Sillon marginal supérieur.. ms 4. Sil
convolution antérieure de l'insula.......... la 2. Circonvolution
postérieure
de l'insula.......... Ip 3. Bord ou pli falci
interne . Roli Carrefour olfactif d ebroca. CB (3 Lobule olfactif
postérieur
.. Lolp Espace ou substance perfo- Epa rée ant
acine olfactive externe qui la sépare de l'insula; le lobe olfactif
postérieur
que nous venons d'étu- dier appartient donc aus
. La base du cerveau est formée : 1° Sur ses par le lobe olfactif
postérieur
de Ilis, à savoir l'espace perforé pèûérieur et
hiasma des nerfs optiques et le bec du corps calleux. 2° Une région
postérieure
losangique, le losange ohlohécloucolccire, dont
um, la tige pilai- tccirc et le corps pituitaire, et dont la moitié
postérieure
est formée par les tubercules mamillaires et Y
ieure est formée par les tubercules mamillaires et Y espace perforé
postérieur
. Au point de vue embryogénique, la lame sus-opt
s lubevcules mamillaires au cerveau intermédiaire, l'espace perforé
postérieur
au cerveau moyen. Nous étudierons successivemen
rent par les trous optiques dans la cavité orbitaire; de ses angles
postérieurs
se détachent les bandelettes optiques (BII) (trac
partie de la paroi inférieure .. du troisième ventricule ; son bord
postérieur
se continue avec la substance grise du tuber ci
PHOLOGIE CÉRÉBRALE. 31;i : > interne de la bandelette et le bord
postérieur
du chiasma et forme la commis- sure inférieure
mine . dans le corps genouillé interne et le tubercule quadrijumeau
postérieur
. La commissure de Gudden se loge dans la concav
et le corps genouillé c interne ainsi que le tubercule quadrijumeau
postérieur
sont très développés (Forci). Chez le lapin, la
ieure, par le plancher du cerveau intermé- diaire et dans sa moitié
postérieure
, par le plancher du cerveau moyen. Sa moitié an
e par le tuber cinereum, la lige et le corps pituitaires, sa moitié
postérieure
par les tubercules mamillaires et l'espace perf
itié postérieure par les tubercules mamillaires et l'espace perforé
postérieur
. a) Le tuber cinereum (Tc) se présente sous la
cal. Elle est essentiellement formée de deux parties ou lobes, l'un
postérieur
, l'autre antérieur (fig. 188). Le lobe postérie
es ou lobes, l'un postérieur, l'autre antérieur (fig. 188). Le lobe
postérieur
, le plus petit, d'un gris jau- nâtre contient s
strum). Cc(Spl), bourrelet du corps calleux (splGnium).- Ce(y), bec
postérieur
du corps calleux. CE, canal de l'épen- dyme. -
volution géniculée. - coa, commissure antérieure. - com, commissure
postérieure
. - Gh, ganglion de l'habénula. - Gp, glande pinéa
'habénula. - Gp, glande pinéale. - Ifa. Ifp, lobe antérieur et lobe
postérieur
du corps pituitaire. - Le, lobe central du cervel
moyen du cervelet. lso, lame sus- optique. - Lsp, lobe supérieur et
postérieur
du cervelet. - 11, lame terminale embryonnaire.
pyramide du cervelet. Qa, Qp, tubercules quadrijumeaux antérieur et
postérieur
. rif, diverticule de l'infundibulum. - R111,rub
'm, tuber- ' cule mamillaire. dtlt, ttenia thalami. - Tv, tubercule
postérieur
du vermis. - Uv, uvula (luette). V" quatrième v
des nerfs optiques. 32.0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le lohe
postérieur
de la glando pitui- tairc dérive du cer- Ye
grand développe- ment chez les pois- sons. Structure du lobe
postérieur
. Le lobe antérieur présente une struc- ture
Sur les coupes verticales et médianes, on voit de suite que le lobe
postérieur
entre seul en connexion avec l'infun- dibulum.
'un rein qui embrasse par sa concavité la moitié antérieure du lobe
postérieur
. Les coupes verticales et antéro-postérieures m
pacta à sa partie antérieure, le lobe anté- - rieur est à sa partie
postérieure
, mou, presque spongieux, et présente même, une
r, de structure nettement glandulaire, n'est intimement uni au lobe
postérieur
que chez les mammifères; chez les autres Vertébré
la partie chordale et préchordale de la base du crâne. La moitié
postérieure
du losange opto-pédonculaire présente à étu- di
(PT ml, fig. 193). L'espace inler-pédonculairc ou espace perforé
postérieur
(Spp, fig. 187), de forme triangulaire, s'enfon
asculaires et mérite seule par conséquent le nom d'espace per- foré
postérieur
. Ces orifices livrent passages aux artères lentic
es lenticulo-optiques branches du tronc basilaire et des cérébrales
postérieures
; ils sont séparés du sillon du nerf moteur ocul
e chez l'homme, occupe chez ce dernier la voûte de l'espace perforé
postérieur
et reçoit le faisceau l'étroflexe de Meynert [f
érieure (fig. 188). Cette dernière mesure, en effet, depuis le bord
postérieur
des tubercules mamillaires jusqu'au bord antéri
tronqué et à bords arrondis, dont la base est antérieure, le sommet
postérieur
et les faces latérales obliques en arrière et e
stérieur, qui se continue avec le sillon médian de l'espace perforé
postérieur
et avec celui qui sépare les tubercules mamilla
; il est séparé de MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 323 -1 l'espace perforé
postérieur
par une ])and ele [te blaiichàtreantéro-postéi@ie
f' ? ? (Ln), situé à l'union du tiers antérieur avec les deux tiers
postérieurs
du pédoncule. Le locus niger affecte la forme d
ylvius, divisent chaque pédoncule cérébral en trois régions : l'une
postérieure
, la, région des tubercules quadrijumeaux; l'aut
ces fibres pénètrent, pour entrer dans la consti- tution du segment
postérieur
de la capsule interne. La bandelette optique cr
rceptent un espace triangulaire, et forment les parois latérales et
postérieures
du losange opto-pédonculaire (fig. 183, 190). E
rieur de la protubérance et intéressant le tubercule qua- drijumeau
postérieur
, l'entrecroisement du pédoncule cérébelleux supér
res. Aq, aqueduc de Sylvius. - BrQp, bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. - Fcop, fais- ceau de la commissure postérieur
ercule quadrijumeau postérieur. - Fcop, fais- ceau de la commissure
postérieure
. - Ftp, faisceau longitudinal postérieur. - Gip,
is- ceau de la commissure postérieure. - Ftp, faisceau longitudinal
postérieur
. - Gip, ganglion inter-pédonculaire. - Ln, locu
noyau de la quatrième paire. - NQp, noyau du tubercule quadrijumeau
postérieur
. 7', étage inférieur ou pieddupédoncule. Pcs. péd
e. Pcs. pédoncule cérébelleux supérieur. Qp, tubercule quadrijumeau
postérieur
. - Bl, ruban de Reil latéral. Rm, ruban de Reil
age inférieur du pédoncule. - Po, protubérance. spp, espace perforé
postérieur
. - Tc, tuber cinercum. - Tm, tubercule mamillai
du tubercule mamillaire latéral. - P ? , pyramide. tb, trou borgne
postérieur
ou bulbo-protubérantiel.- Tc, tuber cinereum. -
E. 327 de fibres arciformes, qui apparaissent toutes dans la région
postérieure
du cerveau moyen, au voisinage des tubercules q
etc., il n'apparaît le plus souvent chez l'homme que dans la partie
postérieure
de son trajet, sa partie antérieure étant recouve
eur, occupe l'angle compris entre le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
et le corps genouillé interne, augmente rapidem
ua- drijumeau antérieur. - BrQp, bras du tubercule quadri- jumeau
postérieur
. -Cge, corps genouillé externe.- Cgi, corps gen
a, tubercule quadrijumeau antérieur. - Qp, tubercule quadrijumeau
postérieur
. - RI, faisceau triangulaire de l'isthme ou rub
le corps genouillé interne (Cgi), le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BrQp) et une surface triangulaire décrite par
llon latéral de l'isthme d'une part (si), le tubercule quadrijumeau
postérieur
(Qp) et le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs)
es cltraclrijo- meaux en arrière, le raphé et la substance perforée
postérieure
en dedans, région dont la face supérieure ou ve
ôté de la protubérance, elle se continue avec la calotte ou l'étage
postérieur
de la protubérance. La calotte du pédoncule n'e
il existe un petit faisceau triangulaire, le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp), au voisinage duquel on trouve, dans la r
erne est comprise entre le locus niger et le noyau rouge; sa partie
postérieure
ou externe apparaît à la surface externe de Cor
g. Pédoncule cérébel- leux supérieur. Faisceau longitu- dinal
postérieur
. Noyaux de la troi- sième et de la qua- tri
diam. Aq, aqueduc de Sylvius.- Brqp, bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
.- CNR, cap- sule du noyau rouge. - Cgi, corps g
. - Cgi, corps genouillé interne. - Fcop, faisceau de la commissure
postérieure
. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FM, f
faisceau de la commissure postérieure. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - FM, faisceau rètrof1exe de Meynerl. . Ln, lo
lle est recouverte par les libres du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(13r(p). 3° La région des tubercules quadrijume
(13r(p). 3° La région des tubercules quadrijumeaux occupe la partie
postérieure
du pédoncule cérébral (fig. 194) ; elle s'étend
postéro-supérieur du troisième ventricule, formé par la commissure
postérieure
et la glande pi- néale, à l'extrémité antérieur
uadrijumeaux anté- rieurs ou supérieurs et tubercules quadrijumeaux
postérieurs
ou inférieurs. Le sillon médian, sillon, longit
llicultr.s .,urbhiteali.s). Au-dessous des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
(Qp), le sillon longitudinal est bordé, de chaq
urcie dans le bichromate.) Ilr()p,hr : LS du tubercule quadrijumeau
postérieur
. - CR, couronne rayonnante sectionnée au niveau
centres optiques in- fra-corticaux. Tubercules quadri- jumeaux
postérieurs
. Bras du tubercule quadrijumeaupostc- rieur
bercule quadrijumeaupostc- rieur. Le tubercule qua- drijumeau
postérieur
appartient au sys- tèmo auditif. Tubercules
rijumeaux antérieurs, ou nates (Qa), sont plus volu- mineux que les
postérieurs
. Ils présentent chacun la forme d'un ovoïde, à
tiques primaires de l'appareil visuel. Les tubercules quadrijumeaux
postérieurs
, ou lestes (Qp), plus petits, plus . saillants,
partie externe à un petit cordon, le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BrQp), qui se dirige obliquement en avant et en
t et en dehors. Un léger sillon le divise en deux fascicules, l'un,
postérieur
, qui entre dans la constitu- tion du ruban de R
fondément enclavé dans la couche optique. Le tubercule quadrijumeau
postérieur
appartient au système auditif, et n'est pas mor-
optiques. Les tubercules MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 333 quadrijumeaux
postérieurs
ne font cependant pas défaut dans les classes des
ue du tubercule quadrijumeau posté- rieur des mammifères. La face
postérieure
des tubercules quadrijumeaux est libre ; elle est
um). - Cc(Spl); bourrelet du corps calleux (splenium). Ce(1¡J), bec
postérieur
du corps calleux. - CE, canal de l'épen- dyme.
olution géniculéo. - coa, commissure antérieure. - coin, commissure
postérieure
. - Gh, ganglion de l'habénula. - Gp, glande pinéa
abénula. - Gp, glande pinéale, - Ifa, Ifp, lobe antérieur ' et lobe
postérieur
du corps pituitaire. - Le, lobe central du cervel
en, lobe inférieur et moyen du cervelet. - Lip, lobe ' inférieur et
postérieur
du cervelet. Lsm, lobe supérieur et moyen du cerv
moyen du cervelet. - lso, lame sus-optique. Lsp, lobe supérieur et
postérieur
du cervelet. It, lame terminale embryon- naire.
pyramide du cervelet. Qa, Qp, tubercules quadrijumeaux antérieur et
postérieur
. rif, diverticule de . ' l'infundibulum. - Rm,
- Tm, tuber- cule mamillaire. - tth, taenia thalami. Tv, tubercule
postérieur
du vermis. Uv, uvula (luette). V"quatrième vent
psule externe. - Cex, capsule extrême. - Cing, cingulum. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - CL, corps de Luys. - C
prérolandique inférieur. - R, scissure de ltolando. - S(p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - Sexv, .surface ext
. d'une voûte, plus recourbée à sa partie antérieure qu'à sapartie
postérieure
, plus rapprochée de l'extrémité antérieure du c
séparé par une distance dé trois centimètres, que de son extrémité
postérieure
, dont il s'éloigne de cinq centimètres environ.
o-limbique antérieur. - 1 ! : plp, pli de passage pariéto- limbique
postérieur
. - R, scissure de Rolande. sec, sinus du corps ca
sseur est variable suivant les régions ; très épais à son extrémité
postérieure
, où il se ramasse et s'enroule sur lui-même en vo
u corps calleux. CC(1');bec du corps calleux (rostrum). Cef ? J), bec
postérieur
du corps calleux. Cc(Spl), bourrelet du corps c
com, commissure molle. - Cv, cervelet. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - Gh, ganglion de l'lmtbénula. - Gp, glande piné
';tri, 7rfl', plis fronto-limbique. - 7tp{p, pli pariéto-lim- biquc
postérieur
. - Qa,Qp, tubercules quadrijumeaux antérieur et p
m- biquc postérieur. - Qa,Qp, tubercules quadrijumeaux antérieur et
postérieur
. - ri, récessus de l'infundibulum. - ro, récess
de Monro. - sp, scissure sous-pariétale. - Spp, substance perforée
postérieure
. - Te, tuber cincreum. - Tclt, toile choroïdienne
au septum luci- dum (SI), en arrière, au trigone (Tg). Les piliers
postérieurs
du trigone (Tgp), en divergeant en arrière pour
tions du corps calleux. sec, sinus du corps calleux. S (p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. Sih (a), Sih (p), part
e la scissure de Sylvius. Sih (a), Sih (p), parties an- térieure et
postérieure
de la scissure intcr-hémisphérique. - l ? l ? bra
eure (coa), avec la lame sus-optique (lt) (lig. 198). L'extrémité
postérieure
du corps calleux, connue sous le nom de bour- r
et on peut lui considérer trois parties : l'une supérieure, l'autre
postérieure
, la troisième inférieure. La partie supérieure
a troisième inférieure. La partie supérieure représente l'extrémité
postérieure
du tronc du corps calleux; la partie infé- rieu
qui se termine en avant par un bord mince et effilé, véritable bec
postérieur
(Cc[rp]), situé à peu près , 1 milli- mètres en
(Cc[rp]), situé à peu près , 1 milli- mètres en avant de la limite
postérieure
du corps calleux. La partie posté- rieure const
rieure constitue la pièce intermédiaire de Beevor, véritable genou
postérieur
, très analogue au genou de l'extrémité antérieu
ostérieur, très analogue au genou de l'extrémité antérieure. Le bec
postérieur
donne insertion aux fibres transversales du psa
, le ven- tricule de Verga est beaucoup plus volumineux, et l'angle
postérieur
du septum lucidum s'insinue entre le corps call
ermine par un bord aigu, à 15 millimètres . en avant de l'extrémité
postérieure
du corps calleux. Radiations du corps calleux.
née de Reil, se présente sous la forme d'un triangle isocèle à base
postérieure
(fig. 200), situé au-dessous du corps calleux,
"; et en avant ces faisceaux sont distincts, et forment les piliers
postérieurs
et les piliers antérieurs du trigone (Tgp, Tga)
mière circonvolution limbique. Lip, lobe cérébel- leux inférieur et
postérieur
. - Lsa, lobe cérébelleux antérieur et supérieur.
cérébelleux supérieur et moyen. - Lsp, lobe cérébelleux supérieur et
postérieur
. - Ly, lyre ou psalterium. - inF,, face interne
to-strié. -SI, septum lucidum. -Tg, trigone cérébral. - Tgp, pilier
postérieur
du trigone. 7';V, trou de Monro. V (cu), vcrmis
ches optiques (Th) et du ventricule moyen (V 3) (fig. 19G). Le bord
postérieur
adhère à l'extrémité postérieure du corps calleux
ule moyen (V 3) (fig. 19G). Le bord postérieur adhère à l'extrémité
postérieure
du corps calleux, les bords latéraux minces et
à 203). Les angles du trigone sont l'un antérieur, les deux autres
postérieurs
. Le corps du trigone se bifurque au niveau de l
rtent obliquement en bas, en arrière et en dehors, forment l'écorce
postérieure
et externe du tubercule mamil- laire (Tm), et s
ige02); exceptionnelle- ment il est plus volumineux que le faisceau
postérieur
(zig. 203). Jusqu'aux travaux de Gudden et de F
(r), bec antérieur du corps calleux (rostrum anterior). - Cc(rp), bec
postérieur
du corps calleux (rostrum posterior). Cal, calo
eaux. Il, nerf optique. 348 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Piliers
postérieurs
du trigone. Lyre de David ou psalterium.
laire (Tm) au tubercule antérieur de la couche optique. Les piliers
postérieurs
du trigone font suite aux angles postérieurs du
e optique. Les piliers postérieurs du trigone font suite aux angles
postérieurs
du trigone ; ils se présentent sous la forme de
s, aplatis de haut en bas, qui contournent le pulvinar ou extrémité
postérieure
de la couche optique (Pul), puis se portent bru
ventri- cule latéral (fig. 204 et 213). A leur origine, les piliers
postérieurs
droit et gauche limitent, avec le bec postérieu
gine, les piliers postérieurs droit et gauche limitent, avec le bec
postérieur
du bounrelet du corps calleux, un espace triang
rieur du bounrelet du corps calleux, un espace triangulaire, à base
postérieure
, à sommet antérieur, connu sous le nom de lyre
mmissural des deux cornes d'Ammon. La lyre et l'origine des piliers
postérieurs
sont en rapport par l'inter- médiaire de la toi
port par l'inter- médiaire de la toile choroïdienne, avec la partie
postérieure
de la couche optique (Th), la glande pinéale (G
ans le prolongement sphénoïdal du ventricule latéral, chaque pilier
postérieur
du trigone s'unit intimement au forceps major d
s'unit intimement au forceps major du corps calleux et à la partie
postérieure
de la corne d'Ammon (fig. 204) et se divise ens
- dal du ventricule latéral ; elle ne dépasse guère les digitations
postérieures
de la corne d'Ammon. Le bord externe de la fimb
ne d'Ammon, Ergot de Morand. Eminence collatérale de Meakel. Pilier
postérieur
du trigone et forceps major du corps calleux. (
ariéto-occipitale. PT, pôle temporal. 7rpll), pli pariéto- limbique
postérieur
. Tgp, pilier postérieur du trigone. TgV, carrefou
ôle temporal. 7rpll), pli pariéto- limbique postérieur. Tgp, pilier
postérieur
du trigone. TgV, carrefour ventriculaire. Voc,
pédoncule cérébelleux supérieur. - Poa, l'op, libres antérieures et
postérieures
de la protubérance. Py, faisceau pyramidal. Rrr
donculaire du ruban de Reil. -SR, substance réticulée. T,gp, pilier
postérieur
du trigone. Th, thalamus. Vsph, corne sphénoïda
rieur. - Pchl, plexus choroïdes. - Poa, l'op, fibres antérieures et
postérieures
de la protubérance. l'y, faisceau pyramidal.- RC,
lgr, stratum granulosnm de la circonvolution godronnée. Tgp, pilier
postérieur
du trigone. Th, thalamus. - Zr, zone réticulée ou
x. - Cc(r), bec antérieur du corps calleux (rostrum). Cc( ? 1», bec
postérieur
du corps calleux. Cc(Spl), bourrelet du corps c
oa, commissure antérieure. - com, commissure molle. cop, commissure
postérieure
. C V, hé- misphère cérébelleux. Flp, faisceau l
térieure. C V, hé- misphère cérébelleux. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - fs, fissura serotina. - Gh, ganglion de l'ha
lp, pli pariéto-limbique posté- rieur. - Qp, tubercule quadrijumeau
postérieur
. ri, récessus de l'infundibulum. - ro, récessus
SM, sillon de Monro. SI', septum lucidum. - Spp, substance perforée
postérieure
. STh, région sous-optique. Tch, toile choroïdie
eur en formant la bandelette diagonale ae Broca (fig. 183). ? L'angle
postérieur
, très aigu, s'insinue sous le nom de queue du sep
e sous les noms de cavité digitale ou ancyroïde, ou de prolongement
postérieur
(fig. 209 et 204). Le point de réunion de ces t
externe, s'étend du genou du corps calleux (Cc[g]) à l'extré- mité
postérieure
de la couche optique (Th) (fig. 208), et mesure e
u moins large, jusque dans l'intérieur du bulbe olfactif. L'orifice
postérieur
de ce canal est situé très près de la base de l
n avant de la partie recourbée de la tête du noyau caudé. La moitié
postérieure
de l'étage supérieur du ventricule latéral, situé
ventricule latéral se prolonge dans le bulhe olt'aetit'. Moitié
postérieure
de l'étape supérieur du ventricule latéral.
mière circonvolution limbique. Lip, lobe cérébel- leux inférieur et
postérieur
. - Lsa, lobe cérébelleux antérieur et supérieur.
cérébelleux supérieur et moyen. Lsp, lobe cérébelleux supérieur et
postérieur
. - Ly, lyre ou psalterium. - 7nF,, face interne
sillon opto-strié. SI, septum lucidum. - 7 ? trigone. 7;yp, pilier
postérieur
du trigone. - TM, trou de Monro. V(cu), vermis
s longitudi- nales du ta'nia semi-circularis, contourne l'extrémité
postérieure
de la couche optique, et se retrouve, comme la
ptique; elle longe ensuite le sillon opto-strié jusqu'à l'extrémité
postérieure
de la couche optique, puis elle se recourbe en
décrit une courbe à concavité antérieure et interne. Son extrémité
postérieure
, longue et étroite, est en connexion in- time a
rieure, longue et étroite, est en connexion in- time avec le pilier
postérieur
du trigone (Tgp). La fimbria (Fi) ou la partie
mmon est plus courte, mais plus large et plus épaisse que la partie
postérieure
; elle repose sur la circonvolution de l'hippoca
corne sphénoïdale et de l'éminence collatérale de Meckel. La corne
postérieure
ou occipitale (Voc), cavité digitale ou arzcyroïd
ment avec le prolongement sphé- noïdal, sans émettre de diverticule
postérieur
. . La corne occipitale (Voc), située à cheval s
ues, mais encore d'un hémisphère à l'autre; d'après Engel, la corne
postérieure
gauche serait la plus développée dans 66 p. 100 d
ne d'Ammon. Ergot de Morand. Eminence collatérale de Meckel. Pilier
postérieur
du trigone et forceps major du corps calleux. (
ariéto-occipital. - PT, pôle temporal. 7ri)lp, pli pariéto-limbique
postérieur
. - Tpg, pilier postérieur du trigone. - TgV, tr
pôle temporal. 7ri)lp, pli pariéto-limbique postérieur. - Tpg, pilier
postérieur
du trigone. - TgV, trigone ventriculaire. - Voc
plein, formé par la saillie dans la cavité ventriculaire du forceps
postérieur
ou major du corps calleux (Fm); il est connu so
u corps calleux (Fm); il est connu sous le nom de bulbe de la corne
postérieure
; au-dessous et en dehors, on trouve un relief c
culaire rouge et granuleux, étendu du trou de Monro aux digitations
postérieures
de la corne d'Ammon, ils n'occupent donc que la
d'Ammon, ils n'occupent donc que la corne sphénoïdale et la partie
postérieure
de l'étage supérieur du ventricule latéral : les
, très serrées les unes contre Son plancher. Bulbe de la COl'ne
postérieure
. Krgot de \Lorans Eminence collaté- ralo dc
xtrémité antérieure de la corne fron- &Mk taie Vf), l'extrémité
postérieure
de la corne occipitale (Voc), et le fond des di
es et deux bords, l'un antérieur court et presque vertical, l'autre
postérieur
plus long et oblique en bas et en avant. Les
base (losange opto-pédonculaire, tuber cinereum, substance perforée
postérieure
, etc.), en arrière et en dehors par la région s
laire à base inférieure, la vulve des anciens anatomistes. Le bord
postérieur
, oblique en bas et en avant, présente successivem
fig. 211), la base de la glande pinéale (Gp), la commissure blanche
postérieure
(cop), et l'orifice antérieur ou anus de l'aque
niculée de Zuckorkandi. coa, commissure antérieure. com, commissure
postérieure
. - Gh, ganglion de l'habénula. Gp, glande pinéale
l'habénula. Gp, glande pinéale. - Ifs, Ifp, lobe antérieur et lobe
postérieur
du corps pituitaire. - Le, lobe central du cervel
sus-optique ou lame terminale embryonnaire. - Lsp, lobe supérieur et
postérieur
du cervelet. - ll, commissure blanche de la bas
ramide du cervelet. Qa, Qp, tubercules ' quadrijumeaux antérieur et
postérieur
. - rée, diverticule de l'infundibulum. lim, ruban
Tm, tubercule mamillaire. - llh, ttenia tlralami. - 7'u, tubercule
postérieur
du vermis. - Uv, uvula (luette). V4, quatrième ve
capsule externe. - Cex, capsule extrême. Cing, cingulum Cip, segment
postérieur
de la capsula ' . z interne. CL, corps de Luys.
dymaire. - SI, septum lucidum. - SM, sillon de Monro. 1(p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. 7 ? T2, T3, première,
braux (fig. 213); plus en avant se trou- vent la substance perforée
postérieure
et le tuber cinereum (te). Le sommet du troisiè
au intermédiaire. De forme triangulaire, à sommet antérieur, à base
postérieure
, elle s'étend horizontalement au-dessus des couch
u vermis superior. Cc(g), genou du corps calleux. cop, com- missure
postérieure
... ? E¥,erg0t de Mora-nd.Ft ? forceps major. - Gh
é- . ' nula. Gp, glande pinéale. lip, lobe cérébelleux inférieur et
postérieur
. - Lsm, lobe - cérébelleux supérieur et moyen.
- cérébelleux supérieur et moyen. Lsp, lobe cérébelleux supérieur et
postérieur
. - Na, noyau antérieur du thalamus. - NC, tête
rne. , En arrière, le noyau lenticulaire ne dépasse guère le sillon
postérieur
de l'insula; le noyau caudé, au contraire, s'ef
rlproprcmcnt dit (cap) ou segment lenticulo-optirlue; la troisième,
postérieure
et répondant au segment rétro-lenticulaire delà c
u au-dessous de la ligne de réflexion de l'épendyme et dont la limite
postérieure
est comprise entre le pédoncule du noyau lentic
rl); la région inférieure ou sous-llialamiquc est formée du segment
postérieur
et du segment rétro- lenticulaire (Cip, Cirl).
ostérieur et du segment rétro- lenticulaire (Cip, Cirl). Le segment
postérieur
de la région sous-thalamitluc comprend non seul
tête, il est mince, effilé et très grêle en arrière. Son extrémité
postérieure
ou queue, contourne la couche optique et le péd
eue la face adhérente devient supéro-externe;. elle déborde le bord
postérieur
du noyau lenticulaire et en est séparée par le
nom de colli- culus du noyau caudé (CNC) (lig. 281). L'extrémité
postérieure
ou queue s'infléchit en bas, en avant et en deh
érieurs portent le nom de vaisseaux lf'7lticulo-striés (Duret), les
postérieurs
, celui de lenticulo- optiques (Duret.) La face
et s'unissent l'un à l'autre au niveau des extrémités antérieure et
postérieure
, ainsi que le montrent les coupes sagittales, sur
en dehors et en arrière, séparé de la couche optique par le segment
postérieur
ou lenliculo- optique de la capsule interne (Ci
ulaire ,,(Iig. 222, 223, 242, 243). Il forme à lui seul l'extrémité
postérieure
effilée du noyau lenticulaire. A ce niveau, il
ou vertico-irans- versales, ces prolongements donnent à l'extrémité
postérieure
du noyau lenticulaire et à la face supéro-inter
à la région sous-optique et, traversant horizontalement le segment
postérieur
de la capsule interne, concourent à former le fai
le côté supérieur et interne et qu'elle contourne par son extrémité
postérieure
, la couche optique ou thalamus (Th) constitue u
Les faces supérieure et interne sont libres, ainsi que l'extrémité
postérieure
. Les faces externe et inférieure sont adhérentes
llon choroïdien, on rencontre une saillie volumineuse, le tubercule
postérieur
de la couche optique ou pulvinar (Pul) qui se r
) qui se renfle considérablement en arrière pour former l'extrémité
postérieure
, libre de la couche optique. En dedans de la pa
la face supérieure présente une petite surface triangulaire à base
postérieure
, le triangle de l'lcabézztcla, ainsi nommé à ca
e. En avant elle atteint le trou de Monro, en arrière la commissure
postérieure
et les tubercules quadriju- maux ; en haut, ell
e par l'intermédiaire de la toile choroïdienne (Tch), par le pilier
postérieur
du trigone et le bourrelet du corps calleux; el
rmis superior. - Cc(g), genou du corps calleux. cop, com- . missure
postérieure
. EM, ergot de Morand. - Fm, forceps major.-Gh, ga
é- nula. - Gp, glande pinéale. - Lip, lobe cérébelleux inférieur et
postérieur
. - Lsm, lobe ** cérébelleux supérieur et médian
cérébelleux supérieur et médian. - Lsp, lobe cérébelleux supérieur et
postérieur
. - Na, noyau antérieur du thalamus. - NC, tête
pos- térieur par un petit cordon, le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BrQp) ; il donne naissance en avant il la raci
affecte avec le pédoncule cérébral sont très importants; la partie
postérieure
de sa face inférieure repose en effet sur l'éta
te ici le nom de région sous-optique; le pulvinar embrasse son bord
postérieur
, la bandelette op- tique croise sa face inférie
rieur du pédoncule pénètrent dans le cerveau pour former le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). Elle a été décrite
te les uns avec les autres : Les pédoncules antérieur, supérieur et
postérieur
. Un quatrième pédoncule, le pédoncule inférieur
direction oblique en bas et en dedans, qui proviennent de la partie
postérieure
du lobe frontal et du lobe pariétal et des fibr
n haut et en avant qui proviennent du lobe temporal. Le pédoncule
postérieur
[radiations optiques de Gratiolet) provient du
u thalamus (Lme) qui le sépare de la zone réticulée et des segments
postérieur
et rétro-lenticulaire de la capsule interne. So
ulus retroflexus de Meynert (FM). C'est il la partit; supérieure et
postérieure
de ce noyau interne, que se trouve situé le petit
nière en deux segments : l'un antérieur ou lenticulo-caudé, l'autre
postérieur
ou 1(,îztzciito-optiqiie. Le segment antérieur
che optique dont elles forment le pédoncule antérieur. - Le segment
postérieur
ou lenticulo-optique (fig. 223 à 228 et 247 à 2
rétro-lenticulaire (Cirl) que nous avons donné à la partie la plus
postérieure
de ce segment. Le segment postérieur proprement d
ons donné à la partie la plus postérieure de ce segment. Le segment
postérieur
proprement dit (Cip), qui forme à lui seul les
de radiations optiques, se terminent pour la plupart dans la partie
postérieure
de la couche optique dont elles contribuent à f
e de la couche optique dont elles contribuent à former le pédoncule
postérieur
. Dans la région sous-thalamique (de Forel) (fig
st plus représentée sur les coupes horizontales que par son segment
postérieur
(Cip) et son segment rétro-lenticulaire (Cirl)
ssent au-des- sous du noyau lenticulaire, se jettent dans la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule, et constit
oyau lenticulaire, se jettent dans la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule, et constituent le faisceau dit « d
ième externe environ du pied du pédoncule. (Voy. t. II.) Le segment
postérieur
comprend donc, par suite de l'arrivée du fais-
est en outre incisée en avant par la partie verticale de la branche
postérieure
de la scissure de Sylvius (S[p] et par une inci
s calleux (Ce), qui la divise en un segment antérieur et un segment
postérieur
. Sur le segment anté- rieur on reconnaît : la f
rolandique inférieur. - R, scissure de ltol ? ndo. - S (p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. scc, sinus du corps
rme une couche épaisse, qui coiffe les extrémités - , antérieure et
postérieure
du ventricule latéral (VI). La substance grise
oncé nettement délimité, correspondant aux extrémités antérieure et
postérieure
de ce faisceau, dont la coupe 25 (Iig. c ? 19) in
lle de la coupe précédente, surtout par la profondeur de la branche
postérieure
de la scissure de Sylvius (S[p]) et par la pre-
aire (Sge) et par le faisceau ocei/ilo- frontal (OF), son extrémité
postérieure
par une couche beaucoup plus mince de cette mêm
le corps calleux (Ce), qui recouvre et masque peut-être l'extrémité
postérieure
du faisceau occipito- frontal. En dedans, le ve
deux parties : une partie antérieure ou genou (Cc[g]) et une partie
postérieure
ou bourrelet (Cc[Spl]). Ces deux parties sont rel
capsule interne (Cia). Il est limité en dehors el séparé du segment
postérieur
de la capsule interne (Cipi, par une ligne de l
zone réticulée ou grillagée (Zr). - Cing, cingulum. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - cm, sillon calloso- ma
Rolando. RTh, radiations thalamiques de Gratiolet. - S (p), branche
postérieure
do la scissure de Syivius. sec, sinus du corps ca
lle de rolandique (OpR). Celui-ci est libre en arrière ; la branche
postérieure
de la scissure de Sylvius (S[p]) le sépare comp
formée par la circonvolu- tion pariétale inférieure (P.,), la lèvre
postérieure
par l'union de la deuxième circonvolution tempo
- Ci (g), genou de la capsule interne. Cing, cingulum. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - CÍ1'I, segment rétro len
al inférieur. - /, insula. - la, Ip, circonvolutions antérieures et
postérieures
de l'insula. - ip, sillon inter-pariétal. - L"
e Rolando. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - S(p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - sec, sinus du corps
du , ]J/'écunéus représentée par le pli de passage pariéto-limbique
postérieur
(-plp), puis le lobe limbique sectionné dans la
emi- Ci genou de la capsule interne. - Cing, cingulum. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-le
inférieur. - -cl, pli cunéo- limbique, - 7cplp, pli cunéo-limbique
postérieur
. - R, scissure de Rolande. Lits, radiations opt
e Rolande. Lits, radiations optiques de Gratiolet. - S (p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - ses, sillon du cor
e, toenia tecta. - T'la, pilier antérieur du trigone. - Tgp, pilier
postérieur
du trigone. - Th, couche optique. - Tp, circonv
VEUX. circzdaris ; elle est limitée en dehors et séparée du segment
postérieur
de la cap- , sule interne (Cip) par la zone rét
nt suivre, un genou (Ci[g]), un segment antérieur (Cia), un segment
postérieur
(Cip.) et un segment rétro-lenticulaire (Cirl).
Ne) de la couche optique, dans lesquels elles s'irradient. Le segment
postérieur
, de la capsule interne (Cip) comprend deux ord
font partie du système du pied du pédoncule cérébral. De la partie
postérieure
de la couche optique, partent des fibres horizo
rend le cundus (C). Ce dernier forme avec le pli pariéto-lim- bique
postérieur
(-1tplp) et J'isthme du lobe limbique (L,), le lo
de l'insu la peut être divisée en deux parties inégales. La partie
postérieure
ou rétro-insulaire est formée par la cir- . con
temporal profond (tp), et limitée en avant par le ' sillon marginal
postérieur
de l'insula (mp). La partie antérieure ou insulai
in une couche blanche interne, la capsule externe (Ce). A la partie
postérieure
de cette dernière, et touchant la convexité du pu
, le sillon insulaire (i), qui sépare la circon- volution insulaire
postérieure
(Ip) des trois circonvolutions de la région insul
onvolution frontale (F3), tandis que la cir'convo- lution insulaire
postérieure
est en rapport avec Yopercule rolandique (OpR).
. Ce dernier s'unit sur ses parties latérales au corps et au pilier
postérieur
du trigone (Tgp), en dehors desquels on trouve
stérieur du trigone (Tgp), en dehors desquels on trouve l'extrémité
postérieure
de la corne d'Ammon (C : 1). Le pilier postérieur
ouve l'extrémité postérieure de la corne d'Ammon (C : 1). Le pilier
postérieur
du trigone (Tgp) affecte sur cette coupe et sur
Zr) et la lame médullaire externe (Lme), qui la séparent du segment
postérieur
(Cip) et du segment rétro-lenticulaire (Cirl) de
lenticulaire (NL3, NL.,) et donne naissance au pédoncule thalamique
postérieur
, c'est-à-dire aux mdia- lions optiques de Grali
ns lequel pénètrent les fibres horizontales, radiaires, du segment,
postérieur
de la capsule interne (Cip) d'une part, et le péd
ne contient pour ainsi dire que des fibres thalamiques, le segment
postérieur
(Cip) ne contient que des fibres opto- slriécs
en arrière le noyau lenticulaire, dans toute l'étendue de la partie
postérieure
de la couche optique qui correspond il la corti
ircon- volution frontale. - Mo, trou de Monro. znp, sillon marginal
postérieur
. - Na, noyau ' antérieur de la couche optique.
pari, sillon prérolandique inférieur. - 7l)lp, pli pariéto-limbique
postérieur
. - R, scissure de Rolande - 7fy/t, radiations o
Rolande - 7fy/t, radiations optiques de Gratiolet. - S(p), branche
postérieure
de la scis- sure de Sylvius. - scc, sinus du co
- 1'ctp, tapetum. - Tga, pilier antérieur du trigone. - Tgp, pilier
postérieur
du trigone. - Th, couche optique. - Tp, circonv
ilot allongé compris entre la branche verticale S(v) et la branche
postérieure
S(p) de la scissure de Sylvius ; il est formé e
poral occupe sur cette coupe les deux tiers antérieurs de la moitié
postérieure
du cerveau; il est représenté par la circonvoluti
ne apparaît, entre la surface de section du cunéus (C) et la partie
postérieure
du lobe limbique (L,), un nouveau lobe, le lobule
e pariéto-occipilale. - Put, pulvinar. - 7tfJip, pli pariétu-limhiquc
postérieur
. - / ! 77;, radiations optiques de Gratiolet. -
ieur. - / ! 77;, radiations optiques de Gratiolet. -S (pu), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - S(a), branche vert
arinien (L,) et de la partie inférieure du pli P[l1'irJto-limbir¡ue
postérieur
("plp). La face anté- rieure ou profonde du lob
e la circonvolution, godronnée (Cg), on trouve la section du pilier
postérieur
du trigone. Le bord libre de ce pilier est effilé
lcarine (K), par une couche de fibres foncées appartenant au faisceau
postérieur
du cingulum (Cing); en dehors, la corne occipit
anches, qui se rendent à la couche optique en traversant le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). La couche optique
nia lltcclazni (tth) et appartient au troisième ventricule (V3), la
postérieure
est extra- ventriculaire (Sexv), libre et recou
alamus (Line) et la zone réticulée (Zr), qui le séparent du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). En arrière, le noy
ation foncée d'avec les fibres d'association voisines; son faisceau
postérieur
(Cingfp]) se trouve sectionné dans l'isthme du lo
s fibres d'association propres des cir- cingulum. Cing(p), faisceau
postérieur
du cingulum. Cip, segment postérieur de la caps
r- cingulum. Cing(p), faisceau postérieur du cingulum. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-le
- cm, sillon calloso- marginal. CO, centre ovale. - cop, commissure
postérieure
. - Csc,. circonvolutions sous- calleuses. do, d
ion de l'habénula. Gp, glande pinéale. -la, Ip, insula antérieur et
postérieur
. - Iv, scissure calcarine. - K + po, union de l
- Put, pulvinar. - 7-el, pli cunéo-limbique ? pli pariéto- limbique
postérieur
. - RT/¡, radiations optiques de Gratiolet. - S(p)
ions optiques de Gratiolet. - S(p), S, (v), branches verti- cale et
postérieure
de la scissure de Sylvius. sec, sinus du corps ca
e, entre le pulvinar (Pul) et le tapetum (Tap), en dehors du pilier
postérieur
du trigone. Les plexus choroïdes, qui ferment l
bstance grise centrale (Sgc) du troisième ventricule (VJ. La partie
postérieure
est extraventri- culaire et appartient à la fac
partie postérieure est extraventri- culaire et appartient à la face
postérieure
et libre du pulvinar (Pul). Le ganglion de l'ha
on de l'habénula est réuni à celui du côté opposé par la commissure
postérieure
(cop), en arrière de laquelle la coupe intéress
me segment du noyau lenticulaire (NL). Les segments azrté- rieur et
postérieur
de la capsule présentent un aspect très différent
croscopiques de la capside interne, chalo. III, p. 577). Le segment
postérieur
présente un aspect tout autre. Il se dirige obli-
une antérieure, la plus étendue ou lenticulo-ohtique (Cip), l'autre
postérieure
, plus petite ou rétro- lenticulaire (Cirl). Le se
ient presque toutes dans le pulvinar (Pul), en formant le pédoncule
postérieur
du thalamus ou les radiations optiques de Grati
ne du thalamus (Ne). La partie lenticulo-optique (Cip) du segment
postérieur
de la capsule interne en constitue la région la
des libres transversales qui traversent horizontalement ce segment
postérieur
de la capsule interne. Ces fibres transversales
e, proviennent de l'écorce et descendent avec les fibres du segment
postérieur
de la capsule interne ; elles s'entre-croisent
s du noyau lenticulaire, traversent le globus pallidus elle segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), et se rendent dans l
passe par la commissure blanche antérieure (coa), par la commissure
postérieure
(cop), la partie inférieure de la couche optique
forceps du corps calleux (Fm')en dedans duquel on trouve le faisceau
postérieur
du cingulum (Cing [p]). Au niveau du fond de la
interne. - Cing, faisceau horizontal du cingulum. Cing(p) [faisceau
postérieur
du cingu- lum. - Cip, segment postérieur de la
ingulum. Cing(p) [faisceau postérieur du cingu- lum. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Ci·l, segment rétro-lent
- coa, commissure antérieure. - CO, centre ovale. - cop, commissure
postérieure
. - Csc, circonvolutions sous-calleuses. - do, div
- la, insula antérieur. - io, sillon inter-occipital. - Ip, insula
postérieur
. - li, scissure calca- rine. K', incisure de la
perficielle. - ma, sillon marginal antérieur. - mp, sillon marginal
postérieur
. - 7 ? zF , face interne de la première circonvol
ns optiques de Gratiolet. - S, scissure de Sylvius. - S(y), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. S (v), branche vertica
Lp NL/) le plus petit, correspond à la moitié antérieure du segment
postérieur
de la capsule interne. Ces segments sont sillon
t sillonnés de nombreuses fibres branches qui traversent le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) et qui impriment au
uche optique est réunie il celle du côté opposé par la commis- sure
postérieure
(cop). La partie de la couche optique située en a
. La partie de la couche optique située en avant de la com- missure
postérieure
(cop) appartient au troisième ventricule (V.,). L
tubercule quadrijumeau antérieur (Qa) s'insinue entre la commissure
postérieure
(cop) et le suie externe. - Cg, circonvolution
i ! t), genou de la capsule interne. - Cing, cingulum. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-lent
- CO, centre ovale. - coa, commissure antérieure. - cop, commissure
postérieure
. do, diverticule occipital. lis, diverticule du s
- la, insula antérieur. - io, sillon inter- occipital.- Ip, insula
postérieur
. - IC, scissure calcarine. - K + po, union de la
- ma, sillon marginal antérieur de l'insula. - mp, sillon marginal
postérieur
de l'insula.-NC, tète du noyau caudé. - NC', queu
7'cil), tapetum. - 7 ? a, pilier antérieur du trigone.- 7'p, pilier
postérieur
du trigone. Th, couche optique. lit i-i, premie
u lobe limbique (L,), passe par les commissures antérieure (coa) et
postérieure
(cop), la partie supérieure de la région sous-
ginal antérieur de l'insula (ma), en arrière par le sillon marginal
postérieur
(mp). Il comprend quatre à cinq circonvolutions
ssez profond, le sillon insulaire (i) divise en deux régions, l'une
postérieure
, la circonvolution, postérieure de l'insula (Ip
e (i) divise en deux régions, l'une postérieure, la circonvolution,
postérieure
de l'insula (Ip) et une antérieure, comprenant le
olution godronnée (Cg) et la corne d'Ammon (CA) surmontée du pilier
postérieur
du trigone (Tgp), Substance blanche. Le cingulu
ns toute l'étendue de la corne sphénoïdale, il est coiffé du faisceau
postérieur
du cingulum (Voy. Cingulum). En arrière, le car
forment avec ces dernières la zone de WIJ/'IIÍi : ke(W). Le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) n'a pas changé d'as
halamus, elles se réunissent il la partie antéro-interne du segment
postérieur
de la capsule (Cip), pour former un faisceau al
t antérieur de la capsule interne. - Cing, cingulum. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-lent
-occipital. - io', incisure du sillon inter-occipital. - Ip, insula
postérieur
. - K, scissure calcarine. - K + po, union des sci
- ma, sillon marginal antérieur de l'in- sula. mp, sillon marginal
postérieur
de l'insula. - NC, tète du noyau caudé. - NC. que
visé en deux régions par le sillon insulaire (i). La circonvolution
postérieure
de l'insula (Ip), bien délimitée, est recouvert
sente que deux dentelures, correspondant l'une, à la circonvolution
postérieure
de l'in- sula (Ip), l'autre, 11 la circonvoluti
au lenticulaire (Al), qui contourne l'extrémité antérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), qu'il sépare des d
ques fibres de l'anse du noyau lenticulaire traver- sent le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) pour se rendre dans l
he optique a disparu, elle n'est plus représentée que par sa partie
postérieure
et libre, le pulvinar (Pul), dans lequel apparais
te sous l'aspect d'une lentille biconvexe, enclavée dans le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) et reçoit la plus g
ert (FM). Le corps genouillé interne (Cgi) fait saillie à la partie
postérieure
de la région sous-optique. Il se présente sous
particulier les radiations optiques de Gratiolet (RTh). Le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) est un pe,u moins l
ES DU CERVEAU. 423 Mais il reçoit en outre à sa partie tout il fait
postérieure
des fibres hori- zontales provenant du lobe tem
tituent le faisceau de Tiil'ck (FT) et des- cendent avec le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) dans le pied du péd
terne. Cingla), faisceau antérieur du cingulum. - Cing(p), faisceau
postérieur
du cingulum. CL, corps de Luys. CM, commissure
- Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - fs, sillon tardif (fissura scrotina de His).
occipital. - io', incisure du sillon inter-occipital. - Ip, insula
postérieur
. - Fil, faisceau uncinalus. Fus, lobule fusifor
embryonnaire. - ma, sillon marginal antérieur. znp, sillon marginal
postérieur
. - mF,, face interne de la première circonvolutio
raphé, en. avant de l'aqueduc de Sylvius, le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp). La partie antéro-externe de la région so
u pédon- cule (P), et qui décrit une courbe il concavité interne et
postérieure
, dans laquelle est logée la lentille bi-cOllvex
dernières fibres de projection du lobe occipito- temporal, sa face
postérieure
concourt à former la lèvre supérieure de la fente
oyau supérieur de la troisième paire, avec le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp). La substance innommée de Reichert (Sti)
lobe temporal droit il celle du lobe temporal gauche. Le faisceau
postérieur
appartient au système de la bandelette optique. I
ient au système de la bandelette optique. Il con- tourne le segment
postérieur
de la capsule interne qui constitue déjà sur cell
en avant du noyau rouge (NR), en dedans de la sub- stance perforée
postérieure
(Spp). Cette coupe intéresse la partie postérieur
stance perforée postérieure (Spp). Cette coupe intéresse la partie
postérieure
du tuber cinereum (Te) et par conséquent la par
e terminale embryonnaire (It), en arrière par la substance perforée
postérieure
(Spp). En arrière du troisième ventricule on trou
e (P) on reconnaît les trois régions qui le constituent : la région
postérieure
ou région des tubercules quadrij umeaux (Qa), sit
ouge (NR), le ruban de lcil médian (Rm) et le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) ; la région inférieure ou pied du pédoncule
t tient à une torsion des libres sur leur axe. Dans toute sa moitié
postérieure
, la bandelette optique (II) s'applique contre l
li, faisceau longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longi- tudinal
postérieur
. - Fu, faisceau uncinatus. - Fus, lobule fusiform
embryonnaire. ma, sillon marginal antérieur. - mp, sillon marginal
postérieur
. - fiice interne de la première cir- convolutio
roca. - Spa, substance perforée antérieure. - Spp, substance perforée
postérieure
. - SR, substance réticulée. - Sti, substance in
ngement est entouré par les fibres du trigone et celles du faisceau
postérieur
du cingulum.. Dans cette région, la surface de
scendens d'Eckcr. ds, diverticule du subiculum. Epp, espace perforé
postérieur
. - F,, F" Fa, première, deuxième et troisième cir
li, faisceau longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudi- nal
postérieur
. - Fu, faisceau uncinatus. - Fus, lobule fusiform
re. - Spa, substance perforée antérieure. - Spp, substance perforée
postérieure
. - Sti, substance innommée de Reichert. - T,, T
lobule fusiforme (Fus) et le subdivise en trois parties, une partie
postérieure
qui appartient à la pointe occipitale, un îlot
r la corne d'A ? it ? io)i (CA) et l'extrémité antérieure du pilier
postérieur
du trigone (Tgp) dont le sommet s'insère sur la c
tions temporales. - t,, sillon parallèle. Tap, tapetum. Tgp, pilier
postérieur
du trigone. - U, circonvolution du crochet. - V,
83) la limite antérieure de l'espace perforé antérieur. A la partie
postérieure
du sillon olfactif, on trouve une surface de se
it un arc autour du sillon de l'hippocampe (h), arc dont le segment
postérieur
correspond au diverticule du. subiculum (ds). Le
faisceau uncinalus (Fu) le sépare de l'écorce temporale. La partie
postérieure
de la paroi externe de la corne sphé- noïdale e
gine de la scissure de Sylvius (S), dans laquelle s'insinue le bord
postérieur
tranchant de la petite aile du sphénoïde. Écorc
ec du corps calleux (Ce'), c'est-à- dire au niveau de la limite
postérieure
de la corne (l'on- tale. Les coupes nls 40, 4
cir- convolution frontale. S(6t), S[p), S(v), brandies antérieure,
postérieure
et verticale de la scis- sure de Sylvius. Sec,
orps calleux. - Sge, substance grise centrale. SrJ), S(v), brandies
postérieure
et. verticale de la scissure de Sylvius. T,, 7
- ma, sillon marginal antérieur de l'insula. - mp, sillon marginal
postérieur
de l'insula. - NC, noyau caudé. NL3, troisième se
tance grise sous-épendymaire. SI, Sep- tum lucidum. - S(p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. T,, 7's, T3, première,
i que dans toutes celles qui suivront, jusqu'au niveau de la partie
postérieure
du bourrelet du corps calleux, le cerveau ne pr
rieur (ms), et du lobe temporal par le sillon, marginal inférieur ou
postérieur
(mp). Au niveau du lobe temporal, nous trouvons
interne de la première circonvolution frontale. mp, sillon marginal
postérieur
de l'insula. - VC, noyau caudé. - NL3, NL ? trois
ance grise sous-épcndymaire. - SI, sep- tum lucidum. S (y), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - Spa, substance per
j) ou gyrus reclus (oF1[Gr]); la coupe intéresse en outre la partie
postérieure
du lobule orbitaire et le tubercule olfactif (T
terne de la première circonvolution frontale. - mp, sillon marginal
postérieur
de l'insula. - ms, sillon marginal supérieur de
prérolandique inférieur. It, scissure de Rolando.. - S(p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - Sge, subs- tance g
prérolandique inférieur. - R, scissure de Rolando. - S(p); branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. Se ? surface extra"ven
iétale ascendante (Pa) et l'entaille profonde formée par la branche
postérieure
de la scissure de SylviusS (p). Le fond de cett
corps calleux. - Ce, capsule externe. - Cing, cingulum Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - cm, sillon calloso-margi
terne de la première circonvolution frontale. - mp, sillon marginal
postérieur
de l'insula. - nzs, sillon marginal supérieur de
prérolandique inférieur. - Il, scissure de Rolando, - S (1», branche
postérieure
de COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 453 La c
o- interne, oblique en bas et en dedans, en rapport avec le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) en haut, le pédoncu
sceau arqué. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cing, cingulum. - CL, co
e de Rolando. -l11'i, sillon prérolandique inférieur. S(p), branche
postérieure
do la scissure de Sylvius. Sexv, surface extra-
ce externe de la couche optique (Th) est en rapport avec le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) dont la sépare la z
trié, qui tient aux fibres radiaires qui le pénètrent. Le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) sépare le noyau caudé
ule externe. - Cex, capsule extrême. - Cing, cingulum. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - CL, corps de Luys. cm,
, centre ovale. ds, diverticule du subiculum. - Epp, espace perforé
postérieur
. - F, champ de Forci. - Fui, première circonvol
ando. - /i77t, radia- tions optiques de Gratiolet. - S (p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - sec, sinus COUPES
(Pa), qui concourt il former opercule rolandique (OpR). La branche
postérieure
de la scissure de Sylvius (S[pJ) entaille profo
oupes nOS 78 et 80 (fig. ' : 250- 251), qui intéressent l'extrémité
postérieure
et effilée de la circonvolution du crochet (U).
quel s'arrête l'écorce cérébrale. Elle est recouverte par le pilier
postérieur
du trigone (Tgp) qui la déborde en dedans et do
Ce, capsule externe. - Cg, circonvolution godronnée. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - cm, sillon calloso-margi
sillon calloso-marginal. - CO, centre ovale. - Epp, espace perforé
postérieur
. - Fa, circonvolution frontale ascen- dante. -f
le diL'I'I'/iwle du subiculum (ds) limite en bas, et par le pilier
postérieur
du trigone (Tgp) (f ? ? 51). Le troisième ventr
250), le deuxième segment (NL2) se perd dans les fibres du segment
postérieur
de la capside interne (Cip) et sur la coupe n° 80
) et la zone réticulée ou grillagée (Zr) qui le séparent du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). La face supérieure
ué entre deux couches de fibres blanches, et qui répond il bipartie
postérieure
du noyau antérieur (Na). (Voy. Coupes microscopiq
calleux. - Cg, circonvolution godronnée. Cing, cingulum. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne.-cm, sillon calloso-margi
calotte. - 77;, radiations optiques de Gratiolet. - S (p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. Sge, substance grise
pédoncule. Il se porte en haut et en dehors, représente le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) et sépare le noyau
gne antérieur. - tec, taenia tecta. - 7'<y, trigone. - Typ, pilier
postérieur
du trigone (Fimbri : v). - Th, couche optique.
336. Ces coupes intéressent le lobule paracentral (Parc), la partie
postérieure
de la branche postérieure de la scissure de Syl
t le lobule paracentral (Parc), la partie postérieure de la branche
postérieure
de la scissure de Sylvius S (p), le corps genouil
ig. 253) apparaissent le ganglion de l'habénula (Gh), la commissure
postérieure
(cop) et l'embouchure de l'aqueduc de Sylvius (
s réduit de volume. Ces coupes n'intéressent en effet que la partie
postérieure
de son tronc (NC) au niveau de l'étage supérieu
rne. Cgi, corps genouillé interne. - Cing, cingulum. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - cm, sillon calloso-mar
calotte. iî7'/i, radiations optiques de Gratiolet. - S(p). branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - sec, sinus du corps
ième sillons tem- poraux. T'ap, tapetum. - Tg, trigone. Tgp, pilier
postérieur
du trigone. 7'/t, couche .optique. - Tp, circon
. -C71, corps genouillé ' ~- interne : Cing, cingulum. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. cm, sillon calloso-mâr';
cm, sillon calloso-mâr';inal. - CO, centre ovale. - cop, commissure
postérieure
. ds, diverticule du subiculum ? Fa, circonvolut
n de Reil. - IiTh, radiations -optiques de Gratiolet. S (pu), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - Sge, substance gri
me sillons temporaux. Tap, tapetum. Tg, trigone. - 7·gl>, pilier
postérieur
du trigone. Th, couclie optique. Tp, circonvoluti
cm, sil- lon calloso-marginal. CO, centre ovale. - cop, commissure
postérieure
. ds, diverticule du subiculum. Fla, circonvolut
opti- ques de Gratiolet. - rp, recessus pinealis. - J (p), branche
postérieure
de la scissure de Syl- vius. - sec, sinus du co
face inférieure libre, une face interne en rapport avec le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) sur la coupe n° 83
. coupes microscopiques horizontales (fig. 306 à 308). Le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) se continue directeme
cm, sillon calloso-marginal. - CO, centre ovale. - cop, commissure
postérieure
. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli,
latéral. H771, radiations optiques de Gra- tiolet. - S(p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - Se.vv, surface extra
ible sur la coupe n° 83 (fig. 252), qui intéresse la partie la plus
postérieure
de la capsule externe (Ce) et de l'aaan.f-ziaur
nières coupes (fig. 25 ? 25t et 255) intéressent en outre la partie
postérieure
de la calotte ou étage supérieur du pédoncule. On
e Sylvius (Aq) entouré de la substance grise, en haut la commissure
postérieure
(cop) et en dehors la substance réticulée (SR), b
oraux. Tap, tapetum. - tec, toenia tecta. - Tg,triâone.-1'p, pilier
postérieur
du trigone. VI, ventricule latéral. Vsph, corne
ème et troisième sillons temporaux. tec, t,enia tecta. 1'gp, pilier
postérieur
du trigone. l'l, ventricule latéral. 474 ANATOM
volution change de forme. La coupe intéresse en effet ici la partie
postérieure
du bourrelet du corps calleux (Ce [Spl]) et la pa
e seconde fois dans la corne sphénoïdale (Vsph) au niveau du pilier
postérieur
du trigone (Tgp). La coupe n° 93 (fig. 237) int
eur du trigone (Tgp). La coupe n° 93 (fig. 237) intéresse le pilier
postérieur
du trigone (Tgp) Ü son origine, c'est-à-dire da
A). Les coupes nos 95 et 97 (fig. 258 et 259) intéressent sa partie
postérieure
; le pilier ptostérieur (Tgp) forme sur ces coupes
qui limitent le carrefour ventriculaire en avant, il savoir le pilier
postérieur
du trigone (Tgp), la lame cornée (le) et la que
e sillons temporaux.- Tap, tapotum. tec, tcenia tecta.- Tgp, pilier
postérieur
du trigone. Voc, corne occipitale du ventricule l
coupe n° 92 (fig. 256). La coupe n° 93 (fig. 257) intéresse la partie
postérieure
de sa queue immédiatement en avant du carrefour
la coupe n° 92 (fit. 256), qui correspond encore à la partie la plus
postérieure
de la scissure sylvienne, ainsi que l'indique l
ourrelet du corps calleux. Les deux premières passent par la partie
postérieure
du lobule paracentral (Parc), les autres, par l
me du lobe limbique (L (i)) qui se continue en avant avec la partie
postérieure
de la circonvolution de l'hippocampe (H). Au-de
, la partie verticale du sillon calloso-marginal (cm') et la partie
postérieure
du lobule paracentral (Parc). La face externe de
nd à son sominet, le cunéus s'étale considérablement sur les coupes
postérieures
(133 et 137) (fig. ? G5, 266), mais ces. coupes
entriculaire n'atteint donc pas la pointe occipitale, son extrémité
postérieure
en est éloignée peu près trois centimètres. S
ique (L,), par les plis de passage paJ'iéto-lirnbiques antérieur et
postérieur
( ? pla, zlnlp). Le bord supérieur du précunéus
e cérébelleux inférieur et médian. Lip, lobe cérébelleux inférieur et
postérieur
. - Lsp, lobe cérébelleux supérieur et postérieu
lleux inférieur et postérieur. - Lsp, lobe cérébelleux supérieur et
postérieur
. - Ln, locus niger. - Ly, lyre. - »eF,, face in
- Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. - Qp, tubercule quadrijumeau
postérieur
. - fi, scissure de Rolando. RC, radiations de l
ale - Spa, substance perforée antérieure. - Spp, substance perforée
postérieure
. SR, substance réticulée. tec, ttenia tecta. Tg,
e noyau caudé a former le plancher du ventricule latéral; la partie
postérieure
est extra-ventriculaire ; elle se continue sur
t, du cervelet au noyau rouge. Au-dessous du tubercule quadrijumeau
postérieur
(Qp), nous trouvons enfin une mince couche de f
du cerveau intermédiaire avec celui du cerveau moyen et du cerveau
postérieur
. Cet angle correspond il peu près il la région so
mmidal (Py). La région de la calotte se continue de môme avec l'étage
postérieur
de la protubérance ; elle ne comprend sur cette
n calloso-marginal. - coa, commissure antérieure. - cop, commissure
postérieure
D, gyrus descendons d'Ecker. - F,, première cir
cérébelleux inférieur et médian. Lip, lobe cérébelleux inférieur et
postérieur
. Lmi, lame médullaire interne de la couche opti
ébelleux supérieur et médian. - lisp, lobe cérébelleux inférieur et
postérieur
. - Ly, lyre. 711F,, face interne de la première c
fronto-limltiquc. 7cplci, pli parieto-limbiquc pli pariéto-limbiquc
postérieur
. . - arl, pli rétro-limbique. - Qa, tubercule q
e (Lmi), qui grâce à sa direc- tion courbe, il concavité interne et
postérieure
, se trouve sur cette coupe sec- tionnée deux fo
laire, dont la base est formée par le pulvinar (Pul), la commissure
postérieure
(cop) sectionnée perpen- diculairement et la pa
e calcarine (K) n'est représentée que par ses parties antérieure et
postérieure
. Le ruban, de Vicq d'Azur (V) se présente avec
r cette coupe par sa face externe et superficielle. A son extrémité
postérieure
, le sillon de l'hippocampe (h) la sépare des ci
u trigone (Tg), au niveau du point où il se continue avec le pilier
postérieur
. A son extrémité antérieure, la circonvolution
ventricule latéral (Vsph) et le noyau amygdalien (NA), dont la face
postérieure
fait saillie dans la corne sphénoïdale, et dont l
st encore très petit et décrit avec le noyau une courbe à concavité
postérieure
et infé- rieure, dans laquelle se loge le globu
ais elle présente toujours dans cette série de coupes une extrémité
postérieure
libre, le pulvinar (Pul), qui correspond il la
re. slra, stratum zonale. Tg, trigone. - Th, thalamus. Tr/p, pilier
postérieur
du trigone. U, circonvolution du crochet. V, ru
onvolutions sous-cal- leuses (Csc), et se continuent avec la partie
postérieure
de la circonvolution godronnée (Cg). La circonv
sectionnée deux fois sur cette coupe, une fois au niveau du pilier
postérieur
du trigone (Tgp), une seconde fois en arrière d
née. - Cia, segment anté- rieur de la capsule interne. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. coa, commis- sure antéri
par les plexus choroïdes (Pchl) du ventricule latéral et le pilier
postérieur
du trigone (Tgp). La corne sphénoïdale (Vsph) se
ls (NL2, 1)' Ces fibres correspondent au tiers antérieur du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), et sont situées immé
roisième circonvolutions tempurales.-7;g, tri- gone, 1 : qp, pilier
postérieur
du trigone. TgYI, trigone du ventricule latéral.
502 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. (fig. 270). Les fibres de ses 2/3
postérieurs
présentent encore le même aspect que sur cette
la, de la bandelette optique (II), du pulvinal' (Pul) et du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). Écorce. - L'écorce
nue, son écorce se continue il la partie antérieure et il la partie
postérieure
du sillon de l'hippocampe (h) avec celle de la
gment interne du noyau lenticulaire (NL,) par les fibres du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), qui présentent toute
sule interne (Cia) n'est donc pas comparable à celle de son segment
postérieur
(Cip); celui-ci contient surtout des fibres péd
s toute leur longueur la circonvolution godronnée (Cg) et le pilier
postérieur
du trigone (Tgp). Écorce. - L'écorce ne prése
es latérales de la fente céré- 1)J'ale de Bichat (B) avec le pilier
postérieur
du. trigone (Tgp). La substance grise de la cor
celle de la circonvolution godronnée (Cg) comprise entre le pilier
postérieur
du trigone et la lame médullaire moyenne. Le ve
Rei- chert. - T'a, deuxième circonvolution temporale. - Tgp, pilier
postérieur
du trigone. TgVI, trigone du ventricule latéral
dronnée. Cia, segment antérieur de la capsule interne. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - CO, contre ovale. coa,
le, lame cornée et COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 50î L'angle
postérieur
de la corne sphénoïdale est fermé par l'insertion
par les plexus choroïdes (Pchl) qui s'insèrent d'une part au pilier
postérieur
du trigone (Tgp) et d'autre part, au sillon opt
tés que par les ponts de substance grise qui cloisonnent le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) et qui relient le noy
paré du deuxième segment du noyau lenticulaire (NL2) par le segment
postérieur
de la èa]Jsule interne (Cip), qui se pré- sente
siforme. Tap, tapetum. - Th, thalamus (couche optique). Tgp, pilier
postérieur
du trigone. - TgVl, tri- gone du ventricule lat
ux. Ce, capsule externe. Cl, circonvolution godronnée. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cirl, seg- ment rétro-
moyenne. Ventricule latéral. Cette coupe passe en dehors du pilier
postérieur
du trigone et de l'insertion des plexus choroïd
roisième segment du noyau lenticulaire (NL3) sont lisses, sa moitié
postérieure
donne naissance il des languettes de substance
nter-pariétal. -ma, sillon marginal antérieur. zip, sillon marginal
postérieur
.-ms, sillon marginal supérieur. NC', queue du n
insula. /, sillon de l'insula. la, insula antérieur. - Il), insula
postérieur
. ip, sillon inter-pariétal. - ma, sillon margin
nter-pariétal. - ma, sillon marginal antérieur. mp, sillon marginal
postérieur
. ms, sillon marginal supérieur. 0,,03, deuxième
ment antérieur est oblique en haut et en arrière, et dont la partie
postérieure
décrit une courbe assez accentuée. Ces fibres app
tuée. Ces fibres appar- tiennent il la partie inférieure du segment
postérieur
et au segment lie it- laire de la capsule inter
rrespond il la base du gyrus supra-marginalis (OpP2,Gsm). La partie
postérieure
de la circon- volution pariétale inférieure (P
sure de la partie verticale du sillon parallèle (t',). Cette partie
postérieure
de la circonvolution pariétale in férieure, appar
pli courbe (Pc) dont elle constitue le segment antérieur. Le segment
postérieur
du pli courbe (Pc) est formé par la deuxième ci
(S); son écorce se continue d'une part, le long du sillon marginal
postérieur
de l'insula (mp) avec l'écorce de la région rét
cette coupe, au niveau du point où les circonvolutions antérieures et
postérieures
de l'insula se continuent avec l'opercule rolan
re (i), qui divise l'insula en insula anté- rieur (la) et en insula
postérieur
(Ip). Laparlie postérieure du sillon marginal s
a en insula anté- rieur (la) et en insula postérieur (Ip). Laparlie
postérieure
du sillon marginal supérieur (ms) se continue i
al supérieur (ms) se continue il angle aigu avec le sillon marginal
postérieur
(mp), qui sépare l'insula postérieur du lobe te
e aigu avec le sillon marginal postérieur (mp), qui sépare l'insula
postérieur
du lobe temporal. Dans le fond des sillons margi-
e temporal. Dans le fond des sillons margi- 7//lII.I : supérieur et
postérieur
, l'écorce temporale fait saillie, et donne naissa
et la branche verticale. (S [v]) de la scissure de Sylvius. La plus
postérieure
des circonvolutions antérieures de l'insula, se
blanche de l'opercule rolandique (OpR). La circonvolution insulaire
postérieure
(Ip) est étroite et allongée et se dirige obliq
i). Ce dernier est particulièrement accentué au niveau de la partie
postérieure
de la corne sphénoïdale. Coupe n° 43 (fig. 277)
naissance à une branche antérieure (S [a]) courte et à une branche
postérieure
(S [p]) extrêmement longue, qui se prolonge jusqu
itaire de la troisième cir- convolution frontale (OpF3). La branche
postérieure
(S [p]) est limitée en bas par la face supérieu
e de Heschl (Tp). Entre la branche antérieure (S [a]) et la branche
postérieure
(S [p]) de la scissure de Sylvius, l'écorce déc
sillon frontal. - ip, sillon inter-pariétal. - mp, sillon marginal
postérieur
. - Os, 03, deuxième et troisième circonvolution
o, - S, scissure de Sylvius. S(a), S(p), S(v), branches antérieure,
postérieure
et verticale de la scissure de Sylvius.- Tu 7, ï'
tiers de l'hémisphère. Les coupes A et B intéressent les deux tiers
postérieurs
de l'hémisphère (voy. fig. de repérage 291) et se
infé- rieure par le pédoncule cérébral et le tubercule quadrijumeau
postérieur
. Ces coupes sont assez rapprochées et l'on assi
prérolandique inférieur. - S, scissure de Sylvius. - S(p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius.-Sge, substance grise s
versent la capsule interne au niveau de son genou et de son segment
postérieur
, se mé- langent aux fibres précédentes, dont il
ibres de projection lenliculo-caudées ; elles traversent le segment
postérieur
de la capsule interne et s'épuisent pour la plu-
de projection non encore différenciés. Au niveau du sillon marginal
postérieur
de l'insula (mp), entre ce sillon et l'écorce de
stance grise, qui appartiennent à l'écorce de la partie profonde et
postérieure
de la circonvolution du crochet (Voy. coupe F,
e interne de la première circonvolution frontale. mp, sillon marginal
postérieur
. - n ? s, sillon marginal supérieur. -NC, noyau
prérolandique inférieur. - R, scissure de Rolando. - S(p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - S,ge, S,ge', subst
TOMIE DES CENTRES NERVEUX. suivent le trajet des fibres des piliers
postérieurs
et du corps du trigone; arrivées au niveau de l
ux radiations olfactives profondes, destinées aux cerveaux moyen et
postérieur
. Dans le luber cirtereunz (Te) qui limite le tr
ortent en arrière, contournent la partie sous-thalamique du segment
postérieur
de la capsule interne et entrent dans la consti
utamen (pal3) et on peut les suivre jus- qu'au-dessous de la partie
postérieure
de l'anse du noyau lenticulaire. Suivi sur des
interne de la première circonvolution frontale. mp, sillon marginal
postérieur
de l'insula. 1ns, sillon marginal supérieur de l'
stance grise sous-épendymaire. - sM, sillon de Monro. Slh), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - si ? stratum xonaie.
que d'avant en arrière et de haut en bas. Elle passe par le segment
postérieur
de la capsule interne, la partie antérieure du
Ime, lmi) du noyau lenticu- laÍ1'e, après avoir traversé le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). La queue du noyau
réside dans la couche optique, la région sous-optique et le segment
postérieur
de la capsule interne. La couche optique (Th) r
roisième ventricule. La face externe est en rapport avec le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) et présente un aspect
ver- sales ou horizontales : en connexion immédiate avec le segment
postérieur
de la capsule interne, on trouve une mince lame
Ces fibres arrivent au noyau externe par l'intermédiaire du segment
postérieur
de la capsule interne et s'entre- croisent au n
orps calleux. Ce, capsule externe. Cing, cin- bulum. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - CL, corps de Luys. cm, s
ied du pédoncule cérébral (P) et de la partie inférieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), est limitée en dedan
l'autre par une lamelle grise appartenant il la substance, perforée
postérieure
. Sa moitié supérieure, com- prise entre le sill
ieure, com- prise entre le sillon de Monro et la substance perforée
postérieure
, fait partie du troisième ventricule; sa moitié
ns lequel apparaît le locus lIif71'I' (Ln) et la substance perforée
postérieure
. La région sous-optique se continue en bas et e
interne du noyau lenticulaire. Ln, locus nier.- mp, sillon marginal
postérieur
. - 112S, sillon marginal 1 supérieur. NA, noyau
n prérolandique inférieur. sec, sinus du corps calleux. S(p), branche
postérieure
de la, scissure de Sylvius. - S,qe, substance g
périeur; de la ces libres se portent en dedans, traversent le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) avec les fibres de
ans, traversent la ligne médiane au niveau de la substance perforée
postérieure
, et constituent le petit faisceau désigné par For
l'espace ¡II t 1"'}i,'dollwlaÎl'c. Cette coupe intéresse le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), formé de deux part
rieure. La supérieure correspond il la région lhalamique du segment
postérieur
de la capsule interne, la partie inférieure iL
ne, la partie inférieure iL la région sous-thalamique de ce segment
postérieur
. La capsule interne dans l'une et l'autre de ce
externe. Cg, circonvolution godronnée. C : H ? cingu)um. Cip, segment
postérieur
delà, capsule interne. cm, sillon calloso-margi
lobe temporal. ds, diverticulc du subicultllll. Epp, espace perforé
postérieur
. F,, première circonvolution frontale. l'" premie
u- bérance. Poa, fibres antérieures de la protubérance. Pop, fibres
postérieures
de la pro- tubérance. Pi/, faisceau pyramidal.
a calotte. RTIi, radiations thalamiques de Gratiolet. S'p], branche
postérieure
de la scissure de Sylvius.- sec, sinus du corps
oraux. Tap, tapetum. tec, ttenia tecta. 1 ? 7, trigone. Tgp, pilier
postérieur
du trigone. 771.Ve, noyau externe du thalamus.
a capsule du noyau rouge et en particulier au faisceau longitudinal
postérieur
. \ Le segment postérieur de la capsule interne
et en particulier au faisceau longitudinal postérieur. \ Le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) ne présente rien de
édentes, des fibres qui traversent laparlie supé- rieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) et qui se rendent dan
e substance grise : ces fibres appartiennent aux confins du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip); les inférieures abor
en dedans, on trouve les dernières fibres de faisceau longitudinal
postérieur
, ainsi que le faisceau 1"i[I'o(le : CI ? de Meyne
incata de Foret et la zone réticulée du thalamus (Zr). - Le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) est intéressant il ét
nnée. - Cing, cingulum. - cm, sillon calloso-marginal. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. -CR, couronne rayonnante.
, toile cl1tJroïdienne. tec, Uenia tecta. 1'g, trigone. : Tgp, pilier
postérieur
du trigone. - Th, coupe optique (thalamus). - Ith
rs le locus nigel' (Ln). Dans la région sous-thalamique, le segment
postérieur
de la capsule interne reçoit un contingent impo
ème circonvolutions temporales (1'2,1' : 1)' s'irradie dans un plan
postérieur
à celui de cette coupe et est vue en section tran
rance, où elles sont dissociées par les fibres protubérenlielles et
postérieures
(FPoa). Dans la corne sphénoïdale on trouve, en
es de Yalvéus (Alv) qui se continuent en haut avec celles du pilier
postérieur
du trigone (Tg-p). Coupe n° IX (iig. 1-187). Ce
segment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl), la partie
postérieure
de la couche optique (Th), la coiii- missure po
la partie postérieure de la couche optique (Th), la coiii- missure
postérieure
(cop) et les corps g enouillès externe et interne
ement du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs), ainsi que la partie
postérieure
du pied du pédoncule cérébral (P)et de Y étage
oral. Ces dernières fibres se détachent des ra diations thalamiques
postérieures
(RTh), qui bordent le ventricule sphénoïdal (Vsph
apsule interne. CM, sillon c;tllÔso-iiiirgin;tl. - col), commissure
postérieure
. CR, couronne rayonnante. ds, (livei-lictile du s
orps genouillé interne (Cgi). Ces fibres appartiennent au pédoncule
postérieur
du thalamus (RTh, (Pp Th). Entre ces fibres et
aisceau longitu- dinal infé1'iew' (Fli) se confond avec le faisceau
postérieur
du cingulum. Quant il la paroi interne de la co
- Fli, faisceau longitudinal inférieur. - l'lp, faisceau longitudinal
postérieur
. - ft. fibres tangentielles. - Fus, lobule fusi
rconvolution de l'hippocampe. h, sillon de l'hippocampe. Ip, insula
postérieur
. ip, sillon inter-pariétal. L,, première circonvo
/c/t)A, plexus choroïde du ventri- cule latéral. - Pp1'h, pédoncule
postérieur
du thalamus. - Poa, fibres antérieures de la prot
lamus. - Poa, fibres antérieures de la protu- lpérance. Pop, fibres
postérieures
de la protubérance. - pour, sillon post-rolandiqu
atio- let. - RTh(PpTh), radiations thalamiques formant le pédoncule
postérieur
du thalamus. . S(p), partie postérieure de la s
amiques formant le pédoncule postérieur du thalamus. . S(p), partie
postérieure
de la scissure de Sylvius. - sec, sinus du corps
tiliiiiiis (couche oliti(luie). - ventricule tecta. - l'gpt, pilier
postérieur
du triâonc. - T/a, thalamus (couche optique). V
334 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. sectionnées en travers du pilier
postérieur
du trigone (Tgp). Sur celle coupe on voit très
champ de Wernicke et s'entre- croisent avec les fibres du pédoncule
postérieur
de la couche, optique (PpTh). Toutes les fibres
uc qui se porte un peu en avant, on trouve le faisceau longitudinal
postérieur
(l11) divisé en gros fascicules par les fibres
uent entre le pédoncule cérébelleux supérieur et la substance grise
postérieure
de la protubérance. Au-dessus de l'aqueduc de Syl
insertion, la coupe les intéresse en effet au niveau de leur partie
postérieure
. Le ventricule est tapissé par la substance gri
ibres vont se porter en arrière pour constituer le forceps major ou
postérieur
du corps calleux. La partie infé- rieure du bou
um de la corne d ? 1lll1non où elles se confondent avec le faisceau
postérieur
du cingulum. Nettement déli- mité au niveau du
la corne sphénoïdale et se bifurquent au niveau du sillon marginal
postérieur
de l'insula, en deux faisceaux : Le fais- ceau
sule interne, puis forme les fibres les plus inférieures du segment
postérieur
de la capsule exlcrvre (Voy. coupes 296 et 297)
n, comprend 6 coupes; les deux premières intéressent les deux tiers
postérieurs
de l'hémisphère, les quatre autres les deux tiers
artie infé- rieure du corps calleux (Ce), l'extrémité supérieure et
postérieure
de la corne d'Ammon (CA), le tiers supérieur de
ES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 363 s'épaissit au niveau de la partie
postérieure
de ce diverticule. La substance blan- che du lo
us (C) et du lobule lingual (Lg), fibres qui alimentent l'extrémité
postérieure
du faisceau longitudinal inférieur. Limité en d
x deuxième et première circonvolutions temporales (T" T,). Les deux
postérieurs
sont peu accusés; l'antérieur donne naissance à d
de nombreuses fibres, qui s'irradient en arrière du sillon marginal
postérieur
de l'insula (mp) dans la crête de la première c
ic. 292. Coupe horizontale microscopique A, comprenant les deux fiers
postérieurs
de l'hémisphère droit et passant par la ligne A
. Ci(g), genou delà capsule interne. - Cing, cingulum. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. Fc, fibres calleuses. -
de l'insula. la, insnla antérieur. ig, induscum griseum. lp, insula
postérieur
. - li, scissure calcarine. - Lu première circon-
ris. Lg, lobule linguai. Mo, trou de Monro. n : jo, sillon marginal
postérieur
. -.Va, noyau antérieur de la couche optique.. -
cta. - 1'g, trigone. - Tga, pilier antérieur du trigone.- Tgp, pilier
postérieur
du trigone. - Th, couche optique (thalamus). tl
. 293. - Coupe horizontale microscopique B, comprenant les deux tiers
postérieurs
de l'hémisphère droit et passant par la ligne d
ntéressé ou niveau de son corps et au niveau de l'origine du pilier
postérieur
(Tgp). Intimement uni au bourrelet du corps calle
iculaire sont formés de fibres à direction horizontale; [le segment
postérieur
(Cip) de fibres section- nées perpendiculaireme
capsule interne. Cig), genou de la capsule interne. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. CL, corps de Luys. cop,
ostérieur de la capsule interne. CL, corps de Luys. cop, commissure
postérieure
. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. Fli, faisc
globus pallidus. - H, hippocampe. - la, insula antérieur. Ip, insula
postérieur
. - Lg, lobule lingual. lme, lame médullaire ext
e médul- laire interne du noyau lenticulaire. - mp, sillon marginal
postérieur
. - VC, noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé
ion du ruban de Reil médian, avec le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAr/
les. Tap, tapetum. r' ? a, pilier antérieur du trigone. - Top, pilier
postérieur
du trigone. - tu sillon parallèle. - V,, troisi
) sectionnées perpendiculairement à leur axe, contour- nent l'angle
postérieur
du ventricule et se prolongent sur la paroi posté
nent l'angle postérieur du ventricule et se prolongent sur la paroi
postérieure
du diverticule du subiculum,. où elles sont sec
e Tiirck (FT), faisceau qui entre dans la constitution de la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne (Ci
qui entre dans la constitution de la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). Dans la circonvolu
lt;y), genou de la capsule interne. - Cing, cingulum. -Cip, segment
postérieur
de la capsule internes 0)), sil- lon calloso-ma
tudinal inférieur. - i, sillon insulaire. la, Ip, insula antérieur et
postérieur
. ? première circonvolution limbique. - le, lame c
de Monro. R, scissure de Rolando. - S(p), S(v),I)ranches verticale et
postérieure
de la scis- sure de Sylvius. Sge, substance gri
fortement colorées au voisinage des sillons, marginaux antérieur et
postérieur
de l'insula. La partie postérieure de la capsul
des sillons, marginaux antérieur et postérieur de l'insula. La partie
postérieure
de la capsule externe (Ce) reçoit, en effet, le
l, bandelette diagonale de Broca. - Ce, capsule esternc.-Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - CL, corps de Luys. - C
rième sillon frontal ou sillon olfactif. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - FT, fais
sceau de Türck. - Fu, faisceau uncinatus. la, Ip, insula antérieur et
postérieur
. - lme, lame médullaire externe du noyau lentic
zontalement en dedans et contourner la partie antérieure du segment
postérieur
de la capsule ill- terne (Cip), qui affecte déj
s de la partie interne de la capsule du noyau rouge (NR). La partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne (Cip)
de la capsule du noyau rouge (NR). La partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) reçoit le faisceau,
Al) et le faisceau, de TiiJ'ck (FT), les fibres verticales du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) sont divisées en fa
t. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. Il, libres tangentielles. -Fu faisceau uncinat
en dehors par les fibres d'association propres du sillon, marginal
postérieur
de l'insula (mp). Entre le putamen (NL3) et la
ièrement épaisse au niveau du subi- culum (H[L=]) et de l'extrémité
postérieure
de la circonvolution du cnoclael (U) : ces fibr
t aux fibres d'association de la région, en particulier au faisceau
postérieur
du cingulum. Les fibres tangentielles de la circo
dès qu'elles ont dépassé le fond des sillons. La partie externe et
postérieure
de la masse blanche est formée sur cette coupe
rière, au niveau du point où il contourne les parties antérieure et
postérieure
du sinus du corps calleux (scc) ; à ce niveau i
êtrement des fibres sous-corticales, à ses extrémités antérieure et
postérieure
. En dehors elles sont limitées par la substance
onne rayonnante (pCR) est formé de deux ordres de fibres. La moitié
postérieure
, qui correspond aux circonvolutions rolandique
uble le fond du sillon pré-rolandique inférieur (pri) et la branche
postérieure
de la scissure de Sylvius (S[p]). A la face int
férieur. - RCc, radiations du corps calleux. S(p), fond de la branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - sec, sinus du corp
graduellement au sur et à mesure que l'on se porte vers l'extrémité
postérieure
du ventricule latéral (VI). Elles font place pe
ce externe par un petit fond de sillon qui appartient à l'extrémité
postérieure
du sillon marginal postérieur de l'insula [ni]})
sillon qui appartient à l'extrémité postérieure du sillon marginal
postérieur
de l'insula [ni]}) et il la face interne, par l
un angle très oblique. Les fibres du segment thalamique ou segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) sont de deux ordres
é de ces fibres nettement transversales, on trouve dans le segment,
postérieur
de la capsule FiG. 303. Coupe horizontale micro
e. - Cia, segment anté- rieur de la capsule interne. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - CO, centre ovale. Fie,
le, lame cornée et t : enia semi-circularis. - mp, sillon marginal
postérieur
. - NC, tête du noyau caude. - NC', queue du noy
ent la différence d'aspect du segment antérieur (Cia) et du segment
postérieur
(Cip) de celte capsule. Le genou qui sépare ces
à leur longueur. Les fibres horizontales des segments antérieur et
postérieur
de la capsule interne dépassent en dehors la li
299. Cette coupe passe par les sillons marginaux supérieur (ms) et
postérieur
(mp) de l'insula, la partie supérieure du noyau
par leur écorce aux circonvolutions operculaires. La circonvolution
postérieure
de l'insula (11» est intéressée dans une plus g
la partie antérieure appartient au genou du corps calleux, \a partie
postérieure
au tronc (Ce) qui forme la voûte du ventricule
capsule interne. - Ci(g), genou de la capsule interne. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-le
faisceau longitudinal inférieur. - la, insula antérieur. Ip, insula
postérieur
. - le, lame cornée et t,enia semi- circularis.
lame médullaire externe de la couche optique. - mp, sillon marginal
postérieur
. - ms, sillon marginal supé- rieur. Sa, noyau a
ule latéral (Plch) qui sur- montent le trou de Monro. L'extrémité
postérieure
du trigone (Tg) est effilée et sectionnée oblique
nsertion aux plexus choroïdes (Plch), qui s'étendent de l'extrémité
postérieure
du trigone au sillon opto-slrié (si). Les plexus
le trou de MUIII'oj en arrière il s'effile et atteint l'extré- mité
postérieure
de la couche optique. Il est limité en dedans par
s perpendiculairement à leur longueur. Aux extrémités antérieure et
postérieure
de cette lame, ces fascicules sont sectionnés d
re de la couche optique, dont elles forment les fibres radiées. Les
postérieures
proviennent des radiations thalamiques (RTh), e
nt des radiations thalamiques (RTh), et s'irradient dans le segment
postérieur
du noyau externe du thalamus (Ne). Sur cette co
se trouvent sectionnées une seconde fois, au niveau de l'extrémité
postérieure
de la couche optique, immédiatement en avant de l
ponts de substance grise, qui sillonnent les segments antérieur et
postérieur
de la capsule interne (Cia, Cip). Quelques îlot
ois segments de longueur inégale : le segment antérieur, le segment
postérieur
et le segment rétro-lenticulaire. Le segment anté
es-unes appartiennent aux fibres lenliculo-caudées. Dans le segment
postérieur
de la cap- sule (Cip) les fibres à direction ve
i) et les fibres pro- pres qui doublent le fond du sillon, marginal
postérieur
(mp). Il reçoit les fibres des radiations thala
nt par la ligne 6 de la figure 299. Cette coupe passe par la partie
postérieure
de la couche optique (Th), intéresse le noyau c
lon marginal antérieur de l'iuszela; en arrière, le sillon marginal
postérieur
(mp) le sépare de la première cir- convolution
d quatre circonvolutions, deux ant,C rieures (la), petites, et deux
postérieures
(Ip) plus grandes. Le pli le plus saillant 592
correspond à l'insula antérieur; il est séparé de la circonvolution
postérieure
de l'insula par le sillon insulaire (i). La pet
d dans la couche des fibres qui doublent le fond du sillon marginal
postérieur
(mp) d'une part, et d'autre part dans les fibre
'xleme change un peu, lorsqu'on aborde les extrémités antérieure et
postérieure
du troisième segment du noyau lenticulaire. La pa
t postérieure du troisième segment du noyau lenticulaire. La partie
postérieure
de la capsule externe (Ce) et la partie correspon
es pâles du fond de la capsule externe, et qui traversent la partie
postérieure
du noyau lenticulaire pour aborder le segment r
capsule interne. - Ci(g), genou de la capsule interne. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cirl,. segment rétro-len
inférieur. i, sillon de l'insula. la, insula antérieur. Ip, insula
postérieur
. le, lame cornée et taenia semi-circularis. - Lma
, lame médullaire externe de la couche optique. mp, sillon marginal
postérieur
. Na, noyau antérieur du thalamus. NC, tète du noy
de la couronne rayonnante. Plch, plexus choroïdes. -l'pTla, pédoncule
postérieur
do la couche optique. RTh, radiations optiques
t colorées par la méthode de Weigerl. Elles se groupent à la partie
postérieure
du noyau caudé, traver- sent le segment antérie
ent, que l'on considère des régions plus antérieures. Dans le segment
postérieur
de la capsule interne. (Cip) au contraire, tout
bres sont coupées perpendi- culairement à leur axe. Dans ce segment
postérieur
, et principalement au niveau de sa paroi antéri
mité antérieure de la couche optique (Th, et les fibres du segment
postérieur
(Cip) qui, vues en section transversale, se pré
ngitudinal iujhicul' (Fli) confondu avec les radiations thalamiques
postérieures
(RTh) et qui n'apparaît nettement distinct que
couche optique (Th), dont elles forment les fibres radiées les plus
postérieures
. D'autres fibres, que l'on trouve éparpillées dan
amen (L.,). Quelques-unes entrent dans la constitution de la partie
postérieure
de la capsule exlerne (Ce). Cette coupe intéres
t dans la couche optique, au niveau de ses extrémités antérieure et
postérieure
. Dans ces mêmes régions, la zone réticulée est
aire externe du thalamus (Lme). Dans la partie adjacente au segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), la zone réticulée (Z
e antérieure. On se rend facilement compte de la forme de la partie
postérieure
de ce noyau antérieur, en examinant soit les coup
en arrière, les fibres radiaires des pédoncules antérieur (PaTh) et
postérieur
(PpTh) de la couche optique. Dans le sillon opt
(NLJ s'est étendu en arrière; il atteint le fond du sillon marginal
postérieur
de l'insula (mp), et il est relié il la queue d
xième segment du noyau lenticulaire (NL2), qui le sépare du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) ; mais sa partie post
du segment postérieur de la capsule interne (Cip) ; mais sa partie
postérieure
reste néanmoins en connexion avec cette dernièr
ouveau et presque exclusi- vement à la couche optique. Le segment
postérieur
de la capsule (Cip) est surtout formé de faisceau
certain nombre de libres horizon- tales, qui sillonnent ce segment
postérieur
de la capsule interne, en le divisant en fascic
che optique (Th); peu nombreuses dans le tiers antérieur du segment
postérieur
, elles sont au contraire assez abondantes dans le
a capsule interne. Ci(g), genou de la capsule interne. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. Cirl, segment rétro-len-
faisceau longitudinal inférieur. la, insula antérieur. - Ip, insula
postérieur
. le, lame cornée et tænia semi-circularis. Lme, l
mus. ma, sillon marginal antérieur de l'insula. mp, sillon marginal
postérieur
de l'insula. Na, noyau antérieur de la couche opt
. Tap, tapetum. -Tga, pilier antérieur du trigone. - Tgp (Fi), pilier
postérieur
du trigone (fimbria). TM, trou de Monro. tih, t
ris situées dans la lame cornée (le), puis pénètrent dans la partie
postérieure
de la couche optique, dans toute la région qui
ne autre partie se porte en avant et en dedans, entoure l'extrémité
postérieure
du putanwll (NL : 1) et entre dans la con- stit
iennent pas à un seul et même système; le slratum zonale de la face
postérieure
de la, couche optique est formé, comme sur la c
e (fin. 305), par des fibres appartenant aux radiations thalamiques
postérieures
(RTh); les fibres qui recouvrent l'extrémité an
présentent sous la forme d'un pointillé ; au niveau de l'extrémité
postérieure
de la couche optique, c'est-il-dire au niveau d
es, parmi les- quelles on trouve, surtout au voisinage de la partie
postérieure
du segment interne (NL,), quelques gros fascicu
laire. ma, sillon marginal antérieur de l'insula. mp, sillon marginal
postérieur
de l'insula. NC, tète du noyau caudé. NC'. queu
al. Tap, tapetum. Tga, pilier antérieur du trigone. Tgp(Fi), pilier
postérieur
du trigone (fimbria). Th, couche optique (thala
tituent la capside interne : le segment antérieur (Cia), le segment
postérieur
(Cip), le segment rétro-lenticulaire (Cirl), pr
), considérablement élargi sur cette coupe. Les fibres du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) sont toutes coupées
. Lorsque l'on étudie sur des coupes sériées les fibres du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), en allant de bas e
yau caudé et la couche de substance blanche appar- tenant au pilier
postérieur
du trigone (Tgp) qui recouvre la face intra-ventr
du ventricule latéral (Vsph) (Voy. coupe n° 7, fig. 306). Le pilier
postérieur
du trigone ou fimbria (Tgp[Fi]) affecte sur toute
ulaire de cette circonvolution. De l'angle antéro-interne du pilier
postérieur
du trigone, part une mince languette qui sert d'i
as); 20 les fibres a direction sagittale des radiations thalamiques
postérieures
(RTh); 3° les libres du faisceau longitudinal i
entre médian de Luys (Nm) et du noyau externe (Ne), par la par- tie
postérieure
de la lame médullaire interne (Lmi). A l'union de
(strz) et reçoit les fibres 1'Il- niées des radiations thalamiques
postérieures
(RTh). A l'union du pulvinar (Pul) et du noyau
la section transversale affecte une forme semi-lunaire à concavité
postérieure
(Voy. fig. 308 et 309). Le ganglion de Vhabéuul
les corps genouillés interne et externe (Cgi, Cge), la com- missure
postérieure
(cop) et la partie supérieure du tubercule quadri
antérieur (Qa.) Sur cette coupe, l'écorce de la région insulaire
postérieure
(Ip) commence à s'unir fv la substance grise de
tlaiie, et qui se portent en dedans vers le fond du sillon marginal
postérieur
de l'insula (mp). La capsule externe (Ce) est tou
capsule interne. -. Ci(y), genou de la capsule interne. Cip, segment
postérieur
de la cap-, suie interne. Cirl, segment rétro-l
laire de la capsule interne. com, commissure molle. cop, commissure
postérieure
. ,Fi, troisième circonvolution frontale. fpl, sil
hippocampe. - i, sillon insulaire. la, insula antérieur. Ip, insula
postérieur
. le, lamc cornée et tamia semi-circularis. Lme,
au lenticulaire. ma. sillon marginal antérieur. mp, sillon marginal
postérieur
. -NC, tète du noyau caudé. NC, queue du noyau C
noyau externe (Ne) qui correspond dans toute sa longueur au segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). Il s'étend du troi
nent au pédoncule antérieur de la couche optique (PaTh). Les fibres
postérieures
séparent le noyau externe du thalamus (Ne), d'u
mbre de ses libres transversales et parallèles. Les libres les plus
postérieures
s'irradient dans le pulvinar (Pul), les fibres
es antérieures sont moins pré- cises. Ses fibres radiaires les plus
postérieures
le séparent du noyau externe du thalamus (Ne).
la place qu'occupait ce champ sur les coupes précédentes. Sa partie
postérieure
donne naissance il de nombreuses fibres très se
sule interne (Cirl), suivent le trajet des ra- diations thalamiques
postérieures
(RTh) et sont désignées par analogie avec les r
stérieures (RTh) et sont désignées par analogie avec les radiations
postérieures
du thalamus, sous le nom de radiations du corps g
dans la constitution du segment antérieur de la capsule. Le segment
postérieur
de la capsule (Cip) présente ses caractères ord
sixièmes antérieurs environ. Dans cette partie antérieure du segment
postérieur
en effet, nous retrouvons la même apparence que
ouvons la même apparence que sur les coupes précédentes; ce segment
postérieur
est composé de libres vues en section transversal
trouvera beaucoup plus accusé sur les coupes suivantes. Le septième
postérieur
de ce segment postérieur de la capsule interne (C
cusé sur les coupes suivantes. Le septième postérieur de ce segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), situé en avant du
dans le genou de la capsule (CiCes fibres horizontales de la partie
postérieure
du si'Ullll'nl pos- térieur constituent le fais
ibres des couches sagittales du lobe occipital (radiations optiques
postérieures
ou de Graliolel et faisceau longitudinal inféri
t=, T3]), passent au-dessous du pulamen (NLJ, et abordent la partie
postérieure
de la capsule (Cip) dans la ré- gion sous-optiq
te de lésions corticales, est extrêmement démonstrative. Le segment
postérieur
de, la capsule interne el le faisceau externe d
ation entre le segment y'e7)-c/)/<CM- laire (Cirl) et le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), ira toujours en s'
nt rétro- lenticulaire est formé ici par les radiations thalamiques
postérieures
(RTh) ; quant au f'aiscerczt lonzritztdizzal it
la région sous-thalamique supérieure les 2/3 antérieurs du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), sous forme de fascic
ue supérieure, la capsule interne se trouve ré- duite à son segment
postérieur
(Cip); le segment antérieur (Cia) disparaît en ef
s désormais que dans une partie excentrique par rapport au' segment
postérieur
(Cip), grâce à l'inter- position entre ces deux
incomplètement les deux noyaux du 'C01'}JS strié. - . A la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne (Cip)
noyaux du 'C01'}JS strié. - . A la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), on voit le faiscea
ur- de la capsule (Cip). Les six septièmes antérieurs de ce segment
postérieur
sont formés de fibres nettement sectionnées en tr
ndique est située plus bas (J. Dejerine). . Les radiations optiques
postérieures
ou de Gratiolet (RTh) abordent le segment rétro
Flechsig (NF). Il est séparé enfin en dehors, des trois cinquièmes
postérieurs
du segment postérieur de la capside (Cip) et du f
séparé enfin en dehors, des trois cinquièmes postérieurs du segment
postérieur
de la capside (Cip) et du faisceau lenticulaire
capsule interne. Ci(g); genou de la cap- sule interne. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lenti-
oa, commissure antérieure. com, commissure molle. - cop, commissure
postérieure
. F3, troisième circonvolution frontale. FI, faisc
i, sillon insulaire. la, partie antérieure de l'insula. Ip, partie
postérieure
de l'insula. lc, lame cornée et taenia semi- ci
e. ma, sillon marginal anté- rieur de l'insula. mp, sillon marginal
postérieur
de l'insula. NC, tête du noyau caudé.. COUPES M
ommissure molle (com), en arrière, le commencement de la commissure
postérieure
(cop) et le dernier vestige du ganglion de l'ha
ofonde, encore très réduite, est située en arrière de la commissure
postérieure
(cop) et constituera sur les coupes inférieures
res (voy. coupe n° 12, fig. 3tl) la partie dorsale de la commissure
postérieure
. La paroi antérieure du troisième ventricule (V
. Talt, tapetum. 7'a, pilier antérieur du trigone. TtlpiFi). pilier
postérieur
du trigone (Fimbria). Th, thalamus. Va, troisième
ercule quadrijumeau antérieur. BrQp, bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. CA, corne d'Ammon. - Cc(g), genou. du corps call
nterne. Cria, segment antérieur de la capsule interne. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lentic
commissure antérieure. coin, commis- sure molle. - cop, commissure
postérieure
. 1%a, troisième circonvolution frontale. FI. fa
Glp, glande pinéale. Il, hippocampe. - la, Ip, insula antérieur et
postérieur
. lc, lame cor lée et taenia semi-circularis. lme,
ES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. Ces au niveau de sa partie externe et
postérieure
, et de même que sur les coupes précédentes, il
es, traversent horizontalement les deux tiers antérieurs du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). Le segment antér
externe (Cge), la capsule interne se trouve réduite il son segment
postérieur
(Cip), ou en d'autres termes il sa partie pédon
uche optique, au niveau de la région sous- thalamique. Le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) décrit une légère cou
psule interne (Cip) décrit une légère courbe à concavité interne el
postérieure
. Cette courbe s'accentue, au sur et à mesure qu
s grand déve- loppement au niveau du pédoncule cérébral. Le segment
postérieur
de la capsule forme en effet, il lui tout seul,
étage inférieur du pédoncule cérébral. Dans la concavité du segment
postérieur
de la capsule interne, se loge un amas de subst
au sur et à mesure que celui du corps de Luys diminue. Le segment
postérieur
de la' capsule interne (Cip) est formé de fibres
le. ma, sillon marginal antérieur de l'insula. nzp, sillon marginal
postérieur
de l'insula. -NC, tète du noyau caudé. i\'C', que
Reichert. Tap, tapetum. Tga, pilier antérieur du trigone. Tgp, pilier
postérieur
du trigone. TM, trou de Monro. V3, troisième ve
ue. 616 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. de la capsule; le cinquième
postérieur
est occupé par le faisceau de 7'M<'e& (FT)
tion, et con- tinue à s'éloigner en arrière et en dehors du segment
postérieur
proprement dit de la capsule (Cip), disposition
coupes suivantes. Il est toujours formé par les radiations optiques
postérieures
ou de Grafiolet(RTb), limitées en dehors par le
ent le corps de Lugs (CL) dans lequel elles s'irradient; les fibres
postérieures
proviennent également du segment interne du noy
zeiqree qui constituent les quatre cinquièmes antérieurs du segment
postérieur
de la capsule, dégénèrent dans une étendue prop
e nous venons de décrire, fibres radiaires antérieures, moyennes et
postérieures
, persistent remarquablement intactes, ainsi que
a été il même de le constater bien des fois. En avant, le segment
postérieur
de la capsule (Cip) esl entouré par un gros fai
culaire de Forel (FI). En arrière du faisceau de 7'ürc%, le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) touche au corps gen
oupe n° 11 (fig. 310) un faisceau irrégulier, aplati dans sa partie
postérieure
, comprise entre le corps genouillé interne (Cgi
horizontale appartenant en partie au bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BrQp). En avant et en dedans de la partie apla
. Sur les coupes suivantes, ce champ s'unit intimement il la partie
postérieure
du ruban de Reil, et ce dernier présente alors
). En dedans du ruban de Reil (Rm), entre ce ruban et la commissure
postérieure
(cop), on trouve le faisceau réiroflexe de Meyn
es supérieures de la capsule du noyau rouge (RC) et par l'extrémité
postérieure
de la bandelette optique (II). L'avant-mur (AM)
nombreux ponts de substance blanche le relient à la circonvolution
postérieure
de l'insula (Ip). Le troisième serr- ment du no
umeau antérieur. BrQp + Rm, union du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
avec le ruban de Reil médian. CA, corne d'Ammon
interne. Cia, segment antérieur de la capsule interne. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lentic
commissure de Meynert. coa, commissure antérieure. cop, commissure
postérieure
. - ds, diverticule du subiculum. - Fa, troisième
troisième circonvolution frontale. Fcon, faisceau de la commissure
postérieure
. sillon fimbrio-goclronné. FI, faisceau lenticu
Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, fais- ceau longitudinal
postérieur
. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - FT, faisce
Türck : - h, sillon de l'hippocampe. la, insula antérieur. Ip, insula
postérieur
. - lc, lame cornée et taenia semi-circularis. l
e. - ma, sillon marginal antérieur de l'insula. - mp, sillon marginal
postérieur
de l'insula. NC, tète du noyau caudé. NC', queu
portent obliquement en arrière et en dedans, pour former la partie
postérieure
et externe de la commissure antérieure. Horiz
tenant au pédoncule anté- rieur de la couche optique (Cia), l'autre
postérieure
, comprise entre elle et les der- nières fibres
ichert. Tap, tapetum. 7'n, pilier antérieur du trigone. Tgp, pilier
postérieur
du trigone. V3, troisième ven- tricule. VA, fai
res sectionnées parallèlement à leur axe, qui émergent de la partie
postérieure
du troisième segment 1 du noyau lenticulaire (NL3
l donne naissance il de nombreuses fibres qui traversent le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) pour se ren- dre au
re donne naissance à des fibres nombreuses, qui traversent le tiers
postérieur
du segment postérieur de la capsule (Cip), et sub
es fibres nombreuses, qui traversent le tiers postérieur du segment
postérieur
de la capsule (Cip), et subdivisent ce dernier en
s fibres les plus antérieures atteignent le corps de Luys (CL), les
postérieures
se perdent dans la zone de substance grise qui fa
es fibres transversales, qui traversent le tiers antérieur du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) et entrent dans la
qui se porte en avant et un peu en dedans, et contourne l'extrémité
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne (Ci
t un peu en dedans, et contourne l'extrémité postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). Le segment posté
ure du segment postérieur de la capsule interne (Cip). Le segment
postérieur
de la capsule interne se transforme en pied du
ibre et sé- parera le pédoncule de la base du cerveau. Le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), que l'on pourrait pr
de libres sectionnées per- pendiculairement à leur axe; son sixième
postérieur
, qui représente le faisceau de ! 'ürck(1T), est s
mé de fibres couchées et sectionnées encore obliquement. Le segment
postérieur
de la capsule interne est en rapport en arrière,
adri- jumeau antérieur, on trouve le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
, uni au ruban de Reil11u ! diall(BrQp +Rm). Le
eil médian(Hm)nn faisceau de fibres, le faisceau de la com- missure
postérieure
(Fcop) qui descend dans la calotte ou étage supér
lied (FM), et entre celui-ci et la partie ventrale de la commissure
postérieure
(cop), le commencement du faisceau longitudinal
missure postérieure (cop), le commencement du faisceau longitudinal
postérieur
(Flp), qui apparaît sous la forme d'un faisceau
ent en dehors; ces libres appartiennent au système de la commissure
postérieure
(cop) et formeront sur les coupes inférieures la
rcule quadrijumeau antérieur. Bi,Qp, bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. CA, corne d rlmmon. - CB, carrefour olfactif de
missure de Moynert. - coa, commissure antérieure. - cop, commissure
postérieure
. - ds, diverticule du subiculum. - Po, troisième
troisième circonvolution frontale. Fcop, faisceau de la commissure
postérieure
. - Fi, fimbria. Fli, faisceau longitudinal infé
ieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert, Fl, faisceau longitudinal
postérieur
. - la, Ip, insula antérieur et postérieur. - le,
Fl, faisceau longitudinal postérieur. - la, Ip, insula antérieur et
postérieur
. - le, lame cornée et taenia semi-circularis. -
superficielle. - ma, sillon marginal antérieur. mp, sillon marginal
postérieur
. - NC, tète du noyau caudé. NC, queue du noyau ca
latérales de la commissure antérieure (coa), on trouve l'extrémité
postérieure
du putamen (\`L.i), unie, en dedans à la substanc
s éloigné que sur la coupe précédente (n° 12, fig. 311), du segment
postérieur
proprement dit, qui constitue déjà ici le pied
on- volution temporale. Tap, tapetum. Tga, 7 ? piliers antérieur et
postérieur
du trigone. V3, troisième ventricule. VA, faisc
ne du noyau rouge (NR), jusqu'au voisinage du faisceau longitudinal
postérieur
(Flp). Le pied du pédoncule cérébral (P) est li
pédoncule cérébral (P) est limité en dehors au niveau de sa partie
postérieure
par la bandelette optique (II) bifide en arrière,
es derniers vestiges du corps genouillé, externe (Cge). A sa partie
postérieure
, la bandelette optique est libre, elle n'est rete
ur ou pied du pédoncule (P) c'est-à-dire la continuation du segment
postérieur
de la capsule, interne (Cip) des coupes précéde
s perpen- diculairement il leur axe, c'est le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp), auquel aboutissent quelques-unes des lib
du ruban de Reil médian (Hm) avec le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BrQI>+I3m). En dehors et en arrière du ruba
quadrijumeau antérieur (Qa) on observe trois sortes de fibres : les
postérieures
, les plus superficielles, très peu nombreuses s
n (Ilrru, les pro- fondes appartiennent au système de la commissure
postérieure
(cop;. . Coupe n° 14 (fig. 313), passant par la
3l4); d'autres semblent se continuer avec le faisceau longitudinal
postérieur
(Fin). En dehors de l'allse du noyau lenticulai
le quadrijumeau antérieur. BrQp, bras , . du tubercule quadrijumeau
postérieur
. CA, corne d'Ammon. CB, carrefour olfactif de B
troisième circonvolution frontale. Fcop, faisceau de la commissure
postérieure
. ' fg, sillon fimbrio-godronné. Fli, faisceau lon
li, faisceau longitudinal infé- rieur. -1'lp, faisceau longitudinal
postérieur
. FM, faisceau rétrofiexe de Meynert. - GQp, gan-
rétrofiexe de Meynert. - GQp, gan- glion du tubercule quadrijumeau
postérieur
. h, sillon de l'hippocampe. - i, sillon insulaire
ippocampe. - i, sillon insulaire. - la, insula antérieur. Jp,insula
postérieur
. Lms, lame médullaire superficielle. Ln, locus
mbryonnaire. ma, sillon marginal antérieur. - mp, sillon - marginal
postérieur
. NA, noyau amygdalien. NC, tête du noyau caudé. N
- prochés le subdivisent en deux parties, l'une antérieure, l'autre
postérieure
, et lui donnent un aspect bilobé. Le bile de ce
tri). Le pied du pédoncule cérébral est libre dans ses trois quarts
postérieurs
; très épais en arrière il se rétrécit en avant,
zonale.. Le ruban de Reil médian (Rm) s'est allongé dans sa partie
postérieure
, et donne naissance il des libres sectionnées par
illon transversal qui sépare le tubercule quadrijumeau antérieur Au
postérieur
. Coupe n° 15 Ci-. 314), passant par la ligne t
et (U) et le pédoncule cérébral au niveau du tubercule quadrijumeau
postérieur
Qp). noyau caude. NI,, troisième segment du noy
tiolet. Tap, tapetum. Tga, pilier antérieur du trigone. Tgp, pilier
postérieur
du trigone. U, circonvolution du crochet. 171,
312), on pouvait encore distinguer dans l'insula la circonvolution
postérieure
(Ip), large et étalée, d'avec les circonvolutio
ouche de libres blanches, l'alvéus (Alv), qui proviennent An pilier
postérieur
du trigone et forment la paroi interne de la co
a. BG, bandelette de Giacomini.- BrQp, bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. CA, Corne d'Ammon. CB, carrefour olfactif de B
ulum. - eF, commissure de Forel occupant la voûte de l'espace perforé
postérieur
. - Epa, espace perforé antérieur. F3, troisième
tion frontale. f4, sillon olfactif. Fcop, faisceau de la commissure
postérieure
. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Fp, fais-
. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Fp, fais- ceau longitudinal
postérieur
. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. Fus, lobule
ert. Fus, lobule fusiforme. GQp, ganglion du tubercule quadrijumeau
postérieur
. H, circonvolution de l'hippocampe. . h, sillon
pe. . h, sillon de l'hippocampe. - la, insula antérieur. Ip, insula
postérieur
. jjMts, lame médul- laire superficielle. -Ln, l
ncule du tubercule mamillaire latéral. Qp, tuber- cule quadrijumeau
postérieur
. Rm, ruban de Reil médian. RTh, radiations optiqu
Tt + Ip, union de la première circonvolution temporale avec l'insula
postérieur
. Tap, tapetum. Te, tuber cinereum. Tga, pilier
lon fimbrio-godronné sépare sur la coupe n° 13 (fig. 312) du pilier
postérieur
du trigone. Sur la coupe précédente, n° 14 (fig
choroïdes de la corne sphénoïdale ont disparu, les fibres du pilier
postérieur
du trigone sont moins nombreuses, et établissent
vu envoyer de nombreux ponts de substance grise à la circonvolution
postérieure
de l'insula (Ip). Sur la coupe n° 13 (fig 31°3),
décrite par Forel (e.h) et qui occupe la voûte (le l'espace perforé
postérieur
. Sur les coupes présentant une obliquité différen
réticulée (SR) de la région de la calotte est constituée. La partie
postérieure
du ruban de Reil médian (Rm) aborde, le ganglio
avec les fibres radiaires de la face externe du thalamus. La limite
postérieure
du troisième ventricule (V3) est établie de chaqu
ar le tænia thalami (tth), sectionné transversalement, et la limite
postérieure
de la corne sphénoïdale (Vlj est indiquée par l
xus choroïdes du ventricule, vinar (Pul) comprise entre l'insertion
postérieure
des plexus choroïdes du ventri- cule latéral (V
ule externe. - Ci(.Il), genou de la capsule interne. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cil-1, segment rétro-
ent obliques. Les gros fascicules de fibres, qui forment le segment
postérieur
de la capsule intln.i'ne(Cip), se coudent au ni
culaire de Forel et il 1'(I ? r du noyau len- ticulaire. Le segment
postérieur
de la capside interne (Cip), formé de libres sect
lient le globus pallidus au thu- lctrutts. Au niveau de l'extrémité
postérieure
du putamen (NL3) l'aspect de la capsule change
dernières appartiennent pour la plupart aux radiations thalamiques
postérieures
(RTh), et abordent le pulvinar (Pul), soit au voi
es en dehors du ]Jutillnen (NL3), elles entourent toute l'extrémité
postérieure
de ce noyau. Un certain nombre de fibres du fai
e de Broca. Ce, capsule externe. Cex, capsule extrême. Cip. segment
postérieur
de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lent
rel. - Gh, ganglion de l'habénula. la, insula antérieur. Ip, insula
postérieur
. le, lame cornée et fibres du toenia semi-circu
lenticulaire. Il, lame terminale embryonnaire. mp, sillon marginal
postérieur
. NC, tète du noyau caudé. Nu, queue du noyau ca
u de la capsule, c'est-à-dire l'extrémité antérieure de son segment
postérieur
(Cip). De la lame médullaire interne du noyau l
ganglion de l'habénula (Gh), la partie inférieure, de la commissure
postérieure
(cop), le centre médian de Luys (Nm), le noyau
e de Broca. Ce, capsule externe. Cex, capsule extrême. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lent
e la capsule interne. coa, commissure anté- rieure. cop. commissure
postérieure
. rl, faisceau lenticulaire de Foret. Fie, libres
'habénula. -i, sillon de l'insula. la, insula antérieur. Ip, insula
postérieur
. - le, lame cornée et fibres du taenia semi-cir
e interne de la première circonvolution frontale. mp, sillon marginal
postérieur
. NC, toitc du noyau caudé. - NC', queue du noya
donne naissance en dedans aux libres transversales de la commissure
postérieure
(cop), en dehors au faisceau rétroflexe de Meyn
dian (Nm) et le faisceau tlcalre- miquc de Forel (Fth). L'extrémité
postérieure
de ce noyau se termine insensible- ment dans le
-caudées (1 lc), croisées par les fibres des radiations thalamiques
postérieures
(RTh) et par le faisceau longitudinal inférieur
des fibres du faisceau longitudinal inférieur coiffent l'extrémité
postérieure
du troisième segment du noyau lenticu- lail'e (
thode de Weigert, qui traversent toute la moitié interne du segment
postérieur
de la capsule, interne (Cip), se coudent au nivea
rieur de la capsule, interne (Cip), se coudent au niveau de la face
postérieure
de cette dernière, et forment un faisceau triangu
(NL ? NLu NL,). Ces libres contournent le bord antérieur du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip), et passent en dehors
périeure de la substance parorée pos- térieure (Spp), la commissure
postérieure
(cop), l'extrémité supérieure du corps de Luys
e de Broca. Ce, capsule externe. Cex, capsule extrême. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lent
ticulaire de la capsule interne. CL, corps de Luys. cop, commissure
postérieure
. F, champ de Forel. - floc, fibres lenticulo-caud
faisceau rétroflexe de Meynert. la, insula anté- rieur. Ip, insula
postérieur
. le, lame cornée et fibres du tænia semi-circular
v, surface extra-ventriculaire du thalamus. Spp, substance perforée
postérieure
. Sti, substance innominée de Reichert. strz, stra
culaire (lmi, lmi'), et contourne l'extrémité antérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). De toute la face int
s, traversant ce dernier, forment une couche de libres il sa partie
postérieure
, et se rendent par la zona incerta (Zi) il l'extr
inférieure du ganglion de l'habénula et les fibres de la commissure
postérieure
(cop). Une petite cavité, le recessus de la gla
de la glande J1Înàtle (,'ecessus pinealis)(rp) divise la commissure
postérieure
(cop) en deux parties : l'une antérieure ou ven
les coupes sui- vantes dans la constitution de la calotte; l'autre
postérieure
qui appartient au sys- /c«te thalamique et pénè
e de Broca. Ce, capsule externe. Cex, capsule extrême. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lent
culus du noyau caudé. coa, commissure anté- rieure. cop, commissure
postérieure
. eF, commissure de Forel occupant la voûte de l
eure. eF, commissure de Forel occupant la voûte de l'espace perforé
postérieur
. fi, première circonvolution frontale. Fcop, fais
, première circonvolution frontale. Fcop, faisceau de la commissure
postérieure
. Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisce
de Forel. Fu, faisceau uncinatus. la, insula antérieur. Ip, insula
postérieur
. le, lame cornée et fibres du t,enia semi-circula
ce grise centrale. Spa, espace perforé antérieur. Spp, espace perforé
postérieur
. Sufi, substance innominée de Reichert. strz, s
NR) et par la commis- sure de Meynert (CM). La substance perforée
postérieure
(Spp) s'est élargie. Le troisième ventricule (V
nale embryonnaire (lt), une deuxième fois en avant de la commissure
postérieure
(cop). Le recessus pinealis (rp) et la séparati
(cop). Le recessus pinealis (rp) et la séparation de la commissure
postérieure
(cop) en deux parties sont toujours très accent
x faisceaux, qui appartiennent au segment dorsal de la commis- sure
postérieure
(cop). Le segment ventral de cette commissure, fo
ceau, sectionné perpendiculairement, le faisceau de la commis- sure
postérieure
(Fcop). En avant du faisceau de la commissure pos
mis- sure postérieure (Fcop). En avant du faisceau de la commissure
postérieure
, on trouve le noyau rouge (NR), entouré de sa
x noyaux rouges (NR) sont reliés au niveau de la substance perforée
postérieure
(Spp), par des fibres commissurales transversales
me ventricule (V.j), et qui ont été signalées par Forel. Le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) s'est peu modifié. Le
volume; on la voit toujours contourner la partie interne du segment
postérieur
de la capsule. En avant et en dedans de l'anse
millaire latéral (PTml), contournent la par- lie interne du segment
postérieur
de la capsule (Cip), puis la partie externe du
médian de Luys (ThNm) ; les profondes appartiennent à la commissure
postérieure
(cop). La division de cette commissure est touj
triangulaire, situé en avant de la partie ventrale de la commissure
postérieure
, correspond il l'embouchure de l'aqueduc de Syl
t vers la ligne médiane dans la substance grise de l'espace perforé
postérieur
(Spp), en arrière des tubercules mamillaires (Tm)
terne s'élargit de plus en plus au niveau de l'union de son segment
postérieur
(Cip) avec son segment rétl'olelltiwlaÍ1'p- (Cirl
des fibres qui l'abordent obliquement. La partie interne du segment
postérieur
de la capsule apparaît presque à l'extérieur du
sure de Meynert (CM) se porte en dehors, s'insinue entre le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) et le segment inter
ourbent, se dirigent en arrière et en dedans, traversent le segment
postérieur
de la capsule interne (Cip) au niveau U44 ANA
ENTRES NERVEUX. de sa partie moyenne, et pénètrent dans l'extrémité
postérieure
du corps de Luys (CL). En avant de la commissur
u antérieur. Ce, capsule externe. -Cex, capsule extrême. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lent
liculus du noyau caudé. coa, commissure antérieure. cop, commissure
postérieure
. eF, commissure de Forel de la voilte de l'es-
érieure. eF, commissure de Forel de la voilte de l'es- pace perforé
postérieur
. Fle, libres lenticulo-caudées. Fli, faisceau lon
ntrale. Spa, substance perforée antérieure. Spp, substance perforée
postérieure
. Sti, substance innominée de Reichert. strz, st
es les plus superficielles. Elle est formée de deux parties : l'une
postérieure
, riche en fibres obliques en dehors et en arriè
mmencement du ruban de Reil médian (Rm), uni au niveau de sa partie
postérieure
à des fibres à direction transversale fortement
tement colorées, qui appartiennent au bras du tubercule quadrij umeau
postérieur
(BrQp + Rm), et qui forment la limite antérieur
a couche optique (Th). Les fibres du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
et du ruban de Reil (BrQp + Rm) se portent tran
(BrQp + Rm) se portent transversalement en dehors, entre la partie
postérieure
de la capsule interne (Cip) et la zone de 1,Vei
dedans et échancre le noyau rouge au voisinage de l'espace perforé
postérieur
(Epp). Le tubercule quadrijumeau antérieur (Qa)
ueduc de Sylvius, qui s'in- sinue entre les faisceaux longitudinaux
postérieurs
(Flp), pour se confondre avec la substance gris
Flp), pour se confondre avec la substance grise de l'espace perforé
postérieur
. La substance grise de l'aqueduc est nettement
es fibres transversales, qui font suite aux fibres de la commissure
postérieure
des coupes précédentes. Elles contournent la su
res sont limitées en dedans et en arrière parle faisceau longitudinal
postérieur
(Flp), qui fait sur cette coupe sa première app
té sur cette coupe : en avant par le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BrQp), en arrière par le bras du tubercule qua
iaires du pulvinar (Pul), qui, provenant des radiations thalamiques
postérieures
(RTh), abordent la partie postérieure de la cou
t des radiations thalamiques postérieures (RTh), abordent la partie
postérieure
de la couche optique (Th); elles sont croisées en
es radiaires du pulvinar (Pul) : ce sont les radiations thalamiques
postérieures
(RTh). Elles s'enlre-croisent obliquement avec
plus accentuée, et elles entrent dans la constitution de la partie
postérieure
du segment pédonculaire de Fit;. 322. Coupe n°
u antérieur. BrQp + li ? 2, union du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
avec le ruban de Reil médian. Ce, capsule exter
issure antérieure. Epa, espace perforé antérieur. Epp, espace perforé
postérieur
. Fcoh, faisceau de la commissure postérieure. F
ur. Epp, espace perforé postérieur. Fcoh, faisceau de la commissure
postérieure
. Fli, faisceau longitudinal inférieur. -Flp, fa
. Fli, faisceau longitudinal inférieur. -Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. FM, faisceau rétroflexe de Meynert. Fil, faiscea
du taenia semi-circularis. Ln, locus ni.-or. - mp, sillon marginal
postérieur
. NC, queue du noyau caudé, NLl troisième segment
ant et de dehors en dedans; quelques-unes se perdent dans la partie
postérieure
de la capsule externe (Ce); le plus grand nombr
de la capsule externe (Ce); le plus grand nombre coiffe l'extrémité
postérieure
du putamen (NL3). Le faisceau longitudinal infé
interne. Il est séparé de l'écorce grise du fond du sillon marginal
postérieur
de l'insula (mp) par les courtes fibres d'associa
elient la première circonvolution temporale (T, ) à la circonvolution
postérieure
de l'insula. Sur cette coupe, l'étage inférieur
n effet à la limite du pied Au pédoncule cérébral (P) et du segment
postérieur
de la capsule interne (Cip). Le pied du pédoncu
eau antérieur. BrQp + Ilnt, union du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
avec le ruban de Reil médian. Ce, capsule exter
irconvolution godronnée. Cgi, corps genouillé interne. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. Cirl, segment rétro- len
eynert, coa, commissure antérieure. Fcop, faisceau de la commissure
postérieure
. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, fai
e. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. FM, faisceau rétroflexe do Meynert. FT, faisce
première circonvolution temporale. Tc, tuber cinereum. Tgp, pilier
postérieur
du trigone. Tm, tubercule mamillaire. - Tort, tub
lette se fait dans les trois quarts antérieurs du chiasma; le quart
postérieur
est formé uniquement par des fibres parallèles,
coupe précédente (n° 8 x, fig. 323). Les faisceaux de la commissure
postérieure
(Fcop) forment en arrière du noyau rouge (NR) un
e noyau central; en dehors, de chaque côté du faisceau longitudinal
postérieur
(Flp), on trouve deux autres groupes cel- lulai
(Aq), au voisinage de l'extrémité effilée du faisceau longitudinal
postérieur
. Il forme le groupe ventral du noyau latéral de l
umeau antérieur. BrQp + Rm, union du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
avec le ruban de Reil médian. CA, corne d'Ammon
corps genouillé externe. Cgi, corps genouillé interne. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lentic
gment rétro-lenticulaire de la capsule interne. Epp, espace perforé
postérieur
. Fcop, faisceau de la commissure postérieure. Fli
ne. Epp, espace perforé postérieur. Fcop, faisceau de la commissure
postérieure
. Fli, fais- ceau longitudinal inférieur. Flp, f
Fli, fais- ceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - FT, faisceau de Tiirck. Fu, faisceau uncinat
X. les corps genouillés interne et externe (Cgi, Cge), de la partie
postérieure
du pied Au pédoncule cérébral (P). Le noyau r
n dedans, s'entre-croisent avec les fibres du faisceau longitudinal
postérieur
(Flp), avec les fibres de la partie interne de
du ruban de Reil médian (Rm) uni au bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BrQp). Compris entre le corps genouillé interne
émergence de la troisième paire (III), les autres au niveau du bord
postérieur
du locus niger. Le locus niger est très riche en
ur (Qa), le ruban de Reil médian (Rm) et le faisceau longi- ludinal
postérieur
(Flp). Ces fibres appartiennent, ainsi que Gudden
partiellement embrassés par la bandelette optique (II). Son cinquième
postérieur
ou externe est encore adhérent il la base du ce
nférieure du putamen (NL,,). Le faisceau de Tiil'ck aborde le segment
postérieur
de. la capsule dans la partie supérieure de la
la partie supérieure de la région sous-optique, sépare ce seg- ment
postérieur
du segment rétro-lenticulaire (Cirl) et correspon
xterne (Cgi, Cge), et par des fibres qui, se détachant de la partie
postérieure
de la bandelette optique (II), traversent le cin-
ostérieure de la bandelette optique (II), traversent le cin- quième
postérieur
Au pied du pédoncule (P). Ces libres appartiennen
s de fibres, apparte- nant au bras du t ubl ? 1'culc. quadl'ijumeau
postérieur
(BrQp), adossées au ruban de Iteil médian (Rm).
il en est séparé par la commissure de Meynert (CM) et par la partie
postérieure
de la substance innominée de Reichert (Sti).
- rieure, et qui relient la queue du noyau caudé (NC) a l'extrémité
postérieure
du noyau lenticulaire (putamen) (NLJ. Quelques-
as du tubercule quadrijumeau. - BrQp,bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. CA, corne d'Ammon. Ce, capsule externe. C,g, c
corps genouillé externe. Cgi, corps genouillé interne. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-lent
de la capsule interne. CM, commissure de Meynert. Epp, espace perforé
postérieur
. Feop, faisceau de la commissure postérieure. F
rt. Epp, espace perforé postérieur. Feop, faisceau de la commissure
postérieure
. Fi, fimbria. Fli, faisceau longitudinal in- fé
Fli, faisceau longitudinal in- férieur. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. FT, faisceau de Türclc. - Fu, faisceau unci- n
ubstance inno- minée de Reichert. strz, stratum zonale. Tgp, pilier
postérieur
du trigone. Th, thalamus. Tol, trigone ou tuber
g. 324) et sont disposées en gros fascicules au niveau de la partie
postérieure
du locus niger. Les fibres du pied du pédoncule c
e en se dirigeant obliquement en de- hors et en avant. Le cinquième
postérieur
du pied du pédoncule est extrêmement large, et
if (Toi) avec sa couche de fibres nerveuses. Au niveau de sa partie
postérieure
, on trouve : un petit segment de la corne d'Amm
superficielle (Lms), la circonvolution godronnée (Cg) et le pilier
postérieur
du trigone (Tgp), dont le bord libre ou fimbria
très augmenté de volume; il donne naissance au niveau de sa partie
postérieure
, aux libres de la zone de Wernicke (W), et reçoit
transversal qui sépare le tubercule quadrijumeau antérieur (Qa) du
postérieur
. La région des tubercules quadrijumeaux se ress
meau artférinur (Qa) et certains éléments du tubercule quadrijumeau
postérieur
. La couche de fibres profondes (3) et la couche
dehors et en avant et que l'on retrouve seulement dans les parties
postérieures
du tubercule quadrijumeau antérieur. Sur les pa
erne. coa, commissure anté- rieure. Fcop, faisceau de la commissure
postérieure
. Fli, faisceau longitudinal inférieur Flp, fais
re. Fli, faisceau longitudinal inférieur Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. Fu, faisceau uncinatus. le, lame cornée et fib
Sylvius. SR, substance réticulée. strz, stratum zonale. Tgp, pilier
postérieur
du trigone. U, circonvolution du crochet. Vsph, c
es parallèles fortement colorées, le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BrQp), dont les fibres se continuent insensiblem
cavité du ruban de Reil médian se loge le faisceau de la commissure
postérieure
(Fcop). Le noyau rouge (NR) a diminué de volume
ule cérébelleux supérieur (Pcs), on trouve le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp), qui en est séparé par les libres de l'eil-
t;7 t de la calotte de Meynert. En dehors, le faisceau longitudinal
postérieur
se confond insensiblement avec la substance rét
ne extension de plus en plus considérable. Le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp), le pédoncule cérébelleux supl'rieur (Pcs
coupe passe par la partie inférieure du noyau rouge (NR); la partie
postérieure
intéresse le sillon intermédiaire entre le tube
tubercule quadrijumeau antérieur (Qa) et le tubercule quadrijumeau
postérieur
. Cette coupe ne diffère du reste que très peu de
res. Aq, aqueduc de Sylvins. -l3rQp, bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. - Feop, fais- ceau de la commissure postérieur
ercule quadrijumeau postérieur. - Feop, fais- ceau de la commissure
postérieure
. Flp, faisceau longitudinal postérieur. Ln, locus
fais- ceau de la commissure postérieure. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. Ln, locus niger.- V7tl, noyau de la troisième
, et limités en arrière par les fascicules du faisceau longitudinal
postérieur
(Flp), qui envoie dans le raphé des fascicules
de fibres atteignant presque la partie moyenne de ce raphé. Le bord
postérieur
de ce faisceau est légèrement excavé, et embras
médian (Rm) n'est pas modifié. Le bras du tubercule qua- drijumeau
postérieur
(BrQp) contient un peu moins de fibres que sur la
3-1 S. Cette coupe passe, en arrière, par le tubercule quadrijumeau
postérieur
(Qp) et en avant, par rentre-croisement du pédo
a protubérance, le tænia ponlis (Tpo). Les tubercules quadrijumeaux
postérieurs
(Qp) présentent un aspect particulier, et sont
e moyenne et une couche profonde. Dans les tubercules quadrijumeaux
postérieurs
(Qp), au contraire, la substance grise se group
groupe en un noyau ovalaire, le ganglion du tubercule quadrijumeau
postérieur
(NQp). Mal délimité en dedans, où il se perd da
l'aqueduc de Sylvius (SgAq), ce ganglion du tubercule quadrijumeau
postérieur
est, par contre, très bien délimité en dehors,
MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 66t occupe toujours en effet les parties
postérieures
et externes du ruban de Reil, tandis que le rub
sque toute l'étendue de la calotte, depuis le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) jusqu'au locus] niger (Ln). L'entre-croi-
ètres. Aq, aqueduc.de Sylvius. BrQp, bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. Fcop, fais- ceau de la commissure postérieure.
ubercule quadrijumeau postérieur. Fcop, fais- ceau de la commissure
postérieure
. rlp, faisceau longitudinal postérieur. Gip, gang
fais- ceau de la commissure postérieure. rlp, faisceau longitudinal
postérieur
. Gip, ganglion inter-pédonculaire. L ? t, locus
rf pathétique (4" paire). NQp, gan- glion du tubercule quadrijumeau
postérieur
. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral
l. Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur. Qp, tubercule quadrijumeau
postérieur
. ni, ruban de Reil latéral. lim, ruban de Reil
tra- versent le raphé en fascicules presque parallèles. A la partie
postérieure
du raphé, on observe un second entre-croisement
ibres Au pédoncule, cérébelleux supérieur. Le faisceau longitudinal
postérieur
(Flp) ne se présente plus ici, sous l'aspect qu
sement du pédoncule cérébelleux supérieur, le faisceau longitudinal
postérieur
n'envoie plus en avant ses fascicules les plus
dian, qui réunit la partie antérieure des fais- ceaux longitudinaux
postérieurs
. Le bord postérieur de ces faisceaux est légè-
artie antérieure des fais- ceaux longitudinaux postérieurs. Le bord
postérieur
de ces faisceaux est légè- rement échancré, et
s, pour émerger dans le sillon qui sépare le tubercule quadrijumeau
postérieur
, du pédoncule cérébelleux supérieur. En dehors,
édoncule cérébelleux supérieur. En dehors, le faisceau longitudinal
postérieur
se confond insensiblement avec les faisceaux de
ruban de Reil médian (Rm), on trouve le faisceau, de la commissure
postérieure
(Fcop), dont les fibres présentent pour la plupar
e Henle. Ce faisceau se coude ensuite brusquement au niveau du bord
postérieur
du pédoncule cérébral, pour se porter en bas, e
ticulièrement nombreuses et serrées au voisinage du sillon marginal
postérieur
de l'insula, où leurs dendrites se dirigent paral
des fibres propres ou fibres en U. qui tapissent le sillon marginal
postérieur
de l'insula d'une épaisse couche de fibres para
Cge, Cgi, corps genouillés externe et interne. - Cing (p), faisceau
postérieur
du cingulum. - Cip, segment postérieur de la ca
nterne. - Cing (p), faisceau postérieur du cingulum. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. Fli, faisceau longitudinal
ée de la calotte du pédoncule cérébral. Tap, tapetum. - Tgp, pilier
postérieur
du trigone. tri, thalamus.- hic, taenia semi-ci
t au système des fibres d'associa- tion, en particulier au faisceau
postérieur
du cingulum, dont les fibres mettent en connexi
ue les fibres i de la circonvolution godronnée, destinées au pilier
postérieur
du trigone, sont obligées de traverser, dans la
volution godronnée. Alo, alvéus. - cep, croie épendymaire du pilier
postérieur
du trigone. Cg, circonvolu- tion godronnée. Cin
ieur du trigone. Cg, circonvolu- tion godronnée. Cing (p), faisceau
postérieur
du cingulum, (,le, diverticule du subiculum. 1
radiations optiques de Gratiolet. Tap, tapetum. - Trlp (Fi), pilier
postérieur
du trigone (Fimbria). - tsc, trenia semi-circular
disséminées et se confondent peu à peu, au voisi- nage du pilier
postérieur
du trigone, avec les cellules polymorphes de la
r cylindre-axe dans la fimbria (Cajal), c'est-à-dire dans le pilier
postérieur
du trigone. Ces fibres représentent de véritables
millaires (cerveau intermédiaire) et de là avec le cerveau moyen et
postérieur
(Voy. fig. 359). Schàffer a montré en outre, et
e blanche de la corne d'Ammon. Couche des fibres blanches du pilier
postérieur
du trigone). Golgi, Sala, Schüffer ont montré q
odronnée de la corne d'Ammon pénètrent dans la fimbria et le pilier
postérieur
du trigone (Cajal). Les fibres de la région hip
convolution godronnée est représentée par l'alvéus et par le pilier
postérieur
du trigone, mais cette substance n'est pas en c
ée, et qu'elles se confondent insensiblement au voisinage du pilier
postérieur
du trigone, avec la couche des cellules po- lym
, faisceau horizontal ou supérieur du cingulum. - Cing(p), faisceau
postérieur
du cingulum. - cm, sillon calloso-marginal. - c
um. -slrK, stratum calcarinum. - tec, taenia tecta. - 7·zlz, pilier
postérieur
du trigone. - Th, thalamus. U, circonvolution du
tres : le faisceau antérieur, le faisceau horizontal et le faisceau
postérieur
(fig. 373, 374). Le faisceau antérieur (Cing[a]),
interne et probablement il celles de la face externe. Le faisceau
postérieur
(Cing[p J), enfin, occupe la circonvolution de l'
faisceau horizontal ou supérieur du cingulum. - Cino7(p), faisceau
postérieur
du cingulum. - cm, sillon calloso- marginal. -c
vor constata une dégénérescence portant sur les fibres de la partie
postérieure
du faisceau horizontal; toutes les fibres de ce
antérieure (coa), il s'entre-croise au voisinage du sillon marginal
postérieur
de l'insula (mp), avec le faisceau longitudinal i
le faisceau longitudinal inférieur au niveau du sillon marginal
postérieur
dct'iusuta. Trajet de ses fibres dans le lo
Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. - ft, libres tan- gentielles. - Fu, faisceau u
UX. 733 circonvolution frontale (gyrus reclus). mp, sillon marginal
postérieur
. - NUI, noyau du nerr moteur oculaire commun. N
a partie supé- rieure de la capsule externe. Au niveau de la limite
postérieure
de la scissure de Sylvius (S[p]), le faisceau a
qué décrit une courbe il concavité antérieure, qui embrasse le bord
postérieur
du putamen, puis ses fibres se déploient en éve
volution temporale (T,); les suivantes se terminent dans le segment
postérieur
de la première circonvolution temporale (T,) et d
occipital (0"02,0.,). A mesure que l'on s'éloigne du sillon marginal
postérieur
de l'insula (mp), ces libres deviennent de plus
e l'insula. - io, sillon inter-occipital. - Ip. Ip, circonvolutions
postérieures
de l'insula. - ip, sillon intcr- pariétal. - ma
r- pariétal. - ma, sillon marginal antérieur. - mp, sillon marginal
postérieur
. ms, sillon marginal supérieur. 0\, 0" première
ulvinar de la couche optique. - Tg, corps du trigone. - Top, pilier
postérieur
du trigone (lim- bria). VI, ventricule latéral.
terne de la première circonvolution frontale. - mp, sillon marginal
postérieur
. tns, sillon marginal supérieur. NC, noyau caud
on prc-rolandique inférieur. li, scissure de Rolande. S(p), branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. - Sge, Sge', substan
et du lobule lingual (Lg), et se confond en dedans avec le faisceau
postérieur
du cingulum (Cing [p]) situé dans la circonvolu
répond Fie. 384. - Coupe vertico-transversale passant par la partie
postérieure
du précunéus, parles scissures pariéto-occipita
ur, renforce en avant, au niveau du pli rétro-11mbique, le faisceau
postérieur
du cingulum situé dans la circonvolution de l'h
erne (Cirl), le faisceau longitudinal inférieur entoure l'extrémité
postérieure
et le bord inférieur du putamen (NL3) (fig. 385
. Ci (g) genou de la capsule interne.- Cing, cingulum. Cip, segment
postérieur
de la capsule ' " interne. - Fc, fibres calleus
sula. - la, insula antérieur. - ig, induseum griseum. - Ili, insula
postérieur
. - K, scissure calcarine. - G,, pre- mière circ
laris. z Lg, lobule lingual. Mo, trou de Monro. mp, sillon marginal
postérieur
. .Va, noyau antérieur de la couche optique. - N
- 7·,g, trigone. - Tf/ci, pilier antérieur du trigone. Tgp, pilier
postérieur
du trigone. - Th, couche optique (thalamus). tl
s les plus inférieures. Ces fibres, qui ne dépassent guère le tiers
postérieur
de la capsule externe (fig. 303 à 326), s'entre
cicules onduleux abordent dans la région sous-thalamique le segment
postérieur
de la capsule, interne, et descendent avec les
de la capsule, interne, et descendent avec les fibres de ce segment
postérieur
dans le pied du pédon- cule cérébral, dont elle
externe. Cg, circonvolution godronnée. Cing, cingulum. - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - cm, sillon calloso-mar
ile choroïdienne. - tec, 1lenia tecta. - Tg, trigone. - Tgp, pilier
postérieur
du trigone. - Th, couche optique (thalamus). ti
e, le noyau externe du thalamus, la région sous-optique, le segment
postérieur
de la capsule interne, etc., etc., que ces fibr
ire et aborder dans la région sous-thalamique supérieure le segment
postérieur
de la capsule interne, immédiatement en avant d
le interne (pédoncule antérieur de la couche optique). - Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. coa, commissure antérieu
l. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. Fth, faisceau thalamique de Forel. - Il, circo
ière circonvolution temporale; une petite partie coiffe l'extrémité
postérieure
du putamen et se porte dans la capsule externe.
e Sylvius. <'7f, stratum calcarinum. - Tah, tapetum. - Tgp, pilier
postérieur
du trigone. - Fiv, carrefour ventriculaire. - V
rétro-limbique de Broca, et renforce dans cette région le faisceau
postérieur
du cingulum. Elle repré- sente en d'autres term
onvexité du lobe occipital. , Wernicke se confond avec les fibres
postérieures
ou descendantes du fais- ceau arqué ou longitud
de cloison verticale, étendue de la pointe occipitale à la branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. Cette cloison est trav
ion se fait suivant un plan oblique. Elles proviennent de la partie
postérieure
du lobe frontal, de tout le lobe pariétal, de l
postérieure du lobe frontal, de tout le lobe pariétal, de la partie
postérieure
du lobe temporal et peut-être de l'in- sula, pa
leux. lutions de l'opercule sylvien (OpFz, OpR, OpP2), de la partie
postérieure
du lobe temporal (première et deuxième circonvo
après entre-croisement sur la ligne médiane, dans les régions plus
postérieures
de l'hémisphère du côté opposé et vice versa. 11
Ci (g), genou de la capsule interne. - Cing, cingulum. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. - cm, sillon calloso-mar
itudinal inférieur. i, sillon insulaire. la, //), insula antérieur et
postérieur
. L,, première circonvolution limbique. le, lame
(p. 343). Une partie supérieure, qui n'est autre que l'extré- mité
postérieure
du tronc du corps calleux, une partie inférieure
pl]), et une partie pos- térieure ou intermédiaire, véritable genou
postérieur
du corps calleux (Cc[rp]). Les radiations de
corps calleux. Il n'en est pas de mème des radiations des . parties
postérieures
et réfléchies; nées de toute l'écorce du lobe occ
éfléchies; nées de toute l'écorce du lobe occipital et de la partie
postérieure
du lobe pariétal, ces dernières entourent d'un
e Mono. - R, scissure de Rolando. - S(a), S(p), branches verticale et
postérieure
de la scissure de Sylvius. Sge, substance grise
o- lutions pariétales [P,, P,]), du précunéus (Prc) et de la partie
postérieure
de la première circonvolution limbique (L,), ce
e et occipitale; cette couche se continuait en haut avec la partie^
postérieure
du tronc et du bourrelet du corps calleux, elle
de la pointe occipitale et de la base du cunéus revêtent la partie
postérieure
de la corne occipitale d'un anneau dégénéré com
les parties inféro-postérieures, en particulier le bec et le genou
postérieurs
(fig. 397 et 398). En résumé donc, les lésions
de la scissure pariéto- occipitale (po) (fig. 395). et de la partie
postérieure
de la scissure calcarine (K) (fig. 392), retentis
pe les parties postéro-inférieures, c'est-à-dire le bec et le genou
postérieurs
(fig. 398). Les lésions primitives, colorées en
hures-de la base du cunéus, de la pointe occi- pitale, de la partie
postérieure
des lobules lingual et fusiforme et du sillon col
i que la lésion corticale le faisait prévoir, les quatre cinquièmes
postérieurs
du tronc du corps calleux, mais elle est en outre
du bourrelet du corps calleux, en parti- culier de ses bec et genou
postérieurs
. Dans ce cas la distribution du champ de dégéné
800 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La coupe passe par la partie
postérieure
du bourrelet du corps calleux et par le foyer d
imement au niveau lnc. 398. Coupe vertico-transversale de la partie
postérieure
de l'hémisphère gauche dans un cas de cécité ve
sain du cas précédent (fig. 399), montrant l'atrophie de la partie
postérieure
du tronc du corps calleux ainsi que de son bour
sillon paraccntral.- PrC, prècunéus. - rplp, pli pariéto- limbique
postérieur
. s13, strie de Baillarger. sec, sinus du corps ca
3). Située au niveau de l'angle inférieur du scptumlucidum, la face
postérieure
de la commissure antérieure est tapis- sée par
ersales ou horizontales sériées, jusqu'au niveau du sillon marginal
postérieur
de l'insula (lig. 401) et de la face externe du n
au antérieur. l1¡'Qp + 11m, union du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
avec le ruban de Reil médian. CA, corne d'Ammon
interne. Cia, segment antérieur de la capsule interne. Cip, segment
postérieur
de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lent
commissure de lfeynert. coa, commissure antérieure. cop, commissure
postérieure
. ds, diverticule du subiculum. F3, troisième circ
troisième circonvolution frontale. flop, faisceau de la commissure
postérieure
. zig, sillon nmbrio-godronne. FI, faisceau lent
l. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. Full, faisceau rétroflexe de \Ieyncrt. FT, faisc
Tiirck. h, sillon de l'hippocampe. la, insula antérieur. Ip, insula
postérieur
. le, lame cornée et Henia semi-circularis. Ime,
cielle.mastiion marginal antérieur de l'insula. mi, sillon marginal
postérieur
de l'insula. NC, tète du noyau caudé. NC', queu
Tap, tapetuiii. - Tga, pilier antérieur du trigone. - TriP, pilier
postérieur
du trigone. 1, troisième ventricule. VA, faisceau
, bandelette optique. plan passant parles commissures antérieure et
postérieure
(voy. série III, p. 877, fig. 310, 312), la com
es, les fibres subissent une torsion, de telle sorte que les fibres
postérieures
deviennent inférieures puis externes et les fib
adjacente du cunéus (C), du lobule fusiforme (Fus) et de la partie
postérieure
de l'hippocampe (H). Dans le cas de Flechsig il
pointe occipitale (0,, 0,), le lobule fusiforme (Fus) et la partie
postérieure
de la circonvolution de l'hippo- campe (H); la
commissure antérieure, mais l'auteur dit expressément que sa partie
postérieure
était intéressée dans le foyer primitif, qui at
e était intéressée dans le foyer primitif, qui atteignait la partie
postérieure
du putamen. Quant à notre expérience personnell
s linguaux; elle ne dégénère, dans ces cas, que lorsque son segment
postérieur
est intéressé dans le foyer primitif. La comm
men, ou dans les plaques jaunes qui intéressent la circon- volution
postérieure
de l'insula (Ip), la région rétro-insulaire (Tp),
uivre les fibres dégénérées jusqu'à la capsule externe et la partie
postérieure
du putamen de l'hémisphère opposé a la lésion.
se dirigent verticalement en haut, celles des parties antérieure et
postérieure
se portent obliquement en haut en dehors et en
s par conséquent avec le pied de la couronne rayonnante. Les fibres
postérieures
sont fournies par le faisceau longitudinal inféri
nquième antérieur de la longueur du cerveau, en avant, jusqu'au quart
postérieur
en arrière. Il est composé en majeure partie de f
en arrière : les antérieures sont les circonvolutions frontales ; les
postérieures
sont les circonvolutions occipitales ; les moyenn
: une antérieure, plane (celle qui répond à la voûte orbitaire), une
postérieure
, franchement concave (celle qui répond à la fosse
rvelet). La partie antérieure ne représente que le tiers de la partie
postérieure
dans le sens antéro-postérieur. Ici la scissure
n'existe que dans la partie antérieure ou orbitaire et dans la partie
postérieure
ou occipitale. Le corps calleux (ce) y est entrev
; FO2, circonvolutions antérieures ou orbitaires; PO, circonvolutions
postérieures
ou occipitales; Bf, fente deBichat; T3, circonvol
res et symétriques, les tubercules mamillaires, émergent de la partie
postérieure
du tuber cinereum, au devant de l'espace angulair
aire qui sépare les pédoncules (PP) et qu'on appelle l'espace perforé
postérieur
. En dehors et de chaque côté du chiasma optique
nterne du nerf olfactif (OLI). Le nerf olfactif en effet, à sa partie
postérieure
, se divise en deux branches, une interne (OLI) et
eur oculaire commun, ou troisième paire crânienne; EP, espace perforé
postérieur
; TEG, tegmentum, calotte ou étage supérieur des p
ctes : une antérieure, occupée par la pyramide de Sœmmering (GS), une
postérieure
innominée, où pénètrent les artères lenticulo-str
les racines olfactives interne et externe (OLI, OLE). Les deux côtés
postérieurs
sont représentés, l'interne par la bandelette opt
elle turcique et elle fixe le cerveau à la base du crâne. A la partie
postérieure
du tuber cinereum proéminent les deux saillies sp
aux (PP), on aperçoit un petit espace perforé (EP) : l'espace perforé
postérieur
. Les pédoncules cérébraux (PP) sont deux grosse
gle qu'ils forment entre eux correspond en arrière à l'espace perforé
postérieur
(EP), et en avant au tuber cinereum (TC). Au vois
TC). Au voisinage de leur bord interne, en dehors de l'espace perforé
postérieur
, on voit sortir des interstices de leurs fibres l
f moteur oculaire commun (MOC) ou nerf de la troisième paire. Ce bord
postérieur
des pédoncules cérébraux, mal limité, se confond
e terminale, qui sera étudiée plus loin et qui appartient à la partie
postérieure
de l'espace perforé (première figure). Plus profo
perçoit les fibres transversales du corps calleux, qui, à leur partie
postérieure
, portent le nom de splenium (SPL). Entre le sple-
s : une antérieure, grise, occupée par la pyramide de Sœmmering ; une
postérieure
, blanche, traversée par les vaisseaux lenticulo-s
foré où la bandelette diagonale s'étend si uniformément sur la partie
postérieure
du quadrilatère, qu'elle se confond avec celui-ci
om l'indique, de dedans en dehors (TP). Il émerge de la lame perforée
postérieure
, à la partie la plus interne du pied, et le plus
delette elle-même, à la partie inférieure et interne de son extrémité
postérieure
, en avant du corps genouillé externe (GE, schéma
la boîte du crâne, on la place sur la convexité cérébrale. La région
postérieure
des hémisphères est cachée par le cervelet et par
masse cérébelleuse, on constate que le cervelet est relié à la partie
postérieure
de la protubérance par deux pédoncules convergent
nt au-dessous et en arrière de ceux-ci : les tubercules quadrijumeaux
postérieurs
. Ces repères sont suffisants pour permettre de
ver avec des ciseaux et des pinces les artérioles de l'espace perforé
postérieur
. Pour sectionner transversalement la protubéran
trait de section passe toujours derrière les tubercules quadrijumeaux
postérieurs
et au plus près de ces tubercules, immédiatement
u du corps calleux (GC), se réfléchit d'avant en arrière; l'extrémité
postérieure
ou bourrelet, ou splenium (SPL) se réfléchit d'ar
ole; QA, Lubercule quadrijumeau antérieur; QP, tubercule quadrijumeau
postérieur
; Psc, pédoncule cérébelleux supérieur; CP, commis
meau postérieur; Psc, pédoncule cérébelleux supérieur; CP, commissure
postérieure
; G, glande pinéale; CA, commissure antérieure; PE
es quadrijumeaux. QA, QP. Les tubercules quadrijumeaux antérieur et
postérieur
sont deux masses grises mamelonnées situées sur
périeurs (Pcs). Les deux tubercules antérieurs et les deux tubercules
postérieurs
, divisés sur la ligne médiane par la coupe interh
cylindrique de fibres transversales qu'on appelle commissure blanche
postérieure
(CP) et qui se trouve juste au-dessus de l'orific
un organe impair, en forme de pomme de pin, couché sur la commissure
postérieure
(CP) et sur le tubercule quadrijumeau antérieur (
— psp, bandelette diagonale: elle est située ici à la partie la plus
postérieure
du quadrilatère, au contact du tubor cinereum ; O
se porte obliquement en bas, en dehors et en arrière, dans la région
postérieure
de l'espace perforé antérieur, où il est contigu
t on conçoit facilement la forme et les rapports. Partie de la région
postérieure
du chiasma optique, où elle semble faire suite à
versale, mais qui n'existe qu'au-dessus du chiasma optique (NO) ; une
postérieure
, grise, qui sur les côtés se continue avec la sub
crochet de l'hippocampe (Une). Ce ruban est la fimbria (FI) ou pilier
postérieur
du trigone. La fimbria, en effet, cachée d'abord
(DF), faisant suite au trigone, décrit une grande courbe à concavité
postérieure
. Sur la ligne médiane, la fìmbria du côté gauche
bien voir ces fibres qu'en soulevant, sur un cerveau entier, le bord
postérieur
ou bourrelet du corps calleux. En avant la fìmbri
érieure du splenium, le fascia dentata paraît émerger de sa convexité
postérieure
. Et en effet il sort du sinus du corps calleux, o
ositive. Il ne faut pas oublier que le petit mémoire d'Ecker, quoique
postérieur
à la lumineuse démonstration de Broca, facilita d
mois ou dans le courant du quatrième, on voit apparaître, à la partie
postérieure
de l'hémisphère, une incisure horizontale : c'est
a une autonomie parfaite. Dans la nomenclature allemande cette partie
postérieure
de la cinquième temporale est appelée gyrus lingu
La scissure limbique (L) s'allonge à ses deux extrémités. L'extrémité
postérieure
se relève et atteint le bord supérieur de l'hémis
le bord supérieur de l'hémisphère. Tout ce qui est situé à sa partie
postérieure
appartient au lobe pariétal (P1). L'extrémité ant
térieure ou frontale. La scissure limbique (L), qui forme la limite
postérieure
du lobe para-central (Pa) et qui sépare la premiè
passage pariéto-limbique; GQA, pli antérieur du lobe carré; GQP, pli
postérieur
du lobe carré; BQ, bourrelet du lobe carré; sM£,
ostral ; ima, incisure métopique antérieure ; imp, incisure métopique
postérieure
; iî, scissure de Rolande ; sme, incisure métopiq
on limbique au lobe carré. Le lobe carré, au-dessus du prolongement
postérieur
de la circonvolution limbique (G), se montre déjà
e séparation entre le gyrus antérieur du lobe carré (GQA) et le gyrus
postérieur
(GQP) ; d'autre part, par la scissure sous-pariét
P) ; d'autre part, par la scissure sous-pariétale qui sépare le gyrus
postérieur
(GQP) du bourrelet du lobe carré (BQ). Le bourrel
à être entamé par des en-ailles plus ou moins profondes : à la partie
postérieure
du lobule para-central (Pa), c'est l'extrémité su
R). En avant du sillon prœ-ovalaire (pro), c'est l'incisure métopique
postérieure
(imp). Au-dessus du rectangle frontal antérieur (
sillon supérieur (prs) ou prœ-rolandique supérieur reçoit l'extrémité
postérieure
du premier sillon frontal (/i) ; le sillon inféri
sillon inférieur ou prœ-rolandique inférieur (pri) reçoit l'extrémité
postérieure
du deuxième sillon frontal (/8). Dans la région
premier sillon ou sillon parallèle (tt) présente déjà à son extrémité
postérieure
une bifurcation de grande importance. Les deux br
) et le sillon post-rolandique inférieur (p2) servent ainsi de limite
postérieure
à une grande circonvolution (P), la pariétale asc
de deux divisions lobulaires distinctes : une antérieure (IN) et une
postérieure
(INP). La division antérieure est l'insula propre
obule, mais qui n'atteignent jamais le sommet du triangle. — L'insula
postérieur
(INP) se compose de deux plis parallèles, oblique
arrière du pôle de l'insula antérieur (PI). Les deux plis de l'insula
postérieur
sont séparés l'un de l'autre par une incisure qui
e, de telle sorte qu'ils se confondent au voisinage du pôle. L'insula
postérieur
(INP) et l'insula antérieur (IN) sont au contrair
ment séparés par un sillon plus profond, qui s'étend sur tout le bord
postérieur
de l'insula antérieur; on l'appelle grand sillon
plis : trois appartiennent à l'insula antérieur, et deux à l'insula
postérieur
. Cet ensemble de petits plis est plaqué en quelqu
insula au fond de la fosse. IN, insula proprement dit ; INP, insula
postérieur
; PI, pôle de l'insula ; ir, grand sillon de l'in
sillon de l'insula; IRA, rigole antérieure de l'insula ; IRP, rigole
postérieure
; 1RS, rigole supérieure ; OF, opercule frontal ;
s et en arrière, sépare la partie antérieure de l'insula de la partie
postérieure
du lobe frontal. Une rigole postérieure (IRP), di
eure de l'insula de la partie postérieure du lobe frontal. Une rigole
postérieure
(IRP), dirigée en bas et en avant, se confond ave
ostérieure (IRP), dirigée en bas et en avant, se confond avec le bord
postérieur
de l'insula postérieur (INP). Enfin une rigole su
ée en bas et en avant, se confond avec le bord postérieur de l'insula
postérieur
(INP). Enfin une rigole supérieure (1RS), cachée
e la longueur de la base du lobule. brissaud. d La partie la plus
postérieure
de la fosse de Sylvius est en dehors de l'insula.
percule qui le recouvre et qui correspond exactement à la terminaison
postérieure
de la scissure, peut être appelée opercule du fon
ronto-limbique ; GMA, gyrus métopique antérieur; GMP, gyrus métopique
postérieur
; Pa, lobule paracentral ; GQA, pli antérieur du l
Pa, lobule paracentral ; GQA, pli antérieur du lobe carré; GQP, gyrus
postérieur
du lobe carré;BQ, bourrelet du lobe carré; 0", Cu
emarquera les ourlets de cette circonvolution, au-dessus de la moitié
postérieure
du corps calleux. Chacun de ces ourlets a la form
ner les noms de gyrus métopique antérieur (GMA) et de gyrus métopique
postérieur
(GMP). L'hémisphère gauche représenté sur le sc
ndo; sP, scissure sous-pariétale; GQA, GOT", gyrus antérieur et gyrus
postérieur
du lobe carré; BQ, bourrelet du lobe carré; 0*, q
ue ce sillon sert de démarcation entre le gyrus antérieur et le gyrus
postérieur
du lobe carré (GQA, GQP). Pour compenser l'absenc
t impossible. La scissure limbique, en effet, sert toujours de limite
postérieure
au lobule paracentral (Pa). Sur le schéma 54, o
la première circonvolution frontale (fi), occupe en général la région
postérieure
de cette circonvolution. On trouve une incisure a
toilée, est l'incisure du lobule du pli courbe (iyp). La troisième,
postérieure
, tantôt isolée, tantôt branchée sur le sillon par
artie la plus inférieure de la circonvolution frontale ascendante; la
postérieure
, ou incisure pariétale de Sylvius [ip), toujours
2, deuxième frontale ; F5, troi. siême frontale; nB, pli d'anastomose
postérieur
de la troisième frontale (Fs) à la deuxième F); ¿
occupée par une anfractuosité étoilée, à quatre branches : la branche
postérieure
est le sillon interpariétal (p) ; la branche anté
frontale; pF3, pied de la troisième frontale; t. B, pli d'anastomose
postérieur
de la deuxième frontale (F2) à la troisième (pFs)
repères sont représentés par la commissure antérieure, la commissure
postérieure
, le tubercule antérieur de la couche optique, etc
qui passe à la fois par la commissure antérieure et par la commissure
postérieure
, en commençant par la région inférieure de l'hémi
u caudé; elle est attenante au tubeixule de jonction (TJ). La portion
postérieure
, progressivement amincie, est la queue du noyau c
sphère droit). Le corps calleux (ce), dont on ne voit que la partie
postérieure
, se réfléchit sur lui-môme d'arrière en avant et
ssus de la tubérosité réfléchie du splenium (SPL), partent les fibres
postérieures
que nous savons constituer le forceps major (FOm)
sur la ligne médiane; le noyau antérieur est le noyau caudé; le noyau
postérieur
est la couche optique. En dehors et dans la pro
a nomenclature courante, le segment antérieur de la capsule ; le côté
postérieur
est le segment postérieur ; le lieu de convergenc
e segment antérieur de la capsule ; le côté postérieur est le segment
postérieur
; le lieu de convergence des deux segments est
us antérieure sur les coupes horizontales inférieures; elle sera plus
postérieure
sur les coupes horizontales supérieures. En deh
térieure est le pied du lobule pariétal inférieure (pP2) ; la portion
postérieure
est le lobule pariétal inférieur proprement dit (
e ascendante de Sylvius, perpendiculaire à la direction de la branche
postérieure
» s'élève en avant de l'opercule frontal (OF), ent
ando émet en général deux incisures antérieures, qui entament le bord
postérieur
de la circonvolution frontale ascendante (F). p
remière circonvolution frontale (pF1). En btís* il reçoit l'extrémité
postérieure
du premier sillon frontal (f{) qui, dirigé hori
t du genou inférieur de la frontale ascendante, il reçoit l'extrémité
postérieure
du deuxième sillon frontal (Q. pro. Le sillon p
te (P's^est le pli supérieur du lobule pariétal supérieur: la portion
postérieure
, très allongée et se terminant en pointe en arriè
ital (mOT). Par conséquent le sillon parallèle se divise, à sa partie
postérieure
, en deux branches, une supérieure (tls), et une i
sième circonvolution occipitale (03), où il se termine. Son extrémité
postérieure
sert de limite mitoyenne au troisième pli de pass
e occipitale (03). Il se confond en partie à ce niveau avec la partie
postérieure
du deuxième sillon temporal (Q. L. La scissure
e la première circonvolution occipitale (01). Elle reçoit l'extrémité
postérieure
du sillon pariétal (p). K. La scissure calcarin
rontale par le pli d'anastomose antérieur (rcfA). Le pli d'anastomose
postérieur
fait défaut. F2. La deuxième frontale s'insère
rme aussi une moitié de l'opercule pariétal (OP) ; l'autre moitié, la
postérieure
, est formée par le pied du lobule pariétal inféri
t un peu en arrière, la scissure réapparaît pour recevoir l'extrémité
postérieure
du sillon pariétal (p). P2. Le lobule pariétal
mpue par une incisure (it),qui la divise en deux portions. La portion
postérieure
(pTt) répond au pied de la circonvolution tempora
(£t), Ce sillon (sillon parallèle) se prolonge jusque dans la région
postérieure
du lobule pariétal; il laisse au-dessus de lui, d
fréquente. S". La branche horizontale de Sylvius naît de la branche
postérieure
par un tronc commun avec la branche perpendiculai
tronçons isolés; entre les deux tronçons on voit le pli d'anastomose
postérieur
de la troisième à la deuxième frontale (zB) s'éle
u par le pli d'anastomose moyen de F2 à F3 (dBM). Le pli d'anastomose
postérieur
(dB) est intermédiaire aux deux tronçons du sillo
le voisinage du pôle sphénoïdal jusqu'au pli courbe. A son extrémité
postérieure
, il sépare le pli courbe proprement dit (PC) du d
te (GFs) ; un inférieur (tiB) qui n'est autre que le pli d'anastomose
postérieur
de la troisième frontale à la deuxième. C'est de
pariétale, entre le lobule du pli courbe (GP) et l'extrémité la plus
postérieure
de la première circonvolution temporale (T*). 0
cuneus (0"), avec laquelle elle se confond habituellement sur le bord
postérieur
de l'hémisphère, au niveau de la scissure interhé
re en avant, puis de bas en haut, en décrivant une courbe à concavité
postérieure
; elle se continue ensuite, au-dessus du corps ca
our gagner le bord supérieur de l'hémisphère, elle envoie une branche
postérieure
qui se bifurque dans le lobe carré. Cette branche
branche postérieure qui se bifurque dans le lobe carré. Cette branche
postérieure
(sP) qui n'est, virtuellement chez l'homme, autre
ce trajet, depuis la région frontale jusque dans la région pariétale
postérieure
, la scissure limbique sert de limite entre la c
l : en avant le gyrus antérieur du lobe carré (GQA), en haut le gyrus
postérieur
du lobe carré (GQP), en arrière le cap du lobe ca
t, depuis le bord supérieur de l'hémisphère jusqu'à la partie la plus
postérieure
de la circonvolution limbique, au-dessous du cap
orale (T'*) et la cinquième (T^). Il se compose de deux parties : une
postérieure
, horizontale, qui va en avant se perdre à la surf
antérieure, oblique en bas et en avant, qui se branche sur la partie
postérieure
. Ce point de branchement est là reprise du grand
principaux, le gyrus métopique antérieur (GMA) et le gyrus métopique
postérieur
(GMP). sme. Le petit sillon métopique, en raiso
nto-limbique (tcF). Le sillon prse-ovalaire sépare le gyrus métopique
postérieur
(GMP) du lobule paracentral (Pa). imp, ima. Les
GMP) du lobule paracentral (Pa). imp, ima. Les incisures métopiques
postérieure
et antérieure, assez profondément entaillées, f
dément entaillées, forment les limites antérieures du gyrus métopique
postérieur
et du gyrus métopique antérieur (GMP, GMA). Ces d
F) qui l'accompagne, superficiel, jusqu'au-dessous du gyrus métopique
postérieur
(GMP). Arrivée à la partie moyenne du corps calle
limbique ; le moyen ou pli sous-ovalaire (PSO) est mal séparé du pli
postérieur
(PEN) ; cependant on le voit encore limité par le
ité par le rudiment d'une incisure venue de la scissure limbique ; le
postérieur
ou pentagone du lobe carré (PEN) s'avance vers le
planche. Le gyrus antérieur du lobe carré (GQA) est séparé du gyrus
postérieur
(GQP) par le sillon pariétal transverse (pt), sau
partie inférieure. Il appartient au lobe pariétal ainsi que le gyrus
postérieur
. Nous y reviendrons plus loin. CQ. Le cap du lo
isure métopique antérieure [ima], en arrière par l'incisure métopique
postérieure
{imp), présente à sa partie moyenne une petite in
t le rudiment du petit sillon métopique. Si les limites antérieure et
postérieure
de ce pli sont bien nettes sur ' sur le bord supé
pique ne communiquent pas avec les incisures métopiques antérieure et
postérieure
{ima, imp); il en résulte que le gyrus métopique
arrière, par un autre petit pli d'anastomose avec le gyrus métopique
postérieur
(GMP). GMP. Le gyrus métopique postérieur a pou
e avec le gyrus métopique postérieur (GMP). GMP. Le gyrus métopique
postérieur
a pour limite antérieure le sillon métopique post
rus métopique postérieur a pour limite antérieure le sillon métopique
postérieur
{imp) et pour limite postérieure le sillon prse-o
limite antérieure le sillon métopique postérieur {imp) et pour limite
postérieure
le sillon prse-ovalaire {pro). Ici le petit sillo
rruption momentanée de la scissure limbique {L). C'est dans la partie
postérieure
de ce lobule que la scissure de Rolande {R) vient
e interne de l'hémisphère. GQA, GQP. Le gyrus antérieur et le gyrus
postérieur
du lobe, carré forment dans leur ensemble une mas
de l'hémisphère; le côté antérieur est la scissure limbique; le côté
postérieur
est la branche supérieure de la scissure pariétal
et du lobe carré a également la forme d'un riangle, à très large base
postérieure
, représentée par la scissure ccipitale interne {O
sP). En haut et en rrière, le bourrelet (BQ) se confond avec le gyrus
postérieur
du lobe arré (GQP); en bas et en avant, il se con
dessous de la scissure calcarine (7il), il est volumineux à sa partie
postérieure
, où il s'enroule autour du sillon (si), branché s
petites incisures verticales dans toute l'étendue du gyrus métopique
postérieur
(GMP). Parmi ces incisures figure l'incisure du l
de sa branche de bifurcation postéro-supérieure on reconnaît le gyrus
postérieur
(GQP) ; en arrière des deux branches de bifurcati
léchit, en se dédoublant, à la face interne de l'hémisphère. Le gyrus
postérieur
du lobe carré (GQP) est donc divisé en deux plis
isures^ qui occupent (sur la figure 1) le gyrus antérieur et le gyrus
postérieur
du lobe carré (GQA, GQP). Oi. La scissure occip
première sous-frontale (GSF) et du gyrus vestibuli (GVE). Sur le bord
postérieur
de celui-ci, on remarque une encoche d'une consta
dentata lui-même (Fd) est bordé, en haut et en dehors, par le pilier
postérieur
du trigonc cérébral ou fimbria (Fi). La concavité
rbe (GP) et le lobule pariétal inférieur (P^). Ce grand développement
postérieur
de Sylvius en arrière, entraîne, par compensation
p^) communiquent largement l'un avec l'autre, et forment, à la partie
postérieure
de la pariétale ascendante (P), une excavation pr
inférieur (prî) qui se dédouble pour faire place au pli d'anastomose
postérieur
(zB) de la deuxième à la troisième frontale. Cett
tés exceptionnelles qu'on relève sur cet hémisphère. S'. La branche
postérieure
ou externe de la scissure de Sylvius est largem
antéro-postérieur du lobule de l'insula (INP,IN,PI). Cette branche
postérieure
de Sylvius, au lieu de s'arrêter à l'opercule du
mière circonvolution temporale (T') et la deuxième (P). Son extrémité
postérieure
remonte dans le pli courbe (PC) ; mais elle est b
li courbe (PC) ; mais elle est bdurquée en deux branches : la branche
postérieure
se confond en partie avec le deuxième sillon temp
) sont si faciles à limiter. rieure (xB), qui est le pli de passage
postérieur
de la deuxième à la troisième frontale. On peut c
tal est interrompu trois fois : T en arrière, par le pli d'anastomose
postérieur
de la deuxième frontale à la troisième (ttB); 2"
niveau du sillon post-rolandique inférieur (pj jusqu'à son extrémité
postérieure
au niveau de la scissure occipitale externe [Oe).
érieur du gyi'us métopique antérieur (GMA). GMP. Le gyrus métopique
postérieur
ne présente pas la série de sillons horizontaux q
aît pas le grand sillon métopique (sME) au-dessous du gyrus métopique
postérieur
(GMP). C'est la scissure limbique (L) qui forme l
sure envoie des branches verticales ramifiées dans le gynus métopique
postérieur
; elles correspondent au grand sillon métopique m
oyenne au lieu de le circonscrire et de le séparer du gyrus métopique
postérieur
(GMP). D'ailleurs l'incisure prse-ovalaire (pro)
re. GQA. Le gyrus antérieur du lobe carré n'est pas séparé du gyrus
postérieur
au niveau du bord supérieur de l'hémisphère, ains
e partie de son trajet il contribue à la formation du gyrus métopique
postérieur
(GMP). Il aborde donc le lobule paracentral par s
ser. GQA. Le gyrus antérieur du lobe carré se confond avec le gyrus
postérieur
(GQP) en raison de la très petite étendue du sill
lobe carré, la place du sillon pariétal transverse; et dans la partie
postérieure
, elle se subdivise en deux tronçons. Cette derniè
au type du cerveau schématique. C'est à peine si elle sépare le gyrus
postérieur
(GQP) du bourrelet du lobe carré (BQ). On voit
prae-ovalaire (pro) et s'avance d'autre part dans le gyrus métopique
postérieur
(GMP). Le gyrus métopique postérieur se confond a
tre part dans le gyrus métopique postérieur (GMP). Le gyrus métopique
postérieur
se confond ainsi en arrière avec le lobule parace
se confond ainsi en arrière avec le lobule paracentral. A sa partie
postérieure
le lobule paracentral (Pa) se confond de même ave
pariétal transverse, qui sépare le gyrus antérieur (GQA) et le gyrus
postérieur
du lobe carré, se prolonge en bas jusque dans la
, re monte obliquement en haut et en arrière, où elle sépare le gyrus
postérieur
et le bourrelet du lobe carré (GQP et BQ). De cet
eur de l'écorce au-dessus du corps calleux. GMP. Le gyrus métopique
postérieur
présente une hypertrophie compensatrice analogue;
e lobule paracentral (Pa). GQA, GQP. Le gyrus antérieur et le gyrus
postérieur
du lobe carré sont représentés par deux petits pl
rouve compensé le faible développement du gyrus antérieur et du gyrus
postérieur
du lobe carré (GQA, GQP). 0^ Le cuneus présente
du grand sillon métopique (sME). D'ailleurs, dans le gyrus métopique
postérieur
, on voit réapparaître les incisures parallèles à
à ce bord. Enfin on remarquera la complexité des gyrus antérieur et
postérieur
du lobe carré (GQA, GQP), le développement consid
aît en avant le gyrus métopique antérieur (GMA) et le gyrus métopique
postérieur
(GMP). sF. Le premier sillon sous-frontal circo
jusqu'au lobule paracentral, il s'arrête en avant du gyrus métopique
postérieur
(GMP). Le grand pli de passage fronto-limbique (x
premier gyrus sous-frontal, se continue donc avec le gyrus métopique
postérieur
(GMP) au lieu de se continuer avec le lobule para
me une anomalie assez commune ; il se termine dans le gyrus métopique
postérieur
(GMP) au lieu d'aborder la région antéro-inférieu
t d'avant en arrière le gyrus antérieur du lobe carré (GQA), le gyrus
postérieur
(GQP) et le bourrelet (BQ) ; l'autre inférieur, o
la scissure sous-pariétale [sP) sépare le bourrelet (BQ) et le gyrus
postérieur
du lobe carré (GQP). On remarquera enfin que, p
gure 1 de la planche VIII. GQA, GQP. Le gyrus antérieur et le gyrus
postérieur
du lobe carré, séparés l'un de l'autre par le sil
par le sens de traction de l'érigne fixée "au tubercule qiuidrijumcau
postérieur
(QP). Il va sans dire qu'on relève la masse protu
e couteau passe ainsi (fig. 1) en dehors des tubercules quadrijumeaux
postérieur
et antérieur (QP, QA), en dehors de la glande pin
ieur (QP, QA), en dehors de la glande pinéale (G) et de la commissure
postérieure
(CP) ; il entame le noyau interne de la couche op
stituée par de petites circonvolutions*. Ce tubercule est l'extrémité
postérieure
du fascia dentata (Fd) qui vient de la région ant
es, qui s'étendent longitudinalenient entre la fimbria (Fi) ou pilier
postérieur
du trigone et la circonvolution de l'hippocampe,
i), dont il sera question dans un instant. FI. La fimbria ou pilier
postérieur
du trigone, située immédia- ' ment en dehors et a
moitié du triangle formé en arrière par l'écartement des pédoncules \
postérieurs
du trigone. En insinuant un stylet d'avant en arr
uncus de la circonvolution d'hippocampe serait libre à son extrémité
postérieure
, s'il ne recevait, en dehors, l'insertion de la f
ui-môme à la couche optique. FG. Le faisceau géniculé est la moitié
postérieure
du tiers antérieur du pédoncule (on ne saurait pr
), en dedans et en haut avec la sixième (0®), derrière la bifurcation
postérieure
de la scissure calcarine (K). Dans la région fr
rtion du septum lucidum (PEL) en avant, et à l'insertion du pédoncule
postérieur
du trigone (Fi) en arrière. Elles partagent le co
— L, scissure limbique. — CA, commissure antérieure. — CP, commissure
postérieure
. — TM, tubercule mamillaire. — NaC, tubercule ant
ercule mamillaire. — NaC, tubercule antérieur de la couche optique.
postérieure
de la face interne de l'hémisphère; c'est sa bran
onde de la scissure de Sylvius (S') : c'est la branche de bifurcation
postérieure
et supérieure. Quant à la scissure elle-même, on
supérieure de l'in-sula. Enfin, derrière la branche de bifurcation
postérieure
et supérieure de Sylvius, se succèdent les trois
ue la tète du noyau caudé (NC) qui forme sa paroi externe. La corne
postérieure
du ventricule latéral est ouverte, sur cette coup
urface du noyau interne (NiC), parce que ses fibres, vers l'extrémité
postérieure
de la couche optique, sont coupées perpendiculair
, le corps calleux, après avoir formé la paroi supérieure de la corne
postérieure
du ventricule, se porte brusquement en bas et e
'autres termes, elle passe un peu au-dessous de la commissure blanche
postérieure
: en avant elle passe par le milieu de la commiss
on pratique sur ces deux repères (commissure antérieure et commissure
postérieure
) présentent toujours une remarquable similitude.
ligne la première sous-frontale (GSF) : elle est limitée à sa partie
postérieure
par l'extrémité de la scissure limbique (L); et j
edans en dehors, s'ouvrir dans la cavité ventriculaire. A la partie
postérieure
de la fente de Bichat se succèdent, dans le lobe
adjacent au segment antérieur de la capsule interne (CIA). Le côté
postérieur
, très étroit, reçoit les fibres du faisceau sensi
étroit, reçoit les fibres du faisceau sensitif externe (FSe). Ce côté
postérieur
peut être considéré comme un bord ou une arête.
est le sommet du triangle. Les fdires en question émergent du segment
postérieur
de la capsule (CID). Elles s'arrêtent dans la mas
er noyau. Le glohus medialis (GLM) est toujours adbérent au segment
postérieur
de la capsule (CID) par son bord postérieur très
jours adbérent au segment postérieur de la capsule (CID) par son bord
postérieur
très régulièrement rectiligne. Son bord antérieur
ogène : c'est le pulvinar (Pul). Pul. Le pulvinar est la tubérosité
postérieure
de la couche optique faisant saillie dans le carr
nion de fibres qui viennent 1° de la capsule externe (CE); 2° du bord
postérieur
du putamen (PUT) ; 3" de la cloison externe du no
; 3" de la cloison externe du noyau lenticulaire (MLE); 4° du segment
postérieur
de la capsule interne (CID). Le faisceau sensit
au amygdalien (NA). Le lobule de l'hippocampe se termine, à sa partie
postérieure
, par le crochet (Une); le crochet ferme, en dedan
naît la région du noyau rouge de la calotte (NR), et, à son extrémité
postérieure
, la petite encoche de l'aqueduc de Sylvius (AQ) d
i correspond à la face supérieure de la corne d'Ammon. Dans sa partie
postérieure
, on ne voit que sa paroi postérieure ou plancher.
la corne d'Ammon. Dans sa partie postérieure, on ne voit que sa paroi
postérieure
ou plancher. La paroi externe présente, d'avant
t l'extrême prolongement antérieur du taenia ; à la partie externe et
postérieure
de ce prolongement médullaire, une section vascul
faisceau triangulaire (FI), qui n'est autre que la fimbria ou pilier
postérieur
du trigone. Substance blanche. FS. Le faiscea
aucoup moins compact. Il va, d'avant en arrière, depuis le cul-de-sac
postérieur
de la fosse de Sylvius jusqu'au lobe occipital, o
qui réunit la commissure blanche antérieure et la commissure blanche
postérieure
. Toutes les figures de la planche XI à la planc
al du segment antérieur. Le segment antérieur est donc vu par sa face
postérieure
. La face interne est à droite, la face externe es
illeurs, pour la différentiation des faisceaux de la région cérébrale
postérieure
. Il est donc de beaucoup préférable d'étudier l
ui se présente pour la figure 1 (pl. XI), où l'ensemble des faisceaux
postérieurs
du lobe occipital se réduisent à un seul (FS), re
olet (tcP) en dehors. C'est donc dans la partie la plus inférieure et
postérieure
du gyrus lingual (0^) ou cinquième circonvolution
re de cerveaux au même niveau que celles-ci, démontrent que la région
postérieure
de l'hémisphère est plus variable que toute autre
considérer, de même que l'incisure du cuneus (sCw), comme une branche
postérieure
de la scissure perpendiculaire interne; et on voi
ure perpendiculaire interne; et on voit ainsi que toutes les branches
postérieures
de cette scissure s'enfoncent dans l'hémisphère e
ital, situé entre le bord supérieur de l'hémisphère et la terminaison
postérieure
du sillon interpariétal {p). Ce dernier sillon, s
rale (T^), formant le bord inférieur de l'hémisphère. A l'extrémité
postérieure
du cerveau, la substance blanche se compose surto
et en arrière, plus loin que le plan de la coupe, jusqu'à l'extrémité
postérieure
et inférieure des lobules lingual et fusiforme (0
la scissure calcarine (/t). Cette cavité est l'extrémité de la corne
postérieure
du ventricule latéral. Écorce. Le bord supéri
après avoir circonscrit, à la manière d'un fer à cheval, l'extrémité
postérieure
du sillon parallèle (^j. Viennent ensuite le deux
d'ailleurs, virtuellement, jusqu'à la substance grise de l'extrémité
postérieure
du cerveau; nous savons que, quand elle ne se pré
ulaire (FPF), embrassant les circonvolutions pariétales à l'extrémité
postérieure
du sillon interpariétal. Il prend son origine, co
du ventricule latéral n'ont rien de régulier, surtout dans sa partie
postérieure
. Le calibre du prisme quadrangulaire que représen
, mais aussi selon la dilatation progressive du cerveau, de la partie
postérieure
à la partie moyenne. Substance blanche. FS. L
ne, le lobe carré présente déjà une dépression qui répond à la partie
postérieure
de la scissure sous-pariétale (sP). Plus bas, le
e fond du sillon parallèle. p. Le sillon parallèle, à son extrémité
postérieure
, se divisant en deux branches, c'est la branche s
ette disposition en trois couches n'existe que dans la région la plus
postérieure
du plancher de la cavité ventriculaire. Un peu pl
. Celles qu'on retrouve au-dessous du ventricule, à la partie la plus
postérieure
du faisceau longitudinal inférieur (FLI), sont év
a scissure limbique (L), au-devant de laquelle on reconnaît la partie
postérieure
de la circonvolution pariétale ascendante (P). Ce
ascendante (P). Celle-ci est entamée par le couteau au niveau du bord
postérieur
du lobule paracentral (Pa). Au-dessous, à la face
l inférieur, sont des fibres qui s'incurvent seulement dans la région
postérieure
du cerveau. Si cette couche manque dans une régio
forceps (FOs.) Ce dernier faisceau, n'étant coupé que dans sa partie
postérieure
semble, sur ce schéma, être situé au-dessous de l
evient à dire que les fibres qui la représentaient sur une coupe plus
postérieure
, ne s'incurvent pas encore dans la région plus an
gulum s'étend dans le sens vertical, décrivant une courbe à convexité
postérieure
; la partie supérieure de la courbe se dirige vers
re elles suivent la voûte du ventricule jusqu'à son extrémité la plus
postérieure
et se jettent dans la substance grise du pôle occ
supérieur du forceps, venu de la partie la plus supérieure et la plus
postérieure
du bourrelet du corps calleux, semble émerger du
on de la corne d'Ammon, dont ce faisceau enveloppe toute la convexité
postérieure
. Cette encoche n'est pas constante. Le plancher
tre aspect. En dedans du faisceau compact signalé sur les coupes plus
postérieures
, on voit une large bande de fibres à coloration c
incir, ce qui est dû au voisinage de la corne d'Ammon, dont la partie
postérieure
repousse vers la partie externe tous les faisceau
ne diffère en rien de la disposition générale indiquée sur les coupes
postérieures
de la même planche. Deux points seulement sont à
C), qui n'est autre que le sinus du corps calleux à sa partie la plus
postérieure
, c'est-à-dire au voisinage de la réflexion de cet
n temporale. FCF. Le faisceau compact du fornix, qui sur les coupes
postérieures
était parallèle au plan de section, tend à repren
, presque verticalement. Elles s'étalent ainsi en voûte sur la partie
postérieure
de la corne d'Ammon, que nous allons voir apparaî
MI-MILLIMETRE EN AVANT DE LA PRÉCÉDENTE, TANGENTE A LA PARTIE LA PLUS
POSTÉRIEURE
DU BOURRELET DU CORPS CALLEUX Écorce. Face in
ne petite masse grise (Fci), le fasciola cinerea, accolée à la partie
postérieure
du corps calleux. Puis elles se portent au-dessus
ornix. FOi. Le faisceau inférieur du forceps, étalé sur l'extrémité
postérieure
de la corne d'Ainmon, n'est plus représenté que p
adoptée depuis longtemps, est connue sous le nom de bulbe de la corne
postérieure
(BCP), bulbus cornu poster'ioris (voy. fig. suiv.
. La bandelette cendrée (fasciolacinerea) apparaît àia partie la plus
postérieure
du splcnium, où la coupe 17 entame sa substance g
rompue par la pénétration en dehors des fibres transversales les plus
postérieures
du corps calleux dans l'hémisphère. La cavité lin
aillie formée par cette paroi dans la cavité est le bulbe de la corne
postérieure
(BCP). Elle répond exclusivement aux fibres du fa
ps major dans la cavité ventriculaire correspond au bulbe de la corne
postérieure
(BGP). Très souvent — et c'est le cas ici — ce «
olution Iimbique, dont le pentagone du lobe carré n'est que la région
postérieure
, est séparée du corps calleux (ce) par une incisu
le premier examen, c'est que le sillon supérieur, parvenu à la partie
postérieure
du splenium, se porte tout d'un coup directement
II est, au contraire, étroit et court- Il se confond à son extrémité
postérieure
avec le pli de passage cunéo-limbique, représenté
d'une ligne sinueuse (BCP), marquant la section du bulbe de la corne
postérieure
. Le faisceau moyen du forceps s'épuise à mesure q
oit donc diminuer peu à peu la saillie que forme le bulbe de la corne
postérieure
. En même temps, la face supérieure du ventricule
al de la circonvolution cendrée (Fci). C'est au niveau de la partie
postérieure
du splcnium que la cavité du ventricule latéral p
nira les fibres de la paroi interne du ventricule ; ce sera le pilier
postérieur
du trigone (pl. XVII, fîg. 42, TRp). Substance
rtie saillante de la circonvolution godrormée à son extrémité la plus
postérieure
. La disposition représentée sur le schéma 55 perm
es fibres du Faisceau inférieur du forceps (FOi). Les fibres les plus
postérieures
sont même les seules qui soient représentées sur
dirigé d'avant en arrière, directement, du moins à la partie la plus
postérieure
(fig. 19). La délimitation du faisceau sensitif e
d on casse des fragments de cerveau durci, au voisinage de la corne
postérieure
. Presque toujours, la cassure se fait dans l'inte
ovenant du faisceau sensitif interne; elle se perdait, sur les coupes
postérieures
, dans le gyrus lingual (03) ; elle se perd à prés
rieures, après avoir contourné le forceps de haut en bas, à la partie
postérieure
de celui-ci, s'épanouissent dans les circonvoluti
osée de fibres transversales, forme en arrière une courbe à concavité
postérieure
appartenant au spleniuin (SPL). Sur les côtés du
ens de ses fibres, un are à concavité antérieure. Les coupes les plus
postérieures
devraient être celles où il est le plus vertical.
en, attendu que le splenium décrit, lui aussi, une courbe à concavité
postérieure
, de telle sorte que le cingulum n'est plus sect
s de la base de la corne d'Ammon, portent le nom de bulbe de la corne
postérieure
. Le bulbe de la corne postérieure est, disons-nou
portent le nom de bulbe de la corne postérieure. Le bulbe de la corne
postérieure
est, disons-nous, toujours au-dessus de la base d
du faisceau supérieur du forceps (FOs) à son insertion sur la partie
postérieure
du corps calleux (ce). Les fibres de ce faisceau
RANSVERSALES (COUPES DE 25 A 30) PASSANT PAR LE LORE CARRÉ, LA PARTIE
POSTÉRIEURE
DU SPLENIUM, ET TANGENTES A LA FACE SUPÉRIEURE DE
pe 30, la frontale ascendante (F) est entamée parallèlement à sa face
postérieure
. À mesure que les coupes intéressent des région
que le faisceau moyen du forceps (représenté par le bulbe de la corne
postérieure
(BCP), diminue d'importance (fig. 25, 26). La fac
orts constants. Sa continuité n'a été interrompue, depuis l'extrémité
postérieure
du ventricule, que momentanément (fîg. 13, 14 et
le fasciola cinerea et le corps godronné (Fd) au niveau de la partie
postérieure
et inférieure du corps calleux. Les sinuosités dé
loin (fig. 30) ces fibres s'insinuer au-dessous du bulbe de la corne
postérieure
, au-dessus et en dedans de la corne d'Aminon. Ce
ne d'Aminon. Ce sont les premières fibres nettement isolées du pilier
postérieur
du trigone, qui vont se placer en dedans, en arri
oyen du forceps est représenté (fig. 27, 28) par le bulbe de la corne
postérieure
, à la partie supérieure et interne du ventricule
ES VERTICO-TRANSVERSALES (31-36) PASSANT PAR LE LOBE CARRÉ, LA PARTIE
POSTÉRIEURE
DU SPLENIUM, TANGENTES A LA FACE POSTÉRIEURE DES
LE LOBE CARRÉ, LA PARTIE POSTÉRIEURE DU SPLENIUM, TANGENTES A LA FACE
POSTÉRIEURE
DES TUBERCULES QUADRIJUMEAUX POSTÉRIEURS, PUIS EN
nt comportés ceux du forceps supérieur et moyen dans des régions plus
postérieures
. Arrivés à l'angle inféro-externe du ventricule,
lairement à leur axe, au moment où, venues de la partie inférieure et
postérieure
du lobe carré et du cuneus, elles passent clans
reconnaît encore l'extrémité la plus antérieure du bulbe de la corne
postérieure
. Substance grise. Les figures de cette planch
cède (schéma 67). A, partie antérieure de l'hémisphère. P, partie
postérieure
. XX, coupe vcrtico-transversale du corps godron
e striée, issue de la face inférieure du corps calleux, est le pilier
postérieur
du trigone cérébral ou fìmbria (FI). Sur une coup
s coupes sur des régions plus antérieures nous montrera que le pilier
postérieur
du trigone ou fimbria s'épuise, en effet, progres
u, à son insertion sur le corps calleux, vestige du bulbe de la corne
postérieure
. CO. Le faisceau sensitif du centre ovale dimin
convolution limbique. Réflexion du fascia dénia ta (Fd) à la partie
postérieure
du corps calleux (ce). Il devient le taenia tec
c'est le corps calleux (ce) ; en bas, c'est le trigone ou son pilier
postérieur
, la fìmbria (FI), qui limite l'écorce. Le corps c
e Reil) avant sa décussation. BQP, bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. GI, corps genouillé interne. 79. Il se compo
re et interne, d'un gris homogène, est le pulvinar (Pul, 46) ou noyau
postérieur
du thalamus. 11 reçoit de la partie externe trois
ment donné sur les coupes verticales en série, permet de voir la face
postérieure
de la frontale ascendante (F, fig. 52, 53, 54) au
n haut par le corps calleux (ce), en bas parle tubercule quadrijumeau
postérieur
(QP), en dehors par la couche optique (Th), est l
de Sylvius entre les deux tubercules quadrijumeaux (l'antérieur et le
postérieur
du même côté). Substance grise Fd. La corne d
à la partie inférieure et externe du corps calleux : c'est le pilier
postérieur
du trigone cérébral. Le tronçon inférieur, coupé
fibres dirigées en dehors en bas et en arrière constituent le pilier
postérieur
du trigone ou fimbria. Celles des fibres de cet é
sens transversal. Il est évident qu'il change de direction. Antéro -
postérieur
sur les planches précédentes, il se porte ici pre
n dedans au-devant du noyau caudé, pour aller se jeter dans la partie
postérieure
de la couche optique ou pulvinar (Pul). ELI. Le
ps bordé (FI, fig. 55); le tronçon supérieur portera le nom de pilier
postérieur
du trigonc (TRI, fig. 51, 54). FOm. Le faisceau
complètement disparu. 11 ne reste plus trace ici du bulbe de la corne
postérieure
. Non seulement on ne reconnaît plus aucune sailli
bandelette sous-optique est un faisceau en éventail venu des régions
postérieures
et latérales de l'écorce sphénoïdale et qui contr
latérales de l'écorce sphénoïdale et qui contribue à former la racine
postérieure
de la couche optique. Le schéma ci-dessus représe
re de la région pédonculo-protubérantielle, où l'on voit, à la partie
postérieure
du pédoncule cérébral gauche (PP), la bandelette
(fig. 56). Simple en arrière, elle se bifurque au niveau de la partie
postérieure
de la couche optique : un prolongement supérieur
me couche blanche de stratum zonale qui revêt les faces inférieure et
postérieure
de la couche optique, passe à la face supérieur
60). Gl. Ce dernier noyau gris est relié au tubercule quadrijumeau
postérieur
par un tractus (BQP) visible sur les coupes 55, 5
on voit son prolongement antérieur le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(IIQP) se jeter sous la couche optique, en dedans
s de dehors en dedans et aboutissant toutes à cette région interne et
postérieure
qui s'appelle le pulvinar (Pul, fig. 59). NC. L
ps strié. Elle se compose surtout de fibres verticales sur les coupes
postérieures
des corps opto-striés. Nous verrons un peu plus l
visé les tubercules quadrijumeaux antérieurs, laissant les tubercules
postérieurs
derrière elle. La coupe sagittale qui a divisé
bercule quadrijumeau antérieur; BQP, bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
; Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur au nivea
supérieur au niveau de sa décussation ; FLP, faisceau longitudinal
postérieur
; Lem, lemniscus ou couche de Reil (Schleife des
annulaire ou pont de Varole (PV) et le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BQP). Nous reconnaîtrons, à l'occasion des coupe
tination des fibres du ruban de Reil. FLP. Le faisceau longitudinal
postérieur
, ainsi que le lemnisque, est composé de fibres an
ig. 57, 58, 60) est placé exactement entre le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP) et le lemniscus (Lem). Il présente sur les
n plan de fibres transversales. Projection horizontale de la partie
postérieure
de la couche optique : insertion de la bandelette
bérantielle est sectionnée sur la ligne médiane, depuis la commissure
postérieure
(CP, fig. 65) jusqu'au milieu du pont de Varole (
ntérieur (QA). La netteté de son contour démontre que toute sa moitié
postérieure
(celle qui est représentée sur la planche XXI) es
es blanches, franchement trans- Projection horizontale de la partie
postérieure
du corps genouillé interne (GI) revêtu en arrière
ière de son stratum zonale (ZGI). BQP, bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. versales. Celles-ci proviennent en partie du s
es de dedans en dehors, font partie du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BQP). Th. La couche optique (61, 62, 65, 64) e
Cette autre saillie est le pulvinar, c'est-à-dire la grosse extrémité
postérieure
de l'ovoïde irrégulier que représente la couche o
e schéma démontre que le pulvinar s'étend en arrière, au delà du bord
postérieur
des corps genouillés. Pul, pulvinar. Npc, noy
u bord postérieur des corps genouillés. Pul, pulvinar. Npc, noyau
postérieur
du thalamus (voy plus loin). Pul, Pul. Pulvinar
ande. QA, tubercule quadrijuraeau antérieur; CP, commissure blanche
postérieure
; GII, ganglion de l'hahénule; 1IAB, habénule; Ni
p de la calotte (TEC, voy. plus loin) et par le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP, fig. 61, 62, 65). En bas, il est en contact
la couche de Reil ou lemniscus (Lem). FLP. Le faisceau longitudinal
postérieur
(fig. 61, 62, 63, 65) est d'une teinte toujours f
leux supérieurs. FLPi, filtres inférieures du faisceau longitudinal
postérieur
; elles sont coupées perpendiculairement à leur di
t à leur direction. FLPs, fibres supérieures du faisceau longitudinal
postérieur
; elles sont obliques en haut et en dehors et vont
sont pâles sur la coupe. Dans son ensemble, le faisceau longitudinal
postérieur
a une disposition piriforme sur la coupe. Lem.
queduc de Sybïus; VD, racine descendante du trijumeau; CP, commissure
postérieure
; NR, noyau rouge de la calotte; QA, tubercule qua
te; QA, tubercule quadrijumeau antérieur; QP, tubercule quadri-jumeau
postérieur
; GI, corps genouillé interne; GE, corps genouillé
rne; GE, corps genouillé externe; BQP, bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
; BQA, bras du tubercule quadrijumeau antérieur ;
FRF, faisceau rétrograde (voy. plus loin); FLP, faisceau longitudinal
postérieur
de la calotte; Laq1, Laq2, Laq3, Laq4, couches du
bercule quadrijumeau antérieur (QA, QA') et le tubercule quadrijumeau
postérieur
(QP, QP'). Le tubercule droit fait une saillie pl
Au milieu et en haut, G, la glande pineale, repose sur la commissure
postérieure
(CP). Elle est au fond d'une cavité à concavité
la pointe inférieure de la substance grise, le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP). De la partie inférieure montent cinq rub
G), franchit ainsi la ligne médiane, aborde le tubercule quadrijumeau
postérieur
(QP'), le traverse et surtout le recouvre, et, du
genouillé interne du côté droit (GF). Entre le tubercule quadrijumeau
postérieur
droit (QP) et le corps genouillé interne (GF), il
uillé interne (GF), il prend le nom de bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
droit (BQP'). Le second ruban LM2, sous-jacent
ur. Il est séparé de la surface par le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
gauche (BQP). On l'appelle faisceau de la commiss
umeau postérieur gauche (BQP). On l'appelle faisceau de la commissure
postérieure
(FCP). C'est lui, en effet, qui va former la part
donner le nom de bras du pulvinar (BP). Il recouvre la partie la plus
postérieure
et inférieure du ganglion de l'habénule, comme le
dehors, puis en dedans, pour former le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
du côté opposé; que les fibres suivantes, un peu
après, elles se terminent dans la substance grise de l'espace perforé
postérieur
, où un petit ganglion (pair et symétrique), le ga
outes au-dessus de l'aqueduc de Sylvius pour constituer la commissure
postérieure
ou les bras des tubercules quadrijumeaux. Un cert
vec les fibres du faisceau propre de la calotte (TEG), dans la partie
postérieure
de la capsule interne, où elles se placent en ava
es coupes de la planche XXI. BQP. Le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
forme une masse de fibres beaucoup plus important
s du côté opposé. Elles sont descendues de la région de la commissure
postérieure
; elles ont passé en dessous et en dedans du tuber
formeront, du côté opposé, non pas le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
, mais le bras du tubercule quadrijumeau antérieur
tubercule quadrijumeau antérieur. — Le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BQP) mélange ses fibres avec celles du stratum z
mentum (TEG) ; Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur. CP, commissure
postérieure
. Schéma 99. tegmentum ; l'extrémité inférieur
en haut avec le tegmentum (TEG). FCP. Le faisceau de la commissure
postérieure
est un des faisceaux du tegmentum qui s'isolent l
jusqu'au-dessus de l'aqueduc de Sylvius, se jeter dans la commissure
postérieure
(schéma 99). Elles passent alors du côté opposé
issure, issu de la calotte de l'hémisphère droit. CP. La commissure
postérieure
se compose donc de toutes les fibres du laqueus d
tum zonale (fig. 61), en dedans par le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BQP, fig. 62), en dehors par le bras du tubercul
ane une épaisseur qui répond à sa hauteur propre et à celle du pilier
postérieur
du trigone (TRp, fig. 62). Il se compose des fibr
u-dessous de la queue du noyau caudé (NCC, fig. 63). TRp. Le pilier
postérieur
du trigone (fig. 62), étalé à la surface du thala
Profil du corps calleux [ce) de l'hémisphère gauche; TRp, pilier
postérieur
du trigone; LY, lyre de David; coupes précéde
re en avant au-dessus de la corne d'Ammon (CAM). Les fibres du pilier
postérieur
, au-dessous du corps calleux, sont obliques en
terne ne sont donc qu'une seule et même chose, du moins J à la partie
postérieure
de la couche optique. FLl. Le faisceau longitud
te séparation cesse d'exister immédiatement en avant de la commissure
postérieure
. Substance grise. CAM. Corne d'Ammon (voy. pl
ble au milieu des fibres antéro-postérieures foncées de la commissure
postérieure
et surtout de la lamina lateralis de Reil (Lmd).
e (fig. 68), sectionnée ici encore tout au voisinage de son extrémité
postérieure
, est une masse de substance grise, beaucoup plus
la capsule interne (CI, fig. 68, 70) et qui appartiennent au segment
postérieur
de cette capsule (CID, fig. 72). Nous savons que
psule interne représentant la couronne rayonnante de la masse commune
postérieure
(Rth, fig. 70), et provenant par conséquent des f
n, avec le stratum zonale ZS, fig. 71). (Quoique, dans cette région
postérieure
du thalamus, toute la substance grise paraisse
ère de ces deux noyaux la substance grise pourrait être appelée noyau
postérieur
du thalamus (NpC). 11 faut distinguer ici le no
noyau postérieur du thalamus (NpC). 11 faut distinguer ici le noyau
postérieur
du thalamus et le pulvinar. Celui-ci est la gross
e à la paroi supérieure de la fente de Bichat. Il est séparé du noyau
postérieur
parle bras du pulvinar (BP, fig. 69), au-dessous
au n'a divisé que les fibres les plus superficielles de son extrémité
postérieure
, qui forment une partie de sa couronne rayonnante
même très fréquemment remplacée liRISSAUD. 15 par la continuation
postérieure
de la fente inter-géniculaire. Cela fait que le c
ercule quadrijumeau antérieur ; BQP, bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
; BP, bras du pulvinar; GIT, cuneus thalami opti
ar; GIT, cuneus thalami optici intergenicularis. Schéma 101. — Face
postérieure
de la couche optique (Th) et des tubercules quadr
che optique (Th) et des tubercules quadrijumeaux ' antérieurs (QA) et
postérieurs
(QP). arrière, presque jusqu'à l'extrémité sail
la glande pinéale. On n'en aperçoit encore ici que la partie la plus
postérieure
. Ce ganglion sera étudié à l'occasion des figures
ncéphale. au-dessous et en dedans du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(69, BQP), émanent du pied du pédoncule. Ils sont
ère sur la ligne médiane, limité en haut par le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP), en bas par la lamina medialis (Lm), en deh
rieure du tegmentum (TEG). Ses rapports avec le faisceau longitudinal
postérieur
cessent bientôt d'être immédiats (fig. 74). 11 en
mmissure de Meynert (voy. plus loin). FLP. Le faisceau longitudinal
postérieur
(fig. 69) sous-jacent à la substance grise de l'a
e par places seule- Disposition des libres du faisceau longitudinal
postérieur
(FLP) sur les côtés de l'aqueduc de Sylvius prolo
u-dessus de l'aqueduc pour contribuer à la formation de la commissure
postérieure
(CP, fig. 67); mais il est impossible de lui attr
r sur les coupes verticales. BQP. Le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
est presque épuisé (fig. 67, 69). La coupe, en ef
e sur les précédentes. On en voit surgir le faisceau de la commissure
postérieure
(Laq = FCP). Plus en avant, sur la coupe 69, le f
^lï, fig. 71 et schéma 95 et 97). FCP. Le faisceau de la commissure
postérieure
, issu de la partie inférieure du tegmentum (fig.
nous dit, à former le laqueus. On le voit se jeter dans la commissure
postérieure
sous le frein de l'habénule (IlAB, 69) et, plus e
rtico-transversale au niveau de la partie antérieure de la commissure
postérieure
*(CP), destinée à montrer que le fascicu-lus retr
roflexus. semble changer de direction et s'écarter de la commissure
postérieure
; il n'en est que momentanément séparé par un nouv
nt il va être question. BP. Les fibres du faisceau de la commissure
postérieure
forment dans l'hémisphère du côté opposé le bras
sus des fibres les plus antérieures du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BQP, 69). Ces lames séparent le corps genouillé
r les coupes 73, 74, 76. La continuité du faisceau de la commissure
postérieure
(FCP) et du bras du pulvinar (BP) nous semble suf
er si elles passent toutes au-dessus de l'aqueduc, dans la commissure
postérieure
; ou bien si un certain nombre d'entre elles ne pa
meaux, on peut considérer aussi comme faisant partie de la commissure
postérieure
toute la couche de substance blanche qui revêt le
phères. C'est ce que nous allons examiner à présent. CP. Commissure
postérieure
. — Chez l'homme adulte, la commissure postérieure
t. CP. Commissure postérieure. — Chez l'homme adulte, la commissure
postérieure
(CP) est si peu développée, elle est même quelque
entre-croisement des fibres qui constituent les racines antérieure et
postérieure
de la couche optique. Mais ces racines, envisagée
eux qui représentent les deux racines antérieures et les deux racines
postérieures
devaient se rencontrer au niveau de la commissure
acines postérieures devaient se rencontrer au niveau de la commissure
postérieure
, sous la glande pinéale, ce tractus vraiment mini
estable que des trousseaux de fibres venus des racines antérieures et
postérieures
des deux couches optiques s'entre-croisent à ce n
: ou bien qu'un très petit nombre de fibres des racines antérieure et
postérieure
de la couche optique vont directement s'y entre-c
s, sont représentées seulement par quelques fibres dans la commissure
postérieure
. Enfin nous répéterons que ce que l'on est conv
nfin nous répéterons que ce que l'on est convenu d'appeler commissure
postérieure
n'est pas, à vrai dire, une commissure. La plus g
inférieur de l'autre hémisphère. C'est un raphé. Le nom de commissure
postérieure
serait justifié à la rigueur si, comme le prétend
ceau direct de la couche de Reil succède au faisceau de la commissure
postérieure
dans la région antéro-externe du laqueus (fig. 67
ant (fig. 69), s'ajoutera à la lame latérale (Lmd). La partie la plus
postérieure
du pied du pédoncule est représentée par le faisc
hors de la substance grise de l'aqueduc, un nou- Profd de la région
postérieure
du ventricule moyen. Schéma destiné à montrer l
vinar; GH, ganglion de l'habénule; G, glande pinéale ; CP, commissure
postérieure
. FRF, fasciculus retroflexus. Schéma lOi. vea
elé par Meynert fasciculus re-troflex ou retroflexus, part de la face
postérieure
du ganglion de l'habénule, empruntant au stratum
onséquent, une teinte foncée. 11 est situé en dehors de la commissure
postérieure
et du tegmentum (TEG), en dedans du faisceau de l
en fait, le fasciculus retroflexus décrit bien une courbe à concavité
postérieure
; mais son rayon de courbure est excessivement gra
tion des fibres du pied du pédoncule qui, situées à la partie la plus
postérieure
de l'étage inférieur, juste au contact du ruban d
vert et d('crit par le savant professeur de Vienne. Quant au faisceau
postérieur
du pied du pédoncule (FM), on l'appelle communéme
viter toute confusion, nous nommerons dorénavant le faisceau cortical
postérieur
faisceau de Tùrck-Meynert. Le faisceau de Tùrck
amus (Th). La bandelette sous-optique (BSO), au niveau de la partie
postérieure
du corps genouillé, perd sa direction horizontale
, 70), et nous verrons que cette portion de la capsule est le segment
postérieur
(CID, 72). Tout à fait en bas, lorsqu'il s'est ré
être la capsule interne (CI, fig. 70) et qui est ici (CID) le segment
postérieur
de cette capsule (fig. 72). Mais on peut remarque
uer sur la dernière coupe de la planche XXll (fig. 72) qqe le segment
postérieur
de la capsule interne (CID) se bifurque; une bran
erne représente la capsule interne proprement dite. CID. Le segment
postérieur
de la capsule interne (fig. 72) est donc formé pa
ui peut arrriver jusqu'à la ligne médiane, au-dessus de la commissure
postérieure
(CP). Le ganglion de l'habénule, en eflet, se pro
vec la substance grise de la glande pinéale, au niveau de la partie
postérieure
de leur face interne. La coupe 73 passe à travers
e véritable commissure grise au-dessus et en arrière de la commissure
postérieure
(CP). Cette commissure occupe précisément le pé
ncement de cette modification de la corne d'Ammon sur des coupes plus
postérieures
. NC. Le noyau caudé (fig. 74, 76, 77), libre da
aire externe (LML; nous verrons que cette lame fait partie du segment
postérieur
de la capsule interne, CID, fig. 76). NeC. Le n
oyau interne (NiC) et du noyau externe (NeC) et seulement à la partie
postérieure
de ces deux noyaux. Les coupes successives, faite
as, en général, nettement définie, puisqu'elle ne vise que la saillie
postérieure
du ganglion dans un espace vide. Considéré au poi
signaler sous le nom de centre médian de Luys (NmC, fig. 75); la plus
postérieure
est le pulvinar proprement dit (Pul). Tout à fa
on de l'ha-biMiiilc du côté gauche (lill;, au-dessus de la commissure
postérieure
ICI'}. Tii, llialamus; UAB, habénule; M, KO
aisceau rétrograde (FRF); en bas, il s'arrête à la commissure blanche
postérieure
(CP). En dedans, il est recouvert par le stratum
co-transversales passant à deux millimètres en avant de la commissure
postérieure
. On s'aperçoit alors (pl. XXIII, fig. 77, 78), qu
s, tapissé par sa substance grise (SG), et surmonté par la commissure
postérieure
(CP). Au-dessvis de la comuaissure postérieure on
onté par la commissure postérieure (CP). Au-dessvis de la comuaissure
postérieure
on voit la partie la plus reculée du ganglion de
a commissure. 2° En haut et en dehors : les trois noyaux de la région
postérieure
du thalamus (noyau externe XeC; noyau interne NiC
é externe n'est encore constitué sur cette planche que par les fibres
postérieures
de sa couronne rayonnante (RGE, fig. 74, 75, 78).
s, qui, au lieu de suivre son trajet normal à la partie inférieure et
postérieure
de la calotte, passe accidentellement au devant d
le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) et le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP, fig. 73), réunit au niveau de la ligne médi
vius; Th, thalamus; GU, ganglion de l'habénule; Cl', commissure
postérieure
; Tes, pédoncules cérébelleux supérieurs s'entre
le noyau lenticulaire du corps strié. FLP. Le faisceau longitudinal
postérieur
n'est indiqué (pl. XXÏÏl) que sur les figures 73
s'expliquer cet aspect et cette disposition. Le faisceau longitudinal
postérieur
(fig. 75) ne se présente plus sous l'aspect d'une
e de l'aqueduc dans le troisième ventricule, le faisceau longitudinal
postérieur
se porte en haut et en dehors, sous la couche opt
hématique cette disposition. Vue de profil du faisceau longitudinal
postérieur
(VLV) au niveau de la commissure postérieure (C
u faisceau longitudinal postérieur (VLV) au niveau de la commissure
postérieure
(CP) : CP, commissure postérieure; G, glande piné
(VLV) au niveau de la commissure postérieure (CP) : CP, commissure
postérieure
; G, glande pinéale ; FLP, faisceau longitudinal
missure postérieure; G, glande pinéale ; FLP, faisceau longitudinal
postérieur
au-dessous de la substance grise de l'aqueduc.
avant, n'est pas encore entamée. FCP. Le faisceau de la commissure
postérieure
(75, 74, 75, 76) est fortement rejeté en dehors.
e tegmentum, après avoir donné naissance au faisceau de la commissure
postérieure
, s'élargit très notablement. Les causes de cet ac
Reil (Lmd). Il semble en être séparé par le faisceau de la commissure
postérieure
(FCP); mais nous savons que celui-ci est une éman
issure de Forel (CF). Coupe vertico-lransvci'sale de la coaunissure
postérieure
CP. Tli, tlialainus ; GII, gang-lion de rhal)
issure postérieui'e ; TEG, tegmentum ; FLP, faisceau longitudinal
postérieur
; DV, racine descendante du trijumeau. CTE, fa
age inférieur de la circonvolution de l'hippocampe. CID. Le segment
postérieur
de la capsule interne (|jg. 7(j) est représenté :
rayonnante du thalamus sont loin de constituer la totalité du segment
postérieur
de la capsule interne (CfD), puisque celle-ci reç
ceau sensitif externe (FSe). En haut, elle se confond avec te segment
postérieur
de la capsule interne (CID, fig. 76), et, encore
étendue de celle-ci, la scissure de Rolando envoie une petite branche
postérieure
(i?j) qui limite nettement, au-dessous d'elle, l'
ffus du fornix, dont nous avons suivi jusqu'à présent tout le segment
postérieur
. En tout cas, si les fibres du segment postérieur
ent tout le segment postérieur. En tout cas, si les fibres du segment
postérieur
s'arrêtent à ce niveau, elles sont remplacées par
voyons aussi apparaître dans le plan de la coupe l'extrémité la plus
postérieure
du crochet (Une, 81, 83, 84). Celui-ci est entamé
uillé externe (fig. 79) est encore sectionné seulement dans sa partie
postérieure
. Mais déjà apparaît, en haut et en dehors de la s
n est toujours sûr de couper le noyau rouge aux environs de sa partie
postérieure
en faisant une section vertico-transversale au mi
on vertico-transversale de l'étage supérieur du pédoncule à la partie
postérieure
du noyau rouge de la calotte (NR). PV, pont de Va
upérieur ; FRF, fasciculus retroflcx ; FLP, faisceau longitudinal
postérieur
; TEG, tegmentum ; Th, thalamus; GH, gangli
plus importante des fibres cérébelleuses et le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur
isceau longitudinal postérieur (FLP). FLP. Le faisceau longitudinal
postérieur
(fig. 81) redevient plus apparent; sa teinte est
as et en dedans, entre le tegmentum (TEG) et le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP, fig. 81), se place presque au contact de la
les Pédoncules de la glande pinéale. Le schéma représente la partie
postérieure
do la couche optique (Th) et les tubercules quadr
ou pédoncule antérieur; HAÏ, pédoncules inférieurs ; IIAP, pédoncules
postérieurs
; BQ.A, le bras du tubercule quadrijumeau antérie
le en dehors de l'insertion des habénules, au-dessus de la commissure
postérieure
(IIAP). Ces pédoncules trans versaux se jettent
re sur la ligne médiane pour former le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
du côté droit; BOP, bras du tubercule quadrijumea
ijumeau postérieur du côté droit; BOP, bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
gauche, formé en partie par des libres venues dir
t pas au tegmentum quoiqu'il semble en faire partie : c'est la partie
postérieure
du pédoncule cérébelleux, qui se perd dans la par
lus antérieurs destinés à traverser le noyau rouge. CEO. Les fibres
postérieures
du pédoncule cérébelleux supérieur, qu'on peut ap
Le faisceau de Tiirck-Meynert (fig. 79) représente la portion la plus
postérieure
du pied du pédoncule. 11 est séparé de l'étage su
'apparition du premier sillon frontal (/j fig. 86) dont le cul-de-sac
postérieur
s'enfonce dans le manteau de la circonvolution fr
) cL la fimbria (Fi) circonscrivent', dans un demi-cercle à concavité
postérieure
, le cul-de-sac du sillon de l'hippocampe (Sfl).
ans ses ondulations, décrit, elle aussi, un arc de cercle à concavité
postérieure
. C'est ainsi qu'elle gagne la face externe de l'u
ique n'est abordée par les faisceaux de la calotte que dans sa partie
postérieure
. Chaque bande ne représente donc en réalité qu'un
e rarement un demi-millimètre. Les coupes n'entament ici que son bord
postérieur
. Elle se confond, en haut, avec le faisceau arqué
eplis vont en augmentant d'ampbtude d'avant en arrière ; que les plus
postérieurs
sont les plus épais ; que les fibres qui tapissen
il s'épanouit en éventail au-dessous du thalamus. Les fibres les plus
postérieures
deviennent donc récurrentes (CEO, fig. 85, 86, 88
du thalamus (LML, pl. XXYI, fig. 95). FLP. Le faisceau longitudinal
postérieur
(80, 87, 88), dirigé d'arrière en avant, est ici
quels s'arrêtent une n partie des fibres du faisceau longitudinal
postérieur
(FLP). et le faisceau, par conséquent, semble a
28 reçoivent précisément les fibres courtes du faisceau longitudinal
postérieur
(FLP). Sur la coupe 90, on distingue, en dehors
dedans en dehors, de sa direction primitive. Le faisceau longitudinal
postérieur
, en eflet, de haut en bas jusqu'à la gouttière de
n rayonnant dans la substance grise de la couche optique : ses fibres
postérieures
, revenant en arrière, sont sectionnées (sur la co
ent à leur axe dans Projection schématique du faisceau longitudinal
postérieur
(FLP) sur un plan horizontal. La coupe 90 secti
noyaux de l'aqueduc, grâce à l'interposition du faisceau longitudinal
postérieur
. FRF. Le fasciculus retroflex (85, 87, 89, 90)
90) descend, dans le plan de section, entre le faisceau longitudinal
postérieur
situé à sa partie interne, et le noyau rouge de l
e la calotte (NR) situé à sa partie externe. Le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP) le sépare toujours de la surface ventricula
ux inférieur (Pcs, 85) emprunte une forme circulaire à la convexité
postérieure
du noyau rouge de la calotte. Ce noyau n'est qu'à
ion intéresse sa partie la plus large. Il n'en est rien. La convexité
postérieure
du noyau rouge efface, aplatit et élargit en quel
ntum. Les fibres dont ce dernier se compose se répandent à la surface
postérieure
du noyau et divergent en tous sens, comme les mér
e la calotte. Elles se divisent en deux faisceaux secondaires : Fun
postérieur
et inférieur ou lamina tegmenti (LTE, fig. 80, 88
ures 86, 88, le signe FP indique la place exacte de la partie la plus
postérieure
du faisceau pyramidal. Mais dans la striation tra
mince pédicule (fig. 88). Ce pédicule représente l'extrémité la plus
postérieure
du septum lucidum. FSe. Le faisceau sensitif ex
n très foncée. Cela tient à ce que la coupe arrive au contact du bord
postérieur
du noyau lenticulaire : le putamen est tout près;
upées sous les noms de : racine antérieure, racine inférieure, racine
postérieure
, bandelette sous-optique, et même tsenia semi-cir
e à augmenter de largeur à mesure que les coupes arrivent à la partie
postérieure
du putamen. Elle s'étale de bas en haut et de ded
tudier séparément. La capsule externe, en eflet, dans toute sa région
postérieure
, n'est pas autre chose qu'une expansion du faisce
le sillon prœrolandiquc supérieur {p7's, fîg. 92) reçoit l'extrémité
postérieure
du premier sillon frontal (/"J. Bientôt le sillon
ge de la calotte (NR) dont il est séparé par le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP), présente encore les bandes claires, concen
tuée toujours exactement sur le prolongement du faisceau longitudinal
postérieur
, dont elle semble être l'épanouissement dans la m
bas par la lamina medialis (Lm), en haut par le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP), en dehors par les libres les plus externes
res Vue scliéniatique du noyau lenticulaire gauche vu par sa face
postérieure
. PUT, le putamen ; OLP, le globus pallidus; GLM,
jettent directement d'arrière en avant, sur toute la hauteur du bord
postérieur
du putamen : les unes y pénètrent directement; d'
e externe de la couche optique (LML). FLP. Le faisceau longitudinal
postérieur
(91, 92, 94, 96) s'insinue, sous la forme d'une l
94), invariablement accolé à la face externe du faisceau longitudinal
postérieur
, longe le noyau rouge de la calotte sans lui four
vant (pl. XXVR, fig. 101) dans la substance grise de l'espace perforé
postérieur
et dans le ganglion interpédonculaire (GIP, pl. X
tion est transversale; il semble faire suite au faisceau longitudinal
postérieur
(FLP). En réalité, les connexions de ces deux fai
08). Alors, en effet, il devient évident que le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP) passe au-dessus du faisceau tegmento-thalam
e du cerveau, c'est ce faisceau qui limite en dehors l'espace perforé
postérieur
et la substance grise du tuber cinerum. On s'expl
us lentiformis (DL) et changeant brusquement de direction à la partie
postérieure
de ce noyau. La coupe 96 intéresse le faisceau
Cela tient à ce qu'il pénètre, à ce niveau, dans l'extrémité la plus
postérieure
du putamen (PUT, fig. 91). Sa striation transvers
g. 96); mais elle a aussi emprunté des hbrcs au faisceau longitudinal
postérieur
(FLP). A ce propos nous ferons remarquer que les
102); sa face supérieure est formée, en dehors par la partie la plus
postérieure
du noyau amygdalien (NA, fig. 102), et par la ban
n'est séparé que par la couronne rayonnante du faisceau longitudinal
postérieur
(RFP, fig. 102). Nous avons déjà signalé la str
Les côtés non parallèles sont limités : le supérieur, par le segment
postérieur
de la capsule interne (CID), l'inférieur par le s
pas encore complètement dégagé des libres qui l'abordent par sa face
postérieure
; en d'autres termes, la coupe ne le divise pas en
ne part de la lame médullaire, elles s'épanouissent en éventail : les
postérieures
dirigées en arrière, les moyennes en dehors, les
O. Bandelette optique (fîg. 98, 101). LFP. Le faisceau longitudinal
postérieur
, situé au-dessous de la gouttière de Monro {M), p
, l'aisceau teginento-thala-111 ique ; FLl', i'aisceau longitudinal
postérieur
; FLP' fibres inédianes de ce faisceau allant au
rent au noyau rouge de la calotte; et, comme le faisceau longitudinal
postérieur
, il s'épuise, au-dessus du noyau rouge, dans la r
s la région inférieure du thalamus. Profil du faisceau longitudinal
postérieur
au niveau du noyau rouge. 101, coupe vei'ticale
e vei'ticale de la planclie XXVII. A travers le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP), on reconnaît par transparence le noyau rou
indique le trajet de la couronne rayonnante du faisceau longitudinal
postérieur
, allant de dedans en dehors se jeter dans la caps
us; — NR, noyau rouge. Schéma 1-47. _ Mais le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP) ne consiste pas seulement dans l'agglomérat
vec lequel il parait se confondre en partie. Le faisceau longitudinal
postérieur
, grâce à ce prolongement latéral, enveloppe donc
nert appelle ces fibres inférieures « couronne rayonnante du faisceau
postérieur
» (radiatio fasciculi poster loris, RFP). Leur rô
gique seule qu'on a pu admettre les rapports du faisceau longitudinal
postérieur
avec la surface cérébrale. La radiatio fasciculi
trait d'union entre le faisceau d'Arnold et le faisceau longitudinal
postérieur
. Mais nous avons vu aussi que ce dernier faisceau
ynert (fig. 98, 99, 101) se sépare à présent du faisceau longitudinal
postérieur
auquel il avait été toujours intimement accolé. L
uel il avait été toujours intimement accolé. Le faisceau longitudinal
postérieur
, en effet, se porte en haut, le faisceau rétrofle
sez exactement de cette disposition. Lorsque le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP) et le faisceau rétroflexe (FRF) se sépare
atique représentant de profil, le croisement du faisceau longitudinal
postérieur
(FLP) et du fasciculus relroflex (FRF), sur l'hém
te d'arrière en avant, limitée en dehors par le faisceau longitudinal
postérieur
. A ce niveau (pl. XXVIÏ, fig. 101) le faisceau lo
ostérieur. A ce niveau (pl. XXVIÏ, fig. 101) le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP), le faisceau retro-fïex (FRF) et le faiscea
st séparé de la cavité ventriculaire que par le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP) et le fasciculus retroflexus (FRF). A ce ni
gnientum avec la lamina teg- menti\ FLP, le faisceau longitudinal
postérieur
; FIïF, section transversale du fasciculus retro
nicnti (LTE), qui pénètre dans la substance grise de l'espace perforé
postérieur
. MF. Le faisceau capsulaire, que nous avons vu
ou obliques en haut et en dedans ; ces fibres représentent la partie
postérieure
de la racine inférieure du thalamus (ThI, fig. 99
se au-dessus de la paroi vcntriculaire pour former la portion la plus
postérieure
de l'espace perforé antérieur. Dans ce trajet, on
antérieur. Dans ce trajet, on peut constater que les fibres les plus
postérieures
delà racine inférieure du thalamus se dirigent d'
econnaissantes à leur coloration foncée sur la coupe 99 (ThI). face
postérieure
du noyau amygdalien (NA). Peut-être donc ne se mé
rner la cavité du ventricule sphénoïdal et arriver à l'espace perforé
postérieur
EPA. Dans la première portion de son trajet elle
avant, poursuivant leur trajet postéro-antérieur, donner à la région
postérieure
de la capsule externe une coloration foncée, qui
asse pour former l'anse pédoriculaire de Gratiolet. CID. Le segment
postérieur
de la capsule interne (fig. 98, 100) est la porti
u'on a sous les yeux appartiennent au segment antérieur ou au segment
postérieur
(CID). Quand la coupe intéresse, en même temps qu
ain que les faisceaux capsulaires sectionnés appartiennent au segment
postérieur
(fig. 100). Quand la coupe intéresse les trois no
mais qui peut encore être considérée comme faisant partie du segment
postérieur
(CID, 108). Quand la coupe intéresse les trois se
is ; CiA, segment antérieur de la capsule interne ; Cil), segment
postérieur
de la capsule ; CA, commissure antérieure, situ
evant de la section circulaire du pilier antérieur; Cl', commissure
postérieure
s'enfonçant dans la couche optique. rieure, car
éritablement le faisceau du sillon parallèle; il prend ses insertions
postérieures
dans la substance grise qui double ce sillon. A
faisceau teg-mento-thalamique (CAO), et môme le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP). Mais il faut admettre que les deux premier
forme une excavation qui représente sur la coupe 104 l'espace perforé
postérieur
(EPP). L'espace perforé est toujours limité par l
g. 108); et, en dedans de celle-ci, la coupe entame la partie la plus
postérieure
du tubercule mamillaire, constituée ici (fig. 108
ure du tubercule mamillaire, constituée ici (fig. 108) par les fibres
postérieures
du pilier descendant de la voûte (DF). Cavité v
la convexité supérieure du noyau amygdalien que s'applique la partie
postérieure
de l'anse pédonculaire de Gratiolet (voy. plus lo
naire (figure 105) située dans la substance grise de l'espace perforé
postérieur
(EPP, fig. 104), au-dessus et en dedans du pied d
rise intcrpédonculaire correspond, par sa surface, à l'espace perforé
postérieur
(EPP, fig. 108); et déjà l'on y voit apparaître l
stérieur (EPP, fig. 108); et déjà l'on y voit apparaître la convexité
postérieure
des tubercules mamillaircs (DF). DL. Le discus
ertaine partie de ses fibres à la substance grise de l'espace perforé
postérieur
(SG), en avant et en dehors du ganglion intcrpédo
contre la ligne médiane, immédiatement en arrière de l'espace perforé
postérieur
(EPP, fig. 104). Lorsque les plans les plus antér
stance grise intcrpédonculaire (SG), correspondant à l'espace perforé
postérieur
; l'étage inférieur constitué exclusivement par l
e entre le thalamus et la capsule interne. Le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP, voy. pl. XXVII) n'est plus représenté ici.
terions se prolonge, en avant, plus loin que le faisceau longitudinal
postérieur
d'où elle émane. On la voit encore (fig. 105, 105
trajet postéro-antérieur dans la substance grise de l'espace perforé
postérieur
, où elle se termine, immédiatement en arrière du
du pilier antérieur (DF) se réfléchissant en 8 de chiffre à la partie
postérieure
du tubercule). Le fascicuîus retrolïex, lui non
la partie externe de la substance grise centrale de l'espace perforé
postérieur
(SG). Mais bientôt elle se confond avec celle-c
avoir dépouillé très soigneusement de ses membranes l'espace perforé
postérieur
, on écarte doucement l'un de l'autre les pédoncul
l'extrémité antéro-supé-rieure de la lamina media-lis (LM). perforé
postérieur
, et qui correspondent aux ganglions interpédon-cu
eau, avant de se terminer dans la substance grise de l'espace perforé
postérieur
, glisse en dehors du ganglion inlerpédonculaire (
L. L'anse du noyau lenticulaire se porte en bas vers l'espace perforé
postérieur
(EPP, fig. 104) dont elle forme le bord externe à
l'état frais, divisent en fascicules isolés les faisceaux du segment
postérieur
delà capsule. Le faisceau capsulairc traverse don
a capsule interne montrant ses deux segments, l'antérieur (ThA) et le
postérieur
(CID) ; le segment antérieur se compose des libre
e la couche optique (ThA), et le faisceau d'Arnold (AU). Le segment
postérieur
est constitué par les fibres de l'étage inférieur
e terminent manifestement dans la substance grise de l'espace perforé
postérieur
. Celte hypothèse est d'autant plus vraisemblable
capsulairc (MF) se jeter dans la substance grise de l'espace perforé
postérieur
(pl. XXIX, fig. 113), à l'endroit même où vient a
ns l'étendue de la face externe de ce noyau qui correspond au segment
postérieur
de la capsule interne; à partir de là, ils sont a
et 108. — Sur certaines coupes (fig. 105) on voit les fibres les plus
postérieures
de la racine antérieure de la couche optique se c
coupes beaucoup plus antérieures, attendu que pour passer à la partie
postérieure
de l'espace perforé, le faisceau (Thl) décrit enc
FPF, fig. 105, 108), connue il l'était dès son apparition à la partie
postérieure
de l'opercule. C'est un rapport qui ne varie jama
la substance grise intra-ventriculaire (Th), par les fibres antéro -
postérieures
de la racine inférieure du thalamus (ThI). isol
constituer une véritable capsule blanche, arrivent jusqu'à la partie
postérieure
de ce ganglion. Un grand nombre d'entre elles se
par leur convexité interne. Elles forment la base de l'espace perforé
postérieur
, dont le sommet s'enfonce entre les bords interne
u interne et antérieur du tubercule mamillaire; 5, noyau externe et
postérieur
du tubercule mamillaire ; 6, fibres du pilier s
il;— 13, pédoncule antérieur du tubercule mamillaire. Schéma 171.
postérieur
(5). Le noyau interne recevrait une faible partie
de capsule et iraient ensuite se terminer dans le ganglion externe et
postérieur
(5). Quelques fibres encore, venues du pilier, s'
plus volumineux (12) et situé plus haut, émané du ganglion externe et
postérieur
, suivrait, parallèlement au précédent, une direct
se continuer avec lui de la façon suivante. Le putamen, à sa partie
postérieure
, ne repose pas sur les fibres blanches de l'anse
lleuse grise du tuber cinereum (TC, schéma 174), dirigée vers l'angle
postérieur
du putamen, qu'une émanation lamelleuse du putame
. 11 se contourne en hélice (fig. 112), de telle sorte que ses fibres
postérieures
entrent dans la masse líbrense de la capsule in
grise parcouru d'avant en arrière et de haut en bas par le pédoncule
postérieur
du tubercule mamillaire, dont nous avons indiqué
rmis), prennent naissance dans la substance grise de l'espace perforé
postérieur
(SG, fig. 111) et peut-être aussi dans le tubercu
lui (fig. 114) un angle dans lequel s'insinuent les fibres les plus
postérieures
du pilier du trigone (DF). LML. La lame médulla
u tubercule mamillaire (TM). Elle enveloppe ce tubercule : ses fibres
postérieures
passent derrière lui (112), où elles se confonden
ment sphénoïdal du putainen (GAP, fig. 111), passant derrière le bord
postérieur
de cette lame grise et s'insinuant ensuite au-des
utamen, en dehors de la commissure antérieure (CA), juste à l'orifice
postérieur
du canal de Gratiolet. Il est réduit, sur la coup
Vue de profil du faisceau sensitif externe (FSe) arrivant à la partie
postérieure
du noyau lenticulaire (NLe) et s'entre-croisant a
lamina medialis de la couche de Reil; RFP, région de l'espace perforé
postérieur
où commence l'irradiation du faisceau longitudina
perforé postérieur où commence l'irradiation du faisceau longitudinal
postérieur
; FG, faisceau géniculé; ANL, anse du noyau lentic
yau lenticulaire; Th, couche optique ; CI, capsule interne (Segment
postérieur
). ThA, racine antérieure de la couche optique f
capsule interne et se divisant en deux faisceaux, un antérieur et un
postérieur
dans la substance grise de la couche optique. AR,
he optique. AR, faisceau d'Arnold accompagnant les fibres externes et
postérieures
du faisceau précédent jusque dans la partie posté
externes et postérieures du faisceau précédent jusque dans la partie
postérieure
et inférieure du thalamus. (fig. 118, 119, 120)
de Vicq d'Azyr n'existe plus, la racine antérieure (ThA) et la racine
postérieure
de la couche optique (ThP) sont au contact l'une
us en avant encore (fig. 120), elles occupent la totalité du triangle
postérieur
de l'espace perforé où les branches de l'artère l
antérieur. CA. La commissure antérieure (fig. 115) franchit le bord
postérieur
de la lame grise sous-lenticulaire (GAP, fig. 116
ehors et au-dessous du noyau caudé, comme destiné à la région la plus
postérieure
de ce noyau, peut-être môme à sa portion réfléchi
couche optique. Elle forme ici le faisceau le plus interne du segment
postérieur
de la capsule interne; elle occupe exactement l'a
ment confondu avec le faisceau arqué (fig. 120), prend ses insertions
postérieures
dans la deuxième circonvolution frontale et ses i
tes sont également subordonnées à celles du bord antérieur et du bord
postérieur
de l'insula : il était donc tout naturel d'admett
trum sur l'écorce du lobe de l'hippocampe se fait à la partie la plus
postérieure
de l'isthme fronto-sphénoïdal. Mais commeut exp
a coupe 126, le pilier descendant de la voûte (DF) représente le bord
postérieur
du septum lucidum (PEL) ; du moins il contribue à
t pas d'établir une connexion commis-surale entre les circonvolutions
postérieures
. L'immense majorité de ses fibres — autant dire l
upes vertico-transversales passant par la lame terminale et la partie
postérieure
du rostrum Écorce, Dans la région frontale, l
tion de la scissure de Sylvius. On voit, sur la coupe 150, la branche
postérieure
cette scissure (S'), ou grande branche, s'enfonce
e la coupe 129 il n'existe plus : il est remplacé par le bord le plus
postérieur
du lobule orbitaire. Ce bord postérieur est formé
remplacé par le bord le plus postérieur du lobule orbitaire. Ce bord
postérieur
est formé par la portion orbi-taire de la troisiè
psule interne a perdu l'épaisseur qu'elle avait dans les régions plus
postérieures
. La racine antérieure du thalamus constitue ici,
escendant de la voûte ; GVE, gyrus vestibuli, recouvert à sa partie
postérieure
par la couche blanche de la substance réliculaire
cine olfactive interne. bure d'un bec de rapace, avec une convexité
postérieure
et une concavité antérieure. La convexité est env
151 passe au devant de l'insertion du septum lucidum sur la concavité
postérieure
du corps calleux, c'est-à-dire à travers le corps
ient à peu près impossible. Il est vrai que dans cette partie la plus
postérieure
du rostrum la véritable direction des libres call
déjà étudiées. Elles viennent d'une région de la tête du noyau caudé
postérieure
au plan de la coupe; 2° une portion inférieure, c
e frontal. Mais c'est seulement par comparaison avec l'épanouissement
postérieur
des faisceaux du splenium qu'on a donné ce nom au
um. Celles-ci, en effet, sont beaucoup moins compactes que les fibres
postérieures
. Elles ne présentent une certaine densité que dan
tal qui passe à la fois par la commissure antérieure et la commissure
postérieure
. L'aspect des coupes obtenues sur une surface de
ieur (Pcs), le fasciculus retroflexus (FRF), le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP) ; en dehors, la lamina tegmenti (LTE), le f
rne, visible seulement sur la première coupe, se trouve à l'extrémité
postérieure
de la bandelette optique (BO) ; il est séparé du
sceau foncé, oblique en avant et en dehors qui l'aborde par sa partie
postérieure
: c'est le fasciculus retroflexus, descendu du ga
ire. On voit le faisceau de Yicq-d'Azyr (FVA) émerger de sa convexité
postérieure
et s'enfoncer, en avant en dehors et en haut, dan
) et de la queue du noyau caudé (NCC), représente l'extrémité la plus
postérieure
du noyau lenticulaire. En dessous et en dehors de
ure du noyau lenticulaire. En dessous et en dehors de cette extrémité
postérieure
du putamen (fig. 1), la commissure antérieure (CA
l'angle formé par la paroi externe du ventricule occipital et la face
postérieure
du pulvinar. Il est placé toujours au devant du t
en haut et en dehors (au dessus du plan de la coupe) avec le segment
postérieur
de la capsule. — Les fibres claires et striées ap
cérébelleux supérieur (Pcs) et en dedans par le faisceau longitudinal
postérieur
(FLP). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur
isceau longitudinal postérieur (FLP). FLP. Le faisceau longitudinal
postérieur
sous-jacent à l'aqueduc de Sylvius (AQ) remonte v
s fibres les plus supérieures du Icmniscus; il vient de la commissure
postérieure
; il est constitué par les fibres du faisceau de l
r; elles ne traversent pas le noyau rouge; elles glissent à sa partie
postérieure
et externe. ANL. L'anse du noyau lenticulaire (
CA. La commissure antérieure (fig.l), diffuse à la partie externe et
postérieure
du putamen (PUT), se réfléchit à ce niveau, en ba
sur le plan de section horizontal, au moment où elle forme la partie
postérieure
de l'espace perforé antérieur. Elle est au-dessou
avant en arrière toute la région temporo-occipitale, depuis la partie
postérieure
du putamen jusqu'au pôle occipital; il n'est sépa
if interne prend naissance, en avant, dans BlUSSACD. 28 la région
postérieure
et externe du puhinar (Pul, fig. 5); il reçoit ég
doncule. FM. Le faisceau de Tiirck-Meynert, qui représente le quart
postérieur
du pied du pédoncule (PP, fig. 3) et qui arrive à
ent foncées, formant une cloison continue depuis le bulbe de la corne
postérieure
(BCP, fig. 2) jusq^u'au pôle occipital. FPV. Le
a substance grise du septum lucidum (GSL). On voit encore à sa partie
postérieure
, en dedans de la commissure antérieure (CA), quel
st à l'extrémité la plus externe du pulvinar (Pul), derrière le noyau
postérieur
du thalamus (NpC, fig. 4), d'où émerge la couronn
tance grise du septum lucidum se confond non seulement avec la partie
postérieure
du noyau caudé, mais avec la substance grise basi
vance dans le septum lucidum (fig. 5) de manière à tapisser la partie
postérieure
de la face externe de cette cloison. Si le septum
eut appeler globus accessoire (fig. 4) est en contact avec le segment
postérieur
de la capsule (CiD). Mais on remarquera que l'exi
isceau géniculé (FG). Les rapports du globus medialis avec le segment
postérieur
de la capsule sont immédiats; mais ce noyau n'est
se confond avec le noyau interne du thalamus pour constituer le noyau
postérieur
de la couche optique (NpC). NmC. Le centre médi
par en bas, de dedans en dehors avant de s'y épuiser. NpC. Le noyau
postérieur
du thalamus (fig. 6) est, immédiatement au-dessus
ercule du fascia dentata (ïf). Substance blanche. CID. Le segment
postérieur
de la capsule interne (fig. 4) renferme toutes le
outes les parties blanches situées en arrière et en dedans du segment
postérieur
de la capsule appartiennent aux faisceaux de la c
face inférieure de la couche optique. FLP. Le faisceau longitudinal
postérieur
(fig. 4) est, parmi les' faisceaux de la calotte,
u rouge, représentent la couronne rayonnante du faisceau longitudinal
postérieur
[Radiatio fasciculi pos-terioris de Meynert, voy.
, représenté ici (fig. 4) par un espace fusiforme adjacent au segment
postérieur
de la capsule interne (CID). Le corps de Luys est
MF. Le faisceau médullaire de la capsule, foncé au contact du segment
postérieur
de la capsule (CID), passe au-dessous des fibres
ticulaire (ANL) le circonscrit dans son trajet rétrograde à concavité
postérieure
. CEO. Le faisceau cérébello-thalamique (fig. 4
que le triangle de Vhabénule. Ce ganglion est situé en avant du noyau
postérieur
du thalamus (NpC, fig. 7) et du noyau interne (Ni
passe par un plan horizontal supérieur à l'habénule. NpC. Le noyau
postérieur
du thalamus appartient à la région inférieure de
les ont une coloration foncée qui se continue avec celle de la partie
postérieure
du noyau caudé. Le tsenia, confondu quelquefois —
, au système rayonnant du thalamus. Seulement elle vient de la région
postérieure
du pulvinar ; c'est pourquoi la direction de ses
érieure correspondant à la lète est la plus voluniincuse; ' la partie
postérieure
, correspondant à la queue, s'allonge en avant et
lques fibres transversales du genou de la capsule (Gci). Cette partie
postérieure
, n'entrant pas I immédiatement en contact avec la
efour ventriculaire (Cl). Elle s'étend du carrefour (G F) à la partie
postérieure
de la corne frontale (VF); elle est presque tout
e tout entière dans la corne frontale : c'est, en résumé, l'extrémité
postérieure
, allongée, de la tête du| noyau caudé. PUT. Le
t le plan môme de la coupe. I Substance blanche. TRp. Le pilier
postérieur
du trigone (fig. 10) fait suite à la fimbria. 11
ne coloration foncée en avant, claire en arrière (ses fibres les plus
postérieures
en effet se confondent avec celles du faisceau mo
'enfonce donc (au-dessous du plan de la coupe) pour rejoindre le bord
postérieur
du putamen et la capsule externe. Sur la coupe 12
arqué sur les coupes il et 12. On observera également que la partie
postérieure
de ce faisceau (composé de fibres verticales) s'e
ne constance absolue, en ce qui concerne l'étendue de ce prolongement
postérieur
. RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé (fi
e externe (CE) des fibres dont la masse décrit une courbe à concavité
postérieure
. Nous savons les connexions étroites de la capsul
ences, en contact avec cette connnissure. Il existe entre l'extrémité
postérieure
du gyrus reclus (GR) et la commissure antérieure
iculaire par un nodule gris (tec), représentant ici la partie la plus
postérieure
du taenia tecta. tec. Le tsenia tecta n'est que
l'écorce grise au-dessous du sinus du corps calleux. Mais à la partie
postérieure
du corps calleux il est l'origine du fasciola cin
au sensitif interne (FSi) ; les fibres commissurales de la commissure
postérieure
(CP), placées en arrière et en dehors du faisceau
du faisceau rétrcflexe (FRF). Enfin, juste en avant de la commissure
postérieure
(CP), on distingue l'amas de substance grise du g
ment sous la substance grise du noyau caudé (NC). CP. La commissure
postérieure
forme la limite antérieure du tubercule quadrijui
u troisième ventricule, au-dessous des noyaux du thalamus. Le segment
postérieur
de la capsule interne ne lui emprunte aucune de s
psule interne ne lui emprunte aucune de ses fibres. CID. Le segment
postérieur
de la capsule interne, strié par le fait de l'ent
dullaire latérale du thalamus est en partie confondue avec le segment
postérieur
de la capsule interne. On peut toutefois reconnaî
a substance grise du thalamus, est formée par les fibres de la racine
postérieure
et de la racine antérieure du thalamus. Les fibre
ieure et de la racine antérieure du thalamus. Les fibres de la racine
postérieure
proviennent du faisceau sensitif interne (FSi) et
entre-croisement des fibres de la calotte avec les fibres des racines
postérieure
et antérieure du thalamus, dans la lame médullair
t ce qui est relatif à la commissure antérieure (CA), à la commissure
postérieure
(CP), au faisceau d'Arnold (AR), est conforme à c
de la figure 1. FS. Le faisceau sensitif s'élargit à son extrémité
postérieure
. 11 se partage entre la troisième circonvolution
yau interne du thalamus (NiC). 2" La réduction de volume du segment
postérieur
de la capsule. Ici, le segment postérieur de la c
uction de volume du segment postérieur de la capsule. Ici, le segment
postérieur
de la capsule n'est plus guère représenté que par
rière, en deux racines : l'externe se perd insensiblement sur le bord
postérieur
du désert olfactif (DO) ; l'interne s'infléchit e
aboutit de dehors en dedans la vallée de Sylvius. A la partie la plus
postérieure
de l'espace perforé, une traînée blanche, venue d
tique (BSO). En arrière cette cavité présente deux prolongements : le
postérieur
et le plus externe va former la corne occipitale;
erne. En dedans la fimbria (FI) se perd à la surface de l'extrémité
postérieure
et interne du crochet (Une). PLANCHE XLI COUP
rtie la plus antérieure du pont. supérieur de l'hémisphère. La plus
postérieure
(I) de ces coupes passe au devant du bourrelet du
passe par le milieu du corps genouillé externe (GE) et par la partie
postérieure
du crochet (Une). On voit le fascia dentata (Fd)
bercule quadrijumeau antérieur. BQP. Bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. BSO. Bandelette sous-optique, libres temporo-t
sous-optique, libres temporo-thalamiqucs (Arnold, Meynert), faisceau
postérieur
de l'ans8 pédonculaire de Gratiolet. j C. Circo
terne. CIA. Segment antérieur de la capsule interne. CID. Segment
postérieur
de la capsule interne. CIF. Segment inférieur d
rieure (dans la substance grise du tuber cinereum) . CP. Commissure
postérieure
. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du lobe carr
érieur. EPF. Encoche de l'extrémité frontale. EPP. Espace perforé
postérieur
, lamina perforata posterior. EPY. Entre-croisem
asciola cinerea, bandelette cendrée. FCP. Faisceau de la commissure
postérieure
. Fd. Fascia dentata (Tarin), corps godronné, co
es du faisceau longitudinal inférieur. ; FLP. Faisceau longitudinal
postérieur
de la calotte. FLF. Fibres du faisceau longitud
inal postérieur de la calotte. FLF. Fibres du faisceau longitudinal
postérieur
de la calotte allant au thalamus. FM. Faisceau
bres moyennes du ou faisceau moyen du forceps' major. FOp. Fibres
postérieures
du forceps major. FOs. Fibres supérieures du forc
us pallidus. GMA. Gyrus métopique antérieur. GMP. Gyrus métopique
postérieur
. GOE. Gyrus olfactif externe. GP. Lobule du p
iétale ascendante. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré. GQP. Gyrus
postérieur
du lobe carré. GR. Gijinis reclus. GS. Pyrami
i courbe. ima. Incisure métopique antérieure. imp. Incisure métopique
postérieure
. IN. Insula de Reil, lobule de l'insula, insula
l'insula, insula antérieur, lohns cau- dicis (Rurdach). INP. Lobule
postérieur
de l'insula, insula postérieur. Inf. Infundibulum
ns cau- dicis (Rurdach). INP. Lobule postérieur de l'insula, insula
postérieur
. Inf. Infundibulum de la tige pituilaire. io. Inc
d sillon de l'insula. IRA. Rigole antérieure de l'insula. IRP. Rigole
postérieure
de l'insula. 1RS. Rigole supérieure de l'insula.
nticulaire. NmC. Centre médian (Luys). NO. Nerf optique. NpC. Noyau
postérieur
du thalamus. NR. Nudeus ruher, noyau rouge de S
s du pont. PYR. Pyramide antérieure du bulbe. ¦kB. Pli d'anastomose
postérieur
de la troisième circonvolution frontale à la deux
. Pli de passage pariéto-frontal supérieur. -jifP. Pli d'anastomose
postérieur
de la première frontale h la deuxième. xL. Pli
Tubercule quadrijumeau antérieur (nates). QP. Tubercule quadrijumeau
postérieur
(testes). R. vScissure de Rolando. R'. Prolon
au postérieur (testes). R. vScissure de Rolando. R'. Prolongement
postérieur
de la scissure de Rolando. RAIL Recessus antérieu
rontal antérieur. RFP. Couronne rayonnante du faisceau longitudinal
postérieur
, radialio fasciculi posterloris (Meynert). RGE.
onnante de la couche optique. RTP. Recessus du tubercule quadrijumeau
postérieur
. S. Vallée de Sylvius. -S". Branche postérieu
rcule quadrijumeau postérieur. S. Vallée de Sylvius. -S". Branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. S". Branche antérieu
lamus. Thl. Racine inférieure du thalamus. ThP. Pédoncule ou racine
postérieure
du thalamus (voy. ES). TJ. Tubercule de jonction.
y. NEL). TM. Tubercule mamillaire, corpus candicans. Tmp. Pédoncule
postérieur
du tubercule mamillaire. TP. Tractus transversus
ix. trm. TroudeMonro. TRO. Tractus opticus zonalis. TRp. Pilier
postérieur
du trigone. TRS. Triangle rétro-ammonique. TS
rijumeau antérieur (BQA)........ 215 Bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(BQP)........ 212 Bulbe du nerf olfactif (OLB).
egmentinférieur) (GIF)....... 274,505, 524 Capsule interne (segment
postérieur
) (CID)........258, 524 Carrefour de Phémisphère
7 Commissure molle ou moyenne (CM). . ............ xxi Commissure
postérieure
(CP)............xxii, 218, 250 Conarium (G)....
nterne (RGI)...... 219 Couronne rayonnante du faisceau longitudinal
postérieur
(RFP) 515, 555 Couronne rayonnante du noyau cau
Espace perforé antérieur (EPA).............. x, 322 Espace perforé
postérieur
(EPP)..............vni, 533 F Faisceau arqué,
circonvolution temporale (GIF)...... 548 Faisceaux de la commissure
postérieure
(FCP)....... 215, 229 Faisceau du crochet [unci
nférieur (cinquième couche) (FLo). . 155, 213 Faisceau longitudinal
postérieur
de la calotte (FLP).... 227, 279 Faisceau longi
s à la capsule interne (ARC). . . 505 Fibres du faisceau longitudinal
postérieur
allant au thalamus (FLP') 279 Fibres du faisceau
yrus métopique antérieur ¦ (GMA)............... lvi Gyrus métopique
postérieur
(GMP).............. lvj Gyrus pariétal inférieu
.... xl\ Gyrus pariétal supérieur (P^)................. xly Gyrus
postérieur
du lobe carré (GQP)............. xl Gyrus recta
métopique antérieure (ima). . ..........xi,, 21 Incisure métopique
postérieure
[imp)...........xl, 21 Incisure du pli courbe {
....... xxiv Insula de Reil (IN).................... xLvni Insula
postérieur
(INP).................. xlyui Isthme du coin (I
Lvm Opercule pariétal d'Arnold (OP)................ lxhi Opercule
postérieur
de Sylvius (OS).............. l Opercule roland
r (Pcs).......... 208, 277 Pédoncule cérébelleux supérieur (portion
postérieure
aHant à la couche optique), (CEO)..............
inférieur du thalamus ou pédoncule interne (TIH).... 520 Pédoncule
postérieur
du thalamus (Thl)............ 520 Pédoncules du
ticulaire (prolongement temporal, Wernicke), (GAP), aol, 505 Noyau,
postérieur
du thalamus (NpC)............. 225 Noyau postér
..... xx Piher descendant du fornix (DF)............... xx Pilier
postérieur
du trigone (TRç)......... . . xxvi, 220 Pli ant
xxvi, 220 Pli antérieur du lobe carré (GQA)............... xl Ph
postérieur
du lobe carré (GQP)............... xl PU courbe
)......... PI- I » » moyen entre F* et F^ (TifM)........... 4 » »
postérieur
entre F* et F^ (irfP)......... Pl. I )) » antér
iBA)......... 5 )) » moyen entre F^ et F* (ttBM).......... 5 )) »
postérieur
entre F^ et F^ (ttB)........ lxviii )) » entre
longement supérieur), (fij)....... 256 Scissure de Sylvius (branche
postérieure
), {S')....... i, 51 Scissure de Sylvius (branch
. Y Rigole antérieure de l'insula (IRA).............. xlix Rigole
postérieure
de l'insula (IRP).............. xlix Rigole sup
quadrijumeau antérieur (QA)............ vnr Tubercule quadrijumeau
postérieur
(QP).......... xui, 180
n plan,constant. Cette substance grise est plus abondante à la partie
postérieure
qu'en avant. A l'œil nu on aperçoit facilement
e autre saillie plus forte, arrondie, connue sous le nom de tubercule
postérieur
ou de pulvinar thalami optici. Ces deux saillie
conscrits à l'intérieur. Entre le tubercule antérieur et le tubercule
postérieur
, il en existe un autre, moins marqué à la surface
nom de centre antérieur ou olfactif., centre moyen ou optique, centre
postérieur
ou auditif, centre médian ou sensitif. (Pl. IV, 9
he optique sur laquelle il produit une intumescence ovoïde. Le centre
postérieur
est moins volumineux que le précédent et dans un
erme. Le centre médian est situé entre le centre moyen et le centre
postérieur
, en dehors et un peu au-dessous d'eux, au centre
ntérieures de ce lobe aux régions pariétales supérieures; à la région
postérieure
, un autre faisceau, le faisceau arciforme occipit
faisceau, les fibres arciformes occipito-frontales unissent la partie
postérieure
du lobe frontal à la partie supérieure du lobe sp
ures décrivent une courbe à concavité antérieure ; celles des régions
postérieures
présentent une direction inverse. Les premières c
es antérieures (forceps anterior), et les secondes forment les cornes
postérieures
(forceps posterior). Toutes ces fibres passent
liquement de haut en bas ; celles qui proviennent des circonvolutions
postérieures
prennent une direction convergente d'arrière en a
radiés des régions moyennes ; le groupe des fibres issues des régions
postérieures
décrit par Kôlliker est quelquefois désigné sous
ace externe du noyau lenticulaire du corps strié, gagnent les parties
postérieures
de la couche optique en formant une coque extérie
nucléée sur des pièces durcies. Les fibres convergentes des régions
postérieures
se détachent de tous les points de la substance g
étachent de tous les points de la substance grise des circonvolutions
postérieures
, se portent directement vers l'axe du lobe occipi
ccessive de fibres nouvelles, à mesure qu'il se rapproche des régions
postérieures
de la couche optique. Arrivées à ce niveau, les
on et de groupement des faisceaux de fibres conver-gentes des régions
postérieures
, il semble que les fibres convergentes des région
e grise de la couche optique, vers le centre médian. Les pédoncules
postérieurs
ou inférieurs croisent la commissure blanche post
elet est la portion de l'encéphale qui occupe, au-dessous des régions
postérieures
du cerveau, la loge constituée par les parois oss
veau par la tente du cervelet ; il est en contact médiat avec la face
postérieure
du névraxe. Le lobe médian présente une éminenc
par la dénomination de cordons antérieurs, cordons latéraux, cordons
postérieurs
et séparés les uns des autres par des prolonge-me
rrondie et dentelée ; elle porte le nom de corne antérieure ; l'arête
postérieure
s'allonge jusqu'à la périphérie, elle est plus ét
usqu'à la périphérie, elle est plus étroite et a reçu le nom de corne
postérieure
. Son extrémité est revêtue d'une sorte de calotte
fig. II et III). La région intermédiaire aux cornes antérieures et
postérieures
renferme un groupe de cellules, réunies vers la r
olongements seulement. Sur les côtés externes de la base des cornes
postérieures
, on distingue un amas de cellules que Jacubowitsc
h considère comme analogues aux cellules ganglionnaires. Les cornes
postérieures
sont coiffées en arrière par la substance gélatin
tineuse de Ro-lando qui se voit à découvert dans le sillon collatéral
postérieur
; elle présente une coloration grisâtre transpare
rvues d'un gros noyau, dispo-sées en séries sur le trajet des racines
postérieures
, qui s'éparpillent en fibrilles en atteignant la
leur origine l'une dans la corne antérieure, et l'autre dans la corne
postérieure
. Les racines antérieures émergent des cellules mo
aine que leur fournit la dure*-mère, elles se réunis-sent aux racines
postérieures
. Les réseaux de la substance gélatineuse de Rol
seaux de la substance gélatineuse de Rolando qui terminent les cornes
postérieures
donnent naissance aux racines postérieures ou sen
o qui terminent les cornes postérieures donnent naissance aux racines
postérieures
ou sensitives. Ces fibres radi-culaires, aussitôt
tion super-ficielle ou motrice des pyramides antérieures. Les cordons
postérieurs
s'inclinent à leur tour en avant, en haut et en d
en avant, en haut et en dedans ; ils sectionnent également les cornes
postérieures
en deux parties, s'entre-croisent sur la ligne mé
parties, s'entre-croisent sur la ligne médiane, s'accolent à la face
postérieure
des pyramides antérieures pour constituer la port
chaque côté de la ligne médiane par la tête des cornes antérieure et
postérieure
décapitées. Une grosse colonne grise, cons-tituée
e, cons-tituée par la base des cornes antérieures et celle des cornes
postérieures
, occupe le centre et entoure le canal médullaire
canal central de la moelle se rapproche de plus en plus de la partie
postérieure
et finit par se trouver à découvert au niveau de
eures se place de chaque côté de la ligne médiane, la base des cornes
postérieures
vient se ranger sur le côté externe de la précéde
orne antérieure est portée en avant et en dehors, la tête de la corne
postérieure
est fortement rejetée en dehors, atteint même la
orne antérieure se prolonge sur la ligne médiane; la base de la corne
postérieure
envoie un prolongement nommé noyau des cordons gr
La tête de la corne antérieure se porte en avant, la tête de la corne
postérieure
devient de plus en plus antérieure. Ces deux colo
ommun. Le noyau classique de l'hypoglosse est situé sur l'extrémité
postérieure
du raphé médian, de chaque côté de la ligne média
é par une formation réticulée de substance grise qui s'étend du noyau
postérieur
de l'hypoglosse sur les parties latérales du bulb
est séparé par le passage de fibres nerveuses. La base de la corne
postérieure
s'étale en colonne allongée de bas en haut sur le
es noyaux sensitifs des nerfs mixtes ; au-dessus elle forme la racine
postérieure
du nerf auditif, connue sous le nom de barbes du
rf de Wrisberg, les racines du facial, le corps restiforme et le bord
postérieur
du plancher du quatrième ventricule. Les racine
ieurs nucléoles et ont un prolongement ramifié. La tête de la corne
postérieure
constitue le tubercule cendré de Rolando; elle es
do; elle est formée parla substance gélatineuse qui coiffe les cornes
postérieures
. Dans son trajet ascendant, elle donne naissance
re du trijumeau commence au-dessus de l'entre-croi-sement des cordons
postérieurs
de la moelle, par des fibrilles qui prennent nais
nce dans le tubercule cendré de Rolando, formé par la tête des cornes
postérieures
décapitées. La substance gélatineuse qui l'ento
eux. Paris, 1865. dans la substance grise du tubercule quadrijumeau
postérieur
, celui du ganglion externe dans la substance gris
it dans la substance grise corticale du tuber cinereum; 2° une racine
postérieure
qui traverse un ganglion et va se rendre dans la
icule très caractéristique (Pl. IV, 22; XL, 27, XLIII). Les cordons
postérieurs
de la moelle s'inclinent en avant, s'entre-croise
sur la ligne médiane, au-dessus des précédents; s'accolent à la face
postérieure
des pyra-mides antérieures, qu'ils suivent dans l
léchissent en dedans, pour se concentrer sur les côtés de l'extrémité
postérieure
du raphé médian, au-dessus de la substance grise
en avant et en contact avec l'extrémité libre de la tête de la corne
postérieure
. Elle continue son trajet ascendant en arrière de
antérieure de la corne pos-térieure (Pl. XXXVIII, 25). Les cordons
postérieurs
de la moelle sont prolongés dans le bulbe par un
n cunéiforme de Gollpar Kôlliker. Ce faisceau constitue les pyramides
postérieures
du bulbe; il se renfle au niveau du bec du calamu
appelle cordon cunéiforme la portion externe seulement de ce faisceau
postérieur
du bulbe ; Meynert désigne également la portion i
la forme d'un croissant à concavité interne dirigée vers l'extrémité
postérieure
du raphé. Les cordons antérieurs se logent dans
se confondre avec le faisceau que Meynert nomme faisceau longitudinal
postérieur
de la calotte, et se terminer alors aux cordons a
, atteint le centre médullaire et va aboutir aux régions latérales et
postérieures
du lobe frontal. Ce faisceau met en connexion imm
1) Charcot, Leçons sur les maladies du système nerveux. Les cordons
postérieurs
de la moelle, portion sensitive des pyramides, se
ine en dehors, se recourbe en arrière et en bas, et gagne les régions
postérieures
et inférieures du lobe occipital (Pl. XXVI, 5).
res cordons du bulbe. Ils cons-tituent alors le faisceau longitudinal
postérieur
. Ce faisceau franchit la protubérance en suivan
de cette région. Dans ce trajet ascendant, le faisceau longitudinal
postérieur
affecte des rapports intimes avec les noyaux radi
couche de l'anse pédon-culaire, sous le nom de faisceau longitudinal
postérieur
de la calotte. Ils lui assignent pour lieu d'orig
é aussi sous le nom de faisceau sous-olivaire, chemine entre la corne
postérieure
et les débris de la corne antérieure qui le sépar
ruban de Reil, se dirige en dedans sous les tubercules quadrijumeaux
postérieurs
, constitue, par son entre-croisement avec son con
e, par son entre-croisement avec son congénère, la commissure blanche
postérieure
, et se perd dans la couche de substance grise qui
us Luysii. Les noyaux rouges de Stilling reçoivent par leur segment
postérieur
un faisceau de fibres afférentes fourni par les p
cuneatus et gracilis), qui relient les cellules nerveuses des régions
postérieures
de la moelle avec le cervelet (Pl. XXXVI, 15).
nce grise centrale de la moelle épinière (région dorsale). a. Corne
postérieure
. b. Canal central de la moelle. c. Substance
llet du bulbe). a. Canal central du bulbe. b. Noyau des pyramides
postérieures
. Gavoy. — Encéphale. 7 c. Noyau des corps res
s corps restiformes. d. Racine du nerf grand hypoglosse. e. Corne
postérieure
, séparée de sa base et déjetée latéralement. f.
ves bulbaires). a. Canal central du bulbe. b. Noyau des pyramides
postérieures
. c. Racines du nerf grand hypoglosse. d. Noya
pyramides. g. Raphé médian formé par l'entre-croisement des cordons
postérieurs
. h. Sillon médian antérieur. i. Portion sensi
nce grise de l'olive bulbaire. k. Substance gélatineuse de la corne
postérieure
. Fig. II. — Répartition de la substance grise d
olive bulbaire), a. Canal central du bulbe. b. Noyau des pyramides
postérieures
. c. Noyau des corps restiformes. d. Substance
. Noyau des corps restiformes. d. Substance gélatineuse de la corne
postérieure
. e. Vestiges de la tête de la corne antérieure.
courbe occipitale supérieure; en haut, les fibres s'attachent au bord
postérieur
de l'aponévrose épicrânienne. Les fibres de ces d
côté gauche et fait saillie dans la narine de ce côté. L'ouverture
postérieure
des fosses nasales est quadrilatère et dirigée ob
e un tubercule médian, tubercule pharyngien qui proemine sur la paroi
postérieure
du pharynx. Le sphénoïde continue la partie ant
tion longitudinale des muscles de la nuque. 10. — Ligament cervical
postérieur
. 11. — Protubérance occipitale externe. Gavoy
égion moyenne est logée dans la fosse zygomato-maxillaire ; la région
postérieure
appuie sur latente du cervelet, tendue horizontal
r la tente du cervelet qui les sépare de la face inférieure des lobes
postérieurs
du cerveau. Le cervelet com-prend tout l'espace q
ords irréguliers, la scissure festonnée, qui marque en haut la limite
postérieure
du lobule frontal interne ou para-central, formé
se dirige du bec vers le chiasma (7) et ensuite en dehors. La partie
postérieure
du corps cal-leux, épaisse et arrondie, forme le
rière une éminence moins saillante que la première,, nommée tubercule
postérieur
. (1) Voir E. Gavoy, Anatomie topographique du C
re, dont le sommet est à la tige pituitaire. Il est fermé à la partie
postérieure
par la commissure blanche postérieure, petit fais
taire. Il est fermé à la partie postérieure par la commissure blanche
postérieure
, petit faisceau de fibres blanches disposé transv
lbe (18) et un faisceau blanc à la région pos-térieure, les pyramides
postérieures
(19). a. — L'artère cérébrale antérieure, branc
périeur de la protubérance, en deux branches : les artères cérébrales
postérieures
. d. — Branche de l'artère cérébrale postérieure
artères cérébrales postérieures. d. — Branche de l'artère cérébrale
postérieure
. — L'artère cérébrale postérieure se partage en t
d. — Branche de l'artère cérébrale postérieure. — L'artère cérébrale
postérieure
se partage en trois artères : la première se rend
drilatère que limite la scissure perpendiculaire interne. A la région
postérieure
est le lobule triangulaire ou cunéiforme, circons
la dissociation des faisceaux des fibres commissurantes. A la région
postérieure
, ces fibres sont unies avec la bandelette qui for
ieure, ces fibres sont unies avec la bandelette qui forme les piliers
postérieurs
du trigone. En avant, le pilier antérieur passe d
re de la couche optique, le corpus album subro-tundum et le tubercule
postérieur
, qui se présentent sous l'aspect de deux noyaux d
r et reçoit le faisceau de Vicq-d'Azyr, le deuxième est appelé centre
postérieur
. Au-dessous et en arrière du centre postérieur
me est appelé centre postérieur. Au-dessous et en arrière du centre
postérieur
est la glande pinéale et la substance grise des t
u près arrondi, c'est le -centre moyen (10) en rapport avec le centre
postérieur
(11) et le centre médian (12). 14. — Noyau roug
baire en rapport avec les fibres spinales posté-rieures (25). La face
postérieure
du bulbe est formée par la section des pyramides
La face postérieure du bulbe est formée par la section des pyramides
postérieures
(24). En avant est la substance grise centrale qu
un fais-ceau de fibres blanches (28) appartenant aux fibres spinales
postérieures
; plus loin est un petit fascicule blanc (29), fa
n petit fascicule blanc (29), faisant partie de la commissure blanche
postérieure
. Gavoy. — Encéphale. 9 V. — Encéphale dont
s antérieures; elle est contournée en arrière par les fibres spinales
postérieures
, qui sont séparées, dans le pédoncule cérébral, d
leux inférieurs, en continuité par leur bord interne avec les cordons
postérieurs
intermédiaires du bulbe, ou cordons de Go II. V
té des ventricules latéraux. Le bourrelet est adhérent avec le pilier
postérieur
du trigone (3), qui se continue au-dessus de la c
igeant en arrière dans le sillon intermé-diaire, au-dessous du pilier
postérieur
du trigone. Il recouvre le centre moyen (8) de la
s fibres convergentes de la capsule interne; en arrière est le centre
postérieur
de la couche optique (9); le centre médian (10) e
ps calleux qui constitue la voûte des ventricules latéraux. Le pilier
postérieur
du trigone (3, Pl. VI) est encore adhérent au bou
ect; c'est le faisceau direct moteur du pédoncule cérébral. Le groupe
postérieur
de fibres, qui paraît s'arrêter au locus niger, a
alleux, se détache un prolonge-ment horizontal, qui gagne l'extrémité
postérieure
du lobe occipital. La partie anté-rieure du ventr
eure du ventricule latéral est nommée corne frontale; le diverticulum
postérieur
porte le nom de corne occipitale, de cavité digit
nférieur forme la corne sphénoïdale, dans laquelle s'engage le pilier
postérieur
du trigone (5), qui recouvre l'hippocampe. La c
, atteignant les segments externes du centre médian (16) et du centre
postérieur
(17). Entre ces deux noyaux apparaît la substance
limite externe; la corne occipitale s'étend moins loin vers la région
postérieure
; à son extrémité antérieure est la coupe de la su
eure est la coupe de la substance grise de l'hippocampe et du pi-lier
postérieur
du trigone. La corne frontale descend moins bas e
e du noyau intra-ventriculaire est réduite à sa portion supérieure et
postérieure
; elle est séparée delà couche optique parle taeni
de la face externe de la couche optique et se dirigent vers le centre
postérieur
. La substance grise du corps genouillé interne (1
ions. Les fibres convergentes des régions antérieures, supérieures et
postérieures
ont une direction rayonnée autour des noyaux opto
parles radiations optiques de Gratiolet ou fibres cortico-thalamiques
postérieures
. 5. — Substance grise du noyau caudé, s'étendan
moyen et le segment interne (7) appelés noyaux jaunes. 8. — Régions
postérieure
et externe de la couche optique (pulvinar) en rap
s le nom de couronne rayonnante. Cette planche représente la région
postérieure
et la région moyenne de la capsule interne. Les p
la face externe du putamen. Les corps genouillés occupent la région
postérieure
de la masse ganglionnaire centrale. La substance
semble au premier abord recevoir les fibres convergentes de la région
postérieure
, comme on l'a dit à tort, est plus volumineuse qu
ps frangé, corps bordant ou corps bordé (fimbria) formé par le pilier
postérieur
du trigone; il s'applique sur l'écorce blanche de
les des régions moyennes, en bas et en dedans; les fibres des régions
postérieures
(4) suivent une direction antéro-postérieure. Ces
tal. Le faisceau arciforme longitudinal inférieur part de l'extrémité
postérieure
du lobe occipital et s'étend jusqu'à la région an
nce grise est pénétrée par les filaments blancs appartenant au pilier
postérieur
du trigone. 8. — La substance grise du ganglion
ment vers le noyau lenticulaire ; les fibres convergentes des régions
postérieures
se dirigent directement en avant; les fibres du l
vius un filament blanc nommé pédoncule du corps calleux. L'ex-trémité
postérieure
, appelée bourrelet ou splenium, est arrondie; ell
e sphénoïdale, ou tapetum. La substance grise corticale des régions
postérieures
et internes est parcourue par un liséré blanc dés
rd externe du corps calleux. 3. — Fibres commissurantes des régions
postérieures
formant le bourrelet du corps calleux. Leur traje
lleux. Leur trajet est curviligne, à concavité dirigée vers la région
postérieure
. 4. — Ensemble des fibres convergentes et commi
ommis-surantes des régions antérieures des hémisphères. 2. — Partie
postérieure
ou bourrelet du corps calleux formée par les fibr
et du corps calleux formée par les fibres com-missurantes des régions
postérieures
des hémisphères. 3. — Portion cavitaire, ou de
é antérieure nommée tête, et la terminaison en queue de son extrémité
postérieure
. 6. — Sillon intermédiaire séparant le noyau ca
est située au-dessous de cette lamelle; elle commmence à l'extrémité
postérieure
du sillon et se continue en avant, après avoir tr
lexus choroïde. 10. — Faisceau de fibres commissurantes des régions
postérieures
, appartenante la corne occipitale du corps call
es forment la portion réfléchie du corps calleux ; celles des régions
postérieures
occupent la portion appelée bourrelet. Les fibres
ché par la coupe (5, Pl. VI). Il ne reste de ce noyau que l'extrémité
postérieure
ou caudale et la tête. Les fibres convergentes de
ostérieure ou caudale et la tête. Les fibres convergentes des régions
postérieures
sont groupées en un gros faisceau qui aboutit à l
ostérieures sont groupées en un gros faisceau qui aboutit à la partie
postérieure
de la couche optique et se distribue en partie da
pport avec le plexus choroïde qui les recouvre en partie. L'extrémité
postérieure
de chacune de ces bandeletttes s'écarte de celle
du corps calleux constitué par les fibres commissu-rantes des régions
postérieures
. 3. — Fibres convergentes des régions antérieur
u lenticulaire du corps strié. 7. — Fibres convergentes des régions
postérieures
groupées en un faisceau conique, se dirigeant ver
érieures groupées en un faisceau conique, se dirigeant vers la région
postérieure
de la couche optique. 8. — Substance grise de l
ptique. 10. — Centre antérieur de la couche optique. 11. — Centre
postérieur
de la couche optique. 12. — Section du pédoncul
en bas pour former le pilier antérieur du tri- gone. Les extrémités
postérieures
de ces bandelettes, en s'écartant l'une de l'autr
s bandelettes, en s'écartant l'une de l'autre pour former les piliers
postérieurs
du trigone, laissent entre elles un espace triang
les fibres transversales ou commissu-rantes qui unissent ces piliers
postérieurs
l'un à l'autre. 14. — Cavité du ventricule de l
e le genou de la capsule interne. Le faisceau des fibres convergentes
postérieures
vient abou-tir à la région postérieure de la couc
sceau des fibres convergentes postérieures vient abou-tir à la région
postérieure
de la couche optique, en passant entre la portion
entre la portion caudale du noyau intra-ventriculaire et l'extrémité
postérieure
du noyau lenticulaire ; il correspond en ce point
érieure du noyau lenticulaire ; il correspond en ce point à la région
postérieure
de la capsule interne. Entre la substance grise
a substance grise du septum lucidum et, en arrière, celle des piliers
postérieurs
du trigone. La cavité du ventricule moyen apparaî
raux, en arrière, la corne occipitale. Les bords internes des lobes
postérieurs
comprennent entre eux la section de la substance
tes des régions antérieures. 2. — Fibres commissurantes des régions
postérieures
ou bourrelet du corps calleux. En avant sont les
ou contracter aucune adhérence avec elle, et se dirige vers la région
postérieure
de la couche optique; il porte le nom de capsule
us le nom de région lenticulo-striée de la capsule interne. La région
postérieure
de la capsule interne est occupée par le gros fai
faisceau formé par le groupement des fibres convergentes des régions
postérieures
(9), et le fascicule des fibres convergentes anté
s convergentes antérieures, la capsule externe, qui contourne l'angle
postérieur
du noyau lenticulaire; le point d'intersection de
portion du bourrelet. Elle se prolonge latéralement, par les piliers
postérieurs
du trigone, jusqu'à la circonvolution de la corne
o-postérieure passant sur le bord supérieur de la com-missure blanche
postérieure
. 1. — Portion réfléchie ou genou du corps calle
la substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe, et des piliers
postérieurs
du trigone. 4. — Point de dissociation des fibr
Faisceau formé par le groupement des fibres convergentes des régions
postérieures
. Ce faisceau suit la direction de l'axe du lobe o
contourne la cavité sphénoïdale et se jette en partie dans la région
postérieure
de la couche optique. Son fascicule antérieur se
faisceau qui paraît provenir de la commissure blanche. 17. — Centre
postérieur
de la couche optique. Le faisceau des fibres conv
postérieur de la couche optique. Le faisceau des fibres convergentes
postérieures
plonge et s'épanouit en partie dans sa masse. Le
eux éminences arrondies plus petites nommées tubercules quadrijumeaux
postérieurs
(testes). Ces quatre saillies mamelonnées sont si
rs (testes). Ces quatre saillies mamelonnées sont situées à la partie
postérieure
du ventricule moyen, au-dessus de l'aqueduc de Sy
s genouillés : l'anté-rieur A, avec le corps genouillé externe E ; le
postérieur
P, avec le corps genouillé interne I. — AEPI. 2
vergentes des régions pos-térieures se jette en partie dans la région
postérieure
de la couche optique; le fascicule antérieur (8,
ternes seulement du lobe occipital soient en connexion avec la région
postérieure
de la couche optique. Le noyau lenticulaire (10
rd interne un petit fascicule très fin, issu de la commissure blanche
postérieure
. Cette commissure est formée par un faisceau de
ant des tubercules quadrijumeaux. En avant de la commissure blanche
postérieure
apparaît, sur le bord interne des couches optique
a valvule de Vieussens. Un faisceau blanc relie la commissure blanche
postérieure
avec la région postérieure des couches optiques o
faisceau blanc relie la commissure blanche postérieure avec la région
postérieure
des couches optiques ou pulvinar. Gavoy.— Encép
antéro-postérieure passant au niveau des tubercules qua- drijumeaux
postérieurs
. 1.— Portion'réfléchie du corps calleux, formée
ouche optique sous l'aspect de fibrilles extrêmement fines. La région
postérieure
de la couche optique (13) est parcourue par des f
par des fibrilles transversales appartenant au faisceau convergent
postérieur
, issues des circonvolutions des régions internes
capsule interne. 15. — Substance grise des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
. Au centre est l'aqueduc de Sylvius (16), qui se
cédent. 11 est uni par un faisceau blanc aux tubercules quadrijumeaux
postérieurs
; les fibres optiques ont dans sa substance grise
ocampe dans la cavité sphé-noïdale, surmontée de la section du pilier
postérieur
du trigone ou corps bordant, formé presque en tot
tte section a atteint la partie antérieure {luette) (23) et la partie
postérieure
(24) de l'émi-nence médiane inférieure du cervele
a substance grise du corps strié. Les fibres convergentes des régions
postérieures
semblent se continuer avec les fais-ceaux latérau
e de la substance grise de la corne d'Ammon (hippocampe) et du pilier
postérieur
du trigone (corps bordant). La section du cerve
yau lenticulaire. 5. — Faisceau des fibres convergentes des régions
postérieures
. Ce faisceau croise la bandelette optique, passe
stérieures. Ce faisceau croise la bandelette optique, passe à l'angle
postérieur
du noyau lenticulaire et plonge dans le pédoncule
22. — Substance grise de la corne d'Ammon (hippocampe) et du pilier
postérieur
du trigone (corps bordant). 23. — Cavité du qua
u noyau lenticulaire. Le faisceau des fibres convergentes des régions
postérieures
est sectionné sur le bord externe de la bandelett
substance grise de la corne d'Ammon ou grand hippocampe et du pilier
postérieur
du trigone (corps bordant). Le corps genouillé in
eur, séparé par la substance grise du locus niger des fibres spinales
postérieures
ou étage supérieur ; en dehors est le faisceau la
nglion olfactif, elles se groupent en un faisceau qui gagne la partie
postérieure
du sillon intermédiaire au corps strié et à la co
Substance grise du locus niger de Sœmmering. 16. — Fibres spinales
postérieures
, étage supérieur des pédoncules cérébraux. 17.
r cinereum, la section des tubercules mamillaires et l'espace perforé
postérieur
de Vicq-d'Azyr. Les tubercules mamillaires ont
ier sur la face convexe de l'hémi-sphère ; (10) l'artère communicante
postérieure
; enfin l'artère choroïdienne qui se porte dans l
ers le genou du corps calleux.) Les lobes occipitaux et les régions
postérieures
du cervelet sont détachés par la section. La coup
t dans la substance grise des noyaux opto-striés ; celles des régions
postérieures
ont été sectionnées perpendicu-lairement à leur d
enlevé, en avant du prolongement occipital, une partie de la cloison
postérieure
du ventricule latéral. L'ouverture qui en résulte
rmé par les fibres commissurantes des régions supérieures moyennes et
postérieures
. En haut, ces fibres sont séparées de la circonvo
ne médiane (2). 3. — Fibres convergentes des régions supérieures et
postérieures
(fibres de Kólliker) 4. — Fibres convergentes d
faisceau formé par le groupement de fibres con-vergentes des régions
postérieures
(voir ce faisceau sur la série de planches horizo
couverte d'une écorce de substance blanche et de la coupe des piliers
postérieurs
du trigone (7). Elle représente une circonvolutio
erne de celle-ci est une petite colonne blanchâtre. 16. — Pyramides
postérieures
du bulbe, constituées par un petit renflement sit
renflement situé au niveau du bec du calamus sur les cordons médians
postérieurs
du bulbe. Ces cordons se continuent ensuite en ha
nférieurs (17). Ils sont séparés l'un de l'autre par le sillon médian
postérieur
du bulbe, et limités sur leur bord externe par un
ormes ou cordons de Goll (Kolliker) ; ils se perdent dans les cordons
postérieures
de la moelle vers la portion inférieure de la rég
rticale transverse de un millimètre d1 épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. La substance gr
les scissures, et indique, sur chacun des bords convexes, la branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. Les fibres nerveuses
eur est propre. Les fibres commissu-rantes des régions supérieures et
postérieures
décrivent un trajet curviligne et consti-tuent, p
ferme le plexus choroïde ; elle est surmontée de la coupe des piliers
postérieurs
du trigone (7, Pl. XXXIV) : au-dessus de la couch
erçoit la section des bandelettes géminées. Une partie de la région
postérieure
de la couche optique est enlevée; cette coupe a m
ouche optique est enlevée; cette coupe a mis à découvert le tubercule
postérieur
ou centre postérieur de la couche optique, et mon
evée; cette coupe a mis à découvert le tubercule postérieur ou centre
postérieur
de la couche optique, et montre le mode de pénétr
de pénétration dans sa substance des fibres convergentes des régions
postérieures
. En avant et en dehors de la couche optique est l
rmis superior et, en haut, avec l'écorce des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
. A ce niveau, on aperçoit un petit faisceau blanc
atteint par la section; elle montre la substance grise des pyramides
postérieures
(16, Pl. XXXIV) appelée aussi noyau des cordons g
les ou noyau post-pyramidal, les fibres nerveuses des cordons médians
postérieurs
ou cordons de Goll, le sillon médian postérieur d
des cordons médians postérieurs ou cordons de Goll, le sillon médian
postérieur
du bulbe qui les sépare. Sur leur bord externe, e
est un sillon très délié et au delà les fibres ner-veuses des cordons
postérieurs
proprement dits. XXXVI.— Coupe verticale transv
sverse passant au niveau des tubercules quadrijumeaux. 1. — Portion
postérieure
du corps calleux, formée par les fibres commissur
ée par les fibres commissurantes des régions supérieures, moyennes et
postérieures
. 2. — Ensemble des fibres convergentes constitu
5. — Section de la substance grise de la corne d'Ammon et du pilier
postérieur
du trigone dans le diverticulum sphénoïdal. 6.
postérieur du trigone dans le diverticulum sphénoïdal. 6. — Région
postérieure
de la couche optique. Les fibres convergentes des
postérieure de la couche optique. Les fibres convergentes des régions
postérieures
de l'hémisphère plongent sous l'aspect de longs f
filaments onduleux et très déliés, qui vont s'amortir dans le centre
postérieur
. 7. — Glande pinéale ou conarium, dépouillée de
ntérieurs (nates). 9. —Substance grise des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
(testes). Ces deux tubercules sont plus petits qu
bulbe rachidien (14). 16. — Fibres médullaires des cordons médians
postérieurs
, limités sur les côtés par la substance grise cen
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. La substance gr
circonvolutions de l'insula. Les fibres commissurantes des régions
postérieures
supérieures forment la portion postérieure du cor
ommissurantes des régions postérieures supérieures forment la portion
postérieure
du corps calleux. L'ensemble des fibres convergen
eux. L'ensemble des fibres convergentes et commissurantes des régions
postérieures
à celle de la coupe, sont sectionnées au niveau d
sphénoïdale. Elle pórtela coupe de la portion descendante des piliers
postérieurs
du trigone ; la coupe de la portion horizontale o
ction des fibres du taenia semi-circularis (3, PL XXXVI). Le centre
postérieur
occupe la partie interne de cette région de la co
nce nerveuse de ce centre, où elles s'épuisent. La commissure blanche
postérieure
s'étend transversale-ment d'un côté à l'autre et
V dans Ja substance grise centrale. Les fibres des cordons médians
postérieurs
se perdent, au delà du noyau gris des pyramides p
s médians postérieurs se perdent, au delà du noyau gris des pyramides
postérieures
, dans le groupe des fibres descendantes des pédon
édoncules cérébel-leux inférieurs ; sur le bord externe des pyramides
postérieures
est le noyau gris des corps restiformes. La sec
oupe verticale transverse passant en avant de la commissure blanche
postérieure
. 1. — Portion moyenne du corps calleux, formée
ent aux fibres précédentes et constituent par leur ensemble la région
postérieure
de la capsule interne. Ces divers systèmes de fib
he optique. 11. — Centre moyen de la couche optique. 12. — Centre
postérieur
de la couche optique. 13. — Section de la porti
ent et en haut à la rencontre des fibres convergentes, vers la région
postérieure
de la capsule interne. 23. —Faisceaux postérieu
s, vers la région postérieure de la capsule interne. 23. —Faisceaux
postérieurs
du bulbe continuant les cordons antérieurs delà m
direct ascendant. Ce faisceau est en rapport avec la tête de la corne
postérieure
et le noyau du corps restiforme. 26. — Portion
la corne postérieure et le noyau du corps restiforme. 26. — Portion
postérieure
des cordons latéraux de la moelle s'inclinant en
a portion motrice des pyramides antérieures du bulbe. 27. — Cordons
postérieurs
de la moelle. Les fibres de ces cordons s'entre-c
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. La substance gr
centres de ce noyau ou sur la paroi du ventricule moyen. Le centre
postérieur
(12, Pl. XXXVIII) est enlevé; on aperçoit le cent
. En dehors se trouvent les faisceaux latéraux et les fibres spinales
postérieures
, qui descendent à travers la substance grise de l
Substance grise du locus niger de Sœmmering. 23. — Fibres spinales
postérieures
se portant dans la capsule interne pour pénétrer
nsitive des pyramides antérieures formant le prolongement des cordons
postérieurs
de la moelle, après leur entre-croisement. Elles
ce blanche corticale qui entoure les corps olivaires. 27. — Portion
postérieure
des cordons latéraux de la moelle qui s'entre-cro
ux de la moelle qui s'entre-croisent au raphé médian. 28. — Cordons
postérieurs
de la moelle s'inclinant en avant pour s'entre-cr
entre-croiser sur un plan plus antérieur et supérieur. 29. — Cornes
postérieures
de la substance grise centrale de la moelle. 30
erticale transverse de un millimètre $ épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. La substance gr
substance grise du locus niger sont les faisceaux des fibres spinales
postérieures
; elles se terminent en pointe effilée dans la su
iane du bulbe, mais elles ne sont plus en continuité avec les cordons
postérieurs
enlevés en partie par la coupe. Sur les côtés, ap
enlevés en partie par la coupe. Sur les côtés, apparaissent la corne
postérieure
et les faisceaux antéro-latéraux de la moelle.
ubstance perforée de Vicq-d'Azyr. 21. — Faisceau de fibres spinales
postérieures
. Ces fibres se portent en haut dans la couche opt
oncules cérébelleux moyens croisant les fais-ceaux de fibres spinales
postérieures
. 23. — Portion sensitive des pyramides antérieu
e d'entre-croisement des fibres des cordons antérieurs et des cordons
postérieurs
de la moelle. 26. — Substance grise centrale de
s de la moelle. 26. — Substance grise centrale de la moelle (cornes
postérieures
). 27. — Olive bulbaire. Elle est séparée de la
ticale transverse de un millimètre cl 'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. La substance gr
ommissurantes du lobe sphénoïdal sont groupées en un cordon à l'angle
postérieur
du segment externe du noyau lenticulaire (voir 9,
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. La substance gr
ar sa face inférieure avec le faisceau de Vicq-d'Azyr, dont la partie
postérieure
est détachée par la section. Le centre moyen mont
érisée par ses fïexuosités prononcées, et une branche de la cérébrale
postérieure
qui se rend à la partie inférieure du lobe sphéno
rticale transverse de un millimètre a" épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. La substance gr
u lobe sphénoïdal se portent en haut et en dedans; celles des régions
postérieures
de ce lobe se sont groupées en un faisceau arrond
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vei^s le genou du corps calleux. La substance g
verticale trans-verse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. La substance gr
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. Cette portion d
ui forme la couche corticale est moins abondante que dans les régions
postérieures
des hémisphères cérébraux ; cependant elle présen
riangulaires. LIV. — Coupe verticale transverse passant par le bord
postérieur
de la portion réflé-chie du corps calleux. 1. —
n a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro-
postérieure
de un millimètre d'épaisseur, faite des régions s
n a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro-
postérieure
de un millimètre d'épaisseur, faite des régions s
-postérieure passant sur le bord supérieur de la commissure blanche
postérieure
..............................94 XXIII. Encéphal
n a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro-
postérieure
de un millimètre d'épaisseur, faite des régions s
e antéro-postérieure passant au niveau des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
..............'.......................... 99 XXV
n a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro-
postérieure
de un millimètre d'épaisseur, faite des régions s
n a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro-
postérieure
de un millimètre d'épaisseur, faite des régions s
n a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro-
postérieure
de un millimèlre d'épaisseur, faite des régions s
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. 121 XXXVI. Coup
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. 125 XXXVIII. Co
Coupe verticale transverse passant en avant de la commissure blanche
postérieure
. . . 127 XXXIX. Encéphale dont on a détaché la
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. 130 XL. Coupe v
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. 134 XLII. Coupe
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. 139 XLIV. Coupe
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. 143 XLVI. Coupe
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. 146 XLVIII. Cou
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. 149 L. Coupe vert
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. 152 LU. Coupe v
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. 154 LIV. Coupe
ps calleux. 154 LIV. Coupe verticale transverse passant par le bord
postérieur
de la portion réfléchie du corps calleux.......
cave de celui-ci n'est comblé qu'à l'âge adulte et forme, sur le bord
postérieur
du rocher, un trou décrit d'abord par Kerckringe,
ale), une antérieure ou sphénoï-dale (suture squamo-sphénoïdale), une
postérieure
ou mastoïdienne (suture squamo-pétreuse externe o
rtie antérieure ou glénoïdienne (margo fissurœ de Spee) et une partie
postérieure
ou tympanique (margo tympanicus, rebord du mur de
enne et pétreuse, Verga a décrit un lin canal qui perfore l'extrémité
postérieure
du bord supérieur du rocher, s'ouvre dans le sill
s une partie de son parcours : on doit le considérer comme le segment
postérieur
du canal temporal. Face externe. — La portion s
prend tous les canaux émissaires qui viennent s'ouvrir dans la racine
postérieure
ou sagittale de l'apophyse zygomatique : on doit
articulare posterius. Les veines sus-zygomatiques sont antérieures ou
postérieures
et les pré-zygomatiques, supérieures ou inférieur
cailleuse et la portion mastoïdienne sur le prolongement de la racine
postérieure
de l'apophyse zygomatique, une ligne de démarcati
osas l'appelle crista retrotempo-ralis, parce qu elle forme la limite
postérieure
de la surface d'insertion du muscle temporal. Ell
ta toutes les mesures à deux lignes, l'une (ligne a) tangente au bord
postérieur
du méat, et perpendiculaire à la base du cerveau,
mammifères. Chez la plupart d'entre eux, on aperçoit, sur l'extrémité
postérieure
et latérale de la base du crâne, une longue et so
situé sur la face inférieure de l'occipital, derrière le trou déchiré
postérieur
. Exceptionnellement, cette éminence acquiert des
l'espace compris entre la suture occipito-mas-toïdienne et la partie
postérieure
du condyle de l'occipital. Son sommet, aplati d'a
, déterminée sur une ligne horizontale qui s'étend de l'épine au bord
postérieur
, mesure en moyenne : Selon Hartmann............
tude une face externe, une face interne, une face antérieure, un bord
postérieur
, un sommet, et finalement sa structure générale.
t limitée en avant par le bord antéro-externe, en arrière par le bord
postérieur
, en haut par la crête sus-mastoïdienne et la scis
astoïdienne à cette portion du temporal qu'on trouve derrière le bord
postérieur
de l'apophyse : elle répond directement au cervel
ostérieur de l'apophyse : elle répond directement au cervelet. Bord
postérieur
. — Du sommet de l'apophyse, le bord postérieur se
nt au cervelet. Bord postérieur. — Du sommet de l'apophyse, le bord
postérieur
se dirige en haut et en arrière pour rejoindre la
ation de la jugulaire interne, le sinus latéral gagne le trou déchiré
postérieur
. Le sinus pétro-squameux diminue alors de calibre
forme oblique et presque toujours unique, se trouve situé sur le bord
postérieur
du sillon sigmoïde. L'orifice exocrânien est un
ânien est unique ou multiple. Selon Trautmann, il occupe, sur le bord
postérieur
de l'apophyse, la partie inférieure du tiers supé
ure du tiers supérieur. Nous l'avons rencontré soit au niveau du bord
postérieur
, soit sur une ligne prolongeant en arrière la crê
tribués sur toute l'écaillé mastoïdienne, soit groupés autour du bord
postérieur
de l'apophyse. Okada a établi la situation du tro
ntrent, d'après Okada, que dans les interventions portant sur la zone
postérieure
de l'apophyse, particulièrement dans une étendu
ement, par ostéite de la paroi du canal, consécutive à une mastoïdite
postérieure
. Cette phlébite est caractérisée par un œdème de
postérieure. Cette phlébite est caractérisée par un œdème de la zone
postérieure
de l'apophyse, blanc, dur et douloureux, qui abou
ive siégeant en un point très limité, k un centimètre environ du bord
postérieur
et de la pointe mastoïdienne, firent porter le di
Recherche du sinus. Il n'est pas apparent. L'os est sain à la partie
postérieure
, très éburné, comme l'était du reste la corticale
a recouvre par en bas (Poirier et Charpy). Elle appartient k la paroi
postérieure
du conduit par sa portion supérieure ou squameuse
un peu en dehors quand le grand canal veineux est éloigné de la paroi
postérieure
du conduit. Nous avons retrouvé sur deux chevaux
interne. — Elle regarde en haut et en arrière, et forme avec la paroi
postérieure
du rocher, l'angle pétro-mastoïdien interne, quel
e. La portion descendante, comprise entre le coude et le trou déchiré
postérieur
, d'une étendue double de la première, est creusée
et se termine en bas au niveau de l'épine jugulaire externe. Le bord
postérieur
, parallèle au précédent, se trouve souvent placé
rânienne. La corticale prémastoïdienne constitue en partie la paroi
postérieure
du conduit auditif. Elle se continue en dehors pa
s toujours plus marquée au niveau de l'épine de Henle et dans la zone
postérieure
de l'apophyse. La corticale digastrique, en rappo
aigu ouvert en dehors, occupé par le groupe des cellules limitrophes
postérieures
du conduit ; elle est séparée de la corticale ext
ersants, dont l'un tombe à pic vers la caisse pour en former la paroi
postérieure
, et l'autre se continue en arrière en pente douce
ont les dimensions vont en augmentant à mesure qu'on approche du bord
postérieur
de l'apophyse : c'est le groupepériantral, qui s'
ale prémastoïdienne. Il comprend à ce niveau les cellules limitrophes
postérieures
du conduit, fusionnées, quelquefois en une seule
lfe de la veine jugulaire et la portion verticale du facial, les plus
postérieures
atteignant quelquefois la scissure occipito-masto
roupepostéro-inférieur, sinuso-digaslrique (pl. VIII). Ces cellules
postérieures
, juxta-sinusales, ont été bien étudiées, en 1Q01,
re. Ces auteurs les distribuent en trois groupes : postéro-supérieur,
postérieur
proprement dit, et postéro-inférieur. 11 y a inté
11 y a intérêt, pour simplifier la description, à supprimer le groupe
postérieur
proprement dit, dont la création nous parait par
contré, sur 100 temporaux, /[o fois des groupes cellulaires nettement
postérieurs
. (( Dans la majorité des cas, un de ces groupes e
t coïncidence de cellules postéro-supérieures, postéro-inférieures et
postérieures
proprement dites. Us ont trouvé le plus fréquemme
cellulaire postéro-supérieur (27 fois): viennent ensuite les cellules
postérieures
(i3 fois), et les cellules postéro-inférieures (1
, et les cellules postéro-inférieures (12 fois). » Une des cellules
postérieures
de ce groupe vient faire hernie en dedans de la r
iguë grippale. Le gonflement rétro-auriculaire était limité à la zone
postérieure
de l'apophyse. La trépanation classique ne donna
La trépanation classique ne donna pas de pus. En contournant le bord
postérieur
dénudé de l'apophyse, l'instrument pénétra profon
ns opéré une fillette de 1 2 ans qui présentait, au niveau de la zone
postérieure
de la région mastoïdienne, un gonflement du volum
: ce sont : la mastoïdite antérieure avec ou sans fistule de la paroi
postérieure
du conduit ; la mastoïdite de la pointe ; les mas
postérieure du conduit ; la mastoïdite de la pointe ; les mastoïdites
postérieures
. Livrées à elles-mêmes, les suppurations intra-ma
par le trajet de l'artère occipitale, se propager à la loge cervicale
postérieure
, s'insinuer entre le splénius et le complexus, et
Ricard divise l'apophyse en deux moitiés, l'une antérieure et l'autre
postérieure
. « La moitié postérieure de l'apophyse mastoïde e
en deux moitiés, l'une antérieure et l'autre postérieure. « La moitié
postérieure
de l'apophyse mastoïde est dangereuse, dit-il, à
ainsi sur la face externe de l'apophyse quatre segments dont les deux
postérieurs
correspondraient au sinus latéral, l'antéro-infé-
trois segments, dont l'antérieur serait pétreux, le moyen veineux, le
postérieur
cérébelleux. Bonomo trace : i° une ligne horizo
ipault et répond à l'antre mastoïdien ; 2" Une zone quadrilatérale,
postérieure
, sinusale, que limitent, en haut l'horizontale AB
, en avant l'oblique EF, et en arrière la ligne GI1, qui suit le bord
postérieur
de la pointe ; elle est en rapport avec la portio
du groupe sinuso-cérébral. L'horizontale inférieure CD coupe le bord
postérieur
de l'apophyse au point M ; en avant, en haut et e
ique. Pour atteindre la "bulle digastrique il faut contourner le bord
postérieur
de l'apophyse et désinsérer en partie le ventre p
er le bord postérieur de l'apophyse et désinsérer en partie le ventre
postérieur
du muscle digastrique. Zone de l'antrotomie. —
.............. Distance minima entre le sillon sigmoïde et la paroi
postérieure
du conduit. INDICE SUPÉRIEUR A I .3o Dolichoc
onne insertion à l'aponévrose stylo-pharyngienne (Jonesco). Le bord
postérieur
est soudé à l'occipital et contribue à la formati
par une cloison osseuse complète. Les dimensions des trous déchirés
postérieurs
varient le plus souvent d'un côté à l'autre. Zuck
bre des deux côtés, 1.4 fois sur cent. iVu-dessus du foramen, le bord
postérieur
forme ïauvent jugulaire. La face endocrânienne
es et la fossette pour le ganglion de Gasser. La face endocrânienne
postérieure
limite en avant la fosse cérébelleuse. Elle montr
dienne, transformée en canal par l'os de Piet. La face exocrânienne
postérieure
présente de dehors en dedans : i° le trou stylo-m
evai. Par rapport à l'axe de la pyramide, l'un est supérieur, l'autre
postérieur
et le troisième externe. Le trajet de chaque ca
Longueur, mesurée sur la convexité du canal : Canal demi-circulaire
postérieur
.................................................
... ..................... 12-i5 — Largeur : Canal demi-circulaire
postérieur
..... 1,7-1 millimètre ; au niveau de l'ampoule...
sagittal et offre une branche antérieure, ampullaire, et une branche
postérieure
. Celle-ci croise le sinus pétreux supérieur et s'
it en angle droit avec la branche supérieure du canal demi-circulaire
postérieur
. Ce carrefour des canaux verticaux, sous-jacent à
postérieur. Ce carrefour des canaux verticaux, sous-jacent à la paroi
postérieure
du rocher, se trouve au-dessus et en dedans delà
n tympani. La branche antérieure est légèrement convexe en dehors, la
postérieure
convexe en dedans. Canal demi-circulaire postér
en dehors, la postérieure convexe en dedans. Canal demi-circulaire
postérieur
ou frontal. — Situé sur un plan vertico-transvers
re, et une branche supérieure qui court horizontalement sous la paroi
postérieure
de la pyramide à égale distance de la fente ungué
.......... 7 — Une fistule des canaux demi-circulaires supérieur et
postérieur
.................. 5 — Les fenêtres ronde et ova
es canaux verticaux, soit au niveau de la branche supérieure du canal
postérieur
. Le rapport du canal supérieur (branche postéri
érieure du canal postérieur. Le rapport du canal supérieur (branche
postérieure
) avec le sinus pétreux supérieur explique l'éclos
1 2 centimètres dans le plan frontal. En arrière, il atteint le pôle
postérieur
de l'hémisphère droit du cervelet. Autour de l'ab
du pus clans le canal demi-circulaire supérieur. Au niveau de la face
postérieure
de la pyramide pétreuse, entre le sillon sigmoïde
belleuse après avoir ouvert, chemin faisant, le canal demi-circulaire
postérieur
. Si la fistule siège sur le canal demi-circulaire
l'adulte, on trouve à décrire trois faces : supérieure, antérieure et
postérieure
; trois bords : antéro-supé-rieur, postéro-supérie
tière, constitue en grande partie le conduit auditif externe. La face
postérieure
adhère au squamosal et au rocher. La face antérie
au squamosal, forment les scissures tympano-squameuses antérieure et
postérieure
. Le bord inférieur, nommé crête tympanale, présen
profonde. Chez les premiers, le grand courant veineux encéphalique
postérieur
passe par les sinus transverse et petro-squameux
llon sigmoïde sur la corticale endocrânienne, élargit le trou déchiré
postérieur
, déprime la bulle tympanique et creuse à ses dépe
re pétro-bulleuse ou pétro-tympanique. On peut la suivre sur la paroi
postérieure
de la portion verticale du canal carotidien. Un p
arrière du canal carotidien, un segment osseux triangulaire, à sommet
postérieur
répondant au trou stylo-mastoïdien, et dont l'asp
urface, rugueuse aussi, de forme quadrilatérale, et reliée au segment
postérieur
par une partie étranglée, aplatie entre le canal
s. On trouve plus fréquemment ces anomalies sur les parois externe et
postérieure
de la fosse jugulaire. Celle-ci communique alors
côté droit. Incision de la membrane avec l'aiguille, dans son segment
postérieur
. Jet de sang du calibre du petit doigt (ioo gramm
r son extrémité antérieure la trompe d'Eustache, et par son extrémité
postérieure
, élargie, la caisse du tympan et l'antre mastoïdi
tôt une pyramide triangulaire dont la base coïnciderait avec la paroi
postérieure
et le sommet tronqué avec l'infundibulum tubaire.
romontoire au même point que le ponticulus et se dirige vers la paroi
postérieure
de la caisse. Quelquefois on trouve une troisième
se met en rapport avec la branche inférieure du canal demi-circulaire
postérieur
. Près de l'in lundi bulum tubaire, la paroi int
y produit quelquefois une voussure plus ou moins appréciable. Paroi
postérieure
ou mastoïdienne. — Elle offre en haut Y aditus ad
marteau. Près du cadre tympanal on remarque le petit orifice du canal
postérieur
de la corde (Pl. VII, fig. 3). Au-dessus de la li
n remarque deux replis curvilignes dont l'un est antérieur et l'autre
postérieur
, ce dernier étant le plus long. Ces replis sont c
repli supérieur, qui la divise en deux zones d'inégale étendue, l'une
postérieure
, plus petite, plus épaisse, plane, regardant en d
éaire la divise en deux portions dont l'une est antérieure et l'autre
postérieure
. La première est moins étendue et plus excavée qu
a surface interne de la membrane, à la région supérieure de sa moitié
postérieure
, un repli de 3-4 millimètres de long et de t\ mil
assez grande, ouverte en bas, que j'ai désignée sous le nom de bourse
postérieure
de la membrane tympanique. — La corde du tympan c
libre de ce repli... Il existe une autre cavité analogue à la bourse
postérieure
, à la face interne du tympan, au-devant du martea
un peu au-dessus de l'apophyse externe du manche. L'orifice du canal
postérieur
de la corde du tympan se trouve à l'extrémité du
orde remonte, croise à angle aigu, à peu près en son milieu, le repli
postérieur
et passe au-dessus du tendon réfléchi du muscle i
racentèse ; 2° la myringectomie partielle ou totale ; 3" la phcotomie
postérieure
. La myringotomie simple ou paracentèse de la memb
totale comme premier temps de l'ablation des osselets. La phcotomie
postérieure
est indiquée dans le traitement des surdités rele
ehors avec la scissure de Glaser, le péristaphylin externe et le bord
postérieur
de l'aile interne de l'apophyse ptérygoïde. L'ori
ible chez le nouveau-né. La surface articulaire empiète sur les faces
postérieure
et interne de la tête de l'osselet. Elle présente
e ou tympanique, une extrémité antérieure anguleuse, et une extrémité
postérieure
mousse. La face interne est divisée par un sillon
rtical en deux zones dont l'une, l'antérieure, est plus grande que la
postérieure
. La face externe est sillonnée quelquefois par un
e la tête en haut. Des deux branches, l'une est antérieure et l'autre
postérieure
. La branche antérieure est moins courbe et plus c
La branche antérieure est moins courbe et plus courte que la branche
postérieure
; quelquefois même elle est rectiligne. Les deux
deux faisceaux, l'un antérieur formé de fibres plus courtes, l'autre
postérieur
plus fort, plus tendu, qu'il appelle ligament pos
tes, l'autre postérieur plus fort, plus tendu, qu'il appelle ligament
postérieur
du marteau. Le ligament antérieur du marteau a se
sur la grande épine tympanique antérieure. Ce ligament et le faisceau
postérieur
du ligament externe constituent la bande-axe de H
egmen tympani au bord supérieur du corps de l'osselet, et un ligament
postérieur
, bifurqué qui la fixe au seuil de l'aditus. Apr
trier en dehors, autour d'un axe de rotation rapproché de l'extrémité
postérieure
. Par ce procédé il dégage le labyrinthe et relâch
l, on trouve la logette de Prussak qui s'ouvre souvent dans la bourse
postérieure
de Trôltsch. Au-dessus du ligament externe du mar
ial. Celui-ci, en effet, pourra, ou se trouver sous-jacent à la paroi
postérieure
du conduit auditif externe, ou en être plus ou mo
le nerf. L'axe de la portion tympano-mastoïdienne croise le segment
postérieur
du cadre tympanal, le plus souvent très bas, au-d
mbrane. Une minime partie du canal s'applique alors contre la paroi
postérieure
du conduit auditif. Quelquefois aussi, soit par o
anique, ce point d entre-croisement du canal de Fallope et du segment
postérieur
de l'anneau tympanal se Irouve reporté plus haut.
cas, une plus grande partie du canal se met en rapport avec la paroi
postérieure
du conduit. La portion tynipano-inastoïdienne,
sse; en dehors, à la cavité prépyramidale et aux cellules limitrophes
postérieures
du conduit. Sur les apophyses pneumatiques, les c
uditif interne, avec la cavité tympanique par la pyramide et le canal
postérieur
de la corde. Les lignes suivantes, empruntées à
rès réduite. Puis il se porte sur le deuxième arc, en suivant le bord
postérieur
de cette fente, et donne enfin ses branches termi
l'hiatus de ce nom. « x\ partir de ce point, il doit suivre le bord
postérieur
de la première fente branchiale; mais chez les ve
s, cette fente s'est élargie pour donner l'oreille moyenne ; son bord
postérieur
est reporté en arrière, et pour l'atteindre, le n
ence reste fixe, doit se diriger aussi en arrière, en suivant le bord
postérieur
de la fente élargie; à l'extrémité de ce bord, il
our quelques uns, plus en arrière par la partie antérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (faisceau génicuié), traver
, produit la chromalolyse des cellules nerveuses au niveau de la zone
postérieure
du noyau secondaire médian. Les fibres émanées
i dans une couche de tissu cellulaire, en passant au-dessus du ventre
postérieur
du muscle digastrique et en dehors de la base de
re le marteau et l'enclume et quitte la cavité tympanique parle canal
postérieur
delà corde qui débouche dans le canal de Fallope,
être rapprochée du spinal sans tiraillement. Il coupa alors le ventre
postérieur
du muscle digastrique et put ainsi adosser les de
mastoïdien dans son tiers supérieur. Puis, après avoir dégagé le bord
postérieur
de la glande parotide et l'avoir fortement tiré e
de l'apophyse styloïde, contre laquelle s'applique le nerf. Le ventre
postérieur
du muscle digastrique est ensuite repéré et dissé
laire délimitée par la base du crâne, la glande parotide et le ventre
postérieur
du muscle digastrique. Il se présente sous la for
poglosse. Elle apparaît dans Je champ opératoire au-dessous du ventre
postérieur
du muscle digastrique. En écartant le sterno-cléi
facial trop court. Dans les deux cas, il faudra sectionner le ventre
postérieur
du muscle digastrique, ce qui, d'ailleurs, n'offr
ugmente légèrement d'arrière en avant. Horizontal dans ses deux tiers
postérieurs
, le sinus s'infléchit pour devenir descendant dan
terne pour s'aboucher dans les sinus efférents latéraux et occipitaux
postérieurs
. Cet abouchement se fait de plusieurs manières, q
les autres sinus. » C'est le pressoir classique, le confluent smusal
postérieur
de Cruveilhier. Cette dernière disposition serait
sinus latéral ou sinus transverse, reçue dans un dédoublement du bord
postérieur
de la tente du cervelet, comprend les deux tiers
t du bord postérieur de la tente du cervelet, comprend les deux tiers
postérieurs
du trajet total du sinus latéral. Elle répond en
L'un est situé à la partie antérieure et externe de la circonférence
postérieure
de la tente du cervelet, dans le point où le sinu
face interne de l'apophyse mastoïde. Elle se termine au trou déchiré
postérieur
et répond en dedans aux lobes inférieur-moyen et
inférieur-antérieur du cervelet, en dehors aux cellules mastoïdiennes
postérieures
, smuso-cérébrales et sinuso-digastriques. Après
s avoir contourné l'apophyse jugulaire pour traverser le trou déchiré
postérieur
, le sinus latéral devient horizontal, se moule su
ses latérales supérieures et inférieures ; c) Les veines cérébrales
postérieures
externes et inférieures ; d) La veine anastomot
us : j) Les veines émissaires mastoïdiennes ; k) Les sinus occipitaux
postérieurs
; l) L'anastomose du sinus condylien : m) La ve
urs ; l) L'anastomose du sinus condylien : m) La veine condylien ne
postérieure
, ou émissaire condylienne. Au niveau du golfe :
te du cervelet. « M. J. Weber distingue une veine azygos cérébelleuse
postérieure
, composée de branches du vermis inférieur qui s'é
la protubérance occipitale interne. » (Hédon). c) Veines cérébrales
postérieures
externes et inférieures temporo-occipitales. — Le
externes et inférieures temporo-occipitales. — Les veines cérébrales
postérieures
externes, dirigées d'avant en arrière, débouchent
astomosent en avant avec les veines sylviennes. Les veines cérébrales
postérieures
et inférieures, parcourent la face inférieure du
otique de Labbé. — Cet auteur a décrit une grande veine anastomotique
postérieure
qui relie le sinus longitudinal supérieur au sinu
n la plus fréquente, mais que le plus souvent la grande anastomotique
postérieure
, partie du sinus latéral, se porte obliquement en
e, et se dirige en haut et en arrière, pour se terminer dans le tiers
postérieur
du sinus longitudinal supérieur. e) Veines dipl
ques, souvent très nombreuses chez l'enfant, surtout dans son segment
postérieur
. (Streit.) h) Sinus pétreux antérieur. — Wilslo
les occipitales profondes: d'autres, descendantes, avec la jugulaire
postérieure
. Parmi ces branches descendantes, il s'en trouve
jugulaire interne, à un centimètre environ au-dessous du trou déchiré
postérieur
. Il existe encore, d'après le même auteur, au niv
enne. 11 la nomme veine accessoire mastoïdienne. k) Sinus occipital
postérieur
. — Il relie les deux extrémités du sinus latéral
rachidien et vers le trou condylien antérieur. m) Veine condylienne
postérieure
ou émissaire condylienne. — Elle traverse le cana
térieure ou émissaire condylienne. — Elle traverse le canal condylien
postérieur
et relie l'extrémité du sinus sigmoïde aux veines
lement se diviser en deux branches : jugulaire interne et condylienne
postérieure
. Cette dernière constitue une des origines de la
eure. Cette dernière constitue une des origines de la veine jugulaire
postérieure
. n) Veine de l'aqueduc du limaçon. — Formée par
du limaçon. — Formée parla réunion des veines spirales antérieure et
postérieure
(Sie-benmann), la veine de l'aqueduc du limaçon s
phénoïdal, traverse le compartiment le plus antérieur du trou déchiré
postérieur
, en dedans du glosso-pharyngien, du pneumogastriq
t une gouttière qui descend de la fente unguéale vers le trou déchiré
postérieur
. Très vraisemblablement, elle logeait la veine de
orizontale livre à peine passage à une fine sonde. Le sinus occipital
postérieur
est dédoublé ». Le sinus latéral peut manquer en
émontre que le sinus latéral traverse quelquefois obliquement l'étage
postérieur
du crâne. On observe parfois, au niveau du coud
rombus septique. En résumé, tous les courants veineux encéphaliques
postérieurs
gagnent le ventricule droit par quatre voies, don
orales et occipitales, qui se jettent dans les jugulaires externes et
postérieures
. On doit distinguer, parmi les anastomoses vein
anses anastomatiques, parmi lesquelles nous citerons l'anse des sinus
postérieurs
, reliant les deux extrémités du sinus latéral, et
de Limon. La portion horizontale du sinus latéral répond à la moitié
postérieure
de cette ligne. Le coude du sinus latéral est com
ransversaux : l'un passant par le bord antérieur, l'autre par le bord
postérieur
du méat osseux auditif externe. (P. Laurens.) P
u tegmen tympani, dans la veine mastoïdienne par ostéite des cellules
postérieures
, dans le sinus caverneux par ostéite du sommet du
e et l'axillaire. Elle peut aussi remonter jusqu'au confluent sinusal
postérieur
, en oblitérant complètement toute la portion hori
, en évidant par en bas et plus profondément, on ouvrira les cellules
postérieures
sinuso-digastriques et l'on pourra ainsi obtenir
Ensuite, on dégage la fosse digastrique, après désinsertion du ventre
postérieur
du muscle du même nom, et on abat la crête ou bul
aux. Son adhérence à l'os est variable. Très solide au niveau du bord
postérieur
de la pyramide, elle est faible sur le tegmen tym
......... 12 , fois sur 43 cas. À la fois sur les fosses moyenne et
postérieure
.................... 1 J Dans les infections aig
................ 10 fois sur 45 cas. Sur les deux fosses moyenne et
postérieure
...................... 2 J Les abcès extra-durau
n, le pus avait fusé le long du sillon sigmoïde jusqu'au trou déchiré
postérieur
; dans le cas de Rossi, après avoir franchi cet or
encéphalique (couche optique, tubercules quadriju-meaux antérieurs et
postérieurs
, pédoncules cérébraux, protubérance annulaire, bu
e du sphénoïde, et une base répondant au lobe occipital. Cette limite
postérieure
est indiquée par une ligne fictive reliant la sci
re perpendiculaire externe, suivant quelques auteurs, — à l'extrémité
postérieure
de la scissure de Sylvius, suivant Déjerine. (Pl.
t. Du pôle temporal, elle se dirige en arrière, contourne l'extrémité
postérieure
de la scissure de Sylvius, et s'anastomose avec l
énoïdal du ventricule latéral. Lobe occipital. —Il occupe la partie
postérieure
de l'étage moyen du crâne. Sa forme est triangula
de l'étage moyen du crâne. Sa forme est triangulaire, avec un sommet
postérieur
nommé pôle occipital ; trois faces : interne, ext
mieux lingulo-limbique. Sur la face inférieure, on remarque la partie
postérieure
du lobule fusiforme et la circonvolution inférieu
tal; le segment antérieur forme le gyrus supra-marginalis; le segment
postérieur
, le gyrus angularis ou pli courbe, qui coiffe fa
ur, le gyrus angularis ou pli courbe, qui coiffe fa portion verticale
postérieure
du sillon parallèle. Lobe frontal. — Sur la fac
nent des ganglions infracorticaux (thalamus, tubercules quadrijumeaux
postérieurs
, corps genouillé interne, etc.) ; leurs ramificat
en totalité, passe par le ruban latéral, les tubercules quadrijumeaux
postérieurs
, le brachium posticum, le corps genouillé interne
tent des fibres d'association courtes qui gagnent les deux cinquièmes
postérieurs
de la première circonvolution temporale où se tro
verbale. — Le centre des images auditives des mots siège sur la zone
postérieure
de la première circonvolution temporale gauche et
e Bouil-laucl- Broca). L'écorce du lobule fusiforme et les segments
postérieurs
de la circonvolution de l'hippocampe, qui apparti
volution de l'hippocampe, qui appartiennent au centre d'association
postérieur
ou pariéto-temporal de Flechsig, n'ont pas encore
haut en bas et aboutit sans aucune interruption aux noyaux pontiques
postérieurs
(dans ce trajet, il traverse le segment sous-lent
centres auditifs du côté opposé sont commissures par la voie forceps
postérieur
— tapetum — corps calleux (portion postérieure).
res par la voie forceps postérieur — tapetum — corps calleux (portion
postérieure
). Les centres auditifs et les portions antérieure
, et se distribuent dans l'hémisphère opposé : ce sont les radiations
postérieures
du corps calleux, désignées sous les noms de forc
orales, séparées en dedans de l'insula de Reil par le sillon marginal
postérieur
; la scissure de Sylvius les sépare, en haut et e
ers la couronne rayonnante du lobe temporal. Entre le sillon marginal
postérieur
de l'insula et le prolongement sphénoïdal du vent
éciser le siège. La lésion devait vraisemblablement occuper la partie
postérieure
de la capsule interne et interrompre les radiatio
l diagnostiquèrent un abcès cérébral siégeant au niveau de la portion
postérieure
des deuxième et troisième circonvolutions tempora
ions terminales des fibres du faisceau radiculaire médial des racines
postérieures
. En remontant vers le bulbe, les fibres de ce fai
x du toit. (Mott et Tooth, in Thomas.) c) Les faisceaux des cordons
postérieurs
et des noyaux de Goll et Burdach. — Les cordons p
s cordons postérieurs et des noyaux de Goll et Burdach. — Les cordons
postérieurs
renferment des fibres qui se rendent directement
ises par tous les auteurs. Elles passent par le faisceau longitudinal
postérieur
et par la réticulée. Nous les retrouverons plus l
térales, croisent lera-phé et pénètrent dans le faisceau longitudinal
postérieur
, où ils se dichotomisent en rameaux ascendant et
côté opéré. Après résection du lobe moyen, les mouvements du train
postérieur
sont plus troublés que ceux du train antérieur. I
le que le vermis intervienne surtout dans l'équilibration des membres
postérieurs
, les hémisphères agissant plutôt sur les muscles
rectement du noyau vestibulaire vers la moelle (faisceau longitudinal
postérieur
), et qui ne sont pas intéressées par l'opération,
du lobe temporo-occipital; 2° L'attico-antrotomie avec craniotomie
postérieure
, par évidement du bloc de Jansen, appliquée à la
(abcès pétro-cérébelleux); 3° L'attico-antrotomie avec craniotomie
postérieure
rétrosinusale, appliquée à la cure des abcès exte
EZ. - OREILLE El ENCÉPHALE '3 2° Attico-antrotomie avec craniotomie
postérieure
par évidement du bloc de Jansen. Après avoir fait
sure 8 millimètres, on sectionnera le sommet du canal demi-circulaire
postérieur
, et on ouvrira aussitôt après la fosse cérébelleu
r par la voie rétro-sinusale. 3° Attico-antrotomie avec craniotomie
postérieure
rétro-sinusale. A l'attico-antrotomie succède l'é
rétro-sinusale. A l'attico-antrotomie succède l'évidement de la zone
postérieure
de l'apophyse, allant à la rencontre du coude du
méat auditif interne. On a proposé d'autres procédés de craniotomie
postérieure
pour ouvrir les abcès cérébelleux otitiques. Les
et Depoutre, Étude anatomique et pathologique des groupes cellulaires
postérieurs
de la mastoïde. Cellules juxta-sinusales. Annales
Toubert (J.), Contribution au diagnostic des cellulites mastoïdiennes
postérieures
. Annales des maladies de l'oreille. Juin igo2.
i. — Face externe. Figure 2. — Face inférieure. Figure 3. — Face
postérieure
. Figure f\. — Face supérieure. Série de six t
oraux, trois du côté droit et trois du côté gauche, vus par leur face
postérieure
. Cette planche est destinée à montrer les variati
, on suit le tracé de la corde du tympan, qui se dirige vers le canal
postérieur
de la corde. La fosse jugulaire, creusée sous le
s d'un même temporal : figure 1, segment antérieur; figure 2, segment
postérieur
. La scie a ouvert le conduit auditif externe, l
nommée encore portion descendante, croise très obliquement le segment
postérieur
du cadre tympanal. Sur la paroi interne de l'adit
l'adulte, le second coude du canal de Fallope. Figure 4- — Segment
postérieur
d'un temporal dont le segment antérieur n'a pas é
pétreuse qui semble être un diverticule de la caisse. Sur la paroi
postérieure
du conduit auditif interne, on remarque le forame
Figures i et 2. — Les deux segments de la coupe : figure 1, segment
postérieur
; ligure 2, segment antérieur. La scie a ouvert l
dans le plan sagittal. Figure i. — Sur ce temporal, vu par sa face
postérieure
, on suit la direction de la coupe. Le trait de sc
se mastoïde offre une structure pneumatique, avec de grandes cellules
postérieures
ou juxta-sinusales. L'antre est vaste. On peut di
l'aditus et à égale distance de la fente unguéale et du trou déchiré
postérieur
. Il ouvre le conduit auditif externe, la caisse,
erne est presque droit. La corticale interne mastoïdienne et la paroi
postérieure
du conduit auditif externe sont parallèles.% Di
externe est bien obtus. La corticale interne mastoïdienne et la paroi
postérieure
du conduit auditif externe divergent franchement
erne est presque droit. La corticale interne mastoïdienne et la paroi
postérieure
du conduit auditif externe sont parallèles. Dis
ïdien externe est droit.La corticale interne mastoïdienne et la paroi
postérieure
du conduit auditif externe divergent en dehors.
erne est presque droit. La corticale interne mastoïdienne et la paroi
postérieure
du conduit auditif externe sont parallèles. Dis
e est légèrement obtus. La corticale interne mastoïdienne et la paroi
postérieure
du conduit auditif externe sont presque parallèle
vers l'apophyse mastoïde. Le trait de scie est parallèle à la paroi
postérieure
du conduit. La coupe bâille sur la figure 2. Fi
osseux fait partie de la paroi interne de l'aditus. Sur le segment
postérieur
, qui est à gauche, on trouve, entre la portion ty
pleine apophyse mastoïde, à quatre millimètres en arrière de la paroi
postérieure
du conduit, et atteint la fosse cérébelleuse en d
(portion tympano-mastoïdienne) et le sommet du canal demi-circulaire
postérieur
; elle sectionne le 6/oc de Jansen. L'apophyse mas
ulaires verticaux, formé par la rencontre à angle droit de la branche
postérieure
du canal sagittal avec la branche supérieure du c
cloison osseuse le séparait de la fosse cérébrale moyenne. La branche
postérieure
croise à angle droit le bord supérieur du rocher
ternes de l'attique et de l'aditus ont disparu totalement. La paroi
postérieure
du conduit auditif externe, réséquée en grande pa
vient dans les rétentions mastoïdiennes aiguës. Figure 3. — Segment
postérieur
du temporal de la figure 1, scié transversalement
erne de la cavité antro-mastoïdienne, on distingue deux zones : l'une
postérieure
ou sinusale, l'autre antérieure ou présinusale; c
moïde. Figure !\. — Le même temporal de la figure 5, vu par sa face
postérieure
. Il montre la brèche sigmoïdale. PHOTOTYPIE PEU
ué une grande partie de l'écaillé occipitale pour dégager l'extrémité
postérieure
de l'encéphale. L'hémisphère cérébelleux droit bo
out son trajet. On aperçoit les orifices des sinus droits, occipitaux
postérieurs
et pétreux supérieurs, ainsi que celui de la vein
ointillée), reliant l'incisure préoccipitale de Meynert à l'extrémité
postérieure
de la grande scissure de Sylvius. Le sillon paral
images auditives des mots, centre de Wernicke, qui siège sur la zone
postérieure
de la première circonvolution temporale ; 2" le c
temporale. La portion descendante du sinus latéral parcourt la zone
postérieure
de l'apophyse ; elle n'est pas procidente. La zon
orce : les circonvolutions première frontale, centrales antérieure et
postérieure
, la pariétale inférieure ou supra-marginalis, la
postérieure, la pariétale inférieure ou supra-marginalis, la portion
postérieure
de Yinsula de Rcil,les trois temporales, le lobul
de projection : le pied de la couronne rayonnante de Reil, le segment
postérieur
de la capsule interne, la couronne rayonnante du
ascendantes, la pariétale inférieure ou supra-marginalis, la portion
postérieure
de Yinsula de Reil, les trois circonvolutions tem
les fibres de projection : la couronne rayonnante de Reil, le segment
postérieur
de la capsule interne, la radialio acustica, la r
ïdien. Le lobule fusiforme repose sur la tente du cervelet. Segment
postérieur
de la même coupe frontale dont le segment antérie
mpe. Le Jlocculas répond à l'interligne pétro-occipital et à la paroi
postérieure
de la pyramide pétreuse, au-dessus et en dedans d
ieure de la pyramide pétreuse, au-dessus et en dedans du trou déchiré
postérieur
. La troisième circonvolution temporale repose s
du cervelet. A gauche, au-dessus du sinus, on aperçoit l'extrémité
postérieure
de la circonvolution temporale (incisure préoccip
raux du cervelet. A droite, on remarque deux cellules mastoïdiennes
postérieures
, séparées par une large zone de tissu compact ; l
biale1, la cavité orbitaire, la capsule labyrinthique et, sur la face
postérieure
du rocher, entre le méat auditif interne et le sa
e lobe inférieur-moyen est en rapport, en avant, avec le trou déchiré
postérieur
. F. PÉREZ. - OREILLE ET ENCÉPHALE. Segment in
moïde, on remarque la bulle digastrique qui donne insertion au ventre
postérieur
du muscle digastrique. Le tentorium, oblique en
d'une coupe oblique en bas et en avant, qui suit le trajet du ventre
postérieur
du muscle digastrique. La scie a découvert, en av
es cervicales d'origine mastoïdienne. A gauche, on aperçoit le ventre
postérieur
du muscle digastrique, depuis son insertion au fo
. 3. Ganglion sub-œsophagien antérieur. l\. Ganglion sub-œsophagien
postérieur
. 5. Nerfs des tentacules digitales. 6. Nerfs
imal. A la surface de chaque lobe, se voient des dépressions dont les
postérieures
seulement ont une certaine régularité. Le cervele
décrivant une courbe, de la partie antérieure du cerveau à sa partie
postérieure
:1a ligne ponctuéeS qui les coupe en travers, pou
ui les coupe en travers, pour se diviser en (A) antérieures et en (P)
postérieures
, indique, comme dans la Fig. i, la place des circ
0. partie interne de la circonvolution orbitaire. P. Circonvolution
postérieure
. 1. Circonvolution interne. C'est celle qui se
ici l'on voit seulement la section de cette lamelle. pp. Pyramides
postérieures
delà moelle allongée, circonscrivant la partie in
la famille des renards, et enfin la moelle allongée avec les racines
postérieures
des deux premières paires cervicales et une porti
etite. A. P. Quatre circonvolutions divisées en antérieures et en
postérieures
par la ligne ponctuée S. + Point de jonction entr
et la séparation des circonvolutions cérébrales en antérieures et en
postérieures
. La ligne S se trouve placée au point de jonction
ons antérieures, au nombre de trois seulement. P. Circonvolutions
postérieures
, au nombre de quatre. Les deux supérieures sont c
rites fig. I; les deux autres, nées dans le même point, à l'extrémité
postérieure
du cerveau, s'avancent, flexueuses jusqu'à la s
s du crâne. Les lettres API indiquent les circonvolutions antérieure,
postérieure
et interne. La circonvolution antérieure se conti
pas chez le cheval et le bœuf .(Pl. VIII). Quant à la circonvolution
postérieure
et à la circonvolution interne, elles sont séparé
se continuant avec la circonvolution interne , au dessus de la partie
postérieure
du corps calleux. Le développement relatif des
s nouvelles, et ces circonvolutions ayant déjeté en arrière la moitié
postérieure
des circonvolutions longitudinales des animaux, c
existence. S. Division du cerveau en partie antérieure et en partie
postérieure
; la démarcation entre ces parties est formée,d'u
(fig. 2), et d'autre part, par la réunion commune des circonvolutions
postérieures
et antérieures, au point 4- placé sur la ligne S.
cette scissure, indique le point de jonction des deux circonvolutions
postérieures
externes. La face externe du cerveau du bœuf prés
olution antérieure et moyenne (pl. VIII, fig. i). P. Circonvolution
postérieure
. I. I. Circonvolution interne entourant le corp
optiques. 3me v. Cavité du troisième ventricule. o. p. Ouverture
postérieure
du troisième ventricule, située au-dessous de la
ventricule, située au-dessous de la glande pinéale. co. p. Commissure
postérieure
, g. p. Glande pinéale. t. q. Tubercules quadrij
jumeaux. On ne voit ici qu'un des tubercules antérieurs, le tubercule
postérieur
est situé trop au dehors pour être vu. c. m. Co
, et les chiffres I, II, III, IV indiquent les quatre circonvolutions
postérieures
. + . Point de réunion des circonvolutions posté
convolutions postérieures. + . Point de réunion des circonvolutions
postérieures
I et II, en arrière de la scissure de Sylvius.
sont les circonvolutions antérieures, en arrière les circonvolutions
postérieures
. si. si. Sillon antéro-postérieur qui sépare ch
, etc. II, III, IV. Seconde, troisième et quatrième circonvolutions
postérieures
. Ces deux dernières sont séparées par un sillon l
les bords, on voit la continuité de la partie antérieure à la partie
postérieure
de cette circonvolution , se faire à l'endroit ma
cette figure, mieux que chez le chevreuil, les quatre circonvolutions
postérieures
du cerveau, et l'on y remarque des sous-divisions
S. Scissure de Sylvius. I, II, III, IV. Les quatre circonvolutions
postérieures
. I \ La plus antérieure de ces flèches indique
éphale, lobe droit. S. Scissure de Sylvius. P. P. Circonvolutions
postérieures
se continuant directement avec les circonvolution
re P. P. P. et seulement deux en avant A A. La circonvolution moyenne
postérieure
du groupe dont il s'agit se bifurque et envoie un
. Quatre circonvolutions antéro-posté-rieures. P, P, P. Leur partie
postérieure
. A, A, A. Leur partie antérieure. si, si, si.
t. q. a., et t. q. p. Les tubercules quadrijumeaux antérieurs et
postérieurs
. a. Nerf abducteur. f. Nerf facial. /. Nerf labyr
antérieures, les autres rejetées en arrière sont les circonvolutions
postérieures
. Ill, P, III. P. Troisième circonvolution posté
convolutions postérieures. Ill, P, III. P. Troisième circonvolution
postérieure
. IV, P, IV. P. Quatrième circonvolution postéri
circonvolution postérieure. IV, P, IV. P. Quatrième circonvolution
postérieure
. III. A. Troisième circonvolution antérieure.
la quatrième circonvolution antérieure à la quatrième circonvolution
postérieure
, la troisième à la troisième, et vous aurez l'un
a continuité des circonvolutions antérieures avec les circonvolutions
postérieures
. I. P, I. P. Première circonvolution postérieur
s circonvolutions postérieures. I. P, I. P. Première circonvolution
postérieure
, située en arrière de la scissure de Sylvius, et
upérieures n'existaient pas. II. P., II. P., Seconde circonvolution
postérieure
. III. P., Troisième circonvolution postérieure
conde circonvolution postérieure. III. P., Troisième circonvolution
postérieure
dont la plus grande partie est représentée sur la
On y compte trois circonvolutions antérieures, trois circonvolutions
postérieures
, deux circonvolutions supérieures , une circonvol
ns sus-orbitraires. P, P. Le commencement des trois circonvolutions
postérieures
, placées en arrière de la scissure de Sylvius, et
ctement en avant. I. P., II. P. Première et seconde circonvolutions
postérieures
, dont on voit le complément sur la figure 4* SI
es par le cervelet, sur la figure i. PPP. Les trois circonvolutions
postérieures
. 1,1,1. Subdivisions de la circonvolution inter
I. P, II. P, III, P. Première, seconde et troisième circonvolutions
postérieures
. La première, Ion- gue, bien isolée, contourne
a troisième circonvolution antérieure. P. L'une des circonvolutions
postérieures
. 1,1,1,1. Circonvolution interne. H—K Prolong
cissure de Rolando, se subdivise et se prolonge jusque vers la partie
postérieure
du cerveau , où elle s'unit au prolongement de la
ement de la circonvolution interne. PP. Portion des circonvolutions
postérieures
. Toutes ces circonvolutions ont été exactement
ion antérieure. IL P., III. P. Seconde et troisième circonvolutions
postérieures
. Comparez cette figure à celles qui représenten
) S". Prolongement que la circonvolution S'S' envoie vers la partie
postérieure
du cerveau. [Pli supérieur de passage.) PP. Cir
érieure du cerveau. [Pli supérieur de passage.) PP. Circonvolutions
postérieures
. (Deuxième pli de passage.) S. S. Scissure de S
sure de Sylvius. 1. P., IL P., Première et deuxième circonvolutions
postérieures
de Leuret. (Plis du lobe occipito-sphénoïdal se c
a troisième circonvolution antérieure. P. L'une des circonvolutions
postérieures
. 1.1.1.1. Circonvolution interne. _j—Prolongement
p. Troisième paire. st. Stries dans la substance corticale du lobe
postérieur
. Fig. \. Charruas. fr. Extrémité frontale, oc
ccipital. (Lobule du pli pariétal ascendant.) P. P. Circonvolutions
postérieures
. (Plis de passage.) \. P., 2. P. Première et de
is de passage.) \. P., 2. P. Première et deuxième circonvolutions
postérieures
. C.C. Cervelet. B. Bulbe. P. V. Protubérance
Sillon de Rolando. S. S. Scissure de Sylvius. P. P. Circonvolutions
postérieures
. Fig. 2. Enfant blanc L'explication de la fig
de la face orbitaire du lobe frontal. P'., P". P". Circonvolutions
postérieures
. n. o. Nerf olfactif. n. op. Nerf optique.
erne de la troisième circonvolution antérieure. PP. Circonvolutions
postérieures
. 1.1.1. Circonvolution interne, -f- -f- Prolongem
gement de la circonvolution interne qui va s'unir à la circonvolution
postérieure
, ce. Corps calleux, c. a. Commissure antérieure,
isphère paraît manquer d'amplitude, eu égard à la hauteur des parties
postérieures
; les régions situées au-dessous de la scissure d
s enveloppent. 'ig. \. Moelle épinière de l'enfant nouveau-né (Face
postérieure
). a. Tubercules quadrijumeaux antérieurs. b.
a. Tubercules quadrijumeaux antérieurs. b. Tubercules quadrijumeaux
postérieurs
. c. Faisceau triangulaire latéral de l'isthme (
ts mamelonnés des funicules grêles. j. Corps restiformes ou pyramides
postérieures
. k. Tubercule cendré de Rolande l. Faisceau moy
nde l. Faisceau moyen dans la région du buîbe. m. Cordons médians
postérieurs
, ou funicules grêles, dans la région du renflemen
t cervical, limitant le sillon médian antérieur. n. Cordons médians
postérieurs
, dans la région du renflement lombaire. A. Bulb
e. a. Tubercule quadrijumeau antérieur. b. Tubercule quadrijumeau
postérieur
. c. Ruban de Reii. d. Pédoncule supérieur du
ps restiformes. I. Olive. m. Pyramide antérieure. n. Sillon latéral
postérieur
. Fig. 5. Face antérieure de la même moelle. a
antérieure. /'. Olive. g. Faisceau antéro-îatéral. h. Trou borgne
postérieur
de Vicq-d'Azyr. i. Trou borgne antérieur. y'.
rieur. y'., /. Sillon médian antérieur do la moelle. Fig. 4. Face
postérieure
d'une portion de la moelle du Papion. Cette figur
re la véritable signification des funicules grêles ou cordons médians
postérieurs
. A. Portion du ronflement cervical. B. Renfle
tion du ronflement cervical. B. Renflement lombaire. à. Faisceaux
postérieurs
dans la région du renfle- ment lombaire séparés
ment lombaire séparés l'un de l'autre par deux petit cordons médians
postérieurs
. á. Cordons médians postérieurs, qui résultent
utre par deux petit cordons médians postérieurs. á. Cordons médians
postérieurs
, qui résultent d'un prolongement des cordons po
ns médians postérieurs, qui résultent d'un prolongement des cordons
postérieurs
de la région funiculaire. c. Cordons postérieur
gement des cordons postérieurs de la région funiculaire. c. Cordons
postérieurs
, s'atténuant dans la région dorsale. d. Les m
on cervicale, où ils jouent le rôle de funicules grêles. e. Cordons
postérieurs
de la région cervicale. Fig. 5. Coupe de la moe
renflement cervical. a. Sillon médian antérieur. b. Sillon médian
postérieur
. c. Sillon latéral postérieur. d. Points d'où
médian antérieur. b. Sillon médian postérieur. c. Sillon latéral
postérieur
. d. Points d'où émergent les racines antérieure
dons disséminés sur la tête centrale du faisceau latéral. g. Cornes
postérieures
des axes gris de la moelle, parcourues d'arrière
ourues d'arrière en avant par des faisceaux blancs émanés des cordons
postérieurs
, et des racines postérieures des nerfs spinaux.
r des faisceaux blancs émanés des cordons postérieurs, et des racines
postérieures
des nerfs spinaux. Fig. 6. Coupe de la même moe
renflement cervical. a. Sillon médian antérieur. b. Sillon médian
postérieur
. f. Faisceaux disséminés. On peut remarquer l
renflement lombaire. a. Sillon médian antérieur. b. Sillon médian
postérieur
. c. Sillon latéral postérieur. d. d. Amas gri
médian antérieur. b. Sillon médian postérieur. c. Sillon latéral
postérieur
. d. d. Amas gris symétriques que j'ai observés
dont la signification m'est inconnue. g. Stries blanches des cornes
postérieures
des axes gris. Cette coupe est remarquable, eu
rvical (Cf. fig. 6). à. Sillon médian antérieur, á. Sillon médian
postérieur
. Fig. 4G\ Coupe de la même moelle vers le milie
orsale (Cf. fig. 7). a. Sillon médian antérieur. b. Sillon médian
postérieur
. Fig. \\. Coupe de la même moelle, vers le mili
renflement lombaire. a. Sillon médian antérieur. b. Sillon médian
postérieur
. N.B. Si l'on compare ces trois dernières coupe
renflement lombaire. à. Sillon médian antérieur. á. Sillon médian
postérieur
. c. Sillon latéral postérieur et racines postér
médian antérieur. á. Sillon médian postérieur. c. Sillon latéral
postérieur
et racines postérieures des nerfs spinaux dont
. Sillon médian postérieur. c. Sillon latéral postérieur et racines
postérieures
des nerfs spinaux dont on voit certaines fibres
d'autres fibres se portent dans les cellules multipolaires des cornes
postérieures
. d. Racines antérieures des nerfs spinaux dont
t communiauant : Io avec les racines antérieures; 2° avec les racines
postérieures
; 3° avec les fibres longitudinales des faisceaux
stérieures; 3° avec les fibres longitudinales des faisceaux moyens et
postérieurs
; 4° enfin, avec les fibres entrecroisées qui cons
faisceaux moyens. j. Fibres qui de la face antérieure des faisceaux
postérieurs
ou sensitifs se portent dans les cellules de l'ax
A'. Faisceaux moyens confondus avec les antérieurs. R. Faisceaux
postérieurs
. Fig. 2. Structure d'une feuille du cervelet.
semble des corps striés et des couches optiques. a. Cordons médians
postérieurs
. //. Renflements mamelonnés. c. Corne latéral
deux pédoncules cérébelleux supérieurs. g. Tubercules quadrijumeaux
postérieurs
, désignés sous le nom de lestes, k. Tubercules qu
ventricules latéraux recouvertes par certaines expansions des fibres
postérieures
du corps calleux. d. Nerfs longitudinaux de Lan
qui se porte vers le corps restiforme et le recouvre. e. Pyramide
postérieure
ou corps restiforme. f. Tubercule cendré de Rol
point d'implantation dans le cervelet. i. Tubercule quad ri jumeau
postérieur
gauche. k. Tubercule quad ri jumeau antérieur gau
Expansion desfibresde la commissure antérieure, se mêlant aux rayons
postérieurs
du cornet de 1 ' é ven ta il péd o n eulaire. F
qui sont comprises dans le raphé de l'axe et proviennent de la face
postérieure
des faisceaux moyens du bulbe ; elles sont l'orig
velet qui suivent la distribution de l'une des branches du faisceau
postérieur
(g). g. Prolongement interne du faisceau postér
hes du faisceau postérieur (g). g. Prolongement interne du faisceau
postérieur
qui se porte vers l'anse du pédoncule (o). i.
Faisceau triangulaire latéral de l'isthme. g. Tubercule quadrijumeau
postérieur
. h. Fibres postérieures du cornet pédonculaire.
atéral de l'isthme. g. Tubercule quadrijumeau postérieur. h. Fibres
postérieures
du cornet pédonculaire. i. Pédoncule cérébral.
pédoncule, m. Commissure antérieure, m' Ses expansions dans la partie
postérieure
de l'éventail pédonculaire. n.tt. Éventail pédo
uton terminal de Taxe gauche vue d'en haut. 0. Bulbe. b. Pyramide
postérieure
coupée. ce. Prolongement du faisceau postérieur q
Bulbe. b. Pyramide postérieure coupée. ce. Prolongement du faisceau
postérieur
qui se porte vers la base du lobe olfactif. d.
oisement des pyramides pédoncu- 1aires. k. Tubercule quadrijumeau
postérieur
. 1. Tubercule quadrijumeau antérieur. m. Comm
d'un Macaque (Macacas radiatus). a. Bulbe. a'a'. Fibres delà face
postérieure
des faisceaux latéraux qui se portent en avant et
aphé du bulbe, et sont l'origine des fibres arciformes. b. Faisceau
postérieur
du bulbe détaché. b\ Prolongement de ce faiscea
cervelet. L. A. Lobe antérieur de l'hémisphère cérébral. L. P. Lobe
postérieur
. STRUCTURE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX D'UN PAPIÓ
ci . Fibres supérieures de l'ourlet qui se portent vers l'extrémité
postérieure
de l'hémisphère. a". Fibres de l'ourlet qui des
ion de ce pilier qui se môle intimement aux fibres du bord ou genou
postérieur
du corps calleux. d". Autre division de ce pili
ication très-simple de celle qui a été représentée fig. 5. Les fibres
postérieures
du corps calleux (fig, 5, c") ont été enlevées ai
es de la sorte à découvert dans toute l'étendue de leurs rayonnements
postérieurs
(4). m. Nerf optique. m'. Sa racine interne.
terne. m'"m"\ Expansions et rayons de cette racine dans l'extrémité
postérieure
de l'hémisphère et plus particulièrement dans son
lvius. k. Commissure antérieure. k\ Ses expansions dans les parties
postérieures
de l'hémisphère. EF. Extrémité frontale. EO. Ex
v. Anneau des fibres de l'ourlet. x. Corpus fimbrialum. y. Genou
postérieur
du corps calleux. Fig. 5. Coupe verticale du ce
d. Monticule du cervelet médian. e. e. Amygdales. Fig. 2. Face
postérieure
du même cervelet. a. Lobe antéro-supérieur ou c
ervelet d'un fœtus humain d'environ dix-sept semaines, vu par sa face
postérieure
. Cette figure est destinée à faire mieux compre
éraux des plexus choroïdes du qua- trième ventricule. /'. Ouverture
postérieure
du quatrième ventricule. Fig. 9. Même cervelet.
re postérieure du quatrième ventricule. Fig. 9. Même cervelet. Face
postérieure
, vue d'en haut. a. Corps du cervelet moyen char
iron vingt-quatre semaines, vu par sa face antérieure. Fig, M. Face
postérieure
du même cervelet, vu d'en bas. Fig. 42. Profil
et, vu d'en bas. Fig. 42. Profil du même cervelet. Fig. 4 5. Face
postérieure
du même, vue d'en haut. Fig. 44. Sa face antéri
téral. c et d. Son vermis. e. Lobule auriculaire. Fig. 47. Face
postérieure
du cervelet de l'Hyp-sprymnus murinus. à. Corps
la même signification que dans la figure précédente. Fig. 49. Face
postérieure
du cervelet d'un Éléphant d'Afrique. a. Vermis
elet latéral. d et d\ Vermis latéraux. Fig. 24. Même cervelet. Face
postérieure
vue d'en bas. a. a\ Vermis médian énorme. b.
xtrémité occipitale. L. SPH. Extrémité sphenoidale. + + Extrémité
postérieure
de la scissure des hippocampes, comprenant dans s
u nerf optique. H. H. Hémisphère. L. OP. Tubercules quadrijumeaux
postérieurs
. L. OP'. Tubercules quadrijumeaux antérieurs.
roit du même cerveau vu du côté de sa face interne. P. P. Pyramides
postérieures
du bulbe. P. V. Pont de Varole. V. N. Quatriè
P. V. Pont de Varole. V. N. Quatrième ventricule. F. P. Faisceau
postérieur
se prolongeant vers le cerveau. L. L. Masse du
leux. S. L. Septum lucidum. C M. Commissure molle. P. V. Pilier
postérieur
de la voûte. C E. Corps bordant. C G. Corps o
des sillons sur la substance grise du lobe pariétal et des parties
postérieures
du lobe frontal ? Combien d'observations, propres
uvements volontaires du membre antérieur ; —B, centres pour le membre
postérieur
: — C, mouvements de rotation de la tête et du
e du lobe frontal en trois étages ou circonvolu-tions. 1° L'extrémité
postérieure
du premier étage constitue, au dire de Ferrier, u
excitation fait mouvoir la tête. — 2° Selon le même auteur, la partie
postérieure
du deuxième étage serait le centre des mouvements
volutions frontales; — B, cire, pariétale ascendante (cire, pariétale
postérieure
ou cire, centrale postérieure); — P l, lobule du
, pariétale ascendante (cire, pariétale postérieure ou cire, centrale
postérieure
); — P l, lobule du pli pariétale; — P 2, lobule d
du lobe occipital. Dans les parties de ce lobe qui entourent la corne
postérieure
des ventricules latéraux, la substance grise n'a
mérite de nous arrêter. Occupons-nous d'a-bord de celui de la région
postérieure
. 1° Les éléments nerveux, bien développés, sont
ù Pon observe cette dispo-tion comprend : a) le cuneus : b) la moitié
postérieure
du lo-bule lingual et fusiforme ; c) tout le lobe
sons d'ordre anatomique sur lesquelles nous reviendrons, les par-ties
postérieures
du cerveau ont été désignées comme le siège du se
llules pyramidales géantes. Structure de 1 ecorce grise des régions
postérieures
de l'encéphale. Messieurs, Avant de serrer de
stant que ce type se montre très notablement modifié dans les parties
postérieures
de l'encéphale comprenant : 1° tout le lobe sphén
corce grise de la face interne qui sont circonscrites par l'extrémité
postérieure
du lobe et par un sillon qui délimite en arrière
arrière, par une scissure oblique qui n'est autre que le prolongement
postérieur
de la scissure calloso-marginale (cette scissure,
sommaires sur les particularités de cette structure dans les régions
postérieures
de l'encéphale. Les régions où se rencontrent c
ète, le lobe occipital tout entier, le lobe sphénoïdal et les parties
postérieures
et médianes de l'hémis-phère jusqu'au bord postér
t les parties postérieures et médianes de l'hémis-phère jusqu'au bord
postérieur
du lobe quadrilatère. Le caractère général de l
ux de Tiirck : —B, B, zonesradi„ culaircspostéricures ; — G,G, cornes
postérieures
; — D,D, cornes antérieures; — F, zone radiculair
rotubérance, se divise en deux branches, qu'on appelle les cérébrales
postérieures
(C P). Ainsi se trouve cons-titué un second systè
P). Ainsi se trouve cons-titué un second système artériel, le système
postérieur
ou ver-tébral. Le système carotidien et le syst
variable dans leur volume et leur dis-position (1), les communicantes
postérieures
, forment, à la base de l'encéphale, un cercle vas
tent, en se dirigeant en dehors, les deux sylviennes ; enfin, l'angle
postérieur
est formé par les cérébrales postérieures. C'est
x sylviennes ; enfin, l'angle postérieur est formé par les cérébrales
postérieures
. C'est du cercle de Willis et des deux premiers c
tie antérieure de la tête du noyau caudé. Le second — groupe médian
postérieur
, 2, — vient de la moitié postérieure des communic
audé. Le second — groupe médian postérieur, 2, — vient de la moitié
postérieure
des communicantes postérieures et de l'o-rigine d
ian postérieur, 2, — vient de la moitié postérieure des communicantes
postérieures
et de l'o-rigine des cérébrales postérieures. Il
rieure des communicantes postérieures et de l'o-rigine des cérébrales
postérieures
. Il nourrit les faces internes (1) M. Duret a a
e — groupes postero-latéraux, 4, 4 —, sont fournis par les cérébrales
postérieures
après qu'elles ont contourné les pédoncules céréb
bule paracentral ; lobule quadrilatère ou avant-coin). La cérébrale
postérieure
, née de la basilaire, entoure le pédoncule cérébr
— artère du pli courbe ; — artères cérébrale antérieure et cé-rébrale
postérieure
: leurs branches. Messieurs, Je me propose de
cula-tion du cerveau. Les investigations de M. Duret ne sont donc pas
postérieures
de deux années à celles de M. Heubner, com-me ce
ne, issues l'une et l'autre de la caro-tide interne ; 3° la cérébrale
postérieure
, branche de la basi-laire, provenant elle-même de
appliquer tout aussi bien à la cérébrale antérieure ou à la cérébrale
postérieure
— il est des er, s dis-je, dans lesquels l'oblité
— A. circonvolution centrale antérieure. — B, circonvolution centrale
postérieure
. — F F 2, F 3, circonvolutions frontales supérieu
férieure. — II. Artère pa-riétale antérieure. — III. Artère pariétale
postérieure
. — IV. Artère pariétale sphénoïdale ; 3° La ligue
), du côtédroit de la figure, limite la dis-tribution de la cérébrale
postérieure
. (Cette figure et les figures 16 et 17 soni empru
rritoire de la troisième circonvolution et, plus explici-tement, à sa
postérieure
. Voici, à l'appui, un fait concluant. 11 concerne
dante. [Fig. 9,2 elFig. 12,11). La troisième est Y artère pariétale
postérieure
qui serait (1) Nous avons publié l'observation
ion de Broca du côté gauche atrophiée danH. sions normales. sa partie
postérieure
. F. circonvolution frontale transverse.— R, R,
A, circonvolution centrale anté-rieure. — B, circonvolution centrale
postérieure
. — P Avant-coin (Vorz-wickel). — O z, coin (Zwick
frontales interne et antérieure. — II. Artères fronta-les, interne et
postérieure
. — 2° Les régions circonscrites par la ligne (.—.
a ligne (.—.—.) représentent le champ de distribution de la cérébrale
postérieure
. — II. Ar-tère temporale postérieure. — lit (infé
de distribution de la cérébrale postérieure. — II. Ar-tère temporale
postérieure
. — lit (inférieur). Artère occipitale. primée.
es). La ligne (.—.—.—.—) circons-crit la distribution de la cérébrale
postérieure
. — 1, artère temporale anté-rieure. — II, artère
ostérieure. — 1, artère temporale anté-rieure. — II, artère temporale
postérieure
. — III, artère occipitale. nés —cette intégrité
lobe sphénoïdal qui, vous le savez, est artérialisé par la cérébrale
postérieure
. Eh bien, pendant la vie, il n'avait pas existé n
s vasculaires corticaux de la cérébrale antérieure et de la cérébrale
postérieure
. III. La cérébrale antérieure est beaucoup mo
ent que la sylvienne, mais beaucoup plus communément que la cérébrale
postérieure
, à la circonvolution du corps cal-leux {Fig. 16),
si que j'en ai fourni tout à l'heure un exemple. IV. La cérébrale
postérieure
(Fig. 12, 16,17) est le siège fréquent d'altérati
lie ou par thrombose. Aussi les ramollissements ischémiques des lobes
postérieurs
sont-ils bien plus communs que ceux des lobes ant
anches qui composent ce système naissent des cérébrales antérieure et
postérieure
et de la sylvienne. Disposition des noyaux gris :
ire qui est un tronc volumineux, et elles pénètrent jusqu'aux parties
postérieures
, parallèlement les unes aux autres, sans Charco
re l'exis-tence de ces rameaux n'est-elle pas constante. La cérébrale
postérieure
a, dans l'espèce, un domaine beaucoup plus vaste
système issues soit de la cérébrale antérieure, soit de la cérébrale
postérieure
. II. Mais, avant d'entrer dans le détail de l
s strié et, en arrière, aussi loin, ou peu s'en faut, que l'extrémité
postérieure
de la cou-che optique. Je ne veux faire qu'indi
générale est celle d'un ovoïde avec une extrémité antérieure, l'autre
postérieure
. On distingue, dans sa compo-sition, deux parties
ire du corps strié; —b) La seconde portion, qui répond aux deux tiers
postérieurs
du noyau lenticulaire, est aplatie de haut en bas
rapport avec les mouvements des mem-bres, tandis que les autres (les
postérieures
) sont en rapport avec la transmission des impress
cérébrale antérieure ; II, artère sylvienne ; — III, artère cérébrale
postérieure
. — I, artère carotide interne ; —2, artère sylvie
sa participation n'est-elle pas constante. c) Quant à la cérébrale
postérieure
, son rôle est plus im-portant et assez caractéris
érébrale antérieure; — II, artère syl-vienne ; —III, artère cérébrale
postérieure
. tion est très étendue, puisqu'elle envoie des
s masses centrales, aux régions suivantes : Io à la partie externe et
postérieure
de la couche optique ; 2° aux tubercules quadriju
entrales issues soit de la cérébrale antérieure, soit de la cérébrale
postérieure
. Emanées du bord supérieur de la sylvienne, les
e noyau caudé et le noyau lenti-culaire, la couche optique étant plus
postérieure
. On retrouve sur cette coupe, dans leur trajet pl
e composent sont les artères lenticulo-striées ; le second groupe est
postérieur
; les artères qui le constituent sont les artères
er s'ouvre souvent dans les ventri-cules. Quant à Xartère cérébrale
postérieure
, elle mérite dans l'espèce, je le répète, qu'on s
ordres : 1° Vartère optique posté-rieure interne, née de la cérébrale
postérieure
, tous près de son origine au tronc basilaire, qui
réquemment suivies d'inondation ven-triculaire ; — 2° Vartère optique
postérieure
externe, qui vient de la cérébrale postérieure, q
; — 2° Vartère optique postérieure externe, qui vient de la cérébrale
postérieure
, quand elle a déjà contourné le pédoncule cérébra
et dans lequel elle monte obliquement, avant d'entrer dans la portion
postérieure
de la couche optique. Les ruptures de ce vaisseau
ri-bution des artères cérébrales antérieures et des artères opti-ques
postérieures
étant seuls épargnés. C'est là une localisa-tion
23. — Foyer cl'he'morrhagie extra-lenticulaire au niveau de la partie
postérieure
de la couche optique; — hémianeslhésie cérébrale.
he optique; — hémianeslhésie cérébrale. — A. corps calleux et piliers
postérieurs
de la voûte. — B, B, cavité des ventricules latér
. —G, G, couches optiques. — D, D, noyaux lenticulaires. — EE, région
postérieure
ou lenticulo-optique de la capsule interne. — F,
icu-laire intéressant par en haut la capsule interne. — SS, extrémité
postérieure
du noyau caudé. Si, au contraire, ayant envahi
domaine des artères lenti-culo-optiques, la lésion porte sur le tiers
postérieur
de la cap-sule, dans la région où celle-ci passe
nt dans le cas par exemple où les parties les plus reculées, les plus
postérieures
de la capsule interne seraient seules altérées d'
e de formation et d'extension des hémorrhagies r 'pondant à la partie
postérieure
de la capsule interne. (Hémianesthésies). — Ruptu
noyau caudé. — I, foyer primitif (au lieu d'élection) dans la partie
postérieure
de la capsule interne (hémianesthésie;. — 1', 1",
en arrière, le foyer se sera répandu jusque sur les parties les plus
postérieures
du noyau lenticulaire , la compression portant al
noyau lenticulaire , la compression portant alors aussi sur la partie
postérieure
de la capsule interne, les symptômes d'hémia-nest
également aux hémorrhagies qui se font dans l'épaisseur de la partie
postérieure
de la cou- che optique. Ces hémorrhagies se dév
eurs, de citer nombre de faits où une lésion des tractus de la partie
postérieure
de la couche optique, déterminée par un épancheme
suite de la résorption de l'épanchement, la compression de la région
postérieure
ou lenticulo-optique de la capsule interne n'exis
-rieure ou lenticulo-striée de la capsule, par opposition à la région
postérieure
ou lenticulo-optique dont la lésion déter-mine, s
ent. En observant avec attention la partie la plus interne et la plus
postérieure
de l'éventail formé par le système des fibres ner
stance blanche du lobe occipital, immédiatement en dehors de la corne
postérieure
du ventricule latéral. Elles se termineraient fin
ripètes, ayant pour fonction de trans-porter à la surface des régions
postérieures
du cerveau les impressions sensitives ? M. Meyner
externe. Parvenues à la protubérance, elles se placeraient àla partie
postérieure
du faisceau pyramidal, et conserveraient à peu pr
s'être entrecroisées, se mettre en rapport avec les faisceaux spinaux
postérieurs
. Je ne saurais garantir la parfaite authenticité
a description anatomique de M. Meynert en ce qui concerne ce faisceau
postérieur
(Note de la 2e éd.) nière partie du trajet assi
jet assigné par M. Meynert aux fibres qui composent la partie la plus
postérieure
de la capsule interne. Tel est, à l'heure qu'il
ions, il résulte unanimement: 1° que les lésionsportant sur la région
postérieure
lenticulo-optique de la capsule interne ont pour
i, dans les expériences ainsi instituées, la lésion atteint la région
postérieure
de la capsule, l'hémianesthésie du côté opposé du
ement d'anesthésie, toutes les fois que la lésion a respecté le tiers
postérieur
de la capsule et porte seulement sur un point que
udés. — L, L, noyaux lenticulaires. — P, P, capsule interne, région
postérieure
ou lenticulo-optique. — A, A, cornes d'Ammon, —
enticulo-optique. — A, A, cornes d'Ammon, — x, section de la partie
postérieure
ou lenticulo-optique de la cap-sule, déterminant
us le voyez d'après ce qui précède, à faire connaître, dans la partie
postérieure
de la capsule interne, l'existence de faisceaux d
reconnaître, dès à présent, que les faisceaux qui composent la partie
postérieure
de la capsule interne et leurs émanations directe
st une conséquence néces-saire des lésions qui portent, sur la région
postérieure
de la capsule interne ou son émanation, dans la c
émiopie latérale développée en conséquence d'une lé-sion de la partie
postérieure
de la capsule interne ou du pied de la couronne r
es optiques, tandis que les faits existent où une lésion de la partie
postérieure
de la capsule interne ou du pied de la couronne r
couche optique; ; — Fibres moyennes (expansions latérales) ; —Fibres
postérieures
(expansions cérébrales des nerfs optiques). — Rap
ra-cine interne (corps genouillés internes, tubercules quadrijumeaux
postérieurs
). Connexion entre les amas de substance grise e
de Y am-blyopic croisée, comme symptôme de lésions occupant la partie
postérieure
de la capsule interne ou les irradiations corresp
et qui, à l'issue de la capsule interne, formerait la partie la plus
postérieure
du pied de la couronne rayonnante. Existe-t-il
longifudinalis inferior. — C a, commissure anté-rieure. — inf, corne
postérieure
des ventricules latéraux. (Meynert 1 composent
laires. Vous remarquerez par-ticulièrement l'étage inférieur ou corne
postérieure
du ven-tricule (f) qui joue ici, dans la topograp
u laté-rales (ii, Fig. 32. Expansions latérales) ; 3° d'autres enfin,
postérieures
, sont désignées d'après Gratiolet, qui, lèpre-pas
. — c, voûte à 3 piliers. — d, tubercule^ quadrijumeaux. — f, corne
postérieure
du ventricule latéral. — g , corne d'Ammon. —h,
particulier de notre étude, ne sont séparés de la cavité de la corne
postérieure
que par l'épendyme et le tapis (tape-tum), expans
ouches optiques, on examine la pré-paration ainsi obtenue par sa face
postérieure
, on y remarque ce qui suit : 1° En avant, se voie
vec les tubercules qua-drijumeaux antérieurs, et les bras conjonctifs
postérieurs
en relation avec les tubercules postérieurs. On v
, et les bras conjonctifs postérieurs en relation avec les tubercules
postérieurs
. On voit encore dans la même région, lorsqu'on so
rs. On voit encore dans la même région, lorsqu'on soulève l'extrémité
postérieure
des couches optiques ou pulvinar, en dedans le co
es et comment celles-ci, dans la partie qui correspond aux deux tiers
postérieurs
, sont divisées en deux tractus qu'on peut considé
u corps genouillé interne. D'après cela, les tubercules quadrijumeauN
postérieurs
ne seraient pas, chez l'homme, exclus de l'appa-r
nouillés. Les tuber-cules quadrijumeaux, tant antérieurs (nettes) que
postérieurs
[testes), avaient à peu près conservé la colorati
pressentir, par un sys-tème de fibres qui constitue la partie la plus
postérieure
des radiations de la couche optique (faisceaux ra
ons VIII et IX, Fig. 26), et (1) Les bras conjonctifs antérieurs et
postérieurs
, eux aussi, étaient dans ce cas remarquablement a
rne d'Ammon. — V, corne antérieure du ventricule latéral. — Vp, corne
postérieure
. — Vm, Vm, ventricule moyen. — Cm, commissure moy
uadrijumeaux antérieurs, aux B I, bras des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
, aux deux corps genouillés, au pied du pédoncule
le que je signale à votre attention et qui répond à la partie la plus
postérieure
du pied de la cou-ronne rayonnante, pourrait donc
yer hémorrhagique brusquement développé dans l'épaisseur de la partie
postérieure
des couches optiques, pourrait, elle aussi, on le
désigner sous le nom de lenti-culo-striée, par opposition à la région
postérieure
ou lenticulo-optique, comprend, vous ne l'avez pa
produit du côté opposé du corps, dans le membre antérieur et dans le
postérieur
, non plus une simple parésie, mais bien (1) Il
le et Duret et de celles M. de Veyssière, — les lé-sions de la partie
postérieure
de la capsule interne produisent, ainsi que cela
udés. — L. L, noyaux lenticulaires. — P, P, capsule interne, région
postérieure
ou lcnticulo-oplique. — A, A, cornes d'Ammon. —
cnticulo-oplique. — A, A, cornes d'Ammon. — x, section de la partie
postérieure
ou lenticulo-optique de la cap-sule, déterminant
étendus, lorsqu'ils occupent soit le lobe occipital, soit les parties
postérieures
du lobe temporal ou encore le lobe sphénoïdal, so
on grise, situé immédiatement en dehors et en avant de la corne grise
postérieure
correspondante et dont l'étendue s'amoindrit prog
de plus, n intéresse pas davantage le bord antéro-externe de la corne
postérieure
. (Fig. 39.) Dans la région dorsale, la partie scl
s cellules nerveuses de la région. L'en-vahissement des cornes grises
postérieures
pourrait expliquer de la même façon l'apparition
ites motrices et l'origine des racines antérieures; — puis les cornes
postérieures
où se rendent les racines pos-térieures. Vous voy
éro-latéraux, limités par le sillon antérieur et le sillon collatéral
postérieur
; 2° les faisceaux postérieurs, limités par la co
illon antérieur et le sillon collatéral postérieur ; 2° les faisceaux
postérieurs
, limités par la commissure et les cornes postérie
nd-on en considération l'espace limité par les sillons intermédiaires
postérieurs
. b) La méthode expérimentale n'a pas sensibleme
es lésions systématiques jusqu'ici connues (Fig. 46). Les faisceaux
postérieurs
, considérés en physiologie comme formant un tout,
parties bien distinctes. C'est ainsi que la partie voisine du sillon
postérieur
, à savoir les cordons de Goll, peuvent être seuls
lésés. — D'autres fois, les lésions intéressent la région des cordons
postérieurs
la plus voisine des cornes postérieures, c'est-à-
éressent la région des cordons postérieurs la plus voisine des cornes
postérieures
, c'est-à-dire les faisceaux radiculaires (Pierre!
rs accompagnée d'une lé- sion du même genre et qui occupe la partie
postérieure
du faisceau latéral du côté opposé dans une régio
, cordons latéraux. — A, faisceaux de Tûrck. —B, C, zones ra culaires
postérieures
. —G, C, cornes postérieures. —D, D, cornes anté-r
sceaux de Tûrck. —B, C, zones ra culaires postérieures. —G, C, cornes
postérieures
. —D, D, cornes anté-rieures. — P, zone radiculair
. Ainsi, voilà, de par l'anatomie pathologique, les anciens cordons
postérieurs
décomposés en deux faisceaux secondaires et les a
isième paire sacrée. Sur cette grande étendue, ils occupent la moitié
postérieure
du cordon latéral où ils sont représentés par un
respondant qui se détache de l'autre pyramide, et va gagner la partie
postérieure
du faisceau antéro-latéral où il occupe les rappo
s régions sur les coupes horizontales. — Segment antérieur, segment
postérieur
, genou de la capsule. — Localisa-tion du faisceau
de la capsule. — Localisa-tion du faisceau pyramidal dans le segment
postérieur
de la capsule interne. Du faisceau pyramidal da
ne. — n1, noyau lenticulaire. — G, genou de la capsule. — Sp, segment
postérieur
delà capsule interne. -- Go, couche optique. -- F
terne. -- Go, couche optique. -- F, Foyer circonscrit dans le segment
postérieur
de la capsule et occupant une partie du trajet in
phè-res cérébraux, suivant une ligne parallèle à la fissure laté-rale
postérieure
(de Henle) et un peu au-dessus de cette fissure,
ieure du noyau lenticulaire et la tête du noyau caudé ; 2° une partie
postérieure
, intermédiaire à la face externe de la couche opt
de la capsule interne». Eh ! bien, Messieurs, c'est dans la partie
postérieure
de la capsule qu'il faut, d'après M. Flechsig, ch
le considérons, ce faisceau pourrait être reconnu là, dans le segment
postérieur
sous l'aspect d'un espace elliptique, tranchant p
nnaires adjacentes ; et si, par la pensée, vous partagez cette partie
postérieure
de la capsule interne en trois régions d'égale ét
st la coupe pariétale proprement dite). Elle permet de voirie segment
postérieur
de la capsule interne dirigé obliquement en haut
u noyau caudé. -- 10, couche optique. -- 11, capsule interne (segment
postérieur
). — 12, noyau lenticulaire.—13, capsule externe.
de 17 jours. Vous voyez qu'à cette époque les régions antérieures et
postérieures
ont une coloration grise très foncée, ce qui sign
sule interne, il occupe au moins les deux tiers antérieurs du segment
postérieur
. — Le faisceau pos-térieur (fibres sensitives de
génération est ici de cause périphéri-que et siège dans les faisceaux
postérieurs
de la moelle épi-Bière. Les exemples connus sont
s nerfs de la queue de cheval, et là, plus explicitement, les racines
postérieures
, qui ont dû être considérées comme le point de dé
nt au faisceau cérébelleux. — D, région intermé-diaire entre la corne
postérieure
et le faisceau pyramidal ; cette région est toujo
terne ; elles ne se produisent pas quand la lésion porte sur le tiers
postérieur
de la capsule (1). » Cette proposition a été crit
fais-ceaux pyramidaux. Pour ce qui est du dernier tiers du segment
postérieur
de la capsule, j'indiquerai en passant (car c'est
prolongeant les fibres sensitives spinales et les reliant aux régions
postérieures
de l'hémisphère. Les fibres de ce segment externe
segment externe du pied remonteraient donc direc-tement dans le tiers
postérieur
du segment postérieur de la capsule. Ce n'est là
d remonteraient donc direc-tement dans le tiers postérieur du segment
postérieur
de la capsule. Ce n'est là qu'une hypothèse, sans
2° un faisceau médian qui répond aux deux tiers antérieurs du segment
postérieur
de la capsule; c'est le fais-ceau pyramidal, dont
re jamais, composé de fibres cen-tripètes destinées à former le tiers
postérieur
du segment pos-térieur de la capsule. Je ne vou
mitivement ou secondairement sur les deux tiers antérieurs du segment
postérieur
de la capsule, sont les seules qui déterminent la
i, l'antérieure, sous le nom de circonvolu-tion frontale ascendante,\
postérieure
,sous le nom de circon-volution pariétale ascendan
capsule. — K, région pyramidale de la capsule interne dans le segment
postérieur
. — L, portion sensilive de la capsule corresponda
stérieur. — L, portion sensilive de la capsule correspondant au tiers
postérieur
du segment postérieur. «des fibres nerveuses se
sensilive de la capsule correspondant au tiers postérieur du segment
postérieur
. «des fibres nerveuses se dirigeant vers la por
représentée par une coupe fron-tale passant d'un côté par l'extrémité
postérieure
du pied des trois circonvolutions frontales, et d
par la ligne fictive qui sépare les deux tiers antérieurs du seg-ment
postérieur
de la capsule de son tiers postérieur, repré-sent
ux tiers antérieurs du seg-ment postérieur de la capsule de son tiers
postérieur
, repré-sente la face postérieure de la pyramide e
postérieur de la capsule de son tiers postérieur, repré-sente la face
postérieure
de la pyramide en question. 11 est facile de comp
pes cellulai-res qui se voient normalement dans cette région (groupes
postérieur
et antéro-externe). De plus, les racines antérieu
. — Celles-ci portent sur les faisceaux latéraux et sur les faisceaux
postérieurs
. — Faisceaux céré-belleux de Flechsig. Dégénéra
ps des vertèbres et ayant amené la destruction du liga-ment vertébral
postérieur
, il s'est produit une inflammation égalemeut casé
substance grise et sur tous les faisceaux blancs tant antérieurs que
postérieurs
: c'est ce qu'on peut appeler une lésion transver
'aire des faisceaux antéro-latéraux est altérée ; seuls les faisceaux
postérieurs
restent indemnes. b) Plus bas, voici ce que l'o
ortent sur deux points : a) les faisceaux latéraux ; h) les faisceaux
postérieurs
. a) La lésion des faisceaux antéro-latéraux n'a
qui commence au niveau de l'extrémité pos-térieure de la corne grise
postérieure
correspondante, et s'é-tend en avant, jusqu'au vo
r aucun symptôme particulier. i) La lésion ascendante des faisceaux
postérieurs
offre plus d'intérêt. A. Immédiatement au-dessu
yer, dans l'étendue de deux ou trois centimèties au plus, le faisceau
postérieur
est lesé dans toute son étendue. B. Mais plus h
omme le faisceau lui-même, être suivie par en haut dans les pyramides
postérieures
du bulbe, jusqu'au niveau du quatrième ventricule
lques dé-, veloppements relativement à cette altération des faisceaux
postérieurs
, que nous rencontrons pour la première fois, et q
sque la lésion en foyer intéresse uniquement les fibres des faisceaux
postérieurs
. B. A présent, il nous faut un instant considér
e. Toute la moitié droite de la moelle et toute l'étendue des cordons
postérieurs
sont détruites.— 2, Coupe de la moelle au niveau
au niveau de la troisième vertèbre dorsale (sclérose des deux cordons
postérieurs
et des deux faisceaux cérébelleux). — 3, Au-dessu
talité du faisceau antéro-latéral gauche et la totalité des faisceaux
postérieurs
. Au-dessus de ce foyer, circonscrit nettement dan
dans le trajet de tout le cordon antéro-latéral droit et des cordons
postérieurs
(voy. Fi g. 64). Cet homme présenta les symptômes
cause périphérique. Sommaire. — Dégénération secondaire des cordons
postérieurs
. —Ces cordons * sont decomposable*, chacun en deu
e structure et à l'anatomie pathologique. Développement des cordons
postérieurs
. — Travaux de Pierret, de Kolliker ,—Apparition i
au de Burdach. ^D$isron ultérieure des deux appareils par les sillons
postérieurs
intermé-diaires de Sappey. Structure des faisce
de cause spinale ; je veux parler surtout de la lésion des faisceaux
postérieurs
. Mais, au-paravant, vous devez être renseignés su
aître que, dans toute la hauteur de la moelle épinière, les faisceaux
postérieurs
décrits en ana-tomie descriptive ne constituent p
entral. — E, Revêtement épithé-lial de ce canal. — G, Substance grise
postérieure
. — V, Cordon antérieur. H, Gordon postérieur. — C
l. — G, Substance grise postérieure. — V, Cordon antérieur. H, Gordon
postérieur
. — CA, Commissure antérieure. — M, Racine antérie
eur. — CA, Commissure antérieure. — M, Racine antérieure. — S, Racine
postérieure
. — V, Partie postérieure du cordon antérieur (ou
érieure. — M, Racine antérieure. — S, Racine postérieure. — V, Partie
postérieure
du cordon antérieur (ou cordon latéral). — E, Por
. Or, cette autonomie des deux systèmes constitutifs des fais-ceaux
postérieurs
est fondée sur des considérations empruntées : 1°
s-térieurs. a) Chez l'embryon humain de six semaines, les faisceaux
postérieurs
ne sont encore représentés que par deux bande-let
és que par deux bande-lettes qui coiffent en quelque sorte les cornes
postérieures
(1). (1) Nous reproduisons ici, par comparaison
d'un embryon humain d'un mois. — a, Cor-nes antérieures. — 6, Cornes
postérieures
. — c, Canal central. — d, Raci-• nos antérieures.
ieures. — c, Canal central. — d, Raci-• nos antérieures. — e, Racines
postérieures
. — a, Zone radiculaire antérieure — 6, Zone rad
ostérieures. — a, Zone radiculaire antérieure — 6, Zone radiculaire
postérieure
. Fig. 67. — Coupe de la moelle d'un embryon hum
de huit semaines (Grosslss» 50). — H, H, Partie saillante des cordons
postérieurs
. — H, H, qui plus tard for-meront les cordons de
ance grise antérieure. — G, Substance grise posté-rieure. — H, Cordon
postérieur
. Entre les deux saillies, H. H, des cordons posté
e. — H, Cordon postérieur. Entre les deux saillies, H. H, des cordons
postérieurs
, C, représente l'épithélium du canal central (d'a
pithélium du canal central. — E, Obli-tération de ce canal, sa partie
postérieure
. — V, V, Cordons antérieurs. — H', H'. Cordons po
sa partie postérieure. — V, V, Cordons antérieurs. — H', H'. Cordons
postérieurs
. — H, H, Cordons de Goll. — V, W, Racines antérie
. — H, H, Cordons de Goll. — V, W, Racines antérieures — H, W, Racine
postérieure
. — G, Ganglion intervertébral (d'après Kolliker).
dire qu'ils sont, à ce niveau, limités de chaque côté par les sillons
postérieurs
intermédiaires (Sappey.) Voilà pour ce qui conc
ntraire, sont traversés par une partie des fibres émanant des racines
postérieures
. Des fibres de ces racines» les unes, au moment
nt la moelle, plongent directement dans la substance grise des cornes
postérieures
; les autres n'atteignent la substance grise que
terne. c) Mais ce groupe de fibres radiculaires émanant des racines
postérieures
ne constitue pas à lui seul, tant s'en faut, la t
nerveuses, la constitution particulière des deux faisceaux du cordon
postérieur
. C) Vous venez devoir, Messieurs, que l'anatomi
nce majeure,en raison surtout du grand nombre des fibres radiculaires
postérieures
qu'ils reçoivent. A la région dorsale, au contrai
ties avoisinantes, grâce à la plus grande profondeur des deux sillons
postérieurs
intermé-diaires. Je tiens encore à vous rappeler,
rendre la disposition singulière que présente la lésion des faisceaux
postérieurs
,quand elle résulte de la compression dé-terminée
rième ventricule. Fig. 71. — A, Sclérose de la totalité des cordons
postérieurs
(faisceaux de Goll et zones radicuîaires). — Atax
otrice vulgaire. Fig. 72. — B, Sclérose des deux zones radicuîaires
postérieures
(les faisceaux de Goll sont respectés). — Ataxic
ez le cas d'une myélite trans verse partielle et limitée ail faisceau
postérieur
, le résulLat sera absolument le même au moment où
uivant les tractus conjonctifs, et gagne ainsi, d'un côté, les cornes
postérieures
, de l'autre, les faisceaux de Goll. La conséquenc
pas de la lésion des racines antérieures, mais de celles des racines
postérieures
. La dégénération consécutive est caractérisée alo
alors ainsi qu'il suit : 1° elle occupe exclu-sivement les faisceaux
postérieurs
; 2° dans la région lom-baire, le faisceau postér
les faisceaux postérieurs ; 2° dans la région lom-baire, le faisceau
postérieur
est envahi totalement dans son étendue transverse
s précédemment formulés. Conformément à la loi de Waller, les racines
postérieures
dégénèrent par en haut, au-dessus de la lésion, d
es faisceaux qui dégénèrent par en haut sont assimilables aux racines
postérieures
. Expériences de Westphal, Vulpian, Schiefferdec
es sections méthodiques, tant des racines antérieures que des racines
postérieures
, sur divers points de leur parcours. 1° La sect
les cellules dites motrices. 2° En est-il de même pour les racines
postérieures
? Non assurément; et c'est ici la partie la plus o
rte de Waller. La section étant pra-tiquée sur le trajet de la racine
postérieure
la partie qui dégé-nère est non pas la périphérie
es faisceaux qui dégénèrent par en haut sont assimilables aux racines
postérieures
dont le centre trophique est périphérique. De ce
x à fibres longues. — Faisceaux a fibres courtes. — Schéma. Cordons
postérieurs
. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux de Burdach
des fibres cour- £ig. 75. —A, faisceaux antérieurs. -- B, faisceaux
postérieurs
. — R, circon-; volutions rolandiques. — C, cervel
olandiques. — C, cervelet. — Ra, racines antérieures. -- Rp, raci-nes
postérieures
. — F, faisceau pyramidal. — Fc, fibres intrinsèqu
s intrinsèques centripètes (faisceau de Burdach). - G, fibres longues
postérieures
(cordon de Goll). tes. De ce nombre sont : a) l
ici, successive-ment, les faisceaux antéro-latéraux et les faisceaux
postérieurs
. Nous commencerons par ces derniers. Parmi les
ons par ces derniers. Parmi les faisceaux qui composent les cordons
postérieurs
, les uns peuvent être dits intrinsèques, les autr
ais encore les jours suivants. Au contraire, la section des faisceaux
postérieurs
et de la substance grise laisse persister les mou
nce grise laisse persister les mouvements volontaires dans les pattes
postérieures
. B. Le résultat des hémisections spinales est a
onction spéciale du faisceau pyramidal. 1° La section des faisceaux
postérieurs
ne modifie en rien les mouvements volontaires (Fi
l'exécution des mouvements volon-taires. On voit par là que la moitié
postérieure
suffit à cette (1) Béricht d. Gesellsh. d. Wiss
s faisceaux antéro-latéraux soient coupés des deux côtés, les membres
postérieurs
sont complètement paralysés. Ceci veut dire que l
e d'un seul côté, si l'on sectionne la racine antérieure ou la racine
postérieure
de ce côté. Ainsi, voilà la nature réflexe du phé
cellules aesthésodiques. — M, le muscle. -- P, la peau. -- R, segment
postérieur
ou centripète c\e l'arc diastaUteme, P. A, M, arc
daps l'ataxie. — K, racine antérieure ou nerf moteur. — T, segment
postérieur
ou centri-pète de l'arc diastaltique. — M, A,M, a
cellules aisthésodiques. — M, le muscle. -- P, la peau. — R, segment
postérieur
centripète de l'arc diastalti-que. — E, racine an
ecté dans l'hystérie avec hémianesthésie ethémiparésie.-- T, seg-ment
postérieur
ou centripète de l'arc diastaltique. — M,A.M, arc
à la fois sur une des colonnes de substance grise, sur les faisceaux
postérieurs
et sur les faisceaux antéro-latéraux ; mais le po
t les symptômes tabé-tiques quand il existe des lésions des faisceaux
postérieurs
. Teh sont, en résumé, les signes qui permettent,
es ou colonnes de substance grise. La première seule, avec les cornes
postérieures
pour une certaine part, jouent un rôle dans la tr
2° Parmi les lésions systématiques, il faut mentionner la sclérose
postérieure
qui, dans bien des cas, s'étend à la subs-tance g
llules pyramidales géantes. Structure de l'ecorce grise des régions
postérieures
de l'encéphale........ o'I QUATRIÈME LEÇON. Par
— artère du pli courbe ; — artères cérébrale antérieure et cé-rébrale
postérieure
: leurs branches.................................
anches qui composent ce système naissent des cérébrales antérieure et
postérieure
et de la sylvienne. Disposition des noyaux gris
couche optique) ; — Fibres moyennes (expansions latérales) ; —Fibres
postérieures
(expansions cérébrales des nerfs optiques). - Rap
a ra-cine interne (corps genouillésinternes, tubercules quadrijumeaux
postérieurs
) Connexion entre les amas de substance grise et
s régions sur les coupes horizontales# — Segment antérieur, segment
postérieur
, genou de la capsule. — Localisa-tion du faisceau
de la capsule. — Localisa-tion du faisceau pyramidal dans le segment
postérieur
de la capsule interne. Du faisceau pyramidal da
sule interne, il occupe au moins les deux tiers antérieurs du segment
postérieur
. — Le faisceau pos-térieur (fibres sensitives de
. — Celles-ci portent sur les faisceaux latéraux et sur les faisceaux
postérieurs
. — Faisceaux céré-belleux de Flechsig. Dégénéra
ause péri-phérique. Sommaire. — Degeneration secondaire des cordons
postérieurs
. — Ces cordons sont décomposables, chacun en deux
de structure et à l'anatomie pathologique. Développement des cordons
postérieurs
. — Travaux de Pierret, de Kolliker — Apparition
de Burdach. — Division ultérieure des deux appareils parles sillons
postérieurs
intermé-diaires de Sappey. Structure des faisce
es faisceaux qui dégénèrent par en haut sont assimilables aux racines
postérieures
. Expériences de Westphal, Vulpian, Schiefferdec
x à fibres longues. — Faisceaux à fibres courtes. — Schéma. Cordons
postérieurs
. — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux de Burdach
hale, 50 ; — leur division en systèmes, en groupes, 50 ; — cérébrales
postérieures
,com-municantes,sylviennes, etc., 50, 53, 69, 77 ;
ires, 184 ; — de Goll, de Burdach, pyramidaux, etc. (V. Faisceaux); —
postérieurs
(dé-génération), 261. Cornes antérieures (Lésio
rts avec la capsule interne 90; -- sa constitution, 135; — ses fibres
postérieures
, 139. Crucial. (V. Sillon.) CrUSTA. (V. PrBD
.) Sillon de Rolland, 14. Sillon crucial, 31, 235, 277. Sillons
postérieurs
intermédiai-res, 268. Spasmodiques. (V. Paraplé
o (1) en 1902. Dans un cas, cet auteur note la sclérose des cordons
postérieurs
, principalement du faisceau de Burdach, avec pigm
des épaississements de l'arachnoïde, au niveau de la région dorsale
postérieure
, et des faisceaux pyramidaux; des lésions des c
orti- cales peuvent expliquer la rigidité ; les lésions des cordons
postérieurs
, les troubles de la sensibilité et de l'équilib
intel- lectuel. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE ANATOMIQUE * DES CORDONS
POSTÉRIEURS
UN CAS DE LÉSION DE LA QUEUE DE CHEVAL ET UN
ints de repère précis, nécessaires à l'étude anatomique des cordons
postérieurs
; la carte de la région est d'autant moins fait
on, qui donne des résultats précis concernant le trajet des racines
postérieures
prises en bloc, il m'a paru intéressant de plac
st le champ postéro-externe, portion interne de la zone radiculaire
postérieure
de Flech- siy. La zone marginale postérieure
la zone radiculaire postérieure de Flech- siy. La zone marginale
postérieure
ou zone de Lissauer, n'a pas besoin d'être défi
in d'être définie ; c'est la portion externe de la zone radiculaire
postérieure
de Flechsig. Dans la moelle foetale on aperço
Flechsig. Dans la moelle foetale on aperçoit, au centre des cordons
postérieurs
à la région lombaire, à cheval sur le septum mé
ondu. Nous appellerons faisceaux radiculaires verticaux de la corne
postérieure
des faisceaux arrondis, séparés par un réticulu
éparés par un réticulum de substance grise, qui oc- cupent la corne
postérieure
dans sa moitié ou ses deux tiers internes, en a
es plus volumi- neuses. Ce sont les faisceaux verticaux de la corne
postérieure
de Kôllikei. Enfin la zone d'entrée des racines
ux secondaires dans l'estomac; l'un d'eux était ulcéré. Enfin l'arc
postérieur
de la 5 vertèbre lombaire était envahi par le c
et de couleur gris rougeàtre ; au-dessus de ce point, .les racines
postérieures
étaient grises et atro- phiées, les racines ant
térieure de la subs- tance gélatineuse. Tout le reste des cordons
postérieurs
est rempli par des fibres radiculaires dégénéré
nes, saines, uniformément réparties sur toute l'étendue des cordons
postérieurs
; ces fibres sont probablement en rapport de co
S CORDONS POSTÉRIEURS (1. Nageotte.) ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS
POSTÉRIEURS
21 me calibre qui sortent de la substance grise
ais les zones de Lissauer et le réseau des fibres fines de la corne
postérieure
sont intactes. Il en sera de même à tous les ni
aux de fibres conservées qui occupent l'angle antérieur des cordons
postérieurs
, et qui envahissent même la commissure, sous la
gle médian en voie d'accroissement forme une bandelette à extrémité
postérieure
renflée, qui s'étend de la commissure à uu point
e, qui s'étend de la commissure à uu point situé à l'union du tiers
postérieur
avec les deux tiers antérieurs du septum ; immé-
tum s'élargit beaucoup, de sorte que les bords internes des cordons
postérieurs
s'écartent l'un' de l'autre à angle aigu. En av
de la zone cornu-commissurale ne s'étendent pas le long des cornes
postérieures
. ' te Sacrée. L'aspect est semblable, mais le t
. Le triangle commence à dimi- nuer de volume ; il occupe la moitié
postérieure
du septum ; il envoie jusqu'à la périphérie de
un faisceau dense dans qui sépare la commissure du bord de la corne
postérieure
; de là elles envoient vers le trian- gle une t
os calibre se répandent d'ailleurs dans toute l'étendue des cordons
postérieurs
, d'autant plus nombreuses qu'on s'approche de la
et se perd lorsqu'elle arrive a la hau- teur de la tête de la corne
postérieure
. 4° Lombaire.- Les coupes de ce segment ont por
éjà un certain nombre de fibres fines intactes, le bord de la corne
postérieure
commence à se regarnir de fibres. Ici le triang
e triangle médian forme une ligne minuscule vers l'u- nion du tiers
postérieur
avec les deux tiers antérieurs du septum. Les fib
se ex- terne, curviligne, est adossée à la corne sur ses deux tiers
postérieurs
; les côtés interne et postérieur rectilignes,
ée à la corne sur ses deux tiers postérieurs ; les côtés interne et
postérieur
rectilignes, sont l'un parallèle, l'autre perpend
sversale effilée touche par sa pointe la zone d'entrée de la racine
postérieure
.Les fibres endogènes fines deviennent moins nom
s sont normales ainsi que les gros- ses fibres du réseau des cornes
postérieures
; les faisceaux radiculaires ver- ticaux de la c
es postérieures; les faisceaux radiculaires ver- ticaux de la corne
postérieure
reparaissent. Les zones de Lissauer et le réticu-
paraissent. Les zones de Lissauer et le réticu- lum fin de la corne
postérieure
ne changent pas d'aspect à ce niveau. Les fibre
zone cornu-radiculaire dont la portion ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS
POSTÉRIEURS
23 médiane'est ici seule découverte par la sclé
médian, qui forme une ligne presque imperceptible vers l'extrémité
postérieure
du septum. La branche transversale de la scléro
r le septum médian à l'union du tiers antérieur avec les deux tiers
postérieurs
; à la 5e cervicale il se rétrécit encore d'ava
r de la zone sclérosée et se terminant insensiblement vers le tiers
postérieur
du cordon de Gol I Par contre, la moitié postérie
t vers le tiers postérieur du cordon de Gol I Par contre, la moitié
postérieure
du cordon de Goll est nettement délimitée. Si l
vant de cette bande et qui contourne à distance la tête de la corne
postérieure
; cette tache est très mal délimitée. La 4e s
anque. 3e Sacrée. La sclérose forme un triangle au centre du cordon
postérieur
; l'angle externe de ce triangle se prolonge ju
également disparu les faisceaux radiculaires verticaux de la corne
postérieure
. Sont conservés : 1° le triangle sacré médian; 2°
dure, épaisse le long de la commissure et mince le long de la corne
postérieure
qu'elle accompagne en arrière jusqu'à la pointe;
la pointe; 3° les zones de Lissauer et le réticulum fin de la corne
postérieure
. Tous ces systèmes de fibres ont la même riches
Nageotte.) - Masson et Cie, Editeurs ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS
POSTÉRIEURS
25 relativement à la bandelette externe, il par
e de la bandelette externe s'accompagne de rétraction ; les cordons
postérieurs
sont en effet notablement plus petits qu'à l'état
un triangle curviligne très mince, qui embrasse à distance la corne
postérieure
et touche à l'entrée des racines par un angle t
ongement postéro- externe, celui qui va à la rencontre de la racine
postérieure
, devient par contre plus effilé ; l'angle posté
r consé- quent est en bonne partie de nature exogène. Le grand côté
postérieur
limite le faisceau cunéiforme, ici très agrandi
et il s'est développé une bande scléreuse qui part de son extrémité
postérieure
pour se diriger vers la tête de la corne postér
son extrémité postérieure pour se diriger vers la tête de la corne
postérieure
qu'elle contourne à distance. L'ensemble forme
re et de dedans en dehors, parallèlement à la direction de la corne
postérieure
. Son bord interne est rectiligne et limite une ré
ourbe un peu pour aller rejoindre le trajet d'en- trée de la racine
postérieure
immédiatement en arrière de la substance gélati-
tout à fait la périphérie en arrière ; elle est séparée de la corne
postérieure
par une bande saine très mince et du trajet d'ent
e par une bande saine très mince et du trajet d'entrée de la racine
postérieure
par une zone plus large, qui semble représenter i
Les deux bandelettes s'effacent et s'éloignent beaucoup des cornes
postérieures
; elles forment chacune une L branche horizontale
s'atténue et finit par disparaître au point où cessent les cordons
postérieurs
eux-mêmes. Telles sont les lésions qui sont vis
fibres endogènes des cordons posté- rieurs ; 2° celles de la corne
postérieure
, je me servirai pour cela de l'ob- servation I
égénérescence des zones de Lissauer et des fibres fines de la corne
postérieure
; dans mon observation, au contraire, les zones d
ieux aux influences nocives chez les . ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS
POSTÉRIEURS
29 animaux bien portants que chez les sujets ma
ncéreuse, a empêché l'atrophie des neurones subordonnés aux racines
postérieures
de se produire aussi rapidement que dans d'autres
est fondée précisément sur l'intégrité du réticulum fin de la corne
postérieure
; cette intégrité ne se comprendrait pas si certa
ne présentent pas non plus de lésions apprécia- bles dans la corne
postérieure
. Je crois donc pouvoir admettre : lo que les di
de la troi- sième sacrée, par exemple, les fibres fines des cordons
postérieurs
sont si nombreuses qu'il est impossible de song
ou y rentrent, par la moitié antérieure du bord interne de la corne
postérieure
. A leur origine ces fasci- cules sont très four
ntôt ils s'éparpillent en éventail dans toute l'étendue des cordons
postérieurs
(fig. 1), se divisent et s'épanouissent à mesur
du bulbe divisent les fibres du ruban de Reil ; mais dans le cordon
postérieur
, cette disposi- tion est infiniment moins accus
asci- Fie. 1. Obs. I. Fibres endogènes grosses et fines des cordons
postérieurs
au ni- veau de la II8 sacrée (dessin fait en né
ngieuse de la substance gélatineuse ; Spa, Spp, zones antérieure et
postérieure
de la substance spongieuse de la corne postérieur
ones antérieure et postérieure de la substance spongieuse de la corne
postérieure
. On remarquera les ponts formés entre les deux
s obliques de fibres fines endogènes. 32 NAGEOTTE cules moyens et
postérieurs
, à l'état normal, se trouvent masqués par les t
mbre de fibres semblables, qui paraissent provenir de la commissure
postérieure
; à la région cervicale il en contient encore,
rt qu'elles sont comptées actuellement parmi les zones radiculaires
postérieures
. -Cette proposition découle immédiatement de ce
izontales et verticales disséminées à la région moyenne des cordons
postérieurs
, au niveau de la IIe sacrée. Ces fibres restent
s horizontales et verticales dans les cor- dons de Goll à la partie
postérieure
du septum médian, au niveau de la Vile cervi- c
entre les fibres des zones de Lissauer les fibres fines des racines
postérieures
serait la suivante : les fibres de ces zones se
is constitueraient les fibres efférentes signalées dans les racines
postérieures
par différents au- teurs et de plus ces fibres
auer (1) décrivit très minutieusement la structure fine de la corne
postérieure
et donna de la petite région qui porte actuelleme
produit un changement remarquable dans La- 1 structure de la racine
postérieure
; les fibres radiculaires qui entrent dans/1 la
der Neruenpalhologie, Iéna, 1900. ' ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS
POSTÉRIEURS
(l. Vn,=onr.) ÉTUDE ANATOMIQUE DES COUDONS PO
te ou si elle n'existe pas ; dans un cas où la sclérose des cordons
postérieurs
et des racines était « aussi avancée que possib
j'ai toujours observé une disproportion entre la lésion des cordons
postérieurs
et celle des zones de Lissauer dans le tabes. La
t par leur inté- grité relative sur la sclérose intense des cordons
postérieurs
; la diminu- tion des fibres variait approximat
é pl, VII, 4, 7 et 8 : avec une sclérose des cordons et des racines
postérieurs
portée à son maximum à la région sacrée, les fibr
âleur, se trouvent être ici beau- coup plus foncées que les cordons
postérieurs
. Enfin dans deux cas in- termédiaires entre le
er n'est pas proportionnelle à l'intensité de la lésion des cordons
postérieurs
; par contre, elle m'a paru être en rapport avec
du réticulum formé par les fibres fines de la 36 NAGEOTTE . corne
postérieure
. Les cas de tabes anciens où les zones de Lissaue
ù les fibres fines à myéline sont le plus raré- fiées dans la corne
postérieure
; dans la moelle D, représentée pi. VII. fig. 4
I, où les zones de Lissauer sont intactes, le réticulum de la corne
postérieure
est lui-même tout à fait conservé. Pour résumer
s fibres radiculaires comme elles le sont dans le reste des cordons
postérieurs
; dans les dé- générescences radiculaires, tabé
scence éga- lement tertiaire du réseau des fibres fines de la corne
postérieure
. 2° Fibres ENDOGÈNES GROSSES. Ces fibres consti
t ETTLINGER, Etude sur les fibres endogènes descendants des cordons
postérieurs
de la moelle â la région lombo-sacrée. Journal de
et de Patho- logie générales, 1899. ÉTUDE ANATOMIQUE DES. CORDONS
POSTÉRIEURS
37 client du septum médian, y pénètrent et dess
de Schultze, deux taches de dégénération traumatique dans le cordon
postérieur
droit. FiG. 5. ive lombaire. Il ne reste qu'une
qu'une très légère dégénération de la région ven- trale des cordons
postérieurs
. ' Fio. 6. Va lombaire. Apparition d'une scléro
exactement à celles que révèle l'étude du développement des cordons
postérieurs
. Voici ce que dit Guizé dans sa thèse (2) : « D
tance blanche de la moelle épinière de ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS
POSTÉRIEURS
39 renflement lombaire le champ ovale prend la
en avant et atteint presque le milieu de la longueur de la cloison
postérieure
et dont la base répond à la partie médiane de la
érieure et dont la base répond à la partie médiane de la périphérie
postérieure
de la moelle, exactement dans la région qui attei
e de la moelle, exactement dans la région qui atteint à l'extrémité
postérieure
de la cloison postérieure. Dans ce triangle, qui
dans la région qui atteint à l'extrémité postérieure de la cloison
postérieure
. Dans ce triangle, qui semble bien répondre au
stance qu'à une période plus tardive du dé- veloppement des cordons
postérieurs
les fibres à myéline sont plus denses l'homme d
néiforme qui se continue de chaque côté avec les zones radiculaires
postérieures
et qui représente la prolongation par en haut d
qu'ils tentent d'ex- pliquer par un passage de fibres radiculaires
postérieures
dans ces régions ; de plus, ils mentionnent l'e
ue côté dans l'angle formé par la commissure et le bord de la corne
postérieure
, en découvrant la partie médiane de la commissu
la partie médiane de la commissure. Ses limites du côté des cordons
postérieurs
sont tout à fait indécises ; dans le grand nomb
ILLER, Soc. de biol., 21 juillet 1895. ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS
POSTÉRIEURS
41 s'éparpiller dans la région antérieure des c
S POSTÉRIEURS 41 s'éparpiller dans la région antérieure des cordons
postérieurs
de la moelle, il est impossible de distinguer c
s faits que j'ai pu recueillir sur les fibres endogènes des cordons
postérieurs
à la région lombo-sacrée, au cours de l'étude ana
effet ce que M. Ramon y Cajal dit des fibres endogènes des cordons
postérieurs
dans son magnifique ouvrage sur l'anatomie des
ux (1). « Nous avons déjà dit, en traitant des cellules de la corne
postérieure
, que quelques cylindraxes de ce territoire, en
interne et de la sub- - stance de Rolando, pénètrent dans le cordon
postérieur
pour y constituer des voies courtes longitudina
ue ces fibres sont fines et que, au lieu de former dans les cordons
postérieurs
un groupe bien délimité, elles se mêlent aux fi
de la sub- stance de Rolando,et dans la portion profonde du cordon
postérieur
(champ ventral, zone cornu-commissurale de Deje
POSTÉRIEURE Le réseau myélinique de la substance grise de la corne
postérieure
a été décrit avec beaucoup de soin par Lissauer
plusieurs régions qui sont d'arrière en avant, la région spongieuse
postérieure
, au contact de la zone de Lissauer, la substanc
ersée par de petits fascicules tendus entre la substance spongieuse
postérieure
et la substance spongieuse antérieure. Du bord
haut sous le nom de fibres endogènes fines horizontales des cordons
postérieurs
. Du côté de la substance grise les faisceaux qu
ades et ceux qui reçoivent des racines ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS
POSTÉRIEURS
43 saines. Ce fait peut être vérifié sur les fi
Pierret, ou zone radicu- laire moyenne de Flechsig dans les cordons
postérieurs
; les collatérales réflexes, les faisceaux radi
atérales réflexes, les faisceaux radiculaires verticaux de la corne
postérieure
et le réticulum de la colonne de Clarke dans la
e dans la substance grise. Les territoires radiculaires des cordons
postérieurs
autres que la bandelette externe (zone radicula
e saine. Mais il n'existe aucune tache sclé- reuse dans les cordons
postérieurs
en dehors de celle de la bandelette exlerne, qu
le médian sacré, zone marginale de Westphal, réseau fin de la corne
postérieure
). Un simple coup d'oeil jeté sur la planche II
e transition en hauteur, un tabes dans lequel la lésion des cordons
postérieurs
est restée limitée à la bandelette externe ; no
rents systèmes élé- mentaires de fibres qui constituent les racines
postérieures
. (4) EL&CHSI(#, Ist die Tabes eine « System
rkrankung » ? Neurol. Centralbl. 1890. ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS
POSTÉRIEURS
45 entre le renflement lombaire et la région do
varie, suivant les régions, en raison directe du volume des racines
postérieures
correspondantes. Les rapports de la bandelette
isation du tabes. En aucun point la bandelette ne touche à la corne
postérieure
, elle envoie seulement un petit prolongement ve
e modification » à sa délimitation, pour la pousser contre la corne
postérieure
, comme le proposait Pierre Marie dans son artic
ternes occupent plus haut une situation différente dans les cordons
postérieurs
, elles sont refoulées de plus en plus en dedans
l'autre de la moelle ; elle ne se rapproche nulle part de la corne
postérieure
, comme le vou- drait PierreMarie ; elle ne s'en
entaires (1) (1) Flechsig, loc. cit. ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS
POSTÉRIEURS
47 de fibres, appartenant aux racines postérieu
MIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 47 de fibres, appartenant aux racines
postérieures
évidemment,mais différents par leurs aptitudes
époque de leur myélinisa- tion, d'autres systèmes des mêmes racines
postérieures
, lesquels se canton- nent soit dans la zone rad
dans la zone radiculaire antérieure, soit dans la zone radiculaire
postérieure
de la moelle. En un mot cette disposition prouve
age son vo- lume, en effet, est proportionnel au volume des racines
postérieures
. Où donc passent les fibres longues des racines
pour leur passage que le champ postéro-externe ou zone radiculaire
postérieure
. Pour vérifier cette hypothèse j'ai passé en revu
ique est rigoureusement exact. D'où je conclus que dans les cordons
postérieurs
les fibres longues des racines passent par la zon
eurs les fibres longues des racines passent par la zone radiculaire
postérieure
ou champs postéro externes, la zone radiculaire
exclusivement par certaines fibres courtes, au moins dans sa partie
postérieure
. Mais il est évident que toutes les fibres des
re que, sui- vant Flechsig, le développement des zones radiculaires
postérieures
et des cordons de Goll est sensiblement synchro
du passage des fibres longues des raimes par les zones radiculaires
postérieures
; mais il a depuis rejeté cette hypothèse pour
e tous ces Lemboités se trouvent comprises dans la zone radiculaire
postérieure
, tandis que les branches antéro-postérieures so
stphal. Dans chaque bande radiculaire .ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS
POSTÉRIEURS
49 les fibres longues et certaines fibres moyen
u'il y a, à la région dorsale inférieure un remaniement des cordons
postérieurs
et que le trajet des fibres n'est pas rectilign
èces de fibres radiculaires pendant leur trajet le long des cordons
postérieurs
de la moelle. xvii 4 FIG. 16. Schéma représen
es constitent les champs postéro-externes (C p e) ou zone radiculaire
postérieure
; les branches antéro-postérieures sont contenue
g (fibres radiculaires). A droite sont re- présentés, dans la corne
postérieure
, les faisceaux radiculaires verticaux de la corne
corne postérieure, les faisceaux radiculaires verticaux de la corne
postérieure
. 50 NAGEOTTE Conclusions. A. Les fibres end
e. 50 NAGEOTTE Conclusions. A. Les fibres endogènes des cordons
postérieurs
à la région lombo- sacrée doivent être divisées
ardivement dans le tabes. F. Le réseau des fibres fines de la corne
postérieure
est de nature endogène. G. Les colonnes de Cl
colonnes de Clarke ne paraissent pas recevoir de fibres des racines
postérieures
situées au-dessous de la 3° lombaire. H. La ban
que des fibres radiculaires courtes. ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS
POSTÉRIEURS
51 LÉGENDE DES PLANCHES Pl. V. Obs. 1. Coupes
rée (jeune fille de 18 ans). Méthode de Weigert Pal modifiée. Corne
postérieure
droite. Zone de Lissauer. Grossissement de 20 d
e de Lissauer et du réseau des fibres à myéline fines dans la corne
postérieure
. Dans le cordon postérieur les dé- bris de myél
es fibres à myéline fines dans la corne postérieure. Dans le cordon
postérieur
les dé- bris de myéline altérée empêchent de bi
les fibres endogènes conservées. Il existe également dans la racine
postérieure
des débris myéliniques qui pourraient être pris
lésion caractéristique de cette affection : la sclérose des cordons
postérieurs
. Une fois sur dix ou une fois sur quinze, on tr
ou une fois sur quinze, on trouve en outre de la lésion des cordons
postérieurs
, une lésion des cordons latéraux : c'est une sclé
xistence dans la plupart des cas, d'un épaississement de la méninge
postérieure
absolument identique à celui que l'on rencon- t
le; sa forme est modifiée : il existe un aplatissement de la région
postérieure
qui semble atrophiée dans le sens antéro-postérie
osangique avec deux angles latéraux, un angle antérieur et un angle
postérieur
. A l'examen microscopique, après coloration à l
ABÉTIQUES 5B de Pal, on voit la coexistence des lésions des cordons
postérieurs
et des cordons latéraux. Ces lésions peuvent
ématiques. Elles peuvent, au -contraire, occuper dans les cor- dons
postérieurs
et latéraux des zones répondant d'une façon seule
du tabes les lé- sions primitives du système de fibres des cordons
postérieurs
et latéraux n'ont jamais été observées. On a ob
matiques secondaires à des lésions de la moelle. ' Dans le cordon
postérieur
les lésions systématisées peuvent être sous la
e sacrée, on constate la sclérose des parties latérales des cordons
postérieurs
. La partie médiane au contraire est relativement
s de sclérose du cordon latéral. Dans la moelle lombaire, la partie
postérieure
du cordon postérieur est com- plètement scléros
n latéral. Dans la moelle lombaire, la partie postérieure du cordon
postérieur
est com- plètement sclérosée. Seule la partie v
moelle dorsale, de la 8e à la 4` ? dorsale, la sclérose des cordons
postérieurs
est encore plus accentuée. La sclérose du cordon
jours atteinte. ' Au niveau de la moelle cervicale : dans le cordon
postérieur
, les lésions se sont limitées au cordon de Goll
s lésions se sont limitées au cordon de Goll surtout dans sa partie
postérieure
; 'dans les cordons latéraux, la sclérose occup
En résumé, il s'agit, dans ce cas, de lésions combinées des cordons
postérieurs
qui semblent être systématiques, liées aux lésion
se combinée tabétique. D, moelle aplatie et atrophiée dans sa moitiée
postérieure
. La sclérose latérale est marginale et occupe S
méthode de Marchi. 1" cervicale. On constate au niveau des cordons
postérieurs
une zone de sclérose affectant la forme d'un tr
e dont les deux côtés latéraux s'étendent presque jusqu'aux racines
postérieures
. La méninge postérieure présente un léger épaissi
éraux s'étendent presque jusqu'aux racines postérieures. La méninge
postérieure
présente un léger épaississement sur toute la p
nde marginale de sclérose. 2° et 3e cervicales. La lésion du cordon
postérieur
affecte la même forme triangulaire, mais semble
le bord latéral de la moelle. La méninge est épaissie sur les côtés
postérieur
et latéral de la moelle ; elle l'est, à un moin
on du cordon antérieur. 5" et 6e cervicales.- La lésion des cordons
postérieurs
est toujours trian- gulaire ; son sommet ne rép
ieure du cordon mais à l'union du tiers antérieur et des deux tiers
postérieurs
. La lésion du cordon '.latéral est très minime
inime et n'est qu'une légère bande partant de la zone radi- culaire
postérieure
et se poursuivant dans la partie postérieure du b
la zone radi- culaire postérieure et se poursuivant dans la partie
postérieure
du bord du cordon latéral. 7e cervicale. - Lé
ervicale. - Lésions à peu près semblables, sauf au niveau du cordon
postérieur
où la sclérose est plus largement étendue au nive
la sclérose est plus largement étendue au niveau de la com- missure
postérieure
. 80 cervicale. Même aspect des lésions. ire d
0 cervicale. Même aspect des lésions. ire dorsale. Dans les cordons
postérieurs
, la sclérose affecte toujours la forme d'un tri
te toujours la forme d'un triangle dont la hauteur serait le sillon
postérieur
; au ni» 56 CROUZON - veau du sommet, la sclé
sclérose s'étale à droite et à gauche en arrière de la com- missure
postérieure
. Au niveau des cordons latéraux, la sclérose est
2" dorsale. Il existe un épaississement considérable de la méninge
postérieure
. La sclérose du cordon postérieur affecte la même
ement considérable de la méninge postérieure. La sclérose du cordon
postérieur
affecte la même forme dans sa partie médiane ;
te la même forme dans sa partie médiane ; mais au niveau des angles
postérieurs
du triangle, la sclérose se diffuse dans la par
gles postérieurs du triangle, la sclérose se diffuse dans la partie
postérieure
du cordon postérieur entre le faisceau de Goll
iangle, la sclérose se diffuse dans la partie postérieure du cordon
postérieur
entre le faisceau de Goll et la substance gélat
zone pyramidale. La méningite y est moins nette que dans le cordon
postérieur
mais plus accentuée que dans le cordon antérieur.
les quatre angles répondant aux extrémités des sillons antérieur et
postérieur
d'une part, aux extrémités externes des cor- do
de Weigert. Fig. 1. La sclérose occupe la zone avoisinant le sillon
postérieur
et le cordon de Goll. La sclérose latérale est
lleux direct et la zone pyramidale. Fig. 4. La sclérose des cordons
postérieurs
est surtout marginale. SCLÉROSES COMBINÉES TABÉ
COMBINÉES TABÉTIQUES 57 sommet externe, un bord antérieur, un bord
postérieur
et une base qui répond à la substance grise.Le
rd postérieur et une base qui répond à la substance grise.Le cordon
postérieur
est moins étendu dans le sens antéro- postérieu
ce grise.Le cordon postérieur est moins étendu dans le sens antéro-
postérieur
. La sclérose dans le cordon postérieur est toujou
étendu dans le sens antéro- postérieur. La sclérose dans le cordon
postérieur
est toujours plus marquée sur une zone médiane
rticulier, existe au niveau de toute la portion marginale du cordon
postérieur
. Les cel- lules de la colonne de Clarke apparai
u. Dans le cor- don latéral la sclérose est intense, dans la partie
postérieure
de ce cordon, entre la zone marginale de Lissau
asser de la forme quadrangulaire à la forme triangulaire. La partie
postérieure
du cordon latéral et le bord postérieur du cordon
me triangulaire. La partie postérieure du cordon latéral et le bord
postérieur
du cordon postérieur se placent sur le même pla
artie postérieure du cordon latéral et le bord postérieur du cordon
postérieur
se placent sur le même plan et constituent le bor
ordon postérieur se placent sur le même plan et constituent le bord
postérieur
du triangle. Les bords antérieurs des cordons l
sont constitués par l'effile- ment des cordons latéraux. Le cordon
postérieur
est sclérosé dans tôute sa partie postérieure ;
ns latéraux. Le cordon postérieur est sclérosé dans tôute sa partie
postérieure
; il l'est à un moindre degré dans sa portion ven
; il l'est à un moindre degré dans sa portion ventrale. La méninge
postérieure
est très épaissie. Latéralement, la sclérose occu
. La forme reprend la forme quadrangulaire. Il existe une méningite
postérieure
et latérale très marquée. La sclérose est très ac
quée. La sclérose est très accentuée eu niveau de l'angle du cordon
postérieur
en dedans de la zone marginale de Lissauer ; el
ulaire. Elle a une forme nettement aplatie. La sclérose des cordons
postérieurs
occupe surtout la région marginale. Plus bas,
la région lombaire, on [retrouve les lésions combinées des cordons
postérieurs
et des cordons latéraux. Dans les cordons postéri
s des cordons postérieurs et des cordons latéraux. Dans les cordons
postérieurs
les lésions sont très marquées et marginales ;
, '. 58 CROUZON Les cellules des cornes antérieures et des cornes
postérieures
sont norma- les. La méthode de Marchi n'a pas r
sentent aucune altération. Il en est de même pour les nerfs tibiaux
postérieurs
gauche et droit. Le nerf cubital droit (au nive
ons des faisceaux latéraux seraient « la conséquence de la sclérose
postérieure
non SCLÉROSES COMBINÉES TABÉTIQUES 59 point d
sus inflammatoire, mais par l'intermédiaire de la méningite spinale
postérieure
». Cette théorie est aussi soutenue par Ballet
iques et des septa. Ces voies lymphatiques forment dans les cordons
postérieurs
un système qui communique avec la méninge posté-
me qui communique avec la méninge posté- rieure. La méninge spinale
postérieure
syphilitique amènerait donc se- condairement pa
rement intense, il peut forcer les limites du système lymphati- que
postérieur
et dans ce cas, la portion du cordon latéral qui
cas, la portion du cordon latéral qui confine à l'apex de la corne
postérieure
peut présenter aussi des corps granuleux indiqu
veau, l'existence d'un foyer ancien du côté de la partie interne et
postérieure
de la couche optique droite. Examen histologiqu
Au niveau de la moelle lombaire : dégénérations diffuses du cordon
postérieur
avec intégrité de la zone cornu commissurale. D
a pie-mère est épaissie. Au niveau de la région dorsale : le cordon
postérieur
présente les mêmes altérations que précédemment
les mêmes lésions du cordon latéral, des lésions moindres du cordon
postérieur
; les colonnes de Clarke ont des fibres normales
ntes et plus accentuée par comparaison avec les lésions du cor- don
postérieur
. Au niveau de la région cervicale, la sclérose
bulbe a été fait par Kattwinkel qui a retrouvé les ésions du cordon
postérieur
, du faisceau cérébelleux et du faisceau pyramidal
crée, les cordons posté- rieurs sont sclérosés dans toute la partie
postérieure
; le cordon latéral pré-- sente un triangle de
vers la substance grise. Au niveau de la moelle lombaire, le cordon
postérieur
est complètement sclérosé; au niveau du cordon
clérose combinée tabétique : la sclérose est diffuse dans les cordons
postérieurs
SCLÉROSES COMBINÉES TABÉTIQUES 61 Au niveau d
la région sacrée, la moelle présente une sclérose diffuse du cordon
postérieur
respectant relativement le cordon de Goll et la
dorsale, la sclérose occupe un triangle dont la base répond au bord
postérieur
de la moelle, et dont le sommet répond à la com-
postérieur de la moelle, et dont le sommet répond à la com- missure
postérieure
. Ce triangle prend le cordon de Goll. Au niveau d
cervicale, le cordon de Goll est dégénéré seulement dans sa partie
postérieure
. Au niveau du cordon latéral, la sclérose affecte
vue topographique, il s'agit là d'une sclérose com- binée du cordon
postérieur
, des faisceaux pyramidaux croisés et du faisceau
et présente un peu de dilatation des ven- tricules. - La méninge
postérieure
de la moelle est épaissie, à partir seulement de
pas d'épaississement de la méninge lom- baire. Au niveau du sillon
postérieur
existe une crête qui donne à la moelle, un aspe
. On constate l'existence d'altérations scléreuses dans les cordons
postérieurs
, dans les cordons latéraux et dans l'un des deux
raux et dans l'un des deux cor- dons antérieurs. Dans les cordons
postérieurs
, la sclérose est surtout intense dans la partie
cordons postérieurs, la sclérose est surtout intense dans la partie
postérieure
et dans celle qui avoisine le sillon postérieur,
nse dans la partie postérieure et dans celle qui avoisine le sillon
postérieur
, c'est-à-dire dans le cordon de Goll. Elle est
lle est moins accentuée dans la partie qui avoisine la commis- sure
postérieure
et les cornes postérieures. Dans les cordons la
ns la partie qui avoisine la commis- sure postérieure et les cornes
postérieures
. Dans les cordons latéraux, elle occupe la zone
éline conservées (Voir fig. 8). 3e Cervicale. La sclérose du cordon
postérieur
présente la même distri- bution ; on constate a
présente la même sclérose du faisceau en croissant, mais la partie
postérieure
du faisceau pyramidal direct semble plus atteinte
ns latéraux. 6e Cervicale. Même aspect des lésions dans les cordons
postérieurs
et antérieurs ; dans les cordons latéraux, la s
osté- rieurs : elle envahit davantage les zones voisines des cornes
postérieures
et se prolonge en avant jusqu'à a commissure po
es cornes postérieures et se prolonge en avant jusqu'à a commissure
postérieure
. Dans les cordons latéraux, la zone de sclérose
t une zone triangulaire occupant la plus grande partie de la région
postérieure
de ce faisceau et englobant le fais- ceau pyram
ceau pyramidal direct et le faisceau cérébelleux direct. Le cordon
postérieur
est complètement sclérosé, sauf dans les parties
e. Présente sensiblement le même aspect. 3° Dorsale. Dans le cordon
postérieur
, même disposition de la sclérose, peut-être un
l antérieur. 4° et 5- Dorsales. Même aspect : la sclérose du cordon
postérieur
est com- plète en général. - - 6" Dorsale. Le
n postérieur est com- plète en général. - - 6" Dorsale. Le cordon
postérieur
prend une forme triangulaire : la partie ventra
e et le sommet se trouve à la partie posté- rieure de la commissure
postérieure
. ' 7e et 88 Dorsales.- Même aspect dans le cord
ssure postérieure. ' 7e et 88 Dorsales.- Même aspect dans le cordon
postérieur
, quelques fibres sont conservées dans deux zone
a moitié antérieure du cordon. 9° et 40e Dorsales. Dans les cordons
postérieurs
, les deux zones moins atteintes sont plus étend
ins atteintes sont plus étendues, elles se prolongent jusqu'au bord
postérieur
du cordon et occupent le territoire du cordon d
nombre de fibres est conservé. 11° Dorsale. La sclérose du cordon
postérieur
est à peu près diffuse, uu peu plus marquée dan
oujours très nette et beau- coup plus accentuée que cclle du cordon
postérieur
. Région dorso-lonzbaire. Il n'y a plus de sclér
x pyramidaux croisés est toujours très nette. La sclérose du cordon
postérieur
est diffuse, un peu moins accentuée dans la rég
examinée à trois hauteurs différentes de cette région. Le cordon
postérieur
est sclérosé, sauf dans les régions ventrales où
aux du cordon latéral et de l'une des deux pyra- mides. Le cordon
postérieur
est sclérosé. Un peu au-dessus, la sclérose dim
ose diminue ; il persiste encore une sclérose mar- quée des cordons
postérieurs
, mais la sclérose pyramidale est très diminuée
flé. Debout, le malade se tient courbé ; le dos forme une convexité
postérieure
très marquée et très régulière depuis le sacrum
de l'enfance, dit le sujet. Cou. - Est volumineux dans sa partie
postérieure
et latérale et absolument rigide : il y a épais
DES CELLULES NERVEUSES DES TUBERCULES QUADRIJUMEAUX ANTÉRIEURS ET
POSTÉRIEURS
CHEZ LES VERTÉBRÉS SUPÉRIEURS (LAPINS ET SOURIS
des cellules nerveuses des tubercules qua- drijumeaux antérieurs et
postérieurs
imprégnées par le chromate d'argent par le proc
nt nous ouvrions le crâne des animaux; les tubercules quadrijumeaux
postérieurs
et anté- rieurs, séparés les uns des autres et
bercules quadri- jumeaux antérieurs et des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
; de plus les dendrites des cellules nerveuses
vées par nous sur toutes les préparations. Tubercules quadrijumeaux
postérieurs
. - Les dendrites des cellules nerveuses des tub
- Les dendrites des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
, bientôt après leur sortie du corps cellulaire,
nner un nombre assez Fig. 5. - Cellule des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
. DENDRITES DES CELLULES NERVEUSES 105 grand d
rive qu'on voit des éléments nerveux des tubercules qua- drijumeaux
postérieurs
(V. fig. 6), où saute aux yeux surtout à un Fig
ux yeux surtout à un Fig. 6. - Cellule des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
du lapin. - 106 CZARNIECKI faible grossisseme
s appendices collatéraux des dendrites des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
, il faut dire qu'ils sont assez grands et déjà
un côté ; et entre les dendrites des cellules nerveuses de la corne
postérieure
de la moelle épinière et les dendrites des cellul
t-on dire, presque privées d'appendices collatéraux ; dans la corne
postérieure
de la moelle épinière et dans la partie périphé
-occipitales presque dans leur entier, et intéressait par sa partie
postérieure
la partie antérieure du cunéum. Il n'a pas été
idaux croisés, et du faisceau cérébelleux latéral. Enfin les cornes
postérieures
sont nette ment altérées, elles sont comme reco
zones de Lissauer sont complètement sclérosées. De même les racines
postérieures
que l'on peut voir à ce niveau, sont considéra-
rébelleux latéraux se poursuivent, de même que l'atrophie des zones
postérieures
. On voit égale- ment il ce niveau une légère sc
. Enfin, sur toute la hauteur de la moelle, les cellules des cornes
postérieures
132 PIC ET BONNAMOUR sont nettement altérées,
es. Dans toute la hauteur du bulbe et de la moelle dans les cordons
postérieurs
, sclérose des cordons de Goll plus accen- tuée
artie supérieure de la moelle dorsale ; enfin atro- phie des cornes
postérieures
, sclérose de la zone de Lissauer et sclérose des
stérieures, sclérose de la zone de Lissauer et sclérose des racines
postérieures
également marquée dans toutes les régions médulla
t des méninges, oblitération du canal central, sclérose des cordons
postérieurs
et surtout des cordons de Goll, sclérose du faisc
midal croisé et du faisceau cérébelleux direct, atrophie des cornes
postérieures
. Nous avons constaté, en outre, une dégénérescenc
avons constaté, en outre, une dégénérescence bien nette des racines
postérieures
ainsi que d'un ganglion radiculaire, lésions que
s en effet attachés davantage à étudier les altérations des racines
postérieures
dans leur trajet intra et extra-ganglionnaire,
en noir et de permettre d'apprécier le degré d'atrophie des racines
postérieures
dans leur trajet extra et intraganglionnaire, q
ine. Ganglions lombaires(3 ganglions ont été examinés).-Les racines
postérieures
sont presque complètement décolorées (sublimé o
de se rendre compte du degré très marqué de l'atrophie de la racine
postérieure
dans son bout central. Ici, ce qui frappe le plus
IONS DU GANGLION RACniDIEN 215 Tout d'abord, l'atrophie des racines
postérieures
dans l'intérieur du ganglion est moins marquée.
ires et sacrés, mais les lésions y sont de même nature. Les racines
postérieures
sont très atrophiées. La sclérose périvasculaire
oupes longitudinales. Sur tous ces ganglions l'atrophie des racines
postérieures
dans le bout central est extrêmement prononcée.
affine. Coupes longitudinales. Sur ces trois ganglions, les racines
postérieures
ne contiennent plus qu'un tout petit nombre de
st profondément dégénéré, la portion sous-ganglionnaire des racines
postérieures
forme un faisceau aussi dense, aussi compact qu
, 3e et 5° lombaires gauches). Rappelons que l'atrophie des racines
postérieures
est minime ou nulle dans les segments sus-gangl
dans les autres. " Dans le 3e ganglion lombaire gauche, les racines
postérieures
, à leur sortie du ganglion (bout central), sont
l'axe. Sur le premier on constate une atrophie extrême des racines
postérieures
dans leur bout central : à peine distingue-t-on
ion lombaire droit. Dans ces deux ganglions, l'atrophie des racines
postérieures
dans le bout central des ganglions est des plus
arachnoïdien, de telle sorte qu'à l'extrémité centrale de là racine
postérieure
on voit un grand nombre' de gaînes de myéline b
he est le plus malade. Dans le pôle central du ganglion les racines
postérieures
sont très atrophiées, elles sont saines dans le
its les cel- lules capsulaires sont un peu proliférées. Les racines
postérieures
sont très atrophiées dans le pôle central du ga
r. Dans deux cas (Obs. IV et V), l'atrophie des fibres radiculaires
postérieures
était en voie d'évolution, et sur le trajet ou
ait dans le trajet intra-ganglionnaire du bout central de la racine
postérieure
, au niveau du nerf radiculaire et dans son trajet
éressant à un autre point de vue : en effet, l'atrophie des racines
postérieures
, si l'on en juge par l'aspect des gaines de myé
de nous surprendre, puisque nous savons que l'atrophie des racines
postérieures
est irrégulière dans son évolution et qu'elle f
u moins beaucoup moins intéressés; mais, parallèlement, les racines
postérieures
sont également LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACH
llules atrophiées ou dispa- rues et le degré d'atrophie des racines
postérieures
. En apparence, il n'en est pas ainsi, et il sem
aux proportionnelles en intensité à la dégénérescence des cor- dons
postérieurs
. Il mentionne le ratatinement de la cellule, la s
e sont pas suffisantes pour expliquer la dégé- nération des racines
postérieures
et des cordons postérieurs de la moelle; alors
expliquer la dégé- nération des racines postérieures et des cordons
postérieurs
de la moelle; alors même qu'elles existent, les
ellule bipolaire donnant naissance par son pôle central à la racine
postérieure
,par son pôle périphé- rique au nerf périphériqu
longements de la cellule n'ont pas la même signification, la racine
postérieure
serait un prolonge- ment cylindraxile, le nerf
prétexte qu'elles ne peuvent expliquer la dégénération des racines
postérieures
et des cordons posté- rieurs ; sans émettre déj
al ou le bout périphérique; la section du bout central de la racine
postérieure
n'a au- cun retentissement sur la cellule d'ori
de la cellule nerveuse est beaucoup moins effective pour la racine
postérieure
que pour le nerf périphérique - ce qui explique
des phénomènes aussi différents que la section brusque de la racine
postérieure
pratiquée sur l'animal et la dégénération lente
enfin, fait intéressant, la dégénérescence rétrograde de la racine
postérieure
a pu être suivie jus- que dans le ganglion. L
upposer qu'elles peuvent être consécutives à l'atrophie des racines
postérieures
. Mais, nous ne saurions trop le répéter, on ne pe
er, on ne peut assimiler sans réserves l'atrophie lente des racines
postérieures
du tabes et la sec- tion expérimentale des raci
nes postérieures du tabes et la sec- tion expérimentale des racines
postérieures
, d'autant plus que, quel que soit le degré de l
lus que, quel que soit le degré de l'atrophie apparente des racines
postérieures
chez les ta- bétiques, l'examen histologique ré
ahétique sont primitives ou secondaires à l'atrbli'hiei des racines
postérieures
, si elles en sont dépendantes ou indépendantes. "
écis entre la raré- faction des cellules et l'atrophie de la racine
postérieure
, c'est que jus- qu'ici la pathologie du ganglio
rôle dans le processus d'atrophie lente et progressive de la racine
postérieure
? C'est une question à laquelle nous nous gardo
rôle qu' elles jouent dans la pathogénie de l'atrophie des racines
postérieures
et des dégénérescences médullaires. Mais elles
ionnée, elle présente des suffusions sanguines au niveau de la face
postérieure
de la moelle à la hauteur de la fracture et au
d'une tache médiane et radiée dans la partie antérieure des cordons
postérieurs
. Par contre, au-dessus du siège de la fracture,
émorrhagique nette- ment limité dans la moitié antérieure du cordon
postérieur
droit et deux autres petits foyers dans le cord
cordon postérieur droit et deux autres petits foyers dans le cordon
postérieur
gauche. Fie. b. Coupe passant par le bord infér
rieure, les deux autres à direction sagittale dans les deux cornes
postérieures
. Dans la substance blanche n'existe qu'une infi
nt la corne et la commis- sure antérieures, à peine touché la corne
postérieure
droite et respecté relativement le reste de la
ximum des lésions : aplatissement de la moelle dans le sens antéro-
postérieur
, destruction à peu près complète par l'hémorrhagi
d'une tache médiane et radiée dans la partie antérieure des cordons
postérieurs
. ' HÉMATOMYÉLIE TRUMATIQUE 245 rieur au nivea
re, qui occupe, dans le Ile segment, la moitié antérieure du cordon
postérieur
droit, est intéressant par son volume, ses limite
dément dans les masses musculaires. Il présente en effet sur la face
postérieure
des deux coudes et au niveau des poignets, deux
recourir à la ténotomie à ciel ouvert du tendon rétracté du cubital
postérieur
. Pour obtenir la correction en rectitude parfai
ès petits. Cette dernière diminuée surtout dans le diamètre antéro-
postérieur
. Les racines minces, paraissent atrophiées, les m
atrophiées, les méninges de la moelle épaissies, surtout à la face
postérieure
. Elargissement de la couche sons-pie-mérienne d
Elargissement de la couche sons-pie-mérienne de névroglie. Cordons
postérieurs
: une diminution des fibres dans la région lomb
s supérieures une dégénérescence du faisceau de Goll dans sa partie
postérieure
. Pas de lésions dans la zone de Lissauer. La subs
former une saillie pénétrante dans la substance blanche des cordons
postérieurs
, est aplati, de sorte que les colonnes sont seule
es antérieures ne présentent pas de lésions.* Les fibres des cornes
postérieures
apparaissent raréfiées, de même que les fibres
paraissent raréfiées, de même que les fibres longeantes, les cornes
postérieures
du côté du cordon de Burdach. Le canal central
des fibres. UNE FORME U'1lÉHIsDW A'CAX1E cÉnÉBELLEUSE 9Q5 Cordons
postérieurs
. La zone de Lissauer présente dans la région lom-
and... 296 RYDEL élevée, cette raréfaction se rapproche du sillon
postérieur
et disparaît dans le cordon de Burdach. Ainsi d
3, on trouve une raréfaction occu- pant toute l'étendue des cordons
postérieurs
, sauf les parties avoisinantes, la substance gr
, mais cette raréfaction est plus forte dans le voisinage du sillon
postérieur
. Dans les hauteurs dorsales inférieures nous tr
s trouvons une raréfaction très intense dans le voisinage du sillon
postérieur
, peu prononcée dans la zone radiculaire moyenne
de forme carac- téristique, et surtout marquée dans les deux tiers
postérieurs
de ce cordon. Cette lésion, tout en devenant pl
is que l'autre moitié de ce fais- ceau, celle qui avoisine la corne
postérieure
, de même que la zone commissu- rale et la parti
on s'élargit vis-à-vis de l'angle formé par les cornes antérieures et
postérieures
et prend ici la forme d'un triangle dont le som
e son sommet vise l'angle latéral de la corne antérieure. La partie
postérieure
de la dégénération diminue d'intensité. Dans
n qui correspond au faisceau cérébelleux direct, longe de sa partie
postérieure
la corne postérieure jusqu'à la substance géla-
aisceau cérébelleux direct, longe de sa partie postérieure la corne
postérieure
jusqu'à la substance géla- tineuse. Dans les co
re de l'autre côté de la moitié antérieure de la corne. La partie
postérieure
du faisceau de Gowers, la partie élargie, augment
é et surtout d'étendue pour devenir aussi rapidement dans la partie
postérieure
de la périphérie une bande très mince et tout à f
ne bande très mince et tout à fait périphérique. Arrivée aux cornes
postérieures
cette bande se recourbe en dedans de la moelle,
en dedans de la moelle, et occupe la partie juxtaposée de la corne
postérieure
. La partie située en avant et en dedans du fais
ose du cordon de Gowers et laissant libre le reste de la périphérie
postérieure
de la moelle. A partir de cette même hauteur la
beaucoup plus que dans celui de Burdach), mais le reste des cordons
postérieurs
ne présente pas de lésions appréciables. L'espa
s laquelle on est habitué à voir le trajet du faisceau longitudinal
postérieur
(ou dorsal) est très notablement dégénéré. Les
es. - La paroi du 4e ventricule est épaissie. Toute la pé- riphérie
postérieure
et latérale montre une sclérose, qui augmente d'a
t une sclérose très nette, à l'exception du fais- ceau longitudinal
postérieur
qui, quoique un peu raréfié, se découpe nettement
tude de la moelle, on pourrait supposer que le faisceau longitudinal
postérieur
montrera une dégénération bien accusée. Par c
aréfiées. Les pyramides sont parfaitement intactes. Comme la moitié
postérieure
du bulbe est principalement le siège des lésions,
direct. La raréfaction des fibres arquées, la sclérose de la partie
postérieure
de la substance réticulaire et du raphé, les lési
rect et celui de Gowers y sont dégé- nérés, de même que les cordons
postérieurs
, dans lesquels la lésion porte principalement s
nte beau- coup d'analogie avec le processus de sclérose des cordons
postérieurs
, qu'il débute dans les parties périphériques de
lettes étaient dépourvues de fibres nerveuses, sauf sur leurs bords
postérieurs
. D'après cet examen Popoff croit au début du pr
le que Obersteiner et Redlich admettent pour l'atrophie des racines
postérieures
, à savoir une compression à travers la pie-mère s
tte lésion se limite dans la région lombaire et dorsale, a la corne
postérieure
du côté gauche qu'elle détruit presque entièremen
ndelette de nature conjonctive suivant exactement l'axe de la corne
postérieure
. Mais bientôt elle apparaît sous forme d'une fiss
re (10e dorsale), on la voit oc- cuper à peu près l'axe de la corne
postérieure
, depuis la pie-mère sur laquelle elle semble s'
e l'épendyme. Au niveau de la 4° dorsale elle envoie dans le cordon
postérieur
du même côté un prolongement qui un peu plus haut
formée et bouleversée dans sa topographie, ce qui reste de la corne
postérieure
droite ayant pris une direction presque transvers
ongement de celle du côté gauche et ne tarde pas à envahir la corne
postérieure
d'avant en arrière et jusqu'à son extrémité. Il e
d'une fente transversale et symétrique détrui- sant les deux cornes
postérieures
, les cordons latéraux et la base des cornes ant
sions correspondantes des cornes posté- rieures et même des racines
postérieures
. A gauche, en effet, outre la destruc- tion de
ostérieures. A gauche, en effet, outre la destruc- tion de la corne
postérieure
dans la région cervicale, dorsale et même lombair
e, nous avons noté la dégénérescence rétrograde de quelques racines
postérieures
que nous avons poursuivie jusqu'au ganglion. À
les régions correspondantes aux seg- ments de la moelle où la corne
postérieure
est lésée. Ce sont les territoires ra- diculair
sous-jacents à la lésion, démontre que la destruc- tion de la corne
postérieure
à un niveau donné n'affecte en rien la transmis-
impressions sensitives cutanées amenées à la moelle par les racines
postérieures
sous-jacentes. En somme il n'y a ni dans l'obse
e d'une bande conjonctivo- vasculaire au sein de la substance grise
postérieure
. C'est en de tels points que l'on peut saisir l
seg- ment dorsal on voit la bande conjonctive qui parcourt la corne
postérieure
se continuer à la périphérie de la moelle direc
e à ces prolongements qui pénètrent la moelle en suivant les cornes
postérieures
et s'y développent ? Nous ne le pensons pas, et
THOLOGIQUE ET PATHOGÉNIE DE LA SYRINGOMYÉLIE 385 que toute la corne
postérieure
, une partie de la substance grise antérieure, u
t de l'artère centrale ; sur les coupes de la 6e dor- sale la corne
postérieure
saine est creusée d'une perte de substance comme
e elle affecte le trajet et la direction des artérioles de la corne
postérieure
et de l'artère centrale ; son point de départ p
l'émergence d'une artériole, Dans la substance blanche des cordons
postérieurs
, elle suit manifestement en certains points la
ent en certains points la direction de l'artériole du sillon médian
postérieur
. Si l'on se souvient aussi qu'en plusieurs endr
ande conjonctive linéaire. (b) Végétations conjonctives de la corne
postérieure
gauche. Ces tractus onduleux contournés en mult
des gros vaisseaux de la moelle et notamment des artères des cornes
postérieures
? 2 Il faut bien dire ici que nous ne sommes en
- Une autre fente très analogue se voit à la place du sillon médian
postérieur
. Les fentes, ainsi que la cavité princi- pale,
remarquablement conservées. Par contre, autour de la fente du cordon
postérieur
, il existe une zone assez étendue de démyélinis
il subsiste cependant une partie de son prolongement dans la corne
postérieure
gauche sous forme d'une mince tente à bords accol
t où se note un peloton vasculaire. - En revanche, la fente du cordon
postérieur
a acquis ici un énorme développement et donne l
té occupant la substance grise dont elle détruit la base des cornes
postérieures
et la majeure partie des cornes antérieures. Ce
tte cavité est arrondie, mais au niveau de la base l'une des cornes
postérieures
se poursuit par un prolonge- ment allongé et ét
défaut, et seule per- siste la fente allongée qui traverse la corne
postérieure
et s'élargit légèrement en avant où elle forme
'épanouissement d'une fente primitivement développée dans une corne
postérieure
. 1 D'autre part, une autre fente de même nature
utre fente de même nature se montre à la partie moyenne des cordons
postérieurs
au niveau du sillon médian postérieur. Cette fent
a partie moyenne des cordons postérieurs au niveau du sillon médian
postérieur
. Cette fente dirigée d'arrière en avant se term
et la direc- tion des fentes (art. du sillon postér. et de la corne
postérieure
) et la grande cavité centrale semble n'être que
is seulement une fente antéro-postérieure occupant le sillon médian
postérieur
et qui s'élargit en avant en une dilatation tri
serves à la syringomyélie. Rappelons qu'il existait dans les cornes
postérieures
des fentes ou des ban- des scléreuses rectilign
n'en est plus de même partout ailleurs, où les vaisseaux des cornes
postérieures
semblent commander le.processus. Discutant la p
bsence de commissure grise et défaut de soudure des bords du sillon
postérieur
). Il n'y a plus tant de raison pour la séparer
irecte. 'Le début des cavités paraît plutôt se faire dans une corne
postérieure
et les considérations que nous avons développées
éveloppent surtout dans la substance grise (commissure grise, corne
postérieure
) et déjà Joffroy et Achard, cherchant la clef de
s artérioles qui pénètrent dans la moelle (arté- rioles de la corne
postérieure
, artérioles qui entourent le canal central, artèr
ur qui se ramifie dans la corne antérieure, artère du sillon médian
postérieur
, etc.). Les fentes, les fissures étroites sur les
t et la continuation directe d'une fente de la corne ou du cor- don
postérieur
; fentes et cavités sont généralement des lésions
t dorsal il exis- tait en outre le long du bord interne de la corne
postérieure
une petite cavité entou- rée d'un tissu glieux.
e déterminent les anévrysmes artériels. Quant à la cavité du cordon
postérieur
, elle aurait, d'après ces auteurs, une origine hé
e un petit volume. La méninge antérieure est très mince, la méninge
postérieure
est peut-être un peu plus épaisse qu'à l'état n
ncore d'un ou deux prolongements. Grosse vascularisation des cornes
postérieures
. Le canal épendymaire n'est représenté que par
aisseaux semble à peu près intact. Dans les racines, antérieures et
postérieures
, un nombre restreint de gai- nes myéliniques so
fois d'un large espace clair. La substance blanche dans les parties
postérieure
et latérale a un volume et une coloration sensi
'y a'pas eu erreur au moment de l'autopsie. III. Muscles- Muscles
postérieurs
de la cuisse droite. Très grosses altérations.
- cléaire sans aucun ordre, multiplication des vaisseaux. Muscles
postérieurs
de la cuisse gauche. - Même dislocation totale av
lanche LX, L2 M). Même 446 LÈm ET N-ILSO.1 aspect que les muscles
postérieurs
de la cuisse, dégénérescence plus marquée encor
squ'il est resté assis longtemps, il éprouve au niveau de la partie
postérieure
des cuisses, dans les fesses et même dans le do
une atrophie myopathique généralisée avec conservation des muscles
postérieurs
de la jambe. Le même état persiste actuellement c
ulcérations les plus importantes au nombre de S, siègent à la face
postérieure
des deux jambes et à la face interne de la jambe
issure de l'os crochu (genou) ; ligne du bourrelet (pied). Membre
postérieur
: Angle externe de l'ilium (hanche) ; ligne du bo
neuse à l'os crochu ; do l'os crochu au bourrelet du pied. Membre
postérieur
: De l'angle externe de l'ilium au bourrelet du p
e l'ostéite phalangienne ; le cheval Président présentait au membre
postérieur
gauche une forme qu'il tenait de son père Flori
est due principalement à Bouveret (4) mais ces recherches sont bien
postérieures
à celles faites, en médecine vété- rinaire,parR
. Cellules nerveuses des tubercules quadri- jumeaux antérieurs et
postérieurs
chez les vertébrés supérieurs (Sur l'aspect e
ions calcaires dans le cerveau, (1 pi.), par CATOLA, 355. Cordons
postérieurs
(Contribution à l'étude anatomique des). Un cas
s cellules nerveuses des tu- bercules quadrijumeaux antérieurs et
postérieurs
chez les vertébrés supérieurs (6 figures), 100.
496. Nageotte. Contribution à l'étude anato- '. mique des cordons
postérieurs
(Un cas de lésion de la queue de cheval et un
Concrétions calcaires dans le cerveau (CA- TOLA), XLIV. Cordons
postérieurs
, étude anatomique (J. NAGEOTTE), V, VI, VII.
ue intégrité possible de la sensibilité s'explique par la situation
postérieure
des voies sensitives, et par le fait qu'un peti
s, continuelles, surtout nocturnes, dans toute l'étendue de la face
postérieure
du membre in- férieur droit, puis du gauche. Hu
xterne du pied droit, et à la dernière phalange des orteils ; la face
postérieure
des membres n'a malheureusement pas été assez é
e début des douleurs. A l'autopsie, carie tuberculeuse de la face
postérieure
des 2e, 3e, 4e corps ver- tébraux sacrés, avec
chis : gêne' de la déglutition par projections en avant de la paroi
postérieure
du pharynx : parole très dysarthrique. La spasm
agnostic : le toucher buccal montre un léger empâtement de la paroi
postérieure
du pharynx : l'extension amena la sédation des
ès son entrée à l'hôpi- tal. A l'autopsie, intégrité de la partie
postérieure
des arcs vertébraux : mal de Pott cervical avec
, ce qui se comprend, surtout lorsque ces douleurs occupent la face
postérieure
des membres inférieurs, et qu'on trouve, soit l
antérieur (Fig. 4). Les ligaments vertébraux communs antérieurs et
postérieurs
étaient' peu près intacts. Nulle part il n'y av
au niveau de la cyphose dorsale étaient ossifiés ceux de la partie
postérieure
, les ligaments jaunes, les ligaments surépineux
térieure, les ligaments jaunes, les ligaments surépineux, la partie
postérieure
des disques ; à la lordose lom- baire répondait
ieure aussi des disques avec intégrité du ligament atloïdo-axoïdien
postérieur
, premier des ligaments jaunes (V. fig. 1, 2, 3
i- gaments extrinsèques, à distance, iléo-lombaire et sacro-iliaque
postérieur
, n'étaient pas ossifiés. L'extrémité inférieu
ble s'être légèrement enfoncée dans le bassin, de sorte que le bord
postérieur
du détroit supérieur est plus aplati que normale-
des accès qu'il a eu jusqu'à présent, je vais indiquer le dernier,
postérieur
au traitement thyroïdien. Etant sorti de l'hôpi
lui donnent un aspect féminin très ac- centué. Regardé par sa face
postérieure
, le tronc se présente également (1) Henkt Meige
dépendre comme les douleurs tabétiques d'une irritation des racines
postérieures
de la moelle dorsale : mais, il me semble, que
arthropathie liypertrophiante pneumique. Cependant des observations
postérieures
ont bientôt démontré que les symp- tômes décrit
de Weigert ou de Pal, huit cas de ramollissement étendu des régions
postérieures
de l'hémisphère cérébral ; le plus souvent il s'a
e interne, le faisceau longitudinal inférieur entoure l'extré- mité
postérieure
et le bord inférieur du putamen, contourne la cor
ces fascicules abordent dans la région sous- thalamique le segment
postérieur
de la capsule interne et descendent dans le pie
t constitue la couche externe des fibres profondes. Dans son trajet
postérieur
, il reçoit de nombreuses fibres de la capsule e
ut-être aussi aux autres circonvolutions occipitales et à la partie
postérieure
du pli courbe. Le faisceau longitudinal contien
bres passent au-dessus du corps genouillé externe et par le segment
postérieur
de la capsule interne pour entrer dans la constit
is reçoivent un contingent, du pôle occipital, de la partie la plus
postérieure
, du, lobule fusiforme et de la troisième circonvo
la partie supé- rieure, l'hémi thorax droit présente une gibbosité
postérieure
des plus saillantes. L'épaule est très élevée e
droite de la région dorso-lombaire, les côtes forment une gibbosité
postérieure
dans l'hémithorax gauche. Cette gibbosité est i
artie postéro-inférieure du gyrus supramarginalis et les deux tiers
postérieurs
de la première circonvolution temporale ; à ce ni
t la lésion diminue rapidement de volume et se cantonne à la partie
postérieure
de la troisième circonvolution frontale. La cou
r ininterruption. Au sur et à mesure que l'on considère les régions
postérieures
, de multiples prolongements s'étendent jusqu'à
lutions occipitales, de la partie inférieure du pli courbe, des 3/4
postérieurs
de la première circonvolu- tion temporale, du 1
s 3/4 postérieurs de la première circonvolu- tion temporale, du 1/3
postérieur
de la deuxième circonvolution temporale, du bor
usiforme (lésion corticale de sa partie occipitale) et de la partie
postérieure
de la circonvolution pariétale supérieure. En o
du niveau du pli courbe : Nous commencerons par décrire les coupes
postérieures
. La coupe occipitale (Planche XXVIII, 1) intére
be, la Schéma n* II. - Cas Ro... 184 LASALLE-ARCHAMBAULT partie
postérieure
des deuxième et troisième circonvolutions tempora
du segment rétrolenticulaire de la capsule in- terne, de la partie
postérieure
de la couche optique. Une lacune considérable du
agittale externe de lobe tem- poral. Malheureusement, à des niveaux
postérieurs
, cette dégénérescence se confond avec celle qui
s thalamiques provenant des régions occipitale et pariéto-lemporale
postérieure
, enfin elle comprend les fibres de la première
orme qui soient respectées. Des lésions récentes occupent la partie
postérieure
de la deuxième circonvolution frontale et la pa
irait plus vo- lontiers que cette dégénérescence dépend des lésions
postérieures
. Or, ce n'est certainement pas la lésion profon
n temporale, le bord inférieur du gyrus supramarginalis et le tiers
postérieur
de la première circonvolution temporale. Dans l
pariétale supérieure, la partie antérieure du pli courbe. la partie
postérieure
des deuxième et troisième circonvolutions tempora
oupe suivante (Planche XXXIII, 21) est prise au niveau de la partie
postérieure
de la couche optique et du corps quadrijumeau ant
ne semble avoir retenti que sur la couche optique ; sur des coupes
postérieures
à celle-ci, on constate de l'atrophie et de la
à la bandelette optique, il n'existe plus trace de la grosse lésion
postérieure
. De Cas : Roll... - Aphasie. Epilepsie Jacksoni
i atteint la partie temporale du lobule fusiforme et les deux tiers
postérieurs
de la troisième circonvolution temporale. Excep
ent dans les deux lèvres de la scissure calcarine. La coupe la plus
postérieure
est prise immédiatement en avant (PI. XXX, 7) d
sagittale externe semble beaucoup plus dégénérée que sur les coupes
postérieures
et beaucoup plus qu'elle ne l'est en réalité. L
che XXXI, 10, 11, 12). Ramollissement ancien prenant les deux tiers
postérieurs
de la première circonvolution temporale, le tiers
tiers postérieurs de la première circonvolution temporale, le tiers
postérieur
delà deuxième circonvolution temporale et pouss
ssement sur la face interne du lobe occipital qui détruit la moitié
postérieure
du lobule lingual et toute cette partie du lobu
rconvolution temporale. Malgré les lésions destructives des régions
postérieures
, on voit que le segment horizon- tal et la part
me temporale, elle -même totalement détruite à un niveau légèrement
postérieur
.La couche sagittale interne est partiellement dég
ale interne est partiellement dégénérée, les radiations thalamiques
postérieures
abordent déjà le segment rétro-lenticulaire de
au optique central et renferme des fibres qui naissent de la partie
postérieure
du corps genouillé externe. A ce niveau les fib
t encore très dégénéré, mais il un degré moindre que sur les coupes
postérieures
. La zone dégénérée n'occupe que la partie inférie
ui se rendent au corps genouillé interne et au corps quadriju- meau
postérieur
, mais elle renferme aussi des libres qui font par
lésions du lobe occipital et 198 LASALLE-ARCHAMBAULT de la partie
postérieure
du lobe pariéto-lemporal ; quel que soit le siège
circonvolutions occipitales, ainsi que du pli courbe, de la partie
postérieure
des deuxième et troisième circonvolutions tempo
iations du corps quadrijumeau antérieur. Les radiations thalamiques
postérieures
(occipito-pariétales) et les radiations thalami
emporo-occipitales) se terminent dans le pulvinar et dans la partie
postérieure
de la couche optique, à l'exception des fibres qu
couche optique. Mais toutes ces radiations thalamiques des régions
postérieures
de l'hémisphère n'ont pas la même zone d'irradi
ie inférieure du pulvinar. Les radiations thalamiques des parties
postérieures
du lobe pariétal et des première et deuxième ci
dans la partie supérieure et externe du pulvinar et dans la partie
postérieure
du noyau LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET
ombre de fibres au corps genouillé interne et au corps quadrijumeau
postérieur
. Les radiations thalamiques des circonvolutions
aisceau ; il s'agit (cas Gir...) d'un ramollissement des deux tiers
postérieurs
de la première temporale et du tiers postérieur (
ent des deux tiers postérieurs de la première temporale et du tiers
postérieur
(en- viron) de la deuxième temporale ; la dégén
con- sidérable. Dans trois de nos cas,, la lésion atteint la moitié
postérieure
de la première circonvolution temporale, mais o
édoncule; il en est de même de deux autres cas avec lésion du tiers
postérieur
de la troisième circonvolution temporale. Enfin,
supramarginalis). A la suite de lésions occipitales et de la partie
postérieure
des lobes tempo- ral et pariétal, on observe to
ce se rend au corps calleux, c'est-à-dire au splénim et à la partie
postérieure
du tronc du corps calleux. Dans les cas de ramoll
de nos cas, il existe un ramollissement qui détruit toute la moitié
postérieure
de la face externe de l'hémisphère... en avant la
llé entrent dans la constitution de la partie inférieure du segment
postérieur
de la capsule interne, traversent l'angle infér
me segment du noyau lenticulaire, se coudent au niveau de la partie
postérieure
et inférieure de la cap- sule externe, se dirig
ière circonvolution temporale. Les fibres qui naissent de la partie
postérieure
du corps genouillé concourent à former le champ
que la voie pyramidale occupe les deux tiers antérieurs du segment
postérieur
de la capsule interne, le tiers postérieur de c
rs antérieurs du segment postérieur de la capsule interne, le tiers
postérieur
de ce segment représente le « carrefour sensiti
de nos idées sur la réparti- tion des fibres au niveau de la partie
postérieure
du lobe temporal, résumer de la façon suivante
des ganglions de la base. Peu appréciable dans la région temporale
postérieure
, puisque les fibres affectent à ce niveau une dir
'association en général. Comme Beevor, nous croyons que le cingulum
postérieur
ou inférieur est in- dépendant du cingulum hori
ures et externes. Aux fibres internes,on a donné le nom de cingulum
postérieur
pu inférieur, mais ces dernières sont, à notre av
tricu- laire. Il s'agit d'un ramollissement ayaut atteint la partie
postérieure
du gyrus FiG. 7. - Coupe frontale du lobe front
212 LASALLE-ARCHAMBAULT . supramarginalis, le pli courbe, la partie
postérieure
des. deuxième et troisième circonvolutions temp
xception faite, bien entendu, de ces lésions situées dans la partie
postérieure
et inférieure de la couche optique et qui, en rai
atteint son maximum de développement. 7) Les radiations thalamiques
postérieures
(pariéto-occipitales) et inférieu- res (temporo
les circonvolutions des lobes temporal et occipital et de la partie
postérieure
du lobe pariétal. 8) Le tapetum est formé exclu
: 1° l'etatmonili- forme des cylindraxes radiculaires antérieurs et
postérieurs
, et la localisa- tion remarquable de cette alté
régénération qui se passent dans les ganglions et dans les racines
postérieures
pendant toute la durée du tabes, parallèlement à
sont celles du tabes avancé classique ; la dégénération des racines
postérieures
à la région lombo- sacrée est très considérable
te un nombre énorme de fibres fines amyé- liniques dans les racines
postérieures
, là où la méthode de Pal ne décèle qu'un nombre
le du tabes incipiens est visible, néanmoins les zones radiculaires
postérieures
présen- tent déjà un aspect pâle tandis que la
LE DE FIBRES NERVEUSES 219 une tendance à produire dans les cordons
postérieurs
une lésion radiculaire discrète mais diffuse, p
te sa plus grande intensité, la cavité centrale persiste. La racine
postérieure
est bouleversée dans sa structure ; ses fasci-
s de la racine antérieure paraissent intactes, tandis que la racine
postérieure
a perdu une fraction déjà assez importante des
fibres assendantes destinées à rem- placer les fibres radiculaires
postérieures
détruites, mais que les massues, qui terminent
une lésion à peine perceptible d'une zone très étroite d'un cordon
postérieur
, répon- dant, par sa situation, au trajet d'une
es ; la moelle n'est pas atrophiée dans son ensemble et les cordons
postérieurs
ne sont pas diminués de volume. Les deux nerfs
ite ; 2° il n'existe aucune lésion des éléments nobles de la racine
postérieure
qui soit visible par la méthode de Weigert-Pal
présence de fibres régénérées, avant que la . sclérose des cordons
postérieurs
soit appréciable. OBs. V. Névrite radiculaire à
iables. I. - Altérations des cylindraxes radiculaires antérieurs et
postérieurs
(Gonflements, état moniliforme). Cette lésion
ibrilles. Les gonflements en question se rencontrent dans la racine
postérieure
et aussi dans la racine antérieure. La figure 2
), demi-schéma- tique, représente sa distribution. Dans la racine
postérieure
cette lésion se rencontre dans toute l'étendue
résentent la même lésion, on peut la suivre jusque dans les cordons
postérieurs
. Il semble donc que les éléments nerveux atteints
. Il semble donc que les éléments nerveux atteints dans les racines
postérieures
du tabes sont altérés, puis détruits, sur toute l
dans leur ensemble, les fibres régénérées amyéliniques d'une racine
postérieure
de tabes avancé, qui ne contient presque plus d
11) NAGEOTTE fibres fines contenues à l'état normal dans la racine
postérieure
, qui sont plus résistantes que les autres au pr
comme un axiome que la racine antérieure est plus résistante que la
postérieure
, et de m'être appuyé sur cet axiome pour expliq
? Il est permis d'en douter, car dans l'observation IV où la racine
postérieure
a subi une atteinte très légère, mais indubitable
t été étudiés dans ce cas. Il. - Fibres régénérées dans les racines
postérieures
et massues de croissance encapsulées dans les g
ertain nombre d'entre elles s'engagent dans la portion de la racine
postérieure
la plus rappro- chée du ganglion; mais, bien qu
du son acuité ; un certain nombre de massues passent dans la racine
postérieure
, qui en contient toutefois infiniment moins que
es dans ces cas ; en tout cas je n'en ai vu aucune dans les cordons
postérieurs
; je ne prétends pas, bien entendu, que le fait n
es fines ou moyennes du réticulum nerveux des cornes antérieures et
postérieures
. Leur volume est inférieur en moyenne à celui d
nt en amas de 20 à 30, et aussi le long du bord interne de la corne
postérieure
. Dans l'observation IV ces formations élaient p
de fibres nouvelles est desti- née à réparer les dégâts des racines
postérieures
. - En effet leur nombre, leurs divisions et leu
se demander si elles n'appartiennent pas à des fibres radiculaires
postérieures
qui seraient arrivées jusqu'à proximité de leur b
s de neurones endogènes de la moelle. La régénération des racines
postérieures
est-elle capable, dans le tabes, d'aboutir à la
d'un processus appartenant exclusiveme.nt aux neurones radiculaires
postérieurs
, mais c'est probablement un phéno- mène général
raxes, occupe dès le début toute la hauteur des fibres radiculaires
postérieures
; dans la ra- cine antérieure elle ne se rencon
les racines an- térieures, de fibres sans myéline dans les racines
postérieures
. Soc. de Biol. 20 mai 1905. Note sur la régén
ol. 20 mai 1905. Note sur la régénération amyélinique des racines
postérieures
dans le tabes et sur les a massues d'accroissem
épartition des lésions cylindraxiles dans les racines antérieure et
postérieure
(état moniliforme). Fig. 3. Etat moniliforme de
niliforme). Fig. 3. Etat moniliforme des cylindraxes dans la racine
postérieure
au point 1 du schéma précédant. ' Fig. 4. Rac
ne subsiste plus qu'à l'état de mince fente. Le corps quadrijumeau
postérieur
gauche est aplati mais pas détruit du tout (PI.IL
re, plus déformé à droite qu'à gauche, plus comprimé dans sa moitié
postérieure
que dans l'antérieure. Le noyau du pathétique s
é plus graves. FIG. 2. - Coupe à la hauteur des corps quadrijumeaux
postérieur
. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T.
e réaction à la lumière est peu en accord avec le fait quela partie
postérieure
du noyau de la 3° paire fut directement plus comp
repliées sur elles-mêmes, le mollet entrant en contact avec la face
postérieure
de la cuisse, les talons touchant les fesses, le
u membre. La pression des muscles, du quadriceps fémoral, du groupe
postérieur
de la jambe ou de la cuisse fait pousser des cr
es. Les muscles les plus scléreux sont naturellement ceux du groupe
postérieur
de la cuisse (biceps, demi-membraneux, demi-ten
endineux) et de la jambe (triceps et fléchisseurs profonds, jambier
postérieur
) ; ceux de la loge antéro-externe de la jambe s
et principalement dans l'abdomen, les crurales, poplitées, tibiales
postérieures
ont des parois infiltrées de pla- ques calcaire
davantage dans les adducteurs, davantage encore dans les mus- cles
postérieurs
de la cuisse; abolie dans les muscles de la jambe
aste interne ; contraction lente dans le biceps et tous les muscles
postérieurs
de la cuisse ; diminution et contrac- tion lent
antes et hislologiquement par une sclérose systématique des cordons
postérieurs
. Le professeur Joffroy (3) a rapporté le cas d'
LPÉTRÈRE DE L'INFLUENCE DE LA SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES
POSTÉRIEURES
SUR L'ÉTAT DES NEURONES PÉRIPHÉRIQUES CONTRIB
ÉRIQUES CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES FIBRES CENTRIFUGES DES RACINES
POSTÉRIEURES
. PAR - e J. Ch. ROUX et Jean HEITZ 1 Ancien
erfs cutanés et des sympathiques, les lésions profondes des racines
postérieures
, telles que peut les réaliser la résection expéri
nerfs cutanés sont proportionnelles en général à celles des racines
postérieures
. (1) NAGEOTTEJ Pathogénie du tabès dorsal. Pres
ROUX ET UE1TZ Si donc, quelques mois après la résection des racines
postérieures
, on pouvait arriver a constater dans les nerfs
ageotte. Dans le cas contraire, si après cette, section des racines
postérieures
, les nerfs périphériques et les cellulesganglio
pas à des fibres centrifu- ges venues de la nioelle par des racines
postérieures
. C'est ainsi que nous avons été amenés à faire
et Presse médicale, si juin 1903. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES
POSTÉRIEURES
299 en temps utile. Dans tous les cas, nous avo
horacique, nous avons pratiqué chez 3 chats, la section des racines
postérieures
dans leur trajet extradural, immédiatement après
adural sont enveloppées dans la même gaine fibreuse que les racines
postérieures
correspondantes. Après écoule- ment d'une quant
nt, comme l'ont montré les autopsies, à une, deux, ou trois racines
postérieures
, selon les cas, depuis la dernière lombaire jusqu
nimaux ont présenté très passagèrement de légères parésies du train
postérieur
, complètement disparues au bout de quelques jours
tissu cellulaire lâche, facile à disséquer, la séparait des racines
postérieures
. Dans tous les cas, sauf chez le chien XI, nous
881. (2) Bonne, Recherches sur les éléments centrifuges des racines
postérieures
. Th. Lyon, 1897.. , (3) KÓ5TER, Zur Physiolog
rsalis. Leipsig, Engelmann, 1904. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES
POSTÉRIEURES
301 Dans deux cas (X et XI), nous avons pris sp
été systématiquement recherché à la suite de la section des racines
postérieures
. Cependant, six à huit semaines après cette secti
Quatre mois après la section simultanée des racines antérieures et
postérieures
, Benucci examinant le nerf sortant du pôle périph
mois après l'opération, trouva intacts le prolongement de la racine
postérieure
au pôle périphérique du ganglion de même que le
t des ganglions consécutives à la section expérimentale des racines
postérieures
. Nous apportions les résultats de l'examen des
nerfs de la queue et de la plante étaient normaux : ceux de la face
postérieure
de la jambe et de la cuisse présentaient des lé
mixtes n'ont pas été examinés. ' SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES
POSTÉRIEURES
303, Dans le travail de Koster (1) dont nous n'
uelques mois après la section (toujours extradurale) des ra-, cines
postérieures
. Par la lecture des observations annexées à ce tr
maux ayant subi simultanément la section des racines antérieures et
postérieures
doivent être écartés, l'interprétation des dégéné
pant au bout de quelques mois dans le territoire cutané des racines
postérieures
sectionnées. Si nous rapprochons les constatati
s cutanés observés chez le chai à la suite delà section des racines
postérieures
correspondantes. Soc. biologie, 8 juillet 1905.
dégénéres- cence des nerfs périphériques, après section des racines
postérieures
corres- pondantes, n'est pas continu et progres
es deux animaux, la section avait porté sur les 2 premières racines
postérieures
sacrées. Parmi les filets cutanés examinés au niv
res sacrées. Parmi les filets cutanés examinés au niveau de la face
postérieure
de la cuisse et du genou, un ou deux seulement d'
es fibres très fines. Chez le chat IX, les nerfs cutanés de la face
postérieure
du genou contenaient également quelques libres
tes, dans les premières semaines qui suivent la section des racines
postérieures
, présentent, d'une manière cons- tante, et dans
t des ganglions sympathiques. L'influence de la section des racines
postérieures
sur l'état du sympathique est également de date
ne de 4 mois), J.-Ch. Roux sec- tionna un certain nombre de racines
postérieures
la région thoracique, du côté gauche. Les anima
égénérescences dans le cordon sympathique après section des racines
postérieures
. On peut donc affirmer l'existence dans le symp
ympathique de fibres venues de la moelle en passant par les racines
postérieures
, fibres qui dégénèrent de la moelle vers la pér
sympathique non plus 2 à 3 semaines après la sec- tion des racines
postérieures
, mais au bout d'un délai beaucoup plus long. Ch
erv. IV, chat adulte, sacrifié 382 jours après section de la racine
postérieure
correspondante du côté gauche dans son trajet i
1er ganglion sacré droit (même observation, chat adulte, la racine
postérieure
correspondante est restée normale). Région du gan
v. V, chat adulte, sacrifié 338 jours après la section de la racine
postérieure
correspondante du côté droit, dans sou trajet e
sale du 10, ganglion thoracique gauche (même observation, la racine
postérieure
correspondante est restée normale), région gangli
. . Fie. 5. luu. 6. Fio. 7. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES
POSTÉRIEURES
Brsssm del ? C. Roux et J. HCtf;.) Masson et Ci
HCtf;.) Masson et Ciel Editeurs. SECTION .EXPÉRIMENTALE DES RACINES
POSTÉRIEURES
307 ques naissent principalement des 5e à 9e ra
(2), après avoir coupé chez le chat la deuxième racine cer- vicale
postérieure
, sacrifiant l'animal au bout de 10, 30 et 60 jour
96, conclut d'une série d'expériences qu'après section de la racine
postérieure
, les ani- maux étant abattus au bout de 8, 12,
lions sympathiques et se diri- geant vers la moelle par les racines
postérieures
. Laignel-Lavastine les a retrouvées dégénérées
res. Laignel-Lavastine les a retrouvées dégénérées dans les racines
postérieures
après ablation expérimentale des cordons thorac
s avancés par Kleist et par Kas- ter, et que la section des racines
postérieures
déterminait des modifications des cellules, et
aire, et on pouvait reconnaître qu'elles prove- naient de la racine
postérieure
, dans laquelle il n'existait que de rares fibres
glanglions du côté témoin. Examen du bout ganglionnaire des racines
postérieures
. Il existe entre les auteurs, à ce sujet, des d
ines vides difficiles à reconnaître. Kleist décrivit dans la racine
postérieure
, au bout de mois, un processus de dégénérescenc
aussi nombreuses que les grosses. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES
POSTÉRIEURES
313 Chez deux autres animaux (VII et IX), la su
. Chez le chat IV et le chat V (aux 338e et 382° jours) les racines
postérieures
se présentaient très altérées, sur les coupes c
e en nombre restreint, dégénérées dès le 15e jour, dans les racines
postérieures
comme dans les troncs mixtes et les nerfs cutanés
ullaire des racines sectionnées. Les fibres centrifuges des racines
postérieures
. Nous ne nous étendrons pas sur les recherches
ion périphérique par l'excitation du bout ganglionnaire des racines
postérieures
et en ont conclu à l'existence de fibres centri
qui sortaient de la corne latérale, s'engageaient dans les racines
postérieures
et traversant les ganglions sans s'y arrêter, p
éjà Waller avait vu que, 10 a 15 jours après la section des racines
postérieures
, il subsistait dans le bout médullaire, environ 3
une première série d'expériences, peu après la section des racines
postérieures
, il trouva dans le bout médullaire toutes les fib
6. Fig. 7. 1"10.8. Fig. 9. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES
POSTÉRIEURES
(J.-C. Roux et J. Heil.) - PLANCHE XLIX FiG
rifié 18 jours après la section des 3', . 4° et 5e racines dorsales
postérieures
, extradurale). Présence de nombreuses fibres à
te, sacrifié 247 jours après la section de trois racines dor- sales
postérieures
du même côté dans leur trajet extradural). On dis
hat adulte, sacrifié 252 fours après la section des 2e et 3 racines
postérieures
du même côté, intra-dura- le). Nombreuses fibre
sociation du bout adhérent à la moelle des 3° et 4* racines sacrées
postérieures
(16 jours après la section). Présence de fibres c
. - Dissociation du nerf efférent du ganglion, continuant la racine
postérieure
, au niveau de la jonction avec la racine antérieu
n avec la racine antérieure (16 jours après la section de la racine
postérieure
). Présence de fibres dégénérées en petit nombre
e ou au milieu des fibres saines. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES
POSTÉRIEURES
315 moins nombreux. Il existait de plus quelque
fibres régénérées du chat IV), N'oublions pas enfin que les racines
postérieures
avaient été non pas section- nées, mais réséqué
1. - Dissociation du bout attenant à la moelle de la 2* racine sacrée
postérieure
gauche (observ. IX, chat adulte, sacrifié 97 jo
g. 2) qui sont vraisemblablement des fibres centrifuges des racines
postérieures
(même technique, même grossissement). 1 cc. 7 à
0. - Dissociation du bout attenant à la moelle delà tr' racine sacrée
postérieure
gauche (ubserv. IV, chat adulle, sacrifié 382 j
ciations du bout attenant au ganglion de la même racine, Ire sacrée
postérieure
gauche (même observation après 382 jours). Dégéné
e technique, même grossissement). SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES
POSTÉRIEURES
317 Il subsiste de nombreuses inconnues dans l'
reuses inconnues dans l'histoire des fibres centrifuges des racines
postérieures
; il reste au point de vue de leur nombre, de leu
ont plus représentées que par des gaînes vides. Du côté des racines
postérieures
, en même temps que les anciennes fibres continu
servés nous amène à concevoir à la suite de la section de la racine
postérieure
, la production d'un processus atrophique portan
ité est sous la dépendance du degré de dégé- nérescence des racines
postérieures
. En face de ces lésions caractérisées, constato
ons décrites par d'autres auteurs après la même section des racines
postérieures
, mais les faits que nous appor- tons démontrent
sus aigu qui se ter- mine en moins d'un an. , Du côté des racines
postérieures
, mêmes différences importantes. Dans le tabes,
Iconogr. de la Salpêtrière, 1902. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES
POSTÉRIEURES
321 Cajal l'a montré à Nageotte (1) et à Marine
porte exclusivement sur les fibres fines centrifu- ges des racines
postérieures
. Il semble en être de même dans le tabes (J.-Ch.
iques, en plus de la disparition des fibres centrifuges des racines
postérieures
, un processus s de névrite périphérique, compar
tte opinion de Koster (1), que la section expérimentale des racines
postérieures
détermine des altérations des nerfs périphériqu
t sous la dépendance d'une dégé- nérescence primordiale des racines
postérieures
. La seule différence entre les deux processus s
de l'atteinte apportée dans les deux cas à l'intégrité des racines
postérieures
. Dans un cas, il s'agit d'une lésion brutale, ins
tabes une certaine part doit être gardée à l'altération des racines
postérieures
, comme cause initiale des altérations névri- ti
diculaire transverse (Nageotte) (3), ou sur la longueur dela racine
postérieure
(Thomas et Hauser) (4), ou sur tout le système
térieure (Thomas et Hauser) (4), ou sur tout le système lymphatique
postérieur
de la moelle (Marie et Guillain) (5). ' Mais,
re, 1902. (5) Marie et GUILLAIN, Les lésions du système lymphatique
postérieur
de la moelle sonl l'origine du processus aaatom
mas, Maladies de la moelle, 1902. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES
POSTÉRIEURES
323 de la lenteur extrême de l'évolution, de la
coup moins constante. + Conclusions. 4 Il existe dans les racines
postérieures
des mammifères, des fibres à myé- line à trajet
les montrent dégénérées trois semaines après la section des racines
postérieures
. Au bout de 7 mois, il ne subsiste comme trace
à la racine sectionnée. 4° 7 à 8 mois après la section des racines
postérieures
, on observe dans les nerfs cutanés correspondan
que permanent et d'évolution très lente comme est celui des racines
postérieures
dans le tabes. Il existe d'ailleurs, entre les
similation possible entre la dégénérescence rétrograde de la racine
postérieure
sectionnée et l'état d'atrophie segmentaire des r
particularités. D'une façon générale, après la section des racines
postérieures
, les processus atrophiques secondaires semblent
sion, qu'en dehors de l'ac- tion méningitique directe sur la racine
postérieure
, une certaine part doit être faite, dans la pat
ation I. Chat adulte. - Section des 3 premières racines thoraciques
postérieures
gauches. - Survie 247 jours. - Intégrité des cell
de la dure-mère. 3 jours après l'opération, légère parésie du train
postérieur
qui disparaît complètement au bout de quelques
trisation par première intention. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES
POSTÉRIEURES
325 Dans le milieu de l'été, l'animal est pris
ce fente, remplie de tissu fibreux. La dure-mère adhère aux racines
postérieures
par du tissu cellulaire lâche, plus serré du cô
u tissu cellulaire lâche, plus serré du côté sectionné. Les racines
postérieures
coupées n'ont laissé, au voisinage de la moelle
ésente pas de modification de sa structure. Les coupes de la racine
postérieure
cor- respondante (bout ganglionnaire) montrent
ures 3 et 4(planche XLIX) représentent 2 filets cutanés, perforants
postérieurs
d'un des nerfs intercostaux gauches. On y voit de
res et de la première sacrée. Sec- tion intradurale de deux racines
postérieures
du côté gauche, que l'autopsie a montré plus ta
ns complètement que chez le chat T. Dure- mère adhérant aux racines
postérieures
des deux côtés, mais faciles à en sépa- rer. Le
x corresoondants de chaque côté ; SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES
POSTÉRIEURES
327 et disséquons sysmétriquement de chaque côt
ènes exter- nes, les nerfs plantaires cutanés, les nerfs de la face
postérieure
de la jambe et de la cuisse, les nerfs de la qu
eue, des nerfs plantaires, mais dégénérescence des nerfs de la face
postérieure
de la jambe et de la cuisse, soit exclusivement
une longueur de 3 gaz 4 millimètres, de 3 ou 4 filets radiculaires
postérieurs
gauches, correspondant aux 2. et 3' nerfs sacré
eux périphériques, à' ! a croupe, au périnée, à la queue, aux faces
postérieures
des cuisses et des jambes, à la région plantair
Chat adulte. Section de la 5e lombaire et des 3 pre- mières sacrées
postérieures
gauches. - Survie 382 jours. Intégrité des cell
égénérées dans le bout médullaire des racines sectionnées ; racines
postérieures
droites normales. Pas de dégénérescences dans l
extradurale. Nous gar- dons également comme comparaison les racines
postérieures
du côté droit. Les racines antérieures sont vér
sur la figure 3 de la même plan- SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES
POSTÉRIEURES
329 che, exécutée à un plus fort grossissement.
iniques noires. Il s'agit, sans aucun doute, des fibres des racines
postérieures
, prolongements cen- traux des cellules bipolair
nalogues quoi- que peut-être un peu moins prononcées. Les racines
postérieures
ont été examinées par dissociation. Le bout atten
lames des 10° et il,, vertèbres dorsales. Section des deux racines
postérieures
du côté droit, à leur sortie de la dure-mère (rac
eons osseux insuffisants. Nous vérifions que les 10" et 11° racines
postérieures
droites ont bien été sectionnées, et que les ra
de l'autre côté. Aucune diminu- SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES^
POSTÉRIEURES
331 tion du nombre des cellules, aucune trace d
ne trace de ratatinement ni d'atrophie. Sur les coupes de la racine
postérieure
au voisinage du ganglion nous avons pu vérifier
VI. Chat adulte. - Section des 10°, 1 la et zu racines thoraciques
postérieures
. - Meurt le 10e jour. Chat de 4 k. 500, opéré l
aciques et on sectionne à la a sortie de la dure-rnère, les racines
postérieures
portant les mêmes chiffres. Réunion sans suppur
cines sectionnées, a provoqué chez l'animal une paraplégie du train
postérieur
. . Il ne mange pas et meurt le 14 mai, après un
tion VII. Chat adulte. Section des deux premières racines sa- crées
postérieures
gauches. Survie 77 jours. Intégrité des cellules
iquement les nerfs de la queue, de la fesse, du périnée, de la face
postérieure
de la cuisse et de la jambe. Examens HISTOLOGIQ
, non plus que sur les coupes de la partie y attenante de la racine
postérieure
, au- cune fibre à myéline altérée, comme nous a
, comme nous avions pu en noter dans les gan- glions et les racines
postérieures
des chats IV et V. Ici, les fibres à myéline de
sentent aucun signe de dégénères- SECTION expérimentale DES racines
postérieures
333 cence. Les fibres efférentes du pôle périph
pôle périphérique sont de même tout à fait normales. Les racines
postérieures
ont été examinées par dissociation. Celles du côt
phériques nous n'avons pu examiner que les nerfs cutanés de la face
postérieure
de la cuisse et du genou. Nous n'avons trouvé s
rvation VIII. Chien adulte. Section des 4 premières racines sacrées
postérieures
gauches. SU1'vie 14 jours. Figures de dégénéresce
ets radiculaires, qui correspondent aux 2 premières racines sacrées
postérieures
gauches. L'animal meurt le 27 décembre de ménin
ibres se trou- vant dans le territoire de la lre ou de la 2e racine
postérieure
sacrée). Observation IX. Chat adulte. Section d
bservation IX. Chat adulte. Section des 2 premières racines sacrées
postérieures
gauches. - Survie 97 jours. - Intégrité des cellu
ères racines sacrées. Réunion sans suppuration, parésie des membres
postérieurs
très légère et transitoire. L'animal reste en bon
es nerfs cutanés des fesses, de la fosse ischio-rectale, de la face
postérieure
de la cuisse et du genou, des deux côtés. Exame
caractère pathologique, ni des cellules ni des fibres. Les racines
postérieures
du côté droit sont normales sur dissociations.
des deux côtés, et avons trouvé dans les rameaux cutanés de la face
postérieure
du genou un certain nombre de fibres en état de
ns pas noté de dégénérescences. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES
POSTÉRIEURES
335 Observation X . - Chien adulte. Section des
sur une longueur de 3 à 4 millimètres, de 3 à 4 filets radiculaires
postérieurs
du côté droit dans leur trajet intra-dure-mérie
à travers les plans fibreux en formation, les restants des racines
postérieures
droites sectionnées, prélevons les filets atten
nts, et nous prenons séparément la portion extradurale de la racine
postérieure
, le ganglion, et le nerf efférent de ce ganglio
racines sectionnées (côté gauche). On prélève également les racines
postérieures
, les ganglions et le nerf efférent du pôle péri
la queue. Examens rrISTOLOGIQUES. - Le bout médullaire des racines
postérieures
présente un certain nombre de fibres intactes,
u où sont accolés dans une gaîne commune les filets anté- rieurs et
postérieurs
. Observation XII. - Chat adulte. Section des 3e
XII. - Chat adulte. Section des 3e, 4° et 5e racines thoraci- ques
postérieures
gauches. -Survie 18 jours. - Nombreuses fibres fi
er le 21 juillet 1899 ; section des 3°, 4e et 5e raci- nes dorsales
postérieures
gauches, entre la moelle et le ganglion. L'animal
l'examen macroscopique. La moelle est de volume normal. La méninge
postérieure
est très épaissie sur- tout au niveau de sa par
uction du pédoncule cérébelleux supérieur, du faisceau longitudinal
postérieur
, de la petite racine motrice descendante du tri
et du pédoncule cérébelleux supérieur, au faisceau loncitu : dinal
postérieur
, sauf quelques fibres. La petite racine motrice d
t moins touchée (fig. 3). Les noyaux de la XIIe paire et les noyaux
postérieurs
de la XI" paire montrent avec des colorations o
peut dire la même chose à l'égard des noyaux latéraux antérieurs et
postérieurs
du bulbe et des noyaux de la XlIe paire.Au nive
fibres nerveuses normales situées à peu près au niveau de la partie
postérieure
du faisceau de Burdach. La moitié droite, au cont
bon état (fig. 7). Au niveau de la 2e racine lombaire, les cordons
postérieurs
sont pres- que normaux. A gauche est bien conse
el 5" racines lombaires, les cordons antéro-latéraux et les cordons
postérieurs
sont à peu près normaux, sauf una légère sclérose
ation est surtout très prononcée au ni- veau du sillon longitudinal
postérieur
et autour des vaisseaux et présente ceci de car
ots de tissu nerveux sain ou à peu près. Les racines antérieures et
postérieures
apparais- sent presque complètement normales pa
ffre à l'observation un certain degré d'épaississement des méninges
postérieures
. Les racines ne sont pas grises. Tout ce qu'on pe
veux central. Léger épais- sissement méningé surtout dans la partie
postérieure
de la moelle et au niveau des zones scléreuses.
aît la valeur des paro- les et des tons. , Ferrand, en un travail
postérieur
(1), a insisté sur ces formes patholo- giques d
me. Elle siège dans l'hémipont droit, intéressant surtout la partie
postérieure
du faisceau moteur, laissant libre plus de sa moi
ceau moteur cesse d'être intéressé, la lésion lui est immédiatement
postérieure
et s'arrête enfin à 5 millimètres au-dessus du si
eds sont également augmentés de volume, surtout dans le sensantéro-
postérieur
, mais leurs dimensions sont moins exagérées par r
supplémen- taire creusée dans le sphénoïde. Les lobes antérieur et
postérieur
de l'hypo- physe ne sont plus apparents, il est
as le signe caractérique de la com- pression du chiasma à sa partie
postérieure
, c'est-à-dire l'hémianopsie bitemporale. L'auto
e. Beaucoup de fibres de nouvelle formation proviennent des racines
postérieures
et pénètrent dans la moelle avec les vaisseaux
par conséquent une régénérescence double, l'une partie des racines
postérieures
et l'autre de la substance blanche de la moelle.
sommairement dans un travail récent la régé- nérescence des racines
postérieures
et de la moelle consécutive aux sec- tions expé
es nerveuses ni In ti l d'une part, du point de section des racines
postérieures
vers la moelle (quelques-unes de ces fibres pén
s la cicatrice. Le mécanisme de régénération des libres des racines
postérieures
est tout à fait semblable à celui que M. Ramon y
abondan- tes dans les faisceaux de la région antérieure des cordons
postérieurs
. Il s'agit la pluparL du temps d'axones assez r
vec les neurones normaux. La portion post-ganglionnaire des racines
postérieures
coupée dans celle expérience de Cajal présente
es expériences démontrent suivant Cajal, que les axones des racines
postérieures
et la substance blanche médullaire sont suscept
l'extrémité des fibres du faiscean latéral qu'au niveau des cordons
postérieurs
, leur direction est tantôt ascendante, tantôt des
l'épaisseur de la cicatrice (Fig. 4). Les modifications des racines
postérieures
sectionnées sont tout à fait caracté- ristiques
ps de celle-ci, au niveau Fic.. 5. Coupe longitudinale de la racine
postérieure
dans son trajet arachnoïdien (section de la moe
on peut suivre sur un grand trajet provenant évidemment des racines
postérieures
sectionnées par la compression. On retrouve dan
ans sa partie moyenne ? Evidemment qu'elles proviennent des racines
postérieures
englobées dans le processus pathologique. En ef
eures englobées dans le processus pathologique. En effet, la racine
postérieure
dans son trajet arachnoïdien présente les phéno
uro-fibrilles ou bien un état de gonflement. Les fibres des racines
postérieures
disposant de capacités plus grandes de régé- né
rmation que nous trouvons dans la cicatrice proviennent des racines
postérieures
, car elles présentent tous les caractères des fib
sent pas épaissies. Rien à noter du côté des racines. Les racines
postérieures
sont essentiellement constituées au niveau de la
es généraux de celles que nous ve- nons de décrire dans les racines
postérieures
; on distingue aussi quelques fibres qui se cou
ERCHES SUR LA RÉGÉNÉRESCENCE DE LA MOELLE 439 La région des cordons
postérieurs
, au-dessus de la compression, est parsemée d'un
ines atrophiées ou en voie de dégénérescence. Intégrité des racines
postérieures
qui sont absolument normales, avec gaines de myél
olument intacte. Il n'existe pas de lésions appréciables des cornes
postérieures
, les collatérales courtes et longues sont intac
érales courtes et longues sont intactes, aussi bien que les racines
postérieures
à leur pénétration dans la moelle (PI. LXIII).
mêmes caractères, en particu- lier nous signalons celle de la face
postérieure
des cuisses qui s'étend également sur les fesse
opposé. L'avant-bras présente une direction curviligne à convexité
postérieure
: sa longueur n'est que de 15 centimètres, tand
nerfs périphériques, les troncs nerveux, les racines antérieures et
postérieures
, avec lésions médullaires consécutives ; d'oit
ès léger degré de flexion dorsale, et avec les muscles de la région
postérieure
de la jambe, un très léger degré de flexion plant
gmentée. Les pieds appuient sur le sol, sur les talons antérieur et
postérieur
, ainsi que sur l'extrémité antérieure du cinqui
RSTITIELLE HYPERTROPHIQUE ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE 481 la partie
postérieure
des côtes du côté droit, qui bombent en arrière,
mains, diminue également en remontant. Sur la face antérieure et
postérieure
du tronc, la sensibilité tactile et dou- loureu
nes antérieures que pour les racines 486 DEJERINE ET ANDRÉ-THOMAS
postérieures
; que pour les racines antérieures l'hypertrophie
depuis la moelle jusqu'au canal dure-mérien ; que pour les racines
postérieures
c'est l'inverse qui tend à se produire, l'extrémi
rémité médullaire. Ces différences entre les racines antérieures et
postérieures
, et pour cha- cune d'elles entre l'extrémité ga
ni augmentée de volume ; on ne constate que l'atrophie des cordons
postérieurs
qui sont moins larges et ont une teinte gris ro
ieurs qui sont moins larges et ont une teinte gris rosé. Les cornes
postérieures
sont très rapprochées l'une de l'autre. Il exsste
te également un léger degré de leptoméningite au niveau des cordons
postérieurs
: la dure-mère ne présente aucune altération.
ur quelques faisceaux du sciatique, pour les racines antérieures et
postérieures
. Mais nous avons pu suivre, sur les coupes de m
iné par ce procédé une racine lombaire (racine antérieure et racine
postérieure
). 490 DEJERINE ET ANDHÉ-TilOMAS Racine antéri
es, de différencier le tissu conjonctif des gaînes vides. Racines
postérieures
. Elles présentent un aspect un peu différent des
quelque sorte pour les nerfs moteurs une marche ascendante. Racines
postérieures
. Rien n'est plus intéressant que de comparer les
intéressant que de comparer les racines antérieures et les racines
postérieures
au voisinage du ganglion rachi- dien. C'est ain
es sont devenues complète- ment scléreuses, les fibres radiculaires
postérieures
sont engainées par des manchons analogues à ceu
oisinage de la moelle. Au-dessous du ganglion l'aspect de la racine
postérieure
se rapproche davan- tage de celui de la racine
antérieure et la circonférence de la moelle et le diamètre antéro-
postérieur
des cordons antéro-latéraux à ce niveau est augme
ù plupart ont perdu leur gaîne de myéline. L'altération des cordons
postérieurs
, déjà des plus manifestes à l'oeil nu, occupe u
r exemple, sur les coupes colorées par la méthode de Pal, le cordon
postérieur
est décoloré sur toute sa surface, cependant il
médian. Les zones de Lissauer sont également plus pâles. Les cornes
postérieures
sont petites et les fibres à myé- line y sont t
orées au Pal, par leur teinte plus foncée : tout le reste du cordon
postérieur
est au contraire pâle, il en est de même de la
, il en est de même de la zone de Lissauer (PI. LXXIX A'). La corne
postérieure
est très réduite et pauvre en fibres à myéline.
postéro-externe et dans la zone de Lissauer. L'atrophie des cornes
postérieures
est la même : les fibres collatérales réflexes so
ve des zones cornu-commissurales, du septum, des zones radiculaires
postérieures
est encore plus apparente ; les fibres sont éga
éseau myélinique est presque complètement disparu : la commis- sure
postérieure
est intacte. XII° dorsale. - La dégénérescence
le long du septum médian, ainsi qu'un petit triangle à l'extrémité
postérieure
du septum. Dans la partie externe du cordon pos
l'extrémité postérieure du septum. Dans la partie externe du cordon
postérieur
la raréfaction est beaucoup moins con- sidérabl
zones cornu-commissurales et dans l'angle postéro-externe du cordon
postérieur
. 1 Les diamètres de la corne postérieure sont à
postéro-externe du cordon postérieur. 1 Les diamètres de la corne
postérieure
sont à peu près revenus à la normale et son rés
ications sont à peine appréciables. VIe el Ve dorsales. Le cordon
postérieur
est sensiblement réduit dans son diamètre trans
r est sensiblement réduit dans son diamètre transversal, les cornes
postérieures
sont rapprochées." Le fais- ceau de Goll est tr
hent sensiblement de la normale. Le tassement qu'a subi le cordon
postérieur
rend certainement les dégéné- rescences moins i
la zone radiculaire moyenne est toujours la plus prise. Les cornes
postérieures
sont à peine plus petites qu'à l'état normal, mai
âle au niveau de la VIIe racine cervicale (PI. LXXIV A). Les cornes
postérieures
ont à peu près leurs dimensions habituelles, leur
rescence du cordon de Goll se limite de plus en plus vers le tiers
postérieur
, de même les limites du cordon de Goll et du co
ne la plus prise dans les cordons de Burdach : l'aspect de la corne
postérieure
et de son réseau, de la zone de Lissauer, est l
Weigert pour la névroglie. Elle permet de constater dans le cordon
postérieur
une très riche prolifération névroglique formée p
au milieu de laquelle, du moins dans la partie cen- trale du cordon
postérieur
, on ne trouve qu'un nombre très restreint de cyli
s ses modes sur les deux tiers supérieurs des régions antérieure et
postérieure
du tronc, ainsi que sur la face, le crâne, les
aires ne sont que la conséquence de la dégé- nérescence des racines
postérieures
, elles ne diffèrent en rien de la sclérose des
postérieures, elles ne diffèrent en rien de la sclérose des cordons
postérieurs
qu'on observe dans le tabes ; nous ne nous y arrê
(1) Elle a été mentionnée une seule fois par Hayem sur les racines
postérieures
dans un cas d'atrophie musculaire deutéropathiq
. Archiv für Psychia trie, 1889. 308 DEJERINE ET ANDItÉ-THO11AS
postérieurs
de la moelle.- L'observation de Dubreuilh (1), qu
nt signalées des altérations des nerfs périphériques et des racines
postérieures
sans état hypertrophi- que, et des lésions des
postérieures sans état hypertrophi- que, et des lésions des cordons
postérieurs
analogues à celles que l'on ren- contre dans le
intégrité des nerfs cutanés, des racines antérieures et des racines
postérieures
(sauf dans la région dorsale,où elles présenten
des parties détruites, et le tassement du rachis. Tantôt, la partie
postérieure
des corps vertébraux sus- jacents à la carie, e
un et dans l'autre cas, la moelle peut être écrasée contre la paroi
postérieure
du rachis, si la lésion siège à la région dorsale
u- berculeux, collecté sous le périoste ou le ligament longitudinal
postérieur
, exerce sur la moelle une action analogue à cel
parfois même avec altérations dégénératives, qui, pour les racines
postérieures
, ont été suivis, dans certains cas, jusque dans
rieures, ont été suivis, dans certains cas, jusque dans les cordons
postérieurs
. Fréquemment, les auteurs signalent des altérat
inent, d'ordinaire, dans la région centrale des cordons latéraux et
postérieurs
. A leur niveau, la névroglie apparaît épaissie,
vec effondrement des VIe et Vile corps vertébraux dorsaux.La partie
postérieure
du VI" fait une saillie accusée dans le canal rac
ieure des cordons an- téro-latéraux, et dans la partie centrale des
postérieurs
; léger épaississement de la névroglie ; dans l
ses caséeuses : l'an- térieure, prévertébrale, plus volumineuse; la
postérieure
, épidurale, mesure 2 centimètres de hauteur sur
nt de la névroglie, dans la partie profonde des cordons latéraux et
postérieurs
, avec début de nécrose,et 2 ou 3 petits foyers
3 petits foyers d'hémorragie capillaire, notamment dans les cordons
postérieurs
. Intégrité complète des autres vaisseaux et des
sans pigmentation. Dans la partie centrale des cordons latéraux et
postérieurs
, grosse dilatation de nombreuses gaines myélini
granulations noires par le Marchi de la région centrale des cordons
postérieurs
; cellules nerveuses intactes : oblitération du
on osseux, réduisant à 5 millimètres au maximum le diamètre antéro-
postérieur
du canal rachidien au niveau de la VIe vertèbre d
mois après, courbature lombaire avec irradiation le long de la face
postérieure
des membres inférieurs ; ces douleurs, surtout no
monaire. Plusieurs foyers d'ostéite costale tuberculeuse; à la face
postérieure
des IIe,IIIe, IVe corps vertébraux sacrés,carie
d'une manière intense avec des lésions dégénéra- tives des cordons
postérieurs
présentant leur maximum au niveau des 2e et3* p
s tard, elle reparaissait, étendue au sacrum, et le long de la face
postérieure
des membres inférieurs, dans toute leur hauteur
uve, au-dessus,une pâleur diffuse de la partie centrale des cordons
postérieurs
, disparaissant presque complètement vers C 11. Da
es de quelques cellules. OBS. X (n° 877 ? Carie minime de la face
postérieure
des corps des Ve et VIe vertèbres cervicales :
Mort le lendemain. Autopsie. Pas de tuberculose pulmonaire.La face
postérieure
des corps des Ve et VIe vertèbres cervicales pr
s : les racines droites et l'antérieure gauche semblent saines ; la
postérieure
gauche renferme des cylindres-axes irrégulièremen
rouvent, à un degré moindre, dans la moelle lombaire. Les racines
postérieures
du côté gauche présentent, au niveau du foyer épi
nératives d'intensité variable, mais plus marquées pour les racines
postérieures
.Il est difficile de dire exactement quelle part r
dégénérescence musculaire observée cliniquement ? Quant aux racines
postérieures
, elles sont atteintes dans les trois cas,mais s
aient encore détermi- né des dégénérations ascendantes des cordons
postérieurs
. Dans la moelle (Obs. X),les lésions « d'oedème
ilitiques : épaississement dans la région lombo-sacrée des méninges
postérieures
, avec sclérose notable des leptomé- ninges, au
idural et à, l'englobement des racines. Quelques fibres des cordons
postérieurs
dans la région sacrée prennent le Marchi un peu
mentation. Dans la région sacrée, lésions dégénératives des cordons
postérieurs
,diffuses, mais avec prédominance pour les zones
vrant en plusieurs endroits dans le canal rachidien ; sur la partie
postérieure
du VIe corps,foyer tuberculeux en activité, se pr
IX, fig. 3, face antérieure de la 532 ALQUIER moelle : ug. 2 face
postérieure
) deux masses lardacées englobant les racines et
fuse,prédominante à la partie antérieure des cordons antérieurs et
postérieurs
. Dans les cordons latéraux, un certain nombre d
ssé les parties voisines et refoulé l'une contre l'autre les cornes
postérieures
. Mêmes lésions, mais plus légères,dans la parti
lésions, mais plus légères,dans la partie superficielle des cordons
postérieurs
. Canal central oblitéré, cellules nerveuses glo
aire, légères lésions dégénératives au Pal et au Marchi des racines
postérieures
; dans les cordons postérieurs, dégénération nett
ves au Pal et au Marchi des racines postérieures ; dans les cordons
postérieurs
, dégénération nette, respectant la zone commiss
respectant la zone commissurale et la partie marginale des cordons
postérieurs
. Dans la région cervicale supérieure, on trouve
r de carie sur le corps de la Xe vertèbre dorsale, limité à sa face
postérieure
, et pointant vers l'espace épidural, qui n'est
étendu sur une hauteur de plusieurs segments au niveau des cordons
postérieurs
à la région dorsale moyenne. ' Tels sont les
sion osseuse. - Trois fois, un éperon osseux représenté par le bord
postérieur
d'un corps vertébral détruit et effondré dans sa
a saillie de. la VIe dorsale, aplatissant la moelle contre les arcs
postérieurs
, réduit déplus de moitié, son diamètre antéro-pos
sieurs des muscles innervés par le plexus sacré. Pour les racines
postérieures
qui, cependant, paraissent, d'ordinaire plus at
is fois seulement (obs. 1, VIII, XIII) nous voyons dans les cordons
postérieurs
, des lésions de dégénération ascendantes, en ra
insi- gnifiantes. Dans l'observation XV, existait, dans les cordons
postérieurs
, un foyer étendu de myélomalacie, peut-être d'o
ane n'a pu, même alors, déceler la lésion minime existant à la face
postérieure
des Ve et VIe corps vertébraux ; c'est dire qu'
ique, de forme vaguement triangulaire à sommet antérieur, et à base
postérieure
, mesure 14 millimètres dans le sens frontal et 13
e feutrage sous-lobaire indifférencié des lobes grêle, quadrilatère
postérieur
et semi-lunaire. Sur une coupe parallèle à la p
aune rougeàtre, occupaut le lobe semi-lunaire inférieur et le quart
postérieur
du lobe grêle. II. Etude des dégénérescences li
bre dévie médian, et les lobes, central, quadrilatères antérieur et
postérieur
. Il existe de grosses granulations noires de dé
r et de grosses granulations dans la partie inférieure et la moitié
postérieure
de l'arbre de vie, paraissant correspondre aux fi
oyers de dégénérescence lFig. 3). Les deux supérieurs, antérieur el
postérieur
, correspondent aux fibres semi- FIG. 1 ric. 2
ires : 4° Des fibres semi-circulaires internes (FSCI) dans le tiers
postérieur
de l'olive ; 2° Des fibres semi-circulaires e
(FPM), dans un croissant à concavité antérieure allant de la partie
postérieure
de l'olive au feutrage sous- lobaire du lobe se
égénérescences occupent essentiellement 3 territoires : 1° Le tiers
postérieur
du feutrage intra-ciliaire (FIC) ; 2° La substa
le feutrage extra-ciliaire, et le dernier dans la substance blanche
postérieure
. Sur une coupe (fig. 8) plus inférieure, le foy
ion réticulée, le noyau central supérieur, le faisceau longitudinal
postérieur
, le faisceau central de la calotte,et le ruban
en réseau les corps restiformes et vont se grouper dans leur angle
postérieur
. Elles montent ainsi jusqu'à la partie supérieure
entre l'embolus et l'olive, ainsi qu'à la face interne de la moitié
postérieure
de l'olive où elles prennent part au plexus int
générescence d'une partie du feutrage intra-ciliaire dans sa moitié
postérieure
; d'autre part,on cons- state dans l'olive bulb
- bituelle ; la supination active et passive est limitée. A la face
postérieure
, le ' cubitus est plus proéminent que dans la n
xtenseur long et court et long abducteur du pouce), du cubital pos-
postérieur
; hypoexcitabilité accentuée du cubital antérieur
onctifs qui s'enfoncent dans la substance médullaire. Les faisceaux
postérieurs
et latéraux sont sclérosés avec diminution évid
t au système visuel et forment, avec les fibres cortico-thalamiques
postérieures
, les radiations optiques de Gratiolet. Elles LE
ap- sule interne, le même trajet que les fibres cortico-thalamiques
postérieures
auxquelles elles sont intimement unies . » De p
s centres nerveux (t. II), pour apprendre que les fibres du segment
postérieur
de la couronne rayonnante, « proviennent de la
ariétales supérieure et inférieure, etc. ». « Les fibres du segment
postérieur
se disposent en deux couches sagittales, l'une
tion nous a paru nécessaire, car il est fait mention de « seg- ment
postérieur
» dans la note additionnelle (p. 1112, no 22, 190
escence très nette des couches sagittales des segments inférieur et
postérieur
de la cou- ronne rayonnante, intéressant plus p
segment rétrolenticulaire et l'autre la partie moyenne du segment t
postérieur
de la capsule interne (c'est un siège admirable,
), « la dégénérescence complète des couches sagit- tales du segment
postérieur
de la couronne rayonnante (faisceau longitudinal
ux, t. II, p, 109) : « Une dégéné- rescence très intense du segment
postérieur
de la couronne rayonnante dans les couches sagi
coupe, les fibres géniculo-calcariniennes de la couronne rayonnante
postérieure
; elles constituent la majeure partie des fibres
et ne dépasse pas en avant une ligne verticale ra- sant l'extrémité
postérieure
de la couche optique, elle sectionne à ce niveau
e niveau l'isthme de la circonvolution de l'hippocampe et le pilier
postérieur
du tri- gone, etc. » . Il ressort donc très n
une dégénérescence très intense des couches sagittales des segments
postérieur
et inférieur de la couronne rayonnante J'. Ab
uvelle Iconog., 1906, n° 2, p. 190) ; ramollissement des deux tiers
postérieurs
de la troisième circonvolution temporale et de la
e réunion de ses deux lames. Cependant l'on n'observe sur les plans
postérieurs
qu'une zone de dégénérescence très limitée, elle
externe ». S'il s'agit d'un foyer profond de la région temporale
postérieure
, et surtout si cette lésion est ancienne, on co
t si cette lésion est ancienne, on constate également sur les plans
postérieurs
une dégénérescence rétrograde de la couche inte
foyers siègent conforta- blement dans la partie moyenne du segment
postérieur
et dans le segment ré- trolenticulaire de la ca
es radiations corti- cales, pour que la grosse réaction des régions
postérieures
trouve une expli- cation logique. .Peut-on pa
e rétrograde de telle, ou de telle autre dégénérescence des régions
postérieures
. Les planches qui se rapportent aux cas très in
nnaire circonscrite, sans lacunes de désintégration du centre ovale
postérieur
. Un tel cas supposé,il fau- drait constater, su
sentent plus le même aspect dès que l'on dé- passe en avant le plan
postérieur
du corps genouillé externe ; entre ce niveau et
ongueur comme le sont les fibres qui passent du genou et du segment
postérieur
de la capsule interne dans le pied du pédoncule
pyramidal et concourt également à former le cinquième in- terne et
postérieur
du pied du pédoncule que nous décrivons. Bien ent
fibres calleuses de régions antérieures qui se rendent à la partie
postérieure
du tronc du corps calleux ; par les nombreuses fi
acoustique centrale se termine en partie dans le corps quadrijumeau
postérieur
. Or, nous savons que le pulvinar et le tubercul
t des cornes antérieures de la moelle et qui se rendent aux racines
postérieures
; car la bandelette est sensorielle. Le lobe oc
blable par des fibres commissurales qui passent par la com- missure
postérieure
. Or, ce centre optique primaire ne siège pas da
prennent naissance dans la couche optique et se rendent à la partie
postérieure
de la région rolandique, ce sont de véritables
ndent assez vraisemblable. La zone rolandique reçoit dans sa partie
postérieure
les fibres thalamo-cor- ticales destinées à tra
e noyau d'origine du faisceau optique central et c'est dans sa partie
postérieure
et supérieure que s'épuisent les radiations cor
n système commissural fort complexe; nous croyons que la commissure
postérieure
renferme un certain nombre de ces fibres. Quant
ns que le corps genouillé externe envoie des fibres à la commissure
postérieure
à même titre que le pulvinar et le corps quadri
l'ensemble des libres qui se terminent dans les noyaux des cordons
postérieurs
. Cependant le faisceau optique central est sens
x (J.-C.). De l'influence de la section expérimentale des racines
postérieures
sur l'état des neurones pé- riphériques (3 pl,
ux et Heitz. De l'influence de la section expérimentale des racines
postérieures
sur l'état des neurones périphériques (3 pl.
es adoles- cents (1 pl.), par BRISSAUD et Moutier, 129. Racines
postérieures
(de l'influence de la section expérimentales de
et scoliose des adoles- cents (BRISSAUD et Moutier), XX. Racines
postérieures
(sections) (J.-C. Roux et J. HEiTz), XLVIII, XL
nsé vers la tête ; et la tige se raccourcissant, les segments nerveux
postérieurs
sont souvent placés très en avant des segments ve
ent par les espaces intervertébraux devront se rattacher aux segments
postérieurs
du corps par de plus longues racines. Ces racines
médian antérieur ; celui qui est au côté dorsal est le sillon médian
postérieur
. En créant ces dénominations on a eu égard à l'at
l'existence; quelques auteurs ne reconnaissent point celle du sillon
postérieur
. Suivant quelques autres, il est oblitéré dans ce
cordon antérieur ; l'autre est beaucoup moins épais , c'est le cordon
postérieur
. Voilà une première division. Le grand cordon a
médiaire. Un petit fascicule bien distinct borde ce cordon à son côté
postérieur
. Il a reçu le nom de funicule accessoire du cordo
ans chaque moelle trois cordons principaux. L'antérieur, le moyen, le
postérieur
; deux sillons longitudinaux distinguent ces cordo
plus profond et tracé d'une manière plus ferme, est le sillon latéral
postérieur
. Les filaments des racines postérieures des nerfs
us ferme, est le sillon latéral postérieur. Les filaments des racines
postérieures
des nerfs spinaux y sont régulièrement implantés.
eures des nerfs spinaux y sont régulièrement implantés. Les cordons
postérieurs
présentent une particularité remarquable. En cert
s régions ils semblent ne point border immédiatement le sillon médian
postérieur
; un petit funicule accessoire forme dans ce cas l
ans son excellent ouvrage, les désigne sous le nom de cordons médians
postérieurs
. Peut-être serait-il mieux de les nommer funicule
re serait-il mieux de les nommer funicules marginaux du sillon médian
postérieur
. Que sont ces funicules? sont-ils une dépendanc
érieur. Que sont ces funicules? sont-ils une dépendance des cordons
postérieurs
? doit-on les considérer comme formant un système
représentent les cordons antérieurs, les deux autres sont les cordons
postérieurs
. Ces cordons postérieurs sont remarquables. Plu
térieurs, les deux autres sont les cordons postérieurs. Ces cordons
postérieurs
sont remarquables. Plus ils s'avancent vers la ré
s ont complètement disparu. Cette atténuation graduelle des faisceaux
postérieurs
de la région caudale donne l'idée d'un épuisement
côtés, et constituent au niveau de la région lombaire, des cordons
postérieurs
nouveaux. Ces cordons, séparés d'abord l'un de l'
cordons, séparés d'abord l'un de l'autre par l'extrémité des cordons
postérieurs
de la région caudale, se rapprochent de plus en p
rapprochent de plus en plus et bordent immédiatement le sillon médian
postérieur
au niveau de la région dorsale. Mais à leur tour,
ervicale, et leurs tiactus singulièrement amoindris forment au sillon
postérieur
une bordure très-mince, sur les côtés de laquelle
es côtés de laquelle se constituent graduellement de nouveaux cordons
postérieurs
par l'adjonction de fibres nouvelles, en regard d
cette succession de fibres qui se remplacent, l'ensemble des cordons
postérieurs
dans le rachis comprend trois systèmes distincts,
lombaire où les funicules ont reçu le nom impropre de cordons médians
postérieurs
. 2° Le système lombo-dorsal qui s'épuise graduell
ù ses extrémités atténuées reçoivent encore le nom de cordons médians
postérieurs
. 3° Enfin, le système cervical qui s'atténue, il
s systèmes. En conséquence de ces observations, les cordons médians
postérieurs
sont évidemment dans chaque région, Vextrémité at
s sont évidemment dans chaque région, Vextrémité atténuée des cordons
postérieurs
gui viennent des régions situées en arrière. Ces
et épuisement successif, et cette reproduction incessante des cordons
postérieurs
dans toute la longueur de la moelle est l'un des
e rattachent les racines antérieures de ces nerfs ; au sillon latéral
postérieur
sont attachées leurs racines postérieures ; on sa
ces nerfs ; au sillon latéral postérieur sont attachées leurs racines
postérieures
; on sait que ces dernières se distinguent aiséme
sont, quoi qu'on en ait pu dire, exclusivement motrices; les racines
postérieures
, au contraire, sont des conducteurs d'impressions
fuges pour les racines antérieures, et de fibres centripètes pour les
postérieures
. Il est bien entendu qu'en s'exprimant ainsi, on
nt occupés du système nerveux, a faites sur les ganglions des racines
postérieures
. Ces ganglions sont remarquables à un autre point
certain que le plus grand nombre des fibres qui composent les racines
postérieures
des nerfs se continuent avec celles des cordons p
racines postérieures des nerfs se continuent avec celles des cordons
postérieurs
. Il n'est pas moins évident que les racines antér
centes ont fait connaître. Il n'en est pas moins vrai que les cordons
postérieurs
sont exclusivement sensitifs, et les cordons anté
est logé dans le centre du faisceau anterolateral. Quant au tranchant
postérieur
, il fait, en certains lieux, saillie à la surface
lie à la surface de la moelle, et se montre au fond du sillon latéral
postérieur
sous la forme d'une traînée grise longitudinale.
u tranchant antérieur est rougeâtre et spongieuse; celle du tranchant
postérieur
est foncée et gélatineuse en apparence. Nous verr
e est blanche, elle unit entre eux les cordons antérieurs. La lamelle
postérieure
est grise, elle unit les deux axes gris par un tr
La première enveloppe des fibres nerveuses qui composent les racines
postérieures
des nerfs, cesse brusquement au point d'implantat
ent la substance de leurs cornes antérieures de celle de leurs cornes
postérieures
. A ces différences correspondent des différences
ineuses, et dont les prolonge ments vont enfin s'unir aux faisceaux
postérieurs
; ainsi le plexus des cellules de la moelle sert d
lules de la moelle sert d'intermédiaire entre le système des 'cordons
postérieurs
et celui des cordons antérieurs, bien qu'il sembl
soit avec les faisceaux longitudinaux tant antérieurs ou latéraux que
postérieurs
, soit enfin avec le côté opposé de la moelle par
at, à la région lombaire des fibres qui, des faisceaux et des racines
postérieures
, se portaient dans les petites cellules multipola
ements se dirigent en arrière, traversent la substance des tranchants
postérieurs
de l'axe gris, et se continuent avec certaines fi
inuent avec certaines fibres des faisceaux racines et des faiseeaux
postérieurs
d'une part, et celles des racines et des faisceau
la fois, et je serais porté à croire qu'après la section des cordons
postérieurs
, c'est par ces prolongements que les impressions
par ces prolongements que les impressions sont transmises des membres
postérieurs
vers le cerveau, comme cela a lieu dans les expér
; mais le plus souvent les petites cellules multipolaires des cornes
postérieures
de l'axe communiquent entre elles par des réseaux
a commissure, mais ce sujet est d'une prodigieuse difficulté, il. 3
postérieurs
et des racines sensitives. Ces communications des
s. Ces communications des ramifications des cellules avec les cordons
postérieurs
m'avaient longtemps échappé malgré d'attentives r
cellulaires, soit avec les cordons antérieurs, soit avec les cordons
postérieurs
, soit avec les racines sensitives, soit avec les
commissure (1). La substance gélatineuse qui constitue le tranchant
postérieur
des axes gris, diffère beaucoup de la substance s
aux globules du sang de la grenouille ; elle forme la base des cornes
postérieures
qui ont d'ailleurs une organisation très-compliqu
e loges distinctes par des lames qui, de la face antérieure du cordon
postérieur
, s'avancent dans l'intérieur de l'axe gris; c'est
les fibres des cloisons sont longitudinales comme celles des cordons
postérieurs
; mais on voit dans leur intervalle certaines fib
s leur intervalle certaines fibres transversales cheminer des cordons
postérieurs
vers le centre des axes gris. Quelques-unes de ce
des axes gris. Quelques-unes de ces fibres se rattachent aux racines
postérieures
des nerfs spinaux. Outre les cellules de la subst
es très-délicates qui relient ces cellules au tranchant des faisceaux
postérieurs
. Ces observations, dont chacun pourra constater
transversales de la moelle, démontrent que la limite réelle du cordon
postérieur
du côté de Taxe gris n'est point aussi nettement
nflements correspondent aux racines des nerfs qui animent les membres
postérieurs
, les membres antérieurs ou la face. Il ne serait
ication des fibres blanches parait suivre l'accroissement des membres
postérieurs
. Ces faits indiquent assez qu'à mesure que les fo
ENFANT homme Aire totale des faisceaux blancs Aire des faisceaux
postérieurs
Aire totale des faisceaux blancs Aire des fai
x postérieurs Aire totale des faisceaux blancs Aire des faisceaux
postérieurs
Aire des axes gris Aire des axes gris Renfl
rveau. On remarquera aussi quelle importance acquièrent les faisceaux
postérieurs
à la région cervicale en regard des racines nerve
us haut soutenue, savoir, que toutes les fibres nerveuses des régions
postérieures
du corps ne remontent pas jusqu'au cerveau, la pl
les actions nerveuses reflexes sont plus apparentes dans les membres
postérieurs
que dans les membres antérieurs, à en juger du mo
la moelle n'est en rapport avec le cerveau, surtout dans ses parties
postérieures
, que par le plus petit nombre de ses fibres. Cela
r fait éclore ce germe. en avant s'appelle corne frontale. La corne
postérieure
, s'enroulant autour du corps strié, fait saillie
des ventricules cérébraux, passant de chaque côté, du milieu du bord
postérieur
du vestibule, à l'extrémité des cornes sphénoïdal
ontinu. Elle est déterminée par un plan imaginaire qui répond au bord
postérieur
de la région de la protubérance annulaire. Un s
st la suite et se termine par une fossette médiane qui touche au bord
postérieur
de la protubérance, et qui a été appelée le trou
d postérieur de la protubérance, et qui a été appelée le trou borgne •
postérieur
de Vicq-d'Azyr. Deux faisceaux, ou bandes longi
derniers cordons demeurent très-distincts, et émettent par leur bord
postérieur
une expansion très-remarquable qui remonte vers l
ris dans l'intervalle qui sépare le faisceau moyen d'avec les cordons
postérieurs
, et par conséquent il occupe un espace qui est, d
e un espace qui est, dans le bulbe, la continuation du sillon latéral
postérieur
de la moelle épinière. Ce tubercule est donc un r
tance grise qui occupe dans toute la moelle le fond du silion latéral
postérieur
. Il ne s'élève point jusqu'à la protubérance an
accessoire du cordon latéral; ces fibres se portent vers les cordons
postérieurs
du bulbe. Ceux-ci, fortement écartés l'un de l'
celle de l'olive par une vallée que limite à la base du bulbe le bord
postérieur
de la protubérance. Cette vallée est la fosse de
, se portent avec l'expansion du funicule latéral, vers les faisceaux
postérieurs
du bulbe. Elle est appelée couche des fibres arci
, n'existent pas toujours. Nous décrirons, dans un instant, la face
postérieure
du bulbe. Pour ne point scinder des images dont l
d'un trapézoïde à base très-large. La base du trapèze répond au bord
postérieur
du pont. Elle présente, sur la ligne médiane, une
igne médiane, une petite échancrure qui forme la marge du trou borgne
postérieur
. Légèrement soulevée au niveau des pyramides anté
ce est moins saillante; mais, sauf quelques modifications de son bord
postérieur
, que nous expliquerons en parlant de la structure
t décrite par Rolando. Si nous divisons avec lui ces fibres en fibres
postérieures
moyennes et antérieures, nous pouvons résumer sa
le pédoncule cérébelleux moyen les fibres antérieures s'unissent aux
postérieures
, derrière les fibres moyennes. Le pédoncule céréb
inuent avec le faisceau moyen du bulbe, et peut-être avec le faisceau
postérieur
. Tiedemann a indiqué cette disposition d'après le
grosse masse convexe ellipsoïde, qui en est comme le noyau. La limite
postérieure
de ce noyau répond au bord antérieur de Yanse péd
au plan de ces fibres et se porte à la surface du noyau dans la paroi
postérieure
du cornet 5 ce faisceau , composé de fibres d'un
ont fait donner à cette cavité médiane le nom d'espace cendré perforé
postérieur
. La partie la plus profonde de cet espace répon
es, elles forment une masse unique, souvent fort saillante, au côté
postérieur
du tuber cinereum. Ce dernier corps, dont nous
sicules remplies d'une liqueur blanche et elle est située à la partie
postérieure
de la glande... « La partie rougeâtre de la gland
e. Elle est surtout bien apparente dans le cerveau de l'homme, lobe
postérieur
. Le premier est reniforme et le second plus ou mo
ant en arrière. Le bord supérieur du grand lobe est convexe, son bord
postérieur
est échancré. Cette échancrure reçoit le petit lo
e du même lobe est toujours un peu proéminente. Le petit lobe ou lobe
postérieur
est au moin-s de moitié moindre que l'antérieur.
ue l'antérieur. Il est compris dans l'échancrure que présente le bord
postérieur
de celui-ci. « Il y a pendant toute la vie deux
circonférence dans toute l'épaisseur de la glande. Il sort des parois
postérieures
de chacune de ces cavités un petit canal plus ou
un petit canal plus ou moins rouge qui se dirige au milieu de la face
postérieure
du grand lobe, exactement à l'endroit où l'infund
rrespond toujours et sans exception au milieu de l'échancrure du bord
postérieur
du grand lobe. » (Observations sur le cervelet, p
ontient les éléments des glandes vasculaires sanguines. Quant au lobe
postérieur
il contient, outre des noyaux et des vaisseaux sa
ouche d'une part au cervelet, de l'autre aux tubercules quadrijumeaux
postérieurs
. Cette lame est la valvule de Vieussens. Chez l'h
eux dans un instant, des parties surajoutées au système des faisceaux
postérieurs
. Au delà, la marche des faisceaux primitifs est c
suivants. 1° et 2° Région du bulbe et de la protubérance. La face
postérieure
du bulbe est immédiatement remarquable par l'écar
ulbe est immédiatement remarquable par l'écartement que les faisceaux
postérieurs
subissent dans cette région, après s'être un peu
lle angulaire. Dans le point précis de leur écartement, les cordons
postérieurs
font à la surface du bulbe une grande saillie. Je
e était dans la moelle, on y reconnaît aisément les faisceaux médians
postérieurs
du bulbe, semblables par leurs renflements à une
s renflements à une chaîne moniliforme, et, d'autre part, les cordons
postérieurs
proprement dits, qui se dirigent presque en entie
dirigent presque en entier vers le cervelet, sous le nom de pyramides
postérieures
, de faisceaux restiformes, ou de pédoncules posté
de pyramides postérieures, de faisceaux restiformes, ou de pédoncules
postérieurs
. Si nous partons des faits que l'étude de la mo
elle nous a révélés, les conséquences de cet écartement des faisceaux
postérieurs
dans le bulbe seront faciles à prévoir. En effet,
le bulbe seront faciles à prévoir. En effet, en écartant les cordons
postérieurs
, on doit mettre à découvert le ventricule que ces
s épaisses dans le fœtus que dans l'adulte. Plus en avant, la paroi
postérieure
du ventricule est recouverte par le cervelet, au
quatrième ventricule est complète, et tapisse fort exactement la face
postérieure
de la commissure du bulbe. Sur les côtés elle se
ux cornes latérales du quatrième ventricule. Ces cornes dont la paroi
postérieure
manque absolument, du moins dans l'adulte, logent
être décrites ici. J'ai déjà dit que cette paroi répondait à la face
postérieure
de la commissure du bulbe. On y remarque : 1° un
aient les tranchants gélatineux. Supposons, en effet, que les cordons
postérieurs
soient très-écartés l'un de l'autre dans un point
cules supérieurs du Cervelet, et toutes les fibres qui, des faisceaux
postérieurs
, se portent vers l'Encéphale. Bien que les tube
de quatre dans l'homme et dans les mammifères adultes. Les tubercules
postérieurs
sont arrondis et revêtus d'une écorce blanchâtre;
lèbre Chaussierï Les tubercules antérieurs sont plus grands que les
postérieurs
, et formés en entier de substance grise. Leur for
gne, et sa courbe embrasse les tubercules antérieurs qu'il sépare des
postérieurs
. Dans le fœtus, ce sillon n'apparaît qu'assez tar
rietum structura. (M. Malpighii de cerebro epistola.) quadrijumeaux
postérieurs
sera donc le Processus testis, ad corpus genicula
s deux tubercules quadrijumeaux antérieurs au-dessus de la commissure
postérieure
, c'est-à-dire de la commissure des deux faisceaux
de l'anse dès l'origine de celle-ci, et se termine au niveau du bord
postérieur
du pavillon pédonculaire. — Au-dessous de cette
e par une seconde extrémité en massue, dont la saillie répond au bord
postérieur
du pavillon de l'éventail pédonculaire ; ce renfl
nimaux mammifères. Mais dans l'homme et dans les singes, de la partie
postérieure
de l'arc du ventricule latéral se détache un prol
ieussens, Pfevr. univers., lib. I, de cercbro, cap, xi). la corne
postérieure
ou occipitale du ventricule latéral. On le désign
un ventricule très-réduit dans toutes ses parties, tandis que le lobe
postérieur
, malgré la grandeur de son ventricule, a un dével
au-devant de la glande pinéale, une fente transversale divise le bord
postérieur
du triangle vestibulaire. Cette fente se prolonge
le cérébral d'une corne sphenoidale à l'autre, en passant par le bord
postérieur
du vestibule. Cette ouverture semicirculaire a de
re inscrite adhère intimement aux parties adjacentes, et suit le bord
postérieur
ou interne des couches optiques ; ses limites son
nciens anatomistes. Ces bandelettes ont encore reçu le nom de piliers
postérieurs
de la voûte. À leur origine aux corps mamillaires
ps mamillaires elles portent celui de piliers antérieurs. Les piliers
postérieurs
, disons-nous, peuvent être suivis jusqu'à l'extré
fente en fer achevai est vers son milieu intimement adhérente au bord
postérieur
de cet opercule. Si on soulève ce bord, on découv
ce que les anatomistes avaient pris pour deux ouvertures : l'une, la
postérieure
, était pour eux l'anus ; l'autre, l'antérieure, é
tab. VIII, 6. dans l'intérieur du pavillon pédonculaire aux rayons
postérieurs
duquel ses expansions se mêlent, ou plutôt se sup
ant en arrière, où ses dernières fibres s'unissent intimement au bord
postérieur
de l'opercule. D'abord très-mince à son point d'o
bord arrondi que ses dernières fibres forment en s'unissant au bord
postérieur
de l'opercule, qu'elles recouvrent en se recourba
ouvrent en se recourbant un peu sous sa face inférieure, est le genou
postérieur
du corps calleux. Le corps calleux formé d'arcs
s'épaissit beaucoup à partir de son genou antérieur ; c'est au genou
postérieur
que sa plus grande épaisseur paraît correspondre.
corps calleux et la voûte ne se touchent point, sinon vers le genou
postérieur
; l'intervalle qui les sépare, assez petit en arri
, à ses cornes inférieures lesbosses temporo-sphénoïdales, aux cornes
postérieures
la saillie des bosses occipitales. Voilà ce que M
mble, la masse du cervelet dans l'homme a la forme d'un cœur. La face
postérieure
ou supérieure du cœur est convexe; l'antérieure o
ure, comprend la pointe du cœur, et une partie de sa masse ; l'autre,
postérieure
, répond aux lobes du cœur. Cette scissure, très-l
qui se succèdent de haut en bas et d'arrière en avant, jusqu'au bord
postérieur
de la fosse cérébelleuse. Ces lobules sont : 1°
ns les mammifères. Les tubercules antérieurs sont plus grands que les
postérieurs
. Ils sont presque en entier formés de substance g
anglionnaire, et tranchent par leur couleur grise, sur les tubercules
postérieurs
qui sont blanchâtres. La relation des tubercules
épond à la corne inférieure est le lobe sphenoidal; enfin, à la corne
postérieure
du ventricule correspond le lobe occipital. Ces q
régions situées au-dessous; (c) d'autres, enfin, occupent les régions
postérieures
de l'hémisphère. a. La région, située au-dessus
le, qui est le sillon de Rolando. L'antérieur est le lobe frontal, le
postérieur
, à cause de ses rapports, est nommé lobe pariétal
de Sylvius, le lobe pariétal d'avec la région qui occupe l'extrémité
postérieure
de l'hémisphère. Cette scissure est la scissure p
pendiculaire externe. La région qu'elle limite, en avant, est le lobe
postérieur
ou occipital. Si, maintenant, nous écartons les
étages du lobe frontal sont horizontaux et parallèles. Leur extrémité
postérieure
se termine dans le pli frontal ascendant. Ce pli
rapport semblable entre les autres parties du cerveau et les parties
postérieures
du crâne. C. Du lobe pariétal. hi. uu loue pari
comprend deux plis, savoir : 1° un pli ascendant, qui forme la marge
postérieure
du sillon de Rolando; 2° un pli courbe. Ce pli, d
mporo-sphénoïdal comme résultant d'une inflexion en avant de ces plis
postérieurs
. Cette manière de voir pourrait être appuyée sur
lobe occipital, que leur développement excessif refoule à l'extrémité
postérieure
du cerveau. J'insiste ici sur ces faits dont l'im
'hémisphère sur sa face interne où elle se termine en regard du genou
postérieur
du corps calleux. Nous lui donnons le nom de scis
du lobe occipital et se dirige presque horizontalement vers le genou
postérieur
du corps calleux. Au delà de ce point elle longe
la scissure dont nous parlons fait saillie à l'intérieur de la corne
postérieure
du ventricule latéral, et suit sous la forme d'un
e est compris entre la scissure perpendiculaire interne, et la partie
postérieure
de la scissure des Hippocampes. Ce lobe, de forme
rêle. Il se continue avec le pli marginal supérieur derrière le genou
postérieur
du corps calleux, et mériterait en conséquence le
ement relatif de l'espace compris entre le corps calleux et la pointe
postérieure
de l'hémisphère. 2° Une plus grande profondeur
ieure de l'hémisphère. 2° Une plus grande profondeur de l'extrémité
postérieure
de la scissure des hippocampes. 3° Une sorte de
pport nécessaire entre le développement des deux vertèbres crâniennes
postérieures
, et le développement de telle ou telle région des
e commissure des hémisphères, et plus particulièrement de leurs lobes
postérieurs
dans l'homme et dans les singes, est dans les aut
emble y avoir, entre le développement de ces lobes et celui des lobes
postérieurs
des hémisphères, une opposition constante. On peu
res superficielles des faisceaux moteurs et la totalité des faisceaux
postérieurs
échappent seules à cet arrangement. Cette struc
ie du bulbe. 67. Un autre fait est l'écurtement extrême des cordons
postérieurs
qui laissent complètement à découvert cette dilat
tre la commissure et le faisceau antérieur d'une part, et le faisceau
postérieur
de l'autre. La commissure augmente-t-elle d'épais
ugmente-t-elle d'épaisseur? le ventricule se dilate-t-il? les cordons
postérieurs
sont-ils écartés l'un de l'autre? il en résultera
iforme des auteurs comprend à la fois des fibres venant des faisceaux
postérieurs
et des fibres qui émanent du faisceau latéral. Ce
d'aller plus loin. Pour cela, je sépare de dehors en dedans le cordon
postérieur
de chaque moitié du bulbe, c'est-à-dire le corps
r des pressions et des tractions légères en partant du sillon latéral
postérieur
. On découvre aisément ainsi la face postérieure d
tant du sillon latéral postérieur. On découvre aisément ainsi la face
postérieure
des faisceaux latéraux. Cette préparation donne
ces fibres antéro-postérieures dont nous parlons naissent de la face
postérieure
des faisceaux moyens. Ainsi les fibres arciformes
iformes ne comprennent pas seulement des fibres émanées des faisceaux
postérieurs
, mais contiennent en outre une assez grande quant
stincte par l'épaisseur de ses fascicules. (é). Le groupe du cordon
postérieur
situé en dehors du système des fibres transversal
s. Ces fibres, ainsi que nous l'avons déjà dit, viennent de la face
postérieure
des faisceaux moyens, se dirigent sous la couche
ne passage au prolongement des pyramides vers le cerveau, leurs bords
postérieurs
se confondent et n'en font réellement qu'un seul.
t il faut tenir compte. 11 est certain, en effet, que les faisceaux
postérieurs
, tels qu'ils étaient constitués dans les corps re
nt des masses cérébelleuses ; nouveau mode d'épuisement des faisceaux
postérieurs
, dont la moelle épinière ne nous avait offert auc
ert aucun exemple. Dans la moelle, en effet, les fibres des cordons
postérieurs
s'épuisent au centre de ses axes gris ; ici, au c
rps restiformes, je veux dire cette partie bien distincte des cordons
postérieurs
brachiaux et des funicules grêles supérieurs qui
sur la connaissance de ces particularités d'organisation du faisceau
postérieur
sur lesquelles nous avons, avec tant d'insistance
lecteurs. Maintenant quel sera le trajet des fibres qui, du cordon
postérieur
de la moelle, se portent vers les pédoncules céré
doncules cérébraux? Il semble que la partie superficielle des cordons
postérieurs
s'arrête aux corps restiformes, et qu'il n'y ait
e, en effet, que de suivre avec certitude la continuation des cordons
postérieurs
vers le cerveau, au delà du calamus. On doit, pou
à celui du côté opposé. Dans cette partie de son trajet, le cordon
postérieur
a plusieurs satellites. Nous signalerons, en prem
doncule supérieur du cervelet; situé en dehors et au-dessus du cordon
postérieur
, il se divise de la même manière et se p#rte dans
l'aqueduc de Sylvius et dont le bord antérieur touche à la commissure
postérieure
. Cette voûte, formée par le rapprochement des c
e postérieure. Cette voûte, formée par le rapprochement des cordons
postérieurs
et des pédoncules cérébelleux d'un côté, et de ce
ore plus par la terminaison de cette commissure, qui touche à la face
postérieure
du tuber cinereum, et au-devant de laquelle le ve
si les trous nombreux qui lui ont valu le nom d'espace cendré perforé
postérieur
ne diffèrent point de ceux que présente la commis
upérieur que composent essentiellement des fibres émanées des cordons
postérieurs
de la moelle, du nerf acoustique et du pédoncule
prolongements des cordons antérieurs et ceux qui émanent des cordons
postérieurs
de l'axe, représente assez bien les cornes spongi
cyclopédie anatomique, Paris 1843, t. IV, p. 222. gements du cordon
postérieur
, du nerf acoustique et du pédoncule supérieur du
les se terminent toutes deux en s'unissant au-devant de la commissure
postérieure
et au-dessous de la glande pinéale. Les parties
les cérébraux proprement dits, et des fibres émanées soit des cordons
postérieurs
, soit des pédoncules supérieurs du cervelet, soit
ervelet, soit du nerf acoustique. Quant à ce prolongement du faisceau
postérieur
qui se dirige vers les champs olfactifs, il chemi
se jette directement dans la base du lobe olfactif. Ainsi le faisceau
postérieur
fournit successivement des divisions au cervelet,
leurs, que ces faisceaux comprennent à la fois des fibres des cordons
postérieurs
et des cordons latéraux du bulbe. Il nous reste
pédoncules cérébelleux supérieurs et aux prolongements des faisceaux
postérieurs
vers le cerveau; par deux bandelettes superficiel
antérieurs sont presque exclusivement formés de substance grise, les
postérieurs
ont une écorce mince de fibres blanches. Les cell
Vicq-d'Azyr (3) signalait « certaines circonvolutions de l'extrémité
postérieure
du cerveau dans l'épaisseur desquelles la substan
suivre la courbe du corps calleux, dont il embrasse le bord ou genou
postérieur
, et revenir à son point de départ, en doublant ex
ème forment un faisceau distinct qui marche parallèlement à la région
postérieure
de la scissure des Hippocampes, dans l'épaisseur
ui la limite inférieurement; un autre faisceau parallèle, né du genou
postérieur
du corps calleux, se porte vers les extrémités oc
s qui s'en détache dans l'homme, revêtent le côté interne de la corne
postérieure
du ventricule latéral ; si donc, nous les divison
eure du ventricule latéral ; si donc, nous les divisons vers le genou
postérieur
du corps calleux, de manière à renverser, vers le
ert l'étage inférieur du ventricule latéral, et la cavité de sa corne
postérieure
. 3° Cette préparation fort simple permet d'aper
cette portion de la bandelette de la voûte qui se porte dans le genou
postérieur
du corps calleux. En outre, on aperçoit, dans tou
'elle, un premier plan de fibres parallèles. Ce plan émane du genou
postérieur
du corps calleux; ses fibres antérieures touchent
sement il n'y avait, dans cette enucleation régulière du prolongement
postérieur
qui loge la cavité ancyroïde, quelque chose d'émi
leur point d'émergence. Elles se fasciculent étroitement, et les plus
postérieures
se rassemblent toutes dans le genou postérieur du
itement, et les plus postérieures se rassemblent toutes dans le genou
postérieur
du corps calleux; après avoir passé la ligne médi
arties du bord supérieur de l'hémisphère qui sont en arrière du genou
postérieur
du corps calleux. Mais, à partir de ce point, il
. Dans tous ces animaux, sauf les Phoques et les Cétacés, l'extrémité
postérieure
du cerveau dépasse à peine le corps calleux, et p
a un volume médiocre. Il s'enroule comme à l'ordinaire sur la partie
postérieure
des couches optiques, où il se renfle en un corps
du pédoncule, se porte immédiatement dans toute l'étendue des régions
postérieures
des hémisphères. Ce plan provient essentielleme
supérieur où ses fibres peuvent être suivies jusqu'en regard du genou
postérieur
du corps calleux. Il est certain que ce système v
és un mouvement de torsion qui ramène en avant les fibres de son bord
postérieur
; celles-ci se terminent immédiatement dans les pl
ière dans l'intérieur du cornet pédonculaire, s'appliquent à sa paroi
postérieure
, et, se prolongeant jusqu'à l'extrémité du lobe o
plans ne peuvent être distingués avec évidence qu'en arrière du genou
postérieur
du corps calleux, ou au-dessous de la scissure de
sceaux que je croyais en connexion avec les prolongements des cordons
postérieurs
de l'axe dans le cerveau. Mieux préparé depuis ce
doncules, d'autres fibres qui proviennent du prolongement du faisceau
postérieur
et d'une des racines de la cinquième paire; 2°
ar sa grandeur et la richesse de ses plis, n'a point de prolongements
postérieurs
, et laisse le cervelet à découvert. C'est, à cet
l antérieur de la moelle, elle ne porte point de ganglions; la racine
postérieure
porte un ganglion, de là le nom de racine ganglio
là le nom de racine ganglionnaire; elle se rattache au sillon latéral
postérieur
de la moelle et plonge dans l'arête grise gélatin
centre, toute l'épaisseur des cordons latéro-antérieurs. B. Racines
postérieures
ou ganglionnaires. Elles plongent dans les sillon
s se continuent avec les fibres nerveuses qui composent les faisceaux
postérieurs
, les autres, soit directement, soit par l'intermé
les autres, soit directement, soit par l'intermédiaire des faisceaux
postérieurs
, se portent dans les tranchants postérieurs des a
termédiaire des faisceaux postérieurs, se portent dans les tranchants
postérieurs
des axes gris et pénètrent dans le domaine des co
t l'aire des cornes gélatineuses. Ainsi, parmi les fibres des racines
postérieures
, quelques-unes vont, comme certaines fibres des r
es; il admet, en conséquence, deux paires nerveuses crâniennes, l'une
postérieure
, l'autre antérieure. La paire nerveuse postérie
râniennes, l'une postérieure, l'autre antérieure. La paire nerveuse
postérieure
comprend le pneumogastrique, le glossoj haryngien
lion analogue aux ganglions intervertébraux, représentent les racines
postérieures
des nerfs rachidiens. La paire nerveuse antérie
ébraux et qui, par sa grosse racine, représente très-bien les racines
postérieures
des nerfs spinaux; b, du nerf de la troisième pai
e est la vertèbre occipitale. La deuxième a pour corps le sphénoïde
postérieur
, pour arc supérieur ses grandes ailes et les pari
teurs, auxquelles nous donnerons ici le nom d'os palatins sphénoïdaux
postérieurs
. Celle-ci est la vertèbre sphéno-pariétale. La
n de ces organes, à savoir : l'acoustique pour le trou de conjugaison
postérieur
, l'optique pour le moyen, l'olfactif pour l'antér
ontaire, et en réalité les choses se passent ainsi. Ainsi, la paire
postérieure
comprend, outre le nerf acoustique, des nerfs de
erge des cordons moyens du bulbe, dans le voisinage du sillon latéral
postérieur
, par un certain nombre de filets radiculaires, do
vaires, immédiatement au-devant des corps restiformes, contre le bord
postérieur
de la protubérance annulaire. Malacarne disait av
ce antérieure du bulbe, au côté externe de la pyramide contre le bord
postérieur
de la protubérance. On peut suivre ses racines en
ue ses racines semblent naître, derrière les tubercules quadrijumeaux
postérieurs
, de la valvule de Vieussens. Mais ce n'est là qu'
petit pinceau gris tombe de l'intervalle des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
sur cette commissure. Ce pinceau est le frein de
s accessoires. Elle est par conséquent presque limitrophe des cordons
postérieurs
. x. Troisième paire, paire ethmoïdale. Elle ne
spond à la première série des nerfs moteurs et représente les racines
postérieures
ou ganglionnaires des nerfs rachidiens. La second
s. 1° Le nerf maxillaire inférieur passe par le trou de conjugaison
postérieur
, et par conséquent concourt à la formation de la
occupe, dans toute l'étendue de la moelle, le fond du sillon latéral
postérieur
. Ainsi cette racine du trijumeau appartient à la
ur. Ainsi cette racine du trijumeau appartient à la série des racines
postérieures
des paires spinales. A cette racine sont annexé
le cérébelleux supérieur, et descend avec un prolongement du faisceau
postérieur
jusque dans les parties grises de l'anneau pédonc
ctive qui, dirigée un peu en avant, continuerait le sillon collatéral
postérieur
de la moelle, une série de filets dont les plus é
t les filets originels du Pneumogastrique. Ce nerf, comme les racines
postérieures
spinales, naît par conséquent du faisceau médulla
nes postérieures spinales, naît par conséquent du faisceau médullaire
postérieur
qui, parvenu au niveau et en arrière du bulbe, de
corps restiformes avec lesquels leurs fibres se confondent ; l'autre
postérieure
qui remonte avec les corps restiformes vers le ce
faisceau est la troisième racine, il suit le prolongement du faisceau
postérieur
qui se dirige vers le centre des couches optiques
ie dans la base des lobes olfactifs. Ce prolongement suit le faisceau
postérieur
comme le précédent. Ainsi, de même que l'acoustiq
Ainsi, de même que l'acoustique est lié à la division de ce faisceau
postérieur
qui va vers le cerveau, de même celui-ci accompag
édant d'arrière en avant. La première comprend deux régions : l'une
postérieure
, est Y arrière-cerveau; l'autre vient ensuite, c'
ieure, est Y arrière-cerveau; l'autre vient ensuite, c'est le cerveau
postérieur
. La deuxième dilatation a reçu des embryotomist
ique du tube primitif comprend : 1° l'arrière-cerveau ; 2° le cerveau
postérieur
; 3° le cerveau moyen; 4° le cerveau intermédiaire
régions. L'arrière-cerveau correspond à ce qui sera plus tard l'angle
postérieur
du quatrième ventricule, c'est-à-dire le bec du c
r du quatrième ventricule, c'est-à-dire le bec du calamus. Le cerveau
postérieur
en sera l'angle II. 15 antérieur; lo cervea
point répond chez l'adulte au bec du calamus, c'est-à-dire à l'angle
postérieur
du quatrième ventricule. La région qui s'étend de
comprise entre les deux corps restiformes— de C en D, est le cerveau
postérieur
. Cette région correspond chez l'adulte à l'angle
bord qu'une lame transversale appliquée à la paroi dorsale du cerveau
postérieur
. Les tubercules quadrijumeaux ou lobes optiques s
'est encore qu'une lame mince, tendue derrière la vésicule du cerveau
postérieur
; quant aux hémisphères du cerveau antérieur, sem
édiaire se soulève, s'atrophie, et ses résidus attachés à l'extrémité
postérieure
de la fente qui en résulte, donneraient, suivant
ainsi d'avant en arrière, finira par recouvrir l'ensemble des régions
postérieures
de la masse encéphalique. Ces réflexions m'ont pa
quatrième ventricule était divisé en deux régions secondaires: l'une
postérieure
horizontale, l'autre antérieure presque verticale
érences. Les plis du cerveau n'apparaissent qu'au moment où ses lobes
postérieurs
ont recouvert et même dépassé le cervelet; les pl
du sillon médian antérieur, tandis que l'autre pénètre dans le sillon
postérieur
. L'adossement des deux feuillets qui forment ces
oint au plancher du quatrième ventricule, mais elle complète sa paroi
postérieure
en recouvrant ses valvules latérales, puis elle s
e s'insinue entre ces valvules et la luette, se réfléchit sur la face
postérieure
du voile transversal qui unit les deux lobules de
— « La convexité supérieure répond à la concavité légère des a lobes
postérieurs
du cerveau. » Ce repli est tendu entre les gout
. Les deux extrémités de ce canal s'inclinant vers les trous déchirés
postérieurs
, où elles s'unissent aux golfes des veines jugula
. Le sinus longitudinal supérieur s'unit de son côté avec l'extrémité
postérieure
du sinus droit, et tous deux à la fois ils commun
avons décrits plus haut par les sinus suivants : 1° Le sinus pétreux
postérieur
étendu le long du bord supérieur du rocher, entre
grand nombre de brides fibreuses qui l'unissent au ligament vertébral
postérieur
. Le mode d'attache de ces brides varie beaucoup (
t compris entre la série des racines antérieures et celle des racines
postérieures
. Si le sac formé par la dure-mère était lâche e
un grand nombre. Ces nerfs, suivant M. Remak, proviennent des racines
postérieures
. Ils forment des réseaux très-riches dont les pro
, se recourbe en dehors, puis en arrière, et se distribue aux parties
postérieures
des hémisphères sous le nom d'artères cérébrales
parties postérieures des hémisphères sous le nom d'artères cérébrales
postérieures
ou profondes. Une division considérable de ces tr
es, désignées sous le nom de communicantes, unissent les cérébrales
postérieures
aux troncs des carotides, à leur entrée dans la c
nfin dans le sinus longitudinal supérieur. 2° Les veines cérébrales
postérieures
. Elles s'ouvrent dans les sinus latéraux près des
es trois anneaux osseux primitifs composent la voûte du crâne. L'une,
postérieure
ou occipitale, loge essentiellement le cervelet.
on prolonge en effet du côté de la face un plan idéal suivant le bord
postérieur
des arcades zygomatiques, on verra que le bord in
, mais dans la race blanche elle s'incline davantage vers les parties
postérieures
. Cette inclinaison dépend d'une particularité ana
arque une sorte d'antagonisme entre la partie antérieure et la partie
postérieure
du crâne; dans certains crânes où Y occipital et
On sait qu'une crête plus ou moins saillante, qui fait suite au bord
postérieur
des apophyses orbitaires, s'élève sur chacun des
Mais, dans la race blanche, cette largeur maximum correspond au bord
postérieur
de ses régions temporales, en sorte que ces régio
tal est beaucoup plus rapproché de son bord antérieur que de son bord
postérieur
. Mais peu à peu le pariétal pousse de telle sorte
racine du nez à l'occiput. 0,179 0,i77 0,177 Hauteur mesurée du bord
postérieur
du trou occipital, au point opposé de la suture
moyenne en deux arcs dont l'antérieur é- gale........0,258 et le
postérieur
. . 0,256 Ces résultats, ainsi qu'on peut le voi
le sens commun; celles de la partie moyenne, la raison; celles de la
postérieure
, la mémoire. En effet l'imagination habitait les
it les ventricules antérieurs ; la pensée les ventricules moyens, les
postérieurs
logeaient la mémoire. Cette opinion était celle d
s ; quant aux facultés instinctives, leurs organes occupent la région
postérieure
et inférieure de la tête. Chacune de ces facultés
on n'a pas conscience, et l'organe du sentiment ; enfin, le ganglion
postérieur
, qui correspond au cervelet et à l'organe de l'ou
penchants et la volonté se trouvent clairement indiqués à la vertèbre
postérieure
ou occipitale, la vie végétative et le sentiment
rié. Il est certain que les racines antérieures sont motrices, et les
postérieures
sensitives. Coupe-t-on les premières, le nerf per
ques signes de douleur qui disparaissent d'ailleurs quand les racines
postérieures
adjacentes ont été divisées. Kroncnbcrg expliquai
s fibres récurrentes qui des racines antérieures passeraient dans les
postérieures
au point de leur union (1); mais une expérience d
s antérieures. Ainsi, toute sensibilité dépend en réalité des racines
postérieures
, et l'exception apparente est ramenée à la règle.
rente est ramenée à la règle. On peut donc affirmer que les racines
postérieures
sont seules et exclusivement sensitives, mais il
ent antérieur, quant aux parties qui reçoivent leurs nerfs du segment
postérieur
, elles sont désormais complètement insensibles. E
e rnedullœ spinalis, mens integerrima superest (1). Mais le segment
postérieur
ainsi séparé du cerveau conserve la vie qui lui e
apparentes qu'après la décapitation. Un fragment détaché de la partie
postérieure
d'un ver est dans un état convulsif d'agitation,
ntérieurs étaient le tronc commun des racines motrices, les faisceaux
postérieurs
étaient celui des racines sensitives. Il y a à
s antérieurs partageaient les propriétés des racines motrices, et les
postérieurs
celles des racines sensitives. Magendie (2) pench
racines antérieures président aux mouvements de flexion. Les cordons
postérieurs
et les racines (1) An idea of a new anatomy of
(3) De medulla spinali nervisque ex eâ prodeuntibus. Turin, 1823.
postérieures
aux mouvements d'extension. Ces derniers tiennent
bile expérimentateur voyant la sensibilité persister dans les parties
postérieures
du corps après la section des cordons postérieurs
r dans les parties postérieures du corps après la section des cordons
postérieurs
, en conclut que la substance grise transmet les i
x qu'avait obtenus Bellingeri (1). Il divisa sur un lapin le cordon
postérieur
droit, vers la première vertèbre lombaire. Le mou
roit, vers la première vertèbre lombaire. Le mouvement de l'extrémité
postérieure
fut conservé de ce côté, mais la sensibilité y fu
e eut lieu dans le côté opposé. La section transversale des cordons
postérieurs
à la région dorsale donna lieu à des résultats di
le donna lieu à des résultats différents. Le mouvement des extrémités
postérieures
fut d'abord affaibli, mais la sensibilité persist
heures après, le lapin marchait comme dans l'état normal. Les parties
postérieures
à la blessure parurent alors plus sensibles que l
la moelle, pratiquée de manière à ne laisser entiers que les cordons
postérieurs
, la sensibilité des membres abdominaux fut, au co
La sixième expérience mérite d'être particulièrement notée. Le cordon
postérieur
gauche de la moelle fut divisé dans la région cer
sultats se mêlent à ceux-ci. Ainsi, après la section des deux cordons
postérieurs
dans cette région, la sensibilité des extrémités
des extrémités antérieures est détruite, tandis que celle des cordons
postérieurs
se conserve. L'inverse arrive pour le mouvement,
uvement, car il persiste dans les membres antérieurs, et non dans les
postérieurs
. Dans une autre expéi-vence, notre auteur divise
nt affaibli. Il coupe enfin vers la région dorsale l'un des cordons
postérieurs
, la sensibilité des membres postérieurs fut conse
gion dorsale l'un des cordons postérieurs, la sensibilité des membres
postérieurs
fut conservée, et du côté de la lésion elle fut p
ier l'hypéresthésie que suit dans certains cas la section des cordons
postérieurs
, et dans le cas de la section d'un seul de ces co
dans les pattes de derrière après la section transversale des cordons
postérieurs
, mais il n'aperçut point les effets croisés signa
que le mouvement, affaibli pour un temps après la section des cordons
postérieurs
, finit par se rétablir complètement, tandis que l
ière section épuise bien plus la force nerveuse que celle des cordons
postérieurs
. Rolando coupa les cordons postérieurs. Le mouv
rveuse que celle des cordons postérieurs. Rolando coupa les cordons
postérieurs
. Le mouvement fut anéanti dans les parties située
timent, loin de là, il combat cette opinion. Suivant lui, les cordons
postérieurs
et les cordons antérieurs conduisent également la
s-unes offrent des faits d'hypéresthésie après la section des cordons
postérieurs
. Un canard, sur lequel celte section avait été pr
nard, sur lequel celte section avait été pratiquée, avait les membres
postérieurs
si sensibles qu'il criait pour peu qu'on fît mine
ofessaient l'opinion que les faisceaux antérieurs sont moteurs et les
postérieurs
sensi-tifs, d'autres attribuaient aux premiers le
'après lui, les cordons antérieurs sont exclusivement moteurs, et les
postérieurs
exclusivement sensitifs. Ce fait est nettement ét
'animal, après quelques heures, ta plus légère excitation des parties
postérieures
suffisait pour faire donner à l'animal des signeâ
té où la moelle avait été tranchée. Après la section des deux cordons
postérieurs
, le sentiment persistait encore dans les pattes d
sculaires, dont les cordons antérieurs, séparés à la fois des cordons
postérieurs
et du cerveau, sont le principe, pour peu qu'ils
a substance grise de la moelle, Van Deen ne déshérite pas les cordons
postérieurs
de leur fonction sensitive. Il admet, il est vrai
i, qu'aucune fibre nerveuse ne se rend immédiatement dans les cordons
postérieurs
, et que toutes pénètrent d'abord dans la substanc
ce grise ; mais il pense que cette substance les transmet aux cordons
postérieurs
, qui les conduisent jusqu'au cerveau, où elles dé
prouvé que toutes les fibres centripètes, que comprennent les racines
postérieures
des nerfs spinaux, remontent en réalité jusqu'à l
ait même dans le train de derrière, après la section des deux cordons
postérieurs
à la région cervicale, l'hypothèse la plus probab
nt essentiel dans la moelle épinière. Il suffit, dit-il, du tranchant
postérieur
des axes gris pour conduire les impressions, et d
une manière à peu près unanime à considérer les cordons antérieurs et
postérieurs
comme servant exclusivement, les uns au mouvement
chiens, que les cordons antérieurs sont exclusivement moteurs, et les
postérieurs
exclusivement sensitifs. Tous ceux qui ont assist
Il admet, comme M. Longet l'avait démontré avant lui, que les cordons
postérieurs
ne sont que sensibles. Il fait remarquer toutefoi
gments de la moelle, suffit pour entretenir la sensibilité du segment
postérieur
. Si l'on enlève toute la substance grise de man
thésie singulière connue en partie de Fodera, qui affecte les parties
postérieures
à la section du côté lésé, ce qu'il explique, mai
e grise. Il constate la diminution de la sensibilité dans les parties
postérieures
du côté sain, fait vu autrefois par Fodera (1). I
section de la moelle. La sensibilité, dit-il, persiste dans le membre
postérieur
du côté de l'hémisection ; elle y est même exagér
emier connaître un fait singulier. Si, après avoir divisé les cordons
postérieurs
, on détache ces cordons dans la longueur d'un cen
es, par une section médiane, anéantit la sensibilité des deux membres
postérieurs
. M. Brown Séquard ajoute que la même opération pr
dans ces membres, tandis qu'elle demeure entière dans les extrémités
postérieures
. Ces expériences concluantes, en apparence au m
région de la cinquième, l'animal perd tout mouvement dans les pattes
postérieures
, mais le sentiment n'y est pas détruit, et la pat
pour transmettre le sentiment, il suffit chez ces animaux d'un quart
postérieur
de la moelle (2). Dans ce que M. Brown Séquard
ersonne aujourd'hui ne doute que les fibres qui composent les cordons
postérieurs
ne soient exclusivement en rapport avec la sensib
propres. Il est bien certain que les faisceaux lombaires des cordons
postérieurs
s'atténuent de plus en plus en passant de la régi
s fibres excitables dans les nerfs le soient de même dans les cordons
postérieurs
; tous les expérimentateurs du moins s'accordent-
ines inférieures des pneumogastriques et les tubercules quadrijumeaux
postérieurs
; 2° qu'elle n'est pas seulement l'agent immédiat
s constaté une certaine tendance au recul après la section de la face
postérieure
du bulbe ; si un seul cordon restiforme a été tra
nt inconnues. M. Longet a constaté l'extrême sensibilité de la face
postérieure
de la protubérance, mais il attribue cette sensib
ette sensibilité aux fibres ascendantes qui proviennent des faisceaux
postérieurs
de la moelle. Ce physiologiste admet en outre que
s des deux membres antérieurs, et que leurs radiations dans les lobes
postérieurs
du cerveau partagent le même rôle. Nous reviendro
bué aux corps striés une influence toute particulière sur les membres
postérieurs
, cette influence était partagée par leurs radiati
les lobes antérieurs du cerveau. Ainsi la couche optique et les lobes
postérieurs
du cerveau présidaient au mouvement des bras, les
une suite de culbutes en avant; et quand on coupe le i canal vertical
postérieur
, l'animal fait une suite de culbutes « en arriè
ant et se porte vers le cerveau. La troisième (pédoncules cérébelleux
postérieurs
, ou corps restiformes) se dirige en arrière vers
supérieur détermine une suite de culbutes en avant celle du pédoncule
postérieur
une suite de culbutes en arrière; on produit des
es parties antérieures sur les mouvements en avant, et de ses parties
postérieures
sur les mouvements en arrière. M. Flourens conclu
re les nerfs de ces canaux et les trois ordres de fibres antérieures,
postérieures
, ou transverses, qui composent le pédoncule céréb
émisphères agissaient sur des parties différentes du corps. Les lobes
postérieurs
présideraient aux mouvements des bras, et les lob
aux. S, corps géniculé interne. S', corps géniculé externe. T, partie
postérieure
du cotylédon ventriculaire de la couche optique.
u renflement lombaire. FIGURE 2e. Cette figure représente une vue
postérieure
de la moelle épinière et de la moelle allongée d'
D, tubercules quadrijumeaux antérieurs. D', tuber-cules quadrijumeaux
postérieurs
. + +, lieux d'origine des nerfs pathéti-ques. Y,
postérieurs. + +, lieux d'origine des nerfs pathéti-ques. Y, régions
postérieures
du tronçon pédonculaire du cerveau. N, ré-gion an
ft, corps rhomboïdal. X, corps ou faisceau resti-forme. Y, pyramides
postérieures
; le sommet de ces pyramides se continue à droite
s la région lombaire de la moelle. ZZZZ, lignes d'origine des racines
postérieures
des nerfs spinaux. M, faisceau latéral de la moel
u renflement lombaire. FIGURE 4e. Cette figure représente une vue
postérieure
de la moelle épinière, sur laquelle les faisceaux
usqu'à l'extrémité de la région lom-baire de la moelle, ces faisceaux
postérieurs
ont été enlevés jusqu'à l'axe de la moelle. S,
aux. + +, origine des pathétiques. B, valvule de Vieussens. Y, région
postérieure
; N, région antérieure du tronçon pédonculaire du
dans celle des n° 2, 3, 4, 5, la lettre p indique toujours le sillon
postérieur
. La lettre a, le sillon antérieur. R, le corps
ntérieures des nerfs spinaux, r indique le lieu d'origine des racines
postérieures
. Les lettres ap continuent à désigner le sillon a
es lettres ap continuent à désigner le sillon an-térieur et le sillon
postérieur
. Dans la coupe du n° 5 et dans les suivantes ju
est destinée principalement à faire voir la continuation du faisceau
postérieur
de la moelle épinière dans le faisceau restiforme
de la moelle allongée ; la continuation de ce dernier dans la région
postérieure
ou supérieure du tronçon pédonculaire du cerveau,
de la couche opti-que , et celle du tractus optique avec cette partie
postérieure
ou supérieure du tronçon pédonculaire du cerveau.
du cerveau. Pour montrer .clairement la continuité de cette région
postérieure
du tronçon pédonculaire avec le faisceau postérie
de cette région postérieure du tronçon pédonculaire avec le faisceau
postérieur
de la moelle, on a coupé le pédoncule externe du
culaire de la couche optique. D, tubercules quadrijumeaux. Y', région
postérieure
du tronçon pédoncu-laire du cerveau. N , région a
ravers le faisceau externe du pédoncule cérébelleux jusqu'au faisceau
postérieur
de la moelle allongée avec lequel il se com-bine.
e figure est encore destinée à montrer les prolongements du fais-ceau
postérieur
de la moelle dans la région postérieure du tronço
les prolongements du fais-ceau postérieur de la moelle dans la région
postérieure
du tronçon pédon-culaire du cerveau , et de plus
u cerveau , et de plus le passage de quelques fascicules du fais-ceau
postérieur
de la moelle dans les arcs transverses supérieurs
e la protubérance annulaire. Y, E, U', diverses régions du faisceau
postérieur
. H, fascicules pas-sant du faisceau postérieur da
es régions du faisceau postérieur. H, fascicules pas-sant du faisceau
postérieur
dans les arcs transverses les plus élevés de la p
portion de ce nerf. R R', grosse racine de ce nerf allant au faisceau
postérieur
et à Ja protubérance. QQ/ couches fibreuses combi
cérébelleux. E, racine de l'auditif. Y, corps restiforme. X, pyramide
postérieure
. L, sillon postérieur de la moelle épinière. F, p
de l'auditif. Y, corps restiforme. X, pyramide postérieure. L, sillon
postérieur
de la moelle épinière. F, pointe du calamus : de
doncule. W, pyramide antérieure. V, éminence olivaire. Y, Z, faisceau
postérieur
. 0, noyau cérébelleux. PL.2 PL. 3 Cette pla
ctif. CJC', coupe médiane du corps calleux. C'', prolongement conoïde
postérieur
du noyau cérébral. +, lieu de concours de l'extré
ce cercle fibreux avec le ruban fibreux de l'ourlet sous le bourrelet
postérieur
du corps calleux. 0, coupe médiane de la commis-s
u chiasma. K', tuber cinereum. M, éminence mamillaire. U U', faisceau
postérieur
de la moelle épinière. P, faisceau moyen. N, régi
aux. G, aqueduc de Sylvius. F, valvule de Vieussens. U U U', faisceau
postérieur
de la moelle allongée. B, fais-ceau antérieur de
irigées du voisinage des parties antérieures au voisinage des parties
postérieures
de la moelle allongée. Toutes ces stries ont rapp
de la région fasciculée du pédoncule le faisceau moyen et le faisceau
postérieur
du tronçon pédonculaire. Cette séparation a été p
protubérance procédant de la région fasciculée du pédoncule. C, raphé
postérieur
de la protubérance dans lequel s'entre-croisent d
antérieures. V, coupe des olives. F, pointe du calamus. X, pyramides
postérieures
. Y, corps resti-forme. FIGURE 5e. En même tem
du faisceau moyen, indiqué par les lettres A A A, d'avec le faisceau
postérieur
, dont les lettres YYSD marquent différentes régio
, lobule attenant au nerf auditif, bb, racine de ce nerf. X, pyramide
postérieure
, pointe du calamus. ij, corps restiforme. P, prot
al de la moelle allongée. 3, canal dans lequel s'engage le faisceau
postérieur
(corps restiforme) F F, nerfs de la septième pair
reuses aux-quelles étaient attachés les lobules digastriques. A, face
postérieure
du faisceau externe du pédoncule cérébelleux du c
es couches fibreuses ont été res-pectées du côté droit. G, échancrure
postérieure
de la grande circonfé-rence du cervelet. FIGURE
moelle allongée à la surface du plancher ventriculaire. X, pyra-mide
postérieure
, Y, corps restiforme. I, faisceau latéral de la m
brane fibreuse émanée de l'auditif. N, région fasciculée. Y, région
postérieure
du tronçon pédonculaire du cerveau. H, trijumeau.
de ce nerf se portant obliquement vers le trijumeau. X, prolongement
postérieur
de la même membrane allant au lobule adjacent, x
res de ces nerfs au delà du chiasma et du chiasma lui-même à la marge
postérieure
du quadri-latère perforé, k, commissure antérieur
uche, a, diago-nale blanche du quadrilatère perforé allant de l'angle
postérieur
externe à l'angle antérieur interne de ce quadril
xtrémité antérieure de l'hémisphère elle décrit jusqu'à son extrémité
postérieure
un grand arc de cercle qui forme la limite in-ter
nd fragment de cette grande ligne circonvolutionnaire. De l'extrémité
postérieure
de l'hémisphère elle se porte ensuite à l'extré-m
econd fragment de cette ligne cir-convolutionnaire se porte à l'angle
postérieur
aigu de la scissure, voy. en E E E ce second frag
ons dans toute sa longueur. Le troisième frag-ment , lèvre inférieure
postérieure
de la scissure, se porte de E'", angle aigu de la
e entre le groupe en croissant et le groupe quadrilatère. P, scissure
postérieure
au groupe quadrilatère. FIGURE 2p. Face conve
hère cérébral du côté gauche. D , extrémité antérieure. D', extrémité
postérieure
de l'hémisphère. D , aaaaaaa' D', segment supér
. K, traverse pariétale antérieure incomplète. S, tra-verse pariétale
postérieure
incomplète, ff' {", ligne circonvolutionnaire sim
e de celte figure, en arrière sur la ligne médiane en C, le bourrelet
postérieur
du corps calleux ; en X, la commissure postérieur
en C, le bourrelet postérieur du corps calleux ; en X, la commissure
postérieure
, et au-devant de cette commissure l'aqueduc de Sy
upe du tubercule quadrijumeau antérieur ; en Q, la coupe du fais-ceau
postérieur
; en P, la coupe du faisceau moyen, séparée comme
térieur; en P, la coupe du faisceau moyen, séparée comme le fais-ceau
postérieur
par la couche noire de Sœmmerring indiquée par le
e l'autre côte du cer-veau. De F, scissure de Sylvius , en Z , partie
postérieure
de la grande scissure, on voit se développer la z
t les mêmes anastomoses autrement con-figurées. O, partie du fragment
postérieur
de la circonvolution d'enceinte de la scissure de
de l'angle anté-neurde la scissure à la partie interne de l'extrémité
postérieure
du cerveau. I 1, traverse médio-pariétale allant
pitale allant de l'angle aigu de la scissure de Sylvius à l'extrémité
postérieure
de l'hémisphère. Outre ces trois lignes principal
re la traverse médio-pariétale on voit en N N une traverse parié-tale
postérieure
. En 0 0 0 se trouvent quelques lignes circonvol
deux branches si flexueuses dans la figure 1re. La traverse pariétale
postérieure
N est incomplète aussi ; toute la partie postérie
averse pariétale postérieure N est incomplète aussi ; toute la partie
postérieure
de cet hémisphère est constituée par quelques amp
ière / / H. Sur l'hémisphère droit il n'y a pas de traverse pariétale
postérieure
, la médio-pariétale s'est bifurquée en X, N'. Sur
hémisphère gauche, on voit en N' un fragment de la traverse pariétale
postérieure
. O, O. O, indiquent la tra-verse occipitale. Ce
D D marquent la grande circonférence de l'hémisphère. M, la scissure
postérieure
. M', le fond de cette scissure saillant dans le v
du corps calleux. Q, grosse extrémité de la corne d'Ammon. a\ pointe
postérieure
du ventricule. O. entrée de la scissure de Sylviu
doncule. Y, faisceau moyen. X X', deux régions distinctes du faisceau
postérieur
. Y, couche blanche qui sépare ces deux régions du
postérieur. Y, couche blanche qui sépare ces deux régions du faisceau
postérieur
l'une de l'au-tre, et la plus interne du faisceau
ce coupée en travers. P, protubérance. V, faisceau moyen. Y, faisceau
postérieur
. A, ventricule cérébelleux. B, portion fibreuse d
l'ourlet et insérées obliquement à ce ruban dans la direction du bord
postérieur
du quadrilatère. bf/, petite branche de l'ourlet
en regard de la bosse frontale. K', pointe du prolongement conoïde
postérieur
du noyau cérébral. Cette pointe correspond au pro
postérieur du noyau cérébral. Cette pointe correspond au prolongement
postérieur
du ventricule et se trouve en regard de la bosse
voir en raccourci une partie de ses faces latérales. Y X f, parties
postérieures
du bulbe rachidien. C, partie médiane an-térieure
iane an-térieure du corps calleux. C, partie médiane de son bourrelet
postérieur
. d, tractus médians antéro-postérieurs. a, tubéro
eurs. a, tubérosités antérieures du corps calleux, a', sommet du cône
postérieur
du noyau cérébral. J, partie fran-chement transve
icule. Q Q, fibres prolongées de cette région tem-porale dans le cône
postérieur
. FIGURE 2«. Cette figure représente une vue d
J, partie transversale, a, tubé-rosité antérieure, a', pointe du cône
postérieur
du noyau. 6, région de ce noyau répondant à la co
te notre figure. P', bulbe rachidien. P , protubérance. Le faisceau
postérieur
de la moelle se prolonge de Y Y' en G jusqu'au ni
ns les parties supé-rieures du cervelet, de cette portion du faisceau
postérieur
qu'on appelle le corps restiforme. q q 0/ montren
testes bientôt réuni en G avec les prolongements di-rects du faisceau
postérieur
Y'. On voit en— des prolongements radiculai-res d
diculaires du nerf optique prolongés dans la di-rection G du faisceau
postérieur
, ou bien les fibres de ce faisceau prolon-gées de
oûte. O , com-missure antérieure. M, éminence mamillaire. X, partie
postérieure
du cotylédon ventriculaire de la couche optique.
res enlevés pour laisser voir derrière G L, prolongements du faisceau
postérieur
de la moelle N N', les prolongements de son faisc
uc de Sylvius au trou de Monro U. M, éminence mamillaire. V , branche
postérieure
du pilier antérieur de la voûte. V'. branche anté
est caché par le tractus optique et les racines grises. P, faisceau
postérieur
, se retournant sur l'arête interne du quadrilatèr
bres de la saillie centrale S rattachées à la bran-che P' du faisceau
postérieur
. 0, commissure antérieure. TT, fibres qui, des pr
commissure antérieure. TT, fibres qui, des prolongements du faisceau
postérieur
et du faisceau moyen dans la région de l'espace p
la précédente. N, région fasciculée. M, faisceau moyen. P, faisceau
postérieur
pro-longé en P' dans l'espace perforé, r r, radic
icules blanches de l'olfactif rat-tachées à la branche P' du faisceau
postérieur
. On voit, de plus que dans la figure précédente
ulée du pédoncule; M, son faisceau moyen; P, une branche du fais-ceau
postérieur
détournée dans la diagonale P' de l'espace perfor
FIGURE 7e. N, région fasciculée. M, faisceau moyen. P P, faisceau
postérieur
. P7, prolongement de ce faisceau dans l'espace pe
foré. 0 , angle antérieur de la couche optique rattaché à ce faisceau
postérieur
. A A A, bandelette demi-circulaire émanée du même
rayon antérieur. A B, rayon latéral an-térieur. A E C , rayon latéral
postérieur
. A I I F, rayon postérieur ouvert dans l'interval
latéral an-térieur. A E C , rayon latéral postérieur. A I I F, rayon
postérieur
ouvert dans l'intervalle de 1 I, condyles de l'oc
, rayon antérieur. 1-2, rayon latéral anté-rieur. 4-3 , rayon latéral
postérieur
. 1 -f -|- 4 , rayon postérieur ouvert en -|—h par
atéral anté-rieur. 4-3 , rayon latéral postérieur. 1 -f -|- 4 , rayon
postérieur
ouvert en -|—h par le trou occipital. Cette pla
es à disposition transversale; mais si la zone d'entrée des racines
postérieures
est aussi atteinte, à la topogra- phie transver
ngitudinale, radiculaire ; enfin si cette zone d'entrée des racines
postérieures
est la seule lésée, la dis- position des troubl
ouvait s'ex- pliquer par une lésion des fibres d'entrée des racines
postérieures
puisque la substance grise confine à cette zone
oignet et ne dépassant pas la ligne médiane des faces antérieure et
postérieure
des bras (Planche II). Le territoire de l'analg
de démarcation passe par la partie médiane des faces antérieure et
postérieure
des bras ; au niveau de l'épaule elle va rejoindr
mun et propres des doigts, les muscles propres du pouce, le cubital
postérieur
, le cubital antérieur, les fléchisseurs des doigt
g et court extenseur du pouce, l'exten- seur de l'index, le cubital
postérieur
, le cubital antérieur, le rond pronateur, les p
ieure et la partie moyenne, encore un peu affaiblies dans la partie
postérieure
. Au bras les muscles animés par le nerf musculo-c
res mus- cles de l'avant-bras, extenseur commun des doigts, cubital
postérieur
, muscles propres du pouce, de l'index et du pet
, un groupement interne C celui du triceps bracliial, un groupement
postérieur
D, celui des mus- cles de l'avant-bras ; une lé
harynx, du larynx, ne sont pas atteints. Les muscles de la région
postérieure
du tronc, qui d'après l'anamnèse ont été pris l
pour fonctions de redresser la tête (splénius, com- plexus, droits
postérieurs
de la tête, etc.) et les muscles des gouttières v
is. Les mouvements des muscles du bras, région antérieure et région
postérieure
, le sont également mais dans de moins grandes p
re les jambes en demi-llexion. 36 LONG Les muscles de la région
postérieure
de la jambe et de la plante du pied fonctionnen
ge de quinze ans environ, par les muscles de la nuque, de la région
postérieure
du tronc et de la ceinture pelvienne. Aggravati
ne dépasse pas 50-, et est arrêtée par les rétractions des muscles
postérieurs
de la cuisse (biceps, muscles de la patte d'oie
tion portée sur eux produise en même temps l'excitation des membres
postérieurs
(jumeaux). « En aucun point, on ne constate de
ombaire, mais sans scoliose ; l'inclinaison soit an- térieure, soit
postérieure
, soit latérale du tronc est possible, mais limité
vait été provoquée par l'action prédominante des muscles de la loge
postérieure
. Dès lors, étant donné que tout processus myopa
ques muscles. Dans les nerfs grand-sciatiques, cruraux et tibiaux
postérieurs
, il n'y a pas de réaction faradique, ni galvani
paralysie motrice, plus ou moins complète, des muscles de la région
postérieure
des cuisses, des muscles de la jambe et des pieds
hésie, totale on dissociée, qui occupe la partie médiane de la face
postérieure
des cuisses et des jambes, le bord externe de la
résultats normaux. Aux membres inférieurs, les muscles de la région
postérieure
de la cuisse et tous les muscles de la jambe ét
Adroite, la paralysie intéressait également les muscles de la face
postérieure
de la cuisse, ceux des mollets, ainsi que les e
t été constatés à l'exploration des 86 RAYMOND muscles de la face
postérieure
de la cuisse, du jambier antérieur, des ex- ten
rieurs, incomplète; à gauche, elle intéresse les muscles de la face
postérieure
de la cuisse et ceux de la jambe. A droite, ell
ées et de la cinquième paire lombaire, anime les muscles de la face
postérieure
de la cuisse, tous les muscles de la jambe et d
innervation du plexus sacré : muscles fessiers ; muscles de la face
postérieure
des cuisses ; muscles des jambes et des pieds, ta
nférieure. Assez souvent elle envahit. la partie médiane de la face
postérieure
de la cuisse, plus rarement la partie médiane d
ostérieure de la cuisse, plus rarement la partie médiane de la face
postérieure
de la jambe et le bord externe du pied. Il ne s
rotum, aux par- ties adjacentes de la région fessière et de la face
postérieure
de la cuisse. Incidemment, je vous rappelle que
rescence très prononcée et des cordons posté- rieurs et des racines
postérieures
sacrées avant leur entrée dans la moelle. On peut
re à peu près à égale distance de son pôle antérieur et de son pôle
postérieur
que se trouve la masse des noyaux gris. Ils son
arcot sous le nom d'artère de l'hémorragie céré- brale. Le groupe
postérieur
ou lenticulo-optique répond au segment postérieur
brale. Le groupe postérieur ou lenticulo-optique répond au segment
postérieur
de la capsule interne et se termine à la partie
e et antérieure delà couche optique. - . Enfin l'artère cérébrale
postérieure
envoie à la couche optique plusieurs branches :
branches : ' Les artères optiques inférieures; L'artère optique
postérieure
et interne; L'artère optique postérieure et ext
ieures; L'artère optique postérieure et interne; L'artère optique
postérieure
et externe. De l'origine même de ces différents
t et le creux de l'aisselle a pris une forme particulière. La paroi
postérieure
est élar- gie, formée par les muscles grand ron
symptômes d'une hémiplégie droite (destruction primitive du segment
postérieur
de la capsule interne). Le professeur von Strüm
oins prises et le minimum d'altérations se constate dans le cerveau
postérieur
. Les voies pyramidales sont normales et les cor
sensitivo-sensoriels antérieurs font leurs images sur la convexité
postérieure
des hémisphères ; la tactilité superficielle et p
cutanées, articu- laires et tendineuses, véhiculées par les racines
postérieures
, et nous rensei- gent sur l'orientation et les
rmis supérieur et les circonvolu- LE SENS DES ATTITUDES 177 tions
postérieures
du cervelet. Par le pédoncule supérieur, le noyau
t nous avons parlé plus haut. Une autre gravure d'une époque un peu
postérieure
(époque Louis XIV) retrace une scène plus plais
psie, tumeur gliomateuse du volume d'une noix, siégeant à la partie
postérieure
de la troisième circonvolution frontale de l'hémi
e siège ft l'hémisphère gauche. On trouve sur celui-ci, à la partie
postérieure
du lobe frontal, une masse d'aspect glio- mateu
ur la plus grande est de 5 à 6 centimètres. Elle recouvre la partie
postérieure
des trois circonvolutions frontales en haut, et
ion générale. - Le crâne est petit, bien conformé quant à sa partie
postérieure
. Petits cheveux fins, assez nombreux. Les pavil
de l'ossification du crâne. Fig. 1. Vue supérieure. Fig. 2. - Vue
postérieure
. XY. Axe antéro-postérieur. - A. Encéphalocèl
donc sur la gauche à 45 millimètres d'écart de la par- tie médiane
postérieure
du crâne (dimension prise en suivant la courbure)
a courbure); elle a une hauteur maxima de 2 millimètres à son tiers
postérieur
et diminue graduellement pour se terminer après
fice des narines ; ce repli est plus marqué à droite. Sur un plan
postérieur
à ces ailes du nez se voient les fosses nasales,
é de champ et ne communique avec la cavité buc- cale qu'à sa partie
postérieure
. Pour interpréter cette malformation complexe,
es : une externe répondant la fossette olfactive primitive, l'autre
postérieure
s'ou- vrant dans la bouche. C'est bien ce qui e
voit sur la base du crâne. Après avoir fait sauter le pont ossifié
postérieur
, représentant la petite aile du sphénoïde, et o
- sure interhémisphérique. A la face externe gauche sur sa partie
postérieure
est un sillon très net repré- sentant la partie
partie postérieure est un sillon très net repré- sentant la partie
postérieure
de cette même scissure. La face externe droite
oite et d'avant en arrière, et qui s'arrête à 1 centimètre du tiers
postérieur
du sillon interhémisphérique. A 3 centimètres e
illimètres, sans circonvolutions marquées. En arrière de la lèvre
postérieure
de cette scissure est le reste de l'hémi. sphèr
tres et qui est débordé en arrière de 22 millimètres par la partie,
postérieure
de l'hémi- sphère droit. BULBE. - L'origine d
r la face inférieure du cervelet lui est perpendiculaire. La partie
postérieure
de la base du crâne a du reste, nous l'avons di
a du reste, nous l'avons dit, une forme en entonnoir. A la partie
postérieure
de l'origine de la moelle, la face postérieure de
tonnoir. A la partie postérieure de l'origine de la moelle, la face
postérieure
de celle- ci est escortée sur une longueur de 2
É RARE DE LA FACE ET DE L'ENCÉPHALE 233 234 UAUSHALTER ET BRIQUEL
postérieure
du bulbe et de la moelle. Peut-on l'interpréter c
l'angle à droite est à 18 millimètres de la ligne tangente au bord
postérieur
, le gauche à 22 millimètres de distance de cett
tance antéro-postérieure de 22 millimètres du plan tangent au bord
postérieur
du lobe droit. Régulièrement incurvée (concav
ance antéro-pos- térieure de 55 millimètres de ce même plan tangent
postérieur
, la scissure fait brusquement un angle légèreme
une dis- tance antéro-postérieure de 9 centimètres du plan tangent
postérieur
. Elle s'en- tr'ouvre peu à peu et laisse assez
: 23G MAUSUALTER ET BRIQUEL 3° Une postéro-inférieure, à la face
postérieure
de la deuxième cavité, de près de 10 millimètre
ient rappeler de très loin les commis- sures blanches antérieure et
postérieure
, on pourrait songera homologuer à la commissure
rs. La scissure de Sylvius est ici à peu près parallèle a la partie
postérieure
de l'encéphale, se relevant même vers la gauche
mêmes et courtes, à cause de la torsion vers la gauche de la partie
postérieure
de l'hémisphère droit. Les deux lobes tempora
déformation interviennent et se surajoutent : d'abord, à sa partie
postérieure
, l'action d'arrière en avant exercée z par la p
ie postérieure, l'action d'arrière en avant exercée z par la partie
postérieure
de l'hémisphère droit, et l'action à la fois d'av
t comme de larges fentes, diminuant de largeur à leurs extré- mités
postérieure
et inférieure, ne formant que des prolongements d
, est unique. Sa face antérieure est à peu près rectiligne. Sa face
postérieure
forme une courbe concave en ar- rière. Le canal
ée aplatie, ses bords quadrangulaires. Elle s'articule par son bord
postérieur
avec un os allongé, seul repré- sentant, ici, d
x, plus interne, semble s'articuler directement par son ex- trémité
postérieure
élargie avec l'os du tarse. Peut-être aussi cette
ieure élargie avec l'os du tarse. Peut-être aussi cette extré- mité
postérieure
s'articule-t-elle avec la malléole interne, mais
IÛâI ? è' 1 occipital. v ? « Le ramollissement occupe l'extrémité
postérieure
de la face interné. : de l'hémisphère gauche. C
tiers antérieurs du lobule lingual sont indem- nes ; mais le tiers
postérieur
est anéanti, à tel point que le quatrième sillon
lques adhérences superficielles et un peu diffuses dans les régions
postérieures
de la deuxième circonvolution pariétale, et de
e la presque totalité du cuneus et du lobule lin- gual. A la partie
postérieure
et inférieure du splenium divisé par une section
ine, en plein foyer de ramollissement. En dehors du foyer, la corne
postérieure
du ventricule latéral se prolonge sous l'aspect d
d). F, G. Deux coupes sagittales de l'hémisphère droit. A la partie
postérieure
du corps calleux on dis- tingue encore la tache
présentant des foyers nettement circonscrits au niveau de la région
postérieure
, avec une intégrité relative des régions antéri
lle occupant la partie antérieure et inférieure de la P2, la partie
postérieure
et inférieure de la P' et l'oper- cule pariétal
ulcérée sur toute sa longueur ; 4° Exulcérations sur les deux tiers
postérieurs
de la T'; 5° La T' est notablement atrophiée da
urs de la T'; 5° La T' est notablement atrophiée dans son cinquième
postérieur
; elle est le siège d'ulcérations ; 6° Il exi
sion en foyer intéressant la région du centre de l'audition : tiers
postérieur
de la première temporale et circonvolution supr
oires corticaux et plus particulièrement des centres de la ré- gion
postérieure
. La lésion elle-même affecte alors parfois des ca
de la paralysie générale liée à l'existence, au niveau de la région
postérieure
, de foyers plus ou moins circonscrits de méningo-
s correspond très exactement au trajet intra-médullaire des racines
postérieures
, trajet établi par l'étude des dégénérescences se
scences secondaires consécutives aux lésions primitives des racines
postérieures
, par la patho- logie expérimentale, et par l'em
e expérimentale, et par l'embryologie, - on reporta sur les racines
postérieures
la systématisation qui avait été reconnue pour la
ion fondamentale du tabes devint une atrophie primitive des racines
postérieures
. ' C'était cependant là une formule trop exclus
formule trop exclusive, car ce ne sont pas seu- lement les cordons
postérieurs
de la moelle et les racines postérieures qui so
pas seu- lement les cordons postérieurs de la moelle et les racines
postérieures
qui sont atteints dans le tabes; il y a encore
rticulaires; le sympathique (Roux), etc... L'atrophie des racines
postérieures
, elle-même, devait être interprétée de diverses
racines et à la moelle. Quoi qu'il en soit, l'atrophie des racines
postérieures
occupe encore une place prépondérante dans l'an
matériel assez considérable, nous avons repris l'étude des racines
postérieures
, dans leur trajet intra et juxtaganglion- naire
uivant un axe transversal, effilée à ses deux extrémités. La racine
postérieure
l'aborde par son extrémité ou pôle central; ses
ère ces dernières fihres comme appartenant t au système des racines
postérieures
au même titre que celles qui s'éten- dent du ga
employer, de rap- peler en quelques mots les rapports de la racine
postérieure
avec les mé- ninges. A ce point de vue, la ra
ine postérieure avec les mé- ninges. A ce point de vue, la racine
postérieure
peut être divisée en trois seg- ments : le prem
(feuillet viscéral) et la dure-mère se réfléchissent sur la racine
postérieure
: ses faisceaux chemi- nent alors à l'abri d'un
bout périphérique (névrilemne). , C'est cette portion de la racine
postérieure
, dénommée par Nageotte le nerf radiculaire, qui
chacun d'un périnèvre. Par suite, la surface occupée par la racine
postérieure
s'accroît insensiblement au voisinage de sa pénét
s devons ajouter qu'il y a des variations nombreuses. Ici la racine
postérieure
commence à se dissocier assez haut, et donne nais
s de la racine antérieure. Cette brève revue anatomique des racines
postérieures
dans leur trajet juxta et intra-ganglionnaire a
i LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 295 des racines
postérieures
, et le parenchyme ganglionnaire. Elles permettent
n coupes perpendiculaires à l'axe et en série ainsi que les racines
postérieures
, depuis leur entrée dans le sac durai jusqu'au de
delà du ganglion. Dans tous ces examens, l'atrophie de la racine
postérieure
a pu être sui- vie sur toute la longueur de la
ganglion. Trajet sus-ganglionnaire. Dans plusieurs cas les racines
postérieures
se rendent directement dans le ganglion, sans ê
onnaire qui remontent plus ou moins haut sur le trajet de la racine
postérieure
; la gaine dure-mérienne des racines posté- rieu
artiellement atrophié. Examen histologique. L'atrophie de la racine
postérieure
est due la la disparition ou à l'amincissement
lion et ne remonte pas sur le trajet sus-ganglionnaire de la racine
postérieure
. De même dans quelques cloisons interfasciculai
i fibreuse ex- trêmement épaisse, ayant refoulé en dehors la racine
postérieure
, ne contenant ni exsudât, ni amas nucléaires, n
osine, donne des indications intéressantes. L'atrophie de la racine
postérieure
peut être encore suivie sur toutes les coupes jus
ïdien ou un peu au-dessous les fascicules qui constituent la racine
postérieure
sont extrêmement grêles, entortillés et enroulés
ro-carmm en masse. (Zeiss Obj. D. Oc. 2.) Un fascicule de la racine
postérieure
au voisinage du ganglion. Le périnèvre, très ép
n à présenter sur une même coupe l'entrée et la sortie de la racine
postérieure
. Pour les ganglions de la région cervicale, la
cet exposé : 1° La topographie des lésions atrophiques des racines
postérieures
; 2° L'histologie fine de ces lésions et les al
radiculaires. Région dorsale infé- rieure. - L'atrophie des racines
postérieures
existe dans le bout sus-ganglion- naire et se p
glion. Elle paraît même plus accentuée, pour les 10e et ]le racines
postérieures
, au voisinage immédiat, qu'à une certaine dista
aine distance du ganglion. Avant d'aborder le ganglion, les racines
postérieures
se divisent en un cer- 304 THOMAS ET HAUSER ,
erstitiel entre leurs fibres. Les vaisseaux inclus dans les racines
postérieures
sont nombreux ; leurs parois sont généralement
- ment normales. Région dorsale moyenne. - L'atrophie des racines
postérieures
existe à un degré analogue. On voit également a
ce niveau un peu plus grêles. Les enveloppes méningées de la racine
postérieure
sont à peine épais- sies. Les vaisseaux présent
longitudinales du 2e ganglion dorsal permettent de voir les racines
postérieures
à la fois dans leur portion sus et sous-ganglio
racines antérieures sur tout leur trajet. L'atrophie des racines
postérieures
jusque dans le ganglion ressort encore de l'exa
te atrophie. Nulle part on ne voit non plus les fibres de racines
postérieures
séparées par un tissu conjonctif plus abondant
if plus abondant qu'à l'état normal. Région lombaire. - Les racines
postérieures
dans leur portion sus-gan- glionnaire présenten
cervicale. Il n'existe nulle part de lésion appréciable des racines
postérieures
. La méthode de Marchi employée pour ces ganglions
n générale, aux régions lombaire et dorsale, l'atrophie des racines
postérieures
se poursuit jusqu'au ganglion, et dans l'intérieu
es coupes transversales, les fascicules qui constituent les racines
postérieures
ont un aspect général moins homogène qu'à l'éta
et à distance du ganglion. Les vaisseaux contenus dans les racines
postérieures
sont généralement lésés : leurs tuniques sont é
paraissent indemnes. En résumé l'atrophie des fibres radiculaires
postérieures
porte ici principa- lement sur la gaine myélini
ons (épaississement et transformation hyaline) que dans les racines
postérieures
. Résumé. - L'examen de ce cas nous montre les r
postérieures. Résumé. - L'examen de ce cas nous montre les racines
postérieures
atro- phiées dans leur portion sus-ganglionnair
laires et d'un léger épaississement des méninges autour des racines
postérieures
, mais nulle part on ne rencontre une proportion
que nous commence- rons cette étude. Dans tous les cas,la racine
postérieure
est atrophiée sur tout son trajet, jusque dans
t considéra- ble des cloisons conjonctives qui dissocient la racine
postérieure
en fascicules d'autant plus nombreux qu'elle se
la capsule ganglionnaire (au niveau de la pénétration de la racine
postérieure
) sont extrêmement épaissies. Malgré cela, sur q
s tractus con- jonctifs. Dans la traversée du ganglion, les racines
postérieures
se comportent très différemment suivant qu'on e
RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 309 L'atrophie de la racine
postérieure
est due à la disparition d'un nombre considérab
sissement, on voit s'amincir leurs Dans le bout central aes racines
postérieures
et le poie centrai uu ganglion les uuic.) ont p
allongés ; ceux-ci paraissent beaucoup plus nombreux sur la racine
postérieure
que sur la racine antérieure, cette apparence est
tassement et au rapprochement des fibres atrophiées dans la racine
postérieure
, mais il y a là plus qu'une apparence, et il est
t il est évident que les noyaux sont plus nombreux dans les racines
postérieures
que dans les racines antérieures. Quant il l'ét
gaine quelquefois de si près : de sorte que l'atrophie de la racine
postérieure
se pré- sente comme une atrophie simple, sans e
mple, sans endonévrite. La portion juxta-ganglionnaire de la racine
postérieure
est particulièrement intéressante par l'épaissi
sont très irrégulièrement dis- tribuées sur le trajet de la racine
postérieure
et orientées sans ordre, ce qui explique la cou
rdre, ce qui explique la course irrégulière et sinueuse des racines
postérieures
. Mais ce n'est pas tout : entre les racines pos
es racines postérieures. Mais ce n'est pas tout : entre les racines
postérieures
et les gaines fibreuses formant leurs cloisons
s précédemment. Voyons maintenant les rapports généraux des racines
postérieures
avec la dure-mère et les cloisons conjonctives.
2.) 5e ganglion lombaire au voisinage de la pénétration des racines
postérieures
. Diminution du nombre des fibres à myéline des
utres l'accolement est moins intime. A part l'atrophie de la racine
postérieure
qui peut être poursuivie jusque dans le pôle mé
bien peu de chose à côté des altérations considérables des racines
postérieures
. Nous n'insisterons pas sur la pigmentation des
ire (portion intra- arachnoïdienne et région de Nageotte) la racine
postérieure
n'est pas mani- festement atrophiée. Dans le
hiée. Dans le trajet ganglionnaire et sous-ganglionnaire, la racine
postérieure
est absolument normale. En réalité,- il n'exist
aines de Schwann sont un peu plus nombreux par places sur la racine
postérieure
, au-dessus du ganglion. Le ganglion ne présen
iphérique du ganglion et la portion sous-ganglionnaire, la ra- cine
postérieure
est normale. La dure-mère et l'arachnoïde ne so
périnévritc analogues à celles qui ont été décrites pour la racine
postérieure
, mais elles sont moins intenses et cessent au n
rième ganglion lombaire gauche (coupé longitudinalement). La racine
postérieure
est atrophiée dans sa portion sus-ganglionnaire e
ssus les méninges ne sont pas très malades. L'atrophie de la racine
postérieure
n'est pas très accentuée, elle contient encore
n lombaire gauche (coupé transversalement). L'atrophie de la racine
postérieure
peut être suivie sur toutes les coupes jusque d
ériphérique du ganglion et la portion sous-ganglionnaire, la racine
postérieure
est normale. L'atrophie n'est pas très prononcé
glion lombaire droit (coupé longitudinalement). (Fig, 6). La racine
postérieure
est très atrophiée dans toute sa portion sus-gang
u- dessous du ganglion elle est normale. L'atropliie de la racine
postérieure
est due à la disparition de la plupart des gain
Ces lésions ne descendent pas au-dessous du ganglion. Les racines
postérieures
sont remarquables par l'abondance des éléments nu
.) A. - 4e ganglion lombaire droit. Coupe des racines antérieure et
postérieure
immédiatement avant leur pénétration dans le ga
immédiatement avant leur pénétration dans le ganglion, ' La racine
postérieure
est subdivisée en un grand nombre de fascicules,
ures. Ces deux coupes montrent combien diffère l'aspect des racines
postérieures
avant et après leur LÉSIONS RADICULAIRES ET GAN
droit (coupé perpendiculairement) (PI.XL, fig. A et B). La racine
postérieure
est atrophiée dans toute sa portion sus-ganglionn
he en faisceaux fibreux. Dans le pôle central du ganglion la racine
postérieure
est également atrophiée, tandis que dans le pôl
re elle redevient absolument normale. Sur les coupes de la racine
postérieure
, on remarque que la plupart des fibres à myélin
ces. Immédiatement au-dessous du cul-de-sac arachnoïdien, la racine
postérieure
est engainée par un tissu d'aspect amorphe, con
al droit (coupes longitudinales). Atrophie très légère de la racine
postérieure
dans sa portion sus-ganglion- naire ; sur une t
a gaine de Schwann un peu plus nombreux. A ce niveau même la racine
postérieure
est entourée d'une gaine fibreuse très épaisse,
ste des altérations semblables à celles qu'on observe sur la racine
postérieure
, c'est-à-dire des lésions de péri- névrite, mai
line et l'éosine, par le carmin. Sur tous ces ganglions la racine
postérieure
est atrophiée dans toute sa lon- gueur depuis l
naire et notamment au-dessous du cul-de-sac arachnoïdien, la racine
postérieure
suit un trajet irrégulier en raison de l'hypert
iphérique du ganglion et la portion sous-ganglionnaire, les racines
postérieures
sont normales. L'atrophie des racines postérieu
e, les racines postérieures sont normales. L'atrophie des racines
postérieures
est due à l'amincissement et à la dispari- tion
pés transversalement et par série. Sur toutes les coupes, la racine
postérieure
paraît nettement atrophiée. Dans LÉSIONS RADICU
sous du cul- de-sac arachnoïdien, la racine antérieure et la racine
postérieure
sont divisées en de nombreux fascicules, par l'
ue complètement défaut dans les fascicules appartenant il la racine
postérieure
. Les cloisons forment d'épais anneaux fibreux a
ine activité. où, dans les coupes passant par l'entrée de la racine
postérieure
et par le pôle médullaire, les fibres à myéline
Dans le reste du gan- glion et à leur pôle périphérique, la racine
postérieure
est certes plus riche en fibres à myéline, malg
une racine normale, et dans son trajet sous-ganglionnaire la racine
postérieure
paraît à peu près saine. Dans la portion sus-
orées par l'éosine e Fig. 7. - Four... (Observ. V). - Racine sacrée
postérieure
coupée transversalement dans la région du nerf
s conjonctives, les travées qui séparent les fascicules des racines
postérieures
à leur sortie du ganglion sont épaisses, les noya
éosine. 2° ganglion sacré (Coupes transversales sériées des racines
postérieures
et du ganglion). Les fibres radiculaires sont
ninges. La dure-mère est épaissie autour des racines antérieures et
postérieures
. Les fascicules de la racine antérieure sont en
rés d'un périnèvre fibreux épais. La gaine pie-mérienne des racines
postérieures
est le siège d'un processus inflammatoire très
Zeiss. Obj. A2, Oc.l. Epaississement de la gaine piale des racines
postérieures
, dont les fibres plus disso- ciées qu'à l'état
oit la réaction inflammatoire interstitielle augmenter. Les racines
postérieures
se subdivisent en nombreux fascicules mal délim
ues. A leur émergence du pôle périphérique du ganglion, les racines
postérieures
sont compactes et homogènes, il n'existe ni lés
re. - Les 3 ganglions ont été coupés longitudinalement. Les racines
postérieures
sont complètement indemnes, sauf quelques altéra-
es des 1 ? 3°, o°, 1 le et 12" dorsales, le ganglion et les racines
postérieures
ne présentent aucune altération notable des fib
aîner un bouleversement complet des fibres ner- veuses de la racine
postérieure
sur une certaine longueur.Sur les coupes trans-
elles. Les méninges sont très épaissies, surtout autour des racines
postérieures
(r). B. - Mêmes racines sectionnées plus près d
s racines sectionnées plus près du ganglion. Les fibres des racines
postérieures
(rp) sont refoulées et dissociées par des foyers
vons d'ailleurs avec les mêmes caractères sur le trajet des racines
postérieures
du 10r ganglion dorsal. Sur ce ganglion coupé l
qu'il existe, un peu au-dessus du point de pénétration des racines
postérieures
, et à la périphérie un petit espace de forme ov
Inclusion à la paraffine. Dans tous les cas l'atrophie de la racine
postérieure
existe dans toute la portion sus-ganglionnaire
on sous-ganglionnaire. Dans sa portion sus-ganglionnaire, la racine
postérieure
suit un. trajet ex- trêmement irrégulier à caus
ET HAUSER Dans le pôle central du ganglion, l'atrophie des racines
postérieures
se voit encore nettement, mais sur quelques gan
moins accentuée que dans la portion sus-ganglionnaire. La racine
postérieure
n'est plus représentée que par des gaines de Schw
avant leur réunion et la consti- tution du nerf mixte. La racine
postérieure
est atrophiée dans la portion sus-ganglionnaire e
ion. Un peu au-dessus de sa pénétration dans le ganglion, la racine
postérieure
est dissociée en plusieurs fascicules par des c
re. Les méninges sont légèrement épaissies. L'atrophie de la racine
postérieure
est due à l'amincissement et à la dispa- rition
anglion est cou- pé longitudinalement. Dans tous ces cas, la racine
postérieure
est atrophiée dans son trajet sous-arachnoïdien
s ou moins atrophié. Les noyaux sont plus nombreux dans la ra- cine
postérieure
que dans la racine antérieure. Les vaisseaux ne p
inales du 3e ganglion lombaire gauche et ses racines antérieures et
postérieures
adjacentes, montrent une di- minution notable d
son trajet. Un manchon méningitique assez épais enveloppe la racine
postérieure
; il est fibreux à sa périphérie, mais ses couc
aisses et hyalines. On ne voit pas ce tissu pénétrer dans la racine
postérieure
qui reste presque indivise avant d'aborder le g
pes perpendiculaires sériées. ., L'atrophie des fibres radiculaires
postérieures
est très nette jusqu'au gan- glion. A une pet
une coque extrêmement épaisse étrangle les fascicules de la racine
postérieure
et la racine antérieure est elle-même entourée d'
tractus épais qui pénètrent entre les fascicules. Dans la racine
postérieure
, l'inflammation ne s'arrête pas à la périphérie
ranche- ment colorées dans le segment sus-ganglionnaire des racines
postérieures
; leur diminution, leur teinte terne et grise a
A gauche coupe de la racine antérieure normale. A droite la racine
postérieure
très dégénérée est dissociée en nombreux fascic
pe d'un cylindraxe sont en petit nombre. Les racines antérieures et
postérieures
sont accolées en canon de fusil, et l'enveloppe
eures sont denses, compactes, colo- rées en noir franc, les racines
postérieures
ne contiennent plus qu'un très pelit nombre de
profondément dégénéré, la portion sous-gan- glionnaire des racines
postérieures
forme un faisceau aussi dense, aussi compact qu
eures et finalement disparaître à peu près au niveau où les racines
postérieures
pénètrent dans le ganglion. Cette particula- ri
s racines antérieu- res qui lui sont accolées. Autour des racines
postérieures
, le feuillet arachnoïdien est également épaissi
ions mentales très différentes les unes des autres (1). Des travaux
postérieurs
tendirent à montrer que, si opposées qu'elles f
a ligne médiane, mais épargnant néanmoins quelques zones de la face
postérieure
du même côté gauche du corps. A la plante du pi
uche du corps. A la plante du pied, à la région lombaire, à la face
postérieure
de la cuisse, la sensibilité aux trois modes pe
rtie moyenne tandis que le talon antérieur, les orteils et le talon
postérieur
sont bien marqués. Dans la seconde, les orteils
on myotonique. En électrisant les muscles du mollet et de la région
postérieure
de la cuisse avec un fort courant et des interm
e rencontre,précisément, dans ces muscles du mollet et de la région
postérieure
de la cuisse qui semblent se contracter trop et
s la moelle ; mais il en est (notamment, obs. II et X) où la racine
postérieure
est au contraire plus atteinte dans sa portion im
n cas nous n'avons constaté ce fait. En ce qui concerne les racines
postérieures
, il est donc nettement établi que leur atrophie
en effet, tandis 414 THOMAS ET HAUSER que dans certaines racines
postérieures
les fascicules comptent sur une coupe transvers
ure-mère (épsttévile). Enfin sur celte dernière portion des racines
postérieures
on observe LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIR
le remaniement amené par le processus néoplasique clans les racines
postérieures
est énorme. Ces racines sont subdivisées en 30
un bou- leversement dans l'architecture de cette partie des racines
postérieures
. Cette assertion ne doit, il nous semble, être
u'à -i l'état normal et augmentent la surface de coupe de la racine
postérieure
. Les fascicules jusque là groupés et compacts s
certains cas (Obs. X et XI), est aussi marquée que sur les racines
postérieures
; mais d'une façon générale s'y montre beaucoup
ren- contre avec une certaine fréquence soit au niveau des racines
postérieures
, soit dans le ganglion. Nous avons vu, par les
e question, nous envisagerons tout d'abord l'atro- phie des racines
postérieures
en elle-même, nous rechercherons ensuite quelle
uite quelle en est la cause. Le processus dégénératif des racines
postérieures
est un processus d'a- trophie simple, la gaine
ue des racines. Il est assez fréquent que dans le tabès les racines
postérieures
soient atrophiées jusque dans le ganglion, et c
que l'un de nous a déjà constaté sur des dissociations de' racines
postérieures
traitées par l'acide osmique (4); l'atrophie de
d. (5) Philippe. Thèse de Doctorat, 1897. 422 THOMAS ET IIAUSER
postérieures
est donc un processus segmentaire. C'est un proce
e type segmentaire que nous avons observé dans l'examen des racines
postérieures
diffère par bien des points de celui qui a été
il fant admettre que le processus habituel d'a- trophie des racines
postérieures
dans le tabes est un processus de dégéné- resce
es sont pour quelques auteursproportionnel les à celles des racines
postérieures
, ce n'est pas pour d'autres une règle absolue. Or
sur les dissociations, sous le même aspect que celles des ra- cines
postérieures
: comme Shaw (2) l'a constaté, comme l'un de nous
s de même nature et peut-être de même origine que celle des racines
postérieures
. Les théories qui n'ont eu en vue que la dégéné
dans l'ombre les altérations des nerfs cutanés : après les racines
postérieures
ce sont les nerfs qui dégénèrent le plus souven
s appartiennent tous deux au même neurone : l'alrophie de la racine
postérieure
remonte plus rapidement vers le centre que celle
autant plus fréquentes et plus intenses que les fibres de la racine
postérieure
sont plus atrophiées dans le trajet sus-ganglio
chez l'adulte ; et Marinesco con- clut que la sclérose des cordons
postérieurs
n'est pas sous la dépendance de ces lésions.
ue dans les cas de tabès anciens, la lésion des fibres de la racine
postérieure
est susceptible de remonter jusqu'à la cellule d'
ns la cel- lule le ]Jl'i1lltl1ll 1nOl'ens de l'atrophie des racines
postérieures
et de la sclérose des cordons postérieurs ? C'e
e l'atrophie des racines postérieures et de la sclérose des cordons
postérieurs
? C'est là une hypothèse qui soulève de grosses
nombre des cellules devrait être égal à celui des fibres de la racine
postérieure
et du bout périphérique ; or les opinions des a
ganglions du lapin : dans le premier, aux 3173 fibres de la racine
postérieure
correspondent 20.361 cellules ganglionnaires, d
les ganglionnaires, dans le deuxième aux t.2T[0 fibres de la racine
postérieure
correspondent 27.618 cellules xv 28 426 THOMA
est le centre trophique de chacun d'eux. Or dans le tabes la racine
postérieure
dégénérée au-dessus du gan- glion, retrouve au-
s ont en effet démontré que la section du bout central de la racine
postérieure
n'a aucun retentissement sur la cellule d'origi
tion porte sur le bout central ou le bout périphérique de la racine
postérieure
; ne peut-on alors supposer et déduire qu'à son
n trophique de la cellule est beaucoup moins intense pour la racine
postérieure
que pour le nerf péri- j ' ganglionnaires. Il
nstance qu'on n'observe pas de fibres régénérées dans les ra- cines
postérieures
, viendrait à l'appui de la théorie cellulaire du
tabes. Nous rappellerons toutefois qu'après la section des racines
postérieures
, Wagner n'a pas constaté de névromes de régénér
syringomyélie, de, névromes de régénération, à l'entrée des racines
postérieures
dans la moelle (Raymond) (1). Il est en somme
tions de la fibre les plus éloignées du centre du neurone (cordons,
postérieurs
d'une part, nerfs cutanés de l'autre), et d'aut
ns à l'étal normal ,son influence trophique, c'est-à-dire la racine
postérieure
. La théorie cellulaire du tabes et plus particu
as dans le ganglion rachidien, mais sur le trajet même de la racine
postérieure
depuis le ganglion jusqu'à la moelle qu'il faut
'à la moelle qu'il faut chercher la cause de l'atrophie des racines
postérieures
. D'après Obersteiner et Redlich (1), les racine
cines postérieures. D'après Obersteiner et Redlich (1), les racines
postérieures
sont atteintes primitivement au niveau de l'étr
al. En outre, si c'est là tout d'abord le point faible de la racine
postérieure
, on ne se rend pas bien compte que celle-ci dég
es telles que la syringomyélie qui dé- truisent souvent les racines
postérieures
jusqu'à leur pénétration dans la moelle et qui
llélisme entre la névrite transverse et la dégénération des cordons
postérieurs
. (1) Obersteiner et RGDLICIi, Arbeit. aus Prof.
t intervenir, à aucun titre, comme cause de l'atrophie de la racine
postérieure
, d'autre part, la péri- névrite qui est loin d'
al de notre obs. VI; nous avons constaté sur le trajet de la racine
postérieure
des lésions conjonctives inflammatoires extrême
sion de rencontrer sur les autres racines, et malgré cela la racine
postérieure
est à peine dégénérée au-dessus et au-dessous d
e lésions n'évoluent donc pas toujours simultanément et les racines
postérieures
sont dégénérées parfois jusque dans le ganglion
eurs dans certains cas de méningo-myélite syphilitique, les racines
postérieures
sont parfois plon- gées dans une pachyméningite
le moins du monde souffert. Comme pour celle qui entoure la racine
postérieure
, elle présente ce caractère particulier de ne p
au cours de plusieurs examens, une atrophie légère., - de la racine
postérieure
au niveau et au-dessus du nerf radiculaire peut
n effet, que dans le tabes ce ne sont pas seule- z ment les racines
postérieures
et les nerfs cutanés qui sont.malades, mais - e
tion de l'origine cellu- laire peut se poser comme pour les racines
postérieures
et les nerfs cuta- nés ; toutefois les cellules
avec de Mas- sary une altération de structure constante des racines
postérieures
, car sur quelques ganglions normaux elle fait c
atteignent à l'état normal, du fait de la subdivision de la racine
postérieure
, une éten- due, une surface, un nombre beaucoup
ntervenir comme lésion initiale dans la dégénérescence de la racine
postérieure
que la méningite spinale : dans la sclérose des c
ente aussi, comme marque distinctive, son élection pour les racines
postérieures
; en raison de sa marche lente et progressive e
oute spéciale du processus dégé- nératif sur les fibres des racines
postérieures
, il y a peut-être lieu de faire intervenir dive
els que les lésions de méningite étagées sur le trajet de la racine
postérieure
, la névrite transverse de Nageotte ou même quel
rophique s'exerce moins activement sur le bout central de la racine
postérieure
que sur son bout périphérique. Enfin, il est enco
aussi être mis en cause dans le processus d'a- trophie des racines
postérieures
et dans l'inflammation de la région de Nageotte
ent le long du trajet du sciatique, dans les fesses, dans la partie
postérieure
des cuisses et jusque dans les jambes. Elles ét
la partie interne de chaque fesse et à la partie médiane de la face
postérieure
de chaque cuisse; elle intéressait il la fois la
e côté, la partie interne de la fesse, la partie médiane de la face
postérieure
de la cuisse et, à gauche seulement, la plante
ment, la plante du pied. Plus tard, l'anes- thésie a envahi la face
postérieure
des jambes. Enfin l'examen des poumons a fait c
té, à la partie interne de la fesse, à la partie médiane de la face
postérieure
de la cuisse et de la jambe et, à gauche, à la pl
érieurs parle dans le même sens. En effet, les téguments de la face
postérieure
de la cuisse et de la jambe tirent leur innerva
, l'existence d'une parésie motrice, limitée aux muscles de la face
postérieure
de la cuisse, aux mus- cles de la jambe et du p
est limitée par une ligne horizontale qui passe par l'épine iliaque
postérieure
; en bas, elle se prolonge le long de la partie m
; en bas, elle se prolonge le long de la partie moyenne de la face
postérieure
de la cuisse, en se rétrécissant de plus en plus
rieure de la cuisse, en se rétrécissant de plus en plus ; à la face
postérieure
du mollet, elle se réduit à une étroite languette
ques mots : Parésie motrice, très prononcée, des muscles de la face
postérieure
de la cuisse, des muscles de la jambe et du pie
rinée, de la partie adjacente de la fesse, se prolongeant à la face
postérieure
de la cuisse, sous la forme d'une bande dont la
la fesse, et se prolongeant le long de la partie médiane de la face
postérieure
de la cuisse, avec participation de la plante et
ulaire massive ; elle est prononcée surtout dans la loge musculaire
postérieure
de la cuisse et au mollet. La fesse gauche y pa
atrophie musculaire massive, prédo- minante aux muscles de la face
postérieure
de la cuisse et à ceux du mollet, et d'un abais
u plancher, entre le faisceau solitaire et le faisceau longitudinal
postérieur
; il est limité par un sillon d'oedème; dans son
leux disséminés (Pl. LVI, fig. J, K, L, M). Ce foyer entame la lame
postérieure
de l'olive, la moitié antérieure de la racine d
par une cavité remplie de corps granu- leux. Il sectionne la moitié
postérieure
du ruban de Reil, les régions internes de la su
ques fascicules de l'hypoglosse; il entame le faisceau longitudinal
postérieur
et se place au hile de l'olive de manière à int
nterne où elles se groupent dans la ré- gion postérieure'dû segment
postérieur
; s'agit-il là d'une dégénérescence rétrograde
te en avant, séparées par un espace relativement sain. Dans la zone
postérieure
, il ne reste plus une fibre saine. Cette zone r
e une topographie spéciale ; ces fibres consti- tueraient la partie
postérieure
de la couche interolivaire et se myélinise- rai
; or, précisément L on remarquera que, dans notre cas, où la région
postérieure
de la couche interolivaire était plus atteinte
intacts dans son épaisseur. Pourtant Bechterew admet que les fibres
postérieures
de la couche interolivaire occupent plus haut l
ban de Reil médian prend, au voisinage des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
, la forme d'un L; la brancheantéro-postérieure, m
n arrière où il est sons-jacentau bras du tubercule quadrijumeaux /
postérieur
, puis'plus haut au corps genouillé interne. J.
ticulée qui avoi- sine le ruban de Reil et le faisceau longitudinal
postérieur
, on aperçoitdes faisceaux longitudinaux dégénér
ines diverses et en particulier des fibres du faisceau longitudinal
postérieur
atteintes par le foyer F2. Au-dessus des foye
dans la substance réticulée et siégeant sur les côtés de la portion
postérieure
de la formation réticulée blanche, comme ceux q
F2. Un certain nom- bre de ces fibres se recourbent dans la portion
postérieure
de la substance réticulée grise pour pénétrer d
ée blanche, formant un trait d'union entre le faisceau longitudinal
postérieur
et le ru- ban de Reil, sans qu'on puisse établi
emonte et disparaissent avec la calotte. Le faisceau longitudinal
postérieur
gauche présente au-dessous du foyer F2 une dégé
en réseau les corps restiformes et vont se grouper dans leur angle
postérieur
(Pl. LVI, LVII, fig. L, M, N, 0). Elles monte
entre l'embolus et l'olive, ainsi qu'à la face interne de la moitié
postérieure
de l'olive où elles prennent part au plexus int
sceau cérébelleux direct ; 5° une lésion du fais- ceau longitudinal
postérieur
gauche avec dégénération descendante ; 60 une d
s altérations du ruban de Reil sont surtout intenses dans la partie
postérieure
de la couche interolivaire où siègent les fibre
nt du noyau grêle auquel aboutissent les fihres longues des racines
postérieures
des membres inférieurs. Si à la face l'anesthés
e vraisemblance que ces fibres passent par le faisceau longitudinal
postérieur
, qui a de nombreuses connexions avec les noyaux
la droite plus petite que la gauche; or les faisceaux longitudinaux
postérieurs
sont atteints, le droit plus que le gauche. Au
s cellules de Purkinje ont complètement disparu... « Dans la partie
postérieure
du lobe atrophié, la lésion est très intéressante
S PROTOPLASMIQUES DES CELLULES NERVEUSES DES CORNES ANTÉRIEURE ET
POSTÉRIEURE
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE CHEZ DES enfants NOUVEA
inière, mais encore des coupes longitudinales, détachant les cornes
postérieures
des cornes antérieures à l'aide d'une coupe, pass
prolonge- ments protoplasmiques des cellules nerveuses de la corne
postérieure
et de la corne antérieure de la moelle épinière
le trajet des dendrites des saillies en formes de verrues. Cornes
postérieures
. - Les prolongements protoplasmiques des cellules
stance blanche. Les contours des dendrites des cellules de la corne
postérieure
sont moins réguliers (voy. fig. 4). que ceux de
es. Il faut encore noter que les dendrites des cellules de la corne
postérieure
sont plus courtes et se rami- fient plus que ce
scourt, tantôt plus long et ordinairement épaissi au bout. Cornes
postérieures
. - Les prolongements protoplasmiques des cellules
es prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses de la corne
postérieure
, outre qu'ils sont comparativement plus courts
ements protoplasmiques de certaines cellules nerveuses de la écorne
postérieure
, au contraire, le nom- bre d'appendices collaté
une cellule nerveuse, située dans la sub- stance grise de la corne
postérieure
, avec des dendrites courtes, ayant des contours
in avec un épaississement sphérique au bout (voy. fig. 8). Cornes
postérieures
. - Ici on rencontre assez souvent des cellules ne
miques des cellules nerveuses de la corne antérieure et de la corne
postérieure
; dans les cornes anté- rieures, dans tous nos
us longs et très pauvres en appendices collatéraux; dans les cornes
postérieures
, les den- drites sont courtes, plus ramifiées,
de dire si l'on est en présence de cornes antérieures ou de cornes
postérieures
. Pourtant, il nous faut dire que dans les corne
ornes postérieures. Pourtant, il nous faut dire que dans les cornes
postérieures
on rencontre parfois des dendrites pauvres en a
raux, appartiennent aux cellules menues, peu nombreuses de la corne
postérieure
, avec des prolongements courts; mais en outre,
fois que le prolon- gement protoplasmique de la cellule de la corne
postérieure
, richement couvert d'appendices collatéraux à f
ans l'un de nos ouvrages précédents. L'une des cellules de la corne
postérieure
, dont les dendrites étaient tout à fait privées d
es collatéraux. Ensuite, sur les dendrites des cellules de la corne
postérieure
, outre les appendices collatéraux, dans tous les
5 538 SOUKLIANOFF ET CZARNIECK des cellules nerveuses de la corne
postérieure
; on n'en voit pas sur les prolongements protop
ement aussi, on observe sur quelques-unes des dendrites de la corne
postérieure
un état monili(01'1ne. Bien plus souvent on peut
e dans l'aspect des dendrites de la corne antérieure et de la corne
postérieure
; là il y avait aussi approximativement la même
ules de Pur- kinje, du cervelet, la plupart des cellules des cornes
postérieures
de la moelle épinière; quant aux cellules des c
ensitif. Des prolongements protoplasmiques des cellules de la corne
postérieure
de la moelle épinière sont, en somme, riches en
ranuleuses de la taille de l'ongle d'un doigt, adhérentes à la face
postérieure
du liga- ment large. LE SQUELETTE.- Après avo
ophie, ni changement décoloration. Les nerfs olfactifs et la partie
postérieure
des lobes frontaux sont comprimés par la portio
plus bas sur jambes que le boeuf de sa race, a surtout des membres
postérieurs
peu, élevés ; tandis que c'est l'allongement de
ostérieurs peu, élevés ; tandis que c'est l'allongement des membres
postérieurs
qui, chez le boeuf, redresse la ligne du dos, q
arfois moyens de séparation : ex. au tronc, aponévroses pharyngiennes
postérieures
, cervico-thoracique, pelvienne; feuillets fibreux
isse du tympan, où elle forme également une poche ouvrant à la partie
postérieure
des fosses nasales par la trompe d'Eustache. Une
vée. Dans sa texture générale, la peau est plus épaisse sur la face
postérieure
, où il convenait que le tégument servît davantage
ple que dans un petit nombre de points , la surface du crâne, la face
postérieure
du bras, les régions dorsales de la main et du pi
rière, la ]3eau, très épaisse, est doublée par l'aponévrose cervicale
postérieure
; en haut le limite du cou est formée par la base
um, par l'aponévrose cervico-thoracique. Sur les parties latérales et
postérieures
, il se confond avec la naissance des épaules, par
et l'œsophage, sont enveloppés par l'aponévrose commune pharyngienne
postérieure
, qui sépare les deux grands canaux aérien et alim
Le groupe antérieur moyen , circonscrit par l'aponévrose pharyngienne
postérieure
, renferme, d'avant en arrière, i° Dans la région
es constricteurs du pharynx, enveloppés par l'aponévrose pharyngienne
postérieure
. Chacune des parties latérales antérieures forme
e côté par la loge du muscle sterno-masloïdien. La moitié cervicale
postérieure
est séparée de la précédente par l'aponévrose pré
névroses d'insertion, qui prennent le nom d'abdominales antérieure et
postérieure
, sont les membranes de contention qui supportent
ention qui supportent le poids des viscères. En arrière, l'aponévrose
postérieure
du transverse, prolongement flexible des masses a
st fortifiée par deux autres aponé. vroses superposées à son feuillet
postérieur
, en arrière celle du grand dorsal, en avant la fo
marque au tronc; elle est âpre au toucher, dense, épaisse sur la face
postérieure
, et s'amincit graduellement du haut en bas et d'a
par leurs tendons la continuation du bras avec l'avant-bras. La face
postérieure
contient la grande loge ostéo-fibreuse de l'exten
rs des orteils et de l'extenseur du bord interne du pied , le jamhier
postérieur
. 4° Pied. (Pl. 1 2 et 13. ) Il est constitué en
tre considéré comme une voie de communication verticale. Le médiastin
postérieur
loge en arrière les gros vaisseaux sanguins et ly
'isolement avec le canal inguinal ; en dedans, par l'attache pubienne
postérieure
de ce ligament, formant une cloison triangulaire,
ngienne et pré-vertébrale qui séparent les deux moitiés antérieure et
postérieure
, la carotide primitive se maintient sans fournir
'isthme du gosier, et avec les fosses nasales par les deux ouvertures
postérieures
de ces cavités. Par l'intermédiaire des fosses na
la surface de la conjonctive par le canal nasal ; enfin, sur]sa paroi
postérieure
, le pharynx reçoit la terminaison de la trompe d'
uation, délimitation, configuration. Située à la partie inférieure et
postérieure
du crâne, convexe suivant ses deux diamètres vert
le trapèze, le splénius, les complexus, les petits droits et obliques
postérieurs
. 4° Vaisseaux sanguins. L'artère de cette région
u facial, la branche sous-mastoïdienne du plexus cervical, la branche
postérieure
du nerf sous-occipital, et quelques filets de la
elles sont les branches pariétales des temporales et des auriculaires
postérieures
; sur le péricrâne, l'épanouissement des artères e
. RÉGION MASTOÏDIENNE. Située à la partie inférieure, latérale et
postérieure
du crâne, derrière et au-dessous de l'oreille.
cle occipital, et sur laquelle s'épanouit le petit muscle auriculaire
postérieur
. 3° Vaisseaux et Nerfs. Les artères et veines son
r. 3° Vaisseaux et Nerfs. Les artères et veines sont les auriculaires
postérieures
, anastomosées avec les branches des occipitales;
ns; les deux autres méats sont constitués en arrière par les cellules
postérieures
de l'ethmoïde et les sinus sphénoïdaux ; en avant
eure ; au milieu le buccinateur. Ce muscle forme à lui seul la moitié
postérieure
de la région génienne. Il est traversé horizontal
Situation, configuration, délimitation. Située à la partie latérale,
postérieure
et inférieure de la face, de forme quadrilatère,
par le bord libre de la mâchoire dans sa moitié antérieure, la moitié
postérieure
se confondant au-dehors avec la naissance du cou.
de et le muscle sterno-mas-toïdien, en arrière, et, en avant, le bord
postérieur
de la branche de la mâchoire, qu'elle embrasse su
s troncs fournissent les branches faciales, occipitales, auriculaires
postérieures
, pharyngiennes supérieures, massétérines externes
ieures : sus-hyoïdienne, sous-hyoïdienne, etsus-claviculaire ; et une
postérieure
: la région de la nuque. RÉGION SUS-HYOÏDIENNE1
ïde et le prolongement de ses grandes cornes, en dehors par la région
postérieure
et le bord antérieur du sterno-mastoïdien. Inclin
u plexus brachial ; en arrière, le triangle renfermé entre le scalène
postérieur
et le trapèze. C'est donc de l'appréciation exact
rdinairement, entre les scalènes est l'origine des artères scapulaire
postérieure
et cervicale antérieure. Toutes ces artères sont
URE '. Situation, configuration, délimitation. Formée par la partie
postérieure
du cou constituant la nuque, elle se compose de l
i 0 Peau. D'une épaisseur considérable, comme en général à la partie
postérieure
du tronc, sa texture est fibreuse et peu vasculai
t du clos, le transversaire épineux, et les petits droits et obliques
postérieurs
de la tête. 5° Vaisseaux. En petit nombre, ils se
es des scapulaires, et dans la hauteur du cou des vaisseaux cervicaux
postérieurs
et des petits rameaux des vertébraux. Outre les v
ellites des artères, il existe, en veines surnuméraires, la jugulaire
postérieure
et le réseau vertébral postérieur. 6° Nerfs. Ils
veines surnuméraires, la jugulaire postérieure et le réseau vertébral
postérieur
. 6° Nerfs. Ils sont fournis par les branches post
eau vertébral postérieur. 6° Nerfs. Ils sont fournis par les branches
postérieures
des paires cervicales et le nerf spinal. Les plus
de perforations produites par les fongus de la dure-mère. Les masses
postérieures
des vertèbres sont quelquefois le siège de fractu
iguration, délimitation. Située de chaque côté à la partie médiane et
postérieure
du dos, séparée de sa congénère par le grand sill
vertébrales. La peau y est épaisse et rude, comme dans toute la face
postérieure
, et fortement adhérente au milieu à la suture des
ses annexes. Les vaisseaux et les nerfs sont fournis par les branches
postérieures
des intercostaux. La région dorsale ne se disti
ppliqués eux-mêmes sur la carapace ostéo-fibreuse formée par les arcs
postérieurs
des vertèbres et des côtes, et par leurs appareil
nd oblique et le feuillet antérieur du petit; en arrière, le feuillet
postérieur
du petit oblique et celui du transverse. Sur le p
d dorsal et son aponévrose, et plus profondément par le petit dentelé
postérieur
; en avant et sur le côté, par les trois muscles l
carré des lombes, renfermés entre les trois feuillets de l'aponévrose
postérieure
, dite du transverse. Inféricurement, en arrière,
surface le plus important en chirurgie est le triangle aponé-vrotique
postérieur
, dit triangle de J.-L. Petit, devenu célèbre par
RAIRE '. Situation, configuration, délimitation. Située à la partie
postérieure
et inférieure du tronc, de forme rectangulaire ve
aponévrose du grand dorsal; 20 celle du petit oblique, ou le feuillet
postérieur
du transverse , qui se confond à sa partie supé-
Planche 1, n° 27 ; et planche 5. rieure avec celui du petit dentelé
postérieur
et inférieur ; 3° l'aponévrose lombo-iliaque, for
isseaux et les nerfs sont fournis par les lombaires dont les branches
postérieures
se distribuent dans la masse du sacro-spinal , le
al ou tenseur de la ligne blanche; (c) en arrière, le double feuillet
postérieur
aponévrotique qui cesse à un pouce et demi au-des
tes de ces os et les deux tubérosités des ischions ; dans le triangle
postérieur
par les deux ligamens sacro-sciatiques, étendus d
pubienne, soit par ramollissement, soit par une incision. Le triangle
postérieur
ne forme de saillie que sur le milieu, par le coc
rties constituantes analogues. Elles se composent de toute la portion
postérieure
ou des annexes de l'anus : la peau, le fascia sup
ral : d'abord l'aponévrose périnéale continue avec celle de la moitié
postérieure
; au-dessus les muscles correspondant à ceux de l'
l'os coxal, de l'épine iliaque à l'épine pubienne. A la lèvre osseuse
postérieure
correspond une lèvre fibreuse antérieure formée p
itié interne, fermée clans l'angle pubien par l'attache aponévrotique
postérieure
ou le ligament cle Gimbernat, laisse seulement en
Situation, configuration, délimitation. Située à la partie médiane
postérieure
du bassin, où elle termine inférieurement le tron
arbitraire, dirigée horizontalement cle l'une à l'autre épine iliaque
postérieure
, formant la base du triangle dont les côtés en re
cré. Les vaisseaux et les nerfs sont fournis par les branches sacrées
postérieures
et quelques rameaux sanguins récurrens provenant
Situation, configuration, délimitation. Située à la partie externe et
postérieure
du bassin où elle constitue la fesse proprement d
tée verticalement par deux lignes précises, en haut le contour osseux
postérieur
de la crête iliaque et en bas le pli intermédiair
ou axillaire; une externe et supérieure ou scapulo-humè-rale; et une
postérieure
ou scapulaire proprement dite. RÉGION SOUS-CLAV
as et en avant, est formé par le bord axillaire du grand pectoral; le
postérieur
oblique en bas et en arrière, indique le relief d
des parties profondes. Le sommet est fermé par l'aponévrose brachiale
postérieure
qui revêt les gros vaisseaux et le faisceau scapu
omio-elavicu-laire, et de chaque côté par les deux bords antérieur et
postérieur
du deltoïde. Parties composantes. i" Peau. D'un
t en bas, les circonflexes antérieures ; en arrière, les circonflexes
postérieures
et des rameaux des scapulaires postérieures. Les
arrière, les circonflexes postérieures et des rameaux des scapulaires
postérieures
. Les nerfs émanent du circonflexe, de quelques fi
LAIRE '. Situation, configuration, délimitation. Située à la partie
postérieure
de l'épaule et du thorax, formée par la masse tri
ies composantes. i° Peau. Épaisse et dense comme en général à la face
postérieure
du tronc. 20 Couche sous-cutanée. Elle ferme un p
d spinal, et, en dernier plan, la paroi thoracique formée par la face
postérieure
des côtes de la troisième à la huitième, et par l
t sous-scapulaire, par les vaisseaux précédens et par les scapulaires
postérieurs
et inférieurs. Parmi les nerfs, à la peau se rend
ions, deux qui affectent toute sa longueur, les régions antérieure et
postérieure
dans lesquelles, pour ne pas trop multiplier les
ormant deux régions, l'une antérieure, ou le pli du coude, et l'autre
postérieure
ou ulnaire. Cette division générale étant établ
ne longue saillie verticale, formée par les d eux portions interne et
postérieure
du triceps. Parties composantes. i° Peau. Mince
NAIRE '. Situation, configuration, délimitation. Formée par la face
postérieure
de l'articulation huméro-cuhitale, elle n'offre g
anti-brachiale, l'anconé, les attaches des deux cubitaux antérieur et
postérieur
, et celles des extenseurs et des supinateurs. Les
qui en trace les divisions chirurgicales : Une région antérieure, une
postérieure
et une externe, composées chacune par des groupes
e isolément comme des régions distinctes les deux faces antérieure et
postérieure
de l'articulation radio-carpicune. RÉGION ANTI-
ntérieur et en dehors de l'os, où existe plus essentiellement la face
postérieure
de l'avant-bras, par le groupe des extenseurs dis
ur commun des doigts, l'extenseur propre du petit doigt et le cubital
postérieur
, sous-jacens à l'aponévrose d'enveloppe; en plan
er le radius. Les vaisseaux sont les artères et veines inter-osseuses
postérieures
qui descendent entre les deux plans musculaires.
ntenue dans son ensemble par les ligamens radio-carpiens antérieur et
postérieur
, et les ligamens latéraux externe et interne. L
se portent sur la face dorsale du carpe. La région radio-carpienne
postérieure
(Pl. I, n° 46) est moins compliquée dans sa struc
la flexion. L'aponévrose sous-cutanée constitue le ligament annulaire
postérieur
du carpe continu inférieurement avec l'aponévrose
leurs gaines spéciales, les tendons extenseurs appliqués sur la face
postérieure
du carpe. Les vaisseaux profonds sont les artères
s transversales sus-métacarpiennes; et 3° les branches inter-osseuses
postérieures
provenant des perforantes. Portion digitale. La
isse se divise en cinq régions, dont une sur chaque face, antérieure,
postérieure
, externe et interne d'une étendue considérable en
sens que s'opèrent les fractures du corps du fémur. RÉGION FÉMORALE
POSTÉRIEURE
'. Intermédiaire de haut en bas entre le pli de
entes ; cette veine remonte de bas en haut le long du bord interne et
postérieur
du couturier, accompagnée dans son trajet par le
les rapports des vaisseaux entre eux, la veine, interne en haut, est
postérieure
le long du membre, pour devenir externe dans le c
N POPLITÉE Situation, configuration, délimitation. Située à la face
postérieure
de l'articulation fémoro-tibiale, comprise vaguem
morale et jambière. Dans son épaisseur rampe la veine saphène externe
postérieure
, accompagnée de quelques rameaux lymphatiques. 4°
jumeaux. C'e-t dans cet espace, dont le fond est constitué paila face
postérieure
du corps du fémur, au-dessus des condyles et dans
de manière que la veine externe, en haut, par rapport à l'artère, est
postérieure
au milieu et interne en bas. Outre les gros vaiss
sseaux se distinguent : (a) l'anse de terminaison de la veine saphène
postérieure
dans la veine poplitée; (h) les artères et veines
du tibia, maintenus par la double capsule condylienne et le ligament
postérieur
. La région poplitée est sur-tout intéressante a
constituées par les parties molles, les régions antérieure externe et
postérieure
, et une antérieure, osseuse ou tibiale. Par exten
E1. Situation, configuration, délimitation. Étendue à toute la face
postérieure
de la jambe, dont elle renferme la masse musculai
diocre épaisseur, elle est parcourue par la veine et le nerf saphènes
postérieurs
et leurs ramifications ; la pression qu'éprouvent
atation variqueuse. 3° Aponévrose superficielle. Elle forme la partie
postérieure
de l'aponévrose jambière, capsule de contention d
e du gros orteil, le jam- 1 Planche 1, n" I73 et planche 12, hier
postérieur
et le long fléchisseur conimun des orteils conten
profond appartiennent les gros vaisseaux; en dedans, l'artère tibialc
postérieure
flanquée de ses deux veines, qui descend vertical
rameaux lymphatiques profonds. G° Squelette. Il est formé par la face
postérieure
du tibia et du péroné, réunis par le ligament int
du péroné, réunis par le ligament inter-osseux. La région jambière
postérieure
présente, comme maladie spéciale, la rupture du t
e dans l'extension brusque du pied. Sur le trajet de l'artère tibiale
postérieure
se pratiquent à diverses hauteurs les incisions p
par les deux sillons musculaires du jam-bier antérieur et des muscles
postérieurs
de la jambe. Parties composantes. i° Peau. Épai
ur le milieu de la malléole, ou de deux fortes branches antérieure et
postérieure
; elle est accompagnée par les rameaux lymphatique
-fibreuses des tendons, du jambier antérieur en avant, et des jambier
postérieur
, fléchisseurs long et propre des orteils en arriè
olaires internes en avant, et en arrière quelques rameaux des tibiaux
postérieurs
: mais ces derniers seuls ont une importance réel
isseaux sont les malléolaires externes et les péroniers antérieurs et
postérieurs
, séparés profondément, sous le péroné, parle liga
ions dorsale et plantaire se divise en deux portions inégales : l'une
postérieure
ou tarso-métatarsienne, qui en forme la masse pri
lle est limitée en travers par les deux malléoles, et termine la face
postérieure
cle la jambe par l'extrémité du tendon d'Achille.
ropre du gros orteil, long fléchisseur commun des orteils, et jamhier
postérieur
en dedans, et des deux péroniers en dehors. 4° Le
rfs analogues par leur trajet sont : en dedans, les vaisseaux tibiaux
postérieurs
et leur nerf satellite, réfléchis dans des goutti
e nom de plantaires; en dehors , les branches descendantes péronières
postérieures
, anastomosées en double arcade avec les précédens
pécialement par le calcanéum, et, par extension, en haut, par la face
postérieure
de l'articulation tibio-tarsienne, au-devant du t
lans le tissu adipeux. Les nerfs sont des filets fournis parle tibial
postérieur
avant sa division plantaire. Toutefois ces vaisse
gitales plantaires. Les nerfs plantaires sont les divisions du tibial
postérieur
, situé au-dessous des vaisseaux , l'interne plus
r appliquer cet instrument, analogue à celui de Dupuytren , la pelote
postérieure
doit être posée en dehors de la tubérosité sciati
tère fémorale. 3° Artères de la jambe et du pied. \J artère tibiale
postérieure
est accessible en deux points : à l'extrémité inf
ers doigts, on racle la face latérale gauche. Le nettoyage de la face
postérieure
est plus facile en agissant de haut en bas, la tê
occipitale dans les affections comateuses ; 2° la région auriculaire
postérieure
, dans les maladies de l'oreille; 3° les paupières
ou d'engor-gemens chroniques; 4° les parties latérales supérieures et
postérieures
du cou, dans les angines et les diverses affectio
e des deux principales artères fournies, au-dessus, par l'auriculaire
postérieure
, et, au-dessous, par la thyroïdienne supérieure.
l'angle de sa gaîne; puis il couche la sonde et la glisse sur la face
postérieure
du muscle, le plus près de ses fibres, et la fait
laire, les dénuder avec la sonde cannelée, puis glisser sur leur lace
postérieure
cet instrument, dans la cannelure duquel on insin
sus de l'attache sternale, un pli cutané parallèle au bord externe et
postérieur
du muscle ; insinuer à plat, sous la peau tendue,
quand l'extension du pied est portée très loin, les vaisseaux tibiaux
postérieurs
forment des flexuosités latérales et antéro-posté
ans la couche celluleuse qui sépare le tendon de l'aponévrose tibiale
postérieure
, àla hauteur indiquée plus haut, et le fait resso
n en U la branche de la mâchoire, en longeant à deux lignes ses bords
postérieur
et inférieur, laissant, un peu en dedans, l'artèr
tère carotide externe avec ses divisions, l'occipitale, l'auriculaire
postérieure
et la pharyngienne supérieure; enfin plus profond
les se présentent à saigner au pli du bras : sur les côtés la radiale
postérieure
et la cubitale antérieure, près de leur jonction
-mêmes. 2° La saignée offre peu de danger sur le trajet de la radiale
postérieure
, de la cubitale antérieure et de la médiane commu
monte sur le milieu de la malléole ou par deux branches antérieure et
postérieure
. La veine médiane ou la branche antérieure, la pl
à la partie supérieure de cette apophyse, et vers le bord externe et
postérieur
de la veine, qu'il convient de piquer. La branc
rne et postérieur de la veine, qu'il convient de piquer. La branche
postérieure
n'a jamais un fort volume qu'autant qu'elle suppl
ation est plus profonde, appuyée qu'elle est sur l'aponévrose tibiale
postérieure
, à six lignes de la malléole, entre cette apophys
d'elle par une aponévrose épaisse, sont situés les vaisseaux tibiaux
postérieurs
. Saphène externe. Inférieure en volume à la sap
nerf saphène externe logé dans une gaine spéciale le long de son bord
postérieur
. Opération. Saphène interne. On saigne le tronc
seule chance d'éviter ce nerf est de commencer la piqûre sur le bord
postérieur
, de manière à le laisser dès l'abord derrière le
omber la peau de manière que l'aiguille soit interposée entre la face
postérieure
de la veine et l'aponévrose sous-jacente ; compri
un peu obliquement , du milieu de l'espace intermalléolaire à l'angle
postérieur
du premier espace inter-osseux, à trois millimètr
antérieure, ne convient que pour la ligature de l'artère à sa moitié
postérieure
, où sa direction est croisée en diagonale par la
ale de cette dernière devant se faire en deux temps. ARTÈRE t1riale
POSTÉRIEURE
(pl. d^, fig. i et 1 ) 1. Situation. Situé sous
ous la cloison transversale aponévrotique , qui maintient les muscles
postérieurs
profonds de la jambe; appliqué sur la face postér
nt les muscles postérieurs profonds de la jambe; appliqué sur la face
postérieure
du jambier postérieur et du long fléchisseur comm
urs profonds de la jambe; appliqué sur la face postérieure du jambier
postérieur
et du long fléchisseur commun des orteils; envelo
îne vasculaire commune et longé à son côté externe par le nerf tibial
postérieur
, l'ensemble du faisceau vasculaire est dirigé de
sses. Lieux d'élection. On pratique la ligature de l'artère tibiale
postérieure
à toute hauteur, depuis sa naissance du tronc tib
aphique, pag. et pl. 12. Cas d'opération. L'entourage de la tibiale
postérieure
, plus extensible que celui de la tibiale antérieu
dans, par les trois tendons des deux longs fléchisseurs et du jambier
postérieur
, et, en dehors, par le nerf tibial postérieur; in
chisseurs et du jambier postérieur, et, en dehors, par le nerf tibial
postérieur
; inciser alors la gaine, isoler et dénuder l'artè
ation à donner me paraît être de prendre pour point de départ l'angle
postérieur
du tibia, toujours assez facile à déterminer sous
le que soit l'élévation dont les muscles proéminent, l'artère tibiale
postérieure
, au tiers moyen de la jambe, est placée de un à u
e de un à un et demi centimètre plus en dehors que l'angle interne et
postérieur
du tibia. Suivant le point où l'on opère, elle es
vasculaire étant mis à découvert, côtoyé en dehors par le nerf tibial
postérieur
, inciser de pointe, en dédolant, la gaine sur un
ranc prescrit uniformément de diriger l'incision obliquement, du bord
postérieur
du tibia vers le bord interne du tendon d'Achille
nt, pratiquer, à vingt ou vingt-cinq centimètres en dehors de l'angle
postérieur
du tibia, une incision à la peau longue d'un déci
par un aide ; inciser l'attache tibialc du soléaire en rasant la face
postérieure
de l'os, isoler le muscle en dessous de l'aponévr
ronière (pl. 37, fig. 3) '. Situation. Logée profondément à la face
postérieure
de la jambe, dans le sillon qui longe le bord int
qui longe le bord interne du péroné; appliquée en haut sur le jambier
postérieur
, et en bas sur les attaches de ce muscle et du c
dans l'interstice fibreux que forme son bord interne avec le jainbier
postérieur
; au fond du sillon inter - osseux se trouve la g
e corps du fémur, puis clans leehancrure intercondylienne sur la face
postérieure
de l'articulation , et enfin sur le muscle poplit
sur le ligament 1 Voy. Anatomie chirurgicale, pag. 55 et pl. 12.
postérieur
articulaire est, terme moyen, cle trois à quatre
contourne en diagonale, est, par rapport à l'artère, externe en haut,
postérieure
au milieu, et interne en bas. Au-devant de ces va
atique poplité interne ; et plus en avant encore est la veine-saphène
postérieure
, qui s'enfonce en haut dans le creux du jarret. A
'étendue de la plaie; mais pour éviter les veines poplitée et saphène
postérieure
, préférablement vers l'angle supérieur de la plai
imètres. La veine poplitée alors vient s'offrir appliquée sur la face
postérieure
et un peu en dedans de l'artère; saisir avec la p
interne , puis continuer en glissant le bec cle la sonde sous la face
postérieure
du vaisseau pour le faire reparaître en dehors. D
n haut, on tombe sur le faisceau vasculaire principal; la veine étant
postérieure
et un peu externe , on l'écarté en dehors pour li
poplitée et à la saphènc cpii s'y jette. Les veines étant directement
postérieures
à l'artère, on les écarte indifféremment en dedan
e. A trois centimètres de profondeur, en dehors de l'angle interne et
postérieur
du tibia , se rencontre le faisceau vasculaire, l
rtère placée en dehors, le nerf tibial situé au milieu et sur la face
postérieure
des d eux vaisseaux. Dénuder la vei ne, avec le b
et antérieure en haut, en suivant le plan interne, jusqu'à la partie
postérieure
en bas. Appliquée profondément dans le sillon mus
veine-saphène interne déplacé, puisqu'il longe ordinairement le bord
postérieur
du muscle, soit la branche antérieure presque con
le accolée à la grande, est externe et un peu antérieur, la veine est
postérieure
et interne, et l'artère mitoyenne. Inciser alors
t recommencer à dénuder l'artère en l'isolant de la veine sur le bord
postérieur
, puis, par un mouvement continu, glisser la sond
ment se présentent la gaine vasculaire, l'artère antérieure, la veine
postérieure
, le nerf externe; dénuder et lier comme il est di
s, et, le faisceau vasculaire mis à nu, l'artère antérieure, la veine
postérieure
, se conduire comme précédemment. 3° Ligature à
uvert, dénuder l'artère qui est antérieure et interne, la veine étant
postérieure
et le nerf externe, et se conduire pour la ligatu
l'artère est externe et un peu antérieure, la veine interne et un peu
postérieure
; il n'y a point à s'occuper du nerf crural placé
tracer en idée une ligne oblique qui de la saillie de l'épine iliaque
postérieure
et supérieure vienne tomber entre la grosse tubér
e faisceau vasculaire, l'artère supérieure et plus profonde, la veine
postérieure
et inférieure et le nerf encore au-dessous. Ouvri
terminant la section sur la sonde cannelée quand on a atteint la face
postérieure
. B. Ligature à la partie supérieure de l'avant-
tère acromio-thoracique qui se trouvent divisées. Parvenu sur la face
postérieure
du muscle, inciser son feuillet postérieur dont q
sées. Parvenu sur la face postérieure du muscle, inciser son feuillet
postérieur
dont quelquefois la résistance approche de celle
antérieur et les nerfs du plexus brachial qui la séparent du scalène
postérieur
, descend obliquement derrière la clavicule sur la
: elle se dessine alors, verticale sous le peaucier, le long du bord
postérieur
du sterno-mastoïdien, et quelquefois plus en heho
on sterno-clavicu-laire et prescrit, avec M. King, la section du bord
postérieur
du sterno-mastoïdien, qui se rencontre dans la pl
'épaisseur de la glande parotide, entre les saillies osseuses du bord
postérieur
de l'os maxillaire inférieur en avant et de l'apo
n arrière la veine jugulaire externe. Le faisceau formé par le ventre
postérieur
du digastrique et les muscles styliens étant reco
ronc veineux linguo-facial, et plus profondément l'artère, interne et
postérieure
, appliquée sur l'aponévrose du pharynx. La plaie
ns la femme. Dans ses rapports , la carotide primitive est interne et
postérieure
par rapport à la veine jugulaire qui est externe
'artère, externe et un peu antérieure; 20 la veine, interne et un peu
postérieure
; 3° un filament nerveux parallèle et antérieur à
ouverte en avant en commun avec cette veine par le péritoine pariétal
postérieur
, les chapelets des ganglions lymphatico-chylifère
le péritoine de la paroi antérieure et de déchirer celui de la paroi
postérieure
sur l'aorte mieux vaudrait décoller cette membran
nmoins là où la peau est plus épaisse ou plus adhérente, sur la paroi
postérieure
du tronc, à la nuque, à la face et même sur le co
n soulève de la main gauche, dans son anse, la masse dermo-tendineuse
postérieure
, et il est facile, en rasant les os du centre de
r la compresse en ce sens par un aide, soulève la compresse ou l'anse
postérieure
, et, en accordant ses mouvemens avec ceux d'un ai
de l articulation du coude. Procédé de Park. Pratiquer une incision
postérieure
et parallèle à l'axe du membre, étendue à six cen
arté du tronc, est placé de manière à présenter au chirurgien la face
postérieure
et interne de l'articulation à demi fléchie. Alor
point, avec un bistouri tenu do la main droite entrer, par la par-tic
postérieure
, dans l'articulation du coude en divisant, à plei
un peu en haut, cle manière à former un lambeau à base supérieure et
postérieure
(pl. 58, fig. i et 2). Procédé de M. Buzairies.
e réunir les avantages de tous les autres. Sous ce rapport le lambeau
postérieur
et latéral, exécuté d'après le procédé de M. Lisf
n couteau inter-osseux, saisi cle la main droite, pointer à la partie
postérieure
de l'articulation de l'épaule, à quatre centimètr
l'épaule, à quatre centimètres (un pouce et demi) au-dessus clu bord
postérieur
de l'aisselle; puis, circonscrivant l'os et la ca
mple de M. Blandin pratiquer en dedans un lambeau quadrilatère à base
postérieure
: le lambeau disséqué et les lèvres de la plaie é
ie obligea d'enlever le cuboïde, le troisième cunéiforme, l'extrémité
postérieure
du quatrième métatarsien, le côté interne de l'ex
. Si, à raison de son volume plus considérable et de son prolongement
postérieur
, le calcanéum se prête plus facilement aux résect
moyen d'une incision en T qui permit de mettre à découvert l'apophyse
postérieure
du calcanéum; la résection de la portion cariée d
latéraux , que l'on repousse en arrière, et le bistouri rase la face
postérieure
de l'os de manière à éviter les vaisseaux et nerf
r, tandis qu'une lame de bois est passée entre le tibia et les chairs
postérieures
. Pour scier l'os on se sert d'une lame de scie ét
vant en arrière au-dessus du mal. On coupe les ligamens antérieurs et
postérieurs
avec un couteau à lame étroite en même temps qu'o
de l'auteur (pl. 60, fig. l\, 5 et 6). La jambe reposant sur sa face
postérieure
est maintenue dans cette position par un aide qui
es os jusqu'aux limites du mal. On procède à la dénudation de la face
postérieure
des os de la même manière et en détachant success
rs et les os une compresse longuette qui embrassera une masse charnue
postérieure
constituée par la peau, les tendons du triceps su
ituée par la peau, les tendons du triceps sural, des muscles profonds
postérieurs
et des péroniers, par l'artère, le nerf tibial po
s profonds postérieurs et des péroniers, par l'artère, le nerf tibial
postérieur
et la veine saphène externe. Un aide s'empare des
ne. Le chirurgien saisit de la main gauche les deux chefs de la bande
postérieure
, qu'il abaisse en même temps qu'il manœuvre la sc
mps: alors le chirurgien, abandonnant à un aide les chefs de la bande
postérieure
, attaque successivement les ligamens externes et
un lambeau quadrilatère qui doit être disséqué et rabattu sur la face
postérieure
. Le péroné étant mis à nu par la division des fib
rieure du fémur à découvert. On porte alors le bistouri sur la partie
postérieure
, et on divise les chairs en rasant exactement l'o
is ou de cuir bouilli est glissée entre les parties molles et la face
postérieure
du fémur, dont ont résèque l'extré mité malade
seront disséqués ou renversés. Il ne reste plus qu'à dénuder la face
postérieure
de l'extrémité tibiale pour glisser au-dessous un
fémur étant ainsi mises à découvert, achever la section des ligamens
postérieurs
avec la pointe du couteau pour ne pas blesser les
seconde incision transversale et profonde se dirigeant vers la partie
postérieure
et interne de la cuisse. On obtient ainsi un larg
ure ; après que le chirurgien a relevé ce lambeau et divisé la moitié
postérieure
de la capsule, la cuisse portée dans l'adduction
soitle siège cle la maladie, lors même qu elle est placée à la région
postérieure
de la joue, cet auteur prescrit d'attaquer les pa
puis avec un bistouri boutonné, porté de bas en haut, il rase la face
postérieure
de l'os en divisant successivement, de gauche à d
Avant la section de la mâchoire, Delpech isole de chaque côté la face
postérieure
de l'os sans toucher aux attaches musculaires du
hoire sur la ligne moyenne ; puis, en rasant avec le bistouri la face
postérieure
de l'os, on en détache successivement toutes les
clé de M. Mott. Faire une première incision en demi-lune, à convexité
postérieure
, partant du niveau du condyle, au-devant de l'ore
haut et confié à un aide. Après avoir détaché les chairs de la partie
postérieure
, le chirurgien pratique de chaque côté la section
incision verticale qui part de l'arcade zygomatique et longe le bord
postérieur
de la branche ascendante de l'os. Un large lambea
acune de ses extrémités par une incision transversale, on mit la face
postérieure
de 1 épine à découvert; comme on trouva une fract
'os. Dans les désarticulations, au contraire, le lambeau inférieur ou
postérieur
, suivant le lieu de l'amputation, est taillé en d
e l'ovale sur la face dorsale du métacarpien jusqu'à son articulation
postérieure
; cette modification ne nous semble pas devoir êtr
métacarpiens voisins; ces tiraillemens exercés sur les articulations
postérieures
pourraient être la cause d'aceidens, et d'ailleur
. Les muscles nombreux accumulés sur les faces antérieure, externe et
postérieure
sont isolés dans des gaînes fibro-celluleuses spé
-bras mis en supination pour la face antérieure, en pronation pour la
postérieure
, rasent les os et le ligament inter-osseux, tourn
gir le tranchant sur les deux os, pénétrer dans l'espace inter-osseux
postérieur
, diviser toutes les chairs adhérentes, retirer le
'espace inter-osseux antérieur comme il vient d'être dit pour la face
postérieure
. 3° Procédé nouveau. Diviser verticalement l'es
er la main, agir sur les deux os, pénétrer dans l'espace inter-osseux
postérieur
, retirer le couteau, contourner le cubitus et, pa
hef moyen de la compresse-ré-tracteur de la face antérieure à la face
postérieure
, remonter les chairs, mettre l'avant-bras dans un
et taillés avec le couteau glissé à plat sur les faces antérieure et
postérieure
. méthode a lambeaux. Grœfe, renouvelant le pr
e un lambeau antérieur et coupe circulairement les chairs à la partie
postérieure
. Vermale, au contraire, suivi par Le-dran, Klein,
. Guthrie, Roux et Velpeau, formait deux lambeaux, un antérieur et un
postérieur
. Procédé à deux lambeaux (imité de Vermale). Pl
comme il vient d'être dit, couper à la manière d'Alan-son les muscles
postérieurs
après avoir d'abord incisé et remonté la peau.
térieur, le faire traverser par ses deux angles, et former un lambeau
postérieur
de même forme et de même longueur que le premier.
s seraient plus abon-dans, taillés aux dépens des faces antérieure et
postérieure
, mais ils tendraient davantage à se rétracter.
rompte et plus régulière. Si l'on pratique un lambeau antérieur et un
postérieur
, leurs angles laissent échapper l'humérus ; parce
erne, sont abondamment réparties au côté externe et surtout à la face
postérieure
. Au mollet, le centre du membre se trouve en arri
qui n'a aucun inconvénient. — Lier les artères tibiales antérieure et
postérieure
et la péronière; réunir obliquement d'avant en ar
85, fig. 4 et 5 ). M. Garavel voudrait qu'on commençât par le lambeau
postérieur
. Méthodes mixtes. — Procédé de M. Blandin. Sur
t en arrière. M. Sédillot pratique un lambeau ovalaire antérieur ou
postérieur
. M. Baudens (pl. 91, fig. 4) pratique à son ordin
niveau de l'ovale en arrière, incise alors circulairement les muscles
postérieurs
et scie les os. 10 Procédé de M. Lenoir : donné
ontourner, sans désemparer, le péroné, parcourir l'espace interosseux
postérieur
, y pénétrer, et retirer de nouveau le couteau pou
sur la face externe du péroné, le conduire sur l'espace inter-osseux
postérieur
et l'y engager une seconde fois. Quatrième temp
jamais impossible de l'isoler et la lier ou la tordre ; 2° la tibiale
postérieure
et les jumelles, 3° la nourricière du tibia : qua
nvénient qui se trouve encore contrebalancé si la section des muscles
postérieurs
est faite suivant les indications que nous avons
à faire pénétrer le couteau entre les deux os en taillant le lambeau
postérieur
: mais l'application du doigt sur le péroné, l'in
. Grœfe propose encore un couteau particulier pour excaver le lambeau
postérieur
chez les personnes grasses. Procédé de M. Sédil
externe, contourner le péroné et faire sortir l'instrument à la face
postérieure
de la jambe, tailler de haut en bas un lambeau ex
rnue, couper à la manière d'Alanson les muscles de la face interne et
postérieure
, faire le 8 de chiffre, passer la compresse-rétra
ce occupe la moitié de la circonférence du moignon au côté interne et
postérieur
. Nous ne craignons pas de présenter ce procédé
sseux : après avoir formé le lambeau antérieur il taille également le
postérieur
par ponction. M. Roux fait d'abord une incision
du bord interne à la crête du tibia; taille par ponction son lambeau
postérieur
, et, ramenant au niveau de la crête du tibia le b
nge son couteau et taille à ras le bord un lambeau antérieur réuni au
postérieur
par ses angles externe et interne. Dupuytren en
s molles antérieures étaient altérées, on pourrait essayer un lambeau
postérieur
; si les os étaient surtout délabrés en arrière, o
délabrés en arrière, on inclinerait fortement la scie vers la partie
postérieure
des tubérosités. La méthode circulaire paraît i
er d'abord et d'un seul coup les parties molles de la face interne et
postérieure
de la cuisse, de les laisser rétracter, et d'ache
de l'arcade des adducteurs elle est interne, plus antérieure en haut,
postérieure
en arrière ; elle est accolée à un filet du crura
léchie sur la cuisse, diviser les parties molles des faces externe et
postérieure
. Procédé de Dupuytren. Incision des tégumens et
. Hennen conseille de faire deux lambeaux : l'un antérieur, l'autre
postérieur
. MM. Helio, Plantade, Fouilloy et F. Legros pra
thode, que M. Velpeau propose de modifier en faisant un petit lambeau
postérieur
, et que MM. Bérard et Sédillot ne rejettent pas,
l est fondé sur ce principe : que les muscles de la partie interne et
postérieure
étant plus retráctiles que ceux des deux autres r
té repose sur la partie antérieure et externe, et l'autre sur la face
postérieure
et interne. A trois centimètres et demi plus bas,
réunir obliquement, de façon que le pus coule par l'angle externe et
postérieur
de la plaie. Procédé de M. Baudens. Suivant la
ngle antérieur : il faudrait donc préférer un lambeau antérieur et un
postérieur
. Mais, dans tous les cas, l'avantage qu'on en ret
ce n'est pas uniquement contre la rétraction des muscles internes et
postérieurs
qu'il faut se prémunir, mais contre celle de tout
'un passage du traité des Hémorroïdes, traité évidemment apocryphe et
postérieur
aux écrits du père de la médecine. C'est surtout
n en avant de son bord cubital, et tirant un peu à soi sur la capsule
postérieure
, on traverse le plan courbe inter-articulaire, pu
l'articulation carpienne, ressortir en incisant le tendon du cubital
postérieur
et, en rasant l'os, tailler, en descendant vers l
ns, dont la disjonction est facile après la section de leurs ligamens
postérieurs
. Méthode a lambeau (pl. 70, fig. 4)- Inciser en
carpien, le ligament latéral interne débordé par le tendon du cubital
postérieur
, en dehors le ligament externe ou interosseux ent
cision diviser les tendons extenseurs et radiaux, le ligament carpien
postérieur
, puis, sans désemparer, par un mouvement de bascu
ument, les ligamens latéraux, et du côté interne le tendon du cubital
postérieur
. Luxer alors la tête brisée carpienne, entrer en
le de rappeler l'existence des deux ligan eus membraneux antérieur et
postérieur
et des deux forts ligamens latéraux. Méthode ci
se du lambeau, diviser horizontalement les parties molles sur la face
postérieure
. 3° Le membre rappelé dans l'extension, couper le
tendons, sus-épineux, sous-épineux et petit rond dans le demi-cercle
postérieur
, et sous-scapulaire dans le demi-cercle antérieur
ale, et terminer la section des parties molles par celle de la moitié
postérieure
du membre, en rejoignant la première section, de
. i° Lambeaux de recouvrement. — (a) Méthode à un lambeau ( lambeau
postérieur
ou interne). Procédé de Ledran. Le malade assis s
aquet des vaisseaux : enfin tailler, aux dépens du contour interne et
postérieur
, un lambeau de huit à onze centimètres (trois à q
direction des fibres, l'une interne et antérieure, l'autre externe et
postérieure
, de manière à circonscrire un lambeau trapézoïdal
oignon de l'épaule avec la main gauche, le pouce appliqué sur la face
postérieure
de la tête humérale, l'indicateur et le médius su
plonger la pointe parallèlement à l'humérus, au côté externe du bord
postérieur
de l'aisselle, à six centimètres au-dessus du pli
e acromio-claviculaire pour ressortir à la hauteur voulue sur le bord
postérieur
de l'aisselle; (h) dans l'autre, placé d'abord en
s procédés qui s'y rapportent est de former des lambeaux antérieur et
postérieur
qui se rapprochent. Procédé de Poyet et de Shar
l'os et les chairs que l'on divise en taillant un lambeau externe et
postérieur
. Procédé de Desaidt. L'artère préalablement com
ion de bas en haut et terminer par la section d'un lambeau externe et
postérieur
. — Procédé inverse de M. Larrey. Pour éviter l'in
gère adduction, de tailler d'abord par ponction le lambeau externe et
postérieur
, d'ouvrir l'articulation en ce sens et de termine
. Il se distingue par l'extrême exiguité du lambeau externe ou plutôt
postérieur
. Du premier coup le couteau met à découvert la fa
plutôt postérieur. Du premier coup le couteau met à découvert la face
postérieure
de l'articulation. Le chirurgien l'ouvre en ce se
résultat une grande analogie entre la méthode à lambeaux antérieur et
postérieur
et la méthode ovalaire. Toutefois on y trouve deu
s en V renversé, l'une vers le bord antérieur et l'autre vers le bord
postérieur
, et prolongées toutes deux de manière à couper le
vant, élève le bras, parcourt l'espace de l'aisselle jusqu'à son bord
postérieur
et, vu le volume du membre cpti ne lui permet pas
sure interdigitale, dans l'espace inter-osseux jusqu'à l'articulation
postérieure
des deux métatarsiens ; écarter l'os en dehors, d
tatarso-pha-langienne. La difficulté est ici de franchir le tubercule
postérieur
de l'os sans mâcher et taillader les chairs. — 2°
onseille, à partir de quelques millimètres en avant des articulations
postérieures
, de diriger une incision oblique vers l'une des c
'objet de fauteur est d'éviter de sacrifier le scaphoïde et la moitié
postérieure
du cuboïde dans les cas assez communs où la voûte
latéral sur le cuboïde, pour le côté externe, et contre le tubercule
postérieur
du grand cunéiforme pour le bord interne; glisser
lieu de la voûte du tarse répondant, sur la ligne indiquée, à l'angle
postérieur
d'encastrement du second cunéiforme, en appuyant
er l'instrument, scier d'un seul coup les deux malléoles et le rebord
postérieur
articulaire du tibia. Enfin lier les artères tibi
bord postérieur articulaire du tibia. Enfin lier les artères tibiales
postérieure
et antérieure et réunir par première intention. N
horizontale demi-circulaire qui s'étende de fini à l'autre des bords
postérieurs
des condyles en parcourant les trois quarts antér
'extrémité de cet os et celle du péroné, tailler, en rasant leur face
postérieure
, aux dépens des muscles du mollet, un lambeau lon
ltés qui résultent de la taille et de l'application d'un seul lambeau
postérieur
en y ajoutant un lambeau antérieur cutané qui per
courts qu'ils partiraient de deux incisions verticales antérieure et
postérieure
. Mais comme, suivant la remarque de M. Velpeau ,
levé, ouvrir l'articulation en avant et terminer par un court lambeau
postérieur
coupé carrément. Procédé de Kest (vaste lambeau
anec (grand lambeau interne et antérieur, et petit lambeau externe et
postérieur
). La jambe dans l'extension, piquer avec la point
viser par une incision demi-circulaire les parties molles externes et
postérieures
, puis désarticuler et terminer en taillant les ch
a direction naturelle et, par une incision demi-circulaire externe et
postérieure
, au-dessus du grand trochanter, réunir les deux a
aire, luxer la tête de l'os, passer le couteau sur sa face externe et
postérieure
, achever la section de la capsule, couper les ten
oulés vers le bassin sur la demi-circonférence antérieure, interne et
postérieure
, la cuisse étendue et légèrement écartée : i° pra
le manche vers le ventre du malade, de manière à ressortir à l'angle
postérieur
de la première plaie sans heurter les os du bassi
édant de l'autre manière. Procédé de Béclard (lambeaux antérieur et
postérieur
: pl. 89, fig. 1). L'artère comprimée au pli de l'
erne comme il a été dit plus haut ; 3° le couteau reporté sur la face
postérieure
de l'os, descendre en taillant en ce sens un lamb
nière que, de ces deux lambeaux, l'antérieur est un peu interne et le
postérieur
un peu externe. Procédé de M. Baudens(lambeaux
térieur un peu externe. Procédé de M. Baudens(lambeaux antérieur et
postérieur
: pl. 9 1, X: vi. fig. 8 et 9). Ce procédé ne
ar la longueur des deux lambeaux, l'antérieur étant plus du double du
postérieur
. L'expérience a appris à l'auteur que le lambeau
y aurait une exubérance de chairs en arrière et en bas, si le lambeau
postérieur
était taillé plus long. Quant au procédé en lui-m
erte et luxée par son côté interne, le chirurgien descend sur la face
postérieure
de l'os jusqu'au petit trochanter et abat égaleme
jusqu'au petit trochanter et abat également à angle droit le lambeau
postérieur
. Méthode circulaire. Procédé d'Abernethy (pl.
nt mise à découvert dans sa demi-circonférence antérieure, externe et
postérieure
, inciser circulairement la capsule eu ce sens, lu
e qui descende obliquement sur le contour externe, inscrive la courbe
postérieure
sous le pli de la fesse et remonte également en d
n oblique; comme il résulte du procédé de M. Baudens, dont le lambeau
postérieur
est très court; mais deux lambeaux égaux imposent
les lambeaux latéraux, et transversale pour les lambeaux antérieur et
postérieur
: direction la plus défavorable parce qu'elle dis
Région sous-hyoïdienne, région sus-claviculaire, 35.—Région cervicale
postérieure
, 36. THORAX. Région sternale, 36. — Région diap
. Région brachiale interne et antérieure, région brachiale externe et
postérieure
, région du pli du coude, 49. — Région ulnaire,
e antérieure, 50. —Région antibrachiale externe, région antibrachiale
postérieure
, région du poignet, région palmaire, 51. — Région
inguino-fémorale, 52, 53.—Région fémorale antérieure, région fémorale
postérieure
, 53. — Région fémorale interne, région fémorale e
n poplitée, 55. — Région jambière antérieure externe, région jambière
postérieure
, 56. —Région jambière interne, région du cou-de-p
membre abdominal. Pédieuse, 156. —Tibiale antérieure, 157. — Tibiale
postérieure
, 157, 158. — Péronière, 159. —Poplitée, 159—161.
ORPS HUMAIN PAR RÉGIONS. Figure i. Plan antérieur.—Figure 2. Plan
postérieur
. — Figure 3. Plan latéral. Les signes sont les mê
us-hyoïdienne. 16. Région sous-claviculaire. 17. Région cervicale
postérieure
. THORAX. 18. Région sternale. 19. Région ma
UE. BRAS. 38. Région brachiale antérieure. 39. Région brachiale
postérieure
. 40. Région du pli du coude. 41. Région ulnai
AS. 42. Région antibrachiale antérieure. 43. Région antibrachiale
postérieure
. 44. Région antibrachiale externe. 45. Région
45. Région radio-carpienne antérieure. 46. Région radio-carpienne
postérieure
. MAIN. 47. Région palmaire. 48. Région dors
ino-fémorale. 50. Région fémorale antérieure. 51. Région fémorale
postérieure
. 52. Région fémorale interne. 53. Région fémo
AMBE. 56. Région jambière antérieure externe. 57. Région jambière
postérieure
. 58. Région tibiale. 59. Région du coude-pied
Muscle triangulaire des lèvres. 2° COU. e. Splénius. d. Sealène
postérieur
. e. Scalène antérieur. f. Constricteur inféri
e transversal. La figure montre les aponévroses profondes sur le plan
postérieur
du pharynx, depuis la base du crâne jusqu'à la zo
r la première côte (F). CÔTÉ GAUCHE. G,G. Aponévrose pharyngienne
postérieure
, appliquée au devant de la précédente. H. Muscle
la masse du sacro-spinal et du transversaire épineux, et l'extrémité
postérieure
des trois muscles larges de F abdomen. Le plan du
ES, VAISSEAUX ET NERFS DES RÉGIONS LOMBAIRE, FESSIÈRE ET FÉMORALE
POSTÉRIEURE
. ADUT-iTE, DEMI-NATURE. LES DEUX COTÉS DE LA
al, et unit l'aponévrose du transverse avec celle des petits dentelés
postérieurs
. 5. Portion sacrée de l'aponévrose sacro-spinal
ire et du long dorsale. 7. Aponévrose des dentelés. 8.8. Branches
postérieures
des nerfs lombaires. 9.9. Branches postérieures
és. 8.8. Branches postérieures des nerfs lombaires. 9.9. Branches
postérieures
des vaisseaux lombaires, artères et veines. B.
stérieures des vaisseaux lombaires, artères et veines. B. Extrémité
postérieure
de la loge du grand oblique traversée par des r
s. 14. Muscle transversaire épineux vu à découvert. 15. Extrémité
postérieure
de la loge du petit oblique ; ce muscle et le g
tit sciatiques, enveloppés en haut dans leur gaîne. RÉGION FÉMORALE
POSTÉRIEURE
. Côté gauche. M. Loge de la longue portion du
es vaisseaux et les nerfs propres du muscle, et derrière son feuillet
postérieur
se voient en transparence : 3. Artère carotide
toïde. N. Surface du triceps, recouverte par l'aponévrose brachiale
postérieure
, qui vient s'insérer sur les tendons du grand dor
la saillie se prononce à la surface ; ce feuillet adhère par sa face
postérieure
à la gaîne vasculaire, d'où il résulte que, dans
qui forme l'arcade fibreuse crurale sus-vasculaire. 1. Bandelette
postérieure
qui forme le segment antérieur de l'arcade crur
i n'est autre que l'insertion à la bran- che du pubis, ou le pilier
postérieur
externe de l'aponévrose du grand oblique. 3. ln
férieure de la logé du muscle sterno-pubien. 7. Portion de la paroi
postérieure
formée par l'extrémité inférieure du feuillet p
la paroi postérieure formée par l'extrémité inférieure du feuillet
postérieur
de l'aponévrose du transverse. 8. Portion infér
sseaux et nerf obturateurs vus en transparence derrière le feuillet
postérieur
de la loge. J. Loge musculaire du premier adducte
5. Tronc du nerf obturateur vu en transparence derrière le feuillet
postérieur
. K. Extrémité supérieure de la loge du droit in
DU MEMBRE THORACIQUE. Figure i. — Plan antérieur. Figure i. —- Plan
postérieur
. ADULTE, DEMI-NATURE. INDICATION DES LETTRES
t les gros vaisseaux. 12. Nerf cutané interne. 13. Veine cubitale
postérieure
. Avant-bras D. Loge médiane du long fléchisse
rf cubital. Avant-bras. H. Loge de l'anconé. I. Loge du cubital
postérieur
avec ses vaisseaux; on voit en trans- parence l
s doigts (L); de l'extenseur propre du petit doigt (M), et du cubital
postérieur
(N). Main. 27. Branches digitales du nerf rad
Esophage. 1. Aponévrose prévertébrale. 2. Aponévrose pharyngienne
postérieure
. 3. Contricteur moyen. 4. Corps thyroïde. 5
seaux cervicaux profonds. 14-. Angulaire de l'omoplate. 15. Scalène
postérieur
. 16. Long du cou. 17. 17. Aponévrose cervical
ge de l'extenseur propre de l'indicateur. 17. Vaisseaux interosseux
postérieurs
. 18. Loge de l'extenseur propre du petit doigt.
18. Loge de l'extenseur propre du petit doigt. 19. Loge du cubital
postérieur
. 20. 20, 20. Aponévrose antibrachiale. 21. Ve
e antibrachiale. 21. Veine radiale antérieure. 22. Veine cubitale
postérieure
. FIGURE 4. A. Corps du radius. B. Corps du
8. Loge de l'extenseur propre de l'indicateur. 9. Loge du cubital
postérieur
. 10. Loge de l'extenseur commun des doigts. 1
ue côté du ligament interosseux se voient les vaisseaux antérieurs et
postérieurs
. FIGURE 5. A. Surface articulaire radiale.
Tendon de l'extenseur propre du petit doigt. 14. Tendon du cubital
postérieur
. 15. Vaisseaux radiaux. 16. Nerf radial. 17
. 12. Vaisseaux interosseux antérieurs. 13. Vaisseaux interosseux
postérieurs
. 14. Veines dorsales de la main. Pl.10. Des
ADULTE, DEMI-NATURE. Figure i. — Plan antérieur. Figure 2. — Plan
postérieur
de la jambe et dorsal du pied. Figure 3. — Surf
ique poplité externe. N. Muscle poplité recouvert de son aponévrose
postérieure
. O. Grande loge aponévrotique du soléaire; on y
oléaire; on y voit en transparence : 12. Vaisseaux et nerfs tibiaux
postérieurs
, avec les branches qui en naissent. 13. Vaiss
. Loge du jumeau externe. 7. Loge du soléaire. 8. Loge du jambier
postérieur
. 9. Loge du long fléchisseur commun des orteils
eurs. Artère, veines et nerf tibial antérieur. D; Vaisseaux tibiaux
postérieurs
. Auprès est le nerf tibial de même nom. E. Vais
t en acier, avec lesquels elle s'articule en charnière. 2° Le segment
postérieur
(E) supporte en arrière la pelotte d'appui ou d'o
même forme, et présente deux boutons (c) pour l'attache des courroies
postérieures
; l'espace qu'elle renferme sert de passage à la p
dage de corps (H), par les courroies antérieures (I) et les courroies
postérieures
(K). Dessiné par Rogat. Dirigé par N.H. Jacob.
aintenir la bande roulée en position. D'abord, très lâche sur la face
postérieure
du bras, elle a été tordue en spirale à un ou deu
llique offre à chaque bout une articulation en charnière; l'extrémité
postérieure
supportant la pelotte d'opposition (E), qui s'app
elle-même sur une petite compresse graduée, comprime l'artère tibiale
postérieure
dans l'espace moyen entre la malléole interne et
pour objet de montrer la différence des deux courbures entre le côté
postérieur
qui doit porter à plat, et l'antérieur, où la con
ique ; (3) la radiale antérieure, ou médiane commune ; (4) la radiale
postérieure
; et (5) la cubitale antérieure (voyez fig. 2 et 3
a veine tibio-péro-nière. G. Lieu d'abouchement de la veine saphène
postérieure
. II, H. Nerf sciatique poplité interne, rejeté
'artère poplitée. G. Artère tibiale antérieure. H. Artère tibiale
postérieure
. I. Artère péronière. K. Condyle externe du f
e la Fac. de Méd., t. III. p. 97 ( Musée Dupuytren.) Figure 3. Plan
postérieur
de l'articulation fémoro-tibiale. Figure 4. Plan
ouchures, dans le tronc tibio-péronier (14), et dans l'artère tibiale
postérieure
(15). 16. Artère tibiale postérieure. 17. Art
(14), et dans l'artère tibiale postérieure (15). 16. Artère tibiale
postérieure
. 17. Artère péronière. 18. Artère tibiale ant
tumeur anévrismale. Elle est ouverte longitudi-nalement par sa paroi
postérieure
, pour montrer l'érosioe. sa paroi antérieure, qui
E. La jambe droite est couchée sur un oreiller, appuyée sur sa face
postérieure
; la face externe et antérieure tournée en haut.
ssiné d'après nature par N.H. Jacob. LIGATURE DES ARTÈRES TIBIALE
POSTÉRIEURE
ET PÉRONIÈRE ADULTE, DEMI-NATURE. DISPOSITION
du. Sur ce membre sont représentées les ligatures de l'artère tibiale
postérieure
, à trois hauteurs différentes. Chacune des plaies
illé, est glissé sous l'artère. FIGURE 1. LIGATURES DE LA TIBIALE
POSTÉRIEURE
. 1° (A) Derrière la malléole interne. La plai
profonde de contention des tendons fléchisseurs. — 4. Artère tibiale
postérieure
, entre ses deux veines. 2° (B et B2) Fig. 2. Au
e l'aponévrose profonde des muscles fléchisseurs. — 4. Artère tibiale
postérieure
, entre ses deux veines : sous le vaisseau est eng
isseurs. — 6. fig. 2. Muscle jumeau interne. — 7. fig. 2. Nerf tibial
postérieur
. — 8. fig. 1 et 2. Artère tibiale postérieure , e
— 7. fig. 2. Nerf tibial postérieur. — 8. fig. 1 et 2. Artère tibiale
postérieure
, entre ses deux veines. Dans la fig. 1 , l'aigui
n oreiller par la face antérieure de l'articulation du genou, la face
postérieure
tournée en haut vers le chirurgien placé du côté
uscle biceps. 5. Nerf sciatique poplité interne. 6. Veine saphène
postérieure
. 7. Veine poplitée. 8. Artère poplitée. 9.
sur un oreiller dans l'extension et la supination, appuyé sur sa face
postérieure
, la face antérieure tournée en haut. L'aide de ga
sur un oreiller dans l'extension et la supination, appuyé sur sa face
postérieure
, la face antérieure tournée en haut. L'aide de ga
e de M. Jeffrey. Dans la plaie se montrent : (c) le tendon du cubital
postérieur
; (d) le tendon du cubital antérieur, refoulant le
culer le fragment inférieur dans son articulation carpienne. La lèvre
postérieure
de la plaie (c), est formée par le bord des exten
le membre thoracique gauche, un peu écarté du tronc, présente sa face
postérieure
en haut, en regard de l'opérateur. Le bras étant
g supinateur et des radiaux. D. Fond de la plaie occupé par la face
postérieure
du brachial an- térieur, dont les fibres numéra
maintient les deux chefs de la bande, I, qui écarte la masse charnue
postérieure
et supporte le malade qu'il tient embrassé; un tr
de la plaie. (d) . Tendons du long fléchisseur commun et du jambier
postérieur
qui bordent la lèvre postérieure. Au fond de la
ng fléchisseur commun et du jambier postérieur qui bordent la lèvre
postérieure
. Au fond de la plaie : (e). Portion de l'extrémit
térieur, renfermant les vaisseaux et nerfs tibiaux. ( c ). Faisceau
postérieur
. Il renferme les tendons et les muscles fléchisse
tendons et les muscles fléchisseurs des orteils, péroniers', jambier
postérieur
et le tendon d'Achille , outre les vaisseaux tibi
mbier postérieur et le tendon d'Achille , outre les vaisseaux tibiaux
postérieurs
avec leur nerf, et les vaisseaux péroniers. (d)
pérer, les parties molles sont séparées en deux masses, antérieure et
postérieure
, où les divers organes, intacts, sont laissés dan
masse toutes les parties molles de la région antérieure. B. Anse
postérieure
qui écarte et isole également les parties molles
de l'extrémité tibio-péronienne. Le membre étant couché sur sa face
postérieure
, le pied contenu par les deux mains d'un aide, do
ce de l'articulation , et de glisser, sous chaque masse antérieure et
postérieure
, une bande ployée en double et enduite de cérat,
e du membre, abaisse de sa main gauche, D, les deux bouts de la bande
postérieure
, tandis que la bande antérieure est soulevée par
a masse charnue antérieure. — D, bande contentive de la masse charnue
postérieure
. — F, scie à chaîne occupée à pratiquer, d'arrièr
res au pourtour de l'excavation. FIGURE 2. RÉSECTION DE LA PARTIE
POSTÉRIEURE
DU CALCANÉUM. Une incision en T a permis de met
LCANÉUM. Une incision en T a permis de mettre à nu toute la portion
postérieure
du calcanéum entre deux lambeaux renversés. Le ca
c) . Muscle adducteur du gros orteil. (d) . Tendon coupé du jambier
postérieur
. (e) . Section verticale opérée dans le scaphoï
( Procédé de l'auteur. ) (a) . Lambeau cutané rejeté sur la face
postérieure
. (b) . Section verticale de l'attache supérieur
laie. Figure 1. Le membre abdominal gauche étant couché sur sa face
postérieure
, un aide de droite du chirurgien maintient la cui
ce des capsules fibreuses des condyles qui font partie de la membrane
postérieure
articulaire. Entre les deux segmens sca-pulaires
. Entre les deux segmens sca-pulaires existent les débris du ligament
postérieur
. (g) . Muscle poplité dont le tendon fémoral es
e dans l'os, appuyée en arrière sur une règle (o), garnie sur sa face
postérieure
d'une compresse qui garantit les chairs. FIGURE
montée par le cornet moyen et l'os planum de l'ethmoïde. s. Orifice
postérieur
de la fosse nasale compris entre la cloison en de
e autre incision (b), partant en arrière de la partie moyenne du bord
postérieur
de la branche de la mâchoire, descend sur son ang
ion est pratiquée partant, au-dessous du lobule de l'oreille, du bord
postérieur
de la branche de la mâchoire d'un côté (a), desce
t tout le contour de la base de l'os (b, c), et remontant sur le bord
postérieur
de la branche de l'autre côté jusqu'à hauteur par
'astragale , sur lequel s'attache aussi, un peu au-dessus, le jambier
postérieur
(K). Le tendon long fléchisseur du gros orteil (L
é à recouvrir la plaie. h, Section des os et des muscles de la face
postérieure
. FIGURE 5. amputation circulaire dans la cont
occupé à tailler le lambeau antérieur. Figure 2. Section du lambeau
postérieur
de la même opération. d, Main gauche d'un aide
en qui fixe l'avant-bras. g, Lambeau antérieur relevé. h, Lambeau
postérieur
dont on opère la section. i, Plan de section su
on incline son tranchant en bas pour achever de détacher le fragment
postérieur
. Figure 3. Surface du moignon de l'amputation pré
où le couteau , introduit en bas et en arrière , au-devant de l'angle
postérieur
de l'aisselle, a glissé entre la tête de l'huméru
ECTION DU LAMBEAU ANTÉRIEUR ET INTERNE, Après avoir taillé le lambeau
postérieur
et externe, qui a été relevé immédiatement, le ch
des grand dorsal, grand rond et desrotateurs de l'épaule. Le lambeau
postérieur
est constitué par le deltoïde. g, h, i. Artères
e à sa naissance; (h), la sca-pulaire inférieure; (i), la circonflexe
postérieure
. Tome 6. Pl.77. N. H. Jacob direxit. D'ap
avec le bistouri convexe, les deux incisions obliques , antérieure et
postérieure
. Sur cette figure, les incisions latérales ont ét
précédente, à. Cavité.'glénoïde. e. Branche de l'artère circonflexe
postérieure
. f. Artère axillaire à sa partie inférieure, do
ent. m, Fils à ligature des artères tibiale antérieure (o), tibiale
postérieure
(p), péronière (q) et jumelle (r). FIGURE 4 RÉU
en dedans du tibia , pour pratiquer la section du lambeau interne et
postérieur
sans taillader la peau vers Fangle supérieur d'en
longe sur le côté interne du tibia pour tailler le lambeau interne et
postérieur
. Figure 2. Surface du moignon après l'opération.
opération. f, Lambeau externe et antérieur. g, Lambeau interne et
postérieur
. h, Fils à ligature des artères tibiale antérie
r. h, Fils à ligature des artères tibiale antérieure (i), tibiale
postérieure
et péronière. m, n, Mains d'un aide qui supporten
précédente. r, Main d'un aide qui supporte le moignon. s, Lambeau
postérieur
destiné à recouvrir la plaie. t, Fils à ligatur
a plaie. t, Fils à ligature des artères tibiale antérieure, tibiale
postérieure
et péronière. Tome 6. Pl.83. Dessiné d'aprè
ture. FIGURES 10 et 11. Amputation de la jambe a lambeau externe et
postérieur
(procédé de M. Sédillot). Figure 10. Surface de
sculaire taillé aux dépens de la face externe et en partie de la face
postérieure
. Figure 11. Réunion linéaire de la plaie, le la
ligamens croisés, le couteau est descendu à plat, en longeant la face
postérieure
du tibia et du péroné, pour tailler le lambeau po
nt la face postérieure du tibia et du péroné, pour tailler le lambeau
postérieur
. a. Main d'un aide qui comprime l'artère fémora
rticulaire fémorale. e. Extrémité articulaire tibiale. f. Lambeau
postérieur
. FIGURE 3. SURFACE DU MOIGNON. g. Main gauche
pour en faire la ligature. i. Extrémité coupée des artères tibiale
postérieure
et péronière, dont la ligature est déjà effectu
é le lambeau. m, Fils à ligature rassemblés vers l'angle interne et
postérieur
de la plaie. Tome 6. Pl.84. Dessiné d'après
alaire (a) de la partie externe et antérieure, à la partie interne et
postérieure
, pour avoir un lambeau cutané plus étendu en rega
la peau; le couteau, ayant parcouru le côté externe (k), puis la face
postérieure
(1 ), arrive sur la face interne, où il est repré
modification de M. Mal-gaigne, l'un antérieur de (a) en (b), l'autre
postérieur
de (a) en (c) (figures 1 et 2), le chirurgien, à
issant le couteau le long de l'os en détachant les chairs, le lambeau
postérieur
se trouve par cela même déjà taillé. Au moment re
re, le couteau s'incline en bas pour détacher de lâ cuisse le lambeau
postérieur
. a. Lambeau antérieur. b. Lambeau postérieur.
lâ cuisse le lambeau postérieur. a. Lambeau antérieur. b. Lambeau
postérieur
. c. Extrémité coxale du fémur placée au-devant
oite du chirurgien, armée du couteau, occupée à détacher le lambeau
postérieur
. FIGURE 2. PROCÉDÉ DE M. LISFRANC {modifié).
es muscles à deux lambeaux, l'un externe antérieur et l'autre interne
postérieur
. Figure 6. Amputation ovalaire dans l'articulat
tères. Au-dessus de la cavité cotyloïde se développe le court lambeau
postérieur
taillé à angle droit. La jigure g donne le résult
de la localisation de l'hémianesthésic dans l'hémorrhagïe capsulaire
postérieure
, M. Charcot établissait l'autonomie fonctionnelle
sphère n'est plane que dans ses deux tiers antérieurs; dans son tiers
postérieur
elle présente une concavité : la concavité où se
avec un tampon de coton, allongé en forme de fuseau. Si la concavité
postérieure
de l'hémisphère n'est pas ainsi étayée, elle s'af
est-à-dire lorsque la région antérieure de la coupe devient la région
postérieure
, la ligne de démarcation disparaît; le clair et l
ange la direction du morceau d'étoffe, si l'on met en avant la partie
postérieure
, et en arrière la partie antérieure, la teinte de
éclairage, si l'on place la région antérieure à la place de la région
postérieure
, la surface de section du faisceau sera plus fonc
rse, pli de passage pariéto-temporal profond. 7tB. Pli d'anastomose
postérieur
de la troisième circonvolution frontale à la de
umain (Gratiolet), 11. R. Scissure de Rolando, 5, 15. S'. Branche
postérieure
de la scissure de Sylvius, 1, 15. S". Branche a
calleux, 17. GMA. Gyrus métopique antérieur, 24. GMP. Gyrus métopique
postérieur
, 24. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré, 22, 25.
ostérieur, 24. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré, 22, 25. GQP. Gyrus
postérieur
du lobe carré, 22, 25. GR. Gyrus reclus, 24. GS
, 25. ima. Incisure métopique antérieure, 21. imp. Incisure métopique
postérieure
, 21. io. Incisure du lobule ovalaire ou paracentr
sula, insula antérieur, lobus cau- dicis (Burdach), 54. INP. Lobule
postérieur
de l'insula, insula postérieur, 54. ipc. Incisure
au- dicis (Burdach), 54. INP. Lobule postérieur de l'insula, insula
postérieur
, 54. ipc. Incisure du pli courbe, 52. ipi. Incisu
d sillon de l'insula. IRA. Rigole antérieure de l'insula. IRP. Rigole
postérieure
de l'insula. K. Scissure calcarine. L. Scissure l
de passage pariéto-temporal profond (Broca). ttB. Pli d'anastomose
postérieur
de la troisième circonvolution fron-tale à la deu
, pli humain (Gratiolet), 34. R. Scissure de Rolando. S'. Branche
postérieure
de la scissure de Sylvius, 51, 55. -S". Branche
i courbe. ima. Incisure métopique antérieure. imp. Incisure métopique
postérieure
. ipc, Incisure du pli courbe. ipi. Incisure du lo
de passage pariéto-temporal profond (Broca). 7rB. Pli d'anastomose
postérieur
de la troisième circonvolution fron-tale à la deu
, pli humain (Gratiolet). R. Scissure de Rolando, 56. S'. Branche
postérieure
de la scissure de Sylvius, 59. S". Branche anté
érieure. ce. Corps calleux. CH. Chiasma optique. CP. Commissure
postérieure
. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du lobe carr
FAI. Fibres arquées profondes du bulbe. FLP. Faisceau longitudinal
postérieur
de la calotte. G. Glande pinéale, épiphyse, con
culaire. GMA. Gyrus métopique antérieur, 44. GMP. Gyrus métopique
postérieur
, 41. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré, 42, 44
rieur, 41. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré, 42, 44. GQP. Gyrus
postérieur
du lobe carré, 44. GR. Gyrus rectus. GSF. Pre
, 44. ima. Incisure métopique antérieure. imp. Incisure métopique
postérieure
. Inf. Infundibulum de la tige pituitaire. io.
ubercule quadrijumeau antérieur (nates). QP. Tubercule quadrijumeau
postérieur
(testes). R. Scissure de Rolando. Rf. Rectang
rps calleux. GMA. Gyrus métopique antérieur, 50. GMP. Gyrus métopique
postérieur
, 49, 50. GQA. G\rus antérieur du lobe carré, 50,
rieur, 49, 50. GQA. G\rus antérieur du lobe carré, 50, 52. GQP. Gyrus
postérieur
du lobe carré, 50, 52. GR. Gyrus rectus. GSF. P
ique. ima. Incisure métopique antérieure. imp. Incisure métopique
postérieure
. Inf. Infundibulum de la tige pituitaire. io.
QA. Tubercule quadrijumeau antérieur. QP. Tubercule quadrijumeau
postérieur
. R. Scissure de Rolando, 49. Rf. Rectangle fr
u corps calleux. GMA. Gyrus métopique antérieur. GMP. Gyrus métopique
postérieur
, 55. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré, 55. GQF.
ue postérieur, 55. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré, 55. GQF. Gyrus
postérieur
du lobe carré. GR. Gyrus reclus. GSF. Première
limbique. ima. Incisure métopique antérieure. imp. Incisure métopique
postérieure
. io. Incisure du lobule ovalaire ou paracentral.
érieure. ce. Corps calleux. CH. Chiasma optique. CP. Commissure
postérieure
. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du lobe carr
llé interne, 61. GMA. Gyrus métopique antérieur. GMP. Gyrus métopique
postérieur
. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré, 56. GQP. Gyr
opique postérieur. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré, 56. GQP. Gyrus
postérieur
du lobe carré, 56. GR. Gyrus rectus. GSF. Premi
coin. ima. Incisure métopique antérieure. imp. Incisure métopique
postérieure
. io. Incisure du lobule ovalaire ou paracentral
e quadrijumeau antérieur, 62. S. Vallée de Sylvius, 63. S'. Branche
postérieure
de la scissure de Sylvius, 65. S". Branche anté
7. CIA. Segment antérieur de la capsule interne, 74. C1D. Segment
postérieur
de la capsule interne, 7G, 77. Cin. Cingulum.
thalami, couronne rayonnante de la couche optique, 77. S'. Rranche
postérieure
de la scissure de Sylvius, 69, 79, 80. sC. Sinus
bule pariétal inférieur. R. Scissure de Rolando, 141. S'. Branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. sC. Sinus du corps c
inférieure ou lobule pariétal inférieur. QP. Tubercule quadrijumeau
postérieur
. R. Scissure de Rolando. sh. Sillon de l'hipp
laire, 161. PC. Pli courbe. R. Scissure de Rolando. S'. Branche
postérieure
de la scissure de Sylvius, 161. SH. Sillon de l
ius. lif. Fente de Bichat, 180. BQP. Bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. C. Circonvolution limbique, 174, 177. ce. Corps
inar, 180. QA. Tubercule quadrijumeau antérieur, 180. S'. Branche
postérieure
de la scissure de Sylvius, 171. sC. Sinus du co
188. Bf. Fente de Bichat, 18G. BQP. Bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. BSO. Bandelette sous-optique, 195. C. Circonvolu
adrijumeau antérieur, 188. R. Scissure de Rolando, 185. S'. Branche
postérieure
de la scissure de Sylvius, 185. sC. Sinus du corp
Aq. Aqueduc de Sylvius, 199. RQP. Bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
, 197. BSO. Bandelette sous-optique, 201. CAM. Cor
I. Faisceau longitudinal inférieur, 203. FLP. Faisceau longitudinal
postérieur
de la calotte, 200. FOi. Fibres inférieures du
6, 202. R. Scissure de Rolando. RR. Ruban de Reil, 200. S'. Branche
postérieure
de la scissure de Sylvius, 195. SG. Substance gri
e quadrijumeau antérieur, 21 G. BQP. Bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
, 206, 216. BSO. Bandelette sous-optique, 219.
CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale. CP. Commissure
postérieure
, 205, 211, 218. F. Circonvolution frontale asce
. FCF. Faisceau compact du fornix. FCP. Faisceau de la commissure
postérieure
, 217. FDF. Faisceau diffus du fornix. FI. Fir
isceau longitudinal inférieur, 221, 222. FLP. Faisceau longitudinal
postérieur
de la calotte, 205, 208. FPF. Faisceau pariéto-
Couronne rayonnante de la couche optique, 219, 221, 222. S'. Rranche
postérieure
de la scissure de Sylvius, 204. SG. Substance gri
adrijumeau antérieur, 228, 232. BQP. Bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
, 228. BSO. Bandelette sous-optique, 235. C. C
ps calleux, 236. CI. Capsule interne, 224, 236, 237. C1D. Segment
postérieur
de la capsule interne, 224, 236, 237, 238. Cin.
ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 256, 238. CP. Commissure
postérieure
, 230. F. Circonvolution frontale ascendante, 23
CF. Faisceau compact du fornix, 238. FCP. Faisceau de la commissure
postérieure
, 228, 229, 250. FDF. Faisceau diffus du fornix, 2
diffus du fornix, 258. FI. Fimbria, 225. FLP. Faisceau longitudinal
postérieur
de la calotte, 227. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert
ami, couronne rayonnante de la couche opti-que, 224, 257. S'. Branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. sC. Sinus du corps cal
cule quadrijumeau antérieur, 249. BQP. Bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. BSO. Bandelette sous-optique, 252. C. Circonvolu
2. C. Circonvolution limbique. ce. Corps calleux, 252. CID. Segment
postérieur
de la capsule interne, 254. Cin. Cingulum. CMT.
ntre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 252. CP. Commissure
postérieure
. CTE. Faisceau du tegmentum allant à la substan
250. FCF. Faisceau compact du fornix. FCP. Faisceau de la commissure
postérieure
, 249. Fd. Fascia dentata, 240. FDF. Faisceau diff
256. FLI. Faisceau longitudinal inférieur. FLP. Faisceau longitudinal
postérieur
de la calotte, 248. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert
Faisceau longitudinal inférieur, 270, 271. FLP. Faisceau longitudinal
postérieur
de la calotte, 263. FM. Faisceau de Tiïrck-Meyner
Pont de Varole, 262. R. Scissure de Rolando, 256. R'. Prolongement
postérieur
de la scissure de Rolando, 256. RAH. Recessus a
isceau longitudinal inférieur, 272, 280. FLP. Faisceau longitudinal
postérieur
de la calotte, 278. FM. Faisceau de Tùrck-Meyne
. PV. Pont de Varole, 277. R. Scissure de Rolando. R'. Prolongement
postérieur
de la scissure de Rolando. RAIL Recessus antéri
5. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 285, 288. S'. Branche
postérieure
de la scissure de Sylvius, 272. 877. Sillon de
FLI. Faisceau longitudinal inférieur. FLP. Faisceau longitudinal
postérieur
de la calotte, 296, 298, 506. FM. Faisceau de Tùr
terne, 295, 502. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé. S'. Branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. SH. Sillon de l'hippoc
erne, 525. CEO. Faisceau cérébello-thalamique, 515, 517. CID. Segment
postérieur
de la capsule interne, 524. CIF. Segment inférieu
FLI. Faisceau longitudinal inférieur. PLP. Faisceau longitudinal
postérieur
de la calotte, 526. FM. Faisceau de Tûrck-Meyne
utamen, 509, 524. RFP. Couronne rayonnante du faisceau longitudinal
postérieur
, 509, 515. RNC. Couronne rayonnante du noyau ca
inféro-interne du ventricule latéral, 528, 555. EPP. Espace perforé
postérieur
, 527, 552, 554. F1. Première circonvolution fro
2. PUT. Putamen. PV. Pont de Varole, 554. tïB. Pli d'anastomose
postérieur
de la troisième circonvolution frontale à la de
l'hippocampe, 528. RFP. Couronne rayonnante du faisceau longitudinal
postérieur
, 555. S'. Branche postérieure de la scissure de S
onne rayonnante du faisceau longitudinal postérieur, 555. S'. Branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. SG. Substance grise ce
8, 570, 571. TM. Tubercule mainillaire, 558, 566, 568. Tmp. Pédoncule
postérieur
du tubercule mamillaire, 566. TRI. Trigone cérébr
7. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 586, 587. Sr. Branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. SG. Substance grise
RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 591, 598, 404. S'. Branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. T1. Première circonv
du corps calleu 408, 414. S. Vallée de Sylvius, 407. S'. Rranche
postérieure
de la scissure de Sylvius, 407. S'". Branche ve
bec du corps calleux, 421. S. Vallée de Sylvius, 420. S'. Branche
postérieure
de la scissure de Sylvius, 419. S". Branche ant
FCF. Faisceau compact du fornix, 434. FLP. Faisceau longitudinal
postérieur
de la calotte, 428, 451. FM. Faisceau de Tûrck-
cule quadrijumeau antérieur, 428. ROS. Rostrum, 429. -S'. Branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. sC. Sinus du corps c
459. CIA. Segment antérieur de la capsule interne, 456. Cil). Segment
postérieur
de la capsule interne, 458. CL. Claustrum. CP. Co
postérieur de la capsule interne, 458. CL. Claustrum. CP. Commissure
postérieure
. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du lobe carré.
é, 458, FI. Finibria, corps frangé, 458. FLP. Faisceau longitudinal
postérieur
de la calotte, 458. FP. Faisceau pyramidal, 458
L. Faisceau rubro-thalamique. NmC. Centre médian, 457. NpC. Noyau
postérieur
du thalamus, 456, 457. NR. Noyau rouge de la ca
du thalamus, 441. NiC. Noyau interne du thalamus, 440. NpC. Noyau
postérieur
du thalamus, 440. 01. Première circonvolution o
. Racine antérieure ou pédoncule antérieur du thalamus. TRp. Pilier
postérieur
du trigone, 446. VF. Corne frontale du ventricu
IA. Segment antérieur de la capsule interne, 455, 456. CID. Segment
postérieur
de la capsule interne, 452. Cin. Cingulum, 453.
Cingulum, 453. CL. Claustrum. CO. Centre ovale. CP. Commissure
postérieure
, 452. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du lobe
EPA. Espace perforé antérieur, 459, 460, 461. EPP. Espace perforé
postérieur
. F1. Première circonvolution frontale, 459. /
ique, 463, 464. QA. Tubercule quadrijumeau antérieur. S'. Branche
postérieure
de la scissure de Sylvius. sC. Sinus du corps c
QA. Tubercule quadrijumeau antérieur. QP. Tubercule quadrijumeau
postérieur
. BGE. Couronne rayonnante du corps genouillé ex
ar ce quadruple caractère, d'un lobe olfactif rudimentaire, d'un lobe
postérieur
recouvrant complètement le cervelet, d'une scissu
d'une scissure de Sylvius parfaitement dessinée, et enfin d'une corne
postérieure
au ventricule latéral. Ces caractères ne se ren
es plis cérébraux sont dues a Vicq-d'Azyr. Il remarque qu'à la partie
postérieure
du cerveau la substance blanche est distribuée en
er lieu, la scissure de Sylvius, qui sépare le lobe antérieur du lobe
postérieur
. H décrit avec une grande exactitude les cinq pro
es repliés, qui occupent cette région. Les deux processus verticaux
postérieurs
, l'un assez long, l'autre plus court, se conserve
les parties orbitaires des lobes frontaux. Quelques sillons du lobe
postérieur
méritent une attention particulière. L'un est sit
cette face interne; il se dirige, en arrière, vers le sommet du lobe
postérieur
, et correspond à l'éperon qui se trouve dans la c
lobe postérieur, et correspond à l'éperon qui se trouve dans la corne
postérieure
du ventricule latéral. La description que Rolan
tions dont les unes appartiennent au lobe frontal, les autres au lobe
postérieur
. C'est ainsi qu'il signale, sur le lobe antérieur
toujours fort irrégulières. Les circonvolutions inférieures du lobe
postérieur
sont : 4*' La circonvolution qui longe la grand
ion réfléchie du ventricule latéral. 2° Les circonvolutions du lobe
postérieur
. Toutes ces circonvolutions partent de la circonv
d'avant en arrière et partent de la circonvolution pariétale la plus
postérieure
ou du bord postérieur de la scissure de Sylvius.
partent de la circonvolution pariétale la plus postérieure ou du bord
postérieur
de la scissure de Sylvius. Yoilà, en résumé, la
obe antérieur, %° un lobe supérieur, 3° un lobe inférieur, 4° un lobe
postérieur
; mais il n'assigne point à ces lobes des limites
che 5, fig. 1 ; mais les circonvolutions pariétales et celles du lobe
postérieur
sont trop imparfaitement distinguées. Nous cite
de la même planche offre un exemple plus normal. Les circonvolutions
postérieures
sont bien indiquées. L'opercule du lobe antérieur
ngue peu entre les Singes) a trois circonvolutions antérieures, trois
postérieures
, deux supérieures, une interne, et des circonvolu
ésence de deux circonvolutions supérieures (fig. 4, SS, SS"), dont la
postérieure
se porte en haut et en arrière pour s'unir à la c
fort succinct sur tout ce qui touche le lobe antérieur. Quant au lobe
postérieur
, il n'en dit absolument rien, et ses figures ne p
contourne, suivant sa plus grande circonférence jusqu'à son extrémité
postérieure
, d'où elle revient, longeant la zone cérébello-te
s de la tubérosité de la circonvolution du premier ordre sur la marge
postérieure
du quadrilatère perforé, à la marge antérieure du
e successivement la lèvre antérieure, la lèvre supérieure et la lèvre
postérieure
de scissure de Sylvius, et se termine dans le som
ale, et se porte, au-dessous du groupe triangulaire, vers l'extrémité
postérieure
du cerveau; 4** M. Foville signale, en outre, des
a traverse occipitale ; 4** enfin l'espace qui s'étend de l'extrémité
postérieure
de l'hémisphère au sommet du lobe temporal. Il
Le point où ils se réunissent en arrière est, pour nous, l'extrémité
postérieure
de l'hémisphère, extrémité occipitale. Je deman
externe de l'hémisphère; l'une de ces parties est antérieure, l'autre
postérieure
. La postérieure constitue ce que nous appellero
phère; l'une de ces parties est antérieure, l'autre postérieure. La
postérieure
constitue ce que nous appellerons le lohe occipit
L'étage surcilier et le pli frontal moyen se réunissent à leur partie
postérieure
, et se terminent ensemble au-dessus du coude de l
ute son étendue, et que nous nommerons pour cette raison pli marginal
postérieur
d d. Ce pli et la branche descendante du pli cour
oral supérieur d. Ce pli se continue directement avec le pli marginal
postérieur
et n'en est point distinct. 2'' Le pli temporal
n les lèvres de la scissure perpendiculaire, nous voyons que la lèvre
postérieure
, formée par le bord antérieur du lobe occipital,
la lèvre antérieure comme un opercule. Cet opercule, opercule du lobe
postérieur
, cache au fond de la scissure un système de plis
ule. Le supérieur passe du deuxième pli ascendant au sommet du lobe
postérieur
; il forme, en dehors, un coude fort remarquable
Le second pli passe de la portion descendante du pli courbe au lobe
postérieur
n. Si maintenant nous rappelons les plis superf
plis ascendants et du pli courbe. Il n'en est pas de même de la lèvre
postérieure
qui forme un des plis les mieux prononcés et les
parce qu'il se rattache, en général, à un grand développement du lobe
postérieur
, et sous ce point de vue il paraîtra avoir quelq
rps calleux , je veux dire à ses pédoncules (Yicq-d'Azyr). Son bord
postérieur
regarde en arrière et en bas. La bandelette des p
rd postérieur regarde en arrière et en bas. La bandelette des piliers
postérieurs
de la voûte lui sert de frange ou d'ourlet. Enf
scend du bord supérieur de l'hémisphère et s'arrête au niveau du bord
postérieur
du corps calleux. Nous la nommerons scissure perp
issure perpendiculaire externe. L'autre BB'B" s'étend de fextrémité
postérieure
de l'hémisphère au sommet du lobe temporal. Le
qui est comprise entre B et B', c'est-à-dire entre le sommet du lobe
postérieur
et le genou postérieur du corps calleux, est larg
B et B', c'est-à-dire entre le sommet du lobe postérieur et le genou
postérieur
du corps calleux, est large et profonde; elle rép
ntérieure, c'est-à-dire dans tout l'intervalle compris entre le genou
postérieur
du corps calleux et le sommet du lobe temporal, c
ce interne, qui est située au-dessus du corps calleux et de la partie
postérieure
de la scissure des hippocampes, est divisée en de
e répond à la fois au lobe frontal et au lobe pariétal. L autre est
postérieure
; elle répond à la partie supérieure du lobe occip
e, qui est située au-dessous de l'ouverture cérébrale et de la partie
postérieure
de la circonvolution des hippocampes, répond à la
que ce sillon distingue confine au corps calleux; au-dessus du genou
postérieur
du corps calleux, il s'élargit et s'élève jusqu'a
lle, cette partie élargie lobule quadrilatère \ Au-dessous du genou
postérieur
du corps calleux, ce pli se rétrécit brusquement,
s deux plis supérieurs sont constamment cachés par l'opercule du lobe
postérieur
; mais il y a beaucoup de variations dans le degré
se développant ainsi, le lobule frontal s'est avancé vers les parties
postérieures
du cerveau; il a refoulé en arrière les plis asce
r pli de passage et le second pli sont cachés sous l'opercule du lobe
postérieur
. Dans les Semnopithèques, le pli de passage supér
duire à des résultats assez remarquables. Dans les Guenons, le lobe
postérieur
semble anticiper sur la région fronto-parié-tale
nal et du sommet de la scissure ; en un mot, le développement du lobe
postérieur
semble lutter victorieusement contre le développe
ue dans VEnlelle (pl. IV, %.3); 5° La profondeur des plis du lobe
postérieur
, qui, malgré le jeune âge de l'animal, est relati
ques observations. Dans le fœtus dont il s'agit, les plis cérébraux
postérieurs
sont bien développés, tandis que les plis du lobe
nent à l'imperfection de l'état fœtal. Chez tous les Singes, les plis
postérieurs
se développent les premiers; les plis antérieurs
que, selon certains anatomistes, d'ailleurs fort habiles, les parties
postérieures
du cerveau apparaissent les dernières (1). Cette
arrière dans le fœtus, ce n'est point seulement parce que les parties
postérieures
du cerveau ne se sont point développées, mais par
é leur place originelle et n'ont point été refoulées vers les parties
postérieures
. Nous remarquerons aussi que, si les idiots ont s
nt le cervelet découvert, ce n'est point toujours parce que les lobes
postérieurs
sont relativement atrophiés, mais parce que le ce
oy. pl. YIII, fig. 8); la gracilité des plis ascendants et surtout du
postérieur
, dont la partie supérieure est très-courte; 3" la
deuxième pli de passage, et enfin la simplicité des incisures du lobe
postérieur
, qui, la plupart du temps, est absolument lisse e
l'hémisphère des vrais Macaques, mais i ° La distance de la pointe
postérieure
de l'hémisphère au corps calleux est plus grande
braux, ils se distinguent du Rhésus. Par la petitesse du prolongement
postérieur
du deuxième pli ascendant, ils se distinguent d'a
se, en sens divers, une profonde incisure (6' 6'). Les plis du lobe
postérieur
sont assez nombreux ; mais la surface est singuli
e entre le développement des parties antérieures et celui des parties
postérieures
. Le point le plus élevé de cette courbe répond à
dans les mêmes proportions que celui de VOrang-Outang. Quant au lobe
postérieur
, il est grand, développé, plus haut que long, et
ernière molaire d'en bas est courte et n'a point « de talon à sa face
postérieure
. « Dans le Gorilla, la même dent est très-longu
ans le Gorilla, la même dent est très-longue et présente, à sa partie
postérieure
, « un talon évidemment trilobé. « Ces caractère
imètres environ en arrière de ce point. Il suit de là que la limite
postérieure
du lobe antérieur recule, et ce lobe s'agrandit a
e lobe s'agrandit ainsi en refoulant le lobe pariétal, dont la limite
postérieure
est, d'ailleurs, beaucoup moins bien définie que
ent être étudiés avec l'attention la plus scrupuleuse; leur extrémité
postérieure
se jette dans le sommet du premier pli ascendant
eur 3.3. est plus flexueux; il se jette un peu en dehors, à sa partie
postérieure
, et, s'arrondissant d'une manière plus ou moins r
ux régions presque symétriques. Du pli ascendant en avant et du pli
postérieur
en arrière partiront, 1° Dans deux directions o
on lobule et par le pli de passage supérieur, jusque vers l'extrémité
postérieure
du cerveau. Or, dans l'Homme et dans les Singes
'un seul pli, il s'élève et se complique en arrière, où son extrémité
postérieure
se dilate en un lobule quadrilatère très-grand et
, se dégradent de plus en plus à mesure qu'on marche vers les parties
postérieures
, en sorte que sur le lobule occipital ils ne sont
cerveau était, au premier abord, remarquable par l'atrophie des lobes
postérieurs
. Mais quelle fut mon admiration lorsque, jetant u
s frappés, au premier abord, de la richesse de ces plis sur la moitié
postérieure
du cerveau, et de leur pauvreté, si l'on considèr
z haut, et sa direction se confond si bien avec celle du pli marginal
postérieur
, qu'il peut à peine en être distingué. Arrivé au-
tés sont, pour nous, résolues. Nous reconnaîtrons aisé ment le lobe
postérieur
; ce lobe est d'une grandeur médiocre. Outre son i
ques incisures secondaires dont la direction est ascendante. Son bord
postérieur
est tronqué, en sorte qu'il est plus élevé que lo
e passage est à peine indiqué et caché sous l'operculQ; 4" Les plis
postérieurs
sont moins riches. Sauf ces différences, la des
érables. La scissure des hippocampes est très-profonde dans sa partie
postérieure
. Sa branche supérieure de bifurcation est fort él
du cerveau, que trois plis bien distincts ; à savoir, le pli marginal
postérieur
, qui est fort épais, le sommet du pli courbe et l
li, le sillon du pli courbe manque ou paraît manquer. Le pli marginal
postérieur
est donc le seul pli qui soit bien distinct sur l
au-dessous d'elle. 4° Enfin le lobe occipital, qui forme l'extrémité
postérieure
de l'hémisphère, et qu'une scissure à peu près dr
e Sylvius, et que nous nommons aussi, pour cette raison, pli marginal
postérieur
. 2° Le pli temporal moyen. Ce pli est séparé du p
aux précédents et n'en est pas toujours bien distinct; son extrémité
postérieure
passe au lobe occipital. Le lobe occipital est
supérieur, unit le lobule du deuxième pli ascendant au sommet du lobe
postérieur
. Le deuxième pli unit le sommet du pli courbe à
loi. Ainsi, dans les Sajous, ce pli est caché sous l'opercule du lobe
postérieur
, mais il est superficiel dans les Saïs. Ainsi l
ce interne. L'une, à peu près horizontale, est étendue de l'extrémité
postérieure
du cerveau au sommet du lobe temporal et côtoie l
mporal et côtoie le bord inférieur de l'ouverture centrale. Sa partie
postérieure
, celle qui est derrière l'ouverture centrale, est
ipital interne. Le lobe occipito-temporal est étendu de l'extrémité
postérieure
de l'hémisphère au sommet de la saillie temporale
nd pli entoure celui-ci; c'est le pli de la zone externe. A sa partie
postérieure
, le pli de la zone interne se relève, s'élargit e
s'éloigne de l'extrémité antérieure du cerveau et se rapproche de la
postérieure
; dans les Singes des groupes inférieurs, elle s'
érieurs, elle s'éloigne, au contraire, de plus en plus de l'extrémité
postérieure
du cerveau pour se rapprocher davantage de l'extr
élevés, la scissure perpendiculaire interne est très-voisine du bord
postérieur
de l'ouverture cérébrale ; mais, dans les Singes
gradés, elle se déplace, et passe des parties antérieures aux parties
postérieures
du cerveau. Ainsi, dans des Singes très-différe
t les plis moyens, à savoir le pli courbe, et surtout le pli marginal
postérieur
, et dans les Ouistitis ces plis eux-mêmes s'effac
scissure montre à quel point, dans ces derniers Primates, les parties
postérieures
du cerveau l'emportent sur les parties antérieure
nt développés, contribueront également à l'agrandissement des parties
postérieures
du cerveau. Ainsi une grande saillie, une égale
nsi que dans l'Homme, où le lobe occipital est très-petit, la saillie
postérieure
du cerveau est néanmoins très-grande. Dans le Pap
llie des bosses occipitales correspond un grand développement du lobe
postérieur
. Quel sectateur de Gall, promenant ses aveugles d
re du sphénoïde et ses extrémités terminales ou apophyses clinoïdes
postérieures
, sont repoussées en arrière. La partie plus d
que d'avant en arrière entre les apophyses clinoïdes antérieures et
postérieures
mesurent 44 millimètres de longueur, ce qui don
t très gros et il présente des traces d'hyperostose dans son rebord
postérieur
. Les métatarsiens aussi présentent quelques pet
, surtout dans l'espace qui sépare la ligne axillaire antérieure et
postérieure
. Des douleurs siègent aussi dans les Ve et VIe
s les côtes correspondantes (entre la ligne axillaire antérieure et
postérieure
), la douleur la plus forte est en dehors du mamel
comme il faut l'admettre dans l'os même et com- primait les racines
postérieures
, et, probablement les antérieures aussi (preuve
' 1er octobre. - Le malade se plaint de douleurs le long de la face
postérieure
de la cuisse et de la jambe droite et d'un engo
naux très vifs), et qu'il intervient une douleur le long de la face
postérieure
de la cuisse, de la jambe et du pied; les réfle
l'affaiblissement du pied droit et des douleurs le long de la face
postérieure
de la cuisse, de la jambe et du pied droit, sont
uite de cette compression pouvait bien naître la douleur de la face
postérieure
de la cuisse et de la jambe, la pareslhé- sie d
r cette situation de la tumeur. L'absence de dou- leurs sur la face
postérieure
des membres supérieurs fonl présumer que les ra
l'absence absolue de douleurs et de troubles sensitifs sur la face
postérieure
des jambes et dans la région du périnée. En r
ers le mem- bre inférieur gauche, vers le genou, le long de la face
postérieure
de la cuisse. La douleur a atteint le maximum d
uis 3 semaines ces douleurs commencèrent à se propager vers la face
postérieure
de la hanche gauche. Le maximum de douleur siège
moitié gauche principalement. Les douleurs du sacrum, de la face
postérieure
de la hanche gauche, le plus fortes dans sa rég
ur. Elle a l'aspect d'un ruban large et épais qui porte sur sa face
postérieure
des dépressions sous forme de nids peu profonds.
t tantôt plus profonds du côté gauche, tantôt du droit. Les racines
postérieures
sont très modifiées. Les enfoncements ci-dessus
s empreintes d'ostéomes ronds et ovales qui se trouvent sur la face
postérieure
des corps des vertèbres. On a scié les vertèbre
te. Il faut encore noter que la dure-mère était adhérente à la face
postérieure
du corps de vertèbre sur un parcours de 1 centi
envoie un seul prolongement vers le haut. La dure-mère sur la face
postérieure
de la moelle est normale. Les enfoncements cité
ession évidente de la moitié droite de la moelle et des fais- ceaux
postérieurs
, la moitié gauche semble n'être que déplacée). Le
p plus petit correspond la Ir. racine dorsale (les deux fais- ceaux
postérieurs
et la moitié droite de la moelle). L'enfoncemen
sidérable que celle de la gauche) et aux IVe et Ve racines dorsales
postérieures
(peu profond, atteignait seulement la courbe ex
en fibres myéliniques et cellules nerveuses, tandis que de la corne
postérieure
, il ne reste plus rien à décrire. . Dans les co
n la région des faisceaux pyramidaux et celle de Gowers ; le cordon
postérieur
est encore plus lésé; ses parties antérieure et m
t sclérosées, il n'y a que quelques faisceaux de fibres tout à fait
postérieurs
qui se colorent bien ; elles pénètrent comme de
; elles pénètrent comme des festons dans la profondeur des cordons
postérieurs
. Il faut encore remarquer que les fibres n'ont pa
ombre de fibres coupées transversalement se trouve dans les cordons
postérieurs
et par place a la périphérie des cordons antéro
zonule de fibre communique avec la corne antérieure dans sa partie
postérieure
; enfin on voit les restes des libres dégénérée
érieure ; enfin on voit les restes des libres dégénérées. Le cordon
postérieur
droit est ^analogue par ses modifications à cel
de cordon, d'autres finissent sur place. Les racines antérieures et
postérieures
sont bien conservées, la racine antérieure montre
res myéliniques peu serré). Les mieux conservés restent les cordons
postérieurs
,surtout les faisceaux de Goll ; les faisceaux de
jet des différents faisceaux prend la forme en zig-zag. Les racines
postérieures
sont dégénérées des deux côtés, les fibres coupée
Le réseau myélinique de la substance grise est normal. Les cordons
postérieurs
de la substance blanche sont sclérosés, surtout
de la commissure grise et à côté de la partie antérieure des cornes
postérieures
. Dans les cordons latéraux : on voit une dégéné
et antérieurs (fig. 3), mais pas de dégénérescence dans les cordons
postérieurs
. A côté de ces lésions (dégénérescence descenda
en que dans la grise, les plus nombreux correspon- dant aux cordons
postérieurs
. L'augmentation du nombre des vaisseaux sanguin
a pratiqué à titre d'opération pal- liative une section des racines
postérieures
, pour calmer les douleurs Quant à la valeur de
échit tronc sur le bassin, il se fait une distension des Ij muscles
postérieurs
de la cuisse et au moment où le tronc s'approche
supérieur du sternum une tumeur plate. Au même niveau, sur la face
postérieure
du sternum, on voyait une tumeur adhérente au s
ous du sternum et se réunissait avec la masse néoformée sur la face
postérieure
des côtes. Dans la moitié gauche de la cage tho
astin antérieur est'occupé par cette masse de même que le médiastin
postérieur
, la tumeur englobe l'aorte. La bronche gauche se
ière est épaissie, hypertrophiée dans la moitié droite et la partie
postérieure
de la moitié gauche (son épais- seur atteint 1/
ffuse des cordons pos- térieurs (plus notable autour des cor- nes
postérieures
) et, à un degré moins Ul11 10 m Il c .
s sont plutôt accumulées dans le fascicule dorso-médian des cordons
postérieurs
et dans les voies pyramidales latérales. A gauc
diculaire gauche et une dégénérescence moins prononcée de la racine
postérieure
gauche. Dans la moelle sacrée, le triangle de G
rieures. Ils se ren- contrent en plus grand nombre dans les cordons
postérieurs
et dans la partie pos- térieure des cordons lat
riennes pénètrent Fig. 5. Sarcome à cellules rondes. 1. Racines
postérieures
. 4. Foyer de lésion dans le cordon latéral 2. D
al précisément, s'estforméun foyer considérable, occupant la moitié
postérieure
du cordon latéral droit, et caractérisé par une d
s'irra- diant vers l'omoplate. Le membre était froid ; sur sa face
postérieure
les veines se gonflèrent. Peu à peu le membre s
des foyers de lésion surtout dans les cordons latéraux et dans les
postérieurs
. Les cordons antérieurs par contre sont presque t
ble grossissement, l'aspect alvéolaire de ces foyers. Les cordons
postérieurs
sont aussi lésés, mais beaucoup moins que les lat
t, y sont minimes. Pas de foyers diffus. Les racines antérieures et
postérieures
sont intactes. Le réseau dans la subs- tance gr
leur volume est moindre. Les cordons antérieurs sont normaux ; les
postérieurs
, très peu lésés (seulement à la périphérie et ver
he, une zone périphérique claire et un foyer allongé dans la partie
postérieure
du cordon. Les lésions du côté droit res- sorte
taches et de raies s'y retrouve. Deux grands foyers dans la partie
postérieure
du cordon sont surtout à noter. Comme il est di
de taches et de raies. Les cordons latéraux sont surtout lésés. Les
postérieurs
sont beaucoup moins touchés, les antérieurs pre
ins touchés, les antérieurs presque intacts. Racines antérieures et
postérieures
, dure-mère et pie-mère sans changements. Dans les
ion dans le cordon latéral droit. 3. Foyer de lésion dans le cordon
postérieur
droit. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA C
grandes dimensions il y ena de plus petits, ovales, dans le cordon
postérieur
droit, près de la zone périphérique, non loin de
des cordons antéro-latéraux et des alvéoles vides dans les cordons
postérieurs
. Les cloisons élargies dans toute la coupe cont
ulaires on voit des corpuscules amyloïdes (surtout dans les cordons
postérieurs
non loin de la périphérie). Le réseau myélinique
a dure- mère. (La localisation de ces masses correspond au faisceau
postérieur
droit et latéral droit voisin du précédent.)
alvéoles vides et de myéline dégénérée. Par contre dans les cordons
postérieurs
apparaissent de grands foyers irrégu- liers ; i
des lésions diffuses dans les parties antérieures des deux cordons
postérieurs
. Alvéoles vides isolés dans les cordons latéraux
ons postérieurs. Alvéoles vides isolés dans les cordons latéraux et
postérieurs
. Légère démyélinisation dans les zones périphériq
(elles passent à travers la dure-mère). Les racines antérieures et
postérieures
en dedans de cette méninge ne présentent pas de
ds foyers. Ils sont dispersés dans toute l'étendue des deux cordons
postérieurs
et dans la partie postéro-médiane des cordons l
rand foyer nettement limité sous forme d'un oeuf ; dans les cordons
postérieurs
,des foyers irréguliers, étoilés. Nulle part de
n voir un nombre considérable dans la zone périphérique des cordons
postérieurs
. De là ils pénètrent dans la profondeur de la m
elle et surtout dans la substance gélatineuse de Rolando des cornes
postérieures
. A côté de cette localisation ils sont dispersés
r dé- montrèrent des lésions notables. Dans les cordons latéraux et
postérieurs
il y avait des foyers plus ou moins grands qui
mécaniques. Mais d'un autre côté la tumeur se trouvait sur la face
postérieure
de la dure-mère el y pouvait compri- mer les va
it aucun rapport immé- diat avec la moelle. Le fait que les cordons
postérieurs
et latéraux sont principalement le siège de la
dans le fais- ceau de Burdacli du côté gauche, le long de la corne
postérieure
, et une légère raréfaction des fibres dans les
postérieure, et une légère raréfaction des fibres dans les cordons
postérieurs
. Dans le II" segment cervical on note déjà des
à la périphérie de la moelle à côté du cordon droit an- térieur et
postérieur
. La moelle est aplatie des deux côtés. L'aspect d
épend pas de la faute de fixation dans le chrome). Dans les cordons
postérieurs
la partie moyenne est le moins intensivement co
arque une raie distincte de dégénération le long de la corne gauche
postérieure
. A côté de l'aspect un peu clairsemé de toute la
irréguliers et petits dans le cordon droit antérieur. Les racines
postérieures
et antérieures sont bien conservées. Dans le Il
substance grise est pâle. Les cordons sont eu général pâles, et les
postérieurs
sont un peu mieux colorés que les antéro-latéra
les que dans la zone périphérique de la moelle. Le long de la corne
postérieure
gauche, une zone très pâle. La racine postérieure
long de la corne postérieure gauche, une zone très pâle. La racine
postérieure
gauche est tout à fait dégénérée. Les autres ra
he il y a deux foyers minuscules asymétriques dans les deux cordons
postérieurs
, non loin du sillon longitudinal postérieur et
dans les deux cordons postérieurs, non loin du sillon longitudinal
postérieur
et un foyer en forme allongée allant de la périph
don antérieur, non loin du sillon longitudinal antérieur. Les cordons
postérieurs
sont plus clairs que les antéro-latéraux. Du cô
moelle et dégénérée à une certaine distance de celle-ci. La racine
postérieure
est presque complètement dégénérée (il n'y a que
es). Par places (dans le faisceau gauche de Burdach, dans la partie
postérieure
du cordon latéral gauche), il y a des foyers ir
e développa par suite de compression et de dégénération des racines
postérieures
gauches (surtout au niveau du segment cervical
). Les masses néoplasiques se disposent le plus souvent sur la face
postérieure
(dorsale) de la dure-mère. Quelquefois elles n'
s médullaires. On les constate surtout dans les cordons latéraux et
postérieurs
(quelquefois dans les antérieurs). Us affec- te
es foyers se disposent symétriquement dans les cordons latéraux et'
postérieurs
et alors ils simulent la dégénérescence seconda
t aux dégénérescences « radiculaires » secondaires dans les cordons
postérieurs
(le cas de Pfeiffer, notre observation XIII). L
comprimés des dégénérescences dans la zone radiculaire des cordons
postérieurs
(compression des racines par distance dans notr
le du pied. L'ACHONDROPLASIE EST-ELLE HÉRÉDITAIRE 261 Le bord
postérieur
de l'extrémité inférieure du tibia présente deux
orteil est plus petit que les autres et il est implanté sur un plan
postérieur
et supérieur. Ce fait n'existait pas aux mains.
de la main celle qui consiste en ce que l'annulaire occupe un plan
postérieur
à celui des autres doigts, fait qui a été vérif
mère, un foyer de malacie de date également récente dans le segment
postérieur
de la capsule interne droite, une endo-artérite o
adiographie mon- tre soudés ensemble sur leur moitié antérieure, la
postérieure
étant occu- pée par un foyer tuberculeux en voi
es au point de vue de la compression nerveuse. Enfin, entre la face
postérieure
de la moelle, et la dure-mère, qui, nous le rap
ens antéro-postérieur de 7 à 8 cen- timètres de diamètre. La partie
postérieure
des corps vertébraux atteints est en outre le s
squilles soient projetées dans le canal rachidien, ou que la partie
postérieure
d'un corps vertébral, suffisamment conservée, v
LATAU cuisse et de la jambe (on ne peut pas l'affirmer pour la face
postérieure
des membres inférieurs). Même chose en ce qui c
er la substance grise de la blanche, mais les cornes antérieures et
postérieures
sont déformées et asymé- triques. Dans quelqu
périphérie des cordona latéraux et de plus petits dans les cordons
postérieurs
. Ces foyers vont de la périphérie vers le centre
supérieurs une dégénérescence secondaire peu accentuée des cordons
postérieurs
des (faisceaux de Goll principalement) et une dég
ert. On voit ici également le foyer nécrotique dans la corne droite
postérieure
. Peu après l'autopsie on a fait quelques prépar
es des méninges molles sont in- signifiantes à ce niveau (la région
postérieure
). En descendant (du niveau de la tumeur), on vo
es multiples, infiltration des méninges surtout du côté des cordons
postérieurs
). Dans la moelle lombaire, la substance grise rep
e légére dégénérescence secondaire récente surtout dans les cordons
postérieurs
(dégénérescence ascendante) et dans les faiscea
ns la moelle (fig. 13) (incision de la dure-mère le long de la face
postérieure
de la moelle). La tumeur se distingue par sa colo
ées dans le cordon latéral droit et moins visibles dans les cordons
postérieurs
et le cordon latéral gauche. Les cordons antérieu
gitudinal est de 2 centimètres, transversal 1 centimè- tre. La face
postérieure
de la tumeur est en partie adhérente à la face in
de lui est recouvert par le pus qui est jaune-verdâtre sur la face
postérieure
de la moelle (ou de la tumeur). Résumé. La mala
it ruban adhérant d'un côté à une tumeur ronde (fig. 15). La partie
postérieure
de ce ruban (les cordons postérieurs) est plus
eur ronde (fig. 15). La partie postérieure de ce ruban (les cordons
postérieurs
) est plus large que l'antérieure qui recouvre l
rieure de la tumeur sous forme d'une languette étroite. Les cordons
postérieurs
sont le mieux conservés quoique là aussi on tro
laires. Pas de signes histologiques d'une stase sanguine. La région
postérieure
de la tumeur adhère en un point à la dure-mère.
constate une raréfaction de la subs- tance blanche dans les cordons
postérieurs
. Les foyers clairs affectent la- forme irréguli
ans le VIe seg- ment dorsal on ne trouve qu'un foyer dans le cordon
postérieur
gauche et, par place, des endroits clairsemés à
la périphérie du cordon latéral gauche. Le foyer occupant le cordon
postérieur
se trouve dans la proximité de la zone périphér
rdon postérieur se trouve dans la proximité de la zone périphérique
postérieure
, aussi bien dans le cordon de Goll que dans le co
moelle on constate des endroits faiblement dégénérés dans le cordon
postérieur
gauche,- surtout dans le cordon de Goll. Un con
S. Cordon latéral droit. 6. Racine antérieure gauche. 7-8. Racines
postérieures
. 9. Tumeur. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET
réfié.' - 3. Tumeur. 4. Cor- don latéral droit raréfié. - 5. Racine
postérieure
. - 6. Foyer de lésions dans le- cordon postérie
fié. - 5. Racine postérieure. - 6. Foyer de lésions dans le- cordon
postérieur
droit. 7. Tumeur. FiG. 17. Fibrosarcome psammeu
latéral droit. - 4. Dure-mère. - 5. Foyer de lésion dans le cordon
postérieur
droit. 6. Tumeur. 7. Racine postérieure. xxiii
yer de lésion dans le cordon postérieur droit. 6. Tumeur. 7. Racine
postérieure
. xxiii 22 330 FLATAU ' Au niveau du pôle in
ntuée du cordon latéral et antérieur, un peu moindre dans le cordon
postérieur
. Dans la moitié droite de la moelle le tissu ne
normal. La substance grise est sans modification. Dans les cordons
postérieurs
on constate un épaississement bien évident des
ste du tissu ; de même les cordons antérieurs montrent dans la zone
postérieure
une structure alvéolaire et le tissu en partie
a méthode de Marchi montrent des masses dégé- nérées dans le cordon
postérieur
gauche qui ont été déjà décrites à propos de la
dérable de masses dégé- nérées se trouvent également dans le cordon
postérieur
droit non loin de la cloison longitudinale post
ans le cordon postérieur droit non loin de la cloison longitudinale
postérieure
. En descendant le long de la moelle on con- sta
Ces lésions touchent les cordons antéro-latéraux aussi bien que les
postérieurs
. Elles affectent la forme de grands foyers de r
ris la forme d'un ruban. Au niveau des Y- et VI' racines cervicales
postérieures
la moelle épinière, dans la région des cordons
vicales postérieures la moelle épinière, dans la région des cordons
postérieurs
, présente un enfoncement (est-ce artificiel ? ou
ux, la région de faisceau pyramidal croisé, et la zone périphérique
postérieure
du 'cordon pos- térieur), on voit leur parcours
hres ner- veuses rompues, courtes; direction bizarre.Dans la partie
postérieure
du cor- don latéral se voit un groupe unique de
plus attentif, on constate une certaine démyélinisation des cordons
postérieurs
surtout autour de la cloison longitudinale postér
des cordons postérieurs surtout autour de la cloison longitudinale
postérieure
et une raréfaction au milieu de la corne antéri
ent. La mieux conservée est la substance blanche autour de la corne
postérieure
. Dans le cordon postérieur gauche les lésions son
la substance blanche autour de la corne postérieure. Dans le cordon
postérieur
gauche les lésions sont analogues à celles du c
degré d'aplatissement et la déviation de l'axe sagittal des cordons
postérieurs
.-Une légère dégénérescence des cordons postérie
ttal des cordons postérieurs.-Une légère dégénérescence des cordons
postérieurs
le long de la cloison longitudinale postérieure.
escence des cordons postérieurs le long de la cloison longitudinale
postérieure
. Dans la région des lire et lie segments cervic
cine antérieure. - 3. Cordon latéral gauche dégénéré. - 4. Ra- cine
postérieure
. 0 TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLON
veau un- mince faisceau des fibres nerveuses qui couronnent la face
postérieure
des cordons postérieurs. Des lésions pareilles,
des fibres nerveuses qui couronnent la face postérieure des cordons
postérieurs
. Des lésions pareilles, mais moins prononcées s
arre grande comme une pièce de cinq francs s'est formée sur la face
postérieure
de la jambe gauche, trois plus petites dans la
imètre au-dessous du lieu de pénétration de la IXe ra- cine dorsale
postérieure
dans la moelle. Les Xe et XIe racines se trouvent
de pénétration des faisceaux supérieurs de la Ire racine lom- baire
postérieure
dans la moelle. Examen microscopique. On a fait
ntacte). 4. Arachnoïde recouvrant la tumeur. 5. Tumeur. z 6. Racine
postérieure
(légèrement dégénérée). - 7. Racine postérieure (
Tumeur. z 6. Racine postérieure (légèrement dégénérée). - 7. Racine
postérieure
(tout à fait dégénérée). 8. Arachnoïde. 9. Raci
nérée). 8. Arachnoïde. 9. Racine antérieure (intacte). 10. Ra- cine
postérieure
intacte. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA
rme à la moitié pos- térieure du cordon latéral gauche et au cordon
postérieur
. La moelle y est aplatie obliquement. Toute la
umeur, on voit qu'elle le fait en passant immédiatement sur la face
postérieure
de la tumeur. La tumeur y est libre et n'adhère
de la moelle. Sur la face dorsale de la tumeur se trouve une racine
postérieure
aplatie, allongée et en partie dégénérée. Sur l
e dans le sens obli- que. La tumeur adhère principalement au cordon
postérieur
et au latéral gauche. Toute la périphérie de la
ue est adhérente à la méninge molle. A ce niveau on voit une racine
postérieure
dégénérée englobée par la tumeur. Les méninges
nerveuses à myéline qui constituent évidemment les racines gauches
postérieures
. Ces fibres s'accumulent en faisceaux ronds ou co
est aplatie aussi du côté gauche (une petite partie du cordon droit
postérieur
adhère à la tumeur). Les cordons antérieurs son
hère à la tumeur). Les cordons antérieurs sont presque normaux. Les
postérieurs
sont les plus touches. [Le latéral gauche démon
une dégénérescence évi- dente, le droit à peine visible. La racine
postérieure
droite est considéra- blement dégénérée, l'anté
vrant la tumeur. - 4, 6, 8, 9, H, 13. Traces de fibres radiculaires
postérieures
au sème de la masse néoplasique. - 5. Tumeur. 7
neuse dans la tumeur. 10. Racine anté- rieure (intacte). 12. Racine
postérieure
(légèrement dégénérée). TUMEURS DE LA MOELLE ÉP
le épinière. 1. Racine antérieure (presque normale). - ` ? . Racine
postérieure
(légèrement dégéné- rée).- 3. Arachnoïde recouv
Racine antérieure (légèrement dégénérée). - 8. Dure-mère. 9. Racine
postérieure
(dégénérée). 10. Dure-mère. FIG. 26. - Dégénére
e (dégénérée). 10. Dure-mère. FIG. 26. - Dégénérescence des cordons
postérieurs
et une faible dégénérescence de la voie cérébel
ie proximale on voit une dégénérescence secondaire dans les cordons
postérieurs
(surtout dans le gauche) et dans les zones périph
e. Dans la moelle cervicale la dégénérescence se limite à la partie
postérieure
du faisceau cérébelleux (lig. 26). Dans la dire
hi montrent des masses rondes dégénérées dans les cordons (de Goll)
postérieurs
et dans la partie postérieure du faisceau céréb
dégénérées dans les cordons (de Goll) postérieurs et dans la partie
postérieure
du faisceau cérébelleux gauche dans la région d
saux en partie aussi de la 1 lombaire. La tumeur adhérait à la face
postérieure
et latérale gauche de la moelle épi- nière. Les
la pie-mère. L'arachnoïde, en quittant la moelle passe sur la face
postérieure
de la tumeur et la recouvre. Là où la tumeur to
res radiculaires. La tumeur s'est développée évidemment à la racine
postérieure
gauche. Dans le tissu de la moelle même on voit s
tate une dégéné- rescence localisée principalement dans les cordons
postérieurs
et dans le latéral gauche. A côté de cela on a
e la des- cendante. La dégénérescence ascendante frappe les cordons
postérieurs
(surtout celui du côté gauche) et le' faisceau
ite en dehors de la dure-mère et correspondent au cordon latéral et
postérieur
. La configuration extérieure de la moelle est n
une légère dégénérescence dans la zone radiculaire de deux cordons
postérieurs
. Le méninges molles ne sont pas modifiées. Les
est la dégénérescence des zones radiculaires dans les deux cordons
postérieurs
, surtout dans le gauche. A mesure qu'on monte.
ncts, un dans le cordon laté- ral gauche, l'autre, dans les cordons
postérieurs
près de la partie antérieure de la cloison long
ostérieurs près de la partie antérieure de la cloison longitudinale
postérieure
. A côté de ces foyers du type alvéolaire on rem
s foyers dans les cordons latéraux d'autres situés dans les cordons
postérieurs
(la région de commissure et des zones radiculai-
, une faible dégénérescence des zones radiculaires dans les cordons
postérieurs
. En sens ascendant, la dégénérescence se déplaç
éolaire dans le cordon latéral gauche et un second dans les cordons
postérieurs
,près de la commissure. A part ces foyers on en co
secondaire ascendante (une légère dé- générescence dans les cordons
postérieurs
dépendait de la lésion des zones radiculaires d
stérieurs dépendait de la lésion des zones radiculaires des cordons
postérieurs
et non de ces foyers). La moelle au-dessous de
ion dorsale. De plus on sentait à travers la dure-mère, sur la face
postérieure
, des petites tumeurs situées à différents nivea
oncements sur la périphérie du cordon latéral gauche et des cordons
postérieurs
. En outre une raréfaction des fibres dans la subs
econdaires. Les cloisons sont épaissies, surtout celles des cordons
postérieurs
. Vaisseaux en nombre augmenté. Ils portent des
latéraux. Légère dégénérescence des parties antérieures des cordons
postérieurs
(dans le voisinage de la commis- sure postérieu
eures des cordons postérieurs (dans le voisinage de la commis- sure
postérieure
). Le réseau au sein de la substance grise est rar
s méninges molles). La pie-mère épaissie dans la région des cordons
postérieurs
et par place ses cloisons très larges pénètrent e
tement dit) sur la face interne de la dure-mère du côté des cordons
postérieurs
. La con- figuration de ces cordons est normale.
n'y remarque point de lésions. Quelques endroits dans les cor- dons
postérieurs
sont un peu moins bien colorés, par exemple la ré
ques. L'arachnoïde est franchement plus épaisse du côté des cordons
postérieurs
. Les racines sont en partie dégénérées. L'une d
stérieurs. Les racines sont en partie dégénérées. L'une d'elles, la
postérieure
gauche, est complètement dégénérée (la raréfact
un peu épaissie peut-être ; arachnoïde épaissie du côté des cordons
postérieurs
; quelques racines dégé- nérées en partie ; les
en haut correspond à la corne antérieure. - 2. Dure-mère. 3. Racine
postérieure
en partie dégénérée. - 4. Gomme de la méninge.
sons qui de la périphérie se rendent dans la profondeur des cordons
postérieurs
. Les coupes coloriées par Vhématoxyline et l'éo
n assez prononcée des méninges molles, située du côté des cor- dons
postérieurs
et d'une partie du cordon latéral. Cette infiltra
es lésions voisines, tandis que de la dure-mère en face des cordons
postérieurs
, pousse une gomme, et dans une racine antérieure
du côté des cordons antérieurs que du côté des cordons latéraux et
postérieurs
. A l'exception du VIe segment dorsal les gommes
es cel- lules géantes et l'absence d'une couche granuleuse, l'autre
postérieur
, (1) W. BETZ. Anatomischer Nachweis Zweier Gelt
structure ressemble à celle de la frontale ascendante, et une autre
postérieure
qui représente la continuation de la pariétale
ère sur ce sujet. J'ai constaté en effet que les lésions du segment
postérieur
de la capsule interne produisent d'une part la
es pyra- mides profondes de la pariétale ascendante et de la partie
postérieure
du lobule par acentral (1). Une constatation an
constitué par deux régions dis- tinctes : l'une antérieure, l'autre
postérieure
,séparées entre elles,en gran- departie,par un s
s mêmes caractères que la frontale ascendante et celle de la partie
postérieure
est à peu près identique comme structure à la p
ise par l'apparition de la couche granuleuse interne dans la partie
postérieure
et par la disparition des cellules de Betz prop
st que la partie antérieure est beaucoup plus épaisse que la partie
postérieure
. C'est ainsi que la moyenne du type 4 de Brodmann
du tiers moyen, on les retrouve localisées seulement sur le versant
postérieur
de la frontale ascen- dante. Même sur ce versan
rimates dans le lobule paracentral, sauf dans la partie tout à fait
postérieure
de celui-ci, et dans la partie supérieure de la f
opiques. Foyer hémorragique qui détruisait profondé- ment la moitié
postérieure
du lobe pariétal gauche. Lésions microscopiques
autres sont en voie de dégénérescence pig- mentaire. Dans la partie
postérieure
du lobule paracentral, type 5 de Brod- mann, on
lenticulaire. Un autre foyer plus petit, se trouvait dans la partie
postérieure
de la capsule interne gauche. Examen microscopi
es et un certain nombre qui sont en voie d'atrophie. Dans la partie
postérieure
du lobule paracentral, là où sa structure le ra
que récent qui détruit toute la couche optique gauche et le segment
postérieur
de la capsule interne.' Un autre foyer plus pet
er soutenu. Examen macroscopique. Foyer hémorragique dans la partie
postérieure
du noyau lenticulaire gauche, détruisant une po
e du noyau lenticulaire gauche, détruisant une portiou de la partie
postérieure
de la capsule interne. - Examen microscopique.
de la capsule interne les grosses pyramides profondes de la région
postérieure
du lobule paracen- tral réagissent, s'atrophien
truit la plus grande partie de la couche optique et tout le segment
postérieur
de la capsule interne. Dans le cervelet un anci
e à droite. On voit également une légère dégénérescence des cordons
postérieurs
. Avec Nissl on constate une diminution des cell
ous de la compression et la dégénérescence ascen- dante des cordons
postérieurs
, du faisceau cérébelleux direct et du faisceau de
upérieur des fron- tales ascendantes des deux côtés. Dans la partie
postérieure
du lobule para- central, ayant la structure du
ard aux zonas, etc... Lésion du prolongement central ou radiculaire
postérieur
» (p. 266 et 267). C'est bien là, je pense, ce qu
r une longueur de 24 centimètres ; en dehors par la ligne axillaire
postérieure
, prolongée par le bord interne du bras ; en hau
région mammaire, le creux de l'aisselle jusqu'à la ligne axillaire
postérieure
, et la partie postéro- interne du bras, ainsi q
geant au niveau de la ligne axillaire antérieure, envoie son rameau
postérieur
donner la sensibilité à la partie postéro- inte
2e intercostal, et ici tout recouvert par le naevus ; et son rameau
postérieur
innerve la peau de la partie latérale de l'ais-
ond précisément successivement à la disposition des rameaux cutanés
postérieurs
, latéraux et antérieurs du 8° nerf intercostal,
tercostal, par un trajet légèrement descendant en arrière (branches
postérieures
), très descendant sur la face latérale (rameaux
u au-dessus, sensiblement sur la zone d'efflorescence de la branche
postérieure
du 2e intercostal. 3° Un placard'plus vaste, de
groupe précédent, et un rapport avec les terminaisons des branches
postérieures
des 2", 3e, 4e, 5e, 60 intercostaux. L'interpré
vus se superpose à la distribution des rameaux cutanés des branches
postérieures
du dernier cervical et du premier dorsal, droits
rolongements sensitifs ectodermiques issus du ganglion de sa racine
postérieure
; 2° le îzffitiîts-7jyélite, à distribution segme
permettant de l'attribuer avec certitude à une lésion de la racine
postérieure
entre son ganglion et son entrée-dans la moelle
(ou de son prolongement encéphalique), futurs ganglions des racines
postérieures
, les cellules ganglionnaires envoient d'une part
part leurs pro- longements cylindraxiles allant former les cordons
postérieurs
et en partie les racines postérieures delà moel
iles allant former les cordons postérieurs et en partie les racines
postérieures
delà moelle (Brissaud) (2) ; et d'autre part qu'e
énie des naevi. Il suffit de rappeler que le' ganglion de la racine
postérieure
et le gan- glion sympathique d'un métamère ont
stème du grand sympathique lui-même le ganglion nerveux des racines
postérieures
. Quoi qu'il en soit de la formation initiale, c
ires centripètes (Langley, Roux) ; et avec le ganglion de la racine
postérieure
par des filets centrifuges et centripètes, sans
es petits ganglions sym- pathiques accolés au ganglion de la racine
postérieure
(Marinesco). Donc contact permanent entre l'inf
08, n° 5, mai. 2) SimoN et Hoche, Les ganglions nerveux des racines
postérieures
appartiennent- ils au système du grand sympathi
répercussion se produira sur les cellules du ganglion de la racine
postérieure
du même métamère, dont l'équilibre trophique ro
a de même si la lésion initiale porte sur le ganglion de la raci ne
postérieure
, ou sur un groupe de ses cellules ; celles-ci, lé
. La percussion du thorax indique une submatité à la base du thorax
postérieur
droit ; à l'auscultation sur cette région, on per
nt dues à une compression ou à un tiraillement des racines spinales
postérieures
correspondant aux vertèbres malades ? Car si, d
rsent à un centimètre environ de chaque côté de la suture la partie
postérieure
des pariétaux. La face est plus développée du c
physe odontoïde (sauf à gauche), des masses latérales, de la partie
postérieure
de l'arc et des apophyses épineuses. L'atlas
. Le thorax est déformé par la courbure rachidienne. L'angle costal
postérieur
est ici très fermé, là très ouvert, suivant la
la masse spongieuse molle décrite plus haut. En arrière des cordons
postérieurs
, immédiatement au-dessous de l'arachnoïde, on voi
des cornes antérieures et des cordons antéro-latéraux. Les cordons
postérieurs
se présentent sous forme d'une masse grise, mol
voit seulement la fente syringomyélique dans la région de la corne
postérieure
gauche. Il n'y a plus de masse brunâtre. La mêm
u il peu la corne antérieure gauche et les droites : .antérieure et
postérieure
(elle affecte la forme de II). La coupe microsc
es, une anesthésie dans certaines zones cor- respondant'aux racines
postérieures
comprimées. Dans quelques cas pour- tant ce sym
il faut prendre eu considération également l'irritation des racines
postérieures
. Il nous semble probable qu'à côté de cette excit
z court 472 FLATAU couchée sur le ventre (pour l'examen du côté
postérieur
) après quoi l'aggravation s'est produite et la
région sacrée, dans l'os du sacrum, dans le périnée et dans la face
postérieure
des membres inférieurs. Il est exceptionnel que
gion de la moelle bien voisine de la mé- ninge molle où des racines
postérieures
peuvent naître de très fortes douleurs qui alor
és (excepté les cas où la tumeur siège dans le voisinage des cornes
postérieures
), assez souvent bilatéraux dès le début et les
bles les plaques très petites siègent dans le voisinage des racines
postérieures
. J'ai eu l'occa- sion d'observer quelquefois de
l'absence de symptômes radiculaires, surtout de la part des racines
postérieures
, l'absence de douleurs pénibles (excepté les ca
foyer alvéolaire dans le cordon latéral gauche et dans les cordons
postérieurs
non loin de la commissure ; en plus un foyer en
iasztla anterior et de l'insula posterior. De même, dans la portion
postérieure
de la capsule externe, un certain nombre de fibre
cette altération est beaucoup plus étendue. Dans la circonvolution
postérieure
de l'insula, les fibres de l'axe médullaire et
celles de la base sont presque totalement disparues. Dans le tiers
postérieur
de la capsule externe, presque toutes les fibres
isphère, la capsule interne apparaît, détruite dans toute sa moitié
postérieure
. Détruits aussi la capsule externe, le fasciculus
ior), le centre oval placé sous l'o- perculum rolandicill/i,le bord
postérieur
de la F3, l'operculum rolandicum, exception fai
rébral droit, une destruction presque complète de la circonvolution
postérieure
de l'insula, et, en partie, des circonvolutions
ntérieur du Ti ; la destruction des 2/3 dorsaux des circonvolutions
postérieures
de l'insula ; la destruction du segment dorsal
bliés jusqu'alors, m'a conduit (1) à cette conclusion que la moitié
postérieure
de l'insula gauche appartient à la zone acousti
a relevé avant tout que, chez les gauchers égale- ment, la « moitié
postérieure
du gyrus temporalis supremus est la partie dont
eubner (2) : à la coupe du cerveau, on trouva un foyer de la partie
postérieure
de Ti, du sulcus temporalis sU]J1'ernus,et du g
fait intacte, du moins relativement bonne, non seulement la portion
postérieure
de Ti, mais aussi le gyrus temporales transvers
ndantes de l'hémisphère gauche. En somme, chez les gauchers, l'aire
postérieure
de la F3 et l'in- sula intériew' pour le langag
. ascendens. - La capsule interne est détruite dans toute sa moitié
postérieure
. Sont aussi détruits les deux tiers postérieurs d
ans toute sa moitié postérieure. Sont aussi détruits les deux tiers
postérieurs
de la capsule externe du fasciculus arcualus, d
terior), le centre ovale placé sous l'operculum rolandicum, le bord
postérieur
de la F3, et l'operculum rolandicum, à l'except
nt détruits, la partie insulaire du fasciculus arcualus, la portion
postérieure
de la capsule externe, le segment rétro-lenticu
u corps calleux peut être partielle ou complète. Parfois le segment
postérieur
ou occipital seul fait défaut. La commissure an
eure du corps calleux avait été complètement sectionnée ; la moitié
postérieure
du tronc ainsi que le splénium étaient indemnes
se dirige d'abord en arrière, puis remonte en dedans de l'extrémité
postérieure
de la corne occipitale pour se recourber ensuit
cloison transparente détruite. La commissure molle et la commissure
postérieure
sont intègres. Le corps du trigone fait totalemen
e le trigone est parfaitement sain. Ce dernier est adhérent au bord
postérieur
du rudiment calleux en avant et à la subs- tanc
fais- ceau dérivé du genou du corps calleux et destiné aux régions
postérieures
, s'engage profondément entre la première circon
ince couche de radia- tions calleuses qui n'est que la continuation
postérieure
intra-llémisphé- rique du genou du corps calleu
udiment calleux, affectent un trajet sagittal vers les régions plus
postérieures
et vont s'étaler au-dessus de la voûte et le lo
apsule externe. Au sur et à mesure que l'on aborde les niveaux plus
postérieurs
, ces fascicules s'infléchissent légèrement en d
faisceau peuvent être suivies et en dedans et en dehors de la corne
postérieure
, où elles occupent, au-dessous de l'épendyme ve
nsparente font également défaut, mais les commissures antérieure et
postérieure
sont normalement dévelop- pées. De chaque côté,
AGÉNÉSIE DU CORPS CALLEUX 515 pour former la fimbria ou le pilier
postérieur
du trigone, alors que le contingent plus volumi
notre premier sujet, très saillant en arrière et donne à la partie
postérieure
du crâne un aspect carré. , Les soudures crânie
l'ex- trémité antérieure de l'aqueduc de Sylvius ou de l'extrémité
postérieure
du IIIe ventricule, il existe des centres qui f
he qu'à droite. Crises laryngées, paralysie des crico-aryténoïdiens
postérieurs
. Paralysie des masticateurs. Dès l'atâe de 30 ans
de la poitrine. A l'autopsie il existait une sclérose des cordons
postérieurs
extrême- ment prononcée ; l'examen de la moelle
irmé le diagnostic de tabes : les lésions sont limitées aux cordons
postérieurs
, et sur presque toute la hauteur elles ne débor
trième orteil est plus petit que les autres et implanté sur un plan
postérieur
et supérieur. Ce fait n'existe pas aux mains. M
de la main celle qui consiste en ce que l'annulaire occupe un plan
postérieur
à celui des autres doigts, fait qui a été vérif
ndrath ont enlevé un sarcome intramédullaire situé dans les cordons
postérieurs
. Ils ont fait une incision longitudinale dans l
incision longitudinale dans la région de la cloison longitudi- nale
postérieure
(mort 5 jours après par suite de septicémie). Dan
us forme d'une traînée assez épaisse qui se dirige vers l'extrémité
postérieure
du lobe occipital. En avant la sclérose périveu
veutriculaire s'étend jusqu'à un plan qui passerait par l'extrémité
postérieure
des noyaux gris. En bas la sclérose se continue
n sacrée, elles sont moins étendues et occupent surtout les cordons
postérieurs
. Sur toutes les coupes le canal épendymaire s'e
plus ordinairement à l'origine de l'aorte ascendante, sur sa paroi
postérieure
. On voit à cet endroit des sortes de plaques à
meaux. La commissure antérieure, la commissure molle, la commissure
postérieure
el la glande pinéale sont toutes normalement co
eur, la circonvolution pariétale ascen- dante. Le rameau horizontal
postérieur
de cette même scissure manque complètement. Le
els. Legyrus supramarginalis n'entoure pas complètement l'extrémité
postérieure
de la scissure de Syl- vius. Comme dans l'hémis
itaire. Nous en reprendrons l'étude à ce niveau. , Dans la partie
postérieure
du lobe frontal (PI.LXXIfI-r1) et sur les coupes
tance blanche profonde des circonvolutions frontales. Sur les plans
postérieurs
, la feule ventriculaire s'élargit peu à peu, ma
nnante voisine, au sur et à mesure que l'on aborde les niveaux plus
postérieurs
, un nombre toujours croissant de fibres de proj
finis quoique moins développés qu'à l'état normal. Dans la partie
postérieure
du lobe pariéto-temporal (PI. LXXIV-E) et corres-
che optique. Ses rapports avec le segment dorsal de la com- missure
postérieure
, avec le faisceau rétro-réflexe de Meynert et ave
ont des plus faciles à constater. Le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
peut être suivi sans interruption jusque dans l
nt de la capsule in- terne ou s'y rendent,en traversant l'extrémité
postérieure
du noyau lenticulaire. Elle transmet toujours i
circonvolution temporale. Dans la région comprise entre l'extrémité
postérieure
de la couche optique (pl. LXXIV-Fj et le plein
riétal. Lobe occipital. Dans la partie moyenne de ce lobe, la corne
postérieure
644 ARCHAMBAULT présente à peu près les dimen
zone nettement verdâtre qui semble bien représenter le prolongement
postérieur
du cingulum pariétal. A ce propos, nous rappell
aisceaux propres au lobe occipital, n'étaient que les prolongements
postérieurs
des segments supérieur (ou pariétal) et inférieur
re étant peu profonde ne déprime guère la paroi interne de la corne
postérieure
et il en résulte que l'ergot de Morand est à pe
est particulièrement facile à suivre. Alors que les fibres du bras
postérieur
des tubercules quadrijumeauxse rendent directemen
surtout de la première circonvolution temporale et traversent l'angle
postérieur
du noyau lenticulaire et la partie correspondan
et s'épuisent dans la partie antérieure du corps de Luys. La moitié
postérieure
de la capsule externe est presque totalement dégé
te par la pie-mère, est formée à ce niveau de deux feuillets ; l'un
postérieur
qui adhère fortement au trigone dont il reçoit
face médiane du lobe frontal. La commissure molle et la commissure
postérieure
sont bien développées et parfaitement saines.
an, jusque dans la zone sous-corticale de la circonvolution la plus
postérieure
(circonvolution limbique) de la face médiane. La
s le cerveau normal) s'étend en arrière bien au delà de l'extrémité
postérieure
de la couche optique, mais toujours en côtoyant
corne temporale. En dedans de cette toile, les piliers antérieur et
postérieur
du trigone s'unissent pour former le corps de c
agittales profondes et qui, s'étendant en dehors, détruit le lobule
postérieur
du gyrus suprarnarginalis et la partie attenant
nton lui-môme les coupes sériées d'un cas de néoplasme de la partie
postérieure
du tronc du corps calleux ; le segment correspo
Sachs manque là où le cingulum occupe la paroi médiane de la corne
postérieure
, et revient dans son domaine classique lorsque le
n reproduit. Une grande partie de la crête illaque, l'épine iliaque
postérieure
et supérieure, l'échancrure qui la suit et l'ép
térieure et supérieure, l'échancrure qui la suit et l'épine iliaque
postérieure
et inférieure, sont nettement visibles. La gran
ïdes conformément à la disposition naturelle ; de ce fait leur face
postérieure
regarde en avant. On y reconnaît la ligne âpre,
perdu leur tonicité, ce qui contraste avec le spasme des muscles
postérieurs
de la cuisse. - Malgré l'abaissement de la crêt
iveau beaucoup plus élevé que les dernières émergences des branches
postérieures
de ce nerf. Le point iliaque supérieur répond
de décompression. - A 3 h. 5, l'animal commence à traîner sa patte
postérieure
gauche. A 3 h. 20, la paralysie de lamotilité d
ts de la région 54 CLINIQUE NERVEUSE. dégénérée, dans les cordons
postérieurs
et dans les parties posté- rieures, il y a une
ent des foyers de dégénérescence décolorés, tantôt dans les cordons
postérieurs
seulement et tantôt aussi, dans l'un ou l'autre
bien que la plus grande partie des cordons latéraux, et les cordons
postérieurs
portent des fibres nerveuses qui ne présentent ri
en limité se trouve dégénéré. Aux limites des cornes antérieures et
postérieures
, au niveau de la commissure blanche parait un f
fond gris foncé. Ces points jaunes se trouvent surtout aux cordons
postérieurs
et à la partie postérieure des cordons latéraux
s jaunes se trouvent surtout aux cordons postérieurs et à la partie
postérieure
des cordons latéraux, de sorte que la coupe tra
les, étaient pour ainsi dire enfoncés dans la substance des cordons
postérieurs
et avaient séparé le tissu nerveux; ils étaient
vale. Le tissu çircpnvQisin des cordons 60 - ' CLINIQUE NERVEUSE.
postérieurs
offrait plus ou moins les signes de la myélite pa
loin dans la substance blanche, de façon à altérer tous les cordons
postérieurs
. Les parties postérieures des cordons latéraux
anche, de façon à altérer tous les cordons postérieurs. Les parties
postérieures
des cordons latéraux participent aussi de cette
e. La substance grise avec ses cellules, les racines antérieures et
postérieures
et les méninges ne se montrent nulle part sensi
ration se trouve au milieu du domaine de la lésion. Ici les cordons
postérieurs
sont en quelque sorte dilacérés et si fragiles qu
e à la première circonvolution temporo-sphénoïdale dans la partie
postérieure
de laquelle siège le centre de l'au- dition men
le spinale latérale; quand c'est au centre, aux cordons latéraux et
postérieurs
que les lésions se localisent, naît la forme ce
lésées de la moelle. Le siège des lésions au centre et aux cordons
postérieurs
, donne naissance à la forme centrale spinale po
ux cordons postérieurs, donne naissance à la forme centrale spinale
postérieure
. La localisation exclusive des lésions aux cord
nale postérieure. La localisation exclusive des lésions aux cordons
postérieurs
, produit la forme spinale postérieure. Enfin, s
usive des lésions aux cordons postérieurs, produit la forme spinale
postérieure
. Enfin, si les lésions siègent à la moitié de l
spinale et une amélioration très grande des symptômes des cordons
postérieurs
. C'est surtout au traitement par l'air com- pri
e complètement dégénérés; des cordons de Goll et d'autres cordons
postérieurs
, quelques faisceaux seulement l'étaient chez le
langue, du voile du palais, des mâchoires, des membres antérieur et
postérieur
. C'est toujours la théorie de l'engrenage. « Et
- mission de ce centre nerveux sont, suivant Lussana, les cordons
postérieurs
de la moelle épinière. Ces con- ducteurs ne con
tefois, la contracture du train antérieur et l'im- potence du train
postérieur
de l'animal ne semblent pas résulter directemen
sse gauche onze ans aupa- ravant, une atrophie ascendante du cordon
postérieur
, de la corne pos- térieure, de la corne antérie
n- sibilité. C'est ainsi que la destruction du centre d'un membre
postérieur
est suivie, nous l'avons vu, de pa- résie ou de
par A. TAKACS. [Neurol. Centralbl., 1887.) Les fibres radiculaires
postérieures
à peine entrées dans la moelle se diviseraient
ux portions : l'une qui pénètre directement dans la substance grise
postérieure
, l'autre qui gagne auparavant, en dedans et en
dedans et en dehors, la substance blanche, autour des cornes grises
postérieures
. Celles qui pénètrent d'emblée dans les cornes
postérieures. Celles qui pénètrent d'emblée dans les cornes grises
postérieures
, tra- versent la substance gélatineuse et peuve
r. Celles qui longent la substance blanche autour des cornes grises
postérieures
(faisceau cunéi- forme de Burdach et segment po
es grises postérieures (faisceau cunéi- forme de Burdach et segment
postérieur
du rejeton des cordons latéraux), remontent imm
laissant la substance grise en dehors, s'enfoncent dans le segment
postérieur
du rejeton des cordons latéraux, s'infléchissen
omposés de fibres équivalentes qui émanent des fibresradicu- laires
postérieures
après leur passage par les cornes grises postérie
adicu- laires postérieures après leur passage par les cornes grises
postérieures
. Les cordons de Burdach et le segment postérieu
es cornes grises postérieures. Les cordons de Burdach et le segment
postérieur
du rejeton du cordon 110 REVUE D'ANATOMIE ET DE
GIQUE. latéral sont la continuation directe des fibres radiculaires
postérieures
, mais ces fibres, au-dessus de leur entrée dans
distantes de cette entrée, pénètrent, la substance grise des cornes
postérieures
. - De là les propositions de physiologie que voic
et latéro-cérébelleux étant la prolongation des fibres radiculaires
postérieures
qui ont préalablement passé par les cellules gris
ures qui ont préalablement passé par les cellules grises des cornes
postérieures
, ce sont eux qui forment le trajet le plus direct
sensibilité, tandis que les faisceaux de Burdach avec les segments
postérieurs
du rejeton de cordon latéral, constituent des voi
du tabes, de concert avec celles des racines etdes colonnes grises
postérieures
. D'où également, à une phase plus avancée de la
mée par l'oculo-mo- teur commun, ou, plus exactement, par la partie
postérieure
du noyau de celui-ci. P. KERAVAL. VIII LYMPHA
ine; cette dégénérescence vas- culaire occupait surtout les cordons
postérieurs
; la substance blanche et grise ne présentait pa
e; elle s'étend dans le sens transversal et elle occupe la partie
postérieure
de la commissure grise, allant d'une des cornes
nches inégales : la branche verticale des- cend au milieu du cordon
postérieur
du côté gauche. La moitié droite de la branche
orte dans la région de la commissure grise, au-devant des cordons
postérieurs
. Elle déplace l'extrémité anté- rieure des cord
s ou moins la forme d'un T; il. est situé à l'extrémité du cordon
postérieur
du côté gauche, se trouvant séparé de toutes pa
mité interne de la branche horizontale du T, le sillon longitudinal
postérieur
et Fit. 20. 164 CLINIQUE NERVEUSE. l'extrém
stitue un espace arrondi, occupant l'extrémité antérieure du cordon
postérieur
gauche. Sur des coupes soumises au procédé de
n inférieure (V. Aq. 21). Ils occupent presque toujours les cordons
postérieurs
et spéciale- ment la partie antérieure de ces c
rrière et finit par se trouver à l'extrémité antérieure des cordons
postérieurs
, n'ayant plus aucun rapport avec le canal centr
ant plus aucun rapport avec le canal central, ni avec la commissure
postérieure
. (.1 suivre.) 'Archiv fil)- Psychiatrie, t. V
sortent de cellules qui ont plutôt l'aspect des cellules des cornes
postérieures
et de la substance de Rolulldo. De là deux type
e référant aux différences de structure des cornes antérieures et
postérieures
de la moelle épinière, à-t-elle quelque apparen
s de la moelle épinière, que les cellules des cornes antérieures et
postérieures
, sont rigoureusement distinctes anatomiquemeut,
rs, que « des fibres motrices de la vessie passent dans les cordons
postérieurs
ou dans l'extrême partie postérieure des cordon
essie passent dans les cordons postérieurs ou dans l'extrême partie
postérieure
des cordons latéraux'. » Il est inutile d'insis
r directement des cellules des cornes antérieures; ceux des racines
postérieures
seraient formés de la réunion de fibrilles nerv
sont abolis, et où la lésion intéresse le plus souvent les cordons
postérieurs
de la moelle épinière, ainsi que les racines po
es cordons postérieurs de la moelle épinière, ainsi que les racines
postérieures
des nerfs spinaux, les organes musculo-tendineu
ltats des expériences instituées sur des chiens, dont les racines
postérieures
lombaires avaient été coupées chez les uns, les
corce cérébrale se montre donc chez l'homme au sommet et à la paroi
postérieure
de la FA. Les recher- ches de Conti sur la régi
, en un cas, constaté que, de concert avec l'altération des racines
postérieures
une série des fibres qui entrent dans le gangli
ien plus de l'altération des nerfs sensitissquede celle des cordons
postérieurs
; les troubles laryngés se rattachent à des lési
daux tout le long des cordons latéraux, de presque tous les cordons
postérieurs
(les zones les plus anté- rieures sont seules é
stance grise (zone latérale intermédiaire aux cordons antérieurs et
postérieurs
). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 247 L'intégri
rité de la sensibilité tactile et douloureuse alors que les cordons
postérieurs
sont presque complètement détruits mérite d'êtr
ges et d'autres mammifères, au niveau du sommet du bord auriculaire
postérieur
. L'évolution ultérieure peut se traduire par le
résulte de ce que l'enroulement s'est effectué au niveau du bord
postérieur
des plis libres plus tôt qu'au niveau de leur bor
à marche ascendante; lésion semblable des racines antérieures et
postérieures
. Dégénérescence des cordons postérieurs dans la
des racines antérieures et postérieures. Dégénérescence des cordons
postérieurs
dans la moelle lombaire qui n'atteint en montan
nnes de Clarke participent, ainsi que la substance grise des cornes
postérieures
, à l'altération. Quant aux lésions musculaires,
téro-postéi-ietires du centre ovale. Dilatation extrême de la corne
postérieure
du ventricule la- téral. Intégrité du coin, des
bras du tubercule quadrijumeau antérieur et surtout des segments
postérieurs
de la bandelette optique gauche. Egalité de volum
un encéphale qui montre un foyer exclusivement limité à la partie
postérieure
de la couche optique. - Il est certain que la cap
tein, et deux cas de Nivière) et l'absence de lésions des cordons
postérieurs
. Mais qu'est-ce alors ? Doit-on faire inter- ve
ar on peut supposer : 1° un tabes, vrai avec sclérose des cordons
postérieurs
, développé pendant le cours du diabète, et 2° u
s, les analogies avec le tabes, l'ataxie par sclérose des cordons
postérieurs
, semblent perdre de leur impor- tance. Elles s'
t, ceux dans lesquels un véri- table tabes par lésion des faisceaux
postérieurs
peut s'associer à la glycosurie. Je pense qu'il
substance blanche de la moelle est d'abord divisée par les racines
postérieures
, en cor- dons antéro-latéraux et cordons postér
r les racines postérieures, en cor- dons antéro-latéraux et cordons
postérieurs
. Les cordons autéro-iatéraux comprennent : le f
cendante. Le faisceau pyramidal croisé (F P, 4) situé à la partie
postérieure
, résultant de la décussation des pyramides et s
u cérébelleux direct ou de Flechsig (F G, 5) qui occupe la partie
postérieure
et externe entre le faisceau pyra- midal croisé
ssauer (Z L e, 8) qui forme un revête- ment triangulaire à la corne
postérieure
. Le faisceau de Gotvers (F G, 3), zone latérale
ar la partie restante du faisceau antéro-la.téra 1. Les cor- dons
postérieurs
sont ainsi constitués; le cordon de Goll (F G,
ont ainsi constitués; le cordon de Goll (F G, 11) situé à la partie
postérieure
et interne; à sa partie médiane, Flechsig a dif
du précédent. DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 339 La zone marginale
postérieure
de Westphall (Z, W, 7) immédiatement appliquée
f n° 3, Reichert), on constate une sclérose régu- lière des cordons
postérieurs
qui laisse cependant presque in- tacte la zone
soit plus accentuée dans le cordon de Goll. Les fibres des racines
postérieures
, au niveau du point où elles pénètrent dans les
able du nombre des grosses fibres transversales de ces mêmes cornes
postérieures
, tandis que les grosses fibres ascendantes sont
nfin la disparition presque complète des fibres radiées des cordons
postérieurs
. Les racines postérieures extra-médullaires pré
complète des fibres radiées des cordons postérieurs. Les racines
postérieures
extra-médullaires présentent une sclérose assez
égion sacrée, là même où n'existent pas encore de lésions du cordon
postérieur
: elle est beaucoup plus prononcée dans la régi
schéma de Flechsig. Le faisceau de Turck est intact. Entre la corne
postérieure
et le cordon latéral, il existe une bande mince
On les voit aussi au niveau d'émergence des racines antérieures et
postérieures
, surtout sur ces dernières. 11 résulte de cette
us altérés dans leur partie moyenne et bien conservés dans le tiers
postérieur
. Les racines postérieures sont moins altérées q
e moyenne et bien conservés dans le tiers postérieur. Les racines
postérieures
sont moins altérées qu'à la partie inférieure de
eure. -Beaucoup de fibres transversales qui pénètrent dans la corne
postérieure
ont disparu. La zone qui limite de chaque côté
a zone qui limite de chaque côté le point d'émergence des racines
postérieures
contient un plus grand nombre de fibres nerveuses
ses dans les parties du cordon de Bur- dach qui côtoient les cornes
postérieures
. (Zone de Westphal.) Les fibres fines de la sub
Région dorsale moyenne. - La sclérose porte ici sur les cor- dons
postérieurs
, le faisceau pyramidal et le faisceau de Flechs
ombaire. La partie des cordons de Burdach qui avoisine les cornes
postérieures
(zone antéro-externe de Westphall) est moins at
téro-externe de Westphall) est moins atteinte. De plus, les racines
postérieures
sont mieux conser- vées. La bande saine qui e
sont mieux conser- vées. La bande saine qui existe entre la corne
postérieure
et le cordon latéral est plus mince que dans la
met s'avance vers la région intermédiaire des cornes antérieures et
postérieures
(zone limitante). - La DE LA MALADIE DE FRIEDRE
ont surtout altérés dans leur partie moyenne. On voit à leur partie
postérieure
quelques grosses fibres disséminées. Les racine
partie postérieure quelques grosses fibres disséminées. Les racines
postérieures
et les cornes postérieures sont très peu scléro
grosses fibres disséminées. Les racines postérieures et les cornes
postérieures
sont très peu sclérosées. La lésion du cordon d
les mêmes caractères dans les cordons de Goll. Même dans son tiers
postérieur
, le nombre des fibres nerveuses n'est pas accru
cordon de Burdach. on peut constater que toute la région des cornes
postérieures
est limitée par une bande de tissu très peu alt
celle du tiers antérieur. Région cervicale inférieure. Les racines
postérieures
sont intactes. La zone qui les limite de chaque
. La zone qui les limite de chaque côté est normale. Dans la région
postérieure
du cordon de Burdach on trouve une grande abond
offre seulement une raréfaction des fibres nerveuses dans son tiers
postérieur
. La sclérose occupe plus régulièrement l'étendu
rve une diminution peu marquée des fibres nerveuses des pyramides
postérieures
et une altération moins prononcée encore des co
VTOl'Sl8 II. (Friedreich.) La pic-rnèrè est épaissie, les cor- dons
postérieurs
de la moelle sont atteints d'une dégénérescence
icroscopique a démontré l'atrophie des fibres nerveuses des cordons
postérieurs
à la place desquels on trouve du tissu fibrilla
lésion de la substance grise de la moelle. - Atro- phie des racines
postérieures
. 346 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Dans les sciatiqu
puscules amylacés. Autopsie III. (Friedreich). Sclérose des cordons
postérieurs
dans leur'totalité plus accentuée an niveau de
région lombaire. Cordons latéraux altérés en grande partie. Racines
postérieures
atrophiées. La dégénérescence se propage un peu
moelle allongée. Autopsie IV. (Friedreich.) Sclérose des cordons
postérieurs
et des cordons latéraux. Atrophie des racines p
s cordons postérieurs et des cordons latéraux. Atrophie des racines
postérieures
. Dans la moitié inférieure de la région cervica
de la substance grise au point de réunion des cornes antérieures et
postérieures
qui contiennent une petite quantité de sérum. A
chronique. Du côté de la moelle : dégénérescence grise des cordons
postérieurs
et de la partie pos- térieure des cordons latér
plus mince ; la diminution de volume existe surtout dans la région
postérieure
et porte spécialement sur les cordons postérieu
ut dans la région postérieure et porte spécialement sur les cordons
postérieurs
. Néanmoins, la région antérieure et la substanc
rose porte sur les cordons de Goll, le cordon cunéiforme, la partie
postérieure
des cordons latéraux elles cordons antérieurs d
des fibres nerveuses est considérablement réduit dans les cordons
postérieurs
de la moelle dorsale et lombaire. Entre les foy
JOJ1S latéraux et les DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 341, Î cordons
postérieur
? , il existe encore une substance presque nor-
ne peut croire que le processus morbide se soit propagé des régions
postérieures
vers les cordons latéraux ; d'ailleurs, on trou
ur hauteur une diminution des cellules ganglionnaires. Les cornes
postérieures
contiennent beaucoup de corps amy- lacés. Les r
postérieures contiennent beaucoup de corps amy- lacés. Les racines
postérieures
intra-méduttaires sont plus grêler qu'à l'état
du calamus scriplorius, on observe la dégénérescence des cordons
postérieurs
. Les cellules ganglionnaires de ces derniers semb
ès l'auteur semblent avoir consisté dans une sclérose des cordons
postérieurs
et des faisceaux pyramidaux avec destruction des
sceaux pyramidaux avec destruction des fibres nerveuses des cordons
postérieurs
s'étendant un peu aussi aux cordons antérieurs,
de ces cordons; elle n'était en aucune façon confinée aux colonnes
postérieures
pomme dans l'ataxie locomotrice classique. - La
où elle se termine. - Il existe une sclérose prononcée de la partie
postérieure
des colonnes de Burdach dans lesquelles cependa
Dans les cordons de* Burdach, une étroite bande limitant la corne
postérieure
et les racines a échappé à la dégénérescence; c
. Sclérose diffuse (et beaucoup plus étendue que dans les cordons
postérieurs
) des cordons pyramidaux croisés ne variant pas be
e Clarke. Dégénérescence de quel- ques fibres des racines nerveuses
postérieures
et dans d'autres coupes des cornes postérieures
s racines nerveuses postérieures et dans d'autres coupes des cornes
postérieures
. Friabilité et rétrécissement des régions affec
ions symétriques bien marquées de sclérose affec- tant les colonnes
postérieures
et les parties postérieures des colonnes latéra
es de sclérose affec- tant les colonnes postérieures et les parties
postérieures
des colonnes latérales. En somme, la moelle est
épinière est mince, surtout à cause de l'aplatissement des cordons
postérieurs
. Ce qui frappe surtout, c'est la dégénérescence
e dans les cordons de Goll. La substance grise est intacte. Racines
postérieures
atteintes, mais la sclérose y est peu intense.
mais la sclérose y est peu intense. Les parties limitant la corne
postérieure
et le reste des cordons latéraux sont intacts.
ans la moelle cervicale antérieure, la dégénérescence des cor- dons
postérieurs
est surtout augmentée dans les cordons de Goll.
eurs est surtout augmentée dans les cordons de Goll. Dans son tiers
postérieur
, et moyen on trouve seulement çà et là quelques
la lésion, qui s'étend jusque dans l'angle formé par la commissure
postérieure
et les cornes postérieures. Dans les cordons pr
sque dans l'angle formé par la commissure postérieure et les cornes
postérieures
. Dans les cordons prismatiques il y a, à part l
à part la substance blanche en forme de bandelette bordant la corne
postérieure
, encore une partie intacte qui correspond au nu
st plus avancée que dans la région supérieure. Atrophie des racines
postérieures
. Les co- lonnes de Clarke dans la région dorsal
miques de Clarke atteint son maximum. La dégénérescence des cordons
postérieurs
diminue un peu. Les racines postérieures sont t
dégénérescence des cordons postérieurs diminue un peu. Les racines
postérieures
sont tout à fait atrophiées. La région lombaire
ntes : la subs- tance grise et surtout la zone marginale des cornes
postérieures
paraît normale. La dégénérescence des cordons p
s cornes postérieures paraît normale. La dégénérescence des cordons
postérieurs
di- minue surtout dans les parties latérales du
surtout dans les parties latérales du tiers antérieur. Les racines
postérieures
sont tout à fait dégénérées. Région sacrée. Aux
érieures sont tout à fait dégénérées. Région sacrée. Aux deux tiers
postérieurs
des cordons posté- 350 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. '
de 14 millimètres de diamètre transversal, 8 de diamètre antéro-
postérieur
. - Il Autopsie X (Rutimeyer). L'autopsie a donn
urdach. Bord mince de substance blanche conservé le long des cornes
postérieures
. La dégénérescence des cordons latéraux est plu
s latéraux est plus prononcée dans la région cervicale. Les racines
postérieures
sont atrophiées et dans les colonnes de Clarke,
ceaux pyramidaux, cérébelleux directs, et la totalité des faisceaux
postérieurs
, sauf une bande relative- ment saine, très étro
antéro-externe, n'est pas tout à fait intacte, tandis que la partie
postérieure
est moins altérée que dans la région lombaire.
méningitique d'une altération primitivement localisée aux faisceaux
postérieurs
. Si l'on considère d'abord qu'il s'agit d'une m
bution de celle-ci. A cet égard, on peut considérer que les cordons
postérieurs
et les faisceaux pyrami- daux se développent da
ulaires; a', lacune dans la racine postérieme sclérosée ; A, racine
postérieure
sclérosée ; c, cornes antérieures saines ; d, r
ofesseur à l'Université du Liège. II. SCLÉROSE combinée des coudons
postérieurs
et DES cordons latéraux. On a reconnu dans ces
n de la moelle à l'état frais permet de reconnaître que les cordons
postérieurs
sont atteints de dégénérescence grise, dans leu
entent une sclérose bien nette. Cependant, derrière la com- missure
postérieure
, il existe une zone peu étendue où les fibres n
bande étroite, intacte (V. fit. 39 a) partant du sillon collatéral
postérieur
et se dirigeant oblique- ment en dedans, pour a
dirigeant oblique- ment en dedans, pour atteindre le sillon médian
postérieur
, à l'union de son tiers antérieur et de ses deu
nue un peu moins étendue. A la région dorsale supérieure, la partie
postérieure
des cordons médians postérieurs ne présente qu'
égion dorsale supérieure, la partie postérieure des cordons médians
postérieurs
ne présente qu'une légère déco- loration'. Des
u'à la périphérie. Dans les cordons latéraux, on observe à lapartie
postérieure
, une région légèrement décolorée en forme de co
près en face du point d'union de la corne antérieure et de la corne
postérieure
. Ces mêmes caractères se retrouvent dans toute
nt vers la périphérie et s'arrêtent à une certaine distance du bord
postérieur
de la moelle. Dans les cordons latéraux, on obs
eur de la moelle. Dans les cordons latéraux, on observe à la partie
postérieure
, la zone déjà signalée dans la région dorsale.
s'est accomplie sous la forme de l'ataxie héréditaire, les cordons
postérieurs
étaient sclérosés dans toute leur étendue; cepe
ire, il existait une zone intacte, située au voisi- nage des cornes
postérieures
. La dégénérescence était la moins prononcée dan
. Dans l'observation de Babesiu2, on constatait que les faisceaux
postérieurs
, surtout près de la surface, étaient d'un gris-
moelle, une bande transpa- rente, gris-brunàtre, occupait la moitié
postérieure
des faisceaux latéraux et formait sur les coupe
u, la lésion allait de chaque côté, eu arrière, jusqu'aux racines
postérieures
. Au-dessus et au-dessous de cette région, il re
-dessus et au-dessous de cette région, il restait, entre les cornes
postérieures
et la lésion atrophique, une bande mince de tis
eaux pyra- midaux : une zone de tissu sain la séparait des cornes
postérieures
, une autre de la périphérie : cette dégé- néres
ent sur toute la longueur de la moelle une dégéuération des cordons
postérieurs
, plus marquée dans les cordons de Goll que dans
périphérie et laissant intacte une petite zone contiguë aux cornes
postérieures
. On retrouvera ces caractères notamment dans le
érine comme inadmissible. 1 Du rôle joué par la méningite spinale
postérieure
des tabétigues dans la pathogénie des scléroses
satzc des Ilerrn Déjerine : « Du rôle joué pur lu méningite spinale
postérieure
des tabétiques dans la pathogénie des tcleroses
e superfï- cielle des cordons de Burdach et la partie tout à fait
postérieure
des cordons latéraux, aient échappé à l'inflamm
ère de voir a été émise par Frie- dl'eich 1 la sclérose des cordons
postérieurs
constitue- rait la lésion primitive et serait d
imitive et serait de même nature que l'ataxieordinaire; des cordons
postérieurs
, le processus sclérosique se propagerait aux co
inad- missible, attendu qu'entre les parties malades des cordons
postérieurs
et celles des cordons latéraux, il se trouve un
cervicale à la région dorsale; à la région lombaire, les cordons
postérieurs
étaient sains. Au contraire, la lésion des cord
chez le foetus de huit mois, on constate que les fibres des cordons
postérieurs
sont enveloppées de myéline. Traitées suivant
dé de Weigert, ces coupes montrent une coloration noire des cordons
postérieurs
; mais, déjà à l'oeil nu, on voit que cette col
ant et elle vient s'arrêter à la partie antérieure du sillon médian
postérieur
. Cette zone relativement inco- lore ne se renco
les données embryogéniques pour expliquer l'intégrité de la partie
postérieure
de ces cordons. En effet, Bechterew2 a distin
nts dans les cordons de Burdach : une zone antérieure et une zone
postérieure
ou périphérique. Dans le tabes dorsal, chacune
tre- prendre isolément. ' Recherches sur la structure des cordons
postérieurs
de la moelle épi- nière de l'homme. Archives de
vons trouvée intacte dans notre cas, correspond peut-être à la zone
postérieure
de Bechterew. Mais, la dégénération n'atteint p
trouve en présence d'une zone en forme de coin, occupant la partie
postérieure
des cordons latéraux. Cette zone répond à peu p
la portion dégénérée n'arrive nulle part en contact avec les cornes
postérieures
, tandis que le faisceau cérébelleux et le faisc
pariétale ascendante au-dessous de l'opercule, de la circonvolution
postérieure
de.l'insula. Le noyau gauche de l'hypo- glosse
re droit ; par exclusion, ou arrive il incriminer la circonvolution
postérieure
de l'insula'ou le lobule pariétal inférieur et
l, Snell, Binswanger, 406. Moelle (trajet des fibres radiculaires
postérieures
dans la), par Takacs, 110; (anatomie pathologiq
e Clarke dégénérées ; g, bande de tissu sain qui contourne la corne
postérieure
; h, canal épendymaire; ? ', i, zone externe de Li
tissu sclérosé : a, lacunes vasculaires ; a', lacune dans la racine
postérieure
sclérosée ; b, racine postérieure sclérosée ; c
aires ; a', lacune dans la racine postérieure sclérosée ; b, racine
postérieure
sclérosée ; c, cornes antérieures saines ; d, r
otrice. — Insuf-fisance des procédés employés. — Sclérose des cordons
postérieurs
; sa signification. — Examen à l'œil nu; notions q
l nu; notions qu'il fournit. — Premiers faits de sclérose des cordons
postérieurs
. Examen macroscopique. — Induration grise , ses
ons spinales. — Gordon de Goll. — Bandelettes externes des fais-ceaux
postérieurs
; leur altération paraît constante dans l'ataxie
ns certains points bien déterminés du système nerveux — les faisceaux
postérieurs
de la moelle épinière — des lésions facilement sa
comotrice progressive se rattache, ainsi qu'on l'a dit, à la sclérose
postérieure
comme «l'ombre se rattache au corps, » il ne faud
faudrait pas croire, toutefois, qu'en appelant sclé-rose des cordons
postérieurs
l'ataxie locomotrice, vous vous trouviez en posse
e je me borne pour le moment à énoncer sommairement: 1° Les cordons
postérieurs
sont quelquefois atteints de sclé-rose dans une g
lésions de la moelle, primitivement développées en dehors des cordons
postérieurs
, peuvent, à un moment, les envahir dans une haute
on à laquelle sont liés les symptômes occupe, en réalité, les cordons
postérieurs
, mais elle occupe systématiquement, dans ces cor-
ode d'examen que nous devons la découverte de la sclérose des cordons
postérieurs
. Et si je relève ce fait, en pas-sant, c'est parc
anatomique un spécimen de la dégéné-ration gélaliniforme des cordons
postérieurs
. Puis, vinrent Monod et Ollivier (d'Angers) ; mai
(de Boulogne), on parvint à rattacher l'induration grise des cordons
postérieurs
et montrer que la maladie, considérée d'abord com
e, est, en réalité, très commune. Outre les altérations des cordons
postérieurs
, l'anatomie macroscopique a décelé : 1° celle des
postérieurs, l'anatomie macroscopique a décelé : 1° celle des racines
postérieures
(atrophie) ; 2° celle des méninges (méningite spi
cessus morbide. C'est ainsi qu'on a reconnu que la lésion des cordons
postérieurs
, dans l'ataxie locomotrice progressive, est une d
spinale, qui coexiste si fréquemment avec la sclérose des fais-ceaux
postérieurs
, dans l'ataxie, et qui se montre toujours, en par
onfinée, en quelque sorte systématiquement, dans l'aire des faisceaux
postérieurs
, dont elle ne franchit les limites que dans les c
x latéraux sont tout à fait distincts physiologiquement des faisceaux
postérieurs
. Dans la substance grise elle-même, il y a lieu,v
emps, remarqué que la sclérose fascicidée et ascendante des faisceaux
postérieurs
, telle qu'elle s'observe, par exemple, au renflem
nt de la région dor- 1 Pierret. — Notes sur la sclérose des cordons
postérieurs
dans l'ataxie loco-motrice progressive. {Archives
Notes sur un cas de sclérose primitive du faisceau médian des cordons
postérieurs
. {Ibid., 1873, p. 74.) acquis, bien qu'imparfai
é éluci-dés. Je vous ai laissé pressentir que la lésion des cordons
postérieurs
de la moelle, à laquelle se rattachent les symp-
s à la surface de la moelle, semblent occuper les sillons collatéraux
postérieurs
, et les racines sensi-tives les plus internes par
tus sont séparés des cordons de Goll, en dedans, et des cornes grises
postérieures
, en dehors, par des bandes minces, où la substanc
a moelle et à cela se bornait, dans ce cas, la sclérose des faisceaux
postérieurs
. Vous voyez, Messieurs, qu'en somme, la lésion
avez compris, d'après tout ce qui précède, d'établir dans la sclérose
postérieure
deux for-mes bien distinctes, lesquelles peuvent
ls symp-tômes particuliers se rattachent à cette forme de la sclérose
postérieure
. L'autre forme, la sclérose fasciculée latérale d
stérieure. L'autre forme, la sclérose fasciculée latérale des cordons
postérieurs
, ou sclérose des bandelettes externes tient sous
La vérité est que la sclérose des bandelettes latérales des faisceaux
postérieurs
est la seule lésion constante dans l'ataxie locom
nos observations, à cette époque de la maladie, les racines spi-nales
postérieures
ne présentaient encore, en général, aucune altéra
lé-reuses, chez les ataxiques, dans une région déterminée des cordons
postérieurs
, qu'on pourrait appeler région des ban- celle-c
an- celle-ci. S'il a existé une anesthésie très accusée, les cornes
postérieures
de la substance grise sont à leur tour envahies p
adjoindre à l'incoordination, répondre à l'envahissement de la partie
postérieure
des cor-dons latéraux. Pour ce qui est de l'exten
ans le sens transversal, elle se fait, soit en dehors vers les cornes
postérieures
de la substance grise et les fais-ceaux latéraux,
ke, Kôlliker, de ceux des filets ner-eux émanant des racines spinales
postérieures
, qu'on dési-gne communément sous le nom de faisce
t sous le nom de faisceaux radiculaires inter- Fig. 5. — A, Racines
postérieures
. — B. Filets radiculaires internes et sclérose li
prononcée dans l'espace qui sépare les points d'insertion des racines
postérieures
qu'au niveau même de ces points. 11 est rendu par
aisceaux radiculaires internes, il existe en cette région des cordons
postérieurs
, des faisceaux de fibres, éta-blissant sans doute
vait, dans ce cas, de l'extension de la lésion sclé-reuse des cordons
postérieurs
à la corne antérieure grise du côté droit (Fig. 5
que le processus irritàtif, primitivement développé dans les cordons
postérieurs
, se sera propagé jusqu'aux extrémités de la subst
symptômes récurrents ou rétrogrades. — Sclérose des faisceaux médians
postérieurs
; propagation de la sclérose aux bandelettes laté
rs ; propagation de la sclérose aux bandelettes latérales des cordons
postérieurs
. Type classique de l'ataxie locomotrice progres
s et les tubes nerveux, tant des racines antérieures que des ra-cines
postérieures
. Voici, d'ailleurs, en quelques mots, ce qu'ens
éseau, et non pas d'une façon directe, que les faisceaux radiculaires
postérieurs
entreraient en connexion avec les cellules nerveu
lles, soit avec les filets nerveux des ra-cines, tant antérieures que
postérieures
. Mais il importe de ne jamais confondre l'anatomi
les de la moelle dor-sale reste strictement limitée, dans les cordons
postérieurs
, aux faisceaux médians ; telle est du moins la rè
envahisse dans cer-tains cas, les bandelettes latérales des faisceaux
postérieurs
, dont la lésion, vous le savez, produit l'incoord
à leur sujet. En outre de la sclérose fasciculée des cordons médians
postérieurs
, il existe presque toujours, dans les cas de lési
rvical par exemple, une sclérose plus ou moins prononcée de la région
postérieure
des cordons latéraux. Cette sclérose latérale asc
eure, comme c'est la règle, limitée aux faisceaux médians des cordons
postérieurs
, on n'observe dans les membres su-périeurs ni par
dirai pas de l'ataxie loco-motrice, mais bien de la sclérose rubanée
postérieure
, en tant, du moins, que la lésion a envahi le tra
s faisceaux radiculaires internes (bandelettes externes des faisceaux
postérieurs
). Cette réserve était nécessaire. Vous n'avez pas
diverses maladies, autres que l'ataxie, dans lesquelles les faisceaux
postérieurs
peuvent être envahis, d'une façon pour ainsi dire
circonstance, que les pla-ques scléreuses avaient envahi les cordons
postérieurs
qu'el-les occupaient dans une grande étendue en h
Je ne doute pas que, chez eux, les bandelettes externes des faisceaux
postérieurs
fussent déjà atteintes à l'époque où les douleurs
devant être rattachée tou-jours,, cependant, aune lésion des cordons
postérieurs
, lésion que l'anatomie pathologique fera sans dou
'ai reconnu à l'au-topsie une lésion fasciculée extensive des cordons
postérieurs
, pouvant rendre compte de la présence des douleur
rapportées, presque à coup sûr, à la forme parti-culière de sclérose
postérieure
qui conduit à l'ataxie locomo-trice progressive.
1868. attention, dans les maladies spinales autres que la sclérose
postérieure
, par exemple dans la paralysie générale spinale.
ls permettraient de diagnostiquer l'ataxie ou la sclérose des cordons
postérieurs
, si déjà elle existe, ou d'en prévoir la venue pl
au poignet qu'on l'observe. Mais, vous savez que la sclérose spinale
postérieure
peut être tout à fait récente, dans 1 La questi
e pouvait être rattachée à la lé-lésion commune et banale des cordons
postérieurs
. Il fallait chercher ailleurs. Par analogie ave
ns fais-ceaux de la moelle : au-dessus, elles intéressent les cordons
postérieurs
et au-dessous les cordons latéraux. Enfin, la lés
araît jusqu'à un cer-tain degré douée de sensibilité dans les cordons
postérieurs
, si l'on en juge tout au moins par les conditions
, laquelle occupe, dans le premier cas, la partie médiane des cordons
postérieurs
et, dans le second cas, la partie la plus postéri
ane des cordons postérieurs et, dans le second cas, la partie la plus
postérieure
des cordons latéraux. Depuis quelques semaines,
oit avoir, par conséquent, interrompu le cours des fibres des cordons
postérieurs
et antéro-latéraux d'un côté et simultanément aus
atale à un instant donné, soit aux faisceaux blancs, soit aux régions
postérieures
de la substance grise, l'aspect des symptômes se
re le petit doigt. La dure-mère et le ligament qui recouvre la partie
postérieure
du corps de l'axis, étaient très épaissis. L'atla
ornes de substance grise. La première aurait seule (avec les cornes
postérieures
, du moins pour une part), un rôle sérieux dans la
re complète-ment, les scléroses systématiquement limitées aux cordons
postérieurs
doivent être rattachées à une irritation occupant
e heure après, elle se plaignait de douleurs dans la région cervicale
postérieure
, de fourmillements et d'irradia-tions douloureuse
e, il existe une atrophie assez prononcée des épaules et de la partie
postérieure
du bras ; au contraire, les muscles de l'avant-br
abolie. Par contre, en raison dé la prédominance d'action des muscles
postérieurs
de la cuisse et 1 Je tiens de mon collègue, M.
lle ne s'y limite point, et elle attaque aussi bien les cornes grises
postérieures
et les commissures. Enfin, elle se répand tou-jou
e : pachyméningite spinale hypertrophi-que ; — sclérose des faisceaux
postérieurs
; myélite centrale chronique ; hydromyélie ; tume
es, — et de ceux qui caractérisent la sclérose des zones radiculaires
postérieures
— douleurs ful-gurantes spéciales, incoordination
. Dans lapins grande partie de son trajet, il occupait la corne grise
postérieure
du còlè gauche où, pour mieux dire, il s'était su
olumineux, siégeaient, l'un immédiatement en arrière de la commissure
postérieure
, sur la ligne médiane, de manière à intéresser à
médiane, de manière à intéresser à la fois les deux faisceaux blancs
postérieurs
, l'autre en partie dans la corne postérieure droi
es deux faisceaux blancs postérieurs, l'autre en partie dans la corne
postérieure
droite, en partie dans le faisceau postérieur du
n partie dans la corne postérieure droite, en partie dans le faisceau
postérieur
du côté droit. Ces derniers canaux se trouvaient
ua-blement modifiée. tiennent aux formes deutéropathiques (sclérose
postérieure
, sclérose symétrique latérale, pachyméningite).
la moelle, en outre des cornes antérieu-res, soit la substance grise
postérieure
, soit divers faisceaux blancs. Nous sommes conv
érieures. — c, canal central. — r/, racines antérieures. — e, racines
postérieures
. — a', zone radiculuire anté-rieure. — h', zone r
térieures. — a', zone radiculuire anté-rieure. — h', zone radiculaire
postérieure
. par suite de l'apparition d'un sillon latéral,
rition d'un sillon latéral, en deux parties, Tune antérieure, l'autre
postérieure
, pour chaque moitié laté-rale de la moelle. Ainsi
ieu, les rudiments des cornes antérieures [Fig. 12, a), et des cornes
postérieures
(Fig. 12, b) de substance grise. A chacune de ces
faisceaux anléro-latéraux ; les autres s'appellent zones radiculaires
postérieures
(Fig. 12, tt). Avec l'adjonction des faisceaux de
t ultérieurement ce qu'on dési-gne d'ordinaire sous le nom de cordons
postérieurs
. Les faisceaux latéraux n'existent pas encore ;
n) se développent, dans le sillon qui sépare les zones radiculaires
postérieures
, deux pe-tites éminences symétriques qui tendent
ieures, en arrière avec l'extrémité antérieure des zones radiculaires
postérieures
, de manière à ne plus se distinguer bientôt ni de
ain âgé de 12 à 15 semaines. — Môme signification des lettres. plus
postérieure
du faisceau anléro-laléral. Dans cet espace, la s
ne anté-rieure. En arrière, elle confine presque à la substance grise
postérieure
. En dehors, toutefois, elle est séparée constam-m
la lésion est moins étendue encore. Elle n'occupe guère que le quart
postérieur
des cordons latéraux. Il est à remarquer que, en
ecte, en général, aussi bien les ra-cines antérieures que les racines
postérieures
, circonstances dont il y aura lieu de tenir compt
ur l'interprétation des symptômes '. 1 La participation des racines
postérieures
paraît être une condition néces-Ciiarcot. Œuvres
en premier lieu, de douleurs extrêmement vives qui occupent la partie
postérieure
du cou, s'étendent jusque sur le sommet de la têt
exemple de pachyméningite hyper-trophique dorso-lombaire, les racines
postérieures
, en raison de la limitation des lésions méningées
généralisée, n'est pas un accompagnement rare de la myélite scléreuse
postérieure
. Pour s'en convaincre, il suffirait de se reporte
très particulier. Il faut ajouter que les symptômes de la sclé-rose
postérieure
tels que : douleurs fulgurantes, troubles ocu-lai
ompliquée d'atrophie muscidaire. — A, sclérose de la zone radiculaire
postérieure
. — C, corne antérieure gauche saine. — D, corne a
, t. Il, p. 16. qui se fait dans le trajet intra-spinal des racines
postérieures
. Il en résulte une inflammation qui se propage le
ns tous les cas connus, les symptômes qui se rattachent à la sclérose
postérieure
précèdent le développement de l'a-myotrophie. Je
f; partout, nous avons,trouvé les faisceaux blancs antéro-latéraux et
postérieurs
dans un état d'intégrité par-faite ; la substance
ysiologique. Rappelons que les racines spinales, tant antérieures que
postérieures
, ont paru également parfaitement saines. Après
rdons latéraux; — A', faisceaux de liirck. — B, B, zones radiculaires
postérieures
. — G, C, cornes postérieures. — D, D, cornes anté
ux de liirck. — B, B, zones radiculaires postérieures. — G, C, cornes
postérieures
. — D, D, cornes antérieures. — F, zone radiculair
n Strabon ou d'un Pom-ponius Mêla. Vous voyez les anciens faisceaux
postérieurs
décomposés en deux régions bien distinctes: 1° le
t à prendre rang dans la clinique usuelle ; 2° les zones radiculaires
postérieures
Je place sous vos yeux une sorle de plan lopogr
'une lésion isolée des commissures, et en ce qui con-cerne les cornes
postérieures
(Fig. 29, C), on sait seulement que, lorsqu'elles
occupant, dans la moelle épinière, sur certains points, les faisceaux
postérieurs
(région cervicale), sur d'autres les faisceaux la
nération grise. Celle-ci occupe, en pareil cas, les faisceaux spinaux
postérieurs
. Le fait a été mis en évidence par une observatio
— Siège des lésions auxquelles se rattachent ces symptômes: extrémité
postérieure
de la couche optique; — partie postérieure du noy
t ces symptômes: extrémité postérieure de la couche optique; — partie
postérieure
du noyau caudé ; — partie postérieure de la couro
de la couche optique; — partie postérieure du noyau caudé ; — partie
postérieure
de la couronne rayon-nante . Hémichorée prse-hé
s étaient restés parfaitement indemnes; — 3° Enfin, la partie la plus
postérieure
du pied de la couronne rayonnante. Dans deux de
de le montrer ailleurs, relève de l'altération des faisceaux les plus
postérieurs
du pied de la couronne rayon-nante. L'altération
ieurs du pied de la couronne rayon-nante. L'altération de l'extrémité
postérieur
de la couche op-tique, celle de la queue du corps
i disten- Gharcot. Œuvres complètes, ?.?. 24 dait, dans sa moitié
postérieure
, la couche optique. La malade avait succombé troi
de l'aorte. — La moelle épinière présentait une sclérose des cordons
postérieurs
, caracté-ristique de l'ataxie locomotrice progres
ont raccourcies parce que le fragment inférieur a remonté sur la face
postérieure
du fragment supérieur. — Elles nous montrent un c
quart supérieur avec les trois quarts inférieurs. Du bord externe et
postérieur
de ce cal part une jetée osseuse qui se dirige ob
qui se dirige obliquement en bas, en décrivant une courbe a concavité
postérieure
, et va s'unir au radius un peu au-dessous du tier
transversales, disséminées en divers points des cor-dons latéraux et
postérieurs
, des espè-ces d'ilôts arrondis ou ovalaires clans
ur, à l'exception d'une partie très peu étendue des colonnes blanches
postérieures
, est ramollie, transformée en une véritable bouil
ires; ces foyers siègent surtout dans les cordons blancs lalé-raux ou
postérieurs
; mais on les rencontre aussi, en certain Fig.
. nombre, dans la substance grise et en particulier dans les cornes
postérieures
. Dans le voisinage de ces foyers, comme au pourto
jusqu'au niveau de la septième. Ce foyer occupe la moitié interne et
postérieure
de la corne antérieure gauche de la sub-stance gr
che très éloignés des parois du foyer sanguin, dans la partie la plus
postérieure
des cordons postérieurs par exemple, on trouve de
rois du foyer sanguin, dans la partie la plus postérieure des cordons
postérieurs
par exemple, on trouve des espaces à contours irr
lindres d'axe se tuméfier, çà et là, soit sur le trajet des faisceaux
postérieurs
, soit sur celui des faisceaux latéraux. Tout port
eur couleur tranche sur la coloration franchement blanche des racines
postérieures
qui pa-raissent saines. Cet état des racines anté
maire et le rond pronateu;"' sont un peu moins atrophiés. A la région
postérieure
, tous les muscles sont profondément atteints, à l
art sont atrophiés et décolorés. — Le grand dorsal et toute la partie
postérieure
du trapèze ont subi une atrophie extrême. Le fais
cervicale. Cet état des vaisseaux se retrouve de l'étendue des cornes
postérieures
qui sont plus vascularisées que d'habi-tude. Da
ons latéraux propre-ment dits, les faisceaux de Tiirck, les faisceaux
postérieurs
sont intacts. Seuls les grands tractus vasculaire
ombaire, on rencontre à peine quelques tubes atrophiés. — Les racines
postérieures
sont normales ainsi que celles du nerf hy-pogloss
ence du muscle, est parfois volumineuse. — Le trapèze dans sa portion
postérieure
, le grand droit de l'abdomen sont presque aussi p
vement de supination par suite duquel la main se renverse sur sa face
postérieure
. L'excitation électrique détermine ces mêmes cont
frappantes qu'il ne s'est rien produit de semblable dans les racines
postérieures
, lesquel-les ont conservé leur volume normal et l
issement portait principalement sur la moitié gauche et sur la partie
postérieure
de la moelle. Il est possible que, malgré tout le
baire, elles faisaient complètement défaut. b) Les racines spinales
postérieures
ont été examinées compara-tivement aux antérieure
amètre normal. Mais, sur un point qui cor-respond à la partie la plus
postérieure
de ces derniers faisceaux et dans toute l'étendue
dans toute l'étendue d'une région qui, en dedans, confine aux cornes
postérieures
tandis qu'en dehors, elle s'étend presque jus-qu'
égulièrement arrondies, placées symétriquement vers la partie la plus
postérieure
de ces cordons, immédiatement en dehors des corne
postérieure de ces cordons, immédiatement en dehors des cornes grises
postérieures
. Les faisceaux blancs postérieurs ne présentaient
tement en dehors des cornes grises postérieures. Les faisceaux blancs
postérieurs
ne présentaient aucune altération. Dans l'exame
tat normal ; il n'en était pas de même aux commissures antérieures et
postérieures
: là, les noyaux nous ont paru nom-breux, surtout
ement épaissies, couvertes parfois de nombreux noyaux. — Les cornes
postérieures
de la substance grise nous ont paru offrir toutes
ransversale, on voit la sclérose s'avancer en figurant un coin à base
postérieure
dans la région de l'entre-croisement, et aller
la corne pos-térieure et forme une sorte d'îlot situé dans la partie
postérieure
du cordon, et entouré de toutes parts par le tiss
e un prolongement vers la périphérie et le point d'entrée des racines
postérieures
. Tout le reste de la sub-stance blanche, et en pa
Tout le reste de la sub-stance blanche, et en particulier des cordons
postérieurs
, est exempt d'altérations. Il en est de même pour
a dégénération a respecté, au contraire, tous les éléments des cornes
postérieures
. La névroglie n'a pas, ici plus que dans le bul
issent sains à l'exception des aryténoïdiens, des crico-aryténoïdiens
postérieurs
et des crico-thyroïdiens, qui sont évidemment atr
emarque à la partie antérieure du del-toïde du côté gauche. La partie
postérieure
du même muscle est relativement peu altérée. Le d
, offraient une teinte jaune très manifeste, les erico-aryté-noïdiens
postérieurs
, par exemple, présentaient l'altération gra-nulo-
cornes antérieures, cellules dites motrices ; les cellules des cornes
postérieures
ne paraissent pas être affectées. On la rencont
f: partout, nous avons trouvé les faisceaux blancs antéro-latéraux et
postérieurs
clans un état d'intégrité parfaite ; la substance
gique. Ajoutons enfin que les racines spinales, tant anté-rieures que
postérieures
, ont également paru parfaitement saines. Je ne
LANCHES EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE I SCLÉROSE DES CORDONS
POSTÉRIEURS
Pig. 1 (à gauche). — Coupe transversale de la m
Petits noyaux de sclérose situés dans les rubans externes des cordons
postérieurs
. b, Sclérose du cordon intermédiaire. Fig. 1
ransversale de la région cervicale. «, a, Rubans externes des cordons
postérieurs
ne présentant aucune trace de sclérose. Fig. 2
cervicale. Les rubans externes, a, a, le cordon médian, b, les cornes
postérieures
, y compris le point d'émergence des racines posté
, les cornes postérieures, y compris le point d'émergence des racines
postérieures
, c, sont envahis totale-ment parla sclérose. Fi
a, a, Ilots de sclérose, situés dans les rubans externes des cordons
postérieurs
et rejoignant le point d'émergence des racines po
petit îlot scléreux situé immédiatement en arrière de la com-missure
postérieure
. Fig. 3 (à droite). — Coupe transversale de la
nté, grossi, sur la fig. 2. — c, Région dorsale. Sclérose latérale et
postérieure
. — h, Région cervicale inférieure. Sclérose limit
de Pott dorsal. Sclérose annulaire, marquée surtout vers les racines
postérieures
. L narco l, îóü i. nei v.j L. li . ueiivres com
de substance grise. e, Entre-croisement des pyramides. p, p, Cornes
postérieures
. Fig. 2.— Coupe transversale de la moelle épini
b, b, Cordons antérieurs. c, c, Cornes antérieures, p, p, Cornes
postérieures
. Fig. 3. — Coupe transversale de la moelle épin
rsale, a, a, Cordons latéraux, c, c, Cornes antérieures. p, p, Cornes
postérieures
. Fig. 2.-— Coupe transversale de la moelle épin
mbaire, a, «, Cordons latéraux, c, c, Cornes antérieures. p,p, Cornes
postérieures
. Charcot, Syst .nerv., t. II Oeuvres computes.
erveuses y ont complètement disparu. — L, Cordon latéral. — P, Cordon
postérieur
. — T, Faisceau de Tiirck. — Ces trois faisceaux s
motrice. — Insuffisance des procédés employés. — Sclérose des cordons
postérieurs
, sa signification. — Examen à l'œil nu; notions q
l nu; notions qu'il fournit. — Premiers faits de sclérose des cordons
postérieurs
. Examen macroscopique. — Induration grise ; ses
ions spinales. — Cordon de Goll. — Bandelettes externes des faisceaux
postérieurs
; leur altération paraît constante dans l'ataxie
s les maladies spinales,' leurs rapports avec la sclérose des cordons
postérieurs
.— des douleurs fulgurantes et des crises gastriqu
symptômes récurrents ou rétrogrades. — Sclérose des faisceaux médians
postérieurs
: propagation de la sclérose aux bandelettes laté
s : propagation de la sclérose aux bandelettes latérales des cor-dons
postérieurs
. Type classique de l'ataxie locomotrice progres
e : pachyméningite spinale hypertrophi-que ; — sclérose des faisceaux
postérieurs
; myélite centrale chronique ; hydromyélie ; tume
Siège des lésions auxquelles se rattachent ces symptômes: extrémité
postérieure
de la couche optique; —partie posté-rieure du noy
de la couche optique; —partie posté-rieure du noyau caudé : — partie
postérieure
de la couronne rayonnante. Hémichorée prse-hémipl
ice, 374 : — laryn-gée, 412. B Bandelettes externes des faisceaux
postérieurs
de la moelle, 14, 24. Bromure de potassium, 315
o-pathique, 226. (V. Arthropathies, Ataxie, Atrophie musculaire.) —
Postérieures
(Lésions des), 16. Crises gastriques, 35 et suiv.
urs des — , 89. (V. Dure-mère.) Méningite de la base, 52. — Spinale
postérieure
, 5. Moelle épinière (Développement embryonnaire
, 157. (V. Arthrite.) Racines antérieures des nerfs, 428, 433,449. —
Postérieures
5, 117, 107. Ramollissement du cerveau, 237.
, 258, 362. — Dia-gnostic avec letabès spasmodique. 320. —Des cordons
postérieurs
, 3, 4. — Par extension de la sclérose la-térale,
Par extension de la sclérose la-térale, 3i. — Des zones radiculaires
postérieures
215., Secoussesfibrillaires, 221. (V.Amyo-troph
Z Zona, 109, 112, 118, 197. Zones radiculaires antérieures,236. —
postérieures
, 236. FIN DE LA TABLE ANALYTIQUE. CHATEAU ROU
phère droit un ramollissement dans le domaine de l'artère cérébrale
postérieure
, qui avait détruit la région de la scis- sure c
ne petite partie qui se trouve sous la paroi inférieure de la corne
postérieure
. La lèvre supérieure de la scissure calcarine e
substance blanche, qui se trouve près du bord supérieur de la corue
postérieure
Les fibres strati calcarini, qui réunissent la lè
lissement. La lésion s'étend jusqu'à la paroi interne de la corne
postérieure
. Les fibres de la couche sagittale, qui entoure
e la couche sagittale, qui entourent la paroi externe de la corne
postérieure
, sont sclérosées dans leur partie supérieure et
ns la par- tie qui se trouve sous la paroi inférieure de la corne
postérieure
près de la lésion. Dans la partie intermédiaire
SKY couche de la substance nerveuse de la paroi interne de la corne
postérieure
. Une partie de la couche sagittale et des fibre
près de la lésion immédiatement sous la paroi inférieure de la corne
postérieure
, sont sclérosés. Dans l'autre partie de la couc
es radiations de Gratiolet,qui entoure la paroi externe de la corne
postérieure
, on voit sous le microscope une petite lésion,
tal et à 8 centimètres du pôle frontal- et qui traversent la partie
postérieure
du noyau lenticulaire : La corne d'Ammon est
épare que par une mince couche de la substance nerveuse de la corne
postérieure
. L'écorce de la partie intéro-supérieure de ce
lanche, qui se trouve plus haut que la paroi supérieure de la corne
postérieure
, des lacunes, autour desquelles on remarque la
reux corps granuleux. Les vaisseaux (branches de l'artère cérébrale
postérieure
) sont athéromateux. 3° Sur les coupes, qui trav
leux, qui se trouve près de la paroi intéro- supérieure de la corne
postérieure
, est aussi détruite par le ramollissement. 4° S
toute la partie qui se trouve sous la paroi inférieure de la corne
postérieure
, la circonvolution de l'hippocampe, le lobe lingu
are que par une mince couche de la substance nerveuse de la corne
postérieure
. Une partie de l'écorce du lobe fusiforme est c
couche sagittale, qui passe près de la paroi externe de la corne
postérieure
. La partie de la couche sagittale, qui se tro
che sagittale, qui se trouve dans la paroi inférieure de la corne
postérieure
est détruite. 5° Sur les coupes situées plus en
énètre dans la profondeur et atteint la paroi ex- terne de la corne
postérieure
, en détruisant les fibres des radiations de Grati
qui se trouve immédiatement sous la pa- roi inférieure de la corne
postérieure
est sclérosée. Une partie du faisceau longi- tu
er de ramollissement pénètre jusqu'à la paroi externe de la corne
postérieure
, en détruisant le faisceau de Gratiolet et lefa
ulvinar des couches optiques. En outre, on remarque que la partie
postérieure
de la capsule in- terne est plus blanche que se
t dans la profondeur, arrivant jusqu'à la paroi externe de la corne
postérieure
et déterminait l'interruption de la couche des ra
rose des fibres de la couche sagittale, du pulvinar et de la partie
postérieure
de la,capsule interne. L'hémianopsie double, qu
et de la partie antérieure du voile du palais, tandis que la partie
postérieure
de celui-ci et le pharynx ne sont sensibles qu'
exe du voile du pa- lais, il faut une excitation forte de la partie
postérieure
de la langue pour obte- nir la déglutition. Le
dont le plus volumineux pesait 510 grammes. La partie supérieure et
postérieure
du lobe droit, s'étant rompue avait laissé écha
utions voisines. 6° Visible au fond du sillon parallèle dans le 1/3
postérieur
, et se développant au dépens de Ti dont il inté
mais à la hauteur de la scissure pa- riéto-occipitale, à la partie
postérieure
du pli courbe, kyste gros comme une Fig. 2. - F
de la coupe préfrontale). 8° A l'union du 1/3 antérieur et des 2/3
postérieurs
de Ti, ayant profondé- ment creusé la circonvol
dessous qui répètent ses paroles. Ajoutons que l'intégrité du tiers
postérieur
de la première temporale - où l'on' tend à loca
ntier, y com- pris le pied, se trouve placé sur un plan notablement
postérieur
au plan occupé par le membre inférieur droit.
certain degré de genu varum (PI. 11). , Enfin, en arrière, la face
postérieure
du genou forme une saillie très mar- ! Nouv. Ic
s du membre est excellent ; en particulier les muscles de la partie
postérieure
de la cuisse et de la jambe sont bien développés.
atrophie inégale des muscles de la cuisse, plus marquée sur la face
postérieure
, laissant au contraire une action prépondérante a
enfin il n'existe pas trace d'atrophie musculaire, ni sur le groupe
postérieur
, ni sur le groupe an- térieur ; quant à l'influ
, comme dans le 4" segment dorsal, on voit dans la base de la corne
postérieure
gauche un éclaircissement du réseau fibrillaire e
e maximum des lésions. Dans la substance grise, la base de la corne
postérieure
gauche est altérée et la colonne de Clarke y est
moyenne de la moelle dorsale. On remarque en outre que les racines
postérieures
, pendant leur passage à travers la pie-mère, subi
il est d'ailleurs fa- cile de constater que les lésions des cordons
postérieurs
ne sont pas d'origine radiculaire. 2. Vaissea
vule de Tarin. Cas II. - Sur la photographie n° 3 est donnée la vue
postérieure
du cervelet, de la moelle allongée et de la moe
paississement de la moelle dans la région cervicale, dans sa partie
postérieure
. Pareil épaississement de la moelle, dans ce ca
ents, se produisait aux dépens delà dislocation en bas de la partie
postérieure
de la moelle allon- gée, laquelle pourtant ne s
, mais nous ne trouvons même pas la simple dislocation de la partie
postérieure
de la moelle allongée, comme dans le cas précéden
ongée, mais une dislocation qui ne dépend pas seulement delà partie
postérieure
comme dans les cas précédents. Ce déplacement d
ÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA 1SIFIDA 121 latéral). Les cordons
postérieurs
sont bien développés. La configuration de la co
ore davantage d'avant en arrière et diminuée de volume. Les cordons
postérieurs
diminuent dans la direction d'avant en arrière
direction d'avant en arrière et sont étendus de côté dans la partie
postérieure
; leur subdivision en faisceaux de Goll et de Bur
nière. La moelle épinière s'aplatit d'avant en arrière. Les cordons
postérieurs
dans leur partie dorsale sont mal développés, p
al, grâce à la com- pression de la moelle, se trouve dans la partie
postérieure
de la moelle épinière et entoure les fissures q
lement en ce sens, qu'une partie des fibres myéliniques des cordons
postérieurs
est passée dans la moelle allongée. En conséque
ée est placée à quelque distance de la moelle épinière, les cordons
postérieurs
passant dans la moelle allongée constituent un is
st augmenté. Les fibres verticales sont conservées dans les cordons
postérieurs
, seulement dans la partie anté- rieure, elles s
rennent la direction verticale. Dans la moelle épinière les cordons
postérieurs
ont passé dans l'isthme ; en conséquence la dista
substance gélatineuse de Rolando occupe le bord extrême de la face
postérieure
de la moelle épinière et passe en partie dans l
s large. Déjà dans les coupes précédentes nous avons vu les cordons
postérieurs
déplacés de la commissure antérieure, maintenan
précédente, a passé en partie dans l'isthme, déplaçant les cordons
postérieurs
en dedans. En outre, la substance gélati- neuse
antérieures et latérales sont restées sans changements, les cordons
postérieurs
sont restés en arrière et situés dans la moelle
allongée. Toute la substance entre la partie antérieure des cordons
postérieurs
et entre les faisceaux fondamentaux du cordon ant
et le sommet l'extrémité antérieure de la fissure entre les cordons
postérieurs
. En dedans de la sub- stance gélatineuse de Rol
e XII Phot. 12. La quantité de fibres myéliniques passantdescordous
postérieurs
dans la moelle allongée s'amincit subitement ;
lles semi-lunaires de libres myéliniques, correspondant aux cordons
postérieurs
et prenant la direc- tion verticale. En avant d
rme d'une demi-lune de fibres verticales, con- tinuation de cordons
postérieurs
, en avant la substance gélatineuse de Ro- lando
pinière et se 124 SOLOVTZOFF diriger en arrière jusqu'aux cordons
postérieurs
. Un peu en dedans de la substance gélatineuse d
es fibres myélini- ques qui constituent la continuation des cordons
postérieurs
et le commence- ment du pédoncule cérébelleux i
s fibres du faisceau fondamental du cordon antérieur dans sa partie
postérieure
se sont rapprochées et contiennent entre elles
e la moelle épinière et allongée on trouve de chaque côté la racine
postérieure
. Phot. 15. - Ce qui frappe sur cette coupe, c'e
pendue dans sa région inférieure possède la struc- ture des cordons
postérieurs
de la moelle allongée ; à son bord postérieur se
uc- ture des cordons postérieurs de la moelle allongée ; à son bord
postérieur
se 126 SOLOVTZOFF trouve un sillon, servant d
rès cela se joignent de manière à former l'isthme entre les cordons
postérieurs
de la moelle allongée et ceux de Pépinière. La fu
oi l'isthme d'abord est assez étroit ; là passe seulement la partie
postérieure
des cordons de Goll ; mais après il devient de
ui aussi les cordons de Burdach et la partie antérieure des cordons
postérieurs
de la moelle épinière (Phot. 9, 10). Comme da
Phot. 9, 10). Comme dans la moelle épinière, les fibres des cordons
postérieurs
ont une direction verticale et comme la partie
de la moelle allongée est placée dans ce cas en arrière des cordons
postérieurs
de la moelle épinière, il est logique que les f
rs de la moelle épinière, il est logique que les fibres des cordons
postérieurs
de la moelle épinière, pour passer dans l'allon
upe transversale de la moelle dans l'isthme, les fibres des cordons
postérieurs
sont coupées dans une direc- tion longitudinale
2). Grâce à la dislocation en bas de la moelle allongée les cordons
postérieurs
de la moelle épinière ont dû sortir trop tôt de
la moelle épinière qui se par- tage en deux moitiés, antérieure et
postérieure
, et chacune se développe indé- pendamment de l'
inière reste longtemps sans aucun changement; cependant les cordons
postérieurs
passant par l'isthme dans la moelle allongée re
la moelle épinière avec la moelle allongée. Des noyaux des cordons
postérieurs
doivent partir les fibres sensitives, lesquelles
produit la dislocation de la moelle allongée, surtout de sa partie
postérieure
. Et sur toute la distance de la moelle cervical
iés : de la partie antérieure de la moelle épinière et de la partie
postérieure
de la moelle allongée. LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈ
t passent dans la moelle allongée et comment se forment les cordons
postérieurs
, la sub- stance gélatineuse de Rolando, faiscea
s de la moitié de son éten- due. En effet, tandis que sur leur face
postérieure
les avant-bras mesurent de la pointe du coude à
représente la radiographie du coude, prise lç sujet assis, la face
postérieure
de l'humérus appliquée sur la plaque, l'avant-bra
u pouce) paraissent très peu développés ; les cubitaux antérieur et
postérieur
, semblent faire défaut. De même l'examen des mu
- Coloration bien plus accusée (lie de vin), surtout sur les faces
postérieure
et interne, et uniforme, sauf à la face antérieur
par le malade : 1° A gauche. - Dans une région occupant la partie
postérieure
de la tête et limitée : en haut par une ligne t
arine droite, en avant par la ligne médiane, en arrière par le bord
postérieur
du pavillon de l'oreille. De plus une bande parta
eures de la face antérieure) ; paroi abdominale an- térieure ; face
postérieure
du cou ; pourtour du mamelon : cuir chevelu ; f
'une épaisse couche de fibres myé- liniques qui forment les cordons
postérieurs
. Les cordons antérieurs d'un côté sont pâles à
dilaté et la moelle a déjà une confi- guration normale. Les cordons
postérieurs
sont bien développés et on voit leur subdivisio
uoique sa structure diffère peu des coupes precédentes. Les cordons
postérieurs
ont augmenté encore plus dans la direction tran
n transversale et antéro-postérieure (Phot. 20). En avant du cordon
postérieur
est placée la substance gélatineuse de Rolando et
neuse de Rolando et dans l'es- pace compris entre elle et le cordon
postérieur
passent les cordons postérieurs. Encore plus en
pace compris entre elle et le cordon postérieur passent les cordons
postérieurs
. Encore plus en avant est placé le faisceau pyr
tructure de la moelle reste sans changements. Au devant des cordons
postérieurs
on trouve : la substance gélatineuse de Rolando
la substance gélatineuse de Rolando, entre laquelle et les cordons
postérieurs
passent les racines postérieures. Dans la parti
ando, entre laquelle et les cordons postérieurs passent les racines
postérieures
. Dans la partie antérieure de la moelle épiniere
sseaux. Les changements ultérieurs consistent en ce que les cordons
postérieurs
diminuent peu à peu ; puis à une petite distanc
t où les deux parties s'unissent entre elles. PHOT. 22. Les cordons
postérieurs
sont encore diminués davantage. Des fibres myél
ar- tie antérieure il y en a cependant davantage que dans la partie
postérieure
. Les cordons postérieurs sont diminués surtout
n a cependant davantage que dans la partie postérieure. Les cordons
postérieurs
sont diminués surtout dans la direction d'avant e
n'est pas changée. A la distance d'un 1/2 millimètre de sa surface
postérieure
est placée la partie abaissée de la moelle allo
t et passent en formant un isthme étroit, dans le reste des cordons
postérieurs
de la moelle épinière ; en comparaison avec la
récédente il reste encore moins de libres myélini- ques des cordons
postérieurs
. A part cela la moelle épinière est restée sans
encore augmenté, l'isthme est devenu un peu plus large. Les cordons
postérieurs
de la moelle épinière ont passé dans la moelle
l'allongée, est devenu pâle. Ces fibres myéliniques, dans la partie
postérieure
et près de la périphérie, changent leur direction
e canal central est dilaté dans la di- rection arrière. Les cordons
postérieurs
de la moelle épinière ont complètement disparu.
grandeur. Les fibres myéli- niques horizontales, venant des cordons
postérieurs
de la moelle épinière ont déjà disparu, mais le
résent parfaitement conservées. Elles sont disposées dans la partie
postérieure
de la moelle allongée et à sa périphérie, en form
arant la moelle épinière de l'allongée, se sont placées les racines
postérieures
, avec cela il faut remarquer que les fissures lat
la moelle allongée est restée sans grands changements : les cordons
postérieurs
, la racine spinale du nerf trijumeau, la substanc
r la ligne médiane des fibres du ruban de Reil, partant des cordons
postérieurs
et au devant l'entrecroisement des py- ramides.
nda- mental du cordon antérieur passe dans le faisceau longitudinal
postérieur
. En dehors passent les fibres radiculaires de l
forme de croissant ; ce sont surtout ceux qui ont passé des cordons
postérieurs
. En avant d'eux nous trouvons les pyramides et
on supérieure, mais dans celui-ci comme dans l'autre cas, la partie
postérieure
de la moelle allongée s'est abaissée ; de là pr
pique tellement original, montrant les dif- formités dans la partie
postérieure
de la moelle épinière et de l'allongée, tandis
se produisent à côté d'eux (Phot. 23). Au commencement les cordons
postérieurs
se séparent de la moelle épinière par un petit
par un petit faisceau ; après cela la partie antérieure des cordons
postérieurs
passe dans la partie abaissée de la moelle allong
fibres horizontales. Après cela les fibres horizontales des cordons
postérieurs
commencent à disparaître et à la fin nous avons l
a fin nous avons la moelle épinière complètement privée des cordons
postérieurs
(Phot. 24 et 23) ; les fibres horizontales devi
NA BIFIDA 255 placent dans sa partie médiane. Avant que les cordons
postérieurs
de la moelle épinière ne se terminent dans les
pparaissent les fibres sensitives, alors les parties antérieures et
postérieures
de la moelle commencent se fusionner, et les co
er cas, ainsi que dans le second, outre la dislocation de la partie
postérieure
de la moelle allongée, abaissée sur la moelle épi
ue de l'autre. A la périphérie ils sont cou- verts dans les parties
postérieures
d'un mince faisceau, correspondant au faisceau
pyramides. Au côté opposé les pyramides n'existent pas. Les cordons
postérieurs
sont mal développés, pressés un peu sur uu côté,
ur par- tie dorsale ils sont pâles ; sur le côté opposé les cordons
postérieurs
sont bien développés. En avant des cordons post
les cordons postérieurs sont bien développés. En avant des cordons
postérieurs
se trouve la substance gélati- neuse de Rolando
gélati- neuse de Rolando, entourée postérieurement par les racines
postérieures
. A la distance de 1 millimètre de la moelle épi
ux extrémités de minces fibres myéliniques. Phot. 29. Les cordons
postérieurs
de la moelle épinière d'un côté sonl dans la pa
e précédente. A par ! 25G SOLOVTZOFF cela, en général les cordons
postérieurs
sont diminués dans la direction anté- ro-postér
nués dans la direction anté- ro-postérieure. Du côté où les cordons
postérieurs
sont plus mal développés, 'la substance gélatin
se de Rolando, in- diquée très faiblement. Phot. 30. -Les cordons
postérieurs
sont encore plus diminués dans la di- rection a
la di- rection antéro-postérieure ; celle 'des moitiés des cordons
postérieurs
, qui dans la coupe précédente était bien coloré
mence à pâlir dans la partie à laquelle appartient le sillon médian
postérieur
. Dans la moitié voisine les fibres myéliniques
t à ces fibres myéliniques horizontales correspondant aux cor- dons
postérieurs
, se joint un faisceau myélinique mince coupé dans
lando, sous forme d'un corps allongé touchant d'un côté aux cordons
postérieurs
. En même temps que la diminution des fibres myé
ême temps que la diminution des fibres myéliniques dans les cordons
postérieurs
, il faut encore remarquer dans la moelle épiniè
substance gélatineuse de Rolando, limitée d'un côté par les cordons
postérieurs
et la périphérie par un faisceau étroit netteme
t coloré de fibres myéliniques, les- quelles vont jusqu'aux cordons
postérieurs
. En dedans de ces fibres arciformes dans la par
dons postérieurs. En dedans de ces fibres arciformes dans la partie
postérieure
se trouve la racine spinale du nerf trijumeau. Da
cine spinale du nerf trijumeau. Dans la moelle épinière les cordons
postérieurs
ne sont pas développés à un plus haut degré que
l central quelque peu élargi dans la direction arrière. Les cordons
postérieurs
d'un côté, notamment du côté où se trouvent les
ntoure du côté de la périphérie la moelle allongée ; dans la partie
postérieure
les fibres myéliniques prennent de la direction
es verticales des cordons pos- térieurs finissent, à leur extrémité
postérieure
touche la racine spinale du nerf trijumeau, ent
eux venant de la moelle épinière. Par le sillon médian longitudinal
postérieur
, ayant une position penchée, les cordons pos- t
os- térieurs se séparent de la moitié voisine. En avant des cordons
postérieurs
, dans cette dernière moitié de la moelle épiniè
lle épinière et fusionnée déjà avec elle, était séparée des cordons
postérieurs
du côté voisin par le sillon médian longitudinal
sté- rieur. Cette coupe nous montre, que du côté opposé les cordons
postérieurs
ont considérablement augmenté de volume et cont
té opposé, les fibres myéliniques horizontales, passant des cordons
postérieurs
de la moelle épinière dans l'allongée, ont com-
accumulation de masses grises, correspondant aux noyaux des cordons
postérieurs
. En avant des fibres myéliniques, correspondant
érieurs. En avant des fibres myéliniques, correspondant aux cordons
postérieurs
et à leurs noyaux au bord de la moelle, se trou
allongée de l'épinière. Dans cette fissure sont placées les racines
postérieures
. L'asymétrie énorme qui existait dans les coupe
entral de la moelle épinière est tellement élargi dans la direction
postérieure
. qu'il s'ouvre déjà presque au dehors. La moelle
s grande que la voisine et s'en distingue par sa structure. Au bord
postérieur
du bulbe de la moitié premièrement formée se tr
t formée se trouvent des fibres myéliniques verticales, des cordons
postérieurs
. Dans la périphérie elles sont entourées d'un fai
e l'allongée, une fis- sure assez profonde s'est formée ; la racine
postérieure
y est placée. Dans la partie voisine de la moel
acée. Dans la partie voisine de la moelle allongée, à son extrémité
postérieure
même, sont placées, en forme de demi-cercle, de
fissure, mais elle est plus petite que du côté opposé et la racine
postérieure
y est aussi placée. Au devant du canal central
nissent des fibres myéliniques, commen- çant aux noyaux des cordons
postérieurs
et s'entrecroisant sur la ligne mé- diane. Elle
TÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 2a9 contenant les racines
postérieures
, prouve encore ceci, que les parties anté- rieu
a moelle. Les sillons des deux côtés existent encore et les racines
postérieures
y sont situées. , Phot. 36. Le canal central da
rieures y sont situées. , Phot. 36. Le canal central dans sa partie
postérieure
est élargi et trans- formé en quatrième ventric
s trouvons les fibres myéliniques, appartenant au reste des cordons
postérieurs
; ils n'ont pas la même structure, et d'un côté
et d'un côté il y en a plus que de l'autre. Au devant des cor- dons
postérieurs
on trouve la racine spinale du nerf trijumeau qui
fissure dans les parties latérales a presque dis- paru. Les racines
postérieures
sont presque invisibles. Plus haut, où les oliv
en soit analogue, comme dans les deux cas pré- cédents.Les cordons
postérieurs
de la moelle épinière passent dans la par- tie
suspendue la moelle allongée (Phot. 32). Ensemble avec les cordons
postérieurs
dans la partie abaissée du bulbe rachidien nous
s ; du côté opposé nous rencontrons toutes ces parties (les cordons
postérieurs
, la substance gélatineuse de Rolando, etc.) dans
Ensuite, plus haut et dans la moitié opposée (Phot. 33) les cordons
postérieurs
sont un peu déplacés en arrière et prennent une
onde, située des deux côtés de la moelle et contenant les raci- nes
postérieures
, sépare la partie dorsale du bulbe rachidien de l
couche des fibres sensitives, qui portent des noyaux des cor- dons
postérieurs
et se placent entre les faisceaux fondamentaux du
ux sont bien déve- loppés. Le canal central est élargi. Les cordons
postérieurs
dans leur partie dor- sale sont mal développés,
e contiennent pas de fibres myéliniques. Des deux côtés des cordons
postérieurs
nous trouvons la substance gélatineuse de Rolan
e de Rolando, qui est limitée en arrière par une partie des cordons
postérieurs
et par les racines postérieures. PnoT. 38. -
n arrière par une partie des cordons postérieurs et par les racines
postérieures
. PnoT. 38. - La partie antérieure de la moelle
hangements, seulement le canal central est plus étroit, les cordons
postérieurs
sont déplacés en arrière, et en raison de ce qu
est formé des fis- sures, dans lesquelles nous trouvons les racines
postérieures
; avec les cordons postérieurs est reculée la s
esquelles nous trouvons les racines postérieures ; avec les cordons
postérieurs
est reculée la substance gélatineuse de Rolando.
reculée la substance gélatineuse de Rolando. Les côtés des cordons
postérieurs
forment la lettre S dont le bord antérieur limite
s les cordons antérieurs et latéraux avec les cornes antérieures et
postérieures
, et 2° postérieure, où nous voyons les cordons
eurs et latéraux avec les cornes antérieures et postérieures, et 2°
postérieure
, où nous voyons les cordons postérieurs, limité
ures et postérieures, et 2° postérieure, où nous voyons les cordons
postérieurs
, limités aux côtés par la substance gélatineuse d
ne de l'autre par une fissure latérale, où sont placées les racines
postérieures
. La moitié supérieure de la moelle est augmentée
a coupe précédente. Les fibres myéliniques, appartenant aux cordons
postérieurs
, sont disposées aux deux côtés de la ligne médian
ll et de Burdach, placés en avant d'eux. Des deux côtés des cordons
postérieurs
on aperçoit nettement la substance gélatineuse
est ici reculée en arrière et se trouve seulement dans la formation
postérieure
. Ce ta- bleau rappelle la photographie 26 dans
a moelle et séparant la partie antérieure de la moelle de la partie
postérieure
, ont complètement dis- paru. Dans la partie pos
e la partie postérieure, ont complètement dis- paru. Dans la partie
postérieure
de la moelle nous rencontrons les noyaux de Gol
s cas précédents, et comme là les principaux concernent les cordons
postérieurs
. Au commencement la quantité défibres myéliniques
té défibres myéliniques a dimi- nué (Phot. 37), ensuite les cordons
postérieurs
reculent (Phot. 38) et en- tre la partie antéri
postérieurs reculent (Phot. 38) et en- tre la partie antérieure et
postérieure
se forme un isthme (Phot. 39) ; mais dans ce de
9) ; mais dans ce dernier cas l'isthme est large. Ensuite la partie
postérieure
a augmenté de volume et surpasse la partie anté
ici nous ne trou- vons pas non plus un tel abaissement de la partie
postérieure
de la moelle al- longée, que dans le cas précéd
ment considérable qu'elle entraine avec soi la disparition des arcs
postérieurs
. Comme le spina bifida est accompagné de l'hydrop
en ne périt, et il se produit seulement la dislocation de la partie
postérieure
de la moelle allongée dans la direction vers le
central de la moelle épinière, sont frappés avant tout les cordons
postérieurs
et que le canal central se déplace dans la dire
arquons son élargissement. Par la dislocation mécanique des cordons
postérieurs
de la moelle al- longée à cause de l'hydropisie
partie dorsale est placée derrière la moelle épinière, les cordons
postérieurs
de la moelle épinière ont dû complètement changer
eu d'aller dans la direction verticale jusqu'aux noyaux des cordons
postérieurs
,- ils doivent prendre la direction horizontale ;
a direction horizontale ; nous voyons dans tous les cas les cordons
postérieurs
dans la moelle épi- nière disparaître graduelle
uantité, puis de plus en plus, et ces fibres passent dans la partie
postérieure
de la moelle allongée, pla- cée derrière la moe
isse sur un côté de la moelle épinière, nous voyons que les cordons
postérieurs
d'une moitié seulement de la moelle épinière pa
après cela. et de l'autre moitié de la moelle épinière les cordons
postérieurs
passent dans la moelle allongée. La moitié anté
nsitives aide aucommencement à la fusion des parties antérieures et
postérieures
du bulbe : le canal central de la moelle épiniè
ière et placées dans l'isthme,finissent dans les noyaux des cordons
postérieurs
et disparaissent ; sur le plancher du quatrième
fois par l'hydropisie du 48 ventricule se déplace surtout la partie
postérieure
de la moelle allongée, laquelle est suspendue sur
ue sur la moelle épinière. 4) Grâce à la dislocation de la partie
postérieure
de la moelle allongée, cette dernière se partag
allongée, cette dernière se partage en deux moitiés : antérieure et
postérieure
et chacune de ces moitiés se développe séparéme
e incurvation des tibias dans le sens antéro-postérieur à concavité
postérieure
surtout prononcée au niveau du tibia gauche. La
lisse et aplatie que celle qui forme le fond de la loge ; la partie
postérieure
du lobule paracentral est également comprimée, qu
ésente rien d'anormal, la pie-mère est épaissie surtout sur la face
postérieure
de la moelle. La moelle elle-même a 45 centimèt
ui de Gowers. Région dorsale moyenne. La zone de sclérose du cordon
postérieur
est plus petite, mais la disparition des fibres
cervicales supérieures la zone de sclérose occupe dans les cordons
postérieurs
seulement les 2/3 de la partie postérieure des co
occupe dans les cordons postérieurs seulement les 2/3 de la partie
postérieure
des cordons de Goll, elle est large à la périph
nt lé- sées. Elles ne se détachent presque pas du reste de la corne
postérieure
. Les fibres y ont en grande partie disparu ains
cylindraxe au carmin est parfaite. Plusieurs racines antérieures et
postérieures
ont été examinées sans qu'on ait marqué leur ha
érieures le nombre des fibres fines prédominait. Dans les raci- nes
postérieures
et dans plusieurs nerfs périphériques cette lésio
microscope on constatait une dégénérescence des fibres des cordons
postérieurs
des faisceaux pyramidaux croisés et des faisceaux
ains endroits à des dimensions remarquablement petites. Les cordons
postérieurs
et les cordons antérieurs peuvent être considér
ticulier, voici ce que nous Fig. 4. - Région cervicale. D. Racine
postérieure
. E. Entrecroisement moteur. F. Faisceau de Bu
Racine antérieure. 394 VASCHIDE ET VURPAS observons : Les cordons
postérieurs
ont un volume inégal en raison d'une hé- morrha
ence et la dégénérescence d'un certain nombre de fibres à la partie
postérieure
, sur- tout postéro-interne. Sur une certaine ét
érées et où l'absence de fibres est à peu près totale dans le tiers
postérieur
, le reste semble avoir également disparu. Rien
corne antérieure à l'autre. L'émergence des racines antérieures et
postérieures
est normale. La cinquième coupe intéresse la ré
inquième coupe intéresse la région dorsale. A ce niveau les cordons
postérieurs
semblent normalement développés. On remarque quel
ares fibres non myélinisées répandues çà et là, surtout à la partie
postérieure
et postéro-interne. Les cordons antérieurs sont
isation d'autant moindre qu'on se rap- proche davantage de la corne
postérieure
. Ici encore on voit que non seulement le faisce
ixième coupe porte au niveau de la région lombaire. Ici les cordons
postérieurs
sont de volume égal et normalement développés ; à
aspect est d'autant plus accusé que l'on est plus près de la corne
postérieure
. Comme au niveau de la coupe précédente les fai
borisations médullaires dans les cornes, les racines antérieures et
postérieures
semblent tout à fait normales. IV Dans la d
). Ils forment, de chaque côté, une courbe à conca- vité externe et
postérieure
, qui, rapprochant les genoux, écarte les deux ta-
it très saillant dans le petit bassin, et très rapproché de la face
postérieure
du pubis. Du côté des viscères, les poumons pré
sont hypertro- phiées et saillantes. Des trois bords : 1° le bord
postérieur
, très épais, rend la face postérieure excavée e
. Des trois bords : 1° le bord postérieur, très épais, rend la face
postérieure
excavée et gonflée ; 2° Le bord interne est m
profonde gouttière produite par les extenseurs ; quanta il la face
postérieure
, elle a disparu en partie derrière le péroné, sou
percés, re- présentent les restes de l'espace interosseux. La face
postérieure
mesure 4 cen- timètres à sa partie moyenne, ell
ieure de la mor- taise ainsi constituée est lisse, mais sur la face
postérieure
, il subsiste un sil- lon de séparation des deux
une longue bande interne, pour le ligament interosseux. Sa surface
postérieure
est séparée par une crête rugueuse en deux surf
est séparée par une crête rugueuse en deux surfaces pour le jambier
postérieur
et le fléchisseur des orteils. Le bord in- tern
ées par la sclérose sur le bord du cordon latéral et dans le cordon
postérieur
. A la région lombaire, on retrouve exactement l
es fibres de la zone de Lissauer, entre le bord ex- terne du cordon
postérieur
, la zone spongieuse de la substance gélatineuse
postérieur, la zone spongieuse de la substance gélatineuse la corne
postérieure
et le cordon latéral. Cette raréfaction se prolon
zone, on le sait, formée de fibres très fines provenant des racines
postérieures
, est une des premières prises dans le tabès; on s
ie de Paget, avaient décrit comme telle les altérations des cordons
postérieurs
qu'ils avaient rencontrées dans deux autopsies
on notable des fibres nerveuses, dans la partie moyenne des cordons
postérieurs
et dans la zone radiculaire postérieure. Les zo
partie moyenne des cordons postérieurs et dans la zone radiculaire
postérieure
. Les zones radiculaires moyennes étaient partou
les cordons latéraux, les réflexes seront exagérés, sur les cordons
postérieurs
, ils seront abolis. Récemment, Curcio (1) a déc
ien volontiers a ses raisons. ' 518 . E. APERT d'un C à concavité
postérieure
, dont le sommet répond à la douzième dorsale ;
e. De même, avec la colonne vertébrale, nous avons enlevé la partie
postérieure
des côtes et la partie postéro-inférieure du cr
orale. ' Fig. 1. Face interne de la tète fémorale. Fig. 2. - Face
postérieure
de la tête fémorale. 524 E. APERT Le sourcil
x, le septum nasal ne préseute aucune déviation. Pharynx. - Rhinite
postérieure
chronique, hypertrophie de l'amygdale pharyngie
le plutôt développé, menton fuyant en arrière. Vu de profil crâne
postérieur
se détache nettement du massif facial et du ÉTU
de renforcée à sa partie supérieure par les apophyses clinoïdiennes
postérieures
. Nous verrons dans la suite l'importance diagno
able, donnée par la projection radiographique de la fosse cérébrale
postérieure
, limitée en arrière par l'écaille occipitale. A
que, dans le cliché normal, les apophyses clinoïdes antérieures et
postérieures
et la selle turcique sont étagées dans un plan
plan à peu près horizontal de façon que, seule, la fosse cérébrale
postérieure
reste située dans la radiographie latérale sur
yenne reste placée à peu près au même niveau que la fosse cérébrale
postérieure
. Ce fait très important, nous permet déjà de cons
(sagittale), plus horizontale qu'à l'ordinaire, et, dans sa partie
postérieure
, elle est presque verticale. Généralement, la l
éphalie (enfant de 6 ans) on note l'enfoncement de la fosse cérébrale
postérieure
; dans l'oxycéphalie (crâne du musée Riberi, Hô
à la suite de l'inclinaison anormale qui suit brusquement la moitié
postérieure
de la paroi orbitaire supérieure, fait qui peut
adiographiques à admettre une inclinaison plus accusée de la moitié
postérieure
de la paroi supérieure de l'orbite (V. schéma n
égularité du développement des apophyses clinoï- des antérieures et
postérieures
très fréquemment soudées entre elles, comme je
cranio-tabes sonl dans la plupart des cas loca- lisées à la partie
postérieure
du crâne el notamment à l'os occipital. Elsasse
4 ÉTUDE DU SYNDHOME OXÏCÉPIIALIQUE 35 bregmatiques antérieures et
postérieures
. C'est la réalisation de la tête en poire hydro
et l'épendymite sont plus intenses. C'est ainsi que dans la partie
postérieure
des circonvolutions orbitaires, au voisinage du c
e tels cas avec une hydrocéphalie qui simule une tumeur de la fosse
postérieure
, or, si nous allons plus loin, c'est-à-dire à la
rveux on ne trouve de plaques de sclérose. Le sys- tème des cordons
postérieurs
est indemne de dégénération ; même au bulbe les
abès,c'est quand il n'y a pas de dégénérescence grise des faisceaux
postérieurs
dans la partie dorso-lombaire de la moelle » (1
itée : en dedans par une ligne virtuelle parallèle au sillon médian
postérieur
et passant par le point où la substance gélatineu
par la substance gélatineuse et le point de pénétration des racines
postérieures
. Cetle zone est toujours intéressée quand les réf
NOVL : -JOSSERAND Les lésions essentielles portent sur les racines
postérieures
et les cordons postérieurs ; elles varient, d'a
ns essentielles portent sur les racines postérieures et les cordons
postérieurs
; elles varient, d'ailleurs, d'une manière consid
5e, 4° sacrées). Les lésions manquent ab- solument dans les cordons
postérieurs
. Parmi les nerfs de la queue de cheval qui ont
plus nettes. 2° Région sacrée supérieure (Ve sacrée). - Les cordons
postérieurs
ne por- tent aucune lésion apparente ; la zone
nte ; la zone de Lissauer n'est pas sclérosée ; on voit les racines
postérieures
de la région pénétrer sous forme de groupes de fi
s forme de groupes de fibres serrées et bien colorées dans la corne
postérieure
et la région adjacente des cor- dons postérieur
rées dans la corne postérieure et la région adjacente des cor- dons
postérieurs
. On note seulement un épaississement notable de l
ment un épaississement notable de la pie-mère au niveau des cordons
postérieurs
, et toujours la présence, parmi les nerfs de la
lombaire te el 4e lombaires). - On voit apparaître dans le cor- don
postérieur
du côté droit une zone de sclérose assez bien dél
e d'un H dont la branche verticale interne atteint le sillon médian
postérieur
qu'elle longe dans une partie seu- lement de so
n postérieur qu'elle longe dans une partie seu- lement de son tiers
postérieur
, car elle n'atteint pas le point où ce sillon ren
se trouve ainsi il peu près mesurée par la majeure partie du tiers
postérieur
du sillon médian postérieur, moins une petite é
mesurée par la majeure partie du tiers postérieur du sillon médian
postérieur
, moins une petite étendue tout il fait en arrière
reuse respecte un petit territoire ovalaire adjacent an sillon médian
postérieur
; ce territoire intact occupe la situation du fa
n arrière et de dedans en dehors, est située assez près de la corne
postérieure
dont elle reste séparée cependant partout par une
e de l'H, a une forme irrégulière ; elle occupe le milieu du cordon
postérieur
, dans son tiers postérieur. En somme, la zone d
ulière ; elle occupe le milieu du cordon postérieur, dans son tiers
postérieur
. En somme, la zone de sclérose n'atteint ni la
ers postérieur. En somme, la zone de sclérose n'atteint ni la corne
postérieure
ni la péri- phérie de la moelle, sauf au niveau
re ni la péri- phérie de la moelle, sauf au niveau du sillon médian
postérieur
, respectant le faisceau ovale de Fleclisig ; el
; la zone d'entrée des racines de Wesiplial est intacte ; la racine
postérieure
, qui entre au niveau intéressé par la coupe, es
tranche fortement, comparé il celui des parties voisines du cordon
postérieur
droit et des régions similaires du cordon posté-
ne trouve plus de zone de sclérose en nappe ; toutes les raci- nes
postérieures
qui sont intéressées par la coupe il ce niveau on
au ont un aspect normal ; il n'y en a plus de sclérosées. Le cordon
postérieur
droit, dans sa partie moyenne et interne la jon
seulement une teinte un pen plus claire, comparée à celle du cordon
postérieur
gauche, comme si les fibres il myéline y étaient
icu- laire moyenne. Les autres territoires radiculaires des cordons
postérieurs
, savoir la zone radiculaire antérieure, les cha
an sacré, la zone marginale de Wesiplial, le réseau fin de la corne
postérieure
, toutes régions considérées comme endogènes, sont
vec les lésions du réticulum formé par les fibres fines de la corne
postérieure
; il croit la zone/le Lis- sauer occupée par de
ance des cordons de Goll (1) NAGEOTTE, Etude anatomique des cordons
postérieurs
. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1904,
c pas indifféremment et en même temps toutes les fibres des racines
postérieures
. Quoi qu'il en soit, il ne faut pas admettre sa
rélrocession des symptômes et l'arrêt dans la sclérose des cordons
postérieurs
, sous l'influence de la cécité. » A ces cas de
favori- ser les phénomènes de régénération décrits dans les racines
postérieures
par Marinesco. C'est là assurément un état émin
immense majorité des tabes, les collaté- rales réflexes des racines
postérieures
ne sont atteintes que de lésions in- complètes,
\7estpliil (2) : sectionnant, chez un lapin, une partie des racines
postérieures
du plexus crural, il vit le phénomène du genou,
bétique à crise gastrique ou viscéralgidue, la sclérose des cordons
postérieurs
n'est pas tout, mais coexiste, sans doute, avec d
n ne considérant d'abord que les lésions des racines et des cordons
postérieurs
dans leurs rapports présumés avec les crises gast
ronculaires du sympa- thique, liées aux dégénérescences des racines
postérieures
, comme J. Ch. Roux (2) l'a montré. Mais,d'autre
; ulcère ancien gastrique, pas de lésions histologiques des cordons
postérieurs
; les quelques fragments de racines persistant
olynévrite ; tabès absolument a rejeter, vu l'intégrité des cordons
postérieurs
. Ces observations sont extraites de la thèse de
le sympathique d'un' sujet atteint de sclérose combinée des cordons
postérieurs
et latéraux; ils ont montré l'intégrité des gan
'est pas toujours pro- portionnelle à celle des lésions des racines
postérieures
. De tels faits don- nent il penser que les lési
r- male. Il y a environ 11 centimètres entre les bords antérieur et
postérieur
de la lésion ; celle-ci a la forme d'une ellips
e partie de cet article. Malgré des examens réitérés de la partie
postérieure
de la tète, du cou et des omoplates, nous n'avo
raphie cérébrale ne saurait être méconnue, c'est-à-dire à la partie
postérieure
de la convexité de l'hémisphère gauche chez un
urface médiane de l'hémisphère est irri- guée par l'artère centrale
postérieure
, et la convexité par l'artère centrale antérieu
s, aux bras, aux mains qui semblent gantées de blanc ; pour le plan
postérieur
il faut signaler la région des hanches et du creu
sont les nerfs de la base. Dans la cavité rachidienne, les racines
postérieures
sont les plus bas situées dans la position couc
nt le sommet coïncide avec la 3' apophyse dorsale. Ftc. 1. - Face
postérieure
de la tête montrant la disposition du système pil
coloune vertébrale est modifiée : elle forme une courbe à convexité
postérieure
, ce qui tient très probablement en grande parti
res côtes au squelette vertébral ; elle est en partie Fra, 3. - Vue
postérieure
du thorax montrant la disposition de la cage thor
te alors en avant une région cervicale qui n'existe pas à la partie
postérieure
. Espaces ihnercostaux. - Les espaces qui sépare
me les constatations cli- niques). 232 IvLIPPEf. ET FE1L L Face
postérieure
: La ligne des apophyses épineuses n'est pas régu
tèbres du train anté- rieur et l'antéversion des apophyses du train
postérieur
de la colonne verté- brale, que je me suis appu
rtie posté- rieure du crâne Le centre des fontanelles antérieure et
postérieure
ne présentait qu'une ossification rudimentaire,
mètres. Cette dépression a une forme irrégulière et à son extrémité
postérieure
, elle envoie du côté gauche un prolongement d'à p
ous donnent 20 centimètres (de la crête vertébrale jusqu'à la paroi
postérieure
de l'aisselle) pour le côté gau- che et seuleme
ès prononcé, ossification défectueuse des fontanelles antérieure et
postérieure
, proéminence des bosses frontales, face moins dév
e une exagération très évidente du tubercule du trapèze sur le bord
postérieur
de l'épine de l'omoplate. La malade de Roger Vo
et Infroit présentait une très forte cyphose à convexité droite et
postérieure
avec scoliose à conca- vité gauche. Le sternum
xtenseurs des doigts sont considérable- ment atrophiés. Sur la face
postérieure
de l'avant-bras, on voit passer fré- quemment d
substance blanche est indemne de tonte dégénérescence, les cordons
postérieurs
en particulier sont intacts. Les racines rachid
n particulier sont intacts. Les racines rachidiennes antérieures et
postérieures
sont régulièrement myélini- sées. Il en est de
le trajet des racines antérieures dégénérées, alors que les racines
postérieures
et les cellules ganglionnaires gardaient leur s
nglion spinal et les nerfs mixtes; les nerfs cutanés et les racines
postérieures
sont presque indemnes . Dans les muscles, atrop
n vers le tronc. A l'examen anatomique, dans la moelle, les cordons
postérieurs
seuls étaient dégénérés, avec un tissu riche en
'aux racines des plexus sacré et lombaire; les racines rachidiennes
postérieures
sont nota- blement moins dégénérées que les ant
ompa- gnée de contractions fibrillaires et de douleurs. Les cordons
postérieurs
de la moelle sont sclérosés (fibres nerveuses i
t le noyau de l'hypoglosse ; diminution des fibres dans les cordons
postérieurs
et latéraux ; dans les nerfs périphériques, mél
D. A l'examen histo- logique : dans la moelle, sclérose des cordons
postérieurs
, raréfaction du réseau de la colonne de Clarke
ressive ; mort à 20 ans. Examen histologique : sclérose des cordons
postérieurs
dimi- nuant de bas en haut ; diminution des fib
de Clarke ; atrophie des racines antérieures, intégrité des racines
postérieures
; diminu- tion des cellules dans les ganglions
en histologique : Dans la moelle, sclérose très étendue des cordons
postérieurs
et sclérose plus faible des cordons laté- raux
80 ans. Examen histologique : Dégénérescence scléreuse des cordons
postérieurs
plus marquée dans la région cervico-dorsale ; alt
ieures et posté- rieures et des ganglions spinaux ; lepto-méningite
postérieure
chronique. Nerfs périphériques : pas de névrite
2 ans. - Examen histologique : Dans la moelle, sclérose des cordons
postérieurs
; sclérose moins marquée dans les cordons antéro-l
inaux, atrophie cellulaire, dégé- nérescence des fibres des racines
postérieures
. Dans les nerfs, dégénérescence dans le sens ce
; mort à 45 ans. Examen histologique : Dé- générescence des cordons
postérieurs
; atrophie des cellules des cornes anté- rieure
térieures sacrées ; hétérotopie de substance grise dans les cordons
postérieurs
à la région lombaire ; racines antérieures et p
s cordons postérieurs à la région lombaire ; racines antérieures et
postérieures
intactes. Dans les nerfs périphériques, diminutio
histologique : Dans la moelle, dégénérescence partielle des cordons
postérieurs
; éclaircissement des fibres dans les cordons a
s, sans diminution numérique ; intégrité des racines antérieures et
postérieures
. Dans les nerfs, fibres en petit nombre, gaines g
25 ans. Examen histologique : Dans la moelle, sclérose des cordons
postérieurs
et des faisceaux cérébelleux, diminution des fi
ceaux cérébelleux, diminution des fibres des racines antérieures et
postérieures
; atrophie des cellules des cornes antérieures e
bertson. Examen histologique : Dans la moelle, sclérose des cordons
postérieurs
, diminution du réseau de la colonne dé Clarke;
umineux. Examen histologique : Dans la moelle, sclérose des cordons
postérieurs
, raréfaction des fibres dans les cordons antéro-i
rfs mixtes, faisant contraste avec l'intégrité relative des racines
postérieures
et des nerfs cutanés. En résumé, ces deux obs
on des lésions a laissé à peu près intacts les racines rachidiennes
postérieures
et les nerfs sensitifs ; et bien que ces lésions
dernière, la lésion la plus fréquente est une sclérose des cordons
postérieurs
, non consécutive à une dégénérescence des racines
rdons postérieurs, non consécutive à une dégénérescence des racines
postérieures
; Gierlich a fait remarquer combien elle se rappr
nne : les muscles sont particulièrement mous au mollet et à la face
postérieure
de la cuisse. Les troubles moteurs sont toujours
t nettement troublée gauche et il existe à la fesse et il la partie
postérieure
de la cuisse de l'anesthésie tactile douloureuse
us les modes, surtout accentuée Fia. 2 B et C. - Face antérieure et
postérieure
. Topographie de l'anesthésie en 1911 4.5, S', S
ne débarrassé de sa cupule et nettement limitée[surtout sur sa face
postérieure
et son pôle inférieur (Voir Planche XLI, fig. 2
m- baires inférieures et sacrées recouvrent ses faces antérieure et
postérieure
, lui adhèrent en certains points et quelques-un
ieures sont aplaties et grisâtres, très nette- ment atrophiées, les
postérieures
semblent presque normales. Son extrémité supéri
latéraux ne présentent aucurfe trace de dégénérescence, les cordons
postérieurs
par contre sont très réduits, leur portion médi
nsversal considérablement augmenté, les cornes antérieure (c.a.) et
postérieure
(c.p.) gauches surtout sont étirées en dehors. Le
pie-mère (p.m.) est considérablement épaissie, surtout à la partie
postérieure
de la moelle ; elle se continue avec l'enveloppe
a moelle et la tumeur. Cette dernière est traversée par les racines
postérieures
(r.p.) .) que l'on voit éparpillées et dirigées
d.) est fortement comprimée au niveau de S2 (fig. 7et 8), la corne
postérieure
est considérablement réduite et le cordon posté
8), la corne postérieure est considérablement réduite et le cordon
postérieur
a à peu près complètement disparu : elle redevien
tution delà moitié gauche de la moelle qui commence par les cordons
postérieurs
: on voit en effet en arrière les racines posté
r les cordons postérieurs : on voit en effet en arrière les racines
postérieures
se tasser en couches successives (fig. 10, f. p
ssante qui sur la fig. 11 (c. o. p.) donne déjà l'image d'un cordon
postérieur
. Sur les coupes plus supé- rieures (fig. 12), o
lus supé- rieures (fig. 12), on voit apparaître la tête de la corne
postérieure
et en par- ticulier la masse volumineuse de la
gélatineuse de Rolando (gR.). A mesure que se forme ainsi la partie
postérieure
de la moelle, la substance grise de la corne an
e grise des cornes antérieures (fig. 13) et même un peu de la corne
postérieure
gauche. La substance blanche est moins touchée,
érieure gauche. La substance blanche est moins touchée, les cordons
postérieurs
semblent t relativement peu dégénérés, les cord
dor- sale ils sont redevenus normaux. La partie interne du cordon
postérieur
est notablement éclaircie : mais il ne s'agit p
llons, parsemés eux-mêmes de fibres à myéline provenant des racines
postérieures
ou appartenant aux cordons : ces dernières form
que les gaines pie-mériennes qui entourent les filets radiculaires
postérieurs
, sont hy- pertrophiées. Les cellules graisseu
racines est va- riable suivant qu'il s'agit des antérieures ou des
postérieures
; les premières, venant de régions où la substa
rs fibres sont dissociées, éparpillées. La dégénération des cordons
postérieurs
est la conséquence de l'interruption au niveau
ommencement de la queue de cheval, vues par les faces antérieure et
postérieure
. c. cône terminal aplati. r. a. racines antér
r. a. racines antérieures. t. tumeur lipomateuse. r. p. racines
postérieures
. v. veine médullaire thrombosée. Fie. 4. Coup
érieure de la masse adipeuse. c. a. corne antérieure. c. p. corne
postérieure
. p. m. pie-mère. t. G, p, triangle de Gombaul
d. moitié droite de la moelle. m. g. moitié gauche. r. p. racines
postérieures
. t. tumeur graisseure. v. veine thrombosée.
lement traversée par les fibres radiculaires dissociées des racines
postérieures
·. p. FIG. 10 Coupe passant par la partie infér
Reconstitution de la moitié gauche de la moelle, formation du cordon
postérieur
par les fibres radiculaires postérieures f., p.
moelle, formation du cordon postérieur par les fibres radiculaires
postérieures
f., p. diminution de la graisse l., atrophie des
, atrophie des racines antérieutes r. a., aspect normal des racines
postérieures
·. p. : -11\NrNGO-MYI; : LITI CH'RONfQUR D1 : L
destruction des cornes antérieures c. a., reconstitution du cordon
postérieur
gauche c. o. p. et de la substance gelalineuse de
c.o. a. et latéraux c. o. 1. sont en partie dégénérés. les cordons
postérieurs
c. o. p. peu couchés. ' Fig. 14. - Coupe du 3
ordons antéro-latéraux c. a. l. et de la partie interne des cordons
postérieurs
, faisceau de Goll c. G. qui est nettement plus
aillie à peu près normale, et la jambe ne présente pas la concavité
postérieure
que l'on observe chez beaucoup de pagé- tiques.
e, comme il l'est généralement dans la maladie de Paget, et sa face
postérieure
reste presqueplane, mais le fait est dû sans do
son maximum, entraîne la fonte complète de la corne antérieure, la
postérieure
étant rela- ti vement respeclée.-cët-effôndreme
maiacie antérieure proprement dite; L'intégrité relativede la corne
postérieure
ellïnlégl ilé presque absolue des faisceaux bla
s au troisième élément de la lésion : intégrité relative des cornes
postérieures
, intégrité presque absolue des cordons blancs.
ando fait particulièrement défaut. Le réseau myélinique de la corne
postérieure
est presque complètement dis- paru. Les vaissea
il existait dans ces deux mêmes cas un peu de sclérose des cordons
postérieurs
. Cette sclérose, très légère dans l'un de nos cas
bailleur de un il deux segments, conservation relative de la corne
postérieure
. Inté- grité des cordons blancs. Lésions artéri
u anastomotique intrapial. qui fournissent l'irrigation de la corne
postérieure
et des cordons blancs. Parmi ces branches perfo
, quelques-unes, plus importantes, sui- vent l'une le sillon médian
postérieur
, l'autre le sillon radiculaire anté- rieur, l'a
sillon radiculaire anté- rieur, l'autre enfin le sillon radiculaire
postérieur
. (.'arnol'uf; ISOLÉE non PROGRESSIVE DES PETITS
e la lésion est plus apparente que réelle. Du côté malade, la corne
postérieure
est touchée ; autour de cha- que perforante, l'
veau de leur base ; en arrière, elles sont limitées par les cordons
postérieurs
, dont les plans les plus antérieurs ont été int
dont les plans les plus antérieurs ont été intéressés. Les cornes
postérieures
ont complètement disparu au niveau de la ré- gi
es deux SYRINGOMYÈLIE, HYPERPLAS1E DU TISSU CONJONCTIF 367 cornes
postérieures
sont visibles et elles ne disparaissentpius jusqu
'à l'ex- trémité inférieure de la moelle : seule la base des cornes
postérieures
, ou mieux la partie intermédiaire aux cornes an
rieures, ou mieux la partie intermédiaire aux cornes antérieures et
postérieures
est détruite par la lésion. Les cornes latérale
ont enfin entraîné des déformations considérables dans les cordons
postérieurs
et latéraux, des déviations des sillons antérieur
s postérieurs et latéraux, des déviations des sillons antérieurs et
postérieurs
. Au niveau de la région cervicale, elles tenden
e longue fente transversale disposée suivant une courbe à concavité
postérieure
et détruisant la région centrale, la base des c
des cornes, les zones adjacentes du faisceau pyramidal et la corne
postérieure
. Elle peut atteindre aussi la pie-mère (Cvi, Du,
et sectionner complètement la moelle en deux fragments antérieur et
postérieur
. Mais entre ces deux types extrêmes on observe
maximum ; latéralement elle s'enfonce profondément dans les cornes
postérieures
sous forme de fentes, uniques à droite, multiples
près transversale et laisse derrière elle les cordons et les cornes
postérieures
. En DVIll, l'aspect est très particulier. Au ce
en arrière jusqu'à la périphérie de la moelle, à travers le cordon
postérieur
. . 3G8 ANDRÉ-THOMAS ET QUI,ITCY , Elle est co
t transversale avec un cliver- ticule postéro-latéral dans la corne
postérieure
. En Dx elle reste centrale. Elle devient à pein
ou postéro-latér3ux, qui segmentent la substance grise, les cornes
postérieures
ou les cordons latéraux ; les uns se terminent
ut en arrière, où il.envoie quelques prolongements dans les cordons
postérieurs
. Elles sont plus indécises au niveau des cordons
lules tapissent sur un ou plusieurs endroits les bords antérieur et
postérieur
ou un seul des deux. Quelquefois la membrane co
palissade ne forment la bordure que sur un prolongement latéral ou
postérieur
de la fente (Du). En Dxn, la traînée de raréfac
ns la cavité, entre les membranes conjonctives et le gliome (partie
postérieure
), dans les boucles des mem- 378 ATDfil ? THO\fA
gliome, dans la pie- mère (au niveau de l'espace inter-radiculaire
postérieur
), au voisinage du tissu conjonctif, qui occupe
ieur, à côté ou à l'intérieur des filets radiculaires antérieurs et
postérieurs
, dans les espaces sous-arachnoï- diens ; on n'e
e en arrière et à gauche un diverticule situé en dedans de la corne
postérieure
, en plein cordon postérieur. A ce diverticule fai
iverticule situé en dedans de la corne postérieure, en plein cordon
postérieur
. A ce diverticule fait suite une traînée glioma
érence de la moelle. A ce niveau la pie-mère qui recouvre le cordon
postérieur
est très mince, tandis qu'elle s'épaissit brusq
cy). - SYRINGOMYELIE, HYPERPLASIE DU TISSU CONJONC11F 379 trémité
postérieure
de la traînée gliomaleuse, ainsi que la couche né
traînées conjonctives ; au-delà sur le cordon latéral ou le cordon
postérieur
de l'autre côté, la pie-mère reparaît, très épa
es avec les prolongements méningés du sillon antérieur et du sillon
postérieur
ne nous paraissent subordonnées l'évolution du
e de la fissure et l'absence de pie- mère à la périphérie du cordon
postérieur
, sur le même étage médullaire (Dvm). li Une t
hypertrophie de la dure-mère a frappé presque exclusivement la face
postérieure
et les faces latérales de la moelle. Le maximum
on côté droit correspondant du premier segment dorsal. A la surface
postérieure
de la dure-mère dans la région correspondante a
formation de la moelle commence à changer. Les sillons antérieur et
postérieur
ne sont plus médians, mais dévient légèrement v
la corne gauche. Dans le sens descendant les sillons antérieur'et
postérieur
s'écartent de plus en plus dans leurs parties p
la droite, se confondent, deviennent plus petites. La commis- sure
postérieure
dévie à droite, le sommet du faisceau postérieur
. La commis- sure postérieure dévie à droite, le sommet du faisceau
postérieur
gauche avance par dessus celui de droite, se re
droite, se recourbe à droite, et couvre le sommet du faisceau droit
postérieur
. L'aplatissement de la moelle augmente encore u
ARIE DES VEIUÈBRES 39U nent une structure régulière ; les faisceaux
postérieurs
retournent à la ligue médiane. La dure-mère dan
La partie gauche paraît être le plus comprimée, à savoir la partie
postérieure
de la ceinture circulaire du fais- ceau latéral
yer, et de même qu'à gauche quoique à un degré moindre, la par- tie
postérieure
de la zone périphérique du faisceau latéral. Sur
ée tuberculeuse qui comprime le plus la moelle du côté de la partie
postérieure
de la zone péri- phérique du faisceau latéral g
sparence sous forme de filament dans la moitié gauche des faisceaux
postérieurs
entre le faisceau de Goll et celui de Burdach. On
Burdach. On constate également dans la moitié droite des faisceaux
postérieurs
une transparence de développe- ment identique e
gale- ment isolés dans les faisceaux antérieurs, antéro-latéraux et
postérieurs
. Les es- paces périvasculaires sont un peu élar
vical, la transparence commence dans la moitié gauche des faisceaux
postérieurs
, sur le devant un peu plus bas et sous forme de c
rme de croissant, elle se dirige vers le lieu d'entrée de la racine
postérieure
gauche ; à droite la transparence se trouve dan
les autres faisceaux démontre que déjà tout le champ des faisceaux
postérieurs
est un peu transparent (à part quelques endroits
quelques endroits avoisinant la substance grise). Dans les racines
postérieures
des deux côtés, à l'endroit où elles pénètrent
côtés, à l'endroit où elles pénètrent du dehors dans les faisceaux
postérieurs
, on constate l'absence des fibres nerveuses iso
ce des fibres nerveuses isolées. Le faisceau de Goll dans sa partie
postérieure
présente une augmentation de névroglie ainsi qu
aires sont dilatés. Les cellules nerveuses des cornes antérieure et
postérieure
sont normales, pour la plupart remplies de pigm
des fibres apparaît surtout dans la zone périphérique des faisceaux
postérieurs
, là où pénètrent les racines postérieures, et pui
périphérique des faisceaux postérieurs, là où pénètrent les racines
postérieures
, et puis dans les limites indiquées ci-dessus s
coup de mailles vides appa- raissent le long de la base des racines
postérieures
, dans la zone radiculaire et dans la partie pos
es racines postérieures, dans la zone radiculaire et dans la partie
postérieure
du faisceau de Burdach. On constate une certaine
roits, dans les environs de la fissure antérieure et dans la moitié
postérieure
de la zone périphérique des faisceaux latéraux.
fibres myéliniques moins prononcée du côté droit ; dans les racines
postérieures
, les lésions sont encore plus fortes sans que le
caractère de processus nouveau ; les faisceaux internes des racines
postérieures
sont plus dégénérés, les externes moins. En all
au même, les lésions sus- indiquées augmentent encore ; les racines
postérieures
, la gauche surtout, per- dent leur structure no
teinte très pâle et le réseau des fibres des racines antérieures et
postérieures
est considérablement appauvri Pas trace de dégé
; on en constate davantage dans la région correspondant aux racines
postérieures
. La substance grise se trouve parsemée des deux
ci, on dirait qu'elle est plus manifeste à gauche. Dans les régions
postérieurs
des membres inférieurs et dans le périnée, la s
a substance grise, portant à la fois sur les cornes anté- rieure et
postérieure
, la dépression du bord antérieur de la corne anté
e et remplacée par une cica- trice linéaire transversale : la corne
postérieure
est diminuée de volume et comme étriquée par ra
at réticulé spécial et sauf une paieur modéree el diffuse des cordons
postérieurs
. Du côté gauche la substance grise est un peu d
que trace de l'état réticulé de la coupe précédente, dans le cordon
postérieur
toujours une pâleur diffuse par sclérose com- m
a moelle a repris son aspect normal sauf un peu de pâleur du cordon
postérieur
.Ce cas a été débité en coupes sériées depuis C
e antérieure, côté sain. CA' corne antérieure, côté malade CP corne
postérieure
, côté sain. CP' corne postérieure, côté malade.
antérieure, côté malade CP corne postérieure, côté sain. CP' corne
postérieure
, côté malade. CdA cordon antérieur. CdP cordon po
connaît aisé- ment les cellules normales de la corne) ; 3" la corne
postérieure
du côté' malade est étriquée et ne contient pas
ar un petit vaisseau ; 6° On note en outre une pâleur des cor- dons
postérieurs
avec sclérose et démyélinisation commençante, et
e 7e, en bas sur le leur segment dorsal. Au même niveau, la corne
postérieure
est plus grêle, les vaisseaux moins abondants e
le, lombaire et sacrée, sauf un certain degré de pâleur des cordons
postérieurs
. Grosse méningite syphilitique avec endo-périar
édomine de beaucoup au niveau du 8e segment. Au même niveau : Corne
postérieure
plus grêle. Vaisseaux moins abondants et moins
nche parait intacte sauf l'existence d'une dégénération des cordons
postérieurs
à type radiculaire avec dégénération des bandel
ion de la moelle dorsale, lombaire et sacrée sauf la dégéné- ration
postérieure
déjà signalée. Méningite syphilitique avec endopé
e antérieure qui est remplacée par une cicatrice linéaire. La corne
postérieure
est étriquée et grêle. Il existe un notable degré
bstance blanche présente une sclérose modérée, mais nette du cordon
postérieur
, et au niveau de l'angle inferieur du cordon an
tat réticulé de l'angle supéro-interne du cordon antérieur. Cordons
postérieurs
et latéraux sensiblement indemnes. Dans ce cas
sinantes du 7- segment cervical et du 1" segment dorsal. Les cornes
postérieures
sont grêles et mal vascularisées. La substance
isées. La substance blanche est indemne. Pas de lésions des cordons
postérieurs
. Les lésions d'endartérite sont ici encore extr
ment d'artério-sclérose sénile. L'absence des lésions des cordons
postérieurs
qui existaient dans nos deux autres cas, est ég
omalacie et il existait en outre une lésion peu marquée des cordons
postérieurs
. c) Qu'ils étaient abolis uniquement du côté ma
c l'encéphale. - Sur la partie droite de la tumeur, et vers sa face
postérieure
, se trouve le point d'implantation de la tige pit
'attirant en masse à à droite. Le chiasma est normal, mais son bord
postérieur
se confond avec la saillie de l'infundibulum, d
visible qu'en avant. C'est la taille de guêpe au-dessus d'un train
postérieur
d'obèse. L'hypertrophie du membre inférieur gau
and dentelé, paraît appartenir à un adolescent, tandis que le train
postérieur
, dans la lourdeur de ses lignes, l'ébauche du bou
triangulaire, dont un prolongement supérieur s'étendait jusqu'au bord
postérieur
du grand trochanter, et dont l'autre se prolongea
prolongeait en arrière et en bas, de manière à séparer les deux tiers
postérieurs
de cette éminence d'avec le tiers antérieur qui r
e l'os; le fragment du grand trochanter qui comprenait les deux tiers
postérieurs
de cette éminence était lui-même divisé par une f
La fig. 3 représente la fracture du col du fémur vue par la partie
postérieure
avec séparation des fragmens, lesquels ont été éc
nt encore, le grand trochanter, affaibli dans sa partie supérieure et
postérieure
par l'excavation, connue sous le nom de cavité di
gure 2 représente la fracture vue par derrière. On voit que la partie
postérieure
du grand trochanter GT, c'est-à-dire la partie qu
osseuse formée par le grand trochanter, est appliquée contre la face
postérieure
du col du fémur. Le petit trochanter PT est sép
e quatre : un pour la tête et le col du fémur, un pour les deux tiers
postérieurs
et (1) Chez ce sujet, l'artère fémorale était b
, en un mot aux tissus blancs qui entourent l'articulation- La face
postérieure
du col du fémur était dénudée du périoste et de r
tre part la cavité digitale détachant en quelque sorte les deux tiers
postérieurs
du grand trochanter du corps de l'os, cette émine
ieu de la brisure est généralement le point de réunion des deux tiers
postérieurs
avec le tiers antérieur. Le petit trochanter es
étaient restés adhérens à ce repli. La partie inférieure et la partie
postérieure
du col du fémur étaient dépourvues de périoste. D
re. On voit que le repli fibro-synovial a été respecté dans la moitié
postérieure
du repli fibro-synovial, P,Pdéchirure en TR. Du r
ceux qu'on obtient par l'examen de cette même fracture par la région
postérieure
: les différences de conformation de la région pe
du mouvement de rotation qu'a subi ce membre inférieur. Ainsi la face
postérieure
de la cuisse et de la jambe regardent en dedans;
e à reconnaître à l'aide des signes fournis par l'examen de la région
postérieure
du membre inférieur qu'à l'aide de ceux fournis p
é dans une plus ou moins grande étendue, ordinairement dans la moitié
postérieure
de la circonférence du col. Les fig. i et i', i e
ol du fémur. Dans ce cas comme dans ceux que j'ai indiqués, la moitié
postérieure
du repli fibro-synovial était conservée. xxvi5
stauration est le plus parfait. Elles sont tantôt congéniales, tantôt
postérieures
à la naissance. Existe-t-il des différences notab
s luxations congéniales, il y a déplacement, comme dans les luxations
postérieures
à la naissance, nous devrons trouver, dans le pre
s organiques dans la luxation congéniale du fémur et dans la luxation
postérieure
à la naissance, que la réduction de la tête du fé
mprendrais rien aux succès d'un traitement dirigé contre une luxation
postérieure
à la naissance, ayant plusieurs années d'ancienne
nt aux luxations du fémur en haut et en dehors,soit congéniales, soit
postérieures
à la naissance, présentent beaucoup de variétés:
la fig. 2 représente l'os coxal vu par derrière : on y voit la partie
postérieure
de la nouvelle cavité eotyloïde NCC, sa profondeu
le petit trochanter qui regardait directement en arrière et la partie
postérieure
du pourtour de cette cavité. MALADIES DES OS
tte déchirure. Le ligament rond était lacéré dans ses fibres les plus
postérieures
seulement, les fibres antérieures avaient été res
de moelle contenait encore un peu de substance blanche. Les cordons
postérieurs
médians du bulbe rachidien étaient convertis en u
ache ET résulte de la compression exercée sur la moelle par la moitié
postérieure
du pourtour du tissu occipital et par l'apophyse
illie énorme TO, que fait l'apophyse odontoide à travers les ligamens
postérieurs
soulevés de l'articulation occipito-axoidienne.
l'articulation occipito-axoidienne. La figure i représente la face
postérieure
de l'apophyse odontoide mise à nu par la section
en arrière, de manière à produire une luxation incomplète. La face
postérieure
de l'apophyse odontoide était érodée. L'apophyse
une saillie considérable qui soulève les ligamens occipito-axoïdiens
postérieurs
, et qui rétrécissent la partie supérieure du cana
s le pus de tous les foyers purulens soumis à l'absorption. La face
postérieure
du corps de la 2e et de la 3e vertèbre cervicale
jet avait pour paroi antérieure le corps des vertèbres, et pour paroi
postérieure
le ligament vertébral commun postérieur très amin
des vertèbres, et pour paroi postérieure le ligament vertébral commun
postérieur
très aminci. y livraison .PIJ. MALADIES DES O
uis on scia verticalement le crâne, ce qui permit d'enlever la partie
postérieure
de cette boîte osseuse, en laissant sur le devant
oyait déborder en haut le corps du pubis et s'étendre jusqu'à sa face
postérieure
. La portion de tumeur qui est postérieure au pubi
t s'étendre jusqu'à sa face postérieure. La portion de tumeur qui est
postérieure
au pubis est beaucoup moins considérable que la p
itables foyers, contenant une matière sanguinolente. « Vers la partie
postérieure
, on en voyait plusieurs autres, et notamment un c
umeur a été divisée en deux moitiés égales, l'une antérieure, l'autre
postérieure
par un trait de scie vertical, transversalement d
le grossie et rompue, les chairs du mollet désorganisées et la partie
postérieure
des os de la jambe plus ou moins profondément car
le que j'ai déjà eu occasion d'établir pour les lésions pathologiques
postérieures
à la naissance, savoir, que si le nombre des vari
éniale du voile du XXXVIIIe LIVIUISON. i palais et de la moitié j
postérieure
de la voûte palatine. Cet homme avait eu à gauche
ue celui qui présenterait en regard les diverses espèces d'an-kyloses
postérieures
à la naissance, et par conséquent déterminées par
d'atrophie et de disparition complète des parties, que les ankyloses
postérieures
à la naissance. Un des exemples les plus remarq
elque fruit que lorsqu'on l'aura fait précéder de celle des ankyloses
postérieures
à la naissance, je crois donc ne pas trop m'éloig
éloigner de mon sujet, en donnant ici la classification des ankyloses
postérieures
à la naissance, telle que je l'ai exposée dans me
it représenter pl. 6 , xxxme livraison ; fig. 4- H est vu par sa face
postérieure
. Les deux fémurs F, F sont réunis dans leur tiers
donne la clef de cette disposition. En effet, ces os occupent la face
postérieure
des deux genoux juxta-posés; il y a donc eu demi-
en sens opposé des extrémités inférieures , de manière que leur face
postérieure
regarde en avant, leur face antérieure en arrière
résentent une crête saillante, dirigée d'avant en arrière : leur face
postérieure
, devenue supérieure, est concave et supportait (a
dedans en dehors, et d'avant en arrière, de telle manière que la face
postérieure
des membres soit devenue antérieure, et réciproqu
ent de quart de rotation en sens opposé, de telle sorte que les faces
postérieures
des fémurs sont devenues internes, les têtes des
nt unis par une membrane. Il résulte de cette disposition que la face
postérieure
des corps des pubis et la face interne des ischio
lle, représente la partie sous-ombilicale du tronc, vue par la région
postérieure
. On voit à la partie inférieure deux plis qui rép
e antérieure. Bassin vu en avant : il présente deux ouvertures, l'une
postérieure
PP, l'autre antérieure P A. L'intervalle qui les
ue, que nous verrons résulter de la réunion des deux fémurs : sa face
postérieure
est en avant ; ia l'articulation du fémur avec la
t en avant ; ia l'articulation du fémur avec la jambe, dont la région
postérieure
est en avant ; 3° le tibia dont il n'existe que l
5. Elle représente la moitié inférieure du squelette, vu par la face
postérieure
. Le sacrum S est renversé de bas en haut, de te
. Ce sommet cartilagineux est déjeté latéralement. PP est l'ouverture
postérieure
, PA l'ouverture antérieure,CCD une cavité cotyloi
ouvement de demi-rotation, tel que sa face antérieure regarde le plan
postérieur
du corps. Son extrémité supérieure présente trois
s le côté antérieur de l'articulation du genou, répondaient à la face
postérieure
du tronc. La figure 6 représente le fémur, vu d
La figure 2 représente la moitié inférieure du fœtus, vu par la face
postérieure
. Point de fesses. Sur la ligne médiane, ouverture
es des tibias sont en avant, les faces externes en arrière, les faces
postérieures
en dedans: aussi voyons-nous (fig. 6 et 7) que le
) que les deux péronés sont intermédiaires aux tibias. Les jambiers
postérieurs
J A , JA ( fig. 3) sont en dehors, de même que le
idère comme le vestige des muscles jumeaux. Les deux artères tibiales
postérieures
sont confondues en une seule artère ATP, qui appa
n pied. Je ferai également remarquer la fusion des deux nerfs tibiaux
postérieurs
, en un seul tronc , qui se bifurque comme le tron
onc , qui se bifurque comme le tronc commun des deux artères tibiales
postérieures
, pour fournir aux deux pieds. Dans l'intervalle d
intervalle des deux tibias, on trouve encore les tendons des jambiers
postérieurs
et des longs fléchisseurs des orteils. Les fléchi
figure 4-,qui représente les deux membres inférieurs, vus parla face
postérieure
, offre les particularités suivantes: i° l'anus A
ns confondus. Ainsi les trous sous-pubiens, distincts dans leur tiers
postérieur
, sont confondus dans leurs deux tiers antérieurs.
nt lemême. Fig. 7. Bassin et membres inférieurs vus par leur face
postérieure
; bassin et os ilium étalés, et, sur la ligne médi
-pubien, qui est double en arrière et simple en avant. Sur cette face
postérieure
, la rotation inégale des deux fémurs et à-peu-prè
le existe, après cette ablation, entre l'apophyse mastoïde et le bord
postérieur
de la mâchoire inférieure ; la peau s'affaisse, l
La figure 2 montre l'atrophie complète du muscle crico-arythénoïdien
postérieur
droit CAP et l'atrophie presque complète du muscl
ique^).Il est des cas dans lesquels ces bosselures occupent la région
postérieure
de l'œil, plus souvent elles se voient latéraleme
u tissu adipeux de l'orbite, et enveloppe l'œil dans ses trois quarts
postérieurs
. Du reste, la dégénération présente tous les ca
ne à l'autre oreille. Nombreux ganglions sur les côtés et à la partie
postérieure
et supérieure du col. Ces ganglions sont assez co
de sa grande courbure, l'estomac (voyez fig. 2) a présenté à sa face
postérieure
une grande perte de substance ULC : le pancréas r
ure de l'estomac, obturait en partie la perte de substance de la face
postérieure
: elle offrait à sa surface des marbrures de déco
rvation. La malade a eu d'abord un ulcère chronique simple de la face
postérieure
de l'estomac, ulcère qui a détruit toute l'épaiss
s corps fibreux dans l'épaisseur de l'organe. Les faces antérieure et
postérieure
sont libres d'adhérences, excepté en arrière, où
érieure du rectum, d'une part, et d'une autre part, sur toute la face
postérieure
du vagin chez la femme et sur tout le bas-fond de
atomique. dur et volumineux : l'intestin GT, GT, incisé par sa face
postérieure
(i), permet de constater l'existence d'une tumeur
ette extrémité libre présente deux orifices , l'un antérieur, l'autre
postérieur
. L'orifice postérieur conduit dans l'intestin grê
résente deux orifices , l'un antérieur, l'autre postérieur. L'orifice
postérieur
conduit dans l'intestin grêle; l'orifice antérieu
es autres parties du canal alimentaire. (1) L'incision de la partie
postérieure
de l'intestin était nécessaire pour montrer sur l
es amincies et susceptibles d'être divisées en deux feuillets dont le
postérieur
adhérait au péritoine; qu'il n'existait aucun ves
Chacune de ces sous-classes présente à considérer: i° les déplacemens
postérieurs
a la naissance; i° Les déplacemens antérieurs a l
sse dans le sac lui-même ; l'appendice iléo-cœcale accolée à la paroi
postérieure
du sac. Dans les hernies anciennes, les envelop
iculaire est sortie de toute sa longueur et appliquée contre la paroi
postérieure
du sac herniaire, auquel elle adhère intimement.
et par conséquent ancienne de l'appendice vermiculaire avec la paroi
postérieure
du sac et l'oblitération récente de cette appendi
es abdominaux et au péritoine : celui-ci semblait s'accoler à la face
postérieure
de la membrane, sans pouvoir en être séparé. Du
ant la naissance ? y a-t-il une exomphale antérieure et une exomphale
postérieure
à la naissance? C'est l'opinion généralement admi
'espèce de boudin qu'elle représentait. A la partie interne et un peu
postérieure
de ce boudin, existait une autre tumeur du volume
eur partie antérieure (1), et que ce sac herniaire occupait la partie
postérieure
de l'intestin, c'est-à-dire toute la partie qui a
vertical, était divisée en deux parties, l'une antérieure et l'autre
postérieure
aux muscles droits de l'abdomen. Sa cavité était
érait fortement à l'ombilic. C'est cette anse AC, adhérente à la face
postérieure
des parois abdominales qui a été représentée sur
s par l'inflammation ont été convertis en eschare. Cette entérite est
postérieure
à l'accouchement. Le traitement antiphlogistiquc
e rectum et la partie inférieure du vagin, au-dessus de la commissure
postérieure
. Cette communication n'était pas immédiate, mais
médiaire d'un clapier qui se prolongeait dans l'épaisseur delà partie
postérieure
de la grande lèvre droite et qui s'ouvrait dans l
orte aux parties génitales externes et principalement à la commissure
postérieure
; besoin pressant d'aller à la selle avec épreint
its trous à la vulve, dans la fosse navicu-laire, entre la commissure
postérieure
et la membrane hymen. Tous ces trous aboutissaien
duré restèrent accolées aux os. Incisant alors le rectum par sa paroi
postérieure
, je reconnus un épaississement considérable des p
par l'utérus et le vagin, la paroi antérieure par la vessie, la paroi
postérieure
par le rectum. Cette vaste poche purulente, dan
s ce cautère ayant été appliqué par un élève peu instruit à la partie
postérieure
de la jambe, on le fit supprimer et appliquer ant
je reconnus que le museau de tanche était sain, et à travers la paroi
postérieure
du vagin, je sentis une tumeur qui semblait naîtr
érieure du vagin, je sentis une tumeur qui semblait naître de la face
postérieure
de l'utérus et proéminer du côté du rectum. 20 L'
e était dirigée horizontalement d'arrière en avant du côté de la face
postérieure
de l'utérus; je me demandai si je n'avais pas aff
cet organe, le col étant intact , et plus particulièrement la partie
postérieure
du corps et se serait dirigé vers le rectum, qu'i
stic était donc celui-ci: dégénération de l'utérus occupant la région
postérieure
du corps de cet organe, dégénération propagée jus
itué dans l'épaisseur du lobe droit du foie, au voisinage de son bord
postérieur
. Le kyste était intimement adhérent au tissu du f
ie de pus. La figure i' représente la trachée ouverte par sa partie
postérieure
. On voit que le corps thyroïde formait autour de
une laryngite sous-muqueuse et une perforation par usure de la paroi
postérieure
du pharynx. Je n'ai sur ce fait aucun renseigneme
ayant été détachée avec le pharynx, l'œsophage et le larynx, la paroi
postérieure
du pharynx incisée, nous avons vu sur la face pos
x, la paroi postérieure du pharynx incisée, nous avons vu sur la face
postérieure
du cartilage thyroïde une perte de substance circ
aîné une perte de substance de la part du pharynx; en effet, la paroi
postérieure
du pharynx présentait une perte de substance circ
rte de substance était le résultat de la pression exercée par le bord
postérieur
du cartilage thyroïde, poussé en arrière par la t
sé en arrière par la tumeur^ et appuyant fortement contre cette paroi
postérieure
. Réflexions. L'observation précédente, indépend
de laryngite sous-muqueuse, i° d'altération par pression de la paroi
postérieure
du pharynx. Je dirai d'abord, relativement à cett
e rencontrer plusieurs fois cette ulcération par pression de la paroi
postérieure
du pharynx, par un goître volumineux; que cette p
yroïde, et par conséquent à prévenir toute pression de la partdu bord
postérieur
de ce cartilage. Dans le cas qui précédera perte
interne du larynx, que la laryngite sous-muqueuse , limitée à la face
postérieure
du cartilage cricoïde et même à la face postérieu
limitée à la face postérieure du cartilage cricoïde et même à la face
postérieure
du cartilage aryténoïde, n'exercera aucune influe
son. fig. 2, et de la troisième côte, pour se réfléchir sur la face
postérieure
des grand et petit pectoraux qui manquaient dans
r la matité complète du thorax à gauche, dans toute l'étendue du bord
postérieur
et de la face externe du poumon de ce côté, la re
es antécédens, que nous ignorions si l'altération était congéniale ou
postérieure
à la naissance, et, dans cette dernière hypothèse
assez grand nombre de fibres musculaires sur ses faces antérieure et
postérieure
; mais dans son épaisseur on ne voyait plus que du
Le lendemain, la malade accuse une douleur très vive dans les muscles
postérieurs
de la jambe droite, douleur que le moindre contac
a nuit. Ouverture du corps le 29. — Cancer avec gangrène des parois
postérieure
du vagin et antérieure du rectum; les eschares mê
dans le vagin, sont supportées par un tissu cancéreux : la commissure
postérieure
de la vulve est détruite et les grandes lèvres so
antérieure et externe de la jambe et la partie inférieure des régions
postérieure
et interne. Elle est très exactement délimitée. L
TA, fig. 3, et du tronc tibio-péronier A TP, fig. 3; l'artère tibiale
postérieure
ATP, est extrêmement grêle, bien plus grêle que l
chez une femme de 81 ans.— Oblitération complète des artères tibiale,
postérieure
et péronière. — Liberté de la tibiale antérieure.
e. La même concrétion se continue dans toute la longueur delà tibiale
postérieure
et de la péronière et dans toutes les divisions a
préciables de ces vaisseaux. Du reste, l'oblitération de la tibiale
postérieure
et de la péronière avait une date un peu ancienne
ale antérieure était parfaitement libre. Les veines poplitée, tibiale
postérieure
et péronière étaient distendues par du sang coagu
rapportée plus haut, l'oblitération était bornée aux artères tibiale
postérieure
et péronière, la tibiale antérieure était parfait
ibre, la circulation ne se soit pas rétablie dans les artères tibiale
postérieure
et péronière? Par une raison toute simple: c'est
ifférens ordres de vaisseaux étaient interceptés. Les artères tibiale
postérieure
et péronière auraient été libres elles-mêmes que,
ale était libre : les artères poplitée gauche, tibiales antérieure et
postérieure
, péronière, jusqu'aux dernières divisions appréci
te l'artère aorte vue à l'intérieur : elle a été divisée par son côté
postérieur
; on y voit que ce vaisseau est parsemé dans toute
connexion de l'aorte thoracique avec la poche anévrysmale, qui était
postérieure
à l'aorte et antérieure à la colonne vertébrale.
artie seulement de la circonférence de l'aorte, savoir : de la moitié
postérieure
et gauche; que la moitié antérieure et droite de
moelle ne se sont manifestés que la veille de la mort. Les extrémités
postérieures
des côtes ont participé à la même érosion , à la
raît au dehors, soit à travers le sternum, soit à travers l'extrémité
postérieure
des côtes* 4° L'anévrysme s'était ici formé aux
e des vertèbres correspondantes. — Battemens appréciables a la région
postérieure
du thorax. — Paraplégie. — Hémoptisie. — Mort sub
t sain , et ne présentait aucune trace de compression. Les extrémités
postérieures
des côtes avaient été presque entièrement détruit
e anévrysmale, sinon qu'elle avait été formée aux dépens de la moitié
postérieure
du calibre de l'artère, et qu'elle présentait des
alement sur toute la circonférence et par conséquent sur les colonnes
postérieures
et sur les colonnes antérieures de la moelle épin
vec une poche anévrysmale, ovoïde, oblongue, appliquée contre le côté
postérieur
de cette artère, le côté postérieur des artères c
blongue, appliquée contre le côté postérieur de cette artère, le côté
postérieur
des artères carotides interne et externe ACI, A C
carotide primitive. L'adhérence de la tumeur avec le côté externe et
postérieur
de la carotide primitive , et avec le côté intern
le. La fig. a' représente la poche anévrysmale ouverte par son côté
postérieur
; la perforation P est beaucoup inoins considérabl
rvée: l'autre poche, du volume du poing, descendait dans le médiastin
postérieur
et déprimait le sommet du poumon en bas et en ava
'axillaire avaient le double de leur volume ordinaire. Leurs branches
postérieures
surtout, parcouraient, en serpentant, un trajet c
pentant, un trajet considérable avant de s'aboucher avec les branches
postérieures
des artères intercostales. Ces branches intercost
es postérieures des artères intercostales. Ces branches intercostales
postérieures
décrivaient des zig-zag si multipliés , qu'on eût
it dans leur intervalle, fournissait les intercostales antérieures et
postérieures
correspondantes, puis, se continuant avec un tron
explique tout aussi bien par une lésion congéniale que par une lésion
postérieure
à la naissance; il est d'ailleurs probable que ce
entricule gauche. On voit i° la cavité de ce ventricule dont la paroi
postérieure
est seule libre et parfaitement saine, dont la pa
fut entrepris. J'entendis d'abord de la crépitation sèche à la partie
postérieure
et latérale gauche du thorax , puis de la crépita
, très petits, surtout le poumon gauche. Pneumonie œdémateuse du bord
postérieur
de ces poumons. Quelques tubercules noirs dissémi
a base vers la pointe du ventricule gauche ont démontré que la moitié
postérieure
de ce ventricule présentait, dans une hauteur de
qui a présenté à l'Académie royale de Médecine un cœur dont la paroi
postérieure
du ventricule gauche présentait cinq perforations
t été renversée, on peut voir les tubercules TTT qui occupent la face
postérieure
de cette crosse. La Fig. i, pl. 3 montre la tum
La tumeur adhère intimement à la veine cave supérieure et à la partie
postérieure
de l'oreillette ; un gros tubercule cancéreux me,
eillette : i° de la veine cave supérieure entre la tumeur et la paroi
postérieure
de cette veine, i° de la veine cave inférieure en
uvert la poitrine n'ayant pas rasé, comme cela doit se faire, la face
postérieure
du sternum, le péricarde a été entamé, et il s'es
lui donne l'aspect velu, signalé par les anciens anatomistes. La face
postérieure
ou inférieure du cœur présentait de grosses colon
ocher. (Planche h, xxvie livraison.) Tumeur fibreuse née de la face
postérieure
du rocher, comprimant le cervelet et la protubéra
3.) Cette tumeur adhérait, par un pédicule considérable, à la face
postérieure
du rocher (fig. 3). La fig. 1 représente la secti
dicule PT.— Elle naissait d'une cavité TE, fig. 4, située sur la face
postérieure
du rocher, cavité anfractueuse, occupant la moiti
rocher, cavité anfractueuse, occupant la moitié interne de cette face
postérieure
, réunissant le conduit auditif interne au trou dé
ce postérieure, réunissant le conduit auditif interne au trou déchiré
postérieur
et au canal carotidien. La fig. 1 représente la
(fig. 4) qui réunissait le conduit auditif interne et le trou déchiré
postérieur
, communiquait largement avec le canal carotidien
ent avec le canal carotidien et occupait la moitié interne de la face
postérieure
du rocher. — Les nerfs auditif et facial étaient
de la tente du cervelet soulevait cette tente et avec elle la partie
postérieure
du cerveau ; et Létat de tension de ce repli de l
amais je n'ai vu les tubercules quadrijumeaux, soit antérieurs , soit
postérieurs
, présenter dans aucune espèce d'amaurose la moind
cles de la face du même côté, caractérise les tumeurs nées de la face
postérieure
du rocher et plus particulièrement les tumeurs né
fréquent de voir des tumeurs de diverse nature naître soit de la face
postérieure
, soit de la face antérieure du rocher. Ces tumeur
de deux onces, 5 gros, née de la face supérieure et un peu de la face
postérieure
du rocher droit. — Amaurose et céphalalgie. — Mor
gros, naissait de la face supérieure, en empiétant un peu sur la face
postérieure
du rocher. Du côté droit, elle tenait à la dure-m
mère avec laquelle elle s'est détachée de la base du crâne. Les faces
postérieure
et supérieure du rocher étaient mamelonnées, rugu
ens du cervelet par la partie de cette tumeur qui naissait de la face
postérieure
du rocher. Le cerveau, tout autour de la tumeur,
ace supérieure du rocher. — Petite tumeur osseuse naissant de la face
postérieure
du même os.—Affaiblissement des facultés intellec
, dans l'épaisseur duquel se prolongeait l'ossification. De la face
postérieure
du rocher, naissait encore une petite tumeur enti
ets de compression du côté du cerveau; celles qui naissent de Sa face
postérieure
du même os compriment le cerveau, la protubérance
sur l'encéphale. Tumeur cancéreuse très volumineuse née de la face
postérieure
du roclwr. — Flexion permanente avec rigidité d
inférieurs sont dans une flexion permanente, à ce point que la région
postérieure
des jambes touche la région postérieure des cuiss
nte, à ce point que la région postérieure des jambes touche la région
postérieure
des cuisses. Les orteils sont constamment portés
Ouverture du cadavre.—Une tumeur vraiment énorme naissait de la face
postérieure
du rocher, et remplissait plus de la moitié de l'
sauf sa nature osseuse, une miniature de la tumeur décrite de la face
postérieure
du rocher. Enfin, dans la partie de la fosse te
rachnoïde viscérale. La fig. 2 représente la moelle vue par la face
postérieure
, et permet d'apprécier l'aplatissement qu'elle av
espèce de gaine. L'autre tumeur, qui occupait la partie supérieure et
postérieure
de la région dorsale , était olivaire et d'un tis
tout-à-fait identique à celui de la tumeur inférieure. Les faisceaux
postérieurs
et médians de la moelle étaient pulpeux, grisâtre
étaient atrophiées et comme confondues avec les tumeurs; les racines
postérieures
étaient intactes. Ce fait vient encore à l'appui
ctation exclusive des racines antérieures au mouvement et des racines
postérieures
à la sensibilité. Les tumeurs sous-arachnoïdien
on transversale, qui était presque aussi prononcée du côté de la face
postérieure
que du côté de la face antérieure de la moelle. C
ons étaient parfaitement sains et n'offraient même pas dans leur bord
postérieur
cette infiltration séreuse que l'on considère gén
llulosité infiltrée. — Dégénération gris jaunâtre des cordons médians
postérieurs
. — Tumeur encéphaloïde autour de la queue de chev
ant un liquide. Du reste, à partir de ce point, les cordons médians
postérieurs
sont transformés en une substance gris jaunâtre,
urement (fig. 1'), la moelle présente la même disposition que la face
postérieure
, la même adhérence des membranes entre elles et a
ntre elles et avec la moelle, la pseudo-membrane indiquée sur la face
postérieure
, fausse-membrane qui se prolongeait en avant et
et l'altération de la moelle. Quant à la conversion du cordon médian
postérieur
en substance gris jaunâtre, j'aurai occasion d'en
lle. Fig. i'. D'autres îles rougeâtre TR, TR, se voient sur la face
postérieure
de la moelle: les racines qui naissent au niveau
s? Je reste dans le doute à cet égard. La fig. 2 représente la face
postérieure
d'une moelle appartenant à un autre sujet, elle o
t. — Danse de Saint-Guy chronique. — Dégénération grise des cordons
postérieurs
de la moelle (fig. 3). Mademoiselle Gruyer, 54
u-près les deux tiers de son volume ordinaire. Les cordons médians et
postérieurs
de la moelle ont été transformés en une bande gri
ablit que l'altération et très exactement limitée aux cordons médians
postérieurs
: elle établit, en outre, que cette altération oc
tte altération occupe toute l'épaisseur de ces cordons. Les racines
postérieures
des nerfs spinaux sont tout-à-fait atrophiées : e
aux régions dorsale et lombaire. Réflexions. Les cordons médians et
postérieurs
, les racines postérieures des nerfs spinaux, étai
mbaire. Réflexions. Les cordons médians et postérieurs, les racines
postérieures
des nerfs spinaux, étaient seuls intéressés, et c
ues de nos jours sur le siège respectif du sentiment dans les cordons
postérieurs
de la moelle et dans les racines postérieures des
ntiment dans les cordons postérieurs de la moelle et dans les racines
postérieures
des nerfs spinaux et sur le siège du mouvement
es autres restant intacts. Ce fait de l'influence des cordons médians
postérieurs
de la moelle sur le mouvement, aussi bien que sur
ration , sauf la consistance des parties. Les deux cordons médians et
postérieurs
de la moelle sont convertis en une pulpe molle, g
r la portion des faisceaux latéraux, qui avoisine les cordons médians
postérieurs
. Les racines postérieures des nerfs spinaux étaie
x latéraux, qui avoisine les cordons médians postérieurs. Les racines
postérieures
des nerfs spinaux étaient très grêles, surtout en
a conséquence fondamentale de ce fait, savoir que les cordons médians
postérieurs
et les racines postérieures^des nerfs spinaux pré
de ce fait, savoir que les cordons médians postérieurs et les racines
postérieures
^des nerfs spinaux président au mouvement tout aus
ransformation ou dégénération grise était limitée aux cordons médians
postérieurs
. Amaurose.—Paraplégie du mouvement seulement.—D
plégie du mouvement seulement.—Dégénération grise des cordons médians
postérieurs
. Une jeune fille amaurotique , paraplégique du
ouveront leur place ailleurs. La moelle épinière présentait à sa face
postérieure
et dans toute sa longueur une grande colonne gris
longueur une grande colonne gris rosé, formée parles cordons médians
postérieurs
. Cette colonne était traversée par des filamens b
aversée par des filamens blancs, faisant suite aux filets des racines
postérieures
de la moelle. Tout le reste de la moelle était pa
sentiment et incomplète du mouvement.—Dégénération grise des cordons
postérieurs
de la moelle. Meurice,42 ans, mariée, point d
s-arachnoïdienne, engainant la moelle; dégénération grise des cordons
postérieurs
de la moelle; atrophie des racines postérieures d
tion grise des cordons postérieurs de la moelle; atrophie des racines
postérieures
des nerfs spinaux. Je plongeai la moelle dans l
e, sauf quelques portions qui présentent des îles blanches. La face
postérieure
de la moelle est saine, excepté au niveau du bulb
emblent avoir été détruites au niveau de cette substance. Les racines
postérieures
des nerfs spinaux ne sont pas sensiblement atroph
flexion antérieur du corps calleux , et l'autre occupait le bourrelet
postérieur
. La voûte a trois piliers m'a présenté plusieur
incomplète du mouvement. —Transformation gris-jaunâtre des cordons
postérieurs
de la moelle. Femme Cherpin, 52 ans, paraplégiq
n. Moelle épinière. L'altération est exactement limitée aux cordons
postérieurs
de la moelle et consiste dans une transformation
de cette disposition qu'aux régions lombaire et dorsale, les cordons
postérieurs
et les petits cordons du sillon médian postérieur
rsale, les cordons postérieurs et les petits cordons du sillon médian
postérieur
de la moelle étaient affectés, mais qu'à la régio
a moelle étaient affectés, mais qu'à la région cervicale, les cordons
postérieurs
étaient sains, et l'altération limitée aux cordon
d'autres cas, nous avons vu la dégénération grise des cordons médians
postérieurs
affecter bien plus le mouvement que le sentiment.
sensible et motrice, on ne peut pas conclure que les cordons médians
postérieurs
président exclusivement au sentiment. MALADIES
ntiment. MALADIES DE LA MOELLE EPINIERE 9 9 "l^raison F//™ Tace
postérieure
, Tace antérieure. Coupe. Face postérieure.
"l^raison F//™ Tace postérieure, Tace antérieure. Coupe. Face
postérieure
. c m !' Tace antérieure. Ccurpe antero-post
manifestement la nature de la lésion. Après avoir étudié la région
postérieure
de la colonne vertébrale et avant de procéder à l
ière, qui, comprimée entre le kyste hydatique, d'une part, et la face
postérieure
du corps des vertèbres, d'une autre part, avait é
opinion, attendu que la compression portait directement sur la région
postérieure
de la moelle ; mais en opposition avec ce mode d'
ité. — Dégénération grise beaucoup plus considérable dans les cordons
postérieurs
que dans les cordons antérieurs de la moelle épin
étendue, l'intervalle qui sépare les racines antérieures des racines
postérieures
. La moelle ayant été dépouillée de son névrilèm
ence de la moelle, mais qu'elle est bien plus considérableà la région
postérieure
, représentée fig. i', qu'à la région antérieure,
n'interceptent qu'une partie des fibres de ces cordons. Les colonnes
postérieures
et latérales de la moelle sont intéressées dans u
ressées dans une bien plus grande étendue. Les racines antérieures et
postérieures
des nerfs spinaux n'avaient d'ailleurs subi aucun
ponctuée, montre que cette dégénération , qui a envahi les faisceaux
postérieurs
et les faisceaux latéraux, n'est point du tout su
profondément lésé que le mouvement (i) ; or, l'altération des cordons
postérieurs
et latéraux de la moelle était beaucoup plus éten
es dégénérées. Ces parties sont les deux tiers supérieurs de la paroi
postérieure
du vagin, la paroi antérieure de cet organe dans
t avait subi la dégénération graisseuse dans les muscles de la région
postérieure
delà cuisse seulement, à savoir dans les muscles
'ai reconnu que les cordons médullaires qui occupent le sillon médian
postérieur
, avaient subi la dégénération grise, et qu'ils ét
adrijumeaux. Une île ou tache grise occupait le tubercule quadrijumal
postérieur
gauche et l'espace qui le sépare du tubercule qua
postérieur gauche et l'espace qui le sépare du tubercule quadrijumal
postérieur
droit. Quelques îles ou taches grises sur la co
affinité plus particulière pour la paroi antérieure que pour la paroi
postérieure
de ce canal; i° qu'une des terminaisons les plus
d'un pied bot et la dégénération graisseuse des muscles de la région
postérieure
de la cuisse, et que démontrait physiologiqtien 1
cédé accoutumé, c'est-à-dire par la séparation et l'ablation des arcs
postérieurs
, une certaine quantité de pus visqueux , adhérent
s dorsales '. ce pus s'était échappé d'un foyer compris entre la face
postérieure
des vertèbres et le ligament vertébral commun pos
tre la face postérieure des vertèbres et le ligament vertébral commun
postérieur
; au fond de ce foyer, on sentait les os à nu, et
dire d'avant en arrière; qu'elle agisse directement sur les faisceaux
postérieurs
, c'est-à-dire d'arrière en avant, le sentiment e
n. Quelques cicatrices jaunâtres des circonvolutions inférieures et
postérieures
de l'hémisphère droit, attestaient une apoplexie
étaient sains et n'offraient même pas l'œdème accoutumé de leur bord
postérieur
. (1) Observation recueillie par M. Diday, inter
que la substance grise de quelques circonvolutions occupant la partie
postérieure
et supérieure de l'hémisphère droit, était ramoll
trouvé un foyer apoplectique très considérable qui occupait la moitié
postérieure
de la convexité de l'hémisphère opposé. Dans un
complète d'articuler les sons, j'ai trouvé plusieurs circonvolutions
postérieures
de l'hémisphère droit du cerveau comme sillonnées
uleux jaunâtre aux dépens du corps strié externe; les circonvolutions
postérieures
de l'hémisphère droit du cervelet sont également
tement. A l'ouverture, on trouva (fîg. a), dans l'épaisseur du lobe
postérieur
du cerveau, du côté de la face convexe, une tumeu
t l'un la face interne de l'hémisphère droit, non loin de l'extrémité
postérieure
; l'autre la face externe et inférieure de l'autre
terne de l'hémisphère droit du cerveau. L A, lobe antérieur; LB, lobe
postérieur
; SS, scissure de Sylvius. La cicatrice qu'elle
ase du poumon et le diaphragme,et s'étendait en arrière entre le bord
postérieur
du poumon et la gouttière des côtes. Le sang, qui
veau, vu par sa face supérieure. LA est le lobe antérieur, LB le lobe
postérieur
, SS la scissure de Sylvius. La coupe a atteint le
purgatif, eau de Sedlitz. Le 26 novembre, les muscles de la région
postérieure
du col sont rigides, douloureux et la face est to
ume d'une petite noix, occupait l'épaisseur d'une des circonvolutions
postérieures
. Les parois du foyer étaient teintes de sang lie-
la phlegmasie semble avoir marché d'arrière en avant ; car la moitié
postérieure
de ce caillot est décolorée, jaunâtre, et contien
circonvolutions occipitales, celles qui occupent la corne occipitale
postérieure
comme celles qui répondent à la portion réfléchie
és du bulbe rachidien (1). Au-dessous de cet étranglement est la face
postérieure
du bulbe rachidien. La moelle épinière était d'ai
des fosses latérales et moyennes et la petitesse des fosses latérales
postérieures
ou cérébelleuses. Comme le col du sujet était trè
ent j'ai pu constater qu'un filament nerveux, appartenant aux racines
postérieures
, avait pénétré dans la tumeur, où il décrivait un
C, parfaitement isolé de toutes parts, situé dans l'épaisseur du lobe
postérieur
de l'hémisphère droit, contenant un pus épais jau
épaisseur de la substance grise: toute la partie du cerveau qui était
postérieure
au kyste du cerveau, était ramollie à la manière
t amené la mort, ramollissement blanc-manger de la portion du cerveau
postérieure
au kyste, et inflammation des ventricules. Je cro
ette tumeur portait à-la-fois et sur le lobe antérieur et sur le lobe
postérieur
de l'hémisphère gauche, dont la substance blanche
ération , tout-à-fait indépendante de la précédente, occupait le lobe
postérieur
du même hémisphère: la portion du lobe postérieur
e, occupait le lobe postérieur du même hémisphère: la portion du lobe
postérieur
, qui déborde en arrière le corps calleux, était c
point correspondant. Le reste du sinus, c'est-à-dire les trois quarts
postérieurs
de ce sinus, étaient parfaitement libres. Cette t
evait une tumeur du volume d'une prune mirabelle, naissant de la face
postérieure
du rocher, en dehors du canal auditif interne. Ce
nie latente à laquelle elle succomba. La pneumonie occupait la partie
postérieure
du poumon droit. La face inférieure du lobe gau
peau de daim et ramollissement occupant la portion inférieure du lobe
postérieur
du cerveau. Destruction â-peu-près complète de ce
s le tissu cellulaire sous-arachnoïdien. La face inférieure du lobe
postérieur
droit du cerveau, présente cette couleur peau de
appartenu à un sujet de 45 ans, et étaient situées l'une à la région
postérieure
de la jambe gauche, l'autre à la région fessière
ure; 20 deux « extrémités : une antérieure, arrondie, mamelonnée; une
postérieure
, coupée en biseau et par laquelle ce les tubercul
ne femme de Tournay, laquelle portait une espèce de corne à la partie
postérieure
de la cuisse gauche. La peau qui supporte la pr
xiv, p. i/f5), âgée de 66 ans, qui portait depuis 16 ans, à la partie
postérieure
et interne de la cuisse droite, une production co
rquable, c'est qu'on les rencontre au moins aussi souvent à la partie
postérieure
et interne des cuisses, au-dessus du creux du jar
sa face antérieure. La fig. 2' montre la même tumeur vue par sa face
postérieure
. La fig. 2'' montre la tumeur divisée: elle éta
rcourue par une crête antéro-postérieure, bifurquée à son extré" mité
postérieure
et à son extrémité antérieure; cette crête, c'éta
cter vésical et par le trigone, et qui venait sortir derrière le bord
postérieur
du trigone au fond d'une excavation EXC (2). Cett
ur. Le trigone était constitué par une sorte de croissant à concavité
postérieure
. Derrière ce trigone, la vessie formait un cul-de
Vessie peu développée, à parois très épaisses ; gangrène de la paroi
postérieure
de cet organe, à l'exception du péritoine, qui av
Sur cette figure, la vessie a été divisée verticalement par sa paroi
postérieure
, et la prostate par sa paroi inférieure. On voit
ns l'un ou l'autre de ces orifices. La figure 1' représente la face
postérieure
de la même vessie. On y voit un plan musculaire s
u veru-montanum, lequel était très développé, surtout à son extrémité
postérieure
, qui répondait au centre de la portion prostatiqu
it considérablement rétréci et réduit à un demi-croissant à concavité
postérieure
, la vessie présentait une poche ou cul-de-sac qui
e muqueuse. La figure 2' représente la même vessie, vue par sa face
postérieure
; elle n'offre de remarquable qu'une tumeur K dév
ou plutôt dans une destruction de celles des circonvolutions du lobe
postérieur
, qui appartiennent à la scissure. La circonvoluti
au-né. Il refoulait fortement le foie en haut et appuyait par sa face
postérieure
contre la colonne vertébrale. Le colon ascendant
s jours. A Vouverture : pleurésie pseudo - membraneuse, à la partie
postérieure
du poumon droit; œdème considérable de cette part
artie postérieure du poumon droit; œdème considérable de cette partie
postérieure
. La glande mammaire a dégénéré en un tissu d'ap
lées en bas au diaphragme, en arrière aux côtés , et en avant au bord
postérieur
du poumon , lequel est refoulé en avant et en hau
rissée de végétations, et se confondait avec le col utérin ; la paroi
postérieure
n'était altérée que dans la partie qui avoisinait
a paroi antérieure est beaucoup plus fréquemment envahie que la paroi
postérieure
; aussi est-il rare de voir le bas-fond de la vess
ivers aspects. La figure 1 nous montre le vagin ouvert par sa paroi
postérieure
. Les deux tiers supérieurs de sa cavité sont remp
de l'utérus. Le corps de l'utérus est également ouvert par sa paroi
postérieure
; sa cavité contenait une assez grande quantité d
ou l'autre lèvre de cette partie. Or, en examinant avec soin la face
postérieure
du polype PP (fig. i), je reconnus que sa partie
rd légèrement sinueux; cette valvule n'était autre chose que la lèvre
postérieure
du museau de tanche, amincie, allongée, soulevée
de tanche MT est beaucoup plus allongée que celle formée par la lèvre
postérieure
: elle est d'ailleurs adhérente à la tumeur dans
d étonnement des assistans : alors, incisant avec précaution la paroi
postérieure
de la cavité utérine, je vis que sous la muqueuse
it la paroi antérieure du vagin, la partie la plus élevée de la paroi
postérieure
de ce conduit et le col de l'utérus. Le corps de
stituent en avant la paroi antérieure du vagin et en arrière la paroi
postérieure
du rectum. La gangrène avait envahi le tissu cell
lus quelquefois que le corps ou même une partie de ce corps, sa paroi
postérieure
, son fond : des adhérences entre la vessie, le re
ste dans le bassin et se prolonge en avant, d'une part, entre la face
postérieure
de la vessie et le corps de l'utérus, d'une autre
de la vessie et le corps de l'utérus, d'une autre part, entre la face
postérieure
de l'utérus et le rectum- Large communication ent
testin grêle. — Adhérence de la face antérieure de l'utérus à la face
postérieure
de la vessie. La moindre traction a suffi pour ro
té également entraînée par la paroi antérieure du vagin. Sur la paroi
postérieure
de cette portion de vessie herniée, qui appartien
se de l'organe, se voient les orifices des uretères UU. 3° La paroi
postérieure
de la portion de vessie déplacée ayant été divisé
Enfin, tout-à-fait en arrière se voit un cul-de-sac formé par la face
postérieure
de l'utérus et par la paroi postérieure du vagin
cul-de-sac formé par la face postérieure de l'utérus et par la paroi
postérieure
du vagin , cul-de-sac tapissé par le péritoine 2e
rès superficiel et qu'il suffirait pour y arriver de diviser la paroi
postérieure
du vagin. La même figure permet de voir la cont
art avec la paroi antérieure du vagin, d'une autre part avec la paroi
postérieure
du même conduit : l'aspect du tissu du vagin et d
e péritoine revêtant le cul-de-sac formé par l'utérus et par la paroi
postérieure
du vagin. 7° Derrière la tumeur formée par le v
en PPV, la coupe d'une espèce de rigole profonde formée par la paroi
postérieure
du vagin réfléchie sur elle-même : en effet, tand
oi antérieure du vagin s'est déplacée dans toute sa hauteur, la paroi
postérieure
a résisté dans toute sa partie inférieure, et con
la paroi antérieure du vagin est complet, le renversement de la paroi
postérieure
ne l'est jamais, ou presque jamais, à quelque deg
ion de vessie restée en place. Les rapports du rectum et de la face
postérieure
du vagin étant immédiats à leur partie inférieure
'épaisseur de la tumeur. En outre, pour que le rectum suivit la paroi
postérieure
du vagin, il faudrait que le renversement de cett
postérieure du vagin, il faudrait que le renversement de cette paroi
postérieure
fût aussi complet que celui de la paroi antérieur
sphincter. Il résulte encore des rapports du péritoine avec la face
postérieure
de l'utérus et du vagin, que le péritoine descend
t du vagin, que le péritoine descend beaucoup plus bas entre la paroi
postérieure
de l'utérus et la paroi postérieure du vagin qu'e
beaucoup plus bas entre la paroi postérieure de l'utérus et la paroi
postérieure
du vagin qu'entre la paroi autérieure de l'utérus
entre le cul-de-sac péritonéal antérieur et le cul-de-sac péritonéal
postérieur
à l'utérus, que le cul-de-sac péritonéal antérieu
ur admettre les intestins grêles, tandis que le cul-de-sac péritonéal
postérieur
peut en admettre une très grande, une énorme quan
tanche est plus ou moins déformé; l'une des lèvres, ordinairement la
postérieure
, est très considérable, tandis que l'antérieure e
e est effacée. Cet orifice est ordinairement semi-lunaire à concavité
postérieure
: dans un cas soumis à mon observation, l'orifice
sans altération. Le rectum, adhérent dans toute l'étendue de la face
postérieure
de l'utérus, se réfléchissait en quelque sorte su
intimement uni pour venir s'accoler à la partie supérieure de la face
postérieure
de la vessie. L'uretère, le bassinet et les calic
périeurs de la paroi antérieure et à la moitié supérieure de la paroi
postérieure
de ce conduit. L'altération a également envahi le
roi antérieure du vagin et le museau de tanche sont indurés. La paroi
postérieure
est saine.—Elle n'a eu qu'un enfant, il y a i4 an
ns lymphatiques cancéreux, mais d'un petit volume, côtoyaient la face
postérieure
de la clavicule et se continuaient le long de la
in, car ils occupaient tout aussi bien la face antérieure que la face
postérieure
de la vessie, le sommet que le bas-fond du même o
vue par l'intérieur du bassin. Le vagin VA a été divisé par sa paroi
postérieure
, et dans toute sa longueur. On voit que ce canal
pyramide à trois faces. L'une de ces faces était antérieure; l'autre
postérieure
appuyait sur la cuisse droite; la troisième, inte
-ci: l'ovaire et la trompe déplacés sont constamment fixés à la paroi
postérieure
du sac herniaire par leurs ailerons; ils ne se dé
gangrène. Destruction gangreneuse de la partie supérieure de la paroi
postérieure
du vagin. Il résulte de cette destruction du col
'ailleurs sans altération de tissu. Cependant la partie inférieure et
postérieure
du col m'a paru plus dense et plus blanche que
longue et difficile : les adhérences fibreuses qui unissaient la face
postérieure
de l'utérus au rectum et aux parties voisines, ne
me de l'utérus n'était pas augmenté. La figure i représente la face
postérieure
de l'utérus, sur laquelle on peut apprécier les n
s, de l'hypogastre, des régions antérieures et latérales, des régions
postérieures
des cuisses? Mais si ces douleurs révèlent le siè
rus, mais ne préjugent rien sur sa nature. L'exploration de la face
postérieure
du corps de l'utérus par le doigt introduit dans
ure 4 représente le squelette disposé de telle manière, que la région
postérieure
qu'occupe le sommet de la tête regarde en haut, l
nis; mais en renversant le paquet intestinal, j'ai trouvé à la partie
postérieure
de la cavité abdominale un foie tout-à-fait sembl
sicule biliaire et sa veine ombilicale. La veine ombilicale du foie
postérieur
se détachait du cordon au moment où ce cordon pén
étrait par l'ombilic dans la cavité abdominale, s'accolait à la paroi
postérieure
de l'abdomen commun et se rendait au sillon antér
l'abdomen commun et se rendait au sillon antéro-postérieur de ce foie
postérieur
. Le foie antérieur et le foie postérieur adhéra
téro-postérieur de ce foie postérieur. Le foie antérieur et le foie
postérieur
adhéraient l'un à l'autre, et cela par leur bord
t le foie postérieur adhéraient l'un à l'autre, et cela par leur bord
postérieur
; en sorte que le foie postérieur affectait avec
un à l'autre, et cela par leur bord postérieur ; en sorte que le foie
postérieur
affectait avec la paroi abdominale postérieure le
; en sorte que le foie postérieur affectait avec la paroi abdominale
postérieure
les mêmes rapports que le foie antérieur avec la
it et par la moitié gauche de l'abdomen du fœtus gauche, que la paroi
postérieure
est constituée par la moitié droite du fœtus gauc
ur le fœtus gauche il a fallu nécessairement qu'il présentât son bord
postérieur
en avant, et par conséquent qu'il opposât son bor
on bord postérieur en avant, et par conséquent qu'il opposât son bord
postérieur
au bord postérieur du foie antérieur. Du reste, l
en avant, et par conséquent qu'il opposât son bord postérieur au bord
postérieur
du foie antérieur. Du reste, l'union des deux foi
reste, l'union des deux foies n'avait lieu qu'au tiers moyen du bord
postérieur
de ces organes : de chaque côté, se voyait deux p
à la portion libre des bords du foie. Le foie antérieur et le foie
postérieur
présentaient cela de remarquable, qu'ils n'occupa
son. Cette cavité commune des oreillettes, qui est située sur un plan
postérieur
aux ventricules, communique d'ailleurs avec l'un
érent, puisque dans ce cas les foies s'étaient réunis par leurs bords
postérieurs
. Adhesions. 25cLwraison PL £ G-Cftazal del
occupent les deux feuillets antérieurs, les autres les deux feuillets
postérieurs
. Plusieurs de ces tubercules sont pédicules , app
ré avait augmenté considérablement d'épaisseur, surtout dans la paroi
postérieure
. Je n'ai pas noté d'une manière détaillée les car
en quelque sorte racine de la portion du péritoine, qui revêt la face
postérieure
de l'utérus et de celle qui revêt la face antérie
céphaloïde naître de la surface libre du péritoine, qui revêt la face
postérieure
de l'utérus, de sorte qu'il était facile d'enleve
ces deux sacs, l'un était antérieur,à orifice étroit ; l'autre était
postérieur
. Ces deux sacs présentaient, comme le péritoine p
che des vertèbres correspondantes. Baltemens appréciables à la région
postérieure
du thorax. Paraplégie. Hémoptysie. Mort subite pa
he des vertèbres correspondantes. Bat temens appréciables à la région
postérieure
du thorax. Paraplégie. Hémoptysie. Mort subite pa
r. Foyer apoplectique aux dépens de la couche optique et de la partie
postérieure
du corps trié en voie de guérison. Fluxion séreus
chez une femme de 81 ans. Oblitération complète des artères tibiale,
postérieure
et pé-ronière. Liberté de la tibiale antérieure.
che des vertèbres correspondantes. Battemens appréciables à la région
postérieure
du thorax. Paraplégie. Hémoptysie. Mort subite pa
r. Foyer apoplectique aux dépens de la couche optique et de la partie
postérieure
du corps strié en voie de gué-rison. Fluxion sére
circonvolutions; elle peut être partielle ou générale, congéniale ou
postérieure
à la naissance; ses différentes formes; diminutio
au de daim et ramollissement, occupant la portion inférieure du lobe,
postérieure
du cerveau. Destruction â-peu-près complète de ce
ectique. 20e liv., pl. in, iv, p. 4. — Tumeur fibreuse née de la face
postérieure
du rocher, comprimant le cervelet et la protubéra
deux onces, cinq gros, née de la face supérieure et un peu de la face
postérieure
du rocher droit. Amaurose et céphalalgie. Mort su
face supérieure du rocher. Petite tumeur osseuse naissant de la face
postérieure
du même os. Affaiblissement des facultés intellec
iv., pl. 11, p. 6. — Tumeur cancéreuse très volumineuse née de laface
postérieure
du rocher. Flexion permanente avec rigidité des m
re stomachique. 10e liv., pl. v, vi, p. 6. — Ulcère occupant la paroi
postérieure
de l'estomac. Hémalémèse el déjections sanglantes
ie, et de l'estomac, lequel était situé dans l'épaisseur du médiastin
postérieur
. Brièveté et invagination de l'œsophage. 19e liv.
chez une femme de 81 ans. Oblitération complète des artères tibiale,
postérieure
et péronière. Liberté de la tibiale antérieure. C
oie et de l'estomac, lequel était situé dans l'épaisseur du médiastin
postérieur
. = Hernie cervicale du poumon. 19e liv., pl. v, v
cellulosilé infiltrée. Degeneration gris-jaunâtre des cordons médians
postérieurs
. Tumeur encéphaloïde autour de la queue de cheval
uvement. Danse de Saint-Guy chronique. Degeneration grise des cordons
postérieurs
de la moelle. 32e liv., pl. 1, 11, p. tg. — Indép
plégie du mouvement seulement. Degeneration grise des cordons médians
postérieurs
. = Paraplégie complète du sentiment et incomplète
sentiment et incomplète du mouvement. Dégénération grise des cordons
postérieurs
de la moelle. 32e liv., pl. 1,11, p. 2t. — Parapl
ment incomplètedu mouvement. Transformation gris-jaunâtre des cordons
postérieurs
de la moelle. 32e liv., pl, 1, n, p. 23. — Parapl
ililé. Degeneration grise beaucoup plus considérable dans les cordons
postérieurs
que dans les cordons antérieurs de la'moelle épin
oie et de l'estomac, lequel était situé dans l'épaisseur du médiaslin
postérieur
. Brièveté et invagination de l'œsophage. 19e liv.
incomplète du mouvement et du sentiment. Dégénération grise du^cordon
postérieur
de la moelle. 32nliv., pl. i, u, p. ig.— Paraplég
plégie du mouvement seulement. Degeneration grise des cordons médians
postérieurs
. = Paraplégie incomplète du mouvement et complète
du mouvement et complète du sentiment. Degeneration grise des cordons
postérieurs
de la moelle. = Erreur des idées reçues sur le si
ent incomplète du mouvement. Transformation gris-jaunâtre des cordons
postérieurs
de la moelle. 32e liv., pl. i, n, p. a3. — Le mou
ellulosité infiltrée. Dé-génération gris jaunâtre des cordons médians
postérieurs
. Tumeur encéphaloïde autour de la queue de cheval
uvement. Danse de Saint-Guy chronique. Dégénération grise des cordons
postérieurs
de la [moelle. 32» liv., pi. i, ii, p. 49. — Am
plégie du mouvement seulement. Dégénération grise des cordons médians
postérieurs
. = Paraplégie complète du sentiment et incomplète
sentiment et incomplète du mouvement. Dégénération grise des cordons
postérieurs
de la moelle. 32" liv., pl. i, n', p. ai. —Parapl
cère aigu. 30e liv., pl. m ,p. 2. — Perforation par usure de la paroi
postérieure
du pharynx. 35e liv., pl. iv, p. 3.— Perforation
stomatite. 15e liv., pl. m, p. 1. — Perforation par usure de la paroi
postérieure
du pharynx. 35e liv., pl. iv, ». 3. PHLÉBITE. L
suppuration et de perforation des veines fémorales, poplitée, tibiale
postérieure
et péronière. Communication du pus contenu dans c
aire. 38e liv., pl. 1, p. 8. ROCHER. Tumeur fibreuse née de la face
postérieure
du rocher, comprimant le cervelet et la protubéra
deux onces, cinq gros, née de la face supérieure et un peu de la face
postérieure
du rocher droit. Amaurose et céphalalgie. Mort su
a face supérieure du rocher. Petite tumeur osseuse naissant à la lace
postérieure
du même os. Affaiblissement des facultés intellec
iv., pl. n, ». 6. — Tumeur cancéreuse très volumineuse née de la face
postérieure
du rocher. Flexion permanente avec rigidité des m
e de tous les sens, produite par une tumeur fibreuse , née de la face
postérieure
du rocher, comprimant le cervelet et la protubéra
complète du sentiment et du mouvement. Dégénération grise des cordons
postérieurs
de la moelle. 32e liv., pl. 1,11, p. /p.—Erreur d
entiment et incomplète du mouvement. Degeneration grise des . cordons
postérieurs
de la moelle. 32e liv., pl. 1, n, p. 21. — Parapl
ent incomplète du mouvement. Transformation gris jaunâtre des cordons
postérieurs
de la moelle. 32e liv., pl. 1, n , p. 23. SERRES
lus dans les lobes antérieurs du cerveau que dans les lobes moyens et
postérieurs
. 8e liv., pl. vi, p. 3- 33e liv., pl. m, p. 5.—Qu
ire stomachique. 10eliv., pl. v, vi, p. 6. — Ulcère occupant la paroi
postérieure
de l'estomac. Hématémèse et déjections sanglantes
e suppuration et deperforation des veines fémorale, poplilée, libiale
postérieure
et péronière. Communication du pus contenu dans c
s seins, latéralement parla partie interne des deltoïdes. La partie
postérieure
du tronc est insensible à partir d'une ligne ho
essier, existe une vaste zone d'anesthésie occupant toute la partie
postérieure
du tronc, les épaules, la nuque. En avant, au-d
le cours de mes recherches sur la direction des fibres des racines
postérieures
dans l'intérieur de la moelle épinière, j'ai in
est la paralysie des mouvements avec hypéresthésie dans les parties
postérieures
du côté atteint, et anesthésie du côté opposé.
uits sensitifs à peu près au niveau de leur passage par les racines
postérieures
dans la moelle épinière; en vue de ce dernier c
al, l'arceau d'une vertèbre, afin de mettre à nu une partie du côté
postérieur
de la moelle épinière et de pouvoir m'orienter
'orienter plus facilement en ce qui concerne la veine longitudinale
postérieure
qui longe, sous la dure-mère, la superficie pos
ngitudinale postérieure qui longe, sous la dure-mère, la superficie
postérieure
de la moelle épi- nière et qui sert à désigner
chant. Je dirigeais l'instrument perpendiculairement vers la partie
postérieure
de la surface de la moelle, le bout vers la vei
s de la motilité consistaient en une paralysie complète de la patte
postérieure
du côté corres- pondant ; cette dépendance étai
obaye est sur pied, le bassin est un peu affaissé ; la patte droite
postérieure
est allon- gée en arrière et ne produit aucun m
a sensibilité, on remarque une hyperesthésie cutanée de l'extrémité
postérieure
, et de toute la surface postérieure du corps au
esthésie cutanée de l'extrémité postérieure, et de toute la surface
postérieure
du corps au niveau de la section de la moelle é
s parties correspondantes du côté gauche (en v incluant l'extrémité
postérieure
), perte complète de la sensibilité cutanée aux
tanée est complètement annulée dans la partie gauche de la moitié
postérieure
du corps et elle devient exagérée dans la parti
e épinière a durci jusqu'à un degré satisfaisant, la partie dorsale
postérieure
est mise dans l'alcool, ensuite dans le celloïd
a moelle épinière, il s'en suit paralysie complète de ' l'extrémité
postérieure
du côté correspondant. Pour appuyer Fig. 11.
uivantes : Mouvements ; une parésie très pro- noncée de l'extrémité
postérieure
du côté droit, que le cobaye traîne lorsqu'il l
es sont parfaitement conservés. La sensibilité cutanée de la partie
postérieure
du corps et de l'extrémité postérieure du côté
ibilité cutanée de la partie postérieure du corps et de l'extrémité
postérieure
du côté droit est exagérée, du côté gauche elle
ment aholie. Les réflexes de toutes les espèces dans les extrémités
postérieures
sont conservés et ne diffèrent pas évidemment à
si qu'à gauche- 28 février. Le cobaye traîne du côté droit la patte
postérieure
; -, l'extension du jarret, de la patte et de
sont restés les mêmes. Les réflexes cu- tanés de la patte droite
postérieure
sont exagérés. 1er mars. - Les mouvements de
sont exagérés. 1er mars. - Les mouvements de l'extrémité droite
postérieure
sem- blent plus libres. 2 mars. - Le cobaye e
de la paralysie de Brown-Séquard, incomplet parce que dans la patte
postérieure
du côté de la section, il n'y avait pas une par
mps la paralysie des mouvements volou- taires de l'extrémité gauche
postérieure
, tandis que le cobaye pou- vait se servir facil
lement de l'extrémité droite. La sensibilité cutanée de l'extrémité
postérieure
et des parties postérieures du corps du côté ga
La sensibilité cutanée de l'extrémité postérieure et des parties
postérieures
du corps du côté gauche était sensiblement exagér
baye se porte bien. Le bassin est toujours affaissé. Le pied gauche
postérieur
est fléchi vers l'abdomen et la plante se trouv
ires. Le cobaye se sert moins énergiquement de l'extrémité gauche
postérieure
que la veille ; le pied est un peu dévié. La se
ûres et aux pincements, Les réflexes cuta- nés, dans les extrémités
postérieures
, sont égaux des deux côtés. ' En percutant l'os
lexes (réflexes du périoste) sont plus exagérés dans le pied gauche
postérieur
que dans le pied droit. - La température de la pa
ffaissé et amoindri dans le volume. Les mouve- ments du pied gauche
postérieur
sont annulés; du côté gauche, ils sont visiblem
tabilité électro- musculaire est conservée daus les deux extrémités
postérieures
. Les organes pelviens,sont en bon ordre. . 21
temps suspendu; les mouve- ments volontaires de l'extrémité gauche
postérieure
, qnoiqne très faibles, sont possibles dans tout
ille, avec la diffé- rence que la contracture de l'extrémité gauche
postérieure
est moins distincte et les mouvements sont plus
r les quatre pattes, quoique boitant visiblement de la patte gauche
postérieure
, qui, entre autres, a perdu tous ses ongles. La
La plaie est complèment cicatrisée. 29 mai. - L'extrémité gauche
postérieure
est dans un état d'abduction dans la cuisse, lé
les autres phénomènes sont les mêmes. Les doigts de la patte gauche
postérieure
sont garnis de nouveaux ongles, gros et courts.
iveau de l'ancienne hémisection de la moelle dans sa partie dorsale
postérieure
, on avait observé, pendant l'extrac- tion de la
rigé vers la commissure, et le côté droit dirigé vers la périphérie
postérieure
de la moelle; d'un autre côté, elles se localis
uche latéral, en forme d'une bande semi-lunaire allant de la partie
postérieure
, presque du « apex cornu posterioris », vers la
ris », vers la partie antérieure jusqu'au cordon antérieur, au bout
postérieur
plus marqué que le. bout antérieur dont les alt
t du cerve- let, la plus grande partie de fibres était dans le bout
postérieur
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. ' ' 61 et elle diminua
partie lombaire de la moelle épinière, c'est-à-dire dans la région
postérieure
de l'hémisection, une dégénérescence secon- dai
e se concentre en forme d'un petit îlot triangulaire dans la région
postérieure
du cordon latéral du côté gauche et présente un
ésie de l'extrémité droite; en outre d'hyperesthésie dans la région
postérieure
du corps du côté gauche. - Trois jours après l'
rès l'opération; cl l'anesthésie (analgésie) cutanée de l'extrémité
postérieure
et des parties adhérentes du cnrps du côté droi
épinière, se développa une dégéné- ration ascendante dans la région
postérieure
du cordon de Goll et dans le faisceau direct du
développa aucun signe de mouvements volontaires dans les extrémités
postérieures
, et en examinant à l'aide du microscope la cica
s observations sur la sensibilité et sur la motilité des extrémités
postérieures
chez des animaux soumis à une section complète
APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 69 rétablis de l'extrémité
postérieure
, tandis que ces' dernières doivent de nouveau d
externe jusque sous l'uncus. Eminences mamillaires. Espace olfactif
postérieur
. - En suivant en arrière le faisceau pédonculai
elle du côté opposé, for- mait avec cette dernière l'espace perforé
postérieur
. Les connexions de ce faisceau avec le champ ol
e jusqu'à leur origine réelle les bandelettes de l'espace perforé
postérieur
. Je crois cependant y être arrivé : le faisceau
e annulaire, constitue avec celui du côté opposé l'espace perforé
postérieur
. Il est constamment séparé du pédoncule cérébra
ce cerveau pour constater l'implantation de ces tractus sur le bord
postérieur
du champ objectif. Dans ce cas, les racines inter
imitent cet espace (5e mois). De plus, on voit que l'espace perforé
postérieur
est lui- même comme l'antérieur, un espace olfa
entricule, forme avec son congénère du côté opposé l'espace perforé
postérieur
et se met en relations avec le tubercule mamill
t sous la bandelette optique et vont former la couche inférieure et
postérieure
de la bande diago- nale. Le premier arc périp
érébral » décrit en dedans du pédoncule cérébral deux faisceaux, un
postérieur
et un moyen, qu'il mène tous deux dans l'espace
lus en plus large, et par suite moins épais, il contourne le bord
postérieur
de la couche optique, s'étale sur la face supér
échanges de fibres qui ont lieu quelquefois entre lui et le pilier
postérieur
de la voûte, au moment ' Au sujet du dénia, je
L NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 79 où ce pilier contourne le bord
postérieur
delà couche optique, revêtue du ruban. J'appell
le ruban et le centre cortical, dont le corps bordant et le pilier
postérieur
(continuation du corps bordant) sont des annexe
l'anse dès l'origine de celle-ci, et se termine au niveau' du bord
postérieur
du pavillon pédonculaire. » l'lus loin, il DE L
mi- circulaire. - FOVILLE. « Une partie du prolongement du faisceau
postérieur
(du pédoncule), facile à suivre jusqu'à la poin
latère perforé, tandis qu'une émanation supérieure du même faisceau
postérieur
se porte dans l'intervalle du corps strié et la
perdre dans la substance grise de la couche optique. Son extrémité
postérieure
s'épanouit en un large pinceau de fibres qui s'
x. ' Le chiasma ne s'arrête pas là. Dans l'écartement des piliers
postérieurs
, existe une disposition particu- lière non enco
on triangulaire limitée en dehors et de chaque côté par les piliers
postérieurs
et remplie par des cordes transversales, qui se
ACTION. 85 la circonvolution godronnée. Il en émane aussi du bord
postérieur
des piliers. Je dois dire que cette disposition
plus épais. Il y aurait une sorte de balancement entre le chiasma
postérieur
(lyre) et l'antérieur (piliers antérieurs). Ce
e point établi, je n'ai rien à dire de la terminai- sou des piliers
postérieurs
; je dois toutefois rappe- ler que ces piliers,
x à la bande diagonale, et se continuant par une anse à concavité
postérieure
sur l'origine du ruban péri- optique. Pour co
verticule, il se relève et atteint par sa face inférieure le pilier
postérieur
au niveau de la partie moyenne de la lyre. Là,
ère les origines des piliers antérieurs et les échanges des piliers
postérieurs
avec les rubans périoptiques'; si l'on considèr
pileptogène » donné à la zone motrice des extrémités antérieures et
postérieures
de Hitzig et deFritsch. » Déjà dans s le Mémoir
u'on peut provo- quer des accès d'épilepsie en excitant les régions
postérieures
du cerveau en rapport avec le centre de la visi
utient que de pures affections locales (tumeurs, abcès) des régions
postérieures
du cerveau, peuvent naître, sans action à dista
ilatérale des centres moteurs de l'écorce, l'excitation des régions
postérieures
du cerveau ne provoque pas de convulsions. Seul
ortes, toujours périphériques, les convulsions s'étendent au membre
postérieur
droit, puis aux extrémités gauches ; enfin se p
des couches optiques et des tubercules quadrijumeaux antérieurs et
postérieurs
pro- voque, comme celle de la moelle allongée e
u côté opposé à l'atrophie cérébrale, laquelle occupait les parties
postérieures
des F, et 1<\, de presque toute la FA (à l'e
S. I. UN SYMPTÔME observé dans LES PROCESSUS morbides DE la fosse
postérieure
du crâne; par H. Oppenheim. (Neurol. Centralbl.
ppenheim. (Neurol. Centralbl. 1889.) DEUX cas DE TUMEUR DE la fosse
postérieure
DU crâne ; par R. WuLLENBERG. {Arch. f. Psychia
érébrales supérieures et neuf exemples pour les veines cé- rébrales
postérieures
; les veines passaient brusquement de l'arach- n
de la pariétale ascendante, le lobule pariétal supérieur, la partie
postérieure
dulobule paracentral, l'avant-coin, la circonvolu
ntral, l'avant-coin, la circonvolution du corps calleux, le segment
postérieur
de ce dernier organe, d'autre part. On discute
Contribution A la QUESTION DE la PROPRIÉTÉ ÉPILEPTOGÈNE DE LA ZONE
POSTÉRIEURE
DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE; par P. ROSENBACH. (Neuro
hysiologie du ruban DE REIL. (Observation de gliomatose d'une corne
postérieure
de la moelle); par G. Rosso- LIMO. (Arch.f. Psy
latéropyrami- daux, six observations de dégénérescence des cordons
postérieurs
, quatre faits de dégénérescense des deux espèce
ivent pas non plus à l'excitation. La section transverse du segment
postérieur
de la couche optique et du tubercule quadrijumeau
ueux de la locomo- tion ; 3" l'excitation du tubercule quadrijumeau
postérieur
engendre des convulsions tétaniques qui survive
itation indirecte de la protubé- rance ou du tubercule quadrijumeau
postérieur
. Quant à appliquer ces résultats expérimentaux
ques, lésions inflammatoires, hémorrhagiques et scléreuses du noyau
postérieur
du pneumo-gastrique et du noyau d'origine de l'
IRCONVOLUTIONS ASCENDANTES CONSTITUANT L'ORGANE CENTRAL des cordons
POSTÉRIEURS
; par P. FLECHSIG et 0. II3EL. (Neu- 1'olog. Ce
sixièmes au moins des fibres qui, des noyaux d'origine des cordons
postérieurs
gagnent, en traver- sant la couche intermédiair
donc également un centre sensitif (centre de réflexions des cordons
postérieurs
). L'alaxie qui se montre dans le cas de foyers
est donc identique à celle qui se rattache aux lésions des cordons
postérieurs
. Cette dernière se complique de phénomènes tena
lombaire, l'angle intermédiaire à la corne antérieure et à la corne
postérieure
droite; la tumeur est accolée à la partie latéral
dégénérescence mar- quée des cordons latéraux, moindre des cordons
postérieurs
, la moelle cervicale présente l'anomalie morpho
filée en un arc de cercle dont la convexité est tangente à la corne
postérieure
(Buchholz) ; enfin elle reprend sa forme normal
faisceaux ascendants de la moelle au cervelet. D'abord, les cordons
postérieurs
se composent de plusieurs pièces. Puis, les zon
cule cérébelleux moyen dont la partie principale vient des segments
postérieurs
des hémisphè- res cérébelleux et subit une inte
sont en contact avec l'écorce des lobes frontaux et avec la partie
postérieure
des hémis- phères cérébraux; 3" les fibres du p
e développent les légions systématiques (no- tamment dans la moitié
postérieure
de la moelle épinière), mais aussi de se dispos
uvent être prises pour des scléroses primi- tives. Dans les cordons
postérieurs
, ces foyers forment quelquefois des figures tel
foire où était installé un tir à la carabine, il reçut à la partie
postérieure
du cou une balle de 5 à 6 mil- limètres : la di
ts sont affaiblis, sauf les mouvements que commandent les muscles
postérieurs
de l'avant-bras, les extenseurs. La physionomie
élan d'avant en arrière, s'en donne un coup violent dans la région
postérieure
de la tête. Il tombe aussitôt sans connaissance
ncrété de la largeur d'une pièce d'un franc. A la partie interne et
postérieure
de la calotte crânienne, au niveau de la plaie
Les deux hémisphères cérébraux pèsent chacun 570 gr. A la partie
postérieure
dit cerveau faisant suite à celle qui est resté
cérébral, et de là dans les ventricules laté- raux, par leur partie
postérieure
, au niveau de leur courbure vers le pied d'Hipp
che de collodium iodoformé. Aussitôt après l'opération, l'extrémité
postérieure
gauche, pen- dant les mouvements et pendant le
ain affaiblissement des mouvements volon- taires dans le pied droit
postérieur
. 19. - Les mouvements sont plus libres. Les réf
éflexes tendineux sont conservés. L'hyperesthésie à la jambe gauche
postérieure
existe toujours; l'auesthésie du côté gauche es
extrémités antérieures; il pousse son corps en avant de l'extrémité
postérieure
droite. L'extrémité postérieure gauche, reste s
e son corps en avant de l'extrémité postérieure droite. L'extrémité
postérieure
gauche, reste sans mouvement et semble amaigrie
a sensibilité est sans changement : . 29. Dans l'extrémité gauche
postérieure
, on aperçoit les pre- miers signes du rétabliss
page 52. 't90 anatomie. sur la plante du pied de la patte droite
postérieure
se détache par grandes couches. 20 juin. - Le
t bien portant; dans la position suspendue du corps, le pied gauche
postérieur
pend plus bas que celui de droite. Il semble au
l opéré est satisfaisant. Mou- vements ; Pendant le repos la partie
postérieure
reste un peu affaissée quoique toujours suspend
rs suspendue ; le cobaye marche facilement et en même temps le pied
postérieur
reste un peu en arrière ; on remarque une certa
que une certaine difficulté des mouvements dans les deux extrémités
postérieures
. Les réflexes des extrémités postérieures, les
dans les deux extrémités postérieures. Les réflexes des extrémités
postérieures
, les réflexes cutanés ainsi que les réflexes te
, dans la région inférieure dorsale, sur l'abdomen et l'extrémité
postérieure
(excepté la plante du pied, où la sensibilité est
Du côté gauche, on constate une hyperesthésie sur toute la surface
postérieure
à l'endroit de la deuxième hémisection. Les org
s pelviens sont en bon état. 30. Les mouvements des deux extrémités
postérieures
sont plus libres que la veille. Quant à la sens
le baisin est couché par terre et en même temps les deux extrémités
postérieures
sont dans l'élat d'extension et d'abduction ; e
pour la douleur est tout à fait annulée dans les deux extrémités
postérieures
et dans la partie postérieure du corps. 2 novem
ait annulée dans les deux extrémités postérieures et dans la partie
postérieure
du corps. 2 novembre. L'état général est satisf
t. Une paralysie complète et une anesthésie des deux extré- mités
postérieures
. Les réflexes sont réservés. Les organes pelvie
est satisfaisant. Les mouve- ments et la sensibilité des extrémités
postérieures
sont tout à fait annulés. Une certaine suppurat
sont tout à fait annulés. Une certaine suppuration dans la région
postérieure
de la dernière plaie. Le cobaye est tué par le
deux moitiés de la section de là la diminution du volume du cordon
postérieur
et du cordon inférieur et une déformation marqu
oit unediminution prononcée de fibres dans les cordons antérieur et
postérieur
, une diminution de cellules, une raréfaction du
dis que la dégénération descendante s'était développée dans le bout
postérieur
du cordon latéral du même côté. En ce qui conce
rès le premier mois) les mouvements volontaires dans le pied gauche
postérieur
se sont complètement rétablis, taudis que la se
it point de nou- veaux désordres dans les mouvements des extrémités
postérieures
. Notre dernière opération experimentllln crucis
: Les mouvements sont affaiblis c'est-il-dirc l'extrémilé gauche
postérieure
pendant le repos et pendant la marche se trouve d
êmes des deux côtés. - La sensibilité cutanée de l'extrémité droite
postérieure
et de toute la moitié du corps à l'exception de
vés la veille s'est ajoutée une cer- taine faiblesse du pied gauche
postérieure
. En outre, l'hyperes- thésie du côté gauche a d
'1S est restée pour les mouvements rétablis de l'extrémité gauche
postérieure
sans conséquence, ce résultat ne prove- nait po
sance de l'extrémité droite Fig. 23. DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 195
postérieure
et la conservation des mouvements volontaires du
la moelle. Alors, dans le cas d'une paralysie de la même extrémité
postérieure
, en même temps que celle de l'extrémité extérie
ès l'opération, le cobaye s'appuie sur trois pieds : le pied gauche
postérieur
est tendu et immobile. Les mouvements volontair
tendu et immobile. Les mouvements volontaires de l'extrémité droite
postérieure
sontcom- plètement conservés. La sensibilité cu
dant le repos, le bassin est couché du côté gauche. La jambe gauche
postérieure
est sans mouvement; elle est plus maigre et plu
lontaires du côté droit sont affaiblis. Les réflexes des extrémités
postérieures
et les organes pelviens sont en bon ordre. Quan
. 2 janvier 1886. Les mouvements volontaires de la jambe gau- che
postérieure
commencent à se rétablir. Un léger fléchissement
ganes pelviens sont normaux. 5. Les mouvements de la jambe gauche
postérieure
sont plus libres. Du reste, point de changement
alysée. Le bassin se penche souvent du côté gauche. La jambe gauche
postérieure
est plus maigre que la jambe droite et les réfl
e pattes. Pendant le repos et pendant la marche, l'extrémité gauche
postérieure
est un peu tendue et pendant la marche reste un
es de motilité pour les fonctions rétablies dans l'extrémité gauche
postérieure
ne suivent pas la même direction que les voies
ssent du côté de la paralysie, au niveau des racines de l'extrémité
postérieure
. Cependant cette opération ne peut avoir pour n
ne paralysie complète des mouvements volontaires de la jambe gauche
postérieure
, tandis qu'il n'y a aucun changement dans les m
a sensibilité est annulée dans 200 ' ANATOMIE. l'extrémité droite
postérieure
et un peu exagérée dans celle de gauche. 30.
gérée dans celle de gauche. 30. Les mouvements de la patte droite
postérieure
; dans la patte gauche n'existent point. La sen
est faible. Pendant la marche, les mouvements de l'extrémité gauche
postérieure
sont un peu affaiblis. On ne remarque pas d'hyp
viens sont en ordre. 28. Dans les mouvements de la jambe gauche
postérieure
, on ne remarque qu'un pelitaffaiblissement. Du
tion de tous les mouvements volontaires dans les deux extrémités
postérieures
. Le cobaye se lient debout et marche; on remarq
sibi- lité, point de changement : l'anesthésie de la patte droite
postérieure
ainsi que l'hyperestésie du côté gauche sont re
ire au niveau du commencement des racines motrices des extrémités
postérieures
. Si cette supposition est juste, ces voies doiv
ne longitudinale des méninges qui passe par le milieu de la surface
postérieure
; il n'y avait que le commencement et la pointe
e trouve affaibli. L"s mou- vements volontaires des deux extrémités
postérieures
, quoique affaiblis, sont parfaitement conservés
parfaitement conservés. La sensibilité cutanée des deux extrémités
postérieures
est tout à fait annulée. 13 février. Le cobaye
r outre une pleine paralysie des mouve- ments de l'extrémité gauche
postérieure
, on remarque une certaine faiblesse dans l'extr
ie. 28 mirs. Les mouvements volontaires dans l'extré- mité gauche
postérieure
sont tout à faits rétablis. Une certaine faible
s : la sensibilité cutanée est tout à fait annulée, la jambe gauche
postérieure
est étendue sans aucune trace de mouvements vol
racines motrices contenant les fibres ner- veuses pour l'extrémité
postérieure
, oit elles passent immédiate- ment du côté de l
la circonvolution godronnée. ,. Enfin le pilier antérieur, devenu
postérieur
, se con- tinue avec le corps bordant et la lame
tomiques nouveaux que j'ai établis sont : les chiasmas antérieur et
postérieur
des piliers du trigone (bandelettes olfactives)
ité de la bande diagonale avec la lame réticulée; les prolongements
postérieurs
de la circonvolution godronnée ; le ruban péri-
gine du facial, émerge de la protubé- rance annulaire à l'extrémité
postérieure
de l'espace perforé postérieur. Placé à côté de
bé- rance annulaire à l'extrémité postérieure de l'espace perforé
postérieur
. Placé à côté de son congénère, il délimite cet
zone moyenne, fronto-pariétale ou motrice; en arrière, dans la zone
postérieure
, moins atteinte, on ne trouve généralement qu'u
e. Autopsie. Légère hydro- céphafe avec lésion combinée des cordons
postérieurs
latéraux et antérieurs de la moelle, mais de fa
a substance grise. En outre, dégéné- rescence partielle des cordons
postérieurs
de la moelle cervicale et de la partie supérieu
al vertébral. Actuellement, on constate une diminution de la partie
postérieure
du tronc et la disparition de la sensibilité de l
ostérieure du tronc et la disparition de la sensibilité de la patte
postérieure
avec perte de la sensibilité musculaire de la mêm
inférieur de l'omoplate ne s'éloigne pas notablement de la paroi
postérieure
du thorax. A droite au contraire, l'angle inférie
r de son axe vertical, l'extrémité de l'acromion s'abaisse, le bord
postérieur
de l'omo- plate est oblique de haut en bas et d
le bourrelet du trapèze et un peu en dehors une partie des muscles
postérieurs
du cou; adroite, au contraire, le bord cervico-
ème vertèbres dorsales; cette dentelure monte obliquement au bord
postérieur
et à la face interne de l'omoplate en dehors et e
3. BAGMSKY. - Contribution à la connaissance du trajet de la racine
postérieure
du nerf auditif et de l'allure des stries médu-
hoire; il a réussi nombre de fois à produire l'atrophie des racines
postérieures
de l'acoustique. L'ori- gine des racines postér
e des racines postérieures de l'acoustique. L'ori- gine des racines
postérieures
, en relation avec le limaçon, occupe le bulbe ;
le noyau acous- tique interne n'ont aucune relation avec la racine
postérieure
de ce nerf. C'est ce qu'ont déjà constaté Monak
la partie inférieure du ruban de Reil et du tubercule quadrijumeau
postérieur
du côté opposé. Chez le chat, on voit que l'ent
ions de la sensibilité spéciale surtout dans les lésions du cerveau
postérieur
. Il y a aussi une bonne analyse des travaux de
f dans les lésions antérieures, doux et tranquille dans les lésions
postérieures
du cerveau des animaux. Nous relevons une assez
ique), se localise sur l'axe spinal et déve- loppe dans les cordons
postérieurs
les scléroses que, dans d'autres cas, on observ
st sensible à la torsion, il en est de même de la peau de la partie
postérieure
du coude quoique l'articulation proprement dite
sibilité est conservée mais obluse. Il y a anesthésie de. la moitié
postérieure
droite du tronc, du bras droit et du membre inf
stration, des troubles dans la coordination des mouvements du train
postérieur
, puis dans les membres antérieurs, et au bout d
derniers ves- tiges des cordons latéraux, mais de ceux des cordons
postérieurs
. Il fait communiquer le corps restiforme avec l
Il fait communiquer le corps restiforme avec les débris du cordon
postérieur
ou noyau de Burdach (figures à l'appui). Le con
tique. M. Moeli fait à ce propos remar- quer que l'artère cérébrale
postérieure
irrigue non seulement les lobesoccipitaux et te
er la partie inférieure du ruban de Reil dans le plan immédiatement
postérieur
au tubercule quadrijumeau inférieur. Les animau
es. Discussion. - M. Hertz. C'est un délire aigu. Le trou déchiré
postérieur
devait être rétréci, ainsi que je l'ai démontré e
ou à gauche. Atrophie partielle des noyaux d'ori- gine des cordons
postérieurs
des deux côtés. Atrophie excessive du noyau d'o
connexion avec les noyaux d'origine (homonyme et croisé) du cordon
postérieur
(fibres arciformes externes, couche intermédiaire
trative et ai insisté sur l'absolue nécessité d'un contrôle non pas
postérieur
mais antérieur à l'isole- ment3; néanmoins il e
e du Rhin, 413. Contagion psychique, par Kuhnen, 283. Cordons
postérieurs
, émanant des circonvolutions centrales, par r
natomie relatives à la circulation de la base du cerveau. La partie
postérieure
de l'hexagone do Willis est formée par la bifurca
l'artère basilaire qui donne ainsi naissance aux artères cérébrales
postérieures
. vA 1 centimètre environ de leur origine, les a
ne, les artères cérébrales postérieu- res reçoivent la communicante
postérieure
, contournent le pédoncule cérébral correspondan
urcation delà basilaire et le point d'anastomose de la communicante
postérieure
, c'est-à-dire dans la partie directe ou as- cen
c'est-à-dire dans la partie directe ou as- cendante de la cérébrale
postérieure
sur une longueur de 5 à 12 millimé- tres, l'art
rale postérieure sur une longueur de 5 à 12 millimé- tres, l'artère
postérieure
donne naissance à 10 collatérales d'après Duret.
ne origine différente et viennent habituellement de la communicante
postérieure
, qui envoie également des collatérales dans la
optique. Si maintenant nous supposons une thrombose de la cérébrale
postérieure
après qu'elle a reçu la communicante postérieur
se de la cérébrale postérieure après qu'elle a reçu la communicante
postérieure
, la circulation dans 1'liexac,o»eile Willis ser
de la cérébrale pos- térieure après qu'elle a reçu la communicante
postérieure
l'explication de l'hémiopie persistante et de l
pie gauche et paraphasie en admettant une thrombose de la cérébrale
postérieure
droite sur la plus grande partie de son tronc, de
son ori- gine jusqu'au delà du point où elle reçoit la communicante
postérieure
, mais on n'expliquerait pas delà sorte l'évolut
ensons qu'on peut supposer une thromhose siégeant dans la cérébrale
postérieure
au niveau même de son union avec la communicante
ébrale postérieure au niveau même de son union avec la communicante
postérieure
, de telle façon que la circulation soit complètem
ntie, mais non interrompue, dans la première partie de la cérébrale
postérieure
qui donne naissance aux 10 collatérales de Dure
cérébralepostérieure, auniveau de l'anastomose avec la communicante
postérieure
, donnerait aussi l'expli- 14 A. JOFFROY catio
le logique de penser que l'obstruction thrombosique de la cérébrale
postérieure
, au niveau de l'embouchure de la communi- cante
rébrale postérieure, au niveau de l'embouchure de la communi- cante
postérieure
, a produit dans la partie directe ou ascendante d
e que nous formulons, celle d'une throm- bose de l'artère cérébrale
postérieure
droite au niveau de l'embouchure de la communic
ale postérieure droite au niveau de l'embouchure de la communicante
postérieure
, il se serait produit : 1° Une suspension compl
te de la circulation dans les branches termi- nales de la cérébrale
postérieure
donnant lieu à un ramollissement de tout le lob
nt considérable de la circulation dans cette partie de la cérébrale
postérieure
droite, s'étendant de son origine jusqu'au voi-
son origine jusqu'au voi- sinage de l'embouchure de la communicante
postérieure
, ainsi que dans les collatérales qui en partent
alentissement considérable dans la circulation de la communi- cante
postérieure
et de ses collatérales, en particulier de celle q
nous arrivons à cette conclusion, que la thrombose de la cérébrale
postérieure
peut, suivant son étendue et sa localisation dans
la première partie, partie directe ou as- cendante de la cérébrale
postérieure
, qui forme un des côtés de l'hexagone de Willis
gone de Willis et si elle est limitée à ce tronçon, la communicante
postérieure
assurera la circulation dans les branches termi
de l'anastomose de la cérébrale pos- térieure avec la communicante
postérieure
, c'est-à-dire dans la partie ré- fléchie de la
ostérieure, c'est-à-dire dans la partie ré- fléchie de la cérébrale
postérieure
, la circulation de l'hexagone de Willis continu
érales de Duret) siège au niveau de l'embouchure de la communicante
postérieure
, on aura des symptômes permanents liés à la sup
la circulation dans les branches terminales de l'artère céré- brale
postérieure
, et en particulier l'hémiopie, parfois aussi des
mes liés au ralentisse- ment de la circulation dans la communicante
postérieure
et dans la pre- mière partie de la cérébrale po
mmunicante postérieure et dans la pre- mière partie de la cérébrale
postérieure
et en particulier le syndrome de Weber ; mais l
e syndrome de Weber temporaire. 4° L'oblitération de la cérébrale
postérieure
pourrait être assez étendue pour oblitérer simu
s quelle influence s'est faite cette obli- tération de la cérébrale
postérieure
? S'agit-il d'une artérite vulgaire, de cause b
ans les hémianesLhésies produi- tes par la destruction de la partie
postérieure
de la capsule interne ; ce qui n'est point, com
artie voisine de la circonvolution du corps calleux et de la partie
postérieure
des trois circonvolutions frontales, là les fibre
line. Il y en a trois : C'est d'abord le grand centre d'association
postérieur
, comprenant une grande partie du lobe occipital
e intacte était séparée de toutes les parties voisines supérieures,
postérieures
et inférieures par un foyer de ramollis- sement
e ; dans lé pas antérieur, le corps in- cline en avant, dans le pas
postérieur
il in- cline en arrière. Elles sont en somme de
pliquent sur le sol que presqu'au moment où les orteils de la jambe
postérieure
quittent le sol, ici le pied de la jambe antéri
la jambe antérieure est bien appliqué sur le sol, alors que le pied
postérieur
ne fait que commencer à détacher le talon (Fig.
r le quadriceps de la jambe portante, pendant tout le- cours du pas
postérieur
. Ce muscle devient alors l'agent de propulsion le
us violent existe au quadriceps de la jambe portante pendant le pas
postérieur
, puis, au mollet de la même jambe, lors du pas
re se voit surtout à la cuisse du membre portant pen- dant le pas
postérieur
et le quadri- ceps de ce côté est le principal
conséquence de l'inclinaison du plan de marche. Pendant tout le pas
postérieur
le membre portant reste légèrement fléchi, il ne
e quadriceps du membre portant qui travaille tout le temps du pas
postérieur
. Le pied arrive par la plante sur la marche. La
sion complète comme dans la marche ordinaire. En résumé dans le pas
postérieur
, les deux membres sont en flexion. Dans le pas
représente la fin du double appui, au moment où va commencer le pas
postérieur
. Il suffit dé le comparer à la figure 3 pour sa
iminuée de volume. On constate à l'oeil nu une sclérose des cordons
postérieurs
dans toute leur étendue et une atrophie des racin
ciations extemporanées de la moelle fraî- che au niveau des cordons
postérieurs
n'ont pas révélé de corps granuleux. Une racine
cordons postérieurs n'ont pas révélé de corps granuleux. Une racine
postérieure
qui représente environ le 1/li du volume d'une ra
git d'une sorte d'atrophie simple. Une branche musculaire du tibial
postérieur
a montré au contraire les alté- rations de la n
ningite véritable. Les lésions essentielles portent sur les racines
postérieures
et sur les cor- dons postérieurs. Elles varient
entielles portent sur les racines postérieures et sur les cor- dons
postérieurs
. Elles varient suivant les régions, plus marquées
e, 4e sacrées). Les lésions sont très accen- tuées dans les cordons
postérieurs
. Les altérations portent sur les zones de Lissa
nes de Lissauer qui sont entièrement sclérosées. Le triangle médian
postérieur
de Gombault et Philippe est conservé, ainsi que
spondant à la ban- delette externe. Conservation du triangle médian
postérieur
de Gombault et Philippe. B. (Méthode de Pal.) 4
ch qui n'atteint ni la périphérie de la moelle, ni le sillon médian
postérieur
. Le champ cornu-commissural, le champ postéro-ext
-commissural, le champ postéro-externe, la zone limitante de la corne
postérieure
sont conservés. MASSON & Cie, Editeurs.
érose atteignant le sillon médian postél ieur limité par les champs
postérieurs
conservés : zone cornu-commissurale, zone limitan
stérieurs conservés : zone cornu-commissurale, zone limitante corne
postérieure
, champ postéro-externe. B. (Méthode de Pal.) 10
r, triangle de sclérose comme sur la figure précédente, un peu plus
postérieure
. Mêmes zones conservées. C. (Méthode de Pal.) i
ines (Westphal) comptise entre la substance gélatineuse de la corne
postérieure
, la périphérie de la moelle, et une ligne virtuel
rie de la moelle, et une ligne virtuelle parallèle au sillon médian
postérieur
et passant par le point où la substance gélatineu
e de sclérose, correspon- dant à la bandelette externe. Des racines
postérieures
il ne reste plus que quel- ques fibres, mais un
lique entre la 5e et la 6e sacrées montre la pénétration de racines
postérieures
conservées au niveau des cordons postérieurs. P
énétration de racines postérieures conservées au niveau des cordons
postérieurs
. Peu de fibres sillonnent les cornes postérieures
niveau des cordons postérieurs. Peu de fibres sillonnent les cornes
postérieures
. (Pl. X, A.) 2° Région sacrée supérieure (1'0 s
arquées dans les zones de Lissauer. Un plus grand nombre de racines
postérieures
pénètrent dans les cordons postérieurs. La coupe
lus grand nombre de racines postérieures pénètrent dans les cordons
postérieurs
. La coupe des cornes postérieures montre égalem
rieures pénètrent dans les cordons postérieurs. La coupe des cornes
postérieures
montre également plus de fibres dans leur intérie
habituelle, le champ postéro-externe, la zone limitante de la corne
postérieure
. Entre ces différentes . zones, à la partie int
'applique à ces régions : pénétration en quantité moyenne de fibres
postérieures
au niveau des zones de Lissauer, moyennement dé
ement dégénérées, triangles de sclérose atteignant le sillon médian
postérieur
, s'écartant un peu davantage de la périphérie de
davantage de la périphérie de la moelle, et limitée par les champs
postérieurs
conservés : zone cornu-commis- surale,zone limi
rs conservés : zone cornu-commis- surale,zone limitante de la corne
postérieure
, champ postéro-externe. Le ter- ritoire scléros
. (Pl. X, C.) 4° Région lombaire moyenne (3° lombaire). Les racines
postérieures
pénè- trent encore en plus grande quantité. Sur
s voit se conti- nuer manifestement sur la zone qui limite la corne
postérieure
. Les mêmes champs sont conservés. Le triangle d
s. Le triangle de sclérose déjà indiqué persiste, mais est un" plus
postérieur
et affecte une forme plutôt quadrangulaire. (PI.
les fibres blanches ont diminué légèrement de quantité. Les racines
postérieures
pénètrent en assez grand nombre. La zone de Lis
réellement frappé du peu d'inten- sité des altérations des cordons
postérieurs
. La zone de Lissauer est légèrement sclérosée;
elle, appartenant surtout au groupe interne des fibres radiculaires
postérieures
. La zone de sclérose qui correspond à la bandel
nservés : la zone cornu-commissurale, la zone limitante de la corne
postérieure
qu'on voit encore se continuer avec les fibres
la corne postérieure qu'on voit encore se continuer avec les fibres
postérieures
, une zone en forme d'L qui borde le sillon post
les fibres postérieures, une zone en forme d'L qui borde le sillon
postérieur
et la périphérie de la moelle (bandelette périphé
faiblement sclérosées. Dans la 90 o CE. ACIIARD ET L. LÉ VI corne
postérieure
, les fibres du faisceau réfléxo-moteur, ainsi que
le inférieure. On note un léger aplatissement au niveau des cordons
postérieurs
. Ce sont toujours les mêmes lésions : sclérose de
intacts : la zone cornu-commissurale, la zone limitante de la corne
postérieure
, le champ postéro-interne. (PI. XII, A.) g° ° d
ro-interne. (PI. XII, A.) g° ° dorsale. L'aplatissement des cordons
postérieurs
est notable. La zone de pénétration des racines
Les lésions plus manifestes portent sur la zone de Lissauer, le 1/5
postérieur
du cordon de Goll, la bandelette externe, mais
e la moelle ; elle en est séparée par la zone limitante de la corne
postérieure
. Restent intactes encore la zone cornu- commiss
n de Goll sclérosée. On voit nettement certaines fibres des racines
postérieures
pénétrer d'emblée dans les, cordons postérieurs
fibres des racines postérieures pénétrer d'emblée dans les, cordons
postérieurs
et se continuer avec la zone limitante de la corn
dons postérieurs et se continuer avec la zone limitante de la corne
postérieure
. (Pl. XII, C.) , En. résumé, il s'agit d'un tab
és conservés. L'examen histologique montre une sclérose des cordons
postérieurs
gé- néralisée à tout l'axe médullaire, mais rép
virgule de Schultze ( ? ), bandelette périphérique, triangle médian
postérieur
) sont conservés. Il faut remarquer, en outre, q
rieur) sont conservés. Il faut remarquer, en outre, que les racines
postérieures
extra-médullaires présentent, elles aussi, des
servées : la zone cornu-commissurale, la zone limitante de la corne
postérieure
, le champ postéro-externe. li. (Méthode de Pal.
) z° doisiile. Sclérose moins marquée des zones de Lissauer, du \<
postérieur
du champ postéto-interne. Sont conservées : la
) Région cervicale iiifèrieuie. Sclérose des zones de Lissauer, du 5'
postérieur
du cordon de Goll, des bandelettes externes. Mê
sions des nerfs périphériques et de leurs terminaisons, des racines
postérieures
, et aussi des racines antérieures, peuvent être
esure, sans parler même de la moelle. En réalité, c'est aux racines
postérieures
et à la moelle, siège pour ainsi dire constant de
it en effet, que Ramon y Cajal (1) a divisé les fibres radiculaires
postérieures
en deux groupes : groupe externe, groupe interne.
tée : en dedans par une ligne virtuelle, parallèle au sillon médian
postérieur
et passant par le point où la substance gélatin
r la subs- tance gélatineuse et le point de pénétration des racines
postérieures
. Cette zone, dite par Westphal zone d'entrée de
bes atteint d'une façon prédominante les fibres courtes des racines
postérieures
, comme le fait Minor, c'est énoncer une simple
-osseux de l'avant-bras gauche. L'ossification du ligament cervical
postérieur
se trouve notée dans presque tous les cas. Un n
e la nuque, l'ossification gagne régulièrement le ligament cervical
postérieur
. Les muscles longs du dos forment une masse oss
ncipale- ment ceux de la région fessière, les muscles antérieurs et
postérieurs
de la cuisse, les muscles de la jambe, surtout
s et postérieurs de la cuisse, les muscles de la jambe, surtout les
postérieurs
, et ankylose les hanches et les genoux; elle dé
saillie grâce à l'ossification du ligament cervical et des muscles
postérieurs
et latéraux du cou ; le dos, par l'ossification
lui de Fuerstner, les membres inférieurs. Macdonald signale le bord
postérieur
du sterno-mastoïdien gauche comme première atte
s orteils en extension. Ils étaient raccourcis dans le sens antéro-
postérieur
; leur bord externe était épaissi et leur bord int
ons, quand elles existent, elles siègent principalement à la partie
postérieure
et externe ; toutefois llays et Lexer les ont t
xipn par l'ossification du tenseur du fascia lata, d'un des muscles
postérieurs
ou de la région interne de la cuisse, par l'ossif
peine touchés pir l'oîsificition, tandis que les plans musculaires
postérieurs
ont été violemment atteints. xi 12 174 A. WEI
la cuisse et descendant en bas jusqu'au tiers supérieur de la face
postérieure
de la jambe en s'épaississant et s'élargissant de
rieures sont normales comme volume et comme coloration. Les racines
postérieures
, au contraire, sont gro- les et surtout netteme
a région cervi- cale, une teinte grise de sclérose dans les cordons
postérieurs
surtout au ni- veau du cordon de Goll et dans l
sain. Région sacrée. Il y a une sclérose assez marquée des cordons
postérieurs
; la lésion est plus accusée au niveau des zone
ieurs ; la lésion est plus accusée au niveau des zones radiculaires
postérieure
et moyenne, la zone antérieure n'est pas très t
de quantité de fibres saines. Région lombaire. Sclérose des cordons
postérieurs
, symétrique, prenant la totalité des zones radi
postérieurs, symétrique, prenant la totalité des zones radiculaires
postérieure
et moyenne respectant presque entièrement la zo
servé. Même dans les parties les plus altérées (zones radiculaires
postérieure
et moyenne) il y a un semis de fibres saines. D
topographie précédente, bien que plus accusée au niveau des cordons
postérieurs
où les zones radiculaires antérieure et cornu-c
ée. Les racines rachidiennes antérieures sont normales. Les racines
postérieures
présentent de très grosses lésions de dégénéres
aru normaux. En résumé, il règne sur toute la hauteur des cordons
postérieurs
une sclérose très accentuée qui semble commence
ur : collatéral interne du pouce, pédieux, tibial antérieur, tibial
postérieur
: sciatique (tronc), saphène interne et nerf du
aux composés de fibres grosses et petites et provenant de la racine
postérieure
, etc. De tout cela, nous pouvons retenir que le
prolongement falciforme de la dure-mère. Dans la région de la fosse
postérieure
du crâne le prolongement falciforme se fusionne a
ns la fosse crânienne médiane un reste de cerveau et, dans la fosse
postérieure
, elle adhérait à la tente du cervelet, cachant
este du cer- veau se trouvent les tubercules quadrijumeaux dont les
postérieurs
res- sortent assez nettement; quant aux tubercu
oi inférieure de ce ventricule est formée par une portion delà face
postérieure
de la région bulbo-pro- tubérantiette. Rappelez
ermine par deux racines (Fig. 1). Une racine externe appelée encore
postérieure
ou cochléaire qui con- tourne le pédoncule céré
l'émergence des racines du nerf acoustique. 1, racine externe ou
postérieure
. 2, noyau antérieur de l'auditif, et 3, tubercule
'est un crâne parcouru sur la ligne médiane et dans le sens antéro-
postérieur
par une rigole intermédiaire aux deux renflements
e la suture lemporo-parièlale est absolument effacée dans son tiers
postérieur
; tandis qu'elle est très accentuée du côté droit
quelques traces perme appréciables à ses ex- trémités antérieure et
postérieure
; et dans toute son étendue, l'os est aussi lis
tention au point de vue de l'hérédo- syphilis. A savoir : L'angle
postérieur
du pariétal gauche est occupé par une lésion de f
de même ordre, mais encore moins importante, siège près de l'angle
postérieur
du pariétal droit ; celle-ci est irrégulière, de
riétés naturelles suivant son siège, son appari- tion antérieure ou
postérieure
à la naissance, suivant qu'elle dérive de lésio
'hy- drocéphalie dans l'liérédo-syplilis); Et une seconde période
postérieure
à 1880, dans laquelle les observa- tions devien
eloppées, couvraient de leurs anastomoses les régions antérieure et
postérieure
du crâne (pli. XXXII). « Point curieux à noter
és de la circulation en retour, notamment au niveau du trou déchiré
postérieur
. C'est.là une hypothèse à vérifier par de nouve
ain que sur son congénère. Il en est de même de la crête de la face
postérieure
(ligne oblique du tibia). La forme de l'os est
bord antérieur et qu'on note 31 millimètres dans le sens antéro-
postérieur
, 23 millimètres transversalement, que le canal
res dans l'acide osmique, sur une branche musculaire du nerf tibial
postérieur
, sur une branche cuta- née du nerf couturier.
r- dons blancs pris en masse d'un côté à l'autre. En aucune région (
postérieure
, antéro-latérale), nous n'avons constaté trace
de certitude, en enfonçant une aiguille il la partie laté- rale et
postérieure
du côté sain (Ci-. 2). C'est surtout à partir d
st représentée par une ligne droite qui unit la corne antérieure la
postérieure
. Il y a donc aplatissement manifeste. Du côté o
ns retrouvées il peu près analogues de part et d'autre. Les racines
postérieures
qui, étudiées macroscopiquement, ne se distin-
rural droit.. 1 ! »° Les petit et moyen fessiers gauches et le bord
postérieur
du grand. 15° La plus grande partie du tenseur
ineuses à la crête iliaque gauche, à 1 pouce 1/2 de l'épine iliaque
postérieure
et supérieure ; elle chemine le long de la colonn
d'épaisseur. Elle s'insère, par des fibres tendineuses, à la partie
postérieure
de la crête iliaque à l'apo- physe épineuse de
apophyses transverses des 3e, 4°, 5° et 6° dorsales, aux extrémités
postérieures
des côtes droites. Une bande très irrégulière s
tubérosité comme un oeuf de pigeon. A la même hauteur, sur la face
postérieure
de la jambe, il en existe une autre, comme un o
om- plète et très en pronation. Elles siègent au tiers supérieur et
postérieur
et à la partie inférieure et interne du bras. O
ne de l'omoplate. Les côtes proéminent des deux côtés entre le bord
postérieur
de l'omoplate et la colonne. L'angle inférieur
SITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 297 .. Masses osseuses dans les muscles
postérieurs
du cou. La portion du trapèze qui recouvre l'ép
se osseuse faisant saillie dans la cage tho- racique. Sur la face
postérieure
de l'iliaque gauche, en avant des fibres du grand
hyoïdienne. Le larynx se déplace normalement. Exostoses sur le bord
postérieur
de la clavicule gauche tout près des insertions d
arrière minime par suite de l'ossification des parois antérieure et
postérieure
de l'aisselle. Relâchement du biceps et du tric
osseuses suivent la direc- tion des fibres du trapèze dans la paroi
postérieure
du thorax, elles se prolon- gent jusqu'à l'humé
t est plus raide que le gauche. Les muscles de la région externe et
postérieure
de la cuisse gauche, avant tout la longue porti
Le sacro- lombaire réagit bien. Les muscles de la région interne et
postérieure
de la uisse gauche montrent une diminution nota
la partie supérieure du tenseur du fascia lata gauche. A la partie
postérieure
de la cuisse droite, dans le tendon du biceps, ou
ou trouve un noyau de 3 cent. 1/2. Tubérosités osseuses sur la face
postérieure
du tibia. Scoliose de la colonne vertébrale, ép
d dorsal, le trapèze ne contribuant pas à former la paroi axillaire
postérieure
. 318 A. WEILL ET J. NISSIM Sur le condyle int
a grosseur d'une aveline se trouvent maintenant sur l'épine iliaque
postérieure
et supérieure droite. 7 août. - Chute, fracture
res de la colonne vertébrale sont modifiées et dans le plan antéro-
postérieur
et dans le plan transversal. Dans le plan antéro-
essus du plan, la gauche à 26 centimètres, l'extrémité de la face
postérieure
de la tête est il une hauteur de 36 centimètres.
es dorsales inférieures et lombaires, ainsi que les épines iliaques
postérieures
, sont plus saillantes que d'ordinaire. On n'a p
la première sacrée) ; 74 mil- limètres pour le diamètre bi-épineux
postérieur
. Les rapports de ces différents chiffres se rap
vant en arrière. L'exploration du sacrum et du coccyx par la face
postérieure
et par la face antérieure (toucher rectal) mont
es des vertèbres lombaires, et les épines iliaques supé- rieures et
postérieures
proéminentes. Du côté des membres inférieurs, l
leurs avec la compression ou l'excitation par contact des ra- cines
postérieures
par quelque végétation osseuse au voisinage du tr
d'un ébranlement, ont peut-être pour cause le contact de raci- nes
postérieures
avec des ostéophytes en des points situés plus ba
avait que des os re- couverts de périoste ; dans la fosse crânienne
postérieure
, sous la tente du cervelet se cachait ce dernie
Dans la fosse médiane on voit les couches optiques ; dans la fosse
postérieure
, un reste de l'écorce cérébrale attenant au rep
- Cas V. Absence de la voûte crânienne ; vue de face J, le même, vue
postérieure
, le canal vertébral complètement fendu. MASSON
ve cette formation, ainsi que les parties avoisinantes et la partie
postérieure
des os occipitaux, on voit que,dans ce cas, la
t à remarquer que la paroi antérieure est plus épaisse que la paroi
postérieure
qui est réduite à presque rien. Dans ce cas, la
corps est développé régulièrement. En examinant ce monstre du côté
postérieur
, nous voyons que les os de la voûte crânienne man
de résistance, comme au ni- veau. de la voûte crânienne et des arcs
postérieurs
de la colonne vertébrale ; la base crânienne se
anal central qui peut provoquer un développement incomplet des arcs
postérieurs
de la colonne vertébrale. La moelle épinière so
noyau olivaire, les olives accessoires, les faisceaux longitudinaux
postérieurs
, le noyau central inférieur, le ruhan de Reil,
l où, du côté laté- ral, sont situés les pédoncules du quadrijumeau
postérieur
, le corps gé- nouillé et le pulvinar sont absen
e pulvinar sont absents et le pédoncule du tubercule quadriju- meau
postérieur
est peu déyeloppé(PI. 1LV,\').1,e méme aspect s'o
sence de pulvinar, des corps genouillés, des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
. Toutes les voies passant par la base des pédon
ps genouillé manquent ; les pédoncules des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
sont peu développés. La cause de toutes ces m
égion lombaire par le procédé de Pal, nous avons trouvé les cordons
postérieurs
bien dévelop- Fig. 2. Cellule pyramidale de l
resque le même que dans la région lombaire ; seulement, les cordons
postérieurs
sont plus accusés, on voit ici les faisceaux de
pouvait voir nette- ment, comme dans le cas précédent, les cordons
postérieurs
; quant aux cordons antérieurs et latéraux, ils
voyait la membrane recouvrant les corps vertébraux sur leurs faces
postérieures
: à la périphérie cette membrane était recou- v
Moelle épinière et membrane recouverte de fibres myéliniques, racines
postérieures
. c. - Cas Il'. Moelle épinière; par suite de l'
dromyélie la région ventrale est réduite l une membrane ; la région
postérieure
est e ? ti ornement atrophiée. d. Cas 1-. Moell
e était la moindre, comme la voûte crânienne et les arcs vertébraux
postérieurs
. En somme, c'est à la suite d'une hydrocéphalie
racines antérieures, qui louchent les cellules motri- ces ; du côté
postérieur
la paroi de ce tube s'amincit et progressivement
tait propagé plus loin, sous l'influence de l'hydromyélie la partie
postérieure
de la moelle épinière qui actuellement est pres
est presque nulle, serait totalement atrophiée de même que les arcs
postérieurs
des vertèbres et il ne serait resté que la part
nal; il existe encore une petite portion delà moelle dans sa partie
postérieure
(PI. XLVI, C). En un mot l'hydromyélie dans ce
e le faisceau fondamental du cordon antéro-latéral et les cor- dons
postérieurs
. TU. Si ce processus se propage vers le canal s
encore : ou hien une hydromyélie très pro- noncée (alors la parlie
postérieure
de la molle épinière est très peu déve- ... x,
u petit rond) se voit une plaque osseuse de 4 pouces, dans la paroi
postérieure
de l'aisselle. L'abduction du bras peut atteind
elà de 45e. L'omoplate est tout à fait fixe. Au-dessous de la paroi
postérieure
du creux axillaire il existe une grande masse d
es des deux côtés successivement. Au niveau de l'angle supérieur et
postérieur
des omoplates, il a constaté une tumeur diffuse
res. Dans la 12° année, la nuque, le pourtour des épaules, la paroi
postérieure
de l'aisselle, le dos (grand dorsal 1) étaient
ns. A cette époque apparition d'une grosseur vers le milieu du bord
postérieur
du sterno-mastoïdien gauche, elle fut incisée c
séter droit est dur et épaissi presque dans sa totalité. Sur le côté
postérieur
du (1) Les troubles des mouvements de la mâchoi
t être porté sur le côté, mais non en arrière de la ligne axillaire
postérieure
, en avant de 45°. Cette diminution dans l'étendue
l'état de contracture des muscles du creux axillaire. Dans la paroi
postérieure
de l'aisselle masse osseuse allant en bas jusqu'à
ubérosités. 21 juillet 1891. - On enlève l'ossification de la paroi
postérieure
de l'ais- selle gauche; la tumeur comprenait to
cis et fermes ; pas de for- mation osseuse à leur niveau ; la paroi
postérieure
est occupée par une masse attachée à l'angle in
ET J. NISSIM grosses qu'une petite noix, à la poitrine, il la face
postérieure
du cou et au dos. Disparition des tumeurs au bo
elque temps, la tête est penchée constamment en avant, et la partie
postérieure
du cou est rigide ; impossibilité de tourner la
à peine un peu plus proéminentes qu'à l'état normal. Dans la paroi
postérieure
de l'aisselle des noyaux osseux irréguliers, mo
bas et en dedans, présente l'aspect d'une S très allongée. La face
postérieure
du thorax est presque aussi rétrécie au niveau de
appante : le creux de l'aisselle droite est très diminué : sa paroi
postérieure
a disparu, son sommet à peine marqué est moins
terne agrandie d'avant en arrière se trouve sur le même plan que la
postérieure
, avec laquelle elle se confond. Nous ferons seu
aércll, qui se divise en deux portions, l'une antérieure el l'autre
postérieure
; - Le trapèze, qui présente également deux por
et ainsi se trouve formé le sterno-cléido-mastoïdien. La por- tion
postérieure
du mastoïdo-huméral s'unit au trapèze supérieur d
. D'autre part, le grand dentelé est innervé par le nerf thoracique
postérieur
, ou nerf du grand dentelé, qui naît des cinquiè
ème paires, traversent avant de s'unir les fibres du muscle scalène
postérieur
. 11 arriverait même parfois que le tronc du ner
du côté paralysé, est diminué de profondeur et de volume. Sa paroi
postérieure
n'existe pour ainsi dire plus, elle se trouve s
elle se confond et qu'elle prolonge. Cette disparition de la paroi
postérieure
est la cause principale des modifications du cr
e, que nous avons décrites plus haut. La disparition de cette paroi
postérieure
dépend du scapulum alatum. Or qu'est-ce que le
e, grand rond, petit rond et grand dorsal, c'est-à-dire de la'paroi
postérieure
de l'aisselle. Ce rejet en arrière et en dedans
e rejet en arrière et en dedans est tellement prononcé que la paroi
postérieure
du creux de l'aisselle n'existe plus, dans l'élév
'élévation du bras en avant. Dans l'élévation en avant, cette paroi
postérieure
, formée ici par le bord antérieur du grand dors
ent de la lèvre bimamelonnaire ; 4° Le rétrécissement de la paroi
postérieure
du thorax ; ' 5° L'élévation de la moitié corre
moins il n'y a aucun phénomène d'obstruction nasale. La rhinoscopie
postérieure
est impossible il faire il cause de l'état du voi
ntérieur du deltoïde droit. - B. Courbes des contractions du faisceau
postérieur
du même muscle C. Métronome battant la seconde.
au. En appliquant sur les faisceaux antérieurs et sur les faisceaux
postérieurs
du deltoïde un tambour myographique, on peut se
la position de l'omoplate dont l'acromion s'abaisse et dont le bord
postérieur
s'écarte du thorax en formant avec lui une gout
un point qu'elle détermine très précisément, sur la ligne axillaire
postérieure
au niveau de la dixième côte. Cette douleur très
tous les signes d'un épanchement pleural, épanchement exclusivement
postérieur
at- tendu que dans la région antérieure la sono
rtie du grand dorsal. ' Le trapèze est sain. Dans les triangles
postérieurs
du cou, il y a une dureté mal définie. Le stern
3 près d'elle quelques tubercules sur la face supérieure et le bord
postérieur
de l'os. Omoplates fixées et pourvues de noyaux
ce est un peu plus petit que la normale ; ossifications à la partie
postérieure
du hras gauche, en partie fixées à l'humérus qu
solument irréductible. La colonne présente une courbure à convexité
postérieure
très accentuée, dont le sommet correspond à peu
ieure ; diminution des libres nerveuses. En bas, filet de la racine
postérieure
, aspect normal. (Pal et Carmin). G. Filet ant
dissociation. Des (ilets des racines rachi- diennes antérieures et
postérieures
du plexus brachial ont été inclus à la cel- loï
fibres à myéline dans les racines antérieures que dans les racines
postérieures
et le tissu conjonctif intrafasciculaire y est
elles sont plus distantes les unes des autres que dans les racines
postérieures
. Les espaces qu'elles lais- sent entre elles so
deltoïde, prélevés l'un à la partie antérieure, l'autre à la partie
postérieure
de ce muscle, le second Fio. 8. Racine antérieu
s. Nous devons, faute de mieux, ? constater l'intégrité des racines
postérieures
et attribuer les phénomènesit douloureux qui se
racines antérieures et aussi, mais à un moindre degré, aux racines
postérieures
. Friedreich fait également un examen détaillé des
membres supérieurs et inférieurs) il trouve des lésions des cordons
postérieurs
,des racines rachidiennes antérieures et postérieu
névroglie qui en certaines régions envahit la totalité des cordons
postérieurs
. , ' Dans la suite, et surtout après la publica
- lules radiculaires des cornes antérieures et sclérose des cordons
postérieurs
avec tourbillons névrogliques ; dans les troncs
; mais les lésions médullaires concomitantes (sclérose des cordons
postérieurs
, atrophie partielle des cornes antérieures) sem
trouve à l'examen histologique.une sclérose des cordons latéraux et
postérieurs
, une atrophie des cornes antérieures. des racin
ux et postérieurs, une atrophie des cornes antérieures. des racines
postérieures
intactes et des nerfs périphériques dégénérés. Il
rs puis les membres supérieurs il y avait des lésions des cor- dons
postérieurs
de la moelle ; dans les nerfs périphériques la ra
racines rachidiennes étaient altérées, les antérieures plus que les
postérieures
. Dans l'observation II (atrophie des membres supé
é- rieurs de la moelle, sur les racines rachidiennes antérieures et
postérieures
et sur les nerfs périphériques (augmentation du
e des cel- lules des cornes antérieures, dégénérescence des cordons
postérieurs
avec sclérose névroglique en tourbillons, comme
ne sont pas hypertro- phiées dans la région cervicale; les racines
postérieures
le sont du haut t en bas de la moelle; dans le
cas de Dejerine et Sottas les racines rachi- diennes antérieures et
postérieures
sont hypertrophiées également, mais notablement
es ne présentent que des modifications peu importantes, les racines
postérieures
sont normales ; dans les racines antérieures une
ntéressant le vermis supérieur et le lobe quadrilatère antérieur et
postérieur
des deux côtés, contraste avec l'état des lamel
n peut déjà observer que l'écorce du lobe quadrilatère antérieur et
postérieur
, du lobe grêle, du vermis supérieur (culmen et dé
eint son plus fort degré dans les lobes quadrilatères antérieurs et
postérieurs
, dans le flocculus, et dans le vermis supérieur (
rendrons les lamelles appartenant au lobe quadrilatère antérieur et
postérieur
, au vermis supé- rieur, au flocculus, où les lé
coupes normales. Les fibres transversales antérieures, moyennes et
postérieures
du pont sont très abondantes. L'olive bulbaire
ttement apparent. Rien à noter non plus dans les noyaux des cordons
postérieurs
. Le corps restiforme, de volume normal, est trè
nts les altérations constatées sont les suivantes. Dans les cordons
postérieurs
, sur toute leur hauteur, il existe une très lég
el. Dans aucun segment la légère raréfaction des fibres des cordons
postérieurs
ne présente trace de systématisation. Les racin
rdons postérieurs ne présente trace de systématisation. Les racines
postérieures
adjacentes à la périphérie de la moelle et coupée
elle, il existe la même raréfaction des fibres que dans les cordons
postérieurs
, mais elle est ici encore plus légère, à peine
lonne est aussi bien développé qu'à l'état normal. Dans les cordons
postérieurs
et dans les latéraux il existe une grande abon-
s ; celles-ci consistent en une très légère raréfaction des cordons
postérieurs
, diffuse, nullement systématisée, un peu plus a
fin, dans une abondance anormale des fibres fines, dans les racines
postérieures
, avec la perte, ici et là de quelques rares fib
peut cependant se demander si les très légères lésions des racines
postérieures
et des cordons postérieurs de la moelle ne pourra
si les très légères lésions des racines postérieures et des cordons
postérieurs
de la moelle ne pourraient pas expliquer cet él
en jarretière, frappant également le triceps fémoral et les muscles
postérieurs
. Les mouvements passifs sont plus ou moins limi
en petite partie aussi, à une légère diminution de volume du cordon
postérieur
et de la base de la corne postérieure gauche.
diminution de volume du cordon postérieur et de la base de la corne
postérieure
gauche. Sur des préparations au Weigert et au P
exes qui la traversent sont moins nom- breuses. La base de la corne
postérieure
gauche présente une légère diminution de largeu
u- pés presque exclusivement par du tissu interstitiel. Le cordon
postérieur
gauche est un peu moins volumineux que le droit,
t normal, d'un côté comme de l'autre. Rien à noter dans les racines
postérieures
, ni dans les cordons postérieurs à part la légè
re. Rien à noter dans les racines postérieures, ni dans les cordons
postérieurs
à part la légère atrophie, sans dégénérescence,
ée et localisée à la subs- tance grise motrice, mais que les cornes
postérieures
, la colonne de Clarhe, la substance grise autou
grise des cornes antérieures, elle peut aussi porter sur les cornes
postérieures
, sur la substance blanche de la moelle. (1) RoG
mpressionner par la teinte rouge de la partie inférieure de la face
postérieure
de l'avant-bras,existant au moment de notre exa
le centrale du protoneurone, siégeant dans le ganglion de la racine
postérieure
. Une fois admise la possibilité d'une lésion ou
yologique des gan- glions cérébro-rachidiens, ganglions des racines
postérieures
de la moelle et des nerfs sensoriels, se forman
resiM. Barbiéri (1) établit que les gan- glions nerveux des racines
postérieures
appartiennent au système du grand sympathique.
hique, à l'exclusion totale du cerveau, de la moelle et des racines
postérieures
des nerfs (Simon et Hoche) (2). 4 Le fonctionne
mars 1903. (2) Simon et Hoche, Les ganglions nerveux des racines
postérieures
appartiennent- ils au système du grand sympathi
e multiples et fines vari- cosités. Au tiers inférieur de la face
postérieure
de la jambe gauche a existé il y a un an un ulc
s parties du corps qui sont juxtaposées après coup. ' Sur une vue
postérieure
de cette statue, l'exactitude de la muscula- tu
contre, les bras et les jambes sont plus corrects. Mais sur une vue
postérieure
le tra- pèze apparaît trop mince, privé de son
che défectueuse des fibres charnues du grand oblique. « A la partie
postérieure
du flanc, on peut noter aussi l'absence du bour-
et intéressant les tubercules qua- drijumeaux antérieurs, la partie
postérieure
du pulvinar, les corps genouillés externes et i
oyau rouge, on voit un foyer de ramollissement qui occupe la moitié
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne. En
foyer de ramollissement qui occupe la moitié postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne. En arrière, ce foyer pou
sule interne, le corps ge- nouillé externe (moins une petite partie
postérieure
) et sectionne complètement la bandelette optiqu
terne de la calotte, et sectionne le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
en totalité ; le ruban de Reil médian dont il r
détruit ici, dans la calotte : le bras du tuber- cule quadrijumeau
postérieur
, le ruban de Reil médian (exception faite de sa
du pont. 1° dans la région sous-optique, le foyer détruit la moitié
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne en po
ion sous-optique, le foyer détruit la moitié postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne en poussant une pointe en
tubercule quadrijumeau antérieur, le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
en totalité, le ruban de Reil médian (moins sa
upant 194 ROSSI ET ROUSSY surtout la moitié antérieure du segment
postérieur
de cette capsule. En effet si la moitié postéri
ieure du segment postérieur de cette capsule. En effet si la moitié
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne est m
ieur de cette capsule. En effet si la moitié postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne est moins développée en l
surtout) est nettement moins développée que la droite. Dans l'étage
postérieur
on note : une atrophie très marquée du ruban de
e la partie inférieure du bulbe, passant par les noyaux des cordons
postérieurs
et intéressant l'entrecroisement sensitif,on voit
rtie inférieure du pé- doncule. En haut, ce foyer détruit la moitié
postérieure
du segment postérieur de la capsule inlerne et
doncule. En haut, ce foyer détruit la moitié postérieure du segment
postérieur
de la capsule inlerne et effleure l'extrémité pos
, il dé- truit : les bras des tubercules quadrijumeaux antérieur et
postérieur
, le ruban de Reil latéral en partie, le ruban d
du lobe temporo-occipital ; une dégénération rétrograde du segment
postérieur
de la capsule interne ; une dégénération très m
ns la protubéi dans le bulbe jusqu'au niveau des noyaux des cordons
postérieurs
. * . .. Le cas que nous venons d'étudier es
à l'oblitération d'un tronc vasculaire unique : l'artère cérébrale
postérieure
. On sait en effet que cette artère dans sa prem
entre le tronc basilaire et le point où elle reçoit la communicante
postérieure
- donne de nombreuses collatérales se rendant a
res inter- nes). Au delà du point d'anastomose avec la communicante
postérieure
, l'artère cérébrale postérieure donne des artèr
t d'anastomose avec la communicante postérieure, l'artère cérébrale
postérieure
donne des artères collatérales et terminales qu
« fonction de l'oblitération de la portion directe de la cérébrale
postérieure
ou de ses branches ». Mais si la thrombose ne se
la thrombose ne se limite pas à la première portion de la cérébrale
postérieure
et qu'elle s'étend encore jus- qu'au delà du po
end encore jus- qu'au delà du point d'embouchure de la communicante
postérieure
, les branches terminales de la cérébrale postér
a communicante postérieure, les branches terminales de la cérébrale
postérieure
ne trouveront plus comme dans les conditions pr
récédentes, une suppléance d'irrigation au moyen de la communicante
postérieure
. La circulation sera donc aussi interrompue dan
ussi interrompue dans les branches terminales de l'artère cérébrale
postérieure
et on aura dans ces conditions un double foyer,
ant dans le domaine des branches termi- nales de l'artère cérébrale
postérieure
(un foyer à l'extrémité de la corne sphénoïdale
l'autopsie, purement macroscopique, on constate : artère cérébrale
postérieure
oblitérée, pédoncule petit, aplati, avec une cica
alysie alterne supérieure, à l'oblité- ration de l'artère cérébrale
postérieure
. Pour lui, le complexus sympto- matique paralys
sie - est caracté- ristique de l'oblitération de l'artère cérébrale
postérieure
. Une observation clinique analogue a été rappor
nt précis où doit s'être produit la thrombose de l'artère cérébrale
postérieure
droite. A cause de l'amélioration de la paralys
'auteur rejette l'hy- pothèse d'une thrombose de l'artère cérébrale
postérieure
sur la plus grande partie de son tronc, depuis
s son origine jusqu'au delà du point où elle reçoit la communicante
postérieure
. Il admet au contraire l'hypo- thèse d'une thro
Il admet au contraire l'hypo- thèse d'une thrombose de la cérébrale
postérieure
au niveau de l'anasto- (1) LUT011, cité par d'A
98 p. I, 1, xx 13 202 ROSSI ET ROUSSY mose avec la communicante
postérieure
; celte localisation de l'obli- tération expliq
lète de la circulation dans les branches terminales de la céréblale
postérieure
, d'où l'hémiopie et les symptômes temporaires d
ement considérable de la circulation dans la partie de la cérébrale
postérieure
s'étendant de son origine jusqu'au voisinage de
ure s'étendant de son origine jusqu'au voisinage de la communicante
postérieure
, ainsi que dans les collatérales qui en partent
itérés ». D'Astros, au travail duquel l'observation de Blessigs est
postérieure
, admet aussi la possibilité de l'association mo
ité de l'association morbide en question par lésion de la cérébrale
postérieure
: « la coïncidence, dit-il, de lésions oblité-
la coïncidence, dit-il, de lésions oblité- rantes dans la cérébrale
postérieure
à son origine (ramollissement pé- donculaire) e
rmédiaire du ramollissement occipital que la lésion de la cérébrale
postérieure
pourrait donner lieu à l'hémianopsie. La tendance
blablement sous la dépendance d'une affection de l'artère cérébrale
postérieure
, n'est pas soutenable, selon d'Astros. En effet
ères de la bande- lette optique proviennent non pas de la cérébrale
postérieure
, mais de la communicante postérieure. Voyons
ennent non pas de la cérébrale postérieure, mais de la communicante
postérieure
. Voyons maintenant ce qui s'est passé dans notr
ict d'irrigation de toutes les artères collatérales de la cérébrale
postérieure
se rendant au pédoncule. Nous avons vu, que le
érieures du pédoncule, tandis que les parties ex- ternes et surtout
postérieures
restent relativement indemnes. Ce fait relève d
artères collatérales issues de la première portion de la cérébrale
postérieure
, celles qui se rendent aux parties antéro-inter
; au contraire, les collatérales de la même portion de la cérébrale
postérieure
se rendant à la partie externe du pédoncule ne
es collatérales issues soit de la portion réfléchie de la cérébrale
postérieure
, soit de la communicante postérieure et de la c
tion réfléchie de la cérébrale postérieure, soit de la communicante
postérieure
et de la cérébelleuse supérieure. Dans notre ca
xterne de la calotte, prouve que la portion directe de la cérébrale
postérieure
n'a pas été oblitérée complètement et que l'int
es collatérales issues soit de la portion réfléchie de la cérébrale
postérieure
, soit delà communicante postérieure, soit de la
rtion réfléchie de la cérébrale postérieure, soit delà communicante
postérieure
, soit de la cérébelleuse supérieure doivent avo
ns une portion de son trajet circumpédonculaire ainsi que la moitié
postérieure
du segment sous-len- ticulaire de la capsule in
uption de la circulation dans une collatérale issue de la cérébrale
postérieure
(artère des corps genouillés qui vient de la pa
s corps genouillés qui vient de la partie réfléchie de la cérébrale
postérieure
), la lésion de la bandelette optique et de la m
le postérieure), la lésion de la bandelette optique et de la moitié
postérieure
du segment sous-lenti- culaire de la capsule in
mettant une oblitération des collatérales issues de la communicante
postérieure
et de la choroïdienne antérieure. (1) Duket, Ar
éra- les de différentes artères (cérébralepostérieure, communicante
postérieure
, cérébelleuse supérieure, choroïdienne antérieu
I A XXXIX BrQa. Bras du tubercule quadrijumeau antérieur. BrQp. -
postérieur
. Cge. Corps genouillé externe. Cgi. - - - int
Cge. Corps genouillé externe. Cgi. - - - interne. Cip. - Segment
postérieur
de la capsule interne. CL. Corps de Luys. CNR
vinar. Py. - Pyramide. Qa. Tubercu'e quarijumeau antérieur. Qp.
postérieur
. Rm. Ruban de Reil médian. ni. - - latéral.
de prédi- lection des nécroses est, en première ligne, les cordons
postérieurs
et puis les cordons latéraux. Il paraît que les
ach à la place du faisceau en virgule de Schultze. Dans les cordons
postérieurs
une raréfaction légère des fibres nerveuses.
rie) et les parties des cordons posté- rieurs adjacentes aux cornes
postérieures
sont respectés. Les cordons pos- térieurs ne so
intacts les cordons fondamentaux postérolatéraux. Dans les cordons
postérieurs
les parties qui sont plus ou moins respectées s
on voit une destruction presque complète des cordons et des cornes
postérieures
, des faisceaux cérébelleux et pyramidaux croisé
ures, des faisceaux cérébelleux et pyramidaux croisés, de la partie
postérieure
du faisceau de Gowers, elde la plus grande part
rritoires nécrosés, causa ces nécroses cunéiformes. Dans les cornes
postérieures
on voit une déformation due au ramollissement d
orption de la substance altérée, a une forme serpentine ; la partie
postérieure
de la moelle semble être aplatie et comprimée.
e de la moelle semble être aplatie et comprimée. Dans chaque cordon
postérieur
on constate aussi un espace vide, plus ou moins
ce vide, plus ou moins cunéiforme, rappelant le trajet des branches
postérieures
. Les méninges molles présentent de la congestion
antéro- latéraux qui sont respectés. Vers la périphérie des cordons
postérieurs
atteints on voit de larges espaces vides, aussi
MOELLE ÉP1N1ÈRE 215 aux cordons pyramidaux croisés) et aux cordons
postérieurs
. Elles rappel- lent un peu la topographie vascu
sus- et le sous-épineux et le grand dentelé qui forment sur la face
postérieure
et en dedans de l'omoplate de fortes saillies b
t conservées partout, mais dimi- nuées dans les portions moyenne et
postérieure
du deltoïde gauche et dans le sous-épineux du m
ne vertébrale présente une très forte cyphose à convexité droite et
postérieure
avec scoliose à concavité gauche. En avant le tho
fontanelle anté- rieure. La fontanelle antérieure a 10 cent. 5, la
postérieure
9 centimètres. La fontanelle temporale est enco
c.). Dans la moelle, la lésion paraît atteindre avant tout la corne
postérieure
(troubles des sensibilités superficielles, trou
s sensibilités superficielles, troubles trophiques), mais le cordon
postérieur
ne paraît pas indemne (sensibilités profondes pre
dante, du côté de la flexion, à peu près nulle au niveau de la face
postérieure
; au niveau de ce qu'on peut appeler les bords i
qui le sépare du rond pronateur, et au quart supérieur de la crête
postérieure
du cubitus, par un tendon aponévro- tique. Ce m
les deux artères interosseuses, toutes deux grêles ; l'interosseuse
postérieure
toutefois est assez grosse pen- dant 2 centimèt
e, Doigts. HÉMTMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 299 face
postérieure
de l'avant-bras après avoir émis une branche récu
e de l'avant-bras après avoir émis une branche récurrente ra- diale
postérieure
, extrêmement grêle, qui va se perdre dans l'ancon
térieure, extrêmement grêle, qui va se perdre dans l'anconé et face
postérieure
de l'articulation du coude, huméro-radiale. A l
postérieure de l'articulation du coude, huméro-radiale. A la face
postérieure
et externe de l'avant-bras on voit d'abord l'anco
, continue son trajet vertical et aborde le bord externe et la face
postérieure
de la région correspondante au carpe et au méta
région ; entre ces deux tendons passe l'artère radiale. Sur la face
postérieure
de l'avant-bras, on voit ensuite un muscle (i,
ce muscle s'attache très fortement par un tendon cordiforme au bord
postérieur
du radius demeuré saillant à sa partie inférieu
situé entre le précédent et le muscle anconé, s'insère sur la face
postérieure
de l'épicondyte, près de son bord externe, et s
t te partie. En j, sont représentés les extenseurs communs, cubital
postérieur
, extenseur propre du petit doigt, non différencié
ar rapport à la partie supérieure de ces muscles, on trouve la face
postérieure
dn court supinateur, normal. Telle est toute la
court supinateur, normal. Telle est toute la musculature de la face
postérieure
de l'avant-bras ; tous ces muscles sont innervé
ri, sans noyaux dis- tincts ; sur la face antérieure et sur la face
postérieure
de ce tissu fibreux, se perdent les trousseaux
ibreux épais fait saillie dans l'interligne huméro-radial à sa face
postérieure
; anormalement développé, il est en grande parti
vers le cubitus qui se trouve situé un peu plus haut et sur un plan
postérieur
. Ces os présentent en raccourci la forme de leurs
ont à la peau de l'ex- trémité du moignon. Les muscles de la région
postérieure
confondent en partie leurs insertions inférieur
gts, insérés tous deux à la face pro- fonde de la peau. A la région
postérieure
, on trouve l'extenseur des doigts in- séré à la
on trouve l'extenseur des doigts in- séré à la peau, et le cubital
postérieur
inséré sur le petit os mobile à l'extrémité inf
A ce niveau, tout distinct qu'il soit encore, il adhère par sa face
postérieure
à la gaîne qui lui est destinée. Il se termine
car- pien ; elles interceptent entre elles un angle droit. Région
postérieure
. Extenseur commun des doigts. - Il est normal en
ouches fibreuses recouvrant le 5e méta- carpien. A nconé, cubital
postérieur
normaux. Muscles longs du pouce normaux. Mais
trophié ; il s'attache à la partie supérieure et externe de la face
postérieure
du tibia, et se jette bientôt dans le jumeau inte
léaire et le poplité réunis. Elles se fixent, en effet, à la partie
postérieure
du condyle et au tibia et se perdent à la face
la fémorale, des deux côtés, passe entre les jumeaux, longe la face
postérieure
du tibia et se bifurque au niveaudu tiers infér
musculaires, et se termine en deux rameaux pour la main. La branche
postérieure
du cubital, arrivée au dos du poignet, se divis
au fléchisseur profond et se termine en deux rameaux, antérieur et
postérieur
. Membres inférieurs. Le sciatique poplité exter
que poplité interne va aux jumeaux et au soléaire. Il longe la face
postérieure
du cartilage représentant le tibia, suit le tendo
s. Les ligaments latéraux externes des genoux se fixent à la partie
postérieure
des plateaux des tibias. Au-dessous de l'extr
r petitesse. Ceux de la partie interne et antérieure, et externe et
postérieure
du bras ne paraissent qu'ébauchés. Le biceps qui
bé de l'extrémité inférieure de l'humé- rus. A la partie externe et
postérieure
, je n'ai trouvé que la partie moyenne du tricep
ît être la continuation du tronc, descend tout le long de la partie
postérieure
de l'union du grand pectoral avec le deltoïde et
ure du faisceau coracoïdien du biceps, pour s'engager entre la face
postérieure
du deltoïde et l'humérus, et, après avoir donné q
s deux branches de bifurcation du radial, et notam- ment la branche
postérieure
qui contourne radius, pour se perdre dans le co
rémité du radius chevauche sur le cubitus qui est placé sur un plan
postérieur
. Ce chevauchement en pronation permanente du radi
por- tant à peu près uniquement sur la corne antérieure et la corne
postérieure
du côté de l'hémimélie. Les cordons blancs sont
jambe ; près de l'extrémité libre du membre incomplet, à la partie
postérieure
, se détache perpendiculairement à l'axe de ce mem
par des surfaces articulaires munies de cartilage. A l'ex- trémité
postérieure
du métatarsien se placent trois petits os rudimen
s ; le plus antérieur, cuboïde ( ? ) est long de 3 millimètres ; le
postérieur
, effilé par son extrémité antérieure, est long Z)
de 5 millimètres, long de 15, il s'insère en avant à l'ex- trémité
postérieure
de la phalange du petit orteil. Il se dirige obli
e un tubercule saillant à sa jonction avec le bord externe; la face
postérieure
est convexe, un peu rugueuse ; la face antérieure
adial externe. Leur tendon contourne le radius et passe à la partie
postérieure
dans la double gouttière ostéo-fibreuse, qui pré-
t supinateur très bien développé ; insertions normales. C. - Région
postérieure
. Cubital postérieur. Son insertion se fait sur le
n développé ; insertions normales. C. - Région postérieure. Cubital
postérieur
. Son insertion se fait sur le bord interne du m
S'insère par un tendon grêle à la partie la plus interne de la face
postérieure
de l'os du moignon. Quelques fibres vont se per
commun. Un seul tendon large et rubané qui passe dans une gouttière
postérieure
et se termine par trois ordres d'insertions : 1°
1° fibres pro- fondes, s'insérant à la partie supérieure de la face
postérieure
du massif osseux ; 2° fibres externes qui vont
sur le moignon on observe deux plis cutanés de flexion, l'un un peu
postérieur
au premier. C'est au niveau de ces plis et part
ur la coque fibreuse qui entoure le moignon ter- minal. A la partie
postérieure
du bras, il est impossible de différencier un f
s internes des circonvolutions semi-lunaires à hauteur de leur bord
postérieur
; et, ce niveau, c'est profondément qu'elles sont
es à droite, ces lacunes occupent presque exclusivement leur moitié
postérieure
et provoquent une démyélinisation diffuse, assez
veau. La plus grande, située à gauche, effleure les fibres les plus
postérieures
de la voie py- ramidale. Dans la partie moyenne
pyramidaux croisés, mais aussi de la partie cen- trale des cordons
postérieurs
. Ces lésions concordent bien avec les symptômes
mince, plus large en avant qu'en arrière, et contenue dans la corne
postérieure
droite. Sa paroi paraît être constituée par une
développée prend la forme d'un croissant qui suit l'axe des cornes
postérieures
en passant derrière l'épen- dyme ; elle occupe
eures en passant derrière l'épen- dyme ; elle occupe toute la corne
postérieure
gauche et la corne postérieure droite jusqu'à l
n- dyme ; elle occupe toute la corne postérieure gauche et la corne
postérieure
droite jusqu'à l'union du tiers postérieur avec
eure gauche et la corne postérieure droite jusqu'à l'union du tiers
postérieur
avec les deux tiers antérieurs. A côté de cette
e forme et les mêmes rap- ports occupe toute la longueur des cornes
postérieures
qu'en s'élargissant, elle envahit peu à peu com
rées par une membrane conjonctive plissée. Au niveau de la partie
postérieure
de la cavité, et dans son intérieur, nous avons
la moelle cervicale jus- qu'au niveau du IVe segment. Là, la corne
postérieure
droite a en partie disparu; plus bas, les deux
iose juxta-cavitaire. Dans la moelle dorsale inférieure, les cornes
postérieures
réapparaissent normales ; à ce niveau, les corn
moins par le processus gliomateux. Au niveau deC. IV les faisceaux
postérieurs
sont dégénérés, aussi bien Goll 1 que Burdach,
faisceau fondamental latéral sont intéressés, les lésions des cordons
postérieurs
affectent la même topographie que dans les régi
isceaux spinaux. Racines rachidiennes. - Les racines antérieures et
postérieures
sont sai- nes jusqu'à C. VII ; à partir de ce n
a thermo-anesthésie du membre supérieur à la destruction des cornes
postérieures
par la gliose ; mais nous ne voulons pas insist
forme d'une fente au niveau de la III" cervicale, occupant la corne
postérieure
gauche. Dans les régions sous-jacentes la cavité
uche. Dans les régions sous-jacentes la cavité dé- truit les cornes
postérieures
et en partie les cornes antérieures. La cavité
dessous et se terminer définitivement à la IX" dorsale. Les racines
postérieures
con- tiennent un certain nombre de fibres dégén
E (Charron, Degouy et Tissai.) UN CAS d'achondroplasie 393 très
postérieur
au tibia et un peu en dehors de lui. Le tibia est
tenseur commun des doigts, extenseur propre du petit doigt, cubital
postérieur
; que les mus- cles b et c (fig. 2), représente
, extenseur propre du petit doigt, cubital 408 KLIPPEL ET BOUCHET
postérieur
sont aussi fusionnés, de même que les 1er et 2e r
seur commun des doigts, extensenseur propre du petit doigt, cubital
postérieur
. 2° groupe, occupe l'extrémité proximale du côt
ux-ci ont une partie fibro-tendineuse com- mune ; les muscles longs
postérieurs
du pouce se terminent en bas par une seule mass
ées fibreuses qui partent de ce tendon vers la masse du pouce, face
postérieure
. On voit donc de par les faits précédents que l
ueur avec le ventricule latéral, se prolongeant jusqu'à l'extrémité
postérieure
du lobe : Ce cas de porencéphalie acquise est à r
substance céré- brale est complètement absente dans les deux tiers
postérieurs
, et remplacée par un bord mousse, le bord inter
é des muscles de la jambe, particulièrement remarquable à la région
postérieure
; aux cuisses, au quadriceps ; seul le vaste in
neau et par Cagnetto, lesquels remarquèrent les lésions des cordons
postérieurs
ou antéro-latéraux, celle des racines pos- téri
en arrière. La douleur de l'épaule gauche, qui partait de la région
postérieure
de l'omoplate, semblait avoir passé sous cette de
moment des contractions, le point d'appui se prenant sur la partie
postérieure
de la nuque. Assurément, le sterno- mastoïdien
ente de mon 1,)i licolis. Sauf un peu de raideur dans les muscles
postérieurs
du cou, entrainant quelquefois de légères secou
lle paire on peut distin- guer quatre colonnes cellulaires, dont la
postérieure
représente le noyau d'origine du facial dit sup
la plupart du noyau de la troisième paire, pendant que l'extrémité
postérieure
de ce noyau restait intacte. Aussi bien M. Spil
e paire dans le noyau conlenu dans le sein du faisceau longitudinal
postérieur
, considérant, cependant, la partie plus proxima
u de la IIIe paire, située dans le sinus du faisceau longi- tudinal
postérieur
, le noyau du facial supérieur et celui de l'éléva
la chaîne cellulaire comprise dans le sein du faisceau longitudinal
postérieur
) l'origine de ce nerf est contenue en direction
ail de Mendel il soit dit que l'altération se rapporte à la portion
postérieure
, dystale du noyau de la III. paire, et non pas
pas si elle se trouve ou non dans le sein du faisceau longitudinal
postérieur
, cependant l'indication donnée par Men- del que
noyau placé dans une excavation dorsale du faisceau longitu- dinal
postérieur
, au niveau de la région pédonculaire dans le côté
égénération du faisceau de Goll et de la bandelette externe du cordon
postérieur
. Dégé- nération peu accusée des racines postéri
xterne du cordon postérieur. Dégé- nération peu accusée des racines
postérieures
. Les faisceaux de Gowers et cérébelleux direct
ire cervicale. Lésions plus étendues que plus haut dans les cordons
postérieurs
. MALADIE DE FRIEDREICH (F. Raymond.) Cas D.
e publié sous le titre de « Dégénéres- cence atrophique des cordons
postérieurs
de la moelle », et où sont rela- tées les trois
ence d'une sclérose qu'il crut être strictement limitée aux cordons
postérieurs
. Reportez-vous, messieurs, à cette époque, quel
progressive, et vous vous expliquerez comment sclérose des cordons
postérieurs
et tabès dor- salis étaient devenus, pour ainsi
e les lésions du tabès sont loin d'intéresser seulement les cordons
postérieurs
de la moelle, mais qu'elles s'étendent encore a
t, dans la moelle même, ne sont nullement circonscrites aux cordons
postérieurs
. Sclmltze avait en effet, remarqué la participa
linis.ition des colonnes de Clarke. Sclérose très intense des cordons
postérieurs
. FIG. i. - IV- paire lombaire. Aspect tabétiq
. i. - IV- paire lombaire. Aspect tabétiquo des lésions des cordons
postérieurs
. Atrophie des racines. Sclérose très nette de l
FIG. 6. - 111° paire sacrée. Conservation nette dans les cordons
postérieurs
des libres endogènes. MALADIE DE FRIEDREICH (
AXTE CÉRÉBELLEUSE 13 1° Une dégénération très prononcée des cordons
postérieurs
, intéressant surtout les faisceaux de Goll. 2
égénération des colonnes de Clarke. 4° Une dégénération des racines
postérieures
. Et sa conclusion était la suivante : « L'ataxi
une interprétation différente de la nature des lésions des cordons
postérieurs
. Ils interprétèrent d'une façon toute spéciale
nctifs périvascu- laires, au moins pour ce qui concerne les cordons
postérieurs
. Ils crurent à la possibilité d'une sclérose né
l'un primitif, véritable gliose, restant localisé dans les cordons
postérieurs
; l'autre secondaire, sclérose d'origine conjonct
1. - VIle racine cervicale. Lésions très accusées dans les cordons
postérieurs
, les racines postérieures et les cordons antéru
le. Lésions très accusées dans les cordons postérieurs, les racines
postérieures
et les cordons antéru latéraux. A remarquer la
z vous rendre compte sur les dessins. Comparée à celles des cordons
postérieurs
, la sclérose des cordons an- téro-latéraux leur
penser que la maladie de Friedreich évo- lue d'abord sur le cordon
postérieur
pour atteindre, plus tardivement, et d'une faço
(absence d'atrophie musculaire) et toute la demi-moelle droite(corne
postérieure
exceptée). Toute la partie sous-jacente à ce
agent au côté gauche, puis tendent à disparaître, d'abord à la face
postérieure
des membres, sauf la fesse gauche qui reste plu
au pied droit. Ces sensations reviennent aussi plus tard à la face
postérieure
des deux membres. SCLÉROSE MÉDULLAIRE 21 à dr
longtemps insensible au froid, retrouve cette sen- sation à sa face
postérieure
. En somme la systématisation hémilatérale droit
vement limitée à gauche eût franchi la ligne médiane, gagné la face
postérieure
de la moelle, la substance grise médiane, à mes
mique normale qui était revenue déjà depuis quelque temps à la face
postérieure
. Le fait du retour des mouvements à gauche et d
avec la région intéressée. C'est ainsi que lorsque les faisceaux
postérieurs
sont atteints, on observera les symptômes du ta
nt donné le traumatisme comme pouvant créer la sclérose des cordons
postérieurs
. Dans ce cas, la lésion se propage de bas en ha
, tact, température, etc. sont revenues à la normale : 1° A la face
postérieure
des membres inférieurs (Fig. 3). - 2° A leur fa
normales commençant : a)par les pieds ; continuant : b) par la face
postérieure
, c) par la face antérieure des membres inférieu
pli courbe, au premier pli pariéto-temporal à la partie tout à fait
postérieure
du lobule du pli courbe (2" pariétale) . - Dest
essant la deuxième occipitale, le pli courbe, la partie tout à fait
postérieure
de la deuxième pariétale, le premier pli de pas
ns les descriptions qui suivent, les coupes sont vues par leur face
postérieure
. Les coupes portant : 4° Sur le cap de la cir
ral avec la frontale as- cendante. 5° Coupe sectionnant la partie
postérieure
de la 28 pariétale immédiatement en avant du fo
issement et passant en avant de la partie terminale du prolongement
postérieur
de la scissure de Sylvius (PI. VI et VII, C). L
DE LA SALPÊTRIÈRE T. XVIII. PL. VI A Coupe passant par la partie
postérieure
de la 2° Pariétale immédiatement en avant du
la partie moyenne du pli courbe. C Coupe passant par la partie
postérieure
du pli courbe à 2 cm. 1/2 environ en avant du p
DE la Salpêtrière. T. XVIII. PI. VII Coupe passant par la partie
postérieure
de la 2e pariétale immédiatement en avant du
courbe. aphasie amnésique (Halipw.) Coupe passant par la partie
postérieure
du pli courbe à 2 centimètres 1/2 environ en
ce. Coupe de Brissaud. Ramollisement sous-cortical dans la région
postérieure
de la 3e frontale. Le foyer se trouve immédiate
gulaire (pli courbe) empiétant sur la substance grise de la portion
postérieure
de la première temporale et s'enfonçant profond
s'enfonçant profondément dans la substance blanche jusqu'à la corne
postérieure
du ventricule latéral. Rappelons aussi l'observ
lanche du pli courbe et de l'insula avec par- ticipation du segment
postérieur
de la capsule interne. Ainsi les lésions relevé
tomistes sous le nom de muscles spinaux : ils occupent, à la partie
postérieure
du rachis,les gouttières longitudinales qui s'éte
rps porte toujours sur le membre inférieur gauche. C. 'Début du pas
postérieur
(jambe gauche oscillante). Li contraction des spi
s antérieur (jambe droite oscillante). Fig. 6. Début du pas
postérieur
ou fin du double appui (jambe gauche oscil-
du côté portant. \\ ne fait que baisser très nettement dans le pas
postérieur
, un peu moins dans le pas antérieur.. » P. Richer
de trouver une surface convexe, on voit de la ligne para-axillaire
postérieure
à la ligne mamelonnaire en avant une surface pl
la hauteur du flanc se traduit par la formation de plis latéraux et
postérieurs
plus nombreux et moins marqués qu'en avant. Les
peu près à la hauteur de la crête iliaque. Au- dessus, l'extrémité
postérieure
des plis se relève et leur direction devient para
sente dans la région dorso-lombaire une courbure unique à convexité
postérieure
. La lordose lombaire normale a complètement xvi
normale ; et, lorsque la voussure du dos est très accusée, la face
postérieure
du cou comme la région dorsale supérieure se ra
t la marche, lorsque le malade veut redresser la tête, la concavité
postérieure
de la région cervicale s'exagère. La mobilité
dans la colonne cervicale, forme une courbure unique à con- vexité
postérieure
surtout marquée au niveau des vertèbres dorsales,
e fait en arrière et au-dessus du conduit auditif externe la racine
postérieure
de l'arcade zygomatique ou crête sus-mastoïdien
st toujours très appréciable et se traduit par la présence des plis
postérieurs
qui se retrouvent presque cons- tamment. Il e
- sées d'un côté que de l'autre. La courbure générale à convexité
postérieure
du rachis peut atteindre la ré- gion cervicale.
t et il droite : il en résultait une asymétrie des flancs, des plis
postérieurs
, des dépressions des hypochondres, une obliquit
s est immobile, la région dorsale présente une courbure à convexité
postérieure
, exceptionnellement une déviation latérale, la ré
près de la nature, vien- drait le premier en date ; l'autre serait
postérieur
; le tableau de l'hôpital aurait servi à l'exéc
a dégénérescence primitive des nerfs péri- phériques et des racines
postérieures
; c'est ainsi qu'en la même année M. P. Marie g
gues à celles de la maladie de Friedreich : altérations des cordons
postérieurs
, des faisceaux pyramidaux,des faisceaux cérébel
e grise (atrophie partielle ou disparition des cellules de la corne
postérieure
, atrophie des colonnes de Clarke et absence presq
sions de la substance blan- che (dégénération partielle des cordons
postérieurs
, localisée dans les faisceaux de Burdach à la r
ion plus complète des faisceaux pyramidaux croi- sés et des cordons
postérieurs
; mais vous n'êtes pas sans savoir qu'il existe'
grêle, aplatie à la région cervico-dorsale ; il y a, à la ré- gion
postérieure
, une pie-mérite fibreuse assez adhérente ; les ra
s. A la coupe, on voit, à la région dorsale et cervicale, un cordon
postérieur
translucide résistant à la section, ainsi que d
dégénératives du noyau dorsal du vague. ' , E. Moelle. a) Cordons
postérieurs
. - Ils sont atteints dans toute leur hauteur, a
lus démyélinisées sont surtout les portions centrales des ' cordons
postérieurs
; les régions cornu-commissurales et cornu-radicu
u non. b) Racines. Les racines antérieures sont saines. Les racines
postérieures
sont au contraire entièrement dégénérées à la r
use de Rolando. e) Méninges et vaisseaux. Les vaisseaux des cordons
postérieurs
et les septa conjonctifs qui les entourent sont
jonctifs qui les entourent sont épaissis et sclérosés. Les méninges
postérieures
, surtout à la région dorso-lombaire, sont épaissi
est de in 5 centimètres (contrôle 10), la distance de la commissure
postérieure
au bord antérieur du cervelet de 3 centimètres (c
it complètement dégénéré, émerge d'une tu- meur qui s'étend du bord
postérieur
du chiasma à l'antérieur de la protu- bérance.
. - Fld, faisceau longitudinal dorsal. Gp, tu- bercule quadrijumeau
postérieur
. - N IV, noyau de la IV. paire. RL, ruban de Re
i à droite ni à gauche. Du côté droit la bandelette lon- gitudinale
postérieure
est refoulée en avant et ses fibres sont raréfiée
ses fibres sont raréfiées, du côté gauche le faisceau longitudinal
postérieur
est à peu près intact. Les fibres radi- culaire
it nettement quelques fibres qui partent du faisceau longitu- dinal
postérieur
, se portent en avant, traversent le noyau rouge e
ale intéressant la partie antérieure des tubercules qua- drijumeaux
postérieurs
, la zone de ramollissement cesse, on voit à ce ni
pâles et peu distinctes. Les fibres de la bandelette longitudinale
postérieure
ici sont plus nombreuses. Les deux tubercules qua
ieure ici sont plus nombreuses. Les deux tubercules qua- drijumeaux
postérieurs
ont la même dimension, on voit bien les cellules
deux côtés. Dans une coupe en arrière des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
, dans la partie supérieure de la protubérance,
e niveau sont très rares. Les fibres de la bandelette longitudinale
postérieure
sont plus nombreuses et bien distinctes des deu
ormes sont un peu pâles et traversent la ban- delette longitudinale
postérieure
, qui contient des faisceaux radiculaires plus n
ociation entre ces noyaux, qui montent par le faisceau longitudinal
postérieur
. Voyons en dernier lieu ce qui est écrit dans l
ibres motrices ascendantes qui montent par le faisceau longitudinal
postérieur
, se croisent sur la ligne médiane en bas des tu
ogiques (2),insiste sur le point suivant : le faisceau longitudinal
postérieur
contient des fibres ascendantes, mais la commun
h., mai 1903. 172 GRUNER ET BERTOLOTTI ' le faisceau longitudinal
postérieur
et aboutissent dans les noyaux de la Ille paire
ubercule était ainsi placé qu'il épargnait le faisceau longitudinal
postérieur
, le noyau rouge et les racines émanées de la Il
sement de tous ses diamètres. Il est notablement élargi à sa partie
postérieure
où les bosses occipitales sont bien marquées. L
eine séparés. Sur la gouttière basilaire, les deux artères spinales
postérieures
, très athéromateuses, ont creusé leur gouttière
en arrière du genou de la capsule interne et se termine à la partie
postérieure
de la tête du noyau caudé ; l'autre, moins long
udo-systématisées, à Cagnetto des lésions dégénératives des cordons
postérieurs
(3), à Bonardi (4) une hypertrophie de la gland
otographie correspond à un très léger déplacement en masse du train
postérieur
suivant le côté d'inclinaison du tronc; mais ce d
monde s'entend sur la fréquence des scléroses combinées des cordons
postérieurs
et latéraux, mais les divergences commencent quan
x) ; l'autre formé par une sclérose spé- ciale, limitée aux cordons
postérieurs
(dégénérescence grise). « La sclérose combinée
dre tout le cordon antéro-latéral et une petite portion des cordons
postérieurs
. Toujours elle prédomine dans la région dorsale,
est assez dense. « La dégénérescence grise se limite aux cordons
postérieurs
, qu'elle peut envahir depuis la région lombo-sa
ojanowitch et Rabaud, sauf excep- tion (5), les lésions des cordons
postérieurs
dans la paralysie générale (i) Histologie de la
mence, paraplégie ; raréfaction des fibres à myéline dans la moitié
postérieure
des faisceaux latéraux. Drap... Emile, 66 ans,
Pierret. 1. Obs. V. Moelle dorsale. Sclérose tabétique des cordons
postérieurs
. 8. Obs. VII. - Moelle dorsale. Sclérose des co
ns postérieurs. 8. Obs. VII. - Moelle dorsale. Sclérose des cordons
postérieurs
dite du tabès in- cipiens. 9. Obs. VI. Moelle
cipiens. 9. Obs. VI. Moelle dorsale. Sclérose tabétique des cordons
postérieurs
. 10. Obs. XI. Moelle cervicale. Raréfaction des
de décoloration dans les aires pyramidales croisées et les cordons
postérieurs
. 12. Obs. XI. Moelle lombaire. Raréfaction des
bres à myéline dans les aires pyra- midales croisées et les cordons
postérieurs
et disparition des fibres des zones de Lissauer
rondes et une dégénéres- cence des fibres à myéline dans la moitié
postérieure
de la moelle dans l'aire du faisceau fondamenta
avec prédominance au niveau des racines antérieures. Les racines
postérieures
sont atteintes de névrite parenchymateuse. 210
ordons de Goll et de Burdach de la moelle cervicale. Cette sclérose
postérieure
per- met de faire de ce cas une sclérose combin
ÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 211 2e Groupe : Scléroses
postérieures
. Les trois cas suivants n'ont de lésions médull
rois cas suivants n'ont de lésions médullaires que dans les cordons
postérieurs
. ' OBS. V. P. G. apparue 6 ans après un tabès c
icales. La moelle présente à l'oeil nu une teinte grise des cordons
postérieurs
. Le ventricule gauche du coeur est hypertrophié
rtain nombre de tubes nerveux normaux. La zone d'entrée des racines
postérieures
est également atteinte par le processus dégénérat
riphérique. Les cor- dons antéro-Iatéraux sont normaux. Les cordons
postérieurs
sont sclérosés dans la plus grande partie de le
grand nombre de fibres respectées (pl. XXXIII, fig. 7). Les racines
postérieures
sont, comme à la région lombaire, nettement alt
cordons antéro-latéraux sont absolument intacts. Quant aux cordons
postérieurs
, ils présentent une sclérose très marquée et à pe
e dessiner la virgule de Schultze. Ici, comme plus bas, les racines
postérieures
sont fortement sclérosées. 4° Bulbe. Une coupe
latéraux sont absolument sains. En revanche, les fibres des cordons
postérieurs
sont fortement altérées. Leur lésion porte sur un
dégénérées se prolonge en arrière en s'effilant le long de la corne
postérieure
. 20 Un petit territoire juxta-sulcique qui repr
e zone quelques rares fibres dégénérées. Quant au reste du cordon
postérieur
(portion à peu près complètement dé- générée),
ne où l'on aperçoit, coupées obliquement, les fibres ra- diculaires
postérieures
très fortement atteintes par le processus dégénér
cellules embryonnaires. Cette infiltra- tion prédomine à la région
postérieure
, formant autour des veines comme des manchons ;
antéro-latéraux sont indemnes de toute lésion. Quant aux cor- dons
postérieurs
, ils sont fortement atteints ; ils présentent de
phie suivante : elles respectent une mince bande le long des cornes
postérieures
dans presque toute leur longueur et le long de
de Burdach dans sa partie interue (pi. XXXIII, fig. 9). Les racines
postérieures
sont très altérées. Le canal de l'épendyme est ob
rée de cellules embryonnaires, lésions surtout marquées à la partie
postérieure
, dans l'espace compris entre les deux racines pos
la partie postérieure, dans l'espace compris entre les deux racines
postérieures
. Les artères spinales postérieures et les artér
e compris entre les deux racines postérieures. Les artères spinales
postérieures
et les artérioles méningées ont leurs parois lé
tégrité absolue des cordons antéro-laléraiix. Au niveau des cordons
postérieurs
un très grand nombre de fibres sont dégénérées.
de la bandelette externe de Pierret. La zone d'entrée des racines
postérieures
est manifestement altérée. 4° Cerveau. Les coup
dées absurdes de grandeur ; sclérose tabétique ancienne des cordons
postérieurs
; méningo-myélite surajoutée. Serv...; 46 ans,
Les artères de la base sont athéromateuses. La sclérose des cordons
postérieurs
de la moelle est visible à t'oei) nu. Le coeu
Il existe surtout une forte vascularite au niveau du sillon médian
postérieur
. Weigert-Pal. Les cordons postérieurs sont détr
ite au niveau du sillon médian postérieur. Weigert-Pal. Les cordons
postérieurs
sont détruits, sauf au niveau des ban- des long
s, sauf au niveau des ban- des longeant le bord interne des racines
postérieures
; les racines postérieures n'existent plus, les
des longeant le bord interne des racines postérieures ; les racines
postérieures
n'existent plus, les racines antérieures sont t
inflammation très marquée des méninges, des racines et des cordons
postérieurs
, périvascularite dans la substance grise moyenn
ons postérieurs, périvascularite dans la substance grise moyenne et
postérieure
et légère infiltration des cornes antérieures.
ulaire est nette- ment marquée au niveau de l'émergence des racines
postérieures
et dans les cordons postérieurs ; elle déborde
niveau de l'émergence des racines postérieures et dans les cordons
postérieurs
; elle déborde dans la partie postéro-externe des
ue donnée récemment par Léri (1). En résumé, de ces trois scléroses
postérieures
, les deux premières ré- pondent à la descriptio
e. De plus elle s'accompagne de méningite chronique an- térieure et
postérieure
, de périvascularite dans les substances blanche e
tématisation, et d'inflammation certaine avec sclérose de la partie
postérieure
d'un des cordons latéraux. Aussi ce dernier cas p
ix cas suivants présentent des lésions médullaires dans les cordons
postérieurs
et les cordons antéro-Iatéraux. 08S. VIII. Tabè
res sacrées. - Pachyméningite hémorrha- gigue. Sclérose des cordons
postérieurs
du tabès incipiens,méningo- myélite de la moiti
ordons postérieurs du tabès incipiens,méningo- myélite de la moitié
postérieure
de la moelle dorsale. Chamb.... Louis, 35 ans,
avec en plus un foyer récent de méningo-myélite occupant la moitié
postérieure
de la moelle. 4. Obs. IX. Moelle lombaire. Sclé
aires pyramidales. 1. Obs. X. Moelle lombaire. Sclérose des cordons
postérieurs
, à l'exception de la zone de Westphal,du triang
estphal,du triangle de Gombault et Philippe et de la zone marginale
postérieure
; sclérose totale des zones de Lissauer. Raréfa
tabes incipiens. 10. Obs. VIII. Moelle dorsale supérieure. Sclérose
postérieure
du tabes incipiens un peu masquée par les lésio
eu masquée par les lésions diffuses de méningo-myélite de la moitié
postérieure
de la moelle. 11. Obs. VIII. - Moelle dorsale i
delettes de Pierret et taches disséminées de myélite dans la moitié
postérieure
de la moelle. Nouvelle Iconographie DE la Salpê
grand nombre de libres à myéline (PI. XXXIV, fig. 10). Les racines
postérieures
sont également enflammées; leurs ganglions présen
des aires pyramidales et quelques taches décolorées dans la moitié
postérieure
de la moelle. L'hématoxyline- éosine montre à c
. Ramollissement de la scissure calcarine. - Sclérose des cor- dons
postérieurs
du tabès incipiens ; dégénérescence descendante d
ue des bandelettes de Pierret et des zones de Lissauer. Les racines
postérieures
sont très altérées (pl. XXXIV, fig. 2). Dans
ollés les uns aux autres, atrophiés dans leur ensemble. Les cordons
postérieurs
paraissent gris et translucides. Les poumons
des faisceaux pyramidaux et des bandelettes externes des cor- dons
postérieurs
, le long du sillon postérieur (face interne des c
s bandelettes externes des cor- dons postérieurs, le long du sillon
postérieur
(face interne des cordons de Goll), apparaît un
yramidaux qu'elle déborde peut-être un peu en avant; dans le cordon
postérieur
, une transparence plus grande au niveau des ban
volume moindre,comme dans les pyramides bulbaires; dans les cordons
postérieurs
, la raréfaction est beaucoup plus grande et va
dans la partie moyenne des cordons de Goll. Les zones radiculaires
postérieures
et antérieures sont conservées (pl. XXXIV,fig. 5)
XXXIV,fig. 5). Les racines antérieures sont intactes. Les racines
postérieures
sont altérées d'une façon particulière : des fais
nspection, les aires pyramidales sont altérées ; dans les cor- dons
postérieurs
, les bandelettes externes sont touchées très larg
ndelettes externes sont touchées très largement ainsi que la partie
postérieure
et interne des cordons de Goll (pl. XXXIV, fig. 6
réfaction des aires pyramidales atteignant la périphé- rie. Cordons
postérieurs
sclérosés à l'exception de la zone de Wesphal, du
esphal, du triangle de Gombault et Philippe et de la zone marginale
postérieure
; la zone de Lissauer est complètement détruite
e des cordons de Goll, dans la zone de Lissauer et dans les racines
postérieures
. D'autre part existe, dans toute la hauteur de
re du cordon de Goll. A la région sacrée et lombaire, les racines
postérieures
sont altérées et pré- sentent de la névrite par
de cellules rondes ; les vaisseaux des sillons médians antérieur et
postérieur
sont enflammés (péri-artérite et endartérite).
raréfaction des fibres dans les aires pyrami- dales et les cordons
postérieurs
. Au niveau de la zone de Lissauer, elles ont di
es corps granuleux dans l'espace périvasculaire de l'artère spinale
postérieure
. 11'issl.- Les cellules nerveuses en état picno
ues corps granuleux dans les gaines péri-vascu- laires de la moitié
postérieure
de la moelle. Nissl. La plupart des cellules ne
cellules rondes et du pigment sanguin est plus marquée à la région
postérieure
qu'à l'antérieure. Il existe de la périphlébite e
s du sillon médian antérieur. Weigert-Pal. Il existe une radiculite
postérieure
parenchymateuse intense. Cette radiculite est f
laire. Dans la moelle sont décolorées la moitié interne des cordons
postérieurs
et les faisceaux fondamentaux des cordons latér
ffit à éclaircir. Dans les deuxpremiers cas, l'examen des cordons
postérieurs
aux diffé- rents étages de la'moelle montre les
les bandelettes externes, leur régularité, des lésions des cordons
postérieurs
décrites par Joffroy et Rabaud. Si l'aspect des
postérieurs décrites par Joffroy et Rabaud. Si l'aspect des cordons
postérieurs
est identique, il n'en est pas de même pour les
ue et tabétique ont évolué rapidement et simultanément, la sclérose
postérieure
a tous les caractères topographiques de la sclé
ans ses dégénérescences propres ce qui dans les cordons laléraux et
postérieurs
dérivait déjà peut- être de l'inflammation méni
de l'inflammation méningo-radiculaire, car les lésions des racines
postérieures
peuvent à elles seules expliquer la disposition d
iquer la disposition de la dégéné- rescence des fibres. des cordons
postérieurs
, comme la méningite, qui accompagne ces lésions
érieurs, comme la méningite, qui accompagne ces lésions des racines
postérieures
, peut entraîner une dégé- nérescence de voisina
tale dont toutes les autres dérivent. Nous avons vu des scléroses
postérieures
tabétiques. Ce sont des cas identiques aux tabe
des tabes complexes, avec méningite et inflammation de la par- tie
postérieure
du cordon latéral, comme dans les cas de P. Marie
r s'exprimer au niveau de la moelle et particulièrement des cordons
postérieurs
que par des lésions pseudo-systématiques répon- .
mme dans certains cas de Klippel, la sclérose tabétique des cordons
postérieurs
par radicu- lite comme dans certains cas de Nag
hissent sous son poids ; les quatre membres sont parésiés, mais les
postérieurs
le sont davantage. Pas de paralysie faciale ; l
les circonvolutions de la région périrolandique gauche et la partie
postérieure
de la 3° circonvolution frontale. Il est permis
cale pla- que jaune de la région rolandique moyenne et de la partie
postérieure
des 2e et 3e circonvolutions frontales. Chez
e constatée est telle, que le doigt, in- troduit entre les molaires
postérieures
, peut y être laissé, lorsqu'on ordonne à la mal
ncore dans les cellules du Rattone qui se trouvent dans les racines
postérieures
de la moelle [Poli (14)]. De même, sur les rap-
s. L'épine de l'omo- plate présente à la partie interne de son bord
postérieur
une saillie angulaire très nette à sommet posté
ne de son bord postérieur une saillie angulaire très nette à sommet
postérieur
surtout accentuée du côté malade, et qui ré- po
le, très haute, et présente une perforation punctiforme à sa partie
postérieure
, perforation qui semble ne pas s'être mo- difié
euses sont normales. On constate une saillie très nette sur le bord
postérieur
de l'épine de l'omoplate, analogue à celle de l
ter- mine enfin en s'élargissant au niveau de la petite fontanelle
postérieure
ou lambdoïde, béante et entourant l'extrémité s
uement de haut en bas et de dehors en dedans l'image du gril costal
postérieur
, plus long à gauche qu'à droite; quant au fragm
Il n'y a pas d'espace fonta- nellaire correspondant à la fontanelle
postérieure
. L'occipital aplati descend verticalement rejoi
n mise au point. Il est assez curieux de noter que dans les travaux
postérieurs
à celui de M. P. Marie, la'plupart des auteurs
opsie un muscle sous-clavier hypertrophié qui nais- sait de la face
postérieure
du ligament remplaçant la clavicule. 7° Quant a
inution de la distance inter- acromiale antérieure par rapport à la
postérieure
, nous la constatons aussi bien, sinon plus, che
et du bassin. 6° Nous avons constaté la présence au niveau du bord
postérieur
de l'épine de l'omoplate d'une saillie anormale
avec tous ses caractères. Quelles que soient, du reste, les limites
postérieures
de la peau frontale, la voûte crânienne fait to
nations classiques de Dérencéphales et de Nosencéphales les limites
postérieures
de la tumeur ne dépassent guère les limites du
phalique, il est assez difficile de fixer avec précision cette ligne
postérieure
; en réalité, d'ailleurs, cette ligne postérieu
ision cette ligne postérieure ; en réalité, d'ailleurs, cette ligne
postérieure
est tracée sur la peau du dos avec laquelle la
ce cas, en effet, le canal rachidien est largement ouvert, la paroi
postérieure
faisant dé- faut, comme fait défaut la voûte cr
continué en avant par la substance Fio. 2. Tumeur pseudencéphalique
postérieure
. 0. S. Limite supérieure de la région occipital
un arc de cercle ouvert en haut. Grâce à cet éta- lement, la partie
postérieure
de la base du crâne se trouve notablement élargie
DE L'ANENCÉPHALIE 361 que dans la moitié antérieure; dans la moitié
postérieure
, la suture métopique semble assez large et marq
ant un triangle isocèle dont la petite base s'articule avec le bord
postérieur
du coro- nal, tandis que le sommet opposé va re
362 RABAUD constitue un toit complet, n'ayant qu'une ouverture,
postérieure
, ménagée à travers les éléments de l'occipital.
s planes vaguement triangulaires reposant sur le sphénoïde. Le bord
postérieur
du coronal s'articule avec les deux pariétaux, de
ensemble constitue un cercle complet délimitant une large ouverture
postérieure
du crâne. On remarquera que l'écaille est sensi
t tandis que le bord antérieur s'articule avec le pariétal, le bord
postérieur
est libre. Les bords postérieurs des deux os sy
'articule avec le pariétal, le bord postérieur est libre. Les bords
postérieurs
des deux os symétriques vont ainsi en divergeant
uvent séparés par une distance de quelques centimètres. L'ouverture
postérieure
délimitée de la sorte est suffisamment large ;
de la moelle. M. moelle.- V.a. vaisseaux antérieurs. V.p. vaisseaux
postérieurs
. E.m.méninge épaissie. PATHOGÉNIE DE LA PSEUD
débordent et proéminent à l'extérieur de la méninge. Dans la moitié
postérieure
, le calibre des vaisseaux est sensi- blement pl
ils sont serrés les uns contre les autres. C'est dans cette région
postérieure
que se marque surtout la prolifération ébauchée s
la gaîne vasculaire est t très accentuée; mais c'est sur la moitié
postérieure
que porte principalement l'accentuation. Dans c
points : au niveau du sillon antérieur et un peu à gauche du sillon
postérieur
(v. fig. 10); la pénétration est peu importante
- mère. La multiplication vasculaire est rapide surtout à la partie
postérieure
. Là, les vaisseaux constituent une couche sur p
n'est encore que peu touchée. On observe toutefois, dans sa moitié
postérieure
, les premières traces d'infiltration leucocytai
parois. R. Racines nerveuses. M. Moelle. - Vpc.Couche des vaisseaux
postérieurs
. 374 RABAUD la moelle est accompagné d'un cer
ningé au très mince tractus conjonctif qui se trouve dans le sillon
postérieur
. La propagation marche lentement : la multiplic
issement de leurs parois est déjà fort avancé, alors que le tractus
postérieur
est encore peu atteint. Dans les segments inférie
'existence de-cellules conjonctives libres aux environs de la paroi
postérieure
de l'épendyme, parfois même cette paroi est envah
au, le processus devient beaucoup plus net ; la cloison conjonctive
postérieure
ac- quiert une épaisseur mesurable ; elle renfe
eur et qui viennent s'épanouir en un bouquet au contact de la paroi
postérieure
de l'épendyme. Cette paroi est détruite sur une
it pro- gressivement,ainsi que le tractus qui le relie à la méninge
postérieur
; dans les segments les plus élevés de la moell
enne, la progression ne dépasse pas cependant l'étendue des cordons
postérieurs
. 1 Un autre processus intervient, qui est infin
Bouchon conjonc- tif. P. v. Pénétration vasculaire. - M. p. Méninge
postérieure
. 376 RABAUD d) Nature des lésions. Telle est,
indiqué que le tissu conjonctif embryonnaire qui envahit le septum
postérieur
atteint la paroi postérieure du canal épendymaire
ctif embryonnaire qui envahit le septum postérieur atteint la paroi
postérieure
du canal épendymaire, l'effon- dre, traverse la
toute cohérence. On ne reconnaît plus, ni sillon antérieur ni sillon
postérieur
ni canal de l'épendyme, ce sont des fragments d
veau on observe encore, avec'une certaine netteté, quelques racines
postérieures
ce fait a une signification sur laquelle nous a
. M. Moelle. - Ep. Ependyme. - Pm. Pie-mère. - Vp. Gaine vasculaire
postérieure
. - Dm. Dure-mère. Rp. Racines postérieures. Rc.
e. - Vp. Gaine vasculaire postérieure. - Dm. Dure-mère. Rp. Racines
postérieures
. Rc. Revêtement cutané. Gg. Ganglion rachidien.
l rachidien ouvert. Ces faisceaux nerveux appartiennent aux racines
postérieures
, ainsi que le démontre leur situation et les re
insi que le montre l'examen du tissu cérébral, les nerfs rachidiens
postérieurs
se trouvent encore indemnes ou quasiment indemn
moelle. Cellule avec granulations et réseau de névroglie. D. Partie
postérieure
d'une corne postérieure de la moelle. E. Racine
nulations et réseau de névroglie. D. Partie postérieure d'une corne
postérieure
de la moelle. E. Racine rachidienne; coupe long
de maladies fami- liales spastiques. Touchant surtout les cordons
postérieurs
et accessoirement le cervelet, elle produirait
assin réduit extérieure- ment àsa surface squelettique; les muscles
postérieurs
de la cuisse sont atro- phiés complètement, d'o
n conservées, tandis que celles des muscles du bassin et de la face
postérieure
de la cuisse sont disparues complètement ; les mu
orme, les mucles fléchisseurs ne forment plus aucun relief. La face
postérieure
est si atrophiée, qu'on ne voit plus aucun relief
lets ont disparu complètement, de sorte que la convexité de la face
postérieure
de la jambe est remplacée par une surface plane
e de l'avant-bras. Au lieu de la concavité des faces antérieures et
postérieures
nous avons maintemant des dépressions. Les musc
s abondants, la jambe sur toute sa surface et la cuisse sur la face
postérieure
sont recouvertes de poils abondants et longs. L
, et aux membres inférieurs elle a disparu entièrement. Sur la face
postérieure
du tronc, on constate une diminution de l'excitab
rs que chez l'enfant normal de deux ans ses portions antérieures et
postérieures
sont encore séparées par du cartilage. Il y a sou
e, l'os basilaire fortement incliné entraîne le rocher dont la face
postérieure
devient verticale, tandis que la fosse occipitale
te, cachée sous un cràne volumineux, est portée en arrière. Le bord
postérieur
du maxillaire supérieur esta 30 millimètres de la
bord post. du vomer. Petitesse de la voûte palatine et de l'orilice
postérieur
des fosses nasales. Nota. - On se rendra mieux
, avait 2,1 centimètres du bord antérieur du trou occipital au bord
postérieur
du vomer (au lieu de 3 3/4 cent.); enfin la voû
de 3 3/4 cent.); enfin la voûte palatine était petite et l'orifice
postérieur
des fosses nasales très rétréci (voy. PI. LUI,
avant en arrière. D'où le rétrécissement marqué du diamètre antéro-
postérieur
du détroit supérieur. Tous les diamètres du détro
terrompues par des étranglements et siégeant uniquement sur la face
postérieure
. -Ossification du crâne incom- plète, os séparé
de renflements rachitiques, mais présentent souvent, sur leur face
postérieure
, soit en avant, soit près de l'angle postérieur
ent, sur leur face postérieure, soit en avant, soit près de l'angle
postérieur
, de petites nodosités (Hecker) de petites perle
a demi-circonférence antérieure = 31 cent. 4. La demi-circonférence
postérieure
=20 cent. 5. La circonférence antéro-postérieure
0 cent. 5. La longueur du bord interne du pied du milieu de la face
postérieure
du calcanéum jusqu'à l'extrémité du gros orteil
que la deuxième rangée des os du carpe se trouve luxée dans un plan
postérieure
à la première rangée. Métacarpe. Le métacarpe e
ne courbure latérale qui rend plus voisines les épiphyses. Luxation
postérieure
et interne de son extrémité supérieure, et luxa-
ns les premières périodes, lorsque le péroné est placé dans un plan
postérieur
, cette péné- tration s'est formée en rapport av
ostérieur, cette péné- tration s'est formée en rapport avec la face
postérieure
du fémur. L'extrémité inférieure du péroné, lux
éroné infléchi, pro- fondément enchâssé supérieurement dans la face
postérieure
du fémur, et avec son extrémité inférieure au n
oteur et le piriforme, les noyaux de Goll et de Burdacli, le cordon
postérieur
sont normaux. Toutes ces formations sont plus p
tes ces coupes le lobe central, les lobes quadrilatère antérieur et
postérieur
, les lobes semi-lunaires supérieur et inférieur
. En général, le feutrage sous-lobaire est très pâle dans la moitié
postérieure
des hémisphères. Sur une coupe passant immédiat
telé le feutrage sous-lobaire se maintient plus pâle dans la moitié
postérieure
et les axes des différents lobes et lobules (ar
de nombre.Le grand entrecroisement commissural du vermis, la partie
postérieure
des fibres semi- circulaires externes et le feu
pyramidale est aussi un peu décolorée dans les fascicules les plus
postérieurs
. Au niveau de la région protubérantielle supé-
accompa- gnée ou non de symptômes de sclérose latérale,de sclérose
postérieure
ou de symptômes de méningo-encéphalite,est une
'en laissant tomber le bras le long du corps. Si on pince la région
postérieure
du bras, c'est à peine si on a la sensation d'un
thénar, très atrophiée, est relativement mieux conservée. A la face
postérieure
, les interosseux sont tous atrophiés, surtout ceu
ces de même nature se rencontrent à la face antérieure et à la face
postérieure
des cuisses et sur les fesses. La palpation d
régulier, raboteux, avec une grosse exostose à la région moyenne et
postérieure
. Même lésion, mais encore plus accentuée du cub
tissu de la pie-mère, débute dans la région correspondant au sillon
postérieur
. De cela, nous pou- vons inférer que là, point
ar suite, à augmenter la capacité crânienne aux dépens de sa partie
postérieure
. Le cerveau ainsi refoulé, butte contre l'occipit
téralement ; leur face interne (ou antérieure), devenue externe (ou
postérieure
), se dispose sur le même plan que la face posté
e externe (ou postérieure), se dispose sur le même plan que la face
postérieure
du corps vertébral et forme avec ce der- nier u
sse exostose de, l'extrémité supérieure du tibia occupant les faces
postérieure
et interne de cet os, fait une énorme saillie.
t étalée et présente une surface des plus irrégulières. Sur la face
postérieure
de la dia- physe osseuse, il s'est formé, entre
ure 25 centimètres ; le trausverse 33 centimètres, et son extremité
postérieure
va jusqu'à l'os sacrum : circonférence totale :
deux yeux (irido-choroïdite bilatérale avec formation de synéchies
postérieures
et cataracte secondaire). Peut-être y a-t-il du
MEUR CÉRÉBRALE PAR EMPYÈME VENTRICULAIRE 653 La corne ventriculaire
postérieure
contient une grande quantité de pus dont la pré
i d'une défor- mation vertébrale à siège dorso-lombaire à convexité
postérieure
, portant sur quatre ou cinq vertèbres. Cette cy
let 1903). 2o Sur la régénération, chez les amphibiens, des membres
postérieurs
et de la queue en l'absence du système nerveux
cad. des sciences, 9 nov. 1903). 2° Sur la régénération des membres
postérieurs
chez l'axolotl adulte après ablation de la moel
éningée. On trouve parfois alors, dans le canal rachidien, les nerf
postérieurs
, seuls restes de l'axe spinal (Anencéphales des
3 juillet 1903. Sur la régénération chez les amphibiens des membres
postérieurs
et de la queue en l'absence du système nerveux.
Académie des Sciences, 9 nov. 1903. Sur la régénération des membres
postérieurs
chez l'Axolotl adulte après ablation de la moel
ent, il a mentionné un cas de syringomyélie dans lequel les cordons
postérieurs
ont été trouvés dégénérés. Or, du vivant du suj
le, jusqu'à l'extrémité supérieure du segment lombaire. Les cordons
postérieurs
étaient dégénérés dans la moitié supérieure du
que la syringomyélie débute géné- ralement dans la commissure grise
postérieure
, en arrière du canal cen- tral, quelquefois aus
au. Elle envahit d'abord la substance grise centrale, puis la corne
postérieure
qu'elle peut détruire en totalité. En étendant
e aux cornes antérieures, aux faisceaux antero-laléraux, aux cornes
postérieures
et aux cordons postérieurs ; ces diverses localis
x faisceaux antero-laléraux, aux cornes postérieures et aux cordons
postérieurs
; ces diverses localisations du processus nous
chaud et au froid, rend vraisem- blable l'envahissement des cordons
postérieurs
par le processus cavitaire. Ainsi, dans le prem
sie, indépendamment de formations cavitaires dans les deux cor- nes
postérieures
, une destruction complète des cordons postérieurs
es deux cor- nes postérieures, une destruction complète des cordons
postérieurs
dans le segment cervical, au point qu'à ce nive
térieurs dans le segment cervical, au point qu'à ce niveau la paroi
postérieure
de la ca- vité syringomyélitique était formée p
ion publiée par les mêmes auteurs, l'autopsie a montré que la corne
postérieure
droite était détruite, et que le cordon postéri
ré que la corne postérieure droite était détruite, et que le cordon
postérieur
droit était sclérosé et en partie désorganisé.
clérosé et en partie désorganisé. Dans le cas d'IIomen, les cordons
postérieurs
étaient envahis par des îlots de gliomatose ind
nt je vous parlais tout il l'heure, le dernier en date, les cordons
postérieurs
étaient comprimés et, déplus, envahis par une d
dans le cas de Schuppel, la substance grise centrale et les cordons
postérieurs
manquaient totalement sur une cer- taine étendu
endue. L'auteur qui a le mieux étudié -la participation des cordons
postérieurs
au processus de la syringomyélie, Schlesinger (
atose, à sa- voir : ' 1° La partie contiguë à la commissure grise
postérieure
; 2° Les portions du cordon de Goll adjacentes
a région cervicale, a sectionné à peu près complètement les cordons
postérieurs
. ' La lésion est-elle limitée à la substance gr
t qui a précédé l'atrophie musculaire; la participation des cordons
postérieurs
nous expliquerait de même les caractères de l'ane
re l'abolition de la sensibilité tactile et la lésion des cor- dons
postérieurs
un rapport aussi constant qu'on serait enclin à l
tait désorganisée par la néoplasie. Par places, la lésion du cordon
postérieur
était plus prononcée à gauche qu'à droite. Or l
-elles susceptibles d'entraîner après elles la sclérose des cordons
postérieurs
. D'après un travail récent inspiré par M.Pitres (
ger état d'ébriété). Cette bjennorrhagie se compliqua d'uré- thrite
postérieure
et de cystite du col, confirmée par de la douleur
ressent entre les deux épaules ; les musclos de la région cervicale
postérieure
sont contracturés et cet opisthotonos s'accompa
s; l'arachnoïde présente dans toute sa hauteur, sur- tout à la face
postérieure
, de nombreuses petites écailles blanches, dures,
e, l'autre droite, FIG. 13. Moelle cervico-dorsale, vue par la face
postérieure
. On voit par transpa- rence les tumeurs T et T'
ru ; son siège correspondrait au centre même de la tumeur; la corne
postérieure
gauche est refoulée très notablement en arrière e
tit aux racines sensitives. Les deux sillons médians an- térieur et
postérieur
sont fortement déjetés de celé; le premier fait u
e de la tumeur en la contour- nant avec ce qui subsiste de la corne
postérieure
gauche. 58 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRI
e droite, détruisant la corne anté-' rieure, une partie de la corne
postérieure
, les .faisceaux pyramidaux di- rect et croisé,
ux pyramidaux di- rect et croisé, refoulant l'extrémité de la corne
postérieure
et le cordon de Burdach, adhérant enfin par un
ans GOMME SYPIIILITIQUE DOUBLE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 61 la moitié
postérieure
de la gaine des méninges, elle se présente sous s
n au-dessous de la tumeur la plus basse, on retrouve dans la région
postérieure
, un épaississement et une infiltration embryonn
e surcoloration. Autour de la moelle, dans les sillons antérieur et
postérieur
et surtout autour des racines, une bande violet
cellulaires d'inflammation périartéritique. 1 Les artères spinales
postérieures
, moins malades que la précédente, ont subi cepe
antérieure est déjà oblitérée par l'endar- térite, les deux artères
postérieures
ne présentent qu'une légère infiltration embryo
la pie- mère dans le voisinage du vaisseau. / , La veine spinale
postérieure
, quel que soit le niveau considéré, a subi des
remarquablement farcies d'éléments embryonnaires. La veine spinale
postérieure
apparaît dès les coupes inférieures, avec de gr
réaction inflammatoire intense du processus local. Les faisceaux
postérieurs
sont les moins atteints; dans l'étage des tu- m
one pâle symétriquement disposée sur les flancs internes des cornes
postérieures
et en arrière de la commissure. A ce niveau la
lérose conjonctive. Les cordons de Goll, au moins dans leur portion
postérieure
, sont sains. Au-dessus des tumeurs, en fait de
s, laissant à leur place une logelte vide dans la coupe. Les cornes
postérieures
sont les parties de l'axe gris qui ont le moins-
dégénérescence ne les avait point encore atteints. 9 Les racines
postérieures
ne présentent pas de signes de dégénérescence;
xtaspinaux. L'infiltration embryonnaire ne respecte pas les racines
postérieures
, mais s'y montre moins intense : ses voies de p
un point limité, respectant les faisceaux pyramidaux et le cor- don
postérieur
, dont l'altération aurait déterminé de bonne heur
oitié correspon- dante du corps et par sa diffusion vers les cornes
postérieures
et l'angle antérieur du cordon postérieur, l'an
ffusion vers les cornes postérieures et l'angle antérieur du cordon
postérieur
, l'anesthésie du côté opposé, au-dessous de la
rents conducteurs sensitifs : colonne de Clarke, colonne des cornes
postérieures
, faisceaux commissuraux variés des cordons posté-
che); en outre, la tumeur T, par sa diffusion dans la colonne grise
postérieure
,interrompt au niveau de la 1" paire dorsale la
nt sensitif des fibres émanées des racines se fait dans les cordons
postérieurs
et la commissure grise, au-dessus du point d'en
ent (et les coupes nous montrent en effet qu'à ce niveau, le cordon
postérieur
était à peine atteint), mais nous remarquons qu'e
e notre lésion, les portions médianes et pos- térieures des cordons
postérieurs
sont relativement respectées; ce sont les parti
médiatement dans l'angle qui sépare la corne antérieure de la corne
postérieure
. Cette plaque sclé- reuse s'étendait sur une ha
moelle, particulièrement dans la région des cordons et des racines
postérieurs
. Près du sillon longitu- dinal postérieur.forte
s cordons et des racines postérieurs. Près du sillon longitu- dinal
postérieur
.fortes productions fibreuses, nombreuses cellules
ion des noyaux dans les cordons qui bordent des 2 côtés le sil- lon
postérieur
. Dans la profondeur du sillon, productions fibreu
e médullaire est grisâtre. La dure-mère est épaissie dans la partie
postérieure
de la moelle. Ostéochondrites syphilitiques des
ÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 85 tenu et siégeant dans les cordons
postérieurs
et dans les commissures blanche et grise. La su
ance de la corne grise antérieure dans sa partie la plus interne et
postérieure
. A gauche, dans un point homologue, existe un d
oyers- multiples, endartérite oblitérante, dégénération des cordons
postérieurs
, hydromyélie, dégénération des cellules ganglionn
re qui, de la commissure blanche antérieure, s'étend jusqu'au tiers
postérieur
des cordons de Goll. Le canal est revêtu de l'é
par de la névroglie avec très peu de fibres nerveuses. Les cordons
postérieurs
sont sclérosés. La substance grise des divers seg
mmédiatement au-dessus du dédoublement, les 2 sillons antérieurs et
postérieurs
sont très voisins et le canal central est déjà di
la substance cartilagineuse. En résumé « Dégénérescence des cordons
postérieurs
, hydromyélie, 88 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SA
as,entre les altérations vasculaires, la dégénérescence des cordons
postérieurs
et celle des cellules des cornes grises., - L
ntre, clans la région cervicale, une coloration diffuse des cordons
postérieurs
de la moelle. Dans la région thoracique, seuls
vahis les cordons cunéiformes. Dans la région lombaire, les cordons
postérieurs
sont sains. De plus, on note dans la région cervi
que l'ai- guille était transversalement plantée à l'union du tiers
postérieur
et du tiers moyen du cinquième métacarpien. Res
, en partie par la compression secondaire. Ainsi pour les cordons
postérieurs
qui étaient,de la même façon, intéressés dans t
s cornes antérieures; il y avait une légère infiltration des cornes
postérieures
. Malgré l'énorme épaississement de la pie-mère,
ession brusque, de plus l'exagération de la courbure dorsale paraît
postérieure
d'un an à l'apparition de la paraplégie; les mé-
t modérément douloureuse. Cicatrices cutanées. La peau de la région
postérieure
du tronc est parse- mée de cicatrices. A la r
pille optique est ac- compagnée à chaque oeil d'un large staphylome
postérieur
en forme de croissant - situé au côté externe d
du corps semble porter sur le bord interne du pied, vers sa partie
postérieure
. Là, d'ailleurs, s'est formée une bourse séreuse
estruc- tion des tympans et des osselets et, à gauche, sur la paroi
postérieure
de la caisse, un petit point suppurant dû à un
e, de la collection Thiers, sont pourvus de bos- ses antérieures et
postérieures
qui peuvent reconnaître la môme origine. (1) Un
seurs, par la flaccidité des aponévroses poplitées et des ligaments
postérieurs
de l'articulation. Dans la figure 1, cette attitu
ement spontané, il provoque une dou- leur vive, localisée à la face
postérieure
du membre, étendue jusqu'au pied, et due à l'él
qu'à gauche on peut faire les observations suivantes : 1° La partie
postérieure
de la formation de la corne d'Ammon est restée
l'instila de Reil n'a pas subi d'altérations, tandis que la partie
postérieure
, qui correspond à la surface supérieure du lobe
isi- ble par les rides qui se trouvent dans la partie inférieure et
postérieure
du lobe pariétal. Pour une moindre part la caus
rce cérébrale. z On peut encore observer que la flexion delà partie
postérieure
de 1'lié- Fiv. 22. Coupe frontale en arrière
nes de ces dernières montrent des contours mal définis. La partie
postérieure
de l'hémisphère gauche ne présente aucune ano-
médiatement dans l'angle qui sépare la corne antérieure de la corne
postérieure
. Cette plaque scléreuse s'étendait sur une haut
moelle, particulièrement dans la région des cordons et des racines
postérieures
. Près du sillon longitudinal postérieur, fortes
es cordons et des racines postérieures. Près du sillon longitudinal
postérieur
, fortes productions fibreuses, nombreuses cellu
on des noyaux dans les cordons qui bordent des deux côtés le sillon
postérieur
. Dans la profondeur du sillon, productions fibr
e est grisâtre. La dure-mère épaissie principalement dans la partie
postérieure
de la moelle. » Le troisième cas est encore plu
state dans la région cervicale une colo- ration diffuse dos cordons
postérieurs
; dans la région thoracique, les cordons cunéif
dons cunéiformes seuls sont pris. A la région lombaire, les cordons
postérieurs
sont intacts. Il existe de plus dans la région
is, vitreux, gris blanc; dans la partie inférieure- c'est le cordon
postérieur
également du côté droit qui pré- sente ce même
re est très élargie, son épaisseur surtout au voisinage des cordons
postérieurs
est de 3 il 4 millimètres. En certains points ell
pie-mère, comme l'ar- tère spinale antérieure, les artères spinales
postérieures
et les veines y atte- nant présentent dans leur
pta chargés de cellules rondes. C'est surtout au niveau des cordons
postérieurs
clans les parties moyenne et inférieure de'la m
passe pas la substance blanche. Il faut remarquer que les cordons
postérieurs
sont, dans toute l'étendue de la moelle, le siè
etée de côté et a ainsi subi des déplacements variables. Les cornes
postérieures
sont rejetées en haut, le sillon longitudinal p
s cornes postérieures sont rejetées en haut, le sillon longitudinal
postérieur
est déplacé vers la droite ; en d'autres points
térieur est déplacé vers la droite ; en d'autres points, les cornes
postérieures
sont très écartées par une énorme tuméfaction co-
petites portions mentionnées plus haut à la périphérie de la corne
postérieure
droite dans la région dorsale moyenne et lombai
, se trouvent les sections transversales des racines antérieures et
Postérieures
. Çà et là seulement les fibres nerveuses des ra
dimensions variées, privées de contenu et siégeant dans les cordons
postérieurs
et dans les commissures blan- che et grise. La
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE antérieure dans sa partie la plus interne et
postérieure
. A gauche dans un point homologue existe un div
re qui, de la-commissure blanche antérieure, s'étend jusqu'au tiers
postérieur
des cordons de Goll. Le canal est revêtu de l'é
ée par de la névroglie ou très peu de fibres nerveuses. Les cordons
postérieurs
sont sclérosés. La substance grise des divers seg
atement au-dessus du dédoublement, les deux sil- lons antérieurs et
postérieurs
sont très voisins et le canal central est déjà di
, a de plus avec les mêmes caractères la dégénérescence des cordons
postérieurs
; le 3e le dédoublement partiel de la moelle et ég
t partiel de la moelle et également la dé- générescence des cordons
postérieurs
. La même année lloeltigel'('l) publie l'observa
blement à la hauteur du renflement lombaire surtout sur les cordons
postérieurs
pour atteindre à la portion supérieure de la moel
s s'étendent, entourées de toutes parts, les racines antérieures et
postérieures
. Les racines des renflements lombaire et cervic
ntérieurs sont normaux, d'autres et la majeure partie des faisceaux
postérieurs
sont atteints en ce que le périuèvre est élargi
ment cer- - vicia) qu'on trouve quelques faisceaux dans les racines
postérieures
qui pré- sentent des processus dégénératifs plu
ce blanche sont considérablement agrandis, surtout dans les cordons
postérieurs
et la moitié postérieure des cordons latéraux.
blement agrandis, surtout dans les cordons postérieurs et la moitié
postérieure
des cordons latéraux. A part les exceptions que n
en le caractère oedé- mateux. En de nombreux endroits des cordons
postérieurs
et latéraux, l'infiltration nucléaire devient s
lle avait. Nous trou- vons le premier de ces cônes dans les cordons
postérieurs
de la partie inférieure de la moelle lombaire,
ont épars dans toute la hauteur de la moelle, tantôt dans un cordon
postérieur
seulement, tantôt dans l'autre, tantôt limités
ôt limités à la périphérie, tantôt s'avançant jusqu'à la commissure
postérieure
de la substance grise centrale ; d'autres encor
ceux de la périphérie, en particulier dans les cornes et les cordons
postérieurs
. Un des plus gros se trouve dans le cordon post
les cordons postérieurs. Un des plus gros se trouve dans le cordon
postérieur
gauche, à 9 centimètres au-dessus du filum term
us ou moins malades. Les parties les plus altérées sont les cordons
postérieurs
, et dans les cordons latéraux les zones périphéri
atéraux les zones périphériques et celles qui avoisinent les cornes
postérieures
. Le cordon postérieur droit est beaucoup plus m
ériques et celles qui avoisinent les cornes postérieures. Le cordon
postérieur
droit est beaucoup plus malade que le gauche. C
qui sépare le groupe de la racine antérieure et celui de la racine
postérieure
. La dure-mère est d'épaisseur variable : elle e
e posté- rieure du corps vertébral, recouvert par le grand ligament
postérieur
, mais elle est toujours séparée il moins d'épai
toujours séparée il moins d'épaississement pathologique de la paroi
postérieure
du canal. Lorsque la coupe rencontre les racines
al, montrent les antérieures toujours beaucoup plus foncées que les
postérieures
. Chaque fascicule contient un ou plu- sieurs va
ns son intérieur. La pie-mère est mince, elle envoie dans le sillon
postérieur
un prolon- gement peu visible qui réunit les de
retrouvons et avec les mêmes caractères soit dans la veine spinale
postérieure
; soit surtout dans les vaisseaux du système pos
te tout autour de la moelle elle est surtout marquée dans la partie
postérieure
, le processus néoplasique ne forme pas un cercl
s avons décrite pour le processus général, très épaisse à la partie
postérieure
elle s'amincit sur les côtés mais ne dépasse pa
les côtés mais ne dépasse pas les limites de la demi-circonférence
postérieure
de la moelle, celle-ci rejetée en avant et de c
lé en avant un certain nombre de faisceaux radiculaires des racines
postérieures
mais le plus grand nombre a disparu englobé, dé
axe spinal, encore les lésions y sont-elles considérables, la corne
postérieure
, et un cordon la- étant complètement dégénérés,
place que les filets nerveux, dans la pie-mère où la veine spinale
postérieure
s'étend en demi-cercle jusqu'à la rencontre des
- ment sur le tissu conjonctif voisin. Au niveau du sillon médian
postérieur
de la moelle, à l'insertion du sep- tum, deux d
ux gorgés- de sang. Sur une coupe, en particulier, le septum médian
postérieur
présente une dilatation vasculaire considérable,
eu à peu apparaît au niveau de la région dorsale moyenne, à la face
postérieure
de la moelle, nettement séparée d'elle cependant,
CERVICALE.- La moelle est petite, très aplatie dans le sens antéro-
postérieur
, il est facile à l'aeil nu de reconnaître l'épais
de Lissauer, ovalaire, il grand axe dirigé dans le sens de la corne
postérieure
elle-même, elle est plus étroite dans la moitié a
ssus de périvascularité, l'endothélium n'est pas altéré. La veine
postérieure
est libre, bien isolée des parties voisines, niai
on de T'épaule que siège le mal, en arrière, au niveau des attaches
postérieures
du deltoïde, et nous voyons qu'il a fallu faire
ace antérieure de la cuisse le sont plus que les muscles de la face
postérieure
. La paralysie atteint son apogée en l'espace de
droit présente une perte de substance considérable de tout son lobe
postérieur
, surtout du côté de la face interne ; sur la face
les cellules de la corne antérieure, la colonne de Clarke, la corne
postérieure
; la substance blanche est réduite à quelques l
u de l'émer- gence des racines antérieures el près du sillon médian
postérieur
. A l'aspect ordinaire du tissu médullaire se su
e par une déchirure oblique à droite qui coupant le col de la corne
postérieure
vient mourir dans la substance blanche de ce cô
ro-interne de la corne antérieure et quelques parcelles de la corne
postérieure
. r Des noyaux très abondants réunis en lignes s
ec le tissu médullaire -dans tout le segment s'étendant des racines
postérieures
au niveau du diamètre transversal de la moelle.
en rapport avec le tissu dégénéré dont nous allons parler, la corne
postérieure
est presque totalement dégénérée elle- même, en
uetés à la périphérie, envahis par les cellules rondes, les cordons
postérieurs
sont normaux et sains, mais les cordons latérau
ouve que sur peu de coupes, et qui siège dans le milieu du cor- don
postérieur
. N Queue de cheval. Ici il redevient impossible
érable et un autre très marqué aussi à l'insertion du septum médian
postérieur
. L'arachnoïde est mince, la dure-mère très épai
la pie-mère et l'arachnoïde, l'hémorrhagie est limitée à la région
postérieure
, elle ne dépasse pas en avant les limites des cor
on postérieure, elle ne dépasse pas en avant les limites des cornes
postérieures
. On reconnaît seulement la pie-mère qui est min
ttement une bande assez mince demi-circulaire inscrivant le contour
postérieur
de l'axe ner- veux, blanche, un peu plus terne
dent. La dure-mère très épaisse est confondue en avant avec la face
postérieure
du corps vertébral, en arrière avec l'espace ex
s et sinueuses creusées dans la pie-mère. Les vaisseaux des groupes
postérieurs
et latéraux, sont moins atteints bien que leurs
ssis, leurs tuni- ques sont infiltrées de cellules rondes. La veine
postérieure
est encore plus atteinte, le processus embryonn
paru dans la néoformation gommeuse. Il en est de même des racines
postérieures
, celles-ci cependant n'ont pas dis- paru tout e
ÉDITAIRE 361 La dure-mère confondue en avant avec le grand ligament
postérieur
est telle- ment refoulée par la tumeur qui est
tervalles laissés libres par les racines anté- rieures, les racines
postérieures
sont au contraire bien distinctes, bien isolées,
e vers la partie tout à fait médiane de l'espace sous- arachnoïdien
postérieur
, au niveau des vaisseaux postérieurs. Les vaiss
de l'espace sous- arachnoïdien postérieur, au niveau des vaisseaux
postérieurs
. Les vaisseaux ne sont pas absolument sains, il
ffu- ses leurs limites périphériques. Au contraire la veine spinale
postérieure
est invisible, elle est complètement disparue s
uble, bien arrondie, pleine de sang. De même pour veines spi- nales
postérieures
, et vaisseaux radiculaires. Observation XXIIi,
milieu d'une masse à injec- tion. Au niveau de la partie médiane et
postérieure
l'espace sous-arachnoïdien est ainsi absolument
ses parties ; la prédominance des lésions au ni- veau de la région
postérieure
, qu'il s'agisse de lésions médullaires pro- pre
rès distinctes et nette- ment tranchées. , A l'annulaire, la zone
postérieure
basale est d'une teinte uniformément jau- nâtre
température) dans les régions suivantes : 1° Faces antérieure et
postérieure
de la main, des deux tiers inférieurs de l'avan
antérieure de l'avant-bras gauche; moitié interne de toute sa face
postérieure
. En avant, l'anesthésie est encore coupée en ma
tue, la partie antérieure étant beaucoup moins volumineuse que la
postérieure
. La surface de l'organe est à peu près normale.
. Légère eschare au talon droit, et sur chaque jambe, à la partie
postérieure
du mollet, eschare de l'étendue d'une pièce de
ues soit au niveau des cordons latéraux, soit au niveau des cordons
postérieurs
, d'une façon d'ailleurs très irrégulière. Exa
ulaire 16 PATHOLOGIE NERVEUSE. (coude de la capsule) et son angle
postérieur
. Dans le sens antéro-postérieur ces traînées oc
irigé de la couche optique vers le noyau lenticulaire ; l'autre (la
postérieure
), moins étendue aussi bien dans le sens antéro-
noyau lenticulaire dans un point corres- pondant à l'union du tiers
postérieur
avec les deux tiers anté- rieurs du bord intern
e du noyau lenticulaire (compris entre l'an- gle interne et l'angle
postérieur
de ce glanglion). La surface occupée par ce gro
ue situé environ à l'union du tiers anté- rieur avec les deux tiers
postérieurs
, et dans le sens trans- versal un peu en dedans
ALE AMYOTROPH1QUE. 19 normal. Au contraire, les fibres radiculaires
postérieures
étaient très belles. Dans les cordons de Goll
ne zone siégeant à l'union de la moitié anté- rieure avec la moitié
postérieure
du faisceau de Goll, près de la ligne médiane,
ésion, elle se trouve un peu en avant de la partie moyenne du tiers
postérieur
de la capsule interne. La capsule interne gauch
iège cette lésion est située à l'union du tiers moyen avec le tiers
postérieur
, empié- tant plutôt un peu sur celui-ci. Moel
es fibres nerveuses y sont moins nombreuses, surtout près du sillon
postérieur
il l'union du tiers postérieur avec les deux ti
s nombreuses, surtout près du sillon postérieur il l'union du tiers
postérieur
avec les deux tiers antérieurs. Rien à signal
xternes des cornes antérieures jusqu'au point de sortie de la corne
postérieure
; au niveau du faisceau pyramidal croisé proprem
e assez nombreux dans les faisceaux cérébelleux. Dans les cordons
postérieurs
, et notamment dans la partie sclérosée des fais
e quelquefois en très petit nombre dans l'interstice entre la corne
postérieure
et le cordon postérieur, mais toujours ils sièg
it nombre dans l'interstice entre la corne postérieure et le cordon
postérieur
, mais toujours ils siègent dans les espaces pér
arties du faisceau antéro-latéral. Sclérose assez nette des cordons
postérieurs
formant dans chacun de ceux-ci une N dont l'ext
t l'extrémité libre du jambage externe aboutit au coude de la corne
postérieure
, tandis que le jambage interne se prolonge à so
ne longueur égale à lui-même et constitue ainsi une ligne antéro-
postérieure
située dans le cordon de Goll, et aboutissant par
corps granuleux dans les cornes posté- rieures ni dans les cordons
postérieurs
. Moelle lombaire. La sclérose occupe très nette
ERALE AMYOTROPHIQUE. 29 Dans les cordons de Goll, le long du sillon
postérieur
, légère teinte de sclérose ; il y a aussi quelq
e trainée dirigée de dedans en dehors, et située à l'union du tiers
postérieur
avec les deux tiers antérieurs de ces faisceaux
scopique, on trouve une dégé- nérescence grise occupant les cordons
postérieurs
dans toute l'étendue de la moelle. Cavafy3, a
PÉRIMENTALE. constata une dégénérescence très accusée des cordons
postérieurs
de la moelle. Nicoladoni élongea les quatre ner
sale jusqu'à la région lombaire. Dégénérescence grise des cordons
postérieurs
. Sclérose des parois des vais- seaux sanguins.
ite par le professeur Klebs montra une sclérose typique des cordons
postérieurs
de la moelle, une hémorragie sous les méninges
orme triangulaire, de coloration gris jaunâtre occupant les cordons
postérieurs
. Ces derniers étaient un peu atrophiés. Les rac
ons postérieurs. Ces derniers étaient un peu atrophiés. Les racines
postérieures
de la queue de cheval étaient plus minces que d
éger épaississement des méninges ; une dégénérescence des cordons
postérieurs
, principalement près des cornes postérieures; p
érescence des cordons postérieurs, principalement près des cornes
postérieures
; peu de fibres nerveuses normales. Des deux côt
onctif dans les cordons la- téraux. La dégénérescence des cordons
postérieurs
et la- téraux était symétrique des deux côtés.
le : Au niveau du dixième nerf dorsal la substance grise des cornes
postérieures
et antérieures est normale. Dégénérescence diff
e nerf dorsal. La dégénérescence occupait principalement le segment
postérieur
du faisceau de Goll, dont le segment antérieur
moins altéré. L'altération se retrouvait au voisinage de la corne
postérieure
. Cette dernière contenait par place un développ
e dorsale, l'hyperesthésie causée par cette lésion dans le membre
postérieur
du côté correspondant s'est augmentée après l'é
ous les animaux soumis à ces expériences, il y a eu, dans le membre
postérieur
où l'élongation du nerf sciatique il été faite,
qui, du côté sain, répond au tra- jet intro-médullaire des racines
postérieures
. Le faisceau de Goll fut trouvé atrophié, la co
trouvé atrophié, la corne anté- rieure étroite et aplatie. La corne
postérieure
était devenue conique, et ses faisceaux nerveux
e cicatricielle qui a pour effet de modifier l'aspect des faisceaux
postérieurs
, qui se transforment dans une partie de leur ét
e renflement lombaire de deux lapins de l'atrophie'dans les cordons
postérieurs
(p. 577), et la disparition des cellules nerveu
fi" Le poil de la région lombaire ainsi que celui de l'extrémité
postérieure
est coupé ras; on pratique au moyen d'un scalpe
éments nerveux. Le processus morbide débute toujours dans le cordon
postérieur
de la région lombaire du côté de la traction, e
action, et se manifeste d'abord le long de la fissure longitudinale
postérieure
, dans le faisceau de Goll (Voy. PL. I, fig. 6).
u faisceau de Burdach, et à la portion intra-médullaire des racines
postérieures
. A mesure que les éléments du tissu conjonctif
comme le témoignent les coupes transversales passant par le cordon
postérieur
et la partie intra-médullaire des racines posté
par le cordon postérieur et la partie intra-médullaire des racines
postérieures
de la région lombaire. Continuant à gagner du t
du terrain, le tissu conjonctif envahit toute l'étendue du cordon
postérieur
, ne laissant qu'un filet de tissu plus ou moins
et se tra- duisent par un rétrécissement, une atrophie du cordon
postérieur
. Du côté correspondant à la traction, le cordon
cordon postérieur. Du côté correspondant à la traction, le cordon
postérieur
s'atrophie manifestement en compa- raison de so
raison de son congénère du côté sain. Cette inégalité des cordons
postérieurs
est évidente dans les figure 2, 5 et 6 de la Pl
s est évidente dans les figure 2, 5 et 6 de la Planche I. Le cordon
postérieur
droit de la fig. 2, par exemple, présente un am
mais elle est surtout pronon- cée dans la figure 5, dont le cordon
postérieur
gauche excède de 4 millimètres le cordon postér
dont le cordon postérieur gauche excède de 4 millimètres le cordon
postérieur
droit (côté opéré). Avec le temps, le réseau du
'on se trouve en face d'une sclérose diffuse rétrécissant le cordon
postérieur
, comme le dé- montre la figure. Il PL. I. ' I
dire que les altérations de la moelle ne s'arrêtent pas aux cordons
postérieurs
seulement; nous constatons de graves modificati
a corne pos- térieure, dans la partie intramédullaire des racines
postérieures
et dans les cellules nerveuses des cornes antér
quelques jours après l'opération, dans toute l'étendue de la corne
postérieure
, des traces d'irritation traumatique sous la fo
tate dans la moelle de ces derniers, à côté de l'atrophie du cordon
postérieur
un rétrécisse- ment notable de la corne postéri
rophie du cordon postérieur un rétrécisse- ment notable de la corne
postérieure
correspondante. La différence de grandeur des d
m 5, et même 5 millimètres. Un semblable rétrécissement de la corne
postérieure
du côté opéré est accompagné le* plus souvent d
lus souvent d'une atrophie de la partie intramédullaire des racines
postérieures
. Nous croyons pouvoir chercher l'explication de
pillaires dans la substance grise, principalement dans les cornes
postérieures
; 3° De la prolifération des noyaux de la névro
INIÈRE. 59 4° Un accroissement du tissu conjonctif dans le cordon
postérieur
du côté opéré, qui forme un réseau fibreux cont
ellules étoilées. Ce réseau en- vahissant de plus en plus le cordon
postérieur
empiète sur les tubes nerveux de ce dernier, et
r dès le septième jour après l'opération ; 5° Le volume des cordons
postérieurs
est inégal chez les lapins sacrifiés un mois et
les lapins sacrifiés un mois et plus après la traction. Le cordon
postérieur
du côté opéré est atrophié et en même temps;
stérieur du côté opéré est atrophié et en même temps; 6° La corne
postérieure
du même côté présente éga- lement des dimension
moindrissement de volume dans la partie intramédullaire des racines
postérieures
; les bande- lettes radiculaires sont moins nomb
le des hémorrhagies capillaires dans la substance grise, des cornes
postérieures
et antérieures, ainsi qu'une atrophie prononcée
e à différents niveaux, ce qui con- tribue à l'atrophie de la corne
postérieure
; à l'amoin- drissement de la partie intramédul
; à l'amoin- drissement de la partie intramédullaire des racines
postérieures
et enfin à la vacuolisation et à l'atrophie des
- tions qui se résument en de l'atrophie de la corne et du cordon
postérieurs
du côté opéré; en un amoin- drissement de la pa
en un amoin- drissement de la partie intramédullaire des racines
postérieures
; en de la vascularisation et de l'atrophie con
elle, se localisent principale- ment dans les cornes et les cordons
postérieurs
du côté opéré. Ces lésions comme nous l'avons d
on- sistent pour la plupart en atrophie des cornes et des cordons
postérieurs
, dont les éléments nerveux sont remplacés par d
es termes, nous nous trouvions en face d'une sclérose des cordons
postérieurs
du côté correspondant à la traction. Les modifi
et davantage à l'opération ; les éléments morphologiques du cordon
postérieur
lésé prennent un aspect plus uniforme, plus hom
s avons sous les yeux le tableau d'une sclérose diffuse du cordon
postérieur
. En faisant un retour vers l'ataxie locomotrice
ire dans une maladie qui porte elle-même son action sur les cordons
postérieurs
de la moelle ? L'élongation des nerfs a été ent
it de la sclérose et de l'atrophie dans les cornes et les cordons
postérieurs
de la moelle. Mais, nous répondra-t-on, on ne s
use produit de la sclérose et de l'atrophie des cornes et du cordon
postérieurs
, lésions qui sont très analogues à celles que M
aisceaux de Burdach, c'est-à-dire d'une partie intégrante du cordon
postérieur
, qui se trouve précisément lésé en premier lieu
tique droit pratiquée avec une force de 4 kilos. Sclérose ou cordon
postérieur
droit, côté de la traction. - Les éléments nerveu
éléments nerveux du cordon ALTÉRATIONS DE LA MOELLE EPINIERE. 68
postérieur
, A, sont remplacés par du tissu conjonctif. La co
issu conjonctif. La corne posté- rieure, B, est atrophiée. La corne
postérieure
droite mesure 1"'m, 05; la corne postérieure ga
st atrophiée. La corne postérieure droite mesure 1"'m, 05; la corne
postérieure
gauche, 4mm, 35; le cordon postérieur droit, 1mm,
te mesure 1"'m, 05; la corne postérieure gauche, 4mm, 35; le cordon
postérieur
droit, 1mm, 95; le cordon postérieur gauche, 2m
ure gauche, 4mm, 35; le cordon postérieur droit, 1mm, 95; le cordon
postérieur
gauche, 2mm, 40. Fig. 2. Coupe transversale de
u tissu conjonctif qui remplace les éléments nerveux dans le cordon
postérieur
atrophié de la traction A. La corne postérieure d
rveux dans le cordon postérieur atrophié de la traction A. La corne
postérieure
droite est diminuée de volume autant que dans l
précédente. Vau- coles dans la corne antérieure B. La corne droite
postérieure
mesure 1 ? 50; la corne postérieure gauche, 1mm
e antérieure B. La corne droite postérieure mesure 1 ? 50; la corne
postérieure
gauche, 1mm, 80; le cordon postérieur droit, tm
eure mesure 1 ? 50; la corne postérieure gauche, 1mm, 80; le cordon
postérieur
droit, tmm, 05; le cordon postérieur gauche, 1
ure gauche, 1mm, 80; le cordon postérieur droit, tmm, 05; le cordon
postérieur
gauche, 1 ? 20. Fig. 3. Cellule nerveuse en voi
avec une force de 4 kilos. Légère diminution de volume de la cornée
postérieure
droite B, atrophiée marquée du cordon postérieu
lume de la cornée postérieure droite B, atrophiée marquée du cordon
postérieur
croit A. Les éléments nerveux sont remplacés pa
oll et dans la plus grande partie du faisceau de Burdach. Le cordon
postérieur
droit mesure 3"'m, 05; le cordon postérieur gauch
u de Burdach. Le cordon postérieur droit mesure 3"'m, 05; le cordon
postérieur
gauche, 1mm, 50; la corne postérieure droite, O
oit mesure 3"'m, 05; le cordon postérieur gauche, 1mm, 50; la corne
postérieure
droite, Omm, 90; la corne postérieure gauche, imm
eur gauche, 1mm, 50; la corne postérieure droite, Omm, 90; la corne
postérieure
gauche, imm, 20. Fig. 6. Coupe transversale pas
Amoindrissement notable de la partie intra-médul- laire des racines
postérieures
et du cordon postérieur du côté de la trac- tio
la partie intra-médul- laire des racines postérieures et du cordon
postérieur
du côté de la trac- tion A. Envahissement de ce
er par le tissu conjonctif comme dans les figures 2 et 5. Le cordon
postérieur
droit mesure Ohm, 09 ; le cordon postérieur gau
gures 2 et 5. Le cordon postérieur droit mesure Ohm, 09 ; le cordon
postérieur
gauche, ohm, 20; la corne postérieure droite, tmm
oit mesure Ohm, 09 ; le cordon postérieur gauche, ohm, 20; la corne
postérieure
droite, tmm, 50 la corne postérieure gauche, 1"
ieur gauche, ohm, 20; la corne postérieure droite, tmm, 50 la corne
postérieure
gauche, 1"'m, 55. Fig. 7. Tubes nerveitx lésés
L'INTÉRIEUR DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX DANS LE VOISINAGE DU SEGMENT
POSTÉRIEUR
DE LA CAPSULE INTERNE; par W. BECHTEREW. (Neuro
ernière et l'avant-dernière lombaire. Le couteau enlève les racines
postérieures
et antérieures avant l'extrémité inférieure de
se (dégénérescence des cellules nerveuses des cornes antérieures et
postérieures
) rapprochée de l'absence de tout trouble imputa
la séparation des ' ganglions spinaux en connexion avec les racines
postérieures
sectionnées. La constance de la dégénérescence
i, après la section des ganglions, se pro- page le long des racines
postérieures
coupées vers le centre de la moelle. Les gangli
e chez les mammifères, elle présente une convexité dorsale à sommet
postérieur
, une convexité cervicale à sommet antérieur. La
interne, ce sont les fibres occupant le dernier tiers de la branche
postérieure
qui ont les premières des fibres à myéline. Ell
maux munis d'un amnios, les ganglions des deux paires antérieure et
postérieure
sont représentés. Ceux de la paire antérieure s
cales, et dérivent de la vésicule moyenne du cerveau. Les ganglions
postérieurs
sont des agglomérations annexées postéro-latéra
e de paire antérieure des tu- bercules quadrijumeaux. Les ganglions
postérieurs
sont cachés chez la plupart des reptiles et che
gitique. Dégénérescence secondaire de certains segments des cordons
postérieurs
tout le long de la moelle, dégénérescence secon
92 L) revue DE pathologie NERVEUSE. tains territoires des racines
postérieures
; plus tard, phénomènes paralytiques des extrémi
s brachial por- tant sur le nerf sus-scapulaire, le nerf thoracique
postérieur
(longus) (muscles sus- et sous-épineux et grand
de la Il paire cervicale, notam- ment de rameaux sus-claviculaires
postérieurs
qui complètent l'innervation du spinal(muscle t
éromateuse); obstruction de la basilaire et de l'artère céré- brale
postérieure
droite; foyers de ramollissement du lobe tempor
ues. On trouve dans la moelle la dégénéres- cence grise des cordons
postérieurs
(de la région cervicale à la région lombaire) ;
s parties externes des cordons posté- rieurs, parallèles aux cornes
postérieures
, qui se trouvent le plus prises. M. Westphal in
spinale fut une paralysie unilatérale du muscle crico-aryténoidien
postérieur
. A rapprocher du travail récent de M. F. Krause,
te d'annexer aux ressauts de la façade, sous forme de prolongements
postérieurs
, un quartier d'isolement pour chaque sexe. Depu
core quelques vestiges mais très peu accentués, au niveau du sillon
postérieur
, et une légère bande transversale assez mal mar
adie surajoutée plutôt qu'une propagation des lésions des cordons
postérieurs
. P. M. XXXVII. Monoplégie brachiale avec anesth
lifé- ration du tissu conjonctif, spécialement dans les cor- dons
postérieurs
, et il explique cette localisation par des cond
cas de maladies systématiques compliquées des cor- dons latéraux et
postérieurs
et ont conclu qu'une seule, entre eux, apparten
re à l'état frais, on remarqua une nuance grisâtre dans la partie
postérieure
des cordons latéraux de la partie inférieure de l
raux, il y a légère prolifération du tissu conjonctif sur leur bord
postérieur
. Dans les cordons postérieurs on remarque une s
on du tissu conjonctif sur leur bord postérieur. Dans les cordons
postérieurs
on remarque une sclérose dans la sphère des fais-
se dans la sphère des fais- ceaux de Goll, surtout dans leur partie
postérieure
. Dans la partie inférieure de la portion en que
ments décrits, avec cette différence seulement que dans les cordons
postérieurs
la sclérose atteint plus les parties anté rieur
u, seulement dans les parties inférieures la sclérose des cordons
postérieurs
atteint un plus grand développement et va jusqu'à
urs atteint un plus grand développement et va jusqu'à la commissure
postérieure
. Dans la région de l'origine apparente des raci
enflement cervical. - Prolifération du tissu conjonctif des cordons
postérieurs
et du bord antéro-postérieur des cordons latéra
cervicale et dorsale. Prolifération du tissu conjonctif des cordons
postérieurs
et du bord externe des cordons latéraux. DES
la portion cervicale, mais elle est plus intense dans les cor- dons
postérieurs
ne touchant qu'à peine les cordons posté- rieur
graduellement à une région plus large; de sorte que dans la moitié
postérieure
de ces cordons elle remplit tout l'espace qui r
faisceaux du cervelet et aux faisceaux pyramidaux. Dans les cordons
postérieurs
la sclérose embrasse comme auparavant les faisc
la propagation de la sclérose reste la même ; mais dans les cordons
postérieurs
elle s'affaiblit tout en res- tant peu régulièr
on de la sortie des racines de la sixième paire dorsale les cordons
postérieurs
sont encore moins atteints. On remarque surtout
re moins atteints. On remarque surtout la sclérose dans les parties
postérieures
de cordons latéraux, où elle atteint la substan
ion dorsale de la moelle épinière. Sclérose des cordons latéraux et
postérieurs
et du bord externe des cordons antérieurs. Fi
de la dixième paires dorsales, nous ne trouvons dans les cor- dons
postérieurs
, comme processus pathologique, qu'un déve- lopp
acines de la onzième et de la douzième paires dorsales, les cordons
postérieurs
restent sans changement. Dans les cordons antér
dans les parties antérieures des cordons latéraux; dans les parties
postérieures
on la remarque avec la même intensité, seulemen
se joint immédiatement à la périphérie au bord externe des racines
postérieures
. Fig. 9.- Coupe dans la portion lombaire. Sclér
des cordons latéraux. Dans beaucoup d'eux les cor- dons latéraux et
postérieurs
ne furent pas épargnés, même la substance grise
i pu davantage connaître si les excès avaient été anté- rieurs ou
postérieurs
à la naissance desa fille. La ques- tion d'héré
e à s'éteindre; c'est principale- ment sur le ventre et à la partie
postérieure
des cuisses, à la région lombaire que l'éruptio
scopiques; à la percussion, on constate, dans le tiers inférieur et
postérieur
du thorax, de la submatité qui se prolonge dans
alades accusent une sensation de pesanteur au niveau de la région
postérieure
ou antérieure de la tête; il leur semble qu'elles
a surface inférieure du cervelet, en avant une dé- pression du bord
postérieur
du pont de Varole, et en dedans une dépression
arités nécroscopiques : dégénérescence presque complète des cordons
postérieurs
, atrophie prononcée des racines postérieures, a
ue complète des cordons postérieurs, atrophie prononcée des racines
postérieures
, amincissement et coloration grisâtre des nerfs
e transverse et vertical 3 centimètres, dans son diamètre antéro-
postérieur
2 centimètres. Elle occupe la cavité limitée par
suivaient donc surtout la distribution des branches de la cérébrale
postérieure
droite, bien qu'à la vérité on en ren- contrât
ns les régions alimentées par les branches pariétales antérieure et
postérieure
de la cérébrale moyenne droite. Sans être uniqu
des schémas, les signes repré- sentatifs de la pensée. Cette région
postérieure
est le siège des appétits et des instincts; aus
nd, voleur, enclin à une dégoûtante salacité, il est spino-cérébral
postérieur
, en un mot, il est purement instinc- tif. Dès q
ue la région frontale devient libre, le sujet franchit cette limite
postérieure
, il commence à pénétrer dans le domaine de l'id
nous remontons de la moelle et du mésocéphale à la couche corticale
postérieure
, nous allons trouver encore là un mécanisme fau
tre eux, il existait en même temps une sclérose avancée des cordons
postérieurs
(avec lésion simultanée des cor- dons latéraux)
us les travaux, de tous les procédés de préparation anté- rieurs et
postérieurs
à ses communications, ainsi que des objec- tion
que droit, pratiquée avec une force de 4 kilogr. Sclérose ou cordon
postérieur
droit, côté de la traction. - Les éléments nerveu
érieur droit, côté de la traction. - Les éléments nerveux du cordon
postérieur
, A, sont remplacés par du tissu conjonctif. La co
issu conjonctif. La corne posté- fleure, B, est atrophiée. La corne
postérieure
droite mesure 1 ? 05; la corne postérieure gauc
est atrophiée. La corne postérieure droite mesure 1 ? 05; la corne
postérieure
gauche, 1 mm, 35; le cordon postérieur droit, Im»
ite mesure 1 ? 05; la corne postérieure gauche, 1 mm, 35; le cordon
postérieur
droit, Im», 95; le cordon postérieur gauche, 2m
re gauche, 1 mm, 35; le cordon postérieur droit, Im», 95; le cordon
postérieur
gauche, 2mm, 40. Fig. 2. Coupe transversale de
rveux dans le cordon postélieur atrophié de la traction A. La corne
postérieure
droite est diminuée de volume autant que dans l
e précédente. Va- coles dans la corne antérieure B. La corne droite
postérieure
mesure lmm, 50; la corne postérieure gauche, 1
antérieure B. La corne droite postérieure mesure lmm, 50; la corne
postérieure
gauche, 1 ? T, s0; le cordon postérieur droit,
e mesure lmm, 50; la corne postérieure gauche, 1 ? T, s0; le cordon
postérieur
droit, L ? t, 05; le cordon postérieur gauche,
gauche, 1 ? T, s0; le cordon postérieur droit, L ? t, 05; le cordon
postérieur
gauche, 1"n", 20. Fig. 3. Cellule nerveuse en v
vec une force de 4 kilos. - Légère diminution de volume de la corne
postérieure
droite B, atrophie marquée du cordon postérieur
volume de la corne postérieure droite B, atrophie marquée du cordon
postérieur
droit A. Les éléments nerveux sont remplacés pa
oll et dans la plus grande partie du faisceau de Burdach. Le cordon
postérieur
droit mesure 1 ? 05; le cordon postérieur gauche,
eau de Burdach. Le cordon postérieur droit mesure 1 ? 05; le cordon
postérieur
gauche, Imm, 50; la corne postérieure droite, I
droit mesure 1 ? 05; le cordon postérieur gauche, Imm, 50; la corne
postérieure
droite, I)im, 9G; la corne postérieure gauche, Im
ur gauche, Imm, 50; la corne postérieure droite, I)im, 9G; la corne
postérieure
gauche, Imm, 20. Fig. G. Coupe transversale pas
Amoindrissement notable de la partie lntra-médul- laire des racines
postérieures
et du cordon postérieur du côté de la trac- tio
la partie lntra-médul- laire des racines postérieures et du cordon
postérieur
du côté de la trac- tion A. Envahissement de ce
er par le tissu conjonctif comme dans les figures i et 5. Le cordon
postérieur
droit mesure 0 ? 09; le cordon postérieur gauch
figures i et 5. Le cordon postérieur droit mesure 0 ? 09; le cordon
postérieur
gauche, 0 ? 20 ; la corne postérieure droite, 1mm
droit mesure 0 ? 09; le cordon postérieur gauche, 0 ? 20 ; la corne
postérieure
droite, 1mm, 50 ; la corne postérieure gauche,
ur gauche, 0 ? 20 ; la corne postérieure droite, 1mm, 50 ; la corne
postérieure
gauche, 1 ? 55 Fig. 7. Tubes nerveux lesés prov
spéciales situées à proximité des bandelettes externes des cordons
postérieurs
. Todd avait admis que par ces cordons devaient
UE. ment, on doit songer, dans l'ataxie, à une lésion des cordons
postérieurs
et surtout, à en juger d'après les dernières rech
gion des ban- delettes externes du faisceau fondamental des cordons
postérieurs
de Flechsig. » En un autre endroit, Erb, encore
tence d'autres fibres à direction centrifuge passant parles cordons
postérieurs
. Aussi bien, la clinique et l'expérimentation é
établissaient que, dans les dégénérations secondaires des cordons
postérieurs
, on ne découvre que des fibres à direction centri
par le processus pathologique du tabes, les racines et les cordons
postérieurs
, président aux fonctions de la sensibilité ; il
ttachâmes lors une grande importance à la participation des racines
postérieures
, montrant qu'elles étaient le plus souvent dégé
ons spinaux pénètre dans la moelle épinière. Les fibres des cordons
postérieurs
dérivent donc anatomiquement des cellules des g
trouvé que le ganglion spinal était le centre trophique des racines
postérieures
qui pénètrent dans la moelle épinière. Dans le
iens, le chien et le singe. Il a vu qu'après la section des racines
postérieures
l'ataxie apparaît 1. Le résultat, au moins pro-
e est arrivé, peut se formuler ainsi : Après la section des racines
postérieures
chez ces vertébrés, une ataxie apparaît, variab
manière différente selon qu'il s'agit d'une extrémité antérieure ou
postérieure
, ainsi que d'après le nombre des racines postér
antérieure ou postérieure, ainsi que d'après le nombre des racines
postérieures
coupées 2. Hering ayant toujours appelé paralys
ment sur l'ataxie des singes dont ils avaient sectionné les racines
postérieures
(1895) : Hering avait eu l'intuition que, de ce
axie chez le singe 1. Après avoir sectionné, à droite, huit racines
postérieures
(III-VIII racines cervicales et I-II racines th
le jour suivant, il existait une ataxie très nette de l'extré- mité
postérieure
droite ; elle traînait dans l'exécution des mouve
vement adapté peut encore être exécuté après la section des racines
postérieures
, et il y avait un grand intérêt à l'étudier par
ue à la main entière. Aussi, chez le second singe, dont six racines
postérieures
(IV, V, VI, VII, racines cervica- les, 1 et Il
Le degré d'intensité de celle- ci dépend bien du nombre des racines
postérieures
sectionnées; plus ce nombre est petit, moins l'
'on bande les yeux d'un chien ata- xique (par résection des racines
postérieures
), l'ataxie augmente manifestement Sous les dési
sparition des troubles de coordination après la section des racines
postérieures
d'une extrémité, car cela, affirme Hering, est
ière des tabétiques on trouve toujours une dégénération des cordons
postérieurs
, et des parties de ces cor- ' Cf. A. Biclcel. U
es fibres nerveuses qui se distribuent à la substance grise (cornes
postérieures
, colonnes de Clarke, collatérales réflexes des co
représentent soit les prolongements directs des fibres des racines
postérieures
, soit les collatérales de ces prolon- gements.
par une dégénération des prolongements intramédullaires des racines
postérieures
. Mais comme toutes les racines postérieures ne
médullaires des racines postérieures. Mais comme toutes les racines
postérieures
ne sont pas également, et moins encore simultan
e ici, sont bien plus petites que celles des racines et des cordons
postérieurs
. Obersteiner déclare insuffisantes les hypothè-
arche du processus depuis les nerfs périphériques jusqu'aux racines
postérieures
, en passant par les cellules des glanglions spi
de la même manière que les racines posté- rieures. 3° Les racines
postérieures
: à à leur pénétration dans la dure- mère et l'
être la cause du tabes. 4° La partie intramédullaire des racines
postérieures
dégénérerait seule ou avec sa partie extramédul
es ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES DU TABES. 9 radiculaires
postérieures
des cordons postérieurs de la moelle épinière,
GIE PATHOLOGIQUES DU TABES. 9 radiculaires postérieures des cordons
postérieurs
de la moelle épinière, ou, en d'autres termes,
ière, ou, en d'autres termes, comme l'a établi Redlich, les racines
postérieures
dans leur trajet intra-médullaire, dégénèrent.
dégénèrent. Dans le tabes, certaines parties seulement des racines
postérieures
sont-elles affectées, ayant un siège tout à fai
même aussi une fonction spéciale ? La lésion tabétique des cordons
postérieurs
serait alors une dégénération systématique au s
ens de Strumpell et de Flechsig, une affection élective des racines
postérieures
, au sens de Mayer. S'agit-il, au contraire, d'u
sens de Mayer. S'agit-il, au contraire, d'une affection des racines
postérieures
intéressant cer- tains segments de la moelle et
nt i. Avec une dégénération fort avancée d'une moitié des cordons
postérieurs
de la moelle, l'autre moitié doit très rarement ê
n'est donc pas toujours systématique; les deux moitiés des cordons
postérieurs
peuvent présenter à cet égard des différences q
il est de nécessité que le courant nerveux, apporté par les racines
postérieures
, arrive à la corne antérieure, ce qui a lieu pa
i a lieu parles collatérales réflexes ; celles-ci partent du cordon
postérieur
au niveau du territoire indiqué par Westphal co
où, sur une étendue considérable, toutes les fibres radicu- laires
postérieures
sont dégénérées, où, par conséquent, toutes les
ésion entraîne celle des fibres radiculaires montant dans le cordon
postérieur
, une dégénérescence des libres se rendant à la
xistent plus du tout du fait des dégénérations étendues des cordons
postérieurs
; si, d'un seul mot, la plus grande partie des e
nt les troubles de la motilité consécutifs à la section des racines
postérieures
. Lui- même signale les troubles si graves de la
destructives, la dégénérescence des fibres ascendantes du cordon
postérieur
qui s'arborisent dans les noyaux de la moelle all
chercher avec sûreté, je le crois, écrit Redlich, dans le cordon
postérieur
, les fibres qui servent à la fonction consciente
emblable qu'une portion de la voie ascendante passant par le cordon
postérieur
n'arrive que jusqu'à l'écorce du cerveau, et qu
aux, en d'autres termes, que tous les faisceaux afférents du cordon
postérieur
ne servent point a des sensations conscientes,
ces du tabès lombaire ; en d'autres termes, les fibres radiculaires
postérieures
, ou leurs collatérales.' qui pénètrent dans les
de partie sous l'influence des collatérales des fibres radiculaires
postérieures
qui s'arborisent dans les colonnes de Clarke. C
s le tabès de Friedreich, une dégénération très intense des cordons
postérieurs
entraînant la disparition des collatérales réfl
ent dites, la zone marginale de Lissitiiei-, les fibres des racines
postérieures
pénétrant dans la substantia gelalinosu, sont p
res servant à la sensi- bilité tactile ne soient celles'des racines
postérieures
et de leurs prolongements, des collatérales, et
segment périphérique de cette voie nerveuse, et surtout des racines
postérieures
, provoquent de très vives manifestations de cet
te affection. C'est ce qui arrive, dans le tabes, quand les racines
postérieures
dégénèrent. L'absence possible des douleurs lan
dégénèrent. L'absence possible des douleurs lancinantes aux stades
postérieurs
du tabes, du moins dans les régions primitiveme
es nerveuses autour desquelles s'arborisent les fibres radiculaires
postérieures
, cellules qui repré- sentent le second neurone
ons. Or si l'on suppose, avec Redlich, que, des fibres radiculaires
postérieures
innervant un territoire déterminé de la peau, u
. Les collatérales réflexes, les faisceaux ascendants des cordons
postérieurs
, etc., représentent les prolongements directs des
tc., représentent les prolongements directs des fibres radiculaires
postérieures
; leur destruction ne saurait être compensée au
1897. Chez l'homme adulte, l'existence de collatérales des racines
postérieures
n'aurait été jusqu'ici sûrement démontrée ni avec
plus que les deux branches de bifur- cation des fibres radiculaires
postérieures
. Mais ces résultats négatifs de son expérience
econnaît, l'existence, et de la bifurcation des fibres radiculaires
postérieures
et des collatérales. Ses expériences lui permet
permettent également d'affirmer que, après la sec- tion des racines
postérieures
, la dégénération consécutive du cordon postérie
ion des racines postérieures, la dégénération consécutive du cordon
postérieur
et de la corne postérieure n'a lieu que du côté d
es, la dégénération consécutive du cordon postérieur et de la corne
postérieure
n'a lieu que du côté de la lésion; il n'existe
que du côté de la lésion; il n'existe pas de dégénération du cordon
postérieur
du côté opposé' ni d'autres cordons blancs de l
Relativement aux dégénérations secondaires descendantes des cordons
postérieurs
, dans des cas de compression et de lésions trauma
par l'anatomo-pathologie du tabes, qu'il se trouve dans les cordons
postérieurs
des fibres endogènes dont les cellules d'origin
fibres sont - surtout rassemblées dans la région ventrale du cordon
postérieur
(zone cornu-commissurale de P. Marie) '. Ce qui
t une direction descendante. (^1 suivre.) les parties des cordons
postérieurs
qui dégénèrent alors, dans ce sens, contiennent
hypothèse qu'il s'agit ici de fibres exogènes, dérivées des racines
postérieures
, lui semble plus plausible, si l'on prend garde
e, si l'on prend garde smtout que ces fibies descendantes du cordon
postérieur
existent réellement, qu'elles doivent dégénérer,
'elles dégénèrent en fait, consécutivement à une lésion des racines
postérieures
ou des fibres radiculaires postérieures. Il est d
nt à une lésion des racines postérieures ou des fibres radiculaires
postérieures
. Il est d'ailleurs pos- sible qu'il y ait des f
« 1- Dans certains cas de lèpre, il existe des lésions des cordons
postérieurs
occu- pant, avec une prédilection particulière,
ces lésions, coinci-, dant avec un minimum d'altération des racines
postérieures
et du 2,eti- culunx des colonnes de Clarke, son
semblablement d'origine endogène. » ' Sur les lésions des cordons
postérieurs
dans la moelle des lépreux. Revue neu- rologiqu
inière; par le professeur Ch.-L. DANA (de New-York). Les colonnes
postérieures
de la moelle épinière et ses racines postérieur
). Les colonnes postérieures de la moelle épinière et ses racines
postérieures
sont, en tant qu'il s'agit des maladies qui s'y r
it une classe distincte de cas dus aux lésions aiguës de la colonne
postérieure
de la moelle. Ceci arrive chez les personnes mû
appelle « ataxie spinale sub-aiguë », due aux lésions de la colonne
postérieure
et, souvent, de la colonne latérale. L'étiologi
ne altération sinon exclusive, du moins prépondérante-, des cordons
postérieurs
, étant très nom- breuses, je ne me baserai que
es, etc., sont transportés dans la moelle, et plutôt parles racines
postérieures
qu'antérieures (Momén et Laitinen) y provo- qua
dont 7 de l'estomac, âge 36-58 ans) rarement altération des racines
postérieures
extramédullaires, mais souvent des racines intr
ers) plus ou moins limité de la neuroglie, surtout dans les cordons
postérieurs
.- Les rapports de ces foyers et scléroses avec
émies graves, les lésions sont les plus prononcées dans les cordons
postérieurs
, et en rapport avec les septa et les vaisseaux
plus ou moins épaissis, et toujours principalement dans les cordons
postérieurs
. On rencontre cependant quelquefois une dégénér
infections aiguës, ne prédominent pas spécialement dans les cordons
postérieures
. 68 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. Quant aux lésions pu
s un certain ordre, et que la dégénération secondaire des cor- dons
postérieurs
après section est nettement constatable deux ou
, que dans un nombre considérable d'affections diverses les cordons
postérieurs
sont ou bien seuls attaqués, ou bien attaqués d
ndaires, ou du moins ne le sont pas entièrement. Dans les faisceaux
postérieurs
, les zones radiculaires et les fibres exogènes
rtie supérieure du nerf, dans les racines, surtout dans les racines
postérieures
. L'injection dans le sciatique du liquide de Gi
conséquence est variable suivant le neurone consi- déré : la racine
postérieure
se détruit ; l'antérieure résiste ou, après avo
abinski (de Paris). L'association de lésions tabétiques des cordons
postérieurs
et d'altérations scléreuses des cordons latérau
al, ne semble pas entravé par l'existence d'une névrite des racines
postérieures
et peut se manifester chez des sujets dont les
lésion centrale ou voisine du centre, d'une altération des racines
postérieures
. En l'absence d'examen nécroscopique, je ne sui
iculièrement le trajet des artérioles radi- culaires antérieures et
postérieures
. Dans les nombreux cas de paralysie infantile q
s deux côtés avec prédominance à gauche. Les racines antérieures et
postérieures
sont prises également Au carmin : lésions de mé
ques et galva- niques, l'absence de D R. l'hyperesthésie de la face
postérieure
de la cuisse gauche et des faces antéro-externe
la première fois par M. Marie, à savoir que les lésions des cordons
postérieurs
dans le tabes, dépendent d'une affection primitiv
admettre qu'elles soient la cause de la dégénérescence des cordons
postérieurs
. D'autre part, elles ne sont pas dus à la réact
te. Je ne veux pas nier par là, que la dégénérescence des racines
postérieures
ne puisse pas déterminer à la longue des modifica
eure par le tact, la région moyenne par la température et la région
postérieure
par la dou- leur. Pour Wundt il existe deux voi
le centre de la perception de la douleur est l'eneephal à la partie
postérieure
de la capsule intense. Lergi croit que le centr
générescence du proto- neurone centripète, les cellules de la corne
postérieure
ne doi- vent pas demeurer intactes. Alors même
rs même que toutes les parties élé- mentaires constituant la racine
postérieure
ont dégénéré, on a pourtant constaté, dans la s
e la cauda eqziiata : c'est que les collatérales issues des racines
postérieures
qui pénètrent dans les colonnes de Clarke, prol
colonnes de Clarke, prolongements directs des fibres radi- culaires
postérieures
, et formant le fin réticulum des colonnes de Cl
érer le tabes comme une affection primaire dégénérative des cordons
postérieurs
de la-moelle épi- nièré, et relativement à la d
doctrine nouvelle qui localise la lésion primitive dans les racines
postérieures
, fit.observer que la lésion des racines et des
postérieures, fit.observer que la lésion des racines et des cordons
postérieurs
impliquait une affection cellulaire préexistant
orsalis, l'état des cellules d'ori- gine des racines et des cordons
postérieurs
de lamoelle, c'est-à-dire des cellules des gang
es cellules devrait amener la dégénéra- tion des fibres des cordons
postérieurs
. Stroebe a trouvé, dans trois cas de tabes, à d
cellules des ganglions spinaux, et que la dégénération des cordons
postérieurs
doit être regardée comme secondaire aux altérat
n nucléaire moyenne du tissu interstitiel, dégénérallon des racines
postérieures
au niveau correspondant de la lésion tabétique
e propor- tion entre la gravité des lésions des libres radiculaires
postérieures
et celle des nerfs sensitifs périphériques du g
erling (1888), a constaté, avec une dégénération totale des racines
postérieures
, des lésions des cellules des ganglions spinaux
s ne suffisent pas pour expliquer celles des racines et des cordons
postérieurs
dans le tabes. Erb admet d'ailleurs que des alt
ent pas moins capables de provoquer les dégé- nérations des cordons
postérieurs
. ' ' Emil Hedich. Die hinleren 11'ezr : ,ehz de
tion proprement dite. Dans des cas .de tabes absolu, où les racines
postérieures
présentent la plus complète dégénération, les c
la lésion initiale du tabes dans les cellules d'origine des racines
postérieures
? Les réflexions qu'il a faites à ce sujet ne m
T devrait dégénérer, et la branche centrale, c'est-à-dire la racine
postérieure
, et la branche périphérique, le nerf sensitif p
ique. Comme il-n'y a point de doute que, dans le tabes, les racines
postérieures
et leurs pro- longements intramédullaires ne so
tabétique de la moelle épinière doit être cherché dans les racines
postérieures
sensitives » . La loca- lisation de la lésion p
l en existait de telles. Par l'effet de la dégénération des racines
postérieure
et de leurs prolongements dans la moelle épiniè
à la dégénérescence des collatérales des prolongements des racines
postérieures
dans le tabes. Deux opinions existent touchan
tion des collatérales réflexes déterminée par la lésion des cordons
postérieurs
. Cette dégénération entraîne la perte dans les
t bien peu d'importance au regard des lésions si graves des cordons
postérieurs
. Si, sur ce point de fait, ces auteurs sont d'a
ce n'est pas seulement la branche centrale, c'est-à-dire la racine
postérieure
, c'est aussi la branche périphérique, le nerf s
rale; il localisa donc la lésion initiale du tabes dans les racines
postérieures
. Mais, objectent Juliusburger et Meyer, outre q
e Schaffer contre la théorie d'après laquelle la lésion des cordons
postérieurs
dériverait, dans le tabes, d'une lésion primiti
es décédés tout à fait au commencement de l'affection des cordons
postérieurs
; même en ces cas, il est bien vraisemblable qu'i
us qui leur arrive de la périphérie en une exci- tation des cordons
postérieurs
; cette activité des cellules est adéquate aux
mation anormale a lieu, qui agit d'une façon nocive sur les cordons
postérieurs
. » Comme une altération de l'activité cellulair
ans la corne antérieure gauche. La dégénération typique des cordons
postérieurs
dans le labes coexistait avec ces lésions. D'au
toxication saturnine chronique peut produire une lésion des racines
postérieures
, comme dans le cas de Redlich, et, par conséque
cas de Redlich, et, par conséquent, une dégéné- ration des cordons
postérieurs
semblable à celle que réalise le ' Cf. W. Roux.
du tabes et de la paralysie générale. Outre les lésions des racines
postérieures
et des racines anté- rieures, il existe, dans l
rdons latéraux seuls étaient lésés; 73 fois les cordons latéraux et
postérieurs
=; il en résulte que la lésion pure des cordons
éraux et postérieurs=; il en résulte que la lésion pure des cordons
postérieurs
n'est pas beaucoup plus fréquente dans la paral
leurs lésions étaient associées à celles des cordons laté- raux et
postérieurs
. « Dans les cas où la lésion siégeait sur les c
t postérieurs. « Dans les cas où la lésion siégeait sur les cordons
postérieurs
, il faut distinguer ceux où la dégénération typ
ue soit la cause des altérations directes et primitives des racines
postérieures
dans le tabes (il n'existe pas de symp- tômes c
uoiqu'elle manifeste une sorte d'affinité élective pour les racines
postérieures
2. Les altérations dégénératives des nerl's sen
ndraxe. Il lâut donc écarter l'hypothèse d'une lésion des cor- dons
postérieurs
comme effet d'une névrite ascendante. Aussi bien
espondants dans les amputations, celle des racines et des cor- dons
postérieurs
. Mais Redlich fait remarquer que les lésions de
les cas d'amputation, de dégénération, de « sclérose», des cordons
postérieurs
. Flatau, trois mois après une amputation, a tro
a trouvé, avec la coloration de Marchi, les racines et les cordons
postérieurs
correspondant aux membres amputés dégénérés.
ue sur trois lapins, a noté des lésions manifestes dans les racines
postérieures
, les cellules des cornes postérieures, les colo
s manifestes dans les racines postérieures, les cellules des cornes
postérieures
, les colonnes de Clarke. Malgré tout, Redlich n
s de la droite raison, a rapporté au neurone d'origine de la racine
postérieure
la lésion classique de ce cylin- draxe dans le
otoplasma cellulaire qui retentiraient sur le trophisme des racines
postérieures
et de leurs prolongements intramédullaires. Pou
ation dans les parties les plus vulnérables des fibres radiculaires
postérieures
, dans les collatérales de ces ANATOMIE ET PHYSI
des cellules des ganglions con- sécutives à la section des racines
postérieures
(Lugaro), altéra- tions qui ne déterminent jama
e ces cellules qui, dans le tabes, suc- cèdent à celles des racines
postérieures
et de leurs prolongements. Dans la maladie, ce
mble-t-il, les rapports de la dégéné- ration secondaire des cordons
postérieurs
avec la méningite des méninges de la moelle, ma
x'processus inflammatoires des méninges la dégénération des racines
postérieures
; l'atrophie des cordons ' Il n'est pas exact de
la « théorie radiculaire », c'est-à-dire selon lesquels les racines
postérieures
sont le point de départ de la lésion des cordons
cines postérieures sont le point de départ de la lésion des cordons
postérieurs
; tel serait, par exemple, le point des racines
cordons postérieurs; tel serait, par exemple, le point des racines
postérieures
dont la lésion déterminerait la névrite interst
nstante dans le tabes et serait la cause de la lésion des cor- dons
postérieurs
. Redlich ne peut voir dans la névrite signalée pa
ion. Archives, 2' série, t. XI. 9 130 - - REVUE CRITIQUE. : - .
postérieurs
pouvait d'ailleurs' dériver aussi,' selon' lui, d
s'agir de dyscrasies déterminant une atrophie primaire des racines
postérieures
. Minor et'Sachs (1894) ont montré ensuite comme
894) ont montré ensuite comment l'affection tabétique des cordons
postérieurs
pouvait être l'effet d'une méningite, surtout de
galement partis de la considération que la dégénération des racines
postérieures
débu- tant presque toujours dans le tabes au po
tre cause, pour ainsi dire convergente, de dégénération des racines
postérieures
. Des recherches étendues auxquelles s'est livré
out le moins un phénomène en corrélation avec la lésion des cordons
postérieurs
dans le tabes; ce point de vue est celui de Erb
son syphilitique ou de ses produits sur la dégénération des cordons
postérieurs
peut être non seulement indirecte, mais directe
lion de la lésion spécifique du tabes, la dégénératiol1 des cordons
postérieurs
, on doit reconnaître que les causes directes et i
le nerf optique, le trijumeau, le glossopharyngien avec les racines
postérieures
. En outre les nerfs périphériques, sensitifs et m
du cerveau, la dégénération secondaire peut s'étendre aux^ cordons
postérieurs
, et qu'après des lésions du cervelet le faisceau
processus et de rattacher à ces lésions la dégénération des cordons
postérieurs
. Il faut également renoncer à interpréter l'ata
mais du cerveau. Il est vraisem- blable que la sclérose des cordons
postérieurs
est une dégénération consécutive en corresponda
entité des deux affections. Ajoutez que la dégénération des cordons
postérieurs
dans la paralysie générale n'est pas de même na
paralysie géné- rale, ce ne sont pas les prolongements des racines
postérieures
qui dégé- nèrent, c'est-à-dire des fibres d'ori
: - Le mode de distribution de l'affection tabétique des cordons
postérieurs
est-il systématique au sens de Strumpeil et de Fl
la vérité, que tous les 'genres de fibres contenues dans une racine
postérieure
de la moelle épinière ne réagissent pas de même
cence tabétique parait véritable. L'affection tabétique des cordons
postérieurs
de la moelle n'est pas une affection systématiq
e du mot; c'est tout "au plus un affection systématique des racines
postérieures
, une 'affection exogène des cordons postérieurs
atique des racines postérieures, une 'affection exogène des cordons
postérieurs
(Marie), ou, comme on peut 's'exprimer aujourd'
valeur, intellectuelle comparée des lobes céré- braux antérieurs et
postérieurs
, par CIioCIILEY-CL.11'IiAN. (The Journal of Men
spéciale. La plus grande partie des lobes antérieurs (frontaux) et
postérieurs
occipitaux) demeure ainsi disponible. Les lob
la prépondérance de l'un ou l'autre des cerveaux, l'anlérieur ou le
postérieur
, est associée à un accroissement ou à une dimin
lourdement en faveur de la prédo- minance intellectuelle des lobes
postérieurs
. - Il. DE 1\1 VSG RAVE-CU Y. ' V. Communicati
la gaine durale. témoignage de la traction exercée sur les racines
postérieures
. Des lésions peuvent se trouver créées* par l'a
aumatisme violent et brusque peut rompre les racines antérieures et
postérieures
, mais les racines postérieures se rompent après
rompre les racines antérieures et postérieures, mais les racines
postérieures
se rompent après les racines antérieures. Le pro-
me amène des lésions réparables ou non des racines anté- rieures et
postérieures
du plexus brachial. L'anatomie pathologique con
ures correspon- dantes, et des nerfs des membres inférieurs (tibial
postérieur
et antérieur, nerfs péroniers, nerfs intra-musc
t. et le côté sain, mais encore sclérose dans la région de la corne
postérieure
. li. Marie. - Ces préparations établissent en e
t à la paume des mains, parfois à la plante des pieds, ..iL la face
postérieure
de la cuisse et de la jambe droite, à la face d
ures, exactement comme dans les lésions de la moelle ou des racines
postérieures
. Un autre point caractéristique, c'est que l'an
'on l'observera toutes les fois qu'il y aura une lésion des racines
postérieures
à la région dorsale. H. DE Musgrave CL.1T. XV
athéromateux et on ne constate aucune lésion cérébrale. La surface
postérieure
de la moelle est couverte tout entière d'un exs
de la moelle est recouverte d'un exsudat pareil à celui de la face
postérieure
mais moins accentué. Les vaisseaux de la face a
us, sauf à la portion supérieure de la région thoracique. A la face
postérieure
ils sont entièrement masqués par l'exsudat. La
répandu dans le canal vertébral au moment où on enlevait-la partie
postérieure
des vertèbres. Il n'y avait aucun signe de dépla-
un centimètre carré. Le lobe occipital gauche offre, dans sa moitié
postérieure
, un épais- sissement constitué par un reste de
ssi à sa partie interne, on tombe sur une cavité ou fente antéro-
postérieure
, communiquant avec un orifice arrondi, semblant ê
n en arrière de cette région et par conséquent dans toute la partie
postérieure
du lobe temporal, l'aspect est violacé et au ni
aune et bien lié contenu dans une poche unique, à petit diverticule
postérieur
, poche constituée par une membrane de 2 millimè
es autres pédiculées et de petites grosseurs noevoïdes. Sur le bord
postérieur
de l'ais- selle gauche, il y a une mamelle parf
rale, de deux ailes latérales aux- quelles sont annexées deux ailes
postérieures
. Seule une construc- tion spéciale sert de sall
es ailes latérales ont un rez-de-chaussée et deux étages. Les ailes
postérieures
n'ont qu'un seul étage. I. Le rez-de-chaussée (
dortoir de G lits, une. chambre d'infirmier et enfin, dans une aile
postérieure
, une section pour malades agités comprenant un
rose : le tout causé par une endar- térite nodulaire des cérébrales
postérieures
avec oblitération com- plète à droite, incomplè
sur les cordons antéro-latéraux, mais intéressant aussi les cordons
postérieurs
(faisceaux de Goll et de Burdach), ainsi que l'
ment, l'origine fréquemment syphilitique de la sclérose des cordons
postérieurs
. R. de Musgrave Clay. .L11. Quelques psycho-n
de la scissure de Sylvius pour finir à la circonvolution pariétale
postérieure
, et partait en haut de la partie supérieure de la
e l'espace indiqué, en étroit contact avec la pie-mère. A la partie
postérieure
, les membranes étaient séparées par du 416 REVU
apissée du côté ventriculaire par l'épendyme épaissi. A l'extrémité
postérieure
, le kyste communi- quait avec le ventricule par
ant plantaire périphérique guéri par la faradisation du nerf tibial
postérieur
. In-8» de 4 pages. ' brucelles, 1900. Journal d
lésées; il en est de même des cellules de la moelle. Les cordons
postérieurs
de la moelle sont sclérosés ainsi que la bandel
ales cérébelleuse dans des cas d'hémorrhagie cérébrale de la région
postérieure
. ,111,oose doidoureuse. MM. Aciurd et'LAUMY r
nerveuse, par 110. Moelle Lésions non tabé- tiques des cordons
postérieurs
de la -, par Uana, fil; par Homen, 65. Tumeur
nir sa tête droite, ;i moins que celle-ci ne re- pose par sa partie
postérieure
sur la poitrine de sa nourrice qui la tient sur s
si que la constatation nécroscopique d'une dégénération des cordons
postérieurs
et latéraux de la moelle. Plus tard, en 1841, P
aralysie géné- rale, entre autres la dégénération grise des cordons
postérieurs
et latéraux, et les rattache, non à une maladie
buté par la moelle avec prédomi- nance des lésions dans les cordons
postérieurs
. Dans le courant de l'année 1893, j'ai eu l'occ
n à signaler sauf une congestion assez vive au niveau de la partie^
postérieure
du noyau lenti- culaire et de la partie corresp
cerveau est congestionnée il sa surface. Les racines antérieures et
postérieures
paraissent saines, elles ont partout conservé l
mais on ne note pas de dégénérescence grise des cordons latéraux ou
postérieurs
, si ce n'est un peu pour ces derniers il la rég
au picro-carmin. La lésion s'étend jusqu'au niveau de la commissure
postérieure
sur laquelle elle se réfléchit à la façon d'une b
tance grise ne présentent aucune lésion. Les racines antérieures et
postérieures
paraissent saines. Les méninges sont épaissies
te avec cette différence qu'en avant, au voisinage de la commissure
postérieure
, la bande scléreuse s'étale davantage sur les par
nt le septum médian, pour se diriger de là vers la tôle de la corne
postérieure
sur la- quelle va s'insérer son extrémité antér
une bande étroite plus sclé- reuse sur le bord externe de la corne
postérieure
. D'une façon générale les tractus péri-vasculai
érieure. Les racines, antérieures sont saines. ' Dans les racines
postérieures
il y a épaississement du tissu intertubu- laire
rale qui s'arrête en avant à une certaine distance de la commissure
postérieure
et qui, a ce niveau, envoie une expansion dans
la bande scléreuse vient se terminer en pointe sur tête de la corne
postérieure
. ` Les faisceaux antéro-latéraux ne présentent
au niveau de la région dorso-lombaire (Pl. IV, 4). Les fais- ceaux
postérieurs
sont sclérosés dans toute leur étendue avec prédo
clérosés dans toute leur étendue avec prédomi- nance dans la partie
postérieure
du faisceau de Goll et dans la zone radiculaire
partie postérieure du faisceau de Goll et dans la zone radiculaire
postérieure
. Dans le cordon antéro-latéral on constate un é
aississement est encore plus marqué sur le bord externe de la corne
postérieure
. La substance grise est le siège d'altérations
tissu interstitiel manifestement augmenté de quantité. Les racines
postérieures
sont encore bien plus manifestement sclérosées
résentent à peine un léger degré de sclérose diffuse. Les cordons
postérieurs
sont encore le siège d'une sclérose occupant su
sclérose occupant surtout- la zone médiane et dans celle-ci la zone
postérieure
. Tout le long Pl IV. L Battaille C' Editeurs,
a iarm s DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE 39 des cornes
postérieures
et de la commissure postérieure on voit un large
LE A FORME TABÉTIQUE 39 des cornes postérieures et de la commissure
postérieure
on voit un large ruban de substance saine. "
sions se distinguent nettement du tabès : d'abord, dans les cordons
postérieurs
, ce n'est pas la systématisation ré- gulière du
les cordons laté- raux sont largement sclérosés; enfin les racines
postérieures
sont loin d'être atteintes au même degré que da
eure du tronc est moins sensible il la douleur que la ligne médiane
postérieure
. Aux pulpes des doigts la sensibilité douloureu
ontra à la face antérieure des deux cuisses, et le 2 août à la face
postérieure
des deux avant-bras. Les papules étaient dispos
s, étant recouvert, en grande partie, par les faisceaux du deltoïde
postérieur
, très développés chez ce malade qui est forte-
aux lianes par une forte nappe graisseuse qui remonte sur les faces
postérieure
et latérale du tronc. Cette couche graisseuse f
pourra jeter encore sur les dégénérescences secondaires des cordons
postérieurs
, et sur la cons- titution anatomique du système
1 dure-mère rachidienne ; 2 ligament dentelé ; 3 sillon collatéral
postérieur
; 4.4 raci- nes postérieures des nerfs rachidie
2 ligament dentelé ; 3 sillon collatéral postérieur ; 4.4 raci- nes
postérieures
des nerfs rachidiens ; si racines antérieures dn
s rachidiens ; si racines antérieures dn côté gauche, les ra- cines
postérieures
ayant été réséquées ; G queue de cheval ; 1.1 fil
Territoires des nerfs cutanés du membre inférieur, vus sur la face
postérieure
(d'ap, TESTUT). 1, rameau- fessier du grand a
STUT). 1, rameau- fessier du grand abdomino- génital. 2, branches
postérieures
des nerfs lombaires. 3, branches postérieu- r
ène externe. 14, rameau calcanéen et rameau plan- taire du tibial
postérieur
, t5, musculo- cutané du sciatique poplité exter
s inférieurs, et alors elle est le plus souvent limitée à la partie
postérieure
de la cuisse et de la jambe, c'est-à-dire à une
a paralysie est limitée aux muscles fessiers et à ceux de la région
postérieure
de la cuisse et de la jambe, c'est-à-dire à un te
e de la queue de cheval, avec dégénérescence secondaire des cordons
postérieurs
. Il est à prévoir que lorsque des lésions de ce
, au pourtour de l'anus, à la région fessière inférieure, à la face
postérieure
de la cuisse et des jambes, à la face plantaire
sse; elle est limitée aux muscles fes- siers et à ceux de la région
postérieure
de la cuisse, aux muscles des jam- bes et des p
stes, les branches du sciatique, destinées aux muscles de la région
postérieure
de la cuisse et à ceux de la face postérieure d
muscles de la région postérieure de la cuisse et à ceux de la face
postérieure
de la jambe, proviennent surtout des racines supé
ées. Ces'racines étaient elles-mêmes altérées, prin- cipalement les
postérieures
. A ce même niveau, les cordons postérieurs, 102
s, prin- cipalement les postérieures. A ce même niveau, les cordons
postérieurs
, 102 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
stérieurs, 102 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE les cornes
postérieures
et une partie des cordons latéraux étaient désor-
maine innervé par le sciatique : paralysie des muscles de la région
postérieure
de la cuisse, de tous les muscles de la jambe e
de tous les muscles de la jambe et du pied ; anesthésie de la face
postérieure
de la cuisse et de la jambe, de la région plantai
motrice se limite aux muscles fes- siers, aux muscles de la région
postérieure
de la cuisse, et à la totalité des muscles des
ux grandes lèvres chez la femme), à la région fessière, à la partie
postérieure
de la cuisse, il la par- SUR LES AFFECTIONS DE
ssé volontairement de côté l'histoire des dégénérescences du cordon
postérieur
, consécutives aux af- fections de la queue de c
en va plus de même. Et pendant que le tiers anté- rieur et le tiers
postérieur
offrent une surface il peu près uniforme, le tier
ent la contraction au"lieu d'être au biceps, se trouve il la partie
postérieure
du bras, au.triceps. Je n'insiste pas sur ces fai
d'élévation, ses -deux tiers antérieurs sont élévateurs, son tiers
postérieur
, au contraire,' est aliaisseur du bras ; ce der
eu est l'abaisseur, au.lieu d'être l'é- lévateur, et c'est le tiers
postérieur
du deltoide qu'on voit alors se contracter. La
x- tiers anté- rieurs du deltoïde, s'il descend, elle est au tiers-
postérieur
. Les photographies instantanées sont très démon
nsion, l'action muscu- laire est toujours aux fléchisseurs (muscles
postérieurs
de la cuisse). Les choses changent si la cuisse
toral) pour le mouvement en avant, muscles situés en arrière (tiers
postérieur
du deltoïde) pour le mouvement en ce sens. Les
transforme en zo- ne d'anesthésie. NÉVRALGIE DE LA Ville RACINE
POSTÉRIEURE
CERVICALE DROITE 13D l'annulaire, à la partie i
e bande antérieure passant en dedans du tendon du biceps, une bande
postérieure
longeant le bord interne de l'olécràne ; ces deux
ces et troubles trophiques du membre avant la résection des racines
postérieures
. Fie. 11 et 4S.- Zones et bandes d'hyperesthési
la moelle et le ganglion, résection complétée par celle des racines
postérieures
sus et sous-jacentes, pour se conformer à la don-
est-à-dire les trois paires dont il nous fallait couper les racines
postérieures
droites. La valve droite de la dure-mère étant
igneusement reclinée à l'aide de deux pinces à griffe, la 8e racine
postérieure
dont les divers filets avaient été rassemblés et
section au ras de leur passage à travers la dure-mère : les racines
postérieures
se trouvèrent ainsi résé- quées sur une grande
e antérieure, passant un peu en dedans du tendon du biceps, l'autre
postérieure
, passant sur la partie interne de l'olécrane :
LPÊTRIÈRE diagnostic jusque-là porté si nous n'avions pris la hande
postérieure
, la seule accusée spontanément par le malade, p
laire des 2a et 3' paires lombaires s'accom- pagnerait, à la partie
postérieure
de la cuisse, d'une bande d'hyperes- thésie cut
is, pour avoir quelques chances de réussite, s'attaquer aux racines
postérieures
elles- mêmes, dans leur trajet intradural. Opér
verture du canal rachidien et du fourreau durai char- ger la racine
postérieure
sur un crochet mousse, la sectionner d'abord au
post- opératoires rapides et graves dans le territoire des racines
postérieures
réséquées ; en effet, quelques recherches physi
le passage de fibres nerveuses trophiques par les premières racines
postérieures
lombaires, et l'absence de fibres nerveuses de mê
'absence de fibres nerveuses de même nature dans les autres racines
postérieures
n'est nullement prouvée. Notre malade, prévenu
ction. L. BATTAILLE ET C" Éditeurs NÉVRALGIE DE LA Ville RACINE
POSTÉRIEURE
CERVICALE DROITE 147 encourageant, mais qui ne
et, avant d'avoir été rejoint par sa racine molle, une vraie racine
postérieure
crânienne, analogue aux racines postérieures ra
molle, une vraie racine postérieure crânienne, analogue aux racines
postérieures
rachidiennes ? Chez notre malade nous avons m
1, 28, 29. Les trois temps de la résection intra-durale des racines
postérieures
. 148... ? NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈ
pu faire chez notre opéré. On a vu que l'électrisation des racines
postérieures
correspondantes a provoqué chez lui une vaso-co
ire. Enfin, insistons sur ce fait que la résection de trois racines
postérieures
superposées n'a provoqué qu'une hypoesthésie to
ement la région fessière inférieure et la partie moyenne de la face
postérieure
de la cuisse. Ce territoire cruro-fessier se rétr
nance d'action , du membre supérieur droit. 1- .- 2° Conformation
postérieure
du thorax. Dans sa partie supérieure le thorax
tude parfaite de la colonne vertébrale, une conformation thoracique
postérieure
semblable des deux côtés, et les deux épaules e
roi est for- tement pigmentée en brun. Moelle allongée. - La face
postérieure
de la moelle allongée ne présente rien de parti
en d'anormal dans la substance ner- veuse des cornes antérieures et
postérieures
, ainsi que dans la substance bilan- che de la m
après durcissement nous a révélé l'existence de lésions des cordons
postérieurs
qu'aucun trouble pendant la vie n'avait pu nous
ne fois durcie, on constate il l'oeil nu dans la région des cordons
postérieurs
, une coloration jaune pâle qui tranche d'une fa
ne radiculaire moyenne est partout respectée. Près du sillon médian
postérieur
, la dé- coloration n'est pas aussi accentuée. S
En effet, le picro-carmin ne fait voir'dans la partie . des cordons
postérieurs
que nous avons trouvé altérée macroscopique- me
de soutènement. On ne constate pas de véTit sclé- rose des cordons
postérieurs
. Il est vrai que les fibres à il]3,Cli4 soi plus
ibres à il]3,Cli4 soi plus clairsemées dans les régions des cordons
postérieurs
qui avoisinent l"sil- lon postérieur et clans l
dans les régions des cordons postérieurs qui avoisinent l"sil- lon
postérieur
et clans la zone radiculaire postérieure. Cependa
s qui avoisinent l"sil- lon postérieur et clans la zone radiculaire
postérieure
. Cependant," il est a bon de noter que ces fibr
i puisse donner l'impression d'nne véritables clérose des cor- dons
postérieurs
. Notons ensuite qu'un bon nombre des fibres nerve
es colonnes de Clarke paraissent saines. Les racines antérieures et
postérieures
semblent normales, Microscopiquement, on trouve
ent normales, Microscopiquement, on trouve également dans la partie
postérieure
du cordon latéral, une diminution des libres il
oyenne et toute la bande de substance blanche qui avoisine la corne
postérieure
et qui se dirige vers la commissure posté- rieu
sté- rieure sont normales, tandis que la partie médiane des cordons
postérieurs
et la zone radiculaire postérieure (de la nomen
ue la partie médiane des cordons postérieurs et la zone radiculaire
postérieure
(de la nomenclature de Flechsig) tran- chent pa
régions précédentes. Ces différences de coloration dans les cordons
postérieurs
existent sur toute l'étendue de la région dorsa
ement épaissi. Le triangle de substance saine qui avoisine la corne
postérieure
affecte une topographie variable dans la région
ne, les deux triangles de substance saine s'avancent vers le sillon
postérieur
, tan- dis que dans la région dorsale inférieure
essentiellement sur la région radicu- laire moyenne. Les racines
postérieures
et les colonnes de Clarke sont intactes en ce 2
e semble intacte la zone de Lissauer. m Les cornes antérieures et
postérieures
, les racines antérieures et posté- rieures sont
ssi de la substance blanche dans le domaine des vaisseaux du sillon
postérieur
. Nous avons noté que les troncs nerveux des mem
'origine probablement endogène attendu que les fi- bres des racines
postérieures
sont intactes. Cette lésion cantonnée dans cert
intactes. Cette lésion cantonnée dans certaines parties des cordons
postérieurs
n'est pas une véritable sclérose, bien que le t
ort grossissement nous a fait voir dans la partie médiane du cordon
postérieur
qui avoisine le sillon postérieur un très grand n
dans la partie médiane du cordon postérieur qui avoisine le sillon
postérieur
un très grand nom- bre de fibres fines, résulta
Du reste, les quatre plaques ont été mesurées dans le sens antéro-
postérieur
et dans le sens trans- versal, et leurs dimensi
l régulièrement arron-- dies et disséminées sans règle. A la partie
postérieure
et à droite on voit 3 ou 4 plaques conglomérées
d'abord puis plus foncés. Le 20 mai toutes les plaques des régions
postérieures
et latérale sont disparu, et il est impossible
in forte à l'aide éborgné par le patient. Du même côté, sur un plan
postérieur
, deux individus semblent dis- (1) Ronse ou Henu
v. a, noyau ventral antérieur ou supérieur,-n. v. p, noyau ventral
postérieur
ou inférieur, - n. d. a, noyau dorsal antérieur
- n. d. a, noyau dorsal antérieur ou supérieur, n.d.p, noyau dorsal
postérieur
ou inférieur, - n. a. m, noyau antérieur médian
situés au-dessous de l'aqueduc de Sylvius, c'est-à-dire les centres
postérieurs
des nerfs moteurs oculaires communs ainsi que l'o
des nerfs pathétiques Fic.. 56. Les artères médianes antérieures et
postérieures
du bulbe et de la protube- rance annulaire (d'a
t le troisième ventricule, sont assez nettement séparés des centres
postérieurs
et qu'ils reçoivent sans doute une irrigation d
our l'indépendance rela- tive des centres antérieurs et des centres
postérieurs
du nerf moteur ocu- Fic. 5 ? Les artères de la
talon est tiré en haut par la contraction des muscles de la partie
postérieure
de la jambe; celle-ci est étendue sur la cuisse
ie du côté gauche. Enfin larges plaques anesthésiques sur les faces
postérieures
droite et gauche du tronc, sur la nuque et la r
celle que j'ai reproduite ici. L'autre porte l'adresse d'un éditeur
postérieur
aux initiales T. G. et ne diffère pas de la précé
et les méninges incisées, on aperçoit en arrière, entre les racines
postérieures
, une plaque blanchâtre, molle, nettement circon
plus haut. 328 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Les veines
postérieures
de la moelle sont extrêmement congestionnées da
n anté- rieure de la jambe, les péroniers, les muscles de la région
postérieure
de la cuisse, le tenseur du fascia lata, le cou
dorsale ; dès le début elle envahit les deux commissures, la partie
postérieure
des cornes anté- rieures, se prolonge un peu da
térieurs le long de la scissure, empiète légèrement sur les cordons
postérieurs
et envoie un prolongement le long de chaque cor
rdons postérieurs et envoie un prolongement le long de chaque corne
postérieure
, prolongement plus large à droite qu'à gauche (
sa surface de section ; il ne reste plus qu'une partie des cordons
postérieurs
, surtout du cordon postérieur gauche, et une mi
reste plus qu'une partie des cordons postérieurs, surtout du cordon
postérieur
gauche, et une mince bordure irrégulière à la pér
ujours un secteur intact dont la pointe est vers le col de la corne
postérieure
gau- che et dont la base embrasse la circonfére
de la 5e dorsale. 330 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE nes
postérieures
droites jusqu'à un point situé un peu en avant de
jusqu'à un point situé un peu en avant de l'émer- gence des racines
postérieures
gauches (Fig. 64). ' A partir de la 5e dorsale
te diminue beaucoup moins vite par en bas que par en haut. La corne
postérieure
droite reste toujours plus malade que la gauche.
la 8e racine dorsale par une simple tache située dans la commissure
postérieure
(Fig. 65). L'ensemble du foyer de myélite forme
l en est de même pour le faisceau pyramidal droit et pour le cordon
postérieur
du même côté (à part de très légères bandes pos
ur le cordon postérieur du même côté (à part de très légères bandes
postérieure
et interne) ; par contre le faisceau pyramidal ga
terne) ; par contre le faisceau pyramidal gauche et toute la moitié
postérieure
du cordon postérieur gauche ont été à peu près
faisceau pyramidal gauche et toute la moitié postérieure du cordon
postérieur
gauche ont été à peu près respectés. Pour étu
ation devient massive dans la scissure antérieure et dans le sillon
postérieur
au renflement cervical et dans la partie supéri
s leucocytes s'accumu- lent également dans les sillons antérieur et
postérieur
, mais ne s'avancent pas dans les tractus pie-mé
prolongements dans les gaines lymphatiques des vaisseaux perforants
postérieurs
, jusqu'à une certaine distance. Un certain nomb
cheminent à la surface de la pie- mère, appartenant soit au système
postérieur
, soit au système antérieur, sont également le s
e en constatant qu'il est resté un tout petit territoire de cordons
postérieurs
intact sur toute l'étendue du foyer morbide. Ce
elle forme une petite bande transversale qui comprend la commissure
postérieure
et une petite zone adjointe des cordons postéri
d la commissure postérieure et une petite zone adjointe des cordons
postérieurs
; elle s'arrête latéralement/aux cols des cornes
cordons postérieurs; elle s'arrête latéralement/aux cols des cornes
postérieures
; en arrière elle envoie un petit prolongement le
en arrière elle envoie un petit prolongement le long de la scissure
postérieure
. Un peu au-dessous elle s'étend rapidement, env
end rapidement, envahit les 2 cornes an- térieures dans leur moitié
postérieure
et envoie en arrière deux prolon- gements qui'
ux prolon- gements qui' gagnent la périphérie en suivant les cornes
postérieures
et en empiétant un peu sur la substance blanche
a commissure grise et un autre en dedans de l'extrémité de la corne
postérieure
droite : Celte dernière petite tache descendjusqu
le empiète sur les deux grands territoires vasculaires antérieur et
postérieur
; mais certains détails, tels que la forme plus
du sillon antérieur que les vaisseaux radiculaires anté- rieurs et
postérieurs
. Les artères sont même indemnes de toutes lésions
très nette, sur l'enveloppe de beaucoup de racines anté- rieures et
postérieures
; de cette enveloppe l'infiltration tend à gagner
aires de la jambe semble porter autant sur les muscles de la partie
postérieure
que sur ceux de la région antéro- latérale, cep
l'avant-bras est préalablement mis en supination. - 1 A la partie
postérieure
du bras, le triceps est aussi rigide que le bicèp
s consiste en une voussure pos- térieure à gauche et une dépression
postérieure
à droite. Le Dr Clozier a cons- taté lé contrai
ure à droite. Le Dr Clozier a cons- taté lé contraire, une voussure
postérieure
à droite et une dépression posté- rieure à gauc
aiguë (deux cas), par NAGEOTTE, 325. Névralgie de la VIlle racine
postérieure
cervicale droite, par A. Chipault, 134. Ophta
de 2-3 millimètres. Chez cette fillette existe une absence des arcs
postérieurs
des vertèbres dans la partie supérieure de la c
yélie, s'est pro- duite l'absence de la voûte crânienne et des arcs
postérieurs
des vertèbres. Cas II. - Deux jumelles. Quoique
lonnevertébrale et après la section de l'os occipital, de la cavité
postérieure
, il s'écoulaune demi-tasse à théade liquide tra
tzoff) A et B Cas I. Aspect .lu mousuc. C. Caf IL Fosse crânienne
postérieure
. ventricule très élargi, avec une fine membrane.
c de Sylvius, et ainsi en place du cervelet dans la fosse crânienne
postérieure
s'amassa sous une membrane très fine le liquide
relevé parce que l'accumulation de liquide dans la fosse crânienne
postérieure
a refoulé la tente du cervelet en haut. Le cervel
tente du cervelet en haut. Le cervelet manque. En face de sa partie
postérieure
(PI. VII, E) nous trouvons que la surface des h
du côté des ventricules latéraux et du côté de la fosse crâ- nienne
postérieure
à cause de l'accumulalion trop grande de liquide
région dorsale et lombaire le canal rachi- dien est privé des arcs
postérieurs
des vertèbres. A l'autopsie on constata les ven
ndamental du cordon antéro-latéral, le nerf hypoglosse, le cor- don
postérieur
. Plus haut, au niveau de l'ouverture du 4e ventri
e ne sont pas développées, ainsi que les fibres arciformes externes
postérieures
,les fibres arciformes internes dans la partie inf
s cellules spéciales. Ainsi nous avons ici le faisceau longitudinal
postérieur
, les fibres arciformes internes, presque non dé
le nous trouvons celui-ci très aplati (Pl. VIII, K). Dans la partie
postérieure
nous trouvons le faisceau longitudinal postérie
. Dans la partie postérieure nous trouvons le faisceau longitudinal
postérieur
, au-dessus le genou du facial, eh dehors le noy
ta l'axe cérébro-spinal, nous trouvons ici le faisceau longitudinal
postérieur
; en dessous la formation réticu- laire, mais ma
ous trou- vons ce qui suit (Pl. VIII, M) : le faisceau longitudinal
postérieur
, les fibres arciformes internes de la formation
ouillés manquent). En dessous les fibres du faisceau longitu- dinal
postérieur
qui viennent en contact avec les noyaux du nerf d
t du noyau arciforme, de même que des libres arciformes externes et
postérieures
, des olives, des fibres arciformes internes et
s myéliniques, le faisceau cérébro-spinal latéral manque. Le cordon
postérieur
est bien développé. En arrière, est située une
n côté, le plus éloigné de ce triangle suit parallèlement la partie
postérieure
de la moelle. Dans le côté opposé du triangle s
moelle épinière est comprimée encore pl us (Pl. IX, 0); les cordons
postérieurs
sont mal formés. La formation, située en arrièr
c cela la partie antérieure reste sans changement, mais les cordons
postérieurs
se portent dans la formation située sur eux.
située sur eux. Symétriquement de deux côtés situées dans la partie
postérieure
, les stries arciformes de fibres myéliniques ra
plus loin. La partie antérieure n'est pas changée, mais les cordons
postérieurs
n'apparaissent pas comme for- mation indépendan
sa partie antérieure apparaît parfaitement normale. Dans la partie
postérieure
, nous trouvons le noyau de Goll duquel s'écartent
X, S). Ainsi commençant du niveau des olives par en bas, la partie
postérieure
du bulbe rachidien s'atténuait ; elle se déplaçai
chidien s'atténuait ; elle se déplaçait et en- traînait les cordons
postérieurs
de la moelle, s'unissant avec eux et apla- tiss
et de la couche du ruban de Reil qui provient des noyaux du cordon
postérieur
et se termine dans les couches optiques. Nous o
it une saillie assez accusée ; entre ses deux segments antérieur et
postérieur
on perçoit très bien les tendons du biceps. Les m
ont les racines nerveuses cervi- cales et lombaires, antérieures et
postérieures
, le nerf médian au tiers moyen du bras, le nerf
postérieures, le nerf médian au tiers moyen du bras, le nerf tibial
postérieur
; on rencontre toutefois dans les préparations q
t- à-dire contemporaines de la naissance, ou acquises, c'est-à-dire
postérieures
à la naissance, elles peuvent dater effectiveme
c bien surprenant que la xérodermie pigmentaire ne fût pas, quoique
postérieure
à la naissance, une maladie essentiellement cutan
ute la moitié intérieure de l'individu étant noire, toute la moitié
postérieure
est blanche; la ligne de démarcation des deux c
érence de la moelle, mais ne tranche pas le bord externe des cornes
postérieures
qui est recouvert par une mince couche de tubes
myéline. Aussi bien dans ses cornes antérieures que dans ses cornes
postérieures
. 2) Par les colorants nucléaires la sclérose de
g des vaisseaux, surtout dans les faisceaux latéraux et les racines
postérieures
, il y a des ilots de périartérite nom- breux ;
es à myéline tuméfiée. Ils sont, ici, peu nombreux dans les cordons
postérieurs
que dans les autres faisceaux blancs, mais ne rép
visible par les colorations myéliniques. Les vaisseaux radiculaires
postérieurs
ont une paroi très épaisse. On retrouve égaleme
e du faisceau moteur, qu'à gauche où elle n'intéresse que des tiers
postérieurs
(PL XVI, A). Dégénérescence, moins intense, des
de Gowers. Les autres faisceaux blancs, en particulier les cordons
postérieurs
, ne présentent pas de lésions appréciables. N
ne sont représentés que par un cylindre-axe nu. Dans les cordons
postérieurs
on rencontre des tubes à myéline atrophiée et d
ugmentation de nombre de tubes à myéline atrophiée dans les cordons
postérieurs
, ceux-ci se co- lorent plus fortement, et parai
ration périvasculaire autour des artérioles des sillons antérieurs,
postérieurs
et surtout dans les' artères radiculaires est p
in présente aussi une légère dégénérescence. Ace niveau les cordons
postérieurs
sont nettement intéressés. A gauche une bande d
gauche une bande de sclérose partant du voisinage de la commissure
postérieure
, se dirige en arrière et se place entre les fai
et de Burdach en dessinant la virgule de Sclaacltze. Dans le tiers
postérieur
du cordon, cette virgule vient se confondre ave
onfondre avec une zone de sclérose plus étalée, comprenant le tiers
postérieur
du faisceau de Goll et la moitié interne du tie
tiers postérieur du faisceau de Goll et la moitié interne du tiers
postérieur
du faisceau de Burdach. Les portions intactes des
ostérieur du faisceau de Burdach. Les portions intactes des cordons
postérieurs
sont donc : les deux tiers antérieurs du faisceau
rs antérieurs du faisceau de Burdach, et la moitié externe du tiers
postérieur
de ce dernier. En aucun point la zone de dégénére
e en comparaison de celle du côté opposé. Les lésions des cordons
postérieurs
étant au maximum à gauche, sont donc croisées p
tout accentuée dans le fais- ceau pyramidal droit et dans la partie
postérieure
du cordon postérieur gauche. Par contre, dans
fais- ceau pyramidal droit et dans la partie postérieure du cordon
postérieur
gauche. Par contre, dans la portion antérieur
fortement altérés que dans la région sous-jacente. Dans les cordons
postérieurs
, la dégénérescence affecte la même topogra- phi
marquée, est un peu plus étendue à gauche qu'ai droite. 4) Cordons
postérieurs
absolument sains dans les régions lombaire et d
e Burdach dans ses 2/3 antérieurs (virgule) ; dégénérescence du 1/3
postérieur
du faisceau de Goll et de la portion adjacente du
ITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 103 Les zones radiculaires des cordons
postérieurs
sont partout parfaite- ment intactes. 5) La s
ce grise est, tant dans les cornes antérieures, que dans les cornes
postérieures
et dans les colonnes de Clarke, bien fourni sur
nous n'avons pas trouvé de tubes nerveux dégénérés dans les racines
postérieures
. D'autre part, les lésions vasculaires de ces r
de la moelle, on ne peut leur attribuer les altérations des cordons
postérieurs
limitées à la région cervicale seulement. Du rest
le faisons remarquer plus haut, la zone radiculaire de ces cordons
postérieurs
est partout bien conservée. 9) Sur toutes les h
davantage être mise en cause pour expliquer les lésions des cordons
postérieurs
. La zone cornu- radiculaire étant en effet part
mne on ne peut invoquer la péri- artérite observée dans les racines
postérieures
qui du reste il côté de ces lésions vasculaires
de la moelle et ne cadrent pas avec une dégénérescence des cordons
postérieurs
limitée à la région cervicale seulement. L'un de
a, il est vrai, montré l'existence d'une dégénérescence des cordons
postérieurs
consécutives à des lésions encéphaliques (1), m
ll. de la Soc. de Biologie, 1894. - Les dégénérescences des cordons
postérieurs
conséculives aux lésions en foyer de l'encéphal
ction; il décrit t une courbe à concavité antérieure et à convexité
postérieure
. De plus, au point d'inflexion qui correspond a
inférieur; là l'humérus semble soufflé en arrière, décrit un ventre
postérieur
et atteint ainsi, à ce niveau, un volume qui ra
hyperalgésie très vive dans la zone sensitive du circonflexe (face
postérieure
de l'épaule et externe du bras). Dans la zone s
s marquée. Moins vive encore dans la zone sensitive du radial (face
postérieure
du bras et de l'avant-bras). A peine accusée sur
8 centim. au-dessus de l'apophyse styloïde du radius) pour devenir
postérieure
. La préhension du nerf médian au milieu du bras
cles dans le membre supérieur droit, ni dans la région pectorale et
postérieure
de l'épaule. Pas de tremblement, mais instabili
sur 2 plans : Les nerfs circonflexe et radial (qui forment le plan
postérieur
) reposent sur le tendon du sous-scapulaire. Le ci
e ; il est tendu un peu en avant. Le plan antérieur, séparé du plan
postérieur
par l'épaisseur des vais- seaux axillaires et p
facilement les racines antérieures mais beaucoup moins les racines
postérieures
. Une traction très violente rompt les racines an-
rès violente rompt les racines an- térieures et tend simplement les
postérieures
. L'élongation des racines postérieures, à cause
eures et tend simplement les postérieures. L'élongation des racines
postérieures
, à cause de la position oblique des ganglions q
lénoïdienne permanente entrainant une sourde irritation des racines
postérieures
des 5e, 6e, 7e cervicales. Par contre, pendant
léments ganglionnaires, sur ces élé- ments eux-mêmes; sur la racine
postérieure
spinale, c'est-à-dire sur les fibres efférentes
efférentes du protoneurone centripète, sur les éléments des cornes
postérieures
ou enfin sur les fibres qui en émanent vers les c
es qui en émanent vers les centres plus élevés, formant les cordons
postérieurs
. Quelle que soit la théorie, elle s'ap- pliquer
ctive, la plus vigilante et la plus importante des racines spinales
postérieures
; - parce que la lésion systématique atteindra, d
es ; - parce que la lésion systématique atteindra, dans les racines
postérieures
des cordons qui en émanent aussi bien que dans le
ent qui va s'épanouir au niveau des éléments médullaires des cornes
postérieures
. C'est ce prolongement efférent qui constitue le
ent dit. En d'autres termes, le nerf labyrin- thique est une racine
postérieure
plus longue que les autres, dont le gan- glion
imaires, bulbo-protubéran- tiels, ceux qui correspondent aux cornes
postérieures
de la moelle, sont si haut placés dans le voisi
iatement en tous sens sans former de cordons homologues aux cordons
postérieurs
de la moelle. Ceci est im portant à considérer
ies médullo-cérébrales et médullo-cérébelleuses émanées des racines
postérieures
. On peut reconnaître dans l'appareil émané des
postérieures. On peut reconnaître dans l'appareil émané des racines
postérieures
deux systèmes de voies centripètes véhiculant d
gainement myélinique plus tardif, aboutis sanl à la tête des cornes
postérieures
, d'où les impressions s'élèvent vers les centre
à engainement myélinique précoce, aboutissant à la'base des cornes
postérieures
, et particulièrement à la co- lonne de Clarke,
colonne de Clarke) qui sont les prolongements de la base des cornes
postérieures
. De ces noyaux partent les impressions qui vont
e physiologique. Il existe dans la moelle des fibres qui des cornes
postérieures
vont direc- tement vers les centres nucléaires
stème labyrinthique et de leurs centres avec l'appareil des racines
postérieures
et de leurs centres primaires. De par l'anatomie
s tandis que les fibres émanées des centres médullaires des racines
postérieures
cheminent de conserve le long de la moelle et se
rotoneurone centripète y est plus évidente qu'au niveau des racines
postérieures
. Wernicke, Althaus décri- vent dans le tabes un
art des faisceaux du nerf vestibulaire au voisinage des gros noyaux
postérieurs
. Ces faisceaux étaient transformés en tissu con
thique ont été atteints dans le tabès ; et pour cette grosse racine
postérieure
qui est le tronc labyrinthique, on en sait plus
t de vue anatomo-patho- logique, que pour toutes les autres racines
postérieures
spinales. Remarquons que dans la surdité d'orig
anique, et à ce titre encore bien plus que par sa qualité de racine
postérieure
plus importante que toutes les autres, l'appa-
scillation, et l'insuffisance du sens pédieux (sclérose des cordons
postérieurs
, etc.) qui compromet l'appropriation et la coor
s débutant, comme il semble logique, par la plus grosse des racines
postérieures
, c'est-à-dire par l'ap- pareil labyrinthique.
e et se rappeler que le nerf labyrinthique, en sa qualité de racine
postérieure
la plus active et la plus grosse de toutes, sera
rtie supérieure, et la modification de la ligne qui réunit la paroi
postérieure
à la paroi latérale de l'aisselle (ligne en S ave
particulièrement, ces deux racines traversent les fibres du scalène
postérieur
avant de se réunir; quelquefois même, le tronc du
é contre le thorax, afin de donner ainsi de la solidité à la moitié
postérieure
de la ceinture scapulaire, c'est-à-dire de donn
placé au niveau de l'angle externe, qui éloigne cet os de la paroi
postérieure
de la cage thoracique, en faisant saillir sous la
nt dite. Le creux de l'aisselle èst profondément modifié : sa paroi
postérieure
dis- paraît àpeu près complètement et se place
forme d'une S à boucles très allongées ; rétrécissement de la paroi
postérieure
; dilatation générale de la cage thoracique avec
derme est corné, dur. légèrement exfolié. Etat rugueux de la partie
postérieure
du bras. L'enfant est revue le 9 juin 1898. 11
de la main et parlent de la région antérieure pour gagner la région
postérieure
du thorax. (1) NEUMANN, Arch. sur Kinderheilkun
embre inférieur droit. - Les muscles de la région antéro-externe et
postérieurs
sont un peu atrophiés, seuls les adducteurs, le d
faisceau pyra- midal direct du côté gauche. Au niveau des cordons
postérieurs
, même dans les parties sclérosées, il n'existe
imple examen des altérations étendues qui existent dans les cordons
postérieurs
. La sclérose a envahi les cordons de Goll et de
des cordons de Burdach. Cette sclérose n'atteint pas la commissure
postérieure
, elle en est séparée par une bande de fibres sain
s. De même la région voisine des racines est respectée. A la partie
postérieure
des cor- dons de Burdach se trouve une zone de
ette externe (PI. XXIX, fig. N et PI. XXX, fig. 0,P). - Les racines
postérieures
sont intactes. Outre les cordons postérieurs, l
0,P). - Les racines postérieures sont intactes. Outre les cordons
postérieurs
, les cordons antéro-latéraux présentent quelque
mais celles-ci sont beaucoup moins profondes que celles des cordons
postérieurs
. Il y a une très légère dégénération des faisceau
arquée dans le faisceau pyramidal croisé du côté droit. Les racines
postérieures
sont intactes. Sur des coupes faites entre la Ill
ième et la sixième cervicale (Pl. XXIX, fig. M). Dans les cordons
postérieurs
il existe toujours de la dégénération des cordo
a dégénération est peu intense et étendue en surface. Les racines
postérieures
paraissent un peu atteintes, le nombre des fibres
rise, éprouve une raréfac- tion notable au niveau du col des cornes
postérieures
. Sur une coupe au niveau de la 7° cervicale on
cornu marginal parait à peu près complète. Les lésions des racines
postérieures
paraissent beaucoup moins marquées que dans les
upe passant par la région dorsale inférieure, la lésion des cordons
postérieurs
est toujours marquée ; la région la plus atteinte
st constituée par une longue bande atteignant en dehors les racines
postérieures
, séparée de la périphérie de la moelle par une
e Lissauer sont peut-être un peu touchées. Les fibres des racines
postérieures
sont un peu diminuées de nombre ; mais leur att
, les nerfs examinés ont été : le nerf cutané pé- ronier, le tibial
postérieur
, le sciatique. Le nerf péronier présente quelqu
lieu de ce tissu conjonctif sont assez nombreuses. Le nerf tibial
postérieur
est moins atteint : les fibres nerveuses sont n
à peine. Muscles. - Aspect macroscopique. Les muscles de la région
postérieure
et de la région antérieure delà cuisse ont une
nt : 1° Des altérations de la moelle : .' a) Sclérose des cordons
postérieurs
prédominante dans le cordon de Burdach. b) Un
lavoir : il exis- tait à la peau des mains, à la face antérieure et
postérieure
des poignets, remontant vers le coude sous form
e, est due, d'après moi, à un manque de développe- ment de la paroi
postérieure
de l'utérus, laquelle s'infléchit sous la pous-
es, la thyroïdine, au bout d'un temps très court, fortifie la paroi
postérieure
de la matrice, la redresse. Pourquoi s'étonner
s de la jambe et du pied, les muscles des régions antéro-externe et
postérieure
de la cuisse. A l'autopsie, les lésions observé
ma. Le noyau et le nucléole sont absents. Les cellules des cornes
postérieures
sont diminuées de nombre et atro- phiées. Le
IL - Les lésions vraiment capitales se rencontrent dans les cordons
postérieurs
. Elles acquièrent à peu près la même intensité da
ons spinaux et des racines. - Dans le cas de Marinesco, les racines
postérieures
étaient très altérées, semble-t-il, dans toute
rusque : il est lent, insidieux, traînant. L'atteinte des mains est
postérieure
à celle des pieds de deux ans en moyenne (chiff
omparable à celle qu'on observe dans les cas de section des racines
postérieures
, de section transversale de la moelle. Marine
ile est conservée également au bord interne de ce pied. - B. Face
postérieure
. - A la plante du pied droit le côté interne, les
te, seulement à l'extrémité des doigts de la main gauche. B. Face
postérieure
. - Hypoalgésie au talon droit, hyperalgésie aux q
lléolaire. A la cuisse droite hyperesthésie à la chaleur. B. Face
postérieure
. - Thermo-hypoesthésie jusqu'au genou droit ; the
laque d'hypoesthésie au bord externe de la cuisse droite. B. Face
postérieure
. - Anesthésie plantaire des deux côtés ; hypoesth
tion tibio-tarsienne; hyperalgésie sus-claviculaire gauche. B. Face
postérieure
. - Analgésie à la plante du pied gauche, respecta
sse jusqu'à la face externe de l'articulation du genou. - B. Face
postérieure
. - Hyperesthésie, à la chaleur, depuis une ligne
enant tout le territoire d'innervation du nerf cu- bital. B. Face
postérieure
. - Anesthésie depuis les pieds jusqu'à la région
dernier orteil, et au pied droit il la base du gros orteil. B. Face
postérieure
. Analgésie aux deux faces plantaires ; hypoalgési
lus bas que l'hy- peresthésie au chaud à la jambe droite. B. Face
postérieure
. - Thermo-hyperesthésie il tout le tronc, à la tê
uis l'articulation tibio-tarsienne jusqu'au pli inguinal. B. Face
postérieure
. - L'hypoesthésie existe aux plantes des pieds et
ences thénar présentent une hyperesthésie plus prononcée. B. Face
postérieure
. - Hyperalgésie aux plantes des pieds et à la cu
a ligne bi-atillairo à la ceinture et aux éminences thénar. B. Face
postérieure
. Hyperesthésie à la chaleur dans toute l'étendue
artie antérieure de l'avant-bras se serait amai- grie avant la face
postérieure
et avant le bras. Depuis deux ans il aurait rem
ste un peu de rétraction du biceps droit ; les muscles de la région
postérieure
du bras sont très diminués surtout à droite. ,
térieure du bras sont très diminués surtout à droite. , A la face
postérieure
de l'avant-bras, muscles disparus, os saillant. L
arus, os saillant. L'espace interosseux forme un méplat à la partie
postérieure
. Les muscles de la partie antérieure de l'avant
nation ne peuvent plus se faire. Atrophie considérable de la partie
postérieure
de l'avant-bras ; atrophie des * radiaux. Le
ich. Altération de la myéline; sclérose disséminée dans les cordons
postérieurs
; disparition dans un certain nombre de tubes du
ue, 1894, p. 5't5. 384 ' G. ÉTIENNE veau des faces antérieures et
postérieures
, surtout au niveau du ventricule droit. ' Auc
son bord spinal n'est pas éloigné de la paroi thoracique. La paroi
postérieure
du creux de l'aisselle est très amaigrie à droi
arrière, ce qui témoigne de l'impotence des faisceaux antérieurs et
postérieurs
du deltoïde; il a de multiples difficultés pour
ait voir que l'atrophie musculaire ne se produit pas si les racines
postérieures
de la moelle qui concourent à l'exercice de la
métatarsiennes (surtout de la première) ; à noter aussi la saillie
postérieure
du calcanéum. Voici quelques dimensions des mai
bres inférieurs, remontant du pied jusqu'au pli inguinal. B. Face
postérieure
. Anesthésie jusqu'au pli fessier. IL Douleur. A
supérieurs et au thorax jus- qu'à la ligue bi-axillaire. B. Face
postérieure
, - Hypoalgésie aux deux plantes des pieds et hype
Face antérieure. - Hyperesthésie au froid, à l'ab- domen. B. Face
postérieure
. Hyperesthésie an chaud à la plante du pied droit
dans la zone du cubital, au bras gauche, aux deux mains. B. Face
postérieure
. - Anesthésie jusqu'à la ceinture, remontant du c
flanc droit et aux mains jusqu'à l'extrémité des doigts. B. Face
postérieure
. Hypoalgésie depuis les orteils jusqu'au pli fess
tronc. Au froid, hyperesthésie dans les régions axillaires. B. Face
postérieure
. - A la chaleur, hyperesthésie à la face interne
I., Éditeurs. TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES 413 B. Face
postérieure
. - Anesthésie comme à la face antérieure dans les
guinaux. Hypoalgésie dans la zone d'anesthésie crânienne. B. Face
postérieure
. A gauche, analgésie depuis le pied jusqu'au creu
ânienne où il y a di- minution de la sensation thermique. B. Face
postérieure
. - Hypoesthésie plantaire remontant à droite jusq
be ; on trouve aussi de l'hy- poesthésie en demi-calotte. B. Face
postérieure
. - L'anesthésie remonte à droite jusqu'au creux p
as jusqu'à l'extrémité des deux derniers doigts de la main. B. Face
postérieure
. - Anesthésie en corset ; hypoesthésie aux fesses
ers doigts de la main gauche et à tout le reste du corps. B. Face
postérieure
. - Analgésie depuis l'aisselle droite jusqu'au bo
, la sensation du froid est plus intense que normalement. B. Face
postérieure
. - Hypoesthésie en corset, au chaud, descendant l
ez vue ne peuvent dépendre que d'une lésion des fibres radiculaires
postérieures
dans les racines postérieu- res ou dans la moel
à conclure que la lésion dont ils dépendent siège dans les racines
postérieures
ou dans l'épaisseur même de la moelle. En effet
e notablement, selon que l'on considère ces fibres dans les racines
postérieures
ou dans les nerfs périphériques, chaque racine
postérieures ou dans les nerfs périphériques, chaque racine spinale
postérieure
fournit des fibres à dij"é- rents nerfs sensiti
ents dont chacun tire son innerva- tion sensitive d'une môme racine
postérieure
, ses segments empiètent les uns sur les autres,
res cutanés qui tirent leur innervation sensitive d'une même racine
postérieure
ne constituent pas des ¡lots circonscrits, ils
ET DE GOTUARD autre quand elle dépend d'une ou de plusieurs racines
postérieures
ou de leurs prolongements intra-médullaires.
relations de l'innervation sensi- tive de la peau avec les racines
postérieures
, ensuite cette anesthésie, si elle existe, occu
par simple com- pression, par exemple d'une ou de plusieurs racines
postérieures
, l'anes- thésie tactile et l'analgésie ne s'obs
ologique montre que les lésions de la substance blanche des cordons
postérieurs
se tradui- sent surtout par de l'anesthésie tac
erfs périphériques ni même entièrement par une lé- sion des racines
postérieures
. Elles sont l'expression d'une lésion intra- sp
a- spinale qui intéresse à la fois la substance blanche des cordons
postérieurs
et la substance grise centrale. En résumé, le
u lobule du pli courbe et de l'insula avec participation du segment
postérieur
de la capsule interne. A son entrée à l'asile d
le pied de la pariétale ascendante. La coupe 2 passe par la partie
postérieure
du pied de la pariétale as- cendante. NOUV, I
nt examinées d'arrière en avant; les figures représen- tent la face
postérieure
de chaque coupe. Les légendes ( l) en sont donnée
est respectée, celle de l'insula en particulier. La circonvolution
postérieure
de l'insula apparaît à ce niveau au fond de la sc
ie antérieure d lobule du pli courbe. Coupe 5 passant à la partie
postérieure
du lobule du pli courbe. APHASIE AMNÉSIQUE
du lobule du pli courbe. Fit. S. . Coupe i, passant à la partie
postérieure
du lobule du pli courbe. - - d APHASIE AMNÉ
"AI "F.TIIII¡H, T. XII. PI. I.XXVIII Coupe 3 passant a la partie
postérieure
du pied de la pariétale ascendante. Coupc 3 p
HASIE AMNÉSIQUE ( Tréllet) Fig. 8. Coupe 2, passant à la partie
postérieure
du pied de la pariétale ascendante. Fig. 7.
rieurs, le faisceau arqué est complètement coupé depuis sa courbure
postérieure
jusqu'à son tiers an- térieur, le système du fa
444 TRÉNEL interne est détruite à la partie supérieure de sa région
postérieure
rétro- lenticulaire. Le genou et le segment ant
imbique. - cc. Corps calleux. - CE. Capsule externe. - Cld. Segmeut
postérieur
de la capsule interne. - CL. AvanL-mur. - Cri. Se
ote simplement un peu de rougeur violacée des poignets. Sur la face
postérieure
du bras gauche, à 4 travers de doigt au-dessus de
a question des rapports de la paralysie générale et du tabes spinal
postérieur
a soulevé et soulèvera certainement encore de v
dans la paralysie générale, la localisation des lésions des cordons
postérieurs
simule par- fois la sclérose ataxique. La resse
ne part, l'intensité et la localisation de l'atro- phie des racines
postérieures
d'autre part. C'est un cas de ce genre dont nou
que, ni l'étude minutieuse des lésions des cordons et des racines
postérieures
, ne permettent de s'arrêter au diagnostic de tabe
térieures, ne permettent de s'arrêter au diagnostic de tabes spinal
postérieur
. Observation. Asile clinique (Sainte-Anne). ,
. Les fibres y sont ser- rées, leur myéline bien colorée. Le cordon
postérieur
, au contraire est atteint dans son ensemble mai
que de très rares fibres éparses; la dégénérescence gagne le cordon
postérieur
vers la zone cornu-radiculaire. L'ensemble de l
n. La seconde zone des lésions occupe une grande partie du cordon
postérieur
, suivant l'aire d'un triangle rectangle qui, par
rectangle qui, par le sommet de son angle droit, confine à la corne
postérieure
, au niveau de la substance de Rolando. Parlant
e dirige en avant et légèrement en dedans, s'écartant de la corne
postérieure
pour aboutir au septum médian, un peu en arrière
isparition. La lésion se détache avec netteté sur le fond du cordon
postérieur
. Trois zones sont beaucoup moins atteintes, off
cune la forme d'un triangle confinant par l'un des côtés à la corne
postérieure
, et s'insinuant entre celle-ci et la zone sclér
bres ne sont diminuées ni en nombre ni on volume. Quant aux racines
postérieures
, elles sont manifestement atteintes, mais dans
moyenne. - Les lésions sont plus limitées et l'ensemble du cordon
postérieur
possède un plus grand nombre de libres saines. La
cte ou à peu près. Pour ce qui est de la dégé- nérescence du cordon
postérieur
proprement dit, elle occupe de pari et d'autre
uve, en effet, situé au niveau du quart inférieur environ du cordon
postérieur
. Dans cette région dégénérée, il existe encore
breux noyaux. Les racines antérieures sont saines; dans les racines
postérieures
il manque quelques fibres, mais le plus grand n
s allongée qu'aux étages sous-jacents, elle est parallèle* la corne
postérieure
. Elle se rapproche d'assez près de la périphérie
La zone de Lissauer est légèrement lésée. Tout le reste du cordon
postérieur
est sain, dans tous les cas très peu malade, ca
un début de sclérose interstitielle. Cependant l'ensemble du cordon
postérieur
est moins coloré que les cordons anléro-latérau
res manquent, sans nul doute, dans les unes et les autres des zones
postérieures
. Le contraste est moins frappant entre les deux
ve qu'une ou deux cellules d'aspect granuleux et jaunâtre. La corne
postérieure
n'a de lésions appré- ciables en aucun de ses p
. Ses deux portions se détachent nettement sur l'ensemble du cordon
postérieur
sous forme d'un triangle isocèle ; sa base est
sure grise, occupe les deux tiers au moins de l'épaisseur du cordon
postérieur
. Sont également sains les faisceaux de Lissaüer
r. Sont également sains les faisceaux de Lissaüer et radiculaires
postérieurs
. La zone des fibres ascendantes est simplement re
nde large, constituée par des fibres saines, qui confine aux cornes
postérieures
et en suit très exactement la direc- tion pour
la zone de Lissauer; cet ergot entame le faisceau coniu-radiculaire
postérieur
. L'ensemble des deux bandes, droite et gauche,
réparations les cellules motrices sont peu nom- breuses. Les cornes
postérieures
sont également saines. Racines. - Les racines p
s cornes postérieures sont également saines. Racines. - Les racines
postérieures
et les racines antérieures sont à peu près sain
NILE. Il 1; b) Etage supérieur (ftj. 7). L'en<emIJle des cordons
postérieurs
est plus pâle que les cordons ;it)Léto-IaLériux
faisceaux de Goll, aux faisceaux cornu-commissuraux et radiculaires
postérieurs
. La bandelette externe se présente au contraire
. Substance grise. Les cornes antérieures sont saines. Les cornes
postérieures
présentent une démyélinisation manifeste au nivea
nes. Les racines antérieures ont perdu quelques fibres; les racines
postérieures
peuvent être considérées comme sdines. L'épaiss
nt franchement l'illu- sion d'une sclérose systématisée des cordons
postérieurs
. Cependant, par divers côtés, ces coupes elles-
souvent la lésion est très peu prononcée. L'intégrité des racines
postérieures
et de la zone de Lissaüer, ou le peu d'intensit
étages inférieurs d'une part et avec le peu de lésions des racines
postérieures
d'autre part. Nous nous croyons autorisé à pens
moelle. Suivant les étages examinés, les éléments nobles des cornes
postérieures
sont ou ne sont pas atteints. Les cornes antéri
er et cornu-radiculaire moyenne, lésions peu accusées des racines
postérieures
et des faisceaux de Goll d'une part; -.lésions
isant le départ des quelques absen- ces constatées dans les racines
postérieures
; les autres per- sistent en majeure partie et s
ce cas il est de règle que la lésion respecte à peu près la racine
postérieure
et la zone de Lissauer. Pour aller jusqu'au bou
on aurait pu facilement les croire caractéristiques du tabes spinal
postérieur
; un exa- men méthodique et approfondi pouvait
: 1° que tous les symptômes cérébro-spinaux et périphériques sont
postérieurs
aux manifestations bien déclarées du diabète ; 2°
ent s'expliquer « par la production d'une thrombose de la cérébrale
postérieure
au ni- veau même de son union avec la communica
rale postérieure au ni- veau même de son union avec la communicante
postérieure
, de telle façon que la circulation soit complèt
e artère et très ralentie dans la pre- mière partie de la cérébrale
postérieure
qui donne naissance aux dix collatérales de Dur
ffuse annulaire et dégénération partielle des cordons pyramidaux et
postérieurs
, hypertrophie du tissu embryonnaire autour du c
es de l'oculo-moteur (artères terminales, éma- nant de la cérébrale
postérieure
) qu'il faut chercher le point de départ des att
de un centimètre, portant presque toute son'action sur ses parties
postérieures
, au niveau des premières paires lom- baires. »
u système nerveux central, et des lésions systématiques des racines
postérieures
et des cordons postérieurs de la moelle. Les al
t des lésions systématiques des racines postérieures et des cordons
postérieurs
de la moelle. Les altérations des cellules des
elle-même varie. Elle se can- tonne le plus souvent dans la moitié
postérieure
de la moelle, en arrière d'une ligne transversa
rt jamais, il faut le dire, une grande intensité. Dans le segment
postérieur
de la moelle, elle intéresse le cordon latéral
térieur de la moelle, elle intéresse le cordon latéral et le cordon
postérieur
à des' degrés divers, selon la forme et la duré
entera, par exemple, des lésions peu accusées, tandis que le cordon
postérieur
est parvenu au dernier terme de la dégénération
lerons ailleurs. C'est surtout la topographie des lésions du cordon
postérieur
qui varie dans les différents étages de la moel
nche voisine de la commissure grise et quelques libres dans l'angle
postérieur
et interne du triangle que figure le cordon pos
dans l'angle postérieur et interne du triangle que figure le cordon
postérieur
. Plus haut, dans la région dorsale, d'autres fi
happent à l'altération. Celles qui longent immédiatement la corne
postérieure
jusqu'à la substance gélatineuse qui la coiffe, e
la partie interne du faisceau de Burdach, au centre même du cordon
postérieur
. Cette bandelette ne dépasse pas, en avant, le
e petite distance de la circonférence. En sorte que, dans le cordon
postérieur
, à la région dor- sale, nous rencontrons succes
dor- sale, nous rencontrons successivement, en allant de la corne
postérieure
au sillon médian postérieur, une bandelette de
successivement, en allant de la corne postérieure au sillon médian
postérieur
, une bandelette de fibres saines adossée le lon
euxième bandelette de fibres saines située au centre même du cordon
postérieur
. Elle se réunit ainsi à une nouvelle zone de dé
ration moins accusée généralement, celle qui longe le sillon médian
postérieur
. Quelques fibres du centre ovale de Fleschsig e
l'avons vue remplacer presque toutes les fibres nerveuses du cordon
postérieur
dans deux cas. Les cylindres-axes eux-mêmes ava
es degrés divers, dans toutes ses parties : corne antérieure, corne
postérieure
, commissure et dans ses deux principaux élément
ervicale inférieure, la substance grise, située en avant des cornes
postérieures
, forme un bloc, dans lequel on distingue à pein
medio-lateralis, des cel- lules de cordon, des cellules de la corne
postérieure
. Disons seulement que par comparaison avec des
c la substance grise, notons une sclérose active autour de la corne
postérieure
, au point où les fibres radiculaires courtes pé
l- ques cas, et dans d'autres, au contraire, se limite au segment
postérieur
. L'adhérence de la pie-mère à la substance blanch
toujours altérés. Généralement, ils sont plus atteints à la région
postérieure
. Il n'est pas rare, cepen- dant, de voir des va
ne font que passer dans la moelle, venant du cerveau ou des racines
postérieures
. Disons tout de suite que la paralysie générale
corne antérieure, sont presque toujours saines, et, dans le cordon
postérieur
, les fibres cornu-commissurales, les fibres de
is même celui de Gowers, enfin et surtout les fibres radiculaires
postérieures
, sont presque toujours atteintes. Prenons d'abo
n la sclérose névroglique se limiterait aux faisceaux latéraux et
postérieurs
, encore moins pourquoi elle respecterait, dans
rieurs, encore moins pourquoi elle respecterait, dans ces faisceaux
postérieurs
, précisément, les fibres endogènes éparses un p
us y reviendrons, en parlant des fibres qui proviennent des racines
postérieures
. Les territoires du cordon postérieur qui corre
qui proviennent des racines postérieures. Les territoires du cordon
postérieur
qui correspondent au trajet de ces fibres radic
n postérieur qui correspondent au trajet de ces fibres radiculaires
postérieures
sont presque toujours et seuls atteints, avons-
t longues. Les fibres courtes pénètrent immédiatement dans la corne
postérieure
. A ce niveau de la substance grise, nous avons
la maladie a été plus longue. Hâtons-nous d'ajouter que les racines
postérieures
, dont la section se voit dans les coupes, nous
ns les coupes, nous ont paru d'autant plus altérées que le cordon
postérieur
était lui-même plus dégénéré. Les lésions de la
ons mal l'anatomie normale et pathologique des cellules de la corne
postérieure
, des cellules de cordon. Il n'est point facile
ation systématisée, combinée et pri- mitive des cordons latéraux et
postérieurs
. La lésion du fais- ceau pyramidal a son maximu
eau pyramidal a son maximum dans la région dorsale, celle du cordon
postérieur
, à la région cervicale. Dans la subs- tance gri
ar Ballet, dans la névrite expérimentale 1. Les lésions des cordons
postérieurs
sont notées dans un grand nombre d'observations
avec des paralytiques généraux que de présenter dans leurs cordons
postérieurs
des lésions analogues. Y. Des lésions spinales
en même temps des tuberculeux, présentaient des lésions des cordons
postérieurs
. Nous l'avons dit au Congrès de Toulouse et nou
is non tuberculeux. Elles sont le plus souvent limitées au cordon
postérieur
, mais on les voit quelquefois s'étendre 'dans le
En effet, puisqu'ils pré- sentent toujours des lésions des cordons
postérieur
et latéral, que l'un est le conducteur de la se
lité, l'une et l'autre pourront être troublées. La lésion du cordon
postérieur
est parfois assez- intense pour ressem- bler à
selon la prédominance de la lésion du cordon latéral ou du cordon
postérieur
. En étudiant les lésions de la moelle, nous somme
ordon antéro-latéral, entourent la corne anté- rieure et, du cordon
postérieur
, les fibres cornu-commissu- rales, les fibres d
res moyennes, les fibres longues, les fibres courtes dans le cordon
postérieur
; le faisceau pyramidal croisé, le faisceau céré
em- ment de même des cellules de cordon, des cellules de la corne
postérieure
. La dure-mère est habituellement nor- male, la
lésion de la cellule pyramidale de l'écorce. Les lésions du cordon
postérieur
s'expliqueraient par une dégé nération ascendan
tion principale autour du canal central. Dégénérescence des racines
postérieures
et des 116 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. co
s postérieures et des 116 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. cordons
postérieurs
de la moelle : 1° La dégénérescence des racines
cordons postérieurs de la moelle : 1° La dégénérescence des racines
postérieures
sur toute la hauteur de la moelle, n'affectant po
oteurs (nerfs crâniens et nerfs spi- naux) du faisceau longitudinal
postérieur
et des courtes fibres des cordons antérieurs et
escence du ruban de Reil, du faisceau de Gowers et même des cordons
postérieurs
(Brissaud) ; le bilan anatomique des paralysies
mmissurales dans l'écorce du cerveau, dans le faisceau longitudinal
postérieur
, et dans les cordons antéro-latéraux de la moel
rise, le neurone sensitif indi- rect siégeant surtout dans la corne
postérieure
; 5° C'est de l'intégrité anatomique de ces troi
ieure du gyrus sigmoïde (en avant du sillon crucial), ou le segment
postérieur
de la même circonvolution (en arrière du sillon
rapport avec l'hémianopsie temporale hétéronyme (angle antérieur ou
postérieur
, ou ligne médiane du chiasma), est loin de cell
ée une sorte de plan horizontal passant par les orbites, et le bord
postérieur
du trou occipital. On bouche les cavités ocu- l
teux. La plus grande épaisseur de ce manchon correspond à la partie
postérieure
de la moelle; les foyers des cellules sarcomate
amas d'éléments sarcomateux formant une petite tache dans le cordon
postérieur
gauche. A côté de cette tache on aperçoit une f
rieure de la cavité centrale), très étroite, paral- lèle à la corne
postérieure
; elle est bordée d'un tissu névroglique très d
lasie névroglique en forme d'un ruban sinueux, parallèle à la corne
postérieure
gauche; dans sa partie centrale le tissu est be
. La néoformation est située presque exclusivement dans la partie
postérieure
de l'espace subdural et ce n'est que du côté gauc
eure; en outre la tumeur a pénétré dans sa sub- stance par la corne
postérieure
en forme d'un large coin détruisant le tissu ne
e présente pas toutefois d'altérations très avancées, les cor- dons
postérieurs
exceptés : outre la dégénération ascendante très
ette lésion a particulièrement atteint la partie centrale du cordon
postérieur
gauche : on y voit une gliose bien développée,
cendante des plus marquées, enfin les parties centrales des cordons
postérieurs
et latéraux ne se teintent pas suffisamment, vu
issu médullaire atteignent une grande intensité, celles des cordons
postérieurs
en particulier. L'attention y est attirée par u
sinueuse, à plusieurs ramifications, prend la direction de la corne
postérieure
sur la moitié de son parcours. Les parois infil
orphe. Pareil aspect présente la plus grande partie de deux cordons
postérieurs
(sans compter les cordons de Goll dégénérés). L
rve sa place physiologique bien éloignée de la fente dans le cordon
postérieur
. Les dimensions de cette fente augmentant rapid
ordons de Goll (dégénérés) se trouvent refoulés adroite, les cornes
postérieures
sont très écartées. La cavité a l'air d'un poly
nce artificiels, localisés exclusivement dans la région des cordons
postérieurs
. La tumeur méningée n'est guère prononcée que s
ur la périphé- rie latérale de la moelle ; dans la zone radiculaire
postérieure
du côté gauche on aperçoit une infiltration dif
sacré (sensibilité conser- vée dans la région du nerf fémoro-cutané
postérieur
; aboli- tion du réflexe rotulien mais persistan
a hauteur de la moelle cervicale sous forme de tâche dans le cordon
postérieur
. Les deux cavités ne sont point revêtues de cel
es sont très grandes. La prédominance de lanéoformation à la partie
postérieure
du cordon médullaire, notée par la plupart des
convolution pariétale supérieure, sur le prolongement de la branche
postérieure
de la scissure du Sylvius, et pour le coeur, sur
t de la ménopause, à l'âge de cinquante-deux ans, toute la moitié
postérieure
de la jambe gauche, l'extrémité des doigts et le
e un intérêt tout particulier : il y avait une sclérose des cordons
postérieurs
de la moelle, avec prédomi- nance au niveau des
iomyélite antérieure CHRONIQUE avec LÉSION concomitante DES racines
postérieures
ET DES cordons DE BURDACH ; par P. SCHUS- TER.
ait des plus nets au niveau du ren- .vilement lombaire. Les racines
postérieures
à ces mêmes hauteurs sont aussi le siège des de
teurs de la moelle et du bulbe ; lésions des racines antérieures et
postérieures
et d'une par- tie des cordons postérieures (Fig
s racines antérieures et postérieures et d'une par- tie des cordons
postérieures
(Figures). C'est un cas qui ne rentre dans aucu
fection systématique combinée des cornes anté- rieures, des racines
postérieures
et des cordons postérieurs. Il se rapproche le
e des cornes anté- rieures, des racines postérieures et des cordons
postérieurs
. Il se rapproche le plus de la poliomyélite ant
e que les cellules d'origine des fibres croisées occupent la partie
postérieure
et inférieure de chaque noyau. Ces fibres se
coupes au niveau d'un grand nombre de cellules situées à la partie
postérieure
de la corne antérieure droite. De la situation et
d'innervation des muscles de la jambe et du pied occupent la partie
postérieure
des cornes antérieures de la moelle et s'étende
épaisse de substance grise. Cette excavation est située à la partie
postérieure
de l'hémisphère cérébral droit. Il y a peu d'hy
étendue de trois centimètres carrés (superficiels ? ). Sur le tiers
postérieur
de la troisième circonvolu- tion frontale, colo
est pas), à la face inférieure de l'hémisphère droit, vers son bord
postérieur
, dans une étendue de trois à quatre centi- mètr
en la moelle épinière. Celle-ci ne con- tient alors que les cordons
postérieurs
et les faisceaux fondamen- taux des cordons ant
nt le canal central, on observe le défaut de développement des arcs
postérieurs
de la colonne vertébrale sur toute son étendue ou
ate : urocystite gangreneuse etpyélo-néphrite. Sclérose des cordons
postérieurs
de la moelle dans toute sou éten- due. Tumeur g
ela moelle) l'épaississement de la pie-mère, l'atrophie des racines
postérieures
, etc. Dans la région cervicale le tableau est com
presque toute la commissure grise et le tiers antérieur des cordons
postérieurs
. Dans les régions dorsale et lombaire, le canal
igne de plus en plus de la périphérie pour se placer dans la partie
postérieure
de la protubé- rance, dans l'angle formé du côt
fibres entrecroisées de l'autre côté. En s'avançant vers l'éminence
postérieure
du corps quadrijumeau, le faisceau rend un bonn
s la région du bout anté- sociétés savantes. 345 rieur du genou
postérieur
de la capsule interne et rentrent dans les segm
derrière la commissure grise, dans la moitié antérieure des cordons
postérieurs
; sa forme et son volume sont variables ; les co
ons postérieurs; sa forme et son volume sont variables ; les cornes
postérieures
sont dans certains endroits comprimées et écart
face du cerveau. Hémisphère gauche. Atrophie légère des deux tiers
postérieurs
de la troisième circonvolution frontale, des deux
adrijumeaux anté- rieurs), le ganglion de l'babenula, la commissure
postérieure
, le noyau irien, la troisième paire, le ganglio
nérescences propagées ET EN particulier DES altérations des cordons
postérieurs
CONSÎ3CU- tives aux lésions EN foyer DE l'encép
isées des voies sensitives hulbo-protubéran- tielles et des cordons
postérieurs
coïncidant avec des lésions en foyer siégeant s
rtie externe n'autorisent guère à interpréter la lésion des cordons
postérieurs
comme secondaire, soit à une affection des gang
condaire, soit à une affection des ganglions spinaux ou des racines
postérieures
, soit à de la polyo- myélite. La nature enfin d
scendre jusque dans la région lombaire, intéresser tous les cordons
postérieurs
ou se limiter à tout ou partie des cordons de B
est de l'écorce, plus le foyer siège en 'arrière, plus les cordons
postérieurs
sont fortement atteints. Ce sont surtout les lé
if, on tient de voir qu'une dégénérescence systématisée des cordons
postérieurs
peut se montrer consécutive- ment à une affecti
XXXVIII. Recherches SUR LE trajet INTR.111ÉDULL.11RE DES racines
postérieures
; par BRIAN et Bonne. Les conclusions des auteu
clusions des auteurs sont les suivantes : 1. La section des racines
postérieures
est suivie dans la moelle d'une double dégénéra
res mêmes des racines et qui d'abord disséminée dans tout le cordon
postérieur
du même côté se cantonne progressivement dans l
endogènes ou commissurales : toutes les fibres directes des racines
postérieures
sont parquées dans le cordon postérieur et la z
bres directes des racines postérieures sont parquées dans le cordon
postérieur
et la zone de Lissauer du même côté. 3. Il n'
Il n'y a pas de voie directe allant des ganglions spinaux (racines
postérieures
) au cervelet. 4. Il n'existe pas de fibres pass
sc. IV, 1897.) - XLIII. SUR un cas de sarcome DE la fosse crânienne
POSTÉRIEURE
DROITE AVEC HYDROCÉPHALIE ET ÉCOULEMENT DU LIQU
nnerve pendant son trajet dans le canal de Fallope ; 2° Le groupe
postérieur
est formé par les cellules d'origine des fibres
ouche limitante de Flechsig, ne contient pas de filtres des racines
postérieures
, mais,-dans son segment postérieur existe le -
ent pas de filtres des racines postérieures, mais,-dans son segment
postérieur
existe le - trousseau médian du cordon latéral
nue), très probablement en rapport avec les cellules des seg- ments
postérieurs
de la substance grise et constituées de fibres
artie antérieure de la couche limitante et l'intégrité de sa partie
postérieure
en con- nexion avec les cellules des cornes pos
e sa partie postérieure en con- nexion avec les cellules des cornes
postérieures
. Cette partie posté- rieure que M. Bruce décrit
èmes commis- suraux du cerveau. -- Elles forment un arc à convexité
postérieure
(forceps antérieur) parce que l'endroit d'extir
e la jambe gauche rétrocédée au bout de quelques jours; les racines
postérieures
auraient le plus souffert, car la paralysie mot
motrice a presque complè- tement disparu; cette lésion des racines
postérieures
est du reste compatible avec la paralysie disso
e ET DE physiologie pathologiques. moteurs. Les fibres radiculaires
postérieures
après leur entrée dans la moelle se divisent en
longues voies qui gagnent la substance grise du bulbe par le cordon
postérieur
jusqu'au noyau de Goll. De là de nouveaux neuro
tripètes. Les fibres du ruban de Reil, issus des noyaux des cordons
postérieurs
vont à ces deux organes. Aux tuber- cules quadr
u cunéiforme. Une partie des fibres du ruban de Reil va à la partie
postérieure
de la couche optique, où elles s'éparpillent en
u en dedans du corps genouillé interne. Les excitations des racines
postérieures
arlivent donc bien à la couche optique et aux t
ternes de la formation rétiforme, en avant du faisceau longitudinal
postérieur
, et passent avec les fibres de ce dernier dans
ystème de fibres forme partie constituante du faisceau longitudinal
postérieur
et atteint ainsi les cordons antérieurs. Il env
rescence des fibres du faisceau pyramidal, du faisceau longitudinal
postérieur
et du système de fibres de i'entre-croisement f
elle ne se développent pas simultanément ; les libres des cor- dons
postérieurs
et du faisceau de Loewenthat dégénèrent les pre-
res myetogènes. Les trous- seaux de fibres descendantes des cordons
postérieurs
, décrits- par les auteurs sous dinérents noms,
ouille, le chien, le singe m'ont démontré que la section desiacines
postérieures
laisse après elle de l'ataxie. Toute différente q
xtrémité antérieure ou posté- rieure, suivant le nombre des racines
postérieures
sectionnées, elle doit son origine iL la même c
bilité dans la première que dans la seconde. La section des racines
postérieures
correspondant à l'ex- trémité paralysée se trad
1° la région tactile, aboutissant des fibres émanées des racines
postérieures
, qui comprend le pourtour du sillon de Rolando, l
l'ergot de Morand, une partie du coin, du lobule lingual et du pôle
postérieur
du lobe occipital ; 4° la région auditive : c'e
ou conducteurs sensitivo-moteurs. Tels : le centre d'associa- tion
postérieur
, sis entre la région tactile, la région auditive,
s mots s'unissent avec les conceptions dans le centre d'association
postérieure
; cette union est indispensable pour que se for
sensorielles de l'écorce se réunissent dans le centre d'association
postérieur
. Aussi l'acte psychique de la parole comprend-i
upérieur spécial à la notion du mot, dans le cent ! e d'association
postérieur
, comprenant toute la région du lobule pariétal
uble de la mémoire d'association des centres d'association moyen ou
postérieur
: aphasie d'association. Dans chaque genre le t
514 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES Du centre
postérieur
. - 1° Organique. - a) Aphasie d'asso- ciation s
, par llally, 245. Hydrocéphalie. Sarcome de la fosse crânienne
postérieure
avec-, par Campo, 493. Hypnose. Physiologie d
midal. Variations du trajet du faisceau , par Hoche, 504. Racines
postérieures
. Trajet intra- médullaire des -, par Brian et
n aperçoit de champ quelques produc- tions ostéophytiques à la face
postérieure
de l'épiphyse distale. Le mêmes lésions se retr
est plu- tôt approfondi. 1 Les apophyses clinoïdes antérieures et
postérieures
sont recourbées avec une certaine tendance à s'
les, et certaines fois on peut constater des érosions dans la paroi
postérieure
du dorsum sellae, cette constata lion correspondr
bable que le rapprochement des apophyses clinoïdes anté- rieures et
postérieures
est dû à la compression de la tumeur de la tige
tte thermo-réaction serait donc caractéristique des tumeurs du lobe
postérieur
ou de la tige pituitaire ; en réalité dans le s
xamens hislologiques, consacrés à la voie pyramidale et aux cordons
postérieurs
ne dépassent pas les limites de la moelle et ne
oitié droite de la moelle, la substance grise (cornes antérieure et
postérieure
) et la substance blanche. Son développement max
e. La moi- tié gauche est déformée, en partie comprimée ; le cordon
postérieur
, dans (1) On trouve dans Schauer, Hoche, Quense
occupe la substance grise intermédiaire aux cornes anté- rieure et
postérieure
(PI. XV fig. C). Au total, et l'élude des dégén
ion diffuse (fig. 1) qui atteint jus- qu'aux racines antérieures et
postérieures
; l'asymétrie des dégénérescen- ces ans les de
et, disséminées autour de la corne antérieure ; 2) dans les cordons
postérieurs
: a; une bande placée dans le cordon de Burdach
érieure et profonde a un plus long trajet que les segments moyen et
postérieur
: b) le long du sil- lon médian postérieur, un
ue les segments moyen et postérieur : b) le long du sil- lon médian
postérieur
, un champ ovale, visible jusque dans la moelle
nécrose). Au départ (fig. 7) elles occupent : 10 dans les cordons
postérieurs
, les zones moyennes et externes des faisceaux d
ne ; 2° le cordon antéro-lalérral droit, à l'exception de la partie
postérieure
du cordon latéral et de la zone marginale du co
s (fig.7) atteint par un déplacement progressif la tête de la corne
postérieure
, si bien que sur la figure 10 (segment Ci) cett
Ci, la zone du faisceau de Gowers, sont transférées dans la partie
postérieure
du faisceau céré- belleux direct, passant ainsi
ande nécrosée, car l'arrivée de ces fibres au milieu des fascicules
postérieurs
du faisceau cérébelleux direct n'est pas masquée
du plus grand nombre d'éléments dégénérés; les fibres margi- nales
postérieures
d'abord distantes de la corne postérieure (fig. 7
les fibres margi- nales postérieures d'abord distantes de la corne
postérieure
(fig. 7) arri- vent en contact avec elle (fig.
s dégéérées qui s'arrêtent dans le bulbe y arrivent par les cordons
postérieurs
, par la voie pyrami- dale et par les cordons la
es cordons latéraux. a) Terminaison bulbaire des fibres des cordons
postérieurs
(fi. 11-13). Elle se fait suivant les lois qui
ie inférieure du bulbe, cheminent isolément à la surface des cornes
postérieures
et de la racine descendante du trijumeau. Hoche e
n semblable et la con- sidèrent comme un passage direct des cordons
postérieurs
aux voies cé- 1 . DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES
upes, que ces fascicules se détachent très bas, non pas des cordons
postérieurs
, mais des cordons latéraux, et qu'ils se diri-
Nous n'avons pas non plus trouvé de connexions direcles des cordons
postérieurs
avec les voies cérébelleuses par des fibres arcif
e est formé par un semis abondant de grains noirs étalé sur la face
postérieure
des olivesbulbaires. En suivant les coupes de b
CALE 71 la capsule de l'olive, en entourant le noyau juxta-olivaire
postérieur
; un certain nombre d'entre elles pénètrent dan
sur une grande hauteur, esl d'a- bord visible en avant de la corne
postérieure
(fig. 12) puis devant le noyau sensitif du trij
ise (S Rg),dont il ne dépasse pas la zone moyenne. - 3° Un groupe
postérieur
se détache de la masse des fibres qui passent p
groupe de fibres et celle des fibres les plus extrêmes des cordons
postérieurs
. On peut cependant considérer comme certain que
ans la moitié gauche du bulbe ; ici la dégénérescence des cor- dons
postérieurs
se termine sans connexions avec le corps restifor
u mémoire de Hoche (PI. IX, fig. 5), mais pour lui, les deux bandes
postérieures
,qui passent en avant et en arrière de la racine d
représentent une connexion directe, profonde, reliant t les cordons
postérieurs
au corps restiforme, au cervelet, complétant cell
eur avis, les 'fascicules posté- rieurs ne viennent pas des cordons
postérieurs
de la moelle; ils se détachent de la voie du co
no-vesti- bulaire, distinct du plexus dorsal et contournant la face
postérieure
du corps restiforme et la branche descendante d
ale de la formation réticulée, avec l'olive et son noyau accessoire
postérieur
, les plus internes allant jusqu'au bile de l'ol
s haut et qui vont jusqu'à la région sous-optique. Les deux groupes
postérieurs
répondent exactement à la description topograph
de Helweg ; il n'existe d'ailleurs par sur nos coupes. 74 LONG
postérieurs
. C'est donc bien dé la voie latérale (faisceau la
rsal aboutit à la substance grise, au-dessus des noyaux des cordons
postérieurs
; ses terminaisons précises ne nous sont pas ap
cussation médiane, arrivent ainsi au bile du tubercule quadrijumeau
postérieur
(fig. 20), et un certain nombre d'entre elles y
ajet de la partie la plus extrême du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
(fin. 21)."D"n le retrouve encore dans la régio
ie latérale de la formation réticulée. 3° Fibres allant à la partie
postérieure
de la formation réticulée et pro- bablement aux
i a des points de contact avec la terminaison delà voie des cordons
postérieurs
, celle-ci étant surtout médiane et postérieure,
elà voie des cordons postérieurs, celle-ci étant surtout médiane et
postérieure
, tandis que celle des cordons latéraux aborde le
cule quadrijumeau antérieur. - BrQp, bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. Ca, cordon antérieur. CB, cordon de Burdach. C
nouillés externe et interne. - Cj, corps juxtarestiforme. CP. corne
postérieure
. Cp, cordon postérieur. Crst, corps restiforme.
rne. - Cj, corps juxtarestiforme. CP. corne postérieure. Cp, cordon
postérieur
. Crst, corps restiforme. Fcc, faisceau central
l de la calotte. FG, faisceau de Gowers. Ftp, faisceau longitudinal
postérieur
. Fil, faisceau latéral du bulbe. - IX, IXd, glo
cus niger. NB, noyau du cordon de Burdach. Ncp, noyau des cor- dons
postérieurs
. Ncrst, noyaux du corps restiforme. NFt, noyau du
au. NVII, noyau du facial. NVlll, noyau de l'acoustique. NXp, noyau
postérieur
du pneumogastrique. NXII, noyau de l'hypoglosse.
voie pyra- midale. - Qa, Qp, tubercules quadrijumeaux antérieur et
postérieur
. RI, ruban de Reil latéral. Rm, ruban de Reil m
e. A travers cette membrane, elle comprime le ganglion de la racine
postérieure
correspondante. La racine antérieure sur le t
ée depuis sa sortie de la moelle jusqu'à la néoformation. La racine
postérieure
correspondante est de même très notablement dimin
UVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVII. PI. XXII I Vue
postérieure
II Vue antérieure PARAPLÉGIE TYPE BABINSKI
aux pyramidaux direct et croisé ont un aspect normal. Les cordons
postérieurs
présentent des altérations légères ; les cordons
te augmentation de la névroglie peut s'observer au niveau du cordon
postérieur
de l'adulte indépendamment de tout état patholo
elle qui est directement située de part et d'autre du sillon médian
postérieur
est à peu près intacte. Au niveau des cordons
sque normaux, on note seulement le long du bord interne de la corne
postérieure
droite quelque raré- faction des fibres ; à gau
ou à peu près. La zone rétro-commissurale est altérée. La racine
postérieure
gauche (directement comprimée) ne présente plus
tit nombre de fibres intactes, sur les coupes au Weigert. La racine
postérieure
droite est presque absolument normale. Les corn
~racines antérieures (de la gauche surtout) font défaut. Les cornes
postérieures
ne présentent pas d'altération marquée, à part
fait compa- rables à celles que nous venons de décrire. La racine
postérieure
gauche est presque complètement dégénérée ; la ra
t dégénérée ; la racine droite l'est très légèrement. Les cordons
postérieurs
présentent à peu près les mêmes altérations que
la COMPRESSION (pal. XXIV). 4° dorsale. Les altérations des cordons
postérieurs
, les seules qui soient notables sur ce segment,
bres; celles qui subsistent sont légèrement altérées. Les racines
postérieures
semblent normales. La corne antérieure et le cor-
u'on en compte 5 ou 6 à droite ; un ou deux fais- ceaux des racines
postérieures
présentent une diminution marquée du nombre de
at normal qu'ils avaient aux éta- ges supérieurs ; mais les cordons
postérieurs
, dont nous venons de noter les altérations semb
aient en D3 et D'' par exemple, seules normales au sein des cordons
postérieurs
, sont maintenant les moins foncées. ' L'exame
isposés sans ordre dans les deux tiers internes surtout des cordons
postérieurs
se rencontrent exceptionnellement ailleurs ; « c'
amp; Ge, Editeurs. - PARAPLÉGIE TYPE BABINSKI 87 Dans les racines
postérieures
il existe au sein des fibres de volume et de di
ents (PI. XXV) on re- trouve les mêmes tourbillons dans les cordons
postérieurs
; la corne anté- rieure et la colonne de Clarke
segments dorsaux ; quelques faisceaux d'un petit nombre de racines
postérieures
(droites et gauches) présentent une diminution
minime éclaircissement de la zone d'entrée des fibres de la racine
postérieure
gauche. La corne antérieure gauche est nettemen
s' et croisés (1). 4° La dégénération ascendante légère des cordons
postérieurs
portant presque exclusivement sur fibres endogè
istence des tourbillons probablement névromaleux dans les cor- dons
postérieurs
au-dessous de D3. (1) Avant de présenter à la S
type tabéti- que que présentait la malade ; les lésions des cordons
postérieurs
ont été déjà plusieurs fois notées dans des obs
rniers orteils sont petits et normalement conformés. De l'exlrémité
postérieure
du calcaneum à celle du gros orteil, on trouve
atrophie musculaire d'origine arthritique. Les muscles de la région
postérieure
de l'avant-bras de la figure 29 sont atrophiés
côté droit : une arthrite tarsienne avec hypertrophie de la partie
postérieure
du premier métatarsien ; on voit aussi la raréfac
t-être plus sur la région antérieure et péronière que sur la région
postérieure
. Fait très singulier, la cuisse n'est atrophiée
es dont un certain nombre de cellules sont altérées, et les cordons
postérieurs
où elles rappellent les firure ? du labes incip
noyau rouge « occupent probablement la partie supérieure du segment
postérieur
de la couronne rayonnante et la région thalamique
ers inférieurs de la circonvolution pariétale ascendante, la partie
postérieure
des première et deuxième circonvolutions tempor
mporales, les circonvolutions rétro-insulaires et la circonvolution
postérieure
de l'insula. Celte plaque jaune a atteint l'épe
endyme ventriculaire et sectionné les couches sagittales du segment
postérieur
de la couronne rayonnante et la partie adjacente
tie inférieure de la circonvolution pariétale inférieure, la partie
postérieure
de la première circonvolution temporale, l'oper
circonvolution temporale, l'opercule pariétal et la circonvolution
postérieure
de l'insula. La plaque jaune a sectionné les co
operculo-centrale, la dégénérescence secondaire traverse le segment
postérieur
ou lenticulo- optique de la capsule interne, po
ro-exlerne et qu'elle s'épuise au niveau des zones sous-capsulaires
postérieure
et postéro-médianë. Nous pouvons affirmer que cet
ne lésail que faiblement le lobe temporal ou seulement l'extrémité
postérieure
de celui ci, la dégé- nérescence du noyau rouge
bservations com- prend dix cas de ramollissement étendu des régions
postérieures
de l'hé= misphëre ; d'une façon générale, ce so
férieure de la scissure calcarine. La lé- sion respecte l'extrémité
postérieure
et médiane du lobule lingual, mais elle atteint
est en grande partie res- pectée. Sur une coupe passant par le bord
postérieur
du pulvinar, l'hippocampe est excavé dans la to
ésion fusiforme ne disparaît que sur les coupes intéressant le pôle
postérieur
du noyau rouge, Il Schéma 1'\° I. Hémisphère ga
au de l'extrémité antérieure du corps genouillé externe et du tiers
postérieur
du noyau rouge. On remarque à l'angle supéro-exte
nterne du lobe temporo-occi- pital gauche. Le foyer s'étend du pôle
postérieur
de l'hémisphère jusqu'au niveau d'un plan verti
au niveau d'un plan vertical passant immédiatement en avant du bord
postérieur
du pulvinar, et détruit la partie supérieure de
ule fusiforme, la ma- jeure partie du lobule lingual et l'extrémité
postérieure
de la circonvolution de l'hippocampe. Au niveau
roi ventriculaire interne et atteint la moitié inférieure du pilier
postérieur
du trigone et la partie inférieure du splénium du
urs .' A ? LES CONNEXIONS COHTICAEBJJ ? ftfROUGE 205 dont l'un,
postérieur
, passe immédiatement en arrière du corps genouill
asse par les corps genouillés externe et interne et par l'extrémité
postérieure
du noyau rouge. Le ramollissement . ancien du l
rès complète du trigone résulte de l'atteinte directe de son pilier
postérieur
au niveau du carrefour venlriculaire. Sur une c
totalité des lobules lingual et fusiforme ainsi que les deux tiers
postérieurs
de l'hippocampe. Il n'existe aucune autre lésio
e sur les coupes intéressant le corps genouillé externe et le tiers
postérieur
du noyau rouge (F'I. XXXVI). La première coupe
lution de l'hippocampe; elle passe un peu en avant de l'extré- mité
postérieure
du noyau rouge. La lésion a déterminé la soudure
atéral de la couche optique. Sur les coupes passant par l'extrémité
postérieure
de ce ganglion, on constate que la lésion tempo
) traverse le noyau rouge près de la jonction de ses tiers moyen et
postérieur
. On observe encore une certaine raréfaction de
hie secondaire. Sur une coupe (PI. XXXVI-F) passant par l'extrémité
postérieure
du corps de Luys et par la partie antérieure du
ésion intéresse le précunéus, le lobule paracentral, les deux tiers
postérieurs
de la première circonvolution frontale et la ma
noyau rouge n'intéresse que ses deux tiers an- térieurs ; le tiers
postérieur
présente un aspect relativement normal. Li prem
mpe ; elle traverse le noyau rouge près de la jonction de ses tiers
postérieur
et moyeu. De par son siège au niveau de la région
le de la circonvo- lution pariétale ascendante, on voit l'extrémité
postérieure
du foyer de ramol- lissement. Cette lésion a dé
une dégé- nérescence bien localisée du tiers inférieur de son bras
postérieur
. On note également une légère dégénérescence du
llaire externe. La seconde coupe (Pl. XXXVIII-K) passe par le tiers
postérieur
du noyau rouge et par les corps genouillés exte
nvolution temporale, ainsi que la substance profonde des deux tiers
postérieurs
de la deuxième cir- convolution temporale. En a
coupe (Fig. S) passe par le corps genouillé externe et par le tiers
postérieur
du noyau rouge. A cet endroit, le ramollissement
insi que le segment sous-lénticulaire et le tiers inférieur du bras
postérieur
de la capsule interne. La dégénérescence de ce
- Sur les coupes passant plus en arrière, c'est-à-dire par le pôle
postérieur
du noyau rouge, la dégénérescence secondaire de
e du noyau rouge mais elle est surtout accentuée au niveau du tiers
postérieur
; elle atteint tout particulièrement, ainsi que n
t la partie antéro-supérieure du 220 LA SALLE ARCHAMBAULT segment
postérieur
de la capsule interne. La dégénérescence s'étend
deux tiers antérieurs el res- pecte à peu près totalement son tiers
postérieur
. La dégénérescence atteint t ce noyau en passan
ent une forte dégénérescence secondaire, laquelle aborde le segment
postérieur
ou len- ticulo-thalamiquede la capsule interne
e et du noyau latéral, et retentissent également sur les deux tiers
postérieurs
du noyau rouge. Dans ces cas, la dégéné- rescen
ur s'irradier ensuite à l'intérieur de ce noyau. Au niveau du tiers
postérieur
du noyau rouge, la dégénérescence secondaire inté
interne du lobe lemporo-occipital retentis- sent sur les deux tiers
postérieurs
du noyau rouge, mais surtout sur le tiers posté
es deux tiers postérieurs du noyau rouge, mais surtout sur le tiers
postérieur
de ce noyau. Au niveau du tiers postérieur, la dé
ais surtout sur le tiers postérieur de ce noyau. Au niveau du tiers
postérieur
, la dégéné- rescence porte sur capsule dorsale
ions de la région operculo-cenlrale retentissent sur les deux tiers
postérieurs
du noyau rouge, mais surtout sur le tiers moyen d
ge, mais surtout sur le tiers moyen de ce noyau. Au niveau du tiers
postérieur
du noyau rouge, la dégénérescence porte sur la
age du noyau lenticulaire, au niveau du bord externe de la moi- tié
postérieure
de la couche optique (Charroi et Raymond), ou mêm
et par le champ de Wernicke. Elles s'épuisent au niveau du segment
postérieur
du noyau rouge et affectent des rapports surtou
dépens du sinus sphénoïdal. Les apophyses clinoïdes antérieures et
postérieures
ont dis- paru. Le dos de la selle turcique est
es altérations hypophysaires, comme l'indice d'un hyperpituitarisme
postérieur
. Noire malade, avec ses déformations osseuses d
centués, qui i (l priol'i semhlenL relever d'une déficience du lobe
postérieur
. Faut-il, des lors, parler de dyshypophysle posté
ence du lobe postérieur. Faut-il, des lors, parler de dyshypophysle
postérieure
et non d'hyperfonctionnement pur et simple ? Av
et la tendance à l'obésité, loin de relever d'un hyperpituitarisme
postérieur
, sont au contraire immédiatement condition-, né
ndition-, nés par le diabète, lui-même fonction d'hyperpituitarisme
postérieur
. Ajoutons d'ailleurs que le syndrome diabétique
ures de Livon 'et de Curling On sait que, pour ces auteurs, le lobe
postérieur
de l'hypophyse verserait sa sécrétion non dans
nalo- gues à celles produites par les injections d'extraits de lobe
postérieur
» (Mouriquand) (1). Nous avons, par une autre
nt confirmer l'opinion de Cushing qui incrimine l'hyperpituitarisme
postérieur
à l'origine de la glycosurie dite hypophy- sair
selle. Un petit groupe.de deux ou trois vésicules siège sur la face
postérieure
de la moitié supérieure du bras. L'éruption occ
us. 3° Au niveau de l'avant bras, elle siège avant tout sur la face
postérieure
, occupant dans le tiers supérieur la partie ext
a partie externe, et dans les deux tiers infé- rieurs toute la face
postérieure
. 4° Au niveau du poignet, l'éruption occupe tou
stérieure. 4° Au niveau du poignet, l'éruption occupe toute la face
postérieure
. Elle empiète sur la face antérieure, prenant l
'analgésie véritable mais une zone d'hypoalgésie occupant : la face
postérieure
du bras et de l'avant-bras, la face antérieure de
t tout le territoire cutané des quatre dernières racines cervicales
postérieures
et de la première dorsale, avec atteinte relati
ces pointillées de VIle et VIIIe. Coupe VIII (intéressant la partie
postérieure
du noyau rouge). Nous remarquons l'intégrité de
pédoncules cérébelleux supérieurs et les faisceaux longitudi- naux
postérieurs
ont dans les coupes d'après Weigert-Pal l'aspect
s l'avaht-mur et dans les étages dorsaux du corps strié. Les coupes
postérieures
reprennent l'aspect ordinaire. Dans le cervel
e atrophie très accentuée et surtout marquée au niveau Je la région
postérieure
; encore faut-il remarquer qu'une adipose sous-c
gueur. L'avant-bras est très atrophié, surtout au niveau de sa loge
postérieure
, la pronation est facile, la supination possible,
s dans sa force. L'avant-bras est très atrophié surtout sur sa face
postérieure
. La supination, la pronation sont impossibles.
essortir, déjà ;'1 zip nu, la dégénérescence ascendante des cordons
postérieurs
dans les parties situées au-dessus du néo- plas
, tissu de remplissage consécutif à l'atrophie supposée des racines
postérieures
, laquelle pouvait s'expliquer par la répercussi
Burdach c, réalisant ainsi le syndrome de Brown Sequard. d, racine
postérieure
. l Fie. 2. - Troisième période. Coupe schématiq
ffet une injection de 2 centimètres cubes à 5 0/0 d'extrait de lobe
postérieur
. On a décrit, à côté des formes pour ainsi dire
e qui y inlerv ient. Ainsi Fischer, Peude, Pari incriminent le lobe
postérieur
; Goelhsch ef..Tacoh- sohn et dernièrement Cush
h ef..Tacoh- sohn et dernièrement Cushing incriminent aussi le lobe
postérieur
. Crowe etHomans, Schüller attribuent l'adiposit
lle ont démontré la polyurie qui apparaît après l'injection du lobe
postérieur
. Crowe, Cushing et Romans, Lewis et Mathews ont
re avec obésilé et persistance des menstrues. Dans leur cas le lobe
postérieur
était le plus altéré de la glande. On peut dire e
rement importants : l'un occupe la bandelette externe des cordons
postérieurs
(cordon de Burdach), sert à la conduite des imp
anté- rieures de la moelle; il dégénère parfois, comme le système
postérieur
, et sa lésion n'est autre que la sclérose latér
ernes des FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE L1 MOELLE. si 5 cordons
postérieurs
et sclérose latérale amyotrophique, telles sont
malades, le développement simultané de la sclérose sur les cordons
postérieurs
et sur les cordons latéraux. La lésion du cordo
il existe de chaque côté un faisceau grisâtre comprenant la moitié
postérieure
des cordons latéraux. Sur la partie moyenne, en
dorsale, on ne voit plus à l'oeil nu que l'altération de la moitié
postérieure
des cordons latéraux ; 3° il en est de mème sur u
grés d'intensité divers, suivant les régions, à la fois les cordons
postérieurs
et les cordons la- téraux, où nous allons succe
la- téraux, où nous allons successivement les étudier. a) Cordons
postérieurs
. - Ils sont indemnes dans la plus grande partie
plus accusée. Elle intéresse en effet toute l'épaisseur des cordons
postérieurs
. Plus baut(PL. II, fig. 11 et 12) les bandelett
ieure de la moelle, comme nous l'avons fait pour celles des cordons
postérieurs
. La disposition des figures sur les planches ex
par sa base à la pie-mère. Ce triangle scléreux confine à la corne
postérieure
sur la fig. 1 qui représente une coupe du cône
u pyramidal croisé). En dedans, elle est limitée par la corne grise
postérieure
; en avant, elle s'étend jusqu'à la base de la c
ieure de la région cervicale), la partie la plus reculée des cornes
postérieures
était comprise dans le foyer d'inflammation chr
te la hauteur de la moelle, intéressant simultanément les cordons
postérieurs
et les cordons latéraux. Cette sclérose est surto
orme une sorte de bande trans- versale qui recouvre tout le segment
postérieur
de la moelle (cordons latéraux, cornes et cordo
egment postérieur de la moelle (cordons latéraux, cornes et cordons
postérieurs
); au-dessus elle se localise aux cordons de Gol
se, en général, dans la partie sclérosée qui correspond aux cordons
postérieurs
que dans celle qui correspond aux cordons latér
ont en plus grande abondance dans les cordons latéraux que dans les
postérieurs
. f) Ce qui frappe tout d'abord lorsqu'on examin
nales (PL. III, (tg, 15, fig. 16 B.) Il) Les racines antérieures et
postérieures
sont normales. Ce- pendant, là où la corne post
érieures et postérieures sont normales. Ce- pendant, là où la corne
postérieure
est envahie par la sclérose, on constate une in
t dans la plus grande partie de la moelle, le système des cordons
postérieurs
et celui des cordons latéraux. Mais en y regard
ésions scléreuses intéressant à la fois les cordons latéraux et les
postérieurs
. Mais revenons à notre cas. L'étude attentive d
endant, à la région cervicale supé- rieure, la sclérose des cordons
postérieurs
est assez nettement limitée aux faisceaux de Go
MOELLE. 59 de la voir coïncider ici avec des lésions des cordons
postérieurs
, qui nous paraissent cependant s'être déve- lop
nt il s'agit, ont été relatés par Prévost (sclérose des cor- dons
postérieurs
, compliquée d'une sclérose symé- trique des cor
Babesiu (dégénérescence combinée primitive des cordons latéraux et
postérieurs
) et quelques autres. 60 PATHOLOGIE NERVEUSE.
ons géné- ratrices du tabes, les bandelettes externes des cordons
postérieurs
se prennent, voilà la lésion systématique. Mais
t des corps genouillés interne et externe. Sclérose des cor- dons
postérieurs
présentant son maximum d'intensité 1 Prévost. A
mum d'intensité 1 Prévost. Ataxie locomotrice. Sclérose des cordons
postérieurs
, com- pliquée d'une sclérose symétrique des cor
s'accompagnant à ce niveau d'une atrophie des racines rachidiennes
postérieures
. Cette sclérose postérieure va de là en diminua
'une atrophie des racines rachidiennes postérieures. Cette sclérose
postérieure
va de là en diminuant, soit en haut du côté de
e résulte pas d'une simple propagation par voisinage de la sclérose
postérieure
, car, M. Prévost le fait remarquer, il existe d
existe dans presque toute la hauteur de la moelle, entre la corne
postérieure
et la zone scléreuse des cordons latéraux, un e
ndons aussi si l'Observation III du 1 Haymond. Sclérose des cordons
postérieurs
et des cordons latéraux, coexistant chez le mêm
et lombaire. Quant aux lésions qui occupent les cordons latéraux et
postérieurs
, leur maxi- mum est situé entre la troisième do
sale supérieure et cervicale inférieure que la sclérose des cordons
postérieurs
et latéraux était le plus accusée. A ce niveau
ieure et lombaire, à la hauteur desquelles l'altération des cordons
postérieurs
s'atté- nue et n'est plus représentée que par q
es scléroses systématiques intéressant, d'une part, les cor- dons
postérieurs
; d'autre part, le faisceau pyramidal. Parmi le
scopiques d'une moelle atteinte de lésion scléreuse des cor- dons
postérieurs
et latéraux. Sur ces derniers, l'alté- ration,
1882). En résumé, parmi les cas de sclérose combinée des cordons
postérieurs
et latéraux qui figurent dans la littérature mé
la plupart des cas de tabes. Qu'il y ait des scléroses des cordons
postérieurs
, développées pri- mitivement autour des artério
e bien avérée, la ma- ladie n'a jamais limité ses dégâts au système
postérieur
, que toujours, au contraire, les lésions ont en
d'autres sièges ? Pourquoi vouloir qu'elle fasse, dans les cordons
postérieurs
médullaires, autre chose que ce qu'elle a coutu
ons cliniques. SJnahtomalologie des lé- sions combinées des cordons
postérieurs
et latéraux. - Après avoir étudié les scléroses
d'une sclérose des cordons latéraux à une sclérose des faisceaux
postérieurs
. On sait que les symptômes d'une lésion spinale
a lésion, non de sa nature. Peu importe que les cordons latéraux et
postérieurs
soient touchés par tel ou tel processus, que le
e, dans les cas de sclérose intéressant simultanément les faisceaux
postérieurs
et les latéraux, on se trou- vera en face de sy
emiers et de celle des seconds. Or, les lésions isolées des cordons
postérieurs
se traduisent par les douleurs (fulgurantes ou
te qu'il y a incompatibilité entre certains symptômes des scléroses
postérieures
et cer- tains autres qui relèvent de la scléros
LÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 81 saut simultanément les cordons
postérieurs
et laté- raux, quelles sont les manifestations
e des symptômes de la sclé- rose des cordons latéraux, bien que les
postérieurs
fussent lésés. Ainsi on voit que dans ces tro
maintenu ses droits en dépit de la lésion coïnci- dente des cordons
postérieurs
, et a pu faire prédominer sa symptomatologie su
éroses combinées, intéressant simultanément les cordons latéraux et
postérieurs
, dans lesquels, la FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE
rappeler les nombreux cas de sclérose systématique des faisceaux
postérieurs
avec propagation du pro- cessus aux parties avo
e, dans l'espèce, la prédomi- nance d'action est restée à la lésion
postérieure
. Relevons tout d'abord dans les détails fournis
sie, elle serait surtout sous la dépendance de la lésion des cornes
postérieures
de la substance grise. Or, comme ces cornes n'é
symtômes de la sclérose latérale et certains de ceux de la sclérose
postérieure
, nous paraît se résou- dre de la façon que voic
que voici : l'avantage est à la lésion prédominante. Si la sclérose
postérieure
occupe toute la hauteur de la moelle, l'aboliti
ntraire, cette sclérose laisse intacte une bonne partie des cordons
postérieurs
, la sclérose latérale reconquiert tous ses droi
squ'il existe, dit cet auteur, une affection com- binée des cordons
postérieurs
et latéraux, il ne sur- vient ni rigidité muscu
ni rigidité musculaire ni contracture, si l'affec- tion des cordons
postérieurs
s'étend jusqu'au renfle- ment lombaire et si le
. l ? Coupe verticale de la région dorsale passant par le seg- ment
postérieur
de la moelle. a, Sclérose des cordons postérieu
par le seg- ment postérieur de la moelle. a, Sclérose des cordons
postérieurs
. G, Sclérose du cordon latéral. c, Corne post
ns qu'un sillon assez superficiel d'ailleurs le sépare de la partie
postérieure
de ces deux circonvolutions. Il n'y a pas de si
t la partie antérieure de la boucle est moitié moins épaisse que la
postérieure
. Le lobe quadrilatère, moitié moinslarge que lo
onus musculaire endommagé, de par la lésion des fibres radiculaires
postérieures
. La phase latente du réflexe du ten- don d'Achi
st-à-dire des cinq noyaux ou tubercules (antérieur, moyen, externe,
postérieur
et couche grillée) de la couche optique, ainsi
PHYSIOLOGIE. régions de l'écorce sont en continuité avec le segment
postérieur
de la capsule interne. - Celle qui préside au t
ée au sort pour la composition écrite était la suivante : Cor- dons
postérieurs
de la moelle (anatomie et physiologie). - Les d
mité inférieure de la frontale ascendante, au niveau de l'extrémité
postérieure
de la troisième circonvolu- tion frontale, déte
aître que, pour produire le symptôme, il faut une lésion du tiers
postérieur
de la troisième circonvolution frontale gauche.
nférieure de la circonvolution frontale ascendante et l'extrémité
postérieure
de la troisième frontale. A gauche, il y avait
occupant les mêmes points, et un autre plus petit situé à la partie
postérieure
de la deuxième cir- convolution frontale. En ou
t l'extrémité inférieure de la frontale ascen- dante et l'extrémité
postérieure
des frontales moyenne et inférieure. Les quat
nférieure de la circonvolution fron- tale ascendante et l'extrémité
postérieure
de la troi- sième frontale. L'observation de
à l'extrémité inférieure de la frontale ascendante et à l'extrémité
postérieure
des frontales moyenne et inférieure. Le centre
ns. - Emphysème du lobe supérieur. Un peu de con- gestion des bords
postérieurs
. Observation II (recueillie par M'. Oulmont). -
tiples pratiquées dans la substance cérébrale amènent à l'extrémité
postérieure
des deux noyaux extra- ventriculaires des corps
ce profonde d'une des circonvolutions les plus reculées de la corne
postérieure
. Enfin, il existe un autre petit foyer, plus an
à extrémité inférieure de la frontale ascendante et à l'extrémité
postérieure
des frontales moyenne et inférieure. Observatio
un peu aplati. Le corps strié droit est déprimé dans ses deux tiers
postérieurs
; sa coloration estjaunàtre; mais, au sein du t
de Sylvius et comprend la partie postéro-supérieure des trois plis
postérieurs
de l'insula. Destruction delà première circonvo
l'extrémité inférieure de la fron- tale ascendante et à l'extrémité
postérieure
des fron- tales-moyenne et inférieure. Nous rap
é dans le deuxième cas de « foyers ocreux symétriques à l'extrémité
postérieure
des deux noyaux extra-ventriculaires du corps s
d'ailleurs, révélé chez elle l'existence de la sclérose des cordons
postérieurs
. Or, cette malade présentait, entre autres symp
s mentionnée. C'est qu'en effet l'atrophie s'est montrée une époque
postérieure
à celle ou les détails communiqués à M. Blum pa
s de Harless Cyon, dit-il, démontrent que si l'on coupe les racines
postérieures
, les muscles innervés par la racine antérieure
ssent la limitation de la dégénéres- t- cence scléreuse aux cordons
postérieurs
chez des indi- vidus qui, durant leur vie, avai
il y avait une dégénérescence scléreuse très étendue des cordons
postérieurs
, avec épaississement très pro- noncé de l'arach
e bande, ne s'étendant pas beaucoup au delà des limites des cordons
postérieurs
; l'arachnoïde s'amincit rapidement sur les part
t dépassé les limites du système sensitif, je veux dire des cordons
postérieurs
. Eh bien ! si les paralysies qui se produisent
ure fantaisie et en suivant des voies ar- bitraires que la sclérose
postérieure
se diffuse. Elle chemine, dans sa marche progre
la sclérose dans les parties qui, au bulbe, représentent le système
postérieur
de la moelle. C'est qu'en effet les noyaux du b
identique à celui que forment dans la moelle les zones radiculaires
postérieures
et les cornes antérieures. Or, il est très vrai
e à la- moelle une alté- ration antécédente de la zone radiculaire,
postérieure
ou de son analogue (racine du trijumeau). Nous
nature, soient bien celles de la sclérose systématique des cordons
postérieurs
. Ces lésions semblent en effet être plus diffus
due aux, com- plications bulbaires qui surviennent quand la région
postérieure
ou ganglionnaire est intéressée ; peut-être doi
e noyau caudé et le noyau lenticulaire du corps strié et le segment
postérieur
compris entre le noyau lenticulaire et la couch
e subdiviser ces deux segments de la façon suivante : i° Le tiers
postérieur
du segment postérieur contient le faisceau dest
segments de la façon suivante : i° Le tiers postérieur du segment
postérieur
contient le faisceau destiné à la transmission
impressions sensibles; ' 2° Les deux tiers antérieurs'idu segment
postérieur
contiennent le faisceau destiné à l'innervation
laire a été divisée en quatre faisceaux qui sont : 1° Un faisceau
postérieur
faisant suite au faisceau sensitif; ' 2° Un f
posé de plusieurs petites lacunes occupant les faisceaux les plus
postérieurs
delà pyramide motrice, sans empiéter sur les fi
rs de ramollissement. Le foyer gauche parait intéresser la partie
postérieure
de la pyramide mo- trice ; il est à un centimèt
très étendu, qui a détruit tout les faisceaux constituant la moitié
postérieure
de la pyra- mide motrice. Du côté droit, le ram
otrice. Du côté droit, le ramollissement occupe à peu près le quart
postérieur
de la pyramide motrice et empiète légèrement su
, on trouve un petit foyer de ramollis- sement siégeant à la partie
postérieure
et interne de la pyra- mide motrice gauche de l
'Observation III, un foyer de ramollisse- ment situé dans la moitié
postérieure
de la pyramide motrice gauche, se rejoignant su
rejoignant sur la ligne médiane à un foyer récent occupant le quart
postérieur
de la py- ramide motrice droite et empiétant lé
eu à la glossoplégie occupent donc, dans la protubérance, la partie
postérieure
et interne des pyramides motrices : nous sommes
n résultat. Les sections des cinquième, sixième et septième racines
postérieures
(origines du crural) d'un côté, ayant entraîné
apprenant que l'on avait coupé non les cinquième et sixième racines
postérieures
, mais seulement quelques filets radiculaires de
l'interruption de la conductibilité sur peu de fibres radiculaires
postérieures
du nerf crural pour obtenir la disparition du p
éflexes cutanés et des phénomènes tendineux. La section des racines
postérieures
supprime le phénomène du genou, non par interru
XXI. Trois cas DE tumeurs tuberculeuses dans LE cerveau MOYEN ET
postérieur
; par HEUBNER (de Leipzig). (Arch. f. Psych. u. N
vermis supérieur du cervelet, au-dessous du tubercule quadrijumeau
postérieur
, du côté droit, un tubercule solitaire. Méningi
lesquelles pénètrent de préfé- rence des fibres émanées des cornes
postérieures
. On trouve égale- ment de très bonne heure, dan
ale, une étroite bande de sclérose médiane de chaque côté du sillon
postérieur
. A un degré avancé de la maladie, les cordons p
du sillon postérieur. A un degré avancé de la maladie, les cordons
postérieurs
sont affectés dans toute la hauteur de la moell
tération débute toujours dans l'aire moyenne de la zone radiculaire
postérieure
; il est facile d'en distinguer les régions ant
térieure ; il est facile d'en distinguer les régions antérieures et
postérieures
indemn.'s à ce moment. Plus tard, la plus grand
indemn.'s à ce moment. Plus tard, la plus grande portion du segment
postérieur
participe à la dégénérescence; celle-ci épargne
ît comme un ovoïde ou un triangle circonscri- vant le sillon médian
postérieur
. Quant à la zone antérieure des cordons postéri
le sillon médian postérieur. Quant à la zone antérieure des cordons
postérieurs
, elle demeure presque toujours indemne, à l'exc
e bande médiane qui se dirige de l'aire moyenne sclérosée au sillon
postérieur
. La moelle cervicale est d'assez bonne heure at
sez bonne heure atteinte dans les cordons de Goll dont le seg- ment
postérieur
se trouve constamment lésé avant le segment ant
ve constamment lésé avant le segment antérieur. La zone radiculaire
postérieure
subit ensuite, en cette région, l'impression an
te, en cette région, l'impression anatomo-pathologique. Les cordons
postérieurs
de la moelle cervicale présentent d'ailleurs in
ariablement deux lacunes dans l'altération ; ainsi, à la périphérie
postérieure
et en dehors des cordons de Goll (aire postéro-
ort avancés, tandis qu'à la limite antérieure et interne des cornes
postérieures
(aire antéro- latérale) l'intégrité demeure tou
faite. Constance des altérations dans la substance grise des cornes
postérieures
, ainsi que de l'atrophie des racines postérieur
grise des cornes postérieures, ainsi que de l'atrophie des racines
postérieures
(identité des fibres de ces racines et de celle
ieures (identité des fibres de ces racines et de celles des cordons
postérieurs
). Les cordons latéraux demeurent normaux dans t
groupes de fibres qu'il est permis de distin- guer dans les cordons
postérieurs
, rapprochée de ceux des faisceaux cérébro-médu
pyramides, cer- velet), ainsi que sur ceux des segments des eordons
postérieurs
inattaqués dans le tabes, on observe un complex
nitial du tabes, mais peut-être une anomalie innée dans les cordons
postérieurs
de la moelle. P. K. XXIX. CONTRIBUTION A L'ÉTUD
ane des cordons latéraux, tuméfaction de la névroglie des cordons
postérieurs
jusque dans la moelle lombaire inférieure. L'affe
de myélite disséminée. Les dégénérescences secondaires des cordons
postérieurs
expliquent et l'absence de réflexes ten- dineux
d'Ecker, le lobule extrême du même au- teur et l'extrémité la plus
postérieure
des 1 , 2°, 3e circonvolutions occipitales. Con
nt du quatrième au septième nerf cervical dans la partie externe et
postérieure
de la corne antérieure droite consistant en un
ne antérieure malade; celte disparition porte suitout sur le groupe
postérieur
latéral et, d'une façon moins prononcée, sur le
psie de ce dernier pa- tient révélait la dégénérescence des cordons
postérieurs
et laté- raux, l'atrophie des nerfs oculo-moteu
de ces nerfs; la lésion spinale est une dégénérescence des cordons
postérieurs
et latéraux de lamoelle. Le lien anatomo-patholog
ctive, dégénérescence graisseuse), dégénérescence grise des cordons
postérieurs
, dégénérescence vi- treuse cérébro-spinale et m
, était en même temps atteint de sclérose et d'atrophie des cordons
postérieurs
excessivement accusées. Laissant de côté les ra
érance. Le feuillet inférieur, originaire du tubercule quadrijumeau
postérieur
, l', recevrait des fibres émanées de la racine
. 14. Coupe verticale de la région dorsale passant par le seg- ment
postérieur
de la moelle. a, Sclérose des cordons postérieu
par le seg- ment postérieur de la moelle. a, Sclérose des cordons
postérieurs
. b, Sclérose du cordon latéral. c, Corne post
des cordons postérieurs. b, Sclérose du cordon latéral. c, Corne
postérieure
. Fig. 15. Tube nerveux sur une coupe longitudin
ont été portés en dehors et renversés de telle manière que leur face
postérieure
est devenue antérieure. La tumeur i'G, ou ganglio
mettre sous les yeux des filets assez volumineux provenant de sa face
postérieure
, qui vont se perdre dans le muscle grand-droit an
stinés pour le canal carotidien AC; les autres, plus internes et plus
postérieurs
, se plaçant en devant des nerfs de la huitième et
inférieur renversé en dehors de manière à ce qu'on aperçoive sa face
postérieure
tout entière, l'artère vertébrale et la sous-clav
de nouveau la tumeur, je reconnus qu'elle faisait corps avec la paroi
postérieure
de l'abdomen, qu'elle ne jouissait d'aucune espèc
blement développée. La face antérieure du rectum adhérait à la face
postérieure
de l'utérus par des brides filamenteuses très-mul
s fibreuses superficielles soulevaient le péritoine qui revêt la face
postérieure
de l'utérus. Un petit polype naissait de la muque
neuf à dix pouces de longueur et autant de circonférence. De sa face
postérieure
naissait un kyste séreux très-considérable RS, à
en lias à travers les graisses du périnée, venait gagner l'extrémité
postérieure
du raphé, dans l'épaisseur duquel il se continuai
re le radius. Le périnée P paraît énorme dans son diamètre antéro -
postérieur
: point de trace d'anus , point'de raphé médian.
visé en deux ouvertures : l'une, antérieure O', plus petite; l'autre,
postérieure
Od'un diamètre plus considérable. Les deux épines
épines sciatiques et les pubis. Il résultait de là, i° que les faces
postérieures
du corps et des branches du pubis , du corps et d
essus d'elles. La figure 3 représente ce même bassin vu par la face
postérieure
, la réunion des épines sciatiques ES et des tubér
peut maintenant se rendre compte dm mnrle de formation de l'ouverture
postérieure
O indiquée figure 2. Si en effet vous imprimez à
e, de telle manière que la face antérieure du sacrum FA était devenue
postérieure
; que le sommet du coccyx répondait au niveau de
eure ; que le sommet du coccyx répondait au niveau de l'épine iliaque
postérieure
et supérieure. Ainsi le détroit inférieur factice
essiers étaient réunis sur la ligne médiane, au niveau de l'ouverture
postérieure
O, par un raphé fibreux. La figure 4 représente
du canal. La figure 6 représente le rectum R s'ouvrant à la partie
postérieure
du bas-fond de la vessie par une ouverture large
, lequel venait s'ouvrir par un pertuis extrêmement fin à l'extrémité
postérieure
de la luette vésicale. Dans ce cas, comme dans
nt indiquées. Fig. 2. Elle représente la même jambe vue par sa face
postérieure
et son côté interne : 5 jumeau ex terne passé à
ption de quelques libres rougeâtres; C calcanéum dont on voit le plan
postérieur
déformé, ayant perdu au moins un tiers de son vol
ésente la mémo amYnlation tibio-tarsienne vue par son côté interne et
postérieur
, et dépouillée des ligamens superficiels. ME ma
ouvelle formation, étendu de la malléole interne au calcanéum; C face
postérieure
du calcanéum ; FP face plantaire du pied. Fig.
ente les extrémités inférieures du tibia et du péroné vus par la face
postérieure
. ME la malléole externe déjetée en dehors; MI la
ongé, s'articulant avec le tibia par une portion seulement de sa face
postérieure
; déjà l'ossification s'est emparée d'une partie
cas prouve manifestement que la déformation de l'astragale n'est pas
postérieure
à la naissance, et que les os du pied-bot encore
iminué de volume, de même que le calcanéum, le scaphoïde et la partie
postérieure
du cuboïde. Quelquefois même l'astragale peut êtr
,3, planche n, dans lequel les deux pubis se touchaient par leur face
postérieure
devenue interne, et les épines ischiatiques conti
, a présenté un bassin dont les os coxaux se touchent par l'extrémité
postérieure
de leurs crêtes iliaques ; le sacrum a été refoul
intprnps pt pytprnps du tibia et du péroné élargies aux dépens dp 1^
postérieure
et formant un angle très-aigu en avant, comme che
aphoïde s'applique exactement au cuboïde, dont la facette articulaire
postérieure
est réduite aux deux tiers, à la moitié, parce qu
aussi est-il courbé sur lui-même de dehors en dedans ; son extrémité
postérieure
déformée, diminuée de volume, rapprochée du bord
xtrémité postérieure déformée, diminuée de volume, rapprochée du bord
postérieur
de la malléole interne, regarde en dedans ; sa fa
, saillie quelquefois énorme, devenue supplémentaire de la tubérosité
postérieure
, et sur laquelle repose en général le pied dans
s résultats que ceux de l'adulte. Ligamens. Les ligamens antérieur,
postérieur
et latéraux externes de l'articulation tibio-tars
e l'astragale; et si on objecte avec Scarpa que cette déformation est
postérieure
à la naissance, je répondrai par la fig. 3, planc
ale était porté en avant, et que le tibia s'articulait avec la partie
postérieure
de sa face supérieure ; mais nous pensons qu'il n
nt, qui n'est qu'un effet du changement de direction de Taxe antéro -
postérieur
, et doit cesser aussitôt que le pied sera ramené
du cerveau. La protubérance annulaire et les pédoncules antérieurs et
postérieurs
sont masqués par une tumeur volumineuse (TP), pro
acts du milieu de cette tumeur, qui ne laisse à découvert que le bord
postérieur
de la protubérance. Fig. 2. J'ai divisé la tume
ée de ce côté; en arrière, « cette tumeur se prolonge sur le faisceau
postérieur
gauche ou cuisse de la moelle allongée qu'elle co
et résistant: la poitrine percutée rendait un son mat dans la partie
postérieure
du côté droit : l'auscultation faisait entendre d
foyer et communiquait largement avec lui. Dans l'épaisseur du bord
postérieur
du poumon était une vaste caverne FGC (fig. 1) ex
a Société anatomique par M. Pinault. Il existait tout le long du bord
postérieur
du poumon un liquide sanieux et fétide, circonscr
it avec une excavation gangreneuse située dans l'épaisseur de ce bord
postérieur
. On voyait, des centaines d'excavations gangreneu
ique. La veine sous-clavière gauche, qui croisait obliquement la,face
postérieure
de la tumeur, était oblitérée. On voyait une couc
détails de l'intérieur de la poche anévrysmale ouverte par la partie
postérieure
. Presque immédiatement au-dessus de l'orifice a
au niveau du cartilage de la première et de la deuxième côte. Sa face
postérieure
était comme creusée de plusieurs cavités ou grand
prolongée dans l'intérieur du canal sacré à travers les trous sacrés
postérieurs
. La dure-mère incisée, nous avons trouvé un assez
olume et de la forme d'une grosse amande FAP(fig. 1.) : les faisceaux
postérieurs
de la moitié gauche de la moelle sont à ce niveau
se prolongeait en dehors entre les racines antérieures et les racines
postérieures
des paires cervicales indiquées, soulevait celles
cée, mais n'avait point altéré leur continuité. Le reste de la face
postérieure
de la moelle ne présentait rien de particulier, e
poplectique présente une saillie FAA, bien plus considérable que la
postérieure
FAP (fîg. i). Comme dans ce dernier sens, il ne d
g concret et noir qui remplissait les mailles de ce dernier foyer est
postérieur
à,la formation de la cicatrice. Ces trois foyer
ulbe, constituent la presque totalité de ce bulbe, montrent leur face
postérieure
dans le quatrième ventricule FSO (fig. 1), et se
gèrement en forme de mamelon, pour se terminer en mourant sur le bord
postérieur
des faisceaux rectiformes. L'apoplexie de la mo
rsé la substance grise. Ainsi de ce qu'il y a paralysie dans le train
postérieur
d'un animal immédiatement après la ligature de l'
même, que j agisse sur les faisceaux antérieurs ou sur les faisceaux
postérieurs
. La section des nerfs pneumo-gastriques à leur or
xième ( la substance intervertébrale avait résisté) et des extrémités
postérieures
des premières côtes. Cette tumeur soulevait en av
veau et aux dépens de la cinquième vertèbre dorsale et de l'extrémité
postérieure
de la quatrième côte. La moelle épinière comprimé
G formée aux dépens de la petite courbure et des parois antérieure et
postérieure
qui l'avoisinent. Cette eschare était noire, horr
e, et revêtent le périoste du condyle interne du fémur. Sur la face
postérieure
de la rotule (fig. 2), grand nombre de petites co
étaient agglomérés. On voyait de petites masses plâtreuses à la face
postérieure
des tendons des muscles extenseurs CS. Sur la fac
ral interne de même que l'externe CL en étaient pénétrés. Le ligament
postérieur
de l'articulation était également infiltré de con
costo-transversaires et temporo-maxillaires. Au milieu des muscles
postérieurs
de la cuisse, amas de matière crétacée gros comme
ieure de la colonne vertébrale présente un angle très-aigu, la région
postérieure
présente une courbure graduelle; et ici, comme da
e, il n'y a aucun rapport entre la courbure antérieure et la courbure
postérieure
. (*) Pièce donnée par M. Fischer, membre de la
et la première lombaire; en haut, entre le ligament vertébral commun
postérieur
et le plan postérieur du corps des deux premières
re; en haut, entre le ligament vertébral commun postérieur et le plan
postérieur
du corps des deux premières vertèbres dorsales, j
ans aucune espèce de ramollissement, que le ligament vertébral commun
postérieur
avait formé comme une barrière impénétrable au pu
rotecteur de la moelle : les grands surtouts ligamenteux antérieur et
postérieur
jouent donc un rôle très-important dans les malad
a circonférence antérieure de la première vertèbre lombaire : la face
postérieure
de cette couche de végétations , lesquelles se co
bre lombaire, soutenaient le plan inférieur de la deuxième. Le plan
postérieur
du corps de la deuxième vertèbre aurait oblitéré
'espèce de gouttière ou d'hiatus fortuit qui s'est trouvé sur le plan
postérieur
de la vertèbre, le malade serait resté paraplégiq
x orifices circulaires séparés l'un de l'autre par une crête antéro -
postérieure
très-épaisse et entourés de quelques caroncules,
ntérieur, et composé de deux feuillets adossés, se portait de la face
postérieure
de la vessie à la face antérieure du rectum et fa
conformé. Le bord supérieur ou le fond, la face antérieure et la face
postérieure
de l'utérus (fig. 4) sont séparés en deux parties
ette division dans deux crêtes qui existent l'une le long de la paroi
postérieure
, l'autre le long de la paroi antérieure. Ces crêt
ième ( la substance intervertébrale avait résisté), et des extrémités
postérieures
des deux premières côtes. Une semblable tumeur co
veau et aux dépens de la cinquième vertèbre dorsale et de l'extrémité
postérieure
de la quatrième côte. La moelle épinière était ap
nsidérable. On peut distinguer trois plaques blanches sur les piliers
postérieurs
.—Le quatrième jour au matin, la douleur à la gorg
és de l'orifice supérieur du larynx ^ la muqueuse qui revêt la région
postérieure
de cet organe, celle qui tapisse les deux gouttiè
e qui tapisse les deux gouttières profondes latérales de cette région
postérieure
, la partie voisine du pharynx, la base de la lang
ptômes d'angine. Ouverture du cadavre. Le larynx, examiné à sa face
postérieure
, présente une saillie au niveau du cartilage cric
se et l'érosion du cartilage cricoïde ne se bornaient pas à la partie
postérieure
, elles s'étendaient de chaque côté, mais beaucoup
i8a5 , tome XIX , page 3. Ouverture du cadavre. « Abcès à la partie
postérieure
du larynx et sur ses côtés, qui, vidé du pus qu'i
ens « étaient confondus avec les muscles indiqués soit latéraux, soit
postérieurs
. Ces muscles, ainsi que le « tissu cellulaire sou
vu par sa face postérieurela luette bifide et épaisse LB, les piliers
postérieurs
du voile du palais PP, PP, également épaissis, la
E, l'orifice supérieur du larynx OLE et la muqueuse qui revêt sa face
postérieure
MPE, épaissis, denses, érodés, ulcérés, couverts
x. Le péritoine était granuleux sur l'intestin grêle et sur la partie
postérieure
de la tumeur. Le foie, la rate, les reins avaient
rconvolutions les plus internes, les circonvolutions antérieures A et
postérieures
P. Le kyste ouvert (fig. 2), il s'est échappé u
e, séparées par la sérosité qui remplit les anfractuosités. Les lobes
postérieurs
, terminés en pointe, laissent entre eux un interv
s ; les cornes d'Ammon peu saillantes ; les commissures antérieure et
postérieure
très-ténues. Tout le cerveau est remarquable par
elluloso-fibreux CA très-dense, brun jaunâtre, qui occupait la partie
postérieure
du corps strié. Ce noyau appartient évidemment à
r. Foyer apoplectique aux dépens de la couche optique et de la partie
postérieure
du corps strié en voie de guérison. Fluxion séreu
ous a présenté le foyer apoplectique FA (fig. 3); il occupe la partie
postérieure
du corps strié CS et externe de la couche optique
u cellulaire séreux sous-arachnoïdien. La figure 1 représente la face
postérieure
, la figure 2 la face antérieure de la moelle. Ge
ne avance osseuse A (fig. 4) en forme d'épine conoide, née de la face
postérieure
du corps de la douzième vertèbre dorsale, établis
loppement des vertèbres est plus rapide du côté antérieur que du côté
postérieur
de leur corps. Elles montrent encore que les vert
r droit). Je suis persuadé que l'inflammation aurait envahi la partie
postérieure
du poumon, si le malade était resté en supination
mort. Cette bride circulaire ST (fîg. 1) présentait dans sa moitié
postérieure
, qui est ici cachée, tous les caractères d'une ap
gle qui est lisse et sillonnée par des stries parallèles, à concavité
postérieure
. La partie de la face palmaire de l'ongle qui app
ulaires que présente la face dorsale de l'ongle correspondent au bord
postérieur
de chaque lamelle. Une pareille indisposition r
umeurs osseuses et careinomateuses, nées du plan supérieur et du plan
postérieur
du rocher. Dans un cas, la tumeur soulevait la te
petite tumeur du volume d'une grosse noisette naissait aussi du plan
postérieur
du rocher. Ces petites tumeurs étaient formées pa
dies : i° les gouttières olfactives, i° la selle turcique, 3° le plan
postérieur
et le plan supérieur du rocher. Les tumeurs nées
les tumeurs cancéreuses qui occupent les circonvolutions moyennes et
postérieures
de la voûte du cerveau sont celles qui sont le pl
ent général du sentiment et du mouvement; celles qui naissent du plan
postérieur
du rocher entraînent la surdité, parce qu'elles c
anguins et purulens. Le pressoir d'Hérophyle PH (fig. 3), la moitié
postérieure
ou horizontale des sinus latéraux, sont également
nt sains. On voit sur cette même figure i l'imperfection de la partie
postérieure
de l'hémisphère droit HD, une large perte de subs
let C, sont dans l'état naturel. Il en est de même des lobes moyen et
postérieur
de l'hémisphère gauche; mais les lobes moyen et p
s moyen et postérieur de l'hémisphère gauche; mais les lobes moyen et
postérieur
de l'hémisphère droit présentent une atrophie man
La fig. 4 représente le cerveau vu de côté et à droite. L'ouverture
postérieure
ou plutôt latérale OP de l'hémisphère droit HD, l
ns les lobes antérieurs que dans les lobes moyens, que dans les lobes
postérieurs
. La malade ne paraissait pas jouir de l'olfacti
rs ? non certes, pas plus que dans les lobes moyens et dans les lobes
postérieurs
. La faculté de la coordination suppose d'abord la
déborde le précédent de 5 à 6 lignes. Les tendons réunis des radiaux
postérieurs
et des extenseurs communs et propres, sont reçus
t propres, sont reçus dans une gouttière profonde creusée sur la face
postérieure
de l'extrémité inférieure du radius. Les tendons
térieure de l'extrémité inférieure du radius. Les tendons des radiaux
postérieurs
et du long extenseur propre du pouce sont interro
hyse saillante et articulaire du radius. On voit le tendon du cubital
postérieur
CP se réfléchissant sur le cubitus pour venir s'i
2 et i' (*) représentent l'extrémité inférieure d'un fémur et la face
postérieure
d'une rotule, qui offrent, i° une usure des carti
formation se voyaient çà et là sur les surfaces articulaires. La face
postérieure
de la rotule est érodée en E et dépouillée de car
estomac, la portion de grosse tubérosité contiguë à la rate, la paroi
postérieure
de cette grosse tubérosité, la moitié antérieure
itement sains. La figure 2 représente l'estomac ouvert par sa paroi
postérieure
, en sorte qu'on voit à découvert la paroi antérie
paroi antérieure de l'estomac qui est détruite, et non point la paroi
postérieure
ou l'extrémité splénique proprement dite. Or, si
à cette altération, \\ est évident qu'elle aurait débuté par la paroi
postérieure
qui était bien plus que la paroi antérieure soumi
au petit épiploon, d'une autre part, le long des parois antérieure et
postérieure
de l'estomac pour finir comme en mourant au voisi
occupe le plus habituellement, soit la petite courbure, soit la paroi
postérieure
de l'estomac. Quelquefois il envahit le pylore, e
orrhagie mortelle. Les connexions de l'artère splénique avec la paroi
postérieure
de l'estomac, la fréquence des ulcères dans cette
agie a été fournie par l'artère splénique. Ulcère occupant la paroi
postérieure
de Vestomac. Hématémèse et déjections sanglantes.
t également rempli de sang et présentait (fig. 3, pl. 6) sur sa paroi
postérieure
, à quatre à cinq lignes de la petite courbure PC,
exemple de cicatrice énorme de l'estomac UC, UC. Elle occupe la paroi
postérieure
. L'estomac a été complètement détruit à son nivea
cicatrice fibreuse circulaire fort remarquable UC existait à la paroi
postérieure
de l'estomac; un rebord très-dense, saillant, sur
suppuration et de perforation des veines fémorale, poplitée, tibiale
postérieure
et péronière. Communication du pus contenu dans c
rt et jusqu'à la partie inférieure des vaisseaux tibiaux et péroniers
postérieurs
de l'autre. La veine fémorale était volumineuse,
ux et rougeâtre. Enfin, un foyer situé autour des vaisseaux tibiaux
postérieurs
était formé aux dépens de la plus interne des vei
érieurs était formé aux dépens de la plus interne des veines tibiales
postérieures
. La veine tibiale antérieure et ses divisions é
L'un d'eux, FS, ressemble à un petit foyer apoplectique. La moitié
postérieure
du lobe inférieur des deux poumons est complèteme
ammation de l'artère pulmonaire L'œdème aigu que présentait la moitié
postérieure
des deux poumons, lequel était tout-à-fait improp
lasse, mais sans altération. Il y avait à la fois pleurésie du bord
postérieur
du poumon droit, pneumonie ordinaire ou diffuse,
e m, %f livraison, représentent le poumon droit. La base B et le bord
postérieur
BP du lobe inférieur sont le siège principal des
huit onces, sans amendement. Le 17, matité considérable à la partie
postérieure
droite du thorax; à la crépitation avait succédé
ix heures après la mort. Le poumon droit (fig. 1) présente à son bord
postérieur
BP une vaste caverne dont la paroi postérieure es
1) présente à son bord postérieur BP une vaste caverne dont la paroi
postérieure
est formée par la plèvre PP inégalement perforée
pendant l'accouchement. ( Fig. 41 5. ) La fig. 4 représente la face
postérieure
de l'utérus d'une femme morte six semaines après
nt, des suites d'une péritonite puerpérale.Il existait sur cette face
postérieure
, au voisinage du col, dans le point F, une perte
de décider si ces faisceaux étaient fibreux ou musculaires; la partie
postérieure
des poumons était hépatisée; tous les autres orga
érieure de l'utérus, soit avec ceux, plus nombreux encore, de la face
postérieure
. Ces vaisseaux lymphatiques étaient immédiateme
11 en résulte que le fond de l'utérus F U est en bas, et que la face
postérieure
F PU et les ovaires OO regardent en avant. Je fer
représentées sur cette figure. La partie latérale droite de la face
postérieure
de l'utérus présente un très grand nombre de vais
ence d'une péritonite pseudo-membraneuse. On remarquait sur la face
postérieure
de Futérus une petite bosselure, VLD, parcourue p
ais paru considérable. Sur la figure 1, l'utérus est vu par sa face
postérieure
: pour préparer les vaisseaux lymphatiques qui so
ent sous le péritoine qui revêt la face antérieure et surtout la face
postérieure
de l'utérus : mais c'est principalement aux angle
mière fois que j'ai pu m'assurer qu'on attribue souvent à une maladie
postérieure
à l'accouchement, une lésion qui lui est antérieu
chaine livraison. Cette altération, qui régnait dans les trois quarts
postérieurs
du lobe inférieur du poumon gauche, consiste dans
che, que du côté droit. De chaque côté de la ligne médiane, la face
postérieure
de l'utérus était parcourue par des lignes sailla
Des plaques irrégulières d'épiderme épaissi se voyaient sur la paroi
postérieure
du vagin. Du museau de tanche part un long cana
éral. La figure 1 montre cet utérus vu à l'extérieur et par sa face
postérieure
. Le côté droit U' est beaucoup moins développé qu
ce , formée aux dépens de la couche la plus superficielle de la paroi
postérieure
de l'utérus, PP,PP. Cette membrane, divisée verti
e. Une coupe verticale, faite d'arrière en avant, comprend la paroi
postérieure
et la plus grande partie de l'épaisseur de la tum
'est sans doute à la présence de l'humeur aqueuse, qui baigne sa face
postérieure
, que la cornée doit le privilège de ne pas partic
limité autour du cervelet; souvent il entoure en même temps les lobes
postérieurs
du cerveau ; enfin, dans certains cas, le cerveau
e, et le long des scissures du cerveau. L'arachnitis avait elle été
postérieure
ou antérieure à la naissance? il est probable qu'
stérieure ou antérieure à la naissance? il est probable qu'elle était
postérieure
. 4e observation. Anasarque, ascite, hydro-thora
ieur, et adhérait d'une part au péricarde, d'une autre part à la face
postérieure
du sternum. Le thymus TO (fîg. 3) est divisé en l
de leur étendue; cette imperméabilité s'observe sur-tout à la partie
postérieure
et à la base : elle consiste dans une induration
écaution la portion de lobule médian du cervelet qui répond à la face
postérieure
du bulbe raehidien, je vis, au lieu d'une ouvertu
, vingt-quatre heures après la mort. Hépatisation rouge à la partie
postérieure
du poumon droit. Petits noyaux hépatisés dispersé
Le bulbe raehidien a été renversé d'arrière en avant. On voit le bord
postérieur
épais du corps calleux, CC; les tubercules quadri
s tubercules quadrijumeaux, TQ, qui sont dans l'état naturel; la face
postérieure
du bulbe raehidien, BR; les débris du cervelet, D
évrotique qui recouvre la hernie et qui n'est autre chose que la lame
postérieure
de la gaine du muscle pectine, maintient la tumeu
demi-flexion. 3° A inciser la lame aponévrotique qui forme la paroi
postérieure
de la gaine du pectine. 4° A ouvrir le sac avec
e cœur a été renversé de bas en haut pour montrer à découvert sa face
postérieure
. Le péricarde avait une capacité telle qu'il aura
Ces mamelons occupent principalement le bord gauche du cœur, sa face
postérieure
et le voisinage delà base. La disposition de ce
sacrés très développés GL,GL,GS, GS, desquels partent et les branches
postérieures
et les branches antérieures des nerfs corresponda
étroit supérieur. Son bas-fond, et peut-être une partie de sa paroi
postérieure
, ont été entraînés par l'utérus et le vagin dépla
urs. Fig. 3. La fig. 3 représente l'utérus réduit et vu par sa face
postérieure
: le vagin est ouvert par sa paroi postérieure.
duit et vu par sa face postérieure : le vagin est ouvert par sa paroi
postérieure
. L'utérus est remarquable, 1° par l'étendue de
longement considérable digité, qui allait s'introduire dans la partie
postérieure
et inférieure du sac formé par le vagin renversé.
ue nécessairement la vessie, consisterait dans l'incision de la paroi
postérieure
du vagin; on arriverait ainsi dans le grand cul-d
derrière la ligne blanche; arrivée à l'ombilic , elle gagnait le bord
postérieur
du ligament falciforme du foie dans l'épaisseur d
batraciens (2). Chez ces animaux, en effet, les veines des extrémités
postérieures
, les veines caudales et rénales se réunissent en
ie des circonvolutions peut être générale ou partielle, congéniale ou
postérieure
à la naissance. Lorsque l'atrophie a lieu avant
ophie semblable, étendue à la presque totalité d'un hémisphère, a été
postérieure
à la naissance. 7° Dans une septième espèce d'a
une lésion aussi considérable qui siégerait dans les circonvolutions
postérieures
, aurait-elle ou n'aurait-elle pas les mêmes effet
ve démontre par rapport à ce lobe moyen. Si onexaminela circonférence
postérieure
ou vésicale de la prostate, on voit que les canau
dans la vessie» La fig. 1 représente la vessie ouverte par sa face
postérieure
; la paroi antérieure P A V, qui est en évidence
canal de l'urètre. La fig-2 représente!0 la vessie vue par sa face
postérieure
F P, 2° l'extrémité vésicale des uretères UU, don
néral : le lendemain , à la visite, ce malheureux me montra la région
postérieure
de la jambe, très volumineuse, tendue, dure, viol
ineuses des muscles fléchisseur commun, fléchisseur propre et jambier
postérieur
en étaient également remplies. Je ferai remarqu
n de ceux qui admettent que cette altération est purement chimique et
postérieure
à la mort. Un fait important qui ressort de cette
e prononcent au genou ; de petites phlyctènes se remarquent à la face
postérieure
de la jambe et delà cuisse. La malade se plaint d
harres profondes ; les phlyctènes se multiplient le long de la région
postérieure
du membre abdominal; fluctuation manifeste autour
Un autre abcès se développe dans l'épaisseur des muscles de la région
postérieure
de l'avant-bras. D'une autre part, l'état général
fluctuation manifeste que j'avais observée à la partie supérieure et
postérieure
de l'avant-bras était due à un abcès qui occupait
a réunion des deux veines iliaques primitives jusqu'au niveau du bord
postérieur
du foie. Les calices et le bassinet étaient rempl
velet, et se voyait dans le 4e ventricule, dont il soulevait la paroi
postérieure
. Poumons. Granulations miliaires très multiplié
roit LR, est également très volumineux. Des deux kystes KP, R P, le
postérieur
plus considérable fait suite au ligament ovarique
MP, des plaques ossifiées PO,PO, une bride fibreuse B, à l'extrémité
postérieure
de laquelle se voient deux dents , une canine D G
ns l'état naturel, ce qui explique la possibilité des deux grossesses
postérieures
. EXPLICATION DES FIGURES. Les figures 1 et 2
leurs que l'époque de la mort du fœtus peut être , dans quelques cas,
postérieure
au terme naturel de la grossesse : ainsi, la plup
te la masse formée par le foie, la rate et la tumeur, vus par la face
postérieure
. L'estomac E avait été refoulé en arrière ; plusi
é refoulé en arrière ; plusieurs acéphalocystes formaient sur sa face
postérieure
une espèce de demi-anneau qui venait se continuer
de caillots sanguins concentriques. Fig. 2. Le cœur, vu par sa face
postérieure
et largement ouvert, présente 1° des tumeurs méla
e aux grandes et aux petites lèvres. La fig. 3 représente l'extrémité
postérieure
d'une côte qui a subi la dégénération cancéreuse
ue totalité de la surface du corps et plus particulièrement la région
postérieure
du tronc était couverte d'une innombrable quantit
videmment subi la même altération. Le cœur était sain. \J extrémité
postérieure
d'un grand nombre de côtes était le siège du canc
, les frontaux déjelés en avant : on chercherait vainement la portion
postérieure
ou écaille de l'occipital : il n'en existe pas de
rvical antérieur : du reste , le sphénoïde antérieur S , le sphénoïde
postérieur
ST , les portions pierreuses du temporal RR, prés
ssance pédiculée se voit sur la joue gauche. O-P, sont les orifices
postérieurs
rétrécis des fosses nasales. Le cœur C, le poumon
pouce et demi de longueur. E est l'estomac qui occupait le médiastin
postérieur
, D le duodénum, HF une portion du foie contenue d
Hernie médiastine. L'estomac et le duodénum occupaient le médiastin
postérieur
. Enfin, invagination de l'œsophage au-dedans de
our ainsi dire en contact avec la région supérieure du dos, la partie
postérieure
ou écaille use de l'occipital ne pourra se dévelo
c et le duodénum se sont trouvés placés dans l'épaisseur du médiastin
postérieur
. Il est donc plus que probable que les déplacem
palais en avant, le rétrécissement dans le sens vertical des narines
postérieures
, ne sera-t-on pas porté à se demander si le cordo
de la 6e (le disque intervertébral avait résisté), et des extrémités
postérieures
des deux premières côtes. Cette tumeur soulevait
se manifester aux dépens de la 5e vertèbre dorsale et de l'extrémité
postérieure
de la 4e côte : la moelle épinière était comprimé
es parois de l'estomac avaient six à sept lignes d'épaisseur; la face
postérieure
de cet organe se confondait avec le pancréas, dev
col anatomique de l'humérus H. Il est possible que cette fracture fût
postérieure
à la mort de la malade. La moelle, dans l'inter
e ouverture. Ces ecchymoses occupaient la partie supérieure du sillon
postérieur
du cœur, un peu à droite de ce sillon. On aurait
e ligne, et à bords frangés. Cet orifice avait son siège sur la paroi
postérieure
du ventricule gauche, au niveau delà partie moyen
ace du cerveau est notablement déprimée au niveau des circonvolutions
postérieures
. Des vaisseaux nombreux rampent à la surface de l
ais d'ailleurs sans altération dans sa consistance. Circonvolutions
postérieures
de la base.—Plus profondément altérées que les pr
avre. — Cerveau.—A la réunion des deux tiers antérieurs avec le tiers
postérieur
de l'hémisphère droit, une circonvolution transve
médiane, une perte considérable de substance. On dirait que la moitié
postérieure
de cette circonvolution vient d'être enlevée irré
phère, au niveau de la réunion du tiers antérieur avec les deux tiers
postérieurs
du corps calleux, au voisinage du lobule de la sc
aux sanguins et du tissu cellulaire lâche. Cervelet.- - A la partie
postérieure
de l'hémisphère droit existe une perte de substan
perte de substance dans tous les points jaunes : les circonvolutions
postérieures
à celles que je viens de décrire présentent un ra
it.—Couleur rouge-amaranthe de la substance grise des circonvolutions
postérieures
. Poumon gauche parfaitement sain, exempt d'infi
umons qu'au ramollissement amaranthe observé dans les circonvolutions
postérieures
de l'hémisphère droit : rien de plus fréquent que
e toutes les circonvolutions et anfractuosités qui occupent la moitié
postérieure
de la surface convexe de cet hémisphère et du lob
s intéresser la substance du cerveau. a° Les circonvolutions les plus
postérieures
sont beaucoup plus ramollies. La substance blanch
avec les membranes. 3° Les circonvolutions de la base du même lobe
postérieur
gauche sont converties en une membrane cel-luleus
c ; indépendamment de cette ulcération récente, il existe sur la face
postérieure
de l'estomac, au niveau du pancréas, une cicatric
une aiguille, qui se meut avec lui sur un cadran placé à la face
postérieure
de la colonne qui soutient l'arc En AB, se trou
iques. L'bémianesthésie dénote l'extension de la lésion à la partie
postérieure
de la capsule interne. Mais c'est là encore un
e. La lésion productrice siège dans le terri- toire de la cérébrale
postérieure
le plus souvent au niveau du lobule lingual. El
on antérieur, sensitivo-moteur; CP, centre cérébral d'associa- tion
postérieur
, sensorio-moteur. Les fibres qui partent des cent
o-moteur siégeant surtout dans le pied de la 2" frontale, un centre
postérieur
ou occipital sensorio-moteur occupant la zone.*
au antérieur chemine au voisinage des fibres du facial; le faisceau
postérieur
est intimement mêlé aux radia- tions optiques.
eur chemine à la partie pos- térieure du bras antérieur; les fibres
postérieures
accompagnent les radiations optiques. ' Au ni
cule, on ne peut actuellement distinguer les fibres antérieures des
postérieures
. Ces fibres ne semblent pas comprises dans le f
AIRE. partie antérieure au voisinage des fibres du facial ou partie
postérieure
au voisinage des radiations optiques; d) lésion
au voisinage de la couche optique (fibres oculo-motrices du centre
postérieur
auxquelles semblent t s'être réunies les fibres
, des lésions. La sécrétion psychique persisterait dans les lésions
postérieures
du trijumeau (tronc, ganglion de Casser, tronc
em- poro-sphénoïdal qui est le plus commun ; les caries de la paroi
postérieure
de l'antre déterminent la thrombo-phlébite laté
bo-phlébite latérale, les abcès extra- duraux de la fosse cérébrale
postérieure
et les abcès cérébelleux. Les laby- rinthites s
om : vertige rotatif ou vertigo girans, vertigo tituhans ou antéro-
postérieur
, vertigo vacillans latéral ou vertical, etc. Le
deux plans frontaux passant par les sillons marginaux antérieur et
postérieur
de l'insula, entre deux plans sagittaux tangent
rie) limité par deux plans frontaux tangents aux potes antérieur et
postérieur
de l'insula, et par deux plans sagillaux tangen
variété d'aphasie relève d'une lésion du territoire de la cérébrale
postérieure
(cuneus et voies d'association). Il existe un sym
ralement bilatérales et symétriques du terri- toire de la cérébrale
postérieure
, notamment des lobules lingual et fusiforme. '
elle (pour les nerfs du tronc et des menibres), forment les racines
postérieures
rachi- diennes et viennent s'arboriser, les plu
courtes (fibres courtes et moyennes) autour des cellules des cornes
postérieures
, les plus lon- gues autour des cellules des noy
ures, les plus lon- gues autour des cellules des noyaux des cordons
postérieurs
(noyaux de; Goll et de Burdach), constituant- a
rd'hui l'existence d'un faisceau sen- sitif distinct dans la partie
postérieure
du segment postérieur de la capsule interne (ca
faisceau sen- sitif distinct dans la partie postérieure du segment
postérieur
de la capsule interne (carrefour sensitif' de C
t mélangées aux fibres descen- dantes motrices dans tout le segment
postérieur
de la capsule interne. Telle est la voie sensit
s sensitives périphériques, arrivées dans la moelle par les racines
postérieures
, vont s'arboriser après un très court trajet (f
es), pour la plus grande partie dans la substance grise de la corne
postérieure
et dans celle de la colonne de Clarke du même c
olonne de Clarke du même côté, pouf une petite partie dans la corne
postérieure
du côté opposé. 1. Th. de Paris, 1899. ANATOM
T11LS. 277 7 2" Neurone 77%édu'Ilo-cé ? ,ébelleztx.' - =De la corne
postérieure
ou de la colonne de Clarke, les fibres sensitiv
ère les impres- sions tactiles suivent le trajet des cordons blancs
postérieurs
, alors que les impressions douloureuses et ther
dans la couche inter-olivaire bulbaire. Pour hülliker les cordons
postérieurs
conduisent le sens musculaire seulement; la sen
s la moelle, pour les impressions sensitives reçues par les racines
postérieures
, des moyens de transmission complexes; la subst
rinesco) ; sa transmission dans la moelle se ferait par les cordons
postérieurs
. En opposition avec la dissociation syringomyélie
forme de dissociation de la sensibilité, dite du « type des cordons
postérieurs
» : perte de la sensibilité au tact, à la press
alors que pour les autres régions, comme le dos du pied ou la face
postérieure
de la cuisse, il faut des différences de poids be
apsulaire était considérée comme relevant d'une lésion de la partie
postérieure
du segment posté- rieur de la capsule interne,
née; il existe en effet, en clinique, des cas de lésions du segment
postérieur
de la capsule interne, se traduisant par de l'h
est à la lésion de la couche optique, et non pas à celle du segment
postérieur
de la capsule interne, que sont dus les troubles
que toujours au même endroit, c'est-à-dire au niveau de la partie
postérieure
et inférieure de la couche optique (région où
ne et Roussy). Ce syndrome, causé par une lésion occupant la partie
postérieure
de la couche optique qu'elle détruit, et intére
truit, et intéressant le noyau externe du thala- mus dans son tiers
postérieur
, une partie du noyau interne, du centre l'ig. 1
ian et du pulvinar, ainsi que les fibres correspondantes du segment
postérieur
de la capsule interne, est caractérisé par : '1
t pris séparément ou simultanément, ou bien suivant que les racines
postérieures
sont atteintes ou non par la lésion. Il n'y a d
[ROUSSY.] ] 520 - " ' ' SENSIBILITE.... ' gomyélie), aux cordons
postérieurs
(tabès), et dans les compressions de la moelle
RE DE L'INNERVATION CUTANÉE » La projection des fibres d'une racine
postérieure
sensitive sur la peau ne revêt pas le même mode
sitive. Le territoire de représentation cutanée, d'une seule racine
postérieure
peut correspondre au territoire de plu- sieurs
distribution radiculaire des nerfs rachidiens, d'après Kodwr. Face
postérieure
. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 525 ri
onne vertébrale Fig. 2 Lis. Schéma de topographie radiculaire, face
postérieure
, d'après Scilfert. 1 1 , TROUBLÉS DE LA SENSIBI
nt aussi, l'anesthésie envahit égale- ment les faces antérieures et
postérieures
du bord cubital du bras, de ! 'avant-bras et même
limitées de l'axe gris, aussi bien que dans les lésions des cordons
postérieurs
, la distribution périphérique des troubles sens
IDIENNES Les lésions des racines rachidiennes intéressant la racine
postérieure
dans le canal vertébral, avant sa réunion à la
idien (formé par la réunion de la racine antérieure et de la racine
postérieure
), dans le trou de conjugaison ou en dehors du rac
néral, elles portent en même temps sur la moelle et sur les racines
postérieures
, et leur symptomatologie se confond; 2° dans le
bras et de lavant-bras, en empiétant sur ses faces anté- rieure et
postérieure
. lluelduefois l'anesthésie s'avance jusqu'à la li
nt-bras et du bras en s'avançant un peu sur les faces antérieure et
postérieure
du membre. La paralysie motrice occupe tous les
rine-Klumpke); elle-peut remonter plus haut, sur la face externe et
postérieure
du bras, jusqu'à l'épaulé (5e, 6e, 7e, 8e cerv.
orme de fer à cheval avec branches descendantes le long de la face.
postérieure
des cuisses jusqu'à leur tiers supérieur ou moy
'anus, du coccyx, du périnée, de l'anus, de la partie inférieure et
postérieure
du Fig. 55. Paraplégie syphilitique. Hypoesthés
thésie comprend, en plus des régions ci-dessus mentionnées, la face
postérieure
du tiers inférieur de la cuisse, la face postér
nnées, la face postérieure du tiers inférieur de la cuisse, la face
postérieure
et moyenne de la jambe, la ré- . 1. Pour certai
et moyenne de la jambe, la ré- . 1. Pour certains auteurs, la face
postérieure
de la cuisse est innervée' par la 2° sa- crée;
plexus lombaire et sacré, que ceux relevant des lésions des racines
postérieures
de ces racines, troubles sensitifs, qui seuls (
lement la lésion intéresse en même temps les racines inférieures et
postérieures
. On observe alors des troubles moteurs à distri
e manger. La douleur irradie fréquemment vers la région cer- vicale
postérieure
, le domaine du plexus brachial. Durant l'accès on
vico-occipitalc occupe le territoire des branches ante-. rieures et
postérieures
des quatre premiers nerfs cervicaux. La branche
res et postérieures des quatre premiers nerfs cervicaux. La branche
postérieure
; du deuxième nerf occipital, le grand nerf occipi
t entre les nerfs sensitifs du pharynx et le deuxième nerf cervical
postérieur
d'où émane le grand nerf occipital d'Arnold. En
rand nerf occipital d'Arnold. En effet la deuxième racine cervicale
postérieure
envoie quelquefois un ou plusieurs rameaux sens
rvicaux et du premier nerf dorsal. La névralgie atteint les rameaux
postérieurs
de ces nerfs qui se distribuent à la peau du dos
1° au niveau de la gouttière de torsion de l'humérus; 2° à la face
postérieure
de t'avant-brasa 5 ou G centimètres au-dessous de
ntimètres au-dessous de l'arti- culation du coude, là où la branche
postérieure
du radial se divise en différents rameaux desti
ar eles douleurs violentes, lancinantes, prédominant dans la région
postérieure
du bras, par un affaiblissement du triceps brachi
T ALGIES. cervical en avant du scalène antérieur en arrière du bord
postérieur
du sterno-rnastoïdien, le point sle1'1wl C) au
oire des branches antérieures des nerfs dorsaux. Quand les branches
postérieures
de ces nerfs sont aussi atteintes, la névralgie
vralgie intercostale, trois points douloureux principaux : un point
postérieur
vertébral situé à côté des apophyses épineuses, u
lisée a la partie supé- rieure de la région externe et de la région
postérieure
de la cuisse et se prolonge jusqu'au genou. L
clitoris, à la verge, à l'urètre, aux corps caverneux, à la partie;
postérieure
du scrotum et des grandes lèvres, au périnée, à
rs de la sciatique occupent la région lombaire, la fesse, la partie
postérieure
de la cuisse. Les principaux points doulou- reu
et (te l'échancrure sciatique. le point rélro-trochantérien au bord
postérieur
du grand trochauter dans la gouttière formée par
ion, les points fémoraux supérieur, moyen et inférieur il la partie
postérieure
de la cuisse, le point poplité il la partie ext
r au-dessous de la tète du péroné, le point malléolaire à la partie
postérieure
, et inférieure de la malléole externe. A la jam
. Nerf maxillaire szcpéie2l ? - On prolonge verticalement le bord
postérieur
toujours nettement perceptible de l'apophyse orbi
l dentaire infé- rieur il son orifice spixienne et le canal palatin
postérieur
; 5" le groupe profond, qui comprend le trou ova
eure par une aiguille recourbée, de même l'orifice du canal palatin
postérieur
. On anesthésie superficiellement la peau et le
traversant la boule graisseuse de tiicbat. en arrière ! de la face
postérieure
de l'os maxillaire supérieur, pour arriver dans
illimètres au des- sous du trou ovale (qui se trouve il la partie
postérieure
de la base de l'apophyse ptérygoïde). L'aiguill
nt de repère profond qui nous a paru le plus fidèle est le bord
postérieur
de l'apo- physe ptérygoïde. L'aiguille doit b
ngo-vasculaires ou de l'intégrité de la zone d'en- trée des racines
postérieures
, des bandelettes externes de Charcot et Pierret
étiques : ces phénomènes sont l'expres- sion de lésions des cordons
postérieurs
. Bruhl a pu chez un malade observer d'un côté l
, comme dans les tumeurs de l'encéphale, dégénérescence des racines
postérieures
de la moelle, peut-être l'abolition des réflexes
ue ces affections sont caractéri- sées par une sclérose des cordons
postérieurs
et par une sclérose des cor- dons latéraux. (C'
abes quand il existe ' des lésions de sclérose combinée des cordons
postérieurs
et des cordons latéraux : c'est là un des éléme
es de Char- col et Pierre ! . Celte zone est limitée par les cornes
postérieures
en dehors et en dedans par une ligne parallèle
res en dehors et en dedans par une ligne parallèle au sillon médian
postérieur
et amenée du coude de la corne postérieure vers
arallèle au sillon médian postérieur et amenée du coude de la corne
postérieure
vers le bord postérieur de la moelle. Si nous c
postérieur et amenée du coude de la corne postérieure vers le bord
postérieur
de la moelle. Si nous conservons comme exemple
. Là, elle est transmise à une ou plusieurs des cellules des cornes
postérieures
par les fibres unissant ces cellules avec les cet
endon rotulien; 2° Le nerf périphérique centrifuge : 5° Le cordon
postérieur
de la moelle; 4" La substance muse médullaire :
Ipux rotulien, par névrite périphérique, par lésion des cordons
postérieurs
de la moelle comme dans le tabès, par des lés
les noyaux gris centraux ou dans le domaine de l'artère cérébrale'
postérieure
. Les malades perdent inconsciemment les urines
reposant sur le sol pur la pointe de ses souliers et les deux pieds
postérieurs
de la [MOUTIER.] 508 PARAPLÉGIE. ? chaise.
e la réflectivité et phénomène de Strmnpeu. La sclérose des cordons
postérieurs
détermine une certaine titubation, un degré très
-à-dire par des troubles de la sensibi- lité des régions externe et
postérieure
du membre inférieur avec parti- cipation de la
e parésie des fessiers (rotation en dehors du membre) . des muscles
postérieurs
de la cuisse (flexion de la jambe) et du groupe a
humérus en avant et en dedans jusqu'il l'horizontale, les faisceaux
postérieurs
por- tent l'humérus en arrière, mais amènent un
ar les faisceaux antérieurs et celle déter- minée par les faisceaux
postérieurs
. Quand tous les faisceaux du muscle se contract
muscles sous-épineux et petit rond qui forment le rotateur humerai
postérieur
de I)uchenne. Le sous-scapulaire est adducteur du
muscle se fusionnent. En bas le tendon terminal s'insère à la face
postérieure
de la tubérosité bicipitale du radius. Du côté
aponévrose intenl1us- culaire externe, et sur la portion de la face
postérieure
de l'humérus située au-dessus de la gouttière d
ion. Le ten- don inférieur terminal du triceps s'insère sur la face
postérieure
de l'olécrane et sur ses bords latéraux. Inne
t pas cette action qui, d'après lui, n'appartiendrait qu'au cubital
postérieur
; il fait remarquer qu'on ne peut guère s'expliq
fléchisseur superficiel et. finalement, s'insèrent sur l'extrémité
postérieure
de la troisième phalange des quatre derniers do
es epitrochteens. Le tendon terminal se fixe en bas sur 1 extrémité
postérieure
de la phalange unguéale du pouce. Innervation ?
endon qui lui est commun avec les muscles superficiels de la région
postérieure
de l'avant- bras, sur une forte aponévrose situ
ieure de l'avant- bras, sur une forte aponévrose située sur sa face
postérieure
, sur le liga- ment latéral externe de l'articul
enseur commun des doigts. En bas, le tendon s'insère sur l'apophyse
postérieure
de la base du troisième métacarpien. Innervatio
EUR. 551 autres extenseurs, le premier radial externe et le cubital
postérieur
; le premier radial externe étant un extenseur a
sur le quart supérieur du bord externe du cubitus, sur la par- tie
postérieure
du ligament annulaire de l'articulation radio-cub
ipal agent de ce mouvement de l'avant- bras.* las." .^H| Région
postérieure
de l'avant-bras. La région postérieure de l'ava
bras.* las." .^H| Région postérieure de l'avant-bras. La région
postérieure
de l'avant-bras comprend huit muscles qui for-
ur commun des doigts, l'extenseur propre du petit doigt, le cubital
postérieur
, l'anconé. La couche profonde se compose égale-
tions. L'extenseur commun des doigts s'in- sère en haut sur la face
postérieure
de l'épicondyle, sur la face profonde de l'apon
ne et deux latérales. La languette médiane s'insère sur l'extrémité
postérieure
de la deuxième phalange, les deux languettes la
ttes latérales, après s'être fusionnées, s'insèrent sur l'extrémité
postérieure
de la troisième phalange. L'extenseur propre du
fléchir la première phalange et étendre les deux autres. Cubital
postérieur
. Insertions. Le cubital postérieur in- sère en
étendre les deux autres. Cubital postérieur. Insertions. Le cubital
postérieur
in- sère en haut sur l'épicondyle. sur la face
opre du petit doigt en dehors et de l'anconé en dedans, sur la face
postérieure
et le bord postérieur du cubitus. En bas, le te
dehors et de l'anconé en dedans, sur la face postérieure et le bord
postérieur
du cubitus. En bas, le tendon du muscle s'insère
métacarpien. Innervation. Nerf radial. ' Physiologie. Le cubital
postérieur
es) un extenseur et un adduc- teur de la main;
edans. Anconé. insertions.t/ancone s'insère en haut sur la partie
postérieure
et interne de l'épicondyle, il se porte en bas et
t sur une petite surface triangulaire que limite en arrière le bord
postérieur
du cubitus. Innervation. L'anconé reçoit son in
sertions. Le long abduc- teur du pouce s'insère en haut sur la face
postérieure
du cubitus, du ligament interosseux du radius.
ius. En bas, le tendon se fixe sur la partie externe de l'extrémité
postérieure
du premier métacarpien. Innervation. Nerf radia
ertions. Le court exten- seur du pouce s'insère en haut sur la face
postérieure
du ligament inter- osseux et des deux os de l'a
incipalement du cubitus. En bas, le tendon s'insère sur l'extrémité
postérieure
de la première phalange du pouce. Innervation
Insertions. Le long extenseur du pouce s'insère en haut sur la face
postérieure
, du cuhitus et du liga- ment interosseux, en ha
re, du cuhitus et du liga- ment interosseux, en has sur l'extrémité
postérieure
de la deuxième pha- lange du pouce. Innervati
ertions. L'extenseur propre de l'index s'insère en haut sur la face
postérieure
du cubitus et sur le ligament interosseux, en b
cette face, mais sur sa moitié antérieure seulement, car la moitié
postérieure
donne naissance à l'interosseux dorsal correspo
lus reculée, sur la MUSCLES DU MEMBRE INFERIEUR. mis ligne courbe
postérieure
de l'os coxal et sur la surface osseuse située en
use située en arrière de cette ligne, sur le ligament sacro-iliaque
postérieur
, sur l'apo- névrose lombaire, sur la crête du s
, sa rotation en dedans et un léger degré de flexion. Les faisceaux
postérieurs
du muscle sont obliques en bas et en avant, ils
il sa face antérieure, mais aussi par quelques faisceaux à sa face
postérieure
. En dehors, le tendon du muscle s'insère dans l
e crête, sur la ligne il peu près verticale qui l'ait suite au bord
postérieur
du grand trochanter. Innervation. Hameau issu d
se en trois faisceaux : le faisceau descendant se fixe il la partie
postérieure
de la tubérosité interne du tibia; le faisceau
alement le pied sur la jambe. Il faut noter aussi que les ligaments
postérieurs
de l'articulation du genou se distendent, car l
don du muscle s'insère sur le premier cunéiforme et sur l'extrémité
postérieure
du premier métatarsien . , Innervation. Nerf
té avant sa bifurcation. Poirier dit qu'il reçoit aussi par sa face
postérieure
de petits rameaux du tibial pos- térieur qui tr
ne et deux latérales. La languette médiane s'insère sur l'extrémité
postérieure
de la deuxième phalange, les deux languettes la
érales se fusionnent ensemble et viennent se ter- miner sur la face
postérieure
de la troisième phalange. , Innervation. L'exte
rieure du pied. Il s'insère sur le tubercule externe de l'extrémité
postérieure
. du premier métatarsien, envoie le plus souvent
ne, croise la face externe du calcanéum et s'insère sur l'extrémité
postérieure
du cinquième métatarsien. Innervation. Nerf i
ion forcée, alors il le ramène dans la position moyenne. I Région
postérieure
. Triceps sural. Insertions. Le triceps sural es
mmun, le tendon d'Achille. Le jumeau externe s'insère sur la partie
postérieure
du condyle externe, le jumeau interne sur la part
sur la partie postéro- interne de la tète du péroné, sur la moitié
postérieure
de son bord externe, sur le tiers supérieur de
postérieure de son bord externe, sur le tiers supérieur de sa face
postérieure
, puis sur la ligne oblique du tibia immédiateme
'Achille, lequel vient se hxel' sur la moitié inférieure de la face
postérieure
du calcanéum. Innervation. Les deux jumeaux son
ameaux du sciatique poplité interne et par un rameau issu du tibial
postérieur
. [G. GUILLAIN.] 550 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE.
, Poplité. Insertions. Le poplité s'insère en haut sur la partie
postérieure
et externe du condyle externe, il contracte aussi
-INFÉRIEUR. 551 oblique du tibia et sur toute la portion de la face
postérieure
de cet os située -au-dessus de cette ligne. 1
sciatique poplité interne et rameau accessoire issu du nerf tibial
postérieur
. '. . Physiologie. - Le poplité fléchit avec pe
érieure de la ligne oblique du tibia, sur le tiers moyen de la face
postérieure
de cet os; sur la cloison fibreuse qui le sépar
érieure de cet os; sur la cloison fibreuse qui le sépare du jambier
postérieur
. Le tendon du muscle à la région plan- taire re
sseur profond ou perforant des doigts et s'insèrent sur l'extrémité
postérieure
de la troisième phalange. , Innervation. Nerf t
postérieure de la troisième phalange. , Innervation. Nerf tibial
postérieur
. Physiologie. Le long fléchisseur commun des or
s orteil s'insère .en haut sur les deux tiers inférieurs de la face
postérieure
du péroné, sur la partie inférieure du ligament i
pérdniers latéraux. Le tendon du muscle se termine sur l'extrémité
postérieure
de la deuxième phalange du gros orteil. Dans la
opre donnée au muscle consacre une erreur. Innervation. Nerf tibial
postérieur
. Physiologie. Le long fléchisseur propre du gro
vait que peu d'action sur l'articulation tibio-tarsienne. - Jambier
postérieur
. Insertions. Le jambier postérieur [G. GUILLAIN
ation tibio-tarsienne. - Jambier postérieur. Insertions. Le jambier
postérieur
[G. GUILLAIN.] 55'2 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE.
IE MUSCULAIRE. s'insère en haut sur la ligne oblique et sur la face
postérieure
du tibia au-dessous et en dehors du fléchisseur
séparent des deux longs fléchisseurs. En bas, le tendon du jambier
postérieur
se termine sur le tubercule du scaphoïde en envoy
éiformes et aux trois métatarsiens moyens. Innervation. Nerf tibial
postérieur
. Il reçoit aussi un rameau venu du sciatique po
rameau venu du sciatique poplité interne. Physiologie. Le jambier
postérieur
est faiblement extenseur du pied sur la jambe.
pied est a peine plus élevé que l'externe. La paralysie du jambier
postérieur
a pour con- séquence un pied bot valgus. MUSC
ine par quatre tendons : le premier tendon s'insère sur l'extrémité
postérieure
de la première phalange du gros orteil, les tro
s. L'adducteur du gros orteil s'insère en arrière sur la tubérosité
postérieure
et interne du culcané«In, sur la partie inférie
ndon terminal du muselé s'insère sur le côté interne de l'extrémité
postérieure
de la première phalange du gros orteil en envoyan
du troisième cunéiforme, l'au- tre sur le tendon terminal dujambier
postérieur
. En avant existent deux tendons terminaux, le t
cteur du gros orteil et s'insère sur le côté interne de l'extrémité
postérieure
de la première phalange du gros orteil, le tend
blique) s'insère sur la face inférieure du cuboïde, sur l'extrémité
postérieure
des 5'' et 4" métatarsiens, sur la gaine fibreuse
endon terminal du muscle se fixe sur le côté externe de l'extrémité
postérieure
de la première phalange du gros orteil; il envo
envoie généralement une expansion fibreuse ou charnue à l'extrémité
postérieure
du. cinquième métatarsien. Innervation. Nerf pl
gaine du long péronier latéral en avant du cuboïde, sur l'extrémité
postérieure
du cinquième métatarsien. En avant il se fixe s
arsien. En avant il se fixe sur la partie inférieure de l'extrémité
postérieure
de la première phalange du petit orteil. Inne
teil. Insertions. L'opposant du petit orteil confond ses insertions
postérieures
avec celles du court fléchisseur; en avant il s
les quatre tendons du long fléchisseur, s'insèrent sur l'extrémité
postérieure
de la deuxième phalange des quatre orteils exte
orteils et se fixent d'une part sur le côté interne de l'extrémité
postérieure
de la première phalange, d'au- tre part sur le
ançais décrivent deux scalènes : le scalène antérieur et le scalène
postérieur
; les auteurs alle- mands et anglais divisent le
postérieur; les auteurs alle- mands et anglais divisent le scalène
postérieur
en deux portions : l'une antérieure ou scalène
rieur en deux portions : l'une antérieure ou scalène moyen, l'autre
postérieure
ou scalène postérieur. Le scalène antérieur naî
: l'une antérieure ou scalène moyen, l'autre postérieure ou scalène
postérieur
. Le scalène antérieur naît en haut des tubercul
supérieure de la première côte (tubercule de Lisfranc). Le scalène
postérieur
s'insère en haut sur les tubercules posté- rieu
nches antérieures des 5e, '4", 5" et 6" nerfs cervicaux. Le scalène
postérieur
reçoit ses filets nerveux des branches postérieur
icaux. Le scalène postérieur reçoit ses filets nerveux des branches
postérieures
des nerfs cervicaux (Testut). Poirier, au sujet
s cervicaux (Testut). Poirier, au sujet de l'innervation du scalène
postérieur
, écrit : «Les scalènes moyen et postérieur sont i
l'innervation du scalène postérieur, écrit : «Les scalènes moyen et
postérieur
sont innervés par les branches antérieures des
mité interne de la clavicule et sur le ligament sterno-claviculaire
postérieur
, quelques faisceaux prennent insertion sur le s
ar un tendon intermédiaire en deux ventres, l'un antérieur, l'autre
postérieur
. Le ventre postérieur s'insère en arrière sur l
aire en deux ventres, l'un antérieur, l'autre postérieur. Le ventre
postérieur
s'insère en arrière sur le bord supérieur de l'
n. - Insertions. Le sterno-thyroïdien s'in- sère en bas sur la face
postérieure
du sternum jusqu'à la ligne médiane et sur la f
face postérieure du sternum jusqu'à la ligne médiane et sur la face
postérieure
du premier cartilage costal. En haut-, il prend
ement du maxillaire inférieur. Digastrique. Insertions. Le ventre
postérieur
du muscle digas- trioue s'insère, sur le côté i
ossette spéciale en dehors de la symphyse. Innervation. Le ventre
postérieur
du digastrique est innervé par un rameau du fac
ant son point fixe sur l'os hyoïde abaisse le maxillaire. Le ventre
postérieur
en prenant son point fixe sur le crâne attire t
t dite. Le creux de l'aisselle est profondé- ment modifié, sa paroi
postérieure
disparait peu près complètement et se place sur
a forme d'une Sa boucles très allongées; rétrécissement de la paroi
postérieure
; dilatation générale de la cage thoracique avec
es situés en arrière des intercostaux externes, entre l'extré- mité
postérieure
des côtes et l'apophyse iransverse des vertèbres-
sont situés dans le thorax entre la plèvre pariétale et l'extrémité
postérieure
des intercostaux internes. Ils s'insèrent sur l
interne et le bord supérieur des six dernières côtes. Les faisceaux
postérieurs
ou lombaires se détachent de la partie postérieur
s. Les faisceaux postérieurs ou lombaires se détachent de la partie
postérieure
du trèfle aponévrotique, leur insertion termina
zontaux, ses faisceaux moyens obliques, ses faisceaux inférieurs ou
postérieurs
verticaux. En bas les libres les plus inférieur
ou ses trois quarts antérieurs, puis sur une aponévrose (aponévrose
postérieure
du petit oblique) qui se fusionne avec l'aponév
l'intermédiaire d'une large aponévrose d'inser- tion, l'aponévrose
postérieure
du transverse. En avant l'aponévrose anté- rieu
ses de ces vertèbres. En bas le tendon du muscle s'insère à la face
postérieure
du petit trochanter. La portion iliaque du musc
inent sur la face externe du tendon du psoas qui s'insère à la face
postérieure
du petit trochanter. Quelques faisceaux formant
. GUILLAIN.] S70 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. VI. MUSCLES DE LA RÉGION
POSTÉRIEURE
DU TRONC ET DU COU MUSCLES SUPERFICIELS DE LA
), sur la protubérance occipitale externe, sur le ligament cervical
postérieur
, lequel s'étend de la protubérance occipitale e
en bas et en dehors viennent s'insérer sur le tiers externe du bord
postérieur
de la clavicule. Les faisceaux moyens, qui sont
moyens, qui sont plus ou moins transversaux, s'insèrent sur le bord
postérieur
de l'acru- mion et sur la lèvre supérieure du b
bord postérieur de l'acru- mion et sur la lèvre supérieure du bord
postérieur
de l'épine de l'omo- plate dans toute son étend
e trapèze se contracte bitatératement, la tête MUSCLES DE LA RÉGION
POSTÉRIEURE
DU TRONC ET DU COU. 571 est portée directement
ents surépineux corres- pondants, sur la crête sacrée, sur le tiers
postérieur
et sur la lèvre externe de la crête iliaque, su
e s'insère sur l'apophyse transverse de l'atlas, sur les tubercules
postérieurs
des apophyses transverses des trois ou quatre ver
que de l'omoplate, car le rhomboïde peut le suppléer. Petit dentelé
postérieur
et supérieur. Insertions. Le petit dentelé post
Petit dentelé postérieur et supérieur. Insertions. Le petit dentelé
postérieur
et supérieur s'insère en dedans sur la partie i
evrait un rameau de la branche du rhomboïde. MUSCLES DE LA RÉGION
POSTÉRIEURE
DU TRONC ET DU COU. 373 Physiologie. - Le petit
POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU. 373 Physiologie. - Le petit dentelé
postérieur
et supérieur élève les côtes, est par conséquen
ur élève les côtes, est par conséquent inspirateur. Petit dentelé
postérieur
et inférieur. Insertions. Le petit dentelé post
Petit dentelé postérieur et inférieur. Insertions. Le petit dentelé
postérieur
et inférieur s'insère sur les apophyses épineuses
un rameau du nerf du grand dorsal. Physiologie. Le petit dentelé
postérieur
et inférieur, en raison de son obliquité, attir
on inspiratrice du dia- phragme. A ce double titre le petit dentelé
postérieur
et inférieur est comme le supérieur, un muscle
nius s'insère en dedans sur le tiers inférieur du ligament cervical
postérieur
, sur les apophyses épineuses de la septième cer
yses trans- verses de l'atlas et de l'axis. Innervation. Branches
postérieures
des nerfs cervicaux et grand nerf occipital.
al. Le muscle reçoit aussi des 1¡leh nerveux provenant des branches
postérieures
des troisième, qua- trième et cinquième nerfs c
les et souvent de la première vertèbre dorsale, en haut sur le bord
postérieur
et le sommet de l'apophyse mastoïde. Innervatio
l'apophyse mastoïde. Innervation. Grand nerf occipital et branches
postérieures
des trois ou quatre nerfs cervicaux sous-jacent
lui-ci s'insère, par de nouvelles digitalions, sur les tuber- cules
postérieurs
des apophyses transverses des cinq dernières cerv
physes transverses de l'atlas et de l'axis. Innervation. Branches
postérieures
des derniers nerfs cervicaux et des premiers ne
étend la colonne cervicale et l'incline latéralement. Grand droit
postérieur
de la tête. Insertions. Le grand droit postérie
nt. Grand droit postérieur de la tête. Insertions. Le grand droit
postérieur
de la tète s'insère d'une part sur le sommet de
est au-dessous de la ligne courbe inférieure. Innervation. Branche
postérieure
du premier nerf cervical. Physiologie. Le grand
e postérieure du premier nerf cervical. Physiologie. Le grand droit
postérieur
de la tête étend la tête. l'incline, latéraleme
nt bitatéraicmeru, ils renversent la tète en arrière. Petit droit
postérieur
de la tête. Insertions. Le 1H'lil droit postéri
e. Petit droit postérieur de la tête. Insertions. Le 1H'lil droit
postérieur
de la tête s'insère d'une part sur le tubercule p
il droit postérieur de la tête s'insère d'une part sur le tubercule
postérieur
de l'atlas, d'autre part sur l'empreinte rugueu
ieure de l'occipital en dedans du grand droit. Innervation. Branche
postérieure
du premier nerf cervical. Physiologie. Le petit
e postérieure du premier nerf cervical. Physiologie. Le petit droit
postérieur
de la tête est un extenseur de la tète. MUSCL
ieur de la tête est un extenseur de la tète. MUSCLES DE LA RÉGION
POSTÉRIEURE
DU TRONC ET DU COU. 575 Grand oblique ou obliqu
e l'axis, il se porte en haut et en dehors et se fixe sur la partie
postérieure
et inférieure de l'apophyse transverse de l'atl
érieure de l'apophyse transverse de l'atlas. Innervation. Branche
postérieure
du premier nerf cervical et branche postérieure
nnervation. Branche postérieure du premier nerf cervical et branche
postérieure
de deuxième nerf grand occipital. Physiologie.
de l'insertion supé- rieure du grand droit. Innervation. Branche
postérieure
du premier nerf cervical. Physiologie. Le petit
ières vertèbres, lombaires, sur la crête sacrée, sur les tubercules
postérieurs
du sacrum, sur le grand ligament sacra-sciatiqu
sacra-sciatique, sur la tubérosité ischia- tique, sur le cinquième
postérieur
de la crète iliaque. L'aponévrose d'insertion d
en largeur l'intervalle compris «mire la crête sacrée et la partie
postérieure
de la crête iliaque, s'étend en hauteur du somm
ers sur l'angle des douze côtes, les cinq autres sur les tubercules
postérieurs
des apophyses transverses des cinq der- nières
nsèrent sur le sommet et le bord supérieur des MUSCLES DE LA RÉGION
POSTÉRIEURE
DU TRONC ET DU COU. 577 apophyses transverses d
mologues des apophyses Iransverses, à la région dorsale sur la face
postérieure
des apophyses transverses, à la région cervical
cles des gouttières vertébrales sont tous innervés par les branches
postérieures
des nerfs rachidiens. Physiologie. Les muscles
n mouve- ment de bascule du bassin, les apophyses dorsales les plus
postérieures
sont ramenées suffisamment en avant pour que la
son ! au nombre de deux pour chaque espace, l'un antérieur, l'autre
postérieur
. Ils s'insi- rent en haut sur le bord inférieur
xe sur la lèvre antérieure de cette gouttière, l'intertransversaire
postérieur
sur la lèvre postérieure. Les intertransversair
re de cette gouttière, l'intertransversaire postérieur sur la lèvre
postérieure
. Les intertransversaires du clos sont formes pa
ses de l'axis et de la troisième cervicale. Innervation. Branches
postérieures
des nerfs raehidiens. Physiologie. Les muscles
physes épineuses des deux vertèbres voisines. Innervation. Branches
postérieures
des nerfs rachidiens. Physiologie. Les intcrepi
vertébrale. MUSCLES DU COCCYX Ischio-coccygien, sacro-coccygien
postérieur
, sacro- coccygien antérieur. Insertions. Les mu
chio-coccyyien s'étend de l'is- chion au coccyx. Le sacro-coccygien
postérieur
s'insère en haut sur la face postérieure des de
coccyx. Le sacro-coccygien postérieur s'insère en haut sur la face
postérieure
des dernières vertèbres sacrées ou sur l'épine il
épine iliaque posléro-inlérieiire, il se termine en bas sur la face
postérieure
des diffé- rents segments du coccyx. Le sacro-c
libres avec celui du côté opposé. Innervation. Le sacro-coccygien
postérieur
est innervé par un filet du plexus sacro-coccyg
exus sacro-coccygien, le sacro-coccygien antérieur par les branches
postérieures
des doux derniers nerfs sacrés et du nerf coccygi
schio-coccygien n'a aucune action sur le coccyx. Le sacro-coccygien
postérieur
porte le coccyx en arrière, il est l'homo- logu
temporale de l'apo- névrose epicranienne, d'autre part par son bord
postérieur
à l'intersection fibreuse qui le sépare de l'au
qui limite en avant cette fossette (Charpy). Le muscle auriculaire
postérieur
, muscle en forme de languette, est dirige horiz
aut. L'auriculaire supérieur est un élévateur direct, l'auriculaire
postérieur
lire le pavillon en arrière. Tous ces muscles s
nté, contracter légèrement l'auriculaire supérieur et l'auriculaire
postérieur
; . [G GUILLAIN,] 582 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE.
e portent en haut et en avant et viennent se ter- miner sur le bord
postérieur
de l'aponévrose epicranienne, les faisceaux les
vers le pavillon de l'oreille et s'étendent parfois jusqu'à la face
postérieure
de la conque. Le muscle frontal naît en haut su
ontal conjointement avec l'occipital produit les mouvements antéro-
postérieurs
du cuir chevelu. Ces mouvements, qui sont très ma
fixent à la face profonde des téguments de la région, ses faisceaux
postérieurs
se continuent avec les faisceaux externes du my
sertions. La dilatateur des narines s'insère en arrière sur le bord
postérieur
du cartilage de 1 aile du nez et sur la partie
internes s'insèrent à la sous-cloison, les fibres moyennes au bord
postérieur
du cartilage de l'aile du nez, les libres exter
ternes contournent ce cartilage et se continuent avec les faisceaux
postérieurs
du transverse. , Innervation. Nerf facial. Ph
aisceaux : des faisceaux internes s'iuserant à la peau de la partie
postérieure
de l'aile du nez, des faisceaux externes obliquan
laire qui s'étend du crochet de l'apophyse ptérygoïde à l'extrémité
postérieure
du bord alvéolaire du maxillaire. Les faisceaux d
poral profond antérieur, temporal profond moyen et temporal profond
postérieur
, trois branches du maxillaire inférieur. Physio
iologie. Le temporal élève le maxillaire inférieur. Ses fais- ceaux
postérieurs
à direction horizontale attirent le condyle en ar
-bras empiétant en avant et en arrière sur les faces antérieures et
postérieures
correspondantes (cinquième et sixième cervicale
rme). L anesthésie peut remonter plus haut sur la région externe et
postérieure
du bras, mais, il la région interne, la sensibili
rs de la gaine durale, témoignage certain de distension radiculaire
postérieure
. Le tronc d'union des racines peut s'aplatir su
onge-t-on la traction, les racines antérieures se rompent avant les
postérieures
; elles se rompent seules souvent. Aussi compren
trice, et que dans . LES PARALYSIES RADICULAIRES. CI9 les racines
postérieures
il y ait seulement une inhibition passagère par
violent, amène des lésions réparables ou non réparables des racines
postérieures
. Dans les paralysies radiculaires traumatiques
est possible que les lésions portent principalement sur les racines
postérieures
. Enfin, aux symptômes d'ori- gine radiculaire,
a face (tortura facici des anciens), le côté sain situé sur un plan
postérieur
au côté malade est souvent considéré au premier a
es, car la gustation des substances amères se fait dans les parties
postérieures
de la langue. L'hyperacousie douloureuse est fr
il la partie inférieure du canal de Fallope, la branche auriculaire
postérieure
se rendant aux muscles peau- ciers de l'oreille
. qui est assez fré- quente, occupe une grande partie de. la région
postérieure
de l'épaule et le bord externe du bras jusqu'à
téralité de la main ne peuvent, plus se faire (paralysie du cubital
postérieur
et du premier radial externe). La flexion des d
terne, la moitié de la face antérieure et les deux tiers de la face
postérieure
de la jambe. La paralysie du sciatique poplité
interne a pour conséquence la para- lysie des muscles de la région
postérieure
de la jambe et des muscles de la plante du pied
l'accélérai ion respiratoire. C58 TROUBLES DU LARYNX. w au noyau
postérieur
du pneumogastrique, lés autres fibres motrices de
condensent en troncs nerveux et se dirigent vers le trou déchiré
postérieur
avant lequel le . spinal s'accole à sa branch
t arrivent dans l'espace latéro-pharyngien (espace sous-glandulaire
postérieur
de Sebileau). Le pneumogastrique et le spinal s
st que le pneumogastrique, immédiatement au-dessous du trou déchiré
postérieur
présente le ganglion plexiforme qui reçoit à sa
acq, corps quadrijumeaux antérieurs; pcq., corps quadri- jumeaux
postérieurs
; es, calamus scriplorius ; ac, aile grise. Zo
du récurrent sur 17 cas el 5 fois la paralysie du crico-aryténomicn
postérieur
, Ivanoff, sur tO cas personnels, a vu souvent l
cas. n'a vu que 2 paralysies récurrcntielles pour 14 paralysies du
postérieur
; Rôrner et Sebla, sur 48 cas, notent 3 ! ) para
postérieur; Rôrner et Sebla, sur 48 cas, notent 3 ! ) paralysies du
postérieur
pour 9 paralysies récurrentielles. Il est don
mprimeront le vago-spinal avant son engagement dans le trou déchiré
postérieur
: ce sont le plus souvent les fumeurs malignes, q
anoll' (1). C'est un aplatissement de l'occipital tel que la partie
postérieure
de la tète rejoint à angle droit la partie supéri
tête paraît carrée ; la protubérance occipitale s'efface et la face
postérieure
du crâne se continue en ligne presque verticale
fléchisseurs : triceps sural, quadriceps crural, muscles de la face
postérieure
de la cuisse, fessiers. Les muscles sacro-lomba
tre atteint dans son tiers inférieur, mais les muscles de la région
postérieure
restent indemnes et l'atrophie ne remonte jamai
'une altération des nerfs, une dégé- nération prononcée des cordons
postérieurs
. L'atrophie des nerfs optiques a été signalée j
névrite interstitielle et parenchymateuse) et de la moelle (cordons
postérieurs
, cellules radiculaires antérieures) que Dejerin
lle et de ses enveloppes sont, atteintes (cordons latéraux, cordons
postérieurs
, méninges, etc.) : l'amyotrophie Aran-Duchenne es
l'origine du tabès par sa localisation sur la méninge et le cordon
postérieurs
(P. Marie et Guillain), de l'atrophie musculaire
arition d'une atrophie réflexe par la section préalable des racines
postérieures
. Cette opinion, à peu près uni- versellement ad
dans In domaine du nerf scia- tique, fessiers, muscles de la région
postérieure
de la cuisse et tous les muscles de la jambe; p
nsitivo-lnoteurs variables suivant la ou les racines antérieures ou
postérieures
atteintes. Leur cause est dans les tractions ou é
ues de ces auteurs et sur les sec- tions expérimentales des racines
postérieures
pratiquées par Claude Bernard, Longet, Van De
cause que les troubles sensitifs, à savoir la sclérose des cordons
postérieurs
; elle peut être aussi expérimentalement provoquée
t être aussi expérimentalement provoquée par la section des racines
postérieures
(Cyon, Tchirjew, Aurep), elle est peut-être sou
du faisceau pyramidal, un signe de la sclérose combinée des cordons
postérieurs
et latéraux, comme le sont les paraplégies plus
onnaître pour cause principale la lésion des racines et des cordons
postérieurs
. Mais l'ataxie, incoordination d'origine sensit
bservera ainsi des ataxies par lésions non tabéti- ques des cordons
postérieurs
, des ataxies par lésions des nerfs périphé- riq
cause ne réside pas toujours uniquement dans la lésion des cordons
postérieurs
; dans le tabes, maladie générale du système ner
ns les plus diverses peuvent résulter soit de la lésion des cordons
postérieurs
mêmes (lésion des faisceaux cérébelleux directs
eaux cérébelleux directs en relation avec les fibres radi- culaires
postérieures
par l'intermédiaire de la colonne de Clarke), soi
ocive sur le premier neurone sensitif, c'est-à-dire sur les cordons
postérieurs
et sur les nerfs sensitifs périphériques : elle
pouvoir envahir simultanément les nerfs périphériques, les racines
postérieures
, les cordons postérieurs et en même temps d'aut
ment les nerfs périphériques, les racines postérieures, les cordons
postérieurs
et en même temps d'autres faisceaux de la moell
out dans la moelle soit les cordons latéraux soit, dans les cordons
postérieurs
, les faisceaux endogènes à l'exclusion des fibr
minent de préférence une lésion des fibres radiculaires des cordons
postérieurs
: ce sont celles qui provoquent les pseudo-tabe
provoquent ou non, en même temps qu'une lésion des voies sensitives
postérieures
, une altération des voies motrices latérales, e
uteurs (Rosenstein, Mvière, Auché, etc.), la sclérose des cor- dons
postérieurs
ayant été reconnue par d'autres auteurs (Sandmeye
ucoup la cause la plus fréquente de l'ataxie par lésion des cordons
postérieurs
, car elle est la cause, déterminante ou prédisp
prépondé- rant dans la genèse de la sclérose tabétique des cordons
postérieurs
); dans ce cas, les symptômes oculaires font déf
'incoordina- tions et de quelques symptômes de sclérose des cordons
postérieurs
: il s'agit dans ce cas, pour certains auteurs,
rombose ou embolie, d'origine sénile ou syphilitique, des vaisseaux
postérieurs
de la moelle; son développement durerait de à l
s périphériques sensitifs, mais une lésion plus durable des cordons
postérieurs
. N 4. Ataxie dans les lésions bulbo-protubérant
clérose labyrinthique, indépendamment de toute lésion des cor- dons
postérieurs
(Collet), et Bonnier pense même que le signe de R
inée de la moelle à laquelle prennent part il la fois les cor- dons
postérieurs
et les cordons latéraux, et. notamment dans ceux-
rophie de la substance grise, la dégénération partielle des cordons
postérieurs
, des colonnes de Clarke, des faisceaux de Gowers
ies sensitives (nerfs périphériques, racines médullaires et cordons
postérieurs
) ; aussi elle présente les earacteresde l'ataxi
voies sensifivesousen- sorielles) : a) Moelle (racines et cordons
postérieurs
) : " INCOORDINATIONS. 785 d) Cerveau : Ulli
orps, plus particulièrement aux muscles des mollets, et à la partie
postérieure
des cuisses, et par la suite aux muscles des me
et, on a pensé que le siège de ces lésions était plutôt à la partie
postérieure
de la capsule interne; cependant les travaux d'
s la flexion du genou, de faire toucher, avec les talons, la partie
postérieure
de la cuisse et de la fesse. L'hypotonie des
avec résection de l'articulation malade, la faradisation du tibial
postérieur
, l'élongation des filets nerveux à distance des
ter permet l'incursion spontanée des micro-organismes dans l'urètre
postérieur
et la' vessie. Mais la cause principale de l'infe
, bosselée et sensible; à l'aide d'une pression modérée sur sa face
postérieure
on expulse du liquide, tandis 'qu'en agissant d
masse dans la paralysie des pérista- phylins ; l'arc de ses piliers
postérieurs
est agrandi dans celle des palato- staphylins.
et l'auriculaire d'autre part; l'annulaire est souvent sur un plan
postérieur
au médius et à l'auriculaire et en partie recou
adial, ni vers le côté cubital par suite de la paralysie du cubital
postérieur
. Le pouce ne peut être porté en dehors par suit
opagation aux cornes antérieures du processus de rnéningo-myélitc
postérieure
syphilitique, qui consti- tue le tabès, qu'à un
in direct. Les principaux muscles rotateurs du pied sont le jambier
postérieur
et le court péronier latéral. Le jambier postér
sont le jambier postérieur et le court péronier latéral. Le jambier
postérieur
porte le pied en adduction et rotation interne,
uscles fléchisseurs ou extenseurs. La contracture isolée du jambier
postérieur
détermine un varus direct, celle du court péronie
un pied-bot équin, généralement peu prononcé parce que les muscles
postérieurs
de la jambe sont presque toujours touchés à un
en général avec le milieu du D. frontal minimum. Mais le D. ophryo-
postérieur
n'est pas un antéro-postérieur maximum. Nous pren
ger de place la branche de l'instrument qui touche le point maximum
postérieur
, on détache l'autre de la glahelle, et on la re
en évidence les variations relatives du crâne antérieur et du crâne
postérieur
. Nous signalerons particulièrement qu'il est plus
gnathisme et le ressaut lambdoïdien que le palper décèle à la voûte
postérieure
du crâne. Les diamètres de cette voûte varient
rident (P. Marie). L'annulaire est en même temps sur un plan un peu
postérieur
aux - autres doigts. - Les mêmes caractères s
antérieur au malaire gauche. De même, l'oeil gauche est sur un plan
postérieur
à l'oeil droit; il est aussi plus allongé, plus
ut retrouver les adénopathies : c'est surtout à la région cervicale
postérieure
, au niveau de l'aine, au niveau des aisselles que
cet élargissement;; qui porte surtout, d'après : lui, 'sur la partie
postérieure
: celle-ci s'agrandit et s'excaye dans le sens
utres auteurs suivant les aspects présentés par la selle, sa partie
postérieure
ou son orifice supérieur : l'appréciation de ces
vaise ossification ; au niveau du bassin un aplatissement antéro-
postérieur
; au niveau des membres des os grêles, fréquemm
par exemple sur l'une des régions suivantes : slernale, cervi- cale
postérieure
, dorsale, lombaire ou sacrée), de manière que, si
au-devant de l'oreille; 22. Nerf facial (tronc); 23. Nerf auriculaire
postérieur
: 24. Branches faciales moyennes; 25. Branche f
dduc- teur du pouce. 11. Points moteurs du membre supérieur (face
postérieure
). -1. Deltoïde (partie postérieure) ; 2. Nerf r
moteurs du membre supérieur (face postérieure). -1. Deltoïde (partie
postérieure
) ; 2. Nerf radial; 5. Brachial antérieur; 4. Lo
on); z 15. Tri- ceps brachial (vaste externe); - 14. Muscle cubital
postérieur
; 15. Court supinateur;- 16. Extenseur du petit
eur; 11. Vaste externe. B. Points moteurs du membre inférieur (face
postérieure
). -1. \erf sciatique;- 2. Biceps fé- moral (lon
- 14. Soléaire; 15. Fléchisseur commun des orteils; 16. Nerf tibial
postérieur
. C. Points moteurs de la jambe (face anti;ro-es
t dans les myélites systématisées qui ne portent que sur les cornes
postérieures
et sur les faisceaux des cordons blancs, telles
s en avoir retiré de bons résultats, la faradisation du nerf tibial
postérieur
. Nous-mêmes avons obtenu de bons résultats avec
suivant le trajet du gros intestin ; puis on électrise les muscles
postérieurs
du tronc et les quatre membres, en suivant le t
r diviser la dure-mère en deux parties, l'une antérieure et l'autre
postérieure
, que l'on récline afin d'extraire facilement le c
noir et de permettre d'apprécier le degré « d'atrophie des racines
postérieures
dans leur trajet extra et intragan- « glionnair
en, 9127. , Cubital antérieur. Innervation, physio- logie, 527.
postérieur
. Innervation, physiologie, 552. Cyanose congé
0. - droit de l'abdomen. In- nervation, physiologie, 566. - droit
postérieur
de la tête, petit droit posté- rieur de la tète
ysiologie, 578. Ischio-coccygien. sacro-coccygiens anté- rieur et
postérieur
. Innervation, phy- siologie, 579. Isolement d
e de -), (i0. Jambier antérieur. Innervation, physio- logie, 546.
postérieur
. Innervation, physiologie, 551. Jargonaphasie
ysio- logie, 548. - Persécution (Idées de -), 21. Petit dentelé
postérieur
et supérieur. - - et inférieur. Innervation, ph
: intégrité des cordons latéraux et antérieurs, lésion des cordons
postérieurs
exclusivement au niveau des faisceaux de Goll a
s terminales des dendrites et des fibres nerveuses de développement
postérieur
, comme formations moins stables et moins durabl
marquée du côté droit ; le réflexe pharyngien existe ; les muscles
postérieurs
du cou sont affaiblis; on constate dans les muscl
rales du côté droit; 2° une dégénérescence considérable des racines
postérieures
dans la moelle épinière, plus marquée surtout d
rnes des faisceaux de Goll et dans la zone radiculaire des colonnes
postérieures
; 3° un procès inflam- matoire aigu à caractère
ouverte (1811) des fonctions différentes des racines antérieures et
postérieures
; mais la neuropathologie clinique était bien em
us intéresse seule; elle nous montre : 1° la sclérose des faisceaux
postérieurs
de la moelle; 2° des plaques fibreuses d'arachn
clérose multiple disséminée la sclérose des faisceaux médul- laires
postérieurs
alors qu'on lui attribue sans difficulté la scl
nt l'autopsie (obser- vation III, p. 408) : 1° sclérose des cordons
postérieurs
; 2° atrophie du nerf optique gauche; 3° vaissea
t dans le protoneurone sensitif ou centripète de la moelle (cordons
postérieurs
, racines postérieures, ganglions spinaux). Cett
sensitif ou centripète de la moelle (cordons postérieurs, racines
postérieures
, ganglions spinaux). Cette première lésion même
mbiné je l'ai étudié en 1886 et en ai fait une myélite systématisée
postérieure
diffuse antérieure, un exemple d'associations s
onctif. Il trouve doublement inexact le mot de sclérose des cordons
postérieurs
pour le tabes, car, dit-il, « il est certain qu
a consé- quence lointaine de la désorganisation lente des cordons
postérieurs
, et, d'autre part, que le tissu néoformé n'a aucu
nte heures après la mort. 128 RECUEIL DE FAITS. citrin. La partie
postérieure
de la plèvre viscérale droite est recou- verte
ète avec atrophie des épaules et des bras. Sueurs profuses, membres
postérieurs
atteints ultérieurement, mais sans atrophie ; r
s symétriques des deux côtés intéressant les cornes et les colonnes
postérieures
avec cavités au REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLO
neuroâlyome ganglionnaire intéressant les colonnes et les cornes
postérieures
des deux côtés dans la partie supérieure de la mo
- cation épendymaire dans la moelle intéressant les deux colonnes
postérieures
et la corne postérieure gauche. Dégénérescence ma
ns la moelle intéressant les deux colonnes postérieures et la corne
postérieure
gauche. Dégénérescence mar- quée du faisceau py
ntravant la pénétration des sensations par une ou plusieurs racines
postérieures
(troubles segmentaires); 2° en rompant la conti
ts d'élection de ces tumeurs cavitaires sont les zones radiculaires
postérieures
et les parties adjacentes des colonnes postéro-
stance gélatineuse de Rolando avec les parties voisines de la corne
postérieure
. (Voir les expériences sur le tubercule de Rola
issociation des sensibilités, et d'autre part la lésion des racines
postérieures
seules coïncidant avec des altérations de la se
énérescence ascendante sur les cellules ganglionnaires, les racines
postérieures
et la corne antérieure. C'est aux altérations d
rieures et la corne antérieure. C'est aux altérations des ganglions
postérieurs
qu'il consacre le plus d'intérêt. Il décrit d'a
Les altérations des cellules ganglionnaires (ganglions des racines
postérieures
), consécutives à une section nerveuse, surviennen
IE PATHOLOGIQUES. seignement. - Le 2 août, douleur vive à la partie
postérieure
du cou. Le 1CI septembre : aggravation de cette
es très difficile : fièvre, inflammation et gonflement de la partie
postérieure
du cou : perte des fonctions de la jambe et du
erricht, le centre de la musculature du tronc sur le gyrus sigmoïde
postérieur
enlre les centres des extrémités; il confirme é
L'autre dans le lobe pariétal, sur l'extrémité du gyrus syg- moïde
postérieur
, au-dessous du centre du membre antérieur (cent
e centre de la musculature du tronc est situé sur le girus sygmoïde
postérieur
entre les centres des extrémités, il préside au
E. · de la région 'sensitive de la moelle, comprenant les cordons
postérieurs
, les cornes grises adjacentes, et les ganglions
cel- lules nerveuses évoluent ces lésions, au niveau des cordons
postérieurs
, des cornes grises adjacentes ou des ganglions
nner les termes généraux du problème à résoudre.- . . Les cordons
postérieurs
de la moelle apparaissent, d'après les derniers
parties des cellules des ganglions rachidiens, abordent le cordon
postérieur
au niveau du sillon collatéral ; elles ont reçu
atéral ; elles ont reçu diverses appellations : fibres radiculaires
postérieures
, fibres extrinsèques, fibres exogènes (Pierre-M
dernier groupe (fibres longues) va jusqu'aux noyaux sensitifs ou
postérieurs
du bulbe (noyau grêle, noyau cunéiforme). De pl
e. DES LOCALISATIONS MEDULLAIRES DU TABES DORSALIS. 179 le cordon
postérieur
. Ce second système (de découverte plus récente)
issent un trajet plus ou moins long dans la masse blanche du cordon
postérieur
. Ces fibres s'appellent : fibres intrinsèques,
- celui des cellules qui se ren- contrent nombreuses dans la corne
postérieure
et à la base- de la corne antérieure. Ces cellu
gènes ? Les cellules (ganglion rachidien, colonnes de Clarke, corne
postérieure
), participent- elles à la lésion, et dans quell
i déclare : que le Tabès est la sclérose des cordons et des racines
postérieurs
. Un grand nombre de maladies (affections médull
périphériques, atro- phies musculaires), retentissent sur le cordon
postérieur
et y déterminent une sclérose qui peut simuler
le compte de la sclérose tabétique, certaines lésions des cordons
postérieurs
qui doivent en être soigneusement distraites. Il
distinguer la sclérose tabé- tique des autres scléroses des cordons
postérieurs
, dont les travaux récents nous démontrent la fr
abétiques par rapport aux faisceaux de fibres nerveuses des cordons
postérieurs
et aux cellules de la portion sensitive de la m
ès doit s'appuyer évidemment sur l'anatomie normale des cor- dons
postérieurs
et des zones adjacentes. Nos connaissances à ce
ieurs travaux tout récents ; ces travaux ont montré que les cordons
postérieurs
se composent de faisceaux distincts et isolés,
que. Mais les notions nouvelles sur la fasciculation des cordons -
postérieurs
ont insuffisamment pénétré dans les livres clas-
res du tabes d'un exposé de la nouvelle fas- ciculation des cordons
postérieurs
. A. FASCICULATION des cordons postérieurs. Cett
ciculation des cordons postérieurs. A. FASCICULATION des cordons
postérieurs
. Cette fascicu- lation des cordons postérieurs
CULATION des cordons postérieurs. Cette fascicu- lation des cordons
postérieurs
a été étudiée par plusieurs méthodes dont les p
indiscutables pour ce problème de la fasciculation des cor- dons
postérieurs
. Expliquons brièvement ses procédés, pour justi
S MÉDULLAIRES DU TABES DORSALIS. 183 ceaux constitutifs des cordons
postérieurs
: supposons une lésion destructive au niveau de
ostérieurs : supposons une lésion destructive au niveau des racines
postérieures
de la queue de cheval, racines lombo-sacrées ;
le suivions, dans son long trajet ascendant, à travers les cordons
postérieurs
et les zones adja- centes. De même, supposons
s un foyer de myélite transverse : cer- tains faisceaux des cordons
postérieurs
vont être remplacés par des taches scléreuses,
t situés en dehors des champs dits radiculaires (fibres des racines
postérieures
); ce seront des faisceaux endogènes, ascendants
aminer successivement : les faisceaux exogènes (fibres radiculaires
postérieures
, fibres centripètes du protoneurone sensitif),
trinsèques, fibres de cordons). 1° Faisceaux exogènes des cordons
postérieurs
de la moelle humaine. - Ces faisceaux constitue
tion, il nous paraît utile d'étudier d'abord le trajet d'une racine
postérieure
quelconque; puis, nous ferons la synthèse de ce
nsi les faisceaux exo- gènes ou les champs radiculaires des cordons
postérieurs
. Comme il sera facile de s'en rendre compte par
endre compte par l'étude des trois figures ci-jointes, toute racine
postérieure
passe, par plusieurs étapes successivement asce
essivement ascendantes, au sur et à me- sure qu'elle suit le cordon
postérieur
. Au niveau du sillon collatéral, son faisceau à
u à grosses fibres se place tout contre le bord interne de la corne
postérieure
: c'est là une première étape, peu importante,
ulaire ; cette zone a la forme d'un crois- sant (fig. 1). Sa pointe
postérieure
touche la partie interne de la zone de Lissauer
noires, qui sont saines (procédé de Wuigert-Pal). 7 ? 1. La racine
postérieure
occupe la zone cornu-radiculaire, disposée sous f
me un ruban étroit, situé parallèlement au bord interne de la corne
postérieure
qu'il côtoie, mais à une cer- taine distance (/
ariable pour chaque racine, elle deviendra un petit triangle à base
postérieure
, à sommet antérieur, situé d'autant plus près d
as (loi de Kahler). Ainsi est constitué le trajet de toute racine
postérieure
: il nous reste à dire quelle espèce de fibres
classification de Singer et Munzer, on distingue, dans toute racine
postérieure
, les fibres courtes, moyennes et longues suivan
ornu-radiculaire ; elles s'épuisent autour des cellules de la corne
postérieure
adja- cente. Les fibres moyennes partent de la
corne antérieure. Quant aux fibres longues, elles occupent le tiers
postérieur
de la bandelette externe pour se cantonner fina
es libres radiculaires longues. Dans l'étude du trajet de la racine
postérieure
, nous n'avons fait mention que des filets ascen
; leur importance nous paraît donc secondaire. Ainsi toute racine
postérieure
, abordant la moelle, suit un trajet ascendant b
cornu-radiculaire, zone de la bandelette externe, zone du triangle
postérieur
). Mais, DES LOCALISATIONS MÉDULLAIRES DU TABES
ensemble que l'on peut appeler le c champ radiculaire » du cordon
postérieur
. La topographie et les limites de ce champ radi
e champ dit radiculaire occupe la plus grande éten- due des cordons
postérieurs
(zones pointillées). Toutefois, il n'atteint pa
, et il finit en dedans, à une certaine distance du sillon médian
postérieur
dont il reste séparé par un faisceau spécial, end
d'entrée ou de Lissauer) sont situées les fibres fines de la racine
postérieure
qui pénètre à ce niveau ; en a (zone cornu-radi
adicu- laire (a); les bandelettes externes (a', a") ; les triangles
postérieurs
(a'"). B, zone de Lissauer ; D, cordons latérau
rvical. Fit, 4 - Au niveau de la pénétration de la quatrième racine
postérieure
sacrée. Flip. 5. - Au ni\eau de la cinquième ra
s terminerons cette topographie des champs radicu- laires du cordon
postérieur
par l'exposé de la nouvelle con- ception du cor
septum intermedium ; il se présente sous forme d'un triangle à base
postérieure
large, à sommet antérieur effilé et terminé der
é la constitution exacte du cordon de Goll cervical : les triangles
postérieurs
à fibres longues des racines lombo-sacrées en o
ar les triangles lombo-sacrés. 2° Faisceaux endogènes des cordons
postérieurs
de la moelle humaine. - Les champs radiculaires
- Les champs radiculaires forment la plus grosse portion du cordon
postérieur
, mais ne le constituent DES LOCALISATIONS MÉDUL
x endogènes. Dans cette étude des faisceaux endogènes des cordons
postérieurs
de la moelle humaine, nous utiliserons les seuls
aillé. Nous croyons qu'il est permis de distinguer dans le cordon
postérieur
, deux faisceaux endogènes : l'un descendant, le
rtant, l'autre ascendant. Le faisceau endogène descendant du cordon
postérieur
existe dans toute la hauteur de la moelle, depu
la corne, dont elle est séparée par d'autres fibres ; son extrémité
postérieure
est souvent renflée (fig. 9). Dans la région
isceau endogène descendant se place de chaque côté du sillon médian
postérieur
. 11 occupe une zone irrégulièrement ovalaire, u
le de Schulze ». Ce faisceau apparaît, dans chaque moitié du cordon
postérieur
, sous forme d'une bande décolorée au milieu des
se atteint la surface de la moelle ; sa pointe touche la commissure
postérieure
. L'on doit se demander comment s'établit la con
commence le centre ovale. Le faisceau endogène descendant du cordon
postérieur
existe donc dans toute la hauteur de la moelle.
représenté par une zone décolorée, de chaque côté du sillon médian
postérieur
(procédé de Weigert-Pal). Cette coupe, horizontal
totale. DES LOCALISATIONS MÉDULLAIRES DU TABES DORSALIS. 191 J
postérieure
. Ce faisceau endogène descendant contient donc,
les étages de la moelle. Le faisceau endogène ascendant des cordons
postérieurs
paraît moins nettement topographié que le précé
anatomique de la fasciculation, exogène et endo- gène, des cordons
postérieurs
nous a paru nécessaire pour appuyer notre topog
peut aller l'affection dans l'envahisse- ment successif des cordons
postérieurs
. Comme technique, nous avons surtout employé le
). Coupes transversales de la moelle, sacrée et lombaire. La moitié
postérieure
est seule représentée. Les régions noires (cord
u masse, apparaissent plus noirs que les parties saines des cordons
postérieurs
, représentées en pointillé distinct. Les région
ntées en pointillé distinct. Les régions des cordons et des. cornes
postérieures
ont été soigneusement repérées sur ces figures
vantes ; chacune d'elles a été indiquée par une lettre : A, racines
postérieures
adjacentes, sur le point de pénétrer dans ia moel
er dans ia moelle ; B, zone de Lissauer (faisceau grêle) ; C, corne
postérieure
et son réseau plexiforme ; D, cordons latéraux
one des bandelettes externes ; en a ? zone des libres longues (champs
postérieurs
). Zones endogènes. - En b, zones endogènes desc
adicu- laire (a) attenant au boi d interne de la corne ; les champs
postérieurs
(a"') sont moins décolores. Les racines postéri
ne ; les champs postérieurs (a"') sont moins décolores. Les racines
postérieures
adjjcentes'(A) sont malades (fibres fines, fibres
l'exclusion de tout autre tissu; en consé- quence, par les cordons
postérieurs
, les régions saines appa- raissent noires sur l
système radiculaire, à la fois dans les racines et dans les cordons
postérieurs
; mais celte constatation, qui n'est pas nouvell
dû abandonner le problème de ce côté. Par contre, dans les cordons
postérieurs
, la localisation initiale est bien tranchée : e
laires moyennes sont prises dès le début du tabès, dans les cordons
postérieurs
. Mais si ces fibres se détruisent dans la moell
s vraisemblablement elles se détruisent aussi au niveau des racines
postérieures
. En effet, toutes les fibres radiculaires sont
e que le tabes n'évolue pas uniquement sur le sys- tème radiculaire
postérieur
, comme le répètent quelques travaux récents. Sa
des ban- delettes externes, lorsque le processus gagne leur tiers
postérieur
. Détruites, ces fibres subissent, dans leur bout
faits pour démontrer que le tabes frappe primitivement les cordons
postérieurs
. Deuxième partie. - Caractères IIISTOLOGiQUES d
L'étude des lésions parenchymateuses a été faite sur les racines
postérieures
, sur les cordons de la moelle, enfin sur les ga
res par l'acide osmique (solution aqueuse au centième). Les cordons
postérieurs
ont été examinés après coloration par le liquid
s niveaux, nous ont donné l'état des cellules d'origine des racines
postérieures
. Les lésions interstitielles nous paraissent av
gural est justifiée par les faits suivants. Au niveau des cordons
postérieurs
, nous avons bien ren- contré une légère leucocy
'est pas capable d'expli- quer l'aspect pseudo-scléreux d'un cordon
postérieur
tabé- tique ; en ce cas il n'y aurait pas à fai
ration névroglique quelconque. 11 faut aussi parler de la méningite
postérieure
. Elle eut ses partisans déclarés. Mais actuelle
pas de constater, au cours d'un tabes, l'existence d'une méningite
postérieure
pour lui attribuer un rôle prépondérant dans l'
NS MEDULLAIRES DU TABES DORSALIS. 199 de syringomyélie, les racines
postérieures
étaient empri- sonnées, sur une certaine étendu
'étude de cette cicatrice tabétique. Nous avons examiné les racines
postérieures
, les cordons correspondants et les cellules des
les cellules des ganglions rachidiens. La dissociation des racines
postérieures
(après imprégna- tion osmiée) nous a donné les
rfaitement net, sur une coupe transversale. Au niveau des cordons
postérieurs
, le procédé de Marchi nous a permis de constate
rocessus tabétique. De même, les autres systèmes cellulaires (corne
postérieure
, colonnes de Clarke) nous ont paru intacts ; da
ant que les fibres sont atteintes en - dehors de la moelle (racines
postérieures
) ou au niveau de leur trajet intra-médullaire (
: n p le, si le développement graduel de la sclérose des cor- dons
postérieurs
n'est pas absolument lié à l'apparition gra- du
n entraîne très vite la destruction des zones endogènes des cordons
postérieurs
, ascendantes ou descen- dantes. Le tabes bénin
que les douleurs étaient surtout le fait des lésions des racines
postérieures
; cela concorde bien avec la symptomatologie qu'
pathologie NERVEUSE. 227 cerveau pour voir une lésion de la partie
postérieure
de la capsule interne atteindre les fibres motr
périeurs par l'artère profonde du cerveau, l'artère optique interne
postérieure
, l'artère pédiculo- géminée); -puis, les noyaux
cas plus simple, M. Rossolimo conclut ainsi : la L'artère cérébrale
postérieure
alimente l'appareil central optique et oculomot
ulaire interne ; du noyau de l'oculomoteur commun ; optique interne
postérieure
sont des artères terminales. L'artère pédon- cu
ent occuper les parties latéro-antérieures du faisceau longitudinal
postérieur
, sur le côté du noyau de l'oculomoteur commun ; e
myotropbiqne ou des cordons latéraux, tabès ou sclérose des cordons
postérieurs
, etc.). La maladie commençant par un syslème qu
rvés par le nerf laryngien supérieur (muscles crico-aryténoï- diens
postérieurs
). Hémiatrophie gauche de la langue avec tiraille-
d'étendue, les sutures sont larges ; les fontanelles antérieures et
postérieures
paraissent faire défaut ou sont remplacées par
ses libres de ce côté. La dégénérescence du faisceau longitudi- nal
postérieur
ne va pas loin; ce système consiste dans sa masse
pu voir la dégénérescence plus ou moins marquée dans les cor- dons
postérieurs
de la moelle épinière. La dégénérescence la plus
le plus dans la partie lombaire de la moelle épinière. Les racines
postérieures
sont aussi altérées, mais leurs changements son
leur atrophie. La circonvolution centrale antérieure, ainsi que la
postérieure
, sont deux fois plus fines que dans l'état normal
'il avait deux tumeurs, l'une à la cuisse et la seconde à la partie
postérieure
du membre supérieur gauche sur l'os brachial. A
t démontra que les muscles brachiaux (biceps, brachial antérieur et
postérieur
), le deltoïde et le long supinateur sont non se
arquées; ce foyer donne des branches qui se dirigent vers la partie
postérieure
de la capsule interne et vers la capsule extern
est situé dans la région ventrale de la moelle allongée et du quart
postérieur
de la protu- bérance ; en touchant la-substance
eure du bulbe, des pyramides et du ruban de Reil, et dans la partie
postérieure
du pont de Varole et des pyramides. En outre, l
ntrecroisement des pyramides et du ruban de Reil et aussi la moitié
postérieure
des pyramides du pont de Varole sont fournis pa
opper chez l'animal des parésies, plus accusées dans les extrémités
postérieures
. L'analyse microscopique démon- tra l'existence
l'avant-coin, en partie le coin et le corps calleux (dans son tiers
postérieur
) sont détruits, le lobule paracentral l'est aus
e présente quelques modifications anatomiques : l'apophyse clinoïde
postérieure
droite est très aplatie. La loge sphénoïdale dr
n constate que l'animal présente une paraplégie complète des pattes
postérieures
. Cette paraplégie se dissipe au bout de quelque
re. Il y a là, dans les éléments ner- veux des cornes antérieure et
postérieure
dont la confusion n'est pas possible avec les c
elle occupe la substance grise centrale de la corne anté- rieure et
postérieure
; plus rarement elle occupe un. territoire bien
e; plus rarement elle occupe un. territoire bien défini de la corne
postérieure
, notamment l'angle formé par la commissure post
de la corne postérieure, notamment l'angle formé par la commissure
postérieure
et la limite interne de la colonne de Clarke. L
on ci l'étude des dégénérescences propagées. Altération des cordons
postérieurs
secondaire ci une lésion cérébrale en foyer; par
' G. DURANTE (Paris). Nouvelle observation d'altération des cordons
postérieurs
con- sécutive à une altération en foyer de l'éc
rieurement en 1894 et 1895, où Jes mêmes altérations des cordons
postérieurs
se retrouvaient à la suite de foyers de ramolliss
ion que nons apportons est un nouveau fait d'altération des cordons
postérieurs
secondaire à une lésion cérébrale, par dégénére
c., on connaît aussi l'action spéciale de cet agent sur les cordons
postérieurs
de la moelle. On comprend dès lors qu'on ait em
. M. L. DARKSCIIEWITSCU (de Kasan). La modification des cor- dons
postérieurs
de la moelle dans le tabès dorsalis n'est pas une
ne dégénérescence rétrograde, qui s'étend aux faisceaux des racines
postérieures
. ' Dans la moelle, ces modifications se localis
ns se localisent dans la zone d'expansion des faisceaux des racines
postérieures
. Les modifications des cellules des ganglions i
e exclusivement dans la zone d'expansion de l'articulation spinalis
postérieure
. Ces modifications ne se rencontrent que suivan
ontrent que suivant l'étendue du processus morbide dans les racines
postérieures
. (A suivi'e.) ASILES D'ALIÉNÉS. Notice sur
ette conclusion qu'elles affectionnent particulièrement les racines
postérieures
de la moelle et que c'est sur le point où ces r
enlace l'artère vertébrale et va avec elle innerver le terri- toire
postérieur
ou vertébral des artères encéphaliques. C'est S
laçons par terre. Le tremblement continue ; les pattes, surtout les
postérieures
, sont écartées en dehors; le lapin s'assied sur
cérébelleuse ; nous remarquons seulement une faiblesse des membres
postérieurs
; il a souvent des secousses générales ; après
e chien mar- chait de travers, par manque d'équilibre des membres
postérieurs
, et cela pendant trente secondes, après quoi il
e droite,, le front et une partie en forme de raie longeant la face
postérieure
des deux cuisses qui perçoivent bien la différe
moelle mais une lésion segmentaire de la substance grise des cornes
postérieures
et du renflement cer- vicale à un moindre degré
fonction du langage à 4 12 ANATOMIE PATHOLOGIQUE Broca1, au tiers
postérieur
de la troisième circonvolutio- frontale gauche.
elle', a été décrite tout d'abord par Kussmaul, dont les recherches
postérieures
à des observations déjà anciennes de Gendrin7 e
écriture», centre siégeant exactement en avant du premier, au tiers
postérieur
de la deuxième frontale. ' Fritsch et Hitzig.
istance DU phénomène DU GENOU dans la DÉGÉN13RES- CENCE DES cordons
postérieurs
' ; CONTRIBUTION A LA lésion PRI31f- TIVE combi
t, d'après le professeur de Berlin, la partie externe des cor- dons
postérieurs
des régions dorsale inférieure et lombaire supé-
ral- lèlement à la ligne médiane, la zone radiculaire des cordons
postérieurs
se trouve en dehors de cette ligne. Or, pour qu'i
t que la lésion dépassant en dehors la partie externe des cordons
postérieurs
, envahisse la zone radiculaire, de façon à attein
nce grise, tout autre segment de la zone radiculaire et des racines
postérieures
n'ayant rien à voir avec la disparition du phén
nte des cordons antérieurs. A l'association des lésions des cordons
postérieurs
et des cordons antéro-latéraux, il faut imputer
ignent d'une affection systématique combinée, la lésion des cordons
postérieure
prédomine toujours dans la moelle cervicale, où
aussi des fibres dégénérées dans les segments infériems des cordons
postérieurs
, ces fibres corres- pondant probablement aux or
ssez souvent il y a altération du champ postéro-cxterne des cordons
postérieurs
. Les dégénérescences secondaires qui suivent la
enne de la moelle lombaire. Dégéné- rescence secondaire des cordons
postérieurs
dans les parties supé- rieures de la moelle et
on forcée d'une fête dolichocéphale à front fuyant, toute la région
postérieure
devient saillante ». D'abord, cette position lé
pposant aussi exagérée que possible, pourrait faire que « la région
postérieure
devienne saillante o. Car cette 'inclinaison, q
ce paralytique, on ne rencontre pas de dégénérescence des cordons
postérieurs
. Les lésions cérébrales du labes sont d'une autre
de moelle témoignant d'une dégénérescence marquée dans les cordons
postérieurs
, dégénérescence limitée, dans la moelle cervica
ce à peu près au milieu de l'organe, de chaque côté du grand sillon
postérieur
et, dans la moelle dorsale inférieure, sur une
tinuation directe des fibres radiculaires qui entrent dans la corne
postérieure
.' M. Laquer (à Francfort). Contribution à l'étu
res représentées par de la ménin- gite et de la névrite radiculaire
postérieure
ou antérieure, avec les névrites périphériques.
ifs ou moteurs indépendants, suivant que les racines antérieures ou
postérieures
sont atteintes; on comprendrait également le mo
dans la plupart des cas à une méningite et à la névrite radiculaire
postérieure
, puis antérieure qui en est la conséquence. Pau
entrale spinale postéro-latérale ; -- c). La forme centrale spinale
postérieure
; d). La forme spinale postérieure ; e). La for
c). La forme centrale spinale postérieure ; d). La forme spinale
postérieure
; e). La forme spinale paralytique /ra ? - sito
alade a recouvré l'intégrité de ses mem- bres supérieurs. Son train
postérieur
continue à être immobile. La difficulté d'urine
in (en griffe), des muscles sus et sous-épineux dans leur por- tion
postérieure
et de la portion postérieure du deltoïde et du pe
us et sous-épineux dans leur por- tion postérieure et de la portion
postérieure
du deltoïde et du pec- toral droits. Faibless
r la moitié gauche de la face, le membre inférieur droit et la face
postérieure
du membre inférieur gauche. Il est extrêmement
s longitudinales, occupant parfois 1 un district entier (la surface
postérieure
de la cuisse). Les extrémités supérieures sont
s de la nuque; lorsqu'on détermine l'issue du liquide par les lames
postérieures
d'une vertèbre dorsale et qu'on ne divise pas p
la déviation du tronc basilaire vers la gauche, l'artère cérébrale
postérieure
droite est plus longue que la gauche. La commun
postérieure droite est plus longue que la gauche. La communiquante
postérieure
est filiforme ainsi que la cérébrale antérieure
ée, envoie trois plis de pas- sage à niveau à la seconde; sa moitié
postérieure
est atteinte de mérzirtgo-ettcéphalite. La prem
méningo-encéphalite en quel- ques points de ses parties moyenne et
postérieure
, est très plissée, très découpée et irrégulière
lativement assez gros, paraît peu lésé, sauf dans sa partie la plus
postérieure
. Le lobule quadrilatère possède une scissure so
e par un petit sillon horizontal; il existe un pli pariéto-limbique
postérieur
. La scis- sure perpendiculaire interne est très
x, surtout dans son tiers antérieur, le corps strié, vers sa partie
postérieure
, paraissent atrophiés. Hémisphère droit. La sci
est atteint de méningo-encéphalite dans toute sa moitié interne et
postérieure
; les circonvolutions de toute sa moitié antérie
mes ; elle est complètement atrophiée, vermiforme, dans ses parties
postérieure
et antérieure, dans sa partie moyenne, il existe
rieur on y rencontre un pli de passage étroit, atrophié et au tiers
postérieur
un autre pli de passage profond. La deuxième fr
ontales, l'atrophie est beaucoup plus prononcée que sur les parties
postérieures
. La deuxième scissure frontale, profonde, sinue
résente toutefois une couleur un peu ocreuse et forme son extrémité
postérieure
. Le pli pariétal inférieur et le pli courbe son
a partie médiane. La pie-mère est oedématiée, l'artère communicante
postérieure
et l'ar- tère cérébrale antérieure gauches sont
rontales. La zone sensitive semble correspondre aux circonvolutions
postérieures
, aux circon- volutions occipitales, sans déterm
psule interne, nous retrouvons le faisceau de l'aphasie, àla partie
postérieure
du segment lenticulo-optique, entre le faisceau
ser que le faisceau géniculé passe dans la protubérance à la partie
postérieure
et interne des pyramides motrices. Au bulbe.
les fibres motrices. Au niveau des deux tiers antérieurs du segment
postérieur
de la capsule, lieu de passage du faisceau mote
'heure, pour leur division définitive dans la moelle : un fascicule
postérieur
et externe, le plus volumineux, Centre-croisé a
15 fé- vrier 1884. 262 "2 REVUE CRITIQUE. occupent le fascicule
postérieur
ou cordon latéral delà moelle. Ils répondent en
r ou cordon latéral delà moelle. Ils répondent en dedans aux cornes
postérieures
; en dehors, ils sont séparés de la pie-mère sp
le en passant, occupe une étroite portion de la région périphérique
postérieure
du cordon latéral et s'étend du pédoncule céréb
e à base externe et antérieure, périphérique et à sommet interne et
postérieur
, central; l'un de ses bords, son bord interne r
s vers la partie du cordon latéral de la moelle contiguë à la corne
postérieure
. Ordinairement un fascicule dégénéré qui ne s'e
ne pachyméningite spinale par exemple, à une sclérose des faisceaux
postérieurs
, à une myélite centrale chronique, à une hydrom
end généralement pour regarder l'écorce grise des cir- convolutions
postérieures
occipitales comme l'aboutissant d'un faisceau d
ns la moelle, le faisceau sensitif forme dans sa totalité le cordon
postérieur
(PL. II, fig. 3, rose). Le cordon postérieur de
sa totalité le cordon postérieur (PL. II, fig. 3, rose). Le cordon
postérieur
de la moelle est à peu près entièrement exploré
ch. DE l'axe cérébro-spinal. 269 faisceau sensitif dans le cordon
postérieur
de la moelle doit être divisé en deux fascicule
cordon de Burdach re- présenté dans sa portion contiguë à la corne
postérieure
par la zone radiculaire interne des racines rac
nes rachidiennes posté- rieures ou bandelettes externes des cordons
postérieurs
(zone de l'ataxie), un fascicule interne (PL. I
fascicules du faisceau sensitif sont très distincts dans le cordon
postérieur
, chez le foetus où ils sont séparés l'un de l'a
rés l'un de l'autre par un sillon apparent, le sillon intermédiaire
postérieur
. Les bandelettes externes, et le cordon de Burd
cérébelleux direct, que nous avons trouvé à la par- tie externe et
postérieure
du cordon latéral, paraissent se réu- nir en an
ar la maladie, un système médullaire sensitif dans le dépar- tement
postérieure
de la moelle, entièrement distinct du sys- tème
ésenteraient les divers éléments. Ces différentes régions du cordon
postérieur
sont en effet généralement toutes atteintes et
of. Charcot (Geç., t. II, 1885. Leçon I) établit dans la sclé- rose
postérieure
«deux formes bien distinctes, lesquelles peuvent
née; 2o la sclérose fasciculée systénaa- tique latérale des cordons
postérieurs
ou sclérose des bandelettes extei,- nes deutéro
eux supérieur. : l'atrophie des cornes et des libres radiculaires
postérieures
; la parésie révèle la sclérose de la zone radic
la sclérose de la zone radiculaire externe des racines rachidiennes
postérieures
. Enfin, rien ne change dans l'aspect général de l
nettement précisé pour les fibres du faisceau de Meynert au tiers
postérieur
du segment lenticulo-optique de la capsule inte
elà capsule interne. Précisons bien cependant que le siège au tiers
postérieur
du segment lenticulo-optique de la capsule n'es
- qui doivent aboutir à la couche optique occupent aussi le segment
postérieur
de la capsule, que la couche optique précisémen
de l'in- sula de Reil au fond de la sciss. de Sylvius. 5; extrémité
postérieure
des circ. orbitaires. - 6 ; faisceau pétliculo-
l. 8 , corps calleux. 9; njyau caudé (petite extrémité ou extrémité
postérieure
). 10; couche optique. 11 ; capsule interne (gen
. 5. Coupe pariétale. z cire, pariétale ascendante. 2 ; ex- trémité
postérieure
du lobule de l'insula. 3 ; cire, sphénoïdales.
ntérieur de la capsule interne. 11; genou de la capsule. c; segment
postérieur
de la capsule. 1 ; extrémité antérieure, 3 ; es
gment postérieur de la capsule. 1 ; extrémité antérieure, 3 ; estr.
postérieure
du noyau caiulé. - 2 ; noyau lenticulaire. 1 ;
Flechsig). 5, 5; cordon de Goll. 6, G; bandelette externe du cordon
postérieur
ou zone radiculaire interne des racines rachidien
n postérieur ou zone radiculaire interne des racines rachidien- nes
postérieures
. 7, 7 ; cordon de BLii,(Iacli. - 8, 8; corne post
au. 6; facial. 7; grand hypoglosse. 8 et 10; pyraumle antérieure et
postérieure
du bulbe. - 9; olive. 11, 12, 13; cordons antér
e du bulbe. - 9; olive. 11, 12, 13; cordons antérieurs, latéraux et
postérieurs
. 14, 15 ;sillons collatéraux antérieurs et post
latéraux et postérieurs. 14, 15 ;sillons collatéraux antérieurs et
postérieurs
10; renflement brachial, 17; commissure blanche
s.=1S; lieu d'entre- croisement des cordons latéraux et des cordons
postérieurs
. REVUE DE MEDECINE LEGALE I. UN cas de SIMULA
moelle, près du canal central, ainsi que dans le domaine des cornes
postérieures
et des cor- dons blancs latéraux, on observe de
donc, entre autres systèmes de fibres, des fibres issues du cordon
postérieur
du côté opposé; il peut donc, par suite de sa com
l gagne graduellement la face dorsale du chiasma, pour « la portion
postérieure
de ce dernier. llais, dans la Landelette, le fais
ous ne m'empêcherez pas de la pos- séder. » Les centres corticaux
postérieurs
sont encore intervenus, quand l'esprit l'a pous
r négatifs. Ils sont de trois espèces : a). Symp- tômes des cordons
postérieurs
b). Symptômes mya- trophiques etc). Symptômes c
tc). Symptômes céphaliques. a). Symptômes tabetoïdes ou des cordons
postérieurs
. Les symptômes qui résultent de la lésion des c
stérieurs. Les symptômes qui résultent de la lésion des cor- dons
postérieurs
, c'est-à-dire les douleurs fulguran- tes, en ce
ilepsie spinale. Amélioration très grande des symptômes des cordons
postérieurs
. Histoire. l.e nommé DéineLrés Zannakis, âgé de
nt restées de la période embryonnaire emprisonnées dans les cordons
postérieurs
de la substance blanche, peuvent, par leur prol
sont les parties des faisceaux blancs adjacents à la com- missure
postérieure
qui sont atteintes ; mais la neu- roglie s'hype
une certaine partie sans altérations de ses fonctions, des cornes
postérieures
, par exemple; j'ai pu m'en con- vaincre par le
eigert, avait constaté la destruction de la myéline dans les cornes
postérieures
, ainsi que celle des cordons postérieurs, tandi
a myéline dans les cornes postérieures, ainsi que celle des cordons
postérieurs
, tandis que les cylindres axes avaient été cons
p peu sur le caractère de l'altération pathologique dans les cornes
postérieures
et la substance grise pour trouver une explicat
gélatineuse, qui se trouve autour du canal central, dans les cornes
postérieures
, et leur prolongation dans le bulbe et la protu
obligent aussi de rattacher l'anesthésie à une lésion des cornes
postérieures
: la répartition segmentaire de l'anes- thésie,
produit. Cet endroit ne peut être que la porte d'entrée des racines
postérieures
dans la moelle épinière et les cornes postérieu
trée des racines postérieures dans la moelle épinière et les cornes
postérieures
. Nous avons vu que les autopsies confirment cet
ue les autopsies confirment cette supposition, en ce que les cornes
postérieures
et la racine ascendante du trijumeau ont été tr
que par des troubles nutritifs des éléments nerveux dans les cornes
postérieures
, consécutifs à l'hyperplasie avec dégénérescenc
ces espèces de sensibilité ne s'avancent pas loin dans les cornes
postérieures
, mais tournent dans les cor- dons blancs; si av
lément ; que le processus diffus, se répandant le long des cornes
postérieures
de la moelle épinière dam chacun de ses segment
logiqne, en imbibant pour ainsi dire \ le segment donné de la corne
postérieure
, y inter- rompt d'une certaine manière la nutri
éléments nerveux, mais limitée par un très petit espace de la corne
postérieure
dans la partie inférieure du renflement cervica
pparence normale s'hyperplasient dans la commissure et les cornes
postérieures
. Mais comme la maladie se déclare dans le jeune
tudiés par nous. D'autres phénomènes tenant à la lésion des cordons
postérieurs
et latéraux de la moelle épinière, de la moelle
uses, mais à la lésion de parties de certains segments des colonnes
postérieures
de la substance grise de la moelle épinière et
ents, dans lesquels des altérations anatomiques limitées des cornes
postérieures
de la moelle épinière ou de la racine ascendant
rouble de la pie-mère de la convexité. Adhérence de la corne droite
postérieure
. Sclérose et atro- phie de l'hémisphère droit d
i-ophi(jte de hémisphère cérébelleux droit, l'adhérence de la corne
postérieure
du ventricule latéral droit à l'ergot de Morand
'de l31cctre, pour 1886). Les cheveux, peu abondants sur la moitié
postérieure
du crâne, sont rares en avant et ont une colora
dépasse pas la couche optique, qui même peut se limiter au segment
postérieur
de la capsule interne, qui, quelquefois ne dépa
épasse pas la couche optique, qui même peut se limiter au seg- ment
postérieur
de la capsule interne (entre la couche optique et
encore distinct, des deux côtés, au-dessus du faisceau longitudinal
postérieur
; atrophie presque complète des segments intraméd
de l'orbite seulement. Dégénérescence et sclérose grise des cordons
postérieurs
depuis la région cervicale jusqu'en bas. P. K.
a circonvolution centrale antérieure gauche et à celle de la partie
postérieure
du sillon frontal supérieur et des bords avoisi
reuses plaques circulaires de nature inconnue, occupant les racines
postérieures
de la moelle lombaire et ayant détruit une quin
gent jusqu'à l'entre-croisement des pyramides. Intégrité des cornes
postérieures
, des colonnes de Clarhe, de la substance blanch
, du goût à la pointe de la langue et même dans la partie gauche et
postérieure
de cet organe; la sensibilité est atteinte sur
sont : le tubercule de Rolando, la substance gélatineuse delà corne
postérieure
, les racines de l'accessoiré de \1'illis, - le
ne postérieure, les racines de l'accessoiré de \1'illis, - le noyau
postérieur
du pneumo-gastrique, le faisceau solitaire, le
sie montra qu'il existait, en effet, une dégénérescence des cordons
postérieurs
avec névrite optique, mais que les symptômes ps
ème frontale, toute la frontale ascendante. la partie antérieure et
postérieure
de la pre- mière temporale, le lobe paracenirai
vergence commun, elle forme te p6lc fro>zGul,situé à l'extrémité
postérieure
du sillon olfactif. Nous attirons spécialement l'
de l'in- sula de Reil au fond de la sciss. de Sylvius. 5; extrémité
postérieure
des cire, orbitaires. 6; faisceau pédiculo-fron
l. 8 , corps calleux. 9; noyau caudé (petite extrémité ou extrémité
postérieure
). 10; couche optique. 11 ; capsule interne (gen
oul)e -pa ? -iétale. l ; cite. pariétale ascendante. 2; ex- trémité
postérieure
du lobule de l'insula. 3 ; cire, sphénoidales.
antérieur de la capsule interne. b; genou de la capsule. c; segment
postérieur
de la capsule. 1 ; extrémité antérieure, 3 ; CX
gment postérieur de la capsule. 1 ; extrémité antérieure, 3 ; CXLR.
postérieure
du noyau caudé. 2 ; noyau lenticulaire. - f ; c
echsig). 5, 5 ; cordon de Goll. 6, 6 ; bandelette externe du cordon
postérieur
ou zone radiculaire interne des racines rachidien
n postérieur ou zone radiculaire interne des racines rachidien- nes
postérieures
. 7, 7 ; cordon de Burdach.S, 8 ; corne posté- r
u. 6; facial. 7 ; grand hypoglosse. 8 et 10; pyramide antérieure et
postérieure
du bulbe. - 9 ; olive. 11, 12, 13 ; cordons ant
du bulbe. - 9 ; olive. 11, 12, 13 ; cordons antérieurs, latéraux et
postérieurs
. - 11, 15 ; sillons collatéraux antérieurs et p
téraux et postérieurs. - 11, 15 ; sillons collatéraux antérieurs et
postérieurs
. - 16; renflement brachial, 17; commissure blanch
s.-1S; lieu d'entre- croisement des cordons latéraux et des cordons
postérieurs
. Etieui. Ch. lial,issuv, imp. - 1188. CATSARA
es. 16 Imbécillité. moyennement développé, surtout dans sa partie
postérieure
; son extrémité antérieure offre un petit sillo
ez volumineux dans sa partie antérieure, l'est moins dans sa partie
postérieure
. Le pli courbe, assez gros, a la forme d'un coe
llèle, normale, très profonde, tortueuse, est dédoublée à sa partie
postérieure
, et ses deux branches de dédoublement semblent
par- tie antérieure de la première circonvolution est maigre, la
postérieure
volumineuse. La deuxième scissure temporo- occi
e droit. La scissure de Sylvius creuse, bifur- quée à son extrémité
postérieure
, laisse à découvert à l'union de son tiers anté
se à découvert à l'union de son tiers antérieur avec ses deux tiers
postérieurs
une partie de l'insula. Le rameau ascendant est
iétal supérieur est moyennement développé, mais à sa partie la plus
postérieure
, le pli de pas- sage se rendant la première occ
dans ses deux tiers antérieurs, est bien développée dans son tiers
postérieur
.Onytrouve quatre circonvolutionsdepas- sage tem
é ; il présente deux plis de passage pariéto-limbiqucj antérieur et
postérieur
, et une scissure sous-pariétale normale. La.sct
abondants et réguliè- rement plantés, présentant un seul tourbillon
postérieur
situé sur la ligné médiane. Les sourcils etles
Puberté. Cheveux châtains, régulièrement implantés. Le tourbillon
postérieur
siège sur la ligne médiane. Léger duvet au nive
ues volumineuses. Il en existe une également au niveau de la partie
postérieure
du vermis inférieur, dans la région qui sépare
te pas de production néoplasique à ce niveau. Dans l'espace perforé
postérieur
il a une petite masse néoplasi- que de peu d'ép
vascularisation de la gaine externe est très prononcée sur les 2/3
postérieurs
du nerf. -Les autres nerfs crâniens sont normau
urs secondaires situées aunivea 51t cervelet ou de l'espace perforé
postérieur
répon- dent au ;typ..e des t arcornes ie petite
ns sont aussi prononcées au voisinage de la papille que dans le 1/3
postérieur
du nerf opti- que. Les gaines du nerf optique o
eurs extra-ventriculaires. Le bulbe est aplati dans le sens antéro-
postérieur
. Il n'y a pas de lésions des éléments nerveux du
r degré d'épaississement de la pie- mère dans la région latérale et
postérieure
et au niveau de la partie inférieure de la moel
le. Il n'existe pas de sclérose des cordons latéraux ou des cordons
postérieurs
, pas de lésion des cornes antérieures ou postér
ou des cordons postérieurs, pas de lésion des cornes antérieures ou
postérieures
. Les racines r;lcla i- diennes et les nerfs pér
ariétaux supérieur et inférieur, sur le pli courbe et à l'extrémité
postérieure
du lobe temporal. Elles n'existent pas sur le l
lides papulo-sqùamèusés discrètes au cou, confluentes sur la partie
postérieure
du thorax. On trouve de rares papules sur les f
as de plis pariéto-limbiques antérieurs et le pli pariéto- limbique
postérieur
est presque entièrement divisé par un sillon tr
ue avec la scis- sure frontale supérieure, formant avec l'extrémité
postérieure
de celle-ci une sorte de grand Y. La scissure f
ien développé et présente des plis pariéto- limbiques antérieurs et
postérieurs
. La scissure perpendicu- laire interne est très
Le lobule pariétal supérieur est moyennement développé, sa partie
postérieure
est très maigre et comme atrophiée, Le lobule p
n tubercule achevé ; les lésions sont plus marquées sur les parties
postérieures
de la moelle. D'autre part, la pie-mère empiète
tuberculeux à tous les degrés de développement, une lepto- myélite
postérieure
bien nette, voilà ce que l'on trouve à cette ha
gauche plus que la droite; il y a asymétrie évidente. Les cornes
postérieures
sont envahies et sclérosées, surtout Examen his
sées, surtout Examen histologique. 83 la gauche, par la méningite
postérieure
. Autour du canal de l'épendyme très dilaté, il
té qui paraît seulement un peu obtuse sur la cuisse, sauf à la face
postérieure
. Réflexes normaux. Zones hystèrogènesdanslafoss
ce.t.os, il existe une dépression, en forme de gouttière, antéro-
postérieure
assez marquée. 100 Il Y ST L'Ë 0-LPI LEP SIE.
du trottoir : dans cette chute il s'est fait au niveau de la partie
postérieure
clu pariétal gauche une plaie dont la cicatrice
re aux mammifères gyrcncéphales osmatiques, le pli pariéto-limbique
postérieur
profond des chats, le pli cunéo-limbiqe superfi
;)'onc est symétrique; le ventre peu' volumineux et souple. La face
postérieure
du tronc, semblable à droite et à gauche, n'off
e de la base du crâne parait symétrique ; au contraire il la partie
postérieure
la. Autopsie : crâne. 127 fosse occipitale ga
seulement la branche antéro-postérieure de ce sillon. La branche
postérieure
cle la scissure de Sylvius est très courte et r
La branche antérieure est courte et oblique en avant. La bran- che
postérieure
a la forme d'un S italique et se recourbe en ha
rallèle au gyrus rectus; l'autre formé d'un demi-cercle à concavité
postérieure
et surmonté d'un autre antéro-postérieur. La
trices présentent aussi un développement suffisant ; mais les lobes
postérieurs
du cerveau sont rudimentaires, et l'arrêt du dé
fausse membrane dans une partie de sa face antérieure, mais sa face
postérieure
, celle des pilliers, et une partie de la face s
éphalo-rachidien ; d'où il suit que, entre l'occipital et la partie
postérieure
du cer- veau, il y avait un espace assez grand,
duvet sur la lèvre supérieure. Duvet noir assez abondant à la face
postérieure
des bras. Organes génitaux. La verge est asez d
res offrent de nombreux poils courts, abon- dants surtout à la face
postérieure
des cuisses. Pénil couvert de poils châtains, f
'à droite. Les bras et les avant-bras sur leurs faces externes et
postérieures
sont très velus. Les poils sont très abondants au
te. Le crâne est arrondi et coni- que, très atrophié dans sa partie
postérieure
où se trouve un méplat allant du vertex à la pr
anie. ' Etat actuel. 30 juin 1889. Tête ovoïde à grosse extrémité
postérieure
. La région occipitale est assez développée; les
ti- mètres de large sur 3 de haut ; puis, répondant à l'extrémité
postérieure
, on trouve une circonvolution sinueuse qui paraît
t répondre au lobul pariétal supérieur. En arrière de l'extrémité
postérieure
de la scissure de Syl- vius, on voit une dépres
En détachant la pic-mère, on s'aperçoit qu'au niveau de l'extrémité
postérieure
du cratère, elle se replie dans l'intérieur de
insula est complètement décou- vert-, qu'au-dessus de son extrémité
postérieure
existe une dépression irrégulière, et qu'au-des
ère de l'insula. Le bord antérieur de la seconde limite la partie
postérieure
de la perforation. Ces différentes masses sont pl
très irré- gulière avec une bifurcation incomplète ; la dernière,
postérieure
, est la plus large. C'est au-dessus d'elle que co
située au-dessus de la perforation. Cette digitation, par son bord
postérieur
, limite la perforation. La dépression dont nous
quement de bas en haut, de son extrémité antérieure à son extrémité
postérieure
. En arrière existe une cavité qui parait faire
lis transversaux tout à fait superficiels en arrière. Son extrémité
postérieure
est limitée par le sillon prolongé sur la face
e. CO/'ne d'Am- mon non sinueuse ; elle envoie un pli à l'extrémité
postérieure
de la masse formée par la lro frontale et le lo
n sillon assez creux sépare en avant le lobe occipital de la partie
postérieure
du lobe temporal. La circonvolution de l'hippoc
petit que le droit. L'atrophie porte principalement sur la partie
postérieure
. La protubérance est petite et plus bombée à ga
sa partie moyenne une dépression très étendue, allant de la partie
postérieure
du lobe frontal au lobe occipital. Le cerveau é
cette seconde partie en mesure 5 1/2. Elle est séparée de la partie
postérieure
du cerveau par un sillon irrégulier, assez prof
l'encoche, on trouve encore deux replis venant constituer sa partie
postérieure
et faisant partie l'un du lobe frontal de la fa
s une direction oblique d'avant en arrière et de haut en bas, les
postérieures
une direction oblique de haut en bas et d'ar- r
rrière pour les anté- rieures et un peu d'arrière en avant pour les
postérieures
. Elles sont séparées par des sillons profonds,
Un sillon large et profond sépare cette deuxième masse de la moitié
postérieure
de la face con- vexe. La moitié postérieure p
me masse de la moitié postérieure de la face con- vexe. La moitié
postérieure
peut être divisée en deux parties par un sillon
ées verticalement en avant et obliquement en arrière vers la partie
postérieure
de la scissure de Sylvius. La partie inférieure
gulières, enfin une circonvolution assez grosse constituant l'angle
postérieur
de la scissure de Sylvius. Le lobe temporal s
ue en dessous avec les circonvolutions du lobe orbitaire. La partie
postérieure
, qua- drilatère, très sinueuse, est très dévelo
t en deux plus étroi- tes en formant un angle aigu rentrant, et une
postérieure
étroite dirigée obliquement d'avant en arrière
nvolution se continuant, comme nous l'avons déjà vu, avec la partie
postérieure
de la 3""= frontale. Face interne. - La l10 fro
ême aspect de l'amygdale droite ; nouvelles plaques sur les piliers
postérieurs
des deux côtés et sur la face postérieure de la
s plaques sur les piliers postérieurs des deux côtés et sur la face
postérieure
de la luette, adé- nite sous-maxillaire à droit
bstance grise et blanche de l'hémisphère et qui a détruit la partie
postérieure
de la 3° frontale, la frontale ascendante sur p
obée, puis une circonvolution repliée sur elle-même, dont la partie
postérieure
à disparu. Frontale ascendante. - Il n'existe
d'elle en se repliant sur lui-même, et tout , à fait à l'extrémité
postérieure
du lobe, par une petite circon- volution triang
aracentral petit, peu net en avant, où il se confond avec la partie
postérieure
de la le frontale. - Lobe quadrilatère petit, t
tit, trapézoïde en avant et séparé par un petit sillon de la partie
postérieure
, quadrilatère, très développée, divisée par un
sillon qui la sépare de la 2. frontale n'existe que dans ses 2/ : 3
postérieurs
. 'le frontale très développée, surtout en arriè
i en haut, séparé par un sillon très profond d'une dernière masse
postérieure
. Celte masse coupée, en doux par un sillon antero
se postérieure. Celte masse coupée, en doux par un sillon antero-
postérieur
, qui divise transversalement la frontale ascendan
de la '2" frontale par un sillon, qui n'existe que dans les ` ? //3
postérieurs
, large et pro- fond. En avant, pli de passage s
re en bas, séparées par des sillons transversaux. La circonvolution
postérieure
se continue en haut avec la pariétale supérieur
mple, offrant quelques sil- lons superficiels, puis, dans son quart
postérieur
, présente un petit lobule quadrilatère presque
lloso-marginal profond, formant une encoche pour recevoir le lobule
postérieur
do la frontale interne. Lobule paracentral bien
roite en avant, s'élargit en arrière. Elle est séparée de la partie
postérieure
par un sillon qui se continue avec celui qui li
1 ? Poids, 24 kil. La tête est volumineuse, surtout dans sa moitié
postérieure
; le front est rétréci et bas. La fontanelle ant
ation de la tète des idiots myxcedémateux, en ce sens que la moitié
postérieure
a un volume exagéré. Il existe une sorte de rai
ts leur épaisseur est énorme, c'est ainsi que la coupe de la partie
postérieure
de l'occipital mesure 28 millimètres. Au niveau
me ; courbé dans le sens antéro-postérieur, décrivant une concavité
postérieure
et interne. Sa crête arrondie, effacée, devenue
formé d'os nombreux disposés à la manière d'une voûte dont l'appui
postérieur
est au calcanéum et l'appui antérieur aux têtes
téro-fatérat qui diviserait le corps en moitié antérieure et moitié
postérieure
et qui contient également le centre de gravité.
ur le profil de la station droite, tandis que la face antérieure ou
postérieure
offre le plus grand intérêt. Une ligne transver
au du trochanter il l'arti- culation tibio-tarsienne. Sur la face
postérieure
, les mêmes axes peuvent être tracés avec des DE
8). DU FAISCEAU DIT « BANDELETTE SOUS-OPTIQUE » DANS LA. RACINE .
POSTÉRIEURE
DU THALAMUS. Nous avons décrit sous le nom de «
ous de la couche optique, où elles contribuent à for- mer la racine
postérieure
du thalamus. Arnold semble avoir voulu décrire
é des parties blanches ou grises adjacentes. Les lésions du segment
postérieur
de la capsule interne au voisinage du corps gen
ligne idéale qui réunit lacomiiiissui-e antérieure à la commissure
postérieure
. Une coupe vertico-transversale (pi. XIII. A) p
externe (RGE), et, un peu plus en dehors, par tes fibres du segment
postérieur
de la capsule interne (CID). Lorsqu'on veut se
n arrière du corps genouillé externe ne fait qu'abraser l'extrémité
postérieure
du pul- vinar, où la bandelette optique, devenu
ptique, celle qui représente la terminaison thalamique de la racine
postérieure
de la couche optique. Si donc on cherche à se f
t séparée du putamen par les fibres les plus antérieures du segment
postérieur
de la capsule (CID). Plus en avant encore (Pt.
au-dessus de la paroi ventriculaire, pour former la portion la plus
postérieure
de l'espace perforé antérieur. Dans ce trajet, on
érieur. Dans ce trajet, on peut constater que les fi- bres les plus
postérieures
de la.racine antérieure du thalamus se dirigent d
stimative on llhantasie... Le siège de la mémoire est au ventricule
postérieur
, situé au cerehe.lle moins humide et plus solid
la jambe, mais bien à la rétraction qu'ont subie ceux de la région
postérieure
. Le fait-est confirmé par la résistance invincibl
Une autre conséquence du raccourcissement des muscles de la région
postérieure
de la jambe consiste en ce fait que les malades
utres réalise pour ainsi dire une augmentation dans le sens antéro-
postérieur
de la base de sustentation analogue à celle qui a
portant est oblique et haut et en arrière, le membre oscillant est
postérieur
. Je le désignerai sous le nom de pas postérieur
embre oscillant est postérieur. Je le désignerai sous le nom de pas
postérieur
. Dans une 2° phase (celle qui suit le moment de l
ent en avant. Elle est oblique, tournée du côté de la jambe qui est
postérieure
. Pendant tout le pas postérieur la même obli- q
ournée du côté de la jambe qui est postérieure. Pendant tout le pas
postérieur
la même obli- quité persiste en s'atténuant. Au
rvation du faisceau deltoï- dien médian, les portions antérieure et
postérieure
ayant subi une atrophie beaucoup plus prononcée
49. Fig. 50. 154 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE région
postérieure
de la jambe (-istro-enémiens). La résistance est
faibles, apparentes surtout dans les faisceaux externes. La partie
postérieure
est aussi très atrophiée, surtout dans ses faisce
dans sa partie externe, en raison surtout de l'atrophie du deltoïde
postérieur
, elle est assez bien remplie dans sa partie int
80 et il 75 C. encore très faibles, C. minima de 80 à 85. Cubital
postérieur
: A droite, à 80 C. faibles; à gauche, C. plus
e de la gouttière de torsion) : à 90mm C. assez faibles dans les m.
postérieurs
de l'avant-bras. (Des contractions se produisen
m A, X élc5, NFC > PFC ? 3 m A., XII, NFC > PFC'. DELTOïDE
POSTÉRIEUR
: 2 '1/2mA, XII, NFC settle ; 3 1/2mA, XIV, NFC
C. que plus haut dans le triceps et dans les fléchisseurs). Cubital
postérieur
: 2 m A, XII, NFC'' > PFC". Long abducteur,
l, aussi bien pour les muscles antéro-externes que pour les muscles
postérieurs
, mais leur puissance est notablement affaiblie.
-hyoïdiens semblent respectés, de même que les muscles de la région
postérieure
. Tous les mouvements s'exé- cutent ; le malade
er les clavicules, si le malade essaie de lever les bras. Leur face
postérieure
regarde en dehors ; leur angle supéro-externe est
e surtout, C. m. à 6ai ? : C. assez bon- nes il Õ51llI11. Portion
postérieure
: il droi'te, n'est guère atrophiée : C. m. à 70;
qui apparaissent déjà à 70miu l'excitation portant sur les muscles
postérieurs
. Extenseur commun : malgré le volume bien conse
eurs. vu 12 178 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Cubital
postérieur
: il peu près comme le précédent; apparition des
: à 60 C. m. mais très faibles, apparentes surtout dans le cubital
postérieur
; à 50 C. plus accentuées mais faibles encore, ma
ois répétée. UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE 179 Partie
postérieure
: 4 m. A. NFC' seule ; 6 m. A. NFCC>PFC". Bi
FC"' seule ; 4 m. A. NFC">PFC" ; 6 m. A. NFC'>PFC'. Cubital
postérieur
: comme le précédent. t. Palmaires : 2 m. A. NF
muscles de la jambe, les muscles antëro-externes comme les muscles
postérieurs
, ne paraissent pas atrophiés ; leur force reste e
u groupe musculaire antérieur qui distend ;'1 l'excès les ligaments
postérieurs
ou les liga- ments croisés de l'articulation.
ons affaire, ici comme 1-li à une sclérose systématique des cordons
postérieurs
. Or ceci nous conduit à l'étude pathogénique de
a démontré l'existence d'une sclérose systématique des cor- dons
postérieurs
. De tout ce qui précède, Messieurs, il résulte
s des douleurs fulgurantes typiques, localisées d'abord a la partie
postérieure
de la cuisse droite, et survenant sous forme de p
eds). A peine quelques douleurs moins vives du reste, clans la face
postérieure
des cuisses et encore dans la moitié inférieure
lgu- rantes d'une grande intensité siégeant a droite dans la partie
postérieure
de la 230 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈ
alade les signes polio-myélites antérieurs atro- phie musculaire et
postérieurs
dissociation de la sensibilité ne sont pas (1)
uses, D prolon- gement rachidien, E méninge fendue dans sa partie
postérieure
et rejetée en devant, F les corps des vertèbres
elles ». Niihn opérait de même. Reid., « après avoir dénudé la face
postérieure
du rachis et les côtes jusqu'à leurs angles, sa
RFS RACIIIDIENS ET APOPHYSES ÉPINEUSES 251 mettait à nu les racines
postérieures
de leur sortie de la moelle à leur pas- sage à
et au compas d'épaisseur, un dessin en grandeur égale de la partie
postérieure
du rachis, disséquée sur le sujet couché; puis,
par rapport aux extrémités apophysaires, mais par rapport à la face
postérieure
des corps vertébraux, on trouve pour l'homme et
jet. Notons tout d'abord que les quatre racines (anté- rieures et
postérieures
, droites et gauches) appartenant à la même tran
côté droit. Tremblement fiúritlaÍ1'(' dans les muscles de la région
postérieure
de l'avant- bras droit. Le réflexe patellaire
oliose. Il existe une déformation du tronc avec gibbosité droite et
postérieure
; la déformation est provoquée par une scoliose c
cées, le processus morbide est donc localisé plutôt vers les cornes
postérieures
. Il s'agirait ici du type médian postérieur de
lutôt vers les cornes postérieures. Il s'agirait ici du type médian
postérieur
de la classification anatomo-physiologi(jue de Ch
igués. La grenouille est l'animal choisi. On lie l'artère du membre
postérieur
droit. On fait passer un courant induit de l'an
tion est para- lysante. Ces substances ne parvenant pas il la patte
postérieure
droite (puisque l'artère est liée), les muscles
ment la même : vous avez nommé la sclérose systématique des cordons
postérieurs
. Est-il vrai de dire que cette alté- ration soi
et à un égal degré. Vous savez du reste que la sclérose fasciculée
postérieure
n'est jamais complète, en dehors de certains fait
s les uns aux au très par- tir du point de pénétration de la racine
postérieure
correspondent il la la région exci- tée. Parmi
musculaire, alors même que l'arc réllexe direct qui va de la racine
postérieure
il la racine antérieure correspondante est interr
es dernières revêtant deux types : grandes arthro- pathies du tarse
postérieur
, petites arthropathies du métatarse et des or-
, craque- ments et sans douleurs. En même temps survenait à la face
postérieure
de l'avant-bras une collection qui incisée donn
conducteurs et noyaux labyrinthiques avec ceux d'une racine spinale
postérieure
. I Signification morphogénique. Trois cordo
vagues, n'ont rien de commun avec les ganglions spinaux des racines
postérieures
, issus du ru- ban intermédiaire ou neural, et c
nt par la suite entre le nerf labyrinthique et une ra- cine spinale
postérieure
, comme d'autre part la fossette ectodermique auri
es ; le sens des attitudes segmentaires dépend de celle des cordons
postérieurs
de la moelle et des noyaux correspondants. Sui-
berg prend des caractères différents. L'ataxique dont les cordons
postérieurs
sont atteints et dont le nerf ves- tibulaire es
udes segmentaires, véhiculées par le nerf ampullaire et les cordons
postérieurs
, pénètre comme un coin .dans la question si obs
anse latérale, le noyau du ruban de Reil, le tubercule quadrijumeau
postérieur
et le corps genouillé interne. L'écorce tempora
ortant : Le nerf labyrinthique est l'homologue d'une racine spinale
postérieure
; comme elle il véhicule les acquisitions d'une
t à une partie de la région fessière, à une mince bande sur la face
postérieure
de la cuisse droite, puis s'accentuant à nouveau
ons-le, vis-à-vis des noyaux médullai- res comme une racine spinale
postérieure
. Si donc le ganglion auriculaire primitif est l
es homologues deviennent ganglions spinaux des racines rachidiennes
postérieures
; dans le métamère auriculaire de la tète, il de-
it à juste titre consi- dérer par quelques auteurs comme une racine
postérieure
médullaire, dont le ganglion spinal se fragment
ducteurs nombreux que nous aurons à étudier. Les libres des racines
postérieures
sont de deux ordres (Bechlerew). a). Les unes,
les au- tres, se dirigent pour la plupart vers la base de la corne
postérieure
et particulièrement vers une formation de gross
ment précoce, qui se dirigent aussi pour la plupart vers les noyaux
postérieurs
, prolongement de la base des cornes postérieure
art vers les noyaux postérieurs, prolongement de la base des cornes
postérieures
, et particulièrement vers une formation de grosse
écialement le cervelet. C'est le nerf vestibulaire. l). Les racines
postérieures
ont d'autre part des fibres minces et grêles à
r Ci le tu- bercule acoustique, prolongements de la tête des cornes
postérieures
. C'est le nerf cochléaire ou auditif. LE NERF
s ; et d'au- tre part vers les centres leur entrée dans les cordons
postérieurs
, d'abord en branches ascendantes et descendante
ropres prolonge- ments afférents et efférents directs; et la racine
postérieure
étant surtout composée de ces prolongements des
Bôltcher avait voulu faire un ganglion indépen- dant. De l'ampoule
postérieure
ou sagittale sort par la tache criblée de Reich
ntre les cellules du ganglion de Corti (ganglion spinal des racines
postérieures
), et les cellules du noyau antérieur (tête des
postérieures), et les cellules du noyau antérieur (tête des cornes
postérieures
), avec lesquelles elle se continue d'ailleurs,
ons de Scarpa et de Corti, et qui sont les homolo- gues des racines
postérieures
de la moelle, forment à leur entrée dans le tro
lle à la protubérance, les colonnes grises qui for- ment les cornes
postérieures
ont subi dans le bulbe d'importantes modifi- ca
éparée de la base par l'inclinaison en avant des libres des cordons
postérieurs
qui après leur entrecroisement vont se placer d
u quatrième ventricule. Sous cette double action la base des cornes
postérieures
, adjointe au canal épendymaire, est maintenant
se s'unissent pour former le corps restiforme. La base des cornes
postérieures
donne successivement les noyaux sen- sitifs du
ous les tuber- cules quadrijumeaux antérieurs. La tête des cornes
postérieures
, après avoir fourni les noyaux de la ra- cine i
pal de Schwalbe, noyau central de Stieda, noyau médian de la racine
postérieure
de Krause, partie médiane du noyau supé- Nouv.
. Il est formé de cellules analogues à celles de la base des cornes
postérieures
, petites (20 f'-) et de forme variée (Fig. 90).
masse nucléaire complexe qui est l'homologue de la base des cornes
postérieures
; ils établissent de plus la correspondance ent
lité un noyau terminal, homologue selon nous de la tête d'une corne
postérieure
; il n'appartient d'ailleurs qu'à la branche coc
comment admettre deux formations ganglionnaires sur la même racine
postérieure
, car nous savons que le ganglion de Corti a déjà
noyaux primaires du nerf labyrinlhique, correspon- dant aux cornes
postérieures
de la moelle. Le noyau interne, le noyau de Bec
noyau de Deiters, qui sont les prolongements de la base des cornes
postérieures
, reçoivent les grosses fibres du nerf vestibulair
tibulaire qui correspondent aux grosses fibres internes des racines
postérieures
. Le noyau antérieur et le tubercule acoustique,
ieur et le tubercule acoustique, prolongement de la tète des cornes
postérieures
, reçoivent les fibres grêles du nerf cochléaire,
erf cochléaire, homo- logues des fibres minces externes des racines
postérieures
. V Nerf vestibulaire. Un grand nombre de fi
fibres homologues du nerf labyrinthique et d'une racine médullaire
postérieure
. Nous avons dû. pour la clarté de la figure, repr
eurs ont pour homologues les fibres médullaires unissant les cornes
postérieures
aux cellules motrices antérieures. Du noyau int
que nous n'avons pu figurer, parallèlement au faisceau longitudinal
postérieur
, jusqu'au ni- veau de l'entrecroisement des cor
inal postérieur, jusqu'au ni- veau de l'entrecroisement des cordons
postérieurs
. C'est la racine de Rol- ler ou racine descenda
laire, qui par l'intermédiaire du noyau de Deiters unit les cordons
postérieurs
au cervelet. Ce n'est donc pas une racine réell
e du nerf labyrinthique, mais un faisceau cérébelleux des cor- dons
postérieurs
qui traverse le noyau de Deiters (Edinger, Bechte
ent réellement, elles auront pour homologues les fibres des racines
postérieures
qui traversent sans s'y arrêter (Bechterew) les
postérieures qui traversent sans s'y arrêter (Bechterew) les cornes
postérieures
, s'engagent dans la commissure postérieure, remon
(Bechterew) les cornes postérieures, s'engagent dans la commissure
postérieure
, remontent du côté opposé dans la portion inter
corce temporale directement, les autres au tubercule quadriju- meau
postérieur
(Q P). De ce noyau partent des fibres soit vers l
bres ont pour homologue le faisceau qui part de la tête de la corne
postérieure
, traverse la commissure postérieure,. rejoint d
qui part de la tête de la corne postérieure, traverse la commissure
postérieure
,. rejoint dans le faisceau interne de l'anse la
vis de l'audition, en la vé- hiculant par le tubercule quadrijumeau
postérieur
, le corps genouillé interne et aboutissant à l'
rs les noyaux de la base et se divisent en deux faisceaux dont l'un
postérieur
se dirige obliquement vers l'olive supérieure du
ERF LABYRINTHIQUE 355 des fibres qui partent de la tête de la corne
postérieure
, s'entrecroisent t dans la commissure postérieu
tête de la corne postérieure, s'entrecroisent t dans la commissure
postérieure
, remontent également par la colonne laté- rale,
vers le tubercule quadrijumeau antérieur correspondant, et vers le
postérieur
, ce dernier présentant avec l'écorce les rappor
nger, Bechterew), et sans doute aussi, par le faisceau longitudinal
postérieur
, avec tout l'appareil de l'oculomotricité. Nous
- tine, semblant indiquer un état pathologique des fosses nasales
postérieures
. La courbe alvéolaire offre 11. chaque maxillai
nce grise des para- lytiques généraux, principalement dans la corne
postérieure
où elle apparaît nettement sur les tubes nerveu
le est à l'ori- o-ine du tabes où elle se poursuit dans les cordons
postérieurs
; à l'origine des dégénérescences wallériennes s
es altérations anatomiques affectaient particulièrement les cordons
postérieurs
dans le voisinage,de la commissure latérale avec
ssement avait envahi aussi le bourrelet du corps calleux, la partie
postérieure
du tha- lamus opticus et la queue du noyau caud
au point de vue vasculaire sous la dépendance de l'artère cérébrale
postérieure
, mais il ne porte pas sur la totalité de son do
faisceau longitudinal inférieur est aussi ramolli dans ses parties
postérieures
; ce faisceau important d'association est presque
e droite; une dégénérescence disséminée sans ordre dans les cordons
postérieurs
, qui n'a par REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 57
e, respecte la zone radiculaire moyenne et gagne la cloison médiane
postérieure
; dans la moelle dorsale, elle n'atteint ni les
ianes, ni les zones latérales, confinant au bord médian des cordons
postérieurs
, et elle continue à être asymétrique et dissémi
ans la multiplication du tissu conjonctif (surtout dans les cordons
postérieurs
et latéraux de la moelle épinière). En examin
périphérie de la moelle épi- nière, une dégénérescence des racines
postérieures
, une multi- plication du tissu conjonctif des c
et une altération de la substance blanche, surtout dans les cordons
postérieurs
, en forme des corps amylacés. Payne démontre un
uolisation des cellules (observ. III) et dans la lésion des cordons
postérieurs
(observ. II et IV), laté- raux (observ. II et I
aphie de Pal2, se jette aux yeux l'altération fréquente des cordons
postérieurs
et de la zone marginale de Lissauer et des raci
dons postérieurs et de la zone marginale de Lissauer et des racines
postérieures
. L'altération de ces dernières fut constatée de
aussi dans les racines, et elle a été plus visible dans les racines
postérieures
que dans les inférieures. ' Prof. Kojéwnikow. D
la zone marginale de Lissauer et dans les cordons et les racines
postérieures
. Dans le troisième cas les cordons de Goll, la zo
cuoles et la pigmentation des cellules des cornes antérieures et
postérieures
et des cordons de Clarke et souvent l'oblitéra-
a lésion spéciale de la zone radiculaire de Lissauer et des cordons
postérieurs
. Et dans tous ces cas, dans les racines postéri
et des cordons postérieurs. Et dans tous ces cas, dans les racines
postérieures
était remarquée la dégé- nérescence partielle.
scopiques, traitées par la méthode de Marchi, la lésion des cordons
postérieurs
est évidente, elle est distribuée dans ces dern
s derniers très inégalement. La portion postéro-externe des cordons
postérieurs
a souffert le plus. Il faut dire que même dans
ibres saines. Ce qui concerne la portion antéro-interne des cordons
postérieurs
, nous y trouvons beaucoup moins de fibres dégén
inées çà etlàdans les cor- dons antérieurs et latéraux. Les racines
postérieures
ont assez souifertes et en tout cas plus que le
égénérées se dirigent des racines antérieures ainsi que des racines
postérieures
vers la substance grise des cornes correspondan
dans diverses directions ; surtout on le remarque dans les cornes
postérieures
. Cela dépend de ce que la lésion des racines post
des fibres dégé- nérées dans la commissure antérieure. Les racines
postérieures
et antérieures tout aussi bien que la substance
ans le faisceau de Burdach, la région qui est adjacente aux racines
postérieures
, dont le procès morbide est aussi plus grave qu
extérieur du faisceau dégénéré de Goll que de l'entrée de la racine
postérieure
, est située une agglomération de fibres dégénér
es saines, que la dégénérescence envahit principalement les cordons
postérieurs
et les racines antérieures et postérieures. Dan
rincipalement les cordons postérieurs et les racines antérieures et
postérieures
. Dans la région lombaire le procès morbide a pl
rocès morbide a plus attaqué la portion postéro-externe des cordons
postérieurs
que la portion antéro-interne ; dans la région
parla méthode de Marchi, il faut supposer que la lésion des cordons
postérieurs
est une continuation du procès morbide des raci
correspondantes ; la distribution inégale de la lésion des cordons
postérieurs
sur les différentes hauteurs de la moelle épini
épinière s'explique de la manière suivante : une partie des racines
postérieures
continue sans interruption dans les cordons pos
es racines postérieures continue sans interruption dans les cordons
postérieurs
; les fibres radiculaires, après leur en- DU SYS
gne médiane et elles se placent dans la portion externe des cordons
postérieurs
; et puis, en se rendant de plus en plus vers l
Le degré de la dégénérescence de la portion externe des cor- dons
postérieurs
, c'est-à-dire des faisceaux de Burdach, n'est p
auteurs de la moelle; ce fait s'ex- plique par cela que les racines
postérieures
sont plus atta- quées dans les étages inférieur
les, en plus petit nombre, dans les racines, soit antérieures, soit
postérieures
: on trouve même dans ces racines des îlots abs
des cellules ganglionnaires, situées dans les cornes antérieures et
postérieures
, et dans les colonnes vésiculaires de Clarke, e
gnificative que l'exagération. Une lésion qui intéresse les racines
postérieures
des colonnes postérieures au niveau du second,
n. Une lésion qui intéresse les racines postérieures des colonnes
postérieures
au niveau du second, du troisième ou du quatrième
ccompagnent la dégéné- rescence tabétique ou une lésion des racines
postérieures
. L'abolition du réflexe du genou accompagnée d'
début de la démence para- lytique, sauf dans les cas où les cordons
postérieurs
ont été les pre- miers intéressés; alors le réf
; un second degré d'obscu- rité se constate au niveau de la moitié
postérieure
des pariétaux, de l'occipital, des prolongement
rbation disparaît au bout de quelques jours. La section des cordons
postérieurs
et de la substance grise avec les cordons antér
nalgésie, il faut sectionner les deux cordons latéraux ou la moitié
postérieure
de la moelle, et, encore, dans ce dernier cas,
u en avant des faisceaux pyramidaux; si la destruction de la partie
postérieure
de la moelle ou des cordons latéraux est peu pr
y a codestruction des cordons posté- rieurs. La section des cordons
postérieurs
, au niveau indiqué, pro- duit de l'ataxie dans
ieurs, au niveau indiqué, pro- duit de l'ataxie dans les extrémités
postérieures
. P. K. XXV. DE CE QUE L'ON appelle LES granulat
par les branches qui proviennent des artères à direction antéro-
postérieure
, longeant la ligne médiane. Les parties latérales
érieurs. A la base du cerveau, du point où les artères céré- brales
postérieures
s'abouchent dans la basilaire, partent nombre d
e ; de même les branches intercrurales, provenant des communicantes
postérieures
, convergent vers la ligne médiane du trigone. T
de la ligne médiane, et ceux qui occupent les parties latérales el
postérieures
c'est-à-dire les tubercules quadrijumeaux. Il n
u injectée ; l'injection ne pénètre pas ailleurs, ni dans la partie
postérieure
(tubercules quadrijumeaux). La sphère vascu- la
elette optique. Il existe des fibres pupillaires dans la commissure
postérieure
. Nombre de faits pathologiques confirment que d
on médullaire. R. DE Musgraye CLAY. XLV. UN cas DE SCLÉROSE spinale
postérieure
, avec prodromes OCU- LAIRr : S anormaux ; par C
ut est venu confirmer le diagnostic primitivement porté de sclérose
postérieure
. L'autopsie n'a pu être pratiquée. R. M. C. X
e 3 pouces, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. '279 prise sur la paroi
postérieure
: la tunique musculaire fut ensuite divisée jus
ues, mais correspond exactement aux zones d'innervation des racines
postérieures
. On trouve sur les limites de l'hypesthésie et
combinaison de lésions relevant à la fois des artères radiculaires
postérieures
et de la spinale antérieure. (Revue Neuro- logi
eur de la scissure inter-parié- tale ou de Turner. L'arc descendant
postérieur
de la troisième 300 0 .1,-ILES D'ALIÉNÉS. sci
de paralysie générale, l'une qui se présente associée à la sclérose
postérieure
, l'autre qui est associée, secondairement dans
s'agissait chez son malade d'une embolie de l'artère cérébelleuse
postérieure
et inférieure gauche. LXXIX. CONTRIBUTION A L'É
des OV1'i transverse (tiers moyen). Le tiers antérieur et le tiers
postérieur
de celle-ci constituent des sphères collatérales.
e pariétal passent l'un dans l'autre par le pli courbe et la partie
postérieure
du trigone. Il serait donc juste de dire : cent
nt de préférence la zone interne; 5° le champ antérieur des cordons
postérieurs
se compose, dans la moelle lombaire, pour la pl
. Il est certain n qu'il faut éliminer la participation des racines
postérieures
à l'édi- fication de la commissure antérieure,
latérales sensitives, il va a probablement aussi dans la commissure
postérieure
des libres myé- Jogènes. En faveur de cette opi
ouche de fibres occupant la paroi latérale des cornes inférieure et
postérieure
, entre l'épendyme et les fibres de projection.
d'inflexion du noyau caudé. La couche interne s'étend dans la corne
postérieure
, depuis son toit jusqu'à l'extré- mité antérieu
ne (voile interne sagittal de Sachs) en avant ou en bas, le forceps
postérieur
(ou minor de Sachs). (Suivent des discussions d
Y a-t-il, comme le prétend Ramon y Cajal, des fibres des racines
postérieures
qui ne se terminant point, à la manière habituell
tance grise (cellules nerveuses), passent directement des racines
postérieures
dans les cornes antérieures de la moelle où, en r
ules motrices ? En d'autres termes y a-t-il des fibres radiculaires
postérieures
centrifuges ? L'auteur s'est proposé de contrôl
nçoit avant de s'expli- quer positivement. D'autre part les racines
postérieures
contiennent des éléments centrifuges (Cajal, Va
ensemble des muscles qui agissent. Il en est ainsi pour les racines
postérieures
de la moelle et les nerfs sensoriels. L'embry
es des nerfs optiques et acoustiques correspondent donc aux racines
postérieures
de la moelle ainsi qu'aux prolongements de cell
la moelle ainsi qu'aux prolongements de celles-ci dans les cordons
postérieurs
de la moelle jusqu'au noyau grêle. Les noyaux n
de la moelle autour desquelles se trouvent les fibres nadiculaires
postérieures
, cellules principalement placées il la périphérie
es principalement placées il la périphérie anté- rieure de la corne
postérieure
. L'atrophie de la rétine et du nerf optique des
ue. Le noyau grêle et les cellules nerveuses de la base de la corne
postérieure
, suivant toute la hauteur de la moelle, corres-
érieure, de laquelle partent les cytin- draxes qui vont aux racines
postérieures
de la moelle, se retrouve dans le lobe optique
e du nerf optique qui (de même que les fibres nerveuses des racines
postérieures
se terminent en partie dans les cellules des co
emps (F.). P. KERAVAL. XLIV. Observation DE GLIOME dans la partie
POSTÉRIEURE
DE la protubérance ET DU BULBE ; par F. JOLLY.
e du plancher du qua- trième ventricule ayant gagné par l'ouverture
postérieure
de l'a- queduc de Sylvius le calames sCI'ipto1'
ra- midaux, finalement une dégénérescence descendante des cordons
postérieurs
et ascendante des faisceaux cérébelleux et du tro
E pathologiques. 391 antérieur; elle n'est séparée de la commissure
postérieure
que par une mince bandelette de substance norma
érieure que par une mince bandelette de substance normale. La corne
postérieure
est plus étroite ; la corne antérieure est défo
e a sa configuration nor- male. Sclérose dans la région des cordons
postérieurs
jusqu'au niveau de la dixième racine dorsale, d
e et se rappeler que le nerf labyrinthique, en sa qualité de racine
postérieure
la plus active et la plus grosse de toutes, ser
on voit nettement à l'oeil nu, les parties blanches, et les cordons
postérieurs
sont d'un transparent gris brun. Au bout de deux
prolongement neural de ces mêmes cellules va à travers la racine
postérieure
se ramifier dans la moelle. Bien des argu- ment
solide la multiplicité, la variété des dégénérescences des cordons
postérieurs
, la doctrine des tabès exogène et endogène, dan
rtébral; son prolongement neural, après avoir constitué les racines
postérieures
, va se terminer directement ou par de nombreuse
érieure, de la colonne de Clarke, des différentes zones de la corne
postérieure
, des noyaux bulbaires. De ces points d'autres n
pensé ? Est-ce à la périphérie du neurone, ou au niveau des racines
postérieures
qu'il constitue ? C'est là une question qui a é
peut voir une dégénérescence limitée à certaines zones des cordons
postérieurs
, au faisceau virgule de Schultze, au centre ova
lleux ventral de Loewenthal et de Mott. Ce n'est pas tout. La corne
postérieure
contient en outre de nombreux neurones dont les
bord la lésion primitive d'un neurone du noyau bulbaire des cordons
postérieurs
. Ce neurone qui fait 436 ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
n intervertébral qui par- vient jusqu'au bulbe en suivant le cordon
postérieur
de la moelle. D'après la loi de dégénérescence
opage jusqu'à son extré- mité. De là une dégénérescence des cordons
postérieurs
d'une forme toute spéciale, une dégénérescence
le, une dégénérescence descendante de la partie interne des cordons
postérieurs
, tandis que ni les racines postérieures, ni les
partie interne des cordons postérieurs, tandis que ni les racines
postérieures
, ni les zones des collatérales, ni le centre même
es cas, il est de règle que la lésion respecte à peu près la racine
postérieure
, le ganglion invertébral ainsi que la zone de L
émontré la possi- bilité de ces lésions descendantes dans le cordon
postérieur
de la moelle. 1 A l'époque où nous avons fait l
e d'abord des neurones centraux l'intégrité relative de la racine
postérieure
, ainsi que l'a établi en particulier M. Joffroy (
nous montre à la fois la dégénérescence des cordons pyrami- daux et
postérieurs
, que la lésion primaire a touché simulta- némen
u pyramidal croisé est intact. Les zones de Lissauer et les racines
postérieures
sont relativement épargnées. C'est ce qu'on voi
du médius gauche ; - m'1'ét de développement du bassin et du train
postérieure
hémiplégie droite-- paraplégie ; - dissociation
.Juillet.- En travaillant à la cordonnerie, il s'est fait à la face
postérieure
de l'avant-bras droit, un peu au-dessus du poigne
t M. de Bechlerew : J'ai démontré l'union du tubercule quadrijumeau
postérieur
avec mon noyau réticulaire de la calotte protub
y a par conséquent relations anatomiques du tubercule quadrijumeau
postérieur
et de la zone motrice. D'autre part, on sait qu
a zone motrice. D'autre part, on sait que le tubercule quadrijumeau
postérieur
est en rapports directs avec l'acoustique notam
et du ruban de Reil latéral, union entre le tubercule quadrijumeau
postérieur
et la branche cochléaire de l'auditif. La des
limaçon par Baginsky et Kirilzew montre que les fibres de la racine
postérieure
de l'acoustique se terminent au noyau acoustiqu
tubercule acoustique, aux olives supérieures, au tubercule bijumeau
postérieur
du côté opposé. Les fibres de la racine postéri
bercule bijumeau postérieur du côté opposé. Les fibres de la racine
postérieure
, qui se terminent dans les olives supé- rieures
trapézoide; celles qui se terminent dans le tubercule quadrijumeau
postérieur
passent aussi dans le ruban de Reil inférieur.
nt aussi dans le ruban de Reil inférieur. Held ajoute que la racine
postérieure
de l'auditif a également des relations avec le
l'auditif a également des relations avec le tubercule quadrijumeau
postérieur
du même côté, que le trajet des sensations audi
es acoustiques atteignent non seulement le tubercule quadrijumeau
postérieur
,mais en partie aussi le tubercule quadrijumeau an
montré qu'il faut attribuer, pour l'ouïe, au tubercule quadrijumeau
postérieur
et au corps genouillé interne la même importanc
arant le tubercule quadrijumeau antérieur du tubercule quadrijumeau
postérieur
, qui est le centre spécial de la voix. Enfin, l
est le centre spécial de la voix. Enfin, le tubercule quadrijumeau
postérieur
des mammifères contient un centre vocal dont le
'ouïe, lui-même en intime relation avec le tubercule quadriju- meau
postérieur
. 472 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
n^animal dont on a radicalement détruit le tubercule quadri- jumeau
postérieur
perd la faculté de se tenir debout et de marcher
ements de ses membres. Une simple, lésion du tubercule quadrijumeau
postérieur
entraîne de la propension à tomber de côté, à t
du courant électrique une des éminences du tubercule quadrij umeau
postérieur
, on obtient une déviation des globes oculaires
bilatérales. Excitez les deux éminences du tubercule quadrijumeau
postérieur
, vous obtenez toujours des mouvements convulsifs
o-poslérieures à travers le tronc du cerveau nor- mal. A ces fibres
postérieures
s'adjoignent celles qui occupent le sillon long
ostérieures s'adjoignent celles qui occupent le sillon longitudinal
postérieur
. Les fibres antérieures se placent dans l'ordre
en partie, un peu au centre de la commissure de de Gudden. La paroi
postérieure
du tuber cinereum contiendrait un nodus gris, a
s du noyau du pathétique voisin, ainsi que du faisceau longitudinal
postérieur
du bulbe duquel, d'autre part, beaucoup de fibr
ne naissance à des fibres qui vont aux deux faisceaux longitudinaux
postérieurs
et, s'infléchissant à leur niveau pour se dirig
les parties constitutives, La dénomination de faisceau longitudinal
postérieur
n'est usitée que jusque, à peu près, à l'extrém
que dans la moelle cervicale supérieure. Le faisceau lon- gitudinal
postérieur
du côté lésé se trouve aussi, par un petit nomb
és altérations dégénératives, soit dans les faisceaux longitudinaux
postérieurs
, soit dans le cordon antéro-latéral. Ces deux d
noyaux gris du ventricule et entrent dans le faisceau longitudinal
postérieur
. Les secondes se dirigent oblique- ment au mili
sur une coupe transverse, est située entre le faisceau longitudinal
postérieur
et l'olive supérieure. Enfin le corps restiform
es dans le bulbe par deux écheveaux. Celui du faisceau longitudinal
postérieur
et le vestige du cordon antéro-latéral. Le prem
bulbe; les nerfs craniens en rapport avec Je faisceau longitudinal
postérieur
con- tiennent quelques fibres originaires du ce
fibres cérébelleuses cen- trifuges. Entre le faisceau longitudinal
postérieur
et le cordon antéro-latéral il y a, par passage
bres du pre- mier, continuité et analogie. Le faisceau longitudinal
postérieur
joue vis-à-vis des nerfs crâniens, le rôle que
opiques d'une gomme volumineuse qui siégeait au niveau de la partie
postérieure
de l'hémisphère gauche, englobant les circonvol
s supérieures, les urus supramarginalis et angularis et la partie
postérieure
des deux premières temporales; le pulvinar et la
ber (d'Ucbtspringe) fait remarquer que les racines anté- rieures et
postérieures
, bien qu'elles soient englobées dans la masse d
ions de la - et du bulbe, par Shimamura, 229. Gliome de la partie
postérieure
de la -, par Jolly, 380. Psychiques. Guérison
n cas anormal de en plaques, par Diller, 269. Un cas de - spinale
postérieure
, par Chubb, 270. artérielle du sys- tème nerv
ux mains. Dans les cas difficiles, à ce spéculum qui déprime la paroi
postérieure
, il en adjoint un autre, plat, pour déprimer la p
tout ce côté de la fistule, il l'avive complètement. Arrivé à l'angle
postérieur
, il excise le lambeau; puis il se porte sur l'aut
fistule a été entraînée par des adhérences qui l'ont fixée à la paroi
postérieure
du pubis, de telle sorte qu'on ne peut plus la vo
museau de tanche avec le vagin qui obture l'orifice; on a vu la lèvre
postérieure
de la fistule soudée avec le col qu'elle fermait
paroi vaginale ; puis on en fait autant sur les côtés et sur la paroi
postérieure
du vagin ; on a ainsi un anneau parfaitement crue
antérieure du col étant alors aban-donnée à elle-même, retombe sur la
postérieure
, et le contact est assez parfait pour que la réun
col à droite et à gauche dans le sens des commissures, puis la lèvre
postérieure
du col ou ses débris étant largement avivée, ains
re les lèvres de la plaie. Les flls traversent la cloison et la paroi
postérieure
du col vers son sommet. Quand on les a serrés, ce
n résulte une large ouverture triangulaire à sommet antérieur, à base
postérieure
; l'étendue de cette base varie d'ailleurs suivant
a ne suffit pas, décollez un peu le vagin à son insertion à la partie
postérieure
du col. Pratiquez les sutures en traversant d'abo
tre la cloison et le col, en s'aidant de la dissection de l'insertion
postérieure
du vagin et d'incisions faites dans l'épaisseur d
et une ulcération grande comme une pièce de 5o centimes sur la lèvre
postérieure
du col. Cette ulcération fut largement cautérisée
uatre centimètres de diamètre à son extrémité antérieure; l'extrémité
postérieure
est fermée et plus petite; ce dilatateur présente
r sous trois for-mes : prolapsus de la paroi antérieure ; de la paroi
postérieure
; de toute la circonférence du vagin. Le prolap
de la plaie par la suture, il en-lève un second lambeau sur la partie
postérieure
de l'orifice du vagin et réunit les bords de la v
térieure pour arriver par-dessus la muqueuse intermédiaire à la lèvre
postérieure
. Lorsque toutes les ai-guilles ont été placées, o
qu'elle décrive un U renversé dont la con-cavité embrassera la partie
postérieure
de la saillie faite par la muqueuse, pendant que
érations destinées à les guérir tous deux. Le prolapsus de la paroi
postérieure
avec déplacement du rectum constitue la rectocèle
et le vagin cessant d'être distendu, des plis se forment sur la paroi
postérieure
. Il semblerait qu'au début on peut guérir la re
ssaire assez large pour distendre dans toute sa hauteur le cul-de-sac
postérieur
du vagin ; Malgaigne a réussi avec un pessaire en
ver un lambeau de la muqueuse du vagin, soit en appliquant à sa paroi
postérieure
le procédé de M. Huguier, décrit à propos de la c
ez deux érignes, l'une en bas, l'autre en haut, sur la crête mé-diane
postérieure
du vagin ; tirez sur ces deux érignes de ma-nière
uter la procidence de la paroi antérieure du vagin, celle de la paroi
postérieure
et la chute de l'utérus avec les lésions qui peuv
e fait en pratiquant sur les côtés de la vulve, près de son extrémité
postérieure
, une ou deux inci-sions de I centimètre ou i cent
t rompu de nouveau après avoir été reconstitué, » Des ren-seignements
postérieurs
à la mort de M. Roux ont appris qu'une de ses pat
èle qui empêcha la réunion des parois du rectum et celle de la moitié
postérieure
du périnée. Une autre manière de pratiquer les
e ; on la pousse en bas et en dedans et on la fait sortir sur le bord
postérieur
ou profond de cette surface. Lorsque le côté gauc
ie du côté du rectum; la réunion des lignes courbes for-mera la paroi
postérieure
du vagin ; la réunion des dernières lignes former
ive pres-que toujours quand on a fait sortir les fils au-delà du bord
postérieur
de la plaie. 4° On place d'abord d'après ces pr
et dans toute la largeur de la cloison. On a ainsi deux lames dont la
postérieure
formera le rectum, et dont l'antérieure sera rame
une olive creuse également en métal. Cette olive appuie sur la paroi
postérieure
du vagin, lorsque l'instrument est placé et le ma
le, soit parce qu'on peut craindre qu'une paroi de l'utérus, la paroi
postérieure
dans l'anteversion, par exemple, n'appuie trop fo
tence d'adhérences de l'utérus dans ces régions. De même, si la paroi
postérieure
du vagin ou la paroi antérieure du rec-tum sont e
aché par la tête du fœtus; tantôt encore il y a déchirure de la paroi
postérieure
de l'utérus et du rectum et expulsion du fœtus pa
ionnée par une tumeur fibreuse développée dans les parois antérieure,
postérieure
ou antéro-latérale de l'utérus. Quelle est la fré
t précis de cette flexion; souvent aussi dans l'an-téflexion la paroi
postérieure
du col vaginal est deux ou trois fois aussi longu
es mêmes après cette incision. Pour réussir il faut fendre la par-tie
postérieure
du col en ligne droite et en arrière, depuis l'or
ténaculum, on coupe d'un seul coup avec des ciseaux droits la portion
postérieure
du col [voj. la figure 10), Passant alors dans la
ion, il faut avoir bien soin de ne pas dépasser le cul-de-sac vaginal
postérieur
, sous peine de léser le péritoine. Suites imméd
ne portion plus considé-rable de la moitié antérieure ou de la moitié
postérieure
du col utérin. Dans le cas où l'on veut agir plus
rin. Dans le cas où l'on veut agir plus particulièrement sur la lèvre
postérieure
, le plein de la chaîne doit porter en arrière tan
a chaîne avec la paroi antérieure du vagin, l'ouverture du cul-de-sac
postérieur
du vagin et même de la cavité du péritoine; le re
é lésé, ou est venu faire hernie à travers l'ouverture de cette paroi
postérieure
du vagin. Les docteurs Breslau, Langenbeck, Biefe
r ; ce danger est surtout à redouter dans l'implantation de la griffe
postérieure
. Les érignes ou la pince de Museux sont confiées
neau terminal du cons-tricteur soit lui-même placé dans le cul-de-sac
postérieur
du vagin ; on met ainsi plus sûrement à l'abri le
vagin ; on met ainsi plus sûrement à l'abri le cul-de-sac péri-tonéal
postérieur
. En effet, dans le mouvement de constric-tion, l'
ujours l'extrémité inférieure des uretères sur les faces latérales et
postérieures
de cette partie de la vessie, circons-tance qu'il
i-sion. L'urèthre est aussi déplacé, sa paroi antérieure est deve-nue
postérieure
, et sa courbure nouvelle tend à embrasser le turb
nt renversée. La portion du gros intestin qui s'engage dans la partie
postérieure
de la tu-meur est seulement la partie inférieure
sphincter externe; l'extrémité inférieure de cet intestin et sa paroi
postérieure
ne sont pas déplacées ; l'étendue de la rectocèle
une étendue de 3 à 4 centimètres. Il en est autre-ment du cul-de-sac
postérieur
qui a suivi l'allongement du col dans toute son é
é inférieure est à 2 ou 3 centimètres au-dessus et en arrière du bord
postérieur
de l'orifice utérin, et s'il n'y a aucune hypertr
es cas où l'extrémité inférieure de la tumeur est formée par la paroi
postérieure
du vagin des-cendue au-dessous du col, ce cul -de
s jours qui suivent l'opération. Premier temps : section des parois
postérieures
du vagin et du coi. La tumeur ayant été saisie pa
r ayant été saisie par des pinces de Museux implan-tées dans la lèvre
postérieure
du museau de tanche, le chirurgien introduit l'in
antérieure du col, de façon à rejoindre par ses extrémités l'incision
postérieure
. Cette incision, c|ui porte sur la paroi du vagin
sin. Pour prévenir cette réascension, il faut implanter dans la lèvre
postérieure
de la plaie utérine un ténaculum ou une pince de
le cas où l'on aurait eu le malheur d'ouvrir le cul de sac péritonéal
postérieur
, il faudrait faire un point de suture en évitant
térins, qu'ils s'insèrent sur le fond ou sur les parois antérieure ou
postérieure
de l'organe ; la dilatation par la tente éponge p
i était antérieure au début de l'opération, se trouvait ainsi devenue
postérieure
et sortait la dernière. Les dernières tractions e
eaux lé-gèrement courbes, avec laquelle on l'incise jusqu'à la partie
postérieure
de manière à en faire deux moitiés. On s'attaque
end que le siège de la tumeur sur la paroi antérieure ou sur la paroi
postérieure
de l'utérus est la cause de ces accidents de vois
te du corps fibreux, soit sur la paroi antérieure, soit sur la partie
postérieure
de la ma-trice; si dans le cas où la tumeur est p
la partie postérieure de la ma-trice; si dans le cas où la tumeur est
postérieure
, le toucher rectal démontre que la tumeur est uni
égarer sur les côtés de la ligne médiane et à prendre les aponévroses
postérieures
des mus-cles droits de l'abdomen pour un kyste ad
lls et Tyler Smith, et adosser la séreuse à elle-même prés des lèvres
postérieures
de la plaie ? Il paraît plus prudent de faire p
r fibreuse de la grosseur d'une tête de fœtus, implantée sur la paroi
postérieure
de l'utérus, à la jonction du col avec le corps,
terne de l'utérus. C'est aussi pour ces tumeurs fibreuses de la paroi
postérieure
que Kilian a fait une opération césarienne sans s
ntéro-postérieur; elle adhérait au bord droit de l'utérus, à la paroi
postérieure
du vagin et à la face antérieure du rectum. Dans
péra-tions, on dit aussi que la tumeur était développée dans la paroi
postérieure
de l'utérus vers son extrémité inférieure. Quant
elles qui, développées dans cette paroi, se rappro-chent de sa partie
postérieure
, elles peuvent, comme celles du fond, remonter av
is, et reconnaissant que cette tumeur était dé-veloppée dans la lèvre
postérieure
, put l'énucléer et la diviser, puis l'extraire ;
iangulaire qu'on trouve en haut de l'utérus, les parois antérieure et
postérieure
proémi-nent presque au point de se toucher ; mais
a partie antérieure des kystes, car pour les adhérences pro-fondes et
postérieures
on ne peut avoir que des présomptions; les adhére
t tous les opérateurs sont encore exposés à rencontrer des adhérences
postérieures
avec les intestins et les autres viscères, tellem
aution, de haut en bas, le plancher du bassin au niveau du cul-de-sac
postérieur
du vagin. Dès que la pointe du trocart apparaît,
ison vésico-vaginale. f. Perte de substance de la vessie. Ip. Lèvre
postérieure
du museau de tanche largement avivée, de ma-nière
lle on opère ; on les déplace lorsque le bistouri arrive sur la lèvre
postérieure
. Figure m. Disposition des fils. La sonde est r
que les sutures vont de la lèvre antérieure de la fistule à la lèvre
postérieure
du col, toutes deux préalablement avivées. Lorsqu
ajet indiqué par la fig. v' dans l'épaisseur des parois antérieure et
postérieure
du vagin. Figure yi. Résultat immédiat de l'opé
ce est fermée. Pour ouvrir cet instrument, on appuie sur les branches
postérieures
, soit avec les doigts, soit avec une pince dont l
le. Le col est abaissé par des tils de soie passés à travers la lèvre
postérieure
, comme le fait M. Simon. Un spéculum univalve et
ure de l'utérus. La partie ombrée, étendue du ténaculum au col du sac
postérieur
du vagin, représente une première section faite a
sente une première section faite avec des ciseaux droits sur la lèvre
postérieure
du col. / est le manche du bistouri mousse à lame
it placée d'abord dans le fond de la cavité, coupant ensuite la paroi
postérieure
et sortant par l'ouverture que les ciseaux ont fa
Antéversion, ré-troversion. Figure xxx. Pessaire à air à renflement
postérieur
applicable à la re-troflexion. Figure xxxi. Pes
e dans le cas de deux corps fibreux occupant les parois antérieure et
postérieure
de l'utérus ; la sonde a ne peut suivre qu'un seu
éro-folliculaire en forme de battant de cloche, implanté sur la lèvre
postérieure
du col. Le pédicule est saisi par le polytrite du
cule sera écrasé. Figure xxiv. Polype fibreux implarté sur la lèvre
postérieure
du col. Le pédicule est embrassé par un fil métal
e la portion inlra-vaginale du col d'après M. Huguier, vu par la face
postérieure
. a base du col; h lèvre postérieure dont le bor
près M. Huguier, vu par la face postérieure. a base du col; h lèvre
postérieure
dont le bord libre forme un crois-sant; c orifice
le gauche du vagin. On voit la situation des culs-de-sac antérieur et
postérieur
du péritoine, et, dans ce dernier, des brides all
xcellente opération est applicable à la cure du prolapsus de la paroi
postérieure
, ou de toute la circonférence du vagin, et même a
où l'utérus s'est placé sur elle, pendant que son fond touche la face
postérieure
de la symphyse pu-bienne (Marion Sims). Le but es
o-chaska.) Figure viii. Bride circulaire, présentant dans sa moitié
postérieure
, qui est ici cachée, tous les caractères d'un app
dre la taille médiane recto-vésicale, par écrasement linéaire. A bord
postérieur
de l'anus déprimé par le trocart. B, coupe du rec
Curette articulée ou brise-pierre uréthral, avec articulation du mors
postérieur
à point d'appui. Nélaton, modèle Charrière. 30.
rtir par le même trou. Figure vu. Fistule uréthro-pénienne. Lambeau
postérieur
. Dieffembach. — On voit Fincision transversale fa
ajet supérieur et trajet inférieur de la liga-ture à travers la paroi
postérieure
. C. Compresse et nœud prêt à être serré. Figure
ne se voit pas dans ce dessin; il prend un point d'appui sur la paroi
postérieure
du pharynx. Le larynx se réfléchit dans le miroir
grande corne droite de l'os hyoïde; g, paroi droite du pharynx; paroi
postérieure
du pharynx; i, cartilage aryténoïde: k, cartilage
du précédent; /, cartilage de Wrisberg; m, bord supérieur de la paroi
postérieure
du larynx; n, corde vocale inférieure droite; o,
nctionnels de l'écorce cérébrale étant ad- mise, (et les recherches
postérieures
des physiologis- tes, des cliniciens et des his
, Bd., 1890. rig. 1. - iiemispiiere gaUChe ou singe. 1, le membre
postérieur
est avancé comme dans la marche. - 2, flexion ave
), et s'étendant au delà de la marge de l'hémisphère dans la partie
postérieure
de la circonvolution marginale ou du lobule par
ntérieure (9, fig. i) et la réaction, par l'excitation de la partie
postérieure
(10, fig. 1). Semon et Horsley' ontdémontréde
en bas, suivant que les électrodes sont sur la partie antérieure ou
postérieure
de ce pli. L'état des pupilles n'est pas constant
té opposé. Précisément on obtient le même résultat par l'excitation
postérieure
de la troisième circonvolution externe du cerve
moitié inférieure des deux circonvolutions centrales, l'extrémité
postérieure
de la deuxième frontale, le coin postérieur et su
centrales, l'extrémité postérieure de la deuxième frontale, le coin
postérieur
et supé- rieur de la troisième frontale furent
une façon plus uniforme par l'excitation de la partie antérieure et
postérieure
du pli courbe. Règle générale, LES LOCALISATION
ourbe est excité, et des mou- vements en bas quand c'est le segment
postérieur
. On peut aussi obtenir, comme l'ont démontré le
uvements en bas des yeux par l'excitation, non seulement du segment
postérieur
, du pli courbe, mais aussi de l'extrémité supé-
seulement tout le lobe occipital, mais aussi une partie du segment
postérieur
du pli courbe ont été enlevés. A gauche, le pli
le lobe occipital gauche fut enlevé par une incision immédiatement
postérieure
à la scissure occipito-paiiétale. Dans ce cas,
rieur des lobes occipitaux, comprenant un léger empiétement du bord
postérieur
de la circonvolution parié- tale ascendante gau
che fut cautérisé jusqu'à la scissure occipito-pariétale, la partie
postérieure
du corps cal- leux fut aussi divisé en même tem
o-occipitale. La pièce enlevée comprenait l'ex- trémité de la corne
postérieure
du ventricule latéral qui se trou- vait ainsi o
ns laquelle on enleva les deux lobes occipitaux (surface externe et
postérieure
et une partie de la surface inférieure) avec un
étendue, mais aussi l'importance relative de la portion antérieure,
postérieure
et médiane du centre visuel de l'écorce '. » &g
t une participation du pli courbe (ou tout au moins de son fragment
postérieur
d'après Schoefer), plus grande même que celle d
tactile (Illilils- phure) - D. l1l(mbl'e O1nterlCUt. - C, iiienibie
postérieur
. - E, zone de la tête - F, région de l'oeil. -
es subissent la décussation dans le pont et s'appliquent aux fibres
postérieures
de la capsule interne; elles se distribuent pri
; on a trouvé des lésions dans les fibres médullaires de la région
postérieure
vaguement ou sans raison dénommes lobe occipita
manente quand l'écorce était détruite dans la région de la division
postérieure
de la seconde circonvolution externe qu'il appe
ions, d'une étendue et d'une profondeur suffisantes, dans la partie
postérieure
de la région occipitale chez les chats et les c
périences sont d'accord pour com- prendre dans cette zone la moitié
postérieure
de la seconde cir- convolution externe. = C'est
ortion antérieure le centre de la moitié supé- rieure et la portion
postérieure
, la moitié postérieure, de la rétine opposée. I
ntre de la moitié supé- rieure et la portion postérieure, la moitié
postérieure
, de la rétine opposée. Il considère la portion
visuel. Quand un trouble de la vision se produit par lésion du lobe
postérieur
, il y a toujours la même hémiopie ou semiam- bl
e l'ablation de la partie antérieure ni fabulation de l'extrémité
postérieure
de l'hémisphère n'ont aucun effet sur la vision.
nette. Le chien présente du trem- blement et de la parésie du train
postérieur
; à dose double, l'inertie devient complète, l'a
a pas d'atrophie, il y a lieu d'admettre une affection des cordons
postérieurs
et laté- 1 aux de la moitié droite de la moelle
, creusée d'une gouttière dans laquelle est cou- chée la commissure
postérieure
. Celle-ci est commune à tous les vertébrés. Ses
e de cet organe. En dedans d'elles sont des faisceaux longitudinaux
postérieurs
, des fibres commissurales avoisinent ces dernie
tance blanche profonde. On l'a souvent confondue avec la commissure
postérieure
, mais l'époque à laquelle elle se développe etl
e côté, la rotule est abaissée (fil. '12). Les muscles de la partie
postérieure
ont subi également un commencement d'atrophie :
es phénomènes moteurs et sensitifs il se pro- duisit, sur la partie
postérieure
dn tronc et sur la région anté- rieure de l'abd
avant, on voit deux groupes, moins importants que ceux de la partie
postérieure
,- siégeant en-dessous et à gauche de l'ombilic.
de nouveau, pour accompagner le corps bordant qui est devenu pilier
postérieur
, et finit par se confondre avec ce dernier. Mai
ent il est vrai, conserver sa largeur, doubler en arrière le pilier
postérieur
et venir se ter- miner en fuseau à la jonction
de l'opération, que l'on doit de constater son absence. Extrémité
postérieure
de la substance grise. - En ar- rière, la subst
ronnée, au point où le corps bordant se recourbant devient pilier
postérieur
, se divise en deux branches distinc- tes, une s
mble en continuer la partie libre. Branche interne de l'extrémité
postérieure
.- La bran- che interne se dirige en dedans sous
les moyens vont contribuer à former les cordes du psaltérium ; les
postérieurs
vont aux nerfs de Lancisi. Il faut enfin noter
trajet avant de devenir sus-calleux. Branche externe de l'extrémité
postérieure
. - La bran- che externe s'engage dans le fond d
s son origine, elle est rejointe et accompagnée par l'extré- milé
postérieure
de la lame réticulée, que nous DE L'APPAREIL NE
es nerfs sont une émanation de la branche interne de la bifurcation
postérieure
du corps godronné, c'est-à-dire de la partie li
uée sur le côté externe des bandelettes de Lancisi. Son extré- mité
postérieure
reposait sur le bourrelet calleux. Elle contourna
ngitu- dinaux inférieurs. Tels sont les détails des prolongements
postérieurs
de la circonvolution godronnée, détails faciles
éamoins admis trois centres nerveux secon- daires, un supérieur, un
postérieur
, et un antérieur. Le centre olfactif supérieur
ette diagonale de l'espace quadrilatère. » ... « Le centre olfactif
postérieur
est le lobe de l'hippocampe où va se rendre la
temps que cette racine... Le centre antérieur com- prend la partie
postérieure
des deux premières cir- convolutions orbitaires
s cir- convolutions orbitaires... Il comprend en moyenne le tiers
postérieur
des deux premières circonvolutions orbitaires.
qui vont « après un trajet extrêmement court se rendre sur le bord
postérieur
des circonvolutions orbitaires ». Cette inserti
IE. z sont olfactives l'une et l'autre, au moins dans leur partie
postérieure
, sans qu'on puisse savoir jusqu'où s'étend, d'a
c'est la même production que je signale après lui. Prolongements
postérieurs
de la circonvolution godron- née. La lame blanc
érieur. «... La fascia dentata, au contraire, tourne autour du bord
postérieur
du corps calleux pour aller à sa face supérieur
n peu en dedans au-dessous du psaltérium, avant d'entourer son bord
postérieur
et de finir sous la circonvolution du corps cal
elles du grand pied de l'hippocampe ne s'arrêtent pas à la partie
postérieure
de cette région, mais qu'elles se conti- nuent
un peu plus grosse; s'éloigner de la fimbria, entourer l'extrémité
postérieure
du corps cal- leux, qui est développé à moitié;
, le suivre encore au dessus de cette courbure jusqu'au bourrelet
postérieur
, derrière lequel il s'accole à la région corres
uivre la courbe du corps calleux, dont il embrasse le bord ou genou
postérieur
, et revenir à son point de départ, en doublant
ière leur dos, marchent sans gêne des heures sur leurs extré- mités
postérieures
, n'ayant pas besoin d'appui; ce qui prouve que
ment de l'acuité de l'ouie. La région en question est la division
postérieure
de la troisième circonvolution externe ou supra-s
ue que B et comprend, d'après ses figures, la totalité de la moitié
postérieure
dé la troi- sième et aussi lés parties postérie
ité de la moitié postérieure dé la troi- sième et aussi lés parties
postérieures
et inférieures de la première et de la seconde
res auteurs. - z D. Région du membre antérieur. C. Région du membre
postérieur
. - E. Région de la tète. - F. Région de l'oeil.
et Tamburmil ont trouvé que la destruction unilatérale de la partie
postérieure
et supérieure de la troisième circuuvolu- tion
eu lieu. Quand les lésions destructives sont limitées à la partio
postérieure
de la seconde circonvolution externe et ne compre
e supérieure chez le singe, mais qu'il en est séparé par la branche
postérieure
de la circonvolution sylvienne. Meynert a suppo
e de la circonvolution sylvienne. Meynert a supposé que la division
postérieure
de la circonvolution sylvienne est l'homologue
périeure Cependant j'ose dire que la ressemblance entre la division
postérieure
de la circonvolution sylvienne et la circonvo-
de profondeur de la scissure de Sylvius2. Dans ce cas, la division
postérieure
de la circonvolu- tion supra-sylvienne correspo
a bandelette infé- rieure du côté opposé, et de là par le tubercule
postérieur
des tubercules quadrijumeaux et le corps génicu
e du côté opposé et un certain degré d'atro- phie dans le tubercule
postérieur
des tubercules quadrijumeaux et dans le corps g
s rapports normaux, quand la tota- lité de la colonne antérieure et
postérieure
, aussi bien que la subs- tance grise a été sépa
mitée par la prolongation en dehors des commis- sures antérieure et
postérieure
, c'est-à-dire le tiers moyen. Ludwig et Worosci
nt la dégénérescence ascen- dante, les principaux sont les colonnes
postérieures
ou colonnes de Goll qui subissent la dégénéresc
tions de Tootli semblent le mon- trer, provient'surtout des racines
postérieures
de régions dorsales supérieure et cervicale et
la plus grande portion d'une moitié de la moelle (excepté le cordon
postérieur
), une partie du cordon antérieur, et celte portio
atéral situé dans l'angle formé par les deux cornes anté- rieure et
postérieure
(fig. 25), il y avait une paralysie motrice * p
té gauche de la moelle, à l'exception du cordon médian antérieur et
postérieur
. Quoique la plus grande portion du cordon média
ieur et postérieur. Quoique la plus grande portion du cordon médian
postérieur
gauche et tout le cordon médian postérieur droi
portion du cordon médian postérieur gauche et tout le cordon médian
postérieur
droit, de même que la substance grise à droite,
orps. Cette expérience donc infirme celle hypothèse que les cordons
postérieurs
sont la voie de conductibilité de la sensibilit
lité tactile. Elle est aussi contraire à l'hypothèse que la colonne
postérieure
médiane est la voie du sens musculaire du même
une autre expérience, j'ai essayé de diviser avec soin les cordons
postérieurs
dans le milieu de la région dorsale; j'ai fait
la section en plongeant un kératome triangulaire dans la scissure
postérieure
médiane à une telle prolondeur, que j'avais calcu
des expériences répétées sur des moelles, que les cordons mé dians
postérieurs
soient divisés jusqu'à la commissure postérieure.
s cordons mé dians postérieurs soient divisés jusqu'à la commissure
postérieure
. Quoiqu'il me sembla que tous les cordons posté
la commissure postérieure. Quoiqu'il me sembla que tous les cordons
postérieurs
étaient divi- sés, je n'ai pu après la mort vér
pour quelques heures comme faible et maladroit dans ses extrémités
postérieures
le jour suivant, on n'a pu découvrir le plus lé
son attention. Bechterew a aussi trouvé que la section des cordons
postérieurs
4 Neurolog. Cealral6lalt, février I, 1890. -
chterew sont donc opposées à la théorie qui fait suivre les cordons
postérieurs
à toutes de la sensibilité propre. Brown-Séqu
é opposé de la moelle et qu'il n'est pas contenu ni dans la colonne
postérieure
médiane, ni dans le cordon cérébelleux direct,
I, est un exemple de tabes avec paralysie bilaté- rale de la partie
postérieure
du tronc; dégénérescence des muscles sans lésio
es fines et fortes ; ces cordons unilatéraux occu- paient la limite
postérieure
de la substance réticulaire et la région 280 RE
E ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. antérieure de la tête des cornes
postérieures
, au milieu de la région moins tassée des faisce
es, au milieu de la région moins tassée des faisceaux longitudinaux
postérieurs
. n M. Pick a retrouvé c un trousseau de fibres
, car il entraînerait à croire que les fibres destinées à la moitié
postérieure
de la langue, contenues d'abord dans la neuvièm
ne sont pas réunies en trousseau dans la zone d'entrée ladiculaire
postérieure
. P. K. XXIX. Contribution au connaissance DE la
isuelles du lobe occi- pital - à la section transverse de la partie
postérieure
de la cap- sule interne - à l'ablation d'un des
stance nerveuse jusques et y compris le tiers antérieur des cordons
postérieurs
et des cordons antérieurs. Infiltration des par
partiellement en arrière de cet organe et n'en va gagner la partie
postérieure
qu'après entre- croisement dans le voisinage de
t : les cordons latéro-cérébelleux qui vont au cervelet - le cordon
postérieur
qui se termine dans la substance grise du noyau
e cordon postérieur qui se termine dans la substance grise du noyau
postérieur
d'origine des faisceaux pyramidaux, noyau relié
des nerfs. M. Kredel trouva, en effet, que la partie antérieure et
postérieure
de l'artère avait été perforée; il réséqua le m
s. Les foyers scléreux siègent surtout dans les cordons latéraux et
postérieurs
; il en existe aussi dans d'antres systèmes, not
surface interne de l'hémisphère gauche fait saillie dans son tiers
postérieur
. Les circonvolutions cérébrales sont aplaties et-
ate aucun signe de sclérose descendante. Les racines antérieures et
postérieures
sont normales. On constate dans la pie-mère méd
sent par la formation réti- culaire. - Ces cordons, c'est-à-dire le
postérieur
externe et le postérieur médian, qui ne subisse
culaire. - Ces cordons, c'est-à-dire le postérieur externe et le
postérieur
médian, qui ne subissent pas de décussation dans
t dans le tegmentum du pédoncule cérébral et de là dans la partie
postérieure
de la capsule interne où ils s'irradient en dehor
sensitifs se trouvent séparés des fibres mo- trices dans la partie
postérieure
(ou plutôt dans le tiers postérieur du segment
bres mo- trices dans la partie postérieure (ou plutôt dans le tiers
postérieur
du segment postérieur) de la capsule interne. L
a partie postérieure (ou plutôt dans le tiers postérieur du segment
postérieur
) de la capsule interne. Les fibres sensithes ét
La figure 43 représente le cerveau d'un singe chez lequel la partie
postérieure
de la circonvolution de l'hippocampe gauche fut
nde diminution des réactions tactiles et douloureuses sur la partie
postérieure
de côté droit du corps, avec une légère diminut
inale seule, la dégénérescence dans ce dernier cas occupe la partie
postérieure
et externe du cordon pyramidal croisé et dans l
ar ses racines interne et externe avec les extrémités antérieure et
postérieure
du lobe falciforme ont été comparés par Broca à
est très réduit, et manque presque chez les delphinides. La limite
postérieure
du lobule de l'hippocampe est nettement indiqué
erveau de la baleine à l'extré- mité du lobe temporal immédiatement
postérieur
à Tuncus et Zuckerkand 2 lui assigne une même p
t de vue physiologique, que chez l'homme et chez le singe la limite
postérieure
du lobule de l'hip- pocampe est le pli de passa
d'un cerveau de marsouiu. Cette corne se continue avec l'extrémité
postérieure
des corps du ventri- cule latéral et se dirige
. a Le long du bord interne de l'hippocampe s'attachait le pilier
postérieur
du trigone comme le toenia de l'hippocampe. Le
.lf, fascicule de Meynert - gloi, glomérule olfactif. - hl, fascicule
postérieur
tonptudinal. - k, couche granuleuse du bulbe ol
lleux chez ces ani- maux (B fig, 32). Chez l'homme aussi, la partie
postérieure
du tri- rone est formé de fibres transverses fo
ps et des lobules de l'hippo- campe, qui sont reunis par la portion
postérieure
au temporal de la commissure antérieure. ' Co
constate, dans un cinquième de cas, une lésion certaine des cordons
postérieurs
; dans un tiers des cas, une lésion probable des
mbre se décompose lui-même en : lésions conco- mitantes des cordons
postérieurs
, 70 p. 100; lésions concomi- tantes des cordons
s cordons latéraux, 20 p. 100; les paralytiques généraux à sclérose
postérieure
avaient été atteints à l'âge de quarante-et-un
ysie générale. 70 p. 100 des paralytiques avec lésion des cor- dons
postérieurs
avaient la syphilis sûrement; 50 p. 100 des para-
téraux et la paralysie générale compliquée de lésions des cordons
postérieurs
. Quoi qu'il en soit, le traitement antisyphilit
semble porter à peu près également sur les muscles anté- rieurs et
postérieurs
du bras ; en pressant entre les doigts les musc
dépens des muscles de la région antérieure ou de èeux de la région
postérieure
de l'avant-bras. Les éminences thénar et hypoth
ieure du thorax est un peu déprimée; il en est de même de la région
postérieure
; les muscles sus et sous- épineux sont atrophi
ce, douleurs fulgurantes, anesthésies) veut dire lésion des cordons
postérieurs
et surtout de leur partie externe (zones radicu
ctures répond la lésion latérale, comme à l'ataxie répond la lésion
postérieure
et comme aux amyotrophies répond la lésion gris
symptômes du premier groupe font penser à une lésion des cordons
postérieurs
, ceux du second font supposer une lésion des co
ion. Dans toutes les autopsies, la lésion intéres- sait les cordons
postérieurs
et les cordons latéraux. Jusque-là, du reste, a
dans lesquels la lésion primitivement systématisée aux cor- dons
postérieurs
se diffuse ensuite (par l'intermédiaire des mén
aux : cela est très juste : la sclé- rose, systématisée aux cordons
postérieurs
, est diffusée dans les cordons latéraux. Mais
sion commence par les nerfs crâniens; chez l'autre, par les cordons
postérieurs
; chez certains, les méninges spinales jouent un
XLI. 3 34 PATHOLOGIE NERVEUSE. les lésions combinées des cordons
postérieurs
et laté- raux, la rigidité musculaire et la con
usqu'à la région lombaire et que les zones radiculaires des cordons
postérieurs
sont atteintes par la dégénérescence. Zacher a.
le en disant : Dans une lésion combinée des faisceaux pyramidaux et
postérieurs
, les phénomènes spastiques ne se développent pa
les membres supérieurs ou inférieurs, quand la lésion des cordons
postérieurs
a atteint les zones radiculaires postérieures d
la lésion des cordons postérieurs a atteint les zones radiculaires
postérieures
dans les sections correspondantes de la moelle.
ique à siège spécial et constant. Cette sclérose occupe les cordons
postérieurs
et les cordons latéraux. On ne peut considérer
i comme entièrement diffuse. Elle est systématisée dans les cordons
postérieurs
et diffuse dans les cordons latéraux. Cette ass
3 ataxique est préférable à l'expression de sclérose mé- dullaire
postérieure
. Le tabes combiné doit être distingué du tabes
ement localisées à la partie moyenne de l'hémisphère gauche (partie
postérieure
de la troi- sième frontale, scissures de Sylviu
on, constata- tion de la fracture avec dépression. Pas de nouvelles
postérieures
de la malade. Un autre cas, soigneusement exami
iculaire lui-même et occupe dans tout son trajet une situation plus
postérieure
. La cicatrice de gauche porte sur le territoire
faisceaux pyramidaux dans les cordons anléro-latéraw et des cordons
postérieurs
. Planche à l'appui. 1 Voy. Arch. de Neurologie,
e de la moelle. Dégéné- rescence secondaire des cordons latéraux et
postérieurs
. Observations 111. Cysticerques du cerveau et d
ique, tels que ceux où il existe une lésion massive dans le segment
postérieur
de la capsule interne, avec propagation à la co
ment tuméfiés ; les mouvements déterminent des douleurs sur la face
postérieure
de l'avant-bras ; il lui est impossible d'étend
ies marginales du cordon latéral du même côté, contiguës à la corne
postérieure
, pour se terminer dans la substance grise de la
n au facial et à l'auditif ; ainsi qu'avec le faisceau longitudinal
postérieur
(faisceaux arqués); 4° des fibres arci- formes
des pyramides en rapport de continuité avec les noyaux des cordons
postérieurs
: peut- être y a-t-il dans son sein des fibres
es olives ou à la région dans laquelle se met à apparaître le noyau
postérieur
du nerf vague; on la suit en bas jusqu'à l'extr
cte donc aucun rapport ni avec le noyau antérieur, ni avec le noyau
postérieur
du pneumogastrique, pas plus qu'avec le REVUE D
iculaire : mais, dans le bulbe, à la hauteur des noyaux des cordons
postérieurs
, le fais- ceau de Burdach envoie des fibres qui
e presque toute l'étendue com- posée entre le faisceau longitudinal
postérieur
et le ruban de Reil. 1. Fibres qui doivent être
. Ils se rendent aux olives supérieures (fibres issues de la partie
postérieure
du faisceau radiculaire' du cordon latéral), au
rance; il envoie des trous- seaux fibreux au tubercule quadrijumeau
postérieur
, aux masses grises qui environnent le troisième
convexité antérieure, jusqu'à la région des faisceaux longitudinaux
postérieurs
; elles se per- dent alors, soit entre les fibr
el noyau de l'oculo-moteur commun, avec les faisceaux longitudinaux
postérieurs
, eux-mêmes traversés par des fibres de l'oculo-
o-moteur commun ; par conséquent le plan inférieur de la commissure
postérieure
affecte des rapports intimes avec les nerfs mot
iculier, avec le moteur oculaire commun. Au-dessus de la commissure
postérieure
, les faisceaux lon- gitudinaux postérieurs, réd
-dessus de la commissure postérieure, les faisceaux lon- gitudinaux
postérieurs
, réduits à de rarés fibres, reçoivent plus haut
ssible de confon- dre les fibres du plan inférieur de la commissure
postérieure
avec celles qui viennent de la substance blanch
hez des foetus de 23 centimètres de long, se confond avec la racine
postérieure
des auteurs et comprend l'ensemble des fibres s
hez des foetus de 30 centimètres de long, se confond avec la racine
postérieure
des auteurs, ce sont des fibres situées en dehors
es cellules nerveuses qui occupent l'angle compris entre les cornes
postérieures
et les cornes anté- rieures (trousseaux gris de
es depuis la mutilation corticale jusqu'à la partie infé- rieure et
postérieure
de la couche optique partiellement atro- 1 Voy.
ER. Observation dans laquelle une tumeur développée dans le segment
postérieur
du troisième ventricule n'avait dé- truit que d
mobiles au milieu du larynx, c'est là ce qu'on appelle la paralysie
postérieure
due, d'après les expériences de Krause, dans un
Je ne nie pas, d'une manière générale, l'existence d'une paralysie
postérieure
centrale ou périphérique. Maïs la pa- ralysie p
lisme chronique; intégrité de la moelle, des racines antérieures et
postérieures
. Dégénérescence des nerfs crural, sciatique. su
e volume; ils étaient composés de graisse et occupaient le triangle
postérieur
de chaque côté du cou; ils s'enfonçaient en bas
sensorielle serait en rapport avec l'idée d'une lésion de la partie
postérieure
de la capsule interne ; et l'on admettrait que
mblable de supposer la présence de deux foyers, l'un dans la partie
postérieure
de la capsule interne, en rapport avec l'hémian
de la cellule écartaut ainsi le nucléole. Les cellules des cornes
postérieures
sont arrondies ou de forme triangulaire sans ra
s et contiennent aussi une grande quantité de pigment. Les cornes
postérieures
elles-mêmes de la substance grise ont diminué d
e, et cette épaisseur s'ac- centue en particulier dans les colonnes
postérieures
. Le canal central est oblitéré et offre dans la
accompli en neuf jours avec un résultat si rapide, est une maladie
postérieure
démontrée par lesdésordres amyotro- phiques obs
plète de toute altération des cordons de Türk. Sclérose des cordons
postérieurs
et de la substance grise des cornes posté- rieu
ne vésiculaire de Clarke. Epaississement de la pie-mère des cordons
postérieurs
. D'après ces auteurs la sclérose pyramidale ser
auteurs la sclérose pyramidale serait indépen- dante de la sclérose
postérieure
et la lésion de la substance grise serait due à
t avec une dégénérescence presque complète des cordons et faisceaux
postérieurs
et la perle du sens musculaire avec la conserva
rande partie du corps calleux est transformé, dans ses trois quarts
postérieurs
, en une mase gris rougeâtre molle qui pénètre à
déquate dans les deux cordons 21 si REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
postérieurs
, la dégénérescence de chacun des districts des co
postérieurs, la dégénérescence de chacun des districts des cordons
postérieurs
se succède assez régulièrement, et la palhogénie
fier physiologiquement l'existence de ces systèmes dans les cordons
postérieurs
. M. Krauss a cons- tamment enregistré la diminu
évidente des colonnes de Clarke ; altération modérée des cordons
postérieurs
; la substance grise ne présente pas plus de lésio
mbaire et dorsale infé- rieure, (double raie entre le sillon médian
postérieur
et le bord interne de la corne postérieure); dé
ie entre le sillon médian postérieur et le bord interne de la corne
postérieure
); dégénérescence de la marge externe des colonn
, on rencontre une dégénérescence qui suit le sillon longi- tudiual
postérieur
, une atrophie partielle des fibres radiculaires
e des fibres radiculaires au point où elles s'étalent dans la corne
postérieure
; la partie externe des cordons postérieurs, ou
s'étalent dans la corne postérieure; la partie externe des cordons
postérieurs
, ou mieux la zone radiculaire moyenne peut être
d'une partie des fibres nerveuses fines contenues dans les racines
postérieures
. Ces libres se réunissent au côté externe de chac
s se condensent en vne couche propre située à la pointe de la corne
postérieure
, entre le cordon postérieur et le cordon latéral
propre située à la pointe de la corne postérieure, entre le cordon
postérieur
et le cordon latéral : ils montent ainsi et pén
la substance gélatineuse et dans les régions profondes de la corne
postérieure
. Dès qu'ilsont adopté la direction longitudinal
s forme d'une petite plaque intermédiaire aux cordons latéraux et
postérieurs
, qu'il s'agit d'une ataxie précoce ou déjà avancé
sté- rieure, ce qui montre que le processus marche, dans la corne
postérieure
, de la périphérie il la base de l'organe. P. K.
tif, se développant le long des truucs artériels dans les cor- dons
postérieurs
(déchéance des fibres par compression ; absence
ceaux pyramidaux; destruction des fibres du faisceau longitudinal
postérieur
sur une grande étendue des deux côtés. P. K. XX
érieur, empiète sur les couches optiques au milieu de la commissure
postérieure
et du ganglion de l'habenula, mais sans en alté
yau de cerise; dégénérescence (cellules granuleuses) dans la partie
postérieure
de la capsule interne gauche et dans le faiscea
e des deux frontales supérieures, sauf leurs parties antérieures et
postérieures
, qui a envahi la substance blanche de la même r
émoire de Déjerine INTITULÉ : Du rôle joué par la méningite spinale
postérieure
des tabétiques dans la patho- génie des scléros
) sur ces cordons; de l'altération primitive, autonome, des cordons
postérieurs
du tabétique part un processus d'irritation mén
'extenseur commun des doigts, le premier radial externe, le cubital
postérieur
, les longs abducteur et extenseur du pouce. Atr
ion des nerfs sensitifs (une branche sensible du radial, une racine
postérieure
du renflement cervi- cal) ; sur l'apparition de
quitté la face pour devenir ambulant; il occupe, en effet la partie
postérieure
du cou et de l'épaule droite. La plaque d'érysi
sur lui-même de façon que la surface antérieure du coecum se trouve
postérieure
, et réciproquement, l'extrémité ceecale d'infé-
oupe des bronches, il s'écoule un liquide muco-spumeux. A la partie
postérieure
du lobe inférieur gauche existe quelques petite
es pariétaux. - La fontanelle antérieure est persistante, son angle
postérieur
est cependant beaucoup réduit, elle a de ce fai
meau antérieur horizontal très profond et un peu sinueux. Le rameau
postérieur
horizontal (a3) est très profond, large et se t
rontale; elle semble toutefois être dédoublée dans ses trois quarts
postérieurs
, mais ce dédoublement est très irrégulier, très
li de passage (pp.) la- relie vers son tiers antérieur à la branche
postérieure
du V antérieur de la troisième circonvolu- tion
és. . Le lobe temporal est assez. volumineux, sauf dans' son quar
postérieur
, où la deuxième et surtout la troisième circonvol
La première circonvolution temporale (T,) se confond avec la partie
postérieure
du lobule pariétal inférieur. La scissure paral
ieures. L'incisure préoccipitale (ln, se réunit à la partie la plus
postérieure
de la deuxième scissure temporale, séparant ain
du lobule fusiforme au lobule lingual (TOs) en sorte que la'partie
postérieure
de la deuxième scissure semble se continuer dir
té par les plis de passage pariéto-limbiques antérieur (p. p. a) et
postérieur
(p. p. p.) avec la circonvolution du corps call
lis de passage temporo-parié- taux. Elle est bifide à son extrémité
postérieure
. Les deux rameaux antérieurs ascendant (a) et h
nvolu- 318 CLINIQUE NERVEUSE. tion (T,) se confond avec la partie
postérieure
du lobule pariétal inférieur.-La scissure paral
ons temporales (T, , T3), sont bien développées, mais à leur partie
postérieure
elles sont un peu chagrinées et en retrait comm
ansverses ou plis de passage temporo-pariétaux, situées à la partie
postérieure
de l'insula, dont les circonvolutions sont bien
T 0,) sinueuse; un sillon oblique réunit cette scissure à la moitié
postérieure
de la deuxième scissure tenz- poro-occipitale (
elle se trouvent les plis de passage pariéto-limbiques antérieur et
postérieur
(p. p. a. p. p. p.).-Lascissure perpendiculaire
p antérieur était plus développé, au con- traire du Pacha où le cap
postérieur
est plus déve- loppé ; on voit que ce dédoublem
ve de pareilles tuméfac- tions sous-cutanées sur la ligne axillaire
postérieure
. L'abdomen est pendant, ce qui est dû en partie
latérale et aussi au-devant de la fontanelle antérieure. La partie
postérieure
de la tête était petite. Les traits étaient lou
tant sur le dos, l'écoulement peut se faire librement par le bord
postérieur
. Le périoste doit être enlevé par une incision cr
r de la frontale ascendante, c'est-à-dire derrière la termi- naison
postérieure
du sillon frontal supérieur) se trouvait une ci
clairement que le point de départ était situé vers la terminaison
postérieure
du sillon frontal supérieur, point qui coïncide,
t que celui de l'extension du bras était à peu près à son extrémité
postérieure
. Ce dernier point a été confirmé par le Dr Beev
ent le Dr Buz- zard à diagnostiquer une lésion située dans le tiers
postérieur
de la circonvolution frontale supérieure, c'est
° et 6u° présentait à l'autopsie une myélite transverse des cordons
postérieurs
et de la moitié dorsale des cordons latéraux su
es ou des conducteurs qui les apportent à ce centre; 2° les cordons
postérieurs
de la moelle trans- mettent deux espèces de sen
e et au cou, la peau du crâne et des oreilles bleuâtre, à la partie
postérieure
des membres et du corps des sugillations cada-
métrique. Le diamètre diagonal depuis le front à gauche à la partie
postérieure
du crâne est long de n,2 centimètres, le diamèt
DES MATIÈRES. morphinomanes, par Erleu- meyer, ! JO, Commissure
postérieure
du cer- veau, 107. Commotions cérébro-spinale
., Pli pariéto-limhiyue antérieur. p. P. p., Pli pariéto-lilllbique
postérieur
. EXPLICATION DES PLANCHES. 433 3 PLANCHE [[1.
halique, l'optique, le sub-^œsophagien antérieur et le sub-œsophagien
postérieur
. Le premier est au-dessus de l'orifice œsophagien
don de communication avec le ganglion labial ; pour le sub-œsopbagien
postérieur
, les nerfs des muscles de la coquille, les nerfs
es auxquels il donne le sentiment et le mouvement ; le sub-œsophagien
postérieur
fournit les nerfs de la vie organique, et en même
ur, appelé aussi patte d'oie, donne aux muscles 2. des pieds ; le
postérieur
donne les nerfs qui vont aux viscères et au cloaq
l'anneau, par une double bande nerveuse. Le ganglion sub-œsophagien
postérieur
, outre les nens dont j'ai parlé et dont plusieurs
un sillon qui le partage en deux parties, l'une antérieure et l'autre
postérieure
. Cuvier a appelé la première cerveau, la seconde
ganglion en deux parties : dont l'antérieure serait le cerveau, et la
postérieure
le cervelet. M. Owen appelle ce même ganglion , c
exemple donné par Cuvier, je n'appellerai donc pas cervelet la partie
postérieure
du ganglion céphalique du poulpe, parce qu'il n'e
eure représente l'anneau œsophagien des autres mollusques, et dont la
postérieure
rappelle la moelle épinière des vertébrés. Le lon
ndépendante? Nullement. Coupez les racines antérieures et les racines
postérieures
de la moelle, et vous ôtez toute action aux gangl
i s'étalent en manière de patte d'oie et vont se rendre à l'extrémité
postérieure
de l'animal. Le système nerveux du homard ne di
nerveux ; chez tous deux c'est une chaîne ganglionaire dont la parlic
postérieure
noueuse rappelle la chaîne ganglionaire de la che
, en provoquer l'excrétion, en flattant avec leurs antennes la partie
postérieure
du corps des pucerons. On a cru que les fourmis m
onnent aux fourmis un aliment semblable à celui qui sort de l'orifice
postérieur
des pucerons ; mais on n'a pas encore vu que les
sent pas de faire le cercle autour (Telle et de lui brosser la partie
postérieure
du ventre qui reste à découvert. » Huber, fidèle
ébraux; Scarpa, grands tubercules du cerveau; Tréviranus, hémisphères
postérieurs
; Cuvier, lobes creux; M. Serres, Desmoulins, M.Go
res; en arrière de l'infundibulum, une autre commissure ou commissure
postérieure
, analogue à la précédente; enfin au-dessus de cel
poissons osseux ; ils sont en communication directe, par leur partie
postérieure
, avec le cervelet, et il y a là un véritable proc
cules quadrijumeaux, de Vin-fundibulum, des commissures antérieure et
postérieure
, de l'aqueduc de Sylvius, et certains auteurs n'o
es animaux, que c'est chez ceux-ci, la face inférieure et pourla face
postérieure
de celle de l'homme, qu'elle devient chez eux, la
parlant des racines nerveuses de la moelle, qui sont antérieures et
postérieures
dans l'espèce humaine, inférieures et supérieures
omme offre celte disposition d'une manière très marquée;les racines
postérieures
des nerfs rachidiens pénètrent dans la moelle par
raux. Les faisceaux spinaux qui ne sont autre chose que les pyramides
postérieures
, et les corps restiformes vont ensemble se rendre
, et les corps restiformes vont ensemble se rendre dans les ganglions
postérieurs
de la moelle et dans le cervelet, tandis que les
ux et les lobes olfactifs. Les fibres qui entrent dans les tubercules
postérieurs
du cervelet s'y étalent ou se perdent dans la sub
isant les fibres venues des corps restiformes et celles des pyramides
postérieures
, vont se perdre dans la substance de chacun des g
avant des tubercules quadrijumeaux, est une commissure, la commissure
postérieure
, qui va de l'un à l'autre de ces tubercules; en a
e en recherchant l'origine des autres nerfs; ainsi dans les ganglions
postérieurs
du cervelet, j'ai vu entrer des fibres spinales e
i croisent la moelle au niveau du cervelet et des ganglions cérébraux
postérieurs
, celles qui forment l'admirable lascis que l'on d
° Pour les fibres de la commissure diffuse du cervelet, des ganglions
postérieurs
; pour les fibres de la lame optique et la plupart
gue et du nerf trifacial et au cervelet, vont se rendre les pyramides
postérieures
et les corps restiformes ; aux tubercules quadrij
, des tubercules optiques recouverts en grande partie par l'extrémité
postérieure
du lobe cérébral, et un cervelet allongé à-peu-pr
s sont les ventricules, le corps calleux, les commissures antérieure,
postérieure
et inférieure, le corps strié, la couche optique,
arés l'un de l'autre dans les trois quarts antérieurs ; dans le quart
postérieur
, ils sont réunis au moyen d'une commissure analog
érébral, à l'extrémité antérieure de Vinfu n-dibulum. 7° Commissure
postérieure
. En arrière de Vinfundibu-lum, au-dessus de l'aqu
s chez la tortue ; « Ils naissent, dit cet anatomiste, de l'extrémité
postérieure
de la moelle épinière par un certain nombre de fi
e épinière et qui se termine en haut, en circonscrivant les pyramides
postérieures
, placées sur les côtés du quatrième ventricule.
optique, un corps calleux, une commissure antérieure, une commissure
postérieure
, une commissure inférieure, une voûte, xminfundib
ns seulement, ce quatrième ventricule conserve la trace des ganglions
postérieurs
des poissons. 5. La moelle allongée ne se prése
fins, enlever d'un seul coup, les deux lobes optiques, à leur partie
postérieure
, car réunis en arrière par le corps calleux, ils
, qui donnait à la faculté dont il s'agit, un domicile dans la région
postérieure
du crâne. M. Vimont aurait, dit-on, confirmé l'ob
s de la racine du nerf optique vont en partie s'épanouir à la surface
postérieure
delà couche optique, et que les raisonnemens ne p
s; ils sont unis l'un à l'autre par trois commissures : la commissure
postérieure
placée à l'entrée de l'aqueduc de Sylvius, la com
es de la commissure diffuse. A sa face spinale, on voit les pyramides
postérieures
, le quatrième ventricule, dont le plancher montre
oiseaux, de 10 à 20. 8. Deux commissures, l'une antérieure, l'autre
postérieure
réunissent entre eux les deux lobes cérébaux ; il
romper jamais. Dans le mâle, le cervelet est plus grand, et les lobes
postérieurs
sont plus petits; dans la femelle, au contraire,
ans la femelle, au contraire, le cervelet est plus petit et les lobes
postérieurs
ou la circonvolution affectée à celte fonction, s
conséquent à la partie antérieure du cerveau, et non pas à sa partie
postérieure
, comme il faudrait que cela fût pour que le cerve
arrière, une différence analogue se rencontre également, l'extrémité
postérieure
du cerveau dépasse de beaucoup les tubercules qua
ins de circonvolutions que l'homme, et surtout les sapajous : le lobe
postérieur
n'en a même presque aucune. Dans les carnassiers,
es ne présentent rien de déterminé. » (1) L'extrémité inférieure et
postérieure
de la circonvolution qui entoure le corps calleux
quatrième circonvolution, dont la fig. 3 montre la partie interne et
postérieure
P, et que la figure 2 fait voir de côté seulement
rrivée au niveau de la réunion du tiers antérieur avec les deux tiers
postérieurs
du corps calleux, envoie en haut et en avant, un
tion entre le cerveau de la civette, et celui de la fouine. Le sillon
postérieur
qui divise la circonvolution située en arrière de
loutre exprimerait un développement considérable des circonvolutions
postérieures
, l'étude du cerveau montre que c'est précisément
e sans ondulations bien marquées, de la partie antérieure à la partie
postérieure
du cerveau. Elles ont, surtout chez l'unau et l'a
l. vm, fig. 2), sont deux lettres PP placées sur deux circonvolutions
postérieures
, et en avant de" ces lettres PP, un signe -f- pla
et vous arriverez d'un côté au sillon antérieur, de l'autre au sillon
postérieur
, et vous aurez ainsi deux circonvolutions, corres
tres P P sont placées sur le commen -cernent des deux circonvolutions
postérieures
, le signe + indique leur réunion, et les lettres
m, le chameau, etc., est bifide chez le mouton et le bœuf ; la partie
postérieure
de celte même circonvolution qui présente chez le
dépression, et la continuité entre la partie antérieure et la partie
postérieure
de la circonvolution supérieure ne se fait pas à
deux signes -f- -f- indiquent le point de réunion des trois divisions
postérieures
et le commencement des deux divisions antérieures
icularité fort importante à noter ici, qu'elle envoie un prolongement
postérieur
P' (fig. 2) qui, réuni à un prolongement analogue
). La seconde circonvolution (II, fig. lre) est sillonnée à la partie
postérieure
et sous-divisée à la partie antérieure : c'est ce
t superposée à l'interne (fig. 1 et fig. 2) est sillonnée à la partie
postérieure
P, et sous-divisée en avant (AA). Quant aux cir
et les divisant en circonvolutions antérieures et en circonvolutions
postérieures
. Cette division des circonvolutions longitudinale
lle est double en avant, puis elle devient simple jusque vers le bord
postérieur
du corps calleux où elle envoie une sorte de rami
nales, et continues à elles-mêmes de la partie antérieure à la partie
postérieure
du cerveau, sont, comme je l'ai indiqué tout-à-l'
utions supérieures de l'éléphant, attachez la première circonvolution
postérieure
à la première circonvolution antérieure, la secon
tres mammifères. Le singe alrois circonvolutions antérieures, trois
postérieures
, deux supérieures, une interne et des circonvolut
eux circonvolutions supérieures S,S,S,S, et S',S',S', fig. h, dont la
postérieure
S',S',S,S,S -j-, se porte en haut et en arrière p
ne commissure qui met en relation sa partie antérieure avec sa partie
postérieure
. Les commissures qui vont d'un lobe à l'autre, so
érieure, la commissure moyenne des couches optiques, et la commissure
postérieure
. La commissure antéro-poslérieure est double de c
e, une sorte de loge supplémentaire qui se prolonge dans la substance
postérieure
du cerveau- Chacun des ventricules latéraux a é
ssous du pédoncule cérébral, corne inférieure, et la troisième, corne
postérieure
. Les deux premières sont communes à l'homme et au
ités seulement; elle fait partie de la lyre, elle constitue le pilier
postérieur
de la voûte. La saillie collatérale de Meckel e
ventricule, vis-à-vis des digitations de la corne d'Ammon. La corne
postérieure
du ventricule, appelée aussi cavité digitale, cav
.); cette ouverture a pour limites la commissure molle, la commissure
postérieure
(c. p. pl. ix, cheval, fig. lrc), et les filamens
s rênes de la glande pinéale ; les autres vont s'unir à la commissure
postérieure
. Je n'ai jamais trouvé chez les animaux, un autre
u cerveau sont le corps calleux, les commissures antérieure, moyenne,
postérieure
, et la voûte à trois piliers. J'ai parlé des comm
te à trois piliers. J'ai parlé des commissures antérieure, moyenne et
postérieure
; je vais décrire la voûte à trois piliers et le
à la paroi extérieure du troisième ventricule ; quant à son extrémité
postérieure
ou bourrelet, elle est embrassée par la circonvol
ps calleux, par la cloison transparente, elles s'unissent à la partie
postérieure
du corps calleux, pour se porter sur le pied d'hi
la forme de quatre éminences solides, les antérieures grisâtres, les
postérieures
blanches; elles sont continues^ par leur base et
situés sur le pédoncule cérébral, en arrière et au-dessus de la paire
postérieure
des tubercules quadrijumeaux, les corps genouillé
, c. g.). Le corps genouillé interne est en rapport avec le tubercule
postérieur
, par un faisceau que M. Cruveilhier appelle faisc
om de nates qui leur a été donné par les anciens; tandis que la paire
postérieure
beaucoup plus petite, située en arrière des premi
Chez le chien, la paire antérieure est petite, embrassée par la paire
postérieure
el recouverte comme elle de substance blanche. Le
obe antérieur, la corne descendante au lobe d'hippocampe, et la corne
postérieure
, au lobe qui recouvre le cervelet. » Celle derniè
rales, ce La voûte, dit avec raison M. Owen (1), par ses deux piliers
postérieurs
et par la masse médullaire intermédiaire qui port
s deux grands hippocampes en communication entre eux et avec les plis
postérieurs
du corps calleux; par son pilier antérieur, elle
s mammifères, excepté chez le singe. Cervelet. Il recouvre la paire
postérieure
des tubercules quadrijumeaux, et il est lui-même
quadrijumeaux, et il est lui-même en partie recouvert par l'extrémité
postérieure
des lobes cérébraux. D'avant en arrière, il est d
formant une courbure ordinairement très prononcée, au niveau du bord
postérieur
du cervelet; enfin un lobe tout-à-fait externe (3
esque transparente de substance nerveuse qui sert de pont à la partie
postérieure
de l'aqueduc de Sylvius, et au commencement du qu
testes, la valvule de Vieussens, la luette, l'extrémité inférieure et
postérieure
du vermis ou lobe médian du cervelet, les pédoncu
moelle épinière, tapissé par la pie-mère et recouvert par l'extrémité
postérieure
du ver du cervelet, a reçu un nom particulier : c
eçu un nom particulier : c'est le ventricule d'A-rantius. Pyramides
postérieures
. C'est le nom que quelques au teurs ont donné à
grand diamètre transverse du cerveau correspond toujours à la moitié
postérieure
de cet organe; il est généralement moins long que
rveau est sujette à de plus grandes variations que celle de la partie
postérieure
de cet organe; mince, effilée chez le lapin, le l
de départ pour diviser chaque lobe, en partie antérieure et en partie
postérieure
. (i) J'ai déjà fait cette objection aux phrénol
res et chez l'homme; ce point trouvé, j'ai mesuré également la partie
postérieure
, afin d'établir la dimension comparative de ces d
le partie antérieure; tout ce qui est en arrière, je l'appelle partie
postérieure
. Or, voici quelle est, chez un certain nombre de
s, la longueur comparée du corps calleux et des parties antérieure et
postérieure
du cerveau, le diamètre antéro-postérieur de cet
partie de la partie autéro- call. antér. poster. calleux antérieure
postérieure
poster. ducerv. ducerv. au diamèt. anléropostér.
uton, et l'occipital vient recouvrir, comme chez l'homme, l'extrémité
postérieure
du lobe cérébral, à laquelle la phrénologie a don
n système en vertu duquel l'intelligence aurait son siège à la partie
postérieure
du cerveau; je signalerai plus loin les causes de
remarquable par le développement relativement très grand de la partie
postérieure
du cerveau, l'absence presque complète de dépress
ure du cerveau, l'absence presque complète de dépressions sur le lobe
postérieur
de cet organe, et le défaut de sinuosités, d'ondu
vise la cavité du crâne en deux chambres, l'une antérieure et l'autre
postérieure
, de sorte que le poids du cerveau ne peut comprim
s dans l'incertitude sur l'existence de la cavité ancyroïde ou cavité
postérieure
des ventricules latéraux, dont la présence coïnci
a bandelette de l'hippocampe . . . 0,002 Id . ....... des pyramides
postérieures
de la moelle allongée............. 0,002 1*1
. . 0,003 ld........ de la commissure des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
...... 0,003 ld ........ de la substance blanche
nerf optique...... 0,00383 Id........ des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
.....-......... 0,00466 Id. .... :.. , des tube
fond du quatrième ventricule . . . 0,005 ld......... de la pyramide
postérieure
...... 0,00633 ld.. de la commissure de la quatr
même les plus forts ; leur apparition sur la terre est nécessairement
postérieure
à celle des autres animaux, et s'ils ne se faisai
. 2° ce Chez le singe, le chien et le chat, dit Gall (2), la région
postérieure
est bien plus prononcée, plus saillante, dans les
rien de particulier. Quant à la loutre, l'élargissement de la partie
postérieure
de la tête et celui du cerveau, dans la même régi
se, a déjeté en arrière la scissure de Sylvius et les circonvolutions
postérieures
(V. pl. vi, loutre, fig. 3). Ainsi, le développem
circonvolutions antérieures, et il coïncide avec des circonvolutions
postérieures
très petites. Nouvelle preuve qu'il ne faut pas,
ence dans le cervelet, l'imagination et la fantaisie dans l'extrémité
postérieure
du lobe cérébral que recouvre l'angle postérieur
ie dans l'extrémité postérieure du lobe cérébral que recouvre l'angle
postérieur
de l'occipital, la faculté de concevoir et déjuge
au cervelet, aux corps resti-formes, et se rendent enfin aux colonnes
postérieures
de la moelle. M. Walker prétend avoir pu suivre,
ont de varole donnent les passions et la volonté ; enfin, les parties
postérieures
de la moelle président aux mouvemens. (1) M. Al
s mammifères, de cette partie de l'occipital qui recouvre l'extrémité
postérieure
du lobe cérébral de l'homme et du singe, je concl
ssiers, je l'ai déjà dit plus haut : je n'y reviendrai pas. La partie
postérieure
est plus longue et plus large chez l'éléphant, le
, que chez la plupart des autres animaux. Tous ceux qui ont la partie
postérieure
du cerveau reposant sur le cervelet et recouvrant
ifférence porte aussi bien sur la partie antérieure que sur la partie
postérieure
du cerveau. La multiplicité des ondulations aug
ipe de son existence. 13. La circonvolution dont les phrénologistes
postérieurs
à Gall ont fait le siège de la vénération, de la
es antérieures qui manquent au crâne des mammifères, mais les parties
postérieures
. 17. Plusieurs circonvolutions cérébrales n'éta
le de l'os ; sur cette autre, une destruction des faces supérieure et
postérieure
du corps vertébral. Outre les disques osseux et
on de continuité, toutefois, n'existe que partiellement ; les parties
postérieures
de l'épine, les apophyses épineuses, les arcs ver
pineuses, les arcs vertébraux, formant ce que j'appellerai la colonne
postérieure
, subsistent ; mais comme ces parties sont réunies
osseux sont détruits en totalité ou en partie. De là une convexité
postérieure
, une concavité antérieure. La première est ce qu'
on appelle la gibbosité. Les anciens ne connaissaient que la courbure
postérieure
de la colonne , et avaient décrit la maladie sous
. Tel est l'aspect de la colonne vertébrale, considérée à sa partie
postérieure
. Vue par sa face antérieure, elle représente un v
Au fond de l'excavation, on aperçoit le canal vertébral et la colonne
postérieure
, après l'enlèvement de la moelle et sur les pièce
s que produit le rachitisme. rapprochement des parois antérieure et
postérieure
. Ce rétrécissement peut être porté au point d'étr
alors la saillie que vous cherchez. Supposons enfin que la gibbosité
postérieure
manque, nous avons, comme moyen de diagnostic, le
r l'existence du rachitisme. Il y a deux cas de courbure rachitique
postérieure
simulant un mal de Pott : a. La courbure postér
ure rachitique postérieure simulant un mal de Pott : a. La courbure
postérieure
est produite par le relâchement des parties ligam
partie antérieure des corps vertébraux est plus mince que leur partie
postérieure
; aussi n'y a-t-il pas moyen d'effacer immédiateme
rectement des vertèbres inférieures malades. IV. abcès de la région
postérieure
du tronc. — Ils siègent dans les régions cervical
e pus passe à travers les trous de conjugaison en suivant les racines
postérieures
des nerfs, à travers les intervalles des apophyse
u en dehors du carré des lombes, et vient en dernier lieu à la partie
postérieure
du tronc, où il forme les abcès cervicaux postéri
ieu à la partie postérieure du tronc, où il forme les abcès cervicaux
postérieurs
, dorsaux et lombaires. Leur forme est peu réguliè
t morbide se trouvait placé entre les vertèbres et le ligament commun
postérieur
. De chaque côté de la moelle, on voyait, de plus,
que les cordons antérieurs sont chargés de la motilité, les faisceaux
postérieurs
présidant à la sensibilité. La lésion plus fréque
ont réduites de volume et converties en coins osseux dont la base est
postérieure
. Cette altération est causée par des tubercules.
résente de plus curieux, c'est un dépôt tuberculeux situé à la partie
postérieure
des corps des deux premières vertèbres lombaires;
eval. Deux côtes, la dixième et la onzième, n'ont plus d'articulation
postérieure
. Les symptômes ont présenté ceci de remarquable
l'apophyse odon-toïde. Remarquez que la première vertèbre, dont l'arc
postérieur
rétrécit le canal vertébral, a conservé la positi
mais sans luxation, et une destruction de la partie moyenne de l'arc
postérieur
de l'atlas. Il y a un affaissement à droite, et l
nt exprimées par M. Brown-Séquard sur le rôle des cordons médullaires
postérieurs
ne renversent pas la doctrine physiologique admis
du sentiment devrait être plus fréquente, la compression des parties
postérieures
de la moelle, qui président à la sensibilité, éta
d'une collection de matière jaunâtre, demi-concrète, située à la face
postérieure
de l'axis et de l'atlas. Dans le foyer se trouvai
sensible. La nuque, très-affaissée, forme un pli profond. Les muscles
postérieurs
, fortement tendus, se contractent davantage par m
'atlas se soit porté en arrière, vous pouvez sentir obscurément l'arc
postérieur
de cet os entre les trapèzes tendus de chaque côt
même os ait glissé en avant ; la dépression qui correspond à cet arc
postérieur
sera augmentée ; l'apophyse épineuse de l'axis se
lacement du trochanter consiste en ce qu'il s'est porté sur un plan
postérieur
à l'ancien cotyle. La projection en arrière de l'
s signes d'une luxation de la hanche, ensellure lombaire, proéminence
postérieure
du bassin, élévation et écartement des trochanter
e étendue des muscles , tant de la partie antérieure que de la partie
postérieure
du tronc. La malade offrait cette énorme ensellur
aire des cartilages des paupières. Appliquée exactement sur la moitié
postérieure
du globe de l'œil, elle est percée de plusieurs t
mprend facilement quand on réfléchit que les adhérences de la portion
postérieure
du muscle sectionné forment plus tard sa nouvelle
s deux moitiés du muscle; mais nous avons constaté la soudure du bout
postérieur
à l'œil; ce bout se greffe en quelque sorte à la
longueur, puisse adhérer à l'œil près de la nouvelle attache du bout
postérieur
, avec lequel il peut se confondre en apparence; m
le, en agissant sur un point plus ou moins rapproché de son extrémité
postérieure
, en favorisant plus ou moins sa rétraction. Les
téral, lejambier antérieur, le long extenseur des orteils, le jambier
postérieur
et le court péronier latéral. Les quatre premie
e du jambier antérieur et du long extenseur des orteils. Le jambier
postérieur
produit l'adduction simple du pied ; il devient u
a seconde forme. Voici ses caractères : les deux muscles jambiers, le
postérieur
surtout, sont raccourcis et tendus; le court péro
les parties molles du cou-de-pied. Ce mouvement des os de la rangée
postérieure
du tarse abaisse non-seulement la pointe du pied,
ent du scaphoïde, en se rappelant la disposition des muscles jambiers
postérieur
et antérieur, qui s'insèrent, l'un au scaphoïde e
eux-mêmes un peu coudés l'un sur l'autre, de manière que l'extrémité
postérieure
du cinquième métatarsien forme une troisième sail
même une sub-luxa-tion. Le tibia repose alors en arrière sur la face
postérieure
de l'astragale; il peut même se trouver en rappor
ême de la face dorsale du pied. Il répond au cuboïde et à l'extrémité
postérieure
du cinquième métatarsien, et même, quoique plus r
est fortement courbé. Il y a une grande laxité dans les articulations
postérieures
; elle est beaucoup moindre dans les antérieures.
e en dedans par l'obliquité plus grande du col, que le muscle jambier
postérieur
a dévié au lieu de luxer le scaphoïde. Ce col de
ienne, qui se prolonge moins du côté de son tubercule interne, devenu
postérieur
. Son déplacement rend raison de ce dernier change
gaines fibreuses qui renferment les tendons des jambiers antérieur et
postérieur
, du long fléchisseur des orteils, etc. Voici deux
nt ceux qui se trouvent raccourcis dans le varus, savoir : le jambier
postérieur
, le triceps sural, les fléchisseurs des orteils.
à se détacher du sol, et le bord interne appuie surtout par sa partie
postérieure
. Dans le troisième, l'angle est presque droit, la
calcanéum est oblique, son extrémité antérieure portée en dedans, la
postérieure
en dehors. Ce déplacement peut être tel qu'il y a
encore avec le péroné. M. Chassaignac l'a vu articulé avec la partie
postérieure
du péroné, et nous observons la même disposition
elle est fréquemment compliquée de varus; elle peut l'être de valgus
postérieur
. Elle rend ordinairement la station et la locomot
avancé, la rétraction de ce muscle est augmentée de celle du jambier
postérieur
et des fléchisseurs des orteils. bouvier. 11 Se
ds du corps. Voici un cas de ce genre, qui était en même temps valgus
postérieur
. Ce plâtre représente un équiu varus, parce que l
en partie à découvert sous les ligaments et les tendons de la région
postérieure
. Ce déplacement peut aller jusqu'à constituer une
le , comme on le voit sur cette pièce de talus pied creux. La facette
postérieure
du calcanéum est en partie à nu derrière l'astrag
ied est emboîté dans une chaussure à bords peu élevés, dont la partie
postérieure
est munie d'un épais bourrelet qui maintient le t
st le mécanisme de l'appareil de M. F. Martin, de plusieurs appareils
postérieurs
de MM. Charrière, Lebelleguic et Cottin, que vous
, où elle est mince et collée aux os, aux tendons, sur la tubé-rosité
postérieure
du calcanéum et le tendon d'Achille, sur les sail
illies osseuses de l'astragale et du calcanéum, vis-à-vis l'extrémité
postérieure
du cinquième métatarsien, au côté interne de l'ar
de tout le corps, est peut-être le plus facile à diviser. Sa saillie
postérieure
, en le plaçant sur un plan tout à fait séparé, l'
du court péronier se trouve sur le trajet d'une ligne étendue du bord
postérieur
de la malléole externe à l'extrémité postérieure
ligne étendue du bord postérieur de la malléole externe à l'extrémité
postérieure
du cinquième métatarsien. Si le sujet est assez â
t en général peu de gravité. La section isolée du tendon du jambier
postérieur
est bien plus difficile. Ce muscle, en effet, est
isseur commun ; on a aussi à redouter la blessure de l'artère tibiale
postérieure
, qui n'est pas loin. M. Bonnet pense avoir ouvert
exposés à des mouvements continuels. Mais c'est surtout au jambier
postérieur
, aux péroniers en arrière et au-dessous de la mal
Il en résulte, quand les enfants sont assis, une courbure à convexité
postérieure
, simulant parfois une véritable gibbosité, mais p
, tandis que les os dont le plus grand développement est antérieur ou
postérieur
à l'invasion de la maladie en ressentent moins le
dans ce point, une flexion plus ou moins brusque à sinus inférieur et
postérieur
, quelquefois un angle, simulant un cal vicieux. I
gauche est courbée; le rachis offre une courbure lombaire à convexité
postérieure
, qui se redresse presque entièrement dans l'exten
on y trouve le chapelet bien prononcé. Au rachis, existe une courbure
postérieure
qui ne disparaît pas complètement dans l'extensio
és, offre un chapelet prononcé. Il y a au rachis la courbure lombaire
postérieure
qu'on rencontre si fréquemment ; cette courbure s
s dorsales supérieures de manière à les attirer en avant. Les muscles
postérieurs
n'ont pas, en effet, une action tellement constan
e qua le poids porte toujours également sur les parties antérieure et
postérieure
des vertèbres dorsales et des ligaments intervert
braux, et qui met plus fortement en jeu l'extensibilité des ligaments
postérieurs
. Or, cette flexion antérieure du cou et du dos, o
les jeunes sujets; il y a dans ce cas raccourcissement des ligaments
postérieurs
du rachis, notamment de ces ligaments jaunes dont
par M. L. Hirschfeld , et de plus, amincissement exagéré de la partie
postérieure
du corps des vertèbres lombaires et des ligaments
pelvienne bascule sur les têtes des fémurs, de manière que sa partie
postérieure
s'élève en arrière, tandis que l'antérieure ou la
'autre fait trouvent leur explication dans la résistance de la partie
postérieure
des vertèbres , qui ne se laisse pas affaisser ni
ement en arrière. On exerce ainsi à volonté les muscles antérieurs ou
postérieurs
de la colonne vertébrale. La gymnastique dite s
dans la cyphose ; seulement, au lieu de faire effort contre la partie
postérieure
de la tête ou du tronc de l'enfant, c'est en avan
ent l'attitude du sujet pendant les exercices, en examinant la région
postérieure
du tronc, afin de reconnaître la forme qu'ils lui
ntérieure du tronc, vis-à-vis la convexité lombaire, et sur sa partie
postérieure
, vis-à-vis des points les plus capables de transm
ire sur la région dorsale et les épaules d'une part, et sur la partie
postérieure
du bassin de l'autre. Je mets sous vos yeux le de
ns des muscles du cou sont généralement latérales, et non directement
postérieures
. La contracture du dos et des lombes est fort r
ns ce cas à voir, comme chez les vieillards, la faiblesse des muscles
postérieurs
suivie de flexion en avant, de cyphose. Point du
effet, dans tous ces cas, la colonne vertébrale, ouverte à sa partie
postérieure
, est relevée en arrière et recourbée au point que
ent du squelette. Il serait assez naturel de penser que les muscles
postérieurs
du tronc contribuent par leur contraction tonique
verser la courbure du sacrum et du coccyx, et les accoler à la partie
postérieure
du crâne. La pression du liquide céphalo-rachidie
urner le moins du monde autour de leur axe. Les courbes antérieure et
postérieure
, comme vous le voyez sur cette pièce , sont exact
apophyses transverses qu'à la condition de se déformer. Leur courbure
postérieure
augmente du côté où les apophyses se portent en a
i de la concavité. Le thorax cesse donc d'être symétrique ; sa partie
postérieure
se bombe légèrement du côté convexe de la courbur
colonne antérieure du rachis ; 2° les arcs vertébraux, ou la colonne
postérieure
. 1° Colonne antérieure. — La dépression normale
on m'a paru moins prononcée que celle des noyaux osseux. 2° Colonne
postérieure
. — Ici les déformations sont encore bien plus pro
a partie antérieure de chaque vertèbre ne correspond plus à sa partie
postérieure
; mais l'anneau n'a pas tourné en totalité sur lu
ls de scoliose légère. Dans tous les autres, la flèche de la courbure
postérieure
n'égale que les deux tiers, la moitié, le tiers,
à part quelques exceptions, la différence des courbures antérieure et
postérieure
est d'autant moins grande que les courbures sont
. 5° Il suit de tout ce qui précède que la colonne antérieure et la
postérieure
ont une longueur inégale. La seconde est plus lon
tout à fait antérieure, la convexité droite devient postéro-droile ou
postérieure
, et, vice versa, la concavité droite est antéro-d
rtes courbures, la lordose naturelle s'efface et la convexité devient
postérieure
comme à la région du dos : c'est ce que l'on voit
, serrées, quelquefois articulées ou soudées entre elles. A la région
postérieure
se voient : Io la série des apophyses transverses
nteuse, cède en outre plus facilement à ces influences que la colonne
postérieure
, dont les os ne sont pas séparés par des couches
es subissent alors une espèce de torsion ; les colonnes antérieure et
postérieure
, ou, dans chaque vertèbre, le corps et l'arc, ces
te le plus de connaître, c'est la configuration nouvelle de la région
postérieure
du thorax. La petite différence de voussure des d
du thorax, comme la flexion latérale physiologique, et non une bosse
postérieure
. C'est surtout le siège, l'étendue, le degré de l
re, nous avons vu quels désordres la scoliose entraîne dans îa région
postérieure
du thorax. Il nous reste à examiner la conformati
la partie antérieure des corps vertébraux. D'un autre côté, la paroi
postérieure
du .canal rachidien, formée par les arcs, décrit
sales droites, le poumon droit est refoulé par les vertèbres. Le bord
postérieur
du médiastin est porté à droite avec le rachis. C
eur restant fixé au sternum ou se déplaçant beaucoup moins. La partie
postérieure
du poumon droit perd donc de son étendue transver
cique antérieure, à la pression directe des vertèbres et de la partie
postérieure
des côtes; plus résistant que les poumons, il cèd
hage. — Les divers canaux renfermés entre les deux lames du médiastin
postérieur
subissent quelques changements. Plusieurs auteu
ut à sa face inférieure. La colonne vertébrale s'imprime sur son bord
postérieur
; les côtes s'enfoncent dans son lobe droit, et y
nais pas un seul fait qui prouve que la courbure latérale de l'épine,
postérieure
à la naissance, se soit jamais produite de cette
s et présentent des irrégularités en rapport avec celles de la partie
postérieure
. La clavicule gauche est ordinairement plus saill
llie sternale. Ce cas est un exemple de la double bosse antérieure et
postérieure
du polichinelle. Les organes thoraciques paraisse
nature, on a soin de donner au tronc la même direction antérieure ou
postérieure
, sans quoi elles ne seraient pas exactement compa
che. Le cœur semble quelquefois, sous la main, aussi près de la paroi
postérieure
de la poitrine que de l'antérieure, bouvier, 29
tes par d'autres causes, comme une voussure circonscrite de la région
postérieure
du thorax, indépendante du rachis, une voussure l
isposition normale chez un adulte. 3° On reconnaît le développement
postérieur
qui se lie à celui de tout le demi-thorax, à ce q
iveau de la gibbosité antérieure, tandis qu'on ne voit pas la saillie
postérieure
modifiée immédiatement par la pression ; ce n'est
ale, 1838. Les pelotes remplacent la main qui embrasse la convexité
postérieure
des côtes ou la saillie répondant à la convexité
convexité de la courbure du ra-chis. Si la pression était tout à fait
postérieure
, elle agirait très-peu sur cette courbure ; si el
a collection. Ils représentent avec une parfaite exactitude la partie
postérieure
du tronc de quatre jeunes filles avant et après l
III. Abcès ilio-abdominaux.................. IV. Abcès de la région
postérieure
du tronc.......... 30 V. Abcès thoraciques.....
......... 390 1° Colonne antérieure............... ib. 2° Colonne
postérieure
................ 392 c. Torsion.................
deux derniers sont formés par des fibres qui proviennent du cordon
postérieur
, du fioaiculos gracilis et etineaitis, et qui v
ur est terminé. Il est formé de fibres qui, prove- nant des cordons
postérieurs
, s'accolent à la portion motrice (déjà entrecro
milieu des fibres motrices (rouges) des pyramides, dans leur partie
postérieure
et externe, puis se recourber et marcher parall
sensitif pénètrent dans la portion motrice des pyramides- sa partie
postérieure
et moyenne. Un cer- rq. 1. Coupe du bulbe ci la
, par sa partie externe ; les plus profondes s'accolent à sa face
postérieure
et externe et montent verticalement. Fz9. 2. -
e moyenne de l'entrecroisement sensitif. - F S A, Faisceau sensitif
postérieur
et externe, qui ne pénètre pas dans les pyramid
tteints d'incoordination mo- `trice liée à une sclérose des cordons
postérieurs
. Les plus malades d'entre eux sont à l'infirmer
'sensitives venant de tel ou tel muscle : Si on coupe les1 racines
postérieures
, correspondant aux- nerfs de tout'un membre, on
l'inégalité du tonus : * ' j Lorsqu'on'sectionne toutes les racines
postérieures
correspondant aux nerfs d'un membre,,on remarqu
es membres. « Si» l'on coupe, dit M. Vulpian \ toutes les,, racines
postérieures
des nerfs destinés à1' un des membres postérieu
les,, racines postérieures des nerfs destinés à1' un des membres
postérieurs
;' on voit-que'les mouvements' de ce membre ces
l'état normal en parfaite harmonie avec ceux dé l'autre mem- bre
postérieur
, pour les mouvements de nage et de 'saut ? ' La
e, on rendrait un animal incoordonné en lui sectionnant les racines
postérieures
; or, on produit bien ainsi un trouble des mouv
avec ceux présentés par les ma- lades atteints de lésions du tiers
postérieur
de la capsule interne. Les troubles de la sensi
moitié inférieure. Au niveau des deux fonta- nelles, antérieure et
postérieure
, l'os est mince, quoique non dépressible, non p
ns dans son cinquième. inférieur et ses 2/5' supérieurs. Le tiers
postérieur
de la première circonvolution frontale est médi
te résulte une espèce d'encoche que sépare en quelque sorte le lobe
postérieur
du lobe antérieur. Les trois rayons postérieurs
uelque sorte le lobe postérieur du lobe antérieur. Les trois rayons
postérieurs
de l'insula sont un peu atrophiés et indurés.
yens, d'un blanc opaque comme celle du côté opposé. Toute la partie
postérieure
de la première circonvolution frontale, aussi b
, de la lésion des trois circonvolutions frontales dans leur partie
postérieure
, de la lésion de la frontale ascendante et de l
ntérieur du lobe moyen que nous ne l'avons vu à gauche. La partie
postérieure
de la troisième circonvolution frontale est grê
ce lobe de la partie de l'hémisphère restée saine. Les trois rayons
postérieurs
de l'insula de Reil sont indurés, très atrophié
rés, très atrophiés, grêles, d'un blanc opaque. Les circonvolutions
postérieures
à la pariétale ascendante ont une configuration
nvolutions, moitié qui est un peu irrégulière ; îlots sur la partie
postérieure
de la troisième cir- convolution temporale ; su
s grand nombre. Distribution. a) Face convexe îlots sur la partie
postérieure
de la troisième circonvolution frontale, sur la
ontale ascendante ; au centre de la pariétale ascendante. A l'angle
postérieur
de la circonvolution d'enceinte de la scissure
ière du- lobule frontal inférieur, mais très loin de la terminaison
postérieure
de la scissure de Sylvius. C A, circonvolution
ilement que le travail purement intellectuel. Dans ses publications
postérieures
, en 1878, en 1879, M. Lombard s'attache encore
ture plus prononcée à la partie antérieure du crâne qu'à la partie
postérieure
, à gauche qu'à droite. « Pendant le dis- cours,
sième frontale, la jambe répond à un centre étendu vers la région
postérieure
, le triceps crural répond à la partie postérieure
du vers la région postérieure, le triceps crural répond à la partie
postérieure
du lobe occipital, les muscles abdominaux et ce
ent correspondre aux circonvolutions tempo- rales, vers leur partie
postérieure
. M. Amidon fait remarquer à ce propos, non sans
aisceaux de l'isthme connus sous le nom de bandelette longitudinale
postérieure
renferme des fibres ner- veuses qui vont, par u
s antérieurs dérivent seuls du mésen- céphale ; ' 2° Que la paire
postérieure
est une addition secondaire, née de la partie p
la paire postérieure est une addition secondaire, née de la partie
postérieure
du cerveau; 3° Que la description courante de l
pique de cerveaux de serpents a prouvé à l'auteur que les ganglions
postérieurs
avaient même forme et même structure chez ces a
plus, la paire antérieure a une structure vraiment corti- cale, la
postérieure
, d'apparence gélatineuse, se compose de cel- lu
en trouve dans les ganglions sensoriels. L'irritation des paires
postérieures
faites sur des opossums n'a amené aucun trouble
re distincte. Il est très probable, dit l'auteur, que les ganglions
postérieurs
sont en relation avec le sens du tact parce que
au en rapport avec ces ganglions peut être suivi jusqu'aux colonnes
postérieures
de la moelle; 4° La paire postérieure est hyper
e suivi jusqu'aux colonnes postérieures de la moelle; 4° La paire
postérieure
est hypertrophiée chez les animaux à vue courte
ois centimètres, l'introduction d'un couteau de Beer dans le sillon
postérieur
jusqu'à la paroi antérieure du canal vertébral
antérieur gauche, tandis que la moi- tié latérale droite, le cordon
postérieur
gauche et toute la subs- tance grise sont divis
mal, on constate que les mouvements sont très nets dans le membre
postérieur
gauche. Le lendemain, la patte droite est toujo
et l'anesthésie sont complètes et définitives dans les deux membres
postérieurs
. Sur un autre jeune chien, M. Weiss sectionne e
M. Weiss sectionne encore le cordon latéral droit, les deux cordons
postérieurs
, la plus grande par- tie du cordon latéral gauc
divise la moelle sur 3 points différents : t° section des 2 cordons
postérieurs
; 2° section du cordon laté- ral gauche ; 3° sec
téraux n'est t que pl'esque complète. Le lendemain, les deux pattes
postérieures
et la queue sont paralysées, et la sensibilité
ns l'oreillette. Des végétations semblables existaient sur la paroi
postérieure
de l'oreillette. Toutes étaient fragiles, sans co
système sensitif ne nous a pas paru affecté. Du moins, les racines
postérieures
exa- minées dans deux cas ne contenaient aucun
secondaires. On attache les tendon *si des muscles antérieurs et
postérieurs
de la patte de l'animal sur le levier d'un myog
du geîzoz4 ? l A, muscles antérieurs de la cuisse;' - M P, muscles
postérieurs
de la cuisse. 1 " 1 1 . 200 ? <1 PATHOLOGI
cles antérieurs .provoquait le. phénomène du tendon sur les muscles
postérieurs
, et que ceux-ci,, à leur tour, réagissaient sur
, ..^t Dans la fig. 11, on peut voir les contractions des muscles
postérieurs
de là jambe; -PJ, et celles,-dès muscles'antéri
rigine réflexe, provoque une petite secousse secondaire des muscles
postérieurs
; il Fig. 11. - Phénomène du pied ? P J, tremble
eeîl sénile.- M Et tremblement des muscles exté- rieurs du poignet (
postérieurs
) de l'avant-bras;- M P, tremblement des muscles
te sur toute l'étendue du lobe frontal, sauf au niveau de la moitié
postérieure
de la première circonvolution frontale ; des ad
précédentes. La pie-mère est notablement adhé- rente à l'extrémité
postérieure
du lobe occipital. Les poumons 'présentent une
. clinique mentale. lIJp Au niveau de. l'hexagone, la communicante
postérieure
gau- clle est beaucoup plus petite que la droit
épidermique, un affaiblissement avec résolution notable des membres
postérieurs
. Cet affaiblissement semblait dû à une augmenta
he; immédiatement contiguë à la base et au bord latéral de la corne
postérieure
, existe une partie fortement colorée sur la pré
'entrecroisent- avec ceux de la pie-mère. Les racines et les cornes
postérieures
et tout le reste de la coupe sont sains. Histol
o-latéral droit, une tache triangulaire qui est séparée de la corne
postérieure
par les processus réticulaires restés sains. Là
s, branches du facial,, à l'exception duS¡raIpe : gJ,¡auricu" laire
postérieur
qui, évidemment,' n'avait pas été, compris. dans
nt jusqu'à extinction'complète,'a'l'excëption ? du nerf auriculaire
postérieur
qui' resta normal' 'et' du 'maxillaire'3 5 sous
cules quadrljumeaux,. et pouvant ? s'étendre jusqu'à' leur1 partie'
postérieure
^ tandis, que^ lalpâralysie limitéenà-Tirisret '
it du cervelet,.qui était en partie envahi,, tandis que, la partie,
postérieure
de ce même l2 ? e- était, ramollie., Le, cercea
e la moelle ait envahi la pie- mère,, ou que les fibres des racines
postérieures
soient englo- bées dans la partie lésée, ou bie
caudé du corps strié, la couche optique, et une partie de la corne
postérieure
du ventricule. Un liquide séreux, d'une livre e
ur l'autre, à angle aigu, et se présentent réciproquement leur face
postérieure
. Des deux côtés enfin, le pied est fléchi sur l
rme irrégulière : c'est l'insula, ou plutôt, à vrai dire, la partie
postérieure
de l'insula (PL. XI, h. : p.); car la partie an
ontal, mais reste à découvert (Pr,. X, ha : a); quant à la par- tie
postérieure
de l'insula, elle se comporte absolument de mêm
re droit. Tn : a, portion antérieure de l'insula. In : p, portion
postérieure
de l'insula. T' ', premier sillon temporal. T
nt d'inciser la dure-mère, un petit épanchement de sang à la partie
postérieure
, mais le lavage le fait disparaître; la dure-mè
isse voir la face antérieure de la moelle absolument saine, la face
postérieure
au contraire dans l'intervalle des deux sillons
érieure au contraire dans l'intervalle des deux sillons collatéraux
postérieurs
, parcourue par de nom- breux vaisseaux dilatés
crivent un îlot de por- tions saines et se réunissent à l'extrémité
postérieure
de la scissure de Sylvius. L'atrophie intéresse
e de Sylvius. L'atrophie intéresse surtout le pli courbe, la partie
postérieure
des première et deuxième circonvolutions tempor
r- convolutions frontales, la région moyenne de la partie antéro-
postérieure
de la circonvolution d'enceinte de la scissure de
olutions de la face interne. Face interne : atrophie de la partie
postérieure
de la première circonvolution frontale, de la p
la partie antérieure du lobe para- central, des parties moyenne et
postérieure
de la circonvolu- tion du corps calleux; enfin
mélangée avec du sang. Le foyer intéresse sur- tout les deux tiers
postérieurs
des 2° et 3° circonvolutions fron- tales. La pi
é antérieure de la 30 circonvolution frontale; b) la partie la plus
postérieure
de cette même circonvolution (à cet endroit, la
ur le lobule du pli courbe (PL. VI, Pc.), empiétant sur l'extrémité
postérieure
de la première circonvolution temporale; - h) u
Le. foie présente à la face inférieure du lobe droit, près du bord
postérieur
, une scissure anormale limitant une partie sail
onique. Poids, 50 gr. Les poumons présentent tous deux, à la partie
postérieure
du lobe inférieur, un foyer d'hépatisation roug
, de droite à gauche et d'arrière en avant, de manière que la lèvre
postérieure
de l'orifice proémine dans l'oreillette gau- ch
ions du grand dentelé, allait se ramifier dans la peau de la région
postérieure
du coude. Le deuxième rameau huméral venait du
qu'outre les barbes du calamûs scriptorius qui for- ment sa racine
postérieure
et superficielle, le nerf acoustique possède un
qu'il no s'agis- sait pas purement d'une lésion isolée des cordons
postérieurs
. Pour d'autres cas, le diagnostic vraisemblable
tiques, décrites par Virchow. Sur toute l'étendue du plan incliné
postérieur
à la selle turcique, la dure-mère se laisse trè
e le siège du centre des mouvements oculo-palpébraux et la partie
postérieure
ou pli courbe proprement dit est ou bien le centr
ouvrir par quelle voie cette lésion se rattache à celle des cordons
postérieurs
, M. Dickinson est néanmoins convaincu qu'il y a
nges molles du cei veau, troubles à la convexité. Adhérence du lobe
postérieur
droit. Sclérose et atrophie de l'hémisphère droit
prune ; il a à peu près la dureté du cartilage. En outre, la corne
postérieure
du ventricule latéral droit du cerveau, au nive
sion (du moins pour les trois segments antérieurs), car le faisceau
postérieur
du pédoncule correspon- dant au tiers postérieu
), car le faisceau postérieur du pédoncule correspon- dant au tiers
postérieur
du segment postérieur de la capsule interne ne
térieur du pédoncule correspon- dant au tiers postérieur du segment
postérieur
de la capsule interne ne subit jamais la dégéné
res et du tronc. Il correspond aux deux tiers antérieurs du segment
postérieur
do la capsule in- terne. Un faisceau un peu p
sus irritatif communiqué à la moelle par l'inflammation des cordons
postérieurs
qu'il faut attribuer les contractures observées
Les questions restéesdans l'urne étaient t ainsi conçues : Cordons
postérieurs
de la moelle, anatomie et phy- MOte. A ! '<M
miner derrière l'extrémité supérieure de la circonvolution centrale
postérieure
(ou circonvolution pariétale ascendante), (PL.
sina; unpeuen avant : (PLVXIV; g.,4). 0n ,y,distingüé; la iportiori
postérieure
et supérieure derina,ula,7p,jqui,faitanHe - sur
en-lârière2ldulgenoÙ.du corpsb calleux, la section passe parle bord
postérieur
{dut noyau1 lèliticulàirè'^rexirémité'postérieù
quelquesoxteapathonomoniques de la sclérose fasciculée des .cordons
postérieurs
, et que l'on a coutume de désigner sous le nom
idemment liées au travail irritatif dont les racines et les cordons
postérieurs
de la moelle (et la pie-mère correspondante) so
ra-rachidienne, lorsque les racines pos- térieures ou les faisceaux
postérieurs
de la moelle sont compromises. « Si ces douleur
les impressions nées daus la moelle épinière ou dans les racines
postérieures
, sont rapportées à la périphérie par le sensori
ravail irritatif, qui porte sur les racines et les faisceaux blancs
postérieurs
delà moelle, amène- t-il, en même temps que les
ment, par voie réflexe, de l'irritation des faisceaux radiculaires
postérieurs
sur les nerfs voso-moteurs qui émergent de la m
uite de l'excitation douloureuse des nerfs sensitifs ou des racines
postérieures
de la moelle, congestion aboutissant rapidement
aso-moteurs (vaso-dilata- teurs) contenus dans les racines spinales
postérieures
. Pour que cette hypothèse fût valable, il faudr
faudrait que la présence de filets vaso-moteurs dans les racines
postérieures
fût établie; or, l'on sait que presque tous les
M. Brown-Séquard ' qui tendraient à faire admettre que les racines
postérieures
, elles aussi, renferment des filets vaso-moteur
enferment des filets vaso-moteurs. Il a vu la section des racines
postérieures
des cinq ou six derniers nerfs dorsaux et des d
tion des vais- seaux et d'augmentation de température des membres
postérieurs
; mais on peut objecter à ces expériences qu'il
l'hypothèse do l'existence des filets vaso-moteurs dans les racines
postérieures
et de l'irritation directe 36 562 PATHOLOGIE
contenus dans le nerf sciatique quittent la moelle par les racines
postérieures
des 4° et 5° pai- res lombaires '. Il est vra
des, du zona, en conséquence de lésions portant sur les fais- ceaux
postérieurs
de la moelle ou sur les racines spinales sensitiv
M. Vulpian, l'existence de filets vaso-dilatateurs dans les racines
postérieures
de la moelle. Si la présence, dans les racines
racines postérieures de la moelle. Si la présence, dans les racines
postérieures
, de fibres vaso-dilatatrices admises par Strick
toire qui s'effectuent probablement vers les cordons et les racines
postérieures
de la moelle pen- dant les grandes crises de do
dons antéro-latéraux (dégénérescence secondaire ? ) et Ips cornes
postérieures
, du moins dans les segments les plus affectés ;
D'UNE FORME particulière d'affection parenchymateuse DES CORDONS
POSTÉRIEURS
DE LA MOELLE ; par C. WESTPHAL. (Archiv. f. Psy
uctions gommeuses dans les organes internes et sclérose des cordons
postérieurs
) doit, au sens de M. W..., trancher la question
et même l'hypertrophie par places des cylindraxes, dans les cordons
postérieurs
; malgré l'atteinte des cordons deGoll, il n'y e
D'où la déno- mination de p2,ocessus pa2,enchy71zateux des cordons
postérieurs
: t .. P. K. ' . r XVI. Étude minutieuse DE
t .. P. K. ' . r XVI. Étude minutieuse DES lésions DES CORDONS
postérieurs
dans UNE moelle d'ataxique; par Albert Adamkiew
it avec détails une moelle d'ataxique avec alté- ration des cordons
postérieurs
et arrive par le seul examen aria-' tomiqueauxc
ur desquels elles s'irradient, et ces centres sont : 1 A. Le bord
postérieur
libre du cordon postérieur; B. La ligne de sépa
nt, et ces centres sont : 1 A. Le bord postérieur libre du cordon
postérieur
; B. La ligne de séparation moyenne des cordons
du cordon postérieur; B. La ligne de séparation moyenne des cordons
postérieurs
; C. Le point d'entrée des racines postérieures
moyenne des cordons postérieurs ; C. Le point d'entrée des racines
postérieures
dans la moelle et leur territoire d'irradiation
ns des cloisons qui, dans la moelle lombaire, abandonnent les bords
postérieurs
des cornes postérieures, et en convergeant en a
ns la moelle lombaire, abandonnent les bords postérieurs des cornes
postérieures
, et en convergeant en arrière traversent le ter
et en convergeant en arrière traversent le territoire des cordons
postérieurs
; E. Les limites entre les cordons de Goll et d
es points sont ceux où le tissu cellulaire pénètre dans les cordons
postérieurs
et autour desquels il se subdivise comme dans l
atique vulgaire, et non une affection parenchyma- teuse des cordons
postérieurs
; ce n'est pas non plus, par conséquent, une ma
cialement aux deux systèmes que nous connais- sons dans les cordons
postérieurs
, mais suit sa .marche propre tantôt dans ceux-c
e de la moelle montre une dégéné- ration de la totalité des cordons
postérieurs
dans la région lombaire et dans la région dorsa
ale et lombaire, les cellules nerveuses, aussi bien dans les cornes
postérieures
, que dans les cornes 'antérieures-, étaient gra
omes : il cite le fait' d'une moelle^ cervicale, dont' les. cordons
postérieurs
.se trou- REVUE d'anatomie pathologique. 585 v
Luys avec atrophie des circonvolutions de la face interne des lobes
postérieurs
, M. Hartmann se contente de citer les expérienc
résume en la dégénérescence grise ou atrophique des cordons blancs
postérieurs
constituée dans le premier cas par la consistan
elles se propageraient promp- tement à toute la hauteur des fibres
postérieures
jusqu'à la moelle allongée on prenant fin au pl
e conduire toutes les impressions; l'atrophie partielle des racines
postérieures
peut aussi coexister avec la sensibilité, par s
faisceaux pyramidaux et de certains systèmes de fibres des cordons
postérieurs
, faible atteinte des cordons latéraux dans le c
let, des cordons de Goll, et du champ postéro-externe des cordons
postérieurs
; symptomatologie : paralysie et contracture des
surdité, dégénérescence presque absolue des cordons et des racines
postérieurs
, de l'ensemble des cordons latéraux dans le cer
autopsie a montré récemment une sclérose très prononcée des cordons
postérieurs
. Mais cette restauration de la sensibilité ne c
610 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. saignante, portant à son extrémité
postérieure
des lambeaux de ligament glosso-épiglottique. «
hospice, en raison de leur infirmité. (13.) 630 bibliographie. et
postérieure
du tronc, puis vient s'appliquer en travers de la
rière du lobule frontal inférieur, mais très loin de la terminaison
postérieure
de la scissure de Sylvius. C A, circonvolution
re droit. In : a, portion antérieure de l'insula. In : y, portion
postérieure
de l'insula. T', premier sillon temporal. T '
ale antérieure (ou frontale ascendante). B, circonvolution centrale
postérieure
(ou pariétale ascendante). R, sillon de Rolando
lit a, lobe antérieur de l'insula (portion déprimée). In : p, lobe
postérieur
de l'insula (portion proéminente). 0, lobe occi
centimètre en avant du chiasma des nerfs optiques. (C'est la face
postérieure
). NC, noyau caudé. 0, avant-mur (claustrum).
osté- rieure.) T p, substance grise de la circonvolution centrale
postérieure
, ou pa- riétale ascendante, qui pénètre dans le
x, capsule externe. 0, l'avant-mur, épaissi en haut. I y, portion
postérieure
de l'insula, en saillie sur la surface cérébrale.
it où elle se divise pour donner nais- sance aux artères cérébrales
postérieures
on remarque à gauche une forte dila- tation cyl
serpen- tant jusqu'aux extrémités de leurs rameaux. La communicante
postérieure
est aussi très largement dilatée ; de même la c
re. SgR, substance gélatineuse de Rolando. cop, reste de la corne
postérieure
. cl, cordon latéral de la moelle épinière. Co
au du nerf moteur oculaire ex- terne. Fli), faisceau longitudinal
postérieur
. Pyg, pyramide gauche déformée. Ntrap, noyau
corps trapézoïde. NPt, noyaux du pont. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. Rm, ruban de Reil médian très diminué à gauc
latie et atrophiée en partie à gauche. Flp, faisceau longitudinal
postérieur
. Cal, calotte ou tegmentum. Pcs, pédoncule cé
C. MONAKOW inférieur de Meynert, Hinterstrangende [fin des cordons
postérieurs
] de Wer- nicke) est si complètement atrophiée à
II, D, et PI. III, E). La partie latérale du faisceau longitudinal
postérieur
gauche est atrophiée par l'effet direct de la c
s-THALAMiQUE. Au milieu du noyau rouge et dans les régions les plus
postérieures
du corps de Luys, le thalamus droit est en to-
halamus font aussi partie de ce foyer de ramollissement. Le noyau
postérieur
de la couche optique (v. Monakow) e généré de mêm
uillé externe et le pédoncule cé- rébral et qui fait suite au noyau
postérieur
du thalamus. Le foyer de ramollis- sement s'éte
aisceau Bath de Forel est diminué à droite. Les artères des parties
postérieures
du thalamus sont dilatées et pleines de sang. O
s géné- raux plus marqués, par suite de la compression de la moitié
postérieure
du pont et du tubercule acoustique. La pathog
secondaires dues à la compression des organes de la fosse crânienne
postérieure
. Il ne s'agissait pas seulement ici d'une inter
cula- tion et les "effets de la pression sur les parties du cerveau
postérieur
op- posées à l'anévrysme). C'est seulement en
ur, mais elle disparaissait à la hauteur de la commissure cérébrale
postérieure
. Dans la figure 9 du mémoire de Edinger on cons
gros intestin ne présente rien de particulier. Au niveau de la face
postérieure
de l'estomac se trouvent deux tumeurs fibreuses
nes; elles restent en partie ca- chées par les cheveux. A la partie
postérieure
et inférieure du cou, au niveau de la vertèbre
graisseuses, elles ne dépas- sent jamais, à la partie supérieure et
postérieure
de la nuque, une ligne réunissant la base des d
teux autour du cou divisé en deux par un sillon médian antérieur et
postérieur
. La peau au niveau de la tumeur est peu mobile et
âgé de 42 ans. Quatre tuméfactions lipomateuses si- tuées à la face
postérieure
du cou séparées par deux sillons perpendicu- la
e tumeurs à la nuque depuis 6 ans. Il présente maintenant à la face
postérieure
du cou une tuméfaction quadrilobée dont la limi
e le point de départ et d'attache de cette tumeur parait être l'arc
postérieur
des deux premières vertèbres lombaires. ce nive
ins considérable. L'im- possibilité de l'examen clinique de la face
postérieure
de la colonne, masquée parle néoplasme, permett
hypothèse en montrant une colonne lom- baire normale, sans fissure
postérieure
. Nous sommes donc amenés à éliminer les tumeurs
u derme, alors qu'ici le pédicule allait s'insérer jusque sur l'arc
postérieur
des vertèbres. Enfin, l'augmentation de volume de
xome d'origine congé- nitale, inséré à la région lombaire sur l'arc
postérieur
des vertèbres, se rapprochant du molluscum soli
Brissaud, se trouve aussi au Rijk Muséum, accompagnée d'une édition
postérieure
. Cette dernière porte la légende suivante, dont
'éloge du tabac. La pièce de Thomas Corneille est de 1611. Elle est
postérieure
de vingt années environ au Don Juan de Molière, q
e sur la région de la base du 3e ventricule depuis l'espace perforé
postérieur
jusqu'aux bandelettes olfactives et circonvolut
s le 3° ventricule et arrivait même jusqu'au trigone. Par la partie
postérieure
elle écartait vi- goureusement les pédoncules c
autopsie, il existait en elfe[ une scléi,pse évidente des faisceaux
postérieurs
delà moelle. Ou vérifia l'étal du rachis et l'o
splanchniqucs sains. Encéphale sain. Moelle : sclérose des cordons
postérieurs
. Thrombus fibroides oblitérant les artères popli
urs . Thrombus fibroides oblitérant les artères poplitée et tibiale
postérieure
. Examen du squelette après macération dans l'e
la face externe. Destruction des cotyles. Coccyx sain. Sur la face
postérieure
du sacrum, deux ostéophytes comblant les goutti
opsie. - Rien à noter dans les grands viscères. Les artères tibiale
postérieure
et poplite du côté gauche sont remplies par un
le. Teinte grisâtre translucide occupant toute l'aire des cor- dons
postérieurs
dans les deux tiers inférieurs de la moelle et se
es racines de la queue de cheval sont les antérieures normales, les
postérieures
atrophiées, grises, extrêmement graci- les. L'e
pus ni de tumeurs. La dure-mère rachidienne qui recouvre la face
postérieure
des corps des vertèbres altérées est un peu épa
pophyse grêle de deux centimètres de long s'étend du milieu du bord
postérieur
du trou obturateur à sa partie antérieure. La cav
tres de largeur, de cinq centimètres de longueur occupent à la face
postérieure
du sacrum les gouttières sacrées : elles s'implan
ire offrent seules quelques par- ticularités il signaler; la partie
postérieure
du corps de la première lombaire, quoique très
ise du poumon gauche. Encéphale sain. Moelle : sclérose des cordons
postérieurs
. Examen du squelette après macération dans l'ea
ont été trouvées normales il l'examen microscopique. Les racines
postérieures
cervicales sont formées par un mélange de fibres
un mélange de fibres saines et de fibres atrophiées. Les racines
postérieures
lombaires sont très diminuées de volume : elles o
e longueur et d'un centimètre et demi de base environ, dont le côté
postérieur
termine la série des festons tracés par les bor
ictus, mort dans le coma. Autopsie. - Moelle : sclérose des cordons
postérieurs
sur toute la hauteur. Crâne d'épaisseur remarqu
excursions de la rotule, on perçoit un frottement dur entre sa face
postérieure
et les parties osseuses correspondantes du tibi
ée en masse, régulièrement par ailleurs, sauf cependant à la région
postérieure
. Les condyles du fémur, les plateaux du tibia s
rtique. Congestion pulmonaire double. Moelle : sclérose des cordons
postérieurs
étendue sur toute la hauteur de la , moelle. Le
e sacrum est très friable lui aussi. Les trous sacrés antérieurs et
postérieurs
sont agrandis et leur pourtour os- seux s'effri
atérale externe. Observation IL - Les deux genoux vus par leur face
postérieure
. arthropathies tabétiques (Gibert) Masson &
s LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE 157 Î Circonflexe. - Dans la partie
postérieure
du deltoïde gauche, hypoexcitabi- lité surtout
minution existe 158 R. CESTAN surtout pour les muscles de la face
postérieure
de la cuisse. A gauche, les cou- rants galvaniq
es muscles antéro-externes de la jambe, dans les muscles de la face
postérieure
de la cuisse, dans les muscles du mollet, on co
fois des douleurs en ceinture, signes de l'inflammation des racines
postérieures
. La participation des racines antérieures se trad
de tout le membre supérieur droit et aussi de la région latérale et
postérieure
du thorax du même côté (PI. XXV). Cette hypertr
nous étudions ; la plus volumineuse siège dans la région dor- sale
postérieure
droite au niveau de la pointe de l'omoplate et se
la pointe de l'omoplate et se décom- .pose en une masse principale
postérieure
, et une masse accessoire s'enga- geant dans le
rtérite nodulaire, situés symétriquement sur les artères cérébrales
postérieures
, entre la bifurcation dû tronc' basilaire et la
ieures, entre la bifurcation dû tronc' basilaire et la communicante
postérieure
. Sur l'artère du côté droit, il s'agit d'artéri
n (Méthode de Pal). C, - droit, dégénéré D, Coupe de la cérébrale
postérieure
gauche. E, droite. Massos ET G", Éditeurs.
DE WÉBER SUIVI D'AUTOPSIE 175 localisés aux deux artères cérébrales
postérieures
, en un point très- limité, situé entre la bifur
é, situé entre la bifurcation du tronc basilaire et la communicante
postérieure
. Or c'est précisément de ce point que naissent
du moins, un ramollissement du lobe occipital, puisque la cérébrale
postérieure
, de ce côté était tout fait oblitérée ? Parce q
e, de ce côté était tout fait oblitérée ? Parce que la communicante
postérieure
qui se trouvait en de- hors et au delà du foyer
, somme toute,facile à saisir : artérite nodulaire sur la cérébrale
postérieure
, englobant une ou plusieurs artérioles pédon- c
e une attitude anormale.En effet, au lieu de voir la pointe du pied
postérieur
reposer par terre et le talon relevé, ainsi que
térieure saine est légèrement fléchie sur la cuisse et que la jambe
postérieure
est presque en extension. . Le pied paralysé
e la môme attitude aussi . 4n dans le pas antérieur que dans le pas
postérieur
, ceci dépend de l'im- mobilité presque permanen
on ne présente pas le moindre mouvement. Il y a parfois dans le pas
postérieur
de la jambe malade, un léger soulèvement du tal
-tarsienne pendant les différentes phases de la marche. Dans le pas
postérieur
, le pied est horizontal sur le sol, il s'avance p
du torse sont très caractéristiques depuis le commence- ment du pas
postérieur
, il se penche en avant de plus en plus jusque ver
il se penche en avant de plus en plus jusque vers la moitié du pas
postérieur
, moment où il commence à se relever en même tem
légère flexion, flexion qui s'accuse pendant toute la durée du pas
postérieur
, mais qui n'est pas non plus si indiquée que norm
il y a lieu de distinguer l'allure du pas antérieur de celle du pas
postérieur
lorsque la jambe ma- lade est oscillante. Dans
as postérieur lorsque la jambe ma- lade est oscillante. Dans le pas
postérieur
la malade tire après elle et avec grand effort
ysée lorsqu'elle passe à la phase d'oscil- lation. En effet, le pas
postérieur
est plus long que le pas antérieur, la vitesse
ambe oscillante n'est pas si accusée qu'à l'état normal dans le pas
postérieur
, de môme que dans le pas antérieur, elle n'est
st rare et assez souvent le pas antérieur est aussi long que le pas
postérieur
. 12 xiii 12 182 M. G. 111AnIl'iESCO Si on e
égère flexion, flexion qui s'ac- cuse pendant toute la durée du pas
postérieur
, mais qui n'est pas non plus si accusée que nor
ée d'un certain degré de mou- vement ; elle est fléchie dans le pas
postérieur
et présente le talon relevé ; ce qui fait que l
est incliné en avant d'une ma- nière exagérée seulement dans le pas
postérieur
, dans le pas antérieur au contraire il se renve
IQUE 185 moins volumineux dans les régions cervicales antérieure et
postérieure
; « mais ce bourrelet ne reproduit jamais l'aspe
ues et occupent : la région mas- toïdienne, la partie inférieure et
postérieure
du cou, la région sus-ma- xillaire, la région l
du public (1) Le tableau en question est daté de 1616. Il est donc
postérieur
de près d'un siècle à la gravure de Lucas de Le
ux tumeurs symétriques, plus bas, à gauche et à droite de la partie
postérieure
de la colonne cervi- cale. Depuis quelques mois
us ferme, comme celle des fibro-lipomes. Les tumeurs de la région
postérieure
du cou sont un peu plus tendues, à grains plus
liose inférieure s'ajoute une légère voussure lombaire, à convexité
postérieure
qui remplace la lordose lombaire habituelle. Ce
des en abduction, le corps est le siège d'oscillations soit antéro-
postérieures
, soit transversales et on doit se tenir auprès de
et le lobule central le sont davantage : le déclive et le tubercule
postérieur
du vermis le sont encore beaucoup plus. L'amygd
iche, surtout dans son tiers moyen : le tiers antérieur et le tiers
postérieur
sont plus faiblement colorés, ils paraissent part
sous de l'olive elle est difficile à suivre. Les noyaux des cordons
postérieurs
(noyau de Goll et de Burdach, noyau de Monakow)
rétro-trigéminales du corps restiforme. Le faisceau longitudinal
postérieur
et le ruban de Reil médian sont nor- maux. l'
es nerfs correspondants, des tubercules quadrijumeaux antérieurs et
postérieurs
. Les pédoncules cérébraux sont petits et relati
e fais- ceaux cérébelleux direct, les fibres des noyaux des cordons
postérieurs
et du noyau de Monakow, les fibres du noyau du
oscillations qui se font plus particulièrement dans le sens antéro-
postérieur
. Il éprouve une certaine peine à rapprocher les p
mobile, le tronc décrit deux ou trois gran- des oscillations antéro
postérieures
, quelquefois même davantage. Il peut encore tou
nérescence, les faisceaux pyramidaux sont plus pâles et les cordons
postérieurs
partiellement dégénérés (Menzel, Arndt, Thomas,
outre remarquer que l'examen des racines antérieures et des racines
postérieures
montre qu'à la région cervicale et à la région lo
etite qu'elle ne devrait être pour la taille du malade. Sur sa face
postérieure
les méninges sont injectées ; sur les surfaces
s racines n'est. pas augmenté si ce n'est dans la 6e racine dorsale
postérieure
gauche et la 3° ra- cine lombaire postérieure d
la 6e racine dorsale postérieure gauche et la 3° ra- cine lombaire
postérieure
droite. L'examen des nerfs périphériques n'avai
celle du tabès dans la maladie de Friedreich, en effet, les cordons
postérieurs
et surtout les racines postérieures sont relative
riedreich, en effet, les cordons postérieurs et surtout les racines
postérieures
sont relative- ment moins malades que dans le t
n, 187;;) signale une hémiplégie due à une hémorrhagie de la partie
postérieure
du lobe frontal, DE L'HÉMIPLÉGIE traumatique 37
ans les noyaux gris centraux, dans la capsule interne et la portion
postérieure
du ventricule latéral (fig. XVII, coupe frontal
se, pénètre dans le ventricule latéral droit et s'arrête à la paroi
postérieure
de celui-ci, non loin de la calcarine, d'où pos
t : BO, bandelette optique; P, pédoncule ; NC, noyau caudé, portion
postérieure
du ventricule latéral; C, région calcarimene. 1
et de bas en haut; P, pédoncule; CC, corps calleux; 1'L, extrémité
postérieure
du ventricule o latéral. \Ivssoa t : r C"1, E
anaux se termine à la surface externe de la circonvolution centrale
postérieure
......... le second va plus en arrière dans la s
st le plus souvent constituée par un gibbosité. Cette gibbosité est
postérieure
. Elle peut être médiane, mais elle est d'habitu
signes d'une myé- lite par compression et à la sclérose des cordons
postérieurs
peut s'ajou- ter l'altération des cornes antéri
milieu de sa longueur une excroissance charnue, attachée à la paroi
postérieure
, s'étendant sur une longueur de six doigts en tra
ès lentement, et que cette lésion a commencé à une date de beaucoup
postérieure
. Il n'y a pas d'atrophie dans le domaine des ne
suivi à travers la capsule interne gauche. En outre dans la région
postérieure
du genou postérieur on rencontre de petits foye
apsule interne gauche. En outre dans la région postérieure du genou
postérieur
on rencontre de petits foyers de ramollissement
voyons que la dégénérescence approche la région externe de la corne
postérieure
où la limite interne de la dégénérescence est t
ence est très accentuée et occupe aussi l'échancrure entre la corne
postérieure
et la corne latérale. Parmi une masse de fibres d
cellu- les plus menues de la corne antérieure ainsi que de la corne
postérieure
. b) Inlumiscence cervicale. - La région, où la
ement la même forme, en occupant l'échancrure droite entre la corne
postérieure
et la corne antérieure ; l'angle postérieur du
droite entre la corne postérieure et la corne antérieure ; l'angle
postérieur
du champ de dégénération, visible, dans la régi
d'un triangle, dont le sommet se trouve auprès du bout de la corne
postérieure
et la base au niveau du canal central ; la régi
s nettement la région dégénérative, située ventralement de la corne
postérieure
droite (Voyez PI. LXXI, D). La dégénérescence dan
bien moins grande; au contraire, la dégénérescence dans les cordons
postérieurs
et dans les racines postérieures a augmenté de be
la dégénérescence dans les cordons postérieurs et dans les racines
postérieures
a augmenté de beaucoup, surtout dans leur régio
bules noirs; les petites cellules moyennes des cornes antérieure et
postérieure
contiennent aussi beaucoup de globules noirs. Sur
à l'oeil on aperçoit déjà la région dégénéra- tive dans les cordons
postérieurs
de préférence auprès de la périphérie. A l'exam
rescence des fibres nerveuses est accentuée le plus dans les cordons
postérieurs
, principalement sur la périphérie et dans les r
s postérieurs, principalement sur la périphérie et dans les racines
postérieures
. Plus loin, il y aune dégénérescence disséminée
que son bord interne est contigu avec la région externe de la corne
postérieure
presque sur toute son étendue. La quan- tité de
procès morbide dans les enveloppes spinales. La lésion des cordons
postérieurs
dans les régions infé- rieures de la moelle épi
- nes antérieures ont peu souffert comparativement avec les racines
postérieures
et avec les cellules de la corne antérieure, qu
érie de cordons de Goll, des cordons de Burdaéh et dans les racines
postérieures
(dans les cordons de Burdach et dans les racine
cines postérieures (dans les cordons de Burdach et dans les racines
postérieures
du côté gauche la dégénérescence est un peu plus
à l'oeil nu la dégénérescence dans la région antérieure des cordons
postérieurs
. A l'examen microscopique la dégénérescence dans
cervicale. La dégénérescence dans la région antérieure des cordons
postérieurs
se trouve, à ce qu'il paraît, en liaison avec un
opiquement la dégénérescence seulement anté- rieurement de la corne
postérieure
des deux côtés. A l'examen microscopique on peu
sséminé. On observe une dégénérescence assez accusée dans la région
postérieure
des cordons postérieurs, dans les racines postéri
dégénérescence assez accusée dans la région postérieure des cordons
postérieurs
, dans les racines postérieures et dans les raci
dans la région postérieure des cordons postérieurs, dans les racines
postérieures
et dans les racines antérieures ; en outre, la
OGIE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 491 radiculaires, surtout des racines
postérieures
, est bien plus accentuée dans les régions infér
fait à son tour donne une dégénérescence plus mar- quée des cordons
postérieurs
des régions inférieures de la moelle épinière si-
et une lésion plus accentuée des fibres radiculaires et des cordons
postérieurs
dans les régions inférieures de la moelle épini
pinaux. C'est pour cela que la partie intra-médul- laire des fibres
postérieures
s'expose plus vite à la dégénérescence, que leu
e possible d'un développement de la dégénérescence dans les cordons
postérieurs
de la moelle épinière. La dégénérescence des fa
les étaient saines, un peu épaissies cependant au niveau de la face
postérieure
des vertèbres altérées. Dans un cas même, la du
. Il va donc créer ainsi deux déviations vertébrales, l'une antéro-
postérieure
, de meilleur équilibre, l'autre latérale, de meil
dans la cyphose, les parties latérales dans les scolioses, le bord
postérieur
dans la lordose, ou des points inter- médiaires
iculo-médullaire bien différents de ceux de la sclérose des cordons
postérieurs
. L'ostéo-arthropathie tabétique garderait pour
MARTIAL corne avait certainement atteint la moelle épinière, cordon
postérieur
droit et antérieur gauche et ce, pendant un mou
sang et des mucosités. Il croit qu'une balle est sortie par l'orifice
postérieur
des fosses nasales et a été avalée. Il est en t
le pied dans l'étrier et dans sa chute, frappa le sol de la partie
postérieure
de la tête. Le cheval fut arrêté, il dégaga son
me de 71 ans qui reçut il y a 4 ans une lourde caisse sur la partie
postérieure
et latérale gauche du crâne. Nous n'avons eu qu
s un cas de paralysie ascendante accompagnée d'oreillons. Le cordon
postérieur
, dans sa-partie médiane, contient un foyer prés
iculièrement le trajet des arté- rioles radiculaires antérieures et
postérieures
(fig. 5). Si nous passons a présent à 1 étude d
yers d'inflammation sui- vant le trajet des artérioles radiculaires
postérieures
et de l'artère du sillon antérieur. celui-ci se
lui de Lnckenfeld. Cette lésion qui siège aussi bien dans le cordon
postérieur
que dans le cordon FiG. 6. - Cellules névrogliq
treptocoque vi- rulent. La substance blanche antérieure latérale et
postérieure
est le siège d'une inflammation très intense.
s le domaine des différentes branches de la spinale anté- rieure et
postérieure
. \ Fic. 15. - Coupe transversale du renflement
ion de l'artériole centrale par des grains de lycopodium ; la corne
postérieure
est également le siège d'un foyer semblable ; d
térie, a produit parfois un véritable abcès localisé dans le cordon
postérieur
. Dans mes expériences on voit de la manière la pl
on des microbes à l'aide des lymphatiques, des méninges aux cordons
postérieurs
(fig. 20). On sait que l'abcès de la moelle est
ation d'abcès autour du canal épendymaire et à la pointe des cornes
postérieures
. 588 MARINESCO ' microbes et le degré de toxi
ation de la pie-mère et de ses prolongements (septum an- térieur et
postérieur
) par les bacilles qui ont envahi également le can
A MYÉLITE AIGUË 593 elle est circonscrite à une région de la moelle
postérieure
ou antérieure. . Un bel exemple de méningite po
la moelle postérieure ou antérieure. . Un bel exemple de méningite
postérieure
, je l'ai observé avec le microbe de l'influenza
anière qu'on les voit dans les capillaires du cordon et de la corne
postérieure
, ainsi que dans la paroi de la spinale antérieure
ns son ensemble un arc de cercle à grande cour- bure et à convexité
postérieure
, le sommet de la courbure correspond à la ré- g
coude gauche, une élevure avec une touffe de poils ; sur la partie
postérieure
de l'avant-bras gauche, une tache pigmentaire fon
matières fécales auxquelles ces parties sont exposées. Les membres
postérieurs
d'un jeune chat, qui survécut près de trois mois
in (I). Chez des mammifères ou chez des grenouilles, dont la partie
postérieure
de la moelle a été détruite,on peut voir,dit Vale
ntin lacontractilité électriquepersister dans les muscles des membres
postérieurs
, jusqu'à la mort, c'est-à-dire pendant plusieurs
us les effets auxquels donne lieu l'inertie fonctionnelle des membres
postérieurs
, chez les annimaux, et rien que ces effets. Eh bi
environ deux mois et demi ou trois mois après, il survint à la partie
postérieure
et interne de l'a-vant-bras une éruption ressembl
e Pott. b) Lésions fascicu-lées même très étendues des cordons blancs
postérieurs
ou antéro-latéraux, etc. — 2e groupe : Lésions de
la moelle épinière : qu'elle occupe exclusivement soit les faisceaux
postérieurs
, soif les faisceaux latéraux, ou, simultanément,
de la moelle épinière faiie dans le renflement lombaire — A, racines
postérieures
. — B, faisceaux radiculaires internes traversant
s. — B, faisceaux radiculaires internes traversant l'aire des cordons
postérieurs
. On voit la sclérose limitée dans les cordons pos
des cordons postérieurs. On voit la sclérose limitée dans les cordons
postérieurs
au parcours de ces faisceaux. A droite, le parcou
et qui est représenté par un petit foyer de sclérose. — A, A, cornes
postérieures
. nombreux myélocytes et porte, par conséquent,
uite). Sommaire. — Affections cutanées dans la sclérose des cordons
postérieurs
; Éruptions papuleuses ou lichénoïdes, urticaire,
es cornes antérieures de l'axe gris ; on les observe dans la sclérose
postérieure
(ataxie locomotrice) et dans certains cas d'atrop
quelque sorte pathognomo-niques de la sclérose fasciculée des cordons
postérieurs
, et que l'onacoutumede désigner sous le nom de do
leur trajet intra-spinal, ceux des tubes nerveux émanant des racines
postérieures
, qui, sous le nom de faisceaux radiculaires inter
isceaux radiculaires internes (masses fibreuses inter-nes des racines
postérieures
) dans la nomenclature de Kolli-ker (1 ), traverse
lli-ker (1 ), traversent dans une certaine étendue l'aire des cordons
postérieurs
, avant de pénétrer dans les cornes postérieures d
due l'aire des cordons postérieurs, avant de pénétrer dans les cornes
postérieures
de la substance grisé. Il ne paraît guère possi
es à l'une quelconque des lésions suivantes : 1° atrophie des racines
postérieures
avant leur entrée dans la moelle épinière ; 2° mé
ures avant leur entrée dans la moelle épinière ; 2° méningite spinale
postérieure
; 3° sclérose des cornes postérieures de la subst
épinière ; 2° méningite spinale postérieure ; 3° sclérose des cornes
postérieures
de la substance grise ; 4° lésions irri-tatives d
s lésions appréciables qui furent rencontrées occupaient les cor-dons
postérieurs
et consistaient en une multiplication des noyaux
e l'existence d'altérations quel-conques, soit dans les cornes grises
postérieures
, soit dans les nerfs périphériques, soit enfin su
D'après cela, ce serait dans l'altération irritative des faisceaux
postérieurs
de la moelle épinière qu'il faudrait chercher le
à croire, au contraire, que les fibres sensitives, issues des racines
postérieures
qui composent pour une part, les fais-ceaux radic
sans incoordination des mouvements, sclérose commençante ,des cordons
postérieurs
de la moelle épinière. In Comptes rendus des séan
ions vésiculeuses, pustuleuses ou enfin gangreneuses. Les faisceaux
postérieurs
sont-ils les seuls départements de-là moelle épin
; et quant au rôle que pourraient jouer à cet égard les cornes grises
postérieures
, nous sommes, sur ce sujet, dans l'ignorance la p
terminé lui-même par l'oblitération em-bolique d'une artère cérébrale
postérieure
. Quant au zona, voici, je pense, suivant quel méc
3. Charcot. Œuvres complètes, t. i. 6 à Tune des racines spinales
postérieures
de la queue de cheval. 11 est probable qu'à son p
s un épanchement sanguin du volume d'une amande. — L'artère cérébrale
postérieure
du même côté est complètement oblitérée par un th
eval, du côté gauche, on trouve, accolée à l'une des racines spinales
postérieures
qui donnent origine au plexus sacré, une artériol
ndue du renflement lombaire, où elle remonte le long du sillon médian
postérieur
, contrairement à la disposition que présente habi
la disposition que présente habituellement le plexus artériel spinal
postérieur
. Elle occupe le siège, le plus habituellement ;
aux extrémités internes des circonvolu-'ons marginales antérieure et
postérieure
, sont transformés en une boni II que le décubit
édominant, et ce rôle est partagé sans doute par les faisceaux blancs
postérieurs
, car nous savons que les irritations de certaines
raient de lésions irritatives occupant, soit les parties centrales et
postérieures
de la subs-tance grise, soit encore les faisceaux
postérieures de la subs-tance grise, soit encore les faisceaux blancs
postérieurs
. A ce point de vue particulier, il y a lieu de re
e jour —Autopsie : Une masse purulente couvre les faces antérieure et
postérieure
de la moelle et s'étend de-puis la queue de cheva
1. Cannstatt's Jahresbericht, 1868-1869. 3e Bd., 391. des cordons
postérieurs
, etalors que l'incoordination motrice est encore
droit. — A', corne antérieure du côté gau-che. — B, Commissure grise
postérieure
et canal central. — C, Sillon médian intérieur, —
, b', Groupe de cel-lules antérieur interne, — c', Groupe de cellules
postérieur
externe du côté droit. Le groupe cellulaire corre
ice progressive: sclérose des cordons posté-rieurs, méningite spinale
postérieure
, atrophie des racines pos-térieures des nerfs rac
motrice ; mais, le plus souvent, la lésion porte alors sur les cornes
postérieures
. Or, il en était tout autrement dans deux cas d'a
le processus inflammatoire, primitivement développé dans les cor-dons
postérieurs
, a pu, chez nos deux malades, occasionner le déve
trophiques ont tous leur origine centrale dans les ganglions spinaux
postérieurs
ou dans les ganglions analogues des nerfs crânien
-goïdes, du zona, en conséquence de lésions portant sur les faisceaux
postérieurs
de la moelle ou sur les racines spinales sensitiv
tion des corps amyloïdes) ou à l'un d'eux (plaque scléreuse à la face
postérieure
du bulbe). Dans le cas le plus net, on ne constat
s, nous savons seulement que des plaques ont été vues sur les racines
postérieures
et antérieures ; mais non s ignorons s'ils ont ét
l'épendyme. Elle est prédominante aussi dans cette partie des cornes
postérieures
connue sous le nom de substance gélatineuse de Ro
lésions du cerveau, ou de celle qui, occupant primivement les cordons
postérieurs
, est considérée à juste titre comme \esub-stratum
Lorsque, dans Valaxie locomotrice progressive (sclérose des cordons
postérieurs
), les membres supérieurs sont affectés, il s'y pr
régions de lamoelle, une assezgrande étendue, en hauteur, des cordons
postérieurs
. Un fait, dont l'histoire se trouve consignée tou
autopsie, on trouva une des plaques de sclérose occupant les colonnes
postérieures
dans une assez grande étendue du renflement cervi
que très rarement, en opposi-tion à ce qui s'observe dans la sclérose
postérieure
, elle aboutit à une cécité complète (1). C'est là
vement comme cela a lieu si ordinairementdans la sclérose des cordons
postérieurs
. Les sphincters ne prennent part que très raremen
la parésie des membres inférieurs, qui n'existe pas dans la sclérose
postérieure
, ou qui ne s'y montre fout au moins que dans les
ence de l'induration grise multiloculaire avec la sclérose fasciculée
postérieure
, et sans nier que cette association puisse existe
ranchissent les sillons postéro-latéraux et empiètent sur les cordons
postérieurs
. Quelquefois même, je les ai vues, de\Tenuesconfl
ervice de M. Charcot Sclérose en plaques occupant surtout les cordons
postérieurs
) : les deux autres peut-être plus caractéristique
une plaque de sclérose longue de dix centimètres, occupant le cordon
postérieur
gauche ; — 2° une autre, mais moins étendue en la
une autre, mais moins étendue en largeur et en hauteur, sur le cordon
postérieur
cdroit ; —3° au-dessous, une autre plaque assez c
essous, une autre plaque assez circonscrite, occupant les deux ordons
postérieurs
; — 4° enlin, sur les faces anléro-lalérnles de la
à part ce cas exceptionnel où la lésion prédominerait sur les cordons
postérieurs
,— efle ne s'accom-pagne d'aucun trouble delà sens
e de la moelle épinière et en particulier dans la sclérose fasciculée
postérieure
(ataxie locomotrice), principalement danslaphasei
plus élevée de la région ' ' ' , lombaire : on voit que les cordons
postérieurs
sont de la face. — Etourdissements pris dans tout
cléros* dans toute la hauteur des cordons latéraux. Quant aux cordons
postérieurs
, ils sont pris un peu partout, mais principalemen
rtie la plus élevée de la région lombaire. A ce niveau, les cordons
postérieurs
sont pris dans toute leur étendue 'Fig 15, c), ma
n plaques disséminées, avec prédominance des lésions dans les cordons
postérieurs
, la maladie a duré onze, vingt-un et vingt-huit a
ent être, dans ces cas-là, rapportées à l'envahissement des faisceaux
postérieurs
de la moelle épinière dans une certaine 1. Ilin
moelle allongée — la sclérose occupe, en première ligne, les cordons
postérieurs
, puis les cor-dons latéraux, enfin les cordons an
s impressions tactiles: elle répondrait, en quelque sorte, aux cornes
postérieures
de la 1. Borsieri. — lust. pract., vol. III, p.
de la couronne rayonnante et la substance blanche avoisinante du lobe
postérieur
. Il s'agit là, par conséquent, de lésions compl
n suit donc que la capsule interne avait dû être lésée dans sa partie
postérieure
. Il en a.été de même dans le fait observé parM. L
, qui s'étend jusqu'à quatre ou cinq lignes en arrière de l'extrémité
postérieure
de la coupe optique, de telle sorte que, comme la
de la couche optique et finit a quatre li-gnes environ de l'extrémité
postérieure
de la couche optique. Dans son long trajet d'un p
oyau lenticulaire et une partie de la capsule interne. Dans la moitié
postérieure
de leur parcours ces deux foyers n'étaient plus é
optique et se termine à peu près trois lignes en avant de l'extrémité
postérieure
delà couche optique (Fig. 18, 2') ; Il y avait, e
rieures de l'opercule et gagnait la surface du cerveau. Son extrémité
postérieure
correspondait à celle de la cou-che optique. Dans
iée. — Moelle ; légère agglomération de noyaux dans la partie la plus
postérieure
du cordon latéral. Cas IV. — Anne B..., femme â
tique et s'étend jusqu'à deux ou trois lignes en avant de l'extrémité
postérieure
de la couche optique. En avant, il est à une demi
alogues que j'ai recueillis dans les auteurs, elle occupait la région
postérieure
de la couche optique et les parties adjacentes de
uatre à cinq li-gnes, le foyer touche une grande étendue de la partie
postérieure
du rayonne-ment du pédoncule cérébral, une partie
enticulaire. — Moelle: accumulation de corps granuleux dans la partie
postérieure
du cordon latéral droit. En résumé, les foyers
la couche optique : la 3e partie du nucléole lenticulaire ; la partie
postérieure
de la capsule interne comprise entre la couche op
nous avons émises, les cordons latéraux, ou tout au moins la par-tie
postérieure
— celle qui tient sous sa dépendance la contrac-tu
musculaire. Le crâne et ses viscères gorgés de sang; cir-convolutions
postérieures
un peu aplaties : susbtancc cérébrale un peu dure
enses dans les coudes, au niveau de la région occipitale, à la partie
postérieure
du cou et dans les reins : c'est à ces dernières
relevant des lésions en foyer du cerveau qui siègent dans les parties
postérieures
de la capsule interne, sur le point qu'il a désig
g, Sclérose, au début, dans le tissu qui constitue l'espace perforé
postérieur
. 1. Cette planche et les trois suivantes sont e
ques ventriculaires). c, Extension des îlots scléreux à l'extrémité
postérieure
des ventricules laté-raux (plaques ventriculaires
lièrement disséminés dans la substance blanche des régions cérébrales
postérieures
; quelques-uns sont très profonds. e, Vaisseaux
nes sont profondes.) c , Extension des îlots scléreux a l'extrémité
postérieure
des ventricules la-téraux. d, Ilots scléreux ir
lièrement disséminés dans la substance blanche des régions cérébrales
postérieures
. Quelques-uns sont très profonds. e, Vaisseaux
laques (moelle épinière). Fig. 1. — Moelle épinière vue par la face
postérieure
(la dure-mère sec-tionnée est rejetée de chaque c
elle étant placée verticalement. a. Partie antérieure : — h, Partie
postérieure
; — s, Ilots de sclérose. Les parties sclérosée
Milieu du renflement dorso-lombaire, \(j et 17, Cône terminal, Face
postérieure
. Face antérieure . G. Peltier ad. nat. del.
plaques (moelle épinière). Fig. 1. —Moelle épinière vue par la face
postérieure
(la dure-mère section-née est rejetée sur les côt
es scléreuses elles-mêmes. Fig. 2.— Moelle épinière vue par la face
postérieure
(la dure-mère sec-tionnée est rejetée sur les côt
étant supposée verticalemen t placée. a, Partie antérieure. p, Partie
postérieure
. s, Sclérose, (Les parties sclérosées sont repr
tout entier, CHARCOT. - Oeuvres complètes Tome I. PL. VI. Face
postérieure
. Face antérieure. G. Peltier ad. nat. del.
e Pott. b) Lésions fascicu-lées même très étendues des cordons blancs
postérieurs
ou antéro-latéraux, etc. — 2e groupe : Lésions de
uite). Sommaire. — Affections cutanées dans la sclérose des cordons
postérieurs
; Éruptions papuleuses ou lichénoïdes, urticair
es cornes antérieures de l'axe gris ; on les observe dans la sclérose
postérieure
(ataxie locomotrice) et dans certains cas d'atrop
sceaux racliculaires internes, 79. — Irritation des— dans la sclérose
postérieure
, 80. Faradisation et galvanisation : diffé-renc
ulée, 60 ; — descen-dante, 251 : — latérale dans l'hys-térie, 362 ; —
postérieure
, ccmpli-quant la sclérose en plaques, 231, 242, n
membres. Vagissements. Persistance des fontanelles antérieure et
postérieure
ainsi que des sutures. Plagiocé- phalie. Descri
es traces surtout visibles à la face interne de la calotte; l'angle
postérieur
de cette fontanelle est très obtus, si bien que
005 mm. à droite et à gau- che, la côtoie (Fig. 1). La fontanelle
postérieure
(Fia. 2) a l'aspect irrégulicr d'un triangle is
très lisse et n'offre que de très fai- Fig. 2. Ons. I. - Fontanelle
postérieure
. TRAITEMENT CHIRURGICAL. 21 blcs sillons pour
rononcée qu'explique très bien la lésion du cerveau, dont les lobes
postérieurs
faisaient défaut; cette partie déprimée a près
bler l'espace laissé libre par l'absence des 22 IDIOTIE. 'lobes
postérieurs
du cerveau. La suture coronale est très si- 'nu
présente l'encéphale vu par sa face convexe : on voit que la partie
postérieure
des deux hémisphères cérébraux fait défaut, ce
ipital (2 cm. 3 cm.). Nombreuses plaques translucides sur la moitié
postérieure
des pariétaux, la partie supérieure de l'occipi
de transparence y sont nombreuses, surtout au .niveau de la partie
postérieure
du pariétal droit et de la par- .tie supérieure
au niveau de leur union. La suture sagittale laisse voir son tiers'
postérieur
une partie rectiligne de 2 centimètres environ,
ntime' tres, il existe sept os wormiens répondant à la fontanelle
postérieure
. Entre ces os wormiens, qui se retrouvent sur la
angles antérieurs et supérieurs des pariétaux, à la suite des bords
postérieurs
de la fontanelle. Cette partie transpa- rente,
tre Compte rendu de 18 ! 12, p. 293. TRAITEMENT CHIRURGICAL. 67
postérieure
, parallèle à la suture inter-pariétale et à 22 mi
ent encore sur les pariétaux et sont surtout nombreuses à la région
postérieure
(1) Voir son observation complète dans notre Co
ariétal. Elle forme avec la suture sagittale un angle aigu, à sinus
postérieur
de 25° environ. Cette brèche est en voie de rép
ité supérieure abou- tit à 2 centimètres de la sagittale. La brèche
postérieure
ales mêmes dimensions que la précédente. Parall
EVtLLE ET CONCOURT. Sommaire. Pè7'et7'èse711porZé; excès de boisson
postérieurs
à la naissance du malade, - Grand'mère paternel
oit à la table interne, soit à l'externe. Os wormiens dans le tiers
postérieur
des deux branches de la suture lambdoïde. Aucun
'hippo- campe, mais par places. Quelques adhérences sur la moitié
postérieure
de 1 Atrophie sclércuse de la moitié inférieure
u niveau du pli pariétal inférieur, du pli courbe et de l'extrémité
postérieure
de la première et deuxième F. Les circonvolutio
e. - Quelques adhérences sur le. lohe quadrila- tère, sur la partie
postérieure
de la circonvolution du corps cal- leux et enfi
de, pas d'aura : quelquefois il se plaint d'avoir froid à la partie
postérieure
du cou, puis par tout le corps. Pas de folie av
la moitié antérieure du lobe frontal, asseznombreusessurl;i moitié
postérieure
de ce lobe et sur les frontale et pariétale asc
e pli courbe, sur les tem- porales, principalement dans leur moitié
postérieure
. Il n'y a presque rien sur le lobe occipital, q
. Jlè1'e, migraineuse aliénation mentale en 1888; excès de boissons
postérieurs
iL la naissance de l'enfant. Tante maternelle,
d'appui, sur les deux fesses et les omoplates, ainsi qu'à la partie
postérieure
des bras, une z BOURNEVILLE, Bicêtre, 1893. 10
châtain foncé, avec un tourbillon anté- rieur à gauche. Tourbillon
postérieur
un peu à gauche de la ligne médiane. Pas de gan
tumeur. P, pédoncule cérébral. HÉTÉROTOPIE CÉRÉBRALE. 171 et plus
postérieur
que le gauche. Rien à noter pour la glande pitu
otiques, offrant une injection assez prononcée dans toute la partie
postérieure
.- Crâne : os peu épais. A l'inspection de la ha
lution temporale, assez bien développée, paraît normale à sa partie
postérieure
, mais à sa partie antérieure, elle est un peu e
ès sinueuse, assez profonde, irrégulière, bifurquée à son extrémité
postérieure
. La 2""= cir- convolution temporale est égaleme
olution temporale est également bien développée surtout à sa partie
postérieure
. Sa moitié antérieure est aussi un peu en retra
réoccipitale est très profonde; elle se prolonge jusqu'à la branche
postérieure
de la scissure parallèle qui circonscrit le pli
ne scissure sous-pariétale profonde et un pli pal'ilÍto-lill1biqlle
postérieur
. - La scissure perpendiculaire interne est très
nvolution orbitaire, assez grosse, est un peu chagrinée à sa partie
postérieure
. La scissure, parallèle frontale supérieure est
s circonvolutions frontales sont cha- grinées surtout à leur partie
postérieure
. La frontale ascendante est assez grosse ét sin
riétale profonde en X. Il existe un pli de passage pariéto-limbiquo
postérieur
, et un pli de passage para- limbique postérieur
ge pariéto-limbiquo postérieur, et un pli de passage para- limbique
postérieur
. - La scissure, perpendiculaire interne est trè
s l'aspect normal. Fi et F3 sont aplaties et amincies à leur moitié
postérieure
. F3 est bien conformée. Le sillon de Rolando es
mensions obliques sont de 55 millimètres environ. - La fontanelle
postérieure
forme un petit triangle ayant une hauteur de 25
battements, sa compression n'amène aucun accident. la fontanelle
postérieure
offre à la palpation une dépression de 2 centim
de la même fontanelle est très obtus, si bien que les deux côtés
postérieurs
du losange forment presque une ligne droite. Le
Bieêtre en 1892 (2 ans) : Persistance des fontanelles antérieure et
postérieure
, asymétrie crâ- nienne très accusée, écartement
r un centimètre, à bords dentelés, comble l'espace de la fontanelle
postérieure
. LaslalLre lambdoïde est assez dentelée et cont
la coupe de la calotte, on est frappé de la minceur de la région
postérieure
comparée à l'épaisseur de la région antérieure
proche de la nor- male dans sa partie frontale, mais les deux tiers
postérieurs
, distendus, ne permettent pas d'en décrire la c
. 219 à sa base. Poumon droit (70 gr.). Noyau hémoptoïque au bord
postérieur
et à la base. Coeur (50 gr.). Quelques adhé- re
sion au-dessus paraissant correspondre au siège de la fonta- nelle
postérieure
. Bosse pariétale gauche, beaucoup plus saillant
M4 Hydrocéphalie : cerveau. qu'à droite; elle repose sur la face
postérieure
de laprotubé-' rance et des pédoncules cérébrau
29 persistent : l'antérieure a 9 centimètres de dimension antéro.
postérieure
sur 10 centimètres de diagonale transversale. P
serait resté sans connaissance et ne serait (1) Des renseignements
postérieurs
nous ont appris que cette soeur est morte phtis
que l'on sent très nettemeut la dépression formée par la fontanelle
postérieure
qui se prolonge du côté droit du lambda sur une
qui a environ 5 cm. de hauteur sur 3 dé base, cette dernière étant
postérieure
. De l'angle posté- rieur gauclie de ce triangle
os wormiens soudés. La suture inter-pariétale montre dans sa moitié
postérieure
des particularités intéres- santes : elle est f
miens contigus en arrière à un vestige membraneux de la fontanelle
postérieure
de 3 cm. de longueur environ. Deux os wormiens
es membraneux persistant au point où devait exister la fontanelle
postérieure
, la déviation du trou occipital, Hydrocéphalie.
s de près d'un centimètre. Cette branche va rejoindre la fontanelle
postérieure
; son bord externe est formé par le frontal pou
r le frontal pour les 2/3 antérieurs et par le pariétal pour le a/3
postérieur
(Fig. 52). La fontanelle postérieure a la forme
t par le pariétal pour le a/3 postérieur (Fig. 52). La fontanelle
postérieure
a la forme d'un triangle isocèle Fig. 54. V L,
té- rieur et occupant la ligne médiane de l'aire de la fontanelle
postérieure
. Le plus élevé est blanchâtre, d'aspect cartilagi
du temporal, font Hydrocéphalie enkystée. 261 partie de la moitié
postérieure
du crâne ; ils sont larges et minces, et ont en
es et minces, et ont environ 15 centimètres de dimensions antéro-
postérieures
. Leur bord antérieur est en rapport avec le fro
ostérieures. Leur bord antérieur est en rapport avec le frontal, le
postérieur
avec l'occipital ; l'inférieur n'existe pas, pu
s surnu- méraire que nous appelons inter-fronto-pariétal, ses 3/d
postérieurs
forment les côtés de la fontanelle postérieure.
to-pariétal, ses 3/d postérieurs forment les côtés de la fontanelle
postérieure
. L'écaillé de l'occipital paraît peu développée
il l'est encore du côté droit; a gauche, il est libre dans le tiers
postérieur
au niveau du pariétal, mais non dans les ='/3 a
sa moitié inférieure. Au niveau des deux fontanelles, antérieure et
postérieure
, l'os est mince, quoique non dépres- sible, non
a chez tous persistance de la fontanelle antérieure. La fontanelle
postérieure
persiste chez Ess... et les sutu- res distendue
. 1880.- Tête allongée volumineuse, avec prédominance des parties
postérieures
et aplatissement transversal (scaphocé- phalie)
es. Thorax, rachis assez bien conformés et sans déviations. Angle
postérieur
des côtes très accentué. Remarquable peti- tess
4 ans. Pas d'accidents scrofuleux. Outre, le balancement antéro-
postérieur
du tronc, il présente comme autre tic, un petit c
ticules très petits. Membres supérieurs très grêles. A la. partie
postérieure
et interne du coude droit existe une fistule d'
. 298 I-IAfi-HYDRO-SCAPHOCFPHALIE. mince dans la région pariétale
postérieure
et occipitale, il est épais, spongoïde et opaqu
es volumineuses. Il en existe une. également au niveau de la partie
postérieure
du vermis inférieur, dans la région qui sépare
eurs extra-ventriculaires. Le bulbe est aplati dans le «en» antéro-
postérieur
. Il n'y a pas de lésions des élément» nerveux du
vascularisation de la gaine externe est très prononcée sur les 2/3
postérieurs
du nerf. Les autres nerfs crâniens sont normaux
bosselé. Les kystes sont transparents. L'antérieur est bleuâtre, le
postérieur
, légèrement citrin. Le petit mamelon du kyste a
t le chapelet rachitique ou l'exagération de la courbure de l'angle
postérieur
des côtes. Un grand nombre d'hydrocéphales ont
et très myope, a de petits ganglions engorgés à la région cervicale
postérieure
. Elle se plaint actuellement (1893) de douleurs
céphalie chronique. longueur sur 9 cm., 5 de largeur. La fontanelle
postérieure
est oblitérée. Valentine a 2 incisives inférieu
s : l'antérieur ou le frontal, celui du milieu ou l'insulaire et le
postérieur
ou pariéto-occipito-temporal. Ces centres occupen
le plus important dans l'activité psychique est joué par le centre
postérieur
, mais le centre dont l'activité est associée mit
eur V. Uschinsky (3). Ce savant n'obtenait, en[irritant les racines
postérieures
de la moelle épinière chez la grenouille, aucun
coupé, aurait probablement montré, lors de l'irritation des racines
postérieures
de la moelle épinière, des contractions muscula
rs l'hémisphère gauche, avait péné- tré à peu près dans les limites
postérieures
du fornix, au-dessous du cor- pus callosum dans
vers l'arrière de la commissura anterior, de ses apophyses droites
postérieures
et latérales. Non loin du bord extérieur de la
vait détruit en arrière à gauche du corpus fornicis, tous ses crura
postérieurs
et 1 ité- raux et taeniae du côté gauche, les c
nouveau presque tout le corpus fornicis, excepté sa partie gau- che
postérieure
, restait intact ; les ventricules du cerveau étai
es cités étaient complètement t intacts et que par contre les crura
postérieurs
et latéraux et taeniae fornicis furent constaté
actile ou d'autres nerfs. Si on détruit d'un côté ensuite les voies
postérieures
, latérales et infé- rieures, qui unissent le fo
.- Ramollissement de l'écorce du lobule paracentral et de la partie
postérieure
de la circonvolution Fui, Dégénérescence second
interne ce l'hémisphère droit le lobule pa- racentral et la partie
postérieure
de la circonvolution Fi (PI. IV, B). Cette lési
du lobe occipital, où il occupe la cir- convolution 02 et la partie
postérieure
de Ti. L'hémisphère gauche est indemne de toute
cavité ventriculaire, coupant une partie des radiations thalamiques
postérieures
, dont la dégénérescence secondaire peut être suiv
n voit encore une raréfaction des fibres verticales dans le secteur
postérieur
qui correspond à la projection des fibres de la
dans la région qu'ils devraient occuper, c'est-à-dire dans le quart
postérieur
du segment postérieur de la capsule in- FIG. 3.
devraient occuper, c'est-à-dire dans le quart postérieur du segment
postérieur
de la capsule in- FIG. 3. Pédoncule cérébral dr
atteint qu'une partie du territoire de l'artère frontale interne et
postérieure
; il n'y a donc eu vrai- semblablement que des
divisé avant l'inclusion en trois segments : anté- rieur, moyen et
postérieur
, d'inégales dimensions. Les segments antérieur et
yen et postérieur, d'inégales dimensions. Les segments antérieur et
postérieur
sont débités en coupes vertico-transversales, le
3 ; la partie orbitaire de cette dernière est conservée. Le segment
postérieur
comprend le lobe occipital, la partie postérieure
servée. Le segment postérieur comprend le lobe occipital, la partie
postérieure
des circonvolutions pariétales et temporales et
tales et temporales et, sur la face interne, le cuneus et la moitié
postérieure
du précuneus. La cavité kystique ne se prolonge p
plus bas (fig. 8), que l'extrémité inférieure de la circonvolution
postérieure
, en même temps que l'avant-mur et la capsule ex
déformé et la capsule interne suit un trajet sinueux dans sa partie
postérieure
. B. Dégénérescences et atrophies secondaires.
rne (fig. 8). La région du genou et la partie antérieure du segment
postérieur
ne sont pas occupées par du tissu fibreux mais
est le petit volume du pied de la couronne rayonnante et du segment
postérieur
de la capsule in- terne et leur amincissement p
la partie supérieure du pédoncule' cérébral, les fibres du segment
postérieur
de la capsule interne Fig. 9. - Coupe horizonta
thode de Weigert (fig. 9). On sait que dans cette région le segment
postérieur
de la capsule interne est traversé par des fibr
bres de projection dans le genou et la moitié antérieure du segment
postérieur
delà capsule interne et plus bas dans les segment
i frappe avant tout est un oedème du dos de la main et de la partie
postérieure
de l'avant-bras remontant un peu au delà du cou
ul cas le défaut d'ossification limité à la région de la fontanelle
postérieure
. Exception faite pour les enfants au-dessous de
de l'écaillé et des parties latérales) ou la largeur bizygomatique
postérieure
(prise aux racines postérieures des arcades zyg
térales) ou la largeur bizygomatique postérieure (prise aux racines
postérieures
des arcades zygomatiques), soit qu'on prenne les
les indices qui expriment le rapport entre la largeur bizygomatique
postérieure
et la largeur bipariétale varient, pour les pre
S ALTÉRATIONS DU CRANE DANS LA DYSOSTOSE CLÉIDOCRANIENNE 99 moitiés
postérieures
. Le trou occipital est orienté en avant au point
rstice d'une largeur de 1 à 30 mm. Dans les cas.extrê- mes, l'angle
postérieur
du malaire se réduisait a un moignon très petit,
alaires sont en parfait accord avec mes observations antérieures et
postérieures
sur des sujets dysostosiques vivants. J'ai pu s
la nuit pour se suicider. A l'autopsie, on constate dans la branche
postérieure
de la scissure de Syl- vius de l'hémisphère dro
e et de l'état des parties profondes. On voit que la circonvolution
postérieure
de l'insula est détruite, que les autres sont r
t effondré; celui de la 5e était atteint seu- lement dans sa partie
postérieure
. La moelle était étranglée, entre les 5e et 6e
ent les fibres radiculaires des systèmes endogènes dans les cordons
postérieurs
. Ces raisons nous font abstraire de l'histoire tr
de la partie postéro-latérale droite de la dure-mère aux raci- nes
postérieures
droites de la queue de cheval, à partir de l'émer
nt complet de la dure-mère section- née le long de la ligne médiane
postérieure
. En avant les adhérences commen- cent un peu pl
interfasciculaires, périphlébite de quelques veines radi- culaires
postérieures
, permettent le diagnostic de syphilome scléreux.
dante des fibres radiculaires posté- rieures remplir tout le cordon
postérieur
, à l'exception des formations endogènes, zone c
segment dorsal, au Pal, montre la décoloration complète du faisceau
postérieur
droit, sauf une mince bande de substance blanche
ce bande de substance blanche immédiatement en contact avec le bord
postérieur
de la corne postérieure (zones radiculaires anté-
lanche immédiatement en contact avec le bord postérieur de la corne
postérieure
(zones radiculaires anté- rieure et postérieure
térieur de la corne postérieure (zones radiculaires anté- rieure et
postérieure
). 1 Avec la surcoloration au Van Gieson la sclé
archi, montre trois systèmes de dégénéres- cence dans les faisceaux
postérieurs
droit et gauche et dans le faisceau antéro- lat
- latéral gauche (PI. XXIII). La dégénérescence massive du cordon
postérieur
droit, marquée par de gros- ses granulations no
l. Les deux petits croissants de granulations noires dans le cordon
postérieur
gauche, l'un contre la racine postérieure et l'
ions noires dans le cordon postérieur gauche, l'un contre la racine
postérieure
et l'autre un peu plus en dedans re- présentent
L-LAVASTIN1; lez Enfin l'aire de granulations noires dans la moitié
postérieure
du faisceau latéral gauche représente la dégéné
hère droit. Au Van Gieson, on voit une sclérose massive du faisceau
postérieur
droit. A l'hématoxyline-éosine, la colonne de C
deux aires de décoloration : dans la partie postéro-interne du cordon
postérieur
droit et dans un croissant parallèle au bord po
e du cordon postérieur droit et dans un croissant parallèle au bord
postérieur
de la corne postérieure et occupent le 1/3 moye
droit et dans un croissant parallèle au bord postérieur de la corne
postérieure
et occupent le 1/3 moyen de la moitié postérieu
rieur de la corne postérieure et occupent le 1/3 moyen de la moitié
postérieure
du cordon de Burdach gauche. La première est du
res, offrent, au Pal, une seule aire de décoloration dans le cordon
postérieur
droit. Cette aire l'occupe tout entier, sauf la
cornu-commissurale et un demi-ovale médian le long du sillon médian
postérieur
, centre du centre ovale de Fleschsig (fais- ce
de Lissauer droites sont décolorées et le réticulum fin de la corne
postérieure
droite est diminué. La surcoloration au Van Gie
e la ménin- gite scléreuse engainant quelques faisceaux des racines
postérieures
de la 4° paire lombaire droite ; les racines an
nce radiculaire ascen- dante. Dans Lv elle occupe, dans les cordons
postérieurs
droits, la moitié postéro-interne du cordon de
u de fibres, mais peu de grains noirs. Le réticulum fin de la corne
postérieure
droite est à peine raréfié, mais de grosses fibre
triangle touchant la périphérie de la moelle et séparé de la corne
postérieure
par une bande assez étroite. Dans Si, la dégéné
assez étroite. Dans Si, la dégénérescence n'occupe que les cordons
postérieurs
droits. Elle y est massive, ne laissant indemne
t une mince bande, le long de la moitié antérieure du sillon médian
postérieur
, correspondant au faisceau de Hoche (1) (PI. XXII
ient le triangle de Gombault et Philippe. Dans le reste des cordons
postérieurs
droits la dégénérescence est massive (PI. XXIII
e triangle de Gombault et Philippe allongé le long du sillon médian
postérieur
jusqu'au bord postérieur de la moelle et la zon
Philippe allongé le long du sillon médian postérieur jusqu'au bord
postérieur
de la moelle et la zone cornu-commissurale de p
t par l'intermédiaire de la bande allongée le long du sillon médian
postérieur
(faisceau de Hoche), la continuité du fais- cea
opinion classique (2) sur les dégénérations ascendantes des cordons
postérieurs
, consécutives aux lésions des racines postérieu
antes des cordons postérieurs, consécutives aux lésions des racines
postérieures
. ' Le dessin net de la zone marginale de Westph
, une fois de plus, qu'ils ne dépendent pas des fibres radiculaires
postérieures
et la continuité de ces formations éta- blit le
ar une bordure mince le long de la commissure et du col de la corne
postérieure
(zone marginale de Westphal) et enfin par des s
rès fines réparties 1 égulièrement sur toute'.l'étendue des cordons
postérieurs
. Les grosses libres de la substance grise (fais
osses libres de la substance grise (faisceaux verticaux de la corne
postérieure
de Ki1- liker, collatérales réflexes) sont détr
QUEUE DE CHEVAL 127 rescence tertiaire, le réticulum fin des cornes
postérieures
et les zones de Lissauer restent intactes. »
tion tertiaire, car au Pal est diminué le réticulum fin de la corne
postérieure
droite. Il n'est d'ailleurs peut-être pas certa
n que les zones de Lissauer ne contiennent aucune fibre radiculaire
postérieure
. Pour Dejerine et Spiller (3) des fibres radicu
e postérieure. Pour Dejerine et Spiller (3) des fibres radiculaires
postérieures
existent aussi dans le triangle de Gombault et
uscles de la cuisse, innervés par le nerf sciatique, et les muscles
postérieurs
des jambes sont relativement moins touchés que
re sont intactes. Racines. Dans l'étude des racines, antérieures et
postérieures
, nous avons eu recours à plusieurs méthodes pou
re d'une façon très évidente de la Fig. 3, qui reproduit une racine
postérieure
de la moelle lombaire inférieure, sur une coupe
ombaire inférieure, sur une coupe longitudinale, longeant le cordon
postérieur
. Dans cette racine on observe seulement quelque
xes des fibres nerveuses qui constituent les racines antérieures et
postérieures
de la moelle épinière. Moelle épinière. Métho
nerveux colorés en noir est sensiblement plus grand dans la moitié
postérieure
de là moelle que dans l'antérieure. Cette diffé
le liquide de Marchi. Cela se voit princi- palement dans les cornes
postérieures
qui se montrent parcourues par de nombreux fais
8-70), qui décrivit l'existence de corps granuleux dans les cordons
postérieurs
de ces malades. Après lui, on trouve décrites d
boules qui étaient très nombreuses au niveau des zones radiculaires
postérieures
. Il considéra cette altération comme l'expressi
iffuse de la moelle avec lésion plus intense des zones radiculaires
postérieures
. Ransohoff (1902) en 18 moelles sur 11 provenan
ées particulièrement aux voies longues. Les altérations des cordons
postérieurs
étaient plus accentuées dans la moelle cervical
ite et de la racine correspon- dante avec gliose légère des cordons
postérieurs
. Il considéra les deux pro- cessus comme deux f
observa unique- ment un certain degré de dégénérescence des cordons
postérieurs
et, plus exactement, l'atrophie des fibres asce
et, plus exactement, l'atrophie des fibres ascendantes des cordons
postérieurs
, sur- tout dans le cordon de Goll de la moelle
réquem- ment et les plus intensément frappés en étaient les cordons
postérieurs
et les racines postérieures, mais d'autres syst
tensément frappés en étaient les cordons postérieurs et les racines
postérieures
, mais d'autres systèmes, et surtout le faisceau
tout les cas la portion extramédullaire des racines antérieures et
postérieures
était intacte. En outre il n'y avait pas d'altéra
lules radiculaires antérieures, névrite parenchymateuse des racines
postérieures
A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE
OLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 143 et dégénération des zones radiculaires
postérieures
. Au niveau de la moelle sacrée la dégénération
iniques était cantonnée ex- clusivement dans les zones radiculaires
postérieures
. Les racines posté- rieures présentaient une lé
pécifique n'avait pas pour les racines mé- dullaires,antérieures et
postérieures
, la même influence pathologique, ou si l'on veu
S PLANCHES - PLANCHE XXIV Prn. 1. Coupe transversale d'une racine
postérieure
au'niveau de la moelle cervicale. Méthode de Ma
Zeiss. Fic. 2. - Moelle lombaire coupée transversalement. - Racine
postérieure
(Rp) et cordon postérieur (Cp). - Méthode de Ma
mbaire coupée transversalement. - Racine postérieure (Rp) et cordon
postérieur
(Cp). - Méthode de Marchi. Même grossissement.
issement. Flo. 3. Moelle lombaire, coupe longitudinale.- Rp, racine
postérieure
Cp, cordon postérieur. Méthode de Marchi. Même
e lombaire, coupe longitudinale.- Rp, racine postérieure Cp, cordon
postérieur
. Méthode de Marchi. Même grossissement. Fig. 4.
t t presque toujours la contraction du muscle triceps et des fibres
postérieurs
du muscle deltoïde, etc. Au membre inférieur, l
ver en même temps une contraction du triceps brachial et des fibres
postérieures
du deltoïde. La percussion de l'épitrochlée, le
et un peu fléchi, produit une contraction du triceps et des fibres
postérieures
du deltoïde, s'étendant au grand rond et au gra
driceps extenseur fémoral ou des muscles de la jambe dans sa région
postérieure
. Les muscles tibiaux anté- rieurs répondaient à
l'examen il existait une large tuméfaction dou- loureuse à la face
postérieure
de la cuisse droite, et le genou droit était ro
o à l'aide du cinématographe) balaient le sol seulement dans le pas
postérieur
et font le pas antérieur, ainsi que leur double p
ns la partie presque passive de la marche, c'est-à-dire dans le pas
postérieur
. L'hémiplégique flasque, au contraire, traîne s
ne légère flexion. Enfin les veines du dos de la main et de la face
postérieure
de l'avant-bras sont volumineuses et très appar
al commun antérieur. Les ligaments vertébraux communs antérieurs et
postérieurs
étaient à peu près intacts. Nulle part il n'y
s vertébraux, à l'exception des ligaments verté- braux antérieur et
postérieur
. d) Par une raréfaction du tissu osseux ancien,
erew (2) a rencontré dans une autopsie une dégénérescence du cordon
postérieur
, des lésions disséminées des cordons antéro-latér
i admet qu'il s'agit non de tabes vrai, mais de lésions des racines
postérieures
, produites par l'inflammation vertébrale au nivea
attribue à un retentissement du processus vertébral sur les racines
postérieures
au niveau des trous de conjugaison. Il s'agit
e,, une action marquée sur les racines et surtout sur les ra- cines
postérieures
. Cette action peut être déterminante du processus
observe pas d'aplatissement ni de distension des fosses moyennes et
postérieures
du crâne et les pyramides marquent entre' les deu
et en bas. De profil la déformation est moins accentuée. La face
postérieure
du crâne tombe assez à pic. La protubérance occ
C. i. (fig. 2) ; on en trouve les derniers vestiges dans les plans
postérieurs
de N. L. Le thaiam. opt. n'est grossièrement lé
isphère droit. Un foyer néoplasique occupe le pourtour de la partie
postérieure
de F3, mais sans dépasser en profondeur 2-3 mm. I
e la « pince de homard D. Son aspect est irrégulier ; son extrémité
postérieure
est moins renflée que celle des autres métacarpie
n s'articule en arrière avec le troisième cunéiforme et l'extrémité
postérieure
des premier et deuxième métatarsiens fusionnés.
er et deuxième métatarsiens fusionnés. Assez volumineux à sa partie
postérieure
, il se termine en avant par une extrér mité eff
ter comme normalement une tète. Il a ainsi une forme conique à base
postérieure
. Le squelette de l'orteil correspondant fait co
i ferait défaut. En réalité, il est vraisemblable que son extrémité
postérieure
a persisté, mais s'est soudée au premier métatars
deuxième orteil fait défaut. Les métatarsiens ont leurs rap- ports
postérieurs
normaux avec les cunéiformes. Le troisième métata
iffuse à la colonne vertébrale lorsqu'une méningite séreuse spinale
postérieure
s'associe à la méningite séreuse ventriculaire.
ale, et nous n'eûmes non plus aucun symptôme de ménin- gite spinale
postérieure
; tout se réduisit à l'atrophie optique (précédée
e la moelle nous la trouvons séparée par une zone saine de la corne
postérieure
et envoyant une mince expansion vers la zone d'
e et envoyant une mince expansion vers la zone d'entrée des racines
postérieures
. Ses différents aspects sont des plus nets : tr
de la couche optique droite et touchant par sa péri- phérie au bras
postérieur
de la capsule blanche interne ; l'examen histol
nviron après le début des accidents. La compression de la branche
postérieure
de la capsule interne 56 REVUE DE PATHOLOGIE NE
depuis le point comprimé de la substance blanche jusqu'aux régions
postérieures
de l'écorce cérébrale. Les s auteurs pensent qu
faisceau antérieur est plus fort tandis que les faisceaux moyen et
postérieur
sont plus grêles. Le triceps brachial est vigou
des phénomènes parai) tiques très accusés d'abord dans les membres
postérieurs
, ensuite dans les membres antérieurs de ces ani
vorables à cette opération. (13.). SOCIÉTÉS SAVANTES. 159 corne
postérieure
droite; cette lésion persistait dans toute la hau
ve avoir droite une pension de retraite par suite de la suppression
postérieure
de son emploi, peut réclamer la jouissance de c
s. A. Rôle moteur du centre visuel cortical. Centre oculo- moteur
postérieur
. Une vive lumière se produit à ma droite : mon
deuxième circonvolution primitive ou externe du chien entre le bord
postérieur
du gyrus sigmoïde et la pointe du lobe occipita
s globes oculaires et des paupières' : c'est le centre oculo-moteur
postérieur
, ou si l'on préfère le centre sensol'io-1notew'
nts produits par l'excitation du centre pos- térieur. A la partie
postérieure
du lobe frontal, probablement au niveau du pied
ntérieur corresponde la migraine ophtalmoplégique, comme au centile
postérieur
sensorio- moteur correspond la migraine ophtalm
ils passer indifféremment par le centre antérieur ou par le centre
postérieur
? Dans le premier cas, ils sont précédés de l'i
elleuse (Thomas), protubérantielle (lésion du faisceau longitudinal
postérieur
), pédonculaire, capsulaire, et enfin corticale.
iée à ,l'hémiano- psie est sous la dépendance des lésions du centre
postérieur
sensorio-moteu1', ou de ses fibres de projectio
n'y a rien d'irrationnel à prolonger jusqu'au pli courbe le centre
postérieur
des mouvements des yeux. 11 n'est pas prouvé, e
es- sion fonctionnelle des fibres sous-jacentes, issues du centre
postérieur
sensol'io-moteur. c) Déviation conjuguée de la
faits où la lésion, tout en étant hémisphérique, respecte le centre
postérieur
sensorio-moteur ainsi que le pli courbe. Il s'a
n. Ces deux centres sont l'oculo-moteur antérieur et l'oculo-moteur
postérieur
. Ce dernier, il est vrai, ne siège pas au nivea
émisphériques bilatérales. Les lésions bilatérales des deux centres
postérieurs
sensorio-moteurs nous arrêteront peu. Ils déter
le lobule pariétal inférieur, et la plus grande partie de la région
postérieure
des trois circonvolu- tions frontales et de l'i
ntérieurs; les yeux n'obéissaient plus qu'aux centres oculo-moteurs
postérieurs
. Mais comme ceux-ci sont capables de provoquer
-moteurs antérieurs avec conservation des centres oculo-mo- tetirs
postérieurs
. Nous avons assez insisté plus haut sur le rôle
s'avons vu que ce clignement réflexe était supprimé quand le centre
postérieur
était lésé : approchez le poing du visage d'un
us répondent qu'il n'en est pas de même pour le centre oculo-moteur
postérieur
. L'incitation qui met en action le centre oculo
entres voisins. L'excitation qui. met en jeu le centre oculo-moteur
postérieur
vient directement de la périphérie par les radi
s, il est possible que chez d'autres sujets, le centre uculo-motQUr
postérieur
puisse jouer un rôle dans les mouvements volontai
s mouvements palpébraux. 4° La lésion isolée du centre oculo-moteur
postérieur
pro- duit la déviation conjuguée des yeux, et l
s. Ces mouvements sont sous la dépendance des centres oculo-moteurs
postérieurs
restés intacts. PATHOLOGIE NERVEUSE. DE L'A
a substance cérébrale du pied de la frontale ascendante et du tiers
postérieur
de la troisième frontale est détruite, dilacérée
de de substance blanche et va en s'effilant sans dépasser son tiers
postérieur
. Coupe passant par le milieu de la pariétale as
au lenti- culaire une infiltration hémorragique.. Dans les coupes
postérieures
, l'hémorragie a disparu. Observation III (Rose)
ragique s'étend de la région antérieure jusque dans l'extré- mité
postérieure
de la capsule interne comprimant la corne desce
ique. Dans un cas, l'hémor- ragie était limitée au bord tout à fait
postérieur
de la face externe du noyau lenticulaire et ava
ontinue en arrière du corps strié, coupe la capsule interne (partie
postérieure
) et fait par là irruption dans les cornes desce
substance même du noyau lenticu- laire que tout il fait à la partie
postérieure
de ce dernier, il n'y a même là qu'une simple i
x se trouve dans la subs- tance blanche, à la partie, antérieure ou
postérieure
. Dans l'observation V de Broadbent, l'hémorragi
mbaire, sclérose ascendante cervicale dans les colonnes médianes et
postérieures
. A. Marie. 222 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
lle sorte que la fente du cervelet, qui s'y insère, avec le segment
postérieur
de la faux du cerveau, se porte en bas et en av
peut être produite que par la pression totale exercée sur la partie
postérieure
du corps calleux. P. IIEft.\\'.1L. 224' i REV
- rieure pendant une heure détermine une paralysie des extrémités
postérieures
et l'animal meurt quelques heures plus tard de lé
roubles graves de la motilité et de la sensibilité dans les membres
postérieurs
, mais point de paralysie complète. L'anémie de
s s'établit la connexion du cervelet avec le fascicule longitudinal
postérieur
du même côté, et en partie du côté opposé; et p
non entrecroisées ; 8° Par l'intermédiaire du faisceau longitudinal
postérieur
s'éta- blit la connexion du cervelet avec les n
a lésion intéressait dans toute son étendue la par- tie tout à fait
postérieure
de la capsule interne et que chez la malade (Ob
ns sont les suivantes : Hémorragie cérébrale ayant détruit le tiers
postérieur
au noyau lenticulaire et de la couche optique
au noyau lenticulaire et de la couche optique et les deux tiers
postérieurs
de l'avant-mur : le segment rétro-lenticulair
eurs de l'avant-mur : le segment rétro-lenticulaire et le tiers
postérieur
du seg- ment lenticulo-optique de la capsule
rayonnante de Reil; `3° Au niveau des noyaux cen- traux : le quart
postérieur
du noyau lenticulaire et de la couche optique,
rieur du noyau lenticulaire et de la couche optique, les deux tiers
postérieurs
de l'avant-mur ' ! % ig. 5. a. substance grise;
282 CLINIQUE NERVEUSE. le segment rétro-lenticulaire et le tiers
postérieur
du segment lenticulo-optique de la capsule inte
e que partout où existe la lésion, les parties essentielles (partie
postérieure
du noyau lenticulaire et de la capsule interne)
indiquées ; 2° hémorragie ayant détruit essentiellement la partie
postérieure
du noyau lenticulaire et le tiers postérieur du
ntiellement la partie postérieure du noyau lenticulaire et le tiers
postérieur
du segment lenticulo-optique de la capsule inte
nd l'aspect d'un triangle dont le sommet serait en avant. La base
postérieure
est formée par une bride cutanée, de coloration r
externe. Tandis que toute la portion profonde de l'urèthre (urèthre
postérieur
) est bien développé, comme l'a montré l'autopsi
ctive, la plus importante, la plus vigi- lante des racines spinales
postérieures
, qui ne fait que rarement défaut dans le cortèg
es, dans les trousseaux extramédullaires des racines antérieures et
postérieures
, dans l'écorce du cerveau; dans l'écorce elles
diot qui n'avait présenté aucun symptôme spinal et dont les cordons
postérieurs
étaient normaux. Rien non plus dans le noyau ni
substance chromatique, il ne s'ensuit pas que la lésion du cor- don
postérieur
ne dépende point d'un trouble primitif de la cell
tation qu'elles transforment de la manière qui convient aux cordons
postérieurs
. Dès que les phénomènes d'exci- tation normaux
le, ait lieu une métamorphose anormale qui exerce sur les cor- dons
postérieurs
une action nocive. Cette modification de l'activi
E PATHOLOGIE MENTALE. résie gauche persistante. Lésions des cordons
postérieurs
sem- blables à celles du tabes sous deux aspect
s ascendantes. Ce l'ait permet d'admettre que la lésion des cordons
postérieurs
émanait d'un trouble primitif des cellules des
térieur et interne des cellules des cornes antérieures ; les cornes
postérieures
ne sont presque pas intéressées, puisque les tr
des parésies et des paralysies, principalement dans les extrémités
postérieures
, accompagnées d'atrophies musculaires ; 2° chez
n observe plus souvent un trouble du sens musculaire des extrémités
postérieures
. L'examen microscopique du système nerveux de 2
ême plus tard, se développent des lésions dégénératives des racines
postérieures
et des cordons postérieurs de la moelle. La c
t des lésions dégénératives des racines postérieures et des cordons
postérieurs
de la moelle. La communication de L... a été ac
ce grise qui reçoit les fibres centripètes des racines rachidiennes
postérieures
et des nerfs sensitifs crâniens est un élément
es libres thalamo-corticales, mais il n'existe pas, dans le segment
postérieur
de la capsule interne, de région déterminée par
ession des fibres du faisceau cérébelleux ou des fibres des cordons
postérieurs
? ). La sensibilité tactile (fibres des cordons
cordons postérieurs ? ). La sensibilité tactile (fibres des cordons
postérieurs
ou fibres du faisceau cérébelleux ? ) persiste le
lle, ce sont celles du faisceau cérébelleux et celles des cor- dons
postérieurs
qui opposent au traumatisme le plus de résis- t
tance, tandis que, dans la syphilis, ce sont les fibres des cordons
postérieurs
qui paraissent les plus vulnérables. La compres
sceaux dans les deux sens. Mais c'est moins accusé dans les cordons
postérieurs
; ils envoient en bas de courtes dégénérescence
re, ce qui permet de penser qu'une très faible partie des cordons
postérieurs
arrive au petit cordon postérieur du bulbe. Dans
e très faible partie des cordons postérieurs arrive au petit cordon
postérieur
du bulbe. Dans la moelle lombaire, le cordon po
etit cordon postérieur du bulbe. Dans la moelle lombaire, le cordon
postérieur
se colle sur le côté du sillon postérieur sous
oelle lombaire, le cordon postérieur se colle sur le côté du sillon
postérieur
sous forme de cordon postérieur médian. Les fibre
ieur se colle sur le côté du sillon postérieur sous forme de cordon
postérieur
médian. Les fibres qui sortent des racines sens
ent à côté des fibres déjà incorporées : ainsi se forment un cordon
postérieur
médian et un cordon postérieur latéral ; 2° le
rporées : ainsi se forment un cordon postérieur médian et un cordon
postérieur
latéral ; 2° le faisceau cérébelleux des cordon
PATHOLOGIQUES. XVIII. Contribution au trajet des fibres des racines
postérieures
dans la moelle cervicale de l'homme; par K. Sci
cines, très propres à éclairer la question des rapports des racines
postérieures
avec la structure des cordons postérieurs. Figu
des rapports des racines postérieures avec la structure des cordons
postérieurs
. Figures. On sait que les lésions des racines,
er et Pick) s'explique par la division en Y des fibres radiculaires
postérieures
. Mais elle peut atfecter plusieurs formes, par
ltze) ou se traduire par la dégénérescence du champ ovale du cordon
postérieur
. Ces deux observations mettent en lumière la dé
'observe pas dans la section transverse expérimen- tale des racines
postérieures
, et pense qu'il s'agit plutôt alors de la destr
il faut les comprendre. La dégénérescence des- cendante des cordons
postérieurs
survient dans le cas de lésion transverse total
la moelle tout aussi sûrement que dans le cas de lésion des racines
postérieures
. Puis, les faits anatomiques sont en faveur des
diculaires Par conséquent la dégénérescence descendante des cordons
postérieurs
est explicable par une lésion des fibres radicu
e. Dans la lésion transversale de la moelle de l'homme, les racines
postérieures
sont toujours simultanément atteintes, quoique
substance grise donne naissance à des fibres destinées aux cordons
postérieurs
, car les recherches rela- tives à la ligature d
ui lèse principalement la substance grise, prouvent que les cordons
postérieurs
sont altérés surtout REVUE D'ANATOMIE ET DE PHY
gule de Schultze il n'y a que les branches descendantes des racines
postérieures
(Schaffer). Il est également possible qu'il y a
ait aussi des fibres provenaut des cellules funiformes de la corne
postérieure
(Lenhossek, Marie), mais cela n'est pas démontr
de la troisième racine dorsale sensitive, ou de la septième racine
postérieure
cervicale, confirment la loi de Kahler et Singe
Kahler et Singer sur le trajet de la branche ascendante des racines
postérieures
; 2° le cordon de Goll parait simplement, dans la
, la zone de dégénérescence (abstraction faite d'un très petit coin
postérieur
de substance nerveuse saine) est immédia- temen
- tement accolée à la cloison paramédiane; 3° les raies du cordon
postérieur
qui correspondent au trajet de quelques racines,
eulement réservés; les prolongements intramé- dullaires des racines
postérieures
se confondent intimement avec les voisins; 4° l
confondent intimement avec les voisins; 4° les lésions des racines
postérieures
sont, contraire- ment aux prétentions de Tooth,
s certainement suivies de dégénérescence descendante dans le cordon
postérieur
; c'est la dégénérescence en virgule de Schultz
est exclusivement produite par la lésion des fibres radi- culaires
postérieures
; les fibres endogènes n'y prennent (c'est prou
e fraction de l'ensemble de la dégénérescence descendante du cordon
postérieur
. P. KERAVAL. 408 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
r de l'influx nerveux, est généralement répandue. Dans les cornes
postérieures
, et plus particulièrement dans la subs- tance g
e hyperesthésie caractéristique de l'atteinte de la septième racine
postérieure
de la moelle. Quelle était la nature de la co
ps genouillé interne, la partie inférieure du pulvinar, les parties
postérieures
du noyau antérieur de la couche optique, notre
d'inégale épaisseur; sa masse principale s'avance près de la limite
postérieure
du chiasma de l'autre côté, tandis qu'une petit
nt presque exclusivement au segment de sphère interne, inférieur et
postérieur
de l'oeil. L'angle que forme la papille avec la
s; un compartiment antérieur, interne, supérieur et un compartiment
postérieur
, externe, inférieur. Or, le faisceau optique mé
an se répand presque complètement dans le compar- timent externe et
postérieur
, en pénétrant, avec les autres fibres optiques,
ant à toute la partie supérieure de la substance blanche. La partie
postérieure
de cette cavité vient jusqu'à la substance grise
frontale ascendante. Sclérose des bandelettes externes des cordons
postérieurs
de la moelle. Eugène X..., chauffeur mécanici
n ci-jointe : « 11 n'y a au fond des yeux que de légers staphylomes
postérieurs
. La pupille droite est dilatée. il y a une paré
ecchymose très étendue occupant, pour la cuisse, toutes les régions
postérieure
et interne ; pour les bras, les régions antérie
train de derrière; paraplégie avec anesthésie totale des pattes'
postérieures
et du tiers postérieur du tronc, sur toutes leurs
aplégie avec anesthésie totale des pattes' postérieures et du tiers
postérieur
du tronc, sur toutes leurs faces : analgésie pr
t en bas sur une étendue de trois centimètres. La'partie moyenne et
postérieure
des première et deuxième tem- porales n'est poi
ôle frontal, s'amincit prompte- ment en arrière, et, dans la partie
postérieure
du lobe frontal, n'atteint que les éléments sou
me côté, et l'aphasie sensorielle indiquent l'atteinte de la partie
postérieure
de l'hémisphère gauche. S'agit-il du lobe parié
ère variable et peu intense de la cécité verbale exclut les parties
postérieures
du lobe temporal. Ce n'est là qu'un symp- tôme
ie droite, engagent à penser qu'il y a eu aussi lésion de la partie
postérieure
de la capsule interne et des irradiations optiq
en arrière et en dehors, a déterminé de l'oedème de toute la moitié
postérieure
de l'hémisphère gauche. Il a aussi traversé de
de dedans en dehors la dure-mère, entre le tiers moyen et le tiers
postérieur
de sa surface, et a alors usé le pariétal gauch
édiane en avant de la suture lambdoïde ; cette végétation-là serait
postérieure
à l'autre. P. KËRAVAL. LXV. Sur une forme psy
son segment antérieur, tandis que celui du sphincter est la partie
postérieure
de la même circonvolution, tout près du centre
aire, est un sarcome; par suite, elle a pris naissance dans le lobe
postérieur
de cette glande (Hertwig, Schwalbe) a atrophié
le. La circulation lymphatique serait indépendante dans les cordons
postérieurs
et les cordons antéro-latéraux. Le canal de l'é
la suite d'injections de granulations aseptiques dans les cor- dons
postérieurs
du chien, on peut amener une dilatation du Arch
TÉS SAVANTES. canal central, et des espaces lymphatiques des cornes
postérieures
simulant la syringomyélie. L'auteur se demand
yélie avancée, il existait une lésion bulbaire placée dans la corne
postérieure
et dans la substance grise située en avant des
du bulbe par la syringomyélie et qui continue la gliose des cornes
postérieures
de la moelle, comme il est facile de s'en rendre
Friedlaender, 40L - Contribution au trajet des fibres des racines
postérieures
dans la ceivicale de l'homme, par Schaffer, 4
e volume; ils étaient composés de graisse et occupaient le triangle
postérieur
de chaque côté du cou; ils s'enfonçaient en bas
quitté la face pour devenir ambulant; il occupe, en effet la partie
postérieure
du cou et de l'épaule droite. La plaque d'érysi
sur lui-même de façon que la surface antérieure du coecum se trouve
postérieure
, et réciproquement, l'extrémité ceecale d'infé-
oupe des bronches, il s'écoule un liquide muco-spumeux. A la partie
postérieure
du lobe inférieur gauche existe quelques petite
es pariétaux. - La fontanelle antérieure est persistante, son angle
postérieur
est cependant beaucoup réduit, elle a de ce fai
meau antérieur horizontal très profond et un peu sinueux. Le rameau
postérieur
horizontal (a3) est très profond, large et se t
rontale; elle semble toutefois être dédoublée dans ses trois quarts
postérieurs
, mais ce dédoublement est très irrégulier, très
pli de passage (pp.) la relie vers son tiers antérieur à la branche
postérieure
du V antérieur de la troisième circonvolu- tion
oppés. Le lobe temporal est assez volumineux, sauf dans son quart
postérieur
, où la deuxième et surtout la troisième circonvol
La première circonvolution temporale (T,) se confond avec la parlie
postérieure
du lobule pariétal inférieur. La scissure paral
. L'incisure préoccipitale (In. pré.) se réunit à la partie la plus
postérieure
de la deuxième scissure temporale, séparant ain
du lobule fusiforme au lobule lingual (TO.) en sorte que la'partie
postérieure
de la deuxième scissure semble se continuer dir
té par les plis de passage pariéto-limbiques antérieur (p. p. a) et
postérieur
(p. p. p.) avec la circonvolution du corps call
lis de passage temporo-parié- taux. Elle est bifide à son extrémité
postérieure
. Les deux rameaux antérieurs ascendant (a) et h
t- CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 45 lion (T,) se confond avec la partie
postérieure
du lobule pariétal inférieur.-La scissure paral
tions temporales (T" T3), sont bien développées, mais à leur partie
postérieure
elles sont un peu chagrinées et en retrait comm
ansverses ou plis de passage temporo-pariétaux, situées à la partie
postérieure
de l'insula, dont les circonvolutions sont bien
' 0,) sinueuse; un sillon oblique réunit cette scissure à la moitié
postérieure
de la deuxième scissure tem- para-occipitale (S
elle se trouvent les plis de passage pariéto-limbiques antérieur et
postérieur
(p. p. a.-p. p. p.).-Lascissure perpendiculaire
p antérieur était plus développé, au con- traire du Pacha où le cap
postérieur
est plus déve- loppé; on voit que ce dédoubleme
ve de pareilles tuméfac- tions sous-cutanées sur la ligne axillaire
postérieure
. L'abdomen est pendant, ce qui est dû en partie
latérale et aussi au-devant de la fontanelle antérieure. La partie
postérieure
de la tête était petite. Les traits étaient lou
oppé, très découpé dans ses parties antérieures ; sa partie la plus
postérieure
est très maigre, comme atro- phiée, en retrait
llèle est sinueuse, profonde, bifurquée à ses parties supérieure et
postérieure
et com- munique en bas avec un sillon qui va pr
ale très prononcée et des plis pariétaux lim- biques, antérieurs et
postérieurs
, nettement séparés par des sillons assez profon
re perpendiculaire externe est comme dédoublée ; un rameau, le plus
postérieur
, est la continua- tion directe de la scissure p
ylvius. Il existe deux scissures parallèles frontales : l'une, plus
postérieure
, longe la fron- tale ascendante entre les deux
La scissure parallèle sinueuse, profonde, est bifurquée à sa partie
postérieure
et communique également avec un sillon qui va r
occipitales sont assez bien développées, à l'exception de la moitié
postérieure
de la première, les deux scissures sont profond
on trouve une grande diminution de nombre des cellules des cornes
postérieures
.- Les cellules des cornes antérieures sont plus
ale présente une coloration jaune et un aspect caséeux. Sur le bord
postérieur
do l'hémisphère gauche du cervelet, on voit deu
oche profonde, transver- sale, à sa partie moyenne. Sur l'extrémité
postérieure
de cette encoche, un tubercule de la pie-mère,
plis de passage ; T, envoie un pli assez volumineux à l'extrémité
postérieure
du lobule de l'insula. - Lia quatre digita- -li
(nerfs, pédoncules, protubérance, artères, sauf la commu- nicante
postérieure
droite qui est d'un calibre plus petit). Les de
- Ce qui frappe tout d'abord, c'est que le lobe frontal, la moitié
postérieure
de la région pariétale et le lobe occipital son
les parties centrales et que le lobe temporal.- Sur toute la partie
postérieure
de l'hémisphère, depuis la scissure inter- pari
e, la frontale 148 ! IlÉl\INGO-ENCÉPHALITE. ascendante, la partie
postérieure
de la deuxième circonvo- lution frontale, la pa
troisième circonvolution frontale est maigre à sa partie moyenne et
postérieure
, atrophiée dans sa partie antérieure. Les sillo
'atrophie porte aussi sur tout le lobe occipital et sur les parties
postérieures
de la première et de la deuxième circonvolution
nd de la scissure de Sylvius ; elle est plus développée à sa partie
postérieure
qu'à sa partie antérieure. La deuxième circonvo
. En résumé, les lé- sions paraissent plus marquées sur les régions
postérieures
de l'hémisphère et se composent toujours des de
e de la lèvre antéro-supé- rieure du lobule orbitaire à l'extrémité
postérieure
et infé- rieure de la pariétale ascendante. Le
riétale est réduite à sa lèvre anté- rieure et supérieure, sa lèvre
postérieure
formant de oe côté la limite du grand pseudo-ky
ale. La scissure frontale supérieure ost dé- doublée dans son tiers
postérieur
. La seconde frontale est bien développée dans s
rieur. La seconde frontale est bien développée dans sos deux quarts
postérieurs
, atrophiée dans la partie compriso entre les de
eudo- kyste de cette région, ou atrophiée ; dans ses trois quarts
postérieurs
, cette circonvolution est bien développée et si
oppée que celle de l'autre hémisphère. Ses extrémités antérieure et
postérieure
sont manifestement lésées; celle- ci est réduit
loppé, présente une coloration grise un peu ardoisée; son extrémité
postérieure
(bourrelet) est comprise dans le kyste. Le corp
e circonvolution fron- tale, assez volumineuse, surtout à sa partie
postérieure
, est dédoublée dans ses quatre cinquièmesantéri
me circonvolution frontale, sinueuse, bien déve- loppée à sa partie
postérieure
, grêle à sa partie moyenne et un peu chagrinée
e aspect qu'à gauche, mais moins accentué peut-être ; son extrémité
postérieure
est comprise dans le kyste temporal. Le corps s
sure frontale parallèle, le sillon de Ro- lando et tous les sillons
postérieurs
sont sinueux et pro- fonds. Face interne. La
lution frontale est large, bien développée, renflée à son extrémité
postérieure
, s'insérant sur la frontale as- cendante par un
core des cellules nerveu- ses en assez grand nombre dans les cornes
postérieures
. Les cordons blancs ne présentent qu'une lésion
mal par le carmin. Il y en a beaucoup moins encore dans les cornes
postérieures
. Sur des fragments du biceps gauche, on voit do
mblent intéresser que la substance grise. Ils siègent sur la partie
postérieure
de la seconde et de la troisième frontale, sur
ses deux tiers inférieurs, elle est très contournée dans son tiers
postérieur
et s'insère de niveau sur la frontale ascendant
ringence apparaît beaucoup plus nette- ment. Même aspect des cornes
postérieures
. Le canal de l'épen- dyme est conservé. Son épi
- 1, Coupe transversale du rectum. - 2, Vessie ouverte sur sa paroi
postérieure
.- 8, Moignon et cuisso gaucho.- 9, Testicules. -
e. Nombreuses cicatrices à la racine des cheveux et à la par- tie
postérieure
de l'occipital, dont deux courbes, linéaires et
topsie. où on ne trouve pas d'adhérence. Ganglions du médias- tin
postérieur
mélaniques, sans augmentation de volume. Bronch
bien développés, normaux. La première temporale envoie à la partie
postérieure
du lobule de l'insula un volumineux pli de pass
n déve- loppée, présente des scissures assez marquées à sa partie
postérieure
et envoie deux plis de passage (antérieur et po
a partie postérieure et envoie deux plis de passage (antérieur et
postérieur
) à l'avant-coin normal, dont elle est séparée v
sur la frontale ascendante, est séparée oblique- ment de son tiers
postérieur
par une scissure irrégulière; elle est très sin
La scissure de 5- vius est normale, profonde, toutefois son rameau
postérieur
, horizontal, s'arrête brusquement sans so bifur
La scissure frontale inférieure n'existe que dans sa partie la plus
postérieure
où elle forme une enco- che profonde d'environ
sant ainsi le pli courbe en uno partie antérieure et en une partie
postérieure
, plus développée. Les circonvolutions occipitales
X ; il existe deux plis do passage pariéto-limbiques, antérieur et
postérieur
. La scissure perpendiculaire interne est très p
sure frontale supérieure, qui est sinueuse et profonde. A son quart
postérieur
, cette dernière communique, par un sillon profo
ème circonvo- lution frontale, très développée, présente une partie
postérieure
isolée par les scissures de la région et le sil
sez gros, plissé, ne possède que le pli de passage pariéto-limbique
postérieur
.-La scissure perpendiculaire interne est très p
a., Pli pariéto-limbique antérieur. p. p. p., Pli pariéto-limbique
postérieur
. C. A., Corne d'Ammon. N. B. - Les deux lettr
la partie antérieure de L. Q. doivent être reportées à l'extrémité
postérieure
de la scisute e c.vlloso-marginale.. PL. 111
, la percussion déterminant la contraction des muscles de la région
postérieure
de la jambe et, quelquefois, de légers mouvemen
nt de la région cervicale des adhérences surtout marquées à la face
postérieure
. En ce point les méninges forment dans leur ens
es est, nous ve- nons de le dire, beaucoup plus étendue sur la face
postérieure
que sur l'anté- rieure, elle se prolonge en eff
longe en effet en bas jusqu'à l'émergence des filets radiculai- res
postérieurs
de la 7e racine cervicale alors qu en avant elle
re la coalescence de ces différen- tes couches, d'abord sur la face
postérieure
de la moelle, puis latéralement sur le pourtour
ou en sortir présentent des lésions, surtout prononcées à la partie
postérieure
comme on pouvait s'y attendre ; mais malgré l'int
cervi- cale nous a permis de suivre les dégénérescences des racines
postérieures
dans leur trajet intra-médullaire. Elles se tra
rieure ; D. 1. : 1'" racine dorsale. FiG. 3. Moelle cervicale (face
postérieure
) ; la fusion des méninges P. descend jusqu'à l'
? Jarkowski) . MÉNINGITE CERVICALE HYPERTROPHIQUE 19 des méninges
postérieures
qui commencent à se fusionner; la pie-mère in ité
se fusionner; la pie-mère in itée pénètre en coins dans les cordons
postérieurs
: A. arachnoïde; D. dure-mère; P. pie-mère. F
ent cervical ; la coalescence des méninges est complète sur la face
postérieure
de la moelle On voit sur cette coupe qui est égal
nérescence notable des zones radiculaires externes dans les cordons
postérieurs
au niveau des faisceaux de Burdach : A. arachnoïd
D. ; elles englobent latéralement les racines antérieures R. A. et
postérieures
Il. P. ; on voit . sur cette coupe avec netteté
sion 22 0 ARCHA : lIBAI1LT (Pl. IX) détruit complètement le tiers
postérieur
de la troisième circonvo- lution frontale et em
gique assez récent, occupe et dé- truit complètement les deux tiers
postérieurs
du segment externe du noyau lenticulaire, et in
ouillé externe. En dedans, la lésion atteint légèrement l'extrémité
postérieure
du globus pallidus, mais respecte toutefois. bras
rrière, la lésion ne s'étend pas au delà d'une ligne rasant le bord
postérieur
de la couche optique. Elle respecte entièrement
isième circonvolution fron- tale est absolument intacte. Le foyer
postérieur
est constitué par un petit kyste ovalaire de la g
stic d'une tumeur comprimant la moelle, et relativement les racines
postérieures
, sur le côté droit surtout, à la hauteur enviro
comprimait principalement la septième racine dorsale 44 ROTSTADT
postérieure
, du côté droit, sans léser l'ensemble du tissu os
nime et la localisation de la tumeur, par exemple dans le médiastin
postérieur
, peut facilement arriver. Cinq semaines après s
très probable que l'origine du mal est une tumeur dans le médiastin
postérieur
provoquant la série entière des symptômes dou-
ominant de la loca- lisation d'un néoplasme, comprimant les racines
postérieures
, à l'exté- rieur de la moelle. Notre observat
aitement, ait causé l'excitation des méninges ainsi que des racines
postérieures
à ca- ractère passager. Ces douleurs pouvaient
uberté est-elle réservée exclusivement au lobe antérieur ou au lobe
postérieur
de la glande, ou bien est-elle commune aux deux
o-ovarie, au même titreque ies perturbations fonctionnelles du lobe
postérieur
retentissent, semble-t-il, sur ces mêmes glande
ue. Bien au contraire, c'est la paralysie du tibial antérieur et du
postérieur
(rele- veurs du bord interne du pied) et à cell
sent. D'autre côté c'est à la paralysie des péroniers, antérieur et
postérieur
, à celle de l'extenseur commun des orteils (chu
araissant tout d'abord dans les muscles des mollets et de la partie
postérieure
des cuisses, pouvant ensuite s'étendre aux musc
rieur. Du thorax : les pectoraux. Du cou : les muscles de la région
postérieure
et le sterno-cléido-mastoïdien. De la face : le
'une raideur des muscles générali- Fio. 1. Moelle 'épinière. Racine
postérieure
(Formol, celloïdine, Gieson). sée. Marasme géné
n Gieson à l'hématoxylineferrique de Weigert. Fic. 2 et 3. - Racine
postérieure
(grossissement plus fort). DU SYSTÈME NERVEUX B
ntramédullaire décrit plus haut (fig. 9). ' . FiG. 4 et 5. Racine
postérieure
(Immersion). 130 HASKOVEC ET BASTA Nous n'avo
épinière constatée par plusieurs auteurs, surtout dans les cordons
postérieurs
, intéressait dans notre second cas toute la zon
4e doigt de la main, et parfois du pied, a une base d'implantation
postérieure
, due à la petitesse anormale du z métacarpien e
ère. Les os du nez sont peu proéminents et se trouvent dans un plan
postérieur
au bord libre des mâchoires, de sorte qu'il en ré
qui ne sont pas en rapport avec la fosse correspondante de la face
postérieure
de l'humérus. Rien d'anormal ne présentent ni la
à du pied gauche est ;sous la dépendance d'une base d'implantation
postérieure
pour la remaquable hypotrophie du 4e métatarsie
ou moins atrophiées que celles des autres, mais d'une implantation
postérieure
du doigt lui-même, due à l'anormale brièveté du
occasions ne doivent pas se présenter souvent. En examinant la face
postérieure
du tronc on constate que la distance entre l'an
bias présentent une courbure à concavité interne. Entre l'extrémité
postérieure
de la région calcanéenne et l'extrémité unguéale
al on trouve 2 cent. 5. Le sillon du sinus latéral, le trou déchiré
postérieur
ainsi que le trou occipital sont beaucoup plus ét
chon- droplasie. La dépression qui correspond l'insertion du ventre
postérieur
du digastrique est plus large et plus profonde
timètres et qui se continue par une impression rugueuse sur la face
postérieure
de l'os jusqu'au sillon occipital qui est délimit
ité en dedans et aplati dans le sens antéro-postérieur. Sur la face
postérieure
et dans sa moitié supé- rieure on remarque un s
i- mensions de l'apophyse basilaire de l'occipital, du trou déchiré
postérieur
et du tronc occipital lui-même, la profondeur e
différentes suivant que se trouve lésé le lobe antérieur ou le lobe
postérieur
de la glande. L'altération du lobe antérieur do
t fines ; la peau est peu épaisse, délicate. L'altération de lobe
postérieur
de l'hypophyse a pour conséquence un syndrome e
le : achondroplasie. dystrophie périostaie. B. Insuffisance du lobe
postérieur
. a) Totale : Dystrophie adiposo-génitale de Fro
dis- tinguer l'hydrocéphalie des néoformationsdefa fosse crânienne
postérieure
, du cervelet et du IVe ventricule ; ce qui évid
iagnostic différentiel avec les néoformations de la fosse crânienne
postérieure
, les deux premiers jugements énoncés par Oppenh
u 18 avril. 22. La jeune femme se plaint de douleurs il la partie
postérieure
du memhre inférieur gauche. Ces douleurs sponta
réactionnent pas. Au contraire les muscles péroniers et les muscles
postérieurs
de la jambe réaction- nent bien. An courant g
eux et ses fibres sont profondément situées au-dessous du cubi- tal
postérieur
et des extenseurs des quatre derniers doigts ; au
Le syndrome complexe produit par les tumeurs siégeant dans la fosse
postérieure
du crâne présente certains signes dont l'origine
ncontrant assez souvent au cours des tumeurs siégeant dans la fosse
postérieure
du crâne. Les recherches anatomo-pathologiques
me oedème, mais d'un moindre degré, est aussi noté dans les racines
postérieures
. Les parties latérales et dorsales de la prépar
s la partie périphérique - sont égale- ment notées dans les racines
postérieures
. Ici aussi nous observons plus de modifications
racines antérieures out subi plus de modifications que les racines
postérieures
. Le côté dorsal et dorsolatéral de la préparation
s lombaires présentent des modifications des racines antérieures et
postérieures
identiques à celles que nous avons obser- vées
egments dorsaux, mais plus marquées. La partie ventrale des cordons
postérieurs
prend moins bien les couleurs. En analysant les
de malades, qui avaient la tumeur siégeant dans la fosse cérébrale
postérieure
, Jacobsohn et Ja- mane (2) ont noté dans un seu
chirées. En com- paraison avec les racines antérieures, les racines
postérieures
sont moins lésées. Le caractère des lésions est
vons trouvé des lésions des racines antérieures. L'état des racines
postérieures
, si intimement lié aux réflexes rotuliens a sur
atrie, 21 Band Heft 3, 1890.' 252 RA1MISTE ET NEIDING des racines
postérieures
et des faisceaux. Cette dégénérescence avait le
elle épinière dans toute son étendue; la dégénérescence des racines
postérieures
fut notée sur les coupes, prises de différents
tie moyenne du segment dorsal. Dans trois cas de tumeur de la fosse
postérieure
cérébrale, Jacobsohn et Jamane n'ont noté rien
régions isolées aussi la dégé- rescence des racines antérieures et
postérieures
. La dégénérescence très marquée des racines pos
rieures et postérieures. La dégénérescence très marquée des racines
postérieures
fut notée une seule fois dans neuf cas de Batte
er ; elle fut absente dans un cas; dans sept autres cas les racines
postérieures
ne furent pas examinées. La dégénérescence des
stérieures ne furent pas examinées. La dégénérescence des faisceaux
postérieurs
fut trois fois assez marquée dans les cas de Batt
ervant de la méthode de Marchi,une dégénérescence nette des racines
postérieures
, plus marquée dans les régions cervicale et lom
oelle dorsale au cours des tumeurs siégeant dans la fosse cérébrale
postérieure
est assez rarement noté dans la littérature. Ja
gés de sang. Wollenberg a noté que cer- tains faisceaux des racines
postérieures
, appartenant à la partie moyenne du segment dor
) et absentes dans le cas de Wollenberg (dégénérescence des racines
postérieures
et des faisceaux postérieure). Dans un cas de Bat
ollenberg (dégénérescence des racines postérieures et des faisceaux
postérieure
). Dans un cas de Batten et Col- lier, où les ré
absents, on a noté une dégénéres- cence insignifiante des faisceaux
postérieurs
; dans deux autres cas, où la dégénérescence de
térieurs ; dans deux autres cas, où la dégénérescence des faisceaux
postérieurs
était plus prononcée, les réflexes patellaires,
lésions assez prononcées (deuxième cas) des racines antérieures et
postérieures
. Il s'agit maintenant de tenter l'exploration d
es sur la partie antéro-externe des jambes, toutes occupent la face
postérieure
de celles-ci. Les deux plaques antéro-externes so
t présenter, probablement, des lésions non labéti- ques des cordons
postérieurs
. Le malade de Souques présentait un l'p'iissisc
d'insuffisance testiculaire favorise les alté- rations des cordons
postérieurs
. Rappelons encore que Ferrio (14) a relaté le c
le et la partie la plus antérieure de l'insula, ainsi que la limite
postérieure
(PI. LI, a et b). L'écorce de la face externe d
re sur sa face insu- laire, l'est plus sérieusement à son extrémité
postérieure
, et plus haut la lé- sion se prolonge dans la r
re a été directement intéressée ; en avant, elle entame l'extrémité
postérieure
de la 2° circonvolution frontale. Dans la profo
antérieure, qui concourt à former le pôle temporal, et l'extrémité
postérieure
qui se continue en haut avec le gyrus supra-mar
ur une étendue à peu près équivalente. Les extrémités antérieure et
postérieure
des deux premières circonvolutions temporales s
ans lequel on ne distingue plus aucune fibre à myéline. A la limite
postérieure
de la lésion, les radiations thalamiques et le fa
lamus (PI. L, A). Dans toute cette région les limites antérieure et
postérieure
de la cavité sont nettement tranchées ; cependa
au bord externe de l'extrémité supérieure du noyau caudé. Le tiers
postérieur
de la couronne rayonnante est relativement épar
plus un assez grand nombre de fibres qui occupent surtout le tiers
postérieur
du segment postérieur de la capsule interne, ta
nombre de fibres qui occupent surtout le tiers postérieur du segment
postérieur
de la capsule interne, tandis que les deux tier
e sont complètement dépourvus de fibres. La dégénération du segment
postérieur
de la capsule interne est la consé- quence de l
nnante. La conservation d'un certain nombre de fibres dans le tiers
postérieur
est due à l'intégrité du tiers pos- térieur de
ne partie également des circonvolutions temporales ; mais la partie
postérieure
des deux premières temporales et le pli courbe,qu
hénomènes de suppléance, principalement la zone sensorielle (partie
postérieure
des deux premières temporales et pli courbe) da
u niveau de ses irradiations antérieures. - Dégénération du segment
postérieur
de la capsule interne. - Atrophie de la couche op
blanche de la 2' circonvolution temporale. Dégénération du segment
postérieur
de la cap- sule interne Fic,. C. Coupe horizo
ment épargnée et correspond aux faisceaux conservés dans le segment
postérieur
de la capsule interne. 1-'io. D. - Coupe horizo
ervelet. En dépit de l'existence des tumeurs situées dans la partie
postérieure
des cavités crâniennes nous n'avions pas le moi
sensations gustatives à la suile des tumeurs situées dans la partie
postérieure
des cavités crâniennes, Mitt. a. d. Grenzgebiet d
pas élargie, malgré un léger épaississement des apophyses clinoïdes
postérieures
et un élargissement très prononcé des sinus fro
uand elles abou- tissent à l'hypofonctionnement; - po Une portion
postérieure
, de fonction plus obscure,mais dont la lésion s
ntra une balle siégeant sur la ligne médiane au niveau de la partie
postérieure
de la selle turcique. Simmonds (3), dans un c
les 24 heures, trouva une tumeur ayant complètement détruit le lobe
postérieur
de l'hypophyse, respecté le lobe antérieur et l
tre dans un plan horizontal supérieur à celui de la fosse cérébrale
postérieure
se trouve à peu près au même niveau que celle-c
al et, dans ceder- nier diamètre, sensiblement moins dans la partie
postérieure
, rétro-con- dylienne, que dans la partie antéri
sement : il en est ainsi au niveau des trous déchirés, antérieur et
postérieur
, qui sur certains crânes (crâne 3 par exemple)
euses ; il en est ainsi au niveau des trous condyliens antérieur et
postérieur
, ce dernier étant sur certains crânes (crânes 3,
amment au ni- veau des crânes 4 et 3 ; sur ce dernier, les alvéoles
postérieurs
très rétré- cis se sont en partie juxtaposés la
e et que le bord antérieur du trou occipital est au-dessous du bord
postérieur
, c'est diamétralement l'inverse qui s'observe s
nc occipal (le rebord antérieur étant nettement au-dessus du rebord
postérieur
), la dépression de la fosse cérébrale antérieure,
i, si l'on joint par une ligne médiane le bord antérieur et le bord
postérieur
du trou occipital, la ligne aboutit à l'état no
ccipital est le soulèvement du corps de l'occipital et de la partie
postérieure
du sphénoïde. Le soulèvement est parfois tel que
et des diamètres plus petits, qui passent par exemple par la partie
postérieure
de la selle turcique ou par la base de l'apophy
ntérieur du tibia serait représenté par la voûte crânienne, la face
postérieure
serait représentée par la base ; le centre de c
es fosses cérébrales antérieures et moyennes, l'incurvation antéro-
postérieure
du crâne et la bascule de la face en arrière, l'é
Tous les autres orifices, notamment les trous déchirés antérieurs et
postérieurs
, les trous ovale et grand rond, sont nettement
plicature de l'é- caille occipitale et le rétrécissement de l'étage
postérieur
du crâne. Dans l'ensemble, on est frappé par l'
encore de l'hypotonie musculaire, surtout des muscles de la partie
postérieure
de la jambe {genu recurvatvm) et de la cuisse.
présente rien de par- ticulier; la huitième racine cervicale gauche
postérieure
est beaucoup élargie par rappert aux autres et
uleurs intenses dans les membres inférieurs, surtout dans la région
postérieure
. Comme état général nous notons, à la réception
ions de la moelle dans le cas de tumeurs sié- geant dans la fosse
postérieure
du crâne, 245. Noie* et Zaiiarecu (N.) (de Bu
ns la moelle épinière au cours des tumeurs siégeant dans la fosse
postérieure
du crâne, 245. RAUZIER (G ) et BAUMEL (J.) (de
'est toujours la fonction la plus complexe, celle d'une acquisition
postérieure
, qui est la plus atteinte en conséquence de la
l a pu, après avoir fait des ouvertures peu étendues dans la partie
postérieure
du rachis, fixer les deux 44 REVUE D'ANATOMIE E
veine rachidienne antérieure. Il n'en est pas de même pour la veine
postérieure
. Pour Walter, elle ne serait pas cons- tante, e
rière des trous de conjugaison. Cet auteur réserve le nom de plexus
postérieur
, aux seules anastomoses transversales qui sont
d'admettre alors l'existence cons- tante des veines longitudinales
postérieures
. En effet, sur une coupe antéro-postérieure du
ur et le bord inférieur par des branches anastomoti- ques ; le bord
postérieur
est formé par les veines longitudinales postéri
ques ; le bord postérieur est formé par les veines longitudinales
postérieures
proprement dites de l3resoliet, mais dans les rég
et d'une veine longitudinale antérieure, Walter regarde comme veine
postérieure
tout ce qui est en arrière des trous de conjuga
s trous de conjugaison; et comme les veines qui forment les bords
postérieurs
de ces anneaux, forment entre elles une série d'a
on peut les considérer comme de véritables veines longitudinales
postérieures
. Ces veines longitudinales, ordinairement formées
ne ou deux veines volumineuses, régu- lières, veines longitudinales
postérieures
. Telle est résumée la description de Walter.
Telle est résumée la description de Walter. Pour Testut, la veine
postérieure
n'est pas immédiatement der- rière les trous de
jaunes. » Krause la place entre le sac de la dure-mère et la paroi
postérieure
du canal vertébral. Du travail de 1\1. Trolard,
its en question repo- sent sur la partie la plus externe de la face
postérieure
des corps vertébraux. Au cou, par le quart exte
es, que quel- ques anatomistes ont constitué la veine longitudinale
postérieure
seconde manière c'est-à-dire celle qu'ils place
lle qu'ils placent « de chaque côté de la ligne médiane ». Plexus
postérieur
. D'un ou de plusieurs points des arcs de second
est creusé de canaux qui viennent converger au centre de la face
postérieure
de ces corps dans une cavité ampullaire. C'est da
x. Quand on examine ce sinus dans l'angle de jonction de la paroi
postérieure
avec l'antérieure, on voit d'abord sur la ligne h
ne horizon- tale qui joint cet angle à la partie moyenne de la face
postérieure
du corps vertébral, soit une lame criblée, soit
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. A la région lombaire, au niveau de la face
postérieure
des corps vertébraux, ces veines se pelotonnent
ervations très détaillées. Observation 1. Paralysie des deux pattes
postérieures
, lésions inflam- matoires frappantes dans la su
les cornes antérieures (vacuolisation), des racines antérieures et
postérieures
. Intégrité des nerfs périphériques. Observation
beaucoup les plus fréquentes porteut sur les cor- dons latéraux et
postérieurs
- puis, viennent celles des cordons postérieurs
dons latéraux et postérieurs - puis, viennent celles des cordons
postérieurs
seuls- enfin la troisième catégorie a trait aux l
yphilitiques, il y a lésion exclusive ou pré- dominante des cordons
postérieurs
. Le processus primitif est cons- titué par la d
- La commissure antérieure est cons- tituée par deux portions : une
postérieure
, formée par l'entre- croisement d'une portion d
ostérieure, formée par l'entre- croisement d'une portion des fibres
postérieures
radiculaires; une antérieure, formée, en partie
' 2° Vaisseaux de la base du cerveau avec embolie de la cérébrale
postérieure
gauche et alhérome de la cérébrale moyenne. -Coeu
Deiters ne sont pas le point de terminaison des fibres de la racine
postérieure
du nerf acoustique; 2° les fibres de cette raci
ercule acous- tique, les deux olives supérieures et le quadrijumeau
postérieur
du côté opposé. Quelques-unes se terminent peut
opposé. Quelques-unes se terminent peut-être dans le quadri- jumeau
postérieur
situé du même côté qu'elles. Ainsi donc, toutes
masses grises mentionnées sont des centres primitifs de la ra- cine
postérieure
du nerf acoustique, c'est-à-dire du nerf du limaç
stique, c'est-à-dire du nerf du limaçon; 3° les fibres de la racine
postérieure
. qui se terminent dans les olives supérieures,
zoïdal, tandis que les fibres qui se terminent dans le quadrijumeau
postérieur
passent en outre par le corps trapézoïdal, dans
t fait partie du ruban de Reil, puis se dirige vers le quadrijumeau
postérieur
dans lequel elle se termine. Une partie insigni
mant un entre-croisement dans le raphé. Les fibres isolées les plus
postérieures
(direction caudale) de cette section passent da
s qui ont un rapport intime avec les centres primitifs de la racine
postérieure
; 5° le ruban de Reil contient les fibres de l'o
supérieure du même côté, fibres qui l'unissent avec le quadrijumeau
postérieur
. Il n'y a vraisemblable- ment pas lieu de nier
rs le noyau antérieur opposé et unissent ce dernior au quadrijumeau
postérieur
; 7° la 64 BIBLIOGRAPHIE. racine antérieure du
écaution. On constate nettement l'existence d'une saillie à la face
postérieure
de la moelle. En pinçant cette saillie entre les
ate alors qu'on a ouvert un kyste assez étendu situé dans la région
postérieure
de la moelle et qui n'était séparé de la surface
r à quatre heures du matin. Autopsie le 5 janvier 1892. La partie
postérieure
des lobes inférieurs des deux poumons est le si
e et qui occupe presque entière- ment la place réservée aux cordons
postérieurs
; au centre de ce tissu néoplasique, se trouve u
beaucoup de volume et en se cantonnant dans la région de la corne
postérieure
gauche. A partir de la région dorsale, le gliome
orsale, le gliome n'est plus excavé. , Les racines antérieures et
postérieures
ne paraissent pas sensi- blement altérées; elle
n reste parfaitement distinct ; elle envahit en arrière les cordons
postérieurs
, surtout à gauche. Vers le milieu du renflement
à myéline au centre de la tumeur, qui s'étend du col de la corne
postérieure
gauche au col de la corne postérieure droite; de
ui s'étend du col de la corne postérieure gauche au col de la corne
postérieure
droite; de plus une mince fusée de tissu néopla
droite; de plus une mince fusée de tissu néoplasique suit le sillon
postérieur
dans toute sa longueur. Les limites de la tumeu
lacées. Cette tumeur, véritablement circonscrite, décapite la corne
postérieure
gauche, sans beaucoup comprimer la corne antéri
ans beaucoup comprimer la corne antérieure. Les fibres de la racine
postérieure
contournent la tumeur en s'étirant; elles passe
rrière de la substance grise centrale, au ni\eau du col de la corne
postérieure
gauche. 108 PATHOLOGIE NERVEUSE. beaucoup plu
one d'infiltration néoplasique diffuse qui gagne le col de la corne
postérieure
droite en ]ongl'ant la commis- sure grise, et s
sure grise, et se perd insensiblement en arrière dans les cordons
postérieurs
. A ce niveau, il ne reste plus aucune trace de la
e dorsale (fig. 2), elle a passé complètement en dehors de la corne
postérieure
; en dedans et en arrière de la tumeur, on aperç
t la tète de la corne refoulée, ainsi que les fibres radicu- laires
postérieures
; celles-ci pénètrent dans l'intérieur même de la
iste, comme plus bas, une portion diffuse qui envahit les cor- dons
postérieurs
et qui se distingue nettement de la première. D
. De plus, on peut apercevoir en arrière, à gauche de la scissure
postérieure
, un petit noyau, complètement isolé, de tissu néo
us haut, vers la dixième dorsale, la tumeur qui, partie des cordons
postérieurs
, était passée entièrement en dehors de la corne
cordons postérieurs, était passée entièrement en dehors de la corne
postérieure
gauche, en la décapitant, revient en dehors d'e
ient en dehors d'elle, en repassant par conséquent dans les cordons
postérieurs
Fig. 2. Coupe pratiquée au niveau de la douzièm
e dorsale. La portion circonscrite de la tumeur a décapité la corne
postérieure
gauche; elle contient de gros amas de granulati
e granulations pigmentaires. La portion diffuse envahit les cordons
postérieurs
; un petit nodule néoplasique isolé est situé en
ule néoplasique isolé est situé en arrière, à gauche de la scissure
postérieure
. Dégénérescence des faisceaux pyramidaux. DES T
LIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 109 (fig. 3). Les fibres radiculaires
postérieures
, très atrophiées, passent maintenant en dehors
la tumeur continue à occuper la même place; les fibres radiculaires
postérieures
passent pour la plupart en dehors d'elle; quelq
le. La portion circonscrite de la tumeur a repassé dans les cordons
postérieurs
; en dehors d'elle, on aperçoit quelques rares f
ètement disparu a gauche. La portion diffuse rayonne dans les cordons
postérieurs
. Dégénérescence des faisceaux pyramidaux. 110
la huitième cervicale; on voit comment les cornes antérieures et
postérieures
s'étalent à la périphérie; le cordon postérieur g
es antérieures et postérieures s'étalent à la périphérie; le cordon
postérieur
gauche est fortement entamé; le droit, au contr
us de ce point, on voit que le névrome vient en réalité des racines
postérieures
et a traversé la tumeur de part en paît. (Obj.
névromes de régénération qui se sont formés aux dépens des racines
postérieures
et qui cheminent dans l'épaisseur des tractus v
es centripètes, interrom- pues par la tumeur. Fig. 11. SP, sillon
postérieur
de la moelle; NR, névromes de régéné- ration pa
ur de la moelle; NR, névromes de régéné- ration partant des racines
postérieures
dans la région dorsale et remon- tant obliqueme
e du néoplasme, soit par dégéné- rescence secondaire. Les racines
postérieures
sont toutes complètement saines, en dehors delà
rait pas donner lieu à une dégénérescence secondaire. Les faisceaux
postérieurs
sont complètement détruits vers la limite supér
il participe large- ment à cette sclérose, surtout dans sa portion
postérieure
. Au niveau du collet du bulbe, le faisceau céré
pérature a persisté dans la région thoracique à gauche, où la corne
postérieure
et les fais- ceaux blancs environnants subissen
uction complète des fibres radiculaires intramédullaires de racines
postérieures
gauches dansles régions dorsale inférieure et l
la tendance à la régénération ner- veuse que présentent les racines
postérieures
dans le cas qui nous occupe. L'étude de la régé
on vient à cesser. Quoi qu'il en soit, chez mon malade, les racines
postérieures
envoyaient en bien des points de véritables név
organes centraux auxquels étaient destinées les fibres des racines
postérieures
. Pour terminer ce qui a trait à la physiologie
co- lonne de Clarke gauche et à la destruction totale des cordons
postérieurs
à la partie supérieure de la moelle; il n'y a eu,
E NERVEUSE. f.f'1 3f 'M7aa : fInO,ItlHT4r' 3Q ? UV3n de la région
postérieure
du cou signalée dans les antécédents du malade»
uf mois. Autopsie. Gliosarcome ayant pris naissance sur l'extrémité
postérieure
du corps calleux et ayant proliféré dans la sub
et du pli courbe jusqu'auprès de la paroi latérale du prolongement
postérieur
du ventricule latéral. "" -" 3° LocalisCttiOli"
oyau lenticulaire. Ramollissement adroite et à gauche de la, moitié
postérieure
de la première sphénoïdale^et du lobul i e 13
la suite 'et formant un système continu, -surtout' dans les cordons
postérieurs
? Les lésions spinales seules sont, insuffisant
onvolution, du corps calleux. L auteur croit probable que la partie
postérieure
, de la circonvolution du corps calleux est le c
278 CLINIQUE NERVEUSE. substance blanche : c'est un prolongement
postérieur
de la tumeur qui s'insinue, sous la forme d'un
s'étend jusque vers l'union du tiers antérieur avec les deux tiers
postérieurs
du corps calleux, en s'amincissant gra- duellem
oitié supérieure de l'hémisphère gauche, pratiquée à l'union du 1/3
postérieur
avec les 2/3 antérieurs du corps calleux. Dégén
ne. 292 CLINIQUE NERVEUSE. assez mal fournies. Dans la par- tie
postérieure
du lobe pariétal la lésion est encore plus avan
s'atrophient presque autant qu'à gauche dans la région pariétale
postérieure
. Dans le lobe temporal la lé- sion est à son
oins lésée que la partie moyenne, qui répond au rocher; la région
postérieure
, qui appuie sur la tente du cervelet, est égaleme
des cordons latéraux s'est compliquée d'une altération des cordons
postérieurs
. L'évolu- tion de la maladie permet donc de pré
'affection systématique combinée dans les cas de lésion des cordons
postérieurs
et latéraux, à la condition qu'on n'attribue pa
il y a lieu de le tenir-pour une,affection systématique des cordons
postérieurs
tant au-point de vue de leur fonction (Leyden),
ique constant, qu'il y a par exemple affection combinée des cordons
postérieurs
et latéraux, faut-il le passer sous silence ? S
. Intégrité des cellules et ganglions spinaux. Atrophie du cor- don
postérieur
correspondant, sans altération. Dans les régions
le droite surtout au niveau du groupe latéral. Atrophie des racines
postérieures
dans toute leur étendue dans la moelle lombaire
ue; 5, tronc de l'hypoglosse; 6, parolive antérieure; - 7, parolive
postérieure
; 8, faisceau grêle de Pierret (slender column d
rt grossissement. 1, l'olive; 2, parolive antérieure; - 3, parolive
postérieure
; - 4, tronc de l'hy- poglosse ; 5, la p)ramidc;
grise, les fibres qui se rendent des corps restiformes, aux cordons
postérieurs
. Edinger n'ad- met comme prouvées que les fibre
tant sur la réserve pour les préten- dues fibres allant des cordons
postérieurs
à l'olive : elles ne feraient que la traverser
ffirmons seulement la parfaite intégrité de la couche interolivaire
postérieure
du raphé. Or, précisément, cette intégrité, mis
cervelet le siège du sensorium commun et l'aboutissant des cordons
postérieurs
n'est plus soutenable depuis longtemps. Le cerv
en général; à ce plan appartiennent aussi le cervelet et la région
postérieure
du cerveau. Le plan moyen est constitué par 1 U
thologique). Etude de la topographie des lésions dans les cor- dons
postérieurs
et dans la corne postérieure. Puis étude histolo-
graphie des lésions dans les cor- dons postérieurs et dans la corne
postérieure
. Puis étude histolo- gique des parties altérées
elle avec les symptômes cliniques. Relation des parties des cordons
postérieurs
lésés avec chacun des symptômes cliniques. C'
tient très probablement à la lésion de la zone d'entrée radiculaire
postérieure
, entrele segment thoracique et le segment lomba
ue les stries médullaires ne peuvent être le prolongement du rameau
postérieur
de l'auditif. Latéralement, le long de la face
supérieure du corps restiforme, elles passent par-dessus ce rameau
postérieur
, pour pénétrer, en dehors du tubercule acoustiq
e de voir ces trousseaux abandonner résolument les fibres du rameau
postérieur
de l'auditif, déviant un peu avant et gagnant d
ompose de fibres qui prennent naissance dans l'écorce de la surface
postérieure
et 400 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHO
qui constitue le bouquet des fibres émanées du tiers médio-antéro-
postérieur
du corps genouillé externe, avec la branche média
a partie la plus externe de la couche optique et du segment le plus
postérieur
de la capsule la plus interne. Maun chez un mal
sent eux-mêmes. Au dernier congrès de Blois, puis dans un article
postérieur
, M. Ballet a rapporté plusieurs faits de ce genre
aractérisées par l'atrophie' des racines posté- rieures, des cornes
postérieures
et des cordons postérieurs. Atrophié modérée de
des racines posté- rieures, des cornes postérieures et des cordons
postérieurs
. Atrophié modérée des colonnes'de Cfarke.. Les
moindre que les cellules des ganglions spinaux; 10" dans le cordon
postérieur
, il y a atrophie de groupes de fibres différents
, on supprime le goût du côté opposé. En lésant les,fibres les plus
postérieures
delà couronne rayonnante en, ce point,' on obti
anal est situé un peu en'arrière'du sillon crucial,'dans le segment
postérieur
de la circonvolution sigmoïde, plus près de son
rne. Celui du sphincter vésicat occupe la partie externe du segment
postérieur
de la circonvolution sigmoïde, immédiate- ment
se dos ganglions sympathiques, des ganglions spinaux et des racines
postérieures
,' normaux, ce. qui prouve leur indépen- * danco
'noyau'du toit et participe à là'for ? 1' mation dé' là commissure
postérieure
! v ' ' ' ' '' ? Mais'Me pédoncule' cérébelleux
au du nerf vague ? en avant, .par lesfibres arci- ,fdrmési lesiplus
postérieures
,, de- la 'formation reticutaireJjen - dedans, :
1 r - ,1'i'M. - · .t.-t oedème qui .dépend d'une lésion de la corne
postérieure
^du même ' c6té,(voir Rôssôr.inô, Coztribictiôri
nciens dans. les .deux noyaux lenticulaires; - sclérose des cordons
postérieurs
dans la moelle cervicale; dégé- nérescence radi
sibles, situées l'une à la partie anté- rieure, l'autre à la partie
postérieure
de la cuisse, la troisième au 10 PATHOLOGIE NER
nt en arrière à l'omoplate. Anes- thésie de la cuisse, de la partie
postérieure
de la jambe. Anesthé- sie du côté gauche delà f
p. 181 et 378. ÉTUDES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE. 47 tate sur la face
postérieure
de l'organe, une hypérémie méningée plus consid
de l'extrémité antérieure des cornes antérieures, dans les cordons
postérieurs
, sur les deux bords du sillon médian pos- térie
es, offrant une distribution asymétrique, siégeant dans les cordons
postérieurs
, dans les cordons antérieurs, dans les cordons
t deuxième temporales gauches, avec ramollissement rouge du segment
postérieur
de la deuxième lemporale gauche. P. K. XXV. U
on chez des cochons d'Inde. Conclusions : 10 Les fibres des racines
postérieures
de la moelle cessent, chez le cochon d'Inde, ap
lle cessent, chez le cochon d'Inde, après leur entrée dans la corne
postérieure
, en se terminant probablement dans les cellules
es situées en cet endroit. - 2° Il n'y a donc pas, dans les racines
postérieures
de la moelle du cochon d'Inde, de fibres qui se
ce de grosses et larges fibres fort abondantes. 2° Dans les racines
postérieures
de la moelle cervicale et lombaire, il existe u
ort qui existe eulre le limaçon de l'oreille interne et le ganglion
postérieur
des tuber- cules quadrijumeaux; il s'exprimait
n'en existe pas davantage pour la région qui commande au mem- bre
postérieur
gauche ; - 2° après les extirpations en question,
à travers le cordon latéral (ou à travers la substance de la corne
postérieure
), en de- hors (région de la première paire cerv
tion verticale, l'angle situé entre la corne antérieure et la corne
postérieure
, pour pénétrer, après s'être encore une fois infl
u pyramidal. Il forme un long ruban à la hauteur de la commissure
postérieure
. Les fibres émanent probablement, par la commissu
e postérieure. Les fibres émanent probablement, par la commissure
postérieure
, des racines sensitives de la moitié de la moelle
XIV. Quelques remarques SUR LE trajet DES fibres DE la commissure
postérieure
du cerveau; par L. UAI\KSCIU;WITSCH. (Neural. Cen
rale. P. K. XV. SUR LES rapports DU CORPS HESTIFORME avec LE CORDON
POSTÉRIEUR
ET SUR LE NOYAU DU CORDON POSTÉRIEUR ; EN OUTRE
ORPS HESTIFORME avec LE CORDON POSTÉRIEUR ET SUR LE NOYAU DU CORDON
POSTÉRIEUR
; EN OUTRE, REMARQUES SUR deux ZONES du BULBE;
les connexions que Meynert prélendait très fournies entre le cordon
postérieur
et le cervelet. Il s'agit particulièrement ici
yéline. Enfin il insiste sur le schéma géné- ral du noyau du cordon
postérieur
avec les systèmes de fibres qui en partent. Le
ieur avec les systèmes de fibres qui en partent. Le noyau du cordon
postérieur
d'un côté est en rapport avec les longues fibre
érieur d'un côté est en rapport avec les longues fibres des cordons
postérieurs
, avec la tête du corps restiforme de l'autre cô
nt interne du bulbe du côté opposé; il est possible que les cordons
postérieurs
soient en con- nexion avec les fibres cérébelle
orrespondantes. Une subs- tance grise plus externe (noyau du cordon
postérieur
) est indubi- tablement un noyau senoilif destin
aux diverses phases du développement, avec le faisceau longitudinal
postérieur
, des fibres longitudinales qui, par les fibres
s proprement dites, le systèmearcué inférieur l' du noyau du cordon
postérieur
, à la partie la plus inférieure du champ intern
e. Or, l'autopsie révèle que le point du segment externe des cornes
postérieures
où les fibres radiculaires viennent pénétrer da
ostérieures où les fibres radiculaires viennent pénétrer dans corne
postérieure
(zone d'entrée mdiculllÍ1'e de Westphal) a été
uer qu'à côté de l'importance de l'atrophie des fibres radiculaires
postérieures
, le maître lui-même fait des réserves sur la pa
moelle à son sujpt. En ce qui concerne la dégénérescence des cornes
postérieures
dans le labes, M. Krauss signale l'atrophie de la
dans le labes, M. Krauss signale l'atrophie de la base de la corne
postérieure
cervicale (faisceaux d'irradiation et fin relic
es fibres myélirziques du renflement cervical à la base de la corne
postérieure
(probablement ce sont des fibres radiculaires p
a corne postérieure (probablement ce sont des fibres radiculaires
postérieures
). P. ËERAVAL. XVII. Encéphale DU microcéphale H
isceau de Meynert; 4° de la bandelette optique; 5° de la commissure
postérieure
du cerveau. P. K. 94 REVUE d'anatomie et DE p
che, la protubérance sans atteindre le bulbe. L'artère cérébelleuse
postérieure
gauche présente une dilatation athéro- mateuse
érébrale et de la moelle. Sclérose médullaire primitive latérale et
postérieure
. L'auteur l'ait remarquer que par quelques-uns
écroses cutanées indiquaient une affection ir- ritative dea parties
postérieures
de la substance grise centrale. H. M. C. III.
disséminée, ainsi qu'au niveau des racines antérieures, des racines
postérieures
, des colonnes de Clarke. Discussion. - M. l3E
quelques cylindraxes dans la moelle, notamment le long des cordons
postérieurs
. AI. OTTO (de Dalldorf). De la paralysie pseurl
t chez les indi- vidus en état de misère physiologique, les cordons
postérieurs
de la moelle sont dégénérés. C'est par un mécan
t les troubles sudoraux ou vaso moteurs . (Substance grise latérale
postérieure
) ; par le professeur .1. Cras- set, recueillies
la parésie et l'alro- phie musculaire, et en s'étendant aux cordons
postérieurs
, l'anal- gésie et les autres espèces d'anesthés
canal de l'épendyme de préférence dans l'épaisseur de la commissure
postérieure
. Pour l'auteur la glioillatose est une affectio
ntrinsèques sont divisés en symptômes polymyé- litiques antérieurs,
postérieurs
et médians; les extrinsèques en leucomyélitique
rieurs et médians; les extrinsèques en leucomyélitiques latéraux et
postérieurs
. Les symptômes polymyélitiques antérieurs sont
aduisent par la paralysie du genre spasmodique les leucomyélitiques
postérieurs
, par des signes tabétiques. Le début est juvé
he seulement du sciatique. Mais cette localisation au nerf tibial
postérieur
nous paraît, si nous en jugeons par le nombre d
les; au contraire sous la même influence \ les muscles de la région
postérieure
et de la cuisse réagissent éner- giquement. »
e, à la partie la plus interne, est laissée intacte; - b) à la face
postérieure
, la ligne limitante com- mençant au-dessous de
plus de la moitié de la face antérieure elles deux tiers de la face
postérieure
de la jambe. (V. la fig. 11.) 2 Sensibilité à l
due, que la face externe du pied est presque indemne et que la face
postérieure
de la jambe est prise dans une étendue beaucoup
lle comprend la face externe, une petite bande verticale de la face
postérieure
, les deux tiers de la face an- térieure au-dess
rtain soulagement. Actuellement, le malade souffre dans la partie
postérieure
de la cuisse et dans le mollet droit.Il existe
ranches du nerf saphène interne, venu du nerf crural. A la face
postérieure
un grand nombre de nerfs se distribuent à la
branches du nerf crural, par le petit sciatique et par le tibial
postérieur
. Si l'on veut se reporter aux schémas joints
ssoire (branche des deux sciatiques popli- tés). - f. Nerf tibial
postérieur
(branche du poplité interne). SUR UNE COMPLIC
llements, d'élancements dans le pied, la jambe et surtout la région
postérieure
de la cuisse. On constate un amaigrissement gén
nt par la crête tibiale, en arrière par la ligne médiane et la face
postérieure
de la jambe il y a anesthésie com- plète ; - et
on frappe brusquement, bien qu'avec une force modérée, la partie
postérieure
de l'épaule avec la paume de la main (Charcot).
correspondante. Patho- génie : portde lourds fardeaux sur la partie
postérieure
de l'épaule gauche Affection durant depuis trop
chute d'unebranche d'arbre. Dépres- sion osseuse occupant la partie
postérieure
du frontal et la partie antérieure du pariétal
ontales supérieures gauches, et la dégénérescence grise des cordons
postérieurs
. Névrite optique du côté droit. P. K. XXX VI
épileptiformes, affaiblis- sement intellectuel, lésion des cordons
postérieurs
avec disparition du phénomène du genou), 9 sont
rejoint au centre cortical (portion interne du segment antérieur et
postérieur
du gyrus sigmoïde) et envoie en bas à travers la
ait comparativement chez quelques- uns d'entre eux les deux racines
postérieures
des nerfs lombaires du côté sain afin de pouvoi
ondant au membre amputé et la dégénérescence secondaire des cordons
postérieurs
en relalion avec les racines. Ces mutila- tions
s nerfs périphériques au-dessous des ganglions spinaux, les racines
postérieures
ne se montrant presque pas touchées. P. K. RE
étale ascendante, gagne la con- vexité, c'est-à-dire par la branche
postérieure
de la scissure de Sylvius, le tiers postérieur
dire par la branche postérieure de la scissure de Sylvius, le tiers
postérieur
du lobe temporal et descend jusque dans l'insul
souvenirs des faits succédant à l'accouchement. Quelques faits plus
postérieurs
ayant beaucoup frappé la malade ont été retenus
sitif en avant et en dedans de la substance gélatineuse de la corne
postérieure
. Il forme en cet endroit un trousseau distinct et
thésie complète du fond de la gorge; on peut cha- touiller la paroi
postérieure
du pharynx et le voile du pa- lais sans provoqu
ande diagonale. C. b. Corps bordant se continuant avec P. p. pilier
postérieur
, et P. a., pilier antérieur. Celui-ci, après av
tique à la bande diagonale : arc intermédiaire. D. c. g. Division
postérieure
du corps godronné en : 1° C. a. s., corps godronn
ande diagonale, l'arc rachidien, l'arc inter- médiaire et la partie
postérieure
de l'arc cérébral pilier postérieur et voûte. L
inter- médiaire et la partie postérieure de l'arc cérébral pilier
postérieur
et voûte. La partie antérieure de l'arc cérébra
des côtés, l'externe, est adossé au crochet de l'hippo- campe ; le
postérieur
, à la bandelette optique; l'in. terne, plus ou
'espace perforé, on constate la présence d'un grand arc à concavité
postérieure
. Cet arc olfac- tif ' est en continuité, par la
autres nerfs rachidiens sensitifs au niveau de la zone radiculaire
postérieure
de Charcot; et c'est de cette surface d'étaleme
if ». Bande diagonale. - FOVILLE la décrit ainsi : « De la moitié
postérieure
de son côté externe, à l'extrémité antérieure de
antaire, la sensibilité est dimi- nuée aux deux talons antérieur et
postérieur
, des deux côtés et à la face inférieure des ort
puerpéraux, ceux de la seconde ne se produisent que pour des faits
postérieurs
ou au contraire tout à fait antérieurs à l'acco
l'inconscient. Quant au temps passé (je parle surtout de la période
postérieure
à l'accouchement), elle en raccourcit généralem
Si on pince leur patte ou qu'on applique un irritant sur la partie
postérieure
de leur corps, elles font un saut en avant; jet
diminué, et cela davantage dans les membres antérieurs que dans les
postérieurs
. Néanmoins, il peut maintenir son équilibre; as
(Centr. f. lleru., 1886.) Section chez chiens et chats des racines
postérieures
des renfle- ments cervicaux et lombaires ; exam
oelle, un tri- angle, immédiatement contigu à la pointe de la corne
postérieure
, qui occupe la partie laplus externe et la plus
a corne postérieure, qui occupe la partie laplus externe et la plus
postérieure
ducordon postérieur; puis, la zone dégénérative
qui occupe la partie laplus externe et la plus postérieure ducordon
postérieur
; puis, la zone dégénérative gagne les libres de l
ostérieur; puis, la zone dégénérative gagne les libres de la racine
postérieure
immédiatement supérieure par leur côté .interne e
côté .interne et médian, au point où elles pénètrent dans le cordon
postérieur
. Si la section a porté sur les racines du plexu
du bulbe, la dégénérescence qui succède à la résection des racines
postérieures
de la moitié inférieure du corps ne se prolonge
racines en question, entraîne l'exclusive dégénérescence du cordon
postérieur
du côté de la racine sectionnée. P. KERAVAL.
kler. -Ramollissement occupant, dans l'hémisphère gauche, la partie
postérieure
de la pariétale ascendante et ayant détruit une
eur et le commencement du pli courbe; ramollisse- ment de la moitié
postérieure
de la première temporale et d'un petit segment
onde temporale; ramollissement superficiel des deux circonvolutions
postérieures
de l'insula. La zone de dégénérescence porte su
ondément dans la moelle cervicale et en descendant dans le faisceau
postérieur
latéral du côté opposé. Obs. de Jelgersma. Gros
r (précrucial) du gyrus sigmoïde, de la partie externe du segment
postérieur
du même gyrus, de la portion antérieure des deuxi
sur la peau, M. Hitzig a faitinstallersur les parties latérales et
postérieures
d'un bas de laine une poche qui s'ouvre sur le
ssu du lobe temporal, un système émané des parties du lobe pariétal
postérieures
aux ascendantes; ces deux systèmes avant d'arri
s prévenus, y compris cette fois le Dr Carlier pour les infractions
postérieures
à l'entrée de ce médecin dans l'association.
térieures, par Popoff, Flechsig, 83 ; -trajets des fibres de la -
postérieure
, par Darkschewitsch, 90. Concours des médecin
ux, par Gl'nenfeld, 7-Í; trajet profond des fibres radi- cuiaires
postérieures
de la-, par ltossolimo, 83; - cordon antéro-
respondante est brunâtre. Teint ecchymolique de la région cervicale
postérieure
et du cuir chevelu, lequel est bouffi, oedémati
. Plusieurs coupes n'ont pas fait découvrir de sclérose des cordons
postérieurs
. Thorax. Quelques adhérences pleurales du côté
vulgaire, suffit à les réfu- ter : une lésion siégeant à la partie
postérieure
de la capsule interne, sur un point que nous pr
nsibilité générale ou spéciale arrivent à la moelle par les racines
postérieures
ou au bulbe par l'intermédiaire des nerfs spéci
indifférente (expérience de M. Vulpian) ; 2° les fibres des cordons
postérieurs
jouent le rôle de commis- sures ; la substance
à désigner seulement le groupe de fibres qui, émanées de la partie
postérieure
de la capsule, se rendent, d'après l'auteur, au
eau moteur, ou faisceau pyramidal. 72 REVUE CRITIQUE. la partie
postérieure
de la capsule interne, situé qu'il est immédiat
e fibres qui se détache du pédoncule cérébral, derrière l'extrémité
postérieure
du noyau lenticulaire, pour se diriger aussitôt
visager le faisceau suivant sa longueur depuis son origine au tiers
postérieur
de la cap- sule interne jusqu'aux circonvolutio
st faite verticalement à la jonction du tiers 7 . REVUE CRITIQUE.
postérieur
et des deux tiers antérieurs de la couche optique
capsule interne, dont il occupe la par- tie la plus reculée (tiers
postérieur
du segment postérieur). Il re- çoit bientôt un
il occupe la par- tie la plus reculée (tiers postérieur du segment
postérieur
). Il re- çoit bientôt un certain nombre de fibr
à celle d'une pyramide quadrangulaire à base anté- rieure, à sommet
postérieur
. Ce faisceau s'amoindrit en pro- o-ressant, par
nt les cas, au niveau : 1° du pied de la couronne rayonnante (tiers
postérieur
de la capsule in- terne) ; 2° des fibres du cen
ie sensitivo-sensorielle intéresse le tiers posté- rieur du segment
postérieur
delà capsule. Mais elle peut l'inté- resserde d
té pre- mière. Si le plus habituellement les lésions de la partie
postérieure
de la capsule interne ou de son voisinage engen
du corps strié. La capsule ex- terne n'était altérée qu'à sa partie
postérieure
, partout ailleurs elle était comprimée. Dans
rle noyau lenticulaire et les fibres les plus externes de la partie
postérieure
de la capsule. Depuis la publication de notre
nt en relation avec des lésions occupant le pli courbe ou la partie
postérieure
des circonvolutions tempo- rales. Mais l'aphasi
e l'ouïe et de la vue. Or, de ce qu'une lésion occupant la partie
postérieure
des circonvolutions temporales s'accompagne de
que le pli courbe n'est pas plus le centre de la vue, que le tiers
postérieur
des tempo- rales n'est le centre de l'ouïe, pui
res sensitives réunies, comme dans un carrefour, au niveau du tiers
postérieur
de la capsule interne, au lieu d'aller se ter-
mmet du temporal gauche, du milieu de l'occipital au trou dé- chiré
postérieur
droit, et sur le tiers externe de la face antérie
me. Un épanchement sanguin occupe le corps calleux vers son tiers
postérieur
au voisinage de la voûte à trois piliers. Les dép
d'une suffusion sanguine dans l'aponévrose épicrânienne à la région
postérieure
gauche prouve que le malade a reçu le choc sur l'
ntes qui déterminent la localisation de la syphilis sur les cordons
postérieurs
de la moelle épinière, sont personnels ou héréd
o-cartiiago. Le condyle gauche est seulement un peu usé à sa partie
postérieure
. 11 semble que ce soit le premier fait qui ait
pens de la face posté- rieure que s'est faite l'usure. Cotte partie
postérieure
, aplatie et déformée, est irrégulièrement anfra
endue, taillée obliquement de haut en bas et d'arrière en avant; la
postérieure
, plus large, taillée en sens inverse, est plus
formé par des aspérités rugueuses. Dans toute sa demi-circonférence
postérieure
au con- traire il est complètement usé et rempl
nche droite (Fig. 19). A. Os iliaque. Toute la demi-circon- férence
postérieure
du sourcil cotyloïdien est usée et constitue une
cée de trous. Ce même aspect se retrouve du reste sur la partie
postérieure
de l'os jusqu'à la bifurcation supé- rieure d
avec l'oeil qui a été atteint) sans baisser la tète. Dans la moitié
postérieure
de la plaie, il y a eu réunion osseuse ; mais d
s pôles d'un courant induit sur la substance corticale de la partie
postérieure
des hémisphères cérébraux, on observe ordinaire
t effet s'obtient mieux encore si on applique les pôles sur l'angle
postérieur
et interne de l'hémisphère ; 3° Plus rarement,
s, qui présente plusieurs points adhérents, notamment à l'extrémité
postérieure
des première et deuxième frontales. M. Schwaah
ramollissement) entraînait des mani- festations aiguës. Les cordons
postérieurs
de la moelle n'avaient participé au processus q
e, et son opinion relative à l'indépendance des lésions des cordons
postérieurs
et du ' On en trouvera le résumé aux Remues ana
(le malade avait eu cette affection jadis), siégeant dans la moitié
postérieure
droite du renflement cervical de la moelle, plu
tard compliquée de dégénérescence secondaire dans les deux cordons
postérieurs
. Aujourd'hui, on est évidemment en présence d'u
e observer que cette, racine, ainsi, que les racines antérieures et
postérieures
des cinquième et' septième nerfs étaient absolu
par l'intermédiaire de la capsule, au tissu de la moelle; son bord
postérieur
était, au con- capslle, tissu Jii'Hi s'o-n bord
paraissait réduit à un mince filet logé entre la tumeur et la corne
postérieure
(PL. V, fig. 4 et 5). Les cordons anté- rieur e
corne postérieure (PL. V, fig. 4 et 5). Les cordons anté- rieur et
postérieur
avaient aussi subi une diminution semblable dan
laires... Il y a dans la moelle des artères médianes antérieures et
postérieures
et des artères radiculaires antérieures et post
érieures et postérieures et des artères radiculaires antérieures et
postérieures
. » M. Adamkiewicz parait ignorer que nous avons
le trajet et les ramifications des artères médianes antérieures et
postérieures
, des artères radiculaires, des artères périphér
voy. Fi ig. VII vue avec un grossissement de 1 45). - Dans la corne
postérieure
, on'voit un réseau, allongé de sa pointe ou ext
artères périphériques ; et en arrière par les artères radiculaires
postérieures
. La corne postérieure offre au niveau de sa sub
et en arrière par les artères radiculaires postérieures. La corne
postérieure
offre au niveau de sa substance gélatineuse un be
Sur des coupes sagittales passant par la substance grise des cornes
postérieures
on voit facilement la série des artères qui ent
re. Ces pinceaux vasculaires se ter- minent dans le col de la corne
postérieure
en un réseau capillaire qui occupe toute sa lar
A la région lombaire, le réseau capillaire s'élargit comme la corne
postérieure
. Après cette description de l'aspect général du
me centrifuge les rameaux de l'artère de la fissure (artère médiane
postérieure
) qui, quoique ténus quand ils atteignent la com
postérieure) qui, quoique ténus quand ils atteignent la commissure
postérieure
, s'éloignent de l'axe central. Elle a malheureu
re du sillon (arteria sulci) ; tandis que l'artère du sillon médian
postérieur
porte le nom d'artère de la fissure (arteria fi
: nos dénominations d'ancré médiane antérieure .et X artère médiane
postérieure
sont plus simples, plus en rap- port avec les h
un point diamétralement opposé, dans la substance grise des cornes
postérieures
; la troisième branche est inter- médiaire. « E
nom d'artère de la fissure (arieîia fissurai), notre artère médiane
postérieure
; 2° d'arlerl z·ada'cum î)osieî,io2,u)2z, d'arl
z·i commun postica OS ? 0/'MM ! latérales, nos artères radiculaires
postérieures
: 3o il ne paraît pas com- prendre l'importance
où elles se résolvent en mailles capillaires. » Et pour la corne
postérieure
: « Les artères radiculaires postérieures sont si
laires. » Et pour la corne postérieure : « Les artères radiculaires
postérieures
sont situées les unes au milieu des faisceaux r
culaires, les autres en de- dans, les autres en dehors de la racine
postérieure
. Les artères moyennes sont surtout destinées à
postérieure. Les artères moyennes sont surtout destinées à la corno
postérieure
et à la substance gélatineuse. Les artères exte
aux blancs pour se ramifier un peu plus haut jusque dans. la partie
postérieure
et externe de la corne antérieure. Les artères
lus importantes, accompagnent constamment cette partie de la racine
postérieure
que M. Pierret a désignée sous le nom de faisce
). Il signale encore la présence constante d'une petite arté- riolo
postérieure
entre le cordon de Goll et le cordon de Burdach
: mais, nous aussi, nous avions décrit ce vaisseau : « A la partie
postérieure
, il convient de signaler deux groupes d'artério
assent entre les cordons de Goll et le faisceau externe des cordons
postérieurs
. c Parmi les artères périphériques des faisceau
dans leur développement le champ de vasculir-isa- tion des cordons
postérieurs
. Ce fait ne nous avait pas échappé, car avant l
, du ptérion et du cap de la circonvolution de Broca, de la branche
postérieure
de la suture de Sylvius et de la suture pariéto
paru toutefois, quant à ses rapports avec les circonvolutions, plus
postérieur
que chez l'adulte, il répond au pied de la circ
bifurque la branche antérieure delà scissure de Sylvius. La branche
postérieure
de cette scissure est constam- ment d'abord sup
s'abaisse aussi pour atteindre finalement le lambda. Les régions
postérieures
du cerveau, végétatives et sensi- tives, semble
ns latéraux a été sans doute seule atteinte, tan- dis que le cordon
postérieur
qui transmet les sensations tactiles, a été res
qu'il s'est agi là d'une contusion cérébrale portant sur la partie
postérieure
du lobe antérieur gauche, et intéressant une po
ation pourrait-elle en être cherchée dans le voisinage de la partie
postérieure
de la capsule interne et des circonvolutions pa
t spinale. P. K. XXXIII. Dégénérescence I'UNIb'OR : 11E DES CORDONS
postérieurs
DE LA MOELLE ACCOMPAGNÉE DE 91LNIGODIYLITE EN F
veau des cordons posté- rieurs, la dégénérescence grise des cordons
postérieurs
et celle des cordons antérieurs immédiatement a
ent cervical. Le microscope localise ces lésions dans les cor- dons
postérieurs
, les cordons antérieurs, une partie des cordons
s faisceaux cunéiformes. Altérations mar- ginées en toute la moitié
postérieure
de la moelle allongée, et çà et là, le long des
postérieure de la moelle allongée, et çà et là, le long des cordons
postérieurs
de lamoelle. Lésions des racines postérieures,'
à, le long des cordons postérieurs de lamoelle. Lésions des racines
postérieures
,'par places des cornes postérieures. L'épais- s
e lamoelle. Lésions des racines postérieures,'par places des cornes
postérieures
. L'épais- sissement de la pie-mère apparaît dan
re et au sein des lésions. En somme, lésion luzi'lbi-me des cordons
postérieurs
avec un gros foyer au-deisous du renflement cer
ires, l'inflammation gagnant en profondeur d'abord dans les cordons
postérieurs
delà moelle lombaire, puis dans la région thora
e la moelle cervicale et d'un loyer parenchymateux dans les cordons
postérieurs
. , Sur le chapitre de la systématisation et de
érieurs dépend de la dégénérescence des rubans externes des cordons
postérieurs
, comme l'absence de réflexes patellaires. Les t
Dans les cas d'abolition, il y avait soit une sclérose fasciculée
postérieure
, soit une sclérose corticale peu marquée dans la
peu marquée, tandis qu'il existait une atrophie de la corne grise
postérieure
correspondante. Il est possible que la lésion d
calisa- tion, 395. Moelle (dégénérescence funiforme des cordons
postérieurs
de la) accompagnée de méningo-myé- tite en fo
nulations, dans le -]obus pallidus, à la hauteur de la commis- sure
postérieure
, etc. ; thromboses disséminées des petits vaiss
LOGIE NERVEUSE. 63 jambe fortement tendus ; on les sent à la partie
postérieure
de la cuisse. Les fléchisseurs de la jambe sur
rtent de cellules qui ont plutôt l'aspect des cel- lules des cornes
postérieures
et de la substance de Holando. Delà deux types
e référant aux différen- ces de structure des cornes antérieures et
postérieures
de la moelle épinière, a-t-elle quelque apparen
le épinière, que les cellules nerveuses des cornes anté- rieures et
postérieures
sont rigoureusement distinctes anatomique- ment
r directement des cellules des cornes antérieures; ceux des racines
postérieures
seraient formés de la réunion de fibrilles nerv
l) composé de vcrttn. a, vent ? b. et vent ? antérieur ; i;° groupe
postérieur
, et G° la couche grillagée avec ses îlots cellu
es tubercules quadrijumeaux antérieurs, dans les noyaux des cordons
postérieurs
et dans le noyau de la couche réticulaire de la
s le noyau rouge de la calotte, dans les tubercules quadrijumeaux
postérieurs
et dans l'hémisphère du cervelet du côté opposé.
re avec le tubercule squamiforme; quelques-unes montent à la face
postérieure
du pulvinar, dans la couche des fibres arciformes
corps genouillé externe, va, à travers le pulvinar, dans la partie
postérieure
des fibres arcifomes... 2° La couronne rayonnan
ner de dégénérescence ascendante, ! la dégénéres- cence des cordons
postérieurs
doit être mise sur le compte de l'al- tération
égénérées sont disséminées à travers tout le territoire des cordons
postérieurs
altérés sur toute l'étendue REVUE D'ANATOMIE ET
tout aux colonnes de Clarke. En conséquence, les fibres des racines
postérieures
qui prennent part à la constitution de la queue
nes de la moelle avec les noyaux des faisceaux de Goll. Les racines
postérieures
qui viennent d'entrer dans la moelle occupent l
viennent d'entrer dans la moelle occupent le voisinage de la corne
postérieure
au côté interne de la- quelle elles sont placée
radiculaires antérieurement entrées, en dedans, du côté delacloison
postérieure
. C'est pourquoi la dégénérescence des fibres se
dire que lorsqu'on frotte la peau du thorax de l'animal, la patte
postérieure
du même côté se fléchit dans toutes ses articulat
nal) par l'introduction du doigt, etc.. Dans tous ces cas, le train
postérieur
s'amaigrit rapidement sans qu'il y ait d'atroph
et ET MODE de terminaison DES fibres DU « champ ovale » DES CORDONS
POSTÉRIEURS
DE LA MOELLE LOMBAIRE ; par À. HoCHE. (Neurolog
it de la zone ovale de Flechsig située des deux côtés de la cloison
postérieure
, sur le milieu de la moelle (centre ovale, zone
ale dans la moelle lombaire, triangulaire aigu (à base périphérique
postérieure
) dans la moelle sacrée. Barbacci croit que ce s
s le début de la compression. Les fibres du champ ovale des cordons
postérieurs
ont dans l'espèce subi la dégénérescence des- c
ne médiane siègent, au-dessous de l'endroit lésé, dans les portions
postérieures
les plus latérales des cordons cunéiformes, pui
atérales des cordons cunéiformes, puis, elles gagnent la périphérie
postérieure
, le long de laquelle elles constituent une raie é
g de laquelle elles constituent une raie étroite jusqu'à la cloison
postérieure
. Parvenues en cet endroit, elles forment, dans
e, les unes le long de la cloison, les autres à travers les cordons
postérieurs
, pénètrent obliquement en avant dans la substan
roit. Il est donc probable que ces fibres pro- viennent de la corne
postérieure
(des racines postérieures ? ) et vont dans les
e que ces fibres pro- viennent de la corne postérieure (des racines
postérieures
? ) et vont dans les cordons postérieurs. Il es
postérieure (des racines postérieures ? ) et vont dans les cordons
postérieurs
. Il est également probable qu'elles constituent
ble. P. KÉRAVAL. VI. Contribution A l'étude DU trajet DES racines
postérieures
chez l'homme; par A. Marguliès. (Neurolog. Cei2
g. Cei2ti-albl.,XV, 1896.) Observation de lésion isolée des racines
postérieures
; figures. Il s'agit d'un homme de quarante-cin
ante-cinq ans, mort de démence para- lytique. Rien dans les cordons
postérieurs
. On constate à droite au niveau de la 6e racine
voit très nettement un bactus de fibres dégénérées, dans la corne
postérieure
, qui représente évidemment les contingents de fib
, tandisque sa branche hori- zontale côtoie la périphérie du cordon
postérieur
, et lui est même contiguë à son extrémité latér
lui est même contiguë à son extrémité latérale. La zone radiculaire
postérieure
apparaît donc comme le lieu de réception des fi
arce que un certain nombre de fibres ont été abandonnées à la corne
postérieure
; elle est rejetée en dedans par les fibres qui
t à la suite. Il n'y en a plus qu'un petit vestige près de la corne
postérieure
. La zone dégénérative forme maintenant un trian
me maintenant un triangle dont le sommet occupe l'extrémité la plus
postérieure
de la limite externe du cordon de Goll ; un des
parallèle à la cloison paramédiane dorsale, à peu près par le tiers
postérieur
de la longueur du cordon postérieur ; l'autre c
orsale, à peu près par le tiers postérieur de la longueur du cordon
postérieur
; l'autre côté est immédiatement contigu à la m
té est immédiatement contigu à la moitié interne de la péri- phérie
postérieure
de la moelle. Au niveau de l'entrée de la 3° ra-
ge, en restant d'une égale largeur, en avant, jusqu'à la commissure
postérieure
; là, elle se dirige en dehors, et, toujours côt
a commissure grise, pousse une pointe dans la direction de la corne
postérieure
. Au-dessous, c'est- à-dire depuis ia 8° paire d
à toutes les hauteurs. Cette dégénérescence unilatérale des racines
postérieures
limitée au côté de la racine affectée n'a pas d
ces de l'articulation et celui des motrices graphiques. Les travaux
postérieurs
du même auteur, joints à ceux de Sérieux, Garni
la même façon tous ceux qui, par l'effet d'une cause antérieure ou
postérieure
à Pans, 1895.) Des hallucinations dans la mélan
sourds-muets. Mais ceci sera l'objet d'inves- tigations et d'études
postérieures
pour arriver à la publication d'un travail qui
lombaire, présente à la. région dorsale une incurvation à convexité
postérieure
très prononcée correspondant aux 5 pre- mières
2 centimètres en plus de la hauteur normale), son diamètre antéro-
postérieur
au-dessous de la normale (Brachycéphalie). Pupill
ependant, étant donné l'ar- rêt de développement de toute la partie
postérieure
du crâne dans cette malformation, on peut admet
on peut admettre un arrêt de développement correspondant des lobes
postérieurs
, siège de la sphère visuelle, ou une prédisposi
ulbaires et de salivation abondante. Notons d'abord que les cordons
postérieurs
et les racines spinales présentaient des lésion
I. THÉORIE DES NEURONES. 283 longues voies nerveuses des cordons
postérieurs
qui montent jus- qu'au niveau de la moelle allo
nstituent les fibres des faisceaux ou cordons antérieur, latéral et
postérieur
du même côté. Les cel- lules des cordons donnen
es du cordon antéro-latéral du même côté; b, les cellules du cordon
postérieur
du même côté; c, les cellules du cordon antérie
ne branche descendante, qui montent et descendent le long du cordon
postérieur
: ce sont les collatérales de ces branches qui,
la corne antérieure, des collatérales courtes destinées à la corne
postérieure
: celles-ci, après avoir traversé la substance de
lésion permanente au nerf circonflexe droit et au nerf thoracique
postérieur
gauche. R. DE Musgrave CL\Y. XLIV. Lésions DES
ètrent dans les cornes antérieures et aussi dans la base des cornes
postérieures
et dans la substance blanche limitant les corne
a- tique combinée : lésions prédominantes des cordons latéraux et
postérieurs
). Entre ces deux formes prennent place les myélit
rouvé une dégénéralion de la moelle portant surtout sur les cordons
postérieurs
. Le venin de serpent, en injections sous-culane
toxalbumines du choléra- La lésion intéressait surtout les cordons
postérieurs
et latéraux; sa répartition variait quelque peu
ral, partie voisine de la circonvolution du corps calleux et partie
postérieure
des trois circonvolutions frontales) ; 2° sphère
ée de trois sphères distinctes : 1° le grand centre d'associa- tion
postérieur
comprenant une grande partie du lobe occipital, d
rois cas d'atrophie du globe oculaire. Les tubercules quadrijumeaux
postérieurs
ne jouent aucun rôle dans la vision. Dans les t
e pinéale, ses pédoncules, le ganglion habenula; et la com- missure
postérieure
ne présentent aucune altération et ne jouent au
Dégénérescence descendante dans la partie lombo-sacrée DES cordons
postérieurs
DE la MOELLE; par A. BANCE et R. MUNIR. (Bmrin,
et localiser le faisceau GO en virgule » qui s'étend dans le cordon
postérieur
tout le long des régions cervicale et dorsale et
u cordon postéro-externe, est parallèle au bord interne de la corne
postérieure
et n'atteint ni la commissure postérieure ni la
bord interne de la corne postérieure et n'atteint ni la commissure
postérieure
ni la périphérie, mais il n'a pas été suivi par
nérescence occupant de chaque côté les deux tiers du bord du sillon
postérieur
et une petite étendue de la périphérie. D'autre
eux cas de tabès où la dégénérescence ascendante totale des cordons
postérieurs
dans la région lombo-sacrée avait laissé indemn
générescence totale des cordons antéro-latéraux et dans les cordons
postérieurs
: une ban- delette dégénérée qui occupait en ha
térieurs : une ban- delette dégénérée qui occupait en haut le tiers
postérieur
du bord du sillon médian postérieur et la moiti
e qui occupait en haut le tiers postérieur du bord du sillon médian
postérieur
et la moitié interne de la périphérie, et qui,
du sillon depuis son angle avec la périphérie jusqu'à la commissure
postérieure
. Ily avait en outre une légère dégénérescence d
mie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. bacci qui montrèrent le cordon
postérieur
entièrement dégénéré de bas en haut à l'excepti
faisceau descendant autre que le faisceau en virgule dans le cordon
postérieur
. Conclusions : 1° Il y a un faisceau descendant
clusions : 1° Il y a un faisceau descendant distinct dans le cordon
postérieur
à la région lombo-sacrée; 2° ce faisceau existe
niveau de la troisième racine lombaire il occupe la marge du sillon
postérieur
dans la partie postérieure de ce sillon et la moi
ine lombaire il occupe la marge du sillon postérieur dans la partie
postérieure
de ce sillon et la moitié de la marge de la pér
me racine lom- baire il s'étend plus en avant jusqu'à la commissure
postérieure
; au-dessous de ce niveau (deuxième racine sacré
t en passant en avant dans la substance grise à la base de la corne
postérieure
du même côté. Il est probable que ce faisceau
aisceau n'est pas en continuité directe avec les fibres des racines
postérieures
de la région correspon- dante, qu'il est indépe
lleux directs : la dégénération porte tout d'abord sur leur portion
postérieure
; 4° Le septième jour apparaît la dégénération
s elle ressentit des douleurs à la partie extérieure et à la partie
postérieure
de la cuisse et de la jambe du côté droit; ces
rieur du pied et très fort la région de la fesse droite, la surface
postérieure
de la cuisse, la partie extérieure de la jambe,
tait plus développé dans la région des tuméfactions et à la surface
postérieure
de la moelle. Le tissu médullaire n'était pas a
uent un crâne plagiocéphale ou oblique ovalaire. En effet la région
postérieure
latérale droite qui comprend une partie du temp
ants, durs et plats (Cholo) et forment deux tourbillons à la partie
postérieure
de la tète. Le front est spacieux et mesure dan
andry et présente des symptômes qui sont considérés par les auteurs
postérieurs
à Landry comme caractéristiques de la maladie à
e l'intégrité des sphincters; et l'état à peu prèsnormal des cornes
postérieures
, des tractus sensoriaux et des racines nerveuse
i oculaires ni auditifs, ni sensitifs ni moteurs. Au niveau du bord
postérieur
du pariétal gauche, il existe 468 REVUE DE PATH
olution frontale droite, l'autre occupant c) toute la surface des
postérieurs
de la première circonvolution temporale gauche,
rice et de l'atrophie muscu- laire, tandis que la lésion des cornes
postérieures
produit des troubles sensitifs divers. Les cond
s que les conducteurs des sensations tac- tiles suivent les cordons
postérieurs
en dehors de la substance grise. Paralysie mo
er. Dans le tabès, ces désordres résultent d'une lésion des cordons
postérieurs
interceptant le cours des arcs re- flexes ; dan
ecours. L'absence du réflexe rotulien indique une lésion des cornes
postérieures
(tabès). ou des cornes antérieures (polyomyélit
é et, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 477 Î dans la région- tibiale
postérieure
(sauf les interosseux). Excitabilité électrique
meur aplatie située en dehors de la dure-mère entourant la par- tie
postérieure
de la moelle et intéressant les racines des deuxi
dans la région de la plus forte com- pression elle atteint le bord
postérieur
des corps des vertèbres. Dans ces endroits ou t
ctrique chez diverses espèces de m01'lnyl'us. En occupant la partie
postérieure
du corps, cet organe d'une forme cylindrique es
e de lamelles à forme triangulaire. Les nerfs s'attachent au côté
postérieur
des lamelles. A chaque lamelle se joignent 50 o
ême se divise en deux cou- ches : la couche antérieure et la couche
postérieure
qui, se confou- dant à leurs bouts, se composen
t prenait la forme d'un rein; encore plus haut se détachait du côté
postérieur
du canal central une cavité en forme de tube. E
tral est dilaté, plus bas il se divise en plusieurs canules, dontle
postérieur
se transforme plus bas en une large cavité syring
glique, se dirigent du canal central vers les cornes et les cordons
postérieurs
. D'après les auteurs il s'agit ici de même d'un
a maladie est regardée comme la sclérose des racines et des cordons
postérieurs
. Plus tard, en 1870-72, l'Ecole de la Salpê- tr
hsig : le tabès commence par les bande- lettes externes des cordons
postérieurs
. En 1879, Vulpian ouvre la troisième période, e
e période, en admettant l'origiue primitive des lésions des racines
postérieures
; cette formule radiculaire, oubliée quelques an
ées, est bientôt rajeunie par les progrès de l'anatomie des cordons
postérieurs
qui apparaissent surtout formés par les fibres
direct : nn, le volume des fais- ceaux qui constituent les cordons
postérieurs
. Cette étude d'ana- tomie normale, faite avec l
ations secon- daires de la moelle humaine, démontre que les cordons
postérieurs
possèdent deux systèmes de faisceaux. Le premie
es de faisceaux. Le premier système comprend les fibres des racines
postérieures
: fibres extrinsèques - exogènes (Pierre-Marie)
e et forme un faisceau individualisé. Ainsi, le système radiculaire
postérieur
, à direction ascendante, constitue, au sur et à
re ascendant; le système endogène descendant occupe, dans le cordon
postérieur
, une place variable suivant la hauteur considér
que complète, de la fasciculalion, endogène et exogène, des cordons
postérieurs
. Puis, l'auteur passe à la topographie des lési
étude dresse la topogra- phie : 1° au niveau du système radiculaire
postérieur
; 2° au niveau des zones endogènes ; 3° au nivea
te : Le labes, dit initial, atteint d'abord, le système radiculaire
postérieur
, depuis la racine jusqu'au cordon correspondant
ogène ou exogène, au niveau des racines comme au niveau des cordons
postérieurs
. Le chapitre iv traite des conclusions générale
lsifs. Pathologie de certains accès -, par Furstner, 394. Cordons
postérieurs
. Dégénéres- cence de la partie lombo-sacrée d
Faisceau - et maladie de Little, par van Gehuc))t3n, 353. Racines
postérieures
. Trajet des - chez l'homme, par Marguliès, 13
ête en manchette,beaucoup moindre à la face antérieure qu'à la face
postérieure
. La paume de la main est indemne : la couleur d
ne. Peu de sécrétion. Pharynx : quelques granulations sur la partie
postérieure
et légère hypertro- phie de l'amygdale droite.
te à la fois sur la partie antérieure de la langue et sur sa partie
postérieure
située en arrière du V lingual ainsi qu'il résult
is, d'une façon encore plus légère mais néanmoins certaine, la face
postérieure
de la cuisse du côté droit. Les mensurations
pour la face antérieure et à la moitié de l'avant-bras pour la face
postérieure
. Au membre droit on constate une légère thermo-
bsolue à la face dorsale des phalanges de la main gauche. A la face
postérieure
La thermo-analgésie est indiquée en noir. Les s
e gauche est atro- phiée et rejetée en dehors. La base de la racine
postérieure
du même côté est remplacée par une lacune qui a
che de la moelle est plus petite que la droite, surtout à sa partie
postérieure
. La corne anté- rieure gauche est normale ; la
a partie postérieure. La corne anté- rieure gauche est normale ; la
postérieure
se réduit à quelques tractus de substance grise
V° étage radiculaire cervical présente toujours cette fente oblique
postérieure
gauche qui suit exactement le trajet de la corne
blique postérieure gauche qui suit exactement le trajet de la corne
postérieure
(PI. XIV, A). Au centre elle naît en arrière et
e et à gauche de l'épendyme, s'ouvrant presque dans le grand sillon
postérieur
. A la pointe de la corne postérieure, on voit l
nt presque dans le grand sillon postérieur. A la pointe de la corne
postérieure
, on voit la pie-mère épaissie pénétrer dans la fe
exagèrent ; la fente se continue avec l'épendyme et gagne la racine
postérieure
droite. L'épen- dyme constitue la partie médian
gence des fibres sensitives ; à droite, elle pénètre dans la racine
postérieure
et la divise par plusieurs prolongements. Corne
e de même nature plus épaisse et plus large limite la paroi médiane
postérieure
de la cavité. La lésion fend dans leur longueur
ure de la cavité. La lésion fend dans leur longueur les deux cornes
postérieures
; la cavité est un peu plus large, à parois plu
lésions augmentent encore d'intensité (Pl. XV, C). Les deux racines
postérieures
sont détruites par la fente, la droite presque
névroglie y sont plus intenses. Aux deux commissures antérieure et
postérieure
sont des bandes néoformées, elles se réunissent
à droite et à'gauche, mais n'existent plus guère qu'à-la commissure
postérieure
(Pl. XV, E). A hauteur de la VIIIe dorsale les
esque disparu ; seule- ment quelques petites lacunes dans la racine
postérieure
gauche. La moelle lombaire au niveau de la prem
'entrecroisement bien moindre qu'à gauche. Le faisceau longitudinal
postérieur
du côté droit est nettement atrophié, la substa
s appa- rente. On voit toujours l'atrophie du faisceau longitudinal
postérieur
et la disparition presque totale du faisceau ce
ceau central de la calotte et l'atrophie du fais- ceau longitudinal
postérieur
droit se poursuivent sur les coupes des régions
tral de la calotte se diriger vers l'olive bulbaire, vers sa partie
postérieure
et externe. Sur les coupes de la région olivair
faisceau central de la calotte. L'atrophie du faisceau longitudinal
postérieur
qui était très apparente sur les coupes de la p
e'inl'é- rieure un foyer de méningo-myélite intéressant les cordons
postérieurs
et les cordons latéraux. Ce foyer a déterminé l
es deux faisceaux pyramidaux au-dessous de la lésion et des cordons
postérieurs
au-dessus. Sur les coupes de la moelle cervicale
es saines. (1) A. Thomas, Recherches sur le faisceau longitudinal
postérieur
el la substance réticulée bulbo-protubérantiell
elleux, du faisceau central de la calotte, du faisceau longitudinal
postérieur
. Le cas que nous publions présente, au point de v
nt compris dans la plaque de méningo-encéphalite, ainsi que les 1/3
postérieur
de la 3° frontale. Il existe sur le même hémisp
ncéphalite de la région psycho- motrice ; malformation de la région
postérieure
de l'hémisphère (à droite de la ligure). SYPHIL
complètement, particulièrement épaissie sur les faces latérales el
postérieures
, fendillée, peu résistante à la pression qui la
cornes antérieures sont inégales, plus ou moins étirées ; les cornes
postérieures
plus malmenées encore, déjetées latéralement ou
ieur, qui est élargi et dévié, ni par rapport il la cloison médiane
postérieure
qui est attirée fortement du côté de la corue p
n médiane postérieure qui est attirée fortement du côté de la corue
postérieure
la plus allongée. Ses vaisseaux sont dilatés, r
arois et non en- tourés par des cellules jeunes. Dans les cordons
postérieurs
, on remarque des pertes de substance con- tenan
phérie de la moelle, excepté en trois points : au niveau des cornes
postérieures
, le long desquelles elles s'infiltrent en les d
plus épaisses de la gaine pie-mérienne : c'est le point où la corne
postérieure
vient aflleurer la surface de la moelle. La pie
cient en pénétrant dans la moelle elle-même les éléments des cornes
postérieures
. Dans cette zone fibreuse sont creusées de nomb
moins grande abondance et disparaissent complètement dans la partie
postérieure
de ce cor- don. Enfin le cordon postérieur semb
lètement dans la partie postérieure de ce cor- don. Enfin le cordon
postérieur
semble en général plus épargné, surtout dans sa
fibres, soit qu'elles pénètrent le long des septa ou par la cloison
postérieure
. Nous avons vu toutes les masses néo-formées pé
e, à sommet dirigé vers le centre. Elles pénétraient par les cornes
postérieures
, laissant intact le sillon pos- térieur ; sur t
Boettiaer à la destruc- tion des fibres blanches. Dans le cordon
postérieur
existent, nous l'avons vu, de petits foyers de
on distingue encore un certain nombre de fibres à direction antéro-
postérieure
, reste du faisceau longitudinal inférieur : du mê
sverse du cunéus, il existe un foyer de ramollissement. La partie
postérieure
du pulvinar gauche contient une zone de dégénéres
ieure du mollet, bourrelet très réduit en hauteur entourant la face
postérieure
de la jambe comme une cra- vate (V. photogr.).
e. l'été et face. - La tête présente très nettement l'aplatissement
postérieur
signalé par Marie et Onanoff. Pas d'atrophie
térieure des bras ; pour les membres inférieurs, les pieds, la face
postérieure
des jambes 114 LANNOIS ET POROT au niveau des
espectée. Fausse hypertrophie des membres inférieurs. Aplatissement
postérieur
du crâne. - Rétractions tendineuses. Abolition
ans; nerveux encore par un stigmate qu'il présente, l'aplatissement
postérieur
de la tôle signalé par Marie et Onanoff, si l'o
r Hoffmann, cet auteur a montré des lésions de sclérose des cordons
postérieurs
et de ce fait a mis en relief l'origine spinale
OGRESSIVE 117 7 elle pas supposable pour les cordons ou les racines
postérieurs
? On ex- pliquerait ainsi les cas où, comme dan
rête mousse ; en arrière, il est incurvé sans que cette con- cavité
postérieure
soit proportionnellement aussi prononcée que la c
déformations, une cour- burede la jambe qui forme un arcà concavité
postérieure
, et une diminution très notable du diamètre tra
de rotation prononcé et sa face interne va s'appliquer sur la face
postérieure
de la cuisse. L'ar- ticulation tibio-tarsienne
bien développées dans la saillie de la racine du membre. A la face
postérieure
de la jambe, le triceps est grêle, mais se cont
représentant la tête, vient s'appuyer contre le rebord inférieur et
postérieur
de la cavité cotyloïde dans laquelle elle ne pénè
diographie montre sur le métatarsien externe l'absence du tubercule
postérieur
caractéristique du 5° métatarsien, et on sait q
HALBRON au plus externe, qui, comme à gauche, n'a pas de tubercule
postérieur
, il semble en rapport direct avec le calcanéum,
e avec amyélie - (vu de profil on voit la saillie que forme la face
postérieure
des corps vertébraux lombaires). xvi 10 134 B
ure-mère ; ces deux nerfs sont le trijumeau et l'auditif. La partie
postérieure
de ce plateau est limitée par un rebord à arête
une courbure inverse de la normale. Racines rachidiennes. La face
postérieure
des corps vertébraux présente le grand surtout
l ont chacun une racine centrale propre ; au niveau du trou déchiré
postérieur
ils conver- gent dans un seul et même ganglion.
antérieure une belle teinte blanc-rosé, rouge vers la base. La face
postérieure
du poumon droit est recouverte principalement à s
On y voit le sillon antérieur, les diverses racines antérieures et
postérieures
, et la riche vascularisation de la pie-mère. Ju
a périphérie, en particulier dans les régions antérieure droite, et
postérieure
. Avec un peu d'attention, on reconnaît le sillon
nes posté- rieures droite et gauche, ou à la terminaison des cornes
postérieures
. En se basant sur ces points de repère on est a
téro-latéraux) ou les refoulant (cordons antérieurs) et les cordons
postérieurs
et postéro-latéraux. On distin- gue la substanc
ian antérieur, au lieu de se trouver dans le prolongement du sillon
postérieur
, forme avec celui-ci un angle obtus, ouvert à g
traînées finement rameuses qui aboutissent aux sillons collatéraux
postérieurs
, entre lesquels sont nettement dessinés les sil
érieur. La tumeur, ici, semble divisée en deux parties par la corne
postérieure
droite. On constate entre les deux racines post
par la corne postérieure droite. On constate entre les deux racines
postérieures
, en arrière de la com- missure, une masse arron
nettement le sillon antérieur, les points de terminaison des cornes
postérieures
, et entre eux, le sillon postérieur. Ici le sillo
nts de terminaison des cornes postérieures, et entre eux, le sillon
postérieur
. Ici le sillon posté- rieur n'est plus interrom
vité très petite située au milieu de la substance blanche du cordon
postérieur
gauche, au centre géométrique de la coupe. Enfi
rte à une molaire bicuspidée. Elle est située à cheval sur la corne
postérieure
droite au niveau de D. IL Une des pointes de la t
la tumeur, plus longue que l'autre, s'enfonce dans le cordon blanc
postérieur
gauche où elle se termine vers D. IV, par une p
rieures ; en arrière également dans celles correspondant aux cornes
postérieures
. La majeure partie des cellules de la tumeur so
téresse deux portions distinctes de la tumeur,séparées par la corne
postérieure
droite.- La portion qui se trouve à droite corres
antérieurs et latéraux sont presque toutes dégénérées ; les cordons
postérieurs
présentent leurs caractères normaux. Il s'agit,
set-aientqu'uii petit gliome, déve- loppé vers la hase de la corne
postérieure
; dans la première, son déve- loppement lent, so
ibilité normale. paraplégie cervicale incomplète 161 (Les cordons
postérieurs
sont en grande partie respectés.) Membre supéri
nerfs du bras. A ce niveau, non seulement les cornes antérieures et
postérieures
étaient altérées, mais les méninges elles-mêmes é
éant Pierre K... (Poids : 250 grammes.) A, face antérieure; B, face
postérieure
. Masson et C ? Éditeurs. NOUV. ICONOGRAPHIE D
ssure interliéniispliériqne, à l'intérieur de 1 hémr- J ! . Segment
postérieur
d'une confie frontale du cerveau du géant Pierre
ntéro-externe, 10 pour le groupe antéro-interne et 7 pour le groupe
postérieur
. Mais cette diminution du nombre des cellules e
enne 3 pour le premier groupe, 3 pour le second et 2 pour le groupe
postérieur
. De plus, à ce niveau, la lumière de l'épendyme r
tte région on voit dans la substance blanche, en dehors de la corne
postérieure
, quelques grosses cellules isolées, arrondies,
le groupe externe, 6 dans le groupe interne et 6 à 7 dans le groupe
postérieur
. Nulle part, dans la moelle, on ne note de scléro
ît directement de l'os hyoïde, marque, dans la région inférieure et
postérieure
de la langue, une division très nette entre les
pas bien son équilibre. A l'inspection, on voit la région du tarse
postérieur
et celle du cou-de-pied considérablement tuméfi
çoit que l'articulation tibio-tarsienne, les articulations du tarse
postérieur
sont absolument disloquées ; les mouvements les
ées ; les mouvements les plus étendus peuvent s'y passer ; le tarse
postérieur
exécute une rotation presque complète sous le pla
ement atteintes. Les articulations du pied, les os de tout le tarse
postérieur
ne sont pas restés indemnes. Il serait difficil
otte, d'après ses observations, conclut que les lésions des cordons
postérieurs
chez les paralytiques généraux sont bien celles
e provoque l'altération corticale. Le processus morbide des cordons
postérieurs
peut en certains cas attaquer les voies descend
s paralytiques existe une intégrité absolue ou relative des racines
postérieures
; mais Perpère répond que les racines postérieu
tive des racines postérieures ; mais Perpère répond que les racines
postérieures
, bien que peu touchées dans les cas de Rabaud, so
re de la moelle, point d'élection pour les altérations radiculaires
postérieures
dans le tabes. Pour ce qui concerne la substanc
lysie générale, et localisées spécialement dans les circonvolutions
postérieures
. Des alté- rations cellulaires dans l'écorce de
e présentent atrophiques et dégénérées surtout au niveau des cornes
postérieures
(PI. LV, D). Dans la substance blanche on const
icale et lombaire : dans ces mêmes 278 CURIONI points les cordons
postérieurs
se présentent presque complètement sains. Le ca
n'est autre chose qu'une lésion syphilitique du système lymphatique
postérieur
de la moelle »,peut-être la discussion entre le
Ci-, Editeurs ADIPOSE SOUS-CUTANÉE SYMÉTRIQUE ET SEGMENTAIRE 281
postérieure
des bras, la partie inférieure de l'abdomen, la r
partie inférieure de l'abdomen, la région lonlbo- fessière, la face
postérieure
des cuisses, etc., forme des masses lipoma- teu
rices capillaires lui donne par places un aspect violacé. A la face
postérieure
des cuisses et au niveau de l'abdomen, la peau,
eaux, 1895). Des dégénérescences propagées. Altérations des cordons
postérieurs
consécutifs aux lésions cérébrales (Congr. inte
ent, était à peu près ignoré. Un très joli tableau du Baroche, bien
postérieur
à ceux que nous avons déjà vus, nous montre un
, p. 87?. PI, II. PLANCHE DEUXIÈME, ASPECTS DIVERS DE LA RÉGION
POSTÉRIEURE
DU TRONC DANS LES FLEXIONS LATÉRALES PHYSIOLOGI
et bombé en avant. La figure 4 montre la conformation de la partie
postérieure
du tronc. On y voit la différence de forme, de si
inférieures dans leur direction normale. La gibbosité de la partie
postérieure
droite du thorax, située très haut et près de la
affaissé à gauche. Une double gibbosité costale se voit à la région
postérieure
du tronc. La supérieure, formée par les cinq ou s
— Pages 290, 388, 399, 402, 404. —¦ La ligure 2 représente la partie
postérieure
du torse. La fille Bourée, morte à la Salpêtriè
nes est-il en contact avec (à face interne des côtes droites; le bord
postérieur
du poumon droit était réduit dans ce point à une
n arrière. Fig. 1. — Septième vertèbre cervicale, vue par la partie
postérieure
. La lame est plus large, les apophyses articulair
e. Fig. 2. — Première vertèbre dorsale, vue également par la partie
postérieure
. Même disposition des lames et des apophyses arti
Fig. 13, a et b. — Douzième dorsale, vue par les faces supérieure et
postérieure
. Corps d'égale hauteur à droite et à gauche. Rédu
auche de l'arc apophysaire. Apophyse épineuse déviée à gauche. La vue
postérieure
b de la vertèbre fait bien voir l'inclinaison de
Fig. 14, a et b. —Première lombaire, vue parles faces supérieure et
postérieure
. Corps très légèrement affaissé à gauche. Arc apo
neuse un peu moins déviée à gauche. Inclinaison analogue de la partie
postérieure
de l'os par rapport à sa partie antérieure. Fig
partie antérieure. Fig. 15. — Deuxième lombaire, vue par la partie
postérieure
. Corps un peu plus affaissé à gauche que dans la
l penche à gauche. Fig. 16. — Troisième lombaire, vue par la partie
postérieure
. Corps de même épaisseur à droite et à gauche. Ar
n. Page 399. 1. Première côte. Droite. Abaissée à l'extrémité
postérieure
comme dans la eontbr- Elle s'éloigne très peu de
orme que la première, elle a perdu de sa largeur, avec ses deux tiers
postérieurs
un angle obtus, saillant au bord inférieur. Cet
omme dans l'état normal. est fortement renversé en dedans. Courbure
postérieure
de la côte fort exagérée. Cette côte est moitié m
ieure ; sans torsion; mince, transparente et très fragile à sa partie
postérieure
; élargie, creusée et percée d'un trou dans un po
nquième et septième côtes ; corps renversé en dehors dans sa partie
postérieure
, offrant une trace de la torsion naturelle. Gau
bée, sans torsion ; très grêle et si étroite que, dans ses deux tiers
postérieurs
, elle semble réduite à sa seule gouttière. Vue de
marquée qu'à la septième. Moins courbée que la septième à sa partie
postérieure
, elle décrit en avant une courbe inverse, de sort
avait disparu dans la septième, réparait dans la huitième. Extrémité
postérieure
et col minces et atrophiés. Le corps, très large
longitudinale qui partage cette face l'os, montre comment sa partie
postérieure
a changé de ligure et en deux moitiés, une supéri
n peu plus cintrée en avant, également de forme sigmoïde. L'extrémité
postérieure
se dirige plus en dedans, et la torsion exagérée
auche. Beaucoup plus longue que la droite; presque sans courbure,
postérieure
du corps, moins volumineuse et arrondie en avant,
a direction verti- rieure du corps; épaisse seulement à son extrémité
postérieure
; cale que dans la dixième. Forme sigmoïde exag
sa face interne ; trace de la torsion anormale que présente la partie
postérieure
des dixième et onzième. Si l'on l'approche les
ndant, qui était comprimé, aplati et privé d'air dans toute sa partie
postérieure
. Fig. 3. — Foie assez volumineux, d'une forme t
5. PI.XVIU Pl.XIX PLANCHE DIX-NEUVIEME. Fig. \ et 2. — Région
postérieure
do tronc de M1Ie V..., d'après les bustes en plât
me manière dans des circonstances semblables. Fig. 3 et 4. — Région
postérieure
du tronc de Mlle X..., avant et après le traiteme
des courbures. Pl. XX. PLANCHE VINGTIEME. Fig. 1 et 2. — Région
postérieure
nu tronc de Mlle Y..., avant et après le, traitem
pprochait du terme de sa croissance naturelle. Fig. 3 et k — Région
postérieure
du tronc de MUe Z..., avant et après le traitemen
part, bien entendu, le cas exceptionnel de destruction de la partie
postérieure
de la capsule interne, par un ramollissement ou
eure. La troisième paire, par son voisinage de l'artère cérébrale
postérieure
, paraît tout particulièrement exposée à cet acc
use intense de toute la région lombaire, z fessière et de la partie
postérieure
des jambes. Ce malade est op5-" ' ché depuis un
ersé transversalement le centre médian, elle ne gagne que la partie
postérieure
du noyau latéral; quelques fibres s'épanouissen
si que les cellules latérales placées dans le faisceau longitudinal
postérieur
. Il a cons- taté qu'il y a généralement entre-c
t-à-dire que les fibres radiculaires provenant de la partie la plus
postérieure
du noyau s'en vont à l'a;il du côté opposé aprè
ation du noyau de l'oculomoteur commun une portion reculée (surtout
postérieure
) et une partie rapprochée (surtout antérieure),
ne pauvre en cellules. Dans la pre- mière on rencontrerait le noyau
postérieur
(dorsal) de Gudden. Dans la seconde, qui se rét
es fibres radiculaires qui lui sont destinées viennent de la moitié
postérieure
du segment reculé (postérieur) de ce noyau. Ce
sont destinées viennent de la moitié postérieure du segment reculé (
postérieur
) de ce noyau. Ce serait presque le noyau dorsal
eculé (postérieur) de ce noyau. Ce serait presque le noyau dorsale (
postérieur
) de de Gudden. ' 2° La moitié antérieure du s
rieur) de de Gudden. ' 2° La moitié antérieure du segment reculé (
postérieur
) du même côté fournit les fibres innervant l'ob
ut le côté du noyau homolatéral qui occupe le faisceau longitudinal
postérieur
. Ce sont : la plupart des cellules latérales ;
du premier segment cervical, les deux tiers antérieurs de la corne
postérieure
et sa calotte témoignent de très constantes rel
du même côté. Un peu moins certaine est l'in- fluence de sa partie
postérieure
sur la région du dos du nez et la région maxill
antérieur destiné il la région latérale de l'oeil et un territoire
postérieur
dont la lésion entraîne une anesthésie localisé
itié antérieure de la coupe transverse de la racine. Go Les parties
postérieures
du noyau et la corne dorsale de la demi-lune ra
de structure ainsi des différences entre les cornes antérieures et
postérieures
4ti.91fes et gauches. , Cela ne veut pas dire
ième branche du trijumeau. Quant aux fibres gustatives de la partie
postérieure
de la langue, elles passent d'abord dans le glo
prolongements centraux qui gagnent le cerveau ou la moelle (racines
postérieures
). Le nerf transmet les impressions sensibles au
unes viennent des faiceaux pyramidaux ; 2° les autres, des racines
postérieures
; 3° les dernières prennent naissance dans les
passent à divers endroits dans la substance blanche. Les racines
postérieures
après leur entrée dans la substance de la moell
Là, elles affectent quatre directions. Les unes tendent aux cornes
postérieures
et enlacent la substance de Rolando. Les autres
atérales réflexes). Les quatrièmes s'étendent jusqu'à la commissure
postérieure
; ces dernières, peu développées chez l'homme,
n voit çà et là de petites raies étroites, noires, qui, des cordons
postérieurs
, pénè- trent dans la substance grise ; aussi pe
ans la substance grise ; aussi peu en remarque-t-on dans les cornes
postérieures
ou aux points où elles sortent des cornes antér
aire avec une forte ligature de soie (paralysie complète des pattes
postérieures
), on trouve au bout de quatre jours une dégénér
tre les terminaisons antérieures du cordon pos- térieur et la paroi
postérieure
du canal central de bas en haut. Même résultat
issent la présence de nombreuses fibres dégénérées qui, des cordons
postérieurs
, à côté de la ligne mé- diane, entrent dans la
grise de la moelle entre les terminaisons anté- rieures des cordons
postérieurs
et le canal central appartient au groupe des co
onne de trépan de façon que son bord antérieur soit tangent au bord
postérieur
de la mastoide et que son bord supé- rieur deme
e : dimi- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 69 nution de volume des racines
postérieures
; les collatérales réflexo- motrices sont plus s
térieures (sans prolifération interstitielle comme pour les racines
postérieures
). Corne antérieure diminuée du tiers envi- ron
correspondante à celle de la coloune de Clarke. Atrophie du cordon
postérieur
droit : la zone postérieure est la plus altérée
coloune de Clarke. Atrophie du cordon postérieur droit : la zone
postérieure
est la plus altérée. Il existe une lésion bilatér
e, qui occupait tout le long de- l'artère basilaire. Dans la partie
postérieure
de la tumeur entrent les deux artères vertébral
ance grise de la moelle, ayant intéressé les cornes 'antérieures et
postérieures
d'une façon inégale des deux côtés. L'hématomyé
celte anasthésie s'étend aux deux jambes, à l'exclusion de la face
postérieure
des cuisses et de la face externe des jambes (z
urée du tissu névro- glique hyperplasié, se cantonne dans le cordon
postérieur
du côté gauche. On découvre en outre une autre
, laquelle s'étend même plus bas sous forme de tache dans le cordon
postérieur
. Les deux cavités n'ont pas de revêtement endot
ikowski; Troubles trophiques consé- cutifs à la section des racines
postérieures
médullaires, par J.-P. Morat ; De l'influence d
tissu cellulaire, revêtu du péri- toine sur ses faces antérieure et
postérieure
et sur son bord supé- rieur libre. Cet organe o
médullaires consistaient en une dégénérescence complète des cordons
postérieurs
dans toute leur longueur et au niveau de la rég
gion lombaire et dorsale en un foyer de dégénérescence de la partie
postérieure
du cordon latéral gauche. Dans le second cas,
granuleuse des voies pyramidales qui se continuait dans les cordons
postérieurs
jusqu'au niveau de la région dorsale de la moel
hro- nique atrophique du cerveau, avec dégénérescence des cordons
postérieurs
, une altération du noyau de l'hypoglosse, l'altér
stèrent toujours impossibles. A l'autopsie on constata que le tiers
postérieur
de la temporale supérieure était lésé et que la
conservé une corticalité et des systèmes d'association supérieurs,
postérieurs
et inférieurs nor- maux. 222 REVUE d'anatomie
le plus d'ana- logie dans les deux maladies, en effet, les cordons,
postérieurs
de la moelle sont sclérosés, dans les deux, la
moelle est de volume normal et la sclérose est limitée aux cordons
postérieurs
et aux racines pos- térieures. Dans la maladie
ns pyramidaux croisés ; dans quelques cas mêmes, les racines grises
postérieures
sont touchées. La sclérose peut même s'étendre
e; et comme ces derniers l'ont aussi montré la sclérose des cordons
postérieurs
est très différente de celle que l'on trouve da
. Celle sclérose particulière ne se reiiconlie que dans les cordons
postérieurs
. Oe ne sait pas encore si les faisceaux pyramid
s de dégénéres- cence de la substance blanche, Cellules de la corne
postérieure
intactes. Les cellules de la corne antérieure é
et demi et 15 millimètres d'avant en arrière (fig 6). La fontanelle
postérieure
est fermée. La suture interpariétale est moyenn
ntre de ramollissement. FI est presque indemne, surtout à sa partie
postérieure
. La scissure de Sylvius bien accusée est béante
on atrophique est surtout intense au niveau du pli courbe. Le tiers
postérieur
du lobe temporal et le tiers antérieur du lobe
atrophiée de 3 centimètres de largeur. T' est atrophiée sur ses 2/3
postérieurs
. Le reste du lobe temporal n'est pas trop altér
Burdach est aussi envahi, ainsi que la zone de Lissauer et la corne
postérieure
. A la région cervicale, le processus destructif
leux très petits et égaux ; aspect scléreux. Tubercule quadrijumeau
postérieur
gauche réduit de volume. Cellules bien conformé
Cellules bien conformées mais raréfiées. Sclérose nette à la région
postérieure
des deux lobes. Noyau rouge droit légèrement pl
à direction ascendante et descendante qui passent dans les cordons
postérieurs
, un grand nombre de fins ramuscules ou branches
e devant lesquelles il passe, durant son long pat cours des racines
postérieures
aux noyaux des cordons postérieurs. Le pro- lon
son long pat cours des racines postérieures aux noyaux des cordons
postérieurs
. Le pro- longement nerveux des cellules mitrale
atérales sensitives qui subissent la décussation dans la commissure
postérieure
, non seulement suffisent à assurer la transmiss
rès coloration par la méthode de Wei,ert-Pal, dans les deux cordons
postérieurs
, une zone pâle à forme triangulaire dont la bas
base est dirigée vers la périphérie et le sommet vers la commissure
postérieure
. La pâleur de cette zone relève d'une part de l
e : dans la région cervicale, elle parait double dans chaque cordon
postérieur
. Cette dégénérescence des cordons postérieurs r
ble dans chaque cordon postérieur. Cette dégénérescence des cordons
postérieurs
rappelle, dans son aspect général, la dégénérat
, la dégénération ascendante consécutive à la sec- tion des racines
postérieures
, envisagée au-dessus de la racine sectionnée.
ultanément sur les cordons blancs, particulièrement sur les cordons
postérieurs
, et sur la substance grise, spécialement sur le
s diverses à propos du trajet dans la moelle des fibres des racines
postérieures
, et les expériences faites dans ce sens par les
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 1° Par la section des racines
postérieures
on obtient une dégéné- rescence ascendante et d
a de déérescetice ni dans la zone radiculaire antérieure du cordon
postérieur
, ni du côté opposé, ni en d'autres points de la
la lésion. Au-dessus, elles se rencontrent surtout dans les cordons
postérieurs
et dans la partie des cordons antéro-latéraux q
position des diverses fibres dégénérées aussi bien dans les cordons
postérieurs
que dans les cordons antéro-latéraux, semble in
faisceaux fondamentaux antérieurs et latéraux, tandis que la partie
postérieure
de la zone forme contraste avec la partie antér
on dégénéré se trouve immédiatement à la partie externe de la corue
postérieure
et s'étend de sa base presque jusqu'à l'extrémi
érieurement dans l'angle qui sépare la corne antérieure de la corne
postérieure
. Il parait donc que la zone limitante latérale
ts très intéressants. En effet, tandis que les cellules des cordons
postérieurs
et des ganglions interverté- braux ne présentai
ité. Jamais on n'observa de phénomènes de compression des racines
postérieures
. Autopsie : Angio-sarcome psammateux de la dure
tze est probablement composée des branches descendantes des racines
postérieures
; 4° la prolongation des faisceaux fondamentaux
ème dorsale ; dans le sens transversal, depuis le sillon collatéral
postérieur
gauche jusqu'au sillon collatéral antérieur dro
e de la tumeur; deuxième dor- sale légèrement atteinte. Les racines
postérieures
gauches correspon- tlantes sont légèrement soul
soulevées sans être déviées notablement. Les racines antérieures ou
postérieures
du coté droit ne sontpas atteintes par la tumeu
Parésie : rond pronateur, carré pronateur ( ? ), radiaux, cubital
postérieur
. 1 Intégrité : long supinateur, biceps, brachia
douzième dorsales. La dure-mère est sectionnée le long de sa face
postérieure
sur la ligne médiane. Jusqu'à la quatrième cerv
sente un aspect normal. Au-dessous de la quatrième racine cervicale
postérieure
gauche commence à apparaître une masse néoplasi
compris entre les première et deuxième dorsales. Vue par la face
postérieure
de la moelle, elle est tout entière située sur
blement. La tumeur ne dépasse pas latéralement le sillon collatéral
postérieur
. Entre les deux sillons collatéraux postérieurs
le sillon collatéral postérieur. Entre les deux sillons collatéraux
postérieurs
, sur une étendue de quatre à cinq centimètres,
, ligue en -1- + (représentant les limites de la tumeur sur la face
postérieure
. 444 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. le chapeau recouv
s toujours bien visibles et bien séparées, les cornes antérieure et
postérieure
de droite s'enroulant, sous forme de grosse vir
a montré des fibres dégénérées dans tout Le territoire des cordons
postérieurs
et assez uniformément, sans prédominance marqué
de la moelle, que par conséquent ni les racines antérieures, ni les
postérieures
n'étaient sérieusement atteintes dans leur traj
troubles de la sensibilité. b). Dans la méningo-myélite les cordons
postérieurs
sont atteints d'une façon précoce, il y a quelq
Toutes les sensations sont apportées à la moelle par les racines
postérieures
. On peut les diviser en deux groupes : 1° sensa
hyperesthésie par de l'anesthésie. b). La simple piqûre d'un cordon
postérieur
peut produire le syndrome de Brown-Séquard. - c
produire le syndrome de Brown-Séquard. - c). La section des racines
postérieures
arrivant à la partie supérieure de la moelle do
les suivent les fibres radiculaires moyennes et longues des cordons
postérieurs
: la section de ceux-ci amène entre autres symp
s pos- térieurs nous montre que ces dernières suivent ces cordons
postérieurs
=. Notre observation vient pleinement confirmer
ec l'intégrité relative, V excitation probablement même des cordons
postérieurs
. Dans notre observation ceux-ci paraissaient en
myélite cen- trale, etc..) ; les sensations tactiles vont au cordon
postérieur
(sections de ceux-ci (Sciiiir) tout en restant
is- sant d'avant en arrière, respectant plus ou moins les cordons
postérieurs
, dans notre cas par exemple. La seconde indique
o-spinale par deux sec- tions transversales, et excitant une racine
postérieure
a vu la pupille se dilater. Tels sont les pri
et s'expliquaient bien d'ailleurs par la compres- sion des racines
postérieures
, constatée à l'autopsie. - Au point de vue anat
s'appliquer directement les fibres de la bande- lette longitudinale
postérieure
, de telle sorte que la handeiette longitudinale
udinale postérieure, de telle sorte que la handeiette longitudinale
postérieure
parait traverser la partie externe du noyau. En
ieure du noyau principal, s'entrecroisent et constituent les fibres
postérieures
du moteur commun. Il est hors de conteste qu'une
l est hors de conteste qu'une partie de la bandelette longitudinale
postérieure
se perd dans le noyau du moteur commun. Le rest
er son origine dans un noyau situé dans la bandelette longitudinale
postérieure
, que certain. ! auteurs rat- tachent au moteur
eliés par des fibres qui traversaient la bande- lette longitudinale
postérieure
. En tout cas, du noyau du moteur externe parlen
z grand nombre de libres qui traversent la bandelette longitudinale
postérieure
, s'entrecroisent et atteignent la bandelette du
la pariétale ascendante, qui, 'peut-être, intéresse aussi la partie
postérieure
contigué du lobe pariétal, notamment du lobule pa
auteur, des racines de la cinquième paire, du faisceau longitudinal
postérieur
, on observe nettement comment les fibres dégéné
circonvolution du corps calleux. Un foyer occupant l'écorce du bord
postérieur
de la pre- mière frontale, s'il empiète seuleme
sont déjà, à leur origine, pourvues de myéline, tandis que le bras
postérieur
des tubercules quadrijumeaux ne contient que tr
és, une large raie contigue au cordon de Goll, qui, à la périphérie
postérieure
, s'infléchit en dehors et occupe le bord. Mais,
ne du cordon de 13urdacli; au niveau du quart antérieur des cordons
postérieurs
, cette zone disparaît. Le faisceau du cordon la
lement assigné Hoche. A la hauteur des olives accessoires dorsales (
postérieures
), dans la partie qui correspond à leur segment
ur le bord externe et occupent, pour la plupart, le segment le plus
postérieur
du ruban de Reil latéral des auteurs ; cet appoin
atomiquement précisé, soit d'un prolongement central ou radiculaire
postérieur
, myélite expliquant les noevi sériés, symé- tri
ent le siège de la lésion. Lorsque la lésion est située à la partie
postérieure
de la zone motrice, l'aura sensitive précède le
oral, étaient au nombre de trois : 1° Nerfs phréaétiques; 2° Cordon
postérieur
de la moelle; 3° Rétine (anatomie et physiologi
, rigidité cadavérique prononcée; eschares très étendues de la face
postérieure
du corps : au niveau de la 7e vertèbre cervi- c
notre cas, la localisation des lésions de ramollissement au tiers
postérieur
des circonvolutions frontales et à la frontale as
mesure qu'on s'éloigne de cette limite pour se rapprocher des lobes
postérieurs
cette zone, jusque-là encore sensitivo-motrice,
à une hémianesthésie d'origine corticale. Or, on a vu que la partie
postérieure
de la capsule interne (carrefour sensitif de Ch
diri- geant en bas et en dedans, a son sommet tronqué au segment
postérieur
de la capsule interne (zone 2,olai ? dique de Cha
hi la presque totalité du système artériel : les artères cérébrales
postérieures
, vertébrales, basilaire, ra- diales, etc., sont
e d'Ammon, l'ergot de Morand, sont sains. Le tubercule quadrijumeau
postérieur
droit est le siège d'un petit ilôt scléreux, du
se fut-il pas produit, alors que le tronc basilaire et la cérébrale
postérieure
étaient, comme les autres artères, le siège d'o
commissurales : corps calleux, commissures blanches (antérieure et
postérieure
), commissure grise, etc... Pour le corps calleu
anguin de 3 cen- timètres de long; dégénérescence grise des cordons
postérieurs
. REVUE DE pathologie nerveuse. 77 Atteinte in
77 Atteinte indiscutable des vaisseaux qui irriguent les cordons
postérieurs
, soit dans les segments scléreux, soit dans les s
liomyélite antérieure subaiguë avec quelques altérations des cornes
postérieures
ou des faisceaux radiculaires postérieurs. P. K
s altérations des cornes postérieures ou des faisceaux radiculaires
postérieurs
. P. K. 78 revue DE pathologie nerveuse. III.
troubles de la sensibilité cutanée émanent de lésions de la partie
postérieure
de la capsule interne. L'hé mi anesthésie, y com-
e l'écorce; 3° Quand il existe en même temps une lésion des cordons
postérieurs
, et en particulier des zones radiculaires posté
n des cordons postérieurs, et en particulier des zones radiculaires
postérieures
, les symptômes spas- modiques ne se peuvent dév
n avoir gardé aucune trace constitutionnelle. A son entrée, qui est
postérieure
de onze jours au déhut de la maiadie,tieatto([u
il se compose, à son tour, de deux ganglions : un ganglion ventral
postérieur
, un ganglion dorsal antérieur. Le ganglion ven-
. Le ganglion ven- Archives, t. XL 7 98 SOCIÉTÉS SAVANTES. Irai
postérieur
dépend du faisceau deVicqd'Azyr, il disparait ave
; de là l'atrophie partielle du nerf lui-même. Le ganglion ventral
postérieur
meurt après le faisceau de Vicq d'Azyr correspo
tral entre le ganglion latéral de son côté et le ganglion ventral
postérieur
de l'autre côté ; il est comprimé et demeure en r
couche optique situéen avant et au-dessus du point où la commissure
postérieure
pénètre dans la couche optique) au ganglion int
s à côté du raphé, sur la face ventrale de» faisceaux longitudinaux
postérieurs
. Dans la même région, mais sur le dos du faisce
rs. Dans la même région, mais sur le dos du faisceau longitudinal
postérieur
, il y a deux ganglions volumineux dont les connex
ale du ganglion qui occupe le plan ventral du faisceau longitudinal
postérieur
. (Voyez supra l'atrophie par compression de la
er son nom au ganglion situé sur le ventre du faisceau longitudinal
postérieur
; le faisceau de la calotte, dont le commenceme
eurs du trigone, ils se composent de trois faisceaux : un inférieur(
postérieur
) entrecroisé ; un latéral nonen- trecroisé; un
dien, en lame, à la convexité des lobes occipitaux et de la portion
postérieure
du lobe pariétal droit; il s'étend à une grande
le est exclusivement comprise dans la partie antérieure des cordons
postérieurs
et la commissure grise ; sa configuration est i
a configuration est irrégulière, si bien que l'extrémité des cornes
postérieures
lui est, par places, contiguë, et, qu'en d'autres
, qu'en d'autres endroits, la cavité pénètre entre les deux cordons
postérieurs
. On y trouve en plusieurs points une gaine rési
à peu prés à 20 centimètres au-dessus du cône médullaire, la corne
postérieure
envoie immédiatement après son origine un long
rolongement conique en dedans et en arrière, jusqu'au sillon médian
postérieur
. Entre ce prolongement et la commissure grise,
dessus du cône spinal, la substance blanche des cordons latéraux et
postérieurs
est parsemée de taches très nombreuses, transpa
point de la coupe que la cavité, c'est-à-dire la pointe des cordons
postérieurs
. L'auteur fait passer sous les yeux de l'assist
unilatéral, une lois un rétrécissement bilatéral des trous déchirés
postérieurs
. Rép. : Ce rétrécissement est défavorable aux v
85. M. Meynert montre, sur une série de coupes verticales antéro-
postérieures
pratiquées à travers le cerveau du chevreuil et d
question), en montrant que la lésion, systématisée dans les cordons
postérieurs
, ne l'est pas dans les cordons latéraux et que,
dique, il dit' quant aux cas compliqués des symptômes de sclérose
postérieure
, sur lesquels Berger vient d'attirer l'at- tent
ces cas une sclérose simultanée des cordons latéraux et des cordons
postérieurs
. Cela a été observé (notamment dans la dernière
lle (cordons pyramidaux, cérébelleux, de Goll et zones radiculaires
postérieures
). A la même période appartiennent encore l'obse
omplètement systématisée qu'avec celle d'une sclérose des faisceaux
postérieurs
; mais les autres symptômes et la marche de l'af
tent su- perposés (au moins en partie) les symptômes de la lésion
postérieure
et les symptômes de la lésion laté- rale. La
n postérieure et les symptômes de la lésion laté- rale. La lésion
postérieure
semble s'arrêter au-dessous du renflement brach
anatomie pathologique confirmera) une lésion simultanée des cordons
postérieurs
et des cordons latéraux. (A suivre). 176 PATH
s connaissances, par une lésion du chiasma, de ses bords antérieur,
postérieur
ou latéraux. La dernière variété, d'après l'éta
re ; il n'existe pas de fibres de cet ordre. Quant à son fais- ceau
postérieur
, on sait maintenant, depuis les expériences de
nouillés latéraux et les lobes optiques (tubercules quadri- jumeaux
postérieurs
) sont intimes, mais chez l'homme, il est probab
le chiasma dans ses bords anté- 180 PATHOLOGIE NERVEUSE. rieur ou
postérieur
produira l'hémianopsie temporale dans les deux
e devant l'ueil gauche. Mort en juillet 1879. Autopsie. L'extrémité
postérieure
de l'hémisphère droit était de 5 centimètres pl
tait que peu lésée. Il n'y avait pas de communication avec la corne
postérieure
du ventricule. La hauteur de ce foyer était de
pendant la vie avait été : embolie de l'artère irriguant la partie
postérieure
delà couche optique droite. Observation 29. (
Mondiagnostic était : Embolie de la branche de l'artère cérébrale
postérieure
irriguant la face postéro-interne du lobe occipit
oduit par une embolie de la troisième branche de l'artère cérébrale
postérieure
, artère occipitale de Duret. Les objections q
substance blanche du lobe occipital, au niveau des fibres les plus
postérieures
de la capsule interne, peut produire l'hémianop
la capsule interne, est situé en haut et sur les côtés de la corne
postérieure
du ventricule latéral et au-dessous du lobule p
rnant les effets de la lésion de la capsule interne à son extrémité
postérieure
avec les résultats bien établis des lésions des
i, qui montrent qu'au moins chez les chiens la section de la partie
postérieure
de la capsule interne produit l'hémia- nopsie r
faisceau optique de Gratiolet dans la capsule interne. C.P., Corne
postérieure
. CI- A - région du gyrns ziiigtil.i iç. - 1,. 0.
n de la partie postéro-latérale de la couche optique ou du faisceau
postérieur
de division de la capsule interne. 4. L'hémia
Trajet du faisceau grêle. Il prend part à la formation des cordons
postérieurs
d'une façon plus saillante que le faisceau cunéif
pe transverse montre en particulier que les cordons antérieurs et
postérieurs
droits sont excessivement réduits ; du cordon lat
il ne reste qu'une petite portion entre les cornes antérieure et
postérieure
; dans la corne antérieure droite, les cellules ne
sensible. La face antérieure du tronc est plus sensible que la face
postérieure
; les extrémités supé- rieures le sont plus que
de ce nerf atteinte par propagation de la dégénérescence du cordon
postérieur
du même côté. Pas d'autopsie. P. K. XIX. SUR
rophie simple, mais générale des nerfs optiques. Lésion des cordons
postérieurs
sous forme d'une étroite bande longeant les cor
dons postérieurs sous forme d'une étroite bande longeant les cornes
postérieures
, depuis la moelle cervicale jusqu'à la partie m
quantité de liquide; méninges troubles, notamment dans les parties
postérieures
. Poids du cer- veaux 730; hémisphères égaux; in
qui d'ailleurs ne sont que rare- ment utilisées. Les deux pavillons
postérieurs
(D-E)'sont moitié moins grands ; ils sont attri
rattacher à la lésion du crâne et de son contenu le trouble mental,
postérieur
à elle, parce qu'il faut tenir compte de la tar
titielle du tissu conjonctif qui accompagne les artères des cordons
postérieurs
. L'autre ré- sulte d'une lésion primitive des f
iquement, des dégénérescences extrêmement diffuses dans les cordons
postérieurs
. On peut regarder comme les cas les plus favora
proche la cuisse du ventre sans oser rapprocher sa jambe de la face
postérieure
de la cuisse parce que la tension des muscles c
entique, intégrité d'un segment situé en arrière de la com- missure
postérieure
, d'un territoire parallèle à la corne pos- téri
èle à la corne pos- térieure. d'une bande adjacente à la périphérie
postérieure
. Au point de vue clinique, dans trois observati
'atrophie des nerfs optiques etjla dégénérescence grise des cordons
postérieurs
. Il faut principalement tenir compte des cas da
, sinon tous, reçoivent d'autres tractus du faisceau longi- tudinal
postérieur
. Jusqu'au septième mois de l'époque foetale, ce
ne direction latérale et inférieure); avec le faisceau longitudinal
postérieur
,ainsi qu'avec des fibres issues de la substance
entrecroisée; très mince, elle se dirige dans les couches les plus
postérieures
et les plus supérieures du ruban de Reil. Stil-
aladie : neuf mois environ. Diagnostic clinique. Lésion des cordons
postérieurs
consécutive à la diphthérie ; dégé- nérescence
de tubes présentant les attributs de la régénération. Les racines
postérieures
des troisième, sixième, septième ganglions cerv
52 PATHOLOGIE NERVEUSE. grité. Les racines spinales, antérieures et
postérieures
, les différents nerfs périphériques examinés mo
ion un peu plus détaillée. Quand une irritation entre par la racine
postérieure
dans la moelle, elle peut prendre deux directio
rouperons en deux catégories : d'abord, les symptômes dé sclérose
postérieure
(tabes ataxique ordinaire), ensuite ceux de scl
iale dans une question de cet ordre. I. Dans les symptômes du tabes
postérieur
, nous envisagerons successivement : l'incoordin
us qu'une seule observation qui ne présente aucun symptôme de tabes
postérieur
, c'est le n° 20. Or, sous ce numéro, est mentio
cas réunis dans nos tableaux, on a noté quelque phénomène de tabes
postérieur
, ordinaire ou ataxique. On remarquera que nous
dire, le domaine des cordons latéraux et le domaine des cor- dons
postérieurs
étaient distincts, séparés, mais non contradict
forme limité à la substance blanche périépendymaire du prolongement
postérieur
du ventri- cule latéral. Les centres gris parai
rophié. Il pèse 650 gr. Plaques laiteuses sur la face antérieure et
postérieure
de l'organe. Insuffisance mitrale. Sclérose car
ment de la substance blanche nerveuse entourant le prolonge- ment
postérieur
du ventricule latéral droit. Père mort à soixan
s opto-striés sont également envahis par l'hémorrhagle,. DES CORNES
POSTÉRIEURES
OCCIPITALES. 417 de même que la capsule interne
ns les nouvelles Archives, t. XI. 27 418 RECUEIL DE FAITS. CORNES
POSTÉRIEURES
OCCIPITALES. autopsies de sujets morts d'affect
ées de substance blanche ner- veuse qui entourent les prolongements
postérieurs
des ventri- cules latéraux. -L'expérience dém
nci- palement la première frontale de chaque côté : son extrémité
postérieure
touche, mais sans l'envahir, la commissure et les
tre, ces artères pré- senteutles anomalies suivantes : la cérébrale
postérieure
droite est fournie par la carotide interne ; du
rampe autour du pédoncule, puis une petite branche commu- niquante
postérieure
qui rejoint en avant la cérébrale postérieure d
anche commu- niquante postérieure qui rejoint en avant la cérébrale
postérieure
droite. A gauche les artères fournies par le tr
ormales quant à leur origine et à leur distribution. La céré- brale
postérieure
droite se divise près de son origine carotidienne
giocéphalie. Fontanelles oblitérées ; zone transparente à la partie
postérieure
des deux pariétaux. Deux zones transparentes à
tiers antérieur, sont le siège d'adhérences pie-mériennes. Le tiers
postérieur
et le pli de passage avec la frontale ascendant
loppés.- FA est divisée en trois sections par des sillons antéro-
postérieurs
; seul le tiers inférieur paraît bien développé.
au de leur jonction au lobe temporal et à la partie supé- rieure et
postérieure
de la scissure de Sylvius. F2 offre aussi quelq
us et une ligne d'adhérences pie-mériennes s'étendant de la branche
postérieure
de cette scissure au cuneus. Le lobule de l'ins
un peu boursouflé, orifice très-petit, en forme de fente antéro-
postérieure
. Pourtour de l'anus fortement pigmenté. Membres
as- sant au-dessous des bandelettes optiques et gagnant la partie
postérieure
des circonvolutions frontales de la face inférieu
ns frontales de la face inférieure. La surface recouvre : la partie
postérieure
et inférieure de la 3e frontale, la portion tra
hie notable de la circonvolu- tion du corps calleux et de la partie
postérieure
de la cir- convolution de l'hippocampe. Hémis
adhérences pie-mériennes avec atrophie se prolongeant sur la partie
postérieure
et inférieure de la circonvolution de l'hip- po
droit nous notons une sclérose atrophique considérable de la moitié
postérieure
de la première circonvolution frontale, de la p
cette lésion est moins intense que les précédentes. La partie toute
postérieure
du lobe occi- pital semble saine. La circonvolu
qui termine cette circonvolution et la fait communiquer à la partie
postérieure
de l'avant-coin, semble sain et non atrophié.
ent frappés de paralysie. La lésion bilatérale de la partie toute
postérieure
du lobule paracentral nous parait mériter une m
es de Sherrington (de Londres). D'après cet auteur, la partie toute
postérieure
du lo- bule paracentral, chez le chat, serait l
ce point, des deux' côtés, une atrophie de la région tout-à-fait
postérieure
du lobule paracentral. Nous signalons cette coï
bords de coaptation. La sagi,ttale affecte une direction antéro-
postérieure
régulière. La partie correspondant au bregma n'
es. Cheveux courts, rugueux, assez épais, châtain foncé. Tourbillon
postérieur
légèrement dévié à gauche. Front bas, fuyant, s
veau. 63 sula, qui est volumineux. - Les sillons frontaux anléro-
postérieurs
prennent très-nettement de la scissure rolan- d
eur et la face interne du lobe occipital; sur la partie tout-à-fait
postérieure
de la circonvo- lution du corps calleux. - La s
Thorax. Poumon gauche (140 gr.) un peu congestionné. Sur la partie
postérieure
du lobe inférieur, on trouve une cicatrice bleu
e des dentelures plus accentuées surtout à partir de ses deux tiers
postérieurs
. - En arrière de la suture fronto-pariétale exi
rconvolution est mince et nettement 'atrophiée, surtout à sa partie
postérieure
. Les deux tiers postérieurs de FI et F2 sont sa
ttement 'atrophiée, surtout à sa partie postérieure. Les deux tiers
postérieurs
de FI et F2 sont sains et bien développés. - Le
ormale. Lobule paracentral chagriné et atrophié surtout à sa partie
postérieure
. - L'avant-coin et le coin présentent la même l
omoplates et au niveau des lombes. L'enfant porte sur les parties
postérieures
et latérales du thorax une dizaine de cicatrice
en opposition, la première phalange pouvant être placée en luxation
postérieure
sur le métacarpien et la deuxième en luxation p
luxation postérieure sur le métacarpien et la deuxième en luxation
postérieure
sur la première. Membre supérieur gauche dans l
iane. L'antérieure est éloignée de 4 centimètres de la coronale, la
postérieure
d'un centimètre de la lambdoïde. La suture lamb
eux châtains; tourbillon sur la ligne médiane, à l'union de la face
postérieure
et de la face supérieure du crâne. - Le front e
sommet est sain, de même que les languettes anté- rieures. Le bord
postérieur
est rouge foncé à la coupe, on tombe sur un par
it est ouvert dans toute son étendue, jusque dans ses prolongements
postérieurs
. Le porus de Roc... ne mesure pas moins de 70 m
édiane et la partie inférieure gauche de la suture méto- pique ; le
postérieur
, long d'environ 5 centimètres, remonte obliquem
tie gauche de la tête, on remarque une cicatrice linéaire antéro-
postérieure
où les cheveux manquent et qui s'étend parallèle-
nombreuses plaques d'alo- pécie dues au tricophyton. Le tourbillon
postérieur
est régu- lier et situé sur la ligne médiane.
ariétal. Elle forme avec la suture sagittale un angle, aigu à sinus
postérieur
de25° environ. Cette brèche est en voie de répa
re a l'air maladif. Ses cheveux sont ternes, laineux, le tourbillon
postérieur
est irrégulier. Le crâne, asymétrique, offre un
ite DE l'hémisphère droit. 141 le maximum de la lésion est au tiers
postérieur
de F3. - FA est considérablement sclérosée, ell
endue, surtout à son tiers supérieur. Le tobe pariétal et la partie
postérieure
du lobe temporal présentent une lésion toute pa
s. surtout au niveau du pli courbe. 11 en est de même à la partie
postérieure
de TI et de T2. - Le lobule de l'insula est très
sion linéaire osseuse de 10 centimètres de long dans le sens antéro
postérieur
: c'est la trace de la craniectomie. Une second
émité supérieure aboutit à 2 centimètres de la sagittale. La brèche
postérieure
a les mêmes dimensions que la précédente. Paral
des plis pariétaux. - Sur le lobe frontal, nous notons à la partie
postérieure
des deux circonvolutions frontales une série de
s de passage, distants de 3 à 4 millimètres. La partie tout-il-fait
postérieure
de la première temporale est chagrinée et grêle
es ilôts tuberculeux sont surtout nombreux au sommet et à la partie
postérieure
du lobe moyen. Pou- mon gauche (530 gr.). Lésio
On constate aussi des zones transparentes mais diffuses à la région
postérieure
des pariétaux surtout au niveau du lambda. La b
coupe un pus verdâtre et bien lié. Congestion assez intense du bord
postérieur
du poumon droit ; filaments fibrineux en train
réguliè- DESCRIPTION DE la malade. 177 rement, avec un tourbillon
postérieur
régulier. Crâne volumineux, presque trigonocéph
e. - Colonne vertébrale présentant une courbure dorsale a concavité
postérieure
légère. Il existe au contraire dans la région l
xiste au contraire dans la région lombaire une courbure à convexité
postérieure
. - Poumons : sonorité normale. Quelques râles s
r les faces convexe et interne, principalement sur leurs deux tiers
postérieurs
. A la base, la vascularisation est légère. Le
ie antérieure des temporaux et un millimètre sur celle de la partie
postérieure
; sur le trou - tal,3a.imd. 11ÉNINGO-ENGÉPHAL
Thorax. - Poumons : gauche (85 gr.), très congestionné sur son bord
postérieur
; droit (72 gr.). Le sommet est un peu oedémate
tionné que le gauche et présente, à la partie moyenne de son bord
postérieur
, un tubercule assez consistant, de la grosseur
202 Description DU malade. régulièrement implantés, avec tourbillon
postérieur
un peu à droite delà ligne médiane. Veinosités
tés. Un tourbillon à droite de la ligna médiane à l'union des faces
postérieure
et supé- rieure du crâne. Impétigo sur la face.
Le lobe supérieur est sain. La partie la plus déclive de la face
postérieure
du lobe inférieur est occupée par des foyers de
lit FI est très atrophiée, blanche 'et indurée dans toute sa imitii
postérieure
; toute la partie correspondante de la circonvol
ution du corps calleux est blanche, atrophiée et indurée. La partie
postérieure
de FI, sur la face interne de l'hémisphère, et
heveux châtains, abondants, avan- çant sur les tempes, à tourbillon
postérieur
, situé àgauche de la ligne médiane. Tête volumi
iligne pendant un centimètre environ, puis durant ses 3 centimètres
postérieurs
forme des dentelures qui gagnent le lambda en a
. - On ne trouve qu'un foyer de sclérose assez accentué à la partie
postérieure
du lobule paracentral et à la région antérieure
atteint les téguments qui recouvrent le trochanter, gagne la partie
postérieure
du bassin, et, par cette voie, et par le périné
a un paquet d'adhérences à l'extrémité antérieure et à l'extrémité
postérieure
du lobe temporal gauche. Les nerfs olfactifs so
selé. Les kystes sont transparents. L'antérieur est bleu- âtre ; le
postérieur
, légèrement citrin. Le petit mamelon du kyste a
cule correspondant, à l'extrémité supérieure de FA et à la partie
postérieure
de F et Fez. F3 est sinueuse et assez bien dévie-
près égales : une antérieure et inférieure, l'autre supé- rieure et
postérieure
. De ces deux parties, la première assez bien co
us profonde, au devant du sillon de Rolando, correspond à la partie
postérieure
du lobe frontal auquel elle donne l'aspect part
corps strié et la couche optique sont aplatis surtout à leur partie
postérieure
. Une membrane épaisse et blanchâtre les recouvr
n cul de sac supérieur. Le cul de sac antérieur est peu profond, le
postérieur
a 4 cen- timètres 1/2 environ de profondeur. De
mineuses. Oreilles longues et larges, écartées du crâne à la partie
postérieure
. L'ourlet n'est pas très bien conformé Fig. 20.
ssent l'une au niveau du bregma, l'autre au niveau de la fontanelle
postérieure
. La cicatrice étant complètement fermée, on sup
ûte palatine offrant une prédominance notable du diamètre antéro-
postérieur
. Voile et piliers symétriques et bien mobiles. Ch
étal gauche se trouve une perte de substance à direction aiitéro-
postérieure
, parallèle à la suture inter-pariétale et à 22 mi
ntimè- tres, il existe sept os wormiens répondant à la fontanelle
postérieure
. Entre ces os wormiens, qui se retrouvent sur la
constate aussi des zones transparentes, mais diffuses, à la région-
postérieure
des pariétaux, surtout au niveau du lambda (Fig
ent encore sur les pariétaux et sont surtout nombreuses à la région
postérieure
et inférieure. Les traces des vaisseaux méningé
ariétal. Elle forme avec la suture sagittale un angle aigu, à sinus
postérieur
de 25° environ. Cette brèche est en voie de rép
Tenta- tivespourmordreses (l'ères etsoeurs. - Balancementantéro-
postérieur
du tronc. - Préhension défectueuse : ne se sert
érébrale; d'autres fois on a soup- çonné une altération du faisceau
postérieur
du segment posté- rieur de la capsule interne;
thésie des régions ano-génitales et de la partie moyenne de la face
postérieure
de la cuisse ainsi que de la partie inférieure
nts : 1° la rectitude de la colonne vertébrale ; 2° la conformation
postérieure
du thorax ; 3° l'horizontalité des épaules. Les
lui, exige d'être bien fixé. Quand on regarde le thorax par sa face
postérieure
, on voit qu'il est recouvert en haut par le sca
ois une recti- tude parfaite du rachis, une conformation thoracique
postérieure
semblable des deux côtés, et les épaules exacte
ournée à gauche. On cons- tate aussi que la conformation thoracique
postérieure
n'est symé- trique que chez un seul sujet, et q
ent à la faiblesse des muscles fessiers et des muscles de la région
postérieure
de la cuisse, muscles qui sont les extenseurs du
urs processus anatomiques distincts, telle une sclérose des cordons
postérieurs
tabétique type avec de l'endartérite ou de la m
nant d'une certaine déchéance des fibres nerveuses dans les racines
postérieures
lombaires et sacrées; intégrité des racines ant
des ganglions spinaux étaient normales, de même celles de la corne
postérieure
. Les noyaux des cellules du bulbe étaient eux a
che, SfKGER. Le sujet de l'épreuve écrite était le suivant : Cordon
postérieur
de la moelle.- Les questions restées dans l'urn
rdre de mérite : MM. Toy, Roux, DoDERO. La question écrite : Cordon
postérieur
de la moelle. Question orale : Signes et diagno
cette étude sur le trajet des faisceaux endogènes dans les cordons
postérieurs
à fournir une interprétation, pas absolument ne
896. DES FIBRES ENDOGÈNES DE LA MOELLE. 83 , pression des racines
postérieures
lombo-sacrées par un carci- nome, les cordons p
racines postérieures lombo-sacrées par un carci- nome, les cordons
postérieurs
sont représentés dégénérés dans toute leur éten
chez l'adulte de filets radiculaires descen- dants dans les cordons
postérieurs
. Existent-ils réellement ? et si leur présence
ne les retrouve-t-on pas dégénérés dans tous les cas où les racines
postérieures
sont lésées ? Tel est le point sur lequel les a
Kôlliker1, Ramon y Cajal 2, van Gehuchten 3 décrivent aux racines
postérieures
deux branches, une ascendante, l'autre descenda
ation descendante dans la moelle à la suite de sections des racines
postérieures
. Au contraire, Odi et Rossi s, Bordez ? Marines
n des élé- ments nerveux. III. Examen histologique. Les racines
postérieures
ont été coupées isolément, colorées à l'acide o
er chez un adulte l'existence d'nne branche descendante des racines
postérieures
. 7 Dufour. - Thèse Paris, 1896. 8 Dufour. Bul
inférieure, nous n'avons représenté en pointillé dans les cordons
postérieurs
que les parties qui sont restées saines, toutes
du septum pos- térieur et cela dans ses deux moitiés antérieure et
postérieure
. La zone postérieure n'est autre que le triangl
ur et cela dans ses deux moitiés antérieure et postérieure. La zone
postérieure
n'est autre que le triangle médian et posté- ri
le, mérite par son siège au voisinage du septum plus que des cornes
postérieures
et pour la différencier de sa disposition à un
levé de porter ici le nom de zone ou de faisceau sulco- commi=sural
postérieur
ou encore seplo-commissural. Coupe au niveau de
depuis la périphérie de la moelle en arrière jusqu'à la commissure
postérieure
en avant où elle finit en pointe. On voit de
ématique que la dé1Óéné, rescence envahit tout le reste des cordons
postérieurs
. Coupes entre la cinquième paire sacrée et la d
zones saines médianes existent toujours, l'une antérieure, l'autre
postérieure
. La postérieure répond au centre ovale de Flechsi
dianes existent toujours, l'une antérieure, l'autre postérieure. La
postérieure
répond au centre ovale de Flechsig, mais se con
tuelle du champ cornu- commissural. Elle répond bien ici à la corne
postérieure
et à la commissnre. Au moment où la zone post
i à la corne postérieure et à la commissnre. Au moment où la zone
postérieure
atteint l'angle postéro-iulerne du cordon posté
nt où la zone postérieure atteint l'angle postéro-iulerne du cordon
postérieur
, elle le contourne et borde sa branche pos- tér
qui viennent remplir les portions externes et moyennes des cordons
postérieurs
. Coupe au niveau de la troisième racine lombair
de Flechsig apparait occupant son siège habituel sans prolongement
postérieur
ni angulaire. La zone Fig. 8. Fig. L' Fiv.
es franchement adjacentes à la commissure et à la base des cornes
postérieures
et laissant entre elles et le septum un espace dé
et au-dessus (/'vg. 11). Sur ces coupes les fibres de notre groupe
postérieur
qui for- maient le centre ovale de Flechsig, se
- laire dont nous avons parlé plus haut. Ici cependant la branche
postérieure
et transversale s'allonge, alors que la branche
distinguer ce qui appartient au trajet inlra-médullaire des racines
postérieures
de ce qui releve des faisceaux endogènes. Toute
phérie de la moelle. Elles siègent à peu près à l'union du quart
postérieur
avec les trois quarts antérieurs du septum médian
un peu plus minces que dans la région précé- dente. Sur l'extrémité
postérieure
de chacune d'elles vient s'im- planter perpendi
pendiculairement une nouvelle bandelette saine bor- dant le segment
postérieur
de la circonférence de la moelle. De telle sort
la 110 paire dorsale et seulement pour ce qui a trait à notre zone
postérieure
les figures de Hoche mériteraient d'être placée
fibres à dégénération descendante ou à long trajet dans les cordons
postérieurs
. V. Dans ces observations nous étudierons sép
rler de fibres endo- gènes et de faisceaux commissuraux des cordons
postérieurs
, il 1 Hoche. - Loc. cil. DES FIBRES ENDOGÈNES
d que microsco- piquement. 1° Les faisceaux endogènes des cordons
postérieure
ne doi- vent pas être confondus avec les filets
d'opposer à Tooth, s'exprime ainsi : « La partie interne du cordon
postérieur
n'est pas uniquement formée par des fibres radi
ormée par des fibres radiculaires La zone limitant le sillon médian
postérieur
est restée libre de dégénérescence jusqu'à la p
moelle située au-dessous de la troisième racine lombaire le cordon
postérieur
était complètement dégénéré sauf dans une zone
sure grise et se pro- longeant en pointe le long du col de la corne
postérieure
. Il existait de plus une petite bande saine le
uraient être conl'ondus avec les faisceaux endogènes anté- rieur ou
postérieur
. Ils n'en ont surtout à la région infé- rieure
n infé- rieure ni la topographie, ni la longueur au moins pour le
postérieur
. ' 2° Les faisceaux dits endogènes dans les cor
le postérieur. ' 2° Les faisceaux dits endogènes dans les cordons
postérieurs
ne représentent pas le trajet intra-médullaire
s descendantes de tous ces cas que par la présence dans les cordons
postérieurs
de fibres descendantes à long trajet. Dans les
ône terminal en se groupant en descendant vers le sillon interne et
postérieur
et tout à fait en bas le long de la partie la p
ne et postérieur et tout à fait en bas le long de la partie la plus
postérieure
du sillon médian. La longue distance à laquelle
latéral... une zone de fibres en dégénérescence au sommet du cordon
postérieur
tout près de la commissure grise, p , Voyons
: un triangle vide de fibres, dont la pointe atteint la commissure
postérieure
, mais plus bas ce triangle se restreint dans sa
mais plus bas ce triangle se restreint dans sa direction antéro-
postérieure
à mesure qu'on descend et sur la coupe la plus
pointe reste environ à égale distance de la com- missure et du bord
postérieur
de la moelle D, voilà donc un territoire qui no
Hoche. Dans les régions inférieures de la moelle, seul le faisceau
postérieur
a subi la dégénérescence, la zone antérieure co
e en quelque sorte de dedans en dehors, du septum vers les cornes
postérieures
. C'est pour cette raison qu'à la région dorsale
la moelle, ou restant intact lors de lésions localisées aux racines
postérieures
. Les faisceaux de ce système n'atteignant pas l
hérie de la moelle, restent cantonnés au voisinage soit du sillon
postérieur
, soit de la commissure, soit de la base des corne
lon postérieur, soit de la commissure, soit de la base des cornes
postérieures
. Ils forment un groupe de fibres endogènes anté
auxquels on les considère, il peut être appelé : Sulco-commissural
postérieur
au niveau du cône terminal ; Sulco-cornu-commis
Goll ; à la région sacrée à la partie tout à fait interne du cordon
postérieur
. Il y a peut-être là au point de vue fonctionne
rtes ; le deuxième système de fibres que nous allons étudier est le
postérieur
et par l'étendue de ses dégénérescences mérite
, mais quel que soit le niveau il est toujours en bordure du cordon
postérieur
soit de la périphérie postérieure, soit de la p
est toujours en bordure du cordon postérieur soit de la périphérie
postérieure
, soit de la périphérie interne, c'est-à-dire du
cale et dorsale supérieure il se trouve à la périphérie des cordons
postérieurs
presque au voisinage de l'angle posterouatérieu
ulaire ayant une branche transversale le long de la circon- férence
postérieure
de la moelle et une branche postéro- interne le
angle médian décrit par 11OI. Gombault et Philippe. Donc faisceau
postérieur
, faisceau angulaire, centre ovale de Flechsig,
de fibres et représente la voie endogène à long trajet des cordons
postérieurs
. Le déplacement de ce faisceau ne s'opérant qu'
direction descendante : l'un court l'antérienr ; l'autre long et
postérieur
. Des deux l'antérieur est le plus important quant
la région cervicale seulement, la zone postéro- externe des cordons
postérieurs
, ainsi que l'ont signalé Strum- pell et Marie.
1° La présence de filets radiculaires descendants dans les cordons
postérieurs
n'est pas encore absolument démontrée chez l'ad
fibres endogènes à dégénération descendante dans ces mêmes cordons
postérieurs
; 2° On peut considérer deux systèmes de fibres
peut considérer deux systèmes de fibres descendantes dans le cordon
postérieur
dites fibres endogènes ou commis- surales. L'un
surales. L'un de ces systèmes antérieur est à court trajet; l'autre
postérieur
a un trajet très long au moins pour une partie
façon permanente, il faut penser à une lésion organique des cordons
postérieurs
ou des nerfs qui sont en rapport avec ces faisc
ne- ment avec diminution du nombre des vaisseaux dans les cordons
postérieurs
. Mais ces lésions sont banales chez les vieillard
s Hirschberg.- Loc. cil., p. 8. Le cas publié par le Dr Frenkel est
postérieur
à notre publication (,N'eiii-ol. Centrb., n° 13,
. En arrière ne persiste que la sensibilité du rachis et de la face
postérieure
de la cuisse droite. Hyperesthésie ovarienne de
gauche, et à une zone plus vaste comprenant les fesses et les faces
postérieures
et internes de la moitié supé- rieure des cuiss
mousse, ou simplement l'ongle, sur la peau de la face antérieure ou
postérieure
du thorax (lieu d'élection). Sitôt après, au mi
ie. Comparant cette lésion à celle qu'a signalée M. Parisot (partie
postérieure
du faisceau géniculé), l'auteur conclut que le.
s deux du plexus lombaire ; les mnscles fessiers, ceux de la région
postérieure
de la cuisse, ceux de la jambe et du pied, ains
gagne le membre inférieur et souvent alors elle se limite à la face
postérieure
de la cuisse et de la jambe, régions innervées
bres inférieurs. La paralysie se borne presque toujours aux muscles
postérieurs
de la cuisse et de la jambe, tous muscles inner
ne antérieure passant un peu en dedans du tendon du biceps, l'autre
postérieure
passant sur la partie interne de l'olécrâne. Ce
i du cubital. L'erreur provenait de ce que l'on avait pris la bande
postérieure
, seule accusée par le malade pour une névralgie
dans la gouttière. On décida de tenter la résection de la racine
postérieure
de la VIII. paire, ainsi que celle des racines
a racine postérieure de la VIII. paire, ainsi que celle des racines
postérieures
sus et sous- jacente. Cette délicate et audacie
rieure eorrespondante devenue visible après la section de la racine
postérieure
. Les résul- tats de cette grave opération furen
e et qui occupe toute la hauteur du renflement lombaire. Les veines
postérieures
de la moelle sont très congestionnées. A l'oeil
un point limité, respectant les faisceaux pyrami- daux et le cordon
postérieur
. L'ictus s'explique par un arrêt brusque de l'i
ctile, après avoir fait étape dans la substance grise de la colonne
postérieure
, gagne l'encéphale par des systèmes commis- sur
es, puisque dans tout l'étage de la lésion les portions médianes et
postérieures
des cor- dons sont relativement respectées, et
t le plus souvent que le processus cavitaire s'étendait aux cordons
postérieurs
et latéraux. Le cas actuel est, dit-il, à ajout
éphaiie frontale ou anté- rieure ; une plagiocéphalie occipitale ou
postérieure
; une plagio- céphalie fronto-pariétale ; une pl
état frais. Après l'avoir durcie, on trouve des lésions des cordons
postérieurs
qu'aucun trouble, pen- dant la vie, n'avait pu
e prévoir. En effet, sur toutes les coupes on voit dans les cordons
postérieurs
, avec raréfaction légère des fibres nerveuses a
us, une congestion consfdérable de la substance grise antérieure et
postérieure
. Quant aux nerfs hypertrophiés, ils ont leurs fib
flexion des orteils par suite d'une forte contrac- tion des muscles
postérieurs
de la jambe. TRAITEMENT DE L'ATAXIE DANS LE TAB
tale gauche, celui de Wernicke ou de la surdité verbale à la partie
postérieure
de la première temporale gauche, celui de l'agr
phasie et agraphie. La lésion de ce syndrome porterait sur le tiers
postérieur
de la première circonvolution temporale et la par
oisième frontale, centre des images motrices d'articulation; partie
postérieure
des première et deuxième temporales centre des
ment et sans cause appréciable de violentes douleurs dans la partie
postérieure
des deux jambes. Le moindre mouvement des membr
xe du membre, clans son ensemble, représente une courbe à concavité
postérieure
. On tente, et inutilement, tous les traitements
iomatose plutôt qu'à l'existence d'une cavité réelle dans une corne
postérieure
. P. K. LXVI. Communications casuistiques; par L
s arquées internes; 6° Fibres collatérales du faisceau longitudinal
postérieur
: elles passent en partie dans les noyaux des f
gineuse fait saillie dans le canal rachidien, elle adhère à la face
postérieure
du corps des deuxième et troisième vertèbres lom-
apparition d'une masse de substance nerveuse qui adhère aux cordons
postérieurs
et qui est, on le comprend, la coupe de l'extré
rasement des racines spi- nales, chez les chiens, on voit la racine
postérieure
(extramedut- lairc) se régénérer complètement ;
cte continuité avec les fibres régénérées du segment de la ra- cine
postérieure
le plus près de l'axe. Maintenant cet élan vers
iens chez qui, 10 mois auparavant ils avaient sectionné les racines
postérieures
, notent l'absence ab- solue de régénération méd
itution des libres nerveuses dans la portion centrale (le la racine
postérieure
opérée. Or la recherche de la régénération inlr
siège à la partie externe des ban- delettes depuis la partie toute
postérieure
aux environs du corps genouillé, jusqu'à la par
crampes, avec sensation de broiement, de torsion, le long de laface
postérieure
des membres, depuis les fesses jus. qu'aux bout
la pression le long du trajet du sciatique (tout le long delà face
postérieure
de la cuisse, point fessier, poplité, malléole
pace épidural faisant légère- ment adhérer la dure-mère à la partie
postérieure
des corps ver- tébraux sacrés. Ces adhérences n
s la colonne ver- tébrale cervicale, dorsale et lombaire. La face
postérieure
des corps de la 2° 3° 40 crtèhres sacrées a un
es dansl'épaisseur des muscles, particuliè- rement dans les muscles
postérieurs
de la cuisse. Au contraire, les muscles fessier
téine-éosine, Marchi, Pal, Gieson), sur les nerfs sciatique, tibial
postérieur
, tibial antérieur (dissociation après l'acide o
ctères, les lésions radiculaires déjà citées ; en elfet les racines
postérieures
des seg- ments sacrés et du cinquième segment l
sont assez faibles ; ici, tandis que la zone d'entrée des raci- nes
postérieures
se présente, au Pal, encore pauvre en lihres sai-
ite elle est très riche en libres intactes qui vont border la corne
postérieure
: au niveau du 3e segment lombaire et . au-dess
egment lombaire et . au-dessus encore, la zone d'entrée des racines
postérieures
paraît absolument intacte de chaque côté. Les
es boules noirâtres dans le cordon antero-latéral. Dans les cordons
postérieurs
, il existe des lésions (lui, tlans la moelle sa
e est plus forte, marquent le pas- sage de libres malades du cordon
postérieur
à la base delacorne postérieure. Le fait que
- sage de libres malades du cordon postérieur à la base delacorne
postérieure
. Le fait que les lésions radiculaires postérieu
base delacorne postérieure. Le fait que les lésions radiculaires
postérieures
sont inégales et souvent pas symétriques, jamai
u 5U segment lombaire et que, d'autre part, les lésions des cordons
postérieurs
dans la moelle sacrée se sont montrées, au lJar
aire l'étude intéressante des dégénérations secondaires des cordons
postérieurs
par lésion de la queue de cheval. Dans la moell
ations noirâtres sauf une bande qui occupe le voisi- nage du septum
postérieur
, de la périphérie àla commissure pos- térieure.
granulations noirâtres, qui se trouvent dans presque tout le cordon
postérieur
, sont ce- pendant beaucoup plus nombreuses dans
n s'atténuant pro- g-ressi, ement vers la zone d'entrée des racines
postérieures
peu dégénérées, l'autre suit le septum postérie
rée des racines postérieures peu dégénérées, l'autre suit le septum
postérieur
et s'atténue, elle aussi, progressivement, s'ar
ie delà moelle et dont la bissectrice est représentée par le septum
postérieur
. Dans la moelle cervicale inférieure, légère dé
ns la moelle cervicale inférieure, légère décoloration de la moitié
postérieure
du faisceau de Goll, qui dans le 2°-3° est enva
mbaires inférieures, ici presque exclusivement limitées aux racines
postérieures
. Nous avons en outre c constaté, dans les cordo
ines postérieures. Nous avons en outre c constaté, dans les cordons
postérieurs
, une dégénéra- tion secondaire, encore assez ré
rculeuse du sacrum était super- ficielle, légère, limitée à la face
postérieure
des corps vertébraux. C'est là encore un fait q
s que les petites tu- meurs de même structure qui occupent la fosse
postérieure
du crâne produisent une papille étranglée consi
e qui conduit les impressions thermiques et dou- loureuses : racine
postérieure
, corne postérieure, commissure de la substance
mpressions thermiques et dou- loureuses : racine postérieure, corne
postérieure
, commissure de la substance grise, cordon anLér
rale, produite par une lésion de la substance grise (ou de la corne
postérieure
) débute en général immédiatement au- dessous de
on. Dans presque tous ces cas.il existait des lésions des cordons
postérieurs
, les unes homolatérales, les autres hétérolato'a-
mis de constater l'extrême variabilité de ces lé- sions des cordons
postérieurs
, aussi bien du côté correspon- dant à l'amputat
boules siégeaient non seulement au niveau de la lésion des cordons
postérieurs
, du côté amputé et du côté opposé, mais aussi d
est-à-dire à un niveau où une décussation des fibres radicu- laires
postérieures
n'était pas encore possible; ces lésions fai- s
, nous avons noté dans ? cas, en plus des al- térations des cordons
postérieurs
, des lésions do méningite syphilitique. Or, la
196 CONGRÈS DES MEDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. les cordons
postérieurs
; elle rend compte aussi de ladistribu- tic-n a
tient vraisemblablement sous sa dépendance les lésions des cordons
postérieurs
. Cette méningite est due, sans cloute, à une né
muniqués dès 1895 à notre Congrès de Bordeaux et que ses recherches
postérieures
ont confirmés. Il traitedu vertige voltaïque et
, exactement par le même mécanisme que l'incoordination des muscles
postérieurs
de la cuisse ou du jambier antérieur.c'est-à-di
résultant de la fusion des racines s'organisent pour former un plan
postérieur
d'ex- tension (tronc radio-circonflexe) et un p
cours en deux faisceaux de fibres, fais- ceau antérieur et faisceau
postérieur
, simplement accolés et bien distincts sur la de
tincts sur la dernière portion du trajet radiculaire. Les faisceaux
postérieurs
de C , CVI, CVII, par leur fusion, constituent
stituent le tronc radio-circonflexe qui vient renforcer le faisceau
postérieur
émané du tronc commun de CVIII, et Di. Les fais
ec suppuration des muscles peauciers, sterno mastoïdien, ven- tre
postérieur
du digastrique et stylo-hyoïdien, ainsi qu'à la
de l'hypoglosse, le groupe externe innerve les muscles de la région
postérieure
et externe de la langue ; le groupe antérieur i
tion motrice des muscles stylo-hyoïdien, stylo -glosse et du ventre
postérieur
du digastrique. Dans le noyau du trijumeau, la
u et un peu plus haut de la partie interne de celui-ci. Le groupe
postérieur
du noyau de la cinquième paire innerve le muscle
èse des réflexes corticaux, antérieurs aux réflexes volontaires, et
postérieurs
aux réflexes proprement dits ayant leur centre
un processus gliomateux com- prenant le territoire de la commissure
postérieure
et de certaines portions des cordons postérieur
e de la commissure postérieure et de certaines portions des cordons
postérieurs
, sur la hauteurde la région cer- vicale entière
métrie manifeste ; déformation de l'axe gris au ni- veau des cornes
postérieures
surfout. Les grandes divisions ré- gionales se
respondant au territoire, du faisceau pyramidal croisé, c). Cordons
postérieurs
: Quelques libres dégénérées il la p('l'iplll"I
supérieure il la limite supérieure du foyer de my('WI'. a). Cordons
postérieurs
: Dégénération du cordon de (;011 ni dr la port
érieure du faisceau de La dégénération allailjusf[u'à la commissure
postérieure
. 11'. Cordons ccztd>'o-latérav.r. 10 Au dess
ans lesquels l'abcès collecté profondé- n)fnHu5e parle trou déchiré
postérieur
et donne un ahci's rdl'O' ltltarynien. (Cas du
s ou par un abcès qui soulève le périoste, le ligament longitudinal
postérieur
et la dure-mère : dans la' plupart des cas, la
au niveau du sommet de la cyphose, fortement tendue sur les parties
postérieures
des corps vertébraux disloqués en arrière, ou m
pplémentaire par les vaisseaux sanguins et lymphatiques latéraux et
postérieurs
de la moelle, et cela jusqu'au moment où la fle
sanguine, des artères interver- tébrales comme les artères spinales
postérieures
qui, elles principalement, irriguent la substan
ici d'un foyer de ramollissement typique dans les cordons et cornes
postérieures
secondaires àl'embolie d'une artère spinale pos
et cornes postérieures secondaires àl'embolie d'une artère spinale
postérieure
. Quant à la myélite, la plupart des auteurs son
s, disséminés sans ordre, mais avec prédominance dans les cordons
postérieurs
et localisés dans la partie dorso-lombaire de l
ines ont une gaine myélinique pale. > <- . Dans les cordons
postérieurs
, la perte en libres nerveuses esl moins forte,
é et le faisceau Uo '1·url : . 'r r '1" ·.. , .1 Dans les cordons
postérieurs
on retrouve.de chaque côté une mince bande de f
ce bande de faible degeneration qui court.parallèlement iL la corne
postérieure
, plus proche de celle-ci que du septum : en ava
lle-ci que du septum : en avant, elle rejoint à peine la commissure
postérieure
; en arrière elle s'élargit touchant presque la
du segment S 4, il existe encore un éclaircissement dans la moitié
postérieure
du cordon latéral. ... La dégénération dans le
dans le faisceau de Goll s'étend de la périphérie il la commissure
postérieure
; il existe toutefois dans le faisceau de Goll
efois dans le faisceau de Goll une légère bande adjacente, au tiers
postérieur
du seplum, plus large vers la périphérie, qui c
C t ? il n'en existe plus trace. La dégénérescence dans les cordons
postérieurs
tend aussi il se réduire de plus en plus ; au n
de Goll qu'elle occupe entièrement de la périphérie à la commissure
postérieure
: dans les segments C 5, G 4, elle est réduite
ieure : dans les segments C 5, G 4, elle est réduite aux deux tiers
postérieurs
du faisceau de Goll. qui est envahi en dedans d
occupe dans le sens antéro-postérieure presclne seulement la moitié
postérieure
du faisceau lIe' (i011, sons la forme d'un tria
ion, mais avec prédo- minance dans la moitié antérieure des cordons
postérieurs
et SUR LA PATHOGÉNIE DES ALTÉRATIONS MEDULLAIRE
s abondants ¡'¡ la partie externe du cordon latéral, dans la moitié
postérieure
des cordons postérieurs el dans le cordon antér
e externe du cordon latéral, dans la moitié postérieure des cordons
postérieurs
el dans le cordon antérieur ; dans ces régions,
ons A nCntvr.s, 2° scric. t. l\. 2a 4.GU ' PATHOLOGIE NERVEUSE.
postérieurs
, desdegenerations qui, sans être forte ? sont tou
rée supérieure, existe une illculu- ration diffuse dans les cordons
postérieurs
, oui toutefois épargne le triangle de Gombault
ippe. Au niveau des segments LÔ-L4, la dégéné- rescence des cordons
postérieurs
, tout en respectant la zone d'en- t.r6cdt ? ['a
ois un faisceau de la moelle s'étend jusqu'à l'union des deux tiers
postérieurs
wrcle Liera antériuur llu sepLum.1u nivcau tlt
elledorsale, ainsi que dans la sacrée et la lom- haire, les racines
postérieures
, soit dans leur trajet sous-arachnoi- dien.soit
des cor- SUR L1 PATHOGÉNIE DES ALTÉRATIONS MÉDULLAIRES. 451 dons
postérieurs
qui a son maximum dans leur moitié antérieure ;
'abolition des réflexes comme l'expression d'une lésion des racines
postérieures
par des troubles circula- toires (stase) au niv
a queue de cheval a montré leur absolue intégrité, mais les racines
postérieures
mêmes étaient sain es,aussi bien dansleur traje
aru oll'rir d'altérations appréciables. La conservation des racines
postérieures
ne nous per- met pas non plus d'expliquer l'abo
ombo-sacrée. : leur médiocre intensité, la conservation des racines
postérieures
, (tes collatérales réflexes, du, réseau myélini
un tabès lombo-sacré incipiens. Cependant ces lésions des cordons
postérieures
, qu'on les interprète comme vrai- ment tabétiqu
uins normaux, assez congestionnes, lanl il la partie antérieure que
postérieure
delà moelle. La moelle 101llhairr, oÙ e-\iste l
bord du sillon antérieur est complètement épargné. Dans les cordons
postérieurs
, même lé- sion diffuse occupant l'ensemble des
postérieurs, même lé- sion diffuse occupant l'ensemble des cordons
postérieurs
avecune bande plus ou moins large de tissu sain
ntsurtouttes2/ante ! 'ie ! u'settespa ! 'ties centrales des cordons
postérieurs
qui sont lésés. A un plus fort grossissement, o
segment L ,i, dans le faisceau pyramidal croisé ; dans les cordons
postérieurs
, dégénération (li[ruse épargnant la xonecorni-
s ? Py(;ouladege ! ie ! 'c. cence est très nette ; dans les cordons
postérieurs
, les mêmes lé- sions que dans le segment L'). A
e. Au niveau des segments i)ll,i))0,D8,Iaxone dégénérée des cordons
postérieurs
tend tou- jours d'avantage se limiterait faisce
eau de Goll, bien que s'élendanl de la périphérie à la commis- sure
postérieure
, diminue en largeur clans ses ? /3 antérieurs p
arquer la persistance de la dégénérescence diffuse dans les cordons
postérieurs
, au-dessous de la région aplatie de la moelle,
on n'en peut dire autant de la dégénérescence dilfuse des cordons
postérieurs
qui continue en bas, jusqu'à la région sacrée i
rieure. Elles ne peuvent être expliquées par une lésion des racines
postérieures
, celles-ci restant intactes, ni par des trouble
ière consisterait à admettre que cette dégénération des cor- dons
postérieurs
relève de troubles circulatoires secon- daires
, l'Onlllle'¡'l la 1)i·nilrlu rie de la moelle eL dan, lescol'lluns
postérieurs
, abondamment di. ('l1lin¡"e entre les libre- sa
x, il existe un i·Ilai..iasen«;nL léger des septa. dans les cordons
postérieurs
il v a une vraie pro- lifération iiévroglique.
cordon anl¡"ro-Iatéral. limitée la périphé- rie ; dans les cordons
postérieurs
, elle est aussi plus limitée, es lend il occupe
est aussi plus limitée, es lend il occuper le voisinage du H'[li um
postérieur
. Au niveau du [CI segm. lomhail et au-dl'su,la
egment Ll,en effet, la dégénérescence se limite, dans chaque cordon
postérieur
, à une bande adjacente au septum qui, partant d
ieur, à une bande adjacente au septum qui, partant de la commissure
postérieure
, occupe la moitié en largeur du cordon postérie
de la commissure postérieure, occupe la moitié en largeur du cordon
postérieur
, et dans le quart postérieur du ·c1L«m; avanl d
occupe la moitié en largeur du cordon postérieur, et dans le quart
postérieur
du ·c1L«m; avanl d'arriver la périphérie, s'éca
du segm. S2, légère décoloration dans le l'y C. et dans le triangle
postérieur
. '' " Remarques : L'intense infiltration des mé
ut les parties centrales des cordons antéro-latéraux et des cordons
postérieurs
. Les lésions marginales sont très vraisemblable
males qui sont des formes (1) Il n'est question ici que des travaux
postérieurs
aux miens. Antérieurement, il n'existe il ma co
l'habitude, se cantonnait presque exclu- sivement dans les cordons
postérieurs
, lieu de moindre résis- tance de par la lésion
assez exactement à l'espace situé entre les émergences des racines
postérieures
. La moelle ne présente pas d'autre lésion macro
si, dans certains endroits, .et particulièrement autour des racines
postérieures
, un aspect un peu nodulaire. La névroglie n'a
t pas de- même pour les racines qui, tant les anté- rieures que les
postérieures
, ont subi une altération évidente de leurs tube
elles ne contiennent pas de capillaires. Fig. 8. - Artère cérébrale
postérieure
. Péri-artérite nodulaire ; une plaque d'endarté
qui sont la source des hémorrhagies méningées Fig. 10. - Uze veize
postérieure
de la pie-mère rachidienne (région dor- sale in
nterstitielle pro- venant de la veine; au-dessous on voit la racine
postérieure
, à gauche une artère saine. Ilémaloxylizze de D
ME NERVEUX. 21 de la base du cerveau et de la région dorso-lombaire
postérieure
de la moelle. Ici nous voyons sur certaines vei
phalite vascu- laire diffuse. Myélite à corps granuleux des cordons
postérieurs
, résultant de la superposition d'une dégénéresc
porte en bas quelques plaques d'arachnitis calcaire. Les racines
postérieures
sont un peu grisâtres dans la région lombaire. Su
un peu grisâtres dans la région lombaire. Sur la coupe les cordons
postérieurs
paraissent très légèrement grisâtre*; plus tard
s granuleux dans les cordons antéro-latéraux; mais dans les cordons
postérieurs
, du haut en bas, on en trouve une quantité énor
parfaitement nettes. Examen après durcissement. Moelle. Les cordons
postérieurs
sont du haut en bas le siège d'une dégénérescen
ose fort intense, à en juger par la teinte que prennent les cordons
postérieurs
sur les coupes colorées par la méthode de Pal.
que plus bas sur la zone malade. Dans la région dorsale les cordons
postérieurs
sont pris d'une façon uniforme dans toute leur
cervicale les cordons de Goll sont pâles, surtout dans leur partie
postérieure
; en avant il reste sur leurs bords une mince zo
disparaître progressivement à mesure que l'on remonte. Les racines
postérieures
présentent des lésions assez avancées en bas; a
s autres à peu près saines. - 1 A la région cervicale les racines
postérieures
contiennent à gauche des tubes grêles en assez
n rapport exact entre les lésions des racines et celles des cordons
postérieurs
, les unes étant beaucoup plus avancées que les au
osmique n'a pas été employé. A un fort grossissement les cordons
postérieurs
présentent encore un grand nombre de tubes, rég
eux, encore visibles dans la glycérine. Les vaisseaux des cordons
postérieurs
sont entourés d'un man- chon de corps granuleux
pillaires les plus fins, mais les artérioles qui suivent le- sillon
postérieur
, celles qui pénètrent dans z les cordons postér
vent le- sillon postérieur, celles qui pénètrent dans z les cordons
postérieurs
et leurs - premières ramifications; de , telle
larges mailles de vaisseaux malades, limité exactement aux cordons
postérieurs
. Cette lésion diffère tout à fait de celle que
et, cho,e remarquable, elle ne prédomine nullement dans le segment
postérieur
delà moelle. Enfin, bien qu'au premier abord la
'au premier abord la lésion vasculaire semble limi- tée aux cordons
postérieurs
, en examinant plus attentivement on voit que le
ryonnaire, qui est une ébauche de ce que l'on voit dans les cordons
postérieurs
. Il n'y a pas de lésion appréciable des cellule
la`moelle est marbrée de tachés, qui prédominent" dans les cordons
postérieurs
et la partie posté- rieure des faisceaux latéra
aches irrégulières de la lésion primi- tive ; de ce. côté la partie
postérieure
du faisceau pyramidal est moins lésée que sa pa
triangle' étroit' dont sa pbinté'atteint pourtant' là " commissure
postérieure
en un point du renflement cervicale Le* faiscea
ation ? t1·leq ·atmg otMJf'uJ Les,. racines, tant, antérieures^que.
postérieures
, jnei présentent/on aucune altération, de leurs
é d ûne névrite phériphériquei suffisante, ..puisque les * méninges
postérieures
étaient, malades ( et que, les^ tubes des racin
nges postérieures étaient, malades ( et que, les^ tubes des racines
postérieures
/sans'être détruits,' étaient loin d'être sairis
ertaines lésions orga- niques ; que ce délire, alors même qu'il est
postérieur
à d'autres troubles intellectuels, ne tarde pas
re que le ramollissement des fibres blanches voisines de la partie;
postérieure
du corps calleux dans l'hémisphère gauche suffi
préter elle aussi que par l'interruption des fibres d'irra- diation
postérieures
du corps calleux au point où elles s'épanouissent
es, cellules motrices anté- rieures et aesthésiohlastes des cornes'
postérieures
. L'étude du système entier montre suivant l'aut
eau des deuxième et troisième paires dorsales, dans la corne gauche
postérieure
et les racines posté- rieures avec léger empiét
s de Bunduch. Pendant la vie rien n'indiquait une lésion de cordons
postérieurs
; aucun trouble de la sensibilité. P. K. XX. E
de faire choix, pour satis- faire l'appétit commandé par le cerveau
postérieur
, d'un enfant de deux ans, d'un individu du même
u, sous l'influence de l'instinct sexuel cantonné dans le cor- veau
postérieur
. Il y a donc essentiellement chez notre jeune s
re) 1890. Aulop- sie. Lésions avancées caractéristiques des cordons
postérieurs
, tumé- faction delà névroglie centrale : depuis
ire dorsale, la tumeur touche par sa partie inférieure les cordons,
postérieurs
.lésés ; elle provient probablement de l'hyperp
dégénérescence.portant sur.toute, la coupeitransverse des cor- dons
postérieurs
,oulilnitéé àlcertaiue foisceaux des3mêmes cor-
e la névroglie dans le canal central, la dégénérescence des cordons
postérieurs
, une myélite, une affection systématique com- b
alement tenir compte de la syringomyélie qui occupe toute une corne
postérieure
sur toute la, hauteur de la moelle et produit e
fi]3res'd-ut-iiel,f ^acoustique, tout au ' moins de- ses ' racines
postérieures
;'2° le noyau'antérieur et- le'tubercule acous-
t- le'tubercule acous- tique sont des centres primaires des racines
postérieures
de l'au- ditif ; 3° les olives supérieures cons
plupart, en s'associant, au .ruban de Reil inférieur, au segment'
postérieur
dutuberculë·qûàdrijnméâù'postérieuë;'onIiépeut`lê
: , ,n ^vm : q ^ .Tr ? n ? La dégénérescence tabétique des racines
postérieures
et les cas de tabes dépourvus de complexité, ti
rvus de complexité, tiennent exclusivement à'une lésion des racines
postérieures
dans' leur, trajet intramédullaire. Cette dégén
Cette dégénérescence indique.que le;trajet des fibres, radiculaire^
postérieures
est bienlcelui,qui ;a, été. décrit paroles auteur
elui,qui ;a, été. décrit paroles auteurs. Les . fibres radiculaires
postérieures
qui pénètrent dans la zone d'entrée radiculaire
comporte une autre , explication; se compose des fibres des racines
postérieures
du seg- ment de moelle en question qui affecten
le segment de moelle 'déterminé ;' survie bord' médian de la' corne
postérieure
, entré les'deux autres zones, celle des racines d
dans 1, nïoellé ltimbâité;dégénèréfûnézoné qui occupela périphérie
postérieure
'et l'extrémité postérieure' de lascissùre postér
a périphérie postérieure 'et l'extrémité postérieure' de lascissùre
postérieure
. Cette zone contient des fibres ascendantes. Il
parce'que'Ià au faisceau de Goll s'ajoutent des' fibres de la corne
postérieure
? 1 '2,"Imf; -JisJa ? 9j i^ ,, Le tabes n'est'p
lte simple- ment'*de laildé"'éhéësceti .eé" dé fibres' radiculaires
postérieures
intram édul 1 aires. La zone marginale'de Lissa
inconstant. Les altérations du ,trajet extramédullaire des racines.
postérieures
marchent parallè- lement aux ialtérationslide,
nent naissance dans la région des cellules ,de, la base de la corne
postérieure
et très pro- bablement^ aussi dans, la tête de
ostérieure et très pro- bablement^ aussi dans, la tête de la, corne
postérieure
; 2° les fibres provenant du, noyau sensitif du
iverdu' tabès, ' quelle qu'elle soit agit surtout'sur les. cordons'
postérieurs
de la moelle et, par- continuité; par l'intermé
s de la moelle et, par- continuité; par l'intermédiaire dés racines
postérieures
, ils- qu'aux cellules des ganglions spinaux, où
raux [(fais- ceau pyramidal de, Flechsig) mais encore des cordotis,
postérieurs
puis- que les fibres de ceux-ci vont dans, la p
yau, vont, de concert avec les libres'du noyaud'origine'des cordons
postérieurs
, danslle ruban de Reil, et, 1 delà, à l'écorce (l
, des .noyaux de l'oculo-moteur commun, des faisceaux longitudinaux
postérieurs
, du ruban de Reil du côté gauche, d'une petite
re, à un pouce environ de la ligne médiane, et elle; adhère au bord
postérieur
de la face 1206 REVUE D'ANATOMIE ET 'DE 'PHYSIO
. système, à la suite^d'un foyer ayant détruit le segment le plus
postérieur
de la couche optique et le'segment le plus antéri
verticale- ment vers la capsule interne. Là, à l'extrémité la plus
postérieure
du segment externe, du. noyau lenticulaire, ils
erritoire de substance blanche situé entre le pédoncule cérébelleux
postérieur
et le loeuscoeruleus, pour de là, s'accoler à l
.. - i , > Ic'v -10 .i i" i "-f. 14 .... -b ' " Dans la région
postérieure
de la. capsule interne, tout à fait en arrière,
e Stilling et plonge en arrière et en bas dans les noyaux du cordon
postérieur
du côté opposé. En somme, dans le tiers postéri
noyaux du cordon postérieur du côté opposé. En somme, dans le tiers
postérieur
de la capsule interne, mais en avant de l'irradia
oelle dorsale d'un"côté sur une1 longue étendue, ou une seule corne
postérieure
de la moelle dorsale ; 3° cas particulièrement
fuse dans la moelle dorsale inférieure et monte ensuivant la corne
postérieure
jusqu'en haut''(observation); 4°' localisation
nt paralytique; l'autopsie révèle * : dégénérescence' des cor- dons
postérieurs
, gliose, syringomyélie. S'agit-il là d'un tabes c
de la syringomyélie qui, prolongée dans le 'territoire des cordons
postérieurs
, produit les symptômes tabétiques ? La question
rescences ',atteignent toute la capsule interne'moins le~,trousseau
postérieur
et le trousseau antérieur, des -trois, quarts -
oviennent directement$des, cellules nerveuses-originelles du cordon
postérieur
du, côté opposé et·notamment;de,la partie mé- d
' plutôt : descendant qu'ascendant) ; intégrité, absolue de racines
postérieures
. èJà £ JG'DJ'i L ussviaa at 1%ti < Du-resle;
L ussviaa at 1%ti < Du-resle;ihn'y alpas) rétractiondesscordons
postérieurs
; les gainés myéliniques sont tuméfiées, il'hyp
(conservation de la conductibilité). L'intégrité des cornes grises,
postérieures
et des racines -postérieures erend 2 : compte,du
ilité). L'intégrité des cornes grises, postérieures et des racines -
postérieures
erend 2 : compte,du non-ralentissement : de la
l'encé- phale (Griesinger); si' les lésions siègent dans la. fosse^
postérieure
du crâne, on enlèvera d'abord les hémisphères n
prend comme points : de repère 1 les plans' passant par.' la partie
postérieure
du genou* du corps caleux ' par,la partie antérie
et de Turck. Les fibres qui-viennent du noyau d'origine des'cordons
postérieurs
et qui passent, comme il est dit, dans le ruban
raux' (faisceau pyramidal ' de Flechsi- mais aussi pour les cordons
postérieurs
,' puisque' les fibres de ceux-ci vont dans la p
au vont, de concert avec les fibres du noyau d'origine des cordons^
postérieurs
, dans le ruban de Reif, et de la, a l'écorce' d
tabès (quelle qu'elle soit), agit principa- lement sur les cordons
postérieurs
de la, moelle et, par continuité, par les racin
rdons postérieurs de la, moelle et, par continuité, par les racines
postérieures
jusqu'aux cellules des ganglions spinaux où ell
UBJ ub 9Yt00tT SAIJG,, bl 4` - " Les fibres de la commissure 'grise
postérieure
comprennent trois' trousseaux : 1° un' large tr
'='r 2° un* trousseau plus fin contourné le bord médian de la corne
postérieure
et le, - t , bord I... 1 p-ôstéiê-ù de là -6oni-
ne 2) va'en partie, chez'le'coq; au-' bord médian t. de 'la ( corne
postérieure
Le trousseau - pbstéro-vehtral (Schaffer)'occu'pe
l'central (trousseau n° 3).'li existe aussi des fibres radiculaires
postérieurs
dont'iajportion latérale traversant la 9cornepo
n latérale traversant la 9cornepostérieure;'rva'au'lsegmenttle plus
postérieur
du' cordon latéral.' Leur-portionl'moyènnèsse r
portion médiane (interne) va dans lé segment' interne' de la écorne
postérieure
: ri sltp sir5 anluq s3E5 Lb 7L 4 ,u"> ? >v
montre la régularité avec laquelle l'ergotisme- atteint les cordons
postérieurs
de la moelle, mais sans caractère progressif. P
un foyer de ramollissement ancien siégeant sur les circonvolutions
postérieures
de l'hémisphère droit du cerveau. Or, nous verr
it du cerveau. Or, nous verrons plus lard que les circonvolutions
postérieures
sont indépendantes de l'appareil moteur intra-
tte planche nous voyons que, loin de siéger sur les circonvolutions
postérieures
, la lésion est placée au milieu du lobule parié
e long des piliers antérieurs du trigone. En arrière, dans la corne
postérieure
, se trouvent deux tumeurs mamillaires, dont=la`
t an`centrë `dë' l'pëâü incisée,, entre les bords anté- * rieurs et
postérieurs
, du pariétal. Dans le trou ainsi fait j'introduis
éflexe'des z dans la com- .' "" ? eilk et 'Fit ' " '< intssure
postérieure
, (voyez schema'de Magnus.) P. k. p ZD ( '>
'ueeédé''un'e'lypémànie'qùi l'allait maintenir à l'asile. la partie
postérieure
et sur une notable étendue de-la partie supérie
meextérieur n'était venu révélerla, présence;Cette,lésiou est très,
postérieure
à la maladie pentale,dont,clle"nalété.,qu'un; é
e physiologiste à localiser, le centre' mastica- teur dans le tiers
postérieur
de la troisième frontale, et dans le tiers, inf
50 grammes ,, de , pus et a1vant incomplèt'êment détruit la partie
postérieure
,de F3 etlapl : ati F', et Rappelons aussi les c
^'comparable à la dégénérescence des,cordons latéraux^et, des : dons
postérieurs
de la moelle. ^ j-, ? ,,tir<,a,x. ? 8'; - uJ
es coupes totales de Griesiiiger., Qu'une altération occupe l'étage
postérieur
, de la, cavité^ crânienne,, on pourra se trouve
rmet aussi de s'orienter; on, procède ainsi, au niveau de la partie
postérieure
du genou du corps calleux, en ayant du^chiasma,
le ? les' lésions du' P tabès- doivent être confinées 'aux cordons1
postérieurs
? Gomme "' si les connexions intimes des élémen
scles sur lesquels ont porté les expériences sont ceux de la région
postérieure
de la cuisse : biceps, demi-tendineux, demi-mem
plagiocé- phalie ; 11° disproportion relative du crâne antérieur ou
postérieur
; 12° front fuyant, etc. ; 13° sub-microcéphali
u,'l'activité, les régions latérales, les instincts,' les régions !
postérieures
. ' `Bordier;` Manouvriery Topi- nard,' partagen
s en spinaux,1' spinaux-cérébraux" anté- rieurs ; spinaux-cérébraux
postérieurs
,' cérébraux-antérieurs;`céré- braux'postérieurs
lvinar; autres glio-sarcomes siégeant dans l'écorce de l'extrémité,
postérieure
,de la première,; temporale gauche et de la cir
permettent de conclure à l'existence d'une tumeur .dans le,segment
postérieur
du lobe temporal droit/siégeant* non' directeme
Sylvius, qu'elle prend la plus grande- par- tie, surtout la partie
postérieure
de la base des temporales gauches .- Voyons mai
un peu en avant du sillon de Rolando. Nous arrivons là à la limite
postérieure
de la tumeur qui n'occupe que la partie inférie
l'auteur put reconnaître la simulation ; par l'accusé, de la crise
postérieure
au crime et l'absence de rela- tion de causalit
siforme. A la convexité il y a une sorte de châtaigne à l'extrémité
postérieure
des première et deuxième temporales gauches, to
cas sur 20 malades. Elle paraît propre . à la sclérose des cordons
postérieurs
. Etudes comparatives à ce point de vue d'autres
aliser l'altération, et bien que, d'après Schiff, les cornes grises
postérieures
soient le territoire par lequel passent les fai
voie simple et des voies complexes. Si du lieu d'entrée des racines
postérieures
aux racines antérieures il existe un arc réflexe
e par Charcot. La lésion doit être localisée plutôt vers les cornes
postérieures
puis- qu'il n'y a qu'à peine un peu d'atrophie
trouver au niveau du renflement cervical. Ce serait le type médian
postérieur
de la classification anatomo-physiologique de C
nt détruit la substance blanche avec dégénérescence des faisceaux
postérieurs
, antérieurs et latéraux de la moelle par altérati
dans l'es- pèce. C'était dans la moelle, surtout dans les cordons
postérieurs
et latéraux, une sclérose périvasculaire, moins
leur aspect normal. Les parties internes et antérieures des cordons
postérieurs
sont la plupart du temps le plus gra- vement at
es avec absences partielles de réflexes, lésion récente des cordons
postérieurs
qui paraît plutôt purement fortuite : Observa
. La moelle présente une altération douteuse au niveau du cinquième
postérieur
des cordons postérieurs. Dégéné- rescence très
e altération douteuse au niveau du cinquième postérieur des cordons
postérieurs
. Dégéné- rescence très accentuée dans la couche
i le noyau de Deiters ne sont les lieux de terminaison de la racine
postérieure
de l'auditif. 2. Les fibres de la racine postér
n de la racine postérieure de l'auditif. 2. Les fibres de la racine
postérieure
en question se terminent 142 REVUE d'anatomie E
e, dans les deux olives supérieures, dans le tubercule quadrijumeau
postérieur
du côté opposé. Une insignifiante fraction de f
de fibres se termine peut-être aussi dans le tubercule quadrijumeau
postérieur
du même côté. Donc tous les organes suprà dénom
les organes suprà dénommés sont des centres pri- maires des racines
postérieures
de l'auditif, c'est-à-dire du nerf cochléaire.
auditif, c'est-à-dire du nerf cochléaire. 3. Les fibres des racines
postérieures
qui se termi- nent dans les olives supérieures,
nent dans les olives supérieures, et dans le tubercule quadrijumeau
postérieur
, vont par les olives, dans le corps trapézoïde, e
s'ajoutant au ruban de Reil inférieur, va au tubercule quadrijumeau
postérieur
dans lequel elle se termine probablement. Une fra
ectant des rapports intimes avec les centres primaires de la racine
postérieure
de l'acoustique. 5. Le ruban de Reil inférieur
même côté, et qui unissent celle-ci avec le tubercule quadrijumeau
postérieur
. Il n'y a pas de raison de douter de l'existenc
base de sustentation se trouve ainsi augmentée dans le sens antéro-
postérieur
. On a établi deux types selon que la ligne de g
voir que le nerf labyrinthique est l'homologue d'une racine spinale
postérieure
, et qu'il démontre que le nerf vestibulaire est
mberg prend des caractères différents. Dans le tabes, les cor- dons
postérieurs
, seuls atteints, le sujet sent parfaitement les o
ryténoïdiens et probablement aussi des muscles du pharynx. Le noyau
postérieur
du glosso-pharyngien est le noyau terminal des
du facial reçoit un large apport de fibres du faisceau longitudinal
postérieur
du côté opposé, qui vient probablement du noyau
a périphérie des' faisceaux de Goll et de Burdach. Les deux racines
postérieures
sont infiltrées de la même manière. On trouve e
la même manière. On trouve encore, dans les racines antérieures et
postérieures
, que leur péri et endonèvre est parsemé de noyaux
dach, du côté droit, à la périphérie, dans le voisinage de la corne
postérieure
, LA TUBERCULOSE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 187 un
rouvent à la périphérie du tubercule. Dans le voisinage de la corne
postérieure
gauche, on trouve, au côté interne près la péri-
nous mentionnons ci-dessus. Ainsi, elle est visible dans le cordon
postérieur
et dans le cordon latéral. La commissure postér
dans le cordon postérieur et dans le cordon latéral. La commissure
postérieure
devient plus large. La dégénérescence des tubes
nce des tubes nerveux commence à apparaître même dans les racines
postérieures
au point où l'on trouve l'infiltration surtout ab
tion de la pie-mère, qui adhère à la moelle, surtout dans la partie
postérieure
, gagne encore en intensité. Dans une des coupes
ig. 8). Dans une coupe, on a pu observer, au côté externe du cordon
postérieur
droit, un nodule tuberculeux périphé- rique, da
e plus haut, on voit un tuber- cule sur le côté externe des racines
postérieures
droites. Sur les coupes provenant de cette part
oites sont enflammées et en partie sclérosées. De même, les racines
postérieures
, surtout du côté droit, sont infiltrées et on t
ans les coupes provenant de la même partie de la moelle, les cornes
postérieures
et surtout la corne postérieure gauche, sont pa
me partie de la moelle, les cornes postérieures et surtout la corne
postérieure
gauche, sont parsemées d'un plus grand nombre d
surtout marquée autour des infiltrations mentionnées. Les racines
postérieures
sont atteintes d'une endonévrite remar- quable.
es géantes. Ce tubercule se trouve sur le côté externe de la racine
postérieure
gauche. Sur les mêmes coupes nous voyons encore
ules confluents placés tous deux sur les vaisseaux. Dans la corne
postérieure
gauche, vers la périphérie se rencon- trent de
rise, il y a également un petit groupe de leucocytes. Dans la corne
postérieure
droite, le long d'un vaisseau, on remarque une
marqué les mêmes lésions que dans la partie supé- rieure. Le cordon
postérieur
, sauf une légère infiltration le long d'un vais
inflammation du péri et endonèvre des deux racines anté- rieures et
postérieures
. D. Partie lombaire. On trouve seulement dans c
que l'hypérémie des méninges et une faible irritation des racines
postérieures
expliquent les premiers symptômes, à savoir : l
ises, ont existé avant que les cordons posté- rieurs et les racines
postérieures
aient été atteints' ? Dans ce cas on pourrait e
t déjà remarquer les douleurs, fait qui nous montre que les racines
postérieures
étaient gravement atteintes. Alors les fourmi
euvent être localisés au niveau des ganglions de l'habénule (partie
postérieure
du troisième ventricule). M. Men- del observe u
ndres-axes n'ont pas souffert; les tubes des racines antérieures et
postérieures
sont intacts. La névro- glie n'a pas proliféré.
mique de la paralysie générale, et l'absence de lésions des cordons
postérieurs
donnent au cas actuel une ressem- blance frappa
r toute son étendue dans l'espace qui est compris entre les racines
postérieures
. Celles-ci sont grises, atrophiées depuis le ba
le de la moelle on constate une atrophie considé- rable des cordons
postérieurs
qui sont gris et s'affaissent. Le plan- cher du
ogique. - La moelle présente une dégénérescence avancée des cordons
postérieurs
; cette dégénérescence, qui est parfaitement sy
rdon de Goll est complètement privé de fibres dans ses trois quarts
postérieurs
: dans le quart antérieur il reste encore quelque
ste encore quelques fibres plus abondantes le long de la commissure
postérieure
sur une petite étendue. La bandelette externe,
en croissant autour et à distance du noyau cunéiforme. Les racines
postérieures
sont fortement atteintes à la région lom- baire
ale elles sont moins malades. 286 CLINIQUE NERVEUSE. Les cornes
postérieures
, bien que privées en grande partie de leur réli
à ces cellules embryonnaires. La pie- mère qui tapisse les cordons
postérieurs
n'est pas plus altérée que le reste; c'est même
médullaire. Cette disposition ne s'observe qu'au niveau des cordons
postérieurs
. · Outre ces lésions irritatives, les vaisseaux
us malades de la tunique externe. ' Les artères de l'espace perforé
postérieur
ont leur tunique ex- terne légèrement infiltrée
avec la dernière évidence que les lésions systématisées des cordons
postérieurs
n'ont aucune influence directe sur sa productio
présente une dégénération intense de ses cordons et de ses racines
postérieures
. Les racines du renflement cervical sont grisât
celles du cas précédent, quoiqu'un peu moins intenses. Les cordons
postérieurs
sont le siège d'une dégénérescence éten- due à
u renflement cervical, la dégénérescence est absolue dans la moitié
postérieure
292 CLINIQUE NERVEUSE du cordon de Goll; la m
ites moins tranchées que dans l'observation précédente. Les c"mes
postérieures
sont relativement peu atrophiées, malgré .la di
J'impression que la pie-mère est plus altérée au niveau des cordons
postérieurs
; mais un examen plus attentif montre que cette ap
nodules très caractéristiques (fig. 12). Les racines antérieures et
postérieures
sont le siège d'une infil- tration interstitiel
e dans le cas précédent; cette lésion n'est pas limitée aux cordons
postérieurs
, où les vaisseaux offrent en outre une sclérose
UPE au niveau DE la III;(,I0 dorsale; méninge au ! \[VEAU DES cordons
postérieurs
vers LES racines. , Méningite; phlébite il tend
es qui cheminent dans le tissu conjonctif lâche de l'espace perforé
postérieur
. On voit leurs tuniques parse- mées de noyaux a
'extrémité antérieure du faisceau cérébelleux direct et à la partie
postérieure
du faisceau de Gowers; en réalité, elle ne répo
niveau de la quatrième DOR- sale. Dégénérescence des cor- dons
postérieurs
; plaque de myélite dansile faiscean latéral.
Tco- transversale de la même pla- que de myélite; c, commissure
postérieure
; m, plaque de myélite. - Procédé d'Azoll- la
d'apparition ? Précède-t-elle l'évolution du tabes ou bien est-elle
postérieure
? La préexistence de la névrite transverse aux
é à rattacher à des lésions vasculaires les altérations des cordons
postérieurs
chez tous les tabétiques ou chez quelques-uns d
e tabes et a émis l'hypothèse qu'elle pouvait atteindre les racines
postérieures
à leur entrée dans la moelle pour amener leur d
leur destruction et consécutivement la dégéné- rescence.des cordons
postérieurs
. Obersteiner et Redlich ont cherché à préciser
nérescence ; de telle sorte que les lésions vasculaires des cordons
postérieurs
sont constituées par deux éléments variables, l
plus, elle est susceptible de détruire certaines fibres des cordons
postérieurs
indépendantes des racines, d'altérer ainsi la p
trajet que ce soit (filets articulaires, troncs ner- veux, cordons
postérieurs
); 2° ce sont les fibres centripètes REVUE DE PA
mouvements nécessaires à la parole (Broca) : lésion à la partie -
postérieure
de la troisième frontale gauche; 2° l'aphasie sen
e indemne) et un ramollissement du volume d'un pois dans le segment
postérieur
de l'insula. Voici une autre observation. Une
rose du cordon latéro-pyramidal gauche et des cordons antérieurs et
postérieurs
. En résumé, lésions diffuses d'ori- gine sénile
usqu'au sixième segment dorsal : il occupait en général les parties
postérieures
centrales, et atteignait sa plus grande largeur
ffroy. Dans ce cas, les cavités développées dans la substance grise
postérieure
et antérieure sont secondaires à la compression
ce sont les fibres radiculaires qui sont atteintes dans les cornes
postérieures
et les zones d'anesthésie se trouvent du même c
'étaient rencontrées au point voulu, à la partie antérieure du bras
postérieur
de la capsule interne et si, au lieu d'un foyer
GIQUES. 397 î visuel (fissure calcarine), le centre auditif (partie
postérieure
de la lro temporale, le centre olfactif (circon
obe frontal antérieur, le lobe temporal, l'insula, le lobe pariétal
postérieur
. Ils n'ont sur les mouvements qu'une action ind
ES TUBERCULES quadrijumeaux. Relations DES TUBERCULES quadrijumeaux
postérieurs
avec LES TROUBLES DE l'ouïe; par E. `ŸEINLAND.
commissure cérébelleuse antérieure; il y a alté- ration du segment
postérieur
, du pédoncule cérébelleux supérieur gauche, 'du
se centrale; il y a deslructioll'parlielle du faisceau longitudinal
postérieur
et des bras des tubercules quadrijumeaux du côt
ntérieur, la dysacousie à la destruction du- tubercule quadrijumeau
postérieur
du côté opposé; cet organe aurait pour fonction
t<C/t ? Psychiat., XIII, 1.) Dans la zone d'entrée radiculaire
postérieure
de Westpllal, il y a des fibres ascendantes. Il
t où la racine pénètre dans la moelle, c'est-à-dire la vraie racine
postérieure
, et la fibre qui, accolée contre la racine post
vraie racine postérieure, et la fibre qui, accolée contre la racine
postérieure
, se dirige en montant, par exemple, vers les co
coloration de Marchi, on trouvait une dégénéres- cence des racines
postérieures
lombaires et sacrées, et les fibres ascendantes
éro-médiane. Dans la moelle dorsale, le segment externe des cordons
postérieurs
contient une aire striée composée de fibres à c
pénétrer dans la substance grise. Or, les altérations des cordons
postérieurs
chez les paralytiques généraux sont une combinais
rition exerçant une action élective sur certaines aires des racines
postérieures
de la moelle. Telle est la manière de voir de l
émoire normale, limitée aux faits récents aussi bien antérieurs que
postérieurs
au début de l'affection. C'est une amnésie isol
vrite radiculaire transverse atteint les deux racines antérieure et
postérieure
. En résumé, il paraît exister, dans les portion
. Hémisphère gauche. Oblitération par embolie de l'artère cérébrale
postérieure
, au niveau des tubercules quadriju- meaux ; ram
M. Pick montre des préparations d'un myome développé à la partie
postérieure
de la moelle lombaire. Cette néoplasie avait pr
fonctions des cellules de la cervicale, par Collins, 391. Cordons
postérieurs
de la-, par C. illayer, 398. Etat des réflexes
ur un sujet normal qui hancherait à gauche, une voussure thoracique
postérieure
à droite, avec élévation de l'épaule correspond
de chaque côté un moignon sessile légèrement acuminé : sur la face
postérieure
de ce moignon, près de son sommet, on note une
de syringomyélie qui avait envahi surtout la commissure de la corne
postérieure
. Dans le travail de Roth, publié dans les Archive
ophie manifeste des muscles de l'avant-bras. Les muscles de la face
postérieure
sont mieux conservés. Atrophie assez marquée du
degré d'extension du poignet et des doigts, due surtout au cubital
postérieur
et aux radiaux qui fonctionnent bien qu'ils pré-
et les vides qui existent normalement. Elle élève le niveau du pli
postérieur
du poignet et efface la saillie si manifeste de
n syringomyélique aux mem- bres supérieurs, à la face antérieure et
postérieure
du cou et du tronc, la li- mite inférieure de l
xiste dans la syringomyélie c'est à la lésion de la substance grise
postérieure
qui, comme on le sait, est altérée, dans la sy-
de ses observations la conclusion que c'est dans la substance grise
postérieure
qu'il faut chercher l'explication des troubles
nombre de neurones qui envoient leur cylindre-axe dans les racines
postérieures
, fait qui concorderait avec l'opinion de certains
, Morat, Steinach) qui font sortir les vaso-moteurs par les racines
postérieures
. Ces données constitueraient des preuves présompt
el'opinion quenous soutenons, à savoir qu'il existe dans les cornes
postérieures
, des centres vaso-moteurs el des centres régulate
s équivalents des diverses lésions de la substance grise médiane el
postérieure
. Je ne veux pas dire, par là, pour les besoins
ue celle-ci relève de l'altération de la substance grise médiane et
postérieure
. Mais par quel mécanisme ? S'agit-il d'une exci-
es années (1). La contracture siégeait dans les muscles de la paroi
postérieure
de l'abdomen, la carré des lombes et le psoas-ili
s anta- gonistes fléchisseurs et extenseurs. En examinant la face
postérieure
du tronc, on trouve la cicatrice de la plaie an
8 cm. 1/2, celle du radius gauche 7 cm. 1/2. Il existe sur la face
postérieure
deux gouttières parallèles l'une à l'autre, l'inf
re offre de place en .place au niveau de sa face 118 LÉOPOLD LÉVI
postérieure
des plaques calcaires plus ou moins volumineuses.
ement, on reconnaît des lésions prédominantes au niveau des cordons
postérieurs
et des faisceaux latéraux. D'une façon généra
ie-mère est légèrement mais nette- ment épaissie surtout il sa face
postérieure
. Les vaisseaux, artères particuliè- rement sont
maux. Dans la région dorsale, les lésions sont diffuses aux cordons
postérieurs
mais avec prédominance sur les cordons de Goll,
la zone médiane que les lésions sont prédominantes dans les cordons
postérieurs
, plus marquées dans les ! i/4 postérieurs et co
minantes dans les cordons postérieurs, plus marquées dans les ! i/4
postérieurs
et contre la corne postérieure. Les faisceaux p
rieurs, plus marquées dans les ! i/4 postérieurs et contre la corne
postérieure
. Les faisceaux pyramidaux sont altérés dans tou
n particulier de celle qui pénètre au niveau du sillon antérieur et
postérieur
. Tout le tissu de soutènement de la moelle, les
scopiques. A propos du premier cas il est noté à propos des cordons
postérieurs
: « Le picrocarmin ne fait voir dans la partie de
térieurs : « Le picrocarmin ne fait voir dans la partie des cordons
postérieurs
que nous avons trouvée altérée macroscopiquement
ur les cordons latéraux, microscopiquement on trouve dans la partie
postérieure
du cordon latéral une diminution des fibres à myé
centuées. Elles portent sur- tout sur la partie médiane des cordons
postérieurs
et la zone radiculaire postérieure. Elles sont
ur la partie médiane des cordons postérieurs et la zone radiculaire
postérieure
. Elles sont d'ailleurs, d'après les planches, dif
leurs ayant pour cause la propagation de la tuberculose aux parties
postérieures
des vertè- bres par l'intégrité manifeste de ce
1 cent. 7, passant de 51 cent. 1 à 52 cent. 8, au niveau de sa face
postérieure
seule mensurable. Malgré l'importance de cette
art, l'allongement porte nécessairement davan- tage sur les parties
postérieures
de la moelle que sur ses parties antérieu- res,
s de 1 centimètre, portant presque toute son action sur ses parties
postérieures
, au niveau des jJ1'emiè- res paires lombaires.
ve, longue de 1 m. 50, large de 45 centimètres, portant à sa partie
postérieure
un petit dossier auquel est fixée une courroie
'abord frappé par la topographie des lésions (Fig. 2). Les cor- nes
postérieures
, les groupes cellulaires postéro-internes des cor
La plupart des cellules de la subs-' tance de Rolando et des cornes
postérieures
etdes cellules situées à l'union des cornes ant
érieures etdes cellules situées à l'union des cornes antérieures et
postérieures
sont non seulement dépourvues de prolongements,
). B - Cellules nerveuses transformées en globes réfringents (corne
postérieure
). C. Chromatolysc périphérique et centrale (cor
elle, située il 1/2 millimètre au-dessus de l'émergence des racines
postérieures
de la 12e paire. Voici une observation du D''
gauche qui intéressait la presque totalité des cordons antérieur et
postérieur
; le cordon latéral était à peine touché. N'all
e d'une blessure par instrument tranchant, qui siégeait à la partie
postérieure
et latérale de la nuque, immédiatement au-dessous
don antérieur ; elle empiétait sur la moitié gauche, dont le cordon
postérieur
et une moitié du cordon latéral étaient divisés
quer par un même mécanisme. La trace de la fermeture de l'extrémité
postérieure
de la gouttière peut présenterdes anomalies ana
sibles, que l'extrémité ait été appliquée par sa face antérieure ou
postérieure
. Les os provenant de la maladie de Paget ont ég
ils analogues, qu'ils fussent disposés suivant le plan antérieur ou
postérieur
. Toutes ces expériences montrent que la photogr
ffet la cavité syringomyélitique envahit tout d'abord la commissure
postérieure
et se dirige ensuite vers la corne pos- térieur
corne et dans la commissure est peu considérable. En effet la corne
postérieure
possède peu de névroglie et surtout la substanc
06 G. MARINESCO s'établit par l'intermédiaire de septum des cordons
postérieurs
el alors la gliose envahit ces cordons et donne
se péri-épendymaire. Il arrive même qu'il se forme dans les cordons
postérieurs
de véritables cavités tapissées d'un épithélium
s muscles antérieurs de l'avant-bras sont plus pris que les muscles
postérieurs
. Je crois pouvoir affirmer que dans un bon nomb
es de la face antérieure et n'envahir que plus tard ceux de la face
postérieure
et quand ces derniers sont pris, ils sont MAIN
mme dans les Iro, Ile et IIP observations de ce travail, le cubital
postérieur
, moins atteint par le processus atrophique que le
ion syringomyélique aux membres supérieurs, à la face antérieure et
postérieure
du tronc. C'est Charcot, comme on le sait, qui
trouvé une pachy- méningite très nette avec cavités dans les cornes
postérieure
et antérieure, sans qu'on ait observé la main d
ent il s'agit là des extenseurs du poignet, c'est-à-dire le cubital
postérieur
et les radiaux. Or,' chez la plupart de mes mal
ui agit particulièrement dans ces circonstan- ces, c'est le cubital
postérieur
qui est moins touché que les radiaux, ce qui no
grise, le neurone sensitif indirect siégeant surtout dans la corne
postérieure
. V. C'est de l'intégrité anatomique de ces troi
uquets filamenteux. Autre ramification se dirigeant le long du bord
postérieur
de la branche DES NiEVI DANS LEURS RAPPORTS AVE
angle externe de la paupière. Au niveau de l'oreille, toute la face
postérieure
du pavillon est occupée par la coloration viole
entre la ligne mamillaire et la ligne mé- diane. 2° La portion
postérieure
, qui i très rapidement se divise en deux bran
le naevus suit nettement le trajet des deux filets, anté- rieur et
postérieur
, du nerf cutané perforant latéral. - Observatio
l gauche (PI. XXVIII, B), au niveau de la ligne verticale axillaire
postérieure
, existe une tache brune, plus foncée que le res
us correspond exactement à la zone d'épanouissement de la bran- che
postérieure
récurrente du 7e nerf intercostal droit. Ce gro
rigine médullaire de navi, les attri- buant à une lésion des cornes
postérieures
de la moelle. Restent les nfovi croisant obliqu
erf anatomiquement précisé ; 2° prolongement central ou radiculaire
postérieur
, myélite expli- quant les nævi sériés, les nævi
ale externe aux deux bosses frontales. Si le point de repère unique
postérieur
ne permet pas d'apprécier avec précision les dime
accentue lorsqu'il existe vers l'union du bord supérieur et du bord
postérieur
de l'hélix plus ou moins atrophié une pointe, u
gitudinales, en lesquelles se subdivisent les fibres radiculai- res
postérieures
. Chacune de ces branches émet des collatérales, d
scendantes et descen- dantes de bifurcation des fibres radiculaires
postérieures
. Parmi ces collatérales, il distingue en premiè
istingue en première ligne : a) Les collatérales pour la commissure
postérieure
; après avoir franchi (1) IIA)10,N y Dual, L'ana
gne médiane, elles se ramifient dans le foyer ou centre de la corne
postérieure
du côté opposé. Je les appellerai, dans ce qui va
Viennent ensuite : b) Les collatérales pour le foyer de la corne
postérieure
du même côté ; ce sont probablement les plus no
nce grise centrale et dans la partie interne de la base de la corne
postérieure
du même côté. * w * Que si nous mettons c
TÉRALES SENSITIVES, QUI SUBISSENT la DÉCUSSATION dans la COMMISSURE
POSTÉRIEURE
, NON SEULEMENT SUFFISENT A ASSURER LA TRANSMISS
vous voyez dessinées en noir repré- sentent des fibres radiculaires
postérieures
irradiantes FRS, avec leurs branches de bifurca
, des collatérales croisées, qui se rendent à travers la commissure
postérieure
dans la corne postérieure du côté opposé. Là,
s, qui se rendent à travers la commissure postérieure dans la corne
postérieure
du côté opposé. Là, elles se résolvent en arbor
la bifurcation des. fibres Fig. 4. 318 F- RAYMOND radiculaires
postérieures
, ni les autres catégories de collatérales qui se
tions qu'on se faisait du rôle des fibres constituantes des cordons
postérieurs
. Voilà qui méfait dire que dans l'état actuel d
sus de celui où elle pénètre dans la moelle sous forme d'une racine
postérieure
. L'anatomie nous enseigne que les branches de b
enseigne que les branches de bifurcation des fibres ra- diculaires
postérieures
ne subissent pas de décussation directe dans la
alité des choses, il fin-- drait que les fibres longues des cordons
postérieurs
ne prissent qu'une part négligeable à la transm
tout état de cause, les fibres tant soit peu longues des cordons
postérieurs
ne joueraient qu'un rôle absolument secondaire,
ment de rechercher si la sec- tion expérimentale de la commissure
postérieure
, pratiquée dans une cer- taine étendue, entrain
toires. On a' constaté, par exemple, qu'une simple piqûre du cordon
postérieur
d'un côté pouvait donner lieu au syn- drome de
ement de coloration de sa peau. Tout le tronc, aussi bien la partie
postérieure
que l'antérieure et les côtés, le cou, les fesses
générées isolées. Un aspect tout aulre est présenté par les.cordons
postérieurs
; ici on observe une dégénérescence assez consid
s fibres ner- veuses (Fig. 1). Mais, en général, dans les cordons
postérieurs
la quantité des fibres sai- nes prédomine sur c
: dans les parties internes des cor- dons de Goll. Dans les racines
postérieures
on observe une dégénérescence très marquée, sur
la dégénérescence n'est pas aussi accentuée que dans les raci- nes
postérieures
; lit aussi, elle est plus visible dans la région
ANOFF tionspar des fibres dégénérées. Dans les cellules de la corne
postérieure
, ainsi que de la corne antérieure, on voit un p
tre que,peul-être,les mo- difications sus-décrites dans les cordons
postérieurs
de la moelle épinière chez notre malade dépenda
ique des cellules en question a été atteinte. La lésion des cordons
postérieurs
dans ce cas porte surtout sur les voies conduct
ent dans la moelle épinière comme éléments constitutifs des racines
postérieures
. L'influence des modifications survenues dans l
ant à relever. Il peut donner à penser que l'altération des cordons
postérieurs
chez notre malade dépend peut-être aussi de que
alysie générale, il existait concurremment une sclérose des cordons
postérieurs
: il s'agissait de paralytiques généraux tabétiqu
aladie connue du système nerveux central. C. FORME CENTRALE SPINALE
POSTÉRIEURE
. Observation XX (M. P. Marie). Gromillet, trent
'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 39 PATHOLOGIE DE LA FORME CENTRALE SPINALE
POSTÉRIEURE
. Cette forme d'accidents spinaux est bien moins
'est l'aboutissant par excellence de notre forme cen- trale spinale
postérieure
. Passons maintenant à l'étude détaillée et spéc
t ne doivent pas figurer au tableau cli- nique de la force centrale
postérieure
. Ce sont : a). Le syndrome de la paraplégie spa
stéro-latérale fait au contraire défaut à la forme centrale spinale
postérieure
. b). Symptômes myatrophiques. Aucun de nos tr
tous ces caractères, dis-je, donnent à notre forme centrale spinale
postérieure
un cachet de spécialité. Après le long exposé d
r, à la suite de la rupture de l'un des tubes. » D. FORME SPINALE
POSTÉRIEURE
. . Nous ne ferons que signaler l'existence de c
se. Si d'une part on ne peut nier l'exis- tence de la forme spinale
postérieure
d'accidents spi- naux provenant de l'emploi des
sécutive aux embolies et à l'infiltration gazeuse siège aux régions
postérieures
de la partie dorso- lombaire de la moelle. Cett
constituer les grandes lignes de la pathologie de la forme spinale
postérieure
. E. FORME UNILATERALE. Suivant que le siège d
tout à coup de douleurs extrêmement vives qui occupaient la partie
postérieure
du cou et surtout la moitié droite de cette rég
Le malade se plaint encore avec amertume de ses douleurs Ma région
postérieure
du cou, lesquels par moment s'exaspèrent et s'i
r exaspération de temps à autre, sous forme d'accès, de la partie
postérieure
du cou, douleurs qui s'éten- daient à l'occiput
11. Hehveg n'a pu le suivre plus bas), en remontant à la commissure
postérieure
du cerveau. Soit par l'anatomie, soit par l'int
après s'être divisée en trois trousseaux distincts, la commissure
postérieure
qu'elle forme exclusivement, la couche optique et
circonscrit; de véritables pertes de substance criblent les cordons
postérieurs
, et les cor- dons antéro-latéraux au pourtour d
caractérisée par la dégénérescence de diverses parties des cordons
postérieurs
et la perte de fibres dans les faisceaux cérébe
iplégie unique du malade, la locali- sation des lésions des cordons
postérieurs
à la moitié supérieure de la moelle, au contrai
avec celles du pédoncule cérébral , leur forme au sein des cordons
postérieurs
, l'absence d'ataxie et de lésions transversales
topsie. Sclérose des ascendantes gauches, de l'opercule, du segment
postérieur
de la troisième frontale du même côté. En outre
' SOCIÉTÉS SAVANTES. totalement la capsule interne dans son segment
postérieur
. - Dans la première, absence de dégénérescence
te a eu lieu lundi 10 dé- cembre. La question donnée a été : Cordon
postérieur
de la moelle {anatomie et physiologie). Les can
sry, imp,- 189. Z Tableau III. TABLEAU DE LA FORME CENTRALE SPINALE
POSTÉRIEURE
I ) ? - CATSARAS. Tableau IV. TABLEAU DE LA F
ES DE NEUROLOGIE ANATOMIE RECHERCHES SUR LA STRUCTURE DES CORDONS
POSTÉRIEURS
' DE LA MOELLE ÉP1NIÈRE DE L'HOMME ; Par le P
E L'HOMME ; Par le Professeur N. POPOFF, de Varsovie. Les cordons
postérieurs
de la moelle épinière de l'homme, présentant un
ui se dis- tingue par des fibres plus fines, adhère à la scissure
postérieure
et se détache nettement du faisceau externe de
s, touchant au bord interne de la corne antérieure et des racines
postérieures
. Fleclisi ? d'après ses études du système nerve
de coloration de Veigert, a constaté que la division des cordons
postérieurs
sus-mentionnée manquait d'exac- titude, ces der
ase sur le fait que les foetus de cinq à six mois, dont les cordons
postérieurs
commencent à peine à se recouvrir de myéline, n
leur bord externe, le long de toute la limite interne des cornes
postérieures
jusqu'à la commissure postérieure. Une division
ute la limite interne des cornes postérieures jusqu'à la commissure
postérieure
. Une division de cette nature des faisceaux de
encement du septième mois de la vie intra-uterine) dans les cordons
postérieurs
, où les faisceaux de Goll étaient encore dépour
o- penphen<)neduYaisseandcUtud.n'h.E,J.apic-mi;re. DES CORDONS
POSTÉRIEURS
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 181 mentionnée, servant
rver que les parties des faisceaux de Goll avoisinant la scissure
postérieure
, possèdent une couche de myéline infini- ment p
t et de dehors en arrière et au dedans et 182 ANATOMIE. DES CORDONS
POSTÉRIEURS
DE LA MOELLE. atteint ainsi la région des faisc
nte de la commissure posté- rieure ; ces fibres émergent des cornes
postérieures
, le long du bord antérieur des cordons postérie
gent des cornes postérieures, le long du bord antérieur des cordons
postérieurs
, elles pénètrent dans la commissure postérieure
térieur des cordons postérieurs, elles pénètrent dans la commissure
postérieure
et ayant atteint la ligne médiane, changent bru
pu constater sur mes préparations, que les fibres de la commissure
postérieure
étaient encore privées de la myéline, ou n'en a
eur même de ces faisceaux, tandis que les fibres de la commissure
postérieure
constituent la partie externe. Quant à l'extrém
re de symptôme de la période du début de la- forme centrale spinale
postérieure
chez le malade de l'OBSER- VATION XXI. Nous all
latéral du même côté; 10 fibres arciformes externes, antérieures et
postérieures
, du faisceau grêle du même côté et du côté oppo
ts, publiés en langue russe. 'Constitution du faisceau longitudinal
postérieur
. D'après Flechsig, le faisceau longitudinal pos
longitudinal postérieur. D'après Flechsig, le faisceau longitudinal
postérieur
, s'il n'est pas le prolongement du faisceau bas
ant le premier cas connu de dégénérescense du faisceau longitudinal
postérieur
, a exposé ses recherches sur la constitution de
3° des fibres qui passent dans la partie centrale de la commissure
postérieure
, mais qui i ne sont pas des fibres- d'associati
géniculé latéral et la couche optique, traversent la commis- sure
postérieure
et le faisceau longitudinal postérieur, pour-,
traversent la commis- sure postérieure et le faisceau longitudinal
postérieur
, pour-, se terminer dans le noyau de la troisiè
qui légitime par- faitement sa conclusion. Rôle de la commisssure
postérieure
dans le réflexe pupillaire. LeDr Darschkevitch,
LeDr Darschkevitch, nie l'influence des tubercules quadri- jumeaux
postérieurs
sur la réaction de la pupille la lumière ; suiv
ours employé la méthode de Flechsig. Parcours central des racines
postérieures
; leur terminaison. Le D'' Bechterew, élève de
ève de Flechsig, a étudié le parcours et la terminaison des racines
postérieures
dans la substance grise de la moelle. Il a re
ns la substance grise de la moelle. Il a reconnu dans les racines
postérieures
l'existence de deux ordres de fibres qui se sép
deux ordres de fibres qui se séparent à leur entrée dans la corne
postérieure
et forment deux faisceaux : un faisceau interne
temps avant la naissance. Les unes pénètrent dans la partie la plus
postérieure
des cordons latéraux et se terminent dans les c
des cordons latéraux et se terminent dans les cellules de la corne
postérieure
, quelques-unes seule- ment se prolongent jusqu'
a corne antérieure du côté opposé. Des petites cellules de la corne
postérieure
, où aboutissent principalement les fibres grêle
deux systèmes physiologiques^ distincts. Physiologie des racines
postérieures
. En effet M. Bechterew se fondant sur les résul
so- limo ; cet auteur affirme que le centre trophique des cordons
postérieurs
ne siège pas dans les ganglions intervertébraux,
cordons de Burdach est seule pourvue de myéline, dans les cor- dons
postérieurs
; leur excitation produit la contraction des mu
par le segment correspondant de la moelle. L'excitation des racines
postérieures
donne le même résultat. Au cinquième jour tout
stérieures donne le même résultat. Au cinquième jour tout le cordon
postérieur
contient des fibres à myéline, et le cordon de
de Goll ne devient excitable qu'à ce moment, alors que les racines
postérieures
sont développées depuis longtemps, démontre l'e
eau des racines antérieures correspondantes. anatomie des racines
postérieures
. Comme complément des travaux de Bechterew, nou
chez des foetus humains, il est arrivé à établir que : La racine
postérieure
de l'acoustique, qui constitue le prolongement du
aralysie avec exagération des phénomènes tendineux), et des cordons
postérieurs
(douleurs névralgiques podaliques) : intégrité
nesthésie d'un autre centre sous-cortical (tuber- cule quadrijumeau
postérieur
, - couche optique ? ) expliquant la surdité. In
bande étroiteimmédiatement cpntiguë au côté interne des deux cornes
postérieures
(zone d'en- tréeradiculnire de Weslplial) ; cet
de la moelle dorsale, unit le milieu de l'arête interne de la corne
postérieure
à la cloison de la pie-mère intermédiaire au fais
rescence funiforme de la moelle soit exclusivement dans les cordons
postérieurs
(deux cas), soit con- curremment dans les cordo
rdons postérieurs (deux cas), soit con- curremment dans les cordons
postérieurs
et les parties postérieures des cordons latérau
), soit con- curremment dans les cordons postérieurs et les parties
postérieures
des cordons latéraux (lésion symétrique bilatér
ment les zones d'entrée des faisceaux radiculaires dans les cordons
postérieurs
sont épargnées, ou la lésion n'y est que faible.
des expériences rotatives de Fuerstiier (vulnérabilité des cordons
postérieurs
et postéro-latératix) ; ressemblance de l'éléme
ociée de la partie latérale de la suture coronaire et de la portion
postérieure
de la suture sagittale ou oxycéplialie (têtes,
nomalement enfoncé dans l'orbite. OEil enfoncé. ' 3" La synostose
postérieure
, de la suture sagittale avec compen- sation en
nches de myéline. Voici ce qu'il a trouvé. Le faisceau longitudinal
postérieur
s'en- toure de très bonne heure de substance bl
ues s'entourent de myéline. Les nerfs opti- ques forment une racine
postérieure
et une racine antérieure séparées l'une de l'au
s de prolongements auostomotiques et d'un noyau apparent. La racine
postérieure
participe à la genèse d'un feu- trage de fibres
nerf optique, de la dissociation terminale du faisceau longitudinal
postérieur
, d'un fascicule originaire du cervelet, de fibr
les fibres ascendantes, il faut, en sus des faisceaux longitudinaux
postérieurs
qui perdent une partie de leurs fibres dans les
ntérieurs à l'explosion de la maladie aussi bien que pour les faits
postérieurs
à l'ictus. Il en est de même à l'égard de la se
haut) des désordres appréciables à un moment quelconque du temps
postérieur
à l'opération. Dès ces prolégomènes, il est exp
1887j les régions des nerfs cutaneus, medialis, mé- dius, cutaucus
postérieur
supérieur et de tout le nerf ulnariq. La même a
nerveuse. vait des altérations très caractéristiques des cordons
postérieurs
de la moelle épinière. Par la comparaison avec
reuve par- lante contre la possibilité d'une lésion des faisceaux
postérieurs
, et que même, au contraire, dans le tabes toxiq
ne le croit en général, ou bien encore par une lésion des faisceaux
postérieurs
, de la moelle épinière ou bien encore par ces d
ne pas' indiquer la grande part qu'y prennent justement les cordons
postérieurs
de la moelle épinière; ainsi Fuczek cite déjà d
e ces temps derniers par M. Vierordt de troubles dans les faisceaux
postérieurs
de la moelle épinière dans un cas à.' intoxicat
littérature, l'existence des troubles 'pathologiques des faisceaux
postérieurs
dans l'anémie. Tous ces faits font ressortir d'
sortir d'une manière toute spéciale, le rôle des fibres des cordons
postérieurs
de la moelle épinière; elles semblent être une
rectum participent à la paralysie. De plus, il porte à la partie
postérieure
et inférieure du tronc une large eschare de 14
et le sphacèle de ces parties du corps s'étendit jusqu'à la surface
postérieure
du tiers supérieur des cuisses. Je fis usage co
d'un cas de maladie de 't'eat. Outre la dégénérescence des cordons
postérieurs
et d'une zone périphérique du cordon latéral, l
cérébrale. At'c/t. de Kovalewslig, t. IX, n° 3, 1887. Des racines
postérieures
et du lieu de leur terminaison cen- trale. Jour
u cerveau. -Le Médecin, n° 38, 1886. De la constitution des cordons
postérieurs
de la moelle chez l'homme. Revue de Médecine, n
tale, 118; des médecins et chi- rurgiens américains, 489. Cordons
postérieurs
(structure des de la moelle chez l'homme), par
ires posés, sur un sujet adulte, d'avant en arrière, de la commissure
postérieure
de la narine au point situé au-dessous de l'orifi
nette-ment le parti de perforer avec le mandrin la cloison externe et
postérieure
du canal nasal, de manière à pénétrer dans le sin
e bord pupillaire sur la cataracte indique que l'espace de la chambre
postérieure
est conservé. S'il manque, l'iris étant dans la p
'offre d'avantages qu'autant qu'on veut attaquer ce corps par sa face
postérieure
, différence en quoi consistent les procédés de M.
in à travers la pupille, piquer dedans et le rame-ner dans la chambre
postérieure
, si c'est possible; 20 en cas con-traire, lehache
atiquer l'abaissement de la lentille cris-talline revêtue du feuillet
postérieur
de la capsule, en laissant en place le feuillet a
corps vitré ; ramener l'aiguille à la partie externe, infé-rieure et
postérieure
du cristallin; inciser la capsule, accrocher avec
ointe elle-même dirigée de telle sorte qu'elle pénètre dans la partie
postérieure
et inférieure du cristallin; glisser légère-ment
le insinuée dans l'œil, la faire glisser dans la direction de la face
postérieure
du cristallin ; parvenu à un centimètre de profon
ables. On peut attaquer la cataracte par ses deux faces antérieure ou
postérieure
; mais il est préférable d'agir en avant, où la p
nte de l'ouverture pupillaire due non à un glaucome, mais au feuillet
postérieur
de la capsule cristalline. Morenheim et Beer cons
de l'oeil, résultat d'adhérences de l'iris (synécliie anté-rieure ou
postérieure
); 2" l'aplatissement de la cornée, qui dimi-nue p
tte membrane exempt d'alté-ration (Weller). La synéebie antérieure ou
postérieure
, l'opacité du cristallin, ne sont pas des contre-
uxième temps. Glisser horizontalement le couteau à travers la chambre
postérieure
et parallèlement à l'iris jusqu'aux deux tiers po
la chambre postérieure et parallèlement à l'iris jusqu'aux deux tiers
postérieurs
de cette membrane, où il faut s'arrêter. Troisièm
ses deux tiers externes; alors incliner l'instrument vers la chambre
postérieure
et achever, en le reti-rant, l'incision de l'iris
est tranchante et pointue; 1 insinuer, en remontant, derrière la face
postérieure
de cette membrane jusqu'à ce que la branche antér
à ca-taracte de Scarpa, la plonger par la sclérotique dans la chambre
postérieure
comme pour l'abaissement du cristallin; la dirige
ions entre le pouce et l'indicateur ; puis on applique contre sa face
postérieure
un bou-chon de liège, d'une résistance médiocre,
i avec succès dans un cas de perte de substance, siégeant à la partie
postérieure
du pavillon. Le bord de l'oreille qui doit rece
sser le long du bord inférieur de la cloison nasale jusqu'à sa partie
postérieure
; alors on imprime un mouvement de rotation à l'in
ar la narine antérieure, et communiquant avec le pharynx parla narine
postérieure
. Narines antérieures. Orifices extérieurs du ne
s apophyses ptérygoïdes, et par conséquent inextensibles, les narines
postérieures
représentent un parallélogramme à angles arrondis
arrière, longue d'environ six centimètres, et supportant par son bord
postérieur
le voile du palais, espèce de plancher mobile, qu
canal nasal, à la réunion de son tiers antérieur avec ses deux tiers
postérieurs
, à environ deux centimètres et demi de profondeur
ondément situé que les deux précédens, reçoitles cellules ethmoïdales
postérieures
et les sinus sphénoïdaux ; de plus il pré-sente,
jusqu'au point d'appliquer fortement le bourdonnet contre l'ouverture
postérieure
de la fosse nasale : séparant ensuite les deux fi
haut ces tampons, de manière à les aplatir contre l'ouverture nasale
postérieure
, on donnerait facilement à l'air un passage suffi
les tenettes. On le pratique par la narine antérieure, par la narine
postérieure
, ou par toutes les deux à-la-fois. i" Avec une
de chaque main , l'un par la narine antérieure, l'autre par la narine
postérieure
, et par un mouvement combiné de va-et-vient des d
pres à opérer par la narine anté-rieure, et les courbes par la narine
postérieure
(pl. 19, fig. 1 à 10). En outre on doit avoir une
che ou de faire porter par un aide le doigt in-dicateur par la narine
postérieure
, pour aider, autant qu'on peut y atteindre, à cha
a été suivi avec succès par MM. Serre et Velpeau. (b) Par la narine
postérieure
(pl. i5,fig. 2). Lorsqu'un po-lype situé en arriè
po-lype en partie par la narine antérieure et en partie par la narine
postérieure
. En résumé, c'est en pareille circonstance que le
ble à la vue et au toucher par l'une ou l'autre narine, antérieure ou
postérieure
. L'arrachement et la ligature sont le plus généra
rface saignante, à l'union de ses deux tiers antérieurs avec le tiers
postérieur
; puis saisir l'autre lambeau de la lèvre et le ra
, continue avec la première, est encastrée latéralement entre le bord
postérieur
de-là branche maxillaire en avant, l'apophyse mas
dans cette étendue les vaisseaux maxillaires internes et auriculaires
postérieurs
, outre de nombreux vaisseaux parotidiens; 2° dans
e, attaquer la masse indurée, d'abord par son contour supérieur, puis
postérieur
, où elle est mieux limitée, en l'isolant avec soi
grand nombre : la transverse de la face, la temporale, l'auriculaire
postérieure
, les branches mastoïdiennes, la maxillaire intern
culaire, s'opère du sixième au dixième jour. 1" Cancer de la partie
postérieure
de la langue, (a) Cancer latéral. Dans un cas où
'un serre-nœud. Pratiqué de cette manière, en ne for-mant qu'une anse
postérieure
qui interrompt seulement la circu-lation directe
arrière en avant, à six ou huit millimètres de distance du bord libre
postérieur
et de celui de la division. Lorsque l'aiguille es
nt sur les commissures labiales. Après avoir mis en place la ligature
postérieure
, qui doit toujours être posée la première, vu que
). M. Roux pratique ce temps opératoire avec les doigts. La ligature
postérieure
est serrée la première. Quand le premier nœud est
au-coup de précautions. H est prudent de laisser en place la ligature
postérieure
, un, deux ou trois jours de plus. Après la sectio
Dès que l'aiguille en est détachée, on passe dans cette anse le chef
postérieur
ou pharyngien de la liga-ture; puis, en tirant su
us mobile par une section transversale de chaque côté le long du bord
postérieur
des os palatins. 2° M. Bonfds, appli-quant la mét
e à doubles crochets (Velpeau), il ac-croche l'amygdale par sa partie
postérieure
, et, par un mouve-ment de traction graduelle, s'e
r et méthode, on arrive à isoler peu-à-peu la tu-meur jusqu'à la face
postérieure
, que l'on détache avec précaution de haut en bas
oin plète, et que, détachant de prime abord la tumeur jusqu'à sa face
postérieure
, c'est alors qu'il place ses ligatures partielles
a courbé en arc pour empêcher la canule à demeure de blesser la paroi
postérieure
de la trachée. Plus tard , l'idée de la ponction
tte canule doit être recourbée en dedans pour ne pas blesser la paroi
postérieure
; au-dehors, elle s'élar-git en pavillon par un r
, dégage le bec de l'instrument, qui tend à s'arcbouter dans la paroi
postérieure
et le dirige en bas, pendant que la main gau-che,
le centre du canal, en évi-tant à-la-fois soit de labourer les parois
postérieure
et latérales, ai qui pourraient être lésées o
nlever graduellement la tumeur, du contour vers la ligne du grand axe
postérieur
, le précepte d'isoler d'abord pro-fondément par l
e épaisseur de muscles, on prescrit de ponctionner à l'union du tiers
postérieur
avec les deux tiers antérieurs de la circonférenc
ème côtes, à-peu- 24 près à l'union «lu tiers moyen avec le tiers
postérieur
du tronc. Faisant cheminer obliquement son trocar
ème cartilage costal ; la ré-sistance offerte par la forte aponévrose
postérieure
du sternum , indiquerait quel' instrument y est p
sé comme lieu d'élection de pé-nétrer , chez la femme , par la partie
postérieure
et supérieure du vagin, pour arriver clans le cul
iés à un aide. Le second fil es passé de la même manière sur la paroi
postérieure
à l'autre extré mité du diamètre, puis confié au
ure, la portion directe ou descendante de l'aponévrose, et pour paroi
postérieure
, la portion réfléchie ou ascendante, tandis qu'en
lier externe de l'anneau inguinal. En effet, il se détache de la face
postérieure
de ce pilier, dont il est en quel-que sorte une r
son bord antérieur confondu avec le ligament de Fal-lope, et son bord
postérieur
inséré sur la partie la plus interne de la crête
ère de l'anneau est entourée d'un cercle artériel, puisque sa portion
postérieure
, c'est-à-dire celle qui appuie sur le pubis et le
aisseaux du cordon, adhèrent fortement tant au péritoine qu'à la face
postérieure
de la ligne blanche, en sorte que le péri-toine n
peau de chamois ou de maroquin. La courroie qui se fixe à l'extrémité
postérieure
du ressort est destiné à embrasser le côté sain d
ression exercée par la pelote en avant. Il faut aussi que l'extrémité
postérieure
de la lame d'acier regarde légèrement en bas, afi
pavillon un peu abaissé, afin que le bouton s'applique contre la face
postérieure
de la paroi abdominale; puis, portant le clos du
angereuse. Outre la vessie qui est pres-qu'accolée derrière l'orifice
postérieur
du canal sous-pubien, on aurait à éviter les nerf
cède de M. Amussat. Anatomie opératoire. C'est à l'étude de la partie
postérieure
du flanc, dans les limites cle laquelle on opère,
iée sous le rapport pratique (Voy. t. V, pl. 5, 6, 7, 8). La partie
postérieure
du flanc est un espace quadrilatère circon-scrit
t avec soin, cpie l'intestin est dépourvu de péritoine clans le tiers
postérieur
au moins de sa circonférence, comme la face antér
e, qui, passant devant le carré des lombes, vient se terminer au bord
postérieur
du transverse; en bas, il est en rap-port avec la
, il ne vient pas tout entier comme une anse intesti. nale ; sa paroi
postérieure
seule cède, et le doigt, introduit dans sa cavité
liés ensemble. Souvent alors l'intestin vient faire saillir la partie
postérieure
du flanc. On fait à la peau une incision trans-ve
bord dans la même direction le grand dorsal qui n'occupe que le tiers
postérieur
de l'incision cutanée, le grand oblique qui en oc
iminuer l'étendue de la solution de continuité, on rap-proche l'angle
postérieur
des tégumens de la plaie avec un point de suture
ux matières stercorales , et à permettre la cicatrisation de la paroi
postérieure
du vagin et la formation d'une cloison recto-vagi
ion du doigt; tantôt, la maladie affecte une des parois du rectum, la
postérieure
, l'an-térieure ou bien une des parois latérales ;
et la prostate chez l'homme, et avec le vagin chez la femme. La paroi
postérieure
n'a aucun rapport important dans une étendue asse
r verticalement, avec de forts ciseaux , toute l'épaisseurde sa paroi
postérieure
, autant que possible jusqu'au-dessus du mal.H cho
mis en place. L'une des deux pièces d'acier porte dans ses deux tiers
postérieurs
deux montans à vis, et au milieu une vis de rap-p
che le canal déférent qu'il repousse en arrière et passe, sur la face
postérieure
du paquet veineux, une épingle qu'il fait mainten
de la cloison , maintient en contact la paroi antérieure et la pa-roi
postérieure
des bourses , et tire doucement à lui. Le testicu
points de suture, mais seulement dans leur moitié ou leurs deux tiers
postérieurs
, afin d'éviter un phimosis consé-cutif; si au co
couper en un point rapproché du pubis, on a à craindre que la partie
postérieure
du tube ne s'échappe dans la vessie. Le procédé d
du pénis, il présente deux courbures très bien caractérisées : l'une
postérieure
et inférieure contourne l'arcade pubienne et offr
entre par le détroit supérieur du bassin, ce qui fait que la courbure
postérieure
de l'urètre est plus prononcée que dans l'état or
( 2 pouces) le bulbe s'incurve à angle droit, de sorte que sa moitié
postérieure
, un peu oblique de bas en haut, forme un canal co
us commodes, suivant M. Velpeau, ne sont courbées que dans leur quart
postérieur
, de manière à former un arc dont la corde n'ait p
vésicale de la prostate étaient assez développés pour élever la paroi
postérieure
du canal ; si la vessie, très distendue, était so
n arrive sans obstacle jusqu'à la prostate : pour franchir la portion
postérieure
de cette glande qui s'oppose à l'introduction de
u moins existe-t-il une communication entre les parties antérieure et
postérieure
à l'obstacle. Si cette communication est quelquef
n ouverture antérieure n'est que la moitié de celui de son ou-verture
postérieure
. Pour disposer la partie qui doit servir à suppor
-sant le mandrin, et, en tirant à soi, on le ramène jusqu'à la partie
postérieure
du rétrécissement où il se trouve retenu. D'un au
amené avec douceur et lentement, ne peut manquer d'accro-cher le bord
postérieur
du rétrécissement, si c'est pour un ob-stacle de
ure, en allant vers la vessie, et par celui qu'il subit à leur partie
postérieure
, en revenant vers le gland ; des divi-sions établ
, de la pousser trop loin, dans la crainte de heurter contre la paroi
postérieure
. On ne réussit pas toujours à faire arriver la
nd si la fausse route se faisait parenhaut, entre la vessie et laface
postérieure
du pubis, car alors le tissu cellulaire pelvien s
rs glisser la sonde à travers le trajet incisé, puis dans l'extrémité
postérieure
du canal jusque dans la vessie, il fixe l'instrum
nule était trop longue, son extrémité allait frotter con-tre la paroi
postérieure
de la vessie, pouvait l'enflammer et y causer une
nte sa pointe à l'abdomen de manière que sa concavité regarde la face
postérieure
des pubis, et l'enfonce perpendiculairement à l'a
n la faisant filer au-dessus de cette glande, entre elle et la face
postérieure
des pubis, de ma-nière à pénétrer dans la vessie
les tissus; et si le trocart est trop long, il appuie contre la paroi
postérieure
de l'organe et y cause une inflammation ulcéreuse
e recommencer l'opération, et à la crainte de l'ulcération delà paroi
postérieure
de la vessie, un trocart de forme et de longueur
les lobes latéraux qui sont hypertrophiés. D'autres fois l'extrémité
postérieure
de la prostate, saillante dans la vessie, fait l'
aillante dans la vessie, fait l'office d'une soupape contre l'orifice
postérieur
de l'urètre lorsqu'on veut évacuer l'urine, et s'
le que forme la vessie au-dessous de la prostate, lorsque l'extrémité
postérieure
de cette glande fait saillie dans le viscère , il
onnât le cul-de-sac où il était logé, et fût se placer dans la partie
postérieure
de la vessie devenue sa partie la plus déclive, o
la prostate et de la vessie avec le rectum, la base au raphé, le côté
postérieur
au rectum, et le côté antérieur à la prostate, et
quatre ans. Diamètre transverse. . . . 12 à i3 millimètres. Bayon
postérieur
oblique . 4 à 5 Rayon postérieur direct. . . 2
. . . 12 à i3 millimètres. Bayon postérieur oblique . 4 à 5 Rayon
postérieur
direct. . . 2 Rayon antérieur direct. . . 1 D
. . 1 De cinq à dix ans. Diamètre transverse. . . . i3ài7 Rayon
postérieur
oblique . . 5 à 7 Rayon postérieur direct. . .
transverse. . . . i3ài7 Rayon postérieur oblique . . 5 à 7 Rayon
postérieur
direct. . . 4^5 Rayon antérieur direct. . . 2
2 De dix ci douze ans. Diamètre transverse. . . . 16 à 19 Rayon
postérieur
oblique. . 6 à 8 Rayon postérieur direct. . . 4
transverse. . . . 16 à 19 Rayon postérieur oblique. . 6 à 8 Rayon
postérieur
direct. . . 4 à 5 Rayon antérieur direct... 2 à
De douze à quinze ans. Diamètre transverse. . • . 19 à 22 Rayon
postérieur
oblique. . 8 Rayon postérieur direct. . . 4 à 5
tre transverse. . • . 19 à 22 Rayon postérieur oblique. . 8 Rayon
postérieur
direct. . . 4 à 5 Rayon antérieur direct... 3
surés de l'urètre à la circonférence de la glande ont donné : Rayon
postérieur
direct. . . 15 à 1 8 millimètres. Rayon transve
levées. Il était lié de façon que les mêmes liens, placés à la partie
postérieure
du cou et conduits autour des aisselles et des cu
e et en arrière avec le doigt indicateur gau-che placé dans la partie
postérieure
cle la plaie, faisait glisser sur l'ongle cle ce
eret s'enfonce profondément dans la vessie, et peut perforer sa paroi
postérieure
. On lui reproche encore de produire des inci-sion
d'autant plus de raison qu'elle exposait plus que l'incision oblique
postérieure
à la division des artères du périnée. D'un autre
né sur le doigt indicateur gauche, et incisa d'abord le rayon oblique
postérieur
droit de la prostate, puis son rayon transversal
. Elle offre en avant une concavité qui est en rapport avec la partie
postérieure
et infé-rieure de la vessie, dont elle est seulem
es vésicules séminales, les canaux déférens et les ure-tères. Sa face
postérieure
convexe, repose sur le sacrum et le coc-cyx, et s
l'anus est concave en arrière et convexe en avant; elle forme le bord
postérieur
du triangle périnéal dont le bord antérieur est r
ésico-rectal, l'espace dans « lequel le rectum correspond à la région
postérieure
de la vessie « et de l'urètre, on trouve qu'il a
cal du péritoine et la prostate, dont on divise quel-quefois le tiers
postérieur
. Premier procédé de Sanson dans lequel on divis
cise du bas en haut, ou vers soi, le sphincter de l'anus et la partie
postérieure
du périnée. Cette pre-mière incision divise le re
réservoir de l'urine, elle continue de s'avancer d'abord sur la face
postérieure
, puis sur la supérieure, dont elle est écartée
aque et les artères ombilicales obli-térées , jusqu'auprès de la face
postérieure
du pubis, derrière laquelle elle se réfléchit eti
les bords de sa cannelure soient exactement appliqués contre la face
postérieure
de la paroi ab-dominale, et que son bec pénètre e
plaque de plomb destinée à tenir le péritoine appliqué contre la face
postérieure
des muscles droits, et de ne la retirer que lorsq
avant; on en abaisse le manche afin de repousser en arrière la partie
postérieure
de la vulve et que son autre extrémité s'appuie c
large pendait hors des parties génitales; il était formé parla paroi
postérieure
du vagin, qui ne tenait plus que par une bride la
inale ou rectale, suivant qu'on place le point de suture antérieur ou
postérieur
. Alors, reportant par le fond de la plaie l'aigui
avivé. Après avoir placé de cette manière le fil antérieur et le fil
postérieur
, on pose celui du milieu, et, pendant que l'aigui
pour-raient être infectés; puis on présente ce doigt seul à la partie
postérieure
de la vulve, la main étant entre la pronation et
ue le précédent, il est cependant très utile pour explorer la surface
postérieure
de l'utérus, et pour constater les changemens sur
e bas en haut et d'avanten arrière, en la faisant glissersur la paroi
postérieure
du vagin qu'elle déprime. Lorsqu'on pense qu'elle
ement leur cicatrisation, en repoussant la lèvre antérieure contre la
postérieure
, et en tirant ses angles en dehors. Ce traiteme
les yeux de cette sonde, et devaient aller s'implanter dans la lèvre
postérieure
de la fistule à i3 ou 14 millimètres au-delà de s
e l'urètre et la lèvre antérieure de la fistule, tandis cpie la lèvre
postérieure
fut attirée en avant par les crochets. Le résul
'urètre, les onglets s'opposent à la sortie de la soude , et la lèvre
postérieure
de la fistule se trouve en même temps entraînée e
ssie, il lui est tout-à-fait impossible d'attirer en avant leur lèvre
postérieure
, et siDupuytren a obtenu un succès dans un cas de
grés, et disposées de façon que celles qui doivent accrocher la lèvre
postérieure
regar-dent le chirurgien , tandis que celles qui
pas l'inconvénient, comme celui de M. Lallemand,de tirer sur la lèvre
postérieure
de la fistule et de devenir insuppor-tables par l
duisit dans la vessie, à travers la fistule, et près de son extrémité
postérieure
, une aiguille courbe qu'il piqua à 4 ou 5 millimè
ski. Le but que se proposait ce chirur-gien était de ramener la lèvre
postérieure
de la fistule en avant, en même temps qu'il refou
ur, autant de fils qu'il le jugeait convenable au travers de la lèvre
postérieure
préa-lablement rafraîchie. Ces fils formant des a
serre-nœud dont la striction repoussait la lèvre antérieure contre la
postérieure
. Suture entortillée. Procédé de M. Roux. Pour s
s cette arcade, une aiguille courbe armée d'un fil, on pique la lèvre
postérieure
de la fistule, préalablement rafraîchie, de la ve
3 et4)- Le lambeau est détaché sur l'extrémité antérieure de la face
postérieure
du vagin; puis, étant retourné , il vient offrir
irigeant suivant l'axe du détroit inférieur, et un peu vers la partie
postérieure
de la vulve dont les tissus sont plus souples qu'
iser desbandelettes muqueuses sur la paroi antérieure et sur la paroi
postérieure
du vagin, et afin de rendre l'excision et la su-t
lacée sur le dos, il accroche le plus haut possible la crête mé-diane
postérieure
du vagin avec une érigne, pendant qu'un aide en s
ffet des sutures qui avaient été appliquées sur la demi-circonférence
postérieure
. Ainsi donc, puisque l'excision, jusqu'à présent,
qui en ait fait l'application. Il commence par aviver les deux tiers
postérieurs
de la vulve par excision des tissus, puis il les
ecom-mande de laisser une petite ouverture entre la suture et l'angle
postérieur
de la vulve, et une autre plus grande en avant, a
xtérieure. Pour bien faire, il faudrait pouvoir augmenter la courbure
postérieure
du vagin , en même temps qu'on allon-gerait le pé
emier, une bandelette quadrilatère dans toute la longueur de la paroi
postérieure
du va-gin, ou de n'exciser, comme le second, que
u va-gin, ou de n'exciser, comme le second, que la demi-circonférence
postérieure
de l'orifice vaginal, on circonscrirait, sur la c
ent, de bas en haut et d'avant en arrière, en déprimant la commissure
postérieure
de la vulve. Lorsqu'il est arrivé dans le vagin ,
et toute la cir-conférence de son bord va s'appliquer contre la paroi
postérieure
du vagin. Différens moyens ont été imaginés pour
vant en arrière com-primer le périnée, au lieu de partir de sa partie
postérieure
, ce qui était gênant pour les malades lorsqu'elle
son diamètre vertical se place dans la direction du diamètre antéro -
postérieur
du bassin. Historique, Cette espèce de déplacem
e doigt, de détruire ce qu'il croyait être ses adhérences à la partie
postérieure
du col. Un temps considé-rable se trouva ainsi pe
um et soigneusement absterge les parties, on interpose entre la lèvre
postérieure
du col et la face interne du spéculum, une bou-le
s érignes, pour faire un peu basculer la matrice, et rendre la partie
postérieure
du col plus saillante, porte son doigt indicateur
évrose pelvienne, et principalement à ses parties latérales et un peu
postérieures
; au reste, quelle qu'en soit la cause, comme il e
l'utérus, à le détacher du rectum, et à compléter par le demi-cercle
postérieur
, mais alors, de la surface péritonéale vers la su
sie ; mais lorsque celle-ci est vide, elle s'éloigne assez de la face
postérieure
du cartilage pour qu'on n'ait pas à craindre de l
ction avec le doigt et sur une sonde cannelée passée derrière la face
postérieure
de la sym-physe. A. Leroy, craignant la présenc
; on pense alors que cela tient à ce que les symphyses sacro-iliaques
postérieures
ont acquis une grande solidité. A. Leroy prétend
que c'est bien le fond de la matrice , et non la paroi antérieure ou
postérieure
du vagin qui va être attaquée par l'instrument.
bro-celluleuse qui enveloppe le globe oculaire clans ses trois quarts
postérieurs
; fixée à la gaîne fibreuse «lu nerf optique , à l
aquelle l'unit un tissu cellulaire lâche, en formant un seul feuillet
postérieur
jusqu'à la rencon-tre des tendons musculaires. En
scles droits se joint celle des obliques qui ont glissé sur la courbe
postérieure
du globe oculaire, et en dé-terminent la prépulsi
à M. Dieffenbach; mais, dit M. Phillips, cette com-munication serait
postérieure
de quatre mois à la publication de M. Stromeyer.
lysie partielle étant d'autant plus complète que l'insertion est plus
postérieure
et par conséquent plus près du centre de l'œil. C
nt la nouvelle cicatrice à s'allon-ger ou à se faire sur un plan plus
postérieur
. Si au contraire il y a privation de mouvement du
rofonde compli-querait encore l'opération. Hyo-glosses. Leur partie
postérieure
ou les kérato-glosses, à moins de dégâts considér
tit bistouri droit préférablement au bistouri à fistule. « La lèvre
postérieure
de la plaie fut, au moyen de la suture dont j'ai
n deux parties, on n'a le soin d'accrocher avec une érigne le moignon
postérieur
afin qu'il ne retombe pas sur la glotte, il peut
des accidens de suffocation qui résultent de la rétraction du lambeau
postérieur
et de l'affluence du sang dans la bouche et le ph
deux incisives moyennes, de l'autre, sur le lieu où l'on sent le bord
postérieur
de la concavité de la mâchoire ; un guide plus sû
t placé sur cette apophyse, et l'ongle du pouce ap-puyant sur la face
postérieure
de la concavité de la mâchoire, on peut fixer ave
de la rétraction siégeant à différens degrés dans les muscles jambier
postérieur
, adducteur du gros orteil, péroniers latéraux et
ducteur du gros orteil; contre l'adduction forcée du pied, le jambier
postérieur
; contre l'abduction forcée, les péroniers latéra
omme dans l'équin varus, il y a rétrac-tion des jambiers antérieur et
postérieur
, en même temps que du triceps sural, excepté que
ain gauche, en refoulant la peau, derrière le bord externe et la face
postérieure
du muscle, afin de le soulever, de l'isoler des v
ans la cavité buccale, prêt à retirer le fil auquel est lié le tampon
postérieur
pour arrêter les hémorrhagies des fosses nasales.
le, qui a glissé transversalement, sa convexité en avant, sur la face
postérieure
de l'iris, apparaît au milieu de l'ouverture pupi
Incision transversale de l'iris d'arrière en avant, ou de la chambre
postérieure
vers la chambre anté-rieure. Figure 2 (procédé
'iris d'avant en arrière, ou de la chambre antérieure vers la chambre
postérieure
. Figure 3 (procédé de Janin ). Section vertical
ant un tampon de charpie (1) qui bouche, en s'y appliquant, l'orifice
postérieur
des fosses nasales. Le double fil tendu dans la g
e canule terminée par une vessie à air destinée à remplacer le tampon
postérieur
. Toutefois le tampon-nement est bien plus sûr et
ère la section d'arrière en avant. L'incision a été commencée au bord
postérieur
pharyngien par des ci-seaux coudés. Figure 5. P
ure 6. Ligature avec les doigts. L'opération est figurée sur l'anse
postérieure
, que l'on doit lier la première. a b. Les deux
a b. Les deux doigts indicateurs du chirurgien, opposés par leur face
postérieure
, serrent la ligature par leur écartement, les ext
e. Section médiane du cartilage thyroïde. f. Section latérale et
postérieure
de la moitié gauche du même cartilage. g. Cav
anal crural accidentel. Les vaisseaux fémoraux se voient sur la paroi
postérieure
. — (b) Montre l'étranglement d'une anse d'intesti
s lymphatiques du sac éga-lement vus en transparence sous le feuillet
postérieur
du sac-herniaire. PLANCHE 39. FIGURE I (demi-
ent dit, la hernie étant absolument directe. En dedans et sur la face
postérieure
du sac une portion de péri-toine est enlevée pour
e. Figure 2. Procédé de M. Malapert. Deux sections latérales et une
postérieure
. Figure 3. Procédé de M. Lisfrane. Excision d'u
de la paroi abdominale antérieure. ( b, pl. 51 ) Section de la paroi
postérieure
. (c) Symphyse du pubis sur le plan de section,
, a) qui font saillie dans l'intérieur de la vessie. Figure i. Face
postérieure
de la vessie. Vers son bas-fond se voit une ouver
(Grandeur naturelle.) Celte figure représente la vessie par son plan
postérieur
, dans sa forme et dans son volume, à l'étal de ré
cloison du périnée, un lambeau quadrangulaire est détaché de la paroi
postérieure
du vagin, puis tiré en avant pour être fixé au-de
tiolles. Un lambeau est détaché sur l'extrémité antérieure de la face
postérieure
du vagin (fig. 3). Sur la figure 4 qui représente
même auteur n'oflre que deux crochets agissant seulement sur la lèvre
postérieure
de la fistule. 28. Instrument semblable de M. L
au se dessine la saillie (a, b) des tendons des jambiers antérieur et
postérieur
, et celle du tendon d'Achille (c). FIGURE 2. Ca
chille (c). FIGURE 2. Cas de varus compliqué. La saillie du jambier
postérieur
et la rétraction du bord inlerne du pied incurvé
n du tendon. FIGURE 4. Section sous-tendineuse du tendon du jambier
postérieur
. Le doigt indicateur de la main gauche du chirurg
eur de la main gauche du chirurgien (a) fixe le tendon contre l'angle
postérieur
et interne du tibia; la main droite (b), armée du
la surface. FIGURE 5. Section sus-tendineuse des tendons du jambier
postérieur
et du long fléchisseur des orteils. L'opération e
lle point, par une échappée en arrière, blesser les vaisseaux tibiaux
postérieurs
. PLANCHE R. FIGURE t. pied valgus un peu équi
sous la rotule, tandis que sa main droite (b) pèse en bas sur la face
postérieure
de la jambe, combine ses mouvemens pour opérer le
chirurgien, de sa main gauche (c), réagit en sens inverse sur la face
postérieure
de la cuisse, et de sa main droite (b), pratique
alement, de sorte qu'il ne touche plus au tibia que par son extrémité
postérieure
articulaire ; le reste de sa surface de glissemen
t celui dont les rapports sont les plus changés; il est toujours bien
postérieur
, mais au lieu de s'incliner en bas, il remonte ve
ostérieur, mais au lieu de s'incliner en bas, il remonte vers la face
postérieure
du tibia. La forme de celte surface articu-laire
on voit émerger de la région sous- musculaire et contourner le bord
postérieur
du sterno- mastoïdien un nombre égal de longs r
s s'anas- tomosent avec les vasa ner- vorum artériels du tibial
postérieur
et du tibial antérieur, et ainsi se trouve cons
e anastomotique, plus loin, de rameaux émanés des vaisseaux tibiaux
postérieurs
, et qui con- tournent le bord interne du tibia.
ver la série des rameaux qui se détachent des vaisseaux tibiaux
postérieurs
, émergent de l'aponé- vrose le long du bord
tibiaux postérieurs, émergent de l'aponé- vrose le long du bord
postérieur
du tibia, glis- sent au-dessous du tronc de l
rgent vers le ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES NERFS. 21 bord
postérieur
du sterno-mastoïdien, et là, à la hau- teur de
f, l'artère, et l'une des veines Fig. il. - Veines du nerf tibial
postérieur
. A, artère tibiale postérieure. B, B, nffiucul
Fig. il. - Veines du nerf tibial postérieur. A, artère tibiale
postérieure
. B, B, nffiucul musculaires. - C, C, veines ncr
cub taires des affluents musculaires. - nf , J, I muscle jambier
postérieur
. - V, T, P, vein tibiale postérieure. - N, nerf
s. - nf , J, I muscle jambier postérieur. - V, T, P, vein tibiale
postérieure
. - N, nerf tibial postérieu 26 ANATOMIE. tibi
ale postérieure. - N, nerf tibial postérieu 26 ANATOMIE. tibiales
postérieures
, encore accolées à l'un des muscles entre lesqu
émergent du nerf, ne se jettent pas d'emblée dans la veine tibiale
postérieure
; ils passent au-devant d'elle, au-devant de l'a
nt à la loi, et, directement, s'abouchent dans l'une des tibiales
postérieures
, c'est encore à la hauteur d'un affluent muscul
alternatives fréquentes d'extension et de flexion : le nerf tibial
postérieur
, derrière la mal- léole interne, en fournit un
optique et de sa valeur pro-, nostique dans la sclérose des cordons
postérieurs
de la moelle épiniére (Th. de Paris, 1890.) - .
embre inférieur droit, il se produit une légère raideur des muscles
postérieurs
de la cuisse, raideur qui disparait si on insis
marcher. Pour cela, il suffit de presser sur les épaules, la partie
postérieure
du tronc et les régions fessières. Dans ces con
rça aucune influence sur l'astasie. De plus la pression des zones
postérieures
du tronc qui supprime les troubles musculaires
temporal gauche ; l'écorce et la substance blanche des deux tiers
postérieurs
de la 1 re et de la 2° temporale sont détruits; l
ux, protubérance; pédoncules cérébelleux) et des zones radiculaires
postérieures
/ Il est probable que le type se compose d'une a
çon de seize ans; hémiplégie consécutive à une hémorrhagie du tiers
postérieur
de la capsule interne du côté droit. 11 n'est p
tale et non la marche de la dégénérescence secon- daire des cordons
postérieurs
. Voici d'après l'auteur, suivant l'ordre de dév
cines antérieures reçoit beaucoup de fibres directement des racines
postérieures
, mais il est impossible de constater sûrement c
s'infléchissent après un trajet plus ou moins long dans les cordons
postérieurs
et gagnent les cordes postérieures dans la part
us ou moins long dans les cordons postérieurs et gagnent les cordes
postérieures
dans la partie antérieure desquelles elles se t
antérieures paraissent avoir-leur plus long trajet dans les cordons
postérieurs
. - 2. Les fibres du premier sys- tème de la zon
ulaire moyenne émanent, dans leur ensemble, des fibres radiculaires
postérieures
; après avoir fourni généralement un court traje
es; après avoir fourni généralement un court trajet dans les cordes
postérieures
, elles aboutissent en grande partie au réseau d
ibres se dirigent vers la zone limitrophe des cordes antérieures et
postérieures
; impossible de savoir où elles se terminent. Il
alents des trousseaux de fibres qui entrent directement des racines
postérieures
dans les cornes postérieures et, après avoir tr
es qui entrent directement des racines postérieures dans les cornes
postérieures
et, après avoir traversé ces dernières, s'inflé-
oetus, on n'a pas de preuve qu'ils viennent directement des racines
postérieures
. On les voit nettement à l'état de trousseaux c
nt de la substance grise ou des colonnes de Clarke dans les cordons
postérieurs
. 5. Les fibres de la zone radi- culaire postéri
ans les cordons postérieurs. 5. Les fibres de la zone radi- culaire
postérieure
médiane proviennent toutes des racines postérieur
ne radi- culaire postérieure médiane proviennent toutes des racines
postérieures
qui passent directement dans cette zone. Elles
passent directement dans cette zone. Elles abandonnent les cordons
postérieurs
par trois chemins. Les fibres médianes vont en pa
chemins. Les fibres médianes vont en partie dans le raphé (cloison
postérieure
), se ^dirigent en avant vers la commissure post
phé (cloison postérieure), se ^dirigent en avant vers la commissure
postérieure
et s'infléchissent en dedans dans les cornes post
commissure postérieure et s'infléchissent en dedans dans les cornes
postérieures
. Les libres externes de la zone radiculaire pos
a zone radiculaire postéro-médiane sortent latéralement des cordons
postérieurs
, s'y entre-croisent à angle aigu avec les racines
rdons postérieurs, s'y entre-croisent à angle aigu avec les racines
postérieures
qui entrent dans la corne postérieure d'où elles
angle aigu avec les racines postérieures qui entrent dans la corne
postérieure
d'où elles se dirigent t en avant. La masse pri
rt à travers la. zone radiculaire moyenne et arrive dans les cornes
postérieures
à peu près au milieu (entre la commissure postéri
s les cornes postérieures à peu près au milieu (entre la commissure
postérieure
et la périphérie de la substance blanche). Ces
ne radiculaire postéro-médiane ne montent donc pas dans les cordons
postérieurs
jusqu'aux bulbes et pré- sentent une tout autre
gélatineuse d'où partent les fibres qui se rendent à la commissure
postérieure
; à la couche limitante latérale de la substance
éraux, elles se confondent directement avec les fibres radiculaires
postérieures
. Donc, les fibres de la zone radiculaire moyenn
a zonepostéro-latéralese perdent dans le réseau défibres des cornes
postérieurs
; les cordons de Goll s'unissent aux noyaux des
: les zones radiculaires moyennes - les zones, médianes des cordons
postérieurs
(dont l'évolution est parallèle).' Puis, d'habi
ieurs. Au sur et à mesure de la dégénérescence de zones des cordons
postérieurs
marche la lésion des fibres radiculaires postér
es des cordons postérieurs marche la lésion des fibres radiculaires
postérieures
correspondantes et des fibres des cornes postér
radiculaires postérieures correspondantes et des fibres des cornes
postérieures
(le réseau des colonnes de Clarke est pris le p
sation d'oppression. L'autopsie décèle : dégénérescence des cordons
postérieurs
et de la zone d'entrée des faisceaux radiculaires
troublée quand il y a lésion du segment pos- térieur de la branche
postérieure
de la capsule interne. Il est donc évident que
: une exagération des fibres fines aux dépens des grosses (racines
postérieures
et antérieures, nerfs périphériques). Comme i
gent dans les organes des nerfs sensibles, surtout dans les cordons
postérieurs
(intégrité du reste de ces organes et de la sub
e tout aussi sûrement que la des- truction de l'écorce de la partie
postérieure
de la troisième circon- volution frontale gauch
onvolution pariétale (cécité verbale), et le troisième, à la partie
postérieure
de la première circonvolution temporale (surdit
ences de la moelle; elles étaient surtout marquées dans les racines
postérieures
, mais se rencontraient également dans la substa
cère cornéen superficiel récent, en voie de gué- rison. Surla paroi
postérieure
on constate une excavation profonde et irréguli
pathogénie de la syringomyélie. La lésion systématique des cordons
postérieurs
tient naturellement à une prolifération du tiss
if, celte prolifération a poussé une pointe dans la substance grise
postérieure
et dans les cornes postérieures; c'est alors qu
une pointe dans la substance grise postérieure et dans les cornes
postérieures
; c'est alors qu'il s'est formé une cavité ou, si
(idéation), à la région moyenne (psycho-mo- trice), ou à la région
postérieure
(appétits et ins- tincts), sont mis en communic
ître et sur lesquels je n'ai pas à insister. C'est dans la région
postérieure
que se trouvent déposées les images mnémoniques
e la pensée. Toutes les fois qu'une détermination part de la région
postérieure
, sans*le contrôle des centres supérieurs, on a
t, non seulement la région fron- tale est annihilée, mais la région
postérieure
est en grande partie compromise. A mesure que
stérieure est en grande partie compromise. A mesure que la région
postérieure
devient libre, l'intégrité successive des diffé
bougie, déposée par l'appareil de la vision dans le centre cortical
postérieur
, transmet sa représentation dans la région fron
de rappro- chements sexuels, et, se conduisant en spino-cérébrale
postérieure
, elle se donne, sans choix, au premier venu. Pu
ns, perdent leur puissance de contrôle et d'ar- rêt sur les parties
postérieures
, siège'des centres ins- tinctifs. L'actuation d
lapin, toute la pyramide, chétive, occupe exclusivement le segment
postérieur
du cordon latéral. Chez quelques nègres, la pyra-
eurs ou latéraux, mais seulement t le segment antérieur des cordons
postérieurs
de la moelle; elle est à l'état de faisceau com
tat de faisceau compact immédiatement en arrière de la com- missure
postérieure
le long de l'adossement des cloisons longitu- d
ordons antérieurs et latéraux, mais entre les cordons antérieurs et
postérieurs
. Chez les cobayes, les pyramides, après s'être
près s'être entre-croisées dans le bulbe, forment, dans les cordons
postérieurs
, principalement au voisinage de la substance gr
t les fibres du corps strié, des circonvolutions frontales (segment
postérieur
) et de la frontale ascendante ; les fibres immé
dégénératif part de la première temporale ou des cir- convolutions
postérieures
de l'insula pour aller au corps genouillé inter
l'écorce, avec les fibres courtes, il reste trois crêtes. La crête
postérieure
, substratum de la circonvolution postérieure de
trois crêtes. La crête postérieure, substratum de la circonvolution
postérieure
de l'insula, occupe l'angle postérieur du trian
tratum de la circonvolution postérieure de l'insula, occupe l'angle
postérieur
du triangle insulaire, composé de deux branches
our gagner le lobe temporal. La crête moyenne, parallèle à la crête
postérieure
, participe à la forma- tion de la partie la plu
e à l'autopsie une vésicule hydatiqueobli- térantl'artère cérébrale
postérieure
gauche, et les artères sylviennes du même côté
ervation DE L'OESOPHAGE dû A UNE tumeur cérébrale occupant l'espace
postérieur
du crâne ; par J. NEU- MANN. (Neu1'ol, Centralb
r d'une prune, communiquant par une ouverture ronde avec la corne
postérieure
du ventricule latéral gauche dilaté. . M. TiGGE
ts au plancher du quatrième ventricule, c'est-à-dire sur le noyau
postérieur
du pneumogastrique, les noyaux externes, internes
oration, des Ilots de pus odorants coulent jusque dans le médiastin
postérieur
qu'ils remplissent; l'abcès par congestion inon
gine du laryngisme pareil à la suite d'une paralysie des muscles
postérieurs
; il explique pourtant les phénomènes cliniques qu
emblablement pas du spasme, mais plutôt d'une paralysie des muscles
postérieurs
. l1L- le Dr DAIICHENITCH. Sur les affections ar
ant chaque hémisphère séparément, on trouve a1 gauche, sur le tiers
postérieur
environ de la queue du noyau intra-ventriculair
les scissures perpendicu- taires externes et les plis des passages
postérieurs
sont pour ainsi dire schématiques. 10 L'hémis
es n'offraient du reste aucune adhérence à ce niveau. L'extrémité
postérieure
de la scissure de Sylvius présente deux branche
d'enfants, on peut donc dire que c'est une anomalie rare. La partie
postérieure
de l'hémisphère montre aussi des irrégularités
es spinales proprement dites. A la région antérieure et à la région
postérieure
de l'organe, on rencontre ces deux ordres de va
une branche voisine venue de l'artère radiculaire de la vertébrale
postérieure
correspondante (anas- tomose M : <e ? 'ra6cM
tomose M : <e ? 'ra6cM/6[H'e). b) Les artères vertébro-spinales
postérieures
sont au nombre de deux. Elles courent de chaque
bre de deux. Elles courent de chaque côté, en arrière des racines
postérieures
et au niveau de la quatrième paire radiculaire
pénétrantes). Ce sont des bran- ches qui passent entre les racines
postérieures
, et se divisent en deux rameaux, un rameau asce
ameaux correspondants des artères spinales. Ce sont les anastomoses
postérieures
(AHas<oH ! ospos<<Ccc). Leur trajet es
rtères spinales antérieures) et en branches qui suivent les racines
postérieures
[artères spinales postérieures) . Nous ne sui
en branches qui suivent les racines postérieures [artères spinales
postérieures
) . Nous ne suivrons pas l'auteur pour la descri
ranches anastomotiques interradiculaires. b) Les artères spinales
postérieures
occupent toute la partie de la moelle qui est a
es antérieures, et il n'est pas rare de voir chaque paire spinale
postérieure
pourvue de son artère. Elles acquièrent un volume
anastomose médiane, qui suit le sillon médian, les artères spinales
postérieures
en forment deux de chaque côté. Il y a donc,
res en forment deux de chaque côté. Il y a donc, derrière la face
postérieure
de la moelle, quatre 84 zut REVUE d'aNATOMIE.
es longitudinales sont situées de chaque côté, en avant des racines
postérieures
et circulent sur la partie la plus reculée des
ournies par les branches ascendantes et descen- dantes des spinales
postérieures
et peuvent porter le nom d'ana- loî7zoses latér
loî7zoses latérales ou mieux, selon nous, de grandes anastomoses
postérieures
. Elles donnent naissance, de distance en distance
parant à angle droit(ramzpezzetrazlres), passent entre deux racines
postérieures
; celles-ci, après un trajet de 3 à 4 millim.,
udi- nalement, et ainsi se trouvent formées, derrière les cordons
postérieurs
, les anastomoses postérieures (anastomoses poslic
trouvent formées, derrière les cordons postérieurs, les anastomoses
postérieures
(anastomoses poslicw) ou mieux selon nous nous
astomoses poslicw) ou mieux selon nous nous les petites anastomoses
postérieures
, car elles sont de moindre volume. Enfin les pe
s horizontales. Ainsi quatre courants sanguins par- courent la face
postérieure
de la moelle : deux externes plus forts, deux i
nt les champs d'irrigation des spinales antérieures et des spinales
postérieures
. A la région lombaire surtout, par l'inter- méd
ueuses, qui viennent se jeter dans la veine médiane. b) A la face
postérieure
de la moelle existent trois veines longitudinal
s antérieures [veines iiite2,- radiculaires). Les veines de la face
postérieure
de la moelle se vident par les veines spinales
la face postérieure de la moelle se vident par les veines spinales
postérieures
, dont les plus remar- quables existent au nivea
i- chesse anastomotique du réseau veineux des faces antérieure et
postérieure
de la moelle explique comment on peut facile- m
seulement aura établi l'équilibre entre le crâne an- térieur et le
postérieur
. Le bregma est ainsi refoulé en haut et en arri
igne -médiane. Seulement on peut apprécier les déviations antéro-
postérieures
. La déviation à droite est plus fréquente, ce qui
la fossette sacrée ou le tourbillon de poils qui la remplace, à la
postérieure
. D. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Foyers
tif; la plus grande partie du fluide suit la direction de l'orifice
postérieur
des fosses nasales gagnant l'espace naso-pharyn
s nasales seront supprimés (adhérence du voile du palais à la paroi
postérieure
du pharynx). L'absence congénitale de nerf olfa
consécutives indiquent la lésion du foyer locomoteur de l'extrémité
postérieure
du côté opposé, de la sphère sensible pour les
régions représentent seulement le segment antérieur et le segment
postérieur
de l'aire réséquée. Comme on rencontre d'autres
en qu'ayant une importance physiologique toute différente, un noyau
postérieur
, un noyau moyen. Il ne serait au reste pas impo
à petites cellules occu- pant, dans l'hémisphère droit, le segment
postérieur
des circonvo- lutions frontales supérieure et m
ement au canal central, dans la com- missure grise, dans les cornes
postérieures
, entre les cordons postérieurs. Au point de vue
m- missure grise, dans les cornes postérieures, entre les cordons
postérieurs
. Au point de vue topographique, ces observations
es replis se trouvent plutôt dans la commissure grise et les cornes
postérieures
, les diver- ticules sont à la partie antérieure
rieures, les diver- ticules sont à la partie antérieure des cordons
postérieurs
ou dans l'intervalle qui les sépare. Pourquoi c
a moins d'obstacle à l'extension d'un diverticule dans les cordons
postérieurs
qu'à la simple dilatation du canal central en s
stance grise et la commissure, jamais dans les cavernes des cordons
postérieurs
. La paroi résulte de l'épaississement de la név
érable, il se forme des replis. Dans un des cas observés, la partie
postérieure
de la commissure est remplie par la gélatine :
ontre une dégénérescence diffuse de moyenne intensité des cordons
postérieurs
à la région lombaire ; les segments les plus exte
egments les plus externes des faisceaux cunéiformes, et les cordons
postérieurs
à la ré- gion dorsale, sont partiellement altér
l'absence de réflexe patel- laire de la dégénérescence des cordons
postérieurs
dans la ré- gion lombaires (intégrité des cordo
aresthésies en rapport avec le degré moyen d'altération des cordons
postérieurs
en la région lombaire, sur les paresthé- sies d
renflement lombaire, sur la non-existence de mé- ningite chronique
postérieure
, malgré la sclérose postérieure. Il remarque qu
-existence de mé- ningite chronique postérieure, malgré la sclérose
postérieure
. Il remarque que, malgré la précision des local
ort avec la myopie delà malade. M = 2,25 Diopt. avec staphy- lome
postérieur
. Les pupilles, assez dilatées, se contractent n
étendue, la moitié antérieure du lobule paracentral et la moitié
postérieure
de la première frontale interne. Le ramollissemen
psie. Fracture du crâne, sans enfoncement, com- mençant à la partie
postérieure
de la région pariétale gauche, à trois centimèt
s branches vient aboutir à deux millimètres du trou ovale, l'autre,
postérieure
, se termine à six millimètres du trou dé- chiré
la moitié inférieure du lobule pariétal supérieur et à la moitié
postérieure
des première et deuxième sphénoïdales. Toutes ces
ercostal droits. Altération des nerfs, des ganglions et des racines
postérieures
. Un hasard d'autopsie nous a fait rencontrer su
4 centimètres de diamètre au niveau du tiers antérieur et du tiers
postérieur
de l'espace. La seconde éruption occupe le on
orrespondantes au sixième ganglion droit. Les racines antérieure et
postérieure
qui paraissaient absolument semblables à l'oeil
les tubes nerveux ont gardé leur structure normale, dans la racine
postérieure
, au contraire, il est impossible de découvrir u
fibres, de ses cellules ou du tissu conjonctif. Racines. La racine
postérieure
et la racine antérieure sont absolument normale
es qui traversent le sixième ganglion rachidien et dans la racine
postérieure
attenante à ce ganglion. Le onzième nerf intercos
ième à la sixième vertèbre cervicale) avant d'atteindre les racines
postérieures
: d'où les crises névralgiques reléguées au der
ntérieure est à 3 centimètres de la pointe du lobe sphénoïdal et la
postérieure
à 1 centimètre de l'extrémité correspondante de
es du sciatique, on trouve une dégénérescence secondaire descordons
postérieurs
de la moelle. Cette dégénérescence remontait, d
jusqu'à la moelle allongée, n'intéressant que les segments les plus
postérieurs
des faisceaux de Goll. On est, par conséquent,
e inférieure, il existe une dégénérescence ascendante des cordons
postérieurs
qui atteint une partie bien plus étendue de ces o
existe aussi une dégé- nérescence descendante régulière des cordons
postérieurs
qui occupe une étendue d'environ six centimètre
ntimètres au-dessous de la région primitivement lésée de trousseaux
postérieurs
fondamentaux. Elle ressortit peut-être à celles
damentaux. Elle ressortit peut-être à celles des fibres des racines
postérieures
qui, après leur arrivée dans la moelle, s'inflé
ppareil vasculaire, commentcomprendre qu'elle se limite aux cordons
postérieurs
, surtout quand on remarque qu'à l'époque de son
la jambe' gauche ! Elle' souffre 'dans le, talon, 'dans la partie*
postérieure
de' la ja'mbe. dc ? li ,cvissé",dan les reins.
? < ., ? n...... . , .. .rations, des ganglions et,de la racine
postérieure
fussent t ? o ? o nllC`Ji pn9t1r4. )lilf`JIt^hf
que 'qu'il'existe des traces non douteuses de méningite rachidiénne
postérieure
. -Tout le long de la face postérieure de la moe
es de méningite rachidiénne postérieure. -Tout le long de la face
postérieure
de la moelle, l'arachnoïde est louche, épaisse, f
teinte grisâtre translucide, existe, dans toute l'aire des cordons
postérieurs
(zone radiculaire interne et cordons de Goll).
équent unejSurface quadrilatère limitée en ayant, par la commissuré
postérieure
, en arrière par la sur- face-postérieure de la
face-postérieure de la moelle et latéralement par les deux, cornes
postérieures
. ,, 11J 1 ? , , t .') ruz ,Les deux nerfs sciat
maux. ^Diverses branches musculaires, et. les branches articulaires
postérieures
^isolées avec Lsoin, ne présentaient à l'oeil.nu
manifeste ? ma is) i cette,,sçlérose,;restait limitée, aux cordons;
postérieurs
} et les cornes antérieures^étaient, pu du moins
US DES NERFS SPINAUX. ' 337 ' que lesracines soit antérieures, soit
postérieures
qui' constituent' une paire' nerveuse,' sont' s
= GDo nerf du grand dor- sal; GP,graiurcr/ £ ^râir TPJtJioraciqùc^
postérieur
; H, radial fourni. parjus'sixîèmc, septième et
d'myle,frejpl>tantl'expliiationll;à ? uhe lésion dans la partie
postérieure
de la capsule interne, M. Rosen- thal rattache
t s'occupe. Sortie après quatre mois de maladie. Les renseignements
postérieurs
ont appris que l'état mental était redevenu nor
. t » K. . '" 1>, ...I , si i , ,, ? T XIV. LÉSION.DES cordons
postérieurs
dans la PARALYSIE GÉNÉRALE ? , par C.,\1'ESTrII
au reste, que très fréquemment il y a dégénérescence , des cordons
postérieurs
, même de leurs segments, externes, sans ataxie.
uoi, chez eux, l'ataxie est rare malgré la localisation des cordons
postérieurs
. Il n'en est pas de même chez les tabétiques or
ici le processus très prononcé'a for- tement endommagé les racines
postérieures
. L'ataxie doit ne se manifester que lorsqu'une
Quoi qu'il en soit des phénomènes cliniques, la 'lésion des cordons
postérieurs
,' palpable, est en soi généralement beaucoup pl
it 1 en. b i s d, u n e 1 dé-éiiéresceidee - --ri se-i des cordons^
postérieur
.^ et ,des, faisceaux- pyramidaux dans les.cor-'
p du genou à,Jl'altération,des,p,Qrtios,;éx,ll - ternes des cordons
postérieurs
, de la moelle, lombaire. ,. La dege ^.. > g-
oureilièrc à la protuhé : SOCIETES SAVANTES. 397 ranco occipitale
postérieure
; il pense de la sorte, en tenant compte des re
ue au début d'une), 57. Paralysie générale (lésions des cor- dons
postérieurs
dans la), par Westphal, 370. Parricide (tenta
non toxiques, en même temps que se manifeste une parésie du train
postérieur
et même, dans certains cas, du train antérieur,
ppée et très épaisse dans les régions antérieures; dans les parties
postérieures
, elle n'offre aucun carac- tère particulier. Le
e conformation un peu moins simple, principale- ment dans sa moitié
postérieure
. (Fig. 1 et 2.) ' Scissures. La scissure de Syl
i de droite a la forme d'un S et se termine normalement à sa partie
postérieure
. Sur les deux hémisphères, le sillon de Rolando
orme deux saillies prononcées à quelques centimètres de l'extrémité
postérieure
, les circonvolutions sont tassées les unes cont
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE I. SUR LES parties constituantes DES cordons
postérieurs
DE la MOELLE. ÉTUDE BASÉE SUR L'EXAMEN DE LEUR
la myéline. Le revêtement myélinique des fibres a, dans les cordons
postérieurs
, à peu près terminé son évolution pendant le hu
partie antéro-externe des faisceaux de Burdach, qui limite la corne
postérieure
et constitue une émanation des fibres radiculai
II. CONTRIBUTION A la connaissance DU trajet DES fibres DU CORDON
postérieur
dans la moelle allongée ET LE pédoncule cérébelle
gert, dans le but d'élucider cette question. Les fibres des cordons
postérieurs
traversent-elles les olives pour gagner le corp
supérieure de 'entrecroisement des pyramides, qui émane des cordons
postérieurs
est, embryogéniquement. pourvue de myéline avan
eil monte et se continue jusqu'à ce que tous les libies des cordons
postérieurs
soient parvenus à la couche intermédiaire des o
nombre croissant de fibres réticulaires, les faisceaux des cordons
postérieurs
tracent ils travers la substance grise, sous le
es qui leur appartiennent, d'où l'erreur que les fibres des cordons
postérieurs
viennent se rendre aux olives mêmes. La vérité
vérité .est qu'il ne demeure dans les olives aucune fibre du cordon
postérieur
; toutes les fibres de ce dernier se rendent dan
te couche augmente suprà, le taux des fibres des noyaux des cordons
postérieurs
diminue; il en est peu parmi elles qui passent
olives ou ruban de Reil du côté opposé des fibres issues du cordon
postérieur
(exclusivement du faisceau de Burdach ? ) une .
du faisceau de Burdach ? ) une .petite partie des fibres du cordon
postérieur
(exclusivement em- pruntées au faisceau de Goll
me n'a, en fait de myéline, que l'appoint que lui donnent le cordon
postérieur
, le nerf auditif, le nerf trijumeau. Toutes ces
éraux qui se rendent au cervelet; b, des fibres émanées . du cordon
postérieur
du même côté, et peut-être de celui du côté opp
il, que la légende du texte; il montre que les fibres des cor- dons
postérieurs
qui passent dans le bulbe entrent toutes en rela-
toie l'entrecroisement inférieur des pyramides, et gagne l'enceinte
postérieure
des pyramides, le ruban de Reil ; il envoiedès
e Reil. Les grosses olives ne sont directement unies ni aux cordons
postérieurs
, ni au ruban de Reil; un tractus de fibres asse
ides ou des noyaux des faisceaux grêles et cunéiformes. Les cordons
postérieurs
poussent donc principalement leurs rameaux vers
ves représentent des relais intercalés non entre la moelle (cordons
postérieurs
) et le cervelet (opinion de 1 Voy. Archives de
HODE DES ATROPHIES, PRINCIPALEMENT EN CE QUI CONCERNE LA COMMISSURE
postérieure
; par E.-C. SpiTzKA. (Neurol. Centralbl., 1885.)
nert), les connexions de l'acoustique avec le faisceau longitudinal
postérieur
(lieynert) et avec le pédoncule cérébelleux sup
ent adjacentes 80 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. a la racine
postérieure
du nerf, et le noyau antérieur de l'acous- tiqu
halo-médullaire, immédiate- ment en dehors du faisceau longitudinal
postérieur
. Il occuperait donc de bas en haut le plan anté
de bas en haut le plan antérieur et inférieur, le plan supérieur et
postérieur
de la calo tte. serait embrassé par le pédoncule
ire des olives. Les trousseaux de fibres, envoyés par la commissure
postérieure
au faisceau longitudinal postérieur, s'en- chev
res, envoyés par la commissure postérieure au faisceau longitudinal
postérieur
, s'en- chevêtrent avec une partie du cordon cen
rable à la circulation collatérale, à l'endroit même où les racines
postérieures
de la moelle forment les nerfs sensitifs; les c
ZKA (NeU ? '01. Centralbl., 1885). Les phoques, dont les extrémités
postérieures
atrophiées sont transformées en nageoires, prés
ollées contre le faisceau radiculaire le plus interne, et la partie
postérieure
du groupe externe. Les cordons latéraux envoien
microscopique), mais seulement dans le pulvinar, et dans la partie
postérieure
et ' postéro-interno de la couche optique. Quan
e sciatique, la plupart des nerfs moteurs de la jambe antérieure ou
postérieure
, peuvent être enlevés chez le nouveau-né sans q
fisance motrice pendant les quelques jours suivants dans les pattes
postérieures
; mais bientôt foute trace de mutilation a absol
si ils ne s'asseyent pas comme les autres : ils avancent les pattes
postérieures
de sorte que les pattes antérieures viennent se
orte que les pattes antérieures viennent se placer entre les pattes
postérieures
; ils sautent en élevant bien plus haut le trai
attes postérieures ; ils sautent en élevant bien plus haut le train
postérieur
de leur corps et lancent bien plus loin les jam
train postérieur de leur corps et lancent bien plus loin les jambes
postérieures
; légère titubation quand ils se nettoient debou
sont dépendants du lobe pariéto-occipital. 6° Le ganglion mé- dian
postérieur
du corps mammillaire dépend aussi du lobe parié
vent le violateur pratique un coït externe ou périnéal antérieur ou
postérieur
. Nous n'insistons pas sur l'étude des troubles
à droite, les extenseurs de la main et des doigts, sauf le cubital
postérieur
et le long abducteur du pouce, les muscles de l
ions, révèle des dégénérescences des troncs nerveux (radial, tibial
postérieur
, péronier), ainsi qu'une poliomyélite antérieur
ES symptomatique TOUT particulier dans UN CAS DE LÉSION DES CORDONS
POSTÉRIEURS
DE LA MOELLE; par C. Westphal. (Ai-ch. f. Psych
ites, le malade meurt et l'autopsie révèle une lésion des cordons
postérieurs
à disposition spéciale, entreles faisceaux de Gol
ite parenchymateuse des nerfs péronier, crural, tibial, des racines
postérieures
lombaires et peut-être dorsales; atro- phie pos
pèce se rattachent à la névrite périphérique (intégrité des racines
postérieures
, légère altération des cordons posté- rieurs) ;
es, les ectasies vasculaires, pro- fuses surtout autour de la corne
postérieure
gauche, dans les faisceaux pyramidaux des cordo
rtain degré d'ataxie, remonte peut-être à une affection des cordons
postérieurs
; quant à l'incomplet développement de la parol
tie médiane du lobe quadrangulaire du côte gauche et les deux tiers
postérieurs
du vermis supérieur sont occupés par le segment
un tuyau de plume, qui peut être suivi à travers le sillon marginal
postérieur
jusqu'aux vaisseaux de l'arachnoïde, sur le pla
ation du traitement hydrothérapique. 9 novembre. Anthrax de la face
postérieure
de l'avant- bras. 1884. 3 janvier. On apprend
ence très appréciable en étendue entre le lobe frontal et les lobes
postérieurs
. Le lobe frontal mesure le long du bord interne
la disproportion entre la partie antérieure du cerveau et sa partie
postérieure
, en prenant les circonvolutions rolandiques pou
ut-être un peu diminuée au niveau du voile du palais et de la paroi
postérieure
du pharynx; elle est parfaite- ment intacte au
latéral du pédoncule cérébral et du bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. Obs. III. Cli- nique. Anatomie pathologique. H
e de porencéphalie acquise par ischémie des deux artères cérébrales
postérieures
(conservation de leur perméabilité et de leur s
ntestable que les altérations des centres optiques pri- maires sont
postérieurs
à l'atrophie des deux nerfs optiques l'intensit
ité des couches profondes. Nous passons sur les lésions des cordons
postérieurs
, des nerfs opti- ques, des nerfs olfactifs : un
vue histologique, et par com- paraison, un cas de lésiondes cordons
postérieurs
, n'apasvu que la névroglie,au début multipliée,
disparition des gaines myéli- niques. Dans la sclérose des cordons
postérieurs
, il s'agit aussi d'un processus .histologique d
rsale. Faible dégénérescence dans les parties latérales des cordons
postérieurs
, au niveau de l'ex- trémité inférieure de la mo
té inférieure de la moelle dorsale. Lésion très modérée des racines
postérieures
au niveau des régions moyenne et infé- rieure d
de Goll est totale. Dans la moelle cervicale supérieure, la partie
postérieure
des cordons de Goll est 4) I si REVUE D'ANATOMI
muscles. P. K. RV111. Contribution au trajet des fibres DE la corne
postérieure
DE LA MOELLE HCSMAINE ET A LEUR MANIÈRE D'ÊTRE
Etude, à l'aide des plus récentes méthodes de Weigert, de la corne
postérieure
à l'état normal et dans le tabes dorsal. La corne
corne postérieure à l'état normal et dans le tabes dorsal. La corne
postérieure
se composerait de trois segments : io Une zone
stance spongieuse; on y trouve de grosses fibres issues des racines
postérieures
et des parties externes des cordons postérieurs
issues des racines postérieures et des parties externes des cordons
postérieurs
, et des si lires si nés qui constituent des pro-
constituent des pro- longements du treillis de la couche spongieuse
postérieure
; 3° la substance spongieuse qui va de la substa
spongieuse qui va de la substance gélatineuse à la base delà corne
postérieure
, et se décompose à son tour en une zone postéri
se delà corne postérieure, et se décompose à son tour en une zone
postérieure
et une zone antérieure; cette partie de la corne
des fibres radiculaires pos- térieures (grosses et fines). La corne
postérieure
reçoit donc des fibres radiculaires de deux cat
t se forment en une pyramide ascendante (zone marginale de la corne
postérieure
); un segment de cette dernière monte le long du
la substance gélatineuse, en partie dans l'in- térieur des cordons
postérieurs
. Douze cas de tabes dont six ob- servations son
IE ET DE PHYSIOLOGIE. 1 5 5 fibres fines de l'intérieur de la corne
postérieure
; 30 les grosses fibres radiculaires de la corn
corne postérieure ; 30 les grosses fibres radiculaires de la corne
postérieure
; 4o les irradiations (fibres fines) du noyau du
postérieure; 4o les irradiations (fibres fines) du noyau du cordon
postérieur
(zones radiculaires de Struempell); 5*- les col
tème.spécial appartenant particulièrement aux fibres radicu- laires
postérieures
, presque toujours atteinte (douze fois sur trei
ffectée de bonne heure. Les fibres fines de l'intérieur ce la corne
postérieure
sont moins souvent affectées, et toujours plus
rtaines relations entre cette der- nière et les réseaux de la corne
postérieure
, mais il faut qu'il s'écoule un certain temps a
et leur lésion fait des progrès lents. Les irradiations des cordons
postérieurs
se comportent comme les parties correspondantes
es, et manquent de bonne heure, tandis que la substance de la corne
postérieure
qu'elles traversent est encore normale; le déch
'abord les fibres fines mé- dianes, celles qui viennent des cordons
postérieurs
de la région lombaire, qui dégénèrent, alors qu
ès tardivement que la substance spongieuse environnante de la corne
postérieure
participe à l'atrophie. La colonne de Clarke re
des trousseaux de fibres émanées de parties très diverses du cordon
postérieur
et provenant de hauteurs très différentes; les
ltérés : une seule fois les zones radiculaires externes des cordons
postérieurs
étaient affectés et du reste on avait observé d
ats obtenus par la méthode des - en ce qui concerne la commissure
postérieure
), par Spitzkti, 79. Auditif (Origine du nerf)
i- nale due à des matières lé- cales, par Squires, 316. Cordons
postérieurs
(complexus symptomatiques tout parti- culier
e comportent d'une façon tout autre que dans les régions moyenne et
postérieure
. D'après l'opinion générale, la couronne rayonn
rès le début de la maladie. Cerveau ferme. A la partie moyenne et
postérieure
du lobe an- térieur gauche en dehors et en avan
té de 15 à 18 millimètres contenant de la sérosité, située au tiers
postérieur
de la deuxième et delà troi- sième circonvoluti
mation, et, jusqu'à ce jour, la certitude que l'écorce de la partie
postérieure
de la troisième fron- tale gauche était le cent
, disséminés dans les auteurs sous différents noms. Dans un travail
postérieur
{Archives de Neurologie, septembre 1882), le mê
ysie transitoire de la jambe gauche. 3" Ramollissement de la partie
postérieure
de la troisième frontale et de lu partie inféri
ution frontale ascen- dante ; chez beaucoup de personnes, la partie
postérieure
de la troisième frontale gauche, son insertion
vrait être attribué à l'état d'irritation où se trouvent les cornes
postérieures
, et serait assez analogue au tic convulsif qui
e assez étendue pour comprimer à la fois les racines antérieures et
postérieures
des nerfs périphériques. Quant à l'hystérie, el
ssure frontale parallèle; en arrière, il s'arrête au niveau du bord
postérieur
de la circonvolution pariétale as- cendante.
nc pas quand la destruction du corps strié n'occupera que sa partie
postérieure
ou externe; elle pourra se présenter, au contra
cause de la perte de la' parole; ensuite, un ramollissement du lobe
postérieur
,' causé de la perte de la vue et de l'ouïe. " 1
ment énueléale, siégeant sous la substance grise dans la "p'artie
postérieure
delà troisième circonvolution frontale droite.
quelquefois à l'occasion de certaines destructions dont les lobes
postérieurs
sont le siège. Il est inutile d'insister sur ce
ase, c est-à-dire à l'union du tiers antérieur avec les cieux tiers
postérieurs
des.hémisphères en cette région, est représenté
monte vers- le lobe,'frontal (rameau antérieur ascendant); l'autre,
postérieur
, bien iplus long, gagne la partie moyenne du lo
de Rolande, verticale par consé- quent, prend naissance a la partie
postérieure
de la scissure frontale inférieure, séparant en
térieur ascendant d'une scission en partie operculaire (ascendante,
postérieure
), et en partie triangulaire ou cap de Broca (de
Première pariétale; Processi enteroidei verticali cli mezzo (partie
postérieure
) (Rolando) ; Second pli' ascendant (Gratiolet);
entralis, 2,etî,oce)zt ? ,alis. Cette circonvolution forme la lèvre
postérieure
du sillon de Rolando. Elle naît au niveau du ti
èvre postérieure du sillon de Rolando. Elle naît au niveau du tiers
postérieur
de la scissure de Sylvius. En bas et en arrière
cc ? p<7o-p<H' ! e/M (Schwalbe), elle part, en avant, du bord
postérieur
de la pariétale ascendante et monte un peu avan
ascendante au lobe occipital, en pas- sant au-dessus de l'extrémité
postérieure
de la grande branche de la scissure de Sylvius,
rieur entier en deux segments qui couronnent : l'un, l'extrémité
postérieure
de la scissure de Sylvius, l'autre, l'extrémité p
ur de Gratiolet), a été appelé par lui lobule supramarginal. Unilot
postérieur
surmonte la pointe de la scissure parallèle : c
'écarter du plan de Gratiolet, une troisième appellation à cet îlot
postérieur
, on serait en droit de penser que l'expres- sio
re occipitale trarzsverse (Pozzi)f ? 1 Synonymie : Sillon occipital
postérieur
ou ti,aizstîé7-se (Ecker). C'est encore une sci
ons occipitales et temporo-occipitales se confondent, à l'extrémité
postérieure
(pôle occipital de Broca, extrémité occipitale
(Pansch) ou pôle temporal (Broca), par opposition' avec l'extrémité
postérieure
fondue dans lest lobes pariétal et occipital. C
Broca). - Synonymie : Temporale supérieure (Ecker) ; Pli marginal
postérieur
et inférieur (Gratiolet) ; Partie inférieure de l
u-dessous de la scissure de Sylvius, elle se confond avec la partie
postérieure
du lobule pariétal inférieur (Richer). b.Lascis
;r,'c ? . , . pose, en;zigszags morcelés : ' Dans^ce cas; la partie
postérieure
de.cette, scissure devient, en avant du lobule
ux trazzsverses, qui, au nombre de deux à trois, occupent la moitié
postérieure
du lobe temporal cachée dans ta'profon- deur de
mes de pli de passage temporo-pariétal profond de Broca, elles sont
postérieures
à l'insula et montent, en effet, dans les régio
occipito-temporale de la troisième temporale. C'est à son extrémité
postérieure
que correspond l'incisure préoccipitale, de Sci
ié antérieure à la grande fente cérébrale de Bichat, dans sa moitié
postérieure
à la scissure des' hippo- campes, elle sépare l
n de ces tractus, qu'elle constitue indubitablement, dans sa partie
postérieure
, la lèvre inférieure de la scissure des hippoca
rencontraient dans les lobes frontaux, mais surtout dans la partie
postérieure
de la troisième circonvolution frontale gauche;
phère droit et'quelqûes' circoîi- - vôlutiôns seulement dtl : tiers
postérieur
. La'substance blanche était Uiypérémiéé e t pbi
te. Chez t'animai devenu adult'(1àiii), la"desttLie- tion;.du tiers
postérieur
de la capsule·interne; danslla'rériôri'-oit pas
hypoglosse, se re- polie graduellement vers les parties extrêmes et
postérieures
, ,et parvient ensuite au bord externe du noyau
v ngien. Au bord in- terne de la substance gélatineuse de la' corne
postérieure
, on ren- contre sur des coupes verticales et tr
graisseuse des cellules nerveuses dans leur voisinage. Les cordons
postérieurs
de la moelle offrent la dégénérescence grise.
exacte de l'écorce du cerveau, et si, dans la moelle , les cordons
postérieurs
étaient seuls altérés. v-, ·.9h ... (T ? «.'r'c,
ose porte surtout : à gauche, sur la première externe antérieure et
postérieure
(première frontale), sur le lobule paracentral,
seconde (de couleur brun-rouge) occupe la paroi externe de la corne
postérieure
du ventricule latéral droit, sans avoir ni péné
s aux gâteux (troisième construction), qui re- gardent le long côté
postérieur
. On a procédé à la même réparti- tion à gauche,
uche, en ce qui concerne les hommes. La partie moyenne du long côté
postérieur
est prise par la cuisine derrière laquelle est
t-bras se fléchit sur le bras et se porte sur la partie latérale et
postérieure
du tronc. Le membre inférieur est dans l'extens
région antérieure paraissent durs comme du bois; ceux de la région
postérieure
ne sont pas modifiés. La main n'est pas dans un
xterne. Au niveau de la suture inter-pariétale, surtout à sa partie
postérieure
, la table externe est irrégulière, bosselée. Da
et a pris une coloration légèrement jaunâtre. Toutes les parties
postérieures
ont un aspect normal, mais sont plus élémentair
hère droit qui présente un ancien foyer compre- nant : 10 la partie
postérieure
de la troisième circonvolution frontale et de l
e la pariétale ascendantes. Relativement aux lésions de l'extrémité
postérieure
de la deuxième circonvolution frontale, du lobu
ssure fronto-pariétale interne (Pansch, Pozzi), contourne la partie
postérieure
(pariétale) du lobule paracentral et, formant u
scissure perpendicu- laire interne, si bien qu'entre son extrémité
postérieure
et cette dernière se voit le pli de passage par
ieure et cette dernière se voit le pli de passage pariéto-lcinbique
postérieur
(Broca). DES CIRCONVOLUTIONS CEREBRALES. 31
forme. Il se branche en haut sur le pli de passage pariéto-limbique
postérieur
de Broca. 2° Un pli de passage interne pariéto-
après cette manière de voir, la fissure calcarine devient la partie
postérieure
de la scissure des hippocampes (Gratiolet), et
83)'. 1. Première expérience. Quand on interrompt, dans la partie
postérieure
de la capsule interne les faisceaux de fibres de
é interne en rap- port, de son côté, avec le tubercule quadrijumeau
postérieur
(Arch. f. Ophlhalm ? t. XXV). Or, M. l3echlerew
rant par le pharynx à sectionner le bras antérieur entre le segment
postérieur
de la couche optique et le tubercule quadri- ju
ne sans intéresser le corps genouillé interne ni les fibres du bras
postérieur
. Un seul et même effet a été obtenu, savoir : le
ubles de la vue tout à fait passa- gers ; la destruction du segment
postérieur
de cet organe engendre une hémiopie homonyme qu
De ces faits, l'auteur déduit que la partie des fibres des cordons
postérieurs
qui est en connexion avec le nerf scia- tique o
lement de fibres nerveuses en connexion avec les racines sensitives
postérieures
destinées aux extrémités intérieures (faisceaux
ient de courtes fibres qui s'arrêtent ailleurs (cellules des cornes
postérieures
? ); toutefois, l'importance physio- logique et
e l'altération atteintex- clusivement les prolongements des racines
postérieures
, aussi bien les longs que les courts tractus. I
leur trajet, sont situés parmi les fibres radiculaires des cordons
postérieurs
. Il. K. X\X. CovrwDUTtor1 a la dégénérescence c
La destruction n'a porté que sur le segment de la tête de la corne
postérieure
situé entre le bord postérieur de l'olive et l'
r le segment de la tête de la corne postérieure situé entre le bord
postérieur
de l'olive et l'origine de la première paire ce
nditions facile- ment mensurables, qui seront l'objet d'une mention
postérieure
, sont prises de convulsions tétaniques coïncida
une lésion cérébelleuse avec dégénérescence secondaire des cordons
postérieurs
. Les modifications histologiques montrent, d'ap
à droite considérablement épaissie et légèrement rougeâtre. Le lobe
postérieur
du cerveau était très manifestement plus volu-
e coloration jaune des cordons postéro- latéraux et non des cordons
postérieurs
. On en fera plus tard des coupes. De cette desc
e vient encore l'état de la base du crâne défectueuse dans sa fosse
postérieure
droite. (La branche droite de l'éminence crucif
constituent le symptôme somatique principal, alors que les cordons
postérieurs
demeuraient indemnes, et tandis que les réflexe
transverse et de la force des sillons destinés aux sinus occipitaux
postérieurs
dilatés, enfin, de l'étroitesse du plan incliné
entripètes conductrices des réflexes monte- raient avec les cordons
postérieurs
de la moelle, glisseraient sous l'écorce du cer
; leur origine et, dans la portion lombaire, le domaine des cordons
postérieurs
, a subi la dégénérescence dans son entier, elle
ion du traitement hydrothérapique. 9 novembre. - Anthrax de la face
postérieure
de l'avant- bras. 1884. 3 janvier. - On appre
ième à la troisième frontale; elle communique largement à sa partie
postérieure
avec la scissure frontale supérieure, séparant
ieure avec la scissure frontale supérieure, séparant ainsi le tiers
postérieur
de la deuxième frontale de ses deux tiers antér
lobe frontal parait normal et très bien déve- loppé dans sa partie
postérieure
, mais en avant, quoique très plissé, il semble
r suite plus rapproché de l'extrémité antérieure que de l'extrémité
postérieure
. Les circonvolutions frontale et pariétale asce
au centre même du lobule paracentral par deux branches, une oblique
postérieure
, une verticale anté- rieure. Ces deux branches
fronlo-pariélale interne est ici constituée par la branche oblique
postérieure
. La scissure calloso-margi- nale ne possède pas
ure. La scissure calloso-margi- nale ne possède pas de prolongement
postérieur
et ne fournit pas d'incisure préovalaire; celle
nvolution du corps calleux. Il existe aussi un pli pariéto-limbique
postérieur
mal délimité en avant par la scissure sous-pari
La deuxième circonvolution frontale très développée dans sa moitié
postérieure
, l'est peu dans sa moitié antérieure. - La troi
e quadrilatère, large, possède un pli de passage pariéto-limbique
postérieur
, séparé du reste du lobule par une scissure profo
des bronches. Congestion du poumon avec un peu d'oedème à la partie
postérieure
du lobe inférieur. - Poumon droit. Adhérence te
té droite du thorax; il est très congestionné sur- tout à sa partie
postérieure
. L'épanchement siégeait principa- lement dans l
ulier, assez si- nueux, envoie un prolongement très gros à bipartie
postérieure
du pli pariétal supérieur. - Le lobe occipital,
extrémité antérieure du lobe frontal à la partie moyenne de la face
postérieure
de la pa- riétale ascendante, 12 centimètres. L
r de ce dernier 88 DE l'épilepsie procursive. point à l'extrémité
postérieure
du lobe occipital, 11 centi- mètres et demi '.
olution frontale très volumineuse, mais surtout dans les deux tiers
postérieurs
, envoie un pli de passageàla troi- sième circon
. Le sillon qui sépare la pariétale 1 Comme on le voit, les parties
postérieures
du cerveau étaient relati- vement très développ
inuité de la deuxième scissure en reliant les parties antérieure et
postérieure
du cap à la seconde circon- volution frontale.
calleux ne pré- sente rien de particulier, mais à sa partie la plus
postérieure
au niveau du bourrelet du corps calleux, elle e
ous- pariétale, il n'existe qu'un pli de passage pariéto-limbique
postérieur
. - Le coin, la scissure perpendiculaire interne,
est interrompu par un pli de passage à niveau allant de la partie
postérieure
du pli pariétal supérieur au pli courbe; plus l
e parallèle frontale, en formant ainsi un dédoublement de la partie
postérieure
de la deuxième circonvolution fron- tale. - Un
la continuité de la deuxième scissure frontale à sa partie la plus
postérieure
. - La troisième circonvolution frontale est bie
. La scissure paral- lèle, très profonde, se divise à son extrémité
postérieure
en deux rameaux, l'un antérieur qui se perd dan
l'un antérieur qui se perd dans le pli pariétal inférieur, l'autre
postérieur
qui, après avoir pénétré dans la portion postér
érieur, l'autre postérieur qui, après avoir pénétré dans la portion
postérieure
de la seconde circonvolution temporale, est coi
nvolution temporale est bien développée et chagrinée dans sa moitié
postérieure
. - La deuxième scissure temporale est irréguliè
drilatère est petit, maigre, possède un petit pli pariéto- limbique
postérieur
. - Le coin, la scissure perpendiculaire interne
- Les artères de la base sont symétriques ; toutefois, la cérébrale
postérieure
paraît un peu plus volumineuse à droite. - Les tu
et éraflée. Le lobe cérébelleux droit arrive au niveau de la partie
postérieure
du lobe occipital, mais le lobe cérébelleux gau
urs de deux centimètres sur la face convexe, va rejoindre la partie
postérieure
de la scissure interpariétale et par son interm
e parallèle complète qui, à son quart supé- rieur, envoie un rameau
postérieur
oblique de bas en haut divisant entièrement le
interrompue par un pli de passage à niveau allant de l'extrémité
postérieure
du lobule pariétal supérieur à la circonvolution
issure de Sylvius. - La première frontale, dédoublée dans son tiers
postérieur
, présente également des indices de dédoublement
euxième circonvolution frontale est volumineuse surtout à sa partie
postérieure
; elle s'insère à la frontale ascendante par un pe
'un même, médian, atteint son 132 DE l'épilepsie PROCURSIVE. bord
postérieur
; il semble en ce cas que la deuxième circonvo-
ente un pli pariéto-limbique antérieur et un pli parié to-1 imbique
postérieur
. La scissure perpendiculaire interne, très prof
,Hémisphère gauche. - La scissure de Sylvius se divise à la partie
postérieure
de la circonvolution pariétale ascendante en de
orale plissée envoie un pli de passage à niveau à la partie la plus
postérieure
du lobule pa- riétal inférieur et un autre pli
onvolution frontale interne est bien développée, reçoit à son quart
postérieur
un petit pli de passage presque à niveau de la
triangle para- central. Il existe également un pli pariéto-timbique
postérieur
. La scissure perpendiculaire interne est très p
la déviation du tronc basilaire vers la gauche, l'artère cérébrale
postérieure
droite est plus longue que la gauche. La commun
postérieure droite est plus longue que la gauche. La communiquante
postérieure
est filiforme ainsi que la cérébrale antérieure
e, envoie trois plis de pas- sage à niveau à la seconde ; sa moitié
postérieure
est atteinte de méningo-encéplcalite. - La prem
méningo-encéphalite en quel- ques points de ses parties moyenne et
postérieure
, est très plissée, très découpée et irrégulière
lativement assez gros, parait peu lésé, sauf dans sa partie la plus
postérieure
. - Le lobule quadrilatère possède une scissure
e par un petit sillon horizontal; il existe un pli pariéto-limbique
postérieur
. - La scis- sure perpendiculaire interne est tr
x, surtout dans son tiers antérieur, le corps strié, vers sa partie
postérieure
, paraissent atrophiés. Hémisphère droit. - La s
est atteint de méningo-encéphalite dans toute sa moitié interne et
postérieure
; les circonvolutions de toute sa moitié antérie
rieur on y rencontre un pli de passage étroit, atrophié et au tiers
postérieur
un autre pli de passage profond. La deuxième fr
ontales, l'atrophie est beaucoup plus prononcée que sur les parties
postérieures
. - La deuxième scissure frontale, profonde, sin
résente toutefois une couleur un peu ocreuse et forme son extrémité
postérieure
. Le pli pariétal inférieur et le pli courbe son
a partie médiane. La pie-mère est oedématiée, l'artère communicante
postérieure
et l'ar- tère cérébrale antérieure gauches sont
uble de la pie-mère de la convexité. - Adhérence de la corne droite
postérieure
. - Sclérose et atro- phie de l'hémisphère droit
atrophigue de hémisphère cérébelleux droit, l'adhérence de la orne
postérieure
du ventricule latéral droit à l'ergot de Morand
à quatre noyaux sous-cutanés du volume d'une noisette, à la face
postérieure
de l'épaule et à la naissance du bras gauche ; il
t impossibles dans les articulations tibio- tarsiennes. Les muscles
postérieurs
de la jambe sont contracturés. Le second orteil
cial, dû à la division du quatrième doigt normal, situé sur un plan
postérieur
aux autres doigts, si bien qu'à la face pal- ma
cin- quième. Son extrémité antérieure ne dépasse pas l'extrémité
postérieure
de la seconde phalange des orteils entre lesquels
u dos. Trois cicatrices de vaccine dont une très grande à la partie
postérieure
de la région deltoidienne droite. Cicatrice tra
es membres inférieurs (sciatique, sciatique poplité externe, tibial
postérieur
, nerf du quadriceps, saphène interne) sont prél
e de Pal sont en très petit nombre ; en particulier toute la partie
postérieure
de la moelle et les faisceaux pyramidaux sont r
mente de volume, mais surtout par sa partie antérieure. La moitié
postérieure
reste très amincie. Au niveau de la 1 le paire
moelle est toujours pâle, depuis les cornes anté- rieures jusqu'aux
postérieures
. Les faisceaux pyramidaux sont sclérosés et la
aire par lésion cérébrale. Une bande noire souligne, dans la moitié
postérieure
de la moelle, les cornes de la commissure. La z
itié postérieure de la moelle, les cornes de la commissure. La zone
postérieure
et médiane et ce qui représente le cordon posté
sure. La zone postérieure et médiane et ce qui représente le cordon
postérieur
est absolument sclérosée. Les cornes antérieu
d à s'effacer, le cordon de Goll est dégénéré jusqu'à la commissure
postérieure
. La coupe du 8e segment cervical montre encore
membres inférieurs (sciatique droit et gauche, tibial antérieur et
postérieur
gauches, saphène interne droit, nerf du triceps
descendante des faisceaux de Gowers et de la totalité des cordons
postérieurs
). La compression spinale était produite surtout
anesthésie etl'analgésie ontenvahi les jambes, faces antérieures et
postérieures
. En l'absence d'autopsie on ne saurait dire si
ment de substance grise et de faisceaux blancs; chaque racine (la
postérieure
au moins) conserve son individualité pendant un
qu'elle produit unemyélite de voisinage 2. L'irritation des racines
postérieures
produit un symptôme qui ne fait presque jamais
n incliné, dont la description sera faite un peu plus loin. La face
postérieure
du dossier est munie de deux planchettes solide
anche, soit sur un petit cous- sinet, placé entre les deux branches
postérieures
de la pièce mentonnière. C'est un détail qui a
esquels non seulement la branche antérieure, mais encore la branche
postérieure
est affectée, dans lequel aussi une ou deux bra
46 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. noter, envahissement de la branche
postérieure
du nerf cutané externe, ce qui ne s'est rencont
ligne médiane, et embrasse en arrière le premier tiers. de la face
postérieure
: là les contacts ne sont pas perçus, la douleu
lisation des lésions tabétiques comme suit. On trouve les cor- dons
postérieurs
toujours atteints. Puis, ce sont les racines post
eux, fibres et cellules des colonnes de Clarke, cellules des cornes
postérieures
et antérieures, nerfs spinaux, nerfs craniens s
s intervertébraux, ou dans les nerfs péri- phériques et les racines
postérieures
, pour occuper, au sein de ces dernières, soit d
ns du tabes à début endogène, c'est-à-dire d'emblée par les cordons
postérieurs
, devient de jour en jour plus rare. Il est une
usqu'à la ligne des articulations métacarpo-phalangiennes à la face
postérieure
. Cette bande est limitée en haut et en bas par
diminuée sur la face antérieure du bras et de la main. Sur la face
postérieure
, le dos de la main est anesthésique et l'avant-
tour et entre les cellules ganglionnaires des cornes antérieures et
postérieures
, l'épi- didyme étant dilaté transversalement 1.
on des muscles, des ligaments, des nerfs périphériques, des racines
postérieures
et antérieures, des méninges et de la moelle ép
constaté guère que de légers troubles de la motilité des extrémités
postérieures
. Absence complète de l'analgésie de la région'a
ent atteinte de dégénérescence secondaire dans la - portion la plus
postérieure
, périphérique, du cordon latéral : elle commenc
et des fibres éparses des cordons antéro-latvruux ; 5° les cordons
postérieurs
restent indemnes, probablement parce que les segm
du foyer : 1° une dégénérescence descendante, en virgule, du cordon
postérieur
; 2° une forte dégénérescence du cordon latéral
te du cordon latéral du cer- velet; 2° une dégénérescence du cordon
postérieur
; celle-ci, diffu- sée à travers tout le cordon,
evée de la moelle dorsale, la dégéné- rescence ascendante du cordon
postérieur
.se manifeste par une décoloration du faisceau d
atéral des pyramides, et la descente de la dégénérescence du cordon
postérieur
, attri- buées par Struempell à une affection sy
ent le plus inférieur de la moelle, et, pour les libres ' du cordon
postérieur
au niveau du segment le plus élevé. Peut-être a
un homme de quarante-cinq ans atteint d'une affection des cordons -
postérieurs
relativement récente. A la hau- teur du septièm
t pénétré la substance blanche jusqu'à la paroi interne de la corne
postérieure
de l'hémisphère droit. 2° cas : hémianopsie dou
r l'hydropisie du quatrième ventricule se déplace surtout la partie
postérieure
de la moëlle allongée, laquelle est suspendue sur
ES. '145 la moëlle épinière; 4' grâce à la dislocation de la partie
postérieure
de la moëlle allongée, cette dernière se partag
e allongée, cette dernière se partage en deux moitiés antérieure et
postérieure
, et chacune de ces moitiés se développe séparém
deux ou trois premières minutes, paralysie complète des extrémités
postérieures
. Les pièces ont été soumises à la méthode de Ni
de la moelle, écrit Edinger, sur laquelle se-branchent les racines
postérieures
, donnent nais- , sance à des cylindraxes qui ap
près l'opération. . On trouve, à la suite de la lésion de la partie
postérieure
de la substance grise au niveau de la portion s
owers : une partie de ces fibres, par le faisceau spino-cérébelleux
postérieur
, une autre partie, par le faisceau spino-cérébell
et antérieures de la substance grise, ainsi que la base de la corne
postérieure
. La méthode de Nissl ne trahit aucune dégénéres
o-latéral qui n'appartiennent pas au faisceau latéral du cer- velet
postérieur
, ni au système intérieur du cordon latéral de Z
on peut lui reconnaître 1° des fibres spirzo-cérébelleuses anléro-
postérieures
, qui, avec le faisceau latéro-cérébelleux postéri
uses anléro- postérieures, qui, avec le faisceau latéro-cérébelleux
postérieur
, s'en vont au cervelet (système spinal antéro-l
oyen et au cerveau intermédiaire. Cela veut-il dire que les racines
postérieures
soient en connexion directe avec l'écorce du ce
vec l'écorce du cerveau ? Les plus longs- prolongements des racines
postérieures
se terminent dans les noyaux des cordons postér
des racines postérieures se terminent dans les noyaux des cordons
postérieurs
, dont les axones, abstraction faite du ruban de R
s neurones sollicités par les collatérales cinéréopètes des racines
postérieures
. Ce sont ces derniers éléments qui servent à la
n psychique beaucoup plus élevée que la grande zone d'association
postérieure
de Flechsig. Les numérotations de Flechsig sont e
inq ans montra à l'autopsie des lésions radiculaires et des cordons
postérieurs
très caractérisés. En somme un long traite- men
de cinq à six mois dans lesquels on peut constater que les lésions
postérieures
et radiculaires sont déjà établies. Enfin il y a
us prononcées dans les cordons antéro-latéraux que dans les cordons
postérieurs
. L'auteur qualifie les lésions du cerveau et du
ent de publier des résultats analogues, basés sur des applicaiioiis
postérieures
aux miennes. Veuillez agréer, mon cher Rédacteu
ien z La tête me fait mal Je percute la zone hyperesthésiée (bord
postérieur
du frontal droit) : Louis me dit qu'il sent des f
les parties extra et intra- médullaires des racines antérieures et
postérieures
, dans les cor- dons postérieurs et latéraux; pa
llaires des racines antérieures et postérieures, dans les cor- dons
postérieurs
et latéraux; par leur aspect ces amas diffèrent d
ifs. Suit le détail de ces 23 observations Dégénération du ganglion
postérieur
ou spinal et des vérifications périphériques da
quaille et du Perron. Les injections ont été pratiquées à la partie
postérieure
et supérieure, ou externe des fesses et ont été
rieure. On constate une diminution de volume des segments du cordon
postérieur
, qui* tient ou peut être rattachée à une lésion
qui* tient ou peut être rattachée à une lésion spéciale des racines
postérieures
. Ce n'est pas tout. La méthode de Weigert el Pa
thode de Weigert el Pal montre une décoloration manifeste du cordon
postérieur
droit, mais seulement au niveau de l'entrée des
postérieur droit, mais seulement au niveau de l'entrée des racines
postérieures
qui paraissent dégénérées, et dans la moelle do
la moelle lombaire inférieure, en rapport avec l'entrée des racines
postérieures
correspondant au membre amputé, où elle a la mê
t avant tout, à un remarquable degré, les prolongements des racines
postérieures
. Comment se fait-il que la décoloration, déjà v
rte guère groupées, et que les fibres qui correspondent aux racines
postérieures
du sciatique occupent la ligne médiane. Quant a
ligne médiane. Quant aux fibres à trajet longitudinal de, la corne
postérieure
, elles étaient en l'espècé peu réduites, tandis
t à droite presque disparu : les trousseaux qui rayonnent du cordon
postérieur
dans la substance' grise avaient de ce côté for
on plus de dégénéres- ' cence des fibres longitudinales de la corne
postérieure
: chez un' de ces animaux qui avait subi la sec
animaux qui avait subi la section de la moelle lombaire, le- cordon
postérieur
avait dégénéré au-dessus du lieu d'intervention,
d'intervention, tandis que les trousseaux transverses de- la corne
postérieure
ne décelaient que quelques traces disséminées d
e à travers la substance grise qui provenaient, non pas du cordon
postérieur
, mais du cordon latéral exclusivement. P. Keraval
probable de l'oculo-moteur commun et du nerf optique à l'extrémité
postérieure
de l'orbite. ' Dans l'espèce on est favorisé, p
i orbitaire. mais sont également compatibles avec une fracture plus
postérieure
de la fosse moyenne du crâne. P. Keraval. XXX
ie supérieure de la circonvolution centrale antérieure et la partie
postérieure
de la première frontale. Sur la face intérieure
les extrémités : s'il n'y a pas de signes d'une lésion des racines
postérieures
et des nerfs sensitifs périphériques, il n'y a
des spasmes toniques et cloniques de tous les muscles de la partie
postérieure
du tronc et des extré- mités inférieures; sans
s sémlcs des arteres ou à des lésions syphi- litiques des vaisseaux
postérieurs
de la moelle, aboutissant soit à l'obstruction,
ne d'extrême hyperesthésie qui descend jusqu'aux aines. A la face
postérieure
du corps, la zone de sensibilité normale s'éten
ritable lésion en foyer, intéressant le centre de l'audition (tiers
postérieur
de la première temporale et circonvolution supra-
u point de vue anatomique, par l'exis- tence au niveau de la région
postérieure
de foyers plus ou moins circonscrits de méningo
1° Les fibres émanées de l'olive bulbaire aboutissent à la partie
postérieure
du corps ciliaire du cervelet; elles méritent, pa
llrneau antérieur, à l'écorce du pulvinar, c'est-à-dire à la partie
postérieure
de la;couche optique. De ces trois territoires
ps genouillés externes, tubercules quadrijumeaux antérieurs, partie
postérieure
des couches optiques. ' Les autres pénétrant
rébro-spinal se mêleraient aux fibres du tiers pos- térieur du bras
postérieur
de la capsule interne, pour gagner ensuite les
upérieure du pédoncule céré- 1 . bral, se dirigent vers la partie
postérieure
de la capsule interne. Là, elles se condensent
la scissure calcarine d'un seul côté. Consé- quemment, cette partie
postérieure
de la scissure calcarine doit être un lieu d'ab
la dépendance des deux centres corticaux, localisés dans la partie
postérieure
de la scissure calcarine de chaque hémisphère.
alimenté à la fois par deux artères distinctes, par ta. céré- brale
postérieure
et par la branche occipitale de l'artère, sylvi
que une lésion du lobe temporal gauche; principalement de la partie
postérieure
des première et deuxième circonvo- lutions temp
li courbe de l'hémisphère gauche, territoire qui embrasse la partie
postérieure
de la deuxième circonvolution pariétale et la p
es représentent le territoire de distribution de l'artère cérébrale
postérieure
. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 467 térieure. E
, à la face interne des hémisphères (/{. 28), ainsi que la partie
postérieure
des trois circonvolutions occipitales et de la
rijumeau antérieur, par le corps genouillé externe et par la partie
postérieure
de la couche optique (pulvinar), sont de vérita
x antérieurs. Au contraire, les lésions qui inté- ressent la partie
postérieure
des couches optiques donnent incontestablement
ntrale est seule conservée, ce qui suppose l'intégrité de la partie
postérieure
du fond'de la scissure calcarine, d'un côté au
dépend d'une lésion du corps genouillé externe Cge, ou de la partie
postérieure
de la couche optique, du pulvinar P, est toujou
ale. Il en est encore de même, quand la lésion siège dans l'angle
postérieur
E, ou dans l'angle antérieur D du chiasma. Le siè
aralysies agitantes prolongées, par suite d'altérations des cordons
postérieurs
; les douleurs rhumatismales si fréquentes REVU
- cale et dorsale. Dans la moelle lombaire, la lésion des cordons
postérieurs
était encore plus accentuée. Ce sont des altérati
, que la diminution porte surtout sur le grand centre d'association
postérieur
. De l'équilibre volitionnel statique et de l'éq
e marque son em- preinte sous forme d'un léger sillon sur la partie
postérieure
de l'olive et le bord inférieur de la protubéra
u contraire, le facial traverse la tumeur, a l'u- nion de son tiers
postérieur
avec les deux tiers antérieurs : l'en- trée du
n appréciable ù l'oeil nu, des centres ner- ^eux, sauf, à la partie
postérieure
de la moelle dorso-lombaire, de nombreuses plaq
les ; le thorax est glabre à sa face anté- rieure, mais sur sa face
postérieure
, il présente un duvet abon- dant ; l'abdomen et
e est plus petit et moins bombé que le droit. L'artère communicante
postérieure
gauche est plus petite que la droite. Glande
u lobe frontal sont un peu grêles. Les circonvolutions de la partie
postérieure
du lobe temporal et du pli courbe présentent un
contre les capillaires et les petits vaisseaux à la base des cornes
postérieures
ainsi que dans la ré- gion intermédiaire aux co
es postérieures ainsi que dans la ré- gion intermédiaire aux cornes
postérieures
et antérieures. 11 en est qui sont accolées aux
es curnc anlricurm ; il 1·n c·L lui traversent la base des cornes
postérieures
pour s'y répandre. La majeure partie de ces libre
deux côtés dans la partie postéro-interne du faisceau longitudinal
postérieur
, il a été trouvé des mottes noires disséminées,
externe. Plus bas, là où il y a fusion des segments antérieur et
postérieur
du corps genouillé externe, ce faisceau dégénéré
es qui portent sur la portion la plus anté- rieure de la commissure
postérieure
, ce tractus occupe la lisière de la calotte : i
eil supérieur (médian). Plus bas encore, il est en arrrière du bras
postérieur
des tubercu- les quadrijumeaux, jusqu'à ce qu'e
Troisième émanation dégénérative. Les coupes portant sur la moitié
postérieure
du tubercule quadrijumeau antérieur décèlent, à
e intercalée entre le ruban de Reil supé- rieur (médian) et le bras
postérieur
des tubercules quadri-ju- meaux. Elles occupent
le plus fort diamètre, le faisceau en question occupe la périphérie
postérieure
et externe de cet organe. Au-dessous de l'entre
le dorsale, le faisceau pyramidal se colle étroite- ment aux cornes
postérieures
et dépasse en avant la corne laté- rale, de sor
x. Moelle plus dure que normalement : substance blanche des cordons
postérieurs
de la moelle dorsale inférieure un peu grise et
e des faisceaux de Gowers et des faisceaux cérébelleux. Les cordons
postérieurs
, notamment les cordons de Goll, sont dégénérés
st descendu par les cornes antérieures, puis remonte parles cordons
postérieurs
(dégénéres- cence ascendante). P. Keraval. XI
et étroit a perforé la couche musculaire et la membrane obturatrice
postérieure
, tout contre le bord externe du trou occipital,
noyau du fa- cial oculaire qui irradie par le faisceau longitudinal
postérieur
. » P. Keraval. IV. Ophthalmoplégie interne tr
e, et associ(·e it l'want-Ira, à une atrn- phie de quelques muscles
postérieurs
; une augmentation de la consistance des muscle
ille ro- P,\ll'l'l1e (le la jamhe, de l'hypertrophie dans la région
postérieure
avec contracture, douleur sciatique. Le malade
trois sortes de centres. Chaque membre anté- rieur et chaque membre
postérieur
possède son centre propre; les deux membres ant
son centre propre; les deux membres antérieurs et les deux membres
postérieurs
possèdent chacun le sien; les quatre extrémités
hi'l'cs .lcu,} : /'('III,'('s de (li('I'- gence oculaire, un centre
postérieur
placé dans le ¡n l'US angu- laire (pli courbe)
la région motrice, participe aux mouvements volontaires. Le centre
postérieur
, à raison de sa to- pographie, se rattache au c
aussi des raisons de croire que noire centre de divergence cortical
postérieur
est en rapport avec le tubercule quadJ'ijull1cau
e qui occupe la face externe du lobe occipital el la partie la plus
postérieure
du lohe pariétal. La partie posté- "" rieuredel
région oc- cipitale externe, depuis le lobe pariétal jusqu'au pôle
postérieur
et sous la tente du cervelet, on provoque une a
tincte et les signes de la cécité psychique. En l'espèce, la partie
postérieure
est en rela- tion avec les deux rétines. On n'o
occipital jusqu'au sillon pariélo- occipilal et celle de la partie
postérieure
du lobe pariétal provo- la vision distincte), d
s zones perceptives qui comprennent toutes les zones asso- ciatives
postérieures
sont des centres de formation et de conser- vat
démontrer le passage des ima- ges du centre de perception au centre
postérieur
d'association, qui serait, selon ! "Ie('hig, au
as de surdité verbale avec destruction hi la 1t"l'Hle (le la moitié
postérieure
do la première tem- porale, dépourvu d'amnésie
ue dans l'alexie. Il s'agirait en gros (Lu pli courbe, de la partie
postérieure
du lobule pariétal infé- rieur (supramarginal),
e du lobule pariétal infé- rieur (supramarginal), et de l'extrémité
postérieure
des 2° el 3e tem- porales du côté gauche, tandi
es absolument individuels, disposés chez le singe dans les segments
postérieurs
de la deuxième frontale ; ils sont topographiqu
séance. Région syl vienne ; 3° séance, Hari- ne> antérieures et
postérieures
de la moelle. - Epreuve de garde : l". .séance
aisceaux sagittaux du lobe occi- pital relie axant tout les parties
postérieures
du thala- mus optique avec l'écorce pariétale.
apsule interne mêlées aux libres de mouvement dans toute la branche
postérieure
; et, conservant ainsi des rapports intimes à t
chez des chiens, les divers segments des extrémités antérieures et
postérieures
, les auteurs étudient l'état des différents gro
eynerl ; ces fibres tendraient ensuite par le faisceau longitudinal
postérieur
, à gagner le cordon antérieur de la moelle du c
c ! ¡1Ú¡wl, Ell bien ! les fibres qui \ont au faisceau longitudinal
postérieur
contiennent-elles celles qui viennent du noyau
d toujours plus loin aux fibres connexes el voisines. Les cordons
postérieurs
peuvent dégénérer, tandis que les raci- nes pos
Les cordons postérieurs peuvent dégénérer, tandis que les raci- nes
postérieures
demeurent intactes et les racines(·lant dégénérée
res demeurent intactes et les racines(·lant dégénérées, les cordons
postérieurs
pcuvenl demeurer indemne ? La lésion des cordon
ordons postérieurs pcuvenl demeurer indemne ? La lésion des cordons
postérieurs
peut doncêtre indépendante de celle des racines
cordons postérieurs peut doncêtre indépendante de celle des racines
postérieures
. - Or, ce n'est pas la lésion des racines posté
es racines postérieures. - Or, ce n'est pas la lésion des racines
postérieures
qui occa- sionne le (abcs, mais inversement, la
ène,clui com- merce par la zone de Charcot ctPil'l'I'ct des cordons
postérieurs
de la moelle (zone intermédiaire, bandelettes e
e, provient d'une intoxication syphilitique chroni- que des cordons
postérieurs
. Cette zone est sans exception, dans tous les (
bles des échanges nutritifs, la partie la plus sensible des cordons
postérieurs
; c'est pour cela que les dégénérescences hydro
comme dans le tabès, les autres parties les plus voisines du cordon
postérieur
et aussi les racines posté- la lésion de la one
ncement, l'impression du chaud et du froid sur la peau de la partie
postérieure
du tiers moyen du massélcr provoquent chez cert
n arrière du pavillon de l'oreille, par la contraction delà portion
postérieure
du muscle élévateur auriculaire supérieur et du
élévateur auriculaire supérieur et du muscle rétracteur auriculaire
postérieur
de ce pavillon. La région excitée étant innervé
ires en ques- tion reçoivent la branche antérieure de l'auriculaire
postérieur
du facial, c'est un réflexe. 11 manque, chez le
nvulsions débutent par les membres, le plus souvent par les membres
postérieurs
. Fréquente rotation de la tête ducutéopposé eL
nutes sans mouvement, l'oeil hagard, la tête penchée, puis le train
postérieur
oscille, chancelle, et le chien tombe de 294 RE
que jusqu'au bulbe, mais, dans toute son étendue, limitée à l'étage
postérieur
ou tegmeulum, et ne touchant pas à la base de l
de la vue est extrême- ment large : elle s'étend à toute la partie
postérieure
de la surface de l'hémisphère et il la région p
llon crucial. La destruction de la face supéro-externe de la partie
postérieure
de l'hémisphère détermine une hémianopsie homon
rches sont nécessaires. La lésion de la face interne de la partie
postérieure
d'un hémis- phère détermine toujours de l'hémia
al delà v ision, chez le chien, occupe la partie interne du segment
postérieur
de l'hémisphère. Pour s'en convaincre, il faudr
. P. KERAVAL LXXVI. Contribution à l'étude anatomique des cordons
postérieurs
; par N.\GEOTTE.(XOliV. Iconogr, de la Salpéirièr
tabès incipiens. Conclusions : 1. Les fibres endogènes des cordons
postérieurs
, à la région lom- hu-sacrée. doivent être divis
divement dans le tabès. \'l. Le réseau des fibres fines de la corne
postérieure
est de nature endogène. Vil. Les colonnes de Cl
lonnes de Clarke ne paraissent pas recevoir de libres des raci- nes
postérieures
situées au-dessous de la 3" lomhaire. \'lll. La
ire. \'lll. La bandelette externe ne louche en aucun point la corne
postérieure
; elle prend à la région dorsale inférieure une
des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux antérieurs et
postérieurs
chez les vertébrés supérieurs (lapins et souris
303 dendrites des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
et des tubercules quadrijumeaux antérieurs. Les
rôle qu'elles jouent dans la patboge- nie de l'atrophie des racines
postérieures
et des dégénérescen- ces médullaires; mais elle
e fièvre. Ces douleurs-types-là indiquent la sclé- rose des cordons
postérieurs
et tiennent à la dégénérescence des racines pos
des cordons postérieurs et tiennent à la dégénérescence des racines
postérieures
qui, pour bien des auteurs, est le point de dép
ns l'épaississement pie-mérien au lieu de pé- nétration de» racines
postérieures
. (Obersteiner et litalliclt). Elles alternent a
-·-ltcytoml, l'hylterccitabiliL de l'écorce au niveau de la pal'lie
postérieure
de la deuxième fron- tale, et du tiers inférieu
au stade du vers ou de l'am- phioxus. D'autres, réduits au cerveau
postérieur
, et par suite aux sensations et instincts, inca
Jntale de la moelle dans les régions en question. - L'innervation
postérieure
se fait par groupe antéro-interne de cellules ;
nnerver les muscles les plus éloignés occupent les environs du bord
postérieur
delà même corne. Pour le plan transversal de.la
quand les cellules mo- trices destinées aux parties antérieures et
postérieures
du myo- tome sont contiguës sur une ligne trans
se, ce sont celles qui sont en dehors qui correspondent aux parties
postérieures
, celles qui sont en dedans correspondent aux pa
du volume d'un petit oeuf de poule siégeant en ar- rière delà corne
postérieure
du ventricule, séparée de celui-ci par 384 REVU
iens adultes ont prouvé l'existence dans le tubercule quadri,jumeau
postérieur
d'un centre de la respiration et de la phonatio
ent la scène. ramollissement peu étendu de la substance grise (zone
postérieure
exceptée) surtout au niveau du deuxième segment
aux fléchisseurs indiquent un loyer localisé à la base de la corne
postérieure
droite détruisant le faisceau pyramidal au-dess
et hémianopsie droite par thrombose probable de l'artère cérébrale
postérieure
. Contractures familiales. MM. GILBERT Ballet
Faune LIE II : LIEU a OhI'I'1 é dell cas avec evteiision il la lace
postérieure
de la moelle dans les hémorrliagies cérébrales.
les des- nerveuses des tuber- cules quadrijumeaux anté- rieurs et
postérieurs
chez les vertébrés supérieurs,par Czar- nieck
niques et clo- niques, par Samaja, 141.- Voir Phimosis. Cordons
postérieurs
.. Contri- bution à l'étude anatomique des , p
extrémité antérieure de la 3e circonvolution frontale, 2° extrémité
postérieure
des 1 Il', 2e et 3e frontales; 3° extré- mité i
inférieure de la frontale ascendante ; 4° trois îlots sur la lèvre
postérieure
du sillon de Rolando.; 5° partie posté- rieure
rieur; 8° lobule du pli courbe. Face interne. 1° Ilot à la partie
postérieure
de la lrc fron- tale ; 2° à un centimètre de l'
ostérieure de la lrc fron- tale ; 2° à un centimètre de l'extrémité
postérieure
de la cir- convolution du corps calleux; 3° à l
pariétale ascendante; 4°le lobule pariétal supérieur; 5° la partie
postérieure
de la première temporale; 6° la partie moyenne
convolution ; - un sur la frontale ascendante ; un sur la partie
postérieure
de la troisième circonvolution temporo- sphénoi
îlot à la partie antérieure de la 2e frontale; sur les deux tiers
postérieurs
de la 1 rye frontale, vaste noyau, presque plan
alement sclérosé en partie. L'induration s'étend jusqu'à la lèvre
postérieure
du sillon de Rolando qu'elle envahit ; sur le l
en ar- rière seulement. Teint ecchymotique de la région cervicale
postérieure
et du cuir chevelu, lequel est bouffi, cedéma-
. Plusieurs coupes n'ont pas fait découvrir de sclérose des cordons
postérieurs
. l'I1.01'a : \ ? C,,luclclues adhérences pleura
scissure rolandique gauche qui est aussi au niveau de l'extrémité
postérieure
du premier sillon frontal, mais qui est trop co
nastomose des deuxième et troisième circonvolutions frontales : une
postérieure
horizontale, continue en arrière avec la partie
rontale est divisée de cha- que côté en deux parties, antérieure et
postérieure
, par l'angle supérieur de la fosse sylvienne et
- sure est ici extrêmement atrophié; c'est dans la partie la plus
postérieure
de cet espaco qu'est localisée la faculté de la
épare le sillon pariétal en deux fragments : l'antérieur étoile, le
postérieur
différent des deux côtés; à droite, il est hori
(Broca, loc. cit., p. 491.) A droite, une seconde incisure courbe,
postérieure
à la pre- mière, se continue avec elle. A sa pa
élargit vers l'extrémité du premier sillon temporal, dans sa partie
postérieure
qui présente plusieurs incisures conti- nues av
le deuxième sillon temporal, s'étendant horizontalement sur la face
postérieure
où vient aboutir, au-dessous de son extrémité i
rconvolution temporale se fusionne avec la quatrième dans la partie
postérieure
et en est séparée en avant par un sillon étendu
e devient verticale pour se terminer un peu en avant de l'extrémité
postérieure
du quatrième sillon temporo occipi- tal. De cet
, dans une dépression qua- drilatère, dont les angles antérieurs et
postérieurs
se pro- longent en branches étoilées. La branch
ec la scissure calcarine, mais séparée anormale- ment de la portion
postérieure
de la scissure occipitale interne comme par une
e en bas, diminuant beaucoup la largeur du pli pariéto-lim- bique
postérieur
; du même côté, le pli antérieur rejeté sur le b
; toutefois, le pli antérieur est superficiel chez les chats et le
postérieur
chez les petits chiens (Broca, loc. cit., p. 45
ua- drilatère droit présente, en outre, tout le long de sa partie
postérieure
, une incisure courbe qui se jette dans la scissur
491.) La scissure sous-fron- tale présente, à droite, une incisure
postérieure
peu mar- quée, qui est l'incisure préovalaire.
orbitaire inférieure est longue et normale, sinon que son extrémité
postérieure
est à gauche continue avec la rainure du corps
: 370 grammes. Le péricarde ne renferme pas de SCLÉROSE DES CORDONS
POSTÉRIEURS
. 71 liquide. Les cavités cardiaques sont occupé
'adhérence des méninges est moins prononcée au niveau des cordons
postérieurs
que sur le reste de l'axe nerveux. L'examen de
ide de sections espacées d'un centimè- tre, la sclérose des cordons
postérieurs
se montre évidente au simple regard. Elle prend
poussées successives. Quant à la convergence des encoches à la face
postérieure
de l'exostose, peut-être doit- on en voir la ca
hropathies qui s'observent dans le cours de la sclérose des cordons
postérieurs
(Revue photographique des hôpitavx, 1870, pages
culaires qui survenaient dans le cours de la sclé- rose des cordons
postérieurs
. Toutefois, les divergences d'ordre anatomo-pat
On trouve un foyer atrophi- que qui a détruit : 1° Toute la partie
postérieure
de la troi- sième circonvolution frontale (le r
asymétrie. La suture sagittale commence à s'oblité- rer à sa partie
postérieure
, et l'oblitération est plus mar- quée en avant
de la forme du sacrum qui est tellement courbé en avant sur sa face
postérieure
, qu'il forme, avec le coccyx, la moitié d'une c
a ca- lotte osseuse présente une différence des diamètres antéro-
postérieurs
de chaque côté. A gauche, la longueur excède ce
ombreux plis de passage, qui semblent plus abondants vers la partie
postérieure
de l'hémisphère. En ce même point la consistanc
ve les anses intestinales, affaissées, vides, ac- colées à la paroi
postérieure
. - Estomac, normal, n'of- frant aucune particul
âtre, dont la coupe donne issue à de la sérosité purulente. La face
postérieure
du lobe inférieur est le siège d'ecchymoses sou
e à sa partie antéro-supérieure. Adhé- rence du péricarde à la face
postérieure
du plastron sternal, principalement à droite.
t en même temps très friable. On trouve à la partie moyenne du bord
postérieur
une caverne gangreneuse à parois grises noirâtr
- dalc. T*2, deuxième circonvolution temporale dont l'extrémité
postérieure
est lésée. l ? lobule du pli courbe. L 0, lob
- loppement des circonvolutions. Atrophie du coin et de la partie
postérieure
de L. Q. Congestion très intense du poumon droi
llaires faibles à la face interne - Dépression marquée de la région
postérieure
donnant une apparence de coeur à la tête. Plagi
istique : saillies des bosses pariétales et dépression de la partie
postérieure
de la région pariétale et de l'occiput. - Orifi
s de Santorini à un demi centimètre à droite et à gaucho du tiers
postérieur
de la suture sagittale. Encéphale, - Il s'écoul
t d'aspect absolument sain dans ses deux tiers antérieurs. Le tiers
postérieur
participe à l'aplatissement et il, l'atrophie d
ro-spliénoïdales sont un peu aplaties et atrophiées, mais la partie
postérieure
de la circonvolution de l'hippocampe est réduit
re interpariètale (Sc.ip.), très accus.Se, surtout dans sa partie
postérieure
, se prolonge jusqu'au contact de la scissure per-
s le lobttle ta7'acelllral (L.1'.) et vers les angles antérieurs et
postérieurs
du lobule quadrilatère (L.Q.). z Corps calleux
Troisième circonvo- Lutiol2 temporale (T3.) dédoublée il sa partie
postérieure
, nettement séparée des circonvolutions voisines
de I'I. Lobule paracentral, se continue Autopsie. 37 à sa partie
postérieure
par un pli de passage avec le lobule quadrilatè
nt oblitéré et appliqué par le péritoine contre la paroi abdominale
postérieure
. - Pas de trace d'ulcérations sur l'intestin. L
to est très nettement et très profon- dément accusée; son extrémité
postérieure
va presque rejoin- dre la scissure perpendicula
convolution du corps calleux (C. C. C.) est très-large à. sa partie
postérieure
; son bord supérieur qui correspond à la scissu
s proéminences : deux à la partie moyenne, la troisième à la partie
postérieure
. Le corps calleux (C. C) est normal. - Le lobul
riéto-liinbique antérieur (p.p.a.) est net. Le pli parièto-limbique
postérieur
(p.pjp.jest très développé. - La corne d'Ammon
its îlots. La circonvolution du corps calleux est large à sa partie
postérieure
. Le corps calleux est normal. - Le lobule parac
ouges et congestion- nés, - L'appendice vermiforme est en situation
postérieure
. Il présente trois dilatations qui laissent s'é
eole maligne. - Autopsie : au cerveau, légère atrophie de la partie
postérieure
de la pre- mière circonvolution temporale droit
du cubitus au niveau du poignet. La peau de la région externe et
postérieure
des bras est sèche et légèrement squameuse. Les
en de particulier si ce n'est de la congestion hypostatique au bord
postérieur
des deux poumons. - Coeur : 55 grammes, un peu
les sutures persistent et les fontanelles sont ossifiées. La partie
postérieure
gauche du crâne est plus développée que la droi
est très profonde. F3 est aplatie et peu développée dans son tiers
postérieur
. FA est assez oblique de bas en haut et d'avant
volution du corps calleux est fortement aplatie surtout à sa partie
postérieure
. fui et le lobule paracenlral n'offrent rien de
ds. Ainsi que le montre la PL. VI, les circonvolutions de la moitié
postérieure
de la face interne, y compris la circonvolution
déprimés que du côté droit. (PL. VIII.) La comparaison de la moitié
postérieure
des PL, VI et VIII est très instructive et met
les régions aplaties sont surtout le lobe quadrilatère et la partie
postérieure
de la circonvolu- tion du corps calleux. (Chez
es. Cheveux blonds, abondants, bien plantés ; pas d'épi, tourbillon
postérieur
médian. Visage de forme allongée. Arcades sourc
rticulier. - Les deux lobes frontaux sont acco- lés dans leur quart
postérieur
. Cerveau l/hémisphère cérébral gauche parait un
qui termine FI, F3 devient grêle et aplatie au niveau de son tiers
postérieur
, une incisure très profonde la coupe un peu ava
, vers la corne frontale, puis cinq avec F2. Au niveau de son quart
postérieur
est le dernier pli de passage avec F2 qui sembl
ui semble continuer la circonvolution; une incisure sépare le quart
postérieur
qui se jette dans FA. F2 a la forme d'une S cou
sont entre elles sont peu profonds, surtout dans leurs deux tiers
postérieurs
, de sorte qu'il est difficile de les décrire co
'adhérences. Nombreu- ses adhérences sur l'ara1l1-coin et la partie
postérieure
de la circonvolution du corps calleux. Aucune r
es sur le gyrus rectus, et d'autres plus abondantes sur la moitié
postérieure
de la circonvolution de l'hippocampe, de T1 et de
eure de FA qui parait n'être que le prolongement de ].'2, La région
postérieure
de ] ? 1 est plus grêle et moins développée que
ssage. De multiples adhérences méningitiques existent à la partie
postérieure
de Ta. Le lobe occipital forme trois petites ci
ce interne. Rien à noter pour Fi. - Le lobe paracentral a sa partie
postérieure
peu développée. L'avant-coin est atrophié et es
inage du coecum ; pas de perforation. - Coecum noirâtre à sa partie
postérieure
; à ce niveau le péritoine pariétal est rouge et
ront et sur les tempes : pas de cicatrices, pas d'épi, tour- billon
postérieur
médian. Le crâne est rond, volumineux, plagiocé
rotubé- rance occipitale externe, dépression en méplat de la face
postérieure
du crâne. - Face très développée, mais pas tout
nci- sures. T2 et T3 offrent des caractères analogues à la partie
postérieure
de Ti. Ces deux circonvolutions sont confon- du
gion lombaire, les fesses et les cuisses : poils fins sur la moitié
postérieure
des bras. b) Etat physiologique. - Rien de pa
tres loyers de sclérose occupent le lobule paraccntrat il sa partie
postérieure
, la région antérieure du coin, la corne occipit
n sillon. Le premier, antérieur, a 2 cm. 1/2 de diamètre, le second
postérieur
1 cm. f 2. 5° Le tiers moyen de FA est encore l
yer, qui semble la continuation du noyau pariétal, occupe la moitié
postérieure
du lobe occipital. Sclérose tubéreuse. 193 Un
se de la corne sphénoïdale, subit la même altération dans son tiers
postérieur
. Face inlerne. 1 ? à deux centimètres de l'extr
, pli pariéto-limbique antérieur. Il Il 1>, pli pariéto-limbique
postérieur
. C A, corne d' : \mmon. BOORNEVILLE;Bicêt ? '
p a, pli pnriélo-linshiquc antérieur. p p p, pli pariélo-lil11biquc
postérieur
. Se p e, scissure perpendiculaire interne c a
cornes de substance grise. La première aurait seule, avec les cornes
postérieures
, du moins pour une part, un rôle sé-rieux dans la
re complè-tement, les scléroses systématiquement limitées aux cordons
postérieurs
doivent être rattachées à une irritation occupant
rdination est quelquefois uni-latérale et siège surtout dans le train
postérieur
. A la suite d'une forte ingestion de Hachisch,
l, de l'abattement et de l'incoordination des mouvements dans lefrain
postérieur
qui persista pendant douze heures (À. Voisin et H
A la longue, on note de l'incoordination des mouvements dans le train
postérieur
, des frissonnements, et l'ani-mal meurt dans un é
iques, sphériques ou allongées. Elles sont plus abon-dantes à la face
postérieure
du cou et des épaules. Enfin, M. Malassez a remar
e, nous retrouvons tous les filets nerveux du radial et de la branche
postérieure
du cubital. Avec ces connaissances, il est faci
e, la position du sujet doit être telle que la pierre occupe le point
postérieur
de la paroi vésicale ou touche le talon du lithot
et écartées doivent reposer, non pas sur les talons mais sur la face
postérieure
. La manœuvre d'introduction du lithotribe est l
is jours. Elle présentait une tumeur volumineuse siégeant à la partie
postérieure
du crâne et occupant en haut la région moyenne de
eau qui recou-vre le segment antérieur de la tumeur ; toute la partie
postérieure
et inférieure en est dépourvue. (Voyez Planches X
ique extra-crânienne, masse formée par la partie moyenne et la partie
postérieure
des hémi-sphères cérébraux, on cherche le cervele
c là une anse assez considérable, à convexité antérieure, à concavité
postérieure
(fig. 2). Cela explique pourquoi la troisième p
tumeur ne contiendrait que de la sérosité ; dans une seconde période,
postérieure
à la naissance, la tumeur contien-drait de la sér
Elle adhère à la troisième côte gauche et à son cartilage par la face
postérieure
de sa partie interne ; en dehors de ce pédicule,
dants du pédicule de la tumeur, est de 2 centimètres et demi. Sa face
postérieure
ne présente, non plus que sa coupe, rien où l'on
um, on pratique une incision étendue du méat urinaire à la commissure
postérieure
de la vulve, puis on dissèque lentement et avec p
, elle remplit complète-ment le creux poplité, et contourne la partie
postérieure
de l'os ; elle se continue également avec le tier
. —- P. 84. 3 mars.— Pendant la nuit, il s'est écoulé par la partie
postérieure
du bandage une certaine quantité de sérosité sa
, 30 heures après la mort.—Dans l'interstice des muscles de la région
postérieure
de la cuisse, existe un vaste cloaque, re-montant
t nous retournons la tumeur de façon à pouvoir l'examiner par sa face
postérieure
, nous trouvons à noter les parti-cularités suivan
la partie externe. Le paquet vasculo-nerveux repose donc sur la face
postérieure
de la tumeur et se trouve protégé contre toute es
fre en diamètre le tiers des pièces elles-mêmes, on peut voir la face
postérieure
de la prostate et des vésicules séminales, la fac
a face postérieure de la prostate et des vésicules séminales, la face
postérieure
de la vessie, les canaux dé-férents, le testicule
ncourt manifestement à relever le bord interne du pied. A la région
postérieure
, les muscles, parvenus à la base de l'angle formé
-pied. Lespéroniers latéraux décrivent la même courbe que les muscles
postérieurs
mais leurs fibres s'insèrent aux deux bords et au
se dévient avec eux. Il en est de même pour les vaisseaux et nerfs
postérieurs
; ils se réfléchissent à la base de l'anse, échap
ux surfaces obliques taillées toutes les deux aux dépens de leur face
postérieure
, et cette juxtaposition se fait dans une étendue
ars. Plusieurs vomissements dans la matinée ; on aperçoit à la partie
postérieure
et supérieure de la cuisse droite et de la fesse
e, a pour effet d'augmenter la profondeur du cul-de-sac utéro-vaginal
postérieur
, ce qui rend nécessairement plus considé-rable la
it intact. La vulve était pelite, portée très en avant. La commissure
postérieure
était entière. Les bords de la plaie périnéale ét
ce la femme debout, la tumeur pend, comme un sac charnu sur la partie
postérieure
et supérieure de la cuisse gauche. La peau qui
e d'un galvanomètre communiquant avec des fils plongés dans le membre
postérieur
. Nous avons observé ces faits en 1868 avec M. Ch.
bservation sui- vante, une tumeur fibreuse développée dans la paroi
postérieure
de l'utérus donnait à la maladie un caractère bea
n sous-vaginale du col. — Complication de tumeur fibreuse de la paroi
postérieure
de Vuté-rus. — Pas de résection du col. — Mort. —
, la di-vise en deux lèvres : l'une antérieure, plus petite; l'autre,
postérieure
, plus grosse et descendant plus bas. Ces deux lèv
raissant du volume d'une petite orange et faisant corps avec la paroi
postérieure
de l'utérus, Cette tumeur est dure, de consistanc
7 centimètres pour la paroi antérieure et 9 centimètres pour la paroi
postérieure
. En raison de l'extrême débilité de la malade e
ens.—Les jours suivants, on applique, chaque jour, dans le cul-du-sac
postérieur
du vagin, un tam-pon de coton fortement imbibé de
e doigt introduit dans le vagin pénètre facilement dans le cul-de-sac
postérieur
; le vagin est très-large, et l'on sent le col al
mètre appli-qué contre celui-ci et poussé jusqu'au cul-de-sac vaginal
postérieur
, on trouve 7 centimètres. Les signes fonctionne
le pénis, pendant l'acte sexuel, était introduit clans le cul-de-sac
postérieur
, en arrière du col hypertrophié. Dès lors, le coï
s au tiraillement du cul-de-sac utéro-vaginal et de la paroi vaginale
postérieure
. (A suivre.) REVUE ANALYTIQUE 'MALADIES DES F
musculaire. Le crâne et ses viscères gorgés de sang ; circonvolutions
postérieures
un peu aplaties ; substance cérébrale un peu dure
le et déborde l'ar-cade zygomatique. En arrière, elle dépasse le bord
postérieur
du muscle sterno-cléido-masloïdien; en avant, ell
le au centre, plus ferme en approchant delà base; une sorte de lobule
postérieur
offre une fluctuation manifeste, indice de la pré
s des dilatations artérielles. (Voy. Panche XXVIII.) Vu par la face
postérieure
, le pavillon de l'oreille présente les mêmes modi
: 1° La branche externe de l'occipitale, qui se rend dans les lacs
postérieurs
et externes ; cette branche est très-diiatée et b
une augmentation énorme de volume. 3° La temporale, par sa branche
postérieure
, se jette directement dans l'angle antérieur et t
17 avril. Deuxième injection, 6 gouttes dans les lacs supérieurs et
postérieurs
; mêmes précautions que précédemment, c'est-à-dire
sant le pansement, hémorrhagie avec jet assez fort partant de la face
postérieure
du pavillon de l'oreille en bas et en arrière; on
L'artère temporale est volumineuse à son origine, mais sa bran-che
postérieure
est trouvée oblitérée presque immédiatement après
terne et se termine dans l'origine de l'hélix. L'artère auriculaire
postérieure
, au moins quadruplée de volume, contourne en bas
elle flexueuse. L'ar-tère examinée était une branche de l'auriculaire
postérieure
; comparée à celle d'un sujet sain, elle offrait u
avons vu en effet le coït occasionner au niveau du cul-de-sac vaginal
postérieur
une douleur et une irritation fort vives. On conç
une étendue de 3 cen-timètres, à l'endroit où se forme son cul-de-sac
postérieur
; 2° par la face postérieure de l'utérus, laquelle
es, à l'endroit où se forme son cul-de-sac postérieur; 2° par la face
postérieure
de l'utérus, laquelle est disséquée jusqu'au nive
on ancienne et parfaitement localisée. Vagin. Le cul-de-sac vaginal
postérieur
est très-développé ; le col de l'uté-rus mesuré p
probable que l'inflammation ait débuté au niveau de la paroi vaginale
postérieure
sous l'influence signalée plus haut, à savoir l'i
renversés, après l'incision pratiquée sur la ligne médiane de la face
postérieure
du vagin; ¦— OU, col utérin hypertro-phié; — V,V,
essie. — Sur cette planche, on voit les organes génPaux par leur face
postérieure
. La différence qui existe entre le corps de l'uté
consécutifs, la contracture du muscle sous-scapulaire et la luxation
postérieure
sous-épineuse de l'humé-rus bien étudiée par M. D
les cas où l'occiput occupe primitivement l'un des points delà moitié
postérieure
du bassin. La seconde partie, qui est surtout c
ns survenues au sujet de la fréquence relative des positions 0.1. 1).
postérieures
etO. I, D. an-térieures. Donnant la statistique d
I. P. antérieu-res y ont été beaucoup plus fréquentes que les 0.1. D.
postérieures
. Tandis que ces deux auteurs ont trouvé à peu prè
vé à peu près les proportions suivantes : pour les positions 0. I. D.
postérieures
27 p. 100 et. pour les 0. 1. D. antérieures 5 p.
Baudelocque et de madame Boivin a obtenu pour les posi-tions 0. I. D.
postérieures
2,03 p. 100 et pour les positions 0.1. D. antérie
este, comme pour tous les autres au-teurs, les positions 0.1. gauches
postérieures
sont de beaucoup les moins fréquentes. S'il est
au sein des vertèbres érodées; 2° l'ul-cération du ligament vertébral
postérieur
. Le pus caséeux se met alors en contact avec la d
ait à une grande hauteur en l'absence de toute altération des cordons
postérieurs
. Lorsque le malade meurt guéri de sa paraplégie
est situé dans un plan inférieur aux trois autres. Vue parla partie
postérieure
, cette portion sous-ombilicale paraît normale en
qui se continue par une peau épaisse avec les téguments de la partie
postérieure
. La peau est partout as-sez opaque, et l'épiderme
t caractéristique des déformations du squelette. Du côté de la face
postérieure
du tronc on voyait des déformations encore plus a
eure du col, allongée en feuille de myrte ou en fer à lance. La lèvre
postérieure
était plutôt raccourcie qu'allongée. Après avoi
crit une courbe à grand rayon à convexité antérieure, à conca- vité
postérieure
; sa surface est dure et lisse. Du côté gauche on
u'à gauche, tant au niveau du quadriceps que des muscles de la loge
postérieure
de la cuisse. , Enfin, la chaleur locale est
directs et croisés, les faisceaux cérébelleux directs, les cordons
postérieurs
, la zone de Lis- sauer ; le triangle de Gomhaul
rquées à un examen macroscopique (coloration jaune-pâle des cordons
postérieurs
tranchant d'une façon très nette sur le fond pl
che) qu'à un examen microscopique (raréfaction légère des cor- dons
postérieurs
, avec un peu d'épaississement du tissu de soutène
ent du tissu de soutènement ; pas de véritable sclérose des cordons
postérieurs
). Mais il est difficile d'af- ' , firmer que ce
e à des troubles vasculaires dans 1 le domaine des artères spinales
postérieures
. En résumé, des lésions de l'axe nerveux ont ét
tère fémorale apparaissait nettement dessinée, ainsi que la tibiale
postérieure
et le tronc tibio-péronier ; le malade de Medea
s en certains points qu'une épaisseur de 3 à 4 millimètres, le bord
postérieur
concave, complètement opaque, avait une épaisseur
s encéphaliques, ni à l'examen de l'encéphale. Sclérose des cordons
postérieurs
de la moelle. Lésions de méningite posté- rieur
par la proéminence des apo- physes épineuses de la région cervicale
postérieure
, notamment de la septième cervicale, tandis qu'
temps une gêne dans la déglutition et qu'à l'exploration de la paroi
postérieure
du pharynx on avait la sensation que l'un des c
bien dans les deux liers antérieurs (trijumeau), que dans le tiers
postérieur
de la langue (glossopharyngien). Chez notre mal
fet, pendant l'examen électrique des muscles de la région cervicale
postérieure
, la toux galvanique apparaît avec un milliampère
açon que la région occipitale semble enfoncée dans région cervicale
postérieure
comme par un coup de hache. Le cou est incliné
laire s'étend encore à tous les muscles de la gouttière cer- vicale
postérieure
et à la région scapulo-humérale des deux côtés.
scapulo-humérale des deux côtés. En examinant le cou dans la région
postérieure
(V. PI. XII, 6), l'on voit que la fossette norm
à l'atrophie profonde de lous les muscles de la région cervi- cale
postérieure
chez notre malade, de telle façon que le cliché r
einture scapulo-humé1'ale et des membres supérieurs . - Le faisceau
postérieur
du deltoïde, les muscles pectoraux (plus à droite
à droite et 2,5 m. Amp. à gauche (Ka CHC = An CHC). ' Le faisceau
postérieur
du deltoïde est très peu excitable au faradique (
iel de la D. R. sur les nerfs et les muscles de la région cervicale
postérieure
et de la ceinture scapulo-humérale. Nous retrou
l'l1o-cléido-mastoïdien, de tous les muscles de la région cervicale
postérieure
et des épaules. En plus il existe de troubles lar
présenté une atrophie de tous les muscles de la gouttière cervicale
postérieure
de façon que la têle tombait en avant et le men
éio- logie de l'atrophie cantonnée au muscle de la région cervicale
postérieure
et les troubles statiques et dynamiques survenu
e on constate une amyotrophie énorme dans toute la région cervicale
postérieure
, les épaules et la ceinture scapulo-humérale. L
sur la fonction et l'innervation des muscles de la région cervicale
postérieure
. Il fait remarquer dans son cas la conservation
anto-occipital. Sans l'action des muscles de la gouttière cervicale
postérieure
, la tête tomberait en avant, de telle façon que
ces derniers se contractent, les muscles de la gouttière cervicale
postérieure
se raidissent pour empêcher que la tête soit fl
ions des deux côtés donnent les résultats suivants' : 118 ZOSIN
postérieure
du plancher du 3° ventricule et de la partie anté
égale. Le IVe doigt de chaque côté a une base d'implantation un peu
postérieure
à celle des autres doigts. La peau des mains
tés beaucoup plus court, car il a une base d'implantation nettement
postérieure
aux autres. Ce doigt est claviforme à base très
lus évidemment celui des pieds, a une base d'implantation nettement
postérieure
à celle des autres doigts ; ce fait ressort trè
pien et du quatrième métatarsien qui est la cause de l'implantation
postérieure
des doigts correspondants, peut donc être consi
d'ail- leurs ne parlerait pas, puisque l'apparition du langage est
postérieure
à la nais- sance que son développement dépend d
e pédale en mouvement.Stürtz (142) a vu une contraction des muscles
postérieurs
de la cuisse chez un tanneur et un perceur ; Ed
de l'extrémité inférieure de la diaphyse. L'angle formé par le bord
postérieur
de la diaphyse et le bord supérieur du condyle, a
lement. Les cuisses sont hypertrophiées à leur partie antérieure et
postérieure
; dans le lit elles sont en flexion et abductio
te elles ont subi un mouvement de torsion qui les rapproche du plan
postérieur
de la cage thoracique comme si elles se retourn
ration des artères, de même que dans nombre d'autres observa- tions
postérieures
: citons parmi les plus importantes celles de Gil
a frontale ascendante gauche et occupait, dans le second, la partie
postérieure
et externe du lobe occipital droit. La troisi
cancer de la plè- vre et les adénopathies néoplasiques du médiastin
postérieur
, la pommette et l'oreille correspondantes sont
culier de la face, des parties antéro-latérales du cou, de la face
postérieure
des avant-bras et des mains et sur les divers p
le diamètre d'une pièce de cinquante centimes, accolé à la branche
postérieure
de l'artère méningée moyenne, correspondant à une
I. - Tumeur cancéreuse, du volume d'une noix, située dans la partie
postérieure
el externe du lobule occipital droit et consécuti
e ovoïde, à plus grosse extrémité inférieure, se trouve à la partie
postérieure
et externe du prolongement occipital du ventricul
courbe qui est réduite à une lamelle très mince et creuse la partie
postérieure
de la circonvolution pariétale supérieure, au-
rt avec le cunéus, la scissure perpendiculaire interne et la partie
postérieure
du lobule quadrilatère ; elle affleure la portion
t les gencives et de pousser ensuite le bol alimentaire sur la face
postérieure
de la langue jusqu'à l'orifice pharyngien. On o
vée chez le chien hypophysectomisé (Livon). Si on examine la partie
postérieure
du cerveau séparé par une coupe verticale parié
croscopique. Les ganglions rachidiens et les racines antérieures et
postérieures
étaient d'apparence normale. Nerfs périphériq
mbaire ; sur ces ganglions rachidiens et les racines antérieures et
postérieures
de ces différentes régions ; sur les nerfs crur
résentent que des lésions fort discrètes. 3° Racines antérieures et
postérieures
. - A première vue les racines paraissent complè
antérieures quelques fibres en voie d'atrophie et dans les racines
postérieures
quelques très rares fibres fines terminées en m
es qui ont été signalées par MARINESCO et NAGEOTTE dans les racines
postérieures
de tabétiques, par MARINEsco et MERLE dans les fo
s. Les cellules funiculaires, 'les racines antérieures, les racines
postérieures
et les ganglions rachidiens ne sont guère altér
upent, sur toute la hauteur que nous venons d'indiquer, les cordons
postérieurs
qui sont atteints dans toute leur largeur, à l'
qu'une bande irrégulière, située de chaque côté du septum mé- dian
postérieur
. La moitié postérieure des cordons latéraux montr
ère, située de chaque côté du septum mé- dian postérieur. La moitié
postérieure
des cordons latéraux montre des lésions analogu
OELLE ÉPINIÈRE 371 enfin que, dans plusieurs racines antérieures et
postérieures
de divers segments, existaient des points très
tion marginale localisée, et d'un peu de pâleur diffuse des cordons
postérieurs
dans sa partie tout inférieure. Cette brève des
peu d'attention fait vite éviter l'erreur. Dans le septum médian
postérieur
, de nombreuses coupes montrent (fig. 18), autou
150.000 habitants). Tous ces cas ont été observés à une phase très
postérieure
de l'évolution de la maladie, c'est-à-dire 4 cas
quitté la clinique déjà au bout de deux semaines. Quant à son état
postérieur
, je sais seulement par des parents du malade que
s supérieurs de la moelle dorsale, et qui aurait atteint les cornes
postérieures
et les cornes antérieures dans toute cette étendu
dû trouver en même temps des symptômes dus à une lésion des cornes
postérieures
du renflement cervical, mais un examen répété n
es sensibilités thermiques passent ensemble, d'abord par les cornes
postérieures
, puis s'entrecroisent sur la ligne médiane, pas
iques, par le cordon latéral croisé, et l'autre est celle du cordon
postérieur
, j'entends le faisceau long, non croisé, de ce
ce que la sensibilité tactile possède encore une voie par le cordon
postérieur
. Par conséquent, si le sens musculaire seul est
sensibilité tactile) est dû à une lésion qui a atteint les cordons
postérieurs
à la partie supé- rieure de la moelle dorsale.
ématomyplie à son extrémité supérieure et qui a atteint les cordons
postérieurs
. En conséquence, le passage de la paraplégie du
alors restée normale, ce qui s'explique par le fait que les cordons
postérieurs
où nous avons, d'après l'opinion précitée, l'un
de lésion transversale complète, mais au contraire que les cordons
postérieurs
étaient intacts. Plus tard, la lésion transvers
sion symétrique des cordons latéraux, en même temps que les cordons
postérieurs
resteraient intacts. Cela cons- tituerait, en e
par l'inflammation des méninges qui a peut-être atteint les racines
postérieures
et qui y persiste. Notre observation XI nous fo
ettre une méningite et peut-être aussi une inflammation des racines
postérieures
comme cause de ces douleurs périphériques ; en
venir chronique, ayant peut-être atteint également quelques racines
postérieures
. Chez les sujets observés nous avons recherché
ce dernier cas, la paralysie ait disparu au cours de l'observation
postérieure
du malade ; Bernheim rapporte un cas où la paré
en somatique. -- Crâne, - Le crâne est allongé dans le sens antéro-
postérieur
(mésocéphale), mais dans son ensemble très petit
use de la cypho-scoliose cervico-dorsale la moitié droite du thorax
postérieur
apparaît plus développée et plus convexe que la m
rouvé dans la moelle des acromégaliques la dégénération des cordons
postérieurs
, dégénération que Strumpell a comparée à celle
es molles. Le profil du calcanéum est anguleux, pointu ; à son bord
postérieur
et inférieur, on voit des petits processus épin
le calcaneum a des proportions énormes, qu'il présente dans le bord
postérieur
des tra- ces plus ou moins évidentes d'ossifica
aire. Le naevus antérieur est situé sur un plan inférieur au naevus
postérieur
. Tous deux répondent aux 9e et 10e racines dors
u dessus de l'extrémité inférieure du radius, débordant sur la face
postérieure
du membre. C'est un naevus vasculaire avec lége
re; elle siège à cinq travers de doigt au-dessus de l'épine iliaque
postérieure
et supérieure gauche, au niveau du relief gauche
c'est à l'obliquité de cette racine qu'est dû ce fait que le naevus
postérieur
siège sur un plan plus élevé que l'antérieur (G.
en dehors ; la branche supérieure de ce fer à cheval croise la face
postérieure
du bras au niveau de la région deltoïdienne, de
face antérieure, abandon- nant pendant quelques centimètres la face
postérieure
du membre qu'il rejoint bientôt au niveau de l'
eau de l'avant-bras ; il croise ensuite de dehors en dedans la face
postérieure
de l'avant-bras au niveau de son extrémité su-
il est en effet difficile d'expliquer pourquoi le naevus à la face
postérieure
de l'avant-bras croise plusieurs territoires ra
effet suivre à l'avant-bras, le trajet des branches antérieures et
postérieures
du nerf cubital. Mais alors comment expliquer s
' niveau du membre supérieur, de la paroi antérieure et de la paroi
postérieure
de la poitrine. Nous avons donc été amenés à di
u ganglion spinal,ou plutôt des cellules ganglionnaires des racines
postérieures
de la moelle, ils doivent être distingués nette
élamérique : nous savons, en effet, qu'un certain nombre de racines
postérieures
ne traversent pas le ganglion spinal, mais chem
lo-métamérique, un processus toxi-infectieux qui a lésé les racines
postérieures
à une époque de la vie où les restaura- tions a
régions voisines, placées au même niveau : centres gris et racines
postérieures
. En somme nous voyons qu'il y a là un argument
mobilité partielle ou totale de la colonne vertébrale avec courbure
postérieure
, surtout de la portion supérieure de la région
ntérieure du lobe inférieur sont perméables à l'air, les deux tiers
postérieurs
du lobe in- férieur présentent de l'oedème et d
eaux latéraux pyra- midaux et dans la région ventrale des faisceaux
postérieurs
, ainsi qu'une di- minution notable de fibres à
tissu interstitiel de nouvelle formation. L'atrophie des racines
postérieures
est plus marquée que celle des racines antérieu
ulièrement intense au niveau de la région dorsale. Quelques racines
postérieures
de la région dorsale supérieure ne renferment p
e ; atrophie des racines de la moelle épinière, surtout des racines
postérieures
; pachyméllingite cer- vicale chronique hypertr
a- ment long antérieur est complètement atrophiée; le ligament long
postérieur
est aussi atrophié. Le ligament intercostal ne
re dont les altéra- tions provoquent une dégénérescence des racines
postérieures
et en partie des racines antérieures, d'où résu
-patbo)ogiques suivantes de la colonne vertébrale : « Sur la face
postérieure
du sacrum, deux ostéophytes comblant ses goutti
pécialement suivant le diamètre antéro-postérieur et dans sa moitié
postérieure
; il est asymétrique et présente les reliefs oss
enant, surtout par le travail de Wickman (comme aussi parle travail
postérieur
de Leegard) qu'il peut se présenter pendant des
es observations dans une clinique et n'a pu suivre le développement
postérieur
des cas qu'il a étudiés. 560 PETREN ET EHRRNBER
ent de ville surmontant l'inscription : « Mort aux flics. » La face
postérieure
est ornée d'un porc campé sur ses pattes de der-
trait du commissaire de police de Toulon », me dit S... Sur la face
postérieure
de l'avant-bras, on lit les deux inscriptions sui
TE cette commissure et une partie encore plus restreinte des fibres
postérieures
du côté opposé. Plus haut, après l'entrecrois
e; quelques rares fibres transversales la traversent dans la région
postérieure
. Le hile est entièrement démyélinisé; la capsule
ue l'on suit parfaitement jusqu'au corps restiforme et à des fibres
postérieures
qui suivent la ligne médiane pour se recourber
t un peu plus faible que du côté droit; de même on suit un faisceau
postérieur
assez bien développé. Fibres cérébello-olivaire
l médian ; il se prolonge en arrière jusqu'au faisceau longitudinal
postérieur
qu'il coupe. A sa partie moyenne le foyer détru
érieur gauche qui déçussent à ce niveau et le faisceau longitudinal
postérieur
. A sa partie supérieure le foyer sectionne la m
s et ne parait pas présenter d'atrophie. Le faisceau longitudinal
postérieur
est complètement dégénéré du côté gauche, on n'
ciation : faisceau central de la calotte et faisceau longitu- dinal
postérieur
. Il n'y a donc aucune relation directe entre la
: hydrocéphalie grave secondaire à une tumeur de la fosse crânienne
postérieure
. Dans ce cas l'auteur a constaté, hors les symp
e qui n'apparaissent qu'après l'enfance. D'autre part, l'expérience
postérieure
ne nous a pas 662 PETREN ET EHRENBERG fait co
homme en a pris connaissance. La pre- mière idée qu'il en a eue est
postérieure
et non antérieure à leurs mani- festations. On
fectionne- ment, mais la pensée est le plus souvent concomitante ou
postérieure
à l'acte réflexe. Être ennuyé par des choses en
r un gonflement énorme de la partie supérieure de l'épaule, à la face
postérieure
du deltoïde. Le malade est entré à ce moment à Be
lle de M. Morel-Lavallée, quia dû lui faire une inci¬sion à la partie
postérieure
de l'épaule. La cicatrice ne s'est pas fermée dep
gonflement considérable, analogue à celui qui s'était produit du côté
postérieur
, gonflement qui, comme le précédent, a abouti à u
l'acromion, et par conséquent un peu plus haut que celui de la partie
postérieure
qui était situé à 0m,05 ou 0m,06 de l'acromion. L
. Le malade a donc trois fistules, une antérieure datant d'un an, une
postérieure
datant de six mois, enfin une intermédiaire datan
e de pénétrer avec le stylet jusque dans l'articulation. La fistule
postérieure
, située au-dessous de la fosse sous-épineuse, je
se de cette partie jusqu'à la partie antérieure du muscle sur le bord
postérieur
. Les mouvements sont intéressants à étudier. A
st plus élevée que celle du côté sain. Les mouvements antérieurs et
postérieurs
sont encore un peu possibles ; le malade peut ava
sidérable comme les arthrites, par un énorme gon¬flement de la partie
postérieure
, suivi d'un abcès, après lequel il y a eu mieux,
mé un nouvel abcès. Enfin, il y a eu un troisième abcès à la partie
postérieure
de l'épaule. C'est ainsi que se comportent les sc
me je l'ai dit, elle s'est ouverte à la partie antérieure sur le bord
postérieur
du muscle deltoïde. Celle-là pourrait n'avoir été
tait contenu dans l'articulation. Il en est de même pour la fistule
postérieure
: c'est par le muscle sous-scapulaire que le pus
xploré celte artère ; elle est à sa place ; nous l'aurons à la partie
postérieure
et interne ; nous ferons attention, mais il n'y a
à la partie antérieure de l'aisselle, l'autre à la partie supérieure,
postérieure
et externe du bras, furent ouverts par M. Dolbêau
n plus difficiles. Au mois de mars, un nouvel abcès apparut à l'angle
postérieur
de l'aisselle et il se forma une fistule au nivea
les, surtout au moindre mouvement. Deux fistules, situées à la partie
postérieure
de l'épaule, donnaient issue à un suintement de s
e avoisinant les oreilles, en arrière par une autre crête à concavité
postérieure
(voy. pl. VI, une ligne noire incomplète). La moi
une déchirure profonde, dirigée de haut en bas, et occupant son tiers
postérieur
; la déchirure se continue sur la couche optique
r. Au microscope, on aperçoit des corps granuleux dans les cor¬dons
postérieurs
, et plus particulièrement vers la partie supérieu
la main, mais elle entourait le membre environ dans les trois quarts
postérieurs
de son étendue. Nous n'avons pas vu le malade au
di, les battements des artères furent recherchés : ceux de la tibiale
postérieure
n'étaient pas per¬ceptibles ; quant à ceux de la
aître. Cette bande est située à en¬viron 6 centimètres de l'extrémité
postérieure
de l'infundibulum qui représente le vagin : dans
ans l'intervalle qui sépare ce dernier de la bande fibreuse, la paroi
postérieure
de la vessie est en contact immédiat avec la face
du bassi î, en arrière de la vessie, et décrit une courbe à concavité
postérieure
dont les extrô¬ mités se terminent dans chaque
homme mal conformé. LÉGENDE EXPLICATIVE DE LA PLANCHE. A. — Face
postérieure
de la vessie qui est rabattue sur le pubis. D. —
remblement général, poil hérissé, secousses convulsives dans le train
postérieur
. — 10h30: injection de dix gouttes de la solution
ons persistent. Le cochon d'Inde est couché sur le ventre, les pattes
postérieures
allongées. Bientôt il cherche à se relever sur le
lement continue. — llh15 à midi : a uriné ; se promène, mais le train
postérieur
est toujours plus faible. — Midi à midi et demi :
s-abondante ; secousses dans les pattes de derrière; parésie du train
postérieur
. — 10h25: convulsions généralisées ; urines abon¬
lsions cl uniques. — 10h30-35 : augmentation de la paralysie du train
postérieur
, où les convulsions paraissent avoir leur maxi¬mu
de la solution d'atropine. — 6M5 : Faiblesse et tremblement du train
postérieur
; urine à deux reprises. — 6h20-40 : les symptôme
5-15 : poil hérissé; tremblement; marche titubante ; parésie du train
postérieur
; mâchonnement. — 10M5-30 : le trem¬blement et la
-55 : selles, urines ; tremblement léger; parésie très-nette du train
postérieur
. — 10 heures : mâ¬chonne, efforts de déglutition.
o¬lution d'atropine. -9h35 : tremblement généralisé; parésie du train
postérieur
. — 9h40 : l'animal est couché sur le ventre; conv
fève de Calabar relativement à la dose d'atropine); parésie du train
postérieur
. — 10b20 : après avoir eu des convulsions dans le
Calabar. —5h25 : urine; inquiétude; tremblement; fai¬blesse du train
postérieur
. — 5h30 : les convulsions ont une inten¬sité de p
le assez ferme, normale. — Moelle: en arrière du cervelet sur la face
postérieure
de la moelle cervicale, quelques vaisseaux sont d
latérales. Membres supérieurs. Adroite, on trouve : 1° sur la face
postérieure
du coude une vaste cicatrice.avec des plaques de
ues de kéloïde, adhérente dans un espace circonscrit ; 2° sur la face
postérieure
de l'avant-bras, deux cicatrices, l'une enfoncée,
al sont très-bornés. La moitié inférieure du bras gauche, la région
postérieure
du coude, \avant-bras présentent une foule de cic
érieure n'offre aucune saillie, aucune bos¬selure anormale. — La face
postérieure
du foie est en partie recou¬verte par le rein dro
thropathies que l'on observe dans le cours de la sclérose des cordons
postérieurs
, ou ataxie locomo¬trice progressive, et chez les
thropathies qui s'observeixt dans le couks de la sclérose des cordons
postérieurs
de la moelle. Cette question a déjà été l'objet
ure, ne se contracte que d'une manière très-douteuse ; dans sa partie
postérieure
on n'aper¬çoit que de légères contractions enlre
'on est obligé de faire la liga¬ture des deux tibiales, antérieure et
postérieure
. 28 mars. Le gros orteil est froid ; bientôt il
res au-dessous du lobule de l'oreille droite, descend le long du bord
postérieur
de la mâchoire inférieure, puis s'infléchit et su
issu cellullaire des fesses, des lombes et de la partie inférieure et
postérieure
du thorax, et enfin de la paroi abdominale antéri
ie (Leçon du professeur Richet sur la), 1, 27. Sclérose des cordons
postérieurs
de la moelle, 193. Scrofulides cutanées et osse
antérieure). . 97 Planche XII. Monstre double mo- nocéphalien (face
postérieure
). 97 Planche XIII..(Edème de la jambe 98 Planche
gion sacro-iliaque, la région de l'échancrure sciatique, la partie
postérieure
de la cuisse le long du sciatique, la partie exte
long du sciatique, la partie externe du creux du jarret, la partie
postérieure
de la malléole externe. La percussion de la rég
on sacro- iliaque, la région de l'échancrure sciatique, la partie
postérieure
de la cuisse le long du sciatique, la partie ex
long du sciatique, la partie externe du creux du jarret, la partie
postérieure
de la malléole externe fait apparaître des doul
ement à la fesse, mais encore tout autour de la hanche, à la partie
postérieure
de la cuisse et dans le jarret; il est alors ob
catoires, puis trois rangées de pointes de feu le long de la partie
postérieure
de la cuisse, puis quatre nouveaux vésicatoires
, le long de la partie anléro-externe de la jambe jusqu'à la partie
postérieure
de la région dorsale du pied. La pre,sion exagè
ment que le malade était complètement courbé, si bien que la partie
postérieure
de la cuisse touchait le mollet. Quand, dans ce
latéraux cérébelleux, en laissant absolument indemnes, les cordons
postérieurs
. M. luerstnereu communique deux observations. E
tractus latéraux cérébelleux, des faisceaux pyramidaux, des cordons
postérieurs
. - Septième groupe : lésion combinée des faisce
me groupe : lésion combinée des faisceaux pyramidaux et des cordons
postérieurs
, etc. En exa- minant tous ces divers faits, on
de phénomènes spasmodiques si les zones radiculaires des cor- dons
postérieurs
des segments de la moelle correspondants sont a
scendante bi-latérale; dégénérescence grise bi-latérale des cordons
postérieurs
et en particulier des zones radiculaires postér
le des cordons postérieurs et en particulier des zones radiculaires
postérieures
jusque dons la moelle cervicale. A aucune pério
la syphilis; ce furent les faisceaux pyramidaux et non les cordons
postérieurs
qui furent affectés. M. le Dr Edinger (de Fra
s, des embryons de chats, des encéphales d'adulles : 1° la racine
postérieure
de l'acoustique émane du noyau acoustique antérie
jusqu'au trijumeau. Une troisième même gagne en arrière les cordons
postérieurs
; comme on constate dans cette direction que le
ux sensoriel direct; on s'explique comment la résection des cordons
postérieurs
entraine la dégénérescence de ce noyau (llunalc
. '128 SOCIÉTÉS SAVANTES. lion porte en même temps sur la branche
postérieure
du trac- tus cérébelleux sensoriel direct. M.
nce de troubles de la sensibilité implique l'intégrité de la moelle
postérieure
. Le processus s'élant limité exclusivement à la
it déterminé une dégénérescence ascendante secon- daire des cordons
postérieurs
. On trouva encore un tubercule du volume d'un n
ntellectuels, des convulsions épileptiformes, la lésion des cordons
postérieurs
(quatre autopsies déjà communi- quées). Sur les
ter de progression ni dans la démence ni dans la lésion des cordons
postérieurs
(analogie avec des lésions semblables produites
lles nous ne nous sommes pas expliqués parce que c'est à un article
postérieur
que se réfèrent, pour la plupart, les dispositi
a face maigre'; il a la peau et les muqueuses pâles. Sur la surface
postérieure
du corps, sur le côté radial ex- terne des extr
ec- tion qui pourrait provoquer une lésion progressive des cornes
postérieures
et antérieures de la substance grise de la moel
, dans ce cas également, nous ayons affaire à une lésion des cornes
postérieures
de la moelle épinière et de la racine ascendant
ntimètre de longueur avec le sillon occipital transverse, la partie
postérieure
isolée de la seconde scissure temporale et va f
inuité de la deuxième scissure en reliant les parties antérieure et
postérieure
du cap à la seconde circon- volution frontale.
calleux ne pré- sente rien de particulier, mais à sa partie la plus
postérieure
au niveau du bourrelet du corps calleux, elle e
ous- pariétale, il n'existe qu'un pli de passage pariéto-limbique
postérieur
. - Le coin, la scissure perpendiculaire interne,
est interrompu par un pli de passage à niveau allant de la partie
postérieure
du pli pariétal supérieur au pli courbe; plus l
e parallèle frontale, en formant ainsi un dédoublement de la partie
postérieure
de la deuxième circonvolution fron- tale. Un pl
tla continuité de la deuxième scissure frontale à sa partie la plus
postérieure
. - La troisième circonvolution frontale est bie
. La scissure paral- lèle, très profonde, se divise à son extrémité
postérieure
en deux rameaux, l'un antérieur qui se perd dan
l'un antérieur qui se perd dans le pli pariétal inférieur, l'autre
postérieur
qui, après avoir pénétré dans la portion postér
érieur, l'autre postérieur qui, après avoir pénétré dans la portion
postérieure
de la seconde circonvolution temporale, est coi
nvolution temporale est bien développée et chagrinée dans sa moitié
postérieure
. - La deuxième scissure temporale est irréguliè
drilatère est petit, maigre, possède un petit pli pariéto- limbique
postérieur
. - Le coin, la scissure perpendiculaire interne
core qu'il y avait eu oblitération simultanée de l'artère cérébrale
postérieure
et de l'artère du corps calleux, car le ramolliss
r l'autopsie. Diagnostic probable; tubercule occu- pant l'extrémité
postérieure
de la troisième frontale gauche et la partie li
tant pendant dix ANS. A l'autopsie, absence DE sclérose DES cordons
postérieurs
DE la moelle épinière; intégrité complète DES r
ômes caractéristiques du tabes, des scléroses évidentes des cordons
postérieurs
. D'autres 'Duchenne (de Boulogne). De l'Llech·i
lus ou moins analogues à ceux du tabes, des altérations des cordons
postérieurs
autres que la sclérose sys- tématique, par exem
nt pas d'importance théorique. Si on accepte l'idée que les cordons
postérieurs
de la moelle sont les organes de l'ataxie, on c
- tômes. Et voilà comment des scléroses non douteuses des cordons
postérieurs
peuvent être rencontrées à l'autopsie de sujets
utopsie aucune altération appréciable de la moelle ni des racines
postérieures
. Je pouvais encore supposer qu'il s'agissait, d
Autopsie. Pas de sclérose de la moelle. Pas d'atrophie des racines
postérieures
. Intégrité des nerfs phériphériyues. Pur.. (Jea
de la pie-mère. Pas de néo-membranes de l'arachnoïde. -Les racines
postérieures
ont le volume et l'aspect chatoyant qu'elles pr
nsversales on ne distingue de teinte grisâtre au niveau des cordons
postérieurs
. Les substances blanche et grise sont bien dist
ois vasculaires est peut-être un peu plus manifeste dans le segment
postérieur
de la moelle (cordons et cornes), mais qu'il ex
a été impossible d'y consta- ter la moindre altération. Les racines
postérieures
renferment, aussi bien que les antérieures, des
ion suivante, nous verrons encore figurer la sclérose des cordons
postérieurs
, mais ce n'est plus chez les ascen- dants, mais
nière n'y figurent que très rarement, seule la sclérose des cordons
postérieurs
fait exception à cette règle, mais ne sait-on p
Les artères de la base sont symétriques; toutefois, la cérébrale
postérieure
paraît un peu plus volumineuse à droite. Les tube
et éraflée. Le lobe cérébelleux droit arrive au niveau de la partie
postérieure
du lobe occipital, mais le lobe cérébelleux gau
rs de deux centimètres sur la face convexe, va rejoindre. la partie
postérieure
de la scissure interpariétale et par son interm
e parallèle complète qui, à son quart supé- rieur, envoie un rameau
postérieur
oblique de bas en haut divisant entièrement le
interrompue par un pli de passage à niveau allant de l'extrémité
postérieure
du lobule pariétal supérieur à la circonvolution
scissure de Sylvius. La première frontale, dédoublée dans son tiers
postérieur
, présente également des indices de dédoublement
euxième circonvolution frontale est volumineuse surtout à sa partie
postérieure
; elle s'insère à la frontale ascendante par un p
ment, l'un même, médian, atteint' son 390 CLINIQUE NERVEUSE. bord
postérieur
; il semble en ce cas que la deuxième circonvo-
ésente un pli pariéto-limbique antérieur et un pli pariéto-limbique
postérieur
. La scissure perpendiculaire interne, très prof
. Hémisphère gauche. La scissure de Sylvius se divise à la partie
postérieure
de la circonvolution pariétale ascendante en de
orale plissée envoie un pli de passage à niveau à la partie la plus
postérieure
du lobule pa- riétal inférieur et un autre pli
onvolution frontale interne est bien développée, reçoit à son quart
postérieur
un petit pli de passage presque à niveau de la
du triangle para- central. existe également un pli pariéto-limbique
postérieur
. La scissure perpendiculaire interne est très p
lement augmentant, l'animal ne pouvait plus se tenir sur ses pattes
postérieures
, qui tremblaient plus que les autres. C'est alors
nt pas s'y tenir debout, il fait des essais, en écartant les pattes
postérieures
et en montant les au- tres sur la banquette. Il
n, en y attachant l'animal et en imprimant des mouvements antéro-
postérieurs
, les seuls réalisables avec cette table. D'aill
TIE. Expériences sur la table à vivisection. - Balancement antéro
postérieur
. - Tous les appareils nécessaires à enregistrer
on forcée d'une tôle dolicocéphale, à front fuyant, toute la région
postérieure
devient saillante. Cette saillie, résultat d'un
sseur 0'°m,018 à 0,02, il n'y en a que peu de 0,004; 2" les racines
postérieures
des deux mêmes régions contiennent un grand nom
, atteignant du plus au moins les nerfs saphène, péronier et tibial
postérieur
- crural, sciatique et radial - médian et cubit
limite entre les régions dorsale et lombaire, la lésion des cordons
postérieurs
avait atteint la zone d'entrée radiculaire, tan
). Le même malade était atteint de dégénérescence grise des cordons
postérieurs
. M. KOENIG. Deux cas de lésion de la zone motri
la section centrale des nerfs, et la dégénéres- cence de la racine
postérieure
avec celle du ganglion après la section périphé
corce et la substance blanche de cette région pour joindre la corne
postérieure
du ventricule latéral. On trouve au microscope,
quide transparent, elle avait une paroi antérieure forte, une paroi
postérieure
mince. Après l'avoir ouverte, on se trouvait en
localiser ces voies centripètes du sens musculaire dans les cordons
postérieurs
. Aussi bien n'y a-t-il de ce côté aucune controve
arrière du faisceau pyramidal, soit dans la dernière moitié du bras
postérieur
. Des observations de Charcot, Magnan, Bournevil
es fibres sensitives font un pre- mier relai au niveau de la partie
postérieure
et inférieure du noyau externe du thalamus. De
uperaient intimement mêlées aux fibres descendantes toute la partie
postérieure
depuis le genou jusqu'au faiseau rétro-lenticul
cas il admet qu'on doive les rapporter à une lésion de la partie
postérieure
de la capsule. Cette assertion conforme à l'opini
acher toutes les anes- thésies cérébrales à une lésion de la partie
postérieure
de la capsule interne. Mais comme le fait juste
s circonvolutions frontale et pariétale ascendantes, avec la partie
postérieure
du lobe frontal et la partie antérieure du lobe p
gnées de leurs centres nutritifs altérés dans les ganglions spinaux
postérieurs
, les parties lointaines étant respectivement les
ssait le centre de la face et du bras en même temps que l'extrémité
postérieure
de la troisième frontale gauche, c'est- à-dire
s- tatation d'une tumeur élastique, un peu fluctuante, à la paroi
postérieure
du pharynx (abcès par congestion probable). Une c
nterne qui vont au gyrus coronaire et au gyrus crucial antérieur et
postérieur
(ascendantes de l'homme) ; 2° de la bandelette
nce faisceau allant de la capsule interne dans le gyrus ectosylvien
postérieur
; 4° la partie la plus antérieure des troisième
faisceaux qui vont de la capsule interne dans le gyrus ectosylvien
postérieur
. Du quinzième au seizième jour on voit : 1" le ti
myéline que dans le gyrus coronaire, le gyrus crucial antérieure et
postérieur
, et les voies de communication de la capsule in
nt surtout de la proue (côté interne) du gyrus crucial antérieur et
postérieur
et du gyrus coronaire. En réalité les fibres d'
aisceau de Gowers, s'éloignant de la périphérie, se place à la face
postérieure
de celui-ci, et devient un faisceau allongé à f
l'angle formé par le côté interne de la racine du facial et le côté
postérieur
du corps trapézoïde, et, plus tard, il est cont
uban de Reil latéral, fournit un trousseau au tubercule quadrijumau
postérieur
, qui embrasse ce dernier par sa partie antérieu
Vieussens et se terminent : 1° dans les tuber- cules quadrijumeaux
postérieurs
; 2° dans la substance noire de Soemmering; 3° d
e des lésions, dans ce cas, il n'y a de lésions cornu- radiculaires
postérieures
que dans la région dorsale. Ceci peut 172 SOCIÉ
Est-il bien certain que les dégénérations secon- daires des racines
postérieures
, lésion exogène, constituent tout le tabès ? Il
rmédiaire des fibres cérébello-spinales et du faisceau longitudinal
postérieur
. Quand l'action corticale du télencéphale se tr
la cause des émotions. La conscience des variations organiques est
postérieure
. C'est en quelque sorte le choc en retour d'un
, situés entre la bifurcation du tronc basilaire et la communicante
postérieure
. La filiation des lésions est la suivante : ent
paralysie véritable. Enfin, on soupçonnera une tumeur de la partie
postérieure
du corps calleux si la paralysie commence par l
émontrer : 1° que les lésions dégénératives ascendantes des cordons
postérieurs
de la moelle, de quelque ori- gine qu'elles pui
ont le diamètre longitudinal est nettement trans- versal et le bord
postérieur
un peu échancré. Cette dépression, voisine de l
d postérieur un peu échancré. Cette dépression, voisine de la corne
postérieure
, dont elle est séparée par une large raie de su
onstituée par des cellules nerveuses semblables à celles des cornes
postérieures
, des noyaux névrogliques, quelques fibres à myé
revêtus d'épithélium; l'un, à grand diamètre longitudinal antéro-
postérieur
, occupe presque la place normale, au milieu ; un
un troisième ovale, ayant aussi son diamètre longitudinal antéro-
postérieur
situé en arrière des deux autres, à peu près au m
de chaque côté, en avant du segment de cercle antérieur des cordons
postérieurs
, d'égal volume, mais celui de droite, triangula
ces trousseaux proviennent-ils exclusivement des noyaux des cordons
postérieurs
? Figures. Chez un chat de six jours et chez le
; ces trousseaux proviennent de la région du faisceau longitudinal
postérieur
et du noyau rouge. Les trois faisceaux du ruban
bres qui proviennent du noyau rouge s'en vont jusque dans la partie
postérieure
du groupe nucléaire antéro-latéral de la couche
r devenir très épaisses et se rendent, pour la plupart, à la moitié
postérieure
du deuxième segment du noyau lenticulaire qu'el
ubercules quadrijumeaux. Ces fibres viennent surtout dans la partie
postérieure
de la substance noire; on trouve là de nombreus
onvolutions cruciales, d'autres abou- tissent au segment limitrophe
postérieur
du sillon coronaire. Il y a d'ailleurs quelques
normaux. M. Marie. Le premier de ces cerve- lets présente à sa face
postérieure
une déformation du lobe droit. Une hémorragie d
tte hyperesthésie n'existe ni au visage, ni à la face antérieure et
postérieure
des cuisses, des jambes, mais elle est très mar
injections'sous-cu- tanées de spermine sur la sclérose des cordons
postérieurs
de la moelle épinière peut être nommée absurde.
er ces malades comme complètement guéris de la sclérose des cordons
postérieurs
de la moelle épinière. Prof. D' S. TClIlRtI :
s des organes sensoriels élevés, par suite de l'atteinte du segment
postérieur
de la capsule interne. Nous ne sommes donc pas
cupe, à la hauteur du ganglion ecto-mamillaire d'Edinger, la partie
postérieure
de ce ganglion, dont il n'est séparé que par un
rmak a, chez le chat, trouvé des fibres communes au noyau du cordon
postérieur
et au noyau lenticulaire. Il y a donc, chez le
val. LXIV. Contribution à la dégénérescence descendante du cordon
postérieur
; par J. ZAPPERT. (Nearolog. Centrulbl., XVII, 189
surtout à droite. Méthode de Marchi. La dégénérescence des racines
postérieures
, limitée à la moelle cervicale, siège de la mén
-ci, à droite, occupe exacte- ment l'endroit de passage des racines
postérieures
à travers la pie-mère. La dégénérescence, intra
apparaitre saines dans la région des contingents latéraux du cordon
postérieur
. Il demeure en revanche un reste de grains noir
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 423 d'autant plus apparente que les cordons
postérieurs
sont ailleurs indemnes de fibres dégénérées, et
elle se prolonge en arrière sans atteindre cependant la périphérie
postérieure
de la moelle. Cette raie diminue elle-même en b
u niveau de la moelle dorsale, que la partie antérieure du cordon
postérieur
, vers la substance grise de la corne postérieure;
ntérieure du cordon postérieur, vers la substance grise de la corne
postérieure
; elle disparaît plus bas, de sorte qu'au niveau
une grande attention pour voir quelques grains noirs dans le cordon
postérieur
droit et il n'y a plus rien du tout dans la moe
ien du tout dans la moelle lombaire même des deux côtés du sillon
postérieur
. C'est la virgule de Schultze, dégénérée, comme e
nce de la virgule de Schultze, consécutive à une lésion des racines
postérieures
. Quel rapport affecte la virgule de Schultze av
e, quoique faible, d'une zone postéro- médiane. En outre, le cordon
postérieur
, dans toute la moelle dorsale. présentait d'aut
nce médiane, toujours située dans les parties antérieures du cordon
postérieur
; de cette dégénérescence-là on ne constate plus
ligne médiane et s'éparpille dans les parties antérieures du cordon
postérieur
. La plu- part des fibres de la zone postéro-méd
e de Schultze est, en partie du moins, formée de fibres des racines
postérieures
descendantes de la région supérieure de la moel
e la moelle dorsale supérieure, dans la partie antérieure du cordon
postérieur
. P. KERAVAL. LXV. Contribution à l'étude du sen
se trouve immédiatement en arrière de la circonvolution centrale
postérieure
. A la suite de l'opération survint de l'aphasie e
traitement du mal perforant plan- taire.par la faradisation du nerf
postérieur
et de ses branches terminales; Jaboulay. D'un c
nte diarrhée se déclare : une nouvelle eschare commence à la partie
postérieure
de la jambe, au niveau du condyle interne du fé
utions qui bordent de chaque côté la 500 RECUEIL DE FAITS. partie
postérieure
de Se. p. L'atrophie continue sur la face interne
e, volumineuses, massives, comme hypertro- phiées, dans leur moitié
postérieure
(F' qui est bifurquée, F2 et à un moindre degré
es, dans la couronne rayonnante en sui- vant principalement la face
postérieure
du noyau lenticulaire. Les cellules des noyaux
ostérieure du noyau lenticulaire. Les cellules des noyaux du cordon
postérieur
envoient donc des fibres directes du côté oppos
fibres croisées qui vont de l'écorce du cerveau au noyau du cordon
postérieur
, et passent par la masse de la couche optique,
atéraux. Il est surtout formé des fibres longues du noyau du cordon
postérieur
qui se terminent dans la couche nucléaire de la
uche optique. C'est le système thalamique croisé du noyau du cordon
postérieur
. Quelle partie de l'écorce gagnent les fibres q
papille étranglée, indiquant le siège de la tumeur dans la fosse
postérieure
du crâne. Ataxie en marchant et pendant la statio
raînant l'auteur à conclure à l'existence d'une tumeur de la partie
postérieure
de l'hémi- 512 Z REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
oupe moyen, formé lui-même par un seg- ment antérieur et un segment
postérieur
, chez le chien tout au moins, et un groupe exte
ers animaux, que le noyau du facial supérieur est situé à la partie
postérieure
du noyau moyen du facial. Le groupe interne d
pe interne; 2° labranche zygomatico-temporale naissant de la partie
postérieure
du groupe moyen; 3° la branche bucco-labiale su
ergence de la troisième paire; la partie la plus antérieure du bras
postérieur
de la capsule interne était également envahie.
sule interne, au voisinage du genou, à la partie antérieure du bras
postérieur
. Il semblerait que la paralysie laryngée accomp
e début, quelquefois trois ans. Anatomie pathologique : Les cordons
postérieurs
sont pris les premiers et plus fortement que le
toute leur longueur, mais les lésions frappent surtout les parties
postérieures
et médianes. Plus tard et à moindre degré, les
rtie antérieure du corps calleux il y a de l'astasie dans la partie
postérieure
de l'hémianopsie et qu'un des symptômes cons- t
ure, dans la partie moyenne de l'hémisphère gauche et par la partie
postérieure
dans la substance blanche du lobe occipital. La
directs et des faisceaux de Gowers, l'intégrité absolue des cordons
postérieurs
et des zones radiculaires postérieures, du REVU
intégrité absolue des cordons postérieurs et des zones radiculaires
postérieures
, du REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 525 bulbe,
la face interne du bras et de l'avant-bras tributaire de la racine
postérieure
du te et du 21 nerf dorsal. Un autre point inté
te; S., scissure de Sylvius; - Lui., scissure de TIolal1llo (partie
postérieure
); - R ? scissure de Rolando (partie antérieure)
de Rolando (partie antérieure); R. (3), scissure de Rolando (partie
postérieure
); cm ? encoche du sillon calloso-margmal; - po
on fronto-marginal ; R' (an lieu de R), scissure de Rolando (partie
postérieure
); H. (au lieu de SR), scissure de Rolando (part
oin; P. F. L., pli fronto limbique; -P. P. P., pli pariéto limbique
postérieur
; C. A., corne d'Ammon; G. R., gyrus rectus. P
tiques avec énilepsie essentielle. par 1111rallir, 226. Cordons
postérieurs
. Dégénéres- ceuces descendantes des -, par Za
l (iioùl 48S ? ).- Tête très volumineuse, développée dans sa partie
postérieure
, saillie très prononcée de l'occipital au niveau
eur; l'antérieur vient s'ouvrir dans le sillon calloso-marginal; le
postérieur
, dépas- sant le bord convexe de l'hémisphère, v
ieure, se compose de plis si- nueux, transversaux et dans la moitié
postérieure
de deux plis longi- tudinaux, en partie confond
Entre son extré- Bouit,ir,VILLr, 1883. 5 66 DU MÉRYCISME. mité
postérieure
et Fcc, il existe sur le bord convexe de l'hémis-
sur Face. - F3 est beaucoup plus petite que Fa et F; son extrémité
postérieure
est en retrait par rapport aux parties voisines
; mais il n'en est plus de même de toute la portion de l'hémisphère
postérieur
au sillon de Rolando. La pariétale ascendante e
mprise entre la base de la pariétale ascendante jusqu'à l'extrémité
postérieure
de la première temporale, ainsi que la se- cond
rois digitations dont l'anté- rieure est bifurquée; les digitations
postérieures
ont le même aspect que la première temporale et
nche montante du maxillaire inférieur; duvet abondant sur la partie
postérieure
du cou, du tronc et. sur les faces antérieure e
ns qu'un sillon assez superficiel d'ailleurs le sépare de la partie
postérieure
de ces deux circonvolutions. Il n'y a pas de si
t la partie antérieure de la boucle est moitié moins épaisse que la
postérieure
. Le lobe quadrilatère, moitié moins large que l
et quelques râles fins au moment de la toux à la région moyenne et
postérieure
du poumon droit. Un peu de raideur de la nuque
colo- ration noire, ocreuse. Tout le lobe pariétal, et la partie
postérieure
des circonvolutions temporales sont adhérents,
e trouve cette dernière lésion, ainsi que sur les deux digitations.
postérieures
du lobule de l'insu la qui sont atrophiées et ind
moins épaisse de substance grise, notamment : 1°sur toute la moitié
postérieure
de la première circonvolution frontale; 2° sur
Pa, pariétale ascendante. P, pli pariétal supérieur. T, partie
postérieure
des circonvolutions temporales. Tl, première te
un prolongement en forme de croissant vient rejoindre la fontanelle
postérieure
; à gauche, il y a soudure des os à 10 cent. 1/2
des os à 10 cent. 1/2 au-dessus de la racine du nez. La fontanelle
postérieure
, très irrégu- lière, mesure 2 cent. 1/2 sur la
r le frontal pour les 2/3 antérieurs et par le pariétal pour le 1/3
postérieur
. La fontanelle postérieure a la forme d'un tria
térieurs et par le pariétal pour le 1/3 postérieur. La fontanelle
postérieure
a la forme d'un triangle isocèle dont la base e
ostérieur et occupant la ligne médiane de l'aire e de la fontanelle
postérieure
. Le plus élevé est blanchâtre, d'aspect cartila
unis à la portion écailleuse du temporal, font partie de la moitié
postérieure
du crâne ; ils sont larges et minces, et ont en
ostérieures. Leur bord antérieur est en rapport avec le frontal, le
postérieur
avec l'occipital; l'inférieur n'existe pas, pui
l'os surnuméraire que nous appelons inter-fronto- pariétal,ses 3/4
postérieurs
forment les côtés de la fontanelle postérieure.
- pariétal,ses 3/4 postérieurs forment les côtés de la fontanelle
postérieure
. L'ccaille de l'occipital paraît peu développée
il l'est encore du côté droit; à gauche, il est libre dans le tiers
postérieur
(au niveau du pariétal), mais non dans les 2/3
accidentelle du cerveau, il a la forme d'un triangle allongé à base
postérieure
, effilé en avant; il s'étend depuis la partie a
de voir que la scissure de Sylvius naît plus près de l'ex- trémité
postérieure
qu'à l'état normal et qu'au lieu de se diriger
égion de l'hexagone de Willis se trouve à peu près à l'union du 1/3
postérieur
de l'encé- phale (cervelet compris) avec les 2/
ter rien de particulier. 124 FOYER HÉàlOR11HAC.IQrJE. A la partie
postérieure
du bord supérieur de l'hémis- phère cérébral ga
assant au milieu de la surface du foyer; elle gagne ainsi la partie
postérieure
du bord supé- rieur du cerveau, s'incline en ba
existent six circon- volutions qui convergent toutes vers la lèvre
postérieure
de la scissure de Sylvius et qui forment deux g
moyen (LM) se dirigent, les antérieures, obliquement en avant, les
postérieures
verticalement; les Fig. 2. - L F, lobe frontal.
assez épaisses. Enfin, les circonvolutions qui ré- pondent au lobe
postérieur
de la face inférieure (L P) se dirigent, les pl
; pas de traces de méningite ancienne. L'artère coz7z- 1/tunicante
postérieure
droite est beaucoup plus petite que la gauche.
ente, mais assez plissées avec des sillons assez profonds ; l'autre
postérieure
, comprise entre ce sillon transversal et le sil
Cavité abdominale. PérihépatHe très marquée, surtout vers le bord
postérieur
et la face supérieure du foie, où on trouve une
Pa, pariétale ascendante. P, pli pariétal supérieur. T, partie
postérieure
des circonvolutions temporales. . 7*1, première
Les artères de la base sont symétriques, sauf les communi- quantes
postérieures
, la droite étant environ trois fois plus volumi-
férieure de P1, un sur PC, deux sur LO et un vers la circonvolution
postérieure
de Tl, caché dans le sillon marginal inférieur,
caché dans le sillon marginal inférieur, enfin un autre à la partie
postérieure
de T3. Face interne (PL. II). Notons un îlot su
du corps calleux qui est très grêle ; - un autre îlot sur la partie
postérieure
de LQ, un sur le coin, un autre au fond de la s
n à peu près centrale. On trouve encore un autre ilot sur la partie
postérieure
de F2. Ce qui reste des circonvolutions frontal
et principa- lement sur ce qui reste de l ? F2, F3 et sur la moitié
postérieure
de 1'1 et P. Cou. Aucune trace du thymus. Cor
p.f. 1., lli 1't,oiiLo-Iiiiil)ique. p.p.p., pli pariéto-limbique
postérieur
. C. H., circonvolution de l'hippocampe. G. Il
ar des douleurs fulgurantes revenant par crises, parcourant la face
postérieure
des membres MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE. 105
é par la syphilis en dehors de toute lésion tabétiforme des cordons
postérieurs
, par un mécanisme encore inconnu, d'autre part
te transverse, le signe d'Argyll dénonçant l'altération des cordons
postérieurs
, la trépidation spinale et le signe des orteils
s assez cours et rares (5 centimètres sur 2 centimètres). A la face
postérieure
du thorax, on constate un fin duvet entre les o
croisés lombaires. Sclérose ascendante dans les cor- dons cervicaux
postérieurs
médians. C. SCHÉPILOFF. VIII. La géographie de
Sur un cas d'ataxie où tous les faisceaux ascendants des cor- dons
postérieurs
étaient complètement dégénérés, même dans les r
le cornu commissural peu marqué, n'atteint pas tout à fait la corne
postérieure
, borde assez épais la cloison et se continue av
le septo-marginal s'applique encore contre la cloison dans le tiers
postérieur
de celle-ci et atteint toujours la )33 REVUE D'
complètement de la cloison et former une couche appliquée à la face
postérieure
du cordon. Le cornu commissural à ce niveau est
tendent à se diffuser en fibres isolées semées dans tout le cordon
postérieur
. à Bruce croit que le « champ ovale » de Flechs
ui avait détruit le noyau lenticulaire et une grande partie du bras
postérieur
de la capsule interne M. van Gehuchten constata
du segment de moelle qui commande à la fonction motrice des pattes
postérieures
. Découvrant ensuite le nerf -crural sur une des
érieures. Découvrant ensuite le nerf -crural sur une des extrémités
postérieures
, il l'incite au moyen d'un courant faradique ca
0g. Cezzt,rabl., XVIII, 1899.) Dégénérescence tabétique des cordons
postérieurs
; rétrécisse- ment et insuffisance des valvules
a complète luxation de la tête du fémur gauche qui occupe la partie
postérieure
et supérieure de la gouttière sus- cotyloïdienn
eurs oculaires : 1° Le centre frontal, qui est situé dans la partie
postérieure
du lobe frontal, en avant du Sulcus cruciatus e
disséminés dans la partie dorso-médiane du faisceau longitudinal
postérieur
des deux côtés. En dehors de ces fibres, qui se r
sur les coupes pas- sant par la partie antérieure de la commissure
postérieure
il atteint les limites latérales de la calotte.
plus bas nous le voyons derrière le bras du tubercule quadrijumeau
postérieur
. Enfin il franchit la limite entre le corps gen
quée que celle-là du noyau opposé), dans le faisceau longitu- dinal
postérieur
des deux côtés, dans l'entre-croisement ventral d
), Ferrier (de Londres) ; 5° Des lésions non tabétiques des cordons
postérieurs
de la moelle. Rapporteurs : Bruce (d'E- dimbour
es), et W. Roth (de Moscou). Les lésions non tabétiques des cordons
postérieurs
de la moelle. Rap- porteurs : MM. Ch. Dana (de
du cervelet, se bifurque à deux centimètres en avant de l'extrémité
postérieure
des lobes occipitaux pour former ces sinus. L
t le domaine des lobules lingual et fusi- forme. L'artère cérébrale
postérieure
était obstruée par un throm- bus. L'examen hist
nche que dans sa subs- tance grise, et en particulier les faisceaux
postérieurs
sont aussi richement pourvus de fibres à myélin
à myéline que dans une moelle nor- male. Les racines antérieures et
postérieures
sont saines. M. LALANNE a eu l'occasion d'obser
t les différences de fonctions des racines antérieures, des racines
postérieures
et des faisceaux blancs dont se compose la moel
us tard, Tùrck nous révélait l'existence d'une sclérose des cordons
postérieurs
dans les cas de tabes dorsalis ; la sympto- mat
63, Friedreich découvrait l'existence d'une sclérose des coi,- dons
postérieurs
, d'origine héréditaire ; d'abord, on en fit la fo
anatomo-pathologiques communs semblent être : un raccourcis- sement
postérieur
des hémisphères cérébraux tel que le cervelet r
ppement pendant la vie intra-uté- rine, ayant empêché la croissance
postérieure
(probablement entre le troisième et le quatrièm
n de Reil, probablement à la hauteur des tubercules quadri- jumeaux
postérieurs
. L'autopsie a fourni la confirmation de l'exac-
ourni la confirmation de l'exac- titude de ce diagnostic. La partie
postérieure
de la moitié droite de la protubérance logeait
siège supra-nucléaire, au voisinage des tubercules qua- drijumeaux
postérieurs
des paralysies associées des mouvements de laté
temporal et le centre pariétal en un seul centre : le grand centre
postérieur
d'association. L'exis- tence prouvée dans le gy
e gyrus subangularis d'un centre de projec- tion réduit à la partie
postérieure
de la 2° circonvolution temporale l'union de ce
avec une régularité particu- lière dans les affections des centres
postérieurs
d'association ; l'observation clinique s'établi
ie horizontale, antérieure, a trois étages, et la partie verticale,
postérieure
, perpendiculaire à la première, possède deux ét
specteur des services économiques. Le rez-de-chaus- sée du bâtiment
postérieur
(i m. 50 c. de hauteur) renferme la cuisine. Au
remplacer par la faradisation à interruptions lentes du nerf tibial
postérieur
. L'électrode positive, très petile, étant placé
parfois que le pied paralysé balaie le sol seulement dans le pas
postérieur
, tandis que dans le pas antérieur le sujet l'ait
tuliens manquent ; il l'autopsie on trouve une lésion des cordons
postérieurs
; Deuxième type. Paralysie avec sclérose latéra
e amoureux d'une ombre, d'un symbole, d'une étoile ! ... Le cerveau
postérieur
n'a aucune part dans son activité; le cerveau a
genou. Le réflexe spinal le plus facile à obtenir dans les membres
postérieurs
des animaux par l'excitalion du membre lui-même
« secousse du genou » est d'exciter le mouvement réflexe du membre
postérieur
dans une portion du membre parce que les fléchi
e la peau de n'importe quelle partie de la jambe et même de la face
postérieure
de la cuisse. Pour démontrer l'exagération de l
ent la corne antérieure homo- latérale et descendent dans la partie
postérieure
et moyenne du cordon latéral homolatéral de la
croise le raphé et la coucha interolivaire, descend dans la parlie
postérieure
et interne de la formation réticulée grise du b
omilj1 ! cmcnt. II. Palhologiquement. I. La structure des cordons
postérieurs
est montrée par les dégénérescences qui suivent
ATIONAL DE MÉDECINE.- II. Les changements pathologiques des cordons
postérieurs
con- sidérés en rapport avec les lésions qui le
e musculaire progressive (type Charcot-Marie). Sclérose des cordons
postérieurs
dans toute leur longueur à l'exception de la ré
intacte une zone nor- male au bord de la commissure et de la coi ne
postérieure
et par- tiellement aussi dans la zone postéro-i
one postéro- interne subit habituellement une sclérose. Les racines
postérieures
sont dégénérées. b) Les tumeurs cérébrales pr
eurs cérébrales produisent fréquemment des lésions dans les cordons
postérieurs
, qui sont parfois attribuées aux dégénérescence
Les régions affectées ont leur siège : 1° der- rière la commissure
postérieure
, 2° le long du septum médian, 3° comme une band
Friedreich. La lésipn principale est une sclérose dans les cordons
postérieurs
et anLéro-IaLéraux. Eu ce qui con- cerne les co
ns postérieurs et anLéro-IaLéraux. Eu ce qui con- cerne les cordons
postérieurs
, la sclérose est développée le plus dans les ré
ntrent peu ou point d'épaississement t de leurs parois. Les racines
postérieures
présentent une sclérose similaire avec des degr
s sensitifs périphériques et l'atrophie des gan- glions des racines
postérieures
, qui sont presque invariables, sug- gèrent que
ifération de névroglie secondaire. e) Sclérose combinée des cordons
postérieurs
et antéro-latéraax. SECTION DE NEUROLOGIE.. 511
ment le cordon de Goll. Les zones près de la commissure et la corne
postérieure
, et dans la région lombaire celle près du septu
nd à la distribution des vaisseaux delà pie-mère et que les racines
postérieures
sont normales, de même que les membranes, indiq
médiane de cet organe, s'en va assez loin en arrière dans la corne
postérieure
et dans la corne inférieure du ventricule. Bien
ventricule. Bien qu'elle ait exercé une compression sur la branche
postérieure
de la capsule interne, les voies sensitivo- mot
ait encore marcher seule. Il existe une. dégénérescence des racines
postérieures
de la moelle, elle a dû être déterminée, d'aprè
méninges molles de la moelle; il en résulte une lésion des racines
postérieures
et d'une partie des racines antérieures de la m
sceau pyramidal apportent l'excitation ; le cervelet et les cordons
postérieurs
sont des modérateurs. Le travail actif de ces d
u cerveau et des pyramides, d'autre part du cervelet ou des cordons
postérieurs
, fait cesser l'harmonie physiologique de la l'o
teurs. Un facteur physiologique ; c'est la transmission aux racines
postérieures
, aux cornes posté- rieures, de là aux centres d
es muscles est sous l'influence non seulement des nerfs des cordons
postérieurs
tonificateurs qui l'incitent directe- ment, mai
- belleuse et surtout par la dégénérescence tabétique des cordons
postérieurs
dont les éléments nerveux sont atteints, non tous
sance progressive de la force du système cérébelleux et des cordons
postérieurs
(tabes) amoindrit de plus en plus le phénomène
devient égal à zéro, ci l'instant où la dégénérescence des cordons
postérieurs
est égale à une décroissance de tension de la t
t-à-dire malgré la dégénérescence tabétique (partielle) des cordons
postérieurs
. 11 en sera de même dans la syphilis ; on const
ervelet et du cerveau (parésies temporaires) et surtout des cordons
postérieurs
et des faisceaux pyramidaux (la moelle étant su
sses du système nerveux central amène- raient les segments les plus
postérieurs
de la muqueuse des joues, des gencives, la part
centre est surtout prononcée dans le plan antérieur et dans le plan
postérieur
; les coupes de la portion. moyenne de cette ré
t disséminées dans l'épaisseur et en avant du faisceau longitudinal
postérieur
. Enfin l'oculomoteur commun lui-même présente,
droit ne peut plus être élevé au-dessus de l'horizontale; la paroi
postérieure
du creux axillaire a disparu; le sillon de Duch
ux axillaire a disparu; le sillon de Duchenne est très net, le bord
postérieur
et la pointe de l'omoplate étant detachés et po
. Supplice de lloriu, 77. Tabétiques. Lésions non - des cordons
postérieurs
, par Bruce, 509. Tabès, avec paralysie bulbai
subs- tance blanche qui avoisine les corps opto-striés et le tiers
postérieur
de la capsule interne : on ne voit pas bien com
-sensorielle, rapportés chez les hémiplégiques adultes à une lésion
postérieure
de la capsule interne, sont le fait d'une associa
une griffe, par suite d'une double incurvation dans le sens antéro-
postérieur
et dans le sens transversal. Il n'y a rien ici
rophie et paralysie des muscles; d'autres fois c'est sur les cornes
postérieures
que s'étendra le pro- cessus gliomateui, et des
lique de la sensibilité. Quand la lésion gagne en outre les cordons
postérieurs
de la moelle, la sensibilité est com- plètement
it une section des deux tendons d'Achille et du ten- don du jambier
postérieur
droit, appareils plâtrés. Depuis cette époque,
ns normales. La môme chose se voit en arrière vers le sillon médian
postérieur
: à côté d'une artériole normale, plusieurs vei
est très évidente, en particulier au niveau de l'entrée des racines
postérieures
dans la moelle : elle est essentiellement const
naires. Dans tout le cordon latéral, et spécialement dans sa partie
postérieure
, le tissu névroglique est plus développé qu'à l
te étroite. Dans quelques-unes (notamment les veines antérieures et
postérieures
), l'o- blitération est complète. Bien que la
'en voit pas de semblable dans les gaînes vasculaires. Les cornes
postérieures
ne présentent rien d'anormal autre que la présenc
ns les deux cor- dons latéraux (surtout le droit) et dans le cordon
postérieur
: les premiers sont de beaucoup les plus import
ans les méninges. Dans un point limité, à la périphérie des cordons
postérieurs
, au niveau de la 2e racine dorsale, les tubes n
ire de la pie-mère a visiblement envahi la moelle. Le septum médian
postérieur
(smp) est considérablement épaissi par un amas
e de la région dorsale supérieure. Une partie de la cir- conférence
postérieure
de la moelle avec la pie-mère et l'arachnoïde adj
ation par la méthode de Pal et le carmin d'alun. Smp. Septum médian
postérieur
élargi et infiltré de cellules rondes ; vers sa b
filtration redouble d'intensité. Tms. Tissu médullaire sain (cordon
postérieur
). , Vp. Véinule de la pie-mère oblitérée. Pm.
les sensitifs. La dissociation existe sauf sur le milieu de la face
postérieure
de la cuisse, et sur deux petits espaces situés
d'environ 10 centimètres. Il est de même pour les points de repère
postérieurs
; le sommet du sa- crum qui est placé chez un s
lles sont évidentes dans la substance blanche au niveau des cordons
postérieurs
, à la hauteur de la 1 ? racine dorsale. En ce p
al. Limitées aux cordons latéraux, et plus spécialement à la partie
postérieure
de ces cordons, elles se sont présentées sous la
i s'est colorée par le carmin. A l'union des cornes an- térieure et
postérieure
du côlé gauche se voit une sorte de lacune comhlé
oute la surface de la coupe, mais surtout prononcée dans la' région
postérieure
. La moelle reprend peu à peu sa configuration e
en re- connaître les différentes parties. Les cornes antérieures et
postérieures
du côté droit sont à peu près conservées ; mais
méthode de Veigert. a) Grand foyer de sclérose occupant les cordons
postérieurs
et les cornes postérieures ; il présente la cou
nd foyer de sclérose occupant les cordons postérieurs et les cornes
postérieures
; il présente la coupe de vaisseaux à parois énor
par la coloration de Weigert. Le plus vaste comprend les cor- dons
postérieurs
et envahit la corne postérieure gauche. Tous deux
e plus vaste comprend les cor- dons postérieurs et envahit la corne
postérieure
gauche. Tous deux ont uneforme triangulaire il
face profonde de la pie-mère et avec prédominance dans la ré- gion
postérieure
. Elle envahit légèrement le tissu médullaire sous
ubstance blanche, on ne rencontre d'éléments semblables. Les cornes
postérieures
sont également très intéressées des deux côtés. A
che, la corne envahie par la zone de sclérose qui occupe les cordons
postérieurs
est méconnaissable. A droite, on en retrouve le
l'objectif 2 Vérick la large bande scléreuse qui occupe les cordons
postérieurs
, on peut voir que les lésions les plus avancées
érique d'une part (sous-ménin- gée) et à la région du septum médian
postérieur
d'autre part. Les parois des pe- tits vaisseaux
nerveux est complète, surtout dans la partie cen- trale des cordons
postérieurs
. Il ne persiste pas un seul tube nerveux recon-
est moins avaucée, c'est-à-dire vers la région profonde des cordons
postérieurs
, au voisinage de la commissure grise. Dans cett
ses que l'on cons- tate, mais moins avancées que dans les cordons
postérieurs
. L'origine périvasculaire de la sclé- rose est
vaisseaux sont altérés suivant le même mode que dans les cordons
postérieurs
, mais à un degré beaucoup moindre. Sur un grand
sentent des lésions scléreuses très ac- centuées. Dans une racine
postérieure
gaucho par exemple, au niveau du foyer, on co
raît tout à coup une infiltration considérable dans une des racines
postérieures
du côté gauche. La coupe est couverte d'éléments
'à la région dorsale infé- rieure. La sclérose diffuse de la région
postérieure
de la moelle s'atténue, au point qu'au niveau d
etit territoire ir- régulier, de forme triangulaire, dans le cordon
postérieur
droit. La base de ce petit triangle louche la p
nsversales, des foyers hémorrhagirrues importants, dans les racines
postérieures
surtout. Dans l'une d'entre elles, un foyer de ce
te à la face an- térieure, mais reste soudée aux faces latérales et
postérieures
de la moelle. La forme de celle-ci est parfaite
rvée : la substance grise a sa configura- tion normale. Les cordons
postérieurs
seuls paraissent avoir souffert : ils pré- sent
on constate que la méningite est limitée il la demi-circon- férence
postérieure
delà moelle. (Fig. 26). Les 3 méninges sont sou
re elles et unies intimement à la moelle dans l'étendue des cordons
postérieurs
. Les racines postérieures il leur origine sont
ent à la moelle dans l'étendue des cordons postérieurs. Les racines
postérieures
il leur origine sont recouvertes par les envelo
pondant à la symphyse méningée, c'est-à-dire comprenant les cordons
postérieurs
, les cor- nes postérieures et la partie la plus
ngée, c'est-à-dire comprenant les cordons postérieurs, les cor- nes
postérieures
et la partie la plus reculée des cordons latéraux
onger jusqu'à la substance grise de la commissure. Le sillon médian
postérieur
est complètement effacé. A l'aide d'un plus for
ine y colore vi 15 Fig. 26. Méningite spinale limitée à la région
postérieure
de la moelle : symphyse méningo-médullaire. - E
yse méningo-médullaire. - Envahissement par propagation des cordons
postérieurs
et de la partie la plus reculée des cordons lat
oelle (cornes antérieures, cordons antéro-latéraw, sauf leur partie
postérieure
), on ne constate pas de lésions appréciables. Les
açon comparable à l'hypertrophie qu'elles présentent dans la région
postérieure
. Au niveau du cordon antéro-latéral droit, quelqu
é séparément des coupes transver- sales de racines à ce niveau. Les
postérieures
en particulier ont beaucoup souf- fert. Elles é
x direct. Du côlé des méninges, léger épaississement dans la région
postérieure
, mais sans envahissement de la moelle. Les cord
gion postérieure, mais sans envahissement de la moelle. Les cordons
postérieurs
sont absolument sains. Sur les préparations c
l'on y constate il peu près les mêmes lésions que dans les cordons
postérieurs
au niveau de la moelle cervicale. Sur les coupe
-même, d'une façon diffuse, dans l'étendue de sa demi-circonférence
postérieure
. A partir de la région cervicale, la lésion va
se dans la moelle dor- sale et qu'il suppose située clans la moitié
postérieure
de celle-ci, envahis- sant symétriquement les c
é postérieure de celle-ci, envahis- sant symétriquement les cordons
postérieurs
, les cornes postérieures et la moitié postérieu
i, envahis- sant symétriquement les cordons postérieurs, les cornes
postérieures
et la moitié postérieure des cordons latéraux.
ement les cordons postérieurs, les cornes postérieures et la moitié
postérieure
des cordons latéraux. L'auteur a eu le mérite i
e croûtes. En outre, dans la région inguinale gauche et à la partie
postérieure
du scapulum du même côté, deux cicatrices de même
on pénible dépression autour de la tête et prédominant ;i la partie
postérieure
, un peu au-dessus de la région occipitale. Do
ésentant une coupe du cerveau humain au niveau de l'extrémité toute
postérieure
des pédon- cules cérébraux, est destinée à mont
- phale, on voit en bas le pédoncule (P) et en haut l'ex- trémité
postérieure
de la 'couche optique correspon- dante (C 0); s
parties, il faut avoir égard à ce que l'auteur considère la région
postérieure
de la formation ammonique : « Le corps frangé o
s godronné et répond très médiatement à la couche optique, son bord
postérieur
très mince se continue avec la convexité de la
udé du corps strié (figuré comme une coupe triangulaire à la partie
postérieure
de la couronne rayonnante). Si dans' une coup
u corps strié, ainsi que nous l'avons indiqué ailleurs2, leur paroi
postérieure
est mince, fragile et présente des plis plus ou
est limitée par deux lèvres, l'une antérieure qui forme la limite
postérieure
de la fente de Monro, l'autre postérieure qui s
ieure qui forme la limite postérieure de la fente de Monro, l'autre
postérieure
qui se continue avec la paroi interne et postér
Monro, l'autre postérieure qui se continue avec la paroi interne et
postérieure
de l'hémisphère. C'est sur cette dernière por
ernière portion de la paroi cérébrale, c'est-à-dire contre la lèvre
postérieure
de l'orifice don- nant accès dans la bourse qui
r chacune d'elles, un noyau d'origine. Le noyau latéral des racines
postérieures
se trouve, d'après cet observateur, entre la pa
nt à leur issue du corps resti forme. Le noyau médian des racines
postérieures
occupe le plancher du quatrième ventri- , cule,
rmédiaire de Wrisberg. C'est ainsi que le noyau latéral des racines
postérieures
, et le noyau latéral des racines antérieures de
pondent au noyau antérieur de Huguenin. Le noyau médian des racines
postérieures
correspond au noyau interne de Huguenin, et le
u nerf auditif, celui que Krause appelle noyau médian des racines
postérieures
noyau interne de Huguenin. Le noyau inférieur d
er des /c ? i ! C/ ! 0 ! . Braunsch- 1879. 38 ANATOMIE. racines
postérieures
et antérieures le noyau anté- rieur de Huguenin
auditif : son noyau central correspond au noyau médian des racines
postérieures
de Krause; son noyau latéral au noyau médian de
de deux parties distinctes : une antérieure et inférieure; l'autre
postérieure
et supérieure. Ces deux faisceaux se. distingue
me même, il arrive cependant que ces fibres émergent de la partie
postérieure
supérieure du tronc du nerf au- ditif, à l'égal
per presque 48 ANATOMIE. tout l'espace de la partie supérieure et
postérieure
du nerf, ne laissant tout autour que très peu d
i déjà fait observer que les grosses fibres ner- veuses du faisceau
postérieur
et supérieur du nerf au- ditif, s'amincissaient
e du tronc du nerf auditif traitée par le picro-carminate. Faisceau
postérieur
supérieur montrantdes tubes nerveux à myéline v
ment. Fig. 2.-3/7 Hart. : Trois tubes nerveux à myéline du faisceau
postérieur
supérieur du nerf auditif soumis à l'action de
oloration gri- 90 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. sàtre des cordons
postérieurs
dans la région cervicale, une dilatation brusqu
dans la pie-mère médul- laire et le long des racines antérieures et
postérieures
. Ces lésions qui rétrocèdent dans les régions o
i. On trouve un foyer atrophique qui a détruit : 1° toute la partie
postérieure
de la troisième circonvolution frontale (le res
race des digitations; la première temporo-sphéno'idale et la partie
postérieure
de la seconde cir- convolution offrent la même
s devons signaler l'absence d'aphasie, avec une lésion de la partie
postérieure
de la troi- sièine circonvolution frontale DROI
à raison de l'imperfection des apophyses cli- noïdes antérieures et
postérieures
. ' Les grosses malformations cérébrales qui cor
vexité n'est point séparée en lobes. La base seule décèle un lobe
postérieur
et un lobe antérieur. Les caractères frappants
t de la circonvolution en crochet indiquent l'individualité du lobe
postérieur
; c'est le lobe temporal, et, par conséquent, l
este), à arrêter l'évolution des régions cérébrales internes (paroi
postérieure
de la vésicule des hémisphères ettrigone) par c
de trigone, de cloison transparente, de commissure anté- rieure et
postérieure
, et présentant en leur lieu et place une grande
, prolifération cel- lulo-granuleuse localisée, surtout aux cordons
postérieurs
, à l'exclusion des faisceaux de Goll, mais atte
des faisceaux de Goll, mais atteignant principale- ment les racines
postérieures
dans la région lombaire' .. ' i u c Jln tl( il
gauche. Appuyant surlemyosis et la paralysie du crico-aryténoidien
postérieur
droit, M. Remak insiste sur la valeur de cette
ir affaire au groupe tabétique ; pour lui l'altération des cordons-
postérieurs
remonterait environ jusqu'à la moelle allongée.
ipalement la face supérieure du chiasma, tandis que la commis- sure
postérieure
se montre à sa face inférieure. On peut suivre le
ylus verrucosus , cons- titué presque de toute la masse des cordons
postérieurs
de la moelle dont il formerait en même temps le
toute connexion nerveuse par la scission des racines antérieures et
postérieures
, en cinq à sept jours. Déjà au bout de vingt-qu
morts. Il a trouvé et montre aux assistants une lésion des cordons
postérieurs
, le processus était essentiellement limité aux
on méthodique et prolongée de la région précordiale et de la partie
postérieure
du thorax. Il paraît certain que les caillots t
ssort est plus résistant, élargi et fortement rembourré à la partie
postérieure
où il repose sur la colonne vertébrale qui sert
est d'un bon tiers moins volumineuse à gauche qu'à droite. La corne
postérieure
gauche parait également un peu moins développée
ux. Les commissures, les cordons de substance blanche, les cornes
postérieures
ne paraissent pas altérées. La corne postérieure
anche, les cornes postérieures ne paraissent pas altérées. La corne
postérieure
gauche est un peu plus grêle que la droite, mai
ts, il se produit une vive douleur au niveau de la nuque. La partie
postérieure
du cou présente une déformation très accusée, q
obe occipital, tou- jours il s'agit de lésions siégeant à la partie
postérieure
du pied de la couronne rayonnante ou dans son e
rouvé que l'amblyopie est en rapport avec les lésions de la @partie
postérieure
de la capsule interne ; mais elles semblent aus
s la partie interne du pied du pédoncule. Du tubercule quadrijumeau
postérieur
sortent des faisceaux qui vont dans la partie e
e, 2° de la substance de Soemmering, 3° du tubercule quadrijumeau
postérieur
, 4° du pied du pédoncule. Le faisceau de Türck es
n : dans la première, il y avait une dégénération grise des cordons
postérieurs
et des corps restiformes ; dans le second, on t
strique et spi- nal, dégénération grise des pyramides etdes cordons
postérieurs
et un petit foyer de ramollissement dans le cor
se- ment le trajet intra-crànien du nerf. Dans la fosse cérébrale
postérieure
, l'arachnoïde et la dure- mère le séparent de l
directement contre le sinus pétreux inférieur, puis contre la face
postérieure
de l'os. Au moment où il se réfléchit sur son b
flexe du genou (Schulze et Fùrbringer) ; 2° la section de la racine
postérieure
de la 6° paire lombaire, chez le lapin, abolit
e lapin, abolit le réflexe du genou (Tschiriew) ; celle des racines
postérieures
voisines n'a pas d'inflence sensible, à moins q
eps crural seul. En effet, lorsqu'on a sectionné toutes les racines
postérieures
d'un membre, et même, en outre, tous les nerfs
s muscles de la langue dans la partie la-plus inférieure et la plus
postérieure
du gyrus frontalis in- BIBLIOGRAPHIE. 371 l f
, liar Cli. Féré, 331. Moelle allongée (faisceau longitu- tlmnl
postérieur
de la calotte dans la), par Rollei, 345. Moel
frontal droit, répondant en arrière à une verticale rasant le bord
postérieur
de la mastoïde, à 8 cm., au-dessus du bord supé
, poils longs et noirs. Puberté. Poils aux aisselles et sur la face
postérieure
du thorax, sur le ventre et les fesses, sur le
atation du ventricule latéral, corres- pondant, artère communicante
postérieure
plus petite, étc. La méningo-encéphalite était
upe plus différencié, placé entre la corne anté- rieure et la corne
postérieure
, à côté du groupe intermedio- latéral, représen
llules des cornes antérieures ; par contre les cellules de la corne
postérieure
droite et de la zone intermédiaire du même côté
u syndrome. M. Debray estime en outre que les altérations du centre
postérieur
seul suffisent à l'expliquer les deux modes de
;on entrée. 4 CLINIQUE NERVEUSE. Autopsie. - Raclas : La partie
postérieure
des arcs lombaires montre que renfoncement osse
te chronique caractérisée par des adhérences des méninges à la face
postérieure
de la moelle, qui est élargie transversalement
egments, il offre une lumière qui admet une Une aiguille. Alaface
postérieure
du hulhe, au niveau de la toile choruidien- ned
u niveau de la toile choruidien- nedu IVe ventricule et sur la face
postérieure
des 2 premiers seg- ments cervicaux siègent 3 p
nes pouvant faire supposer un processus de régéné- ration. La paroi
postérieure
de la cavité médullaire qui existait à ce nivea
re des granulations noires au llarchi.La dégénérescence des cordons
postérieurs
n'est pas systématisée. Les libres endogènes so
à l'autopsie, on ne trouve qu'un en- foncement des arcs vertébraux
postérieurs
, qui restent aune certaine distance de la moell
'il faut rendre la pachyméningite interne responsable des accidents
postérieurs
. Cette espèce de méningite post-traumatique est
l insertion ethmoïdale de la faux du cerveau jusqu'à son insertion
postérieure
. 96 CLINIQUE NERVEUSE. Cette tumeur affecte
e se dirigeant eu dehors ('(en avant et aboutissant par son origine
postérieure
, à la scissure inlerhémisphériquc. Accniveau.
postérieure, à la scissure inlerhémisphériquc. Accniveau.le pôle
postérieur
de l'hémisphère, très écarté de la ligne médian
es circonvolutions olfactives : le pôle 1,'ii;. -. - Encéphale, vue
postérieure
. temporal droit est plus saillant, la légion ol
IQUES X. Du déplacement des fibres des pyramides dans les cordons
postérieurs
chez l'homme ; par Cuhtsr.. (Neurolog. l.'entcc
qui, au moment de l'entrecroisement, passent par le col de la corne
postérieure
(figure) soient identiques à celles du faisceau
ceau cunéiforme (figure). Le petit faisceau dispersé dans le cordon
postérieur
se divise en descendant, tout en se portant en
t en se portant en arrière et en dehors derrière la tète delà corne
postérieure
. Ses fibres qui immédiatement au- dessous de l'
e de l'accessoire, ils sont immédiatement en avant de la commissure
postérieure
. Constamment séparés des cordons postérieurs pa
avant de la commissure postérieure. Constamment séparés des cordons
postérieurs
par un pont ténu de substance grise, mais toujo
es deux côtés, pour, finalement, traversant des deux côtés la corne
postérieure
, entrer dans le cordon latéral des py- ramides.
ntérieure gauches plus petites que celles du côté droit. La portion
postérieure
des cordons latéraux, l'aire du cordon latéral
ne très notable exagération de la névroglie. Par con- tre, la corne
postérieure
gauche est hypertrophiée, surtout dans les régi
e oùles phénomènes de développement, voire de formation de la corne
postérieure
, n'étaient pas encore achevés (figures).. P. Ke
ec le manche du marteau ou avec une aiguille la peau de la partie
postérieure
et moyenne de la cuisse de haut en bas, vous obte
la ligne médiane du creux poplité en descendant le long de la face
postérieure
de la jambe, on obtient la flexion plantaire du
tes. Il est admis que la plupart des fibres qui forment les cordons
postérieurs
sont le pro- longement des racines postérieures
forment les cordons postérieurs sont le pro- longement des racines
postérieures
et. naissent des cellules des ganglions interve
es cellules des ganglions intervertébraux. Chaque fibre des racines
postérieures
, dès qu'elle est arrivée la moelle se divise en
MIE ET DE P,lYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 123 moelle vers la commissure
postérieure
, elles se collent aux fais- ceaux de Goll. Tout
re, elles se collent aux fais- ceaux de Goll. Toutefois les racines
postérieures
de la partie su- périeure du la moelle dorsale
ux de Goll et de Curllach que se ter- minent les libres des cordons
postérieurs
en ramuscules arbori- l'ormes. Mais toutes les
nt en longs trousseau prés du bord des cordons latéraux : la partie
postérieure
, la plus étroite et la plus compacte, forme le
t da- vantage dans la substance blanche. En même temps la portion
postérieure
, du faisceau latéro-cérébellcux émet un étroit fa
lbe, ce las- cicule s'allonge,s'étend dans la direction des cordons
postérieurs
et finalement les atteint : il se peut qu'il s'
es atteint : il se peut qu'il s'agisse de libres issues des racines
postérieures
qui, occupant d'abord les faisceaux latéro- cér
, avoisinenl, dans les régions supérieures de la moelle les cordons
postérieurs
, pour se terminer avec ces derniers dans les no
es-unes se terminent probablement dans les tubercules quadrijumeaux
postérieurs
: pour le reste de la des- cription, c'est à pe
re. B. Examen des dégénérescences descendantes. Celle des cordons
postérieurs
s'est manifestée ici sous les 3 formes décrites :
IOLOGIE PATHOLOGIQUES, moelle sacrée. Si l'on admet que les cordons
postérieurs
renfer- ment deux espèces de libres descendante
et totale de la moelle par un foyer détruit simultanément racines
postérieures
et cellules de substance grise, y compris celles
Déjerine et Thomas, Xageotte, les rameaux descendants des raci- nes
postérieures
sont atteints dans la dégénérescence en virgule
it ancien. On peut suivre la dégénérescence rétrograde de la racine
postérieure
jusque dans le ganglion spinal. On note aussi d
glions spinaux sur leur structure et sur leur fonc- tion. La racine
postérieure
, séparée du centre, est, contrairement à ce qui
ois des adhérences de la dure-mère, particulièrement dans la région
postérieure
de l'encéphale, la pic-mère est parfois épaissi
les artères radiculaires antérieures y manquent ; les radiculaires
postérieures
y sont, très rares. Et les artères centrales ne
t au troisième seg- ment lombaire, et, sur les artères radiculaires
postérieures
, au quatrième, son tableau montre une chute mar
sur lus rats, il se produit des troubles nutritifs dans les racines
postérieures
, une grande partie des cordons postérieurs, les
ritifs dans les racines postérieures, une grande partie des cordons
postérieurs
, les fibres radiculaires irradiées dans la subs
es fibres radiculaires irradiées dans la substance grise des cornes
postérieures
, avec atteinte particulièrement prononcée des ban
utours ajoutent la possibilité de lésions systématisées des cordons
postérieurs
asso- cilies ou non à celles des cordons latéra
d'une latérocidonce du cordon qui passait en sautoir sur l'épaule
postérieure
du f,etus,eL s'est trouvé comprimé pendant le dég
noyau oculo-moteur commun, et l'intégrité du faisceau longitudinal
postérieur
ainsi que de quel- ques libres radiculaires du
ieurs de la fosse temporale est mince, sans pannicule adipeux liers
postérieur
de la fosse temporale, large plaque d'atrophie
en ce point qu'a été appliquée la couronne du trépan. L'extrémité
postérieure
est sur une perpendiculaire de G centimètres et d
er le début de la paralysie générale. Le trau- matisme dans ce cas,
postérieur
à l'ictus, devientnon plus un facteur étiologiq
de la partie la plus infé- rieure de ce A' segment. Quant au groupe
postérieur
, il innerve le Archives, 2° série 1906, t. XXI.
n arrière, les centres des fléchis- seurs des orteils ou du jambier
postérieur
et du plantaire grêle. Le centre de ce dernier
e de préciser la localisation du po- plité, du soléaire, du jambier
postérieur
, des fléchisseurs tihialet péronier : ils doive
ne et postéro-intermédiaire. Chromatolyse et mor- pllisme du groupe
postérieur
. Atteinte aussi du 5- segment lombaire et des 3
eux ou plusieurs pat-Lies,(Iuisci-aienL en relation avec lesmuscles
postérieurs
de l'avant-bras ; ces cellules sont atteintes d
du 324 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES, groupe
postérieur
; mais, plus bas, le premier diminue tandis que
ostérieur ; mais, plus bas, le premier diminue tandis que le groupe
postérieur
augmente. Ce qui prouve que le groupe an- léro-
centre des muscles antérieurs de l'avant-bras, tandis que le groupe
postérieur
est celui de la main. e) On retrouve le centred
onde s'ontendsur la fréquence des scléroses combi- nées des cordons
postérieurs
et latéraux dans la paralysie géné- rale, mais
r, des altérations des cellules nerveuses de la moelle; - scléroses
postérieures
tabétiques, substratum anato- mique des associa
enqui est la manifestation la plus certaine des lésions des cordons
postérieurs
. Les auteurs, rejetant les cas douteux, ont ain
ubercule'ayant détruit la calotte de la protubérance sauf son quart
postérieur
. Origine syphilitique du tabès et de la paralys
s symptômes habituels, présentent des signes d'al- teinte du cordon
postérieur
. L'hérédité vient du côté maternel seulement.
a jargonaphasie correspondent habituellement L des lésions du tiers
postérieur
des deux premières circonvolu- tions temporo-sp
05. Fibres. Du déplacement des - des pyramides dans les cordons
postérieurs
chez l'homme, par Bumke, 121. Fibrilles color
gie, 234, 235, 236. Nerf. L'inéquivalence biologique de la racine
postérieure
et du - sensitif périphérique, par Koester, 1
hie lamel- laire. Queue de cheval. oir Laminec- tonie. Racine
postérieure
Voir Nerf. Rage. Altération spéciale nucléaire
ne s'élève au delà du front, ou ne s'étend aux régions latérales ou
postérieures
de la tête. L'exploration du crâne ne révèle au
largit .vers l'extrémité du premier sillon temporal, dans sa partie
postérieure
(qui présente plusieurs incisure; l' J -t S : '
ue"1 d'anatomieBet DE1PHYSIOLOGIE : 95 le "faisceau1 'longitudinal'
postérieur
f'seraitfen'i rapport évident avec les noyaux d
oise- ment des pyramides, dans.le. renflement latéral de la corne
postérieure
(caput cornu posterions de Clarke); le glosso-pha
s de la 'corne antérieure; 6)'desfdif- ? férents points de la corne
postérieure
; , , 1 Il .41 , .1 J . 1`itI Il ? 3° Les cellul
posté- rieure ; , z ... - - ·trwJ . y5°, Les cellules de.la corne
postérieure
. sont munies-de prolonge- ments cylindraxes, qu
racines,antérieures ;,c);dans le^cordon latéral ;tid) dansée cordon
postérieur
; e),à,travers la ligne ]nédiane,,ef,cn arrière du
ent de la moelle accusent une dégénérescence symétrique des cordons
postérieurs
a la limite des, faisceaux de, Goll et de Durda
? )'' "" ? .uni. 1 - "'l' ot\'J')O'l'l °"1 'J' '1 '1 0(> cordons
postérieurs
, sans psvchose. a h " J 1 .lIi. ci t 21..0('I9,
ades présentèrent aussi des symptômes de lésions /dans les cordons-
postérieurs
l'autopsie, de quatrel d'entre ; eux; en met l'
lle puisse être le premier s'yJJ1ptôlnede, l'altération des cordons
postérieurs
r et' pensel que : Je phénomène u, g,quJ ? >
gnant '-les'' pyramides, leur absence,-sa'localisation' à la partie
postérieure
de la 'région ] Ib" t,' b' N ." Il'' 'IL, ! J,
sale inférieure et sur la limite,,des zones, latérales des, cordons
postérieurs
, à lairégion; dorsale f supérieure ;Mesa muscle
te cause,réside : dans;la forme et levolume des deux trous déchirés
postérieurs
par -lesquels la plus grande partie du sang vei
ressions osseuses corres- pondantes manquaient également. La partie
postérieure
du trou déchirélpostérieur ne cdntenaitque les
des .veines habituelles < ordinaires. A gauche,-le trou déchiré
postérieur
mesurait pour plus grand diamè- tre 12 millimèt
? p ? ' 10' 3 de l'artère cérébrale ^antérieure; ' 1 . 5 - ' '* ?
postérieure
; , ' 4 un territoire non' 'délimité 'parles aut
3. AuTorsiE. Dure-mère rachidienne saine. Arachnoïdite de la face
postérieure
de la moelle dans les deux tiers inférieurs de
es deux tiers inférieurs de la région dorsale. Atrophie des racines
postérieures
au môme niveau. Teinte grise translucide de t
môme niveau. Teinte grise translucide de toute l'aire des cordons
postérieurs
. très appréciable sur les coupes de la région d
oscopique tous les nerfs périphériques paraissent sains Les racines
postérieures
de la région dorsale seules sont mani- festemen
me des fibres régénérées. 186 PATHOLOGIE NERVEUSE. Dans le tibial
postérieur
(fragment pris au milieu de la jambe) la grande
res sont atrophiées avec aspect conjonctif (type 5). Dans le tibial
postérieur
, au contraire, la plupart des fibres sont saine
mbaire. Les racines antérieures dorsales sont saines. Les racines
postérieures
, très diminuées de volume à l'oeil nu, sont presq
acines antérieures lombaires sont tout à fait normales. Les racines
postérieures
sont loin d'être aussi altérées que leurs congé
hérie. La moelle était sclérosée dans certains points : les racines
postérieures
corres- pondantes étaient dégénérées, ainsi que
loppement rapide. Altération des nerfs périphériques et des racines
postérieures
correspondantes ". Olivier Marcel, âgé de dix-n
racines antérieures sont toutes absolument saines. Dans les racines
postérieures
correspon- dantes, on trouve un bon nombre de f
ent présentent la fragmentation en blocs (type 1). Dans les racines
postérieures
beaucoup de fibres sont saines, quelques-unes m
ne est encore fragmentée en blocs. 13° Les racines antérieures et
postérieures
de la région cer- vicale, étudiées par comparai
étaient presque toutes saines, la plupart des fibres des racines
postérieures
appartenant aux mêmes paires étaient manifestem
lausible de ces différences entre l'état des racines antérieures et
postérieures
. Nous nous contentons de signaler le fait sans
s vivement colorées en noir. Les nerfs tibial antérieur et tibial
postérieur
présentent les mêmes altérations que les saphèn
très rares fibres fragmentées en boules (type 2). Dans les racines
postérieures
, presque toutes les fibres sont fragmentées en
tait une lésion médullaire et une altération évidente des racines
postérieures
correspondantes. Dans les deux cas, il s'était
et quelques râles fins au moment de la toux à la région moyenne et
postérieure
du poumon droit. - Un peu de raideur de la nuqu
nentes; la tête est relativement volumineuse surtout dans sa partie
postérieure
(diamètre antéro-postérieur de la calotte crâni
e colo- ration noire-ocreuse. Tout le lobe pariétal, et la partie
postérieure
des circonvolutions temporales sont adhérents,
se trouve cette dernière lésion, ainsi que sur les deux digitations
postérieures
du lobule ds l'insu la qui sont atrophiées et ind
oins épaisse de substance grise, notamment : 4° sur toute la moitié
postérieure
de la première circonvolution frontale; 2° sur
Pa, pariétale ascendante. P, pli pariétal supérieur. T, partie
postérieure
des circonvolutions temporales. T1, première te
la troisième circonvolution (à gauche), ou tout au moins du segment
postérieur
de celle-ci (adroite), qui constitue, de concer
manifestations se voient quand le processus, dépassant les cordons
postérieurs
, empiète sur les cordons latéraux. Trois éven-
lations chez un ataxique. (1%ig. G.) Calcanéum (14). - La facette
postérieure
de la surface articu- laire supérieure est enco
Premier métatarsien (1). ). - Considérablement épaissi à sa partie
postérieure
qui est complètement soudée au premier cunéifor
udée au deuxième cunéiforme (7). Toutes les surfaces articu- laires
postérieures
des trois autres métatarsiens sont plus ou moin
épaissi dans le sens de la hauteur, il en est de même de la partie
postérieure
du premier métatar- sien auquel il est soudé. L
les consonnes y, k, de la position de la base de langue à la partie
postérieure
. Les diffé- rentes positions palatales de la po
et stimule au contraire les centres sensoriels de l'écorce (région
postérieure
). Dans ces conditions, le patient se trouve tra
rescence caséeuse. Le coeur n'avait rien d'anormal. Sur la partie
postérieure
de l'épiglotte et, à la surface des ligaments v
intacte, la pie-mère bien ténue et trans- parente ; sur la surface
postérieure
, on trouvait quelques pla- ques calcaires; le p
ceaux latéraux; dans les autres parties de la moelle-fais- ceaux
postérieurs
et antérieurs et substance grise - il n'y en av
tés, et occupait la place caractéris- tique, c'est-à-dire la partie
postérieure
des colonnes latérales ; l'espace occupé par la
vers la substance grise, mais ne la touchait pas non plus ; le côté
postérieur
de ce triangle confinait par sa partie externe
ostérieur de ce triangle confinait par sa partie externe à la corne
postérieure
; sa par- tie interne était un peu distante de
plus tard de la substance grise) dans les fais- ceaux antérieurs et
postérieurs
ne présentait rien d'anormal tout le long de la
5 quantité égale à droite et à gauche, tandis que, dans la partie
postérieure
(supérieure) de la protubérance, on n'en trouvait
uantité, mais sur un espace très limité, précisément dans la moitié
postérieure
de la capsule interne entre la couche optique e
la couche optique et le noyau lenticulaire ; en divisant la moitié
postérieure
de la capsule en quatre parties égales, on voya
la substance blanche, y occupaient une région voisine de la partie
postérieure
de la limite externe du noyau caudé, vis-à-vis
olu- tion centrale antérieure que dans la circonvolution centrale
postérieure
; dans l'une, comme dans l'autre, on n'en trouvait
pacte dans la capsule; ils occupent le troisième quart de la partie
postérieure
de la cap- sule en comptant du genou et se trou
e l'autre. En mon- tant, ils tournent le noyau caudé dans son tiers
postérieur
; puis, divergeant de plus en plus, se dirigent
n. a., Moitié antérieure de la capsule interne. . C. i». 1 ? Moitié
postérieure
de la capsule interne. X, l'lace où ont été tro
. Se. li., Scissure de Rolando. C. c. p., Circonvolution centrale
postérieure
(pariétale ascendante). Se. par., Scissure inte
e. Se li., Scissure de Rolando. C. c. p., Circonvolution centrale
postérieure
. Se. par., Scissure interpariétale. Se. S. h.
Se. Il., Scissure de Rolando. ' C. c. p., Circonvolution centrale
postérieure
. Se. par., Scissure interpariétale. X, Place
e. Sc. R., Scissure de Rolando. C. c. p., Circonvolution centrale
postérieure
. Se. par., Scissure interpariétale. C. fr. I.
ctuel(août 1882).- Tête très volumineuse, développée dans sa partie
postérieure
, saillie très prononcée de l'occipital au niveau
correspondant à la partie nourrie par cette branche (dans la partie
postérieure
de la troisième circonvolution fron- tale gauch
du fond du sillon de Rolando, de la paroi antérieure et de la paroi
postérieure
de la pariétale ascendante, et du fond de la sc
Pa, pariétale ascendante. P, pli pariétal supérieur. T, partie
postérieure
des circonvolutions temporales. T1, première te
in. a., Moitié antérieure de la capsule interne. C. in. p., Moitié
postérieure
de la capsule interne. 11-ice où ont été ti@ou\
te). Se ? Scissure de Romande. C. c. 1)., Circonvolution centrale
postérieure
(pariétale ascendante). Sc. par., Scissure inte
ure. .Se ? Scissure de Rolando. C. c. p., Circonvolution centrale
postérieure
. Se. par., Scissure interpariétale. Se. S. lt
. Se. fi., Scissure de Rolando. r. c. p., Circonvolution centrale
postérieure
. Sc. par., Scissure interpariétale. 1, Place
. Sc. It., Scissure de Rolando. C. G. p., Circonvolution centrale
postérieure
. Se par., Scissure interpariétale. C. fI'. ?
ier, classique, de l'unité morbide décrite sous ce nom; les cordons
postérieurs
doivent être affectés, comme dans l'ataxie loco-
haryngiens conservés. Sensibilité du voile du palais et de la paroi
postérieure
du pharynx et du larynx normale. Pharyngite chron
eau de la.face.'Au cou elle prédomine pour les muscles de la région
postérieure
, qui ont en grande partie disparu (muscles des
long extenseur du pouce, l'extenseur commun des doigts, le cubital
postérieur
et rien dans les autres. Grand pectoral : norma
commun des doigts : très grande diminution d'excitabilité. Cubital
postérieur
: normal. Muscles abducteurs et extenseurs du pou
supinateur et le brachial antérieur, enfin les muscles de la région
postérieure
. Il ne cesse pendant cet effort de fixer ses rega
te avec les mêmes caractères : la tête oscille dans le sens antéro-
postérieur
ou transversal, la langue participe ou non au tre
iliaque ou une ligne paral- lèle située au-dessous, puis à la face
postérieure
du tronc s'incline est bas et en dedans, suivan
en en avant, à sommet coccygien en arrière (les deux V antérieur el
postérieur
étant réunis à droite et à gauche par une ligne
t penchée en avant, à cause de la faiblesse des muscles de la poche
postérieure
du cou. On ne constate cependant pas de déformati
ochés, profonds et parallèles au ligament de Poupart. Sur la partie
postérieure
du tronc, les sillons sont beaucoup moins accus
Les deux régions inguino-crurales, le creux poplité droit, la face
postérieure
du mollet droit, les points rétro-maHeoIaircs int
nce de deux tumeurs gliomaLeuses; l'une était siluée dans la partie
postérieure
de la couche optique droite; l'autre avait enva
-pariétalc, l'asymétrie frontale, etc. L'inspection suivant la face
postérieure
, norma ])ostel'iol' (Laurillard) ou occipitale,
périeure des oreilles en passant par l'ophryon. b. La demi-courbe
postérieure
donnée par la mesure du segment t joignant les
'autre main on fait mouvoir l'autre branche du compas sur la partie
postérieure
de la tête, en restant toujours dans plan médian
ostérieure de la tête, en restant toujours dans plan médian antéro-
postérieur
. L'écartement maximum des deux branches donne l
maximum des deux branches donne la mesure cher- chée, et la branche
postérieure
du compas indique alors le point le plus sailla
la capacité interne du crâne. Les deux demi-courbes, antérieure et
postérieure
, indiquent le développement relatif des moitiés
ieure, indiquent le développement relatif des moitiés antérieure et
postérieure
du crâne. Sans affirmer qu'il y a un rapport co
regards autour de lui. Lorsque l'atrophie des muscles de la partie
postérieure
du cou est très avancée, on voit entre la nuque e
. Bewan-Lewis démon Ira, outre les lésions ordinaires des faisceaux
postérieurs
, l'existence de lésions manifestes des noyaux d
logiquement, lésions spinales très-prononcées, sclérose des cordons
postérieurs
sur toute leur étendue; altérations des zones rad
égion cervicale. ' Dans la substance grise, dégénération des cornes
postérieures
, cavités kys- tiques occupant la substance géla
postérieures, cavités kys- tiques occupant la substance gélatineuse
postérieure
de la région lombaire. Corpuscules amyloïdes no
on débordait les cordons de Goll et paraissait derrière les cordons
postérieurs
jusqu'au niveau de la zonc radicu- laire postér
re les cordons postérieurs jusqu'au niveau de la zonc radicu- laire
postérieure
(colonne dé Burdach). Au niveau de la 4° paire de
fs lombaires, la sclérose s'enfonçait presque jusqu'à la commissure
postérieure
et s'étendait latéralement jusqu'au voisinage d
ur la moelle on découvrait à l'oeil nu une teinte grise des cordons
postérieurs
qui commençait au segment dorsal. Ilistologiq
diatement contigu au raphé, s'étendait jusque près de la commissure
postérieure
et avait une forme ovalaire à grand diamètre en
nombre de ces fibrilles se perdaient dans le faisceau longitudinal
postérieur
. Un réseau de fibrilles se voyait également à l
à la limite externe du second amas, en arrière, vers la commissure
postérieure
. Les deux amas étaient coudoyés par ces fibrill
'une prolifération interstitielle. Dégénérescence grise des cordons
postérieurs
allant du segment, cervical à la partie inférieur
que celui du moteur oculaire commun. Les noyaux du trochléaire dits
postérieurs
, à petites cellules, ne se voient plus; le noya
e on peut voir que : 4° cette lésion part en avant de la commissure
postérieure
qu'elle enveloppe complètement, de la partie po
commissure postérieure qu'elle enveloppe complètement, de la partie
postérieure
du chiasma optique, c'est-à-dire du corps pitui
adrijumeaux sous lesquels elle passe, et enfin 4° envahir les rênes
postérieures
de la glande pinéale, puis cette glande elle-même
a trouvé comme unique lésion médullaire des hémorrhagies à la face
postérieure
de la pie-mère spécialement au niveau de la rég
ent guéries et marchent facilement. UNS. I. Contracture des muscles
postérieurs
de la cuisse succédant à une hémiplégie. - Rétr
nait un léger résultat aussi- tôt limité par la tension des muscles
postérieurs
de la cuisse. Les tendons qui limitent le creux
constater la tension des muscles formant sous la peau de la région
postérieure
de la cuisse des cordes très appréciables. Au n
ais encore mobiles; il semblait que le raccourcissement des muscles
postérieurs
de la jambe et du tendon d'Achille ne jouaient ic
tions tendineuses portant, premièrement sur les tendons des muscles
postérieurs
de la cuisse au niveau du creux poplité, second
l'aide du chloroforme. « On put, dit-il, tracer la raquette à queue
postérieure
, décoller le lambeau, désarticuler, faire les s
su cellulaire adipeux sous-cutané abondant; oedème dans les parties
postérieures
des lobes inférieurs des poumons; coeur dilaté, f
hagies semblables se rencontraient dans la même région de la partie
postérieure
des couches optiques et allaient sans interruptio
ylvius; dans plusieurs coupes elles existaient dans la commis- sure
postérieure
elle-même, ainsi qu'au-dessus et au-dessous de ce
elles diminuaient peu à peu, puis disparaissaient et dans la partie
postérieure
, le tissu ne présentait rien d'anormal, de sort
t auditif à la planche graduée ou projec- tion horizontale du crâne
postérieur
; 2° la distance CB' du point sous-nasal au même
e CD, la projection du crâne anté- rieur DO, la projection du crâne
postérieur
OB'. La comparaison de ces trois éléments fourn
ommet inférieur, la fossette intercrurale. En arrière de la branche
postérieure
de la fourche se trouve une dépression allongée
fossette scaphoïde. Le tragus est une saillie triangulaire à sommet
postérieur
, située au devant du conduit auditif externe do
la connue. t, Fossette intercriirale. 5, Dédoublement de la branche
postérieure
de la fourche. 0, Fu..rtte scaphoïde. 7, Nodule
l'hélix présente un déve- loppement anormal et recouvre la branche
postérieure
de la fourche et la fossette scaphoïde. D'autre
main. En excitant tour ;1 tour les muscles de la face antérieure ou
postérieure
de l'avant-bras, on voit le poignet se fléchir
remonte aux membres. supérieurs jusque vers le coude et à la partie
postérieure
du bras sous forme de plaques serpigineuses. Da
bien sur les membres que sur la partie antérieure et sur la partie
postérieure
du tronc, sur les fesses, est marbrée de plaque
ur la coloration blanche du reste de la peau (Pl. XXXVI). La partie
postérieure
des bras et les fesses . portent des plaques un
sieurs années et leur exactitude est bien établie, 27 avril, face
postérieure
de la fesse droite : plaque asphyxique, T. 29° i;
sphyxique, T. 29° i; plaque saine voisine, T. 30 ? 28 avril, face
postérieure
de la fesse gauche : plaque asphyxique, ` ? J°8;
a un phénomène qu'on ne concevrait pas dans la sclérose des cordons
postérieurs
sans lésions pupillaires. Il est vrai, et nous
aires, etc., pouvaient bien faire songer à une sclérose des cordons
postérieurs
, mais la conserva- tion des réflexes et surtout
'il s'agissait d'un homme. Il ne vit là qu'une sclérose des cordons
postérieurs
ayant franchi ses limites spinales et gagné la ca
suivante : « C'est un exemple bien évident de sclérose des cordons
postérieurs
chez un saturnin. » Or, le 28 juin 1886, M. le
le qu'on accorde à d'autres maladies et que la sclérose des cordons
postérieurs
peut être un agent provocateur de l'hystérie. L
ortants et qui est en outre inconstant dans la sclérose des cordons
postérieurs
. Fié. 70. Fig. 71. Anesthésie en îlots (d'"
sectionnant tous les conducteurs centripètes (racines rachidiennes
postérieures
des nerfs lombaires) d'un côté du corps, et en
par de l'adipose sous-cutanée. Les muscles des faces antérieure et
postérieure
de la cuisse sont très atrophiés. Le malade fléch
y- liens conservent un léger relief; quant aux muscles de la partie
postérieure
de l'avant-bras, on ne peut plus les sentir ri
de l'avant-bras est encore possible; mais à la palpation de la face
postérieure
, on ne retrouve plus les faisceaux du triceps.
de la ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS», ,133 partie
postérieure
. A la partie antérieure, il y a une atrophie très
la reproduction exacte des symptômes poliomyéliques antérieurs et
postérieurs
de la gliomatose (dissociation de la sensibilité,
turellement par la localisation du- processus morbide dans la corne
postérieure
, la coexistence de ces deux symptômes s'observa
près aussi avancée sur les deux hémisphères cérébraux. Les lobes
postérieurs
des deux poumons sont fortement congestionnés.
érences de la dure-mère sont détruites dans la région des cor- dons
postérieurs
; d'autre part, la névroglie soumise à une tractio
ment pour détruire les adhérences entre la pie- mère et les cordons
postérieurs
de la moelle. Sans entrer dans le fond même de
rieur était limité en avant et de chaque côté par les vertèbres, le
postérieur
en arrière et des deux côtés par la rigole. Le
la première passait immédiatement en avant des racines des membres
postérieurs
, et la seconde en arrière des membres anté- rie
, dans le canal lui-même, dans les commissures grises antérieure et
postérieure
et entre les cellules ganglionnaires des cornes
eure et entre les cellules ganglionnaires des cornes antérieures et
postérieures
. Les foyers hémorrhagiques étaient disséminés t
ssus provenant des par- ties cérébrales qui l'entourent. La branche
postérieure
de la capsule est en rapport en arrière et en h
à 15 millimètres environ en dehors de la ligne médiane, la partie
postérieure
du lobule orbitaire reçoit des faisceaux capsul
estination. L'insula elle-même, sauf ses extré- mités antérieure et
postérieure
, ne reçoit aucune expansion de la capsule inter
st constituée que par la subs- tance blanche comprise entre le bord
postérieur
du noyau lenticulaire et la queue réfléchie du
est formée principalement par les fibres qui viennent de la partie
postérieure
de la couche optique (pulvinar et corps genouil
gueur du segment antérieur est de 2 cen- timètres, celle du segment
postérieur
de 4 cen- timètres. f) Dans le segment antéri
ur direction : il en est de même dans le dernier quart du segment
postérieur
, c'est-à-dire de la portion comprise entre le b
gment postérieur, c'est-à-dire de la portion comprise entre le bord
postérieur
du noyau lenticulaire et la queue du noyau caud
antérieur de la capsule provient de la partie antérieure du segment
postérieur
dont les fais- ceaux se courbent en avant à des
ection s'éloigne de la ligne médiane. Le tiers antérieur du segment
postérieur
ne constitue donc en réalité que le commencemen
ntérieur n'est que l'expansion de la partie antérieure du segment
postérieur
. Quatrième coupe. Cette coupe doit passer par l
bord, comme le démontre la coupe sagittale X; 2° que les faisceaux
postérieurs
se dirigent en arrière sous la forme d'une lame
ans le même sens,est limitée en dedans par le tapetum et la corne
postérieure
du corps calleux, en dehors par les fibres arci
bres arciformes, intergyraires. Entre les faisceaux antérieurs et
postérieurs
s'en trouvent d'autres, de grosseur variable, s
ble de ces faisceaux fait suite au tiers moyen environ du segment
postérieur
de la capsule coupée dans sa plus grande étendu
entrales, à l'origine du lobule pariétal inférieur et à l'extrémité
postérieure
de l'insula. La description qui précède nous pe
la tête du noyau caudé et dont le fond répond au centre ovale. La
postérieure
, qui est la plus grande, est conique; elle repr
. Ils vont d'un seul trait, sans interruption ni réduction, du lobe
postérieur
DE LA CAPSULE INTERNE ET DE LA COURONNE RAYONNA
° Dans la partie moyenne ou pariéto-sphénoïdale ; 3° Dans-la partie
postérieure
ou occipitale. Telles sont les trois questions
e antérieure des hémisphères ayant pour limite, en arrière, la face
postérieure
de la 1 \ ANATOMIE. 4° zone frontale. Dans le
alleux, c'est-à-dire à l'union du tiers antérieur et des deux-tiers
postérieurs
du lobule paracentral. Incontestablement, dans
de nombreux faisceaux rayonnants paraissant des- tinés à la moitié
postérieure
environ de la circonvolu- tion qui circonscrit
C. Manière dont se comporte la couronne rayon- nante dans la partie
postérieure
ou occipitale.-Ce que l'on appelle prolongement
constitue, pour ainsi dire, un système à part compris entre le bord
postérieur
du noyau lenticulaire et la 18 ANATOMIE. part
upes horizontales moyennes et la coupe frontale passant par le bord
postérieur
du noyau lenticulaire. (Face postérieure de la
ntale passant par le bord postérieur du noyau lenticulaire. (Face
postérieure
de la 5e zone mésolobaire.) D'après Meynert et
tique située en arrière d'un plan transver- sal passant par le bord
postérieur
du noyau lenticu- laire et la commissure cérébr
bord postérieur du noyau lenticu- laire et la commissure cérébrale
postérieure
. Ce sont les fibres optiques de Gratiolet. Les
, DE LA CAPSULE INTERNE ET DE LA COURONNE RAYONNANTE. 25 avec les
postérieures
dans celui de la cinquième tem- porale. Mais si
erne du lobule temporal. J'ai déjà fait remarquer que sur la face
postérieure
de la cinquième zone frontale, les irradiations
deux centi- mètres au moins, car, nous le retrouvons sur la face
postérieure
de la septième zone frontale, où il limite en d
ents de son milieu et, à plus forte raison, à ceux de son extrémité
postérieure
ne sont, au con- traire, que des fragments de f
i., corps genouillé interne. C. i. ? p., capsule interne; faisceaux
postérieurs
. C. i. fl., capsule interne; genou. , C. i. s
e interne; segment antérieur. C. i. s. p., capsule interne; segment
postérieur
. f. l, s. e., faisceau longitudinal supérieur e
s exception tous les mus- cles de la région externe et de la région
postérieure
de l'avant-bras. Ce sont les muscles : Long s
Les deux radiaux externes ; Court supinateur; Anconé; Cubital
postérieur
; Extenseur propre du petit doigt; Extenseur c
és par le radial sont tous extenseurs : les uns du poignet (cubital
postérieur
et les deux , radiaux) , les autres des doigts
uel s'est fait la rupture, enfin (recour- bant les doigts), la face
postérieure
de la rotule.-Pas d'atro- phie évidente des con
l'avons pas pensé. M. Schiff en a jugé autre- ment. Dans un travail
postérieur
de deux ans à notre première publication sur ce
signalées par Betz. On peut en trouver des groupes dans les régions
postérieures
et même vers la base. Il en a trouvé surtout un
t musculaire. , La pression sur la masse des muscles de la région
postérieure
de l'avant-bras amène l'extension des ÉTUDE DE
fut le premier à établir que « toutes les circonvolutions des lobes
postérieurs
du cerveau concourent à la fonction visuelle s.
tre visuel, admettent tous que ce centre se trouve dans la partie
postérieure
du cerveau et'qu'il ne dépasse pas en avant le pl
sie, on trouva un vaste foyer de ramollissement 'occupant la moitié
postérieure
de la surface convexe de l'hémis- phère gauche.
toute la première circonvolution temporo-sphénoïdale et la partie
postérieure
de la deuxième temporo-sphénoïdale. ' ' il, ' L
minution de volume est très accentuée pour les muscles de la région
postérieure
. Cette lésion' correspond à la chute de la main
ue les impressions acoustiques, ont pour locali- - sation les lobes
postérieurs
et plus rigoureusement le lobule triangu- laire
région cérébrale connue comme la première circonvolution cérébrale
postérieure
am sillon cru- cial, effectuée près de ce sillo
genouillé interne. f ' ♦ » C. i. f. p., capsule interne; faisceaux
postérieurs
. C. i. g., capsule interne ; genou. , . C. i.
e; segment antérieur. , , , ? C. i. s. p., capsule interne; segment
postérieur
? , 1. s. e., faisceau longitudinal supérieur e
foyer hémorhagique qui a détruit la couche optique gauche, la partie
postérieure
du noyau intraventriculaire du corps strié gauche
er anfractueux dans ta couche optique gauche, empiétant sur la partie
postérieure
des corps striés. Ce foyer a fait irruption dans
gauche ; le sang, après avoir déchiré les circonvolutions à la partie
postérieure
, s'étend sous la méninge. Le foyer renferme sur
ils sont disposés principalement sur les branches de la cérébelleuse
postérieure
et supérieure. On ne trouve pas d'anévrysmes dans
74 ans. — Morte le 10 novembre 1867 d'hémorrhagie cérébrale clu lobe
postérieur
droit, quatre jours après l'attaque. — Anévrysmes
12 janvier 1807 d'hémorrhagie cérébrale. Foyer récent dans la partie
postérieure
du noyau blanc de l'hémisphère cérébral gauche. A
cente dans le noyau blanc de l'hémisphère cérébral droit, à la partie
postérieure
. Anciens foyers d'hémorrhagie dans le même poin
n ce point et un caillot sanguin, pesant 30 grammes, occupe la partie
postérieure
et inférieure gauche de la grande cavité arachnoï
rouve un foyer hémorrhagique récent qui occupe la partie moyenne et
postérieure
du corps strié. On découvre dans l'épaisseur de c
artères de la base sont fortement athéromateuses. L'artère cérébrale
postérieure
droite est complètement oblitérée par l'athérome,
calement la couche optique et le corps strié, à l'union cle son tiers
postérieur
avec les deux tiers antérieurs. La capsule blanch
et de la couche optique du côté droit. Autre ancien foyer à la partie
postérieure
du noyau blanc du lobe occipital du même côté. —
ant à un degré assez notable, beaucoup plus que la gauche. La branche
postérieure
de l'artère sylvienne droite est oblitérée, et, e
ie, on trouve les lésions de la paralysie générale; puis dans le lobe
postérieur
de l'hémisphère droit, un foyer d'hémorrhagie anc
foyer d'hémorrhagie ancienne atteignant la paroi externe de la corne
postérieure
du ventricule latéral du même côté. On trouve une
rès prononcée du membre supérieur du même côté ; rigidité des muscles
postérieurs
du cou; la face est tournée à droite. Mort deux j
olume d'une petite noix, occupe l'épaisseur d'une des circonvolutions
postérieures
. Le cerceau présentait en outre une multitude pro
s la queue du corps strié droit un foyer ocreux contenant à sa partie
postérieure
une matière pulpeuse et qu'on est indécis à rappo
e, présentait à l'autopsie, en même temps que la sclérose des cordons
postérieurs
de la moelle, d'assez nombreux anévrysmes intra-c
it. — Oblitération fibrineuse et athéroma-teuse de l'artère cérébrale
postérieure
correspondante. Hémiplégie gauche avec flaccidité
(zonaj se voient à la suite d'altérations des racines ou des cordons
postérieurs
de la moelle. On sait aussi que les fibres nerv
es fibres nerveuses sensitives qui forment les racines et les cordons
postérieurs
de la moelle ont une terminaison à la peau plus c
la suite d'irritation centrale. VI. Hémorragie cérébrale du tiers
postérieur
de la capsule interne (1). M. Charcot, à propos
Un tableau symptomatique tout différent résulte de la lésion du tiers
postérieur
de la même capsule. On se trouve alors en face d'
A. la face interne du pariétal gauche et à sa partie inférieure e|
postérieure
on reconnaît une sorte diulscération de Vos, La t
scissure médiane à la réunion du tiers antérieur avec les deux tiers
postérieurs
de l'hémisphère, et Forme une dépression pouvant
la partie inférieure de l'hémisphère droit du cerveau, vers sa partie
postérieure
, il existe un abcès considérable... On voit que
issement jaune occupait le fond de la scissure de Sylvius et son bord
postérieur
. Le ramollissement avait détruit : 1° sur le lobe
mité inférieure, et dans toute leur étendue, les deux circonvolutions
postérieures
de ce lobule. En profondeur, le ramollissement
orps strié tout entier et le noyau intra-ventriculaire dans sa moitié
postérieure
seulement étaient envahis par le ramollissement.
nces, chez d'autres sujets atteints de myélite sclé-reuse des cordons
postérieurs
. Cette prévison devait se réaliser, ainsi qu'on l
e âgée de 42 ans, chez laquelle les symptômes de la myélite scléreuse
postérieure
, aujourd'hui fortement accusés, se sont manifesté
les. L'arthropathie des ataxiques, au contraire, paraît être toujours
postérieure
en date à l'altération scléreuse de la moelle épi
éloigner la rotule des tond g les de plus d'un centimètre. La partie
postérieure
du membre était surtout infiltrée. Le treizième j
les symptômes, la blessure avait dû intéresser la totalité du cordon
postérieur
et du cordon latéral de la moelle du côté gauche
comotrice progressive. En effet, raJférafion particulière des cordons
postérieurs
à laquelle se railachenf les symptômes de cette m
e femme, aujourd'hui âgée de soixanle-et- 1. L'atrophie des racines
postérieures
peut, à cette période de la maladie, manquer comp
me celles-là relèvent directement de la m\élite scléreuse des cordons
postérieurs
. Cette conclusion toutefois, ne saurait être prop
s pariétales, immédiatement en arrière de la circonvolution marginale
postérieure
. Le ramollissement s'étend à la substance blanche
litérée toutefois, par un thrombus décoloré et adhérent.Deux brandies
postérieures
de cette artère, qui se dirigent vers le foyer de
t très fortement congestionnés et comme imbibés de sang à leur partie
postérieure
. Les différents viscères de Y abdomen n'ont prése
iatement en arrière du sillon de Rolando, la circonvolution marginale
postérieure
, à son extrémité supérieure, au niveau de l'étage
e, déprimée, de 4 centimètres de diamètre environ, occupant la partie
postérieure
du lobe pariétal. Le ramollissement n'est pas bor
ecouverts par le ligament dorsal du carpe, sont sillonnés à leur face
postérieure
par de nombreux vaisseaux fortement distendus par
s propres à l'hystérie. On sait qu'à la suite de lésions de la partie
postérieure
de la capsule interne, peut-être de l'extrémité d
sule interne, peut-être de l'extrémité du rayonnement de cette partie
postérieure
, il survient de l'hé-mianesthésie en même temps q
fléchir la jambe et bien la soutenir en tenant la main sous la partie
postérieure
de la jambe) ; 3° la trépidation spontanée que l'
sans exception tous les muscles de la région externe et de la région
postérieure
de l'avant-bras. Ce sont les muscles : Long sup
Les deux radiaux externes ; Court supinateur ; Anconé ; Cubital
postérieur
; Extenseur propre du petit doigt ; Extenseur com
rvés par le radial sont tous extenseurs : les uns du poignet (cubital
postérieur
et les deux radiaux), les autres des doigts (exte
on externe : le long supinateur ; les radiaux externes. A la région
postérieure
: l'extenseur commun; l'extenseur propre de l'ind
seur propre de l'index; l'extenseur propre du petit doigt; le cubital
postérieur
. Des trois muscles du pouce, le long extenseur
soit directement, en Fig. 15. — Quelques points moteurs de la face
postérieure
de l'avant-bras et de la main. R, nerf radia!.
ne; 3, deuxième radial externe ; 4. extenseur des doigts ; 5, cubital
postérieur
; 6, extenseur propre du petit doigt ; 7, extense
ement musculaire. La pression sur la masse des muscles de la région
postérieure
de l'avant-bras amène l'extension des doigts et d
ers-Ezn, dans des expériences sur les mouvements réflexes d'un membre
postérieur
de la grenouille, a indiqué des régions de la pea
quisme, p. 234. c Capsule ínterne, hemorrhagic cérébrale du tiers
postérieur
de la -, p. 89. CaruS h y s lé fique, p. 257, 2
e de 1' —, p. 71; — atrophie des reins cause del' —, p. 72;— du tiers
postérieur
de la capsule interne, p. 89 ; — température cent
e dans le repli gastro- colique, repli qui représente le mésogastre
postérieur
, c'est-à-dire la cloison conjonctive médiane qu
vésicule auditive et que souvent même elle n'atteint pas le cerveau
postérieur
; l'encéphale presque tout entier pré- existe à
eurs. Une troisième ecchymose moins bien dé- finie marque le rebord
postérieur
de l'aisselle et se perd sur la partie supéro-l
ue dans la partie moyenne du membre et particulière- ment à la lace
postérieure
du coude. L'enquête soignée à laquelle nous avo
fige Mitteilung (Recherches exp.sur l'An. et la Phys. des racines
postérieures
des nerfs rachidiens. Communication préliminaire)
. (Neurol.Ctrbl. XXV, fasc. 7, p. 297 â 300). Section des racines
postérieures
chez 4 Macacus rhesus, puis su- ture de la dure
urent tués un mois après l'opération. La section d'une seule racine
postérieure
ne produit pas le plus léger trouble moteur dan
r dans le membre correspondant. La section de plusieurs des racines
postérieures
correspondant à un membre produit des troubles
ement au bout de quel- ques jours. La section de toutes les racines
postérieures
d'un 56 REVUE n'ANA10MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATH
esse et d'atrophie des muscles de ce membre. Quoique la 8° racine
postérieure
cervicale pré, ide à la sensi- sibilité d'une g
st que secon- daire dans la motricité du membre : quand la 1 racine
postérieure
dorsale et « vraisemblablement » plusieurs autr
y compris la 8e. Après section d'une série ininterrompue de racines
postérieures
correspondant à un membre, les mouvements de pr
t formée presque uniquement des bran- ches descendantes des racines
postérieures
. Le siège et l'étendue en hauteur de sa dégénér
ndue en hauteur de sa dégénération dépendent du siège des racines
postérieures
sectionnées. Pourtant, après section des dernière
int pas la moelle lombaire. Après section unilatérale des racines
postérieures
, il n'y a ja- mais dégénération dans le cordon
racines postérieures, il n'y a ja- mais dégénération dans le cordon
postérieur
du côté opposé.On observe, par contre, dans les
la périphérie de la substance blan- che. La division des cordons
postérieurs
en cordon de Goll et cor. don de Burdach ne s'a
rectiligne. Dans cer- tains cas, une partie des fibres des cordons
postérieurs
passe par les noyaux de ces cordons, s'engage d
posé et se dirige aussitôt vers l'écorce. Après section des racines
postérieures
, les cellules motrices des cornes antérieures n
expliquer les troubles moteurs. Dans le bout médullaire des racines
postérieures
sectionnées, l'auteur ne trouva pas de fibres s
bre dégéné- rée. L'auteur en conclut que,chez le singe, les racines
postérieures
ne contiennent pas de fibres médullifuges. Ce r
391, 3 fig., 1er mai 1906) (1). On sait que la section des racines
postérieures
produit dans le membre correspondant des troubl
ments. On sait, d'autre part, que, chez les mammifères, les racines
postérieures
contiennent des fibres vasomotrices dont t l'in
IE PATHOLOGIQUES. Chez le pigeon domestique, la section des racines
postérieures
d'une patte entraîne des troubles moteurs, tant
les et des phalanges etc. Quant à l'aile, la section de ses racines
postérieures
ne cause jamais le moindre trouble dans ses mouve
Py. C. et -D. des deux côtés ; plusieurs hémorrhagies dans la corne
postérieure
droite. Moelle dorsale : D à à D 7j dégénératio
à D 7j dégénération symétrique, en vir- gule, dans les deux cordons
postérieurs
. Moelle lombaire : hémor- rhagies dans la corne
cordons postérieurs. Moelle lombaire : hémor- rhagies dans la corne
postérieure
gauche ; dégénération diffuse très légère des d
térieure gauche ; dégénération diffuse très légère des deux cordons
postérieurs
. 3° Homme de 38 ans; les réflexes patellaires v
ite et nul à gauche.- Autopsie : Dé- génération diffuse des cordons
postérieurs
, légère, dans la moelle cervico-dorsale, plus a
ion récente très légère, qui échappe au Pal, tandis que les cordons
postérieurs
paraissent sains. L'auteur remarque que dans le
de Nonne et pense avec ces auteurs que la dégénération des cordons
postérieurs
peut être quelquefois assez légère pour permett
sSOT XIII. De l'influence de la section expérimentale des racines
postérieures
sur l'état des neurones périphériques. Contributi
hériques. Contribution à l'étude des fibres centrifuges des racines
postérieures
; par Roux et HEITZ. (Nouv. Icon. de la Salp. 1
Ces auteurs ont expérimenté sur le chat : la section des racines
postérieures
produit des réactions bien différentes dans les d
Les recherches ont mis en évidence l'existence, dans les racines
postérieures
,de fibres myéliniques à trajet centrifuge. Il est
rtager l'opinion de Koster que la section expérimentale des racines
postérieures
détermine des altérations des nerfs péri- phéri
crites dans le 'tabes ; dans les nerfs périphériques et les racines
postérieures
l'a- trophie simple à type segmentaire du tabes
t,par conséquent dis- tinct de celui des fibres gustatives du tiers
postérieur
de la langue ; - des symptômes de vertige de Mé
moins large du tronc, en forme de ceinture ou de corset, et la face
postérieure
des mem- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 79 bres
u hyperes- thésie dans une zone de là région lombaire ou de la face
postérieure
du thorax, ou dans une zone du tronc en forme d
logie ne peut être uniquement conditionné par la lésion des cordons
postérieurs
ou par celle des nerfs périphériques. Le tabes
ns latéraux ; ta- bes dorsalis avec faibles altérations des racines
postérieures
. M. Long (de Genève). - A l'autopsie d'un homme
re, remarquable par la faible intensité des altérations des racines
postérieures
dans la région lombo- sacrée. J'ai constaté l
les viscéraux et signe d'Ar- gyll-Robertson. Ici encore les racines
postérieures
de la moelle étaient très peu altérées. Ces f
elles recherches sur l'histologie fine des ganglions et des racines
postérieures
dans le tabès. MM. MARINESCO et J. 1-11Nr- : L
rest). -Nous venons d'examiner les ganglions spinaux et les racines
postérieures
dans 5 nouveaux cas de tabès simple ou associé
104 CONGRÈS DES MEDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. les racines
postérieures
n'anivent jamais à leur maturité et gardent tou
quc consiste dans l'intoxication de la branche centrale des racines
postérieures
, qui empêche les fibres de nouvelle formation d
za qui rencontra dans le lobe électrique de la torpille, à un stade
postérieur
à la diffé- renciation des neuroblastes, des ne
adjacente du putamen étaient détruits dans leurs quatre cinquièmes
postérieurs
. Pas trace d'anarthrie dans le sens de M. Pierr
Herrn Dr Z. BI CIIO\VSICI. Sur l'anatomie du faisceau longitudinal
postérieur
. Par le Docteur S. J. de Lange. M. le Dr A. M
t blanc rosé à l'extérieure et sur la coupe, reposait sur la partie
postérieure
de la moelle qu'elle avait creusée d'une dépres
égénérescence ascendante au- dessus de la tumeur dans les faisceaux
postérieurs
et la moelle. Au point de vue histologique, la
la gestion de ses biens et revenus » . Le décret du 31 Mai 1862,
postérieur
à I« Instruction Générale, a reproduit, en son
avec méninges 1170 gr. Dure-mère assez tendue. La fosse cérébrale
postérieure
et la selle turcique sont couvertes de pus jaune
on constatable par les colorations Weiget-Pal et carmin.Les cordons
postérieurs
ne sont pas sclérosés. A la cauda equina, les f
sis entre la dure-mère et la substance nerveuse avec prédomi- nance
postérieure
. La dure-mère est aussi infiltrée ; on trouve m
arrière en avant entre les faisceaux de la bandelette longitudinale
postérieure
et dans l'espace com- pris entre les bandelette
i- que. La cause est donc vraisemblablement une lésion du cerveau
postérieur
, ou bien un trouble de l'arc réflexe cérébral gén
rales ne sont pas dirigées directement par les centres sen- soriels
postérieurs
: elles le sont toujours par l'intermédiaire du
s dizaines d'années. L'infiltration n'était pas limitée aux cordons
postérieurs
mais s'étendait sur toute l'épaisseur de la moe
qu'il constata dans la pio- duction de la dégénération des cordons
postérieurs
. Ch. B. XXXVII. - Ueber Hemiplegie bei intakter
l'hémisphère droit surtout dans la région rolandique. Dans la lèvre
postérieure
de Fa, la 'cou- che des pyramidales géantes est
, qui recon- naît pour cause des lésions des racines et des cordons
postérieurs
. Le signe principal est la diminution puis la d
convulsions ; pas d'otorrhée, a eu de l'impétigo limité à la partie
postérieure
des oreilles. Pas d'adénites, pas de maladies d
op- pés ; duvet roux à la partie médiane et supérieure de la face
postérieure
du thorax ; ventre glabre ; léger érythème sur le
ière. Les sutures sont finement dentelées. Les angles antérieurs et
postérieurs
des pariétaux sont transpa- rents. Le crâne est
Sclérose trophique d'une partie du lobe occipital et de la par- tie
postérieure
du lobe temporal surtout de T 3. La lésion de l
Les lésions de mccningo-encèphalile occupent F 1 et F 2, la partie
postérieure
et les deux tiers inférieurs de F. A. qui est m
volutions sont très grêles. Adhérences de la pie-mère sur la partie
postérieure
de F 1 sur la circonvolution du corps calleux s
iz1. Et encore suis-je au-dessous de la vérité : des renseignements
postérieurs
. positifs, m'indiquent comme s'étant livrés il
Fibres. De l'influence de la sec- tion expérimentale des racines
postérieures
sur l'état des neu- rones périphériques. Contri
phériques. Contribu- tion à l'étude des centrifu- ges des racines
postérieures
, par Roux et ileitz, p. 63. Fièvre. Sur deux
ey·périmen- tales sur l'anatontic et la phy- siologie des racines
postérieures
desrnehi(tiens.Communica- tion préliminaire,
lisation, par Blach, p. 300. Ihitl., par Bumke, p. 300. Racines
postérieures
. Voir Fibres.. M, 1 Radiculite lombaire, par
cordons latéraux. dorsalis avec faibles altéra- tions des racines
postérieures
, par Long, p. 162. Nouvelles recherches sur l
s recherches sur l'histologie fine des ganglions et des racines
postérieures
dans le -, par Marinesco et 3linel, p. 164. a
e anatomique, on observe une dégénérescence des fibres radiculaires
postérieures
(zone cornu-radiculaire; zone des bandelettes e
qui préside à l'établissement des lésions des racines et cordons
postérieurs
de la moelle au cours des tumeurs céré- brales.
s lésions sont nettement prédomi- nantes sur le système radiculaire
postérieur
, ainsi que les 'premiers observateurs l'avaient
servateurs l'avaient bien expressément noté. Mais, dans les cordons
postérieurs
, elles sont d'emblée diffuses, n'obéissant à au
ent égale (zone cornu-radiculaire ; bandelettes . externes ; champs
postérieurs
); de plus, quelle que soit leur durée, elles n'
aphie n'est pas moins intéressante à étudier au niveau de la racine
postérieure
; ainsi, l'intensité des lésions augmente manife
ur les coupes sériées, pratiquées à tous les niveaux de la racine
postérieure
. C'était là remarquons-le en passant une consta
orienter vers un endroit bien déterminé du système radicu- - laire
postérieur
toutes les recherches concernant le méca- nisme
tômatiques des tumeurs cérébrales, au niveau des cordons et racines
postérieurs
. Quoi qu'il en soit, le processus histologique
ue est sensiblement le même partout, dans les régions sensitives et
postérieures
comme, dans les régions motrices et antérieures
plus nettement la dislocation des fasci- cules nerveux de la racine
postérieure
principalement; les lésions, surtout démyélinis
les à travers les fascicules des racines rachidiennes, de la racine
postérieure
en particulier. Ces diverticules sont à peu prè
du côté paralysé étant la règle -; cela voudra dire que les cordons
postérieurs
sont altérés vraisemblablement par le mécanisme
ante aussi au point de vue de la pathogénie des lésions des cordons
postérieurs
, mais c'est là une question qui ne peu^ encore,
luence des recherches récentes concernant les ganglions des racines
postérieures
sur l'étiologie du tabes dorsalis ; par R. G. R
la moelle avait pour siège les cellules des ganglions des ra- cines
postérieures
, et l'on décrivait la destruction du corps de N
oir pas trouvé de lésions des cellules ganglionnai- res des racines
postérieures
chez les tabétiques. En août dernier, dans la P
à affirmer nettement que la dégénérescence des libres des colonnes
postérieures
de la moelle n'est pas sous la dépendance d'ude
ment central de : ces cellules, c'est-à-dire les fibres des racines
postérieures
, sans y dé- terminer d'altération de dégénéresc
lésions portant surd'autres tractus de fibres que ceux des colonnes
postérieures
. Celte analyse montre qu'il y a des cas de tabè
tre qu'il y a des cas de tabès simple dans les-, quels les colonnes
postérieures
seules sont atteintes, et des cas de « tabes co
clérose puisse être complète. Les fibres des racines antérieures et
postérieures
ont montré la même disposition capriciense. Te]
tre qu'une tumeur volumineuse faisant saillie hors-de la fontanelle
postérieure
; cette tumeur a douze pouces de circonfé- renc
s sinus et le tissu cérébral paraissent nor- maux. De la fontanelle
postérieure
part une volumineuse tumeur kystique, fluctuant
la comprimant on fait pénétrer le contenu du kyste dans la corne
postérieure
du ventricule latéral gauche. L'intérieur du kyst
c'est-à-dire de la circonvolution de l'hippo- campe et de la partie
postérieure
du pli unciforme; l'odorat ne demeure très long
inique. Ces dégénérescences peuvent être suivies dans les ra- cines
postérieures
et jusque dans la moelle. 4. Dans les cordons p
cines postérieures et jusque dans la moelle. 4. Dans les cordons
postérieurs
, la dégénérescence des longs systèmes exogènes po
rlerUsig, d'après la- quelle toute lésion de la zone d'association
postérieure
entraîne de la confusion dans les idées, et l'i
ts protoplasmiques des cellules nerveuses des cornes antérieures et
postérieures
de la moelle épinière chez des enfants nouveau-
tilignes, longs et pauvres en appendices collatéraux. Dans la corne
postérieure
: dendrites courtes, plus ramiliées, à contours
si l'on se trouve en présence d'une corne antérieure ou d'une corne
postérieure
. La comparaison de ces dernières recherches ave
ière est un cas de gliome du volume d'une noix siégeant à la partie
postérieure
de la 3" C-F de l'hémisphère gauche ; l'évoluti
ystème nerveux portant principale- ment sur les lésions des racines
postérieures
de la moelle et des ganglions rachitiques dans
lement et plus haut par celles qui sont placées surtout à la partie
postérieure
de la portion caudale de la région postérieure.
surtout à la partie postérieure de la portion caudale de la région
postérieure
. Le groupement qui représente les muscles placé
nentse placer au dessus de lui occupant ainsi peu à peu la région
postérieure
et externe du groupe latéral. Tandis que ces cell
e du groupe latéral. Tandis que ces cellules se placent à la partie
postérieure
et externe de la corne les cellules qui corresp
pied. Au niveau de la dizième racine et juste au dessus, la partie
postérieure
et externe du groupe latéral correspond au pied
constater le refoulement en avant du voile du palais et de la paroi
postérieure
du pharynx d'où une gêne considérable de la respi
disparaître complètement au bas de la région lombaire ; les racines
postérieures
sont partout indemnes. Les cordons antérieurs pré
d'investigation lui a permis de reconnaître l'intégrité des cordons
postérieurs
dans un cas de mal de Pott où toutes les sensib
mativement en citant les faits de la Salpêtrière et quelques autres
postérieurs
. Si le but de cette étude est atteint, si la co
aliéné. La phase de for- mation du délire,, dont parle M. Head, est
postérieure
au stade dans lequel le paranoique présente cet
uer la maladie et à l'autopsie une dégénération typique des cordons
postérieurs
vérifia la chose. L'examen microscopique provis
doivent être assimilés aux cellules qui pullulent dans les cordons
postérieurs
et y sont appelées par la dégénérescence brutal
thalmoscope, on relève des lésions de myopie extrême; un staphylome
postérieur
étendu, surtout à gauche. OBSERVATION X1111. -
s. La marche devient spasmodique, avec raideur surtout 'des membres
postérieurs
qui souvent se dérobent sous l'ani- avec une se
u de la sixième ver- tèbre dorsale, d'où paralysie flasque du train
postérieur
: lors- qu'apparut la tétanie, elle se limita à
étanie, elle se limita à la moitié antérieure du corps, les membres
postérieurs
ne présentèrent aucune rigidité. Les cel- lules
à myéline dans cette partie de la pie- mère qui couvre les cordons
postérieurs
de la moelle épinière. Ces fibres étaient si en
quelques fibres sortir de la pie-mère pour entrer dans les cordons
postérieurs
. 11 est très probable que les fibres nerveu- se
e que les fibres nerveu- ses, dans la pie-mère viennent des racines
postérieures
et remon- tent haut dans cette membrane vascula
cette membrane vasculaire, avant qu'elles entrent dans les cordons
postérieurs
(Revue neurologique, mars 1901). . E. B. XLVI
t, en effet, en cette région que de rares fibres dans les cor- dons
postérieurs
), la paralysie motrice avait conservé jusqu'à la
e la substance grise. C'est surtout le cordon latéral et le c'Ordon
postérieur
qui sont atteints. La' substance' grise est, in
e est, in loto', le siège d'une- atrophie; cepen; dant,' les cornes
postérieures
semblent plus atrophiées que les cornes antérie
que les dendrites des cellules nerveuses des cornes antérieures et
postérieures
se diffè- rent les unes des autres; tandis que
sont pauvres en ap- pendices collatéraux, les dendrites de la corne
postérieure
ont des contours raboteux, sont souvent en état
insi pour deux branches nerveuses émanées d'un même tronc, le tronc
postérieur
, vous trouvez des altérations d'un degré très d
es points, ce sont des faits relativement récents, en tous cas bien
postérieurs
en date à la compression du plexus. Il y a tout
drent, ou bien la propagation se fait vers les parties latérales et
postérieures
des vertèbres qui se déforment et compriment le
acines dorsales inférieures. Un autre nodule est accolé aux racines
postérieures
de la queue de cheval, libre de toute adhérence
nfiltrer. Les cellules épithéliales cheminent le long des racines
postérieures
, infiltrant le périnèvre et l'endonèvre, effon-
es observations. Archives, 2' série, t. XVII. 20 l'ig. 15. Racine
postérieure
envahie par l'épithélioma. A, gaine de Schwann
x comprimés, leur résection, la section ou l'élongation des racines
postérieures
, proposées par les chi- rurgiens en pareille oc
onsiste essentiellement dans la destruction progressive des racines
postérieures
, depuis les cellules des ganglions rachidiens o
on voit survenir la disparition des systèmes endogènes des cordons
postérieurs
. Mais ces libres endogènes ne sont pas seules a
lle ne peut donc pas expliquer à elle seule les lésions des racines
postérieures
propres au tabes. Pour trouver la lésion syphil
le point où les racines abordent la dure-mère et celui où la racine
postérieure
aboutit au ganglion. Le tabes est la conséquenc
ouva un athérome très prononcé du tronc basilaire et des cérébrales
postérieures
et un double ramollisse- ment des lobes occipit
bord s'assurer par l'éclairage oblique, de l'ab- sence de synéchies
postérieures
, traces d'ancienne iritis ; puis surtout se met
ies blanches de la pupille, 1 atrophie grise, 1 scléro- ellOrOÏdiLe
postérieure
sans myopie, 13 papilles pàles (atro- phies com
incomplètes des pédoncules cérebelleux, qui intéressent leur partie
postérieure
et interne ou dans les lésions qui intéres- sen
urtout au niveau de la circon- volution supra marginale et du tiers
postérieur
de la pre- mière temporale semble donner raison
eut être constaté très net- tement dans les nerfs, dans les racines
postérieures
et leurs pro- longements intramédullaires après
un excès de travail, présentaient une dégéné- rescence des colonnes
postérieures
analogue à celle que l'on ren- contre dans le t
t de vue de son siège avec la dégénérescence tabétique des colonnes
postérieures
chez l'homme. Les observations de l'auteur qui
GIE PATHOLOGIQUES. ce qui touche les cellules des ganglions spinaux
postérieurs
. Ces cellules, on le sait, sont unipolaires, et
es cordons latéraux et sclérose à topographie tabétique des cordons
postérieurs
. ' L'examen du névraxe en coupes sériées démont
rotoplasmiques des cellules ner- veuses des cornes antérieures et
postérieures
de. la - épimère chez des enfants nouveau-nés,
ce des re- cherches récentes concernant les ganglions des racines
postérieures
sur l'étiologie du dorsalis, par Rows, 44. Et
lvestee et Ci», ,97, rue Oberkampf, Paris. Coupe verticale antéro -
postérieure
, faite suivant l'axe médian. LIBRAIRIE J.-B. BA
ro-postérieure passant sur le bord supérieur de la commissure blanche
postérieure
. LIBRAIRIE J.-B. BAILLIERE ET FILS E. Gavoy a
1} ]it( graphie Bilvesthe et C'", Paris. Coupe horizontale antéro -
postérieure
, passant au niveau des tubercules quadrijumcaux p
antéro - postérieure, passant au niveau des tubercules quadrijumcaux
postérieurs
. LIBRAIRIE J.-B. BAILLIZRC ET FILS PLANCHE XX
Glyptographie Silvestre et Ci®, Paris, Coupe horizontale antéro -
postérieure
, passant au - dessus du Tuher cinereum. LIBR
erticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. LIBRAIRIE J.-B.
verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. LIBRAIRIE J.-3.
upe verticale transverse passant en avant de la commissure blanclie
postérieure
. LIBRAIRIE J.-B. BAILLIÈRE ET FILS PLANCHE XX
verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. LIBRA'RIE J.-E.
verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou, du corps calleux. LIBRAIRIE J.-B
verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. LIBRAIRIE J.-B.
verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. LIBRAIRIE J.-B.
verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. LIBRAIRIE J.-B.
verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. i_IBRAlRIE J.-B
verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. LIBRAIRIE J.-B.
verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions
postérieures
vers le genou du corps calleux. LIBRAIRIE J.-B.
estbe et C^e, Paris. Coupe verticale transverse passant par le bord
postérieur
de la portion réfléchie du corps calleux. LIB
la couche optique, viennent s'épanouir dans les « circonvolutions
postérieures
», détermine toujours la cécité de l'oeil oppos
IX représente cette hypertrophie dévelop- pée surtout « à la partie
postérieure
latérale » du crâne d'un chien, du côté corresp
lésion unilatérale d'une partie de la substance cérébrale des lobes
postérieurs
produit, sur l'oeil du côté opposé, des phénomè
nne celles de la forme et de la dimension des corps, dans la partie
postérieure
, enfin, « ces facteurs élémentaires de la perce
tre le siège du centre des mouvements oculo-palpébraux, la partie
postérieure
, ou pli courbe, serait le centre, ou du moins u
lisation céré- brale, Munk, on le sait, la verrait dans la moitié
postérieure
de la portion latérale de la sphère vi- suelle.
bard des sciences et lettres, M. M. Duval avait indiqué la racine
postérieure
du nerf acoustique comme le 1 Tamburim et Riva
ouillé interne. Les auteurs italiens n'ont pu connaître les travaux
postérieurs
à la publication de leur livre en langue italie
ier sur les rapports de ce nerf avec les tubercules quadrijumeaux
postérieurs
(Flechsig, Bechterew) ? Les belles études posté
adrijumeaux postérieurs (Flechsig, Bechterew) ? Les belles études
postérieures
de Baginsky (1886) et de Spitzka (188G), que no
' Archiv f. psych" 1885. - i le PHYSIOLOGIE. cules quadrijumeaux
postérieurs
, les corps genouillés internes et la couronne r
de la scissure de Sylvius, et, sur la face interne, vers la partie
postérieure
de la circonvolution de l'hippo- campe, dans la
portant. A 9 h. z, le chien se met à tituber. A 9 h. 50, le train
postérieur
commence à se paralyser. 7 juillet. Paraplégie
ur commence à se paralyser. 7 juillet. Paraplégie complète du train
postérieur
. Sensibilité complètement abolie ; ses pattes e
à la région du renflement lombaire. Les cordons antéro-latéraux et
postérieurs
, surtout les droits, sont colorés en gris jaunâ
montrent la substance grise rouge : pointillé rouge à lacorne grise
postérieure
gauche. Au-dessus de cette région on voit un as
phandre et il s'enfuit. Ail h. 20, il commence à traîner la patte
postérieure
gauche. A Il h. 25, paralysie complète de la mo
lèvement du casque. A 11 h. 45, l'animal est paralysé de ses paltes
postérieures
qu'il traîne. Sensibilité abolie. Amidi, je tue
t bien portant. A 10 h. 37. Raideur et immobilité soudaine du train
postérieur
. L'animal ne voit pas. Ventre énormément disten
ilides plus nombreuses à la partie antérieure du tronc qu'à la face
postérieure
. La plaque végétante de l'anus a environ quatre
dernière molaire gauche, sur la luette et sur les amygdales. Paroi
postérieure
du pharynx rouge. Gencives fon- gueuses, saigna
et sensiblement pareilles; l'antérieure se place sous le menton, la
postérieure
au niveau de la nuque sous l'occi- put. On reco
sion déchire les adhérences méningitiques qui entourent les cordons
postérieurs
, ce qui rend aux tubes nerveux une con- ductibi
re et demi de profondeur, sépa- rant les lobes antérieurs des lobes
postérieurs
ou après avoir pra- tiqué des sections longitud
e pour pouvoir voir les territoires des cérébrales antérieures et
postérieures
, on note aucun changement dans ces zones pendant
ent des pyramides, de cellu- les qui avoisinent la base de la corne
postérieure
. Elles s'en vont transversalement ou obliquemen
des ganglions spinaux sur le trajet, dans la continuité des racines
postérieures
; A, les expériences de Wal- er, CI. Bernard et
le ganglion et la périphérie, Joseph a vu que le gros de la racine
postérieure
demeurait nor- mal, une petite partie dégénérai
lle même, et qu'ainsi s'ex- plique que la section même de la racine
postérieure
n'entraîne pas la dégénérescence de tout le bou
rusque 50 secondes. A 1 h. 51 m., paralysie transitoire de la patte
postérieure
gauche ayant disparu à 2 h. 15 m.. · Expérien
. 3 m., décompression 1 minute. A 10 h. ' 48 m., paralysie du train
postérieur
qui rapidement ascendante produit la mort le tr
encore des cellules nerveuses en assez grand nombre dans les cornes
postérieures
. Les cordons blancs de la moelle lombaire et le
mal par le carmin. Il y en a beaucoup moins encore dans les cornes
postérieures
. Sur des fragments du biceps gauche, on voit de
es. En résumé, les lésions paraissent plus marquées sur les régions
postérieures
de l'hémis- LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 337
oilés dépourvus de tubes nerveux, assez nom- breux dans les cordons
postérieurs
. Les cellules des cornes posté- rieures sont tr
ourtant des tubes par endroits, ces plaques occupent tout le cordon
postérieur
et toute la partie des cordons antéro-latéraux
es îlots cellulaires sont isolés, peu nombreux en avant, les cornes
postérieures
n'offrent qu'une très faible quantité de cellul
arrêt de développe- raient, atrophie et état chagriné de la partie
postérieure
de l'aé- misphère droit. Examen histologique.
efringence apparaît beaucoup plus nettement. Même aspect des cornes
postérieures
. Le canal de l'épendyme est conservé. Son épith
e simple conduction, il est vrai, par les faisceaux blancs du tiers
postérieur
de la capsule interne, il n'en suit pas, nature
près la- perte de la sensibilité tactile par section des cordons-
postérieurs
de la moelle, pour les reconnaître chér- les an
ourt bien et avec énergie, il saute et s'élance avec les extrémités
postérieures
, mais il lui arrive de s'appuyer sur le dos du
e perceptions tactiles (Tastcentl'll7n), où monteraient les cordons
postérieurs
de la moelle épinière, et d'où decendraient les
que les prolongements cérébraux des faisceaux sensitifs des cordons
postérieurs
de la moelle, et qu'après l'extirpation des aires
391 identité entre les mouvements dus à l'irritation des cordons
postérieurs
de la moelle, et ceux qui résultent de l'excita
étendue .zone motrice, apparaissent après la section des .cordons
postérieurs
de la moelle; mais il ajoutait que, cinq jours
te des sensations du tact et du froid ^après la section des cordons
postérieurs
, c'est que la ' ' Selon Herzen, la même région
sseur de physiologie de Florence n'a pas prouvé que les cor- dons
postérieurs
de la moelle sont en relation directe avec la z
zone n'est plus excitable cinq jours après la section des cordons
postérieurs
, la cause n'en est point dans une prétendue dég
son suffisante de ce fait, c'est que, en même temps que les cordons
postérieurs
, Schiff a lésé la voie motrice des pyramides '
euxième circonvolution externe du chien, par exemple, entre le bord
postérieur
du gyrus sigmoïde et la pointe du lobe occipita
u même côté. Ainsi, après l'ablation du centre cortical du membre
postérieur
gauche, la paralysie du mouvement et de la sens
nsibilité générale et la motilité volontaire, c'est que les régions
postérieures
du cerveau, demeurées indemnes, suppléent les p
ions antérieures du cerveau : elle rayonne et s'irradie aux régions
postérieures
, elle s'unit et s'engrène avec les centres de s
t les expériences; mais elles s'étendent sûrement jusqu'aux parties
postérieures
du lobe parié- tal (région F. de Munk). ' Voi
le est atté- nuée à gauche. Même état de la sensibilité à la partie
postérieure
du tronc et sur les membres. La sensibilité y e
ure-mère, du volume d'une noix, que comprimait légèrement la partie
postérieure
du lobe temporal droit. Pendant la vie, cette t
du trijumeau - branche oculaire du facial -patte antérieure - patte
postérieure
. Faisons passer une section à travers la couche
ment musculaire tout momentané; la même opération dans un plan bien
postérieur
au premier déter- mine une brutale et impétueus
canique ou faradique et la transfixion des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
se traduit par une convulsion tétanique extrême
portant. La tétanisation engendrée par les tubercules quadrijumeaux
postérieurs
est aussi, suivant toutes probabilités d'urdre
iquée de para- lysie bulbaire supérieure et de sclérose des cordons
postérieurs
. Cas semblable à ceux de Struempell, Kahler et
l'opération. Les lé- sions que l'on constate montrent que la racine
postérieure
de l'a- coustique prend son origine dans le tub
d'origine de la racine antérieure de l'acoustique. Entre la racine
postérieure
et le cervelet, il n'existe aucune relation con
é, leur fréquence ; comparaison avec ceux des enfants antérieurs ou
postérieurs
. Persistance des règles. Maladies infectieuses.
colonne vertébrale en arrière, c'est-à-dire dont la convexité est
postérieure
. On dit encore voussure, clos voûté, excurvat
s inclinée en dedans. Le pilastre pré- sente en outre une convexité
postérieure
destinée à favo- riser l'extension musculaire.
nstatés sur des fémurs normaux {déviation du pilastre, sa convexité
postérieure
etc.) sont moins marques ou ? m<s suivant le
la coupe de l'os, de circulaire, deviendra triangulaire, l'angle
postérieur
s'allongera et le pilastre sera ainsi constitué
s en même temps le muscle repoussera les deux lèvres vers la partie
postérieure
et leur dépla- cement ultime sera leur confusio
(1), disons que cet aplatissement produit deux faces (antérieure et
postérieure
) et deux bords saillants continuant les faces i
orale interne et crête fémorale externe. Cetaplatissement antéro-
postérieur
de la surface de l'os a un autre résultat; c'est
us développé que du côté sain (Planches XII et XIII). A la partie
postérieure
des os malades, la saillie de la crête fémorale
duit la I't. : w : ur : IV (ils n'y sont vus que par leur partie
postérieure
, mais leur aspect antérieur offrirait les mômes
ourette) pour pouvoir entraîner le membre paralysé qui est toujours
postérieur
, ainsiqu'on i'a vu tout à l'heure. Le développe
l faut se rappeler qu'il correspond généralement au pli articulaire
postérieur
. Il est bien entendu que dans ces mesures, c'es
etc., etc. Les cannelures du péroné etleurs variations, la crète
postérieure
du tibia et son accentuation, tout cela est lié à
es yeux). Depuis un an, il a pris l'habitude de se cogner la région
postérieure
de la tète ; quand il est couché, trouvant l'or
nts. Rien d'anormal à la percussion, ni à l'auscultation. La partie
postérieure
du thorax est recouverte d'un duvet abondant et
olando est sinueux, présente deux convexités antérieures et trois
postérieures
et se termine au niveau du rameau ascendant de
Ce qui frappe avant tout, c'est l'atrophie du coin et de la partie
postérieure
du lobe occipital. La partie comprise entre la
AIRE. - Père, convulsions de l'enfance ; quelques excès, de boisson
postérieurs
à la naissance de l'enfant, mort d'un cancer de
Face cor2te.w. - La scissure de Sylvius est profonde, son extrémité
postérieure
s'arrête brusque- ment sans se bifurquer; son r
re la troisième de la deuxième frontale : enfin son deuxième anneau
postérieur
très long coupe le pied de la deuxième pour ne
é entre le pied et le cap à cause de la longueur insolite du rameau
postérieur
de la scissure de Sylvius. La tête de la circon
ale est incomplet, interrompu REFLEXIONS. -129 dans son extrémité
postérieure
. La deuxième tcmporo-occipi- tale est dédoublée
externe. - La scissure de Sylvius est régulière sauf son extrémité
postérieure
qui n'est pas bifurquée. Réflexions. T. Le pè
térieure trifurquée, puis deux autres simples. T envoie à la partie
postérieure
de ce lobule deux digitations. A la face intern
au niveau de l'écorce frontale, au niveau de la région pariétale
postérieure
, aux environs du pli courbe, et il la région oc
même n'a que 0°004 dans sa moitié antérieure et 0003 dans sa moitié
postérieure
. Le bourrelet est également peu volu- mineux.
tal ont leur couleur naturelle et sont très grêles; seule la moitié
postérieure
de F2 est assez développée. FA et surtout PA so
urtout PA sont aussi peu développées. - P1, Pu, PC et les parties
postérieures
des circonvolutions temporales sont bien déve-
toute la partie antérieure du lobe paracentral ainsi que la moitié
postérieure
de I (face interne) et la partie corres- pondan
face externe de l'hémisphère), en antérieure (répondant à la partie
postérieure
absente de la Fi (sur la face interne), et de l
nt iL la partie antérieure de la PA). Les deux faces, antérieure et
postérieure
, se réunissent dans la profondeur par un angle
e la cavité. En somme la base du porus a fait disparaître la partie
postérieure
de Fi, la plus grande partie du lobe paracentra
e du lobe paracentral et la partie supérieure de F A et la partie
postérieure
de la circonvolution du C C. La face supérieure
du porus est limitée en avant et de dedans en dehors par la partie
postérieure
de la 1 , le bord postérieur de la F A ; en arr
t de dedans en dehors par la partie postérieure de la 1 , le bord
postérieur
de la F A ; en arrière par la partie antérieure d
n somme la face supé- rieure du porus a fait disparaître la portion
postérieure
de la 1 , la partie toute supérieure de la F A,
e dedans en dehors entre le bord interne de l'hémisphère et le bord
postérieur
de la F A, a intéressé une portion de la l ; no
une portion de la l ; notons l'intégrité de la F2 dont la partie
postérieure
saille dans la cavité du porus et se traduit par
e dépression sur notre moulage ? 164 PORENCUPHALIE vraie. La face
postérieure
du porus, comprise de haut en bas entre l'écorc
porus, sur la crête inférieure qui réunit les parois antérieure et
postérieure
de la cavité, puis se dirigeant en bas, en deda
orencéphali-e vraie intéressait la région paracentrale, l'extrémité
postérieure
de la pre- mière frontale, celle des frontale e
ur l'os sain ; 40 Sur l'os sain, le pilastre présente une convexité
postérieure
. Bourneville, Bici'lre, 1901. - PL. V. 121-2
igne Apre est située pins haut sur l'os malade ; ? Que la convexité
postérieure
du pilastre est plus nette sur l'os sain. Bou
eaux latéraux, car il existe une paralysie avec atrophie ; les cornes
postérieures
et les faisceaux postérieurs, puisqu'il y a une a
ne paralysie avec atrophie ; les cornes postérieures et les faisceaux
postérieurs
, puisqu'il y a une anesihésie totale ; les centre
gissait seulement d'une myélite scléreuse des cornes et des faisceaux
postérieurs
et des parties centrales de la moelle. Dans ces c
il reste encore des plaques anesthésiques, en particulier à la partie
postérieure
du bras. L'anesthésie a disparu à la jambe; à l
ranche seulement du sciatique. Mais cette localisation au nerf tibial
postérieur
nous paraît, si nous en jugeons par le nombre des
sibles ; au contraire sous la même influence les muscles de la région
postérieure
et de la cuisse réagissent énergiquement. » On
nde, à la partie la plus interne, est laissée intacte; — b) à la face
postérieure
, la ligne limitante commençant au-dessous de la t
plus de la moitié de la face antérieure et les deux tiers de la face
postérieure
de la jambe. (V. la Fig. 21.) Fig. 22. — Aneslh
endue, que la face externe du pied est presque indemne et que la face
postérieure
de la jambe est prise dans une étendue beaucoup m
Elle comprend la face externe, une petite bande verticale de la face
postérieure
, les deux tiers de la face antérieure au-dessous
certain soulagement. Actuellement, le malade souffre dans la partie
postérieure
de la cuisse et dans le mollet droit. Il existe u
es branches du nerf saphène interne, venu du nerf crural. A la face
postérieure
un grand nombre de nerfs se distribuent à la peau
r des branches du nerf crural, par le petit sciatique et par letibial
postérieur
. Si l'on veut se reporter aux schémas joints à
ent suffisantes Fig. 26,— Distribution des nerfs cutanés de la face
postérieure
de la jambe (d'après Flower). a. Nerf petit sci
n accessoire (branche des deux sciatiques poplités). — f. Nerf tibial
postérieur
(branche du poplité interne). pour conclure à l
millements, d'élancements dans le pied, la jambe et surtout la région
postérieure
de la cuisse. On constate un amaigrissement génér
t un certain degré d'amaigrissement, surtout des muscles de la partie
postérieure
. La démarche est assez particulière. La malade
it, il éprouve subitement une violente douleur qui, suivant la partie
postérieure
de la cuisse, descend le long de la partie extern
avant parla crête tibiale,en arrière par la ligne médiane et la face
postérieure
de la jambe il y a anesthésie complète; — et au p
nçaient au niveau de la fesse, puis descendaient le long de la région
postérieure
de la cuisse et de la jambe et se montraient plus
té, sur les tubes moteurs et faut-il voir, dans le système des cornes
postérieures
et antérieures de l'âge gris, le trait d'union né
s l'ophthalmoplégie externe, la lésion porto sur le groupe cellulaire
postérieur
composé des amas de noyaux que nous venons dépass
ement tout le membre, les bras, les épaules; les muscles de la partie
postérieure
au cou sont tellement atrophiés et paralysés que
pharyngiens conservés. Sensibilité du voile du palais et de la paroi
postérieure
du pharynx et du larynx normale. Pharyngite chron
iveau de la face. Au cou elle prédomine pour les muscles de la région
postérieure
, qui ont en grande partie disparu (muscles des go
le long extenseur du pouce, l'extenseur commun des doigts, le cubital
postérieur
et rien dans les autres. Grand pectoral : normal,
eur commun des doigts: très grande diminution d'excitabilité. Cubital
postérieur
: normal. Muscles abducteurs et extenseurs du pou
nt penchée en avant, à cause de la faiblesse des muscles de la partie
postérieure
du cou. On ne constate cependant pas de déformati
es regards autour de lui. Lorsque l'atrophie des muscles de la partie
postérieure
du cou est très avancée, on voit entre la nuque e
insèques (leucomyéliques) et intrinsèques (poliomyéliques antérieurs,
postérieurs
et médians). Atrophie musculaire, troubles de la
ite de préférence les cornes (i)4Voir les Leçons du Mardi, t. II.
postérieures
, tantôt des deux côtés, tantôt d'un seul, puis le
on histo-logique, soit par compression. Enfin les cordons latéraux et
postérieurs
, ensemble ou séparément, ne tardent pas à partici
symptômes intrinsèques peuvent être dits poliomyéliques — antérieurs,
postérieurs
et médians. Les poliomyéliques antérieurs sont ce
ophie musculaire. Pour ce qui concerne les symptômes poliomyéliques
postérieurs
, on n'ignorait pas que les cornes postérieures se
ymptômes poliomyéliques postérieurs, on n'ignorait pas que les cornes
postérieures
servent de conducteurs aux sensibilités à la doul
e la sensibilité au tact, d'après Schiff, passerait par les faisceaux
postérieurs
; or l'histoire anatomo-clinique de la syringo-myé
ues, selon qu'ils représentent l'altération des faisceaux latéraux ou
postérieurs
, ils se rattachent, ceux-là au type paraplégie sp
à la production des phénomènes cliniques : lésions de la corne grise
postérieure
gauche dans une certaine étendue en hauteur à la
senstein, et deux cas de Nivière) et l'absence de lésions des cordons
postérieurs
. Mais qu'est-ce alors? Doit-on faire intervenir u
f, car on peut supposer : 1° un tabès, vrai avec sclérose des cordons
postérieurs
, développé pendant le cours du diabète, et 2° un
lésion spinale grossière, en particulier pas d'altération des cordons
postérieurs
de la moelle, mais qu'il s'agit principalement de
ermes, les analogies avec le tabès, l'ataxie par sclérose des cordons
postérieurs
, semblent perdre de leur importance. Elles s'effa
part, ceux dans lesquels un véritable tabès par lésion des faisceaux
postérieurs
peut s'associer à la glycosurie. Je pense qu'il y
ues, le tuber cine-reum, les tubercules mamillaires, l'espace perforé
postérieur
et enfin, tout à fait au sommet, accolés intimeme
de foire où était installé un tir à la carabine, il reçut à la partie
postérieure
du cou une balle de 5 à 6 millimètres: la dimensi
doigts sont affaiblis, sauf les mouvements que commandent les muscles
postérieurs
de l'avant-bras, les extenseurs. La physionomie d
s constatations ana-tomiques. La découverte de la sclérose fasciculée
postérieure
n'a pas enrayé, tant s'en faut, l'étude clinique
i de dire que les lésions trouvées à l'autopsie occupaient le segment
postérieur
des nerfs. Du reste, la portion intra-oculaire de
tre. C'est que, dans l'espèce, la lésion prédomine dans les faisceaux
postérieurs
de la moelle, car on n'a pas signalé, que je sach
nsèques (leucomyélique's) et intrinsèques (poliomyéliques antérieurs,
postérieurs
et médians). Atrophie musculaire, troubles de la
E. cérébelleux atrophié : les rapports de ce dernier avec la face
postérieure
du rocher indiquent donc bien que la résistance
isseur (le processus inflam- matoire ayant été localisé à la partie
postérieure
du cerveau et la région frontale ayant néanmoin
aire subaiguë. Dégénérescences consécutives dans la moëlle (racines
postérieures
) et dans les nerfs périphé- riques (racines ant
être le point de départ d'altérations parenchymateuses des racines
postérieures
et antérieures et entraîner à sa suite une dégéné
entraîner à sa suite une dégénéres- cence systématisée des cordons
postérieurs
et une névrite périphé- rique motrice. C'est ce
-lombaires d'où il résulte : 1° Une lésion systématisée des cordons
postérieurs
au-dessous du foyer de myélite transverse, qui
ogique, janvier 1903). E. B. IV. Les lésions du système lymphatique
postérieur
de la moelle sont l'origine du processus anatom
sée de la méninge, c'est la lésion de tout le système lympha- tique
postérieur
de la moelle, système constitué par la racine pos
ème constitué par la racine pos- térieure, la pie-mère et le cordon
postérieur
. En somme, la lésion initiale du tabès ne serai
erait autre chose qu'une lésion syphilitique du système lymphatique
postérieur
de la moelle. Nous savons, en effet, avec quell
'un cas de myélite aiguë diffuse avec maximum au niveau des cordons
postérieurs
et formation d'une cavité centrale. Présence au
formation d'une cavité centrale. Présence au niveau de'ces cordons
postérieurs
, dans l'intérieur de la cavité ou ses parois, d
ux, au faisceau central de la calotte et au faisceau longitudi- nal
postérieur
. Les lésions médullaires ne paraissent avoir aucu
les voies optiques, épaississement similaire à celui de la méninge
postérieure
spinale des tabétiques. Au microscope les grain
s pour certains anatomistes (Sands- trôsem) se trouvent sur la face
postérieure
, au niveau de la partie moyenne de la glande th
anselme, Marie ont décrit chez des lépreux une sclérose des cordons
postérieurs
dans la région dite endo- gène. Mais à de parei
En outre, les lésions de sclé- rose décrites au niveau des cordons
postérieurs
sont trop analogues à celles que l'on observe d
ace de 1 centimètre 1/2 à 2 centimètres de diamè- tre dans le tiers
postérieur
des 2e et 3° pariétales et empiète sur la régio
le, sacrée), entraîne le spasme de tous les muscles des deux pattes
postérieures
, surtout accusé quand 1 excitation est localisé
au niveau de la pro- tubérance en arrière du tubercule quadrijumeau
postérieur
dans les parties profondes de l'étage supérieur
tinguer le réflexe deltoïdien produit par la percussion des parties
postérieures
du deltoide : le bras s'éloigne du tronc ou s'é
hémorragique inté- ressant le tiers externe du thalamus, le segment
postérieur
de la capsule interne et empiétant sur le noyau
une petite portion dans le centre de la substance grise et la corne
postérieure
droite, et en tel aspect elle va jusqu'à la rég
ue et de poplité externe, et de deux artères (fé- morale et tibiale
postérieure
). Résultat négatif. Réflexions : Hystérie (trou
s physiques et fonctionnels minimes de la méningo-myé- lite spinale
postérieure
légère. Le tabes, la paralysie générale et l'am
end de son lit, il a une contraction dans les fesses et les muscles
postérieurs
de la cuisse qui l'obligent à s'asseoir sous pe
echerches on doit admettre que : les centres des muscles de la face
postérieure
de la jambe sont placés en dedans de ceux de la
as. Il est situé en avant de celui du plantaire grêle, du jambier
postérieur
et des fléchisseurs. Les centres des premiers son
inaperçue jusqu'ici; la soudure de la trompe d'Eustache à la paroi
postérieure
du naso-pharynx. J'ai. observé aussi que la des
scrètes et moins avancées, s'observent dans les régions moyennes et
postérieures
du cortex. A ce niveau simple vascularisation d
-à-dire par les branches de la carotide interne ; seul leur segment
postérieur
(régions occipitales et une partie des régions
e partie des régions temporales) reçoit le sang du système artériel
postérieur
par l'entremise de la cérébrale postérieure. Le
sang du système artériel postérieur par l'entremise de la cérébrale
postérieure
. Les dérivés des deux vésicules primitives post
la cérébrale postérieure. Les dérivés des deux vésicules primitives
postérieures
, tubercules quadrijumeaux avec les pédoncules c
avec la protubérance, reçoivent leur sang exclusivement du système
postérieur
(artères basilaires, vertébrales, cérébelleuses
Elles sont 'donc un peu plus rares dans le système de la cérébrale
postérieure
: 17,8 p. 100. 0. Elles sont incomparablement p
us de la branche normale. D. La principale anomalie de la cérébrale
postérieure
consiste en ce qu'elle provienne, non de la bas
es entre le côté droit et le côté gauche. 9. Les artères du système
postérieur
, artères basilaire, vertébrales, cérébelleuses,
tères cérébelleuses, notamment les artères cérébelleuses moyenne et
postérieure
, qui sont le plus sujettes aux anomalies ; propor
d on lie la carotide interne, il importe de savoir que la cérébrale
postérieure
peut émaner de la carotide interne, à cause des
.celui de Bechterew, pour pénétrer, de là, dans le noyau interne ou
postérieur
de l'auditif, où les unes sont inter- rompues,
us le plancher du quatrième ventricule el serenduu noyau interne ou
postérieur
de l'auditif du côté opposé : la plus REVUE D'A
respondant à la lésion. Dans la zone des tubercules quadri- jumeaux
postérieurs
la plus voisine de l'axe, au niveau du noyau ce
de ce dernier montent jusqu'aux noyaux des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
et s'entrecroisent en partie au-dessus de l'aqu
u plus en dedans, au niveau des noyaux des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
, il se produit un nouvel entrecroisement d'un p
éral ou inférieur, ainsi qu'aux noyaux des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
, symétriquement des deux côtés. 6. En dedans de
e dans la moelle lombaire la dégénéres- cence de toutes les racines
postérieures
: elle est surtout accusée dans les troisième e
e ne portait que sur la partie an- térieure de la langue. La partie
postérieure
de cet organe serait pourvue de fibres gustativ
re au niveau d'une ligne passant par les tuber- cules quadrijumeaux
postérieurs
et a envahi le corps strié, la partie postérieu
les quadrijumeaux postérieurs et a envahi le corps strié, la partie
postérieure
de la couche optique, toute la capsule interne,
nt du rire forcé conclue que la lésion devait siéger vers la partie
postérieure
de la couche optique. A côté de ces observation
a couche optique gauche présente à sa surface en avant du tubercule
postérieur
(pulvinar) une dépression à direction transvers
n ayant envahi la couche optique n'en avait détruit que la partie
postérieure
seulement. Les lésions qu'elle avait pro- voqué
I. Il existe dans l'écorce une région utéromotrice située à la 1/2
postérieure
de la zone motrice, en dedans, près du bord de l'
ntractions utérines. III. L'excitation des tubercules quadrijumeaux
postérieurs
a donné des contractions moins vives que celle
enou de la capsule interne, que la moitié antérieure de son segment
postérieur
, et qu'elle a res- pecté la portion postérieure
ieure de son segment postérieur, et qu'elle a res- pecté la portion
postérieure
de ce segment postérieur, seule la partie motri
rieur, et qu'elle a res- pecté la portion postérieure de ce segment
postérieur
, seule la partie motrice de la capsule interne
au à' peu près du corps genouillé externe ; il circonscrit la corne
postérieure
du ventricule latéral en laissant entre lui et le
faire mouvoir le moins possible le membre antérieur ou le membre
postérieur
, on expose avec toutes les précautions voulues la
idiots, se trouverait bien de l'adjonction aux diamètres antéro.
postérieurs
et transverses, des mesures obliques de Bechterew
érale; par .111;\1..10FFROY et BADAUD. Si les lésions médullaires
postérieures
de la paralysie générale sont d'ordinaire diffé
uue fois de plus que si le plus ordinairement les dégé- nérescences
postérieures
de la moelle dans la paralysie générale affecte
sse orbitaire droite. Apophyses clinoïdes antérieures effacées, les
postérieures
au contraire très volumi- 472 RECUEIL DE FAITS.
E ATROPHIQUE DE L'HÉMISPHÈRE DROIT. 473 antérieure, de la cérébrale
postérieure
. Les faces internes des lobes frontaux sont acc
ans chaque hémisphère la scissure rolandique commençait en un point
postérieur
au milieu de la ligne de la scissure longi- tud
t un peu diffuses dans le cordon latéral et même dans les faisceaux
postérieurs
. Ces lésions sont variables d'étendue et de siè
que régulière due à un petit bourgeon qui faisait saillie à la face
postérieure
de la selle turcique. Les auteurs appellent l'a
1° Paralysie générale avec localisation des lésions aux por- tions
postérieures
des hémisphères ; 2° Paralysie générale avec pr
uel l'empreinte de ses dents était apparente. Le malaise était donc
postérieur
et avait été subit, comme le gardien l'avait ra
tum lucidum; il aboutit en arrière au lobe paracentral. Tgp, pilier
postérieur
du tri- gone ( ? ). - Scnx, partie du sillon ca
ubaigue. Degé- . nérescences consécutives dans la moelle (racines
postérieures
) et dans les nerfs périphériques (ra- cines a
myélite dorsale par compression avec dégénéres- cence des racines
postérieures
dans la moelle lombaire, par Bartels, p. 33 :
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