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1 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
13 bulbe. - Ce. corps calleux. - CL, corps de Luys. - Cip, segment postérieur ; Cisl, segment sous-lenticulaire de la capsule
n. Cn(a) segment antérieur; Cli(s) segment supérieur; CR(p) segment postérieur ; CR(i) segment inférieur de la couronne rayonna
dont l'un est antérieur, le second moyen ou supérieur, le troisième postérieur , le quatrième inférieur. Ces quatre segments so
mais elles n'atteignent pas les dimensions des fibres des segments postérieur et inférieur. Les fibres inférieures se dirigent
(.9), genou de la capsule interne. - Cinq, cingulum. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - cm, sillon calloso-mar
eur. - i, Sillon de l'insula. -Ia,Ip, circonvolutions antérieure et postérieure de l'insula. - Li, première circonvolution Iimhiq
onne rayon- nante et dans la capsule interne que sur des plans plus postérieurs . Les fibres des couches sagittales du lobe fron
Cil(a), segment antérieur; CR(i), segment inférieur; CR(p), segment postérieur ; CR(s), segment supérieur de la couronne rayonn
eur de la couronne rayonnante. Cia, segment antérieur; Cip, segment postérieur ; Cirl, segment rétro-lenticulaire; Cisl, segment
ents supérieur et inférieur de la couronne rayonnante; les segments postérieur et sous-lenticulaire de la capsule interne et leu
ule interne (segment antérieur (Cia) et partie adjacente du segment postérieur (Cip) voy. en particulier cas Schweigoffer, Fig
née. - Cinq, cingulum. - cm, sillon calloso- marginal. Cip, segment postérieur de la capsule interne. - CR, couronne rayonnante.
oile choroidienne. - tec, tamia tecta. - Tg, trigone. - Tgp. pilier postérieur du trigone. - Th, coupe optique (thalamus). - 1
e a celui du segment antérieur et envoie ses fibres dans le segment postérieur ou lenliculo- optique de la capsule interne (Fi
du pédoncule cérébral (voy. coupe sagittale Fig. 282). 3. Segment postérieur de la couronne rayonnante. - (CR(p)RTh, Fli, Fi
- (CR(p)RTh, Fli, Fig. 2, 6, 8, 9, 10, 13, -14, 15, 16). Le segment postérieur de la couronne rayonnante se comporte en grande
e ses fibres. Dans la région du carrefour ventriculaire, le segment postérieur de la couronne rayonnante constitue une cloison
t au microscope. Les fibres de projection qui alimentent le segment postérieur de la couronne rayonnante, proviennent de la po
2), de la circonvolution marginale supérieure (Gsm) et de la partie postérieure des trois circonvolutions temporales (T,, T,, T3)
rois circonvolutions temporales (T,, T,, T3). Les fibres du segment postérieur de la couronne rayonnante se dis- posent en deu
bres de pro- jection. Dans la région occipitale et dans la partie postérieure du carrefour ventriculaire, les couches sagitta
FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CEREBRALE. 13 FiG. 8. - Le segment postérieur de la couronne rayonnante et ses deux couches sag
ou partie inféro-interne de la couche sagittale externe du segment postérieur de la couronne rayon- nante. Fli, faisceau long
aisceau longitudinal inférieur ou couche sagittale externe du segment postérieur de la couronne rayonnante. - Fin, forceps major
amiques. - Sge, Sgi, couches sagittales externe et interne du segment postérieur de la couronne rayonnante qui tapissent l'ergot
q d'Azyr. 14 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. FIG. 9. - Le segment postérieur de la couronne rayonnante et la partie postérieur
IG. 9. - Le segment postérieur de la couronne rayonnante et la partie postérieure du segment supérieur de la couronne rayonnante
Coupe vertico-transversale du lobe pariétal, sectionnant le pilier postérieur du trigone, le bourrelet du corps calleux et la
égion adjacente au tronc du corps calleux. - Cing (p), son faisceau postérieur . - Cirl, segment rétro- lenticulaire de la caps
sceau longitudinal inférieur ou couche sagittale externe du segment postérieur de la couronne rayonnante. FIBRES DE PROJECTION
e (P2) du gyrus siti) a-22îa2,9 zîia lis, (P [Gsm]) et de la partie postérieure des cir- convolutions temporales (rI\, T2, T3)
rés par la laque hématoxylinique, les couches sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante, puis abordent le seg
noyau caudé (NC). En arrière il se confond si bien avec le segment postérieur de la couronne rayonnante que sa délimitation e
ablir à ce niveau (Fig. 6). Ce segment est tributaire des parties postérieure , moyenne et anté- rieure du lobe temporal, en p
p, tapetum. - lec, t2nia tecta. - T7, corps du trigone. - Tgp, pilier postérieur du tri- gone. TgV, carrefour ventriculaire. F
o-lenticulaire de la capsule interne. Sa fusion avec le segment postérieur . Son origine. Sa direction. 16 ANATOMIE DES
direction. 16 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fc. 10. - Le segment postérieur de la couronne rayonnante, ses deux couches sagit
E. 17 capsule interne. Coupe horizontale intéressant les deux tiers postérieurs de l'hémi- sphère droit dans larégion thalamiqu
ns larégion thalamique moyenne etsectionnant les segments antérieur postérieur et rétrolenticulaire de la capsule interne. Métho
Ci(9), genou de la capsule interne. - Cing, cingulum. - Cip, segment postérieur de la cap- sule interne. - Fie, fibres calleuse
- la, circonvolutions antérieures de l'insula. - Ip, circonvolution postérieure de l'insula. - i, sillon de l'insula. - ig, indus
s. - Lg, lobule lingual. - Mo, trou de Monro. - mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - Na, noyau antérieur de la couche o
e. - Tg, trigone. - Tga, pilier antérieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche op- tique (thalamus).
ur. AI], aqueduc de Sylvius. JJ¡'Qp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur . - CA, corne d'Ammon. Gue, corps genouillé extern
. - coa. commissure anté- rieure. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure . - Fli, faisceau longitudinal inférieur - Flp,
- Fli, faisceau longitudinal inférieur - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - Pli, faisceau uncinatus. - lc, lame cornée et
ticulée. - slrz, stratum zonale de la couche optique. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - U, circonvolution du crochet. Vsp
sont : le segment anté- rieur ou lenticulo-caudé (Cia), le segment postérieur ou lenliculo-optique (Cip), le segment rétro-le
dient suivant le plan horizontal de l'hémisphère; celles du segment postérieur ou lenliculo- optique (Cip) s'irradient suivant
r les coupes vertico-transversales, les segments antérieur (Cia) et postérieur (Cip) de la capsule interne se dirigent obliqueme
rne [Ci(g)] ; il diminue ensuite d'avant en arrière dans le segment postérieur de la capsule interne (Cip) FiG. 13. - Coupe ho
de l'hémisphère gauche sec- tionnant les segments anté- rieur et postérieur de la couronne rayonnante et passant par la r
u. Ce. capsule externe - Cia, segment antérieur; Cip, seg- ment postérieur ; Cirl, segment r6lrolcnLiculuirc dc la capsule
a, circonvolutions antérieures de l'insula. - Il), circonvolution postérieure de l'insuln. - ? première circonvolution ]imb
de la capsule interne et sectionnant t les segments antérieur, postérieur et rétro-len- ticulaire de la capsule interne
n- ticulaire de la capsule interne, les segments an- térieur et postérieur de la couronne rayonnante. (Méthode de Weiger
relet. - Cia, segment antérieur ; Ci (g) (genou) ; Cip, segment postérieur ; Cirl, segment rétro-lenticulaire de la cap-
emporale. 4'il ton temporal. Tgo, pilier antérieur. Tgp, pilier postérieur d u tri- gone,- Tf1 V, carrel' 0111' \.eu- tr
thalamique de la capsule interne, et sec- tionnant les segments postérieur et rétro-lenti- culaire de la capsule in- ter
A Il. avant-mur. C, cuneus. Ce, capsule externe. - Cip, segment postérieur ; Cirl, segment retro-lenticulaire de la capsu
longi- tudinal inférieur ou couche sagittale externe du segment postérieur de la couronne rayonnante. zu la, circouvo- l
radiations thal;uuiyucs ou couche sagittale interne du segment postérieur de la couronne rayonnanle. T,, 7'.2, 1'" les
nage du pied du pédoncule céré- bral intéressant les seg- ments postérieur et sous- lenticulaire de la capsule interne,
genouillé externe. - Cgi, corps genouillé interne. - Cip, segment postérieur ; Cisl, segment sous-lenticu- laire dela capsu
eau longitudinal inférieur ou couche sagittale externe du segment postérieur de la couronne rayonnante. - Fmp, faisceau ma
Radiations thalamiqucs ou couche sa- gittale interne du segment postérieur de la couronne rayonnante. Tt, T, pre- mière,
au lieu de se diriger comme dans les segments anté- rieur (Cia) et postérieur (Cip) obliquement en bas et en dedans, est obliqu
upes antérieures et n'atteint que 30 et 25° au voisinage du segment postérieur de la couronne rayonnante (CSgt) (Fig. 4 ï).
au lenticulaire qui s'insinue entre les segments antérieur (Cia) et postérieur (Cip) à la façon d'un coin et de la forme de la
aire (Cirl) en bas et en dehors. Les rapports qu'affecte le segment postérieur ou lenticule-optique de la capsule interne(Cip)
s la forme d'un Y couché dont les bras sont formés par les segments postérieur (Cip) et rétro-lenticulaire (Cisl) et la branch
ère et en dedans, correspond au segment antérieur (Cia), la branche postérieure oblique en arrière et en dehors comprend les se
e postérieure oblique en arrière et en dehors comprend les segments postérieur (Cip) et rétro-lenticulaire (Cirl) situés sur l
ntre la région thalamique et la région sous-thalamique du seg- ment postérieur de la capsule interne est comprise entre les deux
sous-thalaml(jue, la capsule interne se réduit à ses seg- ments postérieur , 1 rétro-lenticulaire et sous-lenticulaire.
rétro-lenticulaire et sous-lenticulaire. thalamique du segment postérieur de la capsule interne. - Cirl, région rétro-lenti
de la couronne rayonnante. - CSgt, les couches sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante. - P, pied du pédoncu
te le genou, disparait et la capsule interne se réduit à la branche postérieure de l'angle, c'est-à-dire à ses segments postérieu
it à la branche postérieure de l'angle, c'est-à-dire à ses segments postérieur (Cip) et rétro-lenticulaire (Cirl). Ceux-ci ces
. Ci, capsule interne; Cia, son segment antérieur; Cip, son segment postérieur ; Cirl, son segment rétro-lenticulaire; Cisl, so
erne de la première circom olutionfrontale. - 111p, sillon marginal postérieur . - ms, sillon marginal supérieur. - NC, noyau cau
n prérolandique inférieur. - R, scissure de Rolando. S (p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Sge, Spe, substance
llé externe (Cge) et la zone de Wernicke (W), est séparé du segment postérieur (Cip) par une mince lamelle de substance grise
égion, il s'insinue entre les segments rétro-lenticulaire (Cirl) et postérieur (Cip), se place en dehors de la partie postérie
culaire (Cirl) et postérieur (Cip), se place en dehors de la partie postérieure du segment postérieur (Cip), puis fait corps avec
rieur (Cip), se place en dehors de la partie postérieure du segment postérieur (Cip), puis fait corps avec elle. Ces modificat
mmissure antérieure et n'affectent aucune connexion avec le segment postérieur de la capsule interne (Fig 15, 24, 28, 33). D
leux. - Ce, capsule externe. - Cia, segment antérieur; Cip, segment postérieur ; Cirl, segment rétro-lenticulaire de la capsule i
ulaire de la capsule interne. - CSgt, couches sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante. fNC, fibres du noyau
noyau caudé. - la, circonvolutions antérieures; Ip, circonvolutions postérieures de l'insula. - Nec, tête; Nu, queue du noyau ca
ibres de projection. - PaTh, pédoncule antérieur; l'pTIt, pédoncule postérieur du thalamus. - pCR, pied de la couronne rayonnant
s sont sur- tout nombreuses dans les parties inférieure, interne et postérieure du segment antérieur (Cia), au voisinage du gen
ie supérieure de la couche optique, les segments antérieur (Cia) et postérieur (Cip) de la capsule interne forment un angle très
nt antérieur (Cia), empiètent sur l'extrémité antérieure du segment postérieur (Cip), dont elles masquent les fibres longitudi-
(Fig. 22), l'on voit à découvert l'extrémité antérieure du segment postérieur (Cip). Le segment antérieur de la cap- sule int
ique moyenne intéressant le segment antérieur, le genou, le segment postérieur et le segment rétro-lenticulaire de la capsule
apsule interne. - Ct(y)Jgenou de la capsule interne. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-len-
isceau longitudinal inférieur. - la, insula antérieur. - Ip, insula postérieur . - le, lame cornée et toenia semi-circularis. -fi
us. ma, sillon marginal antérieur de l'insula. -mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - Na, noyau antérieur de la couche o
llèle). - Tap, tapetum.- Tga, pilier antérieur du trigone. - pilier postérieur du trigone (fimbria) 7'.V, trou de Monro. - tth
lamique inférieure. Il occupe la partie antérieure du seg- ment postérieur de la région sous-thala- mique et la partie
u pied du pédoncule. s'adosse à l'extrémité antérieure du segment postérieur (Cip) en formant le genou de la capsule interne
eur; CiCr¡), genou, dans l'es- pèce faisceau géniculé; Cip, segment postérieur de la capsule interne. - coa, commissure antéri
terne de la première circonvolution frontale. - mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - ms, sillon marginal supérieur de l
ce grise sous-épendymaire. - sJI, sillon de Alonro. - S(p), branche postérieure de la scissure de 5ylvius.-sir, stratum zonale.
orne sphénoïdale du ventricule latéral. - Il, bandelette optique. postérieure du segment antérieur (Cia). Dans la région sous-t
mique, ce faisceau occupe le cinquième le plus antérieur du segment postérieur de la capsule interne (Cip), et plus bas, le ci
bulbaire (cas Schwei- goffer, Fig. 116 à 122, p. 133). 2. Segment postérieur ou lenticulo - optique de la capsule interne (C
, 1 li., 15,16, po, 21, 22, 24, 26,28, 41, 43, /¡.7. - Le seg- ment postérieur ou lenliculo-optique de la capsule interne est su
ns et en arrière, les moyennes directement en bas et en dedans, les postérieures obliquement en bas, en dedans et en avant (Fig. 6
CÉRÉBRALE. 35 Fig. 24. - Le segment sous-lenticulaire et le segment postérieur de la capsule interne et les rapports de ce der
us-thalamique et sectionnant les commissures antérieure, moyenne et postérieure , les corps genouillés externe et interne, les cou
ule Ouadrijumcau antérieur. -BrQp, bras du tuber- cule quadrijumeau postérieur . - C"1. corne d'Ammon. Ce('/), genou du corps cal
rne. - Cia, segment antérieur de la capsule interne. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-lent
commissure antérieure. coin, commis- sure molle. - cop, commissure postérieure . - Fa, troisième circonvolution frontale. - FI,
1), glande pinéale. - Il, hippocampe. - la, Ip. insula antérieur et postérieur . - le, lame cornée. - lme, lame médullaire extern
cielle.-ma, sillon marginal antérieur de l'insula. - sillon marginal postérieur de l'in- sula.- VC, tête du noyau caudé. - \'C'
a incerla de Forel. - 11, bandelette optique. Les fibres du segment postérieur (Cip) appartiennent aux régions tha- lamique et
ticulaire (.fla, NL iNl,, (Fig. 7). La limite antérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip) correspond au genou (
t dans l'extrémité antérieure du thalamus (Fig. 14-, 21). La limite postérieure est formée par les fibres horizontales du segme
Fig. 21, 43). Dans la région sous-thalamique (Fig. 21.), le segment postérieur de la capsule interne (Cip) est limité : en ava
isceau lenticulaire de Forci correspond au tiers interne du segment postérieur de la capsule interne (Cip), le corps de Luys à
le corps de Luys à son tiers moyen, et la zona incerta à son tiers postérieur . Dans la partie inférieure de la région sous- t
aru et le corps de Luys recouvre les deux tiers internes du segment postérieur (Cip). En dehors, le segment postérieur de la c
x tiers internes du segment postérieur (Cip). En dehors, le segment postérieur de la capsule interne (Cip) es recouvert par les
terne du globus pallidus (NL,, NL, et NL/), et reçoit à son sixième postérieur les fibres du segment sous-lenticulaire de la cap
(Fig. 24 et 25). Ce contingent sous-lenticulaire aborde le segment postérieur de la capsule interne (Cip) dans toute la hauteur
eau antérieur. - BrQp + Rm, union du bras du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Iteil médian. - CA, corne d'Am
s genouillé externe. - Cgi, corps genouillé interne. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-lent
gment rétro-lenticulaire de la capsule interne. Epp, espace perforé postérieur . - Flop, faisceau de la commissure postérieure. -
. Epp, espace perforé postérieur. - Flop, faisceau de la commissure postérieure . - Fli, fais- ceau longitudinal inférieur. Flp,
Fli, fais- ceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur . FI', faisceau de Turck et segment sous-lenticu
sous-thalamique : ses fibres s'insinuent d'abord entre les segments postérieur et rétrolenticulaire (Cirl) et (Cip) (Fig. 47), p
rétrolenticulaire (Cirl) et (Cip) (Fig. 47), puis entre le segment postérieur (Cip) et le corps genouillé externe (Cge) dont el
spect, ce con- tingent se distingue nettement des fibres du segment postérieur (Cip) qui traversent la région thalamique de la
d du pédoncule cérébral en formant le faisceau de Turck. Le segment postérieur de la capsule interne (Cip) de la région sous-
n sous- thalamique (Fig. 25) n'est donc pas l'équivalent du segment postérieur (Cip) de la région thalamique (Fig. 21). Il rep
que et sous-thalamique de la capsule interne, les fibres du segment postérieur (Cip) ne sont pas disposées en lamelles superpo
pédoncule cérébral sont d'origine corticale. Les fibres du segment postérieur de la capsule interne (Cip) sont croi- sées à a
RES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 39 Fig. 26. - Les segments postérieur , rétro-lenticulaire et sous-lenticulaire de la ca
rébral vus sur une coupe vertico-transversale pas- sant par le bord postérieur du putamen, la partie postérieure du thalamus, le
transversale pas- sant par le bord postérieur du putamen, la partie postérieure du thalamus, le gan- glion de l'habenula et le
ge, corps genouillé externe. - Cing, cingulum : Cingle). son faisceau postérieur . - Cip, segment postérieur; Cirl, segment rétro
- Cing, cingulum : Cingle). son faisceau postérieur. - Cip, segment postérieur ; Cirl, segment rétro-lenticulaire; Cisl, segment
mé de fibres hori- Ion talcs qui s'irra- dient dans la partie postérieure du thala- mus. Son aspect et ses rapports s
ban de Reil médian. - 11Tlc, radiations thalamiques. - S(p) branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Slri, stratum inter-
et en dedans, passent entre la queue du noyau caudé (NC) et le bord postérieur du putamen (NL3), puis abordent le pulvinar (Pu
iés par les nom- breux ponts de substance grise qui relient le bord postérieur du putamen à la queue du noyau caudé; les coupe
la corne sphénoïdale (Vsph). Sur les coupes qui passent par le bord postérieur du putamen (nul,, Fig. 26), on se rend nettement
nt rétro-lenticulaire (Cirl)de la capsule affecte avec les segments postérieur (Cip) et sous-lenliculaire(Cisl). Grâce à la dis-
IBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 41 correspond au segment postérieur de la capsule interne (Cip), reconnais- sable à
la capsule interne (Cirl), est situé sur le prolongement du segment postérieur (Cip) et ne s'en distingue que par la direction
forme Fus)), du precuneus (PrC), du pli courbe (Pc) et de la partie postérieure des lobes pariétal et temporal, il envoie ses f
; son bord interne est en rapport d'arrière en avant avec la partie postérieure du seg- ment postérieur de la capsule interne (
rapport d'arrière en avant avec la partie postérieure du seg- ment postérieur de la capsule interne (Cip), puis avec la bandele
ique d'Arnold. Le faisceau de Tiirck (FT) Fig. 25) occupe la partie postérieure du segment sous-lenticulaire de la capsule in
e) et sa continuation avec les couches sagittales (CSgt) du segment postérieur delà cou- ronne rayonnante. - Cisl, le segment
ion avec le segment inférieur de la couronne rayonnante; le segment postérieur de la cap- sule interne au voisinage du pied du
eau antérieur. - BrQp + Rm, union du bras du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Heit médian. - CA, corne d'Ammon
rne. - Cia, segment antérieur de la capsule interne. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cisl, segment sous-len
fissure de Meynert. - coa, commissure antérieure. - cop, commissure postérieure . - ds, diverticule du subieulum. - 1 ? troisièm
roisième circonvolution frontale. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure . - fq, sillon fimbrio-godronné. - ll, faisceau le
- Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur . FM, fais- ceau rétroflexe de Meynert. - FT, fa
ck. - h, sillon de l'hippocampe. la, insula antérieur. - Ip, insula postérieur . - le, lame cornée et tænia semi-circularis. - lm
TOMIE DES CENTRES NERVEUX. rieur de l'insula, - mp, sillon marginal postérieur de l'iusula.- SC, tète du noyau caudé.- \'C', q
halamique d'Arnold, le faisceau de Turck et sa fusion avec le segment postérieur de la capsule interne et la voie pédonculaire.
ans la finibria (Fi) et l'alvélis intra-ventriculaire. - Cih, segment postérieur ; Cisl, segment sous-lenticulaire de la capsule
teur oculaire commun. Il résulte de cette disposition que la partie postérieure du segment sous-lenticulaire de la capsule inte
ico-transversale passant par le corps genouillé externe, le segment postérieur de la zone réticulée du thalamus et sectionnant l
cu- laire de la capsule interne dans la région adjacente au segment postérieur . Méthode de Weigert. Alv, alvéus intra-ventri
ns la (imbria ;Ici). - Cge, corps genouillé externe. - Cip, segment postérieur ; Cirl, segment rétro-lenticu- laire ; Cisl, seg
re. - Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - Zrp, segment postérieur de la zone réticulée du thalamique. Ses aspects
ur. - Cge, Cgi, corps genouillés externe et interne. - Cip, segment postérieur de la capsule interne au voisinage immédiat du pi
L, corps de Luys. - C31, commis- sure de Meynert. - cop, commissure postérieure . - Ep, épendyme de la voûte de la corne sphénol
de la voûte de la corne sphénoldale. - h'li, faisceau longitudinal postérieur ou couche sagittale externe du segment inférieu
bercule mamillaire accessoire. - 7 ? pilier antérieur ; Tgp, pilier postérieur du trigone cérébral. - U, circonvolution du croch
et comprennent toutes les fibres de projection corticale du segment postérieur (Cip) de la capsule interne, qui ne se sont arr
ventricule et le corps de Luys, appartient en réalité au seg- ment postérieur (Cip) de la région sous-thalamique de lacapsule i
(Cip) de la région sous-thalamique de lacapsule interne, la partie postérieure , libre, appartient seule au pied du pédoncule, la
u pédoncule décrit sur ces coupes une courbe à concavité interne et postérieure ; sa partie interne est épaisse en connexion avec
nombreuses fibres transversales du système strio-1uysien; sa partie postérieure est en con- nexion avec le locus niger. Les cou
cule quadrijumeau antérieur. - BrQp. bras du tubercule quadrijumeau postérieur . - Cal, corne d'Ammon. CB, carrefour olfactif de
ommissure de Meynert. coa. commissure antérieure. - cop, commissure postérieure . - ds, diverticule du subiculum. - 7 ? troisièm
? troisième circonvolution frontale. Fcop, faisceau de la commissure postérieure . - Fi, fimbria. - Fli, faisceau longitudinal in
r. P.11, faisceau rétrollexe de Meynert. Flp, faisceau longitudinal postérieur . - la, Ip, insula antérieur et postérieur. - le,
Flp, faisceau longitudinal postérieur. - la, Ip, insula antérieur et postérieur . - le, lame cornée et tænia semi-circularis. -
ficielle. - ma, sillon mar- ginal antérieur. - 71p, sillon marginal postérieur . XC, tête du noyau caudé. NC', queue du noyau c
temporale profonde. - T'ap, tapetum. Tga, Tgp, piliers antérieur et postérieur du trigone. - Il,, troisième ventricule. - VA, fa
- ds, diver- ticule du subiculum. - eF, commissure sous-thalamique postérieure de Foret occupant la voûte de l'espace perforé
alamique postérieure de Foret occupant la voûte de l'espace perforé postérieur . - Epa, espace perforé antérieur. - troisième cir
on frontale. - f,, sillon olfactif. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure . - Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, f
- Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur . 1,ilI. faisceau rétro- FIBRES DE PROJECTION DE
e. h, sillon de l'hippocampe. - la, insula an- térieur. -Ip, insula postérieur . Lins, lame médullaire superficielle. - Ln, locus
Tott, pédoncule du tubercule mamillaire. - Qp, tubercule quadrijumeau postérieur . - Rm, ruban de Heil médian. - RTh, radiations
, + Ip, union de la première circonvolution temporale avec l'insula postérieur . - Tap, tapetum. - Tc, tuber cinereum. - Tga, p
nterne au faisceau géniculé; les trois cinquièmes moyens au segment postérieur de la capsule interne; quant au cinquième exter
1110 partie). Aq, aqueduc de Sylvius. - Flp. faisceau longitudinal postérieur . - xF, entre-croisement ventral de la calotte p
Fiée, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . FPoa, fibres protubérantielles antérieures. -
es protubérantielles antérieures. - Fl'op, fibres protubérantielles postérieures . - Gip, ganglion interpédonculaire. - Le, locus
terne et qui, sectionnant dans la région thalamique, les deux tiers postérieurs du segment postérieur de la capsule interne, empi
nt dans la région thalamique, les deux tiers postérieurs du segment postérieur de la capsule interne, empiète en avant sur le
ire. Aq, aqueduc de Sylvius. - BrQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur . - Cge, corps genouillé externe. - Cgi, corps g
, corps de Luys. - CNR, cap- sule du noyau rouge. - cop, commissure postérieure . - 1 lp, faisceau longitudinal posté- 56 ANATOM
Ce, corps calleux. Cia, segment antérieur; Ci(g), genou; Cip, segment postérieur ; FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 59
ulaire de la capsule interne. - CSgt, couches sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante. - Fi, fimbria du pilie
gment postérieur de la couronne rayonnante. - Fi, fimbria du pilier postérieur du trigone. - ? fibres du fornix longus. qui bord
obe frontal. - l'LcJe, plexus choroïdes. - PTg, plicature du pilier postérieur du trigone cérébral. Rsth, radia- tions strio-t
z, stratum zonale du thalamus. - Tga, pilier antérieur; Tgp, pilier postérieur du trigone cérébral. Th, thalamus. tr,c, tienia
ou pédoncules, connus sous le nom dopé- doncules antérieur, moyen, postérieur cl inférieur de la couche optique. Ils correspo
, mais la délimi- tation elle-même des pédoncules antérieur, moyen, postérieur et inférieur est toule fictive. Il s'agit, dans
iriéto-l'i-oiito-iolaiicli(liies; 3° les fibres cortico-thalamiques postérieures ou occi pito-pariétalcs; 4° les fibres cortico-
Jouan, Leu- dot, p. 121, Fig. 96 à 105), retentissent sur la partie postérieure du noyau externe du thalamus; celles du lobe oc
.-Poa; fibres transversales antérieures ; Pop, fibres transversales postérieures de la protubérance. - l'Tm, pédoncule du tubercul
Qa, tubercule quadriju- meau antérieur; Qp, tubercule quadrijumeau postérieur . - Rm, ruban de Reil médian; lil, ruban de Reil
amus. D'autres, celles en particulier qui appartiennent à la moitié postérieure du noyau externe (Ne) et proviennent de la partie
t pulvinar), la zone de Wernicke et les segments rétrolenticulaire, postérieur et antérieur de la capsule interne. - Coupe hor
ne. - Ci(fl), faisceau géniculé de la capsule interne. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-le
- ma, sillon marginal antérieur de l'insula. - mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - \'C, tête du noyau caudé. - Nu, qu
. - Tap, tapetum. - pilier antérieur du trigone. - l'gp(Fi), pilier postérieur du trigone (fimbria). - 1'le, couche optique (tha
de Wernicke. X ? zone réticulée ou grillagée. Fia. 44. - Le segment postérieur du pédoncule inféra-interne du thalamus. - Coupe
ule quadrijumeau antérieur. - l3rQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur . - Cl, corne d'Ammon. C13, carrefour olfactif d
roisième circonvolution frontale. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure . - frl, sillon fimbrio-godronné. - Fli, fais- c
li, fais- ceau longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - 7'W, faisceau rétro- flexe de Meynert. - GQp
rétro- flexe de Meynert. - GQp, ganglion du tubercule quadrijumeau postérieur . - h, sillon de l'hippocampe. - i, sillon insul
pocampe. - i, sillon insulaire. - la, insu la antérieur. - Ip, insula postérieur . - FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE.
embryonnaire. ma, sillon marginal antérieur. - mp, sillon marginal postérieur . - NA, noyau amygda- lien. - A'C, tête du noyau
- Tap, tapetum. - Tria, pilier antérieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - U, circonvolu- tion du crochet. -
culaire de la capsule interne (Cisl). 3. Fibres cortico-thalamiques postérieures ou occipito-pariétales (Radiations thalamiques
amiques postérieures ou occipito-pariétales (Radiations thalamiques postérieures , radiations optiques de Gratiolet, pédoncule po
alamiques postérieures, radiations optiques de Gratiolet, pédoncule postérieur du thalamus). PpTh, Fig. 10, 14, 15, 16, 20, 21,
, 15, 16, 20, 21, 24, 33, 41, 43). - Les fibres cortico-thalamiques postérieures relient le lobe occipital et la partie adjacent
obe occipital et la partie adjacente du lobe pariétal à l'extrémité postérieure de la couche optique, en particulier au pulvina
33.) Elles font partie intégrante des couches sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante (en particulier de la
e la capsule inlerne (Cirl), puis abordent le pulvinar et la partie postérieure du noyau externe, dont elles forment la zone réti
vent le trajet du faisceau de Tiirck (FT), traversent la partie postérieure du segment pos- térieur de la capsule interne
a capsule interne (Cip) et s'irradient dans la partie ventrale et postérieure du thalamus et dans le corps genouillé intern
l'anse du noyau lenti- culaire (Al) et la partie inlerne du segment postérieur (Cip) de la région sous-thalamique de la capsul
t au système visuel et forment, avec les fibres cortico-thalamiques postérieures , les radiations optiques de Gratiolet (RTh). El
a capsule interne le même trajet que les fibres cortico-thalamiques postérieures , auxquelles elles sont intimement unies. L'étud
Bras, hémisphère gauche, Fig. 93) qu'elles occupent dans le segment postérieur de la couche rayonnante à peu près la hau- teur
ECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 69 FiG. 47. - Les segments antérieur, postérieur et rétrolenticulaire de la capsule interne, rad
ée de l'avant-mur, se continuant avec l'écorce de la circonvolution postérieure de l'insula (Ip). - BrQa, bras du tubercule quadr
capsule interne. - Ci(g), genou de la capsule interne. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-le
e la capsule interne. - coin, com- missure molle. - cop, commissure postérieure . - P3, troisième circonvolution frontale. fj, s
ampe. - i, sillon insulaire. - la, in- sula antérieur. - Ip, insula postérieur . le, lame cornée et taenia semi-circularis. - Lme
icale au corps genouillé interne et au tubercule quadri- jumeau postérieur . laire, - Lné , lame médullaire externe supplém
lenticulaire.- ma, sillon marginal antérieur. - mp, sillon marginal postérieur . - A'C, tête du noyau caudé. - 11-C', queue du no
volution temporale. Tga, pilier antérieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche optique. 3, troisième ve
et en avant du corps genouillé externe qu'elles séparent du segment postérieur de la capsule interne (Cip), en particulier du fa
ADIATIONS DU CORPS GENOUILLÉ INTERNE ET DU TUBERCULE QUADRI- JUMEAU POSTÉRIEUR . - Les radiations du corps genouillé interne (RCg
ions du corps genouillé interne (RCgi) et du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp), appartiennent au sys- tème auditif et p
tubercule quadrijumeau antérieur, le bras du tubercule quadrijumeau postérieur , et les radiations de la calotte. - Méthode de
eau antérieur. - BrQp + Rm, union du bras du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Iteil médian. Ce, capsule exte
re antérieure. - Epa, espace perforé antérieur. - Epp, espace perforé postérieur . - Fcop, faisceau de la commissure postérieure.
- Epp, espace perforé postérieur. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure . Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, fai
e. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur . - P.11, faisceau rétroflexe de Meynert. - Fu, fa
ion le trajet du faisceau de Turck et traversent avec lui la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Ci
au de Turck et traversent avec lui la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip). Les radiations d
égénérescence du segment rétro-lenti- culaire et souvent du segment postérieur de la capsule interne leur trajet est en généra
ile à suivre dans ces cas. Les radiations du tubercule quadrijumeau postérieur occupent un niveau plus inférieur que les radia
le nom de région du ruban de Reil; il s'accole ensuite à la partie postérieure du ruban de Reil (Fig. 48), dont il se distingu
, et aborde la partie externe du ganglion du tubercule quadrijumeau postérieur , dans lequel il se termine (Fig. 44). Il est re
robable que ces radiations occupent la partie supérieure du segment postérieur de la couronne rayonnante et la région thalamique
ontrairement à ce que l'on croyait, que les sec- Leurs antérieur et postérieur de l'hémisphère, c'est-à-dire les trois quarts
l'hé- misphère cérébral, passent par le genou (Ci(g), les segments postérieur (Cip) et sous-lenticulaire (Cisl) de la capsule
). Elles passent dans la région thalamique supérieure par la partie postérieure du segment antérieur de la capsule interne (Cia
par le faisceau géniculé (Ci(g) et la partie antérieure du segment postérieur (Cip); dans la région sous-thalamique, elles oc
ion sous-thalamique, elles occupent la partie antérieure du segment postérieur (Cip), puis forment la partie interne du pied du
de l'hémi- sphère. Elles passent par le genou, les seg- ments postérieur et sous-lenticulaire do la capsule interne.
nsaient Meynert, Flechsig, Bris- saud, etc., mais bien de la partie postérieure de ce lobe, en particulier de l'opercule roland
ieure du seg- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 16 ment postérieur de la capsule inlerne (Cip), situées immédiatemen
sous-tha- lamique, le faisceau dégénéré du bord interne du segment postérieur de la capsule inlerne (Cip), est sensiblement é
s'arrêter dans les ganglions centraux. Elles passent par le segment postérieur de la capsule interne (Cip) et occupent, dans c
ule cérébral (Fig. 49), et passent par la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne (Cip). Les libres de la par
acentral (zone corticale du membre inférieur) passent par la partie postérieure du segment pos- térieur de la capsule interne (
interne (Cia) et dans l'extrémité antérieure du thalamus. Le secteur postérieur ou occipito-pariétal (coloré en jaune) envoie l
Qt) reçoivent le contingent des fibres du lobe occipital; la partie postérieure du noyau externe du thalamus et la région sous-
du secteur moyen de l'hémisphère passent par le genou et le segment postérieur de la capsule interne, s'irradient dans la couc
n rose) occupent dans la région tha- lamique le genou et le segment postérieur de la capsule interne, dans la région sous-thal
bral les quatre cinquièmes internes. Elles occupent dans le segment postérieur de la capsule interne une situation d'autant pl
du thalamus, et occupent dans la région sous-thalamique le sixième postérieur du segment postérieur de la capsule interne et
ent dans la région sous-thalamique le sixième postérieur du segment postérieur de la capsule interne et le cinquième externe d
, aussi bien dans le pied du pédoncule cérébral que dans le segment postérieur de la capsule interne. L'étude des dégénérescen
-lenticulaire (Cisl) de la cap- sule interne et abordent le segment postérieur de la capsule interne (Cip) dans la région sous
rtie infé- rieure du segment rétro-lenticulaire (Cirl) et la partie postérieure du seg- ment postérieur de la capsule interne (
ent rétro-lenticulaire (Cirl) et la partie postérieure du seg- ment postérieur de la capsule interne (Cip), descendent avec le s
postérieur de la capsule interne (Cip), descendent avec le segment postérieur de la capsule interne dans le pied du pédoncule c
nsitif (Charcot, Ballet, Brissaud), faisceau cortico-protubérantiel postérieur (Flechsig), faisceau occil)ilo-te21îl)oi,o-pî,o
rmédiaire des noyaux des cordons de Goll et de Burdach, les cordons postérieurs de la moelle au lobe occipital (Fig. 51). Pour Ch
t bien connu que dans la région thalamique les lésions de la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Ci
a région thalamique les lésions de la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip) se traduisent par une
ndre, puisqu'il n'existe pas encore à cette hauteur dans le segment postérieur de la capsule interne. Mais ce faisceau dégénèr
rare, la lésion porte dans la région sous-thalamiquo sur la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne, c'
dans la région sous-thalamiquo sur la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne, c'est-à-dire sur la régi
nous avons pu le constater, une zone de dégénérescence à la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne, mais
ater, une zone de dégénérescence à la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne, mais cette zone fait déf
dans la région thalamique de la capsule interne, tout le seg- ment postérieur , depuis le genou (non compris) jusqu'au segment r
région sous-thalamique par les trois cin- quièmes moyens du segment postérieur , occupent les trois cinquièmes moyens du pied d
be du même côté, dégénérescence qui peut être suivie-dans la partie postérieure du cordon latéral du côté opposé de la moelle.
on anté- rieur de la moelle; 2° Que dans les lésions de la partie postérieure de lacapsule interne, l'hémiplégie et la dégéné
ion 'avec une cellule de l'olive bulbaire et pénètre dans le cordon postérieur droit. - fb', fibre des couches profondes du corp
on avec une cellule de l'olive droite et se continue avec le cordon postérieur gauche. - fat, cordon antéro-latéral de la moelle
upes G et 1), cordon latéral de la moelle et du bulbe. - Fp, cordon postérieur . - g, substance gélatineuse de Rolando,. - L, la
coupe 5) et le cordon latéral de la moelle (coupe Cf. Lp, la partie postérieure du [ruban de Reil, son origine dans la valvule
bérance et le bulbe (coupes 3 et 4); sa continuation avec la partie postérieure du cordon latéral de la moelle (coupes 5, 6, 1)
ntérieure du tronc encéphalique ou voie pédonculaire. - vp, la voie postérieure du tronc encéphalique ou de la calotte. - 5, raci
res arquées en connexion avec les noyaux de l'acoustique. 10, noyau postérieur du vague et fibres radiculaires de ce nerf (coupe
oll et de Burdach et se continuaient indirectement avec les cordons postérieurs de la moelle. Meynert, eu égard aux cas d'hémia
u pédoncule cérébral et répond aux deux tiers antérieurs du segment postérieur de la capsule interne (région pyramidale de la ca
dégénère, qui est composé de fibres centripètes et qui forme le tiers postérieur du segment postérieur de la capsule interne.
é de fibres centripètes et qui forme le tiers postérieur du segment postérieur de la capsule interne. En 1880, Brissaud subdiv
53) : . 1° Le faisceau externe (a), faisceau cortico-protubérantiel postérieur , faisceau temporo- occipito-protubéranliel (Hin
t croisé de la moelle. Dans la capsule interne, il occupe la partie postérieure du segment postérieur, se rapproche du genou de l
Dans la capsule interne, il occupe la partie postérieure du segment postérieur , se rapproche du genou de la capsule sur les co
ieur de la capsule interne et à la partie antérieure de son segment postérieur et contient des fibres du lobe frontal, du noya
sur l'origine des faisceaux cortico-protubéranliels antérieur et postérieur , émit (en se basant sur l'étude du développemen
bres d'association. Ces zones, au nombre de trois, seraient : l'une postérieure , comprenant le lobe temporo- occipital, le lobe
dans les régions inférieures du névraxe. Les secteurs antérieur et postérieur , c'est-à-dire les deux tiers antérieurs du lobe f
tincte, mais une diminution de volume en masse de tout le seg- ment postérieur de la capsule interne, surtout dans sa partie moy
é dans la région thalamique moyenne la partie antérieure du segment postérieur de la capsule interne en arrière du genou. Fl
la capsule interne en arrière du genou. Flp, faisceau longitudinal postérieur . - FT, faisceau de Turcs atteint de dégénérescenc
l'es, pédoncule cérébelleux supérieur. - Qp, tubercule quadrijumeau postérieur . - Rl, ruban de Iteil latéral. - R1 ? ruban de It
capsule interne et dégénérescence des couches sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante et le cas Brichard, F
andiques, par exemple, la méthode de Weigert montre dans le segment postérieur de la capsule interne une zone de dégénérescence
plus ou moins haut dans le pied du pédoncule cérébral et le segment postérieur de la capsule interne, et une dégénérescence ré
rtère frontale interne et moyenne (Fim), artère frontale interne et postérieure (Fip) sont colorées en rose. - Les branches de l'
li courbe (Pc), artères temporales antérieure (Ta), moyenne (Tm) et postérieure (Tp) sont colorées en bleu. - Les branches de l
re (Tp) sont colorées en bleu. - Les branches de l'artère cérébrale postérieure : artère occipito-temporale antérieure (OTa), a
u tubercule quadrijumeau anté- rieur; sur le tubercule quadrijumeau postérieur et le bras de ce tubercule; sur le ruban de Rei
mation réticulée et ses fibres arcifonnes, le faisceau longitudinal postérieur , le noyau du ruban de Reil latéral, les olives
ion thalamique inférieure. - Dégénéres- cence complète des segments postérieur (Cip), antérieur (Cia) et du genou (Ci(g) de la
mique de la capsule interne. - Dégénérescence complète des segments postérieur (Cip) et antérieur (Cia) de la capsule interne, d
res longitudinale de la capsule interne (segments antérieurs (Cia), postérieur (Cip), rétro (Cirl) et sous lenticulaires (Cisl
nt par la région sous-optique. Dégéné- rescence complète du segment postérieur de la capsule interne (Cip) et du faisceau de T
bus pallidus au thalamus et au corps de Luys, traversent le segment postérieur de la capsule interne (Cip) dans les ré- gions
raversent dans les régions thalamique et sous-thalamique le segment postérieur de la capsule interne. Ces fibres paraissaient mô
ndeur nature. Fig. 78. - Cas Pradel. Coupe horizontale du segment postérieur de la capsule interne dans la région sous-optiq
d'autant plus accusée que la lésion est plus étendue - des segments postérieur et inférieur de la couronne rayonnante, des segme
ère frontale interne et moyenne (Fim), artère fron- tale interne et postérieure (Fip) sont colorées en rose. - Les branches de l'
e (Fip) sont colorées en rose. - Les branches de l'artère cérébrale postérieure : artère temporo-occipitale antérieure (OTa), art
occipitale moyenne (OTm), artère calcarine (K), ou Lemporo-occipitale postérieure sont colorées en vert. Le tronc de l'artère c
culo-striées et lenticulo-opLiques), le tronc de l'artère cérébrale postérieure (vert) irrigue l'espace perforé postérieur, la
onc de l'artère cérébrale postérieure (vert) irrigue l'espace perforé postérieur , la paroi du IIIe ventricule, le pédoncule céré
ur, la paroi du IIIe ventricule, le pédoncule cérébral et la partie postérieure du thalamus (artères optiques). L'artère choroï
a circonvolution du crochet, la circonvolution godronnée, le pilier postérieur du trigone et la queue du noyau caudé. L'artère
érieur du trigone et la queue du noyau caudé. L'artère communicante postérieure (jaune) irrigue l'extrémité an- térieure de la
eur ou pied du pédon- cule qui est toujours sain, ni sur le segment postérieur de la capsule interne (Voy. Fig. 49). Le lobe o
ent, non seulement la voie du tapetum, mais encore celle du forceps postérieur du corps calleux (Fm) et occupent dans le bourrel
montré dès 1892. Les libres de la pointe occipitale et de la partie postérieure des lobules lingual et fusiforme affleurent la
lingual et fusiforme affleurent la surface libre du genou et du bec postérieur , les fibres du cunéus et de la scissure pariéto
lus profonde (Voy. T. 1er, pg. 794-799). L'extrémité effilée du bec postérieur ne contient pas de fibres occi- pitales, mais l
rescences suivantes : 1° Une dégénérescence très intense du segment postérieur de la couronne rayonnante dans les couches sagitt
s la zone de Wernicke (W), le pulvinar (Pul), la partie supérieure et postérieure du corps genouillé externe (Cge) le bras du tub
itale, forment le tapetum (Tap) et le faisceau inférieur du forceps postérieur du corps calleux (Fm') (Fig. 86). La dégénérescen
res - de la base du cunéus, de la pointe occi- pitale, de la partie postérieure des lobules lingual et fusiforme et du sillon col
a partie inférieure du bourrelet, en particulier le bec et le genou postérieurs (Fig. 8G). , 3° Une dégénérescence des courtes
téressant le segment antérieur (Cia), le genou (Ci(g), les segments postérieur (Cip) et rétro-lenticulaire (Cirl)de la capsule i
t collatérale. Dégénérescence des couches sagittales du segment postérieur de la couronne rayon- nante, en particulier
té des radiations du corps genouillé interne (RCgi), du segment postérieur de la capsule interne (Cip) en particulier
scissures calca- rine et collatérale. Dégénérescence du segment postérieur delà couronne rayon- nante, en particulier
ouronne rayon- nante, en particulier du faisceau longitu- dinal postérieur (Fli); des segments rétro et sous-lenticulair
- bercule quadrlju- meau antérieur (Qa). Intégrité du segment postérieur do la cap- sule interne (Cip), du faisceau de
rière. Cécité verbale pure. Coupe vertico-transversale de la partie postérieure de l'hémisphère gauche. 3/2 grandeur naturelle. D
s en jaune, le foyer ancien en brun. La coupe passe par la partie postérieure du bourrelet du corps calleux et par le foyer d
rieure du foyer ancien datant de quatre ans (Fpa). Dans les régions postérieures au plan par lequel passe celte coupe, le foyer an
l et ne dépasse pas en avant une ligne verticale rasant l'extrémité postérieure de la couche optique; elle sectionne à ce nivea
ce niveau l'isthme de la circonvolution de l'hippocampe et le pilier postérieur du trigone. Dans toute l'é tendue de la plaque
du corps calleux dont la partie inférieure ou réfléchie (genou et bec postérieur ) est complètement dégénérée et, au delà du bour
° Une dégénérescence très intense des couches sagittales des segments postérieur et inférieur de la couronne rayonnante (Fig. 89
et de l'isthme de l'hippocampe. A gauche, plaque jaune de la partie postérieure du lobule lingual, de la partie adjacente de la
circonvolutions du cunéus. Dégénérescence du tapetum et du forceps postérieur du corps calleux. Dégé- nérescences des couches
ière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 117 Le segment postérieur de la capsule interne, le pied du pédoncule céréb
sceau transverse du lobule lingual. 4° Une dégénérescence du pilier postérieur du trigone cere6ra/(Tgp)qui peut être sui- vie
elette optique. qu'une plaque jaune limitée portant sur la partie postérieure du lobule lingual et la partie adjacente de la
partie adjacente de la scissure calcarine et s'étendant sur la partie postérieure du pli cunéo-limbique. Cette lésion a entraîné
gp) et antérieur (Tga) du trigone cérébral. - Intégrité du segmen t postérieur de la capsule interne (Cip), en particulier du fa
transversale passant par le pli cuneo-limbique (,,cl) et le forceps postérieur du corps calleux (Fin) . Plaque jaune du lobule
). Elle montre en outre que les segments rétrolenticulaires (Cirl), postérieur (Cip) et antérieur (Cia) de la capsule interne so
le interne. - Dégéné- rescences des couches sagittales des segments postérieur et inférieur de la couronne rayonnante dans la
légie facio- linguale. Foyer lacu- naire sectionnant le segment postérieur de la capsule interne en arrière du genou.
îné une dégénérescence du deuxième cinquième an- térieur du segment postérieur de la capsule interne (Cip), de la lame médullair
g. 99, 100). Il existe enfin (Fig. 98) dans la partie inférieure et postérieure de la capsule externe un petit foyer lacunaire
rieure (coa) et des courtes fibres d'association du sillon marginal postérieur de l'insula. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nat
randeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 123 postérieur de la couronne rayonnante. Dans ces cas, on obser
ls la lésion corticale n'intéresse pas le faisceau compact du segment postérieur de la couronne rayonnante. Le cas Jouan (Fig. 9
3 à 4 de haut et 2 de profondeur occupant le pli courbe, la partie postérieure et inférieure du pli marginal supérieur (Gsm) l'e
postérieure et inférieure du pli marginal supérieur (Gsm) l'extrémité postérieure de la première circonvolution temporale. Cette
e des couches sagittales externe et interne (Sge et Sgi) du segment postérieur de la couronne rayonnante, du segment rétrolent
ourbe; 2° dégénérescence du deuxième cinquième antérieur du segment postérieur de la capsule interne (Cip) consécutive à la lé
légie facio- lingualo. Foyer lacu- naire sectionnant le segment postérieur de la capsule interne en arrière du genou.
légie facio- linguale. Foyer lacu- naire sectionnant li segment postérieur de la capsule interne en arrière du genou D
(Fig. 97 et 98). Aucune fibre dégénérée ne se rend dans le segment postérieur de la capsule interne (Cip), aucune ne descend
ncule cérébral et du locus niger consécutive à la lésion du segment postérieur de la capsule interne immédiatement en arrière du
en arrière du genou. Remarquer dans ce cas l'intégrité de la moitié postérieure du pied du pédon- cule cérébral, malgré la lési
férieurs de la circonvolution pariétale ascendante, de la partie postérieure des première et deuxième circonvolutions temp
endyme ventriculaire et sectionné les couches sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante et la partie adjacent
férenciée du lobe occipital; dégénérescences du tapetum, du forceps postérieur et du bourrelet du corps calleux. Il s'agit ici
ire de la capsule interne, s'ajoute une dégénérescence de la partie postérieure du noyau externe du thalamus (Ne), et du segmen
partie postérieure du noyau externe du thalamus (Ne), et du segment postérieur de la capsule interne (Cip). Cette dernière dégén
dernière dégénérescence occupe dans la région thalamique la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Ci
e occupe dans la région thalamique la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip, Fig. 102 et 103).
escence du segment ré t rolen t iculaire (Cirl) et de la partie postérieure du seg- ment postérieur(Cip), de la capsule i
olen t iculaire (Cirl) et de la partie postérieure du seg- ment postérieur (Cip), de la capsule interne, du pulvinar et d
rescence du segment rétrolenticulairc (Cirl) et de la partie postérieure du seg- ment postérICUr(Clp), de la capsule i
La substance blanche des circonvolutions première temporale (Ti) et postérieure de l'insula (Ip) étant englobée dans la lésion
Dégénérescence du segment rétrolenticulaire (Cirl) et de la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Ci
ent rétrolenticulaire (Cirl) et de la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip); de la lame médullair
urck (FT); ce dernier refoule en avant la zone dégénérée du segment postérieur de la capsule interne (Cip) et la sépare du seg
rescence du segment t rétrolenticulaire (Cirl) et de la partie postérieure du seg- ntontpostérieur(Cip), de la capsule i
de projection cortico-thalamiques et cortico-rubriques ; sa partie postérieure n'envoie pas de fibres de projection dans le pied
i envoie ses fibres dégénérées, soit dans le bourrelet et la partie postérieure du tronc du corps calleux, soit dans le faiscea
ccupe toujours le segment moyen de la couronne rayonnante, le segment postérieur de la capsule interne (Cip) et les quatre cinqu
cinquièmes internes du pied du pédoncule cérébral. Dans le segment postérieur de la capsule interne (Cip) et les quatre cinquiè
cupera dans la région thalamique la partie posté- rieure du segment postérieure de la capsule interne (Cip), et dans le pied du p
aide de coupes microscopiques sériées. La dégénérescence du segment postérieur de la capsule interne (Cip) s'accompagne toujou
ont dégénérées (cas Schweigoffer, Fig. 119); si elle occupe la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Ci
igoffer, Fig. 119); si elle occupe la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip), c'est dans la partie
es (cas Scheule, Fig. 108). Ce fait montre donc que dans le segment postérieur de la capsule interne - comme du reste dans le
, cortico-bulbaires et cortico-médullaires descendent dans le segment postérieur de la région sous-thalamique de la capsule inte
des circonvo- lutions rolandiques. Dégénérescence de la partie postérieure du segment poste- rieur do la capsule inter
ascendantes et du lobule paracentral. - Dégénérescence de la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip,
e paracentral. - Dégénérescence de la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip, Fig. 107), delalame
(les circonvo- lutions rolandiques. Dégénérescence de la partie postérieure du segment posté- rieur de la capsule inter
é- rieur de la zone ro- landique. Dégéné- rescence du segment postérieur de la cap- sule interne, du noyau externe du
rs le lobe frontal qu'il ne reçoit de fibres le reliant à la moitié postérieure de l'hémisphère. Ces règles générales une fois
ons rolandiques. Les dégénérescences secondaires occupent la partie postérieure du segment moyen de la couronne rayonnante, et
a capsule externe (Ce), puis pénètrent entre les dentelures du bord postérieur du putamen et rentrent ainsi dans la capsule in
i dans la capsule interne (Fig. 107 et 108). Elles occupent la parlie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Ci
(Fig. 107 et 108). Elles occupent la parlie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip) et sont séparées du s
s Leudot) (Fig. 101 à 105). Le champ de dégénérescence du segment postérieur de la capsule interne, abandonne chemin faisant
(Fig. 113). Ici la dégénérescence capsulaire occupe dans le segment postérieur de la capsule interne (Cip) un siège plus antér
d'insertion de la deuxième circonvolution frontale (1"2) et la partie postérieure de la troisième frontale (Fa) et s'est manifest
l'hémisphère passant par la cavité porencépha- lique et le segment postérieur de la capsule interne (en particulier, par la lig
faisceau occipito-frontal (OF + Pl' et OF). Intégrité du seg- ment postérieur de la capsule interne (Méthode de Weigert). 2/1 g
FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 137 occupe la partie postérieure du segment antérieur de la couronne rayonnante (p
occupe le genou (Ci[g]) et la partie la plus antérieure du segment postérieur (Cip) de la capsule interne (Fig. 119).Dans son t
120,, le faisceau dégénéré occupe la partie antérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip) ; il est contourné
a pyra- mide bulbaire. 138 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. partie postérieure et inférieure de ce lobe et relè\enl de troubles
enl de troubles circulatoires dans le domaine de l'artère cérébrale postérieure (Fig. 65, p. 99). Les lésions du lobe pariétal
atteignent le lobe temporal, s'étalent de préfé- rence à la partie postérieure et supérieure de ce lobe (Fig. 123). Dans le prem
e, fron- tale ascendante et pariétale ascendante; la circonvolution postérieure de l'insula par l'artère pariétale inférieure,
'artère céré- brale antérieure en rose, celui de l'artère cérébrale postérieure en vert. Fig. 124. - Cas Heudebert (Bicêtre, 18
raîné une dégénérescence du deuxième cinquième antérieur du segment postérieur de la capsule interne, et du deuxième cinquième i
pédoncule cérébral; 2° lésion du lobe occipito-temporal, des segments postérieur et inférieur de la couronne rayonnante. Dégénér
deuxième circonvolutions temporales (Ti, 1'=)et la cir- convolution postérieure de l'insula (Ip). Dans l'un et l'autre cas il s'a
îné une dégénérescence du deuxième cin- quième antérieur du segment postérieur de la capsule interne (Cip) et des fibres radié
ne ayant délruit la face externe du lobe occipital et les parties postérieure et moyenne des 2e et 3 cir- convolutions tempor
), le segment rétro-lenticu- laire (Cirl) seul est lésé, le segment postérieur (Cip) est intact (sauf dans sa partie anté- rie
u de Tiirck (FT), qui refoule en avant les fibres saines du segment postérieur de la capsule interne (Cip), et se place entre le
ostérieur de la capsule interne (Cip), et se place entre les segments postérieur (Cip) et rélro-lenticulaire (Cirl) de la capsul
la circonvolution pa- riétale inférieure (Fig. 129), de la partie postérieure de la 1 ? circonvolution tempo- rale, de l'oper
ion tempo- rale, de l'opercule pariétal et de la circon- volution postérieure del'insula. Cettelésion a sectionné dans la rég
re de la capsule interne (Cirl), la partie adja- cente du segment postérieur (Cip), la partie postérieure du noyau externe d
rl), la partie adja- cente du segment postérieur (Cip), la partie postérieure du noyau externe du thalamus (Ne), la partie su
ieures (Fig. 133), elle intéresse le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp.), les radiations de la calotte et la parti
ge (Fig. 133). Une seconde zone de dégénérescence occupe le segment postérieur de la capsule interne (Cip); elle est séparée d
ion pariétale inférieure, du gyrus supra-marginalis, de la partie postérieure de la première circonvolu- tion temporale, de l
u- tion temporale, de l'opercule pariétal et de la circonvolution postérieure de l'insula. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
du pli courbe, de la partie inférieure de il., de de la partie postérieure de T¡,de t)pP2Ct Ip i section des couches s
nt rétrolenticulatrc et de la partie posté- rieure du segment postérieur de la cap- sale interne, de la partie supérie
sale interne, de la partie supérieure du pulvinar, de la partie postérieure du noyau externe du thalamus, du corpsgcnouiH
u corpsgcnouiHë lu- terne, du bras du tubercule quaùrl.1u- meau postérieur et do la partie postéro supérieure du noyau
rescence du segment rétro-lenti- culaire (Cirl) et de la partie postérieure adja- cente du segment pos- 1 érieur de la ca
(Cip), de la zone réticulée et des fibres radiées de la partie postérieure du noyau 144 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
une du pli courbe, do la partie infeiieiire do P., de la partie postérieure de T,,de 01)1'2 etlp; section des couches s
nt retrolenticulaire et de la partie posté- rieure du segment postérieur de la cap- sule interne, de la partie supérie
sule interne, de la partie supérieure du pulvinar, de la partie postérieure du no) au externe du thalamus, du corps genou
du corps genouillé interne, du bras du tubercule quadriju- meau postérieur et de la partie postéro- supérieure du noyau
uillé in- terne (Cgi). Dégénéres- cence de la partie du segment postérieur de la capsule interne située immédiatement en a
corps genouillé interne (Cgi), du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) et de la partie postéro-supérieure du
des fibres cortico-thalamiques destinées au pulvinar et à la partie postérieure du noyau externe du thalamus, une dégénérescence
olenticulaire de la capsule interne et la partie adjacente du segment postérieur elle est divisée dans la région sous-thalamique
en deux parties pour l'arrivée du faisceau de Türcl : : une partie postérieure rétrolenticulaire, qui s'épuise dans le pulvinar
ieure rétrolenticulaire, qui s'épuise dans le pulvinar et la partie postérieure et ventrale du thalamus et une partie antérieure
ventrale du thalamus et une partie antérieure qui occupe le segment postérieur de la capsule interne et descend dans le deuxième
irl) dégénérés de la capsule interne et s'irradier dans l'extrémité postérieure du globus pallidus (RGP). Sur les coupes sériées,
, puis se placent dans la région sous-thala- mique entre le segment postérieur (Cip) et le segment relro-lenticulairc (Cirl) ; l
me mort à l'Age de 6 ans. - Plaque jaune des parties moyenne et postérieure des deuxième et troisième circon- volutions t
res. Méthode de Weigert 2/1 grandeur nature. traversent la partie postérieure de Cip, aboutissent à la partie inférieure et
partie postérieure de Cip, aboutissent à la partie inférieure et postérieure des noyaux externe et interne du tha- lamus (
nc du noyau caudé (NC) ; d'autre part, dans la partie inférieure et postérieure du bourrelet du corps calleux (Ce [Spl]). Dans le
obe frontal se comportent donc comme le lobe occipital et la partie postérieure du lobe pariétal. Elles n'envoient pas de fibre
iste une dégénérescence du pied du pédoncule cérébral et du segment postérieur de la capsule interne dans la région sous-thala
. 174 à 180), la dégénérescence occupe la partie interne du segment postérieur de la capsule interne (Cip) (région sous-thalam
RES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. loi Les lésions du segment postérieur de la capsule interne (Cip) (cas Rivaud, Fig. 1
; cas Carré, Fig. 188); les lésions de la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne (Cip) font dégénérer la p
pédoncule cérébral (cas James, Fig. 184); les lésions de la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Ci
s James, Fig. 184); les lésions de la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip) (cas Carré, Fig. 18
étro- lenticulaire (Cirl) empiètent, le plus souvent, sur la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne et
l) empiètent, le plus souvent, sur la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne et entraînent de ce fait la
la couronne rayonnante et détruit presque complètement son segment postérieur (Fig. 143 et 144). Cette lésion respecte les no
le troisième segment du noyau lenticulaire; elle ne sectionne le bord postérieur du putamen (NL3) qu'en un point très limité,
laquelle elles appartiennent, dans les segments antérieur (Cia), postérieur (Cip) ou rétro-lenticulaire de la capsule interne
d'autres occupent le genou de la capsule interne (Ci[g]) et la parlie postérieure FiG. 142 el 143. - Cas Rivaud. (Bi- cêtre 189
égénérescence ex- trême de la zone réticulée (Zr) et du segment postérieur de la capsule in- terne (Cip).Minceur et dé
micircularis. Atrophie indirecte des piliers antérieur (Tga) et postérieur (Tgp) du trigone. externe et interne du tha
la topographie est très visible sur la Fig. 147 sectionne le bord postérieur du putamen, longe les couches sagittales du lob
er le faisceau de' Turck (FT), abordent, sur la Fig. 149, la partie postérieure du segment postérieur (Cip) de la capsule inter
k (FT), abordent, sur la Fig. 149, la partie postérieure du segment postérieur (Cip) de la capsule interne. Celui-ci ne contient
Sg Aq (d). Dégénérescence partielle du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (13r Qlp) (fig. 149). Atrophie secondaire très
aisceau de Vicq d'Azyr ou mamillaire principal (Fmp) et des piliers postérieur (Tgp) et antérieur (Tga) du trigone droit. Remarq
ES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 159 la partie supérieure et postérieure du noyau rouge (\R) (fin. 1 r8 et 149) du locus n
et à nu une petite zone de sclé- rose (FPyc) qui longe la corne postérieure . La substance grise centrale contient un cert
uù.noupepassanL par le renllement cervical. 11 n existe à la partie postérieure du cordon antérieur droit et du cordon latéral ga
le infantile. Un fragment grossi de la partie antérieure du segment postérieur de la région thalamique de la capsule in- terne
alamique de la capsule in- terne de la Fig. 145, p. 154. Le segment postérieur de la capsule interne complètement dégénéré est
-thalamiques traversent en fascicules onduleux si serrés le segment postérieur de la capsule interne, qu'elles en masquent la dé
s intervalles plus ou moins volumineux; elles traversent le segment postérieur de la capsule interne (Cip) en fascicules ondul
presque une couche con- tinue (Fig. 161). A première vue le segment postérieur de la capsule interne paraît con- lenir un gran
la moelle du même côté, où il se place en avant du col de la corne postérieure (Fig. lî). FIG. 162. - Cas Rivaud. Coupe passan
ant par le segment antérieur (Cia) le genou (C (g)), les seg- ments postérieur (Cip), sous-lenticulaire (Cisl) et rétro-lenticul
ent posléi ieur de la capsule interne. Le tronc de l'artère cérébrale postérieure (artères optiques colorées en vert) irrigue l'e
rieure (artères optiques colorées en vert) irrigue l'espace perforé postérieur , la paroi du troisième ventricule, les deux tie
erforé postérieur, la paroi du troisième ventricule, les deux tiers postérieurs de la couche optique, de la légion sous-optique
gion sous-optique et du pédoncule cérébral. - L'artère communicante postérieure et le tronc carotidien (colorés en jaune) irrig
optique, la région du genou et de la partie adjacente e du segment postérieur de la capsule interne, le pilier antérieur du tri
rieure (colorée en brun) irrigue la queue du noyau caudé, le pilier postérieur et le tronc du Irigone, le segment interne du noy
Irigone, le segment interne du noyau lenticulaire, les trois quarts postérieurs du segment postérieur, les segments rétro-lenticu
erne du noyau lenticulaire, les trois quarts postérieurs du segment postérieur , les segments rétro-lenticulaire et sous lentic
ure du segment antérieur (Cia) et de la partie adjacente du segment postérieur (Cip) de la capsule interne, sans participation
(Cia) et les deux tiers antérieurs de la partie supérieure du segment postérieur (Cip) de FiG. 165, 166 et 167. - Cas Racle. Hém
t, à un plan plus élevé que la partie posté- rieure. Dans la partie postérieure du segment antérieur de la capsule interne (Cia)
rne du thalamus, et limitent en dedans la zone dégénérée du segment postérieur de la capsule interne (Cip). Les coupes sériées
nte. Dégénérescence complète des deux tiers antérieurs du seg- ment postérieur (Cip) de la capsule interne. Dégénérescence de la
(Ne, Ni) du thalamus. Intégrité du noyau antérieur et de la partie postérieure du noyau externe. Dégénérescence partielle de la
postérieure du noyau externe. Dégénérescence partielle de la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne. Inté
terne. Dégénérescence partielle de la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne. Intégrité du segment rétro
nticulaire de la capsule interne et des couches sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante (CSgt). Méthode de \V
extrémité antérieure du thalamus irriguée par l'artère communicante postérieure . Elle n'affleure la corticalité cérébrale qu'en u
rale qu'en un point très limité correspon- dant à la circonvolution postérieure de 'l'insula (Fig. 103) et à la lèvre sylvienne d
la cortica- lité cérébrale dans la région de la circonvo- lution postérieure de l'insula et de la lèvre syhienne de l'opercu
halamique et par la région sous-optique. La dégénérescence du segment postérieur de la capsule interne est masquée en grande par
erne, une dégé- nérescence des deux tiers antérieurs du segment postérieur de la capsule interne (Cip) dans les parties
Th) (Fig. 167 et 169) et envoyer dans la partie antérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip) un faisceau de fibr
hauteur de la région sous-thalamique, la partie antérieure du segment postérieur de la capsule interne contient des fibres saine
adjacente à la dégénérescence des deux tiers antérieurs du segment postérieur de la capsule interne. Cette dernière peut être
é parfaite du noyau antérieur du thalamus (Na) (Fig. 166), du tiers postérieur du segment postérieur de la capsule interne (Cip)
térieur du thalamus (Na) (Fig. 166), du tiers postérieur du segment postérieur de la capsule interne (Cip), des seg- ments rét
rieure du segment antérieur (Cia) et la partie adjacente du segment postérieur (Cip) de la capsule interne, respecte le faisce
sion a entraîné une dégénérescence de la partie antérieure du quart postérieur du segment postérieur de la capsule in- terne
nérescence de la partie antérieure du quart postérieur du segment postérieur de la capsule in- terne Cip (Fig. 175 et 176).
capsule externe. 2° Dégénérescence de la partie antérieure du quart postérieur de Cip consécutive à la lésion porencé- phaliqu
phalique corticale. 3" Dégénérescence des piliers antérieurs (Tga) et postérieur (Tgp; du trigone, des couches sagittales du seg
) et postérieur (Tgp; du trigone, des couches sagittales du segment postérieur de la capsule interne (CSgt), et de la partie p
du segment postérieur de la capsule interne (CSgt), et de la partie postérieure de la capsule externe (Ce//) consécutive à la lés
de la capsule interne et de la partie adja- cente du segment postérieur . Dégéné z rescence du tiers externe du pied d
médian. Dégénéres- cence des couches sagittales du seg- ment postérieur do la couronne rayon- nante. 174 ANATOMIE D
détruisant le faisceau de Tiirck et la partie adjacente du segment postérieur de la capsule inlerne. Dans le pre- mier cas (R
ulaire de la capsule interne (Cisl), la partie adjacente du segment postérieur , les corps genouillés externe et interne, le ru
dian à la partie supérieure de la calotte pédonculaire et le pilier postérieur du trigone. Dégénérescence du faisceau de Tiirck
M). Dégénérescence des couches sagittales (Sgi et Sge-d) du segment postérieur à la couronne rayonnante, de la partie inférieure
ieur de la cap- sule interne (Cia). 3° La dégénérescence du segment postérieur de la capsule interne (Cip) consécutive à la lé
gment sous-lenticulaire (Cisl) et de la partie adjacente du segment postérieur de la capsule interne du Cip. Méthode de Weigert.
de la capsule interne et de la partie adja- cente du segment postérieur . DL-6- nérescence du tiers externe du pied du
de la capsule interne et de la partie adja- cente du segment postérieur . Dégé- nérescence du tiers externe du pied du
é- dian. Dégénéres- cence des couches sagittales du seg- ment postérieur de la couronne rayon- nante. - La dégénéres
gion tlialami- que et sous-thalamique la partie antérieure du quart postérieur de Cip. Dans le pied du , pédoncule cérébral el
ne, les corps genouillés interne (C¡Ú) et externe (Ce),la partie postérieure et inférieure du pulvinar ( l'ul), le ruban d
nt au-des- sous du centre médian de Luys (1\m), enfin le pilier postérieur du trigone (Tgp) (Fig. J î6). Les dégéuéres-
- cence très nette des couches sagittales des segments inférieur et postérieur de la cou- ronne rayonnante, intéressant plus p
de Mey- nert (CM) (Fig. 176) ; 2° par suite de la lésion du pilier postérieur du trigone (Tgp) (F\g. 170), une dégénérescence
parition partielle du feutrage de ce noyau. c. Lésions du segment postérieur de la capsule interne (Cip).-Cliez Segalon (Fig
ns la région thalamique supérieure, le quart antérieur du seg- ment postérieur de la capsule inlerne (Cip); l'autre occupe le th
ig. 186) et sectionne, dans la région thalamique moyenne, la partie postérieure du segment pos- lu ieur de la capsule interne (
première lésion respecte le genou et la partie adjacente du segment postérieur de la capsule interne (Cip), et la zone dégénérée
t dans le pied du pédoncule cérébral (Fig. 188), une situation plus postérieure que dans le cas Ségalon; elle occupe en effet l
quième interne. La dégénérescence consécutive à la section du quart postérieur de Cip est refoulée en avant par le faisceau de T
183 à 185), la lésion centrale occupe la partie moyenne du segment postérieur delà capsule interne et du noyau lenticulaire, et
nne, en outre, la capsule externe, ral.ant-mur et la circonvolution postérieure de l'insula. La dégé- nérescence occupe la part
e la couche optique sectionnant la partie antérieure du segment postérieur de la capsule interne immédiatement en arrière du
men détruisant le globus pallidus et la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne. Dégénéres- cence de la
on capsulaire : 10 Lésion sectionnant le quart antérieur du segment postérieur (Cip) de la capsule en arrière du genou. Dégéné
ent interne du pied du pédoncule cérébral. 2° Lésion du quart postérieur de Cip, dégénérescence du deuxième cinquième
ent interne du pied du pédonculo cérébral. 2° Lésion du quart postérieur de Cip, dégénérescence du deuxième cinquième
. Cas Lavigne. Lé- sion de la partie pos- térieure du segment postérieur do lacap- sule interne immé- diatement en ava
k. tine de la partie antérieure du pulvinar (Pul) et de la partie postérieure du noyau externe du tha- lamus sectionnant le q
tie postérieure du noyau externe du tha- lamus sectionnant le quart postérieur du seg- ment postérieur de la capsule interne.
xterne du tha- lamus sectionnant le quart postérieur du seg- ment postérieur de la capsule interne. Dégéné- rescence partiel
iennes; intégrité de l'anse lenticulaire. Dégénérescence du quart postérieur du segment postérieur de la capsule interne. Da
l'anse lenticulaire. Dégénérescence du quart postérieur du segment postérieur de la capsule interne. Dans la région sous-thal
n centrale qui occupe la partie antérieure du pulvinar et la pallie postérieure du noyau externe du thalamus et détruit en part
3). Hémiplégie droite. Lésion de la partie posté- rieure du segment postérieur de la capsule interne, immédiatement en avant du
couche oplique, la partie antérieure du pulvinar (Pul), la partie postérieure et inférieure du noyau externe (Ne), la partie
égion du ruban de Reil médian; il sec- tionne (Fig. 189) le segment postérieur de la capsule interne (Cip) en avant du segment
(1\LI, KLa, NI,3, Fig. 189 et 190). Dégé- nérescence de la partie postérieure du seg- ment postérieur (Cip) delà capsule inte
9 et 190). Dégé- nérescence de la partie postérieure du seg- ment postérieur (Cip) delà capsule interne immédiatement en ava
(Qa); dégénérescence par- tielle du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp); dégénérescence rétro- grade du ruban de
érescence partielle des radiations strio-luysiennes et de la partie postérieure du corps de Luys; intégrité de l'anse lenticulair
. Cas Lavigne. Le- sion de la partie pos- térieure du segment postérieur de la cap- sule interne III1111Ó- diatement e
bras du tubercule quadrijumeau antérieur; elle sectionne le segment postérieur (Cip) de la capsule interne immédiatement en avan
en avant du segment rétrolenticulaire (Cirl) et s'étend à la partie postérieure du globus pallidus et du putamen (Fig.189 et 19
atement en avant du foyer primitif; une dégéné- rescence du segment postérieur de la capsule interne qui se place dans la région
91), une dégénérescence partielle du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (Br Qp) et une dégénérescence rétrograde du ruban
lésion du globus pallidus sectionnant la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne. 2° Lésion du seg- ment r
u pulvinar (Pul) ; dégénérescence des couches sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante (Sge et Sgi) et du fa
RALE. 183 Dégénérescence complète des couches sagittales du segment postérieur de lt couronne rayonnante (Sge et Sgi), (faisce
ieur de lt couronne rayonnante (Sge et Sgi), (faisceau longitudinal postérieur et radiations thalamiques). Intégrité du tapetu
artielle du corps genouillé interne, des piliers (Tga) antérieur et postérieur (Tgp) du trigone et de la commissure antérieure (
nté- rieure. L'une sec- tionne la a partie moyenne du segment postérieur de 1 a capsule interne et entraîne une dégé-
anté- rieure. L'une sec- tionne la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne et entraîne une dégé-
ion. nérescence de faisceaux importants. L'une siège dans la partie postérieure du globus pallidus sectionne dans la région sou
u globus pallidus sectionne dans la région sous-optique, le segment postérieur de la capsule interne en avant du faisceau de T
faisceau longitudinal inféiieur, radiations thalamiques) du segment postérieur de la couronne rayonnante (Fig. 192, 193, 191)
coa, Fig. 192, 193 et 194); 3° une dégénérescence partielle du pilier postérieur du trigone (Tgp), dégénérescence qui peut être
ans le cas Cogery (Fig. 175) où la lésion avait sectionné le pilier postérieur et empiété sur la partie externe du pédoncule cér
, lesquels ne sont reliés au manteau qu'à leurs parties antérieure, postérieure et inférieure. Les fibres de projection se sont
les n'arrivent à la capsule interne que par les segments antérieur, postérieur et inférieur de la couronne rayonnante, la pore
lucidum. Quelle qu'en soit la nature, ce processus est certainement postérieur à celui qui dans nos deux cas a déterminé l'absen
de la ligne médiane et occupant à peu près la situation des piliers postérieurs du trigone d'un embryon de quatre mois. A en juge
tence de fibres thalamo-corti- cales dans les segments antérieur et postérieur de la capsule interne. Etant donnés les résulta
ne des deux hémisphères (Fig. 199 et 200). A droite, les deux tiers postérieurs du lobe sphénoïdal sont développés et l'on distin
la face interne des deux hémisphères (à l'exception des trois quarts postérieurs de la première circonvolution limbique gauche e
elet saillant qui correspond au pli falciforme de l'insula, au bord postérieur du lobe frontal et au trigone olfactif et qui se
ement oblique, la moitié gauche de la figure intéresse un plan plus postérieur que la moitié droite. Méthode de Weigert-Pal. 5/2
e, par la partie antérieure de la couche optique (Th) et du segment postérieur de la capsule interne (Cip) ; à gauche, par la
e (Cip) ; à gauche, par la partie moyenne du thalamus et du segment postérieur de la capsule interne (Cip), par le corps de Lu
orps de Luys (CL), la partie moyenne du thalamus (Th) et du segment postérieur de la capsule interne (Cip), et à droite, par l
postérieur de la capsule interne (Cip), et à droite, par la partie postérieure du corps strié (NL3) et la corne d'Ammon (C1). Le
par le pédoncule céré- hral (P), les noyaux rouges (NR), la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Ci
hral (P), les noyaux rouges (NR), la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip), et le corps de Luy
e interne (Cip), et le corps de Luys (CL) il droite, et par la partie postérieure de la couche optique à gauche. Méthode de Weige
pied du pédoncule (P), le centre médian de Luys (i\m) et la partie postérieure du thalamus (Th). Mé- Iiiode de Weigert-Pal. :
pe vertico-transversale du pédoncule cérébral passant par la partie postérieure du thalamus et du corps du trigone, et sectionnan
one, et sectionnant le gan- glion de l'habenula (Gh), la commissure postérieure (cop), les noyaux rouges (NU), le ruban de Reil
), les noyaux rouges (NU), le ruban de Reil médian (Ilm). La partie postérieure du thalamus (Th) est une masse informe contenan
écorce du rhinencéphale (circonvolution de l'hip- pocampe, partie postérieure de la première circonvolution limbique, corne
oins suivre avec facilité les cylindres-axes, soit dans le pilier postérieur , soit dans le corps ou les piliers antérieurs.
s, c'est- 'L-dire le long du sillon médian antérieur et à la partie postérieure du cordon latéral. La partie périphérique du co
grise; il en est séparé par les segments Moteurs (Cia, Fig. 202) et postérieur de la capsule interne (Cip, Fig. 203, 204 et 205)
. 209. - Cas Longery. Coupe passant, par les tubercules quadrijumeaux postérieurs (Qp), la partie moyenne de la protubérance (Po)
ent être suivis avec facilité dans leur trajet a travers le segment postérieur de la capsule interne. Le thalamus présente d
n faisceau rétroflexe (Fil), le centré médian de Luys (Nm). La partie postérieure du thalamus est par contre une masse informe et
corps genouillé interne ou externe (Fig. 206, 207). Quant à^la partie postérieure et ventrale du noyau externe du thalamus (fin.2
urent en fascicules serrés et parallèles les segments antérieurs et postérieurs de la capsule interne, en passant d'abord entre l
miques, formant à elles seules les fibres des segments antérieur et postérieur de la capsule interne. Mais elles n'existent qu
, paraissent nor- maux. Les fibres protubérantielles antérieures et postérieures ne sont pas encore com- plètement myélinisées,
ales dans les régions interne supérieure, inférieure, antérieure et postérieure des hémisphères (Fig. 213). Leb parties latéral
nésies du corps calleux. Le profond sillon transversal de la parlie postérieure de la convexité gauche (Fig.`3t3) appartient pr
téro-supérieure de la scissure interhé- misphérique. Dans la moitié postérieure de la scissure, le tronc du corps calleux fait
la base ou corps opto-striés séparés l'un de l'autre à leur partie postérieure par le corps du trigone et les plexus choroïdes d
ons d'îlots cor- ticaux appartenant à l'écorce qui tapisse la paroi postérieure de la porencéphalie. - Ep, épendyme ventriculai
igert-Pal. 206 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. logue des segments postérieur et inférieur de la couronne rayonnante. Ces deux
apports ventriculaires près, il se comporte donc comme les segments postérieur et inférieur de la couronne rayon- nante normal
sphère en un faisceau à direction sagittale, l'homologue du forceps postérieur d'un cerveau normal. - Fp, faisceau des fibres de
de la capsule interne. En résumé les fibres des segments antérieur, postérieur et supérieur de la cou- ronne rayonnante aborde
aux ganglions de la base empruntent la voie des segments antérieur, postérieur ou inférieur de la couronne rayonnante. Quant
volumineux, ova- laire, à direction sagittale, le forceps majeur ou postérieur du corps calleux (Fm, Fig. 8, p. 14), dont les
u segment antérieur (Cia) et la partie antéro-supérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip). Ces segments contien
thalamiques. 210 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. logue du forceps postérieur normal, mais d'un forceps postérieur anormalement
TRES NERVEUX. logue du forceps postérieur normal, mais d'un forceps postérieur anormalement étiré par suite de l'agénésie du b
malement étiré par suite de l'agénésie du bourrelet et de la partie postérieure du tronc du corps calleux. Fig. 227. - Cas Rich
gment antérieur (Cia) et se place à la partie antérieure du segment postérieur (Cip). Celui-ci, bien qu'étroit, [contient néanmo
du septum lucidum (PSI) entre les deux noyaux caudés. A la partie [ postérieure de la coupe, on voit le corps du trigone (Tg) a
orne d'Ammon (CA), la circon- volution godronnée (Cg), et le pilier postérieur du trigone (Tgp) dans la région où il s'infléch
s les agénésies du corps calleux n'est pas l'homologue d'un forceps postérieur très allongé. Nous n'avons pas eu Fin. 228. - C
ès allongé. Nous n'avons pas eu Fin. 228. - Cas Richard. Le segment postérieur de la capsule interne 'dans la région sous-thal
e 'dans la région sous-thalamique. La partie antérieure du segment) postérieur (Cip) de la Capsule interne est relativement bi
s descendantes du faisceau géniculé Ci(g). Tout le reste du segment postérieur est dépourvu de fibres longitudinales, et n'est
a laque hématoxylinique; il fait complètement défaut dans la moitié postérieure de la région thalamique, où la zone réticulée (
(Cirl) contient un grand nombre de fibres qui font suite au segment postérieur de la couronne rayonnante et s'irradient dans l
e inférieure basale du noyau caudé (C ? sC). Ici encore, le segment postérieur de la capsule interne (Cip) n'existe que dans l
ntient de fibres que dans sa partie antérieure (Ci(g). De la partic postérieure du segment postéiieur de la capsule interne, cell
a (Zi) anormalement large. Les couches sagittales (CSgt) du segment postérieur de la couronne rayonnante se divisent en abordant
ments de la capsule interne. Les couches sagittales (CSgt) du segment postérieur de la couronne rayonnante (Fg. 329 et 230) et l
pent dans la région sous-thalamique la partie antérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cig, Fig. 228, 229, 230)
ne (Cisl) et les radiations olfactives profondes (Rolp). Le segment postérieur (Cip) de la capsule interne est traversé par les
la couronne rayonnante (Voy. plus haut, p. 207). Quant au segment postérieur de la capsule inlerne (Cip), bien que, sans c
s, s'enchevêtrent dans la zone réticulée, montent dans le segment postérieur de la capsule interne, et ne pouvant atteindre
g. 22G et 227 avec les Fig. 202 à 204 du cas Longery). Le segment postérieur de la capsule interne pré- sente du l'ente une
par la zone iéticulée relativement large du thalamus, -le segment postérieur de la capsule s'étend néanmoins dans cette région
eure et sous-thalamique (Fig. 228,229, 230), par contre, le segment postérieur de la capsule inlerne est dépourvu de fibres ve
- Brissaud. Du faisceau dit Bandelette sous- optique dans la racine postérieure du thalamus. Nouvelle Iconographie de la Salpètri
déviation nette de la tête du côté opposé en électrisant la partie postérieure de la deuxième circon- volution frontale. Il ré
xiste en réalité deux zones corticales, l'une anté- rieure, l'autre postérieure dont l'excitation provoque une déviation conjugué
e est celle qu'on observe dans l'hémi- plégie de l'homme. Sa partie postérieure est aplatie lorsque l'électrode est appliqué aux
rotation vers la joue du côté opposé et épaississement de sa partie postérieure ; enfin la rétraction légère de la langue avec apl
de la tête et des yeux occupent chez le macaque (Fig. 241) la partie postérieure des première et deuxième circonvolutions fronta
être obtenus, ainsi que Ferrier l'a montré, en excitant des régions postérieures de l'hémisphère, le pli courbe, la première circo
le, lorsqu'une lumière ou un son viennent à être perçus. Le centi e postérieur occipital ou occipito-temporal des mouvements des
al a une action plus directe sur les muscles des yeux que le centre postérieur , car la période latente de ce dernier a une durée
mique supérieure (I) la presque totalité des segments antérieurs et postérieurs de la capsule, à l'exception de la partie tout
ent antérieur augmente, une région inexcitable apparaît à la partie postérieure du segment postérieur (III), de telle sorte que
une région inexcitable apparaît à la partie postérieure du segment postérieur (III), de telle sorte que la zone excitable de
ne au genou de la capsule et à la plus grande partie de son segment postérieur . Sur les coupes qui intéressent la région thala
thalamique inférieure et sous-thalamique que le genou et le segment postérieur de la capsule interne (coupes VI, VII et VIII). S
e par la lame médullaire externe du noyau lenticulaire. A la partie postérieure du segment postérieur, il existe donc une zone in
e externe du noyau lenticulaire. A la partie postérieure du segment postérieur , il existe donc une zone inexcitable qui appara
nt extrême antérieur produit l'ouverture des yeux, le point extrême postérieur des mouvements des orteils. Horsley et Beevor ont
Pour Charcot et Ballet, la zone sensitive comprend toute la partie postérieure de l'hémisphère (lobes occipital et pariétal) e
bord antérieur de la sphère visuelle, et son bord inférieur au bord postérieur de la sphère visuelle. En outre, le segment exter
raux de la vision qui passent par les couches sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante. C'est par le même méca
ow enfin, aucune région corticale du lobe occipital et de la partie postérieure du pli courbe ne serait dépourvue de fibres mac
u temporal; fin, faisceau maculaire du nerf optique. - Fin, forceps postérieur ou major du corps calleux. - Fil, faisceau uncina
ernicke et première circonvolution temporale droite. - 7(/p, pilier postérieur du trigone. - VI, carrefour ventriculaire. - 1 ?
plète ou croisée, par lésion bilatérale ou unilatérale de la partie postérieure des premières circonvolutions temporales, sont ra
ns élevés occupe la partie antérieure, celle des sons bas la partie postérieure de la zone auditive. Quoi qu'il en soit, d'aprè
artie moyenne, car il est aujour- d'hui bien démontré que la partie postérieure du lobe temporal gauche chez les droitiers -et
sième circonvolution frontale au pli courbe, en englobant la partie postérieure de la première circonvolution temporale. Les cent
s audi- tives des mots, ou centre de Wernicke, siège dans la partie postérieure de la pre- mière circonvolution temporale et le
des sons. Le centre des images auditives des mots occupe la partie postérieure de la sphère de l'audilion générale; le centre
e Broca, la surdité verbale domine si la lésion a détruit la partie postérieure de la première circonvolution temporale, la ci
ielle, suivant que la lésion occupe la partie antérieure ou la partie postérieure de la zone du langage, suivant qu'elle détruit
lutions troisièmes frontales. - Cia, Cip, Cirl, segments antérieur, postérieur et rciru-lcnliculairc de la capsule interne. -
rc de la capsule interne. - CSgt, les couches sagittales du segment postérieur de la cou- ronne rayonnante. l', 7 ? première c
les lésions en foyer localisées dans les segments antérieur (Cia), postérieur (Cip), rétro-lenticulaire (Cirl) et sous-lentic
s que le genou (Ci [g]) est touché et que par conséquent le segment postérieur de la capsule (Cip) est entamé, la symptomatolo
one rolandique, que les zones dégénérées occupent dans le seg- ment postérieur de la capsule interne (Cip) une situation d'autan
es de projection de la corticalité motrice occupent dans le segment postérieur de la capsule interne (Cip) une situation d'autan
zone rolandique. Lorsque le genou et la parlie adjacente du segment postérieur (Cip) sont lésés, on constate l'existence d'une
sé. C'est en effet par le genou et la partie adjacente du seg- ment postérieur de la capsule que passent les fibres provenant de
le syndrome de la paralysie pseudo-bulbaire. Les lésions du segment postérieur de la capsule inlerne (Cip) situées plus en arr
sieurs fois, dans des cas de lésions anciennes du tiers ou du quart postérieur de Cip (p. 173) une contracture plus intense du m
ceptionnelle. La conséquence ordinaire d'une destruction du segment postérieur de la capsule en arrière du genou est l'hémiplé
ion de l'hémisphère. Charcot localisait l'hémichorée dans la partie postérieure du segment posté- rieur de la capsule interne (
que nous le montrerons plus loin, et non de l'altération du segment postérieur de la capsule interne (Cip). En ISî9,Ifahler etPi
e la région rolandique, tout comme à la suit( de lésions du segment postérieur de la capsule interne (Cip). Il n'y a pas dE lo
paru ou n'est représenté que par quelque : rares fibres. Le segment postérieur (Cip) représente déjà il cette hauteur le pie(
que L. Tiirck avait montré que les lésions siégeant dans la partie postérieure de la capsule interne se traduisaient par une hém
spéciales de la moitié opposée du corps, passaient .dans la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne. Lors
opposée du corps, passaient .dans la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne. Lorsque cette partie pos
e du segment postérieur de la capsule interne. Lorsque cette partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip)
de la capsule interne. Lorsque cette partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip) était détruite, la
sensitivo-sensorielle des hystériques. Charcot désigna cette partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip)
es hystériques. Charcot désigna cette partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip) sous le nom de carr
t le monde est d'accord pour reconnaître qu'une lésion de la partie postérieure du seg- ment postérieur de la capsule interne (
our reconnaître qu'une lésion de la partie postérieure du seg- ment postérieur de la capsule interne (Cip) se traduit dans certa
itions sur lesquelles nous allons revenir - une lésion du seg- ment postérieur de Cip se traduit par une hémianesthésie de la mo
question pour nous est résolue par la négative. Une lésion du tiers postérieur du segment postérieur de la capsule interne (Ci
résolue par la négative. Une lésion du tiers postérieur du segment postérieur de la capsule interne (Cip) ne produit jamais d
on élève, Long. Si - et c'est là le cas le plus fréquent - le tiers postérieur du segment postérieur (Cip) est lésé dans la ré
t c'est là le cas le plus fréquent - le tiers postérieur du segment postérieur (Cip) est lésé dans la région thalamique moyenn
venus de la première circonvolution temporale passent par la partie postérieure du segment sous-lenticulaire (Cisl) de la capsule
corps genouillé interne, et de là dans le tubercule quadriju- meau postérieur (voy. Nerf auditif). Ces fibres peuvent donc être
ues de la corne d'Ammon et du fascia dentata arrivent par le pilier postérieur du trigone pour se rendre au tubercule mamillaire
te de la bilatéralité du centre olfactif il faut donc que le pilier postérieur du trigone soit intéressé par la lésion. Il en
nt-elles directement et sans neurones intercalaires, par le segment postérieur de la capsule interne pour aller s'arboriser dans
des cas, la couche optique était lésée en même temps que le segment postérieur de la capsule interne et, dans les très rares c
rt donc de cette discussion que, lorsqu'une altération de la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne s'est
sion que, lorsqu'une altération de la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne s'est traduite pendant la
ciale de ce ganglion, à savoir, en avant du pulvinar, dans la partie postérieure et inférieure du noyau externe du thalamus (rég
ions suivies d'autopsies et dans lesquelles une lésion de la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne et
s et dans lesquelles une lésion de la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne et du thalamus, siégeant
n- stratifs à cet égard. Dans ces deux cas, en effet, où le segment postérieur de la capsule interne et la couche optique sont
les de la sensi- bilité générale que l'on observe lorsque la partie postérieure de Cip est lésée dans la région thalamique infé
n des fibres de la sensibilité générale qui passent t par la partie postérieure de Cip ou bien relèvent-ils de la lésion concomit
rêtons. En effet, s'il existait un faisceau sensitif dans la partie postérieure de Cip, les lésions de cette partie de Cip dans
ent dans la capsule interne, de même qu'il n'y a pas dans la partie postérieure du segment postérieur de cette dernière de faisce
erne, de même qu'il n'y a pas dans la partie postérieure du segment postérieur de cette dernière de faisceau compact formé uni
une fois issues du thalamus se mélangent intimement dans ce segment postérieur de la capsule interne avec les fibres motrices
e incomplètement la circonvolution olfactive externe, longe le bord postérieur de l'espace perforé antérieur qu'elle sépare de
ur origine dans la substance grise des lobes olfactifs antérieur et postérieur . Les plus courtes se terminent dans la substanc
, circonvolution godronnée. - Cing, cingulum. Cin,r(p), le faisceau postérieur du cingulum. - coa, com- missure antérieure, so
. - FG, faisceau de la calotte de Gudden, ou branche de bifurcation postérieure du faisceau mamillaire principal (I·'nah). - Fiel
a, tuber- cule quadrijumeau antérieur. - Qp, tubercule quadrijumeau postérieur . - Role, radiations olfactives externes. - Roli
rps du trigone. - Tga, pilier antérieur du trigone. - 7'f/p, pilier postérieur du trigone. - Th, couche optique. - Tm, tubercu
oyau caudé. Son sommet mal déterminé atteint le genou et le segment postérieur de la capsule interne, sa base est tapissée par
l'avant- mur, ou encore, comme Foville le signalait, dans la partie postérieure de la substance perforée antérieure. , Nombre
grandeur nature. Ci(g), genou de la capsule interne. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - ftsc, fibres qui se dé
avant en arrière et pénètrent entre la couche optique et le segment postérieur de la capsule interne. Elles forment au thalamu
ris, s'effilent et se terminent en pointe au voisinage de la partie postérieure de la couche optique (Fig. 145), et abandonnent
ventriculaire. Coupe vertico-transversale passant par les segments postérieur el sous-lenticulaire de la capsule interne, le
endent dans la fimbria et l'alveus intraventriculaire. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cisl, segment sous-len
d'Ammon (Fig. 256), puis se prolonge sur le bord externe du pilier postérieur (Fig. 41 ) Il et du corps du trigone (Fig. 7,26
es au plan verlico-lransversal de l'hémisphère. Sur les coupes plus postérieures , la couche s'épaissit, les fibres deviennent plus
eau de l'isthme de l'hippocampe, elles se continuent avec le pilier postérieur du trigone qu'elles concourent à former en grande
n aux plexus choroïdes. A mesure que l'on considère des coupes plus postérieures , la fimbria s'épaissit, son bord interna s'appl
convolution godronnée et n'entre pas dans la constitution du pilier postérieur du trigone. 2. pilier postérieur du TRIGONE.(Fi
pas dans la constitution du pilier postérieur du trigone. 2. pilier postérieur du TRIGONE.(Fig ? l,ll ? GO.)-Lep111e1'pOSL- ri
Fig. 41, p. 59); sa parlie interne est épaisse, s'adosse au forceps postérieur du corps calleux et se continue avec les fibres
nsertion aux plexus choroïdes du carrefour ventriculaire. Le pilier postérieur du trigone se porte obliquement en haut, en avant
14, 42 et 268). A ce niveau, une petite partie des fibres du pilier postérieur du trigone se porte soit transversalement en de
pects sur les coupes vcrtico- transversalos sé- riées. Pilier postérieur du trigone. Son trajet. 376 ANATOMIE DES
os fibres trans- versales ou commis- surales passent par le bec postérieur du corps calleux. Les fibres transversales ou
corps calleux. Les fibres transversales ou commissurales du pilier postérieur se ren- dent dans le pilier postérieur du côté
s ou commissurales du pilier postérieur se ren- dent dans le pilier postérieur du côté opposé. Elles passent par le bec postér
dans le pilier postérieur du côté opposé. Elles passent par le bec postérieur du corps calleux, se placent immédiatement en ava
e interne et de la pointe occipitale (Fig. 2GO), forment le forceps postérieur du corps calleux cl relient entre elles les deu
mon, le fornix transvers us de Forel. Les fibres obliques du pilier postérieur occupent cet espace triangulaire FIG. 957. - La
IBRES DE PROJECTION DE L'ECORCE CÉRÉBRALE. 277 compris entre le bec postérieur du corps calleux et le corps du trigone, et con
du trigone controlatéral. Quant aux fibres longitudinales du pilier postérieur , elles sont directes et en très petit nombre cr
one. Les fibres longitudinales, transversales et obliques du pilier postérieur contiennent à la fois des fibres de la fimbria
trigonale, re- prennent leur indépendance au ni- veau des piliers postérieur et anté- lieur. Ces deux cas montrent donc ne
il'e (Alvx), elles n'entrent pas dans la constitu- tion du pilier postérieur du trigone el arrivent au corps du trigone pa
es passant : 1° par le bourrelet du corps calleux; 2° par la partie postérieure du tronc du corps calleux; 3° par le tronc du
nalc(iL) (Fig. 258,2) concourant avec les libres obliques du pilier postérieur à former la lyre de David, mais conserve son in
e du corps calleux, les fibres perforantes du bourrelet et du liers postérieur du tronc du corps calleux (fp) (Fig. 259) se co
fusiforme, cuneus, pointe occipitale). La partie antérieure du bec postérieur (Spl) (r) contient les fibres commissurales, sain
a thalami, le tubercule mamillaire, le noyau rouge et la commissure postérieure . Méthode de Weigert-Pal). 3/1 Grandeur nature.
ommissure de Meynert. coa, commissure antérieure. - cop, commissure postérieure . - eF, entrecroisement sous-thalamique pos- tér
volution limbique,. - NR, noyau rouge. - Qa, tubercule quadrijumeau postérieur . - SgAq, substance grise centrale de l'aqueduc
y. T. ter 302). Les fibres perforantes du bourrelet et de la moitié postérieure du tronc du corps calleux leur sont encore homolo
loin qu'elles se com- portent comme les fibres ammoniques du pilier postérieur du trigone, auxquelles elles sont intimement mé
coa, commissure anté- rieure. - eF, entrecroisement sous-thalamique postérieur de Forel. - FcG, faisceau de la calotte de Gudd
ur surface de section est arrondie et ovalairc et présente une face postérieure libre (fin. 9-5-1, 82), recouverte par l'épendy
suite de lésions du trigone, qu'il s'agisse d'une section du pilier postérieur du trigone par une plaque jaune de la scissure
. 266), localisée à l'écorce, sans participation aucune du pilier postérieur du trigone au processus primitif. Il existait e
nérescence du tri- gone cérébral : al- meus, fimbria. piliers postérieur et anté- rieur, corps du tri- gone ; du tuber
c posté- rieur du corps cal- leux Dégénéres- cence du forceps postérieur , du tape- tum, des couches sa- gittales du pl
plus marquée au niveau du corps qu'au niveau des piliers antérieur et postérieur (Tgp, Fig. 2go). Le pilier postérieur reçoit en
veau des piliers antérieur et postérieur (Tgp, Fig. 2go). Le pilier postérieur reçoit en effet le faisceau commissural sain de l
assant par le bourrelet du corps calleux (ligne L, b) et le forceps postérieur . Dégénérescence du forceps postérieur (Cc,Fp) et
ux (ligne L, b) et le forceps postérieur. Dégénérescence du forceps postérieur (Cc,Fp) et de la pièce intermé- diaire [Spl(i)]
e intermé- diaire [Spl(i)] du bourrelet du corps calleux, du pilier postérieur du trigone (Tgp), du tapetum (Tap), des couches
hes sagittales externe (Sge, Fli) et interne (Sgi, RTh), du segment postérieur de la couronne rayonnante. Dégénérescence du fais
es de la corne d'Ammon (psalterium dorsale), qui passent par le bec postérieur du bourrelet du corps calleux ; 2° une dégénéresc
a (Fig. 2Gi), et sectionnant le bourrelet du corps calleux, le pilier postérieur du trigone (Tgp) et la partie postérieure recou
u corps calleux, le pilier postérieur du trigone (Tgp) et la partie postérieure recourbée du noyau caudé (ni). Dégénérescence d
ie postérieure recourbée du noyau caudé (ni). Dégénérescence du bec postérieur du bourrelet du corps calleux (Spl, b), du pili
du bec postérieur du bourrelet du corps calleux (Spl, b), du pilier postérieur du trigone (Tgp), de l'alveus intraventriculaire
es sagittales interne (Sgi, IIT11) et externe (Sge, Fli) du segment postérieur de la couronne rayonnante. Dégénérescence du fa
nérescence du tri- COUD cérébral : al- vous, fimbria, piliers postérieur et anté- rieur, corps du tri- gone : du tuber
posté- rieur du corps cal- leux. Dégénéres- cence du forceps postérieur , du tape- tum, des couches sa- gittales du pl
- sales sériées au delà de la partie rentlée du thalamus. La partie postérieure du taenia thalami el le ganglion de l'habenula
rrière des fibres commis- surales du trigone qui passent par le bec postérieur du corps calleux. Les fibres dégé- Fig. 269,270
nérescence du tri- gone cérébral : al- vous, fimbria, piliers postérieur et anté- rieur, corps du tri- gone ; du tuber
posté- rieur du corps cal- leux. Dégénérés- cence du forceps postérieur , du tape- tum,des couches sa- gittales du pla
nérescence du tri- zone cérébral : al- \ eus, fimbria, piliers postérieur et anté- rieur, corps du tri- one; du tubercu
poste- rieur du corps cal- leux. Dégénéres- cence du forceps postérieur , du tape- tum,dos couches sa- gittales du pla
gi, couche sagittale interne (ou radiations thalamiques) du segment postérieur de la couronne rayonnante. FIBRES DE PROJECTION
en dedans et s'irradient dans le corps genouillé externe et la partie postérieure du thalamus. Les autres continuent leur trajet
uche externe plus épaisse adossée aux couches sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante. Ces deux couches son
vé que la Fig. 213, le tapetum et les couches sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante. 294 ANATOMIE DES CEN
ébral : le coips du Lligone n'existe pour ainsi dite pas, le pilier postérieur se continuant directement avec le pilier antéri
nser on y distingue un feuillet antérieur ou ventral et un feuillet postérieur ou dorsal, séparés l'un de l'autre par toute la l
tive fortement colorée par la laque héma- toxylinique et une partie postérieure pâle ou hémisphérique. - FG, faisceau de la calot
a, tubercule quadrijumeau antérieur. - Qp, tubercule quadri- jumeau postérieur . - Sg.lg, substance grise de l'aqueduc de Sylvius
de Vicq d'Azyr. - II, le nerf optique et le chiasma dont la partie postérieure faiblement colorée par la laque hématoxylinique a
aire la partie antéro-supérieure du psalterium ventral. Le feuillet postérieur ou dorsal ou psalterium dorsal (Psld) occupe chez
ie entre dans la constitution de l'entre-croisement sous-thalamique postérieur (Forel, Ganser, Schnoplhagen, V. Monakow, Vogt)
kow, Vogt); quelques fibres se terminent dans la substance peiforée postérieure (Kôlliker, Vogt); d'autres entrent dans le pédo
aître parmi les autres fibres de l'entre-croisement sous-thalamique postérieur ; elles se groupent en effet en gros fascicules
irect et croisé et avec l'entroc-roise- sement sous-thala miquo postérieur . 298 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. . Le g
mamillaire (PTm), en avant de l'entre-croi- sement sous-thalamique postérieur de Forel (cF), le faisceau mamillaire principal
-dessus du noyau rouge, entre dans la consti- tution de la partie postérieure el interne de la capsule de ce noyau, se plac
capsule de ce noyau, se place en avant du faisceau lon- gitudinal postérieur , lui envoie quelques fibres d'après Külliker,
e, situé de chaque côté du raphé, en avant du faisceau longitudinal postérieur : le ganglion profond de la calolle de Gudden (
- coa, commissure antérieure. - eF, entrecroisement sous-thalamique postérieur de Forel. - FcG, faisceau de la calotte de Gudd
é quilui arrivent en passant par l'entre-croisement sous-thalamique postérieur de Forel. Ainsi renforcé, le pédoncule du tuber
alotte, passe en dedans du locus niger, entre la substance perforée postérieure et le pied du pédoncule cérébral, et croise les
de Luys, croisent les fibres de l'entre- croisement sous-thalamique postérieur de Forel (eF) et le locus niger; elles passent
e de l'aqueduc de Sylvius, en tra- versant le faisceau longitudinal postérieur . Chez les mammifères tels que le lapin, etc. (F
é le long du raphé, immédiatement en avant du faisceau longitudinal postérieur . Il est pro- bablement l'homologue du noyau cen
rale du quatrième ventricule, en arrière du faisceau longitu- dinal postérieur . C'est un ganglion arrondi, entouré d'une capsule
e là aux amas ganglionnaires des cerveaux inter- meaiaire, moyen, postérieur , etc., etc. (fibres cortico-thalamiques, libres
aire de la cap- sule interne. L'irradiation des libres des segments postérieur et supérieur de la couronne rayonnante simule s
ur de la couronne rayonnante. - CSgt, couches sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante. - Us, diverticule du s
eur de la couronne rayonnante et de la partie antérieure du segment postérieur de la couronne rayonnante simule sur cette coupe
tamen et globus pallidus). Remarquer ici la continuation du segment postérieur de la capsule interne avec le pied du pédon- cu
Cge, corps genouillé externe. - Cia. Cip, Cirl, segments antérieur, postérieur et rétrolenticulaire de la capsule interne. - coa
Sge, substance grise sous-épendymaire.- Tap, Inpetum. - Tgp. pilier postérieur du trigone. - Tg 1-l, carrefour ventriculaire. -
us-corticale (Fig. 144 à li6), sauf au niveau du deuxième cinquième postérieur du noyau lenticu- laire, où la lésion fuse en d
le globus pallidus, mais encore la parlie correspondante du segment postérieur de la capsule interne (Fig. 147, p. 1JJ). Dans
.) Cette lésion a entraîné : -. 1° Une dégénérescence du 3° quart postérieur du segment postérieur de la capsule interne (Ci
traîné : -. 1° Une dégénérescence du 3° quart postérieur du segment postérieur de la capsule interne (Cip Fig. 283 et 284); un
thalamus (Ne) dans la partie adjacente au champ dégénéré du segment postérieur de la capsule interne (Cip). Celte dégénérescence
ire externe (Lme) et la substance grise fonda- mentale de la moitié postérieure du noyau externe; elle respecte la moitié antérie
le interne. - Dégénérescence des troisième et quatrième cinquième postérieurs du segment posté- rieur de la capsule interne (
emniscus profond (PLp), Fig. 28 : i). Dé- générescence de la moitié postérieure du noyau externe du thalamus (Ne), de la lame
lissement s'étend, en traînée sur le gyrus supramarginal, la partie postérieure du sillon parallèle jusqu'à la face externe du lo
première circonvolution pariétale, l'oper- cule pariétal, la partie postérieure et inférieure de la pariétale ascendante, et la p
postérieure et inférieure de la pariétale ascendante, et la partie postérieure de la première circonvolution temporale; cette lé
ne dégénérescence du segmentrétro-lenticulaire (Cirl) et de ]a moitié postérieure du segment poslérieur (Cip) de la capsule inter
ieure (Fig. 288), la dégénérescence se cantonne dans le rois quarts postérieurs du noyau externe et dans le pulvinar. Elle occupe
osté- rieure de la première circonvolution temporale et la partie postérieure et inférieure de la P,1l ié- tale ascendante et
sous- lenticulaire (Cisl) et de la partie postérieuie du segment postérieur de la capsule interne (Cip) des trois cinquième
nérées pénètrent dans le globus pallidus au niveau de son extrémité postérieure , en particulier le long de la lame médullaire int
égion thalamique (Fig. 287), la dégénérescence n'occupe que la moitié postérieure du globus pallidus; dans la région sous-thalami
escence est légère, mais très manifeste. Les moitiés antérieures et postérieures du segment postérieur de la capsule interne (Cip)
très manifeste. Les moitiés antérieures et postérieures du segment postérieur de la capsule interne (Cip) pré- sentent, de ce
) pré- sentent, de ce fait, un aspect bien distinct. Dans la moitié postérieure du segment pos- térieur (Cip), les fibres verti
onnexion avec la corticalité céré- brale ; reçoit par son extrémité postérieure et sa lame médullaire des fibres qui s'épuisent
nt au corps de Luys en traversant la partie an- térieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip), el en suivant le t
ule interne, et convergent vers les parties antérieure, supérieure, postérieure et inférieure du globus pallidus, à la manière
ia) (Fig. 19, p. 27, et Fg. 23, p. 33); celles du tronc, le segment postérieur de la capsule interne (Cip); les fibres de la que
terne. - Cia, segment antérieur de la capsule interne; Cip, segment postérieur ; Cirl, segment rétrolenticulaire. - CSgt, couch
l, segment rétrolenticulaire. - CSgt, couches sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante. - f\-C, fibres du no
projection. - PaTh, pédoncule antérieur du thalamus. TTA, pédoncule postérieur du tlialamus. - ? CR, pied de la cou- ronne ray
eux du putamen et convergent tous vers la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne (Cip) qu'ils traversent d
CORPS STRIÉ. 323 rieure du globus pallidus, les segments antérieur, postérieur et rétrolenticulaire de la capsule interne et l
sule interne. - Ci (g), genou de la capsule interne. - Cip, segment postérieur ; Cirl, segment rétrolenticulaire de la capsule
ulaire de la capsule interne. - CSgt, couches sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante. - Fi, fimbria du pil
gment postérieur de la couronne rayonnante. - Fi, fimbria du pilier postérieur du trigone. - fi, fibres du fornix longus qui bor
lobe frontal. - Plch, plexus choroïdes. - P1'g, plicature du pilier postérieur du trigone. - Rsth, radiations strio-thalamiques.
thalamus. Tga, pilier antérieur du trigone cérébral. - Top, pilier postérieur . - Th, thalamus. - lsc, taenia semi-circularis.
émité antérieure (Fig. 292), el s'étend du genou (Ci[g]) au segment postérieur de la capsule interne (Cip); sa partie postérieur
Ci[g]) au segment postérieur de la capsule interne (Cip); sa partie postérieure com- prend surtout des gros faisceaux enchevêtr
ules paral- lèles, fortement colorés par l'hématoxylinc, le segment postérieur de la capsule interne (Cip), en interceptant de
au-dessus du sommet du noyau lenticu- laire, traversent le segment postérieur de la capsule interne dans les par- tics moyenn
apsule interne. - Ci (g), genou et faisceau géniculé.- Cip, segment postérieur de la capsule interne.- coa, commissure antérie
manifeste lorsque les fibres de projection corti- cales du segment postérieur de la capsule interne sont complètement dégé- n
strio-thalamiques (Rsth) traversent en lâches fascicules le segment postérieur de la capsule interne, croisent les fibres (ftsc)
générescence complète des fibres de projection corticale du segment postérieur de la capsule interne. (Cas Rivaud, p. z1, détail
7, p. 69) qui se place entre le globus pallidus (NL,)et le segment postérieur de la capsule interne (Cip), puis elles se disp
énérescence complète des fibres de projection corticales du segment postérieur de la capsule interne. (Cas Rivaud, p. 151 et s
les nombreux, denses et serrés les deux tiers antérieurs du segment postérieur de la capsule interne (Cip), puis se rassemblen
erse obliquement, de bas en haut et de dehors en dedans, le segment postérieur de la capsule interne avant de former la couche
sont situées. Elles traversent les deux tiers antérieurs du segment postérieur de la cap- sule interne et de la partie supérie
couche sagittale e\.terne; Sgi, couche sagittale interne du segmenl postérieur de la couronne rayonnante. - Tap, tapetum. Tga, p
onne rayonnante. - Tap, tapetum. Tga, pilier antérieur ; 7qp pilier postérieur du trigone cérébral. lsc, toenia semi-circularis.
re ne traverse pas directement par le plus court chemin, le segment postérieur de la capsule interne mais le contourne en écha
3, 251 à 253) et s'enfonce entre le bord antéro- interne du segment postérieur de la capsule interne et la substance grise cen
contournent en fascicules si nombreuses et si serrées le seg- ment postérieur de la capsule interne qu'elles masquent presque l
et de nombreuses fibres radiées; et la partie adjacente du segment postérieur de la capsule interne est cloisonnée par de nom
91, p. 180) et Carré (Fig. 186 à 188, p. 179) (section de la partie postérieure du noyau lenticulaire), la dégénérescence respect
générescence respecte l'anse len- ticulaire, retentit sur la partie postérieure du corps de Luys et les radia- tions strio-luys
Pour peu que la lésion primitive n'empiète pas trop sur le segment postérieur de la capsule interne et sur le thalamus, il est
icules serrés et parallèles (Cas Ronse, Fig. 296 à 301), le segment postérieur de la capsule interne (Cip), croiser à angle dr
suivre dans cette partie de son trajet où elle contourne le segment postérieur de la capsule interne, et s'irradie dans la par
la couronne rayonnante, empiète un peu sur la partie supérieure et postérieure du noyau externe de la couche optique ; elle s'es
ondaires classiques : a) Une dégénérescence très étendue du segment postérieur de la capsule interne (Cip) (Fig. 296 et 297) p
gments sous-lenti- culaire et rétrolenticulaire (Cirl), les parties postérieure et antérieure du segment posté- rieur (Cip) de
97 et 298) de la région thalamique : 1° Dégé- nérescence du segment postérieur (Cip) de la capsule interne consécutive à une lés
halamus. Intégrité du segment rétrolenticulaire (Cirl) et des parties postérieure et antérieure du segment postérieur de la capsu
iculaire (Cirl) et des parties postérieure et antérieure du segment postérieur de la capsule interne, en particulier du faisceau
7, 298). Une dégénérescence particu- lièrement accusée de la partie postérieure du noyau externe du thalamus (Fig. 29G), qui se
très probablement à l'extension de la lésion primitive à la partie postérieure du thalamus. 2° La lésion centrale intralenticu
ce cle la région du ruban de Reil médian (RgRm) et de la commissure postérieure consécutive à l'extension de la lésion sous-corti
ranuleux (H, Fig. 296 et 297), foyers allongés dans le sens antéro- postérieur , situés dans le putamen (NL3) et le deuxième segm
les radiations strio-tha- lamiques (Rsth) qui sillonnent le segment postérieur dégénéré de la capsule interne et qui s'irradie
(Imi) qui traversent la partie antérieure non dégénérée du segment postérieur de la capsule interne, en par- FiG. 301. - Cas
rt pouvant être suivie le long de la bandelette optique et du segment postérieur de la capsule interne du côté opposé il la lési
s'amassent en une couche épaisse le long du bord externe du segment postérieur de la capsule interne (X) (Fig. 298). Elles tra
ire (Al) et contournent la partie antérieure non dégénérée du segment postérieur de la capsule interne (Fig. 297). D'autres fibr
299), il existe, en outre, une légère dégénérescence de la commissure postérieure (cop), consécutive très probablement à l'extens
ette région dont l'irrigation esl assurée par l'artère communicante postérieure sont rares. Dans un cas qu'il nous a été donné
pariétale ascendantes, qui sec- tionne la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne et envoie un petit t prol
ésion a entraîné une dégénérescence de la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne (Fig. 303 à 30), et du pied
à rencontrer à la suite des dégénérescences partielles du seg- ment postérieur de la capsule interne. Ce surcroît de dégénéresce
rés d'une zone de dégénérescence qui s'étend à la partie moyenne et postérieure du noyau externe du thalamus, et au noyau interne
uronne rayonnante. Dégénérescence de la partie moyenne du seg- ment postérieur de la capsule interne; 2° ramollissement de la pa
ayon- nante. Dégénércs- cence de la partie moyenne du segment postérieur de la cap- sule interne et du pied du pédoncu
ayon- nante. Dégénéres- cence do la partie moyenne du segment postérieur de la cap- sule interno et du pied du pédoncu
amique jusque dans le noyau lenticulaire. Elles traversent le segment postérieur de la capsule interne (Cip) soit en avant (Fig.
ment mani- feste dans son trajet le long du bord interne du segment postérieur de la capsule interne (Fig. 304) au-dessus et e
sous la forme caractéristique d'un faisceau triangulaire, à sommet postérieur , dont les fibres dégénérées traversent le segme
sommet postérieur, dont les fibres dégénérées traversent le segment postérieur de la capsule interne (Cip), soit en avant (Fig
très manifeste : on la voit contourner le bord antérieur du segment postérieur de la capsule interne (Cip), longer sa face ext
n sous-thala- mique. Dégénérescence de la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne (Cip, d) consécutive à la
, des radiations strio-luysiennes, de la partie antérieure du segment postérieur de la capsule interne, du pilier antérieur du t
ayon- nante. Dégénéres- cence do la partie moyenne du segment postérieur dola cap- sule interne et du pied du pédoncul
ayon- nante. Dégénéres- cence de la partie moyenne du segment postérieur de la cap- sule interne et du pied du pédoncu
ion corticale qu'une lésion corticale même étendue. Dans le segment postérieur de la capsule interne les fibres de projection
eur de la couche optique ou corpus album subrotundum, son extrémité postérieure , effilée en forme de queue, appartient à la face
r de la capsule interne (Cia) et de la partie antérieure du segment postérieur (Cip) de nombreuses fibres radiées qui pénètren
comme nous l'avons indiqué, par la partie posté- rieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip) et non pas par le s
- l'oa,Pop, fibres transversales antérieures et fibres transversales postérieures de la protubérance. - PTm, pédoncule du tubercu
- Qa, tubercule quadrijumeau antérieur; Qp, tubercule quadrijumeau postérieur . - Rm, ruban de Reil médian; lil, ruban de Reil
r les segments antérieur(Cia) (Fig. 21,43,47 et Fig. 291 et 310) et postérieur (Cip) de la capsule interne et qui traversent t
tre quelques radiations strio-thalamiques qui traversent le segment postérieur de la capsule et le noyau externe du thalamus,
e s'irradient de nombreuses fibres radiées qui traversent la partie postérieure du noyau externe du thalamus, occupent la partie
partie postérieure du noyau externe du thalamus, occupent la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne et
oyau externe du thalamus, occupent la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne et proviennent des parties
ure (Fig. 21, p. 31) passe en arrière du noyau antérieur, la courbe postérieure circonscritle centre médiandu Luys. Sur les coupe
e nombreuses fibres. Dans cette même région, la courbe de la partie postérieure de la lame médullaire interne s'accentue et sép
du ruban de Reil médian (rgRm), du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) et, plus en dedans, du corps genouillé int
sceau thalamique de Forel et aux radiations de la calotte (RC), les postérieures situées au voisinage du centre médian de Luys s
supérieure et externe de la couche optique, corres- pond au segment postérieur ou lenliculo-optique de la capsule interne (Cip
de Luys (Nm) (Fig. 21). En dehors, il est recouvert par le segment postérieur de la capsule interne (Cip) auquel il correspond
C) (T. Il ? Fig. 285) et le ruban de Reil médian (Rm); 4° son tiers postérieur , enfin, est en rapport avec le locus niger (Ln)
stérieur, enfin, est en rapport avec le locus niger (Ln), la partie postérieure du pied du pédoncule céré- bral (Fig. 7, p. 10)
capsule interne. Le noyau externe corres- pond en effet au segment postérieur (Cip), le pulvinar au segment rétro- lenticulai
quadrijumeau antérieur (BrQa) et le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) (Fig. 312, Fig. 17, p. 69 et Fig. 24, p. 3
de fibres radiées qui se détachent du segment antérieur, du segment postérieur et du segment sous-lenticulaire de la capsule i
ial (Fig. 323, 324, va). Les fibres qui lui arrivent par le segment postérieur de la capsule interne (Cip) se dirigent oblique
nées parallèlement à leur axe. Une partie des fibres inférieures et postérieures passent par le segment sous-lenticulaire de la ca
ire elle noyau caudé à la couche optique, croisent, dans le segment postérieur de la capsule interne les fibres de projection
: ;7 la partie antérieure de la capsule du noyau rouge. Les fibres postérieures sont comprises enlre le centre médian de Luys e
s ces régions par un dense feutrage de fibres qui entoure la partie postérieure , inférieure et externe du centre médian de Luys
rne (Cirl), lequel ne se trouve plus sur le prolongement du segment postérieur (Cip) (Fig. 21, p. 31). Dans la région du noyau
ents : l'un antérieur, compris entre le noyau externe et le segment postérieur de la capsule interne (Cip), l'autre postérieur
terne et le segment postérieur de la capsule interne (Cip), l'autre postérieur , en rapport avec le pulvinar, la zone de Wernic
tinue avec la zona incerta du même auteur (Zi) (Fig. 32. Le segment postérieur de la zone réticulée est beaucoup plus épais qu
ntrale du thalamus, le noyau semi-lunaire de Flechsig, les segments postérieur et rétro-lenticulaire de la capsule interne. Coup
égions thalamique et sous-thalamique et sectionnant les commissures postérieure , moyenne et antérieure. - Méthode de Weigert (voy
acapsule interne. Ci(g), genou dela capsule interne. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cirl, segment rétro- l
commissure antérieure. - coin, commissure molle. - cop, commissure postérieure . -1 ? troisième circonvolution frontale. - FI, fa
sillon insulaire. - la, partie antérieure de l'insula. - Ip, partie postérieure de l'insula. - le, lame cornée. - lme, hune méd
ma, sil- lon marginal antérieur de l'insula. - mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - NC, tête du noyau caudé. - i\'C'
Tap, tapetum. - Tga, pilier antérieur du trigone.- Tgp (Fi) pilier postérieur du trigone (Fimbria). - Th, thalamus. - troisième
de 1\'erniclce. - Zi, zona incerla de Forel. - rieure du segment postérieur de la zone réticulée disparait bientôt (Fig. 47
rsalement de dedans en dehors qui sert de limite entre les segments postérieur (Cip) et rétro-lenticulaire de la cap- sule int
, et en connexion avec deux territoires corticaux distincts. Le noyau postérieur , grâce au faible développement du pulvinar ains
ntre le corps genouillé externe, la bandelette optique et la partie postérieure du pied du pédoncule cérébral (v. Monakow). Les
disséminées et séparées par de larges intervalles. Dans le segment postérieur du noyau externe, en par- ticulier au voisinage
au externe, tantôt au noyau interne, le pulvinar forme il la partie postérieure de la couche optique cette saillie volumi- neus
lièrement arrondie, que recouvrent la toile choroïdienne, le pilier postérieur du trigone (Tgp) et plus médiatement le bourrelet
corps calleux (Ce [Spl], Fig. 310 et 311). 11 constitue l'extrémité postérieure de la couche optique, atteint chez l'homme son
ongement que v. Monakow considère, comme un noyau spécial, le noyau postérieur du thalamus. Cette disposition apparaît très nett
est constituée par une ligne transversale passant par la commissure postérieure (cop), en arrière du ganglion de l'habenula (Gh
capsule interne n'est pas situé sur le prolongement de son segment postérieur (Cip). Cette dispo- sition s'accentue d'autant
la forme d'une gouttière verticale, ouverte en dedans, dont le bord postérieur s'implante sur le stratum zonale et dont le bord
le quadrijumeau antérieur. - BrQp, bras du tubercule quadri- jumeau postérieur . - CA, corne d'Ammon. Ce, bourrelet du corps call
erveuses du pulvinar. 16 Cing, cingulum; Ciccg(p), son faisceau postérieur . -Cirl, segment rétrolenticulaire de la capsule
Fa, circonvolution frontale ascendante. Flp, faisceau longitudinal postérieur . - ft, fibres tangentielles du ta ! nia tecta. -
ia- tions du tubercule quadrijumeau antérieur. - S(p), prolongement postérieur de la scissure de Sylvius. - Sge, substance gri
urrelet du corps calleux, dans la région où il fait suite au pilier postérieur . - Tgp, le pilier postérieur du trigone dans la
ans la région où il fait suite au pilier postérieur. - Tgp, le pilier postérieur du trigone dans la corne sphénoidale. - tsc. to
tico- thalamique ; elles arrivent par les segments antérieur (Cia), postérieur (Cip) et rétro-lenticulaire (Cirl) de la capsul
e, jusque dans les couches sagittales interne et externe du segment postérieur de la couronne rayonnante. Un grand nombre de c
66). Mais le pulvinar reçoit en outre dans sa partie inférieure et postérieure le faisceau temporo-thala- mique d'Arnold (V oy
e quadrijumeau antérieur (Br Qa) (Fig. 47, p. 69) et par le segment postérieur de la zone réticulée (Zr) (Fig. 312) qui, s'ins
la zone réticulée (Zr) (Fig. 312) qui, s'insinuant entre le segment postérieur (Cip) et le segment rétro-lenticulaire de la ca
oup moins accusée que celle de ce dernier. Il est situé à la partie postérieure de la calotte du pédoncule cérébral et sur les
et enclavé entre les bras des tubercules quadrijumeaux antérieur et postérieur (BrQa, BrQp). Le bras du tuber- GANGLIONS OEFRA
le sépare en arrière du pulvinar, le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) le limite en avant et le sépare .de la p
rne apparaît libre à l'extérieur, le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) le sépare en avant du ruban de Reil médi
ce profonde el adhérente reçoit du bras du tubercule qua- drijumeau postérieur aux confins de la calotte pédonculaire - de nom-
llé externe, traversent, avec le faisceau de Tiirck (FT), la partie postérieure du segment postérieur de la cap- sule interne (
, avec le faisceau de Tiirck (FT), la partie postérieure du segment postérieur de la cap- sule interne (Fig. 295), puis entren
rnes,]}. 70). Par l'intermédiaire du bras du tubercule quadrijumeau postérieur , le corps genouillé interne est en connexion av
l'habenula, assurent ses connexions avec les régions antérieures et postérieures du rhinencéphale . Les connexions du thalamus a
bulbaire. Dans les lésions capsulaires qui sectionnent les segments postérieur (Cip) et rétro-lenti- culaire (Cirl) de la caps
système des fibres de projec- * lion ne pouvait arriver au segment postérieur de la capsule interne. Dans les deux cas, il ex
313 et 316. -Les fibres thalamo-corlicales des segments antérieur et postérieur de la capsule inlerne dans un cas d'agénésie du
il mé- dian, et relient le thala- mus. aux noyaux des cordons postérieurs croisés par l'inter- médiaire du ruban de R
s de la couche optique avec le cerveau moyen, situé à la partie postérieure et ventrale du noyau externe du thalamus et qui
on du ruban de Reil médian, qu'il se termine surtout dans la partie postérieure et ventrale du noyau externe en avant du pulvinar
Burdach du côlé opposé, et par leur intermédiaire avec les cordons postérieurs croisés de la moelle épinière. Le pédoncule cér
terne et interne du thalamus, envoie quelques fibres dans la partie postérieure du noyau interne et dans le centre médian de Lu
connexion avec le cerveau moyen. Le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) relie le corps genouillé interne au tube
r (BrQp) relie le corps genouillé interne au tubercule quadrijumeau postérieur et, par son intermédiaire, au ruban GANGLIONS I
ion réticulée elles sont croisées et s'effectuent par la commissure postérieure . Située à la limite des cerveaux intermédiaire
t les tuber- cules quadrijumeaux à la glande pinéale, la commissure postérieure (cop) l'ail saillie dans l'aqueduc de Sylvius
ICI') qui sectionnent les deux lames de la gouttière, la commissure postérieure se présente sous l'aspect de deux faisceaux par
ylvius, soit par le sillon sous-pinéal. Les fibres de la commissure postérieure sont transversales et paral- lèles dans leur pa
ule quadrijumeau antérieur et la couche oplique (pulvinar et partie postérieure des noyaux externe et interne du thalamus), for
l'aque- duc de Sylvius et entrent dans la constitution de la partie postérieure de la calotte pédonculaire (parlie ventrale de
rieure de la calotte pédonculaire (parlie ventrale de la commissure postérieure ). FiG. 317. - La commissure postérieure et la
e ventrale de la commissure postérieure). FiG. 317. - La commissure postérieure et la commissure interhabenulaire vues sur un
ylvius. - eih, cour missure interhabenulaire. - cop, com- missure postérieure . - cp, couche profonde des fibres du tubercule
trale. par les bras des tubercules quadnju- mraw antérieur et postérieur : par la commissure postérieure. Situation
les quadnju- mraw antérieur et postérieur : par la commissure postérieure . Situation et trajet delà la commissure pos
ommissure postérieure. Situation et trajet delà la commissure postérieure . Ses parties dorsale et ventrale. 37C ANATO
et ventrale. 37C ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La commissure postérieure no reçoit pas de fibres de la corticalité cér
ur les lieux d'origine et les lieux de terminaison de la commissure postérieure ; ses fibres paraissent être de court trajet, ca
est ainsi conduit à admettre que certaines fibres de la commissure postérieure , entrent en connexion avec la corticalité céréb
logénèse très précoce des fibres du segment dorsal de la commissure postérieure . D'après Boyce, ces fibres corticales dégénérer
on concomitante des voies optiques. D'après Bechterew la commissure postérieure dégénérerait en outre il la suite de lésions de l
arkschewitch, Bechterew et Boyce, que chez l' ! tomme la commissure postérieure ne reçoit pas de libres de la corticalité céréb
nous n'avons jamais vu la dégénérescence s'étendre II la commissure postérieure . Dans les cas de dégénérescence du taenia thala
anglion de l'habenula du côté croisé (Fig. 320), mais la commissure postérieure était toujours respectée dans ces cas. A notr
était toujours respectée dans ces cas. A notre avis, la commissure postérieure ne dégénère que dans les lésions qui détruisent
du thalamus. Dans ces cas les fibres dégénérées de la com- missure postérieure peuvent être suivies (Méthode de Marchi), en part
formation réticulée, en avant et en dehors du faisceau longitudinal postérieur . Malgré les connexions si nombreuses de la couc
ses fibres du stratum zonale des faces, supé- rieure, antérieure et postérieure du thalamus; d'autres lui arrivent le long de l
de la corticalité cérébrale, et passe par les segments antérieur et postérieur de la capsule interne. Les dégénérescences trai
a lhalami reçoit de la corne d'Ammon, par l'intermédiaire du pilier postérieur et du corps du trigone, un faisceau assez impor
du pédoncule cérébral, atteindraient ainsi les parties latérales et postérieures du thalamus et parviendraient au taenia thalami,
s et parviendraient au taenia thalami, soit en traversant la partie postérieure du thalamus, soit par l'intermédiaire du stratu
ulvinar pour se rendre à la commissure pos- térieure et à la partie postérieure du ganglion de l'habenula. Cajal nie, par contr
ez l'adulte, sépare la commissure interbabénulaire de la commissure postérieure avec laquelle elle ne doit pas être confondue,
autres entrent peut-être en connexion avec le faisceau longitudinal postérieur et le noyau de la troisième paire. Faisceau de
au interne du thalamus aux confins du pulvinar, contourne la partie postérieure du troisième ventricule et embrasse, dans sa conc
ntricule et embrasse, dans sa concavité, le fais- ceau longitudinal postérieur et la partie supérieure du noyau de la troi- si
de Reil médian (Rm), en dehors et en avant du faisceau longitudinal postérieur (Fig. 321). Puis il traverse de haut en bas, de
rne. - Cgi, corps genouillé interne. - Flp, faisceau longitu- dinal postérieur . - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - Gh, gang
ce grise centrale. - sM, sillon de Monro. - Spp, substance perforée postérieure . - SI ri, stratum intermedium. - Star : , strat
e, le ganglion interpédonculaire (Gip), situé dans l'espace perforé postérieur et découvert par Gudden. Nettement accusé chez
q fascicules, disposés sur une'ligne légèrement courbe, à concavité postérieure (Fig. 319, p. 639, T. ICI'). Sur les préparatio
est fort probable qu'elles se terminent dans la substance perforée postérieure ou que, se comportant de la façon décrite par Mey
Meynert et qui ne doit pas être confondu avec la substance perforée postérieure . Découvert par v. Gudden, bien décrit par Forel
'épaisseur et 5 millimètres de largeur. Elle est située à la partie postérieure du troisième ventricule, en arrière de la commi
le choroïdienne et des veines de Galien, au-dessus de la commissure postérieure , entre les deux GANGLIONS 1\NFRACORTICAUX : COU
rii s. inferior se continue avec le bord supérieur de la commissure postérieure . Composée d'une substance grise molle, creusée
ique; 2° L'étage moyen ou calotte du pédoncule cérébral; 3° L'étage postérieur ou calotte de la protubé- rance ; 1° La plus gr
minée sous-lenti- culaire de Reichert, intéressent dans leur partie postérieure la calotte pédonculaire, tandis que les coupes
ssent par le tiers moyen de la couche optique (depuis la commissure postérieure jusqu'à la commissure molle) sectionnent dans l
us- thalamique, ainsi que nous l'avons vu plus haut, à ses segments postérieur et rétro-lenticulaire ; or c'est le segment pos
ses segments postérieur et rétro-lenticulaire ; or c'est le segment postérieur de la capsule interne (Cip) Sa face supérieure.
egment rétro-lenticulaire (Cirl) occupe en effet une situation plus postérieure , il est séparé de la région sous- optique et de
la région sous-optique en bas et tapisse la face interne du segment postérieur de la capsule interne (Cip). Il appar- tient au
aire (FI) dont les fibres peuvent être suivies à travers le segment postérieur de la capsule interne jusque dans le globus palli
lenticulo-caudées qui traversent la par- tie supérieure du segment postérieur de la capsule interne. - la, circonvolutions anté
re médian de Luys (Fig. 312, 324, 22); il reçoit en outre la partie postérieure et amincie du faisceau lenticulaire de Forel do
amygdaliformis (Stilling). Le corps de Luys (CL) occupe la partie postérieure et externe de la région sous-optique; il a la f
situé au-dessous du noyau externe du thalamus, en dedans du segment postérieur de la région sous-thala- mique de la capsule in
nntlnC ? ressent la partie supérieure des commissures antérieure et postérieure du cerveau, sous l'aspect d'un corps ovalaire e
orps ovalaire en contact immédiat avec la partie moyenne du segment postérieur de la capsule interne (Fig. 24, 1'ts. 324. - Co
ant-nur. - CA, corne d'Ammon. Ce, cap- sule externe. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cisl, segment sous-lenti
due, se rapproche en grandissant de la partie antérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip), occupe d'abord les
t en conservant ses rapports avec la partie antérieure du seg- ment postérieur de la capsule interne, dans laquelle il se creuse
ys est plus arrondi, plus globuleux; ses connexions avec le segment postérieur de la capsule interne et le pied du pédoncule c
; les bords sont interne et externe ; les extrémités anlérieure et postérieure . La face dorsale ou supéro-externe est la plus
erne est en même temps supérieur, il est en rapport avec le segment postérieur de la région sous-thalamique de la capsule intern
terne du pied du pédoncule cérébral (Fig. 32 et 325). L'extrémité postérieure du corps de Luys est située aux confins du Sur
és, Connexions du corps de Luys. Avec le corps strié. segment postérieur de la capsule interne et du pied du pédoncule cér
perforent et cloisonnent dans la région sous-thalamique le segment postérieur de la capsule interne, et abordent le corps de
gère du corps de Luys. Les fibres dégénérées proviennent du segment postérieur de la capsule interne, passent par les lames mé
aires du globus pallidus, perforent la partie antérieure du segment postérieur de la capsule interne avec les fibres strio-luy
es dans la commis- sure de Foret (cF) ou commissure sous-thalamique postérieure (Decus- satio subthalamica poslerior, Ganser) (
) (voy. p. 106) qui occupe la sub- stance grise de l'espace perforé postérieur (Fig. 325) ; ces fibres relient probablement le
la commissure de Meynert et relierait ainsi les noyaux des cordons postérieurs de la moelle avec le globus pallidus du même cô
urone reliant directement le corps de Luys aux noyaux des cor- dons postérieurs et ces connexions, si elles existent, ne peuvent
mer cette manière de voir; les fibres qui se détachent de la partie postérieure du corps de Luys et qui perforent la capsule inte
ntacte. Sur une série de coupes ininterrompue on voyait à la partie postérieure de la région sous-optique les fascicules dégéné
le forme le tuber ;ine°eun et la lame interpédonculaire ou perforée postérieure qui appar- ient en réalité au cerveau moyen, pu
u borgne interpédonculaire, au niveau du sommet de la lame perforée postérieure , la commissure ventrale de la calotte de Forel
édonculaire, la commissure de Forel ou com- missure sous-thalamique postérieure , et dans la substance grise qui double le chias
n arrière des tubercules mamillaires, à la base de la lame perforée postérieure , et ne doit pas être confondue avec la commis-
rel, qui appartient à la calotte pédoncu- laire et occupe la partie postérieure et ventrale du noyau rouge (Voy. Région de la c
Région de la calotte, IIIe partie). La commissure sous-thalamique postérieure (Fig. 325) est en rapport de chaque côté avec l
de la capsule interne. Chez l'homme, la commissure sous-thalamique postérieure est essen- tiellement constituée par des fibres
en faisceaux compacts, mais sont disséminées dans la lame perforée postérieure , puis se dirigent vers la ligne médiane qu'elles
siennes occupent la partie moyenne de la commissure sous-thalamique postérieure . Au-dessus d'elles, à la partie supérieure ou d
à la partie supérieure ou dorsale de la commissure sous-thalamique postérieure , on trouve quel- ques fibres qui proviennent du
s tubercules mamillaires, par la lame interpédonculaire ou perforée postérieure et la commissure sous-thala- mique postérieure
nculaire ou perforée postérieure et la commissure sous-thala- mique postérieure de Forel (Méthode de Weigert). La région sous-o
, cap- sule externe. - Cg, circonvolution godronnée. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cisl, segment sous-len
pCR, pied de la couronne rayonnante. - er, commissure sous-thalamique postérieure de Forel. - F, champ de Forel. - FI, faisceau l
septum lucidum. - Spp, lame interpédonculaire ou substance perforée postérieure . - Strz, stra- tum zonale du thalamus. Tclt3, t
OMIE DES CENTRES NERVEUX. Les fibres du fais- ceau longitudinal postérieur . Les fibres mamil- laires. Commissure de
qui, se détachant de la partie antérieure du faisceau longitudinal postérieur ,longent de haut en bas la substance grise centr
connus. Unis- sent-elles entre eux les deux faisceaux longitudinaux postérieurs ? éta- blissent-elles une connexion entre ces f
oisent dans les couches ventrales delà commissure sous-tha- lamique postérieure , puis entrent, dans la constitution du pédoncule
Chez l'homme, la couche ventrale de la commissure sous-thalamique postérieure est insignifiante; chez la plupart des mammifères
roisés du pilier antérieur du trigone La commissure sous-lhalamique postérieure ne parait pas recevoir de fibres du système des
epuis désignée par Ganser sous le nom de commissure sous-thalamique postérieure et mérite seule le nom de com- missure de Forel
ndrait, d'après Darkschewitsch et Pribytkow, de la partie basale et postérieure du noyau lenticulaire; il longe la commissure d
f périphérique ou de premier ordre, sont assimi- lables aux racines postérieures spinales et transmettent aux glomérules olfacti
circonvolution godronnée. - Cing, cingulum. - Cing(p), le faisceau postérieur du cingulum. - coa, com- missure antérieure, so
. - FG, faisceau de la calotte de Gudden, ou branche de bifurcation postérieure du faisceau mamillaire principal (Fmp). Fiel, fai
a, tuber- cule quadrijumeau antérieur. - Qp, tubercule quadrijumeau postérieur . - Role, strie ou radiations olfactives externe
corps du trigone. - Tga, pilier antérieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. Th, couche optique. - Tm, tubercule
s nerfs optiques , le chiasma et les bandelettes optiques; l'autre, postérieur ou intra-cérébral, représenté par les radiations
s optiques. - Le nerf optique émerge au-dessus et en dedans du pôle postérieur de l'oeil, traverse la cavité orbitaire et le c
substance grise superficielle et moyenne de ce tubercule. Segment postérieur ou intra-cérébral. - Du corps genouillé externe
interne. - CSgt, cou- ches sagittales interne et externe du segment postérieur de la couronne rayonnante. - F3, zone de Broca.
u temporal; fin, faisceau maculaire du nerf optique. - Fin, forceps postérieur ou major du corps calleux. - Fu, faisceau uncinat
ernicke il la zone de Broca. - la, Ip, circonvolutions antérieures et postérieure de NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 4
ntre de Wernicke et première circonvolution temporale. - Tgp, pilie postérieur du trigone. - n. carrefour ventriculaire. - 1V, z
hiasma des nerfs optiques. (Qa), se détachent les fibres du segment postérieur de l'appareil visuel elles comprennent les radi
iculation des neurones visuels antérieurs avec les neurones visuels postérieurs s'effectue soit directement, de l'arborisation te
aires et ne s'étendent qu'à la longue et ter- tiairement au segment postérieur . Chaque segment de l'appareil nerveux visuel co
nnent vers la papille, située en dedans et un peu au-dessus du pôle postérieur de l'oeil. A la périphérie de la rétine, au voisi
au-dessous de la papille et qui correspond très exactement au pôle postérieur de l'oeil. Dans la partie centrale de la macula
nse ou de segment de spire dont la convexité re- garde soit l'angle postérieur homolatéral, soit l'angle antérieur controla- t
au contraire, la dissociation des fibres maculaires dans la partie postérieure de la bandelette, leur dispersion dans tout le
teur oculaire commun en suivant le segment ventral de la commissure postérieure . Les expériences faites dans le laboratoire de
missure de Gudden, de commissure infé- rieure, de commissure arquée postérieure , un petit faisceau de fibres qui occupe la partie
de fibres qui occupe la partie interne de la bandelette, la partie postérieure du chiasma, s'étend d'un corps genouillé à l'au
NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 433 cules quadrijumeaux postérieurs et semble appartenir au système auditif (Forel).
et la valvule de Vieussens et décrite par Ilis sous le nom d'isthme postérieur (Fig. 337). Le cervelet embrasse le tronc encép
e ou marginale anlérieure le sépare en avant et en haut de l'isthme postérieur , une scissure plus profonde encore, la fente cé
e postérieur, une scissure plus profonde encore, la fente cérébrale postérieure , le sépare du bulbe racliidien. Le cervelet rep
cervelet d'une part, la région bulbo-protu- béranlielle et l'isthme postérieur d'autre part. Situation. Ses parties consti-
ervelet se développe aux dépens d'une partie de la voûte du cerveau postérieur ou quatrième vésicule encépha- lique. Il occupe
ronque est en avant et la base échancrée en arrière. L'échancrure postérieure , étroite et profonde, loge la faux du cervelet
, d.'incisure marginale posté- rieure, d'échancrure perpendiculaire postérieure (Vicq d'Azyr), d'incavaturc perpendiculare comm
nglais). - L'échancrure antérieure, plus large e plus étalée que la postérieure , entoure les tubercules quadrijumeaux CI Valeur
ES NERVEUX. ]il ci semi-In- nau P. Vermis supérieur. l'isthme postérieur dont la sépare un repli pie-mérien; elle est conn
ure semi-lunaire (esl) ou antérieure, et l'échancrure marsupiale ou postérieure (cm). Beall- zig. 331. - Le cervelet, recouvert
re marsupiale. - Go, glande pinéale. - le, lame cornée. - Ll', lobe postérieur du cervelet. LS, lobe supérieur du cervelet. NC,
ansversal profond, le sillon supérieur de Vicq d'Azyr (ssV) (sillon postérieur et supérieur de quelques auleurs) (Fig. 331, 338,
e) du vermis supérieur et forme le lobe supé- rieur (LS). La partie postérieure , beaucoup plus petite, est d'aspect semi- lunai
re, limite l'échancrure marsu- piale en dedans et constitue le lobe postérieur (LP). Face inférieure (Fig. 332, 333, 3H). - La
rrière avec l'échancrure marsupiale (em) ; elle loge dans sa partie postérieure la fanx du cervelet, et dans sa partie antérieu
ente alors sous l'aspect d'une éminence très convexe dont la partie postérieure se continue avec le vcrmis supérieur, dont la p
entant quatre crêtes saillantes, dont l'une est antérieure, l'autre postérieure , les deux autres externes (Fig. 3 i e). Le somm
res en formant les expansions ou les ailes de la pyramide. La crête postérieure se porte obliquement en haut et en arrière, et
e. - llCv, hémisphères cérébelleux. - Ll, lobe inférieur. Ll', lobe postérieur . - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. 7'yc, pyram
la face inférieure de l'hémisphère en deux parties inégales : l'une postérieure , plus petite, qui appartient au lobe postérieur
s inégales : l'une postérieure, plus petite, qui appartient au lobe postérieur (LP) ; l'autre antérieure, plus volumineuse, qu
u cervelet comprend quatre bord ? dont deux sont antérieurs et deux postérieurs , et six angles qui sont antérieurs, postérieurs
antérieurs et deux postérieurs, et six angles qui sont antérieurs, postérieurs et externes. Les bords antérieurs, (Fig. 333) o
obliques en arrière et en dedans, décrivent une courbe à convexité postérieure et correspondent à la partie horizontale du sin
8, 340, 32) ou grand sillon horizon- 1(il de Reil, parcourt le bord postérieur , se jette en dehors dans le sillon marginal ant
eure de l'hé- misphère. Il ne correspond pas rigoureusement au bord postérieur du cervelet, mais empiète un peu en dedans sur
antérieur; les angles externes, il l'union des bords antérieurs et postérieurs ; les angles postérieurs, à l'union des bords post
xternes, il l'union des bords antérieurs et postérieurs; les angles postérieurs , à l'union des bords posté- rieurs et de l'écha
il G centimètres sur les hémisphères de l'angle antérieur à l'angle postérieur . Son épaisseur ne dépasse guère 4 il centimètre
véritable face antérieure concave en avant et qui embrasse ['isthme postérieur , la protubérance et le bulbe rachidien. Celte f
ula. - Lca, lobe qua- drilatère antérieur. - Lqp, lobe quadrilatère postérieur . - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls, l
peu en avant et que les sillons de l'amygdale sont presque antéro- postérieurs (Fig. 333). Sur un cervelet recouvert de la pie
du vermis par un sillon sagittal profond, ou encore dans la région postérieure du cervelet où les lobes très développés dans l
la profondeur du sillon : c'est ce que l'on observe dans la région postérieure du cervelet; ici, grâce au développement consid
et inférieure du cervelet, elle l'est moins pour ceux de la partie postérieure . La partie postérieure des hémisphères prend en
let, elle l'est moins pour ceux de la partie postérieure. La partie postérieure des hémisphères prend en effet un développement
ux délimitent de chaque côté : 1° le lobe quadrilatère ; 2° le lobe postérieur de Henle ; 3° le lobe inférieur ou digastrique;
hères, la subdivision du lobe quadrilatère en régions antérieure et postérieure et celle du lobe postérieur en lobe semi-lunair
quadrilatère en régions antérieure et postérieure et celle du lobe postérieur en lobe semi-lunaire supérieur, lobe semi-lunaire
° Lobe supérieur, ou lobe de la masse principale du vermis; 2° Lobe postérieur , ou lobe des lames transversales ; 3° Lobe infé
lobe supérieur se frag- mente en quatre lobes secondaires, le lobe postérieur en deux, soit un total de neuf lobes inégaux de
xion qui sert à délimiter le vermis des hémisphères. Dans le lobe postérieur (LP), le développement du vermis (V) est rudi-
st rudi- 1050 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Mode propre au lobe postérieur . Mode propre au lobes inférieurs. Crêtes d'
profondes, situées au voisinage du pédicule d'in- sertion du lobe postérieur sur la substance blanche centrale du cervelet
e inféro-autérieur) se dis- tinguent du lobe supérieur et du lobe postérieur par l'in- dépendance de leur partie médiane o
e et l'autre région comme celles de la région hémisphérique du lobe postérieur . Les lamelles hémisphériques s'implanlenl sur u
aux différents lobes du cervelet. LS, lobe supérieur. - LP, lobe postérieur . - Ll, lobe inférieur- ? région hémisphérique.
par le sillon supérieur de Vicq d'Azyr (ssV) qui le sépare du lobe postérieur , le lobe supérieur constitue un des lobes les plu
et sont d'autant plus volumineux qu'ils occupent une situation plus postérieure (Fig. 336). Leurs parties hémisphériques se fus
is et les différencie nettement des lobes des régions inférieure et postérieure du cervelet. Sillons principaux du lobe supérie
l médian du cervelet. Le lobe supérieur est coloré en bleu, le lobe postérieur en rose, les lobes inférieur, inféro-interne et i
e verticale de l'arbre de vie du vermis. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - fai, fibres arciformes internes du bulbe. -
le lobe du culmen du lobe du déclive, décrit une courbe à convexité postérieure très accusée, et se jette à angle droit dans le
viennent exceptionnellement superficiels. Ils se portent de la face postérieure du lobe du culmen à la face antérieure du lobe
valvule de Vieus- scns. Les lames et la- melles de sa facc postérieure . le lobule central et le lobule du culmen (Fig.
blanc est formé par les fibres de la valvule de Vieusscns. La face postérieure est libre et forme la lèvre antérieure du sillon
s de la lingula; la face pos- térieure du cerveau moyen et l'islhme postérieur de Ilis.- D'après Retzius. BrQa, bras du tube
cule quadrijumeau antérieur. - BrQp, bras"du tubercule quadrijumeau postérieur . - fui, fibres arci- formes;supérieures de l'is
ébelleux supérieur. - Qa, Qp"tubercules quadrijumeaux antérieurs et postérieurs . - Tpo, toenia" pontis. IV, nerf pathétique.
ntimes avec la base du pédoncule cérébelleux supérieur et la partie postérieure du pédoncule cérébelleux moyen, auxquels la lin
, l'émergence des nerfs pathétiques et les tubercules quadrijumeaux postérieurs . La face postérieure, plus étendue que l'antéri
pathétiques et les tubercules quadrijumeaux postérieurs. La face postérieure , plus étendue que l'antérieure (Fig. 336), est re
du lobe quadrilatère antérieur (Fig. 358). Les faces antérieure et postérieure et le bord supérieur du lobe central sont tapis
ale et se portent de la face antérieure du lobule central a la face postérieure de ses ailes. Ce sont en général les lamelles d
antérieure de ce lobe qui sont les plus étendues, celles de la face postérieure ne dépassant guère le vermis ou la partie adjac
. Bl, bourgeon terminal. - com, commissure molle. - cop, commissure postérieure avec le pédicule de la glande pinéale; les émin
ande pinéale; les éminences situées de chaque côté de la commissure postérieure appartiennent aux ganglions de l'habenula. - em,
iale. - esl, échancrure semi-lunaire. - le, lame cornée. - LP, lobe postérieur . - 7..f/p, lobe qua- drilatère postérieur. - LS
, lame cornée. - LP, lobe postérieur. - 7..f/p, lobe qua- drilatère postérieur . - LS, lobe supérieur. - Lsli, lobe semi-lunaire
oute son étendue, ce lobe présente trois faces qui sont anlérieure, postérieure et supérieure. La face anlérieure est tapissée
be central n'apparaît pas à la face supérieure du cervelet. La face postérieure forme la lèvre antérieure du sillon transverse
phérique. Ces lobules profonds se jettent en effet soit sur la face postérieure du lobe du culmen, soit sur la face antérieure
unissent en une lamelle terminale unique qui s'implante sur la face postérieure du lobule suivant. Ce lobule ne comprend donc q
ermis et se termine par une lamelle unique qui se jolie sur la face postérieure de l'aile gauche du lobe central. Le 3° lobule
diment hémisphérique du lobule précédent; il forme ensuite la lèvre postérieure du sillon post-central gauche. Ce lobule ne pré
ires ont été écartés. Le lobe supérieur est coloré en bleu, le lobe postérieur en rose. 13t, bourgeon terminal. - coin, commis
on terminal. - coin, commissure molle ou moyenne. - cop, commissure postérieure et sa striation transversale. - em, échancrure ma
cinq lobules secondaires (1, 2, 3, zu, 5). - Lyp, lobe quadrilatère postérieur , et ses 4 lobules secon- daires (1, 2, 3, 4). -
age du sillon longitudinal droit, forme un lobule profond à la face postérieure du culmen, puis redevient superficiel à 2 centimè
360). IV. - Lobe du déclive (V,dc) : déclive et lobe quadrilatère postérieur (Lqp). - (Fig. 338, 339, 340, 341, 342, 336, 358,
, en avant du sillon supérieur de Vicq d'Azyr qui le sépare du lobe postérieur , le lobe du déclive représente une sorte de lob
ères et son aspect gé- néral à la fois au lobe supérieur et au lobe postérieur du cervelet. Par la fusion de son vermis dans t
e la lingula, le point le plus saillant, le plus convexe et le plus postérieur du lobe. Les parties hémisphériques le déborden
ticule; ses parties hémisphériques constituent le lobe quadrilatère postérieur ou la parlie postérieure du lobe quadrilatère.
sphériques constituent le lobe quadrilatère postérieur ou la parlie postérieure du lobe quadrilatère. Dans la classification des
nte comme le lobe du culmen une face anté- rieure concave, une face postérieure convexe et une face supérieure. La face antérie
e convexe et une face supérieure. La face antérieure forme la lèvre postérieure du sillon transverse antérieur (Fig. 336). Elle
s qui atteignent le sillon marginal antérieur gauche. Les lobules postérieurs ne s'étendent pas à toute la surface du lobe et
te la surface du lobe et sont d'autant plus petits qu'ils sont plus postérieurs . Au nombre de deux a trois, ils présentent une
ieur de Vicq d'lr-r, pour former les lamelles et lobules de la face postérieure du lobe du dé- clive. Cette face est en effet t
anlé- rieure et inférieure (Fig. 311), puis se ,jettent sur le lobe postérieur et représentent de véritables plis de passage p
es plis de passage profonds qui relient le lobe supé- rieur au lobe postérieur du cervelet. Les externes, plus longs, décrivent
sont la continuation directe des deux ou trois lobules de la partie postérieure de la surface du lobe du déclive. Les lamelles
isinage du sillon marginal antérieur (Fig. 358, 359, 360). II. LOBE POSTÉRIEUR OU LOBE DES LAMES TRANSVERSALES Le lobe postéri
360). II. LOBE POSTÉRIEUR OU LOBE DES LAMES TRANSVERSALES Le lobe postérieur occupe le cinquième postérieur de la face supé-
LOBE DES LAMES TRANSVERSALES Le lobe postérieur occupe le cinquième postérieur de la face supé- rieure et la moitié postérieur
occupe le cinquième postérieur de la face supé- rieure et la moitié postérieure de la face inférieure du cervelet. C'est un lob
obe supérieur par le sillon supérieur de Vicq d'Azyr (ssV), le lobe postérieur est limité en avant parle sillon post-pyramidal e
perficiel dans la région des hémisphères, sillon qui sépare le lobe postérieur du lobe inférieur. Deux profonds sillons, le gr
V) du même auteur, subdivisent sa partie hémi- 1 ic. 3r0. - La face postérieure du cervelet et l'échanciure marsupiale. (D'après
unaire - Lqa, lobe quadrilatère antérieur. - Lqp, lobe quadrilatère postérieur . - LI', lobe posté- rieur. - LS, lobe supérieur
ulmen du vermis supérieur. V(dc), déclive du vermis supérieur. Lobe postérieur . Dimensions. Limites. 462 ANATOMIE DES CENT
unaire inférieur et le lobe grêle. Dans la région du vermis,lc lobe postérieur se réduit parfois à un petit lobule dont les di
transversales supérieures d'Arnold; il représente la partie la plus postérieure du vermis et se trouve situé sur le prolonge- m
t le fond du sillon post-pyramidal. On peul donc considérer au lobe postérieur deux lobes secondaires : 1° Le lobe du bourgeon
sversales inférieures dont la partie moyenne constitue le tubercule postérieur el dont les par- ties hémisphériques forment :
, de sillon posl-clical (Schafer), sépare le lobe supérieur du lobe postérieur . Superficiel dans la région du vermis où il est
région des hémisphères, grâce au développement considérable du lobe postérieur en arrière; en dehors, il atteint le sillon margi
ofondeur du sillon et sont d'autant plus courtes qu'elles sont plus postérieures . Les lamelles de sa lèvre postérieure qui appar
s courtes qu'elles sont plus postérieures. Les lamelles de sa lèvre postérieure qui appartiennent au lobe semi-lunaire supérieu
des Fig. 339, 3'rl, 313, 314. 131, bourgeon terminal. - LP, lobe postérieur . - 11), lobule profond du sillon supérieur de V
q d'Azyr.- Lqa, lobe quadrilatère antérieur. - Ggp, lohe quadrilatère postérieur . - LS, lobe supérieur. - Lsli, lobe semi-lunair
et 334. B, bulbe rachidien. - BrQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur . - esl, échan- crure semi-lunaire. - Floc, floc
be grêle. - Lqa, lobe quadrilatère antérieur. -Lqp, lobe quadrilatère postérieur . - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur.-Lsls, lob
ans avec le profond sillon post-pyramidal (spop) qui sépare le lobe postérieur du lobe inférieur, et en particulier le tubercule
. 339, 31, 344.) 131, bourgeon terminal. - f.r¡p, lobe quadrilatère postérieur . - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls, l
act avec les lobes secondaires adjacents. La face superficielle est postérieure et sillonnée de lamelles transversales dont la
es secondaires. La face pro- fonde supéro-antérieure forme la lèvre postérieure du sillon supérieur ; elle présente constamment
d'être régulièrement curvilignes et sensiblement parallèles au bord postérieur du cervelet (Fig. 341). Les lamelles et lobules d
orme, de longueur et de direction. Les lames et lobules des faces postérieure , supéro-antérieure et infé- rieure du lobe semi
des lamelles cérébelleuses est caractéristique des lobes des faces postérieure et inférieure du cervelet et se rencontre chaqu
inférieure, dont les lames et les lamelles tapissent les deux tiers postérieurs de la face inférieure de la branche horizontale
bien développés. Dans l'un et l'autre cas, la face superficielle ou postérieure du tubercule valvulaire situé dans le fond de l
ue en deux parties, donl l'antérieur constitue le lobe grêle, el le postérieur le lobe semi-lunaire in(é- rieur. Le lobe sem
eaucoup d'analogie avec les lobules du déclive (Fig. 31). La partie postérieure (1,1) comprend deux à trois lobules qui ne s'ét
is inférieur et la mem- brane obturatrice du 4e ventricule. Le lobe postérieur est coloré en rose, les lobes inférieur, inféro
généralement au voisinage du sillon marginal antérieur à la partie postérieure du lobe grêle; en dedans, ils se continuent avec
ire est en général constante ; il n'en est pas de même de la partie postérieure qui peut présenter deux segments semi-lunaires
AMIDE ET LOBE DIGASTR1QUE Le lobe inférieur, situé en avant du lobe postérieur , est très réduit de vo- lume lorsqu'on le compa
térieur, est très réduit de vo- lume lorsqu'on le compare aux lobes postérieur ou supérieur du cervelet; mais, au pointde vuc
e inférieur affecte la forme d'un fer à cheval, inclus dans le lobe postérieur ; les branches sont situées en arrière du floccu
ns post et pré-pyramidaux délimitent ce lobe et le séparent du lobe postérieur et du lobe inféro-interne ou uvulo- amygdalicn.
lons post-pyramidal (spop) et pré-pyra- midal (sprp). L'extrémité postérieure de la pyramide est libre et arrondie en tubé- r
ois petits lobules secondaires, aplatis d'avant en arrière, dont le postérieur , le plus important et le plus volumineux, légèrem
amide. La lamelle qui tapisse la partie la plus saillante du lobule postérieur forme le bord libre et tranchant des ailes. Ell
à ce niveau non seu- lement toutes les lames et lamelles de la face postérieure de la pyramide, qui sont d'autant plus larges q
nterne des lobes digastriques- (Fig. 334, 3 il) el qui loge la face postérieure du bulbe rachidien. Le lobe inféro-interne comp
ique. - Lqa, lobe quadrilatère antérieur. - Lqp, lobe quadrilatère- postérieur . - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls, lob
ersales et qui sonl : l'une, inférieure ou superficielle ; l'autre, postérieure , en rapport avec la pyramide; la troisième, antér
et se terminent sur la face antérieure des crêtes d'union. La face postérieure , en rapport avec la pyramide, est étroite en ba
t tapissée de deux à trois lamelles transversales et forme la lèvre postérieure du sillon post-nodulaire (spon). La luelle est
rales de la luette au pédicule d'insertion de l'amygdale. Leur bord postérieur est libre, mince et tranchant, et forme une crête
t antérieure, interne et externe; trois bords : externe, interne et postérieur , et deux extrémités dont l'une est supérieure,
grêle. - Lqa, lobe quadrilatère antérieur. - Lqp, lobe quadrilatère postérieur . - Lsli, lobe semi-lunaire inférieur. - Lsls, l
est séparé de celui du côté opposé par la vallée de Reil ; le bord postérieur , le plus épais, est arrondi et recouvert par l'
e concentration communes dont l'une est antérieure, les deux autres postérieures . La lame antérieure, la plus courte, est située
s extrémités supérieure et infé- rieure. Les lames de concentration postérieures sont situées l'une au- dessus, l'autre au-desso
çoit à angle plus ou moins aigu les lobules des régions antérieure, postérieure et infé- rieure de l'amygdale. De l'enclaveme
trans- versal et dans le sens vertical, le nodule présente une face postérieure plane en rapport avec la luette; une face infér
résulte de cette disposition (Fig. 108, 110 et 3 i.7) que la moitié postérieure de la face supérieure du nodule est intra-ventric
pul- monaire ; ce sont les valvules de Tarin (VT) (voile médullaire postérieur , vêla valvitl-- se) ? îz'-ci2,cztlciîes cerebel
rien qui la sépare de l'extrémité supérieure de l'amygdale. Le bord postérieur se continue avec le bord antérieur de l'aile de l
lingula. Lga, lobe quadrilatère antérieur. - Lgp, lobe quadrilatère postérieur . - Lsli, lobe semi-lunaire infé- rieur. - Lsls.
pédoncule du flocculus, (p Floc) aplati d'avant en arrière. La face postérieure du pédoncule du flocculus est tapissée de quelq
ris, 1786-1790. 2° PROTUBÉRANCE ANNULAIRE, BULBE RACHIDIEN ISTHME POSTÉRIEUR Après ablation du cervelet, le cerveau rhomboïd
léger sillon transversal, qui sépare les tubercules quadri- jumeaux postérieurs de l'isthme postérieur. Sa limite inférieure est
, qui sépare les tubercules quadri- jumeaux postérieurs de l'isthme postérieur . Sa limite inférieure est à peine indiquée par
rofond diverticule triangulaire limité en haut par la lame perforée postérieure el compris entre les deux pédoncules cérébraux
(Fig. 362 et 36.'i), on la voit constituée par deux parties : l'une postérieure ou supérieure, l'étage postérieur, la ca- lotir
stituée par deux parties : l'une postérieure ou supérieure, l'étage postérieur , la ca- lotir' ou legmenlum, qui relie la calot
e parce qu'il ne re- couvre pas les pyramides, mais longe leur face postérieure . Il représente une voie auditive secondaire et
en dehors de la pyramide antérieure et sur un plan un peu plus postérieur . Elle mesure 12 milli- mètres de longueur sur
quadrijumeau antérieur. - BrQp, bras du tubercule qua- drijumeau postérieur . - Cge, corps genouillé externe. Cgi, corps gen
a, tubercule quadrijumeau anté- rieur. - Qp, tubercule quadrijumeau postérieur . - RI, faisceau triangulaire de l'isthme ou rub
édecine de la Salpêtrière MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 487 Face postérieure . La face postérieure du rhombencéphale pré- sen
ière MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 487 Face postérieure. La face postérieure du rhombencéphale pré- sente deux régions bien
u rhombencéphale pré- sente deux régions bien distinctes : l'isthme postérieur en haut, la face ' postérieure du bulbe en bas.
ux régions bien distinctes : l'isthme postérieur en haut, la face ' postérieure du bulbe en bas. Ces régions sont reliées l'une i
sale par laquelle on pénètre dans la cavité du 4 ventricule. Isthme postérieur (Fig. 331, 3 : 1 ). L'isthme postérieur représent
ité du 4 ventricule. Isthme postérieur (Fig. 331, 3 : 1 ). L'isthme postérieur représente une étroite région rectangulaire for
u nerf pathétique (IV) qui la sépare des tubercules quadrijumeaux postérieurs (Qp), en dehors par le fais- ceau triangulaire
Reil latéral (RI), situé à cheval sur le cerveau moyen et l'isthme postérieur . La limite inférieure de l'isthme postérieur
au moyen et l'isthme postérieur. La limite inférieure de l'isthme postérieur est masquée par les lamelles cérébelleuses du p
sur loule la surface du pédoncule cérébelleux, Fig. 331. - L'islhme postérieur et le cerveau moyen (face postéro-laté- rale)
Retzius.) Grandeur nature. l3rQp,bras du tubercule quadrijumeau postérieur . - cops, commissure posté- rieure. - fai, faisc
rébelleux moyen Tpo, t.enia pontis. - Il, nerf pathétique. Face postérieure Iti rliomi,etic-plial ? [.hmpostricu) 1 i
e du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) ; dans ces cas, l'isthme postérieur parait com- plètement fusionné avec la région d
ïdienne inférieure qui recouvrent le bulbe, on remarque que la face postérieure du bulbe présente deux parties bien distinctes,
Le plancher du quatrième ventricule devient alors visible à la face postérieure du bulbe, et la majorité des auteurs considèren
t pour celle raison, à la face MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 489 postérieure du bulbe rachidien, une partie inférieure fermée
indrique comme la moelle épinière, par l'apposition des cordons postérieurs ; il l'est dans sa partie supérieure, par la m
tercepté par les corps res- ti formes. On remarque sur la face postérieure du bul- be : le sillon médian po ? térieur, l
ieure du bul- be : le sillon médian po ? térieur, les pyramides postérieures , les corps ros- tif ormes et la membrane obtu
entricule. Le sillon médian pos- térieur (sillon longitudi- nal postérieur ) appartient à la partie cylindrique du Il bul
l commence au sommet du V épendy- maire, sépare les pyra- mides postérieures et se continue avec le siilon de même nom de
duit à la moelle à une légère dépression. La séparation des cordons postérieurs de la moelle est établie, F ! G. 3 : ;2. - Le p
établie, F ! G. 3 : ;2. - Le plancher du 41 ventricule et la face postérieure du bulbe après ablation du cervelet et de la me
n- cule cérébral. Pcm, pédoncule cérébelleux moyen. - F. pyramide postérieure . - Sir. ac, stries acoustiques, particulièremen
par le sillon que par un épais septum névroglique. Les pyramides postérieures (Pyp, Fil-. 352) représentent deux petites sail
ux faisceaux cylindriques ou pyrami- daux, qui occupent les parties postérieure et latérale du bulbe entre la pyramide postérie
pent les parties postérieure et latérale du bulbe entre la pyramide postérieure et le faisceau latéral du bulbe et qui se continu
s atteignent l'angle externe du quatrième ventricule et l'extrémité postérieure du sillon Imlho-protubé- rantiel ; ils s'élrang
ion cylindrique du bulbe et se continue avec le sillon col- latéral postérieur de la moelle ou sillon de pénétration des racines
tion des racines médul- MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 191 laires postérieures . C'est le long de ce sillon que pénètrent dans le
ets radicu- laires du spinal et la ligne de pénétration des racines postérieures du pre- mier nerf cervical sont presque superpo
do (TR), qui n'est autre que la sub- stance gélatineuse de la corne postérieure , faisant en quelque sorte hernie, et recouverte
transversale) , pour les distinguer des fibres arciformes externes postérieures , infiniment moins nombreuses et plus courtes, qu
moins nombreuses et plus courtes, qui se dirigent vers la pyramide postérieure du bulbe, ainsi que des fibres arciformes inter
u V et s'insinue entre les parties saillantes (clava) des pyramides postérieures . Ses bords adhèrent aux pyramides postérieures
clava) des pyramides postérieures. Ses bords adhèrent aux pyramides postérieures du bulbe et aux corps restiforme. ses angles la
pie-mérien, la toile choroïdienne inférieure, qui recouvre la face postérieure du bulbe, entoure les diverticules latéraux du qu
leur étendue, et dont les lambeaux restent adhérents aux pyramides postérieures lorsqu'on arrache la pie-mère et les plexus choro
triangulaire, im- paire et médiane, tendue entre les deux pyramides postérieures (ob, Fig. 15 ? 3 : 55). C'est une formation trè
verticules latéraux du le ventricule (d'après Retzius). Les lobes postérieur , supérieur et inféiieur du cervelet ont été enlev
horoïdienne inférieure. Rapports. avec l'autre : l'un vertical, postérieur , ou ventriculaire; l'autre transversal, antérie
e transversal, antérieur, ou diverticulaire. Le segment vertical, postérieur ou ventriculaire, ligula ou languette postérieu
segment vertical, postérieur ou ventriculaire, ligula ou languette postérieure (lv, Fig. 3 : ;f), adhère au corps restiforme et
adhère au corps restiforme et à l'extrémité effilée de la pyramide postérieure et recouvre l'aile blanche exlerne, c'est-à-dire
rds interne et supérieur sont profondément déchiquetés et la ligula postérieure n'adhère que par une mince et étroite lamelle au
action exercée sur le bulbe. Dans l'un ou l'autre cas, la languette postérieure peut être quelquefois renforcée par une strie a
llongée qui se continue sans ligne de démarcation avec la languette postérieure et concourt à former la paroi inférieure du div
un tronc nerveux. Le plus souvent elle se comporte comme la ligula postérieure , s'insère au 3orps restiforme seulement et se t
cérébrale posté- rieure, et sépare le bulbe du cervelet. La partie postérieure de ce feuillet tapisse les valvules de Tarin, l
la toile choroïdienne inférieure, jetée comme un pont sur la partie postérieure et supérieure du bulbe et qui se continue en ba
nue en bas avec la 1)ic-mèrc qui re- couvre les parties latérale et postérieure du bulbe. Ces deux feuillets sont réunis cnlre
ésente une paroi antérieure très épaisse, ou plancher, et une paroi postérieure coudée, le toit, voûte ou tente (Fig. 336). pla
tendent de l'extrémité inférieure TOME II. 32 FIG. 3 ? - La paroi postérieure de l'aqueduc de Sylvius. Le plancher du 4° ve
55). L'aile grise ou cendrée (al, Fig. 355) (fossette inférieure ou postérieure , trigone du glossopharyngien et du pneumogastri
gne d'insertion de la voûte du quatrième ventricule sur la pyramide postérieure , mais en est séparée par l'area postrema de Ret
tion à la voûte du quatrième ventricule, en particulier à la ligula postérieure , et qui est réunie à celle du côté opposé par l'o
bec du calamus, s'étend le long de la partie effilée de la pyramide postérieure et est séparée de l'aile grise par un fascicule
ise extrême à la face interne, ventriculaire des noyaux des cordons postérieurs (Ncp); que le funiculus séparons correspond au
t s'enfonce dans le cervelet (Fig. 336). La voûte, le toit ou paroi postérieure du quatrième ventricule comprend donc deux versan
ns la cavité ventriculaire. Il s'étend des tubercules quadrijumeaux postérieurs à la substance blanche centrale du vermis; sur
profondeur du diverticule angulaire augmente et correspond au bord postérieur adhérent des valvules de Tarin. Mais il ne s'ét
rin. Mais il ne s'étend dans aucun cas en arrière jusqu'à la limite postérieure du nid d'hirondelle, de telle sorte que la substa
Elles présentent une extrémité antérieure renflée el une extrémité postérieure étroite, pédiculée, qui s'ouvre dans le quatrième
supérieure et antérieure, qui comprend assez exactement les limites postérieure et latérale du nid d'hirondelle et qui correspond
grêle. Lqa, lobe quadrilatère antérieur. - Lqp,, lobe quadrilatère postérieur .7,s< : , lobe semi-lunaire inférieur. - Lits
le cérébelleux moyen. Le lobe supérieur est coloré en bleu, le lobe postérieur en rose, les lobes inférieur et inféro-antérieur
eur et de l'amygdale. Le lobe supérieur est coloré en bleu, le lobe postérieur en rose, les lobes inférieur, inféro-interne et i
obé, grâce aux noyaux du toit qu'elle renferme. Sur les coupes plus postérieures (Fig. 336), elle se réduit à un pont transversa
endante du trijumeau. Le lobe supérieur est coloré en bleu, le lobe postérieur en rouge, les lobes inférieur et inféro-interne
C'est un noyau épais, compact, prismatique ou cylindrique, à somme postérieur , qui mesure 13 à 15 millimètres de longet s'étend
où il s'insère, pai une légère courbure en S, sur un point du bord postérieur du corps den- telé au voisinage du hile. Son ex
es de reconnaître les con- nexions intimes qui unissent l'extrémité postérieur du bouchon au corps dentelé ; elles montrent cl
rne, ses bords supérieur et inférieur, ses extrémités antérieure et postérieure . Son grand axe sagittal est un peu oblique en b
oupe C 6, Fig. 437). Les parties externe, supérieure, inférieure et postérieure de l'olive céré- belleuse sont entourées par co
le groupe externe des fibres semi-circu- laires et toute la région postérieure et inférieure de la toison; elle est for- mée d
calotte. - FG, faisceau de Gowers. - Flop. faisceau longitu- dinal postérieur . - FII, faisceau latéral du bulbe dans son trajet
fibres protubérantielles moyennes. - FPop, fibres protubérantielles postérieures . - fsme, fibres semi-circulaires externes. - Gi
des hémisphères cérébelleux (Fo, Fig. 362). La couche profonde et postérieure (stratum profondum (Strp), fibres protubérantie
et postérieure (stratum profondum (Strp), fibres protubérantielles postérieures [FPop]) occupe surtout les deux tiers infé- rie
la substance grise antérieure de la protubérance (noyaux pontiques postérieurs ) zip), en un grand nombre de fascicules transvers
rantielles antérieures, en arrière par les fibres protubérantielles postérieures (coupe C5, Fig. 361). Un certain nombre de fibr
nnes d'un côté se continuent après entre-croisement avec des fibres postérieures du côté opposé et vice-versa. Outre cet entre-c
versant supérieur du toit du live ventricule (Fig. 345) et une face postérieure libre, recouverte par la pie-mère, croisée par de
du 4° ven- tricule, disparaissent sous les tubercules quadrijumeaux postérieurs et se portent peu à peu, en avant et en dedans,
rps genouillé externe. Cgi, corps genouillé interne. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cirl, 522 ANATOMIE DES
ra-ventriculaire est tapissée par l'épendyme ventriculaire, sa face postérieure est recouverte par le feutrage intra-ciliaire (li
-ventriculaire, le pédoncule cérébel- leux supérieur forme la paroi postérieure du quatrième ventricule et affecte une surface
section semi-lunaire (Fig. 362, 395 coupes H 3, H 2). Son extrémité postérieure est épaisse, arrondie et séparée de celle du cô
, le pédoncule cérébelleux supérieur change de forme. Son extrémité postérieure s'effile, son extrémité antérieure s'épaissit e
CENTRES NERVEUX. effet en avant et en dedans, abandonnent la paroi postérieure du qua- trième ventricule et la partie postéro-
amps rectangulaires qui sont d'autant plus étroits qu'ils sont plus postérieurs . Les champs postérieurs contiennent des fibres
sont d'autant plus étroits qu'ils sont plus postérieurs. Les champs postérieurs contiennent des fibres sectionnées perpendiculair
es nerfs pathétiques, dans la région des tuber- cules quadrijumeaux postérieurs , les pédoncules cérébelleux supérieurs FIG. 364
Pi,f ig. r19.) ,ly, aqueduc de Sylvius. Flp, faisceau longitudinal postérieur . xl<', entre-croisement ventral de la calott
e P4, Fig. 369, p. 536). Très rapidement, les branches latérales ou postérieures du fer à cheval dispa- raissent, grâce au trans
vant en arrière, du ruban de Reil médian au faisceau longitu- dinal postérieur (coupe P 1, Fig. 364). L'entre-croisement des p
ruban de Reil médian, et dans les régions supérieures que la partie postérieure du raphé, celle qui avoisinc le faisceau longit
e postérieure du raphé, celle qui avoisinc le faisceau longitudinal postérieur . Pour l'immense majorité des fibres, l'entre-cr
eul, un petit groupe de fibres, appartenant aux fascicules les plus postérieurs , les plus supérieurs et les plus internes, s'entr
ngle droit ou aigu, immédiatement en avant du faisceau longitudinal postérieur , ainsi que nous l'avons déjà figuré dans le tome
de la formation réticulée de la calotte et du faisceau longitudinal postérieur (Fig. 25, p. 37, 26, p. 39) ; il se trouve limi
ciliaire. - fic, feutrage intraciliaire. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - fsme, fsmi, fibres semi-circulaires externes
e présente une surface de section irrégulièrement ovalaire. Sa face postérieure et externe, nette- ment convexe, est en rapport
u corps restiforme est libre et tapissée par la pie-mère de la face postérieure du bulbe. La face antéro-interne du corps resti
inter-trigéminales. - Floc, flocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - Fit, faisceau latéral du bulbe. fpl, fibres ar
s. - NI', noyau du raphé. Nrp, noyau rétro-pyramidal. - Nixp, noyau postérieur du glosso-pharyngien. - avilit;, noyau triangul
SRa, formation réticulée blanche ou alba. - Sl1a (car), son segment postérieur ou inter-réticulé; S7 ! c : (cio), son segment
yramides, puis se rendent dans le noyau arqué. Le groupe interne ou postérieur des fibres cérébello-olivaires passe, soit à tr
ormation réticulée grise en décrivant une légère courbe à convexité postérieure , aborde la lame grise postérieure de l'olive, l
ant une légère courbe à convexité postérieure, aborde la lame grise postérieure de l'olive, la perfore ou la côtoie, puis trave
forme un anneau complet, aplati d'avant en arrière et dont la paroi postérieure présente les replis les plus volumineux et les pl
bres verticales, abondantes plus particulièrement clans ses parties postérieure et externe et qui appartiennent surtout au faisce
triangulaire de la branche vestibulaire de l'auditif. - nixe, noyau postérieur du glosso-pharyngien. - Oi, olive bulbaire ou inf
ure et inférieure de l'olive, recouvre la moitié interne de la face postérieure de cette dernière, et sépare sa capsule des fibre
s, à l'exception du nerf olfactif et du nerf optique, forme l'étage postérieur de la protubérance et la plus grande partie du
bérance et la plus grande partie du bulbe rachidien : c'est l'étage postérieur ou dorsal du tronc encé- 1- pllalique, la régio
le rhombencéphale par les fibres transver- sales du pont et la face postérieure des pyramides antérieures du bulbe. 1. - ÉTAGE
ur moyen de l'hémisphère cérébral, passe par le genou, les segments postérieur et sous-lenticulaire de la capsule interne, et oc
aux, de verticaux qu'ils étaient, et se groupent le long de la face postérieure du pied du pédoncule cérébral en petits fascicule
) Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - Fl'oa, fibres protubérantielles antérieures.
a, fibres protubérantielles antérieures. FPop, fibres transversales postérieures de la protubé- rance dissociant la voie pédoncu
Feue, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - FPoa, 11'op,fibres transversales antérieures
dinal postérieur. - FPoa, 11'op,fibres transversales antérieures et postérieures de la protubérance. z - Lc,locus cwruleus. - Nc
petits sont arrondis et occupent de préférence la partie interne et postérieure de l'étage antérieur de la pro- tubérance. Un
. - Nlla, noyau latéral anté- rieur du bulbe. - Nllp, noyau latéral postérieur du bulbe. - .\'.11, noyau de v. Monakow ou noya
au système des stries acoustiques (coupe H 10, Fig. 367). La face postérieure du faisceau pyramidal est plane ou légèrement c
moelle. - Coa, corne antérieure. Col, corne latérale. - Cop, corne postérieure . - FPyc, faisceau pyramidal croisé. - \'I3, noyau
t la corne antérieure, se placent en avant et en dedans de la corne postérieure et de la sub- stance gélatineuse de Rolando qu'
euse de Rolando qu'ils refoulent en arrière, et forment à la partie postérieure du cordon latéral de la moelle le faisceau pyrami
ent la corne antérieure homola- térale et descendenl dans la partie postérieure du cordon latéral de la moelle. Elles présenten
corps du faisceau do Tiirck et du bras du tuber- cule quadrijumeau postérieur . Les unes s'accolent au ruban de Reil médian (D
yer capsulaire, ayant sectionné dans la région thalamique la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne, et l
ectionné dans la région thalamique la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne, et la partie adja- cente
aire ne con- courent pas à former ce tractus. Lorsque sa partie postérieure est seule visi- ])le à i exLei'Lour, ! ) ne ser
lenticulaire sectionnant, dans la région thalamique, la moi- Lié postérieure du segment postérieur de la capsule in- terne
, dans la région thalamique, la moi- Lié postérieure du segment postérieur de la capsule in- terne. De la voie pédoncu-
e cordon latéral homolatéral (Fig. 388 et 389) en avant de la corne postérieure . Au niveau du collet du bulbe, elles sont renforc
rale et qui sont particulièrement nombreuses dans ce cas. la partie postérieure de la voie pédonculaire, se réunissent en petits
re de l'olive bulbaire (Fig. 383, 384), soit , en avant de la corne postérieure (Fig. 387 à 389). Leur présence au devant de l'
ans la substance grise centrale de la moelle, à la base de la corne postérieure , puis réintègrent le faisceau pyramidal croisé
re-croise- ment pyramidal, Moelle épinière, IVe partie). 2. ÉTAGE POSTÉRIEUR OU DORSAL DU TRONC ENCÉPHALIQUE, RÉGION DE LA C
sceaux compacts, forment le ruban de Reil, le faisceau longitudinal postérieur , le faisceau central de la calotte, traversent
origines très variées; elles proviennent presque toutes des régions postérieures du tronc encéphalique, se portent transversalem
quement en dedans et en avant, en décrivant des courbes à concavité postérieure et interne plus ou moins accentuées, puis s'ent
nt avec le ruban de Reil médian. D'autres encore occupent la partie postérieure de la calotte dans la région bulbo-protubéranti
ers) (voy. Chap. IV). La substance grise centrale tapisse la face postérieure de la for- mation réticulée et la sépare de l'é
e, se continue avec la substance gélatineuse de Rolando de la corne postérieure , et con- tient le noyau de terminaison de la pa
filée qui fait suite au champ de Forel, aux fibres de la commissure postérieure et v la région du ruban de Reil médian; elle es
onculaire. Située à son origine au-dessous de la partie ventrale et postérieure du thalamus, du centre médian de Luys et du cor
tance grise centrale en dedans et les irradiations de la commissure postérieure en arrière (Fig. 28, p. 43, Fig. u.8, p. 71, Fi
gert-Pal. 3/1 Grandeur nature. BrQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur . - Cge, corps genouillé externe. - eF, entre-cr
t originaire du noyau rouge avec l'entre-croisement sous-thalamique postérieur de Forel situé dans la lame perforée postérieure)
ent sous-thalamique postérieur de Forel situé dans la lame perforée postérieure ). - eM, entre-croisement dorsal de la calotte o
la calotte ou entre-croisement de Meynert. Flp, faisceau longitudinal postérieur . Lu, locus niger. - NIII, partie inférieure du
), à la subs- tance grise des tubercules quadrijumeaux antérieur et postérieur . La partie antéro-externe de la formation rétic
ceau compact, triangulaire ou piriforme, le faisceau lon- gitudinal postérieur (Flp). Ce faisceau, qui se distingue par le gros
défaut en tant que noyau plus ou moins nettement délimité. La zone postérieure est plus petite que l'antérieure, elle est situ
ure est plus petite que l'antérieure, elle est située entre le bord postérieur de la commissure de Wernekink et la substance g
queduc et contient en dedans et en arrière le faisceau longitudinal postérieur , dont les fibres se délimitent mal des autres f
et que la commissure de Wernekink diminue, puis disparaît, la zone postérieure s'accroit, atteint en dedans le raphé, puis se
au de la commis- sure de Wernekink. Ses 1103 aux anté- rieur et postérieur . Son aspect au- dessous de l'entre- croisem
iamètre transversal. En arrière, il touche au faisceau longitudinal postérieur ; en avant, aux fibres les plus supé- rieures du
ette coupe, p. 619, Coupe P2, Fig. 420.) Flp, faisceau longitudinal postérieur . - FPoa, fibres protubérantielles antérieures. -
. Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - Le, locus c;erulcus. - Lqa. lobe quadrilatèr
cc, faisceau cen- tral de la calotte. - flip, faisceau longitudinal postérieur . - Fl'oa, FPom, Fi'op, fibres pro- tubérantiell
a, FPom, Fi'op, fibres pro- tubérantielles antérieures, moyennes et postérieures de l'étage antérieur du pont. - Le, locus cerul
s longitudinales de la formation réticulée du faisceau longitudinal postérieur en dedans, du pédoncule cérébelleux supé- rieur
, en arrière et en dedans où elles forment le faisceau longitudinal postérieur (Flp), d'autre part, en avant et en dehors où ell
. - Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - fsme, fsme', libres semi-circulaires externe
Fl'oa, FPom, 1"I'op, libres transversales antérieures, moyennes et postérieures de la protubérance. - Lig, lingula. - Nft, noya
- Fec, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - Fit, faisceau latéral du bulbe. - fsmi, fibres
u raphé, ce noyau n'atteint pas en arrière le faisceau longitudinal postérieur (Flp) dont il est constamment séparé par une co
1('(' blanche. l'o mation rét.cu- lio ; . .[se. longitudinal postérieur . - Le corps juxta-restiforme, le noyau de Deiters
tral de la calotte. - Floc, Ilocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - Fit, faisceau latéral du 1)11]be. - FPoa, fibr
ière la couche inter-olivaire et la sépare du faisceau longitudinal postérieur (Flp); plus bas, le noyau disparaît et l'espace
ntérieur ou inler-olivaire (coupe Hll) et un long et étroit segment postérieur ou inter -réticulé. C'est dans ce dernier segme
erminaison de la branche vestibulaire du nerf auditif. - Nxp, noyau postérieur du vague. - noyau de l'hypoglosse. - Oi, olive
ntôt de deux amas plus ou moins parallèles, l'un antérieur, l'autre postérieur . Dans la partie postérieure de la formation rét
oins parallèles, l'un antérieur, l'autre postérieur. Dans la partie postérieure de la formation réticulée grise, on trouve, en
tance grise de la moelle par un col plus ou moins étroit; sa partie postérieure présente toujours un aspect réticulé spécial, e
corne latérale ou processus reticulares de [Lenhossek. - Cop, corne postérieure . - NI3, noyau du cordon de [Burdach. - NG, noyau
upérieure de l'olive bulbaire et à celles qui sonl adossées à la face postérieure des pyramides antérieures du bulbe. Reil mont
uis redevient profond en s'enfonçant sous le tubercule quadrijumeau postérieur et le bras de ce tubercule. Le segment externe du
ral avec le faisceau interne, profond ou vertical, adossé à la face postérieure du locus niger, et s'irradierait avec lui dans
ius,puis s'entre-croiserait avec lui et constituerait la commissure postérieure du cerveau. Les auteurs qui ont suivi Reil (Bur
partie du ruban de Reil qui s'irradie dans le tubercule quadrijumeau postérieur est appelée ruban in{érie1l1', untere Schleife(
leife des unteren ZweihÜgels (Forel); ruban du tubercule quadrijumeau postérieur ; untere oder latérale Schleife (Bechterew) ; la
s ils croyaient que le corps restiforme se prolongeait dans le cordon postérieur de la moelle, et admettaient que le faisceau la
l'entre-croisement supérieur du bulbe provient des noyaux des cordons postérieurs , et on l'appela entre-croisement sensitif, bien
uns (Iluguenin, Roller, Flechsig) les fibres des noyaux des cordons postérieurs se rendaient après entre-croisement dans les oliv
coupes microscopiques sériées, que les fibres des noyaux des cordons postérieurs et de l'entre-croisement supérieur du bulbe mon
e de Meynert sur la participation des fibres des noyaux des cordons postérieurs à la constitution de la partie externe de la pyra
différencié. Il tire son origine principale des noyaux des cordons postérieurs de la moelle épinière, contribue à former les f
peu en dehors et en arrière et se termine finalemenl dans la partie postérieure et inférieure du noyau externe de la couche opt
sous le nom de région du ruban de Reil médian. Noyaux des cordons postérieurs (Ncp). -Les noyaux des cordons postérieurs (NCp
an. Noyaux des cordons postérieurs (Ncp). -Les noyaux des cordons postérieurs (NCp) ou noyaux de Goll (\`G) et de Burdach (NB),
ans, a la substance gélalinenes f ic. 402. - Les noyaux des cordons postérieurs aux confins des corps restiforme et juxta-resti
p. 6î3, coupe H13, Fig. 443.) Cp, extrémité supérieure des cordons postérieurs . NCp, masse commune aux noyaux des cordons post
des cordons postérieurs. NCp, masse commune aux noyaux des cordons postérieurs . - Crsl, corps restiforme. - fas, fibres arciform
bres arci- formes interréticulées, provenant des noyaux des cordons postérieurs et s'entre-croisant à la partie postérieure du
des noyaux des cordons postérieurs et s'entre-croisant à la partie postérieure du raphé au niveau du bord supérieur de l'entre-c
noyau juxta-olivaire interne. - 115·l, noyau réticulé, - Nxp, noyau postérieur du vague. - A'xn, noyau de l'hypoglosse. - Oi,
res radi- culaires de l'hypoglosse. de Rolando (SgR), à la partie postérieure de la formation réticulée (SR) et à la substanc
tion réticulée (SR) et à la substance grise centrale (Sgc); la face postérieure irrégulièrement l dentelée est entourée d'une c
ement d'épaisseur (coupe H7,Fig. 400), se continue avec les cordons postérieurs de la moelle et segmente la masse grise commune
noyaux déterminent à la surface du bulbe la saillie des pyra- mides postérieures et des tubercules cunéiformes (Fig. 352). Ils rep
complètement séparées l'une de l'autre par les fibres des cor- dons postérieurs . Le noyau de Burdach (NB) (nucleus funiculi czn
hère dans toute sa hau- tour à la formation réticulée; de sa partie postérieure et externe se détache un petit noyau irrégulièr
yau irrégulièrement déchiqueté, plongé au sein des fibres du cordon postérieur el uui à la masse principale par des travées gris
Rolando (coupes H16 à H20, Fig. 370, 400, 401, 403), et de la corne postérieure . Le noyau interne de Burdach diminue rapidement
extrémité libre, aplatie latéralement et plongée au sein du cordon postérieur de la moelle (Fig. 426, p. 630). Les noyaux de
erne) représentent les noyaux de terminaison des libres des cordons postérieurs de la moelle ; ils sont situés sur le trajet de l
-croisement compact qui affecte la forme d'un cône de pin, à sommet postérieur , c'est l'entre-croisement supérieur ou sensitif d
13 àH1 ? 1 ij. u02,400 et 4H à 446, p. 677 il 680) puis la partie postérieure du ra- pliC(coupesHl2 etH13, Fig. H2 et ! 4.3
formant un faisceau complexe, très mal délimité, qui longe la face postérieure des pyramides dont le sépare incomplètement le
ig. 428.) Cj, corps juta-restiforme. - 7 ? ), faisceau longitudinal postérieur . - fsme, fsmi fibres semi-circulaires externes
nte dans cette région un aspect piriforme ou triangulaire, à sommet postérieur et à base antérieure, reliée au ruban de, Reil mé
viennent verticales, abordent le ganglion du tubercule quadrijumeau postérieur (GQp) par son extrémité antéro-inférieure et s'y
ter- minaison du nerf cochléaire (NVIIP) au tubercule quadrijumeau postérieur croisé ; sa terminaison dans les régions inféri
meau poslérieur (BrQp), le corps genouillé interne (Cgi), la partie postérieure du pied du pédoncule cérébral (P) et du locus n
ntérieure diminue d'épaisseur et se porte en arrière; son extrémité postérieure s'épaissit et s'unit aux fibres cortico- quadri
ostérieure s'épaissit et s'unit aux fibres cortico- quadrigéminales postérieures qui font suite au bras du tubercule quadri- jum
les postérieures qui font suite au bras du tubercule quadri- jumeau postérieur et traversent le segment sous-lenticulaire, de la
unes appartiennent au système des fibres corlico-quadrigémi- nales postérieures (coupe n° 9 x, Fig. 25), et des radiations de la
laire (cas Richard, xLn, Fig. 231, p. 204). Faisceau longitudinal postérieur (Flp). S".\O : '\YJIlE : partie posté- rieure d
Stieda; Hinteres LangsbÜndel de Meynert; fibres spinales des régions postérieures (Luys); bord supérieur de la substance réticulé
nom de faisceau longitudinal de Schiitz.) Le faisceau longitudinal postérieur (Flp) occupe la partie postéro- interne de la f
en tant que faisceau plus ou moins bien délimité, de la commissure postérieure et des noyaux de la troisième paire (coupes n°
es de substance grise. Sur les coupes qui intéressent la commissure postérieure , au niveau de l'embouchure de l'aqueduc de Sylv
(coupe n° 6 x, T. ICI', Fig. 321, p. 6H), le faisceau longitudinal postérieur apparaît comme un faisceau mince et aplati, app
ouge, la séparent de la substance grise qui double l'espace perforé postérieur , puis se recourbent en dedans pour par- ticiper
nt en dedans pour par- ticiper à l'entre-croisement sous-thalamique postérieur de Forel (eF) (coupe n° 6 g, T. le,, Fig. 321,
t n° 9 x, Fig. 18, p. 71 et Fig. z, p. 37) le faisceau longitudinal postérieur apparaît encore sous l'aspect d'un faisceau obli-
n des tubercules quadrijumeaux antérieurs, le faisceau longitudinal postérieur est croisé et en partie dis- socié par les libr
, Fig. 392, p. 554), la surface de section du faisceau longitudinal postérieur change de forme. Sa partie interne s'épaissit,
ubercules quadrijumeaux antérieurs les deux faisceaux longitudinaux postérieurs , se porte de plus en plus en arrière, à mesure
et unit les extrémités antéro-inlernes des faisceaux longitudinaux postérieurs . Il conserve cette apparence dans toute la hau-
e dans toute la hau- teur de la région des tubercules quadrijumeaux postérieurs . Avec la disparition du noyau de la IVe paire (
e (coupes P 1, P2, Fig. 419, 120,j. 617, 618), la cupule de la face postérieure disparait et le Flp présente un aspect piriform
4, Fig. 424, 425 à 427, p. 626, 628, 633), le faisceau longitudinal postérieur diminue d'épaisseur. Son extrémité effilée disp
les fibres sagittales du raphé. En dehors, le faisceau longitudinal postérieur se fusionne'sans limite nette avec le reste de
inue le plus souvent dans l'épaisseur même du faisceau longitudinal postérieur et en dissocie les' fascicules les plus antérie
antérieures s'effacent à leur tour, et le faisceau longitu- , dinal postérieur fait corps avec le reste de la formation réticulé
issent sur les coupes. Le genou du facial constitue alors la limite postérieure du faisceau longitudinal postérieur et le sépar
cial constitue alors la limite postérieure du faisceau longitudinal postérieur et le sépare de la substance grise centrale et du
aires de la VIe paire limitent en dehors le faisceau longitu- dinal postérieur ; au-dessus et au-dessous de ce noyau, il se fusio
ion protubérantielle moyenne : ruban de Reil, faisceau longitudinal postérieur , faisceau central de la calotte, noyau réticulé,
extraciliaire de l'olive cérébelleuse. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - NFlp, noyau du faisceau longitudinal postérieu
sceau longitudinal postérieur. - NFlp, noyau du faisceau longitudinal postérieur se fusionnant en avant avec le noyau réticulé.
disparition du , noyau central inférieur, le faisceau longitudinal postérieur (Flp) cesse d'exister en tant que faisceau plus
c les fibres de la formation réticulée blanche. Il occupe la partie postérieure de cette formation, et quoique ses limites anté
sagittales ou vertico-transver- sales-de suivre les fibres les plus postérieures de ce faisceau jusque dans la partie postérieur
s fibres les plus postérieures de ce faisceau jusque dans la partie postérieure des cordons antérieurs do la moelle dont il procè
res permet toutefois d'af- firmer qu'il concourt à former la partie postérieure de la capsule du noyau rouge et qu'il est situé
e et qu'il est situé en dehors et en avant du faisceau longitudinal postérieur (voy. cas Rauber, Ille partie, chap. IV). Le fa
s par le noyau central supérieur (nets) et le faisceau longitudinal postérieur (Flp). Au-dessous cle la commissure de Wernekin
e, presque rectiligne et formée par le tronc encéphalique. La paroi postérieure , ou toit, est coudée; elle envoie un diverticule
ur des axes principaux du vermis et la fusion des axes de la région postérieure du vermis en une branche commune, la branche ho
daires de la face supérieure du culmen; sur ses faces antérieure et postérieure légèrement festonnées et irrégulières, s'implan
les deux lèvres de ce profond sillon. Elle se détache de la partie postérieure du noyau blanc central, se porte horizontalemen
s de longueur sur 1 il 1 et demi millimètre de large. Son extrémité postérieure légèrement renflée reçoit : 1° le court axe com
axes des nombreux lames et lobules profonds qui tapissent la lèvre postérieure du sillon transverse antérieur (sta). Sa face i
du vermis. Bt, bourgeon terminal. ça, cordon antérieur. - Cp, cordon postérieur de la moelle. - fai, fibres arciformes internes
lle épinière, sépa- rant ainsi le bulbe en deux par- ties : l'une postérieure , formée par le noijau de Goll (NCG) terminé p
de Goll (NCG) terminé par une extrémité effilée, et par le cordon postérieur (Cp) de la moelle épinière; l'autre, anté- ri
artiennent à la décussation des faisceaux pyramidaux (xPy). L'étage postérieur ou calotte est fusiforme et atteint sa plus grand
ig. 407. 2/1 grandeur nature. Méthode de Weigert-Pal. Cp, cordons postérieurs .- j'ai, fibres arciformes internes formant l'en
t;</, faisceau longitudinal dorsal. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . ? fibres du laphé s'étendant dans l'étage an-
re, adossée à la substance grise centrale, le faisceau longitudinal postérieur (Flp); fusionnés en bas, ces deux groupes de fi
la division du tronc encéphalique en région anté- rieure et région postérieure est encore plus nette. Dans les traînées vertical
sitpe ? ,ficiale pontis (Strs), mince et d'épaisseur égale; l'autre, postérieure , le stratum profundum (Strp), adossée à la calo
fim) adossé au stratum profun- dum (Strp), du faisceau longitudinal postérieur (Flp) adjacent à la substance grise centrale du
t [au noyau réticulé (Nrt). Dans le bulbe, le faisceau longitudinal postérieur (Flp) peut être suivi jusque .dans le cordon an
e du bulbe (Sgc') et de la moelle épinière (Sgc"). Dans la partie postérieure et inférieure du bulbe, on aperçoit la section de
et inférieure du bulbe, on aperçoit la section des noyaux du cordon postérieur : le noyau du cordon de Burdach (NCB) adossé à
(NCG), avec son extrémité effilée, entouré par les fibres du cordon postérieur de la moelle (Cp). Le noyau du cordon de Goll e
à mesure que la substance blanche centrale s'agrandit. L'extrémité postérieure de cette substance est épaisse et renflée; elle r
h) ne diffère de celle de la coupe précédente que par son extrémité postérieure renflée et coudée, qui reçoit comme précédemmen
erticale de l'arbre de vie médian. - CI, cordon latéral. - Cp, cordon postérieur . ' 1 cEp, crête épendymaire tapissant l'écorce
'oa, FPom, Pl'op, fibres protubérantielles antérieures, moyenne» et postérieures . NCI3, noyau du cordon de Burdach. - Nit, noyau l
érébelleux supérieur (Pcs). Quant aux lobes des faces supérieure et postérieure du vermis : lobes central, culmen, déclive, bout-
2 intéresse déjà l'écorce des hémisphères cérébelleux. A la parlie postérieure et inférieure du vermis se trouvent les premières
des innombrables faisceaux protubérantiels transversaux antérieurs, postérieurs et moyens (FPoa, FPop, FPom). Calotte. - La c
llongé de la partie inférieure de la coupe, compris entre le cordon postérieur (Cp) et le cordon latéral (CI) de la moelle, appa
érieur à sa pénétration dans le cervelet. - Les étages antérieur et postérieur du tronc encé- phalique, l'olive bulbaire, le n
r. - Strs, Strc, Slip, couches transversales antérieure, moyenne et postérieure de l'étage antérieur du pont.-Tv, tubercule val
atre îlots ganglionnaires allongés dans le sens sagittal et dont le postérieur s'insinue dans la base d'implantation de la bra
ent circonscrite que la partie interne. Des parties supérieure et postérieure de la substance blanche centrale se détachent l
brandie horizontale (bh) de l'arbre de vie médian dont l'extrémité postérieure , renflée et coudée, reçoit, comme sur les coupe
semi-lunaire supérieur, réduit à une lamelle qui coiffe l'extrémité postérieure du bourgeon ternzinal ·(BL) et à un petit îlot in
, formé sur cette coupe par la valvule de Tarin (VT) et l'extrémité postérieure du nodule. Le quatrième ventricule (V.j s'enfonce
sulte que les lobules du culmen qui bordent les faces antérieure el postérieure ainsi que l'extrémité supérieure de la branche
, elle est remarquable par sa longueur, sa minceur et son extrémité postérieure ÉTUDE TOPOGRAPIIIQUE DU RHOMBENCEPHALE. 601 t
le, qui n'a pas son équi- valent dans le vermis. L'axe de la moitié postérieure du lobe grêle s'insère de bonne heure sur l'axe
de transition, l'axe commun au tubercule valvulaire et à la partie postérieure du lobe grêle, de l'axe commun à la pyramide et à
la région hémisphé- rique (coupe S7, Fig. 415), l'axe de la moitié postérieure du lobe grêle s'implante sur la face inférieure
hémisphères augmente dans le sens antéro-postérieur. Son extrémité postérieure se prolonge dans le lobe semi-lunaire inférieur e
donc, en réalité, une branche richement ramifiée, destinée au lobe postérieur et à la partie postérieure du lobe supérieur du c
nche richement ramifiée, destinée au lobe postérieur et à la partie postérieure du lobe supérieur du cer- velet ; elle s'épanou
du lobe semi-lunaire supérieur et du lobe du déclive (quadrilatère postérieur ), et donne naissance aux axes du lobe grêle.
vie médian. - FPoa, FPop, les fibres transver- sales antérieures et postérieures de l'étage antérieur de la protubérance. - fsme,
est le noyau de Monakow situé dans la partie supérieure des cordons postérieurs , aux confins du corps restiforme. La coupe intére
rps restiforme. - FPoa, FPop, les fibres transversales antérieures et postérieures de la protubérance. - fsme, fibres semi-circula
le celle du sillon transverse antérieur (sta). Le lobe quadrilatère postérieur , le lobe semi- TOME II. 39 Fig. 415. - L'arbr
certaines particularités. Le lobe semi-lunaire inférieur et la partie postérieure du lobe grêle, s'implantent sur la partie posté
et la partie postérieure du lobe grêle, s'implantent sur la partie postérieure de la substance blanche centrale par un pédicul
ment excavée, reçoit un feston de l'olive cérébelleuse, et son bord postérieur est relié à la partie postéro-interne de l'oliv
antent radiai- remcnt les axes des lobes quadrilatères antérieur et postérieur et du lobe semi- lunaire supérieur, séparés par
a région sous-thalamique, des tubercules quadrijumeaux antérieur et postérieur ; 2° que la voie pédonculaire ou voie du pied du p
ndeur nature. Aq, aqueduc de Sylvius. - flip, faisceau longitudinal postérieur . - xF, entre-croisement ventral de la calotte p
croise à angle droit immédiatement en avant du faisceau longitudinal postérieur (Flp) et se continue avec les fibres les plus i
. Ce petit entre-croisement n'existe qu'a la partie supé- rieure et postérieure du pédoncule cérébelleux supérieur. Il peut être
ode de Weigert-Pal, 3/1 grandeur nature. Flp, faisceau longitudinal postérieur . - Fl'oa, fibres protubérantielles antérieures ap
supérieur, elle n'est représentée que par le faisceau longitudinal postérieur en arrière (Flp), le ruban de Reil médian (Rm)
aux noyaux du ruban de Reil latéral (NR1). Le faisceau longitudinal postérieur (Flp) est piriforme et relié à celui du côté op
e de l'aqueduc (SgAq) envoie entre les deux faisceaux longitudinaux postérieurs dans toute la région corres- pondant aux noyaux
ués sur le même plan que le bord antérieur du faisceau longitudinal postérieur . Cette coupe passe au-dessous du noyau de la qu
oupe passe au-dessous du noyau de la quatrième paire, aussi le bord postérieur de ce faisceau est-il lisse, non excavé; il att
rs la petite racine motrice descendante du trijumeau (Vd). La paroi postérieure de l'aqueduc de Sylvius (Aq) est constituée par l
re. Fcc, faisceau central de la calotte. Flp, faisceau longitudinal postérieur .- FPoa, fibres protubérantielles antérieures. -
res protubérantielles antérieures. - FPop, fibres protubérantielles postérieures . - Gip, ganglion interpédonculaire. - Le, locus
sceaux compacts de la formation réti- culée : faisceau longitudinal postérieur , faisceau central de la calotte, ruban de Reil
Face, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - FPoa, FPop, fibres transversales* antérieure
inal postérieur. - FPoa, FPop, fibres transversales* antérieures et postérieures de la protubérance. - Le, locus ca'ruleus. Arcs
rise centrale du quatrième ventricule (Sgc), le faisceau longitudinal postérieur (Flp), les cellules pigmentées du locus aeruleu
les fascicules arrondis, aber·ants de la voie pédonculaire ; l'autre, postérieur et superficiel, le ruban de Reil latéral (RI),
rieur et superficiel, le ruban de Reil latéral (RI), de l'extrémité postérieure duquel se détachent de nombreuses fibres obliqu
ansversales moyennes ou intermédiaires (Strc), fibres transversales postérieures de la protubérance (Strp). Entre les fibres tra
au central supérieur et fais- ceaux compacts (faisceau longitudinal postérieur , faisceau central de la calotte, ruban de Reil
. Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - Le, locus c.eruleus. - Lqa, lobe quadrilatèr
upérieur (Ncs), noyau ovalaire qui s'étend du faisceau longitudinal postérieur (Flp) au ruban de Reil médian (Rm), et qui se tro
es lamelles supérieures du cervelet. L'étage antérieur et l'étaye postérieur du tronc encéphalique présentent sur cette coup
refoulement du pédon- cule cérébelleux supérieur (Pcs) à la partie postérieure de la calotte. Un grand nombre de fibres de la
ielle moyenne (F Pom). Les fibres des couches antérieures (FPoa) et postérieures (FPop) ont presque doublé de volume et se conti
(FPom) et profondes (FPop) s'entre-croisent à angle droit. La moitié postérieure du raphé contient en outre un certain nombre de
culièrement abondants de chaque côté du raphé, ainsi qu'à la partie postérieure et externe du pont en dedans du pédoncule cérébel
le cérébelleux supérieur (Y es) en dehors, du faisceau longitudinal postérieur (Flp) et du locus cieruleus (Le) en arrière. Fi
ieur et circonflexe, ses faisceaux compacts : faisceau longitudinal postérieur , faisceau cen- tral de la calotte, ruban de Rei
ature. ? ce, faisceau central supérieur. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - FPoa, FPom, FPop, fibres transversales antér
. - FPoa, FPom, FPop, fibres transversales antérieures, moyennes et postérieures du pont. - Le, locus coeruleus. - Nef, noyau ci
e Hl), des amas diffus de substance grise, qui segmentent sa partie postérieure en petits champs rectangulaires et constituent
onstituent les noyaux du corps trapézoïde. Le faisceau longitudinal postérieur (Flp) a perdu son aspect piriforme et a diminué
le pédoncule cérébelleux supérieur. - Flp, faisceau lon- gitudinal postérieur . - Fil, faisceau latéral du bulbe. - Fo, faisceau
, mal délimité, adossé au raphé en dedans, au faisceau longitudinal postérieur (Flp) en arrière, et qui se fusionne en avant a
ris du reste de la formation réticulée (SR). Le faisceau longitudinal postérieur (Flp) est toujours mal délimité, et entouré en
cervicale. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. Cp, cordons postérieurs de la moelle. - Cusl, corps restiforme, ses conne
kow (N.11) et de Burdach (\'13) et sa continuation avec les cordons postérieurs de la moelle. - Fcc, faisceau central de la calot
s arciformes in- terréticulées du bulbe. Flp, faisceau longitudinal postérieur . - NB, NCB, noyaux du cordon de Burdacli.- NCG,
de Gowers (FG) et quelques fibres originaires des noyaux du cordon postérieur du côlé opposé; ces dernières sont homologues à
- gitudinales de la formation réticulée (SR). Il reçoit à sa partie postérieure et externe la petite racine motrice descendante
et qui se fusionne en bas avec la substance gélatineuse de la corne postérieure de la moelle épinière. La coupe H 3 intéresse l
la calolte (Fcc), le noyau réticulé (Nrt), le faisceau longitudinal postérieur (Flp) et l'olive supérieure ou protubéranlielle (
grosse racine descendante sensitive du triju- meau (Vsd); sa partie postérieure reçoit un petit fascicule de fibres qui traverse
ive supérieure, le ruban de Reil médian, le fais- ceau longitudinal postérieur et le faisceau central de la calotte. Les noyaux
. - Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - FPoa, FPom, FPop, fibres transversales antér
. - FPoa, FPom, FPop, fibres transversales antérieures, moyennes et postérieures de l'étage antérieur de la protubérance. - fsme
du sillon longitudinal, passer en arrière du faisceau longitudinal postérieur (Flp), longer le plancher du 4e ventricule (V,,),
as directement avec les fibres radiculaires du trijumeau. La moitié postérieure de la coupe sectionne la substance blanche centra
les parois latérales du quatrième ventricule (V,J et son extrémité postérieure , épaisse et arrondie, est séparée de celle du c
re et ses rapports avec les fibres protuhérantielles antérieures et postérieures .-La calotte protubérantielle, ses fais- ceaux c
Fcc, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau longi- tudinal postérieur . - fsme, fibres semi-circulaires externes du cerv
te, les limites du noyau réticulé (Nrt) et du faisceau longitudinal postérieur (Flp) sont très diffuses; le faisceau central de
que côté de la ligne médiane, en arrière du faisceau longitu- dinal postérieur (Flp), on trouve la surface de section arrondie d
ans la calotte, on trouve encore, en arrière du faisceau longitudinal postérieur (Flp) la surface de section arrondie du genou d
cules cérébelleux supérieur (Pes) et inférieur (Pci). Son extrémité postérieure s'adosse au bouchon (Nem) qui revêt à peu près la
- liaire. - fc, feutrage intra-ciliaire. - Flp, faisceau longitunal postérieur . - fsme, fibres semi-circulaires externes. - fs
ace compris entre le ruban de Reis (Rm) et le faisceau longitudinal postérieur (Flp). Le ruban de Reil médian (Rm) est travers
rf cochléaire aux olives supérieures et au tubercule quadri- jumeau postérieur du côté opposé. L'ensemble du trajet de ce syst
eue, faisceau central de la calotte. - Flp, faisceau lon- gitudinal postérieur . - Fit, faisceau latéral du bulbe. fsmi, fibres s
a coupe C 5 (Fig. 436, p. 651), en arrière du faisceau longitudinal postérieur (Flp), de chaque côté du raphé médian. La, elle
a région des hémisphères les lobes quadrilatères antérieur (Lqa) et postérieur (Lqp) et le lobe semi-lunaire supérieur. Ce der
-circulaires internes. - Lqa, Lqp, lobes quadrilatères antérieur et postérieur des hémisphères cérébelleux. NB, noyau de l3ech
transverse antérieur (sta), et sectionne l'axe du lobe quadrilatère postérieur (Lqp) il sa fusion avec la Bibliothèque des Int
res semi-circulaires internes du cervelet. - Lqp, lobe quadrilatère postérieur du cervelet. - Nem, embole. - x\11, entre-croisem
le sillon supérieur de Vicq d'Azyr (ssV). Les lamelles de la partie postérieure du vermis appartiennent au déclive et unissent
s appartiennent au déclive et unissent les deux lobes quadrilatères postérieurs entre eux. La substance blanche centrale du ver
ce blanche centrale du vermis est très réduite dans le sens antéro- postérieur , grâce à la profondeur du sillon transverse antér
térieur (sta). On y con- state deux sortes d'entre-croisements : le postérieur , formé de fibres presque parallèles, appartient
sition qui, de chaque côté, est refoulée en arrière par l'extrémité postérieure de l'olive cérébelleuse (Oc). Le groupe externe
res semi-circulaires internes du cervelet. - Lqp, lobe quadrilatère postérieur . - Nem, embole. - Nt, noyau du- toit. - xNt, entr
grande partie par le segment vertical ou genou du facial. La paroi postérieure , beaucoup plus réduite, est convexe et correspond
éml du quatrième ventricule, les subdivise en deux parties, dont la postérieure appar- tient à la face ventriculaire du pédoncu
des noyaux du toit (xNt) entoure donc la face supérieure et la face postérieure des noyaux du toit, les fibres de la coupe C 4 se
et les lamelles du déclive qui relient les deux lobes quadrilatères postérieurs droit et gauche. La substance blanche centrale du
e. La substance blanche centrale du vermis, intéressée il sa partie postérieure , au voisinage de l'extrémité antérieure de la bra
sa concavité le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs). L'extrémité postérieure de l'olive est volumineuse, épaisse, la coupe i
fascicule qui décrit un courbe très prononcée autour de l'extrémité postérieure de l'olive; on ne peut le suivre sur cette coupe
obes du vermis inférieur, le bourgeon le),î21111al(BL), l'extrémité postérieure de la branche horizontale de l'arbre de vie (bh)
s, d'inégale longueur, des différents lobes des faces inférieure et postérieure du cervelet. Ce sont en avant, et de dedans en
u lobe semi-lunaire inférieur; quant à la partie moyenne de la face postérieure de la substance blanche centrale des hémisphères,
blanche centrale des hémisphères céré- belleux. A gauche, la partie postérieure du nid d'hirondelle est limitée comme à droite
un postélieur et gauche, l'autre antérieur et droit; le diverticule postérieur , long et étroit, s'insinue entre la val- vule d
arties latérales du bulbe; 2° par la fusion de la calotte, ou étage postérieur , avec l'étage anté- rieur représenté par la voi
lles présentent toutes une surface de section trian- gulaire à base postérieure et d'autant plus accentuée que la coupe est plu
ulus. - PFloc, pédoncule du flocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - Flt, faisceau latéral du bulbe. - FPoa, fibres
gulaire, le noyau triangulaire ou noyau du nerf vestibulaire; noyau postérieur de l'acoustique, (NVIIIV) situé sur les parties l
roite, le long du raphé jusqu'au voisinage du faisceau longitudinal postérieur (Flp). Les noyaux arqués des pyramides (Narc) e
otubé- ranlielle inférieure, mais a une forme plan-convexe, sa face postérieure plane ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 65
calotte (Fcc). En arrière, il est séparé du faisceau lon- gitudinal postérieur (Flp) par une couche de fibres beaucoup plus épai
es fibres arciformes qui décrivent des courbes à concavité interne, postérieure et supérieure, puis s'entre-croisent au niveau
la formation réticulée (SR). Les dorsales (fad) occupent la partie postérieure de la calotte, tra- versent le faisceau longitu
ie postérieure de la calotte, tra- versent le faisceau longitudinal postérieur (Flp) et les fibres de la formation réticulée s
ubstance grise centrale du plancher du quatrième ventricule a la face postérieure 062 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. de la pyram
baire (Oi). Dans le sens antéro-postérieur, elle s'étend de la face postérieure de l'olive (Oi)à la substance grise centrale du q
étroite lame grise qui atteint en arrière le faisceau longitudinal postérieur (Flp) et qui se fusionne en avant avec le noyau
ou interoli- vaire, la couche intl'1'olivai1'e de Flechsig; l'autre postérieure , la couche inlerréti- culée. Les deux couches,
la moelle; que la couche inte1'J'éticlllée con- tient, à sa partie postérieure , les fibres descendantes et ascendantes du faisce
re, les fibres descendantes et ascendantes du faisceau longitudinal postérieur (Flp) qui se prolongent dans le cordon antérieur
s. Les fibres arciformes qui, sur cette coupe, traversent la partie postérieure de la couche interolitaire (SRa,cio), sont beau
rétrotrigéminales. - Floc, flocculus. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - Fil, faisceau latéral du bulbe. - Fs, faisceau
rminaison de la branche vestibulaire du nerf auditif. - Nixp, noyau postérieur du glosso-pharyn- gien. - Oi, olive bulbaire. -
la pyramide (Py) et comprend deux lames, l'une antérieure, l'autre postérieure , dentelées et festonnées, réunies en dehors, écar
ais, entoure l'olive d'une véritable capsule, renforcée à sa partie postérieure et externe par le faisceau central de la calott
de terminaison du nerf vestibulaire ou noyau triangulaire, ou noyau postérieur de l'acoustique (NVIIIv). Il est limité en deda
fj7B, noyau de la branche vestibulaire du nerf auditif. - Nixp, noyau postérieur du glosso-pharyngien. - Oi, olive bulbaire ou i
ague ou pneumogastrique (X). Le diamètre transversal de la partie postérieure du bulbe s'est encore réduit; la saillie du cor
couche inter-olivaire, alors qu'elles n'en atteignent que la moitié postérieure sur la coupe H9 (Fig. 439) et les deux tiers po
la moitié postérieure sur la coupe H9 (Fig. 439) et les deux tiers postérieurs sur la coupe H 10 (Fig. 440). Comme sur les cou
, noyau rétropyramidal. - Ayv. noyau du funiculus teres. - Nez, noyau postérieur du pneumogastrique. iY''U7t), noyau de la branc
xterne. Le noyau juxta-olivaire externe (Noe) contourne l'extrémité postérieure de l'olive (coupe H 10, Fig. 440) et longe sa f
r. Le noyau du raphé (Nr) a presque complètement disparu, la partie postérieure de la formation réticulée blanche en contient t
e du plancher du quatrième ventricule et connu sous le nom de noyau postérieur ou dorsal du vague (Nxp). Il occupe l'aile gris
d'avant en arrière et de dedans en dehors, qui occupe la périphérie postérieure du bulbe et qui contient à sa surface, dans son
nte sensitive du t1'ijumeau (Vsd) et appartiennent déjà aux cordons postérieurs du bulbe el tie la moelle épinière. Sur les cou
Cj, corps juxta-restiforme. - Crst, corps restiforme. - Cp, cordons postérieurs de la moelle. - Fcd, faisceau cérébelleux direc
ux juxta-olivaire externes. - Nrp, noyau rétropyramidal. - Nxp, noyau postérieur du vague. - NXll, noyau de l'hypoglosse. - Oi,
a substance grise se transforme petit à petit en noyaux des cordons postérieurs de la moelle. Quant aux fibres du corps l'esti-
forme (ou en proviennent) et dans une partie des noyaux des cordons postérieurs qui leur sont homologues. Sur les coupes suivante
s. Sur les coupes suivantes elles font place aux fibres des cordons postérieurs . La grosse racine sensitive descendante du trij
cette coupe, en arrière des fascicules qui vont former les cordons postérieurs , et en avant des fibres de la formation réticul
l'olive bulbaire (Oi), la partie supérieure des noyaux des cordons postérieurs (NCp) et les fibres radiculaires des nerfs gran
ando (SgR) qui lui est annexée, sont apparus les noyaux des cordons postérieurs (\Cp), amas gris diffus, contenant un très riche
ne sensitive descendante du trijumeau et qui apparlient aux cordons postérieurs (Cp). Les parties externe et anlérieure de ces
on en cordon de Goll et cordon de Burdach. Les fibres des cordons postérieurs (Cp) n'atteignent pas la périphérie posté- rieu
en une couche mince, étroite et curviligne qui contourne le cordon postérieur (Cp) et la grosse racine sensitive descendante du
p. 615. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nalure. Cp, cordons postérieurs . - Crst, corps restiforme. - fcb, fibres arciform
aires externe et interne. - Nrp. noyau rétropyramidal. .Yt/), noyau postérieur du vague. noyau de l'hypoglosse. - Oi, olive in
qu'elles traversent. Les fibres arciformes qui occupent la moitié postérieure de la formation l'éli- culée ont changé d'aspec
aÏ1'es (fir), naissent du feutrage de fibres des noyaux des cordons postérieurs (NCp), traversent en fascicules onduleux et enche
s (NCp), traversent en fascicules onduleux et enchevêtrés la partie postérieure des formations réticulées grise (SRg) et blanche
t blanche (SRa), et s'entre-croisent en gros fascicules à la partie postérieure du raphé. Cet entre- croisement, qui ne dépasse
qui, prenant leur origine dans les cellules des noyaux des cordons postérieurs (NCp), montent dans la couche inter-olivaire et
clair correspondant il l'aile grise, on trouve le noyau dOl'sallou postérieur du vague (Nxp), puis le faisceau solitaire (Fs) ,
me ventricule recouvre ensuite la face interne du noyau des cordons postérieurs . Coupe H 14 (Fig. 44t.). - Cette coupe intéress
ieur de l'olive (Oi) et la partie supérieure des noyaux des cordons postérieurs (NCp). La surface de section du bulbe a pris un
u horizontal qui occupe la périphérie du bulbe, entoure les cordons postérieurs (Cp), la racine descendante du trijumeau (Vsd)
que hématoxylinique et leurs connexions avec les noyaux des cordons postérieurs (Ncp). Elles s'en- tre-croisent dans la partie
cordons postérieurs (Ncp). Elles s'en- tre-croisent dans la partie postérieure du raphé, en arrière des fibres cérébello- oliv
érieure. L'obex et le ventricule d'Arentius. Les noyaux des cordons postérieurs etl'entre-croisement piniforme du bulbe. Les for-
gert-Pal. 6/1 grandeur nature. Cp, extrémité supérieure des cordons postérieurs de la moelle. - Crst, corps restiforme. - fas,
bres arci- formes interréticulées, provenant des noyaux des cordons postérieurs et concourant il l'en- (re-croisement piniforme
sceau solitaire. Narc, noyau arqué. - 'Cp..\'cp, noyaux des cordons postérieurs . Nil, noyau latéral du bulbe. - non, noyau juxt
sagittale et s'insinue en arrière entre les deux noyaux des cordons postérieurs . - Cette disposition, ainsi que la diminution con
intel'1'éticull : es (fir), et se portent vers le noyau des cordons postérieurs (NCp). Elle est adossée en outre au noyau juxta
spinal ou accessoire de Willis (XIe paire). Les noyaux des cordons postérieurs (NCp) présentent un aspect spécial, ils contien
éfaut dans les amas gris qui occupent la partie externe des cordons postérieurs , et qui d'aspect plus homogène, reliés au noyau
leurs fibres en connexion 'avec le corps restiforme et les cordons postérieurs de la moelle, ne participent à la formation, ni
sitif, enfin par une délimitation plus nette des noyaux des cordons postérieurs en noyau de Goll (NG) et noyau de l3uwlaclc (NB
FIG. \,4,5. - La région bulbaire inférieure. Les noyaux des cordons postérieurs , les fibres arciformes interréticulées et l'ent
418, p. 615. Méthode Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. Cp, cordons postérieurs de la moelle. Crst, corps restiforme. fcb, fibres
s, faisceau solitaire. - Varc, noyau arqué. - sCp, noyaux des cordons postérieurs . Alla, noyau latéral antérieur du bulbe. - Slip
eurs. Alla, noyau latéral antérieur du bulbe. - Slip. noyau laléral postérieur du bulbe. NM, noyau de Monakow. Noi, noyau juxt
losse. 680 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le sillon longitudinal postérieur se réduit une simple encoche et ne sépare pas p
e bulbaire. Le noyau juxta-olivaire interne. Les noyaux des cordons postérieurs ; les fibres arciformes interréticulées et l'ent
ll. - Alla, noyau latéral antérieur du bulbe. - Nltp, noyau latéral postérieur du bulbe. Noi, noyau juxta-olivaire interne. NM
réduit à un volumineux faisceau lioi i- zontal, étendu des cordons postérieurs (CG, CB) au noyau arqué (Narc) et aux fibres ar
l'épais faisceau de fibres qui longe la base des noyaux des cordons postérieurs (NB, NG). Ces fibres appartiennent toutes au sy
ou leznniscales, prennent leur origine dans les noyaux des cordons postérieurs et entrent dans la constitution de la couche in
articipent à l'entre- croisement piniforme. Les fibres de la partie postérieure de la formation réticulée blanche (SRa) sont, p
. Fir. il ? - La région bulbaire inférieure. Les noyaux des cordons postérieurs et l'en- tre-croisement piniforme. - Coupe tran
éma- toxylinique : le faisceau latéral du bulbe en avant, le cordon postérieur de la moelle en arrière. Ce dernier forme sur l
e ainsi nettement la masse auparavant unique des noyaux des cordons postérieurs . Noyaux de Goll et de Burdach ne sont plus unis
volumineuse qui détermine la saillie connu sous le nom de pyramide postérieure du bulbe, et atteint presque la péri- phérie du
un feu- trage de fibres et par l'épaisse couche de fibres du cordon postérieur qui le recouvre. Son bord postérieur convexe re
sse couche de fibres du cordon postérieur qui le recouvre. Son bord postérieur convexe reste toujours très éloigné de la périphé
stance gélatineuse de Rolando revêt tous les caractères de la corne postérieure , mais d'une corne très volumineuse reliée au re
n feutrage de fibres à myéline, la substance spongieuse de la corne postérieure . Les noyaux des cordons postérieurs sont moins
ubstance spongieuse de la corne postérieure. Les noyaux des cordons postérieurs sont moins proéminents et moins volu- mineux qu
ment moteur et la région du collet du bulbe. Les noyaux des cordons postérieurs et la formation réticulée grise. Coupes transvers
la moelle. Coo, corne antérieure. Col, corne lalérale. - Col, corne postérieure . - fil', fibres inlcrréliculécs du bulbe. \'l3, n
RVEUX. Le noyau de Goll (NG) affecte une forme en massue ; son bord postérieur con- vexe est encore large, sa base devient de
des fibres longitudinales. Nous n'avons pas à revenir sur la partie postérieure de la substance grise, sur les noyaux de Goll (
e grise, sur les noyaux de Goll (NG) et de Burdach (NB) et la corne postérieure (Cop). La partie ansé- rieure permet de reconna
9 (Fig.449) et une région intermédiaire (SRg), adjacente à la corne postérieure (Cop) et qui présente sur les deux coupes un as
t intéressées sur les coupes H19 et H20, elles traversent la partie postérieure de la corne latérale (Col) en avant de la base de
térieure de la corne latérale (Col) en avant de la base de la corne postérieure . Coupe H21,H22,H23 (Fig. 4.'il, i. : p2, 453).
al (Cl) de la moelle, et la corne antérieure est reliée il la corne postérieure par une travée grise plus ou moins déchiquetée,
Coa, corne antérieure décapitée.- Col, corne latérale. - Col, corne postérieure . - FPyc, faisceau pyramidal croire. NB, noyau du
c). Celui-ci occupe une profonde excavation comprise entre la corne postérieure (Cop) et la corne antérieure (Coa), mais se disti
eliée par une large base à la substance grise centrale et une corne postérieure unie cette même sub- stance grise centrale par
al croisé les fibres horizontales qui traversent le col et la corne postérieure (Cop), et qui représentent les fibres radiculai
ure (Cop), et qui représentent les fibres radiculaires de la racine postérieure de la première paire cervicale (CI). La parti
l, cordon antéro-latéral. Coa, corne antérieure décapitée. Cop, corne postérieure . Fl' ! fc, faisceau pyramidal croisé. NG, noyau
ussation de ce faisceau. La substance grise centrale de la moitié postérieure du collet du bulbe affecte sur ces trois coupes
riangulaire, à sommet antérieur; sa large base s'adosse aux cordons postérieurs (Cop). Elle contient les petites saillies mamel
al croisé en occupant le cordon latéral refoule en arrière la corne postérieure et son col. - Les cornes postérieures, qui étai
al refoule en arrière la corne postérieure et son col. - Les cornes postérieures , qui étaient situées (coupe H 21, Fig. 451) sur l
e, se rapprochent ainsi l'une de l'autre, en même temps que le bord postérieur de la substance grise centrale s'excave sur la
nce grise centrale s'excave sur la ligne médiane et que les cordons postérieurs s'étendent dans le sens sagittal, gagnant en ép
Burdach. CG. cordon de Goll. Cl, cordon antéro-latéral. CI. racine postérieure de la première paire cervicale. Coa, corne anté-
ère paire cervicale. Coa, corne anté- rieure décapitée. COl', corne postérieure . - eCoy, col de la corne postérieure. Cp, cor-
rieure décapitée. COl', corne postérieure. - eCoy, col de la corne postérieure . Cp, cor- don postérieur. f ? c, faisceau pyram
orne postérieure. - eCoy, col de la corne postérieure. Cp, cor- don postérieur . f ? c, faisceau pyramidal croisé. SgR, substance
ion pyramidale. 690 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. les deux cornes postérieures diminuera; en se portant en dedans, a corne pos-
sous-lobaire du vermis et abordent le noyau du toit par sa par- tie postérieure et inférieure (bh, Fig. 410 el 165). Les fibres
lièrement arrondi (l'Py, Fig. 436, p. 651), qui longe toute la face postérieure du bouchon, puis s'infléchit en avant et se con
s semi-circulaires internes du cervelet. - Lqp, lobe qua- drilatère postérieur . - Nem. embole. - Ni, noyau du toit. - xNl, entre
rtout mani- feste pour le feutrage sous-lobaire des lobes des faces postérieure et infé- rieure de l'hémisphère (lobes semi-lun
pour le feulrage sous-lobaire des lobes quadrilatères antérieur el postérieur . Ici les épais fascicules des fibres semi- circ
ments dans le ver- mis. Petit entre-croise- ment commissural postérieur Grand entre-croi- sement commissural antéri
. Elle» enveloppent la face externe, le bord supérieur, l'extrémilé postérieure el la partie supé- rieure de la face interne du
érieur el moyen. Après avoir contourné la face externe, l'extrémité postérieure et le bord supérieur de l'olive cérébelleuse, l
rectement en dedans et en arrière, et s'entre- croise à l'extrémité postérieure de la branche horizontale de l'arbre de vie du
nléro-externes de l'hémisphère. Si la coupe inté- resse l'extrémité postérieure de la branche horizontale de l'arbre de vie du ve
dont la convexité correspond au petit enlre -croisement commissural postérieur de Stilling. La disposition générale de l'entre
la coupe sagittale mé- diane, le petit entre-croisement commissural postérieur présente une surface de section triangulaire et
eon terminal et du tubercule valvulaire, c'est-à-dire l'extré- mité postérieure de la branche horizontale (bh) de l'arbre de vie
nt du noyau du toit et séparé du petit entre-croisement commissural postérieur par la couche sagiltale de la branche horizonta
l'olive cérébelleuse. Le petit entre-croi- sement commissural postérieur a l'extré- mité postérieure de la branche hor
petit entre-croi- sement commissural postérieur a l'extré- mité postérieure de la branche horizon- tale de l'arbre de vie
ntéressées au niveau du cro- chet qu'elles décrivent autour du bord postérieur de l'olive cérébelleuse et du bouchon. (Voy. co
2 (1891) Anatomie pathologique de la moëlle épinière : 45 planches en héliogravure avec texte explicatif
rement rétréci l'aire des terres inconnues. Les anciens faisceaux postérieurs , par l'étude des lésions systématiques, avaient
égions distinctes : les faisceaux de Goll et les zones radiculaires postérieures ; les faisceaux antéro-latéraux des auteurs avaien
CATION DU SCHEMA A. Corne antérieure de substance grise. B. Corne postérieure de substance grise. B'. Substance gélatineuse d
e grise. B'. Substance gélatineuse de Rolando. C. Col de la corne postérieure . D. Cellules de la colonne de Clarke. E. Vein
ntérieure. I. Canal central. J. Racines antérieures. K. Racines postérieures . L. Commissure antérieure (blanche). M. Commi
s postérieures. L. Commissure antérieure (blanche). M. Commissure postérieure (grise). N. Sillon antérieur. 0. Sillon posté
M. Commissure postérieure (grise). N. Sillon antérieur. 0. Sillon postérieur . P. Faisceau de Tii1'li, ou pyramidal direct.
estplrol. Y. Faisceau de Burdach, ou zone radiculaire du faisceau postérieur . Z. Faisceau de Goll, ou cordon grèle. Z'. Ce
et colorée par la méthode de Pull. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Faisceau antérieur. D. Faisceau latéral.
térieure. C. Faisceau antérieur. D. Faisceau latéral. E. Sillon postérieur . F. Sillon antérieur. G. Faisceau postérieur.
latéral. E. Sillon postérieur. F. Sillon antérieur. G. Faisceau postérieur . H. Canal central. 1. Commissure antérieure.
ieur. H. Canal central. 1. Commissure antérieure. J. Commissure postérieure . IC. Racine postérieure. Figure 2. MOELLE N
1. Commissure antérieure. J. Commissure postérieure. IC. Racine postérieure . Figure 2. MOELLE NORMALE. Cellules ganglionn
et colorée par la méthode de Pall. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racines antérieures. D. Faisceau latéral.
érieure. C. Racines antérieures. D. Faisceau latéral. E. Sillon postérieur . F. Sillon antérieur. G. Faisceau postérieur
latéral. E. Sillon postérieur. F. Sillon antérieur. G. Faisceau postérieur (zone radiculaire). H. Cordon de Coll. I. Com
re). H. Cordon de Coll. I. Commissure antérieure. J. Commissure postérieure . K. Racine postérieure. L. Faisceau antérieur
I. Commissure antérieure. J. Commissure postérieure. K. Racine postérieure . L. Faisceau antérieur. Figure 4. MOELLE NO
et colorée par la méthode de Pall. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Commissure antérieure. D. Commissure post
. B. Corne postérieure. C. Commissure antérieure. D. Commissure postérieure . E. Faisceau antérieur. F. Sillon antérieur.
térieure. E. Faisceau antérieur. F. Sillon antérieur. G. Cordon postérieur . II. Faisceau latéral. I. Sillon postérieur.
ntérieur. G. Cordon postérieur. II. Faisceau latéral. I. Sillon postérieur . J. Racine postérieure. Figure 6. Portion d
stérieur. II. Faisceau latéral. I. Sillon postérieur. J. Racine postérieure . Figure 6. Portion du faisceau latéral de la
et colorée par la méthode de Pali, A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
e de Pali, A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérieure . F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
rieur. 7J. Faisceau antérieur. I. Faisceau latéral. J. Faisceau postérieur . Figure 8. MOELLE NORMALE. Corne postérieure.
atéral. J. Faisceau postérieur. Figure 8. MOELLE NORMALE. Corne postérieure . Coupe pratiquée dans la région lombaire et col
dans la région lombaire et colorée par la méthode de Pall. La corne postérieure est vue au grossissement de l'obj. 2, Vérick. A
e. E. Entrée directe de fibres nerveuses dans la corne. F. Racine postérieure . G. Coupe transversale des tubes nerveux de la
et colorée par la méthode de Pall. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Cordon antérieur. D. Faisceau latéral.
térieure. C. Cordon antérieur. D. Faisceau latéral. E. Faisceau postérieur . F. Sillon postérieur. G. Sillon antérieur.
térieur. D. Faisceau latéral. E. Faisceau postérieur. F. Sillon postérieur . G. Sillon antérieur. II. Canal central. 1.
térieur. II. Canal central. 1. Commissure antérieure. J. Racine postérieure . Jt. Cellule de la corne antérieure. Figure 1
A. Corne antérieure droite. A'. Corne antérieure gauche. B. Corne postérieure droite. B'. Corne postérieure gauche. C. Comm
. Corne antérieure gauche. B. Corne postérieure droite. B'. Corne postérieure gauche. C. Commissure blanche. D. Commissure
sure blanche. D. Commissure grise. E. Cordon de Goll. F. Sillon postérieur . G. Racine antérieure. II. Sillon antérieur.
stérieur. G. Racine antérieure. II. Sillon antérieur. /. Racine postérieure . J. Faisceau latéral. Figure 12. MOELLE D'A
même à ce faible grossissement. =1. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Commissure antérieure. D. Commissure post
. B. Corne postérieure. C. Commissure antérieure. D. Commissure postérieure . E. Racine postérieure. F. Sillon postérieur.
C. Commissure antérieure. D. Commissure postérieure. E. Racine postérieure . F. Sillon postérieur. G. Sillon antérieur.
re. D. Commissure postérieure. E. Racine postérieure. F. Sillon postérieur . G. Sillon antérieur. Il. Faisceau postérieur
rieure. F. Sillon postérieur. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau postérieur sain. 1-J. Zones enflammées des cor- dons ant
nt disséminées et atteignent leur summum d'intensité dans le cordon postérieur gauche. Les altérations vasculaires sont remarqua
dans le faisceau latéral gauche. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Faisceau latéral droit un peu altéré. D
re antérieure. E. Canal central. F. Sillon antérieur. G. Sillon postérieur . JI, Racine postérieure. 1. Cordon antérieur
central. F. Sillon antérieur. G. Sillon postérieur. JI, Racine postérieure . 1. Cordon antérieur sain. /. Faisceau latéra
aisceau latéral altéré. K. Coupe de vaisseau altéré. L'. Faisceau postérieur sclérosé. CI. Corne postérieure gauche altéré
e de vaisseau altéré. L'. Faisceau postérieur sclérosé. CI. Corne postérieure gauche altérée. Figure 16. - MYÉLITE CAVITA
ltérées. C. Cavité pathologique. D. Sillon antérieur. E. Sillon postérieur . F. Corne postérieure. G. Cordon latéral. ? R
thologique. D. Sillon antérieur. E. Sillon postérieur. F. Corne postérieure . G. Cordon latéral. ? Racine postérieure. I.
lon postérieur. F. Corne postérieure. G. Cordon latéral. ? Racine postérieure . I. Faisceau postérieur. J. Commissure antéri
postérieure. G. Cordon latéral. ? Racine postérieure. I. Faisceau postérieur . J. Commissure antérieure. PLANCHE IX Figur
re. B. Groupe de cellules ganglion- naires respectées. C. Corne postérieure . D. Racine postérieure. E. Commissure antérie
es ganglion- naires respectées. C. Corne postérieure. D. Racine postérieure . E. Commissure antérieure. F. Commissure post
D. Racine postérieure. E. Commissure antérieure. F. Commissure postérieure . G. Sillon antérieur. Il. Sillon postérieur.
ure. F. Commissure postérieure. G. Sillon antérieur. Il. Sillon postérieur . 7. Cordon postérieur. J. Racine antérieure.
térieure. G. Sillon antérieur. Il. Sillon postérieur. 7. Cordon postérieur . J. Racine antérieure. K. Cavité pathologique
ore dans le cordon latéral droit. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Partie saine du cordon anté- ro-latéral.
ordon anté- ro-latéral. D. Commissure antérieure. E. Commissure postérieure . F. Sillon antérieur. G. Sillon postérieur.
eure. E. Commissure postérieure. F. Sillon antérieur. G. Sillon postérieur . II. Racine postérieure. I. Cordon postérieur
térieure. F. Sillon antérieur. G. Sillon postérieur. II. Racine postérieure . I. Cordon postérieur. J. Partie sclérosée du
érieur. G. Sillon postérieur. II. Racine postérieure. I. Cordon postérieur . J. Partie sclérosée du cordon la- téral droi
englobée dans la plaque scléreuse. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. n. Sillon postérieur.
scléreuse. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . n. Sillon postérieur. E. Canal central. F.
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. n. Sillon postérieur . E. Canal central. F. Commissure antérieure.
ro-latéraux. 1-I. Zones slérosées des mêmes cordons. J. Cordons postérieurs sclérosés. Figure 22. SCLÉROSE EN PLAQUES. Ré
ès irrégulière des plaques de sclérose disséminées dans les cordons postérieurs , la substance grise, et la plus grande partie du
al gauche. A. Partie indemne de la corne antérieure. B. Corne postérieure altérée. C. Racine postérieure. D. Canal cent
de la corne antérieure. B. Corne postérieure altérée. C. Racine postérieure . D. Canal central. E. Commissure antérieure.
érieur. G. Cordon antérieur normal. H. Partie indemne du cordon postérieur . 1. Cordon latéral droit indemne. J. Zone alt
moins altérée de la même plaque. M. Zone sclérosée du faisceau postérieur . Ces deux préparations sont prises sur la même
rrégulières dans la moitié gauche. .iL Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
é gauche. .iL Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérieure . F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
ure. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieur. H. Faisceau postérieur sain. I. Zone respectée du faisceau antéro-la
uée dans le faisceau lat. gauche. M. Zone sclérosée du faisceau postérieur . N. Zone sclérosée du faisceau latéral droit.
s affectent avec une intensité variable plus marquée dans les cordons postérieurs . A. Corne antérieure altérée. A'. Corne antér
Corne antérieure altérée. A'. Corne antérieure indemne. B. Corne postérieure altérée. C. Racine postérieure. D. Sillon pos
Corne antérieure indemne. B. Corne postérieure altérée. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
B. Corne postérieure altérée. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
rée. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérieure . F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
sée du cordon pos- térieur droit. N. - Zone sclérosée du cordon postérieur gauche. 0. Zone sclérosée du cordon an- térie
cularité d'être presque symétrique. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur
ymétrique. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur très épaissi. E. Commis
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur très épaissi. E. Commissure postérieure. F. S
ine postérieure. D. Sillon postérieur très épaissi. E. Commissure postérieure . F. Sillon antérieur. G. Cordon antérieur sai
eure. F. Sillon antérieur. G. Cordon antérieur sain. II. Cordon postérieur peu altéré. I. Cordon latéral sain. J. Zone t
altéré. I. Cordon latéral sain. J. Zone très altérée du cordon postérieur . IC. Faisceau latéral gauche sclé- rosé. G-
e lésion des cornes antérieures combinée à une sclérose des cordons postérieurs . A. Corne antérieure. B. Corne postérieure.
sclérose des cordons postérieurs. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
stérieurs. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérieure . F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
l. I. Cordon antérieur. J. Zone marginale peu altérée du cordon postérieur . A'. Zone sclérosée des cordons postérieurs.
eu altérée du cordon postérieur. A'. Zone sclérosée des cordons postérieurs . FIGURE 28. LESION COMBINÉE. Corne antérieure
de la planche précédente, c'est-à-dire qu'il existe de la sclérose postérieure et des altérations des cellules des cornes anté-
e droite moins altérée que J. Corne antérieure gauche. B. Corne postérieure . C. Racines antérieures. D. Commissure antéri
érieures. D. Commissure antérieure. E. Canal central. F. Sillon postérieur . G. Sillon antérieur. Il. Racine postérieure.
central. F. Sillon postérieur. G. Sillon antérieur. Il. Racine postérieure . 1. Cordon latéral. E-Z. Cordons postérieurs
érieur. Il. Racine postérieure. 1. Cordon latéral. E-Z. Cordons postérieurs sclé- rosés. FIGURE 30. LÉSION COMBINÉE. Co
ns postérieurs sclé- rosés. FIGURE 30. LÉSION COMBINÉE. Cordons postérieurs . La figure représente un point des cordons post
NÉE. Cordons postérieurs. La figure représente un point des cordons postérieurs sclérosés de la préparation pré- cédente, vu à
e et colorée par la méthode de Pall. La sclérose occupe les cordons postérieurs et la presque totalité des faisceaux anléro- la
é des faisceaux anléro- latéraux. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Racine antérieure.
latéraux. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Racine antérieure. E. Commissure antérieu
. D. Racine antérieure. E. Commissure antérieure. F. Commissure postérieure . G. Sillon antérieur. H. Sillon postérieur.
eure. F. Commissure postérieure. G. Sillon antérieur. H. Sillon postérieur . l. Zone de Westphal du cordon postérieur ind
antérieur. H. Sillon postérieur. l. Zone de Westphal du cordon postérieur indemne. J. Partie saine du cordon latéral. K
e Gowers sclérosé. if. Faisceau cérébelleux sclérosé. N. Faisceau postérieur sclérosé. 0. Faisceau pyramidal sclérosé. FIG
imitée. A. Corne antérieure. A'. Cellules de la corne. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Canal central. E
eure. A'. Cellules de la corne. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Canal central. E. Commissure postérieure.
érieure. C. Racine postérieure. D. Canal central. E. Commissure postérieure . F. Commissure antérieure. G. Sillon postérie
E. Commissure postérieure. F. Commissure antérieure. G. Sillon postérieur . Il. Sillon antérieur. 1. Faisceau antérieur
u de Gowers sclérosé. K. Faisceau pyramidal sclérosé. L. Faisceau postérieur sclérosé. M. Zone de Westphal respectée. Les
pyramidal croisé correspondant. 1 A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
pondant. 1 A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérieure . F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
ure. G. Sillon antérieur. H. Cordon antérieur sain. I. Faisceau postérieur sain. J. Faisceau cérébelleux direct sain.
portant sur le faisceau pyramidal. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
pyramidal. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérieure . F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
rieure. G. Sillon antérieur. H. Faisceau antérieur. I. Faisceau postérieur sain. J. Faisceau cérébelleux direct sain.
faisceau pyramidal croisé droit. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Commissure postéri
isé droit. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Commissure postérieure. E. Commissure ant
ure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Commissure postérieure . E. Commissure antérieure. F. Sillon postérie
D. Commissure postérieure. E. Commissure antérieure. F. Sillon postérieur . G. Sillon antérieur. H. Faisceau pyramidal c
faisceau pyramidal croisé droit. .ri. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Commissure postéri
é droit. .ri. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Commissure postérieure. E. Commissure ant
ure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Commissure postérieure . E. Commissure antérieure. F. Sillon antérieu
ieure. E. Commissure antérieure. F. Sillon antérieur. G. Sillon postérieur . H. Faisceau de Turck droit dé- généré. I.
cérébelleux directs, et de Gowers. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
de Gowers. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérieure . F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
G. Sillon antérieur. Il. Faisceau pyramidal intact. I. Faisceau postérieur normal. J. Cordon de Goll dégénéré. IC. Faisc
t les faisceaux pyramidaux croisés. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
x croisés. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Commissure antérieu
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Commissure antérieure. F. Commissure post
. D. Sillon postérieur. E. Commissure antérieure. F. Commissure postérieure . G. Sillon antérieur. ? Racine antérieure. /.
postérieure. G. Sillon antérieur. ? Racine antérieure. /. Cordon postérieur indemne. .1-J. Faisceaux pyramidaux dé- génér
cérébelleux directs et de Gowers. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
de Gowers. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Canal central. F.
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Canal central. F. Commissure antérieure.
demne du faisceau antéro-latéral. 1. Partie indemne du faisceau postérieur . J. Faisceau de Gowers dégénéré. K. Faisceau
A-.4'. Cornes antérieures alté- rées et asymétriques. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
res alté- rées et asymétriques. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. 1 E. Commissure postér
triques. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . 1 E. Commissure postérieure. F. Commissure a
e. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. 1 E. Commissure postérieure . F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
I-II. Parties indemnes des faisceaux antéro-latéraux. J. Faisceau postérieur . J-J. Faisceaux pyramidaux dé- générés. Fig
ltérée. A'. Région peu altérée de la corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Sillon postérieur. D. Racine postérieure.
altérée de la corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Sillon postérieur . D. Racine postérieure. E. Commissure antérie
térieure. B. Corne postérieure. C. Sillon postérieur. D. Racine postérieure . E. Commissure antérieure. F. Commissure post
D. Racine postérieure. E. Commissure antérieure. F. Commissure postérieure . G. Sillon antérieur. II. Cordon postérieur.
ure. F. Commissure postérieure. G. Sillon antérieur. II. Cordon postérieur . 1. Partie indemne du faisceau antéro-latéral
t. Corne antérieure saine. A'. Corne antérieure altérée. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
. A'. Corne antérieure altérée. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
altérée. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérieure . F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
re. F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau postérieur . /. Faisceau antéro-latéral. J. Racines antér
a-a. Ses cellules ganglion- naires. A'. Corne altérée. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
n- naires. A'. Corne altérée. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Commissure antérieu
altérée. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Commissure antérieure. F. Commissure post
. D. Sillon postérieur. E. Commissure antérieure. F. Commissure postérieure . G. Sillon antérieur. H. Cordon latéral. 1.
postérieure. G. Sillon antérieur. H. Cordon latéral. 1. Cordon postérieur . FIGURE 48. PARALYSIE INFANTILE (POLIOMYÉLITE
re gauche. » A. Partie non altérée de la corne droite. B. Corne postérieure . C. Foyer myélitique droit. C'. Foyer myéliti
oit. C'. Foyer myélitique gauche. D. Vaisseau altéré. E. Racine postérieure . F. Commissure antérieure. G. Canal central.
térieure. F. Commissure antérieure. G. Canal central. H. Sillon postérieur . I. Sillon antérieur. J. Faisceau latéral.
stérieur. I. Sillon antérieur. J. Faisceau latéral. K. Faisceau postérieur . Toutes nos figures de paralysie infantile sont
dach. - A. Corne antérieure. a. L'une de ses cellules. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
eure. a. L'une de ses cellules. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Commissure grise.
ellules. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Commissure grise. H. Sillon antérieur.
ité des cordons pos- térieurs. - A. Corne antérieure. Il. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
rieurs. - A. Corne antérieure. Il. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Commissure antérieu
rieure. Il. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Commissure antérieure. F. Commissure post
. D. Sillon postérieur. E. Commissure antérieure. F. Commissure postérieure . G. Sillon antérieur. Il. Faisceau latéral. -
lassique dans lequel on voit la sclérose presque totale des faisceaux postérieurs . A. Corne antérieure. B. Corne postérieure.
e totale des faisceaux postérieurs. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure sclérosée. D. Sillon p
stérieurs. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure sclérosée. D. Sillon postérieur. E. Commissur
B. Corne postérieure. C. Racine postérieure sclérosée. D. Sillon postérieur . E. Commissure antérieure. F. Commissure post
. D. Sillon postérieur. E. Commissure antérieure. F. Commissure postérieure . G. Sillon antérieur. Il. Faisceau antéro-lat
re. G. Sillon antérieur. Il. Faisceau antéro-latéral. I. Cordon postérieur sclérosé. PLANCHE XXVII FIGURE 53. ATAXIE L
thode de Pall. La lésion occupe son siège habituel dans les cordons postérieurs . A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. 1
ituel dans les cordons postérieurs. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . 1 C. Racine postérieure sclérosée. D. Canal
érieurs. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. 1 C. Racine postérieure sclérosée. D. Canal central. E. Commissure an
clérosée. D. Canal central. E. Commissure antérieure. F. Sillon postérieur . G. Sillon antérieur. H. Faisceau antérieur.
ceau latéral. J. Zone antéro-externe de West- phal. K. Faisceau postérieur sclérosé. Figure 54. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGR
ieur sclérosé. Figure 54. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. - Corne postérieure . La figure représente un point des cordons post
IVE. - Corne postérieure. La figure représente un point des cordons postérieurs sclérosés de la pièce précédente, mais la prépa
52-53 ont trait au tabès classique, avec lésions typiques des cordons postérieurs et proviennent d'un sujet ayant présenté l'évol
ach étant relativement peu altérés. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
u altérés. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérieure . F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
ordon de Goll. Figure 56. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Cordons postérieurs . Coupe longitudinale pratiquée sur les cordons
Cordons postérieurs. Coupe longitudinale pratiquée sur les cordons postérieurs sclérosés et colorée au picro-carmin. On voit u
e de Pall. On y voit la lésion particulièrement intense à la partie postérieure des cordons posté- rieurs, et ayant envahi les
nt envahi les zones de Lissaüer. - A . Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure sclérosée. D. Sillon p
ssaüer. - A . Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure sclérosée. D. Sillon postérieur. E. Canal cen
B. Corne postérieure. C. Racine postérieure sclérosée. D. Sillon postérieur . E. Canal central. F. Sillon antérieur. G.
st altéré dans toute son étendue. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
n étendue. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérieure . F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
. I. Zone antérieure de Westphal. J. Zone de L.issaüer. K. Zone postérieure de West- phal. L. Cordon de Goll. Les figur
our montrer le détail des lésions. .4. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Sillon postérieur. D. Commissure postérie
lésions. .4. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Sillon postérieur . D. Commissure postérieure. E. Commissure ant
eure. B. Corne postérieure. C. Sillon postérieur. D. Commissure postérieure . E. Commissure antérieure. F. Sillon antérieu
rieur. G-G. Zones de Lissaüer indemnes se confondant avec la zone postérieure des faisceaux de Bur- dach. J7. Zone antéro-e
midaux est très nettement dessinée. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
dessinée. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérieure . F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
H. Partie fondamentale du fais- ceau antéro-latéral. J. Faisceau postérieur . J-J. Faisceaux pyramidaux sclé- rosés. PLA
s la zone des faisceaux pyramidaux. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
yramidaux. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérieure . F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
.1'artie fondamentale des fais- ceaux antéro-latéraux. I. Cordons postérieurs . J-J. Faisceaux pyramidaux sclé- rosés. Fig
daux et les cornes anté- rieures. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racines postérieures. D. Sillon postérieu
rieures. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racines postérieures . D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
ieure. B. Corne postérieure. C. Racines postérieures. D. Sillon postérieur . E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
e. C. Racines postérieures. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérieure . F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
l. Partie fondamentale des fais- ceaux antéro-latéraux. 1. Cordon postérieur . J-J. Faisceaux pyramidaux sclé- rosés. FIG
ntérieures de la substance grise. A. Corne antérieure. - B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
e grise. A. Corne antérieure. - B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
ieure. - B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérieure . F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
II. Partie fondamentale du fais- ceau antéro-latéral. 1. Cordon postérieur . J-J. Faisceaux pyramidaux al- térés. ' Fig
loppement du manteau blanc de la moelle, et notamment des faisceaux postérieurs , et des faisceaux pyramidaux. Ces derniers n'exis
. A. Corne antérieure. a-a-a. Cellules ganglionnaires. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
a-a-a. Cellules ganglionnaires. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Canal central. F.
nnaires. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Canal central. F. Commissure grise. G.
A. Corne antérieure. a-a-a. Cellules ganglionnaires. B. Cornes postérieures . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
a-a-a. Cellules ganglionnaires. B. Cornes postérieures. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Canal central. F.
aires. B. Cornes postérieures. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Canal central. F. Commissure antérieure.
tribution de la sclérose est beaucoup plus accentuée dans les cordons postérieurs que dans les faisceaux latéraux où elle occupe
petite zone du faisceau de Gowers. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
de Gowers. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Commissure postérie
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Commissure postérieure. F. Commissure ant
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure postérieure . F. Commissure antérieure. G. Sillon antérieu
olonne de Clarke altérée. K. Faisceau pyramidal altéré. L. Cordon postérieur altéré. M. Faisceau cérébelleux direct altéré
oduite, de plus, sur le schéma. - A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
schéma. - A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Commissure antérieu
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Commissure antérieure. F. Commissure post
. D. Sillon postérieur. E. Commissure antérieure. F. Commissure postérieure . G. Sillon antérieur. H. Cordon antérieur.
nforme aux descriptions classiques. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
lassiques. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Canal central. F.
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Canal central. F. Commissure postérieure.
térieure. D. Sillon postérieur. E. Canal central. F. Commissure postérieure . G. Sillon antérieur. IL Partie fondamentale
u pyramidal. K. Faisceau cérébelleux direct altéré. L. Faisceau postérieur altéré. Figure 74. MALADIE DE FRIEDREICH. Col
econdaire des faisceaux pyramidaux. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
yramidaux. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Sillon antérieur.
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Sillon antérieur. F. Commissure antérieur
eur. E. Sillon antérieur. F. Commissure antérieure. G. Faisceau postérieur . IL Partie non altérée du faisceau latéral. I
u différente que dans la figure 76. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
figure 76. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Sillon antérieur.
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Sillon antérieur. F. Commissure antérieur
rieur. E. Sillon antérieur. F. Commissure antérieure. G. Cordon postérieur . 11. Partie non altérée des faisceaux latéraux.
usées encore que dans la figure 76. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
figure 76. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Sillon antérieur.
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Sillon antérieur. F. Partie non altérée d
antérieur. F. Partie non altérée du faisceau latéral. G. Faisceau postérieur . IL Cavité pathologique. I. Commissure antéri
s parois aplaties de celle cavité. A. Corne antérieure. B. Racine postérieure . C. Sillon postérieur. D. Partie restante du
e cavité. A. Corne antérieure. B. Racine postérieure. C. Sillon postérieur . D. Partie restante du faisceau antéro-latéral.
térieur. D. Partie restante du faisceau antéro-latéral. E. Cordon postérieur . F. Faisceau pyramidal dégénéré. G-G. Cavité
nce manchon de substance nerveuse. A. Corne antérieure. B. Racine postérieure . C. Sillon postérieur. D. Sillon antérieur.
nerveuse. A. Corne antérieure. B. Racine postérieure. C. Sillon postérieur . D. Sillon antérieur. E. Cavité pathologique.
au carmin. Ici la cavité néoplasique s'est développée dans la corne postérieure droite qu'elle a complètement détruite. Une mas
euse solide se voit sous forme de tumeur proéminente dans le cordon postérieur . Il existe de plus une sclérose des cordons de
une sclérose des cordons de Goll. : 1. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. 0. Sillon postérieur.
de Goll. : 1. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . 0. Sillon postérieur. E. Commissure antérieu
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. 0. Sillon postérieur . E. Commissure antérieure. F. Sillon antérieu
ation nette des faisceaux blancs. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Cordon postérieur. D. Faisceau antérieur.
ux blancs. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Cordon postérieur . D. Faisceau antérieur. E. Faisceau latéral.
antérieur. E. Faisceau latéral. F. Sillon antérieur. G. Sillon postérieur . 77. Cavité centrale. 7. Paroi du âliome. J
ivement épargné la substance grise. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Faisceau antérieur. Û. Rariue postérieure
érieure. B. Corne postérieure. C. Faisceau antérieur. Û. Rariue postérieure . E. Sillon antérieur. 1-. Sillon postérieur.
térieur. Û. Rariue postérieure. E. Sillon antérieur. 1-. Sillon postérieur . G. Cordon postérieur sclérosé. H. Cavité cen
térieure. E. Sillon antérieur. 1-. Sillon postérieur. G. Cordon postérieur sclérosé. H. Cavité centrale. /. Paroi du gli
eaux pyramidaux directs et croisés. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
t croisés. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Canal central entou
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Canal central entouré d'un peu de tissu g
Canal central entouré d'un peu de tissu gliomateux. F. Commissure postérieure . G. Sillon antérieur. IL Processus réticulair
yramidaux est également manifeste. .1. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
anifeste. .1. Corne antérieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Sillon antérieur.
érieure. B. Corne postérieure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Sillon antérieur. F. Faisceau cérébelleux
E. Sillon antérieur. F. Faisceau cérébelleux direct. n. Faisceau postérieur . Il. Cavité pathologique. 1". Substance du gl
par la méthode do - Pall. On y voit la tumeur située à la partie postérieure , d'un aspect cordiforme, gagnant la substance g
rdon latéral 1 qui gagne la région antérieure gauche. B-B. Cornes postérieures décapitées en partie par les cordons antérieurs
D. Substauce ;;rise centrale. E. Processus réticulaire. F. Sillon postérieur . G. Pyramide antérieure. 71. 'fumeur. Figur
s sont à peine reconnais- sables. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure . C. Sillon antérieur. D. Sillon postérieur.
ntérieure. B. Corne postérieure. C. Sillon antérieur. D. Sillon postérieur . E. Faisceau latéral droit. F. Faisceau latér
rise, dont il ne reste que les extrémités des cornes antérieures et postérieures . A-A. Cornes antérieures. B-B. Cornes postéri
térieures et postérieures. A-A. Cornes antérieures. B-B. Cornes postérieures . C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur.
s. A-A. Cornes antérieures. B-B. Cornes postérieures. C. Racine postérieure . D. Sillon postérieur. E. Sillon antérieur.
res. B-B. Cornes postérieures. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur . E. Sillon antérieur. F. Cordon antérieur.
térieur. F. Cordon antérieur. G. Faisceau latéral. Il. Faisceau postérieur . J. Tumeur. Les pièces de tumeur de la moelle
3 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
s nette- ment constaté chez les nouveau-nés, au niveau de la partie postérieure des cordons latéraux de la moelle et en dehors
es vertèbres inférieurs, en particulier celle des cerveaux moyen et postérieur , est le plus souvent beaucoup plus complexe que c
levée à l'aide d'un billot, qui embrasse par sa concavité la partie postérieure de la nuque, le cuir chevelu est incisé suivant
doit enlever d'un seul coup et jusqu'à l'occipital, toute la paroi postérieure du canal rachidien. La moelle entourée de sa dure
a alors la moelle perpendiculairement à son axe, au niveau de l'arc postérieur de l'atlas et, par ce procédé, la région cervic
e libre du noyau caudé. La section ne doit pas dépasser l'extrémité postérieure du sillon marginal supérieur de l'insula. On ag
e d'arrière en avant 3t de dedans en dehors, on rejoint l'extrémité postérieure de l'incision précédente, en suivant le bord po
'extrémité postérieure de l'incision précédente, en suivant le bord postérieur de l'espace perforé antérieur et le sillon marg
bord postérieur de l'espace perforé antérieur et le sillon marginal postérieur de l'insula. On opère de même sur l'autre hémis
nteau ne tient plus alors au tronc encéphalique que par les piliers postérieurs du trigone en arrière et la lame mince du septum
p, opercule. - Sik, scissure inter-hémisphé- riquo. - S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. Fig. 4. - Coupe de
la, circonvolutions antérieures de l'insula. - Ip, circonvolution postérieure de l'insula. - LF, lobe frontal. LT, lobe tempo
tte figure, la capsule interne, son genou, son segment antérieur et postérieur , ses rapports avec les ganglions de la base, y
corps calleux. L'hémisphère est ainsi divisé en trois segments : un postérieur compre- MÉTHODES USITÉES DANS L'ÉTUDE DES CENTR
partie correspondante de la protubérance. Les segments antérieur et postérieur sont placés jusqu'à durcissement dans le liquid
e fois durcies sont coupées au microtome, les segments antérieur et postérieur sont débités en séries dans le sens vertico-trans
ortantes modifications. Les ouvertures des extrémités antérieure et postérieure du canal encé- phalo-médullaire ; ne se présent
; ne se présentent pas sous le môme aspect : tandis que l'ouverture postérieure est très large et d'aspect losangique, l'ouvertur
sous les noms de vésicules encéphaliques antérieure, moyenne et postérieure , ou de première, deuxième et troisième vésicules
, à la région de l'aqueduc de Sylvius. La vésicule encé- phalique postérieure , à la protubérance annulaire, au cervelet et au
- PV, prévertèbros. - Sli, Sinus rhomboïdal, c'est-a-liro partio postérieure du canal médullaire largement ouvert et encadra
ur. - CI, cerveau intermé- diaire. CM, cerveau moyen. - CP, cerveau postérieur . - Ce, cervelet. - fch) fente clioroïdienne. -
- cule. I cule oculaire, avec la crête basilaire, et la branche postérieure avec la crête latérale (fig. 18). Au sur et à m
optique rudimentaire, un segment antérieur vasculaire et un segment postérieur non vasculaire. Dès qu'il s'est un peu allongé,
un mouvement de torsion sur son axe, de telle sorte que le segment postérieur de la vésicule oculaire, donne naissance à la p
lique par une partie rétrécie, comme étranglée, l'isthme du cerveau postérieur (Is) de His. Elle se caractérise surtout par l'am
- CI, cer- veau intermédiaire. - CM, cerveau moyen. - CP, cerveau postérieur . Ci\ cristallin.' - Fol, fossette olfactive. /M
cérébel- loux. - IN. inflexion de la nuque. z 13, isthme du corveau postérieur . - Loi, lobe ottactm. - m, moelle , épinière. -
ntérieure porte, dans la nomenclature de v. Baer, le nom de cerveau postérieur proprement dit, de quatrième vésicule cérébrale
t, de quatrième vésicule cérébrale ou de métencéphaloll (CP), et la postérieure celui d'arrière-cer- veau, de cinquième vésicul
itée de la troisième vésicule encéphalique, par l'isthme du cerveau postérieur de Bis i Is), elle est séparée de la partie pos
e du cerveau postérieur de Bis i Is), elle est séparée de la partie postérieure de la vésicule cérébrale antérieure primitive,
oïdienne ; en arrière elle forme la glande pinéale et la commissure postérieure . Sa paroi inférieure ou plancher, mince égaleme
es hémi- sphères. antérieure correspond au futur infundibulum, la postérieure aux futurs tubercules mamillaires (fig. 22).
sphères sont larges et glolmleuses dans leurs parties supérieure et postérieure , où elles sont séparées l'une de l'autre par to
n capuchon le cerveau intermédiaire, le cerveau moyen et le cerveau postérieur (fig. 21, 40, 44, 46, 66). Au niveau de leur in
otte. CI, cerveau intermédiaire. - CM, cer- veau moyen. CP, cerveau postérieur . CPo, courbure de la protubérance. Cst, corps str
ente en forme de selle. - Gp, glande pinéale. la, isthme du cerveau postérieur . - LA, lame alaire. - LF, lame fondamentale, -lt,
a, tubercule quadrijumeau antérieur. - Qp, tubercule qua- drijumeau postérieur . - rif, diverticule de l'infundibulum. - ro, rece
vise le tube encéphalique en deux segments, l'un antérieur, l'autre postérieur : le premier répond il la vésicule encéphalique a
cule encéphalique antérieure, le second il la vésicule encéphalique postérieure . L'angle de celte cour- bure, connue sous le no
base du cerveau intermédiaire devient parallèle à celle du cerveau postérieur proprement dit, dont elle est séparée par une f
millaires et par l'infundi- bulum du troisième ventricule; la lèvre postérieure , par la future protubé- rance annulaire. Le fon
au futur espace per- DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 73 3 foré postérieur et donne naissance il deux diverticules ou fosset
ettes; l'anté- rieur s'insinue entre les tubercules mamillaires, le postérieur formera un trou borgne, compris entre les futur
lle présentera dorénavant deux bords : l'angle antérieur et l'angle postérieur (fig. 23). L'angle posté- rieur, situé au voisi
térieur (fig. 23). L'angle posté- rieur, situé au voisinage du bord postérieur du cerveau moyen, correspond il la plus grande
du Dédoublement do la saillie du vertex en angle antérieur et postérieur . Fie. 23. - Embryon humain de 12,1 mm. de longu
yen.- CN, courbure de la nuque. - Co, cordon ombilical. - CP, cerveau postérieur . - Cav, courbure antérieure du vertex. - CPo. c
rieure du vertex. - CPo. courbure de la protubérance. - Cpv, courbure postérieure du vertex. CU, courbure unciformc. - fst. l'ent
ssette olfactive. -Gs, ganglions spinaux. . - Is, isthme du cerveau postérieur . - 11',lèyre rhomboïdale. - M, moelle. - .111, me
OMIE DES CENTRES NERVEUX. cerveau moyen, puis empiète sur la partie postérieure du cerveau inter- médiaire ; il s'ouvre au sur
cerveau inter- médiaire ; il s'ouvre au sur et à mesure que l'angle postérieur se ferme. De très bonne heure et pendant que le
aire. - CM, cerveau moyen. CA', courbure de la nuque. z CP, cerveau postérieur . - CPo, courbure de la protubérance. - jcli, fent
se- rotina. - fst, fente en forme de selle. - Is, isthme du cerveau postérieur . lr. lèvre rhomboïdale. Lola, lobe olfactif ant
courbure, le qua- trième ventricule s'élargit, la voûte du cerveau postérieur s'applique presque sur la voûte de l'arrière-ce
de l'arrière-cerveau (fig. 24), et les parties latérales du cerveau postérieur s'étirent en forme d'auricules, pour former les
u canal neural. ^Cavité de l'arrière- cerveau et du cer- veau postérieur . . Les commissures primitives restent minces pe
ente- longitudinale. Au niveau de Y arrière-cerveau et du cerveau postérieur (fig. 32), la cavité du canal encéphalique devi
alique devient prismatique, grâce à l'interposition entre les bords postérieurs de la moelle, de la membrane obturatrice du quatr
- ' mesurant 6,9 mm. (D'après W. His.) Fo, faisceau, ovalaire ou postérieur . LA, lame alaire. - LF, lame fondamentale. - Le,
ois pans. Mais cet aspect se perd plus haut, et l'isthme du cerveau postérieur comme le cerveau moyen, ne sont plus formés que
e par deux demi- cylindres, réunis par un bord antérieur et un bord postérieur saillants. La cavité circonscrite par le cervea
quadrijumeaux et à la calotte des pédoncules cérébraux; le cerveau postérieur , au cervelet et à la protubérance ; l'ARRiÊRE-c
ofonds, et deux latéraux beau- coup plus larges. Le sillon médian postérieur , de moitié moins profond que Y antérieur, prése
CL, corno latérale.- Fa, formation arlplée. - Fa, faisceau ovalairo postérieur . Le. lame épondyniairo. Lge, laine grise extern
s. Apparition du sillon médian antérieur. Torsion de la corne postérieure . La lame alaire est prismatique ; elle donne na
. La lame alaire est prismatique ; elle donne naissance il la corne postérieure et reçoit les terminaisons des racines des nerf
ière, un petit faisceau longitudinal, à section ovalaire, le cordon postérieur primitif ou cordon ovalaire de His (Fo), pre- m
e, à la colonne de Clarke, au pro- cessus eticulai.s et à la partie postérieure du cordon latéral (IIinterseitenstrang). Dans
rices, non plus directement en dehors, mais en avant; leur partie postérieure , connue sous le nom de corne latérale (CL), env
précèdent toujours dans leur évo- lution, les cornes et les cordons postérieurs . Les cornes postérieures sont , encore informes
leur évo- lution, les cornes et les cordons postérieurs. Les cornes postérieures sont , encore informes (fig. 26, 27, 28), alors
t déjà nettement accentuées. Vers la fin du deuxième mois, la corne postérieure subit un mouvement de torsion tel, que sa face do
stérieure subit un mouvement de torsion tel, que sa face dorsale ou postérieure devient interne; le cordon ovalaire ou postérieur
face dorsale ou postérieure devient interne; le cordon ovalaire ou postérieur , qui repré- sente le futur cordon de Burdach, l
rdon postéro-latéral. Fa, formation arquée. Fo, faisceau ovalaire postérieur ? p,lame dpendymaire.- Lge, lamo grise externe.
sillon marginal. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 81 et la corne postérieure commence a se délimiter de sa portion cervicale.
e temps, se produisent des modifications importantes dans la partie postérieure du canal central. Celui-ci s'oblitère d'arrière [
arrière par une pointe droite, qui s'insinue entre les cor- Ions postérieurs et donne inser- tion à un cordon névroglique le
ostérieurs et donne inser- tion à un cordon névroglique le septum postérieur (fig. 30), lequel s'étend jusqu'à la surface de
rimée à ce niveau. Cette dépression corres- pond au sillon médian postérieur , lequel ne peut être comparé au sil- lon médi
eur ni embryolo- siquement,ni morphologi quement. Entre le septum postérieur et le faisceau ovalaire, apparaît le cor- don
aissent que fort tardivement. L'apparition le la commissure grise postérieure est également tardive, et concorde avec la di
tardive, et concorde avec la disparition complète du prolongement postérieur effilé du : anal central. L'évolution de la sub
ie embryonnaire; ils correspondent exactement au premier u Septum postérieur . Sillon médian pos- térieur. Cordon de Goll
Sillon médian pos- térieur. Cordon de Goll. Commissure gl'isG postérieure . j Renflements cer- vicaux et lombaires.
o-latéral. - Ce, canal central. - CL, corne late- rale. - CP, corne postérieure . - Fo, faisceau ova- laire postérieur. - Rm, ra
ne late- rale. - CP, corne postérieure. - Fo, faisceau ova- laire postérieur . - Rm, racine motrice. -Rs, racine sousitive. -
o-latéral. - Ce, ca- nal central. - CL, corne latérale. -CI', corne postérieure . - 1·G, faisceau de Goll. - Fo, faisceau ovalai
corne postérieure. - 1·G, faisceau de Goll. - Fo, faisceau ovalaire postérieur . - Le, lame épendymairc. - Ilm, racine motrice.
ombreuses anastomoses trans- versales puis les artères spi- nales postérieures . Ces deux systèmes artériels longitudinaux, d
rigent en arrière ci atteignent la ligne de pénétration des racines postérieures (iig. soj. . Les deux artères spinales antérieu
dian antérieur (fig. 28, 29, 30). L'apparition des artères spinales postérieures est plus tardive que celle des antérieures. Ell
. Apparition ulté- rieure des artères spinales antérieures et postérieures ou systèmes artériels longitudinaux. Fusion
ro-latéral. - FG, faisceau de Goll. - Fo (1,'B), faisceau on-alaire postérieur ou faisceau do Burdach. - Le. lame élxn<lyna
s et aux pyramides posté- rieures du bulbe. tration des racines postérieures , et se portent vers l'extrémité postérieure de
e. tration des racines postérieures, et se portent vers l'extrémité postérieure de l'artère du sillon médian antérieur. Les a
de même que les artères radiées, destinées aux parties latérales et postérieures de la moelle; elles ne se mon- trent guère avan
y. Histo- .. 4 genèse, p. 138 et suiv.). 2. VÉSICULE ENCÉPHALIQUE POSTÉRIEURE PRIMITIVE Cerveau rhomboïdal (Hautcnhirn, His).
RIEURE PRIMITIVE Cerveau rhomboïdal (Hautcnhirn, His). Le cerveau postérieur et Y arrière-cerveau, qui procèdent de la troisiè
t se réunissent à angle très aigu, au niveau de l'isthme du cerveau postérieur ; ils donnent naissance aux hémisphères cérébel
opposé; elle donne naissance aux corps restiformes et aux pyramides postérieures du bulbe. Chez l'embryon du deuxième mois, l'an
ourbure du pont apparaît (fig. 18, 22, 23, 34), la voûte du cerveau postérieur s'applique peu à peu sur la voûte de l'arrière-ce
er- ..., veau; la partie supérieure ou protubérantielle, au cerveau postérieur pro- .. prement dit. Un sillon profond, médian
: i FlG. 31. -Coupe transversale do la vésicule encépha- lique postérieure primitive d'un embryon humain de 10mm,2 âgé d'e
e semaines et demie. (D'après W. His.) Flp, faisceau longitudinal postérieur . - Fs, faisceau soli- taire. LA, lame alaire. -
uche grise de la . substance réticulée. Faisceau longitu- dinal postérieur ' et formation blanche ré- ticulée. 1 Lame
f de His (primâre Vorderstrangfeld), le futur faisceau longitudinal postérieur de la calotte, l'homologue du cordon antérieur de
tre semaines et demie. (D'après W. His.) Flp, faisceau longitudinal postérieur . Fs, faisceau solitaire. - LA, lame alaire. - t
iron cinq semaines. (D'après \V. His.) Plp, faisceau longitudinal postérieur . Fs, faisceau solitaire. LA, lamo alaire. (r. lèv
fovea poster·ior· du plancher du quatrième ventricule; la fossette postérieure correspond assez exactement à l'aile grise. b
le, et se termine enfin en pointe au-dessous de l'isthme du cerveau postérieur . Le sillon labial externe ne représente au nive
viron cinq semaines. (D'après W. His.) Flp, faisceau longitudinal postérieur . - Fs, faisceau solitaire. LA, lame alaire. LF, l
nter-olivaire. - Crst, corps restiforme. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - Fs, faisceau solitaire. - LA, lame alaire. l
phale d'un em- bryon humain d'environ trois mois, vus par la face postérieure . (Dessiné d'après nature.) AC, arrièrc-cervea
de la moelle. Sih, sillon inter-hémispberiquo. - smp, sillon médian postérieur . - sp, sillons primitifs. st, sillon transverse
e région enfin, à cheval sur les deux faces, correspond à la partie postérieure des hémisphères et des vermis. Au niveau des hé
lie les deux lobes semi-lunaires supérieurs, ainsi que le tubercule postérieur (tuber valvuhe), qui relie les deux lobes semi-
brane obturatrice (fig. 20, ob). Au niveau de l'isthme du cerveau postérieur , la lame alaire donne nais- sance aux pédoncule
ne possèdent que le système des fibres de la calotte. Le cerveau postérieur et l'arrière-cerveau donnent naissance à neuf p
e du cordon ganglion- naire, lequel donne de chaque côté du cerveau postérieur et de l'arrière- cerveau, trois ganglions dont
rf vestibulaire, et le ganglion déni- culé du facial. Le ganglion postérieur se subdivise de très bonne heure, et donne nais
lons de Monro. Le plancher du cerveau moyen, comme celui du cerveau postérieur et de l'arrière-cerveau, donne naissance aux fi
melle interpédonculaire, connue sous le nom de substance per- forée postérieure et qui fait partie du plancher du troisième ventr
8. Encéphale d'un embryon humain d'environ trois mois, vu par la face postérieure après ablation des hémisphères cérébraux, de la
iaire. - CM, cerveau moyen. CP, cerveau postél'icul ? cop, commissure postérieure . - Op, glande pinéale, HCe, hémisphères ce]-ebc
es ce]-ebcHcux.7,innexiou de la protubérance. A-, isthme du cerveau postérieur . DI, moelle épinière. Th, thalamus. tUI, tænia th
uadrijumeaux supérieurs et inférieurs, appelés encore antérieurs et postérieurs . La partie adjacente au cerveau intermédiaire,
quadrijumeau antérieur et du pulvinar. . Le tubercule quadrijumeau postérieur fournit le ruban de Reil latéral, ou faisceau t
'isthme de l'encéphale, ainsi que le bras du tubercule quadrijumeau postérieur . - Très volumineux au début, où il occupe le po
stitution du ruban de Reil. Le ganglion du tubercule quadrijumeau postérieur , dont les libres entrent également dans la cons
és. Ce ganglion forme chez les mammifères le tubercule quadrijumeau postérieur , dont les dimensions égalent à peu près celles
les poissons et les oiseaux, le ganglion du tubercule quadrijumeau postérieur se réduit à une mince lamelle grise, qui occupe
meaux antérieurs avec le ncrf optique. Tubercule quadri- jumeau postérieur . 96 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Face extern
t. Dans la lig. ,t0, la paroi latérale droite des cerveaux moyen et postérieur a été enlevée pour montrer l'aqueduc de Sylvius,
vée pour montrer l'aqueduc de Sylvius, l'isthme du ? ." , " ! cerveau postérieur et le 4" ventricule. AC, arrière-cerveau. AqS,
rieur. - CI, cerveau intermédiaire.CM, cerveau moyen. CP, cerveau , postérieur . cop, commissure postérieure. Cu, lame du cervele
diaire.CM, cerveau moyen. CP, cerveau , postérieur. cop, commissure postérieure . Cu, lame du cervelet. 7 ? BC. face interne de l'
otte. - CI, cerveau intermédiaire. CM, cerveau moyen. - CP, cerveau postérieur . - Cst, corps strié. - Fi, fossotte inter- pédo
glande pinéale. - HC, hémisphères cérébraux. - LS, isthme du cerveau postérieur . - Lola, lobe olfactit antérieur. - Lolp, lobe
postérieur. - Lola, lobe olfactit antérieur. - Lolp, lobe olfactif postérieur . - lt, lame terminale embryonnaire. Pch, pli chor
culaire subit par la suite d'importantes modi- fications. La partie postérieure de la lame alaire, ou partie rétro-lhala- mique
sale, le TOI'us inlermedius de His, qui fait saillie dans la partie postérieure du troisième ventricule, de telle sorte que l'a
ps pituitaire. - Lola, lobo olfactif antérieur. Lolp, lobo olfactif postérieur . - lt, lame terminale embryonnaire. - NI, nerf ol
l'infundibulum. - saa, sillon arqué antérieur. - sap, sillon arque postérieur . -sh, sillon do l'habenula. s.11, sillon de Monro
- CI, cerveau intermédiaire. - CM, cerveau moyen. - cop, commissure postérieure . - CP, cerveau postérieur. - Cv, lame du cervel
- CM, cerveau moyen. - cop, commissure postérieure. - CP, cerveau postérieur . - Cv, lame du cervelet. - (si, fente en forme
u- ]um. IP, inflexion de la protubérance. - IS, isthme du cerveau postérieur . - l ! "lame terminale embryon- uaire. - ob, oh
ectiligne, mais affecte la forme d'une ligne brisée dont le segment postérieur , presque vertical, forme la lèvre antérieure de
a vie intra-utérine, puis rapidement aigu (fig. 43, 44). Le segment postérieur ou mamillaire, donne naissance à la substance per
perforée posté- - rieure, aux tubercules mamillaires et à la partie postérieure du tuber cine- .i Le plancher du cer- veau
de ce plancher. A Formations qui duo- pendent du segment t postérieur . Fig. 44. - Coupe vertico-médiane de l'encéphal
protubérance. - Lola,lobo olfactif antérieur. - Lôlp, lobe olfactif postérieur . M, moelle. - ob, obex. - Po, protubérance. - Qa,
Qa, tu- bercule quadrijumeau antérieur. Qp, tubercule quadrijumeau postérieur . Ry, recessus geniculi. rif, recessus de l'infu
ber cinereum,. il donne ainsi naissance à deux diverticules dont le postérieur constitue l'infundibulum, et l'antérieur le div
térieur, de même que la plus grande partie de la substance perforée postérieure , appartient au plancher du cerveau moyen. Le pl
t le développement présente des particularités curieuses : son lobe postérieur n'est autre que le diverticule de l'infundibulu
bulum, il en est distinct chez les poissons, chez lesquels la paroi postérieure de l'infun- DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 1
, et qui divise la paroi supérieure en deux parties inégales, l'une postérieure , l'autre antérieure. - La partie postérieure
ties inégales, l'une postérieure, l'autre antérieure. - La partie postérieure ou rétro-pinéale est petite et forme la commissur
rtie postérieure ou rétro-pinéale est petite et forme la commissure postérieure ; ses fibres apparaissent de bonne heure, et relie
enti) que lui a donné Pawlowsky. Embryologiduement, la commis- sure postérieure n'est pas l'équivalent des autres commissures du
n de la pa- roi supérieure en deux parties inéga- les. Partie postérieure ou rétro-pinéale et formations qui en dé- p
a paroi antérieure se continue avec la toile choroïdienne, sa paroi postérieure avec la lame nerveuse qui " donne naissance à l
érieure avec la lame nerveuse qui " donne naissance à la commissure postérieure . Chez les mammifères et en particulier chez l'h
développe que beaucoup plus tardivement, en même temps que le lobe postérieur ou occi- pital, et représente un diverticule de
divise la paroi interne en deux régions, l'une antérieure, l'autre postérieure ; la région antérieure ou préthalamique est vert
rieur située enlavant du trou de Monro (fig. 41, 42, 44). La région postérieure ou thalazizique correspond à la lame falciforme d
plis font saillie dans la cavité ventriculaire; ils partent du bord postérieur du trou de Monro, et se portent en bas vers l'ext
urche), de sillon marginal (Randfurche, Arnold), ou de sillon arqué postérieur de His (hintere Bogenfurche) (fig. 42, sap) ; le
en une partie antérieure, le lobe olfactif antérieur, et une partie postérieure , le lobe olfactif postérieur. Pro- fond à son o
obe olfactif antérieur, et une partie postérieure, le lobe olfactif postérieur . Pro- fond à son origine, le sillon arqué antér
optique. ep, cerveau antérieur. - um, cerveau moyen. - CP, cerveau postérieur . - CStr, corps strié. - FiCp, face interne des ci
obe occipital. - Lola, lobe olfactif antérieur. - Lolp, lobe olfactif postérieur . z LP, lobe pariétal. - LT, lobe temporal. It,
paroi interne, en deux parties inégales : l'une antérieure, l'autre postérieure . La partie antérieure, la plus étendue, donnera
ra naissance aux circonvolutions cérébrales de la région. La partie postérieure , plus étroite, est comprise entre le sillon arqué
pézoïde de His (Area tra- pezoïdes), et appartient au lobe olfactif postérieur (fig. 41, 42, 44). La lame terminale embryonnai
avant (fig. 42). Lobes olfactifs. Les lobes olfactifs antérieur et postérieur , sont creux au début et leur cavité forme le pl
obe olfactif antérieur se recourbe en arrière et forme avec le lobe postérieur , un fer à cheval dont la convexité regarde en ava
PEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 109 se place au-dessous du lobe olfactif postérieur vers. la fin du deuxième mois (fig. 51); à mesu
lfactif en avant et le sépare du gyrus fornicatus. Le lobe olfactif postérieur (fig. 7, u9), compris entre l'incisura prima de
fissura prima. Lola, lobe olfactif antérieur. - Lolp, lobe olfactif postérieur . - li, lame ter- minale embryonnaire. - NI, ner
(Voy. structure de l'écorce cérébrale). La cavité du lobe olfactif postérieur s'ouvre largement au début dans la corne fronta
actif; on peut lui consi- dérer avec His, trois segments qui sont : postérieur , moyen et antérieur. Le . segment postérieur, c
is segments qui sont : postérieur, moyen et antérieur. Le . segment postérieur , correspond au sillon qui prolonge la fosse sylvi
laire. Le segment moyen, le plus large, correspond au lobe olfactif postérieur dont il rétrécit la cavité; le segment antérieu
t convexe dans le sens transversal, et ses extrémités antérieure et postérieure atteignent la base du cerveau antérieur (fig. 4
eignent la base du cerveau antérieur (fig. 48 et 51). L'extrémité postérieure ou thalamique est aplatie latéralement; un sill
, corps strié. - Lola, lobo olfactif antérieur. - Lolp, lobe olfactif postérieur . - It, lame terminale embryouuaire. - Po, pédon
artie soit le recessus op- tique, soit la cavité du lobe olfactif postérieur , et répond aux segments moycn et pos- térieur
ra prima; elle sépare le lobe olfactif antérieur du lobe olfactif postérieur , et ce rapport persiste chez l'adulte, où cet
lobe pariota].TLo/ff, ! obc olfactif antérieur. Lolp, lobe olfactif postérieur . -jVl, nerf olfactif. - PO. pédicule optique. v
antérieur. C'est par cet espace que passeront les libres du segment postérieur de la capsule interne (Cip) pour se rendre au p
intime, ainsi que nous l'avons vu plus haut, avec le lobe olfactif postérieur ou substance perforée antérieure. L'extrémité p
e olfactif postérieur ou substance perforée antérieure. L'extrémité postérieure ou temporale du noyau caudé, en constitue la qu
prérolandique supérieur. - R, scissurede Rolande sap. sillon arqué postérieur . - Sih, scissure inter-hémisphérique. - SI, sep
ue. - SI, septum lucidum. ssl, sillon semi-lunaire. - S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Sss, surface sutur
e, ttenia tecta. - 7'</, corps du trigone cérébral. T,9p, pilier postérieur du trigone. - Th, tha- lamus. - V3, troisième v
s montrent les diffé- rences que présentent les segments antérieur, postérieur et retro-lenticulaire de la cap- sule interne;
t retro-lenticulaire de la cap- sule interne; les fibres du segment postérieur passent parle sillon semi-lunaire, par conséque
ire. Cia, segment antérieur de la capsule interne. Cip (ss( segment postérieur de la capsule interne passant par le sillon semi-
- CM, cerveau moyen. coa, commissure antérieure. - cop, commissure postérieure . -- Cst, corps strié ? FC, écorce cérébrale. - Fi
Pttl, pulvinar. - saa, sillon arqué antérieur. - sap, sillon arqué postérieur . - Sih, scissure interhémisphérique. - SI, Septum
c, ttenia tecta. - 1'ga, pilier antérieur du trigone. - 7'u. pilier postérieur du trigone. - Th, thalamus. TM, trou de Monro. -
rébral, se portent en bas et en dedans, et constituent le seg- ment postérieur ou lezztic2clo-oyliue de la capsule interne (Cip)
compris entre le sillon choroïdien et le sillon ammonique ou arqué postérieur , s'étend de l'extrémité antérieure du lobe temp
l de Schmidt. po, scissuro pariéto- occipitale. - sap, sillon arqué postérieur . SI, septum lucidum. - T, lobe temporal. Tp, tr
al. Tp, trigone. - Typo, pilier antérieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - ? 7t+7'A, thalamus et région sous
de pmeaie, les Hures au trigone U1 Vert;elH ellUnllellC les piliers postérieurs du trigone, dont les fibres entrent en connexion
es fibres entrent en connexion avec . la corne d'Ammon. Les piliers postérieurs limitent le lobe sphénuïdal en dedans; ils sont
i- théliale; celle-ci s'insère, d'une part, au corps et aux piliers postérieurs du trigone, et d'autre part, à la couche optiqu
es latéraux, décrivent une courbe autour de la partie supérieure et postérieure du noyau caudé. Ils ne dépas- sent pas le trou
eau, le tronc du corps calleux se termine en pointe et forme un bec postérieur , mince et effilé, très analogue au bec an- téri
stérieur, mince et effilé, très analogue au bec an- térieur. Le bec postérieur donne insertion au fornix transverse, s'enroule
us le nom de bourrelet ou splénium. Le trigone s'applique à la face postérieure i Rapports des plexus choroïdes avec la c
m s'insinue alors entre ces deux organes et peut atteindre le genou postérieur , séparant ainsi le bec postérieur du tronc du c
rganes et peut atteindre le genou postérieur, séparant ainsi le bec postérieur du tronc du corps calleux. Ce fait, peu commun ch
nc, en résumé, qu'une formation fort tardive; son développement est postérieur à celui des fibres du trigone cérébral et de la
à la paroi externe de l'hémisphère, et le sillon ammonique ou arqué postérieur , à la paroi interne. Scissures et circonvolut
l'hémisphère. Le sillon ammonique, sillon marginal ou sillon arqué postérieur , apparaît vers le deuxième mois de la vie embryon
lobe lingual. - Lala, lobe olfactif antérieur. - Lolp, lobe olfactif postérieur . - It, lame terminale embryonnaire. - ? itri, c
um lucidum. - so, sillon sus-orbitaire. - Tg, trigone. - T(Ip, pilier postérieur du trigone. - U, uncus. DÉVELOPPEMENT DU SYST
be pariétal, par les plis de passage pariéto-limbiques antérieur et postérieur ; le cuneus, par un pli profond mais constant, le
affecte la forme d'un arc vertical, dont les segments antérieur et postérieur , circonscrivent DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEU
issure de Sylvius, qui devient la branche antérieure, et le segment postérieur plus long, qui devient la branche postérieure o
érieure, et le segment postérieur plus long, qui devient la branche postérieure ou horizontale de cette scissure. L'opercule fe
erme peu à peu vers les septième et huitiè- me mois, la branche postérieure et la bran- che antérieure de la scissure de
de son développement, en sillon marginal anté- rieur, supérieur et postérieur . Un sillon oblique en haut et en arrière, le ,
llon de ou sillon insulaire, divise l'insula en deux parties, l'une postérieure ou temporale, qui forme la circonvolution postéri
arties, l'une postérieure ou temporale, qui forme la circonvolution postérieure de l'in- sula, l'autre antérieure triangulaire,
branche antérieure de la scissuro de Sylvius. - '<;(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. 130 ANATOMIE DES C
(a), branche antérieure de la scissure de Sylvius. - S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - T, lobe temporal.
férieure se subdivise en deux parties : l'une antérieure, l'autre postérieure . La partie antérieure entoure la branche postér
ure, l'autre postérieure. La partie antérieure entoure la branche postérieure de la scissure sylvienne, et se con tinue ave
lobe temporal en formant le gyrus marginal supé- rieur; la partie postérieure con- tourne la branche verticale de la scissu
e externe, par trois circonvolutions parallèles à direction antéro- postérieure : les première, deuxième et troisième circonvolut
prérolandique supérieur. - R, scissure de Rolando. - S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Sih, scissure inte
neuroblastes, et leur migration dans les couches plus externes, est postérieure à la formation du myelospongium. Comme il a été
ouche grise externe n'est pas partout la même. Large dans sa partie postérieure , elle s'amincit dans sa partie moyenne, puis s'
représente les premiers rudiments de la corne antérieure; la partie postérieure , don- nera naissance à la substance grise de la
e postérieure, don- nera naissance à la substance grise de la corne postérieure , et la mince pièce intermédiaire, au col de la
ne postérieure, et la mince pièce intermédiaire, au col de la corne postérieure . Les neuroblastes de la corne postérieure, envo
iaire, au col de la corne postérieure. Les neuroblastes de la corne postérieure , envoient pour la plupart leur Sou développe- z
corno posté- rieure forment les fi- bres arquées et les libres postérieures des cordons latéraux cylindre-axe dans les ré
ron et mesurant Gmm,9. (D'après W. His.) ro, faisceau ovalairc ou postérieur . - LA, lame alaire. - LF, lame fondamentales Le,
du sillon.-tlspa, artère spinale antérieure. - lspp, artère spinale postérieure . - CL, corne- latérale. - p'a; formation arquée.
, corne- latérale. - p'a; formation arquée. - ro, faisceau ovalaire postérieur . - Le, lame épendymaires. - Lge, lame grise ext
ale distance du sillon collatéral antérieur et du sillon collatéral postérieur ; elle est située, par conséquent, en arrière de
lupart se bifurquent et forment un faisceau longitudinal, le cordon postérieur primitif; sur des Chaîne ganglion- z naire du
rtébrés supérieurs. Fibres centrales des ganglioblastes. Cordon postérieur primitif. Fi(;. 86. - Celltiles et groupes de
d'un embryon de poulet de 15 jours. (D'après R. y Cajal.) A, racine postérieure . - B, racine antérieure. - C, rameau postérieur d
Cajal.) A, racine postérieure. - B, racine antérieure. - C, rameau postérieur de la paire rachidienne. - D, rameau antérieur
es s'éparpillent en effet bientôt après leur entrée dans le cerveau postérieur . Le nerf de Wrisberg par ;ontre, formé par les
cine caudale du ta- cial. Noyaux do termi- naison des racines postérieures . Fibres périphéri- ques et tronc des nerfs
ngements, qui, gagnant les scissures longitudi- nales antérieure et postérieure , allaient jusqu'à la pie-mère. Vignal, à l'aide
llules épendymaires du voisinage des sillons mé- dians antérieur et postérieur de la moelle présentent à noter quelques partic
antérieures. loi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cône épendymaire postérieur . 1 Faisceau épcndy- mairc antérieur. Sillon
ymaire postérieur. 1 Faisceau épcndy- mairc antérieur. Sillon postérieur et sa signification. 1 1 Apparition des c
cellules épendymaires donnent naissance à un petit cône épendymaire postérieur (Retzius), insigni- fiant, qui s'étend du canal
. 26 à 30). Les prolongements des cellules épendymaires du segment, postérieur de la lame alaire, qui limitent en arrière le c
réunis- sent en un épais faisceau sagittal, le faisceau épendymaire postérieur , ou septum postérieur, qui atteint la périphéri
is faisceau sagittal, le faisceau épendymaire postérieur, ou septum postérieur , qui atteint la périphérie de la moelle, et que l
éré comme d'origine pie-mérienne. L'origine pie- mérienne du septum postérieur n'est plus soufenable aujourd'hui. Il ne se for
scissure médiane analogue à celle du plancher; le soi-disant sillon postérieur n'atteint pas, comme on l'a enseigné pendant lo
qui n'est guère plus profond que le sillon d'émergence des racines postérieures (fig. 90). Les cellules épendymaires de la régi
ionnée, région qui correspond à celle des futures cornes et cordons postérieurs , perdent nécessairement leurs connexions avec l
latérale de la moelle, celle qui correspond à la corne et au cordon postérieurs , est dépourvue de filaments épendymaires.(v. Leu-
e (v. Lenhossek) ; les prolongements des cellules araignées géantes postérieures s'irradient profondément dans les cordons posté
nées géantes postérieures s'irradient profondément dans les cordons postérieurs . p. - Les cellules araignées de la corne antéri
ules épendymaires se transforment, après l'oc- clusion de la partie postérieure du canal central, en cellules araignées de Deit
ieure. Cellules araignées du voisinage do la commissure grise postérieure . 1;i8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules
. Cellules névrogli- ques superficielles. l'a montré, le septum postérieur comme centre de rayonnement (fig. 90). Les prol
us des courbes à peu près parallèles à la ligne qui sépare la corne postérieure du cordon postérieur, et se terminent à la supe
rès parallèles à la ligne qui sépare la corne postérieure du cordon postérieur , et se terminent à la superficie de la moelle san
un nerf sensitif, la branche centrale avec une fibre radi- culaire postérieure . Les cellules du ganglion auditif (ganglion spira
ncs de la moelle , que ces cylindres-axes appartiennent aux racines postérieures (c'est-à-dire aux cellules des ganglions rachid
chat de deux jours montrant toutes les collatérales. La commissure postérieure est formée par un seul faisceau. Méthode rapide
oyait Golgi, dans la sub- stance gélatineuse de Rolando et la corne postérieure , mais se trouvent disséminées dans toute l'éten
se dirige vers la moelle et se continue avec une fibre radiculaire postérieure , dont l'autre se dirige vers la périphérie pour
aux. FIG. 108. - Cellule nerveuse cylindre- axe court de la corne postérieure de la moelle lombaire d'un embryon de vache d
e rapide do Golgi. (D'après v. Gehuchten.) Les libres des racines postérieures se bifurquent sous un angle obtus et les deux b
es qui en proviennent de- viennent fibres constitutives des cordons postérieurs . La fibre a, avant de se bifurquer, émet une br
de Gerlacla, donnait naissance dans la moelle épinière aux racines postérieures , et recevait les dendrites rami- iiées des cell
ures, et recevait les dendrites rami- iiées des cellules des cornes postérieures d'une part et des cellules des cornes antérieur
h, en tout comparable à un réseau capillaire, dans lequel la racine postérieure représentait l'artère et la racine antérieure la
vieille . date, on observe un certain degré d'atrophie des racines postérieures et du cordon postérieur correspondant, ainsi qu
e un certain degré d'atrophie des racines postérieures et du cordon postérieur correspondant, ainsi qu'une diminution du nombre
i qu'une diminution du nombre des cellules des cornes antérieure et postérieure du même côté, tous phéno- mènes qui sont d'auta
éral du ventricule, ainsi qu'au niveau des extrémités antérieure et postérieure de ses cornes frontale et occipitale. La substa
isième ventricule et en particu- lier au voisinage de la commissure postérieure , les cellules épendymaires sont disposées, d'ap
des prolon- gements qui forment les cônes épendymaires antérieur et postérieur de Retzius (fig. 90, p. 153). 2° Les cellules
{a ! )\ierc)tcxfes ^poissons. continue avec une fibre des racines postérieures de la moelle, tandis que l'autre se porte à la
e, c'cst-a-diro celle qui entre dans la consti- tution d'une racine postérieure . Le cylindre-axe de la fibre périphérique est b
ellulai- rcs. contestée. L'étude de la dégénérescence des racines postérieures , après leur section en dedans ou en dehors du g
t en arrière toute l'épaisseur de la moelle et entre dans la racine postérieure , où on peut le poursuivre au delà du ganglion s
hale, développés aux dépens de la vési- cule encéphalique primitive postérieure (Cerveau rhomboïdal), sont situés à la partie i
érieure (Cerveau rhomboïdal), sont situés à la partie inférieure et postérieure de l'encéphale. , Le cervelet occupe les fosses
les fosses occipitales inférieures; il est recouvert par la partie postérieure du cerveau, dont il est séparé par une fente prof
ps calleux se recourbe en bas à sa partie antérieure et à sa partie postérieure (fig. 151). En avant il forme le genou (Cc[g])
ure de 2,5 il 3 centimètres; elle est moins étendue que l'extrémité postérieure , et sépare complètement les lobes frontaux dans
ètement les lobes frontaux dans leur moitié antérieure. L'extrémité postérieure de la grande scissure inter-hémisphérique mesur
parito-limbique antérieur. - aplp, pli de passage parioto-limbique postérieur . - R, scissure de Rolando. - sec, sinus du corps
s, deux bords et deux extrémités. Les extrémités sont antérieure et postérieure , les bords sont t. supérieurs et inléro-externe
7eae' ? '/eMeou/e/)'OM/a/ répond à la fosse frontale, l'extré- mité postérieure oulole occipital, à la fosse occipitale supérieur
phère en deux parties inégales, l'une antérieure, frontale, l'autre postérieure , sphéno-occipitale La partie anté- rieure de la
misphérique. - Spa, espace perforé antérieur. - Spp, espace perforé postérieur . - Ti, T., T'a, première, deuxième et troisième c
ieure de l'insula. - io. sillon inter-occipital. - Ip, circonvolution postérieure de l'in- sula. - ip, sillon inter-pariétal. - i
lon calloso-marginal. - cola, commissure antérieure. -cop, commissure postérieure . Fus, lobule fusiforme. - Il, circonvolution de
,) du gyrus supra-marginalis (Gsm). Le bord supérieur de la branche postérieure de la scissure de Sylvius présente au niveau du
le lobe tempo- ral au lobe pariétal an niveau de l'extré- mité postérieure de la scissure de Syl U vins. Scissure de R
a]), une branche verticale ascendante (S [v]) et une grande branche postérieure (S [p]). La branche horizontale antérieure (S [
tinue dans le lobe frontal la direction de la branche horizon- tale postérieure ; très profonde, elle comprend toute l'épaisseur
ntérieure, se dirige en haut et en avant, et pénètre dans la partie postérieure de la troisième circonvolution fron- tale (F,).
prise entre la branche horizontale antérieure (S [aj) et la branche postérieure (S pl), porte le nom d'opercule; (fig. 150, 1go
lobes temporal et pariétal s'anastomosent au niveau de l'extrémité postérieure de la scissure de Sylvius par des plis de passage
on pariétale ascendante de circon- volution rolandique, ou centrale postérieure (Pa). L'extrémité supérieure de la scissure de
le d'Ecker (po) (fig. 150, 159, 161- à 1G91, à cheval sur la partie postérieure du bord supérieur de l'hémisphère, sépare le lo
- la, circonvolutions antérieures de l'insula.- Ip, circonvolution postérieure de l'insnla. - ip, sillon inter-pariétal.-P,, P
en bas dans l'angle que forment la branche verticale et la branche postérieure de la scissure de Sylvius, dont il est toujours s
R, scissure de Rolando. - S(a), branche antérieure. - Ses), branche postérieure . - S(v), branche verticale de la scissure de Sylv
- S'(1», éperon inférieur. - S"(N), éperon supérieur de la branche postérieure de la scissure de Sylvius. - soe, sillon orbita
troisième circonvolution avec la première en fournit le contingent postérieur . La moitié externe du lobule orbitaire est quel
plis verticaux de (lromier. - R, scissure de Rolando. S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvitis. - S(v), branche ver
n origine elle se porte transversalement en dehors, forme la limite postérieure du lo- bule orbitaire (oF3), se ré- fléchit s
, et verticale, ascendante (S[v]) de cette scissure, et' une partie postérieure , le pied ou partie operculaire (Op F 3)' situé en
mbrasse l'extrémité externe du sillon fronto-marginal (fm). Le bord postérieur de la partie orbitaire est longé par la «racine
. - ic, incisure du cap. - io, sillon inter-occipital. - lp, insula postérieur . ip, sillon inter.-pariétal. - ipo, incisure pr
, sillon inter-occipital. - ic, incisure du cap. - tp, circonvolution postérieure de l'insula. ip, sillon inter-pariétal. - ipo,
de la scissure de Rolando, et se termine au- ' dessus de la branche postérieure de la scissure de Sylvius, en s'anasto- z mosan
forme l'opercule rolandique (OpR) et recouvre les circonvo- lutions postérieures de l'insula (Ip). Deux incisures de la scissure d
les.. ,. La circonvolution pariétale ascendante (Pa) forme la lèvre postérieure de la scissure de Rolando, son bord postérieur
(Pa) forme la lèvre postérieure de la scissure de Rolando, son bord postérieur donne insertion aux circon- volitions pariétale
sure de Sylvius. S(a), S(p), Sv), branches antérieure, verticale et postérieure de la scissure tle Sylvius. - T,, T., première et
elles sont constituées parla scissure de Rolando (R) et la branche postérieure de la scissure de Sylvius (S [p]). Elles sont c
les, en arrière de la scissure de Sylvius et au niveau de la partie postérieure de ce lobe, où il s'anastomose largement avec l
te (]la).- Synonymie. Processi enlcooidei vertical di mezzo (partie postérieure ) (Rolando). - Deuxième pli ascendant (Gratiolet).
de la scissure de Rolando. Elle se continue en bas, avec la partie postérieure du pli de passage fronto-pariétal inférieur et
a circonvolution pariétale ascendante ('a), au-dessus de la branche postérieure de la scissure de Sylvius (SIl se dirige d'abord
ale ascendante MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 20.'i dont il longe le bord postérieur ; puis il décrit une grande courbure il . concav
ompt scissure de Rolando. - R, scissure de Rolando. - S(p), branche postérieure delà scissure de Sylvius; S'(p), son éperon infér
a. - la, insula antérieur. - io, sillon intcr-occipital. - Ip, insula postérieur . - ip, sillon inter-pariétal. - ipo, incisure p
m) de Gratiolet ou premier pli de passage pariéto-temporal, l'autre postérieure , le pli courbe (Pc). Première circonvolution pa
pli de passage pariéto-temporal de Broca, qui contourne l'extrémité postérieure de la scissure de Sylvius. - Celle partie antér
NERVEUX. ]li courbe. médiaire de Jensen, puis coiffe l'extrémité postérieure du sillon paral- - - lèle (t,), en décrivant un
'Ecker, ou deuxième pli de passage priéto-tem2oral de Broca. L'anse postérieure , se jette sur la deuxième circonvolution occipita
sa branche antérieure; S(v), sa brandie verticale; S(p), sa branche postérieure . - Tp, circonvolution temporale profonde. - T,,
'une pyramide triangulaire, dont le sommet correspond à l'extrémité postérieure de l'hémisphère, au pôle occipital de Broca, do
pli vertical de Gromier. - R, scissure de Rolando. - 5(1'), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - l ? T ? 7·,,· prem
umineux, superficiels et constants, affectent une direction antéro - postérieure , et établissent l'anastomose du lobe pariétal a
re circon- volution occipitale. deux parties, l'une supérieure et postérieure , qui correspond à la première circonvolution oc
longeant la scissure inter-hémisphérique et con- tourne l'extrémité postérieure du sillon occipital transverse, où elle s'anas- -
. ' 18 Deuxième nircon- volution occipitale. lnc. 169. - Face postérieure du cerveau. (D'après la photo- graphie d'une pi
g. 1r91. Les limites de la face externe rie 1 î0. - lace externe et postérieure de l'hémisphère gauche. (D'après la photographi
prérolandique supérieur. - R, scissure de Rolando. - S(p;,hranclic postérieure de la scissure de Sylvius. - 1 ? T,T3, première
eprésentées par une ligne fictive, qui s'étendrait de l'ex- trémité postérieure de la scissure de Sylvius (S), à l'incisurc pré-o
porte en arrière et un peu en haut, parallèlement à la branche postérieure de la scissure de Sylvius (S[p]) qu'il con- t
considérer une partie anté- rieure ou horizontale etune partie postérieure ou verti- cale. Sa partie antérieure ou horiz
doublée (fig. 170,172). On trouve quelquefois entre l'extrémité postérieure de la scissure de Sylvius, et l'extrémité cor
rérolandique inférieur. - R, scissure de Rolando. - S(p : , branche postérieure de la scissure de Sylvius ; S'(p), son éperon i
ent Furchenconflux) de Jensen(x) (fig. 170, 172). De la terminaison postérieure de ce sillon, dépend donc l'indépendance plus ou
temporales superior (Ecker). - Pli temporal supérieur; Pli marginal postérieur ou inférieur (Gratio- let). - Partie inférieure
on temporale (T,) s'étend du sommet du lobe temporal, à l'extrémité postérieure de la scissure de Sylvius, qu'elle con- tourne
l'insula, dont elle est séparée (fig. 173) par le sillon, marginal postérieur de l' in- sula ou rigole inférieure de Broca (m
érieur de l' in- sula ou rigole inférieure de Broca (mp). Sa partie postérieure s'élargit et donne naissance à un, quelquefois
convolutions temporales trans- verses de Heschl. Le sillon marginal postérieur (mp) sépare l'insula propre- ment dit, de la ré
il se continue quelquefois, avec le rameau ascendant de la branche postérieure de la scissure de Sylvius (fig. 160). .. MORPHO
sverse antérieure ou de circonvolution de Heschl. La circonvolution postérieure , beaucoup plus variable dans son volume et sa c
ons antérieures de l'insula. ic, incisure du cap. /p, circonvolutions postérieure , de l'insula.- io, sillon inter-occipital. ip,
e l'opercule.- ma; sillon marginal antérieur. - mp, sillon marginal postérieur . - ms, sillon marginal supérieur. - Oi,0>,03
ieure (Gsm) dont il est séparé par l'éperon supérieur de la branche postérieure de la scissure de Sylvius (S"[p]). Le sillon ma
e postérieure de la scissure de Sylvius (S"[p]). Le sillon marginal postérieur (mp) ou la rigole inférieure de Broca, le plus
se dirige obliquement en bas en décri- vant une courbe à convexité postérieure , et s'unit il angle aigu -au sillon marginal su
et s'unit il angle aigu -au sillon marginal supérieur; son segment postérieur sépare l'insula de la région rétro-insulaire de
llée de Sylvius) se divise en branches anté- riezcre, ascendante et postérieure , c'est de ce pli que part également le sillon p
ralement par trois cinq plis radiés, disposés en éventail, dont les postérieurs se subdivisent fréquemment en deux plis secondair
tronqué de l'insula, du pôle de Broca (PI), som- Sillon marginal postérieur . · Sillon marginal antérieur. Seuil de l'in
a moins étendue, se termine en pente douce, dans le sillon marginal postérieur (mp). . Schnopfhagen distingue deux parties dan
nopfhagen) la plus étendue, qui appartient au lobe frontal; l'autre postérieure , plus étroite, la circonvolution postérieure de
lobe frontal; l'autre postérieure , plus étroite, la circonvolution postérieure de l'insula (Ip) [gyrus insulæ posterior), qui
marginal supérieur, à 1, 1 et demi ou 2 cent, en avant de son angle postérieur . Ce sillon profond et constant, qui mesure au niv
té- rieure de l'insula qui appartient au lobe frontal, de la région postérieure , laquelle se termine dans le lobe temporal près
vers l'opercule de la troisième circonvolution frontale (Op F,,), la postérieure vers l'opercule rolandique (OpR). La base de la
a]) et l'incisure pariétale de l'opercule (ipop). La circonvolution postérieure (Ip) ou pli postérieur de Broca, plus étroite,
ale de l'opercule (ipop). La circonvolution postérieure (Ip) ou pli postérieur de Broca, plus étroite, . mais plus longue que
rochet (U), sous forme d'un pli étroit qui borde le sillon marginal postérieur (mp), se porte en haut, en augmentant de largeu
argeur, pour se terminer par une extré- mité rétrécie, dans l'angle postérieur de l'insula, au-dessous de l'opercule de la deu
e de l'hémisphère le cuneus (c), du précunéus (Prc) et de la partie postérieure du lobe limbique (L,). Cette scissure, très pro
ois petits plis parallèles, étendus du sommet du cunéus à la partie postérieure du lobe ]imbique (fig. 182, 183). Le pli supérieu
-postérieurs du cunéus (fig. 183). Scissure calcarine (K). Partie postérieure de la scissure des hippocampes (Gratio- let). -
rieto- occipitale. - PrC, précunéus. - aplp, pli pariéto-limbique postérieur . - r,>·l, pli rétro- limbique. - sec, sinus
7-,pla, pli pariéto-limbique antérieur. 'n/p, pli pariéto-limbirlue postérieur . 7r7,1, pli rétro-limbidue. - Tztl, pli temporo
troi- sième sillon temporal. - Tg, corps du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone.- Th, thalamus. - TM, trou de Monro.
sous le nom de plis cunéo-linguaux (7t dg), siègent dans la moitié postérieure de la scissure calcarine, et ne s'aperçoi- vent
ral de Meynert (parc) (fig. 151, 177, 180, 182). Au niveau du coude postérieur de la scissure calloso-marginale, se r Plis a
t séparée par un pli de passage, le pli de passage pariéto-limbique postérieur de Broca (plp). Dans l'immense majorité des cas,
.- pli pariéto-limbirlue antérieur. - "'pl/" pli parir;to-limhirlue postérieur . - irrl, pli rétro-limbirlue. - scc, sinus du cor
circonvolution temporale.- 7'y/, trigone ventriculaire. Tgp, pilier postérieur du trigone.- Th, thalamus.- U, circonvolution du
c le troisième sillon temporal (ot + t3) (fig. 180). Dans sa moitié postérieure , cette scissure, parallèle à la scissure cal- c
cunéus est formé de deux circonvolutions, l'une antérieure, l'autre postérieure , sépa- rées par un sillon vertical plus ou moin
182). Deux plis de passage, les plis pariéto-limbiques antérieur et postérieur , (-pla, ;,pli) relient les deux circonvolutions
elient les deux circonvolutions du précunéus au lobe lim- bique. Le postérieur est toujours superficiel, et fait une saillie plu
zpla, pli pariéto-limbique antérieur. - 7upll, pli pariéto-limbique postérieur . - pli rétro-limbique. - xcll, pli tem- poro-li
li cunéo-limbique (-cl), sa face antérieure profonde forme la lèvre postérieure de la scissure pariéto-occipitale; elle est relié
la scissure calcarine (K) qui la sépare du cuneus (C), et la partie postérieure ou occipitale de la scissure collatérale (ot) q
ronto-limbique. - 7tpla, Tcplp, plis pariéto-limbidues antérieur et postérieur . - 7t'f'l, pli retro-limbique. - S, scissure de
tteint pas le pôle occipital, mais contourne en général l'extrémité postérieure de la scissure collatérale, pour s'unir à la tr
? (tt il [fig. 180); elle présente en outre, au niveau de la partie postérieure du tronc du corps calleux, trois crêtes ou ourl
? s' (Tpla, -plp), dont l'antérieur peut être profond et dont le , postérieur est en général superficiel. Ces replis, ces crête
sinus du corps calleux (sec). L'incisure de l'ourlet sous-pariétal postérieur est en général la plus profonde, et limite souv
de, et limite souvent en avant le pli de pas- sage pariéto-timbique postérieur (7tplp) (fin. 182). L'isthme du lobe limbique (
s le nom de uncus, pli, unciforme, gyrus uncinatus(\]). L'extrémité postérieure du crochet adhère au pilier postérieur du trigo
uncinatus(\]). L'extrémité postérieure du crochet adhère au pilier postérieur du trigone, et donne insertion en dedans au vel
e. -1tpla, pli pariéto-limbique antérieur. p/jo, pli parieto-limbique postérieur . - 1tpoi, pli de passage pariéto-oecipital inte
n de l'hippocampe (L,), et lorsqu'on relève le bord libre du pilier postérieur du trigone (Tgp) qui la recouvre. Elle apparaît a
ES CENTRES NERVEUX. La circonvolution godronnée (Cg) suit le pilier postérieur du trigone (Tgp) jusqu'au niveau du bourrelet d
i fronto-limbique. xpla, Ttplp, plis pariéto-limbiques antérieur et postérieur . tzpoi, pli de passage parieto- occipital inter
nvolution temporale. - ta, troisitmc sillon temporal. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, thalamus. - Tm, tubercule mamil
ise le lobule olfactif en deux par- tics, l'une antérieure, l'autre postérieure . La partie antérieure ou le lobe olfactif antér
tri- gone (Toi) et le carrefour olfactifs de Broca (CB). La partie postérieure ou lobe olfactif postérieur (Lolp), comprend l'
our olfactifs de Broca (CB). La partie postérieure ou lobe olfactif postérieur (Lolp), comprend l'espace quadrilatère de Foville
nale de Broca (bd). Le lobe olfactif antérieur (Lola) est séparé du postérieur par un sil- lon transversal, le sillon primaire
taire du lobe frontal. Le lobe olfactif antérieur aussi bien que le postérieur sont situés à la face inférieure de l'hémisphère,
ise. En arrière, le pédoncule olfactif s'épaissit au niveau du bord postérieur du lobe frontal en une petite pyramide, le tube
partie interne de l'espace pevfové antérieur (Spa). Lobe olfactif postérieur (Lolp). Espace perfore antérieur de Vicq d'Azyr
e Vicq d'Azyr ou espace quadrilatère de Foville. Le lobe olfactif postérieur (Lolp) comprend Y espace perforé antérieur (Spa)
ontales microscopiques, fig. 280, 296, 314 et 319 à 322.) La partie postérieure de l'espace perforé antérieur répond a la face in
circonvolution limbique. - Lg, lobule lingual. mp, sillon marginal postérieur . NA, noyau amygdalien. - oP,(G¡'), partie orbit
le olfactif. 7,i,l, pli rétro- limbique. Qp. tubercule quadrijumeau postérieur . Rôle, racine olfactive externe ? 77/, sillon d
place on constate une région absolument lisse, qui occupe la partie postérieure du lobule orbitaire et que Broca a désignée sous
nche antérieure ..... S(a) Sa branche verticale . S(v) Sa branche postérieure ...^.. S(p) L'éperon supérieur de cette branc
érieur de cette branche ..........' S"(p) Incisures de la branche postérieure : Incisure frontale de l'opercule. ifop Incis
Sillons : 4. Sillon marginal antérieur.. ma 2. Sillon marginal postérieur . mp 3. Sillon marginal supérieur.. ms 4. Sil
convolution antérieure de l'insula.......... la 2. Circonvolution postérieure de l'insula.......... Ip 3. Bord ou pli falci
interne . Roli Carrefour olfactif d ebroca. CB (3 Lobule olfactif postérieur .. Lolp Espace ou substance perfo- Epa rée ant
acine olfactive externe qui la sépare de l'insula; le lobe olfactif postérieur que nous venons d'étu- dier appartient donc aus
. La base du cerveau est formée : 1° Sur ses par le lobe olfactif postérieur de Ilis, à savoir l'espace perforé pèûérieur et
hiasma des nerfs optiques et le bec du corps calleux. 2° Une région postérieure losangique, le losange ohlohécloucolccire, dont
um, la tige pilai- tccirc et le corps pituitaire, et dont la moitié postérieure est formée par les tubercules mamillaires et Y
ieure est formée par les tubercules mamillaires et Y espace perforé postérieur . Au point de vue embryogénique, la lame sus-opt
s lubevcules mamillaires au cerveau intermédiaire, l'espace perforé postérieur au cerveau moyen. Nous étudierons successivemen
rent par les trous optiques dans la cavité orbitaire; de ses angles postérieurs se détachent les bandelettes optiques (BII) (trac
partie de la paroi inférieure .. du troisième ventricule ; son bord postérieur se continue avec la substance grise du tuber ci
PHOLOGIE CÉRÉBRALE. 31;i : > interne de la bandelette et le bord postérieur du chiasma et forme la commis- sure inférieure
mine . dans le corps genouillé interne et le tubercule quadrijumeau postérieur . La commissure de Gudden se loge dans la concav
et le corps genouillé c interne ainsi que le tubercule quadrijumeau postérieur sont très développés (Forci). Chez le lapin, la
ieure, par le plancher du cerveau intermé- diaire et dans sa moitié postérieure , par le plancher du cerveau moyen. Sa moitié an
e par le tuber cinereum, la lige et le corps pituitaires, sa moitié postérieure par les tubercules mamillaires et l'espace perf
itié postérieure par les tubercules mamillaires et l'espace perforé postérieur . a) Le tuber cinereum (Tc) se présente sous la
cal. Elle est essentiellement formée de deux parties ou lobes, l'un postérieur , l'autre antérieur (fig. 188). Le lobe postérie
es ou lobes, l'un postérieur, l'autre antérieur (fig. 188). Le lobe postérieur , le plus petit, d'un gris jau- nâtre contient s
strum). Cc(Spl), bourrelet du corps calleux (splGnium).- Ce(y), bec postérieur du corps calleux. CE, canal de l'épen- dyme. -
volution géniculée. - coa, commissure antérieure. - com, commissure postérieure . - Gh, ganglion de l'habénula. - Gp, glande pinéa
'habénula. - Gp, glande pinéale. - Ifa. Ifp, lobe antérieur et lobe postérieur du corps pituitaire. - Le, lobe central du cervel
moyen du cervelet. lso, lame sus- optique. - Lsp, lobe supérieur et postérieur du cervelet. - 11, lame terminale embryonnaire.
pyramide du cervelet. Qa, Qp, tubercules quadrijumeaux antérieur et postérieur . rif, diverticule de l'infundibulum. - R111,rub
'm, tuber- ' cule mamillaire. dtlt, ttenia thalami. - Tv, tubercule postérieur du vermis. - Uv, uvula (luette). V" quatrième v
des nerfs optiques. 32.0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le lohe postérieur de la glando pitui- tairc dérive du cer- Ye
grand développe- ment chez les pois- sons. Structure du lobe postérieur . Le lobe antérieur présente une struc- ture
Sur les coupes verticales et médianes, on voit de suite que le lobe postérieur entre seul en connexion avec l'infun- dibulum.
'un rein qui embrasse par sa concavité la moitié antérieure du lobe postérieur . Les coupes verticales et antéro-postérieures m
pacta à sa partie antérieure, le lobe anté- - rieur est à sa partie postérieure , mou, presque spongieux, et présente même, une
r, de structure nettement glandulaire, n'est intimement uni au lobe postérieur que chez les mammifères; chez les autres Vertébré
la partie chordale et préchordale de la base du crâne. La moitié postérieure du losange opto-pédonculaire présente à étu- di
(PT ml, fig. 193). L'espace inler-pédonculairc ou espace perforé postérieur (Spp, fig. 187), de forme triangulaire, s'enfon
asculaires et mérite seule par conséquent le nom d'espace per- foré postérieur . Ces orifices livrent passages aux artères lentic
es lenticulo-optiques branches du tronc basilaire et des cérébrales postérieures ; ils sont séparés du sillon du nerf moteur ocul
e chez l'homme, occupe chez ce dernier la voûte de l'espace perforé postérieur et reçoit le faisceau l'étroflexe de Meynert [f
érieure (fig. 188). Cette dernière mesure, en effet, depuis le bord postérieur des tubercules mamillaires jusqu'au bord antéri
tronqué et à bords arrondis, dont la base est antérieure, le sommet postérieur et les faces latérales obliques en arrière et e
stérieur, qui se continue avec le sillon médian de l'espace perforé postérieur et avec celui qui sépare les tubercules mamilla
; il est séparé de MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 323 -1 l'espace perforé postérieur par une ])and ele [te blaiichàtreantéro-postéi@ie
f' ? ? (Ln), situé à l'union du tiers antérieur avec les deux tiers postérieurs du pédoncule. Le locus niger affecte la forme d
ylvius, divisent chaque pédoncule cérébral en trois régions : l'une postérieure , la, région des tubercules quadrijumeaux; l'aut
ces fibres pénètrent, pour entrer dans la consti- tution du segment postérieur de la capsule interne. La bandelette optique cr
rceptent un espace triangulaire, et forment les parois latérales et postérieures du losange opto-pédonculaire (fig. 183, 190). E
rieur de la protubérance et intéressant le tubercule qua- drijumeau postérieur , l'entrecroisement du pédoncule cérébelleux supér
res. Aq, aqueduc de Sylvius. - BrQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur . - Fcop, fais- ceau de la commissure postérieur
ercule quadrijumeau postérieur. - Fcop, fais- ceau de la commissure postérieure . - Ftp, faisceau longitudinal postérieur. - Gip,
is- ceau de la commissure postérieure. - Ftp, faisceau longitudinal postérieur . - Gip, ganglion inter-pédonculaire. - Ln, locu
noyau de la quatrième paire. - NQp, noyau du tubercule quadrijumeau postérieur . 7', étage inférieur ou pieddupédoncule. Pcs. péd
e. Pcs. pédoncule cérébelleux supérieur. Qp, tubercule quadrijumeau postérieur . - Bl, ruban de Reil latéral. Rm, ruban de Reil
age inférieur du pédoncule. - Po, protubérance. spp, espace perforé postérieur . - Tc, tuber cinercum. - Tm, tubercule mamillai
du tubercule mamillaire latéral. - P ? , pyramide. tb, trou borgne postérieur ou bulbo-protubérantiel.- Tc, tuber cinereum. -
E. 327 de fibres arciformes, qui apparaissent toutes dans la région postérieure du cerveau moyen, au voisinage des tubercules q
etc., il n'apparaît le plus souvent chez l'homme que dans la partie postérieure de son trajet, sa partie antérieure étant recouve
eur, occupe l'angle compris entre le bras du tubercule quadrijumeau postérieur et le corps genouillé interne, augmente rapidem
ua- drijumeau antérieur. - BrQp, bras du tubercule quadri- jumeau postérieur . -Cge, corps genouillé externe.- Cgi, corps gen
a, tubercule quadrijumeau antérieur. - Qp, tubercule quadrijumeau postérieur . - RI, faisceau triangulaire de l'isthme ou rub
le corps genouillé interne (Cgi), le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) et une surface triangulaire décrite par
llon latéral de l'isthme d'une part (si), le tubercule quadrijumeau postérieur (Qp) et le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs)
es cltraclrijo- meaux en arrière, le raphé et la substance perforée postérieure en dedans, région dont la face supérieure ou ve
ôté de la protubérance, elle se continue avec la calotte ou l'étage postérieur de la protubérance. La calotte du pédoncule n'e
il existe un petit faisceau triangulaire, le faisceau longitudinal postérieur (Flp), au voisinage duquel on trouve, dans la r
erne est comprise entre le locus niger et le noyau rouge; sa partie postérieure ou externe apparaît à la surface externe de Cor
g. Pédoncule cérébel- leux supérieur. Faisceau longitu- dinal postérieur . Noyaux de la troi- sième et de la qua- tri
diam. Aq, aqueduc de Sylvius.- Brqp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur .- CNR, cap- sule du noyau rouge. - Cgi, corps g
. - Cgi, corps genouillé interne. - Fcop, faisceau de la commissure postérieure . - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FM, f
faisceau de la commissure postérieure. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - FM, faisceau rètrof1exe de Meynerl. . Ln, lo
lle est recouverte par les libres du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (13r(p). 3° La région des tubercules quadrijume
(13r(p). 3° La région des tubercules quadrijumeaux occupe la partie postérieure du pédoncule cérébral (fig. 194) ; elle s'étend
postéro-supérieur du troisième ventricule, formé par la commissure postérieure et la glande pi- néale, à l'extrémité antérieur
uadrijumeaux anté- rieurs ou supérieurs et tubercules quadrijumeaux postérieurs ou inférieurs. Le sillon médian, sillon, longit
llicultr.s .,urbhiteali.s). Au-dessous des tubercules quadrijumeaux postérieurs (Qp), le sillon longitudinal est bordé, de chaq
urcie dans le bichromate.) Ilr()p,hr : LS du tubercule quadrijumeau postérieur . - CR, couronne rayonnante sectionnée au niveau
centres optiques in- fra-corticaux. Tubercules quadri- jumeaux postérieurs . Bras du tubercule quadrijumeaupostc- rieur
bercule quadrijumeaupostc- rieur. Le tubercule qua- drijumeau postérieur appartient au sys- tèmo auditif. Tubercules
rijumeaux antérieurs, ou nates (Qa), sont plus volu- mineux que les postérieurs . Ils présentent chacun la forme d'un ovoïde, à
tiques primaires de l'appareil visuel. Les tubercules quadrijumeaux postérieurs , ou lestes (Qp), plus petits, plus . saillants,
partie externe à un petit cordon, le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp), qui se dirige obliquement en avant et en
t et en dehors. Un léger sillon le divise en deux fascicules, l'un, postérieur , qui entre dans la constitu- tion du ruban de R
fondément enclavé dans la couche optique. Le tubercule quadrijumeau postérieur appartient au système auditif, et n'est pas mor-
optiques. Les tubercules MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 333 quadrijumeaux postérieurs ne font cependant pas défaut dans les classes des
ue du tubercule quadrijumeau posté- rieur des mammifères. La face postérieure des tubercules quadrijumeaux est libre ; elle est
um). - Cc(Spl); bourrelet du corps calleux (splenium). Ce(1¡J), bec postérieur du corps calleux. - CE, canal de l'épen- dyme.
olution géniculéo. - coa, commissure antérieure. - coin, commissure postérieure . - Gh, ganglion de l'habénula. - Gp, glande pinéa
abénula. - Gp, glande pinéale, - Ifa, Ifp, lobe antérieur ' et lobe postérieur du corps pituitaire. - Le, lobe central du cervel
en, lobe inférieur et moyen du cervelet. - Lip, lobe ' inférieur et postérieur du cervelet. Lsm, lobe supérieur et moyen du cerv
moyen du cervelet. - lso, lame sus-optique. Lsp, lobe supérieur et postérieur du cervelet. It, lame terminale embryon- naire.
pyramide du cervelet. Qa, Qp, tubercules quadrijumeaux antérieur et postérieur . rif, diverticule de . ' l'infundibulum. - Rm,
- Tm, tuber- cule mamillaire. - tth, taenia thalami. Tv, tubercule postérieur du vermis. Uv, uvula (luette). V"quatrième vent
psule externe. - Cex, capsule extrême. - Cing, cingulum. Cip, segment postérieur de la capsule interne. - CL, corps de Luys. - C
prérolandique inférieur. - R, scissure de ltolando. - S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Sexv, .surface ext
. d'une voûte, plus recourbée à sa partie antérieure qu'à sapartie postérieure , plus rapprochée de l'extrémité antérieure du c
séparé par une distance dé trois centimètres, que de son extrémité postérieure , dont il s'éloigne de cinq centimètres environ.
o-limbique antérieur. - 1 ! : plp, pli de passage pariéto- limbique postérieur . - R, scissure de Rolande. sec, sinus du corps ca
sseur est variable suivant les régions ; très épais à son extrémité postérieure , où il se ramasse et s'enroule sur lui-même en vo
u corps calleux. CC(1');bec du corps calleux (rostrum). Cef ? J), bec postérieur du corps calleux. Cc(Spl), bourrelet du corps c
com, commissure molle. - Cv, cervelet. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - Gh, ganglion de l'lmtbénula. - Gp, glande piné
';tri, 7rfl', plis fronto-limbique. - 7tp{p, pli pariéto-lim- biquc postérieur . - Qa,Qp, tubercules quadrijumeaux antérieur et p
m- biquc postérieur. - Qa,Qp, tubercules quadrijumeaux antérieur et postérieur . - ri, récessus de l'infundibulum. - ro, récess
de Monro. - sp, scissure sous-pariétale. - Spp, substance perforée postérieure . - Te, tuber cincreum. - Tclt, toile choroïdienne
au septum luci- dum (SI), en arrière, au trigone (Tg). Les piliers postérieurs du trigone (Tgp), en divergeant en arrière pour
tions du corps calleux. sec, sinus du corps calleux. S (p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. Sih (a), Sih (p), part
e la scissure de Sylvius. Sih (a), Sih (p), parties an- térieure et postérieure de la scissure intcr-hémisphérique. - l ? l ? bra
eure (coa), avec la lame sus-optique (lt) (lig. 198). L'extrémité postérieure du corps calleux, connue sous le nom de bour- r
et on peut lui considérer trois parties : l'une supérieure, l'autre postérieure , la troisième inférieure. La partie supérieure
a troisième inférieure. La partie supérieure représente l'extrémité postérieure du tronc du corps calleux; la partie infé- rieu
qui se termine en avant par un bord mince et effilé, véritable bec postérieur (Cc[rp]), situé à peu près , 1 milli- mètres en
(Cc[rp]), situé à peu près , 1 milli- mètres en avant de la limite postérieure du corps calleux. La partie posté- rieure const
rieure constitue la pièce intermédiaire de Beevor, véritable genou postérieur , très analogue au genou de l'extrémité antérieu
ostérieur, très analogue au genou de l'extrémité antérieure. Le bec postérieur donne insertion aux fibres transversales du psa
, le ven- tricule de Verga est beaucoup plus volumineux, et l'angle postérieur du septum lucidum s'insinue entre le corps call
ermine par un bord aigu, à 15 millimètres . en avant de l'extrémité postérieure du corps calleux. Radiations du corps calleux.
née de Reil, se présente sous la forme d'un triangle isocèle à base postérieure (fig. 200), situé au-dessous du corps calleux,
"; et en avant ces faisceaux sont distincts, et forment les piliers postérieurs et les piliers antérieurs du trigone (Tgp, Tga)
mière circonvolution limbique. Lip, lobe cérébel- leux inférieur et postérieur . - Lsa, lobe cérébelleux antérieur et supérieur.
cérébelleux supérieur et moyen. - Lsp, lobe cérébelleux supérieur et postérieur . - Ly, lyre ou psalterium. - inF,, face interne
to-strié. -SI, septum lucidum. -Tg, trigone cérébral. - Tgp, pilier postérieur du trigone. 7';V, trou de Monro. V (cu), vcrmis
ches optiques (Th) et du ventricule moyen (V 3) (fig. 19G). Le bord postérieur adhère à l'extrémité postérieure du corps calleux
ule moyen (V 3) (fig. 19G). Le bord postérieur adhère à l'extrémité postérieure du corps calleux, les bords latéraux minces et
à 203). Les angles du trigone sont l'un antérieur, les deux autres postérieurs . Le corps du trigone se bifurque au niveau de l
rtent obliquement en bas, en arrière et en dehors, forment l'écorce postérieure et externe du tubercule mamil- laire (Tm), et s
ige02); exceptionnelle- ment il est plus volumineux que le faisceau postérieur (zig. 203). Jusqu'aux travaux de Gudden et de F
(r), bec antérieur du corps calleux (rostrum anterior). - Cc(rp), bec postérieur du corps calleux (rostrum posterior). Cal, calo
eaux. Il, nerf optique. 348 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Piliers postérieurs du trigone. Lyre de David ou psalterium.
laire (Tm) au tubercule antérieur de la couche optique. Les piliers postérieurs du trigone font suite aux angles postérieurs du
e optique. Les piliers postérieurs du trigone font suite aux angles postérieurs du trigone ; ils se présentent sous la forme de
s, aplatis de haut en bas, qui contournent le pulvinar ou extrémité postérieure de la couche optique (Pul), puis se portent bru
ventri- cule latéral (fig. 204 et 213). A leur origine, les piliers postérieurs droit et gauche limitent, avec le bec postérieu
gine, les piliers postérieurs droit et gauche limitent, avec le bec postérieur du bounrelet du corps calleux, un espace triang
rieur du bounrelet du corps calleux, un espace triangulaire, à base postérieure , à sommet antérieur, connu sous le nom de lyre
mmissural des deux cornes d'Ammon. La lyre et l'origine des piliers postérieurs sont en rapport par l'inter- médiaire de la toi
port par l'inter- médiaire de la toile choroïdienne, avec la partie postérieure de la couche optique (Th), la glande pinéale (G
ans le prolongement sphénoïdal du ventricule latéral, chaque pilier postérieur du trigone s'unit intimement au forceps major d
s'unit intimement au forceps major du corps calleux et à la partie postérieure de la corne d'Ammon (fig. 204) et se divise ens
- dal du ventricule latéral ; elle ne dépasse guère les digitations postérieures de la corne d'Ammon. Le bord externe de la fimb
ne d'Ammon, Ergot de Morand. Eminence collatérale de Meakel. Pilier postérieur du trigone et forceps major du corps calleux. (
ariéto-occipitale. PT, pôle temporal. 7rpll), pli pariéto- limbique postérieur . Tgp, pilier postérieur du trigone. TgV, carrefou
ôle temporal. 7rpll), pli pariéto- limbique postérieur. Tgp, pilier postérieur du trigone. TgV, carrefour ventriculaire. Voc,
pédoncule cérébelleux supérieur. - Poa, l'op, libres antérieures et postérieures de la protubérance. Py, faisceau pyramidal. Rrr
donculaire du ruban de Reil. -SR, substance réticulée. T,gp, pilier postérieur du trigone. Th, thalamus. Vsph, corne sphénoïda
rieur. - Pchl, plexus choroïdes. - Poa, l'op, fibres antérieures et postérieures de la protubérance. l'y, faisceau pyramidal.- RC,
lgr, stratum granulosnm de la circonvolution godronnée. Tgp, pilier postérieur du trigone. Th, thalamus. - Zr, zone réticulée ou
x. - Cc(r), bec antérieur du corps calleux (rostrum). Cc( ? 1», bec postérieur du corps calleux. Cc(Spl), bourrelet du corps c
oa, commissure antérieure. - com, commissure molle. cop, commissure postérieure . C V, hé- misphère cérébelleux. Flp, faisceau l
térieure. C V, hé- misphère cérébelleux. Flp, faisceau longitudinal postérieur . - fs, fissura serotina. - Gh, ganglion de l'ha
lp, pli pariéto-limbique posté- rieur. - Qp, tubercule quadrijumeau postérieur . ri, récessus de l'infundibulum. - ro, récessus
SM, sillon de Monro. SI', septum lucidum. - Spp, substance perforée postérieure . STh, région sous-optique. Tch, toile choroïdie
eur en formant la bandelette diagonale ae Broca (fig. 183). ? L'angle postérieur , très aigu, s'insinue sous le nom de queue du sep
e sous les noms de cavité digitale ou ancyroïde, ou de prolongement postérieur (fig. 209 et 204). Le point de réunion de ces t
externe, s'étend du genou du corps calleux (Cc[g]) à l'extré- mité postérieure de la couche optique (Th) (fig. 208), et mesure e
u moins large, jusque dans l'intérieur du bulbe olfactif. L'orifice postérieur de ce canal est situé très près de la base de l
n avant de la partie recourbée de la tête du noyau caudé. La moitié postérieure de l'étage supérieur du ventricule latéral, situé
ventricule latéral se prolonge dans le bulhe olt'aetit'. Moitié postérieure de l'étape supérieur du ventricule latéral.
mière circonvolution limbique. Lip, lobe cérébel- leux inférieur et postérieur . - Lsa, lobe cérébelleux antérieur et supérieur.
cérébelleux supérieur et moyen. Lsp, lobe cérébelleux supérieur et postérieur . - Ly, lyre ou psalterium. - 7nF,, face interne
sillon opto-strié. SI, septum lucidum. - 7 ? trigone. 7;yp, pilier postérieur du trigone. - TM, trou de Monro. V(cu), vermis
s longitudi- nales du ta'nia semi-circularis, contourne l'extrémité postérieure de la couche optique, et se retrouve, comme la
ptique; elle longe ensuite le sillon opto-strié jusqu'à l'extrémité postérieure de la couche optique, puis elle se recourbe en
décrit une courbe à concavité antérieure et interne. Son extrémité postérieure , longue et étroite, est en connexion in- time a
rieure, longue et étroite, est en connexion in- time avec le pilier postérieur du trigone (Tgp). La fimbria (Fi) ou la partie
mmon est plus courte, mais plus large et plus épaisse que la partie postérieure ; elle repose sur la circonvolution de l'hippoca
corne sphénoïdale et de l'éminence collatérale de Meckel. La corne postérieure ou occipitale (Voc), cavité digitale ou arzcyroïd
ment avec le prolongement sphé- noïdal, sans émettre de diverticule postérieur . . La corne occipitale (Voc), située à cheval s
ues, mais encore d'un hémisphère à l'autre; d'après Engel, la corne postérieure gauche serait la plus développée dans 66 p. 100 d
ne d'Ammon. Ergot de Morand. Eminence collatérale de Meckel. Pilier postérieur du trigone et forceps major du corps calleux. (
ariéto-occipital. - PT, pôle temporal. 7ri)lp, pli pariéto-limbique postérieur . - Tpg, pilier postérieur du trigone. - TgV, tr
pôle temporal. 7ri)lp, pli pariéto-limbique postérieur. - Tpg, pilier postérieur du trigone. - TgV, trigone ventriculaire. - Voc
plein, formé par la saillie dans la cavité ventriculaire du forceps postérieur ou major du corps calleux (Fm); il est connu so
u corps calleux (Fm); il est connu sous le nom de bulbe de la corne postérieure ; au-dessous et en dehors, on trouve un relief c
culaire rouge et granuleux, étendu du trou de Monro aux digitations postérieures de la corne d'Ammon, ils n'occupent donc que la
d'Ammon, ils n'occupent donc que la corne sphénoïdale et la partie postérieure de l'étage supérieur du ventricule latéral : les
, très serrées les unes contre Son plancher. Bulbe de la COl'ne postérieure . Krgot de \Lorans Eminence collaté- ralo dc
xtrémité antérieure de la corne fron- &Mk taie Vf), l'extrémité postérieure de la corne occipitale (Voc), et le fond des di
es et deux bords, l'un antérieur court et presque vertical, l'autre postérieur plus long et oblique en bas et en avant. Les
base (losange opto-pédonculaire, tuber cinereum, substance perforée postérieure , etc.), en arrière et en dehors par la région s
laire à base inférieure, la vulve des anciens anatomistes. Le bord postérieur , oblique en bas et en avant, présente successivem
fig. 211), la base de la glande pinéale (Gp), la commissure blanche postérieure (cop), et l'orifice antérieur ou anus de l'aque
niculée de Zuckorkandi. coa, commissure antérieure. com, commissure postérieure . - Gh, ganglion de l'habénula. Gp, glande pinéale
l'habénula. Gp, glande pinéale. - Ifs, Ifp, lobe antérieur et lobe postérieur du corps pituitaire. - Le, lobe central du cervel
sus-optique ou lame terminale embryonnaire. - Lsp, lobe supérieur et postérieur du cervelet. - ll, commissure blanche de la bas
ramide du cervelet. Qa, Qp, tubercules ' quadrijumeaux antérieur et postérieur . - rée, diverticule de l'infundibulum. lim, ruban
Tm, tubercule mamillaire. - llh, ttenia tlralami. - 7'u, tubercule postérieur du vermis. - Uv, uvula (luette). V4, quatrième ve
capsule externe. - Cex, capsule extrême. Cing, cingulum Cip, segment postérieur de la capsula ' . z interne. CL, corps de Luys.
dymaire. - SI, septum lucidum. - SM, sillon de Monro. 1(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. 7 ? T2, T3, première,
braux (fig. 213); plus en avant se trou- vent la substance perforée postérieure et le tuber cinereum (te). Le sommet du troisiè
au intermédiaire. De forme triangulaire, à sommet antérieur, à base postérieure , elle s'étend horizontalement au-dessus des couch
u vermis superior. Cc(g), genou du corps calleux. cop, com- missure postérieure ... ? E¥,erg0t de Mora-nd.Ft ? forceps major. - Gh
é- . ' nula. Gp, glande pinéale. lip, lobe cérébelleux inférieur et postérieur . - Lsm, lobe - cérébelleux supérieur et moyen.
- cérébelleux supérieur et moyen. Lsp, lobe cérébelleux supérieur et postérieur . - Na, noyau antérieur du thalamus. - NC, tête
rne. , En arrière, le noyau lenticulaire ne dépasse guère le sillon postérieur de l'insula; le noyau caudé, au contraire, s'ef
rlproprcmcnt dit (cap) ou segment lenticulo-optirlue; la troisième, postérieure et répondant au segment rétro-lenticulaire delà c
u au-dessous de la ligne de réflexion de l'épendyme et dont la limite postérieure est comprise entre le pédoncule du noyau lentic
rl); la région inférieure ou sous-llialamiquc est formée du segment postérieur et du segment rétro- lenticulaire (Cip, Cirl).
ostérieur et du segment rétro- lenticulaire (Cip, Cirl). Le segment postérieur de la région sous-thalamitluc comprend non seul
tête, il est mince, effilé et très grêle en arrière. Son extrémité postérieure ou queue, contourne la couche optique et le péd
eue la face adhérente devient supéro-externe;. elle déborde le bord postérieur du noyau lenticulaire et en est séparée par le
nom de colli- culus du noyau caudé (CNC) (lig. 281). L'extrémité postérieure ou queue s'infléchit en bas, en avant et en deh
érieurs portent le nom de vaisseaux lf'7lticulo-striés (Duret), les postérieurs , celui de lenticulo- optiques (Duret.) La face
et s'unissent l'un à l'autre au niveau des extrémités antérieure et postérieure , ainsi que le montrent les coupes sagittales, sur
en dehors et en arrière, séparé de la couche optique par le segment postérieur ou lenliculo- optique de la capsule interne (Ci
ulaire ,,(Iig. 222, 223, 242, 243). Il forme à lui seul l'extrémité postérieure effilée du noyau lenticulaire. A ce niveau, il
ou vertico-irans- versales, ces prolongements donnent à l'extrémité postérieure du noyau lenticulaire et à la face supéro-inter
à la région sous-optique et, traversant horizontalement le segment postérieur de la capsule interne, concourent à former le fai
le côté supérieur et interne et qu'elle contourne par son extrémité postérieure , la couche optique ou thalamus (Th) constitue u
Les faces supérieure et interne sont libres, ainsi que l'extrémité postérieure . Les faces externe et inférieure sont adhérentes
llon choroïdien, on rencontre une saillie volumineuse, le tubercule postérieur de la couche optique ou pulvinar (Pul) qui se r
) qui se renfle considérablement en arrière pour former l'extrémité postérieure , libre de la couche optique. En dedans de la pa
la face supérieure présente une petite surface triangulaire à base postérieure , le triangle de l'lcabézztcla, ainsi nommé à ca
e. En avant elle atteint le trou de Monro, en arrière la commissure postérieure et les tubercules quadriju- maux ; en haut, ell
e par l'intermédiaire de la toile choroïdienne (Tch), par le pilier postérieur du trigone et le bourrelet du corps calleux; el
rmis superior. - Cc(g), genou du corps calleux. cop, com- . missure postérieure . EM, ergot de Morand. - Fm, forceps major.-Gh, ga
é- nula. - Gp, glande pinéale. - Lip, lobe cérébelleux inférieur et postérieur . - Lsm, lobe ** cérébelleux supérieur et médian
cérébelleux supérieur et médian. - Lsp, lobe cérébelleux supérieur et postérieur . - Na, noyau antérieur du thalamus. - NC, tête
pos- térieur par un petit cordon, le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) ; il donne naissance en avant il la raci
affecte avec le pédoncule cérébral sont très importants; la partie postérieure de sa face inférieure repose en effet sur l'éta
te ici le nom de région sous-optique; le pulvinar embrasse son bord postérieur , la bandelette op- tique croise sa face inférie
rieur du pédoncule pénètrent dans le cerveau pour former le segment postérieur de la capsule interne (Cip). Elle a été décrite
te les uns avec les autres : Les pédoncules antérieur, supérieur et postérieur . Un quatrième pédoncule, le pédoncule inférieur
direction oblique en bas et en dedans, qui proviennent de la partie postérieure du lobe frontal et du lobe pariétal et des fibr
n haut et en avant qui proviennent du lobe temporal. Le pédoncule postérieur [radiations optiques de Gratiolet) provient du
u thalamus (Lme) qui le sépare de la zone réticulée et des segments postérieur et rétro-lenticulaire de la capsule interne. So
ulus retroflexus de Meynert (FM). C'est il la partit; supérieure et postérieure de ce noyau interne, que se trouve situé le petit
nière en deux segments : l'un antérieur ou lenticulo-caudé, l'autre postérieur ou 1(,îztzciito-optiqiie. Le segment antérieur
che optique dont elles forment le pédoncule antérieur. - Le segment postérieur ou lenticulo-optique (fig. 223 à 228 et 247 à 2
rétro-lenticulaire (Cirl) que nous avons donné à la partie la plus postérieure de ce segment. Le segment postérieur proprement d
ons donné à la partie la plus postérieure de ce segment. Le segment postérieur proprement dit (Cip), qui forme à lui seul les
de radiations optiques, se terminent pour la plupart dans la partie postérieure de la couche optique dont elles contribuent à f
e de la couche optique dont elles contribuent à former le pédoncule postérieur . Dans la région sous-thalamique (de Forel) (fig
st plus représentée sur les coupes horizontales que par son segment postérieur (Cip) et son segment rétro-lenticulaire (Cirl)
ssent au-des- sous du noyau lenticulaire, se jettent dans la partie postérieure du segment postérieur de la capsule, et constit
oyau lenticulaire, se jettent dans la partie postérieure du segment postérieur de la capsule, et constituent le faisceau dit « d
ième externe environ du pied du pédoncule. (Voy. t. II.) Le segment postérieur comprend donc, par suite de l'arrivée du fais-
est en outre incisée en avant par la partie verticale de la branche postérieure de la scissure de Sylvius (S[p] et par une inci
s calleux (Ce), qui la divise en un segment antérieur et un segment postérieur . Sur le segment anté- rieur on reconnaît : la f
rolandique inférieur. - R, scissure de ltol ? ndo. - S (p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. scc, sinus du corps
rme une couche épaisse, qui coiffe les extrémités - , antérieure et postérieure du ventricule latéral (VI). La substance grise
oncé nettement délimité, correspondant aux extrémités antérieure et postérieure de ce faisceau, dont la coupe 25 (Iig. c ? 19) in
lle de la coupe précédente, surtout par la profondeur de la branche postérieure de la scissure de Sylvius (S[p]) et par la pre-
aire (Sge) et par le faisceau ocei/ilo- frontal (OF), son extrémité postérieure par une couche beaucoup plus mince de cette mêm
le corps calleux (Ce), qui recouvre et masque peut-être l'extrémité postérieure du faisceau occipito- frontal. En dedans, le ve
deux parties : une partie antérieure ou genou (Cc[g]) et une partie postérieure ou bourrelet (Cc[Spl]). Ces deux parties sont rel
capsule interne (Cia). Il est limité en dehors el séparé du segment postérieur de la capsule interne (Cipi, par une ligne de l
zone réticulée ou grillagée (Zr). - Cing, cingulum. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - cm, sillon calloso- ma
Rolando. RTh, radiations thalamiques de Gratiolet. - S (p), branche postérieure do la scissure de Syivius. sec, sinus du corps ca
lle de rolandique (OpR). Celui-ci est libre en arrière ; la branche postérieure de la scissure de Sylvius (S[p]) le sépare comp
formée par la circonvolu- tion pariétale inférieure (P.,), la lèvre postérieure par l'union de la deuxième circonvolution tempo
- Ci (g), genou de la capsule interne. Cing, cingulum. Cip, segment postérieur de la capsule interne. - CÍ1'I, segment rétro len
al inférieur. - /, insula. - la, Ip, circonvolutions antérieures et postérieures de l'insula. - ip, sillon inter-pariétal. - L"
e Rolando. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - sec, sinus du corps
du , ]J/'écunéus représentée par le pli de passage pariéto-limbique postérieur (-plp), puis le lobe limbique sectionné dans la
emi- Ci genou de la capsule interne. - Cing, cingulum. Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-le
inférieur. - -cl, pli cunéo- limbique, - 7cplp, pli cunéo-limbique postérieur . - R, scissure de Rolande. Lits, radiations opt
e Rolande. Lits, radiations optiques de Gratiolet. - S (p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - ses, sillon du cor
e, toenia tecta. - T'la, pilier antérieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche optique. - Tp, circonv
VEUX. circzdaris ; elle est limitée en dehors et séparée du segment postérieur de la cap- , sule interne (Cip) par la zone rét
nt suivre, un genou (Ci[g]), un segment antérieur (Cia), un segment postérieur (Cip.) et un segment rétro-lenticulaire (Cirl).
Ne) de la couche optique, dans lesquels elles s'irradient. Le segment postérieur , de la capsule interne (Cip) comprend deux ord
font partie du système du pied du pédoncule cérébral. De la partie postérieure de la couche optique, partent des fibres horizo
rend le cundus (C). Ce dernier forme avec le pli pariéto-lim- bique postérieur (-1tplp) et J'isthme du lobe limbique (L,), le lo
de l'insu la peut être divisée en deux parties inégales. La partie postérieure ou rétro-insulaire est formée par la cir- . con
temporal profond (tp), et limitée en avant par le ' sillon marginal postérieur de l'insula (mp). La partie antérieure ou insulai
in une couche blanche interne, la capsule externe (Ce). A la partie postérieure de cette dernière, et touchant la convexité du pu
, le sillon insulaire (i), qui sépare la circon- volution insulaire postérieure (Ip) des trois circonvolutions de la région insul
onvolution frontale (F3), tandis que la cir'convo- lution insulaire postérieure est en rapport avec Yopercule rolandique (OpR).
. Ce dernier s'unit sur ses parties latérales au corps et au pilier postérieur du trigone (Tgp), en dehors desquels on trouve
stérieur du trigone (Tgp), en dehors desquels on trouve l'extrémité postérieure de la corne d'Ammon (C : 1). Le pilier postérieur
ouve l'extrémité postérieure de la corne d'Ammon (C : 1). Le pilier postérieur du trigone (Tgp) affecte sur cette coupe et sur
Zr) et la lame médullaire externe (Lme), qui la séparent du segment postérieur (Cip) et du segment rétro-lenticulaire (Cirl) de
lenticulaire (NL3, NL.,) et donne naissance au pédoncule thalamique postérieur , c'est-à-dire aux mdia- lions optiques de Grali
ns lequel pénètrent les fibres horizontales, radiaires, du segment, postérieur de la capsule interne (Cip) d'une part, et le péd
ne contient pour ainsi dire que des fibres thalamiques, le segment postérieur (Cip) ne contient que des fibres opto- slriécs
en arrière le noyau lenticulaire, dans toute l'étendue de la partie postérieure de la couche optique qui correspond il la corti
ircon- volution frontale. - Mo, trou de Monro. znp, sillon marginal postérieur . - Na, noyau ' antérieur de la couche optique.
pari, sillon prérolandique inférieur. - 7l)lp, pli pariéto-limbique postérieur . - R, scissure de Rolande - 7fy/t, radiations o
Rolande - 7fy/t, radiations optiques de Gratiolet. - S(p), branche postérieure de la scis- sure de Sylvius. - scc, sinus du co
- 1'ctp, tapetum. - Tga, pilier antérieur du trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche optique. - Tp, circonv
ilot allongé compris entre la branche verticale S(v) et la branche postérieure S(p) de la scissure de Sylvius ; il est formé e
poral occupe sur cette coupe les deux tiers antérieurs de la moitié postérieure du cerveau; il est représenté par la circonvoluti
ne apparaît, entre la surface de section du cunéus (C) et la partie postérieure du lobe limbique (L,), un nouveau lobe, le lobule
e pariéto-occipilale. - Put, pulvinar. - 7tfJip, pli pariétu-limhiquc postérieur . - / ! 77;, radiations optiques de Gratiolet. -
ieur. - / ! 77;, radiations optiques de Gratiolet. -S (pu), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - S(a), branche vert
arinien (L,) et de la partie inférieure du pli P[l1'irJto-limbir¡ue postérieur ("plp). La face anté- rieure ou profonde du lob
e la circonvolution, godronnée (Cg), on trouve la section du pilier postérieur du trigone. Le bord libre de ce pilier est effilé
lcarine (K), par une couche de fibres foncées appartenant au faisceau postérieur du cingulum (Cing); en dehors, la corne occipit
anches, qui se rendent à la couche optique en traversant le segment postérieur de la capsule interne (Cip). La couche optique
nia lltcclazni (tth) et appartient au troisième ventricule (V3), la postérieure est extra- ventriculaire (Sexv), libre et recou
alamus (Line) et la zone réticulée (Zr), qui le séparent du segment postérieur de la capsule interne (Cip). En arrière, le noy
ation foncée d'avec les fibres d'association voisines; son faisceau postérieur (Cingfp]) se trouve sectionné dans l'isthme du lo
s fibres d'association propres des cir- cingulum. Cing(p), faisceau postérieur du cingulum. Cip, segment postérieur de la caps
r- cingulum. Cing(p), faisceau postérieur du cingulum. Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-le
- cm, sillon calloso- marginal. CO, centre ovale. - cop, commissure postérieure . - Csc,. circonvolutions sous- calleuses. do, d
ion de l'habénula. Gp, glande pinéale. -la, Ip, insula antérieur et postérieur . - Iv, scissure calcarine. - K + po, union de l
- Put, pulvinar. - 7-el, pli cunéo-limbique ? pli pariéto- limbique postérieur . - RT/¡, radiations optiques de Gratiolet. - S(p)
ions optiques de Gratiolet. - S(p), S, (v), branches verti- cale et postérieure de la scissure de Sylvius. sec, sinus du corps ca
e, entre le pulvinar (Pul) et le tapetum (Tap), en dehors du pilier postérieur du trigone. Les plexus choroïdes, qui ferment l
bstance grise centrale (Sgc) du troisième ventricule (VJ. La partie postérieure est extraventri- culaire et appartient à la fac
partie postérieure est extraventri- culaire et appartient à la face postérieure et libre du pulvinar (Pul). Le ganglion de l'ha
on de l'habénula est réuni à celui du côté opposé par la commissure postérieure (cop), en arrière de laquelle la coupe intéress
me segment du noyau lenticulaire (NL). Les segments azrté- rieur et postérieur de la capsule présentent un aspect très différent
croscopiques de la capside interne, chalo. III, p. 577). Le segment postérieur présente un aspect tout autre. Il se dirige obli-
une antérieure, la plus étendue ou lenticulo-ohtique (Cip), l'autre postérieure , plus petite ou rétro- lenticulaire (Cirl). Le se
ient presque toutes dans le pulvinar (Pul), en formant le pédoncule postérieur du thalamus ou les radiations optiques de Grati
ne du thalamus (Ne). La partie lenticulo-optique (Cip) du segment postérieur de la capsule interne en constitue la région la
des libres transversales qui traversent horizontalement ce segment postérieur de la capsule interne. Ces fibres transversales
e, proviennent de l'écorce et descendent avec les fibres du segment postérieur de la capsule interne ; elles s'entre-croisent
s du noyau lenticulaire, traversent le globus pallidus elle segment postérieur de la capsule interne (Cip), et se rendent dans l
passe par la commissure blanche antérieure (coa), par la commissure postérieure (cop), la partie inférieure de la couche optique
forceps du corps calleux (Fm')en dedans duquel on trouve le faisceau postérieur du cingulum (Cing [p]). Au niveau du fond de la
interne. - Cing, faisceau horizontal du cingulum. Cing(p) [faisceau postérieur du cingu- lum. - Cip, segment postérieur de la
ingulum. Cing(p) [faisceau postérieur du cingu- lum. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Ci·l, segment rétro-lent
- coa, commissure antérieure. - CO, centre ovale. - cop, commissure postérieure . - Csc, circonvolutions sous-calleuses. - do, div
- la, insula antérieur. - io, sillon inter-occipital. - Ip, insula postérieur . - li, scissure calca- rine. K', incisure de la
perficielle. - ma, sillon marginal antérieur. - mp, sillon marginal postérieur . - 7 ? zF , face interne de la première circonvol
ns optiques de Gratiolet. - S, scissure de Sylvius. - S(y), branche postérieure de la scissure de Sylvius. S (v), branche vertica
Lp NL/) le plus petit, correspond à la moitié antérieure du segment postérieur de la capsule interne. Ces segments sont sillon
t sillonnés de nombreuses fibres branches qui traversent le segment postérieur de la capsule interne (Cip) et qui impriment au
uche optique est réunie il celle du côté opposé par la commis- sure postérieure (cop). La partie de la couche optique située en a
. La partie de la couche optique située en avant de la com- missure postérieure (cop) appartient au troisième ventricule (V.,). L
tubercule quadrijumeau antérieur (Qa) s'insinue entre la commissure postérieure (cop) et le suie externe. - Cg, circonvolution
i ! t), genou de la capsule interne. - Cing, cingulum. Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-lent
- CO, centre ovale. - coa, commissure antérieure. - cop, commissure postérieure . do, diverticule occipital. lis, diverticule du s
- la, insula antérieur. - io, sillon inter- occipital.- Ip, insula postérieur . - IC, scissure calcarine. - K + po, union de la
- ma, sillon marginal antérieur de l'insula. - mp, sillon marginal postérieur de l'insula.-NC, tète du noyau caudé. - NC', queu
7'cil), tapetum. - 7 ? a, pilier antérieur du trigone.- 7'p, pilier postérieur du trigone. Th, couche optique. lit i-i, premie
u lobe limbique (L,), passe par les commissures antérieure (coa) et postérieure (cop), la partie supérieure de la région sous-
ginal antérieur de l'insula (ma), en arrière par le sillon marginal postérieur (mp). Il comprend quatre à cinq circonvolutions
ssez profond, le sillon insulaire (i) divise en deux régions, l'une postérieure , la circonvolution, postérieure de l'insula (Ip
e (i) divise en deux régions, l'une postérieure, la circonvolution, postérieure de l'insula (Ip) et une antérieure, comprenant le
olution godronnée (Cg) et la corne d'Ammon (CA) surmontée du pilier postérieur du trigone (Tgp), Substance blanche. Le cingulu
ns toute l'étendue de la corne sphénoïdale, il est coiffé du faisceau postérieur du cingulum (Voy. Cingulum). En arrière, le car
forment avec ces dernières la zone de WIJ/'IIÍi : ke(W). Le segment postérieur de la capsule interne (Cip) n'a pas changé d'as
halamus, elles se réunissent il la partie antéro-interne du segment postérieur de la capsule (Cip), pour former un faisceau al
t antérieur de la capsule interne. - Cing, cingulum. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-lent
-occipital. - io', incisure du sillon inter-occipital. - Ip, insula postérieur . - K, scissure calcarine. - K + po, union des sci
- ma, sillon marginal antérieur de l'in- sula. mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - NC, tète du noyau caudé. - NC. que
visé en deux régions par le sillon insulaire (i). La circonvolution postérieure de l'insula (Ip), bien délimitée, est recouvert
sente que deux dentelures, correspondant l'une, à la circonvolution postérieure de l'in- sula (Ip), l'autre, 11 la circonvoluti
au lenticulaire (Al), qui contourne l'extrémité antérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip), qu'il sépare des d
ques fibres de l'anse du noyau lenticulaire traver- sent le segment postérieur de la capsule interne (Cip) pour se rendre dans l
he optique a disparu, elle n'est plus représentée que par sa partie postérieure et libre, le pulvinar (Pul), dans lequel apparais
te sous l'aspect d'une lentille biconvexe, enclavée dans le segment postérieur de la capsule interne (Cip) et reçoit la plus g
ert (FM). Le corps genouillé interne (Cgi) fait saillie à la partie postérieure de la région sous-optique. Il se présente sous
particulier les radiations optiques de Gratiolet (RTh). Le segment postérieur de la capsule interne (Cip) est un pe,u moins l
ES DU CERVEAU. 423 Mais il reçoit en outre à sa partie tout il fait postérieure des fibres hori- zontales provenant du lobe tem
tituent le faisceau de Tiil'ck (FT) et des- cendent avec le segment postérieur de la capsule interne (Cip) dans le pied du péd
terne. Cingla), faisceau antérieur du cingulum. - Cing(p), faisceau postérieur du cingulum. CL, corps de Luys. CM, commissure
- Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - fs, sillon tardif (fissura scrotina de His).
occipital. - io', incisure du sillon inter-occipital. - Ip, insula postérieur . - Fil, faisceau uncinalus. Fus, lobule fusifor
embryonnaire. - ma, sillon marginal antérieur. znp, sillon marginal postérieur . - mF,, face interne de la première circonvolutio
raphé, en. avant de l'aqueduc de Sylvius, le faisceau longitudinal postérieur (Flp). La partie antéro-externe de la région so
u pédon- cule (P), et qui décrit une courbe il concavité interne et postérieure , dans laquelle est logée la lentille bi-cOllvex
dernières fibres de projection du lobe occipito- temporal, sa face postérieure concourt à former la lèvre supérieure de la fente
oyau supérieur de la troisième paire, avec le faisceau longitudinal postérieur (Flp). La substance innommée de Reichert (Sti)
lobe temporal droit il celle du lobe temporal gauche. Le faisceau postérieur appartient au système de la bandelette optique. I
ient au système de la bandelette optique. Il con- tourne le segment postérieur de la capsule interne qui constitue déjà sur cell
en avant du noyau rouge (NR), en dedans de la sub- stance perforée postérieure (Spp). Cette coupe intéresse la partie postérieur
stance perforée postérieure (Spp). Cette coupe intéresse la partie postérieure du tuber cinereum (Te) et par conséquent la par
e terminale embryonnaire (It), en arrière par la substance perforée postérieure (Spp). En arrière du troisième ventricule on trou
e (P) on reconnaît les trois régions qui le constituent : la région postérieure ou région des tubercules quadrij umeaux (Qa), sit
ouge (NR), le ruban de lcil médian (Rm) et le faisceau longitudinal postérieur (Flp) ; la région inférieure ou pied du pédoncule
t tient à une torsion des libres sur leur axe. Dans toute sa moitié postérieure , la bandelette optique (II) s'applique contre l
li, faisceau longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longi- tudinal postérieur . - Fu, faisceau uncinatus. - Fus, lobule fusiform
embryonnaire. ma, sillon marginal antérieur. - mp, sillon marginal postérieur . - fiice interne de la première cir- convolutio
roca. - Spa, substance perforée antérieure. - Spp, substance perforée postérieure . - SR, substance réticulée. - Sti, substance in
ngement est entouré par les fibres du trigone et celles du faisceau postérieur du cingulum.. Dans cette région, la surface de
scendens d'Eckcr. ds, diverticule du subiculum. Epp, espace perforé postérieur . - F,, F" Fa, première, deuxième et troisième cir
li, faisceau longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudi- nal postérieur . - Fu, faisceau uncinatus. - Fus, lobule fusiform
re. - Spa, substance perforée antérieure. - Spp, substance perforée postérieure . - Sti, substance innommée de Reichert. - T,, T
lobule fusiforme (Fus) et le subdivise en trois parties, une partie postérieure qui appartient à la pointe occipitale, un îlot
r la corne d'A ? it ? io)i (CA) et l'extrémité antérieure du pilier postérieur du trigone (Tgp) dont le sommet s'insère sur la c
tions temporales. - t,, sillon parallèle. Tap, tapetum. Tgp, pilier postérieur du trigone. - U, circonvolution du crochet. - V,
83) la limite antérieure de l'espace perforé antérieur. A la partie postérieure du sillon olfactif, on trouve une surface de se
it un arc autour du sillon de l'hippocampe (h), arc dont le segment postérieur correspond au diverticule du. subiculum (ds). Le
faisceau uncinalus (Fu) le sépare de l'écorce temporale. La partie postérieure de la paroi externe de la corne sphé- noïdale e
gine de la scissure de Sylvius (S), dans laquelle s'insinue le bord postérieur tranchant de la petite aile du sphénoïde. Écorc
ec du corps calleux (Ce'), c'est-à- dire au niveau de la limite postérieure de la corne (l'on- tale. Les coupes nls 40, 4
cir- convolution frontale. S(6t), S[p), S(v), brandies antérieure, postérieure et verticale de la scis- sure de Sylvius. Sec,
orps calleux. - Sge, substance grise centrale. SrJ), S(v), brandies postérieure et. verticale de la scissure de Sylvius. T,, 7
- ma, sillon marginal antérieur de l'insula. - mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - NC, noyau caudé. NL3, troisième se
tance grise sous-épendymaire. SI, Sep- tum lucidum. - S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. T,, 7's, T3, première,
i que dans toutes celles qui suivront, jusqu'au niveau de la partie postérieure du bourrelet du corps calleux, le cerveau ne pr
rieur (ms), et du lobe temporal par le sillon, marginal inférieur ou postérieur (mp). Au niveau du lobe temporal, nous trouvons
interne de la première circonvolution frontale. mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - VC, noyau caudé. - NL3, NL ? trois
ance grise sous-épcndymaire. - SI, sep- tum lucidum. S (y), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Spa, substance per
j) ou gyrus reclus (oF1[Gr]); la coupe intéresse en outre la partie postérieure du lobule orbitaire et le tubercule olfactif (T
terne de la première circonvolution frontale. - mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - ms, sillon marginal supérieur de
prérolandique inférieur. It, scissure de Rolando.. - S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Sge, subs- tance g
prérolandique inférieur. - R, scissure de Rolando. - S(p); branche postérieure de la scissure de Sylvius. Se ? surface extra"ven
iétale ascendante (Pa) et l'entaille profonde formée par la branche postérieure de la scissure de SylviusS (p). Le fond de cett
corps calleux. - Ce, capsule externe. - Cing, cingulum Cip, segment postérieur de la capsule interne. - cm, sillon calloso-margi
terne de la première circonvolution frontale. - mp, sillon marginal postérieur de l'insula. - nzs, sillon marginal supérieur de
prérolandique inférieur. - Il, scissure de Rolando, - S (1», branche postérieure de COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 453 La c
o- interne, oblique en bas et en dedans, en rapport avec le segment postérieur de la capsule interne (Cip) en haut, le pédoncu
sceau arqué. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cing, cingulum. - CL, co
e de Rolando. -l11'i, sillon prérolandique inférieur. S(p), branche postérieure do la scissure de Sylvius. Sexv, surface extra-
ce externe de la couche optique (Th) est en rapport avec le segment postérieur de la capsule interne (Cip) dont la sépare la z
trié, qui tient aux fibres radiaires qui le pénètrent. Le segment postérieur de la capsule interne (Cip) sépare le noyau caudé
ule externe. - Cex, capsule extrême. - Cing, cingulum. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - CL, corps de Luys. cm,
, centre ovale. ds, diverticule du subiculum. - Epp, espace perforé postérieur . - F, champ de Forci. - Fui, première circonvol
ando. - /i77t, radia- tions optiques de Gratiolet. - S (p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - sec, sinus COUPES
(Pa), qui concourt il former opercule rolandique (OpR). La branche postérieure de la scissure de Sylvius (S[pJ) entaille profo
oupes nOS 78 et 80 (fig. ' : 250- 251), qui intéressent l'extrémité postérieure et effilée de la circonvolution du crochet (U).
quel s'arrête l'écorce cérébrale. Elle est recouverte par le pilier postérieur du trigone (Tgp) qui la déborde en dedans et do
Ce, capsule externe. - Cg, circonvolution godronnée. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - cm, sillon calloso-margi
sillon calloso-marginal. - CO, centre ovale. - Epp, espace perforé postérieur . - Fa, circonvolution frontale ascen- dante. -f
le diL'I'I'/iwle du subiculum (ds) limite en bas, et par le pilier postérieur du trigone (Tgp) (f ? ? 51). Le troisième ventr
250), le deuxième segment (NL2) se perd dans les fibres du segment postérieur de la capside interne (Cip) et sur la coupe n° 80
) et la zone réticulée ou grillagée (Zr) qui le séparent du segment postérieur de la capsule interne (Cip). La face supérieure
ué entre deux couches de fibres blanches, et qui répond il bipartie postérieure du noyau antérieur (Na). (Voy. Coupes microscopiq
calleux. - Cg, circonvolution godronnée. Cing, cingulum. Cip, segment postérieur de la capsule interne.-cm, sillon calloso-margi
calotte. - 77;, radiations optiques de Gratiolet. - S (p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. Sge, substance grise
pédoncule. Il se porte en haut et en dehors, représente le segment postérieur de la capsule interne (Cip) et sépare le noyau
gne antérieur. - tec, taenia tecta. - 7'<y, trigone. - Typ, pilier postérieur du trigone (Fimbri : v). - Th, couche optique.
336. Ces coupes intéressent le lobule paracentral (Parc), la partie postérieure de la branche postérieure de la scissure de Syl
t le lobule paracentral (Parc), la partie postérieure de la branche postérieure de la scissure de Sylvius S (p), le corps genouil
ig. 253) apparaissent le ganglion de l'habénula (Gh), la commissure postérieure (cop) et l'embouchure de l'aqueduc de Sylvius (
s réduit de volume. Ces coupes n'intéressent en effet que la partie postérieure de son tronc (NC) au niveau de l'étage supérieu
rne. Cgi, corps genouillé interne. - Cing, cingulum. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - cm, sillon calloso-mar
calotte. iî7'/i, radiations optiques de Gratiolet. - S(p). branche postérieure de la scissure de Sylvius. - sec, sinus du corps
ième sillons tem- poraux. T'ap, tapetum. - Tg, trigone. Tgp, pilier postérieur du trigone. 7'/t, couche .optique. - Tp, circon
. -C71, corps genouillé ' ~- interne : Cing, cingulum. Cip, segment postérieur de la capsule interne. cm, sillon calloso-mâr';
cm, sillon calloso-mâr';inal. - CO, centre ovale. - cop, commissure postérieure . ds, diverticule du subiculum ? Fa, circonvolut
n de Reil. - IiTh, radiations -optiques de Gratiolet. S (pu), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Sge, substance gri
me sillons temporaux. Tap, tapetum. Tg, trigone. - 7·gl>, pilier postérieur du trigone. Th, couclie optique. Tp, circonvoluti
cm, sil- lon calloso-marginal. CO, centre ovale. - cop, commissure postérieure . ds, diverticule du subiculum. Fla, circonvolut
opti- ques de Gratiolet. - rp, recessus pinealis. - J (p), branche postérieure de la scissure de Syl- vius. - sec, sinus du co
face inférieure libre, une face interne en rapport avec le segment postérieur de la capsule interne (Cip) sur la coupe n° 83
. coupes microscopiques horizontales (fig. 306 à 308). Le segment postérieur de la capsule interne (Cip) se continue directeme
cm, sillon calloso-marginal. - CO, centre ovale. - cop, commissure postérieure . - Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fli,
latéral. H771, radiations optiques de Gra- tiolet. - S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Se.vv, surface extra
ible sur la coupe n° 83 (fig. 252), qui intéresse la partie la plus postérieure de la capsule externe (Ce) et de l'aaan.f-ziaur
nières coupes (fig. 25 ? 25t et 255) intéressent en outre la partie postérieure de la calotte ou étage supérieur du pédoncule. On
e Sylvius (Aq) entouré de la substance grise, en haut la commissure postérieure (cop) et en dehors la substance réticulée (SR), b
oraux. Tap, tapetum. - tec, toenia tecta. - Tg,triâone.-1'p, pilier postérieur du trigone. VI, ventricule latéral. Vsph, corne
ème et troisième sillons temporaux. tec, t,enia tecta. 1'gp, pilier postérieur du trigone. l'l, ventricule latéral. 474 ANATOM
volution change de forme. La coupe intéresse en effet ici la partie postérieure du bourrelet du corps calleux (Ce [Spl]) et la pa
e seconde fois dans la corne sphénoïdale (Vsph) au niveau du pilier postérieur du trigone (Tgp). La coupe n° 93 (fig. 237) int
eur du trigone (Tgp). La coupe n° 93 (fig. 237) intéresse le pilier postérieur du trigone (Tgp) Ü son origine, c'est-à-dire da
A). Les coupes nos 95 et 97 (fig. 258 et 259) intéressent sa partie postérieure ; le pilier ptostérieur (Tgp) forme sur ces coupes
qui limitent le carrefour ventriculaire en avant, il savoir le pilier postérieur du trigone (Tgp), la lame cornée (le) et la que
e sillons temporaux.- Tap, tapotum. tec, tcenia tecta.- Tgp, pilier postérieur du trigone. Voc, corne occipitale du ventricule l
coupe n° 92 (fig. 256). La coupe n° 93 (fig. 257) intéresse la partie postérieure de sa queue immédiatement en avant du carrefour
la coupe n° 92 (fit. 256), qui correspond encore à la partie la plus postérieure de la scissure sylvienne, ainsi que l'indique l
ourrelet du corps calleux. Les deux premières passent par la partie postérieure du lobule paracentral (Parc), les autres, par l
me du lobe limbique (L (i)) qui se continue en avant avec la partie postérieure de la circonvolution de l'hippocampe (H). Au-de
, la partie verticale du sillon calloso-marginal (cm') et la partie postérieure du lobule paracentral (Parc). La face externe de
nd à son sominet, le cunéus s'étale considérablement sur les coupes postérieures (133 et 137) (fig. ? G5, 266), mais ces. coupes
entriculaire n'atteint donc pas la pointe occipitale, son extrémité postérieure en est éloignée peu près trois centimètres. S
ique (L,), par les plis de passage paJ'iéto-lirnbiques antérieur et postérieur ( ? pla, zlnlp). Le bord supérieur du précunéus
e cérébelleux inférieur et médian. Lip, lobe cérébelleux inférieur et postérieur . - Lsp, lobe cérébelleux supérieur et postérieu
lleux inférieur et postérieur. - Lsp, lobe cérébelleux supérieur et postérieur . - Ln, locus niger. - Ly, lyre. - »eF,, face in
- Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. - Qp, tubercule quadrijumeau postérieur . - fi, scissure de Rolando. RC, radiations de l
ale - Spa, substance perforée antérieure. - Spp, substance perforée postérieure . SR, substance réticulée. tec, ttenia tecta. Tg,
e noyau caudé a former le plancher du ventricule latéral; la partie postérieure est extra-ventriculaire ; elle se continue sur
t, du cervelet au noyau rouge. Au-dessous du tubercule quadrijumeau postérieur (Qp), nous trouvons enfin une mince couche de f
du cerveau intermédiaire avec celui du cerveau moyen et du cerveau postérieur . Cet angle correspond il peu près il la région so
mmidal (Py). La région de la calotte se continue de môme avec l'étage postérieur de la protubérance ; elle ne comprend sur cette
n calloso-marginal. - coa, commissure antérieure. - cop, commissure postérieure D, gyrus descendons d'Ecker. - F,, première cir
cérébelleux inférieur et médian. Lip, lobe cérébelleux inférieur et postérieur . Lmi, lame médullaire interne de la couche opti
ébelleux supérieur et médian. - lisp, lobe cérébelleux inférieur et postérieur . - Ly, lyre. 711F,, face interne de la première c
fronto-limltiquc. 7cplci, pli parieto-limbiquc pli pariéto-limbiquc postérieur . . - arl, pli rétro-limbique. - Qa, tubercule q
e (Lmi), qui grâce à sa direc- tion courbe, il concavité interne et postérieure , se trouve sur cette coupe sec- tionnée deux fo
laire, dont la base est formée par le pulvinar (Pul), la commissure postérieure (cop) sectionnée perpen- diculairement et la pa
e calcarine (K) n'est représentée que par ses parties antérieure et postérieure . Le ruban, de Vicq d'Azur (V) se présente avec
r cette coupe par sa face externe et superficielle. A son extrémité postérieure , le sillon de l'hippocampe (h) la sépare des ci
u trigone (Tg), au niveau du point où il se continue avec le pilier postérieur . A son extrémité antérieure, la circonvolution
ventricule latéral (Vsph) et le noyau amygdalien (NA), dont la face postérieure fait saillie dans la corne sphénoïdale, et dont l
st encore très petit et décrit avec le noyau une courbe à concavité postérieure et infé- rieure, dans laquelle se loge le globu
ais elle présente toujours dans cette série de coupes une extrémité postérieure libre, le pulvinar (Pul), qui correspond il la
re. slra, stratum zonale. Tg, trigone. - Th, thalamus. Tr/p, pilier postérieur du trigone. U, circonvolution du crochet. V, ru
onvolutions sous-cal- leuses (Csc), et se continuent avec la partie postérieure de la circonvolution godronnée (Cg). La circonv
sectionnée deux fois sur cette coupe, une fois au niveau du pilier postérieur du trigone (Tgp), une seconde fois en arrière d
née. - Cia, segment anté- rieur de la capsule interne. Cip, segment postérieur de la capsule interne. coa, commis- sure antéri
par les plexus choroïdes (Pchl) du ventricule latéral et le pilier postérieur du trigone (Tgp). La corne sphénoïdale (Vsph) se
ls (NL2, 1)' Ces fibres correspondent au tiers antérieur du segment postérieur de la capsule interne (Cip), et sont situées immé
roisième circonvolutions tempurales.-7;g, tri- gone, 1 : qp, pilier postérieur du trigone. TgYI, trigone du ventricule latéral.
502 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. (fig. 270). Les fibres de ses 2/3 postérieurs présentent encore le même aspect que sur cette
la, de la bandelette optique (II), du pulvinal' (Pul) et du segment postérieur de la capsule interne (Cip). Écorce. - L'écorce
nue, son écorce se continue il la partie antérieure et il la partie postérieure du sillon de l'hippocampe (h) avec celle de la
gment interne du noyau lenticulaire (NL,) par les fibres du segment postérieur de la capsule interne (Cip), qui présentent toute
sule interne (Cia) n'est donc pas comparable à celle de son segment postérieur (Cip); celui-ci contient surtout des fibres péd
s toute leur longueur la circonvolution godronnée (Cg) et le pilier postérieur du trigone (Tgp). Écorce. - L'écorce ne prése
es latérales de la fente céré- 1)J'ale de Bichat (B) avec le pilier postérieur du. trigone (Tgp). La substance grise de la cor
celle de la circonvolution godronnée (Cg) comprise entre le pilier postérieur du trigone et la lame médullaire moyenne. Le ve
Rei- chert. - T'a, deuxième circonvolution temporale. - Tgp, pilier postérieur du trigone. TgVI, trigone du ventricule latéral
dronnée. Cia, segment antérieur de la capsule interne. Cip, segment postérieur de la capsule interne. - CO, contre ovale. coa,
le, lame cornée et COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 50î L'angle postérieur de la corne sphénoïdale est fermé par l'insertion
par les plexus choroïdes (Pchl) qui s'insèrent d'une part au pilier postérieur du trigone (Tgp) et d'autre part, au sillon opt
tés que par les ponts de substance grise qui cloisonnent le segment postérieur de la capsule interne (Cip) et qui relient le noy
paré du deuxième segment du noyau lenticulaire (NL2) par le segment postérieur de la èa]Jsule interne (Cip), qui se pré- sente
siforme. Tap, tapetum. - Th, thalamus (couche optique). Tgp, pilier postérieur du trigone. - TgVl, tri- gone du ventricule lat
ux. Ce, capsule externe. Cl, circonvolution godronnée. Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cirl, seg- ment rétro-
moyenne. Ventricule latéral. Cette coupe passe en dehors du pilier postérieur du trigone et de l'insertion des plexus choroïd
roisième segment du noyau lenticulaire (NL3) sont lisses, sa moitié postérieure donne naissance il des languettes de substance
nter-pariétal. -ma, sillon marginal antérieur. zip, sillon marginal postérieur .-ms, sillon marginal supérieur. NC', queue du n
insula. /, sillon de l'insula. la, insula antérieur. - Il), insula postérieur . ip, sillon inter-pariétal. - ma, sillon margin
nter-pariétal. - ma, sillon marginal antérieur. mp, sillon marginal postérieur . ms, sillon marginal supérieur. 0,,03, deuxième
ment antérieur est oblique en haut et en arrière, et dont la partie postérieure décrit une courbe assez accentuée. Ces fibres app
tuée. Ces fibres appar- tiennent il la partie inférieure du segment postérieur et au segment lie it- laire de la capsule inter
rrespond il la base du gyrus supra-marginalis (OpP2,Gsm). La partie postérieure de la circon- volution pariétale inférieure (P
sure de la partie verticale du sillon parallèle (t',). Cette partie postérieure de la circonvolution pariétale in férieure, appar
pli courbe (Pc) dont elle constitue le segment antérieur. Le segment postérieur du pli courbe (Pc) est formé par la deuxième ci
(S); son écorce se continue d'une part, le long du sillon marginal postérieur de l'insula (mp) avec l'écorce de la région rét
cette coupe, au niveau du point où les circonvolutions antérieures et postérieures de l'insula se continuent avec l'opercule rolan
re (i), qui divise l'insula en insula anté- rieur (la) et en insula postérieur (Ip). Laparlie postérieure du sillon marginal s
a en insula anté- rieur (la) et en insula postérieur (Ip). Laparlie postérieure du sillon marginal supérieur (ms) se continue i
al supérieur (ms) se continue il angle aigu avec le sillon marginal postérieur (mp), qui sépare l'insula postérieur du lobe te
e aigu avec le sillon marginal postérieur (mp), qui sépare l'insula postérieur du lobe temporal. Dans le fond des sillons margi-
e temporal. Dans le fond des sillons margi- 7//lII.I : supérieur et postérieur , l'écorce temporale fait saillie, et donne naissa
et la branche verticale. (S [v]) de la scissure de Sylvius. La plus postérieure des circonvolutions antérieures de l'insula, se
blanche de l'opercule rolandique (OpR). La circonvolution insulaire postérieure (Ip) est étroite et allongée et se dirige obliq
i). Ce dernier est particulièrement accentué au niveau de la partie postérieure de la corne sphénoïdale. Coupe n° 43 (fig. 277)
naissance à une branche antérieure (S [a]) courte et à une branche postérieure (S [p]) extrêmement longue, qui se prolonge jusqu
itaire de la troisième cir- convolution frontale (OpF3). La branche postérieure (S [p]) est limitée en bas par la face supérieu
e de Heschl (Tp). Entre la branche antérieure (S [a]) et la branche postérieure (S [p]) de la scissure de Sylvius, l'écorce déc
sillon frontal. - ip, sillon inter-pariétal. - mp, sillon marginal postérieur . - Os, 03, deuxième et troisième circonvolution
o, - S, scissure de Sylvius. S(a), S(p), S(v), branches antérieure, postérieure et verticale de la scissure de Sylvius.- Tu 7, ï'
tiers de l'hémisphère. Les coupes A et B intéressent les deux tiers postérieurs de l'hémisphère (voy. fig. de repérage 291) et se
infé- rieure par le pédoncule cérébral et le tubercule quadrijumeau postérieur . Ces coupes sont assez rapprochées et l'on assi
prérolandique inférieur. - S, scissure de Sylvius. - S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius.-Sge, substance grise s
versent la capsule interne au niveau de son genou et de son segment postérieur , se mé- langent aux fibres précédentes, dont il
ibres de projection lenliculo-caudées ; elles traversent le segment postérieur de la capsule interne et s'épuisent pour la plu-
de projection non encore différenciés. Au niveau du sillon marginal postérieur de l'insula (mp), entre ce sillon et l'écorce de
stance grise, qui appartiennent à l'écorce de la partie profonde et postérieure de la circonvolution du crochet (Voy. coupe F,
e interne de la première circonvolution frontale. mp, sillon marginal postérieur . - n ? s, sillon marginal supérieur. -NC, noyau
prérolandique inférieur. - R, scissure de Rolando. - S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - S,ge, S,ge', subst
TOMIE DES CENTRES NERVEUX. suivent le trajet des fibres des piliers postérieurs et du corps du trigone; arrivées au niveau de l
ux radiations olfactives profondes, destinées aux cerveaux moyen et postérieur . Dans le luber cirtereunz (Te) qui limite le tr
ortent en arrière, contournent la partie sous-thalamique du segment postérieur de la capsule interne et entrent dans la consti
utamen (pal3) et on peut les suivre jus- qu'au-dessous de la partie postérieure de l'anse du noyau lenticulaire. Suivi sur des
interne de la première circonvolution frontale. mp, sillon marginal postérieur de l'insula. 1ns, sillon marginal supérieur de l'
stance grise sous-épendymaire. - sM, sillon de Monro. Slh), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - si ? stratum xonaie.
que d'avant en arrière et de haut en bas. Elle passe par le segment postérieur de la capsule interne, la partie antérieure du
Ime, lmi) du noyau lenticu- laÍ1'e, après avoir traversé le segment postérieur de la capsule interne (Cip). La queue du noyau
réside dans la couche optique, la région sous-optique et le segment postérieur de la capsule interne. La couche optique (Th) r
roisième ventricule. La face externe est en rapport avec le segment postérieur de la capsule interne (Cip) et présente un aspect
ver- sales ou horizontales : en connexion immédiate avec le segment postérieur de la capsule interne, on trouve une mince lame
Ces fibres arrivent au noyau externe par l'intermédiaire du segment postérieur de la capsule interne et s'entre- croisent au n
orps calleux. Ce, capsule externe. Cing, cin- bulum. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - CL, corps de Luys. cm, s
ied du pédoncule cérébral (P) et de la partie inférieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip), est limitée en dedan
l'autre par une lamelle grise appartenant il la substance, perforée postérieure . Sa moitié supérieure, com- prise entre le sill
ieure, com- prise entre le sillon de Monro et la substance perforée postérieure , fait partie du troisième ventricule; sa moitié
ns lequel apparaît le locus lIif71'I' (Ln) et la substance perforée postérieure . La région sous-optique se continue en bas et e
interne du noyau lenticulaire. Ln, locus nier.- mp, sillon marginal postérieur . - 112S, sillon marginal 1 supérieur. NA, noyau
n prérolandique inférieur. sec, sinus du corps calleux. S(p), branche postérieure de la, scissure de Sylvius. - S,qe, substance g
périeur; de la ces libres se portent en dedans, traversent le segment postérieur de la capsule interne (Cip) avec les fibres de
ans, traversent la ligne médiane au niveau de la substance perforée postérieure , et constituent le petit faisceau désigné par For
l'espace ¡II t 1"'}i,'dollwlaÎl'c. Cette coupe intéresse le segment postérieur de la capsule interne (Cip), formé de deux part
rieure. La supérieure correspond il la région lhalamique du segment postérieur de la capsule interne, la partie inférieure iL
ne, la partie inférieure iL la région sous-thalamique de ce segment postérieur . La capsule interne dans l'une et l'autre de ce
externe. Cg, circonvolution godronnée. C : H ? cingu)um. Cip, segment postérieur delà, capsule interne. cm, sillon calloso-margi
lobe temporal. ds, diverticulc du subicultllll. Epp, espace perforé postérieur . F,, première circonvolution frontale. l'" premie
u- bérance. Poa, fibres antérieures de la protubérance. Pop, fibres postérieures de la pro- tubérance. Pi/, faisceau pyramidal.
a calotte. RTIi, radiations thalamiques de Gratiolet. S'p], branche postérieure de la scissure de Sylvius.- sec, sinus du corps
oraux. Tap, tapetum. tec, ttenia tecta. 1 ? 7, trigone. Tgp, pilier postérieur du trigone. 771.Ve, noyau externe du thalamus.
a capsule du noyau rouge et en particulier au faisceau longitudinal postérieur . \ Le segment postérieur de la capsule interne
et en particulier au faisceau longitudinal postérieur. \ Le segment postérieur de la capsule interne (Cip) ne présente rien de
édentes, des fibres qui traversent laparlie supé- rieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip) et qui se rendent dan
e substance grise : ces fibres appartiennent aux confins du segment postérieur de la capsule interne (Cip); les inférieures abor
en dedans, on trouve les dernières fibres de faisceau longitudinal postérieur , ainsi que le faisceau 1"i[I'o(le : CI ? de Meyne
incata de Foret et la zone réticulée du thalamus (Zr). - Le segment postérieur de la capsule interne (Cip) est intéressant il ét
nnée. - Cing, cingulum. - cm, sillon calloso-marginal. Cip, segment postérieur de la capsule interne. -CR, couronne rayonnante.
, toile cl1tJroïdienne. tec, Uenia tecta. 1'g, trigone. : Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, coupe optique (thalamus). - Ith
rs le locus nigel' (Ln). Dans la région sous-thalamique, le segment postérieur de la capsule interne reçoit un contingent impo
ème circonvolutions temporales (1'2,1' : 1)' s'irradie dans un plan postérieur à celui de cette coupe et est vue en section tran
rance, où elles sont dissociées par les fibres protubérenlielles et postérieures (FPoa). Dans la corne sphénoïdale on trouve, en
es de Yalvéus (Alv) qui se continuent en haut avec celles du pilier postérieur du trigone (Tg-p). Coupe n° IX (iig. 1-187). Ce
segment rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl), la partie postérieure de la couche optique (Th), la coiii- missure po
la partie postérieure de la couche optique (Th), la coiii- missure postérieure (cop) et les corps g enouillès externe et interne
ement du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs), ainsi que la partie postérieure du pied du pédoncule cérébral (P)et de Y étage
oral. Ces dernières fibres se détachent des ra diations thalamiques postérieures (RTh), qui bordent le ventricule sphénoïdal (Vsph
apsule interne. CM, sillon c;tllÔso-iiiirgin;tl. - col), commissure postérieure . CR, couronne rayonnante. ds, (livei-lictile du s
orps genouillé interne (Cgi). Ces fibres appartiennent au pédoncule postérieur du thalamus (RTh, (Pp Th). Entre ces fibres et
aisceau longitu- dinal infé1'iew' (Fli) se confond avec le faisceau postérieur du cingulum. Quant il la paroi interne de la co
- Fli, faisceau longitudinal inférieur. - l'lp, faisceau longitudinal postérieur . - ft. fibres tangentielles. - Fus, lobule fusi
rconvolution de l'hippocampe. h, sillon de l'hippocampe. Ip, insula postérieur . ip, sillon inter-pariétal. L,, première circonvo
/c/t)A, plexus choroïde du ventri- cule latéral. - Pp1'h, pédoncule postérieur du thalamus. - Poa, fibres antérieures de la prot
lamus. - Poa, fibres antérieures de la protu- lpérance. Pop, fibres postérieures de la protubérance. - pour, sillon post-rolandiqu
atio- let. - RTh(PpTh), radiations thalamiques formant le pédoncule postérieur du thalamus. . S(p), partie postérieure de la s
amiques formant le pédoncule postérieur du thalamus. . S(p), partie postérieure de la scissure de Sylvius. - sec, sinus du corps
tiliiiiiis (couche oliti(luie). - ventricule tecta. - l'gpt, pilier postérieur du triâonc. - T/a, thalamus (couche optique). V
334 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. sectionnées en travers du pilier postérieur du trigone (Tgp). Sur celle coupe on voit très
champ de Wernicke et s'entre- croisent avec les fibres du pédoncule postérieur de la couche, optique (PpTh). Toutes les fibres
uc qui se porte un peu en avant, on trouve le faisceau longitudinal postérieur (l11) divisé en gros fascicules par les fibres
uent entre le pédoncule cérébelleux supérieur et la substance grise postérieure de la protubérance. Au-dessus de l'aqueduc de Syl
insertion, la coupe les intéresse en effet au niveau de leur partie postérieure . Le ventricule est tapissé par la substance gri
ibres vont se porter en arrière pour constituer le forceps major ou postérieur du corps calleux. La partie infé- rieure du bou
um de la corne d ? 1lll1non où elles se confondent avec le faisceau postérieur du cingulum. Nettement déli- mité au niveau du
la corne sphénoïdale et se bifurquent au niveau du sillon marginal postérieur de l'insula, en deux faisceaux : Le fais- ceau
sule interne, puis forme les fibres les plus inférieures du segment postérieur de la capsule exlcrvre (Voy. coupes 296 et 297)
n, comprend 6 coupes; les deux premières intéressent les deux tiers postérieurs de l'hémisphère, les quatre autres les deux tiers
artie infé- rieure du corps calleux (Ce), l'extrémité supérieure et postérieure de la corne d'Ammon (CA), le tiers supérieur de
ES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 363 s'épaissit au niveau de la partie postérieure de ce diverticule. La substance blan- che du lo
us (C) et du lobule lingual (Lg), fibres qui alimentent l'extrémité postérieure du faisceau longitudinal inférieur. Limité en d
x deuxième et première circonvolutions temporales (T" T,). Les deux postérieurs sont peu accusés; l'antérieur donne naissance à d
de nombreuses fibres, qui s'irradient en arrière du sillon marginal postérieur de l'insula (mp) dans la crête de la première c
ic. 292. Coupe horizontale microscopique A, comprenant les deux fiers postérieurs de l'hémisphère droit et passant par la ligne A
. Ci(g), genou delà capsule interne. - Cing, cingulum. Cip, segment postérieur de la capsule interne. Fc, fibres calleuses. -
de l'insula. la, insnla antérieur. ig, induscum griseum. lp, insula postérieur . - li, scissure calcarine. - Lu première circon-
ris. Lg, lobule linguai. Mo, trou de Monro. n : jo, sillon marginal postérieur . -.Va, noyau antérieur de la couche optique.. -
cta. - 1'g, trigone. - Tga, pilier antérieur du trigone.- Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche optique (thalamus). tl
. 293. - Coupe horizontale microscopique B, comprenant les deux tiers postérieurs de l'hémisphère droit et passant par la ligne d
ntéressé ou niveau de son corps et au niveau de l'origine du pilier postérieur (Tgp). Intimement uni au bourrelet du corps calle
iculaire sont formés de fibres à direction horizontale; [le segment postérieur (Cip) de fibres section- nées perpendiculaireme
capsule interne. Cig), genou de la capsule interne. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. CL, corps de Luys. cop,
ostérieur de la capsule interne. CL, corps de Luys. cop, commissure postérieure . - FI, faisceau lenticulaire de Forel. Fli, faisc
globus pallidus. - H, hippocampe. - la, insula antérieur. Ip, insula postérieur . - Lg, lobule lingual. lme, lame médullaire ext
e médul- laire interne du noyau lenticulaire. - mp, sillon marginal postérieur . - VC, noyau caudé. - NC', queue du noyau caudé
ion du ruban de Reil médian, avec le bras du tubercule quadrijumeau postérieur . - RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAr/
les. Tap, tapetum. r' ? a, pilier antérieur du trigone. - Top, pilier postérieur du trigone. - tu sillon parallèle. - V,, troisi
) sectionnées perpendiculairement à leur axe, contour- nent l'angle postérieur du ventricule et se prolongent sur la paroi posté
nent l'angle postérieur du ventricule et se prolongent sur la paroi postérieure du diverticule du subiculum,. où elles sont sec
e Tiirck (FT), faisceau qui entre dans la constitution de la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Ci
qui entre dans la constitution de la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip). Dans la circonvolu
lt;y), genou de la capsule interne. - Cing, cingulum. -Cip, segment postérieur de la capsule internes 0)), sil- lon calloso-ma
tudinal inférieur. - i, sillon insulaire. la, Ip, insula antérieur et postérieur . ? première circonvolution limbique. - le, lame c
de Monro. R, scissure de Rolando. - S(p), S(v),I)ranches verticale et postérieure de la scis- sure de Sylvius. Sge, substance gri
fortement colorées au voisinage des sillons, marginaux antérieur et postérieur de l'insula. La partie postérieure de la capsul
des sillons, marginaux antérieur et postérieur de l'insula. La partie postérieure de la capsule externe (Ce) reçoit, en effet, le
l, bandelette diagonale de Broca. - Ce, capsule esternc.-Cip, segment postérieur de la capsule interne. - CL, corps de Luys. - C
rième sillon frontal ou sillon olfactif. Flp, faisceau longitudinal postérieur . FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - FT, fais
sceau de Türck. - Fu, faisceau uncinatus. la, Ip, insula antérieur et postérieur . - lme, lame médullaire externe du noyau lentic
zontalement en dedans et contourner la partie antérieure du segment postérieur de la capsule ill- terne (Cip), qui affecte déj
s de la partie interne de la capsule du noyau rouge (NR). La partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip)
de la capsule du noyau rouge (NR). La partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip) reçoit le faisceau,
Al) et le faisceau, de TiiJ'ck (FT), les fibres verticales du segment postérieur de la capsule interne (Cip) sont divisées en fa
t. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur . Il, libres tangentielles. -Fu faisceau uncinat
en dehors par les fibres d'association propres du sillon, marginal postérieur de l'insula (mp). Entre le putamen (NL3) et la
ièrement épaisse au niveau du subi- culum (H[L=]) et de l'extrémité postérieure de la circonvolution du cnoclael (U) : ces fibr
t aux fibres d'association de la région, en particulier au faisceau postérieur du cingulum. Les fibres tangentielles de la circo
dès qu'elles ont dépassé le fond des sillons. La partie externe et postérieure de la masse blanche est formée sur cette coupe
rière, au niveau du point où il contourne les parties antérieure et postérieure du sinus du corps calleux (scc) ; à ce niveau i
êtrement des fibres sous-corticales, à ses extrémités antérieure et postérieure . En dehors elles sont limitées par la substance
onne rayonnante (pCR) est formé de deux ordres de fibres. La moitié postérieure , qui correspond aux circonvolutions rolandique
uble le fond du sillon pré-rolandique inférieur (pri) et la branche postérieure de la scissure de Sylvius (S[p]). A la face int
férieur. - RCc, radiations du corps calleux. S(p), fond de la branche postérieure de la scissure de Sylvius. - sec, sinus du corp
graduellement au sur et à mesure que l'on se porte vers l'extrémité postérieure du ventricule latéral (VI). Elles font place pe
ce externe par un petit fond de sillon qui appartient à l'extrémité postérieure du sillon marginal postérieur de l'insula [ni]})
sillon qui appartient à l'extrémité postérieure du sillon marginal postérieur de l'insula [ni]}) et il la face interne, par l
un angle très oblique. Les fibres du segment thalamique ou segment postérieur de la capsule interne (Cip) sont de deux ordres
é de ces fibres nettement transversales, on trouve dans le segment, postérieur de la capsule FiG. 303. Coupe horizontale micro
e. - Cia, segment anté- rieur de la capsule interne. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - CO, centre ovale. Fie,
le, lame cornée et t : enia semi-circularis. - mp, sillon marginal postérieur . - NC, tête du noyau caude. - NC', queue du noy
ent la différence d'aspect du segment antérieur (Cia) et du segment postérieur (Cip) de celte capsule. Le genou qui sépare ces
à leur longueur. Les fibres horizontales des segments antérieur et postérieur de la capsule interne dépassent en dehors la li
299. Cette coupe passe par les sillons marginaux supérieur (ms) et postérieur (mp) de l'insula, la partie supérieure du noyau
par leur écorce aux circonvolutions operculaires. La circonvolution postérieure de l'insula (11» est intéressée dans une plus g
la partie antérieure appartient au genou du corps calleux, \a partie postérieure au tronc (Ce) qui forme la voûte du ventricule
capsule interne. - Ci(g), genou de la capsule interne. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-le
faisceau longitudinal inférieur. - la, insula antérieur. Ip, insula postérieur . - le, lame cornée et t,enia semi- circularis.
lame médullaire externe de la couche optique. - mp, sillon marginal postérieur . - ms, sillon marginal supé- rieur. Sa, noyau a
ule latéral (Plch) qui sur- montent le trou de Monro. L'extrémité postérieure du trigone (Tg) est effilée et sectionnée oblique
nsertion aux plexus choroïdes (Plch), qui s'étendent de l'extrémité postérieure du trigone au sillon opto-slrié (si). Les plexus
le trou de MUIII'oj en arrière il s'effile et atteint l'extré- mité postérieure de la couche optique. Il est limité en dedans par
s perpendiculairement à leur longueur. Aux extrémités antérieure et postérieure de cette lame, ces fascicules sont sectionnés d
re de la couche optique, dont elles forment les fibres radiées. Les postérieures proviennent des radiations thalamiques (RTh), e
nt des radiations thalamiques (RTh), et s'irradient dans le segment postérieur du noyau externe du thalamus (Ne). Sur cette co
se trouvent sectionnées une seconde fois, au niveau de l'extrémité postérieure de la couche optique, immédiatement en avant de l
ponts de substance grise, qui sillonnent les segments antérieur et postérieur de la capsule interne (Cia, Cip). Quelques îlot
ois segments de longueur inégale : le segment antérieur, le segment postérieur et le segment rétro-lenticulaire. Le segment anté
es-unes appartiennent aux fibres lenliculo-caudées. Dans le segment postérieur de la cap- sule (Cip) les fibres à direction ve
i) et les fibres pro- pres qui doublent le fond du sillon, marginal postérieur (mp). Il reçoit les fibres des radiations thala
nt par la ligne 6 de la figure 299. Cette coupe passe par la partie postérieure de la couche optique (Th), intéresse le noyau c
lon marginal antérieur de l'iuszela; en arrière, le sillon marginal postérieur (mp) le sépare de la première cir- convolution
d quatre circonvolutions, deux ant,C rieures (la), petites, et deux postérieures (Ip) plus grandes. Le pli le plus saillant 592
correspond à l'insula antérieur; il est séparé de la circonvolution postérieure de l'insula par le sillon insulaire (i). La pet
d dans la couche des fibres qui doublent le fond du sillon marginal postérieur (mp) d'une part, et d'autre part dans les fibre
'xleme change un peu, lorsqu'on aborde les extrémités antérieure et postérieure du troisième segment du noyau lenticulaire. La pa
t postérieure du troisième segment du noyau lenticulaire. La partie postérieure de la capsule externe (Ce) et la partie correspon
es pâles du fond de la capsule externe, et qui traversent la partie postérieure du noyau lenticulaire pour aborder le segment r
capsule interne. - Ci(g), genou de la capsule interne. Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cirl,. segment rétro-len
inférieur. i, sillon de l'insula. la, insula antérieur. Ip, insula postérieur . le, lame cornée et taenia semi-circularis. - Lma
, lame médullaire externe de la couche optique. mp, sillon marginal postérieur . Na, noyau antérieur du thalamus. NC, tète du noy
de la couronne rayonnante. Plch, plexus choroïdes. -l'pTla, pédoncule postérieur do la couche optique. RTh, radiations optiques
t colorées par la méthode de Weigerl. Elles se groupent à la partie postérieure du noyau caudé, traver- sent le segment antérie
ent, que l'on considère des régions plus antérieures. Dans le segment postérieur de la capsule interne. (Cip) au contraire, tout
bres sont coupées perpendi- culairement à leur axe. Dans ce segment postérieur , et principalement au niveau de sa paroi antéri
mité antérieure de la couche optique (Th, et les fibres du segment postérieur (Cip) qui, vues en section transversale, se pré
ngitudinal iujhicul' (Fli) confondu avec les radiations thalamiques postérieures (RTh) et qui n'apparaît nettement distinct que
couche optique (Th), dont elles forment les fibres radiées les plus postérieures . D'autres fibres, que l'on trouve éparpillées dan
amen (L.,). Quelques-unes entrent dans la constitution de la partie postérieure de la capsule exlerne (Ce). Cette coupe intéres
t dans la couche optique, au niveau de ses extrémités antérieure et postérieure . Dans ces mêmes régions, la zone réticulée est
aire externe du thalamus (Lme). Dans la partie adjacente au segment postérieur de la capsule interne (Cip), la zone réticulée (Z
e antérieure. On se rend facilement compte de la forme de la partie postérieure de ce noyau antérieur, en examinant soit les coup
en arrière, les fibres radiaires des pédoncules antérieur (PaTh) et postérieur (PpTh) de la couche optique. Dans le sillon opt
(NLJ s'est étendu en arrière; il atteint le fond du sillon marginal postérieur de l'insula (mp), et il est relié il la queue d
xième segment du noyau lenticulaire (NL2), qui le sépare du segment postérieur de la capsule interne (Cip) ; mais sa partie post
du segment postérieur de la capsule interne (Cip) ; mais sa partie postérieure reste néanmoins en connexion avec cette dernièr
ouveau et presque exclusi- vement à la couche optique. Le segment postérieur de la capsule (Cip) est surtout formé de faisceau
certain nombre de libres horizon- tales, qui sillonnent ce segment postérieur de la capsule interne, en le divisant en fascic
che optique (Th); peu nombreuses dans le tiers antérieur du segment postérieur , elles sont au contraire assez abondantes dans le
a capsule interne. Ci(g), genou de la capsule interne. Cip, segment postérieur de la capsule interne. Cirl, segment rétro-len-
faisceau longitudinal inférieur. la, insula antérieur. - Ip, insula postérieur . le, lame cornée et tænia semi-circularis. Lme, l
mus. ma, sillon marginal antérieur de l'insula. mp, sillon marginal postérieur de l'insula. Na, noyau antérieur de la couche opt
. Tap, tapetum. -Tga, pilier antérieur du trigone. - Tgp (Fi), pilier postérieur du trigone (fimbria). TM, trou de Monro. tih, t
ris situées dans la lame cornée (le), puis pénètrent dans la partie postérieure de la couche optique, dans toute la région qui
ne autre partie se porte en avant et en dedans, entoure l'extrémité postérieure du putanwll (NL : 1) et entre dans la con- stit
iennent pas à un seul et même système; le slratum zonale de la face postérieure de la, couche optique est formé, comme sur la c
e (fin. 305), par des fibres appartenant aux radiations thalamiques postérieures (RTh); les fibres qui recouvrent l'extrémité an
présentent sous la forme d'un pointillé ; au niveau de l'extrémité postérieure de la couche optique, c'est-il-dire au niveau d
es, parmi les- quelles on trouve, surtout au voisinage de la partie postérieure du segment interne (NL,), quelques gros fascicu
laire. ma, sillon marginal antérieur de l'insula. mp, sillon marginal postérieur de l'insula. NC, tète du noyau caudé. NC'. queu
al. Tap, tapetum. Tga, pilier antérieur du trigone. Tgp(Fi), pilier postérieur du trigone (fimbria). Th, couche optique (thala
tituent la capside interne : le segment antérieur (Cia), le segment postérieur (Cip), le segment rétro-lenticulaire (Cirl), pr
), considérablement élargi sur cette coupe. Les fibres du segment postérieur de la capsule interne (Cip) sont toutes coupées
. Lorsque l'on étudie sur des coupes sériées les fibres du segment postérieur de la capsule interne (Cip), en allant de bas e
yau caudé et la couche de substance blanche appar- tenant au pilier postérieur du trigone (Tgp) qui recouvre la face intra-ventr
du ventricule latéral (Vsph) (Voy. coupe n° 7, fig. 306). Le pilier postérieur du trigone ou fimbria (Tgp[Fi]) affecte sur toute
ulaire de cette circonvolution. De l'angle antéro-interne du pilier postérieur du trigone, part une mince languette qui sert d'i
as); 20 les fibres a direction sagittale des radiations thalamiques postérieures (RTh); 3° les libres du faisceau longitudinal i
entre médian de Luys (Nm) et du noyau externe (Ne), par la par- tie postérieure de la lame médullaire interne (Lmi). A l'union de
(strz) et reçoit les fibres 1'Il- niées des radiations thalamiques postérieures (RTh). A l'union du pulvinar (Pul) et du noyau
la section transversale affecte une forme semi-lunaire à concavité postérieure (Voy. fig. 308 et 309). Le ganglion de Vhabéuul
les corps genouillés interne et externe (Cgi, Cge), la com- missure postérieure (cop) et la partie supérieure du tubercule quadri
antérieur (Qa.) Sur cette coupe, l'écorce de la région insulaire postérieure (Ip) commence à s'unir fv la substance grise de
tlaiie, et qui se portent en dedans vers le fond du sillon marginal postérieur de l'insula (mp). La capsule externe (Ce) est tou
capsule interne. -. Ci(y), genou de la capsule interne. Cip, segment postérieur de la cap-, suie interne. Cirl, segment rétro-l
laire de la capsule interne. com, commissure molle. cop, commissure postérieure . ,Fi, troisième circonvolution frontale. fpl, sil
hippocampe. - i, sillon insulaire. la, insula antérieur. Ip, insula postérieur . le, lamc cornée et tamia semi-circularis. Lme,
au lenticulaire. ma. sillon marginal antérieur. mp, sillon marginal postérieur . -NC, tète du noyau caudé. NC, queue du noyau C
noyau externe (Ne) qui correspond dans toute sa longueur au segment postérieur de la capsule interne (Cip). Il s'étend du troi
nent au pédoncule antérieur de la couche optique (PaTh). Les fibres postérieures séparent le noyau externe du thalamus (Ne), d'u
mbre de ses libres transversales et parallèles. Les libres les plus postérieures s'irradient dans le pulvinar (Pul), les fibres
es antérieures sont moins pré- cises. Ses fibres radiaires les plus postérieures le séparent du noyau externe du thalamus (Ne).
la place qu'occupait ce champ sur les coupes précédentes. Sa partie postérieure donne naissance il de nombreuses fibres très se
sule interne (Cirl), suivent le trajet des ra- diations thalamiques postérieures (RTh) et sont désignées par analogie avec les r
stérieures (RTh) et sont désignées par analogie avec les radiations postérieures du thalamus, sous le nom de radiations du corps g
dans la constitution du segment antérieur de la capsule. Le segment postérieur de la capsule (Cip) présente ses caractères ord
sixièmes antérieurs environ. Dans cette partie antérieure du segment postérieur en effet, nous retrouvons la même apparence que
ouvons la même apparence que sur les coupes précédentes; ce segment postérieur est composé de libres vues en section transversal
trouvera beaucoup plus accusé sur les coupes suivantes. Le septième postérieur de ce segment postérieur de la capsule interne (C
cusé sur les coupes suivantes. Le septième postérieur de ce segment postérieur de la capsule interne (Cip), situé en avant du
dans le genou de la capsule (CiCes fibres horizontales de la partie postérieure du si'Ullll'nl pos- térieur constituent le fais
ibres des couches sagittales du lobe occipital (radiations optiques postérieures ou de Graliolel et faisceau longitudinal inféri
t=, T3]), passent au-dessous du pulamen (NLJ, et abordent la partie postérieure de la capsule (Cip) dans la ré- gion sous-optiq
te de lésions corticales, est extrêmement démonstrative. Le segment postérieur de, la capsule interne el le faisceau externe d
ation entre le segment y'e7)-c/)/<CM- laire (Cirl) et le segment postérieur de la capsule interne (Cip), ira toujours en s'
nt rétro- lenticulaire est formé ici par les radiations thalamiques postérieures (RTh) ; quant au f'aiscerczt lonzritztdizzal it
la région sous-thalamique supérieure les 2/3 antérieurs du segment postérieur de la capsule interne (Cip), sous forme de fascic
ue supérieure, la capsule interne se trouve ré- duite à son segment postérieur (Cip); le segment antérieur (Cia) disparaît en ef
s désormais que dans une partie excentrique par rapport au' segment postérieur (Cip), grâce à l'inter- position entre ces deux
incomplètement les deux noyaux du 'C01'}JS strié. - . A la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip)
noyaux du 'C01'}JS strié. - . A la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip), on voit le faiscea
ur- de la capsule (Cip). Les six septièmes antérieurs de ce segment postérieur sont formés de fibres nettement sectionnées en tr
ndique est située plus bas (J. Dejerine). . Les radiations optiques postérieures ou de Gratiolet (RTh) abordent le segment rétro
Flechsig (NF). Il est séparé enfin en dehors, des trois cinquièmes postérieurs du segment postérieur de la capside (Cip) et du f
séparé enfin en dehors, des trois cinquièmes postérieurs du segment postérieur de la capside (Cip) et du faisceau lenticulaire
capsule interne. Ci(g); genou de la cap- sule interne. Cip, segment postérieur de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lenti-
oa, commissure antérieure. com, commissure molle. - cop, commissure postérieure . F3, troisième circonvolution frontale. FI, faisc
i, sillon insulaire. la, partie antérieure de l'insula. Ip, partie postérieure de l'insula. lc, lame cornée et taenia semi- ci
e. ma, sillon marginal anté- rieur de l'insula. mp, sillon marginal postérieur de l'insula. NC, tête du noyau caudé.. COUPES M
ommissure molle (com), en arrière, le commencement de la commissure postérieure (cop) et le dernier vestige du ganglion de l'ha
ofonde, encore très réduite, est située en arrière de la commissure postérieure (cop) et constituera sur les coupes inférieures
res (voy. coupe n° 12, fig. 3tl) la partie dorsale de la commissure postérieure . La paroi antérieure du troisième ventricule (V
. Talt, tapetum. 7'a, pilier antérieur du trigone. TtlpiFi). pilier postérieur du trigone (Fimbria). Th, thalamus. Va, troisième
ercule quadrijumeau antérieur. BrQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur . CA, corne d'Ammon. - Cc(g), genou. du corps call
nterne. Cria, segment antérieur de la capsule interne. Cip, segment postérieur de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lentic
commissure antérieure. coin, commis- sure molle. - cop, commissure postérieure . 1%a, troisième circonvolution frontale. FI. fa
Glp, glande pinéale. Il, hippocampe. - la, Ip, insula antérieur et postérieur . lc, lame cor lée et taenia semi-circularis. lme,
ES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. Ces au niveau de sa partie externe et postérieure , et de même que sur les coupes précédentes, il
es, traversent horizontalement les deux tiers antérieurs du segment postérieur de la capsule interne (Cip). Le segment antér
externe (Cge), la capsule interne se trouve réduite il son segment postérieur (Cip), ou en d'autres termes il sa partie pédon
uche optique, au niveau de la région sous- thalamique. Le segment postérieur de la capsule interne (Cip) décrit une légère cou
psule interne (Cip) décrit une légère courbe à concavité interne el postérieure . Cette courbe s'accentue, au sur et à mesure qu
s grand déve- loppement au niveau du pédoncule cérébral. Le segment postérieur de la capsule forme en effet, il lui tout seul,
étage inférieur du pédoncule cérébral. Dans la concavité du segment postérieur de la capsule interne, se loge un amas de subst
au sur et à mesure que celui du corps de Luys diminue. Le segment postérieur de la' capsule interne (Cip) est formé de fibres
le. ma, sillon marginal antérieur de l'insula. nzp, sillon marginal postérieur de l'insula. -NC, tète du noyau caudé. i\'C', que
Reichert. Tap, tapetum. Tga, pilier antérieur du trigone. Tgp, pilier postérieur du trigone. TM, trou de Monro. V3, troisième ve
ue. 616 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. de la capsule; le cinquième postérieur est occupé par le faisceau de 7'M<'e& (FT)
tion, et con- tinue à s'éloigner en arrière et en dehors du segment postérieur proprement dit de la capsule (Cip), disposition
coupes suivantes. Il est toujours formé par les radiations optiques postérieures ou de Grafiolet(RTb), limitées en dehors par le
ent le corps de Lugs (CL) dans lequel elles s'irradient; les fibres postérieures proviennent également du segment interne du noy
zeiqree qui constituent les quatre cinquièmes antérieurs du segment postérieur de la capsule, dégénèrent dans une étendue prop
e nous venons de décrire, fibres radiaires antérieures, moyennes et postérieures , persistent remarquablement intactes, ainsi que
a été il même de le constater bien des fois. En avant, le segment postérieur de la capsule (Cip) esl entouré par un gros fai
culaire de Forel (FI). En arrière du faisceau de 7'ürc%, le segment postérieur de la capsule interne (Cip) touche au corps gen
oupe n° 11 (fig. 310) un faisceau irrégulier, aplati dans sa partie postérieure , comprise entre le corps genouillé interne (Cgi
horizontale appartenant en partie au bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp). En avant et en dedans de la partie apla
. Sur les coupes suivantes, ce champ s'unit intimement il la partie postérieure du ruban de Reil, et ce dernier présente alors
). En dedans du ruban de Reil (Rm), entre ce ruban et la commissure postérieure (cop), on trouve le faisceau réiroflexe de Meyn
es supérieures de la capsule du noyau rouge (RC) et par l'extrémité postérieure de la bandelette optique (II). L'avant-mur (AM)
nombreux ponts de substance blanche le relient à la circonvolution postérieure de l'insula (Ip). Le troisième serr- ment du no
umeau antérieur. BrQp + Rm, union du bras du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Reil médian. CA, corne d'Ammon
interne. Cia, segment antérieur de la capsule interne. Cip, segment postérieur de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lentic
commissure de Meynert. coa, commissure antérieure. cop, commissure postérieure . - ds, diverticule du subiculum. - Fa, troisième
troisième circonvolution frontale. Fcon, faisceau de la commissure postérieure . sillon fimbrio-goclronné. FI, faisceau lenticu
Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, fais- ceau longitudinal postérieur . FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - FT, faisce
Türck : - h, sillon de l'hippocampe. la, insula antérieur. Ip, insula postérieur . - lc, lame cornée et taenia semi-circularis. l
e. - ma, sillon marginal antérieur de l'insula. - mp, sillon marginal postérieur de l'insula. NC, tète du noyau caudé. NC', queu
portent obliquement en arrière et en dedans, pour former la partie postérieure et externe de la commissure antérieure. Horiz
tenant au pédoncule anté- rieur de la couche optique (Cia), l'autre postérieure , comprise entre elle et les der- nières fibres
ichert. Tap, tapetum. 7'n, pilier antérieur du trigone. Tgp, pilier postérieur du trigone. V3, troisième ven- tricule. VA, fai
res sectionnées parallèlement à leur axe, qui émergent de la partie postérieure du troisième segment 1 du noyau lenticulaire (NL3
l donne naissance il de nombreuses fibres qui traversent le segment postérieur de la capsule interne (Cip) pour se ren- dre au
re donne naissance à des fibres nombreuses, qui traversent le tiers postérieur du segment postérieur de la capsule (Cip), et sub
es fibres nombreuses, qui traversent le tiers postérieur du segment postérieur de la capsule (Cip), et subdivisent ce dernier en
s fibres les plus antérieures atteignent le corps de Luys (CL), les postérieures se perdent dans la zone de substance grise qui fa
es fibres transversales, qui traversent le tiers antérieur du segment postérieur de la capsule interne (Cip) et entrent dans la
qui se porte en avant et un peu en dedans, et contourne l'extrémité postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Ci
t un peu en dedans, et contourne l'extrémité postérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip). Le segment posté
ure du segment postérieur de la capsule interne (Cip). Le segment postérieur de la capsule interne se transforme en pied du
ibre et sé- parera le pédoncule de la base du cerveau. Le segment postérieur de la capsule interne (Cip), que l'on pourrait pr
de libres sectionnées per- pendiculairement à leur axe; son sixième postérieur , qui représente le faisceau de ! 'ürck(1T), est s
mé de fibres couchées et sectionnées encore obliquement. Le segment postérieur de la capsule interne est en rapport en arrière,
adri- jumeau antérieur, on trouve le bras du tubercule quadrijumeau postérieur , uni au ruban de Reil11u ! diall(BrQp +Rm). Le
eil médian(Hm)nn faisceau de fibres, le faisceau de la com- missure postérieure (Fcop) qui descend dans la calotte ou étage supér
lied (FM), et entre celui-ci et la partie ventrale de la commissure postérieure (cop), le commencement du faisceau longitudinal
missure postérieure (cop), le commencement du faisceau longitudinal postérieur (Flp), qui apparaît sous la forme d'un faisceau
ent en dehors; ces libres appartiennent au système de la commissure postérieure (cop) et formeront sur les coupes inférieures la
rcule quadrijumeau antérieur. Bi,Qp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur . CA, corne d rlmmon. - CB, carrefour olfactif de
missure de Moynert. - coa, commissure antérieure. - cop, commissure postérieure . - ds, diverticule du subiculum. - Po, troisième
troisième circonvolution frontale. Fcop, faisceau de la commissure postérieure . - Fi, fimbria. Fli, faisceau longitudinal infé
ieur. FM, faisceau rétroflexe de Meynert, Fl, faisceau longitudinal postérieur . - la, Ip, insula antérieur et postérieur. - le,
Fl, faisceau longitudinal postérieur. - la, Ip, insula antérieur et postérieur . - le, lame cornée et taenia semi-circularis. -
superficielle. - ma, sillon marginal antérieur. mp, sillon marginal postérieur . - NC, tète du noyau caudé. NC, queue du noyau ca
latérales de la commissure antérieure (coa), on trouve l'extrémité postérieure du putamen (\`L.i), unie, en dedans à la substanc
s éloigné que sur la coupe précédente (n° 12, fig. 311), du segment postérieur proprement dit, qui constitue déjà ici le pied
on- volution temporale. Tap, tapetum. Tga, 7 ? piliers antérieur et postérieur du trigone. V3, troisième ventricule. VA, faisc
ne du noyau rouge (NR), jusqu'au voisinage du faisceau longitudinal postérieur (Flp). Le pied du pédoncule cérébral (P) est li
pédoncule cérébral (P) est limité en dehors au niveau de sa partie postérieure par la bandelette optique (II) bifide en arrière,
es derniers vestiges du corps genouillé, externe (Cge). A sa partie postérieure , la bandelette optique est libre, elle n'est rete
ur ou pied du pédoncule (P) c'est-à-dire la continuation du segment postérieur de la capsule, interne (Cip) des coupes précéde
s perpen- diculairement il leur axe, c'est le faisceau longitudinal postérieur (Flp), auquel aboutissent quelques-unes des lib
du ruban de Reil médian (Hm) avec le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQI>+I3m). En dehors et en arrière du ruba
quadrijumeau antérieur (Qa) on observe trois sortes de fibres : les postérieures , les plus superficielles, très peu nombreuses s
n (Ilrru, les pro- fondes appartiennent au système de la commissure postérieure (cop;. . Coupe n° 14 (fig. 313), passant par la
3l4); d'autres semblent se continuer avec le faisceau longitudinal postérieur (Fin). En dehors de l'allse du noyau lenticulai
le quadrijumeau antérieur. BrQp, bras , . du tubercule quadrijumeau postérieur . CA, corne d'Ammon. CB, carrefour olfactif de B
troisième circonvolution frontale. Fcop, faisceau de la commissure postérieure . ' fg, sillon fimbrio-godronné. Fli, faisceau lon
li, faisceau longitudinal infé- rieur. -1'lp, faisceau longitudinal postérieur . FM, faisceau rétrofiexe de Meynert. - GQp, gan-
rétrofiexe de Meynert. - GQp, gan- glion du tubercule quadrijumeau postérieur . h, sillon de l'hippocampe. - i, sillon insulaire
ippocampe. - i, sillon insulaire. - la, insula antérieur. Jp,insula postérieur . Lms, lame médullaire superficielle. Ln, locus
mbryonnaire. ma, sillon marginal antérieur. - mp, sillon - marginal postérieur . NA, noyau amygdalien. NC, tête du noyau caudé. N
- prochés le subdivisent en deux parties, l'une antérieure, l'autre postérieure , et lui donnent un aspect bilobé. Le bile de ce
tri). Le pied du pédoncule cérébral est libre dans ses trois quarts postérieurs ; très épais en arrière il se rétrécit en avant,
zonale.. Le ruban de Reil médian (Rm) s'est allongé dans sa partie postérieure , et donne naissance il des libres sectionnées par
illon transversal qui sépare le tubercule quadrijumeau antérieur Au postérieur . Coupe n° 15 Ci-. 314), passant par la ligne t
et (U) et le pédoncule cérébral au niveau du tubercule quadrijumeau postérieur Qp). noyau caude. NI,, troisième segment du noy
tiolet. Tap, tapetum. Tga, pilier antérieur du trigone. Tgp, pilier postérieur du trigone. U, circonvolution du crochet. 171,
312), on pouvait encore distinguer dans l'insula la circonvolution postérieure (Ip), large et étalée, d'avec les circonvolutio
ouche de libres blanches, l'alvéus (Alv), qui proviennent An pilier postérieur du trigone et forment la paroi interne de la co
a. BG, bandelette de Giacomini.- BrQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur . CA, Corne d'Ammon. CB, carrefour olfactif de B
ulum. - eF, commissure de Forel occupant la voûte de l'espace perforé postérieur . - Epa, espace perforé antérieur. F3, troisième
tion frontale. f4, sillon olfactif. Fcop, faisceau de la commissure postérieure . Fli, faisceau longitudinal inférieur. Fp, fais-
. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Fp, fais- ceau longitudinal postérieur . FM, faisceau rétroflexe de Meynert. Fus, lobule
ert. Fus, lobule fusiforme. GQp, ganglion du tubercule quadrijumeau postérieur . H, circonvolution de l'hippocampe. . h, sillon
pe. . h, sillon de l'hippocampe. - la, insula antérieur. Ip, insula postérieur . jjMts, lame médul- laire superficielle. -Ln, l
ncule du tubercule mamillaire latéral. Qp, tuber- cule quadrijumeau postérieur . Rm, ruban de Reil médian. RTh, radiations optiqu
Tt + Ip, union de la première circonvolution temporale avec l'insula postérieur . Tap, tapetum. Te, tuber cinereum. Tga, pilier
lon fimbrio-godronné sépare sur la coupe n° 13 (fig. 312) du pilier postérieur du trigone. Sur la coupe précédente, n° 14 (fig
choroïdes de la corne sphénoïdale ont disparu, les fibres du pilier postérieur du trigone sont moins nombreuses, et établissent
vu envoyer de nombreux ponts de substance grise à la circonvolution postérieure de l'insula (Ip). Sur la coupe n° 13 (fig 31°3),
décrite par Forel (e.h) et qui occupe la voûte (le l'espace perforé postérieur . Sur les coupes présentant une obliquité différen
réticulée (SR) de la région de la calotte est constituée. La partie postérieure du ruban de Reil médian (Rm) aborde, le ganglio
avec les fibres radiaires de la face externe du thalamus. La limite postérieure du troisième ventricule (V3) est établie de chaqu
ar le tænia thalami (tth), sectionné transversalement, et la limite postérieure de la corne sphénoïdale (Vlj est indiquée par l
xus choroïdes du ventricule, vinar (Pul) comprise entre l'insertion postérieure des plexus choroïdes du ventri- cule latéral (V
ule externe. - Ci(.Il), genou de la capsule interne. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cil-1, segment rétro-
ent obliques. Les gros fascicules de fibres, qui forment le segment postérieur de la capsule intln.i'ne(Cip), se coudent au ni
culaire de Forel et il 1'(I ? r du noyau len- ticulaire. Le segment postérieur de la capside interne (Cip), formé de libres sect
lient le globus pallidus au thu- lctrutts. Au niveau de l'extrémité postérieure du putamen (NL3) l'aspect de la capsule change
dernières appartiennent pour la plupart aux radiations thalamiques postérieures (RTh), et abordent le pulvinar (Pul), soit au voi
es en dehors du ]Jutillnen (NL3), elles entourent toute l'extrémité postérieure de ce noyau. Un certain nombre de fibres du fai
e de Broca. Ce, capsule externe. Cex, capsule extrême. Cip. segment postérieur de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lent
rel. - Gh, ganglion de l'habénula. la, insula antérieur. Ip, insula postérieur . le, lame cornée et fibres du toenia semi-circu
lenticulaire. Il, lame terminale embryonnaire. mp, sillon marginal postérieur . NC, tète du noyau caudé. Nu, queue du noyau ca
u de la capsule, c'est-à-dire l'extrémité antérieure de son segment postérieur (Cip). De la lame médullaire interne du noyau l
ganglion de l'habénula (Gh), la partie inférieure, de la commissure postérieure (cop), le centre médian de Luys (Nm), le noyau
e de Broca. Ce, capsule externe. Cex, capsule extrême. Cip, segment postérieur de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lent
e la capsule interne. coa, commissure anté- rieure. cop. commissure postérieure . rl, faisceau lenticulaire de Foret. Fie, libres
'habénula. -i, sillon de l'insula. la, insula antérieur. Ip, insula postérieur . - le, lame cornée et fibres du taenia semi-cir
e interne de la première circonvolution frontale. mp, sillon marginal postérieur . NC, toitc du noyau caudé. - NC', queue du noya
donne naissance en dedans aux libres transversales de la commissure postérieure (cop), en dehors au faisceau rétroflexe de Meyn
dian (Nm) et le faisceau tlcalre- miquc de Forel (Fth). L'extrémité postérieure de ce noyau se termine insensible- ment dans le
-caudées (1 lc), croisées par les fibres des radiations thalamiques postérieures (RTh) et par le faisceau longitudinal inférieur
des fibres du faisceau longitudinal inférieur coiffent l'extrémité postérieure du troisième segment du noyau lenticu- lail'e (
thode de Weigert, qui traversent toute la moitié interne du segment postérieur de la capsule, interne (Cip), se coudent au nivea
rieur de la capsule, interne (Cip), se coudent au niveau de la face postérieure de cette dernière, et forment un faisceau triangu
(NL ? NLu NL,). Ces libres contournent le bord antérieur du segment postérieur de la capsule interne (Cip), et passent en dehors
périeure de la substance parorée pos- térieure (Spp), la commissure postérieure (cop), l'extrémité supérieure du corps de Luys
e de Broca. Ce, capsule externe. Cex, capsule extrême. Cip, segment postérieur de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lent
ticulaire de la capsule interne. CL, corps de Luys. cop, commissure postérieure . F, champ de Forel. - floc, fibres lenticulo-caud
faisceau rétroflexe de Meynert. la, insula anté- rieur. Ip, insula postérieur . le, lame cornée et fibres du tænia semi-circular
v, surface extra-ventriculaire du thalamus. Spp, substance perforée postérieure . Sti, substance innominée de Reichert. strz, stra
culaire (lmi, lmi'), et contourne l'extrémité antérieure du segment postérieur de la capsule interne (Cip). De toute la face int
s, traversant ce dernier, forment une couche de libres il sa partie postérieure , et se rendent par la zona incerta (Zi) il l'extr
inférieure du ganglion de l'habénula et les fibres de la commissure postérieure (cop). Une petite cavité, le recessus de la gla
de la glande J1Înàtle (,'ecessus pinealis)(rp) divise la commissure postérieure (cop) en deux parties : l'une antérieure ou ven
les coupes sui- vantes dans la constitution de la calotte; l'autre postérieure qui appartient au sys- /c«te thalamique et pénè
e de Broca. Ce, capsule externe. Cex, capsule extrême. Cip, segment postérieur de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lent
culus du noyau caudé. coa, commissure anté- rieure. cop, commissure postérieure . eF, commissure de Forel occupant la voûte de l
eure. eF, commissure de Forel occupant la voûte de l'espace perforé postérieur . fi, première circonvolution frontale. Fcop, fais
, première circonvolution frontale. Fcop, faisceau de la commissure postérieure . Fli, faisceau longitudinal inférieur. FM, faisce
de Forel. Fu, faisceau uncinatus. la, insula antérieur. Ip, insula postérieur . le, lame cornée et fibres du t,enia semi-circula
ce grise centrale. Spa, espace perforé antérieur. Spp, espace perforé postérieur . Sufi, substance innominée de Reichert. strz, s
NR) et par la commis- sure de Meynert (CM). La substance perforée postérieure (Spp) s'est élargie. Le troisième ventricule (V
nale embryonnaire (lt), une deuxième fois en avant de la commissure postérieure (cop). Le recessus pinealis (rp) et la séparati
(cop). Le recessus pinealis (rp) et la séparation de la commissure postérieure (cop) en deux parties sont toujours très accent
x faisceaux, qui appartiennent au segment dorsal de la commis- sure postérieure (cop). Le segment ventral de cette commissure, fo
ceau, sectionné perpendiculairement, le faisceau de la commis- sure postérieure (Fcop). En avant du faisceau de la commissure pos
mis- sure postérieure (Fcop). En avant du faisceau de la commissure postérieure , on trouve le noyau rouge (NR), entouré de sa
x noyaux rouges (NR) sont reliés au niveau de la substance perforée postérieure (Spp), par des fibres commissurales transversales
me ventricule (V.j), et qui ont été signalées par Forel. Le segment postérieur de la capsule interne (Cip) s'est peu modifié. Le
volume; on la voit toujours contourner la partie interne du segment postérieur de la capsule. En avant et en dedans de l'anse
millaire latéral (PTml), contournent la par- lie interne du segment postérieur de la capsule (Cip), puis la partie externe du
médian de Luys (ThNm) ; les profondes appartiennent à la commissure postérieure (cop). La division de cette commissure est touj
triangulaire, situé en avant de la partie ventrale de la commissure postérieure , correspond il l'embouchure de l'aqueduc de Syl
t vers la ligne médiane dans la substance grise de l'espace perforé postérieur (Spp), en arrière des tubercules mamillaires (Tm)
terne s'élargit de plus en plus au niveau de l'union de son segment postérieur (Cip) avec son segment rétl'olelltiwlaÍ1'p- (Cirl
des fibres qui l'abordent obliquement. La partie interne du segment postérieur de la capsule apparaît presque à l'extérieur du
sure de Meynert (CM) se porte en dehors, s'insinue entre le segment postérieur de la capsule interne (Cip) et le segment inter
ourbent, se dirigent en arrière et en dedans, traversent le segment postérieur de la capsule interne (Cip) au niveau U44 ANA
ENTRES NERVEUX. de sa partie moyenne, et pénètrent dans l'extrémité postérieure du corps de Luys (CL). En avant de la commissur
u antérieur. Ce, capsule externe. -Cex, capsule extrême. Cip, segment postérieur de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lent
liculus du noyau caudé. coa, commissure antérieure. cop, commissure postérieure . eF, commissure de Forel de la voilte de l'es-
érieure. eF, commissure de Forel de la voilte de l'es- pace perforé postérieur . Fle, libres lenticulo-caudées. Fli, faisceau lon
ntrale. Spa, substance perforée antérieure. Spp, substance perforée postérieure . Sti, substance innominée de Reichert. strz, st
es les plus superficielles. Elle est formée de deux parties : l'une postérieure , riche en fibres obliques en dehors et en arriè
mmencement du ruban de Reil médian (Rm), uni au niveau de sa partie postérieure à des fibres à direction transversale fortement
tement colorées, qui appartiennent au bras du tubercule quadrij umeau postérieur (BrQp + Rm), et qui forment la limite antérieur
a couche optique (Th). Les fibres du bras du tubercule quadrijumeau postérieur et du ruban de Reil (BrQp + Rm) se portent tran
(BrQp + Rm) se portent transversalement en dehors, entre la partie postérieure de la capsule interne (Cip) et la zone de 1,Vei
dedans et échancre le noyau rouge au voisinage de l'espace perforé postérieur (Epp). Le tubercule quadrijumeau antérieur (Qa)
ueduc de Sylvius, qui s'in- sinue entre les faisceaux longitudinaux postérieurs (Flp), pour se confondre avec la substance gris
Flp), pour se confondre avec la substance grise de l'espace perforé postérieur . La substance grise de l'aqueduc est nettement
es fibres transversales, qui font suite aux fibres de la commissure postérieure des coupes précédentes. Elles contournent la su
res sont limitées en dedans et en arrière parle faisceau longitudinal postérieur (Flp), qui fait sur cette coupe sa première app
té sur cette coupe : en avant par le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp), en arrière par le bras du tubercule qua
iaires du pulvinar (Pul), qui, provenant des radiations thalamiques postérieures (RTh), abordent la partie postérieure de la cou
t des radiations thalamiques postérieures (RTh), abordent la partie postérieure de la couche optique (Th); elles sont croisées en
es radiaires du pulvinar (Pul) : ce sont les radiations thalamiques postérieures (RTh). Elles s'enlre-croisent obliquement avec
plus accentuée, et elles entrent dans la constitution de la partie postérieure du segment pédonculaire de Fit;. 322. Coupe n°
u antérieur. BrQp + li ? 2, union du bras du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Reil médian. Ce, capsule exter
issure antérieure. Epa, espace perforé antérieur. Epp, espace perforé postérieur . Fcoh, faisceau de la commissure postérieure. F
ur. Epp, espace perforé postérieur. Fcoh, faisceau de la commissure postérieure . Fli, faisceau longitudinal inférieur. -Flp, fa
. Fli, faisceau longitudinal inférieur. -Flp, faisceau longitudinal postérieur . FM, faisceau rétroflexe de Meynert. Fil, faiscea
du taenia semi-circularis. Ln, locus ni.-or. - mp, sillon marginal postérieur . NC, queue du noyau caudé, NLl troisième segment
ant et de dehors en dedans; quelques-unes se perdent dans la partie postérieure de la capsule externe (Ce); le plus grand nombr
de la capsule externe (Ce); le plus grand nombre coiffe l'extrémité postérieure du putamen (NL3). Le faisceau longitudinal infé
interne. Il est séparé de l'écorce grise du fond du sillon marginal postérieur de l'insula (mp) par les courtes fibres d'associa
elient la première circonvolution temporale (T, ) à la circonvolution postérieure de l'insula. Sur cette coupe, l'étage inférieur
n effet à la limite du pied Au pédoncule cérébral (P) et du segment postérieur de la capsule interne (Cip). Le pied du pédoncu
eau antérieur. BrQp + Ilnt, union du bras du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Reil médian. Ce, capsule exter
irconvolution godronnée. Cgi, corps genouillé interne. Cip, segment postérieur de la capsule interne. Cirl, segment rétro- len
eynert, coa, commissure antérieure. Fcop, faisceau de la commissure postérieure . Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, fai
e. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur . FM, faisceau rétroflexe do Meynert. FT, faisce
première circonvolution temporale. Tc, tuber cinereum. Tgp, pilier postérieur du trigone. Tm, tubercule mamillaire. - Tort, tub
lette se fait dans les trois quarts antérieurs du chiasma; le quart postérieur est formé uniquement par des fibres parallèles,
coupe précédente (n° 8 x, fig. 323). Les faisceaux de la commissure postérieure (Fcop) forment en arrière du noyau rouge (NR) un
e noyau central; en dehors, de chaque côté du faisceau longitudinal postérieur (Flp), on trouve deux autres groupes cel- lulai
(Aq), au voisinage de l'extrémité effilée du faisceau longitudinal postérieur . Il forme le groupe ventral du noyau latéral de l
umeau antérieur. BrQp + Rm, union du bras du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Reil médian. CA, corne d'Ammon
corps genouillé externe. Cgi, corps genouillé interne. Cip, segment postérieur de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lentic
gment rétro-lenticulaire de la capsule interne. Epp, espace perforé postérieur . Fcop, faisceau de la commissure postérieure. Fli
ne. Epp, espace perforé postérieur. Fcop, faisceau de la commissure postérieure . Fli, fais- ceau longitudinal inférieur. Flp, f
Fli, fais- ceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur . - FT, faisceau de Tiirck. Fu, faisceau uncinat
X. les corps genouillés interne et externe (Cgi, Cge), de la partie postérieure du pied Au pédoncule cérébral (P). Le noyau r
n dedans, s'entre-croisent avec les fibres du faisceau longitudinal postérieur (Flp), avec les fibres de la partie interne de
du ruban de Reil médian (Rm) uni au bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp). Compris entre le corps genouillé interne
émergence de la troisième paire (III), les autres au niveau du bord postérieur du locus niger. Le locus niger est très riche en
ur (Qa), le ruban de Reil médian (Rm) et le faisceau longi- ludinal postérieur (Flp). Ces fibres appartiennent, ainsi que Gudden
partiellement embrassés par la bandelette optique (II). Son cinquième postérieur ou externe est encore adhérent il la base du ce
nférieure du putamen (NL,,). Le faisceau de Tiil'ck aborde le segment postérieur de. la capsule dans la partie supérieure de la
la partie supérieure de la région sous-optique, sépare ce seg- ment postérieur du segment rétro-lenticulaire (Cirl) et correspon
xterne (Cgi, Cge), et par des fibres qui, se détachant de la partie postérieure de la bandelette optique (II), traversent le cin-
ostérieure de la bandelette optique (II), traversent le cin- quième postérieur Au pied du pédoncule (P). Ces libres appartiennen
s de fibres, apparte- nant au bras du t ubl ? 1'culc. quadl'ijumeau postérieur (BrQp), adossées au ruban de Iteil médian (Rm).
il en est séparé par la commissure de Meynert (CM) et par la partie postérieure de la substance innominée de Reichert (Sti).
- rieure, et qui relient la queue du noyau caudé (NC) a l'extrémité postérieure du noyau lenticulaire (putamen) (NLJ. Quelques-
as du tubercule quadrijumeau. - BrQp,bras du tubercule quadrijumeau postérieur . CA, corne d'Ammon. Ce, capsule externe. C,g, c
corps genouillé externe. Cgi, corps genouillé interne. Cip, segment postérieur de la capsule interne. - Cirl, segment rétro-lent
de la capsule interne. CM, commissure de Meynert. Epp, espace perforé postérieur . Feop, faisceau de la commissure postérieure. F
rt. Epp, espace perforé postérieur. Feop, faisceau de la commissure postérieure . Fi, fimbria. Fli, faisceau longitudinal in- fé
Fli, faisceau longitudinal in- férieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur . FT, faisceau de Türclc. - Fu, faisceau unci- n
ubstance inno- minée de Reichert. strz, stratum zonale. Tgp, pilier postérieur du trigone. Th, thalamus. Tol, trigone ou tuber
g. 324) et sont disposées en gros fascicules au niveau de la partie postérieure du locus niger. Les fibres du pied du pédoncule c
e en se dirigeant obliquement en de- hors et en avant. Le cinquième postérieur du pied du pédoncule est extrêmement large, et
if (Toi) avec sa couche de fibres nerveuses. Au niveau de sa partie postérieure , on trouve : un petit segment de la corne d'Amm
superficielle (Lms), la circonvolution godronnée (Cg) et le pilier postérieur du trigone (Tgp), dont le bord libre ou fimbria
très augmenté de volume; il donne naissance au niveau de sa partie postérieure , aux libres de la zone de Wernicke (W), et reçoit
transversal qui sépare le tubercule quadrijumeau antérieur (Qa) du postérieur . La région des tubercules quadrijumeaux se ress
meau artférinur (Qa) et certains éléments du tubercule quadrijumeau postérieur . La couche de fibres profondes (3) et la couche
dehors et en avant et que l'on retrouve seulement dans les parties postérieures du tubercule quadrijumeau antérieur. Sur les pa
erne. coa, commissure anté- rieure. Fcop, faisceau de la commissure postérieure . Fli, faisceau longitudinal inférieur Flp, fais
re. Fli, faisceau longitudinal inférieur Flp, faisceau longitudinal postérieur . Fu, faisceau uncinatus. le, lame cornée et fib
Sylvius. SR, substance réticulée. strz, stratum zonale. Tgp, pilier postérieur du trigone. U, circonvolution du crochet. Vsph, c
es parallèles fortement colorées, le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp), dont les fibres se continuent insensiblem
cavité du ruban de Reil médian se loge le faisceau de la commissure postérieure (Fcop). Le noyau rouge (NR) a diminué de volume
ule cérébelleux supérieur (Pcs), on trouve le faisceau longitudinal postérieur (Flp), qui en est séparé par les libres de l'eil-
t;7 t de la calotte de Meynert. En dehors, le faisceau longitudinal postérieur se confond insensiblement avec la substance rét
ne extension de plus en plus considérable. Le faisceau longitudinal postérieur (Flp), le pédoncule cérébelleux supl'rieur (Pcs
coupe passe par la partie inférieure du noyau rouge (NR); la partie postérieure intéresse le sillon intermédiaire entre le tube
tubercule quadrijumeau antérieur (Qa) et le tubercule quadrijumeau postérieur . Cette coupe ne diffère du reste que très peu de
res. Aq, aqueduc de Sylvins. -l3rQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur . - Feop, fais- ceau de la commissure postérieur
ercule quadrijumeau postérieur. - Feop, fais- ceau de la commissure postérieure . Flp, faisceau longitudinal postérieur. Ln, locus
fais- ceau de la commissure postérieure. Flp, faisceau longitudinal postérieur . Ln, locus niger.- V7tl, noyau de la troisième
, et limités en arrière par les fascicules du faisceau longitudinal postérieur (Flp), qui envoie dans le raphé des fascicules
de fibres atteignant presque la partie moyenne de ce raphé. Le bord postérieur de ce faisceau est légèrement excavé, et embras
médian (Rm) n'est pas modifié. Le bras du tubercule qua- drijumeau postérieur (BrQp) contient un peu moins de fibres que sur la
3-1 S. Cette coupe passe, en arrière, par le tubercule quadrijumeau postérieur (Qp) et en avant, par rentre-croisement du pédo
a protubérance, le tænia ponlis (Tpo). Les tubercules quadrijumeaux postérieurs (Qp) présentent un aspect particulier, et sont
e moyenne et une couche profonde. Dans les tubercules quadrijumeaux postérieurs (Qp), au contraire, la substance grise se group
groupe en un noyau ovalaire, le ganglion du tubercule quadrijumeau postérieur (NQp). Mal délimité en dedans, où il se perd da
l'aqueduc de Sylvius (SgAq), ce ganglion du tubercule quadrijumeau postérieur est, par contre, très bien délimité en dehors,
MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 66t occupe toujours en effet les parties postérieures et externes du ruban de Reil, tandis que le rub
sque toute l'étendue de la calotte, depuis le faisceau longitudinal postérieur (Flp) jusqu'au locus] niger (Ln). L'entre-croi-
ètres. Aq, aqueduc.de Sylvius. BrQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur . Fcop, fais- ceau de la commissure postérieure.
ubercule quadrijumeau postérieur. Fcop, fais- ceau de la commissure postérieure . rlp, faisceau longitudinal postérieur. Gip, gang
fais- ceau de la commissure postérieure. rlp, faisceau longitudinal postérieur . Gip, ganglion inter-pédonculaire. L ? t, locus
rf pathétique (4" paire). NQp, gan- glion du tubercule quadrijumeau postérieur . P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral
l. Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur. Qp, tubercule quadrijumeau postérieur . ni, ruban de Reil latéral. lim, ruban de Reil
tra- versent le raphé en fascicules presque parallèles. A la partie postérieure du raphé, on observe un second entre-croisement
ibres Au pédoncule, cérébelleux supérieur. Le faisceau longitudinal postérieur (Flp) ne se présente plus ici, sous l'aspect qu
sement du pédoncule cérébelleux supérieur, le faisceau longitudinal postérieur n'envoie plus en avant ses fascicules les plus
dian, qui réunit la partie antérieure des fais- ceaux longitudinaux postérieurs . Le bord postérieur de ces faisceaux est légè-
artie antérieure des fais- ceaux longitudinaux postérieurs. Le bord postérieur de ces faisceaux est légè- rement échancré, et
s, pour émerger dans le sillon qui sépare le tubercule quadrijumeau postérieur , du pédoncule cérébelleux supérieur. En dehors,
édoncule cérébelleux supérieur. En dehors, le faisceau longitudinal postérieur se confond insensiblement avec les faisceaux de
ruban de Reil médian (Rm), on trouve le faisceau, de la commissure postérieure (Fcop), dont les fibres présentent pour la plupar
e Henle. Ce faisceau se coude ensuite brusquement au niveau du bord postérieur du pédoncule cérébral, pour se porter en bas, e
ticulièrement nombreuses et serrées au voisinage du sillon marginal postérieur de l'insula, où leurs dendrites se dirigent paral
des fibres propres ou fibres en U. qui tapissent le sillon marginal postérieur de l'insula d'une épaisse couche de fibres para
Cge, Cgi, corps genouillés externe et interne. - Cing (p), faisceau postérieur du cingulum. - Cip, segment postérieur de la ca
nterne. - Cing (p), faisceau postérieur du cingulum. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. Fli, faisceau longitudinal
ée de la calotte du pédoncule cérébral. Tap, tapetum. - Tgp, pilier postérieur du trigone. tri, thalamus.- hic, taenia semi-ci
t au système des fibres d'associa- tion, en particulier au faisceau postérieur du cingulum, dont les fibres mettent en connexi
ue les fibres i de la circonvolution godronnée, destinées au pilier postérieur du trigone, sont obligées de traverser, dans la
volution godronnée. Alo, alvéus. - cep, croie épendymaire du pilier postérieur du trigone. Cg, circonvolu- tion godronnée. Cin
ieur du trigone. Cg, circonvolu- tion godronnée. Cing (p), faisceau postérieur du cingulum, (,le, diverticule du subiculum. 1
radiations optiques de Gratiolet. Tap, tapetum. - Trlp (Fi), pilier postérieur du trigone (Fimbria). - tsc, trenia semi-circular
disséminées et se confondent peu à peu, au voisi- nage du pilier postérieur du trigone, avec les cellules polymorphes de la
r cylindre-axe dans la fimbria (Cajal), c'est-à-dire dans le pilier postérieur du trigone. Ces fibres représentent de véritables
millaires (cerveau intermédiaire) et de là avec le cerveau moyen et postérieur (Voy. fig. 359). Schàffer a montré en outre, et
e blanche de la corne d'Ammon. Couche des fibres blanches du pilier postérieur du trigone). Golgi, Sala, Schüffer ont montré q
odronnée de la corne d'Ammon pénètrent dans la fimbria et le pilier postérieur du trigone (Cajal). Les fibres de la région hip
convolution godronnée est représentée par l'alvéus et par le pilier postérieur du trigone, mais cette substance n'est pas en c
ée, et qu'elles se confondent insensiblement au voisinage du pilier postérieur du trigone, avec la couche des cellules po- lym
, faisceau horizontal ou supérieur du cingulum. - Cing(p), faisceau postérieur du cingulum. - cm, sillon calloso-marginal. - c
um. -slrK, stratum calcarinum. - tec, taenia tecta. - 7·zlz, pilier postérieur du trigone. - Th, thalamus. U, circonvolution du
tres : le faisceau antérieur, le faisceau horizontal et le faisceau postérieur (fig. 373, 374). Le faisceau antérieur (Cing[a]),
interne et probablement il celles de la face externe. Le faisceau postérieur (Cing[p J), enfin, occupe la circonvolution de l'
faisceau horizontal ou supérieur du cingulum. - Cino7(p), faisceau postérieur du cingulum. - cm, sillon calloso- marginal. -c
vor constata une dégénérescence portant sur les fibres de la partie postérieure du faisceau horizontal; toutes les fibres de ce
antérieure (coa), il s'entre-croise au voisinage du sillon marginal postérieur de l'insula (mp), avec le faisceau longitudinal i
le faisceau longitudinal inférieur au niveau du sillon marginal postérieur dct'iusuta. Trajet de ses fibres dans le lo
Fli, faisceau longitudinal inférieur. - Flp, faisceau longitudinal postérieur . - ft, libres tan- gentielles. - Fu, faisceau u
UX. 733 circonvolution frontale (gyrus reclus). mp, sillon marginal postérieur . - NUI, noyau du nerr moteur oculaire commun. N
a partie supé- rieure de la capsule externe. Au niveau de la limite postérieure de la scissure de Sylvius (S[p]), le faisceau a
qué décrit une courbe il concavité antérieure, qui embrasse le bord postérieur du putamen, puis ses fibres se déploient en éve
volution temporale (T,); les suivantes se terminent dans le segment postérieur de la première circonvolution temporale (T,) et d
occipital (0"02,0.,). A mesure que l'on s'éloigne du sillon marginal postérieur de l'insula (mp), ces libres deviennent de plus
e l'insula. - io, sillon inter-occipital. - Ip. Ip, circonvolutions postérieures de l'insula. - ip, sillon intcr- pariétal. - ma
r- pariétal. - ma, sillon marginal antérieur. - mp, sillon marginal postérieur . ms, sillon marginal supérieur. 0\, 0" première
ulvinar de la couche optique. - Tg, corps du trigone. - Top, pilier postérieur du trigone (lim- bria). VI, ventricule latéral.
terne de la première circonvolution frontale. - mp, sillon marginal postérieur . tns, sillon marginal supérieur. NC, noyau caud
on prc-rolandique inférieur. li, scissure de Rolande. S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Sge, Sge', substan
et du lobule lingual (Lg), et se confond en dedans avec le faisceau postérieur du cingulum (Cing [p]) situé dans la circonvolu
répond Fie. 384. - Coupe vertico-transversale passant par la partie postérieure du précunéus, parles scissures pariéto-occipita
ur, renforce en avant, au niveau du pli rétro-11mbique, le faisceau postérieur du cingulum situé dans la circonvolution de l'h
erne (Cirl), le faisceau longitudinal inférieur entoure l'extrémité postérieure et le bord inférieur du putamen (NL3) (fig. 385
. Ci (g) genou de la capsule interne.- Cing, cingulum. Cip, segment postérieur de la capsule ' " interne. - Fc, fibres calleus
sula. - la, insula antérieur. - ig, induseum griseum. - Ili, insula postérieur . - K, scissure calcarine. - G,, pre- mière circ
laris. z Lg, lobule lingual. Mo, trou de Monro. mp, sillon marginal postérieur . .Va, noyau antérieur de la couche optique. - N
- 7·,g, trigone. - Tf/ci, pilier antérieur du trigone. Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche optique (thalamus). tl
s les plus inférieures. Ces fibres, qui ne dépassent guère le tiers postérieur de la capsule externe (fig. 303 à 326), s'entre
cicules onduleux abordent dans la région sous-thalamique le segment postérieur de la capsule, interne, et descendent avec les
de la capsule, interne, et descendent avec les fibres de ce segment postérieur dans le pied du pédon- cule cérébral, dont elle
externe. Cg, circonvolution godronnée. Cing, cingulum. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - cm, sillon calloso-mar
ile choroïdienne. - tec, 1lenia tecta. - Tg, trigone. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Th, couche optique (thalamus). ti
e, le noyau externe du thalamus, la région sous-optique, le segment postérieur de la capsule interne, etc., etc., que ces fibr
ire et aborder dans la région sous-thalamique supérieure le segment postérieur de la capsule interne, immédiatement en avant d
le interne (pédoncule antérieur de la couche optique). - Cip, segment postérieur de la capsule interne. coa, commissure antérieu
l. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur . Fth, faisceau thalamique de Forel. - Il, circo
ière circonvolution temporale; une petite partie coiffe l'extrémité postérieure du putamen et se porte dans la capsule externe.
e Sylvius. <'7f, stratum calcarinum. - Tah, tapetum. - Tgp, pilier postérieur du trigone. - Fiv, carrefour ventriculaire. - V
rétro-limbique de Broca, et renforce dans cette région le faisceau postérieur du cingulum. Elle repré- sente en d'autres term
onvexité du lobe occipital. , Wernicke se confond avec les fibres postérieures ou descendantes du fais- ceau arqué ou longitud
de cloison verticale, étendue de la pointe occipitale à la branche postérieure de la scissure de Sylvius. Cette cloison est trav
ion se fait suivant un plan oblique. Elles proviennent de la partie postérieure du lobe frontal, de tout le lobe pariétal, de l
postérieure du lobe frontal, de tout le lobe pariétal, de la partie postérieure du lobe temporal et peut-être de l'in- sula, pa
leux. lutions de l'opercule sylvien (OpFz, OpR, OpP2), de la partie postérieure du lobe temporal (première et deuxième circonvo
après entre-croisement sur la ligne médiane, dans les régions plus postérieures de l'hémisphère du côté opposé et vice versa. 11
Ci (g), genou de la capsule interne. - Cing, cingulum. Cip, segment postérieur de la capsule interne. - cm, sillon calloso-mar
itudinal inférieur. i, sillon insulaire. la, //), insula antérieur et postérieur . L,, première circonvolution limbique. le, lame
(p. 343). Une partie supérieure, qui n'est autre que l'extré- mité postérieure du tronc du corps calleux, une partie inférieure
pl]), et une partie pos- térieure ou intermédiaire, véritable genou postérieur du corps calleux (Cc[rp]). Les radiations de
corps calleux. Il n'en est pas de mème des radiations des . parties postérieures et réfléchies; nées de toute l'écorce du lobe occ
éfléchies; nées de toute l'écorce du lobe occipital et de la partie postérieure du lobe pariétal, ces dernières entourent d'un
e Mono. - R, scissure de Rolando. - S(a), S(p), branches verticale et postérieure de la scissure de Sylvius. Sge, substance grise
o- lutions pariétales [P,, P,]), du précunéus (Prc) et de la partie postérieure de la première circonvolution limbique (L,), ce
e et occipitale; cette couche se continuait en haut avec la partie^ postérieure du tronc et du bourrelet du corps calleux, elle
de la pointe occipitale et de la base du cunéus revêtent la partie postérieure de la corne occipitale d'un anneau dégénéré com
les parties inféro-postérieures, en particulier le bec et le genou postérieurs (fig. 397 et 398). En résumé donc, les lésions
de la scissure pariéto- occipitale (po) (fig. 395). et de la partie postérieure de la scissure calcarine (K) (fig. 392), retentis
pe les parties postéro-inférieures, c'est-à-dire le bec et le genou postérieurs (fig. 398). Les lésions primitives, colorées en
hures-de la base du cunéus, de la pointe occi- pitale, de la partie postérieure des lobules lingual et fusiforme et du sillon col
i que la lésion corticale le faisait prévoir, les quatre cinquièmes postérieurs du tronc du corps calleux, mais elle est en outre
du bourrelet du corps calleux, en parti- culier de ses bec et genou postérieurs . Dans ce cas la distribution du champ de dégéné
800 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La coupe passe par la partie postérieure du bourrelet du corps calleux et par le foyer d
imement au niveau lnc. 398. Coupe vertico-transversale de la partie postérieure de l'hémisphère gauche dans un cas de cécité ve
sain du cas précédent (fig. 399), montrant l'atrophie de la partie postérieure du tronc du corps calleux ainsi que de son bour
sillon paraccntral.- PrC, prècunéus. - rplp, pli pariéto- limbique postérieur . s13, strie de Baillarger. sec, sinus du corps ca
3). Située au niveau de l'angle inférieur du scptumlucidum, la face postérieure de la commissure antérieure est tapis- sée par
ersales ou horizontales sériées, jusqu'au niveau du sillon marginal postérieur de l'insula (lig. 401) et de la face externe du n
au antérieur. l1¡'Qp + 11m, union du bras du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruban de Reil médian. CA, corne d'Ammon
interne. Cia, segment antérieur de la capsule interne. Cip, segment postérieur de la capsule interne. Cirl, segment rétro-lent
commissure de lfeynert. coa, commissure antérieure. cop, commissure postérieure . ds, diverticule du subiculum. F3, troisième circ
troisième circonvolution frontale. flop, faisceau de la commissure postérieure . zig, sillon nmbrio-godronne. FI, faisceau lent
l. Fli, faisceau longitudinal inférieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur . Full, faisceau rétroflexe de \Ieyncrt. FT, faisc
Tiirck. h, sillon de l'hippocampe. la, insula antérieur. Ip, insula postérieur . le, lame cornée et Henia semi-circularis. Ime,
cielle.mastiion marginal antérieur de l'insula. mi, sillon marginal postérieur de l'insula. NC, tète du noyau caudé. NC', queu
Tap, tapetuiii. - Tga, pilier antérieur du trigone. - TriP, pilier postérieur du trigone. 1, troisième ventricule. VA, faisceau
, bandelette optique. plan passant parles commissures antérieure et postérieure (voy. série III, p. 877, fig. 310, 312), la com
es, les fibres subissent une torsion, de telle sorte que les fibres postérieures deviennent inférieures puis externes et les fib
adjacente du cunéus (C), du lobule fusiforme (Fus) et de la partie postérieure de l'hippocampe (H). Dans le cas de Flechsig il
pointe occipitale (0,, 0,), le lobule fusiforme (Fus) et la partie postérieure de la circonvolution de l'hippo- campe (H); la
commissure antérieure, mais l'auteur dit expressément que sa partie postérieure était intéressée dans le foyer primitif, qui at
e était intéressée dans le foyer primitif, qui atteignait la partie postérieure du putamen. Quant à notre expérience personnell
s linguaux; elle ne dégénère, dans ces cas, que lorsque son segment postérieur est intéressé dans le foyer primitif. La comm
men, ou dans les plaques jaunes qui intéressent la circon- volution postérieure de l'insula (Ip), la région rétro-insulaire (Tp),
uivre les fibres dégénérées jusqu'à la capsule externe et la partie postérieure du putamen de l'hémisphère opposé a la lésion.
se dirigent verticalement en haut, celles des parties antérieure et postérieure se portent obliquement en haut en dehors et en
s par conséquent avec le pied de la couronne rayonnante. Les fibres postérieures sont fournies par le faisceau longitudinal inféri
4 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
nquième antérieur de la longueur du cerveau, en avant, jusqu'au quart postérieur en arrière. Il est composé en majeure partie de f
en arrière : les antérieures sont les circonvolutions frontales ; les postérieures sont les circonvolutions occipitales ; les moyenn
: une antérieure, plane (celle qui répond à la voûte orbitaire), une postérieure , franchement concave (celle qui répond à la fosse
rvelet). La partie antérieure ne représente que le tiers de la partie postérieure dans le sens antéro-postérieur. Ici la scissure
n'existe que dans la partie antérieure ou orbitaire et dans la partie postérieure ou occipitale. Le corps calleux (ce) y est entrev
; FO2, circonvolutions antérieures ou orbitaires; PO, circonvolutions postérieures ou occipitales; Bf, fente deBichat; T3, circonvol
res et symétriques, les tubercules mamillaires, émergent de la partie postérieure du tuber cinereum, au devant de l'espace angulair
aire qui sépare les pédoncules (PP) et qu'on appelle l'espace perforé postérieur . En dehors et de chaque côté du chiasma optique
nterne du nerf olfactif (OLI). Le nerf olfactif en effet, à sa partie postérieure , se divise en deux branches, une interne (OLI) et
eur oculaire commun, ou troisième paire crânienne; EP, espace perforé postérieur ; TEG, tegmentum, calotte ou étage supérieur des p
ctes : une antérieure, occupée par la pyramide de Sœmmering (GS), une postérieure innominée, où pénètrent les artères lenticulo-str
les racines olfactives interne et externe (OLI, OLE). Les deux côtés postérieurs sont représentés, l'interne par la bandelette opt
elle turcique et elle fixe le cerveau à la base du crâne. A la partie postérieure du tuber cinereum proéminent les deux saillies sp
aux (PP), on aperçoit un petit espace perforé (EP) : l'espace perforé postérieur . Les pédoncules cérébraux (PP) sont deux grosse
gle qu'ils forment entre eux correspond en arrière à l'espace perforé postérieur (EP), et en avant au tuber cinereum (TC). Au vois
TC). Au voisinage de leur bord interne, en dehors de l'espace perforé postérieur , on voit sortir des interstices de leurs fibres l
f moteur oculaire commun (MOC) ou nerf de la troisième paire. Ce bord postérieur des pédoncules cérébraux, mal limité, se confond
e terminale, qui sera étudiée plus loin et qui appartient à la partie postérieure de l'espace perforé (première figure). Plus profo
perçoit les fibres transversales du corps calleux, qui, à leur partie postérieure , portent le nom de splenium (SPL). Entre le sple-
s : une antérieure, grise, occupée par la pyramide de Sœmmering ; une postérieure , blanche, traversée par les vaisseaux lenticulo-s
foré où la bandelette diagonale s'étend si uniformément sur la partie postérieure du quadrilatère, qu'elle se confond avec celui-ci
om l'indique, de dedans en dehors (TP). Il émerge de la lame perforée postérieure , à la partie la plus interne du pied, et le plus
delette elle-même, à la partie inférieure et interne de son extrémité postérieure , en avant du corps genouillé externe (GE, schéma
la boîte du crâne, on la place sur la convexité cérébrale. La région postérieure des hémisphères est cachée par le cervelet et par
masse cérébelleuse, on constate que le cervelet est relié à la partie postérieure de la protubérance par deux pédoncules convergent
nt au-dessous et en arrière de ceux-ci : les tubercules quadrijumeaux postérieurs . Ces repères sont suffisants pour permettre de
ver avec des ciseaux et des pinces les artérioles de l'espace perforé postérieur . Pour sectionner transversalement la protubéran
trait de section passe toujours derrière les tubercules quadrijumeaux postérieurs et au plus près de ces tubercules, immédiatement
u du corps calleux (GC), se réfléchit d'avant en arrière; l'extrémité postérieure ou bourrelet, ou splenium (SPL) se réfléchit d'ar
ole; QA, Lubercule quadrijumeau antérieur; QP, tubercule quadrijumeau postérieur ; Psc, pédoncule cérébelleux supérieur; CP, commis
meau postérieur; Psc, pédoncule cérébelleux supérieur; CP, commissure postérieure ; G, glande pinéale; CA, commissure antérieure; PE
es quadrijumeaux. QA, QP. Les tubercules quadrijumeaux antérieur et postérieur sont deux masses grises mamelonnées situées sur
périeurs (Pcs). Les deux tubercules antérieurs et les deux tubercules postérieurs , divisés sur la ligne médiane par la coupe interh
cylindrique de fibres transversales qu'on appelle commissure blanche postérieure (CP) et qui se trouve juste au-dessus de l'orific
un organe impair, en forme de pomme de pin, couché sur la commissure postérieure (CP) et sur le tubercule quadrijumeau antérieur (
— psp, bandelette diagonale: elle est située ici à la partie la plus postérieure du quadrilatère, au contact du tubor cinereum ; O
se porte obliquement en bas, en dehors et en arrière, dans la région postérieure de l'espace perforé antérieur, où il est contigu
t on conçoit facilement la forme et les rapports. Partie de la région postérieure du chiasma optique, où elle semble faire suite à
versale, mais qui n'existe qu'au-dessus du chiasma optique (NO) ; une postérieure , grise, qui sur les côtés se continue avec la sub
crochet de l'hippocampe (Une). Ce ruban est la fimbria (FI) ou pilier postérieur du trigone. La fimbria, en effet, cachée d'abord
(DF), faisant suite au trigone, décrit une grande courbe à concavité postérieure . Sur la ligne médiane, la fìmbria du côté gauche
bien voir ces fibres qu'en soulevant, sur un cerveau entier, le bord postérieur ou bourrelet du corps calleux. En avant la fìmbri
érieure du splenium, le fascia dentata paraît émerger de sa convexité postérieure . Et en effet il sort du sinus du corps calleux, o
ositive. Il ne faut pas oublier que le petit mémoire d'Ecker, quoique postérieur à la lumineuse démonstration de Broca, facilita d
mois ou dans le courant du quatrième, on voit apparaître, à la partie postérieure de l'hémisphère, une incisure horizontale : c'est
a une autonomie parfaite. Dans la nomenclature allemande cette partie postérieure de la cinquième temporale est appelée gyrus lingu
La scissure limbique (L) s'allonge à ses deux extrémités. L'extrémité postérieure se relève et atteint le bord supérieur de l'hémis
le bord supérieur de l'hémisphère. Tout ce qui est situé à sa partie postérieure appartient au lobe pariétal (P1). L'extrémité ant
térieure ou frontale. La scissure limbique (L), qui forme la limite postérieure du lobe para-central (Pa) et qui sépare la premiè
passage pariéto-limbique; GQA, pli antérieur du lobe carré; GQP, pli postérieur du lobe carré; BQ, bourrelet du lobe carré; sM£,
ostral ; ima, incisure métopique antérieure ; imp, incisure métopique postérieure ; iî, scissure de Rolande ; sme, incisure métopiq
on limbique au lobe carré. Le lobe carré, au-dessus du prolongement postérieur de la circonvolution limbique (G), se montre déjà
e séparation entre le gyrus antérieur du lobe carré (GQA) et le gyrus postérieur (GQP) ; d'autre part, par la scissure sous-pariét
P) ; d'autre part, par la scissure sous-pariétale qui sépare le gyrus postérieur (GQP) du bourrelet du lobe carré (BQ). Le bourrel
à être entamé par des en-ailles plus ou moins profondes : à la partie postérieure du lobule para-central (Pa), c'est l'extrémité su
R). En avant du sillon prœ-ovalaire (pro), c'est l'incisure métopique postérieure (imp). Au-dessus du rectangle frontal antérieur (
sillon supérieur (prs) ou prœ-rolandique supérieur reçoit l'extrémité postérieure du premier sillon frontal (/i) ; le sillon inféri
sillon inférieur ou prœ-rolandique inférieur (pri) reçoit l'extrémité postérieure du deuxième sillon frontal (/8). Dans la région
premier sillon ou sillon parallèle (tt) présente déjà à son extrémité postérieure une bifurcation de grande importance. Les deux br
) et le sillon post-rolandique inférieur (p2) servent ainsi de limite postérieure à une grande circonvolution (P), la pariétale asc
de deux divisions lobulaires distinctes : une antérieure (IN) et une postérieure (INP). La division antérieure est l'insula propre
obule, mais qui n'atteignent jamais le sommet du triangle. — L'insula postérieur (INP) se compose de deux plis parallèles, oblique
arrière du pôle de l'insula antérieur (PI). Les deux plis de l'insula postérieur sont séparés l'un de l'autre par une incisure qui
e, de telle sorte qu'ils se confondent au voisinage du pôle. L'insula postérieur (INP) et l'insula antérieur (IN) sont au contrair
ment séparés par un sillon plus profond, qui s'étend sur tout le bord postérieur de l'insula antérieur; on l'appelle grand sillon
plis : trois appartiennent à l'insula antérieur, et deux à l'insula postérieur . Cet ensemble de petits plis est plaqué en quelqu
insula au fond de la fosse. IN, insula proprement dit ; INP, insula postérieur ; PI, pôle de l'insula ; ir, grand sillon de l'in
sillon de l'insula; IRA, rigole antérieure de l'insula ; IRP, rigole postérieure ; 1RS, rigole supérieure ; OF, opercule frontal ;
s et en arrière, sépare la partie antérieure de l'insula de la partie postérieure du lobe frontal. Une rigole postérieure (IRP), di
eure de l'insula de la partie postérieure du lobe frontal. Une rigole postérieure (IRP), dirigée en bas et en avant, se confond ave
ostérieure (IRP), dirigée en bas et en avant, se confond avec le bord postérieur de l'insula postérieur (INP). Enfin une rigole su
ée en bas et en avant, se confond avec le bord postérieur de l'insula postérieur (INP). Enfin une rigole supérieure (1RS), cachée
e la longueur de la base du lobule. brissaud. d La partie la plus postérieure de la fosse de Sylvius est en dehors de l'insula.
percule qui le recouvre et qui correspond exactement à la terminaison postérieure de la scissure, peut être appelée opercule du fon
ronto-limbique ; GMA, gyrus métopique antérieur; GMP, gyrus métopique postérieur ; Pa, lobule paracentral ; GQA, pli antérieur du l
Pa, lobule paracentral ; GQA, pli antérieur du lobe carré; GQP, gyrus postérieur du lobe carré;BQ, bourrelet du lobe carré; 0", Cu
emarquera les ourlets de cette circonvolution, au-dessus de la moitié postérieure du corps calleux. Chacun de ces ourlets a la form
ner les noms de gyrus métopique antérieur (GMA) et de gyrus métopique postérieur (GMP). L'hémisphère gauche représenté sur le sc
ndo; sP, scissure sous-pariétale; GQA, GOT", gyrus antérieur et gyrus postérieur du lobe carré; BQ, bourrelet du lobe carré; 0*, q
ue ce sillon sert de démarcation entre le gyrus antérieur et le gyrus postérieur du lobe carré (GQA, GQP). Pour compenser l'absenc
t impossible. La scissure limbique, en effet, sert toujours de limite postérieure au lobule paracentral (Pa). Sur le schéma 54, o
la première circonvolution frontale (fi), occupe en général la région postérieure de cette circonvolution. On trouve une incisure a
toilée, est l'incisure du lobule du pli courbe (iyp). La troisième, postérieure , tantôt isolée, tantôt branchée sur le sillon par
artie la plus inférieure de la circonvolution frontale ascendante; la postérieure , ou incisure pariétale de Sylvius [ip), toujours
2, deuxième frontale ; F5, troi. siême frontale; nB, pli d'anastomose postérieur de la troisième frontale (Fs) à la deuxième F); ¿
occupée par une anfractuosité étoilée, à quatre branches : la branche postérieure est le sillon interpariétal (p) ; la branche anté
frontale; pF3, pied de la troisième frontale; t. B, pli d'anastomose postérieur de la deuxième frontale (F2) à la troisième (pFs)
repères sont représentés par la commissure antérieure, la commissure postérieure , le tubercule antérieur de la couche optique, etc
qui passe à la fois par la commissure antérieure et par la commissure postérieure , en commençant par la région inférieure de l'hémi
u caudé; elle est attenante au tubeixule de jonction (TJ). La portion postérieure , progressivement amincie, est la queue du noyau c
sphère droit). Le corps calleux (ce), dont on ne voit que la partie postérieure , se réfléchit sur lui-môme d'arrière en avant et
ssus de la tubérosité réfléchie du splenium (SPL), partent les fibres postérieures que nous savons constituer le forceps major (FOm)
sur la ligne médiane; le noyau antérieur est le noyau caudé; le noyau postérieur est la couche optique. En dehors et dans la pro
a nomenclature courante, le segment antérieur de la capsule ; le côté postérieur est le segment postérieur ; le lieu de convergenc
e segment antérieur de la capsule ; le côté postérieur est le segment postérieur ; le lieu de convergence des deux segments est
us antérieure sur les coupes horizontales inférieures; elle sera plus postérieure sur les coupes horizontales supérieures. En deh
térieure est le pied du lobule pariétal inférieure (pP2) ; la portion postérieure est le lobule pariétal inférieur proprement dit (
e ascendante de Sylvius, perpendiculaire à la direction de la branche postérieure » s'élève en avant de l'opercule frontal (OF), ent
ando émet en général deux incisures antérieures, qui entament le bord postérieur de la circonvolution frontale ascendante (F). p
remière circonvolution frontale (pF1). En btís* il reçoit l'extrémité postérieure du premier sillon frontal (f{) qui, dirigé hori
t du genou inférieur de la frontale ascendante, il reçoit l'extrémité postérieure du deuxième sillon frontal (Q. pro. Le sillon p
te (P's^est le pli supérieur du lobule pariétal supérieur: la portion postérieure , très allongée et se terminant en pointe en arriè
ital (mOT). Par conséquent le sillon parallèle se divise, à sa partie postérieure , en deux branches, une supérieure (tls), et une i
sième circonvolution occipitale (03), où il se termine. Son extrémité postérieure sert de limite mitoyenne au troisième pli de pass
e occipitale (03). Il se confond en partie à ce niveau avec la partie postérieure du deuxième sillon temporal (Q. L. La scissure
e la première circonvolution occipitale (01). Elle reçoit l'extrémité postérieure du sillon pariétal (p). K. La scissure calcarin
rontale par le pli d'anastomose antérieur (rcfA). Le pli d'anastomose postérieur fait défaut. F2. La deuxième frontale s'insère
rme aussi une moitié de l'opercule pariétal (OP) ; l'autre moitié, la postérieure , est formée par le pied du lobule pariétal inféri
t un peu en arrière, la scissure réapparaît pour recevoir l'extrémité postérieure du sillon pariétal (p). P2. Le lobule pariétal
mpue par une incisure (it),qui la divise en deux portions. La portion postérieure (pTt) répond au pied de la circonvolution tempora
(£t), Ce sillon (sillon parallèle) se prolonge jusque dans la région postérieure du lobule pariétal; il laisse au-dessus de lui, d
fréquente. S". La branche horizontale de Sylvius naît de la branche postérieure par un tronc commun avec la branche perpendiculai
tronçons isolés; entre les deux tronçons on voit le pli d'anastomose postérieur de la troisième à la deuxième frontale (zB) s'éle
u par le pli d'anastomose moyen de F2 à F3 (dBM). Le pli d'anastomose postérieur (dB) est intermédiaire aux deux tronçons du sillo
le voisinage du pôle sphénoïdal jusqu'au pli courbe. A son extrémité postérieure , il sépare le pli courbe proprement dit (PC) du d
te (GFs) ; un inférieur (tiB) qui n'est autre que le pli d'anastomose postérieur de la troisième frontale à la deuxième. C'est de
pariétale, entre le lobule du pli courbe (GP) et l'extrémité la plus postérieure de la première circonvolution temporale (T*). 0
cuneus (0"), avec laquelle elle se confond habituellement sur le bord postérieur de l'hémisphère, au niveau de la scissure interhé
re en avant, puis de bas en haut, en décrivant une courbe à concavité postérieure ; elle se continue ensuite, au-dessus du corps ca
our gagner le bord supérieur de l'hémisphère, elle envoie une branche postérieure qui se bifurque dans le lobe carré. Cette branche
branche postérieure qui se bifurque dans le lobe carré. Cette branche postérieure (sP) qui n'est, virtuellement chez l'homme, autre
ce trajet, depuis la région frontale jusque dans la région pariétale postérieure , la scissure limbique sert de limite entre la c
l : en avant le gyrus antérieur du lobe carré (GQA), en haut le gyrus postérieur du lobe carré (GQP), en arrière le cap du lobe ca
t, depuis le bord supérieur de l'hémisphère jusqu'à la partie la plus postérieure de la circonvolution limbique, au-dessous du cap
orale (T'*) et la cinquième (T^). Il se compose de deux parties : une postérieure , horizontale, qui va en avant se perdre à la surf
antérieure, oblique en bas et en avant, qui se branche sur la partie postérieure . Ce point de branchement est là reprise du grand
principaux, le gyrus métopique antérieur (GMA) et le gyrus métopique postérieur (GMP). sme. Le petit sillon métopique, en raiso
nto-limbique (tcF). Le sillon prse-ovalaire sépare le gyrus métopique postérieur (GMP) du lobule paracentral (Pa). imp, ima. Les
GMP) du lobule paracentral (Pa). imp, ima. Les incisures métopiques postérieure et antérieure, assez profondément entaillées, f
dément entaillées, forment les limites antérieures du gyrus métopique postérieur et du gyrus métopique antérieur (GMP, GMA). Ces d
F) qui l'accompagne, superficiel, jusqu'au-dessous du gyrus métopique postérieur (GMP). Arrivée à la partie moyenne du corps calle
limbique ; le moyen ou pli sous-ovalaire (PSO) est mal séparé du pli postérieur (PEN) ; cependant on le voit encore limité par le
ité par le rudiment d'une incisure venue de la scissure limbique ; le postérieur ou pentagone du lobe carré (PEN) s'avance vers le
planche. Le gyrus antérieur du lobe carré (GQA) est séparé du gyrus postérieur (GQP) par le sillon pariétal transverse (pt), sau
partie inférieure. Il appartient au lobe pariétal ainsi que le gyrus postérieur . Nous y reviendrons plus loin. CQ. Le cap du lo
isure métopique antérieure [ima], en arrière par l'incisure métopique postérieure {imp), présente à sa partie moyenne une petite in
t le rudiment du petit sillon métopique. Si les limites antérieure et postérieure de ce pli sont bien nettes sur ' sur le bord supé
pique ne communiquent pas avec les incisures métopiques antérieure et postérieure {ima, imp); il en résulte que le gyrus métopique
arrière, par un autre petit pli d'anastomose avec le gyrus métopique postérieur (GMP). GMP. Le gyrus métopique postérieur a pou
e avec le gyrus métopique postérieur (GMP). GMP. Le gyrus métopique postérieur a pour limite antérieure le sillon métopique post
rus métopique postérieur a pour limite antérieure le sillon métopique postérieur {imp) et pour limite postérieure le sillon prse-o
limite antérieure le sillon métopique postérieur {imp) et pour limite postérieure le sillon prse-ovalaire {pro). Ici le petit sillo
rruption momentanée de la scissure limbique {L). C'est dans la partie postérieure de ce lobule que la scissure de Rolande {R) vient
e interne de l'hémisphère. GQA, GQP. Le gyrus antérieur et le gyrus postérieur du lobe, carré forment dans leur ensemble une mas
de l'hémisphère; le côté antérieur est la scissure limbique; le côté postérieur est la branche supérieure de la scissure pariétal
et du lobe carré a également la forme d'un riangle, à très large base postérieure , représentée par la scissure ccipitale interne {O
sP). En haut et en rrière, le bourrelet (BQ) se confond avec le gyrus postérieur du lobe arré (GQP); en bas et en avant, il se con
dessous de la scissure calcarine (7il), il est volumineux à sa partie postérieure , où il s'enroule autour du sillon (si), branché s
petites incisures verticales dans toute l'étendue du gyrus métopique postérieur (GMP). Parmi ces incisures figure l'incisure du l
de sa branche de bifurcation postéro-supérieure on reconnaît le gyrus postérieur (GQP) ; en arrière des deux branches de bifurcati
léchit, en se dédoublant, à la face interne de l'hémisphère. Le gyrus postérieur du lobe carré (GQP) est donc divisé en deux plis
isures^ qui occupent (sur la figure 1) le gyrus antérieur et le gyrus postérieur du lobe carré (GQA, GQP). Oi. La scissure occip
première sous-frontale (GSF) et du gyrus vestibuli (GVE). Sur le bord postérieur de celui-ci, on remarque une encoche d'une consta
dentata lui-même (Fd) est bordé, en haut et en dehors, par le pilier postérieur du trigonc cérébral ou fimbria (Fi). La concavité
rbe (GP) et le lobule pariétal inférieur (P^). Ce grand développement postérieur de Sylvius en arrière, entraîne, par compensation
p^) communiquent largement l'un avec l'autre, et forment, à la partie postérieure de la pariétale ascendante (P), une excavation pr
inférieur (prî) qui se dédouble pour faire place au pli d'anastomose postérieur (zB) de la deuxième à la troisième frontale. Cett
tés exceptionnelles qu'on relève sur cet hémisphère. S'. La branche postérieure ou externe de la scissure de Sylvius est largem
antéro-postérieur du lobule de l'insula (INP,IN,PI). Cette branche postérieure de Sylvius, au lieu de s'arrêter à l'opercule du
mière circonvolution temporale (T') et la deuxième (P). Son extrémité postérieure remonte dans le pli courbe (PC) ; mais elle est b
li courbe (PC) ; mais elle est bdurquée en deux branches : la branche postérieure se confond en partie avec le deuxième sillon temp
) sont si faciles à limiter. rieure (xB), qui est le pli de passage postérieur de la deuxième à la troisième frontale. On peut c
tal est interrompu trois fois : T en arrière, par le pli d'anastomose postérieur de la deuxième frontale à la troisième (ttB); 2"
niveau du sillon post-rolandique inférieur (pj jusqu'à son extrémité postérieure au niveau de la scissure occipitale externe [Oe).
érieur du gyi'us métopique antérieur (GMA). GMP. Le gyrus métopique postérieur ne présente pas la série de sillons horizontaux q
aît pas le grand sillon métopique (sME) au-dessous du gyrus métopique postérieur (GMP). C'est la scissure limbique (L) qui forme l
sure envoie des branches verticales ramifiées dans le gynus métopique postérieur ; elles correspondent au grand sillon métopique m
oyenne au lieu de le circonscrire et de le séparer du gyrus métopique postérieur (GMP). D'ailleurs l'incisure prse-ovalaire (pro)
re. GQA. Le gyrus antérieur du lobe carré n'est pas séparé du gyrus postérieur au niveau du bord supérieur de l'hémisphère, ains
e partie de son trajet il contribue à la formation du gyrus métopique postérieur (GMP). Il aborde donc le lobule paracentral par s
ser. GQA. Le gyrus antérieur du lobe carré se confond avec le gyrus postérieur (GQP) en raison de la très petite étendue du sill
lobe carré, la place du sillon pariétal transverse; et dans la partie postérieure , elle se subdivise en deux tronçons. Cette derniè
au type du cerveau schématique. C'est à peine si elle sépare le gyrus postérieur (GQP) du bourrelet du lobe carré (BQ). On voit
prae-ovalaire (pro) et s'avance d'autre part dans le gyrus métopique postérieur (GMP). Le gyrus métopique postérieur se confond a
tre part dans le gyrus métopique postérieur (GMP). Le gyrus métopique postérieur se confond ainsi en arrière avec le lobule parace
se confond ainsi en arrière avec le lobule paracentral. A sa partie postérieure le lobule paracentral (Pa) se confond de même ave
pariétal transverse, qui sépare le gyrus antérieur (GQA) et le gyrus postérieur du lobe carré, se prolonge en bas jusque dans la
, re monte obliquement en haut et en arrière, où elle sépare le gyrus postérieur et le bourrelet du lobe carré (GQP et BQ). De cet
eur de l'écorce au-dessus du corps calleux. GMP. Le gyrus métopique postérieur présente une hypertrophie compensatrice analogue;
e lobule paracentral (Pa). GQA, GQP. Le gyrus antérieur et le gyrus postérieur du lobe carré sont représentés par deux petits pl
rouve compensé le faible développement du gyrus antérieur et du gyrus postérieur du lobe carré (GQA, GQP). 0^ Le cuneus présente
du grand sillon métopique (sME). D'ailleurs, dans le gyrus métopique postérieur , on voit réapparaître les incisures parallèles à
à ce bord. Enfin on remarquera la complexité des gyrus antérieur et postérieur du lobe carré (GQA, GQP), le développement consid
aît en avant le gyrus métopique antérieur (GMA) et le gyrus métopique postérieur (GMP). sF. Le premier sillon sous-frontal circo
jusqu'au lobule paracentral, il s'arrête en avant du gyrus métopique postérieur (GMP). Le grand pli de passage fronto-limbique (x
premier gyrus sous-frontal, se continue donc avec le gyrus métopique postérieur (GMP) au lieu de se continuer avec le lobule para
me une anomalie assez commune ; il se termine dans le gyrus métopique postérieur (GMP) au lieu d'aborder la région antéro-inférieu
t d'avant en arrière le gyrus antérieur du lobe carré (GQA), le gyrus postérieur (GQP) et le bourrelet (BQ) ; l'autre inférieur, o
la scissure sous-pariétale [sP) sépare le bourrelet (BQ) et le gyrus postérieur du lobe carré (GQP). On remarquera enfin que, p
gure 1 de la planche VIII. GQA, GQP. Le gyrus antérieur et le gyrus postérieur du lobe carré, séparés l'un de l'autre par le sil
par le sens de traction de l'érigne fixée "au tubercule qiuidrijumcau postérieur (QP). Il va sans dire qu'on relève la masse protu
e couteau passe ainsi (fig. 1) en dehors des tubercules quadrijumeaux postérieur et antérieur (QP, QA), en dehors de la glande pin
ieur (QP, QA), en dehors de la glande pinéale (G) et de la commissure postérieure (CP) ; il entame le noyau interne de la couche op
stituée par de petites circonvolutions*. Ce tubercule est l'extrémité postérieure du fascia dentata (Fd) qui vient de la région ant
es, qui s'étendent longitudinalenient entre la fimbria (Fi) ou pilier postérieur du trigone et la circonvolution de l'hippocampe,
i), dont il sera question dans un instant. FI. La fimbria ou pilier postérieur du trigone, située immédia- ' ment en dehors et a
moitié du triangle formé en arrière par l'écartement des pédoncules \ postérieurs du trigone. En insinuant un stylet d'avant en arr
uncus de la circonvolution d'hippocampe serait libre à son extrémité postérieure , s'il ne recevait, en dehors, l'insertion de la f
ui-môme à la couche optique. FG. Le faisceau géniculé est la moitié postérieure du tiers antérieur du pédoncule (on ne saurait pr
), en dedans et en haut avec la sixième (0®), derrière la bifurcation postérieure de la scissure calcarine (K). Dans la région fr
rtion du septum lucidum (PEL) en avant, et à l'insertion du pédoncule postérieur du trigone (Fi) en arrière. Elles partagent le co
— L, scissure limbique. — CA, commissure antérieure. — CP, commissure postérieure . — TM, tubercule mamillaire. — NaC, tubercule ant
ercule mamillaire. — NaC, tubercule antérieur de la couche optique. postérieure de la face interne de l'hémisphère; c'est sa bran
onde de la scissure de Sylvius (S') : c'est la branche de bifurcation postérieure et supérieure. Quant à la scissure elle-même, on
supérieure de l'in-sula. Enfin, derrière la branche de bifurcation postérieure et supérieure de Sylvius, se succèdent les trois
ue la tète du noyau caudé (NC) qui forme sa paroi externe. La corne postérieure du ventricule latéral est ouverte, sur cette coup
urface du noyau interne (NiC), parce que ses fibres, vers l'extrémité postérieure de la couche optique, sont coupées perpendiculair
, le corps calleux, après avoir formé la paroi supérieure de la corne postérieure du ventricule, se porte brusquement en bas et e
'autres termes, elle passe un peu au-dessous de la commissure blanche postérieure : en avant elle passe par le milieu de la commiss
on pratique sur ces deux repères (commissure antérieure et commissure postérieure ) présentent toujours une remarquable similitude.
ligne la première sous-frontale (GSF) : elle est limitée à sa partie postérieure par l'extrémité de la scissure limbique (L); et j
edans en dehors, s'ouvrir dans la cavité ventriculaire. A la partie postérieure de la fente de Bichat se succèdent, dans le lobe
adjacent au segment antérieur de la capsule interne (CIA). Le côté postérieur , très étroit, reçoit les fibres du faisceau sensi
étroit, reçoit les fibres du faisceau sensitif externe (FSe). Ce côté postérieur peut être considéré comme un bord ou une arête.
est le sommet du triangle. Les fdires en question émergent du segment postérieur de la capsule (CID). Elles s'arrêtent dans la mas
er noyau. Le glohus medialis (GLM) est toujours adbérent au segment postérieur de la capsule (CID) par son bord postérieur très
jours adbérent au segment postérieur de la capsule (CID) par son bord postérieur très régulièrement rectiligne. Son bord antérieur
ogène : c'est le pulvinar (Pul). Pul. Le pulvinar est la tubérosité postérieure de la couche optique faisant saillie dans le carr
nion de fibres qui viennent 1° de la capsule externe (CE); 2° du bord postérieur du putamen (PUT) ; 3" de la cloison externe du no
; 3" de la cloison externe du noyau lenticulaire (MLE); 4° du segment postérieur de la capsule interne (CID). Le faisceau sensit
au amygdalien (NA). Le lobule de l'hippocampe se termine, à sa partie postérieure , par le crochet (Une); le crochet ferme, en dedan
naît la région du noyau rouge de la calotte (NR), et, à son extrémité postérieure , la petite encoche de l'aqueduc de Sylvius (AQ) d
i correspond à la face supérieure de la corne d'Ammon. Dans sa partie postérieure , on ne voit que sa paroi postérieure ou plancher.
la corne d'Ammon. Dans sa partie postérieure, on ne voit que sa paroi postérieure ou plancher. La paroi externe présente, d'avant
t l'extrême prolongement antérieur du taenia ; à la partie externe et postérieure de ce prolongement médullaire, une section vascul
faisceau triangulaire (FI), qui n'est autre que la fimbria ou pilier postérieur du trigone. Substance blanche. FS. Le faiscea
aucoup moins compact. Il va, d'avant en arrière, depuis le cul-de-sac postérieur de la fosse de Sylvius jusqu'au lobe occipital, o
qui réunit la commissure blanche antérieure et la commissure blanche postérieure . Toutes les figures de la planche XI à la planc
al du segment antérieur. Le segment antérieur est donc vu par sa face postérieure . La face interne est à droite, la face externe es
illeurs, pour la différentiation des faisceaux de la région cérébrale postérieure . Il est donc de beaucoup préférable d'étudier l
ui se présente pour la figure 1 (pl. XI), où l'ensemble des faisceaux postérieurs du lobe occipital se réduisent à un seul (FS), re
olet (tcP) en dehors. C'est donc dans la partie la plus inférieure et postérieure du gyrus lingual (0^) ou cinquième circonvolution
re de cerveaux au même niveau que celles-ci, démontrent que la région postérieure de l'hémisphère est plus variable que toute autre
considérer, de même que l'incisure du cuneus (sCw), comme une branche postérieure de la scissure perpendiculaire interne; et on voi
ure perpendiculaire interne; et on voit ainsi que toutes les branches postérieures de cette scissure s'enfoncent dans l'hémisphère e
ital, situé entre le bord supérieur de l'hémisphère et la terminaison postérieure du sillon interpariétal {p). Ce dernier sillon, s
rale (T^), formant le bord inférieur de l'hémisphère. A l'extrémité postérieure du cerveau, la substance blanche se compose surto
et en arrière, plus loin que le plan de la coupe, jusqu'à l'extrémité postérieure et inférieure des lobules lingual et fusiforme (0
la scissure calcarine (/t). Cette cavité est l'extrémité de la corne postérieure du ventricule latéral. Écorce. Le bord supéri
après avoir circonscrit, à la manière d'un fer à cheval, l'extrémité postérieure du sillon parallèle (^j. Viennent ensuite le deux
d'ailleurs, virtuellement, jusqu'à la substance grise de l'extrémité postérieure du cerveau; nous savons que, quand elle ne se pré
ulaire (FPF), embrassant les circonvolutions pariétales à l'extrémité postérieure du sillon interpariétal. Il prend son origine, co
du ventricule latéral n'ont rien de régulier, surtout dans sa partie postérieure . Le calibre du prisme quadrangulaire que représen
, mais aussi selon la dilatation progressive du cerveau, de la partie postérieure à la partie moyenne. Substance blanche. FS. L
ne, le lobe carré présente déjà une dépression qui répond à la partie postérieure de la scissure sous-pariétale (sP). Plus bas, le
e fond du sillon parallèle. p. Le sillon parallèle, à son extrémité postérieure , se divisant en deux branches, c'est la branche s
ette disposition en trois couches n'existe que dans la région la plus postérieure du plancher de la cavité ventriculaire. Un peu pl
. Celles qu'on retrouve au-dessous du ventricule, à la partie la plus postérieure du faisceau longitudinal inférieur (FLI), sont év
a scissure limbique (L), au-devant de laquelle on reconnaît la partie postérieure de la circonvolution pariétale ascendante (P). Ce
ascendante (P). Celle-ci est entamée par le couteau au niveau du bord postérieur du lobule paracentral (Pa). Au-dessous, à la face
l inférieur, sont des fibres qui s'incurvent seulement dans la région postérieure du cerveau. Si cette couche manque dans une régio
forceps (FOs.) Ce dernier faisceau, n'étant coupé que dans sa partie postérieure semble, sur ce schéma, être situé au-dessous de l
evient à dire que les fibres qui la représentaient sur une coupe plus postérieure , ne s'incurvent pas encore dans la région plus an
gulum s'étend dans le sens vertical, décrivant une courbe à convexité postérieure ; la partie supérieure de la courbe se dirige vers
re elles suivent la voûte du ventricule jusqu'à son extrémité la plus postérieure et se jettent dans la substance grise du pôle occ
supérieur du forceps, venu de la partie la plus supérieure et la plus postérieure du bourrelet du corps calleux, semble émerger du
on de la corne d'Ammon, dont ce faisceau enveloppe toute la convexité postérieure . Cette encoche n'est pas constante. Le plancher
tre aspect. En dedans du faisceau compact signalé sur les coupes plus postérieures , on voit une large bande de fibres à coloration c
incir, ce qui est dû au voisinage de la corne d'Ammon, dont la partie postérieure repousse vers la partie externe tous les faisceau
ne diffère en rien de la disposition générale indiquée sur les coupes postérieures de la même planche. Deux points seulement sont à
C), qui n'est autre que le sinus du corps calleux à sa partie la plus postérieure , c'est-à-dire au voisinage de la réflexion de cet
n temporale. FCF. Le faisceau compact du fornix, qui sur les coupes postérieures était parallèle au plan de section, tend à repren
, presque verticalement. Elles s'étalent ainsi en voûte sur la partie postérieure de la corne d'Ammon, que nous allons voir apparaî
MI-MILLIMETRE EN AVANT DE LA PRÉCÉDENTE, TANGENTE A LA PARTIE LA PLUS POSTÉRIEURE DU BOURRELET DU CORPS CALLEUX Écorce. Face in
ne petite masse grise (Fci), le fasciola cinerea, accolée à la partie postérieure du corps calleux. Puis elles se portent au-dessus
ornix. FOi. Le faisceau inférieur du forceps, étalé sur l'extrémité postérieure de la corne d'Ainmon, n'est plus représenté que p
adoptée depuis longtemps, est connue sous le nom de bulbe de la corne postérieure (BCP), bulbus cornu poster'ioris (voy. fig. suiv.
. La bandelette cendrée (fasciolacinerea) apparaît àia partie la plus postérieure du splcnium, où la coupe 17 entame sa substance g
rompue par la pénétration en dehors des fibres transversales les plus postérieures du corps calleux dans l'hémisphère. La cavité lin
aillie formée par cette paroi dans la cavité est le bulbe de la corne postérieure (BCP). Elle répond exclusivement aux fibres du fa
ps major dans la cavité ventriculaire correspond au bulbe de la corne postérieure (BGP). Très souvent — et c'est le cas ici — ce «
olution Iimbique, dont le pentagone du lobe carré n'est que la région postérieure , est séparée du corps calleux (ce) par une incisu
le premier examen, c'est que le sillon supérieur, parvenu à la partie postérieure du splenium, se porte tout d'un coup directement
II est, au contraire, étroit et court- Il se confond à son extrémité postérieure avec le pli de passage cunéo-limbique, représenté
d'une ligne sinueuse (BCP), marquant la section du bulbe de la corne postérieure . Le faisceau moyen du forceps s'épuise à mesure q
oit donc diminuer peu à peu la saillie que forme le bulbe de la corne postérieure . En même temps, la face supérieure du ventricule
al de la circonvolution cendrée (Fci). C'est au niveau de la partie postérieure du splcnium que la cavité du ventricule latéral p
nira les fibres de la paroi interne du ventricule ; ce sera le pilier postérieur du trigone (pl. XVII, fîg. 42, TRp). Substance
rtie saillante de la circonvolution godrormée à son extrémité la plus postérieure . La disposition représentée sur le schéma 55 perm
es fibres du Faisceau inférieur du forceps (FOi). Les fibres les plus postérieures sont même les seules qui soient représentées sur
dirigé d'avant en arrière, directement, du moins à la partie la plus postérieure (fig. 19). La délimitation du faisceau sensitif e
d on casse des fragments de cerveau durci, au voisinage de la corne postérieure . Presque toujours, la cassure se fait dans l'inte
ovenant du faisceau sensitif interne; elle se perdait, sur les coupes postérieures , dans le gyrus lingual (03) ; elle se perd à prés
rieures, après avoir contourné le forceps de haut en bas, à la partie postérieure de celui-ci, s'épanouissent dans les circonvoluti
osée de fibres transversales, forme en arrière une courbe à concavité postérieure appartenant au spleniuin (SPL). Sur les côtés du
ens de ses fibres, un are à concavité antérieure. Les coupes les plus postérieures devraient être celles où il est le plus vertical.
en, attendu que le splenium décrit, lui aussi, une courbe à concavité postérieure , de telle sorte que le cingulum n'est plus sect
s de la base de la corne d'Ammon, portent le nom de bulbe de la corne postérieure . Le bulbe de la corne postérieure est, disons-nou
portent le nom de bulbe de la corne postérieure. Le bulbe de la corne postérieure est, disons-nous, toujours au-dessus de la base d
du faisceau supérieur du forceps (FOs) à son insertion sur la partie postérieure du corps calleux (ce). Les fibres de ce faisceau
RANSVERSALES (COUPES DE 25 A 30) PASSANT PAR LE LORE CARRÉ, LA PARTIE POSTÉRIEURE DU SPLENIUM, ET TANGENTES A LA FACE SUPÉRIEURE DE
pe 30, la frontale ascendante (F) est entamée parallèlement à sa face postérieure . À mesure que les coupes intéressent des région
que le faisceau moyen du forceps (représenté par le bulbe de la corne postérieure (BCP), diminue d'importance (fig. 25, 26). La fac
orts constants. Sa continuité n'a été interrompue, depuis l'extrémité postérieure du ventricule, que momentanément (fîg. 13, 14 et
le fasciola cinerea et le corps godronné (Fd) au niveau de la partie postérieure et inférieure du corps calleux. Les sinuosités dé
loin (fig. 30) ces fibres s'insinuer au-dessous du bulbe de la corne postérieure , au-dessus et en dedans de la corne d'Aminon. Ce
ne d'Aminon. Ce sont les premières fibres nettement isolées du pilier postérieur du trigone, qui vont se placer en dedans, en arri
oyen du forceps est représenté (fig. 27, 28) par le bulbe de la corne postérieure , à la partie supérieure et interne du ventricule
ES VERTICO-TRANSVERSALES (31-36) PASSANT PAR LE LOBE CARRÉ, LA PARTIE POSTÉRIEURE DU SPLENIUM, TANGENTES A LA FACE POSTÉRIEURE DES
LE LOBE CARRÉ, LA PARTIE POSTÉRIEURE DU SPLENIUM, TANGENTES A LA FACE POSTÉRIEURE DES TUBERCULES QUADRIJUMEAUX POSTÉRIEURS, PUIS EN
nt comportés ceux du forceps supérieur et moyen dans des régions plus postérieures . Arrivés à l'angle inféro-externe du ventricule,
lairement à leur axe, au moment où, venues de la partie inférieure et postérieure du lobe carré et du cuneus, elles passent clans
reconnaît encore l'extrémité la plus antérieure du bulbe de la corne postérieure . Substance grise. Les figures de cette planch
cède (schéma 67). A, partie antérieure de l'hémisphère. P, partie postérieure . XX, coupe vcrtico-transversale du corps godron
e striée, issue de la face inférieure du corps calleux, est le pilier postérieur du trigone cérébral ou fìmbria (FI). Sur une coup
s coupes sur des régions plus antérieures nous montrera que le pilier postérieur du trigone ou fimbria s'épuise, en effet, progres
u, à son insertion sur le corps calleux, vestige du bulbe de la corne postérieure . CO. Le faisceau sensitif du centre ovale dimin
convolution limbique. Réflexion du fascia dénia ta (Fd) à la partie postérieure du corps calleux (ce). Il devient le taenia tec
c'est le corps calleux (ce) ; en bas, c'est le trigone ou son pilier postérieur , la fìmbria (FI), qui limite l'écorce. Le corps c
e Reil) avant sa décussation. BQP, bras du tubercule quadrijumeau postérieur . GI, corps genouillé interne. 79. Il se compo
re et interne, d'un gris homogène, est le pulvinar (Pul, 46) ou noyau postérieur du thalamus. 11 reçoit de la partie externe trois
ment donné sur les coupes verticales en série, permet de voir la face postérieure de la frontale ascendante (F, fig. 52, 53, 54) au
n haut par le corps calleux (ce), en bas parle tubercule quadrijumeau postérieur (QP), en dehors par la couche optique (Th), est l
de Sylvius entre les deux tubercules quadrijumeaux (l'antérieur et le postérieur du même côté). Substance grise Fd. La corne d
à la partie inférieure et externe du corps calleux : c'est le pilier postérieur du trigone cérébral. Le tronçon inférieur, coupé
fibres dirigées en dehors en bas et en arrière constituent le pilier postérieur du trigone ou fimbria. Celles des fibres de cet é
sens transversal. Il est évident qu'il change de direction. Antéro - postérieur sur les planches précédentes, il se porte ici pre
n dedans au-devant du noyau caudé, pour aller se jeter dans la partie postérieure de la couche optique ou pulvinar (Pul). ELI. Le
ps bordé (FI, fig. 55); le tronçon supérieur portera le nom de pilier postérieur du trigonc (TRI, fig. 51, 54). FOm. Le faisceau
complètement disparu. 11 ne reste plus trace ici du bulbe de la corne postérieure . Non seulement on ne reconnaît plus aucune sailli
bandelette sous-optique est un faisceau en éventail venu des régions postérieures et latérales de l'écorce sphénoïdale et qui contr
latérales de l'écorce sphénoïdale et qui contribue à former la racine postérieure de la couche optique. Le schéma ci-dessus représe
re de la région pédonculo-protubérantielle, où l'on voit, à la partie postérieure du pédoncule cérébral gauche (PP), la bandelette
(fig. 56). Simple en arrière, elle se bifurque au niveau de la partie postérieure de la couche optique : un prolongement supérieur
me couche blanche de stratum zonale qui revêt les faces inférieure et postérieure de la couche optique, passe à la face supérieur
60). Gl. Ce dernier noyau gris est relié au tubercule quadrijumeau postérieur par un tractus (BQP) visible sur les coupes 55, 5
on voit son prolongement antérieur le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (IIQP) se jeter sous la couche optique, en dedans
s de dehors en dedans et aboutissant toutes à cette région interne et postérieure qui s'appelle le pulvinar (Pul, fig. 59). NC. L
ps strié. Elle se compose surtout de fibres verticales sur les coupes postérieures des corps opto-striés. Nous verrons un peu plus l
visé les tubercules quadrijumeaux antérieurs, laissant les tubercules postérieurs derrière elle. La coupe sagittale qui a divisé
bercule quadrijumeau antérieur; BQP, bras du tubercule quadrijumeau postérieur ; Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur au nivea
supérieur au niveau de sa décussation ; FLP, faisceau longitudinal postérieur ; Lem, lemniscus ou couche de Reil (Schleife des
annulaire ou pont de Varole (PV) et le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP). Nous reconnaîtrons, à l'occasion des coupe
tination des fibres du ruban de Reil. FLP. Le faisceau longitudinal postérieur , ainsi que le lemnisque, est composé de fibres an
ig. 57, 58, 60) est placé exactement entre le faisceau longitudinal postérieur (FLP) et le lemniscus (Lem). Il présente sur les
n plan de fibres transversales. Projection horizontale de la partie postérieure de la couche optique : insertion de la bandelette
bérantielle est sectionnée sur la ligne médiane, depuis la commissure postérieure (CP, fig. 65) jusqu'au milieu du pont de Varole (
ntérieur (QA). La netteté de son contour démontre que toute sa moitié postérieure (celle qui est représentée sur la planche XXI) es
es blanches, franchement trans- Projection horizontale de la partie postérieure du corps genouillé interne (GI) revêtu en arrière
ière de son stratum zonale (ZGI). BQP, bras du tubercule quadrijumeau postérieur . versales. Celles-ci proviennent en partie du s
es de dedans en dehors, font partie du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP). Th. La couche optique (61, 62, 65, 64) e
Cette autre saillie est le pulvinar, c'est-à-dire la grosse extrémité postérieure de l'ovoïde irrégulier que représente la couche o
e schéma démontre que le pulvinar s'étend en arrière, au delà du bord postérieur des corps genouillés. Pul, pulvinar. Npc, noy
u bord postérieur des corps genouillés. Pul, pulvinar. Npc, noyau postérieur du thalamus (voy plus loin). Pul, Pul. Pulvinar
ande. QA, tubercule quadrijuraeau antérieur; CP, commissure blanche postérieure ; GII, ganglion de l'hahénule; 1IAB, habénule; Ni
p de la calotte (TEC, voy. plus loin) et par le faisceau longitudinal postérieur (FLP, fig. 61, 62, 65). En bas, il est en contact
la couche de Reil ou lemniscus (Lem). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur (fig. 61, 62, 63, 65) est d'une teinte toujours f
leux supérieurs. FLPi, filtres inférieures du faisceau longitudinal postérieur ; elles sont coupées perpendiculairement à leur di
t à leur direction. FLPs, fibres supérieures du faisceau longitudinal postérieur ; elles sont obliques en haut et en dehors et vont
sont pâles sur la coupe. Dans son ensemble, le faisceau longitudinal postérieur a une disposition piriforme sur la coupe. Lem.
queduc de Sybïus; VD, racine descendante du trijumeau; CP, commissure postérieure ; NR, noyau rouge de la calotte; QA, tubercule qua
te; QA, tubercule quadrijumeau antérieur; QP, tubercule quadri-jumeau postérieur ; GI, corps genouillé interne; GE, corps genouillé
rne; GE, corps genouillé externe; BQP, bras du tubercule quadrijumeau postérieur ; BQA, bras du tubercule quadrijumeau antérieur ;
FRF, faisceau rétrograde (voy. plus loin); FLP, faisceau longitudinal postérieur de la calotte; Laq1, Laq2, Laq3, Laq4, couches du
bercule quadrijumeau antérieur (QA, QA') et le tubercule quadrijumeau postérieur (QP, QP'). Le tubercule droit fait une saillie pl
Au milieu et en haut, G, la glande pineale, repose sur la commissure postérieure (CP). Elle est au fond d'une cavité à concavité
la pointe inférieure de la substance grise, le faisceau longitudinal postérieur (FLP). De la partie inférieure montent cinq rub
G), franchit ainsi la ligne médiane, aborde le tubercule quadrijumeau postérieur (QP'), le traverse et surtout le recouvre, et, du
genouillé interne du côté droit (GF). Entre le tubercule quadrijumeau postérieur droit (QP) et le corps genouillé interne (GF), il
uillé interne (GF), il prend le nom de bras du tubercule quadrijumeau postérieur droit (BQP'). Le second ruban LM2, sous-jacent
ur. Il est séparé de la surface par le bras du tubercule quadrijumeau postérieur gauche (BQP). On l'appelle faisceau de la commiss
umeau postérieur gauche (BQP). On l'appelle faisceau de la commissure postérieure (FCP). C'est lui, en effet, qui va former la part
donner le nom de bras du pulvinar (BP). Il recouvre la partie la plus postérieure et inférieure du ganglion de l'habénule, comme le
dehors, puis en dedans, pour former le bras du tubercule quadrijumeau postérieur du côté opposé; que les fibres suivantes, un peu
après, elles se terminent dans la substance grise de l'espace perforé postérieur , où un petit ganglion (pair et symétrique), le ga
outes au-dessus de l'aqueduc de Sylvius pour constituer la commissure postérieure ou les bras des tubercules quadrijumeaux. Un cert
vec les fibres du faisceau propre de la calotte (TEG), dans la partie postérieure de la capsule interne, où elles se placent en ava
es coupes de la planche XXI. BQP. Le bras du tubercule quadrijumeau postérieur forme une masse de fibres beaucoup plus important
s du côté opposé. Elles sont descendues de la région de la commissure postérieure ; elles ont passé en dessous et en dedans du tuber
formeront, du côté opposé, non pas le bras du tubercule quadrijumeau postérieur , mais le bras du tubercule quadrijumeau antérieur
tubercule quadrijumeau antérieur. — Le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP) mélange ses fibres avec celles du stratum z
mentum (TEG) ; Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur. CP, commissure postérieure . Schéma 99. tegmentum ; l'extrémité inférieur
en haut avec le tegmentum (TEG). FCP. Le faisceau de la commissure postérieure est un des faisceaux du tegmentum qui s'isolent l
jusqu'au-dessus de l'aqueduc de Sylvius, se jeter dans la commissure postérieure (schéma 99). Elles passent alors du côté opposé
issure, issu de la calotte de l'hémisphère droit. CP. La commissure postérieure se compose donc de toutes les fibres du laqueus d
tum zonale (fig. 61), en dedans par le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP, fig. 62), en dehors par le bras du tubercul
ane une épaisseur qui répond à sa hauteur propre et à celle du pilier postérieur du trigone (TRp, fig. 62). Il se compose des fibr
u-dessous de la queue du noyau caudé (NCC, fig. 63). TRp. Le pilier postérieur du trigone (fig. 62), étalé à la surface du thala
Profil du corps calleux [ce) de l'hémisphère gauche; TRp, pilier postérieur du trigone; LY, lyre de David; coupes précéde
re en avant au-dessus de la corne d'Ammon (CAM). Les fibres du pilier postérieur , au-dessous du corps calleux, sont obliques en
terne ne sont donc qu'une seule et même chose, du moins J à la partie postérieure de la couche optique. FLl. Le faisceau longitud
te séparation cesse d'exister immédiatement en avant de la commissure postérieure . Substance grise. CAM. Corne d'Ammon (voy. pl
ble au milieu des fibres antéro-postérieures foncées de la commissure postérieure et surtout de la lamina lateralis de Reil (Lmd).
e (fig. 68), sectionnée ici encore tout au voisinage de son extrémité postérieure , est une masse de substance grise, beaucoup plus
la capsule interne (CI, fig. 68, 70) et qui appartiennent au segment postérieur de cette capsule (CID, fig. 72). Nous savons que
psule interne représentant la couronne rayonnante de la masse commune postérieure (Rth, fig. 70), et provenant par conséquent des f
n, avec le stratum zonale ZS, fig. 71). (Quoique, dans cette région postérieure du thalamus, toute la substance grise paraisse
ère de ces deux noyaux la substance grise pourrait être appelée noyau postérieur du thalamus (NpC). 11 faut distinguer ici le no
noyau postérieur du thalamus (NpC). 11 faut distinguer ici le noyau postérieur du thalamus et le pulvinar. Celui-ci est la gross
e à la paroi supérieure de la fente de Bichat. Il est séparé du noyau postérieur parle bras du pulvinar (BP, fig. 69), au-dessous
au n'a divisé que les fibres les plus superficielles de son extrémité postérieure , qui forment une partie de sa couronne rayonnante
même très fréquemment remplacée liRISSAUD. 15 par la continuation postérieure de la fente inter-géniculaire. Cela fait que le c
ercule quadrijumeau antérieur ; BQP, bras du tubercule quadrijumeau postérieur ; BP, bras du pulvinar; GIT, cuneus thalami opti
ar; GIT, cuneus thalami optici intergenicularis. Schéma 101. — Face postérieure de la couche optique (Th) et des tubercules quadr
che optique (Th) et des tubercules quadrijumeaux ' antérieurs (QA) et postérieurs (QP). arrière, presque jusqu'à l'extrémité sail
la glande pinéale. On n'en aperçoit encore ici que la partie la plus postérieure . Ce ganglion sera étudié à l'occasion des figures
ncéphale. au-dessous et en dedans du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (69, BQP), émanent du pied du pédoncule. Ils sont
ère sur la ligne médiane, limité en haut par le faisceau longitudinal postérieur (FLP), en bas par la lamina medialis (Lm), en deh
rieure du tegmentum (TEG). Ses rapports avec le faisceau longitudinal postérieur cessent bientôt d'être immédiats (fig. 74). 11 en
mmissure de Meynert (voy. plus loin). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur (fig. 69) sous-jacent à la substance grise de l'a
e par places seule- Disposition des libres du faisceau longitudinal postérieur (FLP) sur les côtés de l'aqueduc de Sylvius prolo
u-dessus de l'aqueduc pour contribuer à la formation de la commissure postérieure (CP, fig. 67); mais il est impossible de lui attr
r sur les coupes verticales. BQP. Le bras du tubercule quadrijumeau postérieur est presque épuisé (fig. 67, 69). La coupe, en ef
e sur les précédentes. On en voit surgir le faisceau de la commissure postérieure (Laq = FCP). Plus en avant, sur la coupe 69, le f
^lï, fig. 71 et schéma 95 et 97). FCP. Le faisceau de la commissure postérieure , issu de la partie inférieure du tegmentum (fig.
nous dit, à former le laqueus. On le voit se jeter dans la commissure postérieure sous le frein de l'habénule (IlAB, 69) et, plus e
rtico-transversale au niveau de la partie antérieure de la commissure postérieure *(CP), destinée à montrer que le fascicu-lus retr
roflexus. semble changer de direction et s'écarter de la commissure postérieure ; il n'en est que momentanément séparé par un nouv
nt il va être question. BP. Les fibres du faisceau de la commissure postérieure forment dans l'hémisphère du côté opposé le bras
sus des fibres les plus antérieures du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP, 69). Ces lames séparent le corps genouillé
r les coupes 73, 74, 76. La continuité du faisceau de la commissure postérieure (FCP) et du bras du pulvinar (BP) nous semble suf
er si elles passent toutes au-dessus de l'aqueduc, dans la commissure postérieure ; ou bien si un certain nombre d'entre elles ne pa
meaux, on peut considérer aussi comme faisant partie de la commissure postérieure toute la couche de substance blanche qui revêt le
phères. C'est ce que nous allons examiner à présent. CP. Commissure postérieure . — Chez l'homme adulte, la commissure postérieure
t. CP. Commissure postérieure. — Chez l'homme adulte, la commissure postérieure (CP) est si peu développée, elle est même quelque
entre-croisement des fibres qui constituent les racines antérieure et postérieure de la couche optique. Mais ces racines, envisagée
eux qui représentent les deux racines antérieures et les deux racines postérieures devaient se rencontrer au niveau de la commissure
acines postérieures devaient se rencontrer au niveau de la commissure postérieure , sous la glande pinéale, ce tractus vraiment mini
estable que des trousseaux de fibres venus des racines antérieures et postérieures des deux couches optiques s'entre-croisent à ce n
: ou bien qu'un très petit nombre de fibres des racines antérieure et postérieure de la couche optique vont directement s'y entre-c
s, sont représentées seulement par quelques fibres dans la commissure postérieure . Enfin nous répéterons que ce que l'on est conv
nfin nous répéterons que ce que l'on est convenu d'appeler commissure postérieure n'est pas, à vrai dire, une commissure. La plus g
inférieur de l'autre hémisphère. C'est un raphé. Le nom de commissure postérieure serait justifié à la rigueur si, comme le prétend
ceau direct de la couche de Reil succède au faisceau de la commissure postérieure dans la région antéro-externe du laqueus (fig. 67
ant (fig. 69), s'ajoutera à la lame latérale (Lmd). La partie la plus postérieure du pied du pédoncule est représentée par le faisc
hors de la substance grise de l'aqueduc, un nou- Profd de la région postérieure du ventricule moyen. Schéma destiné à montrer l
vinar; GH, ganglion de l'habénule; G, glande pinéale ; CP, commissure postérieure . FRF, fasciculus retroflexus. Schéma lOi. vea
elé par Meynert fasciculus re-troflex ou retroflexus, part de la face postérieure du ganglion de l'habénule, empruntant au stratum
onséquent, une teinte foncée. 11 est situé en dehors de la commissure postérieure et du tegmentum (TEG), en dedans du faisceau de l
en fait, le fasciculus retroflexus décrit bien une courbe à concavité postérieure ; mais son rayon de courbure est excessivement gra
tion des fibres du pied du pédoncule qui, situées à la partie la plus postérieure de l'étage inférieur, juste au contact du ruban d
vert et d('crit par le savant professeur de Vienne. Quant au faisceau postérieur du pied du pédoncule (FM), on l'appelle communéme
viter toute confusion, nous nommerons dorénavant le faisceau cortical postérieur faisceau de Tùrck-Meynert. Le faisceau de Tùrck
amus (Th). La bandelette sous-optique (BSO), au niveau de la partie postérieure du corps genouillé, perd sa direction horizontale
, 70), et nous verrons que cette portion de la capsule est le segment postérieur (CID, 72). Tout à fait en bas, lorsqu'il s'est ré
être la capsule interne (CI, fig. 70) et qui est ici (CID) le segment postérieur de cette capsule (fig. 72). Mais on peut remarque
uer sur la dernière coupe de la planche XXll (fig. 72) qqe le segment postérieur de la capsule interne (CID) se bifurque; une bran
erne représente la capsule interne proprement dite. CID. Le segment postérieur de la capsule interne (fig. 72) est donc formé pa
ui peut arrriver jusqu'à la ligne médiane, au-dessus de la commissure postérieure (CP). Le ganglion de l'habénule, en eflet, se pro
vec la substance grise de la glande pinéale, au niveau de la partie postérieure de leur face interne. La coupe 73 passe à travers
e véritable commissure grise au-dessus et en arrière de la commissure postérieure (CP). Cette commissure occupe précisément le pé
ncement de cette modification de la corne d'Ammon sur des coupes plus postérieures . NC. Le noyau caudé (fig. 74, 76, 77), libre da
aire externe (LML; nous verrons que cette lame fait partie du segment postérieur de la capsule interne, CID, fig. 76). NeC. Le n
oyau interne (NiC) et du noyau externe (NeC) et seulement à la partie postérieure de ces deux noyaux. Les coupes successives, faite
as, en général, nettement définie, puisqu'elle ne vise que la saillie postérieure du ganglion dans un espace vide. Considéré au poi
signaler sous le nom de centre médian de Luys (NmC, fig. 75); la plus postérieure est le pulvinar proprement dit (Pul). Tout à fa
on de l'ha-biMiiilc du côté gauche (lill;, au-dessus de la commissure postérieure ICI'}. Tii, llialamus; UAB, habénule; M, KO
aisceau rétrograde (FRF); en bas, il s'arrête à la commissure blanche postérieure (CP). En dedans, il est recouvert par le stratum
co-transversales passant à deux millimètres en avant de la commissure postérieure . On s'aperçoit alors (pl. XXIII, fig. 77, 78), qu
s, tapissé par sa substance grise (SG), et surmonté par la commissure postérieure (CP). Au-dessvis de la comuaissure postérieure on
onté par la commissure postérieure (CP). Au-dessvis de la comuaissure postérieure on voit la partie la plus reculée du ganglion de
a commissure. 2° En haut et en dehors : les trois noyaux de la région postérieure du thalamus (noyau externe XeC; noyau interne NiC
é externe n'est encore constitué sur cette planche que par les fibres postérieures de sa couronne rayonnante (RGE, fig. 74, 75, 78).
s, qui, au lieu de suivre son trajet normal à la partie inférieure et postérieure de la calotte, passe accidentellement au devant d
le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) et le faisceau longitudinal postérieur (FLP, fig. 73), réunit au niveau de la ligne médi
vius; Th, thalamus; GU, ganglion de l'habénule; Cl', commissure postérieure ; Tes, pédoncules cérébelleux supérieurs s'entre
le noyau lenticulaire du corps strié. FLP. Le faisceau longitudinal postérieur n'est indiqué (pl. XXÏÏl) que sur les figures 73
s'expliquer cet aspect et cette disposition. Le faisceau longitudinal postérieur (fig. 75) ne se présente plus sous l'aspect d'une
e de l'aqueduc dans le troisième ventricule, le faisceau longitudinal postérieur se porte en haut et en dehors, sous la couche opt
hématique cette disposition. Vue de profil du faisceau longitudinal postérieur (VLV) au niveau de la commissure postérieure (C
u faisceau longitudinal postérieur (VLV) au niveau de la commissure postérieure (CP) : CP, commissure postérieure; G, glande piné
(VLV) au niveau de la commissure postérieure (CP) : CP, commissure postérieure ; G, glande pinéale ; FLP, faisceau longitudinal
missure postérieure; G, glande pinéale ; FLP, faisceau longitudinal postérieur au-dessous de la substance grise de l'aqueduc.
avant, n'est pas encore entamée. FCP. Le faisceau de la commissure postérieure (75, 74, 75, 76) est fortement rejeté en dehors.
e tegmentum, après avoir donné naissance au faisceau de la commissure postérieure , s'élargit très notablement. Les causes de cet ac
Reil (Lmd). Il semble en être séparé par le faisceau de la commissure postérieure (FCP); mais nous savons que celui-ci est une éman
issure de Forel (CF). Coupe vertico-lransvci'sale de la coaunissure postérieure CP. Tli, tlialainus ; GII, gang-lion de rhal)
issure postérieui'e ; TEG, tegmentum ; FLP, faisceau longitudinal postérieur ; DV, racine descendante du trijumeau. CTE, fa
age inférieur de la circonvolution de l'hippocampe. CID. Le segment postérieur de la capsule interne (|jg. 7(j) est représenté :
rayonnante du thalamus sont loin de constituer la totalité du segment postérieur de la capsule interne (CfD), puisque celle-ci reç
ceau sensitif externe (FSe). En haut, elle se confond avec te segment postérieur de la capsule interne (CID, fig. 76), et, encore
étendue de celle-ci, la scissure de Rolando envoie une petite branche postérieure (i?j) qui limite nettement, au-dessous d'elle, l'
ffus du fornix, dont nous avons suivi jusqu'à présent tout le segment postérieur . En tout cas, si les fibres du segment postérieur
ent tout le segment postérieur. En tout cas, si les fibres du segment postérieur s'arrêtent à ce niveau, elles sont remplacées par
voyons aussi apparaître dans le plan de la coupe l'extrémité la plus postérieure du crochet (Une, 81, 83, 84). Celui-ci est entamé
uillé externe (fig. 79) est encore sectionné seulement dans sa partie postérieure . Mais déjà apparaît, en haut et en dehors de la s
n est toujours sûr de couper le noyau rouge aux environs de sa partie postérieure en faisant une section vertico-transversale au mi
on vertico-transversale de l'étage supérieur du pédoncule à la partie postérieure du noyau rouge de la calotte (NR). PV, pont de Va
upérieur ; FRF, fasciculus retroflcx ; FLP, faisceau longitudinal postérieur ; TEG, tegmentum ; Th, thalamus; GH, gangli
plus importante des fibres cérébelleuses et le faisceau longitudinal postérieur (FLP). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur
isceau longitudinal postérieur (FLP). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur (fig. 81) redevient plus apparent; sa teinte est
as et en dedans, entre le tegmentum (TEG) et le faisceau longitudinal postérieur (FLP, fig. 81), se place presque au contact de la
les Pédoncules de la glande pinéale. Le schéma représente la partie postérieure do la couche optique (Th) et les tubercules quadr
ou pédoncule antérieur; HAÏ, pédoncules inférieurs ; IIAP, pédoncules postérieurs ; BQ.A, le bras du tubercule quadrijumeau antérie
le en dehors de l'insertion des habénules, au-dessus de la commissure postérieure (IIAP). Ces pédoncules trans versaux se jettent
re sur la ligne médiane pour former le bras du tubercule quadrijumeau postérieur du côté droit; BOP, bras du tubercule quadrijumea
ijumeau postérieur du côté droit; BOP, bras du tubercule quadrijumeau postérieur gauche, formé en partie par des libres venues dir
t pas au tegmentum quoiqu'il semble en faire partie : c'est la partie postérieure du pédoncule cérébelleux, qui se perd dans la par
lus antérieurs destinés à traverser le noyau rouge. CEO. Les fibres postérieures du pédoncule cérébelleux supérieur, qu'on peut ap
Le faisceau de Tiirck-Meynert (fig. 79) représente la portion la plus postérieure du pied du pédoncule. 11 est séparé de l'étage su
'apparition du premier sillon frontal (/j fig. 86) dont le cul-de-sac postérieur s'enfonce dans le manteau de la circonvolution fr
) cL la fimbria (Fi) circonscrivent', dans un demi-cercle à concavité postérieure , le cul-de-sac du sillon de l'hippocampe (Sfl).
ans ses ondulations, décrit, elle aussi, un arc de cercle à concavité postérieure . C'est ainsi qu'elle gagne la face externe de l'u
ique n'est abordée par les faisceaux de la calotte que dans sa partie postérieure . Chaque bande ne représente donc en réalité qu'un
e rarement un demi-millimètre. Les coupes n'entament ici que son bord postérieur . Elle se confond, en haut, avec le faisceau arqué
eplis vont en augmentant d'ampbtude d'avant en arrière ; que les plus postérieurs sont les plus épais ; que les fibres qui tapissen
il s'épanouit en éventail au-dessous du thalamus. Les fibres les plus postérieures deviennent donc récurrentes (CEO, fig. 85, 86, 88
du thalamus (LML, pl. XXYI, fig. 95). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur (80, 87, 88), dirigé d'arrière en avant, est ici
quels s'arrêtent une n partie des fibres du faisceau longitudinal postérieur (FLP). et le faisceau, par conséquent, semble a
28 reçoivent précisément les fibres courtes du faisceau longitudinal postérieur (FLP). Sur la coupe 90, on distingue, en dehors
dedans en dehors, de sa direction primitive. Le faisceau longitudinal postérieur , en eflet, de haut en bas jusqu'à la gouttière de
n rayonnant dans la substance grise de la couche optique : ses fibres postérieures , revenant en arrière, sont sectionnées (sur la co
ent à leur axe dans Projection schématique du faisceau longitudinal postérieur (FLP) sur un plan horizontal. La coupe 90 secti
noyaux de l'aqueduc, grâce à l'interposition du faisceau longitudinal postérieur . FRF. Le fasciculus retroflex (85, 87, 89, 90)
90) descend, dans le plan de section, entre le faisceau longitudinal postérieur situé à sa partie interne, et le noyau rouge de l
e la calotte (NR) situé à sa partie externe. Le faisceau longitudinal postérieur (FLP) le sépare toujours de la surface ventricula
ux inférieur (Pcs, 85) emprunte une forme circulaire à la convexité postérieure du noyau rouge de la calotte. Ce noyau n'est qu'à
ion intéresse sa partie la plus large. Il n'en est rien. La convexité postérieure du noyau rouge efface, aplatit et élargit en quel
ntum. Les fibres dont ce dernier se compose se répandent à la surface postérieure du noyau et divergent en tous sens, comme les mér
e la calotte. Elles se divisent en deux faisceaux secondaires : Fun postérieur et inférieur ou lamina tegmenti (LTE, fig. 80, 88
ures 86, 88, le signe FP indique la place exacte de la partie la plus postérieure du faisceau pyramidal. Mais dans la striation tra
mince pédicule (fig. 88). Ce pédicule représente l'extrémité la plus postérieure du septum lucidum. FSe. Le faisceau sensitif ex
n très foncée. Cela tient à ce que la coupe arrive au contact du bord postérieur du noyau lenticulaire : le putamen est tout près;
upées sous les noms de : racine antérieure, racine inférieure, racine postérieure , bandelette sous-optique, et même tsenia semi-cir
e à augmenter de largeur à mesure que les coupes arrivent à la partie postérieure du putamen. Elle s'étale de bas en haut et de ded
tudier séparément. La capsule externe, en eflet, dans toute sa région postérieure , n'est pas autre chose qu'une expansion du faisce
le sillon prœrolandiquc supérieur {p7's, fîg. 92) reçoit l'extrémité postérieure du premier sillon frontal (/"J. Bientôt le sillon
ge de la calotte (NR) dont il est séparé par le faisceau longitudinal postérieur (FLP), présente encore les bandes claires, concen
tuée toujours exactement sur le prolongement du faisceau longitudinal postérieur , dont elle semble être l'épanouissement dans la m
bas par la lamina medialis (Lm), en haut par le faisceau longitudinal postérieur (FLP), en dehors par les libres les plus externes
res Vue scliéniatique du noyau lenticulaire gauche vu par sa face postérieure . PUT, le putamen ; OLP, le globus pallidus; GLM,
jettent directement d'arrière en avant, sur toute la hauteur du bord postérieur du putamen : les unes y pénètrent directement; d'
e externe de la couche optique (LML). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur (91, 92, 94, 96) s'insinue, sous la forme d'une l
94), invariablement accolé à la face externe du faisceau longitudinal postérieur , longe le noyau rouge de la calotte sans lui four
vant (pl. XXVR, fig. 101) dans la substance grise de l'espace perforé postérieur et dans le ganglion interpédonculaire (GIP, pl. X
tion est transversale; il semble faire suite au faisceau longitudinal postérieur (FLP). En réalité, les connexions de ces deux fai
08). Alors, en effet, il devient évident que le faisceau longitudinal postérieur (FLP) passe au-dessus du faisceau tegmento-thalam
e du cerveau, c'est ce faisceau qui limite en dehors l'espace perforé postérieur et la substance grise du tuber cinerum. On s'expl
us lentiformis (DL) et changeant brusquement de direction à la partie postérieure de ce noyau. La coupe 96 intéresse le faisceau
Cela tient à ce qu'il pénètre, à ce niveau, dans l'extrémité la plus postérieure du putamen (PUT, fig. 91). Sa striation transvers
g. 96); mais elle a aussi emprunté des hbrcs au faisceau longitudinal postérieur (FLP). A ce propos nous ferons remarquer que les
102); sa face supérieure est formée, en dehors par la partie la plus postérieure du noyau amygdalien (NA, fig. 102), et par la ban
n'est séparé que par la couronne rayonnante du faisceau longitudinal postérieur (RFP, fig. 102). Nous avons déjà signalé la str
Les côtés non parallèles sont limités : le supérieur, par le segment postérieur de la capsule interne (CID), l'inférieur par le s
pas encore complètement dégagé des libres qui l'abordent par sa face postérieure ; en d'autres termes, la coupe ne le divise pas en
ne part de la lame médullaire, elles s'épanouissent en éventail : les postérieures dirigées en arrière, les moyennes en dehors, les
O. Bandelette optique (fîg. 98, 101). LFP. Le faisceau longitudinal postérieur , situé au-dessous de la gouttière de Monro {M), p
, l'aisceau teginento-thala-111 ique ; FLl', i'aisceau longitudinal postérieur ; FLP' fibres inédianes de ce faisceau allant au
rent au noyau rouge de la calotte; et, comme le faisceau longitudinal postérieur , il s'épuise, au-dessus du noyau rouge, dans la r
s la région inférieure du thalamus. Profil du faisceau longitudinal postérieur au niveau du noyau rouge. 101, coupe vei'ticale
e vei'ticale de la planclie XXVII. A travers le faisceau longitudinal postérieur (FLP), on reconnaît par transparence le noyau rou
indique le trajet de la couronne rayonnante du faisceau longitudinal postérieur , allant de dedans en dehors se jeter dans la caps
us; — NR, noyau rouge. Schéma 1-47. _ Mais le faisceau longitudinal postérieur (FLP) ne consiste pas seulement dans l'agglomérat
vec lequel il parait se confondre en partie. Le faisceau longitudinal postérieur , grâce à ce prolongement latéral, enveloppe donc
nert appelle ces fibres inférieures « couronne rayonnante du faisceau postérieur » (radiatio fasciculi poster loris, RFP). Leur rô
gique seule qu'on a pu admettre les rapports du faisceau longitudinal postérieur avec la surface cérébrale. La radiatio fasciculi
trait d'union entre le faisceau d'Arnold et le faisceau longitudinal postérieur . Mais nous avons vu aussi que ce dernier faisceau
ynert (fig. 98, 99, 101) se sépare à présent du faisceau longitudinal postérieur auquel il avait été toujours intimement accolé. L
uel il avait été toujours intimement accolé. Le faisceau longitudinal postérieur , en effet, se porte en haut, le faisceau rétrofle
sez exactement de cette disposition. Lorsque le faisceau longitudinal postérieur (FLP) et le faisceau rétroflexe (FRF) se sépare
atique représentant de profil, le croisement du faisceau longitudinal postérieur (FLP) et du fasciculus relroflex (FRF), sur l'hém
te d'arrière en avant, limitée en dehors par le faisceau longitudinal postérieur . A ce niveau (pl. XXVIÏ, fig. 101) le faisceau lo
ostérieur. A ce niveau (pl. XXVIÏ, fig. 101) le faisceau longitudinal postérieur (FLP), le faisceau retro-fïex (FRF) et le faiscea
st séparé de la cavité ventriculaire que par le faisceau longitudinal postérieur (FLP) et le fasciculus retroflexus (FRF). A ce ni
gnientum avec la lamina teg- menti\ FLP, le faisceau longitudinal postérieur ; FIïF, section transversale du fasciculus retro
nicnti (LTE), qui pénètre dans la substance grise de l'espace perforé postérieur . MF. Le faisceau capsulaire, que nous avons vu
ou obliques en haut et en dedans ; ces fibres représentent la partie postérieure de la racine inférieure du thalamus (ThI, fig. 99
se au-dessus de la paroi vcntriculaire pour former la portion la plus postérieure de l'espace perforé antérieur. Dans ce trajet, on
antérieur. Dans ce trajet, on peut constater que les fibres les plus postérieures delà racine inférieure du thalamus se dirigent d'
econnaissantes à leur coloration foncée sur la coupe 99 (ThI). face postérieure du noyau amygdalien (NA). Peut-être donc ne se mé
rner la cavité du ventricule sphénoïdal et arriver à l'espace perforé postérieur EPA. Dans la première portion de son trajet elle
avant, poursuivant leur trajet postéro-antérieur, donner à la région postérieure de la capsule externe une coloration foncée, qui
asse pour former l'anse pédoriculaire de Gratiolet. CID. Le segment postérieur de la capsule interne (fig. 98, 100) est la porti
u'on a sous les yeux appartiennent au segment antérieur ou au segment postérieur (CID). Quand la coupe intéresse, en même temps qu
ain que les faisceaux capsulaires sectionnés appartiennent au segment postérieur (fig. 100). Quand la coupe intéresse les trois no
mais qui peut encore être considérée comme faisant partie du segment postérieur (CID, 108). Quand la coupe intéresse les trois se
is ; CiA, segment antérieur de la capsule interne ; Cil), segment postérieur de la capsule ; CA, commissure antérieure, situ
evant de la section circulaire du pilier antérieur; Cl', commissure postérieure s'enfonçant dans la couche optique. rieure, car
éritablement le faisceau du sillon parallèle; il prend ses insertions postérieures dans la substance grise qui double ce sillon. A
faisceau teg-mento-thalamique (CAO), et môme le faisceau longitudinal postérieur (FLP). Mais il faut admettre que les deux premier
forme une excavation qui représente sur la coupe 104 l'espace perforé postérieur (EPP). L'espace perforé est toujours limité par l
g. 108); et, en dedans de celle-ci, la coupe entame la partie la plus postérieure du tubercule mamillaire, constituée ici (fig. 108
ure du tubercule mamillaire, constituée ici (fig. 108) par les fibres postérieures du pilier descendant de la voûte (DF). Cavité v
la convexité supérieure du noyau amygdalien que s'applique la partie postérieure de l'anse pédonculaire de Gratiolet (voy. plus lo
naire (figure 105) située dans la substance grise de l'espace perforé postérieur (EPP, fig. 104), au-dessus et en dedans du pied d
rise intcrpédonculaire correspond, par sa surface, à l'espace perforé postérieur (EPP, fig. 108); et déjà l'on y voit apparaître l
stérieur (EPP, fig. 108); et déjà l'on y voit apparaître la convexité postérieure des tubercules mamillaircs (DF). DL. Le discus
ertaine partie de ses fibres à la substance grise de l'espace perforé postérieur (SG), en avant et en dehors du ganglion intcrpédo
contre la ligne médiane, immédiatement en arrière de l'espace perforé postérieur (EPP, fig. 104). Lorsque les plans les plus antér
stance grise intcrpédonculaire (SG), correspondant à l'espace perforé postérieur ; l'étage inférieur constitué exclusivement par l
e entre le thalamus et la capsule interne. Le faisceau longitudinal postérieur (FLP, voy. pl. XXVII) n'est plus représenté ici.
terions se prolonge, en avant, plus loin que le faisceau longitudinal postérieur d'où elle émane. On la voit encore (fig. 105, 105
trajet postéro-antérieur dans la substance grise de l'espace perforé postérieur , où elle se termine, immédiatement en arrière du
du pilier antérieur (DF) se réfléchissant en 8 de chiffre à la partie postérieure du tubercule). Le fascicuîus retrolïex, lui non
la partie externe de la substance grise centrale de l'espace perforé postérieur (SG). Mais bientôt elle se confond avec celle-c
avoir dépouillé très soigneusement de ses membranes l'espace perforé postérieur , on écarte doucement l'un de l'autre les pédoncul
l'extrémité antéro-supé-rieure de la lamina media-lis (LM). perforé postérieur , et qui correspondent aux ganglions interpédon-cu
eau, avant de se terminer dans la substance grise de l'espace perforé postérieur , glisse en dehors du ganglion inlerpédonculaire (
L. L'anse du noyau lenticulaire se porte en bas vers l'espace perforé postérieur (EPP, fig. 104) dont elle forme le bord externe à
l'état frais, divisent en fascicules isolés les faisceaux du segment postérieur delà capsule. Le faisceau capsulairc traverse don
a capsule interne montrant ses deux segments, l'antérieur (ThA) et le postérieur (CID) ; le segment antérieur se compose des libre
e la couche optique (ThA), et le faisceau d'Arnold (AU). Le segment postérieur est constitué par les fibres de l'étage inférieur
e terminent manifestement dans la substance grise de l'espace perforé postérieur . Celte hypothèse est d'autant plus vraisemblable
capsulairc (MF) se jeter dans la substance grise de l'espace perforé postérieur (pl. XXIX, fig. 113), à l'endroit même où vient a
ns l'étendue de la face externe de ce noyau qui correspond au segment postérieur de la capsule interne; à partir de là, ils sont a
et 108. — Sur certaines coupes (fig. 105) on voit les fibres les plus postérieures de la racine antérieure de la couche optique se c
coupes beaucoup plus antérieures, attendu que pour passer à la partie postérieure de l'espace perforé, le faisceau (Thl) décrit enc
FPF, fig. 105, 108), connue il l'était dès son apparition à la partie postérieure de l'opercule. C'est un rapport qui ne varie jama
la substance grise intra-ventriculaire (Th), par les fibres antéro - postérieures de la racine inférieure du thalamus (ThI). isol
constituer une véritable capsule blanche, arrivent jusqu'à la partie postérieure de ce ganglion. Un grand nombre d'entre elles se
par leur convexité interne. Elles forment la base de l'espace perforé postérieur , dont le sommet s'enfonce entre les bords interne
u interne et antérieur du tubercule mamillaire; 5, noyau externe et postérieur du tubercule mamillaire ; 6, fibres du pilier s
il;— 13, pédoncule antérieur du tubercule mamillaire. Schéma 171. postérieur (5). Le noyau interne recevrait une faible partie
de capsule et iraient ensuite se terminer dans le ganglion externe et postérieur (5). Quelques fibres encore, venues du pilier, s'
plus volumineux (12) et situé plus haut, émané du ganglion externe et postérieur , suivrait, parallèlement au précédent, une direct
se continuer avec lui de la façon suivante. Le putamen, à sa partie postérieure , ne repose pas sur les fibres blanches de l'anse
lleuse grise du tuber cinereum (TC, schéma 174), dirigée vers l'angle postérieur du putamen, qu'une émanation lamelleuse du putame
. 11 se contourne en hélice (fig. 112), de telle sorte que ses fibres postérieures entrent dans la masse líbrense de la capsule in
grise parcouru d'avant en arrière et de haut en bas par le pédoncule postérieur du tubercule mamillaire, dont nous avons indiqué
rmis), prennent naissance dans la substance grise de l'espace perforé postérieur (SG, fig. 111) et peut-être aussi dans le tubercu
lui (fig. 114) un angle dans lequel s'insinuent les fibres les plus postérieures du pilier du trigone (DF). LML. La lame médulla
u tubercule mamillaire (TM). Elle enveloppe ce tubercule : ses fibres postérieures passent derrière lui (112), où elles se confonden
ment sphénoïdal du putainen (GAP, fig. 111), passant derrière le bord postérieur de cette lame grise et s'insinuant ensuite au-des
utamen, en dehors de la commissure antérieure (CA), juste à l'orifice postérieur du canal de Gratiolet. Il est réduit, sur la coup
Vue de profil du faisceau sensitif externe (FSe) arrivant à la partie postérieure du noyau lenticulaire (NLe) et s'entre-croisant a
lamina medialis de la couche de Reil; RFP, région de l'espace perforé postérieur où commence l'irradiation du faisceau longitudina
perforé postérieur où commence l'irradiation du faisceau longitudinal postérieur ; FG, faisceau géniculé; ANL, anse du noyau lentic
yau lenticulaire; Th, couche optique ; CI, capsule interne (Segment postérieur ). ThA, racine antérieure de la couche optique f
capsule interne et se divisant en deux faisceaux, un antérieur et un postérieur dans la substance grise de la couche optique. AR,
he optique. AR, faisceau d'Arnold accompagnant les fibres externes et postérieures du faisceau précédent jusque dans la partie posté
externes et postérieures du faisceau précédent jusque dans la partie postérieure et inférieure du thalamus. (fig. 118, 119, 120)
de Vicq d'Azyr n'existe plus, la racine antérieure (ThA) et la racine postérieure de la couche optique (ThP) sont au contact l'une
us en avant encore (fig. 120), elles occupent la totalité du triangle postérieur de l'espace perforé où les branches de l'artère l
antérieur. CA. La commissure antérieure (fig. 115) franchit le bord postérieur de la lame grise sous-lenticulaire (GAP, fig. 116
ehors et au-dessous du noyau caudé, comme destiné à la région la plus postérieure de ce noyau, peut-être môme à sa portion réfléchi
couche optique. Elle forme ici le faisceau le plus interne du segment postérieur de la capsule interne; elle occupe exactement l'a
ment confondu avec le faisceau arqué (fig. 120), prend ses insertions postérieures dans la deuxième circonvolution frontale et ses i
tes sont également subordonnées à celles du bord antérieur et du bord postérieur de l'insula : il était donc tout naturel d'admett
trum sur l'écorce du lobe de l'hippocampe se fait à la partie la plus postérieure de l'isthme fronto-sphénoïdal. Mais commeut exp
a coupe 126, le pilier descendant de la voûte (DF) représente le bord postérieur du septum lucidum (PEL) ; du moins il contribue à
t pas d'établir une connexion commis-surale entre les circonvolutions postérieures . L'immense majorité de ses fibres — autant dire l
upes vertico-transversales passant par la lame terminale et la partie postérieure du rostrum Écorce, Dans la région frontale, l
tion de la scissure de Sylvius. On voit, sur la coupe 150, la branche postérieure cette scissure (S'), ou grande branche, s'enfonce
e la coupe 129 il n'existe plus : il est remplacé par le bord le plus postérieur du lobule orbitaire. Ce bord postérieur est formé
remplacé par le bord le plus postérieur du lobule orbitaire. Ce bord postérieur est formé par la portion orbi-taire de la troisiè
psule interne a perdu l'épaisseur qu'elle avait dans les régions plus postérieures . La racine antérieure du thalamus constitue ici,
escendant de la voûte ; GVE, gyrus vestibuli, recouvert à sa partie postérieure par la couche blanche de la substance réliculaire
cine olfactive interne. bure d'un bec de rapace, avec une convexité postérieure et une concavité antérieure. La convexité est env
151 passe au devant de l'insertion du septum lucidum sur la concavité postérieure du corps calleux, c'est-à-dire à travers le corps
ient à peu près impossible. Il est vrai que dans cette partie la plus postérieure du rostrum la véritable direction des libres call
déjà étudiées. Elles viennent d'une région de la tête du noyau caudé postérieure au plan de la coupe; 2° une portion inférieure, c
e frontal. Mais c'est seulement par comparaison avec l'épanouissement postérieur des faisceaux du splenium qu'on a donné ce nom au
um. Celles-ci, en effet, sont beaucoup moins compactes que les fibres postérieures . Elles ne présentent une certaine densité que dan
tal qui passe à la fois par la commissure antérieure et la commissure postérieure . L'aspect des coupes obtenues sur une surface de
ieur (Pcs), le fasciculus retroflexus (FRF), le faisceau longitudinal postérieur (FLP) ; en dehors, la lamina tegmenti (LTE), le f
rne, visible seulement sur la première coupe, se trouve à l'extrémité postérieure de la bandelette optique (BO) ; il est séparé du
sceau foncé, oblique en avant et en dehors qui l'aborde par sa partie postérieure : c'est le fasciculus retroflexus, descendu du ga
ire. On voit le faisceau de Yicq-d'Azyr (FVA) émerger de sa convexité postérieure et s'enfoncer, en avant en dehors et en haut, dan
) et de la queue du noyau caudé (NCC), représente l'extrémité la plus postérieure du noyau lenticulaire. En dessous et en dehors de
ure du noyau lenticulaire. En dessous et en dehors de cette extrémité postérieure du putamen (fig. 1), la commissure antérieure (CA
l'angle formé par la paroi externe du ventricule occipital et la face postérieure du pulvinar. Il est placé toujours au devant du t
en haut et en dehors (au dessus du plan de la coupe) avec le segment postérieur de la capsule. — Les fibres claires et striées ap
cérébelleux supérieur (Pcs) et en dedans par le faisceau longitudinal postérieur (FLP). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur
isceau longitudinal postérieur (FLP). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur sous-jacent à l'aqueduc de Sylvius (AQ) remonte v
s fibres les plus supérieures du Icmniscus; il vient de la commissure postérieure ; il est constitué par les fibres du faisceau de l
r; elles ne traversent pas le noyau rouge; elles glissent à sa partie postérieure et externe. ANL. L'anse du noyau lenticulaire (
CA. La commissure antérieure (fig.l), diffuse à la partie externe et postérieure du putamen (PUT), se réfléchit à ce niveau, en ba
sur le plan de section horizontal, au moment où elle forme la partie postérieure de l'espace perforé antérieur. Elle est au-dessou
avant en arrière toute la région temporo-occipitale, depuis la partie postérieure du putamen jusqu'au pôle occipital; il n'est sépa
if interne prend naissance, en avant, dans BlUSSACD. 28 la région postérieure et externe du puhinar (Pul, fig. 5); il reçoit ég
doncule. FM. Le faisceau de Tiirck-Meynert, qui représente le quart postérieur du pied du pédoncule (PP, fig. 3) et qui arrive à
ent foncées, formant une cloison continue depuis le bulbe de la corne postérieure (BCP, fig. 2) jusq^u'au pôle occipital. FPV. Le
a substance grise du septum lucidum (GSL). On voit encore à sa partie postérieure , en dedans de la commissure antérieure (CA), quel
st à l'extrémité la plus externe du pulvinar (Pul), derrière le noyau postérieur du thalamus (NpC, fig. 4), d'où émerge la couronn
tance grise du septum lucidum se confond non seulement avec la partie postérieure du noyau caudé, mais avec la substance grise basi
vance dans le septum lucidum (fig. 5) de manière à tapisser la partie postérieure de la face externe de cette cloison. Si le septum
eut appeler globus accessoire (fig. 4) est en contact avec le segment postérieur de la capsule (CiD). Mais on remarquera que l'exi
isceau géniculé (FG). Les rapports du globus medialis avec le segment postérieur de la capsule sont immédiats; mais ce noyau n'est
se confond avec le noyau interne du thalamus pour constituer le noyau postérieur de la couche optique (NpC). NmC. Le centre médi
par en bas, de dedans en dehors avant de s'y épuiser. NpC. Le noyau postérieur du thalamus (fig. 6) est, immédiatement au-dessus
ercule du fascia dentata (ïf). Substance blanche. CID. Le segment postérieur de la capsule interne (fig. 4) renferme toutes le
outes les parties blanches situées en arrière et en dedans du segment postérieur de la capsule appartiennent aux faisceaux de la c
face inférieure de la couche optique. FLP. Le faisceau longitudinal postérieur (fig. 4) est, parmi les' faisceaux de la calotte,
u rouge, représentent la couronne rayonnante du faisceau longitudinal postérieur [Radiatio fasciculi pos-terioris de Meynert, voy.
, représenté ici (fig. 4) par un espace fusiforme adjacent au segment postérieur de la capsule interne (CID). Le corps de Luys est
MF. Le faisceau médullaire de la capsule, foncé au contact du segment postérieur de la capsule (CID), passe au-dessous des fibres
ticulaire (ANL) le circonscrit dans son trajet rétrograde à concavité postérieure . CEO. Le faisceau cérébello-thalamique (fig. 4
que le triangle de Vhabénule. Ce ganglion est situé en avant du noyau postérieur du thalamus (NpC, fig. 7) et du noyau interne (Ni
passe par un plan horizontal supérieur à l'habénule. NpC. Le noyau postérieur du thalamus appartient à la région inférieure de
les ont une coloration foncée qui se continue avec celle de la partie postérieure du noyau caudé. Le tsenia, confondu quelquefois —
, au système rayonnant du thalamus. Seulement elle vient de la région postérieure du pulvinar ; c'est pourquoi la direction de ses
érieure correspondant à la lète est la plus voluniincuse; ' la partie postérieure , correspondant à la queue, s'allonge en avant et
lques fibres transversales du genou de la capsule (Gci). Cette partie postérieure , n'entrant pas I immédiatement en contact avec la
efour ventriculaire (Cl). Elle s'étend du carrefour (G F) à la partie postérieure de la corne frontale (VF); elle est presque tout
e tout entière dans la corne frontale : c'est, en résumé, l'extrémité postérieure , allongée, de la tête du| noyau caudé. PUT. Le
t le plan môme de la coupe. I Substance blanche. TRp. Le pilier postérieur du trigone (fig. 10) fait suite à la fimbria. 11
ne coloration foncée en avant, claire en arrière (ses fibres les plus postérieures en effet se confondent avec celles du faisceau mo
'enfonce donc (au-dessous du plan de la coupe) pour rejoindre le bord postérieur du putamen et la capsule externe. Sur la coupe 12
arqué sur les coupes il et 12. On observera également que la partie postérieure de ce faisceau (composé de fibres verticales) s'e
ne constance absolue, en ce qui concerne l'étendue de ce prolongement postérieur . RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé (fi
e externe (CE) des fibres dont la masse décrit une courbe à concavité postérieure . Nous savons les connexions étroites de la capsul
ences, en contact avec cette connnissure. Il existe entre l'extrémité postérieure du gyrus reclus (GR) et la commissure antérieure
iculaire par un nodule gris (tec), représentant ici la partie la plus postérieure du taenia tecta. tec. Le tsenia tecta n'est que
l'écorce grise au-dessous du sinus du corps calleux. Mais à la partie postérieure du corps calleux il est l'origine du fasciola cin
au sensitif interne (FSi) ; les fibres commissurales de la commissure postérieure (CP), placées en arrière et en dehors du faisceau
du faisceau rétrcflexe (FRF). Enfin, juste en avant de la commissure postérieure (CP), on distingue l'amas de substance grise du g
ment sous la substance grise du noyau caudé (NC). CP. La commissure postérieure forme la limite antérieure du tubercule quadrijui
u troisième ventricule, au-dessous des noyaux du thalamus. Le segment postérieur de la capsule interne ne lui emprunte aucune de s
psule interne ne lui emprunte aucune de ses fibres. CID. Le segment postérieur de la capsule interne, strié par le fait de l'ent
dullaire latérale du thalamus est en partie confondue avec le segment postérieur de la capsule interne. On peut toutefois reconnaî
a substance grise du thalamus, est formée par les fibres de la racine postérieure et de la racine antérieure du thalamus. Les fibre
ieure et de la racine antérieure du thalamus. Les fibres de la racine postérieure proviennent du faisceau sensitif interne (FSi) et
entre-croisement des fibres de la calotte avec les fibres des racines postérieure et antérieure du thalamus, dans la lame médullair
t ce qui est relatif à la commissure antérieure (CA), à la commissure postérieure (CP), au faisceau d'Arnold (AR), est conforme à c
de la figure 1. FS. Le faisceau sensitif s'élargit à son extrémité postérieure . 11 se partage entre la troisième circonvolution
yau interne du thalamus (NiC). 2" La réduction de volume du segment postérieur de la capsule. Ici, le segment postérieur de la c
uction de volume du segment postérieur de la capsule. Ici, le segment postérieur de la capsule n'est plus guère représenté que par
rière, en deux racines : l'externe se perd insensiblement sur le bord postérieur du désert olfactif (DO) ; l'interne s'infléchit e
aboutit de dehors en dedans la vallée de Sylvius. A la partie la plus postérieure de l'espace perforé, une traînée blanche, venue d
tique (BSO). En arrière cette cavité présente deux prolongements : le postérieur et le plus externe va former la corne occipitale;
erne. En dedans la fimbria (FI) se perd à la surface de l'extrémité postérieure et interne du crochet (Une). PLANCHE XLI COUP
rtie la plus antérieure du pont. supérieur de l'hémisphère. La plus postérieure (I) de ces coupes passe au devant du bourrelet du
passe par le milieu du corps genouillé externe (GE) et par la partie postérieure du crochet (Une). On voit le fascia dentata (Fd)
bercule quadrijumeau antérieur. BQP. Bras du tubercule quadrijumeau postérieur . BSO. Bandelette sous-optique, libres temporo-t
sous-optique, libres temporo-thalamiqucs (Arnold, Meynert), faisceau postérieur de l'ans8 pédonculaire de Gratiolet. j C. Circo
terne. CIA. Segment antérieur de la capsule interne. CID. Segment postérieur de la capsule interne. CIF. Segment inférieur d
rieure (dans la substance grise du tuber cinereum) . CP. Commissure postérieure . CQ. Opercule du lobe carré ou cap du lobe carr
érieur. EPF. Encoche de l'extrémité frontale. EPP. Espace perforé postérieur , lamina perforata posterior. EPY. Entre-croisem
asciola cinerea, bandelette cendrée. FCP. Faisceau de la commissure postérieure . Fd. Fascia dentata (Tarin), corps godronné, co
es du faisceau longitudinal inférieur. ; FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte. FLF. Fibres du faisceau longitud
inal postérieur de la calotte. FLF. Fibres du faisceau longitudinal postérieur de la calotte allant au thalamus. FM. Faisceau
bres moyennes du ou faisceau moyen du forceps' major. FOp. Fibres postérieures du forceps major. FOs. Fibres supérieures du forc
us pallidus. GMA. Gyrus métopique antérieur. GMP. Gyrus métopique postérieur . GOE. Gyrus olfactif externe. GP. Lobule du p
iétale ascendante. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré. GQP. Gyrus postérieur du lobe carré. GR. Gijinis reclus. GS. Pyrami
i courbe. ima. Incisure métopique antérieure. imp. Incisure métopique postérieure . IN. Insula de Reil, lobule de l'insula, insula
l'insula, insula antérieur, lohns cau- dicis (Rurdach). INP. Lobule postérieur de l'insula, insula postérieur. Inf. Infundibulum
ns cau- dicis (Rurdach). INP. Lobule postérieur de l'insula, insula postérieur . Inf. Infundibulum de la tige pituilaire. io. Inc
d sillon de l'insula. IRA. Rigole antérieure de l'insula. IRP. Rigole postérieure de l'insula. 1RS. Rigole supérieure de l'insula.
nticulaire. NmC. Centre médian (Luys). NO. Nerf optique. NpC. Noyau postérieur du thalamus. NR. Nudeus ruher, noyau rouge de S
s du pont. PYR. Pyramide antérieure du bulbe. ¦kB. Pli d'anastomose postérieur de la troisième circonvolution frontale à la deux
. Pli de passage pariéto-frontal supérieur. -jifP. Pli d'anastomose postérieur de la première frontale h la deuxième. xL. Pli
Tubercule quadrijumeau antérieur (nates). QP. Tubercule quadrijumeau postérieur (testes). R. vScissure de Rolando. R'. Prolon
au postérieur (testes). R. vScissure de Rolando. R'. Prolongement postérieur de la scissure de Rolando. RAIL Recessus antérieu
rontal antérieur. RFP. Couronne rayonnante du faisceau longitudinal postérieur , radialio fasciculi posterloris (Meynert). RGE.
onnante de la couche optique. RTP. Recessus du tubercule quadrijumeau postérieur . S. Vallée de Sylvius. -S". Branche postérieu
rcule quadrijumeau postérieur. S. Vallée de Sylvius. -S". Branche postérieure de la scissure de Sylvius. S". Branche antérieu
lamus. Thl. Racine inférieure du thalamus. ThP. Pédoncule ou racine postérieure du thalamus (voy. ES). TJ. Tubercule de jonction.
y. NEL). TM. Tubercule mamillaire, corpus candicans. Tmp. Pédoncule postérieur du tubercule mamillaire. TP. Tractus transversus
ix. trm. TroudeMonro. TRO. Tractus opticus zonalis. TRp. Pilier postérieur du trigone. TRS. Triangle rétro-ammonique. TS
rijumeau antérieur (BQA)........ 215 Bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP)........ 212 Bulbe du nerf olfactif (OLB).
egmentinférieur) (GIF)....... 274,505, 524 Capsule interne (segment postérieur ) (CID)........258, 524 Carrefour de Phémisphère
7 Commissure molle ou moyenne (CM). . ............ xxi Commissure postérieure (CP)............xxii, 218, 250 Conarium (G)....
nterne (RGI)...... 219 Couronne rayonnante du faisceau longitudinal postérieur (RFP) 515, 555 Couronne rayonnante du noyau cau
Espace perforé antérieur (EPA).............. x, 322 Espace perforé postérieur (EPP)..............vni, 533 F Faisceau arqué,
circonvolution temporale (GIF)...... 548 Faisceaux de la commissure postérieure (FCP)....... 215, 229 Faisceau du crochet [unci
nférieur (cinquième couche) (FLo). . 155, 213 Faisceau longitudinal postérieur de la calotte (FLP).... 227, 279 Faisceau longi
s à la capsule interne (ARC). . . 505 Fibres du faisceau longitudinal postérieur allant au thalamus (FLP') 279 Fibres du faisceau
yrus métopique antérieur ¦ (GMA)............... lvi Gyrus métopique postérieur (GMP).............. lvj Gyrus pariétal inférieu
.... xl\ Gyrus pariétal supérieur (P^)................. xly Gyrus postérieur du lobe carré (GQP)............. xl Gyrus recta
métopique antérieure (ima). . ..........xi,, 21 Incisure métopique postérieure [imp)...........xl, 21 Incisure du pli courbe {
....... xxiv Insula de Reil (IN).................... xLvni Insula postérieur (INP).................. xlyui Isthme du coin (I
Lvm Opercule pariétal d'Arnold (OP)................ lxhi Opercule postérieur de Sylvius (OS).............. l Opercule roland
r (Pcs).......... 208, 277 Pédoncule cérébelleux supérieur (portion postérieure aHant à la couche optique), (CEO)..............
inférieur du thalamus ou pédoncule interne (TIH).... 520 Pédoncule postérieur du thalamus (Thl)............ 520 Pédoncules du
ticulaire (prolongement temporal, Wernicke), (GAP), aol, 505 Noyau, postérieur du thalamus (NpC)............. 225 Noyau postér
..... xx Piher descendant du fornix (DF)............... xx Pilier postérieur du trigone (TRç)......... . . xxvi, 220 Pli ant
xxvi, 220 Pli antérieur du lobe carré (GQA)............... xl Ph postérieur du lobe carré (GQP)............... xl PU courbe
)......... PI- I » » moyen entre F* et F^ (TifM)........... 4 » » postérieur entre F* et F^ (irfP)......... Pl. I )) » antér
iBA)......... 5 )) » moyen entre F^ et F* (ttBM).......... 5 )) » postérieur entre F^ et F^ (ttB)........ lxviii )) » entre
longement supérieur), (fij)....... 256 Scissure de Sylvius (branche postérieure ), {S')....... i, 51 Scissure de Sylvius (branch
. Y Rigole antérieure de l'insula (IRA).............. xlix Rigole postérieure de l'insula (IRP).............. xlix Rigole sup
quadrijumeau antérieur (QA)............ vnr Tubercule quadrijumeau postérieur (QP).......... xui, 180
5 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
n plan,constant. Cette substance grise est plus abondante à la partie postérieure qu'en avant. A l'œil nu on aperçoit facilement
e autre saillie plus forte, arrondie, connue sous le nom de tubercule postérieur ou de pulvinar thalami optici. Ces deux saillie
conscrits à l'intérieur. Entre le tubercule antérieur et le tubercule postérieur , il en existe un autre, moins marqué à la surface
nom de centre antérieur ou olfactif., centre moyen ou optique, centre postérieur ou auditif, centre médian ou sensitif. (Pl. IV, 9
he optique sur laquelle il produit une intumescence ovoïde. Le centre postérieur est moins volumineux que le précédent et dans un
erme. Le centre médian est situé entre le centre moyen et le centre postérieur , en dehors et un peu au-dessous d'eux, au centre
ntérieures de ce lobe aux régions pariétales supérieures; à la région postérieure , un autre faisceau, le faisceau arciforme occipit
faisceau, les fibres arciformes occipito-frontales unissent la partie postérieure du lobe frontal à la partie supérieure du lobe sp
ures décrivent une courbe à concavité antérieure ; celles des régions postérieures présentent une direction inverse. Les premières c
es antérieures (forceps anterior), et les secondes forment les cornes postérieures (forceps posterior). Toutes ces fibres passent
liquement de haut en bas ; celles qui proviennent des circonvolutions postérieures prennent une direction convergente d'arrière en a
radiés des régions moyennes ; le groupe des fibres issues des régions postérieures décrit par Kôlliker est quelquefois désigné sous
ace externe du noyau lenticulaire du corps strié, gagnent les parties postérieures de la couche optique en formant une coque extérie
nucléée sur des pièces durcies. Les fibres convergentes des régions postérieures se détachent de tous les points de la substance g
étachent de tous les points de la substance grise des circonvolutions postérieures , se portent directement vers l'axe du lobe occipi
ccessive de fibres nouvelles, à mesure qu'il se rapproche des régions postérieures de la couche optique. Arrivées à ce niveau, les
on et de groupement des faisceaux de fibres conver-gentes des régions postérieures , il semble que les fibres convergentes des région
e grise de la couche optique, vers le centre médian. Les pédoncules postérieurs ou inférieurs croisent la commissure blanche post
elet est la portion de l'encéphale qui occupe, au-dessous des régions postérieures du cerveau, la loge constituée par les parois oss
veau par la tente du cervelet ; il est en contact médiat avec la face postérieure du névraxe. Le lobe médian présente une éminenc
par la dénomination de cordons antérieurs, cordons latéraux, cordons postérieurs et séparés les uns des autres par des prolonge-me
rrondie et dentelée ; elle porte le nom de corne antérieure ; l'arête postérieure s'allonge jusqu'à la périphérie, elle est plus ét
usqu'à la périphérie, elle est plus étroite et a reçu le nom de corne postérieure . Son extrémité est revêtue d'une sorte de calotte
fig. II et III). La région intermédiaire aux cornes antérieures et postérieures renferme un groupe de cellules, réunies vers la r
olongements seulement. Sur les côtés externes de la base des cornes postérieures , on distingue un amas de cellules que Jacubowitsc
h considère comme analogues aux cellules ganglionnaires. Les cornes postérieures sont coiffées en arrière par la substance gélatin
tineuse de Ro-lando qui se voit à découvert dans le sillon collatéral postérieur ; elle présente une coloration grisâtre transpare
rvues d'un gros noyau, dispo-sées en séries sur le trajet des racines postérieures , qui s'éparpillent en fibrilles en atteignant la
leur origine l'une dans la corne antérieure, et l'autre dans la corne postérieure . Les racines antérieures émergent des cellules mo
aine que leur fournit la dure*-mère, elles se réunis-sent aux racines postérieures . Les réseaux de la substance gélatineuse de Rol
seaux de la substance gélatineuse de Rolando qui terminent les cornes postérieures donnent naissance aux racines postérieures ou sen
o qui terminent les cornes postérieures donnent naissance aux racines postérieures ou sensitives. Ces fibres radi-culaires, aussitôt
tion super-ficielle ou motrice des pyramides antérieures. Les cordons postérieurs s'inclinent à leur tour en avant, en haut et en d
en avant, en haut et en dedans ; ils sectionnent également les cornes postérieures en deux parties, s'entre-croisent sur la ligne mé
parties, s'entre-croisent sur la ligne médiane, s'accolent à la face postérieure des pyramides antérieures pour constituer la port
chaque côté de la ligne médiane par la tête des cornes antérieure et postérieure décapitées. Une grosse colonne grise, cons-tituée
e, cons-tituée par la base des cornes antérieures et celle des cornes postérieures , occupe le centre et entoure le canal médullaire
canal central de la moelle se rapproche de plus en plus de la partie postérieure et finit par se trouver à découvert au niveau de
eures se place de chaque côté de la ligne médiane, la base des cornes postérieures vient se ranger sur le côté externe de la précéde
orne antérieure est portée en avant et en dehors, la tête de la corne postérieure est fortement rejetée en dehors, atteint même la
orne antérieure se prolonge sur la ligne médiane; la base de la corne postérieure envoie un prolongement nommé noyau des cordons gr
La tête de la corne antérieure se porte en avant, la tête de la corne postérieure devient de plus en plus antérieure. Ces deux colo
ommun. Le noyau classique de l'hypoglosse est situé sur l'extrémité postérieure du raphé médian, de chaque côté de la ligne média
é par une formation réticulée de substance grise qui s'étend du noyau postérieur de l'hypoglosse sur les parties latérales du bulb
est séparé par le passage de fibres nerveuses. La base de la corne postérieure s'étale en colonne allongée de bas en haut sur le
es noyaux sensitifs des nerfs mixtes ; au-dessus elle forme la racine postérieure du nerf auditif, connue sous le nom de barbes du
rf de Wrisberg, les racines du facial, le corps restiforme et le bord postérieur du plancher du quatrième ventricule. Les racine
ieurs nucléoles et ont un prolongement ramifié. La tête de la corne postérieure constitue le tubercule cendré de Rolando; elle es
do; elle est formée parla substance gélatineuse qui coiffe les cornes postérieures . Dans son trajet ascendant, elle donne naissance
re du trijumeau commence au-dessus de l'entre-croi-sement des cordons postérieurs de la moelle, par des fibrilles qui prennent nais
nce dans le tubercule cendré de Rolando, formé par la tête des cornes postérieures décapitées. La substance gélatineuse qui l'ento
eux. Paris, 1865. dans la substance grise du tubercule quadrijumeau postérieur , celui du ganglion externe dans la substance gris
it dans la substance grise corticale du tuber cinereum; 2° une racine postérieure qui traverse un ganglion et va se rendre dans la
icule très caractéristique (Pl. IV, 22; XL, 27, XLIII). Les cordons postérieurs de la moelle s'inclinent en avant, s'entre-croise
sur la ligne médiane, au-dessus des précédents; s'accolent à la face postérieure des pyra-mides antérieures, qu'ils suivent dans l
léchissent en dedans, pour se concentrer sur les côtés de l'extrémité postérieure du raphé médian, au-dessus de la substance grise
en avant et en contact avec l'extrémité libre de la tête de la corne postérieure . Elle continue son trajet ascendant en arrière de
antérieure de la corne pos-térieure (Pl. XXXVIII, 25). Les cordons postérieurs de la moelle sont prolongés dans le bulbe par un
n cunéiforme de Gollpar Kôlliker. Ce faisceau constitue les pyramides postérieures du bulbe; il se renfle au niveau du bec du calamu
appelle cordon cunéiforme la portion externe seulement de ce faisceau postérieur du bulbe ; Meynert désigne également la portion i
la forme d'un croissant à concavité interne dirigée vers l'extrémité postérieure du raphé. Les cordons antérieurs se logent dans
se confondre avec le faisceau que Meynert nomme faisceau longitudinal postérieur de la calotte, et se terminer alors aux cordons a
, atteint le centre médullaire et va aboutir aux régions latérales et postérieures du lobe frontal. Ce faisceau met en connexion imm
1) Charcot, Leçons sur les maladies du système nerveux. Les cordons postérieurs de la moelle, portion sensitive des pyramides, se
ine en dehors, se recourbe en arrière et en bas, et gagne les régions postérieures et inférieures du lobe occipital (Pl. XXVI, 5).
res cordons du bulbe. Ils cons-tituent alors le faisceau longitudinal postérieur . Ce faisceau franchit la protubérance en suivan
de cette région. Dans ce trajet ascendant, le faisceau longitudinal postérieur affecte des rapports intimes avec les noyaux radi
couche de l'anse pédon-culaire, sous le nom de faisceau longitudinal postérieur de la calotte. Ils lui assignent pour lieu d'orig
é aussi sous le nom de faisceau sous-olivaire, chemine entre la corne postérieure et les débris de la corne antérieure qui le sépar
ruban de Reil, se dirige en dedans sous les tubercules quadrijumeaux postérieurs , constitue, par son entre-croisement avec son con
e, par son entre-croisement avec son congénère, la commissure blanche postérieure , et se perd dans la couche de substance grise qui
us Luysii. Les noyaux rouges de Stilling reçoivent par leur segment postérieur un faisceau de fibres afférentes fourni par les p
cuneatus et gracilis), qui relient les cellules nerveuses des régions postérieures de la moelle avec le cervelet (Pl. XXXVI, 15).
nce grise centrale de la moelle épinière (région dorsale). a. Corne postérieure . b. Canal central de la moelle. c. Substance
llet du bulbe). a. Canal central du bulbe. b. Noyau des pyramides postérieures . Gavoy. — Encéphale. 7 c. Noyau des corps res
s corps restiformes. d. Racine du nerf grand hypoglosse. e. Corne postérieure , séparée de sa base et déjetée latéralement. f.
ves bulbaires). a. Canal central du bulbe. b. Noyau des pyramides postérieures . c. Racines du nerf grand hypoglosse. d. Noya
pyramides. g. Raphé médian formé par l'entre-croisement des cordons postérieurs . h. Sillon médian antérieur. i. Portion sensi
nce grise de l'olive bulbaire. k. Substance gélatineuse de la corne postérieure . Fig. II. — Répartition de la substance grise d
olive bulbaire), a. Canal central du bulbe. b. Noyau des pyramides postérieures . c. Noyau des corps restiformes. d. Substance
. Noyau des corps restiformes. d. Substance gélatineuse de la corne postérieure . e. Vestiges de la tête de la corne antérieure.
courbe occipitale supérieure; en haut, les fibres s'attachent au bord postérieur de l'aponévrose épicrânienne. Les fibres de ces d
côté gauche et fait saillie dans la narine de ce côté. L'ouverture postérieure des fosses nasales est quadrilatère et dirigée ob
e un tubercule médian, tubercule pharyngien qui proemine sur la paroi postérieure du pharynx. Le sphénoïde continue la partie ant
tion longitudinale des muscles de la nuque. 10. — Ligament cervical postérieur . 11. — Protubérance occipitale externe. Gavoy
égion moyenne est logée dans la fosse zygomato-maxillaire ; la région postérieure appuie sur latente du cervelet, tendue horizontal
r la tente du cervelet qui les sépare de la face inférieure des lobes postérieurs du cerveau. Le cervelet com-prend tout l'espace q
ords irréguliers, la scissure festonnée, qui marque en haut la limite postérieure du lobule frontal interne ou para-central, formé
se dirige du bec vers le chiasma (7) et ensuite en dehors. La partie postérieure du corps cal-leux, épaisse et arrondie, forme le
rière une éminence moins saillante que la première,, nommée tubercule postérieur . (1) Voir E. Gavoy, Anatomie topographique du C
re, dont le sommet est à la tige pituitaire. Il est fermé à la partie postérieure par la commissure blanche postérieure, petit fais
taire. Il est fermé à la partie postérieure par la commissure blanche postérieure , petit faisceau de fibres blanches disposé transv
lbe (18) et un faisceau blanc à la région pos-térieure, les pyramides postérieures (19). a. — L'artère cérébrale antérieure, branc
périeur de la protubérance, en deux branches : les artères cérébrales postérieures . d. — Branche de l'artère cérébrale postérieure
artères cérébrales postérieures. d. — Branche de l'artère cérébrale postérieure . — L'artère cérébrale postérieure se partage en t
d. — Branche de l'artère cérébrale postérieure. — L'artère cérébrale postérieure se partage en trois artères : la première se rend
drilatère que limite la scissure perpendiculaire interne. A la région postérieure est le lobule triangulaire ou cunéiforme, circons
la dissociation des faisceaux des fibres commissurantes. A la région postérieure , ces fibres sont unies avec la bandelette qui for
ieure, ces fibres sont unies avec la bandelette qui forme les piliers postérieurs du trigone. En avant, le pilier antérieur passe d
re de la couche optique, le corpus album subro-tundum et le tubercule postérieur , qui se présentent sous l'aspect de deux noyaux d
r et reçoit le faisceau de Vicq-d'Azyr, le deuxième est appelé centre postérieur . Au-dessous et en arrière du centre postérieur
me est appelé centre postérieur. Au-dessous et en arrière du centre postérieur est la glande pinéale et la substance grise des t
u près arrondi, c'est le -centre moyen (10) en rapport avec le centre postérieur (11) et le centre médian (12). 14. — Noyau roug
baire en rapport avec les fibres spinales posté-rieures (25). La face postérieure du bulbe est formée par la section des pyramides
La face postérieure du bulbe est formée par la section des pyramides postérieures (24). En avant est la substance grise centrale qu
un fais-ceau de fibres blanches (28) appartenant aux fibres spinales postérieures ; plus loin est un petit fascicule blanc (29), fa
n petit fascicule blanc (29), faisant partie de la commissure blanche postérieure . Gavoy. — Encéphale. 9 V. — Encéphale dont
s antérieures; elle est contournée en arrière par les fibres spinales postérieures , qui sont séparées, dans le pédoncule cérébral, d
leux inférieurs, en continuité par leur bord interne avec les cordons postérieurs intermédiaires du bulbe, ou cordons de Go II. V
té des ventricules latéraux. Le bourrelet est adhérent avec le pilier postérieur du trigone (3), qui se continue au-dessus de la c
igeant en arrière dans le sillon intermé-diaire, au-dessous du pilier postérieur du trigone. Il recouvre le centre moyen (8) de la
s fibres convergentes de la capsule interne; en arrière est le centre postérieur de la couche optique (9); le centre médian (10) e
ps calleux qui constitue la voûte des ventricules latéraux. Le pilier postérieur du trigone (3, Pl. VI) est encore adhérent au bou
ect; c'est le faisceau direct moteur du pédoncule cérébral. Le groupe postérieur de fibres, qui paraît s'arrêter au locus niger, a
alleux, se détache un prolonge-ment horizontal, qui gagne l'extrémité postérieure du lobe occipital. La partie anté-rieure du ventr
eure du ventricule latéral est nommée corne frontale; le diverticulum postérieur porte le nom de corne occipitale, de cavité digit
nférieur forme la corne sphénoïdale, dans laquelle s'engage le pilier postérieur du trigone (5), qui recouvre l'hippocampe. La c
, atteignant les segments externes du centre médian (16) et du centre postérieur (17). Entre ces deux noyaux apparaît la substance
limite externe; la corne occipitale s'étend moins loin vers la région postérieure ; à son extrémité antérieure est la coupe de la su
eure est la coupe de la substance grise de l'hippocampe et du pi-lier postérieur du trigone. La corne frontale descend moins bas e
e du noyau intra-ventriculaire est réduite à sa portion supérieure et postérieure ; elle est séparée delà couche optique parle taeni
de la face externe de la couche optique et se dirigent vers le centre postérieur . La substance grise du corps genouillé interne (1
ions. Les fibres convergentes des régions antérieures, supérieures et postérieures ont une direction rayonnée autour des noyaux opto
parles radiations optiques de Gratiolet ou fibres cortico-thalamiques postérieures . 5. — Substance grise du noyau caudé, s'étendan
moyen et le segment interne (7) appelés noyaux jaunes. 8. — Régions postérieure et externe de la couche optique (pulvinar) en rap
s le nom de couronne rayonnante. Cette planche représente la région postérieure et la région moyenne de la capsule interne. Les p
la face externe du putamen. Les corps genouillés occupent la région postérieure de la masse ganglionnaire centrale. La substance
semble au premier abord recevoir les fibres convergentes de la région postérieure , comme on l'a dit à tort, est plus volumineuse qu
ps frangé, corps bordant ou corps bordé (fimbria) formé par le pilier postérieur du trigone; il s'applique sur l'écorce blanche de
les des régions moyennes, en bas et en dedans; les fibres des régions postérieures (4) suivent une direction antéro-postérieure. Ces
tal. Le faisceau arciforme longitudinal inférieur part de l'extrémité postérieure du lobe occipital et s'étend jusqu'à la région an
nce grise est pénétrée par les filaments blancs appartenant au pilier postérieur du trigone. 8. — La substance grise du ganglion
ment vers le noyau lenticulaire ; les fibres convergentes des régions postérieures se dirigent directement en avant; les fibres du l
vius un filament blanc nommé pédoncule du corps calleux. L'ex-trémité postérieure , appelée bourrelet ou splenium, est arrondie; ell
e sphénoïdale, ou tapetum. La substance grise corticale des régions postérieures et internes est parcourue par un liséré blanc dés
rd externe du corps calleux. 3. — Fibres commissurantes des régions postérieures formant le bourrelet du corps calleux. Leur traje
lleux. Leur trajet est curviligne, à concavité dirigée vers la région postérieure . 4. — Ensemble des fibres convergentes et commi
ommis-surantes des régions antérieures des hémisphères. 2. — Partie postérieure ou bourrelet du corps calleux formée par les fibr
et du corps calleux formée par les fibres com-missurantes des régions postérieures des hémisphères. 3. — Portion cavitaire, ou de
é antérieure nommée tête, et la terminaison en queue de son extrémité postérieure . 6. — Sillon intermédiaire séparant le noyau ca
est située au-dessous de cette lamelle; elle commmence à l'extrémité postérieure du sillon et se continue en avant, après avoir tr
lexus choroïde. 10. — Faisceau de fibres commissurantes des régions postérieures , appartenante la corne occipitale du corps call
es forment la portion réfléchie du corps calleux ; celles des régions postérieures occupent la portion appelée bourrelet. Les fibres
ché par la coupe (5, Pl. VI). Il ne reste de ce noyau que l'extrémité postérieure ou caudale et la tête. Les fibres convergentes de
ostérieure ou caudale et la tête. Les fibres convergentes des régions postérieures sont groupées en un gros faisceau qui aboutit à l
ostérieures sont groupées en un gros faisceau qui aboutit à la partie postérieure de la couche optique et se distribue en partie da
pport avec le plexus choroïde qui les recouvre en partie. L'extrémité postérieure de chacune de ces bandeletttes s'écarte de celle
du corps calleux constitué par les fibres commissu-rantes des régions postérieures . 3. — Fibres convergentes des régions antérieur
u lenticulaire du corps strié. 7. — Fibres convergentes des régions postérieures groupées en un faisceau conique, se dirigeant ver
érieures groupées en un faisceau conique, se dirigeant vers la région postérieure de la couche optique. 8. — Substance grise de l
ptique. 10. — Centre antérieur de la couche optique. 11. — Centre postérieur de la couche optique. 12. — Section du pédoncul
en bas pour former le pilier antérieur du tri- gone. Les extrémités postérieures de ces bandelettes, en s'écartant l'une de l'autr
s bandelettes, en s'écartant l'une de l'autre pour former les piliers postérieurs du trigone, laissent entre elles un espace triang
les fibres transversales ou commissu-rantes qui unissent ces piliers postérieurs l'un à l'autre. 14. — Cavité du ventricule de l
e le genou de la capsule interne. Le faisceau des fibres convergentes postérieures vient abou-tir à la région postérieure de la couc
sceau des fibres convergentes postérieures vient abou-tir à la région postérieure de la couche optique, en passant entre la portion
entre la portion caudale du noyau intra-ventriculaire et l'extrémité postérieure du noyau lenticulaire ; il correspond en ce point
érieure du noyau lenticulaire ; il correspond en ce point à la région postérieure de la capsule interne. Entre la substance grise
a substance grise du septum lucidum et, en arrière, celle des piliers postérieurs du trigone. La cavité du ventricule moyen apparaî
raux, en arrière, la corne occipitale. Les bords internes des lobes postérieurs comprennent entre eux la section de la substance
tes des régions antérieures. 2. — Fibres commissurantes des régions postérieures ou bourrelet du corps calleux. En avant sont les
ou contracter aucune adhérence avec elle, et se dirige vers la région postérieure de la couche optique; il porte le nom de capsule
us le nom de région lenticulo-striée de la capsule interne. La région postérieure de la capsule interne est occupée par le gros fai
faisceau formé par le groupement des fibres convergentes des régions postérieures (9), et le fascicule des fibres convergentes anté
s convergentes antérieures, la capsule externe, qui contourne l'angle postérieur du noyau lenticulaire; le point d'intersection de
portion du bourrelet. Elle se prolonge latéralement, par les piliers postérieurs du trigone, jusqu'à la circonvolution de la corne
o-postérieure passant sur le bord supérieur de la com-missure blanche postérieure . 1. — Portion réfléchie ou genou du corps calle
la substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe, et des piliers postérieurs du trigone. 4. — Point de dissociation des fibr
Faisceau formé par le groupement des fibres convergentes des régions postérieures . Ce faisceau suit la direction de l'axe du lobe o
contourne la cavité sphénoïdale et se jette en partie dans la région postérieure de la couche optique. Son fascicule antérieur se
faisceau qui paraît provenir de la commissure blanche. 17. — Centre postérieur de la couche optique. Le faisceau des fibres conv
postérieur de la couche optique. Le faisceau des fibres convergentes postérieures plonge et s'épanouit en partie dans sa masse. Le
eux éminences arrondies plus petites nommées tubercules quadrijumeaux postérieurs (testes). Ces quatre saillies mamelonnées sont si
rs (testes). Ces quatre saillies mamelonnées sont situées à la partie postérieure du ventricule moyen, au-dessus de l'aqueduc de Sy
s genouillés : l'anté-rieur A, avec le corps genouillé externe E ; le postérieur P, avec le corps genouillé interne I. — AEPI. 2
vergentes des régions pos-térieures se jette en partie dans la région postérieure de la couche optique; le fascicule antérieur (8,
ternes seulement du lobe occipital soient en connexion avec la région postérieure de la couche optique. Le noyau lenticulaire (10
rd interne un petit fascicule très fin, issu de la commissure blanche postérieure . Cette commissure est formée par un faisceau de
ant des tubercules quadrijumeaux. En avant de la commissure blanche postérieure apparaît, sur le bord interne des couches optique
a valvule de Vieussens. Un faisceau blanc relie la commissure blanche postérieure avec la région postérieure des couches optiques o
faisceau blanc relie la commissure blanche postérieure avec la région postérieure des couches optiques ou pulvinar. Gavoy.— Encép
antéro-postérieure passant au niveau des tubercules qua- drijumeaux postérieurs . 1.— Portion'réfléchie du corps calleux, formée
ouche optique sous l'aspect de fibrilles extrêmement fines. La région postérieure de la couche optique (13) est parcourue par des f
par des fibrilles transversales appartenant au faisceau convergent postérieur , issues des circonvolutions des régions internes
capsule interne. 15. — Substance grise des tubercules quadrijumeaux postérieurs . Au centre est l'aqueduc de Sylvius (16), qui se
cédent. 11 est uni par un faisceau blanc aux tubercules quadrijumeaux postérieurs ; les fibres optiques ont dans sa substance grise
ocampe dans la cavité sphé-noïdale, surmontée de la section du pilier postérieur du trigone ou corps bordant, formé presque en tot
tte section a atteint la partie antérieure {luette) (23) et la partie postérieure (24) de l'émi-nence médiane inférieure du cervele
a substance grise du corps strié. Les fibres convergentes des régions postérieures semblent se continuer avec les fais-ceaux latérau
e de la substance grise de la corne d'Ammon (hippocampe) et du pilier postérieur du trigone (corps bordant). La section du cerve
yau lenticulaire. 5. — Faisceau des fibres convergentes des régions postérieures . Ce faisceau croise la bandelette optique, passe
stérieures. Ce faisceau croise la bandelette optique, passe à l'angle postérieur du noyau lenticulaire et plonge dans le pédoncule
22. — Substance grise de la corne d'Ammon (hippocampe) et du pilier postérieur du trigone (corps bordant). 23. — Cavité du qua
u noyau lenticulaire. Le faisceau des fibres convergentes des régions postérieures est sectionné sur le bord externe de la bandelett
substance grise de la corne d'Ammon ou grand hippocampe et du pilier postérieur du trigone (corps bordant). Le corps genouillé in
eur, séparé par la substance grise du locus niger des fibres spinales postérieures ou étage supérieur ; en dehors est le faisceau la
nglion olfactif, elles se groupent en un faisceau qui gagne la partie postérieure du sillon intermédiaire au corps strié et à la co
Substance grise du locus niger de Sœmmering. 16. — Fibres spinales postérieures , étage supérieur des pédoncules cérébraux. 17.
r cinereum, la section des tubercules mamillaires et l'espace perforé postérieur de Vicq-d'Azyr. Les tubercules mamillaires ont
ier sur la face convexe de l'hémi-sphère ; (10) l'artère communicante postérieure ; enfin l'artère choroïdienne qui se porte dans l
ers le genou du corps calleux.) Les lobes occipitaux et les régions postérieures du cervelet sont détachés par la section. La coup
t dans la substance grise des noyaux opto-striés ; celles des régions postérieures ont été sectionnées perpendicu-lairement à leur d
enlevé, en avant du prolongement occipital, une partie de la cloison postérieure du ventricule latéral. L'ouverture qui en résulte
rmé par les fibres commissurantes des régions supérieures moyennes et postérieures . En haut, ces fibres sont séparées de la circonvo
ne médiane (2). 3. — Fibres convergentes des régions supérieures et postérieures (fibres de Kólliker) 4. — Fibres convergentes d
faisceau formé par le groupement de fibres con-vergentes des régions postérieures (voir ce faisceau sur la série de planches horizo
couverte d'une écorce de substance blanche et de la coupe des piliers postérieurs du trigone (7). Elle représente une circonvolutio
erne de celle-ci est une petite colonne blanchâtre. 16. — Pyramides postérieures du bulbe, constituées par un petit renflement sit
renflement situé au niveau du bec du calamus sur les cordons médians postérieurs du bulbe. Ces cordons se continuent ensuite en ha
nférieurs (17). Ils sont séparés l'un de l'autre par le sillon médian postérieur du bulbe, et limités sur leur bord externe par un
ormes ou cordons de Goll (Kolliker) ; ils se perdent dans les cordons postérieures de la moelle vers la portion inférieure de la rég
rticale transverse de un millimètre d1 épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance gr
les scissures, et indique, sur chacun des bords convexes, la branche postérieure de la scissure de Sylvius. Les fibres nerveuses
eur est propre. Les fibres commissu-rantes des régions supérieures et postérieures décrivent un trajet curviligne et consti-tuent, p
ferme le plexus choroïde ; elle est surmontée de la coupe des piliers postérieurs du trigone (7, Pl. XXXIV) : au-dessus de la couch
erçoit la section des bandelettes géminées. Une partie de la région postérieure de la couche optique est enlevée; cette coupe a m
ouche optique est enlevée; cette coupe a mis à découvert le tubercule postérieur ou centre postérieur de la couche optique, et mon
evée; cette coupe a mis à découvert le tubercule postérieur ou centre postérieur de la couche optique, et montre le mode de pénétr
de pénétration dans sa substance des fibres convergentes des régions postérieures . En avant et en dehors de la couche optique est l
rmis superior et, en haut, avec l'écorce des tubercules quadrijumeaux postérieurs . A ce niveau, on aperçoit un petit faisceau blanc
atteint par la section; elle montre la substance grise des pyramides postérieures (16, Pl. XXXIV) appelée aussi noyau des cordons g
les ou noyau post-pyramidal, les fibres nerveuses des cordons médians postérieurs ou cordons de Goll, le sillon médian postérieur d
des cordons médians postérieurs ou cordons de Goll, le sillon médian postérieur du bulbe qui les sépare. Sur leur bord externe, e
est un sillon très délié et au delà les fibres ner-veuses des cordons postérieurs proprement dits. XXXVI.— Coupe verticale transv
sverse passant au niveau des tubercules quadrijumeaux. 1. — Portion postérieure du corps calleux, formée par les fibres commissur
ée par les fibres commissurantes des régions supérieures, moyennes et postérieures . 2. — Ensemble des fibres convergentes constitu
5. — Section de la substance grise de la corne d'Ammon et du pilier postérieur du trigone dans le diverticulum sphénoïdal. 6.
postérieur du trigone dans le diverticulum sphénoïdal. 6. — Région postérieure de la couche optique. Les fibres convergentes des
postérieure de la couche optique. Les fibres convergentes des régions postérieures de l'hémisphère plongent sous l'aspect de longs f
filaments onduleux et très déliés, qui vont s'amortir dans le centre postérieur . 7. — Glande pinéale ou conarium, dépouillée de
ntérieurs (nates). 9. —Substance grise des tubercules quadrijumeaux postérieurs (testes). Ces deux tubercules sont plus petits qu
bulbe rachidien (14). 16. — Fibres médullaires des cordons médians postérieurs , limités sur les côtés par la substance grise cen
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance gr
circonvolutions de l'insula. Les fibres commissurantes des régions postérieures supérieures forment la portion postérieure du cor
ommissurantes des régions postérieures supérieures forment la portion postérieure du corps calleux. L'ensemble des fibres convergen
eux. L'ensemble des fibres convergentes et commissurantes des régions postérieures à celle de la coupe, sont sectionnées au niveau d
sphénoïdale. Elle pórtela coupe de la portion descendante des piliers postérieurs du trigone ; la coupe de la portion horizontale o
ction des fibres du taenia semi-circularis (3, PL XXXVI). Le centre postérieur occupe la partie interne de cette région de la co
nce nerveuse de ce centre, où elles s'épuisent. La commissure blanche postérieure s'étend transversale-ment d'un côté à l'autre et
V dans Ja substance grise centrale. Les fibres des cordons médians postérieurs se perdent, au delà du noyau gris des pyramides p
s médians postérieurs se perdent, au delà du noyau gris des pyramides postérieures , dans le groupe des fibres descendantes des pédon
édoncules cérébel-leux inférieurs ; sur le bord externe des pyramides postérieures est le noyau gris des corps restiformes. La sec
oupe verticale transverse passant en avant de la commissure blanche postérieure . 1. — Portion moyenne du corps calleux, formée
ent aux fibres précédentes et constituent par leur ensemble la région postérieure de la capsule interne. Ces divers systèmes de fib
he optique. 11. — Centre moyen de la couche optique. 12. — Centre postérieur de la couche optique. 13. — Section de la porti
ent et en haut à la rencontre des fibres convergentes, vers la région postérieure de la capsule interne. 23. —Faisceaux postérieu
s, vers la région postérieure de la capsule interne. 23. —Faisceaux postérieurs du bulbe continuant les cordons antérieurs delà m
direct ascendant. Ce faisceau est en rapport avec la tête de la corne postérieure et le noyau du corps restiforme. 26. — Portion
la corne postérieure et le noyau du corps restiforme. 26. — Portion postérieure des cordons latéraux de la moelle s'inclinant en
a portion motrice des pyramides antérieures du bulbe. 27. — Cordons postérieurs de la moelle. Les fibres de ces cordons s'entre-c
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance gr
centres de ce noyau ou sur la paroi du ventricule moyen. Le centre postérieur (12, Pl. XXXVIII) est enlevé; on aperçoit le cent
. En dehors se trouvent les faisceaux latéraux et les fibres spinales postérieures , qui descendent à travers la substance grise de l
Substance grise du locus niger de Sœmmering. 23. — Fibres spinales postérieures se portant dans la capsule interne pour pénétrer
nsitive des pyramides antérieures formant le prolongement des cordons postérieurs de la moelle, après leur entre-croisement. Elles
ce blanche corticale qui entoure les corps olivaires. 27. — Portion postérieure des cordons latéraux de la moelle qui s'entre-cro
ux de la moelle qui s'entre-croisent au raphé médian. 28. — Cordons postérieurs de la moelle s'inclinant en avant pour s'entre-cr
entre-croiser sur un plan plus antérieur et supérieur. 29. — Cornes postérieures de la substance grise centrale de la moelle. 30
erticale transverse de un millimètre $ épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance gr
substance grise du locus niger sont les faisceaux des fibres spinales postérieures ; elles se terminent en pointe effilée dans la su
iane du bulbe, mais elles ne sont plus en continuité avec les cordons postérieurs enlevés en partie par la coupe. Sur les côtés, ap
enlevés en partie par la coupe. Sur les côtés, apparaissent la corne postérieure et les faisceaux antéro-latéraux de la moelle.
ubstance perforée de Vicq-d'Azyr. 21. — Faisceau de fibres spinales postérieures . Ces fibres se portent en haut dans la couche opt
oncules cérébelleux moyens croisant les fais-ceaux de fibres spinales postérieures . 23. — Portion sensitive des pyramides antérieu
e d'entre-croisement des fibres des cordons antérieurs et des cordons postérieurs de la moelle. 26. — Substance grise centrale de
s de la moelle. 26. — Substance grise centrale de la moelle (cornes postérieures ). 27. — Olive bulbaire. Elle est séparée de la
ticale transverse de un millimètre cl 'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance gr
ommissurantes du lobe sphénoïdal sont groupées en un cordon à l'angle postérieur du segment externe du noyau lenticulaire (voir 9,
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance gr
ar sa face inférieure avec le faisceau de Vicq-d'Azyr, dont la partie postérieure est détachée par la section. Le centre moyen mont
érisée par ses fïexuosités prononcées, et une branche de la cérébrale postérieure qui se rend à la partie inférieure du lobe sphéno
rticale transverse de un millimètre a" épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance gr
u lobe sphénoïdal se portent en haut et en dedans; celles des régions postérieures de ce lobe se sont groupées en un faisceau arrond
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vei^s le genou du corps calleux. La substance g
verticale trans-verse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance gr
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. Cette portion d
ui forme la couche corticale est moins abondante que dans les régions postérieures des hémisphères cérébraux ; cependant elle présen
riangulaires. LIV. — Coupe verticale transverse passant par le bord postérieur de la portion réflé-chie du corps calleux. 1. —
n a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions s
n a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions s
-postérieure passant sur le bord supérieur de la commissure blanche postérieure ..............................94 XXIII. Encéphal
n a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions s
e antéro-postérieure passant au niveau des tubercules quadrijumeaux postérieurs ..............'.......................... 99 XXV
n a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions s
n a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro- postérieure de un millimètre d'épaisseur, faite des régions s
n a détaché la coupe précédente par une section horizontale antéro- postérieure de un millimèlre d'épaisseur, faite des régions s
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 121 XXXVI. Coup
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 125 XXXVIII. Co
Coupe verticale transverse passant en avant de la commissure blanche postérieure . . . 127 XXXIX. Encéphale dont on a détaché la
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 130 XL. Coupe v
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 134 XLII. Coupe
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 139 XLIV. Coupe
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 143 XLVI. Coupe
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 146 XLVIII. Cou
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 149 L. Coupe vert
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 152 LU. Coupe v
erticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. 154 LIV. Coupe
ps calleux. 154 LIV. Coupe verticale transverse passant par le bord postérieur de la portion réfléchie du corps calleux.......
6 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
cave de celui-ci n'est comblé qu'à l'âge adulte et forme, sur le bord postérieur du rocher, un trou décrit d'abord par Kerckringe,
ale), une antérieure ou sphénoï-dale (suture squamo-sphénoïdale), une postérieure ou mastoïdienne (suture squamo-pétreuse externe o
rtie antérieure ou glénoïdienne (margo fissurœ de Spee) et une partie postérieure ou tympanique (margo tympanicus, rebord du mur de
enne et pétreuse, Verga a décrit un lin canal qui perfore l'extrémité postérieure du bord supérieur du rocher, s'ouvre dans le sill
s une partie de son parcours : on doit le considérer comme le segment postérieur du canal temporal. Face externe. — La portion s
prend tous les canaux émissaires qui viennent s'ouvrir dans la racine postérieure ou sagittale de l'apophyse zygomatique : on doit
articulare posterius. Les veines sus-zygomatiques sont antérieures ou postérieures et les pré-zygomatiques, supérieures ou inférieur
cailleuse et la portion mastoïdienne sur le prolongement de la racine postérieure de l'apophyse zygomatique, une ligne de démarcati
osas l'appelle crista retrotempo-ralis, parce qu elle forme la limite postérieure de la surface d'insertion du muscle temporal. Ell
ta toutes les mesures à deux lignes, l'une (ligne a) tangente au bord postérieur du méat, et perpendiculaire à la base du cerveau,
mammifères. Chez la plupart d'entre eux, on aperçoit, sur l'extrémité postérieure et latérale de la base du crâne, une longue et so
situé sur la face inférieure de l'occipital, derrière le trou déchiré postérieur . Exceptionnellement, cette éminence acquiert des
l'espace compris entre la suture occipito-mas-toïdienne et la partie postérieure du condyle de l'occipital. Son sommet, aplati d'a
, déterminée sur une ligne horizontale qui s'étend de l'épine au bord postérieur , mesure en moyenne : Selon Hartmann............
tude une face externe, une face interne, une face antérieure, un bord postérieur , un sommet, et finalement sa structure générale.
t limitée en avant par le bord antéro-externe, en arrière par le bord postérieur , en haut par la crête sus-mastoïdienne et la scis
astoïdienne à cette portion du temporal qu'on trouve derrière le bord postérieur de l'apophyse : elle répond directement au cervel
ostérieur de l'apophyse : elle répond directement au cervelet. Bord postérieur . — Du sommet de l'apophyse, le bord postérieur se
nt au cervelet. Bord postérieur. — Du sommet de l'apophyse, le bord postérieur se dirige en haut et en arrière pour rejoindre la
ation de la jugulaire interne, le sinus latéral gagne le trou déchiré postérieur . Le sinus pétro-squameux diminue alors de calibre
forme oblique et presque toujours unique, se trouve situé sur le bord postérieur du sillon sigmoïde. L'orifice exocrânien est un
ânien est unique ou multiple. Selon Trautmann, il occupe, sur le bord postérieur de l'apophyse, la partie inférieure du tiers supé
ure du tiers supérieur. Nous l'avons rencontré soit au niveau du bord postérieur , soit sur une ligne prolongeant en arrière la crê
tribués sur toute l'écaillé mastoïdienne, soit groupés autour du bord postérieur de l'apophyse. Okada a établi la situation du tro
ntrent, d'après Okada, que dans les interventions portant sur la zone postérieure de l'apophyse, particulièrement dans une étendu
ement, par ostéite de la paroi du canal, consécutive à une mastoïdite postérieure . Cette phlébite est caractérisée par un œdème de
postérieure. Cette phlébite est caractérisée par un œdème de la zone postérieure de l'apophyse, blanc, dur et douloureux, qui abou
ive siégeant en un point très limité, k un centimètre environ du bord postérieur et de la pointe mastoïdienne, firent porter le di
Recherche du sinus. Il n'est pas apparent. L'os est sain à la partie postérieure , très éburné, comme l'était du reste la corticale
a recouvre par en bas (Poirier et Charpy). Elle appartient k la paroi postérieure du conduit par sa portion supérieure ou squameuse
un peu en dehors quand le grand canal veineux est éloigné de la paroi postérieure du conduit. Nous avons retrouvé sur deux chevaux
interne. — Elle regarde en haut et en arrière, et forme avec la paroi postérieure du rocher, l'angle pétro-mastoïdien interne, quel
e. La portion descendante, comprise entre le coude et le trou déchiré postérieur , d'une étendue double de la première, est creusée
et se termine en bas au niveau de l'épine jugulaire externe. Le bord postérieur , parallèle au précédent, se trouve souvent placé
rânienne. La corticale prémastoïdienne constitue en partie la paroi postérieure du conduit auditif. Elle se continue en dehors pa
s toujours plus marquée au niveau de l'épine de Henle et dans la zone postérieure de l'apophyse. La corticale digastrique, en rappo
aigu ouvert en dehors, occupé par le groupe des cellules limitrophes postérieures du conduit ; elle est séparée de la corticale ext
ersants, dont l'un tombe à pic vers la caisse pour en former la paroi postérieure , et l'autre se continue en arrière en pente douce
ont les dimensions vont en augmentant à mesure qu'on approche du bord postérieur de l'apophyse : c'est le groupepériantral, qui s'
ale prémastoïdienne. Il comprend à ce niveau les cellules limitrophes postérieures du conduit, fusionnées, quelquefois en une seule
lfe de la veine jugulaire et la portion verticale du facial, les plus postérieures atteignant quelquefois la scissure occipito-masto
roupepostéro-inférieur, sinuso-digaslrique (pl. VIII). Ces cellules postérieures , juxta-sinusales, ont été bien étudiées, en 1Q01,
re. Ces auteurs les distribuent en trois groupes : postéro-supérieur, postérieur proprement dit, et postéro-inférieur. 11 y a inté
11 y a intérêt, pour simplifier la description, à supprimer le groupe postérieur proprement dit, dont la création nous parait par
contré, sur 100 temporaux, /[o fois des groupes cellulaires nettement postérieurs . (( Dans la majorité des cas, un de ces groupes e
t coïncidence de cellules postéro-supérieures, postéro-inférieures et postérieures proprement dites. Us ont trouvé le plus fréquemme
cellulaire postéro-supérieur (27 fois): viennent ensuite les cellules postérieures (i3 fois), et les cellules postéro-inférieures (1
, et les cellules postéro-inférieures (12 fois). » Une des cellules postérieures de ce groupe vient faire hernie en dedans de la r
iguë grippale. Le gonflement rétro-auriculaire était limité à la zone postérieure de l'apophyse. La trépanation classique ne donna
La trépanation classique ne donna pas de pus. En contournant le bord postérieur dénudé de l'apophyse, l'instrument pénétra profon
ns opéré une fillette de 1 2 ans qui présentait, au niveau de la zone postérieure de la région mastoïdienne, un gonflement du volum
: ce sont : la mastoïdite antérieure avec ou sans fistule de la paroi postérieure du conduit ; la mastoïdite de la pointe ; les mas
postérieure du conduit ; la mastoïdite de la pointe ; les mastoïdites postérieures . Livrées à elles-mêmes, les suppurations intra-ma
par le trajet de l'artère occipitale, se propager à la loge cervicale postérieure , s'insinuer entre le splénius et le complexus, et
Ricard divise l'apophyse en deux moitiés, l'une antérieure et l'autre postérieure . « La moitié postérieure de l'apophyse mastoïde e
en deux moitiés, l'une antérieure et l'autre postérieure. « La moitié postérieure de l'apophyse mastoïde est dangereuse, dit-il, à
ainsi sur la face externe de l'apophyse quatre segments dont les deux postérieurs correspondraient au sinus latéral, l'antéro-infé-
trois segments, dont l'antérieur serait pétreux, le moyen veineux, le postérieur cérébelleux. Bonomo trace : i° une ligne horizo
ipault et répond à l'antre mastoïdien ; 2" Une zone quadrilatérale, postérieure , sinusale, que limitent, en haut l'horizontale AB
, en avant l'oblique EF, et en arrière la ligne GI1, qui suit le bord postérieur de la pointe ; elle est en rapport avec la portio
du groupe sinuso-cérébral. L'horizontale inférieure CD coupe le bord postérieur de l'apophyse au point M ; en avant, en haut et e
ique. Pour atteindre la "bulle digastrique il faut contourner le bord postérieur de l'apophyse et désinsérer en partie le ventre p
er le bord postérieur de l'apophyse et désinsérer en partie le ventre postérieur du muscle digastrique. Zone de l'antrotomie. —
.............. Distance minima entre le sillon sigmoïde et la paroi postérieure du conduit. INDICE SUPÉRIEUR A I .3o Dolichoc
onne insertion à l'aponévrose stylo-pharyngienne (Jonesco). Le bord postérieur est soudé à l'occipital et contribue à la formati
par une cloison osseuse complète. Les dimensions des trous déchirés postérieurs varient le plus souvent d'un côté à l'autre. Zuck
bre des deux côtés, 1.4 fois sur cent. iVu-dessus du foramen, le bord postérieur forme ïauvent jugulaire. La face endocrânienne
es et la fossette pour le ganglion de Gasser. La face endocrânienne postérieure limite en avant la fosse cérébelleuse. Elle montr
dienne, transformée en canal par l'os de Piet. La face exocrânienne postérieure présente de dehors en dedans : i° le trou stylo-m
evai. Par rapport à l'axe de la pyramide, l'un est supérieur, l'autre postérieur et le troisième externe. Le trajet de chaque ca
Longueur, mesurée sur la convexité du canal : Canal demi-circulaire postérieur .................................................
... ..................... 12-i5 — Largeur : Canal demi-circulaire postérieur ..... 1,7-1 millimètre ; au niveau de l'ampoule...
sagittal et offre une branche antérieure, ampullaire, et une branche postérieure . Celle-ci croise le sinus pétreux supérieur et s'
it en angle droit avec la branche supérieure du canal demi-circulaire postérieur . Ce carrefour des canaux verticaux, sous-jacent à
postérieur. Ce carrefour des canaux verticaux, sous-jacent à la paroi postérieure du rocher, se trouve au-dessus et en dedans delà
n tympani. La branche antérieure est légèrement convexe en dehors, la postérieure convexe en dedans. Canal demi-circulaire postér
en dehors, la postérieure convexe en dedans. Canal demi-circulaire postérieur ou frontal. — Situé sur un plan vertico-transvers
re, et une branche supérieure qui court horizontalement sous la paroi postérieure de la pyramide à égale distance de la fente ungué
.......... 7 — Une fistule des canaux demi-circulaires supérieur et postérieur .................. 5 — Les fenêtres ronde et ova
es canaux verticaux, soit au niveau de la branche supérieure du canal postérieur . Le rapport du canal supérieur (branche postéri
érieure du canal postérieur. Le rapport du canal supérieur (branche postérieure ) avec le sinus pétreux supérieur explique l'éclos
1 2 centimètres dans le plan frontal. En arrière, il atteint le pôle postérieur de l'hémisphère droit du cervelet. Autour de l'ab
du pus clans le canal demi-circulaire supérieur. Au niveau de la face postérieure de la pyramide pétreuse, entre le sillon sigmoïde
belleuse après avoir ouvert, chemin faisant, le canal demi-circulaire postérieur . Si la fistule siège sur le canal demi-circulaire
l'adulte, on trouve à décrire trois faces : supérieure, antérieure et postérieure ; trois bords : antéro-supé-rieur, postéro-supérie
tière, constitue en grande partie le conduit auditif externe. La face postérieure adhère au squamosal et au rocher. La face antérie
au squamosal, forment les scissures tympano-squameuses antérieure et postérieure . Le bord inférieur, nommé crête tympanale, présen
profonde. Chez les premiers, le grand courant veineux encéphalique postérieur passe par les sinus transverse et petro-squameux
llon sigmoïde sur la corticale endocrânienne, élargit le trou déchiré postérieur , déprime la bulle tympanique et creuse à ses dépe
re pétro-bulleuse ou pétro-tympanique. On peut la suivre sur la paroi postérieure de la portion verticale du canal carotidien. Un p
arrière du canal carotidien, un segment osseux triangulaire, à sommet postérieur répondant au trou stylo-mastoïdien, et dont l'asp
urface, rugueuse aussi, de forme quadrilatérale, et reliée au segment postérieur par une partie étranglée, aplatie entre le canal
s. On trouve plus fréquemment ces anomalies sur les parois externe et postérieure de la fosse jugulaire. Celle-ci communique alors
côté droit. Incision de la membrane avec l'aiguille, dans son segment postérieur . Jet de sang du calibre du petit doigt (ioo gramm
r son extrémité antérieure la trompe d'Eustache, et par son extrémité postérieure , élargie, la caisse du tympan et l'antre mastoïdi
tôt une pyramide triangulaire dont la base coïnciderait avec la paroi postérieure et le sommet tronqué avec l'infundibulum tubaire.
romontoire au même point que le ponticulus et se dirige vers la paroi postérieure de la caisse. Quelquefois on trouve une troisième
se met en rapport avec la branche inférieure du canal demi-circulaire postérieur . Près de l'in lundi bulum tubaire, la paroi int
y produit quelquefois une voussure plus ou moins appréciable. Paroi postérieure ou mastoïdienne. — Elle offre en haut Y aditus ad
marteau. Près du cadre tympanal on remarque le petit orifice du canal postérieur de la corde (Pl. VII, fig. 3). Au-dessus de la li
n remarque deux replis curvilignes dont l'un est antérieur et l'autre postérieur , ce dernier étant le plus long. Ces replis sont c
repli supérieur, qui la divise en deux zones d'inégale étendue, l'une postérieure , plus petite, plus épaisse, plane, regardant en d
éaire la divise en deux portions dont l'une est antérieure et l'autre postérieure . La première est moins étendue et plus excavée qu
a surface interne de la membrane, à la région supérieure de sa moitié postérieure , un repli de 3-4 millimètres de long et de t\ mil
assez grande, ouverte en bas, que j'ai désignée sous le nom de bourse postérieure de la membrane tympanique. — La corde du tympan c
libre de ce repli... Il existe une autre cavité analogue à la bourse postérieure , à la face interne du tympan, au-devant du martea
un peu au-dessus de l'apophyse externe du manche. L'orifice du canal postérieur de la corde du tympan se trouve à l'extrémité du
orde remonte, croise à angle aigu, à peu près en son milieu, le repli postérieur et passe au-dessus du tendon réfléchi du muscle i
racentèse ; 2° la myringectomie partielle ou totale ; 3" la phcotomie postérieure . La myringotomie simple ou paracentèse de la memb
totale comme premier temps de l'ablation des osselets. La phcotomie postérieure est indiquée dans le traitement des surdités rele
ehors avec la scissure de Glaser, le péristaphylin externe et le bord postérieur de l'aile interne de l'apophyse ptérygoïde. L'ori
ible chez le nouveau-né. La surface articulaire empiète sur les faces postérieure et interne de la tête de l'osselet. Elle présente
e ou tympanique, une extrémité antérieure anguleuse, et une extrémité postérieure mousse. La face interne est divisée par un sillon
rtical en deux zones dont l'une, l'antérieure, est plus grande que la postérieure . La face externe est sillonnée quelquefois par un
e la tête en haut. Des deux branches, l'une est antérieure et l'autre postérieure . La branche antérieure est moins courbe et plus c
La branche antérieure est moins courbe et plus courte que la branche postérieure ; quelquefois même elle est rectiligne. Les deux
deux faisceaux, l'un antérieur formé de fibres plus courtes, l'autre postérieur plus fort, plus tendu, qu'il appelle ligament pos
tes, l'autre postérieur plus fort, plus tendu, qu'il appelle ligament postérieur du marteau. Le ligament antérieur du marteau a se
sur la grande épine tympanique antérieure. Ce ligament et le faisceau postérieur du ligament externe constituent la bande-axe de H
egmen tympani au bord supérieur du corps de l'osselet, et un ligament postérieur , bifurqué qui la fixe au seuil de l'aditus. Apr
trier en dehors, autour d'un axe de rotation rapproché de l'extrémité postérieure . Par ce procédé il dégage le labyrinthe et relâch
l, on trouve la logette de Prussak qui s'ouvre souvent dans la bourse postérieure de Trôltsch. Au-dessus du ligament externe du mar
ial. Celui-ci, en effet, pourra, ou se trouver sous-jacent à la paroi postérieure du conduit auditif externe, ou en être plus ou mo
le nerf. L'axe de la portion tympano-mastoïdienne croise le segment postérieur du cadre tympanal, le plus souvent très bas, au-d
mbrane. Une minime partie du canal s'applique alors contre la paroi postérieure du conduit auditif. Quelquefois aussi, soit par o
anique, ce point d entre-croisement du canal de Fallope et du segment postérieur de l'anneau tympanal se Irouve reporté plus haut.
cas, une plus grande partie du canal se met en rapport avec la paroi postérieure du conduit. La portion tynipano-inastoïdienne,
sse; en dehors, à la cavité prépyramidale et aux cellules limitrophes postérieures du conduit. Sur les apophyses pneumatiques, les c
uditif interne, avec la cavité tympanique par la pyramide et le canal postérieur de la corde. Les lignes suivantes, empruntées à
rès réduite. Puis il se porte sur le deuxième arc, en suivant le bord postérieur de cette fente, et donne enfin ses branches termi
l'hiatus de ce nom. « x\ partir de ce point, il doit suivre le bord postérieur de la première fente branchiale; mais chez les ve
s, cette fente s'est élargie pour donner l'oreille moyenne ; son bord postérieur est reporté en arrière, et pour l'atteindre, le n
ence reste fixe, doit se diriger aussi en arrière, en suivant le bord postérieur de la fente élargie; à l'extrémité de ce bord, il
our quelques uns, plus en arrière par la partie antérieure du segment postérieur de la capsule interne (faisceau génicuié), traver
, produit la chromalolyse des cellules nerveuses au niveau de la zone postérieure du noyau secondaire médian. Les fibres émanées
i dans une couche de tissu cellulaire, en passant au-dessus du ventre postérieur du muscle digastrique et en dehors de la base de
re le marteau et l'enclume et quitte la cavité tympanique parle canal postérieur delà corde qui débouche dans le canal de Fallope,
être rapprochée du spinal sans tiraillement. Il coupa alors le ventre postérieur du muscle digastrique et put ainsi adosser les de
mastoïdien dans son tiers supérieur. Puis, après avoir dégagé le bord postérieur de la glande parotide et l'avoir fortement tiré e
de l'apophyse styloïde, contre laquelle s'applique le nerf. Le ventre postérieur du muscle digastrique est ensuite repéré et dissé
laire délimitée par la base du crâne, la glande parotide et le ventre postérieur du muscle digastrique. Il se présente sous la for
poglosse. Elle apparaît dans Je champ opératoire au-dessous du ventre postérieur du muscle digastrique. En écartant le sterno-cléi
facial trop court. Dans les deux cas, il faudra sectionner le ventre postérieur du muscle digastrique, ce qui, d'ailleurs, n'offr
ugmente légèrement d'arrière en avant. Horizontal dans ses deux tiers postérieurs , le sinus s'infléchit pour devenir descendant dan
terne pour s'aboucher dans les sinus efférents latéraux et occipitaux postérieurs . Cet abouchement se fait de plusieurs manières, q
les autres sinus. » C'est le pressoir classique, le confluent smusal postérieur de Cruveilhier. Cette dernière disposition serait
sinus latéral ou sinus transverse, reçue dans un dédoublement du bord postérieur de la tente du cervelet, comprend les deux tiers
t du bord postérieur de la tente du cervelet, comprend les deux tiers postérieurs du trajet total du sinus latéral. Elle répond en
L'un est situé à la partie antérieure et externe de la circonférence postérieure de la tente du cervelet, dans le point où le sinu
face interne de l'apophyse mastoïde. Elle se termine au trou déchiré postérieur et répond en dedans aux lobes inférieur-moyen et
inférieur-antérieur du cervelet, en dehors aux cellules mastoïdiennes postérieures , smuso-cérébrales et sinuso-digastriques. Après
s avoir contourné l'apophyse jugulaire pour traverser le trou déchiré postérieur , le sinus latéral devient horizontal, se moule su
ses latérales supérieures et inférieures ; c) Les veines cérébrales postérieures externes et inférieures ; d) La veine anastomot
us : j) Les veines émissaires mastoïdiennes ; k) Les sinus occipitaux postérieurs ; l) L'anastomose du sinus condylien : m) La ve
urs ; l) L'anastomose du sinus condylien : m) La veine condylien ne postérieure , ou émissaire condylienne. Au niveau du golfe :
te du cervelet. « M. J. Weber distingue une veine azygos cérébelleuse postérieure , composée de branches du vermis inférieur qui s'é
la protubérance occipitale interne. » (Hédon). c) Veines cérébrales postérieures externes et inférieures temporo-occipitales. — Le
externes et inférieures temporo-occipitales. — Les veines cérébrales postérieures externes, dirigées d'avant en arrière, débouchent
astomosent en avant avec les veines sylviennes. Les veines cérébrales postérieures et inférieures, parcourent la face inférieure du
otique de Labbé. — Cet auteur a décrit une grande veine anastomotique postérieure qui relie le sinus longitudinal supérieur au sinu
n la plus fréquente, mais que le plus souvent la grande anastomotique postérieure , partie du sinus latéral, se porte obliquement en
e, et se dirige en haut et en arrière, pour se terminer dans le tiers postérieur du sinus longitudinal supérieur. e) Veines dipl
ques, souvent très nombreuses chez l'enfant, surtout dans son segment postérieur . (Streit.) h) Sinus pétreux antérieur. — Wilslo
les occipitales profondes: d'autres, descendantes, avec la jugulaire postérieure . Parmi ces branches descendantes, il s'en trouve
jugulaire interne, à un centimètre environ au-dessous du trou déchiré postérieur . Il existe encore, d'après le même auteur, au niv
enne. 11 la nomme veine accessoire mastoïdienne. k) Sinus occipital postérieur . — Il relie les deux extrémités du sinus latéral
rachidien et vers le trou condylien antérieur. m) Veine condylienne postérieure ou émissaire condylienne. — Elle traverse le cana
térieure ou émissaire condylienne. — Elle traverse le canal condylien postérieur et relie l'extrémité du sinus sigmoïde aux veines
lement se diviser en deux branches : jugulaire interne et condylienne postérieure . Cette dernière constitue une des origines de la
eure. Cette dernière constitue une des origines de la veine jugulaire postérieure . n) Veine de l'aqueduc du limaçon. — Formée par
du limaçon. — Formée parla réunion des veines spirales antérieure et postérieure (Sie-benmann), la veine de l'aqueduc du limaçon s
phénoïdal, traverse le compartiment le plus antérieur du trou déchiré postérieur , en dedans du glosso-pharyngien, du pneumogastriq
t une gouttière qui descend de la fente unguéale vers le trou déchiré postérieur . Très vraisemblablement, elle logeait la veine de
orizontale livre à peine passage à une fine sonde. Le sinus occipital postérieur est dédoublé ». Le sinus latéral peut manquer en
émontre que le sinus latéral traverse quelquefois obliquement l'étage postérieur du crâne. On observe parfois, au niveau du coud
rombus septique. En résumé, tous les courants veineux encéphaliques postérieurs gagnent le ventricule droit par quatre voies, don
orales et occipitales, qui se jettent dans les jugulaires externes et postérieures . On doit distinguer, parmi les anastomoses vein
anses anastomatiques, parmi lesquelles nous citerons l'anse des sinus postérieurs , reliant les deux extrémités du sinus latéral, et
de Limon. La portion horizontale du sinus latéral répond à la moitié postérieure de cette ligne. Le coude du sinus latéral est com
ransversaux : l'un passant par le bord antérieur, l'autre par le bord postérieur du méat osseux auditif externe. (P. Laurens.) P
u tegmen tympani, dans la veine mastoïdienne par ostéite des cellules postérieures , dans le sinus caverneux par ostéite du sommet du
e et l'axillaire. Elle peut aussi remonter jusqu'au confluent sinusal postérieur , en oblitérant complètement toute la portion hori
, en évidant par en bas et plus profondément, on ouvrira les cellules postérieures sinuso-digastriques et l'on pourra ainsi obtenir
Ensuite, on dégage la fosse digastrique, après désinsertion du ventre postérieur du muscle du même nom, et on abat la crête ou bul
aux. Son adhérence à l'os est variable. Très solide au niveau du bord postérieur de la pyramide, elle est faible sur le tegmen tym
......... 12 , fois sur 43 cas. À la fois sur les fosses moyenne et postérieure .................... 1 J Dans les infections aig
................ 10 fois sur 45 cas. Sur les deux fosses moyenne et postérieure ...................... 2 J Les abcès extra-durau
n, le pus avait fusé le long du sillon sigmoïde jusqu'au trou déchiré postérieur ; dans le cas de Rossi, après avoir franchi cet or
encéphalique (couche optique, tubercules quadriju-meaux antérieurs et postérieurs , pédoncules cérébraux, protubérance annulaire, bu
e du sphénoïde, et une base répondant au lobe occipital. Cette limite postérieure est indiquée par une ligne fictive reliant la sci
re perpendiculaire externe, suivant quelques auteurs, — à l'extrémité postérieure de la scissure de Sylvius, suivant Déjerine. (Pl.
t. Du pôle temporal, elle se dirige en arrière, contourne l'extrémité postérieure de la scissure de Sylvius, et s'anastomose avec l
énoïdal du ventricule latéral. Lobe occipital. —Il occupe la partie postérieure de l'étage moyen du crâne. Sa forme est triangula
de l'étage moyen du crâne. Sa forme est triangulaire, avec un sommet postérieur nommé pôle occipital ; trois faces : interne, ext
mieux lingulo-limbique. Sur la face inférieure, on remarque la partie postérieure du lobule fusiforme et la circonvolution inférieu
tal; le segment antérieur forme le gyrus supra-marginalis; le segment postérieur , le gyrus angularis ou pli courbe, qui coiffe fa
ur, le gyrus angularis ou pli courbe, qui coiffe fa portion verticale postérieure du sillon parallèle. Lobe frontal. — Sur la fac
nent des ganglions infracorticaux (thalamus, tubercules quadrijumeaux postérieurs , corps genouillé interne, etc.) ; leurs ramificat
en totalité, passe par le ruban latéral, les tubercules quadrijumeaux postérieurs , le brachium posticum, le corps genouillé interne
tent des fibres d'association courtes qui gagnent les deux cinquièmes postérieurs de la première circonvolution temporale où se tro
verbale. — Le centre des images auditives des mots siège sur la zone postérieure de la première circonvolution temporale gauche et
e Bouil-laucl- Broca). L'écorce du lobule fusiforme et les segments postérieurs de la circonvolution de l'hippocampe, qui apparti
volution de l'hippocampe, qui appartiennent au centre d'association postérieur ou pariéto-temporal de Flechsig, n'ont pas encore
haut en bas et aboutit sans aucune interruption aux noyaux pontiques postérieurs (dans ce trajet, il traverse le segment sous-lent
centres auditifs du côté opposé sont commissures par la voie forceps postérieur — tapetum — corps calleux (portion postérieure).
res par la voie forceps postérieur — tapetum — corps calleux (portion postérieure ). Les centres auditifs et les portions antérieure
, et se distribuent dans l'hémisphère opposé : ce sont les radiations postérieures du corps calleux, désignées sous les noms de forc
orales, séparées en dedans de l'insula de Reil par le sillon marginal postérieur ; la scissure de Sylvius les sépare, en haut et e
ers la couronne rayonnante du lobe temporal. Entre le sillon marginal postérieur de l'insula et le prolongement sphénoïdal du vent
éciser le siège. La lésion devait vraisemblablement occuper la partie postérieure de la capsule interne et interrompre les radiatio
l diagnostiquèrent un abcès cérébral siégeant au niveau de la portion postérieure des deuxième et troisième circonvolutions tempora
ions terminales des fibres du faisceau radiculaire médial des racines postérieures . En remontant vers le bulbe, les fibres de ce fai
x du toit. (Mott et Tooth, in Thomas.) c) Les faisceaux des cordons postérieurs et des noyaux de Goll et Burdach. — Les cordons p
s cordons postérieurs et des noyaux de Goll et Burdach. — Les cordons postérieurs renferment des fibres qui se rendent directement
ises par tous les auteurs. Elles passent par le faisceau longitudinal postérieur et par la réticulée. Nous les retrouverons plus l
térales, croisent lera-phé et pénètrent dans le faisceau longitudinal postérieur , où ils se dichotomisent en rameaux ascendant et
côté opéré. Après résection du lobe moyen, les mouvements du train postérieur sont plus troublés que ceux du train antérieur. I
le que le vermis intervienne surtout dans l'équilibration des membres postérieurs , les hémisphères agissant plutôt sur les muscles
rectement du noyau vestibulaire vers la moelle (faisceau longitudinal postérieur ), et qui ne sont pas intéressées par l'opération,
du lobe temporo-occipital; 2° L'attico-antrotomie avec craniotomie postérieure , par évidement du bloc de Jansen, appliquée à la
(abcès pétro-cérébelleux); 3° L'attico-antrotomie avec craniotomie postérieure rétrosinusale, appliquée à la cure des abcès exte
EZ. - OREILLE El ENCÉPHALE '3 2° Attico-antrotomie avec craniotomie postérieure par évidement du bloc de Jansen. Après avoir fait
sure 8 millimètres, on sectionnera le sommet du canal demi-circulaire postérieur , et on ouvrira aussitôt après la fosse cérébelleu
r par la voie rétro-sinusale. 3° Attico-antrotomie avec craniotomie postérieure rétro-sinusale. A l'attico-antrotomie succède l'é
rétro-sinusale. A l'attico-antrotomie succède l'évidement de la zone postérieure de l'apophyse, allant à la rencontre du coude du
méat auditif interne. On a proposé d'autres procédés de craniotomie postérieure pour ouvrir les abcès cérébelleux otitiques. Les
et Depoutre, Étude anatomique et pathologique des groupes cellulaires postérieurs de la mastoïde. Cellules juxta-sinusales. Annales
Toubert (J.), Contribution au diagnostic des cellulites mastoïdiennes postérieures . Annales des maladies de l'oreille. Juin igo2.
i. — Face externe. Figure 2. — Face inférieure. Figure 3. — Face postérieure . Figure f\. — Face supérieure. Série de six t
oraux, trois du côté droit et trois du côté gauche, vus par leur face postérieure . Cette planche est destinée à montrer les variati
, on suit le tracé de la corde du tympan, qui se dirige vers le canal postérieur de la corde. La fosse jugulaire, creusée sous le
s d'un même temporal : figure 1, segment antérieur; figure 2, segment postérieur . La scie a ouvert le conduit auditif externe, l
nommée encore portion descendante, croise très obliquement le segment postérieur du cadre tympanal. Sur la paroi interne de l'adit
l'adulte, le second coude du canal de Fallope. Figure 4- — Segment postérieur d'un temporal dont le segment antérieur n'a pas é
pétreuse qui semble être un diverticule de la caisse. Sur la paroi postérieure du conduit auditif interne, on remarque le forame
Figures i et 2. — Les deux segments de la coupe : figure 1, segment postérieur ; ligure 2, segment antérieur. La scie a ouvert l
dans le plan sagittal. Figure i. — Sur ce temporal, vu par sa face postérieure , on suit la direction de la coupe. Le trait de sc
se mastoïde offre une structure pneumatique, avec de grandes cellules postérieures ou juxta-sinusales. L'antre est vaste. On peut di
l'aditus et à égale distance de la fente unguéale et du trou déchiré postérieur . Il ouvre le conduit auditif externe, la caisse,
erne est presque droit. La corticale interne mastoïdienne et la paroi postérieure du conduit auditif externe sont parallèles.% Di
externe est bien obtus. La corticale interne mastoïdienne et la paroi postérieure du conduit auditif externe divergent franchement
erne est presque droit. La corticale interne mastoïdienne et la paroi postérieure du conduit auditif externe sont parallèles. Dis
ïdien externe est droit.La corticale interne mastoïdienne et la paroi postérieure du conduit auditif externe divergent en dehors.
erne est presque droit. La corticale interne mastoïdienne et la paroi postérieure du conduit auditif externe sont parallèles. Dis
e est légèrement obtus. La corticale interne mastoïdienne et la paroi postérieure du conduit auditif externe sont presque parallèle
vers l'apophyse mastoïde. Le trait de scie est parallèle à la paroi postérieure du conduit. La coupe bâille sur la figure 2. Fi
osseux fait partie de la paroi interne de l'aditus. Sur le segment postérieur , qui est à gauche, on trouve, entre la portion ty
pleine apophyse mastoïde, à quatre millimètres en arrière de la paroi postérieure du conduit, et atteint la fosse cérébelleuse en d
(portion tympano-mastoïdienne) et le sommet du canal demi-circulaire postérieur ; elle sectionne le 6/oc de Jansen. L'apophyse mas
ulaires verticaux, formé par la rencontre à angle droit de la branche postérieure du canal sagittal avec la branche supérieure du c
cloison osseuse le séparait de la fosse cérébrale moyenne. La branche postérieure croise à angle droit le bord supérieur du rocher
ternes de l'attique et de l'aditus ont disparu totalement. La paroi postérieure du conduit auditif externe, réséquée en grande pa
vient dans les rétentions mastoïdiennes aiguës. Figure 3. — Segment postérieur du temporal de la figure 1, scié transversalement
erne de la cavité antro-mastoïdienne, on distingue deux zones : l'une postérieure ou sinusale, l'autre antérieure ou présinusale; c
moïde. Figure !\. — Le même temporal de la figure 5, vu par sa face postérieure . Il montre la brèche sigmoïdale. PHOTOTYPIE PEU
ué une grande partie de l'écaillé occipitale pour dégager l'extrémité postérieure de l'encéphale. L'hémisphère cérébelleux droit bo
out son trajet. On aperçoit les orifices des sinus droits, occipitaux postérieurs et pétreux supérieurs, ainsi que celui de la vein
ointillée), reliant l'incisure préoccipitale de Meynert à l'extrémité postérieure de la grande scissure de Sylvius. Le sillon paral
images auditives des mots, centre de Wernicke, qui siège sur la zone postérieure de la première circonvolution temporale ; 2" le c
temporale. La portion descendante du sinus latéral parcourt la zone postérieure de l'apophyse ; elle n'est pas procidente. La zon
orce : les circonvolutions première frontale, centrales antérieure et postérieure , la pariétale inférieure ou supra-marginalis, la
postérieure, la pariétale inférieure ou supra-marginalis, la portion postérieure de Yinsula de Rcil,les trois temporales, le lobul
de projection : le pied de la couronne rayonnante de Reil, le segment postérieur de la capsule interne, la couronne rayonnante du
ascendantes, la pariétale inférieure ou supra-marginalis, la portion postérieure de Yinsula de Reil, les trois circonvolutions tem
les fibres de projection : la couronne rayonnante de Reil, le segment postérieur de la capsule interne, la radialio acustica, la r
ïdien. Le lobule fusiforme repose sur la tente du cervelet. Segment postérieur de la même coupe frontale dont le segment antérie
mpe. Le Jlocculas répond à l'interligne pétro-occipital et à la paroi postérieure de la pyramide pétreuse, au-dessus et en dedans d
ieure de la pyramide pétreuse, au-dessus et en dedans du trou déchiré postérieur . La troisième circonvolution temporale repose s
du cervelet. A gauche, au-dessus du sinus, on aperçoit l'extrémité postérieure de la circonvolution temporale (incisure préoccip
raux du cervelet. A droite, on remarque deux cellules mastoïdiennes postérieures , séparées par une large zone de tissu compact ; l
biale1, la cavité orbitaire, la capsule labyrinthique et, sur la face postérieure du rocher, entre le méat auditif interne et le sa
e lobe inférieur-moyen est en rapport, en avant, avec le trou déchiré postérieur . F. PÉREZ. - OREILLE ET ENCÉPHALE. Segment in
moïde, on remarque la bulle digastrique qui donne insertion au ventre postérieur du muscle digastrique. Le tentorium, oblique en
d'une coupe oblique en bas et en avant, qui suit le trajet du ventre postérieur du muscle digastrique. La scie a découvert, en av
es cervicales d'origine mastoïdienne. A gauche, on aperçoit le ventre postérieur du muscle digastrique, depuis son insertion au fo
7 (1857) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Atlas
. 3. Ganglion sub-œsophagien antérieur. l\. Ganglion sub-œsophagien postérieur . 5. Nerfs des tentacules digitales. 6. Nerfs
imal. A la surface de chaque lobe, se voient des dépressions dont les postérieures seulement ont une certaine régularité. Le cervele
décrivant une courbe, de la partie antérieure du cerveau à sa partie postérieure :1a ligne ponctuéeS qui les coupe en travers, pou
ui les coupe en travers, pour se diviser en (A) antérieures et en (P) postérieures , indique, comme dans la Fig. i, la place des circ
0. partie interne de la circonvolution orbitaire. P. Circonvolution postérieure . 1. Circonvolution interne. C'est celle qui se
ici l'on voit seulement la section de cette lamelle. pp. Pyramides postérieures delà moelle allongée, circonscrivant la partie in
la famille des renards, et enfin la moelle allongée avec les racines postérieures des deux premières paires cervicales et une porti
etite. A. P. Quatre circonvolutions divisées en antérieures et en postérieures par la ligne ponctuée S. + Point de jonction entr
et la séparation des circonvolutions cérébrales en antérieures et en postérieures . La ligne S se trouve placée au point de jonction
ons antérieures, au nombre de trois seulement. P. Circonvolutions postérieures , au nombre de quatre. Les deux supérieures sont c
rites fig. I; les deux autres, nées dans le même point, à l'extrémité postérieure du cerveau, s'avancent, flexueuses jusqu'à la s
s du crâne. Les lettres API indiquent les circonvolutions antérieure, postérieure et interne. La circonvolution antérieure se conti
pas chez le cheval et le bœuf .(Pl. VIII). Quant à la circonvolution postérieure et à la circonvolution interne, elles sont séparé
se continuant avec la circonvolution interne , au dessus de la partie postérieure du corps calleux. Le développement relatif des
s nouvelles, et ces circonvolutions ayant déjeté en arrière la moitié postérieure des circonvolutions longitudinales des animaux, c
existence. S. Division du cerveau en partie antérieure et en partie postérieure ; la démarcation entre ces parties est formée,d'u
(fig. 2), et d'autre part, par la réunion commune des circonvolutions postérieures et antérieures, au point 4- placé sur la ligne S.
cette scissure, indique le point de jonction des deux circonvolutions postérieures externes. La face externe du cerveau du bœuf prés
olution antérieure et moyenne (pl. VIII, fig. i). P. Circonvolution postérieure . I. I. Circonvolution interne entourant le corp
optiques. 3me v. Cavité du troisième ventricule. o. p. Ouverture postérieure du troisième ventricule, située au-dessous de la
ventricule, située au-dessous de la glande pinéale. co. p. Commissure postérieure , g. p. Glande pinéale. t. q. Tubercules quadrij
jumeaux. On ne voit ici qu'un des tubercules antérieurs, le tubercule postérieur est situé trop au dehors pour être vu. c. m. Co
, et les chiffres I, II, III, IV indiquent les quatre circonvolutions postérieures . + . Point de réunion des circonvolutions posté
convolutions postérieures. + . Point de réunion des circonvolutions postérieures I et II, en arrière de la scissure de Sylvius.
sont les circonvolutions antérieures, en arrière les circonvolutions postérieures . si. si. Sillon antéro-postérieur qui sépare ch
, etc. II, III, IV. Seconde, troisième et quatrième circonvolutions postérieures . Ces deux dernières sont séparées par un sillon l
les bords, on voit la continuité de la partie antérieure à la partie postérieure de cette circonvolution , se faire à l'endroit ma
cette figure, mieux que chez le chevreuil, les quatre circonvolutions postérieures du cerveau, et l'on y remarque des sous-divisions
S. Scissure de Sylvius. I, II, III, IV. Les quatre circonvolutions postérieures . I \ La plus antérieure de ces flèches indique
éphale, lobe droit. S. Scissure de Sylvius. P. P. Circonvolutions postérieures se continuant directement avec les circonvolution
re P. P. P. et seulement deux en avant A A. La circonvolution moyenne postérieure du groupe dont il s'agit se bifurque et envoie un
. Quatre circonvolutions antéro-posté-rieures. P, P, P. Leur partie postérieure . A, A, A. Leur partie antérieure. si, si, si.
t. q. a., et t. q. p. Les tubercules quadrijumeaux antérieurs et postérieurs . a. Nerf abducteur. f. Nerf facial. /. Nerf labyr
antérieures, les autres rejetées en arrière sont les circonvolutions postérieures . Ill, P, III. P. Troisième circonvolution posté
convolutions postérieures. Ill, P, III. P. Troisième circonvolution postérieure . IV, P, IV. P. Quatrième circonvolution postéri
circonvolution postérieure. IV, P, IV. P. Quatrième circonvolution postérieure . III. A. Troisième circonvolution antérieure.
la quatrième circonvolution antérieure à la quatrième circonvolution postérieure , la troisième à la troisième, et vous aurez l'un
a continuité des circonvolutions antérieures avec les circonvolutions postérieures . I. P, I. P. Première circonvolution postérieur
s circonvolutions postérieures. I. P, I. P. Première circonvolution postérieure , située en arrière de la scissure de Sylvius, et
upérieures n'existaient pas. II. P., II. P., Seconde circonvolution postérieure . III. P., Troisième circonvolution postérieure
conde circonvolution postérieure. III. P., Troisième circonvolution postérieure dont la plus grande partie est représentée sur la
On y compte trois circonvolutions antérieures, trois circonvolutions postérieures , deux circonvolutions supérieures , une circonvol
ns sus-orbitraires. P, P. Le commencement des trois circonvolutions postérieures , placées en arrière de la scissure de Sylvius, et
ctement en avant. I. P., II. P. Première et seconde circonvolutions postérieures , dont on voit le complément sur la figure 4* SI
es par le cervelet, sur la figure i. PPP. Les trois circonvolutions postérieures . 1,1,1. Subdivisions de la circonvolution inter
I. P, II. P, III, P. Première, seconde et troisième circonvolutions postérieures . La première, Ion- gue, bien isolée, contourne
a troisième circonvolution antérieure. P. L'une des circonvolutions postérieures . 1,1,1,1. Circonvolution interne. H—K Prolong
cissure de Rolando, se subdivise et se prolonge jusque vers la partie postérieure du cerveau , où elle s'unit au prolongement de la
ement de la circonvolution interne. PP. Portion des circonvolutions postérieures . Toutes ces circonvolutions ont été exactement
ion antérieure. IL P., III. P. Seconde et troisième circonvolutions postérieures . Comparez cette figure à celles qui représenten
) S". Prolongement que la circonvolution S'S' envoie vers la partie postérieure du cerveau. [Pli supérieur de passage.) PP. Cir
érieure du cerveau. [Pli supérieur de passage.) PP. Circonvolutions postérieures . (Deuxième pli de passage.) S. S. Scissure de S
sure de Sylvius. 1. P., IL P., Première et deuxième circonvolutions postérieures de Leuret. (Plis du lobe occipito-sphénoïdal se c
a troisième circonvolution antérieure. P. L'une des circonvolutions postérieures . 1.1.1.1. Circonvolution interne. _j—Prolongement
p. Troisième paire. st. Stries dans la substance corticale du lobe postérieur . Fig. \. Charruas. fr. Extrémité frontale, oc
ccipital. (Lobule du pli pariétal ascendant.) P. P. Circonvolutions postérieures . (Plis de passage.) \. P., 2. P. Première et de
is de passage.) \. P., 2. P. Première et deuxième circonvolutions postérieures . C.C. Cervelet. B. Bulbe. P. V. Protubérance
Sillon de Rolando. S. S. Scissure de Sylvius. P. P. Circonvolutions postérieures . Fig. 2. Enfant blanc L'explication de la fig
de la face orbitaire du lobe frontal. P'., P". P". Circonvolutions postérieures . n. o. Nerf olfactif. n. op. Nerf optique.
erne de la troisième circonvolution antérieure. PP. Circonvolutions postérieures . 1.1.1. Circonvolution interne, -f- -f- Prolongem
gement de la circonvolution interne qui va s'unir à la circonvolution postérieure , ce. Corps calleux, c. a. Commissure antérieure,
isphère paraît manquer d'amplitude, eu égard à la hauteur des parties postérieures ; les régions situées au-dessous de la scissure d
s enveloppent. 'ig. \. Moelle épinière de l'enfant nouveau-né (Face postérieure ). a. Tubercules quadrijumeaux antérieurs. b.
a. Tubercules quadrijumeaux antérieurs. b. Tubercules quadrijumeaux postérieurs . c. Faisceau triangulaire latéral de l'isthme (
ts mamelonnés des funicules grêles. j. Corps restiformes ou pyramides postérieures . k. Tubercule cendré de Rolande l. Faisceau moy
nde l. Faisceau moyen dans la région du buîbe. m. Cordons médians postérieurs , ou funicules grêles, dans la région du renflemen
t cervical, limitant le sillon médian antérieur. n. Cordons médians postérieurs , dans la région du renflement lombaire. A. Bulb
e. a. Tubercule quadrijumeau antérieur. b. Tubercule quadrijumeau postérieur . c. Ruban de Reii. d. Pédoncule supérieur du
ps restiformes. I. Olive. m. Pyramide antérieure. n. Sillon latéral postérieur . Fig. 5. Face antérieure de la même moelle. a
antérieure. /'. Olive. g. Faisceau antéro-îatéral. h. Trou borgne postérieur de Vicq-d'Azyr. i. Trou borgne antérieur. y'.
rieur. y'., /. Sillon médian antérieur do la moelle. Fig. 4. Face postérieure d'une portion de la moelle du Papion. Cette figur
re la véritable signification des funicules grêles ou cordons médians postérieurs . A. Portion du ronflement cervical. B. Renfle
tion du ronflement cervical. B. Renflement lombaire. à. Faisceaux postérieurs dans la région du renfle- ment lombaire séparés
ment lombaire séparés l'un de l'autre par deux petit cordons médians postérieurs . á. Cordons médians postérieurs, qui résultent
utre par deux petit cordons médians postérieurs. á. Cordons médians postérieurs , qui résultent d'un prolongement des cordons po
ns médians postérieurs, qui résultent d'un prolongement des cordons postérieurs de la région funiculaire. c. Cordons postérieur
gement des cordons postérieurs de la région funiculaire. c. Cordons postérieurs , s'atténuant dans la région dorsale. d. Les m
on cervicale, où ils jouent le rôle de funicules grêles. e. Cordons postérieurs de la région cervicale. Fig. 5. Coupe de la moe
renflement cervical. a. Sillon médian antérieur. b. Sillon médian postérieur . c. Sillon latéral postérieur. d. Points d'où
médian antérieur. b. Sillon médian postérieur. c. Sillon latéral postérieur . d. Points d'où émergent les racines antérieure
dons disséminés sur la tête centrale du faisceau latéral. g. Cornes postérieures des axes gris de la moelle, parcourues d'arrière
ourues d'arrière en avant par des faisceaux blancs émanés des cordons postérieurs , et des racines postérieures des nerfs spinaux.
r des faisceaux blancs émanés des cordons postérieurs, et des racines postérieures des nerfs spinaux. Fig. 6. Coupe de la même moe
renflement cervical. a. Sillon médian antérieur. b. Sillon médian postérieur . f. Faisceaux disséminés. On peut remarquer l
renflement lombaire. a. Sillon médian antérieur. b. Sillon médian postérieur . c. Sillon latéral postérieur. d. d. Amas gri
médian antérieur. b. Sillon médian postérieur. c. Sillon latéral postérieur . d. d. Amas gris symétriques que j'ai observés
dont la signification m'est inconnue. g. Stries blanches des cornes postérieures des axes gris. Cette coupe est remarquable, eu
rvical (Cf. fig. 6). à. Sillon médian antérieur, á. Sillon médian postérieur . Fig. 4G\ Coupe de la même moelle vers le milie
orsale (Cf. fig. 7). a. Sillon médian antérieur. b. Sillon médian postérieur . Fig. \\. Coupe de la même moelle, vers le mili
renflement lombaire. a. Sillon médian antérieur. b. Sillon médian postérieur . N.B. Si l'on compare ces trois dernières coupe
renflement lombaire. à. Sillon médian antérieur. á. Sillon médian postérieur . c. Sillon latéral postérieur et racines postér
médian antérieur. á. Sillon médian postérieur. c. Sillon latéral postérieur et racines postérieures des nerfs spinaux dont
. Sillon médian postérieur. c. Sillon latéral postérieur et racines postérieures des nerfs spinaux dont on voit certaines fibres
d'autres fibres se portent dans les cellules multipolaires des cornes postérieures . d. Racines antérieures des nerfs spinaux dont
t communiauant : Io avec les racines antérieures; 2° avec les racines postérieures ; 3° avec les fibres longitudinales des faisceaux
stérieures; 3° avec les fibres longitudinales des faisceaux moyens et postérieurs ; 4° enfin, avec les fibres entrecroisées qui cons
faisceaux moyens. j. Fibres qui de la face antérieure des faisceaux postérieurs ou sensitifs se portent dans les cellules de l'ax
A'. Faisceaux moyens confondus avec les antérieurs. R. Faisceaux postérieurs . Fig. 2. Structure d'une feuille du cervelet.
semble des corps striés et des couches optiques. a. Cordons médians postérieurs . //. Renflements mamelonnés. c. Corne latéral
deux pédoncules cérébelleux supérieurs. g. Tubercules quadrijumeaux postérieurs , désignés sous le nom de lestes, k. Tubercules qu
ventricules latéraux recouvertes par certaines expansions des fibres postérieures du corps calleux. d. Nerfs longitudinaux de Lan
qui se porte vers le corps restiforme et le recouvre. e. Pyramide postérieure ou corps restiforme. f. Tubercule cendré de Rol
point d'implantation dans le cervelet. i. Tubercule quad ri jumeau postérieur gauche. k. Tubercule quad ri jumeau antérieur gau
Expansion desfibresde la commissure antérieure, se mêlant aux rayons postérieurs du cornet de 1 ' é ven ta il péd o n eulaire. F
qui sont comprises dans le raphé de l'axe et proviennent de la face postérieure des faisceaux moyens du bulbe ; elles sont l'orig
velet qui suivent la distribution de l'une des branches du faisceau postérieur (g). g. Prolongement interne du faisceau postér
hes du faisceau postérieur (g). g. Prolongement interne du faisceau postérieur qui se porte vers l'anse du pédoncule (o). i.
Faisceau triangulaire latéral de l'isthme. g. Tubercule quadrijumeau postérieur . h. Fibres postérieures du cornet pédonculaire.
atéral de l'isthme. g. Tubercule quadrijumeau postérieur. h. Fibres postérieures du cornet pédonculaire. i. Pédoncule cérébral.
pédoncule, m. Commissure antérieure, m' Ses expansions dans la partie postérieure de l'éventail pédonculaire. n.tt. Éventail pédo
uton terminal de Taxe gauche vue d'en haut. 0. Bulbe. b. Pyramide postérieure coupée. ce. Prolongement du faisceau postérieur q
Bulbe. b. Pyramide postérieure coupée. ce. Prolongement du faisceau postérieur qui se porte vers la base du lobe olfactif. d.
oisement des pyramides pédoncu- 1aires. k. Tubercule quadrijumeau postérieur . 1. Tubercule quadrijumeau antérieur. m. Comm
d'un Macaque (Macacas radiatus). a. Bulbe. a'a'. Fibres delà face postérieure des faisceaux latéraux qui se portent en avant et
aphé du bulbe, et sont l'origine des fibres arciformes. b. Faisceau postérieur du bulbe détaché. b\ Prolongement de ce faiscea
cervelet. L. A. Lobe antérieur de l'hémisphère cérébral. L. P. Lobe postérieur . STRUCTURE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX D'UN PAPIÓ
ci . Fibres supérieures de l'ourlet qui se portent vers l'extrémité postérieure de l'hémisphère. a". Fibres de l'ourlet qui des
ion de ce pilier qui se môle intimement aux fibres du bord ou genou postérieur du corps calleux. d". Autre division de ce pili
ication très-simple de celle qui a été représentée fig. 5. Les fibres postérieures du corps calleux (fig, 5, c") ont été enlevées ai
es de la sorte à découvert dans toute l'étendue de leurs rayonnements postérieurs (4). m. Nerf optique. m'. Sa racine interne.
terne. m'"m"\ Expansions et rayons de cette racine dans l'extrémité postérieure de l'hémisphère et plus particulièrement dans son
lvius. k. Commissure antérieure. k\ Ses expansions dans les parties postérieures de l'hémisphère. EF. Extrémité frontale. EO. Ex
v. Anneau des fibres de l'ourlet. x. Corpus fimbrialum. y. Genou postérieur du corps calleux. Fig. 5. Coupe verticale du ce
d. Monticule du cervelet médian. e. e. Amygdales. Fig. 2. Face postérieure du même cervelet. a. Lobe antéro-supérieur ou c
ervelet d'un fœtus humain d'environ dix-sept semaines, vu par sa face postérieure . Cette figure est destinée à faire mieux compre
éraux des plexus choroïdes du qua- trième ventricule. /'. Ouverture postérieure du quatrième ventricule. Fig. 9. Même cervelet.
re postérieure du quatrième ventricule. Fig. 9. Même cervelet. Face postérieure , vue d'en haut. a. Corps du cervelet moyen char
iron vingt-quatre semaines, vu par sa face antérieure. Fig, M. Face postérieure du même cervelet, vu d'en bas. Fig. 42. Profil
et, vu d'en bas. Fig. 42. Profil du même cervelet. Fig. 4 5. Face postérieure du même, vue d'en haut. Fig. 44. Sa face antéri
téral. c et d. Son vermis. e. Lobule auriculaire. Fig. 47. Face postérieure du cervelet de l'Hyp-sprymnus murinus. à. Corps
la même signification que dans la figure précédente. Fig. 49. Face postérieure du cervelet d'un Éléphant d'Afrique. a. Vermis
elet latéral. d et d\ Vermis latéraux. Fig. 24. Même cervelet. Face postérieure vue d'en bas. a. a\ Vermis médian énorme. b.
xtrémité occipitale. L. SPH. Extrémité sphenoidale. + + Extrémité postérieure de la scissure des hippocampes, comprenant dans s
u nerf optique. H. H. Hémisphère. L. OP. Tubercules quadrijumeaux postérieurs . L. OP'. Tubercules quadrijumeaux antérieurs.
roit du même cerveau vu du côté de sa face interne. P. P. Pyramides postérieures du bulbe. P. V. Pont de Varole. V. N. Quatriè
P. V. Pont de Varole. V. N. Quatrième ventricule. F. P. Faisceau postérieur se prolongeant vers le cerveau. L. L. Masse du
leux. S. L. Septum lucidum. C M. Commissure molle. P. V. Pilier postérieur de la voûte. C E. Corps bordant. C G. Corps o
8 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
des sillons sur la substance grise du lobe pariétal et des parties postérieures du lobe frontal ? Combien d'observations, propres
uvements volontaires du membre antérieur ; —B, centres pour le membre postérieur : — C, mouvements de rotation de la tête et du
e du lobe frontal en trois étages ou circonvolu-tions. 1° L'extrémité postérieure du premier étage constitue, au dire de Ferrier, u
excitation fait mouvoir la tête. — 2° Selon le même auteur, la partie postérieure du deuxième étage serait le centre des mouvements
volutions frontales; — B, cire, pariétale ascendante (cire, pariétale postérieure ou cire, centrale postérieure); — P l, lobule du
, pariétale ascendante (cire, pariétale postérieure ou cire, centrale postérieure ); — P l, lobule du pli pariétale; — P 2, lobule d
du lobe occipital. Dans les parties de ce lobe qui entourent la corne postérieure des ventricules latéraux, la substance grise n'a
mérite de nous arrêter. Occupons-nous d'a-bord de celui de la région postérieure . 1° Les éléments nerveux, bien développés, sont
ù Pon observe cette dispo-tion comprend : a) le cuneus : b) la moitié postérieure du lo-bule lingual et fusiforme ; c) tout le lobe
sons d'ordre anatomique sur lesquelles nous reviendrons, les par-ties postérieures du cerveau ont été désignées comme le siège du se
llules pyramidales géantes. Structure de 1 ecorce grise des régions postérieures de l'encéphale. Messieurs, Avant de serrer de
stant que ce type se montre très notablement modifié dans les parties postérieures de l'encéphale comprenant : 1° tout le lobe sphén
corce grise de la face interne qui sont circonscrites par l'extrémité postérieure du lobe et par un sillon qui délimite en arrière
arrière, par une scissure oblique qui n'est autre que le prolongement postérieur de la scissure calloso-marginale (cette scissure,
sommaires sur les particularités de cette structure dans les régions postérieures de l'encéphale. Les régions où se rencontrent c
ète, le lobe occipital tout entier, le lobe sphénoïdal et les parties postérieures et médianes de l'hémis-phère jusqu'au bord postér
t les parties postérieures et médianes de l'hémis-phère jusqu'au bord postérieur du lobe quadrilatère. Le caractère général de l
ux de Tiirck : —B, B, zonesradi„ culaircspostéricures ; — G,G, cornes postérieures ; — D,D, cornes antérieures; — F, zone radiculair
rotubérance, se divise en deux branches, qu'on appelle les cérébrales postérieures (C P). Ainsi se trouve cons-titué un second systè
P). Ainsi se trouve cons-titué un second système artériel, le système postérieur ou ver-tébral. Le système carotidien et le syst
variable dans leur volume et leur dis-position (1), les communicantes postérieures , forment, à la base de l'encéphale, un cercle vas
tent, en se dirigeant en dehors, les deux sylviennes ; enfin, l'angle postérieur est formé par les cérébrales postérieures. C'est
x sylviennes ; enfin, l'angle postérieur est formé par les cérébrales postérieures . C'est du cercle de Willis et des deux premiers c
tie antérieure de la tête du noyau caudé. Le second — groupe médian postérieur , 2, — vient de la moitié postérieure des communic
audé. Le second — groupe médian postérieur, 2, — vient de la moitié postérieure des communicantes postérieures et de l'o-rigine d
ian postérieur, 2, — vient de la moitié postérieure des communicantes postérieures et de l'o-rigine des cérébrales postérieures. Il
rieure des communicantes postérieures et de l'o-rigine des cérébrales postérieures . Il nourrit les faces internes (1) M. Duret a a
e — groupes postero-latéraux, 4, 4 —, sont fournis par les cérébrales postérieures après qu'elles ont contourné les pédoncules céréb
bule paracentral ; lobule quadrilatère ou avant-coin). La cérébrale postérieure , née de la basilaire, entoure le pédoncule cérébr
— artère du pli courbe ; — artères cérébrale antérieure et cé-rébrale postérieure : leurs branches. Messieurs, Je me propose de
cula-tion du cerveau. Les investigations de M. Duret ne sont donc pas postérieures de deux années à celles de M. Heubner, com-me ce
ne, issues l'une et l'autre de la caro-tide interne ; 3° la cérébrale postérieure , branche de la basi-laire, provenant elle-même de
appliquer tout aussi bien à la cérébrale antérieure ou à la cérébrale postérieure — il est des er, s dis-je, dans lesquels l'oblité
— A. circonvolution centrale antérieure. — B, circonvolution centrale postérieure . — F F 2, F 3, circonvolutions frontales supérieu
férieure. — II. Artère pa-riétale antérieure. — III. Artère pariétale postérieure . — IV. Artère pariétale sphénoïdale ; 3° La ligue
), du côtédroit de la figure, limite la dis-tribution de la cérébrale postérieure . (Cette figure et les figures 16 et 17 soni empru
rritoire de la troisième circonvolution et, plus explici-tement, à sa postérieure . Voici, à l'appui, un fait concluant. 11 concerne
dante. [Fig. 9,2 elFig. 12,11). La troisième est Y artère pariétale postérieure qui serait (1) Nous avons publié l'observation
ion de Broca du côté gauche atrophiée danH. sions normales. sa partie postérieure . F. circonvolution frontale transverse.— R, R,
A, circonvolution centrale anté-rieure. — B, circonvolution centrale postérieure . — P Avant-coin (Vorz-wickel). — O z, coin (Zwick
frontales interne et antérieure. — II. Artères fronta-les, interne et postérieure . — 2° Les régions circonscrites par la ligne (.—.
a ligne (.—.—.) représentent le champ de distribution de la cérébrale postérieure . — II. Ar-tère temporale postérieure. — lit (infé
de distribution de la cérébrale postérieure. — II. Ar-tère temporale postérieure . — lit (inférieur). Artère occipitale. primée.
es). La ligne (.—.—.—.—) circons-crit la distribution de la cérébrale postérieure . — 1, artère temporale anté-rieure. — II, artère
ostérieure. — 1, artère temporale anté-rieure. — II, artère temporale postérieure . — III, artère occipitale. nés —cette intégrité
lobe sphénoïdal qui, vous le savez, est artérialisé par la cérébrale postérieure . Eh bien, pendant la vie, il n'avait pas existé n
s vasculaires corticaux de la cérébrale antérieure et de la cérébrale postérieure . III. La cérébrale antérieure est beaucoup mo
ent que la sylvienne, mais beaucoup plus communément que la cérébrale postérieure , à la circonvolution du corps cal-leux {Fig. 16),
si que j'en ai fourni tout à l'heure un exemple. IV. La cérébrale postérieure (Fig. 12, 16,17) est le siège fréquent d'altérati
lie ou par thrombose. Aussi les ramollissements ischémiques des lobes postérieurs sont-ils bien plus communs que ceux des lobes ant
anches qui composent ce système naissent des cérébrales antérieure et postérieure et de la sylvienne. Disposition des noyaux gris :
ire qui est un tronc volumineux, et elles pénètrent jusqu'aux parties postérieures , parallèlement les unes aux autres, sans Charco
re l'exis-tence de ces rameaux n'est-elle pas constante. La cérébrale postérieure a, dans l'espèce, un domaine beaucoup plus vaste
système issues soit de la cérébrale antérieure, soit de la cérébrale postérieure . II. Mais, avant d'entrer dans le détail de l
s strié et, en arrière, aussi loin, ou peu s'en faut, que l'extrémité postérieure de la cou-che optique. Je ne veux faire qu'indi
générale est celle d'un ovoïde avec une extrémité antérieure, l'autre postérieure . On distingue, dans sa compo-sition, deux parties
ire du corps strié; —b) La seconde portion, qui répond aux deux tiers postérieurs du noyau lenticulaire, est aplatie de haut en bas
rapport avec les mouvements des mem-bres, tandis que les autres (les postérieures ) sont en rapport avec la transmission des impress
cérébrale antérieure ; II, artère sylvienne ; — III, artère cérébrale postérieure . — I, artère carotide interne ; —2, artère sylvie
sa participation n'est-elle pas constante. c) Quant à la cérébrale postérieure , son rôle est plus im-portant et assez caractéris
érébrale antérieure; — II, artère syl-vienne ; —III, artère cérébrale postérieure . tion est très étendue, puisqu'elle envoie des
s masses centrales, aux régions suivantes : Io à la partie externe et postérieure de la couche optique ; 2° aux tubercules quadriju
entrales issues soit de la cérébrale antérieure, soit de la cérébrale postérieure . Emanées du bord supérieur de la sylvienne, les
e noyau caudé et le noyau lenti-culaire, la couche optique étant plus postérieure . On retrouve sur cette coupe, dans leur trajet pl
e composent sont les artères lenticulo-striées ; le second groupe est postérieur ; les artères qui le constituent sont les artères
er s'ouvre souvent dans les ventri-cules. Quant à Xartère cérébrale postérieure , elle mérite dans l'espèce, je le répète, qu'on s
ordres : 1° Vartère optique posté-rieure interne, née de la cérébrale postérieure , tous près de son origine au tronc basilaire, qui
réquemment suivies d'inondation ven-triculaire ; — 2° Vartère optique postérieure externe, qui vient de la cérébrale postérieure, q
; — 2° Vartère optique postérieure externe, qui vient de la cérébrale postérieure , quand elle a déjà contourné le pédoncule cérébra
et dans lequel elle monte obliquement, avant d'entrer dans la portion postérieure de la couche optique. Les ruptures de ce vaisseau
ri-bution des artères cérébrales antérieures et des artères opti-ques postérieures étant seuls épargnés. C'est là une localisa-tion
23. — Foyer cl'he'morrhagie extra-lenticulaire au niveau de la partie postérieure de la couche optique; — hémianeslhésie cérébrale.
he optique; — hémianeslhésie cérébrale. — A. corps calleux et piliers postérieurs de la voûte. — B, B, cavité des ventricules latér
. —G, G, couches optiques. — D, D, noyaux lenticulaires. — EE, région postérieure ou lenticulo-optique de la capsule interne. — F,
icu-laire intéressant par en haut la capsule interne. — SS, extrémité postérieure du noyau caudé. Si, au contraire, ayant envahi
domaine des artères lenti-culo-optiques, la lésion porte sur le tiers postérieur de la cap-sule, dans la région où celle-ci passe
nt dans le cas par exemple où les parties les plus reculées, les plus postérieures de la capsule interne seraient seules altérées d'
e de formation et d'extension des hémorrhagies r 'pondant à la partie postérieure de la capsule interne. (Hémianesthésies). — Ruptu
noyau caudé. — I, foyer primitif (au lieu d'élection) dans la partie postérieure de la capsule interne (hémianesthésie;. — 1', 1",
en arrière, le foyer se sera répandu jusque sur les parties les plus postérieures du noyau lenticulaire , la compression portant al
noyau lenticulaire , la compression portant alors aussi sur la partie postérieure de la capsule interne, les symptômes d'hémia-nest
également aux hémorrhagies qui se font dans l'épaisseur de la partie postérieure de la cou- che optique. Ces hémorrhagies se dév
eurs, de citer nombre de faits où une lésion des tractus de la partie postérieure de la couche optique, déterminée par un épancheme
suite de la résorption de l'épanchement, la compression de la région postérieure ou lenticulo-optique de la capsule interne n'exis
-rieure ou lenticulo-striée de la capsule, par opposition à la région postérieure ou lenticulo-optique dont la lésion déter-mine, s
ent. En observant avec attention la partie la plus interne et la plus postérieure de l'éventail formé par le système des fibres ner
stance blanche du lobe occipital, immédiatement en dehors de la corne postérieure du ventricule latéral. Elles se termineraient fin
ripètes, ayant pour fonction de trans-porter à la surface des régions postérieures du cerveau les impressions sensitives ? M. Meyner
externe. Parvenues à la protubérance, elles se placeraient àla partie postérieure du faisceau pyramidal, et conserveraient à peu pr
s'être entrecroisées, se mettre en rapport avec les faisceaux spinaux postérieurs . Je ne saurais garantir la parfaite authenticité
a description anatomique de M. Meynert en ce qui concerne ce faisceau postérieur (Note de la 2e éd.) nière partie du trajet assi
jet assigné par M. Meynert aux fibres qui composent la partie la plus postérieure de la capsule interne. Tel est, à l'heure qu'il
ions, il résulte unanimement: 1° que les lésionsportant sur la région postérieure lenticulo-optique de la capsule interne ont pour
i, dans les expériences ainsi instituées, la lésion atteint la région postérieure de la capsule, l'hémianesthésie du côté opposé du
ement d'anesthésie, toutes les fois que la lésion a respecté le tiers postérieur de la capsule et porte seulement sur un point que
udés. — L, L, noyaux lenticulaires. — P, P, capsule interne, région postérieure ou lenticulo-optique. — A, A, cornes d'Ammon, —
enticulo-optique. — A, A, cornes d'Ammon, — x, section de la partie postérieure ou lenticulo-optique de la cap-sule, déterminant
us le voyez d'après ce qui précède, à faire connaître, dans la partie postérieure de la capsule interne, l'existence de faisceaux d
reconnaître, dès à présent, que les faisceaux qui composent la partie postérieure de la capsule interne et leurs émanations directe
st une conséquence néces-saire des lésions qui portent, sur la région postérieure de la capsule interne ou son émanation, dans la c
émiopie latérale développée en conséquence d'une lé-sion de la partie postérieure de la capsule interne ou du pied de la couronne r
es optiques, tandis que les faits existent où une lésion de la partie postérieure de la capsule interne ou du pied de la couronne r
couche optique; ; — Fibres moyennes (expansions latérales) ; —Fibres postérieures (expansions cérébrales des nerfs optiques). — Rap
ra-cine interne (corps genouillés internes, tubercules quadrijumeaux postérieurs ). Connexion entre les amas de substance grise e
de Y am-blyopic croisée, comme symptôme de lésions occupant la partie postérieure de la capsule interne ou les irradiations corresp
et qui, à l'issue de la capsule interne, formerait la partie la plus postérieure du pied de la couronne rayonnante. Existe-t-il
longifudinalis inferior. — C a, commissure anté-rieure. — inf, corne postérieure des ventricules latéraux. (Meynert 1 composent
laires. Vous remarquerez par-ticulièrement l'étage inférieur ou corne postérieure du ven-tricule (f) qui joue ici, dans la topograp
u laté-rales (ii, Fig. 32. Expansions latérales) ; 3° d'autres enfin, postérieures , sont désignées d'après Gratiolet, qui, lèpre-pas
. — c, voûte à 3 piliers. — d, tubercule^ quadrijumeaux. — f, corne postérieure du ventricule latéral. — g , corne d'Ammon. —h,
particulier de notre étude, ne sont séparés de la cavité de la corne postérieure que par l'épendyme et le tapis (tape-tum), expans
ouches optiques, on examine la pré-paration ainsi obtenue par sa face postérieure , on y remarque ce qui suit : 1° En avant, se voie
vec les tubercules qua-drijumeaux antérieurs, et les bras conjonctifs postérieurs en relation avec les tubercules postérieurs. On v
, et les bras conjonctifs postérieurs en relation avec les tubercules postérieurs . On voit encore dans la même région, lorsqu'on so
rs. On voit encore dans la même région, lorsqu'on soulève l'extrémité postérieure des couches optiques ou pulvinar, en dedans le co
es et comment celles-ci, dans la partie qui correspond aux deux tiers postérieurs , sont divisées en deux tractus qu'on peut considé
u corps genouillé interne. D'après cela, les tubercules quadrijumeauN postérieurs ne seraient pas, chez l'homme, exclus de l'appa-r
nouillés. Les tuber-cules quadrijumeaux, tant antérieurs (nettes) que postérieurs [testes), avaient à peu près conservé la colorati
pressentir, par un sys-tème de fibres qui constitue la partie la plus postérieure des radiations de la couche optique (faisceaux ra
ons VIII et IX, Fig. 26), et (1) Les bras conjonctifs antérieurs et postérieurs , eux aussi, étaient dans ce cas remarquablement a
rne d'Ammon. — V, corne antérieure du ventricule latéral. — Vp, corne postérieure . — Vm, Vm, ventricule moyen. — Cm, commissure moy
uadrijumeaux antérieurs, aux B I, bras des tubercules quadrijumeaux postérieurs , aux deux corps genouillés, au pied du pédoncule
le que je signale à votre attention et qui répond à la partie la plus postérieure du pied de la cou-ronne rayonnante, pourrait donc
yer hémorrhagique brusquement développé dans l'épaisseur de la partie postérieure des couches optiques, pourrait, elle aussi, on le
désigner sous le nom de lenti-culo-striée, par opposition à la région postérieure ou lenticulo-optique, comprend, vous ne l'avez pa
produit du côté opposé du corps, dans le membre antérieur et dans le postérieur , non plus une simple parésie, mais bien (1) Il
le et Duret et de celles M. de Veyssière, — les lé-sions de la partie postérieure de la capsule interne produisent, ainsi que cela
udés. — L. L, noyaux lenticulaires. — P, P, capsule interne, région postérieure ou lcnticulo-oplique. — A, A, cornes d'Ammon. —
cnticulo-oplique. — A, A, cornes d'Ammon. — x, section de la partie postérieure ou lenticulo-optique de la cap-sule, déterminant
étendus, lorsqu'ils occupent soit le lobe occipital, soit les parties postérieures du lobe temporal ou encore le lobe sphénoïdal, so
on grise, situé immédiatement en dehors et en avant de la corne grise postérieure correspondante et dont l'étendue s'amoindrit prog
de plus, n intéresse pas davantage le bord antéro-externe de la corne postérieure . (Fig. 39.) Dans la région dorsale, la partie scl
s cellules nerveuses de la région. L'en-vahissement des cornes grises postérieures pourrait expliquer de la même façon l'apparition
ites motrices et l'origine des racines antérieures; — puis les cornes postérieures où se rendent les racines pos-térieures. Vous voy
éro-latéraux, limités par le sillon antérieur et le sillon collatéral postérieur ; 2° les faisceaux postérieurs, limités par la co
illon antérieur et le sillon collatéral postérieur ; 2° les faisceaux postérieurs , limités par la commissure et les cornes postérie
nd-on en considération l'espace limité par les sillons intermédiaires postérieurs . b) La méthode expérimentale n'a pas sensibleme
es lésions systématiques jusqu'ici connues (Fig. 46). Les faisceaux postérieurs , considérés en physiologie comme formant un tout,
parties bien distinctes. C'est ainsi que la partie voisine du sillon postérieur , à savoir les cordons de Goll, peuvent être seuls
lésés. — D'autres fois, les lésions intéressent la région des cordons postérieurs la plus voisine des cornes postérieures, c'est-à-
éressent la région des cordons postérieurs la plus voisine des cornes postérieures , c'est-à-dire les faisceaux radiculaires (Pierre!
rs accompagnée d'une lé- sion du même genre et qui occupe la partie postérieure du faisceau latéral du côté opposé dans une régio
, cordons latéraux. — A, faisceaux de Tûrck. —B, C, zones ra culaires postérieures . —G, C, cornes postérieures. —D, D, cornes anté-r
sceaux de Tûrck. —B, C, zones ra culaires postérieures. —G, C, cornes postérieures . —D, D, cornes anté-rieures. — P, zone radiculair
. Ainsi, voilà, de par l'anatomie pathologique, les anciens cordons postérieurs décomposés en deux faisceaux secondaires et les a
isième paire sacrée. Sur cette grande étendue, ils occupent la moitié postérieure du cordon latéral où ils sont représentés par un
respondant qui se détache de l'autre pyramide, et va gagner la partie postérieure du faisceau antéro-latéral où il occupe les rappo
s régions sur les coupes horizontales. — Segment antérieur, segment postérieur , genou de la capsule. — Localisa-tion du faisceau
de la capsule. — Localisa-tion du faisceau pyramidal dans le segment postérieur de la capsule interne. Du faisceau pyramidal da
ne. — n1, noyau lenticulaire. — G, genou de la capsule. — Sp, segment postérieur delà capsule interne. -- Go, couche optique. -- F
terne. -- Go, couche optique. -- F, Foyer circonscrit dans le segment postérieur de la capsule et occupant une partie du trajet in
phè-res cérébraux, suivant une ligne parallèle à la fissure laté-rale postérieure (de Henle) et un peu au-dessus de cette fissure,
ieure du noyau lenticulaire et la tête du noyau caudé ; 2° une partie postérieure , intermédiaire à la face externe de la couche opt
de la capsule interne». Eh ! bien, Messieurs, c'est dans la partie postérieure de la capsule qu'il faut, d'après M. Flechsig, ch
le considérons, ce faisceau pourrait être reconnu là, dans le segment postérieur sous l'aspect d'un espace elliptique, tranchant p
nnaires adjacentes ; et si, par la pensée, vous partagez cette partie postérieure de la capsule interne en trois régions d'égale ét
st la coupe pariétale proprement dite). Elle permet de voirie segment postérieur de la capsule interne dirigé obliquement en haut
u noyau caudé. -- 10, couche optique. -- 11, capsule interne (segment postérieur ). — 12, noyau lenticulaire.—13, capsule externe.
de 17 jours. Vous voyez qu'à cette époque les régions antérieures et postérieures ont une coloration grise très foncée, ce qui sign
sule interne, il occupe au moins les deux tiers antérieurs du segment postérieur . — Le faisceau pos-térieur (fibres sensitives de
génération est ici de cause périphéri-que et siège dans les faisceaux postérieurs de la moelle épi-Bière. Les exemples connus sont
s nerfs de la queue de cheval, et là, plus explicitement, les racines postérieures , qui ont dû être considérées comme le point de dé
nt au faisceau cérébelleux. — D, région intermé-diaire entre la corne postérieure et le faisceau pyramidal ; cette région est toujo
terne ; elles ne se produisent pas quand la lésion porte sur le tiers postérieur de la capsule (1). » Cette proposition a été crit
fais-ceaux pyramidaux. Pour ce qui est du dernier tiers du segment postérieur de la capsule, j'indiquerai en passant (car c'est
prolongeant les fibres sensitives spinales et les reliant aux régions postérieures de l'hémisphère. Les fibres de ce segment externe
segment externe du pied remonteraient donc direc-tement dans le tiers postérieur du segment postérieur de la capsule. Ce n'est là
d remonteraient donc direc-tement dans le tiers postérieur du segment postérieur de la capsule. Ce n'est là qu'une hypothèse, sans
2° un faisceau médian qui répond aux deux tiers antérieurs du segment postérieur de la capsule; c'est le fais-ceau pyramidal, dont
re jamais, composé de fibres cen-tripètes destinées à former le tiers postérieur du segment pos-térieur de la capsule. Je ne vou
mitivement ou secondairement sur les deux tiers antérieurs du segment postérieur de la capsule, sont les seules qui déterminent la
i, l'antérieure, sous le nom de circonvolu-tion frontale ascendante,\ postérieure ,sous le nom de circon-volution pariétale ascendan
capsule. — K, région pyramidale de la capsule interne dans le segment postérieur . — L, portion sensilive de la capsule corresponda
stérieur. — L, portion sensilive de la capsule correspondant au tiers postérieur du segment postérieur. «des fibres nerveuses se
sensilive de la capsule correspondant au tiers postérieur du segment postérieur . «des fibres nerveuses se dirigeant vers la por
représentée par une coupe fron-tale passant d'un côté par l'extrémité postérieure du pied des trois circonvolutions frontales, et d
par la ligne fictive qui sépare les deux tiers antérieurs du seg-ment postérieur de la capsule de son tiers postérieur, repré-sent
ux tiers antérieurs du seg-ment postérieur de la capsule de son tiers postérieur , repré-sente la face postérieure de la pyramide e
postérieur de la capsule de son tiers postérieur, repré-sente la face postérieure de la pyramide en question. 11 est facile de comp
pes cellulai-res qui se voient normalement dans cette région (groupes postérieur et antéro-externe). De plus, les racines antérieu
. — Celles-ci portent sur les faisceaux latéraux et sur les faisceaux postérieurs . — Faisceaux céré-belleux de Flechsig. Dégénéra
ps des vertèbres et ayant amené la destruction du liga-ment vertébral postérieur , il s'est produit une inflammation égalemeut casé
substance grise et sur tous les faisceaux blancs tant antérieurs que postérieurs : c'est ce qu'on peut appeler une lésion transver
'aire des faisceaux antéro-latéraux est altérée ; seuls les faisceaux postérieurs restent indemnes. b) Plus bas, voici ce que l'o
ortent sur deux points : a) les faisceaux latéraux ; h) les faisceaux postérieurs . a) La lésion des faisceaux antéro-latéraux n'a
qui commence au niveau de l'extrémité pos-térieure de la corne grise postérieure correspondante, et s'é-tend en avant, jusqu'au vo
r aucun symptôme particulier. i) La lésion ascendante des faisceaux postérieurs offre plus d'intérêt. A. Immédiatement au-dessu
yer, dans l'étendue de deux ou trois centimèties au plus, le faisceau postérieur est lesé dans toute son étendue. B. Mais plus h
omme le faisceau lui-même, être suivie par en haut dans les pyramides postérieures du bulbe, jusqu'au niveau du quatrième ventricule
lques dé-, veloppements relativement à cette altération des faisceaux postérieurs , que nous rencontrons pour la première fois, et q
sque la lésion en foyer intéresse uniquement les fibres des faisceaux postérieurs . B. A présent, il nous faut un instant considér
e. Toute la moitié droite de la moelle et toute l'étendue des cordons postérieurs sont détruites.— 2, Coupe de la moelle au niveau
au niveau de la troisième vertèbre dorsale (sclérose des deux cordons postérieurs et des deux faisceaux cérébelleux). — 3, Au-dessu
talité du faisceau antéro-latéral gauche et la totalité des faisceaux postérieurs . Au-dessus de ce foyer, circonscrit nettement dan
dans le trajet de tout le cordon antéro-latéral droit et des cordons postérieurs (voy. Fi g. 64). Cet homme présenta les symptômes
cause périphérique. Sommaire. — Dégénération secondaire des cordons postérieurs . —Ces cordons * sont decomposable*, chacun en deu
e structure et à l'anatomie pathologique. Développement des cordons postérieurs . — Travaux de Pierret, de Kolliker ,—Apparition i
au de Burdach. ^D$isron ultérieure des deux appareils par les sillons postérieurs intermé-diaires de Sappey. Structure des faisce
de cause spinale ; je veux parler surtout de la lésion des faisceaux postérieurs . Mais, au-paravant, vous devez être renseignés su
aître que, dans toute la hauteur de la moelle épinière, les faisceaux postérieurs décrits en ana-tomie descriptive ne constituent p
entral. — E, Revêtement épithé-lial de ce canal. — G, Substance grise postérieure . — V, Cordon antérieur. H, Gordon postérieur. — C
l. — G, Substance grise postérieure. — V, Cordon antérieur. H, Gordon postérieur . — CA, Commissure antérieure. — M, Racine antérie
eur. — CA, Commissure antérieure. — M, Racine antérieure. — S, Racine postérieure . — V, Partie postérieure du cordon antérieur (ou
érieure. — M, Racine antérieure. — S, Racine postérieure. — V, Partie postérieure du cordon antérieur (ou cordon latéral). — E, Por
. Or, cette autonomie des deux systèmes constitutifs des fais-ceaux postérieurs est fondée sur des considérations empruntées : 1°
s-térieurs. a) Chez l'embryon humain de six semaines, les faisceaux postérieurs ne sont encore représentés que par deux bande-let
és que par deux bande-lettes qui coiffent en quelque sorte les cornes postérieures (1). (1) Nous reproduisons ici, par comparaison
d'un embryon humain d'un mois. — a, Cor-nes antérieures. — 6, Cornes postérieures . — c, Canal central. — d, Raci-• nos antérieures.
ieures. — c, Canal central. — d, Raci-• nos antérieures. — e, Racines postérieures . — a, Zone radiculaire antérieure — 6, Zone rad
ostérieures. — a, Zone radiculaire antérieure — 6, Zone radiculaire postérieure . Fig. 67. — Coupe de la moelle d'un embryon hum
de huit semaines (Grosslss» 50). — H, H, Partie saillante des cordons postérieurs . — H, H, qui plus tard for-meront les cordons de
ance grise antérieure. — G, Substance grise posté-rieure. — H, Cordon postérieur . Entre les deux saillies, H. H, des cordons posté
e. — H, Cordon postérieur. Entre les deux saillies, H. H, des cordons postérieurs , C, représente l'épithélium du canal central (d'a
pithélium du canal central. — E, Obli-tération de ce canal, sa partie postérieure . — V, V, Cordons antérieurs. — H', H'. Cordons po
sa partie postérieure. — V, V, Cordons antérieurs. — H', H'. Cordons postérieurs . — H, H, Cordons de Goll. — V, W, Racines antérie
. — H, H, Cordons de Goll. — V, W, Racines antérieures — H, W, Racine postérieure . — G, Ganglion intervertébral (d'après Kolliker).
dire qu'ils sont, à ce niveau, limités de chaque côté par les sillons postérieurs intermédiaires (Sappey.) Voilà pour ce qui conc
ntraire, sont traversés par une partie des fibres émanant des racines postérieures . Des fibres de ces racines» les unes, au moment
nt la moelle, plongent directement dans la substance grise des cornes postérieures ; les autres n'atteignent la substance grise que
terne. c) Mais ce groupe de fibres radiculaires émanant des racines postérieures ne constitue pas à lui seul, tant s'en faut, la t
nerveuses, la constitution particulière des deux faisceaux du cordon postérieur . C) Vous venez devoir, Messieurs, que l'anatomi
nce majeure,en raison surtout du grand nombre des fibres radiculaires postérieures qu'ils reçoivent. A la région dorsale, au contrai
ties avoisinantes, grâce à la plus grande profondeur des deux sillons postérieurs intermé-diaires. Je tiens encore à vous rappeler,
rendre la disposition singulière que présente la lésion des faisceaux postérieurs ,quand elle résulte de la compression dé-terminée
rième ventricule. Fig. 71. — A, Sclérose de la totalité des cordons postérieurs (faisceaux de Goll et zones radicuîaires). — Atax
otrice vulgaire. Fig. 72. — B, Sclérose des deux zones radicuîaires postérieures (les faisceaux de Goll sont respectés). — Ataxic
ez le cas d'une myélite trans verse partielle et limitée ail faisceau postérieur , le résulLat sera absolument le même au moment où
uivant les tractus conjonctifs, et gagne ainsi, d'un côté, les cornes postérieures , de l'autre, les faisceaux de Goll. La conséquenc
pas de la lésion des racines antérieures, mais de celles des racines postérieures . La dégénération consécutive est caractérisée alo
alors ainsi qu'il suit : 1° elle occupe exclu-sivement les faisceaux postérieurs ; 2° dans la région lom-baire, le faisceau postér
les faisceaux postérieurs ; 2° dans la région lom-baire, le faisceau postérieur est envahi totalement dans son étendue transverse
s précédemment formulés. Conformément à la loi de Waller, les racines postérieures dégénèrent par en haut, au-dessus de la lésion, d
es faisceaux qui dégénèrent par en haut sont assimilables aux racines postérieures . Expériences de Westphal, Vulpian, Schiefferdec
es sections méthodiques, tant des racines antérieures que des racines postérieures , sur divers points de leur parcours. 1° La sect
les cellules dites motrices. 2° En est-il de même pour les racines postérieures ? Non assurément; et c'est ici la partie la plus o
rte de Waller. La section étant pra-tiquée sur le trajet de la racine postérieure la partie qui dégé-nère est non pas la périphérie
es faisceaux qui dégénèrent par en haut sont assimilables aux racines postérieures dont le centre trophique est périphérique. De ce
x à fibres longues. — Faisceaux a fibres courtes. — Schéma. Cordons postérieurs . — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux de Burdach
des fibres cour- £ig. 75. —A, faisceaux antérieurs. -- B, faisceaux postérieurs . — R, circon-; volutions rolandiques. — C, cervel
olandiques. — C, cervelet. — Ra, racines antérieures. -- Rp, raci-nes postérieures . — F, faisceau pyramidal. — Fc, fibres intrinsèqu
s intrinsèques centripètes (faisceau de Burdach). - G, fibres longues postérieures (cordon de Goll). tes. De ce nombre sont : a) l
ici, successive-ment, les faisceaux antéro-latéraux et les faisceaux postérieurs . Nous commencerons par ces derniers. Parmi les
ons par ces derniers. Parmi les faisceaux qui composent les cordons postérieurs , les uns peuvent être dits intrinsèques, les autr
ais encore les jours suivants. Au contraire, la section des faisceaux postérieurs et de la substance grise laisse persister les mou
nce grise laisse persister les mouvements volontaires dans les pattes postérieures . B. Le résultat des hémisections spinales est a
onction spéciale du faisceau pyramidal. 1° La section des faisceaux postérieurs ne modifie en rien les mouvements volontaires (Fi
l'exécution des mouvements volon-taires. On voit par là que la moitié postérieure suffit à cette (1) Béricht d. Gesellsh. d. Wiss
s faisceaux antéro-latéraux soient coupés des deux côtés, les membres postérieurs sont complètement paralysés. Ceci veut dire que l
e d'un seul côté, si l'on sectionne la racine antérieure ou la racine postérieure de ce côté. Ainsi, voilà la nature réflexe du phé
cellules aesthésodiques. — M, le muscle. -- P, la peau. -- R, segment postérieur ou centripète c\e l'arc diastaUteme, P. A, M, arc
daps l'ataxie. — K, racine antérieure ou nerf moteur. — T, segment postérieur ou centri-pète de l'arc diastaltique. — M, A,M, a
cellules aisthésodiques. — M, le muscle. -- P, la peau. — R, segment postérieur centripète de l'arc diastalti-que. — E, racine an
ecté dans l'hystérie avec hémianesthésie ethémiparésie.-- T, seg-ment postérieur ou centripète de l'arc diastaltique. — M,A.M, arc
à la fois sur une des colonnes de substance grise, sur les faisceaux postérieurs et sur les faisceaux antéro-latéraux ; mais le po
t les symptômes tabé-tiques quand il existe des lésions des faisceaux postérieurs . Teh sont, en résumé, les signes qui permettent,
es ou colonnes de substance grise. La première seule, avec les cornes postérieures pour une certaine part, jouent un rôle dans la tr
2° Parmi les lésions systématiques, il faut mentionner la sclérose postérieure qui, dans bien des cas, s'étend à la subs-tance g
llules pyramidales géantes. Structure de l'ecorce grise des régions postérieures de l'encéphale........ o'I QUATRIÈME LEÇON. Par
— artère du pli courbe ; — artères cérébrale antérieure et cé-rébrale postérieure : leurs branches.................................
anches qui composent ce système naissent des cérébrales antérieure et postérieure et de la sylvienne. Disposition des noyaux gris
couche optique) ; — Fibres moyennes (expansions latérales) ; —Fibres postérieures (expansions cérébrales des nerfs optiques). - Rap
a ra-cine interne (corps genouillésinternes, tubercules quadrijumeaux postérieurs ) Connexion entre les amas de substance grise et
s régions sur les coupes horizontales# — Segment antérieur, segment postérieur , genou de la capsule. — Localisa-tion du faisceau
de la capsule. — Localisa-tion du faisceau pyramidal dans le segment postérieur de la capsule interne. Du faisceau pyramidal da
sule interne, il occupe au moins les deux tiers antérieurs du segment postérieur . — Le faisceau pos-térieur (fibres sensitives de
. — Celles-ci portent sur les faisceaux latéraux et sur les faisceaux postérieurs . — Faisceaux céré-belleux de Flechsig. Dégénéra
ause péri-phérique. Sommaire. — Degeneration secondaire des cordons postérieurs . — Ces cordons sont décomposables, chacun en deux
de structure et à l'anatomie pathologique. Développement des cordons postérieurs . — Travaux de Pierret, de Kolliker — Apparition
de Burdach. — Division ultérieure des deux appareils parles sillons postérieurs intermé-diaires de Sappey. Structure des faisce
es faisceaux qui dégénèrent par en haut sont assimilables aux racines postérieures . Expériences de Westphal, Vulpian, Schiefferdec
x à fibres longues. — Faisceaux à fibres courtes. — Schéma. Cordons postérieurs . — Faisceaux intrinsèques. — Faisceaux de Burdach
hale, 50 ; — leur division en systèmes, en groupes, 50 ; — cérébrales postérieures ,com-municantes,sylviennes, etc., 50, 53, 69, 77 ;
ires, 184 ; — de Goll, de Burdach, pyramidaux, etc. (V. Faisceaux); — postérieurs (dé-génération), 261. Cornes antérieures (Lésio
rts avec la capsule interne 90; -- sa constitution, 135; — ses fibres postérieures , 139. Crucial. (V. Sillon.) CrUSTA. (V. PrBD
.) Sillon de Rolland, 14. Sillon crucial, 31, 235, 277. Sillons postérieurs intermédiai-res, 268. Spasmodiques. (V. Paraplé
9 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
o (1) en 1902. Dans un cas, cet auteur note la sclérose des cordons postérieurs , principalement du faisceau de Burdach, avec pigm
des épaississements de l'arachnoïde, au niveau de la région dorsale postérieure , et des faisceaux pyramidaux; des lésions des c
orti- cales peuvent expliquer la rigidité ; les lésions des cordons postérieurs , les troubles de la sensibilité et de l'équilib
intel- lectuel. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE ANATOMIQUE * DES CORDONS POSTÉRIEURS UN CAS DE LÉSION DE LA QUEUE DE CHEVAL ET UN
ints de repère précis, nécessaires à l'étude anatomique des cordons postérieurs ; la carte de la région est d'autant moins fait
on, qui donne des résultats précis concernant le trajet des racines postérieures prises en bloc, il m'a paru intéressant de plac
st le champ postéro-externe, portion interne de la zone radiculaire postérieure de Flech- siy. La zone marginale postérieure
la zone radiculaire postérieure de Flech- siy. La zone marginale postérieure ou zone de Lissauer, n'a pas besoin d'être défi
in d'être définie ; c'est la portion externe de la zone radiculaire postérieure de Flechsig. Dans la moelle foetale on aperço
Flechsig. Dans la moelle foetale on aperçoit, au centre des cordons postérieurs à la région lombaire, à cheval sur le septum mé
ondu. Nous appellerons faisceaux radiculaires verticaux de la corne postérieure des faisceaux arrondis, séparés par un réticulu
éparés par un réticulum de substance grise, qui oc- cupent la corne postérieure dans sa moitié ou ses deux tiers internes, en a
es plus volumi- neuses. Ce sont les faisceaux verticaux de la corne postérieure de Kôllikei. Enfin la zone d'entrée des racines
ux secondaires dans l'estomac; l'un d'eux était ulcéré. Enfin l'arc postérieur de la 5 vertèbre lombaire était envahi par le c
et de couleur gris rougeàtre ; au-dessus de ce point, .les racines postérieures étaient grises et atro- phiées, les racines ant
térieure de la subs- tance gélatineuse. Tout le reste des cordons postérieurs est rempli par des fibres radiculaires dégénéré
nes, saines, uniformément réparties sur toute l'étendue des cordons postérieurs ; ces fibres sont probablement en rapport de co
S CORDONS POSTÉRIEURS (1. Nageotte.) ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 21 me calibre qui sortent de la substance grise
ais les zones de Lissauer et le réseau des fibres fines de la corne postérieure sont intactes. Il en sera de même à tous les ni
aux de fibres conservées qui occupent l'angle antérieur des cordons postérieurs , et qui envahissent même la commissure, sous la
gle médian en voie d'accroissement forme une bandelette à extrémité postérieure renflée, qui s'étend de la commissure à uu point
e, qui s'étend de la commissure à uu point situé à l'union du tiers postérieur avec les deux tiers antérieurs du septum ; immé-
tum s'élargit beaucoup, de sorte que les bords internes des cordons postérieurs s'écartent l'un' de l'autre à angle aigu. En av
de la zone cornu-commissurale ne s'étendent pas le long des cornes postérieures . ' te Sacrée. L'aspect est semblable, mais le t
. Le triangle commence à dimi- nuer de volume ; il occupe la moitié postérieure du septum ; il envoie jusqu'à la périphérie de
un faisceau dense dans qui sépare la commissure du bord de la corne postérieure ; de là elles envoient vers le trian- gle une t
os calibre se répandent d'ailleurs dans toute l'étendue des cordons postérieurs , d'autant plus nombreuses qu'on s'approche de la
et se perd lorsqu'elle arrive a la hau- teur de la tête de la corne postérieure . 4° Lombaire.- Les coupes de ce segment ont por
éjà un certain nombre de fibres fines intactes, le bord de la corne postérieure commence à se regarnir de fibres. Ici le triang
e triangle médian forme une ligne minuscule vers l'u- nion du tiers postérieur avec les deux tiers antérieurs du septum. Les fib
se ex- terne, curviligne, est adossée à la corne sur ses deux tiers postérieurs ; les côtés interne et postérieur rectilignes,
ée à la corne sur ses deux tiers postérieurs ; les côtés interne et postérieur rectilignes, sont l'un parallèle, l'autre perpend
sversale effilée touche par sa pointe la zone d'entrée de la racine postérieure .Les fibres endogènes fines deviennent moins nom
s sont normales ainsi que les gros- ses fibres du réseau des cornes postérieures ; les faisceaux radiculaires ver- ticaux de la c
es postérieures; les faisceaux radiculaires ver- ticaux de la corne postérieure reparaissent. Les zones de Lissauer et le réticu-
paraissent. Les zones de Lissauer et le réticu- lum fin de la corne postérieure ne changent pas d'aspect à ce niveau. Les fibre
zone cornu-radiculaire dont la portion ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 23 médiane'est ici seule découverte par la sclé
médian, qui forme une ligne presque imperceptible vers l'extrémité postérieure du septum. La branche transversale de la scléro
r le septum médian à l'union du tiers antérieur avec les deux tiers postérieurs ; à la 5e cervicale il se rétrécit encore d'ava
r de la zone sclérosée et se terminant insensiblement vers le tiers postérieur du cordon de Gol I Par contre, la moitié postérie
t vers le tiers postérieur du cordon de Gol I Par contre, la moitié postérieure du cordon de Goll est nettement délimitée. Si l
vant de cette bande et qui contourne à distance la tête de la corne postérieure ; cette tache est très mal délimitée. La 4e s
anque. 3e Sacrée. La sclérose forme un triangle au centre du cordon postérieur ; l'angle externe de ce triangle se prolonge ju
également disparu les faisceaux radiculaires verticaux de la corne postérieure . Sont conservés : 1° le triangle sacré médian; 2°
dure, épaisse le long de la commissure et mince le long de la corne postérieure qu'elle accompagne en arrière jusqu'à la pointe;
la pointe; 3° les zones de Lissauer et le réticulum fin de la corne postérieure . Tous ces systèmes de fibres ont la même riches
Nageotte.) - Masson et Cie, Editeurs ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 25 relativement à la bandelette externe, il par
e de la bandelette externe s'accompagne de rétraction ; les cordons postérieurs sont en effet notablement plus petits qu'à l'état
un triangle curviligne très mince, qui embrasse à distance la corne postérieure et touche à l'entrée des racines par un angle t
ongement postéro- externe, celui qui va à la rencontre de la racine postérieure , devient par contre plus effilé ; l'angle posté
r consé- quent est en bonne partie de nature exogène. Le grand côté postérieur limite le faisceau cunéiforme, ici très agrandi
et il s'est développé une bande scléreuse qui part de son extrémité postérieure pour se diriger vers la tête de la corne postér
son extrémité postérieure pour se diriger vers la tête de la corne postérieure qu'elle contourne à distance. L'ensemble forme
re et de dedans en dehors, parallèlement à la direction de la corne postérieure . Son bord interne est rectiligne et limite une ré
ourbe un peu pour aller rejoindre le trajet d'en- trée de la racine postérieure immédiatement en arrière de la substance gélati-
tout à fait la périphérie en arrière ; elle est séparée de la corne postérieure par une bande saine très mince et du trajet d'ent
e par une bande saine très mince et du trajet d'entrée de la racine postérieure par une zone plus large, qui semble représenter i
Les deux bandelettes s'effacent et s'éloignent beaucoup des cornes postérieures ; elles forment chacune une L branche horizontale
s'atténue et finit par disparaître au point où cessent les cordons postérieurs eux-mêmes. Telles sont les lésions qui sont vis
fibres endogènes des cordons posté- rieurs ; 2° celles de la corne postérieure , je me servirai pour cela de l'ob- servation I
égénérescence des zones de Lissauer et des fibres fines de la corne postérieure ; dans mon observation, au contraire, les zones d
ieux aux influences nocives chez les . ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 29 animaux bien portants que chez les sujets ma
ncéreuse, a empêché l'atrophie des neurones subordonnés aux racines postérieures de se produire aussi rapidement que dans d'autres
est fondée précisément sur l'intégrité du réticulum fin de la corne postérieure ; cette intégrité ne se comprendrait pas si certa
ne présentent pas non plus de lésions apprécia- bles dans la corne postérieure . Je crois donc pouvoir admettre : lo que les di
de la troi- sième sacrée, par exemple, les fibres fines des cordons postérieurs sont si nombreuses qu'il est impossible de song
ou y rentrent, par la moitié antérieure du bord interne de la corne postérieure . A leur origine ces fasci- cules sont très four
ntôt ils s'éparpillent en éventail dans toute l'étendue des cordons postérieurs (fig. 1), se divisent et s'épanouissent à mesur
du bulbe divisent les fibres du ruban de Reil ; mais dans le cordon postérieur , cette disposi- tion est infiniment moins accus
asci- Fie. 1. Obs. I. Fibres endogènes grosses et fines des cordons postérieurs au ni- veau de la II8 sacrée (dessin fait en né
ngieuse de la substance gélatineuse ; Spa, Spp, zones antérieure et postérieure de la substance spongieuse de la corne postérieur
ones antérieure et postérieure de la substance spongieuse de la corne postérieure . On remarquera les ponts formés entre les deux
s obliques de fibres fines endogènes. 32 NAGEOTTE cules moyens et postérieurs , à l'état normal, se trouvent masqués par les t
mbre de fibres semblables, qui paraissent provenir de la commissure postérieure ; à la région cervicale il en contient encore,
rt qu'elles sont comptées actuellement parmi les zones radiculaires postérieures . -Cette proposition découle immédiatement de ce
izontales et verticales disséminées à la région moyenne des cordons postérieurs , au niveau de la IIe sacrée. Ces fibres restent
s horizontales et verticales dans les cor- dons de Goll à la partie postérieure du septum médian, au niveau de la Vile cervi- c
entre les fibres des zones de Lissauer les fibres fines des racines postérieures serait la suivante : les fibres de ces zones se
is constitueraient les fibres efférentes signalées dans les racines postérieures par différents au- teurs et de plus ces fibres
auer (1) décrivit très minutieusement la structure fine de la corne postérieure et donna de la petite région qui porte actuelleme
produit un changement remarquable dans La- 1 structure de la racine postérieure ; les fibres radiculaires qui entrent dans/1 la
der Neruenpalhologie, Iéna, 1900. ' ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS (l. Vn,=onr.) ÉTUDE ANATOMIQUE DES COUDONS PO
te ou si elle n'existe pas ; dans un cas où la sclérose des cordons postérieurs et des racines était « aussi avancée que possib
j'ai toujours observé une disproportion entre la lésion des cordons postérieurs et celle des zones de Lissauer dans le tabes. La
t par leur inté- grité relative sur la sclérose intense des cordons postérieurs ; la diminu- tion des fibres variait approximat
é pl, VII, 4, 7 et 8 : avec une sclérose des cordons et des racines postérieurs portée à son maximum à la région sacrée, les fibr
âleur, se trouvent être ici beau- coup plus foncées que les cordons postérieurs . Enfin dans deux cas in- termédiaires entre le
er n'est pas proportionnelle à l'intensité de la lésion des cordons postérieurs ; par contre, elle m'a paru être en rapport avec
du réticulum formé par les fibres fines de la 36 NAGEOTTE . corne postérieure . Les cas de tabes anciens où les zones de Lissaue
ù les fibres fines à myéline sont le plus raré- fiées dans la corne postérieure ; dans la moelle D, représentée pi. VII. fig. 4
I, où les zones de Lissauer sont intactes, le réticulum de la corne postérieure est lui-même tout à fait conservé. Pour résumer
s fibres radiculaires comme elles le sont dans le reste des cordons postérieurs ; dans les dé- générescences radiculaires, tabé
scence éga- lement tertiaire du réseau des fibres fines de la corne postérieure . 2° Fibres ENDOGÈNES GROSSES. Ces fibres consti
t ETTLINGER, Etude sur les fibres endogènes descendants des cordons postérieurs de la moelle â la région lombo-sacrée. Journal de
et de Patho- logie générales, 1899. ÉTUDE ANATOMIQUE DES. CORDONS POSTÉRIEURS 37 client du septum médian, y pénètrent et dess
de Schultze, deux taches de dégénération traumatique dans le cordon postérieur droit. FiG. 5. ive lombaire. Il ne reste qu'une
qu'une très légère dégénération de la région ven- trale des cordons postérieurs . ' Fio. 6. Va lombaire. Apparition d'une scléro
exactement à celles que révèle l'étude du développement des cordons postérieurs . Voici ce que dit Guizé dans sa thèse (2) : « D
tance blanche de la moelle épinière de ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 39 renflement lombaire le champ ovale prend la
en avant et atteint presque le milieu de la longueur de la cloison postérieure et dont la base répond à la partie médiane de la
érieure et dont la base répond à la partie médiane de la périphérie postérieure de la moelle, exactement dans la région qui attei
e de la moelle, exactement dans la région qui atteint à l'extrémité postérieure de la cloison postérieure. Dans ce triangle, qui
dans la région qui atteint à l'extrémité postérieure de la cloison postérieure . Dans ce triangle, qui semble bien répondre au
stance qu'à une période plus tardive du dé- veloppement des cordons postérieurs les fibres à myéline sont plus denses l'homme d
néiforme qui se continue de chaque côté avec les zones radiculaires postérieures et qui représente la prolongation par en haut d
qu'ils tentent d'ex- pliquer par un passage de fibres radiculaires postérieures dans ces régions ; de plus, ils mentionnent l'e
ue côté dans l'angle formé par la commissure et le bord de la corne postérieure , en découvrant la partie médiane de la commissu
la partie médiane de la commissure. Ses limites du côté des cordons postérieurs sont tout à fait indécises ; dans le grand nomb
ILLER, Soc. de biol., 21 juillet 1895. ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 41 s'éparpiller dans la région antérieure des c
S POSTÉRIEURS 41 s'éparpiller dans la région antérieure des cordons postérieurs de la moelle, il est impossible de distinguer c
s faits que j'ai pu recueillir sur les fibres endogènes des cordons postérieurs à la région lombo-sacrée, au cours de l'étude ana
effet ce que M. Ramon y Cajal dit des fibres endogènes des cordons postérieurs dans son magnifique ouvrage sur l'anatomie des
ux (1). « Nous avons déjà dit, en traitant des cellules de la corne postérieure , que quelques cylindraxes de ce territoire, en
interne et de la sub- - stance de Rolando, pénètrent dans le cordon postérieur pour y constituer des voies courtes longitudina
ue ces fibres sont fines et que, au lieu de former dans les cordons postérieurs un groupe bien délimité, elles se mêlent aux fi
de la sub- stance de Rolando,et dans la portion profonde du cordon postérieur (champ ventral, zone cornu-commissurale de Deje
POSTÉRIEURE Le réseau myélinique de la substance grise de la corne postérieure a été décrit avec beaucoup de soin par Lissauer
plusieurs régions qui sont d'arrière en avant, la région spongieuse postérieure , au contact de la zone de Lissauer, la substanc
ersée par de petits fascicules tendus entre la substance spongieuse postérieure et la substance spongieuse antérieure. Du bord
haut sous le nom de fibres endogènes fines horizontales des cordons postérieurs . Du côté de la substance grise les faisceaux qu
ades et ceux qui reçoivent des racines ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 43 saines. Ce fait peut être vérifié sur les fi
Pierret, ou zone radicu- laire moyenne de Flechsig dans les cordons postérieurs ; les collatérales réflexes, les faisceaux radi
atérales réflexes, les faisceaux radiculaires verticaux de la corne postérieure et le réticulum de la colonne de Clarke dans la
e dans la substance grise. Les territoires radiculaires des cordons postérieurs autres que la bandelette externe (zone radicula
e saine. Mais il n'existe aucune tache sclé- reuse dans les cordons postérieurs en dehors de celle de la bandelette exlerne, qu
le médian sacré, zone marginale de Westphal, réseau fin de la corne postérieure ). Un simple coup d'oeil jeté sur la planche II
e transition en hauteur, un tabes dans lequel la lésion des cordons postérieurs est restée limitée à la bandelette externe ; no
rents systèmes élé- mentaires de fibres qui constituent les racines postérieures . (4) EL&CHSI(#, Ist die Tabes eine « System
rkrankung » ? Neurol. Centralbl. 1890. ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 45 entre le renflement lombaire et la région do
varie, suivant les régions, en raison directe du volume des racines postérieures correspondantes. Les rapports de la bandelette
isation du tabes. En aucun point la bandelette ne touche à la corne postérieure , elle envoie seulement un petit prolongement ve
e modification » à sa délimitation, pour la pousser contre la corne postérieure , comme le proposait Pierre Marie dans son artic
ternes occupent plus haut une situation différente dans les cordons postérieurs , elles sont refoulées de plus en plus en dedans
l'autre de la moelle ; elle ne se rapproche nulle part de la corne postérieure , comme le vou- drait PierreMarie ; elle ne s'en
entaires (1) (1) Flechsig, loc. cit. ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 47 de fibres, appartenant aux racines postérieu
MIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 47 de fibres, appartenant aux racines postérieures évidemment,mais différents par leurs aptitudes
époque de leur myélinisa- tion, d'autres systèmes des mêmes racines postérieures , lesquels se canton- nent soit dans la zone rad
dans la zone radiculaire antérieure, soit dans la zone radiculaire postérieure de la moelle. En un mot cette disposition prouve
age son vo- lume, en effet, est proportionnel au volume des racines postérieures . Où donc passent les fibres longues des racines
pour leur passage que le champ postéro-externe ou zone radiculaire postérieure . Pour vérifier cette hypothèse j'ai passé en revu
ique est rigoureusement exact. D'où je conclus que dans les cordons postérieurs les fibres longues des racines passent par la zon
eurs les fibres longues des racines passent par la zone radiculaire postérieure ou champs postéro externes, la zone radiculaire
exclusivement par certaines fibres courtes, au moins dans sa partie postérieure . Mais il est évident que toutes les fibres des
re que, sui- vant Flechsig, le développement des zones radiculaires postérieures et des cordons de Goll est sensiblement synchro
du passage des fibres longues des raimes par les zones radiculaires postérieures ; mais il a depuis rejeté cette hypothèse pour
e tous ces Lemboités se trouvent comprises dans la zone radiculaire postérieure , tandis que les branches antéro-postérieures so
stphal. Dans chaque bande radiculaire .ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 49 les fibres longues et certaines fibres moyen
u'il y a, à la région dorsale inférieure un remaniement des cordons postérieurs et que le trajet des fibres n'est pas rectilign
èces de fibres radiculaires pendant leur trajet le long des cordons postérieurs de la moelle. xvii 4 FIG. 16. Schéma représen
es constitent les champs postéro-externes (C p e) ou zone radiculaire postérieure ; les branches antéro-postérieures sont contenue
g (fibres radiculaires). A droite sont re- présentés, dans la corne postérieure , les faisceaux radiculaires verticaux de la corne
corne postérieure, les faisceaux radiculaires verticaux de la corne postérieure . 50 NAGEOTTE Conclusions. A. Les fibres end
e. 50 NAGEOTTE Conclusions. A. Les fibres endogènes des cordons postérieurs à la région lombo- sacrée doivent être divisées
ardivement dans le tabes. F. Le réseau des fibres fines de la corne postérieure est de nature endogène. G. Les colonnes de Cl
colonnes de Clarke ne paraissent pas recevoir de fibres des racines postérieures situées au-dessous de la 3° lombaire. H. La ban
que des fibres radiculaires courtes. ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 51 LÉGENDE DES PLANCHES Pl. V. Obs. 1. Coupes
rée (jeune fille de 18 ans). Méthode de Weigert Pal modifiée. Corne postérieure droite. Zone de Lissauer. Grossissement de 20 d
e de Lissauer et du réseau des fibres à myéline fines dans la corne postérieure . Dans le cordon postérieur les dé- bris de myél
es fibres à myéline fines dans la corne postérieure. Dans le cordon postérieur les dé- bris de myéline altérée empêchent de bi
les fibres endogènes conservées. Il existe également dans la racine postérieure des débris myéliniques qui pourraient être pris
lésion caractéristique de cette affection : la sclérose des cordons postérieurs . Une fois sur dix ou une fois sur quinze, on tr
ou une fois sur quinze, on trouve en outre de la lésion des cordons postérieurs , une lésion des cordons latéraux : c'est une sclé
xistence dans la plupart des cas, d'un épaississement de la méninge postérieure absolument identique à celui que l'on rencon- t
le; sa forme est modifiée : il existe un aplatissement de la région postérieure qui semble atrophiée dans le sens antéro-postérie
osangique avec deux angles latéraux, un angle antérieur et un angle postérieur . A l'examen microscopique, après coloration à l
ABÉTIQUES 5B de Pal, on voit la coexistence des lésions des cordons postérieurs et des cordons latéraux. Ces lésions peuvent
ématiques. Elles peuvent, au -contraire, occuper dans les cor- dons postérieurs et latéraux des zones répondant d'une façon seule
du tabes les lé- sions primitives du système de fibres des cordons postérieurs et latéraux n'ont jamais été observées. On a ob
matiques secondaires à des lésions de la moelle. ' Dans le cordon postérieur les lésions systématisées peuvent être sous la
e sacrée, on constate la sclérose des parties latérales des cordons postérieurs . La partie médiane au contraire est relativement
s de sclérose du cordon latéral. Dans la moelle lombaire, la partie postérieure du cordon postérieur est com- plètement scléros
n latéral. Dans la moelle lombaire, la partie postérieure du cordon postérieur est com- plètement sclérosée. Seule la partie v
moelle dorsale, de la 8e à la 4` ? dorsale, la sclérose des cordons postérieurs est encore plus accentuée. La sclérose du cordon
jours atteinte. ' Au niveau de la moelle cervicale : dans le cordon postérieur , les lésions se sont limitées au cordon de Goll
s lésions se sont limitées au cordon de Goll surtout dans sa partie postérieure ; 'dans les cordons latéraux, la sclérose occup
En résumé, il s'agit, dans ce cas, de lésions combinées des cordons postérieurs qui semblent être systématiques, liées aux lésion
se combinée tabétique. D, moelle aplatie et atrophiée dans sa moitiée postérieure . La sclérose latérale est marginale et occupe S
méthode de Marchi. 1" cervicale. On constate au niveau des cordons postérieurs une zone de sclérose affectant la forme d'un tr
e dont les deux côtés latéraux s'étendent presque jusqu'aux racines postérieures . La méninge postérieure présente un léger épaissi
éraux s'étendent presque jusqu'aux racines postérieures. La méninge postérieure présente un léger épaississement sur toute la p
nde marginale de sclérose. 2° et 3e cervicales. La lésion du cordon postérieur affecte la même forme triangulaire, mais semble
le bord latéral de la moelle. La méninge est épaissie sur les côtés postérieur et latéral de la moelle ; elle l'est, à un moin
on du cordon antérieur. 5" et 6e cervicales.- La lésion des cordons postérieurs est toujours trian- gulaire ; son sommet ne rép
ieure du cordon mais à l'union du tiers antérieur et des deux tiers postérieurs . La lésion du cordon '.latéral est très minime
inime et n'est qu'une légère bande partant de la zone radi- culaire postérieure et se poursuivant dans la partie postérieure du b
la zone radi- culaire postérieure et se poursuivant dans la partie postérieure du bord du cordon latéral. 7e cervicale. - Lé
ervicale. - Lésions à peu près semblables, sauf au niveau du cordon postérieur où la sclérose est plus largement étendue au nive
la sclérose est plus largement étendue au niveau de la com- missure postérieure . 80 cervicale. Même aspect des lésions. ire d
0 cervicale. Même aspect des lésions. ire dorsale. Dans les cordons postérieurs , la sclérose affecte toujours la forme d'un tri
te toujours la forme d'un triangle dont la hauteur serait le sillon postérieur ; au ni» 56 CROUZON - veau du sommet, la sclé
sclérose s'étale à droite et à gauche en arrière de la com- missure postérieure . Au niveau des cordons latéraux, la sclérose est
2" dorsale. Il existe un épaississement considérable de la méninge postérieure . La sclérose du cordon postérieur affecte la même
ement considérable de la méninge postérieure. La sclérose du cordon postérieur affecte la même forme dans sa partie médiane ;
te la même forme dans sa partie médiane ; mais au niveau des angles postérieurs du triangle, la sclérose se diffuse dans la par
gles postérieurs du triangle, la sclérose se diffuse dans la partie postérieure du cordon postérieur entre le faisceau de Goll
iangle, la sclérose se diffuse dans la partie postérieure du cordon postérieur entre le faisceau de Goll et la substance gélat
zone pyramidale. La méningite y est moins nette que dans le cordon postérieur mais plus accentuée que dans le cordon antérieur.
les quatre angles répondant aux extrémités des sillons antérieur et postérieur d'une part, aux extrémités externes des cor- do
de Weigert. Fig. 1. La sclérose occupe la zone avoisinant le sillon postérieur et le cordon de Goll. La sclérose latérale est
lleux direct et la zone pyramidale. Fig. 4. La sclérose des cordons postérieurs est surtout marginale. SCLÉROSES COMBINÉES TABÉ
COMBINÉES TABÉTIQUES 57 sommet externe, un bord antérieur, un bord postérieur et une base qui répond à la substance grise.Le
rd postérieur et une base qui répond à la substance grise.Le cordon postérieur est moins étendu dans le sens antéro- postérieu
ce grise.Le cordon postérieur est moins étendu dans le sens antéro- postérieur . La sclérose dans le cordon postérieur est toujou
étendu dans le sens antéro- postérieur. La sclérose dans le cordon postérieur est toujours plus marquée sur une zone médiane
rticulier, existe au niveau de toute la portion marginale du cordon postérieur . Les cel- lules de la colonne de Clarke apparai
u. Dans le cor- don latéral la sclérose est intense, dans la partie postérieure de ce cordon, entre la zone marginale de Lissau
asser de la forme quadrangulaire à la forme triangulaire. La partie postérieure du cordon latéral et le bord postérieur du cordon
me triangulaire. La partie postérieure du cordon latéral et le bord postérieur du cordon postérieur se placent sur le même pla
artie postérieure du cordon latéral et le bord postérieur du cordon postérieur se placent sur le même plan et constituent le bor
ordon postérieur se placent sur le même plan et constituent le bord postérieur du triangle. Les bords antérieurs des cordons l
sont constitués par l'effile- ment des cordons latéraux. Le cordon postérieur est sclérosé dans tôute sa partie postérieure ;
ns latéraux. Le cordon postérieur est sclérosé dans tôute sa partie postérieure ; il l'est à un moindre degré dans sa portion ven
; il l'est à un moindre degré dans sa portion ventrale. La méninge postérieure est très épaissie. Latéralement, la sclérose occu
. La forme reprend la forme quadrangulaire. Il existe une méningite postérieure et latérale très marquée. La sclérose est très ac
quée. La sclérose est très accentuée eu niveau de l'angle du cordon postérieur en dedans de la zone marginale de Lissauer ; el
ulaire. Elle a une forme nettement aplatie. La sclérose des cordons postérieurs occupe surtout la région marginale. Plus bas,
la région lombaire, on [retrouve les lésions combinées des cordons postérieurs et des cordons latéraux. Dans les cordons postéri
s des cordons postérieurs et des cordons latéraux. Dans les cordons postérieurs les lésions sont très marquées et marginales ;
, '. 58 CROUZON Les cellules des cornes antérieures et des cornes postérieures sont norma- les. La méthode de Marchi n'a pas r
sentent aucune altération. Il en est de même pour les nerfs tibiaux postérieurs gauche et droit. Le nerf cubital droit (au nive
ons des faisceaux latéraux seraient « la conséquence de la sclérose postérieure non SCLÉROSES COMBINÉES TABÉTIQUES 59 point d
sus inflammatoire, mais par l'intermédiaire de la méningite spinale postérieure ». Cette théorie est aussi soutenue par Ballet
iques et des septa. Ces voies lymphatiques forment dans les cordons postérieurs un système qui communique avec la méninge posté-
me qui communique avec la méninge posté- rieure. La méninge spinale postérieure syphilitique amènerait donc se- condairement pa
rement intense, il peut forcer les limites du système lymphati- que postérieur et dans ce cas, la portion du cordon latéral qui
cas, la portion du cordon latéral qui confine à l'apex de la corne postérieure peut présenter aussi des corps granuleux indiqu
veau, l'existence d'un foyer ancien du côté de la partie interne et postérieure de la couche optique droite. Examen histologiqu
Au niveau de la moelle lombaire : dégénérations diffuses du cordon postérieur avec intégrité de la zone cornu commissurale. D
a pie-mère est épaissie. Au niveau de la région dorsale : le cordon postérieur présente les mêmes altérations que précédemment
les mêmes lésions du cordon latéral, des lésions moindres du cordon postérieur ; les colonnes de Clarke ont des fibres normales
ntes et plus accentuée par comparaison avec les lésions du cor- don postérieur . Au niveau de la région cervicale, la sclérose
bulbe a été fait par Kattwinkel qui a retrouvé les ésions du cordon postérieur , du faisceau cérébelleux et du faisceau pyramidal
crée, les cordons posté- rieurs sont sclérosés dans toute la partie postérieure ; le cordon latéral pré-- sente un triangle de
vers la substance grise. Au niveau de la moelle lombaire, le cordon postérieur est complètement sclérosé; au niveau du cordon
clérose combinée tabétique : la sclérose est diffuse dans les cordons postérieurs SCLÉROSES COMBINÉES TABÉTIQUES 61 Au niveau d
la région sacrée, la moelle présente une sclérose diffuse du cordon postérieur respectant relativement le cordon de Goll et la
dorsale, la sclérose occupe un triangle dont la base répond au bord postérieur de la moelle, et dont le sommet répond à la com-
postérieur de la moelle, et dont le sommet répond à la com- missure postérieure . Ce triangle prend le cordon de Goll. Au niveau d
cervicale, le cordon de Goll est dégénéré seulement dans sa partie postérieure . Au niveau du cordon latéral, la sclérose affecte
vue topographique, il s'agit là d'une sclérose com- binée du cordon postérieur , des faisceaux pyramidaux croisés et du faisceau
et présente un peu de dilatation des ven- tricules. - La méninge postérieure de la moelle est épaissie, à partir seulement de
pas d'épaississement de la méninge lom- baire. Au niveau du sillon postérieur existe une crête qui donne à la moelle, un aspe
. On constate l'existence d'altérations scléreuses dans les cordons postérieurs , dans les cordons latéraux et dans l'un des deux
raux et dans l'un des deux cor- dons antérieurs. Dans les cordons postérieurs , la sclérose est surtout intense dans la partie
cordons postérieurs, la sclérose est surtout intense dans la partie postérieure et dans celle qui avoisine le sillon postérieur,
nse dans la partie postérieure et dans celle qui avoisine le sillon postérieur , c'est-à-dire dans le cordon de Goll. Elle est
lle est moins accentuée dans la partie qui avoisine la commis- sure postérieure et les cornes postérieures. Dans les cordons la
ns la partie qui avoisine la commis- sure postérieure et les cornes postérieures . Dans les cordons latéraux, elle occupe la zone
éline conservées (Voir fig. 8). 3e Cervicale. La sclérose du cordon postérieur présente la même distri- bution ; on constate a
présente la même sclérose du faisceau en croissant, mais la partie postérieure du faisceau pyramidal direct semble plus atteinte
ns latéraux. 6e Cervicale. Même aspect des lésions dans les cordons postérieurs et antérieurs ; dans les cordons latéraux, la s
osté- rieurs : elle envahit davantage les zones voisines des cornes postérieures et se prolonge en avant jusqu'à a commissure po
es cornes postérieures et se prolonge en avant jusqu'à a commissure postérieure . Dans les cordons latéraux, la zone de sclérose
t une zone triangulaire occupant la plus grande partie de la région postérieure de ce faisceau et englobant le fais- ceau pyram
ceau pyramidal direct et le faisceau cérébelleux direct. Le cordon postérieur est complètement sclérosé, sauf dans les parties
e. Présente sensiblement le même aspect. 3° Dorsale. Dans le cordon postérieur , même disposition de la sclérose, peut-être un
l antérieur. 4° et 5- Dorsales. Même aspect : la sclérose du cordon postérieur est com- plète en général. - - 6" Dorsale. Le
n postérieur est com- plète en général. - - 6" Dorsale. Le cordon postérieur prend une forme triangulaire : la partie ventra
e et le sommet se trouve à la partie posté- rieure de la commissure postérieure . ' 7e et 88 Dorsales.- Même aspect dans le cord
ssure postérieure. ' 7e et 88 Dorsales.- Même aspect dans le cordon postérieur , quelques fibres sont conservées dans deux zone
a moitié antérieure du cordon. 9° et 40e Dorsales. Dans les cordons postérieurs , les deux zones moins atteintes sont plus étend
ins atteintes sont plus étendues, elles se prolongent jusqu'au bord postérieur du cordon et occupent le territoire du cordon d
nombre de fibres est conservé. 11° Dorsale. La sclérose du cordon postérieur est à peu près diffuse, uu peu plus marquée dan
oujours très nette et beau- coup plus accentuée que cclle du cordon postérieur . Région dorso-lonzbaire. Il n'y a plus de sclér
x pyramidaux croisés est toujours très nette. La sclérose du cordon postérieur est diffuse, un peu moins accentuée dans la rég
examinée à trois hauteurs différentes de cette région. Le cordon postérieur est sclérosé, sauf dans les régions ventrales où
aux du cordon latéral et de l'une des deux pyra- mides. Le cordon postérieur est sclérosé. Un peu au-dessus, la sclérose dim
ose diminue ; il persiste encore une sclérose mar- quée des cordons postérieurs , mais la sclérose pyramidale est très diminuée
flé. Debout, le malade se tient courbé ; le dos forme une convexité postérieure très marquée et très régulière depuis le sacrum
de l'enfance, dit le sujet. Cou. - Est volumineux dans sa partie postérieure et latérale et absolument rigide : il y a épais
DES CELLULES NERVEUSES DES TUBERCULES QUADRIJUMEAUX ANTÉRIEURS ET POSTÉRIEURS CHEZ LES VERTÉBRÉS SUPÉRIEURS (LAPINS ET SOURIS
des cellules nerveuses des tubercules qua- drijumeaux antérieurs et postérieurs imprégnées par le chromate d'argent par le proc
nt nous ouvrions le crâne des animaux; les tubercules quadrijumeaux postérieurs et anté- rieurs, séparés les uns des autres et
bercules quadri- jumeaux antérieurs et des tubercules quadrijumeaux postérieurs ; de plus les dendrites des cellules nerveuses
vées par nous sur toutes les préparations. Tubercules quadrijumeaux postérieurs . - Les dendrites des cellules nerveuses des tub
- Les dendrites des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux postérieurs , bientôt après leur sortie du corps cellulaire,
nner un nombre assez Fig. 5. - Cellule des tubercules quadrijumeaux postérieurs . DENDRITES DES CELLULES NERVEUSES 105 grand d
rive qu'on voit des éléments nerveux des tubercules qua- drijumeaux postérieurs (V. fig. 6), où saute aux yeux surtout à un Fig
ux yeux surtout à un Fig. 6. - Cellule des tubercules quadrijumeaux postérieurs du lapin. - 106 CZARNIECKI faible grossisseme
s appendices collatéraux des dendrites des tubercules quadrijumeaux postérieurs , il faut dire qu'ils sont assez grands et déjà
un côté ; et entre les dendrites des cellules nerveuses de la corne postérieure de la moelle épinière et les dendrites des cellul
t-on dire, presque privées d'appendices collatéraux ; dans la corne postérieure de la moelle épinière et dans la partie périphé
-occipitales presque dans leur entier, et intéressait par sa partie postérieure la partie antérieure du cunéum. Il n'a pas été
idaux croisés, et du faisceau cérébelleux latéral. Enfin les cornes postérieures sont nette ment altérées, elles sont comme reco
zones de Lissauer sont complètement sclérosées. De même les racines postérieures que l'on peut voir à ce niveau, sont considéra-
rébelleux latéraux se poursuivent, de même que l'atrophie des zones postérieures . On voit égale- ment il ce niveau une légère sc
. Enfin, sur toute la hauteur de la moelle, les cellules des cornes postérieures 132 PIC ET BONNAMOUR sont nettement altérées,
es. Dans toute la hauteur du bulbe et de la moelle dans les cordons postérieurs , sclérose des cordons de Goll plus accen- tuée
artie supérieure de la moelle dorsale ; enfin atro- phie des cornes postérieures , sclérose de la zone de Lissauer et sclérose des
stérieures, sclérose de la zone de Lissauer et sclérose des racines postérieures également marquée dans toutes les régions médulla
t des méninges, oblitération du canal central, sclérose des cordons postérieurs et surtout des cordons de Goll, sclérose du faisc
midal croisé et du faisceau cérébelleux direct, atrophie des cornes postérieures . Nous avons constaté, en outre, une dégénérescenc
avons constaté, en outre, une dégénérescence bien nette des racines postérieures ainsi que d'un ganglion radiculaire, lésions que
s en effet attachés davantage à étudier les altérations des racines postérieures dans leur trajet intra et extra-ganglionnaire,
en noir et de permettre d'apprécier le degré d'atrophie des racines postérieures dans leur trajet extra et intraganglionnaire, q
ine. Ganglions lombaires(3 ganglions ont été examinés).-Les racines postérieures sont presque complètement décolorées (sublimé o
de se rendre compte du degré très marqué de l'atrophie de la racine postérieure dans son bout central. Ici, ce qui frappe le plus
IONS DU GANGLION RACniDIEN 215 Tout d'abord, l'atrophie des racines postérieures dans l'intérieur du ganglion est moins marquée.
ires et sacrés, mais les lésions y sont de même nature. Les racines postérieures sont très atrophiées. La sclérose périvasculaire
oupes longitudinales. Sur tous ces ganglions l'atrophie des racines postérieures dans le bout central est extrêmement prononcée.
affine. Coupes longitudinales. Sur ces trois ganglions, les racines postérieures ne contiennent plus qu'un tout petit nombre de
st profondément dégénéré, la portion sous-ganglionnaire des racines postérieures forme un faisceau aussi dense, aussi compact qu
, 3e et 5° lombaires gauches). Rappelons que l'atrophie des racines postérieures est minime ou nulle dans les segments sus-gangl
dans les autres. " Dans le 3e ganglion lombaire gauche, les racines postérieures , à leur sortie du ganglion (bout central), sont
l'axe. Sur le premier on constate une atrophie extrême des racines postérieures dans leur bout central : à peine distingue-t-on
ion lombaire droit. Dans ces deux ganglions, l'atrophie des racines postérieures dans le bout central des ganglions est des plus
arachnoïdien, de telle sorte qu'à l'extrémité centrale de là racine postérieure on voit un grand nombre' de gaînes de myéline b
he est le plus malade. Dans le pôle central du ganglion les racines postérieures sont très atrophiées, elles sont saines dans le
its les cel- lules capsulaires sont un peu proliférées. Les racines postérieures sont très atrophiées dans le pôle central du ga
r. Dans deux cas (Obs. IV et V), l'atrophie des fibres radiculaires postérieures était en voie d'évolution, et sur le trajet ou
ait dans le trajet intra-ganglionnaire du bout central de la racine postérieure , au niveau du nerf radiculaire et dans son trajet
éressant à un autre point de vue : en effet, l'atrophie des racines postérieures , si l'on en juge par l'aspect des gaines de myé
de nous surprendre, puisque nous savons que l'atrophie des racines postérieures est irrégulière dans son évolution et qu'elle f
u moins beaucoup moins intéressés; mais, parallèlement, les racines postérieures sont également LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACH
llules atrophiées ou dispa- rues et le degré d'atrophie des racines postérieures . En apparence, il n'en est pas ainsi, et il sem
aux proportionnelles en intensité à la dégénérescence des cor- dons postérieurs . Il mentionne le ratatinement de la cellule, la s
e sont pas suffisantes pour expliquer la dégé- nération des racines postérieures et des cordons postérieurs de la moelle; alors
expliquer la dégé- nération des racines postérieures et des cordons postérieurs de la moelle; alors même qu'elles existent, les
ellule bipolaire donnant naissance par son pôle central à la racine postérieure ,par son pôle périphé- rique au nerf périphériqu
longements de la cellule n'ont pas la même signification, la racine postérieure serait un prolonge- ment cylindraxile, le nerf
prétexte qu'elles ne peuvent expliquer la dégénération des racines postérieures et des cordons posté- rieurs ; sans émettre déj
al ou le bout périphérique; la section du bout central de la racine postérieure n'a au- cun retentissement sur la cellule d'ori
de la cellule nerveuse est beaucoup moins effective pour la racine postérieure que pour le nerf périphérique - ce qui explique
des phénomènes aussi différents que la section brusque de la racine postérieure pratiquée sur l'animal et la dégénération lente
enfin, fait intéressant, la dégénérescence rétrograde de la racine postérieure a pu être suivie jus- que dans le ganglion. L
upposer qu'elles peuvent être consécutives à l'atrophie des racines postérieures . Mais, nous ne saurions trop le répéter, on ne pe
er, on ne peut assimiler sans réserves l'atrophie lente des racines postérieures du tabes et la sec- tion expérimentale des raci
nes postérieures du tabes et la sec- tion expérimentale des racines postérieures , d'autant plus que, quel que soit le degré de l
lus que, quel que soit le degré de l'atrophie apparente des racines postérieures chez les ta- bétiques, l'examen histologique ré
ahétique sont primitives ou secondaires à l'atrbli'hiei des racines postérieures , si elles en sont dépendantes ou indépendantes. "
écis entre la raré- faction des cellules et l'atrophie de la racine postérieure , c'est que jus- qu'ici la pathologie du ganglio
rôle dans le processus d'atrophie lente et progressive de la racine postérieure ? C'est une question à laquelle nous nous gardo
rôle qu' elles jouent dans la pathogénie de l'atrophie des racines postérieures et des dégénérescences médullaires. Mais elles
ionnée, elle présente des suffusions sanguines au niveau de la face postérieure de la moelle à la hauteur de la fracture et au
d'une tache médiane et radiée dans la partie antérieure des cordons postérieurs . Par contre, au-dessus du siège de la fracture,
émorrhagique nette- ment limité dans la moitié antérieure du cordon postérieur droit et deux autres petits foyers dans le cord
cordon postérieur droit et deux autres petits foyers dans le cordon postérieur gauche. Fie. b. Coupe passant par le bord infér
rieure, les deux autres à direction sagittale dans les deux cornes postérieures . Dans la substance blanche n'existe qu'une infi
nt la corne et la commis- sure antérieures, à peine touché la corne postérieure droite et respecté relativement le reste de la
ximum des lésions : aplatissement de la moelle dans le sens antéro- postérieur , destruction à peu près complète par l'hémorrhagi
d'une tache médiane et radiée dans la partie antérieure des cordons postérieurs . ' HÉMATOMYÉLIE TRUMATIQUE 245 rieur au nivea
re, qui occupe, dans le Ile segment, la moitié antérieure du cordon postérieur droit, est intéressant par son volume, ses limite
dément dans les masses musculaires. Il présente en effet sur la face postérieure des deux coudes et au niveau des poignets, deux
recourir à la ténotomie à ciel ouvert du tendon rétracté du cubital postérieur . Pour obtenir la correction en rectitude parfai
ès petits. Cette dernière diminuée surtout dans le diamètre antéro- postérieur . Les racines minces, paraissent atrophiées, les m
atrophiées, les méninges de la moelle épaissies, surtout à la face postérieure . Elargissement de la couche sons-pie-mérienne d
Elargissement de la couche sons-pie-mérienne de névroglie. Cordons postérieurs : une diminution des fibres dans la région lomb
s supérieures une dégénérescence du faisceau de Goll dans sa partie postérieure . Pas de lésions dans la zone de Lissauer. La subs
former une saillie pénétrante dans la substance blanche des cordons postérieurs , est aplati, de sorte que les colonnes sont seule
es antérieures ne présentent pas de lésions.* Les fibres des cornes postérieures apparaissent raréfiées, de même que les fibres
paraissent raréfiées, de même que les fibres longeantes, les cornes postérieures du côté du cordon de Burdach. Le canal central
des fibres. UNE FORME U'1lÉHIsDW A'CAX1E cÉnÉBELLEUSE 9Q5 Cordons postérieurs . La zone de Lissauer présente dans la région lom-
and... 296 RYDEL élevée, cette raréfaction se rapproche du sillon postérieur et disparaît dans le cordon de Burdach. Ainsi d
3, on trouve une raréfaction occu- pant toute l'étendue des cordons postérieurs , sauf les parties avoisinantes, la substance gr
, mais cette raréfaction est plus forte dans le voisinage du sillon postérieur . Dans les hauteurs dorsales inférieures nous tr
s trouvons une raréfaction très intense dans le voisinage du sillon postérieur , peu prononcée dans la zone radiculaire moyenne
de forme carac- téristique, et surtout marquée dans les deux tiers postérieurs de ce cordon. Cette lésion, tout en devenant pl
is que l'autre moitié de ce fais- ceau, celle qui avoisine la corne postérieure , de même que la zone commissu- rale et la parti
on s'élargit vis-à-vis de l'angle formé par les cornes antérieures et postérieures et prend ici la forme d'un triangle dont le som
e son sommet vise l'angle latéral de la corne antérieure. La partie postérieure de la dégénération diminue d'intensité. Dans
n qui correspond au faisceau cérébelleux direct, longe de sa partie postérieure la corne postérieure jusqu'à la substance géla-
aisceau cérébelleux direct, longe de sa partie postérieure la corne postérieure jusqu'à la substance géla- tineuse. Dans les co
re de l'autre côté de la moitié antérieure de la corne. La partie postérieure du faisceau de Gowers, la partie élargie, augment
é et surtout d'étendue pour devenir aussi rapidement dans la partie postérieure de la périphérie une bande très mince et tout à f
ne bande très mince et tout à fait périphérique. Arrivée aux cornes postérieures cette bande se recourbe en dedans de la moelle,
en dedans de la moelle, et occupe la partie juxtaposée de la corne postérieure . La partie située en avant et en dedans du fais
ose du cordon de Gowers et laissant libre le reste de la périphérie postérieure de la moelle. A partir de cette même hauteur la
beaucoup plus que dans celui de Burdach), mais le reste des cordons postérieurs ne présente pas de lésions appréciables. L'espa
s laquelle on est habitué à voir le trajet du faisceau longitudinal postérieur (ou dorsal) est très notablement dégénéré. Les
es. - La paroi du 4e ventricule est épaissie. Toute la pé- riphérie postérieure et latérale montre une sclérose, qui augmente d'a
t une sclérose très nette, à l'exception du fais- ceau longitudinal postérieur qui, quoique un peu raréfié, se découpe nettement
tude de la moelle, on pourrait supposer que le faisceau longitudinal postérieur montrera une dégénération bien accusée. Par c
aréfiées. Les pyramides sont parfaitement intactes. Comme la moitié postérieure du bulbe est principalement le siège des lésions,
direct. La raréfaction des fibres arquées, la sclérose de la partie postérieure de la substance réticulaire et du raphé, les lési
rect et celui de Gowers y sont dégé- nérés, de même que les cordons postérieurs , dans lesquels la lésion porte principalement s
nte beau- coup d'analogie avec le processus de sclérose des cordons postérieurs , qu'il débute dans les parties périphériques de
lettes étaient dépourvues de fibres nerveuses, sauf sur leurs bords postérieurs . D'après cet examen Popoff croit au début du pr
le que Obersteiner et Redlich admettent pour l'atrophie des racines postérieures , à savoir une compression à travers la pie-mère s
tte lésion se limite dans la région lombaire et dorsale, a la corne postérieure du côté gauche qu'elle détruit presque entièremen
ndelette de nature conjonctive suivant exactement l'axe de la corne postérieure . Mais bientôt elle apparaît sous forme d'une fiss
re (10e dorsale), on la voit oc- cuper à peu près l'axe de la corne postérieure , depuis la pie-mère sur laquelle elle semble s'
e l'épendyme. Au niveau de la 4° dorsale elle envoie dans le cordon postérieur du même côté un prolongement qui un peu plus haut
formée et bouleversée dans sa topographie, ce qui reste de la corne postérieure droite ayant pris une direction presque transvers
ongement de celle du côté gauche et ne tarde pas à envahir la corne postérieure d'avant en arrière et jusqu'à son extrémité. Il e
d'une fente transversale et symétrique détrui- sant les deux cornes postérieures , les cordons latéraux et la base des cornes ant
sions correspondantes des cornes posté- rieures et même des racines postérieures . A gauche, en effet, outre la destruc- tion de
ostérieures. A gauche, en effet, outre la destruc- tion de la corne postérieure dans la région cervicale, dorsale et même lombair
e, nous avons noté la dégénérescence rétrograde de quelques racines postérieures que nous avons poursuivie jusqu'au ganglion. À
les régions correspondantes aux seg- ments de la moelle où la corne postérieure est lésée. Ce sont les territoires ra- diculair
sous-jacents à la lésion, démontre que la destruc- tion de la corne postérieure à un niveau donné n'affecte en rien la transmis-
impressions sensitives cutanées amenées à la moelle par les racines postérieures sous-jacentes. En somme il n'y a ni dans l'obse
e d'une bande conjonctivo- vasculaire au sein de la substance grise postérieure . C'est en de tels points que l'on peut saisir l
seg- ment dorsal on voit la bande conjonctive qui parcourt la corne postérieure se continuer à la périphérie de la moelle direc
e à ces prolongements qui pénètrent la moelle en suivant les cornes postérieures et s'y développent ? Nous ne le pensons pas, et
THOLOGIQUE ET PATHOGÉNIE DE LA SYRINGOMYÉLIE 385 que toute la corne postérieure , une partie de la substance grise antérieure, u
t de l'artère centrale ; sur les coupes de la 6e dor- sale la corne postérieure saine est creusée d'une perte de substance comme
e elle affecte le trajet et la direction des artérioles de la corne postérieure et de l'artère centrale ; son point de départ p
l'émergence d'une artériole, Dans la substance blanche des cordons postérieurs , elle suit manifestement en certains points la
ent en certains points la direction de l'artériole du sillon médian postérieur . Si l'on se souvient aussi qu'en plusieurs endr
ande conjonctive linéaire. (b) Végétations conjonctives de la corne postérieure gauche. Ces tractus onduleux contournés en mult
des gros vaisseaux de la moelle et notamment des artères des cornes postérieures ? 2 Il faut bien dire ici que nous ne sommes en
- Une autre fente très analogue se voit à la place du sillon médian postérieur . Les fentes, ainsi que la cavité princi- pale,
remarquablement conservées. Par contre, autour de la fente du cordon postérieur , il existe une zone assez étendue de démyélinis
il subsiste cependant une partie de son prolongement dans la corne postérieure gauche sous forme d'une mince tente à bords accol
t où se note un peloton vasculaire. - En revanche, la fente du cordon postérieur a acquis ici un énorme développement et donne l
té occupant la substance grise dont elle détruit la base des cornes postérieures et la majeure partie des cornes antérieures. Ce
tte cavité est arrondie, mais au niveau de la base l'une des cornes postérieures se poursuit par un prolonge- ment allongé et ét
défaut, et seule per- siste la fente allongée qui traverse la corne postérieure et s'élargit légèrement en avant où elle forme
'épanouissement d'une fente primitivement développée dans une corne postérieure . 1 D'autre part, une autre fente de même nature
utre fente de même nature se montre à la partie moyenne des cordons postérieurs au niveau du sillon médian postérieur. Cette fent
a partie moyenne des cordons postérieurs au niveau du sillon médian postérieur . Cette fente dirigée d'arrière en avant se term
et la direc- tion des fentes (art. du sillon postér. et de la corne postérieure ) et la grande cavité centrale semble n'être que
is seulement une fente antéro-postérieure occupant le sillon médian postérieur et qui s'élargit en avant en une dilatation tri
serves à la syringomyélie. Rappelons qu'il existait dans les cornes postérieures des fentes ou des ban- des scléreuses rectilign
n'en est plus de même partout ailleurs, où les vaisseaux des cornes postérieures semblent commander le.processus. Discutant la p
bsence de commissure grise et défaut de soudure des bords du sillon postérieur ). Il n'y a plus tant de raison pour la séparer
irecte. 'Le début des cavités paraît plutôt se faire dans une corne postérieure et les considérations que nous avons développées
éveloppent surtout dans la substance grise (commissure grise, corne postérieure ) et déjà Joffroy et Achard, cherchant la clef de
s artérioles qui pénètrent dans la moelle (arté- rioles de la corne postérieure , artérioles qui entourent le canal central, artèr
ur qui se ramifie dans la corne antérieure, artère du sillon médian postérieur , etc.). Les fentes, les fissures étroites sur les
t et la continuation directe d'une fente de la corne ou du cor- don postérieur ; fentes et cavités sont généralement des lésions
t dorsal il exis- tait en outre le long du bord interne de la corne postérieure une petite cavité entou- rée d'un tissu glieux.
e déterminent les anévrysmes artériels. Quant à la cavité du cordon postérieur , elle aurait, d'après ces auteurs, une origine hé
e un petit volume. La méninge antérieure est très mince, la méninge postérieure est peut-être un peu plus épaisse qu'à l'état n
ncore d'un ou deux prolongements. Grosse vascularisation des cornes postérieures . Le canal épendymaire n'est représenté que par
aisseaux semble à peu près intact. Dans les racines, antérieures et postérieures , un nombre restreint de gai- nes myéliniques so
fois d'un large espace clair. La substance blanche dans les parties postérieure et latérale a un volume et une coloration sensi
'y a'pas eu erreur au moment de l'autopsie. III. Muscles- Muscles postérieurs de la cuisse droite. Très grosses altérations.
- cléaire sans aucun ordre, multiplication des vaisseaux. Muscles postérieurs de la cuisse gauche. - Même dislocation totale av
lanche LX, L2 M). Même 446 LÈm ET N-ILSO.1 aspect que les muscles postérieurs de la cuisse, dégénérescence plus marquée encor
squ'il est resté assis longtemps, il éprouve au niveau de la partie postérieure des cuisses, dans les fesses et même dans le do
une atrophie myopathique généralisée avec conservation des muscles postérieurs de la jambe. Le même état persiste actuellement c
ulcérations les plus importantes au nombre de S, siègent à la face postérieure des deux jambes et à la face interne de la jambe
issure de l'os crochu (genou) ; ligne du bourrelet (pied). Membre postérieur : Angle externe de l'ilium (hanche) ; ligne du bo
neuse à l'os crochu ; do l'os crochu au bourrelet du pied. Membre postérieur : De l'angle externe de l'ilium au bourrelet du p
e l'ostéite phalangienne ; le cheval Président présentait au membre postérieur gauche une forme qu'il tenait de son père Flori
est due principalement à Bouveret (4) mais ces recherches sont bien postérieures à celles faites, en médecine vété- rinaire,parR
. Cellules nerveuses des tubercules quadri- jumeaux antérieurs et postérieurs chez les vertébrés supérieurs (Sur l'aspect e
ions calcaires dans le cerveau, (1 pi.), par CATOLA, 355. Cordons postérieurs (Contribution à l'étude anatomique des). Un cas
s cellules nerveuses des tu- bercules quadrijumeaux antérieurs et postérieurs chez les vertébrés supérieurs (6 figures), 100.
496. Nageotte. Contribution à l'étude anato- '. mique des cordons postérieurs (Un cas de lésion de la queue de cheval et un
Concrétions calcaires dans le cerveau (CA- TOLA), XLIV. Cordons postérieurs , étude anatomique (J. NAGEOTTE), V, VI, VII.
10 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
ue intégrité possible de la sensibilité s'explique par la situation postérieure des voies sensitives, et par le fait qu'un peti
s, continuelles, surtout nocturnes, dans toute l'étendue de la face postérieure du membre in- férieur droit, puis du gauche. Hu
xterne du pied droit, et à la dernière phalange des orteils ; la face postérieure des membres n'a malheureusement pas été assez é
e début des douleurs. A l'autopsie, carie tuberculeuse de la face postérieure des 2e, 3e, 4e corps ver- tébraux sacrés, avec
chis : gêne' de la déglutition par projections en avant de la paroi postérieure du pharynx : parole très dysarthrique. La spasm
agnostic : le toucher buccal montre un léger empâtement de la paroi postérieure du pharynx : l'extension amena la sédation des
ès son entrée à l'hôpi- tal. A l'autopsie, intégrité de la partie postérieure des arcs vertébraux : mal de Pott cervical avec
, ce qui se comprend, surtout lorsque ces douleurs occupent la face postérieure des membres inférieurs, et qu'on trouve, soit l
antérieur (Fig. 4). Les ligaments vertébraux communs antérieurs et postérieurs étaient' peu près intacts. Nulle part il n'y av
au niveau de la cyphose dorsale étaient ossifiés ceux de la partie postérieure , les ligaments jaunes, les ligaments surépineux
térieure, les ligaments jaunes, les ligaments surépineux, la partie postérieure des disques ; à la lordose lom- baire répondait
ieure aussi des disques avec intégrité du ligament atloïdo-axoïdien postérieur , premier des ligaments jaunes (V. fig. 1, 2, 3
i- gaments extrinsèques, à distance, iléo-lombaire et sacro-iliaque postérieur , n'étaient pas ossifiés. L'extrémité inférieu
ble s'être légèrement enfoncée dans le bassin, de sorte que le bord postérieur du détroit supérieur est plus aplati que normale-
des accès qu'il a eu jusqu'à présent, je vais indiquer le dernier, postérieur au traitement thyroïdien. Etant sorti de l'hôpi
lui donnent un aspect féminin très ac- centué. Regardé par sa face postérieure , le tronc se présente également (1) Henkt Meige
dépendre comme les douleurs tabétiques d'une irritation des racines postérieures de la moelle dorsale : mais, il me semble, que
arthropathie liypertrophiante pneumique. Cependant des observations postérieures ont bientôt démontré que les symp- tômes décrit
de Weigert ou de Pal, huit cas de ramollissement étendu des régions postérieures de l'hémisphère cérébral ; le plus souvent il s'a
e interne, le faisceau longitudinal inférieur entoure l'extré- mité postérieure et le bord inférieur du putamen, contourne la cor
ces fascicules abordent dans la région sous- thalamique le segment postérieur de la capsule interne et descendent dans le pie
t constitue la couche externe des fibres profondes. Dans son trajet postérieur , il reçoit de nombreuses fibres de la capsule e
ut-être aussi aux autres circonvolutions occipitales et à la partie postérieure du pli courbe. Le faisceau longitudinal contien
bres passent au-dessus du corps genouillé externe et par le segment postérieur de la capsule interne pour entrer dans la constit
is reçoivent un contingent, du pôle occipital, de la partie la plus postérieure , du, lobule fusiforme et de la troisième circonvo
la partie supé- rieure, l'hémi thorax droit présente une gibbosité postérieure des plus saillantes. L'épaule est très élevée e
droite de la région dorso-lombaire, les côtes forment une gibbosité postérieure dans l'hémithorax gauche. Cette gibbosité est i
artie postéro-inférieure du gyrus supramarginalis et les deux tiers postérieurs de la première circonvolution temporale ; à ce ni
t la lésion diminue rapidement de volume et se cantonne à la partie postérieure de la troisième circonvolution frontale. La cou
r ininterruption. Au sur et à mesure que l'on considère les régions postérieures , de multiples prolongements s'étendent jusqu'à
lutions occipitales, de la partie inférieure du pli courbe, des 3/4 postérieurs de la première circonvolu- tion temporale, du 1
s 3/4 postérieurs de la première circonvolu- tion temporale, du 1/3 postérieur de la deuxième circonvolution temporale, du bor
usiforme (lésion corticale de sa partie occipitale) et de la partie postérieure de la circonvolution pariétale supérieure. En o
du niveau du pli courbe : Nous commencerons par décrire les coupes postérieures . La coupe occipitale (Planche XXVIII, 1) intére
be, la Schéma n* II. - Cas Ro... 184 LASALLE-ARCHAMBAULT partie postérieure des deuxième et troisième circonvolutions tempora
du segment rétrolenticulaire de la capsule in- terne, de la partie postérieure de la couche optique. Une lacune considérable du
agittale externe de lobe tem- poral. Malheureusement, à des niveaux postérieurs , cette dégénérescence se confond avec celle qui
s thalamiques provenant des régions occipitale et pariéto-lemporale postérieure , enfin elle comprend les fibres de la première
orme qui soient respectées. Des lésions récentes occupent la partie postérieure de la deuxième circonvolution frontale et la pa
irait plus vo- lontiers que cette dégénérescence dépend des lésions postérieures . Or, ce n'est certainement pas la lésion profon
n temporale, le bord inférieur du gyrus supramarginalis et le tiers postérieur de la première circonvolution temporale. Dans l
pariétale supérieure, la partie antérieure du pli courbe. la partie postérieure des deuxième et troisième circonvolutions tempora
oupe suivante (Planche XXXIII, 21) est prise au niveau de la partie postérieure de la couche optique et du corps quadrijumeau ant
ne semble avoir retenti que sur la couche optique ; sur des coupes postérieures à celle-ci, on constate de l'atrophie et de la
à la bandelette optique, il n'existe plus trace de la grosse lésion postérieure . De Cas : Roll... - Aphasie. Epilepsie Jacksoni
i atteint la partie temporale du lobule fusiforme et les deux tiers postérieurs de la troisième circonvolution temporale. Excep
ent dans les deux lèvres de la scissure calcarine. La coupe la plus postérieure est prise immédiatement en avant (PI. XXX, 7) d
sagittale externe semble beaucoup plus dégénérée que sur les coupes postérieures et beaucoup plus qu'elle ne l'est en réalité. L
che XXXI, 10, 11, 12). Ramollissement ancien prenant les deux tiers postérieurs de la première circonvolution temporale, le tiers
tiers postérieurs de la première circonvolution temporale, le tiers postérieur delà deuxième circonvolution temporale et pouss
ssement sur la face interne du lobe occipital qui détruit la moitié postérieure du lobule lingual et toute cette partie du lobu
rconvolution temporale. Malgré les lésions destructives des régions postérieures , on voit que le segment horizon- tal et la part
me temporale, elle -même totalement détruite à un niveau légèrement postérieur .La couche sagittale interne est partiellement dég
ale interne est partiellement dégénérée, les radiations thalamiques postérieures abordent déjà le segment rétro-lenticulaire de
au optique central et renferme des fibres qui naissent de la partie postérieure du corps genouillé externe. A ce niveau les fib
t encore très dégénéré, mais il un degré moindre que sur les coupes postérieures . La zone dégénérée n'occupe que la partie inférie
ui se rendent au corps genouillé interne et au corps quadriju- meau postérieur , mais elle renferme aussi des libres qui font par
lésions du lobe occipital et 198 LASALLE-ARCHAMBAULT de la partie postérieure du lobe pariéto-lemporal ; quel que soit le siège
circonvolutions occipitales, ainsi que du pli courbe, de la partie postérieure des deuxième et troisième circonvolutions tempo
iations du corps quadrijumeau antérieur. Les radiations thalamiques postérieures (occipito-pariétales) et les radiations thalami
emporo-occipitales) se terminent dans le pulvinar et dans la partie postérieure de la couche optique, à l'exception des fibres qu
couche optique. Mais toutes ces radiations thalamiques des régions postérieures de l'hémisphère n'ont pas la même zone d'irradi
ie inférieure du pulvinar. Les radiations thalamiques des parties postérieures du lobe pariétal et des première et deuxième ci
dans la partie supérieure et externe du pulvinar et dans la partie postérieure du noyau LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET
ombre de fibres au corps genouillé interne et au corps quadrijumeau postérieur . Les radiations thalamiques des circonvolutions
aisceau ; il s'agit (cas Gir...) d'un ramollissement des deux tiers postérieurs de la première temporale et du tiers postérieur (
ent des deux tiers postérieurs de la première temporale et du tiers postérieur (en- viron) de la deuxième temporale ; la dégén
con- sidérable. Dans trois de nos cas,, la lésion atteint la moitié postérieure de la première circonvolution temporale, mais o
édoncule; il en est de même de deux autres cas avec lésion du tiers postérieur de la troisième circonvolution temporale. Enfin,
supramarginalis). A la suite de lésions occipitales et de la partie postérieure des lobes tempo- ral et pariétal, on observe to
ce se rend au corps calleux, c'est-à-dire au splénim et à la partie postérieure du tronc du corps calleux. Dans les cas de ramoll
de nos cas, il existe un ramollissement qui détruit toute la moitié postérieure de la face externe de l'hémisphère... en avant la
llé entrent dans la constitution de la partie inférieure du segment postérieur de la capsule interne, traversent l'angle infér
me segment du noyau lenticulaire, se coudent au niveau de la partie postérieure et inférieure de la cap- sule externe, se dirig
ière circonvolution temporale. Les fibres qui naissent de la partie postérieure du corps genouillé concourent à former le champ
que la voie pyramidale occupe les deux tiers antérieurs du segment postérieur de la capsule interne, le tiers postérieur de c
rs antérieurs du segment postérieur de la capsule interne, le tiers postérieur de ce segment représente le « carrefour sensiti
de nos idées sur la réparti- tion des fibres au niveau de la partie postérieure du lobe temporal, résumer de la façon suivante
des ganglions de la base. Peu appréciable dans la région temporale postérieure , puisque les fibres affectent à ce niveau une dir
'association en général. Comme Beevor, nous croyons que le cingulum postérieur ou inférieur est in- dépendant du cingulum hori
ures et externes. Aux fibres internes,on a donné le nom de cingulum postérieur pu inférieur, mais ces dernières sont, à notre av
tricu- laire. Il s'agit d'un ramollissement ayaut atteint la partie postérieure du gyrus FiG. 7. - Coupe frontale du lobe front
212 LASALLE-ARCHAMBAULT . supramarginalis, le pli courbe, la partie postérieure des. deuxième et troisième circonvolutions temp
xception faite, bien entendu, de ces lésions situées dans la partie postérieure et inférieure de la couche optique et qui, en rai
atteint son maximum de développement. 7) Les radiations thalamiques postérieures (pariéto-occipitales) et inférieu- res (temporo
les circonvolutions des lobes temporal et occipital et de la partie postérieure du lobe pariétal. 8) Le tapetum est formé exclu
: 1° l'etatmonili- forme des cylindraxes radiculaires antérieurs et postérieurs , et la localisa- tion remarquable de cette alté
régénération qui se passent dans les ganglions et dans les racines postérieures pendant toute la durée du tabes, parallèlement à
sont celles du tabes avancé classique ; la dégénération des racines postérieures à la région lombo- sacrée est très considérable
te un nombre énorme de fibres fines amyé- liniques dans les racines postérieures , là où la méthode de Pal ne décèle qu'un nombre
le du tabes incipiens est visible, néanmoins les zones radiculaires postérieures présen- tent déjà un aspect pâle tandis que la
LE DE FIBRES NERVEUSES 219 une tendance à produire dans les cordons postérieurs une lésion radiculaire discrète mais diffuse, p
te sa plus grande intensité, la cavité centrale persiste. La racine postérieure est bouleversée dans sa structure ; ses fasci-
s de la racine antérieure paraissent intactes, tandis que la racine postérieure a perdu une fraction déjà assez importante des
fibres assendantes destinées à rem- placer les fibres radiculaires postérieures détruites, mais que les massues, qui terminent
une lésion à peine perceptible d'une zone très étroite d'un cordon postérieur , répon- dant, par sa situation, au trajet d'une
es ; la moelle n'est pas atrophiée dans son ensemble et les cordons postérieurs ne sont pas diminués de volume. Les deux nerfs
ite ; 2° il n'existe aucune lésion des éléments nobles de la racine postérieure qui soit visible par la méthode de Weigert-Pal
présence de fibres régénérées, avant que la . sclérose des cordons postérieurs soit appréciable. OBs. V. Névrite radiculaire à
iables. I. - Altérations des cylindraxes radiculaires antérieurs et postérieurs (Gonflements, état moniliforme). Cette lésion
ibrilles. Les gonflements en question se rencontrent dans la racine postérieure et aussi dans la racine antérieure. La figure 2
), demi-schéma- tique, représente sa distribution. Dans la racine postérieure cette lésion se rencontre dans toute l'étendue
résentent la même lésion, on peut la suivre jusque dans les cordons postérieurs . Il semble donc que les éléments nerveux atteints
. Il semble donc que les éléments nerveux atteints dans les racines postérieures du tabes sont altérés, puis détruits, sur toute l
dans leur ensemble, les fibres régénérées amyéliniques d'une racine postérieure de tabes avancé, qui ne contient presque plus d
11) NAGEOTTE fibres fines contenues à l'état normal dans la racine postérieure , qui sont plus résistantes que les autres au pr
comme un axiome que la racine antérieure est plus résistante que la postérieure , et de m'être appuyé sur cet axiome pour expliq
? Il est permis d'en douter, car dans l'observation IV où la racine postérieure a subi une atteinte très légère, mais indubitable
t été étudiés dans ce cas. Il. - Fibres régénérées dans les racines postérieures et massues de croissance encapsulées dans les g
ertain nombre d'entre elles s'engagent dans la portion de la racine postérieure la plus rappro- chée du ganglion; mais, bien qu
du son acuité ; un certain nombre de massues passent dans la racine postérieure , qui en contient toutefois infiniment moins que
es dans ces cas ; en tout cas je n'en ai vu aucune dans les cordons postérieurs ; je ne prétends pas, bien entendu, que le fait n
es fines ou moyennes du réticulum nerveux des cornes antérieures et postérieures . Leur volume est inférieur en moyenne à celui d
nt en amas de 20 à 30, et aussi le long du bord interne de la corne postérieure . Dans l'observation IV ces formations élaient p
de fibres nouvelles est desti- née à réparer les dégâts des racines postérieures . - En effet leur nombre, leurs divisions et leu
se demander si elles n'appartiennent pas à des fibres radiculaires postérieures qui seraient arrivées jusqu'à proximité de leur b
s de neurones endogènes de la moelle. La régénération des racines postérieures est-elle capable, dans le tabes, d'aboutir à la
d'un processus appartenant exclusiveme.nt aux neurones radiculaires postérieurs , mais c'est probablement un phéno- mène général
raxes, occupe dès le début toute la hauteur des fibres radiculaires postérieures ; dans la ra- cine antérieure elle ne se rencon
les racines an- térieures, de fibres sans myéline dans les racines postérieures . Soc. de Biol. 20 mai 1905. Note sur la régén
ol. 20 mai 1905. Note sur la régénération amyélinique des racines postérieures dans le tabes et sur les a massues d'accroissem
épartition des lésions cylindraxiles dans les racines antérieure et postérieure (état moniliforme). Fig. 3. Etat moniliforme de
niliforme). Fig. 3. Etat moniliforme des cylindraxes dans la racine postérieure au point 1 du schéma précédant. ' Fig. 4. Rac
ne subsiste plus qu'à l'état de mince fente. Le corps quadrijumeau postérieur gauche est aplati mais pas détruit du tout (PI.IL
re, plus déformé à droite qu'à gauche, plus comprimé dans sa moitié postérieure que dans l'antérieure. Le noyau du pathétique s
é plus graves. FIG. 2. - Coupe à la hauteur des corps quadrijumeaux postérieur . NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T.
e réaction à la lumière est peu en accord avec le fait quela partie postérieure du noyau de la 3° paire fut directement plus comp
repliées sur elles-mêmes, le mollet entrant en contact avec la face postérieure de la cuisse, les talons touchant les fesses, le
u membre. La pression des muscles, du quadriceps fémoral, du groupe postérieur de la jambe ou de la cuisse fait pousser des cr
es. Les muscles les plus scléreux sont naturellement ceux du groupe postérieur de la cuisse (biceps, demi-membraneux, demi-ten
endineux) et de la jambe (triceps et fléchisseurs profonds, jambier postérieur ) ; ceux de la loge antéro-externe de la jambe s
et principalement dans l'abdomen, les crurales, poplitées, tibiales postérieures ont des parois infiltrées de pla- ques calcaire
davantage dans les adducteurs, davantage encore dans les mus- cles postérieurs de la cuisse; abolie dans les muscles de la jambe
aste interne ; contraction lente dans le biceps et tous les muscles postérieurs de la cuisse ; diminution et contrac- tion lent
antes et hislologiquement par une sclérose systématique des cordons postérieurs . Le professeur Joffroy (3) a rapporté le cas d'
LPÉTRÈRE DE L'INFLUENCE DE LA SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES SUR L'ÉTAT DES NEURONES PÉRIPHÉRIQUES CONTRIB
ÉRIQUES CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES FIBRES CENTRIFUGES DES RACINES POSTÉRIEURES . PAR - e J. Ch. ROUX et Jean HEITZ 1 Ancien
erfs cutanés et des sympathiques, les lésions profondes des racines postérieures , telles que peut les réaliser la résection expéri
nerfs cutanés sont proportionnelles en général à celles des racines postérieures . (1) NAGEOTTEJ Pathogénie du tabès dorsal. Pres
ROUX ET UE1TZ Si donc, quelques mois après la résection des racines postérieures , on pouvait arriver a constater dans les nerfs
ageotte. Dans le cas contraire, si après cette, section des racines postérieures , les nerfs périphériques et les cellulesganglio
pas à des fibres centrifu- ges venues de la nioelle par des racines postérieures . C'est ainsi que nous avons été amenés à faire
et Presse médicale, si juin 1903. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES 299 en temps utile. Dans tous les cas, nous avo
horacique, nous avons pratiqué chez 3 chats, la section des racines postérieures dans leur trajet extradural, immédiatement après
adural sont enveloppées dans la même gaine fibreuse que les racines postérieures correspondantes. Après écoule- ment d'une quant
nt, comme l'ont montré les autopsies, à une, deux, ou trois racines postérieures , selon les cas, depuis la dernière lombaire jusqu
nimaux ont présenté très passagèrement de légères parésies du train postérieur , complètement disparues au bout de quelques jours
tissu cellulaire lâche, facile à disséquer, la séparait des racines postérieures . Dans tous les cas, sauf chez le chien XI, nous
881. (2) Bonne, Recherches sur les éléments centrifuges des racines postérieures . Th. Lyon, 1897.. , (3) KÓ5TER, Zur Physiolog
rsalis. Leipsig, Engelmann, 1904. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES 301 Dans deux cas (X et XI), nous avons pris sp
été systématiquement recherché à la suite de la section des racines postérieures . Cependant, six à huit semaines après cette secti
Quatre mois après la section simultanée des racines antérieures et postérieures , Benucci examinant le nerf sortant du pôle périph
mois après l'opération, trouva intacts le prolongement de la racine postérieure au pôle périphérique du ganglion de même que le
t des ganglions consécutives à la section expérimentale des racines postérieures . Nous apportions les résultats de l'examen des
nerfs de la queue et de la plante étaient normaux : ceux de la face postérieure de la jambe et de la cuisse présentaient des lé
mixtes n'ont pas été examinés. ' SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES 303, Dans le travail de Koster (1) dont nous n'
uelques mois après la section (toujours extradurale) des ra-, cines postérieures . Par la lecture des observations annexées à ce tr
maux ayant subi simultanément la section des racines antérieures et postérieures doivent être écartés, l'interprétation des dégéné
pant au bout de quelques mois dans le territoire cutané des racines postérieures sectionnées. Si nous rapprochons les constatati
s cutanés observés chez le chai à la suite delà section des racines postérieures correspondantes. Soc. biologie, 8 juillet 1905.
dégénéres- cence des nerfs périphériques, après section des racines postérieures corres- pondantes, n'est pas continu et progres
es deux animaux, la section avait porté sur les 2 premières racines postérieures sacrées. Parmi les filets cutanés examinés au niv
res sacrées. Parmi les filets cutanés examinés au niveau de la face postérieure de la cuisse et du genou, un ou deux seulement d'
es fibres très fines. Chez le chat IX, les nerfs cutanés de la face postérieure du genou contenaient également quelques libres
tes, dans les premières semaines qui suivent la section des racines postérieures , présentent, d'une manière cons- tante, et dans
t des ganglions sympathiques. L'influence de la section des racines postérieures sur l'état du sympathique est également de date
ne de 4 mois), J.-Ch. Roux sec- tionna un certain nombre de racines postérieures la région thoracique, du côté gauche. Les anima
égénérescences dans le cordon sympathique après section des racines postérieures . On peut donc affirmer l'existence dans le symp
ympathique de fibres venues de la moelle en passant par les racines postérieures , fibres qui dégénèrent de la moelle vers la pér
sympathique non plus 2 à 3 semaines après la sec- tion des racines postérieures , mais au bout d'un délai beaucoup plus long. Ch
erv. IV, chat adulte, sacrifié 382 jours après section de la racine postérieure correspondante du côté gauche dans son trajet i
1er ganglion sacré droit (même observation, chat adulte, la racine postérieure correspondante est restée normale). Région du gan
v. V, chat adulte, sacrifié 338 jours après la section de la racine postérieure correspondante du côté droit, dans sou trajet e
sale du 10, ganglion thoracique gauche (même observation, la racine postérieure correspondante est restée normale), région gangli
. . Fie. 5. luu. 6. Fio. 7. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES Brsssm del ? C. Roux et J. HCtf;.) Masson et Ci
HCtf;.) Masson et Ciel Editeurs. SECTION .EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES 307 ques naissent principalement des 5e à 9e ra
(2), après avoir coupé chez le chat la deuxième racine cer- vicale postérieure , sacrifiant l'animal au bout de 10, 30 et 60 jour
96, conclut d'une série d'expériences qu'après section de la racine postérieure , les ani- maux étant abattus au bout de 8, 12,
lions sympathiques et se diri- geant vers la moelle par les racines postérieures . Laignel-Lavastine les a retrouvées dégénérées
res. Laignel-Lavastine les a retrouvées dégénérées dans les racines postérieures après ablation expérimentale des cordons thorac
s avancés par Kleist et par Kas- ter, et que la section des racines postérieures déterminait des modifications des cellules, et
aire, et on pouvait reconnaître qu'elles prove- naient de la racine postérieure , dans laquelle il n'existait que de rares fibres
glanglions du côté témoin. Examen du bout ganglionnaire des racines postérieures . Il existe entre les auteurs, à ce sujet, des d
ines vides difficiles à reconnaître. Kleist décrivit dans la racine postérieure , au bout de mois, un processus de dégénérescenc
aussi nombreuses que les grosses. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES 313 Chez deux autres animaux (VII et IX), la su
. Chez le chat IV et le chat V (aux 338e et 382° jours) les racines postérieures se présentaient très altérées, sur les coupes c
e en nombre restreint, dégénérées dès le 15e jour, dans les racines postérieures comme dans les troncs mixtes et les nerfs cutanés
ullaire des racines sectionnées. Les fibres centrifuges des racines postérieures . Nous ne nous étendrons pas sur les recherches
ion périphérique par l'excitation du bout ganglionnaire des racines postérieures et en ont conclu à l'existence de fibres centri
qui sortaient de la corne latérale, s'engageaient dans les racines postérieures et traversant les ganglions sans s'y arrêter, p
éjà Waller avait vu que, 10 a 15 jours après la section des racines postérieures , il subsistait dans le bout médullaire, environ 3
une première série d'expériences, peu après la section des racines postérieures , il trouva dans le bout médullaire toutes les fib
6. Fig. 7. 1"10.8. Fig. 9. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES (J.-C. Roux et J. Heil.) - PLANCHE XLIX FiG
rifié 18 jours après la section des 3', . 4° et 5e racines dorsales postérieures , extradurale). Présence de nombreuses fibres à
te, sacrifié 247 jours après la section de trois racines dor- sales postérieures du même côté dans leur trajet extradural). On dis
hat adulte, sacrifié 252 fours après la section des 2e et 3 racines postérieures du même côté, intra-dura- le). Nombreuses fibre
sociation du bout adhérent à la moelle des 3° et 4* racines sacrées postérieures (16 jours après la section). Présence de fibres c
. - Dissociation du nerf efférent du ganglion, continuant la racine postérieure , au niveau de la jonction avec la racine antérieu
n avec la racine antérieure (16 jours après la section de la racine postérieure ). Présence de fibres dégénérées en petit nombre
e ou au milieu des fibres saines. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES 315 moins nombreux. Il existait de plus quelque
fibres régénérées du chat IV), N'oublions pas enfin que les racines postérieures avaient été non pas section- nées, mais réséqué
1. - Dissociation du bout attenant à la moelle de la 2* racine sacrée postérieure gauche (observ. IX, chat adulte, sacrifié 97 jo
g. 2) qui sont vraisemblablement des fibres centrifuges des racines postérieures (même technique, même grossissement). 1 cc. 7 à
0. - Dissociation du bout attenant à la moelle delà tr' racine sacrée postérieure gauche (ubserv. IV, chat adulle, sacrifié 382 j
ciations du bout attenant au ganglion de la même racine, Ire sacrée postérieure gauche (même observation après 382 jours). Dégéné
e technique, même grossissement). SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES 317 Il subsiste de nombreuses inconnues dans l'
reuses inconnues dans l'histoire des fibres centrifuges des racines postérieures ; il reste au point de vue de leur nombre, de leu
ont plus représentées que par des gaînes vides. Du côté des racines postérieures , en même temps que les anciennes fibres continu
servés nous amène à concevoir à la suite de la section de la racine postérieure , la production d'un processus atrophique portan
ité est sous la dépendance du degré de dégé- nérescence des racines postérieures . En face de ces lésions caractérisées, constato
ons décrites par d'autres auteurs après la même section des racines postérieures , mais les faits que nous appor- tons démontrent
sus aigu qui se ter- mine en moins d'un an. , Du côté des racines postérieures , mêmes différences importantes. Dans le tabes,
Iconogr. de la Salpêtrière, 1902. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES 321 Cajal l'a montré à Nageotte (1) et à Marine
porte exclusivement sur les fibres fines centrifu- ges des racines postérieures . Il semble en être de même dans le tabes (J.-Ch.
iques, en plus de la disparition des fibres centrifuges des racines postérieures , un processus s de névrite périphérique, compar
tte opinion de Koster (1), que la section expérimentale des racines postérieures détermine des altérations des nerfs périphériqu
t sous la dépendance d'une dégé- nérescence primordiale des racines postérieures . La seule différence entre les deux processus s
de l'atteinte apportée dans les deux cas à l'intégrité des racines postérieures . Dans un cas, il s'agit d'une lésion brutale, ins
tabes une certaine part doit être gardée à l'altération des racines postérieures , comme cause initiale des altérations névri- ti
diculaire transverse (Nageotte) (3), ou sur la longueur dela racine postérieure (Thomas et Hauser) (4), ou sur tout le système
térieure (Thomas et Hauser) (4), ou sur tout le système lymphatique postérieur de la moelle (Marie et Guillain) (5). ' Mais,
re, 1902. (5) Marie et GUILLAIN, Les lésions du système lymphatique postérieur de la moelle sonl l'origine du processus aaatom
mas, Maladies de la moelle, 1902. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES 323 de la lenteur extrême de l'évolution, de la
coup moins constante. + Conclusions. 4 Il existe dans les racines postérieures des mammifères, des fibres à myé- line à trajet
les montrent dégénérées trois semaines après la section des racines postérieures . Au bout de 7 mois, il ne subsiste comme trace
à la racine sectionnée. 4° 7 à 8 mois après la section des racines postérieures , on observe dans les nerfs cutanés correspondan
que permanent et d'évolution très lente comme est celui des racines postérieures dans le tabes. Il existe d'ailleurs, entre les
similation possible entre la dégénérescence rétrograde de la racine postérieure sectionnée et l'état d'atrophie segmentaire des r
particularités. D'une façon générale, après la section des racines postérieures , les processus atrophiques secondaires semblent
sion, qu'en dehors de l'ac- tion méningitique directe sur la racine postérieure , une certaine part doit être faite, dans la pat
ation I. Chat adulte. - Section des 3 premières racines thoraciques postérieures gauches. - Survie 247 jours. - Intégrité des cell
de la dure-mère. 3 jours après l'opération, légère parésie du train postérieur qui disparaît complètement au bout de quelques
trisation par première intention. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES 325 Dans le milieu de l'été, l'animal est pris
ce fente, remplie de tissu fibreux. La dure-mère adhère aux racines postérieures par du tissu cellulaire lâche, plus serré du cô
u tissu cellulaire lâche, plus serré du côté sectionné. Les racines postérieures coupées n'ont laissé, au voisinage de la moelle
ésente pas de modification de sa structure. Les coupes de la racine postérieure cor- respondante (bout ganglionnaire) montrent
ures 3 et 4(planche XLIX) représentent 2 filets cutanés, perforants postérieurs d'un des nerfs intercostaux gauches. On y voit de
res et de la première sacrée. Sec- tion intradurale de deux racines postérieures du côté gauche, que l'autopsie a montré plus ta
ns complètement que chez le chat T. Dure- mère adhérant aux racines postérieures des deux côtés, mais faciles à en sépa- rer. Le
x corresoondants de chaque côté ; SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES 327 et disséquons sysmétriquement de chaque côt
ènes exter- nes, les nerfs plantaires cutanés, les nerfs de la face postérieure de la jambe et de la cuisse, les nerfs de la qu
eue, des nerfs plantaires, mais dégénérescence des nerfs de la face postérieure de la jambe et de la cuisse, soit exclusivement
une longueur de 3 gaz 4 millimètres, de 3 ou 4 filets radiculaires postérieurs gauches, correspondant aux 2. et 3' nerfs sacré
eux périphériques, à' ! a croupe, au périnée, à la queue, aux faces postérieures des cuisses et des jambes, à la région plantair
Chat adulte. Section de la 5e lombaire et des 3 pre- mières sacrées postérieures gauches. - Survie 382 jours. Intégrité des cell
égénérées dans le bout médullaire des racines sectionnées ; racines postérieures droites normales. Pas de dégénérescences dans l
extradurale. Nous gar- dons également comme comparaison les racines postérieures du côté droit. Les racines antérieures sont vér
sur la figure 3 de la même plan- SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES 329 che, exécutée à un plus fort grossissement.
iniques noires. Il s'agit, sans aucun doute, des fibres des racines postérieures , prolongements cen- traux des cellules bipolair
nalogues quoi- que peut-être un peu moins prononcées. Les racines postérieures ont été examinées par dissociation. Le bout atten
lames des 10° et il,, vertèbres dorsales. Section des deux racines postérieures du côté droit, à leur sortie de la dure-mère (rac
eons osseux insuffisants. Nous vérifions que les 10" et 11° racines postérieures droites ont bien été sectionnées, et que les ra
de l'autre côté. Aucune diminu- SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES^ POSTÉRIEURES 331 tion du nombre des cellules, aucune trace d
ne trace de ratatinement ni d'atrophie. Sur les coupes de la racine postérieure au voisinage du ganglion nous avons pu vérifier
VI. Chat adulte. - Section des 10°, 1 la et zu racines thoraciques postérieures . - Meurt le 10e jour. Chat de 4 k. 500, opéré l
aciques et on sectionne à la a sortie de la dure-rnère, les racines postérieures portant les mêmes chiffres. Réunion sans suppur
cines sectionnées, a provoqué chez l'animal une paraplégie du train postérieur . . Il ne mange pas et meurt le 14 mai, après un
tion VII. Chat adulte. Section des deux premières racines sa- crées postérieures gauches. Survie 77 jours. Intégrité des cellules
iquement les nerfs de la queue, de la fesse, du périnée, de la face postérieure de la cuisse et de la jambe. Examens HISTOLOGIQ
, non plus que sur les coupes de la partie y attenante de la racine postérieure , au- cune fibre à myéline altérée, comme nous a
, comme nous avions pu en noter dans les gan- glions et les racines postérieures des chats IV et V. Ici, les fibres à myéline de
sentent aucun signe de dégénères- SECTION expérimentale DES racines postérieures 333 cence. Les fibres efférentes du pôle périph
pôle périphérique sont de même tout à fait normales. Les racines postérieures ont été examinées par dissociation. Celles du côt
phériques nous n'avons pu examiner que les nerfs cutanés de la face postérieure de la cuisse et du genou. Nous n'avons trouvé s
rvation VIII. Chien adulte. Section des 4 premières racines sacrées postérieures gauches. SU1'vie 14 jours. Figures de dégénéresce
ets radiculaires, qui correspondent aux 2 premières racines sacrées postérieures gauches. L'animal meurt le 27 décembre de ménin
ibres se trou- vant dans le territoire de la lre ou de la 2e racine postérieure sacrée). Observation IX. Chat adulte. Section d
bservation IX. Chat adulte. Section des 2 premières racines sacrées postérieures gauches. - Survie 97 jours. - Intégrité des cellu
ères racines sacrées. Réunion sans suppuration, parésie des membres postérieurs très légère et transitoire. L'animal reste en bon
es nerfs cutanés des fesses, de la fosse ischio-rectale, de la face postérieure de la cuisse et du genou, des deux côtés. Exame
caractère pathologique, ni des cellules ni des fibres. Les racines postérieures du côté droit sont normales sur dissociations.
des deux côtés, et avons trouvé dans les rameaux cutanés de la face postérieure du genou un certain nombre de fibres en état de
ns pas noté de dégénérescences. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES 335 Observation X . - Chien adulte. Section des
sur une longueur de 3 à 4 millimètres, de 3 à 4 filets radiculaires postérieurs du côté droit dans leur trajet intra-dure-mérie
à travers les plans fibreux en formation, les restants des racines postérieures droites sectionnées, prélevons les filets atten
nts, et nous prenons séparément la portion extradurale de la racine postérieure , le ganglion, et le nerf efférent de ce ganglio
racines sectionnées (côté gauche). On prélève également les racines postérieures , les ganglions et le nerf efférent du pôle péri
la queue. Examens rrISTOLOGIQUES. - Le bout médullaire des racines postérieures présente un certain nombre de fibres intactes,
u où sont accolés dans une gaîne commune les filets anté- rieurs et postérieurs . Observation XII. - Chat adulte. Section des 3e
XII. - Chat adulte. Section des 3e, 4° et 5e racines thoraci- ques postérieures gauches. -Survie 18 jours. - Nombreuses fibres fi
er le 21 juillet 1899 ; section des 3°, 4e et 5e raci- nes dorsales postérieures gauches, entre la moelle et le ganglion. L'animal
l'examen macroscopique. La moelle est de volume normal. La méninge postérieure est très épaissie sur- tout au niveau de sa par
uction du pédoncule cérébelleux supérieur, du faisceau longitudinal postérieur , de la petite racine motrice descendante du tri
et du pédoncule cérébelleux supérieur, au faisceau loncitu : dinal postérieur , sauf quelques fibres. La petite racine motrice d
t moins touchée (fig. 3). Les noyaux de la XIIe paire et les noyaux postérieurs de la XI" paire montrent avec des colorations o
peut dire la même chose à l'égard des noyaux latéraux antérieurs et postérieurs du bulbe et des noyaux de la XlIe paire.Au nive
fibres nerveuses normales situées à peu près au niveau de la partie postérieure du faisceau de Burdach. La moitié droite, au cont
bon état (fig. 7). Au niveau de la 2e racine lombaire, les cordons postérieurs sont pres- que normaux. A gauche est bien conse
el 5" racines lombaires, les cordons antéro-latéraux et les cordons postérieurs sont à peu près normaux, sauf una légère sclérose
ation est surtout très prononcée au ni- veau du sillon longitudinal postérieur et autour des vaisseaux et présente ceci de car
ots de tissu nerveux sain ou à peu près. Les racines antérieures et postérieures apparais- sent presque complètement normales pa
ffre à l'observation un certain degré d'épaississement des méninges postérieures . Les racines ne sont pas grises. Tout ce qu'on pe
veux central. Léger épais- sissement méningé surtout dans la partie postérieure de la moelle et au niveau des zones scléreuses.
aît la valeur des paro- les et des tons. , Ferrand, en un travail postérieur (1), a insisté sur ces formes patholo- giques d
me. Elle siège dans l'hémipont droit, intéressant surtout la partie postérieure du faisceau moteur, laissant libre plus de sa moi
ceau moteur cesse d'être intéressé, la lésion lui est immédiatement postérieure et s'arrête enfin à 5 millimètres au-dessus du si
eds sont également augmentés de volume, surtout dans le sensantéro- postérieur , mais leurs dimensions sont moins exagérées par r
supplémen- taire creusée dans le sphénoïde. Les lobes antérieur et postérieur de l'hypo- physe ne sont plus apparents, il est
as le signe caractérique de la com- pression du chiasma à sa partie postérieure , c'est-à-dire l'hémianopsie bitemporale. L'auto
e. Beaucoup de fibres de nouvelle formation proviennent des racines postérieures et pénètrent dans la moelle avec les vaisseaux
par conséquent une régénérescence double, l'une partie des racines postérieures et l'autre de la substance blanche de la moelle.
sommairement dans un travail récent la régé- nérescence des racines postérieures et de la moelle consécutive aux sec- tions expé
es nerveuses ni In ti l d'une part, du point de section des racines postérieures vers la moelle (quelques-unes de ces fibres pén
s la cicatrice. Le mécanisme de régénération des libres des racines postérieures est tout à fait semblable à celui que M. Ramon y
abondan- tes dans les faisceaux de la région antérieure des cordons postérieurs . Il s'agit la pluparL du temps d'axones assez r
vec les neurones normaux. La portion post-ganglionnaire des racines postérieures coupée dans celle expérience de Cajal présente
es expériences démontrent suivant Cajal, que les axones des racines postérieures et la substance blanche médullaire sont suscept
l'extrémité des fibres du faiscean latéral qu'au niveau des cordons postérieurs , leur direction est tantôt ascendante, tantôt des
l'épaisseur de la cicatrice (Fig. 4). Les modifications des racines postérieures sectionnées sont tout à fait caracté- ristiques
ps de celle-ci, au niveau Fic.. 5. Coupe longitudinale de la racine postérieure dans son trajet arachnoïdien (section de la moe
on peut suivre sur un grand trajet provenant évidemment des racines postérieures sectionnées par la compression. On retrouve dan
ans sa partie moyenne ? Evidemment qu'elles proviennent des racines postérieures englobées dans le processus pathologique. En ef
eures englobées dans le processus pathologique. En effet, la racine postérieure dans son trajet arachnoïdien présente les phéno
uro-fibrilles ou bien un état de gonflement. Les fibres des racines postérieures disposant de capacités plus grandes de régé- né
rmation que nous trouvons dans la cicatrice proviennent des racines postérieures , car elles présentent tous les caractères des fib
sent pas épaissies. Rien à noter du côté des racines. Les racines postérieures sont essentiellement constituées au niveau de la
es généraux de celles que nous ve- nons de décrire dans les racines postérieures ; on distingue aussi quelques fibres qui se cou
ERCHES SUR LA RÉGÉNÉRESCENCE DE LA MOELLE 439 La région des cordons postérieurs , au-dessus de la compression, est parsemée d'un
ines atrophiées ou en voie de dégénérescence. Intégrité des racines postérieures qui sont absolument normales, avec gaines de myél
olument intacte. Il n'existe pas de lésions appréciables des cornes postérieures , les collatérales courtes et longues sont intac
érales courtes et longues sont intactes, aussi bien que les racines postérieures à leur pénétration dans la moelle (PI. LXIII).
mêmes caractères, en particu- lier nous signalons celle de la face postérieure des cuisses qui s'étend également sur les fesse
opposé. L'avant-bras présente une direction curviligne à convexité postérieure : sa longueur n'est que de 15 centimètres, tand
nerfs périphériques, les troncs nerveux, les racines antérieures et postérieures , avec lésions médullaires consécutives ; d'oit
ès léger degré de flexion dorsale, et avec les muscles de la région postérieure de la jambe, un très léger degré de flexion plant
gmentée. Les pieds appuient sur le sol, sur les talons antérieur et postérieur , ainsi que sur l'extrémité antérieure du cinqui
RSTITIELLE HYPERTROPHIQUE ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE 481 la partie postérieure des côtes du côté droit, qui bombent en arrière,
mains, diminue également en remontant. Sur la face antérieure et postérieure du tronc, la sensibilité tactile et dou- loureu
nes antérieures que pour les racines 486 DEJERINE ET ANDRÉ-THOMAS postérieures ; que pour les racines antérieures l'hypertrophie
depuis la moelle jusqu'au canal dure-mérien ; que pour les racines postérieures c'est l'inverse qui tend à se produire, l'extrémi
rémité médullaire. Ces différences entre les racines antérieures et postérieures , et pour cha- cune d'elles entre l'extrémité ga
ni augmentée de volume ; on ne constate que l'atrophie des cordons postérieurs qui sont moins larges et ont une teinte gris ro
ieurs qui sont moins larges et ont une teinte gris rosé. Les cornes postérieures sont très rapprochées l'une de l'autre. Il exsste
te également un léger degré de leptoméningite au niveau des cordons postérieurs : la dure-mère ne présente aucune altération.
ur quelques faisceaux du sciatique, pour les racines antérieures et postérieures . Mais nous avons pu suivre, sur les coupes de m
iné par ce procédé une racine lombaire (racine antérieure et racine postérieure ). 490 DEJERINE ET ANDHÉ-TilOMAS Racine antéri
es, de différencier le tissu conjonctif des gaînes vides. Racines postérieures . Elles présentent un aspect un peu différent des
quelque sorte pour les nerfs moteurs une marche ascendante. Racines postérieures . Rien n'est plus intéressant que de comparer les
intéressant que de comparer les racines antérieures et les racines postérieures au voisinage du ganglion rachi- dien. C'est ain
es sont devenues complète- ment scléreuses, les fibres radiculaires postérieures sont engainées par des manchons analogues à ceu
oisinage de la moelle. Au-dessous du ganglion l'aspect de la racine postérieure se rapproche davan- tage de celui de la racine
antérieure et la circonférence de la moelle et le diamètre antéro- postérieur des cordons antéro-latéraux à ce niveau est augme
ù plupart ont perdu leur gaîne de myéline. L'altération des cordons postérieurs , déjà des plus manifestes à l'oeil nu, occupe u
r exemple, sur les coupes colorées par la méthode de Pal, le cordon postérieur est décoloré sur toute sa surface, cependant il
médian. Les zones de Lissauer sont également plus pâles. Les cornes postérieures sont petites et les fibres à myé- line y sont t
orées au Pal, par leur teinte plus foncée : tout le reste du cordon postérieur est au contraire pâle, il en est de même de la
, il en est de même de la zone de Lissauer (PI. LXXIX A'). La corne postérieure est très réduite et pauvre en fibres à myéline.
postéro-externe et dans la zone de Lissauer. L'atrophie des cornes postérieures est la même : les fibres collatérales réflexes so
ve des zones cornu-commissurales, du septum, des zones radiculaires postérieures est encore plus apparente ; les fibres sont éga
éseau myélinique est presque complètement disparu : la commis- sure postérieure est intacte. XII° dorsale. - La dégénérescence
le long du septum médian, ainsi qu'un petit triangle à l'extrémité postérieure du septum. Dans la partie externe du cordon pos
l'extrémité postérieure du septum. Dans la partie externe du cordon postérieur la raréfaction est beaucoup moins con- sidérabl
zones cornu-commissurales et dans l'angle postéro-externe du cordon postérieur . 1 Les diamètres de la corne postérieure sont à
postéro-externe du cordon postérieur. 1 Les diamètres de la corne postérieure sont à peu près revenus à la normale et son rés
ications sont à peine appréciables. VIe el Ve dorsales. Le cordon postérieur est sensiblement réduit dans son diamètre trans
r est sensiblement réduit dans son diamètre transversal, les cornes postérieures sont rapprochées." Le fais- ceau de Goll est tr
hent sensiblement de la normale. Le tassement qu'a subi le cordon postérieur rend certainement les dégéné- rescences moins i
la zone radiculaire moyenne est toujours la plus prise. Les cornes postérieures sont à peine plus petites qu'à l'état normal, mai
âle au niveau de la VIIe racine cervicale (PI. LXXIV A). Les cornes postérieures ont à peu près leurs dimensions habituelles, leur
rescence du cordon de Goll se limite de plus en plus vers le tiers postérieur , de même les limites du cordon de Goll et du co
ne la plus prise dans les cordons de Burdach : l'aspect de la corne postérieure et de son réseau, de la zone de Lissauer, est l
Weigert pour la névroglie. Elle permet de constater dans le cordon postérieur une très riche prolifération névroglique formée p
au milieu de laquelle, du moins dans la partie cen- trale du cordon postérieur , on ne trouve qu'un nombre très restreint de cyli
s ses modes sur les deux tiers supérieurs des régions antérieure et postérieure du tronc, ainsi que sur la face, le crâne, les
aires ne sont que la conséquence de la dégé- nérescence des racines postérieures , elles ne diffèrent en rien de la sclérose des
postérieures, elles ne diffèrent en rien de la sclérose des cordons postérieurs qu'on observe dans le tabes ; nous ne nous y arrê
(1) Elle a été mentionnée une seule fois par Hayem sur les racines postérieures dans un cas d'atrophie musculaire deutéropathiq
. Archiv für Psychia trie, 1889. 308 DEJERINE ET ANDItÉ-THO11AS postérieurs de la moelle.- L'observation de Dubreuilh (1), qu
nt signalées des altérations des nerfs périphériques et des racines postérieures sans état hypertrophi- que, et des lésions des
postérieures sans état hypertrophi- que, et des lésions des cordons postérieurs analogues à celles que l'on ren- contre dans le
intégrité des nerfs cutanés, des racines antérieures et des racines postérieures (sauf dans la région dorsale,où elles présenten
des parties détruites, et le tassement du rachis. Tantôt, la partie postérieure des corps vertébraux sus- jacents à la carie, e
un et dans l'autre cas, la moelle peut être écrasée contre la paroi postérieure du rachis, si la lésion siège à la région dorsale
u- berculeux, collecté sous le périoste ou le ligament longitudinal postérieur , exerce sur la moelle une action analogue à cel
parfois même avec altérations dégénératives, qui, pour les racines postérieures , ont été suivis, dans certains cas, jusque dans
rieures, ont été suivis, dans certains cas, jusque dans les cordons postérieurs . Fréquemment, les auteurs signalent des altérat
inent, d'ordinaire, dans la région centrale des cordons latéraux et postérieurs . A leur niveau, la névroglie apparaît épaissie,
vec effondrement des VIe et Vile corps vertébraux dorsaux.La partie postérieure du VI" fait une saillie accusée dans le canal rac
ieure des cordons an- téro-latéraux, et dans la partie centrale des postérieurs ; léger épaississement de la névroglie ; dans l
ses caséeuses : l'an- térieure, prévertébrale, plus volumineuse; la postérieure , épidurale, mesure 2 centimètres de hauteur sur
nt de la névroglie, dans la partie profonde des cordons latéraux et postérieurs , avec début de nécrose,et 2 ou 3 petits foyers
3 petits foyers d'hémorragie capillaire, notamment dans les cordons postérieurs . Intégrité complète des autres vaisseaux et des
sans pigmentation. Dans la partie centrale des cordons latéraux et postérieurs , grosse dilatation de nombreuses gaines myélini
granulations noires par le Marchi de la région centrale des cordons postérieurs ; cellules nerveuses intactes : oblitération du
on osseux, réduisant à 5 millimètres au maximum le diamètre antéro- postérieur du canal rachidien au niveau de la VIe vertèbre d
mois après, courbature lombaire avec irradiation le long de la face postérieure des membres inférieurs ; ces douleurs, surtout no
monaire. Plusieurs foyers d'ostéite costale tuberculeuse; à la face postérieure des IIe,IIIe, IVe corps vertébraux sacrés,carie
d'une manière intense avec des lésions dégénéra- tives des cordons postérieurs présentant leur maximum au niveau des 2e et3* p
s tard, elle reparaissait, étendue au sacrum, et le long de la face postérieure des membres inférieurs, dans toute leur hauteur
uve, au-dessus,une pâleur diffuse de la partie centrale des cordons postérieurs , disparaissant presque complètement vers C 11. Da
es de quelques cellules. OBS. X (n° 877 ? Carie minime de la face postérieure des corps des Ve et VIe vertèbres cervicales :
Mort le lendemain. Autopsie. Pas de tuberculose pulmonaire.La face postérieure des corps des Ve et VIe vertèbres cervicales pr
s : les racines droites et l'antérieure gauche semblent saines ; la postérieure gauche renferme des cylindres-axes irrégulièremen
rouvent, à un degré moindre, dans la moelle lombaire. Les racines postérieures du côté gauche présentent, au niveau du foyer épi
nératives d'intensité variable, mais plus marquées pour les racines postérieures .Il est difficile de dire exactement quelle part r
dégénérescence musculaire observée cliniquement ? Quant aux racines postérieures , elles sont atteintes dans les trois cas,mais s
aient encore détermi- né des dégénérations ascendantes des cordons postérieurs . Dans la moelle (Obs. X),les lésions « d'oedème
ilitiques : épaississement dans la région lombo-sacrée des méninges postérieures , avec sclérose notable des leptomé- ninges, au
idural et à, l'englobement des racines. Quelques fibres des cordons postérieurs dans la région sacrée prennent le Marchi un peu
mentation. Dans la région sacrée, lésions dégénératives des cordons postérieurs ,diffuses, mais avec prédominance pour les zones
vrant en plusieurs endroits dans le canal rachidien ; sur la partie postérieure du VIe corps,foyer tuberculeux en activité, se pr
IX, fig. 3, face antérieure de la 532 ALQUIER moelle : ug. 2 face postérieure ) deux masses lardacées englobant les racines et
fuse,prédominante à la partie antérieure des cordons antérieurs et postérieurs . Dans les cordons latéraux, un certain nombre d
ssé les parties voisines et refoulé l'une contre l'autre les cornes postérieures . Mêmes lésions, mais plus légères,dans la parti
lésions, mais plus légères,dans la partie superficielle des cordons postérieurs . Canal central oblitéré, cellules nerveuses glo
aire, légères lésions dégénératives au Pal et au Marchi des racines postérieures ; dans les cordons postérieurs, dégénération nett
ves au Pal et au Marchi des racines postérieures ; dans les cordons postérieurs , dégénération nette, respectant la zone commiss
respectant la zone commissurale et la partie marginale des cordons postérieurs . Dans la région cervicale supérieure, on trouve
r de carie sur le corps de la Xe vertèbre dorsale, limité à sa face postérieure , et pointant vers l'espace épidural, qui n'est
étendu sur une hauteur de plusieurs segments au niveau des cordons postérieurs à la région dorsale moyenne. ' Tels sont les
sion osseuse. - Trois fois, un éperon osseux représenté par le bord postérieur d'un corps vertébral détruit et effondré dans sa
a saillie de. la VIe dorsale, aplatissant la moelle contre les arcs postérieurs , réduit déplus de moitié, son diamètre antéro-pos
sieurs des muscles innervés par le plexus sacré. Pour les racines postérieures qui, cependant, paraissent, d'ordinaire plus at
is fois seulement (obs. 1, VIII, XIII) nous voyons dans les cordons postérieurs , des lésions de dégénération ascendantes, en ra
insi- gnifiantes. Dans l'observation XV, existait, dans les cordons postérieurs , un foyer étendu de myélomalacie, peut-être d'o
ane n'a pu, même alors, déceler la lésion minime existant à la face postérieure des Ve et VIe corps vertébraux ; c'est dire qu'
ique, de forme vaguement triangulaire à sommet antérieur, et à base postérieure , mesure 14 millimètres dans le sens frontal et 13
e feutrage sous-lobaire indifférencié des lobes grêle, quadrilatère postérieur et semi-lunaire. Sur une coupe parallèle à la p
aune rougeàtre, occupaut le lobe semi-lunaire inférieur et le quart postérieur du lobe grêle. II. Etude des dégénérescences li
bre dévie médian, et les lobes, central, quadrilatères antérieur et postérieur . Il existe de grosses granulations noires de dé
r et de grosses granulations dans la partie inférieure et la moitié postérieure de l'arbre de vie, paraissant correspondre aux fi
oyers de dégénérescence lFig. 3). Les deux supérieurs, antérieur el postérieur , correspondent aux fibres semi- FIG. 1 ric. 2
ires : 4° Des fibres semi-circulaires internes (FSCI) dans le tiers postérieur de l'olive ; 2° Des fibres semi-circulaires e
(FPM), dans un croissant à concavité antérieure allant de la partie postérieure de l'olive au feutrage sous- lobaire du lobe se
égénérescences occupent essentiellement 3 territoires : 1° Le tiers postérieur du feutrage intra-ciliaire (FIC) ; 2° La substa
le feutrage extra-ciliaire, et le dernier dans la substance blanche postérieure . Sur une coupe (fig. 8) plus inférieure, le foy
ion réticulée, le noyau central supérieur, le faisceau longitudinal postérieur , le faisceau central de la calotte,et le ruban
en réseau les corps restiformes et vont se grouper dans leur angle postérieur . Elles montent ainsi jusqu'à la partie supérieure
entre l'embolus et l'olive, ainsi qu'à la face interne de la moitié postérieure de l'olive où elles prennent part au plexus int
générescence d'une partie du feutrage intra-ciliaire dans sa moitié postérieure ; d'autre part,on cons- state dans l'olive bulb
- bituelle ; la supination active et passive est limitée. A la face postérieure , le ' cubitus est plus proéminent que dans la n
xtenseur long et court et long abducteur du pouce), du cubital pos- postérieur ; hypoexcitabilité accentuée du cubital antérieur
onctifs qui s'enfoncent dans la substance médullaire. Les faisceaux postérieurs et latéraux sont sclérosés avec diminution évid
t au système visuel et forment, avec les fibres cortico-thalamiques postérieures , les radiations optiques de Gratiolet. Elles LE
ap- sule interne, le même trajet que les fibres cortico-thalamiques postérieures auxquelles elles sont intimement unies . » De p
s centres nerveux (t. II), pour apprendre que les fibres du segment postérieur de la couronne rayonnante, « proviennent de la
ariétales supérieure et inférieure, etc. ». « Les fibres du segment postérieur se disposent en deux couches sagittales, l'une
tion nous a paru nécessaire, car il est fait mention de « seg- ment postérieur » dans la note additionnelle (p. 1112, no 22, 190
escence très nette des couches sagittales des segments inférieur et postérieur de la cou- ronne rayonnante, intéressant plus p
segment rétrolenticulaire et l'autre la partie moyenne du segment t postérieur de la capsule interne (c'est un siège admirable,
), « la dégénérescence complète des couches sagit- tales du segment postérieur de la couronne rayonnante (faisceau longitudinal
ux, t. II, p, 109) : « Une dégéné- rescence très intense du segment postérieur de la couronne rayonnante dans les couches sagi
coupe, les fibres géniculo-calcariniennes de la couronne rayonnante postérieure ; elles constituent la majeure partie des fibres
et ne dépasse pas en avant une ligne verticale ra- sant l'extrémité postérieure de la couche optique, elle sectionne à ce niveau
e niveau l'isthme de la circonvolution de l'hippocampe et le pilier postérieur du tri- gone, etc. » . Il ressort donc très n
une dégénérescence très intense des couches sagittales des segments postérieur et inférieur de la couronne rayonnante J'. Ab
uvelle Iconog., 1906, n° 2, p. 190) ; ramollissement des deux tiers postérieurs de la troisième circonvolution temporale et de la
e réunion de ses deux lames. Cependant l'on n'observe sur les plans postérieurs qu'une zone de dégénérescence très limitée, elle
externe ». S'il s'agit d'un foyer profond de la région temporale postérieure , et surtout si cette lésion est ancienne, on co
t si cette lésion est ancienne, on constate également sur les plans postérieurs une dégénérescence rétrograde de la couche inte
foyers siègent conforta- blement dans la partie moyenne du segment postérieur et dans le segment ré- trolenticulaire de la ca
es radiations corti- cales, pour que la grosse réaction des régions postérieures trouve une expli- cation logique. .Peut-on pa
e rétrograde de telle, ou de telle autre dégénérescence des régions postérieures . Les planches qui se rapportent aux cas très in
nnaire circonscrite, sans lacunes de désintégration du centre ovale postérieur . Un tel cas supposé,il fau- drait constater, su
sentent plus le même aspect dès que l'on dé- passe en avant le plan postérieur du corps genouillé externe ; entre ce niveau et
ongueur comme le sont les fibres qui passent du genou et du segment postérieur de la capsule interne dans le pied du pédoncule
pyramidal et concourt également à former le cinquième in- terne et postérieur du pied du pédoncule que nous décrivons. Bien ent
fibres calleuses de régions antérieures qui se rendent à la partie postérieure du tronc du corps calleux ; par les nombreuses fi
acoustique centrale se termine en partie dans le corps quadrijumeau postérieur . Or, nous savons que le pulvinar et le tubercul
t des cornes antérieures de la moelle et qui se rendent aux racines postérieures ; car la bandelette est sensorielle. Le lobe oc
blable par des fibres commissurales qui passent par la com- missure postérieure . Or, ce centre optique primaire ne siège pas da
prennent naissance dans la couche optique et se rendent à la partie postérieure de la région rolandique, ce sont de véritables
ndent assez vraisemblable. La zone rolandique reçoit dans sa partie postérieure les fibres thalamo-cor- ticales destinées à tra
e noyau d'origine du faisceau optique central et c'est dans sa partie postérieure et supérieure que s'épuisent les radiations cor
n système commissural fort complexe; nous croyons que la commissure postérieure renferme un certain nombre de ces fibres. Quant
ns que le corps genouillé externe envoie des fibres à la commissure postérieure à même titre que le pulvinar et le corps quadri
l'ensemble des libres qui se terminent dans les noyaux des cordons postérieurs . Cependant le faisceau optique central est sens
x (J.-C.). De l'influence de la section expérimentale des racines postérieures sur l'état des neurones pé- riphériques (3 pl,
ux et Heitz. De l'influence de la section expérimentale des racines postérieures sur l'état des neurones périphériques (3 pl.
es adoles- cents (1 pl.), par BRISSAUD et Moutier, 129. Racines postérieures (de l'influence de la section expérimentales de
et scoliose des adoles- cents (BRISSAUD et Moutier), XX. Racines postérieures (sections) (J.-C. Roux et J. HEiTz), XLVIII, XL
11 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
nsé vers la tête ; et la tige se raccourcissant, les segments nerveux postérieurs sont souvent placés très en avant des segments ve
ent par les espaces intervertébraux devront se rattacher aux segments postérieurs du corps par de plus longues racines. Ces racines
médian antérieur ; celui qui est au côté dorsal est le sillon médian postérieur . En créant ces dénominations on a eu égard à l'at
l'existence; quelques auteurs ne reconnaissent point celle du sillon postérieur . Suivant quelques autres, il est oblitéré dans ce
cordon antérieur ; l'autre est beaucoup moins épais , c'est le cordon postérieur . Voilà une première division. Le grand cordon a
médiaire. Un petit fascicule bien distinct borde ce cordon à son côté postérieur . Il a reçu le nom de funicule accessoire du cordo
ans chaque moelle trois cordons principaux. L'antérieur, le moyen, le postérieur ; deux sillons longitudinaux distinguent ces cordo
plus profond et tracé d'une manière plus ferme, est le sillon latéral postérieur . Les filaments des racines postérieures des nerfs
us ferme, est le sillon latéral postérieur. Les filaments des racines postérieures des nerfs spinaux y sont régulièrement implantés.
eures des nerfs spinaux y sont régulièrement implantés. Les cordons postérieurs présentent une particularité remarquable. En cert
s régions ils semblent ne point border immédiatement le sillon médian postérieur ; un petit funicule accessoire forme dans ce cas l
ans son excellent ouvrage, les désigne sous le nom de cordons médians postérieurs . Peut-être serait-il mieux de les nommer funicule
re serait-il mieux de les nommer funicules marginaux du sillon médian postérieur . Que sont ces funicules? sont-ils une dépendanc
érieur. Que sont ces funicules? sont-ils une dépendance des cordons postérieurs ? doit-on les considérer comme formant un système
représentent les cordons antérieurs, les deux autres sont les cordons postérieurs . Ces cordons postérieurs sont remarquables. Plu
térieurs, les deux autres sont les cordons postérieurs. Ces cordons postérieurs sont remarquables. Plus ils s'avancent vers la ré
s ont complètement disparu. Cette atténuation graduelle des faisceaux postérieurs de la région caudale donne l'idée d'un épuisement
côtés, et constituent au niveau de la région lombaire, des cordons postérieurs nouveaux. Ces cordons, séparés d'abord l'un de l'
cordons, séparés d'abord l'un de l'autre par l'extrémité des cordons postérieurs de la région caudale, se rapprochent de plus en p
rapprochent de plus en plus et bordent immédiatement le sillon médian postérieur au niveau de la région dorsale. Mais à leur tour,
ervicale, et leurs tiactus singulièrement amoindris forment au sillon postérieur une bordure très-mince, sur les côtés de laquelle
es côtés de laquelle se constituent graduellement de nouveaux cordons postérieurs par l'adjonction de fibres nouvelles, en regard d
cette succession de fibres qui se remplacent, l'ensemble des cordons postérieurs dans le rachis comprend trois systèmes distincts,
lombaire où les funicules ont reçu le nom impropre de cordons médians postérieurs . 2° Le système lombo-dorsal qui s'épuise graduell
ù ses extrémités atténuées reçoivent encore le nom de cordons médians postérieurs . 3° Enfin, le système cervical qui s'atténue, il
s systèmes. En conséquence de ces observations, les cordons médians postérieurs sont évidemment dans chaque région, Vextrémité at
s sont évidemment dans chaque région, Vextrémité atténuée des cordons postérieurs gui viennent des régions situées en arrière. Ces
et épuisement successif, et cette reproduction incessante des cordons postérieurs dans toute la longueur de la moelle est l'un des
e rattachent les racines antérieures de ces nerfs ; au sillon latéral postérieur sont attachées leurs racines postérieures ; on sa
ces nerfs ; au sillon latéral postérieur sont attachées leurs racines postérieures ; on sait que ces dernières se distinguent aiséme
sont, quoi qu'on en ait pu dire, exclusivement motrices; les racines postérieures , au contraire, sont des conducteurs d'impressions
fuges pour les racines antérieures, et de fibres centripètes pour les postérieures . Il est bien entendu qu'en s'exprimant ainsi, on
nt occupés du système nerveux, a faites sur les ganglions des racines postérieures . Ces ganglions sont remarquables à un autre point
certain que le plus grand nombre des fibres qui composent les racines postérieures des nerfs se continuent avec celles des cordons p
racines postérieures des nerfs se continuent avec celles des cordons postérieurs . Il n'est pas moins évident que les racines antér
centes ont fait connaître. Il n'en est pas moins vrai que les cordons postérieurs sont exclusivement sensitifs, et les cordons anté
est logé dans le centre du faisceau anterolateral. Quant au tranchant postérieur , il fait, en certains lieux, saillie à la surface
lie à la surface de la moelle, et se montre au fond du sillon latéral postérieur sous la forme d'une traînée grise longitudinale.
u tranchant antérieur est rougeâtre et spongieuse; celle du tranchant postérieur est foncée et gélatineuse en apparence. Nous verr
e est blanche, elle unit entre eux les cordons antérieurs. La lamelle postérieure est grise, elle unit les deux axes gris par un tr
La première enveloppe des fibres nerveuses qui composent les racines postérieures des nerfs, cesse brusquement au point d'implantat
ent la substance de leurs cornes antérieures de celle de leurs cornes postérieures . A ces différences correspondent des différences
ineuses, et dont les prolonge ments vont enfin s'unir aux faisceaux postérieurs ; ainsi le plexus des cellules de la moelle sert d
lules de la moelle sert d'intermédiaire entre le système des 'cordons postérieurs et celui des cordons antérieurs, bien qu'il sembl
soit avec les faisceaux longitudinaux tant antérieurs ou latéraux que postérieurs , soit enfin avec le côté opposé de la moelle par
at, à la région lombaire des fibres qui, des faisceaux et des racines postérieures , se portaient dans les petites cellules multipola
ements se dirigent en arrière, traversent la substance des tranchants postérieurs de l'axe gris, et se continuent avec certaines fi
inuent avec certaines fibres des faisceaux racines et des faiseeaux postérieurs d'une part, et celles des racines et des faisceau
la fois, et je serais porté à croire qu'après la section des cordons postérieurs , c'est par ces prolongements que les impressions
par ces prolongements que les impressions sont transmises des membres postérieurs vers le cerveau, comme cela a lieu dans les expér
; mais le plus souvent les petites cellules multipolaires des cornes postérieures de l'axe communiquent entre elles par des réseaux
a commissure, mais ce sujet est d'une prodigieuse difficulté, il. 3 postérieurs et des racines sensitives. Ces communications des
s. Ces communications des ramifications des cellules avec les cordons postérieurs m'avaient longtemps échappé malgré d'attentives r
cellulaires, soit avec les cordons antérieurs, soit avec les cordons postérieurs , soit avec les racines sensitives, soit avec les
commissure (1). La substance gélatineuse qui constitue le tranchant postérieur des axes gris, diffère beaucoup de la substance s
aux globules du sang de la grenouille ; elle forme la base des cornes postérieures qui ont d'ailleurs une organisation très-compliqu
e loges distinctes par des lames qui, de la face antérieure du cordon postérieur , s'avancent dans l'intérieur de l'axe gris; c'est
les fibres des cloisons sont longitudinales comme celles des cordons postérieurs ; mais on voit dans leur intervalle certaines fib
s leur intervalle certaines fibres transversales cheminer des cordons postérieurs vers le centre des axes gris. Quelques-unes de ce
des axes gris. Quelques-unes de ces fibres se rattachent aux racines postérieures des nerfs spinaux. Outre les cellules de la subst
es très-délicates qui relient ces cellules au tranchant des faisceaux postérieurs . Ces observations, dont chacun pourra constater
transversales de la moelle, démontrent que la limite réelle du cordon postérieur du côté de Taxe gris n'est point aussi nettement
nflements correspondent aux racines des nerfs qui animent les membres postérieurs , les membres antérieurs ou la face. Il ne serait
ication des fibres blanches parait suivre l'accroissement des membres postérieurs . Ces faits indiquent assez qu'à mesure que les fo
ENFANT homme Aire totale des faisceaux blancs Aire des faisceaux postérieurs Aire totale des faisceaux blancs Aire des fai
x postérieurs Aire totale des faisceaux blancs Aire des faisceaux postérieurs Aire des axes gris Aire des axes gris Renfl
rveau. On remarquera aussi quelle importance acquièrent les faisceaux postérieurs à la région cervicale en regard des racines nerve
us haut soutenue, savoir, que toutes les fibres nerveuses des régions postérieures du corps ne remontent pas jusqu'au cerveau, la pl
les actions nerveuses reflexes sont plus apparentes dans les membres postérieurs que dans les membres antérieurs, à en juger du mo
la moelle n'est en rapport avec le cerveau, surtout dans ses parties postérieures , que par le plus petit nombre de ses fibres. Cela
r fait éclore ce germe. en avant s'appelle corne frontale. La corne postérieure , s'enroulant autour du corps strié, fait saillie
des ventricules cérébraux, passant de chaque côté, du milieu du bord postérieur du vestibule, à l'extrémité des cornes sphénoïdal
ontinu. Elle est déterminée par un plan imaginaire qui répond au bord postérieur de la région de la protubérance annulaire. Un s
st la suite et se termine par une fossette médiane qui touche au bord postérieur de la protubérance, et qui a été appelée le trou
d postérieur de la protubérance, et qui a été appelée le trou borgne • postérieur de Vicq-d'Azyr. Deux faisceaux, ou bandes longi
derniers cordons demeurent très-distincts, et émettent par leur bord postérieur une expansion très-remarquable qui remonte vers l
ris dans l'intervalle qui sépare le faisceau moyen d'avec les cordons postérieurs , et par conséquent il occupe un espace qui est, d
e un espace qui est, dans le bulbe, la continuation du sillon latéral postérieur de la moelle épinière. Ce tubercule est donc un r
tance grise qui occupe dans toute la moelle le fond du silion latéral postérieur . Il ne s'élève point jusqu'à la protubérance an
accessoire du cordon latéral; ces fibres se portent vers les cordons postérieurs du bulbe. Ceux-ci, fortement écartés l'un de l'
celle de l'olive par une vallée que limite à la base du bulbe le bord postérieur de la protubérance. Cette vallée est la fosse de
, se portent avec l'expansion du funicule latéral, vers les faisceaux postérieurs du bulbe. Elle est appelée couche des fibres arci
, n'existent pas toujours. Nous décrirons, dans un instant, la face postérieure du bulbe. Pour ne point scinder des images dont l
d'un trapézoïde à base très-large. La base du trapèze répond au bord postérieur du pont. Elle présente, sur la ligne médiane, une
igne médiane, une petite échancrure qui forme la marge du trou borgne postérieur . Légèrement soulevée au niveau des pyramides anté
ce est moins saillante; mais, sauf quelques modifications de son bord postérieur , que nous expliquerons en parlant de la structure
t décrite par Rolando. Si nous divisons avec lui ces fibres en fibres postérieures moyennes et antérieures, nous pouvons résumer sa
le pédoncule cérébelleux moyen les fibres antérieures s'unissent aux postérieures , derrière les fibres moyennes. Le pédoncule céréb
inuent avec le faisceau moyen du bulbe, et peut-être avec le faisceau postérieur . Tiedemann a indiqué cette disposition d'après le
grosse masse convexe ellipsoïde, qui en est comme le noyau. La limite postérieure de ce noyau répond au bord antérieur de Yanse péd
au plan de ces fibres et se porte à la surface du noyau dans la paroi postérieure du cornet 5 ce faisceau , composé de fibres d'un
ont fait donner à cette cavité médiane le nom d'espace cendré perforé postérieur . La partie la plus profonde de cet espace répon
es, elles forment une masse unique, souvent fort saillante, au côté postérieur du tuber cinereum. Ce dernier corps, dont nous
sicules remplies d'une liqueur blanche et elle est située à la partie postérieure de la glande... « La partie rougeâtre de la gland
e. Elle est surtout bien apparente dans le cerveau de l'homme, lobe postérieur . Le premier est reniforme et le second plus ou mo
ant en arrière. Le bord supérieur du grand lobe est convexe, son bord postérieur est échancré. Cette échancrure reçoit le petit lo
e du même lobe est toujours un peu proéminente. Le petit lobe ou lobe postérieur est au moin-s de moitié moindre que l'antérieur.
ue l'antérieur. Il est compris dans l'échancrure que présente le bord postérieur de celui-ci. « Il y a pendant toute la vie deux
circonférence dans toute l'épaisseur de la glande. Il sort des parois postérieures de chacune de ces cavités un petit canal plus ou
un petit canal plus ou moins rouge qui se dirige au milieu de la face postérieure du grand lobe, exactement à l'endroit où l'infund
rrespond toujours et sans exception au milieu de l'échancrure du bord postérieur du grand lobe. » (Observations sur le cervelet, p
ontient les éléments des glandes vasculaires sanguines. Quant au lobe postérieur il contient, outre des noyaux et des vaisseaux sa
ouche d'une part au cervelet, de l'autre aux tubercules quadrijumeaux postérieurs . Cette lame est la valvule de Vieussens. Chez l'h
eux dans un instant, des parties surajoutées au système des faisceaux postérieurs . Au delà, la marche des faisceaux primitifs est c
suivants. 1° et 2° Région du bulbe et de la protubérance. La face postérieure du bulbe est immédiatement remarquable par l'écar
ulbe est immédiatement remarquable par l'écartement que les faisceaux postérieurs subissent dans cette région, après s'être un peu
lle angulaire. Dans le point précis de leur écartement, les cordons postérieurs font à la surface du bulbe une grande saillie. Je
e était dans la moelle, on y reconnaît aisément les faisceaux médians postérieurs du bulbe, semblables par leurs renflements à une
s renflements à une chaîne moniliforme, et, d'autre part, les cordons postérieurs proprement dits, qui se dirigent presque en entie
dirigent presque en entier vers le cervelet, sous le nom de pyramides postérieures , de faisceaux restiformes, ou de pédoncules posté
de pyramides postérieures, de faisceaux restiformes, ou de pédoncules postérieurs . Si nous partons des faits que l'étude de la mo
elle nous a révélés, les conséquences de cet écartement des faisceaux postérieurs dans le bulbe seront faciles à prévoir. En effet,
le bulbe seront faciles à prévoir. En effet, en écartant les cordons postérieurs , on doit mettre à découvert le ventricule que ces
s épaisses dans le fœtus que dans l'adulte. Plus en avant, la paroi postérieure du ventricule est recouverte par le cervelet, au
quatrième ventricule est complète, et tapisse fort exactement la face postérieure de la commissure du bulbe. Sur les côtés elle se
ux cornes latérales du quatrième ventricule. Ces cornes dont la paroi postérieure manque absolument, du moins dans l'adulte, logent
être décrites ici. J'ai déjà dit que cette paroi répondait à la face postérieure de la commissure du bulbe. On y remarque : 1° un
aient les tranchants gélatineux. Supposons, en effet, que les cordons postérieurs soient très-écartés l'un de l'autre dans un point
cules supérieurs du Cervelet, et toutes les fibres qui, des faisceaux postérieurs , se portent vers l'Encéphale. Bien que les tube
de quatre dans l'homme et dans les mammifères adultes. Les tubercules postérieurs sont arrondis et revêtus d'une écorce blanchâtre;
lèbre Chaussierï Les tubercules antérieurs sont plus grands que les postérieurs , et formés en entier de substance grise. Leur for
gne, et sa courbe embrasse les tubercules antérieurs qu'il sépare des postérieurs . Dans le fœtus, ce sillon n'apparaît qu'assez tar
rietum structura. (M. Malpighii de cerebro epistola.) quadrijumeaux postérieurs sera donc le Processus testis, ad corpus genicula
s deux tubercules quadrijumeaux antérieurs au-dessus de la commissure postérieure , c'est-à-dire de la commissure des deux faisceaux
de l'anse dès l'origine de celle-ci, et se termine au niveau du bord postérieur du pavillon pédonculaire. — Au-dessous de cette
e par une seconde extrémité en massue, dont la saillie répond au bord postérieur du pavillon de l'éventail pédonculaire ; ce renfl
nimaux mammifères. Mais dans l'homme et dans les singes, de la partie postérieure de l'arc du ventricule latéral se détache un prol
ieussens, Pfevr. univers., lib. I, de cercbro, cap, xi). la corne postérieure ou occipitale du ventricule latéral. On le désign
un ventricule très-réduit dans toutes ses parties, tandis que le lobe postérieur , malgré la grandeur de son ventricule, a un dével
au-devant de la glande pinéale, une fente transversale divise le bord postérieur du triangle vestibulaire. Cette fente se prolonge
le cérébral d'une corne sphenoidale à l'autre, en passant par le bord postérieur du vestibule. Cette ouverture semicirculaire a de
re inscrite adhère intimement aux parties adjacentes, et suit le bord postérieur ou interne des couches optiques ; ses limites son
nciens anatomistes. Ces bandelettes ont encore reçu le nom de piliers postérieurs de la voûte. À leur origine aux corps mamillaires
ps mamillaires elles portent celui de piliers antérieurs. Les piliers postérieurs , disons-nous, peuvent être suivis jusqu'à l'extré
fente en fer achevai est vers son milieu intimement adhérente au bord postérieur de cet opercule. Si on soulève ce bord, on découv
ce que les anatomistes avaient pris pour deux ouvertures : l'une, la postérieure , était pour eux l'anus ; l'autre, l'antérieure, é
tab. VIII, 6. dans l'intérieur du pavillon pédonculaire aux rayons postérieurs duquel ses expansions se mêlent, ou plutôt se sup
ant en arrière, où ses dernières fibres s'unissent intimement au bord postérieur de l'opercule. D'abord très-mince à son point d'o
bord arrondi que ses dernières fibres forment en s'unissant au bord postérieur de l'opercule, qu'elles recouvrent en se recourba
ouvrent en se recourbant un peu sous sa face inférieure, est le genou postérieur du corps calleux. Le corps calleux formé d'arcs
s'épaissit beaucoup à partir de son genou antérieur ; c'est au genou postérieur que sa plus grande épaisseur paraît correspondre.
corps calleux et la voûte ne se touchent point, sinon vers le genou postérieur ; l'intervalle qui les sépare, assez petit en arri
, à ses cornes inférieures lesbosses temporo-sphénoïdales, aux cornes postérieures la saillie des bosses occipitales. Voilà ce que M
mble, la masse du cervelet dans l'homme a la forme d'un cœur. La face postérieure ou supérieure du cœur est convexe; l'antérieure o
ure, comprend la pointe du cœur, et une partie de sa masse ; l'autre, postérieure , répond aux lobes du cœur. Cette scissure, très-l
qui se succèdent de haut en bas et d'arrière en avant, jusqu'au bord postérieur de la fosse cérébelleuse. Ces lobules sont : 1°
ns les mammifères. Les tubercules antérieurs sont plus grands que les postérieurs . Ils sont presque en entier formés de substance g
anglionnaire, et tranchent par leur couleur grise, sur les tubercules postérieurs qui sont blanchâtres. La relation des tubercules
épond à la corne inférieure est le lobe sphenoidal; enfin, à la corne postérieure du ventricule correspond le lobe occipital. Ces q
régions situées au-dessous; (c) d'autres, enfin, occupent les régions postérieures de l'hémisphère. a. La région, située au-dessus
le, qui est le sillon de Rolando. L'antérieur est le lobe frontal, le postérieur , à cause de ses rapports, est nommé lobe pariétal
de Sylvius, le lobe pariétal d'avec la région qui occupe l'extrémité postérieure de l'hémisphère. Cette scissure est la scissure p
pendiculaire externe. La région qu'elle limite, en avant, est le lobe postérieur ou occipital. Si, maintenant, nous écartons les
étages du lobe frontal sont horizontaux et parallèles. Leur extrémité postérieure se termine dans le pli frontal ascendant. Ce pli
rapport semblable entre les autres parties du cerveau et les parties postérieures du crâne. C. Du lobe pariétal. hi. uu loue pari
comprend deux plis, savoir : 1° un pli ascendant, qui forme la marge postérieure du sillon de Rolando; 2° un pli courbe. Ce pli, d
mporo-sphénoïdal comme résultant d'une inflexion en avant de ces plis postérieurs . Cette manière de voir pourrait être appuyée sur
lobe occipital, que leur développement excessif refoule à l'extrémité postérieure du cerveau. J'insiste ici sur ces faits dont l'im
'hémisphère sur sa face interne où elle se termine en regard du genou postérieur du corps calleux. Nous lui donnons le nom de scis
du lobe occipital et se dirige presque horizontalement vers le genou postérieur du corps calleux. Au delà de ce point elle longe
la scissure dont nous parlons fait saillie à l'intérieur de la corne postérieure du ventricule latéral, et suit sous la forme d'un
e est compris entre la scissure perpendiculaire interne, et la partie postérieure de la scissure des Hippocampes. Ce lobe, de forme
rêle. Il se continue avec le pli marginal supérieur derrière le genou postérieur du corps calleux, et mériterait en conséquence le
ement relatif de l'espace compris entre le corps calleux et la pointe postérieure de l'hémisphère. 2° Une plus grande profondeur
ieure de l'hémisphère. 2° Une plus grande profondeur de l'extrémité postérieure de la scissure des hippocampes. 3° Une sorte de
pport nécessaire entre le développement des deux vertèbres crâniennes postérieures , et le développement de telle ou telle région des
e commissure des hémisphères, et plus particulièrement de leurs lobes postérieurs dans l'homme et dans les singes, est dans les aut
emble y avoir, entre le développement de ces lobes et celui des lobes postérieurs des hémisphères, une opposition constante. On peu
res superficielles des faisceaux moteurs et la totalité des faisceaux postérieurs échappent seules à cet arrangement. Cette struc
ie du bulbe. 67. Un autre fait est l'écurtement extrême des cordons postérieurs qui laissent complètement à découvert cette dilat
tre la commissure et le faisceau antérieur d'une part, et le faisceau postérieur de l'autre. La commissure augmente-t-elle d'épais
ugmente-t-elle d'épaisseur? le ventricule se dilate-t-il? les cordons postérieurs sont-ils écartés l'un de l'autre? il en résultera
iforme des auteurs comprend à la fois des fibres venant des faisceaux postérieurs et des fibres qui émanent du faisceau latéral. Ce
d'aller plus loin. Pour cela, je sépare de dehors en dedans le cordon postérieur de chaque moitié du bulbe, c'est-à-dire le corps
r des pressions et des tractions légères en partant du sillon latéral postérieur . On découvre aisément ainsi la face postérieure d
tant du sillon latéral postérieur. On découvre aisément ainsi la face postérieure des faisceaux latéraux. Cette préparation donne
ces fibres antéro-postérieures dont nous parlons naissent de la face postérieure des faisceaux moyens. Ainsi les fibres arciformes
iformes ne comprennent pas seulement des fibres émanées des faisceaux postérieurs , mais contiennent en outre une assez grande quant
stincte par l'épaisseur de ses fascicules. (é). Le groupe du cordon postérieur situé en dehors du système des fibres transversal
s. Ces fibres, ainsi que nous l'avons déjà dit, viennent de la face postérieure des faisceaux moyens, se dirigent sous la couche
ne passage au prolongement des pyramides vers le cerveau, leurs bords postérieurs se confondent et n'en font réellement qu'un seul.
t il faut tenir compte. 11 est certain, en effet, que les faisceaux postérieurs , tels qu'ils étaient constitués dans les corps re
nt des masses cérébelleuses ; nouveau mode d'épuisement des faisceaux postérieurs , dont la moelle épinière ne nous avait offert auc
ert aucun exemple. Dans la moelle, en effet, les fibres des cordons postérieurs s'épuisent au centre de ses axes gris ; ici, au c
rps restiformes, je veux dire cette partie bien distincte des cordons postérieurs brachiaux et des funicules grêles supérieurs qui
sur la connaissance de ces particularités d'organisation du faisceau postérieur sur lesquelles nous avons, avec tant d'insistance
lecteurs. Maintenant quel sera le trajet des fibres qui, du cordon postérieur de la moelle, se portent vers les pédoncules céré
doncules cérébraux? Il semble que la partie superficielle des cordons postérieurs s'arrête aux corps restiformes, et qu'il n'y ait
e, en effet, que de suivre avec certitude la continuation des cordons postérieurs vers le cerveau, au delà du calamus. On doit, pou
à celui du côté opposé. Dans cette partie de son trajet, le cordon postérieur a plusieurs satellites. Nous signalerons, en prem
doncule supérieur du cervelet; situé en dehors et au-dessus du cordon postérieur , il se divise de la même manière et se p#rte dans
l'aqueduc de Sylvius et dont le bord antérieur touche à la commissure postérieure . Cette voûte, formée par le rapprochement des c
e postérieure. Cette voûte, formée par le rapprochement des cordons postérieurs et des pédoncules cérébelleux d'un côté, et de ce
ore plus par la terminaison de cette commissure, qui touche à la face postérieure du tuber cinereum, et au-devant de laquelle le ve
si les trous nombreux qui lui ont valu le nom d'espace cendré perforé postérieur ne diffèrent point de ceux que présente la commis
upérieur que composent essentiellement des fibres émanées des cordons postérieurs de la moelle, du nerf acoustique et du pédoncule
prolongements des cordons antérieurs et ceux qui émanent des cordons postérieurs de l'axe, représente assez bien les cornes spongi
cyclopédie anatomique, Paris 1843, t. IV, p. 222. gements du cordon postérieur , du nerf acoustique et du pédoncule supérieur du
les se terminent toutes deux en s'unissant au-devant de la commissure postérieure et au-dessous de la glande pinéale. Les parties
les cérébraux proprement dits, et des fibres émanées soit des cordons postérieurs , soit des pédoncules supérieurs du cervelet, soit
ervelet, soit du nerf acoustique. Quant à ce prolongement du faisceau postérieur qui se dirige vers les champs olfactifs, il chemi
se jette directement dans la base du lobe olfactif. Ainsi le faisceau postérieur fournit successivement des divisions au cervelet,
leurs, que ces faisceaux comprennent à la fois des fibres des cordons postérieurs et des cordons latéraux du bulbe. Il nous reste
pédoncules cérébelleux supérieurs et aux prolongements des faisceaux postérieurs vers le cerveau; par deux bandelettes superficiel
antérieurs sont presque exclusivement formés de substance grise, les postérieurs ont une écorce mince de fibres blanches. Les cell
Vicq-d'Azyr (3) signalait « certaines circonvolutions de l'extrémité postérieure du cerveau dans l'épaisseur desquelles la substan
suivre la courbe du corps calleux, dont il embrasse le bord ou genou postérieur , et revenir à son point de départ, en doublant ex
ème forment un faisceau distinct qui marche parallèlement à la région postérieure de la scissure des Hippocampes, dans l'épaisseur
ui la limite inférieurement; un autre faisceau parallèle, né du genou postérieur du corps calleux, se porte vers les extrémités oc
s qui s'en détache dans l'homme, revêtent le côté interne de la corne postérieure du ventricule latéral ; si donc, nous les divison
eure du ventricule latéral ; si donc, nous les divisons vers le genou postérieur du corps calleux, de manière à renverser, vers le
ert l'étage inférieur du ventricule latéral, et la cavité de sa corne postérieure . 3° Cette préparation fort simple permet d'aper
cette portion de la bandelette de la voûte qui se porte dans le genou postérieur du corps calleux. En outre, on aperçoit, dans tou
'elle, un premier plan de fibres parallèles. Ce plan émane du genou postérieur du corps calleux; ses fibres antérieures touchent
sement il n'y avait, dans cette enucleation régulière du prolongement postérieur qui loge la cavité ancyroïde, quelque chose d'émi
leur point d'émergence. Elles se fasciculent étroitement, et les plus postérieures se rassemblent toutes dans le genou postérieur du
itement, et les plus postérieures se rassemblent toutes dans le genou postérieur du corps calleux; après avoir passé la ligne médi
arties du bord supérieur de l'hémisphère qui sont en arrière du genou postérieur du corps calleux. Mais, à partir de ce point, il
. Dans tous ces animaux, sauf les Phoques et les Cétacés, l'extrémité postérieure du cerveau dépasse à peine le corps calleux, et p
a un volume médiocre. Il s'enroule comme à l'ordinaire sur la partie postérieure des couches optiques, où il se renfle en un corps
du pédoncule, se porte immédiatement dans toute l'étendue des régions postérieures des hémisphères. Ce plan provient essentielleme
supérieur où ses fibres peuvent être suivies jusqu'en regard du genou postérieur du corps calleux. Il est certain que ce système v
és un mouvement de torsion qui ramène en avant les fibres de son bord postérieur ; celles-ci se terminent immédiatement dans les pl
ière dans l'intérieur du cornet pédonculaire, s'appliquent à sa paroi postérieure , et, se prolongeant jusqu'à l'extrémité du lobe o
plans ne peuvent être distingués avec évidence qu'en arrière du genou postérieur du corps calleux, ou au-dessous de la scissure de
sceaux que je croyais en connexion avec les prolongements des cordons postérieurs de l'axe dans le cerveau. Mieux préparé depuis ce
doncules, d'autres fibres qui proviennent du prolongement du faisceau postérieur et d'une des racines de la cinquième paire; 2°
ar sa grandeur et la richesse de ses plis, n'a point de prolongements postérieurs , et laisse le cervelet à découvert. C'est, à cet
l antérieur de la moelle, elle ne porte point de ganglions; la racine postérieure porte un ganglion, de là le nom de racine ganglio
là le nom de racine ganglionnaire; elle se rattache au sillon latéral postérieur de la moelle et plonge dans l'arête grise gélatin
centre, toute l'épaisseur des cordons latéro-antérieurs. B. Racines postérieures ou ganglionnaires. Elles plongent dans les sillon
s se continuent avec les fibres nerveuses qui composent les faisceaux postérieurs , les autres, soit directement, soit par l'intermé
les autres, soit directement, soit par l'intermédiaire des faisceaux postérieurs , se portent dans les tranchants postérieurs des a
termédiaire des faisceaux postérieurs, se portent dans les tranchants postérieurs des axes gris et pénètrent dans le domaine des co
t l'aire des cornes gélatineuses. Ainsi, parmi les fibres des racines postérieures , quelques-unes vont, comme certaines fibres des r
es; il admet, en conséquence, deux paires nerveuses crâniennes, l'une postérieure , l'autre antérieure. La paire nerveuse postérie
râniennes, l'une postérieure, l'autre antérieure. La paire nerveuse postérieure comprend le pneumogastrique, le glossoj haryngien
lion analogue aux ganglions intervertébraux, représentent les racines postérieures des nerfs rachidiens. La paire nerveuse antérie
ébraux et qui, par sa grosse racine, représente très-bien les racines postérieures des nerfs spinaux; b, du nerf de la troisième pai
e est la vertèbre occipitale. La deuxième a pour corps le sphénoïde postérieur , pour arc supérieur ses grandes ailes et les pari
teurs, auxquelles nous donnerons ici le nom d'os palatins sphénoïdaux postérieurs . Celle-ci est la vertèbre sphéno-pariétale. La
n de ces organes, à savoir : l'acoustique pour le trou de conjugaison postérieur , l'optique pour le moyen, l'olfactif pour l'antér
ontaire, et en réalité les choses se passent ainsi. Ainsi, la paire postérieure comprend, outre le nerf acoustique, des nerfs de
erge des cordons moyens du bulbe, dans le voisinage du sillon latéral postérieur , par un certain nombre de filets radiculaires, do
vaires, immédiatement au-devant des corps restiformes, contre le bord postérieur de la protubérance annulaire. Malacarne disait av
ce antérieure du bulbe, au côté externe de la pyramide contre le bord postérieur de la protubérance. On peut suivre ses racines en
ue ses racines semblent naître, derrière les tubercules quadrijumeaux postérieurs , de la valvule de Vieussens. Mais ce n'est là qu'
petit pinceau gris tombe de l'intervalle des tubercules quadrijumeaux postérieurs sur cette commissure. Ce pinceau est le frein de
s accessoires. Elle est par conséquent presque limitrophe des cordons postérieurs . x. Troisième paire, paire ethmoïdale. Elle ne
spond à la première série des nerfs moteurs et représente les racines postérieures ou ganglionnaires des nerfs rachidiens. La second
s. 1° Le nerf maxillaire inférieur passe par le trou de conjugaison postérieur , et par conséquent concourt à la formation de la
occupe, dans toute l'étendue de la moelle, le fond du sillon latéral postérieur . Ainsi cette racine du trijumeau appartient à la
ur. Ainsi cette racine du trijumeau appartient à la série des racines postérieures des paires spinales. A cette racine sont annexé
le cérébelleux supérieur, et descend avec un prolongement du faisceau postérieur jusque dans les parties grises de l'anneau pédonc
ctive qui, dirigée un peu en avant, continuerait le sillon collatéral postérieur de la moelle, une série de filets dont les plus é
t les filets originels du Pneumogastrique. Ce nerf, comme les racines postérieures spinales, naît par conséquent du faisceau médulla
nes postérieures spinales, naît par conséquent du faisceau médullaire postérieur qui, parvenu au niveau et en arrière du bulbe, de
corps restiformes avec lesquels leurs fibres se confondent ; l'autre postérieure qui remonte avec les corps restiformes vers le ce
faisceau est la troisième racine, il suit le prolongement du faisceau postérieur qui se dirige vers le centre des couches optiques
ie dans la base des lobes olfactifs. Ce prolongement suit le faisceau postérieur comme le précédent. Ainsi, de même que l'acoustiq
Ainsi, de même que l'acoustique est lié à la division de ce faisceau postérieur qui va vers le cerveau, de même celui-ci accompag
édant d'arrière en avant. La première comprend deux régions : l'une postérieure , est Y arrière-cerveau; l'autre vient ensuite, c'
ieure, est Y arrière-cerveau; l'autre vient ensuite, c'est le cerveau postérieur . La deuxième dilatation a reçu des embryotomist
ique du tube primitif comprend : 1° l'arrière-cerveau ; 2° le cerveau postérieur ; 3° le cerveau moyen; 4° le cerveau intermédiaire
régions. L'arrière-cerveau correspond à ce qui sera plus tard l'angle postérieur du quatrième ventricule, c'est-à-dire le bec du c
r du quatrième ventricule, c'est-à-dire le bec du calamus. Le cerveau postérieur en sera l'angle II. 15 antérieur; lo cervea
point répond chez l'adulte au bec du calamus, c'est-à-dire à l'angle postérieur du quatrième ventricule. La région qui s'étend de
comprise entre les deux corps restiformes— de C en D, est le cerveau postérieur . Cette région correspond chez l'adulte à l'angle
bord qu'une lame transversale appliquée à la paroi dorsale du cerveau postérieur . Les tubercules quadrijumeaux ou lobes optiques s
'est encore qu'une lame mince, tendue derrière la vésicule du cerveau postérieur ; quant aux hémisphères du cerveau antérieur, sem
édiaire se soulève, s'atrophie, et ses résidus attachés à l'extrémité postérieure de la fente qui en résulte, donneraient, suivant
ainsi d'avant en arrière, finira par recouvrir l'ensemble des régions postérieures de la masse encéphalique. Ces réflexions m'ont pa
quatrième ventricule était divisé en deux régions secondaires: l'une postérieure horizontale, l'autre antérieure presque verticale
érences. Les plis du cerveau n'apparaissent qu'au moment où ses lobes postérieurs ont recouvert et même dépassé le cervelet; les pl
du sillon médian antérieur, tandis que l'autre pénètre dans le sillon postérieur . L'adossement des deux feuillets qui forment ces
oint au plancher du quatrième ventricule, mais elle complète sa paroi postérieure en recouvrant ses valvules latérales, puis elle s
e s'insinue entre ces valvules et la luette, se réfléchit sur la face postérieure du voile transversal qui unit les deux lobules de
— « La convexité supérieure répond à la concavité légère des a lobes postérieurs du cerveau. » Ce repli est tendu entre les gout
. Les deux extrémités de ce canal s'inclinant vers les trous déchirés postérieurs , où elles s'unissent aux golfes des veines jugula
. Le sinus longitudinal supérieur s'unit de son côté avec l'extrémité postérieure du sinus droit, et tous deux à la fois ils commun
avons décrits plus haut par les sinus suivants : 1° Le sinus pétreux postérieur étendu le long du bord supérieur du rocher, entre
grand nombre de brides fibreuses qui l'unissent au ligament vertébral postérieur . Le mode d'attache de ces brides varie beaucoup (
t compris entre la série des racines antérieures et celle des racines postérieures . Si le sac formé par la dure-mère était lâche e
un grand nombre. Ces nerfs, suivant M. Remak, proviennent des racines postérieures . Ils forment des réseaux très-riches dont les pro
, se recourbe en dehors, puis en arrière, et se distribue aux parties postérieures des hémisphères sous le nom d'artères cérébrales
parties postérieures des hémisphères sous le nom d'artères cérébrales postérieures ou profondes. Une division considérable de ces tr
es, désignées sous le nom de communicantes, unissent les cérébrales postérieures aux troncs des carotides, à leur entrée dans la c
nfin dans le sinus longitudinal supérieur. 2° Les veines cérébrales postérieures . Elles s'ouvrent dans les sinus latéraux près des
es trois anneaux osseux primitifs composent la voûte du crâne. L'une, postérieure ou occipitale, loge essentiellement le cervelet.
on prolonge en effet du côté de la face un plan idéal suivant le bord postérieur des arcades zygomatiques, on verra que le bord in
, mais dans la race blanche elle s'incline davantage vers les parties postérieures . Cette inclinaison dépend d'une particularité ana
arque une sorte d'antagonisme entre la partie antérieure et la partie postérieure du crâne; dans certains crânes où Y occipital et
On sait qu'une crête plus ou moins saillante, qui fait suite au bord postérieur des apophyses orbitaires, s'élève sur chacun des
Mais, dans la race blanche, cette largeur maximum correspond au bord postérieur de ses régions temporales, en sorte que ces régio
tal est beaucoup plus rapproché de son bord antérieur que de son bord postérieur . Mais peu à peu le pariétal pousse de telle sorte
racine du nez à l'occiput. 0,179 0,i77 0,177 Hauteur mesurée du bord postérieur du trou occipital, au point opposé de la suture
moyenne en deux arcs dont l'antérieur é- gale........0,258 et le postérieur . . 0,256 Ces résultats, ainsi qu'on peut le voi
le sens commun; celles de la partie moyenne, la raison; celles de la postérieure , la mémoire. En effet l'imagination habitait les
it les ventricules antérieurs ; la pensée les ventricules moyens, les postérieurs logeaient la mémoire. Cette opinion était celle d
s ; quant aux facultés instinctives, leurs organes occupent la région postérieure et inférieure de la tête. Chacune de ces facultés
on n'a pas conscience, et l'organe du sentiment ; enfin, le ganglion postérieur , qui correspond au cervelet et à l'organe de l'ou
penchants et la volonté se trouvent clairement indiqués à la vertèbre postérieure ou occipitale, la vie végétative et le sentiment
rié. Il est certain que les racines antérieures sont motrices, et les postérieures sensitives. Coupe-t-on les premières, le nerf per
ques signes de douleur qui disparaissent d'ailleurs quand les racines postérieures adjacentes ont été divisées. Kroncnbcrg expliquai
s fibres récurrentes qui des racines antérieures passeraient dans les postérieures au point de leur union (1); mais une expérience d
s antérieures. Ainsi, toute sensibilité dépend en réalité des racines postérieures , et l'exception apparente est ramenée à la règle.
rente est ramenée à la règle. On peut donc affirmer que les racines postérieures sont seules et exclusivement sensitives, mais il
ent antérieur, quant aux parties qui reçoivent leurs nerfs du segment postérieur , elles sont désormais complètement insensibles. E
e rnedullœ spinalis, mens integerrima superest (1). Mais le segment postérieur ainsi séparé du cerveau conserve la vie qui lui e
apparentes qu'après la décapitation. Un fragment détaché de la partie postérieure d'un ver est dans un état convulsif d'agitation,
ntérieurs étaient le tronc commun des racines motrices, les faisceaux postérieurs étaient celui des racines sensitives. Il y a à
s antérieurs partageaient les propriétés des racines motrices, et les postérieurs celles des racines sensitives. Magendie (2) pench
racines antérieures président aux mouvements de flexion. Les cordons postérieurs et les racines (1) An idea of a new anatomy of
(3) De medulla spinali nervisque ex eâ prodeuntibus. Turin, 1823. postérieures aux mouvements d'extension. Ces derniers tiennent
bile expérimentateur voyant la sensibilité persister dans les parties postérieures du corps après la section des cordons postérieurs
r dans les parties postérieures du corps après la section des cordons postérieurs , en conclut que la substance grise transmet les i
x qu'avait obtenus Bellingeri (1). Il divisa sur un lapin le cordon postérieur droit, vers la première vertèbre lombaire. Le mou
roit, vers la première vertèbre lombaire. Le mouvement de l'extrémité postérieure fut conservé de ce côté, mais la sensibilité y fu
e eut lieu dans le côté opposé. La section transversale des cordons postérieurs à la région dorsale donna lieu à des résultats di
le donna lieu à des résultats différents. Le mouvement des extrémités postérieures fut d'abord affaibli, mais la sensibilité persist
heures après, le lapin marchait comme dans l'état normal. Les parties postérieures à la blessure parurent alors plus sensibles que l
la moelle, pratiquée de manière à ne laisser entiers que les cordons postérieurs , la sensibilité des membres abdominaux fut, au co
La sixième expérience mérite d'être particulièrement notée. Le cordon postérieur gauche de la moelle fut divisé dans la région cer
sultats se mêlent à ceux-ci. Ainsi, après la section des deux cordons postérieurs dans cette région, la sensibilité des extrémités
des extrémités antérieures est détruite, tandis que celle des cordons postérieurs se conserve. L'inverse arrive pour le mouvement,
uvement, car il persiste dans les membres antérieurs, et non dans les postérieurs . Dans une autre expéi-vence, notre auteur divise
nt affaibli. Il coupe enfin vers la région dorsale l'un des cordons postérieurs , la sensibilité des membres postérieurs fut conse
gion dorsale l'un des cordons postérieurs, la sensibilité des membres postérieurs fut conservée, et du côté de la lésion elle fut p
ier l'hypéresthésie que suit dans certains cas la section des cordons postérieurs , et dans le cas de la section d'un seul de ces co
dans les pattes de derrière après la section transversale des cordons postérieurs , mais il n'aperçut point les effets croisés signa
que le mouvement, affaibli pour un temps après la section des cordons postérieurs , finit par se rétablir complètement, tandis que l
ière section épuise bien plus la force nerveuse que celle des cordons postérieurs . Rolando coupa les cordons postérieurs. Le mouv
rveuse que celle des cordons postérieurs. Rolando coupa les cordons postérieurs . Le mouvement fut anéanti dans les parties située
timent, loin de là, il combat cette opinion. Suivant lui, les cordons postérieurs et les cordons antérieurs conduisent également la
s-unes offrent des faits d'hypéresthésie après la section des cordons postérieurs . Un canard, sur lequel celte section avait été pr
nard, sur lequel celte section avait été pratiquée, avait les membres postérieurs si sensibles qu'il criait pour peu qu'on fît mine
ofessaient l'opinion que les faisceaux antérieurs sont moteurs et les postérieurs sensi-tifs, d'autres attribuaient aux premiers le
'après lui, les cordons antérieurs sont exclusivement moteurs, et les postérieurs exclusivement sensitifs. Ce fait est nettement ét
'animal, après quelques heures, ta plus légère excitation des parties postérieures suffisait pour faire donner à l'animal des signeâ
té où la moelle avait été tranchée. Après la section des deux cordons postérieurs , le sentiment persistait encore dans les pattes d
sculaires, dont les cordons antérieurs, séparés à la fois des cordons postérieurs et du cerveau, sont le principe, pour peu qu'ils
a substance grise de la moelle, Van Deen ne déshérite pas les cordons postérieurs de leur fonction sensitive. Il admet, il est vrai
i, qu'aucune fibre nerveuse ne se rend immédiatement dans les cordons postérieurs , et que toutes pénètrent d'abord dans la substanc
ce grise ; mais il pense que cette substance les transmet aux cordons postérieurs , qui les conduisent jusqu'au cerveau, où elles dé
prouvé que toutes les fibres centripètes, que comprennent les racines postérieures des nerfs spinaux, remontent en réalité jusqu'à l
ait même dans le train de derrière, après la section des deux cordons postérieurs à la région cervicale, l'hypothèse la plus probab
nt essentiel dans la moelle épinière. Il suffit, dit-il, du tranchant postérieur des axes gris pour conduire les impressions, et d
une manière à peu près unanime à considérer les cordons antérieurs et postérieurs comme servant exclusivement, les uns au mouvement
chiens, que les cordons antérieurs sont exclusivement moteurs, et les postérieurs exclusivement sensitifs. Tous ceux qui ont assist
Il admet, comme M. Longet l'avait démontré avant lui, que les cordons postérieurs ne sont que sensibles. Il fait remarquer toutefoi
gments de la moelle, suffit pour entretenir la sensibilité du segment postérieur . Si l'on enlève toute la substance grise de man
thésie singulière connue en partie de Fodera, qui affecte les parties postérieures à la section du côté lésé, ce qu'il explique, mai
e grise. Il constate la diminution de la sensibilité dans les parties postérieures du côté sain, fait vu autrefois par Fodera (1). I
section de la moelle. La sensibilité, dit-il, persiste dans le membre postérieur du côté de l'hémisection ; elle y est même exagér
emier connaître un fait singulier. Si, après avoir divisé les cordons postérieurs , on détache ces cordons dans la longueur d'un cen
es, par une section médiane, anéantit la sensibilité des deux membres postérieurs . M. Brown Séquard ajoute que la même opération pr
dans ces membres, tandis qu'elle demeure entière dans les extrémités postérieures . Ces expériences concluantes, en apparence au m
région de la cinquième, l'animal perd tout mouvement dans les pattes postérieures , mais le sentiment n'y est pas détruit, et la pat
pour transmettre le sentiment, il suffit chez ces animaux d'un quart postérieur de la moelle (2). Dans ce que M. Brown Séquard
ersonne aujourd'hui ne doute que les fibres qui composent les cordons postérieurs ne soient exclusivement en rapport avec la sensib
propres. Il est bien certain que les faisceaux lombaires des cordons postérieurs s'atténuent de plus en plus en passant de la régi
s fibres excitables dans les nerfs le soient de même dans les cordons postérieurs ; tous les expérimentateurs du moins s'accordent-
ines inférieures des pneumogastriques et les tubercules quadrijumeaux postérieurs ; 2° qu'elle n'est pas seulement l'agent immédiat
s constaté une certaine tendance au recul après la section de la face postérieure du bulbe ; si un seul cordon restiforme a été tra
nt inconnues. M. Longet a constaté l'extrême sensibilité de la face postérieure de la protubérance, mais il attribue cette sensib
ette sensibilité aux fibres ascendantes qui proviennent des faisceaux postérieurs de la moelle. Ce physiologiste admet en outre que
s des deux membres antérieurs, et que leurs radiations dans les lobes postérieurs du cerveau partagent le même rôle. Nous reviendro
bué aux corps striés une influence toute particulière sur les membres postérieurs , cette influence était partagée par leurs radiati
les lobes antérieurs du cerveau. Ainsi la couche optique et les lobes postérieurs du cerveau présidaient au mouvement des bras, les
une suite de culbutes en avant; et quand on coupe le i canal vertical postérieur , l'animal fait une suite de culbutes « en arriè
ant et se porte vers le cerveau. La troisième (pédoncules cérébelleux postérieurs , ou corps restiformes) se dirige en arrière vers
supérieur détermine une suite de culbutes en avant celle du pédoncule postérieur une suite de culbutes en arrière; on produit des
es parties antérieures sur les mouvements en avant, et de ses parties postérieures sur les mouvements en arrière. M. Flourens conclu
re les nerfs de ces canaux et les trois ordres de fibres antérieures, postérieures , ou transverses, qui composent le pédoncule céréb
émisphères agissaient sur des parties différentes du corps. Les lobes postérieurs présideraient aux mouvements des bras, et les lob
12 (1844) Traité complet de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système nerveux cérébro-spinal. Première partie. Anatomie
aux. S, corps géniculé interne. S', corps géniculé externe. T, partie postérieure du cotylédon ventriculaire de la couche optique.
u renflement lombaire. FIGURE 2e. Cette figure représente une vue postérieure de la moelle épinière et de la moelle allongée d'
D, tubercules quadrijumeaux antérieurs. D', tuber-cules quadrijumeaux postérieurs . + +, lieux d'origine des nerfs pathéti-ques. Y,
postérieurs. + +, lieux d'origine des nerfs pathéti-ques. Y, régions postérieures du tronçon pédonculaire du cerveau. N, ré-gion an
ft, corps rhomboïdal. X, corps ou faisceau resti-forme. Y, pyramides postérieures ; le sommet de ces pyramides se continue à droite
s la région lombaire de la moelle. ZZZZ, lignes d'origine des racines postérieures des nerfs spinaux. M, faisceau latéral de la moel
u renflement lombaire. FIGURE 4e. Cette figure représente une vue postérieure de la moelle épinière, sur laquelle les faisceaux
usqu'à l'extrémité de la région lom-baire de la moelle, ces faisceaux postérieurs ont été enlevés jusqu'à l'axe de la moelle. S,
aux. + +, origine des pathétiques. B, valvule de Vieussens. Y, région postérieure ; N, région antérieure du tronçon pédonculaire du
dans celle des n° 2, 3, 4, 5, la lettre p indique toujours le sillon postérieur . La lettre a, le sillon antérieur. R, le corps
ntérieures des nerfs spinaux, r indique le lieu d'origine des racines postérieures . Les lettres ap continuent à désigner le sillon a
es lettres ap continuent à désigner le sillon an-térieur et le sillon postérieur . Dans la coupe du n° 5 et dans les suivantes ju
est destinée principalement à faire voir la continuation du faisceau postérieur de la moelle épinière dans le faisceau restiforme
de la moelle allongée ; la continuation de ce dernier dans la région postérieure ou supérieure du tronçon pédonculaire du cerveau,
de la couche opti-que , et celle du tractus optique avec cette partie postérieure ou supérieure du tronçon pédonculaire du cerveau.
du cerveau. Pour montrer .clairement la continuité de cette région postérieure du tronçon pédonculaire avec le faisceau postérie
de cette région postérieure du tronçon pédonculaire avec le faisceau postérieur de la moelle, on a coupé le pédoncule externe du
culaire de la couche optique. D, tubercules quadrijumeaux. Y', région postérieure du tronçon pédoncu-laire du cerveau. N , région a
ravers le faisceau externe du pédoncule cérébelleux jusqu'au faisceau postérieur de la moelle allongée avec lequel il se com-bine.
e figure est encore destinée à montrer les prolongements du fais-ceau postérieur de la moelle dans la région postérieure du tronço
les prolongements du fais-ceau postérieur de la moelle dans la région postérieure du tronçon pédon-culaire du cerveau , et de plus
u cerveau , et de plus le passage de quelques fascicules du fais-ceau postérieur de la moelle dans les arcs transverses supérieurs
e la protubérance annulaire. Y, E, U', diverses régions du faisceau postérieur . H, fascicules pas-sant du faisceau postérieur da
es régions du faisceau postérieur. H, fascicules pas-sant du faisceau postérieur dans les arcs transverses les plus élevés de la p
portion de ce nerf. R R', grosse racine de ce nerf allant au faisceau postérieur et à Ja protubérance. QQ/ couches fibreuses combi
cérébelleux. E, racine de l'auditif. Y, corps restiforme. X, pyramide postérieure . L, sillon postérieur de la moelle épinière. F, p
de l'auditif. Y, corps restiforme. X, pyramide postérieure. L, sillon postérieur de la moelle épinière. F, pointe du calamus : de
doncule. W, pyramide antérieure. V, éminence olivaire. Y, Z, faisceau postérieur . 0, noyau cérébelleux. PL.2 PL. 3 Cette pla
ctif. CJC', coupe médiane du corps calleux. C'', prolongement conoïde postérieur du noyau cérébral. +, lieu de concours de l'extré
ce cercle fibreux avec le ruban fibreux de l'ourlet sous le bourrelet postérieur du corps calleux. 0, coupe médiane de la commis-s
u chiasma. K', tuber cinereum. M, éminence mamillaire. U U', faisceau postérieur de la moelle épinière. P, faisceau moyen. N, régi
aux. G, aqueduc de Sylvius. F, valvule de Vieussens. U U U', faisceau postérieur de la moelle allongée. B, fais-ceau antérieur de
irigées du voisinage des parties antérieures au voisinage des parties postérieures de la moelle allongée. Toutes ces stries ont rapp
de la région fasciculée du pédoncule le faisceau moyen et le faisceau postérieur du tronçon pédonculaire. Cette séparation a été p
protubérance procédant de la région fasciculée du pédoncule. C, raphé postérieur de la protubérance dans lequel s'entre-croisent d
antérieures. V, coupe des olives. F, pointe du calamus. X, pyramides postérieures . Y, corps resti-forme. FIGURE 5e. En même tem
du faisceau moyen, indiqué par les lettres A A A, d'avec le faisceau postérieur , dont les lettres YYSD marquent différentes régio
, lobule attenant au nerf auditif, bb, racine de ce nerf. X, pyramide postérieure , pointe du calamus. ij, corps restiforme. P, prot
al de la moelle allongée. 3, canal dans lequel s'engage le faisceau postérieur (corps restiforme) F F, nerfs de la septième pair
reuses aux-quelles étaient attachés les lobules digastriques. A, face postérieure du faisceau externe du pédoncule cérébelleux du c
es couches fibreuses ont été res-pectées du côté droit. G, échancrure postérieure de la grande circonfé-rence du cervelet. FIGURE
moelle allongée à la surface du plancher ventriculaire. X, pyra-mide postérieure , Y, corps restiforme. I, faisceau latéral de la m
brane fibreuse émanée de l'auditif. N, région fasciculée. Y, région postérieure du tronçon pédonculaire du cerveau. H, trijumeau.
de ce nerf se portant obliquement vers le trijumeau. X, prolongement postérieur de la même membrane allant au lobule adjacent, x
res de ces nerfs au delà du chiasma et du chiasma lui-même à la marge postérieure du quadri-latère perforé, k, commissure antérieur
uche, a, diago-nale blanche du quadrilatère perforé allant de l'angle postérieur externe à l'angle antérieur interne de ce quadril
xtrémité antérieure de l'hémisphère elle décrit jusqu'à son extrémité postérieure un grand arc de cercle qui forme la limite in-ter
nd fragment de cette grande ligne circonvolutionnaire. De l'extrémité postérieure de l'hémisphère elle se porte ensuite à l'extré-m
econd fragment de cette ligne cir-convolutionnaire se porte à l'angle postérieur aigu de la scissure, voy. en E E E ce second frag
ons dans toute sa longueur. Le troisième frag-ment , lèvre inférieure postérieure de la scissure, se porte de E'", angle aigu de la
e entre le groupe en croissant et le groupe quadrilatère. P, scissure postérieure au groupe quadrilatère. FIGURE 2p. Face conve
hère cérébral du côté gauche. D , extrémité antérieure. D', extrémité postérieure de l'hémisphère. D , aaaaaaa' D', segment supér
. K, traverse pariétale antérieure incomplète. S, tra-verse pariétale postérieure incomplète, ff' {", ligne circonvolutionnaire sim
e de celte figure, en arrière sur la ligne médiane en C, le bourrelet postérieur du corps calleux ; en X, la commissure postérieur
en C, le bourrelet postérieur du corps calleux ; en X, la commissure postérieure , et au-devant de cette commissure l'aqueduc de Sy
upe du tubercule quadrijumeau antérieur ; en Q, la coupe du fais-ceau postérieur ; en P, la coupe du faisceau moyen, séparée comme
térieur; en P, la coupe du faisceau moyen, séparée comme le fais-ceau postérieur par la couche noire de Sœmmerring indiquée par le
e l'autre côte du cer-veau. De F, scissure de Sylvius , en Z , partie postérieure de la grande scissure, on voit se développer la z
t les mêmes anastomoses autrement con-figurées. O, partie du fragment postérieur de la circonvolution d'enceinte de la scissure de
de l'angle anté-neurde la scissure à la partie interne de l'extrémité postérieure du cerveau. I 1, traverse médio-pariétale allant
pitale allant de l'angle aigu de la scissure de Sylvius à l'extrémité postérieure de l'hémisphère. Outre ces trois lignes principal
re la traverse médio-pariétale on voit en N N une traverse parié-tale postérieure . En 0 0 0 se trouvent quelques lignes circonvol
deux branches si flexueuses dans la figure 1re. La traverse pariétale postérieure N est incomplète aussi ; toute la partie postérie
averse pariétale postérieure N est incomplète aussi ; toute la partie postérieure de cet hémisphère est constituée par quelques amp
ière / / H. Sur l'hémisphère droit il n'y a pas de traverse pariétale postérieure , la médio-pariétale s'est bifurquée en X, N'. Sur
hémisphère gauche, on voit en N' un fragment de la traverse pariétale postérieure . O, O. O, indiquent la tra-verse occipitale. Ce
D D marquent la grande circonférence de l'hémisphère. M, la scissure postérieure . M', le fond de cette scissure saillant dans le v
du corps calleux. Q, grosse extrémité de la corne d'Ammon. a\ pointe postérieure du ventricule. O. entrée de la scissure de Sylviu
doncule. Y, faisceau moyen. X X', deux régions distinctes du faisceau postérieur . Y, couche blanche qui sépare ces deux régions du
postérieur. Y, couche blanche qui sépare ces deux régions du faisceau postérieur l'une de l'au-tre, et la plus interne du faisceau
ce coupée en travers. P, protubérance. V, faisceau moyen. Y, faisceau postérieur . A, ventricule cérébelleux. B, portion fibreuse d
l'ourlet et insérées obliquement à ce ruban dans la direction du bord postérieur du quadrilatère. bf/, petite branche de l'ourlet
en regard de la bosse frontale. K', pointe du prolongement conoïde postérieur du noyau cérébral. Cette pointe correspond au pro
postérieur du noyau cérébral. Cette pointe correspond au prolongement postérieur du ventricule et se trouve en regard de la bosse
voir en raccourci une partie de ses faces latérales. Y X f, parties postérieures du bulbe rachidien. C, partie médiane an-térieure
iane an-térieure du corps calleux. C, partie médiane de son bourrelet postérieur . d, tractus médians antéro-postérieurs. a, tubéro
eurs. a, tubérosités antérieures du corps calleux, a', sommet du cône postérieur du noyau cérébral. J, partie fran-chement transve
icule. Q Q, fibres prolongées de cette région tem-porale dans le cône postérieur . FIGURE 2«. Cette figure représente une vue d
J, partie transversale, a, tubé-rosité antérieure, a', pointe du cône postérieur du noyau. 6, région de ce noyau répondant à la co
te notre figure. P', bulbe rachidien. P , protubérance. Le faisceau postérieur de la moelle se prolonge de Y Y' en G jusqu'au ni
ns les parties supé-rieures du cervelet, de cette portion du faisceau postérieur qu'on appelle le corps restiforme. q q 0/ montren
testes bientôt réuni en G avec les prolongements di-rects du faisceau postérieur Y'. On voit en— des prolongements radiculai-res d
diculaires du nerf optique prolongés dans la di-rection G du faisceau postérieur , ou bien les fibres de ce faisceau prolon-gées de
oûte. O , com-missure antérieure. M, éminence mamillaire. X, partie postérieure du cotylédon ventriculaire de la couche optique.
res enlevés pour laisser voir derrière G L, prolongements du faisceau postérieur de la moelle N N', les prolongements de son faisc
uc de Sylvius au trou de Monro U. M, éminence mamillaire. V , branche postérieure du pilier antérieur de la voûte. V'. branche anté
est caché par le tractus optique et les racines grises. P, faisceau postérieur , se retournant sur l'arête interne du quadrilatèr
bres de la saillie centrale S rattachées à la bran-che P' du faisceau postérieur . 0, commissure antérieure. TT, fibres qui, des pr
commissure antérieure. TT, fibres qui, des prolongements du faisceau postérieur et du faisceau moyen dans la région de l'espace p
la précédente. N, région fasciculée. M, faisceau moyen. P, faisceau postérieur pro-longé en P' dans l'espace perforé, r r, radic
icules blanches de l'olfactif rat-tachées à la branche P' du faisceau postérieur . On voit, de plus que dans la figure précédente
ulée du pédoncule; M, son faisceau moyen; P, une branche du fais-ceau postérieur détournée dans la diagonale P' de l'espace perfor
FIGURE 7e. N, région fasciculée. M, faisceau moyen. P P, faisceau postérieur . P7, prolongement de ce faisceau dans l'espace pe
foré. 0 , angle antérieur de la couche optique rattaché à ce faisceau postérieur . A A A, bandelette demi-circulaire émanée du même
rayon antérieur. A B, rayon latéral an-térieur. A E C , rayon latéral postérieur . A I I F, rayon postérieur ouvert dans l'interval
latéral an-térieur. A E C , rayon latéral postérieur. A I I F, rayon postérieur ouvert dans l'intervalle de 1 I, condyles de l'oc
, rayon antérieur. 1-2, rayon latéral anté-rieur. 4-3 , rayon latéral postérieur . 1 -f -|- 4 , rayon postérieur ouvert en -|—h par
atéral anté-rieur. 4-3 , rayon latéral postérieur. 1 -f -|- 4 , rayon postérieur ouvert en -|—h par le trou occipital. Cette pla
13 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
es à disposition transversale; mais si la zone d'entrée des racines postérieures est aussi atteinte, à la topogra- phie transver
ngitudinale, radiculaire ; enfin si cette zone d'entrée des racines postérieures est la seule lésée, la dis- position des troubl
ouvait s'ex- pliquer par une lésion des fibres d'entrée des racines postérieures puisque la substance grise confine à cette zone
oignet et ne dépassant pas la ligne médiane des faces antérieure et postérieure des bras (Planche II). Le territoire de l'analg
de démarcation passe par la partie médiane des faces antérieure et postérieure des bras ; au niveau de l'épaule elle va rejoindr
mun et propres des doigts, les muscles propres du pouce, le cubital postérieur , le cubital antérieur, les fléchisseurs des doigt
g et court extenseur du pouce, l'exten- seur de l'index, le cubital postérieur , le cubital antérieur, le rond pronateur, les p
ieure et la partie moyenne, encore un peu affaiblies dans la partie postérieure . Au bras les muscles animés par le nerf musculo-c
res mus- cles de l'avant-bras, extenseur commun des doigts, cubital postérieur , muscles propres du pouce, de l'index et du pet
, un groupement interne C celui du triceps bracliial, un groupement postérieur D, celui des mus- cles de l'avant-bras ; une lé
harynx, du larynx, ne sont pas atteints. Les muscles de la région postérieure du tronc, qui d'après l'anamnèse ont été pris l
pour fonctions de redresser la tête (splénius, com- plexus, droits postérieurs de la tête, etc.) et les muscles des gouttières v
is. Les mouvements des muscles du bras, région antérieure et région postérieure , le sont également mais dans de moins grandes p
re les jambes en demi-llexion. 36 LONG Les muscles de la région postérieure de la jambe et de la plante du pied fonctionnen
ge de quinze ans environ, par les muscles de la nuque, de la région postérieure du tronc et de la ceinture pelvienne. Aggravati
ne dépasse pas 50-, et est arrêtée par les rétractions des muscles postérieurs de la cuisse (biceps, muscles de la patte d'oie
tion portée sur eux produise en même temps l'excitation des membres postérieurs (jumeaux). « En aucun point, on ne constate de
ombaire, mais sans scoliose ; l'inclinaison soit an- térieure, soit postérieure , soit latérale du tronc est possible, mais limité
vait été provoquée par l'action prédominante des muscles de la loge postérieure . Dès lors, étant donné que tout processus myopa
ques muscles. Dans les nerfs grand-sciatiques, cruraux et tibiaux postérieurs , il n'y a pas de réaction faradique, ni galvani
paralysie motrice, plus ou moins complète, des muscles de la région postérieure des cuisses, des muscles de la jambe et des pieds
hésie, totale on dissociée, qui occupe la partie médiane de la face postérieure des cuisses et des jambes, le bord externe de la
résultats normaux. Aux membres inférieurs, les muscles de la région postérieure de la cuisse et tous les muscles de la jambe ét
Adroite, la paralysie intéressait également les muscles de la face postérieure de la cuisse, ceux des mollets, ainsi que les e
t été constatés à l'exploration des 86 RAYMOND muscles de la face postérieure de la cuisse, du jambier antérieur, des ex- ten
rieurs, incomplète; à gauche, elle intéresse les muscles de la face postérieure de la cuisse et ceux de la jambe. A droite, ell
ées et de la cinquième paire lombaire, anime les muscles de la face postérieure de la cuisse, tous les muscles de la jambe et d
innervation du plexus sacré : muscles fessiers ; muscles de la face postérieure des cuisses ; muscles des jambes et des pieds, ta
nférieure. Assez souvent elle envahit. la partie médiane de la face postérieure de la cuisse, plus rarement la partie médiane d
ostérieure de la cuisse, plus rarement la partie médiane de la face postérieure de la jambe et le bord externe du pied. Il ne s
rotum, aux par- ties adjacentes de la région fessière et de la face postérieure de la cuisse. Incidemment, je vous rappelle que
rescence très prononcée et des cordons posté- rieurs et des racines postérieures sacrées avant leur entrée dans la moelle. On peut
re à peu près à égale distance de son pôle antérieur et de son pôle postérieur que se trouve la masse des noyaux gris. Ils son
arcot sous le nom d'artère de l'hémorragie céré- brale. Le groupe postérieur ou lenticulo-optique répond au segment postérieur
brale. Le groupe postérieur ou lenticulo-optique répond au segment postérieur de la capsule interne et se termine à la partie
e et antérieure delà couche optique. - . Enfin l'artère cérébrale postérieure envoie à la couche optique plusieurs branches :
branches : ' Les artères optiques inférieures; L'artère optique postérieure et interne; L'artère optique postérieure et ext
ieures; L'artère optique postérieure et interne; L'artère optique postérieure et externe. De l'origine même de ces différents
t et le creux de l'aisselle a pris une forme particulière. La paroi postérieure est élar- gie, formée par les muscles grand ron
symptômes d'une hémiplégie droite (destruction primitive du segment postérieur de la capsule interne). Le professeur von Strüm
oins prises et le minimum d'altérations se constate dans le cerveau postérieur . Les voies pyramidales sont normales et les cor
sensitivo-sensoriels antérieurs font leurs images sur la convexité postérieure des hémisphères ; la tactilité superficielle et p
cutanées, articu- laires et tendineuses, véhiculées par les racines postérieures , et nous rensei- gent sur l'orientation et les
rmis supérieur et les circonvolu- LE SENS DES ATTITUDES 177 tions postérieures du cervelet. Par le pédoncule supérieur, le noyau
t nous avons parlé plus haut. Une autre gravure d'une époque un peu postérieure (époque Louis XIV) retrace une scène plus plais
psie, tumeur gliomateuse du volume d'une noix, siégeant à la partie postérieure de la troisième circonvolution frontale de l'hémi
e siège ft l'hémisphère gauche. On trouve sur celui-ci, à la partie postérieure du lobe frontal, une masse d'aspect glio- mateu
ur la plus grande est de 5 à 6 centimètres. Elle recouvre la partie postérieure des trois circonvolutions frontales en haut, et
ion générale. - Le crâne est petit, bien conformé quant à sa partie postérieure . Petits cheveux fins, assez nombreux. Les pavil
de l'ossification du crâne. Fig. 1. Vue supérieure. Fig. 2. - Vue postérieure . XY. Axe antéro-postérieur. - A. Encéphalocèl
donc sur la gauche à 45 millimètres d'écart de la par- tie médiane postérieure du crâne (dimension prise en suivant la courbure)
a courbure); elle a une hauteur maxima de 2 millimètres à son tiers postérieur et diminue graduellement pour se terminer après
fice des narines ; ce repli est plus marqué à droite. Sur un plan postérieur à ces ailes du nez se voient les fosses nasales,
é de champ et ne communique avec la cavité buc- cale qu'à sa partie postérieure . Pour interpréter cette malformation complexe,
es : une externe répondant la fossette olfactive primitive, l'autre postérieure s'ou- vrant dans la bouche. C'est bien ce qui e
voit sur la base du crâne. Après avoir fait sauter le pont ossifié postérieur , représentant la petite aile du sphénoïde, et o
- sure interhémisphérique. A la face externe gauche sur sa partie postérieure est un sillon très net repré- sentant la partie
partie postérieure est un sillon très net repré- sentant la partie postérieure de cette même scissure. La face externe droite
oite et d'avant en arrière, et qui s'arrête à 1 centimètre du tiers postérieur du sillon interhémisphérique. A 3 centimètres e
illimètres, sans circonvolutions marquées. En arrière de la lèvre postérieure de cette scissure est le reste de l'hémi. sphèr
tres et qui est débordé en arrière de 22 millimètres par la partie, postérieure de l'hémi- sphère droit. BULBE. - L'origine d
r la face inférieure du cervelet lui est perpendiculaire. La partie postérieure de la base du crâne a du reste, nous l'avons di
a du reste, nous l'avons dit, une forme en entonnoir. A la partie postérieure de l'origine de la moelle, la face postérieure de
tonnoir. A la partie postérieure de l'origine de la moelle, la face postérieure de celle- ci est escortée sur une longueur de 2
É RARE DE LA FACE ET DE L'ENCÉPHALE 233 234 UAUSHALTER ET BRIQUEL postérieure du bulbe et de la moelle. Peut-on l'interpréter c
l'angle à droite est à 18 millimètres de la ligne tangente au bord postérieur , le gauche à 22 millimètres de distance de cett
tance antéro-postérieure de 22 millimètres du plan tangent au bord postérieur du lobe droit. Régulièrement incurvée (concav
ance antéro-pos- térieure de 55 millimètres de ce même plan tangent postérieur , la scissure fait brusquement un angle légèreme
une dis- tance antéro-postérieure de 9 centimètres du plan tangent postérieur . Elle s'en- tr'ouvre peu à peu et laisse assez
: 23G MAUSUALTER ET BRIQUEL 3° Une postéro-inférieure, à la face postérieure de la deuxième cavité, de près de 10 millimètre
ient rappeler de très loin les commis- sures blanches antérieure et postérieure , on pourrait songera homologuer à la commissure
rs. La scissure de Sylvius est ici à peu près parallèle a la partie postérieure de l'encéphale, se relevant même vers la gauche
mêmes et courtes, à cause de la torsion vers la gauche de la partie postérieure de l'hémisphère droit. Les deux lobes tempora
déformation interviennent et se surajoutent : d'abord, à sa partie postérieure , l'action d'arrière en avant exercée z par la p
ie postérieure, l'action d'arrière en avant exercée z par la partie postérieure de l'hémisphère droit, et l'action à la fois d'av
t comme de larges fentes, diminuant de largeur à leurs extré- mités postérieure et inférieure, ne formant que des prolongements d
, est unique. Sa face antérieure est à peu près rectiligne. Sa face postérieure forme une courbe concave en ar- rière. Le canal
ée aplatie, ses bords quadrangulaires. Elle s'articule par son bord postérieur avec un os allongé, seul repré- sentant, ici, d
x, plus interne, semble s'articuler directement par son ex- trémité postérieure élargie avec l'os du tarse. Peut-être aussi cette
ieure élargie avec l'os du tarse. Peut-être aussi cette extré- mité postérieure s'articule-t-elle avec la malléole interne, mais
IÛâI ? è' 1 occipital. v ? « Le ramollissement occupe l'extrémité postérieure de la face interné. : de l'hémisphère gauche. C
tiers antérieurs du lobule lingual sont indem- nes ; mais le tiers postérieur est anéanti, à tel point que le quatrième sillon
lques adhérences superficielles et un peu diffuses dans les régions postérieures de la deuxième circonvolution pariétale, et de
e la presque totalité du cuneus et du lobule lin- gual. A la partie postérieure et inférieure du splenium divisé par une section
ine, en plein foyer de ramollissement. En dehors du foyer, la corne postérieure du ventricule latéral se prolonge sous l'aspect d
d). F, G. Deux coupes sagittales de l'hémisphère droit. A la partie postérieure du corps calleux on dis- tingue encore la tache
présentant des foyers nettement circonscrits au niveau de la région postérieure , avec une intégrité relative des régions antéri
lle occupant la partie antérieure et inférieure de la P2, la partie postérieure et inférieure de la P' et l'oper- cule pariétal
ulcérée sur toute sa longueur ; 4° Exulcérations sur les deux tiers postérieurs de la T'; 5° La T' est notablement atrophiée da
urs de la T'; 5° La T' est notablement atrophiée dans son cinquième postérieur ; elle est le siège d'ulcérations ; 6° Il exi
sion en foyer intéressant la région du centre de l'audition : tiers postérieur de la première temporale et circonvolution supr
oires corticaux et plus particulièrement des centres de la ré- gion postérieure . La lésion elle-même affecte alors parfois des ca
de la paralysie générale liée à l'existence, au niveau de la région postérieure , de foyers plus ou moins circonscrits de méningo-
s correspond très exactement au trajet intra-médullaire des racines postérieures , trajet établi par l'étude des dégénérescences se
scences secondaires consécutives aux lésions primitives des racines postérieures , par la patho- logie expérimentale, et par l'em
e expérimentale, et par l'embryologie, - on reporta sur les racines postérieures la systématisation qui avait été reconnue pour la
ion fondamentale du tabes devint une atrophie primitive des racines postérieures . ' C'était cependant là une formule trop exclus
formule trop exclusive, car ce ne sont pas seu- lement les cordons postérieurs de la moelle et les racines postérieures qui so
pas seu- lement les cordons postérieurs de la moelle et les racines postérieures qui sont atteints dans le tabes; il y a encore
rticulaires; le sympathique (Roux), etc... L'atrophie des racines postérieures , elle-même, devait être interprétée de diverses
racines et à la moelle. Quoi qu'il en soit, l'atrophie des racines postérieures occupe encore une place prépondérante dans l'an
matériel assez considérable, nous avons repris l'étude des racines postérieures , dans leur trajet intra et juxtaganglion- naire
uivant un axe transversal, effilée à ses deux extrémités. La racine postérieure l'aborde par son extrémité ou pôle central; ses
ère ces dernières fihres comme appartenant t au système des racines postérieures au même titre que celles qui s'éten- dent du ga
employer, de rap- peler en quelques mots les rapports de la racine postérieure avec les mé- ninges. A ce point de vue, la ra
ine postérieure avec les mé- ninges. A ce point de vue, la racine postérieure peut être divisée en trois seg- ments : le prem
(feuillet viscéral) et la dure-mère se réfléchissent sur la racine postérieure : ses faisceaux chemi- nent alors à l'abri d'un
bout périphérique (névrilemne). , C'est cette portion de la racine postérieure , dénommée par Nageotte le nerf radiculaire, qui
chacun d'un périnèvre. Par suite, la surface occupée par la racine postérieure s'accroît insensiblement au voisinage de sa pénét
s devons ajouter qu'il y a des variations nombreuses. Ici la racine postérieure commence à se dissocier assez haut, et donne nais
s de la racine antérieure. Cette brève revue anatomique des racines postérieures dans leur trajet juxta et intra-ganglionnaire a
i LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 295 des racines postérieures , et le parenchyme ganglionnaire. Elles permettent
n coupes perpendiculaires à l'axe et en série ainsi que les racines postérieures , depuis leur entrée dans le sac durai jusqu'au de
delà du ganglion. Dans tous ces examens, l'atrophie de la racine postérieure a pu être sui- vie sur toute la longueur de la
ganglion. Trajet sus-ganglionnaire. Dans plusieurs cas les racines postérieures se rendent directement dans le ganglion, sans ê
onnaire qui remontent plus ou moins haut sur le trajet de la racine postérieure ; la gaine dure-mérienne des racines posté- rieu
artiellement atrophié. Examen histologique. L'atrophie de la racine postérieure est due la la disparition ou à l'amincissement
lion et ne remonte pas sur le trajet sus-ganglionnaire de la racine postérieure . De même dans quelques cloisons interfasciculai
i fibreuse ex- trêmement épaisse, ayant refoulé en dehors la racine postérieure , ne contenant ni exsudât, ni amas nucléaires, n
osine, donne des indications intéressantes. L'atrophie de la racine postérieure peut être encore suivie sur toutes les coupes jus
ïdien ou un peu au-dessous les fascicules qui constituent la racine postérieure sont extrêmement grêles, entortillés et enroulés
ro-carmm en masse. (Zeiss Obj. D. Oc. 2.) Un fascicule de la racine postérieure au voisinage du ganglion. Le périnèvre, très ép
n à présenter sur une même coupe l'entrée et la sortie de la racine postérieure . Pour les ganglions de la région cervicale, la
cet exposé : 1° La topographie des lésions atrophiques des racines postérieures ; 2° L'histologie fine de ces lésions et les al
radiculaires. Région dorsale infé- rieure. - L'atrophie des racines postérieures existe dans le bout sus-ganglion- naire et se p
glion. Elle paraît même plus accentuée, pour les 10e et ]le racines postérieures , au voisinage immédiat, qu'à une certaine dista
aine distance du ganglion. Avant d'aborder le ganglion, les racines postérieures se divisent en un cer- 304 THOMAS ET HAUSER ,
erstitiel entre leurs fibres. Les vaisseaux inclus dans les racines postérieures sont nombreux ; leurs parois sont généralement
- ment normales. Région dorsale moyenne. - L'atrophie des racines postérieures existe à un degré analogue. On voit également a
ce niveau un peu plus grêles. Les enveloppes méningées de la racine postérieure sont à peine épais- sies. Les vaisseaux présent
longitudinales du 2e ganglion dorsal permettent de voir les racines postérieures à la fois dans leur portion sus et sous-ganglio
racines antérieures sur tout leur trajet. L'atrophie des racines postérieures jusque dans le ganglion ressort encore de l'exa
te atrophie. Nulle part on ne voit non plus les fibres de racines postérieures séparées par un tissu conjonctif plus abondant
if plus abondant qu'à l'état normal. Région lombaire. - Les racines postérieures dans leur portion sus-gan- glionnaire présenten
cervicale. Il n'existe nulle part de lésion appréciable des racines postérieures . La méthode de Marchi employée pour ces ganglions
n générale, aux régions lombaire et dorsale, l'atrophie des racines postérieures se poursuit jusqu'au ganglion, et dans l'intérieu
es coupes transversales, les fascicules qui constituent les racines postérieures ont un aspect général moins homogène qu'à l'éta
et à distance du ganglion. Les vaisseaux contenus dans les racines postérieures sont généralement lésés : leurs tuniques sont é
paraissent indemnes. En résumé l'atrophie des fibres radiculaires postérieures porte ici principa- lement sur la gaine myélini
ons (épaississement et transformation hyaline) que dans les racines postérieures . Résumé. - L'examen de ce cas nous montre les r
postérieures. Résumé. - L'examen de ce cas nous montre les racines postérieures atro- phiées dans leur portion sus-ganglionnair
laires et d'un léger épaississement des méninges autour des racines postérieures , mais nulle part on ne rencontre une proportion
que nous commence- rons cette étude. Dans tous les cas,la racine postérieure est atrophiée sur tout son trajet, jusque dans
t considéra- ble des cloisons conjonctives qui dissocient la racine postérieure en fascicules d'autant plus nombreux qu'elle se
la capsule ganglionnaire (au niveau de la pénétration de la racine postérieure ) sont extrêmement épaissies. Malgré cela, sur q
s tractus con- jonctifs. Dans la traversée du ganglion, les racines postérieures se comportent très différemment suivant qu'on e
RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 309 L'atrophie de la racine postérieure est due à la disparition d'un nombre considérab
sissement, on voit s'amincir leurs Dans le bout central aes racines postérieures et le poie centrai uu ganglion les uuic.) ont p
allongés ; ceux-ci paraissent beaucoup plus nombreux sur la racine postérieure que sur la racine antérieure, cette apparence est
tassement et au rapprochement des fibres atrophiées dans la racine postérieure , mais il y a là plus qu'une apparence, et il est
t il est évident que les noyaux sont plus nombreux dans les racines postérieures que dans les racines antérieures. Quant il l'ét
gaine quelquefois de si près : de sorte que l'atrophie de la racine postérieure se pré- sente comme une atrophie simple, sans e
mple, sans endonévrite. La portion juxta-ganglionnaire de la racine postérieure est particulièrement intéressante par l'épaissi
sont très irrégulièrement dis- tribuées sur le trajet de la racine postérieure et orientées sans ordre, ce qui explique la cou
rdre, ce qui explique la course irrégulière et sinueuse des racines postérieures . Mais ce n'est pas tout : entre les racines pos
es racines postérieures. Mais ce n'est pas tout : entre les racines postérieures et les gaines fibreuses formant leurs cloisons
s précédemment. Voyons maintenant les rapports généraux des racines postérieures avec la dure-mère et les cloisons conjonctives.
2.) 5e ganglion lombaire au voisinage de la pénétration des racines postérieures . Diminution du nombre des fibres à myéline des
utres l'accolement est moins intime. A part l'atrophie de la racine postérieure qui peut être poursuivie jusque dans le pôle mé
bien peu de chose à côté des altérations considérables des racines postérieures . Nous n'insisterons pas sur la pigmentation des
ire (portion intra- arachnoïdienne et région de Nageotte) la racine postérieure n'est pas mani- festement atrophiée. Dans le
hiée. Dans le trajet ganglionnaire et sous-ganglionnaire, la racine postérieure est absolument normale. En réalité,- il n'exist
aines de Schwann sont un peu plus nombreux par places sur la racine postérieure , au-dessus du ganglion. Le ganglion ne présen
iphérique du ganglion et la portion sous-ganglionnaire, la ra- cine postérieure est normale. La dure-mère et l'arachnoïde ne so
périnévritc analogues à celles qui ont été décrites pour la racine postérieure , mais elles sont moins intenses et cessent au n
rième ganglion lombaire gauche (coupé longitudinalement). La racine postérieure est atrophiée dans sa portion sus-ganglionnaire e
ssus les méninges ne sont pas très malades. L'atrophie de la racine postérieure n'est pas très accentuée, elle contient encore
n lombaire gauche (coupé transversalement). L'atrophie de la racine postérieure peut être suivie sur toutes les coupes jusque d
ériphérique du ganglion et la portion sous-ganglionnaire, la racine postérieure est normale. L'atrophie n'est pas très prononcé
glion lombaire droit (coupé longitudinalement). (Fig, 6). La racine postérieure est très atrophiée dans toute sa portion sus-gang
u- dessous du ganglion elle est normale. L'atropliie de la racine postérieure est due à la disparition de la plupart des gain
Ces lésions ne descendent pas au-dessous du ganglion. Les racines postérieures sont remarquables par l'abondance des éléments nu
.) A. - 4e ganglion lombaire droit. Coupe des racines antérieure et postérieure immédiatement avant leur pénétration dans le ga
immédiatement avant leur pénétration dans le ganglion, ' La racine postérieure est subdivisée en un grand nombre de fascicules,
ures. Ces deux coupes montrent combien diffère l'aspect des racines postérieures avant et après leur LÉSIONS RADICULAIRES ET GAN
droit (coupé perpendiculairement) (PI.XL, fig. A et B). La racine postérieure est atrophiée dans toute sa portion sus-ganglionn
he en faisceaux fibreux. Dans le pôle central du ganglion la racine postérieure est également atrophiée, tandis que dans le pôl
re elle redevient absolument normale. Sur les coupes de la racine postérieure , on remarque que la plupart des fibres à myélin
ces. Immédiatement au-dessous du cul-de-sac arachnoïdien, la racine postérieure est engainée par un tissu d'aspect amorphe, con
al droit (coupes longitudinales). Atrophie très légère de la racine postérieure dans sa portion sus-ganglion- naire ; sur une t
a gaine de Schwann un peu plus nombreux. A ce niveau même la racine postérieure est entourée d'une gaine fibreuse très épaisse,
ste des altérations semblables à celles qu'on observe sur la racine postérieure , c'est-à-dire des lésions de péri- névrite, mai
line et l'éosine, par le carmin. Sur tous ces ganglions la racine postérieure est atrophiée dans toute sa lon- gueur depuis l
naire et notamment au-dessous du cul-de-sac arachnoïdien, la racine postérieure suit un trajet irrégulier en raison de l'hypert
iphérique du ganglion et la portion sous-ganglionnaire, les racines postérieures sont normales. L'atrophie des racines postérieu
e, les racines postérieures sont normales. L'atrophie des racines postérieures est due à l'amincissement et à la dispari- tion
pés transversalement et par série. Sur toutes les coupes, la racine postérieure paraît nettement atrophiée. Dans LÉSIONS RADICU
sous du cul- de-sac arachnoïdien, la racine antérieure et la racine postérieure sont divisées en de nombreux fascicules, par l'
ue complètement défaut dans les fascicules appartenant il la racine postérieure . Les cloisons forment d'épais anneaux fibreux a
ine activité. où, dans les coupes passant par l'entrée de la racine postérieure et par le pôle médullaire, les fibres à myéline
Dans le reste du gan- glion et à leur pôle périphérique, la racine postérieure est certes plus riche en fibres à myéline, malg
une racine normale, et dans son trajet sous-ganglionnaire la racine postérieure paraît à peu près saine. Dans la portion sus-
orées par l'éosine e Fig. 7. - Four... (Observ. V). - Racine sacrée postérieure coupée transversalement dans la région du nerf
s conjonctives, les travées qui séparent les fascicules des racines postérieures à leur sortie du ganglion sont épaisses, les noya
éosine. 2° ganglion sacré (Coupes transversales sériées des racines postérieures et du ganglion). Les fibres radiculaires sont
ninges. La dure-mère est épaissie autour des racines antérieures et postérieures . Les fascicules de la racine antérieure sont en
rés d'un périnèvre fibreux épais. La gaine pie-mérienne des racines postérieures est le siège d'un processus inflammatoire très
Zeiss. Obj. A2, Oc.l. Epaississement de la gaine piale des racines postérieures , dont les fibres plus disso- ciées qu'à l'état
oit la réaction inflammatoire interstitielle augmenter. Les racines postérieures se subdivisent en nombreux fascicules mal délim
ues. A leur émergence du pôle périphérique du ganglion, les racines postérieures sont compactes et homogènes, il n'existe ni lés
re. - Les 3 ganglions ont été coupés longitudinalement. Les racines postérieures sont complètement indemnes, sauf quelques altéra-
es des 1 ? 3°, o°, 1 le et 12" dorsales, le ganglion et les racines postérieures ne présentent aucune altération notable des fib
aîner un bouleversement complet des fibres ner- veuses de la racine postérieure sur une certaine longueur.Sur les coupes trans-
elles. Les méninges sont très épaissies, surtout autour des racines postérieures (r). B. - Mêmes racines sectionnées plus près d
s racines sectionnées plus près du ganglion. Les fibres des racines postérieures (rp) sont refoulées et dissociées par des foyers
vons d'ailleurs avec les mêmes caractères sur le trajet des racines postérieures du 10r ganglion dorsal. Sur ce ganglion coupé l
qu'il existe, un peu au-dessus du point de pénétration des racines postérieures , et à la périphérie un petit espace de forme ov
Inclusion à la paraffine. Dans tous les cas l'atrophie de la racine postérieure existe dans toute la portion sus-ganglionnaire
on sous-ganglionnaire. Dans sa portion sus-ganglionnaire, la racine postérieure suit un. trajet ex- trêmement irrégulier à caus
ET HAUSER Dans le pôle central du ganglion, l'atrophie des racines postérieures se voit encore nettement, mais sur quelques gan
moins accentuée que dans la portion sus-ganglionnaire. La racine postérieure n'est plus représentée que par des gaines de Schw
avant leur réunion et la consti- tution du nerf mixte. La racine postérieure est atrophiée dans la portion sus-ganglionnaire e
ion. Un peu au-dessus de sa pénétration dans le ganglion, la racine postérieure est dissociée en plusieurs fascicules par des c
re. Les méninges sont légèrement épaissies. L'atrophie de la racine postérieure est due à l'amincissement et à la dispa- rition
anglion est cou- pé longitudinalement. Dans tous ces cas, la racine postérieure est atrophiée dans son trajet sous-arachnoïdien
s ou moins atrophié. Les noyaux sont plus nombreux dans la ra- cine postérieure que dans la racine antérieure. Les vaisseaux ne p
inales du 3e ganglion lombaire gauche et ses racines antérieures et postérieures adjacentes, montrent une di- minution notable d
son trajet. Un manchon méningitique assez épais enveloppe la racine postérieure ; il est fibreux à sa périphérie, mais ses couc
aisses et hyalines. On ne voit pas ce tissu pénétrer dans la racine postérieure qui reste presque indivise avant d'aborder le g
pes perpendiculaires sériées. ., L'atrophie des fibres radiculaires postérieures est très nette jusqu'au gan- glion. A une pet
une coque extrêmement épaisse étrangle les fascicules de la racine postérieure et la racine antérieure est elle-même entourée d'
tractus épais qui pénètrent entre les fascicules. Dans la racine postérieure , l'inflammation ne s'arrête pas à la périphérie
ranche- ment colorées dans le segment sus-ganglionnaire des racines postérieures ; leur diminution, leur teinte terne et grise a
A gauche coupe de la racine antérieure normale. A droite la racine postérieure très dégénérée est dissociée en nombreux fascic
pe d'un cylindraxe sont en petit nombre. Les racines antérieures et postérieures sont accolées en canon de fusil, et l'enveloppe
eures sont denses, compactes, colo- rées en noir franc, les racines postérieures ne contiennent plus qu'un très pelit nombre de
profondément dégénéré, la portion sous-gan- glionnaire des racines postérieures forme un faisceau aussi dense, aussi compact qu
eures et finalement disparaître à peu près au niveau où les racines postérieures pénètrent dans le ganglion. Cette particula- ri
s racines antérieu- res qui lui sont accolées. Autour des racines postérieures , le feuillet arachnoïdien est également épaissi
ions mentales très différentes les unes des autres (1). Des travaux postérieurs tendirent à montrer que, si opposées qu'elles f
a ligne médiane, mais épargnant néanmoins quelques zones de la face postérieure du même côté gauche du corps. A la plante du pi
uche du corps. A la plante du pied, à la région lombaire, à la face postérieure de la cuisse, la sensibilité aux trois modes pe
rtie moyenne tandis que le talon antérieur, les orteils et le talon postérieur sont bien marqués. Dans la seconde, les orteils
on myotonique. En électrisant les muscles du mollet et de la région postérieure de la cuisse avec un fort courant et des interm
e rencontre,précisément, dans ces muscles du mollet et de la région postérieure de la cuisse qui semblent se contracter trop et
s la moelle ; mais il en est (notamment, obs. II et X) où la racine postérieure est au contraire plus atteinte dans sa portion im
n cas nous n'avons constaté ce fait. En ce qui concerne les racines postérieures , il est donc nettement établi que leur atrophie
en effet, tandis 414 THOMAS ET HAUSER que dans certaines racines postérieures les fascicules comptent sur une coupe transvers
ure-mère (épsttévile). Enfin sur celte dernière portion des racines postérieures on observe LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIR
le remaniement amené par le processus néoplasique clans les racines postérieures est énorme. Ces racines sont subdivisées en 30
un bou- leversement dans l'architecture de cette partie des racines postérieures . Cette assertion ne doit, il nous semble, être
u'à -i l'état normal et augmentent la surface de coupe de la racine postérieure . Les fascicules jusque là groupés et compacts s
certains cas (Obs. X et XI), est aussi marquée que sur les racines postérieures ; mais d'une façon générale s'y montre beaucoup
ren- contre avec une certaine fréquence soit au niveau des racines postérieures , soit dans le ganglion. Nous avons vu, par les
e question, nous envisagerons tout d'abord l'atro- phie des racines postérieures en elle-même, nous rechercherons ensuite quelle
uite quelle en est la cause. Le processus dégénératif des racines postérieures est un processus d'a- trophie simple, la gaine
ue des racines. Il est assez fréquent que dans le tabès les racines postérieures soient atrophiées jusque dans le ganglion, et c
que l'un de nous a déjà constaté sur des dissociations de' racines postérieures traitées par l'acide osmique (4); l'atrophie de
d. (5) Philippe. Thèse de Doctorat, 1897. 422 THOMAS ET IIAUSER postérieures est donc un processus segmentaire. C'est un proce
e type segmentaire que nous avons observé dans l'examen des racines postérieures diffère par bien des points de celui qui a été
il fant admettre que le processus habituel d'a- trophie des racines postérieures dans le tabes est un processus de dégéné- resce
es sont pour quelques auteursproportionnel les à celles des racines postérieures , ce n'est pas pour d'autres une règle absolue. Or
sur les dissociations, sous le même aspect que celles des ra- cines postérieures : comme Shaw (2) l'a constaté, comme l'un de nous
s de même nature et peut-être de même origine que celle des racines postérieures . Les théories qui n'ont eu en vue que la dégéné
dans l'ombre les altérations des nerfs cutanés : après les racines postérieures ce sont les nerfs qui dégénèrent le plus souven
s appartiennent tous deux au même neurone : l'alrophie de la racine postérieure remonte plus rapidement vers le centre que celle
autant plus fréquentes et plus intenses que les fibres de la racine postérieure sont plus atrophiées dans le trajet sus-ganglio
chez l'adulte ; et Marinesco con- clut que la sclérose des cordons postérieurs n'est pas sous la dépendance de ces lésions.
ue dans les cas de tabès anciens, la lésion des fibres de la racine postérieure est susceptible de remonter jusqu'à la cellule d'
ns la cel- lule le ]Jl'i1lltl1ll 1nOl'ens de l'atrophie des racines postérieures et de la sclérose des cordons postérieurs ? C'e
e l'atrophie des racines postérieures et de la sclérose des cordons postérieurs ? C'est là une hypothèse qui soulève de grosses
nombre des cellules devrait être égal à celui des fibres de la racine postérieure et du bout périphérique ; or les opinions des a
ganglions du lapin : dans le premier, aux 3173 fibres de la racine postérieure correspondent 20.361 cellules ganglionnaires, d
les ganglionnaires, dans le deuxième aux t.2T[0 fibres de la racine postérieure correspondent 27.618 cellules xv 28 426 THOMA
est le centre trophique de chacun d'eux. Or dans le tabes la racine postérieure dégénérée au-dessus du gan- glion, retrouve au-
s ont en effet démontré que la section du bout central de la racine postérieure n'a aucun retentissement sur la cellule d'origi
tion porte sur le bout central ou le bout périphérique de la racine postérieure ; ne peut-on alors supposer et déduire qu'à son
n trophique de la cellule est beaucoup moins intense pour la racine postérieure que pour le nerf péri- j ' ganglionnaires. Il
nstance qu'on n'observe pas de fibres régénérées dans les ra- cines postérieures , viendrait à l'appui de la théorie cellulaire du
tabes. Nous rappellerons toutefois qu'après la section des racines postérieures , Wagner n'a pas constaté de névromes de régénér
syringomyélie, de, névromes de régénération, à l'entrée des racines postérieures dans la moelle (Raymond) (1). Il est en somme
tions de la fibre les plus éloignées du centre du neurone (cordons, postérieurs d'une part, nerfs cutanés de l'autre), et d'aut
ns à l'étal normal ,son influence trophique, c'est-à-dire la racine postérieure . La théorie cellulaire du tabes et plus particu
as dans le ganglion rachidien, mais sur le trajet même de la racine postérieure depuis le ganglion jusqu'à la moelle qu'il faut
'à la moelle qu'il faut chercher la cause de l'atrophie des racines postérieures . D'après Obersteiner et Redlich (1), les racine
cines postérieures. D'après Obersteiner et Redlich (1), les racines postérieures sont atteintes primitivement au niveau de l'étr
al. En outre, si c'est là tout d'abord le point faible de la racine postérieure , on ne se rend pas bien compte que celle-ci dég
es telles que la syringomyélie qui dé- truisent souvent les racines postérieures jusqu'à leur pénétration dans la moelle et qui
llélisme entre la névrite transverse et la dégénération des cordons postérieurs . (1) Obersteiner et RGDLICIi, Arbeit. aus Prof.
t intervenir, à aucun titre, comme cause de l'atrophie de la racine postérieure , d'autre part, la péri- névrite qui est loin d'
al de notre obs. VI; nous avons constaté sur le trajet de la racine postérieure des lésions conjonctives inflammatoires extrême
sion de rencontrer sur les autres racines, et malgré cela la racine postérieure est à peine dégénérée au-dessus et au-dessous d
e lésions n'évoluent donc pas toujours simultanément et les racines postérieures sont dégénérées parfois jusque dans le ganglion
eurs dans certains cas de méningo-myélite syphilitique, les racines postérieures sont parfois plon- gées dans une pachyméningite
le moins du monde souffert. Comme pour celle qui entoure la racine postérieure , elle présente ce caractère particulier de ne p
au cours de plusieurs examens, une atrophie légère., - de la racine postérieure au niveau et au-dessus du nerf radiculaire peut
n effet, que dans le tabes ce ne sont pas seule- z ment les racines postérieures et les nerfs cutanés qui sont.malades, mais - e
tion de l'origine cellu- laire peut se poser comme pour les racines postérieures et les nerfs cuta- nés ; toutefois les cellules
avec de Mas- sary une altération de structure constante des racines postérieures , car sur quelques ganglions normaux elle fait c
atteignent à l'état normal, du fait de la subdivision de la racine postérieure , une éten- due, une surface, un nombre beaucoup
ntervenir comme lésion initiale dans la dégénérescence de la racine postérieure que la méningite spinale : dans la sclérose des c
ente aussi, comme marque distinctive, son élection pour les racines postérieures ; en raison de sa marche lente et progressive e
oute spéciale du processus dégé- nératif sur les fibres des racines postérieures , il y a peut-être lieu de faire intervenir dive
els que les lésions de méningite étagées sur le trajet de la racine postérieure , la névrite transverse de Nageotte ou même quel
rophique s'exerce moins activement sur le bout central de la racine postérieure que sur son bout périphérique. Enfin, il est enco
aussi être mis en cause dans le processus d'a- trophie des racines postérieures et dans l'inflammation de la région de Nageotte
ent le long du trajet du sciatique, dans les fesses, dans la partie postérieure des cuisses et jusque dans les jambes. Elles ét
la partie interne de chaque fesse et à la partie médiane de la face postérieure de chaque cuisse; elle intéressait il la fois la
e côté, la partie interne de la fesse, la partie médiane de la face postérieure de la cuisse et, à gauche seulement, la plante
ment, la plante du pied. Plus tard, l'anes- thésie a envahi la face postérieure des jambes. Enfin l'examen des poumons a fait c
té, à la partie interne de la fesse, à la partie médiane de la face postérieure de la cuisse et de la jambe et, à gauche, à la pl
érieurs parle dans le même sens. En effet, les téguments de la face postérieure de la cuisse et de la jambe tirent leur innerva
, l'existence d'une parésie motrice, limitée aux muscles de la face postérieure de la cuisse, aux mus- cles de la jambe et du p
est limitée par une ligne horizontale qui passe par l'épine iliaque postérieure ; en bas, elle se prolonge le long de la partie m
; en bas, elle se prolonge le long de la partie moyenne de la face postérieure de la cuisse, en se rétrécissant de plus en plus
rieure de la cuisse, en se rétrécissant de plus en plus ; à la face postérieure du mollet, elle se réduit à une étroite languette
ques mots : Parésie motrice, très prononcée, des muscles de la face postérieure de la cuisse, des muscles de la jambe et du pie
rinée, de la partie adjacente de la fesse, se prolongeant à la face postérieure de la cuisse, sous la forme d'une bande dont la
la fesse, et se prolongeant le long de la partie médiane de la face postérieure de la cuisse, avec participation de la plante et
ulaire massive ; elle est prononcée surtout dans la loge musculaire postérieure de la cuisse et au mollet. La fesse gauche y pa
atrophie musculaire massive, prédo- minante aux muscles de la face postérieure de la cuisse et à ceux du mollet, et d'un abais
u plancher, entre le faisceau solitaire et le faisceau longitudinal postérieur ; il est limité par un sillon d'oedème; dans son
leux disséminés (Pl. LVI, fig. J, K, L, M). Ce foyer entame la lame postérieure de l'olive, la moitié antérieure de la racine d
par une cavité remplie de corps granu- leux. Il sectionne la moitié postérieure du ruban de Reil, les régions internes de la su
ques fascicules de l'hypoglosse; il entame le faisceau longitudinal postérieur et se place au hile de l'olive de manière à int
nterne où elles se groupent dans la ré- gion postérieure'dû segment postérieur ; s'agit-il là d'une dégénérescence rétrograde
te en avant, séparées par un espace relativement sain. Dans la zone postérieure , il ne reste plus une fibre saine. Cette zone r
e une topographie spéciale ; ces fibres consti- tueraient la partie postérieure de la couche interolivaire et se myélinise- rai
; or, précisément L on remarquera que, dans notre cas, où la région postérieure de la couche interolivaire était plus atteinte
intacts dans son épaisseur. Pourtant Bechterew admet que les fibres postérieures de la couche interolivaire occupent plus haut l
ban de Reil médian prend, au voisinage des tubercules quadrijumeaux postérieurs , la forme d'un L; la brancheantéro-postérieure, m
n arrière où il est sons-jacentau bras du tubercule quadrijumeaux / postérieur , puis'plus haut au corps genouillé interne. J.
ticulée qui avoi- sine le ruban de Reil et le faisceau longitudinal postérieur , on aperçoitdes faisceaux longitudinaux dégénér
ines diverses et en particulier des fibres du faisceau longitudinal postérieur atteintes par le foyer F2. Au-dessus des foye
dans la substance réticulée et siégeant sur les côtés de la portion postérieure de la formation réticulée blanche, comme ceux q
F2. Un certain nom- bre de ces fibres se recourbent dans la portion postérieure de la substance réticulée grise pour pénétrer d
ée blanche, formant un trait d'union entre le faisceau longitudinal postérieur et le ru- ban de Reil, sans qu'on puisse établi
emonte et disparaissent avec la calotte. Le faisceau longitudinal postérieur gauche présente au-dessous du foyer F2 une dégé
en réseau les corps restiformes et vont se grouper dans leur angle postérieur (Pl. LVI, LVII, fig. L, M, N, 0). Elles monte
entre l'embolus et l'olive, ainsi qu'à la face interne de la moitié postérieure de l'olive où elles prennent part au plexus int
sceau cérébelleux direct ; 5° une lésion du fais- ceau longitudinal postérieur gauche avec dégénération descendante ; 60 une d
s altérations du ruban de Reil sont surtout intenses dans la partie postérieure de la couche interolivaire où siègent les fibre
nt du noyau grêle auquel aboutissent les fihres longues des racines postérieures des membres inférieurs. Si à la face l'anesthés
e vraisemblance que ces fibres passent par le faisceau longitudinal postérieur , qui a de nombreuses connexions avec les noyaux
la droite plus petite que la gauche; or les faisceaux longitudinaux postérieurs sont atteints, le droit plus que le gauche. Au
s cellules de Purkinje ont complètement disparu... « Dans la partie postérieure du lobe atrophié, la lésion est très intéressante
S PROTOPLASMIQUES DES CELLULES NERVEUSES DES CORNES ANTÉRIEURE ET POSTÉRIEURE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE CHEZ DES enfants NOUVEA
inière, mais encore des coupes longitudinales, détachant les cornes postérieures des cornes antérieures à l'aide d'une coupe, pass
prolonge- ments protoplasmiques des cellules nerveuses de la corne postérieure et de la corne antérieure de la moelle épinière
le trajet des dendrites des saillies en formes de verrues. Cornes postérieures . - Les prolongements protoplasmiques des cellules
stance blanche. Les contours des dendrites des cellules de la corne postérieure sont moins réguliers (voy. fig. 4). que ceux de
es. Il faut encore noter que les dendrites des cellules de la corne postérieure sont plus courtes et se rami- fient plus que ce
scourt, tantôt plus long et ordinairement épaissi au bout. Cornes postérieures . - Les prolongements protoplasmiques des cellules
es prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses de la corne postérieure , outre qu'ils sont comparativement plus courts
ements protoplasmiques de certaines cellules nerveuses de la écorne postérieure , au contraire, le nom- bre d'appendices collaté
une cellule nerveuse, située dans la sub- stance grise de la corne postérieure , avec des dendrites courtes, ayant des contours
in avec un épaississement sphérique au bout (voy. fig. 8). Cornes postérieures . - Ici on rencontre assez souvent des cellules ne
miques des cellules nerveuses de la corne antérieure et de la corne postérieure ; dans les cornes anté- rieures, dans tous nos
us longs et très pauvres en appendices collatéraux; dans les cornes postérieures , les den- drites sont courtes, plus ramifiées,
de dire si l'on est en présence de cornes antérieures ou de cornes postérieures . Pourtant, il nous faut dire que dans les corne
ornes postérieures. Pourtant, il nous faut dire que dans les cornes postérieures on rencontre parfois des dendrites pauvres en a
raux, appartiennent aux cellules menues, peu nombreuses de la corne postérieure , avec des prolongements courts; mais en outre,
fois que le prolon- gement protoplasmique de la cellule de la corne postérieure , richement couvert d'appendices collatéraux à f
ans l'un de nos ouvrages précédents. L'une des cellules de la corne postérieure , dont les dendrites étaient tout à fait privées d
es collatéraux. Ensuite, sur les dendrites des cellules de la corne postérieure , outre les appendices collatéraux, dans tous les
5 538 SOUKLIANOFF ET CZARNIECK des cellules nerveuses de la corne postérieure ; on n'en voit pas sur les prolongements protop
ement aussi, on observe sur quelques-unes des dendrites de la corne postérieure un état monili(01'1ne. Bien plus souvent on peut
e dans l'aspect des dendrites de la corne antérieure et de la corne postérieure ; là il y avait aussi approximativement la même
ules de Pur- kinje, du cervelet, la plupart des cellules des cornes postérieures de la moelle épinière; quant aux cellules des c
ensitif. Des prolongements protoplasmiques des cellules de la corne postérieure de la moelle épinière sont, en somme, riches en
ranuleuses de la taille de l'ongle d'un doigt, adhérentes à la face postérieure du liga- ment large. LE SQUELETTE.- Après avo
ophie, ni changement décoloration. Les nerfs olfactifs et la partie postérieure des lobes frontaux sont comprimés par la portio
plus bas sur jambes que le boeuf de sa race, a surtout des membres postérieurs peu, élevés ; tandis que c'est l'allongement de
ostérieurs peu, élevés ; tandis que c'est l'allongement des membres postérieurs qui, chez le boeuf, redresse la ligne du dos, q
14 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
arfois moyens de séparation : ex. au tronc, aponévroses pharyngiennes postérieures , cervico-thoracique, pelvienne; feuillets fibreux
isse du tympan, où elle forme également une poche ouvrant à la partie postérieure des fosses nasales par la trompe d'Eustache. Une
vée. Dans sa texture générale, la peau est plus épaisse sur la face postérieure , où il convenait que le tégument servît davantage
ple que dans un petit nombre de points , la surface du crâne, la face postérieure du bras, les régions dorsales de la main et du pi
rière, la ]3eau, très épaisse, est doublée par l'aponévrose cervicale postérieure ; en haut le limite du cou est formée par la base
um, par l'aponévrose cervico-thoracique. Sur les parties latérales et postérieures , il se confond avec la naissance des épaules, par
et l'œsophage, sont enveloppés par l'aponévrose commune pharyngienne postérieure , qui sépare les deux grands canaux aérien et alim
Le groupe antérieur moyen , circonscrit par l'aponévrose pharyngienne postérieure , renferme, d'avant en arrière, i° Dans la région
es constricteurs du pharynx, enveloppés par l'aponévrose pharyngienne postérieure . Chacune des parties latérales antérieures forme
e côté par la loge du muscle sterno-masloïdien. La moitié cervicale postérieure est séparée de la précédente par l'aponévrose pré
névroses d'insertion, qui prennent le nom d'abdominales antérieure et postérieure , sont les membranes de contention qui supportent
ention qui supportent le poids des viscères. En arrière, l'aponévrose postérieure du transverse, prolongement flexible des masses a
st fortifiée par deux autres aponé. vroses superposées à son feuillet postérieur , en arrière celle du grand dorsal, en avant la fo
marque au tronc; elle est âpre au toucher, dense, épaisse sur la face postérieure , et s'amincit graduellement du haut en bas et d'a
par leurs tendons la continuation du bras avec l'avant-bras. La face postérieure contient la grande loge ostéo-fibreuse de l'exten
rs des orteils et de l'extenseur du bord interne du pied , le jamhier postérieur . 4° Pied. (Pl. 1 2 et 13. ) Il est constitué en
tre considéré comme une voie de communication verticale. Le médiastin postérieur loge en arrière les gros vaisseaux sanguins et ly
'isolement avec le canal inguinal ; en dedans, par l'attache pubienne postérieure de ce ligament, formant une cloison triangulaire,
ngienne et pré-vertébrale qui séparent les deux moitiés antérieure et postérieure , la carotide primitive se maintient sans fournir
'isthme du gosier, et avec les fosses nasales par les deux ouvertures postérieures de ces cavités. Par l'intermédiaire des fosses na
la surface de la conjonctive par le canal nasal ; enfin, sur]sa paroi postérieure , le pharynx reçoit la terminaison de la trompe d'
uation, délimitation, configuration. Située à la partie inférieure et postérieure du crâne, convexe suivant ses deux diamètres vert
le trapèze, le splénius, les complexus, les petits droits et obliques postérieurs . 4° Vaisseaux sanguins. L'artère de cette région
u facial, la branche sous-mastoïdienne du plexus cervical, la branche postérieure du nerf sous-occipital, et quelques filets de la
elles sont les branches pariétales des temporales et des auriculaires postérieures ; sur le péricrâne, l'épanouissement des artères e
. RÉGION MASTOÏDIENNE. Située à la partie inférieure, latérale et postérieure du crâne, derrière et au-dessous de l'oreille.
cle occipital, et sur laquelle s'épanouit le petit muscle auriculaire postérieur . 3° Vaisseaux et Nerfs. Les artères et veines son
r. 3° Vaisseaux et Nerfs. Les artères et veines sont les auriculaires postérieures , anastomosées avec les branches des occipitales;
ns; les deux autres méats sont constitués en arrière par les cellules postérieures de l'ethmoïde et les sinus sphénoïdaux ; en avant
eure ; au milieu le buccinateur. Ce muscle forme à lui seul la moitié postérieure de la région génienne. Il est traversé horizontal
Situation, configuration, délimitation. Située à la partie latérale, postérieure et inférieure de la face, de forme quadrilatère,
par le bord libre de la mâchoire dans sa moitié antérieure, la moitié postérieure se confondant au-dehors avec la naissance du cou.
de et le muscle sterno-mas-toïdien, en arrière, et, en avant, le bord postérieur de la branche de la mâchoire, qu'elle embrasse su
s troncs fournissent les branches faciales, occipitales, auriculaires postérieures , pharyngiennes supérieures, massétérines externes
ieures : sus-hyoïdienne, sous-hyoïdienne, etsus-claviculaire ; et une postérieure : la région de la nuque. RÉGION SUS-HYOÏDIENNE1
ïde et le prolongement de ses grandes cornes, en dehors par la région postérieure et le bord antérieur du sterno-mastoïdien. Inclin
u plexus brachial ; en arrière, le triangle renfermé entre le scalène postérieur et le trapèze. C'est donc de l'appréciation exact
rdinairement, entre les scalènes est l'origine des artères scapulaire postérieure et cervicale antérieure. Toutes ces artères sont
URE '. Situation, configuration, délimitation. Formée par la partie postérieure du cou constituant la nuque, elle se compose de l
i 0 Peau. D'une épaisseur considérable, comme en général à la partie postérieure du tronc, sa texture est fibreuse et peu vasculai
t du clos, le transversaire épineux, et les petits droits et obliques postérieurs de la tête. 5° Vaisseaux. En petit nombre, ils se
es des scapulaires, et dans la hauteur du cou des vaisseaux cervicaux postérieurs et des petits rameaux des vertébraux. Outre les v
ellites des artères, il existe, en veines surnuméraires, la jugulaire postérieure et le réseau vertébral postérieur. 6° Nerfs. Ils
veines surnuméraires, la jugulaire postérieure et le réseau vertébral postérieur . 6° Nerfs. Ils sont fournis par les branches post
eau vertébral postérieur. 6° Nerfs. Ils sont fournis par les branches postérieures des paires cervicales et le nerf spinal. Les plus
de perforations produites par les fongus de la dure-mère. Les masses postérieures des vertèbres sont quelquefois le siège de fractu
iguration, délimitation. Située de chaque côté à la partie médiane et postérieure du dos, séparée de sa congénère par le grand sill
vertébrales. La peau y est épaisse et rude, comme dans toute la face postérieure , et fortement adhérente au milieu à la suture des
ses annexes. Les vaisseaux et les nerfs sont fournis par les branches postérieures des intercostaux. La région dorsale ne se disti
ppliqués eux-mêmes sur la carapace ostéo-fibreuse formée par les arcs postérieurs des vertèbres et des côtes, et par leurs appareil
nd oblique et le feuillet antérieur du petit; en arrière, le feuillet postérieur du petit oblique et celui du transverse. Sur le p
d dorsal et son aponévrose, et plus profondément par le petit dentelé postérieur ; en avant et sur le côté, par les trois muscles l
carré des lombes, renfermés entre les trois feuillets de l'aponévrose postérieure , dite du transverse. Inféricurement, en arrière,
surface le plus important en chirurgie est le triangle aponé-vrotique postérieur , dit triangle de J.-L. Petit, devenu célèbre par
RAIRE '. Situation, configuration, délimitation. Située à la partie postérieure et inférieure du tronc, de forme rectangulaire ve
aponévrose du grand dorsal; 20 celle du petit oblique, ou le feuillet postérieur du transverse , qui se confond à sa partie supé-
Planche 1, n° 27 ; et planche 5. rieure avec celui du petit dentelé postérieur et inférieur ; 3° l'aponévrose lombo-iliaque, for
isseaux et les nerfs sont fournis par les lombaires dont les branches postérieures se distribuent dans la masse du sacro-spinal , le
al ou tenseur de la ligne blanche; (c) en arrière, le double feuillet postérieur aponévrotique qui cesse à un pouce et demi au-des
tes de ces os et les deux tubérosités des ischions ; dans le triangle postérieur par les deux ligamens sacro-sciatiques, étendus d
pubienne, soit par ramollissement, soit par une incision. Le triangle postérieur ne forme de saillie que sur le milieu, par le coc
rties constituantes analogues. Elles se composent de toute la portion postérieure ou des annexes de l'anus : la peau, le fascia sup
ral : d'abord l'aponévrose périnéale continue avec celle de la moitié postérieure ; au-dessus les muscles correspondant à ceux de l'
l'os coxal, de l'épine iliaque à l'épine pubienne. A la lèvre osseuse postérieure correspond une lèvre fibreuse antérieure formée p
itié interne, fermée clans l'angle pubien par l'attache aponévrotique postérieure ou le ligament cle Gimbernat, laisse seulement en
Situation, configuration, délimitation. Située à la partie médiane postérieure du bassin, où elle termine inférieurement le tron
arbitraire, dirigée horizontalement cle l'une à l'autre épine iliaque postérieure , formant la base du triangle dont les côtés en re
cré. Les vaisseaux et les nerfs sont fournis par les branches sacrées postérieures et quelques rameaux sanguins récurrens provenant
Situation, configuration, délimitation. Située à la partie externe et postérieure du bassin où elle constitue la fesse proprement d
tée verticalement par deux lignes précises, en haut le contour osseux postérieur de la crête iliaque et en bas le pli intermédiair
ou axillaire; une externe et supérieure ou scapulo-humè-rale; et une postérieure ou scapulaire proprement dite. RÉGION SOUS-CLAV
as et en avant, est formé par le bord axillaire du grand pectoral; le postérieur oblique en bas et en arrière, indique le relief d
des parties profondes. Le sommet est fermé par l'aponévrose brachiale postérieure qui revêt les gros vaisseaux et le faisceau scapu
omio-elavicu-laire, et de chaque côté par les deux bords antérieur et postérieur du deltoïde. Parties composantes. i" Peau. D'un
t en bas, les circonflexes antérieures ; en arrière, les circonflexes postérieures et des rameaux des scapulaires postérieures. Les
arrière, les circonflexes postérieures et des rameaux des scapulaires postérieures . Les nerfs émanent du circonflexe, de quelques fi
LAIRE '. Situation, configuration, délimitation. Située à la partie postérieure de l'épaule et du thorax, formée par la masse tri
ies composantes. i° Peau. Épaisse et dense comme en général à la face postérieure du tronc. 20 Couche sous-cutanée. Elle ferme un p
d spinal, et, en dernier plan, la paroi thoracique formée par la face postérieure des côtes de la troisième à la huitième, et par l
t sous-scapulaire, par les vaisseaux précédens et par les scapulaires postérieurs et inférieurs. Parmi les nerfs, à la peau se rend
ions, deux qui affectent toute sa longueur, les régions antérieure et postérieure dans lesquelles, pour ne pas trop multiplier les
ormant deux régions, l'une antérieure, ou le pli du coude, et l'autre postérieure ou ulnaire. Cette division générale étant établ
ne longue saillie verticale, formée par les d eux portions interne et postérieure du triceps. Parties composantes. i° Peau. Mince
NAIRE '. Situation, configuration, délimitation. Formée par la face postérieure de l'articulation huméro-cuhitale, elle n'offre g
anti-brachiale, l'anconé, les attaches des deux cubitaux antérieur et postérieur , et celles des extenseurs et des supinateurs. Les
qui en trace les divisions chirurgicales : Une région antérieure, une postérieure et une externe, composées chacune par des groupes
e isolément comme des régions distinctes les deux faces antérieure et postérieure de l'articulation radio-carpicune. RÉGION ANTI-
ntérieur et en dehors de l'os, où existe plus essentiellement la face postérieure de l'avant-bras, par le groupe des extenseurs dis
ur commun des doigts, l'extenseur propre du petit doigt et le cubital postérieur , sous-jacens à l'aponévrose d'enveloppe; en plan
er le radius. Les vaisseaux sont les artères et veines inter-osseuses postérieures qui descendent entre les deux plans musculaires.
ntenue dans son ensemble par les ligamens radio-carpiens antérieur et postérieur , et les ligamens latéraux externe et interne. L
se portent sur la face dorsale du carpe. La région radio-carpienne postérieure (Pl. I, n° 46) est moins compliquée dans sa struc
la flexion. L'aponévrose sous-cutanée constitue le ligament annulaire postérieur du carpe continu inférieurement avec l'aponévrose
leurs gaines spéciales, les tendons extenseurs appliqués sur la face postérieure du carpe. Les vaisseaux profonds sont les artères
s transversales sus-métacarpiennes; et 3° les branches inter-osseuses postérieures provenant des perforantes. Portion digitale. La
isse se divise en cinq régions, dont une sur chaque face, antérieure, postérieure , externe et interne d'une étendue considérable en
sens que s'opèrent les fractures du corps du fémur. RÉGION FÉMORALE POSTÉRIEURE '. Intermédiaire de haut en bas entre le pli de
entes ; cette veine remonte de bas en haut le long du bord interne et postérieur du couturier, accompagnée dans son trajet par le
les rapports des vaisseaux entre eux, la veine, interne en haut, est postérieure le long du membre, pour devenir externe dans le c
N POPLITÉE Situation, configuration, délimitation. Située à la face postérieure de l'articulation fémoro-tibiale, comprise vaguem
morale et jambière. Dans son épaisseur rampe la veine saphène externe postérieure , accompagnée de quelques rameaux lymphatiques. 4°
jumeaux. C'e-t dans cet espace, dont le fond est constitué paila face postérieure du corps du fémur, au-dessus des condyles et dans
de manière que la veine externe, en haut, par rapport à l'artère, est postérieure au milieu et interne en bas. Outre les gros vaiss
sseaux se distinguent : (a) l'anse de terminaison de la veine saphène postérieure dans la veine poplitée; (h) les artères et veines
du tibia, maintenus par la double capsule condylienne et le ligament postérieur . La région poplitée est sur-tout intéressante a
constituées par les parties molles, les régions antérieure externe et postérieure , et une antérieure, osseuse ou tibiale. Par exten
E1. Situation, configuration, délimitation. Étendue à toute la face postérieure de la jambe, dont elle renferme la masse musculai
diocre épaisseur, elle est parcourue par la veine et le nerf saphènes postérieurs et leurs ramifications ; la pression qu'éprouvent
atation variqueuse. 3° Aponévrose superficielle. Elle forme la partie postérieure de l'aponévrose jambière, capsule de contention d
e du gros orteil, le jam- 1 Planche 1, n" I73 et planche 12, hier postérieur et le long fléchisseur conimun des orteils conten
profond appartiennent les gros vaisseaux; en dedans, l'artère tibialc postérieure flanquée de ses deux veines, qui descend vertical
rameaux lymphatiques profonds. G° Squelette. Il est formé par la face postérieure du tibia et du péroné, réunis par le ligament int
du péroné, réunis par le ligament inter-osseux. La région jambière postérieure présente, comme maladie spéciale, la rupture du t
e dans l'extension brusque du pied. Sur le trajet de l'artère tibiale postérieure se pratiquent à diverses hauteurs les incisions p
par les deux sillons musculaires du jam-bier antérieur et des muscles postérieurs de la jambe. Parties composantes. i° Peau. Épai
ur le milieu de la malléole, ou de deux fortes branches antérieure et postérieure ; elle est accompagnée par les rameaux lymphatique
-fibreuses des tendons, du jambier antérieur en avant, et des jambier postérieur , fléchisseurs long et propre des orteils en arriè
olaires internes en avant, et en arrière quelques rameaux des tibiaux postérieurs : mais ces derniers seuls ont une importance réel
isseaux sont les malléolaires externes et les péroniers antérieurs et postérieurs , séparés profondément, sous le péroné, parle liga
ions dorsale et plantaire se divise en deux portions inégales : l'une postérieure ou tarso-métatarsienne, qui en forme la masse pri
lle est limitée en travers par les deux malléoles, et termine la face postérieure cle la jambe par l'extrémité du tendon d'Achille.
ropre du gros orteil, long fléchisseur commun des orteils, et jamhier postérieur en dedans, et des deux péroniers en dehors. 4° Le
rfs analogues par leur trajet sont : en dedans, les vaisseaux tibiaux postérieurs et leur nerf satellite, réfléchis dans des goutti
e nom de plantaires; en dehors , les branches descendantes péronières postérieures , anastomosées en double arcade avec les précédens
pécialement par le calcanéum, et, par extension, en haut, par la face postérieure de l'articulation tibio-tarsienne, au-devant du t
lans le tissu adipeux. Les nerfs sont des filets fournis parle tibial postérieur avant sa division plantaire. Toutefois ces vaisse
gitales plantaires. Les nerfs plantaires sont les divisions du tibial postérieur , situé au-dessous des vaisseaux , l'interne plus
r appliquer cet instrument, analogue à celui de Dupuytren , la pelote postérieure doit être posée en dehors de la tubérosité sciati
tère fémorale. 3° Artères de la jambe et du pied. \J artère tibiale postérieure est accessible en deux points : à l'extrémité inf
ers doigts, on racle la face latérale gauche. Le nettoyage de la face postérieure est plus facile en agissant de haut en bas, la tê
occipitale dans les affections comateuses ; 2° la région auriculaire postérieure , dans les maladies de l'oreille; 3° les paupières
ou d'engor-gemens chroniques; 4° les parties latérales supérieures et postérieures du cou, dans les angines et les diverses affectio
e des deux principales artères fournies, au-dessus, par l'auriculaire postérieure , et, au-dessous, par la thyroïdienne supérieure.
l'angle de sa gaîne; puis il couche la sonde et la glisse sur la face postérieure du muscle, le plus près de ses fibres, et la fait
laire, les dénuder avec la sonde cannelée, puis glisser sur leur lace postérieure cet instrument, dans la cannelure duquel on insin
sus de l'attache sternale, un pli cutané parallèle au bord externe et postérieur du muscle ; insinuer à plat, sous la peau tendue,
quand l'extension du pied est portée très loin, les vaisseaux tibiaux postérieurs forment des flexuosités latérales et antéro-posté
ans la couche celluleuse qui sépare le tendon de l'aponévrose tibiale postérieure , àla hauteur indiquée plus haut, et le fait resso
n en U la branche de la mâchoire, en longeant à deux lignes ses bords postérieur et inférieur, laissant, un peu en dedans, l'artèr
tère carotide externe avec ses divisions, l'occipitale, l'auriculaire postérieure et la pharyngienne supérieure; enfin plus profond
les se présentent à saigner au pli du bras : sur les côtés la radiale postérieure et la cubitale antérieure, près de leur jonction
-mêmes. 2° La saignée offre peu de danger sur le trajet de la radiale postérieure , de la cubitale antérieure et de la médiane commu
monte sur le milieu de la malléole ou par deux branches antérieure et postérieure . La veine médiane ou la branche antérieure, la pl
à la partie supérieure de cette apophyse, et vers le bord externe et postérieur de la veine, qu'il convient de piquer. La branc
rne et postérieur de la veine, qu'il convient de piquer. La branche postérieure n'a jamais un fort volume qu'autant qu'elle suppl
ation est plus profonde, appuyée qu'elle est sur l'aponévrose tibiale postérieure , à six lignes de la malléole, entre cette apophys
d'elle par une aponévrose épaisse, sont situés les vaisseaux tibiaux postérieurs . Saphène externe. Inférieure en volume à la sap
nerf saphène externe logé dans une gaine spéciale le long de son bord postérieur . Opération. Saphène interne. On saigne le tronc
seule chance d'éviter ce nerf est de commencer la piqûre sur le bord postérieur , de manière à le laisser dès l'abord derrière le
omber la peau de manière que l'aiguille soit interposée entre la face postérieure de la veine et l'aponévrose sous-jacente ; compri
un peu obliquement , du milieu de l'espace intermalléolaire à l'angle postérieur du premier espace inter-osseux, à trois millimètr
antérieure, ne convient que pour la ligature de l'artère à sa moitié postérieure , où sa direction est croisée en diagonale par la
ale de cette dernière devant se faire en deux temps. ARTÈRE t1riale POSTÉRIEURE (pl. d^, fig. i et 1 ) 1. Situation. Situé sous
ous la cloison transversale aponévrotique , qui maintient les muscles postérieurs profonds de la jambe; appliqué sur la face postér
nt les muscles postérieurs profonds de la jambe; appliqué sur la face postérieure du jambier postérieur et du long fléchisseur comm
urs profonds de la jambe; appliqué sur la face postérieure du jambier postérieur et du long fléchisseur commun des orteils; envelo
îne vasculaire commune et longé à son côté externe par le nerf tibial postérieur , l'ensemble du faisceau vasculaire est dirigé de
sses. Lieux d'élection. On pratique la ligature de l'artère tibiale postérieure à toute hauteur, depuis sa naissance du tronc tib
aphique, pag. et pl. 12. Cas d'opération. L'entourage de la tibiale postérieure , plus extensible que celui de la tibiale antérieu
dans, par les trois tendons des deux longs fléchisseurs et du jambier postérieur , et, en dehors, par le nerf tibial postérieur; in
chisseurs et du jambier postérieur, et, en dehors, par le nerf tibial postérieur ; inciser alors la gaine, isoler et dénuder l'artè
ation à donner me paraît être de prendre pour point de départ l'angle postérieur du tibia, toujours assez facile à déterminer sous
le que soit l'élévation dont les muscles proéminent, l'artère tibiale postérieure , au tiers moyen de la jambe, est placée de un à u
e de un à un et demi centimètre plus en dehors que l'angle interne et postérieur du tibia. Suivant le point où l'on opère, elle es
vasculaire étant mis à découvert, côtoyé en dehors par le nerf tibial postérieur , inciser de pointe, en dédolant, la gaine sur un
ranc prescrit uniformément de diriger l'incision obliquement, du bord postérieur du tibia vers le bord interne du tendon d'Achille
nt, pratiquer, à vingt ou vingt-cinq centimètres en dehors de l'angle postérieur du tibia, une incision à la peau longue d'un déci
par un aide ; inciser l'attache tibialc du soléaire en rasant la face postérieure de l'os, isoler le muscle en dessous de l'aponévr
ronière (pl. 37, fig. 3) '. Situation. Logée profondément à la face postérieure de la jambe, dans le sillon qui longe le bord int
qui longe le bord interne du péroné; appliquée en haut sur le jambier postérieur , et en bas sur les attaches de ce muscle et du c
dans l'interstice fibreux que forme son bord interne avec le jainbier postérieur ; au fond du sillon inter - osseux se trouve la g
e corps du fémur, puis clans leehancrure intercondylienne sur la face postérieure de l'articulation , et enfin sur le muscle poplit
sur le ligament 1 Voy. Anatomie chirurgicale, pag. 55 et pl. 12. postérieur articulaire est, terme moyen, cle trois à quatre
contourne en diagonale, est, par rapport à l'artère, externe en haut, postérieure au milieu, et interne en bas. Au-devant de ces va
atique poplité interne ; et plus en avant encore est la veine-saphène postérieure , qui s'enfonce en haut dans le creux du jarret. A
'étendue de la plaie; mais pour éviter les veines poplitée et saphène postérieure , préférablement vers l'angle supérieur de la plai
imètres. La veine poplitée alors vient s'offrir appliquée sur la face postérieure et un peu en dedans de l'artère; saisir avec la p
interne , puis continuer en glissant le bec cle la sonde sous la face postérieure du vaisseau pour le faire reparaître en dehors. D
n haut, on tombe sur le faisceau vasculaire principal; la veine étant postérieure et un peu externe , on l'écarté en dehors pour li
poplitée et à la saphènc cpii s'y jette. Les veines étant directement postérieures à l'artère, on les écarte indifféremment en dedan
e. A trois centimètres de profondeur, en dehors de l'angle interne et postérieur du tibia , se rencontre le faisceau vasculaire, l
rtère placée en dehors, le nerf tibial situé au milieu et sur la face postérieure des d eux vaisseaux. Dénuder la vei ne, avec le b
et antérieure en haut, en suivant le plan interne, jusqu'à la partie postérieure en bas. Appliquée profondément dans le sillon mus
veine-saphène interne déplacé, puisqu'il longe ordinairement le bord postérieur du muscle, soit la branche antérieure presque con
le accolée à la grande, est externe et un peu antérieur, la veine est postérieure et interne, et l'artère mitoyenne. Inciser alors
t recommencer à dénuder l'artère en l'isolant de la veine sur le bord postérieur , puis, par un mouvement continu, glisser la sond
ment se présentent la gaine vasculaire, l'artère antérieure, la veine postérieure , le nerf externe; dénuder et lier comme il est di
s, et, le faisceau vasculaire mis à nu, l'artère antérieure, la veine postérieure , se conduire comme précédemment. 3° Ligature à
uvert, dénuder l'artère qui est antérieure et interne, la veine étant postérieure et le nerf externe, et se conduire pour la ligatu
l'artère est externe et un peu antérieure, la veine interne et un peu postérieure ; il n'y a point à s'occuper du nerf crural placé
tracer en idée une ligne oblique qui de la saillie de l'épine iliaque postérieure et supérieure vienne tomber entre la grosse tubér
e faisceau vasculaire, l'artère supérieure et plus profonde, la veine postérieure et inférieure et le nerf encore au-dessous. Ouvri
terminant la section sur la sonde cannelée quand on a atteint la face postérieure . B. Ligature à la partie supérieure de l'avant-
tère acromio-thoracique qui se trouvent divisées. Parvenu sur la face postérieure du muscle, inciser son feuillet postérieur dont q
sées. Parvenu sur la face postérieure du muscle, inciser son feuillet postérieur dont quelquefois la résistance approche de celle
antérieur et les nerfs du plexus brachial qui la séparent du scalène postérieur , descend obliquement derrière la clavicule sur la
: elle se dessine alors, verticale sous le peaucier, le long du bord postérieur du sterno-mastoïdien, et quelquefois plus en heho
on sterno-clavicu-laire et prescrit, avec M. King, la section du bord postérieur du sterno-mastoïdien, qui se rencontre dans la pl
'épaisseur de la glande parotide, entre les saillies osseuses du bord postérieur de l'os maxillaire inférieur en avant et de l'apo
n arrière la veine jugulaire externe. Le faisceau formé par le ventre postérieur du digastrique et les muscles styliens étant reco
ronc veineux linguo-facial, et plus profondément l'artère, interne et postérieure , appliquée sur l'aponévrose du pharynx. La plaie
ns la femme. Dans ses rapports , la carotide primitive est interne et postérieure par rapport à la veine jugulaire qui est externe
'artère, externe et un peu antérieure; 20 la veine, interne et un peu postérieure ; 3° un filament nerveux parallèle et antérieur à
ouverte en avant en commun avec cette veine par le péritoine pariétal postérieur , les chapelets des ganglions lymphatico-chylifère
le péritoine de la paroi antérieure et de déchirer celui de la paroi postérieure sur l'aorte mieux vaudrait décoller cette membran
nmoins là où la peau est plus épaisse ou plus adhérente, sur la paroi postérieure du tronc, à la nuque, à la face et même sur le co
n soulève de la main gauche, dans son anse, la masse dermo-tendineuse postérieure , et il est facile, en rasant les os du centre de
r la compresse en ce sens par un aide, soulève la compresse ou l'anse postérieure , et, en accordant ses mouvemens avec ceux d'un ai
de l articulation du coude. Procédé de Park. Pratiquer une incision postérieure et parallèle à l'axe du membre, étendue à six cen
arté du tronc, est placé de manière à présenter au chirurgien la face postérieure et interne de l'articulation à demi fléchie. Alor
point, avec un bistouri tenu do la main droite entrer, par la par-tic postérieure , dans l'articulation du coude en divisant, à plei
un peu en haut, cle manière à former un lambeau à base supérieure et postérieure (pl. 58, fig. i et 2). Procédé de M. Buzairies.
e réunir les avantages de tous les autres. Sous ce rapport le lambeau postérieur et latéral, exécuté d'après le procédé de M. Lisf
n couteau inter-osseux, saisi cle la main droite, pointer à la partie postérieure de l'articulation de l'épaule, à quatre centimètr
l'épaule, à quatre centimètres (un pouce et demi) au-dessus clu bord postérieur de l'aisselle; puis, circonscrivant l'os et la ca
mple de M. Blandin pratiquer en dedans un lambeau quadrilatère à base postérieure : le lambeau disséqué et les lèvres de la plaie é
ie obligea d'enlever le cuboïde, le troisième cunéiforme, l'extrémité postérieure du quatrième métatarsien, le côté interne de l'ex
. Si, à raison de son volume plus considérable et de son prolongement postérieur , le calcanéum se prête plus facilement aux résect
moyen d'une incision en T qui permit de mettre à découvert l'apophyse postérieure du calcanéum; la résection de la portion cariée d
latéraux , que l'on repousse en arrière, et le bistouri rase la face postérieure de l'os de manière à éviter les vaisseaux et nerf
r, tandis qu'une lame de bois est passée entre le tibia et les chairs postérieures . Pour scier l'os on se sert d'une lame de scie ét
vant en arrière au-dessus du mal. On coupe les ligamens antérieurs et postérieurs avec un couteau à lame étroite en même temps qu'o
de l'auteur (pl. 60, fig. l\, 5 et 6). La jambe reposant sur sa face postérieure est maintenue dans cette position par un aide qui
es os jusqu'aux limites du mal. On procède à la dénudation de la face postérieure des os de la même manière et en détachant success
rs et les os une compresse longuette qui embrassera une masse charnue postérieure constituée par la peau, les tendons du triceps su
ituée par la peau, les tendons du triceps sural, des muscles profonds postérieurs et des péroniers, par l'artère, le nerf tibial po
s profonds postérieurs et des péroniers, par l'artère, le nerf tibial postérieur et la veine saphène externe. Un aide s'empare des
ne. Le chirurgien saisit de la main gauche les deux chefs de la bande postérieure , qu'il abaisse en même temps qu'il manœuvre la sc
mps: alors le chirurgien, abandonnant à un aide les chefs de la bande postérieure , attaque successivement les ligamens externes et
un lambeau quadrilatère qui doit être disséqué et rabattu sur la face postérieure . Le péroné étant mis à nu par la division des fib
rieure du fémur à découvert. On porte alors le bistouri sur la partie postérieure , et on divise les chairs en rasant exactement l'o
is ou de cuir bouilli est glissée entre les parties molles et la face postérieure du fémur, dont ont résèque l'extré mité malade
seront disséqués ou renversés. Il ne reste plus qu'à dénuder la face postérieure de l'extrémité tibiale pour glisser au-dessous un
fémur étant ainsi mises à découvert, achever la section des ligamens postérieurs avec la pointe du couteau pour ne pas blesser les
seconde incision transversale et profonde se dirigeant vers la partie postérieure et interne de la cuisse. On obtient ainsi un larg
ure ; après que le chirurgien a relevé ce lambeau et divisé la moitié postérieure de la capsule, la cuisse portée dans l'adduction
soitle siège cle la maladie, lors même qu elle est placée à la région postérieure de la joue, cet auteur prescrit d'attaquer les pa
puis avec un bistouri boutonné, porté de bas en haut, il rase la face postérieure de l'os en divisant successivement, de gauche à d
Avant la section de la mâchoire, Delpech isole de chaque côté la face postérieure de l'os sans toucher aux attaches musculaires du
hoire sur la ligne moyenne ; puis, en rasant avec le bistouri la face postérieure de l'os, on en détache successivement toutes les
clé de M. Mott. Faire une première incision en demi-lune, à convexité postérieure , partant du niveau du condyle, au-devant de l'ore
haut et confié à un aide. Après avoir détaché les chairs de la partie postérieure , le chirurgien pratique de chaque côté la section
incision verticale qui part de l'arcade zygomatique et longe le bord postérieur de la branche ascendante de l'os. Un large lambea
acune de ses extrémités par une incision transversale, on mit la face postérieure de 1 épine à découvert; comme on trouva une fract
'os. Dans les désarticulations, au contraire, le lambeau inférieur ou postérieur , suivant le lieu de l'amputation, est taillé en d
e l'ovale sur la face dorsale du métacarpien jusqu'à son articulation postérieure ; cette modification ne nous semble pas devoir êtr
métacarpiens voisins; ces tiraillemens exercés sur les articulations postérieures pourraient être la cause d'aceidens, et d'ailleur
. Les muscles nombreux accumulés sur les faces antérieure, externe et postérieure sont isolés dans des gaînes fibro-celluleuses spé
-bras mis en supination pour la face antérieure, en pronation pour la postérieure , rasent les os et le ligament inter-osseux, tourn
gir le tranchant sur les deux os, pénétrer dans l'espace inter-osseux postérieur , diviser toutes les chairs adhérentes, retirer le
'espace inter-osseux antérieur comme il vient d'être dit pour la face postérieure . 3° Procédé nouveau. Diviser verticalement l'es
er la main, agir sur les deux os, pénétrer dans l'espace inter-osseux postérieur , retirer le couteau, contourner le cubitus et, pa
hef moyen de la compresse-ré-tracteur de la face antérieure à la face postérieure , remonter les chairs, mettre l'avant-bras dans un
et taillés avec le couteau glissé à plat sur les faces antérieure et postérieure . méthode a lambeaux. Grœfe, renouvelant le pr
e un lambeau antérieur et coupe circulairement les chairs à la partie postérieure . Vermale, au contraire, suivi par Le-dran, Klein,
. Guthrie, Roux et Velpeau, formait deux lambeaux, un antérieur et un postérieur . Procédé à deux lambeaux (imité de Vermale). Pl
comme il vient d'être dit, couper à la manière d'Alan-son les muscles postérieurs après avoir d'abord incisé et remonté la peau.
térieur, le faire traverser par ses deux angles, et former un lambeau postérieur de même forme et de même longueur que le premier.
s seraient plus abon-dans, taillés aux dépens des faces antérieure et postérieure , mais ils tendraient davantage à se rétracter.
rompte et plus régulière. Si l'on pratique un lambeau antérieur et un postérieur , leurs angles laissent échapper l'humérus ; parce
erne, sont abondamment réparties au côté externe et surtout à la face postérieure . Au mollet, le centre du membre se trouve en arri
qui n'a aucun inconvénient. — Lier les artères tibiales antérieure et postérieure et la péronière; réunir obliquement d'avant en ar
85, fig. 4 et 5 ). M. Garavel voudrait qu'on commençât par le lambeau postérieur . Méthodes mixtes. — Procédé de M. Blandin. Sur
t en arrière. M. Sédillot pratique un lambeau ovalaire antérieur ou postérieur . M. Baudens (pl. 91, fig. 4) pratique à son ordin
niveau de l'ovale en arrière, incise alors circulairement les muscles postérieurs et scie les os. 10 Procédé de M. Lenoir : donné
ontourner, sans désemparer, le péroné, parcourir l'espace interosseux postérieur , y pénétrer, et retirer de nouveau le couteau pou
sur la face externe du péroné, le conduire sur l'espace inter-osseux postérieur et l'y engager une seconde fois. Quatrième temp
jamais impossible de l'isoler et la lier ou la tordre ; 2° la tibiale postérieure et les jumelles, 3° la nourricière du tibia : qua
nvénient qui se trouve encore contrebalancé si la section des muscles postérieurs est faite suivant les indications que nous avons
à faire pénétrer le couteau entre les deux os en taillant le lambeau postérieur : mais l'application du doigt sur le péroné, l'in
. Grœfe propose encore un couteau particulier pour excaver le lambeau postérieur chez les personnes grasses. Procédé de M. Sédil
externe, contourner le péroné et faire sortir l'instrument à la face postérieure de la jambe, tailler de haut en bas un lambeau ex
rnue, couper à la manière d'Alanson les muscles de la face interne et postérieure , faire le 8 de chiffre, passer la compresse-rétra
ce occupe la moitié de la circonférence du moignon au côté interne et postérieur . Nous ne craignons pas de présenter ce procédé
sseux : après avoir formé le lambeau antérieur il taille également le postérieur par ponction. M. Roux fait d'abord une incision
du bord interne à la crête du tibia; taille par ponction son lambeau postérieur , et, ramenant au niveau de la crête du tibia le b
nge son couteau et taille à ras le bord un lambeau antérieur réuni au postérieur par ses angles externe et interne. Dupuytren en
s molles antérieures étaient altérées, on pourrait essayer un lambeau postérieur ; si les os étaient surtout délabrés en arrière, o
délabrés en arrière, on inclinerait fortement la scie vers la partie postérieure des tubérosités. La méthode circulaire paraît i
er d'abord et d'un seul coup les parties molles de la face interne et postérieure de la cuisse, de les laisser rétracter, et d'ache
de l'arcade des adducteurs elle est interne, plus antérieure en haut, postérieure en arrière ; elle est accolée à un filet du crura
léchie sur la cuisse, diviser les parties molles des faces externe et postérieure . Procédé de Dupuytren. Incision des tégumens et
. Hennen conseille de faire deux lambeaux : l'un antérieur, l'autre postérieur . MM. Helio, Plantade, Fouilloy et F. Legros pra
thode, que M. Velpeau propose de modifier en faisant un petit lambeau postérieur , et que MM. Bérard et Sédillot ne rejettent pas,
l est fondé sur ce principe : que les muscles de la partie interne et postérieure étant plus retráctiles que ceux des deux autres r
té repose sur la partie antérieure et externe, et l'autre sur la face postérieure et interne. A trois centimètres et demi plus bas,
réunir obliquement, de façon que le pus coule par l'angle externe et postérieur de la plaie. Procédé de M. Baudens. Suivant la
ngle antérieur : il faudrait donc préférer un lambeau antérieur et un postérieur . Mais, dans tous les cas, l'avantage qu'on en ret
ce n'est pas uniquement contre la rétraction des muscles internes et postérieurs qu'il faut se prémunir, mais contre celle de tout
'un passage du traité des Hémorroïdes, traité évidemment apocryphe et postérieur aux écrits du père de la médecine. C'est surtout
n en avant de son bord cubital, et tirant un peu à soi sur la capsule postérieure , on traverse le plan courbe inter-articulaire, pu
l'articulation carpienne, ressortir en incisant le tendon du cubital postérieur et, en rasant l'os, tailler, en descendant vers l
ns, dont la disjonction est facile après la section de leurs ligamens postérieurs . Méthode a lambeau (pl. 70, fig. 4)- Inciser en
carpien, le ligament latéral interne débordé par le tendon du cubital postérieur , en dehors le ligament externe ou interosseux ent
cision diviser les tendons extenseurs et radiaux, le ligament carpien postérieur , puis, sans désemparer, par un mouvement de bascu
ument, les ligamens latéraux, et du côté interne le tendon du cubital postérieur . Luxer alors la tête brisée carpienne, entrer en
le de rappeler l'existence des deux ligan eus membraneux antérieur et postérieur et des deux forts ligamens latéraux. Méthode ci
se du lambeau, diviser horizontalement les parties molles sur la face postérieure . 3° Le membre rappelé dans l'extension, couper le
tendons, sus-épineux, sous-épineux et petit rond dans le demi-cercle postérieur , et sous-scapulaire dans le demi-cercle antérieur
ale, et terminer la section des parties molles par celle de la moitié postérieure du membre, en rejoignant la première section, de
. i° Lambeaux de recouvrement. — (a) Méthode à un lambeau ( lambeau postérieur ou interne). Procédé de Ledran. Le malade assis s
aquet des vaisseaux : enfin tailler, aux dépens du contour interne et postérieur , un lambeau de huit à onze centimètres (trois à q
direction des fibres, l'une interne et antérieure, l'autre externe et postérieure , de manière à circonscrire un lambeau trapézoïdal
oignon de l'épaule avec la main gauche, le pouce appliqué sur la face postérieure de la tête humérale, l'indicateur et le médius su
plonger la pointe parallèlement à l'humérus, au côté externe du bord postérieur de l'aisselle, à six centimètres au-dessus du pli
e acromio-claviculaire pour ressortir à la hauteur voulue sur le bord postérieur de l'aisselle; (h) dans l'autre, placé d'abord en
s procédés qui s'y rapportent est de former des lambeaux antérieur et postérieur qui se rapprochent. Procédé de Poyet et de Shar
l'os et les chairs que l'on divise en taillant un lambeau externe et postérieur . Procédé de Desaidt. L'artère préalablement com
ion de bas en haut et terminer par la section d'un lambeau externe et postérieur . — Procédé inverse de M. Larrey. Pour éviter l'in
gère adduction, de tailler d'abord par ponction le lambeau externe et postérieur , d'ouvrir l'articulation en ce sens et de termine
. Il se distingue par l'extrême exiguité du lambeau externe ou plutôt postérieur . Du premier coup le couteau met à découvert la fa
plutôt postérieur. Du premier coup le couteau met à découvert la face postérieure de l'articulation. Le chirurgien l'ouvre en ce se
résultat une grande analogie entre la méthode à lambeaux antérieur et postérieur et la méthode ovalaire. Toutefois on y trouve deu
s en V renversé, l'une vers le bord antérieur et l'autre vers le bord postérieur , et prolongées toutes deux de manière à couper le
vant, élève le bras, parcourt l'espace de l'aisselle jusqu'à son bord postérieur et, vu le volume du membre cpti ne lui permet pas
sure interdigitale, dans l'espace inter-osseux jusqu'à l'articulation postérieure des deux métatarsiens ; écarter l'os en dehors, d
tatarso-pha-langienne. La difficulté est ici de franchir le tubercule postérieur de l'os sans mâcher et taillader les chairs. — 2°
onseille, à partir de quelques millimètres en avant des articulations postérieures , de diriger une incision oblique vers l'une des c
'objet de fauteur est d'éviter de sacrifier le scaphoïde et la moitié postérieure du cuboïde dans les cas assez communs où la voûte
latéral sur le cuboïde, pour le côté externe, et contre le tubercule postérieur du grand cunéiforme pour le bord interne; glisser
lieu de la voûte du tarse répondant, sur la ligne indiquée, à l'angle postérieur d'encastrement du second cunéiforme, en appuyant
er l'instrument, scier d'un seul coup les deux malléoles et le rebord postérieur articulaire du tibia. Enfin lier les artères tibi
bord postérieur articulaire du tibia. Enfin lier les artères tibiales postérieure et antérieure et réunir par première intention. N
horizontale demi-circulaire qui s'étende de fini à l'autre des bords postérieurs des condyles en parcourant les trois quarts antér
'extrémité de cet os et celle du péroné, tailler, en rasant leur face postérieure , aux dépens des muscles du mollet, un lambeau lon
ltés qui résultent de la taille et de l'application d'un seul lambeau postérieur en y ajoutant un lambeau antérieur cutané qui per
courts qu'ils partiraient de deux incisions verticales antérieure et postérieure . Mais comme, suivant la remarque de M. Velpeau ,
levé, ouvrir l'articulation en avant et terminer par un court lambeau postérieur coupé carrément. Procédé de Kest (vaste lambeau
anec (grand lambeau interne et antérieur, et petit lambeau externe et postérieur ). La jambe dans l'extension, piquer avec la point
viser par une incision demi-circulaire les parties molles externes et postérieures , puis désarticuler et terminer en taillant les ch
a direction naturelle et, par une incision demi-circulaire externe et postérieure , au-dessus du grand trochanter, réunir les deux a
aire, luxer la tête de l'os, passer le couteau sur sa face externe et postérieure , achever la section de la capsule, couper les ten
oulés vers le bassin sur la demi-circonférence antérieure, interne et postérieure , la cuisse étendue et légèrement écartée : i° pra
le manche vers le ventre du malade, de manière à ressortir à l'angle postérieur de la première plaie sans heurter les os du bassi
édant de l'autre manière. Procédé de Béclard (lambeaux antérieur et postérieur : pl. 89, fig. 1). L'artère comprimée au pli de l'
erne comme il a été dit plus haut ; 3° le couteau reporté sur la face postérieure de l'os, descendre en taillant en ce sens un lamb
nière que, de ces deux lambeaux, l'antérieur est un peu interne et le postérieur un peu externe. Procédé de M. Baudens(lambeaux
térieur un peu externe. Procédé de M. Baudens(lambeaux antérieur et postérieur : pl. 9 1, X: vi. fig. 8 et 9). Ce procédé ne
ar la longueur des deux lambeaux, l'antérieur étant plus du double du postérieur . L'expérience a appris à l'auteur que le lambeau
y aurait une exubérance de chairs en arrière et en bas, si le lambeau postérieur était taillé plus long. Quant au procédé en lui-m
erte et luxée par son côté interne, le chirurgien descend sur la face postérieure de l'os jusqu'au petit trochanter et abat égaleme
jusqu'au petit trochanter et abat également à angle droit le lambeau postérieur . Méthode circulaire. Procédé d'Abernethy (pl.
nt mise à découvert dans sa demi-circonférence antérieure, externe et postérieure , inciser circulairement la capsule eu ce sens, lu
e qui descende obliquement sur le contour externe, inscrive la courbe postérieure sous le pli de la fesse et remonte également en d
n oblique; comme il résulte du procédé de M. Baudens, dont le lambeau postérieur est très court; mais deux lambeaux égaux imposent
les lambeaux latéraux, et transversale pour les lambeaux antérieur et postérieur : direction la plus défavorable parce qu'elle dis
Région sous-hyoïdienne, région sus-claviculaire, 35.—Région cervicale postérieure , 36. THORAX. Région sternale, 36. — Région diap
. Région brachiale interne et antérieure, région brachiale externe et postérieure , région du pli du coude, 49. — Région ulnaire,
e antérieure, 50. —Région antibrachiale externe, région antibrachiale postérieure , région du poignet, région palmaire, 51. — Région
inguino-fémorale, 52, 53.—Région fémorale antérieure, région fémorale postérieure , 53. — Région fémorale interne, région fémorale e
n poplitée, 55. — Région jambière antérieure externe, région jambière postérieure , 56. —Région jambière interne, région du cou-de-p
membre abdominal. Pédieuse, 156. —Tibiale antérieure, 157. — Tibiale postérieure , 157, 158. — Péronière, 159. —Poplitée, 159—161.
ORPS HUMAIN PAR RÉGIONS. Figure i. Plan antérieur.—Figure 2. Plan postérieur . — Figure 3. Plan latéral. Les signes sont les mê
us-hyoïdienne. 16. Région sous-claviculaire. 17. Région cervicale postérieure . THORAX. 18. Région sternale. 19. Région ma
UE. BRAS. 38. Région brachiale antérieure. 39. Région brachiale postérieure . 40. Région du pli du coude. 41. Région ulnai
AS. 42. Région antibrachiale antérieure. 43. Région antibrachiale postérieure . 44. Région antibrachiale externe. 45. Région
45. Région radio-carpienne antérieure. 46. Région radio-carpienne postérieure . MAIN. 47. Région palmaire. 48. Région dors
ino-fémorale. 50. Région fémorale antérieure. 51. Région fémorale postérieure . 52. Région fémorale interne. 53. Région fémo
AMBE. 56. Région jambière antérieure externe. 57. Région jambière postérieure . 58. Région tibiale. 59. Région du coude-pied
Muscle triangulaire des lèvres. 2° COU. e. Splénius. d. Sealène postérieur . e. Scalène antérieur. f. Constricteur inféri
e transversal. La figure montre les aponévroses profondes sur le plan postérieur du pharynx, depuis la base du crâne jusqu'à la zo
r la première côte (F). CÔTÉ GAUCHE. G,G. Aponévrose pharyngienne postérieure , appliquée au devant de la précédente. H. Muscle
la masse du sacro-spinal et du transversaire épineux, et l'extrémité postérieure des trois muscles larges de F abdomen. Le plan du
ES, VAISSEAUX ET NERFS DES RÉGIONS LOMBAIRE, FESSIÈRE ET FÉMORALE POSTÉRIEURE . ADUT-iTE, DEMI-NATURE. LES DEUX COTÉS DE LA
al, et unit l'aponévrose du transverse avec celle des petits dentelés postérieurs . 5. Portion sacrée de l'aponévrose sacro-spinal
ire et du long dorsale. 7. Aponévrose des dentelés. 8.8. Branches postérieures des nerfs lombaires. 9.9. Branches postérieures
és. 8.8. Branches postérieures des nerfs lombaires. 9.9. Branches postérieures des vaisseaux lombaires, artères et veines. B.
stérieures des vaisseaux lombaires, artères et veines. B. Extrémité postérieure de la loge du grand oblique traversée par des r
s. 14. Muscle transversaire épineux vu à découvert. 15. Extrémité postérieure de la loge du petit oblique ; ce muscle et le g
tit sciatiques, enveloppés en haut dans leur gaîne. RÉGION FÉMORALE POSTÉRIEURE . Côté gauche. M. Loge de la longue portion du
es vaisseaux et les nerfs propres du muscle, et derrière son feuillet postérieur se voient en transparence : 3. Artère carotide
toïde. N. Surface du triceps, recouverte par l'aponévrose brachiale postérieure , qui vient s'insérer sur les tendons du grand dor
la saillie se prononce à la surface ; ce feuillet adhère par sa face postérieure à la gaîne vasculaire, d'où il résulte que, dans
qui forme l'arcade fibreuse crurale sus-vasculaire. 1. Bandelette postérieure qui forme le segment antérieur de l'arcade crur
i n'est autre que l'insertion à la bran- che du pubis, ou le pilier postérieur externe de l'aponévrose du grand oblique. 3. ln
férieure de la logé du muscle sterno-pubien. 7. Portion de la paroi postérieure formée par l'extrémité inférieure du feuillet p
la paroi postérieure formée par l'extrémité inférieure du feuillet postérieur de l'aponévrose du transverse. 8. Portion infér
sseaux et nerf obturateurs vus en transparence derrière le feuillet postérieur de la loge. J. Loge musculaire du premier adducte
5. Tronc du nerf obturateur vu en transparence derrière le feuillet postérieur . K. Extrémité supérieure de la loge du droit in
DU MEMBRE THORACIQUE. Figure i. — Plan antérieur. Figure i. —- Plan postérieur . ADULTE, DEMI-NATURE. INDICATION DES LETTRES
t les gros vaisseaux. 12. Nerf cutané interne. 13. Veine cubitale postérieure . Avant-bras D. Loge médiane du long fléchisse
rf cubital. Avant-bras. H. Loge de l'anconé. I. Loge du cubital postérieur avec ses vaisseaux; on voit en trans- parence l
s doigts (L); de l'extenseur propre du petit doigt (M), et du cubital postérieur (N). Main. 27. Branches digitales du nerf rad
Esophage. 1. Aponévrose prévertébrale. 2. Aponévrose pharyngienne postérieure . 3. Contricteur moyen. 4. Corps thyroïde. 5
seaux cervicaux profonds. 14-. Angulaire de l'omoplate. 15. Scalène postérieur . 16. Long du cou. 17. 17. Aponévrose cervical
ge de l'extenseur propre de l'indicateur. 17. Vaisseaux interosseux postérieurs . 18. Loge de l'extenseur propre du petit doigt.
18. Loge de l'extenseur propre du petit doigt. 19. Loge du cubital postérieur . 20. 20, 20. Aponévrose antibrachiale. 21. Ve
e antibrachiale. 21. Veine radiale antérieure. 22. Veine cubitale postérieure . FIGURE 4. A. Corps du radius. B. Corps du
8. Loge de l'extenseur propre de l'indicateur. 9. Loge du cubital postérieur . 10. Loge de l'extenseur commun des doigts. 1
ue côté du ligament interosseux se voient les vaisseaux antérieurs et postérieurs . FIGURE 5. A. Surface articulaire radiale.
Tendon de l'extenseur propre du petit doigt. 14. Tendon du cubital postérieur . 15. Vaisseaux radiaux. 16. Nerf radial. 17
. 12. Vaisseaux interosseux antérieurs. 13. Vaisseaux interosseux postérieurs . 14. Veines dorsales de la main. Pl.10. Des
ADULTE, DEMI-NATURE. Figure i. — Plan antérieur. Figure 2. — Plan postérieur de la jambe et dorsal du pied. Figure 3. — Surf
ique poplité externe. N. Muscle poplité recouvert de son aponévrose postérieure . O. Grande loge aponévrotique du soléaire; on y
oléaire; on y voit en transparence : 12. Vaisseaux et nerfs tibiaux postérieurs , avec les branches qui en naissent. 13. Vaiss
. Loge du jumeau externe. 7. Loge du soléaire. 8. Loge du jambier postérieur . 9. Loge du long fléchisseur commun des orteils
eurs. Artère, veines et nerf tibial antérieur. D; Vaisseaux tibiaux postérieurs . Auprès est le nerf tibial de même nom. E. Vais
t en acier, avec lesquels elle s'articule en charnière. 2° Le segment postérieur (E) supporte en arrière la pelotte d'appui ou d'o
même forme, et présente deux boutons (c) pour l'attache des courroies postérieures ; l'espace qu'elle renferme sert de passage à la p
dage de corps (H), par les courroies antérieures (I) et les courroies postérieures (K). Dessiné par Rogat. Dirigé par N.H. Jacob.
aintenir la bande roulée en position. D'abord, très lâche sur la face postérieure du bras, elle a été tordue en spirale à un ou deu
llique offre à chaque bout une articulation en charnière; l'extrémité postérieure supportant la pelotte d'opposition (E), qui s'app
elle-même sur une petite compresse graduée, comprime l'artère tibiale postérieure dans l'espace moyen entre la malléole interne et
pour objet de montrer la différence des deux courbures entre le côté postérieur qui doit porter à plat, et l'antérieur, où la con
ique ; (3) la radiale antérieure, ou médiane commune ; (4) la radiale postérieure ; et (5) la cubitale antérieure (voyez fig. 2 et 3
a veine tibio-péro-nière. G. Lieu d'abouchement de la veine saphène postérieure . II, H. Nerf sciatique poplité interne, rejeté
'artère poplitée. G. Artère tibiale antérieure. H. Artère tibiale postérieure . I. Artère péronière. K. Condyle externe du f
e la Fac. de Méd., t. III. p. 97 ( Musée Dupuytren.) Figure 3. Plan postérieur de l'articulation fémoro-tibiale. Figure 4. Plan
ouchures, dans le tronc tibio-péronier (14), et dans l'artère tibiale postérieure (15). 16. Artère tibiale postérieure. 17. Art
(14), et dans l'artère tibiale postérieure (15). 16. Artère tibiale postérieure . 17. Artère péronière. 18. Artère tibiale ant
tumeur anévrismale. Elle est ouverte longitudi-nalement par sa paroi postérieure , pour montrer l'érosioe. sa paroi antérieure, qui
E. La jambe droite est couchée sur un oreiller, appuyée sur sa face postérieure ; la face externe et antérieure tournée en haut.
ssiné d'après nature par N.H. Jacob. LIGATURE DES ARTÈRES TIBIALE POSTÉRIEURE ET PÉRONIÈRE ADULTE, DEMI-NATURE. DISPOSITION
du. Sur ce membre sont représentées les ligatures de l'artère tibiale postérieure , à trois hauteurs différentes. Chacune des plaies
illé, est glissé sous l'artère. FIGURE 1. LIGATURES DE LA TIBIALE POSTÉRIEURE . 1° (A) Derrière la malléole interne. La plai
profonde de contention des tendons fléchisseurs. — 4. Artère tibiale postérieure , entre ses deux veines. 2° (B et B2) Fig. 2. Au
e l'aponévrose profonde des muscles fléchisseurs. — 4. Artère tibiale postérieure , entre ses deux veines : sous le vaisseau est eng
isseurs. — 6. fig. 2. Muscle jumeau interne. — 7. fig. 2. Nerf tibial postérieur . — 8. fig. 1 et 2. Artère tibiale postérieure , e
— 7. fig. 2. Nerf tibial postérieur. — 8. fig. 1 et 2. Artère tibiale postérieure , entre ses deux veines. Dans la fig. 1 , l'aigui
n oreiller par la face antérieure de l'articulation du genou, la face postérieure tournée en haut vers le chirurgien placé du côté
uscle biceps. 5. Nerf sciatique poplité interne. 6. Veine saphène postérieure . 7. Veine poplitée. 8. Artère poplitée. 9.
sur un oreiller dans l'extension et la supination, appuyé sur sa face postérieure , la face antérieure tournée en haut. L'aide de ga
sur un oreiller dans l'extension et la supination, appuyé sur sa face postérieure , la face antérieure tournée en haut. L'aide de ga
e de M. Jeffrey. Dans la plaie se montrent : (c) le tendon du cubital postérieur ; (d) le tendon du cubital antérieur, refoulant le
culer le fragment inférieur dans son articulation carpienne. La lèvre postérieure de la plaie (c), est formée par le bord des exten
le membre thoracique gauche, un peu écarté du tronc, présente sa face postérieure en haut, en regard de l'opérateur. Le bras étant
g supinateur et des radiaux. D. Fond de la plaie occupé par la face postérieure du brachial an- térieur, dont les fibres numéra
maintient les deux chefs de la bande, I, qui écarte la masse charnue postérieure et supporte le malade qu'il tient embrassé; un tr
de la plaie. (d) . Tendons du long fléchisseur commun et du jambier postérieur qui bordent la lèvre postérieure. Au fond de la
ng fléchisseur commun et du jambier postérieur qui bordent la lèvre postérieure . Au fond de la plaie : (e). Portion de l'extrémit
térieur, renfermant les vaisseaux et nerfs tibiaux. ( c ). Faisceau postérieur . Il renferme les tendons et les muscles fléchisse
tendons et les muscles fléchisseurs des orteils, péroniers', jambier postérieur et le tendon d'Achille , outre les vaisseaux tibi
mbier postérieur et le tendon d'Achille , outre les vaisseaux tibiaux postérieurs avec leur nerf, et les vaisseaux péroniers. (d)
pérer, les parties molles sont séparées en deux masses, antérieure et postérieure , où les divers organes, intacts, sont laissés dan
masse toutes les parties molles de la région antérieure. B. Anse postérieure qui écarte et isole également les parties molles
de l'extrémité tibio-péronienne. Le membre étant couché sur sa face postérieure , le pied contenu par les deux mains d'un aide, do
ce de l'articulation , et de glisser, sous chaque masse antérieure et postérieure , une bande ployée en double et enduite de cérat,
e du membre, abaisse de sa main gauche, D, les deux bouts de la bande postérieure , tandis que la bande antérieure est soulevée par
a masse charnue antérieure. — D, bande contentive de la masse charnue postérieure . — F, scie à chaîne occupée à pratiquer, d'arrièr
res au pourtour de l'excavation. FIGURE 2. RÉSECTION DE LA PARTIE POSTÉRIEURE DU CALCANÉUM. Une incision en T a permis de met
LCANÉUM. Une incision en T a permis de mettre à nu toute la portion postérieure du calcanéum entre deux lambeaux renversés. Le ca
c) . Muscle adducteur du gros orteil. (d) . Tendon coupé du jambier postérieur . (e) . Section verticale opérée dans le scaphoï
( Procédé de l'auteur. ) (a) . Lambeau cutané rejeté sur la face postérieure . (b) . Section verticale de l'attache supérieur
laie. Figure 1. Le membre abdominal gauche étant couché sur sa face postérieure , un aide de droite du chirurgien maintient la cui
ce des capsules fibreuses des condyles qui font partie de la membrane postérieure articulaire. Entre les deux segmens sca-pulaires
. Entre les deux segmens sca-pulaires existent les débris du ligament postérieur . (g) . Muscle poplité dont le tendon fémoral es
e dans l'os, appuyée en arrière sur une règle (o), garnie sur sa face postérieure d'une compresse qui garantit les chairs. FIGURE
montée par le cornet moyen et l'os planum de l'ethmoïde. s. Orifice postérieur de la fosse nasale compris entre la cloison en de
e autre incision (b), partant en arrière de la partie moyenne du bord postérieur de la branche de la mâchoire, descend sur son ang
ion est pratiquée partant, au-dessous du lobule de l'oreille, du bord postérieur de la branche de la mâchoire d'un côté (a), desce
t tout le contour de la base de l'os (b, c), et remontant sur le bord postérieur de la branche de l'autre côté jusqu'à hauteur par
'astragale , sur lequel s'attache aussi, un peu au-dessus, le jambier postérieur (K). Le tendon long fléchisseur du gros orteil (L
é à recouvrir la plaie. h, Section des os et des muscles de la face postérieure . FIGURE 5. amputation circulaire dans la cont
occupé à tailler le lambeau antérieur. Figure 2. Section du lambeau postérieur de la même opération. d, Main gauche d'un aide
en qui fixe l'avant-bras. g, Lambeau antérieur relevé. h, Lambeau postérieur dont on opère la section. i, Plan de section su
on incline son tranchant en bas pour achever de détacher le fragment postérieur . Figure 3. Surface du moignon de l'amputation pré
où le couteau , introduit en bas et en arrière , au-devant de l'angle postérieur de l'aisselle, a glissé entre la tête de l'huméru
ECTION DU LAMBEAU ANTÉRIEUR ET INTERNE, Après avoir taillé le lambeau postérieur et externe, qui a été relevé immédiatement, le ch
des grand dorsal, grand rond et desrotateurs de l'épaule. Le lambeau postérieur est constitué par le deltoïde. g, h, i. Artères
e à sa naissance; (h), la sca-pulaire inférieure; (i), la circonflexe postérieure . Tome 6. Pl.77. N. H. Jacob direxit. D'ap
avec le bistouri convexe, les deux incisions obliques , antérieure et postérieure . Sur cette figure, les incisions latérales ont ét
précédente, à. Cavité.'glénoïde. e. Branche de l'artère circonflexe postérieure . f. Artère axillaire à sa partie inférieure, do
ent. m, Fils à ligature des artères tibiale antérieure (o), tibiale postérieure (p), péronière (q) et jumelle (r). FIGURE 4 RÉU
en dedans du tibia , pour pratiquer la section du lambeau interne et postérieur sans taillader la peau vers Fangle supérieur d'en
longe sur le côté interne du tibia pour tailler le lambeau interne et postérieur . Figure 2. Surface du moignon après l'opération.
opération. f, Lambeau externe et antérieur. g, Lambeau interne et postérieur . h, Fils à ligature des artères tibiale antérie
r. h, Fils à ligature des artères tibiale antérieure (i), tibiale postérieure et péronière. m, n, Mains d'un aide qui supporten
précédente. r, Main d'un aide qui supporte le moignon. s, Lambeau postérieur destiné à recouvrir la plaie. t, Fils à ligatur
a plaie. t, Fils à ligature des artères tibiale antérieure, tibiale postérieure et péronière. Tome 6. Pl.83. Dessiné d'aprè
ture. FIGURES 10 et 11. Amputation de la jambe a lambeau externe et postérieur (procédé de M. Sédillot). Figure 10. Surface de
sculaire taillé aux dépens de la face externe et en partie de la face postérieure . Figure 11. Réunion linéaire de la plaie, le la
ligamens croisés, le couteau est descendu à plat, en longeant la face postérieure du tibia et du péroné, pour tailler le lambeau po
nt la face postérieure du tibia et du péroné, pour tailler le lambeau postérieur . a. Main d'un aide qui comprime l'artère fémora
rticulaire fémorale. e. Extrémité articulaire tibiale. f. Lambeau postérieur . FIGURE 3. SURFACE DU MOIGNON. g. Main gauche
pour en faire la ligature. i. Extrémité coupée des artères tibiale postérieure et péronière, dont la ligature est déjà effectu
é le lambeau. m, Fils à ligature rassemblés vers l'angle interne et postérieur de la plaie. Tome 6. Pl.84. Dessiné d'après
alaire (a) de la partie externe et antérieure, à la partie interne et postérieure , pour avoir un lambeau cutané plus étendu en rega
la peau; le couteau, ayant parcouru le côté externe (k), puis la face postérieure (1 ), arrive sur la face interne, où il est repré
modification de M. Mal-gaigne, l'un antérieur de (a) en (b), l'autre postérieur de (a) en (c) (figures 1 et 2), le chirurgien, à
issant le couteau le long de l'os en détachant les chairs, le lambeau postérieur se trouve par cela même déjà taillé. Au moment re
re, le couteau s'incline en bas pour détacher de lâ cuisse le lambeau postérieur . a. Lambeau antérieur. b. Lambeau postérieur.
lâ cuisse le lambeau postérieur. a. Lambeau antérieur. b. Lambeau postérieur . c. Extrémité coxale du fémur placée au-devant
oite du chirurgien, armée du couteau, occupée à détacher le lambeau postérieur . FIGURE 2. PROCÉDÉ DE M. LISFRANC {modifié).
es muscles à deux lambeaux, l'un externe antérieur et l'autre interne postérieur . Figure 6. Amputation ovalaire dans l'articulat
tères. Au-dessus de la cavité cotyloïde se développe le court lambeau postérieur taillé à angle droit. La jigure g donne le résult
15 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Atlas
de la localisation de l'hémianesthésic dans l'hémorrhagïe capsulaire postérieure , M. Charcot établissait l'autonomie fonctionnelle
sphère n'est plane que dans ses deux tiers antérieurs; dans son tiers postérieur elle présente une concavité : la concavité où se
avec un tampon de coton, allongé en forme de fuseau. Si la concavité postérieure de l'hémisphère n'est pas ainsi étayée, elle s'af
est-à-dire lorsque la région antérieure de la coupe devient la région postérieure , la ligne de démarcation disparaît; le clair et l
ange la direction du morceau d'étoffe, si l'on met en avant la partie postérieure , et en arrière la partie antérieure, la teinte de
éclairage, si l'on place la région antérieure à la place de la région postérieure , la surface de section du faisceau sera plus fonc
rse, pli de passage pariéto-temporal profond. 7tB. Pli d'anastomose postérieur de la troisième circonvolution frontale à la de
umain (Gratiolet), 11. R. Scissure de Rolando, 5, 15. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius, 1, 15. S". Branche a
calleux, 17. GMA. Gyrus métopique antérieur, 24. GMP. Gyrus métopique postérieur , 24. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré, 22, 25.
ostérieur, 24. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré, 22, 25. GQP. Gyrus postérieur du lobe carré, 22, 25. GR. Gyrus reclus, 24. GS
, 25. ima. Incisure métopique antérieure, 21. imp. Incisure métopique postérieure , 21. io. Incisure du lobule ovalaire ou paracentr
sula, insula antérieur, lobus cau- dicis (Burdach), 54. INP. Lobule postérieur de l'insula, insula postérieur, 54. ipc. Incisure
au- dicis (Burdach), 54. INP. Lobule postérieur de l'insula, insula postérieur , 54. ipc. Incisure du pli courbe, 52. ipi. Incisu
d sillon de l'insula. IRA. Rigole antérieure de l'insula. IRP. Rigole postérieure de l'insula. K. Scissure calcarine. L. Scissure l
de passage pariéto-temporal profond (Broca). ttB. Pli d'anastomose postérieur de la troisième circonvolution fron-tale à la deu
, pli humain (Gratiolet), 34. R. Scissure de Rolando. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius, 51, 55. -S". Branche
i courbe. ima. Incisure métopique antérieure. imp. Incisure métopique postérieure . ipc, Incisure du pli courbe. ipi. Incisure du lo
de passage pariéto-temporal profond (Broca). 7rB. Pli d'anastomose postérieur de la troisième circonvolution fron-tale à la deu
, pli humain (Gratiolet). R. Scissure de Rolando, 56. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius, 59. S". Branche anté
érieure. ce. Corps calleux. CH. Chiasma optique. CP. Commissure postérieure . CQ. Opercule du lobe carré ou cap du lobe carr
FAI. Fibres arquées profondes du bulbe. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte. G. Glande pinéale, épiphyse, con
culaire. GMA. Gyrus métopique antérieur, 44. GMP. Gyrus métopique postérieur , 41. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré, 42, 44
rieur, 41. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré, 42, 44. GQP. Gyrus postérieur du lobe carré, 44. GR. Gyrus rectus. GSF. Pre
, 44. ima. Incisure métopique antérieure. imp. Incisure métopique postérieure . Inf. Infundibulum de la tige pituitaire. io.
ubercule quadrijumeau antérieur (nates). QP. Tubercule quadrijumeau postérieur (testes). R. Scissure de Rolando. Rf. Rectang
rps calleux. GMA. Gyrus métopique antérieur, 50. GMP. Gyrus métopique postérieur , 49, 50. GQA. G\rus antérieur du lobe carré, 50,
rieur, 49, 50. GQA. G\rus antérieur du lobe carré, 50, 52. GQP. Gyrus postérieur du lobe carré, 50, 52. GR. Gyrus rectus. GSF. P
ique. ima. Incisure métopique antérieure. imp. Incisure métopique postérieure . Inf. Infundibulum de la tige pituitaire. io.
QA. Tubercule quadrijumeau antérieur. QP. Tubercule quadrijumeau postérieur . R. Scissure de Rolando, 49. Rf. Rectangle fr
u corps calleux. GMA. Gyrus métopique antérieur. GMP. Gyrus métopique postérieur , 55. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré, 55. GQF.
ue postérieur, 55. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré, 55. GQF. Gyrus postérieur du lobe carré. GR. Gyrus reclus. GSF. Première
limbique. ima. Incisure métopique antérieure. imp. Incisure métopique postérieure . io. Incisure du lobule ovalaire ou paracentral.
érieure. ce. Corps calleux. CH. Chiasma optique. CP. Commissure postérieure . CQ. Opercule du lobe carré ou cap du lobe carr
llé interne, 61. GMA. Gyrus métopique antérieur. GMP. Gyrus métopique postérieur . GQA. Gyrus antérieur du lobe carré, 56. GQP. Gyr
opique postérieur. GQA. Gyrus antérieur du lobe carré, 56. GQP. Gyrus postérieur du lobe carré, 56. GR. Gyrus rectus. GSF. Premi
coin. ima. Incisure métopique antérieure. imp. Incisure métopique postérieure . io. Incisure du lobule ovalaire ou paracentral
e quadrijumeau antérieur, 62. S. Vallée de Sylvius, 63. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius, 65. S". Branche anté
7. CIA. Segment antérieur de la capsule interne, 74. C1D. Segment postérieur de la capsule interne, 7G, 77. Cin. Cingulum.
thalami, couronne rayonnante de la couche optique, 77. S'. Rranche postérieure de la scissure de Sylvius, 69, 79, 80. sC. Sinus
bule pariétal inférieur. R. Scissure de Rolando, 141. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius. sC. Sinus du corps c
inférieure ou lobule pariétal inférieur. QP. Tubercule quadrijumeau postérieur . R. Scissure de Rolando. sh. Sillon de l'hipp
laire, 161. PC. Pli courbe. R. Scissure de Rolando. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius, 161. SH. Sillon de l
ius. lif. Fente de Bichat, 180. BQP. Bras du tubercule quadrijumeau postérieur . C. Circonvolution limbique, 174, 177. ce. Corps
inar, 180. QA. Tubercule quadrijumeau antérieur, 180. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius, 171. sC. Sinus du co
188. Bf. Fente de Bichat, 18G. BQP. Bras du tubercule quadrijumeau postérieur . BSO. Bandelette sous-optique, 195. C. Circonvolu
adrijumeau antérieur, 188. R. Scissure de Rolando, 185. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius, 185. sC. Sinus du corp
Aq. Aqueduc de Sylvius, 199. RQP. Bras du tubercule quadrijumeau postérieur , 197. BSO. Bandelette sous-optique, 201. CAM. Cor
I. Faisceau longitudinal inférieur, 203. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 200. FOi. Fibres inférieures du
6, 202. R. Scissure de Rolando. RR. Ruban de Reil, 200. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius, 195. SG. Substance gri
e quadrijumeau antérieur, 21 G. BQP. Bras du tubercule quadrijumeau postérieur , 206, 216. BSO. Bandelette sous-optique, 219.
CO. Centre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale. CP. Commissure postérieure , 205, 211, 218. F. Circonvolution frontale asce
. FCF. Faisceau compact du fornix. FCP. Faisceau de la commissure postérieure , 217. FDF. Faisceau diffus du fornix. FI. Fir
isceau longitudinal inférieur, 221, 222. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 205, 208. FPF. Faisceau pariéto-
Couronne rayonnante de la couche optique, 219, 221, 222. S'. Rranche postérieure de la scissure de Sylvius, 204. SG. Substance gri
adrijumeau antérieur, 228, 232. BQP. Bras du tubercule quadrijumeau postérieur , 228. BSO. Bandelette sous-optique, 235. C. C
ps calleux, 236. CI. Capsule interne, 224, 236, 237. C1D. Segment postérieur de la capsule interne, 224, 236, 237, 238. Cin.
ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 256, 238. CP. Commissure postérieure , 230. F. Circonvolution frontale ascendante, 23
CF. Faisceau compact du fornix, 238. FCP. Faisceau de la commissure postérieure , 228, 229, 250. FDF. Faisceau diffus du fornix, 2
diffus du fornix, 258. FI. Fimbria, 225. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 227. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert
ami, couronne rayonnante de la couche opti-que, 224, 257. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius. sC. Sinus du corps cal
cule quadrijumeau antérieur, 249. BQP. Bras du tubercule quadrijumeau postérieur . BSO. Bandelette sous-optique, 252. C. Circonvolu
2. C. Circonvolution limbique. ce. Corps calleux, 252. CID. Segment postérieur de la capsule interne, 254. Cin. Cingulum. CMT.
ntre ovale, faisceau ou fibres du centre ovale, 252. CP. Commissure postérieure . CTE. Faisceau du tegmentum allant à la substan
250. FCF. Faisceau compact du fornix. FCP. Faisceau de la commissure postérieure , 249. Fd. Fascia dentata, 240. FDF. Faisceau diff
256. FLI. Faisceau longitudinal inférieur. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 248. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert
Faisceau longitudinal inférieur, 270, 271. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 263. FM. Faisceau de Tiïrck-Meyner
Pont de Varole, 262. R. Scissure de Rolando, 256. R'. Prolongement postérieur de la scissure de Rolando, 256. RAH. Recessus a
isceau longitudinal inférieur, 272, 280. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 278. FM. Faisceau de Tùrck-Meyne
. PV. Pont de Varole, 277. R. Scissure de Rolando. R'. Prolongement postérieur de la scissure de Rolando. RAIL Recessus antéri
5. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 285, 288. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius, 272. 877. Sillon de
FLI. Faisceau longitudinal inférieur. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 296, 298, 506. FM. Faisceau de Tùr
terne, 295, 502. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius. SH. Sillon de l'hippoc
erne, 525. CEO. Faisceau cérébello-thalamique, 515, 517. CID. Segment postérieur de la capsule interne, 524. CIF. Segment inférieu
FLI. Faisceau longitudinal inférieur. PLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 526. FM. Faisceau de Tûrck-Meyne
utamen, 509, 524. RFP. Couronne rayonnante du faisceau longitudinal postérieur , 509, 515. RNC. Couronne rayonnante du noyau ca
inféro-interne du ventricule latéral, 528, 555. EPP. Espace perforé postérieur , 527, 552, 554. F1. Première circonvolution fro
2. PUT. Putamen. PV. Pont de Varole, 554. tïB. Pli d'anastomose postérieur de la troisième circonvolution frontale à la de
l'hippocampe, 528. RFP. Couronne rayonnante du faisceau longitudinal postérieur , 555. S'. Branche postérieure de la scissure de S
onne rayonnante du faisceau longitudinal postérieur, 555. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius. SG. Substance grise ce
8, 570, 571. TM. Tubercule mainillaire, 558, 566, 568. Tmp. Pédoncule postérieur du tubercule mamillaire, 566. TRI. Trigone cérébr
7. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 586, 587. Sr. Branche postérieure de la scissure de Sylvius. SG. Substance grise
RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 591, 598, 404. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius. T1. Première circonv
du corps calleu 408, 414. S. Vallée de Sylvius, 407. S'. Rranche postérieure de la scissure de Sylvius, 407. S'". Branche ve
bec du corps calleux, 421. S. Vallée de Sylvius, 420. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius, 419. S". Branche ant
FCF. Faisceau compact du fornix, 434. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 428, 451. FM. Faisceau de Tûrck-
cule quadrijumeau antérieur, 428. ROS. Rostrum, 429. -S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius. sC. Sinus du corps c
459. CIA. Segment antérieur de la capsule interne, 456. Cil). Segment postérieur de la capsule interne, 458. CL. Claustrum. CP. Co
postérieur de la capsule interne, 458. CL. Claustrum. CP. Commissure postérieure . CQ. Opercule du lobe carré ou cap du lobe carré.
é, 458, FI. Finibria, corps frangé, 458. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 458. FP. Faisceau pyramidal, 458
L. Faisceau rubro-thalamique. NmC. Centre médian, 457. NpC. Noyau postérieur du thalamus, 456, 457. NR. Noyau rouge de la ca
du thalamus, 441. NiC. Noyau interne du thalamus, 440. NpC. Noyau postérieur du thalamus, 440. 01. Première circonvolution o
. Racine antérieure ou pédoncule antérieur du thalamus. TRp. Pilier postérieur du trigone, 446. VF. Corne frontale du ventricu
IA. Segment antérieur de la capsule interne, 455, 456. CID. Segment postérieur de la capsule interne, 452. Cin. Cingulum, 453.
Cingulum, 453. CL. Claustrum. CO. Centre ovale. CP. Commissure postérieure , 452. CQ. Opercule du lobe carré ou cap du lobe
EPA. Espace perforé antérieur, 459, 460, 461. EPP. Espace perforé postérieur . F1. Première circonvolution frontale, 459. /
ique, 463, 464. QA. Tubercule quadrijumeau antérieur. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius. sC. Sinus du corps c
QA. Tubercule quadrijumeau antérieur. QP. Tubercule quadrijumeau postérieur . BGE. Couronne rayonnante du corps genouillé ex
16 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
ar ce quadruple caractère, d'un lobe olfactif rudimentaire, d'un lobe postérieur recouvrant complètement le cervelet, d'une scissu
d'une scissure de Sylvius parfaitement dessinée, et enfin d'une corne postérieure au ventricule latéral. Ces caractères ne se ren
es plis cérébraux sont dues a Vicq-d'Azyr. Il remarque qu'à la partie postérieure du cerveau la substance blanche est distribuée en
er lieu, la scissure de Sylvius, qui sépare le lobe antérieur du lobe postérieur . H décrit avec une grande exactitude les cinq pro
es repliés, qui occupent cette région. Les deux processus verticaux postérieurs , l'un assez long, l'autre plus court, se conserve
les parties orbitaires des lobes frontaux. Quelques sillons du lobe postérieur méritent une attention particulière. L'un est sit
cette face interne; il se dirige, en arrière, vers le sommet du lobe postérieur , et correspond à l'éperon qui se trouve dans la c
lobe postérieur, et correspond à l'éperon qui se trouve dans la corne postérieure du ventricule latéral. La description que Rolan
tions dont les unes appartiennent au lobe frontal, les autres au lobe postérieur . C'est ainsi qu'il signale, sur le lobe antérieur
toujours fort irrégulières. Les circonvolutions inférieures du lobe postérieur sont : 4*' La circonvolution qui longe la grand
ion réfléchie du ventricule latéral. 2° Les circonvolutions du lobe postérieur . Toutes ces circonvolutions partent de la circonv
d'avant en arrière et partent de la circonvolution pariétale la plus postérieure ou du bord postérieur de la scissure de Sylvius.
partent de la circonvolution pariétale la plus postérieure ou du bord postérieur de la scissure de Sylvius. Yoilà, en résumé, la
obe antérieur, %° un lobe supérieur, 3° un lobe inférieur, 4° un lobe postérieur ; mais il n'assigne point à ces lobes des limites
che 5, fig. 1 ; mais les circonvolutions pariétales et celles du lobe postérieur sont trop imparfaitement distinguées. Nous cite
de la même planche offre un exemple plus normal. Les circonvolutions postérieures sont bien indiquées. L'opercule du lobe antérieur
ngue peu entre les Singes) a trois circonvolutions antérieures, trois postérieures , deux supérieures, une interne, et des circonvolu
ésence de deux circonvolutions supérieures (fig. 4, SS, SS"), dont la postérieure se porte en haut et en arrière pour s'unir à la c
fort succinct sur tout ce qui touche le lobe antérieur. Quant au lobe postérieur , il n'en dit absolument rien, et ses figures ne p
contourne, suivant sa plus grande circonférence jusqu'à son extrémité postérieure , d'où elle revient, longeant la zone cérébello-te
s de la tubérosité de la circonvolution du premier ordre sur la marge postérieure du quadrilatère perforé, à la marge antérieure du
e successivement la lèvre antérieure, la lèvre supérieure et la lèvre postérieure de scissure de Sylvius, et se termine dans le som
ale, et se porte, au-dessous du groupe triangulaire, vers l'extrémité postérieure du cerveau; 4** M. Foville signale, en outre, des
a traverse occipitale ; 4** enfin l'espace qui s'étend de l'extrémité postérieure de l'hémisphère au sommet du lobe temporal. Il
Le point où ils se réunissent en arrière est, pour nous, l'extrémité postérieure de l'hémisphère, extrémité occipitale. Je deman
externe de l'hémisphère; l'une de ces parties est antérieure, l'autre postérieure . La postérieure constitue ce que nous appellero
phère; l'une de ces parties est antérieure, l'autre postérieure. La postérieure constitue ce que nous appellerons le lohe occipit
L'étage surcilier et le pli frontal moyen se réunissent à leur partie postérieure , et se terminent ensemble au-dessus du coude de l
ute son étendue, et que nous nommerons pour cette raison pli marginal postérieur d d. Ce pli et la branche descendante du pli cour
oral supérieur d. Ce pli se continue directement avec le pli marginal postérieur et n'en est point distinct. 2'' Le pli temporal
n les lèvres de la scissure perpendiculaire, nous voyons que la lèvre postérieure , formée par le bord antérieur du lobe occipital,
la lèvre antérieure comme un opercule. Cet opercule, opercule du lobe postérieur , cache au fond de la scissure un système de plis
ule. Le supérieur passe du deuxième pli ascendant au sommet du lobe postérieur ; il forme, en dehors, un coude fort remarquable
Le second pli passe de la portion descendante du pli courbe au lobe postérieur n. Si maintenant nous rappelons les plis superf
plis ascendants et du pli courbe. Il n'en est pas de même de la lèvre postérieure qui forme un des plis les mieux prononcés et les
parce qu'il se rattache, en général, à un grand développement du lobe postérieur , et sous ce point de vue il paraîtra avoir quelq
rps calleux , je veux dire à ses pédoncules (Yicq-d'Azyr). Son bord postérieur regarde en arrière et en bas. La bandelette des p
rd postérieur regarde en arrière et en bas. La bandelette des piliers postérieurs de la voûte lui sert de frange ou d'ourlet. Enf
scend du bord supérieur de l'hémisphère et s'arrête au niveau du bord postérieur du corps calleux. Nous la nommerons scissure perp
issure perpendiculaire externe. L'autre BB'B" s'étend de fextrémité postérieure de l'hémisphère au sommet du lobe temporal. Le
qui est comprise entre B et B', c'est-à-dire entre le sommet du lobe postérieur et le genou postérieur du corps calleux, est larg
B et B', c'est-à-dire entre le sommet du lobe postérieur et le genou postérieur du corps calleux, est large et profonde; elle rép
ntérieure, c'est-à-dire dans tout l'intervalle compris entre le genou postérieur du corps calleux et le sommet du lobe temporal, c
ce interne, qui est située au-dessus du corps calleux et de la partie postérieure de la scissure des hippocampes, est divisée en de
e répond à la fois au lobe frontal et au lobe pariétal. L autre est postérieure ; elle répond à la partie supérieure du lobe occip
e, qui est située au-dessous de l'ouverture cérébrale et de la partie postérieure de la circonvolution des hippocampes, répond à la
que ce sillon distingue confine au corps calleux; au-dessus du genou postérieur du corps calleux, il s'élargit et s'élève jusqu'a
lle, cette partie élargie lobule quadrilatère \ Au-dessous du genou postérieur du corps calleux, ce pli se rétrécit brusquement,
s deux plis supérieurs sont constamment cachés par l'opercule du lobe postérieur ; mais il y a beaucoup de variations dans le degré
se développant ainsi, le lobule frontal s'est avancé vers les parties postérieures du cerveau; il a refoulé en arrière les plis asce
r pli de passage et le second pli sont cachés sous l'opercule du lobe postérieur . Dans les Semnopithèques, le pli de passage supér
duire à des résultats assez remarquables. Dans les Guenons, le lobe postérieur semble anticiper sur la région fronto-parié-tale
nal et du sommet de la scissure ; en un mot, le développement du lobe postérieur semble lutter victorieusement contre le développe
ue dans VEnlelle (pl. IV, %.3); 5° La profondeur des plis du lobe postérieur , qui, malgré le jeune âge de l'animal, est relati
ques observations. Dans le fœtus dont il s'agit, les plis cérébraux postérieurs sont bien développés, tandis que les plis du lobe
nent à l'imperfection de l'état fœtal. Chez tous les Singes, les plis postérieurs se développent les premiers; les plis antérieurs
que, selon certains anatomistes, d'ailleurs fort habiles, les parties postérieures du cerveau apparaissent les dernières (1). Cette
arrière dans le fœtus, ce n'est point seulement parce que les parties postérieures du cerveau ne se sont point développées, mais par
é leur place originelle et n'ont point été refoulées vers les parties postérieures . Nous remarquerons aussi que, si les idiots ont s
nt le cervelet découvert, ce n'est point toujours parce que les lobes postérieurs sont relativement atrophiés, mais parce que le ce
oy. pl. YIII, fig. 8); la gracilité des plis ascendants et surtout du postérieur , dont la partie supérieure est très-courte; 3" la
deuxième pli de passage, et enfin la simplicité des incisures du lobe postérieur , qui, la plupart du temps, est absolument lisse e
l'hémisphère des vrais Macaques, mais i ° La distance de la pointe postérieure de l'hémisphère au corps calleux est plus grande
braux, ils se distinguent du Rhésus. Par la petitesse du prolongement postérieur du deuxième pli ascendant, ils se distinguent d'a
se, en sens divers, une profonde incisure (6' 6'). Les plis du lobe postérieur sont assez nombreux ; mais la surface est singuli
e entre le développement des parties antérieures et celui des parties postérieures . Le point le plus élevé de cette courbe répond à
dans les mêmes proportions que celui de VOrang-Outang. Quant au lobe postérieur , il est grand, développé, plus haut que long, et
ernière molaire d'en bas est courte et n'a point « de talon à sa face postérieure . « Dans le Gorilla, la même dent est très-longu
ans le Gorilla, la même dent est très-longue et présente, à sa partie postérieure , « un talon évidemment trilobé. « Ces caractère
imètres environ en arrière de ce point. Il suit de là que la limite postérieure du lobe antérieur recule, et ce lobe s'agrandit a
e lobe s'agrandit ainsi en refoulant le lobe pariétal, dont la limite postérieure est, d'ailleurs, beaucoup moins bien définie que
ent être étudiés avec l'attention la plus scrupuleuse; leur extrémité postérieure se jette dans le sommet du premier pli ascendant
eur 3.3. est plus flexueux; il se jette un peu en dehors, à sa partie postérieure , et, s'arrondissant d'une manière plus ou moins r
ux régions presque symétriques. Du pli ascendant en avant et du pli postérieur en arrière partiront, 1° Dans deux directions o
on lobule et par le pli de passage supérieur, jusque vers l'extrémité postérieure du cerveau. Or, dans l'Homme et dans les Singes
'un seul pli, il s'élève et se complique en arrière, où son extrémité postérieure se dilate en un lobule quadrilatère très-grand et
, se dégradent de plus en plus à mesure qu'on marche vers les parties postérieures , en sorte que sur le lobule occipital ils ne sont
cerveau était, au premier abord, remarquable par l'atrophie des lobes postérieurs . Mais quelle fut mon admiration lorsque, jetant u
s frappés, au premier abord, de la richesse de ces plis sur la moitié postérieure du cerveau, et de leur pauvreté, si l'on considèr
z haut, et sa direction se confond si bien avec celle du pli marginal postérieur , qu'il peut à peine en être distingué. Arrivé au-
tés sont, pour nous, résolues. Nous reconnaîtrons aisé ment le lobe postérieur ; ce lobe est d'une grandeur médiocre. Outre son i
ques incisures secondaires dont la direction est ascendante. Son bord postérieur est tronqué, en sorte qu'il est plus élevé que lo
e passage est à peine indiqué et caché sous l'operculQ; 4" Les plis postérieurs sont moins riches. Sauf ces différences, la des
érables. La scissure des hippocampes est très-profonde dans sa partie postérieure . Sa branche supérieure de bifurcation est fort él
du cerveau, que trois plis bien distincts ; à savoir, le pli marginal postérieur , qui est fort épais, le sommet du pli courbe et l
li, le sillon du pli courbe manque ou paraît manquer. Le pli marginal postérieur est donc le seul pli qui soit bien distinct sur l
au-dessous d'elle. 4° Enfin le lobe occipital, qui forme l'extrémité postérieure de l'hémisphère, et qu'une scissure à peu près dr
e Sylvius, et que nous nommons aussi, pour cette raison, pli marginal postérieur . 2° Le pli temporal moyen. Ce pli est séparé du p
aux précédents et n'en est pas toujours bien distinct; son extrémité postérieure passe au lobe occipital. Le lobe occipital est
supérieur, unit le lobule du deuxième pli ascendant au sommet du lobe postérieur . Le deuxième pli unit le sommet du pli courbe à
loi. Ainsi, dans les Sajous, ce pli est caché sous l'opercule du lobe postérieur , mais il est superficiel dans les Saïs. Ainsi l
ce interne. L'une, à peu près horizontale, est étendue de l'extrémité postérieure du cerveau au sommet du lobe temporal et côtoie l
mporal et côtoie le bord inférieur de l'ouverture centrale. Sa partie postérieure , celle qui est derrière l'ouverture centrale, est
ipital interne. Le lobe occipito-temporal est étendu de l'extrémité postérieure de l'hémisphère au sommet de la saillie temporale
nd pli entoure celui-ci; c'est le pli de la zone externe. A sa partie postérieure , le pli de la zone interne se relève, s'élargit e
s'éloigne de l'extrémité antérieure du cerveau et se rapproche de la postérieure ; dans les Singes des groupes inférieurs, elle s'
érieurs, elle s'éloigne, au contraire, de plus en plus de l'extrémité postérieure du cerveau pour se rapprocher davantage de l'extr
élevés, la scissure perpendiculaire interne est très-voisine du bord postérieur de l'ouverture cérébrale ; mais, dans les Singes
gradés, elle se déplace, et passe des parties antérieures aux parties postérieures du cerveau. Ainsi, dans des Singes très-différe
t les plis moyens, à savoir le pli courbe, et surtout le pli marginal postérieur , et dans les Ouistitis ces plis eux-mêmes s'effac
scissure montre à quel point, dans ces derniers Primates, les parties postérieures du cerveau l'emportent sur les parties antérieure
nt développés, contribueront également à l'agrandissement des parties postérieures du cerveau. Ainsi une grande saillie, une égale
nsi que dans l'Homme, où le lobe occipital est très-petit, la saillie postérieure du cerveau est néanmoins très-grande. Dans le Pap
llie des bosses occipitales correspond un grand développement du lobe postérieur . Quel sectateur de Gall, promenant ses aveugles d
17 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
re du sphénoïde et ses extrémités terminales ou apophyses clinoïdes postérieures , sont repoussées en arrière. La partie plus d
que d'avant en arrière entre les apophyses clinoïdes antérieures et postérieures mesurent 44 millimètres de longueur, ce qui don
t très gros et il présente des traces d'hyperostose dans son rebord postérieur . Les métatarsiens aussi présentent quelques pet
, surtout dans l'espace qui sépare la ligne axillaire antérieure et postérieure . Des douleurs siègent aussi dans les Ve et VIe
s les côtes correspondantes (entre la ligne axillaire antérieure et postérieure ), la douleur la plus forte est en dehors du mamel
comme il faut l'admettre dans l'os même et com- primait les racines postérieures , et, probablement les antérieures aussi (preuve
' 1er octobre. - Le malade se plaint de douleurs le long de la face postérieure de la cuisse et de la jambe droite et d'un engo
naux très vifs), et qu'il intervient une douleur le long de la face postérieure de la cuisse, de la jambe et du pied; les réfle
l'affaiblissement du pied droit et des douleurs le long de la face postérieure de la cuisse, de la jambe et du pied droit, sont
uite de cette compression pouvait bien naître la douleur de la face postérieure de la cuisse et de la jambe, la pareslhé- sie d
r cette situation de la tumeur. L'absence de dou- leurs sur la face postérieure des membres supérieurs fonl présumer que les ra
l'absence absolue de douleurs et de troubles sensitifs sur la face postérieure des jambes et dans la région du périnée. En r
ers le mem- bre inférieur gauche, vers le genou, le long de la face postérieure de la cuisse. La douleur a atteint le maximum d
uis 3 semaines ces douleurs commencèrent à se propager vers la face postérieure de la hanche gauche. Le maximum de douleur siège
moitié gauche principalement. Les douleurs du sacrum, de la face postérieure de la hanche gauche, le plus fortes dans sa rég
ur. Elle a l'aspect d'un ruban large et épais qui porte sur sa face postérieure des dépressions sous forme de nids peu profonds.
t tantôt plus profonds du côté gauche, tantôt du droit. Les racines postérieures sont très modifiées. Les enfoncements ci-dessus
s empreintes d'ostéomes ronds et ovales qui se trouvent sur la face postérieure des corps des vertèbres. On a scié les vertèbre
te. Il faut encore noter que la dure-mère était adhérente à la face postérieure du corps de vertèbre sur un parcours de 1 centi
envoie un seul prolongement vers le haut. La dure-mère sur la face postérieure de la moelle est normale. Les enfoncements cité
ession évidente de la moitié droite de la moelle et des fais- ceaux postérieurs , la moitié gauche semble n'être que déplacée). Le
p plus petit correspond la Ir. racine dorsale (les deux fais- ceaux postérieurs et la moitié droite de la moelle). L'enfoncemen
sidérable que celle de la gauche) et aux IVe et Ve racines dorsales postérieures (peu profond, atteignait seulement la courbe ex
en fibres myéliniques et cellules nerveuses, tandis que de la corne postérieure , il ne reste plus rien à décrire. . Dans les co
n la région des faisceaux pyramidaux et celle de Gowers ; le cordon postérieur est encore plus lésé; ses parties antérieure et m
t sclérosées, il n'y a que quelques faisceaux de fibres tout à fait postérieurs qui se colorent bien ; elles pénètrent comme de
; elles pénètrent comme des festons dans la profondeur des cordons postérieurs . Il faut encore remarquer que les fibres n'ont pa
ombre de fibres coupées transversalement se trouve dans les cordons postérieurs et par place a la périphérie des cordons antéro
zonule de fibre communique avec la corne antérieure dans sa partie postérieure ; enfin on voit les restes des libres dégénérée
érieure ; enfin on voit les restes des libres dégénérées. Le cordon postérieur droit est ^analogue par ses modifications à cel
de cordon, d'autres finissent sur place. Les racines antérieures et postérieures sont bien conservées, la racine antérieure montre
res myéliniques peu serré). Les mieux conservés restent les cordons postérieurs ,surtout les faisceaux de Goll ; les faisceaux de
jet des différents faisceaux prend la forme en zig-zag. Les racines postérieures sont dégénérées des deux côtés, les fibres coupée
Le réseau myélinique de la substance grise est normal. Les cordons postérieurs de la substance blanche sont sclérosés, surtout
de la commissure grise et à côté de la partie antérieure des cornes postérieures . Dans les cordons latéraux : on voit une dégéné
et antérieurs (fig. 3), mais pas de dégénérescence dans les cordons postérieurs . A côté de ces lésions (dégénérescence descenda
en que dans la grise, les plus nombreux correspon- dant aux cordons postérieurs . L'augmentation du nombre des vaisseaux sanguin
a pratiqué à titre d'opération pal- liative une section des racines postérieures , pour calmer les douleurs Quant à la valeur de
échit tronc sur le bassin, il se fait une distension des Ij muscles postérieurs de la cuisse et au moment où le tronc s'approche
supérieur du sternum une tumeur plate. Au même niveau, sur la face postérieure du sternum, on voyait une tumeur adhérente au s
ous du sternum et se réunissait avec la masse néoformée sur la face postérieure des côtes. Dans la moitié gauche de la cage tho
astin antérieur est'occupé par cette masse de même que le médiastin postérieur , la tumeur englobe l'aorte. La bronche gauche se
ière est épaissie, hypertrophiée dans la moitié droite et la partie postérieure de la moitié gauche (son épais- seur atteint 1/
ffuse des cordons pos- térieurs (plus notable autour des cor- nes postérieures ) et, à un degré moins Ul11 10 m Il c .
s sont plutôt accumulées dans le fascicule dorso-médian des cordons postérieurs et dans les voies pyramidales latérales. A gauc
diculaire gauche et une dégénérescence moins prononcée de la racine postérieure gauche. Dans la moelle sacrée, le triangle de G
rieures. Ils se ren- contrent en plus grand nombre dans les cordons postérieurs et dans la partie pos- térieure des cordons lat
riennes pénètrent Fig. 5. Sarcome à cellules rondes. 1. Racines postérieures . 4. Foyer de lésion dans le cordon latéral 2. D
al précisément, s'estforméun foyer considérable, occupant la moitié postérieure du cordon latéral droit, et caractérisé par une d
s'irra- diant vers l'omoplate. Le membre était froid ; sur sa face postérieure les veines se gonflèrent. Peu à peu le membre s
des foyers de lésion surtout dans les cordons latéraux et dans les postérieurs . Les cordons antérieurs par contre sont presque t
ble grossissement, l'aspect alvéolaire de ces foyers. Les cordons postérieurs sont aussi lésés, mais beaucoup moins que les lat
t, y sont minimes. Pas de foyers diffus. Les racines antérieures et postérieures sont intactes. Le réseau dans la subs- tance gr
leur volume est moindre. Les cordons antérieurs sont normaux ; les postérieurs , très peu lésés (seulement à la périphérie et ver
he, une zone périphérique claire et un foyer allongé dans la partie postérieure du cordon. Les lésions du côté droit res- sorte
taches et de raies s'y retrouve. Deux grands foyers dans la partie postérieure du cordon sont surtout à noter. Comme il est di
de taches et de raies. Les cordons latéraux sont surtout lésés. Les postérieurs sont beaucoup moins touchés, les antérieurs pre
ins touchés, les antérieurs presque intacts. Racines antérieures et postérieures , dure-mère et pie-mère sans changements. Dans les
ion dans le cordon latéral droit. 3. Foyer de lésion dans le cordon postérieur droit. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA C
grandes dimensions il y ena de plus petits, ovales, dans le cordon postérieur droit, près de la zone périphérique, non loin de
des cordons antéro-latéraux et des alvéoles vides dans les cordons postérieurs . Les cloisons élargies dans toute la coupe cont
ulaires on voit des corpuscules amyloïdes (surtout dans les cordons postérieurs non loin de la périphérie). Le réseau myélinique
a dure- mère. (La localisation de ces masses correspond au faisceau postérieur droit et latéral droit voisin du précédent.)
alvéoles vides et de myéline dégénérée. Par contre dans les cordons postérieurs apparaissent de grands foyers irrégu- liers ; i
des lésions diffuses dans les parties antérieures des deux cordons postérieurs . Alvéoles vides isolés dans les cordons latéraux
ons postérieurs. Alvéoles vides isolés dans les cordons latéraux et postérieurs . Légère démyélinisation dans les zones périphériq
(elles passent à travers la dure-mère). Les racines antérieures et postérieures en dedans de cette méninge ne présentent pas de
ds foyers. Ils sont dispersés dans toute l'étendue des deux cordons postérieurs et dans la partie postéro-médiane des cordons l
rand foyer nettement limité sous forme d'un oeuf ; dans les cordons postérieurs ,des foyers irréguliers, étoilés. Nulle part de
n voir un nombre considérable dans la zone périphérique des cordons postérieurs . De là ils pénètrent dans la profondeur de la m
elle et surtout dans la substance gélatineuse de Rolando des cornes postérieures . A côté de cette localisation ils sont dispersés
r dé- montrèrent des lésions notables. Dans les cordons latéraux et postérieurs il y avait des foyers plus ou moins grands qui
mécaniques. Mais d'un autre côté la tumeur se trouvait sur la face postérieure de la dure-mère el y pouvait compri- mer les va
it aucun rapport immé- diat avec la moelle. Le fait que les cordons postérieurs et latéraux sont principalement le siège de la
dans le fais- ceau de Burdacli du côté gauche, le long de la corne postérieure , et une légère raréfaction des fibres dans les
postérieure, et une légère raréfaction des fibres dans les cordons postérieurs . Dans le II" segment cervical on note déjà des
à la périphérie de la moelle à côté du cordon droit an- térieur et postérieur . La moelle est aplatie des deux côtés. L'aspect d
épend pas de la faute de fixation dans le chrome). Dans les cordons postérieurs la partie moyenne est le moins intensivement co
arque une raie distincte de dégénération le long de la corne gauche postérieure . A côté de l'aspect un peu clairsemé de toute la
irréguliers et petits dans le cordon droit antérieur. Les racines postérieures et antérieures sont bien conservées. Dans le Il
substance grise est pâle. Les cordons sont eu général pâles, et les postérieurs sont un peu mieux colorés que les antéro-latéra
les que dans la zone périphérique de la moelle. Le long de la corne postérieure gauche, une zone très pâle. La racine postérieure
long de la corne postérieure gauche, une zone très pâle. La racine postérieure gauche est tout à fait dégénérée. Les autres ra
he il y a deux foyers minuscules asymétriques dans les deux cordons postérieurs , non loin du sillon longitudinal postérieur et
dans les deux cordons postérieurs, non loin du sillon longitudinal postérieur et un foyer en forme allongée allant de la périph
don antérieur, non loin du sillon longitudinal antérieur. Les cordons postérieurs sont plus clairs que les antéro-latéraux. Du cô
moelle et dégénérée à une certaine distance de celle-ci. La racine postérieure est presque complètement dégénérée (il n'y a que
es). Par places (dans le faisceau gauche de Burdach, dans la partie postérieure du cordon latéral gauche), il y a des foyers ir
e développa par suite de compression et de dégénération des racines postérieures gauches (surtout au niveau du segment cervical
). Les masses néoplasiques se disposent le plus souvent sur la face postérieure (dorsale) de la dure-mère. Quelquefois elles n'
s médullaires. On les constate surtout dans les cordons latéraux et postérieurs (quelquefois dans les antérieurs). Us affec- te
es foyers se disposent symétriquement dans les cordons latéraux et' postérieurs et alors ils simulent la dégénérescence seconda
t aux dégénérescences « radiculaires » secondaires dans les cordons postérieurs (le cas de Pfeiffer, notre observation XIII). L
comprimés des dégénérescences dans la zone radiculaire des cordons postérieurs (compression des racines par distance dans notr
le du pied. L'ACHONDROPLASIE EST-ELLE HÉRÉDITAIRE 261 Le bord postérieur de l'extrémité inférieure du tibia présente deux
orteil est plus petit que les autres et il est implanté sur un plan postérieur et supérieur. Ce fait n'existait pas aux mains.
de la main celle qui consiste en ce que l'annulaire occupe un plan postérieur à celui des autres doigts, fait qui a été vérif
mère, un foyer de malacie de date également récente dans le segment postérieur de la capsule interne droite, une endo-artérite o
adiographie mon- tre soudés ensemble sur leur moitié antérieure, la postérieure étant occu- pée par un foyer tuberculeux en voi
es au point de vue de la compression nerveuse. Enfin, entre la face postérieure de la moelle, et la dure-mère, qui, nous le rap
ens antéro-postérieur de 7 à 8 cen- timètres de diamètre. La partie postérieure des corps vertébraux atteints est en outre le s
squilles soient projetées dans le canal rachidien, ou que la partie postérieure d'un corps vertébral, suffisamment conservée, v
LATAU cuisse et de la jambe (on ne peut pas l'affirmer pour la face postérieure des membres inférieurs). Même chose en ce qui c
er la substance grise de la blanche, mais les cornes antérieures et postérieures sont déformées et asymé- triques. Dans quelqu
périphérie des cordona latéraux et de plus petits dans les cordons postérieurs . Ces foyers vont de la périphérie vers le centre
supérieurs une dégénérescence secondaire peu accentuée des cordons postérieurs des (faisceaux de Goll principalement) et une dég
ert. On voit ici également le foyer nécrotique dans la corne droite postérieure . Peu après l'autopsie on a fait quelques prépar
es des méninges molles sont in- signifiantes à ce niveau (la région postérieure ). En descendant (du niveau de la tumeur), on vo
es multiples, infiltration des méninges surtout du côté des cordons postérieurs ). Dans la moelle lombaire, la substance grise rep
e légére dégénérescence secondaire récente surtout dans les cordons postérieurs (dégénérescence ascendante) et dans les faiscea
ns la moelle (fig. 13) (incision de la dure-mère le long de la face postérieure de la moelle). La tumeur se distingue par sa colo
ées dans le cordon latéral droit et moins visibles dans les cordons postérieurs et le cordon latéral gauche. Les cordons antérieu
gitudinal est de 2 centimètres, transversal 1 centimè- tre. La face postérieure de la tumeur est en partie adhérente à la face in
de lui est recouvert par le pus qui est jaune-verdâtre sur la face postérieure de la moelle (ou de la tumeur). Résumé. La mala
it ruban adhérant d'un côté à une tumeur ronde (fig. 15). La partie postérieure de ce ruban (les cordons postérieurs) est plus
eur ronde (fig. 15). La partie postérieure de ce ruban (les cordons postérieurs ) est plus large que l'antérieure qui recouvre l
rieure de la tumeur sous forme d'une languette étroite. Les cordons postérieurs sont le mieux conservés quoique là aussi on tro
laires. Pas de signes histologiques d'une stase sanguine. La région postérieure de la tumeur adhère en un point à la dure-mère.
constate une raréfaction de la subs- tance blanche dans les cordons postérieurs . Les foyers clairs affectent la- forme irréguli
ans le VIe seg- ment dorsal on ne trouve qu'un foyer dans le cordon postérieur gauche et, par place, des endroits clairsemés à
la périphérie du cordon latéral gauche. Le foyer occupant le cordon postérieur se trouve dans la proximité de la zone périphér
rdon postérieur se trouve dans la proximité de la zone périphérique postérieure , aussi bien dans le cordon de Goll que dans le co
moelle on constate des endroits faiblement dégénérés dans le cordon postérieur gauche,- surtout dans le cordon de Goll. Un con
S. Cordon latéral droit. 6. Racine antérieure gauche. 7-8. Racines postérieures . 9. Tumeur. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET
réfié.' - 3. Tumeur. 4. Cor- don latéral droit raréfié. - 5. Racine postérieure . - 6. Foyer de lésions dans le- cordon postérie
fié. - 5. Racine postérieure. - 6. Foyer de lésions dans le- cordon postérieur droit. 7. Tumeur. FiG. 17. Fibrosarcome psammeu
latéral droit. - 4. Dure-mère. - 5. Foyer de lésion dans le cordon postérieur droit. 6. Tumeur. 7. Racine postérieure. xxiii
yer de lésion dans le cordon postérieur droit. 6. Tumeur. 7. Racine postérieure . xxiii 22 330 FLATAU ' Au niveau du pôle in
ntuée du cordon latéral et antérieur, un peu moindre dans le cordon postérieur . Dans la moitié droite de la moelle le tissu ne
normal. La substance grise est sans modification. Dans les cordons postérieurs on constate un épaississement bien évident des
ste du tissu ; de même les cordons antérieurs montrent dans la zone postérieure une structure alvéolaire et le tissu en partie
a méthode de Marchi montrent des masses dégé- nérées dans le cordon postérieur gauche qui ont été déjà décrites à propos de la
dérable de masses dégé- nérées se trouvent également dans le cordon postérieur droit non loin de la cloison longitudinale post
ans le cordon postérieur droit non loin de la cloison longitudinale postérieure . En descendant le long de la moelle on con- sta
Ces lésions touchent les cordons antéro-latéraux aussi bien que les postérieurs . Elles affectent la forme de grands foyers de r
ris la forme d'un ruban. Au niveau des Y- et VI' racines cervicales postérieures la moelle épinière, dans la région des cordons
vicales postérieures la moelle épinière, dans la région des cordons postérieurs , présente un enfoncement (est-ce artificiel ? ou
ux, la région de faisceau pyramidal croisé, et la zone périphérique postérieure du 'cordon pos- térieur), on voit leur parcours
hres ner- veuses rompues, courtes; direction bizarre.Dans la partie postérieure du cor- don latéral se voit un groupe unique de
plus attentif, on constate une certaine démyélinisation des cordons postérieurs surtout autour de la cloison longitudinale postér
des cordons postérieurs surtout autour de la cloison longitudinale postérieure et une raréfaction au milieu de la corne antéri
ent. La mieux conservée est la substance blanche autour de la corne postérieure . Dans le cordon postérieur gauche les lésions son
la substance blanche autour de la corne postérieure. Dans le cordon postérieur gauche les lésions sont analogues à celles du c
degré d'aplatissement et la déviation de l'axe sagittal des cordons postérieurs .-Une légère dégénérescence des cordons postérie
ttal des cordons postérieurs.-Une légère dégénérescence des cordons postérieurs le long de la cloison longitudinale postérieure.
escence des cordons postérieurs le long de la cloison longitudinale postérieure . Dans la région des lire et lie segments cervic
cine antérieure. - 3. Cordon latéral gauche dégénéré. - 4. Ra- cine postérieure . 0 TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLON
veau un- mince faisceau des fibres nerveuses qui couronnent la face postérieure des cordons postérieurs. Des lésions pareilles,
des fibres nerveuses qui couronnent la face postérieure des cordons postérieurs . Des lésions pareilles, mais moins prononcées s
arre grande comme une pièce de cinq francs s'est formée sur la face postérieure de la jambe gauche, trois plus petites dans la
imètre au-dessous du lieu de pénétration de la IXe ra- cine dorsale postérieure dans la moelle. Les Xe et XIe racines se trouvent
de pénétration des faisceaux supérieurs de la Ire racine lom- baire postérieure dans la moelle. Examen microscopique. On a fait
ntacte). 4. Arachnoïde recouvrant la tumeur. 5. Tumeur. z 6. Racine postérieure (légèrement dégénérée). - 7. Racine postérieure (
Tumeur. z 6. Racine postérieure (légèrement dégénérée). - 7. Racine postérieure (tout à fait dégénérée). 8. Arachnoïde. 9. Raci
nérée). 8. Arachnoïde. 9. Racine antérieure (intacte). 10. Ra- cine postérieure intacte. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA
rme à la moitié pos- térieure du cordon latéral gauche et au cordon postérieur . La moelle y est aplatie obliquement. Toute la
umeur, on voit qu'elle le fait en passant immédiatement sur la face postérieure de la tumeur. La tumeur y est libre et n'adhère
de la moelle. Sur la face dorsale de la tumeur se trouve une racine postérieure aplatie, allongée et en partie dégénérée. Sur l
e dans le sens obli- que. La tumeur adhère principalement au cordon postérieur et au latéral gauche. Toute la périphérie de la
ue est adhérente à la méninge molle. A ce niveau on voit une racine postérieure dégénérée englobée par la tumeur. Les méninges
nerveuses à myéline qui constituent évidemment les racines gauches postérieures . Ces fibres s'accumulent en faisceaux ronds ou co
est aplatie aussi du côté gauche (une petite partie du cordon droit postérieur adhère à la tumeur). Les cordons antérieurs son
hère à la tumeur). Les cordons antérieurs sont presque normaux. Les postérieurs sont les plus touches. [Le latéral gauche démon
une dégénérescence évi- dente, le droit à peine visible. La racine postérieure droite est considéra- blement dégénérée, l'anté
vrant la tumeur. - 4, 6, 8, 9, H, 13. Traces de fibres radiculaires postérieures au sème de la masse néoplasique. - 5. Tumeur. 7
neuse dans la tumeur. 10. Racine anté- rieure (intacte). 12. Racine postérieure (légèrement dégénérée). TUMEURS DE LA MOELLE ÉP
le épinière. 1. Racine antérieure (presque normale). - ` ? . Racine postérieure (légèrement dégéné- rée).- 3. Arachnoïde recouv
Racine antérieure (légèrement dégénérée). - 8. Dure-mère. 9. Racine postérieure (dégénérée). 10. Dure-mère. FIG. 26. - Dégénére
e (dégénérée). 10. Dure-mère. FIG. 26. - Dégénérescence des cordons postérieurs et une faible dégénérescence de la voie cérébel
ie proximale on voit une dégénérescence secondaire dans les cordons postérieurs (surtout dans le gauche) et dans les zones périph
e. Dans la moelle cervicale la dégénérescence se limite à la partie postérieure du faisceau cérébelleux (lig. 26). Dans la dire
hi montrent des masses rondes dégénérées dans les cordons (de Goll) postérieurs et dans la partie postérieure du faisceau céréb
dégénérées dans les cordons (de Goll) postérieurs et dans la partie postérieure du faisceau cérébelleux gauche dans la région d
saux en partie aussi de la 1 lombaire. La tumeur adhérait à la face postérieure et latérale gauche de la moelle épi- nière. Les
la pie-mère. L'arachnoïde, en quittant la moelle passe sur la face postérieure de la tumeur et la recouvre. Là où la tumeur to
res radiculaires. La tumeur s'est développée évidemment à la racine postérieure gauche. Dans le tissu de la moelle même on voit s
tate une dégéné- rescence localisée principalement dans les cordons postérieurs et dans le latéral gauche. A côté de cela on a
e la des- cendante. La dégénérescence ascendante frappe les cordons postérieurs (surtout celui du côté gauche) et le' faisceau
ite en dehors de la dure-mère et correspondent au cordon latéral et postérieur . La configuration extérieure de la moelle est n
une légère dégénérescence dans la zone radiculaire de deux cordons postérieurs . Le méninges molles ne sont pas modifiées. Les
est la dégénérescence des zones radiculaires dans les deux cordons postérieurs , surtout dans le gauche. A mesure qu'on monte.
ncts, un dans le cordon laté- ral gauche, l'autre, dans les cordons postérieurs près de la partie antérieure de la cloison long
ostérieurs près de la partie antérieure de la cloison longitudinale postérieure . A côté de ces foyers du type alvéolaire on rem
s foyers dans les cordons latéraux d'autres situés dans les cordons postérieurs (la région de commissure et des zones radiculai-
, une faible dégénérescence des zones radiculaires dans les cordons postérieurs . En sens ascendant, la dégénérescence se déplaç
éolaire dans le cordon latéral gauche et un second dans les cordons postérieurs ,près de la commissure. A part ces foyers on en co
secondaire ascendante (une légère dé- générescence dans les cordons postérieurs dépendait de la lésion des zones radiculaires d
stérieurs dépendait de la lésion des zones radiculaires des cordons postérieurs et non de ces foyers). La moelle au-dessous de
ion dorsale. De plus on sentait à travers la dure-mère, sur la face postérieure , des petites tumeurs situées à différents nivea
oncements sur la périphérie du cordon latéral gauche et des cordons postérieurs . En outre une raréfaction des fibres dans la subs
econdaires. Les cloisons sont épaissies, surtout celles des cordons postérieurs . Vaisseaux en nombre augmenté. Ils portent des
latéraux. Légère dégénérescence des parties antérieures des cordons postérieurs (dans le voisinage de la commis- sure postérieu
eures des cordons postérieurs (dans le voisinage de la commis- sure postérieure ). Le réseau au sein de la substance grise est rar
s méninges molles). La pie-mère épaissie dans la région des cordons postérieurs et par place ses cloisons très larges pénètrent e
tement dit) sur la face interne de la dure-mère du côté des cordons postérieurs . La con- figuration de ces cordons est normale.
n'y remarque point de lésions. Quelques endroits dans les cor- dons postérieurs sont un peu moins bien colorés, par exemple la ré
ques. L'arachnoïde est franchement plus épaisse du côté des cordons postérieurs . Les racines sont en partie dégénérées. L'une d
stérieurs. Les racines sont en partie dégénérées. L'une d'elles, la postérieure gauche, est complètement dégénérée (la raréfact
un peu épaissie peut-être ; arachnoïde épaissie du côté des cordons postérieurs ; quelques racines dégé- nérées en partie ; les
en haut correspond à la corne antérieure. - 2. Dure-mère. 3. Racine postérieure en partie dégénérée. - 4. Gomme de la méninge.
sons qui de la périphérie se rendent dans la profondeur des cordons postérieurs . Les coupes coloriées par Vhématoxyline et l'éo
n assez prononcée des méninges molles, située du côté des cor- dons postérieurs et d'une partie du cordon latéral. Cette infiltra
es lésions voisines, tandis que de la dure-mère en face des cordons postérieurs , pousse une gomme, et dans une racine antérieure
du côté des cordons antérieurs que du côté des cordons latéraux et postérieurs . A l'exception du VIe segment dorsal les gommes
es cel- lules géantes et l'absence d'une couche granuleuse, l'autre postérieur , (1) W. BETZ. Anatomischer Nachweis Zweier Gelt
structure ressemble à celle de la frontale ascendante, et une autre postérieure qui représente la continuation de la pariétale
ère sur ce sujet. J'ai constaté en effet que les lésions du segment postérieur de la capsule interne produisent d'une part la
es pyra- mides profondes de la pariétale ascendante et de la partie postérieure du lobule par acentral (1). Une constatation an
constitué par deux régions dis- tinctes : l'une antérieure, l'autre postérieure ,séparées entre elles,en gran- departie,par un s
s mêmes caractères que la frontale ascendante et celle de la partie postérieure est à peu près identique comme structure à la p
ise par l'apparition de la couche granuleuse interne dans la partie postérieure et par la disparition des cellules de Betz prop
st que la partie antérieure est beaucoup plus épaisse que la partie postérieure . C'est ainsi que la moyenne du type 4 de Brodmann
du tiers moyen, on les retrouve localisées seulement sur le versant postérieur de la frontale ascen- dante. Même sur ce versan
rimates dans le lobule paracentral, sauf dans la partie tout à fait postérieure de celui-ci, et dans la partie supérieure de la f
opiques. Foyer hémorragique qui détruisait profondé- ment la moitié postérieure du lobe pariétal gauche. Lésions microscopiques
autres sont en voie de dégénérescence pig- mentaire. Dans la partie postérieure du lobule paracentral, type 5 de Brod- mann, on
lenticulaire. Un autre foyer plus petit, se trouvait dans la partie postérieure de la capsule interne gauche. Examen microscopi
es et un certain nombre qui sont en voie d'atrophie. Dans la partie postérieure du lobule paracentral, là où sa structure le ra
que récent qui détruit toute la couche optique gauche et le segment postérieur de la capsule interne.' Un autre foyer plus pet
er soutenu. Examen macroscopique. Foyer hémorragique dans la partie postérieure du noyau lenticulaire gauche, détruisant une po
e du noyau lenticulaire gauche, détruisant une portiou de la partie postérieure de la capsule interne. - Examen microscopique.
de la capsule interne les grosses pyramides profondes de la région postérieure du lobule paracen- tral réagissent, s'atrophien
truit la plus grande partie de la couche optique et tout le segment postérieur de la capsule interne. Dans le cervelet un anci
e à droite. On voit également une légère dégénérescence des cordons postérieurs . Avec Nissl on constate une diminution des cell
ous de la compression et la dégénérescence ascen- dante des cordons postérieurs , du faisceau cérébelleux direct et du faisceau de
upérieur des fron- tales ascendantes des deux côtés. Dans la partie postérieure du lobule para- central, ayant la structure du
ard aux zonas, etc... Lésion du prolongement central ou radiculaire postérieur » (p. 266 et 267). C'est bien là, je pense, ce qu
r une longueur de 24 centimètres ; en dehors par la ligne axillaire postérieure , prolongée par le bord interne du bras ; en hau
région mammaire, le creux de l'aisselle jusqu'à la ligne axillaire postérieure , et la partie postéro- interne du bras, ainsi q
geant au niveau de la ligne axillaire antérieure, envoie son rameau postérieur donner la sensibilité à la partie postéro- inte
2e intercostal, et ici tout recouvert par le naevus ; et son rameau postérieur innerve la peau de la partie latérale de l'ais-
ond précisément successivement à la disposition des rameaux cutanés postérieurs , latéraux et antérieurs du 8° nerf intercostal,
tercostal, par un trajet légèrement descendant en arrière (branches postérieures ), très descendant sur la face latérale (rameaux
u au-dessus, sensiblement sur la zone d'efflorescence de la branche postérieure du 2e intercostal. 3° Un placard'plus vaste, de
groupe précédent, et un rapport avec les terminaisons des branches postérieures des 2", 3e, 4e, 5e, 60 intercostaux. L'interpré
vus se superpose à la distribution des rameaux cutanés des branches postérieures du dernier cervical et du premier dorsal, droits
rolongements sensitifs ectodermiques issus du ganglion de sa racine postérieure ; 2° le îzffitiîts-7jyélite, à distribution segme
permettant de l'attribuer avec certitude à une lésion de la racine postérieure entre son ganglion et son entrée-dans la moelle
(ou de son prolongement encéphalique), futurs ganglions des racines postérieures , les cellules ganglionnaires envoient d'une part
part leurs pro- longements cylindraxiles allant former les cordons postérieurs et en partie les racines postérieures delà moel
iles allant former les cordons postérieurs et en partie les racines postérieures delà moelle (Brissaud) (2) ; et d'autre part qu'e
énie des naevi. Il suffit de rappeler que le' ganglion de la racine postérieure et le gan- glion sympathique d'un métamère ont
stème du grand sympathique lui-même le ganglion nerveux des racines postérieures . Quoi qu'il en soit de la formation initiale, c
ires centripètes (Langley, Roux) ; et avec le ganglion de la racine postérieure par des filets centrifuges et centripètes, sans
es petits ganglions sym- pathiques accolés au ganglion de la racine postérieure (Marinesco). Donc contact permanent entre l'inf
08, n° 5, mai. 2) SimoN et Hoche, Les ganglions nerveux des racines postérieures appartiennent- ils au système du grand sympathi
répercussion se produira sur les cellules du ganglion de la racine postérieure du même métamère, dont l'équilibre trophique ro
a de même si la lésion initiale porte sur le ganglion de la raci ne postérieure , ou sur un groupe de ses cellules ; celles-ci, lé
. La percussion du thorax indique une submatité à la base du thorax postérieur droit ; à l'auscultation sur cette région, on per
nt dues à une compression ou à un tiraillement des racines spinales postérieures correspondant aux vertèbres malades ? Car si, d
rsent à un centimètre environ de chaque côté de la suture la partie postérieure des pariétaux. La face est plus développée du c
physe odontoïde (sauf à gauche), des masses latérales, de la partie postérieure de l'arc et des apophyses épineuses. L'atlas
. Le thorax est déformé par la courbure rachidienne. L'angle costal postérieur est ici très fermé, là très ouvert, suivant la
la masse spongieuse molle décrite plus haut. En arrière des cordons postérieurs , immédiatement au-dessous de l'arachnoïde, on voi
des cornes antérieures et des cordons antéro-latéraux. Les cordons postérieurs se présentent sous forme d'une masse grise, mol
voit seulement la fente syringomyélique dans la région de la corne postérieure gauche. Il n'y a plus de masse brunâtre. La mêm
u il peu la corne antérieure gauche et les droites : .antérieure et postérieure (elle affecte la forme de II). La coupe microsc
es, une anesthésie dans certaines zones cor- respondant'aux racines postérieures comprimées. Dans quelques cas pour- tant ce sym
il faut prendre eu considération également l'irritation des racines postérieures . Il nous semble probable qu'à côté de cette excit
z court 472 FLATAU couchée sur le ventre (pour l'examen du côté postérieur ) après quoi l'aggravation s'est produite et la
région sacrée, dans l'os du sacrum, dans le périnée et dans la face postérieure des membres inférieurs. Il est exceptionnel que
gion de la moelle bien voisine de la mé- ninge molle où des racines postérieures peuvent naître de très fortes douleurs qui alor
és (excepté les cas où la tumeur siège dans le voisinage des cornes postérieures ), assez souvent bilatéraux dès le début et les
bles les plaques très petites siègent dans le voisinage des racines postérieures . J'ai eu l'occa- sion d'observer quelquefois de
l'absence de symptômes radiculaires, surtout de la part des racines postérieures , l'absence de douleurs pénibles (excepté les ca
foyer alvéolaire dans le cordon latéral gauche et dans les cordons postérieurs non loin de la commissure ; en plus un foyer en
iasztla anterior et de l'insula posterior. De même, dans la portion postérieure de la capsule externe, un certain nombre de fibre
cette altération est beaucoup plus étendue. Dans la circonvolution postérieure de l'insula, les fibres de l'axe médullaire et
celles de la base sont presque totalement disparues. Dans le tiers postérieur de la capsule externe, presque toutes les fibres
isphère, la capsule interne apparaît, détruite dans toute sa moitié postérieure . Détruits aussi la capsule externe, le fasciculus
ior), le centre oval placé sous l'o- perculum rolandicill/i,le bord postérieur de la F3, l'operculum rolandicum, exception fai
rébral droit, une destruction presque complète de la circonvolution postérieure de l'insula, et, en partie, des circonvolutions
ntérieur du Ti ; la destruction des 2/3 dorsaux des circonvolutions postérieures de l'insula ; la destruction du segment dorsal
bliés jusqu'alors, m'a conduit (1) à cette conclusion que la moitié postérieure de l'insula gauche appartient à la zone acousti
a relevé avant tout que, chez les gauchers égale- ment, la « moitié postérieure du gyrus temporalis supremus est la partie dont
eubner (2) : à la coupe du cerveau, on trouva un foyer de la partie postérieure de Ti, du sulcus temporalis sU]J1'ernus,et du g
fait intacte, du moins relativement bonne, non seulement la portion postérieure de Ti, mais aussi le gyrus temporales transvers
ndantes de l'hémisphère gauche. En somme, chez les gauchers, l'aire postérieure de la F3 et l'in- sula intériew' pour le langag
. ascendens. - La capsule interne est détruite dans toute sa moitié postérieure . Sont aussi détruits les deux tiers postérieurs d
ans toute sa moitié postérieure. Sont aussi détruits les deux tiers postérieurs de la capsule externe du fasciculus arcualus, d
terior), le centre ovale placé sous l'operculum rolandicum, le bord postérieur de la F3, et l'operculum rolandicum, à l'except
nt détruits, la partie insulaire du fasciculus arcualus, la portion postérieure de la capsule externe, le segment rétro-lenticu
u corps calleux peut être partielle ou complète. Parfois le segment postérieur ou occipital seul fait défaut. La commissure an
eure du corps calleux avait été complètement sectionnée ; la moitié postérieure du tronc ainsi que le splénium étaient indemnes
se dirige d'abord en arrière, puis remonte en dedans de l'extrémité postérieure de la corne occipitale pour se recourber ensuit
cloison transparente détruite. La commissure molle et la commissure postérieure sont intègres. Le corps du trigone fait totalemen
e le trigone est parfaitement sain. Ce dernier est adhérent au bord postérieur du rudiment calleux en avant et à la subs- tanc
fais- ceau dérivé du genou du corps calleux et destiné aux régions postérieures , s'engage profondément entre la première circon
ince couche de radia- tions calleuses qui n'est que la continuation postérieure intra-llémisphé- rique du genou du corps calleu
udiment calleux, affectent un trajet sagittal vers les régions plus postérieures et vont s'étaler au-dessus de la voûte et le lo
apsule externe. Au sur et à mesure que l'on aborde les niveaux plus postérieurs , ces fascicules s'infléchissent légèrement en d
faisceau peuvent être suivies et en dedans et en dehors de la corne postérieure , où elles occupent, au-dessous de l'épendyme ve
nsparente font également défaut, mais les commissures antérieure et postérieure sont normalement dévelop- pées. De chaque côté,
AGÉNÉSIE DU CORPS CALLEUX 515 pour former la fimbria ou le pilier postérieur du trigone, alors que le contingent plus volumi
notre premier sujet, très saillant en arrière et donne à la partie postérieure du crâne un aspect carré. , Les soudures crânie
l'ex- trémité antérieure de l'aqueduc de Sylvius ou de l'extrémité postérieure du IIIe ventricule, il existe des centres qui f
he qu'à droite. Crises laryngées, paralysie des crico-aryténoïdiens postérieurs . Paralysie des masticateurs. Dès l'atâe de 30 ans
de la poitrine. A l'autopsie il existait une sclérose des cordons postérieurs extrême- ment prononcée ; l'examen de la moelle
irmé le diagnostic de tabes : les lésions sont limitées aux cordons postérieurs , et sur presque toute la hauteur elles ne débor
trième orteil est plus petit que les autres et implanté sur un plan postérieur et supérieur. Ce fait n'existe pas aux mains. M
de la main celle qui consiste en ce que l'annulaire occupe un plan postérieur à celui des autres doigts, fait qui a été vérif
ndrath ont enlevé un sarcome intramédullaire situé dans les cordons postérieurs . Ils ont fait une incision longitudinale dans l
incision longitudinale dans la région de la cloison longitudi- nale postérieure (mort 5 jours après par suite de septicémie). Dan
us forme d'une traînée assez épaisse qui se dirige vers l'extrémité postérieure du lobe occipital. En avant la sclérose périveu
veutriculaire s'étend jusqu'à un plan qui passerait par l'extrémité postérieure des noyaux gris. En bas la sclérose se continue
n sacrée, elles sont moins étendues et occupent surtout les cordons postérieurs . Sur toutes les coupes le canal épendymaire s'e
plus ordinairement à l'origine de l'aorte ascendante, sur sa paroi postérieure . On voit à cet endroit des sortes de plaques à
meaux. La commissure antérieure, la commissure molle, la commissure postérieure el la glande pinéale sont toutes normalement co
eur, la circonvolution pariétale ascen- dante. Le rameau horizontal postérieur de cette même scissure manque complètement. Le
els. Legyrus supramarginalis n'entoure pas complètement l'extrémité postérieure de la scissure de Syl- vius. Comme dans l'hémis
itaire. Nous en reprendrons l'étude à ce niveau. , Dans la partie postérieure du lobe frontal (PI.LXXIfI-r1) et sur les coupes
tance blanche profonde des circonvolutions frontales. Sur les plans postérieurs , la feule ventriculaire s'élargit peu à peu, ma
nnante voisine, au sur et à mesure que l'on aborde les niveaux plus postérieurs , un nombre toujours croissant de fibres de proj
finis quoique moins développés qu'à l'état normal. Dans la partie postérieure du lobe pariéto-temporal (PI. LXXIV-E) et corres-
che optique. Ses rapports avec le segment dorsal de la com- missure postérieure , avec le faisceau rétro-réflexe de Meynert et ave
ont des plus faciles à constater. Le bras du tubercule quadrijumeau postérieur peut être suivi sans interruption jusque dans l
nt de la capsule in- terne ou s'y rendent,en traversant l'extrémité postérieure du noyau lenticulaire. Elle transmet toujours i
circonvolution temporale. Dans la région comprise entre l'extrémité postérieure de la couche optique (pl. LXXIV-Fj et le plein
riétal. Lobe occipital. Dans la partie moyenne de ce lobe, la corne postérieure 644 ARCHAMBAULT présente à peu près les dimen
zone nettement verdâtre qui semble bien représenter le prolongement postérieur du cingulum pariétal. A ce propos, nous rappell
aisceaux propres au lobe occipital, n'étaient que les prolongements postérieurs des segments supérieur (ou pariétal) et inférieur
re étant peu profonde ne déprime guère la paroi interne de la corne postérieure et il en résulte que l'ergot de Morand est à pe
est particulièrement facile à suivre. Alors que les fibres du bras postérieur des tubercules quadrijumeauxse rendent directemen
surtout de la première circonvolution temporale et traversent l'angle postérieur du noyau lenticulaire et la partie correspondan
et s'épuisent dans la partie antérieure du corps de Luys. La moitié postérieure de la capsule externe est presque totalement dégé
te par la pie-mère, est formée à ce niveau de deux feuillets ; l'un postérieur qui adhère fortement au trigone dont il reçoit
face médiane du lobe frontal. La commissure molle et la commissure postérieure sont bien développées et parfaitement saines.
an, jusque dans la zone sous-corticale de la circonvolution la plus postérieure (circonvolution limbique) de la face médiane. La
s le cerveau normal) s'étend en arrière bien au delà de l'extrémité postérieure de la couche optique, mais toujours en côtoyant
corne temporale. En dedans de cette toile, les piliers antérieur et postérieur du trigone s'unissent pour former le corps de c
agittales profondes et qui, s'étendant en dehors, détruit le lobule postérieur du gyrus suprarnarginalis et la partie attenant
nton lui-môme les coupes sériées d'un cas de néoplasme de la partie postérieure du tronc du corps calleux ; le segment correspo
Sachs manque là où le cingulum occupe la paroi médiane de la corne postérieure , et revient dans son domaine classique lorsque le
n reproduit. Une grande partie de la crête illaque, l'épine iliaque postérieure et supérieure, l'échancrure qui la suit et l'ép
térieure et supérieure, l'échancrure qui la suit et l'épine iliaque postérieure et inférieure, sont nettement visibles. La gran
ïdes conformément à la disposition naturelle ; de ce fait leur face postérieure regarde en avant. On y reconnaît la ligne âpre,
18 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
perdu leur tonicité, ce qui contraste avec le spasme des muscles postérieurs de la cuisse. - Malgré l'abaissement de la crêt
iveau beaucoup plus élevé que les dernières émergences des branches postérieures de ce nerf. Le point iliaque supérieur répond
de décompression. - A 3 h. 5, l'animal commence à traîner sa patte postérieure gauche. A 3 h. 20, la paralysie de lamotilité d
ts de la région 54 CLINIQUE NERVEUSE. dégénérée, dans les cordons postérieurs et dans les parties posté- rieures, il y a une
ent des foyers de dégénérescence décolorés, tantôt dans les cordons postérieurs seulement et tantôt aussi, dans l'un ou l'autre
bien que la plus grande partie des cordons latéraux, et les cordons postérieurs portent des fibres nerveuses qui ne présentent ri
en limité se trouve dégénéré. Aux limites des cornes antérieures et postérieures , au niveau de la commissure blanche parait un f
fond gris foncé. Ces points jaunes se trouvent surtout aux cordons postérieurs et à la partie postérieure des cordons latéraux
s jaunes se trouvent surtout aux cordons postérieurs et à la partie postérieure des cordons latéraux, de sorte que la coupe tra
les, étaient pour ainsi dire enfoncés dans la substance des cordons postérieurs et avaient séparé le tissu nerveux; ils étaient
vale. Le tissu çircpnvQisin des cordons 60 - ' CLINIQUE NERVEUSE. postérieurs offrait plus ou moins les signes de la myélite pa
loin dans la substance blanche, de façon à altérer tous les cordons postérieurs . Les parties postérieures des cordons latéraux
anche, de façon à altérer tous les cordons postérieurs. Les parties postérieures des cordons latéraux participent aussi de cette
e. La substance grise avec ses cellules, les racines antérieures et postérieures et les méninges ne se montrent nulle part sensi
ration se trouve au milieu du domaine de la lésion. Ici les cordons postérieurs sont en quelque sorte dilacérés et si fragiles qu
e à la première circonvolution temporo-sphénoïdale dans la partie postérieure de laquelle siège le centre de l'au- dition men
le spinale latérale; quand c'est au centre, aux cordons latéraux et postérieurs que les lésions se localisent, naît la forme ce
lésées de la moelle. Le siège des lésions au centre et aux cordons postérieurs , donne naissance à la forme centrale spinale po
ux cordons postérieurs, donne naissance à la forme centrale spinale postérieure . La localisation exclusive des lésions aux cord
nale postérieure. La localisation exclusive des lésions aux cordons postérieurs , produit la forme spinale postérieure. Enfin, s
usive des lésions aux cordons postérieurs, produit la forme spinale postérieure . Enfin, si les lésions siègent à la moitié de l
spinale et une amélioration très grande des symptômes des cordons postérieurs . C'est surtout au traitement par l'air com- pri
e complètement dégénérés; des cordons de Goll et d'autres cordons postérieurs , quelques faisceaux seulement l'étaient chez le
langue, du voile du palais, des mâchoires, des membres antérieur et postérieur . C'est toujours la théorie de l'engrenage. « Et
- mission de ce centre nerveux sont, suivant Lussana, les cordons postérieurs de la moelle épinière. Ces con- ducteurs ne con
tefois, la contracture du train antérieur et l'im- potence du train postérieur de l'animal ne semblent pas résulter directemen
sse gauche onze ans aupa- ravant, une atrophie ascendante du cordon postérieur , de la corne pos- térieure, de la corne antérie
n- sibilité. C'est ainsi que la destruction du centre d'un membre postérieur est suivie, nous l'avons vu, de pa- résie ou de
par A. TAKACS. [Neurol. Centralbl., 1887.) Les fibres radiculaires postérieures à peine entrées dans la moelle se diviseraient
ux portions : l'une qui pénètre directement dans la substance grise postérieure , l'autre qui gagne auparavant, en dedans et en
dedans et en dehors, la substance blanche, autour des cornes grises postérieures . Celles qui pénètrent d'emblée dans les cornes
postérieures. Celles qui pénètrent d'emblée dans les cornes grises postérieures , tra- versent la substance gélatineuse et peuve
r. Celles qui longent la substance blanche autour des cornes grises postérieures (faisceau cunéi- forme de Burdach et segment po
es grises postérieures (faisceau cunéi- forme de Burdach et segment postérieur du rejeton des cordons latéraux), remontent imm
laissant la substance grise en dehors, s'enfoncent dans le segment postérieur du rejeton des cordons latéraux, s'infléchissen
omposés de fibres équivalentes qui émanent des fibresradicu- laires postérieures après leur passage par les cornes grises postérie
adicu- laires postérieures après leur passage par les cornes grises postérieures . Les cordons de Burdach et le segment postérieu
es cornes grises postérieures. Les cordons de Burdach et le segment postérieur du rejeton du cordon 110 REVUE D'ANATOMIE ET DE
GIQUE. latéral sont la continuation directe des fibres radiculaires postérieures , mais ces fibres, au-dessus de leur entrée dans
distantes de cette entrée, pénètrent, la substance grise des cornes postérieures . - De là les propositions de physiologie que voic
et latéro-cérébelleux étant la prolongation des fibres radiculaires postérieures qui ont préalablement passé par les cellules gris
ures qui ont préalablement passé par les cellules grises des cornes postérieures , ce sont eux qui forment le trajet le plus direct
sensibilité, tandis que les faisceaux de Burdach avec les segments postérieurs du rejeton de cordon latéral, constituent des voi
du tabes, de concert avec celles des racines etdes colonnes grises postérieures . D'où également, à une phase plus avancée de la
mée par l'oculo-mo- teur commun, ou, plus exactement, par la partie postérieure du noyau de celui-ci. P. KERAVAL. VIII LYMPHA
ine; cette dégénérescence vas- culaire occupait surtout les cordons postérieurs ; la substance blanche et grise ne présentait pa
e; elle s'étend dans le sens transversal et elle occupe la partie postérieure de la commissure grise, allant d'une des cornes
nches inégales : la branche verticale des- cend au milieu du cordon postérieur du côté gauche. La moitié droite de la branche
orte dans la région de la commissure grise, au-devant des cordons postérieurs . Elle déplace l'extrémité anté- rieure des cord
s ou moins la forme d'un T; il. est situé à l'extrémité du cordon postérieur du côté gauche, se trouvant séparé de toutes pa
mité interne de la branche horizontale du T, le sillon longitudinal postérieur et Fit. 20. 164 CLINIQUE NERVEUSE. l'extrém
stitue un espace arrondi, occupant l'extrémité antérieure du cordon postérieur gauche. Sur des coupes soumises au procédé de
n inférieure (V. Aq. 21). Ils occupent presque toujours les cordons postérieurs et spéciale- ment la partie antérieure de ces c
rrière et finit par se trouver à l'extrémité antérieure des cordons postérieurs , n'ayant plus aucun rapport avec le canal centr
ant plus aucun rapport avec le canal central, ni avec la commissure postérieure . (.1 suivre.) 'Archiv fil)- Psychiatrie, t. V
sortent de cellules qui ont plutôt l'aspect des cellules des cornes postérieures et de la substance de Rolulldo. De là deux type
e référant aux différences de structure des cornes antérieures et postérieures de la moelle épinière, à-t-elle quelque apparen
s de la moelle épinière, que les cellules des cornes antérieures et postérieures , sont rigoureusement distinctes anatomiquemeut,
rs, que « des fibres motrices de la vessie passent dans les cordons postérieurs ou dans l'extrême partie postérieure des cordon
essie passent dans les cordons postérieurs ou dans l'extrême partie postérieure des cordons latéraux'. » Il est inutile d'insis
r directement des cellules des cornes antérieures; ceux des racines postérieures seraient formés de la réunion de fibrilles nerv
sont abolis, et où la lésion intéresse le plus souvent les cordons postérieurs de la moelle épinière, ainsi que les racines po
es cordons postérieurs de la moelle épinière, ainsi que les racines postérieures des nerfs spinaux, les organes musculo-tendineu
ltats des expériences instituées sur des chiens, dont les racines postérieures lombaires avaient été coupées chez les uns, les
corce cérébrale se montre donc chez l'homme au sommet et à la paroi postérieure de la FA. Les recher- ches de Conti sur la régi
, en un cas, constaté que, de concert avec l'altération des racines postérieures une série des fibres qui entrent dans le gangli
ien plus de l'altération des nerfs sensitissquede celle des cordons postérieurs ; les troubles laryngés se rattachent à des lési
daux tout le long des cordons latéraux, de presque tous les cordons postérieurs (les zones les plus anté- rieures sont seules é
stance grise (zone latérale intermédiaire aux cordons antérieurs et postérieurs ). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 247 L'intégri
rité de la sensibilité tactile et douloureuse alors que les cordons postérieurs sont presque complètement détruits mérite d'êtr
ges et d'autres mammifères, au niveau du sommet du bord auriculaire postérieur . L'évolution ultérieure peut se traduire par le
résulte de ce que l'enroulement s'est effectué au niveau du bord postérieur des plis libres plus tôt qu'au niveau de leur bor
à marche ascendante; lésion semblable des racines antérieures et postérieures . Dégénérescence des cordons postérieurs dans la
des racines antérieures et postérieures. Dégénérescence des cordons postérieurs dans la moelle lombaire qui n'atteint en montan
nnes de Clarke participent, ainsi que la substance grise des cornes postérieures , à l'altération. Quant aux lésions musculaires,
téro-postéi-ietires du centre ovale. Dilatation extrême de la corne postérieure du ventricule la- téral. Intégrité du coin, des
bras du tubercule quadrijumeau antérieur et surtout des segments postérieurs de la bandelette optique gauche. Egalité de volum
un encéphale qui montre un foyer exclusivement limité à la partie postérieure de la couche optique. - Il est certain que la cap
tein, et deux cas de Nivière) et l'absence de lésions des cordons postérieurs . Mais qu'est-ce alors ? Doit-on faire inter- ve
ar on peut supposer : 1° un tabes, vrai avec sclérose des cordons postérieurs , développé pendant le cours du diabète, et 2° u
s, les analogies avec le tabes, l'ataxie par sclérose des cordons postérieurs , semblent perdre de leur impor- tance. Elles s'
t, ceux dans lesquels un véri- table tabes par lésion des faisceaux postérieurs peut s'associer à la glycosurie. Je pense qu'il
substance blanche de la moelle est d'abord divisée par les racines postérieures , en cor- dons antéro-latéraux et cordons postér
r les racines postérieures, en cor- dons antéro-latéraux et cordons postérieurs . Les cordons autéro-iatéraux comprennent : le f
cendante. Le faisceau pyramidal croisé (F P, 4) situé à la partie postérieure , résultant de la décussation des pyramides et s
u cérébelleux direct ou de Flechsig (F G, 5) qui occupe la partie postérieure et externe entre le faisceau pyra- midal croisé
ssauer (Z L e, 8) qui forme un revête- ment triangulaire à la corne postérieure . Le faisceau de Gotvers (F G, 3), zone latérale
ar la partie restante du faisceau antéro-la.téra 1. Les cor- dons postérieurs sont ainsi constitués; le cordon de Goll (F G,
ont ainsi constitués; le cordon de Goll (F G, 11) situé à la partie postérieure et interne; à sa partie médiane, Flechsig a dif
du précédent. DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 339 La zone marginale postérieure de Westphall (Z, W, 7) immédiatement appliquée
f n° 3, Reichert), on constate une sclérose régu- lière des cordons postérieurs qui laisse cependant presque in- tacte la zone
soit plus accentuée dans le cordon de Goll. Les fibres des racines postérieures , au niveau du point où elles pénètrent dans les
able du nombre des grosses fibres transversales de ces mêmes cornes postérieures , tandis que les grosses fibres ascendantes sont
nfin la disparition presque complète des fibres radiées des cordons postérieurs . Les racines postérieures extra-médullaires pré
complète des fibres radiées des cordons postérieurs. Les racines postérieures extra-médullaires présentent une sclérose assez
égion sacrée, là même où n'existent pas encore de lésions du cordon postérieur : elle est beaucoup plus prononcée dans la régi
schéma de Flechsig. Le faisceau de Turck est intact. Entre la corne postérieure et le cordon latéral, il existe une bande mince
On les voit aussi au niveau d'émergence des racines antérieures et postérieures , surtout sur ces dernières. 11 résulte de cette
us altérés dans leur partie moyenne et bien conservés dans le tiers postérieur . Les racines postérieures sont moins altérées q
e moyenne et bien conservés dans le tiers postérieur. Les racines postérieures sont moins altérées qu'à la partie inférieure de
eure. -Beaucoup de fibres transversales qui pénètrent dans la corne postérieure ont disparu. La zone qui limite de chaque côté
a zone qui limite de chaque côté le point d'émergence des racines postérieures contient un plus grand nombre de fibres nerveuses
ses dans les parties du cordon de Bur- dach qui côtoient les cornes postérieures . (Zone de Westphal.) Les fibres fines de la sub
Région dorsale moyenne. - La sclérose porte ici sur les cor- dons postérieurs , le faisceau pyramidal et le faisceau de Flechs
ombaire. La partie des cordons de Burdach qui avoisine les cornes postérieures (zone antéro-externe de Westphall) est moins at
téro-externe de Westphall) est moins atteinte. De plus, les racines postérieures sont mieux conser- vées. La bande saine qui e
sont mieux conser- vées. La bande saine qui existe entre la corne postérieure et le cordon latéral est plus mince que dans la
met s'avance vers la région intermédiaire des cornes antérieures et postérieures (zone limitante). - La DE LA MALADIE DE FRIEDRE
ont surtout altérés dans leur partie moyenne. On voit à leur partie postérieure quelques grosses fibres disséminées. Les racine
partie postérieure quelques grosses fibres disséminées. Les racines postérieures et les cornes postérieures sont très peu scléro
grosses fibres disséminées. Les racines postérieures et les cornes postérieures sont très peu sclérosées. La lésion du cordon d
les mêmes caractères dans les cordons de Goll. Même dans son tiers postérieur , le nombre des fibres nerveuses n'est pas accru
cordon de Burdach. on peut constater que toute la région des cornes postérieures est limitée par une bande de tissu très peu alt
celle du tiers antérieur. Région cervicale inférieure. Les racines postérieures sont intactes. La zone qui les limite de chaque
. La zone qui les limite de chaque côté est normale. Dans la région postérieure du cordon de Burdach on trouve une grande abond
offre seulement une raréfaction des fibres nerveuses dans son tiers postérieur . La sclérose occupe plus régulièrement l'étendu
rve une diminution peu marquée des fibres nerveuses des pyramides postérieures et une altération moins prononcée encore des co
VTOl'Sl8 II. (Friedreich.) La pic-rnèrè est épaissie, les cor- dons postérieurs de la moelle sont atteints d'une dégénérescence
icroscopique a démontré l'atrophie des fibres nerveuses des cordons postérieurs à la place desquels on trouve du tissu fibrilla
lésion de la substance grise de la moelle. - Atro- phie des racines postérieures . 346 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Dans les sciatiqu
puscules amylacés. Autopsie III. (Friedreich). Sclérose des cordons postérieurs dans leur'totalité plus accentuée an niveau de
région lombaire. Cordons latéraux altérés en grande partie. Racines postérieures atrophiées. La dégénérescence se propage un peu
moelle allongée. Autopsie IV. (Friedreich.) Sclérose des cordons postérieurs et des cordons latéraux. Atrophie des racines p
s cordons postérieurs et des cordons latéraux. Atrophie des racines postérieures . Dans la moitié inférieure de la région cervica
de la substance grise au point de réunion des cornes antérieures et postérieures qui contiennent une petite quantité de sérum. A
chronique. Du côté de la moelle : dégénérescence grise des cordons postérieurs et de la partie pos- térieure des cordons latér
plus mince ; la diminution de volume existe surtout dans la région postérieure et porte spécialement sur les cordons postérieu
ut dans la région postérieure et porte spécialement sur les cordons postérieurs . Néanmoins, la région antérieure et la substanc
rose porte sur les cordons de Goll, le cordon cunéiforme, la partie postérieure des cordons latéraux elles cordons antérieurs d
des fibres nerveuses est considérablement réduit dans les cordons postérieurs de la moelle dorsale et lombaire. Entre les foy
JOJ1S latéraux et les DE LA MALADIE DE FRIEDREICH. 341, Î cordons postérieur ? , il existe encore une substance presque nor-
ne peut croire que le processus morbide se soit propagé des régions postérieures vers les cordons latéraux ; d'ailleurs, on trou
ur hauteur une diminution des cellules ganglionnaires. Les cornes postérieures contiennent beaucoup de corps amy- lacés. Les r
postérieures contiennent beaucoup de corps amy- lacés. Les racines postérieures intra-méduttaires sont plus grêler qu'à l'état
du calamus scriplorius, on observe la dégénérescence des cordons postérieurs . Les cellules ganglionnaires de ces derniers semb
ès l'auteur semblent avoir consisté dans une sclérose des cordons postérieurs et des faisceaux pyramidaux avec destruction des
sceaux pyramidaux avec destruction des fibres nerveuses des cordons postérieurs s'étendant un peu aussi aux cordons antérieurs,
de ces cordons; elle n'était en aucune façon confinée aux colonnes postérieures pomme dans l'ataxie locomotrice classique. - La
où elle se termine. - Il existe une sclérose prononcée de la partie postérieure des colonnes de Burdach dans lesquelles cependa
Dans les cordons de* Burdach, une étroite bande limitant la corne postérieure et les racines a échappé à la dégénérescence; c
. Sclérose diffuse (et beaucoup plus étendue que dans les cordons postérieurs ) des cordons pyramidaux croisés ne variant pas be
e Clarke. Dégénérescence de quel- ques fibres des racines nerveuses postérieures et dans d'autres coupes des cornes postérieures
s racines nerveuses postérieures et dans d'autres coupes des cornes postérieures . Friabilité et rétrécissement des régions affec
ions symétriques bien marquées de sclérose affec- tant les colonnes postérieures et les parties postérieures des colonnes latéra
es de sclérose affec- tant les colonnes postérieures et les parties postérieures des colonnes latérales. En somme, la moelle est
épinière est mince, surtout à cause de l'aplatissement des cordons postérieurs . Ce qui frappe surtout, c'est la dégénérescence
e dans les cordons de Goll. La substance grise est intacte. Racines postérieures atteintes, mais la sclérose y est peu intense.
mais la sclérose y est peu intense. Les parties limitant la corne postérieure et le reste des cordons latéraux sont intacts.
ans la moelle cervicale antérieure, la dégénérescence des cor- dons postérieurs est surtout augmentée dans les cordons de Goll.
eurs est surtout augmentée dans les cordons de Goll. Dans son tiers postérieur , et moyen on trouve seulement çà et là quelques
la lésion, qui s'étend jusque dans l'angle formé par la commissure postérieure et les cornes postérieures. Dans les cordons pr
sque dans l'angle formé par la commissure postérieure et les cornes postérieures . Dans les cordons prismatiques il y a, à part l
à part la substance blanche en forme de bandelette bordant la corne postérieure , encore une partie intacte qui correspond au nu
st plus avancée que dans la région supérieure. Atrophie des racines postérieures . Les co- lonnes de Clarke dans la région dorsal
miques de Clarke atteint son maximum. La dégénérescence des cordons postérieurs diminue un peu. Les racines postérieures sont t
dégénérescence des cordons postérieurs diminue un peu. Les racines postérieures sont tout à fait atrophiées. La région lombaire
ntes : la subs- tance grise et surtout la zone marginale des cornes postérieures paraît normale. La dégénérescence des cordons p
s cornes postérieures paraît normale. La dégénérescence des cordons postérieurs di- minue surtout dans les parties latérales du
surtout dans les parties latérales du tiers antérieur. Les racines postérieures sont tout à fait dégénérées. Région sacrée. Aux
érieures sont tout à fait dégénérées. Région sacrée. Aux deux tiers postérieurs des cordons posté- 350 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. '
de 14 millimètres de diamètre transversal, 8 de diamètre antéro- postérieur . - Il Autopsie X (Rutimeyer). L'autopsie a donn
urdach. Bord mince de substance blanche conservé le long des cornes postérieures . La dégénérescence des cordons latéraux est plu
s latéraux est plus prononcée dans la région cervicale. Les racines postérieures sont atrophiées et dans les colonnes de Clarke,
ceaux pyramidaux, cérébelleux directs, et la totalité des faisceaux postérieurs , sauf une bande relative- ment saine, très étro
antéro-externe, n'est pas tout à fait intacte, tandis que la partie postérieure est moins altérée que dans la région lombaire.
méningitique d'une altération primitivement localisée aux faisceaux postérieurs . Si l'on considère d'abord qu'il s'agit d'une m
bution de celle-ci. A cet égard, on peut considérer que les cordons postérieurs et les faisceaux pyrami- daux se développent da
ulaires; a', lacune dans la racine postérieme sclérosée ; A, racine postérieure sclérosée ; c, cornes antérieures saines ; d, r
ofesseur à l'Université du Liège. II. SCLÉROSE combinée des coudons postérieurs et DES cordons latéraux. On a reconnu dans ces
n de la moelle à l'état frais permet de reconnaître que les cordons postérieurs sont atteints de dégénérescence grise, dans leu
entent une sclérose bien nette. Cependant, derrière la com- missure postérieure , il existe une zone peu étendue où les fibres n
bande étroite, intacte (V. fit. 39 a) partant du sillon collatéral postérieur et se dirigeant oblique- ment en dedans, pour a
dirigeant oblique- ment en dedans, pour atteindre le sillon médian postérieur , à l'union de son tiers antérieur et de ses deu
nue un peu moins étendue. A la région dorsale supérieure, la partie postérieure des cordons médians postérieurs ne présente qu'
égion dorsale supérieure, la partie postérieure des cordons médians postérieurs ne présente qu'une légère déco- loration'. Des
u'à la périphérie. Dans les cordons latéraux, on observe à lapartie postérieure , une région légèrement décolorée en forme de co
près en face du point d'union de la corne antérieure et de la corne postérieure . Ces mêmes caractères se retrouvent dans toute
nt vers la périphérie et s'arrêtent à une certaine distance du bord postérieur de la moelle. Dans les cordons latéraux, on obs
eur de la moelle. Dans les cordons latéraux, on observe à la partie postérieure , la zone déjà signalée dans la région dorsale.
s'est accomplie sous la forme de l'ataxie héréditaire, les cordons postérieurs étaient sclérosés dans toute leur étendue; cepe
ire, il existait une zone intacte, située au voisi- nage des cornes postérieures . La dégénérescence était la moins prononcée dan
. Dans l'observation de Babesiu2, on constatait que les faisceaux postérieurs , surtout près de la surface, étaient d'un gris-
moelle, une bande transpa- rente, gris-brunàtre, occupait la moitié postérieure des faisceaux latéraux et formait sur les coupe
u, la lésion allait de chaque côté, eu arrière, jusqu'aux racines postérieures . Au-dessus et au-dessous de cette région, il re
-dessus et au-dessous de cette région, il restait, entre les cornes postérieures et la lésion atrophique, une bande mince de tis
eaux pyra- midaux : une zone de tissu sain la séparait des cornes postérieures , une autre de la périphérie : cette dégé- néres
ent sur toute la longueur de la moelle une dégéuération des cordons postérieurs , plus marquée dans les cordons de Goll que dans
périphérie et laissant intacte une petite zone contiguë aux cornes postérieures . On retrouvera ces caractères notamment dans le
érine comme inadmissible. 1 Du rôle joué par la méningite spinale postérieure des tabétigues dans la pathogénie des scléroses
satzc des Ilerrn Déjerine : « Du rôle joué pur lu méningite spinale postérieure des tabétiques dans la pathogénie des tcleroses
e superfï- cielle des cordons de Burdach et la partie tout à fait postérieure des cordons latéraux, aient échappé à l'inflamm
ère de voir a été émise par Frie- dl'eich 1 la sclérose des cordons postérieurs constitue- rait la lésion primitive et serait d
imitive et serait de même nature que l'ataxieordinaire; des cordons postérieurs , le processus sclérosique se propagerait aux co
inad- missible, attendu qu'entre les parties malades des cordons postérieurs et celles des cordons latéraux, il se trouve un
cervicale à la région dorsale; à la région lombaire, les cordons postérieurs étaient sains. Au contraire, la lésion des cord
chez le foetus de huit mois, on constate que les fibres des cordons postérieurs sont enveloppées de myéline. Traitées suivant
dé de Weigert, ces coupes montrent une coloration noire des cordons postérieurs ; mais, déjà à l'oeil nu, on voit que cette col
ant et elle vient s'arrêter à la partie antérieure du sillon médian postérieur . Cette zone relativement inco- lore ne se renco
les données embryogéniques pour expliquer l'intégrité de la partie postérieure de ces cordons. En effet, Bechterew2 a distin
nts dans les cordons de Burdach : une zone antérieure et une zone postérieure ou périphérique. Dans le tabes dorsal, chacune
tre- prendre isolément. ' Recherches sur la structure des cordons postérieurs de la moelle épi- nière de l'homme. Archives de
vons trouvée intacte dans notre cas, correspond peut-être à la zone postérieure de Bechterew. Mais, la dégénération n'atteint p
trouve en présence d'une zone en forme de coin, occupant la partie postérieure des cordons latéraux. Cette zone répond à peu p
la portion dégénérée n'arrive nulle part en contact avec les cornes postérieures , tandis que le faisceau cérébelleux et le faisc
pariétale ascendante au-dessous de l'opercule, de la circonvolution postérieure de.l'insula. Le noyau gauche de l'hypo- glosse
re droit ; par exclusion, ou arrive il incriminer la circonvolution postérieure de l'insula'ou le lobule pariétal inférieur et
l, Snell, Binswanger, 406. Moelle (trajet des fibres radiculaires postérieures dans la), par Takacs, 110; (anatomie pathologiq
e Clarke dégénérées ; g, bande de tissu sain qui contourne la corne postérieure ; h, canal épendymaire; ? ', i, zone externe de Li
tissu sclérosé : a, lacunes vasculaires ; a', lacune dans la racine postérieure sclérosée ; b, racine postérieure sclérosée ; c
aires ; a', lacune dans la racine postérieure sclérosée ; b, racine postérieure sclérosée ; c, cornes antérieures saines ; d, r
19 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
otrice. — Insuf-fisance des procédés employés. — Sclérose des cordons postérieurs ; sa signification. — Examen à l'œil nu; notions q
l nu; notions qu'il fournit. — Premiers faits de sclérose des cordons postérieurs . Examen macroscopique. — Induration grise , ses
ons spinales. — Gordon de Goll. — Bandelettes externes des fais-ceaux postérieurs ; leur altération paraît constante dans l'ataxie
ns certains points bien déterminés du système nerveux — les faisceaux postérieurs de la moelle épinière — des lésions facilement sa
comotrice progressive se rattache, ainsi qu'on l'a dit, à la sclérose postérieure comme «l'ombre se rattache au corps, » il ne faud
faudrait pas croire, toutefois, qu'en appelant sclé-rose des cordons postérieurs l'ataxie locomotrice, vous vous trouviez en posse
e je me borne pour le moment à énoncer sommairement: 1° Les cordons postérieurs sont quelquefois atteints de sclé-rose dans une g
lésions de la moelle, primitivement développées en dehors des cordons postérieurs , peuvent, à un moment, les envahir dans une haute
on à laquelle sont liés les symptômes occupe, en réalité, les cordons postérieurs , mais elle occupe systématiquement, dans ces cor-
ode d'examen que nous devons la découverte de la sclérose des cordons postérieurs . Et si je relève ce fait, en pas-sant, c'est parc
anatomique un spécimen de la dégéné-ration gélaliniforme des cordons postérieurs . Puis, vinrent Monod et Ollivier (d'Angers) ; mai
(de Boulogne), on parvint à rattacher l'induration grise des cordons postérieurs et montrer que la maladie, considérée d'abord com
e, est, en réalité, très commune. Outre les altérations des cordons postérieurs , l'anatomie macroscopique a décelé : 1° celle des
postérieurs, l'anatomie macroscopique a décelé : 1° celle des racines postérieures (atrophie) ; 2° celle des méninges (méningite spi
cessus morbide. C'est ainsi qu'on a reconnu que la lésion des cordons postérieurs , dans l'ataxie locomotrice progressive, est une d
spinale, qui coexiste si fréquemment avec la sclérose des fais-ceaux postérieurs , dans l'ataxie, et qui se montre toujours, en par
onfinée, en quelque sorte systématiquement, dans l'aire des faisceaux postérieurs , dont elle ne franchit les limites que dans les c
x latéraux sont tout à fait distincts physiologiquement des faisceaux postérieurs . Dans la substance grise elle-même, il y a lieu,v
emps, remarqué que la sclérose fascicidée et ascendante des faisceaux postérieurs , telle qu'elle s'observe, par exemple, au renflem
nt de la région dor- 1 Pierret. — Notes sur la sclérose des cordons postérieurs dans l'ataxie loco-motrice progressive. {Archives
Notes sur un cas de sclérose primitive du faisceau médian des cordons postérieurs . {Ibid., 1873, p. 74.) acquis, bien qu'imparfai
é éluci-dés. Je vous ai laissé pressentir que la lésion des cordons postérieurs de la moelle, à laquelle se rattachent les symp-
s à la surface de la moelle, semblent occuper les sillons collatéraux postérieurs , et les racines sensi-tives les plus internes par
tus sont séparés des cordons de Goll, en dedans, et des cornes grises postérieures , en dehors, par des bandes minces, où la substanc
a moelle et à cela se bornait, dans ce cas, la sclérose des faisceaux postérieurs . Vous voyez, Messieurs, qu'en somme, la lésion
avez compris, d'après tout ce qui précède, d'établir dans la sclérose postérieure deux for-mes bien distinctes, lesquelles peuvent
ls symp-tômes particuliers se rattachent à cette forme de la sclérose postérieure . L'autre forme, la sclérose fasciculée latérale d
stérieure. L'autre forme, la sclérose fasciculée latérale des cordons postérieurs , ou sclérose des bandelettes externes tient sous
La vérité est que la sclérose des bandelettes latérales des faisceaux postérieurs est la seule lésion constante dans l'ataxie locom
nos observations, à cette époque de la maladie, les racines spi-nales postérieures ne présentaient encore, en général, aucune altéra
lé-reuses, chez les ataxiques, dans une région déterminée des cordons postérieurs , qu'on pourrait appeler région des ban- celle-c
an- celle-ci. S'il a existé une anesthésie très accusée, les cornes postérieures de la substance grise sont à leur tour envahies p
adjoindre à l'incoordination, répondre à l'envahissement de la partie postérieure des cor-dons latéraux. Pour ce qui est de l'exten
ans le sens transversal, elle se fait, soit en dehors vers les cornes postérieures de la substance grise et les fais-ceaux latéraux,
ke, Kôlliker, de ceux des filets ner-eux émanant des racines spinales postérieures , qu'on dési-gne communément sous le nom de faisce
t sous le nom de faisceaux radiculaires inter- Fig. 5. — A, Racines postérieures . — B. Filets radiculaires internes et sclérose li
prononcée dans l'espace qui sépare les points d'insertion des racines postérieures qu'au niveau même de ces points. 11 est rendu par
aisceaux radiculaires internes, il existe en cette région des cordons postérieurs , des faisceaux de fibres, éta-blissant sans doute
vait, dans ce cas, de l'extension de la lésion sclé-reuse des cordons postérieurs à la corne antérieure grise du côté droit (Fig. 5
que le processus irritàtif, primitivement développé dans les cordons postérieurs , se sera propagé jusqu'aux extrémités de la subst
symptômes récurrents ou rétrogrades. — Sclérose des faisceaux médians postérieurs ; propagation de la sclérose aux bandelettes laté
rs ; propagation de la sclérose aux bandelettes latérales des cordons postérieurs . Type classique de l'ataxie locomotrice progres
s et les tubes nerveux, tant des racines antérieures que des ra-cines postérieures . Voici, d'ailleurs, en quelques mots, ce qu'ens
éseau, et non pas d'une façon directe, que les faisceaux radiculaires postérieurs entreraient en connexion avec les cellules nerveu
lles, soit avec les filets nerveux des ra-cines, tant antérieures que postérieures . Mais il importe de ne jamais confondre l'anatomi
les de la moelle dor-sale reste strictement limitée, dans les cordons postérieurs , aux faisceaux médians ; telle est du moins la rè
envahisse dans cer-tains cas, les bandelettes latérales des faisceaux postérieurs , dont la lésion, vous le savez, produit l'incoord
à leur sujet. En outre de la sclérose fasciculée des cordons médians postérieurs , il existe presque toujours, dans les cas de lési
rvical par exemple, une sclérose plus ou moins prononcée de la région postérieure des cordons latéraux. Cette sclérose latérale asc
eure, comme c'est la règle, limitée aux faisceaux médians des cordons postérieurs , on n'observe dans les membres su-périeurs ni par
dirai pas de l'ataxie loco-motrice, mais bien de la sclérose rubanée postérieure , en tant, du moins, que la lésion a envahi le tra
s faisceaux radiculaires internes (bandelettes externes des faisceaux postérieurs ). Cette réserve était nécessaire. Vous n'avez pas
diverses maladies, autres que l'ataxie, dans lesquelles les faisceaux postérieurs peuvent être envahis, d'une façon pour ainsi dire
circonstance, que les pla-ques scléreuses avaient envahi les cordons postérieurs qu'el-les occupaient dans une grande étendue en h
Je ne doute pas que, chez eux, les bandelettes externes des faisceaux postérieurs fussent déjà atteintes à l'époque où les douleurs
devant être rattachée tou-jours,, cependant, aune lésion des cordons postérieurs , lésion que l'anatomie pathologique fera sans dou
'ai reconnu à l'au-topsie une lésion fasciculée extensive des cordons postérieurs , pouvant rendre compte de la présence des douleur
rapportées, presque à coup sûr, à la forme parti-culière de sclérose postérieure qui conduit à l'ataxie locomo-trice progressive.
1868. attention, dans les maladies spinales autres que la sclérose postérieure , par exemple dans la paralysie générale spinale.
ls permettraient de diagnostiquer l'ataxie ou la sclérose des cordons postérieurs , si déjà elle existe, ou d'en prévoir la venue pl
au poignet qu'on l'observe. Mais, vous savez que la sclérose spinale postérieure peut être tout à fait récente, dans 1 La questi
e pouvait être rattachée à la lé-lésion commune et banale des cordons postérieurs . Il fallait chercher ailleurs. Par analogie ave
ns fais-ceaux de la moelle : au-dessus, elles intéressent les cordons postérieurs et au-dessous les cordons latéraux. Enfin, la lés
araît jusqu'à un cer-tain degré douée de sensibilité dans les cordons postérieurs , si l'on en juge tout au moins par les conditions
, laquelle occupe, dans le premier cas, la partie médiane des cordons postérieurs et, dans le second cas, la partie la plus postéri
ane des cordons postérieurs et, dans le second cas, la partie la plus postérieure des cordons latéraux. Depuis quelques semaines,
oit avoir, par conséquent, interrompu le cours des fibres des cordons postérieurs et antéro-latéraux d'un côté et simultanément aus
atale à un instant donné, soit aux faisceaux blancs, soit aux régions postérieures de la substance grise, l'aspect des symptômes se
re le petit doigt. La dure-mère et le ligament qui recouvre la partie postérieure du corps de l'axis, étaient très épaissis. L'atla
ornes de substance grise. La première aurait seule (avec les cornes postérieures , du moins pour une part), un rôle sérieux dans la
re complète-ment, les scléroses systématiquement limitées aux cordons postérieurs doivent être rattachées à une irritation occupant
e heure après, elle se plaignait de douleurs dans la région cervicale postérieure , de fourmillements et d'irradia-tions douloureuse
e, il existe une atrophie assez prononcée des épaules et de la partie postérieure du bras ; au contraire, les muscles de l'avant-br
abolie. Par contre, en raison dé la prédominance d'action des muscles postérieurs de la cuisse et 1 Je tiens de mon collègue, M.
lle ne s'y limite point, et elle attaque aussi bien les cornes grises postérieures et les commissures. Enfin, elle se répand tou-jou
e : pachyméningite spinale hypertrophi-que ; — sclérose des faisceaux postérieurs ; myélite centrale chronique ; hydromyélie ; tume
es, — et de ceux qui caractérisent la sclérose des zones radiculaires postérieures — douleurs ful-gurantes spéciales, incoordination
. Dans lapins grande partie de son trajet, il occupait la corne grise postérieure du còlè gauche où, pour mieux dire, il s'était su
olumineux, siégeaient, l'un immédiatement en arrière de la commissure postérieure , sur la ligne médiane, de manière à intéresser à
médiane, de manière à intéresser à la fois les deux faisceaux blancs postérieurs , l'autre en partie dans la corne postérieure droi
es deux faisceaux blancs postérieurs, l'autre en partie dans la corne postérieure droite, en partie dans le faisceau postérieur du
n partie dans la corne postérieure droite, en partie dans le faisceau postérieur du côté droit. Ces derniers canaux se trouvaient
ua-blement modifiée. tiennent aux formes deutéropathiques (sclérose postérieure , sclérose symétrique latérale, pachyméningite).
la moelle, en outre des cornes antérieu-res, soit la substance grise postérieure , soit divers faisceaux blancs. Nous sommes conv
érieures. — c, canal central. — r/, racines antérieures. — e, racines postérieures . — a', zone radiculuire anté-rieure. — h', zone r
térieures. — a', zone radiculuire anté-rieure. — h', zone radiculaire postérieure . par suite de l'apparition d'un sillon latéral,
rition d'un sillon latéral, en deux parties, Tune antérieure, l'autre postérieure , pour chaque moitié laté-rale de la moelle. Ainsi
ieu, les rudiments des cornes antérieures [Fig. 12, a), et des cornes postérieures (Fig. 12, b) de substance grise. A chacune de ces
faisceaux anléro-latéraux ; les autres s'appellent zones radiculaires postérieures (Fig. 12, tt). Avec l'adjonction des faisceaux de
t ultérieurement ce qu'on dési-gne d'ordinaire sous le nom de cordons postérieurs . Les faisceaux latéraux n'existent pas encore ;
n) se développent, dans le sillon qui sépare les zones radiculaires postérieures , deux pe-tites éminences symétriques qui tendent
ieures, en arrière avec l'extrémité antérieure des zones radiculaires postérieures , de manière à ne plus se distinguer bientôt ni de
ain âgé de 12 à 15 semaines. — Môme signification des lettres. plus postérieure du faisceau anléro-laléral. Dans cet espace, la s
ne anté-rieure. En arrière, elle confine presque à la substance grise postérieure . En dehors, toutefois, elle est séparée constam-m
la lésion est moins étendue encore. Elle n'occupe guère que le quart postérieur des cordons latéraux. Il est à remarquer que, en
ecte, en général, aussi bien les ra-cines antérieures que les racines postérieures , circonstances dont il y aura lieu de tenir compt
ur l'interprétation des symptômes '. 1 La participation des racines postérieures paraît être une condition néces-Ciiarcot. Œuvres
en premier lieu, de douleurs extrêmement vives qui occupent la partie postérieure du cou, s'étendent jusque sur le sommet de la têt
exemple de pachyméningite hyper-trophique dorso-lombaire, les racines postérieures , en raison de la limitation des lésions méningées
généralisée, n'est pas un accompagnement rare de la myélite scléreuse postérieure . Pour s'en convaincre, il suffirait de se reporte
très particulier. Il faut ajouter que les symptômes de la sclé-rose postérieure tels que : douleurs fulgurantes, troubles ocu-lai
ompliquée d'atrophie muscidaire. — A, sclérose de la zone radiculaire postérieure . — C, corne antérieure gauche saine. — D, corne a
, t. Il, p. 16. qui se fait dans le trajet intra-spinal des racines postérieures . Il en résulte une inflammation qui se propage le
ns tous les cas connus, les symptômes qui se rattachent à la sclérose postérieure précèdent le développement de l'a-myotrophie. Je
f; partout, nous avons,trouvé les faisceaux blancs antéro-latéraux et postérieurs dans un état d'intégrité par-faite ; la substance
ysiologique. Rappelons que les racines spinales, tant antérieures que postérieures , ont paru également parfaitement saines. Après
rdons latéraux; — A', faisceaux de liirck. — B, B, zones radiculaires postérieures . — G, C, cornes postérieures. — D, D, cornes anté
ux de liirck. — B, B, zones radiculaires postérieures. — G, C, cornes postérieures . — D, D, cornes antérieures. — F, zone radiculair
n Strabon ou d'un Pom-ponius Mêla. Vous voyez les anciens faisceaux postérieurs décomposés en deux régions bien distinctes: 1° le
t à prendre rang dans la clinique usuelle ; 2° les zones radiculaires postérieures Je place sous vos yeux une sorle de plan lopogr
'une lésion isolée des commissures, et en ce qui con-cerne les cornes postérieures (Fig. 29, C), on sait seulement que, lorsqu'elles
occupant, dans la moelle épinière, sur certains points, les faisceaux postérieurs (région cervicale), sur d'autres les faisceaux la
nération grise. Celle-ci occupe, en pareil cas, les faisceaux spinaux postérieurs . Le fait a été mis en évidence par une observatio
— Siège des lésions auxquelles se rattachent ces symptômes: extrémité postérieure de la couche optique; — partie postérieure du noy
t ces symptômes: extrémité postérieure de la couche optique; — partie postérieure du noyau caudé ; — partie postérieure de la couro
de la couche optique; — partie postérieure du noyau caudé ; — partie postérieure de la couronne rayon-nante . Hémichorée prse-hé
s étaient restés parfaitement indemnes; — 3° Enfin, la partie la plus postérieure du pied de la couronne rayonnante. Dans deux de
de le montrer ailleurs, relève de l'altération des faisceaux les plus postérieurs du pied de la couronne rayon-nante. L'altération
ieurs du pied de la couronne rayon-nante. L'altération de l'extrémité postérieur de la couche op-tique, celle de la queue du corps
i disten- Gharcot. Œuvres complètes, ?.?. 24 dait, dans sa moitié postérieure , la couche optique. La malade avait succombé troi
de l'aorte. — La moelle épinière présentait une sclérose des cordons postérieurs , caracté-ristique de l'ataxie locomotrice progres
ont raccourcies parce que le fragment inférieur a remonté sur la face postérieure du fragment supérieur. — Elles nous montrent un c
quart supérieur avec les trois quarts inférieurs. Du bord externe et postérieur de ce cal part une jetée osseuse qui se dirige ob
qui se dirige obliquement en bas, en décrivant une courbe a concavité postérieure , et va s'unir au radius un peu au-dessous du tier
transversales, disséminées en divers points des cor-dons latéraux et postérieurs , des espè-ces d'ilôts arrondis ou ovalaires clans
ur, à l'exception d'une partie très peu étendue des colonnes blanches postérieures , est ramollie, transformée en une véritable bouil
ires; ces foyers siègent surtout dans les cordons blancs lalé-raux ou postérieurs ; mais on les rencontre aussi, en certain Fig.
. nombre, dans la substance grise et en particulier dans les cornes postérieures . Dans le voisinage de ces foyers, comme au pourto
jusqu'au niveau de la septième. Ce foyer occupe la moitié interne et postérieure de la corne antérieure gauche de la sub-stance gr
che très éloignés des parois du foyer sanguin, dans la partie la plus postérieure des cordons postérieurs par exemple, on trouve de
rois du foyer sanguin, dans la partie la plus postérieure des cordons postérieurs par exemple, on trouve des espaces à contours irr
lindres d'axe se tuméfier, çà et là, soit sur le trajet des faisceaux postérieurs , soit sur celui des faisceaux latéraux. Tout port
eur couleur tranche sur la coloration franchement blanche des racines postérieures qui pa-raissent saines. Cet état des racines anté
maire et le rond pronateu;"' sont un peu moins atrophiés. A la région postérieure , tous les muscles sont profondément atteints, à l
art sont atrophiés et décolorés. — Le grand dorsal et toute la partie postérieure du trapèze ont subi une atrophie extrême. Le fais
cervicale. Cet état des vaisseaux se retrouve de l'étendue des cornes postérieures qui sont plus vascularisées que d'habi-tude. Da
ons latéraux propre-ment dits, les faisceaux de Tiirck, les faisceaux postérieurs sont intacts. Seuls les grands tractus vasculaire
ombaire, on rencontre à peine quelques tubes atrophiés. — Les racines postérieures sont normales ainsi que celles du nerf hy-pogloss
ence du muscle, est parfois volumineuse. — Le trapèze dans sa portion postérieure , le grand droit de l'abdomen sont presque aussi p
vement de supination par suite duquel la main se renverse sur sa face postérieure . L'excitation électrique détermine ces mêmes cont
frappantes qu'il ne s'est rien produit de semblable dans les racines postérieures , lesquel-les ont conservé leur volume normal et l
issement portait principalement sur la moitié gauche et sur la partie postérieure de la moelle. Il est possible que, malgré tout le
baire, elles faisaient complètement défaut. b) Les racines spinales postérieures ont été examinées compara-tivement aux antérieure
amètre normal. Mais, sur un point qui cor-respond à la partie la plus postérieure de ces derniers faisceaux et dans toute l'étendue
dans toute l'étendue d'une région qui, en dedans, confine aux cornes postérieures tandis qu'en dehors, elle s'étend presque jus-qu'
égulièrement arrondies, placées symétriquement vers la partie la plus postérieure de ces cordons, immédiatement en dehors des corne
postérieure de ces cordons, immédiatement en dehors des cornes grises postérieures . Les faisceaux blancs postérieurs ne présentaient
tement en dehors des cornes grises postérieures. Les faisceaux blancs postérieurs ne présentaient aucune altération. Dans l'exame
tat normal ; il n'en était pas de même aux commissures antérieures et postérieures : là, les noyaux nous ont paru nom-breux, surtout
ement épaissies, couvertes parfois de nombreux noyaux. — Les cornes postérieures de la substance grise nous ont paru offrir toutes
ransversale, on voit la sclérose s'avancer en figurant un coin à base postérieure dans la région de l'entre-croisement, et aller
la corne pos-térieure et forme une sorte d'îlot situé dans la partie postérieure du cordon, et entouré de toutes parts par le tiss
e un prolongement vers la périphérie et le point d'entrée des racines postérieures . Tout le reste de la sub-stance blanche, et en pa
Tout le reste de la sub-stance blanche, et en particulier des cordons postérieurs , est exempt d'altérations. Il en est de même pour
a dégénération a respecté, au contraire, tous les éléments des cornes postérieures . La névroglie n'a pas, ici plus que dans le bul
issent sains à l'exception des aryténoïdiens, des crico-aryténoïdiens postérieurs et des crico-thyroïdiens, qui sont évidemment atr
emarque à la partie antérieure du del-toïde du côté gauche. La partie postérieure du même muscle est relativement peu altérée. Le d
, offraient une teinte jaune très manifeste, les erico-aryté-noïdiens postérieurs , par exemple, présentaient l'altération gra-nulo-
cornes antérieures, cellules dites motrices ; les cellules des cornes postérieures ne paraissent pas être affectées. On la rencont
f: partout, nous avons trouvé les faisceaux blancs antéro-latéraux et postérieurs clans un état d'intégrité parfaite ; la substance
gique. Ajoutons enfin que les racines spinales, tant anté-rieures que postérieures , ont également paru parfaitement saines. Je ne
LANCHES EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE I SCLÉROSE DES CORDONS POSTÉRIEURS Pig. 1 (à gauche). — Coupe transversale de la m
Petits noyaux de sclérose situés dans les rubans externes des cordons postérieurs . b, Sclérose du cordon intermédiaire. Fig. 1
ransversale de la région cervicale. «, a, Rubans externes des cordons postérieurs ne présentant aucune trace de sclérose. Fig. 2
cervicale. Les rubans externes, a, a, le cordon médian, b, les cornes postérieures , y compris le point d'émergence des racines posté
, les cornes postérieures, y compris le point d'émergence des racines postérieures , c, sont envahis totale-ment parla sclérose. Fi
a, a, Ilots de sclérose, situés dans les rubans externes des cordons postérieurs et rejoignant le point d'émergence des racines po
petit îlot scléreux situé immédiatement en arrière de la com-missure postérieure . Fig. 3 (à droite). — Coupe transversale de la
nté, grossi, sur la fig. 2. — c, Région dorsale. Sclérose latérale et postérieure . — h, Région cervicale inférieure. Sclérose limit
de Pott dorsal. Sclérose annulaire, marquée surtout vers les racines postérieures . L narco l, îóü i. nei v.j L. li . ueiivres com
de substance grise. e, Entre-croisement des pyramides. p, p, Cornes postérieures . Fig. 2.— Coupe transversale de la moelle épini
b, b, Cordons antérieurs. c, c, Cornes antérieures, p, p, Cornes postérieures . Fig. 3. — Coupe transversale de la moelle épin
rsale, a, a, Cordons latéraux, c, c, Cornes antérieures. p, p, Cornes postérieures . Fig. 2.-— Coupe transversale de la moelle épin
mbaire, a, «, Cordons latéraux, c, c, Cornes antérieures. p,p, Cornes postérieures . Charcot, Syst .nerv., t. II Oeuvres computes.
erveuses y ont complètement disparu. — L, Cordon latéral. — P, Cordon postérieur . — T, Faisceau de Tiirck. — Ces trois faisceaux s
motrice. — Insuffisance des procédés employés. — Sclérose des cordons postérieurs , sa signification. — Examen à l'œil nu; notions q
l nu; notions qu'il fournit. — Premiers faits de sclérose des cordons postérieurs . Examen macroscopique. — Induration grise ; ses
ions spinales. — Cordon de Goll. — Bandelettes externes des faisceaux postérieurs ; leur altération paraît constante dans l'ataxie
s les maladies spinales,' leurs rapports avec la sclérose des cordons postérieurs .— des douleurs fulgurantes et des crises gastriqu
symptômes récurrents ou rétrogrades. — Sclérose des faisceaux médians postérieurs : propagation de la sclérose aux bandelettes laté
s : propagation de la sclérose aux bandelettes latérales des cor-dons postérieurs . Type classique de l'ataxie locomotrice progres
e : pachyméningite spinale hypertrophi-que ; — sclérose des faisceaux postérieurs ; myélite centrale chronique ; hydromyélie ; tume
Siège des lésions auxquelles se rattachent ces symptômes: extrémité postérieure de la couche optique; —partie posté-rieure du noy
de la couche optique; —partie posté-rieure du noyau caudé : — partie postérieure de la couronne rayonnante. Hémichorée prse-hémipl
ice, 374 : — laryn-gée, 412. B Bandelettes externes des faisceaux postérieurs de la moelle, 14, 24. Bromure de potassium, 315
o-pathique, 226. (V. Arthropathies, Ataxie, Atrophie musculaire.) — Postérieures (Lésions des), 16. Crises gastriques, 35 et suiv.
urs des — , 89. (V. Dure-mère.) Méningite de la base, 52. — Spinale postérieure , 5. Moelle épinière (Développement embryonnaire
, 157. (V. Arthrite.) Racines antérieures des nerfs, 428, 433,449. — Postérieures 5, 117, 107. Ramollissement du cerveau, 237.
, 258, 362. — Dia-gnostic avec letabès spasmodique. 320. —Des cordons postérieurs , 3, 4. — Par extension de la sclérose la-térale,
Par extension de la sclérose la-térale, 3i. — Des zones radiculaires postérieures 215., Secoussesfibrillaires, 221. (V.Amyo-troph
Z Zona, 109, 112, 118, 197. Zones radiculaires antérieures,236. — postérieures , 236. FIN DE LA TABLE ANALYTIQUE. CHATEAU ROU
20 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
phère droit un ramollissement dans le domaine de l'artère cérébrale postérieure , qui avait détruit la région de la scis- sure c
ne petite partie qui se trouve sous la paroi inférieure de la corne postérieure . La lèvre supérieure de la scissure calcarine e
substance blanche, qui se trouve près du bord supérieur de la corue postérieure Les fibres strati calcarini, qui réunissent la lè
lissement. La lésion s'étend jusqu'à la paroi interne de la corne postérieure . Les fibres de la couche sagittale, qui entoure
e la couche sagittale, qui entourent la paroi externe de la corne postérieure , sont sclérosées dans leur partie supérieure et
ns la par- tie qui se trouve sous la paroi inférieure de la corne postérieure près de la lésion. Dans la partie intermédiaire
SKY couche de la substance nerveuse de la paroi interne de la corne postérieure . Une partie de la couche sagittale et des fibre
près de la lésion immédiatement sous la paroi inférieure de la corne postérieure , sont sclérosés. Dans l'autre partie de la couc
es radiations de Gratiolet,qui entoure la paroi externe de la corne postérieure , on voit sous le microscope une petite lésion,
tal et à 8 centimètres du pôle frontal- et qui traversent la partie postérieure du noyau lenticulaire : La corne d'Ammon est
épare que par une mince couche de la substance nerveuse de la corne postérieure . L'écorce de la partie intéro-supérieure de ce
lanche, qui se trouve plus haut que la paroi supérieure de la corne postérieure , des lacunes, autour desquelles on remarque la
reux corps granuleux. Les vaisseaux (branches de l'artère cérébrale postérieure ) sont athéromateux. 3° Sur les coupes, qui trav
leux, qui se trouve près de la paroi intéro- supérieure de la corne postérieure , est aussi détruite par le ramollissement. 4° S
toute la partie qui se trouve sous la paroi inférieure de la corne postérieure , la circonvolution de l'hippocampe, le lobe lingu
are que par une mince couche de la substance nerveuse de la corne postérieure . Une partie de l'écorce du lobe fusiforme est c
couche sagittale, qui passe près de la paroi externe de la corne postérieure . La partie de la couche sagittale, qui se tro
che sagittale, qui se trouve dans la paroi inférieure de la corne postérieure est détruite. 5° Sur les coupes situées plus en
énètre dans la profondeur et atteint la paroi ex- terne de la corne postérieure , en détruisant les fibres des radiations de Grati
qui se trouve immédiatement sous la pa- roi inférieure de la corne postérieure est sclérosée. Une partie du faisceau longi- tu
er de ramollissement pénètre jusqu'à la paroi externe de la corne postérieure , en détruisant le faisceau de Gratiolet et lefa
ulvinar des couches optiques. En outre, on remarque que la partie postérieure de la capsule in- terne est plus blanche que se
t dans la profondeur, arrivant jusqu'à la paroi externe de la corne postérieure et déterminait l'interruption de la couche des ra
rose des fibres de la couche sagittale, du pulvinar et de la partie postérieure de la,capsule interne. L'hémianopsie double, qu
et de la partie antérieure du voile du palais, tandis que la partie postérieure de celui-ci et le pharynx ne sont sensibles qu'
exe du voile du pa- lais, il faut une excitation forte de la partie postérieure de la langue pour obte- nir la déglutition. Le
dont le plus volumineux pesait 510 grammes. La partie supérieure et postérieure du lobe droit, s'étant rompue avait laissé écha
utions voisines. 6° Visible au fond du sillon parallèle dans le 1/3 postérieur , et se développant au dépens de Ti dont il inté
mais à la hauteur de la scissure pa- riéto-occipitale, à la partie postérieure du pli courbe, kyste gros comme une Fig. 2. - F
de la coupe préfrontale). 8° A l'union du 1/3 antérieur et des 2/3 postérieurs de Ti, ayant profondé- ment creusé la circonvol
dessous qui répètent ses paroles. Ajoutons que l'intégrité du tiers postérieur de la première temporale - où l'on' tend à loca
ntier, y com- pris le pied, se trouve placé sur un plan notablement postérieur au plan occupé par le membre inférieur droit.
certain degré de genu varum (PI. 11). , Enfin, en arrière, la face postérieure du genou forme une saillie très mar- ! Nouv. Ic
s du membre est excellent ; en particulier les muscles de la partie postérieure de la cuisse et de la jambe sont bien développés.
atrophie inégale des muscles de la cuisse, plus marquée sur la face postérieure , laissant au contraire une action prépondérante a
enfin il n'existe pas trace d'atrophie musculaire, ni sur le groupe postérieur , ni sur le groupe an- térieur ; quant à l'influ
, comme dans le 4" segment dorsal, on voit dans la base de la corne postérieure gauche un éclaircissement du réseau fibrillaire e
e maximum des lésions. Dans la substance grise, la base de la corne postérieure gauche est altérée et la colonne de Clarke y est
moyenne de la moelle dorsale. On remarque en outre que les racines postérieures , pendant leur passage à travers la pie-mère, subi
il est d'ailleurs fa- cile de constater que les lésions des cordons postérieurs ne sont pas d'origine radiculaire. 2. Vaissea
vule de Tarin. Cas II. - Sur la photographie n° 3 est donnée la vue postérieure du cervelet, de la moelle allongée et de la moe
paississement de la moelle dans la région cervicale, dans sa partie postérieure . Pareil épaississement de la moelle, dans ce ca
ents, se produisait aux dépens delà dislocation en bas de la partie postérieure de la moelle allon- gée, laquelle pourtant ne s
, mais nous ne trouvons même pas la simple dislocation de la partie postérieure de la moelle allongée, comme dans le cas précéden
ongée, mais une dislocation qui ne dépend pas seulement delà partie postérieure comme dans les cas précédents. Ce déplacement d
ÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA 1SIFIDA 121 latéral). Les cordons postérieurs sont bien développés. La configuration de la co
ore davantage d'avant en arrière et diminuée de volume. Les cordons postérieurs diminuent dans la direction d'avant en arrière
direction d'avant en arrière et sont étendus de côté dans la partie postérieure ; leur subdivision en faisceaux de Goll et de Bur
nière. La moelle épinière s'aplatit d'avant en arrière. Les cordons postérieurs dans leur partie dorsale sont mal développés, p
al, grâce à la com- pression de la moelle, se trouve dans la partie postérieure de la moelle épinière et entoure les fissures q
lement en ce sens, qu'une partie des fibres myéliniques des cordons postérieurs est passée dans la moelle allongée. En conséque
ée est placée à quelque distance de la moelle épinière, les cordons postérieurs passant dans la moelle allongée constituent un is
st augmenté. Les fibres verticales sont conservées dans les cordons postérieurs , seulement dans la partie anté- rieure, elles s
rennent la direction verticale. Dans la moelle épinière les cordons postérieurs ont passé dans l'isthme ; en conséquence la dista
substance gélatineuse de Rolando occupe le bord extrême de la face postérieure de la moelle épinière et passe en partie dans l
s large. Déjà dans les coupes précédentes nous avons vu les cordons postérieurs déplacés de la commissure antérieure, maintenan
précédente, a passé en partie dans l'isthme, déplaçant les cordons postérieurs en dedans. En outre, la substance gélati- neuse
antérieures et latérales sont restées sans changements, les cordons postérieurs sont restés en arrière et situés dans la moelle
allongée. Toute la substance entre la partie antérieure des cordons postérieurs et entre les faisceaux fondamentaux du cordon ant
et le sommet l'extrémité antérieure de la fissure entre les cordons postérieurs . En dedans de la sub- stance gélatineuse de Rol
e XII Phot. 12. La quantité de fibres myéliniques passantdescordous postérieurs dans la moelle allongée s'amincit subitement ;
lles semi-lunaires de libres myéliniques, correspondant aux cordons postérieurs et prenant la direc- tion verticale. En avant d
rme d'une demi-lune de fibres verticales, con- tinuation de cordons postérieurs , en avant la substance gélatineuse de Ro- lando
pinière et se 124 SOLOVTZOFF diriger en arrière jusqu'aux cordons postérieurs . Un peu en dedans de la substance gélatineuse d
es fibres myélini- ques qui constituent la continuation des cordons postérieurs et le commence- ment du pédoncule cérébelleux i
s fibres du faisceau fondamental du cordon antérieur dans sa partie postérieure se sont rapprochées et contiennent entre elles
e la moelle épinière et allongée on trouve de chaque côté la racine postérieure . Phot. 15. - Ce qui frappe sur cette coupe, c'e
pendue dans sa région inférieure possède la struc- ture des cordons postérieurs de la moelle allongée ; à son bord postérieur se
uc- ture des cordons postérieurs de la moelle allongée ; à son bord postérieur se 126 SOLOVTZOFF trouve un sillon, servant d
rès cela se joignent de manière à former l'isthme entre les cordons postérieurs de la moelle allongée et ceux de Pépinière. La fu
oi l'isthme d'abord est assez étroit ; là passe seulement la partie postérieure des cordons de Goll ; mais après il devient de
ui aussi les cordons de Burdach et la partie antérieure des cordons postérieurs de la moelle épinière (Phot. 9, 10). Comme da
Phot. 9, 10). Comme dans la moelle épinière, les fibres des cordons postérieurs ont une direction verticale et comme la partie
de la moelle allongée est placée dans ce cas en arrière des cordons postérieurs de la moelle épinière, il est logique que les f
rs de la moelle épinière, il est logique que les fibres des cordons postérieurs de la moelle épinière, pour passer dans l'allon
upe transversale de la moelle dans l'isthme, les fibres des cordons postérieurs sont coupées dans une direc- tion longitudinale
2). Grâce à la dislocation en bas de la moelle allongée les cordons postérieurs de la moelle épinière ont dû sortir trop tôt de
la moelle épinière qui se par- tage en deux moitiés, antérieure et postérieure , et chacune se développe indé- pendamment de l'
inière reste longtemps sans aucun changement; cependant les cordons postérieurs passant par l'isthme dans la moelle allongée re
la moelle épinière avec la moelle allongée. Des noyaux des cordons postérieurs doivent partir les fibres sensitives, lesquelles
produit la dislocation de la moelle allongée, surtout de sa partie postérieure . Et sur toute la distance de la moelle cervical
iés : de la partie antérieure de la moelle épinière et de la partie postérieure de la moelle allongée. LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈ
t passent dans la moelle allongée et comment se forment les cordons postérieurs , la sub- stance gélatineuse de Rolando, faiscea
s de la moitié de son éten- due. En effet, tandis que sur leur face postérieure les avant-bras mesurent de la pointe du coude à
représente la radiographie du coude, prise lç sujet assis, la face postérieure de l'humérus appliquée sur la plaque, l'avant-bra
u pouce) paraissent très peu développés ; les cubitaux antérieur et postérieur , semblent faire défaut. De même l'examen des mu
- Coloration bien plus accusée (lie de vin), surtout sur les faces postérieure et interne, et uniforme, sauf à la face antérieur
par le malade : 1° A gauche. - Dans une région occupant la partie postérieure de la tête et limitée : en haut par une ligne t
arine droite, en avant par la ligne médiane, en arrière par le bord postérieur du pavillon de l'oreille. De plus une bande parta
eures de la face antérieure) ; paroi abdominale an- térieure ; face postérieure du cou ; pourtour du mamelon : cuir chevelu ; f
'une épaisse couche de fibres myé- liniques qui forment les cordons postérieurs . Les cordons antérieurs d'un côté sont pâles à
dilaté et la moelle a déjà une confi- guration normale. Les cordons postérieurs sont bien développés et on voit leur subdivisio
uoique sa structure diffère peu des coupes precédentes. Les cordons postérieurs ont augmenté encore plus dans la direction tran
n transversale et antéro-postérieure (Phot. 20). En avant du cordon postérieur est placée la substance gélatineuse de Rolando et
neuse de Rolando et dans l'es- pace compris entre elle et le cordon postérieur passent les cordons postérieurs. Encore plus en
pace compris entre elle et le cordon postérieur passent les cordons postérieurs . Encore plus en avant est placé le faisceau pyr
tructure de la moelle reste sans changements. Au devant des cordons postérieurs on trouve : la substance gélatineuse de Rolando
la substance gélatineuse de Rolando, entre laquelle et les cordons postérieurs passent les racines postérieures. Dans la parti
ando, entre laquelle et les cordons postérieurs passent les racines postérieures . Dans la partie antérieure de la moelle épiniere
sseaux. Les changements ultérieurs consistent en ce que les cordons postérieurs diminuent peu à peu ; puis à une petite distanc
t où les deux parties s'unissent entre elles. PHOT. 22. Les cordons postérieurs sont encore diminués davantage. Des fibres myél
ar- tie antérieure il y en a cependant davantage que dans la partie postérieure . Les cordons postérieurs sont diminués surtout
n a cependant davantage que dans la partie postérieure. Les cordons postérieurs sont diminués surtout dans la direction d'avant e
n'est pas changée. A la distance d'un 1/2 millimètre de sa surface postérieure est placée la partie abaissée de la moelle allo
t et passent en formant un isthme étroit, dans le reste des cordons postérieurs de la moelle épinière ; en comparaison avec la
récédente il reste encore moins de libres myélini- ques des cordons postérieurs . A part cela la moelle épinière est restée sans
encore augmenté, l'isthme est devenu un peu plus large. Les cordons postérieurs de la moelle épinière ont passé dans la moelle
l'allongée, est devenu pâle. Ces fibres myéliniques, dans la partie postérieure et près de la périphérie, changent leur direction
e canal central est dilaté dans la di- rection arrière. Les cordons postérieurs de la moelle épinière ont complètement disparu.
grandeur. Les fibres myéli- niques horizontales, venant des cordons postérieurs de la moelle épinière ont déjà disparu, mais le
résent parfaitement conservées. Elles sont disposées dans la partie postérieure de la moelle allongée et à sa périphérie, en form
arant la moelle épinière de l'allongée, se sont placées les racines postérieures , avec cela il faut remarquer que les fissures lat
la moelle allongée est restée sans grands changements : les cordons postérieurs , la racine spinale du nerf trijumeau, la substanc
r la ligne médiane des fibres du ruban de Reil, partant des cordons postérieurs et au devant l'entrecroisement des py- ramides.
nda- mental du cordon antérieur passe dans le faisceau longitudinal postérieur . En dehors passent les fibres radiculaires de l
forme de croissant ; ce sont surtout ceux qui ont passé des cordons postérieurs . En avant d'eux nous trouvons les pyramides et
on supérieure, mais dans celui-ci comme dans l'autre cas, la partie postérieure de la moelle allongée s'est abaissée ; de là pr
pique tellement original, montrant les dif- formités dans la partie postérieure de la moelle épinière et de l'allongée, tandis
se produisent à côté d'eux (Phot. 23). Au commencement les cordons postérieurs se séparent de la moelle épinière par un petit
par un petit faisceau ; après cela la partie antérieure des cordons postérieurs passe dans la partie abaissée de la moelle allong
fibres horizontales. Après cela les fibres horizontales des cordons postérieurs commencent à disparaître et à la fin nous avons l
a fin nous avons la moelle épinière complètement privée des cordons postérieurs (Phot. 24 et 23) ; les fibres horizontales devi
NA BIFIDA 255 placent dans sa partie médiane. Avant que les cordons postérieurs de la moelle épinière ne se terminent dans les
pparaissent les fibres sensitives, alors les parties antérieures et postérieures de la moelle commencent se fusionner, et les co
er cas, ainsi que dans le second, outre la dislocation de la partie postérieure de la moelle allongée, abaissée sur la moelle épi
ue de l'autre. A la périphérie ils sont cou- verts dans les parties postérieures d'un mince faisceau, correspondant au faisceau
pyramides. Au côté opposé les pyramides n'existent pas. Les cordons postérieurs sont mal développés, pressés un peu sur uu côté,
ur par- tie dorsale ils sont pâles ; sur le côté opposé les cordons postérieurs sont bien développés. En avant des cordons post
les cordons postérieurs sont bien développés. En avant des cordons postérieurs se trouve la substance gélati- neuse de Rolando
gélati- neuse de Rolando, entourée postérieurement par les racines postérieures . A la distance de 1 millimètre de la moelle épi
ux extrémités de minces fibres myéliniques. Phot. 29. Les cordons postérieurs de la moelle épinière d'un côté sonl dans la pa
e précédente. A par ! 25G SOLOVTZOFF cela, en général les cordons postérieurs sont diminués dans la direction anté- ro-postér
nués dans la direction anté- ro-postérieure. Du côté où les cordons postérieurs sont plus mal développés, 'la substance gélatin
se de Rolando, in- diquée très faiblement. Phot. 30. -Les cordons postérieurs sont encore plus diminués dans la di- rection a
la di- rection antéro-postérieure ; celle 'des moitiés des cordons postérieurs , qui dans la coupe précédente était bien coloré
mence à pâlir dans la partie à laquelle appartient le sillon médian postérieur . Dans la moitié voisine les fibres myéliniques
t à ces fibres myéliniques horizontales correspondant aux cor- dons postérieurs , se joint un faisceau myélinique mince coupé dans
lando, sous forme d'un corps allongé touchant d'un côté aux cordons postérieurs . En même temps que la diminution des fibres myé
ême temps que la diminution des fibres myéliniques dans les cordons postérieurs , il faut encore remarquer dans la moelle épiniè
substance gélatineuse de Rolando, limitée d'un côté par les cordons postérieurs et la périphérie par un faisceau étroit netteme
t coloré de fibres myéliniques, les- quelles vont jusqu'aux cordons postérieurs . En dedans de ces fibres arciformes dans la par
dons postérieurs. En dedans de ces fibres arciformes dans la partie postérieure se trouve la racine spinale du nerf trijumeau. Da
cine spinale du nerf trijumeau. Dans la moelle épinière les cordons postérieurs ne sont pas développés à un plus haut degré que
l central quelque peu élargi dans la direction arrière. Les cordons postérieurs d'un côté, notamment du côté où se trouvent les
ntoure du côté de la périphérie la moelle allongée ; dans la partie postérieure les fibres myéliniques prennent de la direction
es verticales des cordons pos- térieurs finissent, à leur extrémité postérieure touche la racine spinale du nerf trijumeau, ent
eux venant de la moelle épinière. Par le sillon médian longitudinal postérieur , ayant une position penchée, les cordons pos- t
os- térieurs se séparent de la moitié voisine. En avant des cordons postérieurs , dans cette dernière moitié de la moelle épiniè
lle épinière et fusionnée déjà avec elle, était séparée des cordons postérieurs du côté voisin par le sillon médian longitudinal
sté- rieur. Cette coupe nous montre, que du côté opposé les cordons postérieurs ont considérablement augmenté de volume et cont
té opposé, les fibres myéliniques horizontales, passant des cordons postérieurs de la moelle épinière dans l'allongée, ont com-
accumulation de masses grises, correspondant aux noyaux des cordons postérieurs . En avant des fibres myéliniques, correspondant
érieurs. En avant des fibres myéliniques, correspondant aux cordons postérieurs et à leurs noyaux au bord de la moelle, se trou
allongée de l'épinière. Dans cette fissure sont placées les racines postérieures . L'asymétrie énorme qui existait dans les coupe
entral de la moelle épinière est tellement élargi dans la direction postérieure . qu'il s'ouvre déjà presque au dehors. La moelle
s grande que la voisine et s'en distingue par sa structure. Au bord postérieur du bulbe de la moitié premièrement formée se tr
t formée se trouvent des fibres myéliniques verticales, des cordons postérieurs . Dans la périphérie elles sont entourées d'un fai
e l'allongée, une fis- sure assez profonde s'est formée ; la racine postérieure y est placée. Dans la partie voisine de la moel
acée. Dans la partie voisine de la moelle allongée, à son extrémité postérieure même, sont placées, en forme de demi-cercle, de
fissure, mais elle est plus petite que du côté opposé et la racine postérieure y est aussi placée. Au devant du canal central
nissent des fibres myéliniques, commen- çant aux noyaux des cordons postérieurs et s'entrecroisant sur la ligne mé- diane. Elle
TÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 2a9 contenant les racines postérieures , prouve encore ceci, que les parties anté- rieu
a moelle. Les sillons des deux côtés existent encore et les racines postérieures y sont situées. , Phot. 36. Le canal central da
rieures y sont situées. , Phot. 36. Le canal central dans sa partie postérieure est élargi et trans- formé en quatrième ventric
s trouvons les fibres myéliniques, appartenant au reste des cordons postérieurs ; ils n'ont pas la même structure, et d'un côté
et d'un côté il y en a plus que de l'autre. Au devant des cor- dons postérieurs on trouve la racine spinale du nerf trijumeau qui
fissure dans les parties latérales a presque dis- paru. Les racines postérieures sont presque invisibles. Plus haut, où les oliv
en soit analogue, comme dans les deux cas pré- cédents.Les cordons postérieurs de la moelle épinière passent dans la par- tie
suspendue la moelle allongée (Phot. 32). Ensemble avec les cordons postérieurs dans la partie abaissée du bulbe rachidien nous
s ; du côté opposé nous rencontrons toutes ces parties (les cordons postérieurs , la substance gélatineuse de Rolando, etc.) dans
Ensuite, plus haut et dans la moitié opposée (Phot. 33) les cordons postérieurs sont un peu déplacés en arrière et prennent une
onde, située des deux côtés de la moelle et contenant les raci- nes postérieures , sépare la partie dorsale du bulbe rachidien de l
couche des fibres sensitives, qui portent des noyaux des cor- dons postérieurs et se placent entre les faisceaux fondamentaux du
ux sont bien déve- loppés. Le canal central est élargi. Les cordons postérieurs dans leur partie dor- sale sont mal développés,
e contiennent pas de fibres myéliniques. Des deux côtés des cordons postérieurs nous trouvons la substance gélatineuse de Rolan
e de Rolando, qui est limitée en arrière par une partie des cordons postérieurs et par les racines postérieures. PnoT. 38. -
n arrière par une partie des cordons postérieurs et par les racines postérieures . PnoT. 38. - La partie antérieure de la moelle
hangements, seulement le canal central est plus étroit, les cordons postérieurs sont déplacés en arrière, et en raison de ce qu
est formé des fis- sures, dans lesquelles nous trouvons les racines postérieures ; avec les cordons postérieurs est reculée la s
esquelles nous trouvons les racines postérieures ; avec les cordons postérieurs est reculée la substance gélatineuse de Rolando.
reculée la substance gélatineuse de Rolando. Les côtés des cordons postérieurs forment la lettre S dont le bord antérieur limite
s les cordons antérieurs et latéraux avec les cornes antérieures et postérieures , et 2° postérieure, où nous voyons les cordons
eurs et latéraux avec les cornes antérieures et postérieures, et 2° postérieure , où nous voyons les cordons postérieurs, limité
ures et postérieures, et 2° postérieure, où nous voyons les cordons postérieurs , limités aux côtés par la substance gélatineuse d
ne de l'autre par une fissure latérale, où sont placées les racines postérieures . La moitié supérieure de la moelle est augmentée
a coupe précédente. Les fibres myéliniques, appartenant aux cordons postérieurs , sont disposées aux deux côtés de la ligne médian
ll et de Burdach, placés en avant d'eux. Des deux côtés des cordons postérieurs on aperçoit nettement la substance gélatineuse
est ici reculée en arrière et se trouve seulement dans la formation postérieure . Ce ta- bleau rappelle la photographie 26 dans
a moelle et séparant la partie antérieure de la moelle de la partie postérieure , ont complètement dis- paru. Dans la partie pos
e la partie postérieure, ont complètement dis- paru. Dans la partie postérieure de la moelle nous rencontrons les noyaux de Gol
s cas précédents, et comme là les principaux concernent les cordons postérieurs . Au commencement la quantité défibres myéliniques
té défibres myéliniques a dimi- nué (Phot. 37), ensuite les cordons postérieurs reculent (Phot. 38) et en- tre la partie antéri
postérieurs reculent (Phot. 38) et en- tre la partie antérieure et postérieure se forme un isthme (Phot. 39) ; mais dans ce de
9) ; mais dans ce dernier cas l'isthme est large. Ensuite la partie postérieure a augmenté de volume et surpasse la partie anté
ici nous ne trou- vons pas non plus un tel abaissement de la partie postérieure de la moelle al- longée, que dans le cas précéd
ment considérable qu'elle entraine avec soi la disparition des arcs postérieurs . Comme le spina bifida est accompagné de l'hydrop
en ne périt, et il se produit seulement la dislocation de la partie postérieure de la moelle allongée dans la direction vers le
central de la moelle épinière, sont frappés avant tout les cordons postérieurs et que le canal central se déplace dans la dire
arquons son élargissement. Par la dislocation mécanique des cordons postérieurs de la moelle al- longée à cause de l'hydropisie
partie dorsale est placée derrière la moelle épinière, les cordons postérieurs de la moelle épinière ont dû complètement changer
eu d'aller dans la direction verticale jusqu'aux noyaux des cordons postérieurs ,- ils doivent prendre la direction horizontale ;
a direction horizontale ; nous voyons dans tous les cas les cordons postérieurs dans la moelle épi- nière disparaître graduelle
uantité, puis de plus en plus, et ces fibres passent dans la partie postérieure de la moelle allongée, pla- cée derrière la moe
isse sur un côté de la moelle épinière, nous voyons que les cordons postérieurs d'une moitié seulement de la moelle épinière pa
après cela. et de l'autre moitié de la moelle épinière les cordons postérieurs passent dans la moelle allongée. La moitié anté
nsitives aide aucommencement à la fusion des parties antérieures et postérieures du bulbe : le canal central de la moelle épiniè
ière et placées dans l'isthme,finissent dans les noyaux des cordons postérieurs et disparaissent ; sur le plancher du quatrième
fois par l'hydropisie du 48 ventricule se déplace surtout la partie postérieure de la moelle allongée, laquelle est suspendue sur
ue sur la moelle épinière. 4) Grâce à la dislocation de la partie postérieure de la moelle allongée, cette dernière se partag
allongée, cette dernière se partage en deux moitiés : antérieure et postérieure et chacune de ces moitiés se développe séparéme
e incurvation des tibias dans le sens antéro-postérieur à concavité postérieure surtout prononcée au niveau du tibia gauche. La
lisse et aplatie que celle qui forme le fond de la loge ; la partie postérieure du lobule paracentral est également comprimée, qu
ésente rien d'anormal, la pie-mère est épaissie surtout sur la face postérieure de la moelle. La moelle elle-même a 45 centimèt
ui de Gowers. Région dorsale moyenne. La zone de sclérose du cordon postérieur est plus petite, mais la disparition des fibres
cervicales supérieures la zone de sclérose occupe dans les cordons postérieurs seulement les 2/3 de la partie postérieure des co
occupe dans les cordons postérieurs seulement les 2/3 de la partie postérieure des cordons de Goll, elle est large à la périph
nt lé- sées. Elles ne se détachent presque pas du reste de la corne postérieure . Les fibres y ont en grande partie disparu ains
cylindraxe au carmin est parfaite. Plusieurs racines antérieures et postérieures ont été examinées sans qu'on ait marqué leur ha
érieures le nombre des fibres fines prédominait. Dans les raci- nes postérieures et dans plusieurs nerfs périphériques cette lésio
microscope on constatait une dégénérescence des fibres des cordons postérieurs des faisceaux pyramidaux croisés et des faisceaux
ains endroits à des dimensions remarquablement petites. Les cordons postérieurs et les cordons antérieurs peuvent être considér
ticulier, voici ce que nous Fig. 4. - Région cervicale. D. Racine postérieure . E. Entrecroisement moteur. F. Faisceau de Bu
Racine antérieure. 394 VASCHIDE ET VURPAS observons : Les cordons postérieurs ont un volume inégal en raison d'une hé- morrha
ence et la dégénérescence d'un certain nombre de fibres à la partie postérieure , sur- tout postéro-interne. Sur une certaine ét
érées et où l'absence de fibres est à peu près totale dans le tiers postérieur , le reste semble avoir également disparu. Rien
corne antérieure à l'autre. L'émergence des racines antérieures et postérieures est normale. La cinquième coupe intéresse la ré
inquième coupe intéresse la région dorsale. A ce niveau les cordons postérieurs semblent normalement développés. On remarque quel
ares fibres non myélinisées répandues çà et là, surtout à la partie postérieure et postéro-interne. Les cordons antérieurs sont
isation d'autant moindre qu'on se rap- proche davantage de la corne postérieure . Ici encore on voit que non seulement le faisce
ixième coupe porte au niveau de la région lombaire. Ici les cordons postérieurs sont de volume égal et normalement développés ; à
aspect est d'autant plus accusé que l'on est plus près de la corne postérieure . Comme au niveau de la coupe précédente les fai
borisations médullaires dans les cornes, les racines antérieures et postérieures semblent tout à fait normales. IV Dans la d
). Ils forment, de chaque côté, une courbe à conca- vité externe et postérieure , qui, rapprochant les genoux, écarte les deux ta-
it très saillant dans le petit bassin, et très rapproché de la face postérieure du pubis. Du côté des viscères, les poumons pré
sont hypertro- phiées et saillantes. Des trois bords : 1° le bord postérieur , très épais, rend la face postérieure excavée e
. Des trois bords : 1° le bord postérieur, très épais, rend la face postérieure excavée et gonflée ; 2° Le bord interne est m
profonde gouttière produite par les extenseurs ; quanta il la face postérieure , elle a disparu en partie derrière le péroné, sou
percés, re- présentent les restes de l'espace interosseux. La face postérieure mesure 4 cen- timètres à sa partie moyenne, ell
ieure de la mor- taise ainsi constituée est lisse, mais sur la face postérieure , il subsiste un sil- lon de séparation des deux
une longue bande interne, pour le ligament interosseux. Sa surface postérieure est séparée par une crête rugueuse en deux surf
est séparée par une crête rugueuse en deux surfaces pour le jambier postérieur et le fléchisseur des orteils. Le bord in- tern
ées par la sclérose sur le bord du cordon latéral et dans le cordon postérieur . A la région lombaire, on retrouve exactement l
es fibres de la zone de Lissauer, entre le bord ex- terne du cordon postérieur , la zone spongieuse de la substance gélatineuse
postérieur, la zone spongieuse de la substance gélatineuse la corne postérieure et le cordon latéral. Cette raréfaction se prolon
zone, on le sait, formée de fibres très fines provenant des racines postérieures , est une des premières prises dans le tabès; on s
ie de Paget, avaient décrit comme telle les altérations des cordons postérieurs qu'ils avaient rencontrées dans deux autopsies
on notable des fibres nerveuses, dans la partie moyenne des cordons postérieurs et dans la zone radiculaire postérieure. Les zo
partie moyenne des cordons postérieurs et dans la zone radiculaire postérieure . Les zones radiculaires moyennes étaient partou
les cordons latéraux, les réflexes seront exagérés, sur les cordons postérieurs , ils seront abolis. Récemment, Curcio (1) a déc
ien volontiers a ses raisons. ' 518 . E. APERT d'un C à concavité postérieure , dont le sommet répond à la douzième dorsale ;
e. De même, avec la colonne vertébrale, nous avons enlevé la partie postérieure des côtes et la partie postéro-inférieure du cr
orale. ' Fig. 1. Face interne de la tète fémorale. Fig. 2. - Face postérieure de la tête fémorale. 524 E. APERT Le sourcil
21 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
x, le septum nasal ne préseute aucune déviation. Pharynx. - Rhinite postérieure chronique, hypertrophie de l'amygdale pharyngie
le plutôt développé, menton fuyant en arrière. Vu de profil crâne postérieur se détache nettement du massif facial et du ÉTU
de renforcée à sa partie supérieure par les apophyses clinoïdiennes postérieures . Nous verrons dans la suite l'importance diagno
able, donnée par la projection radiographique de la fosse cérébrale postérieure , limitée en arrière par l'écaille occipitale. A
que, dans le cliché normal, les apophyses clinoïdes antérieures et postérieures et la selle turcique sont étagées dans un plan
plan à peu près horizontal de façon que, seule, la fosse cérébrale postérieure reste située dans la radiographie latérale sur
yenne reste placée à peu près au même niveau que la fosse cérébrale postérieure . Ce fait très important, nous permet déjà de cons
(sagittale), plus horizontale qu'à l'ordinaire, et, dans sa partie postérieure , elle est presque verticale. Généralement, la l
éphalie (enfant de 6 ans) on note l'enfoncement de la fosse cérébrale postérieure ; dans l'oxycéphalie (crâne du musée Riberi, Hô
à la suite de l'inclinaison anormale qui suit brusquement la moitié postérieure de la paroi orbitaire supérieure, fait qui peut
adiographiques à admettre une inclinaison plus accusée de la moitié postérieure de la paroi supérieure de l'orbite (V. schéma n
égularité du développement des apophyses clinoï- des antérieures et postérieures très fréquemment soudées entre elles, comme je
cranio-tabes sonl dans la plupart des cas loca- lisées à la partie postérieure du crâne el notamment à l'os occipital. Elsasse
4 ÉTUDE DU SYNDHOME OXÏCÉPIIALIQUE 35 bregmatiques antérieures et postérieures . C'est la réalisation de la tête en poire hydro
et l'épendymite sont plus intenses. C'est ainsi que dans la partie postérieure des circonvolutions orbitaires, au voisinage du c
e tels cas avec une hydrocéphalie qui simule une tumeur de la fosse postérieure , or, si nous allons plus loin, c'est-à-dire à la
rveux on ne trouve de plaques de sclérose. Le sys- tème des cordons postérieurs est indemne de dégénération ; même au bulbe les
abès,c'est quand il n'y a pas de dégénérescence grise des faisceaux postérieurs dans la partie dorso-lombaire de la moelle » (1
itée : en dedans par une ligne virtuelle parallèle au sillon médian postérieur et passant par le point où la substance gélatineu
par la substance gélatineuse et le point de pénétration des racines postérieures . Cetle zone est toujours intéressée quand les réf
NOVL : -JOSSERAND Les lésions essentielles portent sur les racines postérieures et les cordons postérieurs ; elles varient, d'a
ns essentielles portent sur les racines postérieures et les cordons postérieurs ; elles varient, d'ailleurs, d'une manière consid
5e, 4° sacrées). Les lésions manquent ab- solument dans les cordons postérieurs . Parmi les nerfs de la queue de cheval qui ont
plus nettes. 2° Région sacrée supérieure (Ve sacrée). - Les cordons postérieurs ne por- tent aucune lésion apparente ; la zone
nte ; la zone de Lissauer n'est pas sclérosée ; on voit les racines postérieures de la région pénétrer sous forme de groupes de fi
s forme de groupes de fibres serrées et bien colorées dans la corne postérieure et la région adjacente des cor- dons postérieur
rées dans la corne postérieure et la région adjacente des cor- dons postérieurs . On note seulement un épaississement notable de l
ment un épaississement notable de la pie-mère au niveau des cordons postérieurs , et toujours la présence, parmi les nerfs de la
lombaire te el 4e lombaires). - On voit apparaître dans le cor- don postérieur du côté droit une zone de sclérose assez bien dél
e d'un H dont la branche verticale interne atteint le sillon médian postérieur qu'elle longe dans une partie seu- lement de so
n postérieur qu'elle longe dans une partie seu- lement de son tiers postérieur , car elle n'atteint pas le point où ce sillon ren
se trouve ainsi il peu près mesurée par la majeure partie du tiers postérieur du sillon médian postérieur, moins une petite é
mesurée par la majeure partie du tiers postérieur du sillon médian postérieur , moins une petite étendue tout il fait en arrière
reuse respecte un petit territoire ovalaire adjacent an sillon médian postérieur ; ce territoire intact occupe la situation du fa
n arrière et de dedans en dehors, est située assez près de la corne postérieure dont elle reste séparée cependant partout par une
e de l'H, a une forme irrégulière ; elle occupe le milieu du cordon postérieur , dans son tiers postérieur. En somme, la zone d
ulière ; elle occupe le milieu du cordon postérieur, dans son tiers postérieur . En somme, la zone de sclérose n'atteint ni la
ers postérieur. En somme, la zone de sclérose n'atteint ni la corne postérieure ni la péri- phérie de la moelle, sauf au niveau
re ni la péri- phérie de la moelle, sauf au niveau du sillon médian postérieur , respectant le faisceau ovale de Fleclisig ; el
; la zone d'entrée des racines de Wesiplial est intacte ; la racine postérieure , qui entre au niveau intéressé par la coupe, es
tranche fortement, comparé il celui des parties voisines du cordon postérieur droit et des régions similaires du cordon posté-
ne trouve plus de zone de sclérose en nappe ; toutes les raci- nes postérieures qui sont intéressées par la coupe il ce niveau on
au ont un aspect normal ; il n'y en a plus de sclérosées. Le cordon postérieur droit, dans sa partie moyenne et interne la jon
seulement une teinte un pen plus claire, comparée à celle du cordon postérieur gauche, comme si les fibres il myéline y étaient
icu- laire moyenne. Les autres territoires radiculaires des cordons postérieurs , savoir la zone radiculaire antérieure, les cha
an sacré, la zone marginale de Wesiplial, le réseau fin de la corne postérieure , toutes régions considérées comme endogènes, sont
vec les lésions du réticulum formé par les fibres fines de la corne postérieure ; il croit la zone/le Lis- sauer occupée par de
ance des cordons de Goll (1) NAGEOTTE, Etude anatomique des cordons postérieurs . Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1904,
c pas indifféremment et en même temps toutes les fibres des racines postérieures . Quoi qu'il en soit, il ne faut pas admettre sa
rélrocession des symptômes et l'arrêt dans la sclérose des cordons postérieurs , sous l'influence de la cécité. » A ces cas de
favori- ser les phénomènes de régénération décrits dans les racines postérieures par Marinesco. C'est là assurément un état émin
immense majorité des tabes, les collaté- rales réflexes des racines postérieures ne sont atteintes que de lésions in- complètes,
\7estpliil (2) : sectionnant, chez un lapin, une partie des racines postérieures du plexus crural, il vit le phénomène du genou,
bétique à crise gastrique ou viscéralgidue, la sclérose des cordons postérieurs n'est pas tout, mais coexiste, sans doute, avec d
n ne considérant d'abord que les lésions des racines et des cordons postérieurs dans leurs rapports présumés avec les crises gast
ronculaires du sympa- thique, liées aux dégénérescences des racines postérieures , comme J. Ch. Roux (2) l'a montré. Mais,d'autre
; ulcère ancien gastrique, pas de lésions histologiques des cordons postérieurs ; les quelques fragments de racines persistant
olynévrite ; tabès absolument a rejeter, vu l'intégrité des cordons postérieurs . Ces observations sont extraites de la thèse de
le sympathique d'un' sujet atteint de sclérose combinée des cordons postérieurs et latéraux; ils ont montré l'intégrité des gan
'est pas toujours pro- portionnelle à celle des lésions des racines postérieures . De tels faits don- nent il penser que les lési
r- male. Il y a environ 11 centimètres entre les bords antérieur et postérieur de la lésion ; celle-ci a la forme d'une ellips
e partie de cet article. Malgré des examens réitérés de la partie postérieure de la tète, du cou et des omoplates, nous n'avo
raphie cérébrale ne saurait être méconnue, c'est-à-dire à la partie postérieure de la convexité de l'hémisphère gauche chez un
urface médiane de l'hémisphère est irri- guée par l'artère centrale postérieure , et la convexité par l'artère centrale antérieu
s, aux bras, aux mains qui semblent gantées de blanc ; pour le plan postérieur il faut signaler la région des hanches et du creu
sont les nerfs de la base. Dans la cavité rachidienne, les racines postérieures sont les plus bas situées dans la position couc
nt le sommet coïncide avec la 3' apophyse dorsale. Ftc. 1. - Face postérieure de la tête montrant la disposition du système pil
coloune vertébrale est modifiée : elle forme une courbe à convexité postérieure , ce qui tient très probablement en grande parti
res côtes au squelette vertébral ; elle est en partie Fra, 3. - Vue postérieure du thorax montrant la disposition de la cage thor
te alors en avant une région cervicale qui n'existe pas à la partie postérieure . Espaces ihnercostaux. - Les espaces qui sépare
me les constatations cli- niques). 232 IvLIPPEf. ET FE1L L Face postérieure : La ligne des apophyses épineuses n'est pas régu
tèbres du train anté- rieur et l'antéversion des apophyses du train postérieur de la colonne verté- brale, que je me suis appu
rtie posté- rieure du crâne Le centre des fontanelles antérieure et postérieure ne présentait qu'une ossification rudimentaire,
mètres. Cette dépression a une forme irrégulière et à son extrémité postérieure , elle envoie du côté gauche un prolongement d'à p
ous donnent 20 centimètres (de la crête vertébrale jusqu'à la paroi postérieure de l'aisselle) pour le côté gau- che et seuleme
ès prononcé, ossification défectueuse des fontanelles antérieure et postérieure , proéminence des bosses frontales, face moins dév
e une exagération très évidente du tubercule du trapèze sur le bord postérieur de l'épine de l'omoplate. La malade de Roger Vo
et Infroit présentait une très forte cyphose à convexité droite et postérieure avec scoliose à conca- vité gauche. Le sternum
xtenseurs des doigts sont considérable- ment atrophiés. Sur la face postérieure de l'avant-bras, on voit passer fré- quemment d
substance blanche est indemne de tonte dégénérescence, les cordons postérieurs en particulier sont intacts. Les racines rachid
n particulier sont intacts. Les racines rachidiennes antérieures et postérieures sont régulièrement myélini- sées. Il en est de
le trajet des racines antérieures dégénérées, alors que les racines postérieures et les cellules ganglionnaires gardaient leur s
nglion spinal et les nerfs mixtes; les nerfs cutanés et les racines postérieures sont presque indemnes . Dans les muscles, atrop
n vers le tronc. A l'examen anatomique, dans la moelle, les cordons postérieurs seuls étaient dégénérés, avec un tissu riche en
'aux racines des plexus sacré et lombaire; les racines rachidiennes postérieures sont nota- blement moins dégénérées que les ant
ompa- gnée de contractions fibrillaires et de douleurs. Les cordons postérieurs de la moelle sont sclérosés (fibres nerveuses i
t le noyau de l'hypoglosse ; diminution des fibres dans les cordons postérieurs et latéraux ; dans les nerfs périphériques, mél
D. A l'examen histo- logique : dans la moelle, sclérose des cordons postérieurs , raréfaction du réseau de la colonne de Clarke
ressive ; mort à 20 ans. Examen histologique : sclérose des cordons postérieurs dimi- nuant de bas en haut ; diminution des fib
de Clarke ; atrophie des racines antérieures, intégrité des racines postérieures ; diminu- tion des cellules dans les ganglions
en histologique : Dans la moelle, sclérose très étendue des cordons postérieurs et sclérose plus faible des cordons laté- raux
80 ans. Examen histologique : Dégénérescence scléreuse des cordons postérieurs plus marquée dans la région cervico-dorsale ; alt
ieures et posté- rieures et des ganglions spinaux ; lepto-méningite postérieure chronique. Nerfs périphériques : pas de névrite
2 ans. - Examen histologique : Dans la moelle, sclérose des cordons postérieurs ; sclérose moins marquée dans les cordons antéro-l
inaux, atrophie cellulaire, dégé- nérescence des fibres des racines postérieures . Dans les nerfs, dégénérescence dans le sens ce
; mort à 45 ans. Examen histologique : Dé- générescence des cordons postérieurs ; atrophie des cellules des cornes anté- rieure
térieures sacrées ; hétérotopie de substance grise dans les cordons postérieurs à la région lombaire ; racines antérieures et p
s cordons postérieurs à la région lombaire ; racines antérieures et postérieures intactes. Dans les nerfs périphériques, diminutio
histologique : Dans la moelle, dégénérescence partielle des cordons postérieurs ; éclaircissement des fibres dans les cordons a
s, sans diminution numérique ; intégrité des racines antérieures et postérieures . Dans les nerfs, fibres en petit nombre, gaines g
25 ans. Examen histologique : Dans la moelle, sclérose des cordons postérieurs et des faisceaux cérébelleux, diminution des fi
ceaux cérébelleux, diminution des fibres des racines antérieures et postérieures ; atrophie des cellules des cornes antérieures e
bertson. Examen histologique : Dans la moelle, sclérose des cordons postérieurs , diminution du réseau de la colonne dé Clarke;
umineux. Examen histologique : Dans la moelle, sclérose des cordons postérieurs , raréfaction des fibres dans les cordons antéro-i
rfs mixtes, faisant contraste avec l'intégrité relative des racines postérieures et des nerfs cutanés. En résumé, ces deux obs
on des lésions a laissé à peu près intacts les racines rachidiennes postérieures et les nerfs sensitifs ; et bien que ces lésions
dernière, la lésion la plus fréquente est une sclérose des cordons postérieurs , non consécutive à une dégénérescence des racines
rdons postérieurs, non consécutive à une dégénérescence des racines postérieures ; Gierlich a fait remarquer combien elle se rappr
nne : les muscles sont particulièrement mous au mollet et à la face postérieure de la cuisse. Les troubles moteurs sont toujours
t nettement troublée gauche et il existe à la fesse et il la partie postérieure de la cuisse de l'anesthésie tactile douloureuse
us les modes, surtout accentuée Fia. 2 B et C. - Face antérieure et postérieure . Topographie de l'anesthésie en 1911 4.5, S', S
ne débarrassé de sa cupule et nettement limitée[surtout sur sa face postérieure et son pôle inférieur (Voir Planche XLI, fig. 2
m- baires inférieures et sacrées recouvrent ses faces antérieure et postérieure , lui adhèrent en certains points et quelques-un
ieures sont aplaties et grisâtres, très nette- ment atrophiées, les postérieures semblent presque normales. Son extrémité supéri
latéraux ne présentent aucurfe trace de dégénérescence, les cordons postérieurs par contre sont très réduits, leur portion médi
nsversal considérablement augmenté, les cornes antérieure (c.a.) et postérieure (c.p.) gauches surtout sont étirées en dehors. Le
pie-mère (p.m.) est considérablement épaissie, surtout à la partie postérieure de la moelle ; elle se continue avec l'enveloppe
a moelle et la tumeur. Cette dernière est traversée par les racines postérieures (r.p.) .) que l'on voit éparpillées et dirigées
d.) est fortement comprimée au niveau de S2 (fig. 7et 8), la corne postérieure est considérablement réduite et le cordon posté
8), la corne postérieure est considérablement réduite et le cordon postérieur a à peu près complètement disparu : elle redevien
tution delà moitié gauche de la moelle qui commence par les cordons postérieurs : on voit en effet en arrière les racines posté
r les cordons postérieurs : on voit en effet en arrière les racines postérieures se tasser en couches successives (fig. 10, f. p
ssante qui sur la fig. 11 (c. o. p.) donne déjà l'image d'un cordon postérieur . Sur les coupes plus supé- rieures (fig. 12), o
lus supé- rieures (fig. 12), on voit apparaître la tête de la corne postérieure et en par- ticulier la masse volumineuse de la
gélatineuse de Rolando (gR.). A mesure que se forme ainsi la partie postérieure de la moelle, la substance grise de la corne an
e grise des cornes antérieures (fig. 13) et même un peu de la corne postérieure gauche. La substance blanche est moins touchée,
érieure gauche. La substance blanche est moins touchée, les cordons postérieurs semblent t relativement peu dégénérés, les cord
dor- sale ils sont redevenus normaux. La partie interne du cordon postérieur est notablement éclaircie : mais il ne s'agit p
llons, parsemés eux-mêmes de fibres à myéline provenant des racines postérieures ou appartenant aux cordons : ces dernières form
que les gaines pie-mériennes qui entourent les filets radiculaires postérieurs , sont hy- pertrophiées. Les cellules graisseu
racines est va- riable suivant qu'il s'agit des antérieures ou des postérieures ; les premières, venant de régions où la substa
rs fibres sont dissociées, éparpillées. La dégénération des cordons postérieurs est la conséquence de l'interruption au niveau
ommencement de la queue de cheval, vues par les faces antérieure et postérieure . c. cône terminal aplati. r. a. racines antér
r. a. racines antérieures. t. tumeur lipomateuse. r. p. racines postérieures . v. veine médullaire thrombosée. Fie. 4. Coup
érieure de la masse adipeuse. c. a. corne antérieure. c. p. corne postérieure . p. m. pie-mère. t. G, p, triangle de Gombaul
d. moitié droite de la moelle. m. g. moitié gauche. r. p. racines postérieures . t. tumeur graisseure. v. veine thrombosée.
lement traversée par les fibres radiculaires dissociées des racines postérieures ·. p. FIG. 10 Coupe passant par la partie infér
Reconstitution de la moitié gauche de la moelle, formation du cordon postérieur par les fibres radiculaires postérieures f., p.
moelle, formation du cordon postérieur par les fibres radiculaires postérieures f., p. diminution de la graisse l., atrophie des
, atrophie des racines antérieutes r. a., aspect normal des racines postérieures ·. p. : -11\NrNGO-MYI; : LITI CH'RONfQUR D1 : L
destruction des cornes antérieures c. a., reconstitution du cordon postérieur gauche c. o. p. et de la substance gelalineuse de
c.o. a. et latéraux c. o. 1. sont en partie dégénérés. les cordons postérieurs c. o. p. peu couchés. ' Fig. 14. - Coupe du 3
ordons antéro-latéraux c. a. l. et de la partie interne des cordons postérieurs , faisceau de Goll c. G. qui est nettement plus
aillie à peu près normale, et la jambe ne présente pas la concavité postérieure que l'on observe chez beaucoup de pagé- tiques.
e, comme il l'est généralement dans la maladie de Paget, et sa face postérieure reste presqueplane, mais le fait est dû sans do
son maximum, entraîne la fonte complète de la corne antérieure, la postérieure étant rela- ti vement respeclée.-cët-effôndreme
maiacie antérieure proprement dite; L'intégrité relativede la corne postérieure ellïnlégl ilé presque absolue des faisceaux bla
s au troisième élément de la lésion : intégrité relative des cornes postérieures , intégrité presque absolue des cordons blancs.
ando fait particulièrement défaut. Le réseau myélinique de la corne postérieure est presque complètement dis- paru. Les vaissea
il existait dans ces deux mêmes cas un peu de sclérose des cordons postérieurs . Cette sclérose, très légère dans l'un de nos cas
bailleur de un il deux segments, conservation relative de la corne postérieure . Inté- grité des cordons blancs. Lésions artéri
u anastomotique intrapial. qui fournissent l'irrigation de la corne postérieure et des cordons blancs. Parmi ces branches perfo
, quelques-unes, plus importantes, sui- vent l'une le sillon médian postérieur , l'autre le sillon radiculaire anté- rieur, l'a
sillon radiculaire anté- rieur, l'autre enfin le sillon radiculaire postérieur . (.'arnol'uf; ISOLÉE non PROGRESSIVE DES PETITS
e la lésion est plus apparente que réelle. Du côté malade, la corne postérieure est touchée ; autour de cha- que perforante, l'
veau de leur base ; en arrière, elles sont limitées par les cordons postérieurs , dont les plans les plus antérieurs ont été int
dont les plans les plus antérieurs ont été intéressés. Les cornes postérieures ont complètement disparu au niveau de la ré- gi
es deux SYRINGOMYÈLIE, HYPERPLAS1E DU TISSU CONJONCTIF 367 cornes postérieures sont visibles et elles ne disparaissentpius jusqu
'à l'ex- trémité inférieure de la moelle : seule la base des cornes postérieures , ou mieux la partie intermédiaire aux cornes an
rieures, ou mieux la partie intermédiaire aux cornes antérieures et postérieures est détruite par la lésion. Les cornes latérale
ont enfin entraîné des déformations considérables dans les cordons postérieurs et latéraux, des déviations des sillons antérieur
s postérieurs et latéraux, des déviations des sillons antérieurs et postérieurs . Au niveau de la région cervicale, elles tenden
e longue fente transversale disposée suivant une courbe à concavité postérieure et détruisant la région centrale, la base des c
des cornes, les zones adjacentes du faisceau pyramidal et la corne postérieure . Elle peut atteindre aussi la pie-mère (Cvi, Du,
et sectionner complètement la moelle en deux fragments antérieur et postérieur . Mais entre ces deux types extrêmes on observe
maximum ; latéralement elle s'enfonce profondément dans les cornes postérieures sous forme de fentes, uniques à droite, multiples
près transversale et laisse derrière elle les cordons et les cornes postérieures . En DVIll, l'aspect est très particulier. Au ce
en arrière jusqu'à la périphérie de la moelle, à travers le cordon postérieur . . 3G8 ANDRÉ-THOMAS ET QUI,ITCY , Elle est co
t transversale avec un cliver- ticule postéro-latéral dans la corne postérieure . En Dx elle reste centrale. Elle devient à pein
ou postéro-latér3ux, qui segmentent la substance grise, les cornes postérieures ou les cordons latéraux ; les uns se terminent
ut en arrière, où il.envoie quelques prolongements dans les cordons postérieurs . Elles sont plus indécises au niveau des cordons
lules tapissent sur un ou plusieurs endroits les bords antérieur et postérieur ou un seul des deux. Quelquefois la membrane co
palissade ne forment la bordure que sur un prolongement latéral ou postérieur de la fente (Du). En Dxn, la traînée de raréfac
ns la cavité, entre les membranes conjonctives et le gliome (partie postérieure ), dans les boucles des mem- 378 ATDfil ? THO\fA
gliome, dans la pie- mère (au niveau de l'espace inter-radiculaire postérieur ), au voisinage du tissu conjonctif, qui occupe
ieur, à côté ou à l'intérieur des filets radiculaires antérieurs et postérieurs , dans les espaces sous-arachnoï- diens ; on n'e
e en arrière et à gauche un diverticule situé en dedans de la corne postérieure , en plein cordon postérieur. A ce diverticule fai
iverticule situé en dedans de la corne postérieure, en plein cordon postérieur . A ce diverticule fait suite une traînée glioma
érence de la moelle. A ce niveau la pie-mère qui recouvre le cordon postérieur est très mince, tandis qu'elle s'épaissit brusq
cy). - SYRINGOMYELIE, HYPERPLASIE DU TISSU CONJONC11F 379 trémité postérieure de la traînée gliomaleuse, ainsi que la couche né
traînées conjonctives ; au-delà sur le cordon latéral ou le cordon postérieur de l'autre côté, la pie-mère reparaît, très épa
es avec les prolongements méningés du sillon antérieur et du sillon postérieur ne nous paraissent subordonnées l'évolution du
e de la fissure et l'absence de pie- mère à la périphérie du cordon postérieur , sur le même étage médullaire (Dvm). li Une t
hypertrophie de la dure-mère a frappé presque exclusivement la face postérieure et les faces latérales de la moelle. Le maximum
on côté droit correspondant du premier segment dorsal. A la surface postérieure de la dure-mère dans la région correspondante a
formation de la moelle commence à changer. Les sillons antérieur et postérieur ne sont plus médians, mais dévient légèrement v
la corne gauche. Dans le sens descendant les sillons antérieur'et postérieur s'écartent de plus en plus dans leurs parties p
la droite, se confondent, deviennent plus petites. La commis- sure postérieure dévie à droite, le sommet du faisceau postérieur
. La commis- sure postérieure dévie à droite, le sommet du faisceau postérieur gauche avance par dessus celui de droite, se re
droite, se recourbe à droite, et couvre le sommet du faisceau droit postérieur . L'aplatissement de la moelle augmente encore u
ARIE DES VEIUÈBRES 39U nent une structure régulière ; les faisceaux postérieurs retournent à la ligue médiane. La dure-mère dan
La partie gauche paraît être le plus comprimée, à savoir la partie postérieure de la ceinture circulaire du fais- ceau latéral
yer, et de même qu'à gauche quoique à un degré moindre, la par- tie postérieure de la zone périphérique du faisceau latéral. Sur
ée tuberculeuse qui comprime le plus la moelle du côté de la partie postérieure de la zone péri- phérique du faisceau latéral g
sparence sous forme de filament dans la moitié gauche des faisceaux postérieurs entre le faisceau de Goll et celui de Burdach. On
Burdach. On constate également dans la moitié droite des faisceaux postérieurs une transparence de développe- ment identique e
gale- ment isolés dans les faisceaux antérieurs, antéro-latéraux et postérieurs . Les es- paces périvasculaires sont un peu élar
vical, la transparence commence dans la moitié gauche des faisceaux postérieurs , sur le devant un peu plus bas et sous forme de c
rme de croissant, elle se dirige vers le lieu d'entrée de la racine postérieure gauche ; à droite la transparence se trouve dan
les autres faisceaux démontre que déjà tout le champ des faisceaux postérieurs est un peu transparent (à part quelques endroits
quelques endroits avoisinant la substance grise). Dans les racines postérieures des deux côtés, à l'endroit où elles pénètrent
côtés, à l'endroit où elles pénètrent du dehors dans les faisceaux postérieurs , on constate l'absence des fibres nerveuses iso
ce des fibres nerveuses isolées. Le faisceau de Goll dans sa partie postérieure présente une augmentation de névroglie ainsi qu
aires sont dilatés. Les cellules nerveuses des cornes antérieure et postérieure sont normales, pour la plupart remplies de pigm
des fibres apparaît surtout dans la zone périphérique des faisceaux postérieurs , là où pénètrent les racines postérieures, et pui
périphérique des faisceaux postérieurs, là où pénètrent les racines postérieures , et puis dans les limites indiquées ci-dessus s
coup de mailles vides appa- raissent le long de la base des racines postérieures , dans la zone radiculaire et dans la partie pos
es racines postérieures, dans la zone radiculaire et dans la partie postérieure du faisceau de Burdach. On constate une certaine
roits, dans les environs de la fissure antérieure et dans la moitié postérieure de la zone périphérique des faisceaux latéraux.
fibres myéliniques moins prononcée du côté droit ; dans les racines postérieures , les lésions sont encore plus fortes sans que le
caractère de processus nouveau ; les faisceaux internes des racines postérieures sont plus dégénérés, les externes moins. En all
au même, les lésions sus- indiquées augmentent encore ; les racines postérieures , la gauche surtout, per- dent leur structure no
teinte très pâle et le réseau des fibres des racines antérieures et postérieures est considérablement appauvri Pas trace de dégé
; on en constate davantage dans la région correspondant aux racines postérieures . La substance grise se trouve parsemée des deux
ci, on dirait qu'elle est plus manifeste à gauche. Dans les régions postérieurs des membres inférieurs et dans le périnée, la s
a substance grise, portant à la fois sur les cornes anté- rieure et postérieure , la dépression du bord antérieur de la corne anté
e et remplacée par une cica- trice linéaire transversale : la corne postérieure est diminuée de volume et comme étriquée par ra
at réticulé spécial et sauf une paieur modéree el diffuse des cordons postérieurs . Du côté gauche la substance grise est un peu d
que trace de l'état réticulé de la coupe précédente, dans le cordon postérieur toujours une pâleur diffuse par sclérose com- m
a moelle a repris son aspect normal sauf un peu de pâleur du cordon postérieur .Ce cas a été débité en coupes sériées depuis C
e antérieure, côté sain. CA' corne antérieure, côté malade CP corne postérieure , côté sain. CP' corne postérieure, côté malade.
antérieure, côté malade CP corne postérieure, côté sain. CP' corne postérieure , côté malade. CdA cordon antérieur. CdP cordon po
connaît aisé- ment les cellules normales de la corne) ; 3" la corne postérieure du côté' malade est étriquée et ne contient pas
ar un petit vaisseau ; 6° On note en outre une pâleur des cor- dons postérieurs avec sclérose et démyélinisation commençante, et
e 7e, en bas sur le leur segment dorsal. Au même niveau, la corne postérieure est plus grêle, les vaisseaux moins abondants e
le, lombaire et sacrée, sauf un certain degré de pâleur des cordons postérieurs . Grosse méningite syphilitique avec endo-périar
édomine de beaucoup au niveau du 8e segment. Au même niveau : Corne postérieure plus grêle. Vaisseaux moins abondants et moins
nche parait intacte sauf l'existence d'une dégénération des cordons postérieurs à type radiculaire avec dégénération des bandel
ion de la moelle dorsale, lombaire et sacrée sauf la dégéné- ration postérieure déjà signalée. Méningite syphilitique avec endopé
e antérieure qui est remplacée par une cicatrice linéaire. La corne postérieure est étriquée et grêle. Il existe un notable degré
bstance blanche présente une sclérose modérée, mais nette du cordon postérieur , et au niveau de l'angle inferieur du cordon an
tat réticulé de l'angle supéro-interne du cordon antérieur. Cordons postérieurs et latéraux sensiblement indemnes. Dans ce cas
sinantes du 7- segment cervical et du 1" segment dorsal. Les cornes postérieures sont grêles et mal vascularisées. La substance
isées. La substance blanche est indemne. Pas de lésions des cordons postérieurs . Les lésions d'endartérite sont ici encore extr
ment d'artério-sclérose sénile. L'absence des lésions des cordons postérieurs qui existaient dans nos deux autres cas, est ég
omalacie et il existait en outre une lésion peu marquée des cordons postérieurs . c) Qu'ils étaient abolis uniquement du côté ma
c l'encéphale. - Sur la partie droite de la tumeur, et vers sa face postérieure , se trouve le point d'implantation de la tige pit
'attirant en masse à à droite. Le chiasma est normal, mais son bord postérieur se confond avec la saillie de l'infundibulum, d
visible qu'en avant. C'est la taille de guêpe au-dessus d'un train postérieur d'obèse. L'hypertrophie du membre inférieur gau
and dentelé, paraît appartenir à un adolescent, tandis que le train postérieur , dans la lourdeur de ses lignes, l'ébauche du bou
22 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
triangulaire, dont un prolongement supérieur s'étendait jusqu'au bord postérieur du grand trochanter, et dont l'autre se prolongea
prolongeait en arrière et en bas, de manière à séparer les deux tiers postérieurs de cette éminence d'avec le tiers antérieur qui r
e l'os; le fragment du grand trochanter qui comprenait les deux tiers postérieurs de cette éminence était lui-même divisé par une f
La fig. 3 représente la fracture du col du fémur vue par la partie postérieure avec séparation des fragmens, lesquels ont été éc
nt encore, le grand trochanter, affaibli dans sa partie supérieure et postérieure par l'excavation, connue sous le nom de cavité di
gure 2 représente la fracture vue par derrière. On voit que la partie postérieure du grand trochanter GT, c'est-à-dire la partie qu
osseuse formée par le grand trochanter, est appliquée contre la face postérieure du col du fémur. Le petit trochanter PT est sép
e quatre : un pour la tête et le col du fémur, un pour les deux tiers postérieurs et (1) Chez ce sujet, l'artère fémorale était b
, en un mot aux tissus blancs qui entourent l'articulation- La face postérieure du col du fémur était dénudée du périoste et de r
tre part la cavité digitale détachant en quelque sorte les deux tiers postérieurs du grand trochanter du corps de l'os, cette émine
ieu de la brisure est généralement le point de réunion des deux tiers postérieurs avec le tiers antérieur. Le petit trochanter es
étaient restés adhérens à ce repli. La partie inférieure et la partie postérieure du col du fémur étaient dépourvues de périoste. D
re. On voit que le repli fibro-synovial a été respecté dans la moitié postérieure du repli fibro-synovial, P,Pdéchirure en TR. Du r
ceux qu'on obtient par l'examen de cette même fracture par la région postérieure : les différences de conformation de la région pe
du mouvement de rotation qu'a subi ce membre inférieur. Ainsi la face postérieure de la cuisse et de la jambe regardent en dedans;
e à reconnaître à l'aide des signes fournis par l'examen de la région postérieure du membre inférieur qu'à l'aide de ceux fournis p
é dans une plus ou moins grande étendue, ordinairement dans la moitié postérieure de la circonférence du col. Les fig. i et i', i e
ol du fémur. Dans ce cas comme dans ceux que j'ai indiqués, la moitié postérieure du repli fibro-synovial était conservée. xxvi5
stauration est le plus parfait. Elles sont tantôt congéniales, tantôt postérieures à la naissance. Existe-t-il des différences notab
s luxations congéniales, il y a déplacement, comme dans les luxations postérieures à la naissance, nous devrons trouver, dans le pre
s organiques dans la luxation congéniale du fémur et dans la luxation postérieure à la naissance, que la réduction de la tête du fé
mprendrais rien aux succès d'un traitement dirigé contre une luxation postérieure à la naissance, ayant plusieurs années d'ancienne
nt aux luxations du fémur en haut et en dehors,soit congéniales, soit postérieures à la naissance, présentent beaucoup de variétés:
la fig. 2 représente l'os coxal vu par derrière : on y voit la partie postérieure de la nouvelle cavité eotyloïde NCC, sa profondeu
le petit trochanter qui regardait directement en arrière et la partie postérieure du pourtour de cette cavité. MALADIES DES OS
tte déchirure. Le ligament rond était lacéré dans ses fibres les plus postérieures seulement, les fibres antérieures avaient été res
de moelle contenait encore un peu de substance blanche. Les cordons postérieurs médians du bulbe rachidien étaient convertis en u
ache ET résulte de la compression exercée sur la moelle par la moitié postérieure du pourtour du tissu occipital et par l'apophyse
illie énorme TO, que fait l'apophyse odontoide à travers les ligamens postérieurs soulevés de l'articulation occipito-axoidienne.
l'articulation occipito-axoidienne. La figure i représente la face postérieure de l'apophyse odontoide mise à nu par la section
en arrière, de manière à produire une luxation incomplète. La face postérieure de l'apophyse odontoide était érodée. L'apophyse
une saillie considérable qui soulève les ligamens occipito-axoïdiens postérieurs , et qui rétrécissent la partie supérieure du cana
s le pus de tous les foyers purulens soumis à l'absorption. La face postérieure du corps de la 2e et de la 3e vertèbre cervicale
jet avait pour paroi antérieure le corps des vertèbres, et pour paroi postérieure le ligament vertébral commun postérieur très amin
des vertèbres, et pour paroi postérieure le ligament vertébral commun postérieur très aminci. y livraison .PIJ. MALADIES DES O
uis on scia verticalement le crâne, ce qui permit d'enlever la partie postérieure de cette boîte osseuse, en laissant sur le devant
oyait déborder en haut le corps du pubis et s'étendre jusqu'à sa face postérieure . La portion de tumeur qui est postérieure au pubi
t s'étendre jusqu'à sa face postérieure. La portion de tumeur qui est postérieure au pubis est beaucoup moins considérable que la p
itables foyers, contenant une matière sanguinolente. « Vers la partie postérieure , on en voyait plusieurs autres, et notamment un c
umeur a été divisée en deux moitiés égales, l'une antérieure, l'autre postérieure par un trait de scie vertical, transversalement d
le grossie et rompue, les chairs du mollet désorganisées et la partie postérieure des os de la jambe plus ou moins profondément car
le que j'ai déjà eu occasion d'établir pour les lésions pathologiques postérieures à la naissance, savoir, que si le nombre des vari
éniale du voile du XXXVIIIe LIVIUISON. i palais et de la moitié j postérieure de la voûte palatine. Cet homme avait eu à gauche
ue celui qui présenterait en regard les diverses espèces d'an-kyloses postérieures à la naissance, et par conséquent déterminées par
d'atrophie et de disparition complète des parties, que les ankyloses postérieures à la naissance. Un des exemples les plus remarq
elque fruit que lorsqu'on l'aura fait précéder de celle des ankyloses postérieures à la naissance, je crois donc ne pas trop m'éloig
éloigner de mon sujet, en donnant ici la classification des ankyloses postérieures à la naissance, telle que je l'ai exposée dans me
it représenter pl. 6 , xxxme livraison ; fig. 4- H est vu par sa face postérieure . Les deux fémurs F, F sont réunis dans leur tiers
donne la clef de cette disposition. En effet, ces os occupent la face postérieure des deux genoux juxta-posés; il y a donc eu demi-
en sens opposé des extrémités inférieures , de manière que leur face postérieure regarde en avant, leur face antérieure en arrière
résentent une crête saillante, dirigée d'avant en arrière : leur face postérieure , devenue supérieure, est concave et supportait (a
dedans en dehors, et d'avant en arrière, de telle manière que la face postérieure des membres soit devenue antérieure, et réciproqu
ent de quart de rotation en sens opposé, de telle sorte que les faces postérieures des fémurs sont devenues internes, les têtes des
nt unis par une membrane. Il résulte de cette disposition que la face postérieure des corps des pubis et la face interne des ischio
lle, représente la partie sous-ombilicale du tronc, vue par la région postérieure . On voit à la partie inférieure deux plis qui rép
e antérieure. Bassin vu en avant : il présente deux ouvertures, l'une postérieure PP, l'autre antérieure P A. L'intervalle qui les
ue, que nous verrons résulter de la réunion des deux fémurs : sa face postérieure est en avant ; ia l'articulation du fémur avec la
t en avant ; ia l'articulation du fémur avec la jambe, dont la région postérieure est en avant ; 3° le tibia dont il n'existe que l
5. Elle représente la moitié inférieure du squelette, vu par la face postérieure . Le sacrum S est renversé de bas en haut, de te
. Ce sommet cartilagineux est déjeté latéralement. PP est l'ouverture postérieure , PA l'ouverture antérieure,CCD une cavité cotyloi
ouvement de demi-rotation, tel que sa face antérieure regarde le plan postérieur du corps. Son extrémité supérieure présente trois
s le côté antérieur de l'articulation du genou, répondaient à la face postérieure du tronc. La figure 6 représente le fémur, vu d
La figure 2 représente la moitié inférieure du fœtus, vu par la face postérieure . Point de fesses. Sur la ligne médiane, ouverture
es des tibias sont en avant, les faces externes en arrière, les faces postérieures en dedans: aussi voyons-nous (fig. 6 et 7) que le
) que les deux péronés sont intermédiaires aux tibias. Les jambiers postérieurs J A , JA ( fig. 3) sont en dehors, de même que le
idère comme le vestige des muscles jumeaux. Les deux artères tibiales postérieures sont confondues en une seule artère ATP, qui appa
n pied. Je ferai également remarquer la fusion des deux nerfs tibiaux postérieurs , en un seul tronc , qui se bifurque comme le tron
onc , qui se bifurque comme le tronc commun des deux artères tibiales postérieures , pour fournir aux deux pieds. Dans l'intervalle d
intervalle des deux tibias, on trouve encore les tendons des jambiers postérieurs et des longs fléchisseurs des orteils. Les fléchi
figure 4-,qui représente les deux membres inférieurs, vus parla face postérieure , offre les particularités suivantes: i° l'anus A
ns confondus. Ainsi les trous sous-pubiens, distincts dans leur tiers postérieur , sont confondus dans leurs deux tiers antérieurs.
nt lemême. Fig. 7. Bassin et membres inférieurs vus par leur face postérieure ; bassin et os ilium étalés, et, sur la ligne médi
-pubien, qui est double en arrière et simple en avant. Sur cette face postérieure , la rotation inégale des deux fémurs et à-peu-prè
le existe, après cette ablation, entre l'apophyse mastoïde et le bord postérieur de la mâchoire inférieure ; la peau s'affaisse, l
La figure 2 montre l'atrophie complète du muscle crico-arythénoïdien postérieur droit CAP et l'atrophie presque complète du muscl
ique^).Il est des cas dans lesquels ces bosselures occupent la région postérieure de l'œil, plus souvent elles se voient latéraleme
u tissu adipeux de l'orbite, et enveloppe l'œil dans ses trois quarts postérieurs . Du reste, la dégénération présente tous les ca
ne à l'autre oreille. Nombreux ganglions sur les côtés et à la partie postérieure et supérieure du col. Ces ganglions sont assez co
de sa grande courbure, l'estomac (voyez fig. 2) a présenté à sa face postérieure une grande perte de substance ULC : le pancréas r
ure de l'estomac, obturait en partie la perte de substance de la face postérieure : elle offrait à sa surface des marbrures de déco
rvation. La malade a eu d'abord un ulcère chronique simple de la face postérieure de l'estomac, ulcère qui a détruit toute l'épaiss
s corps fibreux dans l'épaisseur de l'organe. Les faces antérieure et postérieure sont libres d'adhérences, excepté en arrière, où
érieure du rectum, d'une part, et d'une autre part, sur toute la face postérieure du vagin chez la femme et sur tout le bas-fond de
atomique. dur et volumineux : l'intestin GT, GT, incisé par sa face postérieure (i), permet de constater l'existence d'une tumeur
ette extrémité libre présente deux orifices , l'un antérieur, l'autre postérieur . L'orifice postérieur conduit dans l'intestin grê
résente deux orifices , l'un antérieur, l'autre postérieur. L'orifice postérieur conduit dans l'intestin grêle; l'orifice antérieu
es autres parties du canal alimentaire. (1) L'incision de la partie postérieure de l'intestin était nécessaire pour montrer sur l
es amincies et susceptibles d'être divisées en deux feuillets dont le postérieur adhérait au péritoine; qu'il n'existait aucun ves
Chacune de ces sous-classes présente à considérer: i° les déplacemens postérieurs a la naissance; i° Les déplacemens antérieurs a l
sse dans le sac lui-même ; l'appendice iléo-cœcale accolée à la paroi postérieure du sac. Dans les hernies anciennes, les envelop
iculaire est sortie de toute sa longueur et appliquée contre la paroi postérieure du sac herniaire, auquel elle adhère intimement.
et par conséquent ancienne de l'appendice vermiculaire avec la paroi postérieure du sac et l'oblitération récente de cette appendi
es abdominaux et au péritoine : celui-ci semblait s'accoler à la face postérieure de la membrane, sans pouvoir en être séparé. Du
ant la naissance ? y a-t-il une exomphale antérieure et une exomphale postérieure à la naissance? C'est l'opinion généralement admi
'espèce de boudin qu'elle représentait. A la partie interne et un peu postérieure de ce boudin, existait une autre tumeur du volume
eur partie antérieure (1), et que ce sac herniaire occupait la partie postérieure de l'intestin, c'est-à-dire toute la partie qui a
vertical, était divisée en deux parties, l'une antérieure et l'autre postérieure aux muscles droits de l'abdomen. Sa cavité était
érait fortement à l'ombilic. C'est cette anse AC, adhérente à la face postérieure des parois abdominales qui a été représentée sur
s par l'inflammation ont été convertis en eschare. Cette entérite est postérieure à l'accouchement. Le traitement antiphlogistiquc
e rectum et la partie inférieure du vagin, au-dessus de la commissure postérieure . Cette communication n'était pas immédiate, mais
médiaire d'un clapier qui se prolongeait dans l'épaisseur delà partie postérieure de la grande lèvre droite et qui s'ouvrait dans l
orte aux parties génitales externes et principalement à la commissure postérieure ; besoin pressant d'aller à la selle avec épreint
its trous à la vulve, dans la fosse navicu-laire, entre la commissure postérieure et la membrane hymen. Tous ces trous aboutissaien
duré restèrent accolées aux os. Incisant alors le rectum par sa paroi postérieure , je reconnus un épaississement considérable des p
par l'utérus et le vagin, la paroi antérieure par la vessie, la paroi postérieure par le rectum. Cette vaste poche purulente, dan
s ce cautère ayant été appliqué par un élève peu instruit à la partie postérieure de la jambe, on le fit supprimer et appliquer ant
je reconnus que le museau de tanche était sain, et à travers la paroi postérieure du vagin, je sentis une tumeur qui semblait naîtr
érieure du vagin, je sentis une tumeur qui semblait naître de la face postérieure de l'utérus et proéminer du côté du rectum. 20 L'
e était dirigée horizontalement d'arrière en avant du côté de la face postérieure de l'utérus; je me demandai si je n'avais pas aff
cet organe, le col étant intact , et plus particulièrement la partie postérieure du corps et se serait dirigé vers le rectum, qu'i
stic était donc celui-ci: dégénération de l'utérus occupant la région postérieure du corps de cet organe, dégénération propagée jus
itué dans l'épaisseur du lobe droit du foie, au voisinage de son bord postérieur . Le kyste était intimement adhérent au tissu du f
ie de pus. La figure i' représente la trachée ouverte par sa partie postérieure . On voit que le corps thyroïde formait autour de
une laryngite sous-muqueuse et une perforation par usure de la paroi postérieure du pharynx. Je n'ai sur ce fait aucun renseigneme
ayant été détachée avec le pharynx, l'œsophage et le larynx, la paroi postérieure du pharynx incisée, nous avons vu sur la face pos
x, la paroi postérieure du pharynx incisée, nous avons vu sur la face postérieure du cartilage thyroïde une perte de substance circ
aîné une perte de substance de la part du pharynx; en effet, la paroi postérieure du pharynx présentait une perte de substance circ
rte de substance était le résultat de la pression exercée par le bord postérieur du cartilage thyroïde, poussé en arrière par la t
sé en arrière par la tumeur^ et appuyant fortement contre cette paroi postérieure . Réflexions. L'observation précédente, indépend
de laryngite sous-muqueuse, i° d'altération par pression de la paroi postérieure du pharynx. Je dirai d'abord, relativement à cett
e rencontrer plusieurs fois cette ulcération par pression de la paroi postérieure du pharynx, par un goître volumineux; que cette p
yroïde, et par conséquent à prévenir toute pression de la partdu bord postérieur de ce cartilage. Dans le cas qui précédera perte
interne du larynx, que la laryngite sous-muqueuse , limitée à la face postérieure du cartilage cricoïde et même à la face postérieu
limitée à la face postérieure du cartilage cricoïde et même à la face postérieure du cartilage aryténoïde, n'exercera aucune influe
son. fig. 2, et de la troisième côte, pour se réfléchir sur la face postérieure des grand et petit pectoraux qui manquaient dans
r la matité complète du thorax à gauche, dans toute l'étendue du bord postérieur et de la face externe du poumon de ce côté, la re
es antécédens, que nous ignorions si l'altération était congéniale ou postérieure à la naissance, et, dans cette dernière hypothèse
assez grand nombre de fibres musculaires sur ses faces antérieure et postérieure ; mais dans son épaisseur on ne voyait plus que du
Le lendemain, la malade accuse une douleur très vive dans les muscles postérieurs de la jambe droite, douleur que le moindre contac
a nuit. Ouverture du corps le 29. — Cancer avec gangrène des parois postérieure du vagin et antérieure du rectum; les eschares mê
dans le vagin, sont supportées par un tissu cancéreux : la commissure postérieure de la vulve est détruite et les grandes lèvres so
antérieure et externe de la jambe et la partie inférieure des régions postérieure et interne. Elle est très exactement délimitée. L
TA, fig. 3, et du tronc tibio-péronier A TP, fig. 3; l'artère tibiale postérieure ATP, est extrêmement grêle, bien plus grêle que l
chez une femme de 81 ans.— Oblitération complète des artères tibiale, postérieure et péronière. — Liberté de la tibiale antérieure.
e. La même concrétion se continue dans toute la longueur delà tibiale postérieure et de la péronière et dans toutes les divisions a
préciables de ces vaisseaux. Du reste, l'oblitération de la tibiale postérieure et de la péronière avait une date un peu ancienne
ale antérieure était parfaitement libre. Les veines poplitée, tibiale postérieure et péronière étaient distendues par du sang coagu
rapportée plus haut, l'oblitération était bornée aux artères tibiale postérieure et péronière, la tibiale antérieure était parfait
ibre, la circulation ne se soit pas rétablie dans les artères tibiale postérieure et péronière? Par une raison toute simple: c'est
ifférens ordres de vaisseaux étaient interceptés. Les artères tibiale postérieure et péronière auraient été libres elles-mêmes que,
ale était libre : les artères poplitée gauche, tibiales antérieure et postérieure , péronière, jusqu'aux dernières divisions appréci
te l'artère aorte vue à l'intérieur : elle a été divisée par son côté postérieur ; on y voit que ce vaisseau est parsemé dans toute
connexion de l'aorte thoracique avec la poche anévrysmale, qui était postérieure à l'aorte et antérieure à la colonne vertébrale.
artie seulement de la circonférence de l'aorte, savoir : de la moitié postérieure et gauche; que la moitié antérieure et droite de
moelle ne se sont manifestés que la veille de la mort. Les extrémités postérieures des côtes ont participé à la même érosion , à la
raît au dehors, soit à travers le sternum, soit à travers l'extrémité postérieure des côtes* 4° L'anévrysme s'était ici formé aux
e des vertèbres correspondantes. — Battemens appréciables a la région postérieure du thorax. — Paraplégie. — Hémoptisie. — Mort sub
t sain , et ne présentait aucune trace de compression. Les extrémités postérieures des côtes avaient été presque entièrement détruit
e anévrysmale, sinon qu'elle avait été formée aux dépens de la moitié postérieure du calibre de l'artère, et qu'elle présentait des
alement sur toute la circonférence et par conséquent sur les colonnes postérieures et sur les colonnes antérieures de la moelle épin
vec une poche anévrysmale, ovoïde, oblongue, appliquée contre le côté postérieur de cette artère, le côté postérieur des artères c
blongue, appliquée contre le côté postérieur de cette artère, le côté postérieur des artères carotides interne et externe ACI, A C
carotide primitive. L'adhérence de la tumeur avec le côté externe et postérieur de la carotide primitive , et avec le côté intern
le. La fig. a' représente la poche anévrysmale ouverte par son côté postérieur ; la perforation P est beaucoup inoins considérabl
rvée: l'autre poche, du volume du poing, descendait dans le médiastin postérieur et déprimait le sommet du poumon en bas et en ava
'axillaire avaient le double de leur volume ordinaire. Leurs branches postérieures surtout, parcouraient, en serpentant, un trajet c
pentant, un trajet considérable avant de s'aboucher avec les branches postérieures des artères intercostales. Ces branches intercost
es postérieures des artères intercostales. Ces branches intercostales postérieures décrivaient des zig-zag si multipliés , qu'on eût
it dans leur intervalle, fournissait les intercostales antérieures et postérieures correspondantes, puis, se continuant avec un tron
explique tout aussi bien par une lésion congéniale que par une lésion postérieure à la naissance; il est d'ailleurs probable que ce
entricule gauche. On voit i° la cavité de ce ventricule dont la paroi postérieure est seule libre et parfaitement saine, dont la pa
fut entrepris. J'entendis d'abord de la crépitation sèche à la partie postérieure et latérale gauche du thorax , puis de la crépita
, très petits, surtout le poumon gauche. Pneumonie œdémateuse du bord postérieur de ces poumons. Quelques tubercules noirs dissémi
a base vers la pointe du ventricule gauche ont démontré que la moitié postérieure de ce ventricule présentait, dans une hauteur de
qui a présenté à l'Académie royale de Médecine un cœur dont la paroi postérieure du ventricule gauche présentait cinq perforations
t été renversée, on peut voir les tubercules TTT qui occupent la face postérieure de cette crosse. La Fig. i, pl. 3 montre la tum
La tumeur adhère intimement à la veine cave supérieure et à la partie postérieure de l'oreillette ; un gros tubercule cancéreux me,
eillette : i° de la veine cave supérieure entre la tumeur et la paroi postérieure de cette veine, i° de la veine cave inférieure en
uvert la poitrine n'ayant pas rasé, comme cela doit se faire, la face postérieure du sternum, le péricarde a été entamé, et il s'es
lui donne l'aspect velu, signalé par les anciens anatomistes. La face postérieure ou inférieure du cœur présentait de grosses colon
ocher. (Planche h, xxvie livraison.) Tumeur fibreuse née de la face postérieure du rocher, comprimant le cervelet et la protubéra
3.) Cette tumeur adhérait, par un pédicule considérable, à la face postérieure du rocher (fig. 3). La fig. 1 représente la secti
dicule PT.— Elle naissait d'une cavité TE, fig. 4, située sur la face postérieure du rocher, cavité anfractueuse, occupant la moiti
rocher, cavité anfractueuse, occupant la moitié interne de cette face postérieure , réunissant le conduit auditif interne au trou dé
ce postérieure, réunissant le conduit auditif interne au trou déchiré postérieur et au canal carotidien. La fig. 1 représente la
(fig. 4) qui réunissait le conduit auditif interne et le trou déchiré postérieur , communiquait largement avec le canal carotidien
ent avec le canal carotidien et occupait la moitié interne de la face postérieure du rocher. — Les nerfs auditif et facial étaient
de la tente du cervelet soulevait cette tente et avec elle la partie postérieure du cerveau ; et Létat de tension de ce repli de l
amais je n'ai vu les tubercules quadrijumeaux, soit antérieurs , soit postérieurs , présenter dans aucune espèce d'amaurose la moind
cles de la face du même côté, caractérise les tumeurs nées de la face postérieure du rocher et plus particulièrement les tumeurs né
fréquent de voir des tumeurs de diverse nature naître soit de la face postérieure , soit de la face antérieure du rocher. Ces tumeur
de deux onces, 5 gros, née de la face supérieure et un peu de la face postérieure du rocher droit. — Amaurose et céphalalgie. — Mor
gros, naissait de la face supérieure, en empiétant un peu sur la face postérieure du rocher. Du côté droit, elle tenait à la dure-m
mère avec laquelle elle s'est détachée de la base du crâne. Les faces postérieure et supérieure du rocher étaient mamelonnées, rugu
ens du cervelet par la partie de cette tumeur qui naissait de la face postérieure du rocher. Le cerveau, tout autour de la tumeur,
ace supérieure du rocher. — Petite tumeur osseuse naissant de la face postérieure du même os.—Affaiblissement des facultés intellec
, dans l'épaisseur duquel se prolongeait l'ossification. De la face postérieure du rocher, naissait encore une petite tumeur enti
ets de compression du côté du cerveau; celles qui naissent de Sa face postérieure du même os compriment le cerveau, la protubérance
sur l'encéphale. Tumeur cancéreuse très volumineuse née de la face postérieure du roclwr. — Flexion permanente avec rigidité d
inférieurs sont dans une flexion permanente, à ce point que la région postérieure des jambes touche la région postérieure des cuiss
nte, à ce point que la région postérieure des jambes touche la région postérieure des cuisses. Les orteils sont constamment portés
Ouverture du cadavre.—Une tumeur vraiment énorme naissait de la face postérieure du rocher, et remplissait plus de la moitié de l'
sauf sa nature osseuse, une miniature de la tumeur décrite de la face postérieure du rocher. Enfin, dans la partie de la fosse te
rachnoïde viscérale. La fig. 2 représente la moelle vue par la face postérieure , et permet d'apprécier l'aplatissement qu'elle av
espèce de gaine. L'autre tumeur, qui occupait la partie supérieure et postérieure de la région dorsale , était olivaire et d'un tis
tout-à-fait identique à celui de la tumeur inférieure. Les faisceaux postérieurs et médians de la moelle étaient pulpeux, grisâtre
étaient atrophiées et comme confondues avec les tumeurs; les racines postérieures étaient intactes. Ce fait vient encore à l'appui
ctation exclusive des racines antérieures au mouvement et des racines postérieures à la sensibilité. Les tumeurs sous-arachnoïdien
on transversale, qui était presque aussi prononcée du côté de la face postérieure que du côté de la face antérieure de la moelle. C
ons étaient parfaitement sains et n'offraient même pas dans leur bord postérieur cette infiltration séreuse que l'on considère gén
llulosité infiltrée. — Dégénération gris jaunâtre des cordons médians postérieurs . — Tumeur encéphaloïde autour de la queue de chev
ant un liquide. Du reste, à partir de ce point, les cordons médians postérieurs sont transformés en une substance gris jaunâtre,
urement (fig. 1'), la moelle présente la même disposition que la face postérieure , la même adhérence des membranes entre elles et a
ntre elles et avec la moelle, la pseudo-membrane indiquée sur la face postérieure , fausse-membrane qui se prolongeait en avant et
et l'altération de la moelle. Quant à la conversion du cordon médian postérieur en substance gris jaunâtre, j'aurai occasion d'en
lle. Fig. i'. D'autres îles rougeâtre TR, TR, se voient sur la face postérieure de la moelle: les racines qui naissent au niveau
s? Je reste dans le doute à cet égard. La fig. 2 représente la face postérieure d'une moelle appartenant à un autre sujet, elle o
t. — Danse de Saint-Guy chronique. — Dégénération grise des cordons postérieurs de la moelle (fig. 3). Mademoiselle Gruyer, 54
u-près les deux tiers de son volume ordinaire. Les cordons médians et postérieurs de la moelle ont été transformés en une bande gri
ablit que l'altération et très exactement limitée aux cordons médians postérieurs : elle établit, en outre, que cette altération oc
tte altération occupe toute l'épaisseur de ces cordons. Les racines postérieures des nerfs spinaux sont tout-à-fait atrophiées : e
aux régions dorsale et lombaire. Réflexions. Les cordons médians et postérieurs , les racines postérieures des nerfs spinaux, étai
mbaire. Réflexions. Les cordons médians et postérieurs, les racines postérieures des nerfs spinaux, étaient seuls intéressés, et c
ues de nos jours sur le siège respectif du sentiment dans les cordons postérieurs de la moelle et dans les racines postérieures des
ntiment dans les cordons postérieurs de la moelle et dans les racines postérieures des nerfs spinaux et sur le siège du mouvement
es autres restant intacts. Ce fait de l'influence des cordons médians postérieurs de la moelle sur le mouvement, aussi bien que sur
ration , sauf la consistance des parties. Les deux cordons médians et postérieurs de la moelle sont convertis en une pulpe molle, g
r la portion des faisceaux latéraux, qui avoisine les cordons médians postérieurs . Les racines postérieures des nerfs spinaux étaie
x latéraux, qui avoisine les cordons médians postérieurs. Les racines postérieures des nerfs spinaux étaient très grêles, surtout en
a conséquence fondamentale de ce fait, savoir que les cordons médians postérieurs et les racines postérieures^des nerfs spinaux pré
de ce fait, savoir que les cordons médians postérieurs et les racines postérieures ^des nerfs spinaux président au mouvement tout aus
ransformation ou dégénération grise était limitée aux cordons médians postérieurs . Amaurose.—Paraplégie du mouvement seulement.—D
plégie du mouvement seulement.—Dégénération grise des cordons médians postérieurs . Une jeune fille amaurotique , paraplégique du
ouveront leur place ailleurs. La moelle épinière présentait à sa face postérieure et dans toute sa longueur une grande colonne gris
longueur une grande colonne gris rosé, formée parles cordons médians postérieurs . Cette colonne était traversée par des filamens b
aversée par des filamens blancs, faisant suite aux filets des racines postérieures de la moelle. Tout le reste de la moelle était pa
sentiment et incomplète du mouvement.—Dégénération grise des cordons postérieurs de la moelle. Meurice,42 ans, mariée, point d
s-arachnoïdienne, engainant la moelle; dégénération grise des cordons postérieurs de la moelle; atrophie des racines postérieures d
tion grise des cordons postérieurs de la moelle; atrophie des racines postérieures des nerfs spinaux. Je plongeai la moelle dans l
e, sauf quelques portions qui présentent des îles blanches. La face postérieure de la moelle est saine, excepté au niveau du bulb
emblent avoir été détruites au niveau de cette substance. Les racines postérieures des nerfs spinaux ne sont pas sensiblement atroph
flexion antérieur du corps calleux , et l'autre occupait le bourrelet postérieur . La voûte a trois piliers m'a présenté plusieur
incomplète du mouvement. —Transformation gris-jaunâtre des cordons postérieurs de la moelle. Femme Cherpin, 52 ans, paraplégiq
n. Moelle épinière. L'altération est exactement limitée aux cordons postérieurs de la moelle et consiste dans une transformation
de cette disposition qu'aux régions lombaire et dorsale, les cordons postérieurs et les petits cordons du sillon médian postérieur
rsale, les cordons postérieurs et les petits cordons du sillon médian postérieur de la moelle étaient affectés, mais qu'à la régio
a moelle étaient affectés, mais qu'à la région cervicale, les cordons postérieurs étaient sains, et l'altération limitée aux cordon
d'autres cas, nous avons vu la dégénération grise des cordons médians postérieurs affecter bien plus le mouvement que le sentiment.
sensible et motrice, on ne peut pas conclure que les cordons médians postérieurs président exclusivement au sentiment. MALADIES
ntiment. MALADIES DE LA MOELLE EPINIERE 9 9 "l^raison F//™ Tace postérieure , Tace antérieure. Coupe. Face postérieure.
"l^raison F//™ Tace postérieure, Tace antérieure. Coupe. Face postérieure . c m !' Tace antérieure. Ccurpe antero-post
manifestement la nature de la lésion. Après avoir étudié la région postérieure de la colonne vertébrale et avant de procéder à l
ière, qui, comprimée entre le kyste hydatique, d'une part, et la face postérieure du corps des vertèbres, d'une autre part, avait é
opinion, attendu que la compression portait directement sur la région postérieure de la moelle ; mais en opposition avec ce mode d'
ité. — Dégénération grise beaucoup plus considérable dans les cordons postérieurs que dans les cordons antérieurs de la moelle épin
étendue, l'intervalle qui sépare les racines antérieures des racines postérieures . La moelle ayant été dépouillée de son névrilèm
ence de la moelle, mais qu'elle est bien plus considérableà la région postérieure , représentée fig. i', qu'à la région antérieure,
n'interceptent qu'une partie des fibres de ces cordons. Les colonnes postérieures et latérales de la moelle sont intéressées dans u
ressées dans une bien plus grande étendue. Les racines antérieures et postérieures des nerfs spinaux n'avaient d'ailleurs subi aucun
ponctuée, montre que cette dégénération , qui a envahi les faisceaux postérieurs et les faisceaux latéraux, n'est point du tout su
profondément lésé que le mouvement (i) ; or, l'altération des cordons postérieurs et latéraux de la moelle était beaucoup plus éten
es dégénérées. Ces parties sont les deux tiers supérieurs de la paroi postérieure du vagin, la paroi antérieure de cet organe dans
t avait subi la dégénération graisseuse dans les muscles de la région postérieure delà cuisse seulement, à savoir dans les muscles
'ai reconnu que les cordons médullaires qui occupent le sillon médian postérieur , avaient subi la dégénération grise, et qu'ils ét
adrijumeaux. Une île ou tache grise occupait le tubercule quadrijumal postérieur gauche et l'espace qui le sépare du tubercule qua
postérieur gauche et l'espace qui le sépare du tubercule quadrijumal postérieur droit. Quelques îles ou taches grises sur la co
affinité plus particulière pour la paroi antérieure que pour la paroi postérieure de ce canal; i° qu'une des terminaisons les plus
d'un pied bot et la dégénération graisseuse des muscles de la région postérieure de la cuisse, et que démontrait physiologiqtien 1
cédé accoutumé, c'est-à-dire par la séparation et l'ablation des arcs postérieurs , une certaine quantité de pus visqueux , adhérent
s dorsales '. ce pus s'était échappé d'un foyer compris entre la face postérieure des vertèbres et le ligament vertébral commun pos
tre la face postérieure des vertèbres et le ligament vertébral commun postérieur ; au fond de ce foyer, on sentait les os à nu, et
dire d'avant en arrière; qu'elle agisse directement sur les faisceaux postérieurs , c'est-à-dire d'arrière en avant, le sentiment e
n. Quelques cicatrices jaunâtres des circonvolutions inférieures et postérieures de l'hémisphère droit, attestaient une apoplexie
étaient sains et n'offraient même pas l'œdème accoutumé de leur bord postérieur . (1) Observation recueillie par M. Diday, inter
que la substance grise de quelques circonvolutions occupant la partie postérieure et supérieure de l'hémisphère droit, était ramoll
trouvé un foyer apoplectique très considérable qui occupait la moitié postérieure de la convexité de l'hémisphère opposé. Dans un
complète d'articuler les sons, j'ai trouvé plusieurs circonvolutions postérieures de l'hémisphère droit du cerveau comme sillonnées
uleux jaunâtre aux dépens du corps strié externe; les circonvolutions postérieures de l'hémisphère droit du cervelet sont également
tement. A l'ouverture, on trouva (fîg. a), dans l'épaisseur du lobe postérieur du cerveau, du côté de la face convexe, une tumeu
t l'un la face interne de l'hémisphère droit, non loin de l'extrémité postérieure ; l'autre la face externe et inférieure de l'autre
terne de l'hémisphère droit du cerveau. L A, lobe antérieur; LB, lobe postérieur ; SS, scissure de Sylvius. La cicatrice qu'elle
ase du poumon et le diaphragme,et s'étendait en arrière entre le bord postérieur du poumon et la gouttière des côtes. Le sang, qui
veau, vu par sa face supérieure. LA est le lobe antérieur, LB le lobe postérieur , SS la scissure de Sylvius. La coupe a atteint le
purgatif, eau de Sedlitz. Le 26 novembre, les muscles de la région postérieure du col sont rigides, douloureux et la face est to
ume d'une petite noix, occupait l'épaisseur d'une des circonvolutions postérieures . Les parois du foyer étaient teintes de sang lie-
la phlegmasie semble avoir marché d'arrière en avant ; car la moitié postérieure de ce caillot est décolorée, jaunâtre, et contien
circonvolutions occipitales, celles qui occupent la corne occipitale postérieure comme celles qui répondent à la portion réfléchie
és du bulbe rachidien (1). Au-dessous de cet étranglement est la face postérieure du bulbe rachidien. La moelle épinière était d'ai
des fosses latérales et moyennes et la petitesse des fosses latérales postérieures ou cérébelleuses. Comme le col du sujet était trè
ent j'ai pu constater qu'un filament nerveux, appartenant aux racines postérieures , avait pénétré dans la tumeur, où il décrivait un
C, parfaitement isolé de toutes parts, situé dans l'épaisseur du lobe postérieur de l'hémisphère droit, contenant un pus épais jau
épaisseur de la substance grise: toute la partie du cerveau qui était postérieure au kyste du cerveau, était ramollie à la manière
t amené la mort, ramollissement blanc-manger de la portion du cerveau postérieure au kyste, et inflammation des ventricules. Je cro
ette tumeur portait à-la-fois et sur le lobe antérieur et sur le lobe postérieur de l'hémisphère gauche, dont la substance blanche
ération , tout-à-fait indépendante de la précédente, occupait le lobe postérieur du même hémisphère: la portion du lobe postérieur
e, occupait le lobe postérieur du même hémisphère: la portion du lobe postérieur , qui déborde en arrière le corps calleux, était c
point correspondant. Le reste du sinus, c'est-à-dire les trois quarts postérieurs de ce sinus, étaient parfaitement libres. Cette t
evait une tumeur du volume d'une prune mirabelle, naissant de la face postérieure du rocher, en dehors du canal auditif interne. Ce
nie latente à laquelle elle succomba. La pneumonie occupait la partie postérieure du poumon droit. La face inférieure du lobe gau
peau de daim et ramollissement occupant la portion inférieure du lobe postérieur du cerveau. Destruction â-peu-près complète de ce
s le tissu cellulaire sous-arachnoïdien. La face inférieure du lobe postérieur droit du cerveau, présente cette couleur peau de
appartenu à un sujet de 45 ans, et étaient situées l'une à la région postérieure de la jambe gauche, l'autre à la région fessière
ure; 20 deux « extrémités : une antérieure, arrondie, mamelonnée; une postérieure , coupée en biseau et par laquelle ce les tubercul
ne femme de Tournay, laquelle portait une espèce de corne à la partie postérieure de la cuisse gauche. La peau qui supporte la pr
xiv, p. i/f5), âgée de 66 ans, qui portait depuis 16 ans, à la partie postérieure et interne de la cuisse droite, une production co
rquable, c'est qu'on les rencontre au moins aussi souvent à la partie postérieure et interne des cuisses, au-dessus du creux du jar
sa face antérieure. La fig. 2' montre la même tumeur vue par sa face postérieure . La fig. 2'' montre la tumeur divisée: elle éta
rcourue par une crête antéro-postérieure, bifurquée à son extré" mité postérieure et à son extrémité antérieure; cette crête, c'éta
cter vésical et par le trigone, et qui venait sortir derrière le bord postérieur du trigone au fond d'une excavation EXC (2). Cett
ur. Le trigone était constitué par une sorte de croissant à concavité postérieure . Derrière ce trigone, la vessie formait un cul-de
Vessie peu développée, à parois très épaisses ; gangrène de la paroi postérieure de cet organe, à l'exception du péritoine, qui av
Sur cette figure, la vessie a été divisée verticalement par sa paroi postérieure , et la prostate par sa paroi inférieure. On voit
ns l'un ou l'autre de ces orifices. La figure 1' représente la face postérieure de la même vessie. On y voit un plan musculaire s
u veru-montanum, lequel était très développé, surtout à son extrémité postérieure , qui répondait au centre de la portion prostatiqu
it considérablement rétréci et réduit à un demi-croissant à concavité postérieure , la vessie présentait une poche ou cul-de-sac qui
e muqueuse. La figure 2' représente la même vessie, vue par sa face postérieure ; elle n'offre de remarquable qu'une tumeur K dév
ou plutôt dans une destruction de celles des circonvolutions du lobe postérieur , qui appartiennent à la scissure. La circonvoluti
au-né. Il refoulait fortement le foie en haut et appuyait par sa face postérieure contre la colonne vertébrale. Le colon ascendant
s jours. A Vouverture : pleurésie pseudo - membraneuse, à la partie postérieure du poumon droit; œdème considérable de cette part
artie postérieure du poumon droit; œdème considérable de cette partie postérieure . La glande mammaire a dégénéré en un tissu d'ap
lées en bas au diaphragme, en arrière aux côtés , et en avant au bord postérieur du poumon , lequel est refoulé en avant et en hau
rissée de végétations, et se confondait avec le col utérin ; la paroi postérieure n'était altérée que dans la partie qui avoisinait
a paroi antérieure est beaucoup plus fréquemment envahie que la paroi postérieure ; aussi est-il rare de voir le bas-fond de la vess
ivers aspects. La figure 1 nous montre le vagin ouvert par sa paroi postérieure . Les deux tiers supérieurs de sa cavité sont remp
de l'utérus. Le corps de l'utérus est également ouvert par sa paroi postérieure ; sa cavité contenait une assez grande quantité d
ou l'autre lèvre de cette partie. Or, en examinant avec soin la face postérieure du polype PP (fig. i), je reconnus que sa partie
rd légèrement sinueux; cette valvule n'était autre chose que la lèvre postérieure du museau de tanche, amincie, allongée, soulevée
de tanche MT est beaucoup plus allongée que celle formée par la lèvre postérieure : elle est d'ailleurs adhérente à la tumeur dans
d étonnement des assistans : alors, incisant avec précaution la paroi postérieure de la cavité utérine, je vis que sous la muqueuse
it la paroi antérieure du vagin, la partie la plus élevée de la paroi postérieure de ce conduit et le col de l'utérus. Le corps de
stituent en avant la paroi antérieure du vagin et en arrière la paroi postérieure du rectum. La gangrène avait envahi le tissu cell
lus quelquefois que le corps ou même une partie de ce corps, sa paroi postérieure , son fond : des adhérences entre la vessie, le re
ste dans le bassin et se prolonge en avant, d'une part, entre la face postérieure de la vessie et le corps de l'utérus, d'une autre
de la vessie et le corps de l'utérus, d'une autre part, entre la face postérieure de l'utérus et le rectum- Large communication ent
testin grêle. — Adhérence de la face antérieure de l'utérus à la face postérieure de la vessie. La moindre traction a suffi pour ro
té également entraînée par la paroi antérieure du vagin. Sur la paroi postérieure de cette portion de vessie herniée, qui appartien
se de l'organe, se voient les orifices des uretères UU. 3° La paroi postérieure de la portion de vessie déplacée ayant été divisé
Enfin, tout-à-fait en arrière se voit un cul-de-sac formé par la face postérieure de l'utérus et par la paroi postérieure du vagin
cul-de-sac formé par la face postérieure de l'utérus et par la paroi postérieure du vagin , cul-de-sac tapissé par le péritoine 2e
rès superficiel et qu'il suffirait pour y arriver de diviser la paroi postérieure du vagin. La même figure permet de voir la cont
art avec la paroi antérieure du vagin, d'une autre part avec la paroi postérieure du même conduit : l'aspect du tissu du vagin et d
e péritoine revêtant le cul-de-sac formé par l'utérus et par la paroi postérieure du vagin. 7° Derrière la tumeur formée par le v
en PPV, la coupe d'une espèce de rigole profonde formée par la paroi postérieure du vagin réfléchie sur elle-même : en effet, tand
oi antérieure du vagin s'est déplacée dans toute sa hauteur, la paroi postérieure a résisté dans toute sa partie inférieure, et con
la paroi antérieure du vagin est complet, le renversement de la paroi postérieure ne l'est jamais, ou presque jamais, à quelque deg
ion de vessie restée en place. Les rapports du rectum et de la face postérieure du vagin étant immédiats à leur partie inférieure
'épaisseur de la tumeur. En outre, pour que le rectum suivit la paroi postérieure du vagin, il faudrait que le renversement de cett
postérieure du vagin, il faudrait que le renversement de cette paroi postérieure fût aussi complet que celui de la paroi antérieur
sphincter. Il résulte encore des rapports du péritoine avec la face postérieure de l'utérus et du vagin, que le péritoine descend
t du vagin, que le péritoine descend beaucoup plus bas entre la paroi postérieure de l'utérus et la paroi postérieure du vagin qu'e
beaucoup plus bas entre la paroi postérieure de l'utérus et la paroi postérieure du vagin qu'entre la paroi autérieure de l'utérus
entre le cul-de-sac péritonéal antérieur et le cul-de-sac péritonéal postérieur à l'utérus, que le cul-de-sac péritonéal antérieu
ur admettre les intestins grêles, tandis que le cul-de-sac péritonéal postérieur peut en admettre une très grande, une énorme quan
tanche est plus ou moins déformé; l'une des lèvres, ordinairement la postérieure , est très considérable, tandis que l'antérieure e
e est effacée. Cet orifice est ordinairement semi-lunaire à concavité postérieure : dans un cas soumis à mon observation, l'orifice
sans altération. Le rectum, adhérent dans toute l'étendue de la face postérieure de l'utérus, se réfléchissait en quelque sorte su
intimement uni pour venir s'accoler à la partie supérieure de la face postérieure de la vessie. L'uretère, le bassinet et les calic
périeurs de la paroi antérieure et à la moitié supérieure de la paroi postérieure de ce conduit. L'altération a également envahi le
roi antérieure du vagin et le museau de tanche sont indurés. La paroi postérieure est saine.—Elle n'a eu qu'un enfant, il y a i4 an
ns lymphatiques cancéreux, mais d'un petit volume, côtoyaient la face postérieure de la clavicule et se continuaient le long de la
in, car ils occupaient tout aussi bien la face antérieure que la face postérieure de la vessie, le sommet que le bas-fond du même o
vue par l'intérieur du bassin. Le vagin VA a été divisé par sa paroi postérieure , et dans toute sa longueur. On voit que ce canal
pyramide à trois faces. L'une de ces faces était antérieure; l'autre postérieure appuyait sur la cuisse droite; la troisième, inte
-ci: l'ovaire et la trompe déplacés sont constamment fixés à la paroi postérieure du sac herniaire par leurs ailerons; ils ne se dé
gangrène. Destruction gangreneuse de la partie supérieure de la paroi postérieure du vagin. Il résulte de cette destruction du col
'ailleurs sans altération de tissu. Cependant la partie inférieure et postérieure du col m'a paru plus dense et plus blanche que
longue et difficile : les adhérences fibreuses qui unissaient la face postérieure de l'utérus au rectum et aux parties voisines, ne
me de l'utérus n'était pas augmenté. La figure i représente la face postérieure de l'utérus, sur laquelle on peut apprécier les n
s, de l'hypogastre, des régions antérieures et latérales, des régions postérieures des cuisses? Mais si ces douleurs révèlent le siè
rus, mais ne préjugent rien sur sa nature. L'exploration de la face postérieure du corps de l'utérus par le doigt introduit dans
ure 4 représente le squelette disposé de telle manière, que la région postérieure qu'occupe le sommet de la tête regarde en haut, l
nis; mais en renversant le paquet intestinal, j'ai trouvé à la partie postérieure de la cavité abdominale un foie tout-à-fait sembl
sicule biliaire et sa veine ombilicale. La veine ombilicale du foie postérieur se détachait du cordon au moment où ce cordon pén
étrait par l'ombilic dans la cavité abdominale, s'accolait à la paroi postérieure de l'abdomen commun et se rendait au sillon antér
l'abdomen commun et se rendait au sillon antéro-postérieur de ce foie postérieur . Le foie antérieur et le foie postérieur adhéra
téro-postérieur de ce foie postérieur. Le foie antérieur et le foie postérieur adhéraient l'un à l'autre, et cela par leur bord
t le foie postérieur adhéraient l'un à l'autre, et cela par leur bord postérieur ; en sorte que le foie postérieur affectait avec
un à l'autre, et cela par leur bord postérieur ; en sorte que le foie postérieur affectait avec la paroi abdominale postérieure le
; en sorte que le foie postérieur affectait avec la paroi abdominale postérieure les mêmes rapports que le foie antérieur avec la
it et par la moitié gauche de l'abdomen du fœtus gauche, que la paroi postérieure est constituée par la moitié droite du fœtus gauc
ur le fœtus gauche il a fallu nécessairement qu'il présentât son bord postérieur en avant, et par conséquent qu'il opposât son bor
on bord postérieur en avant, et par conséquent qu'il opposât son bord postérieur au bord postérieur du foie antérieur. Du reste, l
en avant, et par conséquent qu'il opposât son bord postérieur au bord postérieur du foie antérieur. Du reste, l'union des deux foi
reste, l'union des deux foies n'avait lieu qu'au tiers moyen du bord postérieur de ces organes : de chaque côté, se voyait deux p
à la portion libre des bords du foie. Le foie antérieur et le foie postérieur présentaient cela de remarquable, qu'ils n'occupa
son. Cette cavité commune des oreillettes, qui est située sur un plan postérieur aux ventricules, communique d'ailleurs avec l'un
érent, puisque dans ce cas les foies s'étaient réunis par leurs bords postérieurs . Adhesions. 25cLwraison PL £ G-Cftazal del
occupent les deux feuillets antérieurs, les autres les deux feuillets postérieurs . Plusieurs de ces tubercules sont pédicules , app
ré avait augmenté considérablement d'épaisseur, surtout dans la paroi postérieure . Je n'ai pas noté d'une manière détaillée les car
en quelque sorte racine de la portion du péritoine, qui revêt la face postérieure de l'utérus et de celle qui revêt la face antérie
céphaloïde naître de la surface libre du péritoine, qui revêt la face postérieure de l'utérus, de sorte qu'il était facile d'enleve
ces deux sacs, l'un était antérieur,à orifice étroit ; l'autre était postérieur . Ces deux sacs présentaient, comme le péritoine p
che des vertèbres correspondantes. Baltemens appréciables à la région postérieure du thorax. Paraplégie. Hémoptysie. Mort subite pa
he des vertèbres correspondantes. Bat temens appréciables à la région postérieure du thorax. Paraplégie. Hémoptysie. Mort subite pa
r. Foyer apoplectique aux dépens de la couche optique et de la partie postérieure du corps trié en voie de guérison. Fluxion séreus
chez une femme de 81 ans. Oblitération complète des artères tibiale, postérieure et pé-ronière. Liberté de la tibiale antérieure.
che des vertèbres correspondantes. Battemens appréciables à la région postérieure du thorax. Paraplégie. Hémoptysie. Mort subite pa
r. Foyer apoplectique aux dépens de la couche optique et de la partie postérieure du corps strié en voie de gué-rison. Fluxion sére
circonvolutions; elle peut être partielle ou générale, congéniale ou postérieure à la naissance; ses différentes formes; diminutio
au de daim et ramollissement, occupant la portion inférieure du lobe, postérieure du cerveau. Destruction â-peu-près complète de ce
ectique. 20e liv., pl. in, iv, p. 4. — Tumeur fibreuse née de la face postérieure du rocher, comprimant le cervelet et la protubéra
deux onces, cinq gros, née de la face supérieure et un peu de la face postérieure du rocher droit. Amaurose et céphalalgie. Mort su
face supérieure du rocher. Petite tumeur osseuse naissant de la face postérieure du même os. Affaiblissement des facultés intellec
iv., pl. 11, p. 6. — Tumeur cancéreuse très volumineuse née de laface postérieure du rocher. Flexion permanente avec rigidité des m
re stomachique. 10e liv., pl. v, vi, p. 6. — Ulcère occupant la paroi postérieure de l'estomac. Hémalémèse el déjections sanglantes
ie, et de l'estomac, lequel était situé dans l'épaisseur du médiastin postérieur . Brièveté et invagination de l'œsophage. 19e liv.
chez une femme de 81 ans. Oblitération complète des artères tibiale, postérieure et péronière. Liberté de la tibiale antérieure. C
oie et de l'estomac, lequel était situé dans l'épaisseur du médiastin postérieur . = Hernie cervicale du poumon. 19e liv., pl. v, v
cellulosilé infiltrée. Degeneration gris-jaunâtre des cordons médians postérieurs . Tumeur encéphaloïde autour de la queue de cheval
uvement. Danse de Saint-Guy chronique. Degeneration grise des cordons postérieurs de la moelle. 32e liv., pl. 1, 11, p. tg. — Indép
plégie du mouvement seulement. Degeneration grise des cordons médians postérieurs . = Paraplégie complète du sentiment et incomplète
sentiment et incomplète du mouvement. Dégénération grise des cordons postérieurs de la moelle. 32e liv., pl. 1,11, p. 2t. — Parapl
ment incomplètedu mouvement. Transformation gris-jaunâtre des cordons postérieurs de la moelle. 32e liv., pl, 1, n, p. 23. — Parapl
ililé. Degeneration grise beaucoup plus considérable dans les cordons postérieurs que dans les cordons antérieurs de la'moelle épin
oie et de l'estomac, lequel était situé dans l'épaisseur du médiaslin postérieur . Brièveté et invagination de l'œsophage. 19e liv.
incomplète du mouvement et du sentiment. Dégénération grise du^cordon postérieur de la moelle. 32nliv., pl. i, u, p. ig.— Paraplég
plégie du mouvement seulement. Degeneration grise des cordons médians postérieurs . = Paraplégie incomplète du mouvement et complète
du mouvement et complète du sentiment. Degeneration grise des cordons postérieurs de la moelle. = Erreur des idées reçues sur le si
ent incomplète du mouvement. Transformation gris-jaunâtre des cordons postérieurs de la moelle. 32e liv., pl. i, n, p. a3. — Le mou
ellulosité infiltrée. Dé-génération gris jaunâtre des cordons médians postérieurs . Tumeur encéphaloïde autour de la queue de cheval
uvement. Danse de Saint-Guy chronique. Dégénération grise des cordons postérieurs de la [moelle. 32» liv., pi. i, ii, p. 49. — Am
plégie du mouvement seulement. Dégénération grise des cordons médians postérieurs . = Paraplégie complète du sentiment et incomplète
sentiment et incomplète du mouvement. Dégénération grise des cordons postérieurs de la moelle. 32" liv., pl. i, n', p. ai. —Parapl
cère aigu. 30e liv., pl. m ,p. 2. — Perforation par usure de la paroi postérieure du pharynx. 35e liv., pl. iv, p. 3.— Perforation
stomatite. 15e liv., pl. m, p. 1. — Perforation par usure de la paroi postérieure du pharynx. 35e liv., pl. iv, ». 3. PHLÉBITE. L
suppuration et de perforation des veines fémorales, poplitée, tibiale postérieure et péronière. Communication du pus contenu dans c
aire. 38e liv., pl. 1, p. 8. ROCHER. Tumeur fibreuse née de la face postérieure du rocher, comprimant le cervelet et la protubéra
deux onces, cinq gros, née de la face supérieure et un peu de la face postérieure du rocher droit. Amaurose et céphalalgie. Mort su
a face supérieure du rocher. Petite tumeur osseuse naissant à la lace postérieure du même os. Affaiblissement des facultés intellec
iv., pl. n, ». 6. — Tumeur cancéreuse très volumineuse née de la face postérieure du rocher. Flexion permanente avec rigidité des m
e de tous les sens, produite par une tumeur fibreuse , née de la face postérieure du rocher, comprimant le cervelet et la protubéra
complète du sentiment et du mouvement. Dégénération grise des cordons postérieurs de la moelle. 32e liv., pl. 1,11, p. /p.—Erreur d
entiment et incomplète du mouvement. Degeneration grise des . cordons postérieurs de la moelle. 32e liv., pl. 1, n, p. 21. — Parapl
ent incomplète du mouvement. Transformation gris jaunâtre des cordons postérieurs de la moelle. 32e liv., pl. 1, n , p. 23. SERRES
lus dans les lobes antérieurs du cerveau que dans les lobes moyens et postérieurs . 8e liv., pl. vi, p. 3- 33e liv., pl. m, p. 5.—Qu
ire stomachique. 10eliv., pl. v, vi, p. 6. — Ulcère occupant la paroi postérieure de l'estomac. Hématémèse et déjections sanglantes
e suppuration et deperforation des veines fémorale, poplilée, libiale postérieure et péronière. Communication du pus contenu dans c
23 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s seins, latéralement parla partie interne des deltoïdes. La partie postérieure du tronc est insensible à partir d'une ligne ho
essier, existe une vaste zone d'anesthésie occupant toute la partie postérieure du tronc, les épaules, la nuque. En avant, au-d
le cours de mes recherches sur la direction des fibres des racines postérieures dans l'intérieur de la moelle épinière, j'ai in
est la paralysie des mouvements avec hypéresthésie dans les parties postérieures du côté atteint, et anesthésie du côté opposé.
uits sensitifs à peu près au niveau de leur passage par les racines postérieures dans la moelle épinière; en vue de ce dernier c
al, l'arceau d'une vertèbre, afin de mettre à nu une partie du côté postérieur de la moelle épinière et de pouvoir m'orienter
'orienter plus facilement en ce qui concerne la veine longitudinale postérieure qui longe, sous la dure-mère, la superficie pos
ngitudinale postérieure qui longe, sous la dure-mère, la superficie postérieure de la moelle épi- nière et qui sert à désigner
chant. Je dirigeais l'instrument perpendiculairement vers la partie postérieure de la surface de la moelle, le bout vers la vei
s de la motilité consistaient en une paralysie complète de la patte postérieure du côté corres- pondant ; cette dépendance étai
obaye est sur pied, le bassin est un peu affaissé ; la patte droite postérieure est allon- gée en arrière et ne produit aucun m
a sensibilité, on remarque une hyperesthésie cutanée de l'extrémité postérieure , et de toute la surface postérieure du corps au
esthésie cutanée de l'extrémité postérieure, et de toute la surface postérieure du corps au niveau de la section de la moelle é
s parties correspondantes du côté gauche (en v incluant l'extrémité postérieure ), perte complète de la sensibilité cutanée aux
tanée est complètement annulée dans la partie gauche de la moitié postérieure du corps et elle devient exagérée dans la parti
e épinière a durci jusqu'à un degré satisfaisant, la partie dorsale postérieure est mise dans l'alcool, ensuite dans le celloïd
a moelle épinière, il s'en suit paralysie complète de ' l'extrémité postérieure du côté correspondant. Pour appuyer Fig. 11.
uivantes : Mouvements ; une parésie très pro- noncée de l'extrémité postérieure du côté droit, que le cobaye traîne lorsqu'il l
es sont parfaitement conservés. La sensibilité cutanée de la partie postérieure du corps et de l'extrémité postérieure du côté
ibilité cutanée de la partie postérieure du corps et de l'extrémité postérieure du côté droit est exagérée, du côté gauche elle
ment aholie. Les réflexes de toutes les espèces dans les extrémités postérieures sont conservés et ne diffèrent pas évidemment à
si qu'à gauche- 28 février. Le cobaye traîne du côté droit la patte postérieure ; -, l'extension du jarret, de la patte et de
sont restés les mêmes. Les réflexes cu- tanés de la patte droite postérieure sont exagérés. 1er mars. - Les mouvements de
sont exagérés. 1er mars. - Les mouvements de l'extrémité droite postérieure sem- blent plus libres. 2 mars. - Le cobaye e
de la paralysie de Brown-Séquard, incomplet parce que dans la patte postérieure du côté de la section, il n'y avait pas une par
mps la paralysie des mouvements volou- taires de l'extrémité gauche postérieure , tandis que le cobaye pou- vait se servir facil
lement de l'extrémité droite. La sensibilité cutanée de l'extrémité postérieure et des parties postérieures du corps du côté ga
La sensibilité cutanée de l'extrémité postérieure et des parties postérieures du corps du côté gauche était sensiblement exagér
baye se porte bien. Le bassin est toujours affaissé. Le pied gauche postérieur est fléchi vers l'abdomen et la plante se trouv
ires. Le cobaye se sert moins énergiquement de l'extrémité gauche postérieure que la veille ; le pied est un peu dévié. La se
ûres et aux pincements, Les réflexes cuta- nés, dans les extrémités postérieures , sont égaux des deux côtés. ' En percutant l'os
lexes (réflexes du périoste) sont plus exagérés dans le pied gauche postérieur que dans le pied droit. - La température de la pa
ffaissé et amoindri dans le volume. Les mouve- ments du pied gauche postérieur sont annulés; du côté gauche, ils sont visiblem
tabilité électro- musculaire est conservée daus les deux extrémités postérieures . Les organes pelviens,sont en bon ordre. . 21
temps suspendu; les mouve- ments volontaires de l'extrémité gauche postérieure , qnoiqne très faibles, sont possibles dans tout
ille, avec la diffé- rence que la contracture de l'extrémité gauche postérieure est moins distincte et les mouvements sont plus
r les quatre pattes, quoique boitant visiblement de la patte gauche postérieure , qui, entre autres, a perdu tous ses ongles. La
La plaie est complèment cicatrisée. 29 mai. - L'extrémité gauche postérieure est dans un état d'abduction dans la cuisse, lé
les autres phénomènes sont les mêmes. Les doigts de la patte gauche postérieure sont garnis de nouveaux ongles, gros et courts.
iveau de l'ancienne hémisection de la moelle dans sa partie dorsale postérieure , on avait observé, pendant l'extrac- tion de la
rigé vers la commissure, et le côté droit dirigé vers la périphérie postérieure de la moelle; d'un autre côté, elles se localis
uche latéral, en forme d'une bande semi-lunaire allant de la partie postérieure , presque du « apex cornu posterioris », vers la
ris », vers la partie antérieure jusqu'au cordon antérieur, au bout postérieur plus marqué que le. bout antérieur dont les alt
t du cerve- let, la plus grande partie de fibres était dans le bout postérieur DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. ' ' 61 et elle diminua
partie lombaire de la moelle épinière, c'est-à-dire dans la région postérieure de l'hémisection, une dégénérescence secon- dai
e se concentre en forme d'un petit îlot triangulaire dans la région postérieure du cordon latéral du côté gauche et présente un
ésie de l'extrémité droite; en outre d'hyperesthésie dans la région postérieure du corps du côté gauche. - Trois jours après l'
rès l'opération; cl l'anesthésie (analgésie) cutanée de l'extrémité postérieure et des parties adhérentes du cnrps du côté droi
épinière, se développa une dégéné- ration ascendante dans la région postérieure du cordon de Goll et dans le faisceau direct du
développa aucun signe de mouvements volontaires dans les extrémités postérieures , et en examinant à l'aide du microscope la cica
s observations sur la sensibilité et sur la motilité des extrémités postérieures chez des animaux soumis à une section complète
APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 69 rétablis de l'extrémité postérieure , tandis que ces' dernières doivent de nouveau d
externe jusque sous l'uncus. Eminences mamillaires. Espace olfactif postérieur . - En suivant en arrière le faisceau pédonculai
elle du côté opposé, for- mait avec cette dernière l'espace perforé postérieur . Les connexions de ce faisceau avec le champ ol
e jusqu'à leur origine réelle les bandelettes de l'espace perforé postérieur . Je crois cependant y être arrivé : le faisceau
e annulaire, constitue avec celui du côté opposé l'espace perforé postérieur . Il est constamment séparé du pédoncule cérébra
ce cerveau pour constater l'implantation de ces tractus sur le bord postérieur du champ objectif. Dans ce cas, les racines inter
imitent cet espace (5e mois). De plus, on voit que l'espace perforé postérieur est lui- même comme l'antérieur, un espace olfa
entricule, forme avec son congénère du côté opposé l'espace perforé postérieur et se met en relations avec le tubercule mamill
t sous la bandelette optique et vont former la couche inférieure et postérieure de la bande diago- nale. Le premier arc périp
érébral » décrit en dedans du pédoncule cérébral deux faisceaux, un postérieur et un moyen, qu'il mène tous deux dans l'espace
lus en plus large, et par suite moins épais, il contourne le bord postérieur de la couche optique, s'étale sur la face supér
échanges de fibres qui ont lieu quelquefois entre lui et le pilier postérieur de la voûte, au moment ' Au sujet du dénia, je
L NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 79 où ce pilier contourne le bord postérieur delà couche optique, revêtue du ruban. J'appell
le ruban et le centre cortical, dont le corps bordant et le pilier postérieur (continuation du corps bordant) sont des annexe
l'anse dès l'origine de celle-ci, et se termine au niveau' du bord postérieur du pavillon pédonculaire. » l'lus loin, il DE L
mi- circulaire. - FOVILLE. « Une partie du prolongement du faisceau postérieur (du pédoncule), facile à suivre jusqu'à la poin
latère perforé, tandis qu'une émanation supérieure du même faisceau postérieur se porte dans l'intervalle du corps strié et la
perdre dans la substance grise de la couche optique. Son extrémité postérieure s'épanouit en un large pinceau de fibres qui s'
x. ' Le chiasma ne s'arrête pas là. Dans l'écartement des piliers postérieurs , existe une disposition particu- lière non enco
on triangulaire limitée en dehors et de chaque côté par les piliers postérieurs et remplie par des cordes transversales, qui se
ACTION. 85 la circonvolution godronnée. Il en émane aussi du bord postérieur des piliers. Je dois dire que cette disposition
plus épais. Il y aurait une sorte de balancement entre le chiasma postérieur (lyre) et l'antérieur (piliers antérieurs). Ce
e point établi, je n'ai rien à dire de la terminai- sou des piliers postérieurs ; je dois toutefois rappe- ler que ces piliers,
x à la bande diagonale, et se continuant par une anse à concavité postérieure sur l'origine du ruban péri- optique. Pour co
verticule, il se relève et atteint par sa face inférieure le pilier postérieur au niveau de la partie moyenne de la lyre. Là,
ère les origines des piliers antérieurs et les échanges des piliers postérieurs avec les rubans périoptiques'; si l'on considèr
pileptogène » donné à la zone motrice des extrémités antérieures et postérieures de Hitzig et deFritsch. » Déjà dans s le Mémoir
u'on peut provo- quer des accès d'épilepsie en excitant les régions postérieures du cerveau en rapport avec le centre de la visi
utient que de pures affections locales (tumeurs, abcès) des régions postérieures du cerveau, peuvent naître, sans action à dista
ilatérale des centres moteurs de l'écorce, l'excitation des régions postérieures du cerveau ne provoque pas de convulsions. Seul
ortes, toujours périphériques, les convulsions s'étendent au membre postérieur droit, puis aux extrémités gauches ; enfin se p
des couches optiques et des tubercules quadrijumeaux antérieurs et postérieurs pro- voque, comme celle de la moelle allongée e
u côté opposé à l'atrophie cérébrale, laquelle occupait les parties postérieures des F, et 1<\, de presque toute la FA (à l'e
S. I. UN SYMPTÔME observé dans LES PROCESSUS morbides DE la fosse postérieure du crâne; par H. Oppenheim. (Neurol. Centralbl.
ppenheim. (Neurol. Centralbl. 1889.) DEUX cas DE TUMEUR DE la fosse postérieure DU crâne ; par R. WuLLENBERG. {Arch. f. Psychia
érébrales supérieures et neuf exemples pour les veines cé- rébrales postérieures ; les veines passaient brusquement de l'arach- n
de la pariétale ascendante, le lobule pariétal supérieur, la partie postérieure dulobule paracentral, l'avant-coin, la circonvolu
ntral, l'avant-coin, la circonvolution du corps calleux, le segment postérieur de ce dernier organe, d'autre part. On discute
Contribution A la QUESTION DE la PROPRIÉTÉ ÉPILEPTOGÈNE DE LA ZONE POSTÉRIEURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE; par P. ROSENBACH. (Neuro
hysiologie du ruban DE REIL. (Observation de gliomatose d'une corne postérieure de la moelle); par G. Rosso- LIMO. (Arch.f. Psy
latéropyrami- daux, six observations de dégénérescence des cordons postérieurs , quatre faits de dégénérescense des deux espèce
ivent pas non plus à l'excitation. La section transverse du segment postérieur de la couche optique et du tubercule quadrijumeau
ueux de la locomo- tion ; 3" l'excitation du tubercule quadrijumeau postérieur engendre des convulsions tétaniques qui survive
itation indirecte de la protubé- rance ou du tubercule quadrijumeau postérieur . Quant à appliquer ces résultats expérimentaux
ques, lésions inflammatoires, hémorrhagiques et scléreuses du noyau postérieur du pneumo-gastrique et du noyau d'origine de l'
IRCONVOLUTIONS ASCENDANTES CONSTITUANT L'ORGANE CENTRAL des cordons POSTÉRIEURS ; par P. FLECHSIG et 0. II3EL. (Neu- 1'olog. Ce
sixièmes au moins des fibres qui, des noyaux d'origine des cordons postérieurs gagnent, en traver- sant la couche intermédiair
donc également un centre sensitif (centre de réflexions des cordons postérieurs ). L'alaxie qui se montre dans le cas de foyers
est donc identique à celle qui se rattache aux lésions des cordons postérieurs . Cette dernière se complique de phénomènes tena
lombaire, l'angle intermédiaire à la corne antérieure et à la corne postérieure droite; la tumeur est accolée à la partie latéral
dégénérescence mar- quée des cordons latéraux, moindre des cordons postérieurs , la moelle cervicale présente l'anomalie morpho
filée en un arc de cercle dont la convexité est tangente à la corne postérieure (Buchholz) ; enfin elle reprend sa forme normal
faisceaux ascendants de la moelle au cervelet. D'abord, les cordons postérieurs se composent de plusieurs pièces. Puis, les zon
cule cérébelleux moyen dont la partie principale vient des segments postérieurs des hémisphè- res cérébelleux et subit une inte
sont en contact avec l'écorce des lobes frontaux et avec la partie postérieure des hémis- phères cérébraux; 3" les fibres du p
e développent les légions systématiques (no- tamment dans la moitié postérieure de la moelle épinière), mais aussi de se dispos
uvent être prises pour des scléroses primi- tives. Dans les cordons postérieurs , ces foyers forment quelquefois des figures tel
foire où était installé un tir à la carabine, il reçut à la partie postérieure du cou une balle de 5 à 6 mil- limètres : la di
ts sont affaiblis, sauf les mouvements que commandent les muscles postérieurs de l'avant-bras, les extenseurs. La physionomie
élan d'avant en arrière, s'en donne un coup violent dans la région postérieure de la tête. Il tombe aussitôt sans connaissance
ncrété de la largeur d'une pièce d'un franc. A la partie interne et postérieure de la calotte crânienne, au niveau de la plaie
Les deux hémisphères cérébraux pèsent chacun 570 gr. A la partie postérieure dit cerveau faisant suite à celle qui est resté
cérébral, et de là dans les ventricules laté- raux, par leur partie postérieure , au niveau de leur courbure vers le pied d'Hipp
che de collodium iodoformé. Aussitôt après l'opération, l'extrémité postérieure gauche, pen- dant les mouvements et pendant le
ain affaiblissement des mouvements volon- taires dans le pied droit postérieur . 19. - Les mouvements sont plus libres. Les réf
éflexes tendineux sont conservés. L'hyperesthésie à la jambe gauche postérieure existe toujours; l'auesthésie du côté gauche es
extrémités antérieures; il pousse son corps en avant de l'extrémité postérieure droite. L'extrémité postérieure gauche, reste s
e son corps en avant de l'extrémité postérieure droite. L'extrémité postérieure gauche, reste sans mouvement et semble amaigrie
a sensibilité est sans changement : . 29. Dans l'extrémité gauche postérieure , on aperçoit les pre- miers signes du rétabliss
page 52. 't90 anatomie. sur la plante du pied de la patte droite postérieure se détache par grandes couches. 20 juin. - Le
t bien portant; dans la position suspendue du corps, le pied gauche postérieur pend plus bas que celui de droite. Il semble au
l opéré est satisfaisant. Mou- vements ; Pendant le repos la partie postérieure reste un peu affaissée quoique toujours suspend
rs suspendue ; le cobaye marche facilement et en même temps le pied postérieur reste un peu en arrière ; on remarque une certa
que une certaine difficulté des mouvements dans les deux extrémités postérieures . Les réflexes des extrémités postérieures, les
dans les deux extrémités postérieures. Les réflexes des extrémités postérieures , les réflexes cutanés ainsi que les réflexes te
, dans la région inférieure dorsale, sur l'abdomen et l'extrémité postérieure (excepté la plante du pied, où la sensibilité est
Du côté gauche, on constate une hyperesthésie sur toute la surface postérieure à l'endroit de la deuxième hémisection. Les org
s pelviens sont en bon état. 30. Les mouvements des deux extrémités postérieures sont plus libres que la veille. Quant à la sens
le baisin est couché par terre et en même temps les deux extrémités postérieures sont dans l'élat d'extension et d'abduction ; e
pour la douleur est tout à fait annulée dans les deux extrémités postérieures et dans la partie postérieure du corps. 2 novem
ait annulée dans les deux extrémités postérieures et dans la partie postérieure du corps. 2 novembre. L'état général est satisf
t. Une paralysie complète et une anesthésie des deux extré- mités postérieures . Les réflexes sont réservés. Les organes pelvie
est satisfaisant. Les mouve- ments et la sensibilité des extrémités postérieures sont tout à fait annulés. Une certaine suppurat
sont tout à fait annulés. Une certaine suppuration dans la région postérieure de la dernière plaie. Le cobaye est tué par le
deux moitiés de la section de là la diminution du volume du cordon postérieur et du cordon inférieur et une déformation marqu
oit unediminution prononcée de fibres dans les cordons antérieur et postérieur , une diminution de cellules, une raréfaction du
dis que la dégénération descendante s'était développée dans le bout postérieur du cordon latéral du même côté. En ce qui conce
rès le premier mois) les mouvements volontaires dans le pied gauche postérieur se sont complètement rétablis, taudis que la se
it point de nou- veaux désordres dans les mouvements des extrémités postérieures . Notre dernière opération experimentllln crucis
: Les mouvements sont affaiblis c'est-il-dirc l'extrémilé gauche postérieure pendant le repos et pendant la marche se trouve d
êmes des deux côtés. - La sensibilité cutanée de l'extrémité droite postérieure et de toute la moitié du corps à l'exception de
vés la veille s'est ajoutée une cer- taine faiblesse du pied gauche postérieure . En outre, l'hyperes- thésie du côté gauche a d
'1S est restée pour les mouvements rétablis de l'extrémité gauche postérieure sans conséquence, ce résultat ne prove- nait po
sance de l'extrémité droite Fig. 23. DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 195 postérieure et la conservation des mouvements volontaires du
la moelle. Alors, dans le cas d'une paralysie de la même extrémité postérieure , en même temps que celle de l'extrémité extérie
ès l'opération, le cobaye s'appuie sur trois pieds : le pied gauche postérieur est tendu et immobile. Les mouvements volontair
tendu et immobile. Les mouvements volontaires de l'extrémité droite postérieure sontcom- plètement conservés. La sensibilité cu
dant le repos, le bassin est couché du côté gauche. La jambe gauche postérieure est sans mouvement; elle est plus maigre et plu
lontaires du côté droit sont affaiblis. Les réflexes des extrémités postérieures et les organes pelviens sont en bon ordre. Quan
. 2 janvier 1886. Les mouvements volontaires de la jambe gau- che postérieure commencent à se rétablir. Un léger fléchissement
ganes pelviens sont normaux. 5. Les mouvements de la jambe gauche postérieure sont plus libres. Du reste, point de changement
alysée. Le bassin se penche souvent du côté gauche. La jambe gauche postérieure est plus maigre que la jambe droite et les réfl
e pattes. Pendant le repos et pendant la marche, l'extrémité gauche postérieure est un peu tendue et pendant la marche reste un
es de motilité pour les fonctions rétablies dans l'extrémité gauche postérieure ne suivent pas la même direction que les voies
ssent du côté de la paralysie, au niveau des racines de l'extrémité postérieure . Cependant cette opération ne peut avoir pour n
ne paralysie complète des mouvements volontaires de la jambe gauche postérieure , tandis qu'il n'y a aucun changement dans les m
a sensibilité est annulée dans 200 ' ANATOMIE. l'extrémité droite postérieure et un peu exagérée dans celle de gauche. 30.
gérée dans celle de gauche. 30. Les mouvements de la patte droite postérieure ; dans la patte gauche n'existent point. La sen
est faible. Pendant la marche, les mouvements de l'extrémité gauche postérieure sont un peu affaiblis. On ne remarque pas d'hyp
viens sont en ordre. 28. Dans les mouvements de la jambe gauche postérieure , on ne remarque qu'un pelitaffaiblissement. Du
tion de tous les mouvements volontaires dans les deux extrémités postérieures . Le cobaye se lient debout et marche; on remarq
sibi- lité, point de changement : l'anesthésie de la patte droite postérieure ainsi que l'hyperestésie du côté gauche sont re
ire au niveau du commencement des racines motrices des extrémités postérieures . Si cette supposition est juste, ces voies doiv
ne longitudinale des méninges qui passe par le milieu de la surface postérieure ; il n'y avait que le commencement et la pointe
e trouve affaibli. L"s mou- vements volontaires des deux extrémités postérieures , quoique affaiblis, sont parfaitement conservés
parfaitement conservés. La sensibilité cutanée des deux extrémités postérieures est tout à fait annulée. 13 février. Le cobaye
r outre une pleine paralysie des mouve- ments de l'extrémité gauche postérieure , on remarque une certaine faiblesse dans l'extr
ie. 28 mirs. Les mouvements volontaires dans l'extré- mité gauche postérieure sont tout à faits rétablis. Une certaine faible
s : la sensibilité cutanée est tout à fait annulée, la jambe gauche postérieure est étendue sans aucune trace de mouvements vol
racines motrices contenant les fibres ner- veuses pour l'extrémité postérieure , oit elles passent immédiate- ment du côté de l
la circonvolution godronnée. ,. Enfin le pilier antérieur, devenu postérieur , se con- tinue avec le corps bordant et la lame
tomiques nouveaux que j'ai établis sont : les chiasmas antérieur et postérieur des piliers du trigone (bandelettes olfactives)
ité de la bande diagonale avec la lame réticulée; les prolongements postérieurs de la circonvolution godronnée ; le ruban péri-
gine du facial, émerge de la protubé- rance annulaire à l'extrémité postérieure de l'espace perforé postérieur. Placé à côté de
bé- rance annulaire à l'extrémité postérieure de l'espace perforé postérieur . Placé à côté de son congénère, il délimite cet
zone moyenne, fronto-pariétale ou motrice; en arrière, dans la zone postérieure , moins atteinte, on ne trouve généralement qu'u
e. Autopsie. Légère hydro- céphafe avec lésion combinée des cordons postérieurs latéraux et antérieurs de la moelle, mais de fa
a substance grise. En outre, dégéné- rescence partielle des cordons postérieurs de la moelle cervicale et de la partie supérieu
al vertébral. Actuellement, on constate une diminution de la partie postérieure du tronc et la disparition de la sensibilité de l
ostérieure du tronc et la disparition de la sensibilité de la patte postérieure avec perte de la sensibilité musculaire de la mêm
inférieur de l'omoplate ne s'éloigne pas notablement de la paroi postérieure du thorax. A droite au contraire, l'angle inférie
r de son axe vertical, l'extrémité de l'acromion s'abaisse, le bord postérieur de l'omo- plate est oblique de haut en bas et d
le bourrelet du trapèze et un peu en dehors une partie des muscles postérieurs du cou; adroite, au contraire, le bord cervico-
ème vertèbres dorsales; cette dentelure monte obliquement au bord postérieur et à la face interne de l'omoplate en dehors et e
3. BAGMSKY. - Contribution à la connaissance du trajet de la racine postérieure du nerf auditif et de l'allure des stries médu-
hoire; il a réussi nombre de fois à produire l'atrophie des racines postérieures de l'acoustique. L'ori- gine des racines postér
e des racines postérieures de l'acoustique. L'ori- gine des racines postérieures , en relation avec le limaçon, occupe le bulbe ;
le noyau acous- tique interne n'ont aucune relation avec la racine postérieure de ce nerf. C'est ce qu'ont déjà constaté Monak
la partie inférieure du ruban de Reil et du tubercule quadrijumeau postérieur du côté opposé. Chez le chat, on voit que l'ent
ions de la sensibilité spéciale surtout dans les lésions du cerveau postérieur . Il y a aussi une bonne analyse des travaux de
f dans les lésions antérieures, doux et tranquille dans les lésions postérieures du cerveau des animaux. Nous relevons une assez
ique), se localise sur l'axe spinal et déve- loppe dans les cordons postérieurs les scléroses que, dans d'autres cas, on observ
st sensible à la torsion, il en est de même de la peau de la partie postérieure du coude quoique l'articulation proprement dite
sibilité est conservée mais obluse. Il y a anesthésie de. la moitié postérieure droite du tronc, du bras droit et du membre inf
stration, des troubles dans la coordination des mouvements du train postérieur , puis dans les membres antérieurs, et au bout d
derniers ves- tiges des cordons latéraux, mais de ceux des cordons postérieurs . Il fait communiquer le corps restiforme avec l
Il fait communiquer le corps restiforme avec les débris du cordon postérieur ou noyau de Burdach (figures à l'appui). Le con
tique. M. Moeli fait à ce propos remar- quer que l'artère cérébrale postérieure irrigue non seulement les lobesoccipitaux et te
er la partie inférieure du ruban de Reil dans le plan immédiatement postérieur au tubercule quadrijumeau inférieur. Les animau
es. Discussion. - M. Hertz. C'est un délire aigu. Le trou déchiré postérieur devait être rétréci, ainsi que je l'ai démontré e
ou à gauche. Atrophie partielle des noyaux d'ori- gine des cordons postérieurs des deux côtés. Atrophie excessive du noyau d'o
connexion avec les noyaux d'origine (homonyme et croisé) du cordon postérieur (fibres arciformes externes, couche intermédiaire
trative et ai insisté sur l'absolue nécessité d'un contrôle non pas postérieur mais antérieur à l'isole- ment3; néanmoins il e
e du Rhin, 413. Contagion psychique, par Kuhnen, 283. Cordons postérieurs , émanant des circonvolutions centrales, par r
24 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
natomie relatives à la circulation de la base du cerveau. La partie postérieure de l'hexagone do Willis est formée par la bifurca
l'artère basilaire qui donne ainsi naissance aux artères cérébrales postérieures . vA 1 centimètre environ de leur origine, les a
ne, les artères cérébrales postérieu- res reçoivent la communicante postérieure , contournent le pédoncule cérébral correspondan
urcation delà basilaire et le point d'anastomose de la communicante postérieure , c'est-à-dire dans la partie directe ou as- cen
c'est-à-dire dans la partie directe ou as- cendante de la cérébrale postérieure sur une longueur de 5 à 12 millimé- tres, l'art
rale postérieure sur une longueur de 5 à 12 millimé- tres, l'artère postérieure donne naissance à 10 collatérales d'après Duret.
ne origine différente et viennent habituellement de la communicante postérieure , qui envoie également des collatérales dans la
optique. Si maintenant nous supposons une thrombose de la cérébrale postérieure après qu'elle a reçu la communicante postérieur
se de la cérébrale postérieure après qu'elle a reçu la communicante postérieure , la circulation dans 1'liexac,o»eile Willis ser
de la cérébrale pos- térieure après qu'elle a reçu la communicante postérieure l'explication de l'hémiopie persistante et de l
pie gauche et paraphasie en admettant une thrombose de la cérébrale postérieure droite sur la plus grande partie de son tronc, de
son ori- gine jusqu'au delà du point où elle reçoit la communicante postérieure , mais on n'expliquerait pas delà sorte l'évolut
ensons qu'on peut supposer une thromhose siégeant dans la cérébrale postérieure au niveau même de son union avec la communicante
ébrale postérieure au niveau même de son union avec la communicante postérieure , de telle façon que la circulation soit complètem
ntie, mais non interrompue, dans la première partie de la cérébrale postérieure qui donne naissance aux 10 collatérales de Dure
cérébralepostérieure, auniveau de l'anastomose avec la communicante postérieure , donnerait aussi l'expli- 14 A. JOFFROY catio
le logique de penser que l'obstruction thrombosique de la cérébrale postérieure , au niveau de l'embouchure de la communi- cante
rébrale postérieure, au niveau de l'embouchure de la communi- cante postérieure , a produit dans la partie directe ou ascendante d
e que nous formulons, celle d'une throm- bose de l'artère cérébrale postérieure droite au niveau de l'embouchure de la communic
ale postérieure droite au niveau de l'embouchure de la communicante postérieure , il se serait produit : 1° Une suspension compl
te de la circulation dans les branches termi- nales de la cérébrale postérieure donnant lieu à un ramollissement de tout le lob
nt considérable de la circulation dans cette partie de la cérébrale postérieure droite, s'étendant de son origine jusqu'au voi-
son origine jusqu'au voi- sinage de l'embouchure de la communicante postérieure , ainsi que dans les collatérales qui en partent
alentissement considérable dans la circulation de la communi- cante postérieure et de ses collatérales, en particulier de celle q
nous arrivons à cette conclusion, que la thrombose de la cérébrale postérieure peut, suivant son étendue et sa localisation dans
la première partie, partie directe ou as- cendante de la cérébrale postérieure , qui forme un des côtés de l'hexagone de Willis
gone de Willis et si elle est limitée à ce tronçon, la communicante postérieure assurera la circulation dans les branches termi
de l'anastomose de la cérébrale pos- térieure avec la communicante postérieure , c'est-à-dire dans la partie ré- fléchie de la
ostérieure, c'est-à-dire dans la partie ré- fléchie de la cérébrale postérieure , la circulation de l'hexagone de Willis continu
érales de Duret) siège au niveau de l'embouchure de la communicante postérieure , on aura des symptômes permanents liés à la sup
la circulation dans les branches terminales de l'artère céré- brale postérieure , et en particulier l'hémiopie, parfois aussi des
mes liés au ralentisse- ment de la circulation dans la communicante postérieure et dans la pre- mière partie de la cérébrale po
mmunicante postérieure et dans la pre- mière partie de la cérébrale postérieure et en particulier le syndrome de Weber ; mais l
e syndrome de Weber temporaire. 4° L'oblitération de la cérébrale postérieure pourrait être assez étendue pour oblitérer simu
s quelle influence s'est faite cette obli- tération de la cérébrale postérieure ? S'agit-il d'une artérite vulgaire, de cause b
ans les hémianesLhésies produi- tes par la destruction de la partie postérieure de la capsule interne ; ce qui n'est point, com
artie voisine de la circonvolution du corps calleux et de la partie postérieure des trois circonvolutions frontales, là les fibre
line. Il y en a trois : C'est d'abord le grand centre d'association postérieur , comprenant une grande partie du lobe occipital
e intacte était séparée de toutes les parties voisines supérieures, postérieures et inférieures par un foyer de ramollis- sement
e ; dans lé pas antérieur, le corps in- cline en avant, dans le pas postérieur il in- cline en arrière. Elles sont en somme de
pliquent sur le sol que presqu'au moment où les orteils de la jambe postérieure quittent le sol, ici le pied de la jambe antéri
la jambe antérieure est bien appliqué sur le sol, alors que le pied postérieur ne fait que commencer à détacher le talon (Fig.
r le quadriceps de la jambe portante, pendant tout le- cours du pas postérieur . Ce muscle devient alors l'agent de propulsion le
us violent existe au quadriceps de la jambe portante pendant le pas postérieur , puis, au mollet de la même jambe, lors du pas
re se voit surtout à la cuisse du membre portant pen- dant le pas postérieur et le quadri- ceps de ce côté est le principal
conséquence de l'inclinaison du plan de marche. Pendant tout le pas postérieur le membre portant reste légèrement fléchi, il ne
e quadriceps du membre portant qui travaille tout le temps du pas postérieur . Le pied arrive par la plante sur la marche. La
sion complète comme dans la marche ordinaire. En résumé dans le pas postérieur , les deux membres sont en flexion. Dans le pas
représente la fin du double appui, au moment où va commencer le pas postérieur . Il suffit dé le comparer à la figure 3 pour sa
iminuée de volume. On constate à l'oeil nu une sclérose des cordons postérieurs dans toute leur étendue et une atrophie des racin
ciations extemporanées de la moelle fraî- che au niveau des cordons postérieurs n'ont pas révélé de corps granuleux. Une racine
cordons postérieurs n'ont pas révélé de corps granuleux. Une racine postérieure qui représente environ le 1/li du volume d'une ra
git d'une sorte d'atrophie simple. Une branche musculaire du tibial postérieur a montré au contraire les alté- rations de la n
ningite véritable. Les lésions essentielles portent sur les racines postérieures et sur les cor- dons postérieurs. Elles varient
entielles portent sur les racines postérieures et sur les cor- dons postérieurs . Elles varient suivant les régions, plus marquées
e, 4e sacrées). Les lésions sont très accen- tuées dans les cordons postérieurs . Les altérations portent sur les zones de Lissa
nes de Lissauer qui sont entièrement sclérosées. Le triangle médian postérieur de Gombault et Philippe est conservé, ainsi que
spondant à la ban- delette externe. Conservation du triangle médian postérieur de Gombault et Philippe. B. (Méthode de Pal.) 4
ch qui n'atteint ni la périphérie de la moelle, ni le sillon médian postérieur . Le champ cornu-commissural, le champ postéro-ext
-commissural, le champ postéro-externe, la zone limitante de la corne postérieure sont conservés. MASSON & Cie, Editeurs.
érose atteignant le sillon médian postél ieur limité par les champs postérieurs conservés : zone cornu-commissurale, zone limitan
stérieurs conservés : zone cornu-commissurale, zone limitante corne postérieure , champ postéro-externe. B. (Méthode de Pal.) 10
r, triangle de sclérose comme sur la figure précédente, un peu plus postérieure . Mêmes zones conservées. C. (Méthode de Pal.) i
ines (Westphal) comptise entre la substance gélatineuse de la corne postérieure , la périphérie de la moelle, et une ligne virtuel
rie de la moelle, et une ligne virtuelle parallèle au sillon médian postérieur et passant par le point où la substance gélatineu
e de sclérose, correspon- dant à la bandelette externe. Des racines postérieures il ne reste plus que quel- ques fibres, mais un
lique entre la 5e et la 6e sacrées montre la pénétration de racines postérieures conservées au niveau des cordons postérieurs. P
énétration de racines postérieures conservées au niveau des cordons postérieurs . Peu de fibres sillonnent les cornes postérieures
niveau des cordons postérieurs. Peu de fibres sillonnent les cornes postérieures . (Pl. X, A.) 2° Région sacrée supérieure (1'0 s
arquées dans les zones de Lissauer. Un plus grand nombre de racines postérieures pénètrent dans les cordons postérieurs. La coupe
lus grand nombre de racines postérieures pénètrent dans les cordons postérieurs . La coupe des cornes postérieures montre égalem
rieures pénètrent dans les cordons postérieurs. La coupe des cornes postérieures montre également plus de fibres dans leur intérie
habituelle, le champ postéro-externe, la zone limitante de la corne postérieure . Entre ces différentes . zones, à la partie int
'applique à ces régions : pénétration en quantité moyenne de fibres postérieures au niveau des zones de Lissauer, moyennement dé
ement dégénérées, triangles de sclérose atteignant le sillon médian postérieur , s'écartant un peu davantage de la périphérie de
davantage de la périphérie de la moelle, et limitée par les champs postérieurs conservés : zone cornu-commis- surale,zone limi
rs conservés : zone cornu-commis- surale,zone limitante de la corne postérieure , champ postéro-externe. Le ter- ritoire scléros
. (Pl. X, C.) 4° Région lombaire moyenne (3° lombaire). Les racines postérieures pénè- trent encore en plus grande quantité. Sur
s voit se conti- nuer manifestement sur la zone qui limite la corne postérieure . Les mêmes champs sont conservés. Le triangle d
s. Le triangle de sclérose déjà indiqué persiste, mais est un" plus postérieur et affecte une forme plutôt quadrangulaire. (PI.
les fibres blanches ont diminué légèrement de quantité. Les racines postérieures pénètrent en assez grand nombre. La zone de Lis
réellement frappé du peu d'inten- sité des altérations des cordons postérieurs . La zone de Lissauer est légèrement sclérosée;
elle, appartenant surtout au groupe interne des fibres radiculaires postérieures . La zone de sclérose qui correspond à la bandel
nservés : la zone cornu-commissurale, la zone limitante de la corne postérieure qu'on voit encore se continuer avec les fibres
la corne postérieure qu'on voit encore se continuer avec les fibres postérieures , une zone en forme d'L qui borde le sillon post
les fibres postérieures, une zone en forme d'L qui borde le sillon postérieur et la périphérie de la moelle (bandelette périphé
faiblement sclérosées. Dans la 90 o CE. ACIIARD ET L. LÉ VI corne postérieure , les fibres du faisceau réfléxo-moteur, ainsi que
le inférieure. On note un léger aplatissement au niveau des cordons postérieurs . Ce sont toujours les mêmes lésions : sclérose de
intacts : la zone cornu-commissurale, la zone limitante de la corne postérieure , le champ postéro-interne. (PI. XII, A.) g° ° d
ro-interne. (PI. XII, A.) g° ° dorsale. L'aplatissement des cordons postérieurs est notable. La zone de pénétration des racines
Les lésions plus manifestes portent sur la zone de Lissauer, le 1/5 postérieur du cordon de Goll, la bandelette externe, mais
e la moelle ; elle en est séparée par la zone limitante de la corne postérieure . Restent intactes encore la zone cornu- commiss
n de Goll sclérosée. On voit nettement certaines fibres des racines postérieures pénétrer d'emblée dans les, cordons postérieurs
fibres des racines postérieures pénétrer d'emblée dans les, cordons postérieurs et se continuer avec la zone limitante de la corn
dons postérieurs et se continuer avec la zone limitante de la corne postérieure . (Pl. XII, C.) , En. résumé, il s'agit d'un tab
és conservés. L'examen histologique montre une sclérose des cordons postérieurs gé- néralisée à tout l'axe médullaire, mais rép
virgule de Schultze ( ? ), bandelette périphérique, triangle médian postérieur ) sont conservés. Il faut remarquer, en outre, q
rieur) sont conservés. Il faut remarquer, en outre, que les racines postérieures extra-médullaires présentent, elles aussi, des
servées : la zone cornu-commissurale, la zone limitante de la corne postérieure , le champ postéro-externe. li. (Méthode de Pal.
) z° doisiile. Sclérose moins marquée des zones de Lissauer, du \< postérieur du champ postéto-interne. Sont conservées : la
) Région cervicale iiifèrieuie. Sclérose des zones de Lissauer, du 5' postérieur du cordon de Goll, des bandelettes externes. Mê
sions des nerfs périphériques et de leurs terminaisons, des racines postérieures , et aussi des racines antérieures, peuvent être
esure, sans parler même de la moelle. En réalité, c'est aux racines postérieures et à la moelle, siège pour ainsi dire constant de
it en effet, que Ramon y Cajal (1) a divisé les fibres radiculaires postérieures en deux groupes : groupe externe, groupe interne.
tée : en dedans par une ligne virtuelle, parallèle au sillon médian postérieur et passant par le point où la substance gélatin
r la subs- tance gélatineuse et le point de pénétration des racines postérieures . Cette zone, dite par Westphal zone d'entrée de
bes atteint d'une façon prédominante les fibres courtes des racines postérieures , comme le fait Minor, c'est énoncer une simple
-osseux de l'avant-bras gauche. L'ossification du ligament cervical postérieur se trouve notée dans presque tous les cas. Un n
e la nuque, l'ossification gagne régulièrement le ligament cervical postérieur . Les muscles longs du dos forment une masse oss
ncipale- ment ceux de la région fessière, les muscles antérieurs et postérieurs de la cuisse, les muscles de la jambe, surtout
s et postérieurs de la cuisse, les muscles de la jambe, surtout les postérieurs , et ankylose les hanches et les genoux; elle dé
saillie grâce à l'ossification du ligament cervical et des muscles postérieurs et latéraux du cou ; le dos, par l'ossification
lui de Fuerstner, les membres inférieurs. Macdonald signale le bord postérieur du sterno-mastoïdien gauche comme première atte
s orteils en extension. Ils étaient raccourcis dans le sens antéro- postérieur ; leur bord externe était épaissi et leur bord int
ons, quand elles existent, elles siègent principalement à la partie postérieure et externe ; toutefois llays et Lexer les ont t
xipn par l'ossification du tenseur du fascia lata, d'un des muscles postérieurs ou de la région interne de la cuisse, par l'ossif
peine touchés pir l'oîsificition, tandis que les plans musculaires postérieurs ont été violemment atteints. xi 12 174 A. WEI
la cuisse et descendant en bas jusqu'au tiers supérieur de la face postérieure de la jambe en s'épaississant et s'élargissant de
rieures sont normales comme volume et comme coloration. Les racines postérieures , au contraire, sont gro- les et surtout netteme
a région cervi- cale, une teinte grise de sclérose dans les cordons postérieurs surtout au ni- veau du cordon de Goll et dans l
sain. Région sacrée. Il y a une sclérose assez marquée des cordons postérieurs ; la lésion est plus accusée au niveau des zone
ieurs ; la lésion est plus accusée au niveau des zones radiculaires postérieure et moyenne, la zone antérieure n'est pas très t
de quantité de fibres saines. Région lombaire. Sclérose des cordons postérieurs , symétrique, prenant la totalité des zones radi
postérieurs, symétrique, prenant la totalité des zones radiculaires postérieure et moyenne respectant presque entièrement la zo
servé. Même dans les parties les plus altérées (zones radiculaires postérieure et moyenne) il y a un semis de fibres saines. D
topographie précédente, bien que plus accusée au niveau des cordons postérieurs où les zones radiculaires antérieure et cornu-c
ée. Les racines rachidiennes antérieures sont normales. Les racines postérieures présentent de très grosses lésions de dégénéres
aru normaux. En résumé, il règne sur toute la hauteur des cordons postérieurs une sclérose très accentuée qui semble commence
ur : collatéral interne du pouce, pédieux, tibial antérieur, tibial postérieur : sciatique (tronc), saphène interne et nerf du
aux composés de fibres grosses et petites et provenant de la racine postérieure , etc. De tout cela, nous pouvons retenir que le
prolongement falciforme de la dure-mère. Dans la région de la fosse postérieure du crâne le prolongement falciforme se fusionne a
ns la fosse crânienne médiane un reste de cerveau et, dans la fosse postérieure , elle adhérait à la tente du cervelet, cachant
este du cer- veau se trouvent les tubercules quadrijumeaux dont les postérieurs res- sortent assez nettement; quant aux tubercu
oi inférieure de ce ventricule est formée par une portion delà face postérieure de la région bulbo-pro- tubérantiette. Rappelez
ermine par deux racines (Fig. 1). Une racine externe appelée encore postérieure ou cochléaire qui con- tourne le pédoncule céré
l'émergence des racines du nerf acoustique. 1, racine externe ou postérieure . 2, noyau antérieur de l'auditif, et 3, tubercule
'est un crâne parcouru sur la ligne médiane et dans le sens antéro- postérieur par une rigole intermédiaire aux deux renflements
e la suture lemporo-parièlale est absolument effacée dans son tiers postérieur ; tandis qu'elle est très accentuée du côté droit
quelques traces perme appréciables à ses ex- trémités antérieure et postérieure ; et dans toute son étendue, l'os est aussi lis
tention au point de vue de l'hérédo- syphilis. A savoir : L'angle postérieur du pariétal gauche est occupé par une lésion de f
de même ordre, mais encore moins importante, siège près de l'angle postérieur du pariétal droit ; celle-ci est irrégulière, de
riétés naturelles suivant son siège, son appari- tion antérieure ou postérieure à la naissance, suivant qu'elle dérive de lésio
'hy- drocéphalie dans l'liérédo-syplilis); Et une seconde période postérieure à 1880, dans laquelle les observa- tions devien
eloppées, couvraient de leurs anastomoses les régions antérieure et postérieure du crâne (pli. XXXII). « Point curieux à noter
és de la circulation en retour, notamment au niveau du trou déchiré postérieur . C'est.là une hypothèse à vérifier par de nouve
ain que sur son congénère. Il en est de même de la crête de la face postérieure (ligne oblique du tibia). La forme de l'os est
bord antérieur et qu'on note 31 millimètres dans le sens antéro- postérieur , 23 millimètres transversalement, que le canal
res dans l'acide osmique, sur une branche musculaire du nerf tibial postérieur , sur une branche cuta- née du nerf couturier.
r- dons blancs pris en masse d'un côté à l'autre. En aucune région ( postérieure , antéro-latérale), nous n'avons constaté trace
de certitude, en enfonçant une aiguille il la partie laté- rale et postérieure du côté sain (Ci-. 2). C'est surtout à partir d
st représentée par une ligne droite qui unit la corne antérieure la postérieure . Il y a donc aplatissement manifeste. Du côté o
ns retrouvées il peu près analogues de part et d'autre. Les racines postérieures qui, étudiées macroscopiquement, ne se distin-
rural droit.. 1 ! »° Les petit et moyen fessiers gauches et le bord postérieur du grand. 15° La plus grande partie du tenseur
ineuses à la crête iliaque gauche, à 1 pouce 1/2 de l'épine iliaque postérieure et supérieure ; elle chemine le long de la colonn
d'épaisseur. Elle s'insère, par des fibres tendineuses, à la partie postérieure de la crête iliaque à l'apo- physe épineuse de
apophyses transverses des 3e, 4°, 5° et 6° dorsales, aux extrémités postérieures des côtes droites. Une bande très irrégulière s
tubérosité comme un oeuf de pigeon. A la même hauteur, sur la face postérieure de la jambe, il en existe une autre, comme un o
om- plète et très en pronation. Elles siègent au tiers supérieur et postérieur et à la partie inférieure et interne du bras. O
ne de l'omoplate. Les côtes proéminent des deux côtés entre le bord postérieur de l'omoplate et la colonne. L'angle inférieur
SITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 297 .. Masses osseuses dans les muscles postérieurs du cou. La portion du trapèze qui recouvre l'ép
se osseuse faisant saillie dans la cage tho- racique. Sur la face postérieure de l'iliaque gauche, en avant des fibres du grand
hyoïdienne. Le larynx se déplace normalement. Exostoses sur le bord postérieur de la clavicule gauche tout près des insertions d
arrière minime par suite de l'ossification des parois antérieure et postérieure de l'aisselle. Relâchement du biceps et du tric
osseuses suivent la direc- tion des fibres du trapèze dans la paroi postérieure du thorax, elles se prolon- gent jusqu'à l'humé
t est plus raide que le gauche. Les muscles de la région externe et postérieure de la cuisse gauche, avant tout la longue porti
Le sacro- lombaire réagit bien. Les muscles de la région interne et postérieure de la uisse gauche montrent une diminution nota
la partie supérieure du tenseur du fascia lata gauche. A la partie postérieure de la cuisse droite, dans le tendon du biceps, ou
ou trouve un noyau de 3 cent. 1/2. Tubérosités osseuses sur la face postérieure du tibia. Scoliose de la colonne vertébrale, ép
d dorsal, le trapèze ne contribuant pas à former la paroi axillaire postérieure . 318 A. WEILL ET J. NISSIM Sur le condyle int
a grosseur d'une aveline se trouvent maintenant sur l'épine iliaque postérieure et supérieure droite. 7 août. - Chute, fracture
res de la colonne vertébrale sont modifiées et dans le plan antéro- postérieur et dans le plan transversal. Dans le plan antéro-
essus du plan, la gauche à 26 centimètres, l'extrémité de la face postérieure de la tête est il une hauteur de 36 centimètres.
es dorsales inférieures et lombaires, ainsi que les épines iliaques postérieures , sont plus saillantes que d'ordinaire. On n'a p
la première sacrée) ; 74 mil- limètres pour le diamètre bi-épineux postérieur . Les rapports de ces différents chiffres se rap
vant en arrière. L'exploration du sacrum et du coccyx par la face postérieure et par la face antérieure (toucher rectal) mont
es des vertèbres lombaires, et les épines iliaques supé- rieures et postérieures proéminentes. Du côté des membres inférieurs, l
leurs avec la compression ou l'excitation par contact des ra- cines postérieures par quelque végétation osseuse au voisinage du tr
d'un ébranlement, ont peut-être pour cause le contact de raci- nes postérieures avec des ostéophytes en des points situés plus ba
avait que des os re- couverts de périoste ; dans la fosse crânienne postérieure , sous la tente du cervelet se cachait ce dernie
Dans la fosse médiane on voit les couches optiques ; dans la fosse postérieure , un reste de l'écorce cérébrale attenant au rep
- Cas V. Absence de la voûte crânienne ; vue de face J, le même, vue postérieure , le canal vertébral complètement fendu. MASSON
ve cette formation, ainsi que les parties avoisinantes et la partie postérieure des os occipitaux, on voit que,dans ce cas, la
t à remarquer que la paroi antérieure est plus épaisse que la paroi postérieure qui est réduite à presque rien. Dans ce cas, la
corps est développé régulièrement. En examinant ce monstre du côté postérieur , nous voyons que les os de la voûte crânienne man
de résistance, comme au ni- veau. de la voûte crânienne et des arcs postérieurs de la colonne vertébrale ; la base crânienne se
anal central qui peut provoquer un développement incomplet des arcs postérieurs de la colonne vertébrale. La moelle épinière so
noyau olivaire, les olives accessoires, les faisceaux longitudinaux postérieurs , le noyau central inférieur, le ruhan de Reil,
l où, du côté laté- ral, sont situés les pédoncules du quadrijumeau postérieur , le corps gé- nouillé et le pulvinar sont absen
e pulvinar sont absents et le pédoncule du tubercule quadriju- meau postérieur est peu déyeloppé(PI. 1LV,\').1,e méme aspect s'o
sence de pulvinar, des corps genouillés, des tubercules quadrijumeaux postérieurs . Toutes les voies passant par la base des pédon
ps genouillé manquent ; les pédoncules des tubercules quadrijumeaux postérieurs sont peu développés. La cause de toutes ces m
égion lombaire par le procédé de Pal, nous avons trouvé les cordons postérieurs bien dévelop- Fig. 2. Cellule pyramidale de l
resque le même que dans la région lombaire ; seulement, les cordons postérieurs sont plus accusés, on voit ici les faisceaux de
pouvait voir nette- ment, comme dans le cas précédent, les cordons postérieurs ; quant aux cordons antérieurs et latéraux, ils
voyait la membrane recouvrant les corps vertébraux sur leurs faces postérieures : à la périphérie cette membrane était recou- v
Moelle épinière et membrane recouverte de fibres myéliniques, racines postérieures . c. - Cas Il'. Moelle épinière; par suite de l'
dromyélie la région ventrale est réduite l une membrane ; la région postérieure est e ? ti ornement atrophiée. d. Cas 1-. Moell
e était la moindre, comme la voûte crânienne et les arcs vertébraux postérieurs . En somme, c'est à la suite d'une hydrocéphalie
racines antérieures, qui louchent les cellules motri- ces ; du côté postérieur la paroi de ce tube s'amincit et progressivement
tait propagé plus loin, sous l'influence de l'hydromyélie la partie postérieure de la moelle épinière qui actuellement est pres
est presque nulle, serait totalement atrophiée de même que les arcs postérieurs des vertèbres et il ne serait resté que la part
nal; il existe encore une petite portion delà moelle dans sa partie postérieure (PI. XLVI, C). En un mot l'hydromyélie dans ce
e le faisceau fondamental du cordon antéro-latéral et les cor- dons postérieurs . TU. Si ce processus se propage vers le canal s
encore : ou hien une hydromyélie très pro- noncée (alors la parlie postérieure de la molle épinière est très peu déve- ... x,
u petit rond) se voit une plaque osseuse de 4 pouces, dans la paroi postérieure de l'aisselle. L'abduction du bras peut atteind
elà de 45e. L'omoplate est tout à fait fixe. Au-dessous de la paroi postérieure du creux axillaire il existe une grande masse d
es des deux côtés successivement. Au niveau de l'angle supérieur et postérieur des omoplates, il a constaté une tumeur diffuse
res. Dans la 12° année, la nuque, le pourtour des épaules, la paroi postérieure de l'aisselle, le dos (grand dorsal 1) étaient
ns. A cette époque apparition d'une grosseur vers le milieu du bord postérieur du sterno-mastoïdien gauche, elle fut incisée c
séter droit est dur et épaissi presque dans sa totalité. Sur le côté postérieur du (1) Les troubles des mouvements de la mâchoi
t être porté sur le côté, mais non en arrière de la ligne axillaire postérieure , en avant de 45°. Cette diminution dans l'étendue
l'état de contracture des muscles du creux axillaire. Dans la paroi postérieure de l'aisselle masse osseuse allant en bas jusqu'à
ubérosités. 21 juillet 1891. - On enlève l'ossification de la paroi postérieure de l'ais- selle gauche; la tumeur comprenait to
cis et fermes ; pas de for- mation osseuse à leur niveau ; la paroi postérieure est occupée par une masse attachée à l'angle in
ET J. NISSIM grosses qu'une petite noix, à la poitrine, il la face postérieure du cou et au dos. Disparition des tumeurs au bo
elque temps, la tête est penchée constamment en avant, et la partie postérieure du cou est rigide ; impossibilité de tourner la
à peine un peu plus proéminentes qu'à l'état normal. Dans la paroi postérieure de l'aisselle des noyaux osseux irréguliers, mo
bas et en dedans, présente l'aspect d'une S très allongée. La face postérieure du thorax est presque aussi rétrécie au niveau de
appante : le creux de l'aisselle droite est très diminué : sa paroi postérieure a disparu, son sommet à peine marqué est moins
terne agrandie d'avant en arrière se trouve sur le même plan que la postérieure , avec laquelle elle se confond. Nous ferons seu
aércll, qui se divise en deux portions, l'une antérieure el l'autre postérieure ; - Le trapèze, qui présente également deux por
et ainsi se trouve formé le sterno-cléido-mastoïdien. La por- tion postérieure du mastoïdo-huméral s'unit au trapèze supérieur d
. D'autre part, le grand dentelé est innervé par le nerf thoracique postérieur , ou nerf du grand dentelé, qui naît des cinquiè
ème paires, traversent avant de s'unir les fibres du muscle scalène postérieur . 11 arriverait même parfois que le tronc du ner
du côté paralysé, est diminué de profondeur et de volume. Sa paroi postérieure n'existe pour ainsi dire plus, elle se trouve s
elle se confond et qu'elle prolonge. Cette disparition de la paroi postérieure est la cause principale des modifications du cr
e, que nous avons décrites plus haut. La disparition de cette paroi postérieure dépend du scapulum alatum. Or qu'est-ce que le
e, grand rond, petit rond et grand dorsal, c'est-à-dire de la'paroi postérieure de l'aisselle. Ce rejet en arrière et en dedans
e rejet en arrière et en dedans est tellement prononcé que la paroi postérieure du creux de l'aisselle n'existe plus, dans l'élév
'élévation du bras en avant. Dans l'élévation en avant, cette paroi postérieure , formée ici par le bord antérieur du grand dors
ent de la lèvre bimamelonnaire ; 4° Le rétrécissement de la paroi postérieure du thorax ; ' 5° L'élévation de la moitié corre
moins il n'y a aucun phénomène d'obstruction nasale. La rhinoscopie postérieure est impossible il faire il cause de l'état du voi
ntérieur du deltoïde droit. - B. Courbes des contractions du faisceau postérieur du même muscle C. Métronome battant la seconde.
au. En appliquant sur les faisceaux antérieurs et sur les faisceaux postérieurs du deltoïde un tambour myographique, on peut se
la position de l'omoplate dont l'acromion s'abaisse et dont le bord postérieur s'écarte du thorax en formant avec lui une gout
un point qu'elle détermine très précisément, sur la ligne axillaire postérieure au niveau de la dixième côte. Cette douleur très
tous les signes d'un épanchement pleural, épanchement exclusivement postérieur at- tendu que dans la région antérieure la sono
rtie du grand dorsal. ' Le trapèze est sain. Dans les triangles postérieurs du cou, il y a une dureté mal définie. Le stern
3 près d'elle quelques tubercules sur la face supérieure et le bord postérieur de l'os. Omoplates fixées et pourvues de noyaux
ce est un peu plus petit que la normale ; ossifications à la partie postérieure du hras gauche, en partie fixées à l'humérus qu
25 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
solument irréductible. La colonne présente une courbure à convexité postérieure très accentuée, dont le sommet correspond à peu
ieure ; diminution des libres nerveuses. En bas, filet de la racine postérieure , aspect normal. (Pal et Carmin). G. Filet ant
dissociation. Des (ilets des racines rachi- diennes antérieures et postérieures du plexus brachial ont été inclus à la cel- loï
fibres à myéline dans les racines antérieures que dans les racines postérieures et le tissu conjonctif intrafasciculaire y est
elles sont plus distantes les unes des autres que dans les racines postérieures . Les espaces qu'elles lais- sent entre elles so
deltoïde, prélevés l'un à la partie antérieure, l'autre à la partie postérieure de ce muscle, le second Fio. 8. Racine antérieu
s. Nous devons, faute de mieux, ? constater l'intégrité des racines postérieures et attribuer les phénomènesit douloureux qui se
racines antérieures et aussi, mais à un moindre degré, aux racines postérieures . Friedreich fait également un examen détaillé des
membres supérieurs et inférieurs) il trouve des lésions des cordons postérieurs ,des racines rachidiennes antérieures et postérieu
névroglie qui en certaines régions envahit la totalité des cordons postérieurs . , ' Dans la suite, et surtout après la publica
- lules radiculaires des cornes antérieures et sclérose des cordons postérieurs avec tourbillons névrogliques ; dans les troncs
; mais les lésions médullaires concomitantes (sclérose des cordons postérieurs , atrophie partielle des cornes antérieures) sem
trouve à l'examen histologique.une sclérose des cordons latéraux et postérieurs , une atrophie des cornes antérieures. des racin
ux et postérieurs, une atrophie des cornes antérieures. des racines postérieures intactes et des nerfs périphériques dégénérés. Il
rs puis les membres supérieurs il y avait des lésions des cor- dons postérieurs de la moelle ; dans les nerfs périphériques la ra
racines rachidiennes étaient altérées, les antérieures plus que les postérieures . Dans l'observation II (atrophie des membres supé
é- rieurs de la moelle, sur les racines rachidiennes antérieures et postérieures et sur les nerfs périphériques (augmentation du
e des cel- lules des cornes antérieures, dégénérescence des cordons postérieurs avec sclérose névroglique en tourbillons, comme
ne sont pas hypertro- phiées dans la région cervicale; les racines postérieures le sont du haut t en bas de la moelle; dans le
cas de Dejerine et Sottas les racines rachi- diennes antérieures et postérieures sont hypertrophiées également, mais notablement
es ne présentent que des modifications peu importantes, les racines postérieures sont normales ; dans les racines antérieures une
ntéressant le vermis supérieur et le lobe quadrilatère antérieur et postérieur des deux côtés, contraste avec l'état des lamel
n peut déjà observer que l'écorce du lobe quadrilatère antérieur et postérieur , du lobe grêle, du vermis supérieur (culmen et dé
eint son plus fort degré dans les lobes quadrilatères antérieurs et postérieurs , dans le flocculus, et dans le vermis supérieur (
rendrons les lamelles appartenant au lobe quadrilatère antérieur et postérieur , au vermis supé- rieur, au flocculus, où les lé
coupes normales. Les fibres transversales antérieures, moyennes et postérieures du pont sont très abondantes. L'olive bulbaire
ttement apparent. Rien à noter non plus dans les noyaux des cordons postérieurs . Le corps restiforme, de volume normal, est trè
nts les altérations constatées sont les suivantes. Dans les cordons postérieurs , sur toute leur hauteur, il existe une très lég
el. Dans aucun segment la légère raréfaction des fibres des cordons postérieurs ne présente trace de systématisation. Les racin
rdons postérieurs ne présente trace de systématisation. Les racines postérieures adjacentes à la périphérie de la moelle et coupée
elle, il existe la même raréfaction des fibres que dans les cordons postérieurs , mais elle est ici encore plus légère, à peine
lonne est aussi bien développé qu'à l'état normal. Dans les cordons postérieurs et dans les latéraux il existe une grande abon-
s ; celles-ci consistent en une très légère raréfaction des cordons postérieurs , diffuse, nullement systématisée, un peu plus a
fin, dans une abondance anormale des fibres fines, dans les racines postérieures , avec la perte, ici et là de quelques rares fib
peut cependant se demander si les très légères lésions des racines postérieures et des cordons postérieurs de la moelle ne pourra
si les très légères lésions des racines postérieures et des cordons postérieurs de la moelle ne pourraient pas expliquer cet él
en jarretière, frappant également le triceps fémoral et les muscles postérieurs . Les mouvements passifs sont plus ou moins limi
en petite partie aussi, à une légère diminution de volume du cordon postérieur et de la base de la corne postérieure gauche.
diminution de volume du cordon postérieur et de la base de la corne postérieure gauche. Sur des préparations au Weigert et au P
exes qui la traversent sont moins nom- breuses. La base de la corne postérieure gauche présente une légère diminution de largeu
u- pés presque exclusivement par du tissu interstitiel. Le cordon postérieur gauche est un peu moins volumineux que le droit,
t normal, d'un côté comme de l'autre. Rien à noter dans les racines postérieures , ni dans les cordons postérieurs à part la légè
re. Rien à noter dans les racines postérieures, ni dans les cordons postérieurs à part la légère atrophie, sans dégénérescence,
ée et localisée à la subs- tance grise motrice, mais que les cornes postérieures , la colonne de Clarhe, la substance grise autou
grise des cornes antérieures, elle peut aussi porter sur les cornes postérieures , sur la substance blanche de la moelle. (1) RoG
mpressionner par la teinte rouge de la partie inférieure de la face postérieure de l'avant-bras,existant au moment de notre exa
le centrale du protoneurone, siégeant dans le ganglion de la racine postérieure . Une fois admise la possibilité d'une lésion ou
yologique des gan- glions cérébro-rachidiens, ganglions des racines postérieures de la moelle et des nerfs sensoriels, se forman
resiM. Barbiéri (1) établit que les gan- glions nerveux des racines postérieures appartiennent au système du grand sympathique.
hique, à l'exclusion totale du cerveau, de la moelle et des racines postérieures des nerfs (Simon et Hoche) (2). 4 Le fonctionne
mars 1903. (2) Simon et Hoche, Les ganglions nerveux des racines postérieures appartiennent- ils au système du grand sympathi
e multiples et fines vari- cosités. Au tiers inférieur de la face postérieure de la jambe gauche a existé il y a un an un ulc
s parties du corps qui sont juxtaposées après coup. ' Sur une vue postérieure de cette statue, l'exactitude de la muscula- tu
contre, les bras et les jambes sont plus corrects. Mais sur une vue postérieure le tra- pèze apparaît trop mince, privé de son
che défectueuse des fibres charnues du grand oblique. « A la partie postérieure du flanc, on peut noter aussi l'absence du bour-
et intéressant les tubercules qua- drijumeaux antérieurs, la partie postérieure du pulvinar, les corps genouillés externes et i
oyau rouge, on voit un foyer de ramollissement qui occupe la moitié postérieure du segment postérieur de la capsule interne. En
foyer de ramollissement qui occupe la moitié postérieure du segment postérieur de la capsule interne. En arrière, ce foyer pou
sule interne, le corps ge- nouillé externe (moins une petite partie postérieure ) et sectionne complètement la bandelette optiqu
terne de la calotte, et sectionne le bras du tubercule quadrijumeau postérieur en totalité ; le ruban de Reil médian dont il r
détruit ici, dans la calotte : le bras du tuber- cule quadrijumeau postérieur , le ruban de Reil médian (exception faite de sa
du pont. 1° dans la région sous-optique, le foyer détruit la moitié postérieure du segment postérieur de la capsule interne en po
ion sous-optique, le foyer détruit la moitié postérieure du segment postérieur de la capsule interne en poussant une pointe en
tubercule quadrijumeau antérieur, le bras du tubercule quadrijumeau postérieur en totalité, le ruban de Reil médian (moins sa
upant 194 ROSSI ET ROUSSY surtout la moitié antérieure du segment postérieur de cette capsule. En effet si la moitié postéri
ieure du segment postérieur de cette capsule. En effet si la moitié postérieure du segment postérieur de la capsule interne est m
ieur de cette capsule. En effet si la moitié postérieure du segment postérieur de la capsule interne est moins développée en l
surtout) est nettement moins développée que la droite. Dans l'étage postérieur on note : une atrophie très marquée du ruban de
e la partie inférieure du bulbe, passant par les noyaux des cordons postérieurs et intéressant l'entrecroisement sensitif,on voit
rtie inférieure du pé- doncule. En haut, ce foyer détruit la moitié postérieure du segment postérieur de la capsule inlerne et
doncule. En haut, ce foyer détruit la moitié postérieure du segment postérieur de la capsule inlerne et effleure l'extrémité pos
, il dé- truit : les bras des tubercules quadrijumeaux antérieur et postérieur , le ruban de Reil latéral en partie, le ruban d
du lobe temporo-occipital ; une dégénération rétrograde du segment postérieur de la capsule interne ; une dégénération très m
ns la protubéi dans le bulbe jusqu'au niveau des noyaux des cordons postérieurs . * . .. Le cas que nous venons d'étudier es
à l'oblitération d'un tronc vasculaire unique : l'artère cérébrale postérieure . On sait en effet que cette artère dans sa prem
entre le tronc basilaire et le point où elle reçoit la communicante postérieure - donne de nombreuses collatérales se rendant a
res inter- nes). Au delà du point d'anastomose avec la communicante postérieure , l'artère cérébrale postérieure donne des artèr
t d'anastomose avec la communicante postérieure, l'artère cérébrale postérieure donne des artères collatérales et terminales qu
« fonction de l'oblitération de la portion directe de la cérébrale postérieure ou de ses branches ». Mais si la thrombose ne se
la thrombose ne se limite pas à la première portion de la cérébrale postérieure et qu'elle s'étend encore jus- qu'au delà du po
end encore jus- qu'au delà du point d'embouchure de la communicante postérieure , les branches terminales de la cérébrale postér
a communicante postérieure, les branches terminales de la cérébrale postérieure ne trouveront plus comme dans les conditions pr
récédentes, une suppléance d'irrigation au moyen de la communicante postérieure . La circulation sera donc aussi interrompue dan
ussi interrompue dans les branches terminales de l'artère cérébrale postérieure et on aura dans ces conditions un double foyer,
ant dans le domaine des branches termi- nales de l'artère cérébrale postérieure (un foyer à l'extrémité de la corne sphénoïdale
l'autopsie, purement macroscopique, on constate : artère cérébrale postérieure oblitérée, pédoncule petit, aplati, avec une cica
alysie alterne supérieure, à l'oblité- ration de l'artère cérébrale postérieure . Pour lui, le complexus sympto- matique paralys
sie - est caracté- ristique de l'oblitération de l'artère cérébrale postérieure . Une observation clinique analogue a été rappor
nt précis où doit s'être produit la thrombose de l'artère cérébrale postérieure droite. A cause de l'amélioration de la paralys
'auteur rejette l'hy- pothèse d'une thrombose de l'artère cérébrale postérieure sur la plus grande partie de son tronc, depuis
s son origine jusqu'au delà du point où elle reçoit la communicante postérieure . Il admet au contraire l'hypo- thèse d'une thro
Il admet au contraire l'hypo- thèse d'une thrombose de la cérébrale postérieure au niveau de l'anasto- (1) LUT011, cité par d'A
98 p. I, 1, xx 13 202 ROSSI ET ROUSSY mose avec la communicante postérieure ; celte localisation de l'obli- tération expliq
lète de la circulation dans les branches terminales de la céréblale postérieure , d'où l'hémiopie et les symptômes temporaires d
ement considérable de la circulation dans la partie de la cérébrale postérieure s'étendant de son origine jusqu'au voisinage de
ure s'étendant de son origine jusqu'au voisinage de la communicante postérieure , ainsi que dans les collatérales qui en partent
itérés ». D'Astros, au travail duquel l'observation de Blessigs est postérieure , admet aussi la possibilité de l'association mo
ité de l'association morbide en question par lésion de la cérébrale postérieure : « la coïncidence, dit-il, de lésions oblité-
la coïncidence, dit-il, de lésions oblité- rantes dans la cérébrale postérieure à son origine (ramollissement pé- donculaire) e
rmédiaire du ramollissement occipital que la lésion de la cérébrale postérieure pourrait donner lieu à l'hémianopsie. La tendance
blablement sous la dépendance d'une affection de l'artère cérébrale postérieure , n'est pas soutenable, selon d'Astros. En effet
ères de la bande- lette optique proviennent non pas de la cérébrale postérieure , mais de la communicante postérieure. Voyons
ennent non pas de la cérébrale postérieure, mais de la communicante postérieure . Voyons maintenant ce qui s'est passé dans notr
ict d'irrigation de toutes les artères collatérales de la cérébrale postérieure se rendant au pédoncule. Nous avons vu, que le
érieures du pédoncule, tandis que les parties ex- ternes et surtout postérieures restent relativement indemnes. Ce fait relève d
artères collatérales issues de la première portion de la cérébrale postérieure , celles qui se rendent aux parties antéro-inter
; au contraire, les collatérales de la même portion de la cérébrale postérieure se rendant à la partie externe du pédoncule ne
es collatérales issues soit de la portion réfléchie de la cérébrale postérieure , soit de la communicante postérieure et de la c
tion réfléchie de la cérébrale postérieure, soit de la communicante postérieure et de la cérébelleuse supérieure. Dans notre ca
xterne de la calotte, prouve que la portion directe de la cérébrale postérieure n'a pas été oblitérée complètement et que l'int
es collatérales issues soit de la portion réfléchie de la cérébrale postérieure , soit delà communicante postérieure, soit de la
rtion réfléchie de la cérébrale postérieure, soit delà communicante postérieure , soit de la cérébelleuse supérieure doivent avo
ns une portion de son trajet circumpédonculaire ainsi que la moitié postérieure du segment sous-len- ticulaire de la capsule in
uption de la circulation dans une collatérale issue de la cérébrale postérieure (artère des corps genouillés qui vient de la pa
s corps genouillés qui vient de la partie réfléchie de la cérébrale postérieure ), la lésion de la bandelette optique et de la m
le postérieure), la lésion de la bandelette optique et de la moitié postérieure du segment sous-lenti- culaire de la capsule in
mettant une oblitération des collatérales issues de la communicante postérieure et de la choroïdienne antérieure. (1) Duket, Ar
éra- les de différentes artères (cérébralepostérieure, communicante postérieure , cérébelleuse supérieure, choroïdienne antérieu
I A XXXIX BrQa. Bras du tubercule quadrijumeau antérieur. BrQp. - postérieur . Cge. Corps genouillé externe. Cgi. - - - int
Cge. Corps genouillé externe. Cgi. - - - interne. Cip. - Segment postérieur de la capsule interne. CL. Corps de Luys. CNR
vinar. Py. - Pyramide. Qa. Tubercu'e quarijumeau antérieur. Qp. postérieur . Rm. Ruban de Reil médian. ni. - - latéral.
de prédi- lection des nécroses est, en première ligne, les cordons postérieurs et puis les cordons latéraux. Il paraît que les
ach à la place du faisceau en virgule de Schultze. Dans les cordons postérieurs une raréfaction légère des fibres nerveuses.
rie) et les parties des cordons posté- rieurs adjacentes aux cornes postérieures sont respectés. Les cordons pos- térieurs ne so
intacts les cordons fondamentaux postérolatéraux. Dans les cordons postérieurs les parties qui sont plus ou moins respectées s
on voit une destruction presque complète des cordons et des cornes postérieures , des faisceaux cérébelleux et pyramidaux croisé
ures, des faisceaux cérébelleux et pyramidaux croisés, de la partie postérieure du faisceau de Gowers, elde la plus grande part
rritoires nécrosés, causa ces nécroses cunéiformes. Dans les cornes postérieures on voit une déformation due au ramollissement d
orption de la substance altérée, a une forme serpentine ; la partie postérieure de la moelle semble être aplatie et comprimée.
e de la moelle semble être aplatie et comprimée. Dans chaque cordon postérieur on constate aussi un espace vide, plus ou moins
ce vide, plus ou moins cunéiforme, rappelant le trajet des branches postérieures . Les méninges molles présentent de la congestion
antéro- latéraux qui sont respectés. Vers la périphérie des cordons postérieurs atteints on voit de larges espaces vides, aussi
MOELLE ÉP1N1ÈRE 215 aux cordons pyramidaux croisés) et aux cordons postérieurs . Elles rappel- lent un peu la topographie vascu
sus- et le sous-épineux et le grand dentelé qui forment sur la face postérieure et en dedans de l'omoplate de fortes saillies b
t conservées partout, mais dimi- nuées dans les portions moyenne et postérieure du deltoïde gauche et dans le sous-épineux du m
ne vertébrale présente une très forte cyphose à convexité droite et postérieure avec scoliose à concavité gauche. En avant le tho
fontanelle anté- rieure. La fontanelle antérieure a 10 cent. 5, la postérieure 9 centimètres. La fontanelle temporale est enco
c.). Dans la moelle, la lésion paraît atteindre avant tout la corne postérieure (troubles des sensibilités superficielles, trou
s sensibilités superficielles, troubles trophiques), mais le cordon postérieur ne paraît pas indemne (sensibilités profondes pre
dante, du côté de la flexion, à peu près nulle au niveau de la face postérieure ; au niveau de ce qu'on peut appeler les bords i
qui le sépare du rond pronateur, et au quart supérieur de la crête postérieure du cubitus, par un tendon aponévro- tique. Ce m
les deux artères interosseuses, toutes deux grêles ; l'interosseuse postérieure toutefois est assez grosse pen- dant 2 centimèt
e, Doigts. HÉMTMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 299 face postérieure de l'avant-bras après avoir émis une branche récu
e de l'avant-bras après avoir émis une branche récurrente ra- diale postérieure , extrêmement grêle, qui va se perdre dans l'ancon
térieure, extrêmement grêle, qui va se perdre dans l'anconé et face postérieure de l'articulation du coude, huméro-radiale. A l
postérieure de l'articulation du coude, huméro-radiale. A la face postérieure et externe de l'avant-bras on voit d'abord l'anco
, continue son trajet vertical et aborde le bord externe et la face postérieure de la région correspondante au carpe et au méta
région ; entre ces deux tendons passe l'artère radiale. Sur la face postérieure de l'avant-bras, on voit ensuite un muscle (i,
ce muscle s'attache très fortement par un tendon cordiforme au bord postérieur du radius demeuré saillant à sa partie inférieu
situé entre le précédent et le muscle anconé, s'insère sur la face postérieure de l'épicondyte, près de son bord externe, et s
t te partie. En j, sont représentés les extenseurs communs, cubital postérieur , extenseur propre du petit doigt, non différencié
ar rapport à la partie supérieure de ces muscles, on trouve la face postérieure dn court supinateur, normal. Telle est toute la
court supinateur, normal. Telle est toute la musculature de la face postérieure de l'avant-bras ; tous ces muscles sont innervé
ri, sans noyaux dis- tincts ; sur la face antérieure et sur la face postérieure de ce tissu fibreux, se perdent les trousseaux
ibreux épais fait saillie dans l'interligne huméro-radial à sa face postérieure ; anormalement développé, il est en grande parti
vers le cubitus qui se trouve situé un peu plus haut et sur un plan postérieur . Ces os présentent en raccourci la forme de leurs
ont à la peau de l'ex- trémité du moignon. Les muscles de la région postérieure confondent en partie leurs insertions inférieur
gts, insérés tous deux à la face pro- fonde de la peau. A la région postérieure , on trouve l'extenseur des doigts in- séré à la
on trouve l'extenseur des doigts in- séré à la peau, et le cubital postérieur inséré sur le petit os mobile à l'extrémité inf
A ce niveau, tout distinct qu'il soit encore, il adhère par sa face postérieure à la gaîne qui lui est destinée. Il se termine
car- pien ; elles interceptent entre elles un angle droit. Région postérieure . Extenseur commun des doigts. - Il est normal en
ouches fibreuses recouvrant le 5e méta- carpien. A nconé, cubital postérieur normaux. Muscles longs du pouce normaux. Mais
trophié ; il s'attache à la partie supérieure et externe de la face postérieure du tibia, et se jette bientôt dans le jumeau inte
léaire et le poplité réunis. Elles se fixent, en effet, à la partie postérieure du condyle et au tibia et se perdent à la face
la fémorale, des deux côtés, passe entre les jumeaux, longe la face postérieure du tibia et se bifurque au niveaudu tiers infér
musculaires, et se termine en deux rameaux pour la main. La branche postérieure du cubital, arrivée au dos du poignet, se divis
au fléchisseur profond et se termine en deux rameaux, antérieur et postérieur . Membres inférieurs. Le sciatique poplité exter
que poplité interne va aux jumeaux et au soléaire. Il longe la face postérieure du cartilage représentant le tibia, suit le tendo
s. Les ligaments latéraux externes des genoux se fixent à la partie postérieure des plateaux des tibias. Au-dessous de l'extr
r petitesse. Ceux de la partie interne et antérieure, et externe et postérieure du bras ne paraissent qu'ébauchés. Le biceps qui
bé de l'extrémité inférieure de l'humé- rus. A la partie externe et postérieure , je n'ai trouvé que la partie moyenne du tricep
ît être la continuation du tronc, descend tout le long de la partie postérieure de l'union du grand pectoral avec le deltoïde et
ure du faisceau coracoïdien du biceps, pour s'engager entre la face postérieure du deltoïde et l'humérus, et, après avoir donné q
s deux branches de bifurcation du radial, et notam- ment la branche postérieure qui contourne radius, pour se perdre dans le co
rémité du radius chevauche sur le cubitus qui est placé sur un plan postérieur . Ce chevauchement en pronation permanente du radi
por- tant à peu près uniquement sur la corne antérieure et la corne postérieure du côté de l'hémimélie. Les cordons blancs sont
jambe ; près de l'extrémité libre du membre incomplet, à la partie postérieure , se détache perpendiculairement à l'axe de ce mem
par des surfaces articulaires munies de cartilage. A l'ex- trémité postérieure du métatarsien se placent trois petits os rudimen
s ; le plus antérieur, cuboïde ( ? ) est long de 3 millimètres ; le postérieur , effilé par son extrémité antérieure, est long Z)
de 5 millimètres, long de 15, il s'insère en avant à l'ex- trémité postérieure de la phalange du petit orteil. Il se dirige obli
e un tubercule saillant à sa jonction avec le bord externe; la face postérieure est convexe, un peu rugueuse ; la face antérieure
adial externe. Leur tendon contourne le radius et passe à la partie postérieure dans la double gouttière ostéo-fibreuse, qui pré-
t supinateur très bien développé ; insertions normales. C. - Région postérieure . Cubital postérieur. Son insertion se fait sur le
n développé ; insertions normales. C. - Région postérieure. Cubital postérieur . Son insertion se fait sur le bord interne du m
S'insère par un tendon grêle à la partie la plus interne de la face postérieure de l'os du moignon. Quelques fibres vont se per
commun. Un seul tendon large et rubané qui passe dans une gouttière postérieure et se termine par trois ordres d'insertions : 1°
1° fibres pro- fondes, s'insérant à la partie supérieure de la face postérieure du massif osseux ; 2° fibres externes qui vont
sur le moignon on observe deux plis cutanés de flexion, l'un un peu postérieur au premier. C'est au niveau de ces plis et part
ur la coque fibreuse qui entoure le moignon ter- minal. A la partie postérieure du bras, il est impossible de différencier un f
s internes des circonvolutions semi-lunaires à hauteur de leur bord postérieur ; et, ce niveau, c'est profondément qu'elles sont
es à droite, ces lacunes occupent presque exclusivement leur moitié postérieure et provoquent une démyélinisation diffuse, assez
veau. La plus grande, située à gauche, effleure les fibres les plus postérieures de la voie py- ramidale. Dans la partie moyenne
pyramidaux croisés, mais aussi de la partie cen- trale des cordons postérieurs . Ces lésions concordent bien avec les symptômes
mince, plus large en avant qu'en arrière, et contenue dans la corne postérieure droite. Sa paroi paraît être constituée par une
développée prend la forme d'un croissant qui suit l'axe des cornes postérieures en passant derrière l'épen- dyme ; elle occupe
eures en passant derrière l'épen- dyme ; elle occupe toute la corne postérieure gauche et la corne postérieure droite jusqu'à l
n- dyme ; elle occupe toute la corne postérieure gauche et la corne postérieure droite jusqu'à l'union du tiers postérieur avec
eure gauche et la corne postérieure droite jusqu'à l'union du tiers postérieur avec les deux tiers antérieurs. A côté de cette
e forme et les mêmes rap- ports occupe toute la longueur des cornes postérieures qu'en s'élargissant, elle envahit peu à peu com
rées par une membrane conjonctive plissée. Au niveau de la partie postérieure de la cavité, et dans son intérieur, nous avons
la moelle cervicale jus- qu'au niveau du IVe segment. Là, la corne postérieure droite a en partie disparu; plus bas, les deux
iose juxta-cavitaire. Dans la moelle dorsale inférieure, les cornes postérieures réapparaissent normales ; à ce niveau, les corn
moins par le processus gliomateux. Au niveau deC. IV les faisceaux postérieurs sont dégénérés, aussi bien Goll 1 que Burdach,
faisceau fondamental latéral sont intéressés, les lésions des cordons postérieurs affectent la même topographie que dans les régi
isceaux spinaux. Racines rachidiennes. - Les racines antérieures et postérieures sont sai- nes jusqu'à C. VII ; à partir de ce n
a thermo-anesthésie du membre supérieur à la destruction des cornes postérieures par la gliose ; mais nous ne voulons pas insist
forme d'une fente au niveau de la III" cervicale, occupant la corne postérieure gauche. Dans les régions sous-jacentes la cavité
uche. Dans les régions sous-jacentes la cavité dé- truit les cornes postérieures et en partie les cornes antérieures. La cavité
dessous et se terminer définitivement à la IX" dorsale. Les racines postérieures con- tiennent un certain nombre de fibres dégén
E (Charron, Degouy et Tissai.) UN CAS d'achondroplasie 393 très postérieur au tibia et un peu en dehors de lui. Le tibia est
tenseur commun des doigts, extenseur propre du petit doigt, cubital postérieur ; que les mus- cles b et c (fig. 2), représente
, extenseur propre du petit doigt, cubital 408 KLIPPEL ET BOUCHET postérieur sont aussi fusionnés, de même que les 1er et 2e r
seur commun des doigts, extensenseur propre du petit doigt, cubital postérieur . 2° groupe, occupe l'extrémité proximale du côt
ux-ci ont une partie fibro-tendineuse com- mune ; les muscles longs postérieurs du pouce se terminent en bas par une seule mass
ées fibreuses qui partent de ce tendon vers la masse du pouce, face postérieure . On voit donc de par les faits précédents que l
ueur avec le ventricule latéral, se prolongeant jusqu'à l'extrémité postérieure du lobe : Ce cas de porencéphalie acquise est à r
substance céré- brale est complètement absente dans les deux tiers postérieurs , et remplacée par un bord mousse, le bord inter
é des muscles de la jambe, particulièrement remarquable à la région postérieure ; aux cuisses, au quadriceps ; seul le vaste in
neau et par Cagnetto, lesquels remarquèrent les lésions des cordons postérieurs ou antéro-latéraux, celle des racines pos- téri
en arrière. La douleur de l'épaule gauche, qui partait de la région postérieure de l'omoplate, semblait avoir passé sous cette de
moment des contractions, le point d'appui se prenant sur la partie postérieure de la nuque. Assurément, le sterno- mastoïdien
ente de mon 1,)i licolis. Sauf un peu de raideur dans les muscles postérieurs du cou, entrainant quelquefois de légères secou
lle paire on peut distin- guer quatre colonnes cellulaires, dont la postérieure représente le noyau d'origine du facial dit sup
la plupart du noyau de la troisième paire, pendant que l'extrémité postérieure de ce noyau restait intacte. Aussi bien M. Spil
e paire dans le noyau conlenu dans le sein du faisceau longitudinal postérieur , considérant, cependant, la partie plus proxima
u de la IIIe paire, située dans le sinus du faisceau longi- tudinal postérieur , le noyau du facial supérieur et celui de l'éléva
la chaîne cellulaire comprise dans le sein du faisceau longitudinal postérieur ) l'origine de ce nerf est contenue en direction
ail de Mendel il soit dit que l'altération se rapporte à la portion postérieure , dystale du noyau de la III. paire, et non pas
pas si elle se trouve ou non dans le sein du faisceau longitudinal postérieur , cependant l'indication donnée par Men- del que
noyau placé dans une excavation dorsale du faisceau longitu- dinal postérieur , au niveau de la région pédonculaire dans le côté
26 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
égénération du faisceau de Goll et de la bandelette externe du cordon postérieur . Dégé- nération peu accusée des racines postéri
xterne du cordon postérieur. Dégé- nération peu accusée des racines postérieures . Les faisceaux de Gowers et cérébelleux direct
ire cervicale. Lésions plus étendues que plus haut dans les cordons postérieurs . MALADIE DE FRIEDREICH (F. Raymond.) Cas D.
e publié sous le titre de « Dégénéres- cence atrophique des cordons postérieurs de la moelle », et où sont rela- tées les trois
ence d'une sclérose qu'il crut être strictement limitée aux cordons postérieurs . Reportez-vous, messieurs, à cette époque, quel
progressive, et vous vous expliquerez comment sclérose des cordons postérieurs et tabès dor- salis étaient devenus, pour ainsi
e les lésions du tabès sont loin d'intéresser seulement les cordons postérieurs de la moelle, mais qu'elles s'étendent encore a
t, dans la moelle même, ne sont nullement circonscrites aux cordons postérieurs . Sclmltze avait en effet, remarqué la participa
linis.ition des colonnes de Clarke. Sclérose très intense des cordons postérieurs . FIG. i. - IV- paire lombaire. Aspect tabétiq
. i. - IV- paire lombaire. Aspect tabétiquo des lésions des cordons postérieurs . Atrophie des racines. Sclérose très nette de l
FIG. 6. - 111° paire sacrée. Conservation nette dans les cordons postérieurs des libres endogènes. MALADIE DE FRIEDREICH (
AXTE CÉRÉBELLEUSE 13 1° Une dégénération très prononcée des cordons postérieurs , intéressant surtout les faisceaux de Goll. 2
égénération des colonnes de Clarke. 4° Une dégénération des racines postérieures . Et sa conclusion était la suivante : « L'ataxi
une interprétation différente de la nature des lésions des cordons postérieurs . Ils interprétèrent d'une façon toute spéciale
nctifs périvascu- laires, au moins pour ce qui concerne les cordons postérieurs . Ils crurent à la possibilité d'une sclérose né
l'un primitif, véritable gliose, restant localisé dans les cordons postérieurs ; l'autre secondaire, sclérose d'origine conjonct
1. - VIle racine cervicale. Lésions très accusées dans les cordons postérieurs , les racines postérieures et les cordons antéru
le. Lésions très accusées dans les cordons postérieurs, les racines postérieures et les cordons antéru latéraux. A remarquer la
z vous rendre compte sur les dessins. Comparée à celles des cordons postérieurs , la sclérose des cordons an- téro-latéraux leur
penser que la maladie de Friedreich évo- lue d'abord sur le cordon postérieur pour atteindre, plus tardivement, et d'une faço
(absence d'atrophie musculaire) et toute la demi-moelle droite(corne postérieure exceptée). Toute la partie sous-jacente à ce
agent au côté gauche, puis tendent à disparaître, d'abord à la face postérieure des membres, sauf la fesse gauche qui reste plu
au pied droit. Ces sensations reviennent aussi plus tard à la face postérieure des deux membres. SCLÉROSE MÉDULLAIRE 21 à dr
longtemps insensible au froid, retrouve cette sen- sation à sa face postérieure . En somme la systématisation hémilatérale droit
vement limitée à gauche eût franchi la ligne médiane, gagné la face postérieure de la moelle, la substance grise médiane, à mes
mique normale qui était revenue déjà depuis quelque temps à la face postérieure . Le fait du retour des mouvements à gauche et d
avec la région intéressée. C'est ainsi que lorsque les faisceaux postérieurs sont atteints, on observera les symptômes du ta
nt donné le traumatisme comme pouvant créer la sclérose des cordons postérieurs . Dans ce cas, la lésion se propage de bas en ha
, tact, température, etc. sont revenues à la normale : 1° A la face postérieure des membres inférieurs (Fig. 3). - 2° A leur fa
normales commençant : a)par les pieds ; continuant : b) par la face postérieure , c) par la face antérieure des membres inférieu
pli courbe, au premier pli pariéto-temporal à la partie tout à fait postérieure du lobule du pli courbe (2" pariétale) . - Dest
essant la deuxième occipitale, le pli courbe, la partie tout à fait postérieure de la deuxième pariétale, le premier pli de pas
ns les descriptions qui suivent, les coupes sont vues par leur face postérieure . Les coupes portant : 4° Sur le cap de la cir
ral avec la frontale as- cendante. 5° Coupe sectionnant la partie postérieure de la 28 pariétale immédiatement en avant du fo
issement et passant en avant de la partie terminale du prolongement postérieur de la scissure de Sylvius (PI. VI et VII, C). L
DE LA SALPÊTRIÈRE T. XVIII. PL. VI A Coupe passant par la partie postérieure de la 2° Pariétale immédiatement en avant du
la partie moyenne du pli courbe. C Coupe passant par la partie postérieure du pli courbe à 2 cm. 1/2 environ en avant du p
DE la Salpêtrière. T. XVIII. PI. VII Coupe passant par la partie postérieure de la 2e pariétale immédiatement en avant du
courbe. aphasie amnésique (Halipw.) Coupe passant par la partie postérieure du pli courbe à 2 centimètres 1/2 environ en
ce. Coupe de Brissaud. Ramollisement sous-cortical dans la région postérieure de la 3e frontale. Le foyer se trouve immédiate
gulaire (pli courbe) empiétant sur la substance grise de la portion postérieure de la première temporale et s'enfonçant profond
s'enfonçant profondément dans la substance blanche jusqu'à la corne postérieure du ventricule latéral. Rappelons aussi l'observ
lanche du pli courbe et de l'insula avec par- ticipation du segment postérieur de la capsule interne. Ainsi les lésions relevé
tomistes sous le nom de muscles spinaux : ils occupent, à la partie postérieure du rachis,les gouttières longitudinales qui s'éte
rps porte toujours sur le membre inférieur gauche. C. 'Début du pas postérieur (jambe gauche oscillante). Li contraction des spi
s antérieur (jambe droite oscillante). Fig. 6. Début du pas postérieur ou fin du double appui (jambe gauche oscil-
du côté portant. \\ ne fait que baisser très nettement dans le pas postérieur , un peu moins dans le pas antérieur.. » P. Richer
de trouver une surface convexe, on voit de la ligne para-axillaire postérieure à la ligne mamelonnaire en avant une surface pl
la hauteur du flanc se traduit par la formation de plis latéraux et postérieurs plus nombreux et moins marqués qu'en avant. Les
peu près à la hauteur de la crête iliaque. Au- dessus, l'extrémité postérieure des plis se relève et leur direction devient para
sente dans la région dorso-lombaire une courbure unique à convexité postérieure . La lordose lombaire normale a complètement xvi
normale ; et, lorsque la voussure du dos est très accusée, la face postérieure du cou comme la région dorsale supérieure se ra
t la marche, lorsque le malade veut redresser la tête, la concavité postérieure de la région cervicale s'exagère. La mobilité
dans la colonne cervicale, forme une courbure unique à con- vexité postérieure surtout marquée au niveau des vertèbres dorsales,
e fait en arrière et au-dessus du conduit auditif externe la racine postérieure de l'arcade zygomatique ou crête sus-mastoïdien
st toujours très appréciable et se traduit par la présence des plis postérieurs qui se retrouvent presque cons- tamment. Il e
- sées d'un côté que de l'autre. La courbure générale à convexité postérieure du rachis peut atteindre la ré- gion cervicale.
t et il droite : il en résultait une asymétrie des flancs, des plis postérieurs , des dépressions des hypochondres, une obliquit
s est immobile, la région dorsale présente une courbure à convexité postérieure , exceptionnellement une déviation latérale, la ré
près de la nature, vien- drait le premier en date ; l'autre serait postérieur ; le tableau de l'hôpital aurait servi à l'exéc
a dégénérescence primitive des nerfs péri- phériques et des racines postérieures ; c'est ainsi qu'en la même année M. P. Marie g
gues à celles de la maladie de Friedreich : altérations des cordons postérieurs , des faisceaux pyramidaux,des faisceaux cérébel
e grise (atrophie partielle ou disparition des cellules de la corne postérieure , atrophie des colonnes de Clarke et absence presq
sions de la substance blan- che (dégénération partielle des cordons postérieurs , localisée dans les faisceaux de Burdach à la r
ion plus complète des faisceaux pyramidaux croi- sés et des cordons postérieurs ; mais vous n'êtes pas sans savoir qu'il existe'
grêle, aplatie à la région cervico-dorsale ; il y a, à la ré- gion postérieure , une pie-mérite fibreuse assez adhérente ; les ra
s. A la coupe, on voit, à la région dorsale et cervicale, un cordon postérieur translucide résistant à la section, ainsi que d
dégénératives du noyau dorsal du vague. ' , E. Moelle. a) Cordons postérieurs . - Ils sont atteints dans toute leur hauteur, a
lus démyélinisées sont surtout les portions centrales des ' cordons postérieurs ; les régions cornu-commissurales et cornu-radicu
u non. b) Racines. Les racines antérieures sont saines. Les racines postérieures sont au contraire entièrement dégénérées à la r
use de Rolando. e) Méninges et vaisseaux. Les vaisseaux des cordons postérieurs et les septa conjonctifs qui les entourent sont
jonctifs qui les entourent sont épaissis et sclérosés. Les méninges postérieures , surtout à la région dorso-lombaire, sont épaissi
est de in 5 centimètres (contrôle 10), la distance de la commissure postérieure au bord antérieur du cervelet de 3 centimètres (c
it complètement dégénéré, émerge d'une tu- meur qui s'étend du bord postérieur du chiasma à l'antérieur de la protu- bérance.
. - Fld, faisceau longitudinal dorsal. Gp, tu- bercule quadrijumeau postérieur . - N IV, noyau de la IV. paire. RL, ruban de Re
i à droite ni à gauche. Du côté droit la bandelette lon- gitudinale postérieure est refoulée en avant et ses fibres sont raréfiée
ses fibres sont raréfiées, du côté gauche le faisceau longitudinal postérieur est à peu près intact. Les fibres radi- culaire
it nettement quelques fibres qui partent du faisceau longitu- dinal postérieur , se portent en avant, traversent le noyau rouge e
ale intéressant la partie antérieure des tubercules qua- drijumeaux postérieurs , la zone de ramollissement cesse, on voit à ce ni
pâles et peu distinctes. Les fibres de la bandelette longitudinale postérieure ici sont plus nombreuses. Les deux tubercules qua
ieure ici sont plus nombreuses. Les deux tubercules qua- drijumeaux postérieurs ont la même dimension, on voit bien les cellules
deux côtés. Dans une coupe en arrière des tubercules quadrijumeaux postérieurs , dans la partie supérieure de la protubérance,
e niveau sont très rares. Les fibres de la bandelette longitudinale postérieure sont plus nombreuses et bien distinctes des deu
ormes sont un peu pâles et traversent la ban- delette longitudinale postérieure , qui contient des faisceaux radiculaires plus n
ociation entre ces noyaux, qui montent par le faisceau longitudinal postérieur . Voyons en dernier lieu ce qui est écrit dans l
ibres motrices ascendantes qui montent par le faisceau longitudinal postérieur , se croisent sur la ligne médiane en bas des tu
ogiques (2),insiste sur le point suivant : le faisceau longitudinal postérieur contient des fibres ascendantes, mais la commun
h., mai 1903. 172 GRUNER ET BERTOLOTTI ' le faisceau longitudinal postérieur et aboutissent dans les noyaux de la Ille paire
ubercule était ainsi placé qu'il épargnait le faisceau longitudinal postérieur , le noyau rouge et les racines émanées de la Il
sement de tous ses diamètres. Il est notablement élargi à sa partie postérieure où les bosses occipitales sont bien marquées. L
eine séparés. Sur la gouttière basilaire, les deux artères spinales postérieures , très athéromateuses, ont creusé leur gouttière
en arrière du genou de la capsule interne et se termine à la partie postérieure de la tête du noyau caudé ; l'autre, moins long
udo-systématisées, à Cagnetto des lésions dégénératives des cordons postérieurs (3), à Bonardi (4) une hypertrophie de la gland
otographie correspond à un très léger déplacement en masse du train postérieur suivant le côté d'inclinaison du tronc; mais ce d
monde s'entend sur la fréquence des scléroses combinées des cordons postérieurs et latéraux, mais les divergences commencent quan
x) ; l'autre formé par une sclérose spé- ciale, limitée aux cordons postérieurs (dégénérescence grise). « La sclérose combinée
dre tout le cordon antéro-latéral et une petite portion des cordons postérieurs . Toujours elle prédomine dans la région dorsale,
est assez dense. « La dégénérescence grise se limite aux cordons postérieurs , qu'elle peut envahir depuis la région lombo-sa
ojanowitch et Rabaud, sauf excep- tion (5), les lésions des cordons postérieurs dans la paralysie générale (i) Histologie de la
mence, paraplégie ; raréfaction des fibres à myéline dans la moitié postérieure des faisceaux latéraux. Drap... Emile, 66 ans,
Pierret. 1. Obs. V. Moelle dorsale. Sclérose tabétique des cordons postérieurs . 8. Obs. VII. - Moelle dorsale. Sclérose des co
ns postérieurs. 8. Obs. VII. - Moelle dorsale. Sclérose des cordons postérieurs dite du tabès in- cipiens. 9. Obs. VI. Moelle
cipiens. 9. Obs. VI. Moelle dorsale. Sclérose tabétique des cordons postérieurs . 10. Obs. XI. Moelle cervicale. Raréfaction des
de décoloration dans les aires pyramidales croisées et les cordons postérieurs . 12. Obs. XI. Moelle lombaire. Raréfaction des
bres à myéline dans les aires pyra- midales croisées et les cordons postérieurs et disparition des fibres des zones de Lissauer
rondes et une dégénéres- cence des fibres à myéline dans la moitié postérieure de la moelle dans l'aire du faisceau fondamenta
avec prédominance au niveau des racines antérieures. Les racines postérieures sont atteintes de névrite parenchymateuse. 210
ordons de Goll et de Burdach de la moelle cervicale. Cette sclérose postérieure per- met de faire de ce cas une sclérose combin
ÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX 211 2e Groupe : Scléroses postérieures . Les trois cas suivants n'ont de lésions médull
rois cas suivants n'ont de lésions médullaires que dans les cordons postérieurs . ' OBS. V. P. G. apparue 6 ans après un tabès c
icales. La moelle présente à l'oeil nu une teinte grise des cordons postérieurs . Le ventricule gauche du coeur est hypertrophié
rtain nombre de tubes nerveux normaux. La zone d'entrée des racines postérieures est également atteinte par le processus dégénérat
riphérique. Les cor- dons antéro-Iatéraux sont normaux. Les cordons postérieurs sont sclérosés dans la plus grande partie de le
grand nombre de fibres respectées (pl. XXXIII, fig. 7). Les racines postérieures sont, comme à la région lombaire, nettement alt
cordons antéro-latéraux sont absolument intacts. Quant aux cordons postérieurs , ils présentent une sclérose très marquée et à pe
e dessiner la virgule de Schultze. Ici, comme plus bas, les racines postérieures sont fortement sclérosées. 4° Bulbe. Une coupe
latéraux sont absolument sains. En revanche, les fibres des cordons postérieurs sont fortement altérées. Leur lésion porte sur un
dégénérées se prolonge en arrière en s'effilant le long de la corne postérieure . 20 Un petit territoire juxta-sulcique qui repr
e zone quelques rares fibres dégénérées. Quant au reste du cordon postérieur (portion à peu près complètement dé- générée),
ne où l'on aperçoit, coupées obliquement, les fibres ra- diculaires postérieures très fortement atteintes par le processus dégénér
cellules embryonnaires. Cette infiltra- tion prédomine à la région postérieure , formant autour des veines comme des manchons ;
antéro-latéraux sont indemnes de toute lésion. Quant aux cor- dons postérieurs , ils sont fortement atteints ; ils présentent de
phie suivante : elles respectent une mince bande le long des cornes postérieures dans presque toute leur longueur et le long de
de Burdach dans sa partie interue (pi. XXXIII, fig. 9). Les racines postérieures sont très altérées. Le canal de l'épendyme est ob
rée de cellules embryonnaires, lésions surtout marquées à la partie postérieure , dans l'espace compris entre les deux racines pos
la partie postérieure, dans l'espace compris entre les deux racines postérieures . Les artères spinales postérieures et les artér
e compris entre les deux racines postérieures. Les artères spinales postérieures et les artérioles méningées ont leurs parois lé
tégrité absolue des cordons antéro-laléraiix. Au niveau des cordons postérieurs un très grand nombre de fibres sont dégénérées.
de la bandelette externe de Pierret. La zone d'entrée des racines postérieures est manifestement altérée. 4° Cerveau. Les coup
dées absurdes de grandeur ; sclérose tabétique ancienne des cordons postérieurs ; méningo-myélite surajoutée. Serv...; 46 ans,
Les artères de la base sont athéromateuses. La sclérose des cordons postérieurs de la moelle est visible à t'oei) nu. Le coeu
Il existe surtout une forte vascularite au niveau du sillon médian postérieur . Weigert-Pal. Les cordons postérieurs sont détr
ite au niveau du sillon médian postérieur. Weigert-Pal. Les cordons postérieurs sont détruits, sauf au niveau des ban- des long
s, sauf au niveau des ban- des longeant le bord interne des racines postérieures ; les racines postérieures n'existent plus, les
des longeant le bord interne des racines postérieures ; les racines postérieures n'existent plus, les racines antérieures sont t
inflammation très marquée des méninges, des racines et des cordons postérieurs , périvascularite dans la substance grise moyenn
ons postérieurs, périvascularite dans la substance grise moyenne et postérieure et légère infiltration des cornes antérieures.
ulaire est nette- ment marquée au niveau de l'émergence des racines postérieures et dans les cordons postérieurs ; elle déborde
niveau de l'émergence des racines postérieures et dans les cordons postérieurs ; elle déborde dans la partie postéro-externe des
ue donnée récemment par Léri (1). En résumé, de ces trois scléroses postérieures , les deux premières ré- pondent à la descriptio
e. De plus elle s'accompagne de méningite chronique an- térieure et postérieure , de périvascularite dans les substances blanche e
tématisation, et d'inflammation certaine avec sclérose de la partie postérieure d'un des cordons latéraux. Aussi ce dernier cas p
ix cas suivants présentent des lésions médullaires dans les cordons postérieurs et les cordons antéro-Iatéraux. 08S. VIII. Tabè
res sacrées. - Pachyméningite hémorrha- gigue. Sclérose des cordons postérieurs du tabès incipiens,méningo- myélite de la moiti
ordons postérieurs du tabès incipiens,méningo- myélite de la moitié postérieure de la moelle dorsale. Chamb.... Louis, 35 ans,
avec en plus un foyer récent de méningo-myélite occupant la moitié postérieure de la moelle. 4. Obs. IX. Moelle lombaire. Sclé
aires pyramidales. 1. Obs. X. Moelle lombaire. Sclérose des cordons postérieurs , à l'exception de la zone de Westphal,du triang
estphal,du triangle de Gombault et Philippe et de la zone marginale postérieure ; sclérose totale des zones de Lissauer. Raréfa
tabes incipiens. 10. Obs. VIII. Moelle dorsale supérieure. Sclérose postérieure du tabes incipiens un peu masquée par les lésio
eu masquée par les lésions diffuses de méningo-myélite de la moitié postérieure de la moelle. 11. Obs. VIII. - Moelle dorsale i
delettes de Pierret et taches disséminées de myélite dans la moitié postérieure de la moelle. Nouvelle Iconographie DE la Salpê
grand nombre de libres à myéline (PI. XXXIV, fig. 10). Les racines postérieures sont également enflammées; leurs ganglions présen
des aires pyramidales et quelques taches décolorées dans la moitié postérieure de la moelle. L'hématoxyline- éosine montre à c
. Ramollissement de la scissure calcarine. - Sclérose des cor- dons postérieurs du tabès incipiens ; dégénérescence descendante d
ue des bandelettes de Pierret et des zones de Lissauer. Les racines postérieures sont très altérées (pl. XXXIV, fig. 2). Dans
ollés les uns aux autres, atrophiés dans leur ensemble. Les cordons postérieurs paraissent gris et translucides. Les poumons
des faisceaux pyramidaux et des bandelettes externes des cor- dons postérieurs , le long du sillon postérieur (face interne des c
s bandelettes externes des cor- dons postérieurs, le long du sillon postérieur (face interne des cordons de Goll), apparaît un
yramidaux qu'elle déborde peut-être un peu en avant; dans le cordon postérieur , une transparence plus grande au niveau des ban
volume moindre,comme dans les pyramides bulbaires; dans les cordons postérieurs , la raréfaction est beaucoup plus grande et va
dans la partie moyenne des cordons de Goll. Les zones radiculaires postérieures et antérieures sont conservées (pl. XXXIV,fig. 5)
XXXIV,fig. 5). Les racines antérieures sont intactes. Les racines postérieures sont altérées d'une façon particulière : des fais
nspection, les aires pyramidales sont altérées ; dans les cor- dons postérieurs , les bandelettes externes sont touchées très larg
ndelettes externes sont touchées très largement ainsi que la partie postérieure et interne des cordons de Goll (pl. XXXIV, fig. 6
réfaction des aires pyramidales atteignant la périphé- rie. Cordons postérieurs sclérosés à l'exception de la zone de Wesphal, du
esphal, du triangle de Gombault et Philippe et de la zone marginale postérieure ; la zone de Lissauer est complètement détruite
e des cordons de Goll, dans la zone de Lissauer et dans les racines postérieures . D'autre part existe, dans toute la hauteur de
re du cordon de Goll. A la région sacrée et lombaire, les racines postérieures sont altérées et pré- sentent de la névrite par
de cellules rondes ; les vaisseaux des sillons médians antérieur et postérieur sont enflammés (péri-artérite et endartérite).
raréfaction des fibres dans les aires pyrami- dales et les cordons postérieurs . Au niveau de la zone de Lissauer, elles ont di
es corps granuleux dans l'espace périvasculaire de l'artère spinale postérieure . 11'issl.- Les cellules nerveuses en état picno
ues corps granuleux dans les gaines péri-vascu- laires de la moitié postérieure de la moelle. Nissl. La plupart des cellules ne
cellules rondes et du pigment sanguin est plus marquée à la région postérieure qu'à l'antérieure. Il existe de la périphlébite e
s du sillon médian antérieur. Weigert-Pal. Il existe une radiculite postérieure parenchymateuse intense. Cette radiculite est f
laire. Dans la moelle sont décolorées la moitié interne des cordons postérieurs et les faisceaux fondamentaux des cordons latér
ffit à éclaircir. Dans les deuxpremiers cas, l'examen des cordons postérieurs aux diffé- rents étages de la'moelle montre les
les bandelettes externes, leur régularité, des lésions des cordons postérieurs décrites par Joffroy et Rabaud. Si l'aspect des
postérieurs décrites par Joffroy et Rabaud. Si l'aspect des cordons postérieurs est identique, il n'en est pas de même pour les
ue et tabétique ont évolué rapidement et simultanément, la sclérose postérieure a tous les caractères topographiques de la sclé
ans ses dégénérescences propres ce qui dans les cordons laléraux et postérieurs dérivait déjà peut- être de l'inflammation méni
de l'inflammation méningo-radiculaire, car les lésions des racines postérieures peuvent à elles seules expliquer la disposition d
iquer la disposition de la dégéné- rescence des fibres. des cordons postérieurs , comme la méningite, qui accompagne ces lésions
érieurs, comme la méningite, qui accompagne ces lésions des racines postérieures , peut entraîner une dégé- nérescence de voisina
tale dont toutes les autres dérivent. Nous avons vu des scléroses postérieures tabétiques. Ce sont des cas identiques aux tabe
des tabes complexes, avec méningite et inflammation de la par- tie postérieure du cordon latéral, comme dans les cas de P. Marie
r s'exprimer au niveau de la moelle et particulièrement des cordons postérieurs que par des lésions pseudo-systématiques répon- .
mme dans certains cas de Klippel, la sclérose tabétique des cordons postérieurs par radicu- lite comme dans certains cas de Nag
hissent sous son poids ; les quatre membres sont parésiés, mais les postérieurs le sont davantage. Pas de paralysie faciale ; l
les circonvolutions de la région périrolandique gauche et la partie postérieure de la 3° circonvolution frontale. Il est permis
cale pla- que jaune de la région rolandique moyenne et de la partie postérieure des 2e et 3e circonvolutions frontales. Chez
e constatée est telle, que le doigt, in- troduit entre les molaires postérieures , peut y être laissé, lorsqu'on ordonne à la mal
ncore dans les cellules du Rattone qui se trouvent dans les racines postérieures de la moelle [Poli (14)]. De même, sur les rap-
s. L'épine de l'omo- plate présente à la partie interne de son bord postérieur une saillie angulaire très nette à sommet posté
ne de son bord postérieur une saillie angulaire très nette à sommet postérieur surtout accentuée du côté malade, et qui ré- po
le, très haute, et présente une perforation punctiforme à sa partie postérieure , perforation qui semble ne pas s'être mo- difié
euses sont normales. On constate une saillie très nette sur le bord postérieur de l'épine de l'omoplate, analogue à celle de l
ter- mine enfin en s'élargissant au niveau de la petite fontanelle postérieure ou lambdoïde, béante et entourant l'extrémité s
uement de haut en bas et de dehors en dedans l'image du gril costal postérieur , plus long à gauche qu'à droite; quant au fragm
Il n'y a pas d'espace fonta- nellaire correspondant à la fontanelle postérieure . L'occipital aplati descend verticalement rejoi
n mise au point. Il est assez curieux de noter que dans les travaux postérieurs à celui de M. P. Marie, la'plupart des auteurs
opsie un muscle sous-clavier hypertrophié qui nais- sait de la face postérieure du ligament remplaçant la clavicule. 7° Quant a
inution de la distance inter- acromiale antérieure par rapport à la postérieure , nous la constatons aussi bien, sinon plus, che
et du bassin. 6° Nous avons constaté la présence au niveau du bord postérieur de l'épine de l'omoplate d'une saillie anormale
avec tous ses caractères. Quelles que soient, du reste, les limites postérieures de la peau frontale, la voûte crânienne fait to
nations classiques de Dérencéphales et de Nosencéphales les limites postérieures de la tumeur ne dépassent guère les limites du
phalique, il est assez difficile de fixer avec précision cette ligne postérieure ; en réalité, d'ailleurs, cette ligne postérieu
ision cette ligne postérieure ; en réalité, d'ailleurs, cette ligne postérieure est tracée sur la peau du dos avec laquelle la
ce cas, en effet, le canal rachidien est largement ouvert, la paroi postérieure faisant dé- faut, comme fait défaut la voûte cr
continué en avant par la substance Fio. 2. Tumeur pseudencéphalique postérieure . 0. S. Limite supérieure de la région occipital
un arc de cercle ouvert en haut. Grâce à cet éta- lement, la partie postérieure de la base du crâne se trouve notablement élargie
DE L'ANENCÉPHALIE 361 que dans la moitié antérieure; dans la moitié postérieure , la suture métopique semble assez large et marq
ant un triangle isocèle dont la petite base s'articule avec le bord postérieur du coro- nal, tandis que le sommet opposé va re
362 RABAUD constitue un toit complet, n'ayant qu'une ouverture, postérieure , ménagée à travers les éléments de l'occipital.
s planes vaguement triangulaires reposant sur le sphénoïde. Le bord postérieur du coronal s'articule avec les deux pariétaux, de
ensemble constitue un cercle complet délimitant une large ouverture postérieure du crâne. On remarquera que l'écaille est sensi
t tandis que le bord antérieur s'articule avec le pariétal, le bord postérieur est libre. Les bords postérieurs des deux os sy
'articule avec le pariétal, le bord postérieur est libre. Les bords postérieurs des deux os symétriques vont ainsi en divergeant
uvent séparés par une distance de quelques centimètres. L'ouverture postérieure délimitée de la sorte est suffisamment large ;
de la moelle. M. moelle.- V.a. vaisseaux antérieurs. V.p. vaisseaux postérieurs . E.m.méninge épaissie. PATHOGÉNIE DE LA PSEUD
débordent et proéminent à l'extérieur de la méninge. Dans la moitié postérieure , le calibre des vaisseaux est sensi- blement pl
ils sont serrés les uns contre les autres. C'est dans cette région postérieure que se marque surtout la prolifération ébauchée s
la gaîne vasculaire est t très accentuée; mais c'est sur la moitié postérieure que porte principalement l'accentuation. Dans c
points : au niveau du sillon antérieur et un peu à gauche du sillon postérieur (v. fig. 10); la pénétration est peu importante
- mère. La multiplication vasculaire est rapide surtout à la partie postérieure . Là, les vaisseaux constituent une couche sur p
n'est encore que peu touchée. On observe toutefois, dans sa moitié postérieure , les premières traces d'infiltration leucocytai
parois. R. Racines nerveuses. M. Moelle. - Vpc.Couche des vaisseaux postérieurs . 374 RABAUD la moelle est accompagné d'un cer
ningé au très mince tractus conjonctif qui se trouve dans le sillon postérieur . La propagation marche lentement : la multiplic
issement de leurs parois est déjà fort avancé, alors que le tractus postérieur est encore peu atteint. Dans les segments inférie
'existence de-cellules conjonctives libres aux environs de la paroi postérieure de l'épendyme, parfois même cette paroi est envah
au, le processus devient beaucoup plus net ; la cloison conjonctive postérieure ac- quiert une épaisseur mesurable ; elle renfe
eur et qui viennent s'épanouir en un bouquet au contact de la paroi postérieure de l'épendyme. Cette paroi est détruite sur une
it pro- gressivement,ainsi que le tractus qui le relie à la méninge postérieur ; dans les segments les plus élevés de la moell
enne, la progression ne dépasse pas cependant l'étendue des cordons postérieurs . 1 Un autre processus intervient, qui est infin
Bouchon conjonc- tif. P. v. Pénétration vasculaire. - M. p. Méninge postérieure . 376 RABAUD d) Nature des lésions. Telle est,
indiqué que le tissu conjonctif embryonnaire qui envahit le septum postérieur atteint la paroi postérieure du canal épendymaire
ctif embryonnaire qui envahit le septum postérieur atteint la paroi postérieure du canal épendymaire, l'effon- dre, traverse la
toute cohérence. On ne reconnaît plus, ni sillon antérieur ni sillon postérieur ni canal de l'épendyme, ce sont des fragments d
veau on observe encore, avec'une certaine netteté, quelques racines postérieures ce fait a une signification sur laquelle nous a
. M. Moelle. - Ep. Ependyme. - Pm. Pie-mère. - Vp. Gaine vasculaire postérieure . - Dm. Dure-mère. Rp. Racines postérieures. Rc.
e. - Vp. Gaine vasculaire postérieure. - Dm. Dure-mère. Rp. Racines postérieures . Rc. Revêtement cutané. Gg. Ganglion rachidien.
l rachidien ouvert. Ces faisceaux nerveux appartiennent aux racines postérieures , ainsi que le démontre leur situation et les re
insi que le montre l'examen du tissu cérébral, les nerfs rachidiens postérieurs se trouvent encore indemnes ou quasiment indemn
moelle. Cellule avec granulations et réseau de névroglie. D. Partie postérieure d'une corne postérieure de la moelle. E. Racine
nulations et réseau de névroglie. D. Partie postérieure d'une corne postérieure de la moelle. E. Racine rachidienne; coupe long
de maladies fami- liales spastiques. Touchant surtout les cordons postérieurs et accessoirement le cervelet, elle produirait
assin réduit extérieure- ment àsa surface squelettique; les muscles postérieurs de la cuisse sont atro- phiés complètement, d'o
n conservées, tandis que celles des muscles du bassin et de la face postérieure de la cuisse sont disparues complètement ; les mu
orme, les mucles fléchisseurs ne forment plus aucun relief. La face postérieure est si atrophiée, qu'on ne voit plus aucun relief
lets ont disparu complètement, de sorte que la convexité de la face postérieure de la jambe est remplacée par une surface plane
e de l'avant-bras. Au lieu de la concavité des faces antérieures et postérieures nous avons maintemant des dépressions. Les musc
s abondants, la jambe sur toute sa surface et la cuisse sur la face postérieure sont recouvertes de poils abondants et longs. L
, et aux membres inférieurs elle a disparu entièrement. Sur la face postérieure du tronc, on constate une diminution de l'excitab
rs que chez l'enfant normal de deux ans ses portions antérieures et postérieures sont encore séparées par du cartilage. Il y a sou
e, l'os basilaire fortement incliné entraîne le rocher dont la face postérieure devient verticale, tandis que la fosse occipitale
te, cachée sous un cràne volumineux, est portée en arrière. Le bord postérieur du maxillaire supérieur esta 30 millimètres de la
bord post. du vomer. Petitesse de la voûte palatine et de l'orilice postérieur des fosses nasales. Nota. - On se rendra mieux
, avait 2,1 centimètres du bord antérieur du trou occipital au bord postérieur du vomer (au lieu de 3 3/4 cent.); enfin la voû
de 3 3/4 cent.); enfin la voûte palatine était petite et l'orifice postérieur des fosses nasales très rétréci (voy. PI. LUI,
avant en arrière. D'où le rétrécissement marqué du diamètre antéro- postérieur du détroit supérieur. Tous les diamètres du détro
terrompues par des étranglements et siégeant uniquement sur la face postérieure . -Ossification du crâne incom- plète, os séparé
de renflements rachitiques, mais présentent souvent, sur leur face postérieure , soit en avant, soit près de l'angle postérieur
ent, sur leur face postérieure, soit en avant, soit près de l'angle postérieur , de petites nodosités (Hecker) de petites perle
a demi-circonférence antérieure = 31 cent. 4. La demi-circonférence postérieure =20 cent. 5. La circonférence antéro-postérieure
0 cent. 5. La longueur du bord interne du pied du milieu de la face postérieure du calcanéum jusqu'à l'extrémité du gros orteil
que la deuxième rangée des os du carpe se trouve luxée dans un plan postérieure à la première rangée. Métacarpe. Le métacarpe e
ne courbure latérale qui rend plus voisines les épiphyses. Luxation postérieure et interne de son extrémité supérieure, et luxa-
ns les premières périodes, lorsque le péroné est placé dans un plan postérieur , cette péné- tration s'est formée en rapport av
ostérieur, cette péné- tration s'est formée en rapport avec la face postérieure du fémur. L'extrémité inférieure du péroné, lux
éroné infléchi, pro- fondément enchâssé supérieurement dans la face postérieure du fémur, et avec son extrémité inférieure au n
oteur et le piriforme, les noyaux de Goll et de Burdacli, le cordon postérieur sont normaux. Toutes ces formations sont plus p
tes ces coupes le lobe central, les lobes quadrilatère antérieur et postérieur , les lobes semi-lunaires supérieur et inférieur
. En général, le feutrage sous-lobaire est très pâle dans la moitié postérieure des hémisphères. Sur une coupe passant immédiat
telé le feutrage sous-lobaire se maintient plus pâle dans la moitié postérieure et les axes des différents lobes et lobules (ar
de nombre.Le grand entrecroisement commissural du vermis, la partie postérieure des fibres semi- circulaires externes et le feu
pyramidale est aussi un peu décolorée dans les fascicules les plus postérieurs . Au niveau de la région protubérantielle supé-
accompa- gnée ou non de symptômes de sclérose latérale,de sclérose postérieure ou de symptômes de méningo-encéphalite,est une
'en laissant tomber le bras le long du corps. Si on pince la région postérieure du bras, c'est à peine si on a la sensation d'un
thénar, très atrophiée, est relativement mieux conservée. A la face postérieure , les interosseux sont tous atrophiés, surtout ceu
ces de même nature se rencontrent à la face antérieure et à la face postérieure des cuisses et sur les fesses. La palpation d
régulier, raboteux, avec une grosse exostose à la région moyenne et postérieure . Même lésion, mais encore plus accentuée du cub
tissu de la pie-mère, débute dans la région correspondant au sillon postérieur . De cela, nous pou- vons inférer que là, point
ar suite, à augmenter la capacité crânienne aux dépens de sa partie postérieure . Le cerveau ainsi refoulé, butte contre l'occipit
téralement ; leur face interne (ou antérieure), devenue externe (ou postérieure ), se dispose sur le même plan que la face posté
e externe (ou postérieure), se dispose sur le même plan que la face postérieure du corps vertébral et forme avec ce der- nier u
sse exostose de, l'extrémité supérieure du tibia occupant les faces postérieure et interne de cet os, fait une énorme saillie.
t étalée et présente une surface des plus irrégulières. Sur la face postérieure de la dia- physe osseuse, il s'est formé, entre
ure 25 centimètres ; le trausverse 33 centimètres, et son extremité postérieure va jusqu'à l'os sacrum : circonférence totale :
deux yeux (irido-choroïdite bilatérale avec formation de synéchies postérieures et cataracte secondaire). Peut-être y a-t-il du
MEUR CÉRÉBRALE PAR EMPYÈME VENTRICULAIRE 653 La corne ventriculaire postérieure contient une grande quantité de pus dont la pré
i d'une défor- mation vertébrale à siège dorso-lombaire à convexité postérieure , portant sur quatre ou cinq vertèbres. Cette cy
let 1903). 2o Sur la régénération, chez les amphibiens, des membres postérieurs et de la queue en l'absence du système nerveux
cad. des sciences, 9 nov. 1903). 2° Sur la régénération des membres postérieurs chez l'axolotl adulte après ablation de la moel
éningée. On trouve parfois alors, dans le canal rachidien, les nerf postérieurs , seuls restes de l'axe spinal (Anencéphales des
3 juillet 1903. Sur la régénération chez les amphibiens des membres postérieurs et de la queue en l'absence du système nerveux.
Académie des Sciences, 9 nov. 1903. Sur la régénération des membres postérieurs chez l'Axolotl adulte après ablation de la moel
27 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
ent, il a mentionné un cas de syringomyélie dans lequel les cordons postérieurs ont été trouvés dégénérés. Or, du vivant du suj
le, jusqu'à l'extrémité supérieure du segment lombaire. Les cordons postérieurs étaient dégénérés dans la moitié supérieure du
que la syringomyélie débute géné- ralement dans la commissure grise postérieure , en arrière du canal cen- tral, quelquefois aus
au. Elle envahit d'abord la substance grise centrale, puis la corne postérieure qu'elle peut détruire en totalité. En étendant
e aux cornes antérieures, aux faisceaux antero-laléraux, aux cornes postérieures et aux cordons postérieurs ; ces diverses localis
x faisceaux antero-laléraux, aux cornes postérieures et aux cordons postérieurs ; ces diverses localisations du processus nous
chaud et au froid, rend vraisem- blable l'envahissement des cordons postérieurs par le processus cavitaire. Ainsi, dans le prem
sie, indépendamment de formations cavitaires dans les deux cor- nes postérieures , une destruction complète des cordons postérieurs
es deux cor- nes postérieures, une destruction complète des cordons postérieurs dans le segment cervical, au point qu'à ce nive
térieurs dans le segment cervical, au point qu'à ce niveau la paroi postérieure de la ca- vité syringomyélitique était formée p
ion publiée par les mêmes auteurs, l'autopsie a montré que la corne postérieure droite était détruite, et que le cordon postéri
ré que la corne postérieure droite était détruite, et que le cordon postérieur droit était sclérosé et en partie désorganisé.
clérosé et en partie désorganisé. Dans le cas d'IIomen, les cordons postérieurs étaient envahis par des îlots de gliomatose ind
nt je vous parlais tout il l'heure, le dernier en date, les cordons postérieurs étaient comprimés et, déplus, envahis par une d
dans le cas de Schuppel, la substance grise centrale et les cordons postérieurs manquaient totalement sur une cer- taine étendu
endue. L'auteur qui a le mieux étudié -la participation des cordons postérieurs au processus de la syringomyélie, Schlesinger (
atose, à sa- voir : ' 1° La partie contiguë à la commissure grise postérieure ; 2° Les portions du cordon de Goll adjacentes
a région cervicale, a sectionné à peu près complètement les cordons postérieurs . ' La lésion est-elle limitée à la substance gr
t qui a précédé l'atrophie musculaire; la participation des cordons postérieurs nous expliquerait de même les caractères de l'ane
re l'abolition de la sensibilité tactile et la lésion des cor- dons postérieurs un rapport aussi constant qu'on serait enclin à l
tait désorganisée par la néoplasie. Par places, la lésion du cordon postérieur était plus prononcée à gauche qu'à droite. Or l
-elles susceptibles d'entraîner après elles la sclérose des cordons postérieurs . D'après un travail récent inspiré par M.Pitres (
ger état d'ébriété). Cette bjennorrhagie se compliqua d'uré- thrite postérieure et de cystite du col, confirmée par de la douleur
ressent entre les deux épaules ; les musclos de la région cervicale postérieure sont contracturés et cet opisthotonos s'accompa
s; l'arachnoïde présente dans toute sa hauteur, sur- tout à la face postérieure , de nombreuses petites écailles blanches, dures,
e, l'autre droite, FIG. 13. Moelle cervico-dorsale, vue par la face postérieure . On voit par transpa- rence les tumeurs T et T'
ru ; son siège correspondrait au centre même de la tumeur; la corne postérieure gauche est refoulée très notablement en arrière e
tit aux racines sensitives. Les deux sillons médians an- térieur et postérieur sont fortement déjetés de celé; le premier fait u
e de la tumeur en la contour- nant avec ce qui subsiste de la corne postérieure gauche. 58 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRI
e droite, détruisant la corne anté-' rieure, une partie de la corne postérieure , les .faisceaux pyramidaux di- rect et croisé,
ux pyramidaux di- rect et croisé, refoulant l'extrémité de la corne postérieure et le cordon de Burdach, adhérant enfin par un
ans GOMME SYPIIILITIQUE DOUBLE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 61 la moitié postérieure de la gaine des méninges, elle se présente sous s
n au-dessous de la tumeur la plus basse, on retrouve dans la région postérieure , un épaississement et une infiltration embryonn
e surcoloration. Autour de la moelle, dans les sillons antérieur et postérieur et surtout autour des racines, une bande violet
cellulaires d'inflammation périartéritique. 1 Les artères spinales postérieures , moins malades que la précédente, ont subi cepe
antérieure est déjà oblitérée par l'endar- térite, les deux artères postérieures ne présentent qu'une légère infiltration embryo
la pie- mère dans le voisinage du vaisseau. / , La veine spinale postérieure , quel que soit le niveau considéré, a subi des
remarquablement farcies d'éléments embryonnaires. La veine spinale postérieure apparaît dès les coupes inférieures, avec de gr
réaction inflammatoire intense du processus local. Les faisceaux postérieurs sont les moins atteints; dans l'étage des tu- m
one pâle symétriquement disposée sur les flancs internes des cornes postérieures et en arrière de la commissure. A ce niveau la
lérose conjonctive. Les cordons de Goll, au moins dans leur portion postérieure , sont sains. Au-dessus des tumeurs, en fait de
s, laissant à leur place une logelte vide dans la coupe. Les cornes postérieures sont les parties de l'axe gris qui ont le moins-
dégénérescence ne les avait point encore atteints. 9 Les racines postérieures ne présentent pas de signes de dégénérescence;
xtaspinaux. L'infiltration embryonnaire ne respecte pas les racines postérieures , mais s'y montre moins intense : ses voies de p
un point limité, respectant les faisceaux pyramidaux et le cor- don postérieur , dont l'altération aurait déterminé de bonne heur
oitié correspon- dante du corps et par sa diffusion vers les cornes postérieures et l'angle antérieur du cordon postérieur, l'an
ffusion vers les cornes postérieures et l'angle antérieur du cordon postérieur , l'anesthésie du côté opposé, au-dessous de la
rents conducteurs sensitifs : colonne de Clarke, colonne des cornes postérieures , faisceaux commissuraux variés des cordons posté-
che); en outre, la tumeur T, par sa diffusion dans la colonne grise postérieure ,interrompt au niveau de la 1" paire dorsale la
nt sensitif des fibres émanées des racines se fait dans les cordons postérieurs et la commissure grise, au-dessus du point d'en
ent (et les coupes nous montrent en effet qu'à ce niveau, le cordon postérieur était à peine atteint), mais nous remarquons qu'e
e notre lésion, les portions médianes et pos- térieures des cordons postérieurs sont relativement respectées; ce sont les parti
médiatement dans l'angle qui sépare la corne antérieure de la corne postérieure . Cette plaque sclé- reuse s'étendait sur une ha
moelle, particulièrement dans la région des cordons et des racines postérieurs . Près du sillon longitu- dinal postérieur.forte
s cordons et des racines postérieurs. Près du sillon longitu- dinal postérieur .fortes productions fibreuses, nombreuses cellules
ion des noyaux dans les cordons qui bordent des 2 côtés le sil- lon postérieur . Dans la profondeur du sillon, productions fibreu
e médullaire est grisâtre. La dure-mère est épaissie dans la partie postérieure de la moelle. Ostéochondrites syphilitiques des
ÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 85 tenu et siégeant dans les cordons postérieurs et dans les commissures blanche et grise. La su
ance de la corne grise antérieure dans sa partie la plus interne et postérieure . A gauche, dans un point homologue, existe un d
oyers- multiples, endartérite oblitérante, dégénération des cordons postérieurs , hydromyélie, dégénération des cellules ganglionn
re qui, de la commissure blanche antérieure, s'étend jusqu'au tiers postérieur des cordons de Goll. Le canal est revêtu de l'é
par de la névroglie avec très peu de fibres nerveuses. Les cordons postérieurs sont sclérosés. La substance grise des divers seg
mmédiatement au-dessus du dédoublement, les 2 sillons antérieurs et postérieurs sont très voisins et le canal central est déjà di
la substance cartilagineuse. En résumé « Dégénérescence des cordons postérieurs , hydromyélie, 88 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SA
as,entre les altérations vasculaires, la dégénérescence des cordons postérieurs et celle des cellules des cornes grises., - L
ntre, clans la région cervicale, une coloration diffuse des cordons postérieurs de la moelle. Dans la région thoracique, seuls
vahis les cordons cunéiformes. Dans la région lombaire, les cordons postérieurs sont sains. De plus, on note dans la région cervi
que l'ai- guille était transversalement plantée à l'union du tiers postérieur et du tiers moyen du cinquième métacarpien. Res
, en partie par la compression secondaire. Ainsi pour les cordons postérieurs qui étaient,de la même façon, intéressés dans t
s cornes antérieures; il y avait une légère infiltration des cornes postérieures . Malgré l'énorme épaississement de la pie-mère,
ession brusque, de plus l'exagération de la courbure dorsale paraît postérieure d'un an à l'apparition de la paraplégie; les mé-
t modérément douloureuse. Cicatrices cutanées. La peau de la région postérieure du tronc est parse- mée de cicatrices. A la r
pille optique est ac- compagnée à chaque oeil d'un large staphylome postérieur en forme de croissant - situé au côté externe d
du corps semble porter sur le bord interne du pied, vers sa partie postérieure . Là, d'ailleurs, s'est formée une bourse séreuse
estruc- tion des tympans et des osselets et, à gauche, sur la paroi postérieure de la caisse, un petit point suppurant dû à un
e, de la collection Thiers, sont pourvus de bos- ses antérieures et postérieures qui peuvent reconnaître la môme origine. (1) Un
seurs, par la flaccidité des aponévroses poplitées et des ligaments postérieurs de l'articulation. Dans la figure 1, cette attitu
ement spontané, il provoque une dou- leur vive, localisée à la face postérieure du membre, étendue jusqu'au pied, et due à l'él
qu'à gauche on peut faire les observations suivantes : 1° La partie postérieure de la formation de la corne d'Ammon est restée
l'instila de Reil n'a pas subi d'altérations, tandis que la partie postérieure , qui correspond à la surface supérieure du lobe
isi- ble par les rides qui se trouvent dans la partie inférieure et postérieure du lobe pariétal. Pour une moindre part la caus
rce cérébrale. z On peut encore observer que la flexion delà partie postérieure de 1'lié- Fiv. 22. Coupe frontale en arrière
nes de ces dernières montrent des contours mal définis. La partie postérieure de l'hémisphère gauche ne présente aucune ano-
médiatement dans l'angle qui sépare la corne antérieure de la corne postérieure . Cette plaque scléreuse s'étendait sur une haut
moelle, particulièrement dans la région des cordons et des racines postérieures . Près du sillon longitudinal postérieur, fortes
es cordons et des racines postérieures. Près du sillon longitudinal postérieur , fortes productions fibreuses, nombreuses cellu
on des noyaux dans les cordons qui bordent des deux côtés le sillon postérieur . Dans la profondeur du sillon, productions fibr
e est grisâtre. La dure-mère épaissie principalement dans la partie postérieure de la moelle. » Le troisième cas est encore plu
state dans la région cervicale une colo- ration diffuse dos cordons postérieurs ; dans la région thoracique, les cordons cunéif
dons cunéiformes seuls sont pris. A la région lombaire, les cordons postérieurs sont intacts. Il existe de plus dans la région
is, vitreux, gris blanc; dans la partie inférieure- c'est le cordon postérieur également du côté droit qui pré- sente ce même
re est très élargie, son épaisseur surtout au voisinage des cordons postérieurs est de 3 il 4 millimètres. En certains points ell
pie-mère, comme l'ar- tère spinale antérieure, les artères spinales postérieures et les veines y atte- nant présentent dans leur
pta chargés de cellules rondes. C'est surtout au niveau des cordons postérieurs clans les parties moyenne et inférieure de'la m
passe pas la substance blanche. Il faut remarquer que les cordons postérieurs sont, dans toute l'étendue de la moelle, le siè
etée de côté et a ainsi subi des déplacements variables. Les cornes postérieures sont rejetées en haut, le sillon longitudinal p
s cornes postérieures sont rejetées en haut, le sillon longitudinal postérieur est déplacé vers la droite ; en d'autres points
térieur est déplacé vers la droite ; en d'autres points, les cornes postérieures sont très écartées par une énorme tuméfaction co-
petites portions mentionnées plus haut à la périphérie de la corne postérieure droite dans la région dorsale moyenne et lombai
, se trouvent les sections transversales des racines antérieures et Postérieures . Çà et là seulement les fibres nerveuses des ra
dimensions variées, privées de contenu et siégeant dans les cordons postérieurs et dans les commissures blan- che et grise. La
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE antérieure dans sa partie la plus interne et postérieure . A gauche dans un point homologue existe un div
re qui, de la-commissure blanche antérieure, s'étend jusqu'au tiers postérieur des cordons de Goll. Le canal est revêtu de l'é
ée par de la névroglie ou très peu de fibres nerveuses. Les cordons postérieurs sont sclérosés. La substance grise des divers seg
atement au-dessus du dédoublement, les deux sil- lons antérieurs et postérieurs sont très voisins et le canal central est déjà di
, a de plus avec les mêmes caractères la dégénérescence des cordons postérieurs ; le 3e le dédoublement partiel de la moelle et ég
t partiel de la moelle et également la dé- générescence des cordons postérieurs . La même année lloeltigel'('l) publie l'observa
blement à la hauteur du renflement lombaire surtout sur les cordons postérieurs pour atteindre à la portion supérieure de la moel
s s'étendent, entourées de toutes parts, les racines antérieures et postérieures . Les racines des renflements lombaire et cervic
ntérieurs sont normaux, d'autres et la majeure partie des faisceaux postérieurs sont atteints en ce que le périuèvre est élargi
ment cer- - vicia) qu'on trouve quelques faisceaux dans les racines postérieures qui pré- sentent des processus dégénératifs plu
ce blanche sont considérablement agrandis, surtout dans les cordons postérieurs et la moitié postérieure des cordons latéraux.
blement agrandis, surtout dans les cordons postérieurs et la moitié postérieure des cordons latéraux. A part les exceptions que n
en le caractère oedé- mateux. En de nombreux endroits des cordons postérieurs et latéraux, l'infiltration nucléaire devient s
lle avait. Nous trou- vons le premier de ces cônes dans les cordons postérieurs de la partie inférieure de la moelle lombaire,
ont épars dans toute la hauteur de la moelle, tantôt dans un cordon postérieur seulement, tantôt dans l'autre, tantôt limités
ôt limités à la périphérie, tantôt s'avançant jusqu'à la commissure postérieure de la substance grise centrale ; d'autres encor
ceux de la périphérie, en particulier dans les cornes et les cordons postérieurs . Un des plus gros se trouve dans le cordon post
les cordons postérieurs. Un des plus gros se trouve dans le cordon postérieur gauche, à 9 centimètres au-dessus du filum term
us ou moins malades. Les parties les plus altérées sont les cordons postérieurs , et dans les cordons latéraux les zones périphéri
atéraux les zones périphériques et celles qui avoisinent les cornes postérieures . Le cordon postérieur droit est beaucoup plus m
ériques et celles qui avoisinent les cornes postérieures. Le cordon postérieur droit est beaucoup plus malade que le gauche. C
qui sépare le groupe de la racine antérieure et celui de la racine postérieure . La dure-mère est d'épaisseur variable : elle e
e posté- rieure du corps vertébral, recouvert par le grand ligament postérieur , mais elle est toujours séparée il moins d'épai
toujours séparée il moins d'épaississement pathologique de la paroi postérieure du canal. Lorsque la coupe rencontre les racines
al, montrent les antérieures toujours beaucoup plus foncées que les postérieures . Chaque fascicule contient un ou plu- sieurs va
ns son intérieur. La pie-mère est mince, elle envoie dans le sillon postérieur un prolon- gement peu visible qui réunit les de
retrouvons et avec les mêmes caractères soit dans la veine spinale postérieure ; soit surtout dans les vaisseaux du système pos
te tout autour de la moelle elle est surtout marquée dans la partie postérieure , le processus néoplasique ne forme pas un cercl
s avons décrite pour le processus général, très épaisse à la partie postérieure elle s'amincit sur les côtés mais ne dépasse pa
les côtés mais ne dépasse pas les limites de la demi-circonférence postérieure de la moelle, celle-ci rejetée en avant et de c
lé en avant un certain nombre de faisceaux radiculaires des racines postérieures mais le plus grand nombre a disparu englobé, dé
axe spinal, encore les lésions y sont-elles considérables, la corne postérieure , et un cordon la- étant complètement dégénérés,
place que les filets nerveux, dans la pie-mère où la veine spinale postérieure s'étend en demi-cercle jusqu'à la rencontre des
- ment sur le tissu conjonctif voisin. Au niveau du sillon médian postérieur de la moelle, à l'insertion du sep- tum, deux d
ux gorgés- de sang. Sur une coupe, en particulier, le septum médian postérieur présente une dilatation vasculaire considérable,
eu à peu apparaît au niveau de la région dorsale moyenne, à la face postérieure de la moelle, nettement séparée d'elle cependant,
CERVICALE.- La moelle est petite, très aplatie dans le sens antéro- postérieur , il est facile à l'aeil nu de reconnaître l'épais
de Lissauer, ovalaire, il grand axe dirigé dans le sens de la corne postérieure elle-même, elle est plus étroite dans la moitié a
ssus de périvascularité, l'endothélium n'est pas altéré. La veine postérieure est libre, bien isolée des parties voisines, niai
on de T'épaule que siège le mal, en arrière, au niveau des attaches postérieures du deltoïde, et nous voyons qu'il a fallu faire
ace antérieure de la cuisse le sont plus que les muscles de la face postérieure . La paralysie atteint son apogée en l'espace de
droit présente une perte de substance considérable de tout son lobe postérieur , surtout du côté de la face interne ; sur la face
les cellules de la corne antérieure, la colonne de Clarke, la corne postérieure ; la substance blanche est réduite à quelques l
u de l'émer- gence des racines antérieures el près du sillon médian postérieur . A l'aspect ordinaire du tissu médullaire se su
e par une déchirure oblique à droite qui coupant le col de la corne postérieure vient mourir dans la substance blanche de ce cô
ro-interne de la corne antérieure et quelques parcelles de la corne postérieure . r Des noyaux très abondants réunis en lignes s
ec le tissu médullaire -dans tout le segment s'étendant des racines postérieures au niveau du diamètre transversal de la moelle.
en rapport avec le tissu dégénéré dont nous allons parler, la corne postérieure est presque totalement dégénérée elle- même, en
uetés à la périphérie, envahis par les cellules rondes, les cordons postérieurs sont normaux et sains, mais les cordons latérau
ouve que sur peu de coupes, et qui siège dans le milieu du cor- don postérieur . N Queue de cheval. Ici il redevient impossible
érable et un autre très marqué aussi à l'insertion du septum médian postérieur . L'arachnoïde est mince, la dure-mère très épai
la pie-mère et l'arachnoïde, l'hémorrhagie est limitée à la région postérieure , elle ne dépasse pas en avant les limites des cor
on postérieure, elle ne dépasse pas en avant les limites des cornes postérieures . On reconnaît seulement la pie-mère qui est min
ttement une bande assez mince demi-circulaire inscrivant le contour postérieur de l'axe ner- veux, blanche, un peu plus terne
dent. La dure-mère très épaisse est confondue en avant avec la face postérieure du corps vertébral, en arrière avec l'espace ex
s et sinueuses creusées dans la pie-mère. Les vaisseaux des groupes postérieurs et latéraux, sont moins atteints bien que leurs
ssis, leurs tuni- ques sont infiltrées de cellules rondes. La veine postérieure est encore plus atteinte, le processus embryonn
paru dans la néoformation gommeuse. Il en est de même des racines postérieures , celles-ci cependant n'ont pas dis- paru tout e
ÉDITAIRE 361 La dure-mère confondue en avant avec le grand ligament postérieur est telle- ment refoulée par la tumeur qui est
tervalles laissés libres par les racines anté- rieures, les racines postérieures sont au contraire bien distinctes, bien isolées,
e vers la partie tout à fait médiane de l'espace sous- arachnoïdien postérieur , au niveau des vaisseaux postérieurs. Les vaiss
de l'espace sous- arachnoïdien postérieur, au niveau des vaisseaux postérieurs . Les vaisseaux ne sont pas absolument sains, il
ffu- ses leurs limites périphériques. Au contraire la veine spinale postérieure est invisible, elle est complètement disparue s
uble, bien arrondie, pleine de sang. De même pour veines spi- nales postérieures , et vaisseaux radiculaires. Observation XXIIi,
milieu d'une masse à injec- tion. Au niveau de la partie médiane et postérieure l'espace sous-arachnoïdien est ainsi absolument
ses parties ; la prédominance des lésions au ni- veau de la région postérieure , qu'il s'agisse de lésions médullaires pro- pre
rès distinctes et nette- ment tranchées. , A l'annulaire, la zone postérieure basale est d'une teinte uniformément jau- nâtre
température) dans les régions suivantes : 1° Faces antérieure et postérieure de la main, des deux tiers inférieurs de l'avan
antérieure de l'avant-bras gauche; moitié interne de toute sa face postérieure . En avant, l'anesthésie est encore coupée en ma
28 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
tue, la partie antérieure étant beaucoup moins volumineuse que la postérieure . La surface de l'organe est à peu près normale.
. Légère eschare au talon droit, et sur chaque jambe, à la partie postérieure du mollet, eschare de l'étendue d'une pièce de
ues soit au niveau des cordons latéraux, soit au niveau des cordons postérieurs , d'une façon d'ailleurs très irrégulière. Exa
ulaire 16 PATHOLOGIE NERVEUSE. (coude de la capsule) et son angle postérieur . Dans le sens antéro-postérieur ces traînées oc
irigé de la couche optique vers le noyau lenticulaire ; l'autre (la postérieure ), moins étendue aussi bien dans le sens antéro-
noyau lenticulaire dans un point corres- pondant à l'union du tiers postérieur avec les deux tiers anté- rieurs du bord intern
e du noyau lenticulaire (compris entre l'an- gle interne et l'angle postérieur de ce glanglion). La surface occupée par ce gro
ue situé environ à l'union du tiers anté- rieur avec les deux tiers postérieurs , et dans le sens trans- versal un peu en dedans
ALE AMYOTROPH1QUE. 19 normal. Au contraire, les fibres radiculaires postérieures étaient très belles. Dans les cordons de Goll
ne zone siégeant à l'union de la moitié anté- rieure avec la moitié postérieure du faisceau de Goll, près de la ligne médiane,
ésion, elle se trouve un peu en avant de la partie moyenne du tiers postérieur de la capsule interne. La capsule interne gauch
iège cette lésion est située à l'union du tiers moyen avec le tiers postérieur , empié- tant plutôt un peu sur celui-ci. Moel
es fibres nerveuses y sont moins nombreuses, surtout près du sillon postérieur il l'union du tiers postérieur avec les deux ti
s nombreuses, surtout près du sillon postérieur il l'union du tiers postérieur avec les deux tiers antérieurs. Rien à signal
xternes des cornes antérieures jusqu'au point de sortie de la corne postérieure ; au niveau du faisceau pyramidal croisé proprem
e assez nombreux dans les faisceaux cérébelleux. Dans les cordons postérieurs , et notamment dans la partie sclérosée des fais
e quelquefois en très petit nombre dans l'interstice entre la corne postérieure et le cordon postérieur, mais toujours ils sièg
it nombre dans l'interstice entre la corne postérieure et le cordon postérieur , mais toujours ils siègent dans les espaces pér
arties du faisceau antéro-latéral. Sclérose assez nette des cordons postérieurs formant dans chacun de ceux-ci une N dont l'ext
t l'extrémité libre du jambage externe aboutit au coude de la corne postérieure , tandis que le jambage interne se prolonge à so
ne longueur égale à lui-même et constitue ainsi une ligne antéro- postérieure située dans le cordon de Goll, et aboutissant par
corps granuleux dans les cornes posté- rieures ni dans les cordons postérieurs . Moelle lombaire. La sclérose occupe très nette
ERALE AMYOTROPHIQUE. 29 Dans les cordons de Goll, le long du sillon postérieur , légère teinte de sclérose ; il y a aussi quelq
e trainée dirigée de dedans en dehors, et située à l'union du tiers postérieur avec les deux tiers antérieurs de ces faisceaux
scopique, on trouve une dégé- nérescence grise occupant les cordons postérieurs dans toute l'étendue de la moelle. Cavafy3, a
PÉRIMENTALE. constata une dégénérescence très accusée des cordons postérieurs de la moelle. Nicoladoni élongea les quatre ner
sale jusqu'à la région lombaire. Dégénérescence grise des cordons postérieurs . Sclérose des parois des vais- seaux sanguins.
ite par le professeur Klebs montra une sclérose typique des cordons postérieurs de la moelle, une hémorragie sous les méninges
orme triangulaire, de coloration gris jaunâtre occupant les cordons postérieurs . Ces derniers étaient un peu atrophiés. Les rac
ons postérieurs. Ces derniers étaient un peu atrophiés. Les racines postérieures de la queue de cheval étaient plus minces que d
éger épaississement des méninges ; une dégénérescence des cordons postérieurs , principalement près des cornes postérieures; p
érescence des cordons postérieurs, principalement près des cornes postérieures ; peu de fibres nerveuses normales. Des deux côt
onctif dans les cordons la- téraux. La dégénérescence des cordons postérieurs et la- téraux était symétrique des deux côtés.
le : Au niveau du dixième nerf dorsal la substance grise des cornes postérieures et antérieures est normale. Dégénérescence diff
e nerf dorsal. La dégénérescence occupait principalement le segment postérieur du faisceau de Goll, dont le segment antérieur
moins altéré. L'altération se retrouvait au voisinage de la corne postérieure . Cette dernière contenait par place un développ
e dorsale, l'hyperesthésie causée par cette lésion dans le membre postérieur du côté correspondant s'est augmentée après l'é
ous les animaux soumis à ces expériences, il y a eu, dans le membre postérieur où l'élongation du nerf sciatique il été faite,
qui, du côté sain, répond au tra- jet intro-médullaire des racines postérieures . Le faisceau de Goll fut trouvé atrophié, la co
trouvé atrophié, la corne anté- rieure étroite et aplatie. La corne postérieure était devenue conique, et ses faisceaux nerveux
e cicatricielle qui a pour effet de modifier l'aspect des faisceaux postérieurs , qui se transforment dans une partie de leur ét
e renflement lombaire de deux lapins de l'atrophie'dans les cordons postérieurs (p. 577), et la disparition des cellules nerveu
fi" Le poil de la région lombaire ainsi que celui de l'extrémité postérieure est coupé ras; on pratique au moyen d'un scalpe
éments nerveux. Le processus morbide débute toujours dans le cordon postérieur de la région lombaire du côté de la traction, e
action, et se manifeste d'abord le long de la fissure longitudinale postérieure , dans le faisceau de Goll (Voy. PL. I, fig. 6).
u faisceau de Burdach, et à la portion intra-médullaire des racines postérieures . A mesure que les éléments du tissu conjonctif
comme le témoignent les coupes transversales passant par le cordon postérieur et la partie intra-médullaire des racines posté
par le cordon postérieur et la partie intra-médullaire des racines postérieures de la région lombaire. Continuant à gagner du t
du terrain, le tissu conjonctif envahit toute l'étendue du cordon postérieur , ne laissant qu'un filet de tissu plus ou moins
et se tra- duisent par un rétrécissement, une atrophie du cordon postérieur . Du côté correspondant à la traction, le cordon
cordon postérieur. Du côté correspondant à la traction, le cordon postérieur s'atrophie manifestement en compa- raison de so
raison de son congénère du côté sain. Cette inégalité des cordons postérieurs est évidente dans les figure 2, 5 et 6 de la Pl
s est évidente dans les figure 2, 5 et 6 de la Planche I. Le cordon postérieur droit de la fig. 2, par exemple, présente un am
mais elle est surtout pronon- cée dans la figure 5, dont le cordon postérieur gauche excède de 4 millimètres le cordon postér
dont le cordon postérieur gauche excède de 4 millimètres le cordon postérieur droit (côté opéré). Avec le temps, le réseau du
'on se trouve en face d'une sclérose diffuse rétrécissant le cordon postérieur , comme le dé- montre la figure. Il PL. I. ' I
dire que les altérations de la moelle ne s'arrêtent pas aux cordons postérieurs seulement; nous constatons de graves modificati
a corne pos- térieure, dans la partie intramédullaire des racines postérieures et dans les cellules nerveuses des cornes antér
quelques jours après l'opération, dans toute l'étendue de la corne postérieure , des traces d'irritation traumatique sous la fo
tate dans la moelle de ces derniers, à côté de l'atrophie du cordon postérieur un rétrécisse- ment notable de la corne postéri
rophie du cordon postérieur un rétrécisse- ment notable de la corne postérieure correspondante. La différence de grandeur des d
m 5, et même 5 millimètres. Un semblable rétrécissement de la corne postérieure du côté opéré est accompagné le* plus souvent d
lus souvent d'une atrophie de la partie intramédullaire des racines postérieures . Nous croyons pouvoir chercher l'explication de
pillaires dans la substance grise, principalement dans les cornes postérieures ; 3° De la prolifération des noyaux de la névro
INIÈRE. 59 4° Un accroissement du tissu conjonctif dans le cordon postérieur du côté opéré, qui forme un réseau fibreux cont
ellules étoilées. Ce réseau en- vahissant de plus en plus le cordon postérieur empiète sur les tubes nerveux de ce dernier, et
r dès le septième jour après l'opération ; 5° Le volume des cordons postérieurs est inégal chez les lapins sacrifiés un mois et
les lapins sacrifiés un mois et plus après la traction. Le cordon postérieur du côté opéré est atrophié et en même temps;
stérieur du côté opéré est atrophié et en même temps; 6° La corne postérieure du même côté présente éga- lement des dimension
moindrissement de volume dans la partie intramédullaire des racines postérieures ; les bande- lettes radiculaires sont moins nomb
le des hémorrhagies capillaires dans la substance grise, des cornes postérieures et antérieures, ainsi qu'une atrophie prononcée
e à différents niveaux, ce qui con- tribue à l'atrophie de la corne postérieure ; à l'amoin- drissement de la partie intramédul
; à l'amoin- drissement de la partie intramédullaire des racines postérieures et enfin à la vacuolisation et à l'atrophie des
- tions qui se résument en de l'atrophie de la corne et du cordon postérieurs du côté opéré; en un amoin- drissement de la pa
en un amoin- drissement de la partie intramédullaire des racines postérieures ; en de la vascularisation et de l'atrophie con
elle, se localisent principale- ment dans les cornes et les cordons postérieurs du côté opéré. Ces lésions comme nous l'avons d
on- sistent pour la plupart en atrophie des cornes et des cordons postérieurs , dont les éléments nerveux sont remplacés par d
es termes, nous nous trouvions en face d'une sclérose des cordons postérieurs du côté correspondant à la traction. Les modifi
et davantage à l'opération ; les éléments morphologiques du cordon postérieur lésé prennent un aspect plus uniforme, plus hom
s avons sous les yeux le tableau d'une sclérose diffuse du cordon postérieur . En faisant un retour vers l'ataxie locomotrice
ire dans une maladie qui porte elle-même son action sur les cordons postérieurs de la moelle ? L'élongation des nerfs a été ent
it de la sclérose et de l'atrophie dans les cornes et les cordons postérieurs de la moelle. Mais, nous répondra-t-on, on ne s
use produit de la sclérose et de l'atrophie des cornes et du cordon postérieurs , lésions qui sont très analogues à celles que M
aisceaux de Burdach, c'est-à-dire d'une partie intégrante du cordon postérieur , qui se trouve précisément lésé en premier lieu
tique droit pratiquée avec une force de 4 kilos. Sclérose ou cordon postérieur droit, côté de la traction. - Les éléments nerveu
éléments nerveux du cordon ALTÉRATIONS DE LA MOELLE EPINIERE. 68 postérieur , A, sont remplacés par du tissu conjonctif. La co
issu conjonctif. La corne posté- rieure, B, est atrophiée. La corne postérieure droite mesure 1"'m, 05; la corne postérieure ga
st atrophiée. La corne postérieure droite mesure 1"'m, 05; la corne postérieure gauche, 4mm, 35; le cordon postérieur droit, 1mm,
te mesure 1"'m, 05; la corne postérieure gauche, 4mm, 35; le cordon postérieur droit, 1mm, 95; le cordon postérieur gauche, 2m
ure gauche, 4mm, 35; le cordon postérieur droit, 1mm, 95; le cordon postérieur gauche, 2mm, 40. Fig. 2. Coupe transversale de
u tissu conjonctif qui remplace les éléments nerveux dans le cordon postérieur atrophié de la traction A. La corne postérieure d
rveux dans le cordon postérieur atrophié de la traction A. La corne postérieure droite est diminuée de volume autant que dans l
précédente. Vau- coles dans la corne antérieure B. La corne droite postérieure mesure 1 ? 50; la corne postérieure gauche, 1mm
e antérieure B. La corne droite postérieure mesure 1 ? 50; la corne postérieure gauche, 1mm, 80; le cordon postérieur droit, tm
eure mesure 1 ? 50; la corne postérieure gauche, 1mm, 80; le cordon postérieur droit, tmm, 05; le cordon postérieur gauche, 1
ure gauche, 1mm, 80; le cordon postérieur droit, tmm, 05; le cordon postérieur gauche, 1 ? 20. Fig. 3. Cellule nerveuse en voi
avec une force de 4 kilos. Légère diminution de volume de la cornée postérieure droite B, atrophiée marquée du cordon postérieu
lume de la cornée postérieure droite B, atrophiée marquée du cordon postérieur croit A. Les éléments nerveux sont remplacés pa
oll et dans la plus grande partie du faisceau de Burdach. Le cordon postérieur droit mesure 3"'m, 05; le cordon postérieur gauch
u de Burdach. Le cordon postérieur droit mesure 3"'m, 05; le cordon postérieur gauche, 1mm, 50; la corne postérieure droite, O
oit mesure 3"'m, 05; le cordon postérieur gauche, 1mm, 50; la corne postérieure droite, Omm, 90; la corne postérieure gauche, imm
eur gauche, 1mm, 50; la corne postérieure droite, Omm, 90; la corne postérieure gauche, imm, 20. Fig. 6. Coupe transversale pas
Amoindrissement notable de la partie intra-médul- laire des racines postérieures et du cordon postérieur du côté de la trac- tio
la partie intra-médul- laire des racines postérieures et du cordon postérieur du côté de la trac- tion A. Envahissement de ce
er par le tissu conjonctif comme dans les figures 2 et 5. Le cordon postérieur droit mesure Ohm, 09 ; le cordon postérieur gau
gures 2 et 5. Le cordon postérieur droit mesure Ohm, 09 ; le cordon postérieur gauche, ohm, 20; la corne postérieure droite, tmm
oit mesure Ohm, 09 ; le cordon postérieur gauche, ohm, 20; la corne postérieure droite, tmm, 50 la corne postérieure gauche, 1"
ieur gauche, ohm, 20; la corne postérieure droite, tmm, 50 la corne postérieure gauche, 1"'m, 55. Fig. 7. Tubes nerveitx lésés
L'INTÉRIEUR DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX DANS LE VOISINAGE DU SEGMENT POSTÉRIEUR DE LA CAPSULE INTERNE; par W. BECHTEREW. (Neuro
ernière et l'avant-dernière lombaire. Le couteau enlève les racines postérieures et antérieures avant l'extrémité inférieure de
se (dégénérescence des cellules nerveuses des cornes antérieures et postérieures ) rapprochée de l'absence de tout trouble imputa
la séparation des ' ganglions spinaux en connexion avec les racines postérieures sectionnées. La constance de la dégénérescence
i, après la section des ganglions, se pro- page le long des racines postérieures coupées vers le centre de la moelle. Les gangli
e chez les mammifères, elle présente une convexité dorsale à sommet postérieur , une convexité cervicale à sommet antérieur. La
interne, ce sont les fibres occupant le dernier tiers de la branche postérieure qui ont les premières des fibres à myéline. Ell
maux munis d'un amnios, les ganglions des deux paires antérieure et postérieure sont représentés. Ceux de la paire antérieure s
cales, et dérivent de la vésicule moyenne du cerveau. Les ganglions postérieurs sont des agglomérations annexées postéro-latéra
e de paire antérieure des tu- bercules quadrijumeaux. Les ganglions postérieurs sont cachés chez la plupart des reptiles et che
gitique. Dégénérescence secondaire de certains segments des cordons postérieurs tout le long de la moelle, dégénérescence secon
92 L) revue DE pathologie NERVEUSE. tains territoires des racines postérieures ; plus tard, phénomènes paralytiques des extrémi
s brachial por- tant sur le nerf sus-scapulaire, le nerf thoracique postérieur (longus) (muscles sus- et sous-épineux et grand
de la Il paire cervicale, notam- ment de rameaux sus-claviculaires postérieurs qui complètent l'innervation du spinal(muscle t
éromateuse); obstruction de la basilaire et de l'artère céré- brale postérieure droite; foyers de ramollissement du lobe tempor
ues. On trouve dans la moelle la dégénéres- cence grise des cordons postérieurs (de la région cervicale à la région lombaire) ;
s parties externes des cordons posté- rieurs, parallèles aux cornes postérieures , qui se trouvent le plus prises. M. Westphal in
spinale fut une paralysie unilatérale du muscle crico-aryténoidien postérieur . A rapprocher du travail récent de M. F. Krause,
te d'annexer aux ressauts de la façade, sous forme de prolongements postérieurs , un quartier d'isolement pour chaque sexe. Depu
core quelques vestiges mais très peu accentués, au niveau du sillon postérieur , et une légère bande transversale assez mal mar
adie surajoutée plutôt qu'une propagation des lésions des cordons postérieurs . P. M. XXXVII. Monoplégie brachiale avec anesth
lifé- ration du tissu conjonctif, spécialement dans les cor- dons postérieurs , et il explique cette localisation par des cond
cas de maladies systématiques compliquées des cor- dons latéraux et postérieurs et ont conclu qu'une seule, entre eux, apparten
re à l'état frais, on remarqua une nuance grisâtre dans la partie postérieure des cordons latéraux de la partie inférieure de l
raux, il y a légère prolifération du tissu conjonctif sur leur bord postérieur . Dans les cordons postérieurs on remarque une s
on du tissu conjonctif sur leur bord postérieur. Dans les cordons postérieurs on remarque une sclérose dans la sphère des fais-
se dans la sphère des fais- ceaux de Goll, surtout dans leur partie postérieure . Dans la partie inférieure de la portion en que
ments décrits, avec cette différence seulement que dans les cordons postérieurs la sclérose atteint plus les parties anté rieur
u, seulement dans les parties inférieures la sclérose des cordons postérieurs atteint un plus grand développement et va jusqu'à
urs atteint un plus grand développement et va jusqu'à la commissure postérieure . Dans la région de l'origine apparente des raci
enflement cervical. - Prolifération du tissu conjonctif des cordons postérieurs et du bord antéro-postérieur des cordons latéra
cervicale et dorsale. Prolifération du tissu conjonctif des cordons postérieurs et du bord externe des cordons latéraux. DES
la portion cervicale, mais elle est plus intense dans les cor- dons postérieurs ne touchant qu'à peine les cordons posté- rieur
graduellement à une région plus large; de sorte que dans la moitié postérieure de ces cordons elle remplit tout l'espace qui r
faisceaux du cervelet et aux faisceaux pyramidaux. Dans les cordons postérieurs la sclérose embrasse comme auparavant les faisc
la propagation de la sclérose reste la même ; mais dans les cordons postérieurs elle s'affaiblit tout en res- tant peu régulièr
on de la sortie des racines de la sixième paire dorsale les cordons postérieurs sont encore moins atteints. On remarque surtout
re moins atteints. On remarque surtout la sclérose dans les parties postérieures de cordons latéraux, où elle atteint la substan
ion dorsale de la moelle épinière. Sclérose des cordons latéraux et postérieurs et du bord externe des cordons antérieurs. Fi
de la dixième paires dorsales, nous ne trouvons dans les cor- dons postérieurs , comme processus pathologique, qu'un déve- lopp
acines de la onzième et de la douzième paires dorsales, les cordons postérieurs restent sans changement. Dans les cordons antér
dans les parties antérieures des cordons latéraux; dans les parties postérieures on la remarque avec la même intensité, seulemen
se joint immédiatement à la périphérie au bord externe des racines postérieures . Fig. 9.- Coupe dans la portion lombaire. Sclér
des cordons latéraux. Dans beaucoup d'eux les cor- dons latéraux et postérieurs ne furent pas épargnés, même la substance grise
i pu davantage connaître si les excès avaient été anté- rieurs ou postérieurs à la naissance desa fille. La ques- tion d'héré
e à s'éteindre; c'est principale- ment sur le ventre et à la partie postérieure des cuisses, à la région lombaire que l'éruptio
scopiques; à la percussion, on constate, dans le tiers inférieur et postérieur du thorax, de la submatité qui se prolonge dans
alades accusent une sensation de pesanteur au niveau de la région postérieure ou antérieure de la tête; il leur semble qu'elles
a surface inférieure du cervelet, en avant une dé- pression du bord postérieur du pont de Varole, et en dedans une dépression
arités nécroscopiques : dégénérescence presque complète des cordons postérieurs , atrophie prononcée des racines postérieures, a
ue complète des cordons postérieurs, atrophie prononcée des racines postérieures , amincissement et coloration grisâtre des nerfs
e transverse et vertical 3 centimètres, dans son diamètre antéro- postérieur 2 centimètres. Elle occupe la cavité limitée par
suivaient donc surtout la distribution des branches de la cérébrale postérieure droite, bien qu'à la vérité on en ren- contrât
ns les régions alimentées par les branches pariétales antérieure et postérieure de la cérébrale moyenne droite. Sans être uniqu
des schémas, les signes repré- sentatifs de la pensée. Cette région postérieure est le siège des appétits et des instincts; aus
nd, voleur, enclin à une dégoûtante salacité, il est spino-cérébral postérieur , en un mot, il est purement instinc- tif. Dès q
ue la région frontale devient libre, le sujet franchit cette limite postérieure , il commence à pénétrer dans le domaine de l'id
nous remontons de la moelle et du mésocéphale à la couche corticale postérieure , nous allons trouver encore là un mécanisme fau
tre eux, il existait en même temps une sclérose avancée des cordons postérieurs (avec lésion simultanée des cor- dons latéraux)
us les travaux, de tous les procédés de préparation anté- rieurs et postérieurs à ses communications, ainsi que des objec- tion
que droit, pratiquée avec une force de 4 kilogr. Sclérose ou cordon postérieur droit, côté de la traction. - Les éléments nerveu
érieur droit, côté de la traction. - Les éléments nerveux du cordon postérieur , A, sont remplacés par du tissu conjonctif. La co
issu conjonctif. La corne posté- fleure, B, est atrophiée. La corne postérieure droite mesure 1 ? 05; la corne postérieure gauc
est atrophiée. La corne postérieure droite mesure 1 ? 05; la corne postérieure gauche, 1 mm, 35; le cordon postérieur droit, Im»
ite mesure 1 ? 05; la corne postérieure gauche, 1 mm, 35; le cordon postérieur droit, Im», 95; le cordon postérieur gauche, 2m
re gauche, 1 mm, 35; le cordon postérieur droit, Im», 95; le cordon postérieur gauche, 2mm, 40. Fig. 2. Coupe transversale de
rveux dans le cordon postélieur atrophié de la traction A. La corne postérieure droite est diminuée de volume autant que dans l
e précédente. Va- coles dans la corne antérieure B. La corne droite postérieure mesure lmm, 50; la corne postérieure gauche, 1
antérieure B. La corne droite postérieure mesure lmm, 50; la corne postérieure gauche, 1 ? T, s0; le cordon postérieur droit,
e mesure lmm, 50; la corne postérieure gauche, 1 ? T, s0; le cordon postérieur droit, L ? t, 05; le cordon postérieur gauche,
gauche, 1 ? T, s0; le cordon postérieur droit, L ? t, 05; le cordon postérieur gauche, 1"n", 20. Fig. 3. Cellule nerveuse en v
vec une force de 4 kilos. - Légère diminution de volume de la corne postérieure droite B, atrophie marquée du cordon postérieur
volume de la corne postérieure droite B, atrophie marquée du cordon postérieur droit A. Les éléments nerveux sont remplacés pa
oll et dans la plus grande partie du faisceau de Burdach. Le cordon postérieur droit mesure 1 ? 05; le cordon postérieur gauche,
eau de Burdach. Le cordon postérieur droit mesure 1 ? 05; le cordon postérieur gauche, Imm, 50; la corne postérieure droite, I
droit mesure 1 ? 05; le cordon postérieur gauche, Imm, 50; la corne postérieure droite, I)im, 9G; la corne postérieure gauche, Im
ur gauche, Imm, 50; la corne postérieure droite, I)im, 9G; la corne postérieure gauche, Imm, 20. Fig. G. Coupe transversale pas
Amoindrissement notable de la partie lntra-médul- laire des racines postérieures et du cordon postérieur du côté de la trac- tio
la partie lntra-médul- laire des racines postérieures et du cordon postérieur du côté de la trac- tion A. Envahissement de ce
er par le tissu conjonctif comme dans les figures i et 5. Le cordon postérieur droit mesure 0 ? 09; le cordon postérieur gauch
figures i et 5. Le cordon postérieur droit mesure 0 ? 09; le cordon postérieur gauche, 0 ? 20 ; la corne postérieure droite, 1mm
droit mesure 0 ? 09; le cordon postérieur gauche, 0 ? 20 ; la corne postérieure droite, 1mm, 50 ; la corne postérieure gauche,
ur gauche, 0 ? 20 ; la corne postérieure droite, 1mm, 50 ; la corne postérieure gauche, 1 ? 55 Fig. 7. Tubes nerveux lesés prov
29 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
spéciales situées à proximité des bandelettes externes des cordons postérieurs . Todd avait admis que par ces cordons devaient
UE. ment, on doit songer, dans l'ataxie, à une lésion des cordons postérieurs et surtout, à en juger d'après les dernières rech
gion des ban- delettes externes du faisceau fondamental des cordons postérieurs de Flechsig. » En un autre endroit, Erb, encore
tence d'autres fibres à direction centrifuge passant parles cordons postérieurs . Aussi bien, la clinique et l'expérimentation é
établissaient que, dans les dégénérations secondaires des cordons postérieurs , on ne découvre que des fibres à direction centri
par le processus pathologique du tabes, les racines et les cordons postérieurs , président aux fonctions de la sensibilité ; il
ttachâmes lors une grande importance à la participation des racines postérieures , montrant qu'elles étaient le plus souvent dégé
ons spinaux pénètre dans la moelle épinière. Les fibres des cordons postérieurs dérivent donc anatomiquement des cellules des g
trouvé que le ganglion spinal était le centre trophique des racines postérieures qui pénètrent dans la moelle épinière. Dans le
iens, le chien et le singe. Il a vu qu'après la section des racines postérieures l'ataxie apparaît 1. Le résultat, au moins pro-
e est arrivé, peut se formuler ainsi : Après la section des racines postérieures chez ces vertébrés, une ataxie apparaît, variab
manière différente selon qu'il s'agit d'une extrémité antérieure ou postérieure , ainsi que d'après le nombre des racines postér
antérieure ou postérieure, ainsi que d'après le nombre des racines postérieures coupées 2. Hering ayant toujours appelé paralys
ment sur l'ataxie des singes dont ils avaient sectionné les racines postérieures (1895) : Hering avait eu l'intuition que, de ce
axie chez le singe 1. Après avoir sectionné, à droite, huit racines postérieures (III-VIII racines cervicales et I-II racines th
le jour suivant, il existait une ataxie très nette de l'extré- mité postérieure droite ; elle traînait dans l'exécution des mouve
vement adapté peut encore être exécuté après la section des racines postérieures , et il y avait un grand intérêt à l'étudier par
ue à la main entière. Aussi, chez le second singe, dont six racines postérieures (IV, V, VI, VII, racines cervica- les, 1 et Il
Le degré d'intensité de celle- ci dépend bien du nombre des racines postérieures sectionnées; plus ce nombre est petit, moins l'
'on bande les yeux d'un chien ata- xique (par résection des racines postérieures ), l'ataxie augmente manifestement Sous les dési
sparition des troubles de coordination après la section des racines postérieures d'une extrémité, car cela, affirme Hering, est
ière des tabétiques on trouve toujours une dégénération des cordons postérieurs , et des parties de ces cor- ' Cf. A. Biclcel. U
es fibres nerveuses qui se distribuent à la substance grise (cornes postérieures , colonnes de Clarke, collatérales réflexes des co
représentent soit les prolongements directs des fibres des racines postérieures , soit les collatérales de ces prolon- gements.
par une dégénération des prolongements intramédullaires des racines postérieures . Mais comme toutes les racines postérieures ne
médullaires des racines postérieures. Mais comme toutes les racines postérieures ne sont pas également, et moins encore simultan
e ici, sont bien plus petites que celles des racines et des cordons postérieurs . Obersteiner déclare insuffisantes les hypothè-
arche du processus depuis les nerfs périphériques jusqu'aux racines postérieures , en passant par les cellules des glanglions spi
de la même manière que les racines posté- rieures. 3° Les racines postérieures : à à leur pénétration dans la dure- mère et l'
être la cause du tabes. 4° La partie intramédullaire des racines postérieures dégénérerait seule ou avec sa partie extramédul
es ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES DU TABES. 9 radiculaires postérieures des cordons postérieurs de la moelle épinière,
GIE PATHOLOGIQUES DU TABES. 9 radiculaires postérieures des cordons postérieurs de la moelle épinière, ou, en d'autres termes,
ière, ou, en d'autres termes, comme l'a établi Redlich, les racines postérieures dans leur trajet intra-médullaire, dégénèrent.
dégénèrent. Dans le tabes, certaines parties seulement des racines postérieures sont-elles affectées, ayant un siège tout à fai
même aussi une fonction spéciale ? La lésion tabétique des cordons postérieurs serait alors une dégénération systématique au s
ens de Strumpell et de Flechsig, une affection élective des racines postérieures , au sens de Mayer. S'agit-il, au contraire, d'u
sens de Mayer. S'agit-il, au contraire, d'une affection des racines postérieures intéressant cer- tains segments de la moelle et
nt i. Avec une dégénération fort avancée d'une moitié des cordons postérieurs de la moelle, l'autre moitié doit très rarement ê
n'est donc pas toujours systématique; les deux moitiés des cordons postérieurs peuvent présenter à cet égard des différences q
il est de nécessité que le courant nerveux, apporté par les racines postérieures , arrive à la corne antérieure, ce qui a lieu pa
i a lieu parles collatérales réflexes ; celles-ci partent du cordon postérieur au niveau du territoire indiqué par Westphal co
où, sur une étendue considérable, toutes les fibres radicu- laires postérieures sont dégénérées, où, par conséquent, toutes les
ésion entraîne celle des fibres radiculaires montant dans le cordon postérieur , une dégénérescence des libres se rendant à la
xistent plus du tout du fait des dégénérations étendues des cordons postérieurs ; si, d'un seul mot, la plus grande partie des e
nt les troubles de la motilité consécutifs à la section des racines postérieures . Lui- même signale les troubles si graves de la
destructives, la dégénérescence des fibres ascendantes du cordon postérieur qui s'arborisent dans les noyaux de la moelle all
chercher avec sûreté, je le crois, écrit Redlich, dans le cordon postérieur , les fibres qui servent à la fonction consciente
emblable qu'une portion de la voie ascendante passant par le cordon postérieur n'arrive que jusqu'à l'écorce du cerveau, et qu
aux, en d'autres termes, que tous les faisceaux afférents du cordon postérieur ne servent point a des sensations conscientes,
ces du tabès lombaire ; en d'autres termes, les fibres radiculaires postérieures , ou leurs collatérales.' qui pénètrent dans les
de partie sous l'influence des collatérales des fibres radiculaires postérieures qui s'arborisent dans les colonnes de Clarke. C
s le tabès de Friedreich, une dégénération très intense des cordons postérieurs entraînant la disparition des collatérales réfl
ent dites, la zone marginale de Lissitiiei-, les fibres des racines postérieures pénétrant dans la substantia gelalinosu, sont p
res servant à la sensi- bilité tactile ne soient celles'des racines postérieures et de leurs prolongements, des collatérales, et
segment périphérique de cette voie nerveuse, et surtout des racines postérieures , provoquent de très vives manifestations de cet
te affection. C'est ce qui arrive, dans le tabes, quand les racines postérieures dégénèrent. L'absence possible des douleurs lan
dégénèrent. L'absence possible des douleurs lancinantes aux stades postérieurs du tabes, du moins dans les régions primitiveme
es nerveuses autour desquelles s'arborisent les fibres radiculaires postérieures , cellules qui repré- sentent le second neurone
ons. Or si l'on suppose, avec Redlich, que, des fibres radiculaires postérieures innervant un territoire déterminé de la peau, u
. Les collatérales réflexes, les faisceaux ascendants des cordons postérieurs , etc., représentent les prolongements directs des
tc., représentent les prolongements directs des fibres radiculaires postérieures ; leur destruction ne saurait être compensée au
1897. Chez l'homme adulte, l'existence de collatérales des racines postérieures n'aurait été jusqu'ici sûrement démontrée ni avec
plus que les deux branches de bifur- cation des fibres radiculaires postérieures . Mais ces résultats négatifs de son expérience
econnaît, l'existence, et de la bifurcation des fibres radiculaires postérieures et des collatérales. Ses expériences lui permet
permettent également d'affirmer que, après la sec- tion des racines postérieures , la dégénération consécutive du cordon postérie
ion des racines postérieures, la dégénération consécutive du cordon postérieur et de la corne postérieure n'a lieu que du côté d
es, la dégénération consécutive du cordon postérieur et de la corne postérieure n'a lieu que du côté de la lésion; il n'existe
que du côté de la lésion; il n'existe pas de dégénération du cordon postérieur du côté opposé' ni d'autres cordons blancs de l
Relativement aux dégénérations secondaires descendantes des cordons postérieurs , dans des cas de compression et de lésions trauma
par l'anatomo-pathologie du tabes, qu'il se trouve dans les cordons postérieurs des fibres endogènes dont les cellules d'origin
fibres sont - surtout rassemblées dans la région ventrale du cordon postérieur (zone cornu-commissurale de P. Marie) '. Ce qui
t une direction descendante. (^1 suivre.) les parties des cordons postérieurs qui dégénèrent alors, dans ce sens, contiennent
hypothèse qu'il s'agit ici de fibres exogènes, dérivées des racines postérieures , lui semble plus plausible, si l'on prend garde
e, si l'on prend garde smtout que ces fibies descendantes du cordon postérieur existent réellement, qu'elles doivent dégénérer,
'elles dégénèrent en fait, consécutivement à une lésion des racines postérieures ou des fibres radiculaires postérieures. Il est d
nt à une lésion des racines postérieures ou des fibres radiculaires postérieures . Il est d'ailleurs pos- sible qu'il y ait des f
« 1- Dans certains cas de lèpre, il existe des lésions des cordons postérieurs occu- pant, avec une prédilection particulière,
ces lésions, coinci-, dant avec un minimum d'altération des racines postérieures et du 2,eti- culunx des colonnes de Clarke, son
semblablement d'origine endogène. » ' Sur les lésions des cordons postérieurs dans la moelle des lépreux. Revue neu- rologiqu
inière; par le professeur Ch.-L. DANA (de New-York). Les colonnes postérieures de la moelle épinière et ses racines postérieur
). Les colonnes postérieures de la moelle épinière et ses racines postérieures sont, en tant qu'il s'agit des maladies qui s'y r
it une classe distincte de cas dus aux lésions aiguës de la colonne postérieure de la moelle. Ceci arrive chez les personnes mû
appelle « ataxie spinale sub-aiguë », due aux lésions de la colonne postérieure et, souvent, de la colonne latérale. L'étiologi
ne altération sinon exclusive, du moins prépondérante-, des cordons postérieurs , étant très nom- breuses, je ne me baserai que
es, etc., sont transportés dans la moelle, et plutôt parles racines postérieures qu'antérieures (Momén et Laitinen) y provo- qua
dont 7 de l'estomac, âge 36-58 ans) rarement altération des racines postérieures extramédullaires, mais souvent des racines intr
ers) plus ou moins limité de la neuroglie, surtout dans les cordons postérieurs .- Les rapports de ces foyers et scléroses avec
émies graves, les lésions sont les plus prononcées dans les cordons postérieurs , et en rapport avec les septa et les vaisseaux
plus ou moins épaissis, et toujours principalement dans les cordons postérieurs . On rencontre cependant quelquefois une dégénér
infections aiguës, ne prédominent pas spécialement dans les cordons postérieures . 68 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. Quant aux lésions pu
s un certain ordre, et que la dégénération secondaire des cor- dons postérieurs après section est nettement constatable deux ou
, que dans un nombre considérable d'affections diverses les cordons postérieurs sont ou bien seuls attaqués, ou bien attaqués d
ndaires, ou du moins ne le sont pas entièrement. Dans les faisceaux postérieurs , les zones radiculaires et les fibres exogènes
rtie supérieure du nerf, dans les racines, surtout dans les racines postérieures . L'injection dans le sciatique du liquide de Gi
conséquence est variable suivant le neurone consi- déré : la racine postérieure se détruit ; l'antérieure résiste ou, après avo
abinski (de Paris). L'association de lésions tabétiques des cordons postérieurs et d'altérations scléreuses des cordons latérau
al, ne semble pas entravé par l'existence d'une névrite des racines postérieures et peut se manifester chez des sujets dont les
lésion centrale ou voisine du centre, d'une altération des racines postérieures . En l'absence d'examen nécroscopique, je ne sui
iculièrement le trajet des artérioles radi- culaires antérieures et postérieures . Dans les nombreux cas de paralysie infantile q
s deux côtés avec prédominance à gauche. Les racines antérieures et postérieures sont prises également Au carmin : lésions de mé
ques et galva- niques, l'absence de D R. l'hyperesthésie de la face postérieure de la cuisse gauche et des faces antéro-externe
la première fois par M. Marie, à savoir que les lésions des cordons postérieurs dans le tabes, dépendent d'une affection primitiv
admettre qu'elles soient la cause de la dégénérescence des cordons postérieurs . D'autre part, elles ne sont pas dus à la réact
te. Je ne veux pas nier par là, que la dégénérescence des racines postérieures ne puisse pas déterminer à la longue des modifica
eure par le tact, la région moyenne par la température et la région postérieure par la dou- leur. Pour Wundt il existe deux voi
le centre de la perception de la douleur est l'eneephal à la partie postérieure de la capsule intense. Lergi croit que le centr
générescence du proto- neurone centripète, les cellules de la corne postérieure ne doi- vent pas demeurer intactes. Alors même
rs même que toutes les parties élé- mentaires constituant la racine postérieure ont dégénéré, on a pourtant constaté, dans la s
e la cauda eqziiata : c'est que les collatérales issues des racines postérieures qui pénètrent dans les colonnes de Clarke, prol
colonnes de Clarke, prolongements directs des fibres radi- culaires postérieures , et formant le fin réticulum des colonnes de Cl
érer le tabes comme une affection primaire dégénérative des cordons postérieurs de la-moelle épi- nièré, et relativement à la d
doctrine nouvelle qui localise la lésion primitive dans les racines postérieures , fit.observer que la lésion des racines et des
postérieures, fit.observer que la lésion des racines et des cordons postérieurs impliquait une affection cellulaire préexistant
orsalis, l'état des cellules d'ori- gine des racines et des cordons postérieurs de lamoelle, c'est-à-dire des cellules des gang
es cellules devrait amener la dégénéra- tion des fibres des cordons postérieurs . Stroebe a trouvé, dans trois cas de tabes, à d
cellules des ganglions spinaux, et que la dégénération des cordons postérieurs doit être regardée comme secondaire aux altérat
n nucléaire moyenne du tissu interstitiel, dégénérallon des racines postérieures au niveau correspondant de la lésion tabétique
e propor- tion entre la gravité des lésions des libres radiculaires postérieures et celle des nerfs sensitifs périphériques du g
erling (1888), a constaté, avec une dégénération totale des racines postérieures , des lésions des cellules des ganglions spinaux
s ne suffisent pas pour expliquer celles des racines et des cordons postérieurs dans le tabes. Erb admet d'ailleurs que des alt
ent pas moins capables de provoquer les dégé- nérations des cordons postérieurs . ' ' Emil Hedich. Die hinleren 11'ezr : ,ehz de
tion proprement dite. Dans des cas .de tabes absolu, où les racines postérieures présentent la plus complète dégénération, les c
la lésion initiale du tabes dans les cellules d'origine des racines postérieures ? Les réflexions qu'il a faites à ce sujet ne m
T devrait dégénérer, et la branche centrale, c'est-à-dire la racine postérieure , et la branche périphérique, le nerf sensitif p
ique. Comme il-n'y a point de doute que, dans le tabes, les racines postérieures et leurs pro- longements intramédullaires ne so
tabétique de la moelle épinière doit être cherché dans les racines postérieures sensitives » . La loca- lisation de la lésion p
l en existait de telles. Par l'effet de la dégénération des racines postérieure et de leurs prolongements dans la moelle épiniè
à la dégénérescence des collatérales des prolongements des racines postérieures dans le tabes. Deux opinions existent touchan
tion des collatérales réflexes déterminée par la lésion des cordons postérieurs . Cette dégénération entraîne la perte dans les
t bien peu d'importance au regard des lésions si graves des cordons postérieurs . Si, sur ce point de fait, ces auteurs sont d'a
ce n'est pas seulement la branche centrale, c'est-à-dire la racine postérieure , c'est aussi la branche périphérique, le nerf s
rale; il localisa donc la lésion initiale du tabes dans les racines postérieures . Mais, objectent Juliusburger et Meyer, outre q
e Schaffer contre la théorie d'après laquelle la lésion des cordons postérieurs dériverait, dans le tabes, d'une lésion primiti
es décédés tout à fait au commencement de l'affection des cordons postérieurs ; même en ces cas, il est bien vraisemblable qu'i
us qui leur arrive de la périphérie en une exci- tation des cordons postérieurs ; cette activité des cellules est adéquate aux
mation anormale a lieu, qui agit d'une façon nocive sur les cordons postérieurs . » Comme une altération de l'activité cellulair
ans la corne antérieure gauche. La dégénération typique des cordons postérieurs dans le labes coexistait avec ces lésions. D'au
toxication saturnine chronique peut produire une lésion des racines postérieures , comme dans le cas de Redlich, et, par conséque
cas de Redlich, et, par conséquent, une dégéné- ration des cordons postérieurs semblable à celle que réalise le ' Cf. W. Roux.
du tabes et de la paralysie générale. Outre les lésions des racines postérieures et des racines anté- rieures, il existe, dans l
rdons latéraux seuls étaient lésés; 73 fois les cordons latéraux et postérieurs =; il en résulte que la lésion pure des cordons
éraux et postérieurs=; il en résulte que la lésion pure des cordons postérieurs n'est pas beaucoup plus fréquente dans la paral
leurs lésions étaient associées à celles des cordons laté- raux et postérieurs . « Dans les cas où la lésion siégeait sur les c
t postérieurs. « Dans les cas où la lésion siégeait sur les cordons postérieurs , il faut distinguer ceux où la dégénération typ
ue soit la cause des altérations directes et primitives des racines postérieures dans le tabes (il n'existe pas de symp- tômes c
uoiqu'elle manifeste une sorte d'affinité élective pour les racines postérieures 2. Les altérations dégénératives des nerl's sen
ndraxe. Il lâut donc écarter l'hypothèse d'une lésion des cor- dons postérieurs comme effet d'une névrite ascendante. Aussi bien
espondants dans les amputations, celle des racines et des cor- dons postérieurs . Mais Redlich fait remarquer que les lésions de
les cas d'amputation, de dégénération, de « sclérose», des cordons postérieurs . Flatau, trois mois après une amputation, a tro
a trouvé, avec la coloration de Marchi, les racines et les cordons postérieurs correspondant aux membres amputés dégénérés.
ue sur trois lapins, a noté des lésions manifestes dans les racines postérieures , les cellules des cornes postérieures, les colo
s manifestes dans les racines postérieures, les cellules des cornes postérieures , les colonnes de Clarke. Malgré tout, Redlich n
s de la droite raison, a rapporté au neurone d'origine de la racine postérieure la lésion classique de ce cylin- draxe dans le
otoplasma cellulaire qui retentiraient sur le trophisme des racines postérieures et de leurs prolongements intramédullaires. Pou
ation dans les parties les plus vulnérables des fibres radiculaires postérieures , dans les collatérales de ces ANATOMIE ET PHYSI
des cellules des ganglions con- sécutives à la section des racines postérieures (Lugaro), altéra- tions qui ne déterminent jama
e ces cellules qui, dans le tabes, suc- cèdent à celles des racines postérieures et de leurs prolongements. Dans la maladie, ce
mble-t-il, les rapports de la dégéné- ration secondaire des cordons postérieurs avec la méningite des méninges de la moelle, ma
x'processus inflammatoires des méninges la dégénération des racines postérieures ; l'atrophie des cordons ' Il n'est pas exact de
la « théorie radiculaire », c'est-à-dire selon lesquels les racines postérieures sont le point de départ de la lésion des cordons
cines postérieures sont le point de départ de la lésion des cordons postérieurs ; tel serait, par exemple, le point des racines
cordons postérieurs; tel serait, par exemple, le point des racines postérieures dont la lésion déterminerait la névrite interst
nstante dans le tabes et serait la cause de la lésion des cor- dons postérieurs . Redlich ne peut voir dans la névrite signalée pa
ion. Archives, 2' série, t. XI. 9 130 - - REVUE CRITIQUE. : - . postérieurs pouvait d'ailleurs' dériver aussi,' selon' lui, d
s'agir de dyscrasies déterminant une atrophie primaire des racines postérieures . Minor et'Sachs (1894) ont montré ensuite comme
894) ont montré ensuite comment l'affection tabétique des cordons postérieurs pouvait être l'effet d'une méningite, surtout de
galement partis de la considération que la dégénération des racines postérieures débu- tant presque toujours dans le tabes au po
tre cause, pour ainsi dire convergente, de dégénération des racines postérieures . Des recherches étendues auxquelles s'est livré
out le moins un phénomène en corrélation avec la lésion des cordons postérieurs dans le tabes; ce point de vue est celui de Erb
son syphilitique ou de ses produits sur la dégénération des cordons postérieurs peut être non seulement indirecte, mais directe
lion de la lésion spécifique du tabes, la dégénératiol1 des cordons postérieurs , on doit reconnaître que les causes directes et i
le nerf optique, le trijumeau, le glossopharyngien avec les racines postérieures . En outre les nerfs périphériques, sensitifs et m
du cerveau, la dégénération secondaire peut s'étendre aux^ cordons postérieurs , et qu'après des lésions du cervelet le faisceau
processus et de rattacher à ces lésions la dégénération des cordons postérieurs . Il faut également renoncer à interpréter l'ata
mais du cerveau. Il est vraisem- blable que la sclérose des cordons postérieurs est une dégénération consécutive en corresponda
entité des deux affections. Ajoutez que la dégénération des cordons postérieurs dans la paralysie générale n'est pas de même na
paralysie géné- rale, ce ne sont pas les prolongements des racines postérieures qui dégé- nèrent, c'est-à-dire des fibres d'ori
: - Le mode de distribution de l'affection tabétique des cordons postérieurs est-il systématique au sens de Strumpeil et de Fl
la vérité, que tous les 'genres de fibres contenues dans une racine postérieure de la moelle épinière ne réagissent pas de même
cence tabétique parait véritable. L'affection tabétique des cordons postérieurs de la moelle n'est pas une affection systématiq
e du mot; c'est tout "au plus un affection systématique des racines postérieures , une 'affection exogène des cordons postérieurs
atique des racines postérieures, une 'affection exogène des cordons postérieurs (Marie), ou, comme on peut 's'exprimer aujourd'
valeur, intellectuelle comparée des lobes céré- braux antérieurs et postérieurs , par CIioCIILEY-CL.11'IiAN. (The Journal of Men
spéciale. La plus grande partie des lobes antérieurs (frontaux) et postérieurs occipitaux) demeure ainsi disponible. Les lob
la prépondérance de l'un ou l'autre des cerveaux, l'anlérieur ou le postérieur , est associée à un accroissement ou à une dimin
lourdement en faveur de la prédo- minance intellectuelle des lobes postérieurs . - Il. DE 1\1 VSG RAVE-CU Y. ' V. Communicati
la gaine durale. témoignage de la traction exercée sur les racines postérieures . Des lésions peuvent se trouver créées* par l'a
aumatisme violent et brusque peut rompre les racines antérieures et postérieures , mais les racines postérieures se rompent après
rompre les racines antérieures et postérieures, mais les racines postérieures se rompent après les racines antérieures. Le pro-
me amène des lésions réparables ou non des racines anté- rieures et postérieures du plexus brachial. L'anatomie pathologique con
ures correspon- dantes, et des nerfs des membres inférieurs (tibial postérieur et antérieur, nerfs péroniers, nerfs intra-musc
t. et le côté sain, mais encore sclérose dans la région de la corne postérieure . li. Marie. - Ces préparations établissent en e
t à la paume des mains, parfois à la plante des pieds, ..iL la face postérieure de la cuisse et de la jambe droite, à la face d
ures, exactement comme dans les lésions de la moelle ou des racines postérieures . Un autre point caractéristique, c'est que l'an
'on l'observera toutes les fois qu'il y aura une lésion des racines postérieures à la région dorsale. H. DE Musgrave CL.1T. XV
athéromateux et on ne constate aucune lésion cérébrale. La surface postérieure de la moelle est couverte tout entière d'un exs
de la moelle est recouverte d'un exsudat pareil à celui de la face postérieure mais moins accentué. Les vaisseaux de la face a
us, sauf à la portion supérieure de la région thoracique. A la face postérieure ils sont entièrement masqués par l'exsudat. La
répandu dans le canal vertébral au moment où on enlevait-la partie postérieure des vertèbres. Il n'y avait aucun signe de dépla-
un centimètre carré. Le lobe occipital gauche offre, dans sa moitié postérieure , un épais- sissement constitué par un reste de
ssi à sa partie interne, on tombe sur une cavité ou fente antéro- postérieure , communiquant avec un orifice arrondi, semblant ê
n en arrière de cette région et par conséquent dans toute la partie postérieure du lobe temporal, l'aspect est violacé et au ni
aune et bien lié contenu dans une poche unique, à petit diverticule postérieur , poche constituée par une membrane de 2 millimè
es autres pédiculées et de petites grosseurs noevoïdes. Sur le bord postérieur de l'ais- selle gauche, il y a une mamelle parf
rale, de deux ailes latérales aux- quelles sont annexées deux ailes postérieures . Seule une construc- tion spéciale sert de sall
es ailes latérales ont un rez-de-chaussée et deux étages. Les ailes postérieures n'ont qu'un seul étage. I. Le rez-de-chaussée (
dortoir de G lits, une. chambre d'infirmier et enfin, dans une aile postérieure , une section pour malades agités comprenant un
rose : le tout causé par une endar- térite nodulaire des cérébrales postérieures avec oblitération com- plète à droite, incomplè
sur les cordons antéro-latéraux, mais intéressant aussi les cordons postérieurs (faisceaux de Goll et de Burdach), ainsi que l'
ment, l'origine fréquemment syphilitique de la sclérose des cordons postérieurs . R. de Musgrave Clay. .L11. Quelques psycho-n
de la scissure de Sylvius pour finir à la circonvolution pariétale postérieure , et partait en haut de la partie supérieure de la
e l'espace indiqué, en étroit contact avec la pie-mère. A la partie postérieure , les membranes étaient séparées par du 416 REVU
apissée du côté ventriculaire par l'épendyme épaissi. A l'extrémité postérieure , le kyste communi- quait avec le ventricule par
ant plantaire périphérique guéri par la faradisation du nerf tibial postérieur . In-8» de 4 pages. ' brucelles, 1900. Journal d
lésées; il en est de même des cellules de la moelle. Les cordons postérieurs de la moelle sont sclérosés ainsi que la bandel
ales cérébelleuse dans des cas d'hémorrhagie cérébrale de la région postérieure . ,111,oose doidoureuse. MM. Aciurd et'LAUMY r
nerveuse, par 110. Moelle Lésions non tabé- tiques des cordons postérieurs de la -, par Uana, fil; par Homen, 65. Tumeur
30 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
nir sa tête droite, ;i moins que celle-ci ne re- pose par sa partie postérieure sur la poitrine de sa nourrice qui la tient sur s
si que la constatation nécroscopique d'une dégénération des cordons postérieurs et latéraux de la moelle. Plus tard, en 1841, P
aralysie géné- rale, entre autres la dégénération grise des cordons postérieurs et latéraux, et les rattache, non à une maladie
buté par la moelle avec prédomi- nance des lésions dans les cordons postérieurs . Dans le courant de l'année 1893, j'ai eu l'occ
n à signaler sauf une congestion assez vive au niveau de la partie^ postérieure du noyau lenti- culaire et de la partie corresp
cerveau est congestionnée il sa surface. Les racines antérieures et postérieures paraissent saines, elles ont partout conservé l
mais on ne note pas de dégénérescence grise des cordons latéraux ou postérieurs , si ce n'est un peu pour ces derniers il la rég
au picro-carmin. La lésion s'étend jusqu'au niveau de la commissure postérieure sur laquelle elle se réfléchit à la façon d'une b
tance grise ne présentent aucune lésion. Les racines antérieures et postérieures paraissent saines. Les méninges sont épaissies
te avec cette différence qu'en avant, au voisinage de la commissure postérieure , la bande scléreuse s'étale davantage sur les par
nt le septum médian, pour se diriger de là vers la tôle de la corne postérieure sur la- quelle va s'insérer son extrémité antér
une bande étroite plus sclé- reuse sur le bord externe de la corne postérieure . D'une façon générale les tractus péri-vasculai
érieure. Les racines, antérieures sont saines. ' Dans les racines postérieures il y a épaississement du tissu intertubu- laire
rale qui s'arrête en avant à une certaine distance de la commissure postérieure et qui, a ce niveau, envoie une expansion dans
la bande scléreuse vient se terminer en pointe sur tête de la corne postérieure . ` Les faisceaux antéro-latéraux ne présentent
au niveau de la région dorso-lombaire (Pl. IV, 4). Les fais- ceaux postérieurs sont sclérosés dans toute leur étendue avec prédo
clérosés dans toute leur étendue avec prédomi- nance dans la partie postérieure du faisceau de Goll et dans la zone radiculaire
partie postérieure du faisceau de Goll et dans la zone radiculaire postérieure . Dans le cordon antéro-latéral on constate un é
aississement est encore plus marqué sur le bord externe de la corne postérieure . La substance grise est le siège d'altérations
tissu interstitiel manifestement augmenté de quantité. Les racines postérieures sont encore bien plus manifestement sclérosées
résentent à peine un léger degré de sclérose diffuse. Les cordons postérieurs sont encore le siège d'une sclérose occupant su
sclérose occupant surtout- la zone médiane et dans celle-ci la zone postérieure . Tout le long Pl IV. L Battaille C' Editeurs,
a iarm s DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME TABÉTIQUE 39 des cornes postérieures et de la commissure postérieure on voit un large
LE A FORME TABÉTIQUE 39 des cornes postérieures et de la commissure postérieure on voit un large ruban de substance saine. "
sions se distinguent nettement du tabès : d'abord, dans les cordons postérieurs , ce n'est pas la systématisation ré- gulière du
les cordons laté- raux sont largement sclérosés; enfin les racines postérieures sont loin d'être atteintes au même degré que da
eure du tronc est moins sensible il la douleur que la ligne médiane postérieure . Aux pulpes des doigts la sensibilité douloureu
ontra à la face antérieure des deux cuisses, et le 2 août à la face postérieure des deux avant-bras. Les papules étaient dispos
s, étant recouvert, en grande partie, par les faisceaux du deltoïde postérieur , très développés chez ce malade qui est forte-
aux lianes par une forte nappe graisseuse qui remonte sur les faces postérieure et latérale du tronc. Cette couche graisseuse f
pourra jeter encore sur les dégénérescences secondaires des cordons postérieurs , et sur la cons- titution anatomique du système
1 dure-mère rachidienne ; 2 ligament dentelé ; 3 sillon collatéral postérieur ; 4.4 raci- nes postérieures des nerfs rachidie
2 ligament dentelé ; 3 sillon collatéral postérieur ; 4.4 raci- nes postérieures des nerfs rachidiens ; si racines antérieures dn
s rachidiens ; si racines antérieures dn côté gauche, les ra- cines postérieures ayant été réséquées ; G queue de cheval ; 1.1 fil
Territoires des nerfs cutanés du membre inférieur, vus sur la face postérieure (d'ap, TESTUT). 1, rameau- fessier du grand a
STUT). 1, rameau- fessier du grand abdomino- génital. 2, branches postérieures des nerfs lombaires. 3, branches postérieu- r
ène externe. 14, rameau calcanéen et rameau plan- taire du tibial postérieur , t5, musculo- cutané du sciatique poplité exter
s inférieurs, et alors elle est le plus souvent limitée à la partie postérieure de la cuisse et de la jambe, c'est-à-dire à une
a paralysie est limitée aux muscles fessiers et à ceux de la région postérieure de la cuisse et de la jambe, c'est-à-dire à un te
e de la queue de cheval, avec dégénérescence secondaire des cordons postérieurs . Il est à prévoir que lorsque des lésions de ce
, au pourtour de l'anus, à la région fessière inférieure, à la face postérieure de la cuisse et des jambes, à la face plantaire
sse; elle est limitée aux muscles fes- siers et à ceux de la région postérieure de la cuisse, aux muscles des jam- bes et des p
stes, les branches du sciatique, destinées aux muscles de la région postérieure de la cuisse et à ceux de la face postérieure d
muscles de la région postérieure de la cuisse et à ceux de la face postérieure de la jambe, proviennent surtout des racines supé
ées. Ces'racines étaient elles-mêmes altérées, prin- cipalement les postérieures . A ce même niveau, les cordons postérieurs, 102
s, prin- cipalement les postérieures. A ce même niveau, les cordons postérieurs , 102 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
stérieurs, 102 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE les cornes postérieures et une partie des cordons latéraux étaient désor-
maine innervé par le sciatique : paralysie des muscles de la région postérieure de la cuisse, de tous les muscles de la jambe e
de tous les muscles de la jambe et du pied ; anesthésie de la face postérieure de la cuisse et de la jambe, de la région plantai
motrice se limite aux muscles fes- siers, aux muscles de la région postérieure de la cuisse, et à la totalité des muscles des
ux grandes lèvres chez la femme), à la région fessière, à la partie postérieure de la cuisse, il la par- SUR LES AFFECTIONS DE
ssé volontairement de côté l'histoire des dégénérescences du cordon postérieur , consécutives aux af- fections de la queue de c
en va plus de même. Et pendant que le tiers anté- rieur et le tiers postérieur offrent une surface il peu près uniforme, le tier
ent la contraction au"lieu d'être au biceps, se trouve il la partie postérieure du bras, au.triceps. Je n'insiste pas sur ces fai
d'élévation, ses -deux tiers antérieurs sont élévateurs, son tiers postérieur , au contraire,' est aliaisseur du bras ; ce der
eu est l'abaisseur, au.lieu d'être l'é- lévateur, et c'est le tiers postérieur du deltoide qu'on voit alors se contracter. La
x- tiers anté- rieurs du deltoïde, s'il descend, elle est au tiers- postérieur . Les photographies instantanées sont très démon
nsion, l'action muscu- laire est toujours aux fléchisseurs (muscles postérieurs de la cuisse). Les choses changent si la cuisse
toral) pour le mouvement en avant, muscles situés en arrière (tiers postérieur du deltoïde) pour le mouvement en ce sens. Les
transforme en zo- ne d'anesthésie. NÉVRALGIE DE LA Ville RACINE POSTÉRIEURE CERVICALE DROITE 13D l'annulaire, à la partie i
e bande antérieure passant en dedans du tendon du biceps, une bande postérieure longeant le bord interne de l'olécràne ; ces deux
ces et troubles trophiques du membre avant la résection des racines postérieures . Fie. 11 et 4S.- Zones et bandes d'hyperesthési
la moelle et le ganglion, résection complétée par celle des racines postérieures sus et sous-jacentes, pour se conformer à la don-
est-à-dire les trois paires dont il nous fallait couper les racines postérieures droites. La valve droite de la dure-mère étant
igneusement reclinée à l'aide de deux pinces à griffe, la 8e racine postérieure dont les divers filets avaient été rassemblés et
section au ras de leur passage à travers la dure-mère : les racines postérieures se trouvèrent ainsi résé- quées sur une grande
e antérieure, passant un peu en dedans du tendon du biceps, l'autre postérieure , passant sur la partie interne de l'olécrane :
LPÊTRIÈRE diagnostic jusque-là porté si nous n'avions pris la hande postérieure , la seule accusée spontanément par le malade, p
laire des 2a et 3' paires lombaires s'accom- pagnerait, à la partie postérieure de la cuisse, d'une bande d'hyperes- thésie cut
is, pour avoir quelques chances de réussite, s'attaquer aux racines postérieures elles- mêmes, dans leur trajet intradural. Opér
verture du canal rachidien et du fourreau durai char- ger la racine postérieure sur un crochet mousse, la sectionner d'abord au
post- opératoires rapides et graves dans le territoire des racines postérieures réséquées ; en effet, quelques recherches physi
le passage de fibres nerveuses trophiques par les premières racines postérieures lombaires, et l'absence de fibres nerveuses de mê
'absence de fibres nerveuses de même nature dans les autres racines postérieures n'est nullement prouvée. Notre malade, prévenu
ction. L. BATTAILLE ET C" Éditeurs NÉVRALGIE DE LA Ville RACINE POSTÉRIEURE CERVICALE DROITE 147 encourageant, mais qui ne
et, avant d'avoir été rejoint par sa racine molle, une vraie racine postérieure crânienne, analogue aux racines postérieures ra
molle, une vraie racine postérieure crânienne, analogue aux racines postérieures rachidiennes ? Chez notre malade nous avons m
1, 28, 29. Les trois temps de la résection intra-durale des racines postérieures . 148... ? NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈ
pu faire chez notre opéré. On a vu que l'électrisation des racines postérieures correspondantes a provoqué chez lui une vaso-co
ire. Enfin, insistons sur ce fait que la résection de trois racines postérieures superposées n'a provoqué qu'une hypoesthésie to
ement la région fessière inférieure et la partie moyenne de la face postérieure de la cuisse. Ce territoire cruro-fessier se rétr
nance d'action , du membre supérieur droit. 1- .- 2° Conformation postérieure du thorax. Dans sa partie supérieure le thorax
tude parfaite de la colonne vertébrale, une conformation thoracique postérieure semblable des deux côtés, et les deux épaules e
roi est for- tement pigmentée en brun. Moelle allongée. - La face postérieure de la moelle allongée ne présente rien de parti
en d'anormal dans la substance ner- veuse des cornes antérieures et postérieures , ainsi que dans la substance bilan- che de la m
après durcissement nous a révélé l'existence de lésions des cordons postérieurs qu'aucun trouble pendant la vie n'avait pu nous
ne fois durcie, on constate il l'oeil nu dans la région des cordons postérieurs , une coloration jaune pâle qui tranche d'une fa
ne radiculaire moyenne est partout respectée. Près du sillon médian postérieur , la dé- coloration n'est pas aussi accentuée. S
En effet, le picro-carmin ne fait voir'dans la partie . des cordons postérieurs que nous avons trouvé altérée macroscopique- me
de soutènement. On ne constate pas de véTit sclé- rose des cordons postérieurs . Il est vrai que les fibres à il]3,Cli4 soi plus
ibres à il]3,Cli4 soi plus clairsemées dans les régions des cordons postérieurs qui avoisinent l"sil- lon postérieur et clans l
dans les régions des cordons postérieurs qui avoisinent l"sil- lon postérieur et clans la zone radiculaire postérieure. Cependa
s qui avoisinent l"sil- lon postérieur et clans la zone radiculaire postérieure . Cependant," il est a bon de noter que ces fibr
i puisse donner l'impression d'nne véritables clérose des cor- dons postérieurs . Notons ensuite qu'un bon nombre des fibres nerve
es colonnes de Clarke paraissent saines. Les racines antérieures et postérieures semblent normales, Microscopiquement, on trouve
ent normales, Microscopiquement, on trouve également dans la partie postérieure du cordon latéral, une diminution des libres il
oyenne et toute la bande de substance blanche qui avoisine la corne postérieure et qui se dirige vers la commissure posté- rieu
sté- rieure sont normales, tandis que la partie médiane des cordons postérieurs et la zone radiculaire postérieure (de la nomen
ue la partie médiane des cordons postérieurs et la zone radiculaire postérieure (de la nomenclature de Flechsig) tran- chent pa
régions précédentes. Ces différences de coloration dans les cordons postérieurs existent sur toute l'étendue de la région dorsa
ement épaissi. Le triangle de substance saine qui avoisine la corne postérieure affecte une topographie variable dans la région
ne, les deux triangles de substance saine s'avancent vers le sillon postérieur , tan- dis que dans la région dorsale inférieure
essentiellement sur la région radicu- laire moyenne. Les racines postérieures et les colonnes de Clarke sont intactes en ce 2
e semble intacte la zone de Lissauer. m Les cornes antérieures et postérieures , les racines antérieures et posté- rieures sont
ssi de la substance blanche dans le domaine des vaisseaux du sillon postérieur . Nous avons noté que les troncs nerveux des mem
'origine probablement endogène attendu que les fi- bres des racines postérieures sont intactes. Cette lésion cantonnée dans cert
intactes. Cette lésion cantonnée dans certaines parties des cordons postérieurs n'est pas une véritable sclérose, bien que le t
ort grossissement nous a fait voir dans la partie médiane du cordon postérieur qui avoisine le sillon postérieur un très grand n
dans la partie médiane du cordon postérieur qui avoisine le sillon postérieur un très grand nom- bre de fibres fines, résulta
Du reste, les quatre plaques ont été mesurées dans le sens antéro- postérieur et dans le sens trans- versal, et leurs dimensi
l régulièrement arron-- dies et disséminées sans règle. A la partie postérieure et à droite on voit 3 ou 4 plaques conglomérées
d'abord puis plus foncés. Le 20 mai toutes les plaques des régions postérieures et latérale sont disparu, et il est impossible
in forte à l'aide éborgné par le patient. Du même côté, sur un plan postérieur , deux individus semblent dis- (1) Ronse ou Henu
v. a, noyau ventral antérieur ou supérieur,-n. v. p, noyau ventral postérieur ou inférieur, - n. d. a, noyau dorsal antérieur
- n. d. a, noyau dorsal antérieur ou supérieur, n.d.p, noyau dorsal postérieur ou inférieur, - n. a. m, noyau antérieur médian
situés au-dessous de l'aqueduc de Sylvius, c'est-à-dire les centres postérieurs des nerfs moteurs oculaires communs ainsi que l'o
des nerfs pathétiques Fic.. 56. Les artères médianes antérieures et postérieures du bulbe et de la protube- rance annulaire (d'a
t le troisième ventricule, sont assez nettement séparés des centres postérieurs et qu'ils reçoivent sans doute une irrigation d
our l'indépendance rela- tive des centres antérieurs et des centres postérieurs du nerf moteur ocu- Fic. 5 ? Les artères de la
talon est tiré en haut par la contraction des muscles de la partie postérieure de la jambe; celle-ci est étendue sur la cuisse
ie du côté gauche. Enfin larges plaques anesthésiques sur les faces postérieures droite et gauche du tronc, sur la nuque et la r
celle que j'ai reproduite ici. L'autre porte l'adresse d'un éditeur postérieur aux initiales T. G. et ne diffère pas de la précé
et les méninges incisées, on aperçoit en arrière, entre les racines postérieures , une plaque blanchâtre, molle, nettement circon
plus haut. 328 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Les veines postérieures de la moelle sont extrêmement congestionnées da
n anté- rieure de la jambe, les péroniers, les muscles de la région postérieure de la cuisse, le tenseur du fascia lata, le cou
dorsale ; dès le début elle envahit les deux commissures, la partie postérieure des cornes anté- rieures, se prolonge un peu da
térieurs le long de la scissure, empiète légèrement sur les cordons postérieurs et envoie un prolongement le long de chaque cor
rdons postérieurs et envoie un prolongement le long de chaque corne postérieure , prolongement plus large à droite qu'à gauche (
sa surface de section ; il ne reste plus qu'une partie des cordons postérieurs , surtout du cordon postérieur gauche, et une mi
reste plus qu'une partie des cordons postérieurs, surtout du cordon postérieur gauche, et une mince bordure irrégulière à la pér
ujours un secteur intact dont la pointe est vers le col de la corne postérieure gau- che et dont la base embrasse la circonfére
de la 5e dorsale. 330 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE nes postérieures droites jusqu'à un point situé un peu en avant de
jusqu'à un point situé un peu en avant de l'émer- gence des racines postérieures gauches (Fig. 64). ' A partir de la 5e dorsale
te diminue beaucoup moins vite par en bas que par en haut. La corne postérieure droite reste toujours plus malade que la gauche.
la 8e racine dorsale par une simple tache située dans la commissure postérieure (Fig. 65). L'ensemble du foyer de myélite forme
l en est de même pour le faisceau pyramidal droit et pour le cordon postérieur du même côté (à part de très légères bandes pos
ur le cordon postérieur du même côté (à part de très légères bandes postérieure et interne) ; par contre le faisceau pyramidal ga
terne) ; par contre le faisceau pyramidal gauche et toute la moitié postérieure du cordon postérieur gauche ont été à peu près
faisceau pyramidal gauche et toute la moitié postérieure du cordon postérieur gauche ont été à peu près respectés. Pour étu
ation devient massive dans la scissure antérieure et dans le sillon postérieur au renflement cervical et dans la partie supéri
s leucocytes s'accumu- lent également dans les sillons antérieur et postérieur , mais ne s'avancent pas dans les tractus pie-mé
prolongements dans les gaines lymphatiques des vaisseaux perforants postérieurs , jusqu'à une certaine distance. Un certain nomb
cheminent à la surface de la pie- mère, appartenant soit au système postérieur , soit au système antérieur, sont également le s
e en constatant qu'il est resté un tout petit territoire de cordons postérieurs intact sur toute l'étendue du foyer morbide. Ce
elle forme une petite bande transversale qui comprend la commissure postérieure et une petite zone adjointe des cordons postéri
d la commissure postérieure et une petite zone adjointe des cordons postérieurs ; elle s'arrête latéralement/aux cols des cornes
cordons postérieurs; elle s'arrête latéralement/aux cols des cornes postérieures ; en arrière elle envoie un petit prolongement le
en arrière elle envoie un petit prolongement le long de la scissure postérieure . Un peu au-dessous elle s'étend rapidement, env
end rapidement, envahit les 2 cornes an- térieures dans leur moitié postérieure et envoie en arrière deux prolon- gements qui'
ux prolon- gements qui' gagnent la périphérie en suivant les cornes postérieures et en empiétant un peu sur la substance blanche
a commissure grise et un autre en dedans de l'extrémité de la corne postérieure droite : Celte dernière petite tache descendjusqu
le empiète sur les deux grands territoires vasculaires antérieur et postérieur ; mais certains détails, tels que la forme plus
du sillon antérieur que les vaisseaux radiculaires anté- rieurs et postérieurs . Les artères sont même indemnes de toutes lésions
très nette, sur l'enveloppe de beaucoup de racines anté- rieures et postérieures ; de cette enveloppe l'infiltration tend à gagner
aires de la jambe semble porter autant sur les muscles de la partie postérieure que sur ceux de la région antéro- latérale, cep
l'avant-bras est préalablement mis en supination. - 1 A la partie postérieure du bras, le triceps est aussi rigide que le bicèp
s consiste en une voussure pos- térieure à gauche et une dépression postérieure à droite. Le Dr Clozier a cons- taté lé contrai
ure à droite. Le Dr Clozier a cons- taté lé contraire, une voussure postérieure à droite et une dépression posté- rieure à gauc
aiguë (deux cas), par NAGEOTTE, 325. Névralgie de la VIlle racine postérieure cervicale droite, par A. Chipault, 134. Ophta
31 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
de 2-3 millimètres. Chez cette fillette existe une absence des arcs postérieurs des vertèbres dans la partie supérieure de la c
yélie, s'est pro- duite l'absence de la voûte crânienne et des arcs postérieurs des vertèbres. Cas II. - Deux jumelles. Quoique
lonnevertébrale et après la section de l'os occipital, de la cavité postérieure , il s'écoulaune demi-tasse à théade liquide tra
tzoff) A et B Cas I. Aspect .lu mousuc. C. Caf IL Fosse crânienne postérieure . ventricule très élargi, avec une fine membrane.
c de Sylvius, et ainsi en place du cervelet dans la fosse crânienne postérieure s'amassa sous une membrane très fine le liquide
relevé parce que l'accumulation de liquide dans la fosse crânienne postérieure a refoulé la tente du cervelet en haut. Le cervel
tente du cervelet en haut. Le cervelet manque. En face de sa partie postérieure (PI. VII, E) nous trouvons que la surface des h
du côté des ventricules latéraux et du côté de la fosse crâ- nienne postérieure à cause de l'accumulalion trop grande de liquide
région dorsale et lombaire le canal rachi- dien est privé des arcs postérieurs des vertèbres. A l'autopsie on constata les ven
ndamental du cordon antéro-latéral, le nerf hypoglosse, le cor- don postérieur . Plus haut, au niveau de l'ouverture du 4e ventri
e ne sont pas développées, ainsi que les fibres arciformes externes postérieures ,les fibres arciformes internes dans la partie inf
s cellules spéciales. Ainsi nous avons ici le faisceau longitudinal postérieur , les fibres arciformes internes, presque non dé
le nous trouvons celui-ci très aplati (Pl. VIII, K). Dans la partie postérieure nous trouvons le faisceau longitudinal postérie
. Dans la partie postérieure nous trouvons le faisceau longitudinal postérieur , au-dessus le genou du facial, eh dehors le noy
ta l'axe cérébro-spinal, nous trouvons ici le faisceau longitudinal postérieur ; en dessous la formation réticu- laire, mais ma
ous trou- vons ce qui suit (Pl. VIII, M) : le faisceau longitudinal postérieur , les fibres arciformes internes de la formation
ouillés manquent). En dessous les fibres du faisceau longitu- dinal postérieur qui viennent en contact avec les noyaux du nerf d
t du noyau arciforme, de même que des libres arciformes externes et postérieures , des olives, des fibres arciformes internes et
s myéliniques, le faisceau cérébro-spinal latéral manque. Le cordon postérieur est bien développé. En arrière, est située une
n côté, le plus éloigné de ce triangle suit parallèlement la partie postérieure de la moelle. Dans le côté opposé du triangle s
moelle épinière est comprimée encore pl us (Pl. IX, 0); les cordons postérieurs sont mal formés. La formation, située en arrièr
c cela la partie antérieure reste sans changement, mais les cordons postérieurs se portent dans la formation située sur eux.
située sur eux. Symétriquement de deux côtés situées dans la partie postérieure , les stries arciformes de fibres myéliniques ra
plus loin. La partie antérieure n'est pas changée, mais les cordons postérieurs n'apparaissent pas comme for- mation indépendan
sa partie antérieure apparaît parfaitement normale. Dans la partie postérieure , nous trouvons le noyau de Goll duquel s'écartent
X, S). Ainsi commençant du niveau des olives par en bas, la partie postérieure du bulbe rachidien s'atténuait ; elle se déplaçai
chidien s'atténuait ; elle se déplaçait et en- traînait les cordons postérieurs de la moelle, s'unissant avec eux et apla- tiss
et de la couche du ruban de Reil qui provient des noyaux du cordon postérieur et se termine dans les couches optiques. Nous o
it une saillie assez accusée ; entre ses deux segments antérieur et postérieur on perçoit très bien les tendons du biceps. Les m
ont les racines nerveuses cervi- cales et lombaires, antérieures et postérieures , le nerf médian au tiers moyen du bras, le nerf
postérieures, le nerf médian au tiers moyen du bras, le nerf tibial postérieur ; on rencontre toutefois dans les préparations q
t- à-dire contemporaines de la naissance, ou acquises, c'est-à-dire postérieures à la naissance, elles peuvent dater effectiveme
c bien surprenant que la xérodermie pigmentaire ne fût pas, quoique postérieure à la naissance, une maladie essentiellement cutan
ute la moitié intérieure de l'individu étant noire, toute la moitié postérieure est blanche; la ligne de démarcation des deux c
érence de la moelle, mais ne tranche pas le bord externe des cornes postérieures qui est recouvert par une mince couche de tubes
myéline. Aussi bien dans ses cornes antérieures que dans ses cornes postérieures . 2) Par les colorants nucléaires la sclérose de
g des vaisseaux, surtout dans les faisceaux latéraux et les racines postérieures , il y a des ilots de périartérite nom- breux ;
es à myéline tuméfiée. Ils sont, ici, peu nombreux dans les cordons postérieurs que dans les autres faisceaux blancs, mais ne rép
visible par les colorations myéliniques. Les vaisseaux radiculaires postérieurs ont une paroi très épaisse. On retrouve égaleme
e du faisceau moteur, qu'à gauche où elle n'intéresse que des tiers postérieurs (PL XVI, A). Dégénérescence, moins intense, des
de Gowers. Les autres faisceaux blancs, en particulier les cordons postérieurs , ne présentent pas de lésions appréciables. N
ne sont représentés que par un cylindre-axe nu. Dans les cordons postérieurs on rencontre des tubes à myéline atrophiée et d
ugmentation de nombre de tubes à myéline atrophiée dans les cordons postérieurs , ceux-ci se co- lorent plus fortement, et parai
ration périvasculaire autour des artérioles des sillons antérieurs, postérieurs et surtout dans les' artères radiculaires est p
in présente aussi une légère dégénérescence. Ace niveau les cordons postérieurs sont nettement intéressés. A gauche une bande d
gauche une bande de sclérose partant du voisinage de la commissure postérieure , se dirige en arrière et se place entre les fai
et de Burdach en dessinant la virgule de Sclaacltze. Dans le tiers postérieur du cordon, cette virgule vient se confondre ave
onfondre avec une zone de sclérose plus étalée, comprenant le tiers postérieur du faisceau de Goll et la moitié interne du tie
tiers postérieur du faisceau de Goll et la moitié interne du tiers postérieur du faisceau de Burdach. Les portions intactes des
ostérieur du faisceau de Burdach. Les portions intactes des cordons postérieurs sont donc : les deux tiers antérieurs du faisceau
rs antérieurs du faisceau de Burdach, et la moitié externe du tiers postérieur de ce dernier. En aucun point la zone de dégénére
e en comparaison de celle du côté opposé. Les lésions des cordons postérieurs étant au maximum à gauche, sont donc croisées p
tout accentuée dans le fais- ceau pyramidal droit et dans la partie postérieure du cordon postérieur gauche. Par contre, dans
fais- ceau pyramidal droit et dans la partie postérieure du cordon postérieur gauche. Par contre, dans la portion antérieur
fortement altérés que dans la région sous-jacente. Dans les cordons postérieurs , la dégénérescence affecte la même topogra- phi
marquée, est un peu plus étendue à gauche qu'ai droite. 4) Cordons postérieurs absolument sains dans les régions lombaire et d
e Burdach dans ses 2/3 antérieurs (virgule) ; dégénérescence du 1/3 postérieur du faisceau de Goll et de la portion adjacente du
ITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 103 Les zones radiculaires des cordons postérieurs sont partout parfaite- ment intactes. 5) La s
ce grise est, tant dans les cornes antérieures, que dans les cornes postérieures et dans les colonnes de Clarke, bien fourni sur
nous n'avons pas trouvé de tubes nerveux dégénérés dans les racines postérieures . D'autre part, les lésions vasculaires de ces r
de la moelle, on ne peut leur attribuer les altérations des cordons postérieurs limitées à la région cervicale seulement. Du rest
le faisons remarquer plus haut, la zone radiculaire de ces cordons postérieurs est partout bien conservée. 9) Sur toutes les h
davantage être mise en cause pour expliquer les lésions des cordons postérieurs . La zone cornu- radiculaire étant en effet part
mne on ne peut invoquer la péri- artérite observée dans les racines postérieures qui du reste il côté de ces lésions vasculaires
de la moelle et ne cadrent pas avec une dégénérescence des cordons postérieurs limitée à la région cervicale seulement. L'un de
a, il est vrai, montré l'existence d'une dégénérescence des cordons postérieurs consécutives à des lésions encéphaliques (1), m
ll. de la Soc. de Biologie, 1894. - Les dégénérescences des cordons postérieurs conséculives aux lésions en foyer de l'encéphal
ction; il décrit t une courbe à concavité antérieure et à convexité postérieure . De plus, au point d'inflexion qui correspond a
inférieur; là l'humérus semble soufflé en arrière, décrit un ventre postérieur et atteint ainsi, à ce niveau, un volume qui ra
hyperalgésie très vive dans la zone sensitive du circonflexe (face postérieure de l'épaule et externe du bras). Dans la zone s
s marquée. Moins vive encore dans la zone sensitive du radial (face postérieure du bras et de l'avant-bras). A peine accusée sur
8 centim. au-dessus de l'apophyse styloïde du radius) pour devenir postérieure . La préhension du nerf médian au milieu du bras
cles dans le membre supérieur droit, ni dans la région pectorale et postérieure de l'épaule. Pas de tremblement, mais instabili
sur 2 plans : Les nerfs circonflexe et radial (qui forment le plan postérieur ) reposent sur le tendon du sous-scapulaire. Le ci
e ; il est tendu un peu en avant. Le plan antérieur, séparé du plan postérieur par l'épaisseur des vais- seaux axillaires et p
facilement les racines antérieures mais beaucoup moins les racines postérieures . Une traction très violente rompt les racines an-
rès violente rompt les racines an- térieures et tend simplement les postérieures . L'élongation des racines postérieures, à cause
eures et tend simplement les postérieures. L'élongation des racines postérieures , à cause de la position oblique des ganglions q
lénoïdienne permanente entrainant une sourde irritation des racines postérieures des 5e, 6e, 7e cervicales. Par contre, pendant
léments ganglionnaires, sur ces élé- ments eux-mêmes; sur la racine postérieure spinale, c'est-à-dire sur les fibres efférentes
efférentes du protoneurone centripète, sur les éléments des cornes postérieures ou enfin sur les fibres qui en émanent vers les c
es qui en émanent vers les centres plus élevés, formant les cordons postérieurs . Quelle que soit la théorie, elle s'ap- pliquer
ctive, la plus vigilante et la plus importante des racines spinales postérieures ; - parce que la lésion systématique atteindra, d
es ; - parce que la lésion systématique atteindra, dans les racines postérieures des cordons qui en émanent aussi bien que dans le
ent qui va s'épanouir au niveau des éléments médullaires des cornes postérieures . C'est ce prolongement efférent qui constitue le
ent dit. En d'autres termes, le nerf labyrin- thique est une racine postérieure plus longue que les autres, dont le gan- glion
imaires, bulbo-protubéran- tiels, ceux qui correspondent aux cornes postérieures de la moelle, sont si haut placés dans le voisi
iatement en tous sens sans former de cordons homologues aux cordons postérieurs de la moelle. Ceci est im portant à considérer
ies médullo-cérébrales et médullo-cérébelleuses émanées des racines postérieures . On peut reconnaître dans l'appareil émané des
postérieures. On peut reconnaître dans l'appareil émané des racines postérieures deux systèmes de voies centripètes véhiculant d
gainement myélinique plus tardif, aboutis sanl à la tête des cornes postérieures , d'où les impressions s'élèvent vers les centre
à engainement myélinique précoce, aboutissant à la'base des cornes postérieures , et particulièrement à la co- lonne de Clarke,
colonne de Clarke) qui sont les prolongements de la base des cornes postérieures . De ces noyaux partent les impressions qui vont
e physiologique. Il existe dans la moelle des fibres qui des cornes postérieures vont direc- tement vers les centres nucléaires
stème labyrinthique et de leurs centres avec l'appareil des racines postérieures et de leurs centres primaires. De par l'anatomie
s tandis que les fibres émanées des centres médullaires des racines postérieures cheminent de conserve le long de la moelle et se
rotoneurone centripète y est plus évidente qu'au niveau des racines postérieures . Wernicke, Althaus décri- vent dans le tabes un
art des faisceaux du nerf vestibulaire au voisinage des gros noyaux postérieurs . Ces faisceaux étaient transformés en tissu con
thique ont été atteints dans le tabès ; et pour cette grosse racine postérieure qui est le tronc labyrinthique, on en sait plus
t de vue anatomo-patho- logique, que pour toutes les autres racines postérieures spinales. Remarquons que dans la surdité d'orig
anique, et à ce titre encore bien plus que par sa qualité de racine postérieure plus importante que toutes les autres, l'appa-
scillation, et l'insuffisance du sens pédieux (sclérose des cordons postérieurs , etc.) qui compromet l'appropriation et la coor
s débutant, comme il semble logique, par la plus grosse des racines postérieures , c'est-à-dire par l'ap- pareil labyrinthique.
e et se rappeler que le nerf labyrinthique, en sa qualité de racine postérieure la plus active et la plus grosse de toutes, sera
rtie supérieure, et la modification de la ligne qui réunit la paroi postérieure à la paroi latérale de l'aisselle (ligne en S ave
particulièrement, ces deux racines traversent les fibres du scalène postérieur avant de se réunir; quelquefois même, le tronc du
é contre le thorax, afin de donner ainsi de la solidité à la moitié postérieure de la ceinture scapulaire, c'est-à-dire de donn
placé au niveau de l'angle externe, qui éloigne cet os de la paroi postérieure de la cage thoracique, en faisant saillir sous la
nt dite. Le creux de l'aisselle èst profondément modifié : sa paroi postérieure dis- paraît àpeu près complètement et se place
forme d'une S à boucles très allongées ; rétrécissement de la paroi postérieure ; dilatation générale de la cage thoracique avec
derme est corné, dur. légèrement exfolié. Etat rugueux de la partie postérieure du bras. L'enfant est revue le 9 juin 1898. 11
de la main et parlent de la région antérieure pour gagner la région postérieure du thorax. (1) NEUMANN, Arch. sur Kinderheilkun
embre inférieur droit. - Les muscles de la région antéro-externe et postérieurs sont un peu atrophiés, seuls les adducteurs, le d
faisceau pyra- midal direct du côté gauche. Au niveau des cordons postérieurs , même dans les parties sclérosées, il n'existe
imple examen des altérations étendues qui existent dans les cordons postérieurs . La sclérose a envahi les cordons de Goll et de
des cordons de Burdach. Cette sclérose n'atteint pas la commissure postérieure , elle en est séparée par une bande de fibres sain
s. De même la région voisine des racines est respectée. A la partie postérieure des cor- dons de Burdach se trouve une zone de
ette externe (PI. XXIX, fig. N et PI. XXX, fig. 0,P). - Les racines postérieures sont intactes. Outre les cordons postérieurs, l
0,P). - Les racines postérieures sont intactes. Outre les cordons postérieurs , les cordons antéro-latéraux présentent quelque
mais celles-ci sont beaucoup moins profondes que celles des cordons postérieurs . Il y a une très légère dégénération des faisceau
arquée dans le faisceau pyramidal croisé du côté droit. Les racines postérieures sont intactes. Sur des coupes faites entre la Ill
ième et la sixième cervicale (Pl. XXIX, fig. M). Dans les cordons postérieurs il existe toujours de la dégénération des cordo
a dégénération est peu intense et étendue en surface. Les racines postérieures paraissent un peu atteintes, le nombre des fibres
rise, éprouve une raréfac- tion notable au niveau du col des cornes postérieures . Sur une coupe au niveau de la 7° cervicale on
cornu marginal parait à peu près complète. Les lésions des racines postérieures paraissent beaucoup moins marquées que dans les
upe passant par la région dorsale inférieure, la lésion des cordons postérieurs est toujours marquée ; la région la plus atteinte
st constituée par une longue bande atteignant en dehors les racines postérieures , séparée de la périphérie de la moelle par une
e Lissauer sont peut-être un peu touchées. Les fibres des racines postérieures sont un peu diminuées de nombre ; mais leur att
, les nerfs examinés ont été : le nerf cutané pé- ronier, le tibial postérieur , le sciatique. Le nerf péronier présente quelqu
lieu de ce tissu conjonctif sont assez nombreuses. Le nerf tibial postérieur est moins atteint : les fibres nerveuses sont n
à peine. Muscles. - Aspect macroscopique. Les muscles de la région postérieure et de la région antérieure delà cuisse ont une
nt : 1° Des altérations de la moelle : .' a) Sclérose des cordons postérieurs prédominante dans le cordon de Burdach. b) Un
lavoir : il exis- tait à la peau des mains, à la face antérieure et postérieure des poignets, remontant vers le coude sous form
e, est due, d'après moi, à un manque de développe- ment de la paroi postérieure de l'utérus, laquelle s'infléchit sous la pous-
es, la thyroïdine, au bout d'un temps très court, fortifie la paroi postérieure de la matrice, la redresse. Pourquoi s'étonner
s de la jambe et du pied, les muscles des régions antéro-externe et postérieure de la cuisse. A l'autopsie, les lésions observé
ma. Le noyau et le nucléole sont absents. Les cellules des cornes postérieures sont diminuées de nombre et atro- phiées. Le
IL - Les lésions vraiment capitales se rencontrent dans les cordons postérieurs . Elles acquièrent à peu près la même intensité da
ons spinaux et des racines. - Dans le cas de Marinesco, les racines postérieures étaient très altérées, semble-t-il, dans toute
rusque : il est lent, insidieux, traînant. L'atteinte des mains est postérieure à celle des pieds de deux ans en moyenne (chiff
omparable à celle qu'on observe dans les cas de section des racines postérieures , de section transversale de la moelle. Marine
ile est conservée également au bord interne de ce pied. - B. Face postérieure . - A la plante du pied droit le côté interne, les
te, seulement à l'extrémité des doigts de la main gauche. B. Face postérieure . - Hypoalgésie au talon droit, hyperalgésie aux q
lléolaire. A la cuisse droite hyperesthésie à la chaleur. B. Face postérieure . - Thermo-hypoesthésie jusqu'au genou droit ; the
laque d'hypoesthésie au bord externe de la cuisse droite. B. Face postérieure . - Anesthésie plantaire des deux côtés ; hypoesth
tion tibio-tarsienne; hyperalgésie sus-claviculaire gauche. B. Face postérieure . - Analgésie à la plante du pied gauche, respecta
sse jusqu'à la face externe de l'articulation du genou. - B. Face postérieure . - Hyperesthésie, à la chaleur, depuis une ligne
enant tout le territoire d'innervation du nerf cu- bital. B. Face postérieure . - Anesthésie depuis les pieds jusqu'à la région
dernier orteil, et au pied droit il la base du gros orteil. B. Face postérieure . Analgésie aux deux faces plantaires ; hypoalgési
lus bas que l'hy- peresthésie au chaud à la jambe droite. B. Face postérieure . - Thermo-hyperesthésie il tout le tronc, à la tê
uis l'articulation tibio-tarsienne jusqu'au pli inguinal. B. Face postérieure . - L'hypoesthésie existe aux plantes des pieds et
ences thénar présentent une hyperesthésie plus prononcée. B. Face postérieure . - Hyperalgésie aux plantes des pieds et à la cu
a ligne bi-atillairo à la ceinture et aux éminences thénar. B. Face postérieure . Hyperesthésie à la chaleur dans toute l'étendue
artie antérieure de l'avant-bras se serait amai- grie avant la face postérieure et avant le bras. Depuis deux ans il aurait rem
ste un peu de rétraction du biceps droit ; les muscles de la région postérieure du bras sont très diminués surtout à droite. ,
térieure du bras sont très diminués surtout à droite. , A la face postérieure de l'avant-bras, muscles disparus, os saillant. L
arus, os saillant. L'espace interosseux forme un méplat à la partie postérieure . Les muscles de la partie antérieure de l'avant
nation ne peuvent plus se faire. Atrophie considérable de la partie postérieure de l'avant-bras ; atrophie des * radiaux. Le
ich. Altération de la myéline; sclérose disséminée dans les cordons postérieurs ; disparition dans un certain nombre de tubes du
ue, 1894, p. 5't5. 384 ' G. ÉTIENNE veau des faces antérieures et postérieures , surtout au niveau du ventricule droit. ' Auc
son bord spinal n'est pas éloigné de la paroi thoracique. La paroi postérieure du creux de l'aisselle est très amaigrie à droi
arrière, ce qui témoigne de l'impotence des faisceaux antérieurs et postérieurs du deltoïde; il a de multiples difficultés pour
ait voir que l'atrophie musculaire ne se produit pas si les racines postérieures de la moelle qui concourent à l'exercice de la
métatarsiennes (surtout de la première) ; à noter aussi la saillie postérieure du calcanéum. Voici quelques dimensions des mai
bres inférieurs, remontant du pied jusqu'au pli inguinal. B. Face postérieure . Anesthésie jusqu'au pli fessier. IL Douleur. A
supérieurs et au thorax jus- qu'à la ligue bi-axillaire. B. Face postérieure , - Hypoalgésie aux deux plantes des pieds et hype
Face antérieure. - Hyperesthésie au froid, à l'ab- domen. B. Face postérieure . Hyperesthésie an chaud à la plante du pied droit
dans la zone du cubital, au bras gauche, aux deux mains. B. Face postérieure . - Anesthésie jusqu'à la ceinture, remontant du c
flanc droit et aux mains jusqu'à l'extrémité des doigts. B. Face postérieure . Hypoalgésie depuis les orteils jusqu'au pli fess
tronc. Au froid, hyperesthésie dans les régions axillaires. B. Face postérieure . - A la chaleur, hyperesthésie à la face interne
I., Éditeurs. TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES 413 B. Face postérieure . - Anesthésie comme à la face antérieure dans les
guinaux. Hypoalgésie dans la zone d'anesthésie crânienne. B. Face postérieure . A gauche, analgésie depuis le pied jusqu'au creu
ânienne où il y a di- minution de la sensation thermique. B. Face postérieure . - Hypoesthésie plantaire remontant à droite jusq
be ; on trouve aussi de l'hy- poesthésie en demi-calotte. B. Face postérieure . - L'anesthésie remonte à droite jusqu'au creux p
as jusqu'à l'extrémité des deux derniers doigts de la main. B. Face postérieure . - Anesthésie en corset ; hypoesthésie aux fesses
ers doigts de la main gauche et à tout le reste du corps. B. Face postérieure . - Analgésie depuis l'aisselle droite jusqu'au bo
, la sensation du froid est plus intense que normalement. B. Face postérieure . - Hypoesthésie en corset, au chaud, descendant l
ez vue ne peuvent dépendre que d'une lésion des fibres radiculaires postérieures dans les racines postérieu- res ou dans la moel
à conclure que la lésion dont ils dépendent siège dans les racines postérieures ou dans l'épaisseur même de la moelle. En effet
e notablement, selon que l'on considère ces fibres dans les racines postérieures ou dans les nerfs périphériques, chaque racine
postérieures ou dans les nerfs périphériques, chaque racine spinale postérieure fournit des fibres à dij"é- rents nerfs sensiti
ents dont chacun tire son innerva- tion sensitive d'une môme racine postérieure , ses segments empiètent les uns sur les autres,
res cutanés qui tirent leur innervation sensitive d'une même racine postérieure ne constituent pas des ¡lots circonscrits, ils
ET DE GOTUARD autre quand elle dépend d'une ou de plusieurs racines postérieures ou de leurs prolongements intra-médullaires.
relations de l'innervation sensi- tive de la peau avec les racines postérieures , ensuite cette anesthésie, si elle existe, occu
par simple com- pression, par exemple d'une ou de plusieurs racines postérieures , l'anes- thésie tactile et l'analgésie ne s'obs
ologique montre que les lésions de la substance blanche des cordons postérieurs se tradui- sent surtout par de l'anesthésie tac
erfs périphériques ni même entièrement par une lé- sion des racines postérieures . Elles sont l'expression d'une lésion intra- sp
a- spinale qui intéresse à la fois la substance blanche des cordons postérieurs et la substance grise centrale. En résumé, le
u lobule du pli courbe et de l'insula avec participation du segment postérieur de la capsule interne. A son entrée à l'asile d
le pied de la pariétale ascendante. La coupe 2 passe par la partie postérieure du pied de la pariétale as- cendante. NOUV, I
nt examinées d'arrière en avant; les figures représen- tent la face postérieure de chaque coupe. Les légendes ( l) en sont donnée
est respectée, celle de l'insula en particulier. La circonvolution postérieure de l'insula apparaît à ce niveau au fond de la sc
ie antérieure d lobule du pli courbe. Coupe 5 passant à la partie postérieure du lobule du pli courbe. APHASIE AMNÉSIQUE
du lobule du pli courbe. Fit. S. . Coupe i, passant à la partie postérieure du lobule du pli courbe. - - d APHASIE AMNÉ
"AI "F.TIIII¡H, T. XII. PI. I.XXVIII Coupe 3 passant a la partie postérieure du pied de la pariétale ascendante. Coupc 3 p
HASIE AMNÉSIQUE ( Tréllet) Fig. 8. Coupe 2, passant à la partie postérieure du pied de la pariétale ascendante. Fig. 7.
rieurs, le faisceau arqué est complètement coupé depuis sa courbure postérieure jusqu'à son tiers an- térieur, le système du fa
444 TRÉNEL interne est détruite à la partie supérieure de sa région postérieure rétro- lenticulaire. Le genou et le segment ant
imbique. - cc. Corps calleux. - CE. Capsule externe. - Cld. Segmeut postérieur de la capsule interne. - CL. AvanL-mur. - Cri. Se
ote simplement un peu de rougeur violacée des poignets. Sur la face postérieure du bras gauche, à 4 travers de doigt au-dessus de
32 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a question des rapports de la paralysie générale et du tabes spinal postérieur a soulevé et soulèvera certainement encore de v
dans la paralysie générale, la localisation des lésions des cordons postérieurs simule par- fois la sclérose ataxique. La resse
ne part, l'intensité et la localisation de l'atro- phie des racines postérieures d'autre part. C'est un cas de ce genre dont nou
que, ni l'étude minutieuse des lésions des cordons et des racines postérieures , ne permettent de s'arrêter au diagnostic de tabe
térieures, ne permettent de s'arrêter au diagnostic de tabes spinal postérieur . Observation. Asile clinique (Sainte-Anne). ,
. Les fibres y sont ser- rées, leur myéline bien colorée. Le cordon postérieur , au contraire est atteint dans son ensemble mai
que de très rares fibres éparses; la dégénérescence gagne le cordon postérieur vers la zone cornu-radiculaire. L'ensemble de l
n. La seconde zone des lésions occupe une grande partie du cordon postérieur , suivant l'aire d'un triangle rectangle qui, par
rectangle qui, par le sommet de son angle droit, confine à la corne postérieure , au niveau de la substance de Rolando. Parlant
e dirige en avant et légèrement en dedans, s'écartant de la corne postérieure pour aboutir au septum médian, un peu en arrière
isparition. La lésion se détache avec netteté sur le fond du cordon postérieur . Trois zones sont beaucoup moins atteintes, off
cune la forme d'un triangle confinant par l'un des côtés à la corne postérieure , et s'insinuant entre celle-ci et la zone sclér
bres ne sont diminuées ni en nombre ni on volume. Quant aux racines postérieures , elles sont manifestement atteintes, mais dans
moyenne. - Les lésions sont plus limitées et l'ensemble du cordon postérieur possède un plus grand nombre de libres saines. La
cte ou à peu près. Pour ce qui est de la dégé- nérescence du cordon postérieur proprement dit, elle occupe de pari et d'autre
uve, en effet, situé au niveau du quart inférieur environ du cordon postérieur . Dans cette région dégénérée, il existe encore
breux noyaux. Les racines antérieures sont saines; dans les racines postérieures il manque quelques fibres, mais le plus grand n
s allongée qu'aux étages sous-jacents, elle est parallèle* la corne postérieure . Elle se rapproche d'assez près de la périphérie
La zone de Lissauer est légèrement lésée. Tout le reste du cordon postérieur est sain, dans tous les cas très peu malade, ca
un début de sclérose interstitielle. Cependant l'ensemble du cordon postérieur est moins coloré que les cordons anléro-latérau
res manquent, sans nul doute, dans les unes et les autres des zones postérieures . Le contraste est moins frappant entre les deux
ve qu'une ou deux cellules d'aspect granuleux et jaunâtre. La corne postérieure n'a de lésions appré- ciables en aucun de ses p
. Ses deux portions se détachent nettement sur l'ensemble du cordon postérieur sous forme d'un triangle isocèle ; sa base est
sure grise, occupe les deux tiers au moins de l'épaisseur du cordon postérieur . Sont également sains les faisceaux de Lissaüer
r. Sont également sains les faisceaux de Lissaüer et radiculaires postérieurs . La zone des fibres ascendantes est simplement re
nde large, constituée par des fibres saines, qui confine aux cornes postérieures et en suit très exactement la direc- tion pour
la zone de Lissauer; cet ergot entame le faisceau coniu-radiculaire postérieur . L'ensemble des deux bandes, droite et gauche,
réparations les cellules motrices sont peu nom- breuses. Les cornes postérieures sont également saines. Racines. - Les racines p
s cornes postérieures sont également saines. Racines. - Les racines postérieures et les racines antérieures sont à peu près sain
NILE. Il 1; b) Etage supérieur (ftj. 7). L'en<emIJle des cordons postérieurs est plus pâle que les cordons ;it)Léto-IaLériux
faisceaux de Goll, aux faisceaux cornu-commissuraux et radiculaires postérieurs . La bandelette externe se présente au contraire
. Substance grise. Les cornes antérieures sont saines. Les cornes postérieures présentent une démyélinisation manifeste au nivea
nes. Les racines antérieures ont perdu quelques fibres; les racines postérieures peuvent être considérées comme sdines. L'épaiss
nt franchement l'illu- sion d'une sclérose systématisée des cordons postérieurs . Cependant, par divers côtés, ces coupes elles-
souvent la lésion est très peu prononcée. L'intégrité des racines postérieures et de la zone de Lissaüer, ou le peu d'intensit
étages inférieurs d'une part et avec le peu de lésions des racines postérieures d'autre part. Nous nous croyons autorisé à pens
moelle. Suivant les étages examinés, les éléments nobles des cornes postérieures sont ou ne sont pas atteints. Les cornes antéri
er et cornu-radiculaire moyenne, lésions peu accusées des racines postérieures et des faisceaux de Goll d'une part; -.lésions
isant le départ des quelques absen- ces constatées dans les racines postérieures ; les autres per- sistent en majeure partie et s
ce cas il est de règle que la lésion respecte à peu près la racine postérieure et la zone de Lissauer. Pour aller jusqu'au bou
on aurait pu facilement les croire caractéristiques du tabes spinal postérieur ; un exa- men méthodique et approfondi pouvait
: 1° que tous les symptômes cérébro-spinaux et périphériques sont postérieurs aux manifestations bien déclarées du diabète ; 2°
ent s'expliquer « par la production d'une thrombose de la cérébrale postérieure au ni- veau même de son union avec la communica
rale postérieure au ni- veau même de son union avec la communicante postérieure , de telle façon que la circulation soit complèt
e artère et très ralentie dans la pre- mière partie de la cérébrale postérieure qui donne naissance aux dix collatérales de Dur
ffuse annulaire et dégénération partielle des cordons pyramidaux et postérieurs , hypertrophie du tissu embryonnaire autour du c
es de l'oculo-moteur (artères terminales, éma- nant de la cérébrale postérieure ) qu'il faut chercher le point de départ des att
de un centimètre, portant presque toute son'action sur ses parties postérieures , au niveau des premières paires lom- baires. »
u système nerveux central, et des lésions systématiques des racines postérieures et des cordons postérieurs de la moelle. Les al
t des lésions systématiques des racines postérieures et des cordons postérieurs de la moelle. Les altérations des cellules des
elle-même varie. Elle se can- tonne le plus souvent dans la moitié postérieure de la moelle, en arrière d'une ligne transversa
rt jamais, il faut le dire, une grande intensité. Dans le segment postérieur de la moelle, elle intéresse le cordon latéral
térieur de la moelle, elle intéresse le cordon latéral et le cordon postérieur à des' degrés divers, selon la forme et la duré
entera, par exemple, des lésions peu accusées, tandis que le cordon postérieur est parvenu au dernier terme de la dégénération
lerons ailleurs. C'est surtout la topographie des lésions du cordon postérieur qui varie dans les différents étages de la moel
nche voisine de la commissure grise et quelques libres dans l'angle postérieur et interne du triangle que figure le cordon pos
dans l'angle postérieur et interne du triangle que figure le cordon postérieur . Plus haut, dans la région dorsale, d'autres fi
happent à l'altération. Celles qui longent immédiatement la corne postérieure jusqu'à la substance gélatineuse qui la coiffe, e
la partie interne du faisceau de Burdach, au centre même du cordon postérieur . Cette bandelette ne dépasse pas, en avant, le
e petite distance de la circonférence. En sorte que, dans le cordon postérieur , à la région dor- sale, nous rencontrons succes
dor- sale, nous rencontrons successivement, en allant de la corne postérieure au sillon médian postérieur, une bandelette de
successivement, en allant de la corne postérieure au sillon médian postérieur , une bandelette de fibres saines adossée le lon
euxième bandelette de fibres saines située au centre même du cordon postérieur . Elle se réunit ainsi à une nouvelle zone de dé
ration moins accusée généralement, celle qui longe le sillon médian postérieur . Quelques fibres du centre ovale de Fleschsig e
l'avons vue remplacer presque toutes les fibres nerveuses du cordon postérieur dans deux cas. Les cylindres-axes eux-mêmes ava
es degrés divers, dans toutes ses parties : corne antérieure, corne postérieure , commissure et dans ses deux principaux élément
ervicale inférieure, la substance grise, située en avant des cornes postérieures , forme un bloc, dans lequel on distingue à pein
medio-lateralis, des cel- lules de cordon, des cellules de la corne postérieure . Disons seulement que par comparaison avec des
c la substance grise, notons une sclérose active autour de la corne postérieure , au point où les fibres radiculaires courtes pé
l- ques cas, et dans d'autres, au contraire, se limite au segment postérieur . L'adhérence de la pie-mère à la substance blanch
toujours altérés. Généralement, ils sont plus atteints à la région postérieure . Il n'est pas rare, cepen- dant, de voir des va
ne font que passer dans la moelle, venant du cerveau ou des racines postérieures . Disons tout de suite que la paralysie générale
corne antérieure, sont presque toujours saines, et, dans le cordon postérieur , les fibres cornu-commissurales, les fibres de
is même celui de Gowers, enfin et surtout les fibres radiculaires postérieures , sont presque toujours atteintes. Prenons d'abo
n la sclérose névroglique se limiterait aux faisceaux latéraux et postérieurs , encore moins pourquoi elle respecterait, dans
rieurs, encore moins pourquoi elle respecterait, dans ces faisceaux postérieurs , précisément, les fibres endogènes éparses un p
us y reviendrons, en parlant des fibres qui proviennent des racines postérieures . Les territoires du cordon postérieur qui corre
qui proviennent des racines postérieures. Les territoires du cordon postérieur qui correspondent au trajet de ces fibres radic
n postérieur qui correspondent au trajet de ces fibres radiculaires postérieures sont presque toujours et seuls atteints, avons-
t longues. Les fibres courtes pénètrent immédiatement dans la corne postérieure . A ce niveau de la substance grise, nous avons
la maladie a été plus longue. Hâtons-nous d'ajouter que les racines postérieures , dont la section se voit dans les coupes, nous
ns les coupes, nous ont paru d'autant plus altérées que le cordon postérieur était lui-même plus dégénéré. Les lésions de la
ons mal l'anatomie normale et pathologique des cellules de la corne postérieure , des cellules de cordon. Il n'est point facile
ation systématisée, combinée et pri- mitive des cordons latéraux et postérieurs . La lésion du fais- ceau pyramidal a son maximu
eau pyramidal a son maximum dans la région dorsale, celle du cordon postérieur , à la région cervicale. Dans la subs- tance gri
ar Ballet, dans la névrite expérimentale 1. Les lésions des cordons postérieurs sont notées dans un grand nombre d'observations
avec des paralytiques généraux que de présenter dans leurs cordons postérieurs des lésions analogues. Y. Des lésions spinales
en même temps des tuberculeux, présentaient des lésions des cordons postérieurs . Nous l'avons dit au Congrès de Toulouse et nou
is non tuberculeux. Elles sont le plus souvent limitées au cordon postérieur , mais on les voit quelquefois s'étendre 'dans le
En effet, puisqu'ils pré- sentent toujours des lésions des cordons postérieur et latéral, que l'un est le conducteur de la se
lité, l'une et l'autre pourront être troublées. La lésion du cordon postérieur est parfois assez- intense pour ressem- bler à
selon la prédominance de la lésion du cordon latéral ou du cordon postérieur . En étudiant les lésions de la moelle, nous somme
ordon antéro-latéral, entourent la corne anté- rieure et, du cordon postérieur , les fibres cornu-commissu- rales, les fibres d
res moyennes, les fibres longues, les fibres courtes dans le cordon postérieur ; le faisceau pyramidal croisé, le faisceau céré
em- ment de même des cellules de cordon, des cellules de la corne postérieure . La dure-mère est habituellement nor- male, la
lésion de la cellule pyramidale de l'écorce. Les lésions du cordon postérieur s'expliqueraient par une dégé nération ascendan
tion principale autour du canal central. Dégénérescence des racines postérieures et des 116 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. co
s postérieures et des 116 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. cordons postérieurs de la moelle : 1° La dégénérescence des racines
cordons postérieurs de la moelle : 1° La dégénérescence des racines postérieures sur toute la hauteur de la moelle, n'affectant po
oteurs (nerfs crâniens et nerfs spi- naux) du faisceau longitudinal postérieur et des courtes fibres des cordons antérieurs et
escence du ruban de Reil, du faisceau de Gowers et même des cordons postérieurs (Brissaud) ; le bilan anatomique des paralysies
mmissurales dans l'écorce du cerveau, dans le faisceau longitudinal postérieur , et dans les cordons antéro-latéraux de la moel
rise, le neurone sensitif indi- rect siégeant surtout dans la corne postérieure ; 5° C'est de l'intégrité anatomique de ces troi
ieure du gyrus sigmoïde (en avant du sillon crucial), ou le segment postérieur de la même circonvolution (en arrière du sillon
rapport avec l'hémianopsie temporale hétéronyme (angle antérieur ou postérieur , ou ligne médiane du chiasma), est loin de cell
ée une sorte de plan horizontal passant par les orbites, et le bord postérieur du trou occipital. On bouche les cavités ocu- l
teux. La plus grande épaisseur de ce manchon correspond à la partie postérieure de la moelle; les foyers des cellules sarcomate
amas d'éléments sarcomateux formant une petite tache dans le cordon postérieur gauche. A côté de cette tache on aperçoit une f
rieure de la cavité centrale), très étroite, paral- lèle à la corne postérieure ; elle est bordée d'un tissu névroglique très d
lasie névroglique en forme d'un ruban sinueux, parallèle à la corne postérieure gauche; dans sa partie centrale le tissu est be
. La néoformation est située presque exclusivement dans la partie postérieure de l'espace subdural et ce n'est que du côté gauc
eure; en outre la tumeur a pénétré dans sa sub- stance par la corne postérieure en forme d'un large coin détruisant le tissu ne
e présente pas toutefois d'altérations très avancées, les cor- dons postérieurs exceptés : outre la dégénération ascendante très
ette lésion a particulièrement atteint la partie centrale du cordon postérieur gauche : on y voit une gliose bien développée,
cendante des plus marquées, enfin les parties centrales des cordons postérieurs et latéraux ne se teintent pas suffisamment, vu
issu médullaire atteignent une grande intensité, celles des cordons postérieurs en particulier. L'attention y est attirée par u
sinueuse, à plusieurs ramifications, prend la direction de la corne postérieure sur la moitié de son parcours. Les parois infil
orphe. Pareil aspect présente la plus grande partie de deux cordons postérieurs (sans compter les cordons de Goll dégénérés). L
rve sa place physiologique bien éloignée de la fente dans le cordon postérieur . Les dimensions de cette fente augmentant rapid
ordons de Goll (dégénérés) se trouvent refoulés adroite, les cornes postérieures sont très écartées. La cavité a l'air d'un poly
nce artificiels, localisés exclusivement dans la région des cordons postérieurs . La tumeur méningée n'est guère prononcée que s
ur la périphé- rie latérale de la moelle ; dans la zone radiculaire postérieure du côté gauche on aperçoit une infiltration dif
sacré (sensibilité conser- vée dans la région du nerf fémoro-cutané postérieur ; aboli- tion du réflexe rotulien mais persistan
a hauteur de la moelle cervicale sous forme de tâche dans le cordon postérieur . Les deux cavités ne sont point revêtues de cel
es sont très grandes. La prédominance de lanéoformation à la partie postérieure du cordon médullaire, notée par la plupart des
convolution pariétale supérieure, sur le prolongement de la branche postérieure de la scissure du Sylvius, et pour le coeur, sur
t de la ménopause, à l'âge de cinquante-deux ans, toute la moitié postérieure de la jambe gauche, l'extrémité des doigts et le
e un intérêt tout particulier : il y avait une sclérose des cordons postérieurs de la moelle, avec prédomi- nance au niveau des
iomyélite antérieure CHRONIQUE avec LÉSION concomitante DES racines postérieures ET DES cordons DE BURDACH ; par P. SCHUS- TER.
ait des plus nets au niveau du ren- .vilement lombaire. Les racines postérieures à ces mêmes hauteurs sont aussi le siège des de
teurs de la moelle et du bulbe ; lésions des racines antérieures et postérieures et d'une par- tie des cordons postérieures (Fig
s racines antérieures et postérieures et d'une par- tie des cordons postérieures (Figures). C'est un cas qui ne rentre dans aucu
fection systématique combinée des cornes anté- rieures, des racines postérieures et des cordons postérieurs. Il se rapproche le
e des cornes anté- rieures, des racines postérieures et des cordons postérieurs . Il se rapproche le plus de la poliomyélite ant
e que les cellules d'origine des fibres croisées occupent la partie postérieure et inférieure de chaque noyau. Ces fibres se
coupes au niveau d'un grand nombre de cellules situées à la partie postérieure de la corne antérieure droite. De la situation et
d'innervation des muscles de la jambe et du pied occupent la partie postérieure des cornes antérieures de la moelle et s'étende
épaisse de substance grise. Cette excavation est située à la partie postérieure de l'hémisphère cérébral droit. Il y a peu d'hy
étendue de trois centimètres carrés (superficiels ? ). Sur le tiers postérieur de la troisième circonvolu- tion frontale, colo
est pas), à la face inférieure de l'hémisphère droit, vers son bord postérieur , dans une étendue de trois à quatre centi- mètr
en la moelle épinière. Celle-ci ne con- tient alors que les cordons postérieurs et les faisceaux fondamen- taux des cordons ant
nt le canal central, on observe le défaut de développement des arcs postérieurs de la colonne vertébrale sur toute son étendue ou
ate : urocystite gangreneuse etpyélo-néphrite. Sclérose des cordons postérieurs de la moelle dans toute sou éten- due. Tumeur g
ela moelle) l'épaississement de la pie-mère, l'atrophie des racines postérieures , etc. Dans la région cervicale le tableau est com
presque toute la commissure grise et le tiers antérieur des cordons postérieurs . Dans les régions dorsale et lombaire, le canal
igne de plus en plus de la périphérie pour se placer dans la partie postérieure de la protubé- rance, dans l'angle formé du côt
fibres entrecroisées de l'autre côté. En s'avançant vers l'éminence postérieure du corps quadrijumeau, le faisceau rend un bonn
s la région du bout anté- sociétés savantes. 345 rieur du genou postérieur de la capsule interne et rentrent dans les segm
derrière la commissure grise, dans la moitié antérieure des cordons postérieurs ; sa forme et son volume sont variables ; les co
ons postérieurs; sa forme et son volume sont variables ; les cornes postérieures sont dans certains endroits comprimées et écart
face du cerveau. Hémisphère gauche. Atrophie légère des deux tiers postérieurs de la troisième circonvolution frontale, des deux
adrijumeaux anté- rieurs), le ganglion de l'babenula, la commissure postérieure , le noyau irien, la troisième paire, le ganglio
nérescences propagées ET EN particulier DES altérations des cordons postérieurs CONSÎ3CU- tives aux lésions EN foyer DE l'encép
isées des voies sensitives hulbo-protubéran- tielles et des cordons postérieurs coïncidant avec des lésions en foyer siégeant s
rtie externe n'autorisent guère à interpréter la lésion des cordons postérieurs comme secondaire, soit à une affection des gang
condaire, soit à une affection des ganglions spinaux ou des racines postérieures , soit à de la polyo- myélite. La nature enfin d
scendre jusque dans la région lombaire, intéresser tous les cordons postérieurs ou se limiter à tout ou partie des cordons de B
est de l'écorce, plus le foyer siège en 'arrière, plus les cordons postérieurs sont fortement atteints. Ce sont surtout les lé
if, on tient de voir qu'une dégénérescence systématisée des cordons postérieurs peut se montrer consécutive- ment à une affecti
XXXVIII. Recherches SUR LE trajet INTR.111ÉDULL.11RE DES racines postérieures ; par BRIAN et Bonne. Les conclusions des auteu
clusions des auteurs sont les suivantes : 1. La section des racines postérieures est suivie dans la moelle d'une double dégénéra
res mêmes des racines et qui d'abord disséminée dans tout le cordon postérieur du même côté se cantonne progressivement dans l
endogènes ou commissurales : toutes les fibres directes des racines postérieures sont parquées dans le cordon postérieur et la z
bres directes des racines postérieures sont parquées dans le cordon postérieur et la zone de Lissauer du même côté. 3. Il n'
Il n'y a pas de voie directe allant des ganglions spinaux (racines postérieures ) au cervelet. 4. Il n'existe pas de fibres pass
sc. IV, 1897.) - XLIII. SUR un cas de sarcome DE la fosse crânienne POSTÉRIEURE DROITE AVEC HYDROCÉPHALIE ET ÉCOULEMENT DU LIQU
nnerve pendant son trajet dans le canal de Fallope ; 2° Le groupe postérieur est formé par les cellules d'origine des fibres
ouche limitante de Flechsig, ne contient pas de filtres des racines postérieures , mais,-dans son segment postérieur existe le -
ent pas de filtres des racines postérieures, mais,-dans son segment postérieur existe le - trousseau médian du cordon latéral
nue), très probablement en rapport avec les cellules des seg- ments postérieurs de la substance grise et constituées de fibres
artie antérieure de la couche limitante et l'intégrité de sa partie postérieure en con- nexion avec les cellules des cornes pos
e sa partie postérieure en con- nexion avec les cellules des cornes postérieures . Cette partie posté- rieure que M. Bruce décrit
èmes commis- suraux du cerveau. -- Elles forment un arc à convexité postérieure (forceps antérieur) parce que l'endroit d'extir
e la jambe gauche rétrocédée au bout de quelques jours; les racines postérieures auraient le plus souffert, car la paralysie mot
motrice a presque complè- tement disparu; cette lésion des racines postérieures est du reste compatible avec la paralysie disso
e ET DE physiologie pathologiques. moteurs. Les fibres radiculaires postérieures après leur entrée dans la moelle se divisent en
longues voies qui gagnent la substance grise du bulbe par le cordon postérieur jusqu'au noyau de Goll. De là de nouveaux neuro
tripètes. Les fibres du ruban de Reil, issus des noyaux des cordons postérieurs vont à ces deux organes. Aux tuber- cules quadr
u cunéiforme. Une partie des fibres du ruban de Reil va à la partie postérieure de la couche optique, où elles s'éparpillent en
u en dedans du corps genouillé interne. Les excitations des racines postérieures arlivent donc bien à la couche optique et aux t
ternes de la formation rétiforme, en avant du faisceau longitudinal postérieur , et passent avec les fibres de ce dernier dans
ystème de fibres forme partie constituante du faisceau longitudinal postérieur et atteint ainsi les cordons antérieurs. Il env
rescence des fibres du faisceau pyramidal, du faisceau longitudinal postérieur et du système de fibres de i'entre-croisement f
elle ne se développent pas simultanément ; les libres des cor- dons postérieurs et du faisceau de Loewenthat dégénèrent les pre-
res myetogènes. Les trous- seaux de fibres descendantes des cordons postérieurs , décrits- par les auteurs sous dinérents noms,
ouille, le chien, le singe m'ont démontré que la section desiacines postérieures laisse après elle de l'ataxie. Toute différente q
xtrémité antérieure ou posté- rieure, suivant le nombre des racines postérieures sectionnées, elle doit son origine iL la même c
bilité dans la première que dans la seconde. La section des racines postérieures correspondant à l'ex- trémité paralysée se trad
1° la région tactile, aboutissant des fibres émanées des racines postérieures , qui comprend le pourtour du sillon de Rolando, l
l'ergot de Morand, une partie du coin, du lobule lingual et du pôle postérieur du lobe occipital ; 4° la région auditive : c'e
ou conducteurs sensitivo-moteurs. Tels : le centre d'associa- tion postérieur , sis entre la région tactile, la région auditive,
s mots s'unissent avec les conceptions dans le centre d'association postérieure ; cette union est indispensable pour que se for
sensorielles de l'écorce se réunissent dans le centre d'association postérieur . Aussi l'acte psychique de la parole comprend-i
upérieur spécial à la notion du mot, dans le cent ! e d'association postérieur , comprenant toute la région du lobule pariétal
uble de la mémoire d'association des centres d'association moyen ou postérieur : aphasie d'association. Dans chaque genre le t
514 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES Du centre postérieur . - 1° Organique. - a) Aphasie d'asso- ciation s
, par llally, 245. Hydrocéphalie. Sarcome de la fosse crânienne postérieure avec-, par Campo, 493. Hypnose. Physiologie d
midal. Variations du trajet du faisceau , par Hoche, 504. Racines postérieures . Trajet intra- médullaire des -, par Brian et
33 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
n aperçoit de champ quelques produc- tions ostéophytiques à la face postérieure de l'épiphyse distale. Le mêmes lésions se retr
est plu- tôt approfondi. 1 Les apophyses clinoïdes antérieures et postérieures sont recourbées avec une certaine tendance à s'
les, et certaines fois on peut constater des érosions dans la paroi postérieure du dorsum sellae, cette constata lion correspondr
bable que le rapprochement des apophyses clinoïdes anté- rieures et postérieures est dû à la compression de la tumeur de la tige
tte thermo-réaction serait donc caractéristique des tumeurs du lobe postérieur ou de la tige pituitaire ; en réalité dans le s
xamens hislologiques, consacrés à la voie pyramidale et aux cordons postérieurs ne dépassent pas les limites de la moelle et ne
oitié droite de la moelle, la substance grise (cornes antérieure et postérieure ) et la substance blanche. Son développement max
e. La moi- tié gauche est déformée, en partie comprimée ; le cordon postérieur , dans (1) On trouve dans Schauer, Hoche, Quense
occupe la substance grise intermédiaire aux cornes anté- rieure et postérieure (PI. XV fig. C). Au total, et l'élude des dégén
ion diffuse (fig. 1) qui atteint jus- qu'aux racines antérieures et postérieures ; l'asymétrie des dégénérescen- ces ans les de
et, disséminées autour de la corne antérieure ; 2) dans les cordons postérieurs : a; une bande placée dans le cordon de Burdach
érieure et profonde a un plus long trajet que les segments moyen et postérieur : b) le long du sil- lon médian postérieur, un
ue les segments moyen et postérieur : b) le long du sil- lon médian postérieur , un champ ovale, visible jusque dans la moelle
nécrose). Au départ (fig. 7) elles occupent : 10 dans les cordons postérieurs , les zones moyennes et externes des faisceaux d
ne ; 2° le cordon antéro-lalérral droit, à l'exception de la partie postérieure du cordon latéral et de la zone marginale du co
s (fig.7) atteint par un déplacement progressif la tête de la corne postérieure , si bien que sur la figure 10 (segment Ci) cett
Ci, la zone du faisceau de Gowers, sont transférées dans la partie postérieure du faisceau céré- belleux direct, passant ainsi
ande nécrosée, car l'arrivée de ces fibres au milieu des fascicules postérieurs du faisceau cérébelleux direct n'est pas masquée
du plus grand nombre d'éléments dégénérés; les fibres margi- nales postérieures d'abord distantes de la corne postérieure (fig. 7
les fibres margi- nales postérieures d'abord distantes de la corne postérieure (fig. 7) arri- vent en contact avec elle (fig.
s dégéérées qui s'arrêtent dans le bulbe y arrivent par les cordons postérieurs , par la voie pyrami- dale et par les cordons la
es cordons latéraux. a) Terminaison bulbaire des fibres des cordons postérieurs (fi. 11-13). Elle se fait suivant les lois qui
ie inférieure du bulbe, cheminent isolément à la surface des cornes postérieures et de la racine descendante du trijumeau. Hoche e
n semblable et la con- sidèrent comme un passage direct des cordons postérieurs aux voies cé- 1 . DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES
upes, que ces fascicules se détachent très bas, non pas des cordons postérieurs , mais des cordons latéraux, et qu'ils se diri-
Nous n'avons pas non plus trouvé de connexions direcles des cordons postérieurs avec les voies cérébelleuses par des fibres arcif
e est formé par un semis abondant de grains noirs étalé sur la face postérieure des olivesbulbaires. En suivant les coupes de b
CALE 71 la capsule de l'olive, en entourant le noyau juxta-olivaire postérieur ; un certain nombre d'entre elles pénètrent dan
sur une grande hauteur, esl d'a- bord visible en avant de la corne postérieure (fig. 12) puis devant le noyau sensitif du trij
ise (S Rg),dont il ne dépasse pas la zone moyenne. - 3° Un groupe postérieur se détache de la masse des fibres qui passent p
groupe de fibres et celle des fibres les plus extrêmes des cordons postérieurs . On peut cependant considérer comme certain que
ans la moitié gauche du bulbe ; ici la dégénérescence des cor- dons postérieurs se termine sans connexions avec le corps restifor
u mémoire de Hoche (PI. IX, fig. 5), mais pour lui, les deux bandes postérieures ,qui passent en avant et en arrière de la racine d
représentent une connexion directe, profonde, reliant t les cordons postérieurs au corps restiforme, au cervelet, complétant cell
eur avis, les 'fascicules posté- rieurs ne viennent pas des cordons postérieurs de la moelle; ils se détachent de la voie du co
no-vesti- bulaire, distinct du plexus dorsal et contournant la face postérieure du corps restiforme et la branche descendante d
ale de la formation réticulée, avec l'olive et son noyau accessoire postérieur , les plus internes allant jusqu'au bile de l'ol
s haut et qui vont jusqu'à la région sous-optique. Les deux groupes postérieurs répondent exactement à la description topograph
de Helweg ; il n'existe d'ailleurs par sur nos coupes. 74 LONG postérieurs . C'est donc bien dé la voie latérale (faisceau la
rsal aboutit à la substance grise, au-dessus des noyaux des cordons postérieurs ; ses terminaisons précises ne nous sont pas ap
cussation médiane, arrivent ainsi au bile du tubercule quadrijumeau postérieur (fig. 20), et un certain nombre d'entre elles y
ajet de la partie la plus extrême du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (fin. 21)."D"n le retrouve encore dans la régio
ie latérale de la formation réticulée. 3° Fibres allant à la partie postérieure de la formation réticulée et pro- bablement aux
i a des points de contact avec la terminaison delà voie des cordons postérieurs , celle-ci étant surtout médiane et postérieure,
elà voie des cordons postérieurs, celle-ci étant surtout médiane et postérieure , tandis que celle des cordons latéraux aborde le
cule quadrijumeau antérieur. - BrQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur . Ca, cordon antérieur. CB, cordon de Burdach. C
nouillés externe et interne. - Cj, corps juxtarestiforme. CP. corne postérieure . Cp, cordon postérieur. Crst, corps restiforme.
rne. - Cj, corps juxtarestiforme. CP. corne postérieure. Cp, cordon postérieur . Crst, corps restiforme. Fcc, faisceau central
l de la calotte. FG, faisceau de Gowers. Ftp, faisceau longitudinal postérieur . Fil, faisceau latéral du bulbe. - IX, IXd, glo
cus niger. NB, noyau du cordon de Burdach. Ncp, noyau des cor- dons postérieurs . Ncrst, noyaux du corps restiforme. NFt, noyau du
au. NVII, noyau du facial. NVlll, noyau de l'acoustique. NXp, noyau postérieur du pneumogastrique. NXII, noyau de l'hypoglosse.
voie pyra- midale. - Qa, Qp, tubercules quadrijumeaux antérieur et postérieur . RI, ruban de Reil latéral. Rm, ruban de Reil m
e. A travers cette membrane, elle comprime le ganglion de la racine postérieure correspondante. La racine antérieure sur le t
ée depuis sa sortie de la moelle jusqu'à la néoformation. La racine postérieure correspondante est de même très notablement dimin
UVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVII. PI. XXII I Vue postérieure II Vue antérieure PARAPLÉGIE TYPE BABINSKI
aux pyramidaux direct et croisé ont un aspect normal. Les cordons postérieurs présentent des altérations légères ; les cordons
te augmentation de la névroglie peut s'observer au niveau du cordon postérieur de l'adulte indépendamment de tout état patholo
elle qui est directement située de part et d'autre du sillon médian postérieur est à peu près intacte. Au niveau des cordons
sque normaux, on note seulement le long du bord interne de la corne postérieure droite quelque raré- faction des fibres ; à gau
ou à peu près. La zone rétro-commissurale est altérée. La racine postérieure gauche (directement comprimée) ne présente plus
tit nombre de fibres intactes, sur les coupes au Weigert. La racine postérieure droite est presque absolument normale. Les corn
~racines antérieures (de la gauche surtout) font défaut. Les cornes postérieures ne présentent pas d'altération marquée, à part
fait compa- rables à celles que nous venons de décrire. La racine postérieure gauche est presque complètement dégénérée ; la ra
t dégénérée ; la racine droite l'est très légèrement. Les cordons postérieurs présentent à peu près les mêmes altérations que
la COMPRESSION (pal. XXIV). 4° dorsale. Les altérations des cordons postérieurs , les seules qui soient notables sur ce segment,
bres; celles qui subsistent sont légèrement altérées. Les racines postérieures semblent normales. La corne antérieure et le cor-
u'on en compte 5 ou 6 à droite ; un ou deux fais- ceaux des racines postérieures présentent une diminution marquée du nombre de
at normal qu'ils avaient aux éta- ges supérieurs ; mais les cordons postérieurs , dont nous venons de noter les altérations semb
aient en D3 et D'' par exemple, seules normales au sein des cordons postérieurs , sont maintenant les moins foncées. ' L'exame
isposés sans ordre dans les deux tiers internes surtout des cordons postérieurs se rencontrent exceptionnellement ailleurs ; « c'
amp; Ge, Editeurs. - PARAPLÉGIE TYPE BABINSKI 87 Dans les racines postérieures il existe au sein des fibres de volume et de di
ents (PI. XXV) on re- trouve les mêmes tourbillons dans les cordons postérieurs ; la corne anté- rieure et la colonne de Clarke
segments dorsaux ; quelques faisceaux d'un petit nombre de racines postérieures (droites et gauches) présentent une diminution
minime éclaircissement de la zone d'entrée des fibres de la racine postérieure gauche. La corne antérieure gauche est nettemen
s' et croisés (1). 4° La dégénération ascendante légère des cordons postérieurs portant presque exclusivement sur fibres endogè
istence des tourbillons probablement névromaleux dans les cor- dons postérieurs au-dessous de D3. (1) Avant de présenter à la S
type tabéti- que que présentait la malade ; les lésions des cordons postérieurs ont été déjà plusieurs fois notées dans des obs
rniers orteils sont petits et normalement conformés. De l'exlrémité postérieure du calcaneum à celle du gros orteil, on trouve
atrophie musculaire d'origine arthritique. Les muscles de la région postérieure de l'avant-bras de la figure 29 sont atrophiés
côté droit : une arthrite tarsienne avec hypertrophie de la partie postérieure du premier métatarsien ; on voit aussi la raréfac
t-être plus sur la région antérieure et péronière que sur la région postérieure . Fait très singulier, la cuisse n'est atrophiée
es dont un certain nombre de cellules sont altérées, et les cordons postérieurs où elles rappellent les firure ? du labes incip
noyau rouge « occupent probablement la partie supérieure du segment postérieur de la couronne rayonnante et la région thalamique
ers inférieurs de la circonvolution pariétale ascendante, la partie postérieure des première et deuxième circonvolutions tempor
mporales, les circonvolutions rétro-insulaires et la circonvolution postérieure de l'insula. Celte plaque jaune a atteint l'épe
endyme ventriculaire et sectionné les couches sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante et la partie adjacente
tie inférieure de la circonvolution pariétale inférieure, la partie postérieure de la première circonvolution temporale, l'oper
circonvolution temporale, l'opercule pariétal et la circonvolution postérieure de l'insula. La plaque jaune a sectionné les co
operculo-centrale, la dégénérescence secondaire traverse le segment postérieur ou lenticulo- optique de la capsule interne, po
ro-exlerne et qu'elle s'épuise au niveau des zones sous-capsulaires postérieure et postéro-médianë. Nous pouvons affirmer que cet
ne lésail que faiblement le lobe temporal ou seulement l'extrémité postérieure de celui ci, la dégé- nérescence du noyau rouge
bservations com- prend dix cas de ramollissement étendu des régions postérieures de l'hé= misphëre ; d'une façon générale, ce so
férieure de la scissure calcarine. La lé- sion respecte l'extrémité postérieure et médiane du lobule lingual, mais elle atteint
est en grande partie res- pectée. Sur une coupe passant par le bord postérieur du pulvinar, l'hippocampe est excavé dans la to
ésion fusiforme ne disparaît que sur les coupes intéressant le pôle postérieur du noyau rouge, Il Schéma 1'\° I. Hémisphère ga
au de l'extrémité antérieure du corps genouillé externe et du tiers postérieur du noyau rouge. On remarque à l'angle supéro-exte
nterne du lobe temporo-occi- pital gauche. Le foyer s'étend du pôle postérieur de l'hémisphère jusqu'au niveau d'un plan verti
au niveau d'un plan vertical passant immédiatement en avant du bord postérieur du pulvinar, et détruit la partie supérieure de
ule fusiforme, la ma- jeure partie du lobule lingual et l'extrémité postérieure de la circonvolution de l'hippocampe. Au niveau
roi ventriculaire interne et atteint la moitié inférieure du pilier postérieur du trigone et la partie inférieure du splénium du
urs .' A ? LES CONNEXIONS COHTICAEBJJ ? ftfROUGE 205 dont l'un, postérieur , passe immédiatement en arrière du corps genouill
asse par les corps genouillés externe et interne et par l'extrémité postérieure du noyau rouge. Le ramollissement . ancien du l
rès complète du trigone résulte de l'atteinte directe de son pilier postérieur au niveau du carrefour venlriculaire. Sur une c
totalité des lobules lingual et fusiforme ainsi que les deux tiers postérieurs de l'hippocampe. Il n'existe aucune autre lésio
e sur les coupes intéressant le corps genouillé externe et le tiers postérieur du noyau rouge (F'I. XXXVI). La première coupe
lution de l'hippocampe; elle passe un peu en avant de l'extré- mité postérieure du noyau rouge. La lésion a déterminé la soudure
atéral de la couche optique. Sur les coupes passant par l'extrémité postérieure de ce ganglion, on constate que la lésion tempo
) traverse le noyau rouge près de la jonction de ses tiers moyen et postérieur . On observe encore une certaine raréfaction de
hie secondaire. Sur une coupe (PI. XXXVI-F) passant par l'extrémité postérieure du corps de Luys et par la partie antérieure du
ésion intéresse le précunéus, le lobule paracentral, les deux tiers postérieurs de la première circonvolution frontale et la ma
noyau rouge n'intéresse que ses deux tiers an- térieurs ; le tiers postérieur présente un aspect relativement normal. Li prem
mpe ; elle traverse le noyau rouge près de la jonction de ses tiers postérieur et moyeu. De par son siège au niveau de la région
le de la circonvo- lution pariétale ascendante, on voit l'extrémité postérieure du foyer de ramol- lissement. Cette lésion a dé
une dégé- nérescence bien localisée du tiers inférieur de son bras postérieur . On note également une légère dégénérescence du
llaire externe. La seconde coupe (Pl. XXXVIII-K) passe par le tiers postérieur du noyau rouge et par les corps genouillés exte
nvolution temporale, ainsi que la substance profonde des deux tiers postérieurs de la deuxième cir- convolution temporale. En a
coupe (Fig. S) passe par le corps genouillé externe et par le tiers postérieur du noyau rouge. A cet endroit, le ramollissement
insi que le segment sous-lénticulaire et le tiers inférieur du bras postérieur de la capsule interne. La dégénérescence de ce
- Sur les coupes passant plus en arrière, c'est-à-dire par le pôle postérieur du noyau rouge, la dégénérescence secondaire de
e du noyau rouge mais elle est surtout accentuée au niveau du tiers postérieur ; elle atteint tout particulièrement, ainsi que n
t la partie antéro-supérieure du 220 LA SALLE ARCHAMBAULT segment postérieur de la capsule interne. La dégénérescence s'étend
deux tiers antérieurs el res- pecte à peu près totalement son tiers postérieur . La dégénérescence atteint t ce noyau en passan
ent une forte dégénérescence secondaire, laquelle aborde le segment postérieur ou len- ticulo-thalamiquede la capsule interne
e et du noyau latéral, et retentissent également sur les deux tiers postérieurs du noyau rouge. Dans ces cas, la dégéné- rescen
ur s'irradier ensuite à l'intérieur de ce noyau. Au niveau du tiers postérieur du noyau rouge, la dégénérescence secondaire inté
interne du lobe lemporo-occipital retentis- sent sur les deux tiers postérieurs du noyau rouge, mais surtout sur le tiers posté
es deux tiers postérieurs du noyau rouge, mais surtout sur le tiers postérieur de ce noyau. Au niveau du tiers postérieur, la dé
ais surtout sur le tiers postérieur de ce noyau. Au niveau du tiers postérieur , la dégéné- rescence porte sur capsule dorsale
ions de la région operculo-cenlrale retentissent sur les deux tiers postérieurs du noyau rouge, mais surtout sur le tiers moyen d
ge, mais surtout sur le tiers moyen de ce noyau. Au niveau du tiers postérieur du noyau rouge, la dégénérescence porte sur la
age du noyau lenticulaire, au niveau du bord externe de la moi- tié postérieure de la couche optique (Charroi et Raymond), ou mêm
et par le champ de Wernicke. Elles s'épuisent au niveau du segment postérieur du noyau rouge et affectent des rapports surtou
dépens du sinus sphénoïdal. Les apophyses clinoïdes antérieures et postérieures ont dis- paru. Le dos de la selle turcique est
es altérations hypophysaires, comme l'indice d'un hyperpituitarisme postérieur . Noire malade, avec ses déformations osseuses d
centués, qui i (l priol'i semhlenL relever d'une déficience du lobe postérieur . Faut-il, des lors, parler de dyshypophysle posté
ence du lobe postérieur. Faut-il, des lors, parler de dyshypophysle postérieure et non d'hyperfonctionnement pur et simple ? Av
et la tendance à l'obésité, loin de relever d'un hyperpituitarisme postérieur , sont au contraire immédiatement condition-, né
ndition-, nés par le diabète, lui-même fonction d'hyperpituitarisme postérieur . Ajoutons d'ailleurs que le syndrome diabétique
ures de Livon 'et de Curling On sait que, pour ces auteurs, le lobe postérieur de l'hypophyse verserait sa sécrétion non dans
nalo- gues à celles produites par les injections d'extraits de lobe postérieur » (Mouriquand) (1). Nous avons, par une autre
nt confirmer l'opinion de Cushing qui incrimine l'hyperpituitarisme postérieur à l'origine de la glycosurie dite hypophy- sair
selle. Un petit groupe.de deux ou trois vésicules siège sur la face postérieure de la moitié supérieure du bras. L'éruption occ
us. 3° Au niveau de l'avant bras, elle siège avant tout sur la face postérieure , occupant dans le tiers supérieur la partie ext
a partie externe, et dans les deux tiers infé- rieurs toute la face postérieure . 4° Au niveau du poignet, l'éruption occupe tou
stérieure. 4° Au niveau du poignet, l'éruption occupe toute la face postérieure . Elle empiète sur la face antérieure, prenant l
'analgésie véritable mais une zone d'hypoalgésie occupant : la face postérieure du bras et de l'avant-bras, la face antérieure de
t tout le territoire cutané des quatre dernières racines cervicales postérieures et de la première dorsale, avec atteinte relati
ces pointillées de VIle et VIIIe. Coupe VIII (intéressant la partie postérieure du noyau rouge). Nous remarquons l'intégrité de
pédoncules cérébelleux supérieurs et les faisceaux longitudi- naux postérieurs ont dans les coupes d'après Weigert-Pal l'aspect
s l'avaht-mur et dans les étages dorsaux du corps strié. Les coupes postérieures reprennent l'aspect ordinaire. Dans le cervel
e atrophie très accentuée et surtout marquée au niveau Je la région postérieure ; encore faut-il remarquer qu'une adipose sous-c
gueur. L'avant-bras est très atrophié, surtout au niveau de sa loge postérieure , la pronation est facile, la supination possible,
s dans sa force. L'avant-bras est très atrophié surtout sur sa face postérieure . La supination, la pronation sont impossibles.
essortir, déjà ;'1 zip nu, la dégénérescence ascendante des cordons postérieurs dans les parties situées au-dessus du néo- plas
, tissu de remplissage consécutif à l'atrophie supposée des racines postérieures , laquelle pouvait s'expliquer par la répercussi
Burdach c, réalisant ainsi le syndrome de Brown Sequard. d, racine postérieure . l Fie. 2. - Troisième période. Coupe schématiq
ffet une injection de 2 centimètres cubes à 5 0/0 d'extrait de lobe postérieur . On a décrit, à côté des formes pour ainsi dire
e qui y inlerv ient. Ainsi Fischer, Peude, Pari incriminent le lobe postérieur ; Goelhsch ef..Tacoh- sohn et dernièrement Cush
h ef..Tacoh- sohn et dernièrement Cushing incriminent aussi le lobe postérieur . Crowe etHomans, Schüller attribuent l'adiposit
lle ont démontré la polyurie qui apparaît après l'injection du lobe postérieur . Crowe, Cushing et Romans, Lewis et Mathews ont
re avec obésilé et persistance des menstrues. Dans leur cas le lobe postérieur était le plus altéré de la glande. On peut dire e
34 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rement importants : l'un occupe la bandelette externe des cordons postérieurs (cordon de Burdach), sert à la conduite des imp
anté- rieures de la moelle; il dégénère parfois, comme le système postérieur , et sa lésion n'est autre que la sclérose latér
ernes des FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE L1 MOELLE. si 5 cordons postérieurs et sclérose latérale amyotrophique, telles sont
malades, le développement simultané de la sclérose sur les cordons postérieurs et sur les cordons latéraux. La lésion du cordo
il existe de chaque côté un faisceau grisâtre comprenant la moitié postérieure des cordons latéraux. Sur la partie moyenne, en
dorsale, on ne voit plus à l'oeil nu que l'altération de la moitié postérieure des cordons latéraux ; 3° il en est de mème sur u
grés d'intensité divers, suivant les régions, à la fois les cordons postérieurs et les cordons la- téraux, où nous allons succe
la- téraux, où nous allons successivement les étudier. a) Cordons postérieurs . - Ils sont indemnes dans la plus grande partie
plus accusée. Elle intéresse en effet toute l'épaisseur des cordons postérieurs . Plus baut(PL. II, fig. 11 et 12) les bandelett
ieure de la moelle, comme nous l'avons fait pour celles des cordons postérieurs . La disposition des figures sur les planches ex
par sa base à la pie-mère. Ce triangle scléreux confine à la corne postérieure sur la fig. 1 qui représente une coupe du cône
u pyramidal croisé). En dedans, elle est limitée par la corne grise postérieure ; en avant, elle s'étend jusqu'à la base de la c
ieure de la région cervicale), la partie la plus reculée des cornes postérieures était comprise dans le foyer d'inflammation chr
te la hauteur de la moelle, intéressant simultanément les cordons postérieurs et les cordons latéraux. Cette sclérose est surto
orme une sorte de bande trans- versale qui recouvre tout le segment postérieur de la moelle (cordons latéraux, cornes et cordo
egment postérieur de la moelle (cordons latéraux, cornes et cordons postérieurs ); au-dessus elle se localise aux cordons de Gol
se, en général, dans la partie sclérosée qui correspond aux cordons postérieurs que dans celle qui correspond aux cordons latér
ont en plus grande abondance dans les cordons latéraux que dans les postérieurs . f) Ce qui frappe tout d'abord lorsqu'on examin
nales (PL. III, (tg, 15, fig. 16 B.) Il) Les racines antérieures et postérieures sont normales. Ce- pendant, là où la corne post
érieures et postérieures sont normales. Ce- pendant, là où la corne postérieure est envahie par la sclérose, on constate une in
t dans la plus grande partie de la moelle, le système des cordons postérieurs et celui des cordons latéraux. Mais en y regard
ésions scléreuses intéressant à la fois les cordons latéraux et les postérieurs . Mais revenons à notre cas. L'étude attentive d
endant, à la région cervicale supé- rieure, la sclérose des cordons postérieurs est assez nettement limitée aux faisceaux de Go
MOELLE. 59 de la voir coïncider ici avec des lésions des cordons postérieurs , qui nous paraissent cependant s'être déve- lop
nt il s'agit, ont été relatés par Prévost (sclérose des cor- dons postérieurs , compliquée d'une sclérose symé- trique des cor
Babesiu (dégénérescence combinée primitive des cordons latéraux et postérieurs ) et quelques autres. 60 PATHOLOGIE NERVEUSE.
ons géné- ratrices du tabes, les bandelettes externes des cordons postérieurs se prennent, voilà la lésion systématique. Mais
t des corps genouillés interne et externe. Sclérose des cor- dons postérieurs présentant son maximum d'intensité 1 Prévost. A
mum d'intensité 1 Prévost. Ataxie locomotrice. Sclérose des cordons postérieurs , com- pliquée d'une sclérose symétrique des cor
s'accompagnant à ce niveau d'une atrophie des racines rachidiennes postérieures . Cette sclérose postérieure va de là en diminua
'une atrophie des racines rachidiennes postérieures. Cette sclérose postérieure va de là en diminuant, soit en haut du côté de
e résulte pas d'une simple propagation par voisinage de la sclérose postérieure , car, M. Prévost le fait remarquer, il existe d
existe dans presque toute la hauteur de la moelle, entre la corne postérieure et la zone scléreuse des cordons latéraux, un e
ndons aussi si l'Observation III du 1 Haymond. Sclérose des cordons postérieurs et des cordons latéraux, coexistant chez le mêm
et lombaire. Quant aux lésions qui occupent les cordons latéraux et postérieurs , leur maxi- mum est situé entre la troisième do
sale supérieure et cervicale inférieure que la sclérose des cordons postérieurs et latéraux était le plus accusée. A ce niveau
ieure et lombaire, à la hauteur desquelles l'altération des cordons postérieurs s'atté- nue et n'est plus représentée que par q
es scléroses systématiques intéressant, d'une part, les cor- dons postérieurs ; d'autre part, le faisceau pyramidal. Parmi le
scopiques d'une moelle atteinte de lésion scléreuse des cor- dons postérieurs et latéraux. Sur ces derniers, l'alté- ration,
1882). En résumé, parmi les cas de sclérose combinée des cordons postérieurs et latéraux qui figurent dans la littérature mé
la plupart des cas de tabes. Qu'il y ait des scléroses des cordons postérieurs , développées pri- mitivement autour des artério
e bien avérée, la ma- ladie n'a jamais limité ses dégâts au système postérieur , que toujours, au contraire, les lésions ont en
d'autres sièges ? Pourquoi vouloir qu'elle fasse, dans les cordons postérieurs médullaires, autre chose que ce qu'elle a coutu
ons cliniques. SJnahtomalologie des lé- sions combinées des cordons postérieurs et latéraux. - Après avoir étudié les scléroses
d'une sclérose des cordons latéraux à une sclérose des faisceaux postérieurs . On sait que les symptômes d'une lésion spinale
a lésion, non de sa nature. Peu importe que les cordons latéraux et postérieurs soient touchés par tel ou tel processus, que le
e, dans les cas de sclérose intéressant simultanément les faisceaux postérieurs et les latéraux, on se trou- vera en face de sy
emiers et de celle des seconds. Or, les lésions isolées des cordons postérieurs se traduisent par les douleurs (fulgurantes ou
te qu'il y a incompatibilité entre certains symptômes des scléroses postérieures et cer- tains autres qui relèvent de la scléros
LÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 81 saut simultanément les cordons postérieurs et laté- raux, quelles sont les manifestations
e des symptômes de la sclé- rose des cordons latéraux, bien que les postérieurs fussent lésés. Ainsi on voit que dans ces tro
maintenu ses droits en dépit de la lésion coïnci- dente des cordons postérieurs , et a pu faire prédominer sa symptomatologie su
éroses combinées, intéressant simultanément les cordons latéraux et postérieurs , dans lesquels, la FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE
rappeler les nombreux cas de sclérose systématique des faisceaux postérieurs avec propagation du pro- cessus aux parties avo
e, dans l'espèce, la prédomi- nance d'action est restée à la lésion postérieure . Relevons tout d'abord dans les détails fournis
sie, elle serait surtout sous la dépendance de la lésion des cornes postérieures de la substance grise. Or, comme ces cornes n'é
symtômes de la sclérose latérale et certains de ceux de la sclérose postérieure , nous paraît se résou- dre de la façon que voic
que voici : l'avantage est à la lésion prédominante. Si la sclérose postérieure occupe toute la hauteur de la moelle, l'aboliti
ntraire, cette sclérose laisse intacte une bonne partie des cordons postérieurs , la sclérose latérale reconquiert tous ses droi
squ'il existe, dit cet auteur, une affection com- binée des cordons postérieurs et latéraux, il ne sur- vient ni rigidité muscu
ni rigidité musculaire ni contracture, si l'affec- tion des cordons postérieurs s'étend jusqu'au renfle- ment lombaire et si le
. l ? Coupe verticale de la région dorsale passant par le seg- ment postérieur de la moelle. a, Sclérose des cordons postérieu
par le seg- ment postérieur de la moelle. a, Sclérose des cordons postérieurs . G, Sclérose du cordon latéral. c, Corne post
ns qu'un sillon assez superficiel d'ailleurs le sépare de la partie postérieure de ces deux circonvolutions. Il n'y a pas de si
t la partie antérieure de la boucle est moitié moins épaisse que la postérieure . Le lobe quadrilatère, moitié moinslarge que lo
onus musculaire endommagé, de par la lésion des fibres radiculaires postérieures . La phase latente du réflexe du ten- don d'Achi
st-à-dire des cinq noyaux ou tubercules (antérieur, moyen, externe, postérieur et couche grillée) de la couche optique, ainsi
PHYSIOLOGIE. régions de l'écorce sont en continuité avec le segment postérieur de la capsule interne. - Celle qui préside au t
ée au sort pour la composition écrite était la suivante : Cor- dons postérieurs de la moelle (anatomie et physiologie). - Les d
mité inférieure de la frontale ascendante, au niveau de l'extrémité postérieure de la troisième circonvolu- tion frontale, déte
aître que, pour produire le symptôme, il faut une lésion du tiers postérieur de la troisième circonvolution frontale gauche.
nférieure de la circonvolution frontale ascendante et l'extrémité postérieure de la troisième frontale. A gauche, il y avait
occupant les mêmes points, et un autre plus petit situé à la partie postérieure de la deuxième cir- convolution frontale. En ou
t l'extrémité inférieure de la frontale ascen- dante et l'extrémité postérieure des frontales moyenne et inférieure. Les quat
nférieure de la circonvolution fron- tale ascendante et l'extrémité postérieure de la troi- sième frontale. L'observation de
à l'extrémité inférieure de la frontale ascendante et à l'extrémité postérieure des frontales moyenne et inférieure. Le centre
ns. - Emphysème du lobe supérieur. Un peu de con- gestion des bords postérieurs . Observation II (recueillie par M'. Oulmont). -
tiples pratiquées dans la substance cérébrale amènent à l'extrémité postérieure des deux noyaux extra- ventriculaires des corps
ce profonde d'une des circonvolutions les plus reculées de la corne postérieure . Enfin, il existe un autre petit foyer, plus an
à extrémité inférieure de la frontale ascendante et à l'extrémité postérieure des frontales moyenne et inférieure. Observatio
un peu aplati. Le corps strié droit est déprimé dans ses deux tiers postérieurs ; sa coloration estjaunàtre; mais, au sein du t
de Sylvius et comprend la partie postéro-supérieure des trois plis postérieurs de l'insula. Destruction delà première circonvo
l'extrémité inférieure de la fron- tale ascendante et à l'extrémité postérieure des fron- tales-moyenne et inférieure. Nous rap
é dans le deuxième cas de « foyers ocreux symétriques à l'extrémité postérieure des deux noyaux extra-ventriculaires du corps s
d'ailleurs, révélé chez elle l'existence de la sclérose des cordons postérieurs . Or, cette malade présentait, entre autres symp
s mentionnée. C'est qu'en effet l'atrophie s'est montrée une époque postérieure à celle ou les détails communiqués à M. Blum pa
s de Harless Cyon, dit-il, démontrent que si l'on coupe les racines postérieures , les muscles innervés par la racine antérieure
ssent la limitation de la dégénéres- t- cence scléreuse aux cordons postérieurs chez des indi- vidus qui, durant leur vie, avai
il y avait une dégénérescence scléreuse très étendue des cordons postérieurs , avec épaississement très pro- noncé de l'arach
e bande, ne s'étendant pas beaucoup au delà des limites des cordons postérieurs ; l'arachnoïde s'amincit rapidement sur les part
t dépassé les limites du système sensitif, je veux dire des cordons postérieurs . Eh bien ! si les paralysies qui se produisent
ure fantaisie et en suivant des voies ar- bitraires que la sclérose postérieure se diffuse. Elle chemine, dans sa marche progre
la sclérose dans les parties qui, au bulbe, représentent le système postérieur de la moelle. C'est qu'en effet les noyaux du b
identique à celui que forment dans la moelle les zones radiculaires postérieures et les cornes antérieures. Or, il est très vrai
e à la- moelle une alté- ration antécédente de la zone radiculaire, postérieure ou de son analogue (racine du trijumeau). Nous
nature, soient bien celles de la sclérose systématique des cordons postérieurs . Ces lésions semblent en effet être plus diffus
due aux, com- plications bulbaires qui surviennent quand la région postérieure ou ganglionnaire est intéressée ; peut-être doi
e noyau caudé et le noyau lenticulaire du corps strié et le segment postérieur compris entre le noyau lenticulaire et la couch
e subdiviser ces deux segments de la façon suivante : i° Le tiers postérieur du segment postérieur contient le faisceau dest
segments de la façon suivante : i° Le tiers postérieur du segment postérieur contient le faisceau destiné à la transmission
impressions sensibles; ' 2° Les deux tiers antérieurs'idu segment postérieur contiennent le faisceau destiné à l'innervation
laire a été divisée en quatre faisceaux qui sont : 1° Un faisceau postérieur faisant suite au faisceau sensitif; ' 2° Un f
posé de plusieurs petites lacunes occupant les faisceaux les plus postérieurs delà pyramide motrice, sans empiéter sur les fi
rs de ramollissement. Le foyer gauche parait intéresser la partie postérieure de la pyramide mo- trice ; il est à un centimèt
très étendu, qui a détruit tout les faisceaux constituant la moitié postérieure de la pyra- mide motrice. Du côté droit, le ram
otrice. Du côté droit, le ramollissement occupe à peu près le quart postérieur de la pyramide motrice et empiète légèrement su
, on trouve un petit foyer de ramollis- sement siégeant à la partie postérieure et interne de la pyra- mide motrice gauche de l
'Observation III, un foyer de ramollisse- ment situé dans la moitié postérieure de la pyramide motrice gauche, se rejoignant su
rejoignant sur la ligne médiane à un foyer récent occupant le quart postérieur de la py- ramide motrice droite et empiétant lé
eu à la glossoplégie occupent donc, dans la protubérance, la partie postérieure et interne des pyramides motrices : nous sommes
n résultat. Les sections des cinquième, sixième et septième racines postérieures (origines du crural) d'un côté, ayant entraîné
apprenant que l'on avait coupé non les cinquième et sixième racines postérieures , mais seulement quelques filets radiculaires de
l'interruption de la conductibilité sur peu de fibres radiculaires postérieures du nerf crural pour obtenir la disparition du p
éflexes cutanés et des phénomènes tendineux. La section des racines postérieures supprime le phénomène du genou, non par interru
XXI. Trois cas DE tumeurs tuberculeuses dans LE cerveau MOYEN ET postérieur ; par HEUBNER (de Leipzig). (Arch. f. Psych. u. N
vermis supérieur du cervelet, au-dessous du tubercule quadrijumeau postérieur , du côté droit, un tubercule solitaire. Méningi
lesquelles pénètrent de préfé- rence des fibres émanées des cornes postérieures . On trouve égale- ment de très bonne heure, dan
ale, une étroite bande de sclérose médiane de chaque côté du sillon postérieur . A un degré avancé de la maladie, les cordons p
du sillon postérieur. A un degré avancé de la maladie, les cordons postérieurs sont affectés dans toute la hauteur de la moell
tération débute toujours dans l'aire moyenne de la zone radiculaire postérieure ; il est facile d'en distinguer les régions ant
térieure ; il est facile d'en distinguer les régions antérieures et postérieures indemn.'s à ce moment. Plus tard, la plus grand
indemn.'s à ce moment. Plus tard, la plus grande portion du segment postérieur participe à la dégénérescence; celle-ci épargne
ît comme un ovoïde ou un triangle circonscri- vant le sillon médian postérieur . Quant à la zone antérieure des cordons postéri
le sillon médian postérieur. Quant à la zone antérieure des cordons postérieurs , elle demeure presque toujours indemne, à l'exc
e bande médiane qui se dirige de l'aire moyenne sclérosée au sillon postérieur . La moelle cervicale est d'assez bonne heure at
sez bonne heure atteinte dans les cordons de Goll dont le seg- ment postérieur se trouve constamment lésé avant le segment ant
ve constamment lésé avant le segment antérieur. La zone radiculaire postérieure subit ensuite, en cette région, l'impression an
te, en cette région, l'impression anatomo-pathologique. Les cordons postérieurs de la moelle cervicale présentent d'ailleurs in
ariablement deux lacunes dans l'altération ; ainsi, à la périphérie postérieure et en dehors des cordons de Goll (aire postéro-
ort avancés, tandis qu'à la limite antérieure et interne des cornes postérieures (aire antéro- latérale) l'intégrité demeure tou
faite. Constance des altérations dans la substance grise des cornes postérieures , ainsi que de l'atrophie des racines postérieur
grise des cornes postérieures, ainsi que de l'atrophie des racines postérieures (identité des fibres de ces racines et de celle
ieures (identité des fibres de ces racines et de celles des cordons postérieurs ). Les cordons latéraux demeurent normaux dans t
groupes de fibres qu'il est permis de distin- guer dans les cordons postérieurs , rapprochée de ceux des faisceaux cérébro-médu
pyramides, cer- velet), ainsi que sur ceux des segments des eordons postérieurs inattaqués dans le tabes, on observe un complex
nitial du tabes, mais peut-être une anomalie innée dans les cordons postérieurs de la moelle. P. K. XXIX. CONTRIBUTION A L'ÉTUD
ane des cordons latéraux, tuméfaction de la névroglie des cordons postérieurs jusque dans la moelle lombaire inférieure. L'affe
de myélite disséminée. Les dégénérescences secondaires des cordons postérieurs expliquent et l'absence de réflexes ten- dineux
d'Ecker, le lobule extrême du même au- teur et l'extrémité la plus postérieure des 1 , 2°, 3e circonvolutions occipitales. Con
nt du quatrième au septième nerf cervical dans la partie externe et postérieure de la corne antérieure droite consistant en un
ne antérieure malade; celte disparition porte suitout sur le groupe postérieur latéral et, d'une façon moins prononcée, sur le
psie de ce dernier pa- tient révélait la dégénérescence des cordons postérieurs et laté- raux, l'atrophie des nerfs oculo-moteu
de ces nerfs; la lésion spinale est une dégénérescence des cordons postérieurs et latéraux de lamoelle. Le lien anatomo-patholog
ctive, dégénérescence graisseuse), dégénérescence grise des cordons postérieurs , dégénérescence vi- treuse cérébro-spinale et m
, était en même temps atteint de sclérose et d'atrophie des cordons postérieurs excessivement accusées. Laissant de côté les ra
érance. Le feuillet inférieur, originaire du tubercule quadrijumeau postérieur , l', recevrait des fibres émanées de la racine
. 14. Coupe verticale de la région dorsale passant par le seg- ment postérieur de la moelle. a, Sclérose des cordons postérieu
par le seg- ment postérieur de la moelle. a, Sclérose des cordons postérieurs . b, Sclérose du cordon latéral. c, Corne post
des cordons postérieurs. b, Sclérose du cordon latéral. c, Corne postérieure . Fig. 15. Tube nerveux sur une coupe longitudin
35 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
ont été portés en dehors et renversés de telle manière que leur face postérieure est devenue antérieure. La tumeur i'G, ou ganglio
mettre sous les yeux des filets assez volumineux provenant de sa face postérieure , qui vont se perdre dans le muscle grand-droit an
stinés pour le canal carotidien AC; les autres, plus internes et plus postérieurs , se plaçant en devant des nerfs de la huitième et
inférieur renversé en dehors de manière à ce qu'on aperçoive sa face postérieure tout entière, l'artère vertébrale et la sous-clav
de nouveau la tumeur, je reconnus qu'elle faisait corps avec la paroi postérieure de l'abdomen, qu'elle ne jouissait d'aucune espèc
blement développée. La face antérieure du rectum adhérait à la face postérieure de l'utérus par des brides filamenteuses très-mul
s fibreuses superficielles soulevaient le péritoine qui revêt la face postérieure de l'utérus. Un petit polype naissait de la muque
neuf à dix pouces de longueur et autant de circonférence. De sa face postérieure naissait un kyste séreux très-considérable RS, à
en lias à travers les graisses du périnée, venait gagner l'extrémité postérieure du raphé, dans l'épaisseur duquel il se continuai
re le radius. Le périnée P paraît énorme dans son diamètre antéro - postérieur : point de trace d'anus , point'de raphé médian.
visé en deux ouvertures : l'une, antérieure O', plus petite; l'autre, postérieure Od'un diamètre plus considérable. Les deux épines
épines sciatiques et les pubis. Il résultait de là, i° que les faces postérieures du corps et des branches du pubis , du corps et d
essus d'elles. La figure 3 représente ce même bassin vu par la face postérieure , la réunion des épines sciatiques ES et des tubér
peut maintenant se rendre compte dm mnrle de formation de l'ouverture postérieure O indiquée figure 2. Si en effet vous imprimez à
e, de telle manière que la face antérieure du sacrum FA était devenue postérieure ; que le sommet du coccyx répondait au niveau de
eure ; que le sommet du coccyx répondait au niveau de l'épine iliaque postérieure et supérieure. Ainsi le détroit inférieur factice
essiers étaient réunis sur la ligne médiane, au niveau de l'ouverture postérieure O, par un raphé fibreux. La figure 4 représente
du canal. La figure 6 représente le rectum R s'ouvrant à la partie postérieure du bas-fond de la vessie par une ouverture large
, lequel venait s'ouvrir par un pertuis extrêmement fin à l'extrémité postérieure de la luette vésicale. Dans ce cas, comme dans
nt indiquées. Fig. 2. Elle représente la même jambe vue par sa face postérieure et son côté interne : 5 jumeau ex terne passé à
ption de quelques libres rougeâtres; C calcanéum dont on voit le plan postérieur déformé, ayant perdu au moins un tiers de son vol
ésente la mémo amYnlation tibio-tarsienne vue par son côté interne et postérieur , et dépouillée des ligamens superficiels. ME ma
ouvelle formation, étendu de la malléole interne au calcanéum; C face postérieure du calcanéum ; FP face plantaire du pied. Fig.
ente les extrémités inférieures du tibia et du péroné vus par la face postérieure . ME la malléole externe déjetée en dehors; MI la
ongé, s'articulant avec le tibia par une portion seulement de sa face postérieure ; déjà l'ossification s'est emparée d'une partie
cas prouve manifestement que la déformation de l'astragale n'est pas postérieure à la naissance, et que les os du pied-bot encore
iminué de volume, de même que le calcanéum, le scaphoïde et la partie postérieure du cuboïde. Quelquefois même l'astragale peut êtr
,3, planche n, dans lequel les deux pubis se touchaient par leur face postérieure devenue interne, et les épines ischiatiques conti
, a présenté un bassin dont les os coxaux se touchent par l'extrémité postérieure de leurs crêtes iliaques ; le sacrum a été refoul
intprnps pt pytprnps du tibia et du péroné élargies aux dépens dp 1^ postérieure et formant un angle très-aigu en avant, comme che
aphoïde s'applique exactement au cuboïde, dont la facette articulaire postérieure est réduite aux deux tiers, à la moitié, parce qu
aussi est-il courbé sur lui-même de dehors en dedans ; son extrémité postérieure déformée, diminuée de volume, rapprochée du bord
xtrémité postérieure déformée, diminuée de volume, rapprochée du bord postérieur de la malléole interne, regarde en dedans ; sa fa
, saillie quelquefois énorme, devenue supplémentaire de la tubérosité postérieure , et sur laquelle repose en général le pied dans
s résultats que ceux de l'adulte. Ligamens. Les ligamens antérieur, postérieur et latéraux externes de l'articulation tibio-tars
e l'astragale; et si on objecte avec Scarpa que cette déformation est postérieure à la naissance, je répondrai par la fig. 3, planc
ale était porté en avant, et que le tibia s'articulait avec la partie postérieure de sa face supérieure ; mais nous pensons qu'il n
nt, qui n'est qu'un effet du changement de direction de Taxe antéro - postérieur , et doit cesser aussitôt que le pied sera ramené
du cerveau. La protubérance annulaire et les pédoncules antérieurs et postérieurs sont masqués par une tumeur volumineuse (TP), pro
acts du milieu de cette tumeur, qui ne laisse à découvert que le bord postérieur de la protubérance. Fig. 2. J'ai divisé la tume
ée de ce côté; en arrière, « cette tumeur se prolonge sur le faisceau postérieur gauche ou cuisse de la moelle allongée qu'elle co
et résistant: la poitrine percutée rendait un son mat dans la partie postérieure du côté droit : l'auscultation faisait entendre d
foyer et communiquait largement avec lui. Dans l'épaisseur du bord postérieur du poumon était une vaste caverne FGC (fig. 1) ex
a Société anatomique par M. Pinault. Il existait tout le long du bord postérieur du poumon un liquide sanieux et fétide, circonscr
it avec une excavation gangreneuse située dans l'épaisseur de ce bord postérieur . On voyait, des centaines d'excavations gangreneu
ique. La veine sous-clavière gauche, qui croisait obliquement la,face postérieure de la tumeur, était oblitérée. On voyait une couc
détails de l'intérieur de la poche anévrysmale ouverte par la partie postérieure . Presque immédiatement au-dessus de l'orifice a
au niveau du cartilage de la première et de la deuxième côte. Sa face postérieure était comme creusée de plusieurs cavités ou grand
prolongée dans l'intérieur du canal sacré à travers les trous sacrés postérieurs . La dure-mère incisée, nous avons trouvé un assez
olume et de la forme d'une grosse amande FAP(fig. 1.) : les faisceaux postérieurs de la moitié gauche de la moelle sont à ce niveau
se prolongeait en dehors entre les racines antérieures et les racines postérieures des paires cervicales indiquées, soulevait celles
cée, mais n'avait point altéré leur continuité. Le reste de la face postérieure de la moelle ne présentait rien de particulier, e
poplectique présente une saillie FAA, bien plus considérable que la postérieure FAP (fîg. i). Comme dans ce dernier sens, il ne d
g concret et noir qui remplissait les mailles de ce dernier foyer est postérieur à,la formation de la cicatrice. Ces trois foyer
ulbe, constituent la presque totalité de ce bulbe, montrent leur face postérieure dans le quatrième ventricule FSO (fig. 1), et se
gèrement en forme de mamelon, pour se terminer en mourant sur le bord postérieur des faisceaux rectiformes. L'apoplexie de la mo
rsé la substance grise. Ainsi de ce qu'il y a paralysie dans le train postérieur d'un animal immédiatement après la ligature de l'
même, que j agisse sur les faisceaux antérieurs ou sur les faisceaux postérieurs . La section des nerfs pneumo-gastriques à leur or
xième ( la substance intervertébrale avait résisté) et des extrémités postérieures des premières côtes. Cette tumeur soulevait en av
veau et aux dépens de la cinquième vertèbre dorsale et de l'extrémité postérieure de la quatrième côte. La moelle épinière comprimé
G formée aux dépens de la petite courbure et des parois antérieure et postérieure qui l'avoisinent. Cette eschare était noire, horr
e, et revêtent le périoste du condyle interne du fémur. Sur la face postérieure de la rotule (fig. 2), grand nombre de petites co
étaient agglomérés. On voyait de petites masses plâtreuses à la face postérieure des tendons des muscles extenseurs CS. Sur la fac
ral interne de même que l'externe CL en étaient pénétrés. Le ligament postérieur de l'articulation était également infiltré de con
costo-transversaires et temporo-maxillaires. Au milieu des muscles postérieurs de la cuisse, amas de matière crétacée gros comme
ieure de la colonne vertébrale présente un angle très-aigu, la région postérieure présente une courbure graduelle; et ici, comme da
e, il n'y a aucun rapport entre la courbure antérieure et la courbure postérieure . (*) Pièce donnée par M. Fischer, membre de la
et la première lombaire; en haut, entre le ligament vertébral commun postérieur et le plan postérieur du corps des deux premières
re; en haut, entre le ligament vertébral commun postérieur et le plan postérieur du corps des deux premières vertèbres dorsales, j
ans aucune espèce de ramollissement, que le ligament vertébral commun postérieur avait formé comme une barrière impénétrable au pu
rotecteur de la moelle : les grands surtouts ligamenteux antérieur et postérieur jouent donc un rôle très-important dans les malad
a circonférence antérieure de la première vertèbre lombaire : la face postérieure de cette couche de végétations , lesquelles se co
bre lombaire, soutenaient le plan inférieur de la deuxième. Le plan postérieur du corps de la deuxième vertèbre aurait oblitéré
'espèce de gouttière ou d'hiatus fortuit qui s'est trouvé sur le plan postérieur de la vertèbre, le malade serait resté paraplégiq
x orifices circulaires séparés l'un de l'autre par une crête antéro - postérieure très-épaisse et entourés de quelques caroncules,
ntérieur, et composé de deux feuillets adossés, se portait de la face postérieure de la vessie à la face antérieure du rectum et fa
conformé. Le bord supérieur ou le fond, la face antérieure et la face postérieure de l'utérus (fig. 4) sont séparés en deux parties
ette division dans deux crêtes qui existent l'une le long de la paroi postérieure , l'autre le long de la paroi antérieure. Ces crêt
ième ( la substance intervertébrale avait résisté), et des extrémités postérieures des deux premières côtes. Une semblable tumeur co
veau et aux dépens de la cinquième vertèbre dorsale et de l'extrémité postérieure de la quatrième côte. La moelle épinière était ap
nsidérable. On peut distinguer trois plaques blanches sur les piliers postérieurs .—Le quatrième jour au matin, la douleur à la gorg
és de l'orifice supérieur du larynx ^ la muqueuse qui revêt la région postérieure de cet organe, celle qui tapisse les deux gouttiè
e qui tapisse les deux gouttières profondes latérales de cette région postérieure , la partie voisine du pharynx, la base de la lang
ptômes d'angine. Ouverture du cadavre. Le larynx, examiné à sa face postérieure , présente une saillie au niveau du cartilage cric
se et l'érosion du cartilage cricoïde ne se bornaient pas à la partie postérieure , elles s'étendaient de chaque côté, mais beaucoup
i8a5 , tome XIX , page 3. Ouverture du cadavre. « Abcès à la partie postérieure du larynx et sur ses côtés, qui, vidé du pus qu'i
ens « étaient confondus avec les muscles indiqués soit latéraux, soit postérieurs . Ces muscles, ainsi que le « tissu cellulaire sou
vu par sa face postérieurela luette bifide et épaisse LB, les piliers postérieurs du voile du palais PP, PP, également épaissis, la
E, l'orifice supérieur du larynx OLE et la muqueuse qui revêt sa face postérieure MPE, épaissis, denses, érodés, ulcérés, couverts
x. Le péritoine était granuleux sur l'intestin grêle et sur la partie postérieure de la tumeur. Le foie, la rate, les reins avaient
rconvolutions les plus internes, les circonvolutions antérieures A et postérieures P. Le kyste ouvert (fig. 2), il s'est échappé u
e, séparées par la sérosité qui remplit les anfractuosités. Les lobes postérieurs , terminés en pointe, laissent entre eux un interv
s ; les cornes d'Ammon peu saillantes ; les commissures antérieure et postérieure très-ténues. Tout le cerveau est remarquable par
elluloso-fibreux CA très-dense, brun jaunâtre, qui occupait la partie postérieure du corps strié. Ce noyau appartient évidemment à
r. Foyer apoplectique aux dépens de la couche optique et de la partie postérieure du corps strié en voie de guérison. Fluxion séreu
ous a présenté le foyer apoplectique FA (fig. 3); il occupe la partie postérieure du corps strié CS et externe de la couche optique
u cellulaire séreux sous-arachnoïdien. La figure 1 représente la face postérieure , la figure 2 la face antérieure de la moelle. Ge
ne avance osseuse A (fig. 4) en forme d'épine conoide, née de la face postérieure du corps de la douzième vertèbre dorsale, établis
loppement des vertèbres est plus rapide du côté antérieur que du côté postérieur de leur corps. Elles montrent encore que les vert
r droit). Je suis persuadé que l'inflammation aurait envahi la partie postérieure du poumon, si le malade était resté en supination
mort. Cette bride circulaire ST (fîg. 1) présentait dans sa moitié postérieure , qui est ici cachée, tous les caractères d'une ap
gle qui est lisse et sillonnée par des stries parallèles, à concavité postérieure . La partie de la face palmaire de l'ongle qui app
ulaires que présente la face dorsale de l'ongle correspondent au bord postérieur de chaque lamelle. Une pareille indisposition r
umeurs osseuses et careinomateuses, nées du plan supérieur et du plan postérieur du rocher. Dans un cas, la tumeur soulevait la te
petite tumeur du volume d'une grosse noisette naissait aussi du plan postérieur du rocher. Ces petites tumeurs étaient formées pa
dies : i° les gouttières olfactives, i° la selle turcique, 3° le plan postérieur et le plan supérieur du rocher. Les tumeurs nées
les tumeurs cancéreuses qui occupent les circonvolutions moyennes et postérieures de la voûte du cerveau sont celles qui sont le pl
ent général du sentiment et du mouvement; celles qui naissent du plan postérieur du rocher entraînent la surdité, parce qu'elles c
anguins et purulens. Le pressoir d'Hérophyle PH (fig. 3), la moitié postérieure ou horizontale des sinus latéraux, sont également
nt sains. On voit sur cette même figure i l'imperfection de la partie postérieure de l'hémisphère droit HD, une large perte de subs
let C, sont dans l'état naturel. Il en est de même des lobes moyen et postérieur de l'hémisphère gauche; mais les lobes moyen et p
s moyen et postérieur de l'hémisphère gauche; mais les lobes moyen et postérieur de l'hémisphère droit présentent une atrophie man
La fig. 4 représente le cerveau vu de côté et à droite. L'ouverture postérieure ou plutôt latérale OP de l'hémisphère droit HD, l
ns les lobes antérieurs que dans les lobes moyens, que dans les lobes postérieurs . La malade ne paraissait pas jouir de l'olfacti
rs ? non certes, pas plus que dans les lobes moyens et dans les lobes postérieurs . La faculté de la coordination suppose d'abord la
déborde le précédent de 5 à 6 lignes. Les tendons réunis des radiaux postérieurs et des extenseurs communs et propres, sont reçus
t propres, sont reçus dans une gouttière profonde creusée sur la face postérieure de l'extrémité inférieure du radius. Les tendons
térieure de l'extrémité inférieure du radius. Les tendons des radiaux postérieurs et du long extenseur propre du pouce sont interro
hyse saillante et articulaire du radius. On voit le tendon du cubital postérieur CP se réfléchissant sur le cubitus pour venir s'i
2 et i' (*) représentent l'extrémité inférieure d'un fémur et la face postérieure d'une rotule, qui offrent, i° une usure des carti
formation se voyaient çà et là sur les surfaces articulaires. La face postérieure de la rotule est érodée en E et dépouillée de car
estomac, la portion de grosse tubérosité contiguë à la rate, la paroi postérieure de cette grosse tubérosité, la moitié antérieure
itement sains. La figure 2 représente l'estomac ouvert par sa paroi postérieure , en sorte qu'on voit à découvert la paroi antérie
paroi antérieure de l'estomac qui est détruite, et non point la paroi postérieure ou l'extrémité splénique proprement dite. Or, si
à cette altération, \\ est évident qu'elle aurait débuté par la paroi postérieure qui était bien plus que la paroi antérieure soumi
au petit épiploon, d'une autre part, le long des parois antérieure et postérieure de l'estomac pour finir comme en mourant au voisi
occupe le plus habituellement, soit la petite courbure, soit la paroi postérieure de l'estomac. Quelquefois il envahit le pylore, e
orrhagie mortelle. Les connexions de l'artère splénique avec la paroi postérieure de l'estomac, la fréquence des ulcères dans cette
agie a été fournie par l'artère splénique. Ulcère occupant la paroi postérieure de Vestomac. Hématémèse et déjections sanglantes.
t également rempli de sang et présentait (fig. 3, pl. 6) sur sa paroi postérieure , à quatre à cinq lignes de la petite courbure PC,
exemple de cicatrice énorme de l'estomac UC, UC. Elle occupe la paroi postérieure . L'estomac a été complètement détruit à son nivea
cicatrice fibreuse circulaire fort remarquable UC existait à la paroi postérieure de l'estomac; un rebord très-dense, saillant, sur
suppuration et de perforation des veines fémorale, poplitée, tibiale postérieure et péronière. Communication du pus contenu dans c
rt et jusqu'à la partie inférieure des vaisseaux tibiaux et péroniers postérieurs de l'autre. La veine fémorale était volumineuse,
ux et rougeâtre. Enfin, un foyer situé autour des vaisseaux tibiaux postérieurs était formé aux dépens de la plus interne des vei
érieurs était formé aux dépens de la plus interne des veines tibiales postérieures . La veine tibiale antérieure et ses divisions é
L'un d'eux, FS, ressemble à un petit foyer apoplectique. La moitié postérieure du lobe inférieur des deux poumons est complèteme
ammation de l'artère pulmonaire L'œdème aigu que présentait la moitié postérieure des deux poumons, lequel était tout-à-fait improp
lasse, mais sans altération. Il y avait à la fois pleurésie du bord postérieur du poumon droit, pneumonie ordinaire ou diffuse,
e m, %f livraison, représentent le poumon droit. La base B et le bord postérieur BP du lobe inférieur sont le siège principal des
huit onces, sans amendement. Le 17, matité considérable à la partie postérieure droite du thorax; à la crépitation avait succédé
ix heures après la mort. Le poumon droit (fig. 1) présente à son bord postérieur BP une vaste caverne dont la paroi postérieure es
1) présente à son bord postérieur BP une vaste caverne dont la paroi postérieure est formée par la plèvre PP inégalement perforée
pendant l'accouchement. ( Fig. 41 5. ) La fig. 4 représente la face postérieure de l'utérus d'une femme morte six semaines après
nt, des suites d'une péritonite puerpérale.Il existait sur cette face postérieure , au voisinage du col, dans le point F, une perte
de décider si ces faisceaux étaient fibreux ou musculaires; la partie postérieure des poumons était hépatisée; tous les autres orga
érieure de l'utérus, soit avec ceux, plus nombreux encore, de la face postérieure . Ces vaisseaux lymphatiques étaient immédiateme
11 en résulte que le fond de l'utérus F U est en bas, et que la face postérieure F PU et les ovaires OO regardent en avant. Je fer
représentées sur cette figure. La partie latérale droite de la face postérieure de l'utérus présente un très grand nombre de vais
ence d'une péritonite pseudo-membraneuse. On remarquait sur la face postérieure de Futérus une petite bosselure, VLD, parcourue p
ais paru considérable. Sur la figure 1, l'utérus est vu par sa face postérieure : pour préparer les vaisseaux lymphatiques qui so
ent sous le péritoine qui revêt la face antérieure et surtout la face postérieure de l'utérus : mais c'est principalement aux angle
mière fois que j'ai pu m'assurer qu'on attribue souvent à une maladie postérieure à l'accouchement, une lésion qui lui est antérieu
chaine livraison. Cette altération, qui régnait dans les trois quarts postérieurs du lobe inférieur du poumon gauche, consiste dans
che, que du côté droit. De chaque côté de la ligne médiane, la face postérieure de l'utérus était parcourue par des lignes sailla
Des plaques irrégulières d'épiderme épaissi se voyaient sur la paroi postérieure du vagin. Du museau de tanche part un long cana
éral. La figure 1 montre cet utérus vu à l'extérieur et par sa face postérieure . Le côté droit U' est beaucoup moins développé qu
ce , formée aux dépens de la couche la plus superficielle de la paroi postérieure de l'utérus, PP,PP. Cette membrane, divisée verti
e. Une coupe verticale, faite d'arrière en avant, comprend la paroi postérieure et la plus grande partie de l'épaisseur de la tum
'est sans doute à la présence de l'humeur aqueuse, qui baigne sa face postérieure , que la cornée doit le privilège de ne pas partic
limité autour du cervelet; souvent il entoure en même temps les lobes postérieurs du cerveau ; enfin, dans certains cas, le cerveau
e, et le long des scissures du cerveau. L'arachnitis avait elle été postérieure ou antérieure à la naissance? il est probable qu'
stérieure ou antérieure à la naissance? il est probable qu'elle était postérieure . 4e observation. Anasarque, ascite, hydro-thora
ieur, et adhérait d'une part au péricarde, d'une autre part à la face postérieure du sternum. Le thymus TO (fîg. 3) est divisé en l
de leur étendue; cette imperméabilité s'observe sur-tout à la partie postérieure et à la base : elle consiste dans une induration
écaution la portion de lobule médian du cervelet qui répond à la face postérieure du bulbe raehidien, je vis, au lieu d'une ouvertu
, vingt-quatre heures après la mort. Hépatisation rouge à la partie postérieure du poumon droit. Petits noyaux hépatisés dispersé
Le bulbe raehidien a été renversé d'arrière en avant. On voit le bord postérieur épais du corps calleux, CC; les tubercules quadri
s tubercules quadrijumeaux, TQ, qui sont dans l'état naturel; la face postérieure du bulbe raehidien, BR; les débris du cervelet, D
évrotique qui recouvre la hernie et qui n'est autre chose que la lame postérieure de la gaine du muscle pectine, maintient la tumeu
demi-flexion. 3° A inciser la lame aponévrotique qui forme la paroi postérieure de la gaine du pectine. 4° A ouvrir le sac avec
e cœur a été renversé de bas en haut pour montrer à découvert sa face postérieure . Le péricarde avait une capacité telle qu'il aura
Ces mamelons occupent principalement le bord gauche du cœur, sa face postérieure et le voisinage delà base. La disposition de ce
sacrés très développés GL,GL,GS, GS, desquels partent et les branches postérieures et les branches antérieures des nerfs corresponda
étroit supérieur. Son bas-fond, et peut-être une partie de sa paroi postérieure , ont été entraînés par l'utérus et le vagin dépla
urs. Fig. 3. La fig. 3 représente l'utérus réduit et vu par sa face postérieure : le vagin est ouvert par sa paroi postérieure.
duit et vu par sa face postérieure : le vagin est ouvert par sa paroi postérieure . L'utérus est remarquable, 1° par l'étendue de
longement considérable digité, qui allait s'introduire dans la partie postérieure et inférieure du sac formé par le vagin renversé.
ue nécessairement la vessie, consisterait dans l'incision de la paroi postérieure du vagin; on arriverait ainsi dans le grand cul-d
derrière la ligne blanche; arrivée à l'ombilic , elle gagnait le bord postérieur du ligament falciforme du foie dans l'épaisseur d
batraciens (2). Chez ces animaux, en effet, les veines des extrémités postérieures , les veines caudales et rénales se réunissent en
ie des circonvolutions peut être générale ou partielle, congéniale ou postérieure à la naissance. Lorsque l'atrophie a lieu avant
ophie semblable, étendue à la presque totalité d'un hémisphère, a été postérieure à la naissance. 7° Dans une septième espèce d'a
une lésion aussi considérable qui siégerait dans les circonvolutions postérieures , aurait-elle ou n'aurait-elle pas les mêmes effet
ve démontre par rapport à ce lobe moyen. Si onexaminela circonférence postérieure ou vésicale de la prostate, on voit que les canau
dans la vessie» La fig. 1 représente la vessie ouverte par sa face postérieure ; la paroi antérieure P A V, qui est en évidence
canal de l'urètre. La fig-2 représente!0 la vessie vue par sa face postérieure F P, 2° l'extrémité vésicale des uretères UU, don
néral : le lendemain , à la visite, ce malheureux me montra la région postérieure de la jambe, très volumineuse, tendue, dure, viol
ineuses des muscles fléchisseur commun, fléchisseur propre et jambier postérieur en étaient également remplies. Je ferai remarqu
n de ceux qui admettent que cette altération est purement chimique et postérieure à la mort. Un fait important qui ressort de cette
e prononcent au genou ; de petites phlyctènes se remarquent à la face postérieure de la jambe et delà cuisse. La malade se plaint d
harres profondes ; les phlyctènes se multiplient le long de la région postérieure du membre abdominal; fluctuation manifeste autour
Un autre abcès se développe dans l'épaisseur des muscles de la région postérieure de l'avant-bras. D'une autre part, l'état général
fluctuation manifeste que j'avais observée à la partie supérieure et postérieure de l'avant-bras était due à un abcès qui occupait
a réunion des deux veines iliaques primitives jusqu'au niveau du bord postérieur du foie. Les calices et le bassinet étaient rempl
velet, et se voyait dans le 4e ventricule, dont il soulevait la paroi postérieure . Poumons. Granulations miliaires très multiplié
roit LR, est également très volumineux. Des deux kystes KP, R P, le postérieur plus considérable fait suite au ligament ovarique
MP, des plaques ossifiées PO,PO, une bride fibreuse B, à l'extrémité postérieure de laquelle se voient deux dents , une canine D G
ns l'état naturel, ce qui explique la possibilité des deux grossesses postérieures . EXPLICATION DES FIGURES. Les figures 1 et 2
leurs que l'époque de la mort du fœtus peut être , dans quelques cas, postérieure au terme naturel de la grossesse : ainsi, la plup
te la masse formée par le foie, la rate et la tumeur, vus par la face postérieure . L'estomac E avait été refoulé en arrière ; plusi
é refoulé en arrière ; plusieurs acéphalocystes formaient sur sa face postérieure une espèce de demi-anneau qui venait se continuer
de caillots sanguins concentriques. Fig. 2. Le cœur, vu par sa face postérieure et largement ouvert, présente 1° des tumeurs méla
e aux grandes et aux petites lèvres. La fig. 3 représente l'extrémité postérieure d'une côte qui a subi la dégénération cancéreuse
ue totalité de la surface du corps et plus particulièrement la région postérieure du tronc était couverte d'une innombrable quantit
videmment subi la même altération. Le cœur était sain. \J extrémité postérieure d'un grand nombre de côtes était le siège du canc
, les frontaux déjelés en avant : on chercherait vainement la portion postérieure ou écaille de l'occipital : il n'en existe pas de
rvical antérieur : du reste , le sphénoïde antérieur S , le sphénoïde postérieur ST , les portions pierreuses du temporal RR, prés
ssance pédiculée se voit sur la joue gauche. O-P, sont les orifices postérieurs rétrécis des fosses nasales. Le cœur C, le poumon
pouce et demi de longueur. E est l'estomac qui occupait le médiastin postérieur , D le duodénum, HF une portion du foie contenue d
Hernie médiastine. L'estomac et le duodénum occupaient le médiastin postérieur . Enfin, invagination de l'œsophage au-dedans de
our ainsi dire en contact avec la région supérieure du dos, la partie postérieure ou écaille use de l'occipital ne pourra se dévelo
c et le duodénum se sont trouvés placés dans l'épaisseur du médiastin postérieur . Il est donc plus que probable que les déplacem
palais en avant, le rétrécissement dans le sens vertical des narines postérieures , ne sera-t-on pas porté à se demander si le cordo
de la 6e (le disque intervertébral avait résisté), et des extrémités postérieures des deux premières côtes. Cette tumeur soulevait
se manifester aux dépens de la 5e vertèbre dorsale et de l'extrémité postérieure de la 4e côte : la moelle épinière était comprimé
es parois de l'estomac avaient six à sept lignes d'épaisseur; la face postérieure de cet organe se confondait avec le pancréas, dev
col anatomique de l'humérus H. Il est possible que cette fracture fût postérieure à la mort de la malade. La moelle, dans l'inter
e ouverture. Ces ecchymoses occupaient la partie supérieure du sillon postérieur du cœur, un peu à droite de ce sillon. On aurait
e ligne, et à bords frangés. Cet orifice avait son siège sur la paroi postérieure du ventricule gauche, au niveau delà partie moyen
ace du cerveau est notablement déprimée au niveau des circonvolutions postérieures . Des vaisseaux nombreux rampent à la surface de l
ais d'ailleurs sans altération dans sa consistance. Circonvolutions postérieures de la base.—Plus profondément altérées que les pr
avre. — Cerveau.—A la réunion des deux tiers antérieurs avec le tiers postérieur de l'hémisphère droit, une circonvolution transve
médiane, une perte considérable de substance. On dirait que la moitié postérieure de cette circonvolution vient d'être enlevée irré
phère, au niveau de la réunion du tiers antérieur avec les deux tiers postérieurs du corps calleux, au voisinage du lobule de la sc
aux sanguins et du tissu cellulaire lâche. Cervelet.- - A la partie postérieure de l'hémisphère droit existe une perte de substan
perte de substance dans tous les points jaunes : les circonvolutions postérieures à celles que je viens de décrire présentent un ra
it.—Couleur rouge-amaranthe de la substance grise des circonvolutions postérieures . Poumon gauche parfaitement sain, exempt d'infi
umons qu'au ramollissement amaranthe observé dans les circonvolutions postérieures de l'hémisphère droit : rien de plus fréquent que
e toutes les circonvolutions et anfractuosités qui occupent la moitié postérieure de la surface convexe de cet hémisphère et du lob
s intéresser la substance du cerveau. a° Les circonvolutions les plus postérieures sont beaucoup plus ramollies. La substance blanch
avec les membranes. 3° Les circonvolutions de la base du même lobe postérieur gauche sont converties en une membrane cel-luleus
c ; indépendamment de cette ulcération récente, il existe sur la face postérieure de l'estomac, au niveau du pancréas, une cicatric
36 (1911) La pratique neurologique
une aiguille, qui se meut avec lui sur un cadran placé à la face postérieure de la colonne qui soutient l'arc En AB, se trou
iques. L'bémianesthésie dénote l'extension de la lésion à la partie postérieure de la capsule interne. Mais c'est là encore un
e. La lésion productrice siège dans le terri- toire de la cérébrale postérieure le plus souvent au niveau du lobule lingual. El
on antérieur, sensitivo-moteur; CP, centre cérébral d'associa- tion postérieur , sensorio-moteur. Les fibres qui partent des cent
o-moteur siégeant surtout dans le pied de la 2" frontale, un centre postérieur ou occipital sensorio-moteur occupant la zone.*
au antérieur chemine au voisinage des fibres du facial; le faisceau postérieur est intimement mêlé aux radia- tions optiques.
eur chemine à la partie pos- térieure du bras antérieur; les fibres postérieures accompagnent les radiations optiques. ' Au ni
cule, on ne peut actuellement distinguer les fibres antérieures des postérieures . Ces fibres ne semblent pas comprises dans le f
AIRE. partie antérieure au voisinage des fibres du facial ou partie postérieure au voisinage des radiations optiques; d) lésion
au voisinage de la couche optique (fibres oculo-motrices du centre postérieur auxquelles semblent t s'être réunies les fibres
, des lésions. La sécrétion psychique persisterait dans les lésions postérieures du trijumeau (tronc, ganglion de Casser, tronc
em- poro-sphénoïdal qui est le plus commun ; les caries de la paroi postérieure de l'antre déterminent la thrombo-phlébite laté
bo-phlébite latérale, les abcès extra- duraux de la fosse cérébrale postérieure et les abcès cérébelleux. Les laby- rinthites s
om : vertige rotatif ou vertigo girans, vertigo tituhans ou antéro- postérieur , vertigo vacillans latéral ou vertical, etc. Le
deux plans frontaux passant par les sillons marginaux antérieur et postérieur de l'insula, entre deux plans sagittaux tangent
rie) limité par deux plans frontaux tangents aux potes antérieur et postérieur de l'insula, et par deux plans sagillaux tangen
variété d'aphasie relève d'une lésion du territoire de la cérébrale postérieure (cuneus et voies d'association). Il existe un sym
ralement bilatérales et symétriques du terri- toire de la cérébrale postérieure , notamment des lobules lingual et fusiforme. '
elle (pour les nerfs du tronc et des menibres), forment les racines postérieures rachi- diennes et viennent s'arboriser, les plu
courtes (fibres courtes et moyennes) autour des cellules des cornes postérieures , les plus lon- gues autour des cellules des noy
ures, les plus lon- gues autour des cellules des noyaux des cordons postérieurs (noyaux de; Goll et de Burdach), constituant- a
rd'hui l'existence d'un faisceau sen- sitif distinct dans la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (ca
faisceau sen- sitif distinct dans la partie postérieure du segment postérieur de la capsule interne (carrefour sensitif' de C
t mélangées aux fibres descen- dantes motrices dans tout le segment postérieur de la capsule interne. Telle est la voie sensit
s sensitives périphériques, arrivées dans la moelle par les racines postérieures , vont s'arboriser après un très court trajet (f
es), pour la plus grande partie dans la substance grise de la corne postérieure et dans celle de la colonne de Clarke du même c
olonne de Clarke du même côté, pouf une petite partie dans la corne postérieure du côté opposé. 1. Th. de Paris, 1899. ANATOM
T11LS. 277 7 2" Neurone 77%édu'Ilo-cé ? ,ébelleztx.' - =De la corne postérieure ou de la colonne de Clarke, les fibres sensitiv
ère les impres- sions tactiles suivent le trajet des cordons blancs postérieurs , alors que les impressions douloureuses et ther
dans la couche inter-olivaire bulbaire. Pour hülliker les cordons postérieurs conduisent le sens musculaire seulement; la sen
s la moelle, pour les impressions sensitives reçues par les racines postérieures , des moyens de transmission complexes; la subst
rinesco) ; sa transmission dans la moelle se ferait par les cordons postérieurs . En opposition avec la dissociation syringomyélie
forme de dissociation de la sensibilité, dite du « type des cordons postérieurs » : perte de la sensibilité au tact, à la press
alors que pour les autres régions, comme le dos du pied ou la face postérieure de la cuisse, il faut des différences de poids be
apsulaire était considérée comme relevant d'une lésion de la partie postérieure du segment posté- rieur de la capsule interne,
née; il existe en effet, en clinique, des cas de lésions du segment postérieur de la capsule interne, se traduisant par de l'h
est à la lésion de la couche optique, et non pas à celle du segment postérieur de la capsule interne, que sont dus les troubles
que toujours au même endroit, c'est-à-dire au niveau de la partie postérieure et inférieure de la couche optique (région où
ne et Roussy). Ce syndrome, causé par une lésion occupant la partie postérieure de la couche optique qu'elle détruit, et intére
truit, et intéressant le noyau externe du thala- mus dans son tiers postérieur , une partie du noyau interne, du centre l'ig. 1
ian et du pulvinar, ainsi que les fibres correspondantes du segment postérieur de la capsule interne, est caractérisé par : '1
t pris séparément ou simultanément, ou bien suivant que les racines postérieures sont atteintes ou non par la lésion. Il n'y a d
[ROUSSY.] ] 520 - " ' ' SENSIBILITE.... ' gomyélie), aux cordons postérieurs (tabès), et dans les compressions de la moelle
RE DE L'INNERVATION CUTANÉE » La projection des fibres d'une racine postérieure sensitive sur la peau ne revêt pas le même mode
sitive. Le territoire de représentation cutanée, d'une seule racine postérieure peut correspondre au territoire de plu- sieurs
distribution radiculaire des nerfs rachidiens, d'après Kodwr. Face postérieure . TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 525 ri
onne vertébrale Fig. 2 Lis. Schéma de topographie radiculaire, face postérieure , d'après Scilfert. 1 1 , TROUBLÉS DE LA SENSIBI
nt aussi, l'anesthésie envahit égale- ment les faces antérieures et postérieures du bord cubital du bras, de ! 'avant-bras et même
limitées de l'axe gris, aussi bien que dans les lésions des cordons postérieurs , la distribution périphérique des troubles sens
IDIENNES Les lésions des racines rachidiennes intéressant la racine postérieure dans le canal vertébral, avant sa réunion à la
idien (formé par la réunion de la racine antérieure et de la racine postérieure ), dans le trou de conjugaison ou en dehors du rac
néral, elles portent en même temps sur la moelle et sur les racines postérieures , et leur symptomatologie se confond; 2° dans le
bras et de lavant-bras, en empiétant sur ses faces anté- rieure et postérieure . lluelduefois l'anesthésie s'avance jusqu'à la li
nt-bras et du bras en s'avançant un peu sur les faces antérieure et postérieure du membre. La paralysie motrice occupe tous les
rine-Klumpke); elle-peut remonter plus haut, sur la face externe et postérieure du bras, jusqu'à l'épaulé (5e, 6e, 7e, 8e cerv.
orme de fer à cheval avec branches descendantes le long de la face. postérieure des cuisses jusqu'à leur tiers supérieur ou moy
'anus, du coccyx, du périnée, de l'anus, de la partie inférieure et postérieure du Fig. 55. Paraplégie syphilitique. Hypoesthés
thésie comprend, en plus des régions ci-dessus mentionnées, la face postérieure du tiers inférieur de la cuisse, la face postér
nnées, la face postérieure du tiers inférieur de la cuisse, la face postérieure et moyenne de la jambe, la ré- . 1. Pour certai
et moyenne de la jambe, la ré- . 1. Pour certains auteurs, la face postérieure de la cuisse est innervée' par la 2° sa- crée;
plexus lombaire et sacré, que ceux relevant des lésions des racines postérieures de ces racines, troubles sensitifs, qui seuls (
lement la lésion intéresse en même temps les racines inférieures et postérieures . On observe alors des troubles moteurs à distri
e manger. La douleur irradie fréquemment vers la région cer- vicale postérieure , le domaine du plexus brachial. Durant l'accès on
vico-occipitalc occupe le territoire des branches ante-. rieures et postérieures des quatre premiers nerfs cervicaux. La branche
res et postérieures des quatre premiers nerfs cervicaux. La branche postérieure ; du deuxième nerf occipital, le grand nerf occipi
t entre les nerfs sensitifs du pharynx et le deuxième nerf cervical postérieur d'où émane le grand nerf occipital d'Arnold. En
rand nerf occipital d'Arnold. En effet la deuxième racine cervicale postérieure envoie quelquefois un ou plusieurs rameaux sens
rvicaux et du premier nerf dorsal. La névralgie atteint les rameaux postérieurs de ces nerfs qui se distribuent à la peau du dos
1° au niveau de la gouttière de torsion de l'humérus; 2° à la face postérieure de t'avant-brasa 5 ou G centimètres au-dessous de
ntimètres au-dessous de l'arti- culation du coude, là où la branche postérieure du radial se divise en différents rameaux desti
ar eles douleurs violentes, lancinantes, prédominant dans la région postérieure du bras, par un affaiblissement du triceps brachi
T ALGIES. cervical en avant du scalène antérieur en arrière du bord postérieur du sterno-rnastoïdien, le point sle1'1wl C) au
oire des branches antérieures des nerfs dorsaux. Quand les branches postérieures de ces nerfs sont aussi atteintes, la névralgie
vralgie intercostale, trois points douloureux principaux : un point postérieur vertébral situé à côté des apophyses épineuses, u
lisée a la partie supé- rieure de la région externe et de la région postérieure de la cuisse et se prolonge jusqu'au genou. L
clitoris, à la verge, à l'urètre, aux corps caverneux, à la partie; postérieure du scrotum et des grandes lèvres, au périnée, à
rs de la sciatique occupent la région lombaire, la fesse, la partie postérieure de la cuisse. Les principaux points doulou- reu
et (te l'échancrure sciatique. le point rélro-trochantérien au bord postérieur du grand trochauter dans la gouttière formée par
ion, les points fémoraux supérieur, moyen et inférieur il la partie postérieure de la cuisse, le point poplité il la partie ext
r au-dessous de la tète du péroné, le point malléolaire à la partie postérieure , et inférieure de la malléole externe. A la jam
. Nerf maxillaire szcpéie2l ? - On prolonge verticalement le bord postérieur toujours nettement perceptible de l'apophyse orbi
l dentaire infé- rieur il son orifice spixienne et le canal palatin postérieur ; 5" le groupe profond, qui comprend le trou ova
eure par une aiguille recourbée, de même l'orifice du canal palatin postérieur . On anesthésie superficiellement la peau et le
traversant la boule graisseuse de tiicbat. en arrière ! de la face postérieure de l'os maxillaire supérieur, pour arriver dans
illimètres au des- sous du trou ovale (qui se trouve il la partie postérieure de la base de l'apophyse ptérygoïde). L'aiguill
nt de repère profond qui nous a paru le plus fidèle est le bord postérieur de l'apo- physe ptérygoïde. L'aiguille doit b
ngo-vasculaires ou de l'intégrité de la zone d'en- trée des racines postérieures , des bandelettes externes de Charcot et Pierret
étiques : ces phénomènes sont l'expres- sion de lésions des cordons postérieurs . Bruhl a pu chez un malade observer d'un côté l
, comme dans les tumeurs de l'encéphale, dégénérescence des racines postérieures de la moelle, peut-être l'abolition des réflexes
ue ces affections sont caractéri- sées par une sclérose des cordons postérieurs et par une sclérose des cor- dons latéraux. (C'
abes quand il existe ' des lésions de sclérose combinée des cordons postérieurs et des cordons latéraux : c'est là un des éléme
es de Char- col et Pierre ! . Celte zone est limitée par les cornes postérieures en dehors et en dedans par une ligne parallèle
res en dehors et en dedans par une ligne parallèle au sillon médian postérieur et amenée du coude de la corne postérieure vers
arallèle au sillon médian postérieur et amenée du coude de la corne postérieure vers le bord postérieur de la moelle. Si nous c
postérieur et amenée du coude de la corne postérieure vers le bord postérieur de la moelle. Si nous conservons comme exemple
. Là, elle est transmise à une ou plusieurs des cellules des cornes postérieures par les fibres unissant ces cellules avec les cet
endon rotulien; 2° Le nerf périphérique centrifuge : 5° Le cordon postérieur de la moelle; 4" La substance muse médullaire :
Ipux rotulien, par névrite périphérique, par lésion des cordons postérieurs de la moelle comme dans le tabès, par des lés
les noyaux gris centraux ou dans le domaine de l'artère cérébrale' postérieure . Les malades perdent inconsciemment les urines
reposant sur le sol pur la pointe de ses souliers et les deux pieds postérieurs de la [MOUTIER.] 508 PARAPLÉGIE. ? chaise.
e la réflectivité et phénomène de Strmnpeu. La sclérose des cordons postérieurs détermine une certaine titubation, un degré très
-à-dire par des troubles de la sensibi- lité des régions externe et postérieure du membre inférieur avec parti- cipation de la
e parésie des fessiers (rotation en dehors du membre) . des muscles postérieurs de la cuisse (flexion de la jambe) et du groupe a
humérus en avant et en dedans jusqu'il l'horizontale, les faisceaux postérieurs por- tent l'humérus en arrière, mais amènent un
ar les faisceaux antérieurs et celle déter- minée par les faisceaux postérieurs . Quand tous les faisceaux du muscle se contract
muscles sous-épineux et petit rond qui forment le rotateur humerai postérieur de I)uchenne. Le sous-scapulaire est adducteur du
muscle se fusionnent. En bas le tendon terminal s'insère à la face postérieure de la tubérosité bicipitale du radius. Du côté
aponévrose intenl1us- culaire externe, et sur la portion de la face postérieure de l'humérus située au-dessus de la gouttière d
ion. Le ten- don inférieur terminal du triceps s'insère sur la face postérieure de l'olécrane et sur ses bords latéraux. Inne
t pas cette action qui, d'après lui, n'appartiendrait qu'au cubital postérieur ; il fait remarquer qu'on ne peut guère s'expliq
fléchisseur superficiel et. finalement, s'insèrent sur l'extrémité postérieure de la troisième phalange des quatre derniers do
es epitrochteens. Le tendon terminal se fixe en bas sur 1 extrémité postérieure de la phalange unguéale du pouce. Innervation ?
endon qui lui est commun avec les muscles superficiels de la région postérieure de l'avant- bras, sur une forte aponévrose situ
ieure de l'avant- bras, sur une forte aponévrose située sur sa face postérieure , sur le liga- ment latéral externe de l'articul
enseur commun des doigts. En bas, le tendon s'insère sur l'apophyse postérieure de la base du troisième métacarpien. Innervatio
EUR. 551 autres extenseurs, le premier radial externe et le cubital postérieur ; le premier radial externe étant un extenseur a
sur le quart supérieur du bord externe du cubitus, sur la par- tie postérieure du ligament annulaire de l'articulation radio-cub
ipal agent de ce mouvement de l'avant- bras.* las." .^H| Région postérieure de l'avant-bras. La région postérieure de l'ava
bras.* las." .^H| Région postérieure de l'avant-bras. La région postérieure de l'avant-bras comprend huit muscles qui for-
ur commun des doigts, l'extenseur propre du petit doigt, le cubital postérieur , l'anconé. La couche profonde se compose égale-
tions. L'extenseur commun des doigts s'in- sère en haut sur la face postérieure de l'épicondyle, sur la face profonde de l'apon
ne et deux latérales. La languette médiane s'insère sur l'extrémité postérieure de la deuxième phalange, les deux languettes la
ttes latérales, après s'être fusionnées, s'insèrent sur l'extrémité postérieure de la troisième phalange. L'extenseur propre du
fléchir la première phalange et étendre les deux autres. Cubital postérieur . Insertions. Le cubital postérieur in- sère en
étendre les deux autres. Cubital postérieur. Insertions. Le cubital postérieur in- sère en haut sur l'épicondyle. sur la face
opre du petit doigt en dehors et de l'anconé en dedans, sur la face postérieure et le bord postérieur du cubitus. En bas, le te
dehors et de l'anconé en dedans, sur la face postérieure et le bord postérieur du cubitus. En bas, le tendon du muscle s'insère
métacarpien. Innervation. Nerf radial. ' Physiologie. Le cubital postérieur es) un extenseur et un adduc- teur de la main;
edans. Anconé. insertions.t/ancone s'insère en haut sur la partie postérieure et interne de l'épicondyle, il se porte en bas et
t sur une petite surface triangulaire que limite en arrière le bord postérieur du cubitus. Innervation. L'anconé reçoit son in
sertions. Le long abduc- teur du pouce s'insère en haut sur la face postérieure du cubitus, du ligament interosseux du radius.
ius. En bas, le tendon se fixe sur la partie externe de l'extrémité postérieure du premier métacarpien. Innervation. Nerf radia
ertions. Le court exten- seur du pouce s'insère en haut sur la face postérieure du ligament inter- osseux et des deux os de l'a
incipalement du cubitus. En bas, le tendon s'insère sur l'extrémité postérieure de la première phalange du pouce. Innervation
Insertions. Le long extenseur du pouce s'insère en haut sur la face postérieure , du cuhitus et du liga- ment interosseux, en ha
re, du cuhitus et du liga- ment interosseux, en has sur l'extrémité postérieure de la deuxième pha- lange du pouce. Innervati
ertions. L'extenseur propre de l'index s'insère en haut sur la face postérieure du cubitus et sur le ligament interosseux, en b
cette face, mais sur sa moitié antérieure seulement, car la moitié postérieure donne naissance à l'interosseux dorsal correspo
lus reculée, sur la MUSCLES DU MEMBRE INFERIEUR. mis ligne courbe postérieure de l'os coxal et sur la surface osseuse située en
use située en arrière de cette ligne, sur le ligament sacro-iliaque postérieur , sur l'apo- névrose lombaire, sur la crête du s
, sa rotation en dedans et un léger degré de flexion. Les faisceaux postérieurs du muscle sont obliques en bas et en avant, ils
il sa face antérieure, mais aussi par quelques faisceaux à sa face postérieure . En dehors, le tendon du muscle s'insère dans l
e crête, sur la ligne il peu près verticale qui l'ait suite au bord postérieur du grand trochanter. Innervation. Hameau issu d
se en trois faisceaux : le faisceau descendant se fixe il la partie postérieure de la tubérosité interne du tibia; le faisceau
alement le pied sur la jambe. Il faut noter aussi que les ligaments postérieurs de l'articulation du genou se distendent, car l
don du muscle s'insère sur le premier cunéiforme et sur l'extrémité postérieure du premier métatarsien . , Innervation. Nerf
té avant sa bifurcation. Poirier dit qu'il reçoit aussi par sa face postérieure de petits rameaux du tibial pos- térieur qui tr
ne et deux latérales. La languette médiane s'insère sur l'extrémité postérieure de la deuxième phalange, les deux languettes la
érales se fusionnent ensemble et viennent se ter- miner sur la face postérieure de la troisième phalange. , Innervation. L'exte
rieure du pied. Il s'insère sur le tubercule externe de l'extrémité postérieure . du premier métatarsien, envoie le plus souvent
ne, croise la face externe du calcanéum et s'insère sur l'extrémité postérieure du cinquième métatarsien. Innervation. Nerf i
ion forcée, alors il le ramène dans la position moyenne. I Région postérieure . Triceps sural. Insertions. Le triceps sural es
mmun, le tendon d'Achille. Le jumeau externe s'insère sur la partie postérieure du condyle externe, le jumeau interne sur la part
sur la partie postéro- interne de la tète du péroné, sur la moitié postérieure de son bord externe, sur le tiers supérieur de
postérieure de son bord externe, sur le tiers supérieur de sa face postérieure , puis sur la ligne oblique du tibia immédiateme
'Achille, lequel vient se hxel' sur la moitié inférieure de la face postérieure du calcanéum. Innervation. Les deux jumeaux son
ameaux du sciatique poplité interne et par un rameau issu du tibial postérieur . [G. GUILLAIN.] 550 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE.
, Poplité. Insertions. Le poplité s'insère en haut sur la partie postérieure et externe du condyle externe, il contracte aussi
-INFÉRIEUR. 551 oblique du tibia et sur toute la portion de la face postérieure de cet os située -au-dessus de cette ligne. 1
sciatique poplité interne et rameau accessoire issu du nerf tibial postérieur . '. . Physiologie. - Le poplité fléchit avec pe
érieure de la ligne oblique du tibia, sur le tiers moyen de la face postérieure de cet os; sur la cloison fibreuse qui le sépar
érieure de cet os; sur la cloison fibreuse qui le sépare du jambier postérieur . Le tendon du muscle à la région plan- taire re
sseur profond ou perforant des doigts et s'insèrent sur l'extrémité postérieure de la troisième phalange. , Innervation. Nerf t
postérieure de la troisième phalange. , Innervation. Nerf tibial postérieur . Physiologie. Le long fléchisseur commun des or
s orteil s'insère .en haut sur les deux tiers inférieurs de la face postérieure du péroné, sur la partie inférieure du ligament i
pérdniers latéraux. Le tendon du muscle se termine sur l'extrémité postérieure de la deuxième phalange du gros orteil. Dans la
opre donnée au muscle consacre une erreur. Innervation. Nerf tibial postérieur . Physiologie. Le long fléchisseur propre du gro
vait que peu d'action sur l'articulation tibio-tarsienne. - Jambier postérieur . Insertions. Le jambier postérieur [G. GUILLAIN
ation tibio-tarsienne. - Jambier postérieur. Insertions. Le jambier postérieur [G. GUILLAIN.] 55'2 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE.
IE MUSCULAIRE. s'insère en haut sur la ligne oblique et sur la face postérieure du tibia au-dessous et en dehors du fléchisseur
séparent des deux longs fléchisseurs. En bas, le tendon du jambier postérieur se termine sur le tubercule du scaphoïde en envoy
éiformes et aux trois métatarsiens moyens. Innervation. Nerf tibial postérieur . Il reçoit aussi un rameau venu du sciatique po
rameau venu du sciatique poplité interne. Physiologie. Le jambier postérieur est faiblement extenseur du pied sur la jambe.
pied est a peine plus élevé que l'externe. La paralysie du jambier postérieur a pour con- séquence un pied bot valgus. MUSC
ine par quatre tendons : le premier tendon s'insère sur l'extrémité postérieure de la première phalange du gros orteil, les tro
s. L'adducteur du gros orteil s'insère en arrière sur la tubérosité postérieure et interne du culcané«In, sur la partie inférie
ndon terminal du muselé s'insère sur le côté interne de l'extrémité postérieure de la première phalange du gros orteil en envoyan
du troisième cunéiforme, l'au- tre sur le tendon terminal dujambier postérieur . En avant existent deux tendons terminaux, le t
cteur du gros orteil et s'insère sur le côté interne de l'extrémité postérieure de la première phalange du gros orteil, le tend
blique) s'insère sur la face inférieure du cuboïde, sur l'extrémité postérieure des 5'' et 4" métatarsiens, sur la gaine fibreuse
endon terminal du muscle se fixe sur le côté externe de l'extrémité postérieure de la première phalange du gros orteil; il envo
envoie généralement une expansion fibreuse ou charnue à l'extrémité postérieure du. cinquième métatarsien. Innervation. Nerf pl
gaine du long péronier latéral en avant du cuboïde, sur l'extrémité postérieure du cinquième métatarsien. En avant il se fixe s
arsien. En avant il se fixe sur la partie inférieure de l'extrémité postérieure de la première phalange du petit orteil. Inne
teil. Insertions. L'opposant du petit orteil confond ses insertions postérieures avec celles du court fléchisseur; en avant il s
les quatre tendons du long fléchisseur, s'insèrent sur l'extrémité postérieure de la deuxième phalange des quatre orteils exte
orteils et se fixent d'une part sur le côté interne de l'extrémité postérieure de la première phalange, d'au- tre part sur le
ançais décrivent deux scalènes : le scalène antérieur et le scalène postérieur ; les auteurs alle- mands et anglais divisent le
postérieur; les auteurs alle- mands et anglais divisent le scalène postérieur en deux portions : l'une antérieure ou scalène
rieur en deux portions : l'une antérieure ou scalène moyen, l'autre postérieure ou scalène postérieur. Le scalène antérieur naî
: l'une antérieure ou scalène moyen, l'autre postérieure ou scalène postérieur . Le scalène antérieur naît en haut des tubercul
supérieure de la première côte (tubercule de Lisfranc). Le scalène postérieur s'insère en haut sur les tubercules posté- rieu
nches antérieures des 5e, '4", 5" et 6" nerfs cervicaux. Le scalène postérieur reçoit ses filets nerveux des branches postérieur
icaux. Le scalène postérieur reçoit ses filets nerveux des branches postérieures des nerfs cervicaux (Testut). Poirier, au sujet
s cervicaux (Testut). Poirier, au sujet de l'innervation du scalène postérieur , écrit : «Les scalènes moyen et postérieur sont i
l'innervation du scalène postérieur, écrit : «Les scalènes moyen et postérieur sont innervés par les branches antérieures des
mité interne de la clavicule et sur le ligament sterno-claviculaire postérieur , quelques faisceaux prennent insertion sur le s
ar un tendon intermédiaire en deux ventres, l'un antérieur, l'autre postérieur . Le ventre postérieur s'insère en arrière sur l
aire en deux ventres, l'un antérieur, l'autre postérieur. Le ventre postérieur s'insère en arrière sur le bord supérieur de l'
n. - Insertions. Le sterno-thyroïdien s'in- sère en bas sur la face postérieure du sternum jusqu'à la ligne médiane et sur la f
face postérieure du sternum jusqu'à la ligne médiane et sur la face postérieure du premier cartilage costal. En haut-, il prend
ement du maxillaire inférieur. Digastrique. Insertions. Le ventre postérieur du muscle digas- trioue s'insère, sur le côté i
ossette spéciale en dehors de la symphyse. Innervation. Le ventre postérieur du digastrique est innervé par un rameau du fac
ant son point fixe sur l'os hyoïde abaisse le maxillaire. Le ventre postérieur en prenant son point fixe sur le crâne attire t
t dite. Le creux de l'aisselle est profondé- ment modifié, sa paroi postérieure disparait peu près complètement et se place sur
a forme d'une Sa boucles très allongées; rétrécissement de la paroi postérieure ; dilatation générale de la cage thoracique avec
es situés en arrière des intercostaux externes, entre l'extré- mité postérieure des côtes et l'apophyse iransverse des vertèbres-
sont situés dans le thorax entre la plèvre pariétale et l'extrémité postérieure des intercostaux internes. Ils s'insèrent sur l
interne et le bord supérieur des six dernières côtes. Les faisceaux postérieurs ou lombaires se détachent de la partie postérieur
s. Les faisceaux postérieurs ou lombaires se détachent de la partie postérieure du trèfle aponévrotique, leur insertion termina
zontaux, ses faisceaux moyens obliques, ses faisceaux inférieurs ou postérieurs verticaux. En bas les libres les plus inférieur
ou ses trois quarts antérieurs, puis sur une aponévrose (aponévrose postérieure du petit oblique) qui se fusionne avec l'aponév
l'intermédiaire d'une large aponévrose d'inser- tion, l'aponévrose postérieure du transverse. En avant l'aponévrose anté- rieu
ses de ces vertèbres. En bas le tendon du muscle s'insère à la face postérieure du petit trochanter. La portion iliaque du musc
inent sur la face externe du tendon du psoas qui s'insère à la face postérieure du petit trochanter. Quelques faisceaux formant
. GUILLAIN.] S70 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. VI. MUSCLES DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU MUSCLES SUPERFICIELS DE LA
), sur la protubérance occipitale externe, sur le ligament cervical postérieur , lequel s'étend de la protubérance occipitale e
en bas et en dehors viennent s'insérer sur le tiers externe du bord postérieur de la clavicule. Les faisceaux moyens, qui sont
moyens, qui sont plus ou moins transversaux, s'insèrent sur le bord postérieur de l'acru- mion et sur la lèvre supérieure du b
bord postérieur de l'acru- mion et sur la lèvre supérieure du bord postérieur de l'épine de l'omo- plate dans toute son étend
e trapèze se contracte bitatératement, la tête MUSCLES DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU. 571 est portée directement
ents surépineux corres- pondants, sur la crête sacrée, sur le tiers postérieur et sur la lèvre externe de la crête iliaque, su
e s'insère sur l'apophyse transverse de l'atlas, sur les tubercules postérieurs des apophyses transverses des trois ou quatre ver
que de l'omoplate, car le rhomboïde peut le suppléer. Petit dentelé postérieur et supérieur. Insertions. Le petit dentelé post
Petit dentelé postérieur et supérieur. Insertions. Le petit dentelé postérieur et supérieur s'insère en dedans sur la partie i
evrait un rameau de la branche du rhomboïde. MUSCLES DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU. 373 Physiologie. - Le petit
POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU. 373 Physiologie. - Le petit dentelé postérieur et supérieur élève les côtes, est par conséquen
ur élève les côtes, est par conséquent inspirateur. Petit dentelé postérieur et inférieur. Insertions. Le petit dentelé post
Petit dentelé postérieur et inférieur. Insertions. Le petit dentelé postérieur et inférieur s'insère sur les apophyses épineuses
un rameau du nerf du grand dorsal. Physiologie. Le petit dentelé postérieur et inférieur, en raison de son obliquité, attir
on inspiratrice du dia- phragme. A ce double titre le petit dentelé postérieur et inférieur est comme le supérieur, un muscle
nius s'insère en dedans sur le tiers inférieur du ligament cervical postérieur , sur les apophyses épineuses de la septième cer
yses trans- verses de l'atlas et de l'axis. Innervation. Branches postérieures des nerfs cervicaux et grand nerf occipital.
al. Le muscle reçoit aussi des 1¡leh nerveux provenant des branches postérieures des troisième, qua- trième et cinquième nerfs c
les et souvent de la première vertèbre dorsale, en haut sur le bord postérieur et le sommet de l'apophyse mastoïde. Innervatio
l'apophyse mastoïde. Innervation. Grand nerf occipital et branches postérieures des trois ou quatre nerfs cervicaux sous-jacent
lui-ci s'insère, par de nouvelles digitalions, sur les tuber- cules postérieurs des apophyses transverses des cinq dernières cerv
physes transverses de l'atlas et de l'axis. Innervation. Branches postérieures des derniers nerfs cervicaux et des premiers ne
étend la colonne cervicale et l'incline latéralement. Grand droit postérieur de la tête. Insertions. Le grand droit postérie
nt. Grand droit postérieur de la tête. Insertions. Le grand droit postérieur de la tète s'insère d'une part sur le sommet de
est au-dessous de la ligne courbe inférieure. Innervation. Branche postérieure du premier nerf cervical. Physiologie. Le grand
e postérieure du premier nerf cervical. Physiologie. Le grand droit postérieur de la tête étend la tête. l'incline, latéraleme
nt bitatéraicmeru, ils renversent la tète en arrière. Petit droit postérieur de la tête. Insertions. Le 1H'lil droit postéri
e. Petit droit postérieur de la tête. Insertions. Le 1H'lil droit postérieur de la tête s'insère d'une part sur le tubercule p
il droit postérieur de la tête s'insère d'une part sur le tubercule postérieur de l'atlas, d'autre part sur l'empreinte rugueu
ieure de l'occipital en dedans du grand droit. Innervation. Branche postérieure du premier nerf cervical. Physiologie. Le petit
e postérieure du premier nerf cervical. Physiologie. Le petit droit postérieur de la tête est un extenseur de la tète. MUSCL
ieur de la tête est un extenseur de la tète. MUSCLES DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU. 575 Grand oblique ou obliqu
e l'axis, il se porte en haut et en dehors et se fixe sur la partie postérieure et inférieure de l'apophyse transverse de l'atl
érieure de l'apophyse transverse de l'atlas. Innervation. Branche postérieure du premier nerf cervical et branche postérieure
nnervation. Branche postérieure du premier nerf cervical et branche postérieure de deuxième nerf grand occipital. Physiologie.
de l'insertion supé- rieure du grand droit. Innervation. Branche postérieure du premier nerf cervical. Physiologie. Le petit
ières vertèbres, lombaires, sur la crête sacrée, sur les tubercules postérieurs du sacrum, sur le grand ligament sacra-sciatiqu
sacra-sciatique, sur la tubérosité ischia- tique, sur le cinquième postérieur de la crète iliaque. L'aponévrose d'insertion d
en largeur l'intervalle compris «mire la crête sacrée et la partie postérieure de la crête iliaque, s'étend en hauteur du somm
ers sur l'angle des douze côtes, les cinq autres sur les tubercules postérieurs des apophyses transverses des cinq der- nières
nsèrent sur le sommet et le bord supérieur des MUSCLES DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC ET DU COU. 577 apophyses transverses d
mologues des apophyses Iransverses, à la région dorsale sur la face postérieure des apophyses transverses, à la région cervical
cles des gouttières vertébrales sont tous innervés par les branches postérieures des nerfs rachidiens. Physiologie. Les muscles
n mouve- ment de bascule du bassin, les apophyses dorsales les plus postérieures sont ramenées suffisamment en avant pour que la
son ! au nombre de deux pour chaque espace, l'un antérieur, l'autre postérieur . Ils s'insi- rent en haut sur le bord inférieur
xe sur la lèvre antérieure de cette gouttière, l'intertransversaire postérieur sur la lèvre postérieure. Les intertransversair
re de cette gouttière, l'intertransversaire postérieur sur la lèvre postérieure . Les intertransversaires du clos sont formes pa
ses de l'axis et de la troisième cervicale. Innervation. Branches postérieures des nerfs raehidiens. Physiologie. Les muscles
physes épineuses des deux vertèbres voisines. Innervation. Branches postérieures des nerfs rachidiens. Physiologie. Les intcrepi
vertébrale. MUSCLES DU COCCYX Ischio-coccygien, sacro-coccygien postérieur , sacro- coccygien antérieur. Insertions. Les mu
chio-coccyyien s'étend de l'is- chion au coccyx. Le sacro-coccygien postérieur s'insère en haut sur la face postérieure des de
coccyx. Le sacro-coccygien postérieur s'insère en haut sur la face postérieure des dernières vertèbres sacrées ou sur l'épine il
épine iliaque posléro-inlérieiire, il se termine en bas sur la face postérieure des diffé- rents segments du coccyx. Le sacro-c
libres avec celui du côté opposé. Innervation. Le sacro-coccygien postérieur est innervé par un filet du plexus sacro-coccyg
exus sacro-coccygien, le sacro-coccygien antérieur par les branches postérieures des doux derniers nerfs sacrés et du nerf coccygi
schio-coccygien n'a aucune action sur le coccyx. Le sacro-coccygien postérieur porte le coccyx en arrière, il est l'homo- logu
temporale de l'apo- névrose epicranienne, d'autre part par son bord postérieur à l'intersection fibreuse qui le sépare de l'au
qui limite en avant cette fossette (Charpy). Le muscle auriculaire postérieur , muscle en forme de languette, est dirige horiz
aut. L'auriculaire supérieur est un élévateur direct, l'auriculaire postérieur lire le pavillon en arrière. Tous ces muscles s
nté, contracter légèrement l'auriculaire supérieur et l'auriculaire postérieur ; . [G GUILLAIN,] 582 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE.
e portent en haut et en avant et viennent se ter- miner sur le bord postérieur de l'aponévrose epicranienne, les faisceaux les
vers le pavillon de l'oreille et s'étendent parfois jusqu'à la face postérieure de la conque. Le muscle frontal naît en haut su
ontal conjointement avec l'occipital produit les mouvements antéro- postérieurs du cuir chevelu. Ces mouvements, qui sont très ma
fixent à la face profonde des téguments de la région, ses faisceaux postérieurs se continuent avec les faisceaux externes du my
sertions. La dilatateur des narines s'insère en arrière sur le bord postérieur du cartilage de 1 aile du nez et sur la partie
internes s'insèrent à la sous-cloison, les fibres moyennes au bord postérieur du cartilage de l'aile du nez, les libres exter
ternes contournent ce cartilage et se continuent avec les faisceaux postérieurs du transverse. , Innervation. Nerf facial. Ph
aisceaux : des faisceaux internes s'iuserant à la peau de la partie postérieure de l'aile du nez, des faisceaux externes obliquan
laire qui s'étend du crochet de l'apophyse ptérygoïde à l'extrémité postérieure du bord alvéolaire du maxillaire. Les faisceaux d
poral profond antérieur, temporal profond moyen et temporal profond postérieur , trois branches du maxillaire inférieur. Physio
iologie. Le temporal élève le maxillaire inférieur. Ses fais- ceaux postérieurs à direction horizontale attirent le condyle en ar
-bras empiétant en avant et en arrière sur les faces antérieures et postérieures correspondantes (cinquième et sixième cervicale
rme). L anesthésie peut remonter plus haut sur la région externe et postérieure du bras, mais, il la région interne, la sensibili
rs de la gaine durale, témoignage certain de distension radiculaire postérieure . Le tronc d'union des racines peut s'aplatir su
onge-t-on la traction, les racines antérieures se rompent avant les postérieures ; elles se rompent seules souvent. Aussi compren
trice, et que dans . LES PARALYSIES RADICULAIRES. CI9 les racines postérieures il y ait seulement une inhibition passagère par
violent, amène des lésions réparables ou non réparables des racines postérieures . Dans les paralysies radiculaires traumatiques
est possible que les lésions portent principalement sur les racines postérieures . Enfin, aux symptômes d'ori- gine radiculaire,
a face (tortura facici des anciens), le côté sain situé sur un plan postérieur au côté malade est souvent considéré au premier a
es, car la gustation des substances amères se fait dans les parties postérieures de la langue. L'hyperacousie douloureuse est fr
il la partie inférieure du canal de Fallope, la branche auriculaire postérieure se rendant aux muscles peau- ciers de l'oreille
. qui est assez fré- quente, occupe une grande partie de. la région postérieure de l'épaule et le bord externe du bras jusqu'à
téralité de la main ne peuvent, plus se faire (paralysie du cubital postérieur et du premier radial externe). La flexion des d
terne, la moitié de la face antérieure et les deux tiers de la face postérieure de la jambe. La paralysie du sciatique poplité
interne a pour conséquence la para- lysie des muscles de la région postérieure de la jambe et des muscles de la plante du pied
l'accélérai ion respiratoire. C58 TROUBLES DU LARYNX. w au noyau postérieur du pneumogastrique, lés autres fibres motrices de
condensent en troncs nerveux et se dirigent vers le trou déchiré postérieur avant lequel le . spinal s'accole à sa branch
t arrivent dans l'espace latéro-pharyngien (espace sous-glandulaire postérieur de Sebileau). Le pneumogastrique et le spinal s
st que le pneumogastrique, immédiatement au-dessous du trou déchiré postérieur présente le ganglion plexiforme qui reçoit à sa
acq, corps quadrijumeaux antérieurs; pcq., corps quadri- jumeaux postérieurs ; es, calamus scriplorius ; ac, aile grise. Zo
du récurrent sur 17 cas el 5 fois la paralysie du crico-aryténomicn postérieur , Ivanoff, sur tO cas personnels, a vu souvent l
cas. n'a vu que 2 paralysies récurrcntielles pour 14 paralysies du postérieur ; Rôrner et Sebla, sur 48 cas, notent 3 ! ) para
postérieur; Rôrner et Sebla, sur 48 cas, notent 3 ! ) paralysies du postérieur pour 9 paralysies récurrentielles. Il est don
mprimeront le vago-spinal avant son engagement dans le trou déchiré postérieur : ce sont le plus souvent les fumeurs malignes, q
anoll' (1). C'est un aplatissement de l'occipital tel que la partie postérieure de la tète rejoint à angle droit la partie supéri
tête paraît carrée ; la protubérance occipitale s'efface et la face postérieure du crâne se continue en ligne presque verticale
fléchisseurs : triceps sural, quadriceps crural, muscles de la face postérieure de la cuisse, fessiers. Les muscles sacro-lomba
tre atteint dans son tiers inférieur, mais les muscles de la région postérieure restent indemnes et l'atrophie ne remonte jamai
'une altération des nerfs, une dégé- nération prononcée des cordons postérieurs . L'atrophie des nerfs optiques a été signalée j
névrite interstitielle et parenchymateuse) et de la moelle (cordons postérieurs , cellules radiculaires antérieures) que Dejerin
lle et de ses enveloppes sont, atteintes (cordons latéraux, cordons postérieurs , méninges, etc.) : l'amyotrophie Aran-Duchenne es
l'origine du tabès par sa localisation sur la méninge et le cordon postérieurs (P. Marie et Guillain), de l'atrophie musculaire
arition d'une atrophie réflexe par la section préalable des racines postérieures . Cette opinion, à peu près uni- versellement ad
dans In domaine du nerf scia- tique, fessiers, muscles de la région postérieure de la cuisse et tous les muscles de la jambe; p
nsitivo-lnoteurs variables suivant la ou les racines antérieures ou postérieures atteintes. Leur cause est dans les tractions ou é
ues de ces auteurs et sur les sec- tions expérimentales des racines postérieures pratiquées par Claude Bernard, Longet, Van De
cause que les troubles sensitifs, à savoir la sclérose des cordons postérieurs ; elle peut être aussi expérimentalement provoquée
t être aussi expérimentalement provoquée par la section des racines postérieures (Cyon, Tchirjew, Aurep), elle est peut-être sou
du faisceau pyramidal, un signe de la sclérose combinée des cordons postérieurs et latéraux, comme le sont les paraplégies plus
onnaître pour cause principale la lésion des racines et des cordons postérieurs . Mais l'ataxie, incoordination d'origine sensit
bservera ainsi des ataxies par lésions non tabéti- ques des cordons postérieurs , des ataxies par lésions des nerfs périphé- riq
cause ne réside pas toujours uniquement dans la lésion des cordons postérieurs ; dans le tabes, maladie générale du système ner
ns les plus diverses peuvent résulter soit de la lésion des cordons postérieurs mêmes (lésion des faisceaux cérébelleux directs
eaux cérébelleux directs en relation avec les fibres radi- culaires postérieures par l'intermédiaire de la colonne de Clarke), soi
ocive sur le premier neurone sensitif, c'est-à-dire sur les cordons postérieurs et sur les nerfs sensitifs périphériques : elle
pouvoir envahir simultanément les nerfs périphériques, les racines postérieures , les cordons postérieurs et en même temps d'aut
ment les nerfs périphériques, les racines postérieures, les cordons postérieurs et en même temps d'autres faisceaux de la moell
out dans la moelle soit les cordons latéraux soit, dans les cordons postérieurs , les faisceaux endogènes à l'exclusion des fibr
minent de préférence une lésion des fibres radiculaires des cordons postérieurs : ce sont celles qui provoquent les pseudo-tabe
provoquent ou non, en même temps qu'une lésion des voies sensitives postérieures , une altération des voies motrices latérales, e
uteurs (Rosenstein, Mvière, Auché, etc.), la sclérose des cor- dons postérieurs ayant été reconnue par d'autres auteurs (Sandmeye
ucoup la cause la plus fréquente de l'ataxie par lésion des cordons postérieurs , car elle est la cause, déterminante ou prédisp
prépondé- rant dans la genèse de la sclérose tabétique des cordons postérieurs ); dans ce cas, les symptômes oculaires font déf
'incoordina- tions et de quelques symptômes de sclérose des cordons postérieurs : il s'agit dans ce cas, pour certains auteurs,
rombose ou embolie, d'origine sénile ou syphilitique, des vaisseaux postérieurs de la moelle; son développement durerait de à l
s périphériques sensitifs, mais une lésion plus durable des cordons postérieurs . N 4. Ataxie dans les lésions bulbo-protubérant
clérose labyrinthique, indépendamment de toute lésion des cor- dons postérieurs (Collet), et Bonnier pense même que le signe de R
inée de la moelle à laquelle prennent part il la fois les cor- dons postérieurs et les cordons latéraux, et. notamment dans ceux-
rophie de la substance grise, la dégénération partielle des cordons postérieurs , des colonnes de Clarke, des faisceaux de Gowers
ies sensitives (nerfs périphériques, racines médullaires et cordons postérieurs ) ; aussi elle présente les earacteresde l'ataxi
voies sensifivesousen- sorielles) : a) Moelle (racines et cordons postérieurs ) : " INCOORDINATIONS. 785 d) Cerveau : Ulli
orps, plus particulièrement aux muscles des mollets, et à la partie postérieure des cuisses, et par la suite aux muscles des me
et, on a pensé que le siège de ces lésions était plutôt à la partie postérieure de la capsule interne; cependant les travaux d'
s la flexion du genou, de faire toucher, avec les talons, la partie postérieure de la cuisse et de la fesse. L'hypotonie des
avec résection de l'articulation malade, la faradisation du tibial postérieur , l'élongation des filets nerveux à distance des
ter permet l'incursion spontanée des micro-organismes dans l'urètre postérieur et la' vessie. Mais la cause principale de l'infe
, bosselée et sensible; à l'aide d'une pression modérée sur sa face postérieure on expulse du liquide, tandis 'qu'en agissant d
masse dans la paralysie des pérista- phylins ; l'arc de ses piliers postérieurs est agrandi dans celle des palato- staphylins.
et l'auriculaire d'autre part; l'annulaire est souvent sur un plan postérieur au médius et à l'auriculaire et en partie recou
adial, ni vers le côté cubital par suite de la paralysie du cubital postérieur . Le pouce ne peut être porté en dehors par suit
opagation aux cornes antérieures du processus de rnéningo-myélitc postérieure syphilitique, qui consti- tue le tabès, qu'à un
in direct. Les principaux muscles rotateurs du pied sont le jambier postérieur et le court péronier latéral. Le jambier postér
sont le jambier postérieur et le court péronier latéral. Le jambier postérieur porte le pied en adduction et rotation interne,
uscles fléchisseurs ou extenseurs. La contracture isolée du jambier postérieur détermine un varus direct, celle du court péronie
un pied-bot équin, généralement peu prononcé parce que les muscles postérieurs de la jambe sont presque toujours touchés à un
en général avec le milieu du D. frontal minimum. Mais le D. ophryo- postérieur n'est pas un antéro-postérieur maximum. Nous pren
ger de place la branche de l'instrument qui touche le point maximum postérieur , on détache l'autre de la glahelle, et on la re
en évidence les variations relatives du crâne antérieur et du crâne postérieur . Nous signalerons particulièrement qu'il est plus
gnathisme et le ressaut lambdoïdien que le palper décèle à la voûte postérieure du crâne. Les diamètres de cette voûte varient
rident (P. Marie). L'annulaire est en même temps sur un plan un peu postérieur aux - autres doigts. - Les mêmes caractères s
antérieur au malaire gauche. De même, l'oeil gauche est sur un plan postérieur à l'oeil droit; il est aussi plus allongé, plus
ut retrouver les adénopathies : c'est surtout à la région cervicale postérieure , au niveau de l'aine, au niveau des aisselles que
cet élargissement;; qui porte surtout, d'après : lui, 'sur la partie postérieure : celle-ci s'agrandit et s'excaye dans le sens
utres auteurs suivant les aspects présentés par la selle, sa partie postérieure ou son orifice supérieur : l'appréciation de ces
vaise ossification ; au niveau du bassin un aplatissement antéro- postérieur ; au niveau des membres des os grêles, fréquemm
par exemple sur l'une des régions suivantes : slernale, cervi- cale postérieure , dorsale, lombaire ou sacrée), de manière que, si
au-devant de l'oreille; 22. Nerf facial (tronc); 23. Nerf auriculaire postérieur : 24. Branches faciales moyennes; 25. Branche f
dduc- teur du pouce. 11. Points moteurs du membre supérieur (face postérieure ). -1. Deltoïde (partie postérieure) ; 2. Nerf r
moteurs du membre supérieur (face postérieure). -1. Deltoïde (partie postérieure ) ; 2. Nerf radial; 5. Brachial antérieur; 4. Lo
on); z 15. Tri- ceps brachial (vaste externe); - 14. Muscle cubital postérieur ; 15. Court supinateur;- 16. Extenseur du petit
eur; 11. Vaste externe. B. Points moteurs du membre inférieur (face postérieure ). -1. \erf sciatique;- 2. Biceps fé- moral (lon
- 14. Soléaire; 15. Fléchisseur commun des orteils; 16. Nerf tibial postérieur . C. Points moteurs de la jambe (face anti;ro-es
t dans les myélites systématisées qui ne portent que sur les cornes postérieures et sur les faisceaux des cordons blancs, telles
s en avoir retiré de bons résultats, la faradisation du nerf tibial postérieur . Nous-mêmes avons obtenu de bons résultats avec
suivant le trajet du gros intestin ; puis on électrise les muscles postérieurs du tronc et les quatre membres, en suivant le t
r diviser la dure-mère en deux parties, l'une antérieure et l'autre postérieure , que l'on récline afin d'extraire facilement le c
noir et de permettre d'apprécier le degré « d'atrophie des racines postérieures dans leur trajet extra et intragan- « glionnair
en, 9127. , Cubital antérieur. Innervation, physio- logie, 527. postérieur . Innervation, physiologie, 552. Cyanose congé
0. - droit de l'abdomen. In- nervation, physiologie, 566. - droit postérieur de la tête, petit droit posté- rieur de la tète
ysiologie, 578. Ischio-coccygien. sacro-coccygiens anté- rieur et postérieur . Innervation, phy- siologie, 579. Isolement d
e de -), (i0. Jambier antérieur. Innervation, physio- logie, 546. postérieur . Innervation, physiologie, 551. Jargonaphasie
ysio- logie, 548. - Persécution (Idées de -), 21. Petit dentelé postérieur et supérieur. - - et inférieur. Innervation, ph
37 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
: intégrité des cordons latéraux et antérieurs, lésion des cordons postérieurs exclusivement au niveau des faisceaux de Goll a
s terminales des dendrites et des fibres nerveuses de développement postérieur , comme formations moins stables et moins durabl
marquée du côté droit ; le réflexe pharyngien existe ; les muscles postérieurs du cou sont affaiblis; on constate dans les muscl
rales du côté droit; 2° une dégénérescence considérable des racines postérieures dans la moelle épinière, plus marquée surtout d
rnes des faisceaux de Goll et dans la zone radiculaire des colonnes postérieures ; 3° un procès inflam- matoire aigu à caractère
ouverte (1811) des fonctions différentes des racines antérieures et postérieures ; mais la neuropathologie clinique était bien em
us intéresse seule; elle nous montre : 1° la sclérose des faisceaux postérieurs de la moelle; 2° des plaques fibreuses d'arachn
clérose multiple disséminée la sclérose des faisceaux médul- laires postérieurs alors qu'on lui attribue sans difficulté la scl
nt l'autopsie (obser- vation III, p. 408) : 1° sclérose des cordons postérieurs ; 2° atrophie du nerf optique gauche; 3° vaissea
t dans le protoneurone sensitif ou centripète de la moelle (cordons postérieurs , racines postérieures, ganglions spinaux). Cett
sensitif ou centripète de la moelle (cordons postérieurs, racines postérieures , ganglions spinaux). Cette première lésion même
mbiné je l'ai étudié en 1886 et en ai fait une myélite systématisée postérieure diffuse antérieure, un exemple d'associations s
onctif. Il trouve doublement inexact le mot de sclérose des cordons postérieurs pour le tabes, car, dit-il, « il est certain qu
a consé- quence lointaine de la désorganisation lente des cordons postérieurs , et, d'autre part, que le tissu néoformé n'a aucu
nte heures après la mort. 128 RECUEIL DE FAITS. citrin. La partie postérieure de la plèvre viscérale droite est recou- verte
ète avec atrophie des épaules et des bras. Sueurs profuses, membres postérieurs atteints ultérieurement, mais sans atrophie ; r
s symétriques des deux côtés intéressant les cornes et les colonnes postérieures avec cavités au REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLO
neuroâlyome ganglionnaire intéressant les colonnes et les cornes postérieures des deux côtés dans la partie supérieure de la mo
- cation épendymaire dans la moelle intéressant les deux colonnes postérieures et la corne postérieure gauche. Dégénérescence ma
ns la moelle intéressant les deux colonnes postérieures et la corne postérieure gauche. Dégénérescence mar- quée du faisceau py
ntravant la pénétration des sensations par une ou plusieurs racines postérieures (troubles segmentaires); 2° en rompant la conti
ts d'élection de ces tumeurs cavitaires sont les zones radiculaires postérieures et les parties adjacentes des colonnes postéro-
stance gélatineuse de Rolando avec les parties voisines de la corne postérieure . (Voir les expériences sur le tubercule de Rola
issociation des sensibilités, et d'autre part la lésion des racines postérieures seules coïncidant avec des altérations de la se
énérescence ascendante sur les cellules ganglionnaires, les racines postérieures et la corne antérieure. C'est aux altérations d
rieures et la corne antérieure. C'est aux altérations des ganglions postérieurs qu'il consacre le plus d'intérêt. Il décrit d'a
Les altérations des cellules ganglionnaires (ganglions des racines postérieures ), consécutives à une section nerveuse, surviennen
IE PATHOLOGIQUES. seignement. - Le 2 août, douleur vive à la partie postérieure du cou. Le 1CI septembre : aggravation de cette
es très difficile : fièvre, inflammation et gonflement de la partie postérieure du cou : perte des fonctions de la jambe et du
erricht, le centre de la musculature du tronc sur le gyrus sigmoïde postérieur enlre les centres des extrémités; il confirme é
L'autre dans le lobe pariétal, sur l'extrémité du gyrus syg- moïde postérieur , au-dessous du centre du membre antérieur (cent
e centre de la musculature du tronc est situé sur le girus sygmoïde postérieur entre les centres des extrémités, il préside au
E. · de la région 'sensitive de la moelle, comprenant les cordons postérieurs , les cornes grises adjacentes, et les ganglions
cel- lules nerveuses évoluent ces lésions, au niveau des cordons postérieurs , des cornes grises adjacentes ou des ganglions
nner les termes généraux du problème à résoudre.- . . Les cordons postérieurs de la moelle apparaissent, d'après les derniers
parties des cellules des ganglions rachidiens, abordent le cordon postérieur au niveau du sillon collatéral ; elles ont reçu
atéral ; elles ont reçu diverses appellations : fibres radiculaires postérieures , fibres extrinsèques, fibres exogènes (Pierre-M
dernier groupe (fibres longues) va jusqu'aux noyaux sensitifs ou postérieurs du bulbe (noyau grêle, noyau cunéiforme). De pl
e. DES LOCALISATIONS MEDULLAIRES DU TABES DORSALIS. 179 le cordon postérieur . Ce second système (de découverte plus récente)
issent un trajet plus ou moins long dans la masse blanche du cordon postérieur . Ces fibres s'appellent : fibres intrinsèques,
- celui des cellules qui se ren- contrent nombreuses dans la corne postérieure et à la base- de la corne antérieure. Ces cellu
gènes ? Les cellules (ganglion rachidien, colonnes de Clarke, corne postérieure ), participent- elles à la lésion, et dans quell
i déclare : que le Tabès est la sclérose des cordons et des racines postérieurs . Un grand nombre de maladies (affections médull
périphériques, atro- phies musculaires), retentissent sur le cordon postérieur et y déterminent une sclérose qui peut simuler
le compte de la sclérose tabétique, certaines lésions des cordons postérieurs qui doivent en être soigneusement distraites. Il
distinguer la sclérose tabé- tique des autres scléroses des cordons postérieurs , dont les travaux récents nous démontrent la fr
abétiques par rapport aux faisceaux de fibres nerveuses des cordons postérieurs et aux cellules de la portion sensitive de la m
ès doit s'appuyer évidemment sur l'anatomie normale des cor- dons postérieurs et des zones adjacentes. Nos connaissances à ce
ieurs travaux tout récents ; ces travaux ont montré que les cordons postérieurs se composent de faisceaux distincts et isolés,
que. Mais les notions nouvelles sur la fasciculation des cordons - postérieurs ont insuffisamment pénétré dans les livres clas-
res du tabes d'un exposé de la nouvelle fas- ciculation des cordons postérieurs . A. FASCICULATION des cordons postérieurs. Cett
ciculation des cordons postérieurs. A. FASCICULATION des cordons postérieurs . Cette fascicu- lation des cordons postérieurs
CULATION des cordons postérieurs. Cette fascicu- lation des cordons postérieurs a été étudiée par plusieurs méthodes dont les p
indiscutables pour ce problème de la fasciculation des cor- dons postérieurs . Expliquons brièvement ses procédés, pour justi
S MÉDULLAIRES DU TABES DORSALIS. 183 ceaux constitutifs des cordons postérieurs : supposons une lésion destructive au niveau de
ostérieurs : supposons une lésion destructive au niveau des racines postérieures de la queue de cheval, racines lombo-sacrées ;
le suivions, dans son long trajet ascendant, à travers les cordons postérieurs et les zones adja- centes. De même, supposons
s un foyer de myélite transverse : cer- tains faisceaux des cordons postérieurs vont être remplacés par des taches scléreuses,
t situés en dehors des champs dits radiculaires (fibres des racines postérieures ); ce seront des faisceaux endogènes, ascendants
aminer successivement : les faisceaux exogènes (fibres radiculaires postérieures , fibres centripètes du protoneurone sensitif),
trinsèques, fibres de cordons). 1° Faisceaux exogènes des cordons postérieurs de la moelle humaine. - Ces faisceaux constitue
tion, il nous paraît utile d'étudier d'abord le trajet d'une racine postérieure quelconque; puis, nous ferons la synthèse de ce
nsi les faisceaux exo- gènes ou les champs radiculaires des cordons postérieurs . Comme il sera facile de s'en rendre compte par
endre compte par l'étude des trois figures ci-jointes, toute racine postérieure passe, par plusieurs étapes successivement asce
essivement ascendantes, au sur et à me- sure qu'elle suit le cordon postérieur . Au niveau du sillon collatéral, son faisceau à
u à grosses fibres se place tout contre le bord interne de la corne postérieure : c'est là une première étape, peu importante,
ulaire ; cette zone a la forme d'un crois- sant (fig. 1). Sa pointe postérieure touche la partie interne de la zone de Lissauer
noires, qui sont saines (procédé de Wuigert-Pal). 7 ? 1. La racine postérieure occupe la zone cornu-radiculaire, disposée sous f
me un ruban étroit, situé parallèlement au bord interne de la corne postérieure qu'il côtoie, mais à une cer- taine distance (/
ariable pour chaque racine, elle deviendra un petit triangle à base postérieure , à sommet antérieur, situé d'autant plus près d
as (loi de Kahler). Ainsi est constitué le trajet de toute racine postérieure : il nous reste à dire quelle espèce de fibres
classification de Singer et Munzer, on distingue, dans toute racine postérieure , les fibres courtes, moyennes et longues suivan
ornu-radiculaire ; elles s'épuisent autour des cellules de la corne postérieure adja- cente. Les fibres moyennes partent de la
corne antérieure. Quant aux fibres longues, elles occupent le tiers postérieur de la bandelette externe pour se cantonner fina
es libres radiculaires longues. Dans l'étude du trajet de la racine postérieure , nous n'avons fait mention que des filets ascen
; leur importance nous paraît donc secondaire. Ainsi toute racine postérieure , abordant la moelle, suit un trajet ascendant b
cornu-radiculaire, zone de la bandelette externe, zone du triangle postérieur ). Mais, DES LOCALISATIONS MÉDULLAIRES DU TABES
ensemble que l'on peut appeler le c champ radiculaire » du cordon postérieur . La topographie et les limites de ce champ radi
e champ dit radiculaire occupe la plus grande éten- due des cordons postérieurs (zones pointillées). Toutefois, il n'atteint pa
, et il finit en dedans, à une certaine distance du sillon médian postérieur dont il reste séparé par un faisceau spécial, end
d'entrée ou de Lissauer) sont situées les fibres fines de la racine postérieure qui pénètre à ce niveau ; en a (zone cornu-radi
adicu- laire (a); les bandelettes externes (a', a") ; les triangles postérieurs (a'"). B, zone de Lissauer ; D, cordons latérau
rvical. Fit, 4 - Au niveau de la pénétration de la quatrième racine postérieure sacrée. Flip. 5. - Au ni\eau de la cinquième ra
s terminerons cette topographie des champs radicu- laires du cordon postérieur par l'exposé de la nouvelle con- ception du cor
septum intermedium ; il se présente sous forme d'un triangle à base postérieure large, à sommet antérieur effilé et terminé der
é la constitution exacte du cordon de Goll cervical : les triangles postérieurs à fibres longues des racines lombo-sacrées en o
ar les triangles lombo-sacrés. 2° Faisceaux endogènes des cordons postérieurs de la moelle humaine. - Les champs radiculaires
- Les champs radiculaires forment la plus grosse portion du cordon postérieur , mais ne le constituent DES LOCALISATIONS MÉDUL
x endogènes. Dans cette étude des faisceaux endogènes des cordons postérieurs de la moelle humaine, nous utiliserons les seuls
aillé. Nous croyons qu'il est permis de distinguer dans le cordon postérieur , deux faisceaux endogènes : l'un descendant, le
rtant, l'autre ascendant. Le faisceau endogène descendant du cordon postérieur existe dans toute la hauteur de la moelle, depu
la corne, dont elle est séparée par d'autres fibres ; son extrémité postérieure est souvent renflée (fig. 9). Dans la région
isceau endogène descendant se place de chaque côté du sillon médian postérieur . 11 occupe une zone irrégulièrement ovalaire, u
le de Schulze ». Ce faisceau apparaît, dans chaque moitié du cordon postérieur , sous forme d'une bande décolorée au milieu des
se atteint la surface de la moelle ; sa pointe touche la commissure postérieure . L'on doit se demander comment s'établit la con
commence le centre ovale. Le faisceau endogène descendant du cordon postérieur existe donc dans toute la hauteur de la moelle.
représenté par une zone décolorée, de chaque côté du sillon médian postérieur (procédé de Weigert-Pal). Cette coupe, horizontal
totale. DES LOCALISATIONS MÉDULLAIRES DU TABES DORSALIS. 191 J postérieure . Ce faisceau endogène descendant contient donc,
les étages de la moelle. Le faisceau endogène ascendant des cordons postérieurs paraît moins nettement topographié que le précé
anatomique de la fasciculation, exogène et endo- gène, des cordons postérieurs nous a paru nécessaire pour appuyer notre topog
peut aller l'affection dans l'envahisse- ment successif des cordons postérieurs . Comme technique, nous avons surtout employé le
). Coupes transversales de la moelle, sacrée et lombaire. La moitié postérieure est seule représentée. Les régions noires (cord
u masse, apparaissent plus noirs que les parties saines des cordons postérieurs , représentées en pointillé distinct. Les région
ntées en pointillé distinct. Les régions des cordons et des. cornes postérieures ont été soigneusement repérées sur ces figures
vantes ; chacune d'elles a été indiquée par une lettre : A, racines postérieures adjacentes, sur le point de pénétrer dans ia moel
er dans ia moelle ; B, zone de Lissauer (faisceau grêle) ; C, corne postérieure et son réseau plexiforme ; D, cordons latéraux
one des bandelettes externes ; en a ? zone des libres longues (champs postérieurs ). Zones endogènes. - En b, zones endogènes desc
adicu- laire (a) attenant au boi d interne de la corne ; les champs postérieurs (a"') sont moins décolores. Les racines postéri
ne ; les champs postérieurs (a"') sont moins décolores. Les racines postérieures adjjcentes'(A) sont malades (fibres fines, fibres
l'exclusion de tout autre tissu; en consé- quence, par les cordons postérieurs , les régions saines appa- raissent noires sur l
système radiculaire, à la fois dans les racines et dans les cordons postérieurs ; mais celte constatation, qui n'est pas nouvell
dû abandonner le problème de ce côté. Par contre, dans les cordons postérieurs , la localisation initiale est bien tranchée : e
laires moyennes sont prises dès le début du tabès, dans les cordons postérieurs . Mais si ces fibres se détruisent dans la moell
s vraisemblablement elles se détruisent aussi au niveau des racines postérieures . En effet, toutes les fibres radiculaires sont
e que le tabes n'évolue pas uniquement sur le sys- tème radiculaire postérieur , comme le répètent quelques travaux récents. Sa
des ban- delettes externes, lorsque le processus gagne leur tiers postérieur . Détruites, ces fibres subissent, dans leur bout
faits pour démontrer que le tabes frappe primitivement les cordons postérieurs . Deuxième partie. - Caractères IIISTOLOGiQUES d
L'étude des lésions parenchymateuses a été faite sur les racines postérieures , sur les cordons de la moelle, enfin sur les ga
res par l'acide osmique (solution aqueuse au centième). Les cordons postérieurs ont été examinés après coloration par le liquid
s niveaux, nous ont donné l'état des cellules d'origine des racines postérieures . Les lésions interstitielles nous paraissent av
gural est justifiée par les faits suivants. Au niveau des cordons postérieurs , nous avons bien ren- contré une légère leucocy
'est pas capable d'expli- quer l'aspect pseudo-scléreux d'un cordon postérieur tabé- tique ; en ce cas il n'y aurait pas à fai
ration névroglique quelconque. 11 faut aussi parler de la méningite postérieure . Elle eut ses partisans déclarés. Mais actuelle
pas de constater, au cours d'un tabes, l'existence d'une méningite postérieure pour lui attribuer un rôle prépondérant dans l'
NS MEDULLAIRES DU TABES DORSALIS. 199 de syringomyélie, les racines postérieures étaient empri- sonnées, sur une certaine étendu
'étude de cette cicatrice tabétique. Nous avons examiné les racines postérieures , les cordons correspondants et les cellules des
les cellules des ganglions rachidiens. La dissociation des racines postérieures (après imprégna- tion osmiée) nous a donné les
rfaitement net, sur une coupe transversale. Au niveau des cordons postérieurs , le procédé de Marchi nous a permis de constate
rocessus tabétique. De même, les autres systèmes cellulaires (corne postérieure , colonnes de Clarke) nous ont paru intacts ; da
ant que les fibres sont atteintes en - dehors de la moelle (racines postérieures ) ou au niveau de leur trajet intra-médullaire (
: n p le, si le développement graduel de la sclérose des cor- dons postérieurs n'est pas absolument lié à l'apparition gra- du
n entraîne très vite la destruction des zones endogènes des cordons postérieurs , ascendantes ou descen- dantes. Le tabes bénin
que les douleurs étaient surtout le fait des lésions des racines postérieures ; cela concorde bien avec la symptomatologie qu'
pathologie NERVEUSE. 227 cerveau pour voir une lésion de la partie postérieure de la capsule interne atteindre les fibres motr
périeurs par l'artère profonde du cerveau, l'artère optique interne postérieure , l'artère pédiculo- géminée); -puis, les noyaux
cas plus simple, M. Rossolimo conclut ainsi : la L'artère cérébrale postérieure alimente l'appareil central optique et oculomot
ulaire interne ; du noyau de l'oculomoteur commun ; optique interne postérieure sont des artères terminales. L'artère pédon- cu
ent occuper les parties latéro-antérieures du faisceau longitudinal postérieur , sur le côté du noyau de l'oculomoteur commun ; e
myotropbiqne ou des cordons latéraux, tabès ou sclérose des cordons postérieurs , etc.). La maladie commençant par un syslème qu
rvés par le nerf laryngien supérieur (muscles crico-aryténoï- diens postérieurs ). Hémiatrophie gauche de la langue avec tiraille-
d'étendue, les sutures sont larges ; les fontanelles antérieures et postérieures paraissent faire défaut ou sont remplacées par
ses libres de ce côté. La dégénérescence du faisceau longitudi- nal postérieur ne va pas loin; ce système consiste dans sa masse
pu voir la dégénérescence plus ou moins marquée dans les cor- dons postérieurs de la moelle épinière. La dégénérescence la plus
le plus dans la partie lombaire de la moelle épinière. Les racines postérieures sont aussi altérées, mais leurs changements son
leur atrophie. La circonvolution centrale antérieure, ainsi que la postérieure , sont deux fois plus fines que dans l'état normal
'il avait deux tumeurs, l'une à la cuisse et la seconde à la partie postérieure du membre supérieur gauche sur l'os brachial. A
t démontra que les muscles brachiaux (biceps, brachial antérieur et postérieur ), le deltoïde et le long supinateur sont non se
arquées; ce foyer donne des branches qui se dirigent vers la partie postérieure de la capsule interne et vers la capsule extern
est situé dans la région ventrale de la moelle allongée et du quart postérieur de la protu- bérance ; en touchant la-substance
eure du bulbe, des pyramides et du ruban de Reil, et dans la partie postérieure du pont de Varole et des pyramides. En outre, l
ntrecroisement des pyramides et du ruban de Reil et aussi la moitié postérieure des pyramides du pont de Varole sont fournis pa
opper chez l'animal des parésies, plus accusées dans les extrémités postérieures . L'analyse microscopique démon- tra l'existence
l'avant-coin, en partie le coin et le corps calleux (dans son tiers postérieur ) sont détruits, le lobule paracentral l'est aus
e présente quelques modifications anatomiques : l'apophyse clinoïde postérieure droite est très aplatie. La loge sphénoïdale dr
n constate que l'animal présente une paraplégie complète des pattes postérieures . Cette paraplégie se dissipe au bout de quelque
re. Il y a là, dans les éléments ner- veux des cornes antérieure et postérieure dont la confusion n'est pas possible avec les c
elle occupe la substance grise centrale de la corne anté- rieure et postérieure ; plus rarement elle occupe un. territoire bien
e; plus rarement elle occupe un. territoire bien défini de la corne postérieure , notamment l'angle formé par la commissure post
de la corne postérieure, notamment l'angle formé par la commissure postérieure et la limite interne de la colonne de Clarke. L
on ci l'étude des dégénérescences propagées. Altération des cordons postérieurs secondaire ci une lésion cérébrale en foyer; par
' G. DURANTE (Paris). Nouvelle observation d'altération des cordons postérieurs con- sécutive à une altération en foyer de l'éc
rieurement en 1894 et 1895, où Jes mêmes altérations des cordons postérieurs se retrouvaient à la suite de foyers de ramolliss
ion que nons apportons est un nouveau fait d'altération des cordons postérieurs secondaire à une lésion cérébrale, par dégénére
c., on connaît aussi l'action spéciale de cet agent sur les cordons postérieurs de la moelle. On comprend dès lors qu'on ait em
. M. L. DARKSCIIEWITSCU (de Kasan). La modification des cor- dons postérieurs de la moelle dans le tabès dorsalis n'est pas une
ne dégénérescence rétrograde, qui s'étend aux faisceaux des racines postérieures . ' Dans la moelle, ces modifications se localis
ns se localisent dans la zone d'expansion des faisceaux des racines postérieures . Les modifications des cellules des ganglions i
e exclusivement dans la zone d'expansion de l'articulation spinalis postérieure . Ces modifications ne se rencontrent que suivan
ontrent que suivant l'étendue du processus morbide dans les racines postérieures . (A suivi'e.) ASILES D'ALIÉNÉS. Notice sur
ette conclusion qu'elles affectionnent particulièrement les racines postérieures de la moelle et que c'est sur le point où ces r
enlace l'artère vertébrale et va avec elle innerver le terri- toire postérieur ou vertébral des artères encéphaliques. C'est S
38 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
laçons par terre. Le tremblement continue ; les pattes, surtout les postérieures , sont écartées en dehors; le lapin s'assied sur
cérébelleuse ; nous remarquons seulement une faiblesse des membres postérieurs ; il a souvent des secousses générales ; après
e chien mar- chait de travers, par manque d'équilibre des membres postérieurs , et cela pendant trente secondes, après quoi il
e droite,, le front et une partie en forme de raie longeant la face postérieure des deux cuisses qui perçoivent bien la différe
moelle mais une lésion segmentaire de la substance grise des cornes postérieures et du renflement cer- vicale à un moindre degré
fonction du langage à 4 12 ANATOMIE PATHOLOGIQUE Broca1, au tiers postérieur de la troisième circonvolutio- frontale gauche.
elle', a été décrite tout d'abord par Kussmaul, dont les recherches postérieures à des observations déjà anciennes de Gendrin7 e
écriture», centre siégeant exactement en avant du premier, au tiers postérieur de la deuxième frontale. ' Fritsch et Hitzig.
istance DU phénomène DU GENOU dans la DÉGÉN13RES- CENCE DES cordons postérieurs ' ; CONTRIBUTION A LA lésion PRI31f- TIVE combi
t, d'après le professeur de Berlin, la partie externe des cor- dons postérieurs des régions dorsale inférieure et lombaire supé-
ral- lèlement à la ligne médiane, la zone radiculaire des cordons postérieurs se trouve en dehors de cette ligne. Or, pour qu'i
t que la lésion dépassant en dehors la partie externe des cordons postérieurs , envahisse la zone radiculaire, de façon à attein
nce grise, tout autre segment de la zone radiculaire et des racines postérieures n'ayant rien à voir avec la disparition du phén
nte des cordons antérieurs. A l'association des lésions des cordons postérieurs et des cordons antéro-latéraux, il faut imputer
ignent d'une affection systématique combinée, la lésion des cordons postérieure prédomine toujours dans la moelle cervicale, où
aussi des fibres dégénérées dans les segments infériems des cordons postérieurs , ces fibres corres- pondant probablement aux or
ssez souvent il y a altération du champ postéro-cxterne des cordons postérieurs . Les dégénérescences secondaires qui suivent la
enne de la moelle lombaire. Dégéné- rescence secondaire des cordons postérieurs dans les parties supé- rieures de la moelle et
on forcée d'une fête dolichocéphale à front fuyant, toute la région postérieure devient saillante ». D'abord, cette position lé
pposant aussi exagérée que possible, pourrait faire que « la région postérieure devienne saillante o. Car cette 'inclinaison, q
ce paralytique, on ne rencontre pas de dégénérescence des cordons postérieurs . Les lésions cérébrales du labes sont d'une autre
de moelle témoignant d'une dégénérescence marquée dans les cordons postérieurs , dégénérescence limitée, dans la moelle cervica
ce à peu près au milieu de l'organe, de chaque côté du grand sillon postérieur et, dans la moelle dorsale inférieure, sur une
tinuation directe des fibres radiculaires qui entrent dans la corne postérieure .' M. Laquer (à Francfort). Contribution à l'étu
res représentées par de la ménin- gite et de la névrite radiculaire postérieure ou antérieure, avec les névrites périphériques.
ifs ou moteurs indépendants, suivant que les racines antérieures ou postérieures sont atteintes; on comprendrait également le mo
dans la plupart des cas à une méningite et à la névrite radiculaire postérieure , puis antérieure qui en est la conséquence. Pau
entrale spinale postéro-latérale ; -- c). La forme centrale spinale postérieure ; d). La forme spinale postérieure ; e). La for
c). La forme centrale spinale postérieure ; d). La forme spinale postérieure ; e). La forme spinale paralytique /ra ? - sito
alade a recouvré l'intégrité de ses mem- bres supérieurs. Son train postérieur continue à être immobile. La difficulté d'urine
in (en griffe), des muscles sus et sous-épineux dans leur por- tion postérieure et de la portion postérieure du deltoïde et du pe
us et sous-épineux dans leur por- tion postérieure et de la portion postérieure du deltoïde et du pec- toral droits. Faibless
r la moitié gauche de la face, le membre inférieur droit et la face postérieure du membre inférieur gauche. Il est extrêmement
s longitudinales, occupant parfois 1 un district entier (la surface postérieure de la cuisse). Les extrémités supérieures sont
s de la nuque; lorsqu'on détermine l'issue du liquide par les lames postérieures d'une vertèbre dorsale et qu'on ne divise pas p
la déviation du tronc basilaire vers la gauche, l'artère cérébrale postérieure droite est plus longue que la gauche. La commun
postérieure droite est plus longue que la gauche. La communiquante postérieure est filiforme ainsi que la cérébrale antérieure
ée, envoie trois plis de pas- sage à niveau à la seconde; sa moitié postérieure est atteinte de mérzirtgo-ettcéphalite. La prem
méningo-encéphalite en quel- ques points de ses parties moyenne et postérieure , est très plissée, très découpée et irrégulière
lativement assez gros, paraît peu lésé, sauf dans sa partie la plus postérieure . Le lobule quadrilatère possède une scissure so
e par un petit sillon horizontal; il existe un pli pariéto-limbique postérieur . La scis- sure perpendiculaire interne est très
x, surtout dans son tiers antérieur, le corps strié, vers sa partie postérieure , paraissent atrophiés. Hémisphère droit. La sci
est atteint de méningo-encéphalite dans toute sa moitié interne et postérieure ; les circonvolutions de toute sa moitié antérie
mes ; elle est complètement atrophiée, vermiforme, dans ses parties postérieure et antérieure, dans sa partie moyenne, il existe
rieur on y rencontre un pli de passage étroit, atrophié et au tiers postérieur un autre pli de passage profond. La deuxième fr
ontales, l'atrophie est beaucoup plus prononcée que sur les parties postérieures . La deuxième scissure frontale, profonde, sinue
résente toutefois une couleur un peu ocreuse et forme son extrémité postérieure . Le pli pariétal inférieur et le pli courbe son
a partie médiane. La pie-mère est oedématiée, l'artère communicante postérieure et l'ar- tère cérébrale antérieure gauches sont
rontales. La zone sensitive semble correspondre aux circonvolutions postérieures , aux circon- volutions occipitales, sans déterm
psule interne, nous retrouvons le faisceau de l'aphasie, àla partie postérieure du segment lenticulo-optique, entre le faisceau
ser que le faisceau géniculé passe dans la protubérance à la partie postérieure et interne des pyramides motrices. Au bulbe.
les fibres motrices. Au niveau des deux tiers antérieurs du segment postérieur de la capsule, lieu de passage du faisceau mote
'heure, pour leur division définitive dans la moelle : un fascicule postérieur et externe, le plus volumineux, Centre-croisé a
15 fé- vrier 1884. 262 "2 REVUE CRITIQUE. occupent le fascicule postérieur ou cordon latéral delà moelle. Ils répondent en
r ou cordon latéral delà moelle. Ils répondent en dedans aux cornes postérieures ; en dehors, ils sont séparés de la pie-mère sp
le en passant, occupe une étroite portion de la région périphérique postérieure du cordon latéral et s'étend du pédoncule céréb
e à base externe et antérieure, périphérique et à sommet interne et postérieur , central; l'un de ses bords, son bord interne r
s vers la partie du cordon latéral de la moelle contiguë à la corne postérieure . Ordinairement un fascicule dégénéré qui ne s'e
ne pachyméningite spinale par exemple, à une sclérose des faisceaux postérieurs , à une myélite centrale chronique, à une hydrom
end généralement pour regarder l'écorce grise des cir- convolutions postérieures occipitales comme l'aboutissant d'un faisceau d
ns la moelle, le faisceau sensitif forme dans sa totalité le cordon postérieur (PL. II, fig. 3, rose). Le cordon postérieur de
sa totalité le cordon postérieur (PL. II, fig. 3, rose). Le cordon postérieur de la moelle est à peu près entièrement exploré
ch. DE l'axe cérébro-spinal. 269 faisceau sensitif dans le cordon postérieur de la moelle doit être divisé en deux fascicule
cordon de Burdach re- présenté dans sa portion contiguë à la corne postérieure par la zone radiculaire interne des racines rac
nes rachidiennes posté- rieures ou bandelettes externes des cordons postérieurs (zone de l'ataxie), un fascicule interne (PL. I
fascicules du faisceau sensitif sont très distincts dans le cordon postérieur , chez le foetus où ils sont séparés l'un de l'a
rés l'un de l'autre par un sillon apparent, le sillon intermédiaire postérieur . Les bandelettes externes, et le cordon de Burd
cérébelleux direct, que nous avons trouvé à la par- tie externe et postérieure du cordon latéral, paraissent se réu- nir en an
ar la maladie, un système médullaire sensitif dans le dépar- tement postérieure de la moelle, entièrement distinct du sys- tème
ésenteraient les divers éléments. Ces différentes régions du cordon postérieur sont en effet généralement toutes atteintes et
of. Charcot (Geç., t. II, 1885. Leçon I) établit dans la sclé- rose postérieure «deux formes bien distinctes, lesquelles peuvent
née; 2o la sclérose fasciculée systénaa- tique latérale des cordons postérieurs ou sclérose des bandelettes extei,- nes deutéro
eux supérieur. : l'atrophie des cornes et des libres radiculaires postérieures ; la parésie révèle la sclérose de la zone radic
la sclérose de la zone radiculaire externe des racines rachidiennes postérieures . Enfin, rien ne change dans l'aspect général de l
nettement précisé pour les fibres du faisceau de Meynert au tiers postérieur du segment lenticulo-optique de la capsule inte
elà capsule interne. Précisons bien cependant que le siège au tiers postérieur du segment lenticulo-optique de la capsule n'es
- qui doivent aboutir à la couche optique occupent aussi le segment postérieur de la capsule, que la couche optique précisémen
de l'in- sula de Reil au fond de la sciss. de Sylvius. 5; extrémité postérieure des circ. orbitaires. - 6 ; faisceau pétliculo-
l. 8 , corps calleux. 9; njyau caudé (petite extrémité ou extrémité postérieure ). 10; couche optique. 11 ; capsule interne (gen
. 5. Coupe pariétale. z cire, pariétale ascendante. 2 ; ex- trémité postérieure du lobule de l'insula. 3 ; cire, sphénoïdales.
ntérieur de la capsule interne. 11; genou de la capsule. c; segment postérieur de la capsule. 1 ; extrémité antérieure, 3 ; es
gment postérieur de la capsule. 1 ; extrémité antérieure, 3 ; estr. postérieure du noyau caiulé. - 2 ; noyau lenticulaire. 1 ;
Flechsig). 5, 5; cordon de Goll. 6, G; bandelette externe du cordon postérieur ou zone radiculaire interne des racines rachidien
n postérieur ou zone radiculaire interne des racines rachidien- nes postérieures . 7, 7 ; cordon de BLii,(Iacli. - 8, 8; corne post
au. 6; facial. 7; grand hypoglosse. 8 et 10; pyraumle antérieure et postérieure du bulbe. - 9; olive. 11, 12, 13; cordons antér
e du bulbe. - 9; olive. 11, 12, 13; cordons antérieurs, latéraux et postérieurs . 14, 15 ;sillons collatéraux antérieurs et post
latéraux et postérieurs. 14, 15 ;sillons collatéraux antérieurs et postérieurs 10; renflement brachial, 17; commissure blanche
s.=1S; lieu d'entre- croisement des cordons latéraux et des cordons postérieurs . REVUE DE MEDECINE LEGALE I. UN cas de SIMULA
moelle, près du canal central, ainsi que dans le domaine des cornes postérieures et des cor- dons blancs latéraux, on observe de
donc, entre autres systèmes de fibres, des fibres issues du cordon postérieur du côté opposé; il peut donc, par suite de sa com
l gagne graduellement la face dorsale du chiasma, pour « la portion postérieure de ce dernier. llais, dans la Landelette, le fais
ous ne m'empêcherez pas de la pos- séder. » Les centres corticaux postérieurs sont encore intervenus, quand l'esprit l'a pous
r négatifs. Ils sont de trois espèces : a). Symp- tômes des cordons postérieurs b). Symptômes mya- trophiques etc). Symptômes c
tc). Symptômes céphaliques. a). Symptômes tabetoïdes ou des cordons postérieurs . Les symptômes qui résultent de la lésion des c
stérieurs. Les symptômes qui résultent de la lésion des cor- dons postérieurs , c'est-à-dire les douleurs fulguran- tes, en ce
ilepsie spinale. Amélioration très grande des symptômes des cordons postérieurs . Histoire. l.e nommé DéineLrés Zannakis, âgé de
nt restées de la période embryonnaire emprisonnées dans les cordons postérieurs de la substance blanche, peuvent, par leur prol
sont les parties des faisceaux blancs adjacents à la com- missure postérieure qui sont atteintes ; mais la neu- roglie s'hype
une certaine partie sans altérations de ses fonctions, des cornes postérieures , par exemple; j'ai pu m'en con- vaincre par le
eigert, avait constaté la destruction de la myéline dans les cornes postérieures , ainsi que celle des cordons postérieurs, tandi
a myéline dans les cornes postérieures, ainsi que celle des cordons postérieurs , tandis que les cylindres axes avaient été cons
p peu sur le caractère de l'altération pathologique dans les cornes postérieures et la substance grise pour trouver une explicat
gélatineuse, qui se trouve autour du canal central, dans les cornes postérieures , et leur prolongation dans le bulbe et la protu
obligent aussi de rattacher l'anesthésie à une lésion des cornes postérieures : la répartition segmentaire de l'anes- thésie,
produit. Cet endroit ne peut être que la porte d'entrée des racines postérieures dans la moelle épinière et les cornes postérieu
trée des racines postérieures dans la moelle épinière et les cornes postérieures . Nous avons vu que les autopsies confirment cet
ue les autopsies confirment cette supposition, en ce que les cornes postérieures et la racine ascendante du trijumeau ont été tr
que par des troubles nutritifs des éléments nerveux dans les cornes postérieures , consécutifs à l'hyperplasie avec dégénérescenc
ces espèces de sensibilité ne s'avancent pas loin dans les cornes postérieures , mais tournent dans les cor- dons blancs; si av
lément ; que le processus diffus, se répandant le long des cornes postérieures de la moelle épinière dam chacun de ses segment
logiqne, en imbibant pour ainsi dire \ le segment donné de la corne postérieure , y inter- rompt d'une certaine manière la nutri
éléments nerveux, mais limitée par un très petit espace de la corne postérieure dans la partie inférieure du renflement cervica
pparence normale s'hyperplasient dans la commissure et les cornes postérieures . Mais comme la maladie se déclare dans le jeune
tudiés par nous. D'autres phénomènes tenant à la lésion des cordons postérieurs et latéraux de la moelle épinière, de la moelle
uses, mais à la lésion de parties de certains segments des colonnes postérieures de la substance grise de la moelle épinière et
ents, dans lesquels des altérations anatomiques limitées des cornes postérieures de la moelle épinière ou de la racine ascendant
rouble de la pie-mère de la convexité. Adhérence de la corne droite postérieure . Sclérose et atro- phie de l'hémisphère droit d
i-ophi(jte de hémisphère cérébelleux droit, l'adhérence de la corne postérieure du ventricule latéral droit à l'ergot de Morand
'de l31cctre, pour 1886). Les cheveux, peu abondants sur la moitié postérieure du crâne, sont rares en avant et ont une colora
dépasse pas la couche optique, qui même peut se limiter au segment postérieur de la capsule interne, qui, quelquefois ne dépa
épasse pas la couche optique, qui même peut se limiter au seg- ment postérieur de la capsule interne (entre la couche optique et
encore distinct, des deux côtés, au-dessus du faisceau longitudinal postérieur ; atrophie presque complète des segments intraméd
de l'orbite seulement. Dégénérescence et sclérose grise des cordons postérieurs depuis la région cervicale jusqu'en bas. P. K.
a circonvolution centrale antérieure gauche et à celle de la partie postérieure du sillon frontal supérieur et des bords avoisi
reuses plaques circulaires de nature inconnue, occupant les racines postérieures de la moelle lombaire et ayant détruit une quin
gent jusqu'à l'entre-croisement des pyramides. Intégrité des cornes postérieures , des colonnes de Clarhe, de la substance blanch
, du goût à la pointe de la langue et même dans la partie gauche et postérieure de cet organe; la sensibilité est atteinte sur
sont : le tubercule de Rolando, la substance gélatineuse delà corne postérieure , les racines de l'accessoiré de \1'illis, - le
ne postérieure, les racines de l'accessoiré de \1'illis, - le noyau postérieur du pneumo-gastrique, le faisceau solitaire, le
sie montra qu'il existait, en effet, une dégénérescence des cordons postérieurs avec névrite optique, mais que les symptômes ps
ème frontale, toute la frontale ascendante. la partie antérieure et postérieure de la pre- mière temporale, le lobe paracenirai
vergence commun, elle forme te p6lc fro>zGul,situé à l'extrémité postérieure du sillon olfactif. Nous attirons spécialement l'
de l'in- sula de Reil au fond de la sciss. de Sylvius. 5; extrémité postérieure des cire, orbitaires. 6; faisceau pédiculo-fron
l. 8 , corps calleux. 9; noyau caudé (petite extrémité ou extrémité postérieure ). 10; couche optique. 11 ; capsule interne (gen
oul)e -pa ? -iétale. l ; cite. pariétale ascendante. 2; ex- trémité postérieure du lobule de l'insula. 3 ; cire, sphénoidales.
antérieur de la capsule interne. b; genou de la capsule. c; segment postérieur de la capsule. 1 ; extrémité antérieure, 3 ; CX
gment postérieur de la capsule. 1 ; extrémité antérieure, 3 ; CXLR. postérieure du noyau caudé. 2 ; noyau lenticulaire. - f ; c
echsig). 5, 5 ; cordon de Goll. 6, 6 ; bandelette externe du cordon postérieur ou zone radiculaire interne des racines rachidien
n postérieur ou zone radiculaire interne des racines rachidien- nes postérieures . 7, 7 ; cordon de Burdach.S, 8 ; corne posté- r
u. 6; facial. 7 ; grand hypoglosse. 8 et 10; pyramide antérieure et postérieure du bulbe. - 9 ; olive. 11, 12, 13 ; cordons ant
du bulbe. - 9 ; olive. 11, 12, 13 ; cordons antérieurs, latéraux et postérieurs . - 11, 15 ; sillons collatéraux antérieurs et p
téraux et postérieurs. - 11, 15 ; sillons collatéraux antérieurs et postérieurs . - 16; renflement brachial, 17; commissure blanch
s.-1S; lieu d'entre- croisement des cordons latéraux et des cordons postérieurs . Etieui. Ch. lial,issuv, imp. - 1188. CATSARA
39 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
es. 16 Imbécillité. moyennement développé, surtout dans sa partie postérieure ; son extrémité antérieure offre un petit sillo
ez volumineux dans sa partie antérieure, l'est moins dans sa partie postérieure . Le pli courbe, assez gros, a la forme d'un coe
llèle, normale, très profonde, tortueuse, est dédoublée à sa partie postérieure , et ses deux branches de dédoublement semblent
par- tie antérieure de la première circonvolution est maigre, la postérieure volumineuse. La deuxième scissure temporo- occi
e droit. La scissure de Sylvius creuse, bifur- quée à son extrémité postérieure , laisse à découvert à l'union de son tiers anté
se à découvert à l'union de son tiers antérieur avec ses deux tiers postérieurs une partie de l'insula. Le rameau ascendant est
iétal supérieur est moyennement développé, mais à sa partie la plus postérieure , le pli de pas- sage se rendant la première occ
dans ses deux tiers antérieurs, est bien développée dans son tiers postérieur .Onytrouve quatre circonvolutionsdepas- sage tem
é ; il présente deux plis de passage pariéto-limbiqucj antérieur et postérieur , et une scissure sous-pariétale normale. La.sct
abondants et réguliè- rement plantés, présentant un seul tourbillon postérieur situé sur la ligné médiane. Les sourcils etles
Puberté. Cheveux châtains, régulièrement implantés. Le tourbillon postérieur siège sur la ligne médiane. Léger duvet au nive
ues volumineuses. Il en existe une également au niveau de la partie postérieure du vermis inférieur, dans la région qui sépare
te pas de production néoplasique à ce niveau. Dans l'espace perforé postérieur il a une petite masse néoplasi- que de peu d'ép
vascularisation de la gaine externe est très prononcée sur les 2/3 postérieurs du nerf. -Les autres nerfs crâniens sont normau
urs secondaires situées aunivea 51t cervelet ou de l'espace perforé postérieur répon- dent au ;typ..e des t arcornes ie petite
ns sont aussi prononcées au voisinage de la papille que dans le 1/3 postérieur du nerf opti- que. Les gaines du nerf optique o
eurs extra-ventriculaires. Le bulbe est aplati dans le sens antéro- postérieur . Il n'y a pas de lésions des éléments nerveux du
r degré d'épaississement de la pie- mère dans la région latérale et postérieure et au niveau de la partie inférieure de la moel
le. Il n'existe pas de sclérose des cordons latéraux ou des cordons postérieurs , pas de lésion des cornes antérieures ou postér
ou des cordons postérieurs, pas de lésion des cornes antérieures ou postérieures . Les racines r;lcla i- diennes et les nerfs pér
ariétaux supérieur et inférieur, sur le pli courbe et à l'extrémité postérieure du lobe temporal. Elles n'existent pas sur le l
lides papulo-sqùamèusés discrètes au cou, confluentes sur la partie postérieure du thorax. On trouve de rares papules sur les f
as de plis pariéto-limbiques antérieurs et le pli pariéto- limbique postérieur est presque entièrement divisé par un sillon tr
ue avec la scis- sure frontale supérieure, formant avec l'extrémité postérieure de celle-ci une sorte de grand Y. La scissure f
ien développé et présente des plis pariéto- limbiques antérieurs et postérieurs . La scissure perpendicu- laire interne est très
Le lobule pariétal supérieur est moyennement développé, sa partie postérieure est très maigre et comme atrophiée, Le lobule p
n tubercule achevé ; les lésions sont plus marquées sur les parties postérieures de la moelle. D'autre part, la pie-mère empiète
tuberculeux à tous les degrés de développement, une lepto- myélite postérieure bien nette, voilà ce que l'on trouve à cette ha
gauche plus que la droite; il y a asymétrie évidente. Les cornes postérieures sont envahies et sclérosées, surtout Examen his
sées, surtout Examen histologique. 83 la gauche, par la méningite postérieure . Autour du canal de l'épendyme très dilaté, il
té qui paraît seulement un peu obtuse sur la cuisse, sauf à la face postérieure . Réflexes normaux. Zones hystèrogènesdanslafoss
ce.t.os, il existe une dépression, en forme de gouttière, antéro- postérieure assez marquée. 100 Il Y ST L'Ë 0-LPI LEP SIE.
du trottoir : dans cette chute il s'est fait au niveau de la partie postérieure clu pariétal gauche une plaie dont la cicatrice
re aux mammifères gyrcncéphales osmatiques, le pli pariéto-limbique postérieur profond des chats, le pli cunéo-limbiqe superfi
;)'onc est symétrique; le ventre peu' volumineux et souple. La face postérieure du tronc, semblable à droite et à gauche, n'off
e de la base du crâne parait symétrique ; au contraire il la partie postérieure la. Autopsie : crâne. 127 fosse occipitale ga
seulement la branche antéro-postérieure de ce sillon. La branche postérieure cle la scissure de Sylvius est très courte et r
La branche antérieure est courte et oblique en avant. La bran- che postérieure a la forme d'un S italique et se recourbe en ha
rallèle au gyrus rectus; l'autre formé d'un demi-cercle à concavité postérieure et surmonté d'un autre antéro-postérieur. La
trices présentent aussi un développement suffisant ; mais les lobes postérieurs du cerveau sont rudimentaires, et l'arrêt du dé
fausse membrane dans une partie de sa face antérieure, mais sa face postérieure , celle des pilliers, et une partie de la face s
éphalo-rachidien ; d'où il suit que, entre l'occipital et la partie postérieure du cer- veau, il y avait un espace assez grand,
duvet sur la lèvre supérieure. Duvet noir assez abondant à la face postérieure des bras. Organes génitaux. La verge est asez d
res offrent de nombreux poils courts, abon- dants surtout à la face postérieure des cuisses. Pénil couvert de poils châtains, f
'à droite. Les bras et les avant-bras sur leurs faces externes et postérieures sont très velus. Les poils sont très abondants au
te. Le crâne est arrondi et coni- que, très atrophié dans sa partie postérieure où se trouve un méplat allant du vertex à la pr
anie. ' Etat actuel. 30 juin 1889. Tête ovoïde à grosse extrémité postérieure . La région occipitale est assez développée; les
ti- mètres de large sur 3 de haut ; puis, répondant à l'extrémité postérieure , on trouve une circonvolution sinueuse qui paraît
t répondre au lobul pariétal supérieur. En arrière de l'extrémité postérieure de la scissure de Syl- vius, on voit une dépres
En détachant la pic-mère, on s'aperçoit qu'au niveau de l'extrémité postérieure du cratère, elle se replie dans l'intérieur de
insula est complètement décou- vert-, qu'au-dessus de son extrémité postérieure existe une dépression irrégulière, et qu'au-des
ère de l'insula. Le bord antérieur de la seconde limite la partie postérieure de la perforation. Ces différentes masses sont pl
très irré- gulière avec une bifurcation incomplète ; la dernière, postérieure , est la plus large. C'est au-dessus d'elle que co
située au-dessus de la perforation. Cette digitation, par son bord postérieur , limite la perforation. La dépression dont nous
quement de bas en haut, de son extrémité antérieure à son extrémité postérieure . En arrière existe une cavité qui parait faire
lis transversaux tout à fait superficiels en arrière. Son extrémité postérieure est limitée par le sillon prolongé sur la face
e. CO/'ne d'Am- mon non sinueuse ; elle envoie un pli à l'extrémité postérieure de la masse formée par la lro frontale et le lo
n sillon assez creux sépare en avant le lobe occipital de la partie postérieure du lobe temporal. La circonvolution de l'hippoc
petit que le droit. L'atrophie porte principalement sur la partie postérieure . La protubérance est petite et plus bombée à ga
sa partie moyenne une dépression très étendue, allant de la partie postérieure du lobe frontal au lobe occipital. Le cerveau é
cette seconde partie en mesure 5 1/2. Elle est séparée de la partie postérieure du cerveau par un sillon irrégulier, assez prof
l'encoche, on trouve encore deux replis venant constituer sa partie postérieure et faisant partie l'un du lobe frontal de la fa
s une direction oblique d'avant en arrière et de haut en bas, les postérieures une direction oblique de haut en bas et d'ar- r
rrière pour les anté- rieures et un peu d'arrière en avant pour les postérieures . Elles sont séparées par des sillons profonds,
Un sillon large et profond sépare cette deuxième masse de la moitié postérieure de la face con- vexe. La moitié postérieure p
me masse de la moitié postérieure de la face con- vexe. La moitié postérieure peut être divisée en deux parties par un sillon
ées verticalement en avant et obliquement en arrière vers la partie postérieure de la scissure de Sylvius. La partie inférieure
gulières, enfin une circonvolution assez grosse constituant l'angle postérieur de la scissure de Sylvius. Le lobe temporal s
ue en dessous avec les circonvolutions du lobe orbitaire. La partie postérieure , qua- drilatère, très sinueuse, est très dévelo
t en deux plus étroi- tes en formant un angle aigu rentrant, et une postérieure étroite dirigée obliquement d'avant en arrière
nvolution se continuant, comme nous l'avons déjà vu, avec la partie postérieure de la 3""= frontale. Face interne. - La l10 fro
ême aspect de l'amygdale droite ; nouvelles plaques sur les piliers postérieurs des deux côtés et sur la face postérieure de la
s plaques sur les piliers postérieurs des deux côtés et sur la face postérieure de la luette, adé- nite sous-maxillaire à droit
bstance grise et blanche de l'hémisphère et qui a détruit la partie postérieure de la 3° frontale, la frontale ascendante sur p
obée, puis une circonvolution repliée sur elle-même, dont la partie postérieure à disparu. Frontale ascendante. - Il n'existe
d'elle en se repliant sur lui-même, et tout , à fait à l'extrémité postérieure du lobe, par une petite circon- volution triang
aracentral petit, peu net en avant, où il se confond avec la partie postérieure de la le frontale. - Lobe quadrilatère petit, t
tit, trapézoïde en avant et séparé par un petit sillon de la partie postérieure , quadrilatère, très développée, divisée par un
sillon qui la sépare de la 2. frontale n'existe que dans ses 2/ : 3 postérieurs . 'le frontale très développée, surtout en arriè
i en haut, séparé par un sillon très profond d'une dernière masse postérieure . Celte masse coupée, en doux par un sillon antero
se postérieure. Celte masse coupée, en doux par un sillon antero- postérieur , qui divise transversalement la frontale ascendan
de la '2" frontale par un sillon, qui n'existe que dans les ` ? //3 postérieurs , large et pro- fond. En avant, pli de passage s
re en bas, séparées par des sillons transversaux. La circonvolution postérieure se continue en haut avec la pariétale supérieur
mple, offrant quelques sil- lons superficiels, puis, dans son quart postérieur , présente un petit lobule quadrilatère presque
lloso-marginal profond, formant une encoche pour recevoir le lobule postérieur do la frontale interne. Lobule paracentral bien
roite en avant, s'élargit en arrière. Elle est séparée de la partie postérieure par un sillon qui se continue avec celui qui li
1 ? Poids, 24 kil. La tête est volumineuse, surtout dans sa moitié postérieure ; le front est rétréci et bas. La fontanelle ant
ation de la tète des idiots myxcedémateux, en ce sens que la moitié postérieure a un volume exagéré. Il existe une sorte de rai
40 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
ts leur épaisseur est énorme, c'est ainsi que la coupe de la partie postérieure de l'occipital mesure 28 millimètres. Au niveau
me ; courbé dans le sens antéro-postérieur, décrivant une concavité postérieure et interne. Sa crête arrondie, effacée, devenue
formé d'os nombreux disposés à la manière d'une voûte dont l'appui postérieur est au calcanéum et l'appui antérieur aux têtes
téro-fatérat qui diviserait le corps en moitié antérieure et moitié postérieure et qui contient également le centre de gravité.
ur le profil de la station droite, tandis que la face antérieure ou postérieure offre le plus grand intérêt. Une ligne transver
au du trochanter il l'arti- culation tibio-tarsienne. Sur la face postérieure , les mêmes axes peuvent être tracés avec des DE
8). DU FAISCEAU DIT « BANDELETTE SOUS-OPTIQUE » DANS LA. RACINE . POSTÉRIEURE DU THALAMUS. Nous avons décrit sous le nom de «
ous de la couche optique, où elles contribuent à for- mer la racine postérieure du thalamus. Arnold semble avoir voulu décrire
é des parties blanches ou grises adjacentes. Les lésions du segment postérieur de la capsule interne au voisinage du corps gen
ligne idéale qui réunit lacomiiiissui-e antérieure à la commissure postérieure . Une coupe vertico-transversale (pi. XIII. A) p
externe (RGE), et, un peu plus en dehors, par tes fibres du segment postérieur de la capsule interne (CID). Lorsqu'on veut se
n arrière du corps genouillé externe ne fait qu'abraser l'extrémité postérieure du pul- vinar, où la bandelette optique, devenu
ptique, celle qui représente la terminaison thalamique de la racine postérieure de la couche optique. Si donc on cherche à se f
t séparée du putamen par les fibres les plus antérieures du segment postérieur de la capsule (CID). Plus en avant encore (Pt.
au-dessus de la paroi ventriculaire, pour former la portion la plus postérieure de l'espace perforé antérieur. Dans ce trajet, on
érieur. Dans ce trajet, on peut constater que les fi- bres les plus postérieures de la.racine antérieure du thalamus se dirigent d
stimative on llhantasie... Le siège de la mémoire est au ventricule postérieur , situé au cerehe.lle moins humide et plus solid
la jambe, mais bien à la rétraction qu'ont subie ceux de la région postérieure . Le fait-est confirmé par la résistance invincibl
Une autre conséquence du raccourcissement des muscles de la région postérieure de la jambe consiste en ce fait que les malades
utres réalise pour ainsi dire une augmentation dans le sens antéro- postérieur de la base de sustentation analogue à celle qui a
portant est oblique et haut et en arrière, le membre oscillant est postérieur . Je le désignerai sous le nom de pas postérieur
embre oscillant est postérieur. Je le désignerai sous le nom de pas postérieur . Dans une 2° phase (celle qui suit le moment de l
ent en avant. Elle est oblique, tournée du côté de la jambe qui est postérieure . Pendant tout le pas postérieur la même obli- q
ournée du côté de la jambe qui est postérieure. Pendant tout le pas postérieur la même obli- quité persiste en s'atténuant. Au
rvation du faisceau deltoï- dien médian, les portions antérieure et postérieure ayant subi une atrophie beaucoup plus prononcée
49. Fig. 50. 154 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE région postérieure de la jambe (-istro-enémiens). La résistance est
faibles, apparentes surtout dans les faisceaux externes. La partie postérieure est aussi très atrophiée, surtout dans ses faisce
dans sa partie externe, en raison surtout de l'atrophie du deltoïde postérieur , elle est assez bien remplie dans sa partie int
80 et il 75 C. encore très faibles, C. minima de 80 à 85. Cubital postérieur : A droite, à 80 C. faibles; à gauche, C. plus
e de la gouttière de torsion) : à 90mm C. assez faibles dans les m. postérieurs de l'avant-bras. (Des contractions se produisen
m A, X élc5, NFC > PFC ? 3 m A., XII, NFC > PFC'. DELTOïDE POSTÉRIEUR : 2 '1/2mA, XII, NFC settle ; 3 1/2mA, XIV, NFC
C. que plus haut dans le triceps et dans les fléchisseurs). Cubital postérieur : 2 m A, XII, NFC'' > PFC". Long abducteur,
l, aussi bien pour les muscles antéro-externes que pour les muscles postérieurs , mais leur puissance est notablement affaiblie.
-hyoïdiens semblent respectés, de même que les muscles de la région postérieure . Tous les mouvements s'exé- cutent ; le malade
er les clavicules, si le malade essaie de lever les bras. Leur face postérieure regarde en dehors ; leur angle supéro-externe est
e surtout, C. m. à 6ai ? : C. assez bon- nes il Õ51llI11. Portion postérieure : il droi'te, n'est guère atrophiée : C. m. à 70;
qui apparaissent déjà à 70miu l'excitation portant sur les muscles postérieurs . Extenseur commun : malgré le volume bien conse
eurs. vu 12 178 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Cubital postérieur : il peu près comme le précédent; apparition des
: à 60 C. m. mais très faibles, apparentes surtout dans le cubital postérieur ; à 50 C. plus accentuées mais faibles encore, ma
ois répétée. UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE 179 Partie postérieure : 4 m. A. NFC' seule ; 6 m. A. NFCC>PFC". Bi
FC"' seule ; 4 m. A. NFC">PFC" ; 6 m. A. NFC'>PFC'. Cubital postérieur : comme le précédent. t. Palmaires : 2 m. A. NF
muscles de la jambe, les muscles antëro-externes comme les muscles postérieurs , ne paraissent pas atrophiés ; leur force reste e
u groupe musculaire antérieur qui distend ;'1 l'excès les ligaments postérieurs ou les liga- ments croisés de l'articulation.
ons affaire, ici comme 1-li à une sclérose systématique des cordons postérieurs . Or ceci nous conduit à l'étude pathogénique de
a démontré l'existence d'une sclérose systématique des cor- dons postérieurs . De tout ce qui précède, Messieurs, il résulte
s des douleurs fulgurantes typiques, localisées d'abord a la partie postérieure de la cuisse droite, et survenant sous forme de p
eds). A peine quelques douleurs moins vives du reste, clans la face postérieure des cuisses et encore dans la moitié inférieure
lgu- rantes d'une grande intensité siégeant a droite dans la partie postérieure de la 230 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈ
alade les signes polio-myélites antérieurs atro- phie musculaire et postérieurs dissociation de la sensibilité ne sont pas (1)
uses, D prolon- gement rachidien, E méninge fendue dans sa partie postérieure et rejetée en devant, F les corps des vertèbres
elles ». Niihn opérait de même. Reid., « après avoir dénudé la face postérieure du rachis et les côtes jusqu'à leurs angles, sa
RFS RACIIIDIENS ET APOPHYSES ÉPINEUSES 251 mettait à nu les racines postérieures de leur sortie de la moelle à leur pas- sage à
et au compas d'épaisseur, un dessin en grandeur égale de la partie postérieure du rachis, disséquée sur le sujet couché; puis,
par rapport aux extrémités apophysaires, mais par rapport à la face postérieure des corps vertébraux, on trouve pour l'homme et
jet. Notons tout d'abord que les quatre racines (anté- rieures et postérieures , droites et gauches) appartenant à la même tran
côté droit. Tremblement fiúritlaÍ1'(' dans les muscles de la région postérieure de l'avant- bras droit. Le réflexe patellaire
oliose. Il existe une déformation du tronc avec gibbosité droite et postérieure ; la déformation est provoquée par une scoliose c
cées, le processus morbide est donc localisé plutôt vers les cornes postérieures . Il s'agirait ici du type médian postérieur de
lutôt vers les cornes postérieures. Il s'agirait ici du type médian postérieur de la classification anatomo-physiologi(jue de Ch
igués. La grenouille est l'animal choisi. On lie l'artère du membre postérieur droit. On fait passer un courant induit de l'an
tion est para- lysante. Ces substances ne parvenant pas il la patte postérieure droite (puisque l'artère est liée), les muscles
ment la même : vous avez nommé la sclérose systématique des cordons postérieurs . Est-il vrai de dire que cette alté- ration soi
et à un égal degré. Vous savez du reste que la sclérose fasciculée postérieure n'est jamais complète, en dehors de certains fait
s les uns aux au très par- tir du point de pénétration de la racine postérieure correspondent il la la région exci- tée. Parmi
musculaire, alors même que l'arc réllexe direct qui va de la racine postérieure il la racine antérieure correspondante est interr
es dernières revêtant deux types : grandes arthro- pathies du tarse postérieur , petites arthropathies du métatarse et des or-
, craque- ments et sans douleurs. En même temps survenait à la face postérieure de l'avant-bras une collection qui incisée donn
conducteurs et noyaux labyrinthiques avec ceux d'une racine spinale postérieure . I Signification morphogénique. Trois cordo
vagues, n'ont rien de commun avec les ganglions spinaux des racines postérieures , issus du ru- ban intermédiaire ou neural, et c
nt par la suite entre le nerf labyrinthique et une ra- cine spinale postérieure , comme d'autre part la fossette ectodermique auri
es ; le sens des attitudes segmentaires dépend de celle des cordons postérieurs de la moelle et des noyaux correspondants. Sui-
berg prend des caractères différents. L'ataxique dont les cordons postérieurs sont atteints et dont le nerf ves- tibulaire es
udes segmentaires, véhiculées par le nerf ampullaire et les cordons postérieurs , pénètre comme un coin .dans la question si obs
anse latérale, le noyau du ruban de Reil, le tubercule quadrijumeau postérieur et le corps genouillé interne. L'écorce tempora
ortant : Le nerf labyrinthique est l'homologue d'une racine spinale postérieure ; comme elle il véhicule les acquisitions d'une
t à une partie de la région fessière, à une mince bande sur la face postérieure de la cuisse droite, puis s'accentuant à nouveau
ons-le, vis-à-vis des noyaux médullai- res comme une racine spinale postérieure . Si donc le ganglion auriculaire primitif est l
es homologues deviennent ganglions spinaux des racines rachidiennes postérieures ; dans le métamère auriculaire de la tète, il de-
it à juste titre consi- dérer par quelques auteurs comme une racine postérieure médullaire, dont le ganglion spinal se fragment
ducteurs nombreux que nous aurons à étudier. Les libres des racines postérieures sont de deux ordres (Bechlerew). a). Les unes,
les au- tres, se dirigent pour la plupart vers la base de la corne postérieure et particulièrement vers une formation de gross
ment précoce, qui se dirigent aussi pour la plupart vers les noyaux postérieurs , prolongement de la base des cornes postérieure
art vers les noyaux postérieurs, prolongement de la base des cornes postérieures , et particulièrement vers une formation de grosse
écialement le cervelet. C'est le nerf vestibulaire. l). Les racines postérieures ont d'autre part des fibres minces et grêles à
r Ci le tu- bercule acoustique, prolongements de la tête des cornes postérieures . C'est le nerf cochléaire ou auditif. LE NERF
s ; et d'au- tre part vers les centres leur entrée dans les cordons postérieurs , d'abord en branches ascendantes et descendante
ropres prolonge- ments afférents et efférents directs; et la racine postérieure étant surtout composée de ces prolongements des
Bôltcher avait voulu faire un ganglion indépen- dant. De l'ampoule postérieure ou sagittale sort par la tache criblée de Reich
ntre les cellules du ganglion de Corti (ganglion spinal des racines postérieures ), et les cellules du noyau antérieur (tête des
postérieures), et les cellules du noyau antérieur (tête des cornes postérieures ), avec lesquelles elle se continue d'ailleurs,
ons de Scarpa et de Corti, et qui sont les homolo- gues des racines postérieures de la moelle, forment à leur entrée dans le tro
lle à la protubérance, les colonnes grises qui for- ment les cornes postérieures ont subi dans le bulbe d'importantes modifi- ca
éparée de la base par l'inclinaison en avant des libres des cordons postérieurs qui après leur entrecroisement vont se placer d
u quatrième ventricule. Sous cette double action la base des cornes postérieures , adjointe au canal épendymaire, est maintenant
se s'unissent pour former le corps restiforme. La base des cornes postérieures donne successivement les noyaux sen- sitifs du
ous les tuber- cules quadrijumeaux antérieurs. La tête des cornes postérieures , après avoir fourni les noyaux de la ra- cine i
pal de Schwalbe, noyau central de Stieda, noyau médian de la racine postérieure de Krause, partie médiane du noyau supé- Nouv.
. Il est formé de cellules analogues à celles de la base des cornes postérieures , petites (20 f'-) et de forme variée (Fig. 90).
masse nucléaire complexe qui est l'homologue de la base des cornes postérieures ; ils établissent de plus la correspondance ent
lité un noyau terminal, homologue selon nous de la tête d'une corne postérieure ; il n'appartient d'ailleurs qu'à la branche coc
comment admettre deux formations ganglionnaires sur la même racine postérieure , car nous savons que le ganglion de Corti a déjà
noyaux primaires du nerf labyrinlhique, correspon- dant aux cornes postérieures de la moelle. Le noyau interne, le noyau de Bec
noyau de Deiters, qui sont les prolongements de la base des cornes postérieures , reçoivent les grosses fibres du nerf vestibulair
tibulaire qui correspondent aux grosses fibres internes des racines postérieures . Le noyau antérieur et le tubercule acoustique,
ieur et le tubercule acoustique, prolongement de la tète des cornes postérieures , reçoivent les fibres grêles du nerf cochléaire,
erf cochléaire, homo- logues des fibres minces externes des racines postérieures . V Nerf vestibulaire. Un grand nombre de fi
fibres homologues du nerf labyrinthique et d'une racine médullaire postérieure . Nous avons dû. pour la clarté de la figure, repr
eurs ont pour homologues les fibres médullaires unissant les cornes postérieures aux cellules motrices antérieures. Du noyau int
que nous n'avons pu figurer, parallèlement au faisceau longitudinal postérieur , jusqu'au ni- veau de l'entrecroisement des cor
inal postérieur, jusqu'au ni- veau de l'entrecroisement des cordons postérieurs . C'est la racine de Rol- ler ou racine descenda
laire, qui par l'intermédiaire du noyau de Deiters unit les cordons postérieurs au cervelet. Ce n'est donc pas une racine réell
e du nerf labyrinthique, mais un faisceau cérébelleux des cor- dons postérieurs qui traverse le noyau de Deiters (Edinger, Bechte
ent réellement, elles auront pour homologues les fibres des racines postérieures qui traversent sans s'y arrêter (Bechterew) les
postérieures qui traversent sans s'y arrêter (Bechterew) les cornes postérieures , s'engagent dans la commissure postérieure, remon
(Bechterew) les cornes postérieures, s'engagent dans la commissure postérieure , remontent du côté opposé dans la portion inter
corce temporale directement, les autres au tubercule quadriju- meau postérieur (Q P). De ce noyau partent des fibres soit vers l
bres ont pour homologue le faisceau qui part de la tête de la corne postérieure , traverse la commissure postérieure,. rejoint d
qui part de la tête de la corne postérieure, traverse la commissure postérieure ,. rejoint dans le faisceau interne de l'anse la
vis de l'audition, en la vé- hiculant par le tubercule quadrijumeau postérieur , le corps genouillé interne et aboutissant à l'
rs les noyaux de la base et se divisent en deux faisceaux dont l'un postérieur se dirige obliquement vers l'olive supérieure du
ERF LABYRINTHIQUE 355 des fibres qui partent de la tête de la corne postérieure , s'entrecroisent t dans la commissure postérieu
tête de la corne postérieure, s'entrecroisent t dans la commissure postérieure , remontent également par la colonne laté- rale,
vers le tubercule quadrijumeau antérieur correspondant, et vers le postérieur , ce dernier présentant avec l'écorce les rappor
nger, Bechterew), et sans doute aussi, par le faisceau longitudinal postérieur , avec tout l'appareil de l'oculomotricité. Nous
41 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- tine, semblant indiquer un état pathologique des fosses nasales postérieures . La courbe alvéolaire offre 11. chaque maxillai
nce grise des para- lytiques généraux, principalement dans la corne postérieure où elle apparaît nettement sur les tubes nerveu
le est à l'ori- o-ine du tabes où elle se poursuit dans les cordons postérieurs ; à l'origine des dégénérescences wallériennes s
es altérations anatomiques affectaient particulièrement les cordons postérieurs dans le voisinage,de la commissure latérale avec
ssement avait envahi aussi le bourrelet du corps calleux, la partie postérieure du tha- lamus opticus et la queue du noyau caud
au point de vue vasculaire sous la dépendance de l'artère cérébrale postérieure , mais il ne porte pas sur la totalité de son do
faisceau longitudinal inférieur est aussi ramolli dans ses parties postérieures ; ce faisceau important d'association est presque
e droite; une dégénérescence disséminée sans ordre dans les cordons postérieurs , qui n'a par REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 57
e, respecte la zone radiculaire moyenne et gagne la cloison médiane postérieure ; dans la moelle dorsale, elle n'atteint ni les
ianes, ni les zones latérales, confinant au bord médian des cordons postérieurs , et elle continue à être asymétrique et dissémi
ans la multiplication du tissu conjonctif (surtout dans les cordons postérieurs et latéraux de la moelle épinière). En examin
périphérie de la moelle épi- nière, une dégénérescence des racines postérieures , une multi- plication du tissu conjonctif des c
et une altération de la substance blanche, surtout dans les cordons postérieurs , en forme des corps amylacés. Payne démontre un
uolisation des cellules (observ. III) et dans la lésion des cordons postérieurs (observ. II et IV), laté- raux (observ. II et I
aphie de Pal2, se jette aux yeux l'altération fréquente des cordons postérieurs et de la zone marginale de Lissauer et des raci
dons postérieurs et de la zone marginale de Lissauer et des racines postérieures . L'altération de ces dernières fut constatée de
aussi dans les racines, et elle a été plus visible dans les racines postérieures que dans les inférieures. ' Prof. Kojéwnikow. D
la zone marginale de Lissauer et dans les cordons et les racines postérieures . Dans le troisième cas les cordons de Goll, la zo
cuoles et la pigmentation des cellules des cornes antérieures et postérieures et des cordons de Clarke et souvent l'oblitéra-
a lésion spéciale de la zone radiculaire de Lissauer et des cordons postérieurs . Et dans tous ces cas, dans les racines postéri
et des cordons postérieurs. Et dans tous ces cas, dans les racines postérieures était remarquée la dégé- nérescence partielle.
scopiques, traitées par la méthode de Marchi, la lésion des cordons postérieurs est évidente, elle est distribuée dans ces dern
s derniers très inégalement. La portion postéro-externe des cordons postérieurs a souffert le plus. Il faut dire que même dans
ibres saines. Ce qui concerne la portion antéro-interne des cordons postérieurs , nous y trouvons beaucoup moins de fibres dégén
inées çà etlàdans les cor- dons antérieurs et latéraux. Les racines postérieures ont assez souifertes et en tout cas plus que le
égénérées se dirigent des racines antérieures ainsi que des racines postérieures vers la substance grise des cornes correspondan
dans diverses directions ; surtout on le remarque dans les cornes postérieures . Cela dépend de ce que la lésion des racines post
des fibres dégé- nérées dans la commissure antérieure. Les racines postérieures et antérieures tout aussi bien que la substance
ans le faisceau de Burdach, la région qui est adjacente aux racines postérieures , dont le procès morbide est aussi plus grave qu
extérieur du faisceau dégénéré de Goll que de l'entrée de la racine postérieure , est située une agglomération de fibres dégénér
es saines, que la dégénérescence envahit principalement les cordons postérieurs et les racines antérieures et postérieures. Dan
rincipalement les cordons postérieurs et les racines antérieures et postérieures . Dans la région lombaire le procès morbide a pl
rocès morbide a plus attaqué la portion postéro-externe des cordons postérieurs que la portion antéro-interne ; dans la région
parla méthode de Marchi, il faut supposer que la lésion des cordons postérieurs est une continuation du procès morbide des raci
correspondantes ; la distribution inégale de la lésion des cordons postérieurs sur les différentes hauteurs de la moelle épini
épinière s'explique de la manière suivante : une partie des racines postérieures continue sans interruption dans les cordons pos
es racines postérieures continue sans interruption dans les cordons postérieurs ; les fibres radiculaires, après leur en- DU SYS
gne médiane et elles se placent dans la portion externe des cordons postérieurs ; et puis, en se rendant de plus en plus vers l
Le degré de la dégénérescence de la portion externe des cor- dons postérieurs , c'est-à-dire des faisceaux de Burdach, n'est p
auteurs de la moelle; ce fait s'ex- plique par cela que les racines postérieures sont plus atta- quées dans les étages inférieur
les, en plus petit nombre, dans les racines, soit antérieures, soit postérieures : on trouve même dans ces racines des îlots abs
des cellules ganglionnaires, situées dans les cornes antérieures et postérieures , et dans les colonnes vésiculaires de Clarke, e
gnificative que l'exagération. Une lésion qui intéresse les racines postérieures des colonnes postérieures au niveau du second,
n. Une lésion qui intéresse les racines postérieures des colonnes postérieures au niveau du second, du troisième ou du quatrième
ccompagnent la dégéné- rescence tabétique ou une lésion des racines postérieures . L'abolition du réflexe du genou accompagnée d'
début de la démence para- lytique, sauf dans les cas où les cordons postérieurs ont été les pre- miers intéressés; alors le réf
; un second degré d'obscu- rité se constate au niveau de la moitié postérieure des pariétaux, de l'occipital, des prolongement
rbation disparaît au bout de quelques jours. La section des cordons postérieurs et de la substance grise avec les cordons antér
nalgésie, il faut sectionner les deux cordons latéraux ou la moitié postérieure de la moelle, et, encore, dans ce dernier cas,
u en avant des faisceaux pyramidaux; si la destruction de la partie postérieure de la moelle ou des cordons latéraux est peu pr
y a codestruction des cordons posté- rieurs. La section des cordons postérieurs , au niveau indiqué, pro- duit de l'ataxie dans
ieurs, au niveau indiqué, pro- duit de l'ataxie dans les extrémités postérieures . P. K. XXV. DE CE QUE L'ON appelle LES granulat
par les branches qui proviennent des artères à direction antéro- postérieure , longeant la ligne médiane. Les parties latérales
érieurs. A la base du cerveau, du point où les artères céré- brales postérieures s'abouchent dans la basilaire, partent nombre d
e ; de même les branches intercrurales, provenant des communicantes postérieures , convergent vers la ligne médiane du trigone. T
de la ligne médiane, et ceux qui occupent les parties latérales el postérieures c'est-à-dire les tubercules quadrijumeaux. Il n
u injectée ; l'injection ne pénètre pas ailleurs, ni dans la partie postérieure (tubercules quadrijumeaux). La sphère vascu- la
elette optique. Il existe des fibres pupillaires dans la commissure postérieure . Nombre de faits pathologiques confirment que d
on médullaire. R. DE Musgraye CLAY. XLV. UN cas DE SCLÉROSE spinale postérieure , avec prodromes OCU- LAIRr : S anormaux ; par C
ut est venu confirmer le diagnostic primitivement porté de sclérose postérieure . L'autopsie n'a pu être pratiquée. R. M. C. X
e 3 pouces, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. '279 prise sur la paroi postérieure : la tunique musculaire fut ensuite divisée jus
ues, mais correspond exactement aux zones d'innervation des racines postérieures . On trouve sur les limites de l'hypesthésie et
combinaison de lésions relevant à la fois des artères radiculaires postérieures et de la spinale antérieure. (Revue Neuro- logi
eur de la scissure inter-parié- tale ou de Turner. L'arc descendant postérieur de la troisième 300 0 .1,-ILES D'ALIÉNÉS. sci
de paralysie générale, l'une qui se présente associée à la sclérose postérieure , l'autre qui est associée, secondairement dans
s'agissait chez son malade d'une embolie de l'artère cérébelleuse postérieure et inférieure gauche. LXXIX. CONTRIBUTION A L'É
des OV1'i transverse (tiers moyen). Le tiers antérieur et le tiers postérieur de celle-ci constituent des sphères collatérales.
e pariétal passent l'un dans l'autre par le pli courbe et la partie postérieure du trigone. Il serait donc juste de dire : cent
nt de préférence la zone interne; 5° le champ antérieur des cordons postérieurs se compose, dans la moelle lombaire, pour la pl
. Il est certain n qu'il faut éliminer la participation des racines postérieures à l'édi- fication de la commissure antérieure,
latérales sensitives, il va a probablement aussi dans la commissure postérieure des libres myé- Jogènes. En faveur de cette opi
ouche de fibres occupant la paroi latérale des cornes inférieure et postérieure , entre l'épendyme et les fibres de projection.
d'inflexion du noyau caudé. La couche interne s'étend dans la corne postérieure , depuis son toit jusqu'à l'extré- mité antérieu
ne (voile interne sagittal de Sachs) en avant ou en bas, le forceps postérieur (ou minor de Sachs). (Suivent des discussions d
Y a-t-il, comme le prétend Ramon y Cajal, des fibres des racines postérieures qui ne se terminant point, à la manière habituell
tance grise (cellules nerveuses), passent directement des racines postérieures dans les cornes antérieures de la moelle où, en r
ules motrices ? En d'autres termes y a-t-il des fibres radiculaires postérieures centrifuges ? L'auteur s'est proposé de contrôl
nçoit avant de s'expli- quer positivement. D'autre part les racines postérieures contiennent des éléments centrifuges (Cajal, Va
ensemble des muscles qui agissent. Il en est ainsi pour les racines postérieures de la moelle et les nerfs sensoriels. L'embry
es des nerfs optiques et acoustiques correspondent donc aux racines postérieures de la moelle ainsi qu'aux prolongements de cell
la moelle ainsi qu'aux prolongements de celles-ci dans les cordons postérieurs de la moelle jusqu'au noyau grêle. Les noyaux n
de la moelle autour desquelles se trouvent les fibres nadiculaires postérieures , cellules principalement placées il la périphérie
es principalement placées il la périphérie anté- rieure de la corne postérieure . L'atrophie de la rétine et du nerf optique des
ue. Le noyau grêle et les cellules nerveuses de la base de la corne postérieure , suivant toute la hauteur de la moelle, corres-
érieure, de laquelle partent les cytin- draxes qui vont aux racines postérieures de la moelle, se retrouve dans le lobe optique
e du nerf optique qui (de même que les fibres nerveuses des racines postérieures se terminent en partie dans les cellules des co
emps (F.). P. KERAVAL. XLIV. Observation DE GLIOME dans la partie POSTÉRIEURE DE la protubérance ET DU BULBE ; par F. JOLLY.
e du plancher du qua- trième ventricule ayant gagné par l'ouverture postérieure de l'a- queduc de Sylvius le calames sCI'ipto1'
ra- midaux, finalement une dégénérescence descendante des cordons postérieurs et ascendante des faisceaux cérébelleux et du tro
E pathologiques. 391 antérieur; elle n'est séparée de la commissure postérieure que par une mince bandelette de substance norma
érieure que par une mince bandelette de substance normale. La corne postérieure est plus étroite ; la corne antérieure est défo
e a sa configuration nor- male. Sclérose dans la région des cordons postérieurs jusqu'au niveau de la dixième racine dorsale, d
e et se rappeler que le nerf labyrinthique, en sa qualité de racine postérieure la plus active et la plus grosse de toutes, ser
on voit nettement à l'oeil nu, les parties blanches, et les cordons postérieurs sont d'un transparent gris brun. Au bout de deux
prolongement neural de ces mêmes cellules va à travers la racine postérieure se ramifier dans la moelle. Bien des argu- ment
solide la multiplicité, la variété des dégénérescences des cordons postérieurs , la doctrine des tabès exogène et endogène, dan
rtébral; son prolongement neural, après avoir constitué les racines postérieures , va se terminer directement ou par de nombreuse
érieure, de la colonne de Clarke, des différentes zones de la corne postérieure , des noyaux bulbaires. De ces points d'autres n
pensé ? Est-ce à la périphérie du neurone, ou au niveau des racines postérieures qu'il constitue ? C'est là une question qui a é
peut voir une dégénérescence limitée à certaines zones des cordons postérieurs , au faisceau virgule de Schultze, au centre ova
lleux ventral de Loewenthal et de Mott. Ce n'est pas tout. La corne postérieure contient en outre de nombreux neurones dont les
bord la lésion primitive d'un neurone du noyau bulbaire des cordons postérieurs . Ce neurone qui fait 436 ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
n intervertébral qui par- vient jusqu'au bulbe en suivant le cordon postérieur de la moelle. D'après la loi de dégénérescence
opage jusqu'à son extré- mité. De là une dégénérescence des cordons postérieurs d'une forme toute spéciale, une dégénérescence
le, une dégénérescence descendante de la partie interne des cordons postérieurs , tandis que ni les racines postérieures, ni les
partie interne des cordons postérieurs, tandis que ni les racines postérieures , ni les zones des collatérales, ni le centre même
es cas, il est de règle que la lésion respecte à peu près la racine postérieure , le ganglion invertébral ainsi que la zone de L
émontré la possi- bilité de ces lésions descendantes dans le cordon postérieur de la moelle. 1 A l'époque où nous avons fait l
e d'abord des neurones centraux l'intégrité relative de la racine postérieure , ainsi que l'a établi en particulier M. Joffroy (
nous montre à la fois la dégénérescence des cordons pyrami- daux et postérieurs , que la lésion primaire a touché simulta- némen
u pyramidal croisé est intact. Les zones de Lissauer et les racines postérieures sont relativement épargnées. C'est ce qu'on voi
du médius gauche ; - m'1'ét de développement du bassin et du train postérieure hémiplégie droite-- paraplégie ; - dissociation
.Juillet.- En travaillant à la cordonnerie, il s'est fait à la face postérieure de l'avant-bras droit, un peu au-dessus du poigne
t M. de Bechlerew : J'ai démontré l'union du tubercule quadrijumeau postérieur avec mon noyau réticulaire de la calotte protub
y a par conséquent relations anatomiques du tubercule quadrijumeau postérieur et de la zone motrice. D'autre part, on sait qu
a zone motrice. D'autre part, on sait que le tubercule quadrijumeau postérieur est en rapports directs avec l'acoustique notam
et du ruban de Reil latéral, union entre le tubercule quadrijumeau postérieur et la branche cochléaire de l'auditif. La des
limaçon par Baginsky et Kirilzew montre que les fibres de la racine postérieure de l'acoustique se terminent au noyau acoustiqu
tubercule acoustique, aux olives supérieures, au tubercule bijumeau postérieur du côté opposé. Les fibres de la racine postéri
bercule bijumeau postérieur du côté opposé. Les fibres de la racine postérieure , qui se terminent dans les olives supé- rieures
trapézoide; celles qui se terminent dans le tubercule quadrijumeau postérieur passent aussi dans le ruban de Reil inférieur.
nt aussi dans le ruban de Reil inférieur. Held ajoute que la racine postérieure de l'auditif a également des relations avec le
l'auditif a également des relations avec le tubercule quadrijumeau postérieur du même côté, que le trajet des sensations audi
es acoustiques atteignent non seulement le tubercule quadrijumeau postérieur ,mais en partie aussi le tubercule quadrijumeau an
montré qu'il faut attribuer, pour l'ouïe, au tubercule quadrijumeau postérieur et au corps genouillé interne la même importanc
arant le tubercule quadrijumeau antérieur du tubercule quadrijumeau postérieur , qui est le centre spécial de la voix. Enfin, l
est le centre spécial de la voix. Enfin, le tubercule quadrijumeau postérieur des mammifères contient un centre vocal dont le
'ouïe, lui-même en intime relation avec le tubercule quadriju- meau postérieur . 472 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
n^animal dont on a radicalement détruit le tubercule quadri- jumeau postérieur perd la faculté de se tenir debout et de marcher
ements de ses membres. Une simple, lésion du tubercule quadrijumeau postérieur entraîne de la propension à tomber de côté, à t
du courant électrique une des éminences du tubercule quadrij umeau postérieur , on obtient une déviation des globes oculaires
bilatérales. Excitez les deux éminences du tubercule quadrijumeau postérieur , vous obtenez toujours des mouvements convulsifs
o-poslérieures à travers le tronc du cerveau nor- mal. A ces fibres postérieures s'adjoignent celles qui occupent le sillon long
ostérieures s'adjoignent celles qui occupent le sillon longitudinal postérieur . Les fibres antérieures se placent dans l'ordre
en partie, un peu au centre de la commissure de de Gudden. La paroi postérieure du tuber cinereum contiendrait un nodus gris, a
s du noyau du pathétique voisin, ainsi que du faisceau longitudinal postérieur du bulbe duquel, d'autre part, beaucoup de fibr
ne naissance à des fibres qui vont aux deux faisceaux longitudinaux postérieurs et, s'infléchissant à leur niveau pour se dirig
les parties constitutives, La dénomination de faisceau longitudinal postérieur n'est usitée que jusque, à peu près, à l'extrém
que dans la moelle cervicale supérieure. Le faisceau lon- gitudinal postérieur du côté lésé se trouve aussi, par un petit nomb
és altérations dégénératives, soit dans les faisceaux longitudinaux postérieurs , soit dans le cordon antéro-latéral. Ces deux d
noyaux gris du ventricule et entrent dans le faisceau longitudinal postérieur . Les secondes se dirigent oblique- ment au mili
sur une coupe transverse, est située entre le faisceau longitudinal postérieur et l'olive supérieure. Enfin le corps restiform
es dans le bulbe par deux écheveaux. Celui du faisceau longitudinal postérieur et le vestige du cordon antéro-latéral. Le prem
bulbe; les nerfs craniens en rapport avec Je faisceau longitudinal postérieur con- tiennent quelques fibres originaires du ce
fibres cérébelleuses cen- trifuges. Entre le faisceau longitudinal postérieur et le cordon antéro-latéral il y a, par passage
bres du pre- mier, continuité et analogie. Le faisceau longitudinal postérieur joue vis-à-vis des nerfs crâniens, le rôle que
opiques d'une gomme volumineuse qui siégeait au niveau de la partie postérieure de l'hémisphère gauche, englobant les circonvol
s supérieures, les urus supramarginalis et angularis et la partie postérieure des deux premières temporales; le pulvinar et la
ber (d'Ucbtspringe) fait remarquer que les racines anté- rieures et postérieures , bien qu'elles soient englobées dans la masse d
ions de la - et du bulbe, par Shimamura, 229. Gliome de la partie postérieure de la -, par Jolly, 380. Psychiques. Guérison
n cas anormal de en plaques, par Diller, 269. Un cas de - spinale postérieure , par Chubb, 270. artérielle du sys- tème nerv
42 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
ux mains. Dans les cas difficiles, à ce spéculum qui déprime la paroi postérieure , il en adjoint un autre, plat, pour déprimer la p
tout ce côté de la fistule, il l'avive complètement. Arrivé à l'angle postérieur , il excise le lambeau; puis il se porte sur l'aut
fistule a été entraînée par des adhérences qui l'ont fixée à la paroi postérieure du pubis, de telle sorte qu'on ne peut plus la vo
museau de tanche avec le vagin qui obture l'orifice; on a vu la lèvre postérieure de la fistule soudée avec le col qu'elle fermait
paroi vaginale ; puis on en fait autant sur les côtés et sur la paroi postérieure du vagin ; on a ainsi un anneau parfaitement crue
antérieure du col étant alors aban-donnée à elle-même, retombe sur la postérieure , et le contact est assez parfait pour que la réun
col à droite et à gauche dans le sens des commissures, puis la lèvre postérieure du col ou ses débris étant largement avivée, ains
re les lèvres de la plaie. Les flls traversent la cloison et la paroi postérieure du col vers son sommet. Quand on les a serrés, ce
n résulte une large ouverture triangulaire à sommet antérieur, à base postérieure ; l'étendue de cette base varie d'ailleurs suivant
a ne suffit pas, décollez un peu le vagin à son insertion à la partie postérieure du col. Pratiquez les sutures en traversant d'abo
tre la cloison et le col, en s'aidant de la dissection de l'insertion postérieure du vagin et d'incisions faites dans l'épaisseur d
et une ulcération grande comme une pièce de 5o centimes sur la lèvre postérieure du col. Cette ulcération fut largement cautérisée
uatre centimètres de diamètre à son extrémité antérieure; l'extrémité postérieure est fermée et plus petite; ce dilatateur présente
r sous trois for-mes : prolapsus de la paroi antérieure ; de la paroi postérieure ; de toute la circonférence du vagin. Le prolap
de la plaie par la suture, il en-lève un second lambeau sur la partie postérieure de l'orifice du vagin et réunit les bords de la v
térieure pour arriver par-dessus la muqueuse intermédiaire à la lèvre postérieure . Lorsque toutes les ai-guilles ont été placées, o
qu'elle décrive un U renversé dont la con-cavité embrassera la partie postérieure de la saillie faite par la muqueuse, pendant que
érations destinées à les guérir tous deux. Le prolapsus de la paroi postérieure avec déplacement du rectum constitue la rectocèle
et le vagin cessant d'être distendu, des plis se forment sur la paroi postérieure . Il semblerait qu'au début on peut guérir la re
ssaire assez large pour distendre dans toute sa hauteur le cul-de-sac postérieur du vagin ; Malgaigne a réussi avec un pessaire en
ver un lambeau de la muqueuse du vagin, soit en appliquant à sa paroi postérieure le procédé de M. Huguier, décrit à propos de la c
ez deux érignes, l'une en bas, l'autre en haut, sur la crête mé-diane postérieure du vagin ; tirez sur ces deux érignes de ma-nière
uter la procidence de la paroi antérieure du vagin, celle de la paroi postérieure et la chute de l'utérus avec les lésions qui peuv
e fait en pratiquant sur les côtés de la vulve, près de son extrémité postérieure , une ou deux inci-sions de I centimètre ou i cent
t rompu de nouveau après avoir été reconstitué, » Des ren-seignements postérieurs à la mort de M. Roux ont appris qu'une de ses pat
èle qui empêcha la réunion des parois du rectum et celle de la moitié postérieure du périnée. Une autre manière de pratiquer les
e ; on la pousse en bas et en dedans et on la fait sortir sur le bord postérieur ou profond de cette surface. Lorsque le côté gauc
ie du côté du rectum; la réunion des lignes courbes for-mera la paroi postérieure du vagin ; la réunion des dernières lignes former
ive pres-que toujours quand on a fait sortir les fils au-delà du bord postérieur de la plaie. 4° On place d'abord d'après ces pr
et dans toute la largeur de la cloison. On a ainsi deux lames dont la postérieure formera le rectum, et dont l'antérieure sera rame
une olive creuse également en métal. Cette olive appuie sur la paroi postérieure du vagin, lorsque l'instrument est placé et le ma
le, soit parce qu'on peut craindre qu'une paroi de l'utérus, la paroi postérieure dans l'anteversion, par exemple, n'appuie trop fo
tence d'adhérences de l'utérus dans ces régions. De même, si la paroi postérieure du vagin ou la paroi antérieure du rec-tum sont e
aché par la tête du fœtus; tantôt encore il y a déchirure de la paroi postérieure de l'utérus et du rectum et expulsion du fœtus pa
ionnée par une tumeur fibreuse développée dans les parois antérieure, postérieure ou antéro-latérale de l'utérus. Quelle est la fré
t précis de cette flexion; souvent aussi dans l'an-téflexion la paroi postérieure du col vaginal est deux ou trois fois aussi longu
es mêmes après cette incision. Pour réussir il faut fendre la par-tie postérieure du col en ligne droite et en arrière, depuis l'or
ténaculum, on coupe d'un seul coup avec des ciseaux droits la portion postérieure du col [voj. la figure 10), Passant alors dans la
ion, il faut avoir bien soin de ne pas dépasser le cul-de-sac vaginal postérieur , sous peine de léser le péritoine. Suites imméd
ne portion plus considé-rable de la moitié antérieure ou de la moitié postérieure du col utérin. Dans le cas où l'on veut agir plus
rin. Dans le cas où l'on veut agir plus particulièrement sur la lèvre postérieure , le plein de la chaîne doit porter en arrière tan
a chaîne avec la paroi antérieure du vagin, l'ouverture du cul-de-sac postérieur du vagin et même de la cavité du péritoine; le re
é lésé, ou est venu faire hernie à travers l'ouverture de cette paroi postérieure du vagin. Les docteurs Breslau, Langenbeck, Biefe
r ; ce danger est surtout à redouter dans l'implantation de la griffe postérieure . Les érignes ou la pince de Museux sont confiées
neau terminal du cons-tricteur soit lui-même placé dans le cul-de-sac postérieur du vagin ; on met ainsi plus sûrement à l'abri le
vagin ; on met ainsi plus sûrement à l'abri le cul-de-sac péri-tonéal postérieur . En effet, dans le mouvement de constric-tion, l'
ujours l'extrémité inférieure des uretères sur les faces latérales et postérieures de cette partie de la vessie, circons-tance qu'il
i-sion. L'urèthre est aussi déplacé, sa paroi antérieure est deve-nue postérieure , et sa courbure nouvelle tend à embrasser le turb
nt renversée. La portion du gros intestin qui s'engage dans la partie postérieure de la tu-meur est seulement la partie inférieure
sphincter externe; l'extrémité inférieure de cet intestin et sa paroi postérieure ne sont pas déplacées ; l'étendue de la rectocèle
une étendue de 3 à 4 centimètres. Il en est autre-ment du cul-de-sac postérieur qui a suivi l'allongement du col dans toute son é
é inférieure est à 2 ou 3 centimètres au-dessus et en arrière du bord postérieur de l'orifice utérin, et s'il n'y a aucune hypertr
es cas où l'extrémité inférieure de la tumeur est formée par la paroi postérieure du vagin des-cendue au-dessous du col, ce cul -de
s jours qui suivent l'opération. Premier temps : section des parois postérieures du vagin et du coi. La tumeur ayant été saisie pa
r ayant été saisie par des pinces de Museux implan-tées dans la lèvre postérieure du museau de tanche, le chirurgien introduit l'in
antérieure du col, de façon à rejoindre par ses extrémités l'incision postérieure . Cette incision, c|ui porte sur la paroi du vagin
sin. Pour prévenir cette réascension, il faut implanter dans la lèvre postérieure de la plaie utérine un ténaculum ou une pince de
le cas où l'on aurait eu le malheur d'ouvrir le cul de sac péritonéal postérieur , il faudrait faire un point de suture en évitant
térins, qu'ils s'insèrent sur le fond ou sur les parois antérieure ou postérieure de l'organe ; la dilatation par la tente éponge p
i était antérieure au début de l'opération, se trouvait ainsi devenue postérieure et sortait la dernière. Les dernières tractions e
eaux lé-gèrement courbes, avec laquelle on l'incise jusqu'à la partie postérieure de manière à en faire deux moitiés. On s'attaque
end que le siège de la tumeur sur la paroi antérieure ou sur la paroi postérieure de l'utérus est la cause de ces accidents de vois
te du corps fibreux, soit sur la paroi antérieure, soit sur la partie postérieure de la ma-trice; si dans le cas où la tumeur est p
la partie postérieure de la ma-trice; si dans le cas où la tumeur est postérieure , le toucher rectal démontre que la tumeur est uni
égarer sur les côtés de la ligne médiane et à prendre les aponévroses postérieures des mus-cles droits de l'abdomen pour un kyste ad
lls et Tyler Smith, et adosser la séreuse à elle-même prés des lèvres postérieures de la plaie ? Il paraît plus prudent de faire p
r fibreuse de la grosseur d'une tête de fœtus, implantée sur la paroi postérieure de l'utérus, à la jonction du col avec le corps,
terne de l'utérus. C'est aussi pour ces tumeurs fibreuses de la paroi postérieure que Kilian a fait une opération césarienne sans s
ntéro-postérieur; elle adhérait au bord droit de l'utérus, à la paroi postérieure du vagin et à la face antérieure du rectum. Dans
péra-tions, on dit aussi que la tumeur était développée dans la paroi postérieure de l'utérus vers son extrémité inférieure. Quant
elles qui, développées dans cette paroi, se rappro-chent de sa partie postérieure , elles peuvent, comme celles du fond, remonter av
is, et reconnaissant que cette tumeur était dé-veloppée dans la lèvre postérieure , put l'énucléer et la diviser, puis l'extraire ;
iangulaire qu'on trouve en haut de l'utérus, les parois antérieure et postérieure proémi-nent presque au point de se toucher ; mais
a partie antérieure des kystes, car pour les adhérences pro-fondes et postérieures on ne peut avoir que des présomptions; les adhére
t tous les opérateurs sont encore exposés à rencontrer des adhérences postérieures avec les intestins et les autres viscères, tellem
aution, de haut en bas, le plancher du bassin au niveau du cul-de-sac postérieur du vagin. Dès que la pointe du trocart apparaît,
ison vésico-vaginale. f. Perte de substance de la vessie. Ip. Lèvre postérieure du museau de tanche largement avivée, de ma-nière
lle on opère ; on les déplace lorsque le bistouri arrive sur la lèvre postérieure . Figure m. Disposition des fils. La sonde est r
que les sutures vont de la lèvre antérieure de la fistule à la lèvre postérieure du col, toutes deux préalablement avivées. Lorsqu
ajet indiqué par la fig. v' dans l'épaisseur des parois antérieure et postérieure du vagin. Figure yi. Résultat immédiat de l'opé
ce est fermée. Pour ouvrir cet instrument, on appuie sur les branches postérieures , soit avec les doigts, soit avec une pince dont l
le. Le col est abaissé par des tils de soie passés à travers la lèvre postérieure , comme le fait M. Simon. Un spéculum univalve et
ure de l'utérus. La partie ombrée, étendue du ténaculum au col du sac postérieur du vagin, représente une première section faite a
sente une première section faite avec des ciseaux droits sur la lèvre postérieure du col. / est le manche du bistouri mousse à lame
it placée d'abord dans le fond de la cavité, coupant ensuite la paroi postérieure et sortant par l'ouverture que les ciseaux ont fa
Antéversion, ré-troversion. Figure xxx. Pessaire à air à renflement postérieur applicable à la re-troflexion. Figure xxxi. Pes
e dans le cas de deux corps fibreux occupant les parois antérieure et postérieure de l'utérus ; la sonde a ne peut suivre qu'un seu
éro-folliculaire en forme de battant de cloche, implanté sur la lèvre postérieure du col. Le pédicule est saisi par le polytrite du
cule sera écrasé. Figure xxiv. Polype fibreux implarté sur la lèvre postérieure du col. Le pédicule est embrassé par un fil métal
e la portion inlra-vaginale du col d'après M. Huguier, vu par la face postérieure . a base du col; h lèvre postérieure dont le bor
près M. Huguier, vu par la face postérieure. a base du col; h lèvre postérieure dont le bord libre forme un crois-sant; c orifice
le gauche du vagin. On voit la situation des culs-de-sac antérieur et postérieur du péritoine, et, dans ce dernier, des brides all
xcellente opération est applicable à la cure du prolapsus de la paroi postérieure , ou de toute la circonférence du vagin, et même a
où l'utérus s'est placé sur elle, pendant que son fond touche la face postérieure de la symphyse pu-bienne (Marion Sims). Le but es
o-chaska.) Figure viii. Bride circulaire, présentant dans sa moitié postérieure , qui est ici cachée, tous les caractères d'un app
dre la taille médiane recto-vésicale, par écrasement linéaire. A bord postérieur de l'anus déprimé par le trocart. B, coupe du rec
Curette articulée ou brise-pierre uréthral, avec articulation du mors postérieur à point d'appui. Nélaton, modèle Charrière. 30.
rtir par le même trou. Figure vu. Fistule uréthro-pénienne. Lambeau postérieur . Dieffembach. — On voit Fincision transversale fa
ajet supérieur et trajet inférieur de la liga-ture à travers la paroi postérieure . C. Compresse et nœud prêt à être serré. Figure
ne se voit pas dans ce dessin; il prend un point d'appui sur la paroi postérieure du pharynx. Le larynx se réfléchit dans le miroir
grande corne droite de l'os hyoïde; g, paroi droite du pharynx; paroi postérieure du pharynx; i, cartilage aryténoïde: k, cartilage
du précédent; /, cartilage de Wrisberg; m, bord supérieur de la paroi postérieure du larynx; n, corde vocale inférieure droite; o,
43 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nctionnels de l'écorce cérébrale étant ad- mise, (et les recherches postérieures des physiologis- tes, des cliniciens et des his
, Bd., 1890. rig. 1. - iiemispiiere gaUChe ou singe. 1, le membre postérieur est avancé comme dans la marche. - 2, flexion ave
), et s'étendant au delà de la marge de l'hémisphère dans la partie postérieure de la circonvolution marginale ou du lobule par
ntérieure (9, fig. i) et la réaction, par l'excitation de la partie postérieure (10, fig. 1). Semon et Horsley' ontdémontréde
en bas, suivant que les électrodes sont sur la partie antérieure ou postérieure de ce pli. L'état des pupilles n'est pas constant
té opposé. Précisément on obtient le même résultat par l'excitation postérieure de la troisième circonvolution externe du cerve
moitié inférieure des deux circonvolutions centrales, l'extrémité postérieure de la deuxième frontale, le coin postérieur et su
centrales, l'extrémité postérieure de la deuxième frontale, le coin postérieur et supé- rieur de la troisième frontale furent
une façon plus uniforme par l'excitation de la partie antérieure et postérieure du pli courbe. Règle générale, LES LOCALISATION
ourbe est excité, et des mou- vements en bas quand c'est le segment postérieur . On peut aussi obtenir, comme l'ont démontré le
uvements en bas des yeux par l'excitation, non seulement du segment postérieur , du pli courbe, mais aussi de l'extrémité supé-
seulement tout le lobe occipital, mais aussi une partie du segment postérieur du pli courbe ont été enlevés. A gauche, le pli
le lobe occipital gauche fut enlevé par une incision immédiatement postérieure à la scissure occipito-paiiétale. Dans ce cas,
rieur des lobes occipitaux, comprenant un léger empiétement du bord postérieur de la circonvolution parié- tale ascendante gau
che fut cautérisé jusqu'à la scissure occipito-pariétale, la partie postérieure du corps cal- leux fut aussi divisé en même tem
o-occipitale. La pièce enlevée comprenait l'ex- trémité de la corne postérieure du ventricule latéral qui se trou- vait ainsi o
ns laquelle on enleva les deux lobes occipitaux (surface externe et postérieure et une partie de la surface inférieure) avec un
étendue, mais aussi l'importance relative de la portion antérieure, postérieure et médiane du centre visuel de l'écorce '. » &g
t une participation du pli courbe (ou tout au moins de son fragment postérieur d'après Schoefer), plus grande même que celle d
tactile (Illilils- phure) - D. l1l(mbl'e O1nterlCUt. - C, iiienibie postérieur . - E, zone de la tête - F, région de l'oeil. -
es subissent la décussation dans le pont et s'appliquent aux fibres postérieures de la capsule interne; elles se distribuent pri
; on a trouvé des lésions dans les fibres médullaires de la région postérieure vaguement ou sans raison dénommes lobe occipita
manente quand l'écorce était détruite dans la région de la division postérieure de la seconde circonvolution externe qu'il appe
ions, d'une étendue et d'une profondeur suffisantes, dans la partie postérieure de la région occipitale chez les chats et les c
périences sont d'accord pour com- prendre dans cette zone la moitié postérieure de la seconde cir- convolution externe. = C'est
ortion antérieure le centre de la moitié supé- rieure et la portion postérieure , la moitié postérieure, de la rétine opposée. I
ntre de la moitié supé- rieure et la portion postérieure, la moitié postérieure , de la rétine opposée. Il considère la portion
visuel. Quand un trouble de la vision se produit par lésion du lobe postérieur , il y a toujours la même hémiopie ou semiam- bl
e l'ablation de la partie antérieure ni fabulation de l'extrémité postérieure de l'hémisphère n'ont aucun effet sur la vision.
nette. Le chien présente du trem- blement et de la parésie du train postérieur ; à dose double, l'inertie devient complète, l'a
a pas d'atrophie, il y a lieu d'admettre une affection des cordons postérieurs et laté- 1 aux de la moitié droite de la moelle
, creusée d'une gouttière dans laquelle est cou- chée la commissure postérieure . Celle-ci est commune à tous les vertébrés. Ses
e de cet organe. En dedans d'elles sont des faisceaux longitudinaux postérieurs , des fibres commissurales avoisinent ces dernie
tance blanche profonde. On l'a souvent confondue avec la commissure postérieure , mais l'époque à laquelle elle se développe etl
e côté, la rotule est abaissée (fil. '12). Les muscles de la partie postérieure ont subi également un commencement d'atrophie :
es phénomènes moteurs et sensitifs il se pro- duisit, sur la partie postérieure dn tronc et sur la région anté- rieure de l'abd
avant, on voit deux groupes, moins importants que ceux de la partie postérieure ,- siégeant en-dessous et à gauche de l'ombilic.
de nouveau, pour accompagner le corps bordant qui est devenu pilier postérieur , et finit par se confondre avec ce dernier. Mai
ent il est vrai, conserver sa largeur, doubler en arrière le pilier postérieur et venir se ter- miner en fuseau à la jonction
de l'opération, que l'on doit de constater son absence. Extrémité postérieure de la substance grise. - En ar- rière, la subst
ronnée, au point où le corps bordant se recourbant devient pilier postérieur , se divise en deux branches distinc- tes, une s
mble en continuer la partie libre. Branche interne de l'extrémité postérieure .- La bran- che interne se dirige en dedans sous
les moyens vont contribuer à former les cordes du psaltérium ; les postérieurs vont aux nerfs de Lancisi. Il faut enfin noter
trajet avant de devenir sus-calleux. Branche externe de l'extrémité postérieure . - La bran- che externe s'engage dans le fond d
s son origine, elle est rejointe et accompagnée par l'extré- milé postérieure de la lame réticulée, que nous DE L'APPAREIL NE
es nerfs sont une émanation de la branche interne de la bifurcation postérieure du corps godronné, c'est-à-dire de la partie li
uée sur le côté externe des bandelettes de Lancisi. Son extré- mité postérieure reposait sur le bourrelet calleux. Elle contourna
ngitu- dinaux inférieurs. Tels sont les détails des prolongements postérieurs de la circonvolution godronnée, détails faciles
éamoins admis trois centres nerveux secon- daires, un supérieur, un postérieur , et un antérieur. Le centre olfactif supérieur
ette diagonale de l'espace quadrilatère. » ... « Le centre olfactif postérieur est le lobe de l'hippocampe où va se rendre la
temps que cette racine... Le centre antérieur com- prend la partie postérieure des deux premières cir- convolutions orbitaires
s cir- convolutions orbitaires... Il comprend en moyenne le tiers postérieur des deux premières circonvolutions orbitaires.
qui vont « après un trajet extrêmement court se rendre sur le bord postérieur des circonvolutions orbitaires ». Cette inserti
IE. z sont olfactives l'une et l'autre, au moins dans leur partie postérieure , sans qu'on puisse savoir jusqu'où s'étend, d'a
c'est la même production que je signale après lui. Prolongements postérieurs de la circonvolution godron- née. La lame blanc
érieur. «... La fascia dentata, au contraire, tourne autour du bord postérieur du corps calleux pour aller à sa face supérieur
n peu en dedans au-dessous du psaltérium, avant d'entourer son bord postérieur et de finir sous la circonvolution du corps cal
elles du grand pied de l'hippocampe ne s'arrêtent pas à la partie postérieure de cette région, mais qu'elles se conti- nuent
un peu plus grosse; s'éloigner de la fimbria, entourer l'extrémité postérieure du corps cal- leux, qui est développé à moitié;
, le suivre encore au dessus de cette courbure jusqu'au bourrelet postérieur , derrière lequel il s'accole à la région corres
uivre la courbe du corps calleux, dont il embrasse le bord ou genou postérieur , et revenir à son point de départ, en doublant
ière leur dos, marchent sans gêne des heures sur leurs extré- mités postérieures , n'ayant pas besoin d'appui; ce qui prouve que
ment de l'acuité de l'ouie. La région en question est la division postérieure de la troisième circonvolution externe ou supra-s
ue que B et comprend, d'après ses figures, la totalité de la moitié postérieure dé la troi- sième et aussi lés parties postérie
ité de la moitié postérieure dé la troi- sième et aussi lés parties postérieures et inférieures de la première et de la seconde
res auteurs. - z D. Région du membre antérieur. C. Région du membre postérieur . - E. Région de la tète. - F. Région de l'oeil.
et Tamburmil ont trouvé que la destruction unilatérale de la partie postérieure et supérieure de la troisième circuuvolu- tion
eu lieu. Quand les lésions destructives sont limitées à la partio postérieure de la seconde circonvolution externe et ne compre
e supérieure chez le singe, mais qu'il en est séparé par la branche postérieure de la circonvolution sylvienne. Meynert a suppo
e de la circonvolution sylvienne. Meynert a supposé que la division postérieure de la circonvolution sylvienne est l'homologue
périeure Cependant j'ose dire que la ressemblance entre la division postérieure de la circonvolution sylvienne et la circonvo-
de profondeur de la scissure de Sylvius2. Dans ce cas, la division postérieure de la circonvolu- tion supra-sylvienne correspo
a bandelette infé- rieure du côté opposé, et de là par le tubercule postérieur des tubercules quadrijumeaux et le corps génicu
e du côté opposé et un certain degré d'atro- phie dans le tubercule postérieur des tubercules quadrijumeaux et dans le corps g
s rapports normaux, quand la tota- lité de la colonne antérieure et postérieure , aussi bien que la subs- tance grise a été sépa
mitée par la prolongation en dehors des commis- sures antérieure et postérieure , c'est-à-dire le tiers moyen. Ludwig et Worosci
nt la dégénérescence ascen- dante, les principaux sont les colonnes postérieures ou colonnes de Goll qui subissent la dégénéresc
tions de Tootli semblent le mon- trer, provient'surtout des racines postérieures de régions dorsales supérieure et cervicale et
la plus grande portion d'une moitié de la moelle (excepté le cordon postérieur ), une partie du cordon antérieur, et celte portio
atéral situé dans l'angle formé par les deux cornes anté- rieure et postérieure (fig. 25), il y avait une paralysie motrice * p
té gauche de la moelle, à l'exception du cordon médian antérieur et postérieur . Quoique la plus grande portion du cordon média
ieur et postérieur. Quoique la plus grande portion du cordon médian postérieur gauche et tout le cordon médian postérieur droi
portion du cordon médian postérieur gauche et tout le cordon médian postérieur droit, de même que la substance grise à droite,
orps. Cette expérience donc infirme celle hypothèse que les cordons postérieurs sont la voie de conductibilité de la sensibilit
lité tactile. Elle est aussi contraire à l'hypothèse que la colonne postérieure médiane est la voie du sens musculaire du même
une autre expérience, j'ai essayé de diviser avec soin les cordons postérieurs dans le milieu de la région dorsale; j'ai fait
la section en plongeant un kératome triangulaire dans la scissure postérieure médiane à une telle prolondeur, que j'avais calcu
des expériences répétées sur des moelles, que les cordons mé dians postérieurs soient divisés jusqu'à la commissure postérieure.
s cordons mé dians postérieurs soient divisés jusqu'à la commissure postérieure . Quoiqu'il me sembla que tous les cordons posté
la commissure postérieure. Quoiqu'il me sembla que tous les cordons postérieurs étaient divi- sés, je n'ai pu après la mort vér
pour quelques heures comme faible et maladroit dans ses extrémités postérieures le jour suivant, on n'a pu découvrir le plus lé
son attention. Bechterew a aussi trouvé que la section des cordons postérieurs 4 Neurolog. Cealral6lalt, février I, 1890. -
chterew sont donc opposées à la théorie qui fait suivre les cordons postérieurs à toutes de la sensibilité propre. Brown-Séqu
é opposé de la moelle et qu'il n'est pas contenu ni dans la colonne postérieure médiane, ni dans le cordon cérébelleux direct,
I, est un exemple de tabes avec paralysie bilaté- rale de la partie postérieure du tronc; dégénérescence des muscles sans lésio
es fines et fortes ; ces cordons unilatéraux occu- paient la limite postérieure de la substance réticulaire et la région 280 RE
E ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. antérieure de la tête des cornes postérieures , au milieu de la région moins tassée des faisce
es, au milieu de la région moins tassée des faisceaux longitudinaux postérieurs . n M. Pick a retrouvé c un trousseau de fibres
, car il entraînerait à croire que les fibres destinées à la moitié postérieure de la langue, contenues d'abord dans la neuvièm
ne sont pas réunies en trousseau dans la zone d'entrée ladiculaire postérieure . P. K. XXIX. Contribution au connaissance DE la
isuelles du lobe occi- pital - à la section transverse de la partie postérieure de la cap- sule interne - à l'ablation d'un des
stance nerveuse jusques et y compris le tiers antérieur des cordons postérieurs et des cordons antérieurs. Infiltration des par
partiellement en arrière de cet organe et n'en va gagner la partie postérieure qu'après entre- croisement dans le voisinage de
t : les cordons latéro-cérébelleux qui vont au cervelet - le cordon postérieur qui se termine dans la substance grise du noyau
e cordon postérieur qui se termine dans la substance grise du noyau postérieur d'origine des faisceaux pyramidaux, noyau relié
des nerfs. M. Kredel trouva, en effet, que la partie antérieure et postérieure de l'artère avait été perforée; il réséqua le m
s. Les foyers scléreux siègent surtout dans les cordons latéraux et postérieurs ; il en existe aussi dans d'antres systèmes, not
surface interne de l'hémisphère gauche fait saillie dans son tiers postérieur . Les circonvolutions cérébrales sont aplaties et-
ate aucun signe de sclérose descendante. Les racines antérieures et postérieures sont normales. On constate dans la pie-mère méd
sent par la formation réti- culaire. - Ces cordons, c'est-à-dire le postérieur externe et le postérieur médian, qui ne subisse
culaire. - Ces cordons, c'est-à-dire le postérieur externe et le postérieur médian, qui ne subissent pas de décussation dans
t dans le tegmentum du pédoncule cérébral et de là dans la partie postérieure de la capsule interne où ils s'irradient en dehor
sensitifs se trouvent séparés des fibres mo- trices dans la partie postérieure (ou plutôt dans le tiers postérieur du segment
bres mo- trices dans la partie postérieure (ou plutôt dans le tiers postérieur du segment postérieur) de la capsule interne. L
a partie postérieure (ou plutôt dans le tiers postérieur du segment postérieur ) de la capsule interne. Les fibres sensithes ét
La figure 43 représente le cerveau d'un singe chez lequel la partie postérieure de la circonvolution de l'hippocampe gauche fut
nde diminution des réactions tactiles et douloureuses sur la partie postérieure de côté droit du corps, avec une légère diminut
inale seule, la dégénérescence dans ce dernier cas occupe la partie postérieure et externe du cordon pyramidal croisé et dans l
ar ses racines interne et externe avec les extrémités antérieure et postérieure du lobe falciforme ont été comparés par Broca à
est très réduit, et manque presque chez les delphinides. La limite postérieure du lobule de l'hippocampe est nettement indiqué
erveau de la baleine à l'extré- mité du lobe temporal immédiatement postérieur à Tuncus et Zuckerkand 2 lui assigne une même p
t de vue physiologique, que chez l'homme et chez le singe la limite postérieure du lobule de l'hip- pocampe est le pli de passa
d'un cerveau de marsouiu. Cette corne se continue avec l'extrémité postérieure des corps du ventri- cule latéral et se dirige
. a Le long du bord interne de l'hippocampe s'attachait le pilier postérieur du trigone comme le toenia de l'hippocampe. Le
.lf, fascicule de Meynert - gloi, glomérule olfactif. - hl, fascicule postérieur tonptudinal. - k, couche granuleuse du bulbe ol
lleux chez ces ani- maux (B fig, 32). Chez l'homme aussi, la partie postérieure du tri- rone est formé de fibres transverses fo
ps et des lobules de l'hippo- campe, qui sont reunis par la portion postérieure au temporal de la commissure antérieure. ' Co
constate, dans un cinquième de cas, une lésion certaine des cordons postérieurs ; dans un tiers des cas, une lésion probable des
mbre se décompose lui-même en : lésions conco- mitantes des cordons postérieurs , 70 p. 100; lésions concomi- tantes des cordons
s cordons latéraux, 20 p. 100; les paralytiques généraux à sclérose postérieure avaient été atteints à l'âge de quarante-et-un
ysie générale. 70 p. 100 des paralytiques avec lésion des cor- dons postérieurs avaient la syphilis sûrement; 50 p. 100 des para-
téraux et la paralysie générale compliquée de lésions des cordons postérieurs . Quoi qu'il en soit, le traitement antisyphilit
44 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
semble porter à peu près également sur les muscles anté- rieurs et postérieurs du bras ; en pressant entre les doigts les musc
dépens des muscles de la région antérieure ou de èeux de la région postérieure de l'avant-bras. Les éminences thénar et hypoth
ieure du thorax est un peu déprimée; il en est de même de la région postérieure ; les muscles sus et sous- épineux sont atrophi
ce, douleurs fulgurantes, anesthésies) veut dire lésion des cordons postérieurs et surtout de leur partie externe (zones radicu
ctures répond la lésion latérale, comme à l'ataxie répond la lésion postérieure et comme aux amyotrophies répond la lésion gris
symptômes du premier groupe font penser à une lésion des cordons postérieurs , ceux du second font supposer une lésion des co
ion. Dans toutes les autopsies, la lésion intéres- sait les cordons postérieurs et les cordons latéraux. Jusque-là, du reste, a
dans lesquels la lésion primitivement systématisée aux cor- dons postérieurs se diffuse ensuite (par l'intermédiaire des mén
aux : cela est très juste : la sclé- rose, systématisée aux cordons postérieurs , est diffusée dans les cordons latéraux. Mais
sion commence par les nerfs crâniens; chez l'autre, par les cordons postérieurs ; chez certains, les méninges spinales jouent un
XLI. 3 34 PATHOLOGIE NERVEUSE. les lésions combinées des cordons postérieurs et laté- raux, la rigidité musculaire et la con
usqu'à la région lombaire et que les zones radiculaires des cordons postérieurs sont atteintes par la dégénérescence. Zacher a.
le en disant : Dans une lésion combinée des faisceaux pyramidaux et postérieurs , les phénomènes spastiques ne se développent pa
les membres supérieurs ou inférieurs, quand la lésion des cordons postérieurs a atteint les zones radiculaires postérieures d
la lésion des cordons postérieurs a atteint les zones radiculaires postérieures dans les sections correspondantes de la moelle.
ique à siège spécial et constant. Cette sclérose occupe les cordons postérieurs et les cordons latéraux. On ne peut considérer
i comme entièrement diffuse. Elle est systématisée dans les cordons postérieurs et diffuse dans les cordons latéraux. Cette ass
3 ataxique est préférable à l'expression de sclérose mé- dullaire postérieure . Le tabes combiné doit être distingué du tabes
ement localisées à la partie moyenne de l'hémisphère gauche (partie postérieure de la troi- sième frontale, scissures de Sylviu
on, constata- tion de la fracture avec dépression. Pas de nouvelles postérieures de la malade. Un autre cas, soigneusement exami
iculaire lui-même et occupe dans tout son trajet une situation plus postérieure . La cicatrice de gauche porte sur le territoire
faisceaux pyramidaux dans les cordons anléro-latéraw et des cordons postérieurs . Planche à l'appui. 1 Voy. Arch. de Neurologie,
e de la moelle. Dégéné- rescence secondaire des cordons latéraux et postérieurs . Observations 111. Cysticerques du cerveau et d
ique, tels que ceux où il existe une lésion massive dans le segment postérieur de la capsule interne, avec propagation à la co
ment tuméfiés ; les mouvements déterminent des douleurs sur la face postérieure de l'avant-bras ; il lui est impossible d'étend
ies marginales du cordon latéral du même côté, contiguës à la corne postérieure , pour se terminer dans la substance grise de la
n au facial et à l'auditif ; ainsi qu'avec le faisceau longitudinal postérieur (faisceaux arqués); 4° des fibres arci- formes
des pyramides en rapport de continuité avec les noyaux des cordons postérieurs : peut- être y a-t-il dans son sein des fibres
es olives ou à la région dans laquelle se met à apparaître le noyau postérieur du nerf vague; on la suit en bas jusqu'à l'extr
cte donc aucun rapport ni avec le noyau antérieur, ni avec le noyau postérieur du pneumogastrique, pas plus qu'avec le REVUE D
iculaire : mais, dans le bulbe, à la hauteur des noyaux des cordons postérieurs , le fais- ceau de Burdach envoie des fibres qui
e presque toute l'étendue com- posée entre le faisceau longitudinal postérieur et le ruban de Reil. 1. Fibres qui doivent être
. Ils se rendent aux olives supérieures (fibres issues de la partie postérieure du faisceau radiculaire' du cordon latéral), au
rance; il envoie des trous- seaux fibreux au tubercule quadrijumeau postérieur , aux masses grises qui environnent le troisième
convexité antérieure, jusqu'à la région des faisceaux longitudinaux postérieurs ; elles se per- dent alors, soit entre les fibr
el noyau de l'oculo-moteur commun, avec les faisceaux longitudinaux postérieurs , eux-mêmes traversés par des fibres de l'oculo-
o-moteur commun ; par conséquent le plan inférieur de la commissure postérieure affecte des rapports intimes avec les nerfs mot
iculier, avec le moteur oculaire commun. Au-dessus de la commissure postérieure , les faisceaux lon- gitudinaux postérieurs, réd
-dessus de la commissure postérieure, les faisceaux lon- gitudinaux postérieurs , réduits à de rarés fibres, reçoivent plus haut
ssible de confon- dre les fibres du plan inférieur de la commissure postérieure avec celles qui viennent de la substance blanch
hez des foetus de 23 centimètres de long, se confond avec la racine postérieure des auteurs et comprend l'ensemble des fibres s
hez des foetus de 30 centimètres de long, se confond avec la racine postérieure des auteurs, ce sont des fibres situées en dehors
es cellules nerveuses qui occupent l'angle compris entre les cornes postérieures et les cornes anté- rieures (trousseaux gris de
es depuis la mutilation corticale jusqu'à la partie infé- rieure et postérieure de la couche optique partiellement atro- 1 Voy.
ER. Observation dans laquelle une tumeur développée dans le segment postérieur du troisième ventricule n'avait dé- truit que d
mobiles au milieu du larynx, c'est là ce qu'on appelle la paralysie postérieure due, d'après les expériences de Krause, dans un
Je ne nie pas, d'une manière générale, l'existence d'une paralysie postérieure centrale ou périphérique. Maïs la pa- ralysie p
lisme chronique; intégrité de la moelle, des racines antérieures et postérieures . Dégénérescence des nerfs crural, sciatique. su
e volume; ils étaient composés de graisse et occupaient le triangle postérieur de chaque côté du cou; ils s'enfonçaient en bas
sensorielle serait en rapport avec l'idée d'une lésion de la partie postérieure de la capsule interne ; et l'on admettrait que
mblable de supposer la présence de deux foyers, l'un dans la partie postérieure de la capsule interne, en rapport avec l'hémian
de la cellule écartaut ainsi le nucléole. Les cellules des cornes postérieures sont arrondies ou de forme triangulaire sans ra
s et contiennent aussi une grande quantité de pigment. Les cornes postérieures elles-mêmes de la substance grise ont diminué d
e, et cette épaisseur s'ac- centue en particulier dans les colonnes postérieures . Le canal central est oblitéré et offre dans la
accompli en neuf jours avec un résultat si rapide, est une maladie postérieure démontrée par lesdésordres amyotro- phiques obs
plète de toute altération des cordons de Türk. Sclérose des cordons postérieurs et de la substance grise des cornes posté- rieu
ne vésiculaire de Clarke. Epaississement de la pie-mère des cordons postérieurs . D'après ces auteurs la sclérose pyramidale ser
auteurs la sclérose pyramidale serait indépen- dante de la sclérose postérieure et la lésion de la substance grise serait due à
t avec une dégénérescence presque complète des cordons et faisceaux postérieurs et la perle du sens musculaire avec la conserva
rande partie du corps calleux est transformé, dans ses trois quarts postérieurs , en une mase gris rougeâtre molle qui pénètre à
déquate dans les deux cordons 21 si REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. postérieurs , la dégénérescence de chacun des districts des co
postérieurs, la dégénérescence de chacun des districts des cordons postérieurs se succède assez régulièrement, et la palhogénie
fier physiologiquement l'existence de ces systèmes dans les cordons postérieurs . M. Krauss a cons- tamment enregistré la diminu
évidente des colonnes de Clarke ; altération modérée des cordons postérieurs ; la substance grise ne présente pas plus de lésio
mbaire et dorsale infé- rieure, (double raie entre le sillon médian postérieur et le bord interne de la corne postérieure); dé
ie entre le sillon médian postérieur et le bord interne de la corne postérieure ); dégénérescence de la marge externe des colonn
, on rencontre une dégénérescence qui suit le sillon longi- tudiual postérieur , une atrophie partielle des fibres radiculaires
e des fibres radiculaires au point où elles s'étalent dans la corne postérieure ; la partie externe des cordons postérieurs, ou
s'étalent dans la corne postérieure; la partie externe des cordons postérieurs , ou mieux la zone radiculaire moyenne peut être
d'une partie des fibres nerveuses fines contenues dans les racines postérieures . Ces libres se réunissent au côté externe de chac
s se condensent en vne couche propre située à la pointe de la corne postérieure , entre le cordon postérieur et le cordon latéral
propre située à la pointe de la corne postérieure, entre le cordon postérieur et le cordon latéral : ils montent ainsi et pén
la substance gélatineuse et dans les régions profondes de la corne postérieure . Dès qu'ilsont adopté la direction longitudinal
s forme d'une petite plaque intermédiaire aux cordons latéraux et postérieurs , qu'il s'agit d'une ataxie précoce ou déjà avancé
sté- rieure, ce qui montre que le processus marche, dans la corne postérieure , de la périphérie il la base de l'organe. P. K.
tif, se développant le long des truucs artériels dans les cor- dons postérieurs (déchéance des fibres par compression ; absence
ceaux pyramidaux; destruction des fibres du faisceau longitudinal postérieur sur une grande étendue des deux côtés. P. K. XX
érieur, empiète sur les couches optiques au milieu de la commissure postérieure et du ganglion de l'habenula, mais sans en alté
yau de cerise; dégénérescence (cellules granuleuses) dans la partie postérieure de la capsule interne gauche et dans le faiscea
e des deux frontales supérieures, sauf leurs parties antérieures et postérieures , qui a envahi la substance blanche de la même r
émoire de Déjerine INTITULÉ : Du rôle joué par la méningite spinale postérieure des tabétiques dans la patho- génie des scléros
) sur ces cordons; de l'altération primitive, autonome, des cordons postérieurs du tabétique part un processus d'irritation mén
'extenseur commun des doigts, le premier radial externe, le cubital postérieur , les longs abducteur et extenseur du pouce. Atr
ion des nerfs sensitifs (une branche sensible du radial, une racine postérieure du renflement cervi- cal) ; sur l'apparition de
quitté la face pour devenir ambulant; il occupe, en effet la partie postérieure du cou et de l'épaule droite. La plaque d'érysi
sur lui-même de façon que la surface antérieure du coecum se trouve postérieure , et réciproquement, l'extrémité ceecale d'infé-
oupe des bronches, il s'écoule un liquide muco-spumeux. A la partie postérieure du lobe inférieur gauche existe quelques petite
es pariétaux. - La fontanelle antérieure est persistante, son angle postérieur est cependant beaucoup réduit, elle a de ce fai
meau antérieur horizontal très profond et un peu sinueux. Le rameau postérieur horizontal (a3) est très profond, large et se t
rontale; elle semble toutefois être dédoublée dans ses trois quarts postérieurs , mais ce dédoublement est très irrégulier, très
li de passage (pp.) la- relie vers son tiers antérieur à la branche postérieure du V antérieur de la troisième circonvolu- tion
és. . Le lobe temporal est assez. volumineux, sauf dans' son quar postérieur , où la deuxième et surtout la troisième circonvol
La première circonvolution temporale (T,) se confond avec la partie postérieure du lobule pariétal inférieur. La scissure paral
ieures. L'incisure préoccipitale (ln, se réunit à la partie la plus postérieure de la deuxième scissure temporale, séparant ain
du lobule fusiforme au lobule lingual (TOs) en sorte que la'partie postérieure de la deuxième scissure semble se continuer dir
té par les plis de passage pariéto-limbiques antérieur (p. p. a) et postérieur (p. p. p.) avec la circonvolution du corps call
lis de passage temporo-parié- taux. Elle est bifide à son extrémité postérieure . Les deux rameaux antérieurs ascendant (a) et h
nvolu- 318 CLINIQUE NERVEUSE. tion (T,) se confond avec la partie postérieure du lobule pariétal inférieur.-La scissure paral
ons temporales (T, , T3), sont bien développées, mais à leur partie postérieure elles sont un peu chagrinées et en retrait comm
ansverses ou plis de passage temporo-pariétaux, situées à la partie postérieure de l'insula, dont les circonvolutions sont bien
T 0,) sinueuse; un sillon oblique réunit cette scissure à la moitié postérieure de la deuxième scissure tenz- poro-occipitale (
elle se trouvent les plis de passage pariéto-limbiques antérieur et postérieur (p. p. a. p. p. p.).-Lascissure perpendiculaire
p antérieur était plus développé, au con- traire du Pacha où le cap postérieur est plus déve- loppé ; on voit que ce dédoublem
ve de pareilles tuméfac- tions sous-cutanées sur la ligne axillaire postérieure . L'abdomen est pendant, ce qui est dû en partie
latérale et aussi au-devant de la fontanelle antérieure. La partie postérieure de la tête était petite. Les traits étaient lou
tant sur le dos, l'écoulement peut se faire librement par le bord postérieur . Le périoste doit être enlevé par une incision cr
r de la frontale ascendante, c'est-à-dire derrière la termi- naison postérieure du sillon frontal supérieur) se trouvait une ci
clairement que le point de départ était situé vers la terminaison postérieure du sillon frontal supérieur, point qui coïncide,
t que celui de l'extension du bras était à peu près à son extrémité postérieure . Ce dernier point a été confirmé par le Dr Beev
ent le Dr Buz- zard à diagnostiquer une lésion située dans le tiers postérieur de la circonvolution frontale supérieure, c'est
° et 6u° présentait à l'autopsie une myélite transverse des cordons postérieurs et de la moitié dorsale des cordons latéraux su
es ou des conducteurs qui les apportent à ce centre; 2° les cordons postérieurs de la moelle trans- mettent deux espèces de sen
e et au cou, la peau du crâne et des oreilles bleuâtre, à la partie postérieure des membres et du corps des sugillations cada-
métrique. Le diamètre diagonal depuis le front à gauche à la partie postérieure du crâne est long de n,2 centimètres, le diamèt
DES MATIÈRES. morphinomanes, par Erleu- meyer, ! JO, Commissure postérieure du cer- veau, 107. Commotions cérébro-spinale
., Pli pariéto-limhiyue antérieur. p. P. p., Pli pariéto-lilllbique postérieur . EXPLICATION DES PLANCHES. 433 3 PLANCHE [[1.
45 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
halique, l'optique, le sub-^œsophagien antérieur et le sub-œsophagien postérieur . Le premier est au-dessus de l'orifice œsophagien
don de communication avec le ganglion labial ; pour le sub-œsopbagien postérieur , les nerfs des muscles de la coquille, les nerfs
es auxquels il donne le sentiment et le mouvement ; le sub-œsophagien postérieur fournit les nerfs de la vie organique, et en même
ur, appelé aussi patte d'oie, donne aux muscles 2. des pieds ; le postérieur donne les nerfs qui vont aux viscères et au cloaq
l'anneau, par une double bande nerveuse. Le ganglion sub-œsophagien postérieur , outre les nens dont j'ai parlé et dont plusieurs
un sillon qui le partage en deux parties, l'une antérieure et l'autre postérieure . Cuvier a appelé la première cerveau, la seconde
ganglion en deux parties : dont l'antérieure serait le cerveau, et la postérieure le cervelet. M. Owen appelle ce même ganglion , c
exemple donné par Cuvier, je n'appellerai donc pas cervelet la partie postérieure du ganglion céphalique du poulpe, parce qu'il n'e
eure représente l'anneau œsophagien des autres mollusques, et dont la postérieure rappelle la moelle épinière des vertébrés. Le lon
ndépendante? Nullement. Coupez les racines antérieures et les racines postérieures de la moelle, et vous ôtez toute action aux gangl
i s'étalent en manière de patte d'oie et vont se rendre à l'extrémité postérieure de l'animal. Le système nerveux du homard ne di
nerveux ; chez tous deux c'est une chaîne ganglionaire dont la parlic postérieure noueuse rappelle la chaîne ganglionaire de la che
, en provoquer l'excrétion, en flattant avec leurs antennes la partie postérieure du corps des pucerons. On a cru que les fourmis m
onnent aux fourmis un aliment semblable à celui qui sort de l'orifice postérieur des pucerons ; mais on n'a pas encore vu que les
sent pas de faire le cercle autour (Telle et de lui brosser la partie postérieure du ventre qui reste à découvert. » Huber, fidèle
ébraux; Scarpa, grands tubercules du cerveau; Tréviranus, hémisphères postérieurs ; Cuvier, lobes creux; M. Serres, Desmoulins, M.Go
res; en arrière de l'infundibulum, une autre commissure ou commissure postérieure , analogue à la précédente; enfin au-dessus de cel
poissons osseux ; ils sont en communication directe, par leur partie postérieure , avec le cervelet, et il y a là un véritable proc
cules quadrijumeaux, de Vin-fundibulum, des commissures antérieure et postérieure , de l'aqueduc de Sylvius, et certains auteurs n'o
es animaux, que c'est chez ceux-ci, la face inférieure et pourla face postérieure de celle de l'homme, qu'elle devient chez eux, la
parlant des racines nerveuses de la moelle, qui sont antérieures et postérieures dans l'espèce humaine, inférieures et supérieures
omme offre celte disposition d'une manière très marquée;les racines postérieures des nerfs rachidiens pénètrent dans la moelle par
raux. Les faisceaux spinaux qui ne sont autre chose que les pyramides postérieures , et les corps restiformes vont ensemble se rendre
, et les corps restiformes vont ensemble se rendre dans les ganglions postérieurs de la moelle et dans le cervelet, tandis que les
ux et les lobes olfactifs. Les fibres qui entrent dans les tubercules postérieurs du cervelet s'y étalent ou se perdent dans la sub
isant les fibres venues des corps restiformes et celles des pyramides postérieures , vont se perdre dans la substance de chacun des g
avant des tubercules quadrijumeaux, est une commissure, la commissure postérieure , qui va de l'un à l'autre de ces tubercules; en a
e en recherchant l'origine des autres nerfs; ainsi dans les ganglions postérieurs du cervelet, j'ai vu entrer des fibres spinales e
i croisent la moelle au niveau du cervelet et des ganglions cérébraux postérieurs , celles qui forment l'admirable lascis que l'on d
° Pour les fibres de la commissure diffuse du cervelet, des ganglions postérieurs ; pour les fibres de la lame optique et la plupart
gue et du nerf trifacial et au cervelet, vont se rendre les pyramides postérieures et les corps restiformes ; aux tubercules quadrij
, des tubercules optiques recouverts en grande partie par l'extrémité postérieure du lobe cérébral, et un cervelet allongé à-peu-pr
s sont les ventricules, le corps calleux, les commissures antérieure, postérieure et inférieure, le corps strié, la couche optique,
arés l'un de l'autre dans les trois quarts antérieurs ; dans le quart postérieur , ils sont réunis au moyen d'une commissure analog
érébral, à l'extrémité antérieure de Vinfu n-dibulum. 7° Commissure postérieure . En arrière de Vinfundibu-lum, au-dessus de l'aqu
s chez la tortue ; « Ils naissent, dit cet anatomiste, de l'extrémité postérieure de la moelle épinière par un certain nombre de fi
e épinière et qui se termine en haut, en circonscrivant les pyramides postérieures , placées sur les côtés du quatrième ventricule.
optique, un corps calleux, une commissure antérieure, une commissure postérieure , une commissure inférieure, une voûte, xminfundib
ns seulement, ce quatrième ventricule conserve la trace des ganglions postérieurs des poissons. 5. La moelle allongée ne se prése
fins, enlever d'un seul coup, les deux lobes optiques, à leur partie postérieure , car réunis en arrière par le corps calleux, ils
, qui donnait à la faculté dont il s'agit, un domicile dans la région postérieure du crâne. M. Vimont aurait, dit-on, confirmé l'ob
s de la racine du nerf optique vont en partie s'épanouir à la surface postérieure delà couche optique, et que les raisonnemens ne p
s; ils sont unis l'un à l'autre par trois commissures : la commissure postérieure placée à l'entrée de l'aqueduc de Sylvius, la com
es de la commissure diffuse. A sa face spinale, on voit les pyramides postérieures , le quatrième ventricule, dont le plancher montre
oiseaux, de 10 à 20. 8. Deux commissures, l'une antérieure, l'autre postérieure réunissent entre eux les deux lobes cérébaux ; il
romper jamais. Dans le mâle, le cervelet est plus grand, et les lobes postérieurs sont plus petits; dans la femelle, au contraire,
ans la femelle, au contraire, le cervelet est plus petit et les lobes postérieurs ou la circonvolution affectée à celte fonction, s
conséquent à la partie antérieure du cerveau, et non pas à sa partie postérieure , comme il faudrait que cela fût pour que le cerve
arrière, une différence analogue se rencontre également, l'extrémité postérieure du cerveau dépasse de beaucoup les tubercules qua
ins de circonvolutions que l'homme, et surtout les sapajous : le lobe postérieur n'en a même presque aucune. Dans les carnassiers,
es ne présentent rien de déterminé. » (1) L'extrémité inférieure et postérieure de la circonvolution qui entoure le corps calleux
quatrième circonvolution, dont la fig. 3 montre la partie interne et postérieure P, et que la figure 2 fait voir de côté seulement
rrivée au niveau de la réunion du tiers antérieur avec les deux tiers postérieurs du corps calleux, envoie en haut et en avant, un
tion entre le cerveau de la civette, et celui de la fouine. Le sillon postérieur qui divise la circonvolution située en arrière de
loutre exprimerait un développement considérable des circonvolutions postérieures , l'étude du cerveau montre que c'est précisément
e sans ondulations bien marquées, de la partie antérieure à la partie postérieure du cerveau. Elles ont, surtout chez l'unau et l'a
l. vm, fig. 2), sont deux lettres PP placées sur deux circonvolutions postérieures , et en avant de" ces lettres PP, un signe -f- pla
et vous arriverez d'un côté au sillon antérieur, de l'autre au sillon postérieur , et vous aurez ainsi deux circonvolutions, corres
tres P P sont placées sur le commen -cernent des deux circonvolutions postérieures , le signe + indique leur réunion, et les lettres
m, le chameau, etc., est bifide chez le mouton et le bœuf ; la partie postérieure de celte même circonvolution qui présente chez le
dépression, et la continuité entre la partie antérieure et la partie postérieure de la circonvolution supérieure ne se fait pas à
deux signes -f- -f- indiquent le point de réunion des trois divisions postérieures et le commencement des deux divisions antérieures
icularité fort importante à noter ici, qu'elle envoie un prolongement postérieur P' (fig. 2) qui, réuni à un prolongement analogue
). La seconde circonvolution (II, fig. lre) est sillonnée à la partie postérieure et sous-divisée à la partie antérieure : c'est ce
t superposée à l'interne (fig. 1 et fig. 2) est sillonnée à la partie postérieure P, et sous-divisée en avant (AA). Quant aux cir
et les divisant en circonvolutions antérieures et en circonvolutions postérieures . Cette division des circonvolutions longitudinale
lle est double en avant, puis elle devient simple jusque vers le bord postérieur du corps calleux où elle envoie une sorte de rami
nales, et continues à elles-mêmes de la partie antérieure à la partie postérieure du cerveau, sont, comme je l'ai indiqué tout-à-l'
utions supérieures de l'éléphant, attachez la première circonvolution postérieure à la première circonvolution antérieure, la secon
tres mammifères. Le singe alrois circonvolutions antérieures, trois postérieures , deux supérieures, une interne et des circonvolut
eux circonvolutions supérieures S,S,S,S, et S',S',S', fig. h, dont la postérieure S',S',S,S,S -j-, se porte en haut et en arrière p
ne commissure qui met en relation sa partie antérieure avec sa partie postérieure . Les commissures qui vont d'un lobe à l'autre, so
érieure, la commissure moyenne des couches optiques, et la commissure postérieure . La commissure antéro-poslérieure est double de c
e, une sorte de loge supplémentaire qui se prolonge dans la substance postérieure du cerveau- Chacun des ventricules latéraux a é
ssous du pédoncule cérébral, corne inférieure, et la troisième, corne postérieure . Les deux premières sont communes à l'homme et au
ités seulement; elle fait partie de la lyre, elle constitue le pilier postérieur de la voûte. La saillie collatérale de Meckel e
ventricule, vis-à-vis des digitations de la corne d'Ammon. La corne postérieure du ventricule, appelée aussi cavité digitale, cav
.); cette ouverture a pour limites la commissure molle, la commissure postérieure (c. p. pl. ix, cheval, fig. lrc), et les filamens
s rênes de la glande pinéale ; les autres vont s'unir à la commissure postérieure . Je n'ai jamais trouvé chez les animaux, un autre
u cerveau sont le corps calleux, les commissures antérieure, moyenne, postérieure , et la voûte à trois piliers. J'ai parlé des comm
te à trois piliers. J'ai parlé des commissures antérieure, moyenne et postérieure ; je vais décrire la voûte à trois piliers et le
à la paroi extérieure du troisième ventricule ; quant à son extrémité postérieure ou bourrelet, elle est embrassée par la circonvol
ps calleux, par la cloison transparente, elles s'unissent à la partie postérieure du corps calleux, pour se porter sur le pied d'hi
la forme de quatre éminences solides, les antérieures grisâtres, les postérieures blanches; elles sont continues^ par leur base et
situés sur le pédoncule cérébral, en arrière et au-dessus de la paire postérieure des tubercules quadrijumeaux, les corps genouillé
, c. g.). Le corps genouillé interne est en rapport avec le tubercule postérieur , par un faisceau que M. Cruveilhier appelle faisc
om de nates qui leur a été donné par les anciens; tandis que la paire postérieure beaucoup plus petite, située en arrière des premi
Chez le chien, la paire antérieure est petite, embrassée par la paire postérieure el recouverte comme elle de substance blanche. Le
obe antérieur, la corne descendante au lobe d'hippocampe, et la corne postérieure , au lobe qui recouvre le cervelet. » Celle derniè
rales, ce La voûte, dit avec raison M. Owen (1), par ses deux piliers postérieurs et par la masse médullaire intermédiaire qui port
s deux grands hippocampes en communication entre eux et avec les plis postérieurs du corps calleux; par son pilier antérieur, elle
s mammifères, excepté chez le singe. Cervelet. Il recouvre la paire postérieure des tubercules quadrijumeaux, et il est lui-même
quadrijumeaux, et il est lui-même en partie recouvert par l'extrémité postérieure des lobes cérébraux. D'avant en arrière, il est d
formant une courbure ordinairement très prononcée, au niveau du bord postérieur du cervelet; enfin un lobe tout-à-fait externe (3
esque transparente de substance nerveuse qui sert de pont à la partie postérieure de l'aqueduc de Sylvius, et au commencement du qu
testes, la valvule de Vieussens, la luette, l'extrémité inférieure et postérieure du vermis ou lobe médian du cervelet, les pédoncu
moelle épinière, tapissé par la pie-mère et recouvert par l'extrémité postérieure du ver du cervelet, a reçu un nom particulier : c
eçu un nom particulier : c'est le ventricule d'A-rantius. Pyramides postérieures . C'est le nom que quelques au teurs ont donné à
grand diamètre transverse du cerveau correspond toujours à la moitié postérieure de cet organe; il est généralement moins long que
rveau est sujette à de plus grandes variations que celle de la partie postérieure de cet organe; mince, effilée chez le lapin, le l
de départ pour diviser chaque lobe, en partie antérieure et en partie postérieure . (i) J'ai déjà fait cette objection aux phrénol
res et chez l'homme; ce point trouvé, j'ai mesuré également la partie postérieure , afin d'établir la dimension comparative de ces d
le partie antérieure; tout ce qui est en arrière, je l'appelle partie postérieure . Or, voici quelle est, chez un certain nombre de
s, la longueur comparée du corps calleux et des parties antérieure et postérieure du cerveau, le diamètre antéro-postérieur de cet
partie de la partie autéro- call. antér. poster. calleux antérieure postérieure poster. ducerv. ducerv. au diamèt. anléropostér.
uton, et l'occipital vient recouvrir, comme chez l'homme, l'extrémité postérieure du lobe cérébral, à laquelle la phrénologie a don
n système en vertu duquel l'intelligence aurait son siège à la partie postérieure du cerveau; je signalerai plus loin les causes de
remarquable par le développement relativement très grand de la partie postérieure du cerveau, l'absence presque complète de dépress
ure du cerveau, l'absence presque complète de dépressions sur le lobe postérieur de cet organe, et le défaut de sinuosités, d'ondu
vise la cavité du crâne en deux chambres, l'une antérieure et l'autre postérieure , de sorte que le poids du cerveau ne peut comprim
s dans l'incertitude sur l'existence de la cavité ancyroïde ou cavité postérieure des ventricules latéraux, dont la présence coïnci
a bandelette de l'hippocampe . . . 0,002 Id . ....... des pyramides postérieures de la moelle allongée............. 0,002 1*1
. . 0,003 ld........ de la commissure des tubercules quadrijumeaux postérieurs ...... 0,003 ld ........ de la substance blanche
nerf optique...... 0,00383 Id........ des tubercules quadrijumeaux postérieurs .....-......... 0,00466 Id. .... :.. , des tube
fond du quatrième ventricule . . . 0,005 ld......... de la pyramide postérieure ...... 0,00633 ld.. de la commissure de la quatr
même les plus forts ; leur apparition sur la terre est nécessairement postérieure à celle des autres animaux, et s'ils ne se faisai
. 2° ce Chez le singe, le chien et le chat, dit Gall (2), la région postérieure est bien plus prononcée, plus saillante, dans les
rien de particulier. Quant à la loutre, l'élargissement de la partie postérieure de la tête et celui du cerveau, dans la même régi
se, a déjeté en arrière la scissure de Sylvius et les circonvolutions postérieures (V. pl. vi, loutre, fig. 3). Ainsi, le développem
circonvolutions antérieures, et il coïncide avec des circonvolutions postérieures très petites. Nouvelle preuve qu'il ne faut pas,
ence dans le cervelet, l'imagination et la fantaisie dans l'extrémité postérieure du lobe cérébral que recouvre l'angle postérieur
ie dans l'extrémité postérieure du lobe cérébral que recouvre l'angle postérieur de l'occipital, la faculté de concevoir et déjuge
au cervelet, aux corps resti-formes, et se rendent enfin aux colonnes postérieures de la moelle. M. Walker prétend avoir pu suivre,
ont de varole donnent les passions et la volonté ; enfin, les parties postérieures de la moelle président aux mouvemens. (1) M. Al
s mammifères, de cette partie de l'occipital qui recouvre l'extrémité postérieure du lobe cérébral de l'homme et du singe, je concl
ssiers, je l'ai déjà dit plus haut : je n'y reviendrai pas. La partie postérieure est plus longue et plus large chez l'éléphant, le
, que chez la plupart des autres animaux. Tous ceux qui ont la partie postérieure du cerveau reposant sur le cervelet et recouvrant
ifférence porte aussi bien sur la partie antérieure que sur la partie postérieure du cerveau. La multiplicité des ondulations aug
ipe de son existence. 13. La circonvolution dont les phrénologistes postérieurs à Gall ont fait le siège de la vénération, de la
es antérieures qui manquent au crâne des mammifères, mais les parties postérieures . 17. Plusieurs circonvolutions cérébrales n'éta
46 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
le de l'os ; sur cette autre, une destruction des faces supérieure et postérieure du corps vertébral. Outre les disques osseux et
on de continuité, toutefois, n'existe que partiellement ; les parties postérieures de l'épine, les apophyses épineuses, les arcs ver
pineuses, les arcs vertébraux, formant ce que j'appellerai la colonne postérieure , subsistent ; mais comme ces parties sont réunies
osseux sont détruits en totalité ou en partie. De là une convexité postérieure , une concavité antérieure. La première est ce qu'
on appelle la gibbosité. Les anciens ne connaissaient que la courbure postérieure de la colonne , et avaient décrit la maladie sous
. Tel est l'aspect de la colonne vertébrale, considérée à sa partie postérieure . Vue par sa face antérieure, elle représente un v
Au fond de l'excavation, on aperçoit le canal vertébral et la colonne postérieure , après l'enlèvement de la moelle et sur les pièce
s que produit le rachitisme. rapprochement des parois antérieure et postérieure . Ce rétrécissement peut être porté au point d'étr
alors la saillie que vous cherchez. Supposons enfin que la gibbosité postérieure manque, nous avons, comme moyen de diagnostic, le
r l'existence du rachitisme. Il y a deux cas de courbure rachitique postérieure simulant un mal de Pott : a. La courbure postér
ure rachitique postérieure simulant un mal de Pott : a. La courbure postérieure est produite par le relâchement des parties ligam
partie antérieure des corps vertébraux est plus mince que leur partie postérieure ; aussi n'y a-t-il pas moyen d'effacer immédiateme
rectement des vertèbres inférieures malades. IV. abcès de la région postérieure du tronc. — Ils siègent dans les régions cervical
e pus passe à travers les trous de conjugaison en suivant les racines postérieures des nerfs, à travers les intervalles des apophyse
u en dehors du carré des lombes, et vient en dernier lieu à la partie postérieure du tronc, où il forme les abcès cervicaux postéri
ieu à la partie postérieure du tronc, où il forme les abcès cervicaux postérieurs , dorsaux et lombaires. Leur forme est peu réguliè
t morbide se trouvait placé entre les vertèbres et le ligament commun postérieur . De chaque côté de la moelle, on voyait, de plus,
que les cordons antérieurs sont chargés de la motilité, les faisceaux postérieurs présidant à la sensibilité. La lésion plus fréque
ont réduites de volume et converties en coins osseux dont la base est postérieure . Cette altération est causée par des tubercules.
résente de plus curieux, c'est un dépôt tuberculeux situé à la partie postérieure des corps des deux premières vertèbres lombaires;
eval. Deux côtes, la dixième et la onzième, n'ont plus d'articulation postérieure . Les symptômes ont présenté ceci de remarquable
l'apophyse odon-toïde. Remarquez que la première vertèbre, dont l'arc postérieur rétrécit le canal vertébral, a conservé la positi
mais sans luxation, et une destruction de la partie moyenne de l'arc postérieur de l'atlas. Il y a un affaissement à droite, et l
nt exprimées par M. Brown-Séquard sur le rôle des cordons médullaires postérieurs ne renversent pas la doctrine physiologique admis
du sentiment devrait être plus fréquente, la compression des parties postérieures de la moelle, qui président à la sensibilité, éta
d'une collection de matière jaunâtre, demi-concrète, située à la face postérieure de l'axis et de l'atlas. Dans le foyer se trouvai
sensible. La nuque, très-affaissée, forme un pli profond. Les muscles postérieurs , fortement tendus, se contractent davantage par m
'atlas se soit porté en arrière, vous pouvez sentir obscurément l'arc postérieur de cet os entre les trapèzes tendus de chaque côt
même os ait glissé en avant ; la dépression qui correspond à cet arc postérieur sera augmentée ; l'apophyse épineuse de l'axis se
lacement du trochanter consiste en ce qu'il s'est porté sur un plan postérieur à l'ancien cotyle. La projection en arrière de l'
s signes d'une luxation de la hanche, ensellure lombaire, proéminence postérieure du bassin, élévation et écartement des trochanter
e étendue des muscles , tant de la partie antérieure que de la partie postérieure du tronc. La malade offrait cette énorme ensellur
aire des cartilages des paupières. Appliquée exactement sur la moitié postérieure du globe de l'œil, elle est percée de plusieurs t
mprend facilement quand on réfléchit que les adhérences de la portion postérieure du muscle sectionné forment plus tard sa nouvelle
s deux moitiés du muscle; mais nous avons constaté la soudure du bout postérieur à l'œil; ce bout se greffe en quelque sorte à la
longueur, puisse adhérer à l'œil près de la nouvelle attache du bout postérieur , avec lequel il peut se confondre en apparence; m
le, en agissant sur un point plus ou moins rapproché de son extrémité postérieure , en favorisant plus ou moins sa rétraction. Les
téral, lejambier antérieur, le long extenseur des orteils, le jambier postérieur et le court péronier latéral. Les quatre premie
e du jambier antérieur et du long extenseur des orteils. Le jambier postérieur produit l'adduction simple du pied ; il devient u
a seconde forme. Voici ses caractères : les deux muscles jambiers, le postérieur surtout, sont raccourcis et tendus; le court péro
les parties molles du cou-de-pied. Ce mouvement des os de la rangée postérieure du tarse abaisse non-seulement la pointe du pied,
ent du scaphoïde, en se rappelant la disposition des muscles jambiers postérieur et antérieur, qui s'insèrent, l'un au scaphoïde e
eux-mêmes un peu coudés l'un sur l'autre, de manière que l'extrémité postérieure du cinquième métatarsien forme une troisième sail
même une sub-luxa-tion. Le tibia repose alors en arrière sur la face postérieure de l'astragale; il peut même se trouver en rappor
ême de la face dorsale du pied. Il répond au cuboïde et à l'extrémité postérieure du cinquième métatarsien, et même, quoique plus r
est fortement courbé. Il y a une grande laxité dans les articulations postérieures ; elle est beaucoup moindre dans les antérieures.
e en dedans par l'obliquité plus grande du col, que le muscle jambier postérieur a dévié au lieu de luxer le scaphoïde. Ce col de
ienne, qui se prolonge moins du côté de son tubercule interne, devenu postérieur . Son déplacement rend raison de ce dernier change
gaines fibreuses qui renferment les tendons des jambiers antérieur et postérieur , du long fléchisseur des orteils, etc. Voici deux
nt ceux qui se trouvent raccourcis dans le varus, savoir : le jambier postérieur , le triceps sural, les fléchisseurs des orteils.
à se détacher du sol, et le bord interne appuie surtout par sa partie postérieure . Dans le troisième, l'angle est presque droit, la
calcanéum est oblique, son extrémité antérieure portée en dedans, la postérieure en dehors. Ce déplacement peut être tel qu'il y a
encore avec le péroné. M. Chassaignac l'a vu articulé avec la partie postérieure du péroné, et nous observons la même disposition
elle est fréquemment compliquée de varus; elle peut l'être de valgus postérieur . Elle rend ordinairement la station et la locomot
avancé, la rétraction de ce muscle est augmentée de celle du jambier postérieur et des fléchisseurs des orteils. bouvier. 11 Se
ds du corps. Voici un cas de ce genre, qui était en même temps valgus postérieur . Ce plâtre représente un équiu varus, parce que l
en partie à découvert sous les ligaments et les tendons de la région postérieure . Ce déplacement peut aller jusqu'à constituer une
le , comme on le voit sur cette pièce de talus pied creux. La facette postérieure du calcanéum est en partie à nu derrière l'astrag
ied est emboîté dans une chaussure à bords peu élevés, dont la partie postérieure est munie d'un épais bourrelet qui maintient le t
st le mécanisme de l'appareil de M. F. Martin, de plusieurs appareils postérieurs de MM. Charrière, Lebelleguic et Cottin, que vous
, où elle est mince et collée aux os, aux tendons, sur la tubé-rosité postérieure du calcanéum et le tendon d'Achille, sur les sail
illies osseuses de l'astragale et du calcanéum, vis-à-vis l'extrémité postérieure du cinquième métatarsien, au côté interne de l'ar
de tout le corps, est peut-être le plus facile à diviser. Sa saillie postérieure , en le plaçant sur un plan tout à fait séparé, l'
du court péronier se trouve sur le trajet d'une ligne étendue du bord postérieur de la malléole externe à l'extrémité postérieure
ligne étendue du bord postérieur de la malléole externe à l'extrémité postérieure du cinquième métatarsien. Si le sujet est assez â
t en général peu de gravité. La section isolée du tendon du jambier postérieur est bien plus difficile. Ce muscle, en effet, est
isseur commun ; on a aussi à redouter la blessure de l'artère tibiale postérieure , qui n'est pas loin. M. Bonnet pense avoir ouvert
exposés à des mouvements continuels. Mais c'est surtout au jambier postérieur , aux péroniers en arrière et au-dessous de la mal
Il en résulte, quand les enfants sont assis, une courbure à convexité postérieure , simulant parfois une véritable gibbosité, mais p
, tandis que les os dont le plus grand développement est antérieur ou postérieur à l'invasion de la maladie en ressentent moins le
dans ce point, une flexion plus ou moins brusque à sinus inférieur et postérieur , quelquefois un angle, simulant un cal vicieux. I
gauche est courbée; le rachis offre une courbure lombaire à convexité postérieure , qui se redresse presque entièrement dans l'exten
on y trouve le chapelet bien prononcé. Au rachis, existe une courbure postérieure qui ne disparaît pas complètement dans l'extensio
és, offre un chapelet prononcé. Il y a au rachis la courbure lombaire postérieure qu'on rencontre si fréquemment ; cette courbure s
s dorsales supérieures de manière à les attirer en avant. Les muscles postérieurs n'ont pas, en effet, une action tellement constan
e qua le poids porte toujours également sur les parties antérieure et postérieure des vertèbres dorsales et des ligaments intervert
braux, et qui met plus fortement en jeu l'extensibilité des ligaments postérieurs . Or, cette flexion antérieure du cou et du dos, o
les jeunes sujets; il y a dans ce cas raccourcissement des ligaments postérieurs du rachis, notamment de ces ligaments jaunes dont
par M. L. Hirschfeld , et de plus, amincissement exagéré de la partie postérieure du corps des vertèbres lombaires et des ligaments
pelvienne bascule sur les têtes des fémurs, de manière que sa partie postérieure s'élève en arrière, tandis que l'antérieure ou la
'autre fait trouvent leur explication dans la résistance de la partie postérieure des vertèbres , qui ne se laisse pas affaisser ni
ement en arrière. On exerce ainsi à volonté les muscles antérieurs ou postérieurs de la colonne vertébrale. La gymnastique dite s
dans la cyphose ; seulement, au lieu de faire effort contre la partie postérieure de la tête ou du tronc de l'enfant, c'est en avan
ent l'attitude du sujet pendant les exercices, en examinant la région postérieure du tronc, afin de reconnaître la forme qu'ils lui
ntérieure du tronc, vis-à-vis la convexité lombaire, et sur sa partie postérieure , vis-à-vis des points les plus capables de transm
ire sur la région dorsale et les épaules d'une part, et sur la partie postérieure du bassin de l'autre. Je mets sous vos yeux le de
ns des muscles du cou sont généralement latérales, et non directement postérieures . La contracture du dos et des lombes est fort r
ns ce cas à voir, comme chez les vieillards, la faiblesse des muscles postérieurs suivie de flexion en avant, de cyphose. Point du
effet, dans tous ces cas, la colonne vertébrale, ouverte à sa partie postérieure , est relevée en arrière et recourbée au point que
ent du squelette. Il serait assez naturel de penser que les muscles postérieurs du tronc contribuent par leur contraction tonique
verser la courbure du sacrum et du coccyx, et les accoler à la partie postérieure du crâne. La pression du liquide céphalo-rachidie
urner le moins du monde autour de leur axe. Les courbes antérieure et postérieure , comme vous le voyez sur cette pièce , sont exact
apophyses transverses qu'à la condition de se déformer. Leur courbure postérieure augmente du côté où les apophyses se portent en a
i de la concavité. Le thorax cesse donc d'être symétrique ; sa partie postérieure se bombe légèrement du côté convexe de la courbur
colonne antérieure du rachis ; 2° les arcs vertébraux, ou la colonne postérieure . 1° Colonne antérieure. — La dépression normale
on m'a paru moins prononcée que celle des noyaux osseux. 2° Colonne postérieure . — Ici les déformations sont encore bien plus pro
a partie antérieure de chaque vertèbre ne correspond plus à sa partie postérieure ; mais l'anneau n'a pas tourné en totalité sur lu
ls de scoliose légère. Dans tous les autres, la flèche de la courbure postérieure n'égale que les deux tiers, la moitié, le tiers,
à part quelques exceptions, la différence des courbures antérieure et postérieure est d'autant moins grande que les courbures sont
. 5° Il suit de tout ce qui précède que la colonne antérieure et la postérieure ont une longueur inégale. La seconde est plus lon
tout à fait antérieure, la convexité droite devient postéro-droile ou postérieure , et, vice versa, la concavité droite est antéro-d
rtes courbures, la lordose naturelle s'efface et la convexité devient postérieure comme à la région du dos : c'est ce que l'on voit
, serrées, quelquefois articulées ou soudées entre elles. A la région postérieure se voient : Io la série des apophyses transverses
nteuse, cède en outre plus facilement à ces influences que la colonne postérieure , dont les os ne sont pas séparés par des couches
es subissent alors une espèce de torsion ; les colonnes antérieure et postérieure , ou, dans chaque vertèbre, le corps et l'arc, ces
te le plus de connaître, c'est la configuration nouvelle de la région postérieure du thorax. La petite différence de voussure des d
du thorax, comme la flexion latérale physiologique, et non une bosse postérieure . C'est surtout le siège, l'étendue, le degré de l
re, nous avons vu quels désordres la scoliose entraîne dans îa région postérieure du thorax. Il nous reste à examiner la conformati
la partie antérieure des corps vertébraux. D'un autre côté, la paroi postérieure du .canal rachidien, formée par les arcs, décrit
sales droites, le poumon droit est refoulé par les vertèbres. Le bord postérieur du médiastin est porté à droite avec le rachis. C
eur restant fixé au sternum ou se déplaçant beaucoup moins. La partie postérieure du poumon droit perd donc de son étendue transver
cique antérieure, à la pression directe des vertèbres et de la partie postérieure des côtes; plus résistant que les poumons, il cèd
hage. — Les divers canaux renfermés entre les deux lames du médiastin postérieur subissent quelques changements. Plusieurs auteu
ut à sa face inférieure. La colonne vertébrale s'imprime sur son bord postérieur ; les côtes s'enfoncent dans son lobe droit, et y
nais pas un seul fait qui prouve que la courbure latérale de l'épine, postérieure à la naissance, se soit jamais produite de cette
s et présentent des irrégularités en rapport avec celles de la partie postérieure . La clavicule gauche est ordinairement plus saill
llie sternale. Ce cas est un exemple de la double bosse antérieure et postérieure du polichinelle. Les organes thoraciques paraisse
nature, on a soin de donner au tronc la même direction antérieure ou postérieure , sans quoi elles ne seraient pas exactement compa
che. Le cœur semble quelquefois, sous la main, aussi près de la paroi postérieure de la poitrine que de l'antérieure, bouvier, 29
tes par d'autres causes, comme une voussure circonscrite de la région postérieure du thorax, indépendante du rachis, une voussure l
isposition normale chez un adulte. 3° On reconnaît le développement postérieur qui se lie à celui de tout le demi-thorax, à ce q
iveau de la gibbosité antérieure, tandis qu'on ne voit pas la saillie postérieure modifiée immédiatement par la pression ; ce n'est
ale, 1838. Les pelotes remplacent la main qui embrasse la convexité postérieure des côtes ou la saillie répondant à la convexité
convexité de la courbure du ra-chis. Si la pression était tout à fait postérieure , elle agirait très-peu sur cette courbure ; si el
a collection. Ils représentent avec une parfaite exactitude la partie postérieure du tronc de quatre jeunes filles avant et après l
III. Abcès ilio-abdominaux.................. IV. Abcès de la région postérieure du tronc.......... 30 V. Abcès thoraciques.....
......... 390 1° Colonne antérieure............... ib. 2° Colonne postérieure ................ 392 c. Torsion.................
47 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
deux derniers sont formés par des fibres qui proviennent du cordon postérieur , du fioaiculos gracilis et etineaitis, et qui v
ur est terminé. Il est formé de fibres qui, prove- nant des cordons postérieurs , s'accolent à la portion motrice (déjà entrecro
milieu des fibres motrices (rouges) des pyramides, dans leur partie postérieure et externe, puis se recourber et marcher parall
sensitif pénètrent dans la portion motrice des pyramides- sa partie postérieure et moyenne. Un cer- rq. 1. Coupe du bulbe ci la
, par sa partie externe ; les plus profondes s'accolent à sa face postérieure et externe et montent verticalement. Fz9. 2. -
e moyenne de l'entrecroisement sensitif. - F S A, Faisceau sensitif postérieur et externe, qui ne pénètre pas dans les pyramid
tteints d'incoordination mo- `trice liée à une sclérose des cordons postérieurs . Les plus malades d'entre eux sont à l'infirmer
'sensitives venant de tel ou tel muscle : Si on coupe les1 racines postérieures , correspondant aux- nerfs de tout'un membre, on
l'inégalité du tonus : * ' j Lorsqu'on'sectionne toutes les racines postérieures correspondant aux nerfs d'un membre,,on remarqu
es membres. « Si» l'on coupe, dit M. Vulpian \ toutes les,, racines postérieures des nerfs destinés à1' un des membres postérieu
les,, racines postérieures des nerfs destinés à1' un des membres postérieurs ;' on voit-que'les mouvements' de ce membre ces
l'état normal en parfaite harmonie avec ceux dé l'autre mem- bre postérieur , pour les mouvements de nage et de 'saut ? ' La
e, on rendrait un animal incoordonné en lui sectionnant les racines postérieures ; or, on produit bien ainsi un trouble des mouv
avec ceux présentés par les ma- lades atteints de lésions du tiers postérieur de la capsule interne. Les troubles de la sensi
moitié inférieure. Au niveau des deux fonta- nelles, antérieure et postérieure , l'os est mince, quoique non dépressible, non p
ns dans son cinquième. inférieur et ses 2/5' supérieurs. Le tiers postérieur de la première circonvolution frontale est médi
te résulte une espèce d'encoche que sépare en quelque sorte le lobe postérieur du lobe antérieur. Les trois rayons postérieurs
uelque sorte le lobe postérieur du lobe antérieur. Les trois rayons postérieurs de l'insula sont un peu atrophiés et indurés.
yens, d'un blanc opaque comme celle du côté opposé. Toute la partie postérieure de la première circonvolution frontale, aussi b
, de la lésion des trois circonvolutions frontales dans leur partie postérieure , de la lésion de la frontale ascendante et de l
ntérieur du lobe moyen que nous ne l'avons vu à gauche. La partie postérieure de la troisième circonvolution frontale est grê
ce lobe de la partie de l'hémisphère restée saine. Les trois rayons postérieurs de l'insula de Reil sont indurés, très atrophié
rés, très atrophiés, grêles, d'un blanc opaque. Les circonvolutions postérieures à la pariétale ascendante ont une configuration
nvolutions, moitié qui est un peu irrégulière ; îlots sur la partie postérieure de la troisième cir- convolution temporale ; su
s grand nombre. Distribution. a) Face convexe îlots sur la partie postérieure de la troisième circonvolution frontale, sur la
ontale ascendante ; au centre de la pariétale ascendante. A l'angle postérieur de la circonvolution d'enceinte de la scissure
ière du- lobule frontal inférieur, mais très loin de la terminaison postérieure de la scissure de Sylvius. C A, circonvolution
ilement que le travail purement intellectuel. Dans ses publications postérieures , en 1878, en 1879, M. Lombard s'attache encore
ture plus prononcée à la partie antérieure du crâne qu'à la partie postérieure , à gauche qu'à droite. « Pendant le dis- cours,
sième frontale, la jambe répond à un centre étendu vers la région postérieure , le triceps crural répond à la partie postérieure
du vers la région postérieure, le triceps crural répond à la partie postérieure du lobe occipital, les muscles abdominaux et ce
ent correspondre aux circonvolutions tempo- rales, vers leur partie postérieure . M. Amidon fait remarquer à ce propos, non sans
aisceaux de l'isthme connus sous le nom de bandelette longitudinale postérieure renferme des fibres ner- veuses qui vont, par u
s antérieurs dérivent seuls du mésen- céphale ; ' 2° Que la paire postérieure est une addition secondaire, née de la partie p
la paire postérieure est une addition secondaire, née de la partie postérieure du cerveau; 3° Que la description courante de l
pique de cerveaux de serpents a prouvé à l'auteur que les ganglions postérieurs avaient même forme et même structure chez ces a
plus, la paire antérieure a une structure vraiment corti- cale, la postérieure , d'apparence gélatineuse, se compose de cel- lu
en trouve dans les ganglions sensoriels. L'irritation des paires postérieures faites sur des opossums n'a amené aucun trouble
re distincte. Il est très probable, dit l'auteur, que les ganglions postérieurs sont en relation avec le sens du tact parce que
au en rapport avec ces ganglions peut être suivi jusqu'aux colonnes postérieures de la moelle; 4° La paire postérieure est hyper
e suivi jusqu'aux colonnes postérieures de la moelle; 4° La paire postérieure est hypertrophiée chez les animaux à vue courte
ois centimètres, l'introduction d'un couteau de Beer dans le sillon postérieur jusqu'à la paroi antérieure du canal vertébral
antérieur gauche, tandis que la moi- tié latérale droite, le cordon postérieur gauche et toute la subs- tance grise sont divis
mal, on constate que les mouvements sont très nets dans le membre postérieur gauche. Le lendemain, la patte droite est toujo
et l'anesthésie sont complètes et définitives dans les deux membres postérieurs . Sur un autre jeune chien, M. Weiss sectionne e
M. Weiss sectionne encore le cordon latéral droit, les deux cordons postérieurs , la plus grande par- tie du cordon latéral gauc
divise la moelle sur 3 points différents : t° section des 2 cordons postérieurs ; 2° section du cordon laté- ral gauche ; 3° sec
téraux n'est t que pl'esque complète. Le lendemain, les deux pattes postérieures et la queue sont paralysées, et la sensibilité
ns l'oreillette. Des végétations semblables existaient sur la paroi postérieure de l'oreillette. Toutes étaient fragiles, sans co
système sensitif ne nous a pas paru affecté. Du moins, les racines postérieures exa- minées dans deux cas ne contenaient aucun
secondaires. On attache les tendon *si des muscles antérieurs et postérieurs de la patte de l'animal sur le levier d'un myog
du geîzoz4 ? l A, muscles antérieurs de la cuisse;' - M P, muscles postérieurs de la cuisse. 1 " 1 1 . 200 ? <1 PATHOLOGI
cles antérieurs .provoquait le. phénomène du tendon sur les muscles postérieurs , et que ceux-ci,, à leur tour, réagissaient sur
, ..^t Dans la fig. 11, on peut voir les contractions des muscles postérieurs de là jambe; -PJ, et celles,-dès muscles'antéri
rigine réflexe, provoque une petite secousse secondaire des muscles postérieurs ; il Fig. 11. - Phénomène du pied ? P J, tremble
eeîl sénile.- M Et tremblement des muscles exté- rieurs du poignet ( postérieurs ) de l'avant-bras;- M P, tremblement des muscles
te sur toute l'étendue du lobe frontal, sauf au niveau de la moitié postérieure de la première circonvolution frontale ; des ad
précédentes. La pie-mère est notablement adhé- rente à l'extrémité postérieure du lobe occipital. Les poumons 'présentent une
. clinique mentale. lIJp Au niveau de. l'hexagone, la communicante postérieure gau- clle est beaucoup plus petite que la droit
épidermique, un affaiblissement avec résolution notable des membres postérieurs . Cet affaiblissement semblait dû à une augmenta
he; immédiatement contiguë à la base et au bord latéral de la corne postérieure , existe une partie fortement colorée sur la pré
'entrecroisent- avec ceux de la pie-mère. Les racines et les cornes postérieures et tout le reste de la coupe sont sains. Histol
o-latéral droit, une tache triangulaire qui est séparée de la corne postérieure par les processus réticulaires restés sains. Là
s, branches du facial,, à l'exception duS¡raIpe : gJ,¡auricu" laire postérieur qui, évidemment,' n'avait pas été, compris. dans
nt jusqu'à extinction'complète,'a'l'excëption ? du nerf auriculaire postérieur qui' resta normal' 'et' du 'maxillaire'3 5 sous
cules quadrljumeaux,. et pouvant ? s'étendre jusqu'à' leur1 partie' postérieure ^ tandis, que^ lalpâralysie limitéenà-Tirisret '
it du cervelet,.qui était en partie envahi,, tandis que, la partie, postérieure de ce même l2 ? e- était, ramollie., Le, cercea
e la moelle ait envahi la pie- mère,, ou que les fibres des racines postérieures soient englo- bées dans la partie lésée, ou bie
caudé du corps strié, la couche optique, et une partie de la corne postérieure du ventricule. Un liquide séreux, d'une livre e
ur l'autre, à angle aigu, et se présentent réciproquement leur face postérieure . Des deux côtés enfin, le pied est fléchi sur l
rme irrégulière : c'est l'insula, ou plutôt, à vrai dire, la partie postérieure de l'insula (PL. XI, h. : p.); car la partie an
ontal, mais reste à découvert (Pr,. X, ha : a); quant à la par- tie postérieure de l'insula, elle se comporte absolument de mêm
re droit. Tn : a, portion antérieure de l'insula. In : p, portion postérieure de l'insula. T' ', premier sillon temporal. T
nt d'inciser la dure-mère, un petit épanchement de sang à la partie postérieure , mais le lavage le fait disparaître; la dure-mè
isse voir la face antérieure de la moelle absolument saine, la face postérieure au contraire dans l'intervalle des deux sillons
érieure au contraire dans l'intervalle des deux sillons collatéraux postérieurs , parcourue par de nom- breux vaisseaux dilatés
crivent un îlot de por- tions saines et se réunissent à l'extrémité postérieure de la scissure de Sylvius. L'atrophie intéresse
e de Sylvius. L'atrophie intéresse surtout le pli courbe, la partie postérieure des première et deuxième circonvolutions tempor
r- convolutions frontales, la région moyenne de la partie antéro- postérieure de la circonvolution d'enceinte de la scissure de
olutions de la face interne. Face interne : atrophie de la partie postérieure de la première circonvolution frontale, de la p
la partie antérieure du lobe para- central, des parties moyenne et postérieure de la circonvolu- tion du corps calleux; enfin
mélangée avec du sang. Le foyer intéresse sur- tout les deux tiers postérieurs des 2° et 3° circonvolutions fron- tales. La pi
é antérieure de la 30 circonvolution frontale; b) la partie la plus postérieure de cette même circonvolution (à cet endroit, la
ur le lobule du pli courbe (PL. VI, Pc.), empiétant sur l'extrémité postérieure de la première circonvolution temporale; - h) u
Le. foie présente à la face inférieure du lobe droit, près du bord postérieur , une scissure anormale limitant une partie sail
onique. Poids, 50 gr. Les poumons présentent tous deux, à la partie postérieure du lobe inférieur, un foyer d'hépatisation roug
, de droite à gauche et d'arrière en avant, de manière que la lèvre postérieure de l'orifice proémine dans l'oreillette gau- ch
ions du grand dentelé, allait se ramifier dans la peau de la région postérieure du coude. Le deuxième rameau huméral venait du
qu'outre les barbes du calamûs scriptorius qui for- ment sa racine postérieure et superficielle, le nerf acoustique possède un
qu'il no s'agis- sait pas purement d'une lésion isolée des cordons postérieurs . Pour d'autres cas, le diagnostic vraisemblable
tiques, décrites par Virchow. Sur toute l'étendue du plan incliné postérieur à la selle turcique, la dure-mère se laisse trè
e le siège du centre des mouvements oculo-palpébraux et la partie postérieure ou pli courbe proprement dit est ou bien le centr
ouvrir par quelle voie cette lésion se rattache à celle des cordons postérieurs , M. Dickinson est néanmoins convaincu qu'il y a
nges molles du cei veau, troubles à la convexité. Adhérence du lobe postérieur droit. Sclérose et atrophie de l'hémisphère droit
prune ; il a à peu près la dureté du cartilage. En outre, la corne postérieure du ventricule latéral droit du cerveau, au nive
sion (du moins pour les trois segments antérieurs), car le faisceau postérieur du pédoncule correspon- dant au tiers postérieu
), car le faisceau postérieur du pédoncule correspon- dant au tiers postérieur du segment postérieur de la capsule interne ne
térieur du pédoncule correspon- dant au tiers postérieur du segment postérieur de la capsule interne ne subit jamais la dégéné
res et du tronc. Il correspond aux deux tiers antérieurs du segment postérieur do la capsule in- terne. Un faisceau un peu p
sus irritatif communiqué à la moelle par l'inflammation des cordons postérieurs qu'il faut attribuer les contractures observées
Les questions restéesdans l'urne étaient t ainsi conçues : Cordons postérieurs de la moelle, anatomie et phy- MOte. A ! '<M
miner derrière l'extrémité supérieure de la circonvolution centrale postérieure (ou circonvolution pariétale ascendante), (PL.
sina; unpeuen avant : (PLVXIV; g.,4). 0n ,y,distingüé; la iportiori postérieure et supérieure derina,ula,7p,jqui,faitanHe - sur
en-lârière2ldulgenoÙ.du corpsb calleux, la section passe parle bord postérieur {dut noyau1 lèliticulàirè'^rexirémité'postérieù
quelquesoxteapathonomoniques de la sclérose fasciculée des .cordons postérieurs , et que l'on a coutume de désigner sous le nom
idemment liées au travail irritatif dont les racines et les cordons postérieurs de la moelle (et la pie-mère correspondante) so
ra-rachidienne, lorsque les racines pos- térieures ou les faisceaux postérieurs de la moelle sont compromises. « Si ces douleur
les impressions nées daus la moelle épinière ou dans les racines postérieures , sont rapportées à la périphérie par le sensori
ravail irritatif, qui porte sur les racines et les faisceaux blancs postérieurs delà moelle, amène- t-il, en même temps que les
ment, par voie réflexe, de l'irritation des faisceaux radiculaires postérieurs sur les nerfs voso-moteurs qui émergent de la m
uite de l'excitation douloureuse des nerfs sensitifs ou des racines postérieures de la moelle, congestion aboutissant rapidement
aso-moteurs (vaso-dilata- teurs) contenus dans les racines spinales postérieures . Pour que cette hypothèse fût valable, il faudr
faudrait que la présence de filets vaso-moteurs dans les racines postérieures fût établie; or, l'on sait que presque tous les
M. Brown-Séquard ' qui tendraient à faire admettre que les racines postérieures , elles aussi, renferment des filets vaso-moteur
enferment des filets vaso-moteurs. Il a vu la section des racines postérieures des cinq ou six derniers nerfs dorsaux et des d
tion des vais- seaux et d'augmentation de température des membres postérieurs ; mais on peut objecter à ces expériences qu'il
l'hypothèse do l'existence des filets vaso-moteurs dans les racines postérieures et de l'irritation directe 36 562 PATHOLOGIE
contenus dans le nerf sciatique quittent la moelle par les racines postérieures des 4° et 5° pai- res lombaires '. Il est vra
des, du zona, en conséquence de lésions portant sur les fais- ceaux postérieurs de la moelle ou sur les racines spinales sensitiv
M. Vulpian, l'existence de filets vaso-dilatateurs dans les racines postérieures de la moelle. Si la présence, dans les racines
racines postérieures de la moelle. Si la présence, dans les racines postérieures , de fibres vaso-dilatatrices admises par Strick
toire qui s'effectuent probablement vers les cordons et les racines postérieures de la moelle pen- dant les grandes crises de do
dons antéro-latéraux (dégénérescence secondaire ? ) et Ips cornes postérieures , du moins dans les segments les plus affectés ;
D'UNE FORME particulière d'affection parenchymateuse DES CORDONS POSTÉRIEURS DE LA MOELLE ; par C. WESTPHAL. (Archiv. f. Psy
uctions gommeuses dans les organes internes et sclérose des cordons postérieurs ) doit, au sens de M. W..., trancher la question
et même l'hypertrophie par places des cylindraxes, dans les cordons postérieurs ; malgré l'atteinte des cordons deGoll, il n'y e
D'où la déno- mination de p2,ocessus pa2,enchy71zateux des cordons postérieurs : t .. P. K. ' . r XVI. Étude minutieuse DE
t .. P. K. ' . r XVI. Étude minutieuse DES lésions DES CORDONS postérieurs dans UNE moelle d'ataxique; par Albert Adamkiew
it avec détails une moelle d'ataxique avec alté- ration des cordons postérieurs et arrive par le seul examen aria-' tomiqueauxc
ur desquels elles s'irradient, et ces centres sont : 1 A. Le bord postérieur libre du cordon postérieur; B. La ligne de sépa
nt, et ces centres sont : 1 A. Le bord postérieur libre du cordon postérieur ; B. La ligne de séparation moyenne des cordons
du cordon postérieur; B. La ligne de séparation moyenne des cordons postérieurs ; C. Le point d'entrée des racines postérieures
moyenne des cordons postérieurs ; C. Le point d'entrée des racines postérieures dans la moelle et leur territoire d'irradiation
ns des cloisons qui, dans la moelle lombaire, abandonnent les bords postérieurs des cornes postérieures, et en convergeant en a
ns la moelle lombaire, abandonnent les bords postérieurs des cornes postérieures , et en convergeant en arrière traversent le ter
et en convergeant en arrière traversent le territoire des cordons postérieurs ; E. Les limites entre les cordons de Goll et d
es points sont ceux où le tissu cellulaire pénètre dans les cordons postérieurs et autour desquels il se subdivise comme dans l
atique vulgaire, et non une affection parenchyma- teuse des cordons postérieurs ; ce n'est pas non plus, par conséquent, une ma
cialement aux deux systèmes que nous connais- sons dans les cordons postérieurs , mais suit sa .marche propre tantôt dans ceux-c
e de la moelle montre une dégéné- ration de la totalité des cordons postérieurs dans la région lombaire et dans la région dorsa
ale et lombaire, les cellules nerveuses, aussi bien dans les cornes postérieures , que dans les cornes 'antérieures-, étaient gra
omes : il cite le fait' d'une moelle^ cervicale, dont' les. cordons postérieurs .se trou- REVUE d'anatomie pathologique. 585 v
Luys avec atrophie des circonvolutions de la face interne des lobes postérieurs , M. Hartmann se contente de citer les expérienc
résume en la dégénérescence grise ou atrophique des cordons blancs postérieurs constituée dans le premier cas par la consistan
elles se propageraient promp- tement à toute la hauteur des fibres postérieures jusqu'à la moelle allongée on prenant fin au pl
e conduire toutes les impressions; l'atrophie partielle des racines postérieures peut aussi coexister avec la sensibilité, par s
faisceaux pyramidaux et de certains systèmes de fibres des cordons postérieurs , faible atteinte des cordons latéraux dans le c
let, des cordons de Goll, et du champ postéro-externe des cordons postérieurs ; symptomatologie : paralysie et contracture des
surdité, dégénérescence presque absolue des cordons et des racines postérieurs , de l'ensemble des cordons latéraux dans le cer
autopsie a montré récemment une sclérose très prononcée des cordons postérieurs . Mais cette restauration de la sensibilité ne c
610 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. saignante, portant à son extrémité postérieure des lambeaux de ligament glosso-épiglottique. «
hospice, en raison de leur infirmité. (13.) 630 bibliographie. et postérieure du tronc, puis vient s'appliquer en travers de la
rière du lobule frontal inférieur, mais très loin de la terminaison postérieure de la scissure de Sylvius. C A, circonvolution
re droit. In : a, portion antérieure de l'insula. In : y, portion postérieure de l'insula. T', premier sillon temporal. T '
ale antérieure (ou frontale ascendante). B, circonvolution centrale postérieure (ou pariétale ascendante). R, sillon de Rolando
lit a, lobe antérieur de l'insula (portion déprimée). In : p, lobe postérieur de l'insula (portion proéminente). 0, lobe occi
centimètre en avant du chiasma des nerfs optiques. (C'est la face postérieure ). NC, noyau caudé. 0, avant-mur (claustrum).
osté- rieure.) T p, substance grise de la circonvolution centrale postérieure , ou pa- riétale ascendante, qui pénètre dans le
x, capsule externe. 0, l'avant-mur, épaissi en haut. I y, portion postérieure de l'insula, en saillie sur la surface cérébrale.
48 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
it où elle se divise pour donner nais- sance aux artères cérébrales postérieures on remarque à gauche une forte dila- tation cyl
serpen- tant jusqu'aux extrémités de leurs rameaux. La communicante postérieure est aussi très largement dilatée ; de même la c
re. SgR, substance gélatineuse de Rolando. cop, reste de la corne postérieure . cl, cordon latéral de la moelle épinière. Co
au du nerf moteur oculaire ex- terne. Fli), faisceau longitudinal postérieur . Pyg, pyramide gauche déformée. Ntrap, noyau
corps trapézoïde. NPt, noyaux du pont. Flp, faisceau longitudinal postérieur . Rm, ruban de Reil médian très diminué à gauc
latie et atrophiée en partie à gauche. Flp, faisceau longitudinal postérieur . Cal, calotte ou tegmentum. Pcs, pédoncule cé
C. MONAKOW inférieur de Meynert, Hinterstrangende [fin des cordons postérieurs ] de Wer- nicke) est si complètement atrophiée à
II, D, et PI. III, E). La partie latérale du faisceau longitudinal postérieur gauche est atrophiée par l'effet direct de la c
s-THALAMiQUE. Au milieu du noyau rouge et dans les régions les plus postérieures du corps de Luys, le thalamus droit est en to-
halamus font aussi partie de ce foyer de ramollissement. Le noyau postérieur de la couche optique (v. Monakow) e généré de mêm
uillé externe et le pédoncule cé- rébral et qui fait suite au noyau postérieur du thalamus. Le foyer de ramollis- sement s'éte
aisceau Bath de Forel est diminué à droite. Les artères des parties postérieures du thalamus sont dilatées et pleines de sang. O
s géné- raux plus marqués, par suite de la compression de la moitié postérieure du pont et du tubercule acoustique. La pathog
secondaires dues à la compression des organes de la fosse crânienne postérieure . Il ne s'agissait pas seulement ici d'une inter
cula- tion et les "effets de la pression sur les parties du cerveau postérieur op- posées à l'anévrysme). C'est seulement en
ur, mais elle disparaissait à la hauteur de la commissure cérébrale postérieure . Dans la figure 9 du mémoire de Edinger on cons
gros intestin ne présente rien de particulier. Au niveau de la face postérieure de l'estomac se trouvent deux tumeurs fibreuses
nes; elles restent en partie ca- chées par les cheveux. A la partie postérieure et inférieure du cou, au niveau de la vertèbre
graisseuses, elles ne dépas- sent jamais, à la partie supérieure et postérieure de la nuque, une ligne réunissant la base des d
teux autour du cou divisé en deux par un sillon médian antérieur et postérieur . La peau au niveau de la tumeur est peu mobile et
âgé de 42 ans. Quatre tuméfactions lipomateuses si- tuées à la face postérieure du cou séparées par deux sillons perpendicu- la
e tumeurs à la nuque depuis 6 ans. Il présente maintenant à la face postérieure du cou une tuméfaction quadrilobée dont la limi
e le point de départ et d'attache de cette tumeur parait être l'arc postérieur des deux premières vertèbres lombaires. ce nive
ins considérable. L'im- possibilité de l'examen clinique de la face postérieure de la colonne, masquée parle néoplasme, permett
hypothèse en montrant une colonne lom- baire normale, sans fissure postérieure . Nous sommes donc amenés à éliminer les tumeurs
u derme, alors qu'ici le pédicule allait s'insérer jusque sur l'arc postérieur des vertèbres. Enfin, l'augmentation de volume de
xome d'origine congé- nitale, inséré à la région lombaire sur l'arc postérieur des vertèbres, se rapprochant du molluscum soli
Brissaud, se trouve aussi au Rijk Muséum, accompagnée d'une édition postérieure . Cette dernière porte la légende suivante, dont
'éloge du tabac. La pièce de Thomas Corneille est de 1611. Elle est postérieure de vingt années environ au Don Juan de Molière, q
e sur la région de la base du 3e ventricule depuis l'espace perforé postérieur jusqu'aux bandelettes olfactives et circonvolut
s le 3° ventricule et arrivait même jusqu'au trigone. Par la partie postérieure elle écartait vi- goureusement les pédoncules c
autopsie, il existait en elfe[ une scléi,pse évidente des faisceaux postérieurs delà moelle. Ou vérifia l'étal du rachis et l'o
splanchniqucs sains. Encéphale sain. Moelle : sclérose des cordons postérieurs . Thrombus fibroides oblitérant les artères popli
urs . Thrombus fibroides oblitérant les artères poplitée et tibiale postérieure . Examen du squelette après macération dans l'e
la face externe. Destruction des cotyles. Coccyx sain. Sur la face postérieure du sacrum, deux ostéophytes comblant les goutti
opsie. - Rien à noter dans les grands viscères. Les artères tibiale postérieure et poplite du côté gauche sont remplies par un
le. Teinte grisâtre translucide occupant toute l'aire des cor- dons postérieurs dans les deux tiers inférieurs de la moelle et se
es racines de la queue de cheval sont les antérieures normales, les postérieures atrophiées, grises, extrêmement graci- les. L'e
pus ni de tumeurs. La dure-mère rachidienne qui recouvre la face postérieure des corps des vertèbres altérées est un peu épa
pophyse grêle de deux centimètres de long s'étend du milieu du bord postérieur du trou obturateur à sa partie antérieure. La cav
tres de largeur, de cinq centimètres de longueur occupent à la face postérieure du sacrum les gouttières sacrées : elles s'implan
ire offrent seules quelques par- ticularités il signaler; la partie postérieure du corps de la première lombaire, quoique très
ise du poumon gauche. Encéphale sain. Moelle : sclérose des cordons postérieurs . Examen du squelette après macération dans l'ea
ont été trouvées normales il l'examen microscopique. Les racines postérieures cervicales sont formées par un mélange de fibres
un mélange de fibres saines et de fibres atrophiées. Les racines postérieures lombaires sont très diminuées de volume : elles o
e longueur et d'un centimètre et demi de base environ, dont le côté postérieur termine la série des festons tracés par les bor
ictus, mort dans le coma. Autopsie. - Moelle : sclérose des cordons postérieurs sur toute la hauteur. Crâne d'épaisseur remarqu
excursions de la rotule, on perçoit un frottement dur entre sa face postérieure et les parties osseuses correspondantes du tibi
ée en masse, régulièrement par ailleurs, sauf cependant à la région postérieure . Les condyles du fémur, les plateaux du tibia s
rtique. Congestion pulmonaire double. Moelle : sclérose des cordons postérieurs étendue sur toute la hauteur de la , moelle. Le
e sacrum est très friable lui aussi. Les trous sacrés antérieurs et postérieurs sont agrandis et leur pourtour os- seux s'effri
atérale externe. Observation IL - Les deux genoux vus par leur face postérieure . arthropathies tabétiques (Gibert) Masson &
s LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE 157 Î Circonflexe. - Dans la partie postérieure du deltoïde gauche, hypoexcitabi- lité surtout
minution existe 158 R. CESTAN surtout pour les muscles de la face postérieure de la cuisse. A gauche, les cou- rants galvaniq
es muscles antéro-externes de la jambe, dans les muscles de la face postérieure de la cuisse, dans les muscles du mollet, on co
fois des douleurs en ceinture, signes de l'inflammation des racines postérieures . La participation des racines antérieures se trad
de tout le membre supérieur droit et aussi de la région latérale et postérieure du thorax du même côté (PI. XXV). Cette hypertr
nous étudions ; la plus volumineuse siège dans la région dor- sale postérieure droite au niveau de la pointe de l'omoplate et se
la pointe de l'omoplate et se décom- .pose en une masse principale postérieure , et une masse accessoire s'enga- geant dans le
rtérite nodulaire, situés symétriquement sur les artères cérébrales postérieures , entre la bifurcation dû tronc' basilaire et la
ieures, entre la bifurcation dû tronc' basilaire et la communicante postérieure . Sur l'artère du côté droit, il s'agit d'artéri
n (Méthode de Pal). C, - droit, dégénéré D, Coupe de la cérébrale postérieure gauche. E, droite. Massos ET G", Éditeurs.
DE WÉBER SUIVI D'AUTOPSIE 175 localisés aux deux artères cérébrales postérieures , en un point très- limité, situé entre la bifur
é, situé entre la bifurcation du tronc basilaire et la communicante postérieure . Or c'est précisément de ce point que naissent
du moins, un ramollissement du lobe occipital, puisque la cérébrale postérieure , de ce côté était tout fait oblitérée ? Parce q
e, de ce côté était tout fait oblitérée ? Parce que la communicante postérieure qui se trouvait en de- hors et au delà du foyer
, somme toute,facile à saisir : artérite nodulaire sur la cérébrale postérieure , englobant une ou plusieurs artérioles pédon- c
e une attitude anormale.En effet, au lieu de voir la pointe du pied postérieur reposer par terre et le talon relevé, ainsi que
térieure saine est légèrement fléchie sur la cuisse et que la jambe postérieure est presque en extension. . Le pied paralysé
e la môme attitude aussi . 4n dans le pas antérieur que dans le pas postérieur , ceci dépend de l'im- mobilité presque permanen
on ne présente pas le moindre mouvement. Il y a parfois dans le pas postérieur de la jambe malade, un léger soulèvement du tal
-tarsienne pendant les différentes phases de la marche. Dans le pas postérieur , le pied est horizontal sur le sol, il s'avance p
du torse sont très caractéristiques depuis le commence- ment du pas postérieur , il se penche en avant de plus en plus jusque ver
il se penche en avant de plus en plus jusque vers la moitié du pas postérieur , moment où il commence à se relever en même tem
légère flexion, flexion qui s'accuse pendant toute la durée du pas postérieur , mais qui n'est pas non plus si indiquée que norm
il y a lieu de distinguer l'allure du pas antérieur de celle du pas postérieur lorsque la jambe ma- lade est oscillante. Dans
as postérieur lorsque la jambe ma- lade est oscillante. Dans le pas postérieur la malade tire après elle et avec grand effort
ysée lorsqu'elle passe à la phase d'oscil- lation. En effet, le pas postérieur est plus long que le pas antérieur, la vitesse
ambe oscillante n'est pas si accusée qu'à l'état normal dans le pas postérieur , de môme que dans le pas antérieur, elle n'est
st rare et assez souvent le pas antérieur est aussi long que le pas postérieur . 12 xiii 12 182 M. G. 111AnIl'iESCO Si on e
égère flexion, flexion qui s'ac- cuse pendant toute la durée du pas postérieur , mais qui n'est pas non plus si accusée que nor
ée d'un certain degré de mou- vement ; elle est fléchie dans le pas postérieur et présente le talon relevé ; ce qui fait que l
est incliné en avant d'une ma- nière exagérée seulement dans le pas postérieur , dans le pas antérieur au contraire il se renve
IQUE 185 moins volumineux dans les régions cervicales antérieure et postérieure ; « mais ce bourrelet ne reproduit jamais l'aspe
ues et occupent : la région mas- toïdienne, la partie inférieure et postérieure du cou, la région sus-ma- xillaire, la région l
du public (1) Le tableau en question est daté de 1616. Il est donc postérieur de près d'un siècle à la gravure de Lucas de Le
ux tumeurs symétriques, plus bas, à gauche et à droite de la partie postérieure de la colonne cervi- cale. Depuis quelques mois
us ferme, comme celle des fibro-lipomes. Les tumeurs de la région postérieure du cou sont un peu plus tendues, à grains plus
liose inférieure s'ajoute une légère voussure lombaire, à convexité postérieure qui remplace la lordose lombaire habituelle. Ce
des en abduction, le corps est le siège d'oscillations soit antéro- postérieures , soit transversales et on doit se tenir auprès de
et le lobule central le sont davantage : le déclive et le tubercule postérieur du vermis le sont encore beaucoup plus. L'amygd
iche, surtout dans son tiers moyen : le tiers antérieur et le tiers postérieur sont plus faiblement colorés, ils paraissent part
sous de l'olive elle est difficile à suivre. Les noyaux des cordons postérieurs (noyau de Goll et de Burdach, noyau de Monakow)
rétro-trigéminales du corps restiforme. Le faisceau longitudinal postérieur et le ruban de Reil médian sont nor- maux. l'
es nerfs correspondants, des tubercules quadrijumeaux antérieurs et postérieurs . Les pédoncules cérébraux sont petits et relati
e fais- ceaux cérébelleux direct, les fibres des noyaux des cordons postérieurs et du noyau de Monakow, les fibres du noyau du
oscillations qui se font plus particulièrement dans le sens antéro- postérieur . Il éprouve une certaine peine à rapprocher les p
mobile, le tronc décrit deux ou trois gran- des oscillations antéro postérieures , quelquefois même davantage. Il peut encore tou
nérescence, les faisceaux pyramidaux sont plus pâles et les cordons postérieurs partiellement dégénérés (Menzel, Arndt, Thomas,
outre remarquer que l'examen des racines antérieures et des racines postérieures montre qu'à la région cervicale et à la région lo
etite qu'elle ne devrait être pour la taille du malade. Sur sa face postérieure les méninges sont injectées ; sur les surfaces
s racines n'est. pas augmenté si ce n'est dans la 6e racine dorsale postérieure gauche et la 3° ra- cine lombaire postérieure d
la 6e racine dorsale postérieure gauche et la 3° ra- cine lombaire postérieure droite. L'examen des nerfs périphériques n'avai
celle du tabès dans la maladie de Friedreich, en effet, les cordons postérieurs et surtout les racines postérieures sont relative
riedreich, en effet, les cordons postérieurs et surtout les racines postérieures sont relative- ment moins malades que dans le t
n, 187;;) signale une hémiplégie due à une hémorrhagie de la partie postérieure du lobe frontal, DE L'HÉMIPLÉGIE traumatique 37
ans les noyaux gris centraux, dans la capsule interne et la portion postérieure du ventricule latéral (fig. XVII, coupe frontal
se, pénètre dans le ventricule latéral droit et s'arrête à la paroi postérieure de celui-ci, non loin de la calcarine, d'où pos
t : BO, bandelette optique; P, pédoncule ; NC, noyau caudé, portion postérieure du ventricule latéral; C, région calcarimene. 1
et de bas en haut; P, pédoncule; CC, corps calleux; 1'L, extrémité postérieure du ventricule o latéral. \Ivssoa t : r C"1, E
anaux se termine à la surface externe de la circonvolution centrale postérieure ......... le second va plus en arrière dans la s
st le plus souvent constituée par un gibbosité. Cette gibbosité est postérieure . Elle peut être médiane, mais elle est d'habitu
signes d'une myé- lite par compression et à la sclérose des cordons postérieurs peut s'ajou- ter l'altération des cornes antéri
milieu de sa longueur une excroissance charnue, attachée à la paroi postérieure , s'étendant sur une longueur de six doigts en tra
ès lentement, et que cette lésion a commencé à une date de beaucoup postérieure . Il n'y a pas d'atrophie dans le domaine des ne
suivi à travers la capsule interne gauche. En outre dans la région postérieure du genou postérieur on rencontre de petits foye
apsule interne gauche. En outre dans la région postérieure du genou postérieur on rencontre de petits foyers de ramollissement
voyons que la dégénérescence approche la région externe de la corne postérieure où la limite interne de la dégénérescence est t
ence est très accentuée et occupe aussi l'échancrure entre la corne postérieure et la corne latérale. Parmi une masse de fibres d
cellu- les plus menues de la corne antérieure ainsi que de la corne postérieure . b) Inlumiscence cervicale. - La région, où la
ement la même forme, en occupant l'échancrure droite entre la corne postérieure et la corne antérieure ; l'angle postérieur du
droite entre la corne postérieure et la corne antérieure ; l'angle postérieur du champ de dégénération, visible, dans la régi
d'un triangle, dont le sommet se trouve auprès du bout de la corne postérieure et la base au niveau du canal central ; la régi
s nettement la région dégénérative, située ventralement de la corne postérieure droite (Voyez PI. LXXI, D). La dégénérescence dan
bien moins grande; au contraire, la dégénérescence dans les cordons postérieurs et dans les racines postérieures a augmenté de be
la dégénérescence dans les cordons postérieurs et dans les racines postérieures a augmenté de beaucoup, surtout dans leur régio
bules noirs; les petites cellules moyennes des cornes antérieure et postérieure contiennent aussi beaucoup de globules noirs. Sur
à l'oeil on aperçoit déjà la région dégénéra- tive dans les cordons postérieurs de préférence auprès de la périphérie. A l'exam
rescence des fibres nerveuses est accentuée le plus dans les cordons postérieurs , principalement sur la périphérie et dans les r
s postérieurs, principalement sur la périphérie et dans les racines postérieures . Plus loin, il y aune dégénérescence disséminée
que son bord interne est contigu avec la région externe de la corne postérieure presque sur toute son étendue. La quan- tité de
procès morbide dans les enveloppes spinales. La lésion des cordons postérieurs dans les régions infé- rieures de la moelle épi
- nes antérieures ont peu souffert comparativement avec les racines postérieures et avec les cellules de la corne antérieure, qu
érie de cordons de Goll, des cordons de Burdaéh et dans les racines postérieures (dans les cordons de Burdach et dans les racine
cines postérieures (dans les cordons de Burdach et dans les racines postérieures du côté gauche la dégénérescence est un peu plus
à l'oeil nu la dégénérescence dans la région antérieure des cordons postérieurs . A l'examen microscopique la dégénérescence dans
cervicale. La dégénérescence dans la région antérieure des cordons postérieurs se trouve, à ce qu'il paraît, en liaison avec un
opiquement la dégénérescence seulement anté- rieurement de la corne postérieure des deux côtés. A l'examen microscopique on peu
sséminé. On observe une dégénérescence assez accusée dans la région postérieure des cordons postérieurs, dans les racines postéri
dégénérescence assez accusée dans la région postérieure des cordons postérieurs , dans les racines postérieures et dans les raci
dans la région postérieure des cordons postérieurs, dans les racines postérieures et dans les racines antérieures ; en outre, la
OGIE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 491 radiculaires, surtout des racines postérieures , est bien plus accentuée dans les régions infér
fait à son tour donne une dégénérescence plus mar- quée des cordons postérieurs des régions inférieures de la moelle épinière si-
et une lésion plus accentuée des fibres radiculaires et des cordons postérieurs dans les régions inférieures de la moelle épini
pinaux. C'est pour cela que la partie intra-médul- laire des fibres postérieures s'expose plus vite à la dégénérescence, que leu
e possible d'un développement de la dégénérescence dans les cordons postérieurs de la moelle épinière. La dégénérescence des fa
les étaient saines, un peu épaissies cependant au niveau de la face postérieure des vertèbres altérées. Dans un cas même, la du
. Il va donc créer ainsi deux déviations vertébrales, l'une antéro- postérieure , de meilleur équilibre, l'autre latérale, de meil
dans la cyphose, les parties latérales dans les scolioses, le bord postérieur dans la lordose, ou des points inter- médiaires
iculo-médullaire bien différents de ceux de la sclérose des cordons postérieurs . L'ostéo-arthropathie tabétique garderait pour
MARTIAL corne avait certainement atteint la moelle épinière, cordon postérieur droit et antérieur gauche et ce, pendant un mou
sang et des mucosités. Il croit qu'une balle est sortie par l'orifice postérieur des fosses nasales et a été avalée. Il est en t
le pied dans l'étrier et dans sa chute, frappa le sol de la partie postérieure de la tête. Le cheval fut arrêté, il dégaga son
me de 71 ans qui reçut il y a 4 ans une lourde caisse sur la partie postérieure et latérale gauche du crâne. Nous n'avons eu qu
s un cas de paralysie ascendante accompagnée d'oreillons. Le cordon postérieur , dans sa-partie médiane, contient un foyer prés
iculièrement le trajet des arté- rioles radiculaires antérieures et postérieures (fig. 5). Si nous passons a présent à 1 étude d
yers d'inflammation sui- vant le trajet des artérioles radiculaires postérieures et de l'artère du sillon antérieur. celui-ci se
lui de Lnckenfeld. Cette lésion qui siège aussi bien dans le cordon postérieur que dans le cordon FiG. 6. - Cellules névrogliq
treptocoque vi- rulent. La substance blanche antérieure latérale et postérieure est le siège d'une inflammation très intense.
s le domaine des différentes branches de la spinale anté- rieure et postérieure . \ Fic. 15. - Coupe transversale du renflement
ion de l'artériole centrale par des grains de lycopodium ; la corne postérieure est également le siège d'un foyer semblable ; d
térie, a produit parfois un véritable abcès localisé dans le cordon postérieur . Dans mes expériences on voit de la manière la pl
on des microbes à l'aide des lymphatiques, des méninges aux cordons postérieurs (fig. 20). On sait que l'abcès de la moelle est
ation d'abcès autour du canal épendymaire et à la pointe des cornes postérieures . 588 MARINESCO ' microbes et le degré de toxi
ation de la pie-mère et de ses prolongements (septum an- térieur et postérieur ) par les bacilles qui ont envahi également le can
A MYÉLITE AIGUË 593 elle est circonscrite à une région de la moelle postérieure ou antérieure. . Un bel exemple de méningite po
la moelle postérieure ou antérieure. . Un bel exemple de méningite postérieure , je l'ai observé avec le microbe de l'influenza
anière qu'on les voit dans les capillaires du cordon et de la corne postérieure , ainsi que dans la paroi de la spinale antérieure
ns son ensemble un arc de cercle à grande cour- bure et à convexité postérieure , le sommet de la courbure correspond à la ré- g
coude gauche, une élevure avec une touffe de poils ; sur la partie postérieure de l'avant-bras gauche, une tache pigmentaire fon
49 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
matières fécales auxquelles ces parties sont exposées. Les membres postérieurs d'un jeune chat, qui survécut près de trois mois
in (I). Chez des mammifères ou chez des grenouilles, dont la partie postérieure de la moelle a été détruite,on peut voir,dit Vale
ntin lacontractilité électriquepersister dans les muscles des membres postérieurs , jusqu'à la mort, c'est-à-dire pendant plusieurs
us les effets auxquels donne lieu l'inertie fonctionnelle des membres postérieurs , chez les annimaux, et rien que ces effets. Eh bi
environ deux mois et demi ou trois mois après, il survint à la partie postérieure et interne de l'a-vant-bras une éruption ressembl
e Pott. b) Lésions fascicu-lées même très étendues des cordons blancs postérieurs ou antéro-latéraux, etc. — 2e groupe : Lésions de
la moelle épinière : qu'elle occupe exclusivement soit les faisceaux postérieurs , soif les faisceaux latéraux, ou, simultanément,
de la moelle épinière faiie dans le renflement lombaire — A, racines postérieures . — B, faisceaux radiculaires internes traversant
s. — B, faisceaux radiculaires internes traversant l'aire des cordons postérieurs . On voit la sclérose limitée dans les cordons pos
des cordons postérieurs. On voit la sclérose limitée dans les cordons postérieurs au parcours de ces faisceaux. A droite, le parcou
et qui est représenté par un petit foyer de sclérose. — A, A, cornes postérieures . nombreux myélocytes et porte, par conséquent,
uite). Sommaire. — Affections cutanées dans la sclérose des cordons postérieurs ; Éruptions papuleuses ou lichénoïdes, urticaire,
es cornes antérieures de l'axe gris ; on les observe dans la sclérose postérieure (ataxie locomotrice) et dans certains cas d'atrop
quelque sorte pathognomo-niques de la sclérose fasciculée des cordons postérieurs , et que l'onacoutumede désigner sous le nom de do
leur trajet intra-spinal, ceux des tubes nerveux émanant des racines postérieures , qui, sous le nom de faisceaux radiculaires inter
isceaux radiculaires internes (masses fibreuses inter-nes des racines postérieures ) dans la nomenclature de Kolli-ker (1 ), traverse
lli-ker (1 ), traversent dans une certaine étendue l'aire des cordons postérieurs , avant de pénétrer dans les cornes postérieures d
due l'aire des cordons postérieurs, avant de pénétrer dans les cornes postérieures de la substance grisé. Il ne paraît guère possi
es à l'une quelconque des lésions suivantes : 1° atrophie des racines postérieures avant leur entrée dans la moelle épinière ; 2° mé
ures avant leur entrée dans la moelle épinière ; 2° méningite spinale postérieure ; 3° sclérose des cornes postérieures de la subst
épinière ; 2° méningite spinale postérieure ; 3° sclérose des cornes postérieures de la substance grise ; 4° lésions irri-tatives d
s lésions appréciables qui furent rencontrées occupaient les cor-dons postérieurs et consistaient en une multiplication des noyaux
e l'existence d'altérations quel-conques, soit dans les cornes grises postérieures , soit dans les nerfs périphériques, soit enfin su
D'après cela, ce serait dans l'altération irritative des faisceaux postérieurs de la moelle épinière qu'il faudrait chercher le
à croire, au contraire, que les fibres sensitives, issues des racines postérieures qui composent pour une part, les fais-ceaux radic
sans incoordination des mouvements, sclérose commençante ,des cordons postérieurs de la moelle épinière. In Comptes rendus des séan
ions vésiculeuses, pustuleuses ou enfin gangreneuses. Les faisceaux postérieurs sont-ils les seuls départements de-là moelle épin
; et quant au rôle que pourraient jouer à cet égard les cornes grises postérieures , nous sommes, sur ce sujet, dans l'ignorance la p
terminé lui-même par l'oblitération em-bolique d'une artère cérébrale postérieure . Quant au zona, voici, je pense, suivant quel méc
3. Charcot. Œuvres complètes, t. i. 6 à Tune des racines spinales postérieures de la queue de cheval. 11 est probable qu'à son p
s un épanchement sanguin du volume d'une amande. — L'artère cérébrale postérieure du même côté est complètement oblitérée par un th
eval, du côté gauche, on trouve, accolée à l'une des racines spinales postérieures qui donnent origine au plexus sacré, une artériol
ndue du renflement lombaire, où elle remonte le long du sillon médian postérieur , contrairement à la disposition que présente habi
la disposition que présente habituellement le plexus artériel spinal postérieur . Elle occupe le siège, le plus habituellement ;
aux extrémités internes des circonvolu-'ons marginales antérieure et postérieure , sont transformés en une boni II que le décubit
édominant, et ce rôle est partagé sans doute par les faisceaux blancs postérieurs , car nous savons que les irritations de certaines
raient de lésions irritatives occupant, soit les parties centrales et postérieures de la subs-tance grise, soit encore les faisceaux
postérieures de la subs-tance grise, soit encore les faisceaux blancs postérieurs . A ce point de vue particulier, il y a lieu de re
e jour —Autopsie : Une masse purulente couvre les faces antérieure et postérieure de la moelle et s'étend de-puis la queue de cheva
1. Cannstatt's Jahresbericht, 1868-1869. 3e Bd., 391. des cordons postérieurs , etalors que l'incoordination motrice est encore
droit. — A', corne antérieure du côté gau-che. — B, Commissure grise postérieure et canal central. — C, Sillon médian intérieur, —
, b', Groupe de cel-lules antérieur interne, — c', Groupe de cellules postérieur externe du côté droit. Le groupe cellulaire corre
ice progressive: sclérose des cordons posté-rieurs, méningite spinale postérieure , atrophie des racines pos-térieures des nerfs rac
motrice ; mais, le plus souvent, la lésion porte alors sur les cornes postérieures . Or, il en était tout autrement dans deux cas d'a
le processus inflammatoire, primitivement développé dans les cor-dons postérieurs , a pu, chez nos deux malades, occasionner le déve
trophiques ont tous leur origine centrale dans les ganglions spinaux postérieurs ou dans les ganglions analogues des nerfs crânien
-goïdes, du zona, en conséquence de lésions portant sur les faisceaux postérieurs de la moelle ou sur les racines spinales sensitiv
tion des corps amyloïdes) ou à l'un d'eux (plaque scléreuse à la face postérieure du bulbe). Dans le cas le plus net, on ne constat
s, nous savons seulement que des plaques ont été vues sur les racines postérieures et antérieures ; mais non s ignorons s'ils ont ét
l'épendyme. Elle est prédominante aussi dans cette partie des cornes postérieures connue sous le nom de substance gélatineuse de Ro
lésions du cerveau, ou de celle qui, occupant primivement les cordons postérieurs , est considérée à juste titre comme \esub-stratum
Lorsque, dans Valaxie locomotrice progressive (sclérose des cordons postérieurs ), les membres supérieurs sont affectés, il s'y pr
régions de lamoelle, une assezgrande étendue, en hauteur, des cordons postérieurs . Un fait, dont l'histoire se trouve consignée tou
autopsie, on trouva une des plaques de sclérose occupant les colonnes postérieures dans une assez grande étendue du renflement cervi
que très rarement, en opposi-tion à ce qui s'observe dans la sclérose postérieure , elle aboutit à une cécité complète (1). C'est là
vement comme cela a lieu si ordinairementdans la sclérose des cordons postérieurs . Les sphincters ne prennent part que très raremen
la parésie des membres inférieurs, qui n'existe pas dans la sclérose postérieure , ou qui ne s'y montre fout au moins que dans les
ence de l'induration grise multiloculaire avec la sclérose fasciculée postérieure , et sans nier que cette association puisse existe
ranchissent les sillons postéro-latéraux et empiètent sur les cordons postérieurs . Quelquefois même, je les ai vues, de\Tenuesconfl
ervice de M. Charcot Sclérose en plaques occupant surtout les cordons postérieurs ) : les deux autres peut-être plus caractéristique
une plaque de sclérose longue de dix centimètres, occupant le cordon postérieur gauche ; — 2° une autre, mais moins étendue en la
une autre, mais moins étendue en largeur et en hauteur, sur le cordon postérieur cdroit ; —3° au-dessous, une autre plaque assez c
essous, une autre plaque assez circonscrite, occupant les deux ordons postérieurs ; — 4° enlin, sur les faces anléro-lalérnles de la
à part ce cas exceptionnel où la lésion prédominerait sur les cordons postérieurs ,— efle ne s'accom-pagne d'aucun trouble delà sens
e de la moelle épinière et en particulier dans la sclérose fasciculée postérieure (ataxie locomotrice), principalement danslaphasei
plus élevée de la région ' ' ' , lombaire : on voit que les cordons postérieurs sont de la face. — Etourdissements pris dans tout
cléros* dans toute la hauteur des cordons latéraux. Quant aux cordons postérieurs , ils sont pris un peu partout, mais principalemen
rtie la plus élevée de la région lombaire. A ce niveau, les cordons postérieurs sont pris dans toute leur étendue 'Fig 15, c), ma
n plaques disséminées, avec prédominance des lésions dans les cordons postérieurs , la maladie a duré onze, vingt-un et vingt-huit a
ent être, dans ces cas-là, rapportées à l'envahissement des faisceaux postérieurs de la moelle épinière dans une certaine 1. Ilin
moelle allongée — la sclérose occupe, en première ligne, les cordons postérieurs , puis les cor-dons latéraux, enfin les cordons an
s impressions tactiles: elle répondrait, en quelque sorte, aux cornes postérieures de la 1. Borsieri. — lust. pract., vol. III, p.
de la couronne rayonnante et la substance blanche avoisinante du lobe postérieur . Il s'agit là, par conséquent, de lésions compl
n suit donc que la capsule interne avait dû être lésée dans sa partie postérieure . Il en a.été de même dans le fait observé parM. L
, qui s'étend jusqu'à quatre ou cinq lignes en arrière de l'extrémité postérieure de la coupe optique, de telle sorte que, comme la
de la couche optique et finit a quatre li-gnes environ de l'extrémité postérieure de la couche optique. Dans son long trajet d'un p
oyau lenticulaire et une partie de la capsule interne. Dans la moitié postérieure de leur parcours ces deux foyers n'étaient plus é
optique et se termine à peu près trois lignes en avant de l'extrémité postérieure delà couche optique (Fig. 18, 2') ; Il y avait, e
rieures de l'opercule et gagnait la surface du cerveau. Son extrémité postérieure correspondait à celle de la cou-che optique. Dans
iée. — Moelle ; légère agglomération de noyaux dans la partie la plus postérieure du cordon latéral. Cas IV. — Anne B..., femme â
tique et s'étend jusqu'à deux ou trois lignes en avant de l'extrémité postérieure de la couche optique. En avant, il est à une demi
alogues que j'ai recueillis dans les auteurs, elle occupait la région postérieure de la couche optique et les parties adjacentes de
uatre à cinq li-gnes, le foyer touche une grande étendue de la partie postérieure du rayonne-ment du pédoncule cérébral, une partie
enticulaire. — Moelle: accumulation de corps granuleux dans la partie postérieure du cordon latéral droit. En résumé, les foyers
la couche optique : la 3e partie du nucléole lenticulaire ; la partie postérieure de la capsule interne comprise entre la couche op
nous avons émises, les cordons latéraux, ou tout au moins la par-tie postérieure — celle qui tient sous sa dépendance la contrac-tu
musculaire. Le crâne et ses viscères gorgés de sang; cir-convolutions postérieures un peu aplaties : susbtancc cérébrale un peu dure
enses dans les coudes, au niveau de la région occipitale, à la partie postérieure du cou et dans les reins : c'est à ces dernières
relevant des lésions en foyer du cerveau qui siègent dans les parties postérieures de la capsule interne, sur le point qu'il a désig
g, Sclérose, au début, dans le tissu qui constitue l'espace perforé postérieur . 1. Cette planche et les trois suivantes sont e
ques ventriculaires). c, Extension des îlots scléreux à l'extrémité postérieure des ventricules laté-raux (plaques ventriculaires
lièrement disséminés dans la substance blanche des régions cérébrales postérieures ; quelques-uns sont très profonds. e, Vaisseaux
nes sont profondes.) c , Extension des îlots scléreux a l'extrémité postérieure des ventricules la-téraux. d, Ilots scléreux ir
lièrement disséminés dans la substance blanche des régions cérébrales postérieures . Quelques-uns sont très profonds. e, Vaisseaux
laques (moelle épinière). Fig. 1. — Moelle épinière vue par la face postérieure (la dure-mère sec-tionnée est rejetée de chaque c
elle étant placée verticalement. a. Partie antérieure : — h, Partie postérieure ; — s, Ilots de sclérose. Les parties sclérosée
Milieu du renflement dorso-lombaire, \(j et 17, Cône terminal, Face postérieure . Face antérieure . G. Peltier ad. nat. del.
plaques (moelle épinière). Fig. 1. —Moelle épinière vue par la face postérieure (la dure-mère section-née est rejetée sur les côt
es scléreuses elles-mêmes. Fig. 2.— Moelle épinière vue par la face postérieure (la dure-mère sec-tionnée est rejetée sur les côt
étant supposée verticalemen t placée. a, Partie antérieure. p, Partie postérieure . s, Sclérose, (Les parties sclérosées sont repr
tout entier, CHARCOT. - Oeuvres complètes Tome I. PL. VI. Face postérieure . Face antérieure. G. Peltier ad. nat. del.
e Pott. b) Lésions fascicu-lées même très étendues des cordons blancs postérieurs ou antéro-latéraux, etc. — 2e groupe : Lésions de
uite). Sommaire. — Affections cutanées dans la sclérose des cordons postérieurs ; Éruptions papuleuses ou lichénoïdes, urticair
es cornes antérieures de l'axe gris ; on les observe dans la sclérose postérieure (ataxie locomotrice) et dans certains cas d'atrop
sceaux racliculaires internes, 79. — Irritation des— dans la sclérose postérieure , 80. Faradisation et galvanisation : diffé-renc
ulée, 60 ; — descen-dante, 251 : — latérale dans l'hys-térie, 362 ; — postérieure , ccmpli-quant la sclérose en plaques, 231, 242, n
50 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
membres. Vagissements. Persistance des fontanelles antérieure et postérieure ainsi que des sutures. Plagiocé- phalie. Descri
es traces surtout visibles à la face interne de la calotte; l'angle postérieur de cette fontanelle est très obtus, si bien que
005 mm. à droite et à gau- che, la côtoie (Fig. 1). La fontanelle postérieure (Fia. 2) a l'aspect irrégulicr d'un triangle is
très lisse et n'offre que de très fai- Fig. 2. Ons. I. - Fontanelle postérieure . TRAITEMENT CHIRURGICAL. 21 blcs sillons pour
rononcée qu'explique très bien la lésion du cerveau, dont les lobes postérieurs faisaient défaut; cette partie déprimée a près
bler l'espace laissé libre par l'absence des 22 IDIOTIE. 'lobes postérieurs du cerveau. La suture coronale est très si- 'nu
présente l'encéphale vu par sa face convexe : on voit que la partie postérieure des deux hémisphères cérébraux fait défaut, ce
ipital (2 cm. 3 cm.). Nombreuses plaques translucides sur la moitié postérieure des pariétaux, la partie supérieure de l'occipi
de transparence y sont nombreuses, surtout au .niveau de la partie postérieure du pariétal droit et de la par- .tie supérieure
au niveau de leur union. La suture sagittale laisse voir son tiers' postérieur une partie rectiligne de 2 centimètres environ,
ntime' tres, il existe sept os wormiens répondant à la fontanelle postérieure . Entre ces os wormiens, qui se retrouvent sur la
angles antérieurs et supérieurs des pariétaux, à la suite des bords postérieurs de la fontanelle. Cette partie transpa- rente,
tre Compte rendu de 18 ! 12, p. 293. TRAITEMENT CHIRURGICAL. 67 postérieure , parallèle à la suture inter-pariétale et à 22 mi
ent encore sur les pariétaux et sont surtout nombreuses à la région postérieure (1) Voir son observation complète dans notre Co
ariétal. Elle forme avec la suture sagittale un angle aigu, à sinus postérieur de 25° environ. Cette brèche est en voie de rép
ité supérieure abou- tit à 2 centimètres de la sagittale. La brèche postérieure ales mêmes dimensions que la précédente. Parall
EVtLLE ET CONCOURT. Sommaire. Pè7'et7'èse711porZé; excès de boisson postérieurs à la naissance du malade, - Grand'mère paternel
oit à la table interne, soit à l'externe. Os wormiens dans le tiers postérieur des deux branches de la suture lambdoïde. Aucun
'hippo- campe, mais par places. Quelques adhérences sur la moitié postérieure de 1 Atrophie sclércuse de la moitié inférieure
u niveau du pli pariétal inférieur, du pli courbe et de l'extrémité postérieure de la première et deuxième F. Les circonvolutio
e. - Quelques adhérences sur le. lohe quadrila- tère, sur la partie postérieure de la circonvolution du corps cal- leux et enfi
de, pas d'aura : quelquefois il se plaint d'avoir froid à la partie postérieure du cou, puis par tout le corps. Pas de folie av
la moitié antérieure du lobe frontal, asseznombreusessurl;i moitié postérieure de ce lobe et sur les frontale et pariétale asc
e pli courbe, sur les tem- porales, principalement dans leur moitié postérieure . Il n'y a presque rien sur le lobe occipital, q
. Jlè1'e, migraineuse aliénation mentale en 1888; excès de boissons postérieurs iL la naissance de l'enfant. Tante maternelle,
d'appui, sur les deux fesses et les omoplates, ainsi qu'à la partie postérieure des bras, une z BOURNEVILLE, Bicêtre, 1893. 10
châtain foncé, avec un tourbillon anté- rieur à gauche. Tourbillon postérieur un peu à gauche de la ligne médiane. Pas de gan
tumeur. P, pédoncule cérébral. HÉTÉROTOPIE CÉRÉBRALE. 171 et plus postérieur que le gauche. Rien à noter pour la glande pitu
otiques, offrant une injection assez prononcée dans toute la partie postérieure .- Crâne : os peu épais. A l'inspection de la ha
lution temporale, assez bien développée, paraît normale à sa partie postérieure , mais à sa partie antérieure, elle est un peu e
ès sinueuse, assez profonde, irrégulière, bifurquée à son extrémité postérieure . La 2""= cir- convolution temporale est égaleme
olution temporale est également bien développée surtout à sa partie postérieure . Sa moitié antérieure est aussi un peu en retra
réoccipitale est très profonde; elle se prolonge jusqu'à la branche postérieure de la scissure parallèle qui circonscrit le pli
ne scissure sous-pariétale profonde et un pli pal'ilÍto-lill1biqlle postérieur . - La scissure perpendiculaire interne est très
nvolution orbitaire, assez grosse, est un peu chagrinée à sa partie postérieure . La scissure, parallèle frontale supérieure est
s circonvolutions frontales sont cha- grinées surtout à leur partie postérieure . La frontale ascendante est assez grosse ét sin
riétale profonde en X. Il existe un pli de passage pariéto-limbiquo postérieur , et un pli de passage para- limbique postérieur
ge pariéto-limbiquo postérieur, et un pli de passage para- limbique postérieur . - La scissure, perpendiculaire interne est trè
s l'aspect normal. Fi et F3 sont aplaties et amincies à leur moitié postérieure . F3 est bien conformée. Le sillon de Rolando es
mensions obliques sont de 55 millimètres environ. - La fontanelle postérieure forme un petit triangle ayant une hauteur de 25
battements, sa compression n'amène aucun accident. la fontanelle postérieure offre à la palpation une dépression de 2 centim
de la même fontanelle est très obtus, si bien que les deux côtés postérieurs du losange forment presque une ligne droite. Le
Bieêtre en 1892 (2 ans) : Persistance des fontanelles antérieure et postérieure , asymétrie crâ- nienne très accusée, écartement
r un centimètre, à bords dentelés, comble l'espace de la fontanelle postérieure . LaslalLre lambdoïde est assez dentelée et cont
la coupe de la calotte, on est frappé de la minceur de la région postérieure comparée à l'épaisseur de la région antérieure
proche de la nor- male dans sa partie frontale, mais les deux tiers postérieurs , distendus, ne permettent pas d'en décrire la c
. 219 à sa base. Poumon droit (70 gr.). Noyau hémoptoïque au bord postérieur et à la base. Coeur (50 gr.). Quelques adhé- re
sion au-dessus paraissant correspondre au siège de la fonta- nelle postérieure . Bosse pariétale gauche, beaucoup plus saillant
M4 Hydrocéphalie : cerveau. qu'à droite; elle repose sur la face postérieure de laprotubé-' rance et des pédoncules cérébrau
29 persistent : l'antérieure a 9 centimètres de dimension antéro. postérieure sur 10 centimètres de diagonale transversale. P
serait resté sans connaissance et ne serait (1) Des renseignements postérieurs nous ont appris que cette soeur est morte phtis
que l'on sent très nettemeut la dépression formée par la fontanelle postérieure qui se prolonge du côté droit du lambda sur une
qui a environ 5 cm. de hauteur sur 3 dé base, cette dernière étant postérieure . De l'angle posté- rieur gauclie de ce triangle
os wormiens soudés. La suture inter-pariétale montre dans sa moitié postérieure des particularités intéres- santes : elle est f
miens contigus en arrière à un vestige membraneux de la fontanelle postérieure de 3 cm. de longueur environ. Deux os wormiens
es membraneux persistant au point où devait exister la fontanelle postérieure , la déviation du trou occipital, Hydrocéphalie.
s de près d'un centimètre. Cette branche va rejoindre la fontanelle postérieure ; son bord externe est formé par le frontal pou
r le frontal pour les 2/3 antérieurs et par le pariétal pour le a/3 postérieur (Fig. 52). La fontanelle postérieure a la forme
t par le pariétal pour le a/3 postérieur (Fig. 52). La fontanelle postérieure a la forme d'un triangle isocèle Fig. 54. V L,
té- rieur et occupant la ligne médiane de l'aire de la fontanelle postérieure . Le plus élevé est blanchâtre, d'aspect cartilagi
du temporal, font Hydrocéphalie enkystée. 261 partie de la moitié postérieure du crâne ; ils sont larges et minces, et ont en
es et minces, et ont environ 15 centimètres de dimensions antéro- postérieures . Leur bord antérieur est en rapport avec le fro
ostérieures. Leur bord antérieur est en rapport avec le frontal, le postérieur avec l'occipital ; l'inférieur n'existe pas, pu
s surnu- méraire que nous appelons inter-fronto-pariétal, ses 3/d postérieurs forment les côtés de la fontanelle postérieure.
to-pariétal, ses 3/d postérieurs forment les côtés de la fontanelle postérieure . L'écaillé de l'occipital paraît peu développée
il l'est encore du côté droit; a gauche, il est libre dans le tiers postérieur au niveau du pariétal, mais non dans les ='/3 a
sa moitié inférieure. Au niveau des deux fontanelles, antérieure et postérieure , l'os est mince, quoique non dépres- sible, non
a chez tous persistance de la fontanelle antérieure. La fontanelle postérieure persiste chez Ess... et les sutu- res distendue
. 1880.- Tête allongée volumineuse, avec prédominance des parties postérieures et aplatissement transversal (scaphocé- phalie)
es. Thorax, rachis assez bien conformés et sans déviations. Angle postérieur des côtes très accentué. Remarquable peti- tess
4 ans. Pas d'accidents scrofuleux. Outre, le balancement antéro- postérieur du tronc, il présente comme autre tic, un petit c
ticules très petits. Membres supérieurs très grêles. A la. partie postérieure et interne du coude droit existe une fistule d'
. 298 I-IAfi-HYDRO-SCAPHOCFPHALIE. mince dans la région pariétale postérieure et occipitale, il est épais, spongoïde et opaqu
es volumineuses. Il en existe une. également au niveau de la partie postérieure du vermis inférieur, dans la région qui sépare
eurs extra-ventriculaires. Le bulbe est aplati dans le «en» antéro- postérieur . Il n'y a pas de lésions des élément» nerveux du
vascularisation de la gaine externe est très prononcée sur les 2/3 postérieurs du nerf. Les autres nerfs crâniens sont normaux
bosselé. Les kystes sont transparents. L'antérieur est bleuâtre, le postérieur , légèrement citrin. Le petit mamelon du kyste a
t le chapelet rachitique ou l'exagération de la courbure de l'angle postérieur des côtes. Un grand nombre d'hydrocéphales ont
et très myope, a de petits ganglions engorgés à la région cervicale postérieure . Elle se plaint actuellement (1893) de douleurs
céphalie chronique. longueur sur 9 cm., 5 de largeur. La fontanelle postérieure est oblitérée. Valentine a 2 incisives inférieu
51 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
s : l'antérieur ou le frontal, celui du milieu ou l'insulaire et le postérieur ou pariéto-occipito-temporal. Ces centres occupen
le plus important dans l'activité psychique est joué par le centre postérieur , mais le centre dont l'activité est associée mit
eur V. Uschinsky (3). Ce savant n'obtenait, en[irritant les racines postérieures de la moelle épinière chez la grenouille, aucun
coupé, aurait probablement montré, lors de l'irritation des racines postérieures de la moelle épinière, des contractions muscula
rs l'hémisphère gauche, avait péné- tré à peu près dans les limites postérieures du fornix, au-dessous du cor- pus callosum dans
vers l'arrière de la commissura anterior, de ses apophyses droites postérieures et latérales. Non loin du bord extérieur de la
vait détruit en arrière à gauche du corpus fornicis, tous ses crura postérieurs et 1 ité- raux et taeniae du côté gauche, les c
nouveau presque tout le corpus fornicis, excepté sa partie gau- che postérieure , restait intact ; les ventricules du cerveau étai
es cités étaient complètement t intacts et que par contre les crura postérieurs et latéraux et taeniae fornicis furent constaté
actile ou d'autres nerfs. Si on détruit d'un côté ensuite les voies postérieures , latérales et infé- rieures, qui unissent le fo
.- Ramollissement de l'écorce du lobule paracentral et de la partie postérieure de la circonvolution Fui, Dégénérescence second
interne ce l'hémisphère droit le lobule pa- racentral et la partie postérieure de la circonvolution Fi (PI. IV, B). Cette lési
du lobe occipital, où il occupe la cir- convolution 02 et la partie postérieure de Ti. L'hémisphère gauche est indemne de toute
cavité ventriculaire, coupant une partie des radiations thalamiques postérieures , dont la dégénérescence secondaire peut être suiv
n voit encore une raréfaction des fibres verticales dans le secteur postérieur qui correspond à la projection des fibres de la
dans la région qu'ils devraient occuper, c'est-à-dire dans le quart postérieur du segment postérieur de la capsule in- FIG. 3.
devraient occuper, c'est-à-dire dans le quart postérieur du segment postérieur de la capsule in- FIG. 3. Pédoncule cérébral dr
atteint qu'une partie du territoire de l'artère frontale interne et postérieure ; il n'y a donc eu vrai- semblablement que des
divisé avant l'inclusion en trois segments : anté- rieur, moyen et postérieur , d'inégales dimensions. Les segments antérieur et
yen et postérieur, d'inégales dimensions. Les segments antérieur et postérieur sont débités en coupes vertico-transversales, le
3 ; la partie orbitaire de cette dernière est conservée. Le segment postérieur comprend le lobe occipital, la partie postérieure
servée. Le segment postérieur comprend le lobe occipital, la partie postérieure des circonvolutions pariétales et temporales et
tales et temporales et, sur la face interne, le cuneus et la moitié postérieure du précuneus. La cavité kystique ne se prolonge p
plus bas (fig. 8), que l'extrémité inférieure de la circonvolution postérieure , en même temps que l'avant-mur et la capsule ex
déformé et la capsule interne suit un trajet sinueux dans sa partie postérieure . B. Dégénérescences et atrophies secondaires.
rne (fig. 8). La région du genou et la partie antérieure du segment postérieur ne sont pas occupées par du tissu fibreux mais
est le petit volume du pied de la couronne rayonnante et du segment postérieur de la capsule in- terne et leur amincissement p
la partie supérieure du pédoncule' cérébral, les fibres du segment postérieur de la capsule interne Fig. 9. - Coupe horizonta
thode de Weigert (fig. 9). On sait que dans cette région le segment postérieur de la capsule interne est traversé par des fibr
bres de projection dans le genou et la moitié antérieure du segment postérieur delà capsule interne et plus bas dans les segment
i frappe avant tout est un oedème du dos de la main et de la partie postérieure de l'avant-bras remontant un peu au delà du cou
ul cas le défaut d'ossification limité à la région de la fontanelle postérieure . Exception faite pour les enfants au-dessous de
de l'écaillé et des parties latérales) ou la largeur bizygomatique postérieure (prise aux racines postérieures des arcades zyg
térales) ou la largeur bizygomatique postérieure (prise aux racines postérieures des arcades zygomatiques), soit qu'on prenne les
les indices qui expriment le rapport entre la largeur bizygomatique postérieure et la largeur bipariétale varient, pour les pre
S ALTÉRATIONS DU CRANE DANS LA DYSOSTOSE CLÉIDOCRANIENNE 99 moitiés postérieures . Le trou occipital est orienté en avant au point
rstice d'une largeur de 1 à 30 mm. Dans les cas.extrê- mes, l'angle postérieur du malaire se réduisait a un moignon très petit,
alaires sont en parfait accord avec mes observations antérieures et postérieures sur des sujets dysostosiques vivants. J'ai pu s
la nuit pour se suicider. A l'autopsie, on constate dans la branche postérieure de la scissure de Syl- vius de l'hémisphère dro
e et de l'état des parties profondes. On voit que la circonvolution postérieure de l'insula est détruite, que les autres sont r
t effondré; celui de la 5e était atteint seu- lement dans sa partie postérieure . La moelle était étranglée, entre les 5e et 6e
ent les fibres radiculaires des systèmes endogènes dans les cordons postérieurs . Ces raisons nous font abstraire de l'histoire tr
de la partie postéro-latérale droite de la dure-mère aux raci- nes postérieures droites de la queue de cheval, à partir de l'émer
nt complet de la dure-mère section- née le long de la ligne médiane postérieure . En avant les adhérences commen- cent un peu pl
interfasciculaires, périphlébite de quelques veines radi- culaires postérieures , permettent le diagnostic de syphilome scléreux.
dante des fibres radiculaires posté- rieures remplir tout le cordon postérieur , à l'exception des formations endogènes, zone c
segment dorsal, au Pal, montre la décoloration complète du faisceau postérieur droit, sauf une mince bande de substance blanche
ce bande de substance blanche immédiatement en contact avec le bord postérieur de la corne postérieure (zones radiculaires anté-
lanche immédiatement en contact avec le bord postérieur de la corne postérieure (zones radiculaires anté- rieure et postérieure
térieur de la corne postérieure (zones radiculaires anté- rieure et postérieure ). 1 Avec la surcoloration au Van Gieson la sclé
archi, montre trois systèmes de dégénéres- cence dans les faisceaux postérieurs droit et gauche et dans le faisceau antéro- lat
- latéral gauche (PI. XXIII). La dégénérescence massive du cordon postérieur droit, marquée par de gros- ses granulations no
l. Les deux petits croissants de granulations noires dans le cordon postérieur gauche, l'un contre la racine postérieure et l'
ions noires dans le cordon postérieur gauche, l'un contre la racine postérieure et l'autre un peu plus en dedans re- présentent
L-LAVASTIN1; lez Enfin l'aire de granulations noires dans la moitié postérieure du faisceau latéral gauche représente la dégéné
hère droit. Au Van Gieson, on voit une sclérose massive du faisceau postérieur droit. A l'hématoxyline-éosine, la colonne de C
deux aires de décoloration : dans la partie postéro-interne du cordon postérieur droit et dans un croissant parallèle au bord po
e du cordon postérieur droit et dans un croissant parallèle au bord postérieur de la corne postérieure et occupent le 1/3 moye
droit et dans un croissant parallèle au bord postérieur de la corne postérieure et occupent le 1/3 moyen de la moitié postérieu
rieur de la corne postérieure et occupent le 1/3 moyen de la moitié postérieure du cordon de Burdach gauche. La première est du
res, offrent, au Pal, une seule aire de décoloration dans le cordon postérieur droit. Cette aire l'occupe tout entier, sauf la
cornu-commissurale et un demi-ovale médian le long du sillon médian postérieur , centre du centre ovale de Fleschsig (fais- ce
de Lissauer droites sont décolorées et le réticulum fin de la corne postérieure droite est diminué. La surcoloration au Van Gie
e la ménin- gite scléreuse engainant quelques faisceaux des racines postérieures de la 4° paire lombaire droite ; les racines an
nce radiculaire ascen- dante. Dans Lv elle occupe, dans les cordons postérieurs droits, la moitié postéro-interne du cordon de
u de fibres, mais peu de grains noirs. Le réticulum fin de la corne postérieure droite est à peine raréfié, mais de grosses fibre
triangle touchant la périphérie de la moelle et séparé de la corne postérieure par une bande assez étroite. Dans Si, la dégéné
assez étroite. Dans Si, la dégénérescence n'occupe que les cordons postérieurs droits. Elle y est massive, ne laissant indemne
t une mince bande, le long de la moitié antérieure du sillon médian postérieur , correspondant au faisceau de Hoche (1) (PI. XXII
ient le triangle de Gombault et Philippe. Dans le reste des cordons postérieurs droits la dégénérescence est massive (PI. XXIII
e triangle de Gombault et Philippe allongé le long du sillon médian postérieur jusqu'au bord postérieur de la moelle et la zon
Philippe allongé le long du sillon médian postérieur jusqu'au bord postérieur de la moelle et la zone cornu-commissurale de p
t par l'intermédiaire de la bande allongée le long du sillon médian postérieur (faisceau de Hoche), la continuité du fais- cea
opinion classique (2) sur les dégénérations ascendantes des cordons postérieurs , consécutives aux lésions des racines postérieu
antes des cordons postérieurs, consécutives aux lésions des racines postérieures . ' Le dessin net de la zone marginale de Westph
, une fois de plus, qu'ils ne dépendent pas des fibres radiculaires postérieures et la continuité de ces formations éta- blit le
ar une bordure mince le long de la commissure et du col de la corne postérieure (zone marginale de Westphal) et enfin par des s
rès fines réparties 1 égulièrement sur toute'.l'étendue des cordons postérieurs . Les grosses libres de la substance grise (fais
osses libres de la substance grise (faisceaux verticaux de la corne postérieure de Ki1- liker, collatérales réflexes) sont détr
QUEUE DE CHEVAL 127 rescence tertiaire, le réticulum fin des cornes postérieures et les zones de Lissauer restent intactes. »
tion tertiaire, car au Pal est diminué le réticulum fin de la corne postérieure droite. Il n'est d'ailleurs peut-être pas certa
n que les zones de Lissauer ne contiennent aucune fibre radiculaire postérieure . Pour Dejerine et Spiller (3) des fibres radicu
e postérieure. Pour Dejerine et Spiller (3) des fibres radiculaires postérieures existent aussi dans le triangle de Gombault et
uscles de la cuisse, innervés par le nerf sciatique, et les muscles postérieurs des jambes sont relativement moins touchés que
re sont intactes. Racines. Dans l'étude des racines, antérieures et postérieures , nous avons eu recours à plusieurs méthodes pou
re d'une façon très évidente de la Fig. 3, qui reproduit une racine postérieure de la moelle lombaire inférieure, sur une coupe
ombaire inférieure, sur une coupe longitudinale, longeant le cordon postérieur . Dans cette racine on observe seulement quelque
xes des fibres nerveuses qui constituent les racines antérieures et postérieures de la moelle épinière. Moelle épinière. Métho
nerveux colorés en noir est sensiblement plus grand dans la moitié postérieure de là moelle que dans l'antérieure. Cette diffé
le liquide de Marchi. Cela se voit princi- palement dans les cornes postérieures qui se montrent parcourues par de nombreux fais
8-70), qui décrivit l'existence de corps granuleux dans les cordons postérieurs de ces malades. Après lui, on trouve décrites d
boules qui étaient très nombreuses au niveau des zones radiculaires postérieures . Il considéra cette altération comme l'expressi
iffuse de la moelle avec lésion plus intense des zones radiculaires postérieures . Ransohoff (1902) en 18 moelles sur 11 provenan
ées particulièrement aux voies longues. Les altérations des cordons postérieurs étaient plus accentuées dans la moelle cervical
ite et de la racine correspon- dante avec gliose légère des cordons postérieurs . Il considéra les deux pro- cessus comme deux f
observa unique- ment un certain degré de dégénérescence des cordons postérieurs et, plus exactement, l'atrophie des fibres asce
et, plus exactement, l'atrophie des fibres ascendantes des cordons postérieurs , sur- tout dans le cordon de Goll de la moelle
réquem- ment et les plus intensément frappés en étaient les cordons postérieurs et les racines postérieures, mais d'autres syst
tensément frappés en étaient les cordons postérieurs et les racines postérieures , mais d'autres systèmes, et surtout le faisceau
tout les cas la portion extramédullaire des racines antérieures et postérieures était intacte. En outre il n'y avait pas d'altéra
lules radiculaires antérieures, névrite parenchymateuse des racines postérieures A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE
OLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE 143 et dégénération des zones radiculaires postérieures . Au niveau de la moelle sacrée la dégénération
iniques était cantonnée ex- clusivement dans les zones radiculaires postérieures . Les racines posté- rieures présentaient une lé
pécifique n'avait pas pour les racines mé- dullaires,antérieures et postérieures , la même influence pathologique, ou si l'on veu
S PLANCHES - PLANCHE XXIV Prn. 1. Coupe transversale d'une racine postérieure au'niveau de la moelle cervicale. Méthode de Ma
Zeiss. Fic. 2. - Moelle lombaire coupée transversalement. - Racine postérieure (Rp) et cordon postérieur (Cp). - Méthode de Ma
mbaire coupée transversalement. - Racine postérieure (Rp) et cordon postérieur (Cp). - Méthode de Marchi. Même grossissement.
issement. Flo. 3. Moelle lombaire, coupe longitudinale.- Rp, racine postérieure Cp, cordon postérieur. Méthode de Marchi. Même
e lombaire, coupe longitudinale.- Rp, racine postérieure Cp, cordon postérieur . Méthode de Marchi. Même grossissement. Fig. 4.
t t presque toujours la contraction du muscle triceps et des fibres postérieurs du muscle deltoïde, etc. Au membre inférieur, l
ver en même temps une contraction du triceps brachial et des fibres postérieures du deltoïde. La percussion de l'épitrochlée, le
et un peu fléchi, produit une contraction du triceps et des fibres postérieures du deltoïde, s'étendant au grand rond et au gra
driceps extenseur fémoral ou des muscles de la jambe dans sa région postérieure . Les muscles tibiaux anté- rieurs répondaient à
l'examen il existait une large tuméfaction dou- loureuse à la face postérieure de la cuisse droite, et le genou droit était ro
o à l'aide du cinématographe) balaient le sol seulement dans le pas postérieur et font le pas antérieur, ainsi que leur double p
ns la partie presque passive de la marche, c'est-à-dire dans le pas postérieur . L'hémiplégique flasque, au contraire, traîne s
ne légère flexion. Enfin les veines du dos de la main et de la face postérieure de l'avant-bras sont volumineuses et très appar
al commun antérieur. Les ligaments vertébraux communs antérieurs et postérieurs étaient à peu près intacts. Nulle part il n'y
s vertébraux, à l'exception des ligaments verté- braux antérieur et postérieur . d) Par une raréfaction du tissu osseux ancien,
erew (2) a rencontré dans une autopsie une dégénérescence du cordon postérieur , des lésions disséminées des cordons antéro-latér
i admet qu'il s'agit non de tabes vrai, mais de lésions des racines postérieures , produites par l'inflammation vertébrale au nivea
attribue à un retentissement du processus vertébral sur les racines postérieures au niveau des trous de conjugaison. Il s'agit
e,, une action marquée sur les racines et surtout sur les ra- cines postérieures . Cette action peut être déterminante du processus
observe pas d'aplatissement ni de distension des fosses moyennes et postérieures du crâne et les pyramides marquent entre' les deu
et en bas. De profil la déformation est moins accentuée. La face postérieure du crâne tombe assez à pic. La protubérance occ
C. i. (fig. 2) ; on en trouve les derniers vestiges dans les plans postérieurs de N. L. Le thaiam. opt. n'est grossièrement lé
isphère droit. Un foyer néoplasique occupe le pourtour de la partie postérieure de F3, mais sans dépasser en profondeur 2-3 mm. I
e la « pince de homard D. Son aspect est irrégulier ; son extrémité postérieure est moins renflée que celle des autres métacarpie
n s'articule en arrière avec le troisième cunéiforme et l'extrémité postérieure des premier et deuxième métatarsiens fusionnés.
er et deuxième métatarsiens fusionnés. Assez volumineux à sa partie postérieure , il se termine en avant par une extrér mité eff
ter comme normalement une tète. Il a ainsi une forme conique à base postérieure . Le squelette de l'orteil correspondant fait co
i ferait défaut. En réalité, il est vraisemblable que son extrémité postérieure a persisté, mais s'est soudée au premier métatars
deuxième orteil fait défaut. Les métatarsiens ont leurs rap- ports postérieurs normaux avec les cunéiformes. Le troisième métata
iffuse à la colonne vertébrale lorsqu'une méningite séreuse spinale postérieure s'associe à la méningite séreuse ventriculaire.
ale, et nous n'eûmes non plus aucun symptôme de ménin- gite spinale postérieure ; tout se réduisit à l'atrophie optique (précédée
e la moelle nous la trouvons séparée par une zone saine de la corne postérieure et envoyant une mince expansion vers la zone d'
e et envoyant une mince expansion vers la zone d'entrée des racines postérieures . Ses différents aspects sont des plus nets : tr
52 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de la couche optique droite et touchant par sa péri- phérie au bras postérieur de la capsule blanche interne ; l'examen histol
nviron après le début des accidents. La compression de la branche postérieure de la capsule interne 56 REVUE DE PATHOLOGIE NE
depuis le point comprimé de la substance blanche jusqu'aux régions postérieures de l'écorce cérébrale. Les s auteurs pensent qu
faisceau antérieur est plus fort tandis que les faisceaux moyen et postérieur sont plus grêles. Le triceps brachial est vigou
des phénomènes parai) tiques très accusés d'abord dans les membres postérieurs , ensuite dans les membres antérieurs de ces ani
vorables à cette opération. (13.). SOCIÉTÉS SAVANTES. 159 corne postérieure droite; cette lésion persistait dans toute la hau
ve avoir droite une pension de retraite par suite de la suppression postérieure de son emploi, peut réclamer la jouissance de c
s. A. Rôle moteur du centre visuel cortical. Centre oculo- moteur postérieur . Une vive lumière se produit à ma droite : mon
deuxième circonvolution primitive ou externe du chien entre le bord postérieur du gyrus sigmoïde et la pointe du lobe occipita
s globes oculaires et des paupières' : c'est le centre oculo-moteur postérieur , ou si l'on préfère le centre sensol'io-1notew'
nts produits par l'excitation du centre pos- térieur. A la partie postérieure du lobe frontal, probablement au niveau du pied
ntérieur corresponde la migraine ophtalmoplégique, comme au centile postérieur sensorio- moteur correspond la migraine ophtalm
ils passer indifféremment par le centre antérieur ou par le centre postérieur ? Dans le premier cas, ils sont précédés de l'i
elleuse (Thomas), protubérantielle (lésion du faisceau longitudinal postérieur ), pédonculaire, capsulaire, et enfin corticale.
iée à ,l'hémiano- psie est sous la dépendance des lésions du centre postérieur sensorio-moteu1', ou de ses fibres de projectio
n'y a rien d'irrationnel à prolonger jusqu'au pli courbe le centre postérieur des mouvements des yeux. 11 n'est pas prouvé, e
es- sion fonctionnelle des fibres sous-jacentes, issues du centre postérieur sensol'io-moteur. c) Déviation conjuguée de la
faits où la lésion, tout en étant hémisphérique, respecte le centre postérieur sensorio-moteur ainsi que le pli courbe. Il s'a
n. Ces deux centres sont l'oculo-moteur antérieur et l'oculo-moteur postérieur . Ce dernier, il est vrai, ne siège pas au nivea
émisphériques bilatérales. Les lésions bilatérales des deux centres postérieurs sensorio-moteurs nous arrêteront peu. Ils déter
le lobule pariétal inférieur, et la plus grande partie de la région postérieure des trois circonvolu- tions frontales et de l'i
ntérieurs; les yeux n'obéissaient plus qu'aux centres oculo-moteurs postérieurs . Mais comme ceux-ci sont capables de provoquer
-moteurs antérieurs avec conservation des centres oculo-mo- tetirs postérieurs . Nous avons assez insisté plus haut sur le rôle
s'avons vu que ce clignement réflexe était supprimé quand le centre postérieur était lésé : approchez le poing du visage d'un
us répondent qu'il n'en est pas de même pour le centre oculo-moteur postérieur . L'incitation qui met en action le centre oculo
entres voisins. L'excitation qui. met en jeu le centre oculo-moteur postérieur vient directement de la périphérie par les radi
s, il est possible que chez d'autres sujets, le centre uculo-motQUr postérieur puisse jouer un rôle dans les mouvements volontai
s mouvements palpébraux. 4° La lésion isolée du centre oculo-moteur postérieur pro- duit la déviation conjuguée des yeux, et l
s. Ces mouvements sont sous la dépendance des centres oculo-moteurs postérieurs restés intacts. PATHOLOGIE NERVEUSE. DE L'A
a substance cérébrale du pied de la frontale ascendante et du tiers postérieur de la troisième frontale est détruite, dilacérée
de de substance blanche et va en s'effilant sans dépasser son tiers postérieur . Coupe passant par le milieu de la pariétale as
au lenti- culaire une infiltration hémorragique.. Dans les coupes postérieures , l'hémorragie a disparu. Observation III (Rose)
ragique s'étend de la région antérieure jusque dans l'extré- mité postérieure de la capsule interne comprimant la corne desce
ique. Dans un cas, l'hémor- ragie était limitée au bord tout à fait postérieur de la face externe du noyau lenticulaire et ava
ontinue en arrière du corps strié, coupe la capsule interne (partie postérieure ) et fait par là irruption dans les cornes desce
substance même du noyau lenticu- laire que tout il fait à la partie postérieure de ce dernier, il n'y a même là qu'une simple i
x se trouve dans la subs- tance blanche, à la partie, antérieure ou postérieure . Dans l'observation V de Broadbent, l'hémorragi
mbaire, sclérose ascendante cervicale dans les colonnes médianes et postérieures . A. Marie. 222 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
lle sorte que la fente du cervelet, qui s'y insère, avec le segment postérieur de la faux du cerveau, se porte en bas et en av
peut être produite que par la pression totale exercée sur la partie postérieure du corps calleux. P. IIEft.\\'.1L. 224' i REV
- rieure pendant une heure détermine une paralysie des extrémités postérieures et l'animal meurt quelques heures plus tard de lé
roubles graves de la motilité et de la sensibilité dans les membres postérieurs , mais point de paralysie complète. L'anémie de
s s'établit la connexion du cervelet avec le fascicule longitudinal postérieur du même côté, et en partie du côté opposé; et p
non entrecroisées ; 8° Par l'intermédiaire du faisceau longitudinal postérieur s'éta- blit la connexion du cervelet avec les n
a lésion intéressait dans toute son étendue la par- tie tout à fait postérieure de la capsule interne et que chez la malade (Ob
ns sont les suivantes : Hémorragie cérébrale ayant détruit le tiers postérieur au noyau lenticulaire et de la couche optique
au noyau lenticulaire et de la couche optique et les deux tiers postérieurs de l'avant-mur : le segment rétro-lenticulair
eurs de l'avant-mur : le segment rétro-lenticulaire et le tiers postérieur du seg- ment lenticulo-optique de la capsule
rayonnante de Reil; `3° Au niveau des noyaux cen- traux : le quart postérieur du noyau lenticulaire et de la couche optique,
rieur du noyau lenticulaire et de la couche optique, les deux tiers postérieurs de l'avant-mur ' ! % ig. 5. a. substance grise;
282 CLINIQUE NERVEUSE. le segment rétro-lenticulaire et le tiers postérieur du segment lenticulo-optique de la capsule inte
e que partout où existe la lésion, les parties essentielles (partie postérieure du noyau lenticulaire et de la capsule interne)
indiquées ; 2° hémorragie ayant détruit essentiellement la partie postérieure du noyau lenticulaire et le tiers postérieur du
ntiellement la partie postérieure du noyau lenticulaire et le tiers postérieur du segment lenticulo-optique de la capsule inte
nd l'aspect d'un triangle dont le sommet serait en avant. La base postérieure est formée par une bride cutanée, de coloration r
externe. Tandis que toute la portion profonde de l'urèthre (urèthre postérieur ) est bien développé, comme l'a montré l'autopsi
ctive, la plus importante, la plus vigi- lante des racines spinales postérieures , qui ne fait que rarement défaut dans le cortèg
es, dans les trousseaux extramédullaires des racines antérieures et postérieures , dans l'écorce du cerveau; dans l'écorce elles
diot qui n'avait présenté aucun symptôme spinal et dont les cordons postérieurs étaient normaux. Rien non plus dans le noyau ni
substance chromatique, il ne s'ensuit pas que la lésion du cor- don postérieur ne dépende point d'un trouble primitif de la cell
tation qu'elles transforment de la manière qui convient aux cordons postérieurs . Dès que les phénomènes d'exci- tation normaux
le, ait lieu une métamorphose anormale qui exerce sur les cor- dons postérieurs une action nocive. Cette modification de l'activi
E PATHOLOGIE MENTALE. résie gauche persistante. Lésions des cordons postérieurs sem- blables à celles du tabes sous deux aspect
s ascendantes. Ce l'ait permet d'admettre que la lésion des cordons postérieurs émanait d'un trouble primitif des cellules des
térieur et interne des cellules des cornes antérieures ; les cornes postérieures ne sont presque pas intéressées, puisque les tr
des parésies et des paralysies, principalement dans les extrémités postérieures , accompagnées d'atrophies musculaires ; 2° chez
n observe plus souvent un trouble du sens musculaire des extrémités postérieures . L'examen microscopique du système nerveux de 2
ême plus tard, se développent des lésions dégénératives des racines postérieures et des cordons postérieurs de la moelle. La c
t des lésions dégénératives des racines postérieures et des cordons postérieurs de la moelle. La communication de L... a été ac
ce grise qui reçoit les fibres centripètes des racines rachidiennes postérieures et des nerfs sensitifs crâniens est un élément
es libres thalamo-corticales, mais il n'existe pas, dans le segment postérieur de la capsule interne, de région déterminée par
ession des fibres du faisceau cérébelleux ou des fibres des cordons postérieurs ? ). La sensibilité tactile (fibres des cordons
cordons postérieurs ? ). La sensibilité tactile (fibres des cordons postérieurs ou fibres du faisceau cérébelleux ? ) persiste le
lle, ce sont celles du faisceau cérébelleux et celles des cor- dons postérieurs qui opposent au traumatisme le plus de résis- t
tance, tandis que, dans la syphilis, ce sont les fibres des cordons postérieurs qui paraissent les plus vulnérables. La compres
sceaux dans les deux sens. Mais c'est moins accusé dans les cordons postérieurs ; ils envoient en bas de courtes dégénérescence
re, ce qui permet de penser qu'une très faible partie des cordons postérieurs arrive au petit cordon postérieur du bulbe. Dans
e très faible partie des cordons postérieurs arrive au petit cordon postérieur du bulbe. Dans la moelle lombaire, le cordon po
etit cordon postérieur du bulbe. Dans la moelle lombaire, le cordon postérieur se colle sur le côté du sillon postérieur sous
oelle lombaire, le cordon postérieur se colle sur le côté du sillon postérieur sous forme de cordon postérieur médian. Les fibre
ieur se colle sur le côté du sillon postérieur sous forme de cordon postérieur médian. Les fibres qui sortent des racines sens
ent à côté des fibres déjà incorporées : ainsi se forment un cordon postérieur médian et un cordon postérieur latéral ; 2° le
rporées : ainsi se forment un cordon postérieur médian et un cordon postérieur latéral ; 2° le faisceau cérébelleux des cordon
PATHOLOGIQUES. XVIII. Contribution au trajet des fibres des racines postérieures dans la moelle cervicale de l'homme; par K. Sci
cines, très propres à éclairer la question des rapports des racines postérieures avec la structure des cordons postérieurs. Figu
des rapports des racines postérieures avec la structure des cordons postérieurs . Figures. On sait que les lésions des racines,
er et Pick) s'explique par la division en Y des fibres radiculaires postérieures . Mais elle peut atfecter plusieurs formes, par
ltze) ou se traduire par la dégénérescence du champ ovale du cordon postérieur . Ces deux observations mettent en lumière la dé
'observe pas dans la section transverse expérimen- tale des racines postérieures , et pense qu'il s'agit plutôt alors de la destr
il faut les comprendre. La dégénérescence des- cendante des cordons postérieurs survient dans le cas de lésion transverse total
la moelle tout aussi sûrement que dans le cas de lésion des racines postérieures . Puis, les faits anatomiques sont en faveur des
diculaires Par conséquent la dégénérescence descendante des cordons postérieurs est explicable par une lésion des fibres radicu
e. Dans la lésion transversale de la moelle de l'homme, les racines postérieures sont toujours simultanément atteintes, quoique
substance grise donne naissance à des fibres destinées aux cordons postérieurs , car les recherches rela- tives à la ligature d
ui lèse principalement la substance grise, prouvent que les cordons postérieurs sont altérés surtout REVUE D'ANATOMIE ET DE PHY
gule de Schultze il n'y a que les branches descendantes des racines postérieures (Schaffer). Il est également possible qu'il y a
ait aussi des fibres provenaut des cellules funiformes de la corne postérieure (Lenhossek, Marie), mais cela n'est pas démontr
de la troisième racine dorsale sensitive, ou de la septième racine postérieure cervicale, confirment la loi de Kahler et Singe
Kahler et Singer sur le trajet de la branche ascendante des racines postérieures ; 2° le cordon de Goll parait simplement, dans la
, la zone de dégénérescence (abstraction faite d'un très petit coin postérieur de substance nerveuse saine) est immédia- temen
- tement accolée à la cloison paramédiane; 3° les raies du cordon postérieur qui correspondent au trajet de quelques racines,
eulement réservés; les prolongements intramé- dullaires des racines postérieures se confondent intimement avec les voisins; 4° l
confondent intimement avec les voisins; 4° les lésions des racines postérieures sont, contraire- ment aux prétentions de Tooth,
s certainement suivies de dégénérescence descendante dans le cordon postérieur ; c'est la dégénérescence en virgule de Schultz
est exclusivement produite par la lésion des fibres radi- culaires postérieures ; les fibres endogènes n'y prennent (c'est prou
e fraction de l'ensemble de la dégénérescence descendante du cordon postérieur . P. KERAVAL. 408 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
r de l'influx nerveux, est généralement répandue. Dans les cornes postérieures , et plus particulièrement dans la subs- tance g
e hyperesthésie caractéristique de l'atteinte de la septième racine postérieure de la moelle. Quelle était la nature de la co
ps genouillé interne, la partie inférieure du pulvinar, les parties postérieures du noyau antérieur de la couche optique, notre
d'inégale épaisseur; sa masse principale s'avance près de la limite postérieure du chiasma de l'autre côté, tandis qu'une petit
nt presque exclusivement au segment de sphère interne, inférieur et postérieur de l'oeil. L'angle que forme la papille avec la
s; un compartiment antérieur, interne, supérieur et un compartiment postérieur , externe, inférieur. Or, le faisceau optique mé
an se répand presque complètement dans le compar- timent externe et postérieur , en pénétrant, avec les autres fibres optiques,
ant à toute la partie supérieure de la substance blanche. La partie postérieure de cette cavité vient jusqu'à la substance grise
frontale ascendante. Sclérose des bandelettes externes des cordons postérieurs de la moelle. Eugène X..., chauffeur mécanici
n ci-jointe : « 11 n'y a au fond des yeux que de légers staphylomes postérieurs . La pupille droite est dilatée. il y a une paré
ecchymose très étendue occupant, pour la cuisse, toutes les régions postérieure et interne ; pour les bras, les régions antérie
train de derrière; paraplégie avec anesthésie totale des pattes' postérieures et du tiers postérieur du tronc, sur toutes leurs
aplégie avec anesthésie totale des pattes' postérieures et du tiers postérieur du tronc, sur toutes leurs faces : analgésie pr
t en bas sur une étendue de trois centimètres. La'partie moyenne et postérieure des première et deuxième tem- porales n'est poi
ôle frontal, s'amincit prompte- ment en arrière, et, dans la partie postérieure du lobe frontal, n'atteint que les éléments sou
me côté, et l'aphasie sensorielle indiquent l'atteinte de la partie postérieure de l'hémisphère gauche. S'agit-il du lobe parié
ère variable et peu intense de la cécité verbale exclut les parties postérieures du lobe temporal. Ce n'est là qu'un symp- tôme
ie droite, engagent à penser qu'il y a eu aussi lésion de la partie postérieure de la capsule interne et des irradiations optiq
en arrière et en dehors, a déterminé de l'oedème de toute la moitié postérieure de l'hémisphère gauche. Il a aussi traversé de
de dedans en dehors la dure-mère, entre le tiers moyen et le tiers postérieur de sa surface, et a alors usé le pariétal gauch
édiane en avant de la suture lambdoïde ; cette végétation-là serait postérieure à l'autre. P. KËRAVAL. LXV. Sur une forme psy
son segment antérieur, tandis que celui du sphincter est la partie postérieure de la même circonvolution, tout près du centre
aire, est un sarcome; par suite, elle a pris naissance dans le lobe postérieur de cette glande (Hertwig, Schwalbe) a atrophié
le. La circulation lymphatique serait indépendante dans les cordons postérieurs et les cordons antéro-latéraux. Le canal de l'é
la suite d'injections de granulations aseptiques dans les cor- dons postérieurs du chien, on peut amener une dilatation du Arch
TÉS SAVANTES. canal central, et des espaces lymphatiques des cornes postérieures simulant la syringomyélie. L'auteur se demand
yélie avancée, il existait une lésion bulbaire placée dans la corne postérieure et dans la substance grise située en avant des
du bulbe par la syringomyélie et qui continue la gliose des cornes postérieures de la moelle, comme il est facile de s'en rendre
Friedlaender, 40L - Contribution au trajet des fibres des racines postérieures dans la ceivicale de l'homme, par Schaffer, 4
53 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
e volume; ils étaient composés de graisse et occupaient le triangle postérieur de chaque côté du cou; ils s'enfonçaient en bas
quitté la face pour devenir ambulant; il occupe, en effet la partie postérieure du cou et de l'épaule droite. La plaque d'érysi
sur lui-même de façon que la surface antérieure du coecum se trouve postérieure , et réciproquement, l'extrémité ceecale d'infé-
oupe des bronches, il s'écoule un liquide muco-spumeux. A la partie postérieure du lobe inférieur gauche existe quelques petite
es pariétaux. - La fontanelle antérieure est persistante, son angle postérieur est cependant beaucoup réduit, elle a de ce fai
meau antérieur horizontal très profond et un peu sinueux. Le rameau postérieur horizontal (a3) est très profond, large et se t
rontale; elle semble toutefois être dédoublée dans ses trois quarts postérieurs , mais ce dédoublement est très irrégulier, très
pli de passage (pp.) la relie vers son tiers antérieur à la branche postérieure du V antérieur de la troisième circonvolu- tion
oppés. Le lobe temporal est assez volumineux, sauf dans son quart postérieur , où la deuxième et surtout la troisième circonvol
La première circonvolution temporale (T,) se confond avec la parlie postérieure du lobule pariétal inférieur. La scissure paral
. L'incisure préoccipitale (In. pré.) se réunit à la partie la plus postérieure de la deuxième scissure temporale, séparant ain
du lobule fusiforme au lobule lingual (TO.) en sorte que la'partie postérieure de la deuxième scissure semble se continuer dir
té par les plis de passage pariéto-limbiques antérieur (p. p. a) et postérieur (p. p. p.) avec la circonvolution du corps call
lis de passage temporo-parié- taux. Elle est bifide à son extrémité postérieure . Les deux rameaux antérieurs ascendant (a) et h
t- CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 45 lion (T,) se confond avec la partie postérieure du lobule pariétal inférieur.-La scissure paral
tions temporales (T" T3), sont bien développées, mais à leur partie postérieure elles sont un peu chagrinées et en retrait comm
ansverses ou plis de passage temporo-pariétaux, situées à la partie postérieure de l'insula, dont les circonvolutions sont bien
' 0,) sinueuse; un sillon oblique réunit cette scissure à la moitié postérieure de la deuxième scissure tem- para-occipitale (S
elle se trouvent les plis de passage pariéto-limbiques antérieur et postérieur (p. p. a.-p. p. p.).-Lascissure perpendiculaire
p antérieur était plus développé, au con- traire du Pacha où le cap postérieur est plus déve- loppé; on voit que ce dédoubleme
ve de pareilles tuméfac- tions sous-cutanées sur la ligne axillaire postérieure . L'abdomen est pendant, ce qui est dû en partie
latérale et aussi au-devant de la fontanelle antérieure. La partie postérieure de la tête était petite. Les traits étaient lou
oppé, très découpé dans ses parties antérieures ; sa partie la plus postérieure est très maigre, comme atro- phiée, en retrait
llèle est sinueuse, profonde, bifurquée à ses parties supérieure et postérieure et com- munique en bas avec un sillon qui va pr
ale très prononcée et des plis pariétaux lim- biques, antérieurs et postérieurs , nettement séparés par des sillons assez profon
re perpendiculaire externe est comme dédoublée ; un rameau, le plus postérieur , est la continua- tion directe de la scissure p
ylvius. Il existe deux scissures parallèles frontales : l'une, plus postérieure , longe la fron- tale ascendante entre les deux
La scissure parallèle sinueuse, profonde, est bifurquée à sa partie postérieure et communique également avec un sillon qui va r
occipitales sont assez bien développées, à l'exception de la moitié postérieure de la première, les deux scissures sont profond
on trouve une grande diminution de nombre des cellules des cornes postérieures .- Les cellules des cornes antérieures sont plus
ale présente une coloration jaune et un aspect caséeux. Sur le bord postérieur do l'hémisphère gauche du cervelet, on voit deu
oche profonde, transver- sale, à sa partie moyenne. Sur l'extrémité postérieure de cette encoche, un tubercule de la pie-mère,
plis de passage ; T, envoie un pli assez volumineux à l'extrémité postérieure du lobule de l'insula. - Lia quatre digita- -li
(nerfs, pédoncules, protubérance, artères, sauf la commu- nicante postérieure droite qui est d'un calibre plus petit). Les de
- Ce qui frappe tout d'abord, c'est que le lobe frontal, la moitié postérieure de la région pariétale et le lobe occipital son
les parties centrales et que le lobe temporal.- Sur toute la partie postérieure de l'hémisphère, depuis la scissure inter- pari
e, la frontale 148 ! IlÉl\INGO-ENCÉPHALITE. ascendante, la partie postérieure de la deuxième circonvo- lution frontale, la pa
troisième circonvolution frontale est maigre à sa partie moyenne et postérieure , atrophiée dans sa partie antérieure. Les sillo
'atrophie porte aussi sur tout le lobe occipital et sur les parties postérieures de la première et de la deuxième circonvolution
nd de la scissure de Sylvius ; elle est plus développée à sa partie postérieure qu'à sa partie antérieure. La deuxième circonvo
. En résumé, les lé- sions paraissent plus marquées sur les régions postérieures de l'hémisphère et se composent toujours des de
e de la lèvre antéro-supé- rieure du lobule orbitaire à l'extrémité postérieure et infé- rieure de la pariétale ascendante. Le
riétale est réduite à sa lèvre anté- rieure et supérieure, sa lèvre postérieure formant de oe côté la limite du grand pseudo-ky
ale. La scissure frontale supérieure ost dé- doublée dans son tiers postérieur . La seconde frontale est bien développée dans s
rieur. La seconde frontale est bien développée dans sos deux quarts postérieurs , atrophiée dans la partie compriso entre les de
eudo- kyste de cette région, ou atrophiée ; dans ses trois quarts postérieurs , cette circonvolution est bien développée et si
oppée que celle de l'autre hémisphère. Ses extrémités antérieure et postérieure sont manifestement lésées; celle- ci est réduit
loppé, présente une coloration grise un peu ardoisée; son extrémité postérieure (bourrelet) est comprise dans le kyste. Le corp
e circonvolution fron- tale, assez volumineuse, surtout à sa partie postérieure , est dédoublée dans ses quatre cinquièmesantéri
me circonvolution frontale, sinueuse, bien déve- loppée à sa partie postérieure , grêle à sa partie moyenne et un peu chagrinée
e aspect qu'à gauche, mais moins accentué peut-être ; son extrémité postérieure est comprise dans le kyste temporal. Le corps s
sure frontale parallèle, le sillon de Ro- lando et tous les sillons postérieurs sont sinueux et pro- fonds. Face interne. La
lution frontale est large, bien développée, renflée à son extrémité postérieure , s'insérant sur la frontale as- cendante par un
core des cellules nerveu- ses en assez grand nombre dans les cornes postérieures . Les cordons blancs ne présentent qu'une lésion
mal par le carmin. Il y en a beaucoup moins encore dans les cornes postérieures . Sur des fragments du biceps gauche, on voit do
mblent intéresser que la substance grise. Ils siègent sur la partie postérieure de la seconde et de la troisième frontale, sur
ses deux tiers inférieurs, elle est très contournée dans son tiers postérieur et s'insère de niveau sur la frontale ascendant
ringence apparaît beaucoup plus nette- ment. Même aspect des cornes postérieures . Le canal de l'épen- dyme est conservé. Son épi
- 1, Coupe transversale du rectum. - 2, Vessie ouverte sur sa paroi postérieure .- 8, Moignon et cuisso gaucho.- 9, Testicules. -
e. Nombreuses cicatrices à la racine des cheveux et à la par- tie postérieure de l'occipital, dont deux courbes, linéaires et
topsie. où on ne trouve pas d'adhérence. Ganglions du médias- tin postérieur mélaniques, sans augmentation de volume. Bronch
bien développés, normaux. La première temporale envoie à la partie postérieure du lobule de l'insula un volumineux pli de pass
n déve- loppée, présente des scissures assez marquées à sa partie postérieure et envoie deux plis de passage (antérieur et po
a partie postérieure et envoie deux plis de passage (antérieur et postérieur ) à l'avant-coin normal, dont elle est séparée v
sur la frontale ascendante, est séparée oblique- ment de son tiers postérieur par une scissure irrégulière; elle est très sin
La scissure de 5- vius est normale, profonde, toutefois son rameau postérieur , horizontal, s'arrête brusquement sans so bifur
La scissure frontale inférieure n'existe que dans sa partie la plus postérieure où elle forme une enco- che profonde d'environ
sant ainsi le pli courbe en uno partie antérieure et en une partie postérieure , plus développée. Les circonvolutions occipitales
X ; il existe deux plis do passage pariéto-limbiques, antérieur et postérieur . La scissure perpendiculaire interne est très p
sure frontale supérieure, qui est sinueuse et profonde. A son quart postérieur , cette dernière communique, par un sillon profo
ème circonvo- lution frontale, très développée, présente une partie postérieure isolée par les scissures de la région et le sil
sez gros, plissé, ne possède que le pli de passage pariéto-limbique postérieur .-La scissure perpendiculaire interne est très p
a., Pli pariéto-limbique antérieur. p. p. p., Pli pariéto-limbique postérieur . C. A., Corne d'Ammon. N. B. - Les deux lettr
la partie antérieure de L. Q. doivent être reportées à l'extrémité postérieure de la scisute e c.vlloso-marginale.. PL. 111
54 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
, la percussion déterminant la contraction des muscles de la région postérieure de la jambe et, quelquefois, de légers mouvemen
nt de la région cervicale des adhérences surtout marquées à la face postérieure . En ce point les méninges forment dans leur ens
es est, nous ve- nons de le dire, beaucoup plus étendue sur la face postérieure que sur l'anté- rieure, elle se prolonge en eff
longe en effet en bas jusqu'à l'émergence des filets radiculai- res postérieurs de la 7e racine cervicale alors qu en avant elle
re la coalescence de ces différen- tes couches, d'abord sur la face postérieure de la moelle, puis latéralement sur le pourtour
ou en sortir présentent des lésions, surtout prononcées à la partie postérieure comme on pouvait s'y attendre ; mais malgré l'int
cervi- cale nous a permis de suivre les dégénérescences des racines postérieures dans leur trajet intra-médullaire. Elles se tra
rieure ; D. 1. : 1'" racine dorsale. FiG. 3. Moelle cervicale (face postérieure ) ; la fusion des méninges P. descend jusqu'à l'
? Jarkowski) . MÉNINGITE CERVICALE HYPERTROPHIQUE 19 des méninges postérieures qui commencent à se fusionner; la pie-mère in ité
se fusionner; la pie-mère in itée pénètre en coins dans les cordons postérieurs : A. arachnoïde; D. dure-mère; P. pie-mère. F
ent cervical ; la coalescence des méninges est complète sur la face postérieure de la moelle On voit sur cette coupe qui est égal
nérescence notable des zones radiculaires externes dans les cordons postérieurs au niveau des faisceaux de Burdach : A. arachnoïd
D. ; elles englobent latéralement les racines antérieures R. A. et postérieures Il. P. ; on voit . sur cette coupe avec netteté
sion 22 0 ARCHA : lIBAI1LT (Pl. IX) détruit complètement le tiers postérieur de la troisième circonvo- lution frontale et em
gique assez récent, occupe et dé- truit complètement les deux tiers postérieurs du segment externe du noyau lenticulaire, et in
ouillé externe. En dedans, la lésion atteint légèrement l'extrémité postérieure du globus pallidus, mais respecte toutefois. bras
rrière, la lésion ne s'étend pas au delà d'une ligne rasant le bord postérieur de la couche optique. Elle respecte entièrement
isième circonvolution fron- tale est absolument intacte. Le foyer postérieur est constitué par un petit kyste ovalaire de la g
stic d'une tumeur comprimant la moelle, et relativement les racines postérieures , sur le côté droit surtout, à la hauteur enviro
comprimait principalement la septième racine dorsale 44 ROTSTADT postérieure , du côté droit, sans léser l'ensemble du tissu os
nime et la localisation de la tumeur, par exemple dans le médiastin postérieur , peut facilement arriver. Cinq semaines après s
très probable que l'origine du mal est une tumeur dans le médiastin postérieur provoquant la série entière des symptômes dou-
ominant de la loca- lisation d'un néoplasme, comprimant les racines postérieures , à l'exté- rieur de la moelle. Notre observat
aitement, ait causé l'excitation des méninges ainsi que des racines postérieures à ca- ractère passager. Ces douleurs pouvaient
uberté est-elle réservée exclusivement au lobe antérieur ou au lobe postérieur de la glande, ou bien est-elle commune aux deux
o-ovarie, au même titreque ies perturbations fonctionnelles du lobe postérieur retentissent, semble-t-il, sur ces mêmes glande
ue. Bien au contraire, c'est la paralysie du tibial antérieur et du postérieur (rele- veurs du bord interne du pied) et à cell
sent. D'autre côté c'est à la paralysie des péroniers, antérieur et postérieur , à celle de l'extenseur commun des orteils (chu
araissant tout d'abord dans les muscles des mollets et de la partie postérieure des cuisses, pouvant ensuite s'étendre aux musc
rieur. Du thorax : les pectoraux. Du cou : les muscles de la région postérieure et le sterno-cléido-mastoïdien. De la face : le
'une raideur des muscles générali- Fio. 1. Moelle 'épinière. Racine postérieure (Formol, celloïdine, Gieson). sée. Marasme géné
n Gieson à l'hématoxylineferrique de Weigert. Fic. 2 et 3. - Racine postérieure (grossissement plus fort). DU SYSTÈME NERVEUX B
ntramédullaire décrit plus haut (fig. 9). ' . FiG. 4 et 5. Racine postérieure (Immersion). 130 HASKOVEC ET BASTA Nous n'avo
épinière constatée par plusieurs auteurs, surtout dans les cordons postérieurs , intéressait dans notre second cas toute la zon
4e doigt de la main, et parfois du pied, a une base d'implantation postérieure , due à la petitesse anormale du z métacarpien e
ère. Les os du nez sont peu proéminents et se trouvent dans un plan postérieur au bord libre des mâchoires, de sorte qu'il en ré
qui ne sont pas en rapport avec la fosse correspondante de la face postérieure de l'humérus. Rien d'anormal ne présentent ni la
à du pied gauche est ;sous la dépendance d'une base d'implantation postérieure pour la remaquable hypotrophie du 4e métatarsie
ou moins atrophiées que celles des autres, mais d'une implantation postérieure du doigt lui-même, due à l'anormale brièveté du
occasions ne doivent pas se présenter souvent. En examinant la face postérieure du tronc on constate que la distance entre l'an
bias présentent une courbure à concavité interne. Entre l'extrémité postérieure de la région calcanéenne et l'extrémité unguéale
al on trouve 2 cent. 5. Le sillon du sinus latéral, le trou déchiré postérieur ainsi que le trou occipital sont beaucoup plus ét
chon- droplasie. La dépression qui correspond l'insertion du ventre postérieur du digastrique est plus large et plus profonde
timètres et qui se continue par une impression rugueuse sur la face postérieure de l'os jusqu'au sillon occipital qui est délimit
ité en dedans et aplati dans le sens antéro-postérieur. Sur la face postérieure et dans sa moitié supé- rieure on remarque un s
i- mensions de l'apophyse basilaire de l'occipital, du trou déchiré postérieur et du tronc occipital lui-même, la profondeur e
différentes suivant que se trouve lésé le lobe antérieur ou le lobe postérieur de la glande. L'altération du lobe antérieur do
t fines ; la peau est peu épaisse, délicate. L'altération de lobe postérieur de l'hypophyse a pour conséquence un syndrome e
le : achondroplasie. dystrophie périostaie. B. Insuffisance du lobe postérieur . a) Totale : Dystrophie adiposo-génitale de Fro
dis- tinguer l'hydrocéphalie des néoformationsdefa fosse crânienne postérieure , du cervelet et du IVe ventricule ; ce qui évid
iagnostic différentiel avec les néoformations de la fosse crânienne postérieure , les deux premiers jugements énoncés par Oppenh
u 18 avril. 22. La jeune femme se plaint de douleurs il la partie postérieure du memhre inférieur gauche. Ces douleurs sponta
réactionnent pas. Au contraire les muscles péroniers et les muscles postérieurs de la jambe réaction- nent bien. An courant g
eux et ses fibres sont profondément situées au-dessous du cubi- tal postérieur et des extenseurs des quatre derniers doigts ; au
Le syndrome complexe produit par les tumeurs siégeant dans la fosse postérieure du crâne présente certains signes dont l'origine
ncontrant assez souvent au cours des tumeurs siégeant dans la fosse postérieure du crâne. Les recherches anatomo-pathologiques
me oedème, mais d'un moindre degré, est aussi noté dans les racines postérieures . Les parties latérales et dorsales de la prépar
s la partie périphérique - sont égale- ment notées dans les racines postérieures . Ici aussi nous observons plus de modifications
racines antérieures out subi plus de modifications que les racines postérieures . Le côté dorsal et dorsolatéral de la préparation
s lombaires présentent des modifications des racines antérieures et postérieures identiques à celles que nous avons obser- vées
egments dorsaux, mais plus marquées. La partie ventrale des cordons postérieurs prend moins bien les couleurs. En analysant les
de malades, qui avaient la tumeur siégeant dans la fosse cérébrale postérieure , Jacobsohn et Ja- mane (2) ont noté dans un seu
chirées. En com- paraison avec les racines antérieures, les racines postérieures sont moins lésées. Le caractère des lésions est
vons trouvé des lésions des racines antérieures. L'état des racines postérieures , si intimement lié aux réflexes rotuliens a sur
atrie, 21 Band Heft 3, 1890.' 252 RA1MISTE ET NEIDING des racines postérieures et des faisceaux. Cette dégénérescence avait le
elle épinière dans toute son étendue; la dégénérescence des racines postérieures fut notée sur les coupes, prises de différents
tie moyenne du segment dorsal. Dans trois cas de tumeur de la fosse postérieure cérébrale, Jacobsohn et Jamane n'ont noté rien
régions isolées aussi la dégé- rescence des racines antérieures et postérieures . La dégénérescence très marquée des racines pos
rieures et postérieures. La dégénérescence très marquée des racines postérieures fut notée une seule fois dans neuf cas de Batte
er ; elle fut absente dans un cas; dans sept autres cas les racines postérieures ne furent pas examinées. La dégénérescence des
stérieures ne furent pas examinées. La dégénérescence des faisceaux postérieurs fut trois fois assez marquée dans les cas de Batt
ervant de la méthode de Marchi,une dégénérescence nette des racines postérieures , plus marquée dans les régions cervicale et lom
oelle dorsale au cours des tumeurs siégeant dans la fosse cérébrale postérieure est assez rarement noté dans la littérature. Ja
gés de sang. Wollenberg a noté que cer- tains faisceaux des racines postérieures , appartenant à la partie moyenne du segment dor
) et absentes dans le cas de Wollenberg (dégénérescence des racines postérieures et des faisceaux postérieure). Dans un cas de Bat
ollenberg (dégénérescence des racines postérieures et des faisceaux postérieure ). Dans un cas de Batten et Col- lier, où les ré
absents, on a noté une dégénéres- cence insignifiante des faisceaux postérieurs ; dans deux autres cas, où la dégénérescence de
térieurs ; dans deux autres cas, où la dégénérescence des faisceaux postérieurs était plus prononcée, les réflexes patellaires,
lésions assez prononcées (deuxième cas) des racines antérieures et postérieures . Il s'agit maintenant de tenter l'exploration d
es sur la partie antéro-externe des jambes, toutes occupent la face postérieure de celles-ci. Les deux plaques antéro-externes so
t présenter, probablement, des lésions non labéti- ques des cordons postérieurs . Le malade de Souques présentait un l'p'iissisc
d'insuffisance testiculaire favorise les alté- rations des cordons postérieurs . Rappelons encore que Ferrio (14) a relaté le c
le et la partie la plus antérieure de l'insula, ainsi que la limite postérieure (PI. LI, a et b). L'écorce de la face externe d
re sur sa face insu- laire, l'est plus sérieusement à son extrémité postérieure , et plus haut la lé- sion se prolonge dans la r
re a été directement intéressée ; en avant, elle entame l'extrémité postérieure de la 2° circonvolution frontale. Dans la profo
antérieure, qui concourt à former le pôle temporal, et l'extrémité postérieure qui se continue en haut avec le gyrus supra-mar
ur une étendue à peu près équivalente. Les extrémités antérieure et postérieure des deux premières circonvolutions temporales s
ans lequel on ne distingue plus aucune fibre à myéline. A la limite postérieure de la lésion, les radiations thalamiques et le fa
lamus (PI. L, A). Dans toute cette région les limites antérieure et postérieure de la cavité sont nettement tranchées ; cependa
au bord externe de l'extrémité supérieure du noyau caudé. Le tiers postérieur de la couronne rayonnante est relativement épar
plus un assez grand nombre de fibres qui occupent surtout le tiers postérieur du segment postérieur de la capsule interne, ta
nombre de fibres qui occupent surtout le tiers postérieur du segment postérieur de la capsule interne, tandis que les deux tier
e sont complètement dépourvus de fibres. La dégénération du segment postérieur de la capsule interne est la consé- quence de l
nnante. La conservation d'un certain nombre de fibres dans le tiers postérieur est due à l'intégrité du tiers pos- térieur de
ne partie également des circonvolutions temporales ; mais la partie postérieure des deux premières temporales et le pli courbe,qu
hénomènes de suppléance, principalement la zone sensorielle (partie postérieure des deux premières temporales et pli courbe) da
u niveau de ses irradiations antérieures. - Dégénération du segment postérieur de la capsule interne. - Atrophie de la couche op
blanche de la 2' circonvolution temporale. Dégénération du segment postérieur de la cap- sule interne Fic,. C. Coupe horizo
ment épargnée et correspond aux faisceaux conservés dans le segment postérieur de la capsule interne. 1-'io. D. - Coupe horizo
ervelet. En dépit de l'existence des tumeurs situées dans la partie postérieure des cavités crâniennes nous n'avions pas le moi
sensations gustatives à la suile des tumeurs situées dans la partie postérieure des cavités crâniennes, Mitt. a. d. Grenzgebiet d
pas élargie, malgré un léger épaississement des apophyses clinoïdes postérieures et un élargissement très prononcé des sinus fro
uand elles abou- tissent à l'hypofonctionnement; - po Une portion postérieure , de fonction plus obscure,mais dont la lésion s
ntra une balle siégeant sur la ligne médiane au niveau de la partie postérieure de la selle turcique. Simmonds (3), dans un c
les 24 heures, trouva une tumeur ayant complètement détruit le lobe postérieur de l'hypophyse, respecté le lobe antérieur et l
tre dans un plan horizontal supérieur à celui de la fosse cérébrale postérieure se trouve à peu près au même niveau que celle-c
al et, dans ceder- nier diamètre, sensiblement moins dans la partie postérieure , rétro-con- dylienne, que dans la partie antéri
sement : il en est ainsi au niveau des trous déchirés, antérieur et postérieur , qui sur certains crânes (crâne 3 par exemple)
euses ; il en est ainsi au niveau des trous condyliens antérieur et postérieur , ce dernier étant sur certains crânes (crânes 3,
amment au ni- veau des crânes 4 et 3 ; sur ce dernier, les alvéoles postérieurs très rétré- cis se sont en partie juxtaposés la
e et que le bord antérieur du trou occipital est au-dessous du bord postérieur , c'est diamétralement l'inverse qui s'observe s
nc occipal (le rebord antérieur étant nettement au-dessus du rebord postérieur ), la dépression de la fosse cérébrale antérieure,
i, si l'on joint par une ligne médiane le bord antérieur et le bord postérieur du trou occipital, la ligne aboutit à l'état no
ccipital est le soulèvement du corps de l'occipital et de la partie postérieure du sphénoïde. Le soulèvement est parfois tel que
et des diamètres plus petits, qui passent par exemple par la partie postérieure de la selle turcique ou par la base de l'apophy
ntérieur du tibia serait représenté par la voûte crânienne, la face postérieure serait représentée par la base ; le centre de c
es fosses cérébrales antérieures et moyennes, l'incurvation antéro- postérieure du crâne et la bascule de la face en arrière, l'é
Tous les autres orifices, notamment les trous déchirés antérieurs et postérieurs , les trous ovale et grand rond, sont nettement
plicature de l'é- caille occipitale et le rétrécissement de l'étage postérieur du crâne. Dans l'ensemble, on est frappé par l'
encore de l'hypotonie musculaire, surtout des muscles de la partie postérieure de la jambe {genu recurvatvm) et de la cuisse.
présente rien de par- ticulier; la huitième racine cervicale gauche postérieure est beaucoup élargie par rappert aux autres et
uleurs intenses dans les membres inférieurs, surtout dans la région postérieure . Comme état général nous notons, à la réception
ions de la moelle dans le cas de tumeurs sié- geant dans la fosse postérieure du crâne, 245. Noie* et Zaiiarecu (N.) (de Bu
ns la moelle épinière au cours des tumeurs siégeant dans la fosse postérieure du crâne, 245. RAUZIER (G ) et BAUMEL (J.) (de
55 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
'est toujours la fonction la plus complexe, celle d'une acquisition postérieure , qui est la plus atteinte en conséquence de la
l a pu, après avoir fait des ouvertures peu étendues dans la partie postérieure du rachis, fixer les deux 44 REVUE D'ANATOMIE E
veine rachidienne antérieure. Il n'en est pas de même pour la veine postérieure . Pour Walter, elle ne serait pas cons- tante, e
rière des trous de conjugaison. Cet auteur réserve le nom de plexus postérieur , aux seules anastomoses transversales qui sont
d'admettre alors l'existence cons- tante des veines longitudinales postérieures . En effet, sur une coupe antéro-postérieure du
ur et le bord inférieur par des branches anastomoti- ques ; le bord postérieur est formé par les veines longitudinales postéri
ques ; le bord postérieur est formé par les veines longitudinales postérieures proprement dites de l3resoliet, mais dans les rég
et d'une veine longitudinale antérieure, Walter regarde comme veine postérieure tout ce qui est en arrière des trous de conjuga
s trous de conjugaison; et comme les veines qui forment les bords postérieurs de ces anneaux, forment entre elles une série d'a
on peut les considérer comme de véritables veines longitudinales postérieures . Ces veines longitudinales, ordinairement formées
ne ou deux veines volumineuses, régu- lières, veines longitudinales postérieures . Telle est résumée la description de Walter.
Telle est résumée la description de Walter. Pour Testut, la veine postérieure n'est pas immédiatement der- rière les trous de
jaunes. » Krause la place entre le sac de la dure-mère et la paroi postérieure du canal vertébral. Du travail de 1\1. Trolard,
its en question repo- sent sur la partie la plus externe de la face postérieure des corps vertébraux. Au cou, par le quart exte
es, que quel- ques anatomistes ont constitué la veine longitudinale postérieure seconde manière c'est-à-dire celle qu'ils place
lle qu'ils placent « de chaque côté de la ligne médiane ». Plexus postérieur . D'un ou de plusieurs points des arcs de second
est creusé de canaux qui viennent converger au centre de la face postérieure de ces corps dans une cavité ampullaire. C'est da
x. Quand on examine ce sinus dans l'angle de jonction de la paroi postérieure avec l'antérieure, on voit d'abord sur la ligne h
ne horizon- tale qui joint cet angle à la partie moyenne de la face postérieure du corps vertébral, soit une lame criblée, soit
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. A la région lombaire, au niveau de la face postérieure des corps vertébraux, ces veines se pelotonnent
ervations très détaillées. Observation 1. Paralysie des deux pattes postérieures , lésions inflam- matoires frappantes dans la su
les cornes antérieures (vacuolisation), des racines antérieures et postérieures . Intégrité des nerfs périphériques. Observation
beaucoup les plus fréquentes porteut sur les cor- dons latéraux et postérieurs - puis, viennent celles des cordons postérieurs
dons latéraux et postérieurs - puis, viennent celles des cordons postérieurs seuls- enfin la troisième catégorie a trait aux l
yphilitiques, il y a lésion exclusive ou pré- dominante des cordons postérieurs . Le processus primitif est cons- titué par la d
- La commissure antérieure est cons- tituée par deux portions : une postérieure , formée par l'entre- croisement d'une portion d
ostérieure, formée par l'entre- croisement d'une portion des fibres postérieures radiculaires; une antérieure, formée, en partie
' 2° Vaisseaux de la base du cerveau avec embolie de la cérébrale postérieure gauche et alhérome de la cérébrale moyenne. -Coeu
Deiters ne sont pas le point de terminaison des fibres de la racine postérieure du nerf acoustique; 2° les fibres de cette raci
ercule acous- tique, les deux olives supérieures et le quadrijumeau postérieur du côté opposé. Quelques-unes se terminent peut
opposé. Quelques-unes se terminent peut-être dans le quadri- jumeau postérieur situé du même côté qu'elles. Ainsi donc, toutes
masses grises mentionnées sont des centres primitifs de la ra- cine postérieure du nerf acoustique, c'est-à-dire du nerf du limaç
stique, c'est-à-dire du nerf du limaçon; 3° les fibres de la racine postérieure . qui se terminent dans les olives supérieures,
zoïdal, tandis que les fibres qui se terminent dans le quadrijumeau postérieur passent en outre par le corps trapézoïdal, dans
t fait partie du ruban de Reil, puis se dirige vers le quadrijumeau postérieur dans lequel elle se termine. Une partie insigni
mant un entre-croisement dans le raphé. Les fibres isolées les plus postérieures (direction caudale) de cette section passent da
s qui ont un rapport intime avec les centres primitifs de la racine postérieure ; 5° le ruban de Reil contient les fibres de l'o
supérieure du même côté, fibres qui l'unissent avec le quadrijumeau postérieur . Il n'y a vraisemblable- ment pas lieu de nier
rs le noyau antérieur opposé et unissent ce dernior au quadrijumeau postérieur ; 7° la 64 BIBLIOGRAPHIE. racine antérieure du
écaution. On constate nettement l'existence d'une saillie à la face postérieure de la moelle. En pinçant cette saillie entre les
ate alors qu'on a ouvert un kyste assez étendu situé dans la région postérieure de la moelle et qui n'était séparé de la surface
r à quatre heures du matin. Autopsie le 5 janvier 1892. La partie postérieure des lobes inférieurs des deux poumons est le si
e et qui occupe presque entière- ment la place réservée aux cordons postérieurs ; au centre de ce tissu néoplasique, se trouve u
beaucoup de volume et en se cantonnant dans la région de la corne postérieure gauche. A partir de la région dorsale, le gliome
orsale, le gliome n'est plus excavé. , Les racines antérieures et postérieures ne paraissent pas sensi- blement altérées; elle
n reste parfaitement distinct ; elle envahit en arrière les cordons postérieurs , surtout à gauche. Vers le milieu du renflement
à myéline au centre de la tumeur, qui s'étend du col de la corne postérieure gauche au col de la corne postérieure droite; de
ui s'étend du col de la corne postérieure gauche au col de la corne postérieure droite; de plus une mince fusée de tissu néopla
droite; de plus une mince fusée de tissu néoplasique suit le sillon postérieur dans toute sa longueur. Les limites de la tumeu
lacées. Cette tumeur, véritablement circonscrite, décapite la corne postérieure gauche, sans beaucoup comprimer la corne antéri
ans beaucoup comprimer la corne antérieure. Les fibres de la racine postérieure contournent la tumeur en s'étirant; elles passe
rrière de la substance grise centrale, au ni\eau du col de la corne postérieure gauche. 108 PATHOLOGIE NERVEUSE. beaucoup plu
one d'infiltration néoplasique diffuse qui gagne le col de la corne postérieure droite en ]ongl'ant la commis- sure grise, et s
sure grise, et se perd insensiblement en arrière dans les cordons postérieurs . A ce niveau, il ne reste plus aucune trace de la
e dorsale (fig. 2), elle a passé complètement en dehors de la corne postérieure ; en dedans et en arrière de la tumeur, on aperç
t la tète de la corne refoulée, ainsi que les fibres radicu- laires postérieures ; celles-ci pénètrent dans l'intérieur même de la
iste, comme plus bas, une portion diffuse qui envahit les cor- dons postérieurs et qui se distingue nettement de la première. D
. De plus, on peut apercevoir en arrière, à gauche de la scissure postérieure , un petit noyau, complètement isolé, de tissu néo
us haut, vers la dixième dorsale, la tumeur qui, partie des cordons postérieurs , était passée entièrement en dehors de la corne
cordons postérieurs, était passée entièrement en dehors de la corne postérieure gauche, en la décapitant, revient en dehors d'e
ient en dehors d'elle, en repassant par conséquent dans les cordons postérieurs Fig. 2. Coupe pratiquée au niveau de la douzièm
e dorsale. La portion circonscrite de la tumeur a décapité la corne postérieure gauche; elle contient de gros amas de granulati
e granulations pigmentaires. La portion diffuse envahit les cordons postérieurs ; un petit nodule néoplasique isolé est situé en
ule néoplasique isolé est situé en arrière, à gauche de la scissure postérieure . Dégénérescence des faisceaux pyramidaux. DES T
LIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 109 (fig. 3). Les fibres radiculaires postérieures , très atrophiées, passent maintenant en dehors
la tumeur continue à occuper la même place; les fibres radiculaires postérieures passent pour la plupart en dehors d'elle; quelq
le. La portion circonscrite de la tumeur a repassé dans les cordons postérieurs ; en dehors d'elle, on aperçoit quelques rares f
ètement disparu a gauche. La portion diffuse rayonne dans les cordons postérieurs . Dégénérescence des faisceaux pyramidaux. 110
la huitième cervicale; on voit comment les cornes antérieures et postérieures s'étalent à la périphérie; le cordon postérieur g
es antérieures et postérieures s'étalent à la périphérie; le cordon postérieur gauche est fortement entamé; le droit, au contr
us de ce point, on voit que le névrome vient en réalité des racines postérieures et a traversé la tumeur de part en paît. (Obj.
névromes de régénération qui se sont formés aux dépens des racines postérieures et qui cheminent dans l'épaisseur des tractus v
es centripètes, interrom- pues par la tumeur. Fig. 11. SP, sillon postérieur de la moelle; NR, névromes de régéné- ration pa
ur de la moelle; NR, névromes de régéné- ration partant des racines postérieures dans la région dorsale et remon- tant obliqueme
e du néoplasme, soit par dégéné- rescence secondaire. Les racines postérieures sont toutes complètement saines, en dehors delà
rait pas donner lieu à une dégénérescence secondaire. Les faisceaux postérieurs sont complètement détruits vers la limite supér
il participe large- ment à cette sclérose, surtout dans sa portion postérieure . Au niveau du collet du bulbe, le faisceau céré
pérature a persisté dans la région thoracique à gauche, où la corne postérieure et les fais- ceaux blancs environnants subissen
uction complète des fibres radiculaires intramédullaires de racines postérieures gauches dansles régions dorsale inférieure et l
la tendance à la régénération ner- veuse que présentent les racines postérieures dans le cas qui nous occupe. L'étude de la régé
on vient à cesser. Quoi qu'il en soit, chez mon malade, les racines postérieures envoyaient en bien des points de véritables név
organes centraux auxquels étaient destinées les fibres des racines postérieures . Pour terminer ce qui a trait à la physiologie
co- lonne de Clarke gauche et à la destruction totale des cordons postérieurs à la partie supérieure de la moelle; il n'y a eu,
E NERVEUSE. f.f'1 3f 'M7aa : fInO,ItlHT4r' 3Q ? UV3n de la région postérieure du cou signalée dans les antécédents du malade»
uf mois. Autopsie. Gliosarcome ayant pris naissance sur l'extrémité postérieure du corps calleux et ayant proliféré dans la sub
et du pli courbe jusqu'auprès de la paroi latérale du prolongement postérieur du ventricule latéral. "" -" 3° LocalisCttiOli"
oyau lenticulaire. Ramollissement adroite et à gauche de la, moitié postérieure de la première sphénoïdale^et du lobul i e 13
la suite 'et formant un système continu, -surtout' dans les cordons postérieurs ? Les lésions spinales seules sont, insuffisant
onvolution, du corps calleux. L auteur croit probable que la partie postérieure , de la circonvolution du corps calleux est le c
278 CLINIQUE NERVEUSE. substance blanche : c'est un prolongement postérieur de la tumeur qui s'insinue, sous la forme d'un
s'étend jusque vers l'union du tiers antérieur avec les deux tiers postérieurs du corps calleux, en s'amincissant gra- duellem
oitié supérieure de l'hémisphère gauche, pratiquée à l'union du 1/3 postérieur avec les 2/3 antérieurs du corps calleux. Dégén
ne. 292 CLINIQUE NERVEUSE. assez mal fournies. Dans la par- tie postérieure du lobe pariétal la lésion est encore plus avan
s'atrophient presque autant qu'à gauche dans la région pariétale postérieure . Dans le lobe temporal la lé- sion est à son
oins lésée que la partie moyenne, qui répond au rocher; la région postérieure , qui appuie sur la tente du cervelet, est égaleme
des cordons latéraux s'est compliquée d'une altération des cordons postérieurs . L'évolu- tion de la maladie permet donc de pré
'affection systématique combinée dans les cas de lésion des cordons postérieurs et latéraux, à la condition qu'on n'attribue pa
il y a lieu de le tenir-pour une,affection systématique des cordons postérieurs tant au-point de vue de leur fonction (Leyden),
ique constant, qu'il y a par exemple affection combinée des cordons postérieurs et latéraux, faut-il le passer sous silence ? S
. Intégrité des cellules et ganglions spinaux. Atrophie du cor- don postérieur correspondant, sans altération. Dans les régions
le droite surtout au niveau du groupe latéral. Atrophie des racines postérieures dans toute leur étendue dans la moelle lombaire
ue; 5, tronc de l'hypoglosse; 6, parolive antérieure; - 7, parolive postérieure ; 8, faisceau grêle de Pierret (slender column d
rt grossissement. 1, l'olive; 2, parolive antérieure; - 3, parolive postérieure ; - 4, tronc de l'hy- poglosse ; 5, la p)ramidc;
grise, les fibres qui se rendent des corps restiformes, aux cordons postérieurs . Edinger n'ad- met comme prouvées que les fibre
tant sur la réserve pour les préten- dues fibres allant des cordons postérieurs à l'olive : elles ne feraient que la traverser
ffirmons seulement la parfaite intégrité de la couche interolivaire postérieure du raphé. Or, précisément, cette intégrité, mis
cervelet le siège du sensorium commun et l'aboutissant des cordons postérieurs n'est plus soutenable depuis longtemps. Le cerv
en général; à ce plan appartiennent aussi le cervelet et la région postérieure du cerveau. Le plan moyen est constitué par 1 U
thologique). Etude de la topographie des lésions dans les cor- dons postérieurs et dans la corne postérieure. Puis étude histolo-
graphie des lésions dans les cor- dons postérieurs et dans la corne postérieure . Puis étude histolo- gique des parties altérées
elle avec les symptômes cliniques. Relation des parties des cordons postérieurs lésés avec chacun des symptômes cliniques. C'
tient très probablement à la lésion de la zone d'entrée radiculaire postérieure , entrele segment thoracique et le segment lomba
ue les stries médullaires ne peuvent être le prolongement du rameau postérieur de l'auditif. Latéralement, le long de la face
supérieure du corps restiforme, elles passent par-dessus ce rameau postérieur , pour pénétrer, en dehors du tubercule acoustiq
e de voir ces trousseaux abandonner résolument les fibres du rameau postérieur de l'auditif, déviant un peu avant et gagnant d
ompose de fibres qui prennent naissance dans l'écorce de la surface postérieure et 400 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHO
qui constitue le bouquet des fibres émanées du tiers médio-antéro- postérieur du corps genouillé externe, avec la branche média
a partie la plus externe de la couche optique et du segment le plus postérieur de la capsule la plus interne. Maun chez un mal
sent eux-mêmes. Au dernier congrès de Blois, puis dans un article postérieur , M. Ballet a rapporté plusieurs faits de ce genre
aractérisées par l'atrophie' des racines posté- rieures, des cornes postérieures et des cordons postérieurs. Atrophié modérée de
des racines posté- rieures, des cornes postérieures et des cordons postérieurs . Atrophié modérée des colonnes'de Cfarke.. Les
moindre que les cellules des ganglions spinaux; 10" dans le cordon postérieur , il y a atrophie de groupes de fibres différents
, on supprime le goût du côté opposé. En lésant les,fibres les plus postérieures delà couronne rayonnante en, ce point,' on obti
anal est situé un peu en'arrière'du sillon crucial,'dans le segment postérieur de la circonvolution sigmoïde, plus près de son
rne. Celui du sphincter vésicat occupe la partie externe du segment postérieur de la circonvolution sigmoïde, immédiate- ment
se dos ganglions sympathiques, des ganglions spinaux et des racines postérieures ,' normaux, ce. qui prouve leur indépen- * danco
'noyau'du toit et participe à là'for ? 1' mation dé' là commissure postérieure ! v ' ' ' ' '' ? Mais'Me pédoncule' cérébelleux
au du nerf vague ? en avant, .par lesfibres arci- ,fdrmési lesiplus postérieures ,, de- la 'formation reticutaireJjen - dedans, :
1 r - ,1'i'M. - · .t.-t oedème qui .dépend d'une lésion de la corne postérieure ^du même ' c6té,(voir Rôssôr.inô, Coztribictiôri
nciens dans. les .deux noyaux lenticulaires; - sclérose des cordons postérieurs dans la moelle cervicale; dégé- nérescence radi
56 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sibles, situées l'une à la partie anté- rieure, l'autre à la partie postérieure de la cuisse, la troisième au 10 PATHOLOGIE NER
nt en arrière à l'omoplate. Anes- thésie de la cuisse, de la partie postérieure de la jambe. Anesthé- sie du côté gauche delà f
p. 181 et 378. ÉTUDES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE. 47 tate sur la face postérieure de l'organe, une hypérémie méningée plus consid
de l'extrémité antérieure des cornes antérieures, dans les cordons postérieurs , sur les deux bords du sillon médian pos- térie
es, offrant une distribution asymétrique, siégeant dans les cordons postérieurs , dans les cordons antérieurs, dans les cordons
t deuxième temporales gauches, avec ramollissement rouge du segment postérieur de la deuxième lemporale gauche. P. K. XXV. U
on chez des cochons d'Inde. Conclusions : 10 Les fibres des racines postérieures de la moelle cessent, chez le cochon d'Inde, ap
lle cessent, chez le cochon d'Inde, après leur entrée dans la corne postérieure , en se terminant probablement dans les cellules
es situées en cet endroit. - 2° Il n'y a donc pas, dans les racines postérieures de la moelle du cochon d'Inde, de fibres qui se
ce de grosses et larges fibres fort abondantes. 2° Dans les racines postérieures de la moelle cervicale et lombaire, il existe u
ort qui existe eulre le limaçon de l'oreille interne et le ganglion postérieur des tuber- cules quadrijumeaux; il s'exprimait
n'en existe pas davantage pour la région qui commande au mem- bre postérieur gauche ; - 2° après les extirpations en question,
à travers le cordon latéral (ou à travers la substance de la corne postérieure ), en de- hors (région de la première paire cerv
tion verticale, l'angle situé entre la corne antérieure et la corne postérieure , pour pénétrer, après s'être encore une fois infl
u pyramidal. Il forme un long ruban à la hauteur de la commissure postérieure . Les fibres émanent probablement, par la commissu
e postérieure. Les fibres émanent probablement, par la commissure postérieure , des racines sensitives de la moitié de la moelle
XIV. Quelques remarques SUR LE trajet DES fibres DE la commissure postérieure du cerveau; par L. UAI\KSCIU;WITSCH. (Neural. Cen
rale. P. K. XV. SUR LES rapports DU CORPS HESTIFORME avec LE CORDON POSTÉRIEUR ET SUR LE NOYAU DU CORDON POSTÉRIEUR ; EN OUTRE
ORPS HESTIFORME avec LE CORDON POSTÉRIEUR ET SUR LE NOYAU DU CORDON POSTÉRIEUR ; EN OUTRE, REMARQUES SUR deux ZONES du BULBE;
les connexions que Meynert prélendait très fournies entre le cordon postérieur et le cervelet. Il s'agit particulièrement ici
yéline. Enfin il insiste sur le schéma géné- ral du noyau du cordon postérieur avec les systèmes de fibres qui en partent. Le
ieur avec les systèmes de fibres qui en partent. Le noyau du cordon postérieur d'un côté est en rapport avec les longues fibre
érieur d'un côté est en rapport avec les longues fibres des cordons postérieurs , avec la tête du corps restiforme de l'autre cô
nt interne du bulbe du côté opposé; il est possible que les cordons postérieurs soient en con- nexion avec les fibres cérébelle
orrespondantes. Une subs- tance grise plus externe (noyau du cordon postérieur ) est indubi- tablement un noyau senoilif destin
aux diverses phases du développement, avec le faisceau longitudinal postérieur , des fibres longitudinales qui, par les fibres
s proprement dites, le systèmearcué inférieur l' du noyau du cordon postérieur , à la partie la plus inférieure du champ intern
e. Or, l'autopsie révèle que le point du segment externe des cornes postérieures où les fibres radiculaires viennent pénétrer da
ostérieures où les fibres radiculaires viennent pénétrer dans corne postérieure (zone d'entrée mdiculllÍ1'e de Westphal) a été
uer qu'à côté de l'importance de l'atrophie des fibres radiculaires postérieures , le maître lui-même fait des réserves sur la pa
moelle à son sujpt. En ce qui concerne la dégénérescence des cornes postérieures dans le labes, M. Krauss signale l'atrophie de la
dans le labes, M. Krauss signale l'atrophie de la base de la corne postérieure cervicale (faisceaux d'irradiation et fin relic
es fibres myélirziques du renflement cervical à la base de la corne postérieure (probablement ce sont des fibres radiculaires p
a corne postérieure (probablement ce sont des fibres radiculaires postérieures ). P. ËERAVAL. XVII. Encéphale DU microcéphale H
isceau de Meynert; 4° de la bandelette optique; 5° de la commissure postérieure du cerveau. P. K. 94 REVUE d'anatomie et DE p
che, la protubérance sans atteindre le bulbe. L'artère cérébelleuse postérieure gauche présente une dilatation athéro- mateuse
érébrale et de la moelle. Sclérose médullaire primitive latérale et postérieure . L'auteur l'ait remarquer que par quelques-uns
écroses cutanées indiquaient une affection ir- ritative dea parties postérieures de la substance grise centrale. H. M. C. III.
disséminée, ainsi qu'au niveau des racines antérieures, des racines postérieures , des colonnes de Clarke. Discussion. - M. l3E
quelques cylindraxes dans la moelle, notamment le long des cordons postérieurs . AI. OTTO (de Dalldorf). De la paralysie pseurl
t chez les indi- vidus en état de misère physiologique, les cordons postérieurs de la moelle sont dégénérés. C'est par un mécan
t les troubles sudoraux ou vaso moteurs . (Substance grise latérale postérieure ) ; par le professeur .1. Cras- set, recueillies
la parésie et l'alro- phie musculaire, et en s'étendant aux cordons postérieurs , l'anal- gésie et les autres espèces d'anesthés
canal de l'épendyme de préférence dans l'épaisseur de la commissure postérieure . Pour l'auteur la glioillatose est une affectio
ntrinsèques sont divisés en symptômes polymyé- litiques antérieurs, postérieurs et médians; les extrinsèques en leucomyélitique
rieurs et médians; les extrinsèques en leucomyélitiques latéraux et postérieurs . Les symptômes polymyélitiques antérieurs sont
aduisent par la paralysie du genre spasmodique les leucomyélitiques postérieurs , par des signes tabétiques. Le début est juvé
he seulement du sciatique. Mais cette localisation au nerf tibial postérieur nous paraît, si nous en jugeons par le nombre d
les; au contraire sous la même influence \ les muscles de la région postérieure et de la cuisse réagissent éner- giquement. »
e, à la partie la plus interne, est laissée intacte; - b) à la face postérieure , la ligne limitante com- mençant au-dessous de
plus de la moitié de la face antérieure elles deux tiers de la face postérieure de la jambe. (V. la fig. 11.) 2 Sensibilité à l
due, que la face externe du pied est presque indemne et que la face postérieure de la jambe est prise dans une étendue beaucoup
lle comprend la face externe, une petite bande verticale de la face postérieure , les deux tiers de la face an- térieure au-dess
rtain soulagement. Actuellement, le malade souffre dans la partie postérieure de la cuisse et dans le mollet droit.Il existe
ranches du nerf saphène interne, venu du nerf crural. A la face postérieure un grand nombre de nerfs se distribuent à la
branches du nerf crural, par le petit sciatique et par le tibial postérieur . Si l'on veut se reporter aux schémas joints
ssoire (branche des deux sciatiques popli- tés). - f. Nerf tibial postérieur (branche du poplité interne). SUR UNE COMPLIC
llements, d'élancements dans le pied, la jambe et surtout la région postérieure de la cuisse. On constate un amaigrissement gén
nt par la crête tibiale, en arrière par la ligne médiane et la face postérieure de la jambe il y a anesthésie com- plète ; - et
on frappe brusquement, bien qu'avec une force modérée, la partie postérieure de l'épaule avec la paume de la main (Charcot).
correspondante. Patho- génie : portde lourds fardeaux sur la partie postérieure de l'épaule gauche Affection durant depuis trop
chute d'unebranche d'arbre. Dépres- sion osseuse occupant la partie postérieure du frontal et la partie antérieure du pariétal
ontales supérieures gauches, et la dégénérescence grise des cordons postérieurs . Névrite optique du côté droit. P. K. XXX VI
épileptiformes, affaiblis- sement intellectuel, lésion des cordons postérieurs avec disparition du phénomène du genou), 9 sont
rejoint au centre cortical (portion interne du segment antérieur et postérieur du gyrus sigmoïde) et envoie en bas à travers la
ait comparativement chez quelques- uns d'entre eux les deux racines postérieures des nerfs lombaires du côté sain afin de pouvoi
ondant au membre amputé et la dégénérescence secondaire des cordons postérieurs en relalion avec les racines. Ces mutila- tions
s nerfs périphériques au-dessous des ganglions spinaux, les racines postérieures ne se montrant presque pas touchées. P. K. RE
étale ascendante, gagne la con- vexité, c'est-à-dire par la branche postérieure de la scissure de Sylvius, le tiers postérieur
dire par la branche postérieure de la scissure de Sylvius, le tiers postérieur du lobe temporal et descend jusque dans l'insul
souvenirs des faits succédant à l'accouchement. Quelques faits plus postérieurs ayant beaucoup frappé la malade ont été retenus
sitif en avant et en dedans de la substance gélatineuse de la corne postérieure . Il forme en cet endroit un trousseau distinct et
thésie complète du fond de la gorge; on peut cha- touiller la paroi postérieure du pharynx et le voile du pa- lais sans provoqu
ande diagonale. C. b. Corps bordant se continuant avec P. p. pilier postérieur , et P. a., pilier antérieur. Celui-ci, après av
tique à la bande diagonale : arc intermédiaire. D. c. g. Division postérieure du corps godronné en : 1° C. a. s., corps godronn
ande diagonale, l'arc rachidien, l'arc inter- médiaire et la partie postérieure de l'arc cérébral pilier postérieur et voûte. L
inter- médiaire et la partie postérieure de l'arc cérébral pilier postérieur et voûte. La partie antérieure de l'arc cérébra
des côtés, l'externe, est adossé au crochet de l'hippo- campe ; le postérieur , à la bandelette optique; l'in. terne, plus ou
'espace perforé, on constate la présence d'un grand arc à concavité postérieure . Cet arc olfac- tif ' est en continuité, par la
autres nerfs rachidiens sensitifs au niveau de la zone radiculaire postérieure de Charcot; et c'est de cette surface d'étaleme
if ». Bande diagonale. - FOVILLE la décrit ainsi : « De la moitié postérieure de son côté externe, à l'extrémité antérieure de
antaire, la sensibilité est dimi- nuée aux deux talons antérieur et postérieur , des deux côtés et à la face inférieure des ort
puerpéraux, ceux de la seconde ne se produisent que pour des faits postérieurs ou au contraire tout à fait antérieurs à l'acco
l'inconscient. Quant au temps passé (je parle surtout de la période postérieure à l'accouchement), elle en raccourcit généralem
Si on pince leur patte ou qu'on applique un irritant sur la partie postérieure de leur corps, elles font un saut en avant; jet
diminué, et cela davantage dans les membres antérieurs que dans les postérieurs . Néanmoins, il peut maintenir son équilibre; as
(Centr. f. lleru., 1886.) Section chez chiens et chats des racines postérieures des renfle- ments cervicaux et lombaires ; exam
oelle, un tri- angle, immédiatement contigu à la pointe de la corne postérieure , qui occupe la partie laplus externe et la plus
a corne postérieure, qui occupe la partie laplus externe et la plus postérieure ducordon postérieur; puis, la zone dégénérative
qui occupe la partie laplus externe et la plus postérieure ducordon postérieur ; puis, la zone dégénérative gagne les libres de l
ostérieur; puis, la zone dégénérative gagne les libres de la racine postérieure immédiatement supérieure par leur côté .interne e
côté .interne et médian, au point où elles pénètrent dans le cordon postérieur . Si la section a porté sur les racines du plexu
du bulbe, la dégénérescence qui succède à la résection des racines postérieures de la moitié inférieure du corps ne se prolonge
racines en question, entraîne l'exclusive dégénérescence du cordon postérieur du côté de la racine sectionnée. P. KERAVAL.
kler. -Ramollissement occupant, dans l'hémisphère gauche, la partie postérieure de la pariétale ascendante et ayant détruit une
eur et le commencement du pli courbe; ramollisse- ment de la moitié postérieure de la première temporale et d'un petit segment
onde temporale; ramollissement superficiel des deux circonvolutions postérieures de l'insula. La zone de dégénérescence porte su
ondément dans la moelle cervicale et en descendant dans le faisceau postérieur latéral du côté opposé. Obs. de Jelgersma. Gros
r (précrucial) du gyrus sigmoïde, de la partie externe du segment postérieur du même gyrus, de la portion antérieure des deuxi
sur la peau, M. Hitzig a faitinstallersur les parties latérales et postérieures d'un bas de laine une poche qui s'ouvre sur le
ssu du lobe temporal, un système émané des parties du lobe pariétal postérieures aux ascendantes; ces deux systèmes avant d'arri
s prévenus, y compris cette fois le Dr Carlier pour les infractions postérieures à l'entrée de ce médecin dans l'association.
térieures, par Popoff, Flechsig, 83 ; -trajets des fibres de la - postérieure , par Darkschewitsch, 90. Concours des médecin
ux, par Gl'nenfeld, 7-Í; trajet profond des fibres radi- cuiaires postérieures de la-, par ltossolimo, 83; - cordon antéro-
57 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
respondante est brunâtre. Teint ecchymolique de la région cervicale postérieure et du cuir chevelu, lequel est bouffi, oedémati
. Plusieurs coupes n'ont pas fait découvrir de sclérose des cordons postérieurs . Thorax. Quelques adhérences pleurales du côté
vulgaire, suffit à les réfu- ter : une lésion siégeant à la partie postérieure de la capsule interne, sur un point que nous pr
nsibilité générale ou spéciale arrivent à la moelle par les racines postérieures ou au bulbe par l'intermédiaire des nerfs spéci
indifférente (expérience de M. Vulpian) ; 2° les fibres des cordons postérieurs jouent le rôle de commis- sures ; la substance
à désigner seulement le groupe de fibres qui, émanées de la partie postérieure de la capsule, se rendent, d'après l'auteur, au
eau moteur, ou faisceau pyramidal. 72 REVUE CRITIQUE. la partie postérieure de la capsule interne, situé qu'il est immédiat
e fibres qui se détache du pédoncule cérébral, derrière l'extrémité postérieure du noyau lenticulaire, pour se diriger aussitôt
visager le faisceau suivant sa longueur depuis son origine au tiers postérieur de la cap- sule interne jusqu'aux circonvolutio
st faite verticalement à la jonction du tiers 7 . REVUE CRITIQUE. postérieur et des deux tiers antérieurs de la couche optique
capsule interne, dont il occupe la par- tie la plus reculée (tiers postérieur du segment postérieur). Il re- çoit bientôt un
il occupe la par- tie la plus reculée (tiers postérieur du segment postérieur ). Il re- çoit bientôt un certain nombre de fibr
à celle d'une pyramide quadrangulaire à base anté- rieure, à sommet postérieur . Ce faisceau s'amoindrit en pro- o-ressant, par
nt les cas, au niveau : 1° du pied de la couronne rayonnante (tiers postérieur de la capsule in- terne) ; 2° des fibres du cen
ie sensitivo-sensorielle intéresse le tiers posté- rieur du segment postérieur delà capsule. Mais elle peut l'inté- resserde d
té pre- mière. Si le plus habituellement les lésions de la partie postérieure de la capsule interne ou de son voisinage engen
du corps strié. La capsule ex- terne n'était altérée qu'à sa partie postérieure , partout ailleurs elle était comprimée. Dans
rle noyau lenticulaire et les fibres les plus externes de la partie postérieure de la capsule. Depuis la publication de notre
nt en relation avec des lésions occupant le pli courbe ou la partie postérieure des circonvolutions tempo- rales. Mais l'aphasi
e l'ouïe et de la vue. Or, de ce qu'une lésion occupant la partie postérieure des circonvolutions temporales s'accompagne de
que le pli courbe n'est pas plus le centre de la vue, que le tiers postérieur des tempo- rales n'est le centre de l'ouïe, pui
res sensitives réunies, comme dans un carrefour, au niveau du tiers postérieur de la capsule interne, au lieu d'aller se ter-
mmet du temporal gauche, du milieu de l'occipital au trou dé- chiré postérieur droit, et sur le tiers externe de la face antérie
me. Un épanchement sanguin occupe le corps calleux vers son tiers postérieur au voisinage de la voûte à trois piliers. Les dép
d'une suffusion sanguine dans l'aponévrose épicrânienne à la région postérieure gauche prouve que le malade a reçu le choc sur l'
ntes qui déterminent la localisation de la syphilis sur les cordons postérieurs de la moelle épinière, sont personnels ou héréd
o-cartiiago. Le condyle gauche est seulement un peu usé à sa partie postérieure . 11 semble que ce soit le premier fait qui ait
pens de la face posté- rieure que s'est faite l'usure. Cotte partie postérieure , aplatie et déformée, est irrégulièrement anfra
endue, taillée obliquement de haut en bas et d'arrière en avant; la postérieure , plus large, taillée en sens inverse, est plus
formé par des aspérités rugueuses. Dans toute sa demi-circonférence postérieure au con- traire il est complètement usé et rempl
nche droite (Fig. 19). A. Os iliaque. Toute la demi-circon- férence postérieure du sourcil cotyloïdien est usée et constitue une
cée de trous. Ce même aspect se retrouve du reste sur la partie postérieure de l'os jusqu'à la bifurcation supé- rieure d
avec l'oeil qui a été atteint) sans baisser la tète. Dans la moitié postérieure de la plaie, il y a eu réunion osseuse ; mais d
s pôles d'un courant induit sur la substance corticale de la partie postérieure des hémisphères cérébraux, on observe ordinaire
t effet s'obtient mieux encore si on applique les pôles sur l'angle postérieur et interne de l'hémisphère ; 3° Plus rarement,
s, qui présente plusieurs points adhérents, notamment à l'extrémité postérieure des première et deuxième frontales. M. Schwaah
ramollissement) entraînait des mani- festations aiguës. Les cordons postérieurs de la moelle n'avaient participé au processus q
e, et son opinion relative à l'indépendance des lésions des cordons postérieurs et du ' On en trouvera le résumé aux Remues ana
(le malade avait eu cette affection jadis), siégeant dans la moitié postérieure droite du renflement cervical de la moelle, plu
tard compliquée de dégénérescence secondaire dans les deux cordons postérieurs . Aujourd'hui, on est évidemment en présence d'u
e observer que cette, racine, ainsi, que les racines antérieures et postérieures des cinquième et' septième nerfs étaient absolu
par l'intermédiaire de la capsule, au tissu de la moelle; son bord postérieur était, au con- capslle, tissu Jii'Hi s'o-n bord
paraissait réduit à un mince filet logé entre la tumeur et la corne postérieure (PL. V, fig. 4 et 5). Les cordons anté- rieur e
corne postérieure (PL. V, fig. 4 et 5). Les cordons anté- rieur et postérieur avaient aussi subi une diminution semblable dan
laires... Il y a dans la moelle des artères médianes antérieures et postérieures et des artères radiculaires antérieures et post
érieures et postérieures et des artères radiculaires antérieures et postérieures . » M. Adamkiewicz parait ignorer que nous avons
le trajet et les ramifications des artères médianes antérieures et postérieures , des artères radiculaires, des artères périphér
voy. Fi ig. VII vue avec un grossissement de 1 45). - Dans la corne postérieure , on'voit un réseau, allongé de sa pointe ou ext
artères périphériques ; et en arrière par les artères radiculaires postérieures . La corne postérieure offre au niveau de sa sub
et en arrière par les artères radiculaires postérieures. La corne postérieure offre au niveau de sa substance gélatineuse un be
Sur des coupes sagittales passant par la substance grise des cornes postérieures on voit facilement la série des artères qui ent
re. Ces pinceaux vasculaires se ter- minent dans le col de la corne postérieure en un réseau capillaire qui occupe toute sa lar
A la région lombaire, le réseau capillaire s'élargit comme la corne postérieure . Après cette description de l'aspect général du
me centrifuge les rameaux de l'artère de la fissure (artère médiane postérieure ) qui, quoique ténus quand ils atteignent la com
postérieure) qui, quoique ténus quand ils atteignent la commissure postérieure , s'éloignent de l'axe central. Elle a malheureu
re du sillon (arteria sulci) ; tandis que l'artère du sillon médian postérieur porte le nom d'artère de la fissure (arteria fi
: nos dénominations d'ancré médiane antérieure .et X artère médiane postérieure sont plus simples, plus en rap- port avec les h
un point diamétralement opposé, dans la substance grise des cornes postérieures ; la troisième branche est inter- médiaire. « E
nom d'artère de la fissure (arieîia fissurai), notre artère médiane postérieure ; 2° d'arlerl z·ada'cum î)osieî,io2,u)2z, d'arl
z·i commun postica OS ? 0/'MM ! latérales, nos artères radiculaires postérieures : 3o il ne paraît pas com- prendre l'importance
où elles se résolvent en mailles capillaires. » Et pour la corne postérieure : « Les artères radiculaires postérieures sont si
laires. » Et pour la corne postérieure : « Les artères radiculaires postérieures sont situées les unes au milieu des faisceaux r
culaires, les autres en de- dans, les autres en dehors de la racine postérieure . Les artères moyennes sont surtout destinées à
postérieure. Les artères moyennes sont surtout destinées à la corno postérieure et à la substance gélatineuse. Les artères exte
aux blancs pour se ramifier un peu plus haut jusque dans. la partie postérieure et externe de la corne antérieure. Les artères
lus importantes, accompagnent constamment cette partie de la racine postérieure que M. Pierret a désignée sous le nom de faisce
). Il signale encore la présence constante d'une petite arté- riolo postérieure entre le cordon de Goll et le cordon de Burdach
: mais, nous aussi, nous avions décrit ce vaisseau : « A la partie postérieure , il convient de signaler deux groupes d'artério
assent entre les cordons de Goll et le faisceau externe des cordons postérieurs . c Parmi les artères périphériques des faisceau
dans leur développement le champ de vasculir-isa- tion des cordons postérieurs . Ce fait ne nous avait pas échappé, car avant l
, du ptérion et du cap de la circonvolution de Broca, de la branche postérieure de la suture de Sylvius et de la suture pariéto
paru toutefois, quant à ses rapports avec les circonvolutions, plus postérieur que chez l'adulte, il répond au pied de la circ
bifurque la branche antérieure delà scissure de Sylvius. La branche postérieure de cette scissure est constam- ment d'abord sup
s'abaisse aussi pour atteindre finalement le lambda. Les régions postérieures du cerveau, végétatives et sensi- tives, semble
ns latéraux a été sans doute seule atteinte, tan- dis que le cordon postérieur qui transmet les sensations tactiles, a été res
qu'il s'est agi là d'une contusion cérébrale portant sur la partie postérieure du lobe antérieur gauche, et intéressant une po
ation pourrait-elle en être cherchée dans le voisinage de la partie postérieure de la capsule interne et des circonvolutions pa
t spinale. P. K. XXXIII. Dégénérescence I'UNIb'OR : 11E DES CORDONS postérieurs DE LA MOELLE ACCOMPAGNÉE DE 91LNIGODIYLITE EN F
veau des cordons posté- rieurs, la dégénérescence grise des cordons postérieurs et celle des cordons antérieurs immédiatement a
ent cervical. Le microscope localise ces lésions dans les cor- dons postérieurs , les cordons antérieurs, une partie des cordons
s faisceaux cunéiformes. Altérations mar- ginées en toute la moitié postérieure de la moelle allongée, et çà et là, le long des
postérieure de la moelle allongée, et çà et là, le long des cordons postérieurs de lamoelle. Lésions des racines postérieures,'
à, le long des cordons postérieurs de lamoelle. Lésions des racines postérieures ,'par places des cornes postérieures. L'épais- s
e lamoelle. Lésions des racines postérieures,'par places des cornes postérieures . L'épais- sissement de la pie-mère apparaît dan
re et au sein des lésions. En somme, lésion luzi'lbi-me des cordons postérieurs avec un gros foyer au-deisous du renflement cer
ires, l'inflammation gagnant en profondeur d'abord dans les cordons postérieurs delà moelle lombaire, puis dans la région thora
e la moelle cervicale et d'un loyer parenchymateux dans les cordons postérieurs . , Sur le chapitre de la systématisation et de
érieurs dépend de la dégénérescence des rubans externes des cordons postérieurs , comme l'absence de réflexes patellaires. Les t
Dans les cas d'abolition, il y avait soit une sclérose fasciculée postérieure , soit une sclérose corticale peu marquée dans la
peu marquée, tandis qu'il existait une atrophie de la corne grise postérieure correspondante. Il est possible que la lésion d
calisa- tion, 395. Moelle (dégénérescence funiforme des cordons postérieurs de la) accompagnée de méningo-myé- tite en fo
58 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nulations, dans le -]obus pallidus, à la hauteur de la commis- sure postérieure , etc. ; thromboses disséminées des petits vaiss
LOGIE NERVEUSE. 63 jambe fortement tendus ; on les sent à la partie postérieure de la cuisse. Les fléchisseurs de la jambe sur
rtent de cellules qui ont plutôt l'aspect des cel- lules des cornes postérieures et de la substance de Holando. Delà deux types
e référant aux différen- ces de structure des cornes antérieures et postérieures de la moelle épinière, a-t-elle quelque apparen
le épinière, que les cellules nerveuses des cornes anté- rieures et postérieures sont rigoureusement distinctes anatomique- ment
r directement des cellules des cornes antérieures; ceux des racines postérieures seraient formés de la réunion de fibrilles nerv
l) composé de vcrttn. a, vent ? b. et vent ? antérieur ; i;° groupe postérieur , et G° la couche grillagée avec ses îlots cellu
es tubercules quadrijumeaux antérieurs, dans les noyaux des cordons postérieurs et dans le noyau de la couche réticulaire de la
s le noyau rouge de la calotte, dans les tubercules quadrijumeaux postérieurs et dans l'hémisphère du cervelet du côté opposé.
re avec le tubercule squamiforme; quelques-unes montent à la face postérieure du pulvinar, dans la couche des fibres arciformes
corps genouillé externe, va, à travers le pulvinar, dans la partie postérieure des fibres arcifomes... 2° La couronne rayonnan
ner de dégénérescence ascendante, ! la dégénéres- cence des cordons postérieurs doit être mise sur le compte de l'al- tération
égénérées sont disséminées à travers tout le territoire des cordons postérieurs altérés sur toute l'étendue REVUE D'ANATOMIE ET
tout aux colonnes de Clarke. En conséquence, les fibres des racines postérieures qui prennent part à la constitution de la queue
nes de la moelle avec les noyaux des faisceaux de Goll. Les racines postérieures qui viennent d'entrer dans la moelle occupent l
viennent d'entrer dans la moelle occupent le voisinage de la corne postérieure au côté interne de la- quelle elles sont placée
radiculaires antérieurement entrées, en dedans, du côté delacloison postérieure . C'est pourquoi la dégénérescence des fibres se
dire que lorsqu'on frotte la peau du thorax de l'animal, la patte postérieure du même côté se fléchit dans toutes ses articulat
nal) par l'introduction du doigt, etc.. Dans tous ces cas, le train postérieur s'amaigrit rapidement sans qu'il y ait d'atroph
et ET MODE de terminaison DES fibres DU « champ ovale » DES CORDONS POSTÉRIEURS DE LA MOELLE LOMBAIRE ; par À. HoCHE. (Neurolog
it de la zone ovale de Flechsig située des deux côtés de la cloison postérieure , sur le milieu de la moelle (centre ovale, zone
ale dans la moelle lombaire, triangulaire aigu (à base périphérique postérieure ) dans la moelle sacrée. Barbacci croit que ce s
s le début de la compression. Les fibres du champ ovale des cordons postérieurs ont dans l'espèce subi la dégénérescence des- c
ne médiane siègent, au-dessous de l'endroit lésé, dans les portions postérieures les plus latérales des cordons cunéiformes, pui
atérales des cordons cunéiformes, puis, elles gagnent la périphérie postérieure , le long de laquelle elles constituent une raie é
g de laquelle elles constituent une raie étroite jusqu'à la cloison postérieure . Parvenues en cet endroit, elles forment, dans
e, les unes le long de la cloison, les autres à travers les cordons postérieurs , pénètrent obliquement en avant dans la substan
roit. Il est donc probable que ces fibres pro- viennent de la corne postérieure (des racines postérieures ? ) et vont dans les
e que ces fibres pro- viennent de la corne postérieure (des racines postérieures ? ) et vont dans les cordons postérieurs. Il es
postérieure (des racines postérieures ? ) et vont dans les cordons postérieurs . Il est également probable qu'elles constituent
ble. P. KÉRAVAL. VI. Contribution A l'étude DU trajet DES racines postérieures chez l'homme; par A. Marguliès. (Neurolog. Cei2
g. Cei2ti-albl.,XV, 1896.) Observation de lésion isolée des racines postérieures ; figures. Il s'agit d'un homme de quarante-cin
ante-cinq ans, mort de démence para- lytique. Rien dans les cordons postérieurs . On constate à droite au niveau de la 6e racine
voit très nettement un bactus de fibres dégénérées, dans la corne postérieure , qui représente évidemment les contingents de fib
, tandisque sa branche hori- zontale côtoie la périphérie du cordon postérieur , et lui est même contiguë à son extrémité latér
lui est même contiguë à son extrémité latérale. La zone radiculaire postérieure apparaît donc comme le lieu de réception des fi
arce que un certain nombre de fibres ont été abandonnées à la corne postérieure ; elle est rejetée en dedans par les fibres qui
t à la suite. Il n'y en a plus qu'un petit vestige près de la corne postérieure . La zone dégénérative forme maintenant un trian
me maintenant un triangle dont le sommet occupe l'extrémité la plus postérieure de la limite externe du cordon de Goll ; un des
parallèle à la cloison paramédiane dorsale, à peu près par le tiers postérieur de la longueur du cordon postérieur ; l'autre c
orsale, à peu près par le tiers postérieur de la longueur du cordon postérieur ; l'autre côté est immédiatement contigu à la m
té est immédiatement contigu à la moitié interne de la péri- phérie postérieure de la moelle. Au niveau de l'entrée de la 3° ra-
ge, en restant d'une égale largeur, en avant, jusqu'à la commissure postérieure ; là, elle se dirige en dehors, et, toujours côt
a commissure grise, pousse une pointe dans la direction de la corne postérieure . Au-dessous, c'est- à-dire depuis ia 8° paire d
à toutes les hauteurs. Cette dégénérescence unilatérale des racines postérieures limitée au côté de la racine affectée n'a pas d
ces de l'articulation et celui des motrices graphiques. Les travaux postérieurs du même auteur, joints à ceux de Sérieux, Garni
la même façon tous ceux qui, par l'effet d'une cause antérieure ou postérieure à Pans, 1895.) Des hallucinations dans la mélan
sourds-muets. Mais ceci sera l'objet d'inves- tigations et d'études postérieures pour arriver à la publication d'un travail qui
lombaire, présente à la. région dorsale une incurvation à convexité postérieure très prononcée correspondant aux 5 pre- mières
2 centimètres en plus de la hauteur normale), son diamètre antéro- postérieur au-dessous de la normale (Brachycéphalie). Pupill
ependant, étant donné l'ar- rêt de développement de toute la partie postérieure du crâne dans cette malformation, on peut admet
on peut admettre un arrêt de développement correspondant des lobes postérieurs , siège de la sphère visuelle, ou une prédisposi
ulbaires et de salivation abondante. Notons d'abord que les cordons postérieurs et les racines spinales présentaient des lésion
I. THÉORIE DES NEURONES. 283 longues voies nerveuses des cordons postérieurs qui montent jus- qu'au niveau de la moelle allo
nstituent les fibres des faisceaux ou cordons antérieur, latéral et postérieur du même côté. Les cel- lules des cordons donnen
es du cordon antéro-latéral du même côté; b, les cellules du cordon postérieur du même côté; c, les cellules du cordon antérie
ne branche descendante, qui montent et descendent le long du cordon postérieur : ce sont les collatérales de ces branches qui,
la corne antérieure, des collatérales courtes destinées à la corne postérieure : celles-ci, après avoir traversé la substance de
lésion permanente au nerf circonflexe droit et au nerf thoracique postérieur gauche. R. DE Musgrave CL\Y. XLIV. Lésions DES
ètrent dans les cornes antérieures et aussi dans la base des cornes postérieures et dans la substance blanche limitant les corne
a- tique combinée : lésions prédominantes des cordons latéraux et postérieurs ). Entre ces deux formes prennent place les myélit
rouvé une dégénéralion de la moelle portant surtout sur les cordons postérieurs . Le venin de serpent, en injections sous-culane
toxalbumines du choléra- La lésion intéressait surtout les cordons postérieurs et latéraux; sa répartition variait quelque peu
ral, partie voisine de la circonvolution du corps calleux et partie postérieure des trois circonvolutions frontales) ; 2° sphère
ée de trois sphères distinctes : 1° le grand centre d'associa- tion postérieur comprenant une grande partie du lobe occipital, d
rois cas d'atrophie du globe oculaire. Les tubercules quadrijumeaux postérieurs ne jouent aucun rôle dans la vision. Dans les t
e pinéale, ses pédoncules, le ganglion habenula; et la com- missure postérieure ne présentent aucune altération et ne jouent au
Dégénérescence descendante dans la partie lombo-sacrée DES cordons postérieurs DE la MOELLE; par A. BANCE et R. MUNIR. (Bmrin,
et localiser le faisceau GO en virgule » qui s'étend dans le cordon postérieur tout le long des régions cervicale et dorsale et
u cordon postéro-externe, est parallèle au bord interne de la corne postérieure et n'atteint ni la commissure postérieure ni la
bord interne de la corne postérieure et n'atteint ni la commissure postérieure ni la périphérie, mais il n'a pas été suivi par
nérescence occupant de chaque côté les deux tiers du bord du sillon postérieur et une petite étendue de la périphérie. D'autre
eux cas de tabès où la dégénérescence ascendante totale des cordons postérieurs dans la région lombo-sacrée avait laissé indemn
générescence totale des cordons antéro-latéraux et dans les cordons postérieurs : une ban- delette dégénérée qui occupait en ha
térieurs : une ban- delette dégénérée qui occupait en haut le tiers postérieur du bord du sillon médian postérieur et la moiti
e qui occupait en haut le tiers postérieur du bord du sillon médian postérieur et la moitié interne de la périphérie, et qui,
du sillon depuis son angle avec la périphérie jusqu'à la commissure postérieure . Ily avait en outre une légère dégénérescence d
mie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. bacci qui montrèrent le cordon postérieur entièrement dégénéré de bas en haut à l'excepti
faisceau descendant autre que le faisceau en virgule dans le cordon postérieur . Conclusions : 1° Il y a un faisceau descendant
clusions : 1° Il y a un faisceau descendant distinct dans le cordon postérieur à la région lombo-sacrée; 2° ce faisceau existe
niveau de la troisième racine lombaire il occupe la marge du sillon postérieur dans la partie postérieure de ce sillon et la moi
ine lombaire il occupe la marge du sillon postérieur dans la partie postérieure de ce sillon et la moitié de la marge de la pér
me racine lom- baire il s'étend plus en avant jusqu'à la commissure postérieure ; au-dessous de ce niveau (deuxième racine sacré
t en passant en avant dans la substance grise à la base de la corne postérieure du même côté. Il est probable que ce faisceau
aisceau n'est pas en continuité directe avec les fibres des racines postérieures de la région correspon- dante, qu'il est indépe
lleux directs : la dégénération porte tout d'abord sur leur portion postérieure ; 4° Le septième jour apparaît la dégénération
s elle ressentit des douleurs à la partie extérieure et à la partie postérieure de la cuisse et de la jambe du côté droit; ces
rieur du pied et très fort la région de la fesse droite, la surface postérieure de la cuisse, la partie extérieure de la jambe,
tait plus développé dans la région des tuméfactions et à la surface postérieure de la moelle. Le tissu médullaire n'était pas a
uent un crâne plagiocéphale ou oblique ovalaire. En effet la région postérieure latérale droite qui comprend une partie du temp
ants, durs et plats (Cholo) et forment deux tourbillons à la partie postérieure de la tète. Le front est spacieux et mesure dan
andry et présente des symptômes qui sont considérés par les auteurs postérieurs à Landry comme caractéristiques de la maladie à
e l'intégrité des sphincters; et l'état à peu prèsnormal des cornes postérieures , des tractus sensoriaux et des racines nerveuse
i oculaires ni auditifs, ni sensitifs ni moteurs. Au niveau du bord postérieur du pariétal gauche, il existe 468 REVUE DE PATH
olution frontale droite, l'autre occupant c) toute la surface des postérieurs de la première circonvolution temporale gauche,
rice et de l'atrophie muscu- laire, tandis que la lésion des cornes postérieures produit des troubles sensitifs divers. Les cond
s que les conducteurs des sensations tac- tiles suivent les cordons postérieurs en dehors de la substance grise. Paralysie mo
er. Dans le tabès, ces désordres résultent d'une lésion des cordons postérieurs interceptant le cours des arcs re- flexes ; dan
ecours. L'absence du réflexe rotulien indique une lésion des cornes postérieures (tabès). ou des cornes antérieures (polyomyélit
é et, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 477 Î dans la région- tibiale postérieure (sauf les interosseux). Excitabilité électrique
meur aplatie située en dehors de la dure-mère entourant la par- tie postérieure de la moelle et intéressant les racines des deuxi
dans la région de la plus forte com- pression elle atteint le bord postérieur des corps des vertèbres. Dans ces endroits ou t
ctrique chez diverses espèces de m01'lnyl'us. En occupant la partie postérieure du corps, cet organe d'une forme cylindrique es
e de lamelles à forme triangulaire. Les nerfs s'attachent au côté postérieur des lamelles. A chaque lamelle se joignent 50 o
ême se divise en deux cou- ches : la couche antérieure et la couche postérieure qui, se confou- dant à leurs bouts, se composen
t prenait la forme d'un rein; encore plus haut se détachait du côté postérieur du canal central une cavité en forme de tube. E
tral est dilaté, plus bas il se divise en plusieurs canules, dontle postérieur se transforme plus bas en une large cavité syring
glique, se dirigent du canal central vers les cornes et les cordons postérieurs . D'après les auteurs il s'agit ici de même d'un
a maladie est regardée comme la sclérose des racines et des cordons postérieurs . Plus tard, en 1870-72, l'Ecole de la Salpê- tr
hsig : le tabès commence par les bande- lettes externes des cordons postérieurs . En 1879, Vulpian ouvre la troisième période, e
e période, en admettant l'origiue primitive des lésions des racines postérieures ; cette formule radiculaire, oubliée quelques an
ées, est bientôt rajeunie par les progrès de l'anatomie des cordons postérieurs qui apparaissent surtout formés par les fibres
direct : nn, le volume des fais- ceaux qui constituent les cordons postérieurs . Cette étude d'ana- tomie normale, faite avec l
ations secon- daires de la moelle humaine, démontre que les cordons postérieurs possèdent deux systèmes de faisceaux. Le premie
es de faisceaux. Le premier système comprend les fibres des racines postérieures : fibres extrinsèques - exogènes (Pierre-Marie)
e et forme un faisceau individualisé. Ainsi, le système radiculaire postérieur , à direction ascendante, constitue, au sur et à
re ascendant; le système endogène descendant occupe, dans le cordon postérieur , une place variable suivant la hauteur considér
que complète, de la fasciculalion, endogène et exogène, des cordons postérieurs . Puis, l'auteur passe à la topographie des lési
étude dresse la topogra- phie : 1° au niveau du système radiculaire postérieur ; 2° au niveau des zones endogènes ; 3° au nivea
te : Le labes, dit initial, atteint d'abord, le système radiculaire postérieur , depuis la racine jusqu'au cordon correspondant
ogène ou exogène, au niveau des racines comme au niveau des cordons postérieurs . Le chapitre iv traite des conclusions générale
lsifs. Pathologie de certains accès -, par Furstner, 394. Cordons postérieurs . Dégénéres- cence de la partie lombo-sacrée d
Faisceau - et maladie de Little, par van Gehuc))t3n, 353. Racines postérieures . Trajet des - chez l'homme, par Marguliès, 13
59 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
ête en manchette,beaucoup moindre à la face antérieure qu'à la face postérieure . La paume de la main est indemne : la couleur d
ne. Peu de sécrétion. Pharynx : quelques granulations sur la partie postérieure et légère hypertro- phie de l'amygdale droite.
te à la fois sur la partie antérieure de la langue et sur sa partie postérieure située en arrière du V lingual ainsi qu'il résult
is, d'une façon encore plus légère mais néanmoins certaine, la face postérieure de la cuisse du côté droit. Les mensurations
pour la face antérieure et à la moitié de l'avant-bras pour la face postérieure . Au membre droit on constate une légère thermo-
bsolue à la face dorsale des phalanges de la main gauche. A la face postérieure La thermo-analgésie est indiquée en noir. Les s
e gauche est atro- phiée et rejetée en dehors. La base de la racine postérieure du même côté est remplacée par une lacune qui a
che de la moelle est plus petite que la droite, surtout à sa partie postérieure . La corne anté- rieure gauche est normale ; la
a partie postérieure. La corne anté- rieure gauche est normale ; la postérieure se réduit à quelques tractus de substance grise
V° étage radiculaire cervical présente toujours cette fente oblique postérieure gauche qui suit exactement le trajet de la corne
blique postérieure gauche qui suit exactement le trajet de la corne postérieure (PI. XIV, A). Au centre elle naît en arrière et
e et à gauche de l'épendyme, s'ouvrant presque dans le grand sillon postérieur . A la pointe de la corne postérieure, on voit l
nt presque dans le grand sillon postérieur. A la pointe de la corne postérieure , on voit la pie-mère épaissie pénétrer dans la fe
exagèrent ; la fente se continue avec l'épendyme et gagne la racine postérieure droite. L'épen- dyme constitue la partie médian
gence des fibres sensitives ; à droite, elle pénètre dans la racine postérieure et la divise par plusieurs prolongements. Corne
e de même nature plus épaisse et plus large limite la paroi médiane postérieure de la cavité. La lésion fend dans leur longueur
ure de la cavité. La lésion fend dans leur longueur les deux cornes postérieures ; la cavité est un peu plus large, à parois plu
lésions augmentent encore d'intensité (Pl. XV, C). Les deux racines postérieures sont détruites par la fente, la droite presque
névroglie y sont plus intenses. Aux deux commissures antérieure et postérieure sont des bandes néoformées, elles se réunissent
à droite et à'gauche, mais n'existent plus guère qu'à-la commissure postérieure (Pl. XV, E). A hauteur de la VIIIe dorsale les
esque disparu ; seule- ment quelques petites lacunes dans la racine postérieure gauche. La moelle lombaire au niveau de la prem
'entrecroisement bien moindre qu'à gauche. Le faisceau longitudinal postérieur du côté droit est nettement atrophié, la substa
s appa- rente. On voit toujours l'atrophie du faisceau longitudinal postérieur et la disparition presque totale du faisceau ce
ceau central de la calotte et l'atrophie du fais- ceau longitudinal postérieur droit se poursuivent sur les coupes des régions
tral de la calotte se diriger vers l'olive bulbaire, vers sa partie postérieure et externe. Sur les coupes de la région olivair
faisceau central de la calotte. L'atrophie du faisceau longitudinal postérieur qui était très apparente sur les coupes de la p
e'inl'é- rieure un foyer de méningo-myélite intéressant les cordons postérieurs et les cordons latéraux. Ce foyer a déterminé l
es deux faisceaux pyramidaux au-dessous de la lésion et des cordons postérieurs au-dessus. Sur les coupes de la moelle cervicale
es saines. (1) A. Thomas, Recherches sur le faisceau longitudinal postérieur el la substance réticulée bulbo-protubérantiell
elleux, du faisceau central de la calotte, du faisceau longitudinal postérieur . Le cas que nous publions présente, au point de v
nt compris dans la plaque de méningo-encéphalite, ainsi que les 1/3 postérieur de la 3° frontale. Il existe sur le même hémisp
ncéphalite de la région psycho- motrice ; malformation de la région postérieure de l'hémisphère (à droite de la ligure). SYPHIL
complètement, particulièrement épaissie sur les faces latérales el postérieures , fendillée, peu résistante à la pression qui la
cornes antérieures sont inégales, plus ou moins étirées ; les cornes postérieures plus malmenées encore, déjetées latéralement ou
ieur, qui est élargi et dévié, ni par rapport il la cloison médiane postérieure qui est attirée fortement du côté de la corue p
n médiane postérieure qui est attirée fortement du côté de la corue postérieure la plus allongée. Ses vaisseaux sont dilatés, r
arois et non en- tourés par des cellules jeunes. Dans les cordons postérieurs , on remarque des pertes de substance con- tenan
phérie de la moelle, excepté en trois points : au niveau des cornes postérieures , le long desquelles elles s'infiltrent en les d
plus épaisses de la gaine pie-mérienne : c'est le point où la corne postérieure vient aflleurer la surface de la moelle. La pie
cient en pénétrant dans la moelle elle-même les éléments des cornes postérieures . Dans cette zone fibreuse sont creusées de nomb
moins grande abondance et disparaissent complètement dans la partie postérieure de ce cor- don. Enfin le cordon postérieur semb
lètement dans la partie postérieure de ce cor- don. Enfin le cordon postérieur semble en général plus épargné, surtout dans sa
fibres, soit qu'elles pénètrent le long des septa ou par la cloison postérieure . Nous avons vu toutes les masses néo-formées pé
e, à sommet dirigé vers le centre. Elles pénétraient par les cornes postérieures , laissant intact le sillon pos- térieur ; sur t
Boettiaer à la destruc- tion des fibres blanches. Dans le cordon postérieur existent, nous l'avons vu, de petits foyers de
on distingue encore un certain nombre de fibres à direction antéro- postérieure , reste du faisceau longitudinal inférieur : du mê
sverse du cunéus, il existe un foyer de ramollissement. La partie postérieure du pulvinar gauche contient une zone de dégénéres
ieure du mollet, bourrelet très réduit en hauteur entourant la face postérieure de la jambe comme une cra- vate (V. photogr.).
e. l'été et face. - La tête présente très nettement l'aplatissement postérieur signalé par Marie et Onanoff. Pas d'atrophie
térieure des bras ; pour les membres inférieurs, les pieds, la face postérieure des jambes 114 LANNOIS ET POROT au niveau des
espectée. Fausse hypertrophie des membres inférieurs. Aplatissement postérieur du crâne. - Rétractions tendineuses. Abolition
ans; nerveux encore par un stigmate qu'il présente, l'aplatissement postérieur de la tôle signalé par Marie et Onanoff, si l'o
r Hoffmann, cet auteur a montré des lésions de sclérose des cordons postérieurs et de ce fait a mis en relief l'origine spinale
OGRESSIVE 117 7 elle pas supposable pour les cordons ou les racines postérieurs ? On ex- pliquerait ainsi les cas où, comme dan
rête mousse ; en arrière, il est incurvé sans que cette con- cavité postérieure soit proportionnellement aussi prononcée que la c
déformations, une cour- burede la jambe qui forme un arcà concavité postérieure , et une diminution très notable du diamètre tra
de rotation prononcé et sa face interne va s'appliquer sur la face postérieure de la cuisse. L'ar- ticulation tibio-tarsienne
bien développées dans la saillie de la racine du membre. A la face postérieure de la jambe, le triceps est grêle, mais se cont
représentant la tête, vient s'appuyer contre le rebord inférieur et postérieur de la cavité cotyloïde dans laquelle elle ne pénè
diographie montre sur le métatarsien externe l'absence du tubercule postérieur caractéristique du 5° métatarsien, et on sait q
HALBRON au plus externe, qui, comme à gauche, n'a pas de tubercule postérieur , il semble en rapport direct avec le calcanéum,
e avec amyélie - (vu de profil on voit la saillie que forme la face postérieure des corps vertébraux lombaires). xvi 10 134 B
ure-mère ; ces deux nerfs sont le trijumeau et l'auditif. La partie postérieure de ce plateau est limitée par un rebord à arête
une courbure inverse de la normale. Racines rachidiennes. La face postérieure des corps vertébraux présente le grand surtout
l ont chacun une racine centrale propre ; au niveau du trou déchiré postérieur ils conver- gent dans un seul et même ganglion.
antérieure une belle teinte blanc-rosé, rouge vers la base. La face postérieure du poumon droit est recouverte principalement à s
On y voit le sillon antérieur, les diverses racines antérieures et postérieures , et la riche vascularisation de la pie-mère. Ju
a périphérie, en particulier dans les régions antérieure droite, et postérieure . Avec un peu d'attention, on reconnaît le sillon
nes posté- rieures droite et gauche, ou à la terminaison des cornes postérieures . En se basant sur ces points de repère on est a
téro-latéraux) ou les refoulant (cordons antérieurs) et les cordons postérieurs et postéro-latéraux. On distin- gue la substanc
ian antérieur, au lieu de se trouver dans le prolongement du sillon postérieur , forme avec celui-ci un angle obtus, ouvert à g
traînées finement rameuses qui aboutissent aux sillons collatéraux postérieurs , entre lesquels sont nettement dessinés les sil
érieur. La tumeur, ici, semble divisée en deux parties par la corne postérieure droite. On constate entre les deux racines post
par la corne postérieure droite. On constate entre les deux racines postérieures , en arrière de la com- missure, une masse arron
nettement le sillon antérieur, les points de terminaison des cornes postérieures , et entre eux, le sillon postérieur. Ici le sillo
nts de terminaison des cornes postérieures, et entre eux, le sillon postérieur . Ici le sillon posté- rieur n'est plus interrom
vité très petite située au milieu de la substance blanche du cordon postérieur gauche, au centre géométrique de la coupe. Enfi
rte à une molaire bicuspidée. Elle est située à cheval sur la corne postérieure droite au niveau de D. IL Une des pointes de la t
la tumeur, plus longue que l'autre, s'enfonce dans le cordon blanc postérieur gauche où elle se termine vers D. IV, par une p
rieures ; en arrière également dans celles correspondant aux cornes postérieures . La majeure partie des cellules de la tumeur so
téresse deux portions distinctes de la tumeur,séparées par la corne postérieure droite.- La portion qui se trouve à droite corres
antérieurs et latéraux sont presque toutes dégénérées ; les cordons postérieurs présentent leurs caractères normaux. Il s'agit,
set-aientqu'uii petit gliome, déve- loppé vers la hase de la corne postérieure ; dans la première, son déve- loppement lent, so
ibilité normale. paraplégie cervicale incomplète 161 (Les cordons postérieurs sont en grande partie respectés.) Membre supéri
nerfs du bras. A ce niveau, non seulement les cornes antérieures et postérieures étaient altérées, mais les méninges elles-mêmes é
éant Pierre K... (Poids : 250 grammes.) A, face antérieure; B, face postérieure . Masson et C ? Éditeurs. NOUV. ICONOGRAPHIE D
ssure interliéniispliériqne, à l'intérieur de 1 hémr- J ! . Segment postérieur d'une confie frontale du cerveau du géant Pierre
ntéro-externe, 10 pour le groupe antéro-interne et 7 pour le groupe postérieur . Mais cette diminution du nombre des cellules e
enne 3 pour le premier groupe, 3 pour le second et 2 pour le groupe postérieur . De plus, à ce niveau, la lumière de l'épendyme r
tte région on voit dans la substance blanche, en dehors de la corne postérieure , quelques grosses cellules isolées, arrondies,
le groupe externe, 6 dans le groupe interne et 6 à 7 dans le groupe postérieur . Nulle part, dans la moelle, on ne note de scléro
ît directement de l'os hyoïde, marque, dans la région inférieure et postérieure de la langue, une division très nette entre les
pas bien son équilibre. A l'inspection, on voit la région du tarse postérieur et celle du cou-de-pied considérablement tuméfi
çoit que l'articulation tibio-tarsienne, les articulations du tarse postérieur sont absolument disloquées ; les mouvements les
ées ; les mouvements les plus étendus peuvent s'y passer ; le tarse postérieur exécute une rotation presque complète sous le pla
ement atteintes. Les articulations du pied, les os de tout le tarse postérieur ne sont pas restés indemnes. Il serait difficil
otte, d'après ses observations, conclut que les lésions des cordons postérieurs chez les paralytiques généraux sont bien celles
e provoque l'altération corticale. Le processus morbide des cordons postérieurs peut en certains cas attaquer les voies descend
s paralytiques existe une intégrité absolue ou relative des racines postérieures ; mais Perpère répond que les racines postérieu
tive des racines postérieures ; mais Perpère répond que les racines postérieures , bien que peu touchées dans les cas de Rabaud, so
re de la moelle, point d'élection pour les altérations radiculaires postérieures dans le tabes. Pour ce qui concerne la substanc
lysie générale, et localisées spécialement dans les circonvolutions postérieures . Des alté- rations cellulaires dans l'écorce de
e présentent atrophiques et dégénérées surtout au niveau des cornes postérieures (PI. LV, D). Dans la substance blanche on const
icale et lombaire : dans ces mêmes 278 CURIONI points les cordons postérieurs se présentent presque complètement sains. Le ca
n'est autre chose qu'une lésion syphilitique du système lymphatique postérieur de la moelle »,peut-être la discussion entre le
Ci-, Editeurs ADIPOSE SOUS-CUTANÉE SYMÉTRIQUE ET SEGMENTAIRE 281 postérieure des bras, la partie inférieure de l'abdomen, la r
partie inférieure de l'abdomen, la région lonlbo- fessière, la face postérieure des cuisses, etc., forme des masses lipoma- teu
rices capillaires lui donne par places un aspect violacé. A la face postérieure des cuisses et au niveau de l'abdomen, la peau,
eaux, 1895). Des dégénérescences propagées. Altérations des cordons postérieurs consécutifs aux lésions cérébrales (Congr. inte
ent, était à peu près ignoré. Un très joli tableau du Baroche, bien postérieur à ceux que nous avons déjà vus, nous montre un
60 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857. Déviations de la colonne vertébrale. Atlas de XX planches
, p. 87?. PI, II. PLANCHE DEUXIÈME, ASPECTS DIVERS DE LA RÉGION POSTÉRIEURE DU TRONC DANS LES FLEXIONS LATÉRALES PHYSIOLOGI
et bombé en avant. La figure 4 montre la conformation de la partie postérieure du tronc. On y voit la différence de forme, de si
inférieures dans leur direction normale. La gibbosité de la partie postérieure droite du thorax, située très haut et près de la
affaissé à gauche. Une double gibbosité costale se voit à la région postérieure du tronc. La supérieure, formée par les cinq ou s
— Pages 290, 388, 399, 402, 404. —¦ La ligure 2 représente la partie postérieure du torse. La fille Bourée, morte à la Salpêtriè
nes est-il en contact avec (à face interne des côtes droites; le bord postérieur du poumon droit était réduit dans ce point à une
n arrière. Fig. 1. — Septième vertèbre cervicale, vue par la partie postérieure . La lame est plus large, les apophyses articulair
e. Fig. 2. — Première vertèbre dorsale, vue également par la partie postérieure . Même disposition des lames et des apophyses arti
Fig. 13, a et b. — Douzième dorsale, vue par les faces supérieure et postérieure . Corps d'égale hauteur à droite et à gauche. Rédu
auche de l'arc apophysaire. Apophyse épineuse déviée à gauche. La vue postérieure b de la vertèbre fait bien voir l'inclinaison de
Fig. 14, a et b. —Première lombaire, vue parles faces supérieure et postérieure . Corps très légèrement affaissé à gauche. Arc apo
neuse un peu moins déviée à gauche. Inclinaison analogue de la partie postérieure de l'os par rapport à sa partie antérieure. Fig
partie antérieure. Fig. 15. — Deuxième lombaire, vue par la partie postérieure . Corps un peu plus affaissé à gauche que dans la
l penche à gauche. Fig. 16. — Troisième lombaire, vue par la partie postérieure . Corps de même épaisseur à droite et à gauche. Ar
n. Page 399. 1. Première côte. Droite. Abaissée à l'extrémité postérieure comme dans la eontbr- Elle s'éloigne très peu de
orme que la première, elle a perdu de sa largeur, avec ses deux tiers postérieurs un angle obtus, saillant au bord inférieur. Cet
omme dans l'état normal. est fortement renversé en dedans. Courbure postérieure de la côte fort exagérée. Cette côte est moitié m
ieure ; sans torsion; mince, transparente et très fragile à sa partie postérieure ; élargie, creusée et percée d'un trou dans un po
nquième et septième côtes ; corps renversé en dehors dans sa partie postérieure , offrant une trace de la torsion naturelle. Gau
bée, sans torsion ; très grêle et si étroite que, dans ses deux tiers postérieurs , elle semble réduite à sa seule gouttière. Vue de
marquée qu'à la septième. Moins courbée que la septième à sa partie postérieure , elle décrit en avant une courbe inverse, de sort
avait disparu dans la septième, réparait dans la huitième. Extrémité postérieure et col minces et atrophiés. Le corps, très large
longitudinale qui partage cette face l'os, montre comment sa partie postérieure a changé de ligure et en deux moitiés, une supéri
n peu plus cintrée en avant, également de forme sigmoïde. L'extrémité postérieure se dirige plus en dedans, et la torsion exagérée
auche. Beaucoup plus longue que la droite; presque sans courbure, postérieure du corps, moins volumineuse et arrondie en avant,
a direction verti- rieure du corps; épaisse seulement à son extrémité postérieure ; cale que dans la dixième. Forme sigmoïde exag
sa face interne ; trace de la torsion anormale que présente la partie postérieure des dixième et onzième. Si l'on l'approche les
ndant, qui était comprimé, aplati et privé d'air dans toute sa partie postérieure . Fig. 3. — Foie assez volumineux, d'une forme t
5. PI.XVIU Pl.XIX PLANCHE DIX-NEUVIEME. Fig. \ et 2. — Région postérieure do tronc de M1Ie V..., d'après les bustes en plât
me manière dans des circonstances semblables. Fig. 3 et 4. — Région postérieure du tronc de Mlle X..., avant et après le traiteme
des courbures. Pl. XX. PLANCHE VINGTIEME. Fig. 1 et 2. — Région postérieure nu tronc de Mlle Y..., avant et après le, traitem
pprochait du terme de sa croissance naturelle. Fig. 3 et k — Région postérieure du tronc de MUe Z..., avant et après le traitemen
61 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
part, bien entendu, le cas exceptionnel de destruction de la partie postérieure de la capsule interne, par un ramollissement ou
eure. La troisième paire, par son voisinage de l'artère cérébrale postérieure , paraît tout particulièrement exposée à cet acc
use intense de toute la région lombaire, z fessière et de la partie postérieure des jambes. Ce malade est op5-" ' ché depuis un
ersé transversalement le centre médian, elle ne gagne que la partie postérieure du noyau latéral; quelques fibres s'épanouissen
si que les cellules latérales placées dans le faisceau longitudinal postérieur . Il a cons- taté qu'il y a généralement entre-c
t-à-dire que les fibres radiculaires provenant de la partie la plus postérieure du noyau s'en vont à l'a;il du côté opposé aprè
ation du noyau de l'oculomoteur commun une portion reculée (surtout postérieure ) et une partie rapprochée (surtout antérieure),
ne pauvre en cellules. Dans la pre- mière on rencontrerait le noyau postérieur (dorsal) de Gudden. Dans la seconde, qui se rét
es fibres radiculaires qui lui sont destinées viennent de la moitié postérieure du segment reculé (postérieur) de ce noyau. Ce
sont destinées viennent de la moitié postérieure du segment reculé ( postérieur ) de ce noyau. Ce serait presque le noyau dorsal
eculé (postérieur) de ce noyau. Ce serait presque le noyau dorsale ( postérieur ) de de Gudden. ' 2° La moitié antérieure du s
rieur) de de Gudden. ' 2° La moitié antérieure du segment reculé ( postérieur ) du même côté fournit les fibres innervant l'ob
ut le côté du noyau homolatéral qui occupe le faisceau longitudinal postérieur . Ce sont : la plupart des cellules latérales ;
du premier segment cervical, les deux tiers antérieurs de la corne postérieure et sa calotte témoignent de très constantes rel
du même côté. Un peu moins certaine est l'in- fluence de sa partie postérieure sur la région du dos du nez et la région maxill
antérieur destiné il la région latérale de l'oeil et un territoire postérieur dont la lésion entraîne une anesthésie localisé
itié antérieure de la coupe transverse de la racine. Go Les parties postérieures du noyau et la corne dorsale de la demi-lune ra
de structure ainsi des différences entre les cornes antérieures et postérieures 4ti.91fes et gauches. , Cela ne veut pas dire
ième branche du trijumeau. Quant aux fibres gustatives de la partie postérieure de la langue, elles passent d'abord dans le glo
prolongements centraux qui gagnent le cerveau ou la moelle (racines postérieures ). Le nerf transmet les impressions sensibles au
unes viennent des faiceaux pyramidaux ; 2° les autres, des racines postérieures ; 3° les dernières prennent naissance dans les
passent à divers endroits dans la substance blanche. Les racines postérieures après leur entrée dans la substance de la moell
Là, elles affectent quatre directions. Les unes tendent aux cornes postérieures et enlacent la substance de Rolando. Les autres
atérales réflexes). Les quatrièmes s'étendent jusqu'à la commissure postérieure ; ces dernières, peu développées chez l'homme,
n voit çà et là de petites raies étroites, noires, qui, des cordons postérieurs , pénè- trent dans la substance grise ; aussi pe
ans la substance grise ; aussi peu en remarque-t-on dans les cornes postérieures ou aux points où elles sortent des cornes antér
aire avec une forte ligature de soie (paralysie complète des pattes postérieures ), on trouve au bout de quatre jours une dégénér
tre les terminaisons antérieures du cordon pos- térieur et la paroi postérieure du canal central de bas en haut. Même résultat
issent la présence de nombreuses fibres dégénérées qui, des cordons postérieurs , à côté de la ligne mé- diane, entrent dans la
grise de la moelle entre les terminaisons anté- rieures des cordons postérieurs et le canal central appartient au groupe des co
onne de trépan de façon que son bord antérieur soit tangent au bord postérieur de la mastoide et que son bord supé- rieur deme
e : dimi- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 69 nution de volume des racines postérieures ; les collatérales réflexo- motrices sont plus s
térieures (sans prolifération interstitielle comme pour les racines postérieures ). Corne antérieure diminuée du tiers envi- ron
correspondante à celle de la coloune de Clarke. Atrophie du cordon postérieur droit : la zone postérieure est la plus altérée
coloune de Clarke. Atrophie du cordon postérieur droit : la zone postérieure est la plus altérée. Il existe une lésion bilatér
e, qui occupait tout le long de- l'artère basilaire. Dans la partie postérieure de la tumeur entrent les deux artères vertébral
ance grise de la moelle, ayant intéressé les cornes 'antérieures et postérieures d'une façon inégale des deux côtés. L'hématomyé
celte anasthésie s'étend aux deux jambes, à l'exclusion de la face postérieure des cuisses et de la face externe des jambes (z
urée du tissu névro- glique hyperplasié, se cantonne dans le cordon postérieur du côté gauche. On découvre en outre une autre
, laquelle s'étend même plus bas sous forme de tache dans le cordon postérieur . Les deux cavités n'ont pas de revêtement endot
ikowski; Troubles trophiques consé- cutifs à la section des racines postérieures médullaires, par J.-P. Morat ; De l'influence d
tissu cellulaire, revêtu du péri- toine sur ses faces antérieure et postérieure et sur son bord supé- rieur libre. Cet organe o
médullaires consistaient en une dégénérescence complète des cordons postérieurs dans toute leur longueur et au niveau de la rég
gion lombaire et dorsale en un foyer de dégénérescence de la partie postérieure du cordon latéral gauche. Dans le second cas,
granuleuse des voies pyramidales qui se continuait dans les cordons postérieurs jusqu'au niveau de la région dorsale de la moel
hro- nique atrophique du cerveau, avec dégénérescence des cordons postérieurs , une altération du noyau de l'hypoglosse, l'altér
stèrent toujours impossibles. A l'autopsie on constata que le tiers postérieur de la temporale supérieure était lésé et que la
conservé une corticalité et des systèmes d'association supérieurs, postérieurs et inférieurs nor- maux. 222 REVUE d'anatomie
le plus d'ana- logie dans les deux maladies, en effet, les cordons, postérieurs de la moelle sont sclérosés, dans les deux, la
moelle est de volume normal et la sclérose est limitée aux cordons postérieurs et aux racines pos- térieures. Dans la maladie
ns pyramidaux croisés ; dans quelques cas mêmes, les racines grises postérieures sont touchées. La sclérose peut même s'étendre
e; et comme ces derniers l'ont aussi montré la sclérose des cordons postérieurs est très différente de celle que l'on trouve da
. Celle sclérose particulière ne se reiiconlie que dans les cordons postérieurs . Oe ne sait pas encore si les faisceaux pyramid
s de dégénéres- cence de la substance blanche, Cellules de la corne postérieure intactes. Les cellules de la corne antérieure é
et demi et 15 millimètres d'avant en arrière (fig 6). La fontanelle postérieure est fermée. La suture interpariétale est moyenn
ntre de ramollissement. FI est presque indemne, surtout à sa partie postérieure . La scissure de Sylvius bien accusée est béante
on atrophique est surtout intense au niveau du pli courbe. Le tiers postérieur du lobe temporal et le tiers antérieur du lobe
atrophiée de 3 centimètres de largeur. T' est atrophiée sur ses 2/3 postérieurs . Le reste du lobe temporal n'est pas trop altér
Burdach est aussi envahi, ainsi que la zone de Lissauer et la corne postérieure . A la région cervicale, le processus destructif
leux très petits et égaux ; aspect scléreux. Tubercule quadrijumeau postérieur gauche réduit de volume. Cellules bien conformé
Cellules bien conformées mais raréfiées. Sclérose nette à la région postérieure des deux lobes. Noyau rouge droit légèrement pl
à direction ascendante et descendante qui passent dans les cordons postérieurs , un grand nombre de fins ramuscules ou branches
e devant lesquelles il passe, durant son long pat cours des racines postérieures aux noyaux des cordons postérieurs. Le pro- lon
son long pat cours des racines postérieures aux noyaux des cordons postérieurs . Le pro- longement nerveux des cellules mitrale
atérales sensitives qui subissent la décussation dans la commissure postérieure , non seulement suffisent à assurer la transmiss
rès coloration par la méthode de Wei,ert-Pal, dans les deux cordons postérieurs , une zone pâle à forme triangulaire dont la bas
base est dirigée vers la périphérie et le sommet vers la commissure postérieure . La pâleur de cette zone relève d'une part de l
e : dans la région cervicale, elle parait double dans chaque cordon postérieur . Cette dégénérescence des cordons postérieurs r
ble dans chaque cordon postérieur. Cette dégénérescence des cordons postérieurs rappelle, dans son aspect général, la dégénérat
, la dégénération ascendante consécutive à la sec- tion des racines postérieures , envisagée au-dessus de la racine sectionnée.
ultanément sur les cordons blancs, particulièrement sur les cordons postérieurs , et sur la substance grise, spécialement sur le
s diverses à propos du trajet dans la moelle des fibres des racines postérieures , et les expériences faites dans ce sens par les
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 1° Par la section des racines postérieures on obtient une dégéné- rescence ascendante et d
a de déérescetice ni dans la zone radiculaire antérieure du cordon postérieur , ni du côté opposé, ni en d'autres points de la
la lésion. Au-dessus, elles se rencontrent surtout dans les cordons postérieurs et dans la partie des cordons antéro-latéraux q
position des diverses fibres dégénérées aussi bien dans les cordons postérieurs que dans les cordons antéro-latéraux, semble in
faisceaux fondamentaux antérieurs et latéraux, tandis que la partie postérieure de la zone forme contraste avec la partie antér
on dégénéré se trouve immédiatement à la partie externe de la corue postérieure et s'étend de sa base presque jusqu'à l'extrémi
érieurement dans l'angle qui sépare la corne antérieure de la corne postérieure . Il parait donc que la zone limitante latérale
ts très intéressants. En effet, tandis que les cellules des cordons postérieurs et des ganglions interverté- braux ne présentai
ité. Jamais on n'observa de phénomènes de compression des racines postérieures . Autopsie : Angio-sarcome psammateux de la dure
tze est probablement composée des branches descendantes des racines postérieures ; 4° la prolongation des faisceaux fondamentaux
ème dorsale ; dans le sens transversal, depuis le sillon collatéral postérieur gauche jusqu'au sillon collatéral antérieur dro
e de la tumeur; deuxième dor- sale légèrement atteinte. Les racines postérieures gauches correspon- tlantes sont légèrement soul
soulevées sans être déviées notablement. Les racines antérieures ou postérieures du coté droit ne sontpas atteintes par la tumeu
Parésie : rond pronateur, carré pronateur ( ? ), radiaux, cubital postérieur . 1 Intégrité : long supinateur, biceps, brachia
douzième dorsales. La dure-mère est sectionnée le long de sa face postérieure sur la ligne médiane. Jusqu'à la quatrième cerv
sente un aspect normal. Au-dessous de la quatrième racine cervicale postérieure gauche commence à apparaître une masse néoplasi
compris entre les première et deuxième dorsales. Vue par la face postérieure de la moelle, elle est tout entière située sur
blement. La tumeur ne dépasse pas latéralement le sillon collatéral postérieur . Entre les deux sillons collatéraux postérieurs
le sillon collatéral postérieur. Entre les deux sillons collatéraux postérieurs , sur une étendue de quatre à cinq centimètres,
, ligue en -1- + (représentant les limites de la tumeur sur la face postérieure . 444 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. le chapeau recouv
s toujours bien visibles et bien séparées, les cornes antérieure et postérieure de droite s'enroulant, sous forme de grosse vir
a montré des fibres dégénérées dans tout Le territoire des cordons postérieurs et assez uniformément, sans prédominance marqué
de la moelle, que par conséquent ni les racines antérieures, ni les postérieures n'étaient sérieusement atteintes dans leur traj
troubles de la sensibilité. b). Dans la méningo-myélite les cordons postérieurs sont atteints d'une façon précoce, il y a quelq
Toutes les sensations sont apportées à la moelle par les racines postérieures . On peut les diviser en deux groupes : 1° sensa
hyperesthésie par de l'anesthésie. b). La simple piqûre d'un cordon postérieur peut produire le syndrome de Brown-Séquard. - c
produire le syndrome de Brown-Séquard. - c). La section des racines postérieures arrivant à la partie supérieure de la moelle do
les suivent les fibres radiculaires moyennes et longues des cordons postérieurs : la section de ceux-ci amène entre autres symp
s pos- térieurs nous montre que ces dernières suivent ces cordons postérieurs =. Notre observation vient pleinement confirmer
ec l'intégrité relative, V excitation probablement même des cordons postérieurs . Dans notre observation ceux-ci paraissaient en
myélite cen- trale, etc..) ; les sensations tactiles vont au cordon postérieur (sections de ceux-ci (Sciiiir) tout en restant
is- sant d'avant en arrière, respectant plus ou moins les cordons postérieurs , dans notre cas par exemple. La seconde indique
o-spinale par deux sec- tions transversales, et excitant une racine postérieure a vu la pupille se dilater. Tels sont les pri
et s'expliquaient bien d'ailleurs par la compres- sion des racines postérieures , constatée à l'autopsie. - Au point de vue anat
s'appliquer directement les fibres de la bande- lette longitudinale postérieure , de telle sorte que la handeiette longitudinale
udinale postérieure, de telle sorte que la handeiette longitudinale postérieure parait traverser la partie externe du noyau. En
ieure du noyau principal, s'entrecroisent et constituent les fibres postérieures du moteur commun. Il est hors de conteste qu'une
l est hors de conteste qu'une partie de la bandelette longitudinale postérieure se perd dans le noyau du moteur commun. Le rest
er son origine dans un noyau situé dans la bandelette longitudinale postérieure , que certain. ! auteurs rat- tachent au moteur
eliés par des fibres qui traversaient la bande- lette longitudinale postérieure . En tout cas, du noyau du moteur externe parlen
z grand nombre de libres qui traversent la bandelette longitudinale postérieure , s'entrecroisent et atteignent la bandelette du
la pariétale ascendante, qui, 'peut-être, intéresse aussi la partie postérieure contigué du lobe pariétal, notamment du lobule pa
auteur, des racines de la cinquième paire, du faisceau longitudinal postérieur , on observe nettement comment les fibres dégéné
circonvolution du corps calleux. Un foyer occupant l'écorce du bord postérieur de la pre- mière frontale, s'il empiète seuleme
sont déjà, à leur origine, pourvues de myéline, tandis que le bras postérieur des tubercules quadrijumeaux ne contient que tr
és, une large raie contigue au cordon de Goll, qui, à la périphérie postérieure , s'infléchit en dehors et occupe le bord. Mais,
ne du cordon de 13urdacli; au niveau du quart antérieur des cordons postérieurs , cette zone disparaît. Le faisceau du cordon la
lement assigné Hoche. A la hauteur des olives accessoires dorsales ( postérieures ), dans la partie qui correspond à leur segment
ur le bord externe et occupent, pour la plupart, le segment le plus postérieur du ruban de Reil latéral des auteurs ; cet appoin
atomiquement précisé, soit d'un prolongement central ou radiculaire postérieur , myélite expliquant les noevi sériés, symé- tri
ent le siège de la lésion. Lorsque la lésion est située à la partie postérieure de la zone motrice, l'aura sensitive précède le
oral, étaient au nombre de trois : 1° Nerfs phréaétiques; 2° Cordon postérieur de la moelle; 3° Rétine (anatomie et physiologi
62 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, rigidité cadavérique prononcée; eschares très étendues de la face postérieure du corps : au niveau de la 7e vertèbre cervi- c
notre cas, la localisation des lésions de ramollissement au tiers postérieur des circonvolutions frontales et à la frontale as
mesure qu'on s'éloigne de cette limite pour se rapprocher des lobes postérieurs cette zone, jusque-là encore sensitivo-motrice,
à une hémianesthésie d'origine corticale. Or, on a vu que la partie postérieure de la capsule interne (carrefour sensitif de Ch
diri- geant en bas et en dedans, a son sommet tronqué au segment postérieur de la capsule interne (zone 2,olai ? dique de Cha
hi la presque totalité du système artériel : les artères cérébrales postérieures , vertébrales, basilaire, ra- diales, etc., sont
e d'Ammon, l'ergot de Morand, sont sains. Le tubercule quadrijumeau postérieur droit est le siège d'un petit ilôt scléreux, du
se fut-il pas produit, alors que le tronc basilaire et la cérébrale postérieure étaient, comme les autres artères, le siège d'o
commissurales : corps calleux, commissures blanches (antérieure et postérieure ), commissure grise, etc... Pour le corps calleu
anguin de 3 cen- timètres de long; dégénérescence grise des cordons postérieurs . REVUE DE pathologie nerveuse. 77 Atteinte in
77 Atteinte indiscutable des vaisseaux qui irriguent les cordons postérieurs , soit dans les segments scléreux, soit dans les s
liomyélite antérieure subaiguë avec quelques altérations des cornes postérieures ou des faisceaux radiculaires postérieurs. P. K
s altérations des cornes postérieures ou des faisceaux radiculaires postérieurs . P. K. 78 revue DE pathologie nerveuse. III.
troubles de la sensibilité cutanée émanent de lésions de la partie postérieure de la capsule interne. L'hé mi anesthésie, y com-
e l'écorce; 3° Quand il existe en même temps une lésion des cordons postérieurs , et en particulier des zones radiculaires posté
n des cordons postérieurs, et en particulier des zones radiculaires postérieures , les symptômes spas- modiques ne se peuvent dév
n avoir gardé aucune trace constitutionnelle. A son entrée, qui est postérieure de onze jours au déhut de la maiadie,tieatto([u
il se compose, à son tour, de deux ganglions : un ganglion ventral postérieur , un ganglion dorsal antérieur. Le ganglion ven-
. Le ganglion ven- Archives, t. XL 7 98 SOCIÉTÉS SAVANTES. Irai postérieur dépend du faisceau deVicqd'Azyr, il disparait ave
; de là l'atrophie partielle du nerf lui-même. Le ganglion ventral postérieur meurt après le faisceau de Vicq d'Azyr correspo
tral entre le ganglion latéral de son côté et le ganglion ventral postérieur de l'autre côté ; il est comprimé et demeure en r
couche optique situéen avant et au-dessus du point où la commissure postérieure pénètre dans la couche optique) au ganglion int
s à côté du raphé, sur la face ventrale de» faisceaux longitudinaux postérieurs . Dans la même région, mais sur le dos du faisce
rs. Dans la même région, mais sur le dos du faisceau longitudinal postérieur , il y a deux ganglions volumineux dont les connex
ale du ganglion qui occupe le plan ventral du faisceau longitudinal postérieur . (Voyez supra l'atrophie par compression de la
er son nom au ganglion situé sur le ventre du faisceau longitudinal postérieur ; le faisceau de la calotte, dont le commenceme
eurs du trigone, ils se composent de trois faisceaux : un inférieur( postérieur ) entrecroisé ; un latéral nonen- trecroisé; un
dien, en lame, à la convexité des lobes occipitaux et de la portion postérieure du lobe pariétal droit; il s'étend à une grande
le est exclusivement comprise dans la partie antérieure des cordons postérieurs et la commissure grise ; sa configuration est i
a configuration est irrégulière, si bien que l'extrémité des cornes postérieures lui est, par places, contiguë, et, qu'en d'autres
, qu'en d'autres endroits, la cavité pénètre entre les deux cordons postérieurs . On y trouve en plusieurs points une gaine rési
à peu prés à 20 centimètres au-dessus du cône médullaire, la corne postérieure envoie immédiatement après son origine un long
rolongement conique en dedans et en arrière, jusqu'au sillon médian postérieur . Entre ce prolongement et la commissure grise,
dessus du cône spinal, la substance blanche des cordons latéraux et postérieurs est parsemée de taches très nombreuses, transpa
point de la coupe que la cavité, c'est-à-dire la pointe des cordons postérieurs . L'auteur fait passer sous les yeux de l'assist
unilatéral, une lois un rétrécissement bilatéral des trous déchirés postérieurs . Rép. : Ce rétrécissement est défavorable aux v
85. M. Meynert montre, sur une série de coupes verticales antéro- postérieures pratiquées à travers le cerveau du chevreuil et d
question), en montrant que la lésion, systématisée dans les cordons postérieurs , ne l'est pas dans les cordons latéraux et que,
dique, il dit' quant aux cas compliqués des symptômes de sclérose postérieure , sur lesquels Berger vient d'attirer l'at- tent
ces cas une sclérose simultanée des cordons latéraux et des cordons postérieurs . Cela a été observé (notamment dans la dernière
lle (cordons pyramidaux, cérébelleux, de Goll et zones radiculaires postérieures ). A la même période appartiennent encore l'obse
omplètement systématisée qu'avec celle d'une sclérose des faisceaux postérieurs ; mais les autres symptômes et la marche de l'af
tent su- perposés (au moins en partie) les symptômes de la lésion postérieure et les symptômes de la lésion laté- rale. La
n postérieure et les symptômes de la lésion laté- rale. La lésion postérieure semble s'arrêter au-dessous du renflement brach
anatomie pathologique confirmera) une lésion simultanée des cordons postérieurs et des cordons latéraux. (A suivre). 176 PATH
s connaissances, par une lésion du chiasma, de ses bords antérieur, postérieur ou latéraux. La dernière variété, d'après l'éta
re ; il n'existe pas de fibres de cet ordre. Quant à son fais- ceau postérieur , on sait maintenant, depuis les expériences de
nouillés latéraux et les lobes optiques (tubercules quadri- jumeaux postérieurs ) sont intimes, mais chez l'homme, il est probab
le chiasma dans ses bords anté- 180 PATHOLOGIE NERVEUSE. rieur ou postérieur produira l'hémianopsie temporale dans les deux
e devant l'ueil gauche. Mort en juillet 1879. Autopsie. L'extrémité postérieure de l'hémisphère droit était de 5 centimètres pl
tait que peu lésée. Il n'y avait pas de communication avec la corne postérieure du ventricule. La hauteur de ce foyer était de
pendant la vie avait été : embolie de l'artère irriguant la partie postérieure delà couche optique droite. Observation 29. (
Mondiagnostic était : Embolie de la branche de l'artère cérébrale postérieure irriguant la face postéro-interne du lobe occipit
oduit par une embolie de la troisième branche de l'artère cérébrale postérieure , artère occipitale de Duret. Les objections q
substance blanche du lobe occipital, au niveau des fibres les plus postérieures de la capsule interne, peut produire l'hémianop
la capsule interne, est situé en haut et sur les côtés de la corne postérieure du ventricule latéral et au-dessous du lobule p
rnant les effets de la lésion de la capsule interne à son extrémité postérieure avec les résultats bien établis des lésions des
i, qui montrent qu'au moins chez les chiens la section de la partie postérieure de la capsule interne produit l'hémia- nopsie r
faisceau optique de Gratiolet dans la capsule interne. C.P., Corne postérieure . CI- A - région du gyrns ziiigtil.i iç. - 1,. 0.
n de la partie postéro-latérale de la couche optique ou du faisceau postérieur de division de la capsule interne. 4. L'hémia
Trajet du faisceau grêle. Il prend part à la formation des cordons postérieurs d'une façon plus saillante que le faisceau cunéif
pe transverse montre en particulier que les cordons antérieurs et postérieurs droits sont excessivement réduits ; du cordon lat
il ne reste qu'une petite portion entre les cornes antérieure et postérieure ; dans la corne antérieure droite, les cellules ne
sensible. La face antérieure du tronc est plus sensible que la face postérieure ; les extrémités supé- rieures le sont plus que
de ce nerf atteinte par propagation de la dégénérescence du cordon postérieur du même côté. Pas d'autopsie. P. K. XIX. SUR
rophie simple, mais générale des nerfs optiques. Lésion des cordons postérieurs sous forme d'une étroite bande longeant les cor
dons postérieurs sous forme d'une étroite bande longeant les cornes postérieures , depuis la moelle cervicale jusqu'à la partie m
quantité de liquide; méninges troubles, notamment dans les parties postérieures . Poids du cer- veaux 730; hémisphères égaux; in
qui d'ailleurs ne sont que rare- ment utilisées. Les deux pavillons postérieurs (D-E)'sont moitié moins grands ; ils sont attri
rattacher à la lésion du crâne et de son contenu le trouble mental, postérieur à elle, parce qu'il faut tenir compte de la tar
titielle du tissu conjonctif qui accompagne les artères des cordons postérieurs . L'autre ré- sulte d'une lésion primitive des f
iquement, des dégénérescences extrêmement diffuses dans les cordons postérieurs . On peut regarder comme les cas les plus favora
proche la cuisse du ventre sans oser rapprocher sa jambe de la face postérieure de la cuisse parce que la tension des muscles c
entique, intégrité d'un segment situé en arrière de la com- missure postérieure , d'un territoire parallèle à la corne pos- téri
èle à la corne pos- térieure. d'une bande adjacente à la périphérie postérieure . Au point de vue clinique, dans trois observati
'atrophie des nerfs optiques etjla dégénérescence grise des cordons postérieurs . Il faut principalement tenir compte des cas da
, sinon tous, reçoivent d'autres tractus du faisceau longi- tudinal postérieur . Jusqu'au septième mois de l'époque foetale, ce
ne direction latérale et inférieure); avec le faisceau longitudinal postérieur ,ainsi qu'avec des fibres issues de la substance
entrecroisée; très mince, elle se dirige dans les couches les plus postérieures et les plus supérieures du ruban de Reil. Stil-
aladie : neuf mois environ. Diagnostic clinique. Lésion des cordons postérieurs consécutive à la diphthérie ; dégé- nérescence
de tubes présentant les attributs de la régénération. Les racines postérieures des troisième, sixième, septième ganglions cerv
52 PATHOLOGIE NERVEUSE. grité. Les racines spinales, antérieures et postérieures , les différents nerfs périphériques examinés mo
ion un peu plus détaillée. Quand une irritation entre par la racine postérieure dans la moelle, elle peut prendre deux directio
rouperons en deux catégories : d'abord, les symptômes dé sclérose postérieure (tabes ataxique ordinaire), ensuite ceux de scl
iale dans une question de cet ordre. I. Dans les symptômes du tabes postérieur , nous envisagerons successivement : l'incoordin
us qu'une seule observation qui ne présente aucun symptôme de tabes postérieur , c'est le n° 20. Or, sous ce numéro, est mentio
cas réunis dans nos tableaux, on a noté quelque phénomène de tabes postérieur , ordinaire ou ataxique. On remarquera que nous
dire, le domaine des cordons latéraux et le domaine des cor- dons postérieurs étaient distincts, séparés, mais non contradict
forme limité à la substance blanche périépendymaire du prolongement postérieur du ventri- cule latéral. Les centres gris parai
rophié. Il pèse 650 gr. Plaques laiteuses sur la face antérieure et postérieure de l'organe. Insuffisance mitrale. Sclérose car
ment de la substance blanche nerveuse entourant le prolonge- ment postérieur du ventricule latéral droit. Père mort à soixan
s opto-striés sont également envahis par l'hémorrhagle,. DES CORNES POSTÉRIEURES OCCIPITALES. 417 de même que la capsule interne
ns les nouvelles Archives, t. XI. 27 418 RECUEIL DE FAITS. CORNES POSTÉRIEURES OCCIPITALES. autopsies de sujets morts d'affect
ées de substance blanche ner- veuse qui entourent les prolongements postérieurs des ventri- cules latéraux. -L'expérience dém
nci- palement la première frontale de chaque côté : son extrémité postérieure touche, mais sans l'envahir, la commissure et les
tre, ces artères pré- senteutles anomalies suivantes : la cérébrale postérieure droite est fournie par la carotide interne ; du
rampe autour du pédoncule, puis une petite branche commu- niquante postérieure qui rejoint en avant la cérébrale postérieure d
anche commu- niquante postérieure qui rejoint en avant la cérébrale postérieure droite. A gauche les artères fournies par le tr
ormales quant à leur origine et à leur distribution. La céré- brale postérieure droite se divise près de son origine carotidienne
63 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
giocéphalie. Fontanelles oblitérées ; zone transparente à la partie postérieure des deux pariétaux. Deux zones transparentes à
tiers antérieur, sont le siège d'adhérences pie-mériennes. Le tiers postérieur et le pli de passage avec la frontale ascendant
loppés.- FA est divisée en trois sections par des sillons antéro- postérieurs ; seul le tiers inférieur paraît bien développé.
au de leur jonction au lobe temporal et à la partie supé- rieure et postérieure de la scissure de Sylvius. F2 offre aussi quelq
us et une ligne d'adhérences pie-mériennes s'étendant de la branche postérieure de cette scissure au cuneus. Le lobule de l'ins
un peu boursouflé, orifice très-petit, en forme de fente antéro- postérieure . Pourtour de l'anus fortement pigmenté. Membres
as- sant au-dessous des bandelettes optiques et gagnant la partie postérieure des circonvolutions frontales de la face inférieu
ns frontales de la face inférieure. La surface recouvre : la partie postérieure et inférieure de la 3e frontale, la portion tra
hie notable de la circonvolu- tion du corps calleux et de la partie postérieure de la cir- convolution de l'hippocampe. Hémis
adhérences pie-mériennes avec atrophie se prolongeant sur la partie postérieure et inférieure de la circonvolution de l'hip- po
droit nous notons une sclérose atrophique considérable de la moitié postérieure de la première circonvolution frontale, de la p
cette lésion est moins intense que les précédentes. La partie toute postérieure du lobe occi- pital semble saine. La circonvolu
qui termine cette circonvolution et la fait communiquer à la partie postérieure de l'avant-coin, semble sain et non atrophié.
ent frappés de paralysie. La lésion bilatérale de la partie toute postérieure du lobule paracentral nous parait mériter une m
es de Sherrington (de Londres). D'après cet auteur, la partie toute postérieure du lo- bule paracentral, chez le chat, serait l
ce point, des deux' côtés, une atrophie de la région tout-à-fait postérieure du lobule paracentral. Nous signalons cette coï
bords de coaptation. La sagi,ttale affecte une direction antéro- postérieure régulière. La partie correspondant au bregma n'
es. Cheveux courts, rugueux, assez épais, châtain foncé. Tourbillon postérieur légèrement dévié à gauche. Front bas, fuyant, s
veau. 63 sula, qui est volumineux. - Les sillons frontaux anléro- postérieurs prennent très-nettement de la scissure rolan- d
eur et la face interne du lobe occipital; sur la partie tout-à-fait postérieure de la circonvo- lution du corps calleux. - La s
Thorax. Poumon gauche (140 gr.) un peu congestionné. Sur la partie postérieure du lobe inférieur, on trouve une cicatrice bleu
e des dentelures plus accentuées surtout à partir de ses deux tiers postérieurs . - En arrière de la suture fronto-pariétale exi
rconvolution est mince et nettement 'atrophiée, surtout à sa partie postérieure . Les deux tiers postérieurs de FI et F2 sont sa
ttement 'atrophiée, surtout à sa partie postérieure. Les deux tiers postérieurs de FI et F2 sont sains et bien développés. - Le
ormale. Lobule paracentral chagriné et atrophié surtout à sa partie postérieure . - L'avant-coin et le coin présentent la même l
omoplates et au niveau des lombes. L'enfant porte sur les parties postérieures et latérales du thorax une dizaine de cicatrice
en opposition, la première phalange pouvant être placée en luxation postérieure sur le métacarpien et la deuxième en luxation p
luxation postérieure sur le métacarpien et la deuxième en luxation postérieure sur la première. Membre supérieur gauche dans l
iane. L'antérieure est éloignée de 4 centimètres de la coronale, la postérieure d'un centimètre de la lambdoïde. La suture lamb
eux châtains; tourbillon sur la ligne médiane, à l'union de la face postérieure et de la face supérieure du crâne. - Le front e
sommet est sain, de même que les languettes anté- rieures. Le bord postérieur est rouge foncé à la coupe, on tombe sur un par
it est ouvert dans toute son étendue, jusque dans ses prolongements postérieurs . Le porus de Roc... ne mesure pas moins de 70 m
édiane et la partie inférieure gauche de la suture méto- pique ; le postérieur , long d'environ 5 centimètres, remonte obliquem
tie gauche de la tête, on remarque une cicatrice linéaire antéro- postérieure où les cheveux manquent et qui s'étend parallèle-
nombreuses plaques d'alo- pécie dues au tricophyton. Le tourbillon postérieur est régu- lier et situé sur la ligne médiane.
ariétal. Elle forme avec la suture sagittale un angle, aigu à sinus postérieur de25° environ. Cette brèche est en voie de répa
re a l'air maladif. Ses cheveux sont ternes, laineux, le tourbillon postérieur est irrégulier. Le crâne, asymétrique, offre un
ite DE l'hémisphère droit. 141 le maximum de la lésion est au tiers postérieur de F3. - FA est considérablement sclérosée, ell
endue, surtout à son tiers supérieur. Le tobe pariétal et la partie postérieure du lobe temporal présentent une lésion toute pa
s. surtout au niveau du pli courbe. 11 en est de même à la partie postérieure de TI et de T2. - Le lobule de l'insula est très
sion linéaire osseuse de 10 centimètres de long dans le sens antéro postérieur : c'est la trace de la craniectomie. Une second
émité supérieure aboutit à 2 centimètres de la sagittale. La brèche postérieure a les mêmes dimensions que la précédente. Paral
des plis pariétaux. - Sur le lobe frontal, nous notons à la partie postérieure des deux circonvolutions frontales une série de
s de passage, distants de 3 à 4 millimètres. La partie tout-il-fait postérieure de la première temporale est chagrinée et grêle
es ilôts tuberculeux sont surtout nombreux au sommet et à la partie postérieure du lobe moyen. Pou- mon gauche (530 gr.). Lésio
On constate aussi des zones transparentes mais diffuses à la région postérieure des pariétaux surtout au niveau du lambda. La b
coupe un pus verdâtre et bien lié. Congestion assez intense du bord postérieur du poumon droit ; filaments fibrineux en train
réguliè- DESCRIPTION DE la malade. 177 rement, avec un tourbillon postérieur régulier. Crâne volumineux, presque trigonocéph
e. - Colonne vertébrale présentant une courbure dorsale a concavité postérieure légère. Il existe au contraire dans la région l
xiste au contraire dans la région lombaire une courbure à convexité postérieure . - Poumons : sonorité normale. Quelques râles s
r les faces convexe et interne, principalement sur leurs deux tiers postérieurs . A la base, la vascularisation est légère. Le
ie antérieure des temporaux et un millimètre sur celle de la partie postérieure ; sur le trou - tal,3a.imd. 11ÉNINGO-ENGÉPHAL
Thorax. - Poumons : gauche (85 gr.), très congestionné sur son bord postérieur ; droit (72 gr.). Le sommet est un peu oedémate
tionné que le gauche et présente, à la partie moyenne de son bord postérieur , un tubercule assez consistant, de la grosseur
202 Description DU malade. régulièrement implantés, avec tourbillon postérieur un peu à droite delà ligne médiane. Veinosités
tés. Un tourbillon à droite de la ligna médiane à l'union des faces postérieure et supé- rieure du crâne. Impétigo sur la face.
Le lobe supérieur est sain. La partie la plus déclive de la face postérieure du lobe inférieur est occupée par des foyers de
lit FI est très atrophiée, blanche 'et indurée dans toute sa imitii postérieure ; toute la partie correspondante de la circonvol
ution du corps calleux est blanche, atrophiée et indurée. La partie postérieure de FI, sur la face interne de l'hémisphère, et
heveux châtains, abondants, avan- çant sur les tempes, à tourbillon postérieur , situé àgauche de la ligne médiane. Tête volumi
iligne pendant un centimètre environ, puis durant ses 3 centimètres postérieurs forme des dentelures qui gagnent le lambda en a
. - On ne trouve qu'un foyer de sclérose assez accentué à la partie postérieure du lobule paracentral et à la région antérieure
atteint les téguments qui recouvrent le trochanter, gagne la partie postérieure du bassin, et, par cette voie, et par le périné
a un paquet d'adhérences à l'extrémité antérieure et à l'extrémité postérieure du lobe temporal gauche. Les nerfs olfactifs so
selé. Les kystes sont transparents. L'antérieur est bleu- âtre ; le postérieur , légèrement citrin. Le petit mamelon du kyste a
cule correspondant, à l'extrémité supérieure de FA et à la partie postérieure de F et Fez. F3 est sinueuse et assez bien dévie-
près égales : une antérieure et inférieure, l'autre supé- rieure et postérieure . De ces deux parties, la première assez bien co
us profonde, au devant du sillon de Rolando, correspond à la partie postérieure du lobe frontal auquel elle donne l'aspect part
corps strié et la couche optique sont aplatis surtout à leur partie postérieure . Une membrane épaisse et blanchâtre les recouvr
n cul de sac supérieur. Le cul de sac antérieur est peu profond, le postérieur a 4 cen- timètres 1/2 environ de profondeur. De
mineuses. Oreilles longues et larges, écartées du crâne à la partie postérieure . L'ourlet n'est pas très bien conformé Fig. 20.
ssent l'une au niveau du bregma, l'autre au niveau de la fontanelle postérieure . La cicatrice étant complètement fermée, on sup
ûte palatine offrant une prédominance notable du diamètre antéro- postérieur . Voile et piliers symétriques et bien mobiles. Ch
étal gauche se trouve une perte de substance à direction aiitéro- postérieure , parallèle à la suture inter-pariétale et à 22 mi
ntimè- tres, il existe sept os wormiens répondant à la fontanelle postérieure . Entre ces os wormiens, qui se retrouvent sur la
constate aussi des zones transparentes, mais diffuses, à la région- postérieure des pariétaux, surtout au niveau du lambda (Fig
ent encore sur les pariétaux et sont surtout nombreuses à la région postérieure et inférieure. Les traces des vaisseaux méningé
ariétal. Elle forme avec la suture sagittale un angle aigu, à sinus postérieur de 25° environ. Cette brèche est en voie de rép
Tenta- tivespourmordreses (l'ères etsoeurs. - Balancementantéro- postérieur du tronc. - Préhension défectueuse : ne se sert
64 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
érébrale; d'autres fois on a soup- çonné une altération du faisceau postérieur du segment posté- rieur de la capsule interne;
thésie des régions ano-génitales et de la partie moyenne de la face postérieure de la cuisse ainsi que de la partie inférieure
nts : 1° la rectitude de la colonne vertébrale ; 2° la conformation postérieure du thorax ; 3° l'horizontalité des épaules. Les
lui, exige d'être bien fixé. Quand on regarde le thorax par sa face postérieure , on voit qu'il est recouvert en haut par le sca
ois une recti- tude parfaite du rachis, une conformation thoracique postérieure semblable des deux côtés, et les épaules exacte
ournée à gauche. On cons- tate aussi que la conformation thoracique postérieure n'est symé- trique que chez un seul sujet, et q
ent à la faiblesse des muscles fessiers et des muscles de la région postérieure de la cuisse, muscles qui sont les extenseurs du
urs processus anatomiques distincts, telle une sclérose des cordons postérieurs tabétique type avec de l'endartérite ou de la m
nant d'une certaine déchéance des fibres nerveuses dans les racines postérieures lombaires et sacrées; intégrité des racines ant
des ganglions spinaux étaient normales, de même celles de la corne postérieure . Les noyaux des cellules du bulbe étaient eux a
che, SfKGER. Le sujet de l'épreuve écrite était le suivant : Cordon postérieur de la moelle.- Les questions restées dans l'urn
rdre de mérite : MM. Toy, Roux, DoDERO. La question écrite : Cordon postérieur de la moelle. Question orale : Signes et diagno
cette étude sur le trajet des faisceaux endogènes dans les cordons postérieurs à fournir une interprétation, pas absolument ne
896. DES FIBRES ENDOGÈNES DE LA MOELLE. 83 , pression des racines postérieures lombo-sacrées par un carci- nome, les cordons p
racines postérieures lombo-sacrées par un carci- nome, les cordons postérieurs sont représentés dégénérés dans toute leur éten
chez l'adulte de filets radiculaires descen- dants dans les cordons postérieurs . Existent-ils réellement ? et si leur présence
ne les retrouve-t-on pas dégénérés dans tous les cas où les racines postérieures sont lésées ? Tel est le point sur lequel les a
Kôlliker1, Ramon y Cajal 2, van Gehuchten 3 décrivent aux racines postérieures deux branches, une ascendante, l'autre descenda
ation descendante dans la moelle à la suite de sections des racines postérieures . Au contraire, Odi et Rossi s, Bordez ? Marines
n des élé- ments nerveux. III. Examen histologique. Les racines postérieures ont été coupées isolément, colorées à l'acide o
er chez un adulte l'existence d'nne branche descendante des racines postérieures . 7 Dufour. - Thèse Paris, 1896. 8 Dufour. Bul
inférieure, nous n'avons représenté en pointillé dans les cordons postérieurs que les parties qui sont restées saines, toutes
du septum pos- térieur et cela dans ses deux moitiés antérieure et postérieure . La zone postérieure n'est autre que le triangl
ur et cela dans ses deux moitiés antérieure et postérieure. La zone postérieure n'est autre que le triangle médian et posté- ri
le, mérite par son siège au voisinage du septum plus que des cornes postérieures et pour la différencier de sa disposition à un
levé de porter ici le nom de zone ou de faisceau sulco- commi=sural postérieur ou encore seplo-commissural. Coupe au niveau de
depuis la périphérie de la moelle en arrière jusqu'à la commissure postérieure en avant où elle finit en pointe. On voit de
ématique que la dé1Óéné, rescence envahit tout le reste des cordons postérieurs . Coupes entre la cinquième paire sacrée et la d
zones saines médianes existent toujours, l'une antérieure, l'autre postérieure . La postérieure répond au centre ovale de Flechsi
dianes existent toujours, l'une antérieure, l'autre postérieure. La postérieure répond au centre ovale de Flechsig, mais se con
tuelle du champ cornu- commissural. Elle répond bien ici à la corne postérieure et à la commissnre. Au moment où la zone post
i à la corne postérieure et à la commissnre. Au moment où la zone postérieure atteint l'angle postéro-iulerne du cordon posté
nt où la zone postérieure atteint l'angle postéro-iulerne du cordon postérieur , elle le contourne et borde sa branche pos- tér
qui viennent remplir les portions externes et moyennes des cordons postérieurs . Coupe au niveau de la troisième racine lombair
de Flechsig apparait occupant son siège habituel sans prolongement postérieur ni angulaire. La zone Fig. 8. Fig. L' Fiv.
es franchement adjacentes à la commissure et à la base des cornes postérieures et laissant entre elles et le septum un espace dé
et au-dessus (/'vg. 11). Sur ces coupes les fibres de notre groupe postérieur qui for- maient le centre ovale de Flechsig, se
- laire dont nous avons parlé plus haut. Ici cependant la branche postérieure et transversale s'allonge, alors que la branche
distinguer ce qui appartient au trajet inlra-médullaire des racines postérieures de ce qui releve des faisceaux endogènes. Toute
phérie de la moelle. Elles siègent à peu près à l'union du quart postérieur avec les trois quarts antérieurs du septum médian
un peu plus minces que dans la région précé- dente. Sur l'extrémité postérieure de chacune d'elles vient s'im- planter perpendi
pendiculairement une nouvelle bandelette saine bor- dant le segment postérieur de la circonférence de la moelle. De telle sort
la 110 paire dorsale et seulement pour ce qui a trait à notre zone postérieure les figures de Hoche mériteraient d'être placée
fibres à dégénération descendante ou à long trajet dans les cordons postérieurs . V. Dans ces observations nous étudierons sép
rler de fibres endo- gènes et de faisceaux commissuraux des cordons postérieurs , il 1 Hoche. - Loc. cil. DES FIBRES ENDOGÈNES
d que microsco- piquement. 1° Les faisceaux endogènes des cordons postérieure ne doi- vent pas être confondus avec les filets
d'opposer à Tooth, s'exprime ainsi : « La partie interne du cordon postérieur n'est pas uniquement formée par des fibres radi
ormée par des fibres radiculaires La zone limitant le sillon médian postérieur est restée libre de dégénérescence jusqu'à la p
moelle située au-dessous de la troisième racine lombaire le cordon postérieur était complètement dégénéré sauf dans une zone
sure grise et se pro- longeant en pointe le long du col de la corne postérieure . Il existait de plus une petite bande saine le
uraient être conl'ondus avec les faisceaux endogènes anté- rieur ou postérieur . Ils n'en ont surtout à la région infé- rieure
n infé- rieure ni la topographie, ni la longueur au moins pour le postérieur . ' 2° Les faisceaux dits endogènes dans les cor
le postérieur. ' 2° Les faisceaux dits endogènes dans les cordons postérieurs ne représentent pas le trajet intra-médullaire
s descendantes de tous ces cas que par la présence dans les cordons postérieurs de fibres descendantes à long trajet. Dans les
ône terminal en se groupant en descendant vers le sillon interne et postérieur et tout à fait en bas le long de la partie la p
ne et postérieur et tout à fait en bas le long de la partie la plus postérieure du sillon médian. La longue distance à laquelle
latéral... une zone de fibres en dégénérescence au sommet du cordon postérieur tout près de la commissure grise, p , Voyons
: un triangle vide de fibres, dont la pointe atteint la commissure postérieure , mais plus bas ce triangle se restreint dans sa
mais plus bas ce triangle se restreint dans sa direction antéro- postérieure à mesure qu'on descend et sur la coupe la plus
pointe reste environ à égale distance de la com- missure et du bord postérieur de la moelle D, voilà donc un territoire qui no
Hoche. Dans les régions inférieures de la moelle, seul le faisceau postérieur a subi la dégénérescence, la zone antérieure co
e en quelque sorte de dedans en dehors, du septum vers les cornes postérieures . C'est pour cette raison qu'à la région dorsale
la moelle, ou restant intact lors de lésions localisées aux racines postérieures . Les faisceaux de ce système n'atteignant pas l
hérie de la moelle, restent cantonnés au voisinage soit du sillon postérieur , soit de la commissure, soit de la base des corne
lon postérieur, soit de la commissure, soit de la base des cornes postérieures . Ils forment un groupe de fibres endogènes anté
auxquels on les considère, il peut être appelé : Sulco-commissural postérieur au niveau du cône terminal ; Sulco-cornu-commis
Goll ; à la région sacrée à la partie tout à fait interne du cordon postérieur . Il y a peut-être là au point de vue fonctionne
rtes ; le deuxième système de fibres que nous allons étudier est le postérieur et par l'étendue de ses dégénérescences mérite
, mais quel que soit le niveau il est toujours en bordure du cordon postérieur soit de la périphérie postérieure, soit de la p
est toujours en bordure du cordon postérieur soit de la périphérie postérieure , soit de la périphérie interne, c'est-à-dire du
cale et dorsale supérieure il se trouve à la périphérie des cordons postérieurs presque au voisinage de l'angle posterouatérieu
ulaire ayant une branche transversale le long de la circon- férence postérieure de la moelle et une branche postéro- interne le
angle médian décrit par 11OI. Gombault et Philippe. Donc faisceau postérieur , faisceau angulaire, centre ovale de Flechsig,
de fibres et représente la voie endogène à long trajet des cordons postérieurs . Le déplacement de ce faisceau ne s'opérant qu'
direction descendante : l'un court l'antérienr ; l'autre long et postérieur . Des deux l'antérieur est le plus important quant
la région cervicale seulement, la zone postéro- externe des cordons postérieurs , ainsi que l'ont signalé Strum- pell et Marie.
1° La présence de filets radiculaires descendants dans les cordons postérieurs n'est pas encore absolument démontrée chez l'ad
fibres endogènes à dégénération descendante dans ces mêmes cordons postérieurs ; 2° On peut considérer deux systèmes de fibres
peut considérer deux systèmes de fibres descendantes dans le cordon postérieur dites fibres endogènes ou commis- surales. L'un
surales. L'un de ces systèmes antérieur est à court trajet; l'autre postérieur a un trajet très long au moins pour une partie
façon permanente, il faut penser à une lésion organique des cordons postérieurs ou des nerfs qui sont en rapport avec ces faisc
ne- ment avec diminution du nombre des vaisseaux dans les cordons postérieurs . Mais ces lésions sont banales chez les vieillard
s Hirschberg.- Loc. cil., p. 8. Le cas publié par le Dr Frenkel est postérieur à notre publication (,N'eiii-ol. Centrb., n° 13,
. En arrière ne persiste que la sensibilité du rachis et de la face postérieure de la cuisse droite. Hyperesthésie ovarienne de
gauche, et à une zone plus vaste comprenant les fesses et les faces postérieures et internes de la moitié supé- rieure des cuiss
mousse, ou simplement l'ongle, sur la peau de la face antérieure ou postérieure du thorax (lieu d'élection). Sitôt après, au mi
ie. Comparant cette lésion à celle qu'a signalée M. Parisot (partie postérieure du faisceau géniculé), l'auteur conclut que le.
s deux du plexus lombaire ; les mnscles fessiers, ceux de la région postérieure de la cuisse, ceux de la jambe et du pied, ains
gagne le membre inférieur et souvent alors elle se limite à la face postérieure de la cuisse et de la jambe, régions innervées
bres inférieurs. La paralysie se borne presque toujours aux muscles postérieurs de la cuisse et de la jambe, tous muscles inner
ne antérieure passant un peu en dedans du tendon du biceps, l'autre postérieure passant sur la partie interne de l'olécrâne. Ce
i du cubital. L'erreur provenait de ce que l'on avait pris la bande postérieure , seule accusée par le malade pour une névralgie
dans la gouttière. On décida de tenter la résection de la racine postérieure de la VIII. paire, ainsi que celle des racines
a racine postérieure de la VIII. paire, ainsi que celle des racines postérieures sus et sous- jacente. Cette délicate et audacie
rieure eorrespondante devenue visible après la section de la racine postérieure . Les résul- tats de cette grave opération furen
e et qui occupe toute la hauteur du renflement lombaire. Les veines postérieures de la moelle sont très congestionnées. A l'oeil
un point limité, respectant les faisceaux pyrami- daux et le cordon postérieur . L'ictus s'explique par un arrêt brusque de l'i
ctile, après avoir fait étape dans la substance grise de la colonne postérieure , gagne l'encéphale par des systèmes commis- sur
es, puisque dans tout l'étage de la lésion les portions médianes et postérieures des cor- dons sont relativement respectées, et
t le plus souvent que le processus cavitaire s'étendait aux cordons postérieurs et latéraux. Le cas actuel est, dit-il, à ajout
éphaiie frontale ou anté- rieure ; une plagiocéphalie occipitale ou postérieure ; une plagio- céphalie fronto-pariétale ; une pl
état frais. Après l'avoir durcie, on trouve des lésions des cordons postérieurs qu'aucun trouble, pen- dant la vie, n'avait pu
e prévoir. En effet, sur toutes les coupes on voit dans les cordons postérieurs , avec raréfaction légère des fibres nerveuses a
us, une congestion consfdérable de la substance grise antérieure et postérieure . Quant aux nerfs hypertrophiés, ils ont leurs fib
flexion des orteils par suite d'une forte contrac- tion des muscles postérieurs de la jambe. TRAITEMENT DE L'ATAXIE DANS LE TAB
tale gauche, celui de Wernicke ou de la surdité verbale à la partie postérieure de la première temporale gauche, celui de l'agr
phasie et agraphie. La lésion de ce syndrome porterait sur le tiers postérieur de la première circonvolution temporale et la par
oisième frontale, centre des images motrices d'articulation; partie postérieure des première et deuxième temporales centre des
ment et sans cause appréciable de violentes douleurs dans la partie postérieure des deux jambes. Le moindre mouvement des membr
xe du membre, clans son ensemble, représente une courbe à concavité postérieure . On tente, et inutilement, tous les traitements
iomatose plutôt qu'à l'existence d'une cavité réelle dans une corne postérieure . P. K. LXVI. Communications casuistiques; par L
s arquées internes; 6° Fibres collatérales du faisceau longitudinal postérieur : elles passent en partie dans les noyaux des f
gineuse fait saillie dans le canal rachidien, elle adhère à la face postérieure du corps des deuxième et troisième vertèbres lom-
apparition d'une masse de substance nerveuse qui adhère aux cordons postérieurs et qui est, on le comprend, la coupe de l'extré
65 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rasement des racines spi- nales, chez les chiens, on voit la racine postérieure (extramedut- lairc) se régénérer complètement ;
cte continuité avec les fibres régénérées du segment de la ra- cine postérieure le plus près de l'axe. Maintenant cet élan vers
iens chez qui, 10 mois auparavant ils avaient sectionné les racines postérieures , notent l'absence ab- solue de régénération méd
itution des libres nerveuses dans la portion centrale (le la racine postérieure opérée. Or la recherche de la régénération inlr
siège à la partie externe des ban- delettes depuis la partie toute postérieure aux environs du corps genouillé, jusqu'à la par
crampes, avec sensation de broiement, de torsion, le long de laface postérieure des membres, depuis les fesses jus. qu'aux bout
la pression le long du trajet du sciatique (tout le long delà face postérieure de la cuisse, point fessier, poplité, malléole
pace épidural faisant légère- ment adhérer la dure-mère à la partie postérieure des corps ver- tébraux sacrés. Ces adhérences n
s la colonne ver- tébrale cervicale, dorsale et lombaire. La face postérieure des corps de la 2° 3° 40 crtèhres sacrées a un
es dansl'épaisseur des muscles, particuliè- rement dans les muscles postérieurs de la cuisse. Au contraire, les muscles fessier
téine-éosine, Marchi, Pal, Gieson), sur les nerfs sciatique, tibial postérieur , tibial antérieur (dissociation après l'acide o
ctères, les lésions radiculaires déjà citées ; en elfet les racines postérieures des seg- ments sacrés et du cinquième segment l
sont assez faibles ; ici, tandis que la zone d'entrée des raci- nes postérieures se présente, au Pal, encore pauvre en lihres sai-
ite elle est très riche en libres intactes qui vont border la corne postérieure : au niveau du 3e segment lombaire et . au-dess
egment lombaire et . au-dessus encore, la zone d'entrée des racines postérieures paraît absolument intacte de chaque côté. Les
es boules noirâtres dans le cordon antero-latéral. Dans les cordons postérieurs , il existe des lésions (lui, tlans la moelle sa
e est plus forte, marquent le pas- sage de libres malades du cordon postérieur à la base delacorne postérieure. Le fait que
- sage de libres malades du cordon postérieur à la base delacorne postérieure . Le fait que les lésions radiculaires postérieu
base delacorne postérieure. Le fait que les lésions radiculaires postérieures sont inégales et souvent pas symétriques, jamai
u 5U segment lombaire et que, d'autre part, les lésions des cordons postérieurs dans la moelle sacrée se sont montrées, au lJar
aire l'étude intéressante des dégénérations secondaires des cordons postérieurs par lésion de la queue de cheval. Dans la moell
ations noirâtres sauf une bande qui occupe le voisi- nage du septum postérieur , de la périphérie àla commissure pos- térieure.
granulations noirâtres, qui se trouvent dans presque tout le cordon postérieur , sont ce- pendant beaucoup plus nombreuses dans
n s'atténuant pro- g-ressi, ement vers la zone d'entrée des racines postérieures peu dégénérées, l'autre suit le septum postérie
rée des racines postérieures peu dégénérées, l'autre suit le septum postérieur et s'atténue, elle aussi, progressivement, s'ar
ie delà moelle et dont la bissectrice est représentée par le septum postérieur . Dans la moelle cervicale inférieure, légère dé
ns la moelle cervicale inférieure, légère décoloration de la moitié postérieure du faisceau de Goll, qui dans le 2°-3° est enva
mbaires inférieures, ici presque exclusivement limitées aux racines postérieures . Nous avons en outre c constaté, dans les cordo
ines postérieures. Nous avons en outre c constaté, dans les cordons postérieurs , une dégénéra- tion secondaire, encore assez ré
rculeuse du sacrum était super- ficielle, légère, limitée à la face postérieure des corps vertébraux. C'est là encore un fait q
s que les petites tu- meurs de même structure qui occupent la fosse postérieure du crâne produisent une papille étranglée consi
e qui conduit les impressions thermiques et dou- loureuses : racine postérieure , corne postérieure, commissure de la substance
mpressions thermiques et dou- loureuses : racine postérieure, corne postérieure , commissure de la substance grise, cordon anLér
rale, produite par une lésion de la substance grise (ou de la corne postérieure ) débute en général immédiatement au- dessous de
on. Dans presque tous ces cas.il existait des lésions des cordons postérieurs , les unes homolatérales, les autres hétérolato'a-
mis de constater l'extrême variabilité de ces lé- sions des cordons postérieurs , aussi bien du côté correspon- dant à l'amputat
boules siégeaient non seulement au niveau de la lésion des cordons postérieurs , du côté amputé et du côté opposé, mais aussi d
est-à-dire à un niveau où une décussation des fibres radicu- laires postérieures n'était pas encore possible; ces lésions fai- s
, nous avons noté dans ? cas, en plus des al- térations des cordons postérieurs , des lésions do méningite syphilitique. Or, la
196 CONGRÈS DES MEDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. les cordons postérieurs ; elle rend compte aussi de ladistribu- tic-n a
tient vraisemblablement sous sa dépendance les lésions des cordons postérieurs . Cette méningite est due, sans cloute, à une né
muniqués dès 1895 à notre Congrès de Bordeaux et que ses recherches postérieures ont confirmés. Il traitedu vertige voltaïque et
, exactement par le même mécanisme que l'incoordination des muscles postérieurs de la cuisse ou du jambier antérieur.c'est-à-di
résultant de la fusion des racines s'organisent pour former un plan postérieur d'ex- tension (tronc radio-circonflexe) et un p
cours en deux faisceaux de fibres, fais- ceau antérieur et faisceau postérieur , simplement accolés et bien distincts sur la de
tincts sur la dernière portion du trajet radiculaire. Les faisceaux postérieurs de C , CVI, CVII, par leur fusion, constituent
stituent le tronc radio-circonflexe qui vient renforcer le faisceau postérieur émané du tronc commun de CVIII, et Di. Les fais
ec suppuration des muscles peauciers, sterno mastoïdien, ven- tre postérieur du digastrique et stylo-hyoïdien, ainsi qu'à la
de l'hypoglosse, le groupe externe innerve les muscles de la région postérieure et externe de la langue ; le groupe antérieur i
tion motrice des muscles stylo-hyoïdien, stylo -glosse et du ventre postérieur du digastrique. Dans le noyau du trijumeau, la
u et un peu plus haut de la partie interne de celui-ci. Le groupe postérieur du noyau de la cinquième paire innerve le muscle
èse des réflexes corticaux, antérieurs aux réflexes volontaires, et postérieurs aux réflexes proprement dits ayant leur centre
un processus gliomateux com- prenant le territoire de la commissure postérieure et de certaines portions des cordons postérieur
e de la commissure postérieure et de certaines portions des cordons postérieurs , sur la hauteurde la région cer- vicale entière
métrie manifeste ; déformation de l'axe gris au ni- veau des cornes postérieures surfout. Les grandes divisions ré- gionales se
respondant au territoire, du faisceau pyramidal croisé, c). Cordons postérieurs : Quelques libres dégénérées il la p('l'iplll"I
supérieure il la limite supérieure du foyer de my('WI'. a). Cordons postérieurs : Dégénération du cordon de (;011 ni dr la port
érieure du faisceau de La dégénération allailjusf[u'à la commissure postérieure . 11'. Cordons ccztd>'o-latérav.r. 10 Au dess
ans lesquels l'abcès collecté profondé- n)fnHu5e parle trou déchiré postérieur et donne un ahci's rdl'O' ltltarynien. (Cas du
s ou par un abcès qui soulève le périoste, le ligament longitudinal postérieur et la dure-mère : dans la' plupart des cas, la
au niveau du sommet de la cyphose, fortement tendue sur les parties postérieures des corps vertébraux disloqués en arrière, ou m
pplémentaire par les vaisseaux sanguins et lymphatiques latéraux et postérieurs de la moelle, et cela jusqu'au moment où la fle
sanguine, des artères interver- tébrales comme les artères spinales postérieures qui, elles principalement, irriguent la substan
ici d'un foyer de ramollissement typique dans les cordons et cornes postérieures secondaires àl'embolie d'une artère spinale pos
et cornes postérieures secondaires àl'embolie d'une artère spinale postérieure . Quant à la myélite, la plupart des auteurs son
s, disséminés sans ordre, mais avec prédominance dans les cordons postérieurs et localisés dans la partie dorso-lombaire de l
ines ont une gaine myélinique pale. > <- . Dans les cordons postérieurs , la perte en libres nerveuses esl moins forte,
é et le faisceau Uo '1·url : . 'r r '1" ·.. , .1 Dans les cordons postérieurs on retrouve.de chaque côté une mince bande de f
ce bande de faible degeneration qui court.parallèlement iL la corne postérieure , plus proche de celle-ci que du septum : en ava
lle-ci que du septum : en avant, elle rejoint à peine la commissure postérieure ; en arrière elle s'élargit touchant presque la
du segment S 4, il existe encore un éclaircissement dans la moitié postérieure du cordon latéral. ... La dégénération dans le
dans le faisceau de Goll s'étend de la périphérie il la commissure postérieure ; il existe toutefois dans le faisceau de Goll
efois dans le faisceau de Goll une légère bande adjacente, au tiers postérieur du seplum, plus large vers la périphérie, qui c
C t ? il n'en existe plus trace. La dégénérescence dans les cordons postérieurs tend aussi il se réduire de plus en plus ; au n
de Goll qu'elle occupe entièrement de la périphérie à la commissure postérieure : dans les segments C 5, G 4, elle est réduite
ieure : dans les segments C 5, G 4, elle est réduite aux deux tiers postérieurs du faisceau de Goll. qui est envahi en dedans d
occupe dans le sens antéro-postérieure presclne seulement la moitié postérieure du faisceau lIe' (i011, sons la forme d'un tria
ion, mais avec prédo- minance dans la moitié antérieure des cordons postérieurs et SUR LA PATHOGÉNIE DES ALTÉRATIONS MEDULLAIRE
s abondants ¡'¡ la partie externe du cordon latéral, dans la moitié postérieure des cordons postérieurs el dans le cordon antér
e externe du cordon latéral, dans la moitié postérieure des cordons postérieurs el dans le cordon antérieur ; dans ces régions,
ons A nCntvr.s, 2° scric. t. l\. 2a 4.GU ' PATHOLOGIE NERVEUSE. postérieurs , desdegenerations qui, sans être forte ? sont tou
rée supérieure, existe une illculu- ration diffuse dans les cordons postérieurs , oui toutefois épargne le triangle de Gombault
ippe. Au niveau des segments LÔ-L4, la dégéné- rescence des cordons postérieurs , tout en respectant la zone d'en- t.r6cdt ? ['a
ois un faisceau de la moelle s'étend jusqu'à l'union des deux tiers postérieurs wrcle Liera antériuur llu sepLum.1u nivcau tlt
elledorsale, ainsi que dans la sacrée et la lom- haire, les racines postérieures , soit dans leur trajet sous-arachnoi- dien.soit
des cor- SUR L1 PATHOGÉNIE DES ALTÉRATIONS MÉDULLAIRES. 451 dons postérieurs qui a son maximum dans leur moitié antérieure ;
'abolition des réflexes comme l'expression d'une lésion des racines postérieures par des troubles circula- toires (stase) au niv
a queue de cheval a montré leur absolue intégrité, mais les racines postérieures mêmes étaient sain es,aussi bien dansleur traje
aru oll'rir d'altérations appréciables. La conservation des racines postérieures ne nous per- met pas non plus d'expliquer l'abo
ombo-sacrée. : leur médiocre intensité, la conservation des racines postérieures , (tes collatérales réflexes, du, réseau myélini
un tabès lombo-sacré incipiens. Cependant ces lésions des cordons postérieures , qu'on les interprète comme vrai- ment tabétiqu
uins normaux, assez congestionnes, lanl il la partie antérieure que postérieure delà moelle. La moelle 101llhairr, oÙ e-\iste l
bord du sillon antérieur est complètement épargné. Dans les cordons postérieurs , même lé- sion diffuse occupant l'ensemble des
postérieurs, même lé- sion diffuse occupant l'ensemble des cordons postérieurs avecune bande plus ou moins large de tissu sain
ntsurtouttes2/ante ! 'ie ! u'settespa ! 'ties centrales des cordons postérieurs qui sont lésés. A un plus fort grossissement, o
segment L ,i, dans le faisceau pyramidal croisé ; dans les cordons postérieurs , dégénération (li[ruse épargnant la xonecorni-
s ? Py(;ouladege ! ie ! 'c. cence est très nette ; dans les cordons postérieurs , les mêmes lé- sions que dans le segment L'). A
e. Au niveau des segments i)ll,i))0,D8,Iaxone dégénérée des cordons postérieurs tend tou- jours d'avantage se limiterait faisce
eau de Goll, bien que s'élendanl de la périphérie à la commis- sure postérieure , diminue en largeur clans ses ? /3 antérieurs p
arquer la persistance de la dégénérescence diffuse dans les cordons postérieurs , au-dessous de la région aplatie de la moelle,
on n'en peut dire autant de la dégénérescence dilfuse des cordons postérieurs qui continue en bas, jusqu'à la région sacrée i
rieure. Elles ne peuvent être expliquées par une lésion des racines postérieures , celles-ci restant intactes, ni par des trouble
ière consisterait à admettre que cette dégénération des cor- dons postérieurs relève de troubles circulatoires secon- daires
, l'Onlllle'¡'l la 1)i·nilrlu rie de la moelle eL dan, lescol'lluns postérieurs , abondamment di. ('l1lin¡"e entre les libre- sa
x, il existe un i·Ilai..iasen«;nL léger des septa. dans les cordons postérieurs il v a une vraie pro- lifération iiévroglique.
cordon anl¡"ro-Iatéral. limitée la périphé- rie ; dans les cordons postérieurs , elle est aussi plus limitée, es lend il occupe
est aussi plus limitée, es lend il occuper le voisinage du H'[li um postérieur . Au niveau du [CI segm. lomhail et au-dl'su,la
egment Ll,en effet, la dégénérescence se limite, dans chaque cordon postérieur , à une bande adjacente au septum qui, partant d
ieur, à une bande adjacente au septum qui, partant de la commissure postérieure , occupe la moitié en largeur du cordon postérie
de la commissure postérieure, occupe la moitié en largeur du cordon postérieur , et dans le quart postérieur du ·c1L«m; avanl d
occupe la moitié en largeur du cordon postérieur, et dans le quart postérieur du ·c1L«m; avanl d'arriver la périphérie, s'éca
du segm. S2, légère décoloration dans le l'y C. et dans le triangle postérieur . '' " Remarques : L'intense infiltration des mé
ut les parties centrales des cordons antéro-latéraux et des cordons postérieurs . Les lésions marginales sont très vraisemblable
males qui sont des formes (1) Il n'est question ici que des travaux postérieurs aux miens. Antérieurement, il n'existe il ma co
66 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'habitude, se cantonnait presque exclu- sivement dans les cordons postérieurs , lieu de moindre résis- tance de par la lésion
assez exactement à l'espace situé entre les émergences des racines postérieures . La moelle ne présente pas d'autre lésion macro
si, dans certains endroits, .et particulièrement autour des racines postérieures , un aspect un peu nodulaire. La névroglie n'a
t pas de- même pour les racines qui, tant les anté- rieures que les postérieures , ont subi une altération évidente de leurs tube
elles ne contiennent pas de capillaires. Fig. 8. - Artère cérébrale postérieure . Péri-artérite nodulaire ; une plaque d'endarté
qui sont la source des hémorrhagies méningées Fig. 10. - Uze veize postérieure de la pie-mère rachidienne (région dor- sale in
nterstitielle pro- venant de la veine; au-dessous on voit la racine postérieure , à gauche une artère saine. Ilémaloxylizze de D
ME NERVEUX. 21 de la base du cerveau et de la région dorso-lombaire postérieure de la moelle. Ici nous voyons sur certaines vei
phalite vascu- laire diffuse. Myélite à corps granuleux des cordons postérieurs , résultant de la superposition d'une dégénéresc
porte en bas quelques plaques d'arachnitis calcaire. Les racines postérieures sont un peu grisâtres dans la région lombaire. Su
un peu grisâtres dans la région lombaire. Sur la coupe les cordons postérieurs paraissent très légèrement grisâtre*; plus tard
s granuleux dans les cordons antéro-latéraux; mais dans les cordons postérieurs , du haut en bas, on en trouve une quantité énor
parfaitement nettes. Examen après durcissement. Moelle. Les cordons postérieurs sont du haut en bas le siège d'une dégénérescen
ose fort intense, à en juger par la teinte que prennent les cordons postérieurs sur les coupes colorées par la méthode de Pal.
que plus bas sur la zone malade. Dans la région dorsale les cordons postérieurs sont pris d'une façon uniforme dans toute leur
cervicale les cordons de Goll sont pâles, surtout dans leur partie postérieure ; en avant il reste sur leurs bords une mince zo
disparaître progressivement à mesure que l'on remonte. Les racines postérieures présentent des lésions assez avancées en bas; a
s autres à peu près saines. - 1 A la région cervicale les racines postérieures contiennent à gauche des tubes grêles en assez
n rapport exact entre les lésions des racines et celles des cordons postérieurs , les unes étant beaucoup plus avancées que les au
osmique n'a pas été employé. A un fort grossissement les cordons postérieurs présentent encore un grand nombre de tubes, rég
eux, encore visibles dans la glycérine. Les vaisseaux des cordons postérieurs sont entourés d'un man- chon de corps granuleux
pillaires les plus fins, mais les artérioles qui suivent le- sillon postérieur , celles qui pénètrent dans z les cordons postér
vent le- sillon postérieur, celles qui pénètrent dans z les cordons postérieurs et leurs - premières ramifications; de , telle
larges mailles de vaisseaux malades, limité exactement aux cordons postérieurs . Cette lésion diffère tout à fait de celle que
et, cho,e remarquable, elle ne prédomine nullement dans le segment postérieur delà moelle. Enfin, bien qu'au premier abord la
'au premier abord la lésion vasculaire semble limi- tée aux cordons postérieurs , en examinant plus attentivement on voit que le
ryonnaire, qui est une ébauche de ce que l'on voit dans les cordons postérieurs . Il n'y a pas de lésion appréciable des cellule
la`moelle est marbrée de tachés, qui prédominent" dans les cordons postérieurs et la partie posté- rieure des faisceaux latéra
aches irrégulières de la lésion primi- tive ; de ce. côté la partie postérieure du faisceau pyramidal est moins lésée que sa pa
triangle' étroit' dont sa pbinté'atteint pourtant' là " commissure postérieure en un point du renflement cervicale Le* faiscea
ation ? t1·leq ·atmg otMJf'uJ Les,. racines, tant, antérieures^que. postérieures , jnei présentent/on aucune altération, de leurs
é d ûne névrite phériphériquei suffisante, ..puisque les * méninges postérieures étaient, malades ( et que, les^ tubes des racin
nges postérieures étaient, malades ( et que, les^ tubes des racines postérieures /sans'être détruits,' étaient loin d'être sairis
ertaines lésions orga- niques ; que ce délire, alors même qu'il est postérieur à d'autres troubles intellectuels, ne tarde pas
re que le ramollissement des fibres blanches voisines de la partie; postérieure du corps calleux dans l'hémisphère gauche suffi
préter elle aussi que par l'interruption des fibres d'irra- diation postérieures du corps calleux au point où elles s'épanouissent
es, cellules motrices anté- rieures et aesthésiohlastes des cornes' postérieures . L'étude du système entier montre suivant l'aut
eau des deuxième et troisième paires dorsales, dans la corne gauche postérieure et les racines posté- rieures avec léger empiét
s de Bunduch. Pendant la vie rien n'indiquait une lésion de cordons postérieurs ; aucun trouble de la sensibilité. P. K. XX. E
de faire choix, pour satis- faire l'appétit commandé par le cerveau postérieur , d'un enfant de deux ans, d'un individu du même
u, sous l'influence de l'instinct sexuel cantonné dans le cor- veau postérieur . Il y a donc essentiellement chez notre jeune s
re) 1890. Aulop- sie. Lésions avancées caractéristiques des cordons postérieurs , tumé- faction delà névroglie centrale : depuis
ire dorsale, la tumeur touche par sa partie inférieure les cordons, postérieurs .lésés ; elle provient probablement de l'hyperp
dégénérescence.portant sur.toute, la coupeitransverse des cor- dons postérieurs ,oulilnitéé àlcertaiue foisceaux des3mêmes cor-
e la névroglie dans le canal central, la dégénérescence des cordons postérieurs , une myélite, une affection systématique com- b
alement tenir compte de la syringomyélie qui occupe toute une corne postérieure sur toute la, hauteur de la moelle et produit e
fi]3res'd-ut-iiel,f ^acoustique, tout au ' moins de- ses ' racines postérieures ;'2° le noyau'antérieur et- le'tubercule acous-
t- le'tubercule acous- tique sont des centres primaires des racines postérieures de l'au- ditif ; 3° les olives supérieures cons
plupart, en s'associant, au .ruban de Reil inférieur, au segment' postérieur dutuberculë·qûàdrijnméâù'postérieuë;'onIiépeut`lê
: , ,n ^vm : q ^ .Tr ? n ? La dégénérescence tabétique des racines postérieures et les cas de tabes dépourvus de complexité, ti
rvus de complexité, tiennent exclusivement à'une lésion des racines postérieures dans' leur, trajet intramédullaire. Cette dégén
Cette dégénérescence indique.que le;trajet des fibres, radiculaire^ postérieures est bienlcelui,qui ;a, été. décrit paroles auteur
elui,qui ;a, été. décrit paroles auteurs. Les . fibres radiculaires postérieures qui pénètrent dans la zone d'entrée radiculaire
comporte une autre , explication; se compose des fibres des racines postérieures du seg- ment de moelle en question qui affecten
le segment de moelle 'déterminé ;' survie bord' médian de la' corne postérieure , entré les'deux autres zones, celle des racines d
dans 1, nïoellé ltimbâité;dégénèréfûnézoné qui occupela périphérie postérieure 'et l'extrémité postérieure' de lascissùre postér
a périphérie postérieure 'et l'extrémité postérieure' de lascissùre postérieure . Cette zone contient des fibres ascendantes. Il
parce'que'Ià au faisceau de Goll s'ajoutent des' fibres de la corne postérieure ? 1 '2,"Imf; -JisJa ? 9j i^ ,, Le tabes n'est'p
lte simple- ment'*de laildé"'éhéësceti .eé" dé fibres' radiculaires postérieures intram édul 1 aires. La zone marginale'de Lissa
inconstant. Les altérations du ,trajet extramédullaire des racines. postérieures marchent parallè- lement aux ialtérationslide,
nent naissance dans la région des cellules ,de, la base de la corne postérieure et très pro- bablement^ aussi dans, la tête de
ostérieure et très pro- bablement^ aussi dans, la tête de la, corne postérieure ; 2° les fibres provenant du, noyau sensitif du
iverdu' tabès, ' quelle qu'elle soit agit surtout'sur les. cordons' postérieurs de la moelle et, par- continuité; par l'intermé
s de la moelle et, par- continuité; par l'intermédiaire dés racines postérieures , ils- qu'aux cellules des ganglions spinaux, où
raux [(fais- ceau pyramidal de, Flechsig) mais encore des cordotis, postérieurs puis- que les fibres de ceux-ci vont dans, la p
yau, vont, de concert avec les libres'du noyaud'origine'des cordons postérieurs , danslle ruban de Reil, et, 1 delà, à l'écorce (l
, des .noyaux de l'oculo-moteur commun, des faisceaux longitudinaux postérieurs , du ruban de Reil du côté gauche, d'une petite
re, à un pouce environ de la ligne médiane, et elle; adhère au bord postérieur de la face 1206 REVUE D'ANATOMIE ET 'DE 'PHYSIO
. système, à la suite^d'un foyer ayant détruit le segment le plus postérieur de la couche optique et le'segment le plus antéri
verticale- ment vers la capsule interne. Là, à l'extrémité la plus postérieure du segment externe, du. noyau lenticulaire, ils
erritoire de substance blanche situé entre le pédoncule cérébelleux postérieur et le loeuscoeruleus, pour de là, s'accoler à l
.. - i , > Ic'v -10 .i i" i "-f. 14 .... -b ' " Dans la région postérieure de la. capsule interne, tout à fait en arrière,
e Stilling et plonge en arrière et en bas dans les noyaux du cordon postérieur du côté opposé. En somme, dans le tiers postéri
noyaux du cordon postérieur du côté opposé. En somme, dans le tiers postérieur de la capsule interne, mais en avant de l'irradia
oelle dorsale d'un"côté sur une1 longue étendue, ou une seule corne postérieure de la moelle dorsale ; 3° cas particulièrement
fuse dans la moelle dorsale inférieure et monte ensuivant la corne postérieure jusqu'en haut''(observation); 4°' localisation
nt paralytique; l'autopsie révèle * : dégénérescence' des cor- dons postérieurs , gliose, syringomyélie. S'agit-il là d'un tabes c
de la syringomyélie qui, prolongée dans le 'territoire des cordons postérieurs , produit les symptômes tabétiques ? La question
rescences ',atteignent toute la capsule interne'moins le~,trousseau postérieur et le trousseau antérieur, des -trois, quarts -
oviennent directement$des, cellules nerveuses-originelles du cordon postérieur du, côté opposé et·notamment;de,la partie mé- d
' plutôt : descendant qu'ascendant) ; intégrité, absolue de racines postérieures . èJà £ JG'DJ'i L ussviaa at 1%ti < Du-resle;
L ussviaa at 1%ti < Du-resle;ihn'y alpas) rétractiondesscordons postérieurs ; les gainés myéliniques sont tuméfiées, il'hyp
(conservation de la conductibilité). L'intégrité des cornes grises, postérieures et des racines -postérieures erend 2 : compte,du
ilité). L'intégrité des cornes grises, postérieures et des racines - postérieures erend 2 : compte,du non-ralentissement : de la
l'encé- phale (Griesinger); si' les lésions siègent dans la. fosse^ postérieure du crâne, on enlèvera d'abord les hémisphères n
prend comme points : de repère 1 les plans' passant par.' la partie postérieure du genou* du corps caleux ' par,la partie antérie
et de Turck. Les fibres qui-viennent du noyau d'origine des'cordons postérieurs et qui passent, comme il est dit, dans le ruban
raux' (faisceau pyramidal ' de Flechsi- mais aussi pour les cordons postérieurs ,' puisque' les fibres de ceux-ci vont dans la p
au vont, de concert avec les fibres du noyau d'origine des cordons^ postérieurs , dans le ruban de Reif, et de la, a l'écorce' d
tabès (quelle qu'elle soit), agit principa- lement sur les cordons postérieurs de la, moelle et, par continuité, par les racin
rdons postérieurs de la, moelle et, par continuité, par les racines postérieures jusqu'aux cellules des ganglions spinaux où ell
UBJ ub 9Yt00tT SAIJG,, bl 4` - " Les fibres de la commissure 'grise postérieure comprennent trois' trousseaux : 1° un' large tr
'='r 2° un* trousseau plus fin contourné le bord médian de la corne postérieure et le, - t , bord I... 1 p-ôstéiê-ù de là -6oni-
ne 2) va'en partie, chez'le'coq; au-' bord médian t. de 'la ( corne postérieure Le trousseau - pbstéro-vehtral (Schaffer)'occu'pe
l'central (trousseau n° 3).'li existe aussi des fibres radiculaires postérieurs dont'iajportion latérale traversant la 9cornepo
n latérale traversant la 9cornepostérieure;'rva'au'lsegmenttle plus postérieur du' cordon latéral.' Leur-portionl'moyènnèsse r
portion médiane (interne) va dans lé segment' interne' de la écorne postérieure : ri sltp sir5 anluq s3E5 Lb 7L 4 ,u"> ? >v
montre la régularité avec laquelle l'ergotisme- atteint les cordons postérieurs de la moelle, mais sans caractère progressif. P
un foyer de ramollissement ancien siégeant sur les circonvolutions postérieures de l'hémisphère droit du cerveau. Or, nous verr
it du cerveau. Or, nous verrons plus lard que les circonvolutions postérieures sont indépendantes de l'appareil moteur intra-
tte planche nous voyons que, loin de siéger sur les circonvolutions postérieures , la lésion est placée au milieu du lobule parié
e long des piliers antérieurs du trigone. En arrière, dans la corne postérieure , se trouvent deux tumeurs mamillaires, dont=la`
t an`centrë `dë' l'pëâü incisée,, entre les bords anté- * rieurs et postérieurs , du pariétal. Dans le trou ainsi fait j'introduis
éflexe'des z dans la com- .' "" ? eilk et 'Fit ' " '< intssure postérieure , (voyez schema'de Magnus.) P. k. p ZD ( '>
'ueeédé''un'e'lypémànie'qùi l'allait maintenir à l'asile. la partie postérieure et sur une notable étendue de-la partie supérie
meextérieur n'était venu révélerla, présence;Cette,lésiou est très, postérieure à la maladie pentale,dont,clle"nalété.,qu'un; é
e physiologiste à localiser, le centre' mastica- teur dans le tiers postérieur de la troisième frontale, et dans le tiers, inf
50 grammes ,, de , pus et a1vant incomplèt'êment détruit la partie postérieure ,de F3 etlapl : ati F', et Rappelons aussi les c
^'comparable à la dégénérescence des,cordons latéraux^et, des : dons postérieurs de la moelle. ^ j-, ? ,,tir<,a,x. ? 8'; - uJ
es coupes totales de Griesiiiger., Qu'une altération occupe l'étage postérieur , de la, cavité^ crânienne,, on pourra se trouve
rmet aussi de s'orienter; on, procède ainsi, au niveau de la partie postérieure du genou du corps calleux, en ayant du^chiasma,
le ? les' lésions du' P tabès- doivent être confinées 'aux cordons1 postérieurs ? Gomme "' si les connexions intimes des élémen
scles sur lesquels ont porté les expériences sont ceux de la région postérieure de la cuisse : biceps, demi-tendineux, demi-mem
plagiocé- phalie ; 11° disproportion relative du crâne antérieur ou postérieur ; 12° front fuyant, etc. ; 13° sub-microcéphali
u,'l'activité, les régions latérales, les instincts,' les régions ! postérieures . ' `Bordier;` Manouvriery Topi- nard,' partagen
s en spinaux,1' spinaux-cérébraux" anté- rieurs ; spinaux-cérébraux postérieurs ,' cérébraux-antérieurs;`céré- braux'postérieurs
lvinar; autres glio-sarcomes siégeant dans l'écorce de l'extrémité, postérieure ,de la première,; temporale gauche et de la cir
permettent de conclure à l'existence d'une tumeur .dans le,segment postérieur du lobe temporal droit/siégeant* non' directeme
Sylvius, qu'elle prend la plus grande- par- tie, surtout la partie postérieure de la base des temporales gauches .- Voyons mai
67 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
un peu en avant du sillon de Rolando. Nous arrivons là à la limite postérieure de la tumeur qui n'occupe que la partie inférie
l'auteur put reconnaître la simulation ; par l'accusé, de la crise postérieure au crime et l'absence de rela- tion de causalit
siforme. A la convexité il y a une sorte de châtaigne à l'extrémité postérieure des première et deuxième temporales gauches, to
cas sur 20 malades. Elle paraît propre . à la sclérose des cordons postérieurs . Etudes comparatives à ce point de vue d'autres
aliser l'altération, et bien que, d'après Schiff, les cornes grises postérieures soient le territoire par lequel passent les fai
voie simple et des voies complexes. Si du lieu d'entrée des racines postérieures aux racines antérieures il existe un arc réflexe
e par Charcot. La lésion doit être localisée plutôt vers les cornes postérieures puis- qu'il n'y a qu'à peine un peu d'atrophie
trouver au niveau du renflement cervical. Ce serait le type médian postérieur de la classification anatomo-physiologique de C
nt détruit la substance blanche avec dégénérescence des faisceaux postérieurs , antérieurs et latéraux de la moelle par altérati
dans l'es- pèce. C'était dans la moelle, surtout dans les cordons postérieurs et latéraux, une sclérose périvasculaire, moins
leur aspect normal. Les parties internes et antérieures des cordons postérieurs sont la plupart du temps le plus gra- vement at
es avec absences partielles de réflexes, lésion récente des cordons postérieurs qui paraît plutôt purement fortuite : Observa
. La moelle présente une altération douteuse au niveau du cinquième postérieur des cordons postérieurs. Dégéné- rescence très
e altération douteuse au niveau du cinquième postérieur des cordons postérieurs . Dégéné- rescence très accentuée dans la couche
i le noyau de Deiters ne sont les lieux de terminaison de la racine postérieure de l'auditif. 2. Les fibres de la racine postér
n de la racine postérieure de l'auditif. 2. Les fibres de la racine postérieure en question se terminent 142 REVUE d'anatomie E
e, dans les deux olives supérieures, dans le tubercule quadrijumeau postérieur du côté opposé. Une insignifiante fraction de f
de fibres se termine peut-être aussi dans le tubercule quadrijumeau postérieur du même côté. Donc tous les organes suprà dénom
les organes suprà dénommés sont des centres pri- maires des racines postérieures de l'auditif, c'est-à-dire du nerf cochléaire.
auditif, c'est-à-dire du nerf cochléaire. 3. Les fibres des racines postérieures qui se termi- nent dans les olives supérieures,
nent dans les olives supérieures, et dans le tubercule quadrijumeau postérieur , vont par les olives, dans le corps trapézoïde, e
s'ajoutant au ruban de Reil inférieur, va au tubercule quadrijumeau postérieur dans lequel elle se termine probablement. Une fra
ectant des rapports intimes avec les centres primaires de la racine postérieure de l'acoustique. 5. Le ruban de Reil inférieur
même côté, et qui unissent celle-ci avec le tubercule quadrijumeau postérieur . Il n'y a pas de raison de douter de l'existenc
base de sustentation se trouve ainsi augmentée dans le sens antéro- postérieur . On a établi deux types selon que la ligne de g
voir que le nerf labyrinthique est l'homologue d'une racine spinale postérieure , et qu'il démontre que le nerf vestibulaire est
mberg prend des caractères différents. Dans le tabes, les cor- dons postérieurs , seuls atteints, le sujet sent parfaitement les o
ryténoïdiens et probablement aussi des muscles du pharynx. Le noyau postérieur du glosso-pharyngien est le noyau terminal des
du facial reçoit un large apport de fibres du faisceau longitudinal postérieur du côté opposé, qui vient probablement du noyau
a périphérie des' faisceaux de Goll et de Burdach. Les deux racines postérieures sont infiltrées de la même manière. On trouve e
la même manière. On trouve encore, dans les racines antérieures et postérieures , que leur péri et endonèvre est parsemé de noyaux
dach, du côté droit, à la périphérie, dans le voisinage de la corne postérieure , LA TUBERCULOSE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 187 un
rouvent à la périphérie du tubercule. Dans le voisinage de la corne postérieure gauche, on trouve, au côté interne près la péri-
nous mentionnons ci-dessus. Ainsi, elle est visible dans le cordon postérieur et dans le cordon latéral. La commissure postér
dans le cordon postérieur et dans le cordon latéral. La commissure postérieure devient plus large. La dégénérescence des tubes
nce des tubes nerveux commence à apparaître même dans les racines postérieures au point où l'on trouve l'infiltration surtout ab
tion de la pie-mère, qui adhère à la moelle, surtout dans la partie postérieure , gagne encore en intensité. Dans une des coupes
ig. 8). Dans une coupe, on a pu observer, au côté externe du cordon postérieur droit, un nodule tuberculeux périphé- rique, da
e plus haut, on voit un tuber- cule sur le côté externe des racines postérieures droites. Sur les coupes provenant de cette part
oites sont enflammées et en partie sclérosées. De même, les racines postérieures , surtout du côté droit, sont infiltrées et on t
ans les coupes provenant de la même partie de la moelle, les cornes postérieures et surtout la corne postérieure gauche, sont pa
me partie de la moelle, les cornes postérieures et surtout la corne postérieure gauche, sont parsemées d'un plus grand nombre d
surtout marquée autour des infiltrations mentionnées. Les racines postérieures sont atteintes d'une endonévrite remar- quable.
es géantes. Ce tubercule se trouve sur le côté externe de la racine postérieure gauche. Sur les mêmes coupes nous voyons encore
ules confluents placés tous deux sur les vaisseaux. Dans la corne postérieure gauche, vers la périphérie se rencon- trent de
rise, il y a également un petit groupe de leucocytes. Dans la corne postérieure droite, le long d'un vaisseau, on remarque une
marqué les mêmes lésions que dans la partie supé- rieure. Le cordon postérieur , sauf une légère infiltration le long d'un vais
inflammation du péri et endonèvre des deux racines anté- rieures et postérieures . D. Partie lombaire. On trouve seulement dans c
que l'hypérémie des méninges et une faible irritation des racines postérieures expliquent les premiers symptômes, à savoir : l
ises, ont existé avant que les cordons posté- rieurs et les racines postérieures aient été atteints' ? Dans ce cas on pourrait e
t déjà remarquer les douleurs, fait qui nous montre que les racines postérieures étaient gravement atteintes. Alors les fourmi
euvent être localisés au niveau des ganglions de l'habénule (partie postérieure du troisième ventricule). M. Men- del observe u
ndres-axes n'ont pas souffert; les tubes des racines antérieures et postérieures sont intacts. La névro- glie n'a pas proliféré.
mique de la paralysie générale, et l'absence de lésions des cordons postérieurs donnent au cas actuel une ressem- blance frappa
r toute son étendue dans l'espace qui est compris entre les racines postérieures . Celles-ci sont grises, atrophiées depuis le ba
le de la moelle on constate une atrophie considé- rable des cordons postérieurs qui sont gris et s'affaissent. Le plan- cher du
ogique. - La moelle présente une dégénérescence avancée des cordons postérieurs ; cette dégénérescence, qui est parfaitement sy
rdon de Goll est complètement privé de fibres dans ses trois quarts postérieurs : dans le quart antérieur il reste encore quelque
ste encore quelques fibres plus abondantes le long de la commissure postérieure sur une petite étendue. La bandelette externe,
en croissant autour et à distance du noyau cunéiforme. Les racines postérieures sont fortement atteintes à la région lom- baire
ale elles sont moins malades. 286 CLINIQUE NERVEUSE. Les cornes postérieures , bien que privées en grande partie de leur réli
à ces cellules embryonnaires. La pie- mère qui tapisse les cordons postérieurs n'est pas plus altérée que le reste; c'est même
médullaire. Cette disposition ne s'observe qu'au niveau des cordons postérieurs . · Outre ces lésions irritatives, les vaisseaux
us malades de la tunique externe. ' Les artères de l'espace perforé postérieur ont leur tunique ex- terne légèrement infiltrée
avec la dernière évidence que les lésions systématisées des cordons postérieurs n'ont aucune influence directe sur sa productio
présente une dégénération intense de ses cordons et de ses racines postérieures . Les racines du renflement cervical sont grisât
celles du cas précédent, quoiqu'un peu moins intenses. Les cordons postérieurs sont le siège d'une dégénérescence éten- due à
u renflement cervical, la dégénérescence est absolue dans la moitié postérieure 292 CLINIQUE NERVEUSE du cordon de Goll; la m
ites moins tranchées que dans l'observation précédente. Les c"mes postérieures sont relativement peu atrophiées, malgré .la di
J'impression que la pie-mère est plus altérée au niveau des cordons postérieurs ; mais un examen plus attentif montre que cette ap
nodules très caractéristiques (fig. 12). Les racines antérieures et postérieures sont le siège d'une infil- tration interstitiel
e dans le cas précédent; cette lésion n'est pas limitée aux cordons postérieurs , où les vaisseaux offrent en outre une sclérose
UPE au niveau DE la III;(,I0 dorsale; méninge au ! \[VEAU DES cordons postérieurs vers LES racines. , Méningite; phlébite il tend
es qui cheminent dans le tissu conjonctif lâche de l'espace perforé postérieur . On voit leurs tuniques parse- mées de noyaux a
'extrémité antérieure du faisceau cérébelleux direct et à la partie postérieure du faisceau de Gowers; en réalité, elle ne répo
niveau de la quatrième DOR- sale. Dégénérescence des cor- dons postérieurs ; plaque de myélite dansile faiscean latéral.
Tco- transversale de la même pla- que de myélite; c, commissure postérieure ; m, plaque de myélite. - Procédé d'Azoll- la
d'apparition ? Précède-t-elle l'évolution du tabes ou bien est-elle postérieure ? La préexistence de la névrite transverse aux
é à rattacher à des lésions vasculaires les altérations des cordons postérieurs chez tous les tabétiques ou chez quelques-uns d
e tabes et a émis l'hypothèse qu'elle pouvait atteindre les racines postérieures à leur entrée dans la moelle pour amener leur d
leur destruction et consécutivement la dégéné- rescence.des cordons postérieurs . Obersteiner et Redlich ont cherché à préciser
nérescence ; de telle sorte que les lésions vasculaires des cordons postérieurs sont constituées par deux éléments variables, l
plus, elle est susceptible de détruire certaines fibres des cordons postérieurs indépendantes des racines, d'altérer ainsi la p
trajet que ce soit (filets articulaires, troncs ner- veux, cordons postérieurs ); 2° ce sont les fibres centripètes REVUE DE PA
mouvements nécessaires à la parole (Broca) : lésion à la partie - postérieure de la troisième frontale gauche; 2° l'aphasie sen
e indemne) et un ramollissement du volume d'un pois dans le segment postérieur de l'insula. Voici une autre observation. Une
rose du cordon latéro-pyramidal gauche et des cordons antérieurs et postérieurs . En résumé, lésions diffuses d'ori- gine sénile
usqu'au sixième segment dorsal : il occupait en général les parties postérieures centrales, et atteignait sa plus grande largeur
ffroy. Dans ce cas, les cavités développées dans la substance grise postérieure et antérieure sont secondaires à la compression
ce sont les fibres radiculaires qui sont atteintes dans les cornes postérieures et les zones d'anesthésie se trouvent du même c
'étaient rencontrées au point voulu, à la partie antérieure du bras postérieur de la capsule interne et si, au lieu d'un foyer
GIQUES. 397 î visuel (fissure calcarine), le centre auditif (partie postérieure de la lro temporale, le centre olfactif (circon
obe frontal antérieur, le lobe temporal, l'insula, le lobe pariétal postérieur . Ils n'ont sur les mouvements qu'une action ind
ES TUBERCULES quadrijumeaux. Relations DES TUBERCULES quadrijumeaux postérieurs avec LES TROUBLES DE l'ouïe; par E. `ŸEINLAND.
commissure cérébelleuse antérieure; il y a alté- ration du segment postérieur , du pédoncule cérébelleux supérieur gauche, 'du
se centrale; il y a deslructioll'parlielle du faisceau longitudinal postérieur et des bras des tubercules quadrijumeaux du côt
ntérieur, la dysacousie à la destruction du- tubercule quadrijumeau postérieur du côté opposé; cet organe aurait pour fonction
t<C/t ? Psychiat., XIII, 1.) Dans la zone d'entrée radiculaire postérieure de Westpllal, il y a des fibres ascendantes. Il
t où la racine pénètre dans la moelle, c'est-à-dire la vraie racine postérieure , et la fibre qui, accolée contre la racine post
vraie racine postérieure, et la fibre qui, accolée contre la racine postérieure , se dirige en montant, par exemple, vers les co
coloration de Marchi, on trouvait une dégénéres- cence des racines postérieures lombaires et sacrées, et les fibres ascendantes
éro-médiane. Dans la moelle dorsale, le segment externe des cordons postérieurs contient une aire striée composée de fibres à c
pénétrer dans la substance grise. Or, les altérations des cordons postérieurs chez les paralytiques généraux sont une combinais
rition exerçant une action élective sur certaines aires des racines postérieures de la moelle. Telle est la manière de voir de l
émoire normale, limitée aux faits récents aussi bien antérieurs que postérieurs au début de l'affection. C'est une amnésie isol
vrite radiculaire transverse atteint les deux racines antérieure et postérieure . En résumé, il paraît exister, dans les portion
. Hémisphère gauche. Oblitération par embolie de l'artère cérébrale postérieure , au niveau des tubercules quadriju- meaux ; ram
M. Pick montre des préparations d'un myome développé à la partie postérieure de la moelle lombaire. Cette néoplasie avait pr
fonctions des cellules de la cervicale, par Collins, 391. Cordons postérieurs de la-, par C. illayer, 398. Etat des réflexes
68 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
ur un sujet normal qui hancherait à gauche, une voussure thoracique postérieure à droite, avec élévation de l'épaule correspond
de chaque côté un moignon sessile légèrement acuminé : sur la face postérieure de ce moignon, près de son sommet, on note une
de syringomyélie qui avait envahi surtout la commissure de la corne postérieure . Dans le travail de Roth, publié dans les Archive
ophie manifeste des muscles de l'avant-bras. Les muscles de la face postérieure sont mieux conservés. Atrophie assez marquée du
degré d'extension du poignet et des doigts, due surtout au cubital postérieur et aux radiaux qui fonctionnent bien qu'ils pré-
et les vides qui existent normalement. Elle élève le niveau du pli postérieur du poignet et efface la saillie si manifeste de
n syringomyélique aux mem- bres supérieurs, à la face antérieure et postérieure du cou et du tronc, la li- mite inférieure de l
xiste dans la syringomyélie c'est à la lésion de la substance grise postérieure qui, comme on le sait, est altérée, dans la sy-
de ses observations la conclusion que c'est dans la substance grise postérieure qu'il faut chercher l'explication des troubles
nombre de neurones qui envoient leur cylindre-axe dans les racines postérieures , fait qui concorderait avec l'opinion de certains
, Morat, Steinach) qui font sortir les vaso-moteurs par les racines postérieures . Ces données constitueraient des preuves présompt
el'opinion quenous soutenons, à savoir qu'il existe dans les cornes postérieures , des centres vaso-moteurs el des centres régulate
s équivalents des diverses lésions de la substance grise médiane el postérieure . Je ne veux pas dire, par là, pour les besoins
ue celle-ci relève de l'altération de la substance grise médiane et postérieure . Mais par quel mécanisme ? S'agit-il d'une exci-
es années (1). La contracture siégeait dans les muscles de la paroi postérieure de l'abdomen, la carré des lombes et le psoas-ili
s anta- gonistes fléchisseurs et extenseurs. En examinant la face postérieure du tronc, on trouve la cicatrice de la plaie an
8 cm. 1/2, celle du radius gauche 7 cm. 1/2. Il existe sur la face postérieure deux gouttières parallèles l'une à l'autre, l'inf
re offre de place en .place au niveau de sa face 118 LÉOPOLD LÉVI postérieure des plaques calcaires plus ou moins volumineuses.
ement, on reconnaît des lésions prédominantes au niveau des cordons postérieurs et des faisceaux latéraux. D'une façon généra
ie-mère est légèrement mais nette- ment épaissie surtout il sa face postérieure . Les vaisseaux, artères particuliè- rement sont
maux. Dans la région dorsale, les lésions sont diffuses aux cordons postérieurs mais avec prédominance sur les cordons de Goll,
la zone médiane que les lésions sont prédominantes dans les cordons postérieurs , plus marquées dans les ! i/4 postérieurs et co
minantes dans les cordons postérieurs, plus marquées dans les ! i/4 postérieurs et contre la corne postérieure. Les faisceaux p
rieurs, plus marquées dans les ! i/4 postérieurs et contre la corne postérieure . Les faisceaux pyramidaux sont altérés dans tou
n particulier de celle qui pénètre au niveau du sillon antérieur et postérieur . Tout le tissu de soutènement de la moelle, les
scopiques. A propos du premier cas il est noté à propos des cordons postérieurs : « Le picrocarmin ne fait voir dans la partie de
térieurs : « Le picrocarmin ne fait voir dans la partie des cordons postérieurs que nous avons trouvée altérée macroscopiquement
ur les cordons latéraux, microscopiquement on trouve dans la partie postérieure du cordon latéral une diminution des fibres à myé
centuées. Elles portent sur- tout sur la partie médiane des cordons postérieurs et la zone radiculaire postérieure. Elles sont
ur la partie médiane des cordons postérieurs et la zone radiculaire postérieure . Elles sont d'ailleurs, d'après les planches, dif
leurs ayant pour cause la propagation de la tuberculose aux parties postérieures des vertè- bres par l'intégrité manifeste de ce
1 cent. 7, passant de 51 cent. 1 à 52 cent. 8, au niveau de sa face postérieure seule mensurable. Malgré l'importance de cette
art, l'allongement porte nécessairement davan- tage sur les parties postérieures de la moelle que sur ses parties antérieu- res,
s de 1 centimètre, portant presque toute son action sur ses parties postérieures , au niveau des jJ1'emiè- res paires lombaires.
ve, longue de 1 m. 50, large de 45 centimètres, portant à sa partie postérieure un petit dossier auquel est fixée une courroie
'abord frappé par la topographie des lésions (Fig. 2). Les cor- nes postérieures , les groupes cellulaires postéro-internes des cor
La plupart des cellules de la subs-' tance de Rolando et des cornes postérieures etdes cellules situées à l'union des cornes ant
érieures etdes cellules situées à l'union des cornes antérieures et postérieures sont non seulement dépourvues de prolongements,
). B - Cellules nerveuses transformées en globes réfringents (corne postérieure ). C. Chromatolysc périphérique et centrale (cor
elle, située il 1/2 millimètre au-dessus de l'émergence des racines postérieures de la 12e paire. Voici une observation du D''
gauche qui intéressait la presque totalité des cordons antérieur et postérieur ; le cordon latéral était à peine touché. N'all
e d'une blessure par instrument tranchant, qui siégeait à la partie postérieure et latérale de la nuque, immédiatement au-dessous
don antérieur ; elle empiétait sur la moitié gauche, dont le cordon postérieur et une moitié du cordon latéral étaient divisés
quer par un même mécanisme. La trace de la fermeture de l'extrémité postérieure de la gouttière peut présenterdes anomalies ana
sibles, que l'extrémité ait été appliquée par sa face antérieure ou postérieure . Les os provenant de la maladie de Paget ont ég
ils analogues, qu'ils fussent disposés suivant le plan antérieur ou postérieur . Toutes ces expériences montrent que la photogr
ffet la cavité syringomyélitique envahit tout d'abord la commissure postérieure et se dirige ensuite vers la corne pos- térieur
corne et dans la commissure est peu considérable. En effet la corne postérieure possède peu de névroglie et surtout la substanc
06 G. MARINESCO s'établit par l'intermédiaire de septum des cordons postérieurs el alors la gliose envahit ces cordons et donne
se péri-épendymaire. Il arrive même qu'il se forme dans les cordons postérieurs de véritables cavités tapissées d'un épithélium
s muscles antérieurs de l'avant-bras sont plus pris que les muscles postérieurs . Je crois pouvoir affirmer que dans un bon nomb
es de la face antérieure et n'envahir que plus tard ceux de la face postérieure et quand ces derniers sont pris, ils sont MAIN
mme dans les Iro, Ile et IIP observations de ce travail, le cubital postérieur , moins atteint par le processus atrophique que le
ion syringomyélique aux membres supérieurs, à la face antérieure et postérieure du tronc. C'est Charcot, comme on le sait, qui
trouvé une pachy- méningite très nette avec cavités dans les cornes postérieure et antérieure, sans qu'on ait observé la main d
ent il s'agit là des extenseurs du poignet, c'est-à-dire le cubital postérieur et les radiaux. Or,' chez la plupart de mes mal
ui agit particulièrement dans ces circonstan- ces, c'est le cubital postérieur qui est moins touché que les radiaux, ce qui no
grise, le neurone sensitif indirect siégeant surtout dans la corne postérieure . V. C'est de l'intégrité anatomique de ces troi
uquets filamenteux. Autre ramification se dirigeant le long du bord postérieur de la branche DES NiEVI DANS LEURS RAPPORTS AVE
angle externe de la paupière. Au niveau de l'oreille, toute la face postérieure du pavillon est occupée par la coloration viole
entre la ligne mamillaire et la ligne mé- diane. 2° La portion postérieure , qui i très rapidement se divise en deux bran
le naevus suit nettement le trajet des deux filets, anté- rieur et postérieur , du nerf cutané perforant latéral. - Observatio
l gauche (PI. XXVIII, B), au niveau de la ligne verticale axillaire postérieure , existe une tache brune, plus foncée que le res
us correspond exactement à la zone d'épanouissement de la bran- che postérieure récurrente du 7e nerf intercostal droit. Ce gro
rigine médullaire de navi, les attri- buant à une lésion des cornes postérieures de la moelle. Restent les nfovi croisant obliqu
erf anatomiquement précisé ; 2° prolongement central ou radiculaire postérieur , myélite expli- quant les nævi sériés, les nævi
ale externe aux deux bosses frontales. Si le point de repère unique postérieur ne permet pas d'apprécier avec précision les dime
accentue lorsqu'il existe vers l'union du bord supérieur et du bord postérieur de l'hélix plus ou moins atrophié une pointe, u
gitudinales, en lesquelles se subdivisent les fibres radiculai- res postérieures . Chacune de ces branches émet des collatérales, d
scendantes et descen- dantes de bifurcation des fibres radiculaires postérieures . Parmi ces collatérales, il distingue en premiè
istingue en première ligne : a) Les collatérales pour la commissure postérieure ; après avoir franchi (1) IIA)10,N y Dual, L'ana
gne médiane, elles se ramifient dans le foyer ou centre de la corne postérieure du côté opposé. Je les appellerai, dans ce qui va
Viennent ensuite : b) Les collatérales pour le foyer de la corne postérieure du même côté ; ce sont probablement les plus no
nce grise centrale et dans la partie interne de la base de la corne postérieure du même côté. * w * Que si nous mettons c
TÉRALES SENSITIVES, QUI SUBISSENT la DÉCUSSATION dans la COMMISSURE POSTÉRIEURE , NON SEULEMENT SUFFISENT A ASSURER LA TRANSMISS
vous voyez dessinées en noir repré- sentent des fibres radiculaires postérieures irradiantes FRS, avec leurs branches de bifurca
, des collatérales croisées, qui se rendent à travers la commissure postérieure dans la corne postérieure du côté opposé. Là,
s, qui se rendent à travers la commissure postérieure dans la corne postérieure du côté opposé. Là, elles se résolvent en arbor
la bifurcation des. fibres Fig. 4. 318 F- RAYMOND radiculaires postérieures , ni les autres catégories de collatérales qui se
tions qu'on se faisait du rôle des fibres constituantes des cordons postérieurs . Voilà qui méfait dire que dans l'état actuel d
sus de celui où elle pénètre dans la moelle sous forme d'une racine postérieure . L'anatomie nous enseigne que les branches de b
enseigne que les branches de bifurcation des fibres ra- diculaires postérieures ne subissent pas de décussation directe dans la
alité des choses, il fin-- drait que les fibres longues des cordons postérieurs ne prissent qu'une part négligeable à la transm
tout état de cause, les fibres tant soit peu longues des cordons postérieurs ne joueraient qu'un rôle absolument secondaire,
ment de rechercher si la sec- tion expérimentale de la commissure postérieure , pratiquée dans une cer- taine étendue, entrain
toires. On a' constaté, par exemple, qu'une simple piqûre du cordon postérieur d'un côté pouvait donner lieu au syn- drome de
ement de coloration de sa peau. Tout le tronc, aussi bien la partie postérieure que l'antérieure et les côtés, le cou, les fesses
générées isolées. Un aspect tout aulre est présenté par les.cordons postérieurs ; ici on observe une dégénérescence assez consid
s fibres ner- veuses (Fig. 1). Mais, en général, dans les cordons postérieurs la quantité des fibres sai- nes prédomine sur c
: dans les parties internes des cor- dons de Goll. Dans les racines postérieures on observe une dégénérescence très marquée, sur
la dégénérescence n'est pas aussi accentuée que dans les raci- nes postérieures ; lit aussi, elle est plus visible dans la région
ANOFF tionspar des fibres dégénérées. Dans les cellules de la corne postérieure , ainsi que de la corne antérieure, on voit un p
tre que,peul-être,les mo- difications sus-décrites dans les cordons postérieurs de la moelle épinière chez notre malade dépenda
ique des cellules en question a été atteinte. La lésion des cordons postérieurs dans ce cas porte surtout sur les voies conduct
ent dans la moelle épinière comme éléments constitutifs des racines postérieures . L'influence des modifications survenues dans l
ant à relever. Il peut donner à penser que l'altération des cordons postérieurs chez notre malade dépend peut-être aussi de que
alysie générale, il existait concurremment une sclérose des cordons postérieurs : il s'agissait de paralytiques généraux tabétiqu
69 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aladie connue du système nerveux central. C. FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE . Observation XX (M. P. Marie). Gromillet, trent
'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 39 PATHOLOGIE DE LA FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE . Cette forme d'accidents spinaux est bien moins
'est l'aboutissant par excellence de notre forme cen- trale spinale postérieure . Passons maintenant à l'étude détaillée et spéc
t ne doivent pas figurer au tableau cli- nique de la force centrale postérieure . Ce sont : a). Le syndrome de la paraplégie spa
stéro-latérale fait au contraire défaut à la forme centrale spinale postérieure . b). Symptômes myatrophiques. Aucun de nos tr
tous ces caractères, dis-je, donnent à notre forme centrale spinale postérieure un cachet de spécialité. Après le long exposé d
r, à la suite de la rupture de l'un des tubes. » D. FORME SPINALE POSTÉRIEURE . . Nous ne ferons que signaler l'existence de c
se. Si d'une part on ne peut nier l'exis- tence de la forme spinale postérieure d'accidents spi- naux provenant de l'emploi des
sécutive aux embolies et à l'infiltration gazeuse siège aux régions postérieures de la partie dorso- lombaire de la moelle. Cett
constituer les grandes lignes de la pathologie de la forme spinale postérieure . E. FORME UNILATERALE. Suivant que le siège d
tout à coup de douleurs extrêmement vives qui occupaient la partie postérieure du cou et surtout la moitié droite de cette rég
Le malade se plaint encore avec amertume de ses douleurs Ma région postérieure du cou, lesquels par moment s'exaspèrent et s'i
r exaspération de temps à autre, sous forme d'accès, de la partie postérieure du cou, douleurs qui s'éten- daient à l'occiput
11. Hehveg n'a pu le suivre plus bas), en remontant à la commissure postérieure du cerveau. Soit par l'anatomie, soit par l'int
après s'être divisée en trois trousseaux distincts, la commissure postérieure qu'elle forme exclusivement, la couche optique et
circonscrit; de véritables pertes de substance criblent les cordons postérieurs , et les cor- dons antéro-latéraux au pourtour d
caractérisée par la dégénérescence de diverses parties des cordons postérieurs et la perte de fibres dans les faisceaux cérébe
iplégie unique du malade, la locali- sation des lésions des cordons postérieurs à la moitié supérieure de la moelle, au contrai
avec celles du pédoncule cérébral , leur forme au sein des cordons postérieurs , l'absence d'ataxie et de lésions transversales
topsie. Sclérose des ascendantes gauches, de l'opercule, du segment postérieur de la troisième frontale du même côté. En outre
' SOCIÉTÉS SAVANTES. totalement la capsule interne dans son segment postérieur . - Dans la première, absence de dégénérescence
te a eu lieu lundi 10 dé- cembre. La question donnée a été : Cordon postérieur de la moelle {anatomie et physiologie). Les can
sry, imp,- 189. Z Tableau III. TABLEAU DE LA FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE I ) ? - CATSARAS. Tableau IV. TABLEAU DE LA F
ES DE NEUROLOGIE ANATOMIE RECHERCHES SUR LA STRUCTURE DES CORDONS POSTÉRIEURS ' DE LA MOELLE ÉP1NIÈRE DE L'HOMME ; Par le P
E L'HOMME ; Par le Professeur N. POPOFF, de Varsovie. Les cordons postérieurs de la moelle épinière de l'homme, présentant un
ui se dis- tingue par des fibres plus fines, adhère à la scissure postérieure et se détache nettement du faisceau externe de
s, touchant au bord interne de la corne antérieure et des racines postérieures . Fleclisi ? d'après ses études du système nerve
de coloration de Veigert, a constaté que la division des cordons postérieurs sus-mentionnée manquait d'exac- titude, ces der
ase sur le fait que les foetus de cinq à six mois, dont les cordons postérieurs commencent à peine à se recouvrir de myéline, n
leur bord externe, le long de toute la limite interne des cornes postérieures jusqu'à la commissure postérieure. Une division
ute la limite interne des cornes postérieures jusqu'à la commissure postérieure . Une division de cette nature des faisceaux de
encement du septième mois de la vie intra-uterine) dans les cordons postérieurs , où les faisceaux de Goll étaient encore dépour
o- penphen<)neduYaisseandcUtud.n'h.E,J.apic-mi;re. DES CORDONS POSTÉRIEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 181 mentionnée, servant
rver que les parties des faisceaux de Goll avoisinant la scissure postérieure , possèdent une couche de myéline infini- ment p
t et de dehors en arrière et au dedans et 182 ANATOMIE. DES CORDONS POSTÉRIEURS DE LA MOELLE. atteint ainsi la région des faisc
nte de la commissure posté- rieure ; ces fibres émergent des cornes postérieures , le long du bord antérieur des cordons postérie
gent des cornes postérieures, le long du bord antérieur des cordons postérieurs , elles pénètrent dans la commissure postérieure
térieur des cordons postérieurs, elles pénètrent dans la commissure postérieure et ayant atteint la ligne médiane, changent bru
pu constater sur mes préparations, que les fibres de la commissure postérieure étaient encore privées de la myéline, ou n'en a
eur même de ces faisceaux, tandis que les fibres de la commissure postérieure constituent la partie externe. Quant à l'extrém
re de symptôme de la période du début de la- forme centrale spinale postérieure chez le malade de l'OBSER- VATION XXI. Nous all
latéral du même côté; 10 fibres arciformes externes, antérieures et postérieures , du faisceau grêle du même côté et du côté oppo
ts, publiés en langue russe. 'Constitution du faisceau longitudinal postérieur . D'après Flechsig, le faisceau longitudinal pos
longitudinal postérieur. D'après Flechsig, le faisceau longitudinal postérieur , s'il n'est pas le prolongement du faisceau bas
ant le premier cas connu de dégénérescense du faisceau longitudinal postérieur , a exposé ses recherches sur la constitution de
3° des fibres qui passent dans la partie centrale de la commissure postérieure , mais qui i ne sont pas des fibres- d'associati
géniculé latéral et la couche optique, traversent la commis- sure postérieure et le faisceau longitudinal postérieur, pour-,
traversent la commis- sure postérieure et le faisceau longitudinal postérieur , pour-, se terminer dans le noyau de la troisiè
qui légitime par- faitement sa conclusion. Rôle de la commisssure postérieure dans le réflexe pupillaire. LeDr Darschkevitch,
LeDr Darschkevitch, nie l'influence des tubercules quadri- jumeaux postérieurs sur la réaction de la pupille la lumière ; suiv
ours employé la méthode de Flechsig. Parcours central des racines postérieures ; leur terminaison. Le D'' Bechterew, élève de
ève de Flechsig, a étudié le parcours et la terminaison des racines postérieures dans la substance grise de la moelle. Il a re
ns la substance grise de la moelle. Il a reconnu dans les racines postérieures l'existence de deux ordres de fibres qui se sép
deux ordres de fibres qui se séparent à leur entrée dans la corne postérieure et forment deux faisceaux : un faisceau interne
temps avant la naissance. Les unes pénètrent dans la partie la plus postérieure des cordons latéraux et se terminent dans les c
des cordons latéraux et se terminent dans les cellules de la corne postérieure , quelques-unes seule- ment se prolongent jusqu'
a corne antérieure du côté opposé. Des petites cellules de la corne postérieure , où aboutissent principalement les fibres grêle
deux systèmes physiologiques^ distincts. Physiologie des racines postérieures . En effet M. Bechterew se fondant sur les résul
so- limo ; cet auteur affirme que le centre trophique des cordons postérieurs ne siège pas dans les ganglions intervertébraux,
cordons de Burdach est seule pourvue de myéline, dans les cor- dons postérieurs ; leur excitation produit la contraction des mu
par le segment correspondant de la moelle. L'excitation des racines postérieures donne le même résultat. Au cinquième jour tout
stérieures donne le même résultat. Au cinquième jour tout le cordon postérieur contient des fibres à myéline, et le cordon de
de Goll ne devient excitable qu'à ce moment, alors que les racines postérieures sont développées depuis longtemps, démontre l'e
eau des racines antérieures correspondantes. anatomie des racines postérieures . Comme complément des travaux de Bechterew, nou
chez des foetus humains, il est arrivé à établir que : La racine postérieure de l'acoustique, qui constitue le prolongement du
aralysie avec exagération des phénomènes tendineux), et des cordons postérieurs (douleurs névralgiques podaliques) : intégrité
nesthésie d'un autre centre sous-cortical (tuber- cule quadrijumeau postérieur , - couche optique ? ) expliquant la surdité. In
bande étroiteimmédiatement cpntiguë au côté interne des deux cornes postérieures (zone d'en- tréeradiculnire de Weslplial) ; cet
de la moelle dorsale, unit le milieu de l'arête interne de la corne postérieure à la cloison de la pie-mère intermédiaire au fais
rescence funiforme de la moelle soit exclusivement dans les cordons postérieurs (deux cas), soit con- curremment dans les cordo
rdons postérieurs (deux cas), soit con- curremment dans les cordons postérieurs et les parties postérieures des cordons latérau
), soit con- curremment dans les cordons postérieurs et les parties postérieures des cordons latéraux (lésion symétrique bilatér
ment les zones d'entrée des faisceaux radiculaires dans les cordons postérieurs sont épargnées, ou la lésion n'y est que faible.
des expériences rotatives de Fuerstiier (vulnérabilité des cordons postérieurs et postéro-latératix) ; ressemblance de l'éléme
ociée de la partie latérale de la suture coronaire et de la portion postérieure de la suture sagittale ou oxycéplialie (têtes,
nomalement enfoncé dans l'orbite. OEil enfoncé. ' 3" La synostose postérieure , de la suture sagittale avec compen- sation en
nches de myéline. Voici ce qu'il a trouvé. Le faisceau longitudinal postérieur s'en- toure de très bonne heure de substance bl
ues s'entourent de myéline. Les nerfs opti- ques forment une racine postérieure et une racine antérieure séparées l'une de l'au
s de prolongements auostomotiques et d'un noyau apparent. La racine postérieure participe à la genèse d'un feu- trage de fibres
nerf optique, de la dissociation terminale du faisceau longitudinal postérieur , d'un fascicule originaire du cervelet, de fibr
les fibres ascendantes, il faut, en sus des faisceaux longitudinaux postérieurs qui perdent une partie de leurs fibres dans les
ntérieurs à l'explosion de la maladie aussi bien que pour les faits postérieurs à l'ictus. Il en est de même à l'égard de la se
haut) des désordres appréciables à un moment quelconque du temps postérieur à l'opération. Dès ces prolégomènes, il est exp
1887j les régions des nerfs cutaneus, medialis, mé- dius, cutaucus postérieur supérieur et de tout le nerf ulnariq. La même a
nerveuse. vait des altérations très caractéristiques des cordons postérieurs de la moelle épinière. Par la comparaison avec
reuve par- lante contre la possibilité d'une lésion des faisceaux postérieurs , et que même, au contraire, dans le tabes toxiq
ne le croit en général, ou bien encore par une lésion des faisceaux postérieurs , de la moelle épinière ou bien encore par ces d
ne pas' indiquer la grande part qu'y prennent justement les cordons postérieurs de la moelle épinière; ainsi Fuczek cite déjà d
e ces temps derniers par M. Vierordt de troubles dans les faisceaux postérieurs de la moelle épinière dans un cas à.' intoxicat
littérature, l'existence des troubles 'pathologiques des faisceaux postérieurs dans l'anémie. Tous ces faits font ressortir d'
sortir d'une manière toute spéciale, le rôle des fibres des cordons postérieurs de la moelle épinière; elles semblent être une
rectum participent à la paralysie. De plus, il porte à la partie postérieure et inférieure du tronc une large eschare de 14
et le sphacèle de ces parties du corps s'étendit jusqu'à la surface postérieure du tiers supérieur des cuisses. Je fis usage co
d'un cas de maladie de 't'eat. Outre la dégénérescence des cordons postérieurs et d'une zone périphérique du cordon latéral, l
cérébrale. At'c/t. de Kovalewslig, t. IX, n° 3, 1887. Des racines postérieures et du lieu de leur terminaison cen- trale. Jour
u cerveau. -Le Médecin, n° 38, 1886. De la constitution des cordons postérieurs de la moelle chez l'homme. Revue de Médecine, n
tale, 118; des médecins et chi- rurgiens américains, 489. Cordons postérieurs (structure des de la moelle chez l'homme), par
70 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
ires posés, sur un sujet adulte, d'avant en arrière, de la commissure postérieure de la narine au point situé au-dessous de l'orifi
nette-ment le parti de perforer avec le mandrin la cloison externe et postérieure du canal nasal, de manière à pénétrer dans le sin
e bord pupillaire sur la cataracte indique que l'espace de la chambre postérieure est conservé. S'il manque, l'iris étant dans la p
'offre d'avantages qu'autant qu'on veut attaquer ce corps par sa face postérieure , différence en quoi consistent les procédés de M.
in à travers la pupille, piquer dedans et le rame-ner dans la chambre postérieure , si c'est possible; 20 en cas con-traire, lehache
atiquer l'abaissement de la lentille cris-talline revêtue du feuillet postérieur de la capsule, en laissant en place le feuillet a
corps vitré ; ramener l'aiguille à la partie externe, infé-rieure et postérieure du cristallin; inciser la capsule, accrocher avec
ointe elle-même dirigée de telle sorte qu'elle pénètre dans la partie postérieure et inférieure du cristallin; glisser légère-ment
le insinuée dans l'œil, la faire glisser dans la direction de la face postérieure du cristallin ; parvenu à un centimètre de profon
ables. On peut attaquer la cataracte par ses deux faces antérieure ou postérieure ; mais il est préférable d'agir en avant, où la p
nte de l'ouverture pupillaire due non à un glaucome, mais au feuillet postérieur de la capsule cristalline. Morenheim et Beer cons
de l'oeil, résultat d'adhérences de l'iris (synécliie anté-rieure ou postérieure ); 2" l'aplatissement de la cornée, qui dimi-nue p
tte membrane exempt d'alté-ration (Weller). La synéebie antérieure ou postérieure , l'opacité du cristallin, ne sont pas des contre-
uxième temps. Glisser horizontalement le couteau à travers la chambre postérieure et parallèlement à l'iris jusqu'aux deux tiers po
la chambre postérieure et parallèlement à l'iris jusqu'aux deux tiers postérieurs de cette membrane, où il faut s'arrêter. Troisièm
ses deux tiers externes; alors incliner l'instrument vers la chambre postérieure et achever, en le reti-rant, l'incision de l'iris
est tranchante et pointue; 1 insinuer, en remontant, derrière la face postérieure de cette membrane jusqu'à ce que la branche antér
à ca-taracte de Scarpa, la plonger par la sclérotique dans la chambre postérieure comme pour l'abaissement du cristallin; la dirige
ions entre le pouce et l'indicateur ; puis on applique contre sa face postérieure un bou-chon de liège, d'une résistance médiocre,
i avec succès dans un cas de perte de substance, siégeant à la partie postérieure du pavillon. Le bord de l'oreille qui doit rece
sser le long du bord inférieur de la cloison nasale jusqu'à sa partie postérieure ; alors on imprime un mouvement de rotation à l'in
ar la narine antérieure, et communiquant avec le pharynx parla narine postérieure . Narines antérieures. Orifices extérieurs du ne
s apophyses ptérygoïdes, et par conséquent inextensibles, les narines postérieures représentent un parallélogramme à angles arrondis
arrière, longue d'environ six centimètres, et supportant par son bord postérieur le voile du palais, espèce de plancher mobile, qu
canal nasal, à la réunion de son tiers antérieur avec ses deux tiers postérieurs , à environ deux centimètres et demi de profondeur
ondément situé que les deux précédens, reçoitles cellules ethmoïdales postérieures et les sinus sphénoïdaux ; de plus il pré-sente,
jusqu'au point d'appliquer fortement le bourdonnet contre l'ouverture postérieure de la fosse nasale : séparant ensuite les deux fi
haut ces tampons, de manière à les aplatir contre l'ouverture nasale postérieure , on donnerait facilement à l'air un passage suffi
les tenettes. On le pratique par la narine antérieure, par la narine postérieure , ou par toutes les deux à-la-fois. i" Avec une
de chaque main , l'un par la narine antérieure, l'autre par la narine postérieure , et par un mouvement combiné de va-et-vient des d
pres à opérer par la narine anté-rieure, et les courbes par la narine postérieure (pl. 19, fig. 1 à 10). En outre on doit avoir une
che ou de faire porter par un aide le doigt in-dicateur par la narine postérieure , pour aider, autant qu'on peut y atteindre, à cha
a été suivi avec succès par MM. Serre et Velpeau. (b) Par la narine postérieure (pl. i5,fig. 2). Lorsqu'un po-lype situé en arriè
po-lype en partie par la narine antérieure et en partie par la narine postérieure . En résumé, c'est en pareille circonstance que le
ble à la vue et au toucher par l'une ou l'autre narine, antérieure ou postérieure . L'arrachement et la ligature sont le plus généra
rface saignante, à l'union de ses deux tiers antérieurs avec le tiers postérieur ; puis saisir l'autre lambeau de la lèvre et le ra
, continue avec la première, est encastrée latéralement entre le bord postérieur de-là branche maxillaire en avant, l'apophyse mas
dans cette étendue les vaisseaux maxillaires internes et auriculaires postérieurs , outre de nombreux vaisseaux parotidiens; 2° dans
e, attaquer la masse indurée, d'abord par son contour supérieur, puis postérieur , où elle est mieux limitée, en l'isolant avec soi
grand nombre : la transverse de la face, la temporale, l'auriculaire postérieure , les branches mastoïdiennes, la maxillaire intern
culaire, s'opère du sixième au dixième jour. 1" Cancer de la partie postérieure de la langue, (a) Cancer latéral. Dans un cas où
'un serre-nœud. Pratiqué de cette manière, en ne for-mant qu'une anse postérieure qui interrompt seulement la circu-lation directe
arrière en avant, à six ou huit millimètres de distance du bord libre postérieur et de celui de la division. Lorsque l'aiguille es
nt sur les commissures labiales. Après avoir mis en place la ligature postérieure , qui doit toujours être posée la première, vu que
). M. Roux pratique ce temps opératoire avec les doigts. La ligature postérieure est serrée la première. Quand le premier nœud est
au-coup de précautions. H est prudent de laisser en place la ligature postérieure , un, deux ou trois jours de plus. Après la sectio
Dès que l'aiguille en est détachée, on passe dans cette anse le chef postérieur ou pharyngien de la liga-ture; puis, en tirant su
us mobile par une section transversale de chaque côté le long du bord postérieur des os palatins. 2° M. Bonfds, appli-quant la mét
e à doubles crochets (Velpeau), il ac-croche l'amygdale par sa partie postérieure , et, par un mouve-ment de traction graduelle, s'e
r et méthode, on arrive à isoler peu-à-peu la tu-meur jusqu'à la face postérieure , que l'on détache avec précaution de haut en bas
oin plète, et que, détachant de prime abord la tumeur jusqu'à sa face postérieure , c'est alors qu'il place ses ligatures partielles
a courbé en arc pour empêcher la canule à demeure de blesser la paroi postérieure de la trachée. Plus tard , l'idée de la ponction
tte canule doit être recourbée en dedans pour ne pas blesser la paroi postérieure ; au-dehors, elle s'élar-git en pavillon par un r
, dégage le bec de l'instrument, qui tend à s'arcbouter dans la paroi postérieure et le dirige en bas, pendant que la main gau-che,
le centre du canal, en évi-tant à-la-fois soit de labourer les parois postérieure et latérales, ai qui pourraient être lésées o
nlever graduellement la tumeur, du contour vers la ligne du grand axe postérieur , le précepte d'isoler d'abord pro-fondément par l
e épaisseur de muscles, on prescrit de ponctionner à l'union du tiers postérieur avec les deux tiers antérieurs de la circonférenc
ème côtes, à-peu- 24 près à l'union «lu tiers moyen avec le tiers postérieur du tronc. Faisant cheminer obliquement son trocar
ème cartilage costal ; la ré-sistance offerte par la forte aponévrose postérieure du sternum , indiquerait quel' instrument y est p
sé comme lieu d'élection de pé-nétrer , chez la femme , par la partie postérieure et supérieure du vagin, pour arriver clans le cul
iés à un aide. Le second fil es passé de la même manière sur la paroi postérieure à l'autre extré mité du diamètre, puis confié au
ure, la portion directe ou descendante de l'aponévrose, et pour paroi postérieure , la portion réfléchie ou ascendante, tandis qu'en
lier externe de l'anneau inguinal. En effet, il se détache de la face postérieure de ce pilier, dont il est en quel-que sorte une r
son bord antérieur confondu avec le ligament de Fal-lope, et son bord postérieur inséré sur la partie la plus interne de la crête
ère de l'anneau est entourée d'un cercle artériel, puisque sa portion postérieure , c'est-à-dire celle qui appuie sur le pubis et le
aisseaux du cordon, adhèrent fortement tant au péritoine qu'à la face postérieure de la ligne blanche, en sorte que le péri-toine n
peau de chamois ou de maroquin. La courroie qui se fixe à l'extrémité postérieure du ressort est destiné à embrasser le côté sain d
ression exercée par la pelote en avant. Il faut aussi que l'extrémité postérieure de la lame d'acier regarde légèrement en bas, afi
pavillon un peu abaissé, afin que le bouton s'applique contre la face postérieure de la paroi abdominale; puis, portant le clos du
angereuse. Outre la vessie qui est pres-qu'accolée derrière l'orifice postérieur du canal sous-pubien, on aurait à éviter les nerf
cède de M. Amussat. Anatomie opératoire. C'est à l'étude de la partie postérieure du flanc, dans les limites cle laquelle on opère,
iée sous le rapport pratique (Voy. t. V, pl. 5, 6, 7, 8). La partie postérieure du flanc est un espace quadrilatère circon-scrit
t avec soin, cpie l'intestin est dépourvu de péritoine clans le tiers postérieur au moins de sa circonférence, comme la face antér
e, qui, passant devant le carré des lombes, vient se terminer au bord postérieur du transverse; en bas, il est en rap-port avec la
, il ne vient pas tout entier comme une anse intesti. nale ; sa paroi postérieure seule cède, et le doigt, introduit dans sa cavité
liés ensemble. Souvent alors l'intestin vient faire saillir la partie postérieure du flanc. On fait à la peau une incision trans-ve
bord dans la même direction le grand dorsal qui n'occupe que le tiers postérieur de l'incision cutanée, le grand oblique qui en oc
iminuer l'étendue de la solution de continuité, on rap-proche l'angle postérieur des tégumens de la plaie avec un point de suture
ux matières stercorales , et à permettre la cicatrisation de la paroi postérieure du vagin et la formation d'une cloison recto-vagi
ion du doigt; tantôt, la maladie affecte une des parois du rectum, la postérieure , l'an-térieure ou bien une des parois latérales ;
et la prostate chez l'homme, et avec le vagin chez la femme. La paroi postérieure n'a aucun rapport important dans une étendue asse
r verticalement, avec de forts ciseaux , toute l'épaisseurde sa paroi postérieure , autant que possible jusqu'au-dessus du mal.H cho
mis en place. L'une des deux pièces d'acier porte dans ses deux tiers postérieurs deux montans à vis, et au milieu une vis de rap-p
che le canal déférent qu'il repousse en arrière et passe, sur la face postérieure du paquet veineux, une épingle qu'il fait mainten
de la cloison , maintient en contact la paroi antérieure et la pa-roi postérieure des bourses , et tire doucement à lui. Le testicu
points de suture, mais seulement dans leur moitié ou leurs deux tiers postérieurs , afin d'éviter un phimosis consé-cutif; si au co
couper en un point rapproché du pubis, on a à craindre que la partie postérieure du tube ne s'échappe dans la vessie. Le procédé d
du pénis, il présente deux courbures très bien caractérisées : l'une postérieure et inférieure contourne l'arcade pubienne et offr
entre par le détroit supérieur du bassin, ce qui fait que la courbure postérieure de l'urètre est plus prononcée que dans l'état or
( 2 pouces) le bulbe s'incurve à angle droit, de sorte que sa moitié postérieure , un peu oblique de bas en haut, forme un canal co
us commodes, suivant M. Velpeau, ne sont courbées que dans leur quart postérieur , de manière à former un arc dont la corde n'ait p
vésicale de la prostate étaient assez développés pour élever la paroi postérieure du canal ; si la vessie, très distendue, était so
n arrive sans obstacle jusqu'à la prostate : pour franchir la portion postérieure de cette glande qui s'oppose à l'introduction de
u moins existe-t-il une communication entre les parties antérieure et postérieure à l'obstacle. Si cette communication est quelquef
n ouverture antérieure n'est que la moitié de celui de son ou-verture postérieure . Pour disposer la partie qui doit servir à suppor
-sant le mandrin, et, en tirant à soi, on le ramène jusqu'à la partie postérieure du rétrécissement où il se trouve retenu. D'un au
amené avec douceur et lentement, ne peut manquer d'accro-cher le bord postérieur du rétrécissement, si c'est pour un ob-stacle de
ure, en allant vers la vessie, et par celui qu'il subit à leur partie postérieure , en revenant vers le gland ; des divi-sions établ
, de la pousser trop loin, dans la crainte de heurter contre la paroi postérieure . On ne réussit pas toujours à faire arriver la
nd si la fausse route se faisait parenhaut, entre la vessie et laface postérieure du pubis, car alors le tissu cellulaire pelvien s
rs glisser la sonde à travers le trajet incisé, puis dans l'extrémité postérieure du canal jusque dans la vessie, il fixe l'instrum
nule était trop longue, son extrémité allait frotter con-tre la paroi postérieure de la vessie, pouvait l'enflammer et y causer une
nte sa pointe à l'abdomen de manière que sa concavité regarde la face postérieure des pubis, et l'enfonce perpendiculairement à l'a
n la faisant filer au-dessus de cette glande, entre elle et la face postérieure des pubis, de ma-nière à pénétrer dans la vessie
les tissus; et si le trocart est trop long, il appuie contre la paroi postérieure de l'organe et y cause une inflammation ulcéreuse
e recommencer l'opération, et à la crainte de l'ulcération delà paroi postérieure de la vessie, un trocart de forme et de longueur
les lobes latéraux qui sont hypertrophiés. D'autres fois l'extrémité postérieure de la prostate, saillante dans la vessie, fait l'
aillante dans la vessie, fait l'office d'une soupape contre l'orifice postérieur de l'urètre lorsqu'on veut évacuer l'urine, et s'
le que forme la vessie au-dessous de la prostate, lorsque l'extrémité postérieure de cette glande fait saillie dans le viscère , il
onnât le cul-de-sac où il était logé, et fût se placer dans la partie postérieure de la vessie devenue sa partie la plus déclive, o
la prostate et de la vessie avec le rectum, la base au raphé, le côté postérieur au rectum, et le côté antérieur à la prostate, et
quatre ans. Diamètre transverse. . . . 12 à i3 millimètres. Bayon postérieur oblique . 4 à 5 Rayon postérieur direct. . . 2
. . . 12 à i3 millimètres. Bayon postérieur oblique . 4 à 5 Rayon postérieur direct. . . 2 Rayon antérieur direct. . . 1 D
. . 1 De cinq à dix ans. Diamètre transverse. . . . i3ài7 Rayon postérieur oblique . . 5 à 7 Rayon postérieur direct. . .
transverse. . . . i3ài7 Rayon postérieur oblique . . 5 à 7 Rayon postérieur direct. . . 4^5 Rayon antérieur direct. . . 2
2 De dix ci douze ans. Diamètre transverse. . . . 16 à 19 Rayon postérieur oblique. . 6 à 8 Rayon postérieur direct. . . 4
transverse. . . . 16 à 19 Rayon postérieur oblique. . 6 à 8 Rayon postérieur direct. . . 4 à 5 Rayon antérieur direct... 2 à
De douze à quinze ans. Diamètre transverse. . • . 19 à 22 Rayon postérieur oblique. . 8 Rayon postérieur direct. . . 4 à 5
tre transverse. . • . 19 à 22 Rayon postérieur oblique. . 8 Rayon postérieur direct. . . 4 à 5 Rayon antérieur direct... 3
surés de l'urètre à la circonférence de la glande ont donné : Rayon postérieur direct. . . 15 à 1 8 millimètres. Rayon transve
levées. Il était lié de façon que les mêmes liens, placés à la partie postérieure du cou et conduits autour des aisselles et des cu
e et en arrière avec le doigt indicateur gau-che placé dans la partie postérieure cle la plaie, faisait glisser sur l'ongle cle ce
eret s'enfonce profondément dans la vessie, et peut perforer sa paroi postérieure . On lui reproche encore de produire des inci-sion
d'autant plus de raison qu'elle exposait plus que l'incision oblique postérieure à la division des artères du périnée. D'un autre
né sur le doigt indicateur gauche, et incisa d'abord le rayon oblique postérieur droit de la prostate, puis son rayon transversal
. Elle offre en avant une concavité qui est en rapport avec la partie postérieure et infé-rieure de la vessie, dont elle est seulem
es vésicules séminales, les canaux déférens et les ure-tères. Sa face postérieure convexe, repose sur le sacrum et le coc-cyx, et s
l'anus est concave en arrière et convexe en avant; elle forme le bord postérieur du triangle périnéal dont le bord antérieur est r
ésico-rectal, l'espace dans « lequel le rectum correspond à la région postérieure de la vessie « et de l'urètre, on trouve qu'il a
cal du péritoine et la prostate, dont on divise quel-quefois le tiers postérieur . Premier procédé de Sanson dans lequel on divis
cise du bas en haut, ou vers soi, le sphincter de l'anus et la partie postérieure du périnée. Cette pre-mière incision divise le re
réservoir de l'urine, elle continue de s'avancer d'abord sur la face postérieure , puis sur la supérieure, dont elle est écartée
aque et les artères ombilicales obli-térées , jusqu'auprès de la face postérieure du pubis, derrière laquelle elle se réfléchit eti
les bords de sa cannelure soient exactement appliqués contre la face postérieure de la paroi ab-dominale, et que son bec pénètre e
plaque de plomb destinée à tenir le péritoine appliqué contre la face postérieure des muscles droits, et de ne la retirer que lorsq
avant; on en abaisse le manche afin de repousser en arrière la partie postérieure de la vulve et que son autre extrémité s'appuie c
large pendait hors des parties génitales; il était formé parla paroi postérieure du vagin, qui ne tenait plus que par une bride la
inale ou rectale, suivant qu'on place le point de suture antérieur ou postérieur . Alors, reportant par le fond de la plaie l'aigui
avivé. Après avoir placé de cette manière le fil antérieur et le fil postérieur , on pose celui du milieu, et, pendant que l'aigui
pour-raient être infectés; puis on présente ce doigt seul à la partie postérieure de la vulve, la main étant entre la pronation et
ue le précédent, il est cependant très utile pour explorer la surface postérieure de l'utérus, et pour constater les changemens sur
e bas en haut et d'avanten arrière, en la faisant glissersur la paroi postérieure du vagin qu'elle déprime. Lorsqu'on pense qu'elle
ement leur cicatrisation, en repoussant la lèvre antérieure contre la postérieure , et en tirant ses angles en dehors. Ce traiteme
les yeux de cette sonde, et devaient aller s'implanter dans la lèvre postérieure de la fistule à i3 ou 14 millimètres au-delà de s
e l'urètre et la lèvre antérieure de la fistule, tandis cpie la lèvre postérieure fut attirée en avant par les crochets. Le résul
'urètre, les onglets s'opposent à la sortie de la soude , et la lèvre postérieure de la fistule se trouve en même temps entraînée e
ssie, il lui est tout-à-fait impossible d'attirer en avant leur lèvre postérieure , et siDupuytren a obtenu un succès dans un cas de
grés, et disposées de façon que celles qui doivent accrocher la lèvre postérieure regar-dent le chirurgien , tandis que celles qui
pas l'inconvénient, comme celui de M. Lallemand,de tirer sur la lèvre postérieure de la fistule et de devenir insuppor-tables par l
duisit dans la vessie, à travers la fistule, et près de son extrémité postérieure , une aiguille courbe qu'il piqua à 4 ou 5 millimè
ski. Le but que se proposait ce chirur-gien était de ramener la lèvre postérieure de la fistule en avant, en même temps qu'il refou
ur, autant de fils qu'il le jugeait convenable au travers de la lèvre postérieure préa-lablement rafraîchie. Ces fils formant des a
serre-nœud dont la striction repoussait la lèvre antérieure contre la postérieure . Suture entortillée. Procédé de M. Roux. Pour s
s cette arcade, une aiguille courbe armée d'un fil, on pique la lèvre postérieure de la fistule, préalablement rafraîchie, de la ve
3 et4)- Le lambeau est détaché sur l'extrémité antérieure de la face postérieure du vagin; puis, étant retourné , il vient offrir
irigeant suivant l'axe du détroit inférieur, et un peu vers la partie postérieure de la vulve dont les tissus sont plus souples qu'
iser desbandelettes muqueuses sur la paroi antérieure et sur la paroi postérieure du vagin, et afin de rendre l'excision et la su-t
lacée sur le dos, il accroche le plus haut possible la crête mé-diane postérieure du vagin avec une érigne, pendant qu'un aide en s
ffet des sutures qui avaient été appliquées sur la demi-circonférence postérieure . Ainsi donc, puisque l'excision, jusqu'à présent,
qui en ait fait l'application. Il commence par aviver les deux tiers postérieurs de la vulve par excision des tissus, puis il les
ecom-mande de laisser une petite ouverture entre la suture et l'angle postérieur de la vulve, et une autre plus grande en avant, a
xtérieure. Pour bien faire, il faudrait pouvoir augmenter la courbure postérieure du vagin , en même temps qu'on allon-gerait le pé
emier, une bandelette quadrilatère dans toute la longueur de la paroi postérieure du va-gin, ou de n'exciser, comme le second, que
u va-gin, ou de n'exciser, comme le second, que la demi-circonférence postérieure de l'orifice vaginal, on circonscrirait, sur la c
ent, de bas en haut et d'avant en arrière, en déprimant la commissure postérieure de la vulve. Lorsqu'il est arrivé dans le vagin ,
et toute la cir-conférence de son bord va s'appliquer contre la paroi postérieure du vagin. Différens moyens ont été imaginés pour
vant en arrière com-primer le périnée, au lieu de partir de sa partie postérieure , ce qui était gênant pour les malades lorsqu'elle
son diamètre vertical se place dans la direction du diamètre antéro - postérieur du bassin. Historique, Cette espèce de déplacem
e doigt, de détruire ce qu'il croyait être ses adhérences à la partie postérieure du col. Un temps considé-rable se trouva ainsi pe
um et soigneusement absterge les parties, on interpose entre la lèvre postérieure du col et la face interne du spéculum, une bou-le
s érignes, pour faire un peu basculer la matrice, et rendre la partie postérieure du col plus saillante, porte son doigt indicateur
évrose pelvienne, et principalement à ses parties latérales et un peu postérieures ; au reste, quelle qu'en soit la cause, comme il e
l'utérus, à le détacher du rectum, et à compléter par le demi-cercle postérieur , mais alors, de la surface péritonéale vers la su
sie ; mais lorsque celle-ci est vide, elle s'éloigne assez de la face postérieure du cartilage pour qu'on n'ait pas à craindre de l
ction avec le doigt et sur une sonde cannelée passée derrière la face postérieure de la sym-physe. A. Leroy, craignant la présenc
; on pense alors que cela tient à ce que les symphyses sacro-iliaques postérieures ont acquis une grande solidité. A. Leroy prétend
que c'est bien le fond de la matrice , et non la paroi antérieure ou postérieure du vagin qui va être attaquée par l'instrument.
bro-celluleuse qui enveloppe le globe oculaire clans ses trois quarts postérieurs ; fixée à la gaîne fibreuse «lu nerf optique , à l
aquelle l'unit un tissu cellulaire lâche, en formant un seul feuillet postérieur jusqu'à la rencon-tre des tendons musculaires. En
scles droits se joint celle des obliques qui ont glissé sur la courbe postérieure du globe oculaire, et en dé-terminent la prépulsi
à M. Dieffenbach; mais, dit M. Phillips, cette com-munication serait postérieure de quatre mois à la publication de M. Stromeyer.
lysie partielle étant d'autant plus complète que l'insertion est plus postérieure et par conséquent plus près du centre de l'œil. C
nt la nouvelle cicatrice à s'allon-ger ou à se faire sur un plan plus postérieur . Si au contraire il y a privation de mouvement du
rofonde compli-querait encore l'opération. Hyo-glosses. Leur partie postérieure ou les kérato-glosses, à moins de dégâts considér
tit bistouri droit préférablement au bistouri à fistule. « La lèvre postérieure de la plaie fut, au moyen de la suture dont j'ai
n deux parties, on n'a le soin d'accrocher avec une érigne le moignon postérieur afin qu'il ne retombe pas sur la glotte, il peut
des accidens de suffocation qui résultent de la rétraction du lambeau postérieur et de l'affluence du sang dans la bouche et le ph
deux incisives moyennes, de l'autre, sur le lieu où l'on sent le bord postérieur de la concavité de la mâchoire ; un guide plus sû
t placé sur cette apophyse, et l'ongle du pouce ap-puyant sur la face postérieure de la concavité de la mâchoire, on peut fixer ave
de la rétraction siégeant à différens degrés dans les muscles jambier postérieur , adducteur du gros orteil, péroniers latéraux et
ducteur du gros orteil; contre l'adduction forcée du pied, le jambier postérieur ; contre l'abduction forcée, les péroniers latéra
omme dans l'équin varus, il y a rétrac-tion des jambiers antérieur et postérieur , en même temps que du triceps sural, excepté que
ain gauche, en refoulant la peau, derrière le bord externe et la face postérieure du muscle, afin de le soulever, de l'isoler des v
ans la cavité buccale, prêt à retirer le fil auquel est lié le tampon postérieur pour arrêter les hémorrhagies des fosses nasales.
le, qui a glissé transversalement, sa convexité en avant, sur la face postérieure de l'iris, apparaît au milieu de l'ouverture pupi
Incision transversale de l'iris d'arrière en avant, ou de la chambre postérieure vers la chambre anté-rieure. Figure 2 (procédé
'iris d'avant en arrière, ou de la chambre antérieure vers la chambre postérieure . Figure 3 (procédé de Janin ). Section vertical
ant un tampon de charpie (1) qui bouche, en s'y appliquant, l'orifice postérieur des fosses nasales. Le double fil tendu dans la g
e canule terminée par une vessie à air destinée à remplacer le tampon postérieur . Toutefois le tampon-nement est bien plus sûr et
ère la section d'arrière en avant. L'incision a été commencée au bord postérieur pharyngien par des ci-seaux coudés. Figure 5. P
ure 6. Ligature avec les doigts. L'opération est figurée sur l'anse postérieure , que l'on doit lier la première. a b. Les deux
a b. Les deux doigts indicateurs du chirurgien, opposés par leur face postérieure , serrent la ligature par leur écartement, les ext
e. Section médiane du cartilage thyroïde. f. Section latérale et postérieure de la moitié gauche du même cartilage. g. Cav
anal crural accidentel. Les vaisseaux fémoraux se voient sur la paroi postérieure . — (b) Montre l'étranglement d'une anse d'intesti
s lymphatiques du sac éga-lement vus en transparence sous le feuillet postérieur du sac-herniaire. PLANCHE 39. FIGURE I (demi-
ent dit, la hernie étant absolument directe. En dedans et sur la face postérieure du sac une portion de péri-toine est enlevée pour
e. Figure 2. Procédé de M. Malapert. Deux sections latérales et une postérieure . Figure 3. Procédé de M. Lisfrane. Excision d'u
de la paroi abdominale antérieure. ( b, pl. 51 ) Section de la paroi postérieure . (c) Symphyse du pubis sur le plan de section,
, a) qui font saillie dans l'intérieur de la vessie. Figure i. Face postérieure de la vessie. Vers son bas-fond se voit une ouver
(Grandeur naturelle.) Celte figure représente la vessie par son plan postérieur , dans sa forme et dans son volume, à l'étal de ré
cloison du périnée, un lambeau quadrangulaire est détaché de la paroi postérieure du vagin, puis tiré en avant pour être fixé au-de
tiolles. Un lambeau est détaché sur l'extrémité antérieure de la face postérieure du vagin (fig. 3). Sur la figure 4 qui représente
même auteur n'oflre que deux crochets agissant seulement sur la lèvre postérieure de la fistule. 28. Instrument semblable de M. L
au se dessine la saillie (a, b) des tendons des jambiers antérieur et postérieur , et celle du tendon d'Achille (c). FIGURE 2. Ca
chille (c). FIGURE 2. Cas de varus compliqué. La saillie du jambier postérieur et la rétraction du bord inlerne du pied incurvé
n du tendon. FIGURE 4. Section sous-tendineuse du tendon du jambier postérieur . Le doigt indicateur de la main gauche du chirurg
eur de la main gauche du chirurgien (a) fixe le tendon contre l'angle postérieur et interne du tibia; la main droite (b), armée du
la surface. FIGURE 5. Section sus-tendineuse des tendons du jambier postérieur et du long fléchisseur des orteils. L'opération e
lle point, par une échappée en arrière, blesser les vaisseaux tibiaux postérieurs . PLANCHE R. FIGURE t. pied valgus un peu équi
sous la rotule, tandis que sa main droite (b) pèse en bas sur la face postérieure de la jambe, combine ses mouvemens pour opérer le
chirurgien, de sa main gauche (c), réagit en sens inverse sur la face postérieure de la cuisse, et de sa main droite (b), pratique
alement, de sorte qu'il ne touche plus au tibia que par son extrémité postérieure articulaire ; le reste de sa surface de glissemen
t celui dont les rapports sont les plus changés; il est toujours bien postérieur , mais au lieu de s'incliner en bas, il remonte ve
ostérieur, mais au lieu de s'incliner en bas, il remonte vers la face postérieure du tibia. La forme de celte surface articu-laire
71 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on voit émerger de la région sous- musculaire et contourner le bord postérieur du sterno- mastoïdien un nombre égal de longs r
s s'anas- tomosent avec les vasa ner- vorum artériels du tibial postérieur et du tibial antérieur, et ainsi se trouve cons
e anastomotique, plus loin, de rameaux émanés des vaisseaux tibiaux postérieurs , et qui con- tournent le bord interne du tibia.
ver la série des rameaux qui se détachent des vaisseaux tibiaux postérieurs , émergent de l'aponé- vrose le long du bord
tibiaux postérieurs, émergent de l'aponé- vrose le long du bord postérieur du tibia, glis- sent au-dessous du tronc de l
rgent vers le ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES NERFS. 21 bord postérieur du sterno-mastoïdien, et là, à la hau- teur de
f, l'artère, et l'une des veines Fig. il. - Veines du nerf tibial postérieur . A, artère tibiale postérieure. B, B, nffiucul
Fig. il. - Veines du nerf tibial postérieur. A, artère tibiale postérieure . B, B, nffiucul musculaires. - C, C, veines ncr
cub taires des affluents musculaires. - nf , J, I muscle jambier postérieur . - V, T, P, vein tibiale postérieure. - N, nerf
s. - nf , J, I muscle jambier postérieur. - V, T, P, vein tibiale postérieure . - N, nerf tibial postérieu 26 ANATOMIE. tibi
ale postérieure. - N, nerf tibial postérieu 26 ANATOMIE. tibiales postérieures , encore accolées à l'un des muscles entre lesqu
émergent du nerf, ne se jettent pas d'emblée dans la veine tibiale postérieure ; ils passent au-devant d'elle, au-devant de l'a
nt à la loi, et, directement, s'abouchent dans l'une des tibiales postérieures , c'est encore à la hauteur d'un affluent muscul
alternatives fréquentes d'extension et de flexion : le nerf tibial postérieur , derrière la mal- léole interne, en fournit un
optique et de sa valeur pro-, nostique dans la sclérose des cordons postérieurs de la moelle épiniére (Th. de Paris, 1890.) - .
embre inférieur droit, il se produit une légère raideur des muscles postérieurs de la cuisse, raideur qui disparait si on insis
marcher. Pour cela, il suffit de presser sur les épaules, la partie postérieure du tronc et les régions fessières. Dans ces con
rça aucune influence sur l'astasie. De plus la pression des zones postérieures du tronc qui supprime les troubles musculaires
temporal gauche ; l'écorce et la substance blanche des deux tiers postérieurs de la 1 re et de la 2° temporale sont détruits; l
ux, protubérance; pédoncules cérébelleux) et des zones radiculaires postérieures / Il est probable que le type se compose d'une a
çon de seize ans; hémiplégie consécutive à une hémorrhagie du tiers postérieur de la capsule interne du côté droit. 11 n'est p
tale et non la marche de la dégénérescence secon- daire des cordons postérieurs . Voici d'après l'auteur, suivant l'ordre de dév
cines antérieures reçoit beaucoup de fibres directement des racines postérieures , mais il est impossible de constater sûrement c
s'infléchissent après un trajet plus ou moins long dans les cordons postérieurs et gagnent les cordes postérieures dans la part
us ou moins long dans les cordons postérieurs et gagnent les cordes postérieures dans la partie antérieure desquelles elles se t
antérieures paraissent avoir-leur plus long trajet dans les cordons postérieurs . - 2. Les fibres du premier sys- tème de la zon
ulaire moyenne émanent, dans leur ensemble, des fibres radiculaires postérieures ; après avoir fourni généralement un court traje
es; après avoir fourni généralement un court trajet dans les cordes postérieures , elles aboutissent en grande partie au réseau d
ibres se dirigent vers la zone limitrophe des cordes antérieures et postérieures ; impossible de savoir où elles se terminent. Il
alents des trousseaux de fibres qui entrent directement des racines postérieures dans les cornes postérieures et, après avoir tr
es qui entrent directement des racines postérieures dans les cornes postérieures et, après avoir traversé ces dernières, s'inflé-
oetus, on n'a pas de preuve qu'ils viennent directement des racines postérieures . On les voit nettement à l'état de trousseaux c
nt de la substance grise ou des colonnes de Clarke dans les cordons postérieurs . 5. Les fibres de la zone radi- culaire postéri
ans les cordons postérieurs. 5. Les fibres de la zone radi- culaire postérieure médiane proviennent toutes des racines postérieur
ne radi- culaire postérieure médiane proviennent toutes des racines postérieures qui passent directement dans cette zone. Elles
passent directement dans cette zone. Elles abandonnent les cordons postérieurs par trois chemins. Les fibres médianes vont en pa
chemins. Les fibres médianes vont en partie dans le raphé (cloison postérieure ), se ^dirigent en avant vers la commissure post
phé (cloison postérieure), se ^dirigent en avant vers la commissure postérieure et s'infléchissent en dedans dans les cornes post
commissure postérieure et s'infléchissent en dedans dans les cornes postérieures . Les libres externes de la zone radiculaire pos
a zone radiculaire postéro-médiane sortent latéralement des cordons postérieurs , s'y entre-croisent à angle aigu avec les racines
rdons postérieurs, s'y entre-croisent à angle aigu avec les racines postérieures qui entrent dans la corne postérieure d'où elles
angle aigu avec les racines postérieures qui entrent dans la corne postérieure d'où elles se dirigent t en avant. La masse pri
rt à travers la. zone radiculaire moyenne et arrive dans les cornes postérieures à peu près au milieu (entre la commissure postéri
s les cornes postérieures à peu près au milieu (entre la commissure postérieure et la périphérie de la substance blanche). Ces
ne radiculaire postéro-médiane ne montent donc pas dans les cordons postérieurs jusqu'aux bulbes et pré- sentent une tout autre
gélatineuse d'où partent les fibres qui se rendent à la commissure postérieure ; à la couche limitante latérale de la substance
éraux, elles se confondent directement avec les fibres radiculaires postérieures . Donc, les fibres de la zone radiculaire moyenn
a zonepostéro-latéralese perdent dans le réseau défibres des cornes postérieurs ; les cordons de Goll s'unissent aux noyaux des
: les zones radiculaires moyennes - les zones, médianes des cordons postérieurs (dont l'évolution est parallèle).' Puis, d'habi
ieurs. Au sur et à mesure de la dégénérescence de zones des cordons postérieurs marche la lésion des fibres radiculaires postér
es des cordons postérieurs marche la lésion des fibres radiculaires postérieures correspondantes et des fibres des cornes postér
radiculaires postérieures correspondantes et des fibres des cornes postérieures (le réseau des colonnes de Clarke est pris le p
sation d'oppression. L'autopsie décèle : dégénérescence des cordons postérieurs et de la zone d'entrée des faisceaux radiculaires
troublée quand il y a lésion du segment pos- térieur de la branche postérieure de la capsule interne. Il est donc évident que
: une exagération des fibres fines aux dépens des grosses (racines postérieures et antérieures, nerfs périphériques). Comme i
gent dans les organes des nerfs sensibles, surtout dans les cordons postérieurs (intégrité du reste de ces organes et de la sub
e tout aussi sûrement que la des- truction de l'écorce de la partie postérieure de la troisième circon- volution frontale gauch
onvolution pariétale (cécité verbale), et le troisième, à la partie postérieure de la première circonvolution temporale (surdit
ences de la moelle; elles étaient surtout marquées dans les racines postérieures , mais se rencontraient également dans la substa
cère cornéen superficiel récent, en voie de gué- rison. Surla paroi postérieure on constate une excavation profonde et irréguli
pathogénie de la syringomyélie. La lésion systématique des cordons postérieurs tient naturellement à une prolifération du tiss
if, celte prolifération a poussé une pointe dans la substance grise postérieure et dans les cornes postérieures; c'est alors qu
une pointe dans la substance grise postérieure et dans les cornes postérieures ; c'est alors qu'il s'est formé une cavité ou, si
(idéation), à la région moyenne (psycho-mo- trice), ou à la région postérieure (appétits et ins- tincts), sont mis en communic
ître et sur lesquels je n'ai pas à insister. C'est dans la région postérieure que se trouvent déposées les images mnémoniques
e la pensée. Toutes les fois qu'une détermination part de la région postérieure , sans*le contrôle des centres supérieurs, on a
t, non seulement la région fron- tale est annihilée, mais la région postérieure est en grande partie compromise. A mesure que
stérieure est en grande partie compromise. A mesure que la région postérieure devient libre, l'intégrité successive des diffé
bougie, déposée par l'appareil de la vision dans le centre cortical postérieur , transmet sa représentation dans la région fron
de rappro- chements sexuels, et, se conduisant en spino-cérébrale postérieure , elle se donne, sans choix, au premier venu. Pu
ns, perdent leur puissance de contrôle et d'ar- rêt sur les parties postérieures , siège'des centres ins- tinctifs. L'actuation d
lapin, toute la pyramide, chétive, occupe exclusivement le segment postérieur du cordon latéral. Chez quelques nègres, la pyra-
eurs ou latéraux, mais seulement t le segment antérieur des cordons postérieurs de la moelle; elle est à l'état de faisceau com
tat de faisceau compact immédiatement en arrière de la com- missure postérieure le long de l'adossement des cloisons longitu- d
ordons antérieurs et latéraux, mais entre les cordons antérieurs et postérieurs . Chez les cobayes, les pyramides, après s'être
près s'être entre-croisées dans le bulbe, forment, dans les cordons postérieurs , principalement au voisinage de la substance gr
t les fibres du corps strié, des circonvolutions frontales (segment postérieur ) et de la frontale ascendante ; les fibres immé
dégénératif part de la première temporale ou des cir- convolutions postérieures de l'insula pour aller au corps genouillé inter
l'écorce, avec les fibres courtes, il reste trois crêtes. La crête postérieure , substratum de la circonvolution postérieure de
trois crêtes. La crête postérieure, substratum de la circonvolution postérieure de l'insula, occupe l'angle postérieur du trian
tratum de la circonvolution postérieure de l'insula, occupe l'angle postérieur du triangle insulaire, composé de deux branches
our gagner le lobe temporal. La crête moyenne, parallèle à la crête postérieure , participe à la forma- tion de la partie la plu
e à l'autopsie une vésicule hydatiqueobli- térantl'artère cérébrale postérieure gauche, et les artères sylviennes du même côté
ervation DE L'OESOPHAGE dû A UNE tumeur cérébrale occupant l'espace postérieur du crâne ; par J. NEU- MANN. (Neu1'ol, Centralb
r d'une prune, communiquant par une ouverture ronde avec la corne postérieure du ventricule latéral gauche dilaté. . M. TiGGE
ts au plancher du quatrième ventricule, c'est-à-dire sur le noyau postérieur du pneumogastrique, les noyaux externes, internes
oration, des Ilots de pus odorants coulent jusque dans le médiastin postérieur qu'ils remplissent; l'abcès par congestion inon
gine du laryngisme pareil à la suite d'une paralysie des muscles postérieurs ; il explique pourtant les phénomènes cliniques qu
emblablement pas du spasme, mais plutôt d'une paralysie des muscles postérieurs . l1L- le Dr DAIICHENITCH. Sur les affections ar
72 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ant chaque hémisphère séparément, on trouve a1 gauche, sur le tiers postérieur environ de la queue du noyau intra-ventriculair
les scissures perpendicu- taires externes et les plis des passages postérieurs sont pour ainsi dire schématiques. 10 L'hémis
es n'offraient du reste aucune adhérence à ce niveau. L'extrémité postérieure de la scissure de Sylvius présente deux branche
d'enfants, on peut donc dire que c'est une anomalie rare. La partie postérieure de l'hémisphère montre aussi des irrégularités
es spinales proprement dites. A la région antérieure et à la région postérieure de l'organe, on rencontre ces deux ordres de va
une branche voisine venue de l'artère radiculaire de la vertébrale postérieure correspondante (anas- tomose M : <e ? 'ra6cM
tomose M : <e ? 'ra6cM/6[H'e). b) Les artères vertébro-spinales postérieures sont au nombre de deux. Elles courent de chaque
bre de deux. Elles courent de chaque côté, en arrière des racines postérieures et au niveau de la quatrième paire radiculaire
pénétrantes). Ce sont des bran- ches qui passent entre les racines postérieures , et se divisent en deux rameaux, un rameau asce
ameaux correspondants des artères spinales. Ce sont les anastomoses postérieures (AHas<oH ! ospos<<Ccc). Leur trajet es
rtères spinales antérieures) et en branches qui suivent les racines postérieures [artères spinales postérieures) . Nous ne sui
en branches qui suivent les racines postérieures [artères spinales postérieures ) . Nous ne suivrons pas l'auteur pour la descri
ranches anastomotiques interradiculaires. b) Les artères spinales postérieures occupent toute la partie de la moelle qui est a
es antérieures, et il n'est pas rare de voir chaque paire spinale postérieure pourvue de son artère. Elles acquièrent un volume
anastomose médiane, qui suit le sillon médian, les artères spinales postérieures en forment deux de chaque côté. Il y a donc,
res en forment deux de chaque côté. Il y a donc, derrière la face postérieure de la moelle, quatre 84 zut REVUE d'aNATOMIE.
es longitudinales sont situées de chaque côté, en avant des racines postérieures et circulent sur la partie la plus reculée des
ournies par les branches ascendantes et descen- dantes des spinales postérieures et peuvent porter le nom d'ana- loî7zoses latér
loî7zoses latérales ou mieux, selon nous, de grandes anastomoses postérieures . Elles donnent naissance, de distance en distance
parant à angle droit(ramzpezzetrazlres), passent entre deux racines postérieures ; celles-ci, après un trajet de 3 à 4 millim.,
udi- nalement, et ainsi se trouvent formées, derrière les cordons postérieurs , les anastomoses postérieures (anastomoses poslic
trouvent formées, derrière les cordons postérieurs, les anastomoses postérieures (anastomoses poslicw) ou mieux selon nous nous
astomoses poslicw) ou mieux selon nous nous les petites anastomoses postérieures , car elles sont de moindre volume. Enfin les pe
s horizontales. Ainsi quatre courants sanguins par- courent la face postérieure de la moelle : deux externes plus forts, deux i
nt les champs d'irrigation des spinales antérieures et des spinales postérieures . A la région lombaire surtout, par l'inter- méd
ueuses, qui viennent se jeter dans la veine médiane. b) A la face postérieure de la moelle existent trois veines longitudinal
s antérieures [veines iiite2,- radiculaires). Les veines de la face postérieure de la moelle se vident par les veines spinales
la face postérieure de la moelle se vident par les veines spinales postérieures , dont les plus remar- quables existent au nivea
i- chesse anastomotique du réseau veineux des faces antérieure et postérieure de la moelle explique comment on peut facile- m
seulement aura établi l'équilibre entre le crâne an- térieur et le postérieur . Le bregma est ainsi refoulé en haut et en arri
igne -médiane. Seulement on peut apprécier les déviations antéro- postérieures . La déviation à droite est plus fréquente, ce qui
la fossette sacrée ou le tourbillon de poils qui la remplace, à la postérieure . D. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Foyers
tif; la plus grande partie du fluide suit la direction de l'orifice postérieur des fosses nasales gagnant l'espace naso-pharyn
s nasales seront supprimés (adhérence du voile du palais à la paroi postérieure du pharynx). L'absence congénitale de nerf olfa
consécutives indiquent la lésion du foyer locomoteur de l'extrémité postérieure du côté opposé, de la sphère sensible pour les
régions représentent seulement le segment antérieur et le segment postérieur de l'aire réséquée. Comme on rencontre d'autres
en qu'ayant une importance physiologique toute différente, un noyau postérieur , un noyau moyen. Il ne serait au reste pas impo
à petites cellules occu- pant, dans l'hémisphère droit, le segment postérieur des circonvo- lutions frontales supérieure et m
ement au canal central, dans la com- missure grise, dans les cornes postérieures , entre les cordons postérieurs. Au point de vue
m- missure grise, dans les cornes postérieures, entre les cordons postérieurs . Au point de vue topographique, ces observations
es replis se trouvent plutôt dans la commissure grise et les cornes postérieures , les diver- ticules sont à la partie antérieure
rieures, les diver- ticules sont à la partie antérieure des cordons postérieurs ou dans l'intervalle qui les sépare. Pourquoi c
a moins d'obstacle à l'extension d'un diverticule dans les cordons postérieurs qu'à la simple dilatation du canal central en s
stance grise et la commissure, jamais dans les cavernes des cordons postérieurs . La paroi résulte de l'épaississement de la név
érable, il se forme des replis. Dans un des cas observés, la partie postérieure de la commissure est remplie par la gélatine :
ontre une dégénérescence diffuse de moyenne intensité des cordons postérieurs à la région lombaire ; les segments les plus exte
egments les plus externes des faisceaux cunéiformes, et les cordons postérieurs à la ré- gion dorsale, sont partiellement altér
l'absence de réflexe patel- laire de la dégénérescence des cordons postérieurs dans la ré- gion lombaires (intégrité des cordo
aresthésies en rapport avec le degré moyen d'altération des cordons postérieurs en la région lombaire, sur les paresthé- sies d
renflement lombaire, sur la non-existence de mé- ningite chronique postérieure , malgré la sclérose postérieure. Il remarque qu
-existence de mé- ningite chronique postérieure, malgré la sclérose postérieure . Il remarque que, malgré la précision des local
ort avec la myopie delà malade. M = 2,25 Diopt. avec staphy- lome postérieur . Les pupilles, assez dilatées, se contractent n
étendue, la moitié antérieure du lobule paracentral et la moitié postérieure de la première frontale interne. Le ramollissemen
psie. Fracture du crâne, sans enfoncement, com- mençant à la partie postérieure de la région pariétale gauche, à trois centimèt
s branches vient aboutir à deux millimètres du trou ovale, l'autre, postérieure , se termine à six millimètres du trou dé- chiré
la moitié inférieure du lobule pariétal supérieur et à la moitié postérieure des première et deuxième sphénoïdales. Toutes ces
ercostal droits. Altération des nerfs, des ganglions et des racines postérieures . Un hasard d'autopsie nous a fait rencontrer su
4 centimètres de diamètre au niveau du tiers antérieur et du tiers postérieur de l'espace. La seconde éruption occupe le on
orrespondantes au sixième ganglion droit. Les racines antérieure et postérieure qui paraissaient absolument semblables à l'oeil
les tubes nerveux ont gardé leur structure normale, dans la racine postérieure , au contraire, il est impossible de découvrir u
fibres, de ses cellules ou du tissu conjonctif. Racines. La racine postérieure et la racine antérieure sont absolument normale
es qui traversent le sixième ganglion rachidien et dans la racine postérieure attenante à ce ganglion. Le onzième nerf intercos
ième à la sixième vertèbre cervicale) avant d'atteindre les racines postérieures : d'où les crises névralgiques reléguées au der
ntérieure est à 3 centimètres de la pointe du lobe sphénoïdal et la postérieure à 1 centimètre de l'extrémité correspondante de
es du sciatique, on trouve une dégénérescence secondaire descordons postérieurs de la moelle. Cette dégénérescence remontait, d
jusqu'à la moelle allongée, n'intéressant que les segments les plus postérieurs des faisceaux de Goll. On est, par conséquent,
e inférieure, il existe une dégénérescence ascendante des cordons postérieurs qui atteint une partie bien plus étendue de ces o
existe aussi une dégé- nérescence descendante régulière des cordons postérieurs qui occupe une étendue d'environ six centimètre
ntimètres au-dessous de la région primitivement lésée de trousseaux postérieurs fondamentaux. Elle ressortit peut-être à celles
damentaux. Elle ressortit peut-être à celles des fibres des racines postérieures qui, après leur arrivée dans la moelle, s'inflé
ppareil vasculaire, commentcomprendre qu'elle se limite aux cordons postérieurs , surtout quand on remarque qu'à l'époque de son
la jambe' gauche ! Elle' souffre 'dans le, talon, 'dans la partie* postérieure de' la ja'mbe. dc ? li ,cvissé",dan les reins.
? < ., ? n...... . , .. .rations, des ganglions et,de la racine postérieure fussent t ? o ? o nllC`Ji pn9t1r4. )lilf`JIt^hf
que 'qu'il'existe des traces non douteuses de méningite rachidiénne postérieure . -Tout le long de la face postérieure de la moe
es de méningite rachidiénne postérieure. -Tout le long de la face postérieure de la moelle, l'arachnoïde est louche, épaisse, f
teinte grisâtre translucide, existe, dans toute l'aire des cordons postérieurs (zone radiculaire interne et cordons de Goll).
équent unejSurface quadrilatère limitée en ayant, par la commissuré postérieure , en arrière par la sur- face-postérieure de la
face-postérieure de la moelle et latéralement par les deux, cornes postérieures . ,, 11J 1 ? , , t .') ruz ,Les deux nerfs sciat
maux. ^Diverses branches musculaires, et. les branches articulaires postérieures ^isolées avec Lsoin, ne présentaient à l'oeil.nu
manifeste ? ma is) i cette,,sçlérose,;restait limitée, aux cordons; postérieurs } et les cornes antérieures^étaient, pu du moins
US DES NERFS SPINAUX. ' 337 ' que lesracines soit antérieures, soit postérieures qui' constituent' une paire' nerveuse,' sont' s
= GDo nerf du grand dor- sal; GP,graiurcr/ £ ^râir TPJtJioraciqùc^ postérieur ; H, radial fourni. parjus'sixîèmc, septième et
d'myle,frejpl>tantl'expliiationll;à ? uhe lésion dans la partie postérieure de la capsule interne, M. Rosen- thal rattache
t s'occupe. Sortie après quatre mois de maladie. Les renseignements postérieurs ont appris que l'état mental était redevenu nor
. t » K. . '" 1>, ...I , si i , ,, ? T XIV. LÉSION.DES cordons postérieurs dans la PARALYSIE GÉNÉRALE ? , par C.,\1'ESTrII
au reste, que très fréquemment il y a dégénérescence , des cordons postérieurs , même de leurs segments, externes, sans ataxie.
uoi, chez eux, l'ataxie est rare malgré la localisation des cordons postérieurs . Il n'en est pas de même chez les tabétiques or
ici le processus très prononcé'a for- tement endommagé les racines postérieures . L'ataxie doit ne se manifester que lorsqu'une
Quoi qu'il en soit des phénomènes cliniques, la 'lésion des cordons postérieurs ,' palpable, est en soi généralement beaucoup pl
it 1 en. b i s d, u n e 1 dé-éiiéresceidee - --ri se-i des cordons^ postérieur .^ et ,des, faisceaux- pyramidaux dans les.cor-'
p du genou à,Jl'altération,des,p,Qrtios,;éx,ll - ternes des cordons postérieurs , de la moelle, lombaire. ,. La dege ^.. > g-
oureilièrc à la protuhé : SOCIETES SAVANTES. 397 ranco occipitale postérieure ; il pense de la sorte, en tenant compte des re
ue au début d'une), 57. Paralysie générale (lésions des cor- dons postérieurs dans la), par Westphal, 370. Parricide (tenta
73 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
non toxiques, en même temps que se manifeste une parésie du train postérieur et même, dans certains cas, du train antérieur,
ppée et très épaisse dans les régions antérieures; dans les parties postérieures , elle n'offre aucun carac- tère particulier. Le
e conformation un peu moins simple, principale- ment dans sa moitié postérieure . (Fig. 1 et 2.) ' Scissures. La scissure de Syl
i de droite a la forme d'un S et se termine normalement à sa partie postérieure . Sur les deux hémisphères, le sillon de Rolando
orme deux saillies prononcées à quelques centimètres de l'extrémité postérieure , les circonvolutions sont tassées les unes cont
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE I. SUR LES parties constituantes DES cordons postérieurs DE la MOELLE. ÉTUDE BASÉE SUR L'EXAMEN DE LEUR
la myéline. Le revêtement myélinique des fibres a, dans les cordons postérieurs , à peu près terminé son évolution pendant le hu
partie antéro-externe des faisceaux de Burdach, qui limite la corne postérieure et constitue une émanation des fibres radiculai
II. CONTRIBUTION A la connaissance DU trajet DES fibres DU CORDON postérieur dans la moelle allongée ET LE pédoncule cérébelle
gert, dans le but d'élucider cette question. Les fibres des cordons postérieurs traversent-elles les olives pour gagner le corp
supérieure de 'entrecroisement des pyramides, qui émane des cordons postérieurs est, embryogéniquement. pourvue de myéline avan
eil monte et se continue jusqu'à ce que tous les libies des cordons postérieurs soient parvenus à la couche intermédiaire des o
nombre croissant de fibres réticulaires, les faisceaux des cordons postérieurs tracent ils travers la substance grise, sous le
es qui leur appartiennent, d'où l'erreur que les fibres des cordons postérieurs viennent se rendre aux olives mêmes. La vérité
vérité .est qu'il ne demeure dans les olives aucune fibre du cordon postérieur ; toutes les fibres de ce dernier se rendent dan
te couche augmente suprà, le taux des fibres des noyaux des cordons postérieurs diminue; il en est peu parmi elles qui passent
olives ou ruban de Reil du côté opposé des fibres issues du cordon postérieur (exclusivement du faisceau de Burdach ? ) une .
du faisceau de Burdach ? ) une .petite partie des fibres du cordon postérieur (exclusivement em- pruntées au faisceau de Goll
me n'a, en fait de myéline, que l'appoint que lui donnent le cordon postérieur , le nerf auditif, le nerf trijumeau. Toutes ces
éraux qui se rendent au cervelet; b, des fibres émanées . du cordon postérieur du même côté, et peut-être de celui du côté opp
il, que la légende du texte; il montre que les fibres des cor- dons postérieurs qui passent dans le bulbe entrent toutes en rela-
toie l'entrecroisement inférieur des pyramides, et gagne l'enceinte postérieure des pyramides, le ruban de Reil ; il envoiedès
e Reil. Les grosses olives ne sont directement unies ni aux cordons postérieurs , ni au ruban de Reil; un tractus de fibres asse
ides ou des noyaux des faisceaux grêles et cunéiformes. Les cordons postérieurs poussent donc principalement leurs rameaux vers
ves représentent des relais intercalés non entre la moelle (cordons postérieurs ) et le cervelet (opinion de 1 Voy. Archives de
HODE DES ATROPHIES, PRINCIPALEMENT EN CE QUI CONCERNE LA COMMISSURE postérieure ; par E.-C. SpiTzKA. (Neurol. Centralbl., 1885.)
nert), les connexions de l'acoustique avec le faisceau longitudinal postérieur (lieynert) et avec le pédoncule cérébelleux sup
ent adjacentes 80 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. a la racine postérieure du nerf, et le noyau antérieur de l'acous- tiqu
halo-médullaire, immédiate- ment en dehors du faisceau longitudinal postérieur . Il occuperait donc de bas en haut le plan anté
de bas en haut le plan antérieur et inférieur, le plan supérieur et postérieur de la calo tte. serait embrassé par le pédoncule
ire des olives. Les trousseaux de fibres, envoyés par la commissure postérieure au faisceau longitudinal postérieur, s'en- chev
res, envoyés par la commissure postérieure au faisceau longitudinal postérieur , s'en- chevêtrent avec une partie du cordon cen
rable à la circulation collatérale, à l'endroit même où les racines postérieures de la moelle forment les nerfs sensitifs; les c
ZKA (NeU ? '01. Centralbl., 1885). Les phoques, dont les extrémités postérieures atrophiées sont transformées en nageoires, prés
ollées contre le faisceau radiculaire le plus interne, et la partie postérieure du groupe externe. Les cordons latéraux envoien
microscopique), mais seulement dans le pulvinar, et dans la partie postérieure et ' postéro-interno de la couche optique. Quan
e sciatique, la plupart des nerfs moteurs de la jambe antérieure ou postérieure , peuvent être enlevés chez le nouveau-né sans q
fisance motrice pendant les quelques jours suivants dans les pattes postérieures ; mais bientôt foute trace de mutilation a absol
si ils ne s'asseyent pas comme les autres : ils avancent les pattes postérieures de sorte que les pattes antérieures viennent se
orte que les pattes antérieures viennent se placer entre les pattes postérieures ; ils sautent en élevant bien plus haut le trai
attes postérieures ; ils sautent en élevant bien plus haut le train postérieur de leur corps et lancent bien plus loin les jam
train postérieur de leur corps et lancent bien plus loin les jambes postérieures ; légère titubation quand ils se nettoient debou
sont dépendants du lobe pariéto-occipital. 6° Le ganglion mé- dian postérieur du corps mammillaire dépend aussi du lobe parié
vent le violateur pratique un coït externe ou périnéal antérieur ou postérieur . Nous n'insistons pas sur l'étude des troubles
à droite, les extenseurs de la main et des doigts, sauf le cubital postérieur et le long abducteur du pouce, les muscles de l
ions, révèle des dégénérescences des troncs nerveux (radial, tibial postérieur , péronier), ainsi qu'une poliomyélite antérieur
ES symptomatique TOUT particulier dans UN CAS DE LÉSION DES CORDONS POSTÉRIEURS DE LA MOELLE; par C. Westphal. (Ai-ch. f. Psych
ites, le malade meurt et l'autopsie révèle une lésion des cordons postérieurs à disposition spéciale, entreles faisceaux de Gol
ite parenchymateuse des nerfs péronier, crural, tibial, des racines postérieures lombaires et peut-être dorsales; atro- phie pos
pèce se rattachent à la névrite périphérique (intégrité des racines postérieures , légère altération des cordons posté- rieurs) ;
es, les ectasies vasculaires, pro- fuses surtout autour de la corne postérieure gauche, dans les faisceaux pyramidaux des cordo
rtain degré d'ataxie, remonte peut-être à une affection des cordons postérieurs ; quant à l'incomplet développement de la parol
tie médiane du lobe quadrangulaire du côte gauche et les deux tiers postérieurs du vermis supérieur sont occupés par le segment
un tuyau de plume, qui peut être suivi à travers le sillon marginal postérieur jusqu'aux vaisseaux de l'arachnoïde, sur le pla
ation du traitement hydrothérapique. 9 novembre. Anthrax de la face postérieure de l'avant- bras. 1884. 3 janvier. On apprend
ence très appréciable en étendue entre le lobe frontal et les lobes postérieurs . Le lobe frontal mesure le long du bord interne
la disproportion entre la partie antérieure du cerveau et sa partie postérieure , en prenant les circonvolutions rolandiques pou
ut-être un peu diminuée au niveau du voile du palais et de la paroi postérieure du pharynx; elle est parfaite- ment intacte au
latéral du pédoncule cérébral et du bras du tubercule quadrijumeau postérieur . Obs. III. Cli- nique. Anatomie pathologique. H
e de porencéphalie acquise par ischémie des deux artères cérébrales postérieures (conservation de leur perméabilité et de leur s
ntestable que les altérations des centres optiques pri- maires sont postérieurs à l'atrophie des deux nerfs optiques l'intensit
ité des couches profondes. Nous passons sur les lésions des cordons postérieurs , des nerfs opti- ques, des nerfs olfactifs : un
vue histologique, et par com- paraison, un cas de lésiondes cordons postérieurs , n'apasvu que la névroglie,au début multipliée,
disparition des gaines myéli- niques. Dans la sclérose des cordons postérieurs , il s'agit aussi d'un processus .histologique d
rsale. Faible dégénérescence dans les parties latérales des cordons postérieurs , au niveau de l'ex- trémité inférieure de la mo
té inférieure de la moelle dorsale. Lésion très modérée des racines postérieures au niveau des régions moyenne et infé- rieure d
de Goll est totale. Dans la moelle cervicale supérieure, la partie postérieure des cordons de Goll est 4) I si REVUE D'ANATOMI
muscles. P. K. RV111. Contribution au trajet des fibres DE la corne postérieure DE LA MOELLE HCSMAINE ET A LEUR MANIÈRE D'ÊTRE
Etude, à l'aide des plus récentes méthodes de Weigert, de la corne postérieure à l'état normal et dans le tabes dorsal. La corne
corne postérieure à l'état normal et dans le tabes dorsal. La corne postérieure se composerait de trois segments : io Une zone
stance spongieuse; on y trouve de grosses fibres issues des racines postérieures et des parties externes des cordons postérieurs
issues des racines postérieures et des parties externes des cordons postérieurs , et des si lires si nés qui constituent des pro-
constituent des pro- longements du treillis de la couche spongieuse postérieure ; 3° la substance spongieuse qui va de la substa
spongieuse qui va de la substance gélatineuse à la base delà corne postérieure , et se décompose à son tour en une zone postéri
se delà corne postérieure, et se décompose à son tour en une zone postérieure et une zone antérieure; cette partie de la corne
des fibres radiculaires pos- térieures (grosses et fines). La corne postérieure reçoit donc des fibres radiculaires de deux cat
t se forment en une pyramide ascendante (zone marginale de la corne postérieure ); un segment de cette dernière monte le long du
la substance gélatineuse, en partie dans l'in- térieur des cordons postérieurs . Douze cas de tabes dont six ob- servations son
IE ET DE PHYSIOLOGIE. 1 5 5 fibres fines de l'intérieur de la corne postérieure ; 30 les grosses fibres radiculaires de la corn
corne postérieure ; 30 les grosses fibres radiculaires de la corne postérieure ; 4o les irradiations (fibres fines) du noyau du
postérieure; 4o les irradiations (fibres fines) du noyau du cordon postérieur (zones radiculaires de Struempell); 5*- les col
tème.spécial appartenant particulièrement aux fibres radicu- laires postérieures , presque toujours atteinte (douze fois sur trei
ffectée de bonne heure. Les fibres fines de l'intérieur ce la corne postérieure sont moins souvent affectées, et toujours plus
rtaines relations entre cette der- nière et les réseaux de la corne postérieure , mais il faut qu'il s'écoule un certain temps a
et leur lésion fait des progrès lents. Les irradiations des cordons postérieurs se comportent comme les parties correspondantes
es, et manquent de bonne heure, tandis que la substance de la corne postérieure qu'elles traversent est encore normale; le déch
'abord les fibres fines mé- dianes, celles qui viennent des cordons postérieurs de la région lombaire, qui dégénèrent, alors qu
ès tardivement que la substance spongieuse environnante de la corne postérieure participe à l'atrophie. La colonne de Clarke re
des trousseaux de fibres émanées de parties très diverses du cordon postérieur et provenant de hauteurs très différentes; les
ltérés : une seule fois les zones radiculaires externes des cordons postérieurs étaient affectés et du reste on avait observé d
ats obtenus par la méthode des - en ce qui concerne la commissure postérieure ), par Spitzkti, 79. Auditif (Origine du nerf)
i- nale due à des matières lé- cales, par Squires, 316. Cordons postérieurs (complexus symptomatiques tout parti- culier
74 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
e comportent d'une façon tout autre que dans les régions moyenne et postérieure . D'après l'opinion générale, la couronne rayonn
rès le début de la maladie. Cerveau ferme. A la partie moyenne et postérieure du lobe an- térieur gauche en dehors et en avan
té de 15 à 18 millimètres contenant de la sérosité, située au tiers postérieur de la deuxième et delà troi- sième circonvoluti
mation, et, jusqu'à ce jour, la certitude que l'écorce de la partie postérieure de la troisième fron- tale gauche était le cent
, disséminés dans les auteurs sous différents noms. Dans un travail postérieur {Archives de Neurologie, septembre 1882), le mê
ysie transitoire de la jambe gauche. 3" Ramollissement de la partie postérieure de la troisième frontale et de lu partie inféri
ution frontale ascen- dante ; chez beaucoup de personnes, la partie postérieure de la troisième frontale gauche, son insertion
vrait être attribué à l'état d'irritation où se trouvent les cornes postérieures , et serait assez analogue au tic convulsif qui
e assez étendue pour comprimer à la fois les racines antérieures et postérieures des nerfs périphériques. Quant à l'hystérie, el
ssure frontale parallèle; en arrière, il s'arrête au niveau du bord postérieur de la circonvolution pariétale as- cendante.
nc pas quand la destruction du corps strié n'occupera que sa partie postérieure ou externe; elle pourra se présenter, au contra
cause de la perte de la' parole; ensuite, un ramollissement du lobe postérieur ,' causé de la perte de la vue et de l'ouïe. " 1
ment énueléale, siégeant sous la substance grise dans la "p'artie postérieure delà troisième circonvolution frontale droite.
quelquefois à l'occasion de certaines destructions dont les lobes postérieurs sont le siège. Il est inutile d'insister sur ce
ase, c est-à-dire à l'union du tiers antérieur avec les cieux tiers postérieurs des.hémisphères en cette région, est représenté
monte vers- le lobe,'frontal (rameau antérieur ascendant); l'autre, postérieur , bien iplus long, gagne la partie moyenne du lo
de Rolande, verticale par consé- quent, prend naissance a la partie postérieure de la scissure frontale inférieure, séparant en
térieur ascendant d'une scission en partie operculaire (ascendante, postérieure ), et en partie triangulaire ou cap de Broca (de
Première pariétale; Processi enteroidei verticali cli mezzo (partie postérieure ) (Rolando) ; Second pli' ascendant (Gratiolet);
entralis, 2,etî,oce)zt ? ,alis. Cette circonvolution forme la lèvre postérieure du sillon de Rolando. Elle naît au niveau du ti
èvre postérieure du sillon de Rolando. Elle naît au niveau du tiers postérieur de la scissure de Sylvius. En bas et en arrière
cc ? p<7o-p<H' ! e/M (Schwalbe), elle part, en avant, du bord postérieur de la pariétale ascendante et monte un peu avan
ascendante au lobe occipital, en pas- sant au-dessus de l'extrémité postérieure de la grande branche de la scissure de Sylvius,
rieur entier en deux segments qui couronnent : l'un, l'extrémité postérieure de la scissure de Sylvius, l'autre, l'extrémité p
ur de Gratiolet), a été appelé par lui lobule supramarginal. Unilot postérieur surmonte la pointe de la scissure parallèle : c
'écarter du plan de Gratiolet, une troisième appellation à cet îlot postérieur , on serait en droit de penser que l'expres- sio
re occipitale trarzsverse (Pozzi)f ? 1 Synonymie : Sillon occipital postérieur ou ti,aizstîé7-se (Ecker). C'est encore une sci
ons occipitales et temporo-occipitales se confondent, à l'extrémité postérieure (pôle occipital de Broca, extrémité occipitale
(Pansch) ou pôle temporal (Broca), par opposition' avec l'extrémité postérieure fondue dans lest lobes pariétal et occipital. C
Broca). - Synonymie : Temporale supérieure (Ecker) ; Pli marginal postérieur et inférieur (Gratiolet) ; Partie inférieure de l
u-dessous de la scissure de Sylvius, elle se confond avec la partie postérieure du lobule pariétal inférieur (Richer). b.Lascis
;r,'c ? . , . pose, en;zigszags morcelés : ' Dans^ce cas; la partie postérieure de.cette, scissure devient, en avant du lobule
ux trazzsverses, qui, au nombre de deux à trois, occupent la moitié postérieure du lobe temporal cachée dans ta'profon- deur de
mes de pli de passage temporo-pariétal profond de Broca, elles sont postérieures à l'insula et montent, en effet, dans les régio
occipito-temporale de la troisième temporale. C'est à son extrémité postérieure que correspond l'incisure préoccipitale, de Sci
ié antérieure à la grande fente cérébrale de Bichat, dans sa moitié postérieure à la scissure des' hippo- campes, elle sépare l
n de ces tractus, qu'elle constitue indubitablement, dans sa partie postérieure , la lèvre inférieure de la scissure des hippoca
rencontraient dans les lobes frontaux, mais surtout dans la partie postérieure de la troisième circonvolution frontale gauche;
phère droit et'quelqûes' circoîi- - vôlutiôns seulement dtl : tiers postérieur . La'substance blanche était Uiypérémiéé e t pbi
te. Chez t'animai devenu adult'(1àiii), la"desttLie- tion;.du tiers postérieur de la capsule·interne; danslla'rériôri'-oit pas
hypoglosse, se re- polie graduellement vers les parties extrêmes et postérieures , ,et parvient ensuite au bord externe du noyau
v ngien. Au bord in- terne de la substance gélatineuse de la' corne postérieure , on ren- contre sur des coupes verticales et tr
graisseuse des cellules nerveuses dans leur voisinage. Les cordons postérieurs de la moelle offrent la dégénérescence grise.
exacte de l'écorce du cerveau, et si, dans la moelle , les cordons postérieurs étaient seuls altérés. v-, ·.9h ... (T ? «.'r'c,
ose porte surtout : à gauche, sur la première externe antérieure et postérieure (première frontale), sur le lobule paracentral,
seconde (de couleur brun-rouge) occupe la paroi externe de la corne postérieure du ventricule latéral droit, sans avoir ni péné
s aux gâteux (troisième construction), qui re- gardent le long côté postérieur . On a procédé à la même réparti- tion à gauche,
uche, en ce qui concerne les hommes. La partie moyenne du long côté postérieur est prise par la cuisine derrière laquelle est
t-bras se fléchit sur le bras et se porte sur la partie latérale et postérieure du tronc. Le membre inférieur est dans l'extens
région antérieure paraissent durs comme du bois; ceux de la région postérieure ne sont pas modifiés. La main n'est pas dans un
xterne. Au niveau de la suture inter-pariétale, surtout à sa partie postérieure , la table externe est irrégulière, bosselée. Da
et a pris une coloration légèrement jaunâtre. Toutes les parties postérieures ont un aspect normal, mais sont plus élémentair
hère droit qui présente un ancien foyer compre- nant : 10 la partie postérieure de la troisième circonvolution frontale et de l
e la pariétale ascendantes. Relativement aux lésions de l'extrémité postérieure de la deuxième circonvolution frontale, du lobu
ssure fronto-pariétale interne (Pansch, Pozzi), contourne la partie postérieure (pariétale) du lobule paracentral et, formant u
scissure perpendicu- laire interne, si bien qu'entre son extrémité postérieure et cette dernière se voit le pli de passage par
ieure et cette dernière se voit le pli de passage pariéto-lcinbique postérieur (Broca). DES CIRCONVOLUTIONS CEREBRALES. 31
forme. Il se branche en haut sur le pli de passage pariéto-limbique postérieur de Broca. 2° Un pli de passage interne pariéto-
après cette manière de voir, la fissure calcarine devient la partie postérieure de la scissure des hippocampes (Gratiolet), et
83)'. 1. Première expérience. Quand on interrompt, dans la partie postérieure de la capsule interne les faisceaux de fibres de
é interne en rap- port, de son côté, avec le tubercule quadrijumeau postérieur (Arch. f. Ophlhalm ? t. XXV). Or, M. l3echlerew
rant par le pharynx à sectionner le bras antérieur entre le segment postérieur de la couche optique et le tubercule quadri- ju
ne sans intéresser le corps genouillé interne ni les fibres du bras postérieur . Un seul et même effet a été obtenu, savoir : le
ubles de la vue tout à fait passa- gers ; la destruction du segment postérieur de cet organe engendre une hémiopie homonyme qu
De ces faits, l'auteur déduit que la partie des fibres des cordons postérieurs qui est en connexion avec le nerf scia- tique o
lement de fibres nerveuses en connexion avec les racines sensitives postérieures destinées aux extrémités intérieures (faisceaux
ient de courtes fibres qui s'arrêtent ailleurs (cellules des cornes postérieures ? ); toutefois, l'importance physio- logique et
e l'altération atteintex- clusivement les prolongements des racines postérieures , aussi bien les longs que les courts tractus. I
leur trajet, sont situés parmi les fibres radiculaires des cordons postérieurs . Il. K. X\X. CovrwDUTtor1 a la dégénérescence c
La destruction n'a porté que sur le segment de la tête de la corne postérieure situé entre le bord postérieur de l'olive et l'
r le segment de la tête de la corne postérieure situé entre le bord postérieur de l'olive et l'origine de la première paire ce
nditions facile- ment mensurables, qui seront l'objet d'une mention postérieure , sont prises de convulsions tétaniques coïncida
une lésion cérébelleuse avec dégénérescence secondaire des cordons postérieurs . Les modifications histologiques montrent, d'ap
à droite considérablement épaissie et légèrement rougeâtre. Le lobe postérieur du cerveau était très manifestement plus volu-
e coloration jaune des cordons postéro- latéraux et non des cordons postérieurs . On en fera plus tard des coupes. De cette desc
e vient encore l'état de la base du crâne défectueuse dans sa fosse postérieure droite. (La branche droite de l'éminence crucif
constituent le symptôme somatique principal, alors que les cordons postérieurs demeuraient indemnes, et tandis que les réflexe
transverse et de la force des sillons destinés aux sinus occipitaux postérieurs dilatés, enfin, de l'étroitesse du plan incliné
entripètes conductrices des réflexes monte- raient avec les cordons postérieurs de la moelle, glisseraient sous l'écorce du cer
; leur origine et, dans la portion lombaire, le domaine des cordons postérieurs , a subi la dégénérescence dans son entier, elle
75 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
ion du traitement hydrothérapique. 9 novembre. - Anthrax de la face postérieure de l'avant- bras. 1884. 3 janvier. - On appre
ième à la troisième frontale; elle communique largement à sa partie postérieure avec la scissure frontale supérieure, séparant
ieure avec la scissure frontale supérieure, séparant ainsi le tiers postérieur de la deuxième frontale de ses deux tiers antér
lobe frontal parait normal et très bien déve- loppé dans sa partie postérieure , mais en avant, quoique très plissé, il semble
r suite plus rapproché de l'extrémité antérieure que de l'extrémité postérieure . Les circonvolutions frontale et pariétale asce
au centre même du lobule paracentral par deux branches, une oblique postérieure , une verticale anté- rieure. Ces deux branches
fronlo-pariélale interne est ici constituée par la branche oblique postérieure . La scissure calloso-margi- nale ne possède pas
ure. La scissure calloso-margi- nale ne possède pas de prolongement postérieur et ne fournit pas d'incisure préovalaire; celle
nvolution du corps calleux. Il existe aussi un pli pariéto-limbique postérieur mal délimité en avant par la scissure sous-pari
La deuxième circonvolution frontale très développée dans sa moitié postérieure , l'est peu dans sa moitié antérieure. - La troi
e quadrilatère, large, possède un pli de passage pariéto-limbique postérieur , séparé du reste du lobule par une scissure profo
des bronches. Congestion du poumon avec un peu d'oedème à la partie postérieure du lobe inférieur. - Poumon droit. Adhérence te
té droite du thorax; il est très congestionné sur- tout à sa partie postérieure . L'épanchement siégeait principa- lement dans l
ulier, assez si- nueux, envoie un prolongement très gros à bipartie postérieure du pli pariétal supérieur. - Le lobe occipital,
extrémité antérieure du lobe frontal à la partie moyenne de la face postérieure de la pa- riétale ascendante, 12 centimètres. L
r de ce dernier 88 DE l'épilepsie procursive. point à l'extrémité postérieure du lobe occipital, 11 centi- mètres et demi '.
olution frontale très volumineuse, mais surtout dans les deux tiers postérieurs , envoie un pli de passageàla troi- sième circon
. Le sillon qui sépare la pariétale 1 Comme on le voit, les parties postérieures du cerveau étaient relati- vement très développ
inuité de la deuxième scissure en reliant les parties antérieure et postérieure du cap à la seconde circon- volution frontale.
calleux ne pré- sente rien de particulier, mais à sa partie la plus postérieure au niveau du bourrelet du corps calleux, elle e
ous- pariétale, il n'existe qu'un pli de passage pariéto-limbique postérieur . - Le coin, la scissure perpendiculaire interne,
est interrompu par un pli de passage à niveau allant de la partie postérieure du pli pariétal supérieur au pli courbe; plus l
e parallèle frontale, en formant ainsi un dédoublement de la partie postérieure de la deuxième circonvolution fron- tale. - Un
la continuité de la deuxième scissure frontale à sa partie la plus postérieure . - La troisième circonvolution frontale est bie
. La scissure paral- lèle, très profonde, se divise à son extrémité postérieure en deux rameaux, l'un antérieur qui se perd dan
l'un antérieur qui se perd dans le pli pariétal inférieur, l'autre postérieur qui, après avoir pénétré dans la portion postér
érieur, l'autre postérieur qui, après avoir pénétré dans la portion postérieure de la seconde circonvolution temporale, est coi
nvolution temporale est bien développée et chagrinée dans sa moitié postérieure . - La deuxième scissure temporale est irréguliè
drilatère est petit, maigre, possède un petit pli pariéto- limbique postérieur . - Le coin, la scissure perpendiculaire interne
- Les artères de la base sont symétriques ; toutefois, la cérébrale postérieure paraît un peu plus volumineuse à droite. - Les tu
et éraflée. Le lobe cérébelleux droit arrive au niveau de la partie postérieure du lobe occipital, mais le lobe cérébelleux gau
urs de deux centimètres sur la face convexe, va rejoindre la partie postérieure de la scissure interpariétale et par son interm
e parallèle complète qui, à son quart supé- rieur, envoie un rameau postérieur oblique de bas en haut divisant entièrement le
interrompue par un pli de passage à niveau allant de l'extrémité postérieure du lobule pariétal supérieur à la circonvolution
issure de Sylvius. - La première frontale, dédoublée dans son tiers postérieur , présente également des indices de dédoublement
euxième circonvolution frontale est volumineuse surtout à sa partie postérieure ; elle s'insère à la frontale ascendante par un pe
'un même, médian, atteint son 132 DE l'épilepsie PROCURSIVE. bord postérieur ; il semble en ce cas que la deuxième circonvo-
ente un pli pariéto-limbique antérieur et un pli parié to-1 imbique postérieur . La scissure perpendiculaire interne, très prof
,Hémisphère gauche. - La scissure de Sylvius se divise à la partie postérieure de la circonvolution pariétale ascendante en de
orale plissée envoie un pli de passage à niveau à la partie la plus postérieure du lobule pa- riétal inférieur et un autre pli
onvolution frontale interne est bien développée, reçoit à son quart postérieur un petit pli de passage presque à niveau de la
triangle para- central. Il existe également un pli pariéto-timbique postérieur . La scissure perpendiculaire interne est très p
la déviation du tronc basilaire vers la gauche, l'artère cérébrale postérieure droite est plus longue que la gauche. La commun
postérieure droite est plus longue que la gauche. La communiquante postérieure est filiforme ainsi que la cérébrale antérieure
e, envoie trois plis de pas- sage à niveau à la seconde ; sa moitié postérieure est atteinte de méningo-encéplcalite. - La prem
méningo-encéphalite en quel- ques points de ses parties moyenne et postérieure , est très plissée, très découpée et irrégulière
lativement assez gros, parait peu lésé, sauf dans sa partie la plus postérieure . - Le lobule quadrilatère possède une scissure
e par un petit sillon horizontal; il existe un pli pariéto-limbique postérieur . - La scis- sure perpendiculaire interne est tr
x, surtout dans son tiers antérieur, le corps strié, vers sa partie postérieure , paraissent atrophiés. Hémisphère droit. - La s
est atteint de méningo-encéphalite dans toute sa moitié interne et postérieure ; les circonvolutions de toute sa moitié antérie
rieur on y rencontre un pli de passage étroit, atrophié et au tiers postérieur un autre pli de passage profond. La deuxième fr
ontales, l'atrophie est beaucoup plus prononcée que sur les parties postérieures . - La deuxième scissure frontale, profonde, sin
résente toutefois une couleur un peu ocreuse et forme son extrémité postérieure . Le pli pariétal inférieur et le pli courbe son
a partie médiane. La pie-mère est oedématiée, l'artère communicante postérieure et l'ar- tère cérébrale antérieure gauches sont
uble de la pie-mère de la convexité. - Adhérence de la corne droite postérieure . - Sclérose et atro- phie de l'hémisphère droit
atrophigue de hémisphère cérébelleux droit, l'adhérence de la orne postérieure du ventricule latéral droit à l'ergot de Morand
à quatre noyaux sous-cutanés du volume d'une noisette, à la face postérieure de l'épaule et à la naissance du bras gauche ; il
t impossibles dans les articulations tibio- tarsiennes. Les muscles postérieurs de la jambe sont contracturés. Le second orteil
cial, dû à la division du quatrième doigt normal, situé sur un plan postérieur aux autres doigts, si bien qu'à la face pal- ma
cin- quième. Son extrémité antérieure ne dépasse pas l'extrémité postérieure de la seconde phalange des orteils entre lesquels
u dos. Trois cicatrices de vaccine dont une très grande à la partie postérieure de la région deltoidienne droite. Cicatrice tra
76 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es membres inférieurs (sciatique, sciatique poplité externe, tibial postérieur , nerf du quadriceps, saphène interne) sont prél
e de Pal sont en très petit nombre ; en particulier toute la partie postérieure de la moelle et les faisceaux pyramidaux sont r
mente de volume, mais surtout par sa partie antérieure. La moitié postérieure reste très amincie. Au niveau de la 1 le paire
moelle est toujours pâle, depuis les cornes anté- rieures jusqu'aux postérieures . Les faisceaux pyramidaux sont sclérosés et la
aire par lésion cérébrale. Une bande noire souligne, dans la moitié postérieure de la moelle, les cornes de la commissure. La z
itié postérieure de la moelle, les cornes de la commissure. La zone postérieure et médiane et ce qui représente le cordon posté
sure. La zone postérieure et médiane et ce qui représente le cordon postérieur est absolument sclérosée. Les cornes antérieu
d à s'effacer, le cordon de Goll est dégénéré jusqu'à la commissure postérieure . La coupe du 8e segment cervical montre encore
membres inférieurs (sciatique droit et gauche, tibial antérieur et postérieur gauches, saphène interne droit, nerf du triceps
descendante des faisceaux de Gowers et de la totalité des cordons postérieurs ). La compression spinale était produite surtout
anesthésie etl'analgésie ontenvahi les jambes, faces antérieures et postérieures . En l'absence d'autopsie on ne saurait dire si
ment de substance grise et de faisceaux blancs; chaque racine (la postérieure au moins) conserve son individualité pendant un
qu'elle produit unemyélite de voisinage 2. L'irritation des racines postérieures produit un symptôme qui ne fait presque jamais
n incliné, dont la description sera faite un peu plus loin. La face postérieure du dossier est munie de deux planchettes solide
anche, soit sur un petit cous- sinet, placé entre les deux branches postérieures de la pièce mentonnière. C'est un détail qui a
esquels non seulement la branche antérieure, mais encore la branche postérieure est affectée, dans lequel aussi une ou deux bra
46 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. noter, envahissement de la branche postérieure du nerf cutané externe, ce qui ne s'est rencont
ligne médiane, et embrasse en arrière le premier tiers. de la face postérieure : là les contacts ne sont pas perçus, la douleu
lisation des lésions tabétiques comme suit. On trouve les cor- dons postérieurs toujours atteints. Puis, ce sont les racines post
eux, fibres et cellules des colonnes de Clarke, cellules des cornes postérieures et antérieures, nerfs spinaux, nerfs craniens s
s intervertébraux, ou dans les nerfs péri- phériques et les racines postérieures , pour occuper, au sein de ces dernières, soit d
ns du tabes à début endogène, c'est-à-dire d'emblée par les cordons postérieurs , devient de jour en jour plus rare. Il est une
usqu'à la ligne des articulations métacarpo-phalangiennes à la face postérieure . Cette bande est limitée en haut et en bas par
diminuée sur la face antérieure du bras et de la main. Sur la face postérieure , le dos de la main est anesthésique et l'avant-
tour et entre les cellules ganglionnaires des cornes antérieures et postérieures , l'épi- didyme étant dilaté transversalement 1.
on des muscles, des ligaments, des nerfs périphériques, des racines postérieures et antérieures, des méninges et de la moelle ép
constaté guère que de légers troubles de la motilité des extrémités postérieures . Absence complète de l'analgésie de la région'a
ent atteinte de dégénérescence secondaire dans la - portion la plus postérieure , périphérique, du cordon latéral : elle commenc
et des fibres éparses des cordons antéro-latvruux ; 5° les cordons postérieurs restent indemnes, probablement parce que les segm
du foyer : 1° une dégénérescence descendante, en virgule, du cordon postérieur ; 2° une forte dégénérescence du cordon latéral
te du cordon latéral du cer- velet; 2° une dégénérescence du cordon postérieur ; celle-ci, diffu- sée à travers tout le cordon,
evée de la moelle dorsale, la dégéné- rescence ascendante du cordon postérieur .se manifeste par une décoloration du faisceau d
atéral des pyramides, et la descente de la dégénérescence du cordon postérieur , attri- buées par Struempell à une affection sy
ent le plus inférieur de la moelle, et, pour les libres ' du cordon postérieur au niveau du segment le plus élevé. Peut-être a
un homme de quarante-cinq ans atteint d'une affection des cordons - postérieurs relativement récente. A la hau- teur du septièm
t pénétré la substance blanche jusqu'à la paroi interne de la corne postérieure de l'hémisphère droit. 2° cas : hémianopsie dou
r l'hydropisie du quatrième ventricule se déplace surtout la partie postérieure de la moëlle allongée, laquelle est suspendue sur
ES. '145 la moëlle épinière; 4' grâce à la dislocation de la partie postérieure de la moëlle allongée, cette dernière se partag
e allongée, cette dernière se partage en deux moitiés antérieure et postérieure , et chacune de ces moitiés se développe séparém
deux ou trois premières minutes, paralysie complète des extrémités postérieures . Les pièces ont été soumises à la méthode de Ni
de la moelle, écrit Edinger, sur laquelle se-branchent les racines postérieures , donnent nais- , sance à des cylindraxes qui ap
près l'opération. . On trouve, à la suite de la lésion de la partie postérieure de la substance grise au niveau de la portion s
owers : une partie de ces fibres, par le faisceau spino-cérébelleux postérieur , une autre partie, par le faisceau spino-cérébell
et antérieures de la substance grise, ainsi que la base de la corne postérieure . La méthode de Nissl ne trahit aucune dégénéres
o-latéral qui n'appartiennent pas au faisceau latéral du cer- velet postérieur , ni au système intérieur du cordon latéral de Z
on peut lui reconnaître 1° des fibres spirzo-cérébelleuses anléro- postérieures , qui, avec le faisceau latéro-cérébelleux postéri
uses anléro- postérieures, qui, avec le faisceau latéro-cérébelleux postérieur , s'en vont au cervelet (système spinal antéro-l
oyen et au cerveau intermédiaire. Cela veut-il dire que les racines postérieures soient en connexion directe avec l'écorce du ce
vec l'écorce du cerveau ? Les plus longs- prolongements des racines postérieures se terminent dans les noyaux des cordons postér
des racines postérieures se terminent dans les noyaux des cordons postérieurs , dont les axones, abstraction faite du ruban de R
s neurones sollicités par les collatérales cinéréopètes des racines postérieures . Ce sont ces derniers éléments qui servent à la
n psychique beaucoup plus élevée que la grande zone d'association postérieure de Flechsig. Les numérotations de Flechsig sont e
inq ans montra à l'autopsie des lésions radiculaires et des cordons postérieurs très caractérisés. En somme un long traite- men
de cinq à six mois dans lesquels on peut constater que les lésions postérieures et radiculaires sont déjà établies. Enfin il y a
us prononcées dans les cordons antéro-latéraux que dans les cordons postérieurs . L'auteur qualifie les lésions du cerveau et du
ent de publier des résultats analogues, basés sur des applicaiioiis postérieures aux miennes. Veuillez agréer, mon cher Rédacteu
ien z La tête me fait mal Je percute la zone hyperesthésiée (bord postérieur du frontal droit) : Louis me dit qu'il sent des f
les parties extra et intra- médullaires des racines antérieures et postérieures , dans les cor- dons postérieurs et latéraux; pa
llaires des racines antérieures et postérieures, dans les cor- dons postérieurs et latéraux; par leur aspect ces amas diffèrent d
ifs. Suit le détail de ces 23 observations Dégénération du ganglion postérieur ou spinal et des vérifications périphériques da
quaille et du Perron. Les injections ont été pratiquées à la partie postérieure et supérieure, ou externe des fesses et ont été
rieure. On constate une diminution de volume des segments du cordon postérieur , qui* tient ou peut être rattachée à une lésion
qui* tient ou peut être rattachée à une lésion spéciale des racines postérieures . Ce n'est pas tout. La méthode de Weigert el Pa
thode de Weigert el Pal montre une décoloration manifeste du cordon postérieur droit, mais seulement au niveau de l'entrée des
postérieur droit, mais seulement au niveau de l'entrée des racines postérieures qui paraissent dégénérées, et dans la moelle do
la moelle lombaire inférieure, en rapport avec l'entrée des racines postérieures correspondant au membre amputé, où elle a la mê
t avant tout, à un remarquable degré, les prolongements des racines postérieures . Comment se fait-il que la décoloration, déjà v
rte guère groupées, et que les fibres qui correspondent aux racines postérieures du sciatique occupent la ligne médiane. Quant a
ligne médiane. Quant aux fibres à trajet longitudinal de, la corne postérieure , elles étaient en l'espècé peu réduites, tandis
t à droite presque disparu : les trousseaux qui rayonnent du cordon postérieur dans la substance' grise avaient de ce côté for
on plus de dégénéres- ' cence des fibres longitudinales de la corne postérieure : chez un' de ces animaux qui avait subi la sec
animaux qui avait subi la section de la moelle lombaire, le- cordon postérieur avait dégénéré au-dessus du lieu d'intervention,
d'intervention, tandis que les trousseaux transverses de- la corne postérieure ne décelaient que quelques traces disséminées d
e à travers la substance grise qui provenaient, non pas du cordon postérieur , mais du cordon latéral exclusivement. P. Keraval
probable de l'oculo-moteur commun et du nerf optique à l'extrémité postérieure de l'orbite. ' Dans l'espèce on est favorisé, p
i orbitaire. mais sont également compatibles avec une fracture plus postérieure de la fosse moyenne du crâne. P. Keraval. XXX
ie supérieure de la circonvolution centrale antérieure et la partie postérieure de la première frontale. Sur la face intérieure
les extrémités : s'il n'y a pas de signes d'une lésion des racines postérieures et des nerfs sensitifs périphériques, il n'y a
des spasmes toniques et cloniques de tous les muscles de la partie postérieure du tronc et des extré- mités inférieures; sans
s sémlcs des arteres ou à des lésions syphi- litiques des vaisseaux postérieurs de la moelle, aboutissant soit à l'obstruction,
ne d'extrême hyperesthésie qui descend jusqu'aux aines. A la face postérieure du corps, la zone de sensibilité normale s'éten
ritable lésion en foyer, intéressant le centre de l'audition (tiers postérieur de la première temporale et circonvolution supra-
u point de vue anatomique, par l'exis- tence au niveau de la région postérieure de foyers plus ou moins circonscrits de méningo
1° Les fibres émanées de l'olive bulbaire aboutissent à la partie postérieure du corps ciliaire du cervelet; elles méritent, pa
llrneau antérieur, à l'écorce du pulvinar, c'est-à-dire à la partie postérieure de la;couche optique. De ces trois territoires
ps genouillés externes, tubercules quadrijumeaux antérieurs, partie postérieure des couches optiques. ' Les autres pénétrant
rébro-spinal se mêleraient aux fibres du tiers pos- térieur du bras postérieur de la capsule interne, pour gagner ensuite les
upérieure du pédoncule céré- 1 . bral, se dirigent vers la partie postérieure de la capsule interne. Là, elles se condensent
la scissure calcarine d'un seul côté. Consé- quemment, cette partie postérieure de la scissure calcarine doit être un lieu d'ab
la dépendance des deux centres corticaux, localisés dans la partie postérieure de la scissure calcarine de chaque hémisphère.
alimenté à la fois par deux artères distinctes, par ta. céré- brale postérieure et par la branche occipitale de l'artère, sylvi
que une lésion du lobe temporal gauche; principalement de la partie postérieure des première et deuxième circonvo- lutions temp
li courbe de l'hémisphère gauche, territoire qui embrasse la partie postérieure de la deuxième circonvolution pariétale et la p
es représentent le territoire de distribution de l'artère cérébrale postérieure . SUR TROIS cas d'hémianopsie. 467 térieure. E
, à la face interne des hémisphères (/{. 28), ainsi que la partie postérieure des trois circonvolutions occipitales et de la
rijumeau antérieur, par le corps genouillé externe et par la partie postérieure de la couche optique (pulvinar), sont de vérita
x antérieurs. Au contraire, les lésions qui inté- ressent la partie postérieure des couches optiques donnent incontestablement
ntrale est seule conservée, ce qui suppose l'intégrité de la partie postérieure du fond'de la scissure calcarine, d'un côté au
dépend d'une lésion du corps genouillé externe Cge, ou de la partie postérieure de la couche optique, du pulvinar P, est toujou
ale. Il en est encore de même, quand la lésion siège dans l'angle postérieur E, ou dans l'angle antérieur D du chiasma. Le siè
aralysies agitantes prolongées, par suite d'altérations des cordons postérieurs ; les douleurs rhumatismales si fréquentes REVU
- cale et dorsale. Dans la moelle lombaire, la lésion des cordons postérieurs était encore plus accentuée. Ce sont des altérati
, que la diminution porte surtout sur le grand centre d'association postérieur . De l'équilibre volitionnel statique et de l'éq
77 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e marque son em- preinte sous forme d'un léger sillon sur la partie postérieure de l'olive et le bord inférieur de la protubéra
u contraire, le facial traverse la tumeur, a l'u- nion de son tiers postérieur avec les deux tiers antérieurs : l'en- trée du
n appréciable ù l'oeil nu, des centres ner- ^eux, sauf, à la partie postérieure de la moelle dorso-lombaire, de nombreuses plaq
les ; le thorax est glabre à sa face anté- rieure, mais sur sa face postérieure , il présente un duvet abon- dant ; l'abdomen et
e est plus petit et moins bombé que le droit. L'artère communicante postérieure gauche est plus petite que la droite. Glande
u lobe frontal sont un peu grêles. Les circonvolutions de la partie postérieure du lobe temporal et du pli courbe présentent un
contre les capillaires et les petits vaisseaux à la base des cornes postérieures ainsi que dans la ré- gion intermédiaire aux co
es postérieures ainsi que dans la ré- gion intermédiaire aux cornes postérieures et antérieures. 11 en est qui sont accolées aux
es curnc anlricurm ; il 1·n c·L lui traversent la base des cornes postérieures pour s'y répandre. La majeure partie de ces libre
deux côtés dans la partie postéro-interne du faisceau longitudinal postérieur , il a été trouvé des mottes noires disséminées,
externe. Plus bas, là où il y a fusion des segments antérieur et postérieur du corps genouillé externe, ce faisceau dégénéré
es qui portent sur la portion la plus anté- rieure de la commissure postérieure , ce tractus occupe la lisière de la calotte : i
eil supérieur (médian). Plus bas encore, il est en arrrière du bras postérieur des tubercu- les quadrijumeaux, jusqu'à ce qu'e
Troisième émanation dégénérative. Les coupes portant sur la moitié postérieure du tubercule quadrijumeau antérieur décèlent, à
e intercalée entre le ruban de Reil supé- rieur (médian) et le bras postérieur des tubercules quadri-ju- meaux. Elles occupent
le plus fort diamètre, le faisceau en question occupe la périphérie postérieure et externe de cet organe. Au-dessous de l'entre
le dorsale, le faisceau pyramidal se colle étroite- ment aux cornes postérieures et dépasse en avant la corne laté- rale, de sor
x. Moelle plus dure que normalement : substance blanche des cordons postérieurs de la moelle dorsale inférieure un peu grise et
e des faisceaux de Gowers et des faisceaux cérébelleux. Les cordons postérieurs , notamment les cordons de Goll, sont dégénérés
st descendu par les cornes antérieures, puis remonte parles cordons postérieurs (dégénéres- cence ascendante). P. Keraval. XI
et étroit a perforé la couche musculaire et la membrane obturatrice postérieure , tout contre le bord externe du trou occipital,
noyau du fa- cial oculaire qui irradie par le faisceau longitudinal postérieur . » P. Keraval. IV. Ophthalmoplégie interne tr
e, et associ(·e it l'want-Ira, à une atrn- phie de quelques muscles postérieurs ; une augmentation de la consistance des muscle
ille ro- P,\ll'l'l1e (le la jamhe, de l'hypertrophie dans la région postérieure avec contracture, douleur sciatique. Le malade
trois sortes de centres. Chaque membre anté- rieur et chaque membre postérieur possède son centre propre; les deux membres ant
son centre propre; les deux membres antérieurs et les deux membres postérieurs possèdent chacun le sien; les quatre extrémités
hi'l'cs .lcu,} : /'('III,'('s de (li('I'- gence oculaire, un centre postérieur placé dans le ¡n l'US angu- laire (pli courbe)
la région motrice, participe aux mouvements volontaires. Le centre postérieur , à raison de sa to- pographie, se rattache au c
aussi des raisons de croire que noire centre de divergence cortical postérieur est en rapport avec le tubercule quadJ'ijull1cau
e qui occupe la face externe du lobe occipital el la partie la plus postérieure du lohe pariétal. La partie posté- "" rieuredel
région oc- cipitale externe, depuis le lobe pariétal jusqu'au pôle postérieur et sous la tente du cervelet, on provoque une a
tincte et les signes de la cécité psychique. En l'espèce, la partie postérieure est en rela- tion avec les deux rétines. On n'o
occipital jusqu'au sillon pariélo- occipilal et celle de la partie postérieure du lobe pariétal provo- la vision distincte), d
s zones perceptives qui comprennent toutes les zones asso- ciatives postérieures sont des centres de formation et de conser- vat
démontrer le passage des ima- ges du centre de perception au centre postérieur d'association, qui serait, selon ! "Ie('hig, au
as de surdité verbale avec destruction hi la 1t"l'Hle (le la moitié postérieure do la première tem- porale, dépourvu d'amnésie
ue dans l'alexie. Il s'agirait en gros (Lu pli courbe, de la partie postérieure du lobule pariétal infé- rieur (supramarginal),
e du lobule pariétal infé- rieur (supramarginal), et de l'extrémité postérieure des 2° el 3e tem- porales du côté gauche, tandi
es absolument individuels, disposés chez le singe dans les segments postérieurs de la deuxième frontale ; ils sont topographiqu
séance. Région syl vienne ; 3° séance, Hari- ne> antérieures et postérieures de la moelle. - Epreuve de garde : l". .séance
aisceaux sagittaux du lobe occi- pital relie axant tout les parties postérieures du thala- mus optique avec l'écorce pariétale.
apsule interne mêlées aux libres de mouvement dans toute la branche postérieure ; et, conservant ainsi des rapports intimes à t
chez des chiens, les divers segments des extrémités antérieures et postérieures , les auteurs étudient l'état des différents gro
eynerl ; ces fibres tendraient ensuite par le faisceau longitudinal postérieur , à gagner le cordon antérieur de la moelle du c
c ! ¡1Ú¡wl, Ell bien ! les fibres qui \ont au faisceau longitudinal postérieur contiennent-elles celles qui viennent du noyau
d toujours plus loin aux fibres connexes el voisines. Les cordons postérieurs peuvent dégénérer, tandis que les raci- nes pos
Les cordons postérieurs peuvent dégénérer, tandis que les raci- nes postérieures demeurent intactes et les racines(·lant dégénérée
res demeurent intactes et les racines(·lant dégénérées, les cordons postérieurs pcuvenl demeurer indemne ? La lésion des cordon
ordons postérieurs pcuvenl demeurer indemne ? La lésion des cordons postérieurs peut doncêtre indépendante de celle des racines
cordons postérieurs peut doncêtre indépendante de celle des racines postérieures . - Or, ce n'est pas la lésion des racines posté
es racines postérieures. - Or, ce n'est pas la lésion des racines postérieures qui occa- sionne le (abcs, mais inversement, la
ène,clui com- merce par la zone de Charcot ctPil'l'I'ct des cordons postérieurs de la moelle (zone intermédiaire, bandelettes e
e, provient d'une intoxication syphilitique chroni- que des cordons postérieurs . Cette zone est sans exception, dans tous les (
bles des échanges nutritifs, la partie la plus sensible des cordons postérieurs ; c'est pour cela que les dégénérescences hydro
comme dans le tabès, les autres parties les plus voisines du cordon postérieur et aussi les racines posté- la lésion de la one
ncement, l'impression du chaud et du froid sur la peau de la partie postérieure du tiers moyen du massélcr provoquent chez cert
n arrière du pavillon de l'oreille, par la contraction delà portion postérieure du muscle élévateur auriculaire supérieur et du
élévateur auriculaire supérieur et du muscle rétracteur auriculaire postérieur de ce pavillon. La région excitée étant innervé
ires en ques- tion reçoivent la branche antérieure de l'auriculaire postérieur du facial, c'est un réflexe. 11 manque, chez le
nvulsions débutent par les membres, le plus souvent par les membres postérieurs . Fréquente rotation de la tête ducutéopposé eL
nutes sans mouvement, l'oeil hagard, la tête penchée, puis le train postérieur oscille, chancelle, et le chien tombe de 294 RE
que jusqu'au bulbe, mais, dans toute son étendue, limitée à l'étage postérieur ou tegmeulum, et ne touchant pas à la base de l
de la vue est extrême- ment large : elle s'étend à toute la partie postérieure de la surface de l'hémisphère et il la région p
llon crucial. La destruction de la face supéro-externe de la partie postérieure de l'hémisphère détermine une hémianopsie homon
rches sont nécessaires. La lésion de la face interne de la partie postérieure d'un hémis- phère détermine toujours de l'hémia
al delà v ision, chez le chien, occupe la partie interne du segment postérieur de l'hémisphère. Pour s'en convaincre, il faudr
. P. KERAVAL LXXVI. Contribution à l'étude anatomique des cordons postérieurs ; par N.\GEOTTE.(XOliV. Iconogr, de la Salpéirièr
tabès incipiens. Conclusions : 1. Les fibres endogènes des cordons postérieurs , à la région lom- hu-sacrée. doivent être divis
divement dans le tabès. \'l. Le réseau des fibres fines de la corne postérieure est de nature endogène. Vil. Les colonnes de Cl
lonnes de Clarke ne paraissent pas recevoir de libres des raci- nes postérieures situées au-dessous de la 3" lomhaire. \'lll. La
ire. \'lll. La bandelette externe ne louche en aucun point la corne postérieure ; elle prend à la région dorsale inférieure une
des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux antérieurs et postérieurs chez les vertébrés supérieurs (lapins et souris
303 dendrites des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux postérieurs et des tubercules quadrijumeaux antérieurs. Les
rôle qu'elles jouent dans la patboge- nie de l'atrophie des racines postérieures et des dégénérescen- ces médullaires; mais elle
e fièvre. Ces douleurs-types-là indiquent la sclé- rose des cordons postérieurs et tiennent à la dégénérescence des racines pos
des cordons postérieurs et tiennent à la dégénérescence des racines postérieures qui, pour bien des auteurs, est le point de dép
ns l'épaississement pie-mérien au lieu de pé- nétration de» racines postérieures . (Obersteiner et litalliclt). Elles alternent a
-·-ltcytoml, l'hylterccitabiliL de l'écorce au niveau de la pal'lie postérieure de la deuxième fron- tale, et du tiers inférieu
au stade du vers ou de l'am- phioxus. D'autres, réduits au cerveau postérieur , et par suite aux sensations et instincts, inca
Jntale de la moelle dans les régions en question. - L'innervation postérieure se fait par groupe antéro-interne de cellules ;
nnerver les muscles les plus éloignés occupent les environs du bord postérieur delà même corne. Pour le plan transversal de.la
quand les cellules mo- trices destinées aux parties antérieures et postérieures du myo- tome sont contiguës sur une ligne trans
se, ce sont celles qui sont en dehors qui correspondent aux parties postérieures , celles qui sont en dedans correspondent aux pa
du volume d'un petit oeuf de poule siégeant en ar- rière delà corne postérieure du ventricule, séparée de celui-ci par 384 REVU
iens adultes ont prouvé l'existence dans le tubercule quadri,jumeau postérieur d'un centre de la respiration et de la phonatio
ent la scène. ramollissement peu étendu de la substance grise (zone postérieure exceptée) surtout au niveau du deuxième segment
aux fléchisseurs indiquent un loyer localisé à la base de la corne postérieure droite détruisant le faisceau pyramidal au-dess
et hémianopsie droite par thrombose probable de l'artère cérébrale postérieure . Contractures familiales. MM. GILBERT Ballet
Faune LIE II : LIEU a OhI'I'1 é dell cas avec evteiision il la lace postérieure de la moelle dans les hémorrliagies cérébrales.
les des- nerveuses des tuber- cules quadrijumeaux anté- rieurs et postérieurs chez les vertébrés supérieurs,par Czar- nieck
niques et clo- niques, par Samaja, 141.- Voir Phimosis. Cordons postérieurs .. Contri- bution à l'étude anatomique des , p
78 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
extrémité antérieure de la 3e circonvolution frontale, 2° extrémité postérieure des 1 Il', 2e et 3e frontales; 3° extré- mité i
inférieure de la frontale ascendante ; 4° trois îlots sur la lèvre postérieure du sillon de Rolando.; 5° partie posté- rieure
rieur; 8° lobule du pli courbe. Face interne. 1° Ilot à la partie postérieure de la lrc fron- tale ; 2° à un centimètre de l'
ostérieure de la lrc fron- tale ; 2° à un centimètre de l'extrémité postérieure de la cir- convolution du corps calleux; 3° à l
pariétale ascendante; 4°le lobule pariétal supérieur; 5° la partie postérieure de la première temporale; 6° la partie moyenne
convolution ; - un sur la frontale ascendante ; un sur la partie postérieure de la troisième circonvolution temporo- sphénoi
îlot à la partie antérieure de la 2e frontale; sur les deux tiers postérieurs de la 1 rye frontale, vaste noyau, presque plan
alement sclérosé en partie. L'induration s'étend jusqu'à la lèvre postérieure du sillon de Rolando qu'elle envahit ; sur le l
en ar- rière seulement. Teint ecchymotique de la région cervicale postérieure et du cuir chevelu, lequel est bouffi, cedéma-
. Plusieurs coupes n'ont pas fait découvrir de sclérose des cordons postérieurs . l'I1.01'a : \ ? C,,luclclues adhérences pleura
scissure rolandique gauche qui est aussi au niveau de l'extrémité postérieure du premier sillon frontal, mais qui est trop co
nastomose des deuxième et troisième circonvolutions frontales : une postérieure horizontale, continue en arrière avec la partie
rontale est divisée de cha- que côté en deux parties, antérieure et postérieure , par l'angle supérieur de la fosse sylvienne et
- sure est ici extrêmement atrophié; c'est dans la partie la plus postérieure de cet espaco qu'est localisée la faculté de la
épare le sillon pariétal en deux fragments : l'antérieur étoile, le postérieur différent des deux côtés; à droite, il est hori
(Broca, loc. cit., p. 491.) A droite, une seconde incisure courbe, postérieure à la pre- mière, se continue avec elle. A sa pa
élargit vers l'extrémité du premier sillon temporal, dans sa partie postérieure qui présente plusieurs incisures conti- nues av
le deuxième sillon temporal, s'étendant horizontalement sur la face postérieure où vient aboutir, au-dessous de son extrémité i
rconvolution temporale se fusionne avec la quatrième dans la partie postérieure et en est séparée en avant par un sillon étendu
e devient verticale pour se terminer un peu en avant de l'extrémité postérieure du quatrième sillon temporo occipi- tal. De cet
, dans une dépression qua- drilatère, dont les angles antérieurs et postérieurs se pro- longent en branches étoilées. La branch
ec la scissure calcarine, mais séparée anormale- ment de la portion postérieure de la scissure occipitale interne comme par une
e en bas, diminuant beaucoup la largeur du pli pariéto-lim- bique postérieur ; du même côté, le pli antérieur rejeté sur le b
; toutefois, le pli antérieur est superficiel chez les chats et le postérieur chez les petits chiens (Broca, loc. cit., p. 45
ua- drilatère droit présente, en outre, tout le long de sa partie postérieure , une incisure courbe qui se jette dans la scissur
491.) La scissure sous-fron- tale présente, à droite, une incisure postérieure peu mar- quée, qui est l'incisure préovalaire.
orbitaire inférieure est longue et normale, sinon que son extrémité postérieure est à gauche continue avec la rainure du corps
: 370 grammes. Le péricarde ne renferme pas de SCLÉROSE DES CORDONS POSTÉRIEURS . 71 liquide. Les cavités cardiaques sont occupé
'adhérence des méninges est moins prononcée au niveau des cordons postérieurs que sur le reste de l'axe nerveux. L'examen de
ide de sections espacées d'un centimè- tre, la sclérose des cordons postérieurs se montre évidente au simple regard. Elle prend
poussées successives. Quant à la convergence des encoches à la face postérieure de l'exostose, peut-être doit- on en voir la ca
hropathies qui s'observent dans le cours de la sclérose des cordons postérieurs (Revue photographique des hôpitavx, 1870, pages
culaires qui survenaient dans le cours de la sclé- rose des cordons postérieurs . Toutefois, les divergences d'ordre anatomo-pat
On trouve un foyer atrophi- que qui a détruit : 1° Toute la partie postérieure de la troi- sième circonvolution frontale (le r
asymétrie. La suture sagittale commence à s'oblité- rer à sa partie postérieure , et l'oblitération est plus mar- quée en avant
de la forme du sacrum qui est tellement courbé en avant sur sa face postérieure , qu'il forme, avec le coccyx, la moitié d'une c
a ca- lotte osseuse présente une différence des diamètres antéro- postérieurs de chaque côté. A gauche, la longueur excède ce
ombreux plis de passage, qui semblent plus abondants vers la partie postérieure de l'hémisphère. En ce même point la consistanc
ve les anses intestinales, affaissées, vides, ac- colées à la paroi postérieure . - Estomac, normal, n'of- frant aucune particul
âtre, dont la coupe donne issue à de la sérosité purulente. La face postérieure du lobe inférieur est le siège d'ecchymoses sou
e à sa partie antéro-supérieure. Adhé- rence du péricarde à la face postérieure du plastron sternal, principalement à droite.
t en même temps très friable. On trouve à la partie moyenne du bord postérieur une caverne gangreneuse à parois grises noirâtr
- dalc. T*2, deuxième circonvolution temporale dont l'extrémité postérieure est lésée. l ? lobule du pli courbe. L 0, lob
79 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
- loppement des circonvolutions. Atrophie du coin et de la partie postérieure de L. Q. Congestion très intense du poumon droi
llaires faibles à la face interne - Dépression marquée de la région postérieure donnant une apparence de coeur à la tête. Plagi
istique : saillies des bosses pariétales et dépression de la partie postérieure de la région pariétale et de l'occiput. - Orifi
s de Santorini à un demi centimètre à droite et à gaucho du tiers postérieur de la suture sagittale. Encéphale, - Il s'écoul
t d'aspect absolument sain dans ses deux tiers antérieurs. Le tiers postérieur participe à l'aplatissement et il, l'atrophie d
ro-spliénoïdales sont un peu aplaties et atrophiées, mais la partie postérieure de la circonvolution de l'hippocampe est réduit
re interpariètale (Sc.ip.), très accus.Se, surtout dans sa partie postérieure , se prolonge jusqu'au contact de la scissure per-
s le lobttle ta7'acelllral (L.1'.) et vers les angles antérieurs et postérieurs du lobule quadrilatère (L.Q.). z Corps calleux
Troisième circonvo- Lutiol2 temporale (T3.) dédoublée il sa partie postérieure , nettement séparée des circonvolutions voisines
de I'I. Lobule paracentral, se continue Autopsie. 37 à sa partie postérieure par un pli de passage avec le lobule quadrilatè
nt oblitéré et appliqué par le péritoine contre la paroi abdominale postérieure . - Pas de trace d'ulcérations sur l'intestin. L
to est très nettement et très profon- dément accusée; son extrémité postérieure va presque rejoin- dre la scissure perpendicula
convolution du corps calleux (C. C. C.) est très-large à. sa partie postérieure ; son bord supérieur qui correspond à la scissu
s proéminences : deux à la partie moyenne, la troisième à la partie postérieure . Le corps calleux (C. C) est normal. - Le lobul
riéto-liinbique antérieur (p.p.a.) est net. Le pli parièto-limbique postérieur (p.pjp.jest très développé. - La corne d'Ammon
its îlots. La circonvolution du corps calleux est large à sa partie postérieure . Le corps calleux est normal. - Le lobule parac
ouges et congestion- nés, - L'appendice vermiforme est en situation postérieure . Il présente trois dilatations qui laissent s'é
eole maligne. - Autopsie : au cerveau, légère atrophie de la partie postérieure de la pre- mière circonvolution temporale droit
du cubitus au niveau du poignet. La peau de la région externe et postérieure des bras est sèche et légèrement squameuse. Les
en de particulier si ce n'est de la congestion hypostatique au bord postérieur des deux poumons. - Coeur : 55 grammes, un peu
les sutures persistent et les fontanelles sont ossifiées. La partie postérieure gauche du crâne est plus développée que la droi
est très profonde. F3 est aplatie et peu développée dans son tiers postérieur . FA est assez oblique de bas en haut et d'avant
volution du corps calleux est fortement aplatie surtout à sa partie postérieure . fui et le lobule paracenlral n'offrent rien de
ds. Ainsi que le montre la PL. VI, les circonvolutions de la moitié postérieure de la face interne, y compris la circonvolution
déprimés que du côté droit. (PL. VIII.) La comparaison de la moitié postérieure des PL, VI et VIII est très instructive et met
les régions aplaties sont surtout le lobe quadrilatère et la partie postérieure de la circonvolu- tion du corps calleux. (Chez
es. Cheveux blonds, abondants, bien plantés ; pas d'épi, tourbillon postérieur médian. Visage de forme allongée. Arcades sourc
rticulier. - Les deux lobes frontaux sont acco- lés dans leur quart postérieur . Cerveau l/hémisphère cérébral gauche parait un
qui termine FI, F3 devient grêle et aplatie au niveau de son tiers postérieur , une incisure très profonde la coupe un peu ava
, vers la corne frontale, puis cinq avec F2. Au niveau de son quart postérieur est le dernier pli de passage avec F2 qui sembl
ui semble continuer la circonvolution; une incisure sépare le quart postérieur qui se jette dans FA. F2 a la forme d'une S cou
sont entre elles sont peu profonds, surtout dans leurs deux tiers postérieurs , de sorte qu'il est difficile de les décrire co
'adhérences. Nombreu- ses adhérences sur l'ara1l1-coin et la partie postérieure de la circonvolution du corps calleux. Aucune r
es sur le gyrus rectus, et d'autres plus abondantes sur la moitié postérieure de la circonvolution de l'hippocampe, de T1 et de
eure de FA qui parait n'être que le prolongement de ].'2, La région postérieure de ] ? 1 est plus grêle et moins développée que
ssage. De multiples adhérences méningitiques existent à la partie postérieure de Ta. Le lobe occipital forme trois petites ci
ce interne. Rien à noter pour Fi. - Le lobe paracentral a sa partie postérieure peu développée. L'avant-coin est atrophié et es
inage du coecum ; pas de perforation. - Coecum noirâtre à sa partie postérieure ; à ce niveau le péritoine pariétal est rouge et
ront et sur les tempes : pas de cicatrices, pas d'épi, tour- billon postérieur médian. Le crâne est rond, volumineux, plagiocé
rotubé- rance occipitale externe, dépression en méplat de la face postérieure du crâne. - Face très développée, mais pas tout
nci- sures. T2 et T3 offrent des caractères analogues à la partie postérieure de Ti. Ces deux circonvolutions sont confon- du
gion lombaire, les fesses et les cuisses : poils fins sur la moitié postérieure des bras. b) Etat physiologique. - Rien de pa
tres loyers de sclérose occupent le lobule paraccntrat il sa partie postérieure , la région antérieure du coin, la corne occipit
n sillon. Le premier, antérieur, a 2 cm. 1/2 de diamètre, le second postérieur 1 cm. f 2. 5° Le tiers moyen de FA est encore l
yer, qui semble la continuation du noyau pariétal, occupe la moitié postérieure du lobe occipital. Sclérose tubéreuse. 193 Un
se de la corne sphénoïdale, subit la même altération dans son tiers postérieur . Face inlerne. 1 ? à deux centimètres de l'extr
, pli pariéto-limbique antérieur. Il Il 1>, pli pariéto-limbique postérieur . C A, corne d' : \mmon. BOORNEVILLE;Bicêt ? '
p a, pli pnriélo-linshiquc antérieur. p p p, pli pariélo-lil11biquc postérieur . Se p e, scissure perpendiculaire interne c a
80 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
cornes de substance grise. La première aurait seule, avec les cornes postérieures , du moins pour une part, un rôle sé-rieux dans la
re complè-tement, les scléroses systématiquement limitées aux cordons postérieurs doivent être rattachées à une irritation occupant
rdination est quelquefois uni-latérale et siège surtout dans le train postérieur . A la suite d'une forte ingestion de Hachisch,
l, de l'abattement et de l'incoordination des mouvements dans lefrain postérieur qui persista pendant douze heures (À. Voisin et H
A la longue, on note de l'incoordination des mouvements dans le train postérieur , des frissonnements, et l'ani-mal meurt dans un é
iques, sphériques ou allongées. Elles sont plus abon-dantes à la face postérieure du cou et des épaules. Enfin, M. Malassez a remar
e, nous retrouvons tous les filets nerveux du radial et de la branche postérieure du cubital. Avec ces connaissances, il est faci
e, la position du sujet doit être telle que la pierre occupe le point postérieur de la paroi vésicale ou touche le talon du lithot
et écartées doivent reposer, non pas sur les talons mais sur la face postérieure . La manœuvre d'introduction du lithotribe est l
is jours. Elle présentait une tumeur volumineuse siégeant à la partie postérieure du crâne et occupant en haut la région moyenne de
eau qui recou-vre le segment antérieur de la tumeur ; toute la partie postérieure et inférieure en est dépourvue. (Voyez Planches X
ique extra-crânienne, masse formée par la partie moyenne et la partie postérieure des hémi-sphères cérébraux, on cherche le cervele
c là une anse assez considérable, à convexité antérieure, à concavité postérieure (fig. 2). Cela explique pourquoi la troisième p
tumeur ne contiendrait que de la sérosité ; dans une seconde période, postérieure à la naissance, la tumeur contien-drait de la sér
Elle adhère à la troisième côte gauche et à son cartilage par la face postérieure de sa partie interne ; en dehors de ce pédicule,
dants du pédicule de la tumeur, est de 2 centimètres et demi. Sa face postérieure ne présente, non plus que sa coupe, rien où l'on
um, on pratique une incision étendue du méat urinaire à la commissure postérieure de la vulve, puis on dissèque lentement et avec p
, elle remplit complète-ment le creux poplité, et contourne la partie postérieure de l'os ; elle se continue également avec le tier
. —- P. 84. 3 mars.— Pendant la nuit, il s'est écoulé par la partie postérieure du bandage une certaine quantité de sérosité sa
, 30 heures après la mort.—Dans l'interstice des muscles de la région postérieure de la cuisse, existe un vaste cloaque, re-montant
t nous retournons la tumeur de façon à pouvoir l'examiner par sa face postérieure , nous trouvons à noter les parti-cularités suivan
la partie externe. Le paquet vasculo-nerveux repose donc sur la face postérieure de la tumeur et se trouve protégé contre toute es
fre en diamètre le tiers des pièces elles-mêmes, on peut voir la face postérieure de la prostate et des vésicules séminales, la fac
a face postérieure de la prostate et des vésicules séminales, la face postérieure de la vessie, les canaux dé-férents, le testicule
ncourt manifestement à relever le bord interne du pied. A la région postérieure , les muscles, parvenus à la base de l'angle formé
-pied. Lespéroniers latéraux décrivent la même courbe que les muscles postérieurs mais leurs fibres s'insèrent aux deux bords et au
se dévient avec eux. Il en est de même pour les vaisseaux et nerfs postérieurs ; ils se réfléchissent à la base de l'anse, échap
ux surfaces obliques taillées toutes les deux aux dépens de leur face postérieure , et cette juxtaposition se fait dans une étendue
ars. Plusieurs vomissements dans la matinée ; on aperçoit à la partie postérieure et supérieure de la cuisse droite et de la fesse
e, a pour effet d'augmenter la profondeur du cul-de-sac utéro-vaginal postérieur , ce qui rend nécessairement plus considé-rable la
it intact. La vulve était pelite, portée très en avant. La commissure postérieure était entière. Les bords de la plaie périnéale ét
ce la femme debout, la tumeur pend, comme un sac charnu sur la partie postérieure et supérieure de la cuisse gauche. La peau qui
e d'un galvanomètre communiquant avec des fils plongés dans le membre postérieur . Nous avons observé ces faits en 1868 avec M. Ch.
bservation sui- vante, une tumeur fibreuse développée dans la paroi postérieure de l'utérus donnait à la maladie un caractère bea
n sous-vaginale du col. — Complication de tumeur fibreuse de la paroi postérieure de Vuté-rus. — Pas de résection du col. — Mort. —
, la di-vise en deux lèvres : l'une antérieure, plus petite; l'autre, postérieure , plus grosse et descendant plus bas. Ces deux lèv
raissant du volume d'une petite orange et faisant corps avec la paroi postérieure de l'utérus, Cette tumeur est dure, de consistanc
7 centimètres pour la paroi antérieure et 9 centimètres pour la paroi postérieure . En raison de l'extrême débilité de la malade e
ens.—Les jours suivants, on applique, chaque jour, dans le cul-du-sac postérieur du vagin, un tam-pon de coton fortement imbibé de
e doigt introduit dans le vagin pénètre facilement dans le cul-de-sac postérieur ; le vagin est très-large, et l'on sent le col al
mètre appli-qué contre celui-ci et poussé jusqu'au cul-de-sac vaginal postérieur , on trouve 7 centimètres. Les signes fonctionne
le pénis, pendant l'acte sexuel, était introduit clans le cul-de-sac postérieur , en arrière du col hypertrophié. Dès lors, le coï
s au tiraillement du cul-de-sac utéro-vaginal et de la paroi vaginale postérieure . (A suivre.) REVUE ANALYTIQUE 'MALADIES DES F
musculaire. Le crâne et ses viscères gorgés de sang ; circonvolutions postérieures un peu aplaties ; substance cérébrale un peu dure
le et déborde l'ar-cade zygomatique. En arrière, elle dépasse le bord postérieur du muscle sterno-cléido-masloïdien; en avant, ell
le au centre, plus ferme en approchant delà base; une sorte de lobule postérieur offre une fluctuation manifeste, indice de la pré
s des dilatations artérielles. (Voy. Panche XXVIII.) Vu par la face postérieure , le pavillon de l'oreille présente les mêmes modi
: 1° La branche externe de l'occipitale, qui se rend dans les lacs postérieurs et externes ; cette branche est très-diiatée et b
une augmentation énorme de volume. 3° La temporale, par sa branche postérieure , se jette directement dans l'angle antérieur et t
17 avril. Deuxième injection, 6 gouttes dans les lacs supérieurs et postérieurs ; mêmes précautions que précédemment, c'est-à-dire
sant le pansement, hémorrhagie avec jet assez fort partant de la face postérieure du pavillon de l'oreille en bas et en arrière; on
L'artère temporale est volumineuse à son origine, mais sa bran-che postérieure est trouvée oblitérée presque immédiatement après
terne et se termine dans l'origine de l'hélix. L'artère auriculaire postérieure , au moins quadruplée de volume, contourne en bas
elle flexueuse. L'ar-tère examinée était une branche de l'auriculaire postérieure ; comparée à celle d'un sujet sain, elle offrait u
avons vu en effet le coït occasionner au niveau du cul-de-sac vaginal postérieur une douleur et une irritation fort vives. On conç
une étendue de 3 cen-timètres, à l'endroit où se forme son cul-de-sac postérieur ; 2° par la face postérieure de l'utérus, laquelle
es, à l'endroit où se forme son cul-de-sac postérieur; 2° par la face postérieure de l'utérus, laquelle est disséquée jusqu'au nive
on ancienne et parfaitement localisée. Vagin. Le cul-de-sac vaginal postérieur est très-développé ; le col de l'uté-rus mesuré p
probable que l'inflammation ait débuté au niveau de la paroi vaginale postérieure sous l'influence signalée plus haut, à savoir l'i
renversés, après l'incision pratiquée sur la ligne médiane de la face postérieure du vagin; ¦— OU, col utérin hypertro-phié; — V,V,
essie. — Sur cette planche, on voit les organes génPaux par leur face postérieure . La différence qui existe entre le corps de l'uté
consécutifs, la contracture du muscle sous-scapulaire et la luxation postérieure sous-épineuse de l'humé-rus bien étudiée par M. D
les cas où l'occiput occupe primitivement l'un des points delà moitié postérieure du bassin. La seconde partie, qui est surtout c
ns survenues au sujet de la fréquence relative des positions 0.1. 1). postérieures etO. I, D. an-térieures. Donnant la statistique d
I. P. antérieu-res y ont été beaucoup plus fréquentes que les 0.1. D. postérieures . Tandis que ces deux auteurs ont trouvé à peu prè
vé à peu près les proportions suivantes : pour les positions 0. I. D. postérieures 27 p. 100 et. pour les 0. 1. D. antérieures 5 p.
Baudelocque et de madame Boivin a obtenu pour les posi-tions 0. I. D. postérieures 2,03 p. 100 et pour les positions 0.1. D. antérie
este, comme pour tous les autres au-teurs, les positions 0.1. gauches postérieures sont de beaucoup les moins fréquentes. S'il est
au sein des vertèbres érodées; 2° l'ul-cération du ligament vertébral postérieur . Le pus caséeux se met alors en contact avec la d
ait à une grande hauteur en l'absence de toute altération des cordons postérieurs . Lorsque le malade meurt guéri de sa paraplégie
est situé dans un plan inférieur aux trois autres. Vue parla partie postérieure , cette portion sous-ombilicale paraît normale en
qui se continue par une peau épaisse avec les téguments de la partie postérieure . La peau est partout as-sez opaque, et l'épiderme
t caractéristique des déformations du squelette. Du côté de la face postérieure du tronc on voyait des déformations encore plus a
eure du col, allongée en feuille de myrte ou en fer à lance. La lèvre postérieure était plutôt raccourcie qu'allongée. Après avoi
81 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
crit une courbe à grand rayon à convexité antérieure, à conca- vité postérieure ; sa surface est dure et lisse. Du côté gauche on
u'à gauche, tant au niveau du quadriceps que des muscles de la loge postérieure de la cuisse. , Enfin, la chaleur locale est
directs et croisés, les faisceaux cérébelleux directs, les cordons postérieurs , la zone de Lis- sauer ; le triangle de Gomhaul
rquées à un examen macroscopique (coloration jaune-pâle des cordons postérieurs tranchant d'une façon très nette sur le fond pl
che) qu'à un examen microscopique (raréfaction légère des cor- dons postérieurs , avec un peu d'épaississement du tissu de soutène
ent du tissu de soutènement ; pas de véritable sclérose des cordons postérieurs ). Mais il est difficile d'af- ' , firmer que ce
e à des troubles vasculaires dans 1 le domaine des artères spinales postérieures . En résumé, des lésions de l'axe nerveux ont ét
tère fémorale apparaissait nettement dessinée, ainsi que la tibiale postérieure et le tronc tibio-péronier ; le malade de Medea
s en certains points qu'une épaisseur de 3 à 4 millimètres, le bord postérieur concave, complètement opaque, avait une épaisseur
s encéphaliques, ni à l'examen de l'encéphale. Sclérose des cordons postérieurs de la moelle. Lésions de méningite posté- rieur
par la proéminence des apo- physes épineuses de la région cervicale postérieure , notamment de la septième cervicale, tandis qu'
temps une gêne dans la déglutition et qu'à l'exploration de la paroi postérieure du pharynx on avait la sensation que l'un des c
bien dans les deux liers antérieurs (trijumeau), que dans le tiers postérieur de la langue (glossopharyngien). Chez notre mal
fet, pendant l'examen électrique des muscles de la région cervicale postérieure , la toux galvanique apparaît avec un milliampère
açon que la région occipitale semble enfoncée dans région cervicale postérieure comme par un coup de hache. Le cou est incliné
laire s'étend encore à tous les muscles de la gouttière cer- vicale postérieure et à la région scapulo-humérale des deux côtés.
scapulo-humérale des deux côtés. En examinant le cou dans la région postérieure (V. PI. XII, 6), l'on voit que la fossette norm
à l'atrophie profonde de lous les muscles de la région cervi- cale postérieure chez notre malade, de telle façon que le cliché r
einture scapulo-humé1'ale et des membres supérieurs . - Le faisceau postérieur du deltoïde, les muscles pectoraux (plus à droite
à droite et 2,5 m. Amp. à gauche (Ka CHC = An CHC). ' Le faisceau postérieur du deltoïde est très peu excitable au faradique (
iel de la D. R. sur les nerfs et les muscles de la région cervicale postérieure et de la ceinture scapulo-humérale. Nous retrou
l'l1o-cléido-mastoïdien, de tous les muscles de la région cervicale postérieure et des épaules. En plus il existe de troubles lar
présenté une atrophie de tous les muscles de la gouttière cervicale postérieure de façon que la têle tombait en avant et le men
éio- logie de l'atrophie cantonnée au muscle de la région cervicale postérieure et les troubles statiques et dynamiques survenu
e on constate une amyotrophie énorme dans toute la région cervicale postérieure , les épaules et la ceinture scapulo-humérale. L
sur la fonction et l'innervation des muscles de la région cervicale postérieure . Il fait remarquer dans son cas la conservation
anto-occipital. Sans l'action des muscles de la gouttière cervicale postérieure , la tête tomberait en avant, de telle façon que
ces derniers se contractent, les muscles de la gouttière cervicale postérieure se raidissent pour empêcher que la tête soit fl
ions des deux côtés donnent les résultats suivants' : 118 ZOSIN postérieure du plancher du 3° ventricule et de la partie anté
égale. Le IVe doigt de chaque côté a une base d'implantation un peu postérieure à celle des autres doigts. La peau des mains
tés beaucoup plus court, car il a une base d'implantation nettement postérieure aux autres. Ce doigt est claviforme à base très
lus évidemment celui des pieds, a une base d'implantation nettement postérieure à celle des autres doigts ; ce fait ressort trè
pien et du quatrième métatarsien qui est la cause de l'implantation postérieure des doigts correspondants, peut donc être consi
d'ail- leurs ne parlerait pas, puisque l'apparition du langage est postérieure à la nais- sance que son développement dépend d
e pédale en mouvement.Stürtz (142) a vu une contraction des muscles postérieurs de la cuisse chez un tanneur et un perceur ; Ed
de l'extrémité inférieure de la diaphyse. L'angle formé par le bord postérieur de la diaphyse et le bord supérieur du condyle, a
lement. Les cuisses sont hypertrophiées à leur partie antérieure et postérieure ; dans le lit elles sont en flexion et abductio
te elles ont subi un mouvement de torsion qui les rapproche du plan postérieur de la cage thoracique comme si elles se retourn
ration des artères, de même que dans nombre d'autres observa- tions postérieures : citons parmi les plus importantes celles de Gil
a frontale ascendante gauche et occupait, dans le second, la partie postérieure et externe du lobe occipital droit. La troisi
cancer de la plè- vre et les adénopathies néoplasiques du médiastin postérieur , la pommette et l'oreille correspondantes sont
culier de la face, des parties antéro-latérales du cou, de la face postérieure des avant-bras et des mains et sur les divers p
le diamètre d'une pièce de cinquante centimes, accolé à la branche postérieure de l'artère méningée moyenne, correspondant à une
I. - Tumeur cancéreuse, du volume d'une noix, située dans la partie postérieure el externe du lobule occipital droit et consécuti
e ovoïde, à plus grosse extrémité inférieure, se trouve à la partie postérieure et externe du prolongement occipital du ventricul
courbe qui est réduite à une lamelle très mince et creuse la partie postérieure de la circonvolution pariétale supérieure, au-
rt avec le cunéus, la scissure perpendiculaire interne et la partie postérieure du lobule quadrilatère ; elle affleure la portion
t les gencives et de pousser ensuite le bol alimentaire sur la face postérieure de la langue jusqu'à l'orifice pharyngien. On o
vée chez le chien hypophysectomisé (Livon). Si on examine la partie postérieure du cerveau séparé par une coupe verticale parié
croscopique. Les ganglions rachidiens et les racines antérieures et postérieures étaient d'apparence normale. Nerfs périphériq
mbaire ; sur ces ganglions rachidiens et les racines antérieures et postérieures de ces différentes régions ; sur les nerfs crur
résentent que des lésions fort discrètes. 3° Racines antérieures et postérieures . - A première vue les racines paraissent complè
antérieures quelques fibres en voie d'atrophie et dans les racines postérieures quelques très rares fibres fines terminées en m
es qui ont été signalées par MARINESCO et NAGEOTTE dans les racines postérieures de tabétiques, par MARINEsco et MERLE dans les fo
s. Les cellules funiculaires, 'les racines antérieures, les racines postérieures et les ganglions rachidiens ne sont guère altér
upent, sur toute la hauteur que nous venons d'indiquer, les cordons postérieurs qui sont atteints dans toute leur largeur, à l'
qu'une bande irrégulière, située de chaque côté du septum mé- dian postérieur . La moitié postérieure des cordons latéraux montr
ère, située de chaque côté du septum mé- dian postérieur. La moitié postérieure des cordons latéraux montre des lésions analogu
OELLE ÉPINIÈRE 371 enfin que, dans plusieurs racines antérieures et postérieures de divers segments, existaient des points très
tion marginale localisée, et d'un peu de pâleur diffuse des cordons postérieurs dans sa partie tout inférieure. Cette brève des
peu d'attention fait vite éviter l'erreur. Dans le septum médian postérieur , de nombreuses coupes montrent (fig. 18), autou
150.000 habitants). Tous ces cas ont été observés à une phase très postérieure de l'évolution de la maladie, c'est-à-dire 4 cas
quitté la clinique déjà au bout de deux semaines. Quant à son état postérieur , je sais seulement par des parents du malade que
s supérieurs de la moelle dorsale, et qui aurait atteint les cornes postérieures et les cornes antérieures dans toute cette étendu
dû trouver en même temps des symptômes dus à une lésion des cornes postérieures du renflement cervical, mais un examen répété n
es sensibilités thermiques passent ensemble, d'abord par les cornes postérieures , puis s'entrecroisent sur la ligne médiane, pas
iques, par le cordon latéral croisé, et l'autre est celle du cordon postérieur , j'entends le faisceau long, non croisé, de ce
ce que la sensibilité tactile possède encore une voie par le cordon postérieur . Par conséquent, si le sens musculaire seul est
sensibilité tactile) est dû à une lésion qui a atteint les cordons postérieurs à la partie supé- rieure de la moelle dorsale.
ématomyplie à son extrémité supérieure et qui a atteint les cordons postérieurs . En conséquence, le passage de la paraplégie du
alors restée normale, ce qui s'explique par le fait que les cordons postérieurs où nous avons, d'après l'opinion précitée, l'un
de lésion transversale complète, mais au contraire que les cordons postérieurs étaient intacts. Plus tard, la lésion transvers
sion symétrique des cordons latéraux, en même temps que les cordons postérieurs resteraient intacts. Cela cons- tituerait, en e
par l'inflammation des méninges qui a peut-être atteint les racines postérieures et qui y persiste. Notre observation XI nous fo
ettre une méningite et peut-être aussi une inflammation des racines postérieures comme cause de ces douleurs périphériques ; en
venir chronique, ayant peut-être atteint également quelques racines postérieures . Chez les sujets observés nous avons recherché
ce dernier cas, la paralysie ait disparu au cours de l'observation postérieure du malade ; Bernheim rapporte un cas où la paré
en somatique. -- Crâne, - Le crâne est allongé dans le sens antéro- postérieur (mésocéphale), mais dans son ensemble très petit
use de la cypho-scoliose cervico-dorsale la moitié droite du thorax postérieur apparaît plus développée et plus convexe que la m
rouvé dans la moelle des acromégaliques la dégénération des cordons postérieurs , dégénération que Strumpell a comparée à celle
es molles. Le profil du calcanéum est anguleux, pointu ; à son bord postérieur et inférieur, on voit des petits processus épin
le calcaneum a des proportions énormes, qu'il présente dans le bord postérieur des tra- ces plus ou moins évidentes d'ossifica
aire. Le naevus antérieur est situé sur un plan inférieur au naevus postérieur . Tous deux répondent aux 9e et 10e racines dors
u dessus de l'extrémité inférieure du radius, débordant sur la face postérieure du membre. C'est un naevus vasculaire avec lége
re; elle siège à cinq travers de doigt au-dessus de l'épine iliaque postérieure et supérieure gauche, au niveau du relief gauche
c'est à l'obliquité de cette racine qu'est dû ce fait que le naevus postérieur siège sur un plan plus élevé que l'antérieur (G.
en dehors ; la branche supérieure de ce fer à cheval croise la face postérieure du bras au niveau de la région deltoïdienne, de
face antérieure, abandon- nant pendant quelques centimètres la face postérieure du membre qu'il rejoint bientôt au niveau de l'
eau de l'avant-bras ; il croise ensuite de dehors en dedans la face postérieure de l'avant-bras au niveau de son extrémité su-
il est en effet difficile d'expliquer pourquoi le naevus à la face postérieure de l'avant-bras croise plusieurs territoires ra
effet suivre à l'avant-bras, le trajet des branches antérieures et postérieures du nerf cubital. Mais alors comment expliquer s
' niveau du membre supérieur, de la paroi antérieure et de la paroi postérieure de la poitrine. Nous avons donc été amenés à di
u ganglion spinal,ou plutôt des cellules ganglionnaires des racines postérieures de la moelle, ils doivent être distingués nette
élamérique : nous savons, en effet, qu'un certain nombre de racines postérieures ne traversent pas le ganglion spinal, mais chem
lo-métamérique, un processus toxi-infectieux qui a lésé les racines postérieures à une époque de la vie où les restaura- tions a
régions voisines, placées au même niveau : centres gris et racines postérieures . En somme nous voyons qu'il y a là un argument
mobilité partielle ou totale de la colonne vertébrale avec courbure postérieure , surtout de la portion supérieure de la région
ntérieure du lobe inférieur sont perméables à l'air, les deux tiers postérieurs du lobe in- férieur présentent de l'oedème et d
eaux latéraux pyra- midaux et dans la région ventrale des faisceaux postérieurs , ainsi qu'une di- minution notable de fibres à
tissu interstitiel de nouvelle formation. L'atrophie des racines postérieures est plus marquée que celle des racines antérieu
ulièrement intense au niveau de la région dorsale. Quelques racines postérieures de la région dorsale supérieure ne renferment p
e ; atrophie des racines de la moelle épinière, surtout des racines postérieures ; pachyméllingite cer- vicale chronique hypertr
a- ment long antérieur est complètement atrophiée; le ligament long postérieur est aussi atrophié. Le ligament intercostal ne
re dont les altéra- tions provoquent une dégénérescence des racines postérieures et en partie des racines antérieures, d'où résu
-patbo)ogiques suivantes de la colonne vertébrale : « Sur la face postérieure du sacrum, deux ostéophytes comblant ses goutti
pécialement suivant le diamètre antéro-postérieur et dans sa moitié postérieure ; il est asymétrique et présente les reliefs oss
enant, surtout par le travail de Wickman (comme aussi parle travail postérieur de Leegard) qu'il peut se présenter pendant des
es observations dans une clinique et n'a pu suivre le développement postérieur des cas qu'il a étudiés. 560 PETREN ET EHRRNBER
ent de ville surmontant l'inscription : « Mort aux flics. » La face postérieure est ornée d'un porc campé sur ses pattes de der-
trait du commissaire de police de Toulon », me dit S... Sur la face postérieure de l'avant-bras, on lit les deux inscriptions sui
TE cette commissure et une partie encore plus restreinte des fibres postérieures du côté opposé. Plus haut, après l'entrecrois
e; quelques rares fibres transversales la traversent dans la région postérieure . Le hile est entièrement démyélinisé; la capsule
ue l'on suit parfaitement jusqu'au corps restiforme et à des fibres postérieures qui suivent la ligne médiane pour se recourber
t un peu plus faible que du côté droit; de même on suit un faisceau postérieur assez bien développé. Fibres cérébello-olivaire
l médian ; il se prolonge en arrière jusqu'au faisceau longitudinal postérieur qu'il coupe. A sa partie moyenne le foyer détru
érieur gauche qui déçussent à ce niveau et le faisceau longitudinal postérieur . A sa partie supérieure le foyer sectionne la m
s et ne parait pas présenter d'atrophie. Le faisceau longitudinal postérieur est complètement dégénéré du côté gauche, on n'
ciation : faisceau central de la calotte et faisceau longitu- dinal postérieur . Il n'y a donc aucune relation directe entre la
: hydrocéphalie grave secondaire à une tumeur de la fosse crânienne postérieure . Dans ce cas l'auteur a constaté, hors les symp
e qui n'apparaissent qu'après l'enfance. D'autre part, l'expérience postérieure ne nous a pas 662 PETREN ET EHRENBERG fait co
homme en a pris connaissance. La pre- mière idée qu'il en a eue est postérieure et non antérieure à leurs mani- festations. On
fectionne- ment, mais la pensée est le plus souvent concomitante ou postérieure à l'acte réflexe. Être ennuyé par des choses en
82 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
r un gonflement énorme de la partie supérieure de l'épaule, à la face postérieure du deltoïde. Le malade est entré à ce moment à Be
lle de M. Morel-Lavallée, quia dû lui faire une inci¬sion à la partie postérieure de l'épaule. La cicatrice ne s'est pas fermée dep
gonflement considérable, analogue à celui qui s'était produit du côté postérieur , gonflement qui, comme le précédent, a abouti à u
l'acromion, et par conséquent un peu plus haut que celui de la partie postérieure qui était situé à 0m,05 ou 0m,06 de l'acromion. L
. Le malade a donc trois fistules, une antérieure datant d'un an, une postérieure datant de six mois, enfin une intermédiaire datan
e de pénétrer avec le stylet jusque dans l'articulation. La fistule postérieure , située au-dessous de la fosse sous-épineuse, je
se de cette partie jusqu'à la partie antérieure du muscle sur le bord postérieur . Les mouvements sont intéressants à étudier. A
st plus élevée que celle du côté sain. Les mouvements antérieurs et postérieurs sont encore un peu possibles ; le malade peut ava
sidérable comme les arthrites, par un énorme gon¬flement de la partie postérieure , suivi d'un abcès, après lequel il y a eu mieux,
mé un nouvel abcès. Enfin, il y a eu un troisième abcès à la partie postérieure de l'épaule. C'est ainsi que se comportent les sc
me je l'ai dit, elle s'est ouverte à la partie antérieure sur le bord postérieur du muscle deltoïde. Celle-là pourrait n'avoir été
tait contenu dans l'articulation. Il en est de même pour la fistule postérieure : c'est par le muscle sous-scapulaire que le pus
xploré celte artère ; elle est à sa place ; nous l'aurons à la partie postérieure et interne ; nous ferons attention, mais il n'y a
à la partie antérieure de l'aisselle, l'autre à la partie supérieure, postérieure et externe du bras, furent ouverts par M. Dolbêau
n plus difficiles. Au mois de mars, un nouvel abcès apparut à l'angle postérieur de l'aisselle et il se forma une fistule au nivea
les, surtout au moindre mouvement. Deux fistules, situées à la partie postérieure de l'épaule, donnaient issue à un suintement de s
e avoisinant les oreilles, en arrière par une autre crête à concavité postérieure (voy. pl. VI, une ligne noire incomplète). La moi
une déchirure profonde, dirigée de haut en bas, et occupant son tiers postérieur ; la déchirure se continue sur la couche optique
r. Au microscope, on aperçoit des corps granuleux dans les cor¬dons postérieurs , et plus particulièrement vers la partie supérieu
la main, mais elle entourait le membre environ dans les trois quarts postérieurs de son étendue. Nous n'avons pas vu le malade au
di, les battements des artères furent recherchés : ceux de la tibiale postérieure n'étaient pas per¬ceptibles ; quant à ceux de la
aître. Cette bande est située à en¬viron 6 centimètres de l'extrémité postérieure de l'infundibulum qui représente le vagin : dans
ans l'intervalle qui sépare ce dernier de la bande fibreuse, la paroi postérieure de la vessie est en contact immédiat avec la face
du bassi î, en arrière de la vessie, et décrit une courbe à concavité postérieure dont les extrô¬ mités se terminent dans chaque
homme mal conformé. LÉGENDE EXPLICATIVE DE LA PLANCHE. A. — Face postérieure de la vessie qui est rabattue sur le pubis. D. —
remblement général, poil hérissé, secousses convulsives dans le train postérieur . — 10h30: injection de dix gouttes de la solution
ons persistent. Le cochon d'Inde est couché sur le ventre, les pattes postérieures allongées. Bientôt il cherche à se relever sur le
lement continue. — llh15 à midi : a uriné ; se promène, mais le train postérieur est toujours plus faible. — Midi à midi et demi :
s-abondante ; secousses dans les pattes de derrière; parésie du train postérieur . — 10h25: convulsions généralisées ; urines abon¬
lsions cl uniques. — 10h30-35 : augmentation de la paralysie du train postérieur , où les convulsions paraissent avoir leur maxi¬mu
de la solution d'atropine. — 6M5 : Faiblesse et tremblement du train postérieur ; urine à deux reprises. — 6h20-40 : les symptôme
5-15 : poil hérissé; tremblement; marche titubante ; parésie du train postérieur ; mâchonnement. — 10M5-30 : le trem¬blement et la
-55 : selles, urines ; tremblement léger; parésie très-nette du train postérieur . — 10 heures : mâ¬chonne, efforts de déglutition.
o¬lution d'atropine. -9h35 : tremblement généralisé; parésie du train postérieur . — 9h40 : l'animal est couché sur le ventre; conv
fève de Calabar relativement à la dose d'atropine); parésie du train postérieur . — 10b20 : après avoir eu des convulsions dans le
Calabar. —5h25 : urine; inquiétude; tremblement; fai¬blesse du train postérieur . — 5h30 : les convulsions ont une inten¬sité de p
le assez ferme, normale. — Moelle: en arrière du cervelet sur la face postérieure de la moelle cervicale, quelques vaisseaux sont d
latérales. Membres supérieurs. Adroite, on trouve : 1° sur la face postérieure du coude une vaste cicatrice.avec des plaques de
ues de kéloïde, adhérente dans un espace circonscrit ; 2° sur la face postérieure de l'avant-bras, deux cicatrices, l'une enfoncée,
al sont très-bornés. La moitié inférieure du bras gauche, la région postérieure du coude, \avant-bras présentent une foule de cic
érieure n'offre aucune saillie, aucune bos¬selure anormale. — La face postérieure du foie est en partie recou¬verte par le rein dro
thropathies que l'on observe dans le cours de la sclérose des cordons postérieurs , ou ataxie locomo¬trice progressive, et chez les
thropathies qui s'observeixt dans le couks de la sclérose des cordons postérieurs de la moelle. Cette question a déjà été l'objet
ure, ne se contracte que d'une manière très-douteuse ; dans sa partie postérieure on n'aper¬çoit que de légères contractions enlre
'on est obligé de faire la liga¬ture des deux tibiales, antérieure et postérieure . 28 mars. Le gros orteil est froid ; bientôt il
res au-dessous du lobule de l'oreille droite, descend le long du bord postérieur de la mâchoire inférieure, puis s'infléchit et su
issu cellullaire des fesses, des lombes et de la partie inférieure et postérieure du thorax, et enfin de la paroi abdominale antéri
ie (Leçon du professeur Richet sur la), 1, 27. Sclérose des cordons postérieurs de la moelle, 193. Scrofulides cutanées et osse
antérieure). . 97 Planche XII. Monstre double mo- nocéphalien (face postérieure ). 97 Planche XIII..(Edème de la jambe 98 Planche
83 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
gion sacro-iliaque, la région de l'échancrure sciatique, la partie postérieure de la cuisse le long du sciatique, la partie exte
long du sciatique, la partie externe du creux du jarret, la partie postérieure de la malléole externe. La percussion de la rég
on sacro- iliaque, la région de l'échancrure sciatique, la partie postérieure de la cuisse le long du sciatique, la partie ex
long du sciatique, la partie externe du creux du jarret, la partie postérieure de la malléole externe fait apparaître des doul
ement à la fesse, mais encore tout autour de la hanche, à la partie postérieure de la cuisse et dans le jarret; il est alors ob
catoires, puis trois rangées de pointes de feu le long de la partie postérieure de la cuisse, puis quatre nouveaux vésicatoires
, le long de la partie anléro-externe de la jambe jusqu'à la partie postérieure de la région dorsale du pied. La pre,sion exagè
ment que le malade était complètement courbé, si bien que la partie postérieure de la cuisse touchait le mollet. Quand, dans ce
latéraux cérébelleux, en laissant absolument indemnes, les cordons postérieurs . M. luerstnereu communique deux observations. E
tractus latéraux cérébelleux, des faisceaux pyramidaux, des cordons postérieurs . - Septième groupe : lésion combinée des faisce
me groupe : lésion combinée des faisceaux pyramidaux et des cordons postérieurs , etc. En exa- minant tous ces divers faits, on
de phénomènes spasmodiques si les zones radiculaires des cor- dons postérieurs des segments de la moelle correspondants sont a
scendante bi-latérale; dégénérescence grise bi-latérale des cordons postérieurs et en particulier des zones radiculaires postér
le des cordons postérieurs et en particulier des zones radiculaires postérieures jusque dons la moelle cervicale. A aucune pério
la syphilis; ce furent les faisceaux pyramidaux et non les cordons postérieurs qui furent affectés. M. le Dr Edinger (de Fra
s, des embryons de chats, des encéphales d'adulles : 1° la racine postérieure de l'acoustique émane du noyau acoustique antérie
jusqu'au trijumeau. Une troisième même gagne en arrière les cordons postérieurs ; comme on constate dans cette direction que le
ux sensoriel direct; on s'explique comment la résection des cordons postérieurs entraine la dégénérescence de ce noyau (llunalc
. '128 SOCIÉTÉS SAVANTES. lion porte en même temps sur la branche postérieure du trac- tus cérébelleux sensoriel direct. M.
nce de troubles de la sensibilité implique l'intégrité de la moelle postérieure . Le processus s'élant limité exclusivement à la
it déterminé une dégénérescence ascendante secon- daire des cordons postérieurs . On trouva encore un tubercule du volume d'un n
ntellectuels, des convulsions épileptiformes, la lésion des cordons postérieurs (quatre autopsies déjà communi- quées). Sur les
ter de progression ni dans la démence ni dans la lésion des cordons postérieurs (analogie avec des lésions semblables produites
lles nous ne nous sommes pas expliqués parce que c'est à un article postérieur que se réfèrent, pour la plupart, les dispositi
a face maigre'; il a la peau et les muqueuses pâles. Sur la surface postérieure du corps, sur le côté radial ex- terne des extr
ec- tion qui pourrait provoquer une lésion progressive des cornes postérieures et antérieures de la substance grise de la moel
, dans ce cas également, nous ayons affaire à une lésion des cornes postérieures de la moelle épinière et de la racine ascendant
ntimètre de longueur avec le sillon occipital transverse, la partie postérieure isolée de la seconde scissure temporale et va f
inuité de la deuxième scissure en reliant les parties antérieure et postérieure du cap à la seconde circon- volution frontale.
calleux ne pré- sente rien de particulier, mais à sa partie la plus postérieure au niveau du bourrelet du corps calleux, elle e
ous- pariétale, il n'existe qu'un pli de passage pariéto-limbique postérieur . - Le coin, la scissure perpendiculaire interne,
est interrompu par un pli de passage à niveau allant de la partie postérieure du pli pariétal supérieur au pli courbe; plus l
e parallèle frontale, en formant ainsi un dédoublement de la partie postérieure de la deuxième circonvolution fron- tale. Un pl
tla continuité de la deuxième scissure frontale à sa partie la plus postérieure . - La troisième circonvolution frontale est bie
. La scissure paral- lèle, très profonde, se divise à son extrémité postérieure en deux rameaux, l'un antérieur qui se perd dan
l'un antérieur qui se perd dans le pli pariétal inférieur, l'autre postérieur qui, après avoir pénétré dans la portion postér
érieur, l'autre postérieur qui, après avoir pénétré dans la portion postérieure de la seconde circonvolution temporale, est coi
nvolution temporale est bien développée et chagrinée dans sa moitié postérieure . - La deuxième scissure temporale est irréguliè
drilatère est petit, maigre, possède un petit pli pariéto- limbique postérieur . - Le coin, la scissure perpendiculaire interne
core qu'il y avait eu oblitération simultanée de l'artère cérébrale postérieure et de l'artère du corps calleux, car le ramolliss
r l'autopsie. Diagnostic probable; tubercule occu- pant l'extrémité postérieure de la troisième frontale gauche et la partie li
tant pendant dix ANS. A l'autopsie, absence DE sclérose DES cordons postérieurs DE la moelle épinière; intégrité complète DES r
ômes caractéristiques du tabes, des scléroses évidentes des cordons postérieurs . D'autres 'Duchenne (de Boulogne). De l'Llech·i
lus ou moins analogues à ceux du tabes, des altérations des cordons postérieurs autres que la sclérose sys- tématique, par exem
nt pas d'importance théorique. Si on accepte l'idée que les cordons postérieurs de la moelle sont les organes de l'ataxie, on c
- tômes. Et voilà comment des scléroses non douteuses des cordons postérieurs peuvent être rencontrées à l'autopsie de sujets
utopsie aucune altération appréciable de la moelle ni des racines postérieures . Je pouvais encore supposer qu'il s'agissait, d
Autopsie. Pas de sclérose de la moelle. Pas d'atrophie des racines postérieures . Intégrité des nerfs phériphériyues. Pur.. (Jea
de la pie-mère. Pas de néo-membranes de l'arachnoïde. -Les racines postérieures ont le volume et l'aspect chatoyant qu'elles pr
nsversales on ne distingue de teinte grisâtre au niveau des cordons postérieurs . Les substances blanche et grise sont bien dist
ois vasculaires est peut-être un peu plus manifeste dans le segment postérieur de la moelle (cordons et cornes), mais qu'il ex
a été impossible d'y consta- ter la moindre altération. Les racines postérieures renferment, aussi bien que les antérieures, des
ion suivante, nous verrons encore figurer la sclérose des cordons postérieurs , mais ce n'est plus chez les ascen- dants, mais
nière n'y figurent que très rarement, seule la sclérose des cordons postérieurs fait exception à cette règle, mais ne sait-on p
Les artères de la base sont symétriques; toutefois, la cérébrale postérieure paraît un peu plus volumineuse à droite. Les tube
et éraflée. Le lobe cérébelleux droit arrive au niveau de la partie postérieure du lobe occipital, mais le lobe cérébelleux gau
rs de deux centimètres sur la face convexe, va rejoindre. la partie postérieure de la scissure interpariétale et par son interm
e parallèle complète qui, à son quart supé- rieur, envoie un rameau postérieur oblique de bas en haut divisant entièrement le
interrompue par un pli de passage à niveau allant de l'extrémité postérieure du lobule pariétal supérieur à la circonvolution
scissure de Sylvius. La première frontale, dédoublée dans son tiers postérieur , présente également des indices de dédoublement
euxième circonvolution frontale est volumineuse surtout à sa partie postérieure ; elle s'insère à la frontale ascendante par un p
ment, l'un même, médian, atteint' son 390 CLINIQUE NERVEUSE. bord postérieur ; il semble en ce cas que la deuxième circonvo-
ésente un pli pariéto-limbique antérieur et un pli pariéto-limbique postérieur . La scissure perpendiculaire interne, très prof
. Hémisphère gauche. La scissure de Sylvius se divise à la partie postérieure de la circonvolution pariétale ascendante en de
orale plissée envoie un pli de passage à niveau à la partie la plus postérieure du lobule pa- riétal inférieur et un autre pli
onvolution frontale interne est bien développée, reçoit à son quart postérieur un petit pli de passage presque à niveau de la
du triangle para- central. existe également un pli pariéto-limbique postérieur . La scissure perpendiculaire interne est très p
lement augmentant, l'animal ne pouvait plus se tenir sur ses pattes postérieures , qui tremblaient plus que les autres. C'est alors
nt pas s'y tenir debout, il fait des essais, en écartant les pattes postérieures et en montant les au- tres sur la banquette. Il
n, en y attachant l'animal et en imprimant des mouvements antéro- postérieurs , les seuls réalisables avec cette table. D'aill
TIE. Expériences sur la table à vivisection. - Balancement antéro postérieur . - Tous les appareils nécessaires à enregistrer
on forcée d'une tôle dolicocéphale, à front fuyant, toute la région postérieure devient saillante. Cette saillie, résultat d'un
sseur 0'°m,018 à 0,02, il n'y en a que peu de 0,004; 2" les racines postérieures des deux mêmes régions contiennent un grand nom
, atteignant du plus au moins les nerfs saphène, péronier et tibial postérieur - crural, sciatique et radial - médian et cubit
limite entre les régions dorsale et lombaire, la lésion des cordons postérieurs avait atteint la zone d'entrée radiculaire, tan
). Le même malade était atteint de dégénérescence grise des cordons postérieurs . M. KOENIG. Deux cas de lésion de la zone motri
la section centrale des nerfs, et la dégénéres- cence de la racine postérieure avec celle du ganglion après la section périphé
corce et la substance blanche de cette région pour joindre la corne postérieure du ventricule latéral. On trouve au microscope,
quide transparent, elle avait une paroi antérieure forte, une paroi postérieure mince. Après l'avoir ouverte, on se trouvait en
84 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
localiser ces voies centripètes du sens musculaire dans les cordons postérieurs . Aussi bien n'y a-t-il de ce côté aucune controve
arrière du faisceau pyramidal, soit dans la dernière moitié du bras postérieur . Des observations de Charcot, Magnan, Bournevil
es fibres sensitives font un pre- mier relai au niveau de la partie postérieure et inférieure du noyau externe du thalamus. De
uperaient intimement mêlées aux fibres descendantes toute la partie postérieure depuis le genou jusqu'au faiseau rétro-lenticul
cas il admet qu'on doive les rapporter à une lésion de la partie postérieure de la capsule. Cette assertion conforme à l'opini
acher toutes les anes- thésies cérébrales à une lésion de la partie postérieure de la capsule interne. Mais comme le fait juste
s circonvolutions frontale et pariétale ascendantes, avec la partie postérieure du lobe frontal et la partie antérieure du lobe p
gnées de leurs centres nutritifs altérés dans les ganglions spinaux postérieurs , les parties lointaines étant respectivement les
ssait le centre de la face et du bras en même temps que l'extrémité postérieure de la troisième frontale gauche, c'est- à-dire
s- tatation d'une tumeur élastique, un peu fluctuante, à la paroi postérieure du pharynx (abcès par congestion probable). Une c
nterne qui vont au gyrus coronaire et au gyrus crucial antérieur et postérieur (ascendantes de l'homme) ; 2° de la bandelette
nce faisceau allant de la capsule interne dans le gyrus ectosylvien postérieur ; 4° la partie la plus antérieure des troisième
faisceaux qui vont de la capsule interne dans le gyrus ectosylvien postérieur . Du quinzième au seizième jour on voit : 1" le ti
myéline que dans le gyrus coronaire, le gyrus crucial antérieure et postérieur , et les voies de communication de la capsule in
nt surtout de la proue (côté interne) du gyrus crucial antérieur et postérieur et du gyrus coronaire. En réalité les fibres d'
aisceau de Gowers, s'éloignant de la périphérie, se place à la face postérieure de celui-ci, et devient un faisceau allongé à f
l'angle formé par le côté interne de la racine du facial et le côté postérieur du corps trapézoïde, et, plus tard, il est cont
uban de Reil latéral, fournit un trousseau au tubercule quadrijumau postérieur , qui embrasse ce dernier par sa partie antérieu
Vieussens et se terminent : 1° dans les tuber- cules quadrijumeaux postérieurs ; 2° dans la substance noire de Soemmering; 3° d
e des lésions, dans ce cas, il n'y a de lésions cornu- radiculaires postérieures que dans la région dorsale. Ceci peut 172 SOCIÉ
Est-il bien certain que les dégénérations secon- daires des racines postérieures , lésion exogène, constituent tout le tabès ? Il
rmédiaire des fibres cérébello-spinales et du faisceau longitudinal postérieur . Quand l'action corticale du télencéphale se tr
la cause des émotions. La conscience des variations organiques est postérieure . C'est en quelque sorte le choc en retour d'un
, situés entre la bifurcation du tronc basilaire et la communicante postérieure . La filiation des lésions est la suivante : ent
paralysie véritable. Enfin, on soupçonnera une tumeur de la partie postérieure du corps calleux si la paralysie commence par l
émontrer : 1° que les lésions dégénératives ascendantes des cordons postérieurs de la moelle, de quelque ori- gine qu'elles pui
ont le diamètre longitudinal est nettement trans- versal et le bord postérieur un peu échancré. Cette dépression, voisine de l
d postérieur un peu échancré. Cette dépression, voisine de la corne postérieure , dont elle est séparée par une large raie de su
onstituée par des cellules nerveuses semblables à celles des cornes postérieures , des noyaux névrogliques, quelques fibres à myé
revêtus d'épithélium; l'un, à grand diamètre longitudinal antéro- postérieur , occupe presque la place normale, au milieu ; un
un troisième ovale, ayant aussi son diamètre longitudinal antéro- postérieur situé en arrière des deux autres, à peu près au m
de chaque côté, en avant du segment de cercle antérieur des cordons postérieurs , d'égal volume, mais celui de droite, triangula
ces trousseaux proviennent-ils exclusivement des noyaux des cordons postérieurs ? Figures. Chez un chat de six jours et chez le
; ces trousseaux proviennent de la région du faisceau longitudinal postérieur et du noyau rouge. Les trois faisceaux du ruban
bres qui proviennent du noyau rouge s'en vont jusque dans la partie postérieure du groupe nucléaire antéro-latéral de la couche
r devenir très épaisses et se rendent, pour la plupart, à la moitié postérieure du deuxième segment du noyau lenticulaire qu'el
ubercules quadrijumeaux. Ces fibres viennent surtout dans la partie postérieure de la substance noire; on trouve là de nombreus
onvolutions cruciales, d'autres abou- tissent au segment limitrophe postérieur du sillon coronaire. Il y a d'ailleurs quelques
normaux. M. Marie. Le premier de ces cerve- lets présente à sa face postérieure une déformation du lobe droit. Une hémorragie d
tte hyperesthésie n'existe ni au visage, ni à la face antérieure et postérieure des cuisses, des jambes, mais elle est très mar
injections'sous-cu- tanées de spermine sur la sclérose des cordons postérieurs de la moelle épinière peut être nommée absurde.
er ces malades comme complètement guéris de la sclérose des cordons postérieurs de la moelle épinière. Prof. D' S. TClIlRtI :
s des organes sensoriels élevés, par suite de l'atteinte du segment postérieur de la capsule interne. Nous ne sommes donc pas
cupe, à la hauteur du ganglion ecto-mamillaire d'Edinger, la partie postérieure de ce ganglion, dont il n'est séparé que par un
rmak a, chez le chat, trouvé des fibres communes au noyau du cordon postérieur et au noyau lenticulaire. Il y a donc, chez le
val. LXIV. Contribution à la dégénérescence descendante du cordon postérieur ; par J. ZAPPERT. (Nearolog. Centrulbl., XVII, 189
surtout à droite. Méthode de Marchi. La dégénérescence des racines postérieures , limitée à la moelle cervicale, siège de la mén
-ci, à droite, occupe exacte- ment l'endroit de passage des racines postérieures à travers la pie-mère. La dégénérescence, intra
apparaitre saines dans la région des contingents latéraux du cordon postérieur . Il demeure en revanche un reste de grains noir
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 423 d'autant plus apparente que les cordons postérieurs sont ailleurs indemnes de fibres dégénérées, et
elle se prolonge en arrière sans atteindre cependant la périphérie postérieure de la moelle. Cette raie diminue elle-même en b
u niveau de la moelle dorsale, que la partie antérieure du cordon postérieur , vers la substance grise de la corne postérieure;
ntérieure du cordon postérieur, vers la substance grise de la corne postérieure ; elle disparaît plus bas, de sorte qu'au niveau
une grande attention pour voir quelques grains noirs dans le cordon postérieur droit et il n'y a plus rien du tout dans la moe
ien du tout dans la moelle lombaire même des deux côtés du sillon postérieur . C'est la virgule de Schultze, dégénérée, comme e
nce de la virgule de Schultze, consécutive à une lésion des racines postérieures . Quel rapport affecte la virgule de Schultze av
e, quoique faible, d'une zone postéro- médiane. En outre, le cordon postérieur , dans toute la moelle dorsale. présentait d'aut
nce médiane, toujours située dans les parties antérieures du cordon postérieur ; de cette dégénérescence-là on ne constate plus
ligne médiane et s'éparpille dans les parties antérieures du cordon postérieur . La plu- part des fibres de la zone postéro-méd
e de Schultze est, en partie du moins, formée de fibres des racines postérieures descendantes de la région supérieure de la moel
e la moelle dorsale supérieure, dans la partie antérieure du cordon postérieur . P. KERAVAL. LXV. Contribution à l'étude du sen
se trouve immédiatement en arrière de la circonvolution centrale postérieure . A la suite de l'opération survint de l'aphasie e
traitement du mal perforant plan- taire.par la faradisation du nerf postérieur et de ses branches terminales; Jaboulay. D'un c
nte diarrhée se déclare : une nouvelle eschare commence à la partie postérieure de la jambe, au niveau du condyle interne du fé
utions qui bordent de chaque côté la 500 RECUEIL DE FAITS. partie postérieure de Se. p. L'atrophie continue sur la face interne
e, volumineuses, massives, comme hypertro- phiées, dans leur moitié postérieure (F' qui est bifurquée, F2 et à un moindre degré
es, dans la couronne rayonnante en sui- vant principalement la face postérieure du noyau lenticulaire. Les cellules des noyaux
ostérieure du noyau lenticulaire. Les cellules des noyaux du cordon postérieur envoient donc des fibres directes du côté oppos
fibres croisées qui vont de l'écorce du cerveau au noyau du cordon postérieur , et passent par la masse de la couche optique,
atéraux. Il est surtout formé des fibres longues du noyau du cordon postérieur qui se terminent dans la couche nucléaire de la
uche optique. C'est le système thalamique croisé du noyau du cordon postérieur . Quelle partie de l'écorce gagnent les fibres q
papille étranglée, indiquant le siège de la tumeur dans la fosse postérieure du crâne. Ataxie en marchant et pendant la statio
raînant l'auteur à conclure à l'existence d'une tumeur de la partie postérieure de l'hémi- 512 Z REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
oupe moyen, formé lui-même par un seg- ment antérieur et un segment postérieur , chez le chien tout au moins, et un groupe exte
ers animaux, que le noyau du facial supérieur est situé à la partie postérieure du noyau moyen du facial. Le groupe interne d
pe interne; 2° labranche zygomatico-temporale naissant de la partie postérieure du groupe moyen; 3° la branche bucco-labiale su
ergence de la troisième paire; la partie la plus antérieure du bras postérieur de la capsule interne était également envahie.
sule interne, au voisinage du genou, à la partie antérieure du bras postérieur . Il semblerait que la paralysie laryngée accomp
e début, quelquefois trois ans. Anatomie pathologique : Les cordons postérieurs sont pris les premiers et plus fortement que le
toute leur longueur, mais les lésions frappent surtout les parties postérieures et médianes. Plus tard et à moindre degré, les
rtie antérieure du corps calleux il y a de l'astasie dans la partie postérieure de l'hémianopsie et qu'un des symptômes cons- t
ure, dans la partie moyenne de l'hémisphère gauche et par la partie postérieure dans la substance blanche du lobe occipital. La
directs et des faisceaux de Gowers, l'intégrité absolue des cordons postérieurs et des zones radiculaires postérieures, du REVU
intégrité absolue des cordons postérieurs et des zones radiculaires postérieures , du REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 525 bulbe,
la face interne du bras et de l'avant-bras tributaire de la racine postérieure du te et du 21 nerf dorsal. Un autre point inté
te; S., scissure de Sylvius; - Lui., scissure de TIolal1llo (partie postérieure ); - R ? scissure de Rolando (partie antérieure)
de Rolando (partie antérieure); R. (3), scissure de Rolando (partie postérieure ); cm ? encoche du sillon calloso-margmal; - po
on fronto-marginal ; R' (an lieu de R), scissure de Rolando (partie postérieure ); H. (au lieu de SR), scissure de Rolando (part
oin; P. F. L., pli fronto limbique; -P. P. P., pli pariéto limbique postérieur ; C. A., corne d'Ammon; G. R., gyrus rectus. P
tiques avec énilepsie essentielle. par 1111rallir, 226. Cordons postérieurs . Dégénéres- ceuces descendantes des -, par Za
85 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
l (iioùl 48S ? ).- Tête très volumineuse, développée dans sa partie postérieure , saillie très prononcée de l'occipital au niveau
eur; l'antérieur vient s'ouvrir dans le sillon calloso-marginal; le postérieur , dépas- sant le bord convexe de l'hémisphère, v
ieure, se compose de plis si- nueux, transversaux et dans la moitié postérieure de deux plis longi- tudinaux, en partie confond
Entre son extré- Bouit,ir,VILLr, 1883. 5 66 DU MÉRYCISME. mité postérieure et Fcc, il existe sur le bord convexe de l'hémis-
sur Face. - F3 est beaucoup plus petite que Fa et F; son extrémité postérieure est en retrait par rapport aux parties voisines
; mais il n'en est plus de même de toute la portion de l'hémisphère postérieur au sillon de Rolando. La pariétale ascendante e
mprise entre la base de la pariétale ascendante jusqu'à l'extrémité postérieure de la première temporale, ainsi que la se- cond
rois digitations dont l'anté- rieure est bifurquée; les digitations postérieures ont le même aspect que la première temporale et
nche montante du maxillaire inférieur; duvet abondant sur la partie postérieure du cou, du tronc et. sur les faces antérieure e
ns qu'un sillon assez superficiel d'ailleurs le sépare de la partie postérieure de ces deux circonvolutions. Il n'y a pas de si
t la partie antérieure de la boucle est moitié moins épaisse que la postérieure . Le lobe quadrilatère, moitié moins large que l
et quelques râles fins au moment de la toux à la région moyenne et postérieure du poumon droit. Un peu de raideur de la nuque
colo- ration noire, ocreuse. Tout le lobe pariétal, et la partie postérieure des circonvolutions temporales sont adhérents,
e trouve cette dernière lésion, ainsi que sur les deux digitations. postérieures du lobule de l'insu la qui sont atrophiées et ind
moins épaisse de substance grise, notamment : 1°sur toute la moitié postérieure de la première circonvolution frontale; 2° sur
Pa, pariétale ascendante. P, pli pariétal supérieur. T, partie postérieure des circonvolutions temporales. Tl, première te
un prolongement en forme de croissant vient rejoindre la fontanelle postérieure ; à gauche, il y a soudure des os à 10 cent. 1/2
des os à 10 cent. 1/2 au-dessus de la racine du nez. La fontanelle postérieure , très irrégu- lière, mesure 2 cent. 1/2 sur la
r le frontal pour les 2/3 antérieurs et par le pariétal pour le 1/3 postérieur . La fontanelle postérieure a la forme d'un tria
térieurs et par le pariétal pour le 1/3 postérieur. La fontanelle postérieure a la forme d'un triangle isocèle dont la base e
ostérieur et occupant la ligne médiane de l'aire e de la fontanelle postérieure . Le plus élevé est blanchâtre, d'aspect cartila
unis à la portion écailleuse du temporal, font partie de la moitié postérieure du crâne ; ils sont larges et minces, et ont en
ostérieures. Leur bord antérieur est en rapport avec le frontal, le postérieur avec l'occipital; l'inférieur n'existe pas, pui
l'os surnuméraire que nous appelons inter-fronto- pariétal,ses 3/4 postérieurs forment les côtés de la fontanelle postérieure.
- pariétal,ses 3/4 postérieurs forment les côtés de la fontanelle postérieure . L'ccaille de l'occipital paraît peu développée
il l'est encore du côté droit; à gauche, il est libre dans le tiers postérieur (au niveau du pariétal), mais non dans les 2/3
accidentelle du cerveau, il a la forme d'un triangle allongé à base postérieure , effilé en avant; il s'étend depuis la partie a
de voir que la scissure de Sylvius naît plus près de l'ex- trémité postérieure qu'à l'état normal et qu'au lieu de se diriger
égion de l'hexagone de Willis se trouve à peu près à l'union du 1/3 postérieur de l'encé- phale (cervelet compris) avec les 2/
ter rien de particulier. 124 FOYER HÉàlOR11HAC.IQrJE. A la partie postérieure du bord supérieur de l'hémis- phère cérébral ga
assant au milieu de la surface du foyer; elle gagne ainsi la partie postérieure du bord supé- rieur du cerveau, s'incline en ba
existent six circon- volutions qui convergent toutes vers la lèvre postérieure de la scissure de Sylvius et qui forment deux g
moyen (LM) se dirigent, les antérieures, obliquement en avant, les postérieures verticalement; les Fig. 2. - L F, lobe frontal.
assez épaisses. Enfin, les circonvolutions qui ré- pondent au lobe postérieur de la face inférieure (L P) se dirigent, les pl
; pas de traces de méningite ancienne. L'artère coz7z- 1/tunicante postérieure droite est beaucoup plus petite que la gauche.
ente, mais assez plissées avec des sillons assez profonds ; l'autre postérieure , comprise entre ce sillon transversal et le sil
Cavité abdominale. PérihépatHe très marquée, surtout vers le bord postérieur et la face supérieure du foie, où on trouve une
Pa, pariétale ascendante. P, pli pariétal supérieur. T, partie postérieure des circonvolutions temporales. . 7*1, première
86 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Les artères de la base sont symétriques, sauf les communi- quantes postérieures , la droite étant environ trois fois plus volumi-
férieure de P1, un sur PC, deux sur LO et un vers la circonvolution postérieure de Tl, caché dans le sillon marginal inférieur,
caché dans le sillon marginal inférieur, enfin un autre à la partie postérieure de T3. Face interne (PL. II). Notons un îlot su
du corps calleux qui est très grêle ; - un autre îlot sur la partie postérieure de LQ, un sur le coin, un autre au fond de la s
n à peu près centrale. On trouve encore un autre ilot sur la partie postérieure de F2. Ce qui reste des circonvolutions frontal
et principa- lement sur ce qui reste de l ? F2, F3 et sur la moitié postérieure de 1'1 et P. Cou. Aucune trace du thymus. Cor
p.f. 1., lli 1't,oiiLo-Iiiiil)ique. p.p.p., pli pariéto-limbique postérieur . C. H., circonvolution de l'hippocampe. G. Il
ar des douleurs fulgurantes revenant par crises, parcourant la face postérieure des membres MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE. 105
é par la syphilis en dehors de toute lésion tabétiforme des cordons postérieurs , par un mécanisme encore inconnu, d'autre part
te transverse, le signe d'Argyll dénonçant l'altération des cordons postérieurs , la trépidation spinale et le signe des orteils
s assez cours et rares (5 centimètres sur 2 centimètres). A la face postérieure du thorax, on constate un fin duvet entre les o
croisés lombaires. Sclérose ascendante dans les cor- dons cervicaux postérieurs médians. C. SCHÉPILOFF. VIII. La géographie de
Sur un cas d'ataxie où tous les faisceaux ascendants des cor- dons postérieurs étaient complètement dégénérés, même dans les r
le cornu commissural peu marqué, n'atteint pas tout à fait la corne postérieure , borde assez épais la cloison et se continue av
le septo-marginal s'applique encore contre la cloison dans le tiers postérieur de celle-ci et atteint toujours la )33 REVUE D'
complètement de la cloison et former une couche appliquée à la face postérieure du cordon. Le cornu commissural à ce niveau est
tendent à se diffuser en fibres isolées semées dans tout le cordon postérieur . à Bruce croit que le « champ ovale » de Flechs
ui avait détruit le noyau lenticulaire et une grande partie du bras postérieur de la capsule interne M. van Gehuchten constata
du segment de moelle qui commande à la fonction motrice des pattes postérieures . Découvrant ensuite le nerf -crural sur une des
érieures. Découvrant ensuite le nerf -crural sur une des extrémités postérieures , il l'incite au moyen d'un courant faradique ca
0g. Cezzt,rabl., XVIII, 1899.) Dégénérescence tabétique des cordons postérieurs ; rétrécisse- ment et insuffisance des valvules
a complète luxation de la tête du fémur gauche qui occupe la partie postérieure et supérieure de la gouttière sus- cotyloïdienn
eurs oculaires : 1° Le centre frontal, qui est situé dans la partie postérieure du lobe frontal, en avant du Sulcus cruciatus e
disséminés dans la partie dorso-médiane du faisceau longitudinal postérieur des deux côtés. En dehors de ces fibres, qui se r
sur les coupes pas- sant par la partie antérieure de la commissure postérieure il atteint les limites latérales de la calotte.
plus bas nous le voyons derrière le bras du tubercule quadrijumeau postérieur . Enfin il franchit la limite entre le corps gen
quée que celle-là du noyau opposé), dans le faisceau longitu- dinal postérieur des deux côtés, dans l'entre-croisement ventral d
), Ferrier (de Londres) ; 5° Des lésions non tabétiques des cordons postérieurs de la moelle. Rapporteurs : Bruce (d'E- dimbour
es), et W. Roth (de Moscou). Les lésions non tabétiques des cordons postérieurs de la moelle. Rap- porteurs : MM. Ch. Dana (de
du cervelet, se bifurque à deux centimètres en avant de l'extrémité postérieure des lobes occipitaux pour former ces sinus. L
t le domaine des lobules lingual et fusi- forme. L'artère cérébrale postérieure était obstruée par un throm- bus. L'examen hist
nche que dans sa subs- tance grise, et en particulier les faisceaux postérieurs sont aussi richement pourvus de fibres à myélin
à myéline que dans une moelle nor- male. Les racines antérieures et postérieures sont saines. M. LALANNE a eu l'occasion d'obser
t les différences de fonctions des racines antérieures, des racines postérieures et des faisceaux blancs dont se compose la moel
us tard, Tùrck nous révélait l'existence d'une sclérose des cordons postérieurs dans les cas de tabes dorsalis ; la sympto- mat
63, Friedreich découvrait l'existence d'une sclérose des coi,- dons postérieurs , d'origine héréditaire ; d'abord, on en fit la fo
anatomo-pathologiques communs semblent être : un raccourcis- sement postérieur des hémisphères cérébraux tel que le cervelet r
ppement pendant la vie intra-uté- rine, ayant empêché la croissance postérieure (probablement entre le troisième et le quatrièm
n de Reil, probablement à la hauteur des tubercules quadri- jumeaux postérieurs . L'autopsie a fourni la confirmation de l'exac-
ourni la confirmation de l'exac- titude de ce diagnostic. La partie postérieure de la moitié droite de la protubérance logeait
siège supra-nucléaire, au voisinage des tubercules qua- drijumeaux postérieurs des paralysies associées des mouvements de laté
temporal et le centre pariétal en un seul centre : le grand centre postérieur d'association. L'exis- tence prouvée dans le gy
e gyrus subangularis d'un centre de projec- tion réduit à la partie postérieure de la 2° circonvolution temporale l'union de ce
avec une régularité particu- lière dans les affections des centres postérieurs d'association ; l'observation clinique s'établi
ie horizontale, antérieure, a trois étages, et la partie verticale, postérieure , perpendiculaire à la première, possède deux ét
specteur des services économiques. Le rez-de-chaus- sée du bâtiment postérieur (i m. 50 c. de hauteur) renferme la cuisine. Au
remplacer par la faradisation à interruptions lentes du nerf tibial postérieur . L'électrode positive, très petile, étant placé
parfois que le pied paralysé balaie le sol seulement dans le pas postérieur , tandis que dans le pas antérieur le sujet l'ait
tuliens manquent ; il l'autopsie on trouve une lésion des cordons postérieurs ; Deuxième type. Paralysie avec sclérose latéra
e amoureux d'une ombre, d'un symbole, d'une étoile ! ... Le cerveau postérieur n'a aucune part dans son activité; le cerveau a
genou. Le réflexe spinal le plus facile à obtenir dans les membres postérieurs des animaux par l'excitalion du membre lui-même
« secousse du genou » est d'exciter le mouvement réflexe du membre postérieur dans une portion du membre parce que les fléchi
e la peau de n'importe quelle partie de la jambe et même de la face postérieure de la cuisse. Pour démontrer l'exagération de l
ent la corne antérieure homo- latérale et descendent dans la partie postérieure et moyenne du cordon latéral homolatéral de la
croise le raphé et la coucha interolivaire, descend dans la parlie postérieure et interne de la formation réticulée grise du b
omilj1 ! cmcnt. II. Palhologiquement. I. La structure des cordons postérieurs est montrée par les dégénérescences qui suivent
ATIONAL DE MÉDECINE.- II. Les changements pathologiques des cordons postérieurs con- sidérés en rapport avec les lésions qui le
e musculaire progressive (type Charcot-Marie). Sclérose des cordons postérieurs dans toute leur longueur à l'exception de la ré
intacte une zone nor- male au bord de la commissure et de la coi ne postérieure et par- tiellement aussi dans la zone postéro-i
one postéro- interne subit habituellement une sclérose. Les racines postérieures sont dégénérées. b) Les tumeurs cérébrales pr
eurs cérébrales produisent fréquemment des lésions dans les cordons postérieurs , qui sont parfois attribuées aux dégénérescence
Les régions affectées ont leur siège : 1° der- rière la commissure postérieure , 2° le long du septum médian, 3° comme une band
Friedreich. La lésipn principale est une sclérose dans les cordons postérieurs et anLéro-IaLéraux. Eu ce qui con- cerne les co
ns postérieurs et anLéro-IaLéraux. Eu ce qui con- cerne les cordons postérieurs , la sclérose est développée le plus dans les ré
ntrent peu ou point d'épaississement t de leurs parois. Les racines postérieures présentent une sclérose similaire avec des degr
s sensitifs périphériques et l'atrophie des gan- glions des racines postérieures , qui sont presque invariables, sug- gèrent que
ifération de névroglie secondaire. e) Sclérose combinée des cordons postérieurs et antéro-latéraax. SECTION DE NEUROLOGIE.. 511
ment le cordon de Goll. Les zones près de la commissure et la corne postérieure , et dans la région lombaire celle près du septu
nd à la distribution des vaisseaux delà pie-mère et que les racines postérieures sont normales, de même que les membranes, indiq
médiane de cet organe, s'en va assez loin en arrière dans la corne postérieure et dans la corne inférieure du ventricule. Bien
ventricule. Bien qu'elle ait exercé une compression sur la branche postérieure de la capsule interne, les voies sensitivo- mot
ait encore marcher seule. Il existe une. dégénérescence des racines postérieures de la moelle, elle a dû être déterminée, d'aprè
méninges molles de la moelle; il en résulte une lésion des racines postérieures et d'une partie des racines antérieures de la m
sceau pyramidal apportent l'excitation ; le cervelet et les cordons postérieurs sont des modérateurs. Le travail actif de ces d
u cerveau et des pyramides, d'autre part du cervelet ou des cordons postérieurs , fait cesser l'harmonie physiologique de la l'o
teurs. Un facteur physiologique ; c'est la transmission aux racines postérieures , aux cornes posté- rieures, de là aux centres d
es muscles est sous l'influence non seulement des nerfs des cordons postérieurs tonificateurs qui l'incitent directe- ment, mai
- belleuse et surtout par la dégénérescence tabétique des cordons postérieurs dont les éléments nerveux sont atteints, non tous
sance progressive de la force du système cérébelleux et des cordons postérieurs (tabes) amoindrit de plus en plus le phénomène
devient égal à zéro, ci l'instant où la dégénérescence des cordons postérieurs est égale à une décroissance de tension de la t
t-à-dire malgré la dégénérescence tabétique (partielle) des cordons postérieurs . 11 en sera de même dans la syphilis ; on const
ervelet et du cerveau (parésies temporaires) et surtout des cordons postérieurs et des faisceaux pyramidaux (la moelle étant su
sses du système nerveux central amène- raient les segments les plus postérieurs de la muqueuse des joues, des gencives, la part
centre est surtout prononcée dans le plan antérieur et dans le plan postérieur ; les coupes de la portion. moyenne de cette ré
t disséminées dans l'épaisseur et en avant du faisceau longitudinal postérieur . Enfin l'oculomoteur commun lui-même présente,
droit ne peut plus être élevé au-dessus de l'horizontale; la paroi postérieure du creux axillaire a disparu; le sillon de Duch
ux axillaire a disparu; le sillon de Duchenne est très net, le bord postérieur et la pointe de l'omoplate étant detachés et po
. Supplice de lloriu, 77. Tabétiques. Lésions non - des cordons postérieurs , par Bruce, 509. Tabès, avec paralysie bulbai
87 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
subs- tance blanche qui avoisine les corps opto-striés et le tiers postérieur de la capsule interne : on ne voit pas bien com
-sensorielle, rapportés chez les hémiplégiques adultes à une lésion postérieure de la capsule interne, sont le fait d'une associa
une griffe, par suite d'une double incurvation dans le sens antéro- postérieur et dans le sens transversal. Il n'y a rien ici
rophie et paralysie des muscles; d'autres fois c'est sur les cornes postérieures que s'étendra le pro- cessus gliomateui, et des
lique de la sensibilité. Quand la lésion gagne en outre les cordons postérieurs de la moelle, la sensibilité est com- plètement
it une section des deux tendons d'Achille et du ten- don du jambier postérieur droit, appareils plâtrés. Depuis cette époque,
ns normales. La môme chose se voit en arrière vers le sillon médian postérieur : à côté d'une artériole normale, plusieurs vei
est très évidente, en particulier au niveau de l'entrée des racines postérieures dans la moelle : elle est essentiellement const
naires. Dans tout le cordon latéral, et spécialement dans sa partie postérieure , le tissu névroglique est plus développé qu'à l
te étroite. Dans quelques-unes (notamment les veines antérieures et postérieures ), l'o- blitération est complète. Bien que la
'en voit pas de semblable dans les gaînes vasculaires. Les cornes postérieures ne présentent rien d'anormal autre que la présenc
ns les deux cor- dons latéraux (surtout le droit) et dans le cordon postérieur : les premiers sont de beaucoup les plus import
ans les méninges. Dans un point limité, à la périphérie des cordons postérieurs , au niveau de la 2e racine dorsale, les tubes n
ire de la pie-mère a visiblement envahi la moelle. Le septum médian postérieur (smp) est considérablement épaissi par un amas
e de la région dorsale supérieure. Une partie de la cir- conférence postérieure de la moelle avec la pie-mère et l'arachnoïde adj
ation par la méthode de Pal et le carmin d'alun. Smp. Septum médian postérieur élargi et infiltré de cellules rondes ; vers sa b
filtration redouble d'intensité. Tms. Tissu médullaire sain (cordon postérieur ). , Vp. Véinule de la pie-mère oblitérée. Pm.
les sensitifs. La dissociation existe sauf sur le milieu de la face postérieure de la cuisse, et sur deux petits espaces situés
d'environ 10 centimètres. Il est de même pour les points de repère postérieurs ; le sommet du sa- crum qui est placé chez un s
lles sont évidentes dans la substance blanche au niveau des cordons postérieurs , à la hauteur de la 1 ? racine dorsale. En ce p
al. Limitées aux cordons latéraux, et plus spécialement à la partie postérieure de ces cordons, elles se sont présentées sous la
i s'est colorée par le carmin. A l'union des cornes an- térieure et postérieure du côlé gauche se voit une sorte de lacune comhlé
oute la surface de la coupe, mais surtout prononcée dans la' région postérieure . La moelle reprend peu à peu sa configuration e
en re- connaître les différentes parties. Les cornes antérieures et postérieures du côté droit sont à peu près conservées ; mais
méthode de Veigert. a) Grand foyer de sclérose occupant les cordons postérieurs et les cornes postérieures ; il présente la cou
nd foyer de sclérose occupant les cordons postérieurs et les cornes postérieures ; il présente la coupe de vaisseaux à parois énor
par la coloration de Weigert. Le plus vaste comprend les cor- dons postérieurs et envahit la corne postérieure gauche. Tous deux
e plus vaste comprend les cor- dons postérieurs et envahit la corne postérieure gauche. Tous deux ont uneforme triangulaire il
face profonde de la pie-mère et avec prédominance dans la ré- gion postérieure . Elle envahit légèrement le tissu médullaire sous
ubstance blanche, on ne rencontre d'éléments semblables. Les cornes postérieures sont également très intéressées des deux côtés. A
che, la corne envahie par la zone de sclérose qui occupe les cordons postérieurs est méconnaissable. A droite, on en retrouve le
l'objectif 2 Vérick la large bande scléreuse qui occupe les cordons postérieurs , on peut voir que les lésions les plus avancées
érique d'une part (sous-ménin- gée) et à la région du septum médian postérieur d'autre part. Les parois des pe- tits vaisseaux
nerveux est complète, surtout dans la partie cen- trale des cordons postérieurs . Il ne persiste pas un seul tube nerveux recon-
est moins avaucée, c'est-à-dire vers la région profonde des cordons postérieurs , au voisinage de la commissure grise. Dans cett
ses que l'on cons- tate, mais moins avancées que dans les cordons postérieurs . L'origine périvasculaire de la sclé- rose est
vaisseaux sont altérés suivant le même mode que dans les cordons postérieurs , mais à un degré beaucoup moindre. Sur un grand
sentent des lésions scléreuses très ac- centuées. Dans une racine postérieure gaucho par exemple, au niveau du foyer, on co
raît tout à coup une infiltration considérable dans une des racines postérieures du côté gauche. La coupe est couverte d'éléments
'à la région dorsale infé- rieure. La sclérose diffuse de la région postérieure de la moelle s'atténue, au point qu'au niveau d
etit territoire ir- régulier, de forme triangulaire, dans le cordon postérieur droit. La base de ce petit triangle louche la p
nsversales, des foyers hémorrhagirrues importants, dans les racines postérieures surtout. Dans l'une d'entre elles, un foyer de ce
te à la face an- térieure, mais reste soudée aux faces latérales et postérieures de la moelle. La forme de celle-ci est parfaite
rvée : la substance grise a sa configura- tion normale. Les cordons postérieurs seuls paraissent avoir souffert : ils pré- sent
on constate que la méningite est limitée il la demi-circon- férence postérieure delà moelle. (Fig. 26). Les 3 méninges sont sou
re elles et unies intimement à la moelle dans l'étendue des cordons postérieurs . Les racines postérieures il leur origine sont
ent à la moelle dans l'étendue des cordons postérieurs. Les racines postérieures il leur origine sont recouvertes par les envelo
pondant à la symphyse méningée, c'est-à-dire comprenant les cordons postérieurs , les cor- nes postérieures et la partie la plus
ngée, c'est-à-dire comprenant les cordons postérieurs, les cor- nes postérieures et la partie la plus reculée des cordons latéraux
onger jusqu'à la substance grise de la commissure. Le sillon médian postérieur est complètement effacé. A l'aide d'un plus for
ine y colore vi 15 Fig. 26. Méningite spinale limitée à la région postérieure de la moelle : symphyse méningo-médullaire. - E
yse méningo-médullaire. - Envahissement par propagation des cordons postérieurs et de la partie la plus reculée des cordons lat
oelle (cornes antérieures, cordons antéro-latéraw, sauf leur partie postérieure ), on ne constate pas de lésions appréciables. Les
açon comparable à l'hypertrophie qu'elles présentent dans la région postérieure . Au niveau du cordon antéro-latéral droit, quelqu
é séparément des coupes transver- sales de racines à ce niveau. Les postérieures en particulier ont beaucoup souf- fert. Elles é
x direct. Du côlé des méninges, léger épaississement dans la région postérieure , mais sans envahissement de la moelle. Les cord
gion postérieure, mais sans envahissement de la moelle. Les cordons postérieurs sont absolument sains. Sur les préparations c
l'on y constate il peu près les mêmes lésions que dans les cordons postérieurs au niveau de la moelle cervicale. Sur les coupe
-même, d'une façon diffuse, dans l'étendue de sa demi-circonférence postérieure . A partir de la région cervicale, la lésion va
se dans la moelle dor- sale et qu'il suppose située clans la moitié postérieure de celle-ci, envahis- sant symétriquement les c
é postérieure de celle-ci, envahis- sant symétriquement les cordons postérieurs , les cornes postérieures et la moitié postérieu
i, envahis- sant symétriquement les cordons postérieurs, les cornes postérieures et la moitié postérieure des cordons latéraux.
ement les cordons postérieurs, les cornes postérieures et la moitié postérieure des cordons latéraux. L'auteur a eu le mérite i
e croûtes. En outre, dans la région inguinale gauche et à la partie postérieure du scapulum du même côté, deux cicatrices de même
on pénible dépression autour de la tête et prédominant ;i la partie postérieure , un peu au-dessus de la région occipitale. Do
88 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ésentant une coupe du cerveau humain au niveau de l'extrémité toute postérieure des pédon- cules cérébraux, est destinée à mont
- phale, on voit en bas le pédoncule (P) et en haut l'ex- trémité postérieure de la 'couche optique correspon- dante (C 0); s
parties, il faut avoir égard à ce que l'auteur considère la région postérieure de la formation ammonique : « Le corps frangé o
s godronné et répond très médiatement à la couche optique, son bord postérieur très mince se continue avec la convexité de la
udé du corps strié (figuré comme une coupe triangulaire à la partie postérieure de la couronne rayonnante). Si dans' une coup
u corps strié, ainsi que nous l'avons indiqué ailleurs2, leur paroi postérieure est mince, fragile et présente des plis plus ou
est limitée par deux lèvres, l'une antérieure qui forme la limite postérieure de la fente de Monro, l'autre postérieure qui s
ieure qui forme la limite postérieure de la fente de Monro, l'autre postérieure qui se continue avec la paroi interne et postér
Monro, l'autre postérieure qui se continue avec la paroi interne et postérieure de l'hémisphère. C'est sur cette dernière por
ernière portion de la paroi cérébrale, c'est-à-dire contre la lèvre postérieure de l'orifice don- nant accès dans la bourse qui
r chacune d'elles, un noyau d'origine. Le noyau latéral des racines postérieures se trouve, d'après cet observateur, entre la pa
nt à leur issue du corps resti forme. Le noyau médian des racines postérieures occupe le plancher du quatrième ventri- , cule,
rmédiaire de Wrisberg. C'est ainsi que le noyau latéral des racines postérieures , et le noyau latéral des racines antérieures de
pondent au noyau antérieur de Huguenin. Le noyau médian des racines postérieures correspond au noyau interne de Huguenin, et le
u nerf auditif, celui que Krause appelle noyau médian des racines postérieures noyau interne de Huguenin. Le noyau inférieur d
er des /c ? i ! C/ ! 0 ! . Braunsch- 1879. 38 ANATOMIE. racines postérieures et antérieures le noyau anté- rieur de Huguenin
auditif : son noyau central correspond au noyau médian des racines postérieures de Krause; son noyau latéral au noyau médian de
de deux parties distinctes : une antérieure et inférieure; l'autre postérieure et supérieure. Ces deux faisceaux se. distingue
me même, il arrive cependant que ces fibres émergent de la partie postérieure supérieure du tronc du nerf au- ditif, à l'égal
per presque 48 ANATOMIE. tout l'espace de la partie supérieure et postérieure du nerf, ne laissant tout autour que très peu d
i déjà fait observer que les grosses fibres ner- veuses du faisceau postérieur et supérieur du nerf au- ditif, s'amincissaient
e du tronc du nerf auditif traitée par le picro-carminate. Faisceau postérieur supérieur montrantdes tubes nerveux à myéline v
ment. Fig. 2.-3/7 Hart. : Trois tubes nerveux à myéline du faisceau postérieur supérieur du nerf auditif soumis à l'action de
oloration gri- 90 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. sàtre des cordons postérieurs dans la région cervicale, une dilatation brusqu
dans la pie-mère médul- laire et le long des racines antérieures et postérieures . Ces lésions qui rétrocèdent dans les régions o
i. On trouve un foyer atrophique qui a détruit : 1° toute la partie postérieure de la troisième circonvolution frontale (le res
race des digitations; la première temporo-sphéno'idale et la partie postérieure de la seconde cir- convolution offrent la même
s devons signaler l'absence d'aphasie, avec une lésion de la partie postérieure de la troi- sièine circonvolution frontale DROI
à raison de l'imperfection des apophyses cli- noïdes antérieures et postérieures . ' Les grosses malformations cérébrales qui cor
vexité n'est point séparée en lobes. La base seule décèle un lobe postérieur et un lobe antérieur. Les caractères frappants
t de la circonvolution en crochet indiquent l'individualité du lobe postérieur ; c'est le lobe temporal, et, par conséquent, l
este), à arrêter l'évolution des régions cérébrales internes (paroi postérieure de la vésicule des hémisphères ettrigone) par c
de trigone, de cloison transparente, de commissure anté- rieure et postérieure , et présentant en leur lieu et place une grande
, prolifération cel- lulo-granuleuse localisée, surtout aux cordons postérieurs , à l'exclusion des faisceaux de Goll, mais atte
des faisceaux de Goll, mais atteignant principale- ment les racines postérieures dans la région lombaire' .. ' i u c Jln tl( il
gauche. Appuyant surlemyosis et la paralysie du crico-aryténoidien postérieur droit, M. Remak insiste sur la valeur de cette
ir affaire au groupe tabétique ; pour lui l'altération des cordons- postérieurs remonterait environ jusqu'à la moelle allongée.
ipalement la face supérieure du chiasma, tandis que la commis- sure postérieure se montre à sa face inférieure. On peut suivre le
ylus verrucosus , cons- titué presque de toute la masse des cordons postérieurs de la moelle dont il formerait en même temps le
toute connexion nerveuse par la scission des racines antérieures et postérieures , en cinq à sept jours. Déjà au bout de vingt-qu
morts. Il a trouvé et montre aux assistants une lésion des cordons postérieurs , le processus était essentiellement limité aux
on méthodique et prolongée de la région précordiale et de la partie postérieure du thorax. Il paraît certain que les caillots t
ssort est plus résistant, élargi et fortement rembourré à la partie postérieure où il repose sur la colonne vertébrale qui sert
est d'un bon tiers moins volumineuse à gauche qu'à droite. La corne postérieure gauche parait également un peu moins développée
ux. Les commissures, les cordons de substance blanche, les cornes postérieures ne paraissent pas altérées. La corne postérieure
anche, les cornes postérieures ne paraissent pas altérées. La corne postérieure gauche est un peu plus grêle que la droite, mai
ts, il se produit une vive douleur au niveau de la nuque. La partie postérieure du cou présente une déformation très accusée, q
obe occipital, tou- jours il s'agit de lésions siégeant à la partie postérieure du pied de la couronne rayonnante ou dans son e
rouvé que l'amblyopie est en rapport avec les lésions de la @partie postérieure de la capsule interne ; mais elles semblent aus
s la partie interne du pied du pédoncule. Du tubercule quadrijumeau postérieur sortent des faisceaux qui vont dans la partie e
e, 2° de la substance de Soemmering, 3° du tubercule quadrijumeau postérieur , 4° du pied du pédoncule. Le faisceau de Türck es
n : dans la première, il y avait une dégénération grise des cordons postérieurs et des corps restiformes ; dans le second, on t
strique et spi- nal, dégénération grise des pyramides etdes cordons postérieurs et un petit foyer de ramollissement dans le cor
se- ment le trajet intra-crànien du nerf. Dans la fosse cérébrale postérieure , l'arachnoïde et la dure- mère le séparent de l
directement contre le sinus pétreux inférieur, puis contre la face postérieure de l'os. Au moment où il se réfléchit sur son b
flexe du genou (Schulze et Fùrbringer) ; 2° la section de la racine postérieure de la 6° paire lombaire, chez le lapin, abolit
e lapin, abolit le réflexe du genou (Tschiriew) ; celle des racines postérieures voisines n'a pas d'inflence sensible, à moins q
eps crural seul. En effet, lorsqu'on a sectionné toutes les racines postérieures d'un membre, et même, en outre, tous les nerfs
s muscles de la langue dans la partie la-plus inférieure et la plus postérieure du gyrus frontalis in- BIBLIOGRAPHIE. 371 l f
, liar Cli. Féré, 331. Moelle allongée (faisceau longitu- tlmnl postérieur de la calotte dans la), par Rollei, 345. Moel
89 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
frontal droit, répondant en arrière à une verticale rasant le bord postérieur de la mastoïde, à 8 cm., au-dessus du bord supé
, poils longs et noirs. Puberté. Poils aux aisselles et sur la face postérieure du thorax, sur le ventre et les fesses, sur le
atation du ventricule latéral, corres- pondant, artère communicante postérieure plus petite, étc. La méningo-encéphalite était
upe plus différencié, placé entre la corne anté- rieure et la corne postérieure , à côté du groupe intermedio- latéral, représen
llules des cornes antérieures ; par contre les cellules de la corne postérieure droite et de la zone intermédiaire du même côté
u syndrome. M. Debray estime en outre que les altérations du centre postérieur seul suffisent à l'expliquer les deux modes de
;on entrée. 4 CLINIQUE NERVEUSE. Autopsie. - Raclas : La partie postérieure des arcs lombaires montre que renfoncement osse
te chronique caractérisée par des adhérences des méninges à la face postérieure de la moelle, qui est élargie transversalement
egments, il offre une lumière qui admet une Une aiguille. Alaface postérieure du hulhe, au niveau de la toile choruidien- ned
u niveau de la toile choruidien- nedu IVe ventricule et sur la face postérieure des 2 premiers seg- ments cervicaux siègent 3 p
nes pouvant faire supposer un processus de régéné- ration. La paroi postérieure de la cavité médullaire qui existait à ce nivea
re des granulations noires au llarchi.La dégénérescence des cordons postérieurs n'est pas systématisée. Les libres endogènes so
à l'autopsie, on ne trouve qu'un en- foncement des arcs vertébraux postérieurs , qui restent aune certaine distance de la moell
'il faut rendre la pachyméningite interne responsable des accidents postérieurs . Cette espèce de méningite post-traumatique est
l insertion ethmoïdale de la faux du cerveau jusqu'à son insertion postérieure . 96 CLINIQUE NERVEUSE. Cette tumeur affecte
e se dirigeant eu dehors ('(en avant et aboutissant par son origine postérieure , à la scissure inlerhémisphériquc. Accniveau.
postérieure, à la scissure inlerhémisphériquc. Accniveau.le pôle postérieur de l'hémisphère, très écarté de la ligne médian
es circonvolutions olfactives : le pôle 1,'ii;. -. - Encéphale, vue postérieure . temporal droit est plus saillant, la légion ol
IQUES X. Du déplacement des fibres des pyramides dans les cordons postérieurs chez l'homme ; par Cuhtsr.. (Neurolog. l.'entcc
qui, au moment de l'entrecroisement, passent par le col de la corne postérieure (figure) soient identiques à celles du faisceau
ceau cunéiforme (figure). Le petit faisceau dispersé dans le cordon postérieur se divise en descendant, tout en se portant en
t en se portant en arrière et en dehors derrière la tète delà corne postérieure . Ses fibres qui immédiatement au- dessous de l'
e de l'accessoire, ils sont immédiatement en avant de la commissure postérieure . Constamment séparés des cordons postérieurs pa
avant de la commissure postérieure. Constamment séparés des cordons postérieurs par un pont ténu de substance grise, mais toujo
es deux côtés, pour, finalement, traversant des deux côtés la corne postérieure , entrer dans le cordon latéral des py- ramides.
ntérieure gauches plus petites que celles du côté droit. La portion postérieure des cordons latéraux, l'aire du cordon latéral
ne très notable exagération de la névroglie. Par con- tre, la corne postérieure gauche est hypertrophiée, surtout dans les régi
e oùles phénomènes de développement, voire de formation de la corne postérieure , n'étaient pas encore achevés (figures).. P. Ke
ec le manche du marteau ou avec une aiguille la peau de la partie postérieure et moyenne de la cuisse de haut en bas, vous obte
la ligne médiane du creux poplité en descendant le long de la face postérieure de la jambe, on obtient la flexion plantaire du
tes. Il est admis que la plupart des fibres qui forment les cordons postérieurs sont le pro- longement des racines postérieures
forment les cordons postérieurs sont le pro- longement des racines postérieures et. naissent des cellules des ganglions interve
es cellules des ganglions intervertébraux. Chaque fibre des racines postérieures , dès qu'elle est arrivée la moelle se divise en
MIE ET DE P,lYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 123 moelle vers la commissure postérieure , elles se collent aux fais- ceaux de Goll. Tout
re, elles se collent aux fais- ceaux de Goll. Toutefois les racines postérieures de la partie su- périeure du la moelle dorsale
ux de Goll et de Curllach que se ter- minent les libres des cordons postérieurs en ramuscules arbori- l'ormes. Mais toutes les
nt en longs trousseau prés du bord des cordons latéraux : la partie postérieure , la plus étroite et la plus compacte, forme le
t da- vantage dans la substance blanche. En même temps la portion postérieure , du faisceau latéro-cérébellcux émet un étroit fa
lbe, ce las- cicule s'allonge,s'étend dans la direction des cordons postérieurs et finalement les atteint : il se peut qu'il s'
es atteint : il se peut qu'il s'agisse de libres issues des racines postérieures qui, occupant d'abord les faisceaux latéro- cér
, avoisinenl, dans les régions supérieures de la moelle les cordons postérieurs , pour se terminer avec ces derniers dans les no
es-unes se terminent probablement dans les tubercules quadrijumeaux postérieurs : pour le reste de la des- cription, c'est à pe
re. B. Examen des dégénérescences descendantes. Celle des cordons postérieurs s'est manifestée ici sous les 3 formes décrites :
IOLOGIE PATHOLOGIQUES, moelle sacrée. Si l'on admet que les cordons postérieurs renfer- ment deux espèces de libres descendante
et totale de la moelle par un foyer détruit simultanément racines postérieures et cellules de substance grise, y compris celles
Déjerine et Thomas, Xageotte, les rameaux descendants des raci- nes postérieures sont atteints dans la dégénérescence en virgule
it ancien. On peut suivre la dégénérescence rétrograde de la racine postérieure jusque dans le ganglion spinal. On note aussi d
glions spinaux sur leur structure et sur leur fonc- tion. La racine postérieure , séparée du centre, est, contrairement à ce qui
ois des adhérences de la dure-mère, particulièrement dans la région postérieure de l'encéphale, la pic-mère est parfois épaissi
les artères radiculaires antérieures y manquent ; les radiculaires postérieures y sont, très rares. Et les artères centrales ne
t au troisième seg- ment lombaire, et, sur les artères radiculaires postérieures , au quatrième, son tableau montre une chute mar
sur lus rats, il se produit des troubles nutritifs dans les racines postérieures , une grande partie des cordons postérieurs, les
ritifs dans les racines postérieures, une grande partie des cordons postérieurs , les fibres radiculaires irradiées dans la subs
es fibres radiculaires irradiées dans la substance grise des cornes postérieures , avec atteinte particulièrement prononcée des ban
utours ajoutent la possibilité de lésions systématisées des cordons postérieurs asso- cilies ou non à celles des cordons latéra
d'une latérocidonce du cordon qui passait en sautoir sur l'épaule postérieure du f,etus,eL s'est trouvé comprimé pendant le dég
noyau oculo-moteur commun, et l'intégrité du faisceau longitudinal postérieur ainsi que de quel- ques libres radiculaires du
ieurs de la fosse temporale est mince, sans pannicule adipeux liers postérieur de la fosse temporale, large plaque d'atrophie
en ce point qu'a été appliquée la couronne du trépan. L'extrémité postérieure est sur une perpendiculaire de G centimètres et d
er le début de la paralysie générale. Le trau- matisme dans ce cas, postérieur à l'ictus, devientnon plus un facteur étiologiq
de la partie la plus infé- rieure de ce A' segment. Quant au groupe postérieur , il innerve le Archives, 2° série 1906, t. XXI.
n arrière, les centres des fléchis- seurs des orteils ou du jambier postérieur et du plantaire grêle. Le centre de ce dernier
e de préciser la localisation du po- plité, du soléaire, du jambier postérieur , des fléchisseurs tihialet péronier : ils doive
ne et postéro-intermédiaire. Chromatolyse et mor- pllisme du groupe postérieur . Atteinte aussi du 5- segment lombaire et des 3
eux ou plusieurs pat-Lies,(Iuisci-aienL en relation avec lesmuscles postérieurs de l'avant-bras ; ces cellules sont atteintes d
du 324 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES, groupe postérieur ; mais, plus bas, le premier diminue tandis que
ostérieur ; mais, plus bas, le premier diminue tandis que le groupe postérieur augmente. Ce qui prouve que le groupe an- léro-
centre des muscles antérieurs de l'avant-bras, tandis que le groupe postérieur est celui de la main. e) On retrouve le centred
onde s'ontendsur la fréquence des scléroses combi- nées des cordons postérieurs et latéraux dans la paralysie géné- rale, mais
r, des altérations des cellules nerveuses de la moelle; - scléroses postérieures tabétiques, substratum anato- mique des associa
enqui est la manifestation la plus certaine des lésions des cordons postérieurs . Les auteurs, rejetant les cas douteux, ont ain
ubercule'ayant détruit la calotte de la protubérance sauf son quart postérieur . Origine syphilitique du tabès et de la paralys
s symptômes habituels, présentent des signes d'al- teinte du cordon postérieur . L'hérédité vient du côté maternel seulement.
a jargonaphasie correspondent habituellement L des lésions du tiers postérieur des deux premières circonvolu- tions temporo-sp
05. Fibres. Du déplacement des - des pyramides dans les cordons postérieurs chez l'homme, par Bumke, 121. Fibrilles color
gie, 234, 235, 236. Nerf. L'inéquivalence biologique de la racine postérieure et du - sensitif périphérique, par Koester, 1
hie lamel- laire. Queue de cheval. oir Laminec- tonie. Racine postérieure Voir Nerf. Rage. Altération spéciale nucléaire
90 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ne s'élève au delà du front, ou ne s'étend aux régions latérales ou postérieures de la tête. L'exploration du crâne ne révèle au
largit .vers l'extrémité du premier sillon temporal, dans sa partie postérieure (qui présente plusieurs incisure; l' J -t S : '
ue"1 d'anatomieBet DE1PHYSIOLOGIE : 95 le "faisceau1 'longitudinal' postérieur f'seraitfen'i rapport évident avec les noyaux d
oise- ment des pyramides, dans.le. renflement latéral de la corne postérieure (caput cornu posterions de Clarke); le glosso-pha
s de la 'corne antérieure; 6)'desfdif- ? férents points de la corne postérieure ; , , 1 Il .41 , .1 J . 1`itI Il ? 3° Les cellul
posté- rieure ; , z ... - - ·trwJ . y5°, Les cellules de.la corne postérieure . sont munies-de prolonge- ments cylindraxes, qu
racines,antérieures ;,c);dans le^cordon latéral ;tid) dansée cordon postérieur ; e),à,travers la ligne ]nédiane,,ef,cn arrière du
ent de la moelle accusent une dégénérescence symétrique des cordons postérieurs a la limite des, faisceaux de, Goll et de Durda
? )'' "" ? .uni. 1 - "'l' ot\'J')O'l'l °"1 'J' '1 '1 0(> cordons postérieurs , sans psvchose. a h " J 1 .lIi. ci t 21..0('I9,
ades présentèrent aussi des symptômes de lésions /dans les cordons- postérieurs l'autopsie, de quatrel d'entre ; eux; en met l'
lle puisse être le premier s'yJJ1ptôlnede, l'altération des cordons postérieurs r et' pensel que : Je phénomène u, g,quJ ? >
gnant '-les'' pyramides, leur absence,-sa'localisation' à la partie postérieure de la 'région ] Ib" t,' b' N ." Il'' 'IL, ! J,
sale inférieure et sur la limite,,des zones, latérales des, cordons postérieurs , à lairégion; dorsale f supérieure ;Mesa muscle
te cause,réside : dans;la forme et levolume des deux trous déchirés postérieurs par -lesquels la plus grande partie du sang vei
ressions osseuses corres- pondantes manquaient également. La partie postérieure du trou déchirélpostérieur ne cdntenaitque les
des .veines habituelles < ordinaires. A gauche,-le trou déchiré postérieur mesurait pour plus grand diamè- tre 12 millimèt
? p ? ' 10' 3 de l'artère cérébrale ^antérieure; ' 1 . 5 - ' '* ? postérieure ; , ' 4 un territoire non' 'délimité 'parles aut
3. AuTorsiE. Dure-mère rachidienne saine. Arachnoïdite de la face postérieure de la moelle dans les deux tiers inférieurs de
es deux tiers inférieurs de la région dorsale. Atrophie des racines postérieures au môme niveau. Teinte grise translucide de t
môme niveau. Teinte grise translucide de toute l'aire des cordons postérieurs . très appréciable sur les coupes de la région d
oscopique tous les nerfs périphériques paraissent sains Les racines postérieures de la région dorsale seules sont mani- festemen
me des fibres régénérées. 186 PATHOLOGIE NERVEUSE. Dans le tibial postérieur (fragment pris au milieu de la jambe) la grande
res sont atrophiées avec aspect conjonctif (type 5). Dans le tibial postérieur , au contraire, la plupart des fibres sont saine
mbaire. Les racines antérieures dorsales sont saines. Les racines postérieures , très diminuées de volume à l'oeil nu, sont presq
acines antérieures lombaires sont tout à fait normales. Les racines postérieures sont loin d'être aussi altérées que leurs congé
hérie. La moelle était sclérosée dans certains points : les racines postérieures corres- pondantes étaient dégénérées, ainsi que
loppement rapide. Altération des nerfs périphériques et des racines postérieures correspondantes ". Olivier Marcel, âgé de dix-n
racines antérieures sont toutes absolument saines. Dans les racines postérieures correspon- dantes, on trouve un bon nombre de f
ent présentent la fragmentation en blocs (type 1). Dans les racines postérieures beaucoup de fibres sont saines, quelques-unes m
ne est encore fragmentée en blocs. 13° Les racines antérieures et postérieures de la région cer- vicale, étudiées par comparai
étaient presque toutes saines, la plupart des fibres des racines postérieures appartenant aux mêmes paires étaient manifestem
lausible de ces différences entre l'état des racines antérieures et postérieures . Nous nous contentons de signaler le fait sans
s vivement colorées en noir. Les nerfs tibial antérieur et tibial postérieur présentent les mêmes altérations que les saphèn
très rares fibres fragmentées en boules (type 2). Dans les racines postérieures , presque toutes les fibres sont fragmentées en
tait une lésion médullaire et une altération évidente des racines postérieures correspondantes. Dans les deux cas, il s'était
et quelques râles fins au moment de la toux à la région moyenne et postérieure du poumon droit. - Un peu de raideur de la nuqu
nentes; la tête est relativement volumineuse surtout dans sa partie postérieure (diamètre antéro-postérieur de la calotte crâni
e colo- ration noire-ocreuse. Tout le lobe pariétal, et la partie postérieure des circonvolutions temporales sont adhérents,
se trouve cette dernière lésion, ainsi que sur les deux digitations postérieures du lobule ds l'insu la qui sont atrophiées et ind
oins épaisse de substance grise, notamment : 4° sur toute la moitié postérieure de la première circonvolution frontale; 2° sur
Pa, pariétale ascendante. P, pli pariétal supérieur. T, partie postérieure des circonvolutions temporales. T1, première te
la troisième circonvolution (à gauche), ou tout au moins du segment postérieur de celle-ci (adroite), qui constitue, de concer
manifestations se voient quand le processus, dépassant les cordons postérieurs , empiète sur les cordons latéraux. Trois éven-
lations chez un ataxique. (1%ig. G.) Calcanéum (14). - La facette postérieure de la surface articu- laire supérieure est enco
Premier métatarsien (1). ). - Considérablement épaissi à sa partie postérieure qui est complètement soudée au premier cunéifor
udée au deuxième cunéiforme (7). Toutes les surfaces articu- laires postérieures des trois autres métatarsiens sont plus ou moin
épaissi dans le sens de la hauteur, il en est de même de la partie postérieure du premier métatar- sien auquel il est soudé. L
les consonnes y, k, de la position de la base de langue à la partie postérieure . Les diffé- rentes positions palatales de la po
et stimule au contraire les centres sensoriels de l'écorce (région postérieure ). Dans ces conditions, le patient se trouve tra
rescence caséeuse. Le coeur n'avait rien d'anormal. Sur la partie postérieure de l'épiglotte et, à la surface des ligaments v
intacte, la pie-mère bien ténue et trans- parente ; sur la surface postérieure , on trouvait quelques pla- ques calcaires; le p
ceaux latéraux; dans les autres parties de la moelle-fais- ceaux postérieurs et antérieurs et substance grise - il n'y en av
tés, et occupait la place caractéris- tique, c'est-à-dire la partie postérieure des colonnes latérales ; l'espace occupé par la
vers la substance grise, mais ne la touchait pas non plus ; le côté postérieur de ce triangle confinait par sa partie externe
ostérieur de ce triangle confinait par sa partie externe à la corne postérieure ; sa par- tie interne était un peu distante de
plus tard de la substance grise) dans les fais- ceaux antérieurs et postérieurs ne présentait rien d'anormal tout le long de la
5 quantité égale à droite et à gauche, tandis que, dans la partie postérieure (supérieure) de la protubérance, on n'en trouvait
uantité, mais sur un espace très limité, précisément dans la moitié postérieure de la capsule interne entre la couche optique e
la couche optique et le noyau lenticulaire ; en divisant la moitié postérieure de la capsule en quatre parties égales, on voya
la substance blanche, y occupaient une région voisine de la partie postérieure de la limite externe du noyau caudé, vis-à-vis
olu- tion centrale antérieure que dans la circonvolution centrale postérieure ; dans l'une, comme dans l'autre, on n'en trouvait
pacte dans la capsule; ils occupent le troisième quart de la partie postérieure de la cap- sule en comptant du genou et se trou
e l'autre. En mon- tant, ils tournent le noyau caudé dans son tiers postérieur ; puis, divergeant de plus en plus, se dirigent
n. a., Moitié antérieure de la capsule interne. . C. i». 1 ? Moitié postérieure de la capsule interne. X, l'lace où ont été tro
. Se. li., Scissure de Rolando. C. c. p., Circonvolution centrale postérieure (pariétale ascendante). Se. par., Scissure inte
e. Se li., Scissure de Rolando. C. c. p., Circonvolution centrale postérieure . Se. par., Scissure interpariétale. Se. S. h.
Se. Il., Scissure de Rolando. ' C. c. p., Circonvolution centrale postérieure . Se. par., Scissure interpariétale. X, Place
e. Sc. R., Scissure de Rolando. C. c. p., Circonvolution centrale postérieure . Se. par., Scissure interpariétale. C. fr. I.
ctuel(août 1882).- Tête très volumineuse, développée dans sa partie postérieure , saillie très prononcée de l'occipital au niveau
correspondant à la partie nourrie par cette branche (dans la partie postérieure de la troisième circonvolution fron- tale gauch
du fond du sillon de Rolando, de la paroi antérieure et de la paroi postérieure de la pariétale ascendante, et du fond de la sc
Pa, pariétale ascendante. P, pli pariétal supérieur. T, partie postérieure des circonvolutions temporales. T1, première te
in. a., Moitié antérieure de la capsule interne. C. in. p., Moitié postérieure de la capsule interne. 11-ice où ont été ti@ou\
te). Se ? Scissure de Romande. C. c. 1)., Circonvolution centrale postérieure (pariétale ascendante). Sc. par., Scissure inte
ure. .Se ? Scissure de Rolando. C. c. p., Circonvolution centrale postérieure . Se. par., Scissure interpariétale. Se. S. lt
. Se. fi., Scissure de Rolando. r. c. p., Circonvolution centrale postérieure . Sc. par., Scissure interpariétale. 1, Place
. Sc. It., Scissure de Rolando. C. G. p., Circonvolution centrale postérieure . Se par., Scissure interpariétale. C. fI'. ?
91 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
ier, classique, de l'unité morbide décrite sous ce nom; les cordons postérieurs doivent être affectés, comme dans l'ataxie loco-
haryngiens conservés. Sensibilité du voile du palais et de la paroi postérieure du pharynx et du larynx normale. Pharyngite chron
eau de la.face.'Au cou elle prédomine pour les muscles de la région postérieure , qui ont en grande partie disparu (muscles des
long extenseur du pouce, l'extenseur commun des doigts, le cubital postérieur et rien dans les autres. Grand pectoral : norma
commun des doigts : très grande diminution d'excitabilité. Cubital postérieur : normal. Muscles abducteurs et extenseurs du pou
supinateur et le brachial antérieur, enfin les muscles de la région postérieure . Il ne cesse pendant cet effort de fixer ses rega
te avec les mêmes caractères : la tête oscille dans le sens antéro- postérieur ou transversal, la langue participe ou non au tre
iliaque ou une ligne paral- lèle située au-dessous, puis à la face postérieure du tronc s'incline est bas et en dedans, suivan
en en avant, à sommet coccygien en arrière (les deux V antérieur el postérieur étant réunis à droite et à gauche par une ligne
t penchée en avant, à cause de la faiblesse des muscles de la poche postérieure du cou. On ne constate cependant pas de déformati
ochés, profonds et parallèles au ligament de Poupart. Sur la partie postérieure du tronc, les sillons sont beaucoup moins accus
Les deux régions inguino-crurales, le creux poplité droit, la face postérieure du mollet droit, les points rétro-maHeoIaircs int
nce de deux tumeurs gliomaLeuses; l'une était siluée dans la partie postérieure de la couche optique droite; l'autre avait enva
-pariétalc, l'asymétrie frontale, etc. L'inspection suivant la face postérieure , norma ])ostel'iol' (Laurillard) ou occipitale,
périeure des oreilles en passant par l'ophryon. b. La demi-courbe postérieure donnée par la mesure du segment t joignant les
'autre main on fait mouvoir l'autre branche du compas sur la partie postérieure de la tête, en restant toujours dans plan médian
ostérieure de la tête, en restant toujours dans plan médian antéro- postérieur . L'écartement maximum des deux branches donne l
maximum des deux branches donne la mesure cher- chée, et la branche postérieure du compas indique alors le point le plus sailla
la capacité interne du crâne. Les deux demi-courbes, antérieure et postérieure , indiquent le développement relatif des moitiés
ieure, indiquent le développement relatif des moitiés antérieure et postérieure du crâne. Sans affirmer qu'il y a un rapport co
regards autour de lui. Lorsque l'atrophie des muscles de la partie postérieure du cou est très avancée, on voit entre la nuque e
. Bewan-Lewis démon Ira, outre les lésions ordinaires des faisceaux postérieurs , l'existence de lésions manifestes des noyaux d
logiquement, lésions spinales très-prononcées, sclérose des cordons postérieurs sur toute leur étendue; altérations des zones rad
égion cervicale. ' Dans la substance grise, dégénération des cornes postérieures , cavités kys- tiques occupant la substance géla
postérieures, cavités kys- tiques occupant la substance gélatineuse postérieure de la région lombaire. Corpuscules amyloïdes no
on débordait les cordons de Goll et paraissait derrière les cordons postérieurs jusqu'au niveau de la zonc radicu- laire postér
re les cordons postérieurs jusqu'au niveau de la zonc radicu- laire postérieure (colonne dé Burdach). Au niveau de la 4° paire de
fs lombaires, la sclérose s'enfonçait presque jusqu'à la commissure postérieure et s'étendait latéralement jusqu'au voisinage d
ur la moelle on découvrait à l'oeil nu une teinte grise des cordons postérieurs qui commençait au segment dorsal. Ilistologiq
diatement contigu au raphé, s'étendait jusque près de la commissure postérieure et avait une forme ovalaire à grand diamètre en
nombre de ces fibrilles se perdaient dans le faisceau longitudinal postérieur . Un réseau de fibrilles se voyait également à l
à la limite externe du second amas, en arrière, vers la commissure postérieure . Les deux amas étaient coudoyés par ces fibrill
'une prolifération interstitielle. Dégénérescence grise des cordons postérieurs allant du segment, cervical à la partie inférieur
que celui du moteur oculaire commun. Les noyaux du trochléaire dits postérieurs , à petites cellules, ne se voient plus; le noya
e on peut voir que : 4° cette lésion part en avant de la commissure postérieure qu'elle enveloppe complètement, de la partie po
commissure postérieure qu'elle enveloppe complètement, de la partie postérieure du chiasma optique, c'est-à-dire du corps pitui
adrijumeaux sous lesquels elle passe, et enfin 4° envahir les rênes postérieures de la glande pinéale, puis cette glande elle-même
a trouvé comme unique lésion médullaire des hémorrhagies à la face postérieure de la pie-mère spécialement au niveau de la rég
ent guéries et marchent facilement. UNS. I. Contracture des muscles postérieurs de la cuisse succédant à une hémiplégie. - Rétr
nait un léger résultat aussi- tôt limité par la tension des muscles postérieurs de la cuisse. Les tendons qui limitent le creux
constater la tension des muscles formant sous la peau de la région postérieure de la cuisse des cordes très appréciables. Au n
ais encore mobiles; il semblait que le raccourcissement des muscles postérieurs de la jambe et du tendon d'Achille ne jouaient ic
tions tendineuses portant, premièrement sur les tendons des muscles postérieurs de la cuisse au niveau du creux poplité, second
l'aide du chloroforme. « On put, dit-il, tracer la raquette à queue postérieure , décoller le lambeau, désarticuler, faire les s
su cellulaire adipeux sous-cutané abondant; oedème dans les parties postérieures des lobes inférieurs des poumons; coeur dilaté, f
hagies semblables se rencontraient dans la même région de la partie postérieure des couches optiques et allaient sans interruptio
ylvius; dans plusieurs coupes elles existaient dans la commis- sure postérieure elle-même, ainsi qu'au-dessus et au-dessous de ce
elles diminuaient peu à peu, puis disparaissaient et dans la partie postérieure , le tissu ne présentait rien d'anormal, de sort
t auditif à la planche graduée ou projec- tion horizontale du crâne postérieur ; 2° la distance CB' du point sous-nasal au même
e CD, la projection du crâne anté- rieur DO, la projection du crâne postérieur OB'. La comparaison de ces trois éléments fourn
ommet inférieur, la fossette intercrurale. En arrière de la branche postérieure de la fourche se trouve une dépression allongée
fossette scaphoïde. Le tragus est une saillie triangulaire à sommet postérieur , située au devant du conduit auditif externe do
la connue. t, Fossette intercriirale. 5, Dédoublement de la branche postérieure de la fourche. 0, Fu..rtte scaphoïde. 7, Nodule
l'hélix présente un déve- loppement anormal et recouvre la branche postérieure de la fourche et la fossette scaphoïde. D'autre
main. En excitant tour ;1 tour les muscles de la face antérieure ou postérieure de l'avant-bras, on voit le poignet se fléchir
remonte aux membres. supérieurs jusque vers le coude et à la partie postérieure du bras sous forme de plaques serpigineuses. Da
bien sur les membres que sur la partie antérieure et sur la partie postérieure du tronc, sur les fesses, est marbrée de plaque
ur la coloration blanche du reste de la peau (Pl. XXXVI). La partie postérieure des bras et les fesses . portent des plaques un
sieurs années et leur exactitude est bien établie, 27 avril, face postérieure de la fesse droite : plaque asphyxique, T. 29° i;
sphyxique, T. 29° i; plaque saine voisine, T. 30 ? 28 avril, face postérieure de la fesse gauche : plaque asphyxique, ` ? J°8;
a un phénomène qu'on ne concevrait pas dans la sclérose des cordons postérieurs sans lésions pupillaires. Il est vrai, et nous
aires, etc., pouvaient bien faire songer à une sclérose des cordons postérieurs , mais la conserva- tion des réflexes et surtout
'il s'agissait d'un homme. Il ne vit là qu'une sclérose des cordons postérieurs ayant franchi ses limites spinales et gagné la ca
suivante : « C'est un exemple bien évident de sclérose des cordons postérieurs chez un saturnin. » Or, le 28 juin 1886, M. le
le qu'on accorde à d'autres maladies et que la sclérose des cordons postérieurs peut être un agent provocateur de l'hystérie. L
ortants et qui est en outre inconstant dans la sclérose des cordons postérieurs . Fié. 70. Fig. 71. Anesthésie en îlots (d'"
sectionnant tous les conducteurs centripètes (racines rachidiennes postérieures des nerfs lombaires) d'un côté du corps, et en
par de l'adipose sous-cutanée. Les muscles des faces antérieure et postérieure de la cuisse sont très atrophiés. Le malade fléch
y- liens conservent un léger relief; quant aux muscles de la partie postérieure de l'avant-bras, on ne peut plus les sentir ri
de l'avant-bras est encore possible; mais à la palpation de la face postérieure , on ne retrouve plus les faisceaux du triceps.
de la ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS», ,133 partie postérieure . A la partie antérieure, il y a une atrophie très
la reproduction exacte des symptômes poliomyéliques antérieurs et postérieurs de la gliomatose (dissociation de la sensibilité,
turellement par la localisation du- processus morbide dans la corne postérieure , la coexistence de ces deux symptômes s'observa
près aussi avancée sur les deux hémisphères cérébraux. Les lobes postérieurs des deux poumons sont fortement congestionnés.
érences de la dure-mère sont détruites dans la région des cor- dons postérieurs ; d'autre part, la névroglie soumise à une tractio
ment pour détruire les adhérences entre la pie- mère et les cordons postérieurs de la moelle. Sans entrer dans le fond même de
rieur était limité en avant et de chaque côté par les vertèbres, le postérieur en arrière et des deux côtés par la rigole. Le
la première passait immédiatement en avant des racines des membres postérieurs , et la seconde en arrière des membres anté- rie
, dans le canal lui-même, dans les commissures grises antérieure et postérieure et entre les cellules ganglionnaires des cornes
eure et entre les cellules ganglionnaires des cornes antérieures et postérieures . Les foyers hémorrhagiques étaient disséminés t
92 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
ssus provenant des par- ties cérébrales qui l'entourent. La branche postérieure de la capsule est en rapport en arrière et en h
à 15 millimètres environ en dehors de la ligne médiane, la partie postérieure du lobule orbitaire reçoit des faisceaux capsul
estination. L'insula elle-même, sauf ses extré- mités antérieure et postérieure , ne reçoit aucune expansion de la capsule inter
st constituée que par la subs- tance blanche comprise entre le bord postérieur du noyau lenticulaire et la queue réfléchie du
est formée principalement par les fibres qui viennent de la partie postérieure de la couche optique (pulvinar et corps genouil
gueur du segment antérieur est de 2 cen- timètres, celle du segment postérieur de 4 cen- timètres. f) Dans le segment antéri
ur direction : il en est de même dans le dernier quart du segment postérieur , c'est-à-dire de la portion comprise entre le b
gment postérieur, c'est-à-dire de la portion comprise entre le bord postérieur du noyau lenticulaire et la queue du noyau caud
antérieur de la capsule provient de la partie antérieure du segment postérieur dont les fais- ceaux se courbent en avant à des
ection s'éloigne de la ligne médiane. Le tiers antérieur du segment postérieur ne constitue donc en réalité que le commencemen
ntérieur n'est que l'expansion de la partie antérieure du segment postérieur . Quatrième coupe. Cette coupe doit passer par l
bord, comme le démontre la coupe sagittale X; 2° que les faisceaux postérieurs se dirigent en arrière sous la forme d'une lame
ans le même sens,est limitée en dedans par le tapetum et la corne postérieure du corps calleux, en dehors par les fibres arci
bres arciformes, intergyraires. Entre les faisceaux antérieurs et postérieurs s'en trouvent d'autres, de grosseur variable, s
ble de ces faisceaux fait suite au tiers moyen environ du segment postérieur de la capsule coupée dans sa plus grande étendu
entrales, à l'origine du lobule pariétal inférieur et à l'extrémité postérieure de l'insula. La description qui précède nous pe
la tête du noyau caudé et dont le fond répond au centre ovale. La postérieure , qui est la plus grande, est conique; elle repr
. Ils vont d'un seul trait, sans interruption ni réduction, du lobe postérieur DE LA CAPSULE INTERNE ET DE LA COURONNE RAYONNA
° Dans la partie moyenne ou pariéto-sphénoïdale ; 3° Dans-la partie postérieure ou occipitale. Telles sont les trois questions
e antérieure des hémisphères ayant pour limite, en arrière, la face postérieure de la 1 \ ANATOMIE. 4° zone frontale. Dans le
alleux, c'est-à-dire à l'union du tiers antérieur et des deux-tiers postérieurs du lobule paracentral. Incontestablement, dans
de nombreux faisceaux rayonnants paraissant des- tinés à la moitié postérieure environ de la circonvolu- tion qui circonscrit
C. Manière dont se comporte la couronne rayon- nante dans la partie postérieure ou occipitale.-Ce que l'on appelle prolongement
constitue, pour ainsi dire, un système à part compris entre le bord postérieur du noyau lenticulaire et la 18 ANATOMIE. part
upes horizontales moyennes et la coupe frontale passant par le bord postérieur du noyau lenticulaire. (Face postérieure de la
ntale passant par le bord postérieur du noyau lenticulaire. (Face postérieure de la 5e zone mésolobaire.) D'après Meynert et
tique située en arrière d'un plan transver- sal passant par le bord postérieur du noyau lenticu- laire et la commissure cérébr
bord postérieur du noyau lenticu- laire et la commissure cérébrale postérieure . Ce sont les fibres optiques de Gratiolet. Les
, DE LA CAPSULE INTERNE ET DE LA COURONNE RAYONNANTE. 25 avec les postérieures dans celui de la cinquième tem- porale. Mais si
erne du lobule temporal. J'ai déjà fait remarquer que sur la face postérieure de la cinquième zone frontale, les irradiations
deux centi- mètres au moins, car, nous le retrouvons sur la face postérieure de la septième zone frontale, où il limite en d
ents de son milieu et, à plus forte raison, à ceux de son extrémité postérieure ne sont, au con- traire, que des fragments de f
i., corps genouillé interne. C. i. ? p., capsule interne; faisceaux postérieurs . C. i. fl., capsule interne; genou. , C. i. s
e interne; segment antérieur. C. i. s. p., capsule interne; segment postérieur . f. l, s. e., faisceau longitudinal supérieur e
s exception tous les mus- cles de la région externe et de la région postérieure de l'avant-bras. Ce sont les muscles : Long s
Les deux radiaux externes ; Court supinateur; Anconé; Cubital postérieur ; Extenseur propre du petit doigt; Extenseur c
és par le radial sont tous extenseurs : les uns du poignet (cubital postérieur et les deux , radiaux) , les autres des doigts
uel s'est fait la rupture, enfin (recour- bant les doigts), la face postérieure de la rotule.-Pas d'atro- phie évidente des con
l'avons pas pensé. M. Schiff en a jugé autre- ment. Dans un travail postérieur de deux ans à notre première publication sur ce
signalées par Betz. On peut en trouver des groupes dans les régions postérieures et même vers la base. Il en a trouvé surtout un
t musculaire. , La pression sur la masse des muscles de la région postérieure de l'avant-bras amène l'extension des ÉTUDE DE
fut le premier à établir que « toutes les circonvolutions des lobes postérieurs du cerveau concourent à la fonction visuelle s.
tre visuel, admettent tous que ce centre se trouve dans la partie postérieure du cerveau et'qu'il ne dépasse pas en avant le pl
sie, on trouva un vaste foyer de ramollissement 'occupant la moitié postérieure de la surface convexe de l'hémis- phère gauche.
toute la première circonvolution temporo-sphénoïdale et la partie postérieure de la deuxième temporo-sphénoïdale. ' ' il, ' L
minution de volume est très accentuée pour les muscles de la région postérieure . Cette lésion' correspond à la chute de la main
ue les impressions acoustiques, ont pour locali- - sation les lobes postérieurs et plus rigoureusement le lobule triangu- laire
région cérébrale connue comme la première circonvolution cérébrale postérieure am sillon cru- cial, effectuée près de ce sillo
genouillé interne. f ' ♦ » C. i. f. p., capsule interne; faisceaux postérieurs . C. i. g., capsule interne ; genou. , . C. i.
e; segment antérieur. , , , ? C. i. s. p., capsule interne; segment postérieur ? , 1. s. e., faisceau longitudinal supérieur e
93 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
foyer hémorhagique qui a détruit la couche optique gauche, la partie postérieure du noyau intraventriculaire du corps strié gauche
er anfractueux dans ta couche optique gauche, empiétant sur la partie postérieure des corps striés. Ce foyer a fait irruption dans
gauche ; le sang, après avoir déchiré les circonvolutions à la partie postérieure , s'étend sous la méninge. Le foyer renferme sur
ils sont disposés principalement sur les branches de la cérébelleuse postérieure et supérieure. On ne trouve pas d'anévrysmes dans
74 ans. — Morte le 10 novembre 1867 d'hémorrhagie cérébrale clu lobe postérieur droit, quatre jours après l'attaque. — Anévrysmes
12 janvier 1807 d'hémorrhagie cérébrale. Foyer récent dans la partie postérieure du noyau blanc de l'hémisphère cérébral gauche. A
cente dans le noyau blanc de l'hémisphère cérébral droit, à la partie postérieure . Anciens foyers d'hémorrhagie dans le même poin
n ce point et un caillot sanguin, pesant 30 grammes, occupe la partie postérieure et inférieure gauche de la grande cavité arachnoï
rouve un foyer hémorrhagique récent qui occupe la partie moyenne et postérieure du corps strié. On découvre dans l'épaisseur de c
artères de la base sont fortement athéromateuses. L'artère cérébrale postérieure droite est complètement oblitérée par l'athérome,
calement la couche optique et le corps strié, à l'union cle son tiers postérieur avec les deux tiers antérieurs. La capsule blanch
et de la couche optique du côté droit. Autre ancien foyer à la partie postérieure du noyau blanc du lobe occipital du même côté. —
ant à un degré assez notable, beaucoup plus que la gauche. La branche postérieure de l'artère sylvienne droite est oblitérée, et, e
ie, on trouve les lésions de la paralysie générale; puis dans le lobe postérieur de l'hémisphère droit, un foyer d'hémorrhagie anc
foyer d'hémorrhagie ancienne atteignant la paroi externe de la corne postérieure du ventricule latéral du même côté. On trouve une
rès prononcée du membre supérieur du même côté ; rigidité des muscles postérieurs du cou; la face est tournée à droite. Mort deux j
olume d'une petite noix, occupe l'épaisseur d'une des circonvolutions postérieures . Le cerceau présentait en outre une multitude pro
s la queue du corps strié droit un foyer ocreux contenant à sa partie postérieure une matière pulpeuse et qu'on est indécis à rappo
e, présentait à l'autopsie, en même temps que la sclérose des cordons postérieurs de la moelle, d'assez nombreux anévrysmes intra-c
it. — Oblitération fibrineuse et athéroma-teuse de l'artère cérébrale postérieure correspondante. Hémiplégie gauche avec flaccidité
(zonaj se voient à la suite d'altérations des racines ou des cordons postérieurs de la moelle. On sait aussi que les fibres nerv
es fibres nerveuses sensitives qui forment les racines et les cordons postérieurs de la moelle ont une terminaison à la peau plus c
la suite d'irritation centrale. VI. Hémorragie cérébrale du tiers postérieur de la capsule interne (1). M. Charcot, à propos
Un tableau symptomatique tout différent résulte de la lésion du tiers postérieur de la même capsule. On se trouve alors en face d'
A. la face interne du pariétal gauche et à sa partie inférieure e| postérieure on reconnaît une sorte diulscération de Vos, La t
scissure médiane à la réunion du tiers antérieur avec les deux tiers postérieurs de l'hémisphère, et Forme une dépression pouvant
la partie inférieure de l'hémisphère droit du cerveau, vers sa partie postérieure , il existe un abcès considérable... On voit que
issement jaune occupait le fond de la scissure de Sylvius et son bord postérieur . Le ramollissement avait détruit : 1° sur le lobe
mité inférieure, et dans toute leur étendue, les deux circonvolutions postérieures de ce lobule. En profondeur, le ramollissement
orps strié tout entier et le noyau intra-ventriculaire dans sa moitié postérieure seulement étaient envahis par le ramollissement.
nces, chez d'autres sujets atteints de myélite sclé-reuse des cordons postérieurs . Cette prévison devait se réaliser, ainsi qu'on l
e âgée de 42 ans, chez laquelle les symptômes de la myélite scléreuse postérieure , aujourd'hui fortement accusés, se sont manifesté
les. L'arthropathie des ataxiques, au contraire, paraît être toujours postérieure en date à l'altération scléreuse de la moelle épi
éloigner la rotule des tond g les de plus d'un centimètre. La partie postérieure du membre était surtout infiltrée. Le treizième j
les symptômes, la blessure avait dû intéresser la totalité du cordon postérieur et du cordon latéral de la moelle du côté gauche
comotrice progressive. En effet, raJférafion particulière des cordons postérieurs à laquelle se railachenf les symptômes de cette m
e femme, aujourd'hui âgée de soixanle-et- 1. L'atrophie des racines postérieures peut, à cette période de la maladie, manquer comp
me celles-là relèvent directement de la m\élite scléreuse des cordons postérieurs . Cette conclusion toutefois, ne saurait être prop
s pariétales, immédiatement en arrière de la circonvolution marginale postérieure . Le ramollissement s'étend à la substance blanche
litérée toutefois, par un thrombus décoloré et adhérent.Deux brandies postérieures de cette artère, qui se dirigent vers le foyer de
t très fortement congestionnés et comme imbibés de sang à leur partie postérieure . Les différents viscères de Y abdomen n'ont prése
iatement en arrière du sillon de Rolando, la circonvolution marginale postérieure , à son extrémité supérieure, au niveau de l'étage
e, déprimée, de 4 centimètres de diamètre environ, occupant la partie postérieure du lobe pariétal. Le ramollissement n'est pas bor
ecouverts par le ligament dorsal du carpe, sont sillonnés à leur face postérieure par de nombreux vaisseaux fortement distendus par
s propres à l'hystérie. On sait qu'à la suite de lésions de la partie postérieure de la capsule interne, peut-être de l'extrémité d
sule interne, peut-être de l'extrémité du rayonnement de cette partie postérieure , il survient de l'hé-mianesthésie en même temps q
fléchir la jambe et bien la soutenir en tenant la main sous la partie postérieure de la jambe) ; 3° la trépidation spontanée que l'
sans exception tous les muscles de la région externe et de la région postérieure de l'avant-bras. Ce sont les muscles : Long sup
Les deux radiaux externes ; Court supinateur ; Anconé ; Cubital postérieur ; Extenseur propre du petit doigt ; Extenseur com
rvés par le radial sont tous extenseurs : les uns du poignet (cubital postérieur et les deux radiaux), les autres des doigts (exte
on externe : le long supinateur ; les radiaux externes. A la région postérieure : l'extenseur commun; l'extenseur propre de l'ind
seur propre de l'index; l'extenseur propre du petit doigt; le cubital postérieur . Des trois muscles du pouce, le long extenseur
soit directement, en Fig. 15. — Quelques points moteurs de la face postérieure de l'avant-bras et de la main. R, nerf radia!.
ne; 3, deuxième radial externe ; 4. extenseur des doigts ; 5, cubital postérieur ; 6, extenseur propre du petit doigt ; 7, extense
ement musculaire. La pression sur la masse des muscles de la région postérieure de l'avant-bras amène l'extension des doigts et d
ers-Ezn, dans des expériences sur les mouvements réflexes d'un membre postérieur de la grenouille, a indiqué des régions de la pea
quisme, p. 234. c Capsule ínterne, hemorrhagic cérébrale du tiers postérieur de la -, p. 89. CaruS h y s lé fique, p. 257, 2
e de 1' —, p. 71; — atrophie des reins cause del' —, p. 72;— du tiers postérieur de la capsule interne, p. 89 ; — température cent
94 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e dans le repli gastro- colique, repli qui représente le mésogastre postérieur , c'est-à-dire la cloison conjonctive médiane qu
vésicule auditive et que souvent même elle n'atteint pas le cerveau postérieur ; l'encéphale presque tout entier pré- existe à
eurs. Une troisième ecchymose moins bien dé- finie marque le rebord postérieur de l'aisselle et se perd sur la partie supéro-l
ue dans la partie moyenne du membre et particulière- ment à la lace postérieure du coude. L'enquête soignée à laquelle nous avo
fige Mitteilung (Recherches exp.sur l'An. et la Phys. des racines postérieures des nerfs rachidiens. Communication préliminaire)
. (Neurol.Ctrbl. XXV, fasc. 7, p. 297 â 300). Section des racines postérieures chez 4 Macacus rhesus, puis su- ture de la dure
urent tués un mois après l'opération. La section d'une seule racine postérieure ne produit pas le plus léger trouble moteur dan
r dans le membre correspondant. La section de plusieurs des racines postérieures correspondant à un membre produit des troubles
ement au bout de quel- ques jours. La section de toutes les racines postérieures d'un 56 REVUE n'ANA10MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATH
esse et d'atrophie des muscles de ce membre. Quoique la 8° racine postérieure cervicale pré, ide à la sensi- sibilité d'une g
st que secon- daire dans la motricité du membre : quand la 1 racine postérieure dorsale et « vraisemblablement » plusieurs autr
y compris la 8e. Après section d'une série ininterrompue de racines postérieures correspondant à un membre, les mouvements de pr
t formée presque uniquement des bran- ches descendantes des racines postérieures . Le siège et l'étendue en hauteur de sa dégénér
ndue en hauteur de sa dégénération dépendent du siège des racines postérieures sectionnées. Pourtant, après section des dernière
int pas la moelle lombaire. Après section unilatérale des racines postérieures , il n'y a ja- mais dégénération dans le cordon
racines postérieures, il n'y a ja- mais dégénération dans le cordon postérieur du côté opposé.On observe, par contre, dans les
la périphérie de la substance blan- che. La division des cordons postérieurs en cordon de Goll et cor. don de Burdach ne s'a
rectiligne. Dans cer- tains cas, une partie des fibres des cordons postérieurs passe par les noyaux de ces cordons, s'engage d
posé et se dirige aussitôt vers l'écorce. Après section des racines postérieures , les cellules motrices des cornes antérieures n
expliquer les troubles moteurs. Dans le bout médullaire des racines postérieures sectionnées, l'auteur ne trouva pas de fibres s
bre dégéné- rée. L'auteur en conclut que,chez le singe, les racines postérieures ne contiennent pas de fibres médullifuges. Ce r
391, 3 fig., 1er mai 1906) (1). On sait que la section des racines postérieures produit dans le membre correspondant des troubl
ments. On sait, d'autre part, que, chez les mammifères, les racines postérieures contiennent des fibres vasomotrices dont t l'in
IE PATHOLOGIQUES. Chez le pigeon domestique, la section des racines postérieures d'une patte entraîne des troubles moteurs, tant
les et des phalanges etc. Quant à l'aile, la section de ses racines postérieures ne cause jamais le moindre trouble dans ses mouve
Py. C. et -D. des deux côtés ; plusieurs hémorrhagies dans la corne postérieure droite. Moelle dorsale : D à à D 7j dégénératio
à D 7j dégénération symétrique, en vir- gule, dans les deux cordons postérieurs . Moelle lombaire : hémor- rhagies dans la corne
cordons postérieurs. Moelle lombaire : hémor- rhagies dans la corne postérieure gauche ; dégénération diffuse très légère des d
térieure gauche ; dégénération diffuse très légère des deux cordons postérieurs . 3° Homme de 38 ans; les réflexes patellaires v
ite et nul à gauche.- Autopsie : Dé- génération diffuse des cordons postérieurs , légère, dans la moelle cervico-dorsale, plus a
ion récente très légère, qui échappe au Pal, tandis que les cordons postérieurs paraissent sains. L'auteur remarque que dans le
de Nonne et pense avec ces auteurs que la dégénération des cordons postérieurs peut être quelquefois assez légère pour permett
sSOT XIII. De l'influence de la section expérimentale des racines postérieures sur l'état des neurones périphériques. Contributi
hériques. Contribution à l'étude des fibres centrifuges des racines postérieures ; par Roux et HEITZ. (Nouv. Icon. de la Salp. 1
Ces auteurs ont expérimenté sur le chat : la section des racines postérieures produit des réactions bien différentes dans les d
Les recherches ont mis en évidence l'existence, dans les racines postérieures ,de fibres myéliniques à trajet centrifuge. Il est
rtager l'opinion de Koster que la section expérimentale des racines postérieures détermine des altérations des nerfs péri- phéri
crites dans le 'tabes ; dans les nerfs périphériques et les racines postérieures l'a- trophie simple à type segmentaire du tabes
t,par conséquent dis- tinct de celui des fibres gustatives du tiers postérieur de la langue ; - des symptômes de vertige de Mé
moins large du tronc, en forme de ceinture ou de corset, et la face postérieure des mem- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 79 bres
u hyperes- thésie dans une zone de là région lombaire ou de la face postérieure du thorax, ou dans une zone du tronc en forme d
logie ne peut être uniquement conditionné par la lésion des cordons postérieurs ou par celle des nerfs périphériques. Le tabes
ns latéraux ; ta- bes dorsalis avec faibles altérations des racines postérieures . M. Long (de Genève). - A l'autopsie d'un homme
re, remarquable par la faible intensité des altérations des racines postérieures dans la région lombo- sacrée. J'ai constaté l
les viscéraux et signe d'Ar- gyll-Robertson. Ici encore les racines postérieures de la moelle étaient très peu altérées. Ces f
elles recherches sur l'histologie fine des ganglions et des racines postérieures dans le tabès. MM. MARINESCO et J. 1-11Nr- : L
rest). -Nous venons d'examiner les ganglions spinaux et les racines postérieures dans 5 nouveaux cas de tabès simple ou associé
104 CONGRÈS DES MEDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. les racines postérieures n'anivent jamais à leur maturité et gardent tou
quc consiste dans l'intoxication de la branche centrale des racines postérieures , qui empêche les fibres de nouvelle formation d
za qui rencontra dans le lobe électrique de la torpille, à un stade postérieur à la diffé- renciation des neuroblastes, des ne
adjacente du putamen étaient détruits dans leurs quatre cinquièmes postérieurs . Pas trace d'anarthrie dans le sens de M. Pierr
Herrn Dr Z. BI CIIO\VSICI. Sur l'anatomie du faisceau longitudinal postérieur . Par le Docteur S. J. de Lange. M. le Dr A. M
t blanc rosé à l'extérieure et sur la coupe, reposait sur la partie postérieure de la moelle qu'elle avait creusée d'une dépres
égénérescence ascendante au- dessus de la tumeur dans les faisceaux postérieurs et la moelle. Au point de vue histologique, la
la gestion de ses biens et revenus » . Le décret du 31 Mai 1862, postérieur à I« Instruction Générale, a reproduit, en son
avec méninges 1170 gr. Dure-mère assez tendue. La fosse cérébrale postérieure et la selle turcique sont couvertes de pus jaune
on constatable par les colorations Weiget-Pal et carmin.Les cordons postérieurs ne sont pas sclérosés. A la cauda equina, les f
sis entre la dure-mère et la substance nerveuse avec prédomi- nance postérieure . La dure-mère est aussi infiltrée ; on trouve m
arrière en avant entre les faisceaux de la bandelette longitudinale postérieure et dans l'espace com- pris entre les bandelette
i- que. La cause est donc vraisemblablement une lésion du cerveau postérieur , ou bien un trouble de l'arc réflexe cérébral gén
rales ne sont pas dirigées directement par les centres sen- soriels postérieurs : elles le sont toujours par l'intermédiaire du
s dizaines d'années. L'infiltration n'était pas limitée aux cordons postérieurs mais s'étendait sur toute l'épaisseur de la moe
qu'il constata dans la pio- duction de la dégénération des cordons postérieurs . Ch. B. XXXVII. - Ueber Hemiplegie bei intakter
l'hémisphère droit surtout dans la région rolandique. Dans la lèvre postérieure de Fa, la 'cou- che des pyramidales géantes est
, qui recon- naît pour cause des lésions des racines et des cordons postérieurs . Le signe principal est la diminution puis la d
convulsions ; pas d'otorrhée, a eu de l'impétigo limité à la partie postérieure des oreilles. Pas d'adénites, pas de maladies d
op- pés ; duvet roux à la partie médiane et supérieure de la face postérieure du thorax ; ventre glabre ; léger érythème sur le
ière. Les sutures sont finement dentelées. Les angles antérieurs et postérieurs des pariétaux sont transpa- rents. Le crâne est
Sclérose trophique d'une partie du lobe occipital et de la par- tie postérieure du lobe temporal surtout de T 3. La lésion de l
Les lésions de mccningo-encèphalile occupent F 1 et F 2, la partie postérieure et les deux tiers inférieurs de F. A. qui est m
volutions sont très grêles. Adhérences de la pie-mère sur la partie postérieure de F 1 sur la circonvolution du corps calleux s
iz1. Et encore suis-je au-dessous de la vérité : des renseignements postérieurs . positifs, m'indiquent comme s'étant livrés il
Fibres. De l'influence de la sec- tion expérimentale des racines postérieures sur l'état des neu- rones périphériques. Contri
phériques. Contribu- tion à l'étude des centrifu- ges des racines postérieures , par Roux et ileitz, p. 63. Fièvre. Sur deux
ey·périmen- tales sur l'anatontic et la phy- siologie des racines postérieures desrnehi(tiens.Communica- tion préliminaire,
lisation, par Blach, p. 300. Ihitl., par Bumke, p. 300. Racines postérieures . Voir Fibres.. M, 1 Radiculite lombaire, par
cordons latéraux. dorsalis avec faibles altéra- tions des racines postérieures , par Long, p. 162. Nouvelles recherches sur l
s recherches sur l'histologie fine des ganglions et des racines postérieures dans le -, par Marinesco et 3linel, p. 164. a
95 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e anatomique, on observe une dégénérescence des fibres radiculaires postérieures (zone cornu-radiculaire; zone des bandelettes e
qui préside à l'établissement des lésions des racines et cordons postérieurs de la moelle au cours des tumeurs céré- brales.
s lésions sont nettement prédomi- nantes sur le système radiculaire postérieur , ainsi que les 'premiers observateurs l'avaient
servateurs l'avaient bien expressément noté. Mais, dans les cordons postérieurs , elles sont d'emblée diffuses, n'obéissant à au
ent égale (zone cornu-radiculaire ; bandelettes . externes ; champs postérieurs ); de plus, quelle que soit leur durée, elles n'
aphie n'est pas moins intéressante à étudier au niveau de la racine postérieure ; ainsi, l'intensité des lésions augmente manife
ur les coupes sériées, pratiquées à tous les niveaux de la racine postérieure . C'était là remarquons-le en passant une consta
orienter vers un endroit bien déterminé du système radicu- - laire postérieur toutes les recherches concernant le méca- nisme
tômatiques des tumeurs cérébrales, au niveau des cordons et racines postérieurs . Quoi qu'il en soit, le processus histologique
ue est sensiblement le même partout, dans les régions sensitives et postérieures comme, dans les régions motrices et antérieures
plus nettement la dislocation des fasci- cules nerveux de la racine postérieure principalement; les lésions, surtout démyélinis
les à travers les fascicules des racines rachidiennes, de la racine postérieure en particulier. Ces diverticules sont à peu prè
du côté paralysé étant la règle -; cela voudra dire que les cordons postérieurs sont altérés vraisemblablement par le mécanisme
ante aussi au point de vue de la pathogénie des lésions des cordons postérieurs , mais c'est là une question qui ne peu^ encore,
luence des recherches récentes concernant les ganglions des racines postérieures sur l'étiologie du tabes dorsalis ; par R. G. R
la moelle avait pour siège les cellules des ganglions des ra- cines postérieures , et l'on décrivait la destruction du corps de N
oir pas trouvé de lésions des cellules ganglionnai- res des racines postérieures chez les tabétiques. En août dernier, dans la P
à affirmer nettement que la dégénérescence des libres des colonnes postérieures de la moelle n'est pas sous la dépendance d'ude
ment central de : ces cellules, c'est-à-dire les fibres des racines postérieures , sans y dé- terminer d'altération de dégénéresc
lésions portant surd'autres tractus de fibres que ceux des colonnes postérieures . Celte analyse montre qu'il y a des cas de tabè
tre qu'il y a des cas de tabès simple dans les-, quels les colonnes postérieures seules sont atteintes, et des cas de « tabes co
clérose puisse être complète. Les fibres des racines antérieures et postérieures ont montré la même disposition capriciense. Te]
tre qu'une tumeur volumineuse faisant saillie hors-de la fontanelle postérieure ; cette tumeur a douze pouces de circonfé- renc
s sinus et le tissu cérébral paraissent nor- maux. De la fontanelle postérieure part une volumineuse tumeur kystique, fluctuant
la comprimant on fait pénétrer le contenu du kyste dans la corne postérieure du ventricule latéral gauche. L'intérieur du kyst
c'est-à-dire de la circonvolution de l'hippo- campe et de la partie postérieure du pli unciforme; l'odorat ne demeure très long
inique. Ces dégénérescences peuvent être suivies dans les ra- cines postérieures et jusque dans la moelle. 4. Dans les cordons p
cines postérieures et jusque dans la moelle. 4. Dans les cordons postérieurs , la dégénérescence des longs systèmes exogènes po
rlerUsig, d'après la- quelle toute lésion de la zone d'association postérieure entraîne de la confusion dans les idées, et l'i
ts protoplasmiques des cellules nerveuses des cornes antérieures et postérieures de la moelle épinière chez des enfants nouveau-
tilignes, longs et pauvres en appendices collatéraux. Dans la corne postérieure : dendrites courtes, plus ramiliées, à contours
si l'on se trouve en présence d'une corne antérieure ou d'une corne postérieure . La comparaison de ces dernières recherches ave
ière est un cas de gliome du volume d'une noix siégeant à la partie postérieure de la 3" C-F de l'hémisphère gauche ; l'évoluti
ystème nerveux portant principale- ment sur les lésions des racines postérieures de la moelle et des ganglions rachitiques dans
lement et plus haut par celles qui sont placées surtout à la partie postérieure de la portion caudale de la région postérieure.
surtout à la partie postérieure de la portion caudale de la région postérieure . Le groupement qui représente les muscles placé
nentse placer au dessus de lui occupant ainsi peu à peu la région postérieure et externe du groupe latéral. Tandis que ces cell
e du groupe latéral. Tandis que ces cellules se placent à la partie postérieure et externe de la corne les cellules qui corresp
pied. Au niveau de la dizième racine et juste au dessus, la partie postérieure et externe du groupe latéral correspond au pied
constater le refoulement en avant du voile du palais et de la paroi postérieure du pharynx d'où une gêne considérable de la respi
disparaître complètement au bas de la région lombaire ; les racines postérieures sont partout indemnes. Les cordons antérieurs pré
d'investigation lui a permis de reconnaître l'intégrité des cordons postérieurs dans un cas de mal de Pott où toutes les sensib
mativement en citant les faits de la Salpêtrière et quelques autres postérieurs . Si le but de cette étude est atteint, si la co
aliéné. La phase de for- mation du délire,, dont parle M. Head, est postérieure au stade dans lequel le paranoique présente cet
uer la maladie et à l'autopsie une dégénération typique des cordons postérieurs vérifia la chose. L'examen microscopique provis
doivent être assimilés aux cellules qui pullulent dans les cordons postérieurs et y sont appelées par la dégénérescence brutal
thalmoscope, on relève des lésions de myopie extrême; un staphylome postérieur étendu, surtout à gauche. OBSERVATION X1111. -
s. La marche devient spasmodique, avec raideur surtout 'des membres postérieurs qui souvent se dérobent sous l'ani- avec une se
u de la sixième ver- tèbre dorsale, d'où paralysie flasque du train postérieur : lors- qu'apparut la tétanie, elle se limita à
étanie, elle se limita à la moitié antérieure du corps, les membres postérieurs ne présentèrent aucune rigidité. Les cel- lules
à myéline dans cette partie de la pie- mère qui couvre les cordons postérieurs de la moelle épinière. Ces fibres étaient si en
quelques fibres sortir de la pie-mère pour entrer dans les cordons postérieurs . 11 est très probable que les fibres nerveu- se
e que les fibres nerveu- ses, dans la pie-mère viennent des racines postérieures et remon- tent haut dans cette membrane vascula
cette membrane vasculaire, avant qu'elles entrent dans les cordons postérieurs (Revue neurologique, mars 1901). . E. B. XLVI
t, en effet, en cette région que de rares fibres dans les cor- dons postérieurs ), la paralysie motrice avait conservé jusqu'à la
e la substance grise. C'est surtout le cordon latéral et le c'Ordon postérieur qui sont atteints. La' substance' grise est, in
e est, in loto', le siège d'une- atrophie; cepen; dant,' les cornes postérieures semblent plus atrophiées que les cornes antérie
que les dendrites des cellules nerveuses des cornes antérieures et postérieures se diffè- rent les unes des autres; tandis que
sont pauvres en ap- pendices collatéraux, les dendrites de la corne postérieure ont des contours raboteux, sont souvent en état
insi pour deux branches nerveuses émanées d'un même tronc, le tronc postérieur , vous trouvez des altérations d'un degré très d
es points, ce sont des faits relativement récents, en tous cas bien postérieurs en date à la compression du plexus. Il y a tout
drent, ou bien la propagation se fait vers les parties latérales et postérieures des vertèbres qui se déforment et compriment le
acines dorsales inférieures. Un autre nodule est accolé aux racines postérieures de la queue de cheval, libre de toute adhérence
nfiltrer. Les cellules épithéliales cheminent le long des racines postérieures , infiltrant le périnèvre et l'endonèvre, effon-
es observations. Archives, 2' série, t. XVII. 20 l'ig. 15. Racine postérieure envahie par l'épithélioma. A, gaine de Schwann
x comprimés, leur résection, la section ou l'élongation des racines postérieures , proposées par les chi- rurgiens en pareille oc
onsiste essentiellement dans la destruction progressive des racines postérieures , depuis les cellules des ganglions rachidiens o
on voit survenir la disparition des systèmes endogènes des cordons postérieurs . Mais ces libres endogènes ne sont pas seules a
lle ne peut donc pas expliquer à elle seule les lésions des racines postérieures propres au tabes. Pour trouver la lésion syphil
le point où les racines abordent la dure-mère et celui où la racine postérieure aboutit au ganglion. Le tabes est la conséquenc
ouva un athérome très prononcé du tronc basilaire et des cérébrales postérieures et un double ramollisse- ment des lobes occipit
bord s'assurer par l'éclairage oblique, de l'ab- sence de synéchies postérieures , traces d'ancienne iritis ; puis surtout se met
ies blanches de la pupille, 1 atrophie grise, 1 scléro- ellOrOÏdiLe postérieure sans myopie, 13 papilles pàles (atro- phies com
incomplètes des pédoncules cérebelleux, qui intéressent leur partie postérieure et interne ou dans les lésions qui intéres- sen
urtout au niveau de la circon- volution supra marginale et du tiers postérieur de la pre- mière temporale semble donner raison
eut être constaté très net- tement dans les nerfs, dans les racines postérieures et leurs pro- longements intramédullaires après
un excès de travail, présentaient une dégéné- rescence des colonnes postérieures analogue à celle que l'on ren- contre dans le t
t de vue de son siège avec la dégénérescence tabétique des colonnes postérieures chez l'homme. Les observations de l'auteur qui
GIE PATHOLOGIQUES. ce qui touche les cellules des ganglions spinaux postérieurs . Ces cellules, on le sait, sont unipolaires, et
es cordons latéraux et sclérose à topographie tabétique des cordons postérieurs . ' L'examen du névraxe en coupes sériées démont
rotoplasmiques des cellules ner- veuses des cornes antérieures et postérieures de. la - épimère chez des enfants nouveau-nés,
ce des re- cherches récentes concernant les ganglions des racines postérieures sur l'étiologie du dorsalis, par Rows, 44. Et
96 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie. Atlas
lvestee et Ci», ,97, rue Oberkampf, Paris. Coupe verticale antéro - postérieure , faite suivant l'axe médian. LIBRAIRIE J.-B. BA
ro-postérieure passant sur le bord supérieur de la commissure blanche postérieure . LIBRAIRIE J.-B. BAILLIERE ET FILS E. Gavoy a
1} ]it( graphie Bilvesthe et C'", Paris. Coupe horizontale antéro - postérieure , passant au niveau des tubercules quadrijumcaux p
antéro - postérieure, passant au niveau des tubercules quadrijumcaux postérieurs . LIBRAIRIE J.-B. BAILLIZRC ET FILS PLANCHE XX
Glyptographie Silvestre et Ci®, Paris, Coupe horizontale antéro - postérieure , passant au - dessus du Tuher cinereum. LIBR
erticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. LIBRAIRIE J.-B.
verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. LIBRAIRIE J.-3.
upe verticale transverse passant en avant de la commissure blanclie postérieure . LIBRAIRIE J.-B. BAILLIÈRE ET FILS PLANCHE XX
verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. LIBRA'RIE J.-E.
verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou, du corps calleux. LIBRAIRIE J.-B
verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. LIBRAIRIE J.-B.
verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. LIBRAIRIE J.-B.
verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. LIBRAIRIE J.-B.
verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. i_IBRAlRIE J.-B
verticale transverse de un millimétré d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. LIBRAIRIE J.-B.
verticale transverse de un millimètre d'épaisseur, faite des régions postérieures vers le genou du corps calleux. LIBRAIRIE J.-B.
estbe et C^e, Paris. Coupe verticale transverse passant par le bord postérieur de la portion réfléchie du corps calleux. LIB
97 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la couche optique, viennent s'épanouir dans les « circonvolutions postérieures », détermine toujours la cécité de l'oeil oppos
IX représente cette hypertrophie dévelop- pée surtout « à la partie postérieure latérale » du crâne d'un chien, du côté corresp
lésion unilatérale d'une partie de la substance cérébrale des lobes postérieurs produit, sur l'oeil du côté opposé, des phénomè
nne celles de la forme et de la dimension des corps, dans la partie postérieure , enfin, « ces facteurs élémentaires de la perce
tre le siège du centre des mouvements oculo-palpébraux, la partie postérieure , ou pli courbe, serait le centre, ou du moins u
lisation céré- brale, Munk, on le sait, la verrait dans la moitié postérieure de la portion latérale de la sphère vi- suelle.
bard des sciences et lettres, M. M. Duval avait indiqué la racine postérieure du nerf acoustique comme le 1 Tamburim et Riva
ouillé interne. Les auteurs italiens n'ont pu connaître les travaux postérieurs à la publication de leur livre en langue italie
ier sur les rapports de ce nerf avec les tubercules quadrijumeaux postérieurs (Flechsig, Bechterew) ? Les belles études posté
adrijumeaux postérieurs (Flechsig, Bechterew) ? Les belles études postérieures de Baginsky (1886) et de Spitzka (188G), que no
' Archiv f. psych" 1885. - i le PHYSIOLOGIE. cules quadrijumeaux postérieurs , les corps genouillés internes et la couronne r
de la scissure de Sylvius, et, sur la face interne, vers la partie postérieure de la circonvolution de l'hippo- campe, dans la
portant. A 9 h. z, le chien se met à tituber. A 9 h. 50, le train postérieur commence à se paralyser. 7 juillet. Paraplégie
ur commence à se paralyser. 7 juillet. Paraplégie complète du train postérieur . Sensibilité complètement abolie ; ses pattes e
à la région du renflement lombaire. Les cordons antéro-latéraux et postérieurs , surtout les droits, sont colorés en gris jaunâ
montrent la substance grise rouge : pointillé rouge à lacorne grise postérieure gauche. Au-dessus de cette région on voit un as
phandre et il s'enfuit. Ail h. 20, il commence à traîner la patte postérieure gauche. A Il h. 25, paralysie complète de la mo
lèvement du casque. A 11 h. 45, l'animal est paralysé de ses paltes postérieures qu'il traîne. Sensibilité abolie. Amidi, je tue
t bien portant. A 10 h. 37. Raideur et immobilité soudaine du train postérieur . L'animal ne voit pas. Ventre énormément disten
ilides plus nombreuses à la partie antérieure du tronc qu'à la face postérieure . La plaque végétante de l'anus a environ quatre
dernière molaire gauche, sur la luette et sur les amygdales. Paroi postérieure du pharynx rouge. Gencives fon- gueuses, saigna
et sensiblement pareilles; l'antérieure se place sous le menton, la postérieure au niveau de la nuque sous l'occi- put. On reco
sion déchire les adhérences méningitiques qui entourent les cordons postérieurs , ce qui rend aux tubes nerveux une con- ductibi
re et demi de profondeur, sépa- rant les lobes antérieurs des lobes postérieurs ou après avoir pra- tiqué des sections longitud
e pour pouvoir voir les territoires des cérébrales antérieures et postérieures , on note aucun changement dans ces zones pendant
ent des pyramides, de cellu- les qui avoisinent la base de la corne postérieure . Elles s'en vont transversalement ou obliquemen
des ganglions spinaux sur le trajet, dans la continuité des racines postérieures ; A, les expériences de Wal- er, CI. Bernard et
le ganglion et la périphérie, Joseph a vu que le gros de la racine postérieure demeurait nor- mal, une petite partie dégénérai
lle même, et qu'ainsi s'ex- plique que la section même de la racine postérieure n'entraîne pas la dégénérescence de tout le bou
rusque 50 secondes. A 1 h. 51 m., paralysie transitoire de la patte postérieure gauche ayant disparu à 2 h. 15 m.. · Expérien
. 3 m., décompression 1 minute. A 10 h. ' 48 m., paralysie du train postérieur qui rapidement ascendante produit la mort le tr
encore des cellules nerveuses en assez grand nombre dans les cornes postérieures . Les cordons blancs de la moelle lombaire et le
mal par le carmin. Il y en a beaucoup moins encore dans les cornes postérieures . Sur des fragments du biceps gauche, on voit de
es. En résumé, les lésions paraissent plus marquées sur les régions postérieures de l'hémis- LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 337
oilés dépourvus de tubes nerveux, assez nom- breux dans les cordons postérieurs . Les cellules des cornes posté- rieures sont tr
ourtant des tubes par endroits, ces plaques occupent tout le cordon postérieur et toute la partie des cordons antéro-latéraux
es îlots cellulaires sont isolés, peu nombreux en avant, les cornes postérieures n'offrent qu'une très faible quantité de cellul
arrêt de développe- raient, atrophie et état chagriné de la partie postérieure de l'aé- misphère droit. Examen histologique.
efringence apparaît beaucoup plus nettement. Même aspect des cornes postérieures . Le canal de l'épendyme est conservé. Son épith
e simple conduction, il est vrai, par les faisceaux blancs du tiers postérieur de la capsule interne, il n'en suit pas, nature
près la- perte de la sensibilité tactile par section des cordons- postérieurs de la moelle, pour les reconnaître chér- les an
ourt bien et avec énergie, il saute et s'élance avec les extrémités postérieures , mais il lui arrive de s'appuyer sur le dos du
e perceptions tactiles (Tastcentl'll7n), où monteraient les cordons postérieurs de la moelle épinière, et d'où decendraient les
que les prolongements cérébraux des faisceaux sensitifs des cordons postérieurs de la moelle, et qu'après l'extirpation des aires
391 identité entre les mouvements dus à l'irritation des cordons postérieurs de la moelle, et ceux qui résultent de l'excita
étendue .zone motrice, apparaissent après la section des .cordons postérieurs de la moelle; mais il ajoutait que, cinq jours
te des sensations du tact et du froid ^après la section des cordons postérieurs , c'est que la ' ' Selon Herzen, la même région
sseur de physiologie de Florence n'a pas prouvé que les cor- dons postérieurs de la moelle sont en relation directe avec la z
zone n'est plus excitable cinq jours après la section des cordons postérieurs , la cause n'en est point dans une prétendue dég
son suffisante de ce fait, c'est que, en même temps que les cordons postérieurs , Schiff a lésé la voie motrice des pyramides '
euxième circonvolution externe du chien, par exemple, entre le bord postérieur du gyrus sigmoïde et la pointe du lobe occipita
u même côté. Ainsi, après l'ablation du centre cortical du membre postérieur gauche, la paralysie du mouvement et de la sens
nsibilité générale et la motilité volontaire, c'est que les régions postérieures du cerveau, demeurées indemnes, suppléent les p
ions antérieures du cerveau : elle rayonne et s'irradie aux régions postérieures , elle s'unit et s'engrène avec les centres de s
t les expériences; mais elles s'étendent sûrement jusqu'aux parties postérieures du lobe parié- tal (région F. de Munk). ' Voi
le est atté- nuée à gauche. Même état de la sensibilité à la partie postérieure du tronc et sur les membres. La sensibilité y e
ure-mère, du volume d'une noix, que comprimait légèrement la partie postérieure du lobe temporal droit. Pendant la vie, cette t
du trijumeau - branche oculaire du facial -patte antérieure - patte postérieure . Faisons passer une section à travers la couche
ment musculaire tout momentané; la même opération dans un plan bien postérieur au premier déter- mine une brutale et impétueus
canique ou faradique et la transfixion des tubercules quadrijumeaux postérieurs se traduit par une convulsion tétanique extrême
portant. La tétanisation engendrée par les tubercules quadrijumeaux postérieurs est aussi, suivant toutes probabilités d'urdre
iquée de para- lysie bulbaire supérieure et de sclérose des cordons postérieurs . Cas semblable à ceux de Struempell, Kahler et
l'opération. Les lé- sions que l'on constate montrent que la racine postérieure de l'a- coustique prend son origine dans le tub
d'origine de la racine antérieure de l'acoustique. Entre la racine postérieure et le cervelet, il n'existe aucune relation con
98 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
é, leur fréquence ; comparaison avec ceux des enfants antérieurs ou postérieurs . Persistance des règles. Maladies infectieuses.
colonne vertébrale en arrière, c'est-à-dire dont la convexité est postérieure . On dit encore voussure, clos voûté, excurvat
s inclinée en dedans. Le pilastre pré- sente en outre une convexité postérieure destinée à favo- riser l'extension musculaire.
nstatés sur des fémurs normaux {déviation du pilastre, sa convexité postérieure etc.) sont moins marques ou ? m<s suivant le
la coupe de l'os, de circulaire, deviendra triangulaire, l'angle postérieur s'allongera et le pilastre sera ainsi constitué
s en même temps le muscle repoussera les deux lèvres vers la partie postérieure et leur dépla- cement ultime sera leur confusio
(1), disons que cet aplatissement produit deux faces (antérieure et postérieure ) et deux bords saillants continuant les faces i
orale interne et crête fémorale externe. Cetaplatissement antéro- postérieur de la surface de l'os a un autre résultat; c'est
us développé que du côté sain (Planches XII et XIII). A la partie postérieure des os malades, la saillie de la crête fémorale
duit la I't. : w : ur : IV (ils n'y sont vus que par leur partie postérieure , mais leur aspect antérieur offrirait les mômes
ourette) pour pouvoir entraîner le membre paralysé qui est toujours postérieur , ainsiqu'on i'a vu tout à l'heure. Le développe
l faut se rappeler qu'il correspond généralement au pli articulaire postérieur . Il est bien entendu que dans ces mesures, c'es
etc., etc. Les cannelures du péroné etleurs variations, la crète postérieure du tibia et son accentuation, tout cela est lié à
es yeux). Depuis un an, il a pris l'habitude de se cogner la région postérieure de la tète ; quand il est couché, trouvant l'or
nts. Rien d'anormal à la percussion, ni à l'auscultation. La partie postérieure du thorax est recouverte d'un duvet abondant et
olando est sinueux, présente deux convexités antérieures et trois postérieures et se termine au niveau du rameau ascendant de
Ce qui frappe avant tout, c'est l'atrophie du coin et de la partie postérieure du lobe occipital. La partie comprise entre la
AIRE. - Père, convulsions de l'enfance ; quelques excès, de boisson postérieurs à la naissance de l'enfant, mort d'un cancer de
Face cor2te.w. - La scissure de Sylvius est profonde, son extrémité postérieure s'arrête brusque- ment sans se bifurquer; son r
re la troisième de la deuxième frontale : enfin son deuxième anneau postérieur très long coupe le pied de la deuxième pour ne
é entre le pied et le cap à cause de la longueur insolite du rameau postérieur de la scissure de Sylvius. La tête de la circon
ale est incomplet, interrompu REFLEXIONS. -129 dans son extrémité postérieure . La deuxième tcmporo-occipi- tale est dédoublée
externe. - La scissure de Sylvius est régulière sauf son extrémité postérieure qui n'est pas bifurquée. Réflexions. T. Le pè
térieure trifurquée, puis deux autres simples. T envoie à la partie postérieure de ce lobule deux digitations. A la face intern
au niveau de l'écorce frontale, au niveau de la région pariétale postérieure , aux environs du pli courbe, et il la région oc
même n'a que 0°004 dans sa moitié antérieure et 0003 dans sa moitié postérieure . Le bourrelet est également peu volu- mineux.
tal ont leur couleur naturelle et sont très grêles; seule la moitié postérieure de F2 est assez développée. FA et surtout PA so
urtout PA sont aussi peu développées. - P1, Pu, PC et les parties postérieures des circonvolutions temporales sont bien déve-
toute la partie antérieure du lobe paracentral ainsi que la moitié postérieure de I (face interne) et la partie corres- pondan
face externe de l'hémisphère), en antérieure (répondant à la partie postérieure absente de la Fi (sur la face interne), et de l
nt iL la partie antérieure de la PA). Les deux faces, antérieure et postérieure , se réunissent dans la profondeur par un angle
e la cavité. En somme la base du porus a fait disparaître la partie postérieure de Fi, la plus grande partie du lobe paracentra
e du lobe paracentral et la partie supérieure de F A et la partie postérieure de la circonvolution du C C. La face supérieure
du porus est limitée en avant et de dedans en dehors par la partie postérieure de la 1 , le bord postérieur de la F A ; en arr
t de dedans en dehors par la partie postérieure de la 1 , le bord postérieur de la F A ; en arrière par la partie antérieure d
n somme la face supé- rieure du porus a fait disparaître la portion postérieure de la 1 , la partie toute supérieure de la F A,
e dedans en dehors entre le bord interne de l'hémisphère et le bord postérieur de la F A, a intéressé une portion de la l ; no
une portion de la l ; notons l'intégrité de la F2 dont la partie postérieure saille dans la cavité du porus et se traduit par
e dépression sur notre moulage ? 164 PORENCUPHALIE vraie. La face postérieure du porus, comprise de haut en bas entre l'écorc
porus, sur la crête inférieure qui réunit les parois antérieure et postérieure de la cavité, puis se dirigeant en bas, en deda
orencéphali-e vraie intéressait la région paracentrale, l'extrémité postérieure de la pre- mière frontale, celle des frontale e
ur l'os sain ; 40 Sur l'os sain, le pilastre présente une convexité postérieure . Bourneville, Bici'lre, 1901. - PL. V. 121-2
igne Apre est située pins haut sur l'os malade ; ? Que la convexité postérieure du pilastre est plus nette sur l'os sain. Bou
99 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
eaux latéraux, car il existe une paralysie avec atrophie ; les cornes postérieures et les faisceaux postérieurs, puisqu'il y a une a
ne paralysie avec atrophie ; les cornes postérieures et les faisceaux postérieurs , puisqu'il y a une anesihésie totale ; les centre
gissait seulement d'une myélite scléreuse des cornes et des faisceaux postérieurs et des parties centrales de la moelle. Dans ces c
il reste encore des plaques anesthésiques, en particulier à la partie postérieure du bras. L'anesthésie a disparu à la jambe; à l
ranche seulement du sciatique. Mais cette localisation au nerf tibial postérieur nous paraît, si nous en jugeons par le nombre des
sibles ; au contraire sous la même influence les muscles de la région postérieure et de la cuisse réagissent énergiquement. » On
nde, à la partie la plus interne, est laissée intacte; — b) à la face postérieure , la ligne limitante commençant au-dessous de la t
plus de la moitié de la face antérieure et les deux tiers de la face postérieure de la jambe. (V. la Fig. 21.) Fig. 22. — Aneslh
endue, que la face externe du pied est presque indemne et que la face postérieure de la jambe est prise dans une étendue beaucoup m
Elle comprend la face externe, une petite bande verticale de la face postérieure , les deux tiers de la face antérieure au-dessous
certain soulagement. Actuellement, le malade souffre dans la partie postérieure de la cuisse et dans le mollet droit. Il existe u
es branches du nerf saphène interne, venu du nerf crural. A la face postérieure un grand nombre de nerfs se distribuent à la peau
r des branches du nerf crural, par le petit sciatique et par letibial postérieur . Si l'on veut se reporter aux schémas joints à
ent suffisantes Fig. 26,— Distribution des nerfs cutanés de la face postérieure de la jambe (d'après Flower). a. Nerf petit sci
n accessoire (branche des deux sciatiques poplités). — f. Nerf tibial postérieur (branche du poplité interne). pour conclure à l
millements, d'élancements dans le pied, la jambe et surtout la région postérieure de la cuisse. On constate un amaigrissement génér
t un certain degré d'amaigrissement, surtout des muscles de la partie postérieure . La démarche est assez particulière. La malade
it, il éprouve subitement une violente douleur qui, suivant la partie postérieure de la cuisse, descend le long de la partie extern
avant parla crête tibiale,en arrière par la ligne médiane et la face postérieure de la jambe il y a anesthésie complète; — et au p
nçaient au niveau de la fesse, puis descendaient le long de la région postérieure de la cuisse et de la jambe et se montraient plus
té, sur les tubes moteurs et faut-il voir, dans le système des cornes postérieures et antérieures de l'âge gris, le trait d'union né
s l'ophthalmoplégie externe, la lésion porto sur le groupe cellulaire postérieur composé des amas de noyaux que nous venons dépass
ement tout le membre, les bras, les épaules; les muscles de la partie postérieure au cou sont tellement atrophiés et paralysés que
pharyngiens conservés. Sensibilité du voile du palais et de la paroi postérieure du pharynx et du larynx normale. Pharyngite chron
iveau de la face. Au cou elle prédomine pour les muscles de la région postérieure , qui ont en grande partie disparu (muscles des go
le long extenseur du pouce, l'extenseur commun des doigts, le cubital postérieur et rien dans les autres. Grand pectoral : normal,
eur commun des doigts: très grande diminution d'excitabilité. Cubital postérieur : normal. Muscles abducteurs et extenseurs du pou
nt penchée en avant, à cause de la faiblesse des muscles de la partie postérieure du cou. On ne constate cependant pas de déformati
es regards autour de lui. Lorsque l'atrophie des muscles de la partie postérieure du cou est très avancée, on voit entre la nuque e
insèques (leucomyéliques) et intrinsèques (poliomyéliques antérieurs, postérieurs et médians). Atrophie musculaire, troubles de la
ite de préférence les cornes (i)4Voir les Leçons du Mardi, t. II. postérieures , tantôt des deux côtés, tantôt d'un seul, puis le
on histo-logique, soit par compression. Enfin les cordons latéraux et postérieurs , ensemble ou séparément, ne tardent pas à partici
symptômes intrinsèques peuvent être dits poliomyéliques — antérieurs, postérieurs et médians. Les poliomyéliques antérieurs sont ce
ophie musculaire. Pour ce qui concerne les symptômes poliomyéliques postérieurs , on n'ignorait pas que les cornes postérieures se
ymptômes poliomyéliques postérieurs, on n'ignorait pas que les cornes postérieures servent de conducteurs aux sensibilités à la doul
e la sensibilité au tact, d'après Schiff, passerait par les faisceaux postérieurs ; or l'histoire anatomo-clinique de la syringo-myé
ues, selon qu'ils représentent l'altération des faisceaux latéraux ou postérieurs , ils se rattachent, ceux-là au type paraplégie sp
à la production des phénomènes cliniques : lésions de la corne grise postérieure gauche dans une certaine étendue en hauteur à la
senstein, et deux cas de Nivière) et l'absence de lésions des cordons postérieurs . Mais qu'est-ce alors? Doit-on faire intervenir u
f, car on peut supposer : 1° un tabès, vrai avec sclérose des cordons postérieurs , développé pendant le cours du diabète, et 2° un
lésion spinale grossière, en particulier pas d'altération des cordons postérieurs de la moelle, mais qu'il s'agit principalement de
ermes, les analogies avec le tabès, l'ataxie par sclérose des cordons postérieurs , semblent perdre de leur importance. Elles s'effa
part, ceux dans lesquels un véritable tabès par lésion des faisceaux postérieurs peut s'associer à la glycosurie. Je pense qu'il y
ues, le tuber cine-reum, les tubercules mamillaires, l'espace perforé postérieur et enfin, tout à fait au sommet, accolés intimeme
de foire où était installé un tir à la carabine, il reçut à la partie postérieure du cou une balle de 5 à 6 millimètres: la dimensi
doigts sont affaiblis, sauf les mouvements que commandent les muscles postérieurs de l'avant-bras, les extenseurs. La physionomie d
s constatations ana-tomiques. La découverte de la sclérose fasciculée postérieure n'a pas enrayé, tant s'en faut, l'étude clinique
i de dire que les lésions trouvées à l'autopsie occupaient le segment postérieur des nerfs. Du reste, la portion intra-oculaire de
tre. C'est que, dans l'espèce, la lésion prédomine dans les faisceaux postérieurs de la moelle, car on n'a pas signalé, que je sach
nsèques (leucomyélique's) et intrinsèques (poliomyéliques antérieurs, postérieurs et médians). Atrophie musculaire, troubles de la
100 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
E. cérébelleux atrophié : les rapports de ce dernier avec la face postérieure du rocher indiquent donc bien que la résistance
isseur (le processus inflam- matoire ayant été localisé à la partie postérieure du cerveau et la région frontale ayant néanmoin
aire subaiguë. Dégénérescences consécutives dans la moëlle (racines postérieures ) et dans les nerfs périphé- riques (racines ant
être le point de départ d'altérations parenchymateuses des racines postérieures et antérieures et entraîner à sa suite une dégéné
entraîner à sa suite une dégénéres- cence systématisée des cordons postérieurs et une névrite périphé- rique motrice. C'est ce
-lombaires d'où il résulte : 1° Une lésion systématisée des cordons postérieurs au-dessous du foyer de myélite transverse, qui
ogique, janvier 1903). E. B. IV. Les lésions du système lymphatique postérieur de la moelle sont l'origine du processus anatom
sée de la méninge, c'est la lésion de tout le système lympha- tique postérieur de la moelle, système constitué par la racine pos
ème constitué par la racine pos- térieure, la pie-mère et le cordon postérieur . En somme, la lésion initiale du tabès ne serai
erait autre chose qu'une lésion syphilitique du système lymphatique postérieur de la moelle. Nous savons, en effet, avec quell
'un cas de myélite aiguë diffuse avec maximum au niveau des cordons postérieurs et formation d'une cavité centrale. Présence au
formation d'une cavité centrale. Présence au niveau de'ces cordons postérieurs , dans l'intérieur de la cavité ou ses parois, d
ux, au faisceau central de la calotte et au faisceau longitudi- nal postérieur . Les lésions médullaires ne paraissent avoir aucu
les voies optiques, épaississement similaire à celui de la méninge postérieure spinale des tabétiques. Au microscope les grain
s pour certains anatomistes (Sands- trôsem) se trouvent sur la face postérieure , au niveau de la partie moyenne de la glande th
anselme, Marie ont décrit chez des lépreux une sclérose des cordons postérieurs dans la région dite endo- gène. Mais à de parei
En outre, les lésions de sclé- rose décrites au niveau des cordons postérieurs sont trop analogues à celles que l'on observe d
ace de 1 centimètre 1/2 à 2 centimètres de diamè- tre dans le tiers postérieur des 2e et 3° pariétales et empiète sur la régio
le, sacrée), entraîne le spasme de tous les muscles des deux pattes postérieures , surtout accusé quand 1 excitation est localisé
au niveau de la pro- tubérance en arrière du tubercule quadrijumeau postérieur dans les parties profondes de l'étage supérieur
tinguer le réflexe deltoïdien produit par la percussion des parties postérieures du deltoide : le bras s'éloigne du tronc ou s'é
hémorragique inté- ressant le tiers externe du thalamus, le segment postérieur de la capsule interne et empiétant sur le noyau
une petite portion dans le centre de la substance grise et la corne postérieure droite, et en tel aspect elle va jusqu'à la rég
ue et de poplité externe, et de deux artères (fé- morale et tibiale postérieure ). Résultat négatif. Réflexions : Hystérie (trou
s physiques et fonctionnels minimes de la méningo-myé- lite spinale postérieure légère. Le tabes, la paralysie générale et l'am
end de son lit, il a une contraction dans les fesses et les muscles postérieurs de la cuisse qui l'obligent à s'asseoir sous pe
echerches on doit admettre que : les centres des muscles de la face postérieure de la jambe sont placés en dedans de ceux de la
as. Il est situé en avant de celui du plantaire grêle, du jambier postérieur et des fléchisseurs. Les centres des premiers son
inaperçue jusqu'ici; la soudure de la trompe d'Eustache à la paroi postérieure du naso-pharynx. J'ai. observé aussi que la des
scrètes et moins avancées, s'observent dans les régions moyennes et postérieures du cortex. A ce niveau simple vascularisation d
-à-dire par les branches de la carotide interne ; seul leur segment postérieur (régions occipitales et une partie des régions
e partie des régions temporales) reçoit le sang du système artériel postérieur par l'entremise de la cérébrale postérieure. Le
sang du système artériel postérieur par l'entremise de la cérébrale postérieure . Les dérivés des deux vésicules primitives post
la cérébrale postérieure. Les dérivés des deux vésicules primitives postérieures , tubercules quadrijumeaux avec les pédoncules c
avec la protubérance, reçoivent leur sang exclusivement du système postérieur (artères basilaires, vertébrales, cérébelleuses
Elles sont 'donc un peu plus rares dans le système de la cérébrale postérieure : 17,8 p. 100. 0. Elles sont incomparablement p
us de la branche normale. D. La principale anomalie de la cérébrale postérieure consiste en ce qu'elle provienne, non de la bas
es entre le côté droit et le côté gauche. 9. Les artères du système postérieur , artères basilaire, vertébrales, cérébelleuses,
tères cérébelleuses, notamment les artères cérébelleuses moyenne et postérieure , qui sont le plus sujettes aux anomalies ; propor
d on lie la carotide interne, il importe de savoir que la cérébrale postérieure peut émaner de la carotide interne, à cause des
.celui de Bechterew, pour pénétrer, de là, dans le noyau interne ou postérieur de l'auditif, où les unes sont inter- rompues,
us le plancher du quatrième ventricule el serenduu noyau interne ou postérieur de l'auditif du côté opposé : la plus REVUE D'A
respondant à la lésion. Dans la zone des tubercules quadri- jumeaux postérieurs la plus voisine de l'axe, au niveau du noyau ce
de ce dernier montent jusqu'aux noyaux des tubercules quadrijumeaux postérieurs et s'entrecroisent en partie au-dessus de l'aqu
u plus en dedans, au niveau des noyaux des tubercules quadrijumeaux postérieurs , il se produit un nouvel entrecroisement d'un p
éral ou inférieur, ainsi qu'aux noyaux des tubercules quadrijumeaux postérieurs , symétriquement des deux côtés. 6. En dedans de
e dans la moelle lombaire la dégénéres- cence de toutes les racines postérieures : elle est surtout accusée dans les troisième e
e ne portait que sur la partie an- térieure de la langue. La partie postérieure de cet organe serait pourvue de fibres gustativ
re au niveau d'une ligne passant par les tuber- cules quadrijumeaux postérieurs et a envahi le corps strié, la partie postérieu
les quadrijumeaux postérieurs et a envahi le corps strié, la partie postérieure de la couche optique, toute la capsule interne,
nt du rire forcé conclue que la lésion devait siéger vers la partie postérieure de la couche optique. A côté de ces observation
a couche optique gauche présente à sa surface en avant du tubercule postérieur (pulvinar) une dépression à direction transvers
n ayant envahi la couche optique n'en avait détruit que la partie postérieure seulement. Les lésions qu'elle avait pro- voqué
I. Il existe dans l'écorce une région utéromotrice située à la 1/2 postérieure de la zone motrice, en dedans, près du bord de l'
ntractions utérines. III. L'excitation des tubercules quadrijumeaux postérieurs a donné des contractions moins vives que celle
enou de la capsule interne, que la moitié antérieure de son segment postérieur , et qu'elle a res- pecté la portion postérieure
ieure de son segment postérieur, et qu'elle a res- pecté la portion postérieure de ce segment postérieur, seule la partie motri
rieur, et qu'elle a res- pecté la portion postérieure de ce segment postérieur , seule la partie motrice de la capsule interne
au à' peu près du corps genouillé externe ; il circonscrit la corne postérieure du ventricule latéral en laissant entre lui et le
faire mouvoir le moins possible le membre antérieur ou le membre postérieur , on expose avec toutes les précautions voulues la
idiots, se trouverait bien de l'adjonction aux diamètres antéro. postérieurs et transverses, des mesures obliques de Bechterew
érale; par .111;\1..10FFROY et BADAUD. Si les lésions médullaires postérieures de la paralysie générale sont d'ordinaire diffé
uue fois de plus que si le plus ordinairement les dégé- nérescences postérieures de la moelle dans la paralysie générale affecte
sse orbitaire droite. Apophyses clinoïdes antérieures effacées, les postérieures au contraire très volumi- 472 RECUEIL DE FAITS.
E ATROPHIQUE DE L'HÉMISPHÈRE DROIT. 473 antérieure, de la cérébrale postérieure . Les faces internes des lobes frontaux sont acc
ans chaque hémisphère la scissure rolandique commençait en un point postérieur au milieu de la ligne de la scissure longi- tud
t un peu diffuses dans le cordon latéral et même dans les faisceaux postérieurs . Ces lésions sont variables d'étendue et de siè
que régulière due à un petit bourgeon qui faisait saillie à la face postérieure de la selle turcique. Les auteurs appellent l'a
1° Paralysie générale avec localisation des lésions aux por- tions postérieures des hémisphères ; 2° Paralysie générale avec pr
uel l'empreinte de ses dents était apparente. Le malaise était donc postérieur et avait été subit, comme le gardien l'avait ra
tum lucidum; il aboutit en arrière au lobe paracentral. Tgp, pilier postérieur du tri- gone ( ? ). - Scnx, partie du sillon ca
ubaigue. Degé- . nérescences consécutives dans la moelle (racines postérieures ) et dans les nerfs périphériques (ra- cines a
myélite dorsale par compression avec dégénéres- cence des racines postérieures dans la moelle lombaire, par Bartels, p. 33 :
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