MÉMOIRE SUR LES
PLIS
CÉRÉBRAUX DE L'HOMME Kl DES PRIMATES, PAR M
s fait atteindre. J'ai, dans ce travail, étudié scrupuleusement les
plis
cérébraux des singes. Plusieurs raisons m'ont eng
de chaîne de l'Homme aux Hapalinés, j'ai pu étudier l'arrangement des
plis
cérébraux, et j'ose espérer que, par le nombre de
au propre aux Singes et à l'Homme, et il y a en même temps dans les
plis
du cerveau, quand ils apparaissent, un ordre géné
t commun à tous ces êtres. Cette uniformité dans la disposition des
plis
cérébraux dans l'Homme et dans les Singes est dig
èces peuvent être aisément réunies d'après la seule considération des
plis
cérébraux. 11 serait utile d'examiner successiv
luble dans l'état actuel de la science, celle de la détermination des
plis
cérébraux homologues dans des animaux appartenant
uche l'espèce humaine, par une étude approfondie des variétés que les
plis
cérébraux présentent, aux différents âges de la v
ourd'hui le comble aux bontés dont il m'honore. MÉMOIRE SUR LES
PLIS
CÉRÉBRAUX DE L'HOMME ET DES PRIMÂTES. PREMIÈRE
§ Ier L'importance des couches corticales du cerveau et de leurs
plis
est depuis longtemps reconnue. Depuis Érasistrate
e rangent aux opinions de Galien, et attachent peu d'importance ê des
plis
que le cerveau des brutes présente aussi bien que
igence, un rôle particulier : de la simplicité, de la pauvreté de ces
plis
, de leur uniformité dans les animaux inférieurs,
a considération des couches corticales, de leur structure et de leurs
plis
. Toutefois, quelque opinion qu'on s'en fasse, nul
i Vicq-d'Azyr pour apercevoir quelques progrès appréciables. Quelques
plis
sont bien décrits par Yicq-d'Azyr. La figure que
nt bien décrits par Yicq-d'Azyr. La figure que Sœmmering a donnée des
plis
internes de l'hémisphère humain mérite encore auj
versaires les plus déclarés de la phré-nologie. S ïi- L'étude des
plis
.cérébraux peut être abordée sous un double point
proques. A. Les premières observations relatives à la structure des
plis
cérébraux sont dues a Vicq-d'Azyr. Il remarque qu
lève les couches corticales, et ainsi se forment dans ces couches des
plis
plus ou moins apparents, dont la disposition rela
ment intérieur des feuillets fibreux. Ainsi, qu'il y ait ou non des
plis
, l'arrangement des feuillets peut être le même. L
tre le même. Les feuillets sont-ils peu développés, il n'y a point de
plis
; les feuillets s'élèvent-ils davantage , les plis
, il n'y a point de plis; les feuillets s'élèvent-ils davantage , les
plis
se dessinent et se multiplient. Ce n'est point là
fférence essentielle. Cette remarque est très-importante. Quand les
plis
existent, on leur donne, en général, le nom de ci
iones. Ces dénominations sont impropres. Le nom de procès entéroïdes,
plis
entéroïdes, préféré par Malacarne et Rolando, est
minations fausses ou insuffisantes je substitue le nom plus simple de
plis
cérébraux, qui convient à la description du cerve
éloignée, plus ou moins grossière. Je me hâte de dire que ce nom de
plis
, plicœ, n'est point de mon invention; il est plus
ains point d'être accusé de néologisme. En résumé, i° le sommet des
plis
répond au limbe des feuillets fibreux; les sillon
euillets fibreux; les sillons plus ou moins profonds qui séparent les
plis
correspondent aux intervalles des feuillets. 2
dent aux intervalles des feuillets. 2 Dans les points rentrants des
plis
, les couches corticales n'ont aucune adhérence av
hérence avec les fibres qui émanent du noyau cérébral ; au sommet des
plis
, au contraire, les fibres pénètrent dans les couc
énètrent dans les couches, et l'adhérence est intime. % Ainsi les
plis
cérébraux indiquent, d'une manière fidèle, les sé
elation avec l'écorce du cerveau. Sous ce point de vue, l'étude des
plis
cérébraux intéresse éminemment le physiologiste,
calisation des facultés, et de pluralité des organes. J'étudierai les
plis
en eux-mêmes. Puisqu'ils se développent régulière
de Singe avec un cerveau de Carnassier ou Ruminant, pour voir que les
plis
présentent, dans les différents ordres de Mammifè
mparons entre eux les cerveaux des différentes espèces de Singes, les
plis
se développent à nos yeux dans tous ces cerveaux
e. J'ai donc conçu le dessein de m'élever ainsi à la connaissance des
plis
cérébraux de l'Homme (1). (1) Les résultats aux
urs an-thropologistes l'idée de ne plus négliger la considération des
plis
cérébraux des races qu'ils étudient. C'est là une
fait ressortir la comparaison des circonvolutions de l'Homme avec les
plis
cérébraux des Singes. § "V. Si l'histoire de
cerveau de l'Orang, et en outre il en a donné le profil externe; les
plis
cérébraux ne sont nullement indiqués sur ses figu
ntage, les figures qu'ont données MM. Valider Kolk et W. VVrolik; les
plis
cérébraux du Chimpanzé y sont fort bien étudiés,
en a donnée du cerveau du Midas, DEUXIÈME PARTIE. DESCRIPTION DES
PLIS
CEREBRAUX DANS LES PRIMATES. § VI. Les dern
en second lieu, de déterminer suivant quelle loi, ces groupes et les
plis
qui les composent, se développent dans l'ordre de
eau du Callitriche me servira de point de départ. § VII. LOBES ET
plis
DU CERVEAU DU callitriche. La forme du cerveau
mprendre pour n'être point rejetées. J'étudierai successivement les
plis
cérébraux de la face externe de l'hémisphère et c
l ne faut point s'attendre à trouver, entre toutes les parties de ces
plis
, des délimitations parfaitement tranchées : ils s
de la dignité de chaque espèce et du degré de son intelligence. Les
plis
cérébraux du Callitriche sont très-simples, assez
eur description demande absolument le secours d'une figure. § vm.
PLIS
CÉRÉBRAUX DE LA FACE EXTERNE. Deux scissures pr
t paru préférables à toutes les autres. Décrivons succinctement les
plis
cérébraux qui se dessinent sur les quatre lobes q
aux qui se dessinent sur les quatre lobes que nous avons admis. A °
Plis
du lobe frontal. Le lobe frontal est subdivisé
et se termine dans le lobe frontal en s'infléchissant en avant. — Les
plis
du lobule orbitaire sont fort irréguliers ; nous
sont fort irréguliers ; nous distinguerons, en premier lieu, les deux
plis
longitudinaux qui limitent le sillon du lobe olfa
plis longitudinaux qui limitent le sillon du lobe olfactif. Ces deux
plis
sont beaucoup moins prononcés dans le Callitriche
ils ne sont bien visibles qu'en arrière. En second lieu, plusieurs
plis
irréguliers séparés par deux sillons longitudinau
x, réunis le plus souvent en forme d'H par un sillon transversal. Ces
plis
offrent des variétés si nombreuses, ils se ressem
erveau, qu'à peine peut-on essayer de les décrire. Nous les nommerons
plis
orbitaires. Les plis du lobule frontal sont, au c
ut-on essayer de les décrire. Nous les nommerons plis orbitaires. Les
plis
du lobule frontal sont, au contraire, très-consta
apes bien distincts, à savoir : FIGDRE 1". En a Vétage surcilier,
pli
frontal inférieur. En a' l'étage frontal moyen. E
tal moyen. En a" l'étage fivntal supérieur. L'étage surcilier et le
pli
frontal moyen se réunissent à leur partie postéri
e terminent ensemble au-dessus du coude de la scissure de Sylvius. Le
pli
frontal supérieur se confond avec le pli antérieu
e la scissure de Sylvius. Le pli frontal supérieur se confond avec le
pli
antérieur du lobe pariétal, 2** Plis du lobe pa
al supérieur se confond avec le pli antérieur du lobe pariétal, 2**
Plis
du lobe pariétal. Deux plis très-remarquables a
e pli antérieur du lobe pariétal, 2** Plis du lobe pariétal. Deux
plis
très-remarquables appartiennent en propre au lobe
propre au lobe pariétal. Leur direction est ascendante. Le premier
pli
ascendant bb commence au-dessus du coude de la sc
xterne de l'hémisphère et se confond, à la partie supérieure, avec le
pli
frontal supérieur. Le deuxième pli ascendant b'
à la partie supérieure, avec le pli frontal supérieur. Le deuxième
pli
ascendant b' b' monte, parallèlement au précédent
nt, et se prolonge en arrière jusqu'à la scissure perpendiculaire. Ce
pli
, comme nous le verrons plus tard, est l'un des pl
e nous le verrons plus tard, est l'un des plus importants. Les deux
plis
ascendants sont séparés l'un de l'autre par un si
tinent, mais il manque dans les Sagouins et les Hapalinés. Les deux
plis
ascendants ont été connus de Yicq-d'Azyr; ils rép
circonvolutions verticales de Rolando. Je n'ai pu conserver ce nom de
plis
verticaux parce qu'ils sont souvent très-obliques
les figures que je donne du cerveau des Cynocéphales. Un troisième
pli
appartient à la fois au lobe pariétal et au lobe
partient à la fois au lobe pariétal et au lobe temporo-sphénoïdal. Ce
pli
c c naît au devant de la scissure de Sylvius, ver
sommet de cette scissure. Il monte d'abord parallèlement au deuxième
pli
ascendant, mais il l'abandonne bientôt pour se re
e la scissure et descendre dans le lobe temporal. Nous appellerons ce
pli
pli courbe, et nous le diviserons naturellement e
scissure et descendre dans le lobe temporal. Nous appellerons ce pli
pli
courbe, et nous le diviserons naturellement en de
La partie descendante est séparée de la scissure de Sylvius par un
pli
fort épais qui la borde postérieurement dans tout
ement dans toute son étendue, et que nous nommerons pour cette raison
pli
marginal postérieur d d. Ce pli et la branche des
que nous nommerons pour cette raison pli marginal postérieur d d. Ce
pli
et la branche descendante du pli courbe marchent
ison pli marginal postérieur d d. Ce pli et la branche descendante du
pli
courbe marchent parallèlement dans toute leur éte
rons, à cause de cela, scissure parallèle. La partie descendante du
pli
courbe et l'extrémité infléchie du deuxième pli a
partie descendante du pli courbe et l'extrémité infléchie du deuxième
pli
ascendant se disposent fort régulièrement sur une
e disposition doit être signalée d'une façon toute particulière. 3°
Plis
du lobe temporo-sphénoïdal. Ces plis, à peu prè
façon toute particulière. 3° Plis du lobe temporo-sphénoïdal. Ces
plis
, à peu près parallèles à la scissure de Sylvius,
à la scissure de Sylvius, sont au nombre de trois, à savoir : 1° Le
pli
temporal supérieur d. Ce pli se continue directem
t au nombre de trois, à savoir : 1° Le pli temporal supérieur d. Ce
pli
se continue directement avec le pli marginal post
° Le pli temporal supérieur d. Ce pli se continue directement avec le
pli
marginal postérieur et n'en est point distinct.
avec le pli marginal postérieur et n'en est point distinct. 2'' Le
pli
temporal moyen c'. Ce pli n'est autre chose que l
érieur et n'en est point distinct. 2'' Le pli temporal moyen c'. Ce
pli
n'est autre chose que la partie descendante du pl
poral moyen c'. Ce pli n'est autre chose que la partie descendante du
pli
courbe se continuant jusqu'au sommet du lobe temp
u pli courbe se continuant jusqu'au sommet du lobe temporal. S** Le
pli
temporal inférieur. Ce pli, situé au-dessous du p
jusqu'au sommet du lobe temporal. S** Le pli temporal inférieur. Ce
pli
, situé au-dessous du précédent ee, forme le bord
nit le sommet de ce lobe au sommet du lobe occipital. Tels sont les
plis
du lobe temporo-sphénoïdal. Ce lobe, comme on le
lis du lobe temporo-sphénoïdal. Ce lobe, comme on le voit, n'a pas de
plis
qui lui appartiennent exclusivement. Ces plis son
on le voit, n'a pas de plis qui lui appartiennent exclusivement. Ces
plis
sont, en effet, continus à ceux du lobe pariétal
en effet, continus à ceux du lobe pariétal et du lobe occipital. 4"
Plis
du lobe occipital. Le lobe occipital présente p
. 4" Plis du lobe occipital. Le lobe occipital présente plusieurs
plis
dont la disposition, comparée à celle des plis fr
tal présente plusieurs plis dont la disposition, comparée à celle des
plis
frontaux, est extrêmement remarquable. En effet,
plis frontaux, est extrêmement remarquable. En effet, de même que les
plis
frontaux, les plis occipitaux se développent, en
extrêmement remarquable. En effet, de même que les plis frontaux, les
plis
occipitaux se développent, en général, dans une d
aux se développent, en général, dans une direction horizontale. Ces
plis
, assez mal dessinés, forment, le plus souvent, tr
s, séparés par deux sillons parallèles. Nous distinguerons. 1" Le
pli
inférieur, pli occipital inférieur f f, borde inf
deux sillons parallèles. Nous distinguerons. 1" Le pli inférieur,
pli
occipital inférieur f f, borde inférieurement le
borde inférieurement le lobe occipital, et se jette en avant dans le
pli
temporal moyen. 2" Lé deuxième pli, pli occipit
al, et se jette en avant dans le pli temporal moyen. 2" Lé deuxième
pli
, pli occipital moyen g g, est fort épais; un pont
t se jette en avant dans le pli temporal moyen. 2" Lé deuxième pli,
pli
occipital moyen g g, est fort épais; un pont très
s-grêle, passant au-dessous de la scissure perpendiculaire, réunit ce
pli
au pli temporal moyen. 3"* Le troisième pli, pl
, passant au-dessous de la scissure perpendiculaire, réunit ce pli au
pli
temporal moyen. 3"* Le troisième pli, pli occip
pendiculaire, réunit ce pli au pli temporal moyen. 3"* Le troisième
pli
, pli occipital supérieur h h, est assez mal défmi
culaire, réunit ce pli au pli temporal moyen. 3"* Le troisième pli,
pli
occipital supérieur h h, est assez mal défmi; c'e
de régulier, ainsi que nous le verrons par la suite. Tels sont les
plis
de la face externe du lobe occipital dans le Call
es plis de la face externe du lobe occipital dans le Callitriche; ces
plis
, comme on le voit, sont extrêmement simples, et l
ercule du lobe postérieur, cache au fond de la scissure un système de
plis
dont l'importance est telle, qu'ils fournissent l
ux des différents Pithèques peuvent être distingués. Je donne à ces
plis
le nom de plis de passage. § IX. DES PLIS DE
ts Pithèques peuvent être distingués. Je donne à ces plis le nom de
plis
de passage. § IX. DES PLIS DE PASSAGE. FIGURE
ngués. Je donne à ces plis le nom de plis de passage. § IX. DES
PLIS
DE PASSAGE. FIGURE 2. 11 y a deux plis de passa
is de passage. § IX. DES PLIS DE PASSAGE. FIGURE 2. 11 y a deux
plis
de passage profonds et cachés sous l'opercule.
profonds et cachés sous l'opercule. Le supérieur passe du deuxième
pli
ascendant au sommet du lobe postérieur ; il forme
l forme, en dehors, un coude fort remarquable i (fig. 2). Le second
pli
passe de la portion descendante du pli courbe au
quable i (fig. 2). Le second pli passe de la portion descendante du
pli
courbe au lobe postérieur n. Si maintenant nous
u pli courbe au lobe postérieur n. Si maintenant nous rappelons les
plis
superficiels m et iv qui réunissent au pli tempor
tenant nous rappelons les plis superficiels m et iv qui réunissent au
pli
temporal moyen les deux plis occipitaux inférieur
is superficiels m et iv qui réunissent au pli temporal moyen les deux
plis
occipitaux inférieurs, nous pourrons admettre qua
en les deux plis occipitaux inférieurs, nous pourrons admettre quatre
plis
de passage que nous désignerons par les noms de p
s désignerons par les noms de premier, second, troisième et quatrième
plis
de passage, en comptant de haut en bas. Dans le
passage, en comptant de haut en bas. Dans le Callitriche, les deux
plis
supérieurs sont recouverts par l'opercule; les de
ar l'opercule; les deux inférieurs sont superficiels. Tels sont les
plis
de la face externe du cerveau dans le Callitriche
n bord épais remarquable par sa saillie, mais dont les limites, comme
pli
cérébral, ne sont bien déterminées que du côté de
n déterminées que du côté de la scissure. En avant, les limites de ce
pli
se confondent avec celles des plis frontaux, des
issure. En avant, les limites de ce pli se confondent avec celles des
plis
frontaux, des plis ascendants et du pli courbe. I
es limites de ce pli se confondent avec celles des plis frontaux, des
plis
ascendants et du pli courbe. Il n'en est pas de m
e confondent avec celles des plis frontaux, des plis ascendants et du
pli
courbe. Il n'en est pas de même de la lèvre posté
rbe. Il n'en est pas de même de la lèvre postérieure qui forme un des
plis
les mieux prononcés et les plus constants dans le
plis les mieux prononcés et les plus constants dans les Primates. Ce
pli
, s'unissant à la lèvre antérieure au sommet de la
isphère, et presque toujours alors le sommet de la scissure et de ses
plis
marginaux est caché sous la branche descendante d
ure et de ses plis marginaux est caché sous la branche descendante du
pli
courbe. Je signale ce fait, parce qu'il se rattac
l'angle interne du champ olfactif ou quadrilatère perforé. Tous les
plis
cérébraux de la face interne sont disposés, suiva
quelles conséquences conduisent les mesures approximatives. § XL
PLIS
DE LA FACE INTERNE. FIGURE 3. Parmi les sillons
IS DE LA FACE INTERNE. FIGURE 3. Parmi les sillons qui séparent ces
plis
, nous distinguerons deux scissures prm-cipales :
la grande scissure médiane du cerveau, elle est limitée par ce large
pli
auquel Yicq-d'Azyr a donné le nom de circonvoluti
2" Le lobule occipital interne, 3° Le lobe occipito-temporal. Les
plis
cérébraux qui occupent la surface de ces lobes so
lobes sont, en général, très-sim pies et d'une description facile.
Plis
du lobe fronto-pariétaL Le lobe fronto-pariétal
du lobe fronto-pariétaL Le lobe fronto-pariétal est divisé en deux
plis
fort simples par un sillon CC—ica, dont la direct
Nous le nommerons grand sillon du lobe fronto-pariétal. L'un des deux
plis
que ce sillon distingue confine au corps calleux;
quadrilatère \ Au-dessous du genou postérieur du corps calleux, ce
pli
se rétrécit brusquement, dégénère en un cordon gr
àes anatomistes. Ce cordon se termine au sommet du lobe temporal. Ce
pli
borde ainsi, dans toute son étendue, l'ouverture
appartiennent seules au lobe fronto-pariétal. La partie inférieure du
pli
, c'est-à-dire le corps godronné, est une dépendan
endance du lobe temporal. Les relations de la partie supérieure de ce
pli
ont été bien connues des anatomistes. Sœmme-ring,
nvolution crêtée de Rolando. M. Foville, considérant le rapport de ce
pli
avec les bandelettes de Reil, lui a donné le nom
a donné le nom de circonvolution de l'ourlet; ce sera, pour nous, le
pli
du corps calleux, pli de la zone interne. Le de
convolution de l'ourlet; ce sera, pour nous, le pli du corps calleux,
pli
de la zone interne. Le deuxième pli, pli de la
nous, le pli du corps calleux, pli de la zone interne. Le deuxième
pli
, pli de la zone externe, enveloppe le précédent,
, le pli du corps calleux, pli de la zone interne. Le deuxième pli,
pli
de la zone externe, enveloppe le précédent, et se
dent, et se termine, en arrière, au sommet du lobule quadrilatère. Ce
pli
forme, en avant, la marge de l'hémisphère ; il se
'hémisphère ; il se réunit, le long de son bord supérieur, à tous les
plis
de la face externe du lobe pariétal et au pli fro
supérieur, à tous les plis de la face externe du lobe pariétal et au
pli
frontal supérieur. Plis du lobule occipital.
is de la face externe du lobe pariétal et au pli frontal supérieur.
Plis
du lobule occipital. Le lobule occipital est pr
une inci sure médiane, à peine indiquée, semble le diviser en deux
plis
très-simples. Deux plis de passage l'unissent au
, à peine indiquée, semble le diviser en deux plis très-simples. Deux
plis
de passage l'unissent au lobule quadrilatère. L'u
. Deux plis de passage l'unissent au lobule quadrilatère. L'un de ces
plis
, pli de passage supérieur interne, descend du som
plis de passage l'unissent au lobule quadrilatère. L'un de ces plis,
pli
de passage supérieur interne, descend du sommet d
onte au sommet du lobule occipital, où il se termine en s'unissant au
pli
de passage supérieur externe. Ce pli est caché da
ù il se termine en s'unissant au pli de passage supérieur externe. Ce
pli
est caché dans le fond de la scissure perpendicul
pli est caché dans le fond de la scissure perpendiculaire. L'autre
pli
, pli de passage inférieur interne, unit l'extrémi
est caché dans le fond de la scissure perpendiculaire. L'autre pli,
pli
de passage inférieur interne, unit l'extrémité in
é inférieure du lobule occipital à la base du lobule quadrilatère. Ce
pli
est superficiel et forme une partie du bord supér
forme une partie du bord supérieur de la scissure des hippocampes.
Plis
du lobe occipito-temporal. Des scissures linéai
interrompues, divisent la face interne du lobe temporal en plusieurs
plis
parallèles. Nous distinguerons en le pli godron
obe temporal en plusieurs plis parallèles. Nous distinguerons en le
pli
godronné, pli temporal supérieur interne; en 4 4,
n plusieurs plis parallèles. Nous distinguerons en le pli godronné,
pli
temporal supérieur interne; en 4 4, le pli uncifo
uerons en le pli godronné, pli temporal supérieur interne; en 4 4, le
pli
unciforme, pli temporal moyen interne. Ce pli com
i godronné, pli temporal supérieur interne; en 4 4, le pli unciforme,
pli
temporal moyen interne. Ce pli commence, en arriè
eur interne; en 4 4, le pli unciforme, pli temporal moyen interne. Ce
pli
commence, en arrière, par une extrémité déliée, e
crochet qui se recourbe en arrière et se confond avec l'extrémité du
pli
godronné et de la bandelette demi-circulaire. Nou
ui le suit sera naturellement appelé le crochet de Vhippocampe. Les
plis
que nous venons de décrire sont propres à la face
venons de décrire sont propres à la face interne de l'hémisphère. Les
plis
que nous allons indiquer appartiennent à la fois
tiennent à la fois à sa face interne et à sa face externe. Ainsi le
pli
s s f qui suit au-dessous du pli temporal moyen i
rne et à sa face externe. Ainsi le pli s s f qui suit au-dessous du
pli
temporal moyen interne toute la longueur du lobe
l moyen interne toute la longueur du lobe occipito-temporal répond au
pli
temporal inférieur e e de la face externe. Le pli
-temporal répond au pli temporal inférieur e e de la face externe. Le
pli
P ?) est l'origine du pli occipital inférieur ext
mporal inférieur e e de la face externe. Le pli P ?) est l'origine du
pli
occipital inférieur externe f f. Enfin le pli y y
i P ?) est l'origine du pli occipital inférieur externe f f. Enfin le
pli
y y répond au pli occipital moyen externe g g.
ne du pli occipital inférieur externe f f. Enfin le pli y y répond au
pli
occipital moyen externe g g. Ces trois plis, se
fin le pli y y répond au pli occipital moyen externe g g. Ces trois
plis
, se réunissant en B, forment une sorte de valvule
moule bien fait seraient encore préférables. § XIL Tels sont les
plis
cérébraux du Callitriche. Je les ai décrits avec
e temporo-sphéroïdal est jaune. Le lobe occipital est violet. Les
plis
de passage sont blancs. Ces indications caracté
dans l'ordre descendant les Macaques et les Cynocéphales. § XIII.
PLIS
CÉRÉBRAUX DES GUENONS. Le cerveau des Guenons e
es loges frontales du crâne et l'élévation des voûtes orbitaires, les
plis
de ce lobe son très-simples et leurs incisures tr
; son sommet est presque toujours caché par la branche descendante du
pli
courbe. Les deux branches de ce dernier pli forme
la branche descendante du pli courbe. Les deux branches de ce dernier
pli
forment un angle très-serré, très-aigu, dont le s
de l'hémisphère. Le lobe temporo-sphénoïdal est très-saillant. Les
plis
considérés en eux-mêmes présentent peu de différe
l'hémisphère, que dans le Callitriche, le Malbrouck et le Grivet. Le
pli
frontal supérieur présente des incisures secondai
a direction est, d'ailleurs, difficile à déterminer. En revanche, les
plis
inférieurs sont moins distincts que dans le Calli
ins distincts que dans le Callitriche. Il arrive fréquemment que le
pli
ascendant antérieur est divisé en deux étages par
s varient de la manière la plus irrégulière ; quoi qu'il en soit, les
plis
cérébraux paraissent un peu plus riches dans la M
ans la Mone que dans le Callitriche. (Voy. pl. V, fig. 4 et 9.) Les
plis
de passage externes sont fort semblables, dans to
e passage externes sont fort semblables, dans toutes les Guenons, aux
plis
de passage du Callitriche, et les deux plis supér
s toutes les Guenons, aux plis de passage du Callitriche, et les deux
plis
supérieurs sont constamment cachés par l'opercule
mais il y a beaucoup de variations dans le degré de développement du
pli
supérieur externe. Ce pli, en effet, se confond s
ariations dans le degré de développement du pli supérieur externe. Ce
pli
, en effet, se confond souvent avec le pli de pass
u pli supérieur externe. Ce pli, en effet, se confond souvent avec le
pli
de passage supérieur interne; ces différences, qu
énéral sur lequel nous devons , dès à présent, insister, c'est que le
pli
supérieur, qu'il soit distinct du pli interne ou
présent, insister, c'est que le pli supérieur, qu'il soit distinct du
pli
interne ou confondu avec lui, apparaît toujours s
ît toujours sur la face externe de Vhémisphere, au-dessus du deuxième
pli
de passage. Ce dernier pli est, en général, trè
ne de Vhémisphere, au-dessus du deuxième pli de passage. Ce dernier
pli
est, en général, très-court, peu saillant, à pein
u'à présent, dans la série des Guenons, que le cerveau du Patas où ce
pli
soit bien développé ; cette particularité et la l
rne est presque toujours très-petit, étroit et refoulé en haut. Les
plis
de passage interne sont assez épais dans certaine
vers les parties postérieures du cerveau; il a refoulé en arrière les
plis
ascendants du lobe pariétal; ces plis, fort simpl
au; il a refoulé en arrière les plis ascendants du lobe pariétal; ces
plis
, fort simples d'ailleurs, sont, en conséquence, p
ns la direction de la scissure de Sylvius {voy. pl. IV, fig. 9). Le
pli
courbe suit le même mouvement. Son sommet, refoul
ble, il est vrai, mais assez visible. La scissure de Sylvius et ses
plis
marginaux, entraînés dans le même sens que les pl
de Sylvius et ses plis marginaux, entraînés dans le même sens que les
plis
pariétaux, s'inclinent davantage en arrière; ains
sommet de la scissure de Sylvius est caché, le plus souvent, sous le
pli
courbe ; dans le Semnopithèque entelle, le sommet
découvert dans toute son étendue. 2** Dans les Guenons, le premier
pli
de passage et le second pli sont cachés sous l'op
endue. 2** Dans les Guenons, le premier pli de passage et le second
pli
sont cachés sous l'opercule du lobe postérieur. D
achés sous l'opercule du lobe postérieur. Dans les Semnopithèques, le
pli
de passage supérieur est large, développé et enti
dans ce point, l'opercule manque à sa partie supérieure. Le deuxième
pli
de passage est à peine saillant et caché sous l'o
eur semble anticiper sur la région fronto-parié-tale ; il recouvre le
pli
supérieur de passage, comprime le pli courbe, le
nto-parié-tale ; il recouvre le pli supérieur de passage, comprime le
pli
courbe, le refoule en avant au point de le pousse
le refoule en avant au point de le pousser fréquemment au-dessous du
pli
marginal et du sommet de la scissure ; en un mot,
des Semnopithèques supérieurs et du Soiilili? Je prévois: P Que le
pli
fi'onlal supérieur simple dans VEntelle est subdi
dans le Soulili, par des incisures secondaires ; 2" Que le deuxième
pli
ascendant présente à sa partie supérieure un indi
division compliquée ; 3" Que la racine de la branche descendante du
pli
courbe est plus large et peut être divisée par un
ette grande analogie n'est pas moins évidente dans la disposition des
plis
cérébraux. S XV. PLIS CÉRÉBRAUX DES GIBBONS.
pas moins évidente dans la disposition des plis cérébraux. S XV.
PLIS
CÉRÉBRAUX DES GIBBONS. La collection du muséum
ique; 2° parce que dans ce cerveau incomplètement développé plusieurs
plis
n'ont point encore apparu. Toutefois notre exam
arquerons, en effet, 1° L'obliquité et l'inclinaison en arrière des
plis
pariétaux, la grandeur singulière du deuxième pli
son en arrière des plis pariétaux, la grandeur singulière du deuxième
pli
ascendant; 2° Le volume du pli supérieur de pas
, la grandeur singulière du deuxième pli ascendant; 2° Le volume du
pli
supérieur de passage, qui est énorme et complètem
nt à découvert (voy. pl. IV, fig. 3); 3° Le grand développement des
plis
marginaux de la scissure de Sylvius, dont le somm
Sylvius, dont le sommet est libre et superficiel ; 4" L'origine du
pli
courbe qui naît très en arrière, au niveau du som
lus abaissé que dans VEnlelle (pl. IV, %.3); 5° La profondeur des
plis
du lobe postérieur, qui, malgré le jeune âge de l
ajouterons quelques observations. Dans le fœtus dont il s'agit, les
plis
cérébraux postérieurs sont bien développés, tandi
, les plis cérébraux postérieurs sont bien développés, tandis que les
plis
du lobe frontal sont à peine indiqués. En outre,
tiennent à l'imperfection de l'état fœtal. Chez tous les Singes, les
plis
postérieurs se développent les premiers; les plis
ous les Singes, les plis postérieurs se développent les premiers; les
plis
antérieurs se développent plus tard : aussi la ve
ésente une exception remarquable quant à l'époque de l'apparition des
plis
frontaux, qui sont les premiers indiqués; mais le
'aux degrés les plus infimes de cette série, et passons à l'étude des
plis
cérébraux des Macaques et des Babouins, de ces an
us odieux encore les signes d'une dégradation universelle. § XVI.
PLIS
CÉRÉBRAUX DES MACAQUES. Nous décrirons séparéme
t publiées par M. Lelut sur les crânes des idiots et des imbéciles.
Plis
cérébraux des Macaques à queue courte (pi. YIII,
ère distinctif parfaitement tranché. Si nous étudions en détail les
plis
de la face externe, nous aurons à signaler plus p
terne, nous aurons à signaler plus particulièrement T la maigreur des
plis
frontaux et surtout du pli frontal supérieur, qui
r plus particulièrement T la maigreur des plis frontaux et surtout du
pli
frontal supérieur, qui, néanmoins, porte une ou d
deux incisures secondaires (voy. pl. YIII, fig. 8); la gracilité des
plis
ascendants et surtout du postérieur, dont la part
postérieur, dont la partie supérieure est très-courte; 3" la force du
pli
temporal moyen; 4° enfin l'absence du pli de pass
très-courte; 3" la force du pli temporal moyen; 4° enfin l'absence du
pli
de passage supérieur externe. A ces faits, dont l
e relative, nous ajouterons encore le grand développement du deuxième
pli
de passage, et enfin la simplicité des incisures
ste quelquefois, mais toujours elle est simple et peu profonde. Les
plis
de la face interne de l'hémisphère ressemblant to
oint ici, de peur de tomber dans des répétitions inutiles. § XYIL
PLIS
CÉRÉBRAUX DES VRAIS MACAQUES. Dans tous les Mac
iocre; il est, en général, plus haut que long, et j'ajouterai que ses
plis
sont toujours d'une extrême simplicité. Les pli
'ajouterai que ses plis sont toujours d'une extrême simplicité. Les
plis
frontaux inférieurs sont également fort réduits ;
i du Rhésus, ce qui est surtout manifeste dans le Magot. Le premier
pli
ascendant est très-large, mais un peu étranglé à
st très-large, mais un peu étranglé à sa partie moyenne ; le deuxième
pli
ascendant est faible à sa racine, mais à sa parti
gue à la fois les vrais Macaques des Rhésus et des Cynocéphales. Le
pli
courbe est, en général, bien développé, surtout d
éveloppement du lobe occipital, qui refoule la branche descendante du
pli
courbe. Dans les Macaques, au contraire, elle est
rmé par la scissure de Sylvius, et nous ajouterons que la plupart des
plis
pariétaux sont divisés par des incisures secondai
des plis pariétaux sont divisés par des incisures secondaires. Les
plis
du lobe temporo-sphénoïdal sont très-sembîabîes à
te raison, une description spéciale. Si nous passons maintenant aux
plis
de passage, nous remarquerons 1 ° L'absence du
maintenant aux plis de passage, nous remarquerons 1 ° L'absence du
pli
supérieur de passage; 2° La grandeur du deuxièm
° L'absence du pli supérieur de passage; 2° La grandeur du deuxième
pli
de passage. Ce pli, en effet, forme un grand coud
supérieur de passage; 2° La grandeur du deuxième pli de passage. Ce
pli
, en effet, forme un grand coude, descend, se relè
et vient se terminer au sommet du lobe occipital. Les lobes et les
plis
de la face interne présentent certaines particula
e occipital interne est droit et assez haut, mais fort étroit; 3° les
plis
du lobe occipito-temporal, refoulés par l'abaisse
dans les Guenons et moins relevés en arrière. D'ailleurs, tous les
plis
que nous avons notés sur la face interne de l'hém
ent ici. Nous remarquerons, néanmoins, le développement plus riche du
pli
de passage supérieur interne, qui semble compense
pli de passage supérieur interne, qui semble compenser l'absence du
pli
supérieur externe, et la petitesse du lobule de l
derniers, nous distinguerons, pour la richesse et la grandeur de ses
plis
cérébraux, le Pithecus inuus, c'est-à-dire le Mag
ire et le Bonnet chinois paraissent terminer cette série. § XVÏIL
PLIS
CÉRÉBRAUX DES CH ROPITHÈQUES OU BABOUINS. Le ce
longueur et le peu de saillie du lobe temporal; 5** par l'absence du
pli
supérieur de passage et la grandeur du deuxième p
par l'absence du pli supérieur de passage et la grandeur du deuxième
pli
, dont les sinuosités sont plus développées encore
ent plus grand dans les Babouins que dans les Macaques. En effet, les
plis
sont plus riches dans les Babouins, leurs incisur
es. Ainsi : 1 " Le lobe occipital est très-grand, souvent chargé de
plis
, encore un peu plus haut que long dans les Papion
ut signaler encore une plus grande inclinaison en arrière du deuxième
pli
ascendant dont le lobule supérieur est moins déve
eur est moins développé, tandis que l'extrémité supérieure du premier
pli
ascendant se dilate et s'évase plus encore que da
tres Singes. Par la grandeur de leur lobe pariétal et la richesse des
plis
cérébraux, ils se distinguent du Rhésus. Par la p
nt du Rhésus. Par la petitesse du prolongement postérieur du deuxième
pli
ascendant, ils se distinguent d'avec les vrais Ma
us loin du prolongement qui termine en haut et en arrière le deuxième
pli
ascendant. Si nous nous laissons inspirer par u
Babouins et les Mandrills, le lobe occipital grandit et se couvre de
plis
; le lobe pariétal est long comme dans les Macaqu
oure la juste réputation de leurs auteurs. J'ai analysé avec soin les
plis
cérébraux de l'Orang et ceux du Chimpanzé ; quand
1° le cerveau de l'Orang-Outang; le cerveau du Chimpanzé. § xx.
plis
CÉRÉBRAUX DE l'ORANG-OUTANG. J'ai étudié le cer
; il est assez long, mais peu épais relativement à sa longueur. Les
plis
du lobe frontal sont riches, mais peu distincts ;
divers individus. Dans le cerveau (fig. 6) qui me sert de type, le
pli
surcilier 1.1. est triangulaire et présente une i
rcilier 1.1. est triangulaire et présente une incisure secondaire. Le
pli
frontal moyen 2.2. est très-flexueux, mais très-g
pli frontal moyen 2.2. est très-flexueux, mais très-grèle ; enfin le
pli
frontal supérieur 3 3 3. 3' 3' est divisé, par un
érieur 3 3 3. 3' 3' est divisé, par une scissure bien tracée, en deux
plis
secondaires 3 3 3 et 3' 3' 3'. Dans le second c
s secondaires 3 3 3 et 3' 3' 3'. Dans le second cerveau, fig. 2, le
pli
surcilier est peu étendu, peu distinct surtout; e
e pli surcilier est peu étendu, peu distinct surtout; en revanche, le
pli
frontal moyen est large et flexueux. Le pli front
surtout; en revanche, le pli frontal moyen est large et flexueux. Le
pli
frontal supérieur présente des indices bien visib
upérieur présente des indices bien visibles de la subdivision en deux
plis
. Ainsi il y a des différences; mais ces différe
ité. Refoulé par la partie supérieure du lobule frontal, le premier
pli
ascendant est grêle à sa partie supérieure et un
4.4.4.). Cette inclinaison est plus marquée encore dans le deuxième
pli
ascendant, dont le prolongement supérieur se déve
gement supérieur se développe au loin (fig. 6, 5.3.5.5'.). Ces deux
plis
présentent, à leur surface, des incisures nombreu
ntent, à leur surface, des incisures nombreuses et irrégulières. Le
pli
courbe est très-remarquable; il naît, au sommet d
able que divise, en sens divers, une profonde incisure (6' 6'). Les
plis
du lobe postérieur sont assez nombreux ; mais la
st singulièrement réduite et son opercule peu marqué (10. 11.). Les
plis
temporaux sont fort simples. Le pli marginal (7)
cule peu marqué (10. 11.). Les plis temporaux sont fort simples. Le
pli
marginal (7) de la scissure de Sylvius est grand,
de Sylvius est grand, bien développé et partout à découvert; mais les
plis
temporaux inférieurs (8) sont moins bien définis.
ment remarquable, c'est la grandeur et les flexuosités singulières du
pli
supérieur de passage a. Ce pli forme un large p
ur et les flexuosités singulières du pli supérieur de passage a. Ce
pli
forme un large pont entre le lobe pariétal et le
large pont entre le lobe pariétal et le lobe occipital. Le deuxième
pli
de passage est très-peu développé et caché sous l
ge est très-peu développé et caché sous l'opercule. Les deux autres
plis
sont superficiels. Je voudrais ajouter à cette
te description celle du lobe central ou insula, qui présente quelques
plis
dans VOrang; mais je n'ai pu écarter assez les lè
arter assez les lèvres de la scissure de Sylvius pour les examiner.
Plis
cérébraux de la face interne. Ces plis étaient bi
e Sylvius pour les examiner. Plis cérébraux de la face interne. Ces
plis
étaient bien connus par une fort belle figure qu'
n anatomie comparée. Ils sont fort semblables à ceux de l'homme. Le
pli
du corps calleux, qu'on rencontre dans tous les a
e (fig. lY 1.1.1.1'); mais l'étage supérieur du lobe fronto-pariétal (
pli
de la zone externe 2.2.2..2.), chargé de plis dan
du lobe fronto-pariétal (pli de la zone externe 2.2.2..2.), chargé de
plis
dans VHomme, est très-simple et à peu près lisse
en passant, que son développement est toujours corrélatif à celui des
plis
de passage et du lobule qui termine supérieuremen
s plis de passage et du lobule qui termine supérieurement le deuxième
pli
pariétal externe (deuxième pli ascendant). Le p
qui termine supérieurement le deuxième pli pariétal externe (deuxième
pli
ascendant). Le pli temporal moyen interne (pli
ement le deuxième pli pariétal externe (deuxième pli ascendant). Le
pli
temporal moyen interne (pli de l'hippocampe) est
al externe (deuxième pli ascendant). Le pli temporal moyen interne (
pli
de l'hippocampe) est simple, ainsi que cela a lie
térieur, la petitesse relative du lobe occipital, le développement du
pli
supérieur de passage nous obligeront de ranger VO
ère non-seulement dans son ensemble, mais encore par le détail de ses
plis
, et se rattache à une tout autre catégorie. § X
il de ses plis, et se rattache à une tout autre catégorie. § XXI.
PLIS
CÉRÉBRAUX DU TROGLODYTE CHIMPANZÉ. Je ne connai
k et Wrolick sont beaucoup meilleures (voy. pl. VI, fîg. 5 et 6). Les
plis
cérébraux y sont bien caractérisés; malheureuseme
e long, et son opercule est complet. Si nous passons à l'examen des
plis
, nous noterons les particularités suivantes : L
l'examen des plis, nous noterons les particularités suivantes : Les
plis
du lobe frontal sont très-grands, plus grands mêm
-grands, plus grands même et plus épais que ceux de VOrang-Outang. Le
pli
frontal supérieur (pl. VI, fig. 2 3.3.3'3') est s
pli frontal supérieur (pl. VI, fig. 2 3.3.3'3') est subdivisé en deux
plis
, dont le plus élevé porte des incisures secondair
en deux plis, dont le plus élevé porte des incisures secondaires. Le
pli
moyen est bien caractérisé (%.%.%.). Le pli infér
incisures secondaires. Le pli moyen est bien caractérisé (%.%.%.). Le
pli
inférieur ou surcilier (1.11.) est très-grand, la
bule frontal est bien développé dans toutes ses parties. Le premier
pli
ascendant est grêle, flexueux, mais peu incliné e
incisures, et sa surface est absolument lisse (4.4,4.). Le deuxième
pli
ascendant est également simple et grêle ; il mont
ormant avec lui des flexuosités parallèles; mais, arrivé au-dessus du
pli
courbe, il forme un coude et s'étale en un large
divisé très-élégamment par un sillon assez compliqué, qui sépare deux
plis
, l'un externe et l'autre interne. Le pli externe
compliqué, qui sépare deux plis, l'un externe et l'autre interne. Le
pli
externe a un trajet assez simple; mais l'interne
paraît assez constante. (Yoy. pl. VI, fig. 2, 5,5.5.) L'origine du
pli
courbe est remarquable. Dans VOrang et dans le Gi
rbe fort étendue. (Voy. 6. 6. 6'.) Quant à la partie descendante du
pli
courbe, elle est très-grêle, à peine flexueuse, a
e que présente le cerveau de la plupart des Macaques. (Voy. 6.) Les
plis
du lobe temporal sont très-simples. Ces plis, aus
acaques. (Voy. 6.) Les plis du lobe temporal sont très-simples. Ces
plis
, aussi peu développés que ceux des Orangs, sont b
le cerveau du Chimpanzé à celui de l'Orang-Outang, c'est l'absence du
pli
supérieur de passage. Ainsi le pli supérieur de
Orang-Outang, c'est l'absence du pli supérieur de passage. Ainsi le
pli
supérieur de passage manque absolument. Le deux
Ainsi le pli supérieur de passage manque absolument. Le deuxième
pli
est caché sous l'opercule. Le troisième et le q
euxième pli est caché sous l'opercule. Le troisième et le quatrième
pli
sont superficiels. (Voy. 12 et 13.) En nous rés
le du lobe occipital du Chimpanzé; 2** Une dégradation relative des
plis
ascendants dans le Chimpanzé; 3* Un développeme
s dans le Chimpanzé; 3* Un développement plus grand de la racine du
pli
courbe, qui, dans le Chimpanzé, naît au devant de
sommet de la scissure ; 4° La grandeur de l'opercule et Vabsence du
pli
supérieur de passage, qui, dissimulé dans les Gue
urte par la grandeur du lobule qui termine supérieurement le deuxième
pli
ascendant; 2" Des Babouins par le même caractèr
'hui je ne suis point en mesure de résoudre, par la considération des
plis
cérébraux, cette importante question. Toutefois
si pressés, et à tel point condensés sous la voûte du crâne, que les
plis
n'y laissent jamais ces impressions si distinctes
cerveau de VOrang est évidemment plus globuleux, plus massif, et les
plis
sont rapprochés au.point de ne laisser sur la boî
orme que rappelle celle du cerveau des Cynocéphales. Ajoutons que les
plis
cérébraux laissent sur la boîte du crâne des impr
ble indiquer une richesse un peu moindre dans le développement de ces
plis
. Le crâne de Troglodyte Chimpanzé dont nous avo
aura avec le type humain les plus grandes analogies. § XXIV. des
plis
cérébraux de l'homme. On connaît la forme du ce
e la scissure de Sylvius, la richesse et la complication générale des
plis
secondaires distinguent, au premier abord, ce cer
Ce sont les mêmes divisions principales, les mêmes lobes, les mêmes
plis
; toutes les parties ne sont pas semblables, mais
ai choisi, pour type de cette comparaison, un cerveau dans lequel les
plis
secondaires ont été dissimulés à dessein; on pour
doit être remarqué; c'est la position reculée de la racine du premier
pli
ascendant (pl. I, fig. 1 et 2, 4. 4. 4.). Ce pli,
la racine du premier pli ascendant (pl. I, fig. 1 et 2, 4. 4. 4.). Ce
pli
, qui, dans tous les Pithèques, naît au-dessus du
t beaucoup moins excavé. dans la partie qui correspond au cervelet.
Plis
cérébraux. — Telles sont, en général, les relatio
ux. — Telles sont, en général, les relations des lobes entre eux; les
plis
qui les couvrent méritent d'être attentivement ex
ui les couvrent méritent d'être attentivement examinés à leur tour.
Plis
de la face externe. — Les plis de la face externe
attentivement examinés à leur tour. Plis de la face externe. — Les
plis
de la face externe, couverts d'incisures capricie
ule orbitaire, remarquable par la grandeur du sillon olfactif; 2*" le
pli
frontal inférieur ou pli surcilier (pl. I, fig. 1
e par la grandeur du sillon olfactif; 2*" le pli frontal inférieur ou
pli
surcilier (pl. I, fig. 1 et 2) 1.1. 1. ; 3Me pli
frontal inférieur ou pli surcilier (pl. I, fig. 1 et 2) 1.1. 1. ; 3Me
pli
frontal moyen entourant le pli surcilier 2. 2. 2;
ier (pl. I, fig. 1 et 2) 1.1. 1. ; 3Me pli frontal moyen entourant le
pli
surcilier 2. 2. 2; 4"* enfin l'étage frontal supé
2. 2; 4"* enfin l'étage frontal supérieur subdivisé en deux ou trois
plis
larges et flexueux qui se jettent dans le sommet
rois plis larges et flexueux qui se jettent dans le sommet du premier
pli
ascendant 3'. 3'. 3'. Il serait impossible de d
ier pli ascendant 3'. 3'. 3'. Il serait impossible de donner de ces
plis
, dans l'espèce humaine, une description suffisant
manières différentes, et rien n'accuse davantage l'importance de ces
plis
que l'irrégularité presque indéfinie de leurs var
plupart des cas, chez les individus appartenant à la race blanche, le
pli
surcilier (étage frontal inférieur) est bien défi
ieur, qu'il est le plus souvent extrêmement difficile d'assigner à ce
pli
ses véritables limites (1). C'est là, disons-no
aut degré. C'est avec l'étage inférieur que se confondent surtout les
plis
de l'étage moyen, tandis que l'étage supérieur co
observations, nous n'oserions pas les résoudre affirmativement. Les
plis
de l'étage supérieur doivent être étudiés avec l'
uleuse; leur extrémité postérieure se jette dans le sommet du premier
pli
ascendant et se confond avec lui ; ils sont const
nd avec lui ; ils sont constamment au nombre de deux, à savoir : Un
pli
supérieur qui longe la grande scissure cérébrale
ieur qui longe la grande scissure cérébrale (pl. I, fig. '1.3'3'). Ce
pli
, fort simple et à peine flexueux dans la Vénus ho
lexueux, chargé d'incisures secondaires, et souvent subdivisé en deux
plis
secondaires. Le pli inférieur 3.3. est plus fle
ures secondaires, et souvent subdivisé en deux plis secondaires. Le
pli
inférieur 3.3. est plus flexueux; il se jette un
se termine enfin, au-dessous du précédent, dans le sommet du premier
pli
ascendant. Ces deux plis sont séparés par une sci
ssous du précédent, dans le sommet du premier pli ascendant. Ces deux
plis
sont séparés par une scissure profonde bifurquée
ns le cerveau de la Vénus hottentote et dans celui des idiots que ces
plis
m'ont offert la plus grande simplicité. Lés plis
i des idiots que ces plis m'ont offert la plus grande simplicité. Lés
plis
de droite comparés à ceux de gauche (1) Dans un
és à ceux de gauche (1) Dans un cerveau curieux cjue je possède, ce
pli
fort simple se jette complètement dans l'étage su
Sylvius est béante. Le développement ayant subi quelque obstacle, les
plis
de ce côté, beaucoup plus riches d'ailleurs que d
trie n'existe jamais dans les cerveaux normaux de la race blanche. Le
pli
supérieur, contourné de mille manières et souvent
pli supérieur, contourné de mille manières et souvent divisé en deux
plis
secondaires, n'est jamais semblable des deux côté
s, n'est jamais semblable des deux côtés du même cerveau. Le deuxième
pli
présente des irrégularités plus frappantes encore
n dirait que la nature, par un effort suprême, pour accumuler plus de
plis
dans ce point des hémisphères, les a, si je puis
r au cerveau des blancs idiots par arrêt de développement cérébral.
Plis
du lobe pariétal dans l'Homme. Plis ascendants.
êt de développement cérébral. Plis du lobe pariétal dans l'Homme.
Plis
ascendants. — Les plis ascendants du lobe pariéta
ébral. Plis du lobe pariétal dans l'Homme. Plis ascendants. — Les
plis
ascendants du lobe pariétal sont épais et assez f
emarquer la longueur de l'intervalle qui sépare la racine du deuxième
pli
, du sommet de la scissure de Sylvius. Le pli marg
re la racine du deuxième pli, du sommet de la scissure de Sylvius. Le
pli
marginal, dans ce point, présente, chez l'Homme,
et 2, A. A. A.) Souvent du sommet de ce lobule s'élèvent un ou deux
plis
accessoires B qui montent au pli supérieur de pas
t de ce lobule s'élèvent un ou deux plis accessoires B qui montent au
pli
supérieur de passage; ils ont été déjà vus et bie
offrent rien de constant dans leur nombre et dans leur disposition.
Pli
courbe. — Le pli courbe, dont la racine est ascen
onstant dans leur nombre et dans leur disposition. Pli courbe. — Le
pli
courbe, dont la racine est ascendante dans le Chi
, complètement sessile et naît au niveau du sommet de la scissure. Ce
pli
est le plus souvent assez grêle, et présente de n
uvent assez grêle, et présente de nombreuses variétés (6. 6'. 6'.).
Plis
du lobe temporo-sphénoïdal. Le pli marginal inf
reuses variétés (6. 6'. 6'.). Plis du lobe temporo-sphénoïdal. Le
pli
marginal inférieur de la scissure de Sylvius est,
En revanche, l'étage moyen et l'étage inférieur du lobe, chargés de
plis
nombreux, ont un développement relatif très-consi
particularités, qui sont constantes, doivent être notées avec soin.
Plis
du lobe occipital. Ce lobe est, ainsi que nous
Ce lobe est, ainsi que nous l'avons déjà dit, extrêmement réduit; ses
plis
, d'une extrême irrégularité, semblent devoir écha
qui, dans la plupart des Singes, coniine à la branche descendante du
pli
courbe, en est séparée, dans l'Homme, par un gran
uables que présente le cerveau de l'Homme. Il est comblé par quatre
plis
épais et flexueux, c'est-à-dire par les quatre pl
comblé par quatre plis épais et flexueux, c'est-à-dire par les quatre
plis
de passage, simultanément et énormément développé
et énormément développés, et tous les quatre devenus superficiels.
Pli
supérieur de passage. — Le pli supérieur, très-fl
ous les quatre devenus superficiels. Pli supérieur de passage. — Le
pli
supérieur, très-flexueux, prolonge le lobule, sin
s-flexueux, prolonge le lobule, singulièrement compliqué, du deuxième
pli
ascendant. Ce lobule et le pli de passage qui le
singulièrement compliqué, du deuxième pli ascendant. Ce lobule et le
pli
de passage qui le prolonge jusqu'au lobe occipita
e côté de la grande scissure cérébrale, une bande large et chargée de
plis
nombreux (5' 5' 5' ci). Si maintenant, considér
phère d'un cerveau humain, nous prenons pour point de départ les deux
plis
ascendants du lobe pariétal, ces deux plis semble
r point de départ les deux plis ascendants du lobe pariétal, ces deux
plis
sembleront diviser la face externe de l'hémisphèr
ace externe de l'hémisphère en deux régions presque symétriques. Du
pli
ascendant en avant et du pli postérieur en arrièr
n deux régions presque symétriques. Du pli ascendant en avant et du
pli
postérieur en arrière partiront, 1° Dans deux d
stérieur en arrière partiront, 1° Dans deux directions opposées, le
pli
surcilier et le pli marginal supérieur, qui, se r
partiront, 1° Dans deux directions opposées, le pli surcilier et le
pli
marginal supérieur, qui, se recourbant l'un vers
urs extrémités, enveloppent la vallée de Sylvius ; Au-dessus de ces
plis
, l'étage moyen du lobe frontal et le pli courbe,
ylvius ; Au-dessus de ces plis, l'étage moyen du lobe frontal et le
pli
courbe, qui n'atteignent point aux plis ascendant
ge moyen du lobe frontal et le pli courbe, qui n'atteignent point aux
plis
ascendants, pourront être symétriquement opposés
symétriquement opposés ; 3° Enfin, de même que le sommet du premier
pli
ascendant est uni intimement aux plis de l'étage
de même que le sommet du premier pli ascendant est uni intimement aux
plis
de l'étage frontal supérieur, le sommet du deuxiè
timement aux plis de l'étage frontal supérieur, le sommet du deuxième
pli
ascendant se prolonge par son lobule et par le pl
sommet du deuxième pli ascendant se prolonge par son lobule et par le
pli
de passage supérieur, jusque vers l'extrémité pos
ns l'Homme et dans les Singes, ce prolongement en arrière du deuxième
pli
ascendant et ce prolongement en avant semblent le
ilibre. C'est dans le développement simultané de ces deux systèmes de
plis
que réside le caractère le plus frappant de supér
main. (i) Les Cynocéphales fout exception à cette règle. Deuxième
pli
de passage. — Le deuxième pli de passage est épai
out exception à cette règle. Deuxième pli de passage. — Le deuxième
pli
de passage est épais, flexueux et superficiel (e)
sage est épais, flexueux et superficiel (e). Troisième et quatrième
plis
. — Le troisième et le quatrième pli, relativement
el (e). Troisième et quatrième plis. — Le troisième et le quatrième
pli
, relativement peu développés, sont aisément compa
és à ceux des Singes y et . Afin de compléter cette description des
plis
de la face externe de l'hémisphère, nous dirions
n, toutefois, leur disposition rayonnante et leurs relations avec les
plis
que présente, dans l'intérieur de la vallée de Sy
ent réduit. Le lobe pariétal présente un lobule accessoire (lobule du
pli
marginal). Le lobe temporo-sphénoïdal, bien que t
s. Enfin, et c'est là un caractère essentiel, dans l'homme tous les
plis
de passage sont superficiels. Ce fait, au point
e sont superficiels. Ce fait, au point de vue de la comparaison des
plis
cérébraux de l'Homme et de ceux des Singes, est a
impanzé, le lobe occipital est grand et son opercule bien dessiné; le
pli
courbe naît au devant du sommet de la scissure de
courbe naît au devant du sommet de la scissure de Sylvius ; enfin le
pli
de passage supérieur manque, et le deuxième est c
-Outang, le lobe occipital est médiocre et son opercule incomplet. Le
pli
courbe est sessile, et naît au niveau du sommet d
li courbe est sessile, et naît au niveau du sommet de la scissure. Le
pli
supérieur de passage est grand et superficiel, et
Homme, le lobe occipital est extrêmement réduit, son opercule nul. Le
pli
courbe est sessile, et sa racine naît au niveau d
ssile, et sa racine naît au niveau du sommet de la scissure. Les deux
plis
supérieurs de passage sont grands, flexueux, et t
lick, il me semble qu'il y a plus de variétés dans la disposition des
plis
cérébraux de VOrang. Le Chimpanzé présente, sous
zé présente, sous ce point de vue, quelques signes d'infériorité. Les
plis
cérébraux offrant, dans les différents individus
que je n'énonce ici qu'accessoirement, au jugement des philosophes.
Plis
de la face interne de riiémisphère dans l'Homme.
ns l'Homme. Afin de compléter ce qui doit être dit, en général, des
plis
du cerveau humain, disons un mot des plis de la f
t être dit, en général, des plis du cerveau humain, disons un mot des
plis
de la face interne de l'hémisphère. Plis de la
humain, disons un mot des plis de la face interne de l'hémisphère.
Plis
de la face interne. — Ces plis sont simples et tr
de la face interne de l'hémisphère. Plis de la face interne. — Ces
plis
sont simples et très-remarquables. La scissure de
émisphère, est, dans l'Homme, développé, surtout à la face interne.
Plis
du lobe fronto-pariétal. — Le lobe fronto-pariéta
eur confine au corps calleux. Très-simple en avant et formé d'un seul
pli
, il s'élève et se complique en arrière, où son ex
d et chargé d'incisures, peu profondes d'ailleurs, qui le divisent en
plis
grêles et assez nombreux. En avant du lobe quadri
t en plis grêles et assez nombreux. En avant du lobe quadrilatère, ce
pli
donne à son bord supérieur quelques expansions lo
um dans l'espèce humaine, et son développement est relatif à celui du
pli
de passage supérieur, auquel il correspond. L'é
en général, fort compliqué dans l'Homme, flexueux et formé de deux
plis
bien distincts en avant. Ces plis se confondent e
l'Homme, flexueux et formé de deux plis bien distincts en avant. Ces
plis
se confondent en arrière, où cet étage se rétréci
ui répond, vers le bord supérieur de l'hémisphère, au sommet des deux
plis
ascendants de la face externe. Plis du lobe occ
'hémisphère, au sommet des deux plis ascendants de la face externe.
Plis
du lobe occipito-temporal. — Les plis du lobe occ
scendants de la face externe. Plis du lobe occipito-temporal. — Les
plis
du lobe occipito-sphénoïdal sont, relativement, a
lis du lobe occipito-sphénoïdal sont, relativement, assez réduits. Le
pli
unciforme est longitudinal, mince, à peine flexue
é du lobe ; il ne porte, pour ainsi dire, aucune incisure. Les autres
plis
sont fort analogues à ceux des Singes. Plis de
ne incisure. Les autres plis sont fort analogues à ceux des Singes.
Plis
de passage. — Les plis de passage internes sont f
plis sont fort analogues à ceux des Singes. Plis de passage. — Les
plis
de passage internes sont fort réduits, atrophiés
réduits, atrophiés et cachés au fond de la scissure. En revanche, un
pli
assez considérable passe, derrière le corps calle
x, de l'angle inférieur du lobule quadrilatère à la partie moyenne du
pli
unciforme, et interrompt, dans ce point, la sciss
scissure des hippocampes; en sorte que la circonvolution crêtée et le
pli
unciforme semblent former, dans l'Homme, un arc c
taient nécessaires pour résoudre une difliculté que l'existence de ce
pli
fait surgir, et qui embarrasse, au premier abord,
remier abord, la marche des comparaisons. Jetons maintenant sur ces
plis
un coup d'oeil général, et nous serons frappés de
x faits que je ne dois pas omettre ici. Ainsi, dans l'Homme, 4° Les
plis
cérébraux de la face interne sont beaucoup moins
compliqués que ceux de la face externe ; 2" A la face externe, les
plis
cérébraux, très-nombreux et très-profonds dans to
énérale, les principaux caractères qui distinguent ou rapprochent les
plis
cérébraux de l'Homme de ceux des Singes. Disons m
d'abord, n'était point idiote. On peut remarquer, néanmoins, que les
plis
de son cerveau sont relativement très-peu compliq
frappe surtout, c'est la simplicité, l'arrangement régulier des deux
plis
qui composent l'étage supérieur du lobe frontal.
er des deux plis qui composent l'étage supérieur du lobe frontal. Ces
plis
, comparés de droite à gauche sur les deux hémisph
e symétrie rappellent involontairement la régularité, la symétrie des
plis
cérébraux dans les espèces inférieures. Il y a, s
ut mon admiration lorsque, jetant un coup d'œil sur l'arrangement des
plis
cérébraux, je retrouvai ce groupe de plis régulie
d'œil sur l'arrangement des plis cérébraux, je retrouvai ce groupe de
plis
réguliers occupant l'étage supérieur des lobes fr
supérieur se reproduit encore. Ainsi, nous ne pouvons en douter, les
plis
frontaux de la Vénus hottentote accusent un dével
lement très-marqué qui résulte d'une prédominance très-remarquable du
pli
surcilier. Cette disposition paraît résulter d'un
'y a que le droit de charité. Nous avons successivement analysé les
plis
cérébraux de l'Homme et des Primates de l'ancien
elle voie s'opèrent la dégradation successive et l'anéantissement des
plis
cérébraux dans les Sapajous, dans les Sagouins et
Sagouins et dans les Ouistitis, TROISIÈME PARTIE. DESCRIPTION DES
PLIS
CEREBRAUX DANS LES SINGES AMÉRICAINS. § XXVI.
et les Sakis; Au quatrième, enfui, les Pinches et les Ouistitis.
PLIS
CÉRÉBRAUX DES CÈBES DU PREMIER GROUPE OU SAPAJOUS
a point été en mon pouvoir de combler cette lacune (1 ). § XXVII.
PLIS
CÉRÉBRAUX DE l'aTÈLE BELZÉBUTH. Le cerveau des
étendue. Si nous envisageons maintenant la disposition générale des
plis
à la surface du cerveau, nous serons frappés, au
cerveau, nous serons frappés, au premier abord, de la richesse de ces
plis
sur la moitié postérieure du cerveau, et de leur
remier abord le lobe antérieur paraît absolument lisse. Au reste, ces
plis
présentent de telles anomalies, qu'il faut une vé
longue scissure, on voit qu'elle est interrompue, au point K, par un
pli
intermédiaire, très-petit il est vrai, mais qu'on
qu'on retrouve plus grand et plus développé dans le Lagotriche. Ce
pli
limite supérieurement la scissure de Sylvius. 2
On voit alors que la scissure qui sépare le lobe frontal du premier
pli
ascendant est située très-près de l'extrémité ant
stinguer dans VAtèle. 3° Le sillon qui limite en arrière le premier
pli
ascendant est très-reculé; il répond au sommet de
il répond au sommet de la scissure de Sylvius. L'épaisseur du premier
pli
ascendant est donc énorme ; elle est presque égal
rtion externe de la scissure. Deux sillons assez profonds divisent ce
pli
: l'un, supérieur, est horizontal; l'autre, infér
ration de celui que nous avons observé dans la Mone. 4" Le deuxième
pli
ascendant, beaucoup moins épais que le précédent,
ascendant, beaucoup moins épais que le précédent, est divisé en deux
plis
secondaires à sa partie supérieure. 5° Le pli c
, est divisé en deux plis secondaires à sa partie supérieure. 5° Le
pli
courbe est fort remarquable. Il naît, comme dans
n effet, assez haut, et sa direction se confond si bien avec celle du
pli
marginal postérieur, qu'il peut à peine en être d
être distingué. Arrivé au-dessous de la portion inclinée di deuxième
pli
, il se recourbe, et descend, comme à l'ordinaire,
issure perpendiculaire externe est oblitérée par le développement des
plis
de passage, qui sont très-grands et tous superfic
avons signalée que dans l'espèce humaine. Quant au lobe temporal, ses
plis
ne présentent rien de particulier. Plis cérébra
Quant au lobe temporal, ses plis ne présentent rien de particulier.
Plis
cérébraux de la face interne. Les plis cérébrau
ntent rien de particulier. Plis cérébraux de la face interne. Les
plis
cérébraux de la face interne sont faciles à recon
èce humaine, et couvert d'incisures. De même que, dans l'Homme, les
plis
de passage internes sont cachés et réduits à des
ar la réduction du lobe frontal; 2° par l'épaisseur énorme du premier
pli
ascendant ; 3° par l'anéantissement presque compl
du premier pli ascendant ; 3° par l'anéantissement presque complet du
pli
qui limite supérieurement la scissure de Sylvius;
upérieurement la scissure de Sylvius; 4° enfin par la disposition des
plis
de passage externes, qui, pareils à ceux de l'Hom
iche, qui est un cerveau (VAtèle légèrement modifié. 1 " Le premier
pli
ascendant est un peu moins épais ; 2'' Le somme
mmet de la scissure de Sylvius est mieux déterminé ; 3° Le deuxième
pli
de passage est à peine indiqué et caché sous l'op
pli de passage est à peine indiqué et caché sous l'operculQ; 4" Les
plis
postérieurs sont moins riches. Sauf ces différe
moins riches. Sauf ces différences, la description qui convient aux
plis
cérébraux de l'Atèle convient également aux plis
ion qui convient aux plis cérébraux de l'Atèle convient également aux
plis
cérébraux du Lagotriche. Tels sont les plis cér
convient également aux plis cérébraux du Lagotriche. Tels sont les
plis
cérébraux de l'Atèle et du Lagotriche. Ces plis o
iche. Tels sont les plis cérébraux de l'Atèle et du Lagotriche. Ces
plis
offrent un type tranché. Toutefois, la série de m
du premier groupe. Je suppose qu'elles seront fournies parle premier
pli
ascendant, par le sommet de la scissure de Sylv
nt, par le sommet de la scissure de Sylvius, enfin par l'origine du
pli
courbe et aussi par les plis de passage. C'est
issure de Sylvius, enfin par l'origine du pli courbe et aussi par les
plis
de passage. C'est ce qui sera un jour confirmé,
u'il en soit, le cerveau du Sai diffère beaucoup de celui du Sajou.
Plis
cérébraux du Saï capucin. Le cerveau du Saï cap
e. Le lobule frontal y est très-court ; mais, en revanche, le premier
pli
ascendant est extrêmement épais. Le deuxième pli
revanche, le premier pli ascendant est extrêmement épais. Le deuxième
pli
ascendant est assez grêle à sa racine; il n'est p
eurs l'ensemble de ces parties rappelle assez bien la disposition des
plis
antérieurs dans les Cèbes du premier groupe. Ma
er groupe. Mais au delà les différences commencent. En effet, les
plis
marginaux de la scissure de Sylvius sont parfaite
marginaux de la scissure de Sylvius sont parfaitement dessinés, et le
pli
courbe rappelle assez bien, par sa disposition, l
essinés, et le pli courbe rappelle assez bien, par sa disposition, le
pli
courbe des Singes de l'ancien continent. Sa branc
sente rien de remarquable, sauf peut-être l'extrême simplicité de ses
plis
. Quant au lobe occipital, il est très-court; mais
l faut surtout remarquer, c'est la disposition toute particulière des
plis
de passage. Ainsi V le pli supérieur manque;
t la disposition toute particulière des plis de passage. Ainsi V le
pli
supérieur manque; Le deuxième pli de passage, n
des plis de passage. Ainsi V le pli supérieur manque; Le deuxième
pli
de passage, né du sommmet du pli courbe, forme un
pli supérieur manque; Le deuxième pli de passage, né du sommmet du
pli
courbe, forme un coude Irès-sensible et remonte j
coude Irès-sensible et remonte jusqu'au sommet du lobe occipital. Ce
pli
est superficiel dans tonte son étendue. Ainsi, da
te son étendue. Ainsi, dans le Saï, l'opercule est presque nul. Les
plis
de la face interne sont moins anormaux que ceux d
xterne. Le lobule occipital interne est fort étroit; en revancbe, les
plis
de passage internes sont très-considérables. La s
tal est empennée de petits sillons qui viennent s'y perdre. Quant aux
plis
du lobe occipito-temporal, de même que ceux de la
ceux de la face externe, ils sont extrêmement minces. Tels sont les
plis
cérébraux du Saï capucin. Ils présentent, comme o
cerveau du Saï à qorge blanche (Cebus hypoleucus). La disposition des
plis
est la même, dans cette espèce, que dans celle do
celle dont nous venons de décrire sommairement le cerveau, § XXX.
PLIS
CÉRÉBRAUX DU SAJOU BRUN [Ccbus apella). Le cerv
assez bien celui des Guenons. Il est seulement plus globuleux, et ses
plis
, mieux nourris, sont coupés, selon leur direction
ui rappelle le lobe antérieur des Guenons et des Cynopithèques. Les
plis
de la face externe, comparés à ceux du Saï, mérit
comparés à ceux du Saï, méritent d'être attentivement étudiés. Les
plis
du lobule frontal sont très-simples, mais normaux
es plis du lobule frontal sont très-simples, mais normaux. Le premier
pli
ascendant, si large à sa racine dans le Sai'et da
troite. Le deuxième est légèrement incliné en arrière, au-dessus d'un
pli
courbe parfaitement dessiné, mais dont la branche
é en trois étages. Son opercule est tranchant et complet, et cache un
pli
de passage semblable à celui du Saï, mais qu'on n
s lèvres de la scissure perpendiculaire externe. On voit aussi que le
pli
supérieur manque absolument; ce caractère est ass
eur manque absolument; ce caractère est assez important. En effet, ce
pli
existe à la fois dans les Pithèques et les Cèbes
e cerveau des Sajous est plus globuleux que celui des Guenons. T Le
pli
de passage supérieur externe existe dans les Guen
3° Si nous en exceptons le Patas, dans toutes les Guenons le deuxième
pli
de passage est fort réduit; il est grand, dans le
Sajous sont les derniers Singes qui présentent le système complet des
plis
cérébraux. Dans les Sagouins et les Ouistitis,
e, la connaissance des faits que nous allons sommairement indiquer.
PLIS
CÉRÉBRAUX DES CÈBES DU TROISIÈME GROUPE. § XXXL
indiquer. PLIS CÉRÉBRAUX DES CÈBES DU TROISIÈME GROUPE. § XXXL
PLIS
CÉRÉBRAUX DES SAGOUINS. Le cerveau des Sagouins
erveau des Sagouins présente un exemple curieux de la dégradation des
plis
cérébraux dans les Singes américains. Sa forme
al est-il singulièrement réduit quant à sa longueur. Le système des
plis
s'est singulièrement simplifié. Les scissures d
s, dans le Moloch seulement, la scissure qui limite supérieurement le
pli
courbe. Cette scissure manque dans le Saimiri et
e nouveau. Il n'y a donc, à la face externe du cerveau, que trois
plis
bien distincts ; à savoir, le pli marginal postér
face externe du cerveau, que trois plis bien distincts ; à savoir, le
pli
marginal postérieur, qui est fort épais, le somme
savoir, le pli marginal postérieur, qui est fort épais, le sommet du
pli
courbe et le pli temporal moyen. Sur la face in
arginal postérieur, qui est fort épais, le sommet du pli courbe et le
pli
temporal moyen. Sur la face interne de l'hémisp
e, par la scissure des hippocampes. Un sillon assez marqué sépare les
plis
ou plutôt la face interne du lobe temporal de sa
la face interne du lobe temporal de sa face externe. Tels sont les
plis
des Callithrix. Dans l'Aote Douroucouli, le sillo
s sont les plis des Callithrix. Dans l'Aote Douroucouli, le sillon du
pli
courbe manque ou paraît manquer. Le pli marginal
ote Douroucouli, le sillon du pli courbe manque ou paraît manquer. Le
pli
marginal postérieur est donc le seul pli qui soit
manque ou paraît manquer. Le pli marginal postérieur est donc le seul
pli
qui soit bien distinct sur la face externe; c'est
udier aucun cerveau de Saki. Je suppose que chez eux la réduction des
plis
est plus avancée encore. Dans les Pinches, il y
des autres Singes, et, si une main habile traçait sur ce cerveau les
plis
du Sajou, chacun d'eux y trouverait sa place. Mai
l'espèce humaine, il peut y avoir des animaux absolument dépourvus de
plis
cérébraux. De même, tandis que les Makis, ces c
De même, tandis que les Makis, ces chefs des Insectivores, ont des
plis
cérébraux évidents et profonds, les derniers Maki
* Le type n'est point caractérisé par l'absence ou par la présence de
plis
cérébraux, mais par la forme intrinsèque du noyau
forme intrinsèque du noyau cérébral et des hémisphères, et quand les
plis
existent par le mode d'arrangement de ces plis.
isphères, et quand les plis existent par le mode d'arrangement de ces
plis
. 3* Parmi ces groupes il en est dans lesquels,
une dégradation essentielle et visible. 4" Or, quand bien même les
plis
, riches et développés dans les premières espèces
nmoins une ressemblance commune. Ainsi, en effaçant par la pensée les
plis
cérébraux des premières, on retrouverait, au term
ères, et en dessinant sur le cerveau des dernières les sillons et les
plis
que le type commande on reproduirait le cerveau d
produirait le cerveau des premières. Donc, de ce qu'un animal a des
plis
cérébraux, on ne peut rigoureusement conclure à s
l'Ouistiti, la Chauve-Souris et l'Ecureuil n'en ont point. Ainsi des
plis
cérébraux peuvent enrichir un type inférieur; mai
es (|ue soient, d'ailleurs, leur intelligence et la richesse de leurs
plis
cérébraux. S XXXII. Ce cerveau des Ouistitis
et des Pinches, parfaitement caractérisé malgré l'absence complète de
plis
à sa surface, inspire, au premier abord, la pensé
l y a, en effet, un moment où le cerveau du fœtus humain n'a point de
plis
; sa surface est alors unie. Le cerveau de l'Homme
, est figuré pl. XI de l'atlas, fig. 1, 2, 3. Il n'a point encore ces
plis
profonds (jui l'auraient caractérisé plus tard; t
large en avant. Le lobe occipital, au contraire, est fort réduit; les
plis
temporaux seuls sont bien marqués. Ce sont les pl
fort réduit; les plis temporaux seuls sont bien marqués. Ce sont les
plis
temporaux qui dominent. Ils dominaient aussi da
une différence fondamentale. Chez celui-ci , longtemps avant que les
plis
temporaux apparaissent, les plis frontaux essayen
z celui-ci , longtemps avant que les plis temporaux apparaissent, les
plis
frontaux essayent d'exister. Ces faits, rapproc
la fois les éléments anatomiques du cerveau, sa forme générale et ses
plis
. Pour que deux cerveaux soient égaux, semblable
'en eux tout soit semblable, tout soit de même degré. Le cerveau sans
pli
d'un foetus bumain peut, sans doute, être comparé
, sans doute, être comparé, sous ce rapport abstrait de l'absence des
plis
, au cerveau sans plis d'un Hapale ; mais de cette
paré, sous ce rapport abstrait de l'absence des plis, au cerveau sans
plis
d'un Hapale ; mais de cette similitude partielle
réciproques de ses parties intérieures, et cependant il n'a point de
plis
. Longtemps avant d'être parfait dans sa constitut
grandeur. Quant aux collines elles-mêmes, nous leur donnons le nom de
plis
cérébraux; ces plis, en se groupant d'une façon r
collines elles-mêmes, nous leur donnons le nom de plis cérébraux; ces
plis
, en se groupant d'une façon régulière, forment de
ite, scissure perpendiculaire externe, sépare du lobe pariétal. Les
plis
cérébraux sont marqués sur les différents lobes d
izontaux et parallèles, à savoir : 1" L'étage frontal inférieur, ou
pli
surcilier; 2*" l'étage frontal moyen; 3° enfin l'
er; 2*" l'étage frontal moyen; 3° enfin l'étage frontal supérieur. Ce
pli
paraît le plus important des trois. Simple dans l
evés de chaque groupe, et dans l'Homme blanc il se décompose en trois
plis
larges et flexueux. Cette division, dont on retro
dans le Chimpanzé, est un signe évident de perfection relative. Les
plis
pariétaux ont une direction ascendante qui se rap
oins de îa perpendiculaire; ils sont au nombre de trois. P Le premier
pli
ascendant. Ce pli reçoit, à sa partie supérieure,
iculaire; ils sont au nombre de trois. P Le premier pli ascendant. Ce
pli
reçoit, à sa partie supérieure, l'extrémité du pl
pli ascendant. Ce pli reçoit, à sa partie supérieure, l'extrémité du
pli
frontal supérieur. 2" Le deuxième pli ascendant.
rtie supérieure, l'extrémité du pli frontal supérieur. 2" Le deuxième
pli
ascendant. Ce pli forme un coude à sa partie supé
'extrémité du pli frontal supérieur. 2" Le deuxième pli ascendant. Ce
pli
forme un coude à sa partie supérieure, se dilate
cissure perpendiculaire externe. Cette portion supérieure du deuxième
pli
ascendant fournit de bons caractères à l'aide des
elle est fort réduite. Nous lui donnons le nom de lobule du deuxième
pli
ascendant. T Le pli courbe. Ce pli naît tantôt au
te. Nous lui donnons le nom de lobule du deuxième pli ascendant. T Le
pli
courbe. Ce pli naît tantôt au devant du sommet de
nnons le nom de lobule du deuxième pli ascendant. T Le pli courbe. Ce
pli
naît tantôt au devant du sommet de la scissure de
ntôt, derrière ce sommet, comme cela a lieu dans l'espèce humaine. Ce
pli
a une portion ascendante qui appartient au lobe p
branche ascendante qui appartient, en partie, au lobe temporal. Les
plis
temporaux sont également au nombre de trois; ils
s entre eux et à la scissure de Sylvius. On distingue aisément 1** le
pli
temporal supérieur, qui borde inférieurement la s
la scissure de Sylvius, et que nous nommons aussi, pour cette raison,
pli
marginal postérieur. 2° Le pli temporal moyen. Ce
nous nommons aussi, pour cette raison, pli marginal postérieur. 2° Le
pli
temporal moyen. Ce pli est séparé du pli tem po
r cette raison, pli marginal postérieur. 2° Le pli temporal moyen. Ce
pli
est séparé du pli tem poral supérieur par un si
i marginal postérieur. 2° Le pli temporal moyen. Ce pli est séparé du
pli
tem poral supérieur par un sillon très-profond,
poral supérieur par un sillon très-profond, le sillon parallèle ; le
pli
temporal moyen fait suite à la branche descendant
allèle ; le pli temporal moyen fait suite à la branche descendante du
pli
courbe. 3" Le pli temporal inférieur. Ce ph est p
mporal moyen fait suite à la branche descendante du pli courbe. 3" Le
pli
temporal inférieur. Ce ph est parallèle aux précé
l, les lobes pariétal, temporal et occipital comprennent chacun trois
plis
ordinairement bien définis; ce qui, outre les pli
es du lobule orbitaire, donne, pour la face externe du cerveau, douze
plis
principaux entourant la vallée de Sylvius. Outr
au, douze plis principaux entourant la vallée de Sylvius. Outre ces
plis
, il faut encore en noter quatre qui passent du lo
u lobe occipital au lobe temporal et au lobe pariétal. Je les nomme
plis
de passage. Le premier pli de passage, pli supé
ral et au lobe pariétal. Je les nomme plis de passage. Le premier
pli
de passage, pli supérieur, unit le lobule du deux
ariétal. Je les nomme plis de passage. Le premier pli de passage,
pli
supérieur, unit le lobule du deuxième pli ascenda
Le premier pli de passage, pli supérieur, unit le lobule du deuxième
pli
ascendant au sommet du lobe postérieur. Le deux
du deuxième pli ascendant au sommet du lobe postérieur. Le deuxième
pli
unit le sommet du pli courbe à l'étage supérieur
ant au sommet du lobe postérieur. Le deuxième pli unit le sommet du
pli
courbe à l'étage supérieur du bord occipital. L
t du pli courbe à l'étage supérieur du bord occipital. Le troisième
pli
est intermédiaire au pli temporal moyen et à l'ét
supérieur du bord occipital. Le troisième pli est intermédiaire au
pli
temporal moyen et à l'étage moyen du lobe occipit
i temporal moyen et à l'étage moyen du lobe occipital. Le quatrième
pli
, enfin, unit à l'étage inférieur du lobe occipita
e quatrième pli, enfin, unit à l'étage inférieur du lobe occipital le
pli
moyen du lobe temporal. De ces quatre plis, les
ieur du lobe occipital le pli moyen du lobe temporal. De ces quatre
plis
, les deux derniers sont constamment superficiels.
plis, les deux derniers sont constamment superficiels. Quant aux deux
plis
supérieurs, ils méritent d'être attentivement con
, les Gibbons, les Orangs, l'Homme et les Atèles. Tantôt le premier
pli
manque, comme cela a lieu dans les Chéropithèques
hèques, les Sais et les Sajous parmi les Cèbes. A. Lorsque les deux
plis
supérieurs existent simultanément, ils peuvent êt
celui que présentent les Guenons. Dans un deuxième cas, le deuxième
pli
seul est caché sous Topercule; le supérieur est g
parmi les Cèbes dans le Lagotriche. Dans un troisième cas, les deux
plis
sont à la fois grands et superficiels, et la scis
i les Singes, chez les Cèbes du genre Atèle. B. Lorsque le deuxième
pli
seul existe chez un Pithèque, il est constamment
mais les Cèbes font exception à cette loi. Ainsi, dans les Sajous, ce
pli
est caché sous l'opercule du lobe postérieur, mai
ais il est superficiel dans les Saïs. Ainsi la considération de ces
plis
est d'une extrême importance ; elle révèle des ca
scissure des hippocampes et par la grande ouverture cérébrale. Les
plis
de ces différents lobes sont très-simples. Le l
ents lobes sont très-simples. Le lobe fronto-pariétal comprend deux
plis
concentriques s'enroulant autour du corps calleux
et de l'ouverture cérébrale. Une longue scissure les distingue. Le
pli
qui limite l'ouverture est le pli de la zone inte
longue scissure les distingue. Le pli qui limite l'ouverture est le
pli
de la zone interne. Le second pli entoure celui-c
e pli qui limite l'ouverture est le pli de la zone interne. Le second
pli
entoure celui-ci; c'est le pli de la zone externe
t le pli de la zone interne. Le second pli entoure celui-ci; c'est le
pli
de la zone externe. A sa partie postérieure, le p
elui-ci; c'est le pli de la zone externe. A sa partie postérieure, le
pli
de la zone interne se relève, s'élargit et forme
interne se relève, s'élargit et forme le lobule quadrilatère dont les
plis
, quand ils existent, sont fort irréguliers. Ce lo
a face interne du cerveau, le lobe pariétal de la face externe. Les
plis
du lobule occipital interne sont, en général, trè
lles peu profondes. Leur disposition est indéfiniment variable. Les
plis
du lobe occipito-temporal sont mieux définis. Nou
du lobe occipito-temporal sont mieux définis. Nous distinguons 1° le
pli
temporal supérieur interne ou pli godronné. Ce pl
eux définis. Nous distinguons 1° le pli temporal supérieur interne ou
pli
godronné. Ce pli, très-grèle, fait suite au pli d
distinguons 1° le pli temporal supérieur interne ou pli godronné. Ce
pli
, très-grèle, fait suite au pli de la zone interne
supérieur interne ou pli godronné. Ce pli, très-grèle, fait suite au
pli
de la zone interne et borde inférieurement la gra
e interne et borde inférieurement la grande ouverture centrale. 2° Le
pli
temporal moyen interne. Il borde la scissure des
campes et parcourt toute la longueur du lobe occipito-temporal. 3° Le
pli
temporal inférieur interne. Ce pli, parallèle au
r du lobe occipito-temporal. 3° Le pli temporal inférieur interne. Ce
pli
, parallèle au précédent, se confond avec le pli t
inférieur interne. Ce pli, parallèle au précédent, se confond avec le
pli
temporal inférieur externe, et ne forme, avec lui
le pli temporal inférieur externe, et ne forme, avec lui, qu'un seul
pli
, pli temporal inférieur. Le pli temporal moyen
li temporal inférieur externe, et ne forme, avec lui, qu'un seul pli,
pli
temporal inférieur. Le pli temporal moyen inter
, et ne forme, avec lui, qu'un seul pli, pli temporal inférieur. Le
pli
temporal moyen interne est le plus remarquable de
Le pli temporal moyen interne est le plus remarquable de ces trois
plis
. Sa terminaison, son lobule et son crochet, sa st
ucture même l'ont rendu l'objet d'une attention générale. Ainsi les
plis
de la face interne sont en très-petit nombre. Cin
. Ainsi les plis de la face interne sont en très-petit nombre. Cinq
plis
, à savoir les deux plis du lobe fronto-pariétal e
face interne sont en très-petit nombre. Cinq plis, à savoir les deux
plis
du lobe fronto-pariétal et les trois plis tempora
inq plis, à savoir les deux plis du lobe fronto-pariétal et les trois
plis
temporaux et deux lobules, le lobule quadrilatère
le lobule occipital interne, complètent cette énumération. Outre ces
plis
, plis principaux, il y a la face interne de l'hém
bule occipital interne, complètent cette énumération. Outre ces plis,
plis
principaux, il y a la face interne de l'hémisphèr
ces plis, plis principaux, il y a la face interne de l'hémisphère des
plis
de passage, à savoir 1° deux plis de passage pass
la face interne de l'hémisphère des plis de passage, à savoir 1° deux
plis
de passage passant du lobule quadrilatère au lobu
ital, et dont l'inférieur borde la scissure des hippocampes. Ces deux
plis
présentent de nombreuses variétés. Dans l'Homme,
es. Ces deux plis présentent de nombreuses variétés. Dans l'Homme, un
pli
fort large unissant l'angle antéro-inférieur du l
ort large unissant l'angle antéro-inférieur du lobule quadrilatère au
pli
temporal moyen. Ce pli interrompt la continuité d
gle antéro-inférieur du lobule quadrilatère au pli temporal moyen. Ce
pli
interrompt la continuité de la scissure des hippo
itérée. Sa disposition est telle, que les anthropotomistes ne font du
pli
de la zone interne et de la partie antérieure du
istes ne font du pli de la zone interne et de la partie antérieure du
pli
temporal moyen qu'un seul pli entourant l'ouvertu
e interne et de la partie antérieure du pli temporal moyen qu'un seul
pli
entourant l'ouverture cérébrale, qu'ils désignent
orme triangulaire qui est si remarquable dans l'espèce humaine. Les
plis
temporaux internes présentent peu de différences
différences essentielles. On doit remarquer ici que la richesse des
plis
sur la face interne, comme sur la face externe, e
s Singes très-différents, on pourrait concevoir une égale quantité de
plis
cérébraux ; mais cette quantité ne serait pas dis
le de ces déplacements. 1" Le lobe frontal et le lobule du deuxième
pli
ascendant dominent exclusivement, et c'est le cas
e déplacement singulier chez les Singes qui ont un système complet de
plis
cérébraux. Quand les divisions s'effacent, les de
mplet de plis cérébraux. Quand les divisions s'effacent, les derniers
plis
qui persistent sont les plis moyens, à savoir le
d les divisions s'effacent, les derniers plis qui persistent sont les
plis
moyens, à savoir le pli courbe, et surtout le pli
t, les derniers plis qui persistent sont les plis moyens, à savoir le
pli
courbe, et surtout le pli marginal postérieur, et
ersistent sont les plis moyens, à savoir le pli courbe, et surtout le
pli
marginal postérieur, et dans les Ouistitis ces pl
rbe, et surtout le pli marginal postérieur, et dans les Ouistitis ces
plis
eux-mêmes s'effacent à leur tour. Mais la scissur
instant sur cette question de l'importance relative des lobes et des
plis
. On sent qu'il ne s'agit point ici de localisatio
ions phréno-logiques. Ainsi je n'essayerai point d'attribuer à chaque
pli
un rôle spécial ; mais peut-être sera-t-il utile
un rôle spécial ; mais peut-être sera-t-il utile de rechercher quels
plis
dominent dans l'Homme et quels autres plis l'empo
utile de rechercher quels plis dominent dans l'Homme et quels autres
plis
l'emportent dans les animaux. L'Homme étant le so
nimaux. L'Homme étant le sommet de cette série, nous attribuerons aux
plis
qui dominent dans son encéphale une haute importa
parents, qu'il est à peine utile d'y insister. Le développement des
plis
, dans le lobe frontal, s'exprime d'une manière tr
s en plus accusée. Dans la Vénus hottentote, il est subdivisé en deux
plis
bien distincts 5 dans l'Homme caucasique, le pli
t subdivisé en deux plis bien distincts 5 dans l'Homme caucasique, le
pli
supérieur se subdivise encore, mais l'étage moyen
c'est l'étage supérieur qui l'emporte, des traces de division en deux
plis
secondaires se dessinant de plus en plus. Chimp
age orbitaire est grand, le moyen est réduit, le supérieur domine. Ce
pli
est nettement divisé en deux plis secondaires.
est réduit, le supérieur domine. Ce pli est nettement divisé en deux
plis
secondaires. Cynocéphales. — Dans les Cynocépha
ains. Malgré sa réduction générale, le lobe frontal est plus riche en
plis
dans les Atèles et les Lagotriches que dans les S
Ma -caques et dans les Singes supérieurs du nouveau continent. Les
plis
ascendants sont, dans leur portion radiculaire, f
série, à l'exception de VOrang-Outang, chez lequel la base du premier
pli
ascendant a une prédominance marquée. Cette prédo
st énorme dans les Saïs, les Atèles et les Lagotriches. Le deuxième
pli
ascendant est constamment très-simple dans sa por
u continent. Petit dans les Saïs et les Sajous, le lohule du deuxième
pli
ascendant acquiert, dans les Atèles et les Lagotr
vons affirmer que le développement de ce lobule supérieur du deuxième
pli
ascendant est, dans chaque groupe pris à part, un
t, dans chaque groupe pris à part, un signe d'élévation sériale. Le
pli
courbe présente aussi des particularités intéress
s Semnopithèques, plus encore dans les Gibbons; elle est nulle, et le
pli
courbe et, par conséquent, sessile dans les Orang
Très-développée dans les Saïs et les Sajous, la branche ascendante du
pli
courbe est, dans les Lagotriches et dans les Atèl
e, elle est nulle. Ainsi le développement de la branche ascendante du
pli
courbe est un caractère d'infériorité sériale.
les Sajous, les Lagotriches et les Atèles, la branche descendante du
pli
courbe présente un énorme développement dans les
e un énorme développement dans les Sais. 11 est donc évident que ce
pli
n'a aucune importance sériale, et que sa valeur c
le de ne pas accorder à ce caractère une certaine valeur. Parmi les
plis
que le lobe temporo-sphénoïdal présente, nous dis
temporo-sphénoïdal présente, nous distinguerons, en premier lieu, le
pli
temporal supérieur ou pli marginal. Ce pli, dont
te, nous distinguerons, en premier lieu, le pli temporal supérieur ou
pli
marginal. Ce pli, dont on aperçoit un vestige dan
erons, en premier lieu, le pli temporal supérieur ou pli marginal. Ce
pli
, dont on aperçoit un vestige dans le Pinche, est
mériterait peut-être d'être discutée et généralisée. Tandis que le
pli
marginal paraît diminuer d'importance dans les an
iminuer d'importance dans les animaux supérieurs de chaque groupe, le
pli
temporal moyen, suivant une marche inverse, se co
mme se distinguer, au milieu de tous les Primates, par la richesse du
pli
temporal moyen. Quant au pli temporal inférieur,
de tous les Primates, par la richesse du pli temporal moyen. Quant au
pli
temporal inférieur, il est, en général, peu disti
nférieur, il est, en général, peu distinct, et se développe comme les
plis
de la face interne de l'hémisphère. D. Du lobe
loppement du lobe occipital exprime une infériorité typique. E. Des
plis
de passage externes. J'ai déjà fait sentir de q
'ai déjà fait sentir de quelle importance est la considération de ces
plis
. Le pli supérieur manque chez les Cynocéphales,
it sentir de quelle importance est la considération de ces plis. Le
pli
supérieur manque chez les Cynocéphales, les Macaq
les Lagotriches; il manque chez les Saïs et les Sajous. Le deuxième
pli
est très-grand dans les Cynocéphales et dans les
ns les Saïs, il est caché sous l'opercule dans les Sajous. Les deux
plis
de passage inférieurs sont constamment superficie
our être aisément formulées. Le développement simultané de tous les
plis
de passage dans l'Homme oblige de leur accorder u
i elle est physiologique ou sériale. En tous cas, le développement du
pli
supérieur indique un type supérieur. F. Des pli
le développement du pli supérieur indique un type supérieur. F. Des
plis
de la face interne. Nous les avons décrits, plus
revenir. La longueur du lobe fronto-pariétal, le développement et les
plis
du lobule quadrilatère, la direction horizontale
faits confirment, en un certain degré, les résultats de l'analyse des
plis
de la face externe. Le pli de l'hippocampe, trè
n degré, les résultats de l'analyse des plis de la face externe. Le
pli
de l'hippocampe, très-large et couvert d'incisure
ain. Sous ce point de vue, son développement est parallèle à celui du
pli
marginal externe. Les autres plis temporaux de la
veloppement est parallèle à celui du pli marginal externe. Les autres
plis
temporaux de la face interne sont, d'ailleurs, co
utres plis temporaux de la face interne sont, d'ailleurs, couverts de
plis
dans l'Homme; mais ces plis sont, relativement, p
ace interne sont, d'ailleurs, couverts de plis dans l'Homme; mais ces
plis
sont, relativement, peu profonds. (t. Résumé.
essif de l'étage frontal supérieur, la grandeur du lobule du deuxième
pli
ascendant, le développement simultané de tous les
ule du deuxième pli ascendant, le développement simultané de tous les
plis
de passage externes; 2" La réduction des racine
is de passage externes; 2" La réduction des racines ascendantes des
plis
ascendants, celle de la branche ascendante du pli
es ascendantes des plis ascendants, celle de la branche ascendante du
pli
courbe ; l'amoindrissement du lobe occipital et d
ascendante du pli courbe ; l'amoindrissement du lobe occipital et du
pli
marginal sont, dans tous les Singes, un signe d'é
lobule quadrilatère, et la réduction ou du moins la simplification du
pli
de l'hippocampe. Tels sont, en général, les fai
eures. § XXXYH. Nous avons enfin terminé cette longue analyse des
plis
cérébraux dans la série entière des vrais Primate
es Singes, les points homologues. Cette détermination est facile, les
plis
principaux se reproduisant, dans toutes les espèc
és, il devient évident que les proportions relatives des lobes et des
plis
varient singulièrement suivant les genres, les es
, l'autre le perd. Ce qui se dit des lobes peut se dire également des
plis
cérébraux. Mais, quels que soient ces mouvement
très-petit ; mais, refoulé en arrière par un lobe pariétal ou par des
plis
de passage très-développés, il fera en arrière un
é par un agrandissement proportionnel du lobe temporo-pariétal ou des
plis
de passage ; 3'' Un égal développement du lobe
andira-t-elle encore? Que sera-ce, si nous entrons dans le détail des
plis
, de leurs courbures, de leurs divisions et de leu
ne forme une vaste et libre cavité. C'est une voûte sous laquelle les
plis
et les lobes cérébraux s'avancent, se reculent, s
oints d'une manière semblable? C'est là une question que l'examen des
plis
et des lobes cérébraux m'a suggérée. Ces plis,
tion que l'examen des plis et des lobes cérébraux m'a suggérée. Ces
plis
, avons-nous dit ailleurs, indiquent la série des
e l'axe entrent en connexion avec la lam.e des hémisphères. Or, ces
plis
étant constants et homologues dans tous les cerve
les cerveaux de Primates, nous pouvons naturellement supposer que les
plis
homologues reçoivent, dans tous ces cerveaux, des
ologues. Ces expansions fibreuses, établissant un rapport entre les
plis
cérébraux et l'axe médullaire, mettent, par la mo
e les plis cérébraux et l'axe médullaire, mettent, par la moelle, ces
plis
en relation avec le reste de l'organisme. Or ce
isme. Or ceci peut-être posé : de deux choses l'une; ou bien chaque
pli
, chaque région cérébrale est en rapport uniforme
ale est en rapport uniforme avec le corps tout entier, ou bien chaque
pli
, chaque région cérébrale a avec les centres organ
s en parallèle avec les résultats que donne une étude approfondie des
plis
, des lobes, des régions cérébrales. Sous ce poi
ences pour distinguer les effets particuliers de la soustraction d'un
pli
cérébral d'avec les effets généraux qu'une opérat
la vit cependant se prolonger jusqu'à l'écorce grise, au voisinage du
pli
falciforme. « Les conditions favorables à l'appar
trop long et inexact, auquel Gratiolet a tenté de substituer celui de
plis
. Nous emploierons indifféremment ces deux mots, l
pocampe. Quant au lobule de l'insula, c'est un groupe triangulaire de
plis
rectilignes disposés en éventail au fond de la sc
es avec les lobes,' les circonvolutions avec les circonvolutions. Les
plis
qui font communiquer les circonvolutions d'un lob
volutions d'un lobe avec les circonvolutions d'un autre lobe sont les
plis
de passage (Gratiolet) ; ils sont superficiels ou
plis de passage (Gratiolet) ; ils sont superficiels ou profonds. Les
plis
qui font communiquer les circonvolutions d'un mêm
plis qui font communiquer les circonvolutions d'un même lobe sont les
plis
d'anastomose (Broca); ils sont eux-mêmes superfic
inuosités des circonvolutions autour des incisures continues sont les
plis
d'inflexion ou méandres. Les plis que séparent, s
ur des incisures continues sont les plis d'inflexion ou méandres. Les
plis
que séparent, sur une même circonvolution, les in
séparent, sur une même circonvolution, les incisures isolées sont les
plis
de subdivision. C'est à Broca que revient le mé
de les adapter à la définition de telle circonvolution donnée, de tel
pli
, de telle scissure, de tel sillon. Ici encore Bro
e. Nous avons adopté, pour la désignation des anfractuosités et des
plis
, la notation de Broca : S, vallée de Sylvius; S',
convolutions temporales; C, la circonvolution limbique, etc. Pour les
plis
supplémentaires ou inconstants, qui n'entrent pas
signer les anfractuosités, et les lettres capitales pour désigner les
plis
. Nous avons respecté cette manière de faire qui e
ale) avec Ot (premier sillon occipital)..... et ainsi de suite. Les
plis
de passage et les plis d'anastomose, qui n'ont, p
illon occipital)..... et ainsi de suite. Les plis de passage et les
plis
d'anastomose, qui n'ont, pas de désignation spéci
me circonvolution occipitale. À l'époque encore peu éloignée où les
plis
du manteau cérébral semblaient inextricables à ce
t pas été la première mise en œuvre. On savait bien cependant que les
plis
du cerveau chez tous les animaux, y compris les m
e cerveau du fœtus, attendu que, pour une répartition équivalente des
plis
à la surface du 1. Les figures reproduites dans
impossible de déterminer la place exacte, parce qu'elles occupent des
plis
de complication, des plis d'anastomose, voire mêm
a place exacte, parce qu'elles occupent des plis de complication, des
plis
d'anastomose, voire même des circonvolutions supp
t est difficile à saisir, attendu que, dès la première apparition des
plis
corticaux, l'hémisphère humain, très différent en
es formelles sur l'âge d'un fœtus d'après l'ordre d'apparition de ses
plis
cérébraux. Le moment auquel il faut rapporter l'é
nt, un grand sillon (otK) qui sépare en deux étages ou en deux grands
plis
longitudinaux la région temporale. On remarquera
qu'il n'y a aucune solution de continuité dans le trajet de ces deux
plis
; qu'ils vont depuis le pôle occipital (PO), au-de
de la scissure calcarine (K), jusqu'au pôle sphénoïdal (PS). Ces deux
plis
sont les quatrième et cin quième circonvolution
.l). Le grand sillon métopique (sME) divise le lobe frontal en deux
plis
. Le pli antérieur (F1) est la première circonvolu
grand sillon métopique (sME) divise le lobe frontal en deux plis. Le
pli
antérieur (F1) est la première circonvolution fro
e-ovalaire ». Au septième mois environ, la disposition générale des
plis
de l'écorce commence à se rapprocher de la forme
étopique que dans la région sus-jacente au genou nu corps calleux. Le
pli
qui est situé entre ce sillon et la scissure limb
pli qui est situé entre ce sillon et la scissure limbique es le grand
pli
de passage fronto-limbique (n¥, schéma 16). Il ré
de jonction (TJ) à la première circonvolution frontale (F1). Ce grand
pli
de passage aboutit, en haut et en arrière au lobu
le. Entre les deux sillons sous-frontaux (sF et sf), on voit un petit
pli
de passage (Ttf) établir encore une communication
) et la première circonvolution frontale (F1) ; Broca l'appelle petit
pli
de passage fronto-limbique. Enfin, dans l'inter
étal. Ce lobe communique avec la circonvolution limbique par un petit
pli
de Schéma 16. — Face interne d'un hémisphère dr
limbique; C, circonvolution limbique; TJ, tubercule de jonction; t:L,
pli
de passage pariéto-limbique; sP, scissure sous-pa
sillon sous-frontal; F*, première circonvolution frontale; T.F, grand
pli
de passage fronto-limbiqvie; Pa, lobule paracentr
ncisure prae-ovaloire; sf, deuxième sillon sous-frontal ; -icf, petit
pli
de passage fronto-limbique, passage (7:L) : le
al ; -icf, petit pli de passage fronto-limbique, passage (7:L) : le
pli
de passage pariéto-limbique. A la surface du lobe
sverse. Au neuvième mois, la disposition est la même, mais tous les
plis
sont plus tortueux, plus compliqués ; des incisur
sphénoïdal ; L, scissure limbique ; C, circonvolution limbique; tiL,
pli
de passage pariéto-limbique; GQA, pli antérieur d
, circonvolution limbique; tiL, pli de passage pariéto-limbique; GQA,
pli
antérieur du lobe carré; GQP, pli postérieur du l
i de passage pariéto-limbique; GQA, pli antérieur du lobe carré; GQP,
pli
postérieur du lobe carré; BQ, bourrelet du lobe c
, grand sillon métopique; sF, premier sillon sous-i'rontal; zF, grand
pli
de passage fronto-limbique; Pa, lobule paracentra
u incisure prœ-ovalaire; «/¦, deuxième sillon sous-frontal; nf, petit
pli
de passage fronto-limbique; Bf, rectangle frontal
ntaire) et qui lui a valu le nom de circonvolution de Vourlet. Un des
plis
de l'ourlet forme le pli de passage pariéto-limbi
le nom de circonvolution de Vourlet. Un des plis de l'ourlet forme le
pli
de passage pariéto-limbique (tcL), qui réunit la
la plupart du temps séparé du premier sillon sous-frontal (sF) par un
pli
tardif, forme la limite antéro-supérieure du gran
al (sF) par un pli tardif, forme la limite antéro-supérieure du grand
pli
de passage fronto-limbique (7rF). Ce pli se conti
e antéro-supérieure du grand pli de passage fronto-limbique (7rF). Ce
pli
se continue en bas et en arrière jusqu'au tubercu
et en arrière jusqu'au tubercule de jonction, sous le nom du premier
pli
sous-frontal (GSF). Le second sillon sous-front
es primates. Au-dessus du deuxième sillon sous-frontal (sf), le petit
pli
de passage fronto-limbique (7rf) s'étend en arriè
jusqu'au voisinage du tubercule de jonction, sous le nom de deuxième
pli
sous-frontal (GSf). En avant, il se termine la pl
même dans le courant du quatrième, le cerveau est encore dépourvu de
plis
. Nous avons dit qu'à la face interne la scissure
e Rolando (R). Les deux sillons (/i et fs) partagent ce lobe en trois
plis
parallèles, qui seront les trois circonvolutions
n temporal ; tii, branche inférieure du premier sillon temporal ; PC,
pli
courbe ; Oe, scissure perpendiculaire externe ; p
iqae inférieur; P, circonvolution pariétale ascendante; GP, lobule du
pli
courbe; 0, pôle occipital; r.O, pli de passage pa
riétale ascendante; GP, lobule du pli courbe; 0, pôle occipital; r.O,
pli
de passage pariéto-occipital supérieur ou premier
occipital; r.O, pli de passage pariéto-occipital supérieur ou premier
pli
de passage externe; t.P, pli de passage pariéto-o
e pariéto-occipital supérieur ou premier pli de passage externe; t.P,
pli
de passage pariéto-occipital inférieur ou deuxièm
externe; t.P, pli de passage pariéto-occipital inférieur ou deuxième
pli
de passage externe. sure de Sylvius, en avant d
uvert en arrière, limitant une petite portion de l'écorce qui sera le
pli
courbe (PC). Quant au deuxième sillon (Q, il se c
e pariétal inférieur (P2) ; le lobule pariétal inférieur est relié au
pli
courbe (PC) par un pli intermédiaire appelé lobul
2) ; le lobule pariétal inférieur est relié au pli courbe (PC) par un
pli
intermédiaire appelé lobule du pli courbe (GP). O
st relié au pli courbe (PC) par un pli intermédiaire appelé lobule du
pli
courbe (GP). On peut constater que le lobule du p
appelé lobule du pli courbe (GP). On peut constater que le lobule du
pli
courbe est sur le prolongement de la première tem
s parties : la circonvolution pariétale inférieure (P2), le lobule du
pli
courbe (GP), et le pli courbe (PC), qu'on peut co
lution pariétale inférieure (P2), le lobule du pli courbe (GP), et le
pli
courbe (PC), qu'on peut considérer comme apparten
ariétal (p), le lobe pariétal est relié au lobe ocipital (0) par deux
plis
: un pli supérieur (n 0), qui décrit une courbe à
), le lobe pariétal est relié au lobe ocipital (0) par deux plis : un
pli
supérieur (n 0), qui décrit une courbe à concavit
vité interne autour de la scissure occipitale externe (Oe) ; c'est le
pli
de passage pariéto-occipital supérieur ou premier
(Oe) ; c'est le pli de passage pariéto-occipital supérieur ou premier
pli
de passage externe (Gratiolet). Il réunit le lobu
Il réunit le lobule pariétal supérieur (P1) au lobe occipital (0); un
pli
inférieur (71 P), au-dessous du sillon pariétal (
un pli inférieur (71 P), au-dessous du sillon pariétal (p), relie le
pli
courbe (PC) au lobe occipital : c'est le deuxième
l (p), relie le pli courbe (PC) au lobe occipital : c'est le deuxième
pli
de passage externe, ou pli de passage pariéto-occ
(PC) au lobe occipital : c'est le deuxième pli de passage externe, ou
pli
de passage pariéto-occipital inférieur. Il n'est
ficiel que chez l'homme ; et, pour cette raison, Gratiolet l'appelait
pli
humain. Vers la fin du septième mois, tous les
ne (Oe) atteint le sillon pariétal (p), de telle sorte que le premier
pli
de passage externe n'existe pas. C'est là une ano
emière occipitale fait immédiatement suite, on le conçoit, au premier
pli
de passage externe. Ce qui se trouve au-dessous e
occipitale (O2). La deuxième circonvolution occipitale est reliée au
pli
courbe (PC) par le deuxième pli de passage (ttP).
rconvolution occipitale est reliée au pli courbe (PC) par le deuxième
pli
de passage (ttP). P. F 2 R Schéma 21. — Face
, 0', première, deuxième, troisième circonvolutions occipitales ; PC,
pli
courbe ; r.V, deuxième pli de passage externe; T'
roisième circonvolutions occipitales ; PC, pli courbe ; r.V, deuxième
pli
de passage externe; T', T*, T', première, deuxièm
onstitué comme celui de l'adulte, avec cette seule différence que les
plis
sont en général moins contournés, moins compliqué
iétale ascendante; P', P2, premier et deuxième lobules pariétaux; PC,
pli
courbe ; Oe, scissure occipitale externe; A', sci
trois circonvolutions. Il nous reste à signaler la disposition des
plis
de l'écorce qui constituent l'insula, c'est-à-dir
tion de l'insula au fond de la fosse sylvienne. Ce lobule, formé de
plis
rayonnants dont le centre de convergence (PI) est
ivision antérieure est l'insula proprement dit : il consiste en trois
plis
dont l'ensemble est un triangle à base supérieure
réunit le lobe frontal au pôle sphénoïdal (PS) et qui porte le nom de
pli
ou gyrus falciforme (GFA). Les trois plis de l'
PS) et qui porte le nom de pli ou gyrus falciforme (GFA). Les trois
plis
de l'insula proprement dit sont séparés par deux
le sommet du triangle. — L'insula postérieur (INP) se compose de deux
plis
parallèles, obliquement dirigés en bas et en avan
'au niveau et en arrière du pôle de l'insula antérieur (PI). Les deux
plis
de l'insula postérieur sont séparés l'un de l'aut
L'ensemble des deux insulas (IN et INP) est donc constitué par cinq
plis
: trois appartiennent à l'insula antérieur, et de
sula antérieur, et deux à l'insula postérieur. Cet ensemble de petits
plis
est plaqué en quelque sorte sur le fond de la fos
, P2, première et deuxième circonvolutions pariétales ; GP, lobule du
pli
courbe ; PC, pli courbe ; O1, O2, première et deu
deuxième circonvolutions pariétales ; GP, lobule du pli courbe ; PC,
pli
courbe ; O1, O2, première et deuxième circonvolut
1, O2, première et deuxième circonvolutions occipitales; r.O, premier
pli
de passage externe ; itP, deuxième pli de passage
ions occipitales; r.O, premier pli de passage externe ; itP, deuxième
pli
de passage externe ; r.OT, troisième pli de passa
sage externe ; itP, deuxième pli de passage externe ; r.OT, troisième
pli
de passage externe ; T2, T3, deuxième et troisièm
a fosse de Sylvius est en dehors de l'insula. Elle est occupée par un
pli
de passage profond, oblique en arrière en dedans
pli de passage profond, oblique en arrière en dedans et en haut ; ce
pli
, désigné par Broca sous le nom de pli de passage
rière en dedans et en haut ; ce pli, désigné par Broca sous le nom de
pli
de passage pariéto-temporal profond, et par les A
qui représente, sur la lèvre inférieure de la scissure, l'origine du
pli
de passage temporo-pariétal profond, mérite le no
En dehors du jambage latéral externe du sillon en H, s'étend aussi un
pli
antéro-postérieur, émané de la deuxième frontale
lutions temporales; Une, lobule de l'hippocampe et crochet ; rJl,
pli
de passage temporo-limbique ; CQ, cap du lobe c
, font partie de l'écorce elle-même; que les anomalies apparentes des
plis
visibles peuvent être compensées par les variatio
sont des circonvolutions retournées, en d'autres termes, l'envers des
plis
du manteau ; que, dans la substance blanche où il
manteau ; que, dans la substance blanche où ils se cachent, tous ces
plis
et replis, si l'on pouvait les dérouler, présente
est absolument comblée, chez un grand nombre de sujets, par le grand
pli
de passage fronto-limbique. On remarquera égale
l n'est donc possible d'apprécier exactement la profondeur réelle des
plis
, qu'en divisant le manteau perpendiculairement au
ral ; si, sillon du lobule lingual; C, circonvolution limbique; PE.\,
pli
ou pentagone antérieur de la circonvolution limbi
convolution sous-frontale; Rf, rectangle frontal antérieur; rS, petit
pli
de passage fronto-limbique ; i:F, grand pli de pa
ntal antérieur; rS, petit pli de passage fronto-limbique ; i:F, grand
pli
de passage fronto-limbique ; GMA, gyrus métopique
rieur; GMP, gyrus métopique postérieur; Pa, lobule paracentral ; GQA,
pli
antérieur du lobe carré; GQP, gyrus postérieur du
ier sillon sous-frontal; sf, deuxième sillon sous-frontal; t:f, petit
pli
de passage fronto-limbique; %F, grand pli de pass
on sous-frontal; t:f, petit pli de passage fronto-limbique; %F, grand
pli
de passage fronto-limbique; Pa, lobule paracentra
t le second (sf) sont confondus en partie. 11 en résulte que le petit
pli
de passage fronto-limbique (tt/) naît du premier
lte que le petit pli de passage fronto-limbique (tt/) naît du premier
pli
sous-frontal. D'autre part, le grand sillon métop
sous-frontal {sF), se branche sur la scissure limbique (L). Le grand
pli
de passage fronto-hmbique (tiF) n'offre alors qu'
série de modifications dans la répartition des anfractuosités et des
plis
dépend donc exclusivement de l'anomalie du premie
ommun; la première conséquence de cette irrégularité est que le grand
pli
de passage fronto-limbique fait défaut. Du moins
quatrième circonvolution temporale. intervalle, occupé par le grand
pli
de passage fronto-limbique. L'intervalle est même
figure schématique (29) on notera encore une disposition anormale des
plis
du lobe carré. Le sillon pariétal transverse fait
ascendante; et c'est cette branche supplémentaire qui sépare les deux
plis
en question. De cette façon la disposition des
sépare les deux plis en question. De cette façon la disposition des
plis
du lobe carré rentre, ou peu s'en faut, dans le t
Nous venons de signaler l'importance considérable que prend le grand
pli
de passage fronto-limbique (ttF), dans les cas où
premier sillon sous-frontal ; sME, grand sillon métopique; -nF, grand
pli
de passage fronto-limbique; R, scissure do Roland
sillon métopique (sME), et sert ainsi de limite antérieure à un grand
pli
de passage fronto-limbique (irF) d'une largeur et
onto-limbique (irF) d'une largeur et d'une portée exceptionnelles. Ce
pli
de passage pourrait être pris, à première vue, po
re, n'arrive pas jusqu'au pôle occipital. Elle est interrompue par un
pli
d'anastomose qui relie la sixième circonvolution
ion limbique; GSF, première circonvolution sous-frontale : itF, grand
pli
de passage fronto-limbique; sME, grand sillon mét
illon métopique; Pa, lobule paracentral; R, scissure de Rolando; itL,
pli
de passage pariéto-limbique ; Oe, scissure occipi
re, sur ce schéma, l'interruption de la scissure calcarine (K) par un
pli
d'anastomose qui relie la sixième circonvolution
llon frontal (/i) et qui subdivise la première circonvolution en deux
plis
secondaires. Cette incisure, qu'il faut appeler i
pariétal inférieur (ipi) ; la seconde, isolée au milieu du lobule du
pli
courbe, quelquefois étoilée, est l'incisure du
ule du pli courbe, quelquefois étoilée, est l'incisure du lobule du
pli
courbe (iyp). La troisième, postérieure, tantôt i
antôt continue avec le sillon parallèle, sert de limite antérieure au
pli
courbe, c'est Y incisure du pli courbe (ipc)..
rallèle, sert de limite antérieure au pli courbe, c'est Y incisure du
pli
courbe (ipc).. Enfin on retiendra comme un fait
i, incisure du lobule pariétal inférieur; igj), incisure du lobule du
pli
courbe; ipc, incisure du pli courbe; Oe, scissure
l inférieur; igj), incisure du lobule du pli courbe; ipc, incisure du
pli
courbe; Oe, scissure occipitale; A', scissure cal
le schéma 53. Nous n'avons ici rien de nouveau à décrire. Pour les
plis
que nous n'avons pas encore signalés, on se repor
sur le schéma 52 (type schématique de l'état adulte). Indication des
plis
de l'écorce. F, circonvolution frontale ascenda
euxième, troisième frontales; pF^, pied delà deuxième frontale; 7:fA,
pli
d'anastomose antérieur de la première frontale (F
mose antérieur de la première frontale (F*) à la deuxième (F^) ; tBM,
pli
d'anastomose moyen de la deuxième frontale (F^) à
stomose moyen de la deuxième frontale (F^) à la troisième (F') ; nBA,
pli
d'anastomose antérieur de la deuxième frontale (F
ercule frontal; OR, opercule rolandique; OP, opercule pariétal ; P's,
pli
supérieur du lobule pariétal supérieur; P'i, pli
cule pariétal ; P's, pli supérieur du lobule pariétal supérieur; P'i,
pli
inférieur du lobule pariétal supérieur ; P\ lobul
ion pariétale ; pP*, pied du lobule pariétal inférieur; GP, lobule du
pli
courbe; PC, pli courbe; 0', 0-, 0', première, deu
pP*, pied du lobule pariétal inférieur; GP, lobule du pli courbe; PC,
pli
courbe; 0', 0-, 0', première, deuxième, troisième
lutions occipitales ; r.O, premier de passage externe ; icP, deuxième
pli
de passage externe ; -OT, troisième pli de passag
ssage externe ; icP, deuxième pli de passage externe ; -OT, troisième
pli
de passage externe ; T-, T', première, deuxième,
onvolutions temporales ; Tt, circonvolution tempoi'ale transverse, ou
pli
de passage tcm-poro-pariétal profond; OS, opercul
, P2, première et deuxième circonvolutions pariétales ; GP, lobule du
pli
courbe; PC, pli courbe; t:0, premier pli de passa
t deuxième circonvolutions pariétales ; GP, lobule du pli courbe; PC,
pli
courbe; t:0, premier pli de passage externe; t;P,
s pariétales ; GP, lobule du pli courbe; PC, pli courbe; t:0, premier
pli
de passage externe; t;P, deuxième pli de passage
e; PC, pli courbe; t:0, premier pli de passage externe; t;P, deuxième
pli
de passage externe; tt, sillon parallèle; l|S et
tés de localisation peuvent tenir exclusivement à la complication des
plis
du manteau. Il n'en est pas de même de l'hémisp
périeur; P^, P-, première et deuxième circonvolutions pariétales; PC,
pli
courbe; t^, sillon parallèle; is, sa branche infé
deux branches antérieures de Sylvius (S", S'"), autour desquelles le
pli
s'enroule; mais le cap est divisé par une profond
re du pied de la troisième (F3). Ce pied inférieur est un véritable
pli
d'anastomose entre la troisième frontale (F3) et
le ascendante ; F2, deuxième frontale ; F5, troi. siême frontale; nB,
pli
d'anastomose postérieur de la troisième frontale
terprétation plus difficile, est représentée sur le schéma 59. Ici le
pli
d'anastomose (718) qui émerge du sillon prœ-rolan
se-rolandique inférieur [prï). Mais, d'autre part, nous savons que le
pli
d'anastomose (tcB) situé en arrière du pied de la
2) ne semble prendre racine sur la frontale ascendante (F) que par le
pli
d'anastomose (ttB) situé en arrière du cap. Pou
ouvelles connexions compliquent le premier système de projection, les
plis
du manteau deviennent plus nombreux. Chaque pli r
e de projection, les plis du manteau deviennent plus nombreux. Chaque
pli
rentrant correspond à une sorte de bride qui reli
rs sur les anfractuosités qu'il faudra s'orienter, et non pas sur les
plis
. Les anfractuosités — du moins celles du type sch
nait naissance à l'extrémité de la frontale ascendante, en avant du
pli
d'anastomose (tcB) de la troisième frontale à la
ion de l'écorce, c'est-à-dire suivant l'amplitude et la direction des
plis
du cerveau. Nous pouvons, par exemple, désigner p
'est ainsi que disparaissent les anfractuosités et que se forment les
plis
de passage. Cela n'est plus ime simple figure : c
ssage. Cela n'est plus ime simple figure : c'est la réalité même. Les
plis
de passage émergent de la profondeur des scissure
ions corticales qui décide, en dernière analyse, de l'arrangement des
plis
du manteau; et comme ces plis n'occuperont jamais
dernière analyse, de l'arrangement des plis du manteau; et comme ces
plis
n'occuperont jamais qu'un espace restreint, ils s
étal inférieur; pP2, pied du lobule pariétal inférieur; GP, lobule du
pli
courbe; PC, pli courbe ; p, sillon interpariétal
pP2, pied du lobule pariétal inférieur; GP, lobule du pli courbe; PC,
pli
courbe ; p, sillon interpariétal ; tt, sillon par
pi, incisure du lobule pariétal inférieur; igp, incisure du lobule du
pli
courbe; ipc, incisure du pli courbe; p2, sillon p
al inférieur; igp, incisure du lobule du pli courbe; ipc, incisure du
pli
courbe; p2, sillon post-rolandique inférieur; t»,
nous dit, des branches descendantes qui s'enfoncent dans le lobule du
pli
courbe (GP) et dans le lobule pariétal inférieu
sure du lobule pariétal inférieur (ipi), avec l'incisure du lobule du
pli
courbe (igp), et avec l'incisure du pli courbe (i
avec l'incisure du lobule du pli courbe (igp), et avec l'incisure du
pli
courbe (ipc). Nous savons également que le sill
, circonvolution frontale ascendante ; P, pariétale ascendante ; P's,
pli
supérieur du lobule pariétal supérieur; P'i, pli
le ascendante ; P's, pli supérieur du lobule pariétal supérieur; P'i,
pli
inférieur du lobule pariétal supérieur; pi, sillo
n post-rolandique supérieur confondu avec l'inférieur ; GP, lobule du
pli
courbe ; PC, pli courbe ; ipi, incisure du lobule
supérieur confondu avec l'inférieur ; GP, lobule du pli courbe ; PC,
pli
courbe ; ipi, incisure du lobule pariétal inférie
i, incisure du lobule pariétal inférieur; igip, incisure du lobule du
pli
courbe; ipc, incisure du pli courbe; 0^, 0^, 0',
l inférieur; igip, incisure du lobule du pli courbe; ipc, incisure du
pli
courbe; 0^, 0^, 0', première, deuxième et troisiè
ière, deuxième et troisième circonvolutions occipitales; itO, premier
pli
de passage externe ;-P, deuxième pli de passage e
utions occipitales; itO, premier pli de passage externe ;-P, deuxième
pli
de passage externe ; t: OT, troisième pli de pass
ssage externe ;-P, deuxième pli de passage externe ; t: OT, troisième
pli
de passage externe. antérieure du sillon pariét
. Les trois circonvolutions frontales prennent alors naissance sur un
pli
qui leur est commun à toutes les trois, et qui n'
circonvolution pariétale ascendante ou la frontale ascendante en deux
plis
distincts, peut, à première vue, passer pour une
aboutir au sillon post-rolandique inférieur {p2),en est séparé par un
pli
d'anastomose qui relie le lobule pariétal inférie
ed de la deuxième frontale; pF3, pied de la troisième frontale; t. B,
pli
d'anastomose postérieur de la deuxième frontale (
que cette loi de la compensation réciproque des anfractuosités et des
plis
est absolument générale. Mais le chiffre des vari
e de la convexité antérieure du cerveau ; là il est interrompu par le
pli
d'anastomose moyen (tcFM) des première et deuxièm
là de l'incisure du cap, le deuxième sillon frontal est arrêté par le
pli
d'anastomose moyen (tcBM) de la deuxième et de la
11 réapparaît au delà, mais une fois encore il est interrompu par le
pli
d'anastomose antérieur des deux mêmes circonvolut
ui faire suite est le sillon olfactif externe (soe). Entre les deux
plis
d'anastomose moyen et antérieur des deuxième et t
e a une forme étoiléc. Il divise réellement la circonvolution en deux
plis
à peu près égaux de volume. Le pli supérieur s'an
llement la circonvolution en deux plis à peu près égaux de volume. Le
pli
supérieur s'anastomose avec la première frontale
e. Le pli supérieur s'anastomose avec la première frontale (dFM) ; le
pli
inférieur s'anastomose avec la troisième (xBM). C
tion orbitaire (FO2). Ce sillon s'étend, d'avant en arrière, entre le
pli
d'anastomose antérieure des deuxième et troisième
et l'autre au lobe pariétal : la région supérieure est formée par le
pli
supérieur du lobule pariétal supérieur (P*s), par
ormée par le pli supérieur du lobule pariétal supérieur (P*s), par le
pli
inférieur du lobule pariétal supérieur (P*i), par
ar le pli inférieur du lobule pariétal supérieur (P*i), parle premier
pli
de passage pariéto-occipital (tu 0) ; la région i
érieur (pP2), par le lobule pariétal inférieur (P2), par le lobule du
pli
courbe (GP), parle pli courbe (PC). Dans la rég
bule pariétal inférieur (P2), par le lobule du pli courbe (GP), parle
pli
courbe (PC). Dans la région supérieure, le sill
ches, l'une qui sépare le lobule pariétal inférieur (P2) du lobule du
pli
courbe (GP) ; l'autre qui sépare le lobule du pli
r (P2) du lobule du pli courbe (GP) ; l'autre qui sépare le lobule du
pli
courbe (GP) du pli courbe (PC). pt. Le sillon p
pli courbe (GP) ; l'autre qui sépare le lobule du pli courbe (GP) du
pli
courbe (PC). pt. Le sillon pariétal transverse
pariétal supérieur. La portion antérieure, la plus petite (P's^est le
pli
supérieur du lobule pariétal supérieur: la portio
stérieure, très allongée et se terminant en pointe en arrière, est le
pli
inférieur du lobule pariétal supérieur (P'i). Cet
re portion, qui va toujours s'amincissant, se confond avec le premier
pli
de passage pariéto-occipital (tcO). ptr Le deux
eur, verticale, sépare le lobule pariétal inférieur (P*) du lobule du
pli
courbe (GP). Elle paraît faire suite à la sciss
séparée cependant par l'opercule (OS). igp. L'incisure du lobule du
pli
courbe, également verticale, sépare le lobule du
ure du lobule du pli courbe, également verticale, sépare le lobule du
pli
courbe (GP) du pli courbe lui-même (PC). ipc. L
i courbe, également verticale, sépare le lobule du pli courbe (GP) du
pli
courbe lui-même (PC). ipc. L'incisure du pli co
du pli courbe (GP) du pli courbe lui-même (PC). ipc. L'incisure du
pli
courbe provient du sillon pariétal (p) et s'enfon
re du pli courbe provient du sillon pariétal (p) et s'enfonce dans le
pli
courbe, dont il augmente les sinuosités. t. Le
vant en arrière, depuis le voisinage du pôle sphénoïdal (PS) jusqu'au
pli
courbe (PC). Avant d'atteindre le pli courbe dans
u pôle sphénoïdal (PS) jusqu'au pli courbe (PC). Avant d'atteindre le
pli
courbe dans lequel il s'enfonce obliquement en ha
dedans, il émet une branche postéro-inférieurc qui sépare le deuxième
pli
de passage pariéto-occipital (tcP) du troisième p
épare le deuxième pli de passage pariéto-occipital (tcP) du troisième
pli
de passage pariéto-occipital (mOT). Par conséquen
èle est continu dans toute son étendue; il n'est interrompu par aucun
pli
d'anastomose de la première à la deuxième circonv
, parallèle au premier, se compose de trois tronçons, séparés par des
plis
d'anastomose entre la deuxième circonvolution tem
mine. Son extrémité postérieure sert de limite mitoyenne au troisième
pli
de passage pariéto-occipital (tiOT) et à la trois
elle consiste en une incisure transversale, s'enfonçant au milieu du
pli
supérieur du lobule pariétal supérieur (P's). Ell
cipitale externe ne se reconnaît qu'à la situation précise du premier
pli
de passage pariéto-occipital (tcO). Elle n'empièt
piète que très faiblement sur la convexité et elle est arrêtée par ce
pli
de passage; mais on la retrouve immédiatement au-
n la retrouve immédiatement au-dessous, en dehors et en arrière de ce
pli
; elle forme la limite du pli courbe (PC) et de l
-dessous, en dehors et en arrière de ce pli ; elle forme la limite du
pli
courbe (PC) et de la première circonvolution occi
re (pro). En avant elle s'anastomose avec la deuxième frontale par le
pli
d'anastomose moyen (ic f M) de la première et de
convexité elle se confond de nouveau avec la deuxième frontale par le
pli
d'anastomose antérieur (rcfA). Le pli d'anastomos
vec la deuxième frontale par le pli d'anastomose antérieur (rcfA). Le
pli
d'anastomose postérieur fait défaut. F2. La deu
frontale ascendante (F). Elle est divisée par un sillon (fif) en deux
plis
superposés : le pli supérieur est la deuxième fro
F). Elle est divisée par un sillon (fif) en deux plis superposés : le
pli
supérieur est la deuxième frontale proprement dit
: le pli supérieur est la deuxième frontale proprement dite (F2) ; le
pli
inférieur est la deuxième frontale accessoire (Pa
stomose en avant avec la deuxième circonvolution frontale (F2) par le
pli
d'anastomose moyen de la deuxième et de la troisi
se avec la deuxième fronto-orbitaire ou lobule orbitaire (FO2) par le
pli
d'anastomose antérieur de la deuxième frontale et
e naissance au lobule pariétal supérieur. Celui-ci est divisé en deux
plis
secondaires (Fs, Fi). P*s. Le pli supérieur du
eur. Celui-ci est divisé en deux plis secondaires (Fs, Fi). P*s. Le
pli
supérieur du lobule pariétal supérieur est accolé
le sillon post-rolandique supérieur (p^. En arrière, il est séparé du
pli
inférieur (P'i) par le sillon pariétal transverse
rse (pt). A l'extrémité inférieure et externe de ce sillon on voit un
pli
antéro-postérieur réunir et confondre les deux pl
sillon on voit un pli antéro-postérieur réunir et confondre les deux
plis
secondaires. Fi. Le pli inférieur du lobule par
ro-postérieur réunir et confondre les deux plis secondaires. Fi. Le
pli
inférieur du lobule pariétal supérieur va d'avant
rieur va d'avant en arrière, s'amincissant toujours, jusqu'au premier
pli
de passage pariéto-occipital (%0). Il est divis
illon pariétal transverse (pt%) issu du sillon pariétal (p). nO. Le
pli
de passage pariéto-occipital supérieur est commun
ariétal supérieur et à la première circonvolution occipitale (O1). Ce
pli
de passage ferme en dehors la scissure occipitale
par l'incisure du lobule pariétal inférieur (ipi). GP. Le lobule du
pli
courbe est séparé du lobule pariétal inférieur pa
eur par l'incisure de ce lobule (ipi) ; il est, en arrière, séparé du
pli
courbe par l'incisure du lobule du pli courbe (ip
il est, en arrière, séparé du pli courbe par l'incisure du lobule du
pli
courbe (ipc). A sa partie moyenne on voit l'incis
'incisure profonde (igp) que nous avons appelée incisure du lobule du
pli
courbe et qui peut être considérée, soit comme ap
comme appartenant tout entière à ce lobule, soit comme le séparant du
pli
courbe. PC. Le pli courbe entoure dans sa conca
t entière à ce lobule, soit comme le séparant du pli courbe. PC. Le
pli
courbe entoure dans sa concavité le fond de la br
s). Limité en haut par le sillon pariétal, en avant par l'incisure du
pli
courbe (ipc)., en arrière par le tronçon inférieu
tinue avec la deuxième circonvolution occipitale (O2) par le deuxième
pli
de passage pariéto-occipital (tcP) ou pli humain.
pitale (O2) par le deuxième pli de passage pariéto-occipital (tcP) ou
pli
humain. tcP. Le deuxième pli de passage ne se c
de passage pariéto-occipital (tcP) ou pli humain. tcP. Le deuxième
pli
de passage ne se confond pas seulement avec la de
1). Il est séparé, par le premier sillon temporal (tti), du troisième
pli
de passage (tuOT) ; mais, en arrière, il se confo
t). O1. La première circonvolution occipitale fait suite au premier
pli
de passage externe (tcO); elle est adjacente à la
rconvolution occipitale se réunit à la seconde, au niveau du deuxième
pli
de passage (tïP) . 02. La deuxième circonvoluti
calcarine (K). Elle se confond en dehors et en avant avec le deuxième
pli
de passage pariéto-occipital (dP) ; en bas elle s
age pariéto-occipital (dP) ; en bas elle se confond avec le troisième
pli
de passage (irOT), qui la relie à la deuxième tem
ital (PO). Elle se continue sans aucune démarcation avec le troisième
pli
de passage externe (zOT) et avec la troisième cir
le transverse (pTt), l'opercule du fond de Sylvius (OS), le lobule du
pli
courbe (GP) et enfin le pli courbe (PC). T2. La
ule du fond de Sylvius (OS), le lobule du pli courbe (GP) et enfin le
pli
courbe (PC). T2. La deuxième circonvolution tem
ion occipitale (O2), avec laquelle elle se confond grâce au troisième
pli
de passage externe (tuOT). T3. La troisième cir
inutile de reprendre par le détail l'étude des anfractuosités et des
plis
qu'on y observe. Il suffit de signaler les difl'é
le semble se continuer, par sa branche inférieure, avec l'incisure du
pli
courbe (ipc). Cette disposition est très fréquent
st divisé en deux tronçons isolés; entre les deux tronçons on voit le
pli
d'anastomose postérieur de la troisième à la deux
l, sans être interrompu, comme sur l'hémisphère de la figure 1 par le
pli
d'anastomose moyen de la première frontale à la d
antérieur du sillon prai rolandique inférieur, est interrompu par le
pli
d'anastomose moyen de F2 à F3 (dBM). Le pli d'ana
ur, est interrompu par le pli d'anastomose moyen de F2 à F3 (dBM). Le
pli
d'anastomose postérieur (dB) est intermédiaire au
on post-rolandique inférieur (p^). Il envoie une incisure (pQ dans le
pli
inférieur du lobule pariétal supérieur (P'i) ; ce
e supérieurest séparé du sillon post-rolandique inférieur (p2) par un
pli
d'anastomose (PGP) qui réunit le lobule du pli co
inférieur (p2) par un pli d'anastomose (PGP) qui réunit le lobule du
pli
courbe (GP) à la circonvolution pariétale ascenda
rconvolution pariétale ascendante (P). igp. L'incisure du lobule du
pli
courbe n'est pas isolée au milieu du lobule du pl
isure du lobule du pli courbe n'est pas isolée au milieu du lobule du
pli
courbe. Elle fait suite à une incisure du sillon
étendue, c'est-à-dire depuis le voisinage du pôle sphénoïdal jusqu'au
pli
courbe. A son extrémité postérieure, il sépare le
noïdal jusqu'au pli courbe. A son extrémité postérieure, il sépare le
pli
courbe proprement dit (PC) du deuxième pli de pas
postérieure, il sépare le pli courbe proprement dit (PC) du deuxième
pli
de passage externe de GratioleL (tcP), de telle s
ième pli de passage externe de GratioleL (tcP), de telle sorte que le
pli
courbe forme deux saillies convexes au-dessous du
rontale piésonlc un pied aminci (pF'), dont fait partie en réalité le
pli
d'anastomose postérienr'c (tcB) de la troisième à
frontale ascendante (GFs) ; un inférieur (tiB) qui n'est autre que le
pli
d'anastomose postérieur de la troisième frontale
lution est simple et se confond avec la première frontale par un seul
pli
d'anastomose (xFA), qui est le pli d'anastomose a
c la première frontale par un seul pli d'anastomose (xFA), qui est le
pli
d'anastomose antérieur. P's. Le pli supérieur d
d'anastomose (xFA), qui est le pli d'anastomose antérieur. P's. Le
pli
supérieur du lobule pariétal supérieur est fortem
sverse {pt), qui est ici de très faible importance. 1:0. Le premier
pli
de passage pariéto-occipital a une grande étendue
re })art, (}ue cette scissure se! confond avec Pincisure du lobule du
pli
courbe (/p/) ; il en n^sulte que le lobule pariét
que le lobule pariétal iuférieur {l") est à peine séparé du lobule du
pli
courbe (GP). j PC. Le pli courbe, lui non jikis
ieur {l") est à peine séparé du lobule du pli courbe (GP). j PC. Le
pli
courbe, lui non jikis, n'est })as séparé du lobul
j PC. Le pli courbe, lui non jikis, n'est })as séparé du lobule du
pli
' PLANCHE II DEUX HÉMISPHÈRES DROITS VUS PAR
lenium du corps cal courbe (GP),ce qui tient à ce que l'incisure du
pli
courbe {ipc), au lieu de provenir du sillon parié
p), reste isolée au milieu de la région pariétale, entre le lobule du
pli
courbe (GP) et l'extrémité la plus postérieure de
upérieur de l'hémisphère qu'elle n'entame pas immédiatement; un petit
pli
d'anastomose interrompt son parcours entre le lob
sillon métopique (sME) et à ce tronçon de la scissure limbique est un
pli
de passage qui fait communiquer l'origine de la c
de l'écorce frontale située au-dessus de la scissure : c'est le grand
pli
de passage fronto-limbique (tîF). C'est la présen
e grand pli de passage fronto-limbique (tîF). C'est la présence de ce
pli
de passage qui, d'une part, interrompt la continu
grand sillon métopique {SME). Mais un peu plus haut et en arrière, le
pli
de passage en question (tuF) rentre dans la profo
nte la forme d'une étoile à trois branches, servant de limite à trois
plis
du lobe pariétal : en avant le gyrus antérieur du
rrière le cap du lobe carré (CQ). En avant et au-dessous de ces trois
plis
, la scissure sous-pariétale continue d'établir un
al. La circonvolution limbique, à ce niveau, est représentée par deux
plis
(PSO, PEN) qui seront décrits plus loin; le lobe
ront décrits plus loin; le lobe pariétal est représenté par les trois
plis
du lobe carré (GQA, GQP, BQ). Oi. La scissure o
'') du gyrus lingual (0^). Elle s'étend d'avant en arrière, depuis le
pli
de passage temporo-limbique (tcT) qui fait suite
pôle sphénoïdal. Il est divisé ici, vers son tiers antérieur, par un
pli
d'anastomose entre la quatrième circonvolution te
sillon occipito-temporal; il sert de limite inférieure à un véritable
pli
de passage entre le lobule liiï gual (0^) et la c
trouve réduit ici à de petites incisures, situées au milieu des deux
plis
métopiqucs. pro. Le sillon prae-ovalaire descen
scissure limbique. Il n'est séparé de cette scissure que par un petit
pli
qui appartient au grand pli de passage fronto-lim
séparé de cette scissure que par un petit pli qui appartient au grand
pli
de passage fronto-limbique (tcF). Le sillon prse-
u-dessous et au-devant du genou et donne issue immédiatement au grand
pli
de passage fronto-limbique (tcF) qui l'accompagne
par deux incisures inférieures de la scissure limbique ; le moyen ou
pli
sous-ovalaire (PSO) est mal séparé du pli postéri
sure limbique ; le moyen ou pli sous-ovalaire (PSO) est mal séparé du
pli
postérieur (PEN) ; cependant on le voit encore li
onvolution limbique et le gyrus antérieur du lobe carré (GQA). Ici le
pli
de passage appelé pariéto-limbique est interrompu
continue avec le lobe temporal (tzT). La continuité se fait grâce au
pli
de passage temporo-limbique (tcT) situé immédiate
te figure, qu'en soulevant légèrement le cap du lobe carré. 7:T. Le
pli
de passage temporo-limbique représente, d'autre
e se jette dans la première circonvolution frontale (F*) par le petit
pli
de passage fronto-limbique (tu f) entre le gyrus
upérieur (GMA) elle rectangle frontal antérieur (Rf). t:f. Le petit
pli
de passage fronto-limbique ne mérite donc pas ici
ectangle frontal antérieur (Rf), et que sa présence même, en tant que
pli
de passage superficiel, est plus rare que son abs
par le premier sillon sous-frontal {sF) ; mais l'origine de ces deux
plis
sous-frontaux est commune; elle se trouve dans ce
etit sillon métopique. Si les limites antérieure et postérieure de ce
pli
sont bien nettes sur ' sur le bord supérieur de l
le gyrus métopique antérieur (GMA) communique en avant, par un petit
pli
d'anastomose, avec le petit pli de passage fronto
MA) communique en avant, par un petit pli d'anastomose, avec le petit
pli
de passage fronto-limbique (xf) et, en arrière, p
li de passage fronto-limbique (xf) et, en arrière, par un autre petit
pli
d'anastomose avec le gyrus métopique postérieur (
a face convexe de l'hémisphère, avec le lobe pariétal, par le premier
pli
de passage pariéto-occipital (tcO), qui ferme la
IC), se termine sur la circonvolution limbique par l'intermédiaire du
pli
de passage cunéo-lim-bique (i:0®). Ce pli de pass
ique par l'intermédiaire du pli de passage cunéo-lim-bique (i:0®). Ce
pli
de passage sépare l'extrémité antérieure de la sc
sant, se confondre avec la circonvolution limbique représentée par le
pli
de passage temporo-limbique (uT). En bas, il est
it une courbe à convexité antérieure, qui n'est interrompue par aucun
pli
de passage. Augmentant progressivement de profond
La circonvolution limbique se continue avec le lobe pariétal, par le
pli
de passage pariéto-limbique (xL). sF. Le premie
première circonvolution sous-frontale (GSF) fait corps avec le grand
pli
de passage fronto-limbique (7;r); qu'il n'existe
ge fronto-limbique (7;r); qu'il n'existe pas, à proprement parler, de
pli
de passage fronto-limbique, en ce sens que la cir
-pariétale, isolée au milieu du lobe carré, sert de limite aux quatre
plis
dont se compose ce lobule : au-dessus d'elle on r
hère. Le gyrus postérieur du lobe carré (GQP) est donc divisé en deux
plis
secondaires par le dédoublement de ce sillon. On
grand sillon occipito-temporal, toutefois, n'est interrompu par aucun
pli
d'anastomose sur aucun point de son parcours. 11
tion limbique prend même la disposition en ourlet au-dessous du grand
pli
de passage fronto-limbique (tcF). Déjà à ce nivea
on limbique passe derrière le splenium (SPL) et se continue, grâce au
pli
de passage temporo-limbique (tcT), avec la circon
asse au-dessus de cet opercule et va se jeter, au milieu du lobule du
pli
courbe (GP), dans l'incisure du lobule pariétal i
d'autre part, une branche importante et bifurquée entre le lobule du
pli
courbe (GP) et le lobule pariétal inférieur (P^).
rait confondre avec la scissure de Rolande elle-même {R). ¦TuLP. Le
pli
d'anastomose pariéto-pariétal antérieur, qui réun
n prse-rolandique inférieur (prî) qui se dédouble pour faire place au
pli
d'anastomose postérieur (zB) de la deuxième à la
i), le sillon parallèle (t^) va se jeter dans l'incisure du lobule du
pli
courbe {igp). Il en résulte que la terminaison du
llon parallèle, au lieu de se trouver au voisinage de la convexité du
pli
courbe (PC), se trouve au voisinage de la convexi
pli courbe (PC), se trouve au voisinage de la convexité du lobule du
pli
courbe (GP). t^. Le deuxième sillon temporal se
n. Au lieu d'aller former en arrière la limite inférieure du deuxième
pli
de passage externe (xP), il n'envoie au-dessous d
du deuxième pli de passage externe (xP), il n'envoie au-dessous de ce
pli
qu'une branche peu importante, tandis que sa bran
che principale, compensant l'absence du sillon parallèle (t^) dans le
pli
courbe, va se terminer dans l'incisure du pli cou
parallèle (t^) dans le pli courbe, va se terminer dans l'incisure du
pli
courbe (ipc). Toutes ces compensations sont fac
lèle {t^) se termine dans le pli-courbe au niveau de l'incisure de ce
pli
(ipc). Il suffit, pour cela, de considérer le sil
l au moment où il reçoit une branche (igp) de l'incisure du lobule du
pli
courbe. Il passe aussi par-dessus un pli d'anasto
) de l'incisure du lobule du pli courbe. Il passe aussi par-dessus un
pli
d'anastomose qui réunit (OT^) la première circonv
{Q se continue franchement et se termine dans l'incisure du lobule du
pli
courbe {igp)' Cela étant, si l'on veut localise
ompose de tronçons isolés et séparés les uns des autres par de larges
plis
d'anastomose entre la première circonvolution tem
ait singulière du deuxième pH de passage externe (xP) et du troisième
pli
de passage externe (ttOT), dirigés tous deux vert
passage externe (ttOT), dirigés tous deux verticalement; le deuxième
pli
vient de haut en bas, le troisième va de bas en h
nous avons déjà signalées. 1. Cerveau d'ivau Tourgueneff. xLP. Le
pli
d'anastomose pariéto-pariétal antérieur (dii la c
la première circonvolution frontale (F'), compensé parla richesse des
plis
de la deuxième frontale (F^). Ce qui frappe d'a
l'ensemble des circonvolutions est d'une grande simplicité ; que les
plis
anormaux de passage ou d'anastomose font défaut ;
ne, au-dessus du genou inférieur de la pariétale ascendante (GPi), le
pli
de passage profond de la pariétale ascendante (P)
tal, sans aucune interruption; il n'existe, en d'autres termes, aucun
pli
d'anastomose entre la première et la deuxième fro
sures dans la deuxième frontale (F'^) ; puis il est interrompu par le
pli
d'anastomose moyen (xBM) de la deuxième frontale
ème frontale à la troisième. Il reparaît au-dessous et en avant de ce
pli
, où il représente le sillon orbitaire externe (so
i). p. Le sillon pariétal est interrompu à sa partie moyenne par un
pli
d'anastomose (xCP) entre le pli courbe (PC) et le
interrompu à sa partie moyenne par un pli d'anastomose (xCP) entre le
pli
courbe (PC) et le pli inférieur du lobule pariéta
moyenne par un pli d'anastomose (xCP) entre le pli courbe (PC) et le
pli
inférieur du lobule pariétal supérieur (P'i). A s
tal supérieur (P'i). A sa partie antérieure, il est interrompu par un
pli
d'anastomose (PGP), entre le lobule du pli courbe
, il est interrompu par un pli d'anastomose (PGP), entre le lobule du
pli
courbe (GP) et la pariétale ascendante (P). Mais
le lobule du pli courbe (GP) et la pariétale ascendante (P). Mais ces
plis
d'anastomose s'observent sur un quart environ des
illon pariétal {p). Il n'y a donc pas, sur cet hémisphère, de premier
pli
de passage externe, comme on en voit un (xO) sur
isphère. Il est vraisem blable que c'est h cette absence du premier
pli
de passage externe que le lobe occipital doit de
n temporal est interrompu, dans son trajet d'avant en arrière, par un
pli
d'anastomose entre la première circonvolution tem
le (T') et la deuxième (P). Son extrémité postérieure remonte dans le
pli
courbe (PC) ; mais elle est bdurquée en deux bran
me sillon temporal {t^), pour former la limite inférieure du deuxième
pli
de passage externe (x P) ou pli de passage de Gra
rmer la limite inférieure du deuxième pli de passage externe (x P) ou
pli
de passage de Gratiolet. Cette disposition est ab
e, est subdivisée par le sillon de la première frontale (/"/) en deux
plis
secondaires et parallèles. Ce sillon de la premiè
circonvolution frontale communique avec la seconde (F^) par un grand
pli
d'anastomose (xf!), qui est le pli d'anastomose m
avec la seconde (F^) par un grand pli d'anastomose (xf!), qui est le
pli
d'anastomose moyen de F* à F% lequel interrompt l
ital plus conforme au type schématique que dans les cas où le premier
pli
de passage externe interrompt la continuité de la
rnes (C, 0-, 0^) sont si faciles à limiter. rieure (xB), qui est le
pli
de passage postérieur de la deuxième à la troisiè
econd sillon frontal est interrompu trois fois : T en arrière, par le
pli
d'anastomose postérieur de la deuxième frontale à
ur de la deuxième frontale à la troisième (ttB); 2" au milieu, par le
pli
d'anastomose moyen (xBM) ; S"* en avant, par le p
au milieu, par le pli d'anastomose moyen (xBM) ; S"* en avant, par le
pli
d'anastomose antérieur (tcBA). F^ La circonvolu
uverte à son origine; on aperçoit entre l'opercule frontal (OF) et le
pli
spénoïdal (PS) la saillie en mamelon du pôle de l
) la saillie en mamelon du pôle de l'insula (PI), au devant duquel le
pli
falciforme (FAL) passe du lobe spénoïdal au lobe
a scissure sylvienne, depuis le voisinage du pôle sphénoïdal jusqu'au
pli
courbe (PC). Il sépare la première circonvolution
ces deux circonvolutions ne se rejoignent qu'au niveau du deuxième
pli
de passage externe (xP). — Le sillon parallèle se
rque encore par ce fait qu'il communique largement avec l'incisure du
pli
courbe (ipc) ; comme, d'autre part, il émet une b
be (ipc) ; comme, d'autre part, il émet une branche profonde entre le
pli
courbe (PC) et le lobule du pli courbe (GP), tout
il émet une branche profonde entre le pli courbe (PC) et le lobule du
pli
courbe (GP), tout le lobule pariétal inférieur pr
xterne [Oe). Cependant, à sa partie moyenne, on voit saillir un petit
pli
mamelonné qui correspond au pli d'anastomose (xLP
tie moyenne, on voit saillir un petit pli mamelonné qui correspond au
pli
d'anastomose (xLP) du lobule du pli courbe (GP) a
t pli mamelonné qui correspond au pli d'anastomose (xLP) du lobule du
pli
courbe (GP) avec le lobule pariétal supérieur (P'
lobule du pli courbe (GP) avec le lobule pariétal supérieur (P's). Ce
pli
mamelonné s'observe très fréquemment dans cette r
lon pariétal transverse divisent le lobule pariétal supérieur en deux
plis
(P's et P'i), relativement peu compliqués. Oe.
s son trajet à la surface externe de l'hémisphère, que par un premier
pli
de passage (xO) d'une extrême minceur. Peu s'en f
lée sur l'hémisphère droit. Mais il suffit de la présence de ce mince
pli
de passage pour rendre plus complexe la dispositi
nérale : 1" que la première circonvolution (0') fait suite au premier
pli
de passage (xO); 2" que la deuxième (0^) fait sui
r pli de passage (xO); 2" que la deuxième (0^) fait suite au deuxième
pli
de passage (x P) ; 5" que la troisième (0^) fait
i de passage (x P) ; 5" que la troisième (0^) fait suite au troisième
pli
de passage (xOT) et à la troisième circonvolution
u schématique, il occupe exactement cette extrémité. •jtF. Le grand
pli
de passage fronto-limbique, issu de la première c
est donc loin d'atteindre le lobule paracentral (Pa). ^f. Le petit
pli
de passage fronto-limbique, au lieu de gagner la
u de gagner la première circonvolution frontale (F'), n'aboutit qu'au
pli
inférieur du gyi'us métopique antérieur (GMA).
ans le gyrus métopique antérieur (GMA). Comme, d'autre part, le grand
pli
de passage fronto-limbique s'arrête dans le gyrus
. C'est la scissure limbique (L) qui forme la limite inférieure de ce
pli
. Mais, par compensation, cette scissure envoie de
, très allongé, laisse voir, au-dessous du cap du lobe carré (CQ), le
pli
de passage cunéo-limbique qui est en général prof
nte encore sur la face interne de cet hémisphère. La complication des
plis
du lobe carré, ; la simplicité absolument primiti
entre la circonvolution limbique (C) qui est très mince, et le grand
pli
de passage fronto-limbique (xF), puis elle dispar
fronto-limbique (xF), puis elle disparaît; de i cette façon, le grand
pli
de passage fronto-limbique (xF) et la cir- : conv
imbique (PEA) et disparaît encore ; enfin on la retrouve au-dessus du
pli
de passage pariéto-limbique (xL), et elle se relè
de la scissure de Rolando [R) est considérable. Il en résulte que le
pli
de passage pariéto-frontal (xFP) présente dans le
is on le reconnaît à ce fait qu'il sert de limite inférieure au grand
pli
de passage pariéto-frontal (tcF). sF. Le premie
limbique, ici trop étroite, ne peut pas représenter. 7:F. Le grand
pli
de passage fronto-limbique, né de la première cir
aborder, comme c'est la règle, par son bord inférieur. xf. Le petit
pli
de passage fronto-limbique est la continuation de
re circonvolution sous-frontale donne naissance, en général, au grand
pli
de passage fronto-limbique. Or, comme elle est ic
vec la circonvolution limbique, on devrait s'attendre à voir le grand
pli
de passage fronto-limbique (xF) naître de la circ
nto-limbique (xF) naître de la circonvolution limbique. Mais le grand
pli
de passage fronto-limbique naît presque toujours
; et c'est précisément ce qui se présente ici. Bien plus, on voit ce
pli
de passage (xF) surgir du premier sillon sous-fro
gone sous-ovalaire est de très faible dimension. Par compensation, le
pli
de passage pariéto-limbique qui lui fait suite (x
on trajet au-dessus du corps calleux (ce), entraîne donc avec elle le
pli
de passage l'ronto-limbique (¦::F). Celui-ci se j
e paracentral (Pa). Pour franchir le grand sillon métopique (sME), ce
pli
de passage (xF) disparait de la surface ; il devi
sous-ovalaire (PSO) et pentagone du lobe carré (PEN). Mais ces trois
plis
sont de très petite dimension. Par compensation l
e de la limiter. La circonvolution limbique envoie au lobe carré le
pli
de passage pariéto-limbique (zL); mais comme ce p
au lobe carré le pli de passage pariéto-limbique (zL); mais comme ce
pli
de passage émane du pentagone sous-ovalaire (PSO)
lume, il est de très petit volume lui-même. Par compensation le grand
pli
de passage fronto-limbique (xF), qui aboutit au l
paracentral (Pa), présente un volume considérable; et, tandis que le
pli
de passage pariéto-lirabique (tcL) est profond,
andis que le pli de passage pariéto-lirabique (tcL) est profond, le
pli
de passage fronto-limbiqueî (tuF) est, par compen
ent exceptionnel. Cette compensation-en entraîne une autre : le grand
pli
de passage fronto-limbique (tcF) fait suite imméd
le incisure, assez profonde d'ailleurs (sME), dans l'étendue du grand
pli
de passage fronto-limbique (xF). sME. Le grand
ntérieur et sous-ovalaire (PEA et PSO) sont très petits, ainsi que le
pli
de passage pariéto-limbiquc (tcL), c'est le lobul
et sillons du lobe carré il résulte que le lobule est divisé en trois
plis
parallèles, simples de structure; leur sim plicit
1° la fusion apparente de la circonvolution limbique (C) et du grand
pli
de passage fronto-limbique (xF) ; 2° le faible dé
a figure précédente, au-dessous du genou du corps calleux (GG) par un
pli
d'une grande minceur. Elle n'est séparée du grand
eux (GG) par un pli d'une grande minceur. Elle n'est séparée du grand
pli
de passage fronto-limbique (xF) que par une sciss
raîne pas ici, par compensation, un plus grand développement du grand
pli
de passage fronto-limbique (xF), du moins dans la
(xF), du moins dans la région antérieure. Mais, en revanche, le petit
pli
de passage fronto-limbique (xf) est très considér
circonvolution limbique (C) est très peu volumineuse et que le grand
pli
de passage fronto-limbique lui-même n'a qu'une di
et le gyrus postérieur du lobe carré sont représentés par deux petits
plis
parallèles et que sépare BKISSAUD. 4 seulemen
deux scissures communiquent l'une avec l'autre, dételle sorte que le
pli
de passage pariéto-limbique (ttL) devient un pli
dételle sorte que le pli de passage pariéto-limbique (ttL) devient un
pli
profond. — La scissure sous-pariétale, d'autre pa
l, il s'arrête en avant du gyrus métopique postérieur (GMP). Le grand
pli
de passage fronto-limbique (xF), qui fait suite a
ppement antérieur empiète fortement sur la région métopique, dont les
plis
sont comme comprimés et remarquablement sinueux.
tre qu'elle comprend la circonvolution limbique elle-même et le grand
pli
de passage fronto-limbique (tcF). La circonvoluti
rconvolution limbique (C) est en arrière de l'incisure (U) ; le grand
pli
de passage fronto-limbique (tcF) est en avant. —
e la région comprise entre le genou du corps calleux (GC) et le petit
pli
de passage fronto-limbique (^f), il n'y aurait pa
petit pli de passage fronto-limbique (^f), il n'y aurait pas de grand
pli
de passage fronto-limbique (tcF). Au-dessus du
u genou du corps calleux (GC), la circonvolution limbique et le grand
pli
de passage fronto-limbique ne forment qu'un seul
le grand pli de passage fronto-limbique ne forment qu'un seul et même
pli
, limité en haut par le grand sillon méto- pique
issure limbique (I), plus en arrière, au-dessous du point où le grand
pli
de passage pariéto-frontal (iiF) se dirige vers l
s explications de détail dans lesquelles nous entrons. xF. Le grand
pli
de passage fronto-limbique présente lui-même une
our mettre en évidence la substance réticulairc d'Arnold qui revêt le
pli
de passage temporo-hmbique (tcT) et qu'on voit av
ue sorte, les circonvolutions s'écartent, et l'on voit apparaître les
plis
de passage profonds. Il y a peu de plis de passag
, et l'on voit apparaître les plis de passage profonds. Il y a peu de
plis
de passage profonds à la face interne de l'hémisp
cissure occipitale. Il en résulte que le cap du lobe carré (CQ) et le
pli
de passage cunéo-limbique (xO*') forment une mass
itale (Oi). BQ. Le bourrelet du lobe carré apparaît ainsi, comme un
pli
isolé, interposé entre la scissure occipitale (Oi
hi en quelque sorte, et allongé par son propre poids à l'extrémité du
pli
de passage cunéo-limbique (xO*'). On voit que le
à l'extrémité du pli de passage cunéo-limbique (xO*'). On voit que le
pli
de passage cunéo-limbique (xO*') s'étend depuis l
qu'à la circonvolution limbique entre le cap du lobe carré (CQ) et le
pli
de passage temporo-limbique (xT). Il est limité e
a scissure calcarine (K). Cette scissure se termine en mourant sur le
pli
de passage temporo-limbique (xT). Elle est ainsi
vant dans la scissure occipitale interne ; elle en est séparée par le
pli
de passage cunéo-limbique (i^O^) ; et si elle sem
convolution de l'hippocampe, laquelle se continue en arrière, avec le
pli
de passage temporo-liinbique (tcT, fig. 1). Toute
rminer les circonvolutions avec quelque précision. C'est celle où les
plis
d'anastomoses sont le plus inconstants, soit au p
igne médiane le cap du lobe carré (CQ), auquel elle est réunie par le
pli
de passage temporo-limbique (xT). Enfin, en arriè
dire que l'hémisphère ne présente pas de bord k ce niveau. Deux forts
plis
d'anastomose, k peu près constants d'ailleurs, fo
mme nous venons de le dire, au lobe carré (CQ) par l'intermédiaire du
pli
de passage temporo-limbique (-ttÏ). Elle est limi
lon occipito-tem-poral {otj dont la continuité est interrompue par un
pli
d'anastomose, en avant du pli de passage temporo-
nt la continuité est interrompue par un pli d'anastomose, en avant du
pli
de passage temporo-limbique. L'interruption de ce
dehors par le grand sillon occipito-temporal (ot^) est divisé en deux
plis
par la pénétration du sillon lingual (si), branch
de Sylvius, on voit, d'habitude, marcher d'avant en arrière un petit
pli
qui fait suite à la troisième frontale et auquel
bien le nom de circonvolution fronto-orbitaire externe (FO''). Ici ce
pli
est considérable; il est la continuation directe
figure. Cette dilïe-rence tient au nombre, à la forme et au siège des
plis
d'anastomose qui unissent la troisième circonvolu
troisième sillon. Des deux côtés, ce sillon est traversé par un large
pli
d'anastomose qui fait communiquer la troisième ci
cipitale et la quatrième temporale sont confondues en un seul et même
pli
antéro-postérieur, élargi seulement en arrière.
ar le trait transversal de VII ; celui-ci est interrompu par un petit
pli
d'anastomose qui réunit l'extrémité de la deuxièm
appartient à l'opercule. Le lobule de l'insula (IN), avec ses cinq
plis
inégaux, se continue en arrière avec la première
A la face externe, la deuxième circonvolution frontale (F*) forme un
pli
isolé; plus en arrière, elle se confond avec la t
ital, par conséquent au-dessous du cuneus en dedans, et au-dessous du
pli
de passage de Gratiolet (tcP) en dehors. C'est do
Toutefois, lorsqu'on fait passer le couteau par le milieu du deuxième
pli
de passage pariéto-occipital, l'aspect du plan de
s'étend un plan incliné, sans sillons ni incisures : c'est le premier
pli
de passage (-0) pariéto-occipital, situé entre le
ole et s'insère, selon toute vraisemblance, au premier et au deuxième
plis
de passage pariéto-occipitaux (r.O etTrP); de là
oQ, n'a que peu de profondeur; quelquefois il fait défaut et les deux
plis
se confondent. La face externe diflere sensible
sphère, le plan de section intéresse donc successivement : le premier
pli
de passage pariéto-occipital [r.O), en partie con
, puis le sillon pariétal, au-dessous duquel on reconnaît la coupe du
pli
courbe (PC). Le pli courbe, partie la plus reculé
iétal, au-dessous duquel on reconnaît la coupe du pli courbe (PC). Le
pli
courbe, partie la plus reculée du lobule pariétal
orizontales. Il est également facile de reconnaître ici dans les deux
plis
du cuneus le faisceau compact du fornix, séparé d
faisceau compact du fornix, séparé de l'écorce grise, surtout dans le
pli
inférieur, par la couche claire de la lame feston
al. Il prend son origine, comme nous l'avons déjà dit, dansPécorce du
pli
courbe (PC); mais toute l'écorce du sillon pariét
le fond du sillon du cuneus [sCu] et avec le cuneus, dont il longe le
pli
inférieur d'avant en arrière, pour aller se perdr
-circulaire, représentant un trousseau lamelleux de fibres émanées du
pli
courbe et de la partie inférieure du lobule parié
ur la face externe, la section intéresse toujours une bonne partie du
pli
courbe (PC). On voit aussi que le lobule pariétal
ensitif (FS). Le deuxième sillon temporal [ot^) est interrompu par un
pli
de passage superficiel. Cavité ventriculaire.
e couché sur le coin (0^). Ici, le coin représente le commencement du
pli
de passage cunéo-limbique (tîO''). Le pli de pass
présente le commencement du pli de passage cunéo-limbique (tîO''). Le
pli
de passage en question n'est que la continuation
us du bord supérieur, le lobule pariétal supérieur est divisé en deux
plis
distincts. Le pU supérieur du lobule pariétal sup
s distincts. Le pU supérieur du lobule pariétal supérieur (P's) et le
pli
inférieur du lobule pariétal supérieur (P4). Ces
(P's) et le pli inférieur du lobule pariétal supérieur (P4). Ces deux
plis
sont séparés par un prolongement transversal de l
sure occipitale est donc séparé du bord médian de l'hémisphère par le
pli
supérieur du lobule pariétal supérieur, qui n'est
upérieur du lobule pariétal supérieur, qui n'est autre que le premier
pli
de passage pariéto-occipital. — Au-dessous du sil
étal {p), le lobule pariétal inférieur représente encore le lobule du
pli
courbe (GP). Mais celui-ci, à ce niveau, s'anasto
maj(Hire partie de ses fibres appartenant au manteau du cuneus ou du
pli
de passage cunéo-limbique (xO"). FPF. Le faisce
supérieure. Le plus grand nombre d'entre elles arrivent du lobule du
pli
courbe (GP) et de la première temporale, et elles
deur, la scissure limbique (L). Celle-ci sert de limite supérieure au
pli
de passage pariéto-limbique (xL); ce pli de passa
sert de limite supérieure au pli de passage pariéto-limbique (xL); ce
pli
de passage, où l'on voit une petite incisure pari
core dans | la profondeur; entre ses deux branches de bifurcation, le
pli
de ¦ passage cunéo-limbique (•^0^ fig. 10, 11),
faisceau longitudinal inférieur (FLI). A la face externe, les deux
plis
supérieur et inférieur de la première circonvolut
de la scissure occipitale interne {Oi), s'enfonce dans le manteau du
pli
de passage pariéto-limbique (xL). Cin. Le cingu
(L). Au-dessous de la scissure limbique se trouve le lobe carré ou le
pli
de passage pariéto-limbique. Ici c'est le lobe ca
sente la continuation de la circonvolution limbique (C) en arrière du
pli
de passage pariéto-limbique. Connue, d'autre part
riéto-limbique. Connue, d'autre part, elle se prolonge en bas avec le
pli
de passage temporo-limbique (tcT), il s'ensuit qu
n à permettre de reconnaître encore l'extrémité la plus antérieure du
pli
de passage cunéo-limbique (xO"). 0'. Gyrus ling
postrolandique. P*. Le lobule pariétal supérieur est divisé en deux
plis
par une profonde incisure, branche de l)ifurcatio
upérieur (P^) et le lobule pariétal inférieur (P^) sont réunis par un
pli
de communication (xCP). Le sillon pariétal {p) es
ur (ipi), et dont la section est ici peu profonde. ipc. Incisure du
pli
courbe. —Un peu en dessous, toujours dans le lobu
l inféi'ieur, on voit une encoche (ipc) qui correspond à Vincisure du
pli
courbe. Celle-ci, en apparence moins profonde enc
roisième, à la surface du deuxième sillon (t^), la coupe intéresse un
pli
de communication qui réunit ces deux circonvoluti
partie inférieure se porte en bas, tout le long de l'écorce grise du
pli
de passage cunéo-limbique (-âO") et s'avance dans
érieur du forceps major (FOi). En haut ce faisceau s'épanouit dans le
pli
de passage temporo-limbique (xï), et en bas il se
La scissure calcarine (K) n'entaille plus que faiblement l'écorce. Le
pli
de passage cunéo-limbique a disparu. 11 est rempl
e. Le pli de passage cunéo-limbique a disparu. 11 est remplacé par le
pli
de passage temporo-limbique (%ï). Face externe.
Au niveau du deuxième sillon temporal (£2), on voit seulement que le
pli
de communication entre la deuxième circonvolution
ngulum, aplati entre la lame festonnée (LFE) et la substance grise du
pli
de passage temporo-limbique (xT), se présente sou
supérieur s'anastomose avec la pariétale ascendante. L'incisure du
pli
courbe se réduit à une simple dépression (ipc).
devient évident sur les coupes suivantes. Cin. Le cingulum, venu du
pli
de passage cunéo-limbique (r.0\ fig. 9, pl. XII),
corps calleux (ce) on reconnaît, s'inclinant en bas et en dehors, le
pli
de passage temporo-limbique (tcT), dont les rappo
isparaît complètement. FPF. Le faisceau pariéto-frontal se porte du
pli
courbe et du lobule pariétal supérieur à la parié
a cinerea. La petite masse de substance grise attenante à l'écorce du
pli
de passage temporo-limbique (zT), et que nous sav
divise en deux parties le lobe carré; une supérieure, appartenant au
pli
de passage pariéto-limbique (tcL), une inférieure
ps calleux (sC), on voit s'incliner, en bas et en dehors, l'écorce du
pli
de passage temporo-limbique (rcT). Ce pli de pass
s et en dehors, l'écorce du pli de passage temporo-limbique (rcT). Ce
pli
de passage semble avoir ici une grande largeur; c
e, étroit et court- Il se confond à son extrémité postérieure avec le
pli
de passage cunéo-limbique, représenté ici uniquem
s. Il s'écarte, de place en place (flg. 24), pour donner passage à un
pli
de communication entre les quatrième et cinquième
ntre les quatrième et cinquième temporales. Mais ce sont toujours des
plis
profonds, et, en tout cas, la substance grise qui
tions externes, ne répond pas à un type d'une pureté schématique. Les
plis
de communication interrompent la continuité des d
rgeur considérable, tandis que la deuxième (T2) n'a que l'aspect d'un
pli
superficiel. Cavité ventrieufaire. La forme q
convolution est bien telle que l'avait décrite Broca, un seul et môme
pli
fondamental, modifié seulement dans sa forme, che
volution du corps calleux, circonvolution sous-pariétale, lobe carré,
pli
de passage temporo-limbique, circonvolution de l'
n bas par la scissure sous-pariétale, et représentée (fig. 19) par le
pli
de passage pariéto-limbique (tcL), n'est autre ch
antes, apparaître au fond de l'intervalle créé par cet écartement, un
pli
de communication entre les quatrième et cinquième
ation entre les quatrième et cinquième circonvolutions temporales. Ce
pli
de communication, situé immédiatement au-dessous
nne du lobule fusiforme (V), dans la moitié des cas environ- C'est un
pli
superficiel ; il interrompt, par conséquent, la c
ci, en effet, on peut constater (fig. 26, 27, 28) que l'apparition du
pli
de communication ne change rien aux rapports de l
on (o£4) avec le plancher du ventricule. Sur la figure 29, lorsque le
pli
de communication est passé de la quatrième tempor
26) commence la circonvolution de l'hippocampe (Hip), continuation du
pli
de passage temporo-limbique (fîg. 24, zT). La pén
; FI, Fimbria; FLI, faisceau longitudinal inférieur. divise donc le
pli
de passage temporo-limbique ou circonvolution de
he de la corne d'Ammon, avons-nous dit, correspond à l'interstice des
plis
de la bandelette cendrée, laquelle est recouver
et plus spécialement dans la région désignée sous le nom de lobule du
pli
courbe (GP), on remarque (fig. 57) un diverticulu
circonvolution de l'hippocampe, formant la lisière la plus externe du
pli
de passage temporo-limbique. Arrivée à la circonv
) n'intéressent plus, à la face interne, qu'une très faible partie du
pli
de passage parié to-limbique (dL). Celui-ci est m
temporal se succèdent comme il a été indiqué; on ne remarquera que le
pli
de communication qui, au fond du premier sillon (
lleux. Mais bientôt elle est comblée en partie (fig. 84) par le grand
pli
de passage fronto-lim-bique (7:F). La complexité
pli de passage fronto-lim-bique (7:F). La complexité plus grande des
plis
cérébraux à ce niveau entraîne toujours un renfor
d de la scissure de Sylvius (S'), l'insula est représenté par un seul
pli
(IN) ; mais une des circonvolutions de ce lobule
iquées; c'est là précisément que la circonvolution limbique envoie un
pli
de passage à la première frontale. Le développeme
re, le premier sillon frontal (/",, 99, 100) donne passage à un large
pli
de communication entre la première circonvolution
la première circonvolution frontale et la deuxième (F^ F^ fig- 99)-Ce
pli
va prendre de grandes proportions sur les coupes
stance grise correspond, extérieurement, à ce que Broca appelait le
pli
falciforme (YKL, pl. IV), et sur les coupes (vert
partie postérieure du rostrum Écorce, Dans la région frontale, le
pli
de communication entre la troisième circonvolutio
à la troisième frontale (F3). L'anfractuosité profonde qui sépare ce
pli
de l'insula et la troisième frontale (F3) est la
la première frontale (F'), le grand sillon méto-pique (sME), le grand
pli
de passage fronto-limbique (ttF), la scissure lim
, ou circonvolution sous-calleuse, ne présente pas nécessairement les
plis
qu'on observe sur la figure 1 de la planche XXXVH
de la planche XXXVHL On peut déjà, sur la ligure 2, constater que ces
plis
sont beaucoup moins accusés. Il suffit entin de s
à son extrémité antérieure. Nous savons qu'il est destiné surtout aux
plis
du pôle \. Cet entre-croisement ne se voit sur
de grandes analogies avec la précédente quant à la répartition de ses
plis
. C'est seulement à la face interne qu'on constate
onvolution de l'hippocampe. La section a donc lieu juste au niveau du
pli
de passage temporo-limbique. Substance grise.
vec le tœnia tecta (tec), et d'autre part avec la substance grise! du
pli
de passage temporo-limbique (tïT). Elles représ
de laquelle le fasciola cinerea s'enfonce de dedans en dehors est le
pli
de passage temporo-limbique (ttT). C'est là aussi
leux, etc. CA. Commissure antérieure, commissure en fer à cheval. CAL
Pli
inférieur du cap de la troisième circonvolution f
o-thalamique. CAP. Cap de la troisième circonvolution frontale. CxlS.
Pli
supérieur du cap de la troisième circonvolution f
métopique postérieur. GOE. Gyrus olfactif externe. GP. Lobule du
pli
courbe. GPi. Genou inférieur de la pariétale as
pophyse, corps pituilairc. IC. Isthme du coin, portion étranglée du
pli
de passage cunéo-lim- bique. ica. Incisure du c
de l'opercule. IFS. Isthme gris fronto-sphénoïdal, écorce grise du
pli
falciforme. igp. Incisure du lobule du pli courbe
phénoïdal, écorce grise du pli falciforme. igp. Incisure du lobule du
pli
courbe. ima. Incisure métopique antérieure. imp.
u paracentral. ip. Incisure pariétale de l'opercule. ipc. Incisure du
pli
courbe. ipi. Incisure du lobule pariétal inférieu
onvolution pariétale supérieure, ou lobule pariétal supérieur. P'i.
Pli
inférieur du lobule pariétal supérieur. P*s. Pli
al supérieur. P'i. Pli inférieur du lobule pariétal supérieur. P*s.
Pli
supérieur du lobule pariétal supérieur. p^. Sillo
PAR. P'aisceau parallèle, occupant le fond du sillon parallèle. PC.
Pli
courbe. Pcs. Pédoncule cérébelleux supérieur, h
l ad corpus quadrigeminum, ad testes, ad cerebrum (Stilling). PExi.
Pli
, ourlet, ou pentagone antérieur de la circonvolut
ue. PEL. Septum lucidum ou pellucidum, cloison transparente. PEN,
Pli
, ourlet ou pentagone du lobe carré. pen. Extrém
et ou pentagone du lobe carré. pen. Extrémité la plus antérieure du
pli
précédent. PF. Pôle frontal. pF^ Pied de la p
rontale. pF''. Pied de la troisième circonvolution frontale. PGP.
Pli
d'anastomose entre la pariétale ascendante et le
PGP. Pli d'anastomose entre la pariétale ascendante et le lobule du
pli
courbe (entre P et GP). PI. Pôle de l'insula, pie
eure virtuelle de la scissure limbique. PS. Pôle sphénoïdal. PSO.
Pli
, ourlet ou pentagone sous-ovalaire de la circonvo
al transverse. pTt. Pied de la circonvolution pariétale transverse,
pli
de passage pariéto-temporal profond (Broca). Pu
bres transversales du pont. PYR. Pyramide antérieure du bulbe. ¦kB.
Pli
d'anastomose postérieur de la troisième circonvol
térieur de la troisième circonvolution frontale à la deuxième. -BA.
Pli
d'anastomose antérieur de la troisième frontale à
d'anastomose antérieur de la troisième frontale à la deuxième. xBM.
Pli
d'anastomose moyen de la troisième frontale à la
Pli d'anastomose moyen de la troisième frontale à la deuxième. ttCP.
Pli
d'anastomose entre le pli courbe et le lobule par
la troisième frontale à la deuxième. ttCP. Pli d'anastomose entre le
pli
courbe et le lobule pariétal supérieur. xF. Gra
mose entre le pli courbe et le lobule pariétal supérieur. xF. Grand
pli
de passage fronto-limbique. zf. Petit pli de pass
étal supérieur. xF. Grand pli de passage fronto-limbique. zf. Petit
pli
de passage fronto-limbique. 7:fA. Pli d'anastom
ge fronto-limbique. zf. Petit pli de passage fronto-limbique. 7:fA.
Pli
d'anastomose antérieur de la première frontale à
d'anastomose antérieur de la première frontale à la deuxième. rMl.
Pli
d'anastomose moyen de la première frontale à la d
Pli d'anastomose moyen de la première frontale à la deuxième. TcFP.
Pli
de passage pariéto-frontal supérieur. -jifP. Pl
deuxième. TcFP. Pli de passage pariéto-frontal supérieur. -jifP.
Pli
d'anastomose postérieur de la première frontale h
d'anastomose postérieur de la première frontale h la deuxième. xL.
Pli
de passage pariéto-limbique. ttLP. Pli d'anasto
rontale h la deuxième. xL. Pli de passage pariéto-limbique. ttLP.
Pli
d'anastomose entre le lobule du pli courbe et le
passage pariéto-limbique. ttLP. Pli d'anastomose entre le lobule du
pli
courbe et le lobule pariétal supérieur. 7:0. Pr
lobule du pli courbe et le lobule pariétal supérieur. 7:0. Premier
pli
de passage pariéto-occipital, pli de passage pari
pariétal supérieur. 7:0. Premier pli de passage pariéto-occipital,
pli
de passage pariéto- occipital supérieur, premie
éto-occipital, pli de passage pariéto- occipital supérieur, premier
pli
de passage externe (Gratiolet). rjy. Pli de passa
occipital supérieur, premier pli de passage externe (Gratiolet). rjy.
Pli
de passage cunéo-limbique. tcOT. Troisième pli
ne (Gratiolet). rjy. Pli de passage cunéo-limbique. tcOT. Troisième
pli
de passage pariéto-occipital, pli de passage pari
e cunéo-limbique. tcOT. Troisième pli de passage pariéto-occipital,
pli
de passage pariéto-occipital inférieur, troisième
iéto-occipital, pli de passage pariéto-occipital inférieur, troisième
pli
de passage externe. •kP. Deuxième pli de passage
-occipital inférieur, troisième pli de passage externe. •kP. Deuxième
pli
de passage pariéto-occipital, pli de passage pc
i de passage externe. •kP. Deuxième pli de passage pariéto-occipital,
pli
de passage pcU'icto-occipital moyen, deuxième p
ariéto-occipital, pli de passage pcU'icto-occipital moyen, deuxième
pli
de passage externe, pli humain (Graliolel). 7:T.
passage pcU'icto-occipital moyen, deuxième pli de passage externe,
pli
humain (Graliolel). 7:T. Pli de passage temporo-l
SC. Triangle sous-calleux. Tt. Circonvolution temporale transverse,
pli
de passage temporo-pariétal profond (Broca). Un
ld). . 545 Laqueus (Laq).............. ilv. Incisure du lobule du
pli
courbe {igp)...........lxh, 7 Incisure métopiqu
Incisure métopique postérieure [imp)...........xl, 21 Incisure du
pli
courbe {ipc)...............xlu, 7 Incisure pari
.... xx Pilier postérieur du trigone (TRç)......... . . xxvi, 220
Pli
antérieur du lobe carré (GQA)............... xl
GQP)............... xl PU courbe (PC)....................xliv, 11
Pli
d'anastomose antérieur entre F^ et F^ (TrfA).....
5 )) » postérieur entre F^ et F^ (ttB)........ lxviii )) » entre
pli
courbe et P'(tcCP).......... 57 Pli de passage
tB)........ lxviii )) » entre pli courbe et P'(tcCP).......... 57
Pli
de passage cunéo-limbique (tiO^).............. 56
........ 57 Pli de passage cunéo-limbique (tiO^).............. 56
Pli
de passage cunéo-limbique (portion étranglée), (I
Pli de passage cunéo-limbique (portion étranglée), (IC).. .... 25
Pli
de passage de F^' à F^ (ttB)................. lxv
. 25 Pli de passage de F^' à F^ (ttB)................. lxvi Grand
pli
de passage fronto-limbique (ttF).......... xxxvii
.. xxxvii » » pariéto-frontal (ttFP) (voy. Pa)...... xxxvii Petit
pli
de passage fronto-limbique (tiî)...........xxxvni
....xxxvni Ph de passage pariéto-limbique (ttF).............xxxvm
Pli
de passage pariéto-occipital supérieur (tcOj.....
m Pli de passage pariéto-occipital supérieur (tcOj........xlv, 11
Pli
de passage pariéto-temporal profond (Tt).........
.xlv, 11 Pli de passage pariéto-temporal profond (Tt).......... l
Pli
de passage temporo-limbique (ttT)............. 25
passage temporo-limbique (ttT)............. 25 )) » entre lobule du
pli
courbe et P* (ttLP)...... 54 PU falciforme (FAL
P* (ttLP)...... 54 PU falciforme (FAL)..................xlv, 594
Pli
humain ou deuxième pli de passage externe (ttP)..
U falciforme (FAL)..................xlv, 594 Pli humain ou deuxième
pli
de passage externe (ttP)....... 7 Pli inférieur
594 Pli humain ou deuxième pli de passage externe (ttP)....... 7
Pli
inférieur du lobule pariétal supérieur (P") . 11
... 406 Recessus antérieur de l'hippocampe (RAH)........ 258, 528
Pli
supérieur du lobule pariétal supérieur (P^«).....
irconvolution de Broca, mais le fond du sillon praerolandique, ou les
plis
antérieurs de l'insula, ou le gyrus falciforme. D
nt l'absence fait qu'on a beaucoup plus de peine à s'orienter sur les
plis
du manteau; sans'compter bien d'autres inconvénie
s. Elles sont destinées à faire voir les principales dispositions des
plis
du manteau; les explications qui les accompagnent
utres signes symboliques qui sont comme les noms abrégés des organes,
plis
corticaux, faisceaux d'association, noyaux ou com
es aux autres, à des distances qui varient suivant la disposition des
plis
corticaux, sont forcément arbitraires ; les faisc
compte et de l'intention et de l'effort. 12 septembre 1802. CÀI.
Pli
inférieur du cap de la troisième circonvolution f
ale, 9. CAP. Cap de la troisième circonvolution frontale, 9. CAS.
Pli
supérieur du cap de la troisième circonvolution f
ndante. GFs. Genou supérieur de la frontale ascendante. GP. Lobule du
pli
courbe, 11. GPi. Genou inférieur de la pariétale
5. if. Incisure de la frontale antérieure. igp. Incisure du lobule du
pli
courbe, 7, 14. ip. Incisure pariétale de l'opercu
rbe, 7, 14. ip. Incisure pariétale de l'opercule, 2. ipc. Incisure du
pli
courbe, 7. ipi. Incisure du lobule pariétal infér
e ascendante, 10. p. Sillon pariétal ou interpariétal, 5, 14. PH.
Pli
inférieur du lobule pariétal supérieur, 10. P's
, 5, 14. PH. Pli inférieur du lobule pariétal supérieur, 10. P's.
Pli
supérieur du lobule pariétal supérieur, 10, 15.
;j2. Sillon post-rolandique inférieur ou pariétal inférieur, 6. PC.
Pli
courbe, 11. pF1. Pied de la première circonvolu
, 14. pF3. Pied de la troisième circonvolution frontale, 15. PGP.
Pli
d'anr.stomose entre la pariétale ascendante et le
GP. Pli d'anr.stomose entre la pariétale ascendante et le lobule du
pli
courbe (entre P et GP). PO. Pôle occipital. pP2
sverse, 6, 14. pTt. Pied de la circonvolution pariétale transverse,
pli
de passage pariéto-temporal profond. 7tB. Pli d
pariétale transverse, pli de passage pariéto-temporal profond. 7tB.
Pli
d'anastomose postérieur de la troisième circonvol
la troisième circonvolution frontale à la deuxième, 15, 15. tuBxV.
Pli
d'anastomose antérieur de la troisième frontale à
omose antérieur de la troisième frontale à la deuxième, 10. TtBM.
Pli
d'anastomose moyen de la troisième frontale à la
astomose moyen de la troisième frontale à la deuxième, 9, 14. TcfA.
Pli
d'anastomose antérieur de la première frontale à
anastomose antérieur de la première frontale à la deuxième. TrfM.
Pli
d'anastomose moyen de la première frontale à la d
mose moyen de la première frontale à la deuxième, 14. -ttO. Premier
pli
de passage pariéto-occipiïal, pli de passage pa-r
à la deuxième, 14. -ttO. Premier pli de passage pariéto-occipiïal,
pli
de passage pa-riéto-occipital supérieur, premier
riéto-occipiïal, pli de passage pa-riéto-occipital supérieur, premier
pli
de passage externe (Gratiolet), 11, 12. ttOT. T
premier pli de passage externe (Gratiolet), 11, 12. ttOT. Troisième
pli
de passage pariéto-occipital, pli de passage pari
atiolet), 11, 12. ttOT. Troisième pli de passage pariéto-occipital,
pli
de passage pariéto-occipital inférieur, troisième
iéto-occipital, pli de passage pariéto-occipital inférieur, troisième
pli
de passage externe. ttP. Deuxième pli de passag
ccipital inférieur, troisième pli de passage externe. ttP. Deuxième
pli
de passage pariéto-occipital, pli de passage pa-r
de passage externe. ttP. Deuxième pli de passage pariéto-occipital,
pli
de passage pa-riéto-occipital moyen, deuxième pli
pariéto-occipital, pli de passage pa-riéto-occipital moyen, deuxième
pli
de passage externe, pli humain (Gratiolet), 11.
de passage pa-riéto-occipital moyen, deuxième pli de passage externe,
pli
humain (Gratiolet), 11. R. Scissure de Rolando,
obule de l'hippocampe, 30. IC. Isthme du coin, portion étranglée du
pli
de passage cunéo-lim- bique, 25. ima. Incisure
ral de Pansch, 20, 29. Pa. Lobule paracentral ou ovalaire, 24. PEA.
Pli
, ourlet, ou pentagone antérieur de la circonvolul
ou pentagone antérieur de la circonvolulioa lim-bique, 22, 29. PEN.
Pli
, ourlet ou pentagone du lobe carré, 22, 29. PO.
21. PRU. Sillon prse-uncique, 20. PS. Pôle sphénoïdal, 26. PSO.
Pli
, ourlet ou pentagone sous-ovalaire de la circonvo
n pariétal transverse, 22, 28. PV. Pont de Varole, 16, 17. ttF. Grand
pli
de passage fronto-limbique, 19. 7if. Petit pli de
le, 16, 17. ttF. Grand pli de passage fronto-limbique, 19. 7if. Petit
pli
de passage fronto-limbique, 23. ¦kL. Pli de passa
nto-limbique, 19. 7if. Petit pli de passage fronto-limbique, 23. ¦kL.
Pli
de passage pariéto-limbique. tiO. Premier pli de
onto-limbique, 23. ¦kL. Pli de passage pariéto-limbique. tiO. Premier
pli
de passage pariéto-occipital, 7i06. Pli de passag
ariéto-limbique. tiO. Premier pli de passage pariéto-occipital, 7i06.
Pli
de passage cunéo-limbique, 25. TtT. Pli de passag
sage pariéto-occipital, 7i06. Pli de passage cunéo-limbique, 25. TtT.
Pli
de passage temporo-limbique, 23, 30. QA. Tubercul
ndante. GFs. Genou supérieur de la froutale ascendante. GP. Lobule du
pli
courbe, 51. GPi. Genou inférieur de la pariétale
e. H. Sillon en H du lobule orbitaire, 54. igp. Incisure du lobule du
pli
courbe, 52. IN. Insula de Reil, lobule de l'ins
obule postérieur de l'insula, insula postérieur, 54. ipc. Incisure du
pli
courbe, 52. ipi. Incisure du lobule pariétal infé
le ascendante, 51. p. Sillon pariétal ou interpariétal, 54. E'i."
Pli
inférieur du lobule pariétal supérieur. P s. Pl
iétal, 54. E'i." Pli inférieur du lobule pariétal supérieur. P s.
Pli
supérieur du lobule pariétal supérieur, 51. P2.
pr Sillon pariétal supérieur ou post-rolandique supérieur, 51. PC.
Pli
courbe. pF1. Pied de la première circonvolution
al transverse. pTt. Pied de la circonvolution pariétale transverse,
pli
de passage pariéto-temporal profond (Broca). tt
e transverse, pli de passage pariéto-temporal profond (Broca). ttB.
Pli
d'anastomose postérieur de la troisième circonvol
r de la troisième circonvolution fron-tale à la deuxième, 52. ttBA.
Pli
d'anastomose antérieur de la troisième frontale à
d'anastomose antérieur de la troisième frontale à la deuxième. -RM.
Pli
d'anastomose moyen de la troisième frontale à la
Pli d'anastomose moyen de la troisième frontale à la deuxième. TcfA.
Pli
d'anastomose antérieur de la première frontale à
d'anastomose antérieur de la première frontale à la deuxième. ttLP.
Pli
d'anastomose entre le lobule du pli courbe et le
e frontale à la deuxième. ttLP. Pli d'anastomose entre le lobule du
pli
courbe et le lobule pariétal supérieur, 51, 54.
du pli courbe et le lobule pariétal supérieur, 51, 54. ttO. Premier
pli
de passage pariéto-occipital, pli de passage pari
l supérieur, 51, 54. ttO. Premier pli de passage pariéto-occipital,
pli
de passage pariéto-occipital supérieur, premier p
ariéto-occipital, pli de passage pariéto-occipital supérieur, premier
pli
de passage externe (Gratiolet). t:OT. Troisième
érieur, premier pli de passage externe (Gratiolet). t:OT. Troisième
pli
de passage pariéto-occipital, pli de passage pari
erne (Gratiolet). t:OT. Troisième pli de passage pariéto-occipital,
pli
de passage pariéto-occipital inférieur, troisième
iéto-occipital, pli de passage pariéto-occipital inférieur, troisième
pli
de passage externe, 54. -ni*. Deuxième pli de p
tal inférieur, troisième pli de passage externe, 54. -ni*. Deuxième
pli
de passage pariéto-occipital, pli de passage pari
ssage externe, 54. -ni*. Deuxième pli de passage pariéto-occipital,
pli
de passage pariéto-occipital moyen, deuxième pli
e pariéto-occipital, pli de passage pariéto-occipital moyen, deuxième
pli
de passage externe, pli humain (Gratiolet), 34.
de passage pariéto-occipital moyen, deuxième pli de passage externe,
pli
humain (Gratiolet), 34. R. Scissure de Rolando.
circonvolution temporale. Tt. Circonvolution temporale transverse,
pli
de passage temporo-pariétal profond (Broca). E.
SSAUD _ LE CERVEAU P L . 3 Héliog. Lemercier G. Masson Edit CAL
Pli
inférieur du cap de la troisième circonvolution f
ndante. GFs. Genou supérieur de la frontale ascendante. GP. Lobule du
pli
courbe. GPi. Genou inférieur de la pariétale asce
dante. H. Sillon en H du lobule orbitaire. igp. Incisure du lobule du
pli
courbe. ima. Incisure métopique antérieure. imp.
que antérieure. imp. Incisure métopique postérieure. ipc, Incisure du
pli
courbe. ipi. Incisure du lobule pariétal inférieu
ale ascendante, 40. p. Sillon pariétal ou interpariétal, 57, 59. P1!.
Pli
inférieur du lobule pariétal supérieur, 40. IHs.
al, 57, 59. P1!. Pli inférieur du lobule pariétal supérieur, 40. IHs.
Pli
supérieur du lobule pariétal supérieur, 40. Sil
rieur p%. Sillon post-rolandique inférieur ou pariétal inférieur. PC.
Pli
courbe. pF1. Pied.de la première circonvolution
tale, 58. pF3. Pied de la troisième circonvolution frontale. PGP.
Pli
d'anastomose entre la pariétale ascendante et le
PGP. Pli d'anastomose entre la pariétale ascendante et le lobule du
pli
courbe (entre P et GP). PL Pôle de l'insula, pied
ransverse, 40. pTt. Pied de la circonvolution pariétale transverse,
pli
de passage pariéto-temporal profond (Broca). 7r
e transverse, pli de passage pariéto-temporal profond (Broca). 7rB.
Pli
d'anastomose postérieur de la troisième circonvol
la troisième circonvolution fron-tale à la deuxième, 57, 58. 7iBA.
Pli
d'anastomose antérieur de la troisième frontale à
tomose antérieur de la troisième frontale à la deuxième, 58. ¦ttBM.
Pli
d'anastomose moyen de la troisième frontale à la
'anastomose moyen de la troisième frontale à la deuxième, 58. tcCP.
Pli
d'anastomose entre le pli courbe et le lobule par
oisième frontale à la deuxième, 58. tcCP. Pli d'anastomose entre le
pli
courbe et le lobule pariétal supérieur. TcfA. P
astomose entre le pli courbe et le lobule pariétal supérieur. TcfA.
Pli
d'anastomose antérieur de la première frontale à
d'anastomose antérieur de la première frontale à la deuxième. TrfM.
Pli
d'anastomose moyen de la première frontale à la d
'anastomose moyen de la première frontale à la deuxième, 58. -ttLP.
Pli
d'anastomose entre le lobule du pli courbe et le
ntale à la deuxième, 58. -ttLP. Pli d'anastomose entre le lobule du
pli
courbe et le lobule pariétal supérieur. 7:0. Pr
lobule du pli courbe et le lobule pariétal supérieur. 7:0. Premier
pli
de passage pariéto-occipital, pli de passage pari
pariétal supérieur. 7:0. Premier pli de passage pariéto-occipital,
pli
de passage pariéto-occipital supérieur, premier p
ariéto-occipital, pli de passage pariéto-occipital supérieur, premier
pli
de passade externe (Gra-tiolet), 40. 7iOT. Troi
r, premier pli de passade externe (Gra-tiolet), 40. 7iOT. Troisième
pli
de passage pariéto-occipital, pli de passage pari
(Gra-tiolet), 40. 7iOT. Troisième pli de passage pariéto-occipital,
pli
de passage pariéto-occipital inférieur, troisième
iéto-occipital, pli de passage pariéto-occipital inférieur, troisième
pli
de passage externe. tcP. Deuxième pli de passag
ccipital inférieur, troisième pli de passage externe. tcP. Deuxième
pli
de passage pariéto-occipital, pli de passage pari
de passage externe. tcP. Deuxième pli de passage pariéto-occipital,
pli
de passage pariéto-occipital moyen, deuxième pli
e pariéto-occipital, pli de passage pariéto-occipital moyen, deuxième
pli
de passage externe, pli humain (Gratiolet). R.
de passage pariéto-occipital moyen, deuxième pli de passage externe,
pli
humain (Gratiolet). R. Scissure de Rolando, 56.
ral ou ovalaire, 42, 43. Pcs. Pédoncule cérébelleux supérieur. PEA.
Pli
, ourlet, ou pentagone antérieur de la circonvolut
a circonvolution lim-bique. PEL. Septum lucidum ou pellucidum. PEN.
Pli
, ourlet ou pentagone du lobe carré. PO. Pôle occi
46. PV. Pont de Varole. PYR. Pyramide antérieure du bulbe. TtF. Grand
pli
de passage fronto-limbique, 41, 44, 45. Tuf. Peti
be. TtF. Grand pli de passage fronto-limbique, 41, 44, 45. Tuf. Petit
pli
de passage fronto-limbique, 41, 44. TifM. Pli d'a
41, 44, 45. Tuf. Petit pli de passage fronto-limbique, 41, 44. TifM.
Pli
d'anastomose moyen de la première frontale à la d
Pli d'anastomose moyen de la première frontale à la deuxième. 7iFP.
Pli
de passage pariéto-frontal supérieur, 45. ttL.
euxième. 7iFP. Pli de passage pariéto-frontal supérieur, 45. ttL.
Pli
de passage pariéto-limbique, 44. 7r06. Pli de p
al supérieur, 45. ttL. Pli de passage pariéto-limbique, 44. 7r06.
Pli
de passage cunéo-limbique. QA. Tubercule quadri
pophyse, corps pituitaire. IC. Isthme du coin, portion étranglée du
pli
de passage cunôo-lim-bique. ima. Incisure métop
to-temporal. Pa. Lobule paracentral ou ovalaire, 48, 49, 52. PEA.
Pli
, ourlet, ou pentagone antérieur de la circonvolut
52. PEL. Septum lucidum ou pellucidum, cloison transparente. PEN.
Pli
, ourlet ou pentagone du lobe carré, 48. PO. Pôl
ipital. pro. Sillon prœ-ovalaire, 52. PS. Pôle sphénoïdal. PSO.
Pli
, ourlet ou pentagone sous-ovalaire de la circonvo
l transverse, 49, 50. Pul. Pulvinar. PV. Pont de Varole. tuF. Grand
pli
de passage fronto-limbique, 48, 50. 7uf. Petit
le. tuF. Grand pli de passage fronto-limbique, 48, 50. 7uf. Petit
pli
de passage fronto-limbique, 50. TiL. Pli de pas
ique, 48, 50. 7uf. Petit pli de passage fronto-limbique, 50. TiL.
Pli
de passage pariéto-limbique, 48, 50. ttO6. Pli
limbique, 50. TiL. Pli de passage pariéto-limbique, 48, 50. ttO6.
Pli
de passage cunéo-limbique. ttT. Pli de passage
riéto-limbique, 48, 50. ttO6. Pli de passage cunéo-limbique. ttT.
Pli
de passage temporo-limbique. QA. Tubercule quad
L. Lobule de l'hippocampe. TC. Isthme du coin, portion étranglée du
pli
de passage cunéo- limbique. ima. Incisure métop
e sillon occipito-temporal Pa. Lobule paracentral ou ovalaire. PEA.
Pli
, ourlet ou pentagone antérieur de la circonvoluti
, ourlet ou pentagone antérieur de la circonvolution limbique. PEN.
Pli
, ourlet ou pentagone du lobe carré. fjro. Sillon
n pr e-ovalaire. PRU. Sillon pra unciquc. PS. Pôle sphénoïdal. PSO.
Pli
, ourlet ou pentagone sous-ovalairc de la circonvo
. pt. Sillon pariétal transverse, 55. PV. Pont de Varole. -F. Grand
pli
de passage fronto-limbique. 54, 55. Tif. Petit
ole. -F. Grand pli de passage fronto-limbique. 54, 55. Tif. Petit
pli
de passage fronto-limbique. ttL. Pli de passage
limbique. 54, 55. Tif. Petit pli de passage fronto-limbique. ttL.
Pli
de passage pariéto-limbique. R. Scissure de Rol
ire. PEA. Pentagone antérieur de la circonvolution limbique. PEN.
Pli
, ourlet, ou pentagone du lobe carré. PP. Pied d
iétal transverse. Pul. Pulvinar, 61. PV. Pont de Varole. TiF. Grand
pli
de passage fronto-limbique. 7if. Petit pli de p
de Varole. TiF. Grand pli de passage fronto-limbique. 7if. Petit
pli
de passage fronto-limbique. tiL. Pli de passage
fronto-limbique. 7if. Petit pli de passage fronto-limbique. tiL.
Pli
de passage pariéto-limbique. 7rO°. Pli de passa
sage fronto-limbique. tiL. Pli de passage pariéto-limbique. 7rO°.
Pli
de passage cunéo-limbique, 57. 7tT. Pli de pass
e pariéto-limbique. 7rO°. Pli de passage cunéo-limbique, 57. 7tT.
Pli
de passage temporo-limbique. QA. Tubercule quad
incique. PS. Pôle sphénoïdal, 63. PY. Pont de Varole, 62, 63. TtfA.
Pli
d'anastomose antérieur de la première frontale à
d'anastomose antérieur de la première frontale à la deuxième. rcT.
Pli
de passage temporo-limbique, 65. QA. Tubercule
tale supérieure, ou lobule pariétal supé-rieur, 92, 93, 94, 99. PC.
Pli
courbe, 92. tzO. Premier pli de passage pariéto
étal supé-rieur, 92, 93, 94, 99. PC. Pli courbe, 92. tzO. Premier
pli
de passage pariéto-occipital, pli de passage pari
PC. Pli courbe, 92. tzO. Premier pli de passage pariéto-occipital,
pli
de passage pariéto-occipital supérieur, premier p
ariéto-occipital, pli de passage pariéto-occipital supérieur, premier
pli
de passage externe (Gra-tiolet), 88. tiP. Deuxi
eur, premier pli de passage externe (Gra-tiolet), 88. tiP. Deuxième
pli
de passage externe, pli humain. Q. Lobe carré,
age externe (Gra-tiolet), 88. tiP. Deuxième pli de passage externe,
pli
humain. Q. Lobe carré, 94, 95. sCu. Sillon du
pariétale supérieure, ou lobule pariétal supérieur, 107, 108. P*i.
Pli
inférieur du lobule pariétal supérieur, 100, 107.
08. P*i. Pli inférieur du lobule pariétal supérieur, 100, 107. PJs.
Pli
supérieur du lobule pariétal supérieur, 100, 107.
upérieur, 100, 107. Pa. Lobule paracentral ou ovalaire, 103, 106. PC.
Pli
courbe. ps. Un prolongement supérieur du sillon
sillon interpariétal. pl. Sillon pariétal transverse, 105, 106. tcL.
Pli
de passage pariéto-limbique, 106, 108. 7tOe. Pli
erse, 105, 106. tcL. Pli de passage pariéto-limbique, 106, 108. 7tOe.
Pli
de passage cunéo-limbique, 99, 106, 107. Q. Lobe
FS. Faisceau sensitif, 111, 115, 119, 122, 124, 128. ipc. Incisure du
pli
courbe, 111. ipi. Incisure du lobule pariétal inf
e pariétal infé-rieur. Pa. Lobule paracentral ou ovalaire, 109. PC.
Pli
courbe. pen. Extrémité la plus antérieure du pl
ovalaire, 109. PC. Pli courbe. pen. Extrémité la plus antérieure du
pli
, ourlet ou pentagone du lobe carré, 121. ttCP.
us antérieure du pli, ourlet ou pentagone du lobe carré, 121. ttCP.
Pli
d'anastomose entre le pli courbe et h; lobule par
et ou pentagone du lobe carré, 121. ttCP. Pli d'anastomose entre le
pli
courbe et h; lobule pariétal supérieur, 110. -L
omose entre le pli courbe et h; lobule pariétal supérieur, 110. -L.
Pli
de passage pariéto-limbique. tcO3. Pli de passage
pariétal supérieur, 110. -L. Pli de passage pariéto-limbique. tcO3.
Pli
de passage cunéo-limbique, 110. tcT. Pli de passa
sage pariéto-limbique. tcO3. Pli de passage cunéo-limbique, 110. tcT.
Pli
de passage temporo-limbique, 110. 114,128. Q. Lob
re ou lobule pariétal inférieur. pen. Extrémité la plus antérieure du
pli
, ourlet ou pentagone du lobe carré. ttL. Pli de
la plus antérieure du pli, ourlet ou pentagone du lobe carré. ttL.
Pli
de passage pariéto-limbique. -ni. Pli de passage
pentagone du lobe carré. ttL. Pli de passage pariéto-limbique. -ni.
Pli
de passage temporo-limbique, 152. R. Scissure de
ariétale inférieure. Pa. Lobule paracentral ou ovalaire, 161. PC.
Pli
courbe. R. Scissure de Rolando. S'. Branche p
1, 181, 185. G. Glande pinéale, épiphyse, conarium. GP. Lobule du
pli
courbe. hFd. Hile du fascia dentata, 178. Ili
yse, conarium, 180. GI. Corps genouillé interne, 188. GP. Lobule du
pli
courbe. hFd. Ilile du fascia dentata. ipi. In
inférieure ou lobule pariétal infé-rieur, 192. Pul. Pulvinar. ¦kL.
Pli
de passage pariéto-limbique, 185. QA. Tubercule q
RI. Trigone cérébral, 270. Tt. Circonvolution temporale transverse,
pli
de passage temporo- pariôtal profond. Une. Croc
RI. Trigone cérébral, 285. Tl. Circonvolution temporale transverse,
pli
de passage teinporo- pariétal profond (Hroca),
RI. Trigone cérébral, 502. Tt. Circonvolution temporale transverse,
pli
de passage temporo- pariétal profond (Broca), 5
22. TRI. Trigone cérébral. Tt. Circonvolution temporale transverse,
pli
de passage temporo- pariétal profond (Broca). U
lon parallèle, 552. PUT. Putamen. PV. Pont de Varole, 554. tïB.
Pli
d'anastomose postérieur de la troisième circonvol
44. THI. Trigone cérébral. Tt. Circonvolution temporale transveise,
pli
de passage temporo-pariétal profond. E. BRISSAU
rigone cérébral, 559, 571. Tt. Circonvolution temporale transverse,
pli
de passage temporo- pariétal profond (Broca). V
vestibuli, 412. IFS. Isthme gris fronto-sphénoïdal, écorce grise du
pli
falciforme. IN. Insula de Reil, 407. L. Sciss
21, 425. LFS. Capsula extrema. NC. Noyau caudé, 421. ttF. Grand
pli
de passage fronto-limbique, 420. RNC. Couronne
Pédoncule, Pul. Pulvinar, 457. PUT. Putamen, 456. tcO. Premier
pli
de passage pariéto-occipital. QA. Tubercule qua
obus pallidus, 441. GMA. Gyrus métopique antérieur. GP. Lobule du
pli
courbe. GSL. Substance grise du septum lucidum,
e perpendiculaire interne. p. Sillon pariétal ou interpariétal. PC.
Pli
courbe. PEL. Septum lucidum, 412. PEN. Pentag
ntagone du lobe carré. PO. Pôle occipital. PUT. Putamen, 441. irBM.
Pli
d'anastomose moyen de la troisième frontale à la
anastomose moyen de la troisième frontale à la deuxième. 7if. Petit
pli
de passage fronto-limbique. 7i0. Premier pli de p
a deuxième. 7if. Petit pli de passage fronto-limbique. 7i0. Premier
pli
de passage externe. tcP. Deuxième pli de passage
e fronto-limbique. 7i0. Premier pli de passage externe. tcP. Deuxième
pli
de passage externe. Rth. Radiatio thalami, cour
nterne, 446. Gci. Genou de la capsule interne, 445. GP. Lobule du
pli
courbe. igp. Incisure du lobule du pli courbe.
nterne, 445. GP. Lobule du pli courbe. igp. Incisure du lobule du
pli
courbe. ipc. Incisure du pli courbe. ipi. Inc
i courbe. igp. Incisure du lobule du pli courbe. ipc. Incisure du
pli
courbe. ipi. Incisure du lobule pariétal inféri
n pariétale ascendante. p. Sillon pariétal ou interpariétal. lMi.
Pli
inférieur du lobule pariétal supérieur. pv Sill
irconvolution pariétale inférieure ou lobule pariétal infé-rieur. PC.
Pli
courbe. pF3. Pied de la troisième circonvolutio
ale. pri. Sillon prserolandique inférieur. PUT. Putamen, 446. ?rfA.
Pli
d'anastomose antérieur de la première frontale à
omose antérieur de la première frontale à la deuxième. 7rO. Premier
pli
de passage pariéto-occipital, pli de passage pari
ntale à la deuxième. 7rO. Premier pli de passage pariéto-occipital,
pli
de passage pariéto - occipital supérieur, premier
iéto-occipital, pli de passage pariéto - occipital supérieur, premier
pli
de passage externe (Gratiolet). 7iP. Deuxième p
upérieur, premier pli de passage externe (Gratiolet). 7iP. Deuxième
pli
de passage externe, pli humain. Q. Lobe carré.
passage externe (Gratiolet). 7iP. Deuxième pli de passage externe,
pli
humain. Q. Lobe carré. R. Scissure de Rolando
Pul. Pulvinar, 452, 454, 455. PUT. Putamen, 456. ttOT. Troisième
pli
de passage pariéto-occipital. QA. Tubercule quadr
ippocampe, 460. IFS. Isthme gris fronto-sphénoïdal, écorce grise du
pli
falci-forme. K. Scissure calcarine. LC. Lamina co
circonvolu- tions et des scissures ; petite tumeur siégeant sur un
pli
passage allant dela deuxième à la troisième cir
e, est parsemée de brides dont quelques-unes, insérées au niveau du
pli
mento-labial, produisent le renversement de la
substance corticale, sauf en quelques points très rares; sur un des
plis
de passage allant de la deuxième à la troisième c
près un séjour de plusieurs mois dans l'alcool tout l'insula et les
plis
de passage du lobe temporal se trouvent à décou
sure de Sylvius et est interrompu vers son quart infé- rieur par un
pli
de passage allant de la frontale ascendante à la
e. La scissure perpendiculaire externe (Sc. p. e.) n'est séparée du
pli
courbe que par un pli de passage se dirigeant d
iculaire externe (Sc. p. e.) n'est séparée du pli courbe que par un
pli
de passage se dirigeant du lobule pariétal supé
erhémisphérique; elle est irrégulière, sinueuse, interrompue par un
pli
de passage allant de la deuxième circonvolution f
e inférieure (Se. f. i.) sinueuse est interrompue en avant par deux
plis
de passage reliant la deuxième circonvolu- tion
.) est très irrégulière, très sinueuse, interrompue par de nombreux
plis
de passage se rendant de la première circonvolu-
illonné et relié à la deuxième circonvolution frontale par quelques
plis
de passage. Cette première circonvolution s'ins
nvolution s'insère à la circonvolution fron- tale ascendante par un
pli
de passage à niveau, mais étroit, bor- dant la
(F2), qui s'insère à la circon- volution frontale ascendante par un
pli
de passage à niveau est elle-même très sinueuse
urs tronçons par des sillons transversaux et obliques profonds ; un
pli
de passage (pp.) la relie vers son tiers antérieu
V antérieur de la troisième circonvolu- tion frontale. C'est sur ce
pli
de passage que se trouve une petite tumeur de l
e isolée est reliée à la. deuxième cir- convolution frontale par un
pli
de passage à niveau et semble la continuer; il
le la continuer; il en résulte que celle-ci parait s'insérer par un
pli
de 42 IDIOTIE CRÉTINOÏDE. passage à niveau, q
n frontale, fait corps avec lui, 1, et ne s'en distingue que par un
pli
vertical à peine marqué. - La cir- convolution
Le lobule pariétal supérieur (P,) est sinueux, bien développé; un
pli
de passage à niveau le relie au lobe occipital.
u premier sillon occipital. Le lobule pariétal inférieur (P2) et le
pli
courbe (P,) sont sinueux, assez bien développés
(P2) et le pli courbe (P,) sont sinueux, assez bien développés; un
pli
de passage relie celui-ci au lobule pariétal in
paré du lobe temporal est relié au lobule pariétal supérieur par un
pli
de passage à niveau et au pli courbe par un aut
é au lobule pariétal supérieur par un pli de passage à niveau et au
pli
courbe par un autre petit pli de passage allant à
par un pli de passage à niveau et au pli courbe par un autre petit
pli
de passage allant à la par- tie inférieure et a
po- rale (Sc. t2.) sinueuse, irrégulière, est interrompue par trois
plis
de passage se rendant de la deuxième à la trois
trouve encore quatre circonvolutions temporales transverses, 3, ou
plis
de passage temporo-pariétaux qui, se dirigeant ve
Se. to) est sinueuse, peu profonde, irrégulière, interrompue par un
pli
de passage se rendant de la troisième circonvol
Sc. to.) est sinueuse, assez profonde, interrompue également par un
pli
de passage allant du lobule fusiforme au lobule
e lobe quadrilatère (L U) est très développé, en continuité par les
plis
de passage pariéto-limbiques antérieur (p. p. a
e voir comme à gauche toutes les circonvolutions de l'insula et les
plis
de passage temporo-parié- taux. Elle est bifide
ux, assez profond, est inter- rompu vers son quart inférieur par un
pli
de passage allant de la circonvolution frontale
n- contre en outre sur les circonvolutions orbitaires de nombreux
plis
irréguliers; la branche interne de l'incisure en
ieure (Sc. f. i.), séparée de la scissure parallèle frontale par un
pli
de passage allant de la deuxième circonvolution
tale inférieure est encore interrompue dans son trajet par un autre
pli
de passage se rendant de la deuxième e circonvo
ée; la seconde (1<',), très irrégulière par suite des nom- breux
plis
qui la sillonnent, parait dédoublée et bien dével
dédoublée et bien développée. En avant du lobe frontal se trouve un
pli
de passage transversal, réunissant les trois ci
e lobule pariétal supérieur (P,), irrégulier, est très découpé; des
plis
de passage transversaux le rattachent au lobule
e sa courbe. puis à sa partie médiane, elle est interrompue par les
plis
trans- versaux dont nous venons de parler; elle
très découpé, irrégulier; le sillon ver- tical (b) qui le sépare du
pli
courbe se prolonge en haut au delà de la scissu
se prolonge en haut au delà de la scissure inter-hémisphérique. Le
pli
courbe (P3), irrégulier, est divisé par le prol
nt séparé des lobes pariétal et temporal, est par suite dépourvu de
plis
de passage se rendant à ces deux lobes ; il est
e temporale (Se. t,) est sinueuse, irrégulière, interrompue par des
plis
de passage allant de la deuxième à la troisième
l. - Il existe trois circonvolutions temporales (3;, transverses ou
plis
de passage temporo-pariétaux, situées à la part
ccipitale (PL. III, Se. to) est interrompue vers son milieu par des
plis
de passage se dirigeant de la troisième circonv
érieure de la deuxième scissure tem- para-occipitale (Sc. to,.). Un
pli
de passage relie le lobule fusi- forme au lobul
tale (Se. s. p.) en avant et en arrière de laquelle se trouvent les
plis
de passage pariéto-limbiques antérieur et postéri
peuvent être séparées. Nous appellerons encore l'attention sur les
plis
de passage se rendant de la deuxième circonvolu
est tantôt complète, tantôt incomplète. Enfin nous trouvons quatre
plis
de passage temporo- pariétaux à gauche, et troi
maire est remplacé par une surface bombée, la peau est épaissie, le
pli
que l'on y produit en la prenant entre les doig
ntes, etla nuque, très forte pour la taille du sujet, présente deux
plis
profonds séparés par un bourrelet de chair. A c
expression d'un foetus conservé dans un bocal. Quand il sourit, des
plis
extraordinaires viennent creuser le visage, les
e en II. Lobe frontal. - La première frontale qui s'insère par un
pli
de passage à niveau sur la frontale ascendante es
do. La deuxième frontale s'insère à la frontale ascendante par deux
plis
de passage profonds; elle est également dédoubl
ie antérieure, les trois frontales sont réunies entre elles par des
plis
de passage formant entre eux et les frontales u
dans son quart supérieur. Elle est sinueuse, nettement séparée du
pli
pariétal supérieur, elle communique à 1 centim. e
munique à 1 centim. environ de la scissure de Sylvius, par un large
pli
de passage, avec le pli pariétal inférieur. Ce
n de la scissure de Sylvius, par un large pli de passage, avec le
pli
pariétal inférieur. Ce pli de passage interrompt
us, par un large pli de passage, avec le pli pariétal inférieur. Ce
pli
de passage interrompt lacontinuité de la scissu
dant va de la scissure interpa- riétale à la scissure parallèle. Le
pli
pariétal supérieur est assez développé, très dé
phiée, en retrait sur les parties voisines; il en est de même du
pli
de passage qui se rend du pli pariétal supérieur
arties voisines; il en est de même du pli de passage qui se rend du
pli
pariétal supérieur au lobe occipital. Le pli pa
passage qui se rend du pli pariétal supérieur au lobe occipital. Le
pli
pariétal inférieur est assez bien déve- loppé,
Le pli pariétal inférieur est assez bien déve- loppé, ainsi que le
pli
courbe. La première circonvolution temporale, m
a deuxième scissure temporale qui est interrompue par plu- sieurs
plis
de passage se rendant de la deuxième tempo- ral
scissure calloso-marginale, sinueuse, est interrompue par un petit
pli
de passage en retrait, allant de là première fr
bien développé, a une scissure sous-pariétale très prononcée et des
plis
pariétaux lim- biques, antérieurs et postérieur
t les circonvolutions temporo-occipitales sont bien développées; un
pli
de passage se rend de la deuxième temporo-occip
première frontale s'insère à la fron- tale ascendante par un large
pli
de passage à niveau ; elle est nettement dédoub
ses trois cinquièmes posté- rieurs ; dans sa partie antérieure, un
pli
de passage allant à la 28 circonvolution interr
e dédoublée en avant; elle s'insère à la frontale ascendante par un
pli
de passage à niveau, juste au-dessus du pied de
ne, plus postérieure, longe la fron- tale ascendante entre les deux
plis
do passage des 1 ? et 2e circonvolutions ; l'au
des 1 ? et 2e circonvolutions ; l'autre, antérieure, séparée par un
pli
des 2e et 3e frontales, de la frontale ascendan
rajet un peu sinueux, va aboutir au sillon occipital transverse. Le
pli
pariétal supérieur très sinueux, très découpé,
r très sinueux, très découpé, est assez bien développé ainsi que le
pli
pariétal inférieur et le pli courbe. Le lobe oc
est assez bien développé ainsi que le pli pariétal inférieur et le
pli
courbe. Le lobe occipital est moins volumineux
a 2e temporale, un peu sinueuse, est très développée et envoie deux
plis
de passage à la 3e, qui est également bien déve
- Hémisphère gauche. Face convexe. - F,, très sinueuse, envoie deux
plis
de passage à F2 et s'insère sur F A à sa partie
uberculeux de la pie-mère décrit plus haut. P,, P2' assez plissées,
pli
courbe irrégulier. LO, sinueux.- 1\, 1\ : T3, s
, sinueux.- 1\, 1\ : T3, sont assez plissées et s'envoicntplusieurs
plis
de passage ; T, envoie un pli assez volumineux
ssez plissées et s'envoicntplusieurs plis de passage ; T, envoie un
pli
assez volumineux à l'extrémité postérieure du l
-lions assez volumineuses (t). - Face interne. - P, présente des
plis
assez profonds en avant, superficiels en arrièr
n avant, superficiels en arrière.- L P volumineux, reçoit un gros
pli
de passage de Ft et offre un sillon en forme de V
e passage de Ft et offre un sillon en forme de V. - CCCa sans aucun
pli
.- L Q plissé avec des sillons su- perficiels ;
développée. P A est très sinueuse, mais comparativement maigre. Les
plis
parié- taux sont volumineux; l'inférieur moins
ié- taux sont volumineux; l'inférieur moins plissé qu'à gau- che.
Pli
courbe situé bien au sommet de la scissure para
T,, T2 et T3 sont assez distinctes; tandis que de l'autre côté, les
plis
de passage plus nombreux les confondent en quel
es confondent en quelque sorte. L I reçoit en arrière un volumineux
pli
de passage de T,; il est formé de trois gros pl
ière un volumineux pli de passage de T,; il est formé de trois gros
plis
dont l'antérieur seul est bifurqué, ainsi qu'à
é, ainsi qu'à gauche. Face interne. F, est assez sinueuse, mais ses
plis
sont plus allongés, au lieu d'être transversaux
re transversaux comme à gauche. L P est très sinueux et présente un
pli
en forme d'Y ; L Q, L C, n'ont rien de particul
nte un pli en forme d'Y ; L Q, L C, n'ont rien de particulier. L 0,
plis
plus volumineux qu'à gauche. C II, rien. Des de
lle s'insère de niveau sur la frontale ascendante. Elle envoie deux
plis
de passage à la deuxième circonvo- lution front
insère à mi-hauteur sur la frontale ascendante. Elle en- voie trois
plis
de passage à la troisième circonvolution fronta
maigre à sa partie moyenne, atrophiée dans son quart inférieur. Le
pli
pariétal supérieur est atrophié ; le pli pariét
ns son quart inférieur. Le pli pariétal supérieur est atrophié ; le
pli
pariétal inférieur, au contraire, est assez dév
; le pli pariétal inférieur, au contraire, est assez développé.- Le
pli
courbe, assez volumineux en avant,est atrophié
; elle n'est bien développée qu'à sa partie moyenne. Elle envoie un
pli
de passage à la deuxième circonvolution tempora
xième circonvo- lution temporale est bien développée et envoie deux
plis
de passage à la troisième circonvolution tempor
re circonvolution frontale, sinueuse, un peu irrégulière, envoie un
pli
de passage à la circonvolution du corps calleux
ar une sorte de crochet sur la frontale ascendante et en- voie deux
plis
de passage à la deuxième circonvolution frontal
uxième circonvolution frontale. - Celle-ci, très sinueuse, donne un
pli
de pas- sage à la troisième frontale. Les sillo
circonvolutions très grêles. - Le lobule pariétal inférieur et le
pli
courbe sont peu développés. La scissure per- pe
ntérieure. La deuxième circonvolution temporale communique par deux
plis
de passage volumi- neux avec la troisième circo
z grosse, coupée en quelque sorte par le sillon qui sépare les deux
plis
de passage dont il vient d'être question. - La
e dans toute la partie située en dehors du kyste ; elle envoie deux
plis
de passage à la seconde frontale. La scissure f
la scis- sure frontale supérieure (1), dont elle est séparée par un
pli
de passage transversal allant en avant de la sc
artie de la lésion sous-jacente. - Le lobule pariétal inférieur, le
pli
courbe, les lobes tempo- ral et occipital, le l
s parties, presque réduit à une simple coque do substance grise. Le
pli
de passage pariéto-temporal izfé- (1) Cette inc
lèle frontale est presque com- plète, simplement interrompue par un
pli
de passage, à niveau, allant de la deuxième fro
de largeur). - Cette circonvolution envoie vers le tiers moyen deux
plis
de passage de niveau à la troisième frontale,et
sure perpendiculaire externe. Le lobule pariétal inférieur et le
pli
courbe, surtout ce dernier, sont atrophiés et cha
s'insérant directement sur la frontale ascendante et en envoyant un
pli
de passage grêle à la deuxième fron- tale ; ell
galement large et fortement contour- née, envoie à son origine deux
plis
de passage à la troi- sième frontale, et cesse
n tiers moyen et s'amincit de nouveau dans sa partie supérieure. Le
pli
pariétal supérieur est sinueux et assez gros. -
périeure. Le pli pariétal supérieur est sinueux et assez gros. - Le
pli
pariétal inférieur est as- sez gros, mais moins
pariétal inférieur est as- sez gros, mais moins que le premier. Le
pli
courbe est sinueux, doublé en arrière d'une cir
nsula a trois digitations très saillantes et reçoit en arrière deux
plis
de passage de la première temporale. La premièr
orale. La première temporale envoie à la deuxième un volumi- neux
pli
de passage, interrompant la scissure parallèle.-
errompant la scissure parallèle.- La deuxième temporale envoie deux
plis
de passage à la troisième, qui communique avec
passage à la troisième, qui communique avec la quatrième par deux
plis
de passage formant une sorte de masse à la partie
se dédouble vers le tiers an- térieur de son trajet pour fournir un
pli
assez long et si- nueux qui va s'insérer sur la
ante est grêle également, son origine et près de sa terminaison. Le
pli
pariétal supérieur est 174 EXAMEN HISTOLOGIQUE.
IQUE. volumineux, sinueux, avec quelques sillons superficiels. Le
pli
pariétal inférieur est également volumineux, ma
pariétal inférieur est également volumineux, mais moins sinueux. Le
pli
courbe, très sinueux, com- posé de circonvoluti
al. - La première temporale, très sinueuse, envoie à son origine un
pli
de passage à la deuxième et deux digita- tions
de. - La deuxième tempo- rale, également très sinueuse, envoie deux
plis
de passage à la troisième temporale qui est vol
neuse, ainsi que la quatrième, avec laquelle elle communique par un
pli
de passage assez large. Le lobule de l'insula s
scendante; sur la partie moyenne de la troisième frontale et sur le
pli
pariétal infé- rieur. Ils ont l'aspect de très
cir- convolution frontale envoie vers le milieu de sa longueur un
pli
de passage à la seconde; au delà de ce pli de pas
milieu de sa longueur un pli de passage à la seconde; au delà de ce
pli
de pas- sage elle est interrompue par une incis
sa base,chagri- née et très flexueuse à sa portion supérieure. - Le
pli
pariétal supérieur est volumineux ; l'inférieur
RIPTION DES CIRCONVOLUTIONS. 185 contraire, assez peu développé. Le
pli
courbe est assez gros, sinueux et doublé par un
onde. La première temporale, assez maigre, flexueuse, envoie deux
plis
de passage au lobule de l'insula, elle est coupée
ui lui donnent un aspect mamelonné; elle envoie aussi, en bas, deux
plis
de passage à la deuxième temporale qui est flex
upée de sillons, chagrinée dans toute son étendue, et projette deux
plis
de passage à la troisième. Celle-ci est très si
artie antérieure et communique avec la quatrième temporale par un
pli
de passage très étroit. - Le lobule de l'insula
- convolution frontale, simple à son origine, présente un premier
pli
supérieur qui va s'insérer sur la frontale ascen-
tale ascen- dante dont il est séparé par un sillon léger, un second
pli
plus flexueux que le premier,qui s'insère aussi
e sur la deuxième frontale. - Celle ci est contournée ; envoie un
pli
de passage irrégulier à la troisième et s'avance
ntale, semblable aux branches d'un N, est interrompue en arrière du
pli
de passage qu'elle reçoit de la deuxième par un
érables. La pariétale ascendante, très irrégulière, donne un fort
pli
de passage au pli pariétal supérieur, puis elle s
étale ascendante, très irrégulière, donne un fort pli de passage au
pli
pariétal supérieur, puis elle s'amaigrit, se re
e la frontale ascendante et interrompre le sillon de Rolando,. - Le
pli
pariétal supérieur est flexueux et assez dévelo
o,. - Le pli pariétal supérieur est flexueux et assez développé. Le
pli
pariétal inférieur, de forme triangulaire, est
férieur, de forme triangulaire, est séparé par un sillon profond du
pli
courbe avec lequel il communique en haut par un
llon profond du pli courbe avec lequel il communique en haut par un
pli
de passage assez maigre. Le pli courbe est asse
lequel il communique en haut par un pli de passage assez maigre. Le
pli
courbe est assez volumineux et fournit en arriè
maigre. Le pli courbe est assez volumineux et fournit en arrière un
pli
de passage au lobe occipital. Tout le lobe pari
ui donne sur certains points un aspect mamelonné ; elle envoie deux
plis
de passage au lobule de l'insula. elle envoie a
lobule de l'insula. elle envoie aussi à la deuxième temporale deux
plis
qui s'entre croisent avec deux plis semblables
si à la deuxième temporale deux plis qui s'entre croisent avec deux
plis
semblables venus de cette deuxième temporale ;
tion antérieure, elle est aussi très chagrinée et projette un autre
pli
de passage à la troisième temporale, qui fait c
est moitié plus petit que celui du côté opposé et communique par un
pli
de passage avec 1.; lobe paracentral. - Le coin
à son extrémité près de 4 centimètres. Immédiatement au-dessous du
pli
cruro-génital gauche, existe un mamelon qui a 7
ie dans son description des circonvolutions. 215 tiers moyen deux
plis
de passage à la première frontale, s'insère ind
is de passage à la première frontale, s'insère indirectement par un
pli
de passade au tiers infé- rieur de la circonvol
et profonde, est interrompue au niveau de sa courbure par un mince
pli
de passage, allant du pli pariétal inférieur à
e au niveau de sa courbure par un mince pli de passage, allant du
pli
pariétal inférieur à la partie médiane de la pari
rofonde; cette dernière, interrompue à son tiers supérieur par un
pli
de passage grêle, allant du lobule pariétal supér
eux, bien développé, ainsi que le lobule pariétal infé- rieur et le
pli
courbe. La première circonvolution temporale es
emporale, très sinueuse et irrégulière, inter- rompue par plusieurs
plis
de passage allant de la troisième temporale à l
ale, très zigzaguée et séparée de la scissure interpariétale par un
pli
de passage à niveau de 9 millimètres, descend ver
scissure verticale, interrompue seulement dans sa profondeur par un
pli
de passage grêle allant de la seconde temporale
l'inférieure, et n'est séparée de la scissure parallèle que par un
pli
de passage à niveau de 3 millimètres. Une secon
envoie à la partie postérieure du lobule de l'insula un volumineux
pli
de passage. b) Face interne. La scissure callos
des scissures assez marquées à sa partie postérieure et envoie deux
plis
de passage (antérieur et postérieur) à l'avant-
a première frontale, sinueuse et irrégulière, s'insère par un petit
pli
de passage grêle au sommet de la frontale ascen
celle décrite à gauche et vers le milieu de laquelle on remarque un
pli
de passage se rendant du tiers moyen de la fron
vers la première frontale. La deuxième frontale,qui s'insère par un
pli
de passage sur la frontale ascendante, est sépa
ssure irrégulière; elle est très sinueuse, irrégulière et envoie un
pli
de pas- sage vers son milieu, à la première fro
particu- larités qu'à gauche, sauf qu'elle est interrompue par un
pli
de passage transversal (de Gromier) assez grêle,
irconvolution de passage du lobe occipital et qu'il n'existe pas de
pli
de passage allant, au niveau de sa courbure, du
prolonge jusqu'à la scissure parallèle interrompue seulement par un
pli
de passage allant du pli courbe à la seconde ci
ure parallèle interrompue seulement par un pli de passage allant du
pli
courbe à la seconde circonvolution occipitale.
ipitale inférieure. Los lobules pariétal supérieur et inférieur, le
pli
courbe, les circonvolutions des lobes occipital
ans so bifurquer et sans pénétrer aussi loin que d'habitude dans le
pli
pariétal inférieur; son rameau antérieur, horiz
ieure; elle s'insère à la circonvolution frontale ascendante par un
pli
de passage à niveau et envoie deux autres plis
ale ascendante par un pli de passage à niveau et envoie deux autres
plis
de passage à la deuxième circonvolution frontal
rieure, sinueuse, profonde, est interrompue par les deux der- niers
plis
de passage dont nous venons de parler. La deuxi
le parallèle, interrompue seulement vers sa partie moyenno par un
pli
de passage un peu en retrait, allant de la deuxiè
on coude, elle fournit : 1° en haut, un sillon profond, divisant le
pli
pariétal supérieur en deux parties; 2° en bas, un
suite son trajet jusquo dans lo lit du premier sillon occipital. Le
pli
pariétal supérieur et le pli pariétal inférieur
lo lit du premier sillon occipital. Le pli pariétal supérieur et le
pli
pariétal inférieur sont bien développés, nettem
arés des parties environ- nantes auxquelles ils sont reliés par des
plis
de passage à ni- veau, allant du pli pariétal s
elles ils sont reliés par des plis de passage à ni- veau, allant du
pli
pariétal supérieur et du pli pariétal inférieurà
plis de passage à ni- veau, allant du pli pariétal supérieur et du
pli
pariétal inférieurà 11- lacirconvolution pariét
pariétal inférieurà 11- lacirconvolution pariétale ascondante, etdu
pli
pariétal inférieur à la première circonvolution
l inférieur à la première circonvolution temporale; tous les autres
plis
de passage sont situés très profondément au niv
e passage sont situés très profondément au niveau des sillons. Le
pli
courbe est difficile à bien délimiter, car la sci
onfond en haut avec la scissure interpariétale, divi- sant ainsi le
pli
courbe en uno partie antérieure et en une partie
arallèle, très profonde, se continue, interrompue seulement par des
plis
de passage très profonds, jusque dans la scissure
ème circonvolution temporale, bien développée, sinueuse, envoie des
plis
de passage à niveau à la troisième temporale et
me scissure temporale, très profonde, est interrompue par un de ces
plis
do passage. - Les circonvolutions temporo-occip
assez régulière, est interrompue dans son quart inférieur par un
pli
do passage à niveau, allant de la première circon
a scissure sous-pariétale a la forme d'un lambda X ; il existe deux
plis
do passage pariéto-limbiques, antérieur et post
ure, très profonde, irrégulière ; celle-ci est interrompue par deux
plis
de passage à niveau, allant de la deuxième à la
irconvolution frontale, plissée, bien développée, s'insère par deux
plis
de passage grêles, à la circonvolution frontale
niquer les deux scissures frontales supérieure et inférieure ; un
pli
de passage grêle à niveau interrompt, vers sa par
enne, la continuité de la scissure frontale supérieure; deux autres
plis
de passage à niveau, larges, situés à la partie a
a scissure de Sylvius, est interrompue à son quart inférieur par un
pli
de passage à niveau allant de la pariétale ascend
par un pli de passage à niveau allant de la pariétale ascendante au
pli
pariétal inférieur, forme ensuite une scissure pa
MPÉRATURE DANS L'ÉTAT DE MAL. 249 sure est de nouveau coupée par un
pli
de passage à niveau allant du pli pariétal supé
sure est de nouveau coupée par un pli de passage à niveau allant du
pli
pariétal supérieur au pli courbe ; plus loin, ell
par un pli de passage à niveau allant du pli pariétal supérieur au
pli
courbe ; plus loin, elle se confond avec la sci
, le sillon transverse occipital et le premier sillon occipital. Le
pli
pa- riétal supérieur est bien développé ; un pl
llon occipital. Le pli pa- riétal supérieur est bien développé ; un
pli
de passage profond le fait communiquer aussi av
communiquer aussi avec la première circonvolution occipitale. - Le
pli
pariétal inférieur est moins bien déve- loppé ;
pitale. - Le pli pariétal inférieur est moins bien déve- loppé ; le
pli
courbe est normal. Le lobe occipital présente d
é est interrompue par un sillon profond, bordant postérieurement un
pli
de passage à niveau qui traverse pro- fondément
pro- fondément la scissure de Sylvius pour aller se jeter dans le
pli
pariétal inférieur. La scissure parallèle est cou
e pli pariétal inférieur. La scissure parallèle est coupée par un
pli
de passage à niveau, large, allant de lapremière
tion temporale, bien développée, est irrégulière, dédoublée en deux
plis
secondaires à sa partie antérieure, simple en a
pé. - Le lobule quadrilatère, assez gros, plissé, ne possède que le
pli
de passage pariéto-limbique postérieur.-La scissu
on temporo-occipitale. T3, 3' circonvolution temporale. p. p. a.,
Pli
pariéto-limbique antérieur. p. p. p., Pli parié
on temporale. p. p. a., Pli pariéto-limbique antérieur. p. p. p.,
Pli
pariéto-limbique postérieur. C. A., Corne d'Amm
cartées laissent voir les circonvolutions de l'Insula (L. I) et les
plis
temporo- pariétaux (3, 3). a., Rameau antérie
te. P1, Pli pariétal supérieur. P2, Pli pariétal inférieur. Ps,
Pli
courbe. i,· 0. C., Lobe occipital. Ti, 1" cir
tes : d., Sillon occipital antérieur. b., Sillon intermédiaire au
pli
pariétal inférieur et au pli courbe. c., Sillon
antérieur. b., Sillon intermédiaire au pli pariétal inférieur et au
pli
courbe. c., Sillon divisant le pli courbe. p.
au pli pariétal inférieur et au pli courbe. c., Sillon divisant le
pli
courbe. p. p., Pli de passage allant de la 2e à
rieur et au pli courbe. c., Sillon divisant le pli courbe. p. p.,
Pli
de passage allant de la 2e à la 3" frontale gauch
tale gauche sur lequel se trouve la petite tumeur T. N. B. Sur le
pli
de passage reliant inférieurement FA à F3 au li
s, est très légèrement ondulée ; celle qui vient au-dessus a ses deux
plis
et sa légère dépression en arrière, à-peu-près co
tre par le sillon de Rolando. (Elles constituent pour nous les deux
plis
ascendants^ l'un appartient au lobe frontal, Vaut
la circonvolution S'S' envoie vers la partie postérieure du cerveau. [
Pli
supérieur de passage.) PP. Circonvolutions post
supérieur de passage.) PP. Circonvolutions postérieures. (Deuxième
pli
de passage.) S. S. Scissure de Sylvius. 1. P.
IL P., Première et deuxième circonvolutions postérieures de Leuret. (
Plis
du lobe occipito-sphénoïdal se continuant jusqu'à
té du lobe occipital par l'intermédiaire du troisième et du quatrième
plis
de passage.) P. V. Pont de Varole. P. A. Pyra
cial. Fig. 2. Fosse de Sylvius dilatée pour montrer son fond et les
plis
rayonnants de l'In-sula. R, S. Rord antérieur d
e ITnsula disposées en manière d'éventail et se continuant avec les
plis
superficiels de l'hémisphère. L.O. Lobe olfacti
circonvolutions frontales. S. S., S'S'. Circonvolutions supérieures. (
Plis
ascendants.) S". Prolongement de l'une des deux
s deux circonvolutions supérieures vers le lobe occipital. (Lobule du
pli
pariétal ascendant.) P. P. Circonvolutions post
le du pli pariétal ascendant.) P. P. Circonvolutions postérieures. (
Plis
de passage.) \. P., 2. P. Première et deuxième
udié avec soin son intelligence; on peut remarquer, en effet, que les
plis
du cerveau, qui est représenté ici, sont d'une ex
d à leur volume sur celles qui sont situées^au-dessous; toutefois les
plis
, bien qu'assez larges, y sont moins compliqués et
ure de Sylvius. b. Sillon de Rolando. c. Scissure parallèle. d.
Pli
frontal ascendant. e9 e\ é\ Les trois étages du
frontal ascendant. e9 e\ é\ Les trois étages du lobe frontal. f.
Pli
pariétal ascendant. f \ Lobule du pli pariétal
étages du lobe frontal. f. Pli pariétal ascendant. f \ Lobule du
pli
pariétal ascendant. g. Pli marginal inférieur.
Pli pariétal ascendant. f \ Lobule du pli pariétal ascendant. g.
Pli
marginal inférieur. h. Pli courbe. ». Premier
\ Lobule du pli pariétal ascendant. g. Pli marginal inférieur. h.
Pli
courbe. ». Premier pli ou pli supérieur de pass
ascendant. g. Pli marginal inférieur. h. Pli courbe. ». Premier
pli
ou pli supérieur de passage unissant au sommet du
nt. g. Pli marginal inférieur. h. Pli courbe. ». Premier pli ou
pli
supérieur de passage unissant au sommet du lobe o
upérieur de passage unissant au sommet du lobe occipital le lobule du
pli
pariétal ascendant. y. Deuxième pli de passage,
du lobe occipital le lobule du pli pariétal ascendant. y. Deuxième
pli
de passage, unissant le pli courbe au sommet du l
du pli pariétal ascendant. y. Deuxième pli de passage, unissant le
pli
courbe au sommet du lobe occipital. k. Troisièm
e, unissant le pli courbe au sommet du lobe occipital. k. Troisième
pli
de passage. 1. Quatrième pli de passage. Ces qu
mmet du lobe occipital. k. Troisième pli de passage. 1. Quatrième
pli
de passage. Ces quatre plis sont superficiels,
. Troisième pli de passage. 1. Quatrième pli de passage. Ces quatre
plis
sont superficiels, ce qui est le caractère du c
ng-Outang, de la collection du Muséum (extrait de mon ouvrage sur les
plis
cérébraux de l'homme et des primates). E. F. Ex
ure de Sylvius. b. Sillon de Rolando. c. Scissure parallèle. d.
Pli
frontal ascendant. e. ë, ë\ Les trois étages du
rontal ascendant. e. ë, ë\ Les trois étages du lobule frontal. f.
Pli
pariétal ascendant. f. Lobule du pli pariétal a
étages du lobule frontal. f. Pli pariétal ascendant. f. Lobule du
pli
pariétal ascendant. g. Pli marginal inférieur.
. Pli pariétal ascendant. f. Lobule du pli pariétal ascendant. g.
Pli
marginal inférieur. h. Pli courbe. h\ Rranche
. Lobule du pli pariétal ascendant. g. Pli marginal inférieur. h.
Pli
courbe. h\ Rranche descendante du pli courbe. ?
Pli marginal inférieur. h. Pli courbe. h\ Rranche descendante du
pli
courbe. ?*. Pli supérieur de passage superficiel.
férieur. h. Pli courbe. h\ Rranche descendante du pli courbe. ?*.
Pli
supérieur de passage superficiel. Le deuxième p
u pli courbe. ?*. Pli supérieur de passage superficiel. Le deuxième
pli
est caché au fond de la scissure perpendiculaire
caché au fond de la scissure perpendiculaire externe. k. Troisième
pli
de passage. /. Quatrième pli de passage. Fig. 6
perpendiculaire externe. k. Troisième pli de passage. /. Quatrième
pli
de passage. Fig. 6. Profil d'un cerveau d'un tr
rage.) Les lettres ont la même signification dans la figure 5. Le
pli
supérieur de passage manque; le deuxième est cach
e nom de corne d'Ammon ou de pied d'hippocampe, la saillie interne du
pli
rentrant que loge la gouttière de la branche desc
du cornet pédonculaire, et de celles du corps calleux, dans tous les
plis
de la face externe de l'hémisphère. a. Faisceau
opposé de l'axe se portent par le corps calleux à tous les étages de
plis
qui occupent la face externe de l'hémisphère. i
'éventail pédonculaire se portent directement dans tous les étages de
plis
qui occupent la face externe de l'hémisphère et a
les auteurs sous le nom de racine externe. k. Commissure entre les
plis
internes inférieurs de l'hémisphère et le lobe ol
t rabattu. á. Gouttière qui logeait la racine du vermis latéral, y.
Plis
et feuilles du lobe latéral en relation avec le
s propositions indiquées, t. II, p. 239. a. Vermis médian chargé de
plis
. b. Cervelets latéraux encore absolument lisses
ce postérieure, vue d'en haut. a. Corps du cervelet moyen chargé de
plis
. b. Corps des cervelets latéraux, encore lisses
dès cette époque, le cervelet, malgré sa petitesse, présente déjà des
plis
sur toute sa surface. Fig. 45. Profil du cervel
rmis moyen très-réduit. b. Cervelets latéraux énormes et chargés de
plis
. Fig. 20. Cervelet du lapin (Lepus cuniculus),
encore les lobes optiques. B. Bulbe. C. Cervelet déjà couvert de
plis
. L. 0. Lobes optiques divisés en quatre tubercu
fundibulum. H. C. Hémisphère cérébral présentant déjà quelques gros
plis
dans l'ensemble desquels se reconnaissent certain
latéral, parfaitement lisse. C. M. Cervelet moyen, déjà couvert de
plis
. L. A. Vermis latéral. P. V. Pont de Varole. L.
égères fossettes vues en raccourci et qui distingueront plus tard les
plis
inférieurs de passage. N.B. On peut remarquer q
Son extrémité occipitale. N.B. On remarque déjà quelques traces de
plis
sur l'extrémité frontale. D'ailleurs, les lobes f
. Olive. L. A. Vermis latéral. C. M. Cervelet moyen déjà riche en
plis
. C. L. Cervelet latéral sur lequel apparaissent
e en plis. C. L. Cervelet latéral sur lequel apparaissent de gros
plis
bien distincts. E. F. Extrémité frontale de l'hém
s largement béante. SC. II. Scissure ou sillon de Rolando. N.B. Des
plis
apparents existent sur l'extrémité frontale; mais
ue des piquetures irrégulières qui n'ont point encore le caractère de
plis
. Une autre remarque importante est que tandis q
le de l'hémisphère sur laquelle se voient à peine quelques indices de
plis
. E. 0. Extrémité occipitale. S. S. Scissure d
estige. SC S. Scissure de Sylvius. SC. P. Scissure parallèle. P. P.
Plis
de passage indiqués par la présence d'un sillon.
. F. A. Pli frontal ascendant. P. P. A. Pli pariétal ascendant. P. C.
Pli
courbe. N.B. Les plis des régions inférieures à
endant. P. P. A. Pli pariétal ascendant. P. C. Pli courbe. N.B. Les
plis
des régions inférieures à la scissure de Sylvius
a scissure parallèle est à peine indiquée. Il est remarquable que les
plis
se développent ainsi autour d\me fosse de Sylvius
ccipitale. S. R. Sillon de Rolando. SC. S. Scissure de Sylvius. P. C.
Pli
courbe. PLANCHE TRENTIEME. DÉVELOPPEMENT ET S
tal ascendant. P. P. A. Pli pariétal ascendant. L. P. P. A. Lobule du
pli
pariétal ascendant. P. C. Pli courbe. SC. P. In
riétal ascendant. L. P. P. A. Lobule du pli pariétal ascendant. P. C.
Pli
courbe. SC. P. Indication de la scissure parall
frontal ascendant. P. P. A. Pli pariétal ascendant. L. Lobule du
pli
pariétal ascendant. P. C. Pli courbe qu'on voit
li pariétal ascendant. L. Lobule du pli pariétal ascendant. P. C.
Pli
courbe qu'on voit communiquer avec le sommet du
r avec le sommet du lobe occipital par l'intermédiaire d'un large
pli
de passage. Fig. 4. Face interne de l'encéphale
V. Ventricule latéral que remplissait un plexus choroïde énorme. Des
plis
rayonnants des couches corticales font saillie da
ntal ascendant. P.P. A. Pli pariétal ascendant. L. P. P. A. Lobule du
pli
pariétal ascendant. P. C. Pli courbe communiquant
riétal ascendant. L. P. P. A. Lobule du pli pariétal ascendant. P. C.
Pli
courbe communiquant avec le sommet du lobe occi
i courbe communiquant avec le sommet du lobe occipital par un large
pli
de passage. 1° Étage inférieur du lobule frontal
par un large pli de passage. 1° Étage inférieur du lobule frontal ou
pli
orbi- taire. 2° Étage moyen du même lobule. 3
ascendant. P. P. A. Pli pariétal ascendant. L. P. P. A. Lobule du
pli
pariétal ascendant. P. P. Pli supérieur de pass
al ascendant. L. P. P. A. Lobule du pli pariétal ascendant. P. P.
Pli
supérieur de passage. P. C. Pli courbe avec le
du pli pariétal ascendant. P. P. Pli supérieur de passage. P. C.
Pli
courbe avec le pli de passage qui l'unit au lob
cendant. P. P. Pli supérieur de passage. P. C. Pli courbe avec le
pli
de passage qui l'unit au lobe occipital. C. O.
rontal ascendant. P. P. A. Pli pariétal ascendant. P. P. S. Lobule du
pli
pariétal ascendant, et pli supérieur de passage
Pli pariétal ascendant. P. P. S. Lobule du pli pariétal ascendant, et
pli
supérieur de passage. P. P'. Pli de passage pas
bule du pli pariétal ascendant, et pli supérieur de passage. P. P'.
Pli
de passage passant du sommet du pli courbe au s
li supérieur de passage. P. P'. Pli de passage passant du sommet du
pli
courbe au sommet du lobe occipital. P. C.P.C. P
courbe au sommet du lobe occipital. P. C.P.C. Pli courbe. P. M. I.
Pli
marginal inférieur. S. P. Scissure parallèle. 1
it de la voûte. S. L. Septum lucidum. CC. Corps calleux. P. C C
Pli
du corps calleux recouvrant le ruban fibreux de
. M. Vermis moyen. T. Touffe. L. SPH. Lobe sphénoïdal. P. L. 0.
Pli
du lobule orbi taire. Fig. 6. Face supérieure d
riétal ascendant. SC P. Scissure parallèle. L. P. P. A. Lobule du
pli
pariétal ascendant. 1. Étage inférieur du lobul
(1) L'ensemble de ces figures montre qu'à la naissance le système des
plis
cérébraux est complet. Fig. 4. Face supérieure.
. P. P. A. Pli pariétal ascendant. L. P. P. A. Lobule atrophié du
pli
pariétal ascendant. P. C. Pli courbe. 1. Pli
ant. L. P. P. A. Lobule atrophié du pli pariétal ascendant. P. C.
Pli
courbe. 1. Pli supérieur de passage. 2. Deuxi
. Lobule atrophié du pli pariétal ascendant. P. C. Pli courbe. 1.
Pli
supérieur de passage. 2. Deuxième pli de passag
ant. P. C. Pli courbe. 1. Pli supérieur de passage. 2. Deuxième
pli
de passage [superficiel). M. Étage moyen du lobe
. Étage moyen du lobe frontal. F. F. Étage supérieur divisé en deux
plis
. Fig. 2. Profil du même cerveau. B. Bulbe. 0.
e Rolando. P. P. A. Pli pariétal ascendant. L. P. P. A. Lobule du
pli
pariétal ascendant. 1., 2., 3., 4. Les quatre pli
P. P. A. Lobule du pli pariétal ascendant. 1., 2., 3., 4. Les quatre
plis
de passage, tous superficiels. S. S'. Scissure pa
te ce cerveau, je signalerai surtout l'existence simultanée de quatre
plis
de passage, tous superficiels, en sorte qu'au mil
E. D. Extrémité occipitale. E. F. Extrémité frontale. P. F. S. I.
Pli
frontal supérieur interne.] P. C. C.—PC. Pli du
rontale. P. F. S. I. Pli frontal supérieur interne.] P. C. C.—PC.
Pli
du corps calleux. P. V. Extrémité et lobule du
] P. C. C.—PC. Pli du corps calleux. P. V. Extrémité et lobule du
pli
unciforme. CC. Corps calleux. S. L. Septum lu
Pilier postérieur de la voûte. C E. Corps bordant. C G. Corps ou
pli
godronné. SYSTEME NERVEUX DES ANIMAUX IN VER 7
lobe temporal. .VA, noyau amygdalien. P, pied du pédoncule. - pFd,
pli
falciforme de Broca. Fsplt, Ventricule sphé-
bercule antérieur de la couche optique et l'extrémité antérieure du
pli
cunéo-limbique. Celte coupe est donc, comme dan
n du capuchon eephali<¡lle de l"am- nios, qui l'orme 11n re-
pli
prêt il venir rccou- vrir la tête.- Vo, épanoui
du quatrième ventricule (MoV4), et par l'existence de quatre à six
plis
sur ses parois latérales. Ces plis, dont trois si
par l'existence de quatre à six plis sur ses parois latérales. Ces
plis
, dont trois siègent en avant, et un, quelquefoi
STÈME NERVEUX. 85 git, les parois latérales s'étirent au niveau des
plis
de flexion en forme d'auricules, dans lesquelle
, l'alligator en particulier, la lame cérébelleuse présente de gros
plis
transversaux, qui sont d'autant plus développés
lp, lobe olfactif postérieur. - lt, lame terminale embryonnaire. Pch,
pli
choroïdien. Po, protubérance. - R, recessus gén
ndant le deuxième et le troisième mois de la vie inlra-utérine, des
plis
plus ou moins nombreux, qui affectent. tous une
visions. Paroi externe de- cc la vésicule ]iC-nii- sphériquc.
Plis
radiés transi- toircs. / 1os ANATOMIE DES C
posté- rieure. Naissance de la corne il'Anirnon. 46, 47). Ces
plis
comprennent toute l'épaisseur de la paroi externe
de sillons définitifs sur lesquels nous reviendrons. Pour nous, ces
plis
que nous avons pu étudier sur un embryon humain
ur un embryon humain du troisième mois encore vivant, sont bien des
plis
primordiaux, et n'ont rien à voir avec les plis q
vant, sont bien des plis primordiaux, et n'ont rien à voir avec les
plis
qui se produisent dans le manteau cérébral à ce
ce suturale opto- striée, on y voit apparaître de bonne heure, deux
plis
parallèles au bord hémisphérique. Ces plis font
tre de bonne heure, deux plis parallèles au bord hémisphérique. Ces
plis
font saillie dans la cavité ventriculaire; ils pa
du lobe temporal qu'ils n'atteignent cependant pas. Le supérieur ou
pli
ammonique, s'épaissit et donnera naissance à la c
'épaissit et donnera naissance à la corne d'Ammon; l'in- férieur ou
pli
choroïdien, se réduit à une mince lame épithélial
qui coiffe les plexus choroïdes des ventricules latéraux. Ces deux
plis
, saillants dans la cavité ventriculaire, corres
sillon choroïdien (fig. 42, Fch). Ces deux sillons interceptent un
pli
arqué, le pli marginal de Schmidt (Randbogen), su
dien (fig. 42, Fch). Ces deux sillons interceptent un pli arqué, le
pli
marginal de Schmidt (Randbogen), sur lequel nous
horoïdienne de His (Area chorioidea) et se continue en haut avec le
pli
'marginal de Schmidt. Le segment inférieur, situé
scissure inter-hémisphérique la refoule en ar- rière en formant le
pli
falci forme de His, qui s'insinue profondément en
cerveau antérieur. - 7 ? paroi interne du cerveau antérieur. - Pm,
pli
marginal de Schmidt. - purs, sillon prérolandique
nerfs de Lancisi. - 0, première circonvolution occipitale. - l'ch,
pli
choroïdien et plexus choroïdes des ventricules
ème mois, au niveau de la zone choroïdienne de His, et au niveau du
pli
marginal de Schmidt. Ce dernier pli, compris en
ïdienne de His, et au niveau du pli marginal de Schmidt. Ce dernier
pli
, compris entre le sillon choroïdien et le sillo
, ainsi qu'aux genou et bec du corps calleux. La partie ventrale du
pli
marginal donne naissance aux corps et piliers pos
é morphologiquement des autres ven- Zone choroïdionno o de Hi,.
Pli
marginal. Origine ernhryau- ,aire spéciale du
omme. Le corps calleux se forme aux dépens Le trigone naît du
pli
marginal. tricules, qui se développent aux dépe
e, naissent par différenciation cellulaire de la partie ventrale du
pli
marginal. En avant elles se continuent avec les
lobe occipital. -- oi, sillon collatéral. - P, lobe pariétal. - Pu,
pli
marginal de Schmidt. po, scissuro pariéto- occi
onc et du bourrelet, le long de toute la partie fronto-pariétale du
pli
marginal. Ces dernières séparent violemment et
ration est complète : il n'existe en effet entre ces parties aucun
pli
de pas- 1<'10. 67. - Face interne du cerveau
tion temporale. Tous ces lobes sont reliés au lobe limbique par des
plis
de passage. Le lobe frontal est relié au lobe l
passage. Le lobe frontal est relié au lobe limbique, par un ou deux
plis
de passage situés en avant du genou du corps ca
deux plis de passage situés en avant du genou du corps calleux, les
plis
de passage fronto-lim- biques ; le lobe pariéta
les plis de passage fronto-lim- biques ; le lobe pariétal, par les
plis
de passage pariéto-limbiques antérieur et posté
assage pariéto-limbiques antérieur et postérieur; le cuneus, par un
pli
profond mais constant, le pli cunéo-lim- bique;
ieur et postérieur; le cuneus, par un pli profond mais constant, le
pli
cunéo-lim- bique; le lobule lingual, par le pli
d mais constant, le pli cunéo-lim- bique; le lobule lingual, par le
pli
rétro-limbique; le lobule fusiforme enfin, par
ngual, par le pli rétro-limbique; le lobule fusiforme enfin, par le
pli
temporo-limbique ou temporo-hippocampique de Broc
volution godronnée, développée aux dépens de la partie dor- sale du
pli
marginal, et qui représente le véritable limbe de
re. Prsecuueus. Cuneus et lobule lingual. Lobule fusiforme.
Plis
do passage qui réunissent le lobe limbique au
continue avec le lobe occipital en formant le gyrus angulaire ou
pli
courbe. Le lobe temporal se fusionne avec le
utions et sillons du lobo occi- pital. il li Apparition dos
plis
de passage au non- vième mois. Modification
s et au dixième mois, apparaissent des incisures secondaires et des
plis
de passage, les uns profonds, les autres superf
et des plis de passage, les uns profonds, les autres superficiels,
plis
qui compliquent singulièrement l'aspect extérie
am. ' HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 2tt des
plis
, des stries, des filaments, des granulations, don
ons pariétales. - l'a, circonvolution pariétale as- cendante. - Pc,
pli
courbe. - po, scissure pariéto-occipitale. - poi,
cendante. - Pc, pli courbe. - po, scissure pariéto-occipitale. - poi,
pli
de passage parièlo- occipital interne de Gratio
n prérolandique supérieur. - pt, sillon pariétal transverse. - pla,
pli
de passage parito-limbique antérieur. - aplp, pli
ransverse. - pla, pli de passage parito-limbique antérieur. - aplp,
pli
de passage parioto-limbique postérieur. - R, sc
cule cérébral. - l'ol, pédoncule olfactif. PT, pôle temporal. izrl,
pli
de passage rtro-limbiclue. - xtl, pli de passag
tif. PT, pôle temporal. izrl, pli de passage rtro-limbiclue. - xtl,
pli
de passage temporo-limbique. - S(ct), branche ver
ions pariétales. - Pa, circonvolution parié- tale ascendante. - Pc,
pli
courbe. - po, scissure pariéto-occipitalc. - por,
-occipiLale. - l'ol, pédon- cule olfactif. - PrC, prfecuncus. ? lf,
pli
fronto-limbique. - ispla, pli parieto-limbiquc
cule olfactif. - PrC, prfecuncus. ? lf, pli fronto-limbique. - ispla,
pli
parieto-limbiquc antérieur. - 7,-11, pli tempor
fronto-limbique. - ispla, pli parieto-limbiquc antérieur. - 7,-11,
pli
temporo-limbique. - Il, scissure de Rolando. - ri
les sillons ne présentent pas chez l'homme un type régulier.
Plis
de passage et plis anastomotiques. Anses ou p
sentent pas chez l'homme un type régulier. Plis de passage et
plis
anastomotiques. Anses ou plis d'in- llexion.
type régulier. Plis de passage et plis anastomotiques. Anses ou
plis
d'in- llexion. posent les lobes, et en incisu
t. Les anastomoses de lobe à lobe portent depuis Gratiolet le nom de,
plis
de passage; ceux-ci sont superficiels et appare
ient deux - circonvolutions voisines portent depuis Broca le nom de
plis
anastomotiques ou de plis de communication; ils
s voisines portent depuis Broca le nom de plis anastomotiques ou de
plis
de communication; ils peuvent être superficiels o
communication; ils peuvent être superficiels ou profonds comme les
plis
de passage. Lorsqu'ils sont profonds, les sillons
ticaux, qui ne - sont reliés au reste de la corticalité que par des
plis
anastomotiques pro- fonds. Les circonvolutions
olées, des méandres et des courbures connues sous le nom d'anses ou
plis
d'inflexion. Ces plis de passage, d'anastomose
des courbures connues sous le nom d'anses ou plis d'inflexion. Ces
plis
de passage, d'anastomose et d'inflexion, imprimen
es dans la délimitation des différents lobes cérébraux; grâce à ces
plis
, les limites des lobes sont fictives et conventio
scissure est, en effet, chez l'homme, toujours interrompue par des
plis
de passage, et se réduit à une simple entaille du
lle permet une orientation plus facile de l'écorce cérébrale. Les
plis
de passage, d'anastomose et d'inflexion, sont, ch
utions pariétales. Pa, circonvolution pariétale ascen- dante. - Pc,
pli
courbe. - po, scissure pariéto-uccipitale. - par,
érolandique supérieur. - R,R', sillon de Rolando, interrompu par un
pli
de passage superficiel (n siégeant au voisinage d
'ill'21 ses branches verticales. - tQ, deuxième sillon temporal. - Y,
pli
de passage superficiel interrompant la scissure
rompant la scissure de Rolando. 248 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Plis
de passage qui relient le lobe tempo- ral au
niveau de l'extrémité postérieure de la scissure de Sylvius par des
plis
de passage constants, soit superficiel, soit pr
de passage constants, soit superficiel, soit profond (lig. 173). Le
pli
de passage superficiel constitue la circonvolut
arginale supérieure ou gyrus supra, marginalis (Gsm) (fig. 150). Le
pli
de passage profond est souvent dédoublé, il est s
.}, sillons prérolandiques infé- rieur et supérieur. - 7tC" premier
pli
vertical de Gromier. - 7tC., deuxième pli verti
supérieur. - 7tC" premier pli vertical de Gromier. - 7tC., deuxième
pli
vertical de Gronder. - R, scisssure de Rolando.
en arrière de la partie moyenne de l'hémisphère, est limitée par le
pli
de passage fronto-pariétal supérieur ou lobitle
rconvolutions rolandi- ques. L'extrémité inférieure, limitée par le
pli
de passage fronto-pariétal inférieur (OpR) (fig
iron en ar- rière de son rameau ascendant ou vertical (S [v]).-Le
pli
de passage fronto-pariétal inférieur ou opercul
es cas, de soulever l'oper- cule, pour s'assurer de la constance du
pli
de passage fronto-pariétal inférieur. , Le fo
convolutions rblandiques (fig.155), et constituer un ou plusieurs
plis
transversaux, véritables plis de passage profon
155), et constituer un ou plusieurs plis transversaux, véritables
plis
de passage profonds. Exceptionnellement ces pli
saux, véritables plis de passage profonds. Exceptionnellement ces
plis
deviennent superficiels, comme dans les cas cit
fissu1'æ pnrieto- luc. 154. = Sillon de Rolando interrompu par un
pli
de passage superficiel. Hémi- sphère gauche.
temporale. - 3j, circonvolu- tion temporale profonde. - .x, x',
pli
d'insertion profond , de la deuxième circonvolu
ème circonvolution pariétale' sur la pariétale as- cendante. - y,
pli
de passage interrompant la scissure de Roland
errompant la scissure de Rolando. - , opercule rolan- dique. - r,
pli
anastomotique profond permettant la commu- ni
et, que nous considérons seul mainte- nant, est interrompu par deux
plis
de passage constants et superficiels, et se réd
ord inter-hémisphérique. Chez le singe et chez quelques idiots, les
plis
de passage sont profonds et la scissure descend j
ieure de la scissure de Sylvius, dont il est toujours séparé par un
pli
anastomotique plus ou moins mince, situé quelquef
mince, situé quelquefois profondé- ment dans la scissure sylvienne,
pli
qui n'est autre que le pli d'insertion de la tr
ofondé- ment dans la scissure sylvienne, pli qui n'est autre que le
pli
d'insertion de la troisième circonvolution fron
fig. 156). Il est en effet le plus souvent interrompu par de nombreux
plis
d'anastomose, soit superficiels, soit profonds,
es première et deuxième circonvolutions frontales. Lorsque ces deux
plis
d'insertion sont profonds (fig. 1G), le sillon
ciel avec le sillon de Rolando dont il suit la direction. Mais ces
plis
d'in- sertion sont le plus souvent superficiels
et se trouve généralement interrompu dans son trajet par un ou deux
plis
anastomotiques superficiels, qui relient les de
relient les deux premières circonvolutions frontales. Un troisième
pli
anastomo- tique le sépare en gé- néral, en av
de la deuxième, et se trouve inter- rompu par un ou plu- sieurs
plis
anastomo- tiques, qui relient entre elles ces
aspect d'un accent circonflexe très ouvert en bas, gràce à un ou deux
plis
anastomotiques, qui relient la deuxième ou la p
- Synonymie : Étage frontal supérieur ou troisième étage frontal et
pli
de la zone externe (Gratiolet). - Sapero-t'roll
(Turner). - Deuxième circon- volution frontale (Broca). Étage ou
pli
frontal inférieur; premier étage ou surcilier (Gr
rois circonvolutions frontales se présentent sous la forme de trois
plis
antéro-postérieurs, plus ou moins llexueux, emboî
ion frontale, ou circonvolution frontale supé- rieure (F,) forme un
pli
épais, large et sinueux, souvent divisé longitudi
frontale (F,), à laquelle elle est généralement réunie par un ou deux
plis
MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 257 anastomotiques et
ions pa- riétales. - Pa, circonvolution pariétale ascendante. - Pc,
pli
courbe. po, scissure parieto- occipitale. pal',
- pt, sillon pariétal transverse. - 7tGI, 7tG" premier et deuxième
plis
verticaux de (lromier. - R, scissure de Rolando.
- férieure de la cZ1'convolu- tion frontale ascendante (Fa). Ce
pli
d'insertion, assez court et étroit, est en gé
e et inférieure. - Pd, circonvolu- tion pariétale ascendante. - Pc,
pli
courbe : - pu,2, pied de la deuxième- circonvol
dique supérieur. - pt, sillon pariétal transverse. - 7tG" premier
pli
vertical de Gromier. - R, scissure de Rolando. -
oie en général à ce niveau, à la deuxième circonvolution frontale, un
pli
anastomotique quilimite en avant le deuxième si
laire (Op F 3)' se continue avec le cap de Broca sous la forme d'un
pli
étroit et allongé, qui tantôt se rétrécit, tantôt
envoie en général à la deuxième circon- volution frontale (F.,) un
pli
anastomotique quelquefois profond, le plus souv
e sépare de la scissure de Sylvius, puis s'insère finalement par un
pli
étroit, mince, court et souvent profond, à la par
tltruyoïulec. 260 ANATQMIE..DES CENTRES NERVEUX. Fin. 160 et 161.
Pli
courbe et variétés d'insertion du pied de la troi
ol.ographies de deux hémisphères gauches, durcis dans l'alcool.) Le
pli
courbe est coloré en bleu, la troisième circonvol
olutions pariétales. - Pa, circonvolution pariétale ascendante. - Pc,
pli
courbe. - po, scissure pariéto-occipitale. -por
che. (D'après la photographie d'une pièce durcie dans l'alcool.) Le
pli
courbe est coloré en bleu, la troisième circonvol
utions pariétales. Pa, circonvolution pariétale ascen- dante. - Pc,
pli
courbe. -po, scissure haricto-occil»talc. - 1»,i,
CENTRES NERVEUX. Circonvolution frontale ascendante. Trajet.
Plis
de passage. La face profonde du pli passage i
tale ascendante. Trajet. Plis de passage. La face profonde du
pli
passage in- férienr forme l'oper- cule roland
du pli passage in- férienr forme l'oper- cule rolandique. Lc
pli
fronto-pa- riétal supérieur for- me le lobule
IE, - l'roccssi enleroidei - vertical di mezzo (Rolando). - Premier
pli
ascendant (Gratiolet). - Antcro-parietal gyrus
ongénère, la circonvolution pariétale, '. ascendante (Pa), par deux
plis
de passage, les plis de passage fl'onto-parirJ-
lution pariétale, '. ascendante (Pa), par deux plis de passage, les
plis
de passage fl'onto-parirJ- taux supérieur et in
plis de passage fl'onto-parirJ- taux supérieur et inférieur. i Le
pli
de passage inférieur, le plus souvent superficiel
) de l'opercule, le limitent en avant et en arrière. Quelquefois le
pli
de passage fronto-pariétal infé- z rieur est ca
se jeter directement dans la scissure de Sylvius (fig. 106). ¡ Le
pli
de passage froatomcnrc·tal.suhérzezcr, situé le l
inférieur. - prs, sillon prérolandique supé- rieur. -1tG1, premier
pli
vertical de Gromicr. - pt, sillon pariétal transv
ooidei vertical di mezzo (partie postérieure) (Rolando). - Deuxième
pli
ascendant (Gratiolet). - Poslero-parietal gyrus
de Rolando. Elle se continue en bas, avec la partie postérieure du
pli
de passage fronto-pariétal inférieur et concour
u'elle contourne à sa partie supérieure, en contribuant à former le
pli
de passage f1'Onto-pa/'i/tal supérieur ou lobul
l (Parc). Le contingent pariétal de ce lobule est représenté par un
pli
très étroit, et qui contraste z nettement par s
scissure de Rolando (R), I<'JG. 104. - Sillon inter-pariétal et
plis
de passage superficiels de Gromier. Face postéro-
ule rolandique. - Pa, circonvo- lution pariétale ascendante. - lle,
pli
courbe. - Pi, première circonvolution pariétale.
e Brissaud. - 1tG" premier lui vertical de Gronder. - 1tG" deuxième
pli
vertical de Gromier. 1tp, pli de passage qui in
ui vertical de Gronder. - 1tG" deuxième pli vertical de Gromier. 1tp,
pli
de passage qui interrompt scissure de Rolando.
, même lorsqu'il est très ' net, est généralement interrompu par un
pli
anastomotique profond, formé par un des plis d'
ement interrompu par un pli anastomotique profond, formé par un des
plis
d'insertion de la circonvolution pariétale supéri
stomose verticale unit quel- Fig. 16,'i. - Sillon inter-pariétal et
plis
verticaux profonds de Cromier. - Face pos- téri
es et sillons ont t été écartés pour rendre plus apparents certains
plis
de passage. (D'après la photo- graphie d'une pi
landique inférieur. - prs, sillon prérolandique supérieur. - iota,
pli
anastomotique profond du sillon inter-occipital
profond du sillon inter-occipital. - 7tG" 7tG., premier et deuxième
plis
verticaux de Crémier. - 7tP., pied d'insertion
d'insertion profond'de la circonvolution pariétale inférieure. -7tp,
pli
(le passage interrompant la scissure de Rolando
.). Le sillon interpariélal (ip) est fréquemment interrompu par des
plis
anastomotiques, soit superficiels, soit profond
tomotiques, soit superficiels, soit profonds, connus sous le nom de
plis
verticaux de Gromier (fig. 164, 165). Dans sa par
on pariétale inférieure (P2) en deux parties : l'une antérieure, le
pli
7zzar,irtal.ntpc-rinur (Gsm) de Gratiolet ou pr
rieure, le pli 7zzar,irtal.ntpc-rinur (Gsm) de Gratiolet ou premier
pli
de passage pariéto-temporal, l'autre postérieur
ou premier pli de passage pariéto-temporal, l'autre postérieure, le
pli
courbe (Pc). Première circonvolution pariétale
emière circonvolution pariétale (P,). Synonymie. Lobule du deuxième
pli
ascendant (Gratiolet). - Gyrus parielalis superio
mose avec la première circonvolution occipitale (0,) par le premier
pli
de passage pariéto-occipital de Gratiolet, et lim
oins nombreuses, et jette à la première circonvolution temporale un
pli
de passage, le premier pli de passage pariéto-tem
la première circonvolution temporale un pli de passage, le premier
pli
de passage pariéto-temporal de Broca, qui conto
e de la circonvolution a reçu le nom de gyrus supra- marginalis, de
pli
ou lobule marginal supérieur de Gratiolet (Gsm).
rginal supérieur de Gratiolet (Gsm). ' Après avoir formé le premier
pli
de passage tcmporo-pariétal, la cir- convolutio
d'llttaxley, qui désigne la circonvolution pariétale ascendante.
Plis
verticaux de Gromier. Synonymie. Circonvolu
omoser avec la deuxième circonvolution temporale (T2), et former le
pli
courbe de Gratiolet (Pc) (fig. 165 à 172), le gyr
olet (Pc) (fig. 165 à 172), le gyrus angularis d'Ecker, ou deuxième
pli
de passage priéto-tem2oral de Broca. L'anse pos
onvolution pariétale. Pa, circonvolution pariétale ascendante.. - Pc,
pli
courbe. PI, pre- mière circonvolution pariétale
et inférieur. - pt, sillon pariétal transverse de Brissaud. - ira,
pli
anastomotique interrompant le sillon intor-pariét
anastomotique interrompant le sillon intor-pariétal. - 7tG" deuxième
pli
' vertical de Gromier. - R, scissure de Rolando
ALE. 269 ro ... ? J'" 1 . ,... 1 Il .. 1 1 en lormant le deuxième
pli
de passage ? i ! <o-o< : Tj/7a/ de uratiote
tIexueuse, est reliée aux circonvolutions voisines par de nombreux
plis
anastomotiques. Elle est reliée à la pariétale
tion; elle est reliée à la pariétale supérieure par un ou plusieurs
plis
anastomotiques soit pro- fonds, soit superficie
usieurs plis anastomotiques soit pro- fonds, soit superficiels, les
plis
verticaux de Gromier qui interrompent la scissu
ure interpariétale. Elle est reliée au lobe occipital par le deuxième
pli
, de passage pariél o-occipilal ; elle est relié
l o-occipilal ; elle est reliée enfin au lobe temporal par les deux
plis
de passage pariélo-lemporaux, dont le premier con
s suivantes : - 1° Gyrus supra-marginalis (pu (G s m]1. -s5soa,wr. -
Pli
marginal supérieur (Gratiolet). Loutre du pli m
(G s m]1. -s5soa,wr. -Pli marginal supérieur (Gratiolet). Loutre du
pli
marginal supérieur (Gratiolet.). Gyrus purietalis
étale (Hnguenin). Lobule temporal inférieur (Huguenin). - Lobule du
pli
courbe (P2- (Pozzi). - Lobule pariétal infe- ri
Pi) (Richer). Notation : (Po) (Ecker, Broca). 2" Gyrus angularis,
pli
courbe (P c). SYNONYMIE. - Pli courbe (Gratiolet)
(Ecker, Broca). 2" Gyrus angularis, pli courbe (P c). SYNONYMIE. -
Pli
courbe (Gratiolet). - Gyrus angularis (Huxley).
clteilellsïppcherz (Huschke). ? Obérer Scheilel- bouen (Meynert). -
Pli
courbe (Pozzi). - Lobule du pli courbe (Bicher).
Obérer Scheilel- bouen (Meynert). - Pli courbe (Pozzi). - Lobule du
pli
courbe (Bicher). Notation : (P'2) (Ecker, Broca
otre avis, le meilleur moyen pour déterminer exactement la place du
pli
courbe consiste à rechercher d'abord, comme point
tement en avant de la scissure perpendiculaire externe (po) ; or le
pli
courbe est situé, comme nous l'avons dit, imméd
e cette ré- gion. Point de repère pour déterminer la place du
pli
courbe. Lobe occipital. 2ïO 0 ANATOMIE DES CE
et inférieure. - l'a, circunvoln- tion pariétale ascendante. - Pc,
pli
courbe. - po, scissure pariéto-occipitale. - po
ariéto-occipitale. - pour, sillon post-rolandique. - 7tG" pre- mier
pli
vertical de Gromier. - R, scissure de Rolando. -
e externe par le sillon interpariétal, bordé de chaque côté par les
plis
de passage de Gratiolet, ou plis occipito- ' pa
étal, bordé de chaque côté par les plis de passage de Gratiolet, ou
plis
occipito- ' pariétaux. Ces plis, volumineux, su
es plis de passage de Gratiolet, ou plis occipito- ' pariétaux. Ces
plis
, volumineux, superficiels et constants, affectent
issent l'anastomose du lobe pariétal avec le lobe occipital. Si ces
plis
de passage sont profonds, comme on ne le rencon
lobe occipital (fig. 1164, 171). Il divise le lobe occipital en Les
plis
occipito- pariétaux relient le lobe pariétal
- Pi, ! '. première et deuxième circonvolutions pariétales. - l'c,
pli
courbe. - pro, scis- sure pariéto-occipitale. -
illon pariétal transverse. - 'i ! G1, ·r<G ? premier et deuxième
plis
verticaux de Gromier. ï'i, T ? 7], première, de
occipitales (0,, 03) et l'anastomose de ces circonvolutions avec le
pli
courbe (Pc). Le deuxième sillon occipital (o,)
uindung (Ecker). Circonvolution occipitale supérieure (I : cher). -
Pli
occipital supérieur et pli de passage supé- rie
lution occipitale supérieure (I : cher). - Pli occipital supérieur et
pli
de passage supé- rieur externe (Gratiolet). - O
tomose avec le lobule pariétal , supérieur (P,) et forme le premier
pli
de lia.s.wrrelirtniéto-occiyilrrl rlc Una- tiol
lia.s.wrrelirtniéto-occiyilrrl rlc Una- tiolet; elle est séparée du
pli
courbe (P c) ou deuxième pli, de passage de Gra
l rlc Una- tiolet; elle est séparée du pli courbe (P c) ou deuxième
pli
, de passage de Gratiolet, par la scissure irrtm
e. Gyrus occipitalis médius (Pansci)).F occipital moyen et deuxième
pli
de passage externe (Gratiolet). Gyrus occipital
deuxième sillon occipital (o,). en haut elle se con- tinue avec le
pli
courbe (Pc), ou spcon{,t : fij;\f ? y ? f-&V.
ll 0Éolle forme l'an- . 48/ de bifurcation j)OStél'18L11'e. Ce
pli
de passage n'est pas toujours simple, il est
on temporale (T=), et cette anasto- mose constitue le troisième
pli
de pas- sage externe de Gra- tiolet. La deu
la forme d'un S; après avoir formé le ra- meau descendant du
pli
courbe, elle se dirige en arrière, contourne
IE. - Gyrus occipitalis lertius sive temporo-occipitalis (Ecker). -
Pli
occipital inférieur; Troisième et quatrième pli
ipitalis (Ecker). - Pli occipital inférieur; Troisième et quatrième
pli
de passage externe (Gratiolet). Dritte Zl1lte¡'e
ions pariétales. - Pa, cir- convolution pariétale ascendante. - Pc,
pli
courbe. - por, sillon post-rolandique. pt. sill
erse. icG.pli vertical de Gromier. - "pro" "po" premier et deuxième
plis
de passage parieto-occipitaux de Gratiolet. - R
sième circonvolution tem- porale (T 3)' en formant le qun- trième
pli
de passage externe de Gratiolet (fig. 168, 170,
ale inférieure. - l'a, circonvolution pariétale ascen- dante. Pc,
pli
courbe. - po, sillon p : trito-occi- pital. por
scissure de Sylvius (S[p]) qu'il con- tournepourformer l'axe du
pli
courbe (t',). Il présente à considérer une part
omotique, reliant ces deux circon- volutions (fib.1G0, -1 G0,1G L),
pli
ordinairementprofond, mais qui peut devenir sup
variétés individuelles. Arrivé au niveau de la limite inférieure du
pli
courbe (Pc), il se divise souvent en = (fib. 16
vent en = (fib. 169, 171). La branche supérieure constitue l'axe du
pli
courbe (t,), la branche inférieure forme le sillo
olntions pariétales. - Pa, circonvolution pariétale ascendante. Pc,
pli
courbe. - po, scissure pariéto- occipitale. - p
-rolandique. - prs, sillon prérolandique supérieur. - 1tGIo premier
pli
vertical de Gromier. - R, scissure (le Rolando.
si la limite antérieure du lobe occipital. D'autres fois encore, un
pli
de passage superficiel relie la deuxième circon
rieure.Ilest d'ordinaire interrompu par deux, voire même trois >
plis
anastomotiques (fib. 4 70, 171, 17) ; il sépare l
d'une façon variable. Tantôt ce sillon est limité en arrière par un
pli
anastomotique allant de la troisième circonvolu
ème (fig. 171), lantôt il se prolonge en haut et en arrière vers le
pli
courbe (Pc) et 1 c. 172. - Face postéro-exteruc
utions pariétales. - Pa, circonvolution pariétale ascendante. - Pc,
pli
courbe. - po, scissure pariélo- occipitale. - p
ure de ce sillon (fig. 149). D'autres fois, il en est séparé par un
pli
de passage, qui relie la troisième circonvoluti
le de l'insula. Troisième circonvolution temporale (T,). Synonymie.
Pli
temporal in- férieur (Gratiolet). - lnfeoior te
é-occipitale de Meynert (ipo). Elles sont réunies par deux ou trois
plis
anastomotiques, et dédoublées plus ou moins par
- Gyrus temporales médius s~ive sectl1ulus (Wagner, Ilusclil;e). -
Pli
temporal moyen et partie descendante du pli cou
(Wagner, Ilusclil;e). - Pli temporal moyen et partie descendante du
pli
courbe (Gratiolet). - Étage moyen dit lobe tcmpol
lutions temporales (T,, T3), en arrière, elle se pro- longe dans le
pli
courbe (Pc), dont elle concourt former, avec la d
temporale (T,). - SvKoKYMiK : Gyrus temporales superior (Ecker). -
Pli
temporal supérieur; Pli marginal postérieur ou in
YMiK : Gyrus temporales superior (Ecker). - Pli temporal supérieur;
Pli
marginal postérieur ou inférieur (Gratio- let).
la scis- sure parallèle (t,), qu'elle interrompt quelquefois par un
pli
de passage plus souvent profond que superficiel
plus souvent profond que superficiel (fig. z); elle est séparée du
pli
courbe par le sillon intermédiaire de Jensen (j
tie postérieure s'élargit et donne naissance à un, quelquefois deux
plis
de passage profonds, les plis de passage tempor
onne naissance à un, quelquefois deux plis de passage profonds, les
plis
de passage temporo-pariétaux profonds (Tp) ou rég
lution marginale supérieure (Gsm), laquelle représente un véritable
pli
de passage pariéto-temporal superficiel. Par so
constante, elle est oblique en haut et en arrière, porte le nom de
pli
de passage temporo-pariétal profond (Tp), de ci
olutions pariétales. - Pa, circonvolution pariétale ascendante. - Pc,
pli
courbe. - pF3. pied de la troisième circonvolut
onstante. 5° L'opercule rolandique (Brissaud) (Op li), formé par le
pli
de pas- sage fronto-pariétal inférieur, limité
pare de l'espace perforé antérieur : c'est le seuil de l'insula, le
pli
falciforme de Broca (SI) (fig. 177). Le pli fal
e seuil de l'insula, le pli falciforme de Broca (SI) (fig. 177). Le
pli
falciforme de Broca représente une circonvolution
e Broca représente une circonvolution curviligne aplatie, véritable
pli
de passage fronto-temporal, qui relie la pointe t
ette chez les animaux dits osmatiques par Broca. C'est au niveau du
pli
falciforme que le tronc de la scissure de Sylvi
e en branches anté- riezcre, ascendante et postérieure, c'est de ce
pli
que part également le sillon principal de l'ins
se le lobule de l'insula (I), constitué généralement par trois cinq
plis
radiés, disposés en éventail, dont les postérie
n éventail, dont les postérieurs se subdivisent fréquemment en deux
plis
secondaires. Ces plis partent tous du sommet tr
postérieurs se subdivisent fréquemment en deux plis secondaires. Ces
plis
partent tous du sommet tronqué de l'insula, du
face inférieure du cerveau, au niveau de la vallée de Sylvius et du
pli
falciforme de l'insula, à l'angle externe de l'es
ision de la circonvolution antérieure de l'insula correspondent aux
plis
antérieur et moyen de Broca. La branche antérieur
riétale de l'opercule (ipop). La circonvolution postérieure (Ip) ou
pli
postérieur de Broca, plus étroite, . mais plus
naît au niveau de la circonvolution du crochet (U), sous forme d'un
pli
étroit qui borde le sillon marginal postérieur (m
rte cette scissure, on rencontre toujours deux, quelque- fois trois
plis
de passage profonds, qui relient le cunéus aux ci
profonds, qui relient le cunéus aux circonvolu- tions voisines : le
pli
inférieur, pli cunéo-limbique de Broca ('1t cl) (
elient le cunéus aux circonvolu- tions voisines : le pli inférieur,
pli
cunéo-limbique de Broca ('1t cl) (fig. 182, 177,
rieur, pli cunéo-limbique de Broca ('1t cl) (fig. 182, 177, J 8'1),
pli
de passage pariéto-occipital interne et inférieur
lcarine. Il est généralement formé de deux, voire même trois petits
plis
parallèles, étendus du sommet du cunéus à la part
cunéus à la partie postérieure du lobe ]imbique (fig. 182, 183). Le
pli
supérieur, constant égale- ment, relie la parti
rique qu'il concourt à limiter, et où il se confond avec le premier
pli
de passage pariéto-occi- pital externe de Grati
sage pariéto-occi- pital externe de Gratiolet. Par analogie avec le
pli
cunéo-limbique. on peut dénommer ce pli, sous l
iolet. Par analogie avec le pli cunéo-limbique. on peut dénommer ce
pli
, sous le nom de pli 1-)a ? -iéto-occij)i,'I(tl in
avec le pli cunéo-limbique. on peut dénommer ce pli, sous le nom de
pli
1-)a ? -iéto-occij)i,'I(tl interne ou pli de pa
mmer ce pli, sous le nom de pli 1-)a ? -iéto-occij)i,'I(tl interne ou
pli
de passage interne et supérieur de Gratiolet (-
tuées, et s'unit à la scissure pariéto-occipitale, au- dessous du
pli
cunéo-limbique (7tcl). La branche commune aux
térale. po, scissure parieto- occipitale. - PrC, précunéus. - aplp,
pli
pariéto-limbique postérieur. - r,>·l, pli ré
rC, précunéus. - aplp, pli pariéto-limbique postérieur. - r,>·l,
pli
rétro- limbique. - sec, sinus du corps calleux.
existe pas, et que ces deux scissures sont toujours séparées par un
pli
de passage, l'isthme antécalcal'inien (L [i]).
'inien (L [i]). Fiu. l5 et 170. Cuucus,précunéus, lobule lingual et
plis
cunéo-linguaux superficiels. (Ces deux pointes
al. - po, scissure pariéto-occipitale. - PrC, pré- cunéus. - 7relg,
pli
cuneo-lingual; ce pli, exceptionnellement superfi
iéto-occipitale. - PrC, pré- cunéus. - 7relg, pli cuneo-lingual; ce
pli
, exceptionnellement superficiel dans la lig. 17G,
181, 182. - r.poi, plide passage pariéto-occipital interne. 7-,pla,
pli
pariéto-limbique antérieur. 'n/p, pli pariéto-lim
to-occipital interne. 7-,pla, pli pariéto-limbique antérieur. 'n/p,
pli
pariéto-limbirlue postérieur. 7r7,1, pli rétro-
to-limbique antérieur. 'n/p, pli pariéto-limbirlue postérieur. 7r7,1,
pli
rétro-limbidue. - Tztl, pli temporo-limhidue. -
li pariéto-limbirlue postérieur. 7r7,1, pli rétro-limbidue. - Tztl,
pli
temporo-limhidue. - R, scissure de Itolando.- sec
e est constamment interrompu par deux, le plus souvent trois petits
plis
verticaux, qui réunissent le cuneus (C) au lobe
g) (fig. 181, ! 8`2). Profonds dans l'immense majorité des cas, ces
plis
, que nous désignerons sous le nom de plis cunéo-l
nse majorité des cas, ces plis, que nous désignerons sous le nom de
plis
cunéo-linguaux (7t dg), siègent dans la moitié
les deux lèvres de cette scissure. Exceptionnellement, l'un de ces
plis
peut devenir superficiel soit dans la totalité,
niveau du coude postérieur de la scissure calloso-marginale, se r
Plis
anastollloti- lues eunéo-lingaux. ! .iJ Sci
e la scissure perpendiculaire interne, dont elle est séparée par un
pli
de passage, le pli de passage pariéto-limbique
ndiculaire interne, dont elle est séparée par un pli de passage, le
pli
de passage pariéto-limbique postérieur de Broca
ique postérieur de Broca (plp). Dans l'immense majorité des cas, un
pli
de unc. Ii 1. Face interne de 1 hémisphère droi
cipital. - PrC, précunéus. - pl, sillon 1>aric;to-temporal. - acl,
pli
cunéo-Umbiquo. ? ? pli fronto-limlitlue.- pli p
. - pl, sillon 1>aric;to-temporal. - acl, pli cunéo-Umbiquo. ? ?
pli
fronto-limlitlue.- pli pariéto-limbirlue antérieu
c;to-temporal. - acl, pli cunéo-Umbiquo. ? ? pli fronto-limlitlue.-
pli
pariéto-limbirlue antérieur. - "'pl/" pli parir
? ? pli fronto-limlitlue.- pli pariéto-limbirlue antérieur. - "'pl/"
pli
parir;to-limhirlue postérieur. - irrl, pli rétr
rlue antérieur. - "'pl/" pli parir;to-limhirlue postérieur. - irrl,
pli
rétro-limbirlue. - scc, sinus du corps calleux. -
erminale d'.IEby. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 289 passage analogue, le
pli
de passage pariéto-limbique antérieur (-pla) (f
sure calloso-nw1',qinalc est quelquefois interrompue par un ou deux
plis
de passage, le pli de passage f1'onto-lÙnbique de
nalc est quelquefois interrompue par un ou deux plis de passage, le
pli
de passage f1'onto-lÙnbique de Broca (- 11) (fi
a limite externe. Cette scissure est quelquefois interrompue par un
pli
de passage, le pli le) ? j)o2,o-Iiiibiqite (- tl)
ette scissure est quelquefois interrompue par un pli de passage, le
pli
le) ? j)o2,o-Iiiibiqite (- tl), qui relic le lobe
: Première circonvolution - . frontale interne (Charcot). - Second
pli
ou pli de la zone externe du lobe fronts-pariétal
ière circonvolution - . frontale interne (Charcot). - Second pli ou
pli
de la zone externe du lobe fronts-pariétal (Gra
acentral d'Ecker (Parc), lobule ovalail'e de Broca, repré- sente le
pli
de passage fronto-pariétal supérieur ou le pli ro
oca, repré- sente le pli de passage fronto-pariétal supérieur ou le
pli
rolandique SlIprf- rieur; irrégulièrement recta
de sillon pariétal transverse (Brissaud) (pt) (fig.181, 182). Deux
plis
de passage, les plis pariéto-limbiques antérieur
ransverse (Brissaud) (pt) (fig.181, 182). Deux plis de passage, les
plis
pariéto-limbiques antérieur et postérieur, (-pl
ssage, les plis pariéto-limbiques antérieur et postérieur, (-pla, ;,
pli
) relient les deux circonvolutions du précunéus au
lie plus ou moins accentuée dans la scissure pariéto-occipitale. Le
pli
pariéto-lim- bique antérieur est tantôt superfi
central. po, scissure pariéto-occipitale. - Porc, précunéus. - Tzpla,
pli
pariéto-limbique antérieur. - 7upll, pli pariét
Porc, précunéus. - Tzpla, pli pariéto-limbique antérieur. - 7upll,
pli
pariéto-limbique postérieur. - pli rétro-limbique
éto-limbique antérieur. - 7upll, pli pariéto-limbique postérieur. -
pli
rétro-limbique. - xcll, pli tem- poro-limbiquc.
7upll, pli pariéto-limbique postérieur. - pli rétro-limbique. - xcll,
pli
tem- poro-limbiquc. R, scissure de Rolando. - R
292 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cunéus. Sillon tln cuneus.
Plis
de passage et plis anastoniotiques du cuneus.
ENTRES NERVEUX. Cunéus. Sillon tln cuneus. Plis de passage et
plis
anastoniotiques du cuneus. Lobule lingual.
érique supérieur, son sommet est relié au lobe limbique (L,) par le
pli
cunéo-limbique (-cl), sa face antérieure profonde
la scissure pariéto-occipitale; elle est reliée au précunéus par le
pli
de passage pariéto-occipital interne et supérieur
de la scissure calcarine; elle est reliée au lobule lingual par les
plis
anastomotiques cuw ! o-lil/[j uaux (..dg) (fig. 1
. la circonvolution de l'hij)j)ocon2l)e (HL2), par l'intermédiaire du
pli
de pas- sage rélro-limbique (- ri) de Broca, pl
l'intermédiaire du pli de pas- sage rélro-limbique (- ri) de Broca,
pli
le plus souvent superficiel (fig. 4 in, 179, 18
se branche sur la scissure collatérale, immédiatement au-dessous du
pli
îél-o-Iii2îbiqèir de Broca (7t i-1) (fig. 179, 18
iqèir de Broca (7t i-1) (fig. 179, 180). Il dédouble quelquefois ce
pli
(fig. 183), et le lobule lingual se trouve alors
lobule lingual se trouve alors rattaché au lobe lim- bique par deux
plis
de passage rétro-limbiques, dont le supérieur est
ofond (fig. 181, 182). i Sillon du lobulo '' lingual. i t
Pli
lingual supé- rieur. 1'n.. 179. - Face inféro
obule para-central. - Pol, pôle olfactif. - PrC, précunéus. - rpla,
pli
pariétu-litnltique antérieur. - xplp, pli pariéto
- PrC, précunéus. - rpla, pli pariétu-litnltique antérieur. - xplp,
pli
pariéto-limbique posté- rieur. - pli rtrn-limlr
-litnltique antérieur. - xplp, pli pariéto-limbique posté- rieur. -
pli
rtrn-limlrique. Ttl, pli temporo-limbique. scc, s
xplp, pli pariéto-limbique posté- rieur. - pli rtrn-limlrique. Ttl,
pli
temporo-limbique. scc, sinus du corps calleux.
m en deux circonvolutions, l'une supérieure, l'autre inférieure. Le
pli
lingual supérieur, sinueux, mince et étroit, fo
ou circonvolution de ! ' hippocampe (L2 [IIJ), par l'intermédiaire du
pli
de pas- . sage rélro-limbique superficiel (2rl)
po, scissure pariéto-occiptiale ou perpendiculaire interne. - 7r/l,
pli
fronto-limbique. - 7tpla, Tcplp, plis pariéto-l
rpendiculaire interne. - 7r/l, pli fronto-limbique. - 7tpla, Tcplp,
plis
pariéto-limbidues antérieur et postérieur. - 7t'f
a, Tcplp, plis pariéto-limbidues antérieur et postérieur. - 7t'f'l,
pli
retro-limbique. - S, scissure de Sylvius. - sec
U, circonvolution du crochet. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 29H . il Le
pli
lingual inférieur forme une petite masse lobulée,
obule fusiforme (Fus), auquel il est uni quelquefois par un ou deux
plis
de passage (fig. 151, 174). Lobule fusiforme (F
issure collatérale est souvent interrompue dans cette région par un
pli
de passage, le pli temporo-limbique de Broca (-tl
est souvent interrompue dans cette région par un pli de passage, le
pli
temporo-limbique de Broca (-tl) (fig. 175, 178,
'hippocampe. En dehors, le lobule fusiforme s'unit, par de nombreux
plis
anastomo- tiques, à la troisième circonvolution
). C'est sur ce sillon que se branche, en général, lorsqu'elle '1
Pli
lingual inté- rieur. Lobule fusiforme. 'I
irconvolution ci-étée, processo ente1'oideo ci-istrito (Rolando). -
Pli
du corps calleux, grand pli commissural interne
cesso ente1'oideo ci-istrito (Rolando). - Pli du corps calleux, grand
pli
commissural interne (Pozzi). - Callosal gyrus (
i saillant, une crête ou un ourlet, qui sert de pied d'insertion au
pli
de passage fl'onto-limbiqul ? (tt il [fig. 180)
es au précunéus (PrC). Ces derniers servent de pied d'insertion aux
plis
de passage ? <'7o ? s' (Tpla, -plp), dont l'an
ieur est en général la plus profonde, et limite souvent en avant le
pli
de pas- sage pariéto-timbique postérieur (7tplp
MI Isthmo du lobe limbique. 298 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Pli
cuneo-limbi- quc. Plu Deuxième circon- vo
e la première circonvolution limbique à la deuxième, et reçoit deux
plis
de passage importants, l'un profond, le pli cunéo
uxième, et reçoit deux plis de passage importants, l'un profond, le
pli
cunéo-limbique (..cI), l'autre superficiel le p
pli cunéo-limbique (..cI), l'autre superficiel le plus souvent, le
pli
rétro-limbique ou occihito-Itipho- campique (-r
n du gyrus occipito-temporalis médius (lobule lingual) (Pansch). --
Pli
unciforme ou temporal moyen interne et lobule de
hippocampe et former le crochet, encore connu sous le nom de uncus,
pli
, unciforme, gyrus uncinatus(\]). L'extrémité po
fusiforme (Fus), auquel elle est reliée quelquefois en avant par un
pli
de passage superficiel, le pli de passage tempo
est reliée quelquefois en avant par un pli de passage superficiel, le
pli
de passage temporo-limbique de Broca) (fig. 180
ant le crochet de l'hippocampe, auquel il . est toujours uni par un
pli
de passage constant, plus ou moins profondé- me
sous-calleuses. FiG. 181. - Face interne de l'hémisphère gauche.
Plis
limbiques et cunéo-lingaux. Circonvolutions sou
issure hariéto-occipitale. - pt, sillon pariétal transverse. -1tel,
pli
cunén-1Î1nbique. - 1tcl,q, pli cunéo-lingual. - r
pt, sillon pariétal transverse. -1tel, pli cunén-1Î1nbique. - 1tcl,q,
pli
cunéo-lingual. - r.fl, pli fronto-limbique. -1t
rse. -1tel, pli cunén-1Î1nbique. - 1tcl,q, pli cunéo-lingual. - r.fl,
pli
fronto-limbique. -1tpla, pli pariéto-limbique a
. - 1tcl,q, pli cunéo-lingual. - r.fl, pli fronto-limbique. -1tpla,
pli
pariéto-limbique antérieur. p/jo, pli parieto-lim
pli fronto-limbique. -1tpla, pli pariéto-limbique antérieur. p/jo,
pli
parieto-limbique postérieur. - 1tpoi, pli de pa
limbique antérieur. p/jo, pli parieto-limbique postérieur. - 1tpoi,
pli
de passage pariéto-oecipital interne. -7ci-1, 7ci
- 1tpoi, pli de passage pariéto-oecipital interne. -7ci-1, 7ci-l',
plis
rétro-limbiques. R, scissure de Rolando.- sbll,
bercule olfactif. - U, circonvolution du crochet. - x,x', x", trois
plis
cunéo-linguaux profonds situés dans la profondeur
de Brissaud. - l'ul, pulvinar. - 7ccl, lli cunéo-limbique. - 7tclq,
pli
cuneo-lingual ? <,pli fronto-limbique. xpla,
lvinar. - 7ccl, lli cunéo-limbique. - 7tclq, pli cuneo-lingual ? <,
pli
fronto-limbique. xpla, Ttplp, plis pariéto-limb
- 7tclq, pli cuneo-lingual ? <,pli fronto-limbique. xpla, Ttplp,
plis
pariéto-limbiques antérieur et postérieur. tzpoi,
xpla, Ttplp, plis pariéto-limbiques antérieur et postérieur. tzpoi,
pli
de passage parieto- occipital interne. plis rét
ur et postérieur. tzpoi, pli de passage parieto- occipital interne.
plis
rétro-limbiques. 7utl, pli temporo-limbiquc. - R,
de passage parieto- occipital interne. plis rétro-limbiques. 7utl,
pli
temporo-limbiquc. - R, scissure de Rolande. H,
issura serolina de His; ce dernier sillon est souvent masqué par un
pli
de passage, mais on con- state toujours à son n
rieur ou pied du pédoncule cérébral. l'ol, pédoncule olfactif. 7,i,l,
pli
rétro- limbique. Qp. tubercule quadrijumeau pos
2. Circonvolution postérieure de l'insula.......... Ip 3. Bord ou
pli
falciforme de Broca (Seuil de l'insula).. Sf
..... * P, 2. Sa portion interne ou Prc- cunéus PrC Son premier
pli
vertical de Gromier ......... Son deuxième pl
PrC Son premier pli vertical de Gromier ......... Son deuxième
pli
vertical de Gromier......... rG2 3. Circonvol
Il Son opercule OpP$ Circonvolution marginale su- rieurs Gsm
Pli
courbe......... Pc MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 311
cci- pitale.......... Oi 2. Sa portion interne ou Cunéus. C Son
pli
de passage pariéto- occipital interne et supé-
ndante (gyrus descen- dons).......... D 6. Lobule lingual. , Lg
Plis
cunéo-linguaux.... ¡;clg 7. Lobule fusiforme ..
rconvolutions sous-calleuses. Csc . Circonvolution du crochet.. U
Plis
de passage : Pli fronto-limbique..... xfl Pli
alleuses. Csc . Circonvolution du crochet.. U Plis de passage :
Pli
fronto-limbique..... xfl Pli pariéto-limbique a
n du crochet.. U Plis de passage : Pli fronto-limbique..... xfl
Pli
pariéto-limbique anté- rieur rpla Pli pariéto
fronto-limbique..... xfl Pli pariéto-limbique anté- rieur rpla
Pli
pariéto-limbique posté- rieur rplp Pli cunéo-
bique anté- rieur rpla Pli pariéto-limbique posté- rieur rplp
Pli
cunéo-limbique..... izcl Pli rétro-limbique ...
pariéto-limbique posté- rieur rplp Pli cunéo-limbique..... izcl
Pli
rétro-limbique ..... 7-2-1 Pli temporo-limbique
plp Pli cunéo-limbique..... izcl Pli rétro-limbique ..... 7-2-1
Pli
temporo-limbique.. r.tl 3. Circonvolution intra
zioni cerebrali dell'uomo. Torino, 1884. Gratiolet. Mémoire sur les
plis
cérébraux de l'homme et des primates. Paris, 18
olution pariétale ascendante. po, scissure parictu-occipitale. - poi,
pli
de pas- . sage paricl,o-occipital interne do Gr
prérolandique supérieur. pt, sillon pariétal transverse. 1 ! : pla,
pli
de passage pariéto-limbique antérieur. - 1 ! : pl
e. 1 ! : pla, pli de passage pariéto-limbique antérieur. - 1 ! : plp,
pli
de passage pariéto- limbique postérieur. - R, s
1'0, protubérance. psl, pédoncule du septum lucidum. ';tri, 7rfl',
plis
fronto-limbique. - 7tp{p, pli pariéto-lim- biqu
ncule du septum lucidum. ';tri, 7rfl', plis fronto-limbique. - 7tp{p,
pli
pariéto-lim- biquc postérieur. - Qa,Qp, tubercu
nvolution pariétale. Pa, circonvolution pariétale ascen- dante. Pc,
pli
courbe. - po, sillon pariéto-occipital. ]101', si
sillon post-rolandiquc. pr ! , sillon prérolandique inférieur. net,
pli
cuneo-limbique. - 11, scissure de Rolande. r, r
emporal, joo, scissure pariéto-occipitale. PT, pôle temporal. 7rpll),
pli
pariéto- limbique postérieur. Tgp, pilier posté
frontale. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral. 7-plp,
pli
pariéto-limbique posté- rieur. - Qp, tubercule
emporal. po, sillon pariéto-occipital. - PT, pôle temporal. 7ri)lp,
pli
pariéto-limbique postérieur. - Tpg, pilier postér
C), la face inférieure du noyau lenticulaire repose sur l'écorce du
pli
falciforme de Broca, dont elle est séparée par
1) et les deux lèvres qui limitent ce dernier sillon font partie du
pli
courbe (Pc). En arrière de la deuxième circonvolu
iétale inférieure. - Pa, circonvolution pariétale ascendante. - Pc,
pli
courbe. po, sillon parieto-occipital. Parc, pré
e segment vertical du sillon paml- lnle (t,') l'incise au niveau du
pli
courbe (Pc), mais elle est en outre incisée en
iétale inférieure. - Pa, circonvolution pariétale ascendante. - Pc,
pli
courbe. - po, scissure pariéto-occipitale. - PrC,
supra-marginalis). Pa, circonvolution pariétale ascen- dante. - Pc,
pli
courbe. - po, scissure pariéto-occipitale, Porc,
temporale (tri) se continue en avant, avec l'extrémité supérieure du
pli
temporal profond (Tp), très peu marqué sur cett
érébrale, et les deux circonvolutions qui le bordent constituent le
pli
courbe (Pc). La lèvre antérieure de ce sillon est
n pariétale ascendante. Pi, circonvolution pariétale inférieure. -Pc,
pli
courbe. - Plch, plexus choroïdes du ventricule
sphé- noïdalc. po, scissure pariéto-occipitale. l'1'C, précunéus. -
pli
, sillon prérolandique inférieur. - R, scissure
tique. T, ! gsna;, circonvolution temporale supérieure au niveau du
pli
marginal supérieur. - < ? branche verticale du
rpendiculaire interne (po), dans le fond de laquelle on aperçoit le
pli
ctll1lJo-(Ímbique (cl). En avant de la scissure
on trouve la partie inférieure du , ]J/'écunéus représentée par le
pli
de passage pariéto-limbique postérieur (-plp),
riétale supé- rieure. - Pa, circonvolution pariétale ascendante.Pc,
pli
courbe. Plch, plexus choroïdes - po, scissure p
ure pariéto-oecipitale. - pri, sillon prérolandique inférieur. - -cl,
pli
cunéo- limbique, - 7cplp, pli cunéo-limbique po
illon prérolandique inférieur. - -cl, pli cunéo- limbique, - 7cplp,
pli
cunéo-limbique postérieur. - R, scissure de Rolan
plus considérable que prend le cundus (C). Ce dernier forme avec le
pli
pariéto-lim- bique postérieur (-1tplp) et J'ist
ascendante. l'a Th, pédoncule antérieur de la couche optique. - Pc,
pli
courbe. Plch, plexus choroïdes. - po, scissure pa
ariéto-occipitale. - pari, sillon prérolandique inférieur. - 7l)lp,
pli
pariéto-limbique postérieur. - R, scissure de R
intéressée deux fois au niveau de ses branches verticales (t,). Le
pli
courbe (Pc) a disparu sur cette coupe, ainsi qu
volution frontale. f,, f2, premier et deuxième sillons frontaux. -
pli
, faisceau longitudinal inférieur. Fm', faisceau
ndique. po. scissure pariéto-occipilale. - Put, pulvinar. - 7tfJip,
pli
pariétu-limhiquc postérieur. - / ! 77;, radiati
veau de l'isthme anlécalcarinien (L,) et de la partie inférieure du
pli
P[l1'irJto-limbir¡ue postérieur ("plp). La face a
). Cette coupe passe au-dessous du trou de Monro. Elle intéresse le
pli
cunéo-linabi jzce ( ? lg), le ganglion de l'Ita
rtie moyenne le lobule lingual, en avant de ce dernier on trouve le
pli
cunéo-limbique (,mcl), en arrière le cunéus (C).
ère le cunéus (C). On voit nettement sur cette coupe l'insertion du
pli
crenéo-lintbiltze (-cl) sur l'isthme du lobe li
rqué au niveau des deux lèvres de la scissure calcarine (K) et sur le
pli
408 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. FJG. 226. -
thalamus. po, scissure pariéto-occipilale. - Put, pulvinar. - 7-el,
pli
cunéo-limbique ? pli pariéto- limbique postérie
ure pariéto-occipilale. - Put, pulvinar. - 7-el, pli cunéo-limbique ?
pli
pariéto- limbique postérieur. - RT/¡, radiation
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. qui sépare le lobule lingual (Lg) du
pli
Ctllléo-limbique (7tcl) et de l'isthme du lobe
e. - Pa Th, pédoncule antérieure du thalamus. l'ul, pulvinar. txcI.
pli
cunéo-limbique. - Qa, tubercule quadrijumeau an
collatéral. P, pied ou étage inférieur du pédoncule cérébral. itrl,
pli
rétro-limbique. -Qa, tubercule quadrijumeau ant
icke. oi, sillon collatéral. - P, pied du pédoncule cérébral. - mi,
pli
rétro-limbique. - Qa, tubercule quadrijumeau anté
ipitale, un îlot moyen, et une languette antérieure qui représente le
pli
d'in- sertion du lobe lingual sur la circonvolu
sertion du lobe lingual sur la circonvolution, de l'hippocampe (H) ou
pli
rétro- limbique de Broca Le sillon de l'hippoca
occipital antérieur de Vcrnicl : c. - ot, sillon collatéral. - arl,
pli
rétro-limbique. - RTh, radiations optiques de Gra
ution frontale ascendante (Fa), l' O/WI'- cule rolandique (Opli) ou
pli
de passage 11-oîzlo-I)aî,l( ? Ial inférieur, et l
se fusionne avec la circonvolution de l'hippocampe (H) au niveau du
pli
1(,,iiipol-o-liiiibiqte (7 : [1). (Voy fib. 179,
al. - Po, protubérance. purs, sillon prérolandique supérieur. 1ttl,
pli
temporo-limbique. R, scissure COUPES MACROSCOPI
es coupes intéressent en effet la région rétro-insulaire (Tp) et le
pli
marginal supérieur (Gsm) et (P.,) ). Sur la coupe
ginal supérieur (Gsm) et (P.,) ). Sur la coupe n° 89 (fig. 255), un
pli
de passage profond qui réunit la circonvolution p
tion pariétale inférieure (1\) au niveau de la partie antérieure du
pli
courbe (Pc). Elles intéressent en outre le bour-
ale inférieure (P2) sectionnée au niveau de la partie antérieure du
pli
courbe (Pc), le sillon parallèle (t,) et les de
rconvolution pariétale ascendante. - Parc, lobule paracentral. - l'c,
pli
courbe. Pu/, pulvinar. - Il, scissure dcRotando
convolution pariétale ascendante. - Parc, lobule paracentral. - Pc,
pli
courbe. P/e/i,plexus choroïdes. -Pul, pulvinar. -
ipi/alc (K+po); la partie moyenne correspond au pied d'insertion du
pli
1'étl'o-limúiquc (-rl); la partie inférieure en
irconvolution pariétale ascendante. Parc, lobule paracentral. - Pc,
pli
courbe. pli rétro-limbique.- R, scissure de Rolan
n pariétale ascendante. Parc, lobule paracentral. - Pc, pli courbe.
pli
rétro-limbique.- R, scissure de Rolando. R1·h,
irconvolution pariétale ascendante. Parc, lobule paracentral. - Pc,
pli
courbe. - 7c7,l, pli rétro-limbique. R, scissure
le ascendante. Parc, lobule paracentral. - Pc, pli courbe. - 7c7,l,
pli
rétro-limbique. R, scissure de Rolando. -l ! Th,
circonvolution pariétale ascendante.-l'arc, lobule paracentral. Pc,
pli
courbe. por, sillon post-rolandiquo. 7ï/>fa.pl
post-rolandiquo. 7ï/>fa.pli pariéto-limbique antérieur. -7t1'l,
pli
rétro-limbique. -li, scissure de Rolando.- li Th,
ise la partie verticale du sillon parallèle (t',) dans la région du
pli
courbe (Pc); puis la deuxième circonvo- lution
lobule fusiforme (Fus), nous trouvons le sillon collatéral (ot), le
pli
l'élro-lim- bique qui représente le pied d'inse
ans la constitution de la pointe occipitale une part importante. Ce
pli
profond, pli czcnreo- limbique (,cl), représent
titution de la pointe occipitale une part importante. Ce pli profond,
pli
czcnreo- limbique (,cl), représente le pied d'i
rofond du cunéus (C) sur le lobe limbique. Avec l'apparition de ce,
pli
, coïncide une modification de la structure- COU
éressent le précunéus (PrC) et le cunéus (C) il la face interne; le
pli
courbe (Pc) il la face externe. Le ]J/'éculléus
paracen- . irais por, sillon post-rolandiquc. - 1'1'C, précunéus. -
pli
rétro-limbiquc. - /i77t, radiations optiques de
arties : la partie inférieure de cette circonvolution appartient au
pli
courbe (Pc), situé à cheval sur la branche vert
e paracentral. P7,C, prcnnèus. - pour, sillon post-rolandiquc. nul,
pli
cunéo-limbique. RTh, radiations optiques de Gra
pariétale supérieure. P-2, circonvolution pariétale inférieure. - Pc,
pli
courbe. - po, scissure parièto-occipitale. - Pr
courbe. - po, scissure parièto-occipitale. - PrC, précunéus. luel,
pli
cunéo-limloiquc. z litli, radiations optiques d
ns vu naître sur les coupes nos 99 et 105 (fin..260, 261), par le
pli
l'étl'o-li1llbi- que s'étale con- sidérableme
iétale supérieure. - P2, circon- volution pariétale inférieure. Pc,
pli
courbe. - po, scissure pariéto-occipitale. - Pr
riétale supérieure. Pi, circonvolution pariétale inférieure. - Ile,
pli
courbe. - po, scis- sure parito-occipitalc. - P
pariétale supérieure. - Ps, circonvolution pariétale inférieure.Pc,
pli
courbe. - po, scissure pariéto-occipi- talc. -
plaidé passage . fronto -limbique 1 (7êfl) , en avant et par les
plis
de passage pa1'Íéto-limbiquè' antérieur (apla
nous l'avons vu à la première circonvolution limbique (L,), par les
plis
de passage paJ'iéto-lirnbiques antérieur et posté
landique supérieur. - Piil, pulvinar. - Py, faisceau pyramidal. Tt/7,
pli
fronto-limbique. - 7ul)la, pli pariéto-limbique
nar. - Py, faisceau pyramidal. Tt/7, pli fronto-limbique. - 7ul)la,
pli
pariéto-limbique antérieur. aplp, pli parieto-lim
li fronto-limbique. - 7ul)la, pli pariéto-limbique antérieur. aplp,
pli
parieto-limbique pns- ¡,'rieur, - Qa, tubercule
de l'hémisphère, la scissure calcarine (K) est inter- rompue par un
pli
de passage profond, le pli cunéo-lingual qui reli
e calcarine (K) est inter- rompue par un pli de passage profond, le
pli
cunéo-lingual qui relie le cunéus (C) au lobule
e perforé antérieur (Spa), qui est festonnée et rappelle l'aspect des
plis
avortés de la circonvolution godronnée. L'écorc
lobule paracentral. - PaTh, pédoncule antérieur du thalamus. - PC,
pli
courbe. Pan, pédoncule cérébelleux moyen. - Pch
dique supérieur. - Pul, pulvinar. - l1j, faisceau pyramidal. - 7z/'l,
pli
fronto-limltiquc. 7cplci, pli parieto-limbiquc
. - l1j, faisceau pyramidal. - 7z/'l, pli fronto-limltiquc. 7cplci,
pli
parieto-limbiquc pli pariéto-limbiquc postérieur.
amidal. - 7z/'l, pli fronto-limltiquc. 7cplci, pli parieto-limbiquc
pli
pariéto-limbiquc postérieur. . - arl, pli rétro
lci, pli parieto-limbiquc pli pariéto-limbiquc postérieur. . - arl,
pli
rétro-limbique. - Qa, tubercule quadrijumeau anté
asse. La scissure pariéto-ocçi.lzilale (po), est interrompue par un
pli
e passage paricfto-occiyital, interne. Elle est
passage paricfto-occiyital, interne. Elle est limitée en bas par le
pli
de passage rétro-limbique (,ni). On suit dans p
e. p7-s, sillon pré-rolandique supérieur. P/</. pulvi- nar. trl,
pli
dlro-lilllbifiue. fi, scissure de Rolande. S, sci
r former le lobule lingual (Lg). Ce dernier se confond au niveau du
pli
réiro-limbiquc (1trl) avec la circonvolution, d
c (1trl) avec la circonvolution, de l'hippocampe (H). Au-dessous du
pli
rétro-limbiquc (1trl), commence une circonvolut
st encore représentée que par un îlot de substance grise, séparé du
pli
iiibi (j lie par le sillon, collatéral (ot). Ce
entre ovale. Au-dessous du ventricule occipital (Voc), au-dessus du
pli
rélro-limbique il existe un faisceau triangulaire
PThm, pédoncule moyen de la couche optique.Pi<<, pulvinar. w/,
pli
rétro-linibique. R, scissure de llolando - Sge,
nvolutions pariétales. - Pa, circonvolution pariétale ascendante. Pc,
pli
courbe. pCR, pied de la couronne rayonnante. -
e. prs, sillon pre-rolandique supérieur, - Pul, pulvinar. - 'It1'l,
pli
rétro-limbique. RTh, radiations optiques de Gra-
convolution pariétale. Pa, circonvolution pariétale ascendante. - Pc,
pli
courbe. - pCR, pied de la couronne rayonnante.
rconvolution pariétale.-Pa, circonvolution pariétale ascendante.-l'c,
pli
courbe. - pli, sillon pré-rolandique inférieur.
iétale.-Pa, circonvolution pariétale ascendante.-l'c, pli courbe. -
pli
, sillon pré-rolandique inférieur. il, scissure de
supra-marginalis). - Pa, circonvolution pariétale ascendante. - Pc,
pli
courbe. position prérolandique infé- rieur. - R
stérieure de la circonvolution pariétale in férieure, appartient au
pli
courbe (Pc) dont elle constitue le segment antéri
dont elle constitue le segment antérieur. Le segment postérieur du
pli
courbe (Pc) est formé par la deuxième circonvolut
l elle seule la région rétro-insulaire de Broca; elle représente un
pli
de passage profond, analogue au gyrus supra-mar
irconvolution frontale (O1F;,)et que l'opercule rolandique (OpR) ou
pli
de passage ]JaJ'iélÓ-l1'Ontal inférieur, sont e
F.,) la partie moyenne des circonvolutions rolandique. (Fa, Pa), le
pli
courbe (Pc), les deuxième et troisième circonvo
essée au niveau du gyrus supra-marginalis (P2fGsm]) et au niveau du
pli
courbe (Pc). La troisième circonvolution occipita
orales (T" '1'3 J. - Pa, circonvolution pariétale ascendante. - Pc,
pli
courbe. - pri, sillon prérolandique inférieur.
tie anté- rieure de la circonvolution frontale ascendante (Fa), les
plis
d'insertion des première et troisième circonvol
téral. P,, P ? première et deuxième circonvolutions pariétales. Pc,
pli
courbe. Plch, plexus choroïdes. PrC, précunéus. M
xterne du ventricule latéral et disparait au-dessus de la région du
pli
coMe(Pc), où se perd dans les fibres de la cour
nsversale macroscopique n° 116 (fig. 263). Cette coupe sectionne le
pli
cunéo-limbique et le fond de la scissure pariét
pariétale supérieure (P,), la branche descendante ou occipitale du
pli
courbe (Pc), puis les deuxième et troisième circo
. - ot, sillon collatéral. P,, première circonvolution pariétale. Pc,
pli
courbe. po, scissure pariéto-occipitale. PrC, p
irconvolutions de la convexité du lobe occipital et en particulier au
pli
courbe (Pc). Le fond des sillons est entouré
- - Cette coupe intéresse la pointe occipitale au niveau du premier
pli
anastomotique cunéo-lingual (1tC+ Lg) et passe
e du sillon collatéral. po, scissure parié- to-occipitale. aC + Lg,
pli
cunéo-lingual du fond de la. scissure calcarine.
dans lequel il s'irradie. Quelques-unes de ses fibres atteignent le
pli
courbe (Pc). Ce faisceau, toujours facile il re
es de la scissure calcarine (K). On le voit apparaître au niveau du
pli
cunéo-limbique (-cl) et il est extrêmement accu
la base du lobule lingual; en avant on les voit s'irradier dans le
pli
cunéo-limbique ( ? cl). , 2" Radial ions thalam
exus choroïdes de la corne sphénoïdale du ventricule latéral. 7tcl,
pli
cunéo-limbique. - /f ! 71, radiations optiques
C rieures (la), petites, et deux postérieures (Ip) plus grandes. Le
pli
le plus saillant 592 ANATOMIE DES CENTRES NERVE
ce cxtra-ventriculaire du thalamus. - Sih, scissure iiit,er-liénii-,
pli
(1-ique. strz, stratum zonale. T,, première circon
par le faisceau uncinatus (Fu) et par l'écorce grise qui double le
pli
falci fornze de l'insula. Cette coupe n° 9 x (f
nvolutions 1'olan- diques, la première circonvolution pariétale, le
pli
courbe, la partie pos- térieure des circonvolut
t le sillon triradié (f3) (Schnoffhagen), et en général de tous ces
plis
plus ou moins complexes, irréguliers et variables
al. Les fibres les plus courtes et les plus superfi- cielles de ces
plis
tapissent le fond des sillons, les plus longues n
pissent le fond des sillons, les plus longues naissent du sommet du
pli
anastomotique pour se rendre à une circonvolution
nastomotique pour se rendre à une circonvolution plus éloignée. Ces
plis
anastomotiques reçoivent néanmoins un nombre va-
n nombre va- riable, suivant les régions et suivant l'importance du
pli
, de fibres com- missurales et de fibres de proj
ions pariétales. -Pa, circonvolution pariétale ascen- dante. -- Pc,
pli
courbe. -. po, scissure pariéto-occipitale. - p0)
in, s'irradient dans les crêtes du gyrus supra-marginalis (Gsm), du
pli
courbe (Pc) et des circonvolutions de la face ext
olutions pariétales. - Pu, circonvolution pariétale ascendante. Pc,
pli
courbe. po, scissure parieto-occipitale. - por,
- l'" 1'" première et deuxième circonvolu- tions pariétales. - Pc,
pli
courbe. Plch, plexus choroïdes. PrC, prccuneus. R
rconvolutions du lobe occipito-temporal ; peu marquées au niveau du
pli
courbe et de la deuxième circonvolution pariétale
, sillon collatéral. - Pl, première circonvolution pariétale. z ! 'c,
pli
courbe. po, scissure pariéto-occipitale. - PrC, p
du faisceau longitudinal inférieur, renforce en avant, au niveau du
pli
rétro-11mbique, le faisceau postérieur du cingulu
dans la circonvolution de l'hippocampe (H[L=], et disparaît avec le
pli
rétro-limbique. Les crêtes qui sillonnent la fa
xus choroïdes de la corne sphénoïdale du ventricule latéral. - ncl,
pli
cunéo-limbique. R1'h, radiatons optiques de Grati
alité occipitale, - intéressant soit la convexité occipitale jusqu'au
pli
courbe inclusivement, soit le cunéus, le lobule
u longitudinal inférieur et forme à elle seule la masse blanche des
plis
cunéo-limbiques. Ses fibres relient la lèvre supé
xième circonvolution lim- bique (circonvolution de l'hippocampe) au
pli
rétro-limbique de Broca, et renforce dans cette
tefois facile à con- stater dans le lobe pariétal, où elle relie le
pli
courbe aux deuxième et troisième circonvolution
hors, et s'irradient dans le lobule pariétal supé- rieur et dans le
pli
courbe (Sachs). Le faisceau occipital transvers
.-at, si1lon collatéral. po, scissure pariéto-occipitale. - 7Ccl[j,
pli
cuneo-limbique. - / ! 7'/t, radiations thalamiq
écu- néus (PrC), de la première circonvolution pariétale (P,) et du
pli
courbe (I'e). Les fascicules du faisceau major
u lobe occipito-pariétal (deuxième circonvolution occipitale [0.=],
pli
courbe [Pc], première circonvolution pariétale
iéto-occipitale du cunéus (C), le tiers antérieur de ce dernier et le
pli
FAISCEAUX D'ASSOCIATION' ET COMMISSURAUX. 79o
uses se can- tonne dans le forceps major et intéresse, au niveau du
pli
cunéo-lim- bique, le forceps minor. Après la ré
sions de la partie occipitale de la scissure collaté- rale (ot), du
pli
cunéo-limbique de la partie antérieure de la scis
pe passe environ à 45 millim. de la pointe occipitale et intéresse le
pli
courbe (Pc), la scissure pariéto-occipitale (po
ticale. Plaque jaune ancienne de la face antérieure du cunéus et du
pli
cunéo-limbique. Dégénérescence des ra- diatio
a parole, par suite de la lésion du lobule pariétal inférieur et du
pli
courbe. (J. DE.IERI,'4E, Soc. de Biologie, 1892;
r le cas des lig. 399 et 400. Il s'agit ici d'une lésion étendue du
pli
courbe (Pc), de l'opercule sylvien (OpF3,OpH.Op
a méthode des coupes microscopiques sériées, montre qu'au niveau du
pli
courbe, la lésion pri- mitive a atteint l'épend
t du corps calleux et par le foyer de ramollissement récent (Rr) du
pli
courbe. Elle intéresse en outre au niveau de la
ule paracentral. - parc, sillon paraccntral.- PrC, prècunéus. - rplp,
pli
pariéto- limbique postérieur. s13, strie de Bai
t parler d'une manière générale du nombre et de la complication des
plis
, mais c'est folie de vouloir mettre quelque pré
entrer plusieurs fois en ligne de compte la même feuille, le même
pli
. Ce n'est pas tout, ces feuilles sont, en beaucou
y a une distinction à faire entre les lobes, quant au nombre de leurs
plis
. Ceux du lobe semilunaire sont les plus compliqué
urs, elles sont, en général, plissées et comme chiffonnées. Parmi les
plis
, les uns font saillie à l'extérieur des bourses,
ux-ci répondent des vallées de la face externe, et réciproquement aux
plis
saillants de celle-ci répondent des vallées de la
saillants de celle-ci répondent des vallées de la face profonde. Les
plis
de la face externe s'appellent circonvolutions, l
olutions, les vallées qui les séparent sont des anfractuosités. Les
plis
cérébraux sont fort compliqués dans l'homme. Cett
imaux. Je l'ai moi-même traitée fort au long dans mon ouvrage sur les
plis
cérébraux des primates, dont je résumerai ici les
, il sera plus facile d'étudier et de décrire la disposition de leurs
plis
. Ce n'est point d'après un cerveau adulte qu'on
s préférons le cerveaudu foetus, alors qu'il est encore dépourvu de
plis
. On peut aisément constater alors leurs rapports
re qui ne la présente. Nous la décrirons plus au long en traitant des
plis
cérébraux. Telle est, d'une manière générale, l
e ces grosses têtes sans esprit qui abondent dans le monde (1). Des
plis
du cerveau. La surface du cerveau est lisse et
e Test dans un grand nombre d'animaux. Plus tard, elle est chargée de
plis
nombreux et compliqués auxquels on a donné le nom
n a donné le nom de circonvolutions, de procès enteroïdes. Tous ces
plis
se continuent les uns dans les autres, et forment
re est un, il n'y a qu'une couche corticale, mais certains groupes de
plis
se dessinent. Les uns occupent la face externe de
r à des conséquences rigoureuses et véritablement scientifiques. 1°
Plis
de la face externe. Ces plis, les plus importan
s et véritablement scientifiques. 1° Plis de la face externe. Ces
plis
, les plus importants de tous, peuvent être ainsi
située au-dessus de la scissure de Sylvius, comprend deux groupes de
plis
ou deux lobes. Ces deux groupes sont séparés par
ette scissure, un lobe lisse dans les singes mais qui porte plusieurs
plis
rayonnants dans l'homme. Ce lobe, qui recouvre la
distinguerons, sur la face externe de l'hémisphère , cinq groupes de
plis
ou cinq lobes, savoir : le lobe central, et autou
ement lisse dans la plupart des singes, peut-être oflre-t-il quelques
plis
dans l'orang et dans les tro glodytes, mais il
a point été donné de m'en assurer. Dans l'homme, il offre cinq ou six
plis
rayonnants. Ces plis forment une sorte d'éventa
en assurer. Dans l'homme, il offre cinq ou six plis rayonnants. Ces
plis
forment une sorte d'éventail dont l'angle répond
ure est le lobule frontal. — Le lobule orbitaire est fort simple, ses
plis
se bornent à des incisures superficielles si irré
ter les plus élevés. Le lobule orbitaire se continue en avant avec un
pli
qui suit le bord supérieur de l'hémisphère. Le
s. Vétage inférieur touche au lobule orbilaire, il comprend un gros
pli
peu flexueux qui se continue avec la lèvre supéri
e de Sylvius dont il circonscrit l'angle antérieur. Nous donnons à ce
pli
le nom de pli frontal inférieur. L'étage moyen
ont il circonscrit l'angle antérieur. Nous donnons à ce pli le nom de
pli
frontal inférieur. L'étage moyen comprend un se
pli le nom de pli frontal inférieur. L'étage moyen comprend un seul
pli
, \epli frontal moyen. Ce pli se recourbe au-dessu
érieur. L'étage moyen comprend un seul pli, \epli frontal moyen. Ce
pli
se recourbe au-dessus du précédent, et s'étend de
misphère au pl,i ascendant qui borde, en arrière, le lobe frontal. Ce
pli
, très-flexueux dans l'homme, y présente de nombre
supérieur de l'hémisphère, et se jette dans l'extrémité supérieure du
pli
frontal ascendant. Le groupe frontal supérieur
ontal ascendant. Le groupe frontal supérieur ne comprend qu'un seul
pli
dans les singes inférieurs de l'ancien continent;
rieurs de l'ancien continent; dans l'orang et le chimpanzé, il a deux
plis
irréguliers et flexueux. Il y a aussi constamment
il a deux plis irréguliers et flexueux. Il y a aussi constamment deux
plis
dans l'espèce humaine. Le pli supérieur suit le b
lexueux. Il y a aussi constamment deux plis dans l'espèce humaine. Le
pli
supérieur suit le bord supérieur de l'hémisphère
une disposition analogue. Dans l'état normal de la race blanche, ce
pli
est tantôt chargé d'incisures multiples très-prof
rofondes; tantôt il est divisé par une scissure longitudinale en deux
plis
secondaires. Le pli inférieur est séparé du pré
divisé par une scissure longitudinale en deux plis secondaires. Le
pli
inférieur est séparé du précédent par une scissur
se bifurque en arrière en forme d'Y ; une flexuo- II. 8 site du
pli
frontal ascendant comble l'intervalle des deux br
ches de FY, dont l'inférieure est circonscrite par les flexuosités du
pli
injérieur du groupe frontal supérieur. En génér
tre les deux lobes frontaux il n'y a plus aucune symétrie; souvent le
pli
supérieur de l'étage frontal supérieur, double d'
izontaux et parallèles. Leur extrémité postérieure se termine dans le
pli
frontal ascendant. Ce pli qui limite en avant le
ur extrémité postérieure se termine dans le pli frontal ascendant. Ce
pli
qui limite en avant le sillon de Rolando, est ext
llon de Rolando et la scissure perpendiculaire externe, comprend deux
plis
, savoir : 1° un pli ascendant, qui forme la marge
scissure perpendiculaire externe, comprend deux plis, savoir : 1° un
pli
ascendant, qui forme la marge postérieure du sill
ascendant, qui forme la marge postérieure du sillon de Rolando; 2° un
pli
courbe. Ce pli, dans les singes, naît de la marge
forme la marge postérieure du sillon de Rolando; 2° un pli courbe. Ce
pli
, dans les singes, naît de la marge supérieure de
rd antérieur de la scissure perpendiculaire externe. Dans l'homme, ce
pli
naît du sommet de la scissure qu'en conséquence i
conséquence il ne circonscrit plus. Il y a donc entre la racine de ce
pli
et celle du pli pariétal ascendant un intervalle
e circonscrit plus. Il y a donc entre la racine de ce pli et celle du
pli
pariétal ascendant un intervalle qui est rempli p
u pli pariétal ascendant un intervalle qui est rempli par un deuxième
pli
pariétal ascendant. Ce deuxième pli n'existe jama
le qui est rempli par un deuxième pli pariétal ascendant. Ce deuxième
pli
n'existe jamais dans les singes et ne se voit pas
e la scissure de Sylvius, qui est comprise entre la racine du premier
pli
pariétal ascendant et celle du pli courbe, est re
omprise entre la racine du premier pli pariétal ascendant et celle du
pli
courbe, est renflée en un petit lobule quadrilatè
bdivisent. Dans les singes, et à plus forte raison chez l'homme, le
pli
courbe n'atteint point au bord supérieur de l'hém
l'en sépare, que remplit une dilatation, ou plutôt un prolongement du
pli
pariétal ascendant qui se termine, dans la plupar
nsidérable ; il en est de même dans l'homme. Ce lobule, qui porte des
plis
nombreux, peut être désigné sous le nom de lobule
i porte des plis nombreux, peut être désigné sous le nom de lobule du
pli
pariétal ascendant. D. Plis du lobe temporo-sph
ut être désigné sous le nom de lobule du pli pariétal ascendant. D.
Plis
du lobe temporo-sphénoïdul. Ce lobe, situé au-d
Ce lobe, situé au-dessous de la scissure de Sylvius, comprend trois
plis
parallèles à cette scissure. Le premier pli bor
ylvius, comprend trois plis parallèles à cette scissure. Le premier
pli
borde inférieurement la scissure de Sylvius ; nou
de inférieurement la scissure de Sylvius ; nous lui donnons le nom de
pli
marginal inférieur. Une scissure profonde, parall
e scissure profonde, parallèle à la scissure de Sylvius, le sépare du
pli
temporo-sphénoïdal moyen. Cette scissure, fort re
mière qui apparaisse dans le cerveau des singes, et distingue déjà le
pli
marginal inférieur, dans certaines espèces où le
sse. Nous lui donnons le nom de scissure parallèle. Le deuxième \Ai,
pli
temporal mot/en, est étendu de la pointe du lobe
l à celle du lobe occipital ; il est donc commun à ces deux lobes. Ce
pli
reçoit l'extrémité inférieure du pli courbe avec
donc commun à ces deux lobes. Ce pli reçoit l'extrémité inférieure du
pli
courbe avec lequel il se continue. Il est le pl
e continue. Il est le plus souvent mal distinct d'avec le troisième
pli
, pli temporal inférieur. L'anfractuosité peu prof
tinue. Il est le plus souvent mal distinct d'avec le troisième pli,
pli
temporal inférieur. L'anfractuosité peu profonde
rt irrégulières. Son existence dans les singes est plus constante. Le
pli
temporal inférieur, comme le moyen, s'étend de l'
es parties cachées au fond de la scissure. Ces parties sont : 1° Un
pli
qui du lobule du pli pariétal ascendant passe au
fond de la scissure. Ces parties sont : 1° Un pli qui du lobule du
pli
pariétal ascendant passe au sommet du lobe occipi
du pli pariétal ascendant passe au sommet du lobe occipital, et 2° un
pli
qui du sommet du pli courbe passe au bord antérie
dant passe au sommet du lobe occipital, et 2° un pli qui du sommet du
pli
courbe passe au bord antérieur du lobe occipital.
li courbe passe au bord antérieur du lobe occipital. J'ai donné à ces
plis
, dont la considération est importante, le nom de
'ai donné à ces plis, dont la considération est importante, le nom de
plis
de passage. Le pli supérieur de passage manque
dont la considération est importante, le nom de plis de passage. Le
pli
supérieur de passage manque dans les cynocéphales
galement dans le chimpanzé. En revanche, chez ces animaux le deuxième
pli
est très-grand, mais il est caché par l'opercule.
très-grand, mais il est caché par l'opercule. Dans les guenons, le
pli
supérieur existe, mais à l'état rudi-mentaire. 11
érieur existe, mais à l'état rudi-mentaire. 11 est, comme le deuxième
pli
, caché sous l'opercule. Dans les semnopithèques
l'opercule. Dans les semnopithèques, les gibbons et les orangs, le
pli
supérieur de passage est grand et superficiel. Le
ficiel. Le deuxième est caché sous l'opercule. Dans l'homme, ces deux
plis
sont grands, et tous deux superficiels. Leur déve
ent réduit, n'a plus alors d'opercule. On peut considérer comme des
plis
de passage, les prolongements qui, des plis moyen
peut considérer comme des plis de passage, les prolongements qui, des
plis
moyen et inférieur du lobe temporo-sphénoïdal, se
occipital. On peut les désigner sous le nom de troisième et quatrième
plis
de passage. Ceux-ci sont constamment superficiels
Ceux-ci sont constamment superficiels. H y a donc dans l'homme quatre
plis
de passage grands et superficiels. Deux passent d
ntérieures du cerveau une sorte de symétrie. En effet, de même que du
pli
frontal ascendant partent des plis qui se dirigen
symétrie. En effet, de même que du pli frontal ascendant partent des
plis
qui se dirigent parallèlement vers l'extrémité fr
parallèlement vers l'extrémité frontale de l'hémisphère, de même, du
pli
pariétal ascendant naissent des plis qui se prolo
tale de l'hémisphère, de même, du pli pariétal ascendant naissent des
plis
qui se prolongent vers l'extrémité occipitale. On
se prolongent vers l'extrémité occipitale. On pourrait considérer les
plis
du lobe temporo-sphénoïdal comme résultant d'une
be temporo-sphénoïdal comme résultant d'une inflexion en avant de ces
plis
postérieurs. Cette manière de voir pourrait être
est roaln, En effet, malgré le développement simultané de tous les
plis
de la face externe de l'hémisphère dans l'homme,
hère dans l'homme, on peut démontrer aisément que certains groupes de
plis
demeurent dans un état d'infériorité relative, ta
t à une grandeur prédominante. Dans les singes ce sont en général les
plis
du lobe temporo-sphénoïdal et le lobe occipital q
tes sont : 1° le groupe de l'étage frontal supérieur; 2° le lobule du
pli
pariétal ascendant; 3° le pli supérieur de passag
tage frontal supérieur; 2° le lobule du pli pariétal ascendant; 3° le
pli
supérieur de passage ; 4° le deuxième pli de pass
i pariétal ascendant; 3° le pli supérieur de passage ; 4° le deuxième
pli
de passage, c'est-à-dire tous les plis qui occupe
eur de passage ; 4° le deuxième pli de passage, c'est-à-dire tous les
plis
qui occupent le bord supérieur de l'hémisphère, e
erveau, dans Ann. des Sciences wi, 4e série, lorn. Ill, page 83, 2°
Plis
de la face in';rne de l'hémisphère. Ces plis n'
rn. Ill, page 83, 2° Plis de la face in';rne de l'hémisphère. Ces
plis
n'ont pas la môme valeur que ceux de la face exte
e, qu'à toutes les apfractuosités de la face externe doit répondre un
pli
saillant à son intérieur. Or, le pli intérieur qu
la face externe doit répondre un pli saillant à son intérieur. Or, le
pli
intérieur qui répond à la scissure dont nous parl
enoidal interne. Ces divisions une fois admises, la description des
plis
sera facile. A. Plis du lobe fronto-pariétal in
sera facile. A. Plis du lobe fronto-pariétal interne. Le premier
pli
borde l'ouverture de l'hémisphère, il circonscrit
orme, sous le nom de lobule quadrilatère. Nous donnerons à ce premier
pli
le nom de pli marginal supérieur. Les dentelures
nom de lobule quadrilatère. Nous donnerons à ce premier pli le nom de
pli
marginal supérieur. Les dentelures de son bord su
circonvolution crêtée sous lequel il avait été décrit par Rolando. Ce
pli
forme l'étage inférieur du lobe fronto-pariétal.
plupart des singes ; dans l'homme il est en général subdivisé en deux
plis
dont le plus élevé se confond avec le pli supérie
général subdivisé en deux plis dont le plus élevé se confond avec le
pli
supérieur du lobe frontal externe. B. Plis du l
r du lobe frontal externe. B. Plis du lobe occipital interne. Ces
plis
, à peu près nuls dans les singes, sont insignifia
rofondes, à peine flexueuses, qui échappent à toute description. C.
Plis
du lobe occipito-sphénoïdal interne. L'un de ce
ription. C. Plis du lobe occipito-sphénoïdal interne. L'un de ces
plis
, situé au dessus de la scissure des hippocampes,
e la scissure des hippocampes, est très-grêle. Il se continue avec le
pli
marginal supérieur derrière le genou postérieur d
u postérieur du corps calleux, et mériterait en conséquence le nom de
pli
marginal inférieur. Les anciens anatomistes le dé
nom de corps godronné. Nous lui conserverons en conséquence le nom de
pli
godronné. Ce pli est fort remarquable ; il suit l
onné. Nous lui conserverons en conséquence le nom de pli godronné. Ce
pli
est fort remarquable ; il suit le bord libre de l
s fimbriaium, je veux dire à la bandelette de la voûte. Le deuxième
pli
suit le bord inférieur de la scissure des hippoca
campes, de la pointe du lobe occipital à celle du lobe sphenoidal. Ce
pli
assez grêle en arrière se renfle en avant en un p
rière se renfle en avant en un petit lobule qui reçoit l'extrémité du
pli
godronné. L'anse qui résulte de cette union circo
issure des hippocampes et figure assez bien un crochet. On donne à ce
pli
, à cause de cette disposition, le nom de pli unci
n crochet. On donne à ce pli, à cause de cette disposition, le nom de
pli
unciforme, circonvolution à crochet. On peut enco
de pli unciforme, circonvolution à crochet. On peut encore le nommer
pli
occipito-sphénoïdal moyen interne. Le troisième
ncore le nommer pli occipito-sphénoïdal moyen interne. Le troisième
pli
est parallèle au précédent, son extrémité antérie
llèle au précédent, son extrémité antérieure circonscrit le lobule du
pli
unciforme. Ce pli qui no présente que des incis
, son extrémité antérieure circonscrit le lobule du pli unciforme. Ce
pli
qui no présente que des incisures secondaires,
résente que des incisures secondaires, est à peine distinct d'avec le
pli
temporo-sphénoïdal externe, dont le séparent tout
plupart du temps interrompues. Tels sont d'une manière générale les
plis
de la face interne de l'hémisphère. Ces plis n'on
une manière générale les plis de la face interne de l'hémisphère. Ces
plis
n'ont pas l'importance de ceux de la face externe
des hippocampes. 3° Une sorte de prédominance relative de tous les
plis
du lobe occipito-sphénoïdal interne. (b) Dans V
rilatère et du lobe occipital interne. 2° La réduction relative des
plis
du lobe occipito-sphénoïdal. Si nous comparons
be occipito-sphénoïdal. Si nous comparons maintenant l'ensemble des
plis
internes de l'hémisphère à ceux qui occupent sa f
de négliger un seul des éléments du problème. Il est certain que ces
plis
ont une dignité moindre, si je puis ainsi dire-,
prolongements du lobe pariétal que nous avons décrits sous le nom de
plis
de passage, anticipent, à leur tour, sur la régio
partie du bord libre de l'hémisphère est comprise entre le lobule du
pli
uniforme et la racine du pli jronto-pariétal infé
misphère est comprise entre le lobule du pli uniforme et la racine du
pli
jronto-pariétal inférieur interne. Elle est flanq
e de deux bandelettes blanches, l'une plus longue tient au crochet du
pli
unciforme, l'autre interne, est plus courte et se
forme, l'autre interne, est plus courte et se rattache à la racine du
pli
fronlo-pariétal inférieur interne. Ces bandelette
a base est très-distincte ou plutôt très-cloignée de la tubérosité du
pli
unciforme. Mais, dans les animaux où ce lobe acqu
nimaux à petits lobes olfactifs, ont de grands hémisphères chargés de
plis
; il me suffira de citer les singes, les phoques,
istes. Son côté externe est moins plissé que le côté profond; ici les
plis
offrent une complication singulière dont des coup
sur la bourse elle-même qui n'est plus qu'un petit sac simple et sans
plis
. Dans les ruminants les olives sont très-rappro-c
es, savoir : 1° Des fibres propres. Ces fibres passent du sommet d'un
pli
au sommet des plis voisins, unissant entre elles,
s fibres propres. Ces fibres passent du sommet d'un pli au sommet des
plis
voisins, unissant entre elles, par un vaste systè
iphériques. 4° Des fibres qui, du corps calleux, vont dans tous les
plis
des hémisphères ; 5° Des irradiations nées des
ir à son point de départ, en doublant exactement la circonvolution du
pli
unciforme. Cet anneau que Reil, Rolando, Arnold
se détachent en divers sens des fibres qui s'irradient dans tous les
plis
de la face interne de l'hémisphère. Le trajet d
breux de l'ourlet, pour s'en détacher plus loin et se perdre dans les
plis
marginaux supérieurs du lobe. D'autres, contourna
hes corticales. Elle embrasse donc le fond de l'anfractuosité dont le
pli
godronné et le pli unciforme forment les limites,
e embrasse donc le fond de l'anfractuosité dont le pli godronné et le
pli
unciforme forment les limites, c'est-à-dire cette
qui se prolonge au-dessous de l'ouverture interne de l'hémisphère. Le
pli
interne qui répond à cette anfractuosité périphér
égion postérieure de la scissure des Hippocampes, dans l'épaisseur du
pli
qui la limite inférieurement; un autre faisceau p
Ses autres fibres se redressent graduellement et descendent dans les
plis
inférieurs du lobe occipito-sphénoïdal. Les plus
s calleux envoie : (a). Des plans fibreux très-minces dans tous les
plis
de la face externe de l'hémisphère qui sont au-de
llie externe du corps strié extra-ventriculaire, et se porte dans les
plis
de la face externe qui sont au-dessous de la scis
u-dessous de la scissure de Sylvius, et plus particulièrement dans le
pli
marginal inférieur. On peut donc affirmer que l
affirmer que le corps calleux envoie des plans foliacés dans tous les
plis
de l'hémisphère. Ces plans s'insinuent dans les a
profonde des conches corticales, correspondant aux saillies de leurs
plis
superficiels. Ces feuillets du corps calleux, a
ue leur disposition est rigoureusement traduite par l'arrangement des
plis
cérébraux saillants à la superficie de l'hémisphè
plis cérébraux saillants à la superficie de l'hémisphère. Ainsi, ces
plis
indiquent immédiatement la série des points dans
r l'analyse, en une synthèse générale, et peut conclure dans tous les
plis
à l'existence de deux ordres de fibres, par lesqu
rayonnent dans le bord supérieur de l'hémisphère, depuis le deuxième
pli
ascendant jusqu'à la pointe du lobe occipital.
res du nerf optique correspondent avec toute l'étendue de la bande de
plis
qui longe ce bord supérieur, plis dont le dévelop
avec toute l'étendue de la bande de plis qui longe ce bord supérieur,
plis
dont le développement excessif caractérise essent
u'il donne au corps calleux, chaque pédoncule en envoie dans tous les
plis
antérieurs externes de l'hémisphère qui lui corre
pénétrée de fibres qui, de l'anneau pédonculaire, se portent dans les
plis
de la région orbitaire du lobe frontal. Il form
de son bord postérieur; celles-ci se terminent immédiatement dans les
plis
inférieurs du lobe sphenoidal, vers son extrémité
qu'à l'extrémité du lobe occipital, doublent dans les singes tous les
plis
cérébraux qui occupent la face externe de l'hémis
eux qui revêt le corps strié cxtraven-triculaire, et descend dans les
plis
du lobe occipito-sphé--noïdal. Enfin, en dehors d
descend au lobe temporo-sphénoïdal. Les autres commissures vont d'un
pli
à un pli voisin. Ce système, très-compliqué, n'es
au lobe temporo-sphénoïdal. Les autres commissures vont d'un pli à un
pli
voisin. Ce système, très-compliqué, n'est nulle p
breux de l'ourlet ; 3° Les expansions du corps calleux qui vont aux
plis
de la face interne ; 4° La paroi interne de la
ure antérieure; 11° La lame qui, du corps calleux, descend dans les
plis
inférieurs à la scissure de Sylvius ; 12° Le sy
rveau : 1° Des fibres propres servant de commissures entre tous les
plis
d'un même hémisphère; 2° Des fibres servant de
rd interne, où elles présentent, chez quelques animaux, de véritables
plis
. Mais partout ailleurs ces couches sont dans le l
evé. Ce cerveau, si remarquable par sa grandeur et la richesse de ses
plis
, n'a point de prolongements postérieurs, et laiss
let de petites dentelures qu'on pourrait prendre pour des vestiges de
plis
. Ce détail est absolument faux. J'insiste d'autan
couverts. Dès cette époque d'ailleurs, bien qu'absolument dépourvu de
plis
à sa surface, le cerveau avait acquis, sur toutes
s parois cérébrales étaient fort minces et présentaient des traces de
plis
du côté des ventricules énormément dilatés. Mais
s traces de plis du côté des ventricules énormément dilatés. Mais ces
plis
internes répondaient aux anfractuosités externes,
uosités externes, et en conséquence n'avaient rien de commun avec ces
plis
primilifs internes du cerveau du fœtus.—Cf. Besch
ur une de ces figures. Une autre représente le cervelet avec quelques
plis
; mais ces plis, dessinés au hasard et semblables
gures. Une autre représente le cervelet avec quelques plis ; mais ces
plis
, dessinés au hasard et semblables à des lignes tr
général, il n'y a encore sur toute la surface des hémisphères que des
plis
rudimentaires, semblables à des rides éparses ; e
u cervelet produit un lobe distinct où se dessinent trois ou quatre
plis
transverses ; le vermis médian, très-large à celt
er celui de tous les Primates inférieurs. Deux petits tubercules sans
plis
, où l'on reconnaît à grande peine les touffes du
ore, il est vrai, toutes ses feuilles, mais sa surface est chargée de
plis
nombreux, et l'on peut dès lors compter tous ses
. Le vermis latéral n'est encore qu'un petit tubercule étroit et sans
plis
. Pendant les dernières périodes du développemen
nt à la fois. En même temps les parois du cerveau se plissent, et ces
plis
se développent chez Vhomme dans l'ordre suivant :
asses pariétales d'avec le lobe frontal. Ce lobe n'a point encore les
plis
profonds qui le distingueront plus tard, mais il
es rides nombreuses et disséminées. Il y a aussi quelques vestiges de
plis
vers l'extrémité occipitale, mais le lobe occipit
misphère, la première scissure est celle des hippocampes ; le premier
pli
distinct est le pli unci-forme. Le cerveau est ve
e scissure est celle des hippocampes ; le premier pli distinct est le
pli
unci-forme. Le cerveau est vers cette époque beau
s. C'est seulement vers les derniers temps de la vie fœtale que les
plis
du lobe occipito-sphénoïdal externe se développen
externe se développent. Souvent, alors que les masses principales des
plis
frontaux sont bien dessinées, la scissure parallè
frontaux sont bien dessinées, la scissure parallèle qui distingue le
pli
marginal inférieur de la scissure de Sylvius, n'e
pas d'une manière absolument symétrique. Ainsi, le développement des
plis
frontaux paraît se faire plus vite à gauche qu'à
plus vite à gauche qu'à droite, tandis que l'inverse a lieu pour les
plis
du lobe occipito-sphénoïdal. Du moins, dans tous
as que j'ai observés, ai-je vu la scissure parallèle qui distingue le
pli
marginal inférieur se dessiner à droite avant de
oite avant de se montrer à gauche. D'ailleurs, ce développement des
plis
cérébraux va si vite, qu'à la naissance le systèm
nt des plis cérébraux va si vite, qu'à la naissance le système de ces
plis
est complet et ne diffère de celui de l'adulte qu
ses proportions définitives et ne se complète dans le système de ses
plis
, que vers l'âge adulte. Rien n'est plus singulier
es singes. C'est la même forme générale, ce sont les mêmes groupes de
plis
. Or, les singes présentant dans ces plis moins de
ce sont les mêmes groupes de plis. Or, les singes présentant dans ces
plis
moins de complication, quelques-uns ayant même de
e manière de voir. Chez le Ouistiti, par exemple, le cerveau n'a ni
plis
ni anfractuosités; mais les lèvres de la scissure
gtemps avant que le rapprochement de ces lèvres se soit effectué, des
plis
nombreux se dessinent sur la surface cérébrale et
, l'achèvement de la forme générale précède les premiers vestiges des
plis
. Dans l'homme, ils apparaissent et se multiplient
pparaissent et se multiplient longtemps auparavant. Mais du moins ces
plis
apparaîtront-ils dans le même ordre ? La complica
le reste du cerveau est presque absolument lisse. Ainsi, les premiers
plis
qui se distinguent ici sont inférieurs à la sciss
qui sont au-dessus de la scissure de Sylvius soient déjà chargées de
plis
. Ainsi à aucune époque le cerveau du fœtus humain
d'autant plus qu'on se rapproche davantage du moment où ses premiers
plis
apparaissent. Il résulte de ce fait une conséqu
mais la scissure de Sylvius était encore béante, en revanche tous les
plis
de passage étaient superficiels. Dans l'Orang et
ylvius est fermée, la scissure parallèle est profonde, et le deuxième
pli
de passage est caché. Dans la petite négresse mic
à aucune époque, en effet, leur base ne se continue dans le lobule du
pli
unciforme comme cela se voit chez la plupart des
s tubercules quadrijumeaux. Ils étaient alors absolument dépourvus de
plis
; le corps calleux était encore à peine indiqué,
phe. Les hémisphères, il est vrai, ont à peirie quelques rudiments de
plis
, mais deux lobes olfactifs énormes leur donnent u
parties médianes et réduit dans ses masses latérales, est sillonné de
plis
nombreux. Quant au corps calleux, il est rudiment
ure à découvert, et cependant les hémisphères peuvent être chargés de
plis
dont la complication peut dépasser celle des plis
ent être chargés de plis dont la complication peut dépasser celle des
plis
du cerveau humain (1); chez tous le corps calleux
mince, recouvre le ventricule intermédiaire, et le cervelet chargé de
plis
est remarquable par le développement de ses vermi
e fœtus humain présente à cet égard les plus grandes différences. Les
plis
du cerveau n'apparaissent qu'au moment où ses lob
ses lobes postérieurs ont recouvert et même dépassé le cervelet; les
plis
de ce dernier organe se dessinent, il est vrai, e
jà à cette époque leur surface offre des rudiments très-apparents des
plis
futurs; des lobes olfactifs énormes naissent de l
de son type futur et porte dans toutes ses parties des sillons et des
plis
fort apparents (1). (1) A certains égards lamar
és de division en quatre lobes distincts. Le cervelet a déjà quelques
plis
, et les lobes olfactifs ont un développement énor
§ S. S'il y a entre la taille de l'animal et la complication de ses
plis
cérébraux un rapport réel? / On peut encore t
cette proposition si positivement affirmée, que le développement des
plis
du cerveau suit uniquement le développement de la
. En sorte que, bien que dans l'animal le plus grand il y ait plus de
plis
, eu égard au volume de son cerveau, il ne s'ensui
premier, elle sera égale à deux dans le second ; en conséquence, les
plis
cérébraux étant semblables dans l'un et dans l'au
cerveau du grand pourra être tout au plus 1 1/2. En conséquence, les
plis
cérébraux étant supposés semblables dans l'un et
que le plus petit fût rigoureusement exacte, il fau rirait que les
plis
de son cerveau fussent au moins deux fois plus co
. Ainsi les idiots, qui le plus souvent ont un cerveau très-pauvre en
plis
, demeurent-ils fort petits; c'est là une remarque
normal de sa race, je serais porté à supposer que dans cette race les
plis
sont, dès le principe, beaucoup moins compliqués,
eurs, les mammifères aquatiques qui sont carnassiers ont un cerveau à
plis
plus (1) J'ai eu l'occasion d'observer, grâce à
us grandes espèces, les Orangs, les Chimpanzés, les Gorilles, ont des
plis
assez simples, et d'ailleurs leur cerveau est, eu
eu égard à la masse du corps, extrêmement petit. Ainsi la quantité de
plis
que présente le cerveau de l'homme supposerait ch
de l'Éléphant, d'autant plus que dans le groupe qui nous occupe, les
plis
du cerveau ont moins (1) Toutes les traditions
andeur moyenne de l'homme n'a point varié. Ainsi le développement des
plis
dans les hémisphères humains, n'est pas uniquemen
pas uniquement relatif au développement de la taille. Une quantité de
plis
double de celle que présente le cerveau d'un Gori
s'il s'agissait d'un singe, un animal de quinze pieds de haut. Or les
plis
du cerveau humain dépassent de beaucoup cette pro
zé, ce que j'ai fait connaître dans un autre ouvrage (Mémoire sur les
plis
cérébraux de l'homme el des primates, 1854.) Je l
ndue de cette région indique un grand développement du système de ces
plis
de passage, dont l'apparition simultanée à la sur
considérant l'étage supérieur du lobe frontal, le lobule du deuxième
pli
ascendant et loe doux plis supérieurs de passage,
ieur du lobe frontal, le lobule du deuxième pli ascendant et loe doux
plis
supérieurs de passage, comme constituant les régi
u'il ne faut point négliger. Le plus souvent, dans l'homme blanc, les
plis
cérébraux ne laissent sur la table interne du crâ
s os, se développant, viendront remplir ces vides, et dans ce cas les
plis
laisseront des empreintes, ou ce sera la substanc
concerne l'Homme, la grandeur de son cerveau et le développement des
plis
de sa surface en font, au-dessus du groupe des pr
avoir: 1° l'étage supérieur du lobe frontal; 2° le lobule du deuxième
pli
ascendant; 3° enfin, le développement simultané
uxième pli ascendant; 3° enfin, le développement simultané des deux
plis
supérieurs de passage et, en deux mots, de tous l
ané des deux plis supérieurs de passage et, en deux mots, de tous les
plis
composant la large bande circonvolu-tionnaire qui
lles sont au moment de disparaître de la terre et malheureusement les
plis
du cerveau laissent trop peu d'empreintes sur les
enablement faite, renverserait bien des préjugés. (1) P. Gratinlet,
Plis
cérébraux de l'homme et des primates. Paris, Arth
du système nerveux de l'abeille résulte sa singulière industrie ? Les
plis
que présente la surface de ses ganglions cérébrau
issées autour de ce centre; plus le centre ovale grandit, et plus les
plis
se multiplient. Mais il ne s'ensuit pas que le no
de cette prodigieuse multiplicité de fibres propres qui passent d'un
pli
à l'autre et relient en un même système toutes le
nt une parole de l'homme? Il ne s'agit donc ici ni de complication de
plis
, ni de masse; il ne s'agit point d'une différence
§ 8. S'il y a entre la taille de l'animal et la complication de ses
plis
cérébraux un rapport réel............... 258 CH
petit sillon parallèle, isolé de la scissure interpariétale par un
pli
de passage à niveau allant à la pariétale ascen
rquée à son origine; sa partie pos- tèrieure est interrompue par un
pli
de passage transversal, à niveau, se rendant du
e transversal, à niveau, se rendant du lobule pariétal supérieur au
pli
courbe. Le lobule pariétal inférieur, assez vol
sa partie antérieure, l'est moins dans sa partie postérieure. Le
pli
courbe, assez gros, a la forme d'un coeur de cart
e pariétal supérieur à la première occipitale, et un autre entre le
pli
courbe et la seconde occipitale. Les circonvolu
re temporale est moyennement développée, sinueuse. Il existe quatre
plis
de passage trans- versaux temporo-pariétaux. La
re, et ses deux branches de dédoublement semblent circonscrire le
pli
courbe. La deuxième circonvolution temporale est
La deuxième circonvolution temporale est bien développée; il y a un
pli
de passage entre la première et la seconde temp
à la seconde scissure temporale; celle-ci est interrompue par des
plis
de passage se rendant de la troisième temporale à
diri- gée obliquement, interrompue vers sa partie moyenne par un
pli
de passage allant de la première temporo-occipita
remière temporo-occipitale à la troisième temporale. En avant de ce
pli
de passage, se trouve une portion en retrait de
a scissure calloso-marginale est interrompue vers son milieu par un
pli
de passage allant de la première à la deuxième
nterne bien déve- loppée, coupée par de nombreux sillons, envoie un
pli
de pas- sage de niveau, au lobule paracenlral,
le est très large. Le lobule quadrilatère est gros et pré- sente un
pli
de passage pariéto-limbique antérieur et posté-
ueuse. La scissure frontale in. fé- rieure est interrompue par deux
plis
de passage allant de la troi- sième à la second
irrégulière, profonde, interrompue à sa par- tie antérieure par un
pli
de passage entre les deux premières frontales.
les deux premières frontales. La première frontale s'insère par un
pli
de passage sur la frontale ascendante; elle est
est moyennement développé, mais à sa partie la plus postérieure, le
pli
de pas- sage se rendant la première occipitale
moyenne, la scissure interpariétale est interrompue par un petit
pli
de passage transversal allant au lobule pariétal
verse. Le lobule pariétal inférieur est sinueux, peu développé. Le
pli
courbe, irrégulier, est également assez Les cir
ale. Cette région est trô irrégulière et subdivisée par de nombreux
plis
de passage. Les circonvolutions temporo- occipi
Le lobule qlndl' £ l;¡tèl'e est bien développé ; il présente deux
plis
de passage pariéto-limbiqucj antérieur et postéri
19 avril. Poussée d'impétigo s'accompagnant de kérato conjontivite
pli
l ! }ctenulaire; ces troubles oculaires cédérent
obe frontal, sur les lobes pariétaux supérieur et inférieur, sur le
pli
courbe et à l'extrémité postérieure du lobe tem
lésions en foyer. Description DU cerveau. 77 interrompue par un
pli
de passage unissant la 2mc frontale à la fronta
frontale à la frontale ascendante. En bas, elle est limitée par un
pli
de passage unissant la 3 ? frontale à la fronta
ère frontale de la deuxième est sinueux, interrompu par de nombreux
plis
de passage unissant ces deux circonvolutions en
ement distincte de la 2lne à laquelle elle est unie par de nombreux
plis
de passage. - l' est dédou- blée en avant, ses
phérique, en avant du lobe frontal. Elles ne sont pas unies par des
plis
de passage. 1 : est médiocrement développée. El
: est médiocrement développée. Elle est unie à F 3 par de nombreux
plis
de pas- sage. La frontale ascendante a un dével
érieure par deux sillons ; la partie ainsi isolée est reliée par un
pli
de passage à F 2 La partie inférieure de la cir
ssure parallèle et sépare nettement le lobe pariétal infé- rieur du
pli
courbe; la branche verticale, parallèle au sillon
sillon de Rolando, s'arrête au niveau de la courbe; il existe là un
pli
de passage sinueux et bien développé allant du
il existe là un pli de passage sinueux et bien développé allant du
pli
pariétal inférieur à la pariétale ascendante. A
pli pariétal inférieur à la pariétale ascendante. Au-dessous de ce
pli
on trouve la continuation de la partie vertical
que dans le fond de la scissure. Le lobule pariétal inférieur et le
pli
courbe sont sinueux et assez bien développés.
ription du cerveau. sinueuse, irrégulière, est interrompue par deux
plis
de pas- sage. Il existe 3 plis de passage tempo
rrégulière, est interrompue par deux plis de pas- sage. Il existe 3
plis
de passage temporo-pariétaux se dirigeant vers
-occipitales et leurs scissures sont bien développées : de nombreux
plis
de passage relient ces circonvolutions entre el
drilatère sinueux, très-découpé, bien développé, ne présente pas de
plis
pariéto-limbiques antérieurs et le pli pariéto-
veloppé, ne présente pas de plis pariéto-limbiques antérieurs et le
pli
pariéto- limbique postérieur est presque entièr
rconvolutions frontale et pariétale ascendantes. Il n'existe pas de
plis
de passage qui l'interrom- pent. Le lobule orbi
e Description DU cerveau. T9 de la scissure interpariétale par un
pli
de passage à niveau se rendant du lobule pariét
de la troisième frontale, interrompue à son tiers supérieur par un
pli
de passage sinueux bien développé, allant de la
sure frontale supérieure est sinueuse, profonde, interrompue par un
pli
de passage se rendant de la première à la secon
nt pas la scissure parallèle frontale dont elle est séparée par des
plis
de passage presque à niveau se rendant d'une ci
postérieurement est également irrégulière et sinueuse et envoie un
pli
de passageau pied de F3 qui est très-irrégulière,
toutes ses parties sinueuses ; à sa partie moyenne, elle reçoit un
pli
de passage provenant du lobule pariétal inférieur
e scissure parallèle pariétale est interrompue en son milieu par le
pli
de passage dont nous venons de parler et n'a au
e interpariétale, car au niveau de la courbe de celle-ci, il y a un
pli
de passage allant du lobule pariétal supérieur au
sinueuses et découpées. Sa première circonvolution possède trois
plis
pariéto-temporaux. La scissure parallèle, sinueus
La scissure parallèle, sinueuse et très profonde, communique par un
pli
oblique de haut en bas et d'avant en arrière av
e scissure temporale qui est aussi sinueuse et interrompue par deux
plis
de passage allant de la lra à la 2 ? circonvolu
izontale. - Le lobe quadrilatère est bien développé et présente des
plis
pariéto- limbiques antérieurs et postérieurs. L
Le lobule pariétal inférieur est assez bien développé, ainsi que le
pli
courbe qui est divisé par la continuation de la
us-parié- tale propre aux mammifères gyrcncéphales osmatiques, le
pli
pariéto-limbique postérieur profond des chats,
atiques, le pli pariéto-limbique postérieur profond des chats, le
pli
cunéo-limbiqe superficiel des singes, j'ai été fo
sur FA par une racine assez grêle ascendante, et sur I par un gros
pli
de passage. Un second pli de passage, séparé du
ez grêle ascendante, et sur I par un gros pli de passage. Un second
pli
de passage, séparé du premier par un sillon à t
isphère et se termine à la partie inférieure de la face interne. Le
pli
courbe et le lobule du pli courbe n'existent do
partie inférieure de la face interne. Le pli courbe et le lobule du
pli
courbe n'existent donc pas. Le lobe occipital (
ation de F1. Dans l'écartement des branches infé- rieures plonge un
pli
de passage de F3. En avant la F- s'élar- git co
la subdivisent pas complètement. Il n'y a pas de trace du lobule du
pli
courbe, ni de pli courbe. En arrière de cette
complètement. Il n'y a pas de trace du lobule du pli courbe, ni de
pli
courbe. En arrière de cette circonvolution repr
ainsi que nous voyons disparaître le lobule pariétal supérieur, le
pli
courbe et son lobule. Le lobc occipital est réd
uc.he. La 101'0 frontale, assez sinueuse, est -composée d'un double
pli
avec des sillons superficiels. Elle s'insère su
ait .partie du bord convexe de l'hémisphère : elle n'envoie aucun
pli
de passage à la circonvolution frontale dont elle
s .elle en est. séparée par un sillon assez profond, et envoie un
pli
de passage à la 3°; au-delà elle s'insère par un
, et envoie un pli de passage à la 3°; au-delà elle s'insère par un
pli
contourné sur la circonvolution frontale ascend
ciels, à bord rectangulaires, La 31uo frontale est très large, sans
pli
, avec deux sillons superficiels, plissée dans l
orte enroulées pour former le bord supérieur de la dépres- sion. Le
pli
supérieur est simple et s'arrête avant d'arriver
ito-temporal de l'hémisphère. Le troisiè- me se bifurque, envoie un
pli
qui s'arrête brusquement sur la terminaison de
s'arrête brusquement sur la terminaison de la bifurcation du second
pli
dont il vient d'être parlé ; l'autre branche de
e temporal que l'on peut considérer à part. L'ensemble de ces trois
plis
, sauf de la dernière bifurcation, est à peu prè
composée de bords rectilignes. La corne d'Ammon ne présente aucun
pli
. Le lobe quadrilatère est volumineux et composé d
ésente aucun pli. Le lobe quadrilatère est volumineux et composé de
plis
peu sinueux, séparés par des sillons superficie
ventricule latéral. La 1,,e frontale, volumineuse, est composée de
plis
transver- saux à son origine, ensuite de deux p
est composée de plis transver- saux à son origine, ensuite de deux
plis
antéro-postérieurs d'abord séparés par un sillo
sillon superficiel, puis en quelque sorte soudés. Le dernier de ces
plis
, qui répond à la 2e frontale, est séparé en mas
superficiels et ces masses sont ridées. FI envoie à son origine un
pli
de passage à la 3°. Elle est ridée en arrière. La
paraît être la circonvolution de l'hippocampe. Il présente quelques
plis
transversaux superficiels. Son bord supérieur l
latéral. Face interne. La 1 ? frontale se compose d'abord d'un
pli
antéro-postérieur qui, en avant, s'infléchit en h
n hauteur. Elle est doublée dans une longueur de 2 cent. 1/2 par un
pli
plus petit dont la sépare un sillon assez profo
mité supérieure sont séparés du reste de la cir- convolution par un
pli
transversal assez profond. Au-dessus de cette p
isphère, existe une circonvolution qui à 75 millimètres de long, un
pli
antéro.postérieur on avant assez profond et tro
de long, un pli antéro.postérieur on avant assez profond et trois
plis
transversaux tout à fait superficiels en arrière.
zate assez profonde. CO/'ne d'Am- mon non sinueuse ; elle envoie un
pli
à l'extrémité postérieure de la masse formée pa
une masse quadrilatère, le lobule qua- drilatère, qui présente des
plis
superficiels dans le sens de la hauteur. Le s
ipital de telle sorte que la scissure calcarine est incomplète. Les
plis
qui composent le cuneus et le lobe occipital so
ccoli5-mo- tiques, par exemple sur le lobe frontal et au niveau du
pli
pariétal supérieur droit. A gauche, congestion
occipital. A gauche, thrombose d'une veine descen- dant en avant du
pli
courbe. Pie-mère de la base normale sans inject
rofonds à direction tortueuse et antéro-postérieure comme celle des
plis
. Le lobe temporal mesure près de 5 centimètres
s ce qui doit être le lobe quadrilatère. Il se compose d'abord d'un
pli
ascen- dant, puis de deux plis à direction anté
drilatère. Il se compose d'abord d'un pli ascen- dant, puis de deux
plis
à direction antéro-postérieure, enfin d'un pli
dant, puis de deux plis à direction antéro-postérieure, enfin d'un
pli
à direction ascendante. Le sillon calloso-margina
ons la scissure pariéto-occipitale, large et profonde, sans un seul
pli
de passage.- La scissure calcarine est peu profon
cissure de Sylvius. Le lobe temporal se compose d'abord de quatre
plis
assez gros, se dirigeant de bas en haut et d'av
e 3 cent. 1/2 de large sur 2 cent, 1/2 cle haut, composée de quatre
plis
irréguliers, se dirigeant obliquement d'avant e
quadrilatère a 4 centimètres en travers, 3 en hauteur, et offre des
plis
à bords angulaires et des sillons assez profond
pn1'Ïc;lo-oeeijJi- tale est très nettement dessinée, rectiligne. Un
pli
de passage l'empêche de communiquer, en arrière
'hippocampe de la 4c temporale. Le cuneus est assez volumineux. Ses
plis
sont petits, ses sillons superficiels. La sciss
se trouve une masse quadrilatère de circonvolutions reliée par deux
plis
de passage à la masse précédente. Enfin une cir
end jusqu'à la circonvolution du corps calleux à laquelle l'unit un
pli
de passage.-Le cuneus est petit, sillonné par d
phère. '2mo frontale, très clcvelop- pée en arriére. Insérée par un
pli
assez étroit sur la frontale 190 Description du
ption du cerveau. ascendante. Très sinueuse, réliée en avant par un
pli
de pas- sage avec la 1" et la 3me frontales ; b
très sinueuse, est très développée. Elle est divisée en deux par un
pli
vertical profond, aboutissant à la scissure de
onti- nue sans ligne de démarcation avec le lobe orbitaire par un
pli
très contourné et très saillant. ' La frontale
be paracentral. Elle est reliée au lobe pariétal inférieur par deux
plis
de passage. La scissure interpariétale est très
avec la scissure par-' rallèle. Cette masse représente le lobule du
pli
courbe. En arrière se trouve une autre masse qu
e, trapezoïde en avant, et une inférieure représentant àpeu près le
pli
courbe, très sinueuse, en S italique, petite en
tem- porale est bien développée, nette en avant, reliée par deux
plis
de passage à la 3me temporale en arrière où elle
ien développé, ses circonvolutions sont sinueuses, avec de nombreux
plis
de passage et des sil- lons très superficiels e
la pariétale ascendante, tout le lobule pariétal inft.\- rieur, le
pli
courbe, les deux premières temporales. Cette poch
ne grosse circonvolution sinueuse, réunie à là en avant par un gros
pli
de passage et séparée sur le reste de son étend
allèles dans sa moitié antérieure. En arrière, elle s'insère par un
pli
de passage assez étroit sur ce qui lui reste de
-circonvolution quadrilatère se continuant en arrière avec un petit
pli
qui serpente au-dessous d'elle en se repliant s
le est complètement détruite dans ses 3/4 antérieurs et formée d'un
pli
simple qui rejoint en arrière le lobe occipital
de l'hémisphère. Cuneus peu nettement limité. Sillons superficiels.
Pli
de passage se réunissant en haut avec les précu
la frontale ascendante. Sinueuse en avant, elle se continue avec un
pli
très tortueux appartenant h l.v 2e frontale, et
ste que dans les ` ? //3 postérieurs, large et pro- fond. En avant,
pli
de passage sur la '2e frontale et circonvo- lut
frontale ascendante, sur laquelle elle ne s'insère due par un polit
pli
;'¡la partie inférieure. - La /'nomtate ascenda
aboutir, en s'effilant, au bord supéri- eur de l'hémisphère. Aucun
pli
de passage avec le lobe parié- tal. Quelques si
te°priét<2le assez étendue, très profonde en arrière. Lobule du
pli
courbe bien développé. La scissure de Sylvius se
cissure interpariétale, le divisant ainsi en deux circonvolutions. -
Pli
courbe séparé du lobule du pli courbe par un si
nt ainsi en deux circonvolutions. -Pli courbe séparé du lobule du
pli
courbe par un sillon étroit; il est composé'de de
inueuse, abouti' en arrière à la partie antérieure et inférieure du
pli
courbe. La scissure parallèle est large, anfrac
Puberté. Tout a fait : \.ira partie inférieure du pénil, entre le
pli
transversal et l'extrémité supérieure dos grandes
es mains n'est pas épaissie, pachydermique, et ne donne pas de gros
plis
sacci formes à la pression. La peau est blanche
a plante du pied gauche, un chatouillement qui remonterait jusqu'au
pli
de l'aine, mais' il est difficile, en raison de
IVE. 65 sans entraîner de substance grise, si ce n'est au niveau du
pli
pariétal supérieur. Pas de lésions en foyer. -
llèle, partant du bord interne de l'hémisphère interrompue par deux
plis
de passage allant de la seconde circonvolution
ure frontale inférieure est très irrégu- lière, interrompue par des
plis
de passage se rendant de la deuxième à la trois
ution frontale, également large, est irrégulière, s'insère par deux
plis
de passage à niveau et parallèles à la circonvo
arallèles à la circonvolution frontale ascendante; elle envoie deux
plis
de passage à la troisième circonvolution fronta
nt développé; il envoie à son extrémité inférieure et antérieure un
pli
de passage étroit au lobule pariétal inférieur
mplète ; elle est interrompue au commen- cement de sa courbe par le
pli
de passage signalé plus haut, puis se poursuit
dans le sillon occipital supérieur jusqu'au sillon transverse. - Le
pli
courbe est assez développé, sinueux. - Le lobe
rolonge jusqu'à la scissure interpariétale en divisant le sommet du
pli
courbe. - La deuxième circonvolution temporale,
e de la scissure perpendiculaire externe, dont il est séparé par un
pli
de passage, allant du pli courbe au lobe occipi
ulaire externe, dont il est séparé par un pli de passage, allant du
pli
courbe au lobe occipital. Ce sillon délimite ne
développée, normale, très découpée ; elle envoie vers son milieu un
pli
de passage maigre, à niveau, à la DE l'épilepsi
limité en avant et en arrière. -Le lobule quadrilatère, large, a un
pli
do passage parieto-limbique anté- rieur, complè
nant presque la circonvolution du corps calleux. Il existe aussi un
pli
pariéto-limbique postérieur mal délimité en avant
re environ; elle est séparée de la scissure inter- pariétale par un
pli
de passage à niveau, reliant le lobe occi- pita
ssure parallèle frontale in- terrompue à sa partie médiane par deux
plis
d'insertion de la deuxième circonvolution front
La scissure frontale infé- rieure sinueuse, est interrompue par un
pli
de passage allant de la deuxième circonvolution
est légèrement sinueuse, cou- pée à son extrémité antérieure par un
pli
de passage venant de la première circonvolution
extrémité antérieure et s'in- sère à la frontale ascendante par un
pli
sinueux et grêle. - La deuxième circonvolution
upé, très développé au détriment du lobule pariétal supérieur. - Le
pli
courbe est assez gros également. - La scissure
la scissure interpariétale continuée elle est interrompue par un
pli
de passage se dirigeant vers la deuxième circonvo
assez bien développée, sinueuse, envoie à son quart antérieur un
pli
de passage à niveau, grêle, à la deuxième circonv
onvolution temporale qui, elle, est très développée et pousse trois
plis
de passage à niveau à la troisième assez bien d
fonde, sinueuse, a un trajet très étendu par suite de la hauteur du
pli
courbe; en avant d'elle et parallèlement il exi
ale. Les scissures sont irrégulières, sectionnées par de nom- breux
plis
de passage; une scissure oblique fait communiquer
de la scissure fronto-pariétale interne ; à ce niveau, on trouve un
pli
de passage profond qui, devenu plus bas à nivea
e nombreux sillons verticaux; elle envoie vers sa partie médiane un
pli
de passage à niveau à la circonvolution du corp
ssage à niveau à la circonvolution du corps calleux; en avant de ce
pli
se trouve une scissure parallèle au corps calle
paracentral bien développé envoie à sa partie inféro-antérieure un
pli
de passage assez gros à ni- veau, à la première
lution frontale interne.- Le lobule quadrilatère, large, possède un
pli
de passage pariéto-limbique postérieur, séparé
corps calleux immédiatement en avant de la couche optique; - sur le
pli
qui va de la cir- convolution du corps calleux
première circonvolu- tion frontale sinueuse, double en avant, sans
pli
de passage, s'insère de niveau sur la frontale
- tion frontale sinueuse. possède une insertion de niveau; pas de
plis
de passage, sillons assez profonds entourant les
nte, plus épaisse que la frontale ascendante, est volumineuse. - Le
pli
pariétal infé- rieur est assez plissé. - Le pli
t volumineuse. - Le pli pariétal infé- rieur est assez plissé. - Le
pli
pariétal supérieur est volumi- neux comme dédou
sé. - Le pli pariétal supérieur est volumi- neux comme dédoublé. Le
pli
courbe, irrégulier, assez si- nueux, envoie un
nueux, envoie un prolongement très gros à bipartie postérieure du
pli
pariétal supérieur. - Le lobe occipital, assez pl
temporale, très sinueuse, envoie un prolongement très volumineux au
pli
pariétal inférieur au pied de la scissure de Sy
r au pied de la scissure de Sylvius; elle a également en avant un
pli
de passage la reliant à la deuxième circonvolutio
ale, sinueuse à sa partie confondue, à la troisième par de nombreux
plis
. , Face interne. - La première circonvolution f
e, dédoublée incomplète- ment en avant; insertion de niveau; pas de
plis
de passage. La deuxième circonvolution frontale
olumineuse, mais surtout dans les deux tiers postérieurs, envoie un
pli
de passageàla troi- sième circonvolution fronta
olution insuffisante. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 89 ascendante du
pli
pariétal inférieur est très profond. Le pli par
RSIVE. 89 ascendante du pli pariétal inférieur est très profond. Le
pli
pariétal supérieur est sinueux, envoie deux pli
st très profond. Le pli pariétal supérieur est sinueux, envoie deux
plis
de passage à la pariétale ascendante et un en a
- ties embrassant une circonvolution quadrangulaire qui envoie un
pli
de passage vers le lobe occipital et en reçoit un
envoie un pli de passage vers le lobe occipital et en reçoit un du
pli
pariétal inférieur. Le lobe occipital est assez
ement dé- coupée dans tous les sens et bien développée, envoie deux
plis
de passage à la seconde circonvolution frontale
sillon est bordé au niveau de la deuxième scissure frontale de deux
plis
de passage à niveau qui inter- rompent la conti
t du trajet de la scissure interpariétale ci-dessus décrite. - Le
pli
courbe est volumineux et relié la deuxième circon
est volumineux et relié la deuxième circonvolution temporale par un
pli
de passage à niveau. Le lobe occipital n'offre
issure parallèle, interrompue vers le milieu de son parcours par un
pli
de passage profond, envoie en avant de celle-ci
tical, aboutissant à la scissure sous- pariétale, il n'existe qu'un
pli
de passage pariéto-limbique postérieur. - Le co
la. Hémisphère droit. - La scissure du Sylvius se termine dans le
pli
pariétal inférieur où elle atteint presque la sci
la scissure in- terpariétale ; à l'endroit où elle pénètre dans le
pli
pariétal in- férieur, on trouve un petit pli de
ù elle pénètre dans le pli pariétal in- férieur, on trouve un petit
pli
de passage un peu en retrait qui isole sa parti
'atteint pas la scissure interpariétale dont elle est séparée parmi
pli
de passage il niveau allant du pli pariétal sup
tale dont elle est séparée parmi pli de passage il niveau allant du
pli
pariétal supérieur au lobe occi- pital. - La sc
entimètre en arrière de son coude, son trajet est interrompu par un
pli
de passage à niveau allant de la partie postéri
u par un pli de passage à niveau allant de la partie postérieure du
pli
pariétal supérieur au pli courbe; plus loin la
niveau allant de la partie postérieure du pli pariétal supérieur au
pli
courbe; plus loin la scissure interpariétale va
, on trouve une scissure parallèle qui n'est interrompue que par un
pli
de passage un peu en retrait, allant de la deux
st bien développée, très sillonnée, envoie à son tiers antérieur un
pli
de passage à niveau, grêle, à la deuxième circo
e est divisée par un sillon profond qui longe la face antérieure du
pli
de passage ci-dessus et fait communiquer entre
a partie postérieure de la deuxième circonvolution fron- tale. - Un
pli
de passage légèrement en retrait, allant de la
s irrégulière; on y trouve encore à sa partie la plus antérieure un
pli
de passage se rendant à la deuxième circonvolut
rêle que de cou- tume à sa moitié supérieure. Lobe pariétal. - Le
pli
pariétal supérieur, bien développé dans ses deu
terne. - Le lobule pariétal inférieur, bien développé, est isolé du
pli
courbe, également bien développé, par un sillon
sa partie postéro-inférieure, est chagrinée; il en est de même du
pli
courbe, mais à un degré moins prononcé. Le lobe
ité postérieure en deux rameaux, l'un antérieur qui se perd dans le
pli
pariétal inférieur, l'autre postérieur qui, apr
stérieure de la seconde circonvolution temporale, est coiffé par le
pli
courbe.-La deuxième circonvolution temporale es
t au niveau de la scis- sure calloso-marginale qui est normale ; un
pli
de passage à niveau, maigre, relie la partie in
interne. - Le lobe quadrilatère est petit, maigre, possède un petit
pli
pariéto- limbique postérieur. - Le coin, la sci
d de la scissure de Sylvius; il fournit vers son quart inférieur un
pli
antéro-inférieur qui va se perdre dans le pied
iculaire externe, la scissure interpariétale est interrompue par un
pli
de passage à niveau allant de l'extrémité posté
ule pariétal supérieur à la circonvolution de passage qui réunit le
pli
courbe aux deuxième et troisième cir- convoluti
postérieure; elle s'insère à la frontale ascendante par un petit
pli
de passage très en retrait qui n'interrompt la co
rallèle frontale que dans sa profondeur ; elle envoie en avant deux
plis
de passage à niveau à la troisième circonvolution
deuxième scissure frontale est inter- rompue en avant par ces deux
plis
de passage. - La troisième circonvolution front
iétale ascendante est volumineuse et normalement con- formée. Les
plis
pariétaux, sont assez bien développés, très décou
ux, sont assez bien développés, très découpés; il en est de même du
pli
courbe. - Le lobe occipital est bien déve- lopp
avec la deuxième scissure temporale qui semble se terminer dans le
pli
courbe par un rameau parallèle à la terminaison
lobule quadrilatère très développé est très découpé et présente un
pli
pariéto-limbique antérieur et un pli parié to-1 i
st très découpé et présente un pli pariéto-limbique antérieur et un
pli
parié to-1 imbique postérieur. La scissure perp
la pariétale ascendante et la première circonvolution temporale du
pli
pariétal inférieur. Le rameau ascendant antérieur
nde, est interrompue au niveau de la scissure interpariétale par un
pli
de passage à niveau reliant le pli pariétal sup
a scissure interpariétale par un pli de passage à niveau reliant le
pli
pariétal supérieur au lobe occipital. - La scis
ale, assez bien développée, reçoit vers son quart antérieur un gros
pli
de passage au niveau de la deuxième frontale qu
ale qui est très large, sinueuse, très sillonnée et s'insère par un
pli
de passage à niveau, à la frontale ascendante ; à
ale ascendante ; à son extrémité la plus antérieure, elle reçoit un
pli
de passage à niveau de la troisième frontale qu
le ascendante est grosse, sinueuse, reliée à son tiers inférieur au
pli
pariétal inférieur par un pli de passage à nive
euse, reliée à son tiers inférieur au pli pariétal inférieur par un
pli
de passage à niveau. Lobe pariétal. - Les lob
Lobe pariétal. - Les lobules pariétaux supérieur et inférieur, le
pli
courbe sont volumineux, mais irréguliers par suit
ccipitale. Lobe temporal. - La première temporale plissée envoie un
pli
de passage à niveau à la partie la plus postéri
rtie la plus postérieure du lobule pa- riétal inférieur et un autre
pli
de passage à niveau à la deuxième temporale qui
deuxième scissure temporale est interrompue postérieurement par un
pli
de passage à niveau allant de la deuxième à la
interne est bien développée, reçoit à son quart postérieur un petit
pli
de passage presque à niveau de la circonvolutio
n dé- veloppé, un peu grêle, comme un peu atrophié; il possède un
pli
pariéto-limbique antérieur long, s'insérant obliq
ux vers le sommet du triangle para- central. Il existe également un
pli
pariéto-timbique postérieur. La scissure perpen
iculaire externe est séparée de la scissure interpa- riétale par un
pli
de passage à niveau allant du lobule pariétal s
voie deux rameaux descendants, l'un en avant, l'autre en arrière du
pli
courbe; un peu au-dessous de la partie moyenne
mpue seulement au niveau de la scissure inter- hémisphérique par un
pli
d'insertion de la première frontale et vers son
nsertion de la première frontale et vers son tiers supérieur par un
pli
d'insertion de la deuxième frontale à sa moitié
lution frontale. La première frontale, peu développée, envoie trois
plis
de pas- sage à niveau à la seconde ; sa moitié
cissure frontale, sinueuse, assez profonde, est interrompue par les
plis
de passage ci-dessus indiqués et communique ave
est très plissée, très découpée et irrégulière; elle projette deux
plis
de passage à niveau à la partie triangulaire de
rs; le lobule pariétal inférieur très maigre, présente ainsi que le
pli
courbe, plus développé des traces de méningo-encé
, plus développé des traces de méningo-encépha- lite disséminée; un
pli
de passage à niveau relie le pli courbe à la pr
ningo-encépha- lite disséminée; un pli de passage à niveau relie le
pli
courbe à la première circonvolution occipitale.
encéphalite sur presque toute leur étendue; la première envoie deux
plis
de passage à niveau à la seconde. - La première
issure temporale qui est sinueuse, irrégulière, interrompue par des
plis
de passage à niveau allant de la deuxième à la tr
a deuxième circonvolution temporo-oceipitale; celle-ci envoie des
plis
de passage à niveau à lapremière circonvolution t
sure calloso-marginale par un petit sillon horizontal; il existe un
pli
pariéto-limbique postérieur. - La scis- sure pe
iculaire externe est séparée de la scissure inter- pariétale par un
pli
de passage à niveau se rendant du lobule pariét
e interne; en bas elle est isolée de la pariétale ascendante par un
pli
de passage à niveau contourné, allant de celle-
nte par un pli de passage à niveau contourné, allant de celle-ci au
pli
pariétal inférieur, au delà de son coude elle e
ariétal inférieur, au delà de son coude elle est interrompue par un
pli
de passage transversal atrophié, se rendant du
terrompue par un pli de passage transversal atrophié, se rendant du
pli
pariétal supérieur au pli courbe ; plus loin, e
ssage transversal atrophié, se rendant du pli pariétal supérieur au
pli
courbe ; plus loin, elle va se confondre avec l
le frontale interrompue seulement vers son quart supérieur par un
pli
de passage à niveau atrophié, allant de la deuxiè
te. La première frontale s'insère à la frontale ascendante par deux
plis
de passage à niveau, atrophiés, vermi- formes;
ndo par le sillon déjà décrit; au tiers antérieur on y rencontre un
pli
de passage étroit, atrophié et au tiers postéri
un pli de passage étroit, atrophié et au tiers postérieur un autre
pli
de passage profond. La deuxième frontale s'insè
nd. La deuxième frontale s'insère à la frontale ascen- dante par un
pli
de passage courbe, atrophié; elle est atrophiée,
trent des traces de méningo-encéphalite ; en avant elle envoie deux
plis
de passage à niveau, atrophiés, à la troisième
inter- DE l'épilepsie PROCURSIVE. '17 rompue en avant par un des
plis
de passage dont il vient d'être question. La tr
upérieure, la pre- mière plus que la seconde. Lobe pariétal. - Le
pli
pariétal supérieur est tout à fait atrophié, ve
s une couleur un peu ocreuse et forme son extrémité postérieure. Le
pli
pariétal inférieur et le pli courbe sont relati
et forme son extrémité postérieure. Le pli pariétal inférieur et le
pli
courbe sont relativement assez bien développés
bien développées, sinueuses. La deuxième envoie à la troisième deux
plis
de passage à niveau; sur la moitié antérieure de
e, légèrement en retrait vers l'incisure préoccipitale, pousse deux
plis
de passage à niveau grêles à la troisième circo
us jaunâtre que la précédente, est assez développée, elle envoie un
pli
de passage à niveau à la première vers son tier
ntérieur. Les scissures sont assez profondes, inlerrrompues par les
plis
de passage ci-dessus. La circonvolution frontal
e est atrophié, vermiforme dans sa moitié antérieure ; il existe un
pli
pariéto-limbique antérieur et un pos- térieur ;
large- ment, les sillons naso-labiaux se creusent profondément, les
plis
de la patte d'oie s'accusent fortement et les p
contracte souvent sa lèvre supérieure de sorte qu'il s'y forme des
plis
verticaux sur la ligne médiane et sur les côtés,
x des lits, en même temps le- tronc et le cou se contournent et les
plis
de la face, autour de la bouche se tirent, ce q
Lem.... rit très facilement, pour la moindre chose; alors, tous les
plis
de la face sont très prononcés; la bouche s'ouv
grandes lèvres, se continuant jusqu'à la partie la plus interne des
plis
inguinaux, avec pigmentation de ces régions. Le
nvo- lutions frontales, la frontale et la pariétale ascendantes, le
pli
pariétal inférieur, le pli courbe. Grar... (F
frontale et la pariétale ascendantes, le pli pariétal inférieur, le
pli
courbe. Grar... (François), né le 3 mars )854,
périeur, mais la face externe de cette partie répondant au deuxième
pli
de la première frontale est lésée (PL. I, I , )
s toute son épaisseur. Il en est de même de la moitié antérieure du
pli
courbe; à ce niveau il existe une sorte de cavi
première temporale envoie au fond de la scissure de Sylvius un seul
pli
bifurqué (PL. I) à sa base seu- lement. Il est
ENNE. 15 5 circonvolution pariétale ascendante parait normale. - Le
pli
pa- riétal supérieur, le pli pariétal inférieur
iétale ascendante parait normale. - Le pli pa- riétal supérieur, le
pli
pariétal inférieur, et le pli courbe sont très
le. - Le pli pa- riétal supérieur, le pli pariétal inférieur, et le
pli
courbe sont très distincts; à cet égard c'est u
t normales, sinueuses. - La première envoie de sa parlie moyenne un
pli
assez large, de forme conique vers le fond de l
large, de forme conique vers le fond de la scissure de Sylvius. Ce
pli
présente un sillon longitudinal assez superfici
on longitudinal assez superficiel. A un centimètre en arrière de ce
pli
en part un autre court et simple (IL. III, p.).
de ce pli en part un autre court et simple (IL. III, p.). Entre ces
plis
vienl s'emboîter un petit prolongement du pli p
III, p.). Entre ces plis vienl s'emboîter un petit prolongement du
pli
pariétal inférieur. Face interne. La première c
es ; 4" le lobule pariétal inférieur, et 5° la moitié antérieure du
pli
courbe. Ces lésions expliquent parfaitement les
euxième circonvolution frontale, du lobule pariétal inférieur et du
pli
courbe, nous nous contenterons de signaler leur r
aites en jouant sur la face dorsale de la main droite. Au niveau du
pli
du coude, des deux côtés, deux petites plaques
ol. La pre- miére circonvolution frontale envoie dès son origine un
pli
long, sinueux, mais unique à la deuxième fronta
s unique à la deuxième frontale. Dans une partie de sa longueur, ce
pli
double la circonvolution, puis elle se compose
e pli double la circonvolution, puis elle se compose de deux petits
plis
transversaux dont postérieur donne naissance à
eux petits plis transversaux dont postérieur donne naissance à deux
plis
antero-postérieurs qui viennent en forme de croch
ntero-postérieurs qui viennent en forme de crochet s'insérer sur un
pli
antéro-postérieur de la deuxième qui naît de la
tale. - La deuxième circonvolution frontale comprend à l'origine un
pli
transversal assez volumineux qui, en bas, s'abo
ec la troisième circonvolution frontale. De la partie moyenne de ce
pli
part la deuxième circonvo- lution frontale qui
circonvo- lution frontale qui va directement en arrière, reçoit le
pli
de pas- sage de la première circonvolution fron
première sinuosité, puis une seconde, dont sommet reçoit le second
pli
dans L'ÉPILEPSIE. 57 de la première frontale,
le ascendante. A un centimètre de sa partie inférieure part un gros
pli
de passage qui l'unit au pli pariélal inférieur
e de sa partie inférieure part un gros pli de passage qui l'unit au
pli
pariélal inférieur. , Ce pli interrompt la scis
un gros pli de passage qui l'unit au pli pariélal inférieur. , Ce
pli
interrompt la scissure interpariétale qui se trou
et se prolongeant avec la branche transversale du sillon médian du
pli
pariétal supérieur; cette partie delà scissure
ond qui le divise presque entièrement en deux parties; il envoie un
pli
de passage au pli courbe et en reçoit un du pli
presque entièrement en deux parties; il envoie un pli de passage au
pli
courbe et en reçoit un du pli pariétal supérieu
rties; il envoie un pli de passage au pli courbe et en reçoit un du
pli
pariétal supérieur; celui-ci est sinueux, mais mo
celui-ci est sinueux, mais moins volumi- neux que l'inférieur. - Le
pli
courbe est plissé, et n'offre rien de particuli
l'insula est bien développé; il reçoit de la première temporale un
pli
de passage volumineux, bifurqué à sa base. Face
. - Le lobe paracentral est épais, long, bien développé; au lieu du
pli
longitudinal qu'il présente ordinairement, on obs
u du pli longitudinal qu'il présente ordinairement, on observe deux
plis
transversaux dans l'axe postérieur assez profond
e cal- carine sont normaux. - Le lobule fusiforme envoie en haut un
pli
de passage à la circonvolution de l'hippocampe.
très dévelop- pée, très sinueuse, surtout en avant; elle envoie un
pli
de passage en haut et vers le tiers antérieur à
iétal inférieur, la partie la plus antérieure du lobe occipital, le
pli
courbe, la partie postérieure du lobule pariétal
l, l'autre est très atrophiée, réduite à l'état membraneux. Tout le
pli
courbe est très atrophié et réduit à l'état mem
use, profonde; elle est interrompue vers son tiers antérieur par un
pli
de passage allant de la première frontale à dan
tion frontale, sinueuse, bien développée, reçoit de la troisième un
pli
de passage et s'insère sur le milieu de la fron
ntale ascendante. La troi- sième frontale est sinueuse, composée de
plis
transversaux dont le dernier vient, pour ainsi
ndante est également sinueuse, mais moins large que FA et reçoit un
pli
de passage de Pt et de P2. - P' volumineux, env
reçoit un pli de passage de Pt et de P2. - P' volumineux, envoie un
pli
de passage re- courbé àPA; un deuxième qui va s
a s'emboîter dans Pl, enfin un troisième à LO, de plus il reçoit un
pli
de PC. - Un sil- lon large et profond sépare ?
nd sépare ? 'de LO. - P2 très plissée, assez volumineuse, envoie un
pli
de passage assez volumi- neux à PA. LO, assez v
ns superficiels. - T' sinueuse dans sa partie moyenne en- voie un
pli
de passage à LI au fond de la scissure de Syl-
et, à l'ori- gine de sa partie ascendante, elle est obstruée par un
pli
de passage que T' envoie à T q. Le lobule de l'
corps calleux, CCCa, présente un sillon super- ficiel et envoie un
pli
de passage au lobule paracentral, LP, qui est v
al, LP, qui est volumineux, irrégulier, très plissé, et envoie un
pli
de passage sinueux à LQ. Le pli de passage qui de
régulier, très plissé, et envoie un pli de passage sinueux à LQ. Le
pli
de passage qui de CCCa se porte à LP interrompt
ure perpendiculaire est très marquée. LC,assez développé, envoie un
pli
de passage au lobe occipital, LO,qui est petit,
noirs. Face convexe. F bien développée, très longue, envoie deux
plis
de passage qui s'emboîtent dans F2. - F2 se fixe
n de pi à sa partie moyenne. - P* bien développée reçoit de PC un
pli
de passage. P1 très sinueuse envoie un prolon-
e la partie moyenne de T'. La scissure parallèle est profonde et le
pli
courbe bien distinct. T 2 envoie deux plis de p
allèle est profonde et le pli courbe bien distinct. T 2 envoie deux
plis
de passage à T '. LI présente des digitations b
ps calleux est assez peu AUTOPSIE. 133 développée et présente des
plis
superficiels mais nombreux. La scissure perpend
ssure perpendiculaire est large et béante. - LC si- nueux envoie un
pli
de passage à L0.- LO s'abouche avec CH par un l
amaigrie, yeux excavés ; sillons naso- labiaux égaux ainsi que les
plis
du front ; lèvres rosées, humides. Les gencives
mière frontale est très sinueuse, a des sillons profonds, envoie un
pli
de passage très sinueux à la partie moyenne de
rès sinueuse avec des sillons assez superficiels ; elle envoie un
pli
de passage à la troisième frontale et s'insère de
sinueuse. Le lobule pariétal supérieur est volumineux, plissé (3
plis
) ; il se bifurque en arrière en V qui reçoit entr
en V qui reçoit entre ses branches le lobe occipital ; il envoie un
pli
de passage au pli courbe. Le lobule pariétal in
e ses branches le lobe occipital ; il envoie un pli de passage au
pli
courbe. Le lobule pariétal inférieur composé de
sage au pli courbe. Le lobule pariétal inférieur composé de trois
plis
partant de son bord supérieur, l'un descendant le
scendant le long de la pariétale ascendante à laquelle il envoie un
pli
de passage, les deux autres allant vers la prem
deux autres allant vers la première circon- volution temporale. Le
pli
courbe est très sinueux, doublé en arrière d'un
n temporale. Le pli courbe est très sinueux, doublé en arrière d'un
pli
bifurqué envoyant un pli de passage au lobe occ
e est très sinueux, doublé en arrière d'un pli bifurqué envoyant un
pli
de passage au lobe occipital. Le lobe occipital
utions temporales forment une masse ovoïde composée d'abord de deux
plis
antéro-postérieurs, puis de trois plis transver
ïde composée d'abord de deux plis antéro-postérieurs, puis de trois
plis
transversaux. - Le lobule lingual s'arrête loin
erne. - La première circonvolution frontale très sinueuse reçoit un
pli
de passage de la circonvolution du corps calleu
lleux, ce qui fait que, dans sa partie antérieure, elle offre trois
plis
parallèles, tandis qu'elle ne possède dans sa p
èles, tandis qu'elle ne possède dans sa partie postérieure que deux
plis
sinueux. - La scissure calloso-marginale est pe
uns très profonds, les autres superficiels; elle envoie en avant un
pli
de passage à la deuxième circonvolution et s'in
deuxième circonvolution frontale est très sinueuse; elle reçoit un
pli
de passage de la troisième frontale qui vient s
use, est plus développée que la frontale ascendante; elle envoie un
pli
de passage aux lobules pa- riétaux supérieur et
carré. - Le lobule pariétal supérieur est très sinueux et envoie un
pli
de passage au pli courbe et au lobe occipital.
pariétal supérieur est très sinueux et envoie un pli de passage au
pli
courbe et au lobe occipital. - Le lobule pa- ri
riétal inférieur est sinueux, avec des sillons superficiels. - Le
pli
courbe est sinueux, très irrégulier ; du sommet d
ssure parallèle partent en rayonnant quatre sillons qui séparent le
pli
courbe et le rendent ainsi irrégulier; entre le
i séparent le pli courbe et le rendent ainsi irrégulier; entre le
pli
courbe et le lobe occipital, il y a une circonvol
le lobe occipital, il y a une circonvolution qui, en bas, envoie un
pli
de passage au lobe occipital. - Le lobe occipit
circonvolution tempo- rale, bien développée, sinueuse, envoie trois
plis
de pas- sage vers le fond postérieur de la scis
roisième circonvolutions temporales sont confondues et formées de
plis
transversaux; un sillon assez profond les sépare
misphère et n'est séparée de la scissure perpendiculaire que par un
pli
étroit. La scis- sure perpendiculaire empiète d
rme de V ouvert en arrière et en haut. Le lobe carré est composé de
plis
grêles, séparés par des sillons profonds.- Le c
cendante. P a, Pariétale ascendante. SR, Sillon de Rolando. P,,
Pli
pariétal supérieur. PC, Pli courbe. Ti, Premi
endante. SR, Sillon de Rolando. P,, Pli pariétal supérieur. PC,
Pli
courbe. Ti, Première circonvolution temporale ;
Pli courbe. Ti, Première circonvolution temporale ; elle envoie un
pli
de pas- sage au lobule de l'insula dans le fond
tales. F a, Frontale ascendante. P a, Pariétale ascendante. Pl,
Pli
pariétal supérieur. P2, Pli pariétal inférieur.
e. Pl, Pli pariétal supérieur. P2, Pli pariétal inférieur. P c,
Pli
courbe. LO, Lobe occipital. Tt Première circo
Tt Première circonvolution temporale. LI, Lobule de l'insula. P,
Pli
de passage envoyé au lobule de l'insula par la pr
rofonds et d'aspect Saines. Les sillons sont nombreux ainsi que les
plis
de passage. Les circonvolutions secondaires for
ince couche de Description DU cerveau. 23 substance cérébrale. Le
pli
courbe est atrophié. Le lobe occipital est form
raissent à l'oeil nu exemptes de toute lésion. Il en est de même du
pli
courbe. Le lobe occipital et le lobe temporal s
che ; les lèvres sont épaisses, les commissures assez profondes, le
pli
nasogénien est plus marqué du côté gauche lorsq
ère circonvolution frontale (1 ? ) volumineuse, communi- que par un
pli
de passage avec la seconde frontale (F2.), la p
erpariètale. - Deuxième temporale (T2.), volumineuse et sinueuse. -
Pli
cotcrhe (P3.), développé avec de petits sillons
ion du corps calleux (C.C.C.), présente a sa partie moyenne trois
plis
de passage se portant vers le pied de la première
pital. - l'ien21ère circonuolulion /Oontale, communique par deux
plis
de passage avec la partie moyenne de la deuxième.
temporale, rectiligne, bien développée, semble se continuer avec le
pli
courbe. Deuxième circonvolution temporale, larg
la fente de Bichat. Circonvolution calloso-marginale, présente des
plis
de passage vers le pied de I'I. Lobule paracent
acentral, se continue Autopsie. 37 à sa partie postérieure par un
pli
de passage avec le lobule quadrilatère. - Fissu
assez nettement accusée, est interrompue en trois endroits par des
plis
de passage. - La scissure frontale supérieure (
uxième tem- porale, qui, peu nette, est interrompue par de nombreux
plis
de passage. L'incisure préoccipitale (In. pr.)
volution frontale (F2) est très-développée ; elle s'implante par un
pli
de passage mince sur la frontale ascendante ; e
s communications sont très nettes avec la frontale ascendante. - Le
pli
pariétal supérieur (Pl.) est nettement accusé.
dante. - Le pli pariétal supérieur (Pl.) est nettement accusé. - Le
pli
pariétal inférieur (P2.) est entrecoupé par des
l inférieur (P2.) est entrecoupé par des sillons peu profonds. - Le
pli
courbe (P3.) est normal. - Le lobe occipital (L
ure du lobule de l'insula. A l'extrémité de la scissure de Sylvius,
pli
de passage très-développé qui l'unit au lobe pa
e circonvolution temporale (T2.) est unie à la troième par un large
pli
de passage. - La troisiè- me circonvolution tem
occipilale(1'ol,} ainsi que. la deuxième (To2), sont normales, - Le
pli
pariéto-liinbique antérieur (p.p.a.) est net. L
normales, - Le pli pariéto-liinbique antérieur (p.p.a.) est net. Le
pli
parièto-limbique postérieur (p.pjp.jest très dé
continue. - La deuxième scissure temporale est in- terrompue par un
pli
de passage faisant communiquer la deu- xième et
large, bien dévelop- pée. La deuxième f1;oritale s'implante par un
pli
de passage sur la frontale ascendante ; elle es
rconvo- lutions pariétales par la scissure ii-ete7pti-id tale. - Le
pli
courbe, ainsi que les deux plis pariétaux supér
la scissure ii-ete7pti-id tale. - Le pli courbe, ainsi que les deux
plis
pariétaux supérieur et infé- rieur, ne présente
temporale sont très-accentuées; elles communiquent ensemble par un
pli
de passage. Face interne. La scissure calloso'1
tout-à-fait le bec du corps calleux ; elle en est séparée par un
pli
de passage faisant communiquer la circonvolution
nombreux sillons courts et peu profonds et offrent d'assez nombreux
plis
de passage. La scissure proe- frontale est très
atre circonvolutions frontales sont bien contournées, de nombreux
plis
de passage les relient entre elles. Le lobe parié
e circonvolutions assez grêles avec des sillons super- ficiels, des
plis
de passage rares. Les circonvolutions fron- tal
iétales ascendantes sont bien développées et très asymétriques. Les
plis
pariétaux inférieurs et supérieurs sont tout-à-
utions des deux hémisphères sont assez complexes et : unies par des
plis
de passage assez nombreux. Hémisphère droit (
neux que le gauche, est d'une description plus simple. Les grands
plis
du cerveau (scissure de Sylvius, sillon de Roland
pée que vers son cinquième supérieur par une incisure au-dessous du
pli
de passage qui termine FI, F3 devient grêle et
landique peu développé; en haut elle se bifurque pour donner deux
plis
de passage au lpbq pariétal supérieur. Cette circ
ce externe. -Love frontal. Fj peu volumineuse, présente de nombreux
plis
de passage avec les circonvolutions voisin nes
puis cinq avec F2. Au niveau de son quart postérieur est le dernier
pli
de passage avec F2 qui semble continuer la circ
remière partie est convexe en haut, et communique avec F2 par les
plis
de passage déjà signalés, et avec P3 par deux pli
avec F2 par les plis de passage déjà signalés, et avec P3 par deux
plis
de passage importants, l'un tout à fait antérie
ndépendante dans ses 2/3 inférieurs, qui se terminent en bas par un
pli
de passage avec F3, en haut par un autre avec F
lobe pariétal. Elle se termine en haut d'une façon analogue. Pas de
pli
de passage dans son trajet. La scissure intrapa
nmoins séparée par une fissure. T2 et T3 sont unies par de nombreux
plis
de scissures, les sillons qui sont entre elles
empo-occipitales, etc., ont leur disposition normale, ainsi que les
plis
fronto-limbique et pariéto-limbique. Il en est
r les circonvolutions pariétales inférieure et supé- rieure, sur le
pli
courbe, sur le lobule quadrilatère, mais moins
t ].'3 assez contour- nées, parallèles, réunies entre elles par des
plis
de passage, n'ont rien de bien particulier. FA
rticulier. FA est coupée par une inci- sure à sa partie moyenne. Un
pli
de passage termine I·'3 en l'unissant at la moi
ette et bien distincte de T2. 'l'2 et T3 sont unies par de nombreux
plis
de passage. De multiples adhérences méningitiqu
ontournée, coupée d'incisu- res, communique avec F2 par de nombreux
plis
de passage. F2 va se jeter dans r3 après avoir
é coupée par une scissure verticale, sur les bords de laquelle deux
plis
de passage la font communiquer avec ra. Fil est
ause de la dilatation ventriculaire. Lobe frontal. - F4 offre trois
plis
de passage avec F2 sur (1) Cet hémisphère, le b
pour examen histologique. Cas suivis DE DÉCÈS. 161 son trajet; le
pli
le plus important est le moyen qui, sur une éte
ncit pour aller se jeter dans F A. F2 a son origine dans le premier
pli
de passage de F* ; elle est contournée et coupé
convolutions : une inférieure se continue en avant avec F2 et un
pli
de FI et une supérieure qui va rejoindre le pied
tué à 4 centimètres environ de la scissure interhémisphérique. Un
pli
de passage important coiffe ce sillon et unit PA
e de Ti. Ces deux circonvolutions sont confon- dues par de nombreux
plis
de passage et de nombreuses incisures. Les circ
erne. F| est atteinte cle sclérose tubéreuse il son origine vers le
pli
fronto- limbique, puis il deux centimètres de l
lobe pa- riétal. T2 vers sa partie moyenne s'unit iL T3 par un gros
pli
de passage sclérosé. T3, dont le 1/3 antérieur
on cons- tate, au niveau de son extrémité antérieure, au-dessus du
pli
fronto-limbique, un noyau sclérosé de l cm. env
sclérosé de l cm. environ et un autre de 2 centimètres en avant du
pli
pariéto-limbique. Rien à noter d'apparent au co
e ascendante a été indiquée par les lettres PA au lieu de FA. Pl,
pli
pariétal supérieur. P2, pli pariétal inférieur.
par les lettres PA au lieu de FA. Pl, pli pariétal supérieur. P2,
pli
pariétal inférieur. P3, pli courbe. LOC, lobe
FA. Pl, pli pariétal supérieur. P2, pli pariétal inférieur. P3,
pli
courbe. LOC, lobe occipital. Tl, T ? T-3, pre
poro-occipitale. Ta, troisième circonvolution temporale. P l' a.,
pli
pariéto-limbique antérieur. Il Il 1>, pli pa
temporale. P l' a., pli pariéto-limbique antérieur. Il Il 1>,
pli
pariéto-limbique postérieur. C A, corne d' : \m
bule pariétal supérieur. L P I, lobule pariétal inférieur. ' P C,
pli
courbe-. S P, scissure parallèle. 0., O2 03,
P, pédoncule. .. ' C B, carrefour olfactif de Broca. - P F L.,
pli
frontallimbique. G R;-gyrus rectus. . 0 H, ci
pariétal inférieur. S P E, scissure perpendiculaire externe. P C,
pli
courbe. S P, scissure parallèle. 1'r, T2, T3,
striés. C B, carrefour olfactif de Broca. Cal, calotte. P F L,
pli
fronto-limbique. G R, gyrus reotus. Ta, couch
us. S Ip, scissure interpariétale. S P, scissure parallèle. PC,
pli
courbe. S P E, scissure perpendiculaire externe
C C, corps calleux. Se C 111, scissure calloso-marginalo. p p a,
pli
pnriélo-linshiquc antérieur. p p p, pli pariélo
calloso-marginalo. p p a, pli pnriélo-linshiquc antérieur. p p p,
pli
pariélo-lil11biquc postérieur. Se p e, scissure
ive de suicide dans laquelle elle essaya de se couper les veines du
pli
du coude avec des ciseaux la fit réintégrer dan
runteront. Les mémoires doivent porter une épigraphe répétée sur un
pli
cacheté renfermant le nom et l'adresse des aute
sur un pli cacheté renfermant le nom et l'adresse des auteurs. Le
pli
annexé à un travail couronné est ouvert en séance
'une récompense seulement est accordée à un mémoire de concours, le
pli
qui y est joint n'est ouvert qu'à la demande de
ozzi' fait à bon droit remarquer que, dans le mémoire de Gratiolet (
Plis
cérébraux, etc.), le lobe frontal ne comprend q
(Broca). La scissure frontale inférieure ou qui limite en haut le
pli
surcilicr de Gratiolet, part à angle'droit de la
ker, Pansch). Synonymie : Etage frontal supérieur ou troisième et
pli
de la zone externe, de Gratiolet; Première fron
ntale ou inférieure (Ecker, Broca, Biscbofl. Synonymie : Etage ou
pli
frontal inférieur.. Première du pli surcilieo (
Biscbofl. Synonymie : Etage ou pli frontal inférieur.. Première du
pli
surcilieo (Gratiolet) ; Première de Meynert; hi
eroidei vertical ! di mezzo (partie antérieure ; (Rolando); Premier
pli
ascendant (Gratiolet); A ? il eio-,p a2, t'étal
ar- tie antérieure contiguë à la pariétale ascendante, le lobule du
pli
marginal supérieur de Gratiolet, et, plus en ar
ule du pli marginal supérieur de Gratiolet, et, plus en arrière, le
pli
courbe du même auteur français. Quelques anatom
tal. a. LOBULE pariétal supérieur. Synonymie : Lobule du deuxième
pli
ascendant (Gratiolet) ; Gyrus pariétal supérieu
raits du tableau de cette zone sont fréquemment défi- gurés par les
plis
de passages transversaux de Gromier, qui en joi
a queue du lobule pariétal supérieur participe à la constitution du
pli
de passage externe qui, lors- qu'il existe, uni
r sillon temporal (parallèle). Elle est souvent interrompue par les
plis
de passage verticaux (de Gromier), et horizonta
al inférieur. Un îlot antérieur, qui coiffe la scissure de Sylvius (
pli
marginal su- périeur et lobule du pli marginal
oiffe la scissure de Sylvius (pli marginal su- périeur et lobule du
pli
marginal supérieur de Gratiolet), a été appelé
t postérieur surmonte la pointe de la scissure parallèle : c'est le
pli
courbe de Gratiolet désigné par Ecker, sous le
ison dosa forme. Dans la classification d'Ecker, par conséquent, le
pli
courbe est en arrière. Pour adjoindre, sans s'é
rieur, on serait en droit de penser que l'expres- sion de lobule du
pli
courbe conviendrait le mieux, puisque c'est là
de lobule du pli courbe conviendrait le mieux, puisque c'est là le
pli
courbe, et que Gratiolet avait déjà trouvé pour
antérieur, supramarginal, la qualification succédanée de lobule du
pli
marginal supérieur. Ainsi a pensé M. Richer, ta
a pensé M. Richer, tandis que il : Pozzi,- conservant sans doute le
pli
courbe en ar- rière, baptisé du nom de lobule d
sans doute le pli courbe en ar- rière, baptisé du nom de lobule du
pli
courbe la zone antérieure. Il,en résulte qu'auj
a terminologie de la Salpêtrière ou celle de M. Pozzi, le lobule du
pli
courbe se place en arrière ou en avant. Pour pe
eint le lobule supra marginal (Ec- ker), et une partie du lobule du
pli
courbe (Richer), en même temps que. le texte no
. Chauffard, en rédigeant, avait dans l'esprit, tantôt le lobule du
pli
courbe de M. Pozzi, tantôt le lobule du pli cou
it, tantôt le lobule du pli courbe de M. Pozzi, tantôt le lobule du
pli
courbe de M. Richer. Que serait-il advenu pour
le pariétal supérieur ; Pi, lobule pariétal inférieur; P, lobule du
pli
courbe; T,, pre- mière circonvolution temporale
PÉRIEUR ,p 1 J 4 , REVUE CRITIQUE. Nous n'insisterons pas sur les
plis
de passage verticaux (de Gromier), qui déformen
nom de circonvolutions occipitales, les regardent toutes comme des
plis
de passage du lobe pariétal aux lobes occipital
même que pour le lobe pariétal, un schéma modèle, sans décrire les
plis
de passage. Une école intermé- diaire aborde un
a. Première circonvolution de passage (Pozzi). Synonymie. Premier
pli
de Graliolet. En connexion, antérieurement avec
e en bas par la scissure inter-pariétale, à moins qu'il n'y ait des
plis
de passage transversaux de Gro- ,,mier., 31 ,
circonvolution de passage (Pozzi). En connexion, avec le lobule du
pli
courbe (Richer), d'une part, et, en arrière, av
ère, avec les 2e et 3c occipitales, elle reçoit vers .son milieu un
pli
de renforcement qui vient de la 2c tempo- rale
i vient de la 2c tempo- rale : aElle comprend le plus souvent trois
plis
: les deux pre- miers issus du lobule du pli co
le plus souvent trois plis : les deux pre- miers issus du lobule du
pli
courbe (Richer), le dernier origi- naire à la f
le, supérieure, qui, d'après , Pozzi, termine en,arrière le premier
pli
de passage. C'est celle qui est figurée dans Ec
tion occipitale ou circonvolution occipitale supé- rieure (Ecker) ;
Pli
occipital supérieur, pli de passage supérieur e
volution occipitale supé- rieure (Ecker) ; Pli occipital supérieur,
pli
de passage supérieur externe (Gratiolet) ; Obér
Deuxième circonvolution occipitale ou moyenne (Pansch). Synonymie :
Pli
occipital moyen et pli de passage externe (Grat
occipitale ou moyenne (Pansch). Synonymie : Pli occipital moyen et
pli
de passage externe (Gratiolet) ; Circonvolution
ion occipilale. Synonymie : Gyrus teiiîl)o2,o-occipilalis (Ecker) ;
Pli
occipi- tal inférieur, 3° et li.0 pli de passag
îl)o2,o-occipilalis (Ecker) ; Pli occipi- tal inférieur, 3° et li.0
pli
de passage externe (de Gratiolet) ; Dritte unte
irconvolution de passage; cette partie étant elle-même empruntée au
pli
tem- poral moyen, la troisième occipitale provi
ion temporale (Broca). - Synonymie : Temporale supérieure (Ecker) ;
Pli
marginal postérieur et inférieur (Gratiolet) ;
Synonymie : Circonvolution temporale moyenne (Wagner, Huschke) ;
Pli
ternporalmoyen et partie desceradantedu pli courb
nne (Wagner, Huschke) ; Pli ternporalmoyen et partie desceradantedu
pli
courbe (Gratiolet) ; Etage moyen du lobe ternpô
0 (Ecker); Gyrus tem- poralis tertz'2cs sive inferior (R. Wagner);
Pli
temporal inférieur (Gratiolet); Inferior lempor
uxième temporale forme ordinairement une sorte de lo- bule entre le
pli
marginal inférieur (première circonvolution tem
Gratiolet. Ce lobule, dit-il, est le plus souvent dédoublé en deux
plis
secondaires à la partie antérieure; mais il est
ule pariétal supérieur; P lobule pariétal inférieur; Il-, lobule du
pli
courbe; T, pre- mière circonvolution temporal ;
uatre circonvolutions temporales transverses (Heschl). Synonymes de
pli
de passage temporo-pariétal profond de Broca, e
nterhauptswindungsgruppe (Bischoff) ; Circon- volution à crochet ou
pli
icnci forme (de Vicq d'Azyr) ; Lobule lingual (
participe, en avant, à la formation du gyrus hip- pocampi, dont le
pli
unciforme est une portion, ainsi que nous le ve
ns plus loin, M. Pozzi la confond, de même que Vicq d'Azyr, avec le
pli
unciforme. Il est vrai qu'elle prend part à la
nnervation, elle entraîne une asymétrie permanente des sillons, des
plis
du visage, des traits' en un mot, d'où une phys
circonspection dansjJa manojuvre pour qu'il se ré- Il 1)tIlLIP, ;,
Pli
rien peutj en|. faire manquer le fonctionnement.
ons limitrophes extérieures (lobule pariétal inférieur et lobule du
pli
courbe de Riclier); enkystée dans une sorte de
nvo- lutions frontales, la frontale et la pariétale ascendantes, le
pli
pariétal inférieur, le pli courbe. Grar... (F
frontale et la pariétale ascendantes, le pli pariétal inférieur, le
pli
courbe. Grar... (François), né le 3 mars 1834,
périeur, mais la face externe de cette partie répondant au deuxième
pli
de la première frontale est lésée (PL. VI, F,).
s toute son épaisseur. Il en est de même de la moitié antérieure du
pli
courbe; à ce uiveau il existe une sorte de cavi
première temporale envoie au fond de la scissure de Sylvius un seul
pli
bifurqué (PL. VI) à sa base seu- lement. Il est
lKNNK. 309 circonvolution pariétale ascendante parait normale. - Le
pli
pa- riétal supérieur, le pli pariétal inférieur
iétale ascendante parait normale. - Le pli pa- riétal supérieur, le
pli
pariétal inférieur, et le pli courbe sont très
le. - Le pli pa- riétal supérieur, le pli pariétal inférieur, et le
pli
courbe sont très distincts; à cet égard c'est u
ont normales, sinueuses. La première envoie de sa partie moyenne un
pli
assez large, de forme conique vers le fond de l
large, de forme conique vers le fond de la scissure de Sylvius. Ce
pli
présente un sillon longitudinal assez superfici
longitudinal assez superficiel. : 1 un centimètre en arrière de ce
pli
en part un autre court et simple (PL. VIII, p.)
e ce pli en part un autre court et simple (PL. VIII, p.). Entre ces
plis
vient s'emboîter un petit prolongement du pli p
VIII, p.). Entre ces plis vient s'emboîter un petit prolongement du
pli
pariétal inférieur. Face interne. La première c
es ; 4° le lobule pariétal inférieur, et 5° la moitié antérieure du
pli
courbe. Ces lésions expliquent parfaitement les
euxième circonvolution frontale, du lobule pariétal inférieur et du
pli
courbe, nous nous contenterons de signaler leur r
nuité directe entre lui et la scissure calloso-marginale, comme les
plis
de passage pariéto- limbiques (voy. § B. plus b
, la première circonvolution frontale interne. ' Synonymie : Second
pli
ou pli de la zone externe du lobe fronto-pariél
emière circonvolution frontale interne. ' Synonymie : Second pli ou
pli
de la zone externe du lobe fronto-pariélal (Gra
urlet (Foville) ; Zwinge, cingula, gyrus cinguli (Burdach, Pansch);
Pli
du corps calleux, grand pli commissural interne
ngula, gyrus cinguli (Burdach, Pansch); Pli du corps calleux, grand
pli
commissural interne (Pozzi) ; Callosal gyrus (Hux
férieure de la scissure calca- rine, avec le gyrus hippocampi et le
pli
unciforme qu'on peut, nous l'avons déjà dit, re
pas en avant le sillon callosomarginal, on constate l'existence du
pli
de passage pariétoleinbique antérieur (Broca).
ien qu'entre son extrémité postérieure et cette dernière se voit le
pli
de passage pariéto-lcinbique postérieur (Broca)
rieur de la seconde frontale interne, à laquelle il est uni par les
plis
de passage pariéto-limbiques. II est brusquement
isthme en question doit servir de point de repère à qui cherche les
plis
de passage qui, dépendant de la deuxième fron-
coin aux régions inféro-postérieures de l'hémisphère. Synonymie :
Plis
de passage internes (Pozzi) ; Plis de passage c
s de l'hémisphère. Synonymie : Plis de passage internes (Pozzi) ;
Plis
de passage cunéolirnbiques (Broca); Pozzi en dé
s de passage cunéolirnbiques (Broca); Pozzi en décrit trois : 1° un
pli
de passage pariéto-temponal supérieur interne (
1° un pli de passage pariéto-temponal supérieur interne (Pozzi), ou
pli
de passage interne supérieur de Gratiolet, pass
ert de pont entre sa circonvolution, le lobule qua- drilatère et le
pli
unciforme. Il se branche en haut sur le pli de
le qua- drilatère et le pli unciforme. Il se branche en haut sur le
pli
de passage pariéto-limbique postérieur de Broca
sur le pli de passage pariéto-limbique postérieur de Broca. 2° Un
pli
de passage interne pariéto-occapital (Pozzi) ou g
choff), descend du lobule quadrilatère, en se branchant sur l'autre
pli
, traverse le fond de la scissure perpen- dicula
laire, et gagne le sommet du lobule occipital interne (coin). 3* Un
pli
de passage pariéto-temporal inférieur (Pozzi), ou
oin). 3* Un pli de passage pariéto-temporal inférieur (Pozzi), ou
pli
de passage interne inférieur de Gratiolet, occipi
Cette circonvolution bordela corne d'Ammon. Elle nemérite le nom de
pli
unciforme (Halaenzuindung) que dans sa portion
le corps calleux, elle rase son bourrelet, et vient en bas jusqu'au
pli
unciforme. La fissure calcarine (Huxley) part
des hippocampes, mais reliées entre elles par le gyrus uncinatus ou
pli
unciforme. La circonvolution concentrique exter
CIETES SAVANTES. maies de cet organe; elles sont épaissies dans les
plis
et au niveau des lacunes. Les artères cérébelle
scendante. P a, Pariétale ascendante. S/i,SL)lon de Rolande Pi,
Pli
pariétal supérieur. P C, Pli courbe. l ? Prem
endante. S/i,SL)lon de Rolande Pi, Pli pariétal supérieur. P C,
Pli
courbe. l ? Première circonvolution temporale;
, Pli courbe. l ? Première circonvolution temporale; eile envoie un
pli
de passage au lobule de l'insula dans le fond d
les. F a, l'rontale ascendaiite. P a, Pariétale ascendante. Pi,
Pli
pariétal supérieur. Il , Pli pariétal inférieur
te. P a, Pariétale ascendante. Pi, Pli pariétal supérieur. Il ,
Pli
pariétal inférieur. P c, Pli courbe. L 0, Lob
. Pi, Pli pariétal supérieur. Il , Pli pariétal inférieur. P c,
Pli
courbe. L 0, Lobe occipital. T, , Première ci
T, , Première circonvolution temporale. L I, Lobule de l'insula. ?
Pli
de passage envoyé au lobule de l'iiisuld par la 1
en général sur toutes les saillies osseuses ou tendineuses. Dans les
plis
articulaires la peau devient d'autant plus mince
anchée en arrière, par le contour de la ceinture osseuse, et, dans le
pli
de l'aine, par le dédoublement de l'aponévrose ab
ascia superficialis, qui augmente graduellement en descendant vers le
pli
inguinal, ha couche musculaire est constituée en
ée de rides transversales au milieu de cette région, correspondant au
pli
de l'extension du tronc. La couche celluleuse sou
sillon du bord externe du muscle sterno-pubien , et en dehors par le
pli
inguinal correspondant profondément au ligament d
utefois, en raison de son importance, nous considérerons plus loin le
pli
inguinal en lui-même comme une région particulièr
artir de l'ombilic, augmente graduellement d'épaisseur jusque vers le
pli
inguinal. 3° Couche musculaire. On y trouve d'arr
des fibres musculaires à la ligne blanche et aux pubis. Au-dessus du
pli
de l'aîné, cette aponévrose forme l'enveloppe ext
paires. En avant, la région pubienne au milieu, et de chaque côté, le
pli
inguinal; en arrière, la région médiane sacro-coc
es déclives de flexion de la cuisse, qui continuent de chaque côté le
pli
de l'aine, et se réunissent en arrière en un somm
de follicules sébacés, plus nombreux à la racine du scrotum, dans les
plis
des cuisses, et surtout au pourtour de l'anus. La
es ramifications des vaisseaux héniorrhoïdaux inférieurs, et dans les
plis
de flexion des artérioles et des veinules de la c
s appendices dans les nymphes. De chaque côté se rencontrent, sous le
pli
cutané de flexion fémoral : d'abord l'aponévrose
almée des rameaux, disposés pour se prêter à une énorme dilatation.
PLI
INGUINAL '. Situation, configuration, dilimitat
ation. PLI INGUINAL '. Situation, configuration, dilimitation. Le
pli
inguinal, ou l'aine, est cette ligne oblique à co
e par des follicules sébacés dont le nombre augmente en approchant du
pli
fémoro-périnéal. La couche cellulo-adipeuse sous-
inguinale, disposés eu chapelet en travers des gros vaisseaux sur le
pli
même de flexion. Un peu au-dessous, sur le trajet
gée inférieure dont il sera parlé plus loin. Les vaisseaux propres du
pli
inguinal sont disposés sur deux plans : superfici
isseaux cle la cuisse et à la superposition du canal inguinal dont le
pli
de l'aîne emprunte tout son intérêt. L'idée fon
le pli de l'aîne emprunte tout son intérêt. L'idée fondamentale du
pli
de l'aîne, de sa structure et des rapports dont i
en haut le contour osseux postérieur de la crête iliaque et en bas le
pli
intermédiaire de la fesse à la cuisse; transversa
nomination nous restreignons le creux même de l'aisselle, analogue du
pli
inguinal, dont la position, l'étendue et la struc
lement considérée comme formant deux régions, l'une antérieure, ou le
pli
du coude, et l'autre postérieure ou ulnaire. Ce
u deltoïde, en avant et en dedans par le bord du grand pectoral et le
pli
de l'aisselle, elle présente extérieure-rnentune
ant, et de dedans en dehors, du creux de l'aisselle vers le milieu du
pli
du coude, et cpii indique le trajet des gros vais
f musculo-cutané, qui se dirige en dehors pour devenir superficiel au
pli
du coude. 4° Squelette. Il est ' Planche i, n"
rtère collatérale externe à la naissance des supinateurs. RÉGION DU
PLI
DU COUDE 2. Situation, configuration, délimitat
ntionnelle, coupant lavant-bras à deux travers de doigt au-dessous du
pli
de flexion. Cette démarcation, qui ne peut être j
indication anatomique, n'a pour but que d'isoler artificiellement le
pli
du coude, en raison des nombreux vaisseaux et des
ou différens de ceux du bras et de l'avant-bras. A l'extérieur, le
pli
du coude est formé par deux sillons obliques qui
ur l'autre face , par l'articulation hurnéro-cubitale. La région du
pli
du coude est surtout à considérer en chirurgie, e
sujet complet, présente un rétrécissement transversal avec un double
pli
de flexion à la peau, et s'élargit vers la main p
contourne la base de l'émi-nence hypothénar ; la seconde indiquant le
pli
de flexion des trois derniers doigts; la troisièm
t rugueuse, est coupée de rides transversales en regard de chacun des
plis
de flexion des articulations métacarpo-phalangien
t, deux lignes obliques formant ensemble un angle droit : en avant le
pli
de l'aine, entre les épines pubienne et iliaque;
forme triangulaire ; elle est limitée en haut par la ligne oblique du
pli
inguinal, en dedans par la saillie des adducteurs
ches 7 et 8. Parties composantes. i° Peau. Continuation de celle du
pli
inguinal, mince, lisse, garnie de bulbes pileux e
ÉGION FÉMORALE POSTÉRIEURE '. Intermédiaire de haut en bas entre le
pli
de la fesse et le creux poplité, elle est limitée
a face interne delà cuisse, cette région est limitée, en haut, par le
pli
de flexion fémoro-périnéal; en bas, assez vagueme
sébacés et de quelques poils à la partie supérieure, sur-tout dans le
pli
périnéal. 2° Couche sous-cutanée. Formée par le f
ie terminée par une ligne courbe à concavité inférieure, indiquant le
pli
de flexion de la jambe sur la cuisse. Parties c
n du genou; inférieurement, la limite anato-mique est indiquée par le
pli
articulaire tibio-tarsien en avant, et, sur les c
ferme la masse musculaire principale, elle est limitée en haut par le
pli
de flexion poplité ; en bas , par la saillie d'in
sans limites déterminées de haut en bas, cette région, formée par le
pli
de flexion articulaire de la jambe avec le pied,
seurs du pied. Les parties composantes sont : i° La peau, coupée de
plis
de flexion, épaisse, rude, fréquemment parcourue
réquemment le siège de cors très douloureux. L'humidité habituelle du
pli
de jonction inter-digital est la cause des fissur
s cas qui en réclament l'emploi. Troisième procédé. Incision sur un
pli
à la peau1. On rassemble entre le pouce et l'indi
re l'instru- 1 Planche 16, fig. 5. ment, et, en les soulevant, un
pli
résulte de l'adossement des deux surfaces cutanée
ésulte de l'adossement des deux surfaces cutanées. La direction de ce
pli
se trouve ainsi transversale par rapport à celle
fait, du talon à la pointe de l'instrument, une section qui divise le
pli
du sommet à sa base. On peut, si l'on redoute enc
présenter la pointe de l'instrument en deuxième position à la base du
pli
, le traverser par une ponction, et faire ressorti
ouce ou une pelote à cachet, présentée presque perpendiculairement au
pli
de l'aine, mais avec une inclinaison de haut en b
compresseur de Petit s'y applique, le lacs passant en arrière sous le
pli
de la fesse, et les tégumens, au besoin, étant ga
dicateurs, rétractés en sens inverse, formant poulie de renvoi par le
pli
de flexion de leur dernière articulation inter-ph
sir la peau entre le pouce et l'index de la main gauche en formant un
pli
longitudinal ; puis, avec le bistouri tenu de la
e assis, pince la peau entre le pouce et les doigts pour en former un
pli
vertical, à large base, dont il fait tenir la par
e premier temps, on doit, en faisant rouler entre les doigts les deux
plis
cle peau juxta-posés , s'assurer qu'il n'y a poin
tre partie pincée clanslanse; puis, le chirurgien traverse la base du
pli
avec le bistouri, qu'il enfonce jusqu'au talon, e
hanger il vaut mieux les tendre, par raccourcissement, en formant des
plis
fixés par des coutures. Après quelques jours, dès
st ordinairement enfoncée sur ses bords, les tégumens sont froncés en
plis
rayonnatts vers le centre, comme si la peau était
st précisément de s'opposer à la récidive par adhérence à la base des
plis
d'isolement ou de flexion, tels que les doigts. I
es doigts. Il passe avec un trocar! un fil de plomb à la base même du
pli
, attend que la fistule se soit organisée en un ti
erno mastoïdien étant fortement tendu, le chirurgien fit à la peau un
pli
parallèle au bord du muscle, et, piquant à la bas
la peau un pli parallèle au bord du muscle, et, piquant à la base du
pli
, glissa, sous la face profonde du sterno-mastoïdi
dé. Faire , à un travers de doigt au-dessus de l'attache sternale, un
pli
cutané parallèle au bord externe et postérieur du
retourner le bistouri, le tranchant apoliqué sur le muscle, lâcher le
pli
cutané et faire, en pressant et retirant le bisto
sternal. Second procédé. Dans celui-ci, sans qu'il soit besoin d'un
pli
à la peau, le bistouri convexe est glissé sous la
solément entre les doigts les bords de chaque piqûre et on insinue ce
pli
cutané entre les branches de la pince, qui, étant
l'ordre suivant. i° Le membre thoracique en plusieurs points : (a) au
pli
moyen cle flexion dit pli du coude, et vulgaireme
bre thoracique en plusieurs points : (a) au pli moyen cle flexion dit
pli
du coude, et vulgairement, par le fait même de la
ement, par le fait même de la fréquence de la phlébotomie en ce lieu,
pli
de la saignée; en ce point sont les confluens vei
lorsque la plaie est trop oblique, arrive néanmoins assez souvent au
pli
du bras, lors même que l'incision a été faite dan
e chirurgicale, cinq veines superficielles se présentent à saigner au
pli
du bras : sur les côtés la radiale postérieure et
leurs filets, il est impossible d'assigner, sur la face antérieure du
pli
du bras, un point où l'on ne puisse blesser des r
z des sujets obèses, que l'on ne puisse trouver les grosses veines du
pli
du bras, tandis que les veines au-dessous sont as
le bras de chacun des deux individus pour faire gonfler les veines du
pli
du bras comme dans la phlébotomie. Par une incisi
lèles qui sont rapprochées par un mouvement de vis. On saisit dans un
pli
à la peau la veine que l'on veut oblitérer et on
x procédés : Premier procédé de M. Davat. Soulever la veine dans un
pli
de la peau , traverser ce pli à sa base avec un
e M. Davat. Soulever la veine dans un pli de la peau , traverser ce
pli
à sa base avec une aiguille de manière à comprime
ond procédé de M. Davat ( pl. 3 1, Kg. i,u° i ). Traverser la base du
pli
cutané, qui renferme la veine, avec une seule aig
[, fi g. 1, n° 2), de manière à resserrer, comme entre des pinces, le
pli
cutané sans étrangler la peau en regard. Suivant
point du membre où la veine est unique et le plus superficielle , un
pli
longitudinal qu'on incise jusqu'à sa base; glisse
franc. La veine étant mise à nu longitudinalement par l'incision d'un
pli
transversal à la peau , glisser sous la veine une
ntes ou difformes. Si la peau en regard est saine, on l'incise sur un
pli
transversal, on coupe les veines aux deux extrémi
ux ou, ce qui est préférable , soulever et ouvrir l'aponévrose sur un
pli
avec la pince, et l'inciser à droite et à gauche
ec des pinces un point de la gaîne en regard de l'artère, soulever ce
pli
et l'inciser avec la pointe du bistouri offert en
aire blesser le faisceau vasculaire. La gaîne ouverte, sans lâcher le
pli
soulevé déposer le bistouri et prendre en échange
filet du nerf tibial antérieur. Inciser la gaîne des vaisseaux sur un
pli
soulevé avec la pince, dénuder l'artère et glisse
opograpbique, pag. 5g et pl. 12. à nu, l'inciser en dédolant sur un
pli
. écarter le nerf tibial, soit en dedans, soit en
rf tibial postérieur, inciser de pointe, en dédolant, la gaine sur un
pli
, isoler et dénuder l'artère avec la sonde cannelé
rvée pour les cas d'hémorragie traumatique. 1 Voy. Anatomie topogra
pli
ique, pag. 37 et pl. 12. Manuel opératoire. P
postérieure et un peu en dedans de l'artère; saisir avec la pince un
pli
de la gaîne vasculaire et l'inciser avec précauti
mitoyenne. Inciser alors avec beaucoup de précaution la gaîne, sur un
pli
soulevé par la pince, avec la pointe du bistouri
aut et en avant vers l'opérateur. La gaîne ouverte, et sans lâcher le
pli
tenu par la pince, l'attirer vers soi et refouler
ongueur de six à huit millimètres, saisir sur le bord opposé un autre
pli
avec la pince et recommencer à dénuder l'artère e
er sur le trajet des vaisseaux, à partir d'un centimètre au-dessus du
pli
de faîne, une incision cutanée de six centimètres
lémentaire de l'aponévrose fémorale, l'inciser avec ménagement sur un
pli
soulevé avec la pince et terminer la section sur
oinie topographique, pag. 5a, 53, et pl. 7 et 8. inénagemens sur un
pli
soulevé avec la pince ou mieux peut-être, par pru
mètres, l'angle inférieur s'arrêtant à trois ou quatre centimètres du
pli
cutané du poignet; écarter la veine radiale antér
dehors le nerf radial ; ouvrir la gaine avec la sonde cannelée sur un
pli
soulevé avec la pince, dénuder le vaisseau dans u
chiale est assez exactement déterminé par une ligne qui, du milieu du
pli
du bras, ou du bord externe du tendon bicipital,
inateur, ce qui en rend l'écarteinent plus difficile. D'après lui, le
pli
du bras étant reconnu, il faut s'écarter horizont
rt de l'angle supérieur; au lieu de la désignation vague du milieu du
pli
du bras, dont il faut s'écarter d'un centimètre e
e : la dégager, puis l'ouvrir avec le bec de la sonde cannelée sur un
pli
soulevé avec la pince; dénuder l'artère et glisse
avantage par la ligature de l'artère humérale avant sa bifurcation au
pli
du bras. Artère humérale (pl. 4° ct 4 0 Situa
ure du biceps dont elle contourne la saillie pour gagner en dehors le
pli
du bras, elle est appliquée en dedans et en arriè
terminaison, et, plus particulièrement, à cause de la phlébotomie au
pli
du bras, aux blessures accidentelles suivies d'an
points d'élection déterminés par la hauteur où existe la lésion : le
pli
du bras au-dessus de sa bifurcation, sa partie mo
eure à la sortie de l'aisselle. Manuel opératoire. i° Ligature au
pli
du bras (pl. 4o). Le membre placé dans l'extens
e du biceps , et de la courbure quelle décrit en bas et en dehors, au
pli
du bras, pour gagner la tubérosité bicipitalc du
appelée aponévrose bicipitale. Diviser cette double aponévrose sur un
pli
soulevé avec la pince ; insinuer dessous la sonde
eule veine qui lui est interne. Ouvrir alors à plat la capsule sur un
pli
soulevé, dénuder avec le bec de la sonde l'artère
ne, et plus en dedans le nerf cutané interne. Inciser la gaîne sur un
pli
, dénuder l'artère, comme il a été dit, d'abord su
t le nerf cubital. Ouvrir avec beaucoup de précaution la gaîne sur un
pli
soulevé avec la pince, et seulement en déchirant
e de réflexion du scapulo-hyoïdien, la diviser avec précaution sur un
pli
, l'inciser sur la sonde cannelée, puis déposer le
grand hypoglosse. Ouvrir avec beaucoup de précaution la gaîne sur un
pli
soulevé avec la pince; écarter de suite en bas et
e. Manuel opératoire. Procédé de Bogros. Reconnaître le milieu du
pli
inguinal intermédiaire de l'épine iliaque antérie
point reconnu, en faire le milieu d'une incision oblique parallèle au
pli
de faîne et à trois millimètres au-dessus. La pea
en premier plan derrière une mince aponévrose, cpie l'on ouvre sur un
pli
, l'origine de l'artère iliaque externe. Ce procéd
ascia transVersalis étant mis à nu, ne faire que l'entr ouvrir sur un
pli
à la partie inférieure, le séparer en dessous du
découvert, ouvrir la gaîne vasculairc avec le bec de la sonde sur un
pli
soulevé avec la pince , dénuder l'artère d'abord
es, aponé-vrotiques et musculaires. Entrouvrir avec précaution sur un
pli
le fascia transversalis, glisser dessous l'indica
ilic. Parvenu sur le péritoine pariétal antérieur, il l'ouvrit sur un
pli
et introduisit le doigt indicateur dont il se ser
en 171 o, ouvrit une voie nouvelle. Ayant à traiter un ané-vrisme au
pli
du bras, en présence du célèbre anatomiste Lancis
oins adhérens. Ainsi leur siège le plus habituel est au cou, dans les
plis
articulaires, sur les parois antérieures et latér
pour se conformer au volume croissant des os, se terminer toujours au
pli
de flexion sous-métatarso-phalangien. Nous ne dev
; 4° inférieu-rement, contourner la face plantaire interne suivant le
pli
de flexion des articulations métatarso-phalangien
atarsienne et tailler d'arrière en avant un lambeau qu'on termine aux
plis
de flexion des premières phalanges; relever le la
e l'articulation niétatarso-phalangienne correspondante en suivant le
pli
de flexion : arrivé sur la face dorsale, la parco
r un lit, les jambes pendantes, l'artère est comprimée par un aide au
pli
de l'aîne ou au tiers inférieur de la cuisse; le
te pelote d'usage. Chélius recommande encore d'embrasser la cuisse au
pli
de l'aine avec les deux mains, et d'appliquer alt
la hanche avec l'épaule, le genou avec le coude, mais en comparant le
pli
de l'aîne à l'aisselle, le pli du coude au creux
ou avec le coude, mais en comparant le pli de l'aîne à l'aisselle, le
pli
du coude au creux poplité. Ces deux espèces de jo
t fortement les parties molles saines ou engorgées. 2° Assigner les
plis
de la peau qui suivent immédiatement la ligne art
n articulaire est transversal et correspond, sur la face palmaire, au
pli
cutané inférieur pour l'articulation de la premiè
ère avec la deuxième phalange, et à deux millimètres au-dessous de ce
pli
pour l'articulation de la deuxième avec la troisi
aut, diviser la peau horizontalement à deux millimètres au-dessous du
pli
cutané articulaire, couper les tendons fléchisseu
du plan articulaire reconnaissable à trois indices : 10 le milieu du
pli
cutané dorsal, i° la saillie osseuse de la phalan
e de la phalange à conserver, 3° de chaque côté la terminaison ilii
pli
tic la lace palmaire; le plan articulaire est à d
uche, sur le côté de l'articulation, à deux millimètres au-dessous du
pli
cutané pour l'amputation delà deuxième phalange,
ous du pli cutané pour l'amputation delà deuxième phalange, et sur ce
pli
même pour la troisième: ponctionner la peau, fair
des chairs, à vingt ou vingt-cinq millimètres (neuf à onze lignes) du
pli
de flexion interdigital. En tirant sur le doigt d
oigts sains écartés par des aides, porterie talon du bistouri sous le
pli
de flexion palmaire, couper circulairement les té
l'extension en même temps que le bistouri incise les tégumens dans le
pli
de flexion palmaire et divise l'angle de la commi
gauche, par une incision demi-circulaire qui longe la succession des
plis
digito-palmaires diviser d'un seul coup la peau,
en définitive le lambeau ne peut s'étendre plus loin que la ligne des
plis
de flexion digito-palmaires, avec une manœuvre et
ère à arriver, dans l'un ou l'autre cas, à la terminaison latérale du
pli
de flexion digito-palmaire. Étendre le doigt, inc
orsale de la main renversée autant qu'on le peut sur l'avant-bras, le
pli
formé par l'angle cutané correspond au bord de l'
0 En avant, le bord opposé esta dix ou douze millimètres au-dessus du
pli
cutané qui trace la délimitation de la main avec
cine des éminences thénar et hypothénar, à un centimètre au-dessus du
pli
de flexion antibrachial, et contourne au même pla
erne du bord postérieur de l'aisselle, à six centimètres au-dessus du
pli
cutané, le tranchant supérieur légèrement incliné
une incision ovalaire qui, descendant obliquement d'un côté, suit le
pli
cutané sous-métatarsien et remonte, de l'autre cô
vers la rainure de flexion du cinquième orteil, la continuer dans le
pli
cutané, puis, comme il a été dit pour le pouce, l
ier exemple d'ablation par la séparation spontanée du membre dans son
pli
de jointure. Ainsi elle est vaguement indiquée da
beaux antérieur et postérieur: pl. 89, fig. 1). L'artère comprimée au
pli
de l'aine, les bourses maintenues relevées vers l
uement sur le contour externe, inscrive la courbe postérieure sous le
pli
de la fesse et remonte également en diagonale en
BASSIN. Région pubienne, 41,42.—Région ano-périnéale, 43—4;5'. —
Pli
inguinal, région sacro-coccygienne, 45. — Région
rne et antérieure, région brachiale externe et postérieure, région du
pli
du coude, 49. — Région ulnaire, région antibrac
29. Région inguino-abdominale. BASSIN. 30. Région pubienne. 31.
Pli
inguinal. 32. Région sacro-coccygïenne. 33. R
hiale antérieure. 39. Région brachiale postérieure. 40. Région du
pli
du coude. 41. Région ulnaire. AVANT-BRAS. 4
interne. 7. Veine basilique. 2° En dehors: 8. Veine céphalique.
Pli
du bras. 9. Nerf cutané externe. 10. Veine mé
position relevée, le bord cubital en haut. Fig. 5. Incision sur un
pli
à la peau, le bistouri tenu en première position.
ment, de manière à ce que les morspuissent se fermer, lors même qu'un
pli
de ljnge s'est introduit accidentellement entre l
compresseur, pl. 20). Le lacs de contension passe en arrière sous le
pli
de la fesse; des compresses en double garantissen
rissure dans les points de pression. La pelotte (A) comprimant sur le
pli
de l'aine, a toujours de la tendance à basculer s
S. Figures 1,2,3,4. Application d'un séton à la nuque. Fig. 1. Un
pli
étant fait à la peau et maintenu avec les doigts
le membre thoracique droit, disposé pour l'opération de la saignée au
pli
du coude. La ligature circulaire (a), nouée sur l
t est le plus inoflensive. Figures 2 et 3. Anatomie chirurgicale du
pli
du coude au point de vue de la saignée. La figure
Dans le cas où, sur un sujet gras, on ne peut trouver une veine au
pli
du bras pour pratiquer une saignée jugée indispen
erne M. Demeaux. Le malade est entré à l'hôpital pour un anévrisme au
pli
du bras, causé par une saignée faite auparavant p
à disséquer, tenue par la main gauche du chirurgien, et soulevant un
pli
de la gaine des vaisseaux. b. Bistouri tenu en
s vaisseaux. b. Bistouri tenu en septième position, incisant sur le
pli
de la gaine des vaisseaux. Sans quitter la pince,
Figure 1. Elle représente cinq opérations: 1° (A) Artère numérale, au
pli
du coude ; 2° Artère cubitale, dans trois points
nd de la plaie à sa surface. LIGATURE DE L'ARTÈRE HUMÉRALEj, au
pli
du coude. (A) Figure 2 et A2. — 1. Sectionne la
8 IDIOTIE. temporales; 7° lobule pariétal supérieur; 8° lobule du
pli
courbe. Face interne. 1° Ilot à la partie pos
postérieure du sillon de Rolando qu'elle envahit ; sur le lobule du
pli
courbe, noyau plan, arrondi, de 2 à 3 centi- mè
dant qu'on nettoyait Dub..., il s'est ouvert un petit abcès dans le
pli
interfessier, un peu à gauche. 1 gr. 50 d'ipéca
d'altération. Le cervelet et l'isthme réunis pèsent 1;')0 gr. ; les
plis
du cervelet offrent au toucher une dureté assez
fondues ; frontale et pariétale ascendantes régulières ainsi que le
pli
courbe, les trois circonvolutions temporales so
rbe, les trois circonvolutions temporales sont nettes; le lobule du
pli
courbe, le lobule pariétal, le lobe occipi-- ta
- Toutes les circonvolutions sont très distinctes ; il n'y a pas de
plis
de passage. Des sillons assez profonds les sépa
n peu en avant de la fosse de Sylvius, s'anastomose par deux petits
plis
à la troisième frontale et à l'étage orbitaire.
à la scissure occipitale externe dont il est séparé par le premier
pli
de passage superficiel. «Laprcmière circonvol
nne, la pre- mière circonvolution s'unit à la deuxième par un petit
pli
d'anastomose. Chez le foetus, d'après Ecker et
tal et dont les circonvolutions se fusionnent chez Edern ; le petit
pli
d'anastomose est dû à la persistance d'un état
étale droite est complètement séparée du lobe occipital, le premier
pli
de passage étant tout à lait profond. A gauche,
mier pli de passage étant tout à lait profond. A gauche, le premier
pli
de passage est superficiel, quoiqu'un peu renfo
e pariétale ne communique pas avec le lobe occipital, le deuxième
pli
de passage étant tout à fait profond comme le p
à fait profond comme le premier ; de plus, de ce côté, le troisième
pli
de passage lui- même est profond et la deuxième
mporale est complète- ment séparée du lobe occipital ; le troisième
pli
de passage est constant et toujours superficiel
l chez les primates,même les plus inférieurs. A gauche, le deuxième
pli
de passage est superficiel quoiqu'un peu enfonc
éral, sur la limite du lobe occipital, sans être interrompu par les
plis
de pas- sage qui s'enfoncent légèrement en la t
ale primitive analogue à celle du côté droit, où les trois premiers
plis
de passage auraient été profonds aussi ; a une
dit, ils forment calotte, surtout à droite où les trois pre- miers
plis
de passage sont profonds; le lobe gauche forme
age sont profonds; le lobe gauche forme aussi calotte, bien que les
plis
de passage ne soient pas pro- fonds, parce que
les plis de passage ne soient pas pro- fonds, parce que le premier
pli
de passage se trouve au ni- veau de la deuxième
nnées; la cinquième occipitale avec la cin- quième temporale par le
pli
de passage occipito-hippocam- pique. A gauche,
ommunique avec la scis- sure occipitale interne,c'est-à-dire que le
pli
de passage cu- néo-limbique ou rétrolimbique su
calleux communique avec la circonvolu- tion de l'hippocampe par un
pli
superficiel beaucoup plus gros que normalement
n effet, chez les osmatiques qui ont un sillon calcarin divisant le
pli
rétrolimbique en deux por- tions, c'est-à-dire
a cinquième occi- pitale de la cinquième temporale, de sorte que le
pli
rétro- limbique inférieur est profond comme le
de sorte que le pli rétro- limbique inférieur est profond comme le
pli
rétrolimbique supérieur ou cunéolimbique; au co
nt pas le quatrième sillon temporal et ne coupe pas complètement le
pli
rétrolimbique inférieur, qui reste su- perficie
ur, qui reste su- perficiel. Chez le cheval et le chameau, les deux
plis
rétro- limbiques sont superficiels. « A gauch
chez le foetus de huit mois, d'après Ecker. Chez Edern, le premier
pli
rétrolimbique est pro- fond, le deuxième est su
est superficiel, tandis que chez le cheval et le chameau, les deux
plis
sont superficiels, et, chez le foetus de huit m
qui, à gauche, se recourbe en bas, diminuant beaucoup la largeur du
pli
pariéto-lim- bique postérieur; du même côté, le
p la largeur du pli pariéto-lim- bique postérieur; du même côté, le
pli
antérieur rejeté sur le bord sagittal est aussi
ntinue avec la scissure sous-frontale coupe presque complètement le
pli
pariéto-limbique antérieur; Cette incisure est
ée par l'incisure continue avec la scissure sous-frontale. Les deux
plis
de passage pariéto-limbiques,très développés ch
s sont généralement profonds chez les carnassiers ; toutefois, le
pli
antérieur est superficiel chez les chats et le po
t de l'incisure sus-orbitaire supé- rieure et marque la position du
pli
de passage fronto-lim- bique qui est profond; a
supérieureà l'état rudimentaire ou l'incisure l'ronto-limbiclue, le
pli
de passage fronto- limbique étant profond comme
le, près de l'incisure sus-orbitaire supérieure. Des deux cotés, le
pli
J'l'Onto-limbillue est profond et l'incisure su
partie inférieure de la frontale et de la pariétale ascendantes; le
pli
qui unit l'extrémité inférieure de ces deux cir
de ces deux circonvolutions ; 3° La plus grande partie du lobule du
pli
courbe. Le lobule de l'insula.dans sa totalité,
trophique : deux occupent de chaque côté la to- talité du lobule du
pli
courbe et se limitent en avant à la scissure de
do-mastoïdicn. On trouve quelques glandes dans l'aisselle. Rien au
pli
de l'aine. 8 février. L'enfant paraît complètem
-cutanées, le foie et la rate sont normaux. Quelques glan- des au
pli
de l'aine. La peau est brune, villeuse au nivea
uf au niveau de la corne occipitale où il existe un grand nombre de
plis
de passage. Hémisphère droit. Les circonvolutio
hère droit. Les circonvolutions sont très plissées avec de nombreux
plis
de passage, qui semblent plus abondants vers la
sées les unes sur les autres en deux points : 1° sur le lobule du
pli
courbe ; 2° au niveau de la face interne du lobe
, adhérente à gauche au niveau des lobes frontaux et occipitaux, du
pli
courbe, et de la face interne. - Sur l'hémisphè
Sur l'hémisphère droit, légère adhérence sur le lobe frontal et le
pli
courbe. Circonvolutions bien dévelop- pées : to
scendante. P1, pu, lobules pariétaux, supérieur et inférieur. P3,
pli
courbe. T1, T-, T3, circonvolutions temporales.
n temporale dont l'extrémité postérieure est lésée. l ? lobule du
pli
courbe. L 0, lobe orbitaire (face inférieure du
tale très sinueuse, bien développée, s'insère directement et par un
pli
de passage sur la frontale ascendante. La sciss
re d'une part directement sur la frontale ascendante et envoie deux
plis
de passage à la 1ro et un à la 3"" circonvoluti
ure dont nous venons de parler. Elle est assez grêle et envoie deux
plis
de passage à niveau, plis qui bordent son incis
rler. Elle est assez grêle et envoie deux plis de passage à niveau,
plis
qui bordent son incisure pariétale, au lobule p
t son incisure pariétale, au lobule pariétalinférieur et deuxautres
plis
de passage àniveau au lobule pariétal inférieur
urquée. . Le sillon post-rolandique, irrégulier, est coupé par deux
plis
de passage niveau allant do la pariétale ascend
ar une grosse circonvolution très enroulée, donnant en avant deux
plis
de passage à la pariétale ascendante. Le lobule p
férieur, très sinueux, s'unit à la pariétale ascendante par un gros
pli
de passage, Le pli courbe scmblablcà celui de dro
ux, s'unit à la pariétale ascendante par un gros pli de passage, Le
pli
courbe scmblablcà celui de droite que nous allo
été coupée par une profonde incisure, se jeter (en arrière) dans un
pli
de passage vcnant du lobule pariétal inférieur
ccipitale, grosse, est dédoublée; la 2"" très grêle est unie par un
pli
de passage à la 3 ? qui est aussi dédoublée et
le interne. - Le sillon calloso-marginal, profond, est coupé par un
pli
de passage allant du lobule para- central au g
ge allant du lobule para- central au g : p'us 1'ornicatus; un antre
pli
de passage le coupe en arrière. La 2mc frontale
arrière. La 2mc frontale interne, très bien développée, donne deux
plis
de passage : l'un au lobule paraeentral ; l'autre
rale occipitale, épaisse et chagrinée en arrière, donne en avant un
pli
de passage à la 2 ? temporo- occipitalequi est
inées, irrégulières, sinueuses, séparées par un sillon coupé par un
pli
de passage. Hémisphère droit. La 1"c frontale,
cit en avant. La partie quadrilatère est coupée à son centre par un
pli
profond qui divise cette portion en trois circo
pli profond qui divise cette portion en trois circonvolutions. Deux
plis
de passage unissent la Il'0 frontale en haut et
2mi frontale. La '2111C frontale, simple en avant où elle donne un
pli
de passage à la 3mo, se dédouble en bas et en a
ée en avant où elle est dédoublée; elle s'unit à ce niveau par deux
plis
de passage à la 2me frontale. Les deux branches
qui divise celte circonvolution en deux petites circonvolutions. Le
pli
sourcilicr est volumineux. L'as- pect général d
cendante, très sinueuse, irrégulière, mais bien dessinée, donne des
plis
de passage l'unissant aux deux pre- mières fron
ntal supérieur; il s'arrête normalement en bas; il est coupé par un
pli
venant de la pariétale ascendante. La pariétale
ascendante. La pariétale ascendante dédoublée, sinueuse, donne un
pli
qui la fait communiquer avec la base de la deuxiè
coup en avant. Elle est bifurquée en arrière où elle embrasse un
pli
de passage allant de la pariétale ascendante à la
ses cir- convolutions irrégulières, formant deux îlots unis par des
plis
de passage. Ces circonvolutions sont un peu cha
s circonvolutions sont un peu chagrinées à la surface. Le lobule du
pli
courbe, bien dessiné, est très étroit et très g
ué par deux grosses circonvolutions réunies en arrière par un petit
pli
de passage à niveau. La scissure perpendiculair
bien marquée. Les circonvolutions occipitales sont séparées par des
plis
profonds : la première, dédoublée, a une branch
elle communique avec la 2me qui est très irrégulière, par un petit
pli
de passage. Elle s'unit en avant et en haut au
le, dédoublée en arrière où elle se jette dans la circonvolution du
pli
courbe par sa branche antérieure, ne tarde pas
e donne en avant nne circonvolution dédoublée qui se réunit en un
pli
très grêle qui s'élargit bientôt et va on s'aminc
ale, également très irrégulière et très sinueuse, donne en avant un
pli
de passage à la 1U' temporale. Le sillon sépara
ie la plus antérieure de l'hémisphère, après avoir été coupé par le
pli
de passage que nous venons de décrire. Face i
erveau. 77 Î Le sillon calloso-marginal est profond et coupé par un
pli
de passage à sa partie moyenne. Le yyucç fornic
ette en arrière, en se dédoublant dans le lobe carré; il donne un
pli
de passage, en avant, à la première frontale inte
ès mince à sa partie moyenne, très large en avant, est uni par deux
plis
de passage au lobule fusiforme; celui-ci est tr
nvo- lulion olfactive, dédoublée en arrière et en avant, donne un
pli
de passage à la circonvolution orbitaire qui est
Les circonvolutions sont très complexes et réunies par de nombreux
plis
de pas- sage. FI est subdivisée en doux dans se
un sillon longitudinal ; elle est unie à la seconde frontale par un
pli
de passage au niveau de sa partie moyenne; ce pli
e frontale par un pli de passage au niveau de sa partie moyenne; ce
pli
de passage a l'aspect d'une petite masse arrond
rrondie, hémisphérique. F, très sinueuse, est réunie à la F3 par un
pli
de passage situé à sa partie moyenne, un peu en
pariétale ascendante se continue avec la première pariétale par un
pli
de passage très sinueux ; elle est complètement
de passage très sinueux ; elle est complètement séparée du lobe du
pli
courbe ; ce lobe présente de nombreux sillons ver
due sinueuse par suite de l'irrégularité de la le parié- tale et du
pli
courbe. Face interne. Le lobe paracentral est m
aracentral est mal délimité; il se continue très nettement par deux
plis
, en avant, avec la ire frontale et en arrière a
longitudinalement en 2 points par deux sillons interrompus par des
plis
de passage entre les deux tronçons de cette cir
iveau que la frontale ascendante; il existe seulement un tout petit
pli
de passage entre la 1re et la 2rae circonvolution
a première et la 2me pariétales sont unies l'une à l'autre par un
pli
au-dessous du pli courbe. La scissure perpendicul
2me pariétales sont unies l'une à l'autre par un pli au-dessous du
pli
courbe. La scissure perpendiculaire ex- terne e
ule paracen- tral existe à peine; il se continue en arrière, par un
pli
qui revient d'arrière en avant, avec la circonv
é dans - toute sa hauteur par la scissure de Sylvius qui rejoint le
pli
courbe. Le lobule du pli courbe est bi-n dévelo
par la scissure de Sylvius qui rejoint le pli courbe. Le lobule du
pli
courbe est bi-n développé. Les trois temporales
sse d'un centimètre de long sur cinq millimètres de large. Sur un
pli
de la 2° circonvolution frontale, immédiatement
est légèrement infundibuliforme, dont la marge est rouge, et les
plis
effacés ( ? ). - G... a été surpris, le 2 janvier
pre- mière, deuxième et troisième frontales n'est pas nette, des
plis
de passage unissent largement ces trois circonvol
inférieurs de la pariétale infé- rieure, ainsi que sur le lobule du
pli
courbe, lésions pronon- cées de méningo-encépha
ntéressant. La scissure perpendiculaire externe n'existe pas et des
plis
de passage vont du lobe pariétal et du lobe tem
ngo-encéphalite sur la partie moyenne du lobe lemporo-occipilal. Le
pli
de passage temporo-limbique existe. Hémisphèr
mière circonvolution tem- porale est absente ainsi que le lobule du
pli
courbe. Enfin tout le lobule de l'insula fait d
et les scissures s'y montrent avec leur caractères habituels. Les
plis
de passage cunéo-limbique et temporo-limbique e
et. le petit doigt et réductible. Région anale peu excavée, avec*
plis
très prononcés. ' Organes génitaux : grandes lè
près normales. Les sillons de sépara- tion sont interrompus par des
plis
de passage, réunissant la première frontale il
r des adhé- rences. Le sillon prérolandique n'est qu'ébauché et des
plis
de passage réunissent la frontale ascendante à
ne destruction de la substance cérébrale (PL. II, Fo). Le lobule du
pli
courbe présente le même aspect et la même consi
du côté opposé. Circonvolutions frontales normales, réunies par des
plis
de passage. Le sillon préro- landique est encor
seudo-liyste de toute la région tem- porale, y compris la région du
pli
courbe. (PL. III, Fo). Face interne : rien de p
le premier sillon frontal, mais réunie à la troisième par plusieurs
plis
de passage dont le plus important se détache de
lon antéro- postérieur très net pour se continuer à son tour par un
pli
de passage avec la deuxième occipitale, P2; - 3
érieure dans l'excavation porencé- phalfcltte et par l'autre sur le
pli
de passage fronto-temporal qui forme le pôle de
nterrompue, cà Fia.1. 1. Porencéphalie vraie. 73 et la, par des
plis
de passage fronto-limbiclues. La circonvo- luti
paracentral, 1. P, qui empiète largement sur la face interne, où un
pli
de passage fronto- limbique le réunit à la circ
e d'habitude, encore, nous trouvons à ce point de réunion, les deux
plis
de passage cunéo-limbique et hippocampo-limbiqu
utions frontales grêles à droite et il gauche. - Aspect chagriné du
pli
pariétal inférieur, du pli courbe et surtout de
roite et il gauche. - Aspect chagriné du pli pariétal inférieur, du
pli
courbe et surtout des circonvolutions temporale
induration. Les sillons sont assez profonds. - z Aspect chagriné du
pli
pariétal inférieur et du pli courbe mais princi
assez profonds. - z Aspect chagriné du pli pariétal inférieur et du
pli
courbe mais principalement du lobe temporal. -
sont relativement volumineuses, unies à leurs extrémités par des
plis
de passage fermant le sillon de Rolando, qui est
passage fermant le sillon de Rolando, qui est assez profond. Les
plis
pariétaux (P et P2) sont bien développés. Un pli
ez profond. Les plis pariétaux (P et P2) sont bien développés. Un
pli
de passage, qui les réunit, présente un petit f
volumineuses, les sillons inter- médiaires sont assez profonds, les
plis
de passage rares. Face interne. - On trouve, co
lières. Le sillon de Rolando est très net et assez pro- fond. - Les
plis
pariétaux inférieurs et supérieurs (Pl, P2) et
fond. - Les plis pariétaux inférieurs et supérieurs (Pl, P2) et le
pli
courbe (PC) sont plutôt volumineux, tandis que le
est simple et grosse. - Les sillons sont moyennement profonds, les
plis
de passages rares ou nuls. - Le ventricule laté
avec netteté : 1° l'aspect globuleux du cerveau et la rareté des
plis
de passage ; - 2° la circonvolution désignée pa
e pariétal. La lésion atrophique est surtout intense au ni- veau du
pli
courbe. - Le tiers postérieur du lobe temporal
béantes. Le lobe pariétal supérieur est à peu près normal ; mais le
pli
courbe et la région qui, horizontalement, va du
ormal ; mais le pli courbe et la région qui, horizontalement, va du
pli
courbe à la corne occipitale offre une zone atr
) et surtout du lobe occipital (PL. XIV, Or, O2, 0 ? et PC.) et du
pli
courbe dont une partie des circonvolutions, très
temporales sont volumineuses. Signa- lons encore : 1° la rareté des
plis
de passage : ? 2° l'incisure qui coupe FA en de
is de passage : ? 2° l'incisure qui coupe FA en deux parties; 3° le
pli
de passage qui unit FA a l'A à leur extrémité s
che, le sillon de Rolando (SU) est coupé en son milieu par un large
pli
de passage qui manque à droite. 160 DÉMENCE ÉPI
cérébrales. FA, frontale ascendante. SR, sillon de Rolando. PS,
pli
pariétal supérieur. PI, pli pariétal inférieur.
endante. SR, sillon de Rolando. PS, pli pariétal supérieur. PI,
pli
pariétal inférieur. LO, lobe occipital. '1".
scendante. PA, pariétale ascendante. SR, sillon de Rolando. PS,
pli
pariétal supérieur. PI, pli pariétal inférieur.
endante. SR, sillon de Rolando. PS, pli pariétal supérieur. PI,
pli
pariétal inférieur. Fo, foyer de pseudo-porencé
seconde circonvolutions temporales. INS, lobule de l'insula. 1'2,
pli
pariétal supérieur. P3, pli pariétal inférieur.
ales. INS, lobule de l'insula. 1'2, pli pariétal supérieur. P3,
pli
pariétal inférieur. Légende de la fig. 1 (p. 72
ante. LP, lobule paracentral. PA, pariétale ascendante. ]>1,
pli
pariétal supérieur. 1, pli pariétal inférieur.
l. PA, pariétale ascendante. ]>1, pli pariétal supérieur. 1,
pli
pariétal inférieur. LO, lobe occipital. T', T
cendante. SR, sillon de Rolando. PA, pariétale ascendante. Il',
pli
pariétal supérieur. l ? pli pariétal inférieur.
ndo. PA, pariétale ascendante. Il', pli pariétal supérieur. l ?
pli
pariétal inférieur. T, T2, T3, circonvolutions
(p.406). FA, frontale ascendante. SO, pariétal aeeendante. pi,
pli
pariètal supérieur, P2, qli pariétal inférieur.
s, lobule pariétal supérieur. LPI. lobule pariétal inférieur. PC,
pli
courbe (atrophie prononcée). 01, 02, 0\ circonv
. 1 première circonvolution frontale. OR, gyrus reclus. p.f.l..
pli
frouto-limbiclac. , OOC, circonvolution du corp
S, lobule pariétal supérieur. LPI, lobule pariétal inférieur. PC,
pli
courbe (atrophié). 0, 0 ? OB, circonvolutions o
ps calleux. CC, corps calleux. Coa, commissure antérieure. pfl,
pli
fronto-limbique. NC, noyau caudé. Tr, trigone
au. - Hémisphère droit. - Face convexe. La 1 : , composée de petits
plis
transversaux dans son tiers antérieur, envoie u
sée de petits plis transversaux dans son tiers antérieur, envoie un
pli
de passage à F2; elle se termine en arrière' pa
vec plusieurs petits sillons superficiels ; elle envoie en avant un
pli
de passage à 10';1 et s'insère sur FA, au fond du
deux insertions que sépare une cavité dans laquelle plonge un petit
pli
de passage de FA. Il y a là une sorte d'emboîte
épilepsie méningitiques. 9 P1, bien développé, envoie en arrière un
pli
de passage au lobe occipital. - P2, assez volum
éparé de I''= par un sillon profond, existe un lobule qui reçoit un
pli
de passage de P1 : c'est ce que nous appelons d'h
assage de P1 : c'est ce que nous appelons d'habi- tude le lobule du
pli
courbe, situé en arrière. - LO assez gros, sinu
gros, sinueux, avec sillons très-superficiels. La disposition du
pli
courbe et de son lobule doit être attribuée à ce
re digitations, la postérieure bifurquée. - 1", sinueuse, envoie un
pli
de passage en arrière de LI, dans le fond de SS
ar des sillons assez profonds. Face interne. FI grosse, formée de
plis
transversaux séparés par des sillons plus ou mo
sphère gauche. - Face convexe. FI est grosse, sinueuse, envoie deux
plis
à F2 et présente en arrière une encoche au nive
assez profonds, s'insère sur FA à mi-hauteur et envoie en avant un
pli
de passage à F-3. - Fa, est sinueuse et s'insèr
e. - P1 formée de circonvolutions développées, sinueuses, envoie un
pli
au lobe occipital, un au lobule pariétal inféri
au lobe occipital, un au lobule pariétal inférieur, un au lobule du
pli
courbe situé comme à droite en avant du pli cou
érieur, un au lobule du pli courbe situé comme à droite en avant du
pli
courbe. PC assez gros. LO, normal LI, quatre di
l LI, quatre digitations, dont trois bifurquées. Tri sinueuse, sans
plis
vers '1 ? envoie un prolongement au fond de SS.
T2 bien développée, envoie 10 Autopsie LÉSIONS intestinales. deux
plis
de passage à T3, - T3, T'' très plissées et bien
tinguée de OU par un sillon profond. Face interne. - ), formée de
plis
transversaux sinuoux. SCM peu profonde en avant
surtout marquées dans ses trois quarts postérieurs. Elle envoie un
pli
de passage à la deuxième, et s'insère de niveau
e des adhérences au même niveau que la précédente, elle envoie un
pli
de passage à la troisième, et s'insère par un p
surtout à la partie supérieure. - La première pariétale envoie un
pli
de passage au lobe occipital. - La deuxième parié
ces sont très marquées sur ces deux dernières circonvolutions. - Le
pli
courbe, assez volumineux, envoie un pli de pass
ières circonvolutions. - Le pli courbe, assez volumineux, envoie un
pli
de passage au lobe occipital. - Le lobule de l'
substance cérébrale. La circonvolution du corps calleux envoie un
pli
de passage entre l'extrémité postérieure de la
mité postérieure de la première frontale et le lobe paracentral. Ce
pli
il plus'd'un cen- timètre de largeur. Le lobe p
érieur de l'hémisphère. La deuxième frontale, sinueuse, envoie un
pli
de passage à la troisième et s'insère sur-la fron
est grêle et envoie des prolongements à la pre- mière temporale, au
pli
courbe, et à la deuxième temporale. - Lapreitiè
e, et à la deuxième temporale. - Lapreitièî@e temporale projette un
pli
de passage qui s'em- boile dans le pli courbe.
tièî@e temporale projette un pli de passage qui s'em- boile dans le
pli
courbe. La deuxième temporale est cou- pée dans
llant s'ouvrir dans le sillon qui sépare la première tempo- rale du
pli
courbe. La première temporale, lisse, envoie un
empo- rale du pli courbe. La première temporale, lisse, envoie un
pli
de passage au fond de la scissure de Sylvius ; el
lésion prédomine sur la première et la seconde temporales et sur le
pli
courbe. Elles sont moins pro- noncées sur la fr
récies, d'une assez grande simplicité en raison du petit nombre des
plis
de pas- sage. Il n'y a pas de foyer de sclérose
ctuel. - L'enfant est pâle et d'aspect chétif, plutôt maigre, et le
pli
de pincement entre deux doigts est peu épais. P
la P.A. ; mais les deux tiers inférieurs de celle-ci, le lobule du
pli
courbe, le pli courbe lui-même et les deux prem
les deux tiers inférieurs de celle-ci, le lobule du pli courbe, le
pli
courbe lui-même et les deux premières temporale
.A. - La T3 et le lobe occipital ne présentent rien à signaler. Le
pli
pariétal inférieur est également compris dans l
ontournée en S italique, limitée à chacune de ses extrémités par un
pli
de passage, et par conséquent n'attei- gnant pa
al est très développé, ses circonvolutions complexes, unies par des
plis
de passage et parcourues par de petits sillons
arqué. - La P.A., la P1 n'offrent rien de particulier; le lobule du
pli
courbe est par contre fort développé, parcouru
u pli courbe est par contre fort développé, parcouru de sillons; le
pli
courbe est uni aux circonvolutions voisines par
sillons; le pli courbe est uni aux circonvolutions voisines par des
plis
de passage volumineux, particulièrement aux cir
scendante, les deux tiers inférieurs de la pariétale ascendante, le
pli
courbe, le pli pariétal inférieur, la première
deux tiers inférieurs de la pariétale ascendante, le pli courbe, le
pli
pariétal inférieur, la première et la seconde t
onde frontale. La FA présente un aspect vermicelle également et les
plis
de passage qui la réunissent à F2 ainsi qu'une
de la premier-1 temporale, enfin, l'une d'elles paraît remplacer le
pli
. pariétal inférieur. Sur la- face interne, nous
YPHILIS. 109 rieure de la frontale ascendante; une. autre occupe le
pli
courbe ; une autre la partie antérieure du lobe
e de la grande i scissure et quelques plaques ecchymotiques sur les
plis
I pariétaux et à la pointe des lobes frontaux.
e la poitrine. - Ganglions légèrement hypertrophiés au niveau des
plis
inguinaux. Tête. - Crâne oxycéphale, indice cép
llon inter-fessier, sur ses bords jusqu'à l'extrémité supérieure du
pli
inter-fessier. (Fig. 10, 11 et 12). Réflexion
ns atteinte). la {rrJ11- tale ascendante toutes les temporales, les
plis
pariétaux, tout le lobe occipital. - Sur la fac
tale ascendante. P.A., pariétale ascendante supplémentaire. P.S.,
pli
pariétal supérieur. P.I., pli pariétal inférieu
le ascendante supplémentaire. P.S., pli pariétal supérieur. P.I.,
pli
pariétal inférieur. T2, T2, T3, première, deuxi
, première, deuxième, troisième circonvolutions temporales. P.C.,
pli
courbe. L.O., lobe occipital. Bourneville, Bi
lobule pariétal supérieur. L.P.L, lobe pariétal inférieur. P.C.,
pli
courbe. L.O., lobe occipital. T1) T2, T3., pr
des différents segments du membre. L'excitation du gyrus angulaire,
pli
courbe (13', 13, fig. 1), pro- duit des mouveme
e les électrodes sont sur la partie antérieure ou postérieure de ce
pli
. L'état des pupilles n'est pas constant; par- f
s mouvements des yeux semblables à ceux obtenus par l'excitation du
pli
courbe, quoique moins marqués. Et Schmfer 2 déc
moins constants et moins facilement obtenus que par l'excitation du
pli
courbe. L'excitation de la circonvolution tempo
uniforme par l'excitation de la partie antérieure et postérieure du
pli
courbe. Règle générale, LES LOCALISATIONS CÉRÉB
ux, on obtient des mouvements en haut quand le segment antérieur du
pli
courbe est excité, et des mou- vements en bas q
tion du lobe occipital. Schæfer, qui oublie le segment antérieur du
pli
courbe, que j'ai trouvé aussi excitable que le
des yeux par l'excitation, non seulement du segment postérieur, du
pli
courbe, mais aussi de l'extrémité supé- rieure
lemeut focalisées. Dans mes premières recherches, je pensai que les
plis
courbes formaient seuls des centres visuels, co
visuels, conclusion fondée sur les effets positifs des lésions des
plis
courbes et sur les résultats uniformé- ment nég
arfois la cécité complète étaient dus à la lésion des fonctions des
plis
courbes eux-mêmes. Je vous ai montré ici une phot
t le lobe occipital, mais aussi une partie du segment postérieur du
pli
courbe ont été enlevés. A gauche, le pli courbe
du segment postérieur du pli courbe ont été enlevés. A gauche, le
pli
courbe est intact superficiellement, mais les fib
ésions occupaient la région de la scissure pariéto-occipitale et le
pli
courbe, je pense que le trouble de la vision es
25. ' Expériment. XXIII. Phil. Trans. sup. cit. ' Expériment. IX.
Pli
. Trans., 1881. ' Voir fig. 1, planche 20. Phil.
XV, l81a, LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 83 que, lorsque' les deux
plis
combes furent semblablement détruits, il y eut
1. Les observations suivantes furent prises sur un singe dont les
plis
courbes furent détruits des deux côtés avec le ga
econdaires. Elles avaient déjà commencées et s'étaient limitées aux
plis
courbes qui étaient oedé- matiés et au bord ant
gauche; la substance grise seulement était désor- ganisée et sur le
pli
courbe exclusivement. ' Ces faits semblent just
rbe exclusivement. ' Ces faits semblent justifier l'opinion que les
plis
courbes sont des centres visuels, chacun étant
ont montré que les résultats de l'extirpation uni ou bilatérale du
pli
courbe, quoique entièrement en harmonie avec me
i- vantes. Sur un animal, on cautérisa, avec le thermo-cautère le
pli
courbe gauche. L'oeil gauche fut fermé et l'ani
a vision, ni amblyopie ni hémiopie,. , » Chez un autre animal, le
pli
combe gauche fut cautérisé jusqu'à la scissure
sphère visuelle, uniquement dans le lobe occipital et re- garde le
pli
courbe comme la sphère sensorielle de l'oeil. Cep
k, pour enlever les lobes occipitales, atteignent secondairement le
pli
courbe et ses rapports. Cette question de la dé
e, sui- vant mon opinion, et celle des rapports respectifs entre le
pli
courbe et les lobes occipitaux et les yeux out
ne sont pas limités aux lobes occipitaux, mais embrassent aussi le
pli
courbe, quoique le premier pense que l'effet de
oique le premier pense que l'effet de la destruction unilatérale du
pli
courbe est l'hémiopie ' UeGer die funclionen de
rales empiétaient sur la scissure panéto-occipitale et la région du
pli
courbe, et dans aucun cas, on n'a eu ni hémiopi
uis ne peuvent pas parler de ce fait avec certitude. En enlevant le
pli
courbe droit, on obtint une hémiopie complète g
et cependant, l'hémiopie ne fut pas perma- nente. La destruction du
pli
courbe avec le lobe occipital fut la lésion qui
nck, Tessier et Yéo. Elles montrent que les lobes occipitaux et les
plis
courbes ont des fonctions en rapport avec les p
as limité à ces lobes, comme le pensait Munck, mais s'étend sur les
plis
courbes, l'hémiopie permanente n'étant produite
ation électrique et d'autres faits nécessitent une participation du
pli
courbe (ou tout au moins de son fragment postér
l'écorce des parties environnantes du cerveau et spécialement du
pli
courbe peuvent être coupées avec le lobe occipita
, suivant qu'elles sont unies ou bilatérales, sans participation du
pli
courbe ou d'aucune autre por- tion du lube occi
endant seraient complètement empli- quées par la supposition que le
pli
courbe a des relations avec tout l'oeil opposé.
lobe occipital entier avait été enlevé de chaque côte derrière les
plis
courbes, laissant une surface cou- pée nette. A
que la ' Op. cit. 92 PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUES. destruction du
pli
courbe gauche ne produit aucun résultat avec l'
ucun trouble appréciable de la vision tandis que la destruction des
plis
courbes produit une amblyopie croisée temporair
croisée temporaire. Il rapporte deux cas de lésions successives des
plis
courbes. Dans un, la première lésion produit une
eo et moi, dépendent sans aucun doute du degré de l'extirpation des
plis
courbes. J'ai déjà dit que mes premières expé
'une cécilé complète de l'oeil du côté opposé par la destruction du
pli
courbe gauche chez un animal qui a été dernière
pour exclure toute complication de ce côté. Après avoir on levé le
pli
courbe gauche, l'animal, quoique en toute posse
qu'aucune autre observation exacte fût possible. Que des lésions du
pli
courbe puissent com- prendre des radiations opt
e la vision de l'oeil du côté opposé. Les connexions entre les deux
plis
courbes rendent compte de la nature transitoire
teindre la vision ni d'un côlé ni de l'autre. Quand, cependant, les
plis
courbes sont complètement détruits des deux côtés
de Lannegrâce. A part les troubles d la vision, la destruction des
plis
courbes ne produit aucun autre symptôme ni mote
s de Ilorsley et de Scba·fer, contredisent l'opinion de Munk que le
pli
courbe est le centre sensitif du globe oculaire
s à une perte de la vision. Ainsi il dit qu'après la destruction du
pli
courbe gauche l'approche du doigt de foeil gauc
corce d'agir le sphincter palpébral ! De plus il dit que lorsque le
pli
courbe a été détruit d'un côté et lait de ce cô
ente d'amblyopie. Il dit aussi qu'après l'extirpation bilatérale du
pli
courbe chez les singes, « après une restitution
si décrit les symptômes présentés par un singe chez lequel les deux
plis
courbes étaient détruits. Les premiers jours, r
ion chez un singe chez lequel j'avais détruit complètement les deux
plis
courbes. Il n'y avait aucun ptosis, les mouveme
it donc que les symptômes résultant de la destruction bilatérale du
pli
courbe, que nous avons décrits moi, Munk et Sch
Munk et Schiefer sont mieux expliqués par la supposi- tion que les
plis
combes sont plus particulièrement en relations
le centre de la vision claire est représenté principalement dans le
pli
courbe de l'hémis- phère opposé. Les relation
côté correspondant dechaquehémisphère par une lésion unilatérale du
pli
courbe,produit une cécité temporaire ou une amb
un centre visuel plus élevé 96 " PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. chaque
pli
courbe a des rapports avec les deux yeux - 1.'act
tion d'une zone considérable de l'hémisphère opposé com- prenant le
pli
courbé. Le lobe occipital était intact et nulleme
examens. Quant à la pathologie de l'amblyopie croisée par lésion du
pli
courbe chez le singe, comme les cas semblables
eures de la capsule interne; elles se distribuent principalement au
pli
courbe. Les lésions des fibres sensorielles pro
tifs dans l'oeil. Un pareil résultat se produit dans les lésions du
pli
courbe et tient sous sa dépense les changements
le hypothèse qui semble con- corder avec tous les faits est que les
plis
courbes sont plus particu- lièrement les centre
circonvolutions occipitales, temporales et pariétales ensemble, le
pli
courbe étant atteint dans tous ces cas. Par s
p de LES LOCALISATIONS CEREBRALES. 101 Des lésions irritatives du
pli
courbe donnent parfois lieu à des illusions opt
cas de Hughes Cbennette 1, pendant que des lésions destructives du
pli
courbe plus particulièrement dans l'hémisphère
ion q*ui par sesréac- tions électriques correspond chez le singe au
pli
courbe et au lobe occipital. Le centre visuel d
trophie du nerf optique droit. C'est le pied et l'orteil qui furent
plis
de mouvements d'extension et de flexions incoer
dentelé quelquefois et presque toujours séparé de sa voisine par un
pli
de pie-mère. Parvenue au genou du corps calleux
le nom de circonvolution de l'ourlet ou d'ourlet cortical au re-
pli
de couche corticale qui l'enveloppe. » L'ourlet d
son point de départ, en doublant exac- tement la circonvolution du
pli
cruciforme. » De cet anneau, auquel il conserve
il fait partir tout un système de fibres qui s'irradient « dans les
plis
de la face interne des hémisphères » . HUGUEN
année après son entrée. L'autopsie montra une atrophie complète des
plis
courbes et des premières circonvolutions tempor
de matière comme colloïde. La cécité était-elle due à la lésion des
plis
courbes seulement ou à la dégénérescence des ne
ent pas établies. Dans huit cas, la lésion comprenait aussi bien le
pli
courbe que la circonvolution temporale supérieure
taux et parié- taux et un cas est rapporté comme dû à une lésion du
pli
courbe seulement. Dans ce cas, il parait y avoi
une lésion (ramollissement) de cette région qui atteint surtout le
pli
courbe. La discussion clinique est particulière
tion de la surface et de la dimi- nution du volume par la genèse de
plis
. Les circonvolutions céré- brales et cérébelleu
rir les yeux démesurément et vous constaterez en même temps que les
plis
transver- saux du front sont beaucoup plus marq
de ce sourcil abaissé et vers son extrémité nasale, deux ou trois
plis
verticaux dont l'un très apparent limite en ded
ait encore notable- ment plus élevé que du côté sain. En outre, les
plis
verticaux du sourcilier, la petite fossette fai
viron au-dessus de la ligne sourcilière et limitée en dedans par un
pli
vertical. Ce pli vertical parallèle à deux ou t
e la ligne sourcilière et limitée en dedans par un pli vertical. Ce
pli
vertical parallèle à deux ou trois autres plis
r un pli vertical. Ce pli vertical parallèle à deux ou trois autres
plis
moins saillants est situé à deux centimètres à
Cet abaissement du sourcil, cette fossette sus-sourcilière et ces
plis
verticaux qui semblent dus à une contracture du m
ux. - F, lobe frontal. - PP, lobe pu- z - 8, scissure Jimbjquc. -9,
pli
de passage retiolimbique. - 10, sillon subfrouL ?
uc. -9, pli de passage retiolimbique. - 10, sillon subfrouL ? - il,
pli
de passage fronlo-limbique. - 12, pli de passage
- 10, sillon subfrouL ? - il, pli de passage fronlo-limbique. - 12,
pli
de passage inférieur fronto-limbique. - iJ, sci
le lobule à la partie tempora-parié- tale de l'hémisphère. C'est le
pli
de passage rétro-limbique de Broca (fig. 30, 9)
ssure occipito-temporale infzmeure. 388 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.
pli
de passage cunéo-limbique (fig. 31 P C u.) réunis
z le singe la limite postérieure du lobule de l'hip- pocampe est le
pli
de passage qui unit l'uncus à l'extrémité antér
frontale supérieure et le membre [antérieur de la circonvolution du
pli
courbe. Ainsi était détruite presque toute la z
oite que j'ai diagnostiqué comme due à une tumeur dans la région du
pli
courbe. Pas de paralysie du mouvement, mais une
OCALISATIONS CÉRÉBRALES. H3 par la trépanation située au-dessous du
pli
courbe et ne put l'enle- ver sans danger. C'éta
MÉMOIRE SUR LES
PLIS
CÉRÉBRAUX DE L'HOMME ET DES PRIMATES, PAR M
cerveau; l'opercule du lobe postérieur a été enlevé pour montrer les
plis
de passage. Fig. 7, 8, 9 et 10. Cerveau de la Mon
Sajou brun (Cebus apclla). Fig. 12 bis. Profil du même cerveau; le
pli
de passage a été mis à découvert par la résection
2. Étage frontal moyen. 3. Étage frontal supérieur. 4. Premier
pli
ascendant. 5. Deuxième pli ascendant. 5'. Lob
3. Étage frontal supérieur. 4. Premier pli ascendant. 5. Deuxième
pli
ascendant. 5'. Lobule du deuxième pli ascendant
pli ascendant. 5. Deuxième pli ascendant. 5'. Lobule du deuxième
pli
ascendant. 6 et 6'. Pli courbe. 7. Pli marginal
xième pli ascendant. 5'. Lobule du deuxième pli ascendant. 6 et 6'.
Pli
courbe. 7. Pli marginal inférieur. 8. Pli tem
nt. 5'. Lobule du deuxième pli ascendant. 6 et 6'. Pli courbe. 7.
Pli
marginal inférieur. 8. Pli temporal moyen. 9.
pli ascendant. 6 et 6'. Pli courbe. 7. Pli marginal inférieur. 8.
Pli
temporal moyen. 9. Pli temporal inférieur. 10
li courbe. 7. Pli marginal inférieur. 8. Pli temporal moyen. 9.
Pli
temporal inférieur. 10. Étage supérieur du lobe
e occipital. 11. Étase moyen. 12. Étage inférieur. A. Lobule du
pli
marginal supérieur. B. Pli accessoire qui unit
marginal supérieur. B. Pli accessoire qui unit souvent le lobule du
pli
marginal supérieur au lobule du deuxième pli asce
nit souvent le lobule du pli marginal supérieur au lobule du deuxième
pli
ascendant. a. Pli supérieur du passage. 6. Deux
ule du pli marginal supérieur au lobule du deuxième pli ascendant. a.
Pli
supérieur du passage. 6. Deuxième pli de passag
du deuxième pli ascendant. a. Pli supérieur du passage. 6. Deuxième
pli
de passage. y. Troisième pli de passage. A Quatri
Pli supérieur du passage. 6. Deuxième pli de passage. y. Troisième
pli
de passage. A Quatrième pli de passage. FACE IN
6. Deuxième pli de passage. y. Troisième pli de passage. A Quatrième
pli
de passage. FACE INTERNE. 1. Pli de la zone i
ième pli de passage. A Quatrième pli de passage. FACE INTERNE. 1.
Pli
de la zone interne. 1 '. Lobule quadrilatère. 2
INTERNE. 1. Pli de la zone interne. 1 '. Lobule quadrilatère. 2.
Pli
de la zone externe. 3. Lobule occipital interne
ère. 2. Pli de la zone externe. 3. Lobule occipital interne. 4.
Pli
godronné. 5. Pli temporal moyen interne. 6. P
zone externe. 3. Lobule occipital interne. 4. Pli godronné. 5.
Pli
temporal moyen interne. 6. Pli temporal inférie
tal interne. 4. Pli godronné. 5. Pli temporal moyen interne. 6.
Pli
temporal inférieur. *. £. Scissure des hippocam
scendante. Pi, 1'2, PC, lobes pariétaux supé- rieur et inférieur,
pli
courbe. 1.0, lobe occipital. i' '1'2, premièr
ascendante. Pl, 1'2, PC lobes pariétaux supé- rieur et inférieur,
pli
courbe. LO, lobe occipital. 1 ? 1 ? T : I, pr
ascendante. l'l, P=, PC, lobes pariétaux supérieur et inférieur;
pli
courbe. Tl, T2, TO, première, seconde et tro
ascendante. Pi, P2, PC, lobes pariétaux su- périeur et inférieur,
pli
courbe. riz, T2, T3, première, seconde et tro
ascendante. I ? P2, PC, lobes pariétaux supé- rieur et inférieur;
pli
courbe. Lo, lobe occipital. 1 ? T2, T3, premi
t des deux côtés au niveau du pied de la parié- tale ascendante, du
pli
courbe, de l'insula. Prédomi- nance des lésions
api'e-mo'c, partout épaissie, s'enlève facilement sauf au niveau du
pli
pariétal inférieur, du pli courbe et de l'extré
e, s'enlève facilement sauf au niveau du pli pariétal inférieur, du
pli
courbe et de l'extrémité postérieure de la prem
érences disséminées sur les circonvolutions frontales. sur les deux
plis
pariétaux, sur le pli courbe, sur les tem- pora
les circonvolutions frontales. sur les deux plis pariétaux, sur le
pli
courbe, sur les tem- porales, principalement da
alon et qu'il maintient à l'aide de cordons attachés au-dessus du
pli
lormé par la jonction de la jambe et de la cuisse
a bouche est déviée à gauche et la commissure de ce côté forme un
pli
plus marqué. Les yeux ont leur saillie normale, l
branche externe, au- dessus de sa branche transversc, on trouve un
pli
de passage à niveau, interrompant sa continuité
t interrompue, au-dessus de la scissure frontale supérieure, par un
pli
de passage un peu en retrait et marquée, allant d
i atteint en bas la scissure de Sylvius, est interrompue par deux
plis
de passage, l'un assez large et profond, allant d
inférieure est sinueuse, interrompue à la partie anté- rieure par 3
plis
de passage à niveau, allant de la '2me frontale
érieure est sinueuse, cou- pée à sa partie antérieure par plusieurs
plis
de passage à niveau, allant de la ire à la 2111
fait en bas la scissure inter-pariétale. A cet endroit il existe un
pli
de pas- sage à niveau allant du lobule pariétal
ies à peu près égales. Un peu plus loin elle est interrompue par un
pli
de passage transversal, très large. Au-delà de
rompue par un pli de passage transversal, très large. Au-delà de ce
pli
de passage, elle continue sa marche Hydrocéphal
llèle bifurquée. A sa partie supérieure et antérieure, on trouve un
pli
de passage assez maigre et en retrait allant au
lant au lobule pariétal inférieur. Lobe occipital. Il existe deux
plis
de passage allant l'une du lobule pariétal supé
pariétal supérieur à la 1 ? circonvolution occipi- tale, l'autre du
pli
courbe à la seconde circonvolution occi- pitale
st chagrinée. La seconde scissure temporale est interrompue par des
plis
de passage allant de la seconde à la 3me tempor
la branche postérieure de la scissure parallèle qui circonscrit le
pli
courbe, séparant ainsi nettement le lobe occipita
l; elle n'est interrompue que vers son tiers inférieur par un petit
pli
de passage assez grêle. existe deux circonvolut
veloppée, dédoublée dans sa plus grande partie, et envoie plusieurs
plis
de passage si niveau à la circonvolution du corps
ale, profonde, sinueuse, est interrompue à sa partie médiane par un
pli
de passage à niveau allant de la circonvo- luti
riétale, elle est f8G Hydrocéphalie : cerveau. interrompue par un
pli
de passage à niveau, maigre, allant de la circo
rès sillonné ; il existe une scissure sous-pariétale profonde et un
pli
pal'ilÍto-lill1biqlle postérieur. - La scissure
La scissure, parallèle frontale supérieure est interrompue par un
pli
de passage il niveau allant de la seconde frontal
eure, un peu sinueuse, est interrompue son tiers antérieur par deux
plis
de passage il niveau, assez grêles, allant du c
sez profonde est interrompue dans son tiers antérieur par plusieurs
plis
de passage allant de la première à la seconde f
ntale, assez grosse, s'in- sère sur la frontale ascendante par deux
plis
de passage à niveau. La seconde circonvolution
neuse, très sillonnée, s'insère à la frontale ascendante par deux
plis
de passage à niveau très grêles. - La troisième f
onde, sinueuse, est interrompue vers le milieu de son trajet par un
pli
de passage à niveau, transversal : il se continue
, paraît avoir été atteint de méningo-encéphalite superficielle. Le
pli
courbe, normal, est circoncrit par deux sillons
conde scissure temporale est divisée en plusieurs tronçons par deux
plis
de passage à niveau allant de la deuxième cir-
de la deuxième cir- convolution temporale à la troisième. Ces deux
plis
de passage sont chagrinés de même que la troisi
ale et qui n'est interrompu vers sa partie médiane que par un petit
pli
de passage à niveau allant de la seconde tempor
x circon- volutions temporo-occipitales sont très développées, sans
pli
de passage allant de l'une à l'autre. Lobe fr
conformée. La scissure cal loso- marginale est interrompue par deux
plis
de passage à niveau, mais maigres, allant l'un de
pé, possède une scissure sous-pariétale profonde en X. Il existe un
pli
de passage pariéto-limbiquo postérieur, et un p
n X. Il existe un pli de passage pariéto-limbiquo postérieur, et un
pli
de passage para- limbique postérieur. - La scis
aissement léger de la commissure labiale gauche et l'exagération du
pli
naso-génien de ce côté. Oreilles placées très b
irconvolution. Les lobulespariétaux on des caractères analogues. Le
pli
cour- be ne présente rien de particulier. -Le l
peu aplaties n'ont rien de particulier. Les lobules parié- taux, le
pli
courbe, le lobe temporal ont leur aspect ordinair
ncé. Le lobe frontal est formé de circon- volutions à très nombreux
plis
cle passage qui lui ôtent son aspect ordinaire.
ontal, très contournées et bien développées, présentent de nombreux
plis
de passage. Il faut noter des adhérences pie-mé
re. Fin duvet à la partie antérieure des cuisses et au-des- sous du
pli
fessier. Poils châtains abondants au pénil, enva-
occu- pant presque toute la première circonvolution temporale et le
pli
courbe du même côté. Dans la deuxième observa
in, les segments inférieurs des 2° et 3° temporales, une portion du
pli
courbe (gyrus angulaire) ; à gauche, la 2o et une
région du vertex : la circonvolution supra- marginale gauche et le
pli
courbe étaient également atteints. En dehors mê
x, diminution de J'acuité au- ditive bi-latérale, légère parésie du
pli
naso-Iabial et de la joue gauche avec légère pl
les et douloureuses sont abolies; il est possible de transpercer un
pli
de la peau ; le malade ne peut plus se représen
circonvolu- tions et des scissures ; petite tumeur siégeant sur un
pli
passage allant delà deuxième à la troisième cir
e, est parsemée de brides dont quelques-unes, insérées au niveau du
pli
mento-labial, produisent le renversement de la
substance corticale, sauf en quelques points très rares; sur un des
plis
de passage allant de la deuxième à la troisième c
près un séjour de plusieurs mois dans l'alcool tout l'insula et les
plis
de passage du lobe temporal se trouvent à décou
sure de Sylvius et est interrompu vers son quart infé- rieur par un
pli
de passage allant de la frontale ascendante à la
e. La scissure perpendiculaire externe (Sc. p. e.) n'est séparée du
pli
courbe que par un pli de passage se dirigeant d
iculaire externe (Sc. p. e.) n'est séparée du pli courbe que par un
pli
de passage se dirigeant du lobule pariétal supé
erhémisphérique; elle est irrégulière, sinueuse, interrompue par un
pli
de passage allant de la deuxième circonvolution f
e inférieure (Se. f. i.) sinueuse est interrompue en avant par deux
plis
de passage reliant la deuxième circonvolu- tion
.) est très irrégulière, très sinueuse, interrompue par de nombreux
plis
de passage se rendant de la première circonvolu-
illonné et relié à la deuxième circonvolution frontale par quelques
plis
de passage. Cette première circonvolution s'ins
nvolution s'insère à la circonvolution fron- tale ascendante par un
pli
de passage à niveau, mais étroit, bor- dant la
(F,), qui s'insère à la circon- volution frontale ascendante par un
pli
de passage à niveau est elle-même très sinueuse
urs tronçons par des sillons transversaux et obliques profonds ; un
pli
de passage (pp.) la- relie vers son tiers antérie
V antérieur de la troisième circonvolu- tion frontale. C'est sur ce
pli
de passage que se trouve une petite tumeur de l
ne isolée est reliée à la deuxième cir- convolution frontale par un
pli
de passage à niveau et semble la continuer; il
le la continuer; il en résulte que celle-ci parait s'insérer par un
pli
de IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 315 p
n frontale, fait corps avec lui, 1, et ne s'en dislingue que par un
pli
vertical à peme marqué. - La cir- convolution p
Le lobule pariétal supérieur (P,) est sinueux, bien développé; un
pli
de passage à niveau le relie au lobe occipital.
u premier sillon occipital. Le lobule pariétal inférieur (P.) et le
pli
courbe (P,) sont sinueux, assez bien développés
(P.) et le pli courbe (P,) sont sinueux, assez bien développés; un
pli
de passage relie celui-ci au lobule pariétal in
paré du lobe temporal est relié au lobule pariétal supérieur par un
pli
de passage à niveau et au pli courbe par un aut
é au lobule pariétal supérieur par un pli de passage à niveau et au
pli
courbe par un autre petit pli de passage allant à
par un pli de passage à niveau et au pli courbe par un autre petit
pli
de passage allant à la par- tie inférieure et a
po- rale (Se. t..) sinueuse, irrégulière, est interrompue par trois
plis
de passage se rendant de la deuxième à la trois
trouve encore quatre circonvolutions temporales transverses, 3, ou
plis
de passage temporo-pariétuux qui, se dirigeant ve
Se. to) est sinueuse, peu profonde, irrégulière, interrompue par un
pli
de passage se rendant de la troisième circonvol
Se. to,) est sinueuse, assez profonde, interrompue également par un
pli
de passage allant du lobule fusiforme au lobule
e lobe quadrilatère (L 0) est très développé, en continuité par les
plis
de passage pariéto-limbiques antérieur (p. p. a
e voir comme à gauche toutes les circonvolutions de l'ipsula et les
plis
de passage temporo-parié- taux. Elle est bifide
ux, assez profond, est inter- rompu vers son quart inférieur par un
pli
de passage allant de la circonvolution frontale
n- contre en outre sur les circonvolutions orbitaires de nombreux
plis
irréguliers; la branche interne de l'incisure en
ieure (Se. f. i.), séparée de la scissure parallèle frontale par un
pli
de passage allant de la deuxième circonvolution
tale inférieure est encore interrompue dans son trajet par un autre
pli
de passage se rendant de la deuxième circonvolu
eloppée; la seconde (F,), très irrégulière par suite des nom- breux
plis
qui la sillonnent, parait dédoublée et bien dével
dédoublée et bien développée. En avant du lobe frontal se trouve un
pli
de passage transversal, réunissant les trois ci
e lobule pariétal supérieur (P,), irrégulier, est très découpé; des
plis
de passage transversaux le rattachent au lobule
e sa courbe, puis à sa partie médiane, elle est interrompue par les
plis
trans- versaux dont nous venons de parler; elle
très découpé, irrégulier; le sillon ver- tical (b) qui le sépare du
pli
courbe se prolonge en haut au delà de la scissu
e prolonge en haut au delà de la scissure inter-liémispliérique. Le
pli
courbe (P3), irrégulier, est divisé par le prol
nt séparé des lobes pariétal et temporal, est par suite dépourvu de
plis
de passage se rendant à ces deux lobes ; il est
e temporale (Se. t,) est sinueuse, irrégulière, interrompue par des
plis
de passage allant de la deuxième à la troisième
tal. Il existe trois circonvolutions temporales (3), transverses ou
plis
de passage temporo-pariétaux, situées à la part
occipilale (PL. IV, Sc. to) est interrompue vers son milieu par des
plis
de passage se dirigeant de la troisième circonv
rieure de la deuxième scissure tenz- poro-occipitale (Sc. to,.). Un
pli
de passage relie le lobule fusi- forme au lobul
tale (Se. s. p.) en avant et en arrière de laquelle se trouvent les
plis
de passage pariéto-limbiques antérieur et postéri
peuvent être séparées. Nous appellerons encore l'attention sur les
plis
de passage se rendant de la deuxième circonvolu
est tantôt complète, tantôt incomplète. Enfin nous trouvons quatre
plis
de passage temporo- pariétaux à gauche, et troi
maire est remplacé par une surface bombée, la peau est épaissie, le
pli
que l'on y produit en la prenant entre les doig
tes, et la nuque, très forte pour la taille du sujet, présente deux
plis
profonds séparés par un bourrelet de chair. Ace
expression d'un foetus conservé dans un bocal. Quand il sourit, des
plis
extraordinaires viennent creuser le visage, les
lvius, du lobule de l'insula de la région rétro-insulaire et de ses
plis
de passage et un exposé facile à suivre de la c
on temporo-occipitale. 'l ? 3 circonvolution temporale. p. p. a.,
Pli
pariéto-limhiyue antérieur. p. P. p., Pli parié
on temporale. p. p. a., Pli pariéto-limhiyue antérieur. p. P. p.,
Pli
pariéto-lilllbique postérieur. EXPLICATION DES
s écartées laissent voir les circonvolutions de l'insula (,) et les
plis
temporo-panétanx (¡). il., Rameau antérieur asc
2e scissure temporale. In. p., Incisure préoccipit,tle, 1). 1).,
Pli
de passage allant de la 2e .5 la 3e frontale gauc
rconvolution pariétale ascendante. P" Pli pariétal supérieur. '1,
Pli
pariétal inférieur. P.3, Pli courbe. L. oc.,
tes : d., Sillon occipital antérieur. b., Sillon intermédiaire au
pli
pariétal inférieur et au pli courbe. c., Sillon
antérieur. b., Sillon intermédiaire au pli pariétal inférieur et au
pli
courbe. c., Sillon divisant le piicombe. - iU
, est très sinueuse et composée dans sa moitié antérieure de petits
plis
transversaux dont un envoie un prolongement au
t au fond du sillon qui la sépare de la deuxième frontale. Un autre
pli
de passage, sinueux, va s'insérer de ni- veau s
9 frontale est très sinueuse et bien développée; elle envoie deux
plis
de passage à la troisième et prend sur la frontal
ond. La pariétale ascendante, P A, sinueuse, assez large, envoie un
pli
de passage au pli pariétal inférieur et deux au
ascendante, P A, sinueuse, assez large, envoie un pli de passage au
pli
pariétal inférieur et deux autres au pli supéri
nvoie un pli de passage au pli pariétal inférieur et deux autres au
pli
supérieur. Le pli parié- tal supérieur, P, volu
ssage au pli pariétal inférieur et deux autres au pli supérieur. Le
pli
parié- tal supérieur, P, volumineux et sinueux,
r. Le pli parié- tal supérieur, P, volumineux et sinueux, envoie un
pli
de pas- sage au lobe occipital et un autre au p
inueux, envoie un pli de pas- sage au lobe occipital et un autre au
pli
courbe. Le pli parié- tal inférieur, P2, volumi
un pli de pas- sage au lobe occipital et un autre au pli courbe. Le
pli
parié- tal inférieur, P2, volumineux, envoie un
pli courbe. Le pli parié- tal inférieur, P2, volumineux, envoie un
pli
de passage à la première temporale et un autre
ux, envoie un pli de passage à la première temporale et un autre au
pli
courbe, P C. Ce dernier est peu développé, mais
l, il existe une circonvolution composée de trois replis (lobule du
pli
courbe). Le lobe occipital, LO, est composé d
envoie un long prolongement au fond de la scissure de Sylvius et un
pli
de passage volumineux à la deuxième temporale.
erne. -Première circonvolution frontale bien dé- veloppée, avec des
plis
assez profonds. Sillon calloso-marginal assez p
profond et l'autre superficiel. Le coin, LC, est sinueux, avec des
plis
superficiels. Lobe occipital assez bien dévelop
Face convexe. FI sinueuse, bien développée, envoie à son origine un
pli
de passage assez volu- mineux à Fs; plis transv
ée, envoie à son origine un pli de passage assez volu- mineux à Fs;
plis
transversaux en avant, double pli antéro-pos- t
passage assez volu- mineux à Fs; plis transversaux en avant, double
pli
antéro-pos- térieur et volumineux en arrière. E
veau sur la partie moyenne de la frontale ascendante et envoie deux
plis
BOURNEVILLE, 1888. 4 50 EPILEPSIE : RÉFLEXION
do est larrce et profond. PA, éga- lement bien développée envoie un
pli
de passage au pli parié- tal supérieur. Celui-c
rofond. PA, éga- lement bien développée envoie un pli de passage au
pli
parié- tal supérieur. Celui-ci, formé de deux r
rieur. Celui-ci, formé de deux replis sinueux, envoie en arrière un
pli
de passage au lobe occipital. P2,non dédoublée,
re un pli de passage au lobe occipital. P2,non dédoublée, envoie un
pli
de passage assez sinueux au pli courbe, bien dé-
ipital. P2,non dédoublée, envoie un pli de passage assez sinueux au
pli
courbe, bien dé- veloppé, et qui envoie deux pl
e assez sinueux au pli courbe, bien dé- veloppé, et qui envoie deux
plis
de passage au lobe occipital composé de circonv
s digitations : la pre- mière est bifurquée. 2 ? plissée, envoie un
pli
de passage bi- furqué à sa base, au fond de la
ée h son origine, reçoit de la cir- convolution du corps calleux un
pli
de passage sinueux; en arrière, elle est incomp
olutions frontales. - f,, /2, premier et deuxième sillons frontaux. -
Pli
, faisceau longitudinal inférieur. - i, Sillon d
es). En avant viennent se joindre les fibres du precuneus (PrC), du
pli
courbe (Pc), des circonvolutions pariétales supér
ans la région occipitale. Coupe vertico-transversale passant par le
pli
courbe et le sommet du cuneus. Méthode de Weigert
s.- Pi, l'a. première et deuxième circonvolutions pariétales. - Pc,
pli
courbe. PrC, prapcuneus. 7 ! Cc, radiations calle
xus choroïdes de la corne sphénoïdale du ventricule latéral. - ncl,
pli
cunéo-limbique. - RTh, radiations optiques de G
u longitudinal inférieur - Flp, faisceau longitudinal postérieur. -
Pli
, faisceau uncinatus. - lc, lame cornée et fibre
argi- nalis. - l'a, circonvolution pariétale ascendante. - l'c,
pli
courbe. pCR, pied de la couronne rayonnante. po
cule rolandique. - P.j, deuxième circonvolution pariétale. /'c,
pli
courbe. l'ul, pu I vin ar. RTh, radia- lions
l'l, ventricule latéral. - Zr, Zone réticulée du thalamus. izcl,
pli
cunéo-limbiqtic. 22 ANATOMIE DES CENTRES NERVEU
es lobules lingual (Lg), et fusiforme Fus)), du precuneus (PrC), du
pli
courbe (Pc) et de la partie postérieure des lobes
s lingual et fusiforme, des trois circonvo- lutions occipitales, du
pli
courbe, de la partie adjacente des circonvolution
fj, sillon fimbrio-godronnë. TL, faisceau lenticulaire de Forel. -
pli
, faisceau longitudinal inférieur. I·'JI, faisce
érieurs du lobe frontal d'une part, le lobe occipital, y compris le
pli
courbe, d'autre part, n'envoient de fibres de pro
n 1897, a montré que l'extrémité antérieure du lobe fron- tal et le
pli
courbe envoient de nombreuses fibres de projectio
ariétale ascendante (Pa), artère pariétale inférieure (Pi), artère du
pli
courbe (Pc), artères temporales antérieure (Ta)
a parole, par suite de la lésion du lobule pariétal inférieur et du
pli
courbe. (J. DEJERINE, Soc. de Biologie, 1892, DEJ
t du corps calleux et par le foyer de ramollissement récent (Rr) du
pli
courbe. Elle intéresse en outre au niveau de la
bule lingual, de la partie adjacente de la scissure calcarine et du
pli
cunéo-limbique, (Voy. J. Dejerine et Vialet, Su
e de la scissure calcarine et s'étendant sur la partie postérieure du
pli
cunéo-limbique. Cette lésion a entraîné des dég
.7JemMp/t<i)'e gauche. Coupe vertico-transversale passant par le
pli
cuneo-limbique (,,cl) et le forceps postérieur du
du corps calleux (Fin) . Plaque jaune du lobule lingual (Lg) et du
pli
cuneo-limbique (7cl). Dégénérescences secondair
Hémisphère gauche : plaque jaune do la scissure calcarine et du
pli
cunéolimbique. D é générescence s Tap, RTh, F
Hémisphère gauche : plaque jaune de la scissure calcarine et du
pli
cunéolimbiquo. D é g énérescen ces CSgt (T,),
6.- Cas Jouan. (Bicêtre.) Topographie de la cavité porencéphalique du
pli
courbe dans le fond de laquelle on aperçoit la
2 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Jouan. Lésion de déficit du
pli
courbe limitée à l'écorce et à la sub- stan
e du pied du pédoncule cérébral. limitées et n'intéressent que le
pli
courbe, par exemple, atteignent en général l'éhen
ire, particularités intéressantes à noter étant donnée la lésion du
pli
courbe et de la partie adjacente du lobule pariét
- timètres de long sur 3 à 4 de haut et 2 de profondeur occupant le
pli
courbe, la partie postérieure et inférieure du
deur occupant le pli courbe, la partie postérieure et inférieure du
pli
marginal supérieur (Gsm) l'extrémité postérieure
orale. Cette lésion a détruit, comme à l'emporte-pièce, l'écorce du
pli
courbe, et la substance blanche sous-jacente de l
rl) et du pulvinar (Pul) consécutive à la lésion porencéphalique du
pli
courbe; 2° dégénérescence du deuxième cinquième
e Weigert. 2/1 grandeur nature. Cas Jouan. Lésion de déficit du
pli
courbe limitée à l'écorce et à la sub- stan
4 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Jouan. Lésion de déficit du
pli
courbe limitée à l'écorce et à la sub- stan
lésion pariétale, qu'elles représentent les fibres de projection du
pli
courbe (Fig. 97 et 98). - Ces fibres peuvent êt
ns le pied du pédoncule cérébral (l'). Ce fait démontre donc que le
pli
courbe contient des fibres de projection, et qu'i
ié postérieure du pied du pédon- cule cérébral, malgré la lésion du
pli
courbe. Le pli courbe n'envoie pas de fibres à
du pied du pédon- cule cérébral, malgré la lésion du pli courbe. Le
pli
courbe n'envoie pas de fibres à la voie pédoncu
Plaque jaune de la circonvolution pa- riétale inférieure gauche (
Pli
courbe, lobule pariétal inférieur, circonvoluti
térieur (Cip). Cas Leudot. Apha- sie sensorielle. Lé- sion du
pli
courbe, du lobule pariétal infé- rieur ot de
CENTRES NERVEUX. Cas Leudot. Apha- sie sensorielle. Lé- sion du
pli
combe, du lobule pariétal infé- rieur et de l
4. - Cas Leudot. Aphasie sensorielle avec hémianopsie par lésion du
pli
courbe et du lobule pariétal inférieur. - Coupes
. - Cas Leudot. Aphasie sensorielle avec hémianopsie. Plaque jaune du
pli
courbe, du lobule pariétal inférieur et de la p
rtère pariétale inférieure, la région rétro-insulaire par l'artère du
pli
courbe. Le territoire vasculaire de l'artère sy
en haut la scissure parallèle intéresse la branche inférieure du
pli
courbe (P) et dé- passe la scissure pariéto-occ
us. Cas Le Seguillon (Fig. 129 à 133) : il s'agit d'une lésion du
pli
courbe et de la partie inférieure de la circonv
un homme ayant succombé à 59 ans à une pleurésie. Plaque jaune du
pli
courbe, de la partie inférieure de la circonvol
w er- nicke (W.) Fig. 131). Cas Le Soguilloii. Plaque jaune du
pli
courbe, de la partie inférieure de il., de de
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Le Seguillon. Plaque jaune du
pli
courbe, do la partie infeiieiire do P., de
rmal et limité en avant par un bourrelet saillant qui correspond au
pli
falciforme de l'insula, au bord postérieur du l
olutions sont larges, flexueuses, unies entre elles par de nombreux
plis
de passages, et affectent de préférence une direc
thalamiques. 202 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. par de nombreux
plis
de passage, mais à direction sagittale manifeste
set, Wernicke, Ilenschen placent dans le lobule pariétal inférieur (
pli
courbe et gyrus supramarginal) le siège de la r
on des faisceaux visuel cortical et auditif cortical sous-jacent au
pli
courbe ou au gyrus supramarginalis. Centres cor
'a montré, en excitant des régions postérieures de l'hémisphère, le
pli
courbe, la première circon- volution temporale
Pour la vision par contre, une lésion corticale s'étendant jusqu'au
pli
courbe et sectionnant la couche sagittale à ce ni
e troubles de la sen- sibilité, bien que cette région, ainsi que le
pli
courbe du reste, fussent lésés dans la plupart
face interne du lobe occipital, mais encore à la face externe et au
pli
courbe, Vialet le localise il la face interne d
ocaliser le centre visuel, non dans le lobe occipital, mais dans le
pli
courbe. - Ce der- nier appartient, comme nous l
partie anlérieure de lascissure calcarine. Ferrier le place dans le
pli
courbe et admet que la lésion unilatérale du gy
e région corticale du lobe occipital et de la partie postérieure du
pli
courbe ne serait dépourvue de fibres maculaires
mière circonvolution frontale.- ? pied du pédoncule cérébral. - Pc,
pli
courbe. P'c pli courbe droit. - l'ul, pulvinar. -
tion frontale.- ? pied du pédoncule cérébral. - Pc, pli courbe. P'c
pli
courbe droit. - l'ul, pulvinar. - Qa, tubercule
Sylvius, s'étend du pied de la troisième circonvolution frontale au
pli
courbe, en englobant la partie postérieure de l
s occupe, comme l'un de nous a contribué à le montrer, la région du
pli
courbe. Chacun de ces centres tire sa spécialis
mporale, la ci ! cité verbale domine lorsqu'il existe une lésion du
pli
courbe. 11 ne faudrait pas croire toutefois qu'
ca à l'opercule rolandique - aphasie motrice sous-corticale - b) le
pli
courbe gauche à la zone visuelle générale - cécit
FiG. 249. - Les connexions de la zone du langage, en particulier du
pli
courbe, 1° avec les centres de Wernicke (TI) et
s fibres sont colorées en rouge. Arc, faisceau arqué, réunissant le
pli
courbe et la première circonvolution temporale au
, NL2 les segments externe et moyen du noyau lenticulaire. Pc, Pc',
plis
courbes gauche et droit. - pcc, fibres commissura
ntre eux les FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 251 deux
plis
courbes. - paf, fibres rehaut le pli courbe gauch
L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 251 deux plis courbes. - paf, fibres rehaut le
pli
courbe gauche à la zone motrice du côté opposé.
e gauche à la zone motrice du côté opposé. - pet" fibres reliant le
pli
courbe gauche il la troisième circonvolution fron
a troisième circonvolution frontale droite. -pco, fibres reliant le
pli
courbe gauche à la zone corticale visuelle du môm
la zone corticale visuelle du môme côté. - pco', fibres reliant le
pli
courbe gauche il la zone corticale visuelle du cô
té opposé et passant par le corps calleux. - ycl, fibres reliant le
pli
courbe il la première circonvolution temporale
volution temporale du côté correspondant. - pet', fibres reliant le
pli
courbe à la première circon- volution temporale
couche sagittale externe (Sge) ou faisceau longitudinal inférieur. -
pli
, faisceau rétroflexe de Meynert. - FT, faisceau
sie. Ce cas se rapporte a une lésion très limitée (plaque jaune) du
pli
rétrolimbique de la partie adjacente du lobule li
. 266. - Cas Chab Topographie de la plaque jaune superficielle du
pli
rétrolimbique et de la circonvo- lution de l'hi
t externe du tubercule mamll- taire. Cas Chab Plaque jaune du
pli
rétro- hmblquc, de la par- tie adjacente du l
isceau commissural sain de la corne Fisc. 267. - Cas Chab Lésion du
pli
rétrolimbique, de la partie adjacente du lobule
'lotir : m. 19 Fig. 268. - Cas Chab. Plaque jaune superficielle du
pli
rétrolimbique et de la circon- volution de l'hi
o-externe du carrefour ventriculaire. Cas Chab. Plaque jaune du
pli
rétro- limbique, de la par- tie adjacente du
onnante (Sgi RTh), (Sge, Fli), qui relèvent surtout de la lésion du
pli
rétrolimbique. Les fibres dégénérées du faisceau
es dégé- Fig. 269,270, 271. Cas Chab. Plaque jaune superficielle du
pli
rétrolimbique et de la circonvolution de l'hipp
'angle externe du ventricule latéral. Cas, Chab Plaque jaune du
pli
rétro- limbique, de la par- tic adjacente du
al. 292 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Chab. Plaque jaune du
pli
retro- Innbique, de la par- tie adjacente du
angle externe du ventricule latéral consécutive à une plaque jaune du
pli
rétrolim- bique, de la partie adjacente de lobu
caudé. Une partie des fibres dégénérées (celles qui proviennent du
pli
rétrolimbique) se por- tent en dedans et s'irra
ppocampe, de la corne d'Ammon, de la circonvolution godronnée et du
pli
rétrolimbique. Trigone cérébral, com- missure a
ite, la circonvolution pariétale inférieure (gyrus supramarginalis et
pli
courbe), les plis de passages qui la relient à
ion pariétale inférieure (gyrus supramarginalis et pli courbe), les
plis
de passages qui la relient à la première circonvo
hie de la double lésion corticale. Cas II ilaire. Plaque jaune du
pli
cnurbo, du lobule pariétal in- fériourotdela
316 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Hilaire. Plaque jaune du
pli
courbe du lobule pariétal in- férieur et de l
laque jaune détruisant la cir- convolution pariétale inférieure, le
pli
courbe, l'opercule pariétal, la partie posté- r
ris. - VCst, veine du corps slrié. - l'l, ventricule latéral. '1t "l,
pli
rétro-lim- bique. - II, bandelette optique. S
el périphérique. - Connexions de la zone visuelle corticale avec le
pli
courbe et la zone du langage. La partie antérieur
emière circonvolution frontale. - P, pied du pédoncul cérébral. Pc,
pli
courbe gauche. Pc' pli courbe droit. - l'ul, pulv
rontale. - P, pied du pédoncul cérébral. Pc, pli courbe gauche. Pc'
pli
courbe droit. - l'ul, pulvinar. - Qa, tubercul
lion. - )'6', vermis supérieur du cervelet masqué en partie par les
plis
de l'arachnoïde. MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE.
véritables lobules de passage profonds, tout à fait comparables aux
plis
de passage profonds de l'écorce cérébrale. Loue
et représentent, ainsi que nous l'avons vu plus haut, de véritables
plis
de passage. La face supérieure est très large e
is se ,jettent sur le lobe postérieur et représentent de véritables
plis
de passage profonds qui relient le lobe supé- r
- belleux moyen. Le fond du sillon inférieur est souvent tapissé de
plis
de passage profonds qui relient le lobe semi-lu
DES CENTRES NERVEUX. Ses faces. Lames et lobules secondaires.
Plis
de passage profond reliant le lobes semi-luna
et se jettent sur le lobe semi-lunaire inférieur, formant ainsi des
plis
et des lobules de passage profonds qui relient
artie externe, couverte par un nombre plus ou moins considérable de
plis
de l'épendyme ventriculaire disposés comme les
ntrent que toute la surface de l'olive cérébelleuse est hérissée de
plis
, de festons, de dentelures plus ou moins sailla
ibulaire. - l'Il, libres radiculaires du facial. de denticules. Les
plis
sont plus nombreux, plus étendus, plus profonds,
implantation des axes des principaux lobes hémi- sphériques. Chaque
pli
ou feston du corps dentelé est recouvert de den
et bordant la scissure de Sylvius qui est très profonde (S. S.). Le
pli
courbe (P. C.) et son lobule sont très nets et
FA sont aussi assez grosses. F1 et F2 s'u- nissent à FA par un seul
pli
de passage. Au niveau cle ce dernier, FA est co
ve son autonomie et n'est reliée aux régions voisines que par les
plis
de passage de ses extrémités. Le lobe pariétal se
et LPI, très cl i si i nets. LPI se confond lar- gement avec T1. Le
pli
courbe (PC) est silué tout à la partie postérie
ge de la scissure per- pendiculaire externe (SPE), très accusée. Ce
pli
est grêle. Le lobe temporal est scindé très net
même très volumineuses ; les sillons sont assez profonds, mais les
plis
cle passage font presque tout à fait défaut. '
à découvert, son bord libre est presque complètement caché sous le
pli
qu'elle forme. La paupière inférieure est très
uée en avant du filet est beaucoup plus étendue que normalement. Le
pli
est lui-même court. Les glandes sublinguales fo
des membres supérieurs, surtout au voisinage des articulations, au
pli
du coude, au poignet, un état rugueux de la pea
très distinctement FA de PA. Celle-ci est rectiligne et n'offre des
plis
de passage qu'à ses deux extrémités à savoir : en
des plis de passage qu'à ses deux extrémités à savoir : en haut, un
pli
de passage postérieur avec le lobe pariétal supé-
irconvolution large et très sinueuse, à concavité infé- rieure ; le
pli
courbe forme sa partie la plus saillante. Deux
é- rieure ; le pli courbe forme sa partie la plus saillante. Deux
plis
cle passage la relient à T1 età T- ; un pli de pa
a plus saillante. Deux plis cle passage la relient à T1 età T- ; un
pli
de passage anté- rieur la relie à PA et deux pl
t à T1 età T- ; un pli de passage anté- rieur la relie à PA et deux
plis
de passage postérieurs l'unis- sent au lobe occ
inférieur. 'I- est unie clans ses deux tiers antérieurs par quatre
plis
de passage à T3; elle s'amincit ensuite pour al
e s'amincit ensuite pour aller rejoindre la partie postérieure du
pli
courbe. Quant à T3, mal délimitée dans ses 2/ : l
itée dans ses 2/ : l antérieurs où elle esl formée par les nombreux
plis
de passage de 'ï-, clle devient clans son liers
phénoïdal est formé de deux petites circonvolutions unies par trois
plis
de passage ; la circonvolution de l'hippocampe
ne que sur l'autre hémisphère, offre dans son tiers antérieur trois
plis
de passage avec F2 et, à son extré- mité postér
avec F2 et, à son extré- mité postérieure, elle se bifurque en deux
plis
de passage pour s'unir à F A. F2, très contourn
sage pour s'unir à F A. F2, très contournée, a comme origine deux
plis
de passage qui l'unissent en avant à F1, en arriè
antes. P A est peu contournée ; elle est unie inférieurement par un
pli
de passage au pli parié- tal inférieur et supér
contournée ; elle est unie inférieurement par un pli de passage au
pli
parié- tal inférieur et supérieurement par un a
passage au pli parié- tal inférieur et supérieurement par un autre
pli
de passage au lobe pariétal supérieur. Le lobe
u de la scissure perpendiculaire externe, qui est accentuée, par un
pli
de passage qui l'unit au lobe occipital. Le lob
sage qui l'unit au lobe occipital. Le lobe pariétal inférieur et le
pli
courbe sont assez accen- tués et diffèrent des
sur 3 centimètres de long. La muqueuse utérine est normale ; les
plis
de l'arbre de vie sont saillants et l'on observe
e. Pas de traces de corps de Rosenmiiller. Le vagin est sillonné de
plis
nombreux et n'offre rien de parti- culier. Pas
le pariétal supérieur. L. P. L, lobule pariétal inférieur. P. C.,
pli
courbe.. L. O., lobe occipital. T1, première
auche est soulevée passivement à chaque mouvement respiratoire. Les
plis
du front ont disparu à gauche. L'oeil gauche ne
bras tout entier, mais seulement la main et l'avant-bras jus- qu'au
pli
du coude. Elle dépasse le pli du coude sur la fac
nt la main et l'avant-bras jus- qu'au pli du coude. Elle dépasse le
pli
du coude sur la face anté- rieure et s'étend so
. Après lecture du rapport de M. Charpentier, le président ouvre le
pli
cacheté contenant le nom du candidat récompensé
minant brusquement par une ligne circulaire qui suit le pubis et le
pli
de l'aine jusqu'au coccyx en arrière. Sens musc
t pas altérée, on ne constate, ni sueurs locales, ni effacement des
plis
des phalan- ges; ni modification des ongles, ni
u corps calleux immédiatement en avant de la couche optique; sur le
pli
qui va de la cir- convolution du corps calleux
roit. La pie-mère est légèrement conges- tionnée, sauf au niveau du
pli
pariétal supérieur où il existe une ecchymose;
RVEUSE. sans entraîner de substance grise, si ce n'est au niveau du
pli
pariétal supérieur. Pas de lésions en foyer. Ve
llèle, partant du bord interne de l'hémisphère interrompue par deux
plis
de passage allant de la seconde circonvolution
ure frontale inférieure est très irrégu- lière, interrompue par des
plis
de passage se rendant de la deuxième à la trois
ution frontale, également large, est irrégulière, s'insère par deux
plis
de passage à niveau et parallèles à la circonvo
arallèles à la circonvolution frontale ascendante; elle envoie deux
plis
de passage à la troisième circonvolution fronta
nt développé; il envoie à son extrémité inférieure et antérieure un
pli
de passage étroit au lobule pariétal inférieur
omplète; elle est interrompue au commen- cement de sa courbe par le
pli
de passage signalé plus haut, puis se poursuit
dans le sillon occipital supérieur jusqu'au sillon transverse. - Le
pli
courbe est assez développé, sinueux. Le lobe oc
rolonge jusqu'à la scissure interpariétale en divisant le sommet du
pli
courbe. - La deuxième circonvolution temporale,
e de la scissure perpendiculaire externe, dont il est séparé par un
pli
de passage, allant du pli courbe au lobe occipi
ulaire externe, dont il est séparé par un pli de passage, allant du
pli
courbe au lobe occipital. Ce sillon délimite ne
développée, normale, très découpée; elle envoie vers son milieu un
pli
de passage maigre, à niveau, à la Archives, t.
limité en avant et en arrière. -Le lobule quadrilatère, large, a un
pli
depassage pariéto-limbique anté- rieur, complèt
nant presque la circonvolution du corps calleux. Il existe aussi un
pli
pariéto-limbique postérieur mal délimité en avant
re environ; elle est séparée de la scissure inter- pariétale par un
pli
de passage à niveau, reliant le lobe occi- pita
ssure parallèle frontale in- terrompue à sa partie médiane par deux
plis
d'insertion de la deuxième circonvolution front
La scissure frontale infé- rieure sinueuse, est interrompue par un
pli
de passage allant de la deuxième circonvolution
est légèrement sinueuse, cou- pée à son extrémité antérieure par un
pli
de passage venant de la première circonvolution
extrémité antérieure et s'in- sère à la frontale ascendante par un
pli
sinueux et grêle. La deuxième circonvolution fr
upé, très développé au détriment du lobule pariétal supérieur. - Le
pli
courbe est assez gros également. La scissure in
la scissure interpariétale continuée elle est interrompue par un
pli
de passage se dirigeant vers la deuxième circonvo
assez bien développée, sinueuse, envoie à son quart antérieur un
pli
de passage à niveau, grêle, à la deuxième circonv
onvolution temporale qui, elle, est très développée et pousse trois
plis
de passage à niveau à la troisième assez bien d
fonde, sinueuse, a un trajet très élendu par suite de la hauteur du
pli
courbe; en avant d'elle et parallèlement il exi
ale. Les scissures sont irrégulières, sectionnées par de nom- breux
plis
de passage; une scissure oblique fait communiquer
de la scissure fronto-pariétale interne; à ce niveau, on trouve un
pli
de passage profond qui, devenu plus bas à nivea
e nombreux sillons verticaux; elle envoie vers sa partie médiane un
pli
de passage à niveau à la circonvolution du corp
ssage à niveau à la circonvolution du corps calleux; en avant de ce
pli
se trouve une scissure parallèle au corps calle
paracentral bien développé envoie à sa partie inféro-antérieure un
pli
de passage assez gros à ni- veau, à lapremière
lution frontale interne.- Le lobule quadrilatère, large, possède un
pli
de passage pariéto-limbique postérieur, séparé
première circonvolu- tion frontale sinueuse, double en avant, sans
pli
de passage, s'insère de niveau sur la frontale
lu- ! ion frontale sinueuse possède une insertion de niveau; pas de
plis
de passage, sillons assez profonds entourant les
dante, plus épaisse que la frontale ascendante, est volumineuse. Le
pli
pariétal infé- rieur est assez plissé. - Le pli
est volumineuse. Le pli pariétal infé- rieur est assez plissé. - Le
pli
pariétal supérieur est volumi- neux comme dédou
sé. - Le pli pariétal supérieur est volumi- neux comme dédoublé. Le
pli
courbe, irrégulier, assez si- nueux, envoieun p
nueux, envoieun prolongement très gros à la partie postérieure du
pli
pariétal supérieur. - Le lobe occipital, assez pl
temporale, très sinueuse, envoie un prolongement très volumineux au
pli
pariétal inférieur au pied de la scissure de Sy
r au pied de la scissure de Sylvius; elle a également en avant un
pli
de passage la reliant à la deuxième circonvolutio
ale, sinueuse à sa partie confondue, à la troisième par de nombreux
plis
. Face interne. La première circonvolution front
e, dédoublée incomplète- ment en avant; insertion de niveau; pas de
plis
de passage. La deuxième circonvolution frontale
volumineuse, mais surtout dans les deux tiers postérieurs, envoieun
pli
de passageàla troi- sième circonvolution fronta
lution insuffisante. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 267 ascendante du
pli
pariétal inférieur est très profond. Le pli par
SIVE. 267 ascendante du pli pariétal inférieur est très profond. Le
pli
pariétal supérieur est sinueux, envoie deux pli
st très profond. Le pli pariétal supérieur est sinueux, envoie deux
plis
de passage à la pariétale ascendante et un en a
- ties embrassant une circonvolution quadrangulaire qui envoie un
pli
de passage vers le lobe occipital et en reçoit un
envoie un pli de passage vers le lobe occipital et en reçoit un du
pli
pariétal inférieur. Le lobe occipital est assez
du membre supérieur droit et tous ceux du gauches sont normaux. Le
pli
naso-labial droit est un peu moins accusé que le
large- ment, les sillons naso-labiaux se creusent profondément, les
plis
de la patte d'oie s'accusent fortement et les p
contracte souvent sa lèvre supérieure de sorte qu'il s'y forme des
plis
verticaux sur la ligne médiane et sur les côtés,
ux des lits, en même temps le tronc et le cou se contournent et les
plis
de la face, autour de la bouche se firent, ce q
Lem.... rit très facilement, pour la moindre chose; alors, tous les
plis
de la face sont très prononcés; la bouche s'ouv
seuse; le tissu conjonctif interstitiel était très abondant et rem-
pli
de graisse. A peu près à un centimètre au-dessous
uisse gauche, et une autre oblongue, linéaire ou peu frangée qui du
pli
du creux axillaire se porte en haut sur une lon
et localisées un segment de membre : en haut, elles s'arrêtaient au
pli
inguinal, et, en bas, elles ne dépassaient pas l'
s que la sensibilité n'était en aucune façon touchée au-dessus du
pli
inguinal prolongé en arrière par le pli lombair
açon touchée au-dessus du pli inguinal prolongé en arrière par le
pli
lombaire et au-dessous du genou. Donc, que l'on
restreindre, et il n'est pas dans leurs habitudes de respecter les
plis
naturels de l'aine et du jarret comme des barrièr
ions pas occupe tout l'avant-bras, mais rien que l'avant-bras. Le
pli
du coude et l'interligne articulaire du poignet
s significative, les altérations dermo-épi- dermiques s'arrêtent au
pli
du poignet du côté de la flexion ; car la face
e du bras au-dessus du deltoïde. 17 » 27 » Circonférence du bras au
pli
du coude.. 17 » 1/4 24 » 1/2 Longueur de l'avan
peau, on constate il droite un état particulier des tégu- ments. Le
pli
qu'on forme ainsi est trois fois plus épais envir
souple il gauche ; elle est plus résistante il droite. Cependant le
pli
que l'on forme disparaît assez vite. Les os fac
ras est douloureuse, ainsi que la pression exercée sur son tronc au
pli
du coude et au niveau du poignet. La préhension
attements de l'humérale au-dessous du creux axillaire, au niveau du
pli
du coude. Le long du bras pas de cordon induré
lée, du nerf radial dans la gouttière de torsion, du nerf médian au
pli
du coude, du nerf sus-scapulaire dans l'échancrur
rsion pour le ra- dial, derrière l'épi trochlée pour le cubital, au
pli
du coude pour le médian, fait naître une douleu
es figures sont d'une expression uniforme, les mains inhabiles, les
plis
des étoffes lourdement indiqués, les touches lumi
uleur café au lait. Au niveau de la plaque de la fosse iliaque, les
plis
cutanés sont plus accen- tués. A la palpation,
les 2" et 3° orteils qui sont grêles et remontant en bande jusqu'au
pli
sépa- rant le dos du pied de la jambe (fig. 1).
culaire, les espaces inguinaux, la face interne de la cuisse ou les
plis
articulaires sont les lieux où ce mode de début
50 HENRY MEIGE écartée s'allonge en avant. Dans cette attitude, les
plis
de l'étoffe ne dissimulent qu'à demi la rotondi
NSIBILITÉS SUPER FICIELLES 335 Sensibilité objective superficielle (
pli
. LV). I. Tact. A. Face antérieure. Anesthésie a
ie à la jambe droite depuis l'articulation tibio-tarsienne jusqu'au
pli
inguinal. B. Face postérieure. - L'hypoesthésie
poesthésie existe aux plantes des pieds et la jambe droite jusqu'au
pli
fessier. Cet amoindrissement dans la perception d
e dans une bande étroite, située sur la ligne médiane au-dessous du
pli
fessier, qui se prolonge jusqu'à la moitié de c
ieure. - Thermo-hypoesthésie depuis l'articulation du pied jusqu'au
pli
inguinal; hyperesthésie au froid dans la ré- gi
présentée par un méplat; la peau, trop large à son niveau, fait des
plis
à la surface ; les muscles sont mous à la pressio
onservée. Dimensions : Droite, bras il 6 centimètres au-dessus du
pli
du coude. 20 centimètres. Gauche ..............
............. 20 - Droite, avant-bras à 6 centimètres au-dessous du
pli
du coude...................... 19 - Gauche...
oignet) An : rien avec 7 millia. K a SF : 9 millia. N. médian (au
pli
du coude) An FS : 8 millia. Ka SF : 7 millia.
N. médian (poignet) : 4 centim. 50 . N. cubital : 5 50 N. médian (
pli
du coude) : 6 50 N. cubital : 7 centimètres.
nsuration du périmètre brachial faite à 10 centimètres au-dessus du
pli
de flexion du coude donne 24 centimètres ;t gau
ÉGÉNÉRESCENCE MENTALE 401 Droite Gauche ' c/m c/m Longueur du
pli
radio-palmaire à l'extrémité du Mains 1 médius
Anesthésie des deux membres inférieurs, remontant du pied jusqu'au
pli
inguinal. B. Face postérieure. Anesthésie jusqu
ied jusqu'au pli inguinal. B. Face postérieure. Anesthésie jusqu'au
pli
fessier. IL Douleur. A. Face antérieure. Analgé
oigts. B. Face postérieure. Hypoalgésie depuis les orteils jusqu'au
pli
fessier, et dans la zone cubitale jusqu'à l'art
aux jambes, depuis le pied jusqu'aux genoux ; hypoalgésie jusqu'aux
plis
inguinaux. Hypoalgésie dans la zone d'anesthési
uis le pied jusqu'au creux poplité ; au-dessus hypoalgésie jusqu'au
pli
fessier. A droite, l'analgésie s'é- lève moins
10) elles portaient sur le lobule pariétal inférieur, y compris le
pli
courbe, mais quelquefois elles ne s'étendaient pa
mo)' ? '/Mtp ancienne à ,gauche au niveau delà substance blanche du
pli
courbe, du lobule du pli courbe et de l'insula av
gauche au niveau delà substance blanche du pli courbe, du lobule du
pli
courbe et de l'insula avec participation du segme
tie lacunaire, s'étendant de la partie moyenne de l'insula jusqu'au
pli
courbe et limité à la substance blanche sauf dans
LA qAl.1lerR[Èlig. T. XII. Pl. LXXVI Coupe G passant à l'union du
pli
courbe et du lobule du pli courbe. Coupe 7 pa
Pl. LXXVI Coupe G passant à l'union du pli courbe et du lobule du
pli
courbe. Coupe 7 passant par le pli courbe. AP
du pli courbe et du lobule du pli courbe. Coupe 7 passant par le
pli
courbe. APHASIE AMNÉSIQUE (Ti-éiiel) MASSON
XII. SCHÉMA DE LA PL. LXXVI Fig. 4- Coupe 6. passant à l'union du
pli
coui be et du lobule du pli courbe. Fig. ¡.
Fig. 4- Coupe 6. passant à l'union du pli coui be et du lobule du
pli
courbe. Fig. ¡. Coupe 7, passant par le pli c
be et du lobule du pli courbe. Fig. ¡. Coupe 7, passant par le
pli
courbe. MASSON et 0'. Éditeurs. APHASIE AMNÉS
aux du lobule dupli courbe. La coupe G passe à l'union du lobule du
pli
courbe et du pli courbe. Les coupes 7 et 8 pass
li courbe. La coupe G passe à l'union du lobule du pli courbe et du
pli
courbe. Les coupes 7 et 8 passent par le pli co
le du pli courbe et du pli courbe. Les coupes 7 et 8 passent par le
pli
courbe. Les coupes seront examinées d'arrière e
entes couches. Dans la substance blanche de la partie supérieure du
pli
courbe, on voit une petite traînée décoloration
triculaire, la partie horizontale a détruit la subslance blanche du
pli
courbe; l'angle supérieur affleure l'extrémité
ns la coupe 7 sont détruites les fibres de la portion inférieure du
pli
courbe et des plis de passage pariéto-occipi ta
détruites les fibres de la portion inférieure du pli courbe et des
plis
de passage pariéto-occipi taux. Coupe 6 (Pl. LX
e la 2° temporale. Donc, destruction de tous les fibres blanches du
pli
courbe et d'une partie de celles de la pariétale
morrha- gique. Toute la substance blanche sous-jacente au lobule du
pli
courbe est détruite. La substance grise n'en es
a détruit toutes les fibres de la première temporale, du lobule du
pli
courbe et coupé en partie celles qui dépendent
i constituent la substance blanche de la 1" temporale, du lobule du
pli
courbe, de la pariétale ascendante, et apparemmen
I. I'f. LXXVII Coupe 4 passant à la partie antérieure d lobule du
pli
courbe. Coupe 5 passant à la partie postérieure
pli courbe. Coupe 5 passant à la partie postérieure du lobule du
pli
courbe. APHASIE AMNÉSIQUE (Trérrel) MASSON
I Fiv. 6. Coupe 4, passant à la pat tic antérieure du lobule du
pli
courbe. Fit. S. . Coupe i, passant à la parti
Fit. S. . Coupe i, passant à la partie postérieure du lobule du
pli
courbe. - - d APHASIE AMNÉSIQUE ( Trénel)
lobe frontal. - Fd. Corps godronné. - Fo. Forceps. CeP*. Lobule du
pli
courbe. 1. Insula. ip. ln- cisure pariétale de
Insula. ip. ln- cisure pariétale de l'opercule. - ipc. Tncisure du
pli
courbe. -1\.. Scissure calcarine. - L. Scissure
étale. OOp. Opercule sylvienne. - P. c. Pariétale ascendante. - Ps,
Pli
courbe. - p. P. Pied de la deuxième pariétale.
ans une sorte de gangue oedémateuse qui se boursoufle au-dessus des
plis
cutanés, for- mant des bourrelets d'apparence é
lier, qui, en bas, part de la jarretière, pour aboutir en haut aux
plis
in- guinaux et fessiers. Tel est l'aspect de
A la racine de la cuisse, nettement, l'enflure cesse. En avanl, le
pli
inguinal, le mont de Vénus, et en arrière, la f
exaspérées par les mouvements, la pression, elles avaient débuté au
pli
de l'aine ; mais la malade ne se rappelle pas qu'
de zouave » de l'élé- phantiasis, et remontant en arrière jusqu au
pli
fessier, le pied demeu- rant normal. La jambe
lostéréographie) : peau remarquablement lisse et luisante depuis le
pli
du poignet jusqu'au bout des doigts, surtout à
emble un aspect très potelé. La face palmaire est tuméfiée mais les
plis
de la peau y sont moins effacés. Les muscles de
té droit. On observe au-dessus de la crête iliaque droite plusieurs
plis
de la peau dirigés transversalement et correspo
a hanche provoquent quelques douleurs dans la fesse et au niveau du
pli
inguinal, mais ils sont tous aussi éten- dus qu
assin. Au-dessus de la crête iliaque droite, on observe plusieurs
plis
de la peau dirigés transversalement, et le rebo
tous ses modes jusqu'au niveau du DE L'ASTASIE ET DE L'ABASIE. 51
pli
de l'aine (sensibilité cutanée et articulaire et
que complètement disparu ; cepen- dant, lorsqu'on pince la peau, le
pli
ne persiste que très peu de temps. Parfois, l
ur de la première et se termine en se rétrécissant à la limite du
pli
courbe et de la deuxième occipitale. Ce foyer aun
décrites, il y a une petite cicatrice, située un peu au-dessous du
pli
inguinal droit; les ganglions de l'aine sont lé-
ar devant et par derrière en s'affaiblissant jusqu'à la fesse et le
pli
de l'aine. Outre les endroits cités plus haut
Outre la douleur, existe une forte hyperes- thésie de la peau : les
plis
de la robe, la moindre secousse irritent le bra
parallèle temporale, et séparant le lobule pariétal in- férieur du
pli
courbe. A quelques millimètres plus loin on tro
ement dé- coupée dans tous les sens et bien développée, envoie deux
plis
de passage à la seconde circonvolution frontale
sillon est bordé au niveau de la deuxième scissure frontale de deux
plis
de passage à niveau qui inter- rompent la conti
ant du trajet de la scissure interpariétale ci-dessus décrite. Le
pli
courbe est volumineux et relié à la deuxième circ
t volumineux et relié à la deuxième circonvolution temporale par un
pli
de passage à niveau. Le lobe occipital n'offre
issure parallèle, interrompue vers le milieu de son parcours par un
pli
de passage profond, envoie en avant de celle-ci
tical, aboutissant à la scissure sous- pariétale, il n'existe qu'un
pli
de passage pariéto-limbique postérieur. - Le co
sula. Hémisphère droit. La scissure du Sylvius se termine dans le
pli
pariétal inférieur où elle atteint presque la sci
la scissure in- terpariétale ; à l'endroit où elle pénètre dans le
pli
pariétal in- férieur, on trouve un petit pli de
ù elle pénètre dans le pli pariétal in- férieur, on trouve un petit
pli
de passage un peu en retrait qui isole sa parti
atteint pas la scissure interpariétale dont elle est séparée par un
pli
de passage à niveau allant du pli pariétal supé
tale dont elle est séparée par un pli de passage à niveau allant du
pli
pariétal supérieur au lobe occi- pital. La scis
entimètre en arrière de son coude, son traiet est interrompu par un
pli
de passage à niveau allant de la partie postéri
u par un pli de passage à niveau allant de la partie postérieure du
pli
pariétal supérieur au pli courbe; plus loin la
niveau allant de la partie postérieure du pli pariétal supérieur au
pli
courbe; plus loin la scissure interpariétale va
, on trouve une scissure parallèle qui n'est interrompue que par un
pli
de passage un peu en retrait, allant de la deux
st bien développée, très sillonnée, envoie à son tiers antérieur un
pli
de passage à niveau, grêle, à la deuxième circo
e est divisée par un sillon profond qui longe la face antérieure du
pli
de passage ci-dessus et fait communiquer entre
la partie postérieure de la deuxième circonvolution fron- tale. Un
pli
de passage légèrement en retrait, allant de la
s irrégulière; on y trouve encore à sa partie la plus antérieure un
pli
de passage se rendant à la deuxième circonvolut
êle que de cou- tume à sa moitié supérieure. Lobe pariétal . - Le
pli
pariétal supérieur, bien développé dans ses deu
terne. - Le lobule pariétal inférieur, bien développé, est isolé du
pli
courbe, également bien développé, par un sillon
sa partie postéro-inférieure, est chagrinée ; il en est de même du
pli
courbe, mais à un degré moins prononcé. Le lobe
ité postérieure en deux rameaux, l'un antérieur qui se perd dans le
pli
pariétal inférieur, l'autre postérieur qui, apr
stérieure de la seconde circonvolution temporale, est coiffé par le
pli
courbe.-La deuxième circonvolution temporale es
t au niveau de la scis- sure calloso-marginale qui est normale ; un
pli
de passage à niveau, maigre, relie la partie in
interne. - Le lobe quadrilatère est petit, maigre, possède un petit
pli
pariéto- limbique postérieur. - Le coin, la sci
de la scissure de Sylvius ; il fournit vers son quart inférieur un
pli
antéro-inférieur qui va se perdre dans le pied
iculaire externe, la scissure interpariétale est interrompue par un
pli
de passage à niveau allant de l'extrémité posté
ule pariétal supérieur à la circonvolution de passage qui réunit le
pli
courbe aux deuxième et troisième cir- convoluti
postérieure ; elle s'insère à la frontale ascendante par un petit
pli
de passage très en retrait qui n'interrompt la co
rallèle frontale que dans sa profondeur ; elle envoie en avant deux
plis
de passage à niveau à la troisième circonvolution
deuxième scissure frontale est inter- rompue en avant par ces deux
plis
de passage. La troisième circonvolution frontal
iétale ascendante est volumineuse et normalement con- formée. Les
plis
pariétaux, sont assez bien développés, très décou
ux, sont assez bien développés, très découpés; il en est de même du
pli
courbe. Le lobe occipital est bien déve- loppé,
avec la deuxième scissure temporale qui semble se terminer dans le
pli
courbe par un rameau parallèle à la terminaison
lobule quadrilatère très développé est très découpé et présente un
pli
pariéto-limbique antérieur et un pli pariéto-limb
st très découpé et présente un pli pariéto-limbique antérieur et un
pli
pariéto-limbique postérieur. La scissure perpen
la pariétale ascendante et la première circonvolution temporale du
pli
pariétal inférieur. Le rameau ascendant antérieur
nde, est interrompue au niveau de la scissure interpariétale par un
pli
de passage à niveau reliant le pli pariétal sup
a scissure interpariétale par un pli de passage à niveau reliant le
pli
pariétal supérieur au lobe occipital. - La scis
ale, assez bien développée, reçoit vers son quart antérieur un gros
pli
de passage au niveau de la deuxième frontale qu
ale qui est très large, sinueuse, très sillonnée et s'insère par un
pli
de passage à niveau, à la frontale ascendante ; à
ale ascendante ; à son extrémité la plus antérieure, elle reçoit un
pli
de passage à niveau de la troisième frontale qu
le ascendante est grosse, sinueuse, reliée à son tiers inférieur au
pli
pariétal inférieur par un pli de passage à nive
euse, reliée à son tiers inférieur au pli pariétal inférieur par un
pli
de passage à niveau. Lobe pariétal. Les <o
pariétal. Les <o6u'sp(H't(( ! <a;SMp ? eu)' et inférieur, le
pli
courbe sont volumineux, mais irréguliers par suit
éoccipitale. Lobe temporal. La première temporale plissée envoie un
pli
de passage à niveau à la partie la plus postéri
rtie la plus postérieure du lobule pa- riétal inférieur et un autre
pli
de passage à niveau à la deuxième temporale qui
deuxième scissure temporale est interrompue postérieurement par un
pli
de passage à niveau allant de la deuxième à la
interne est bien développée, reçoit à son quart postérieur un petit
pli
de passage presque à niveau de la circonvolutio
n dé- veloppé, un peu grêle, comme un peu atrophié; il possède un
pli
pariéto-limbique antérieur long, s'insérant obliq
lleux vers le sommet du triangle para- central. existe également un
pli
pariéto-limbique postérieur. La scissure perpen
cet hémisphère. A droite elle présente des adhérences au niveau du
pli
parié- tal inférieur et du lobe frontal. La déc
t moins marqué. FI et F2 sont très con- tournées et unies par trois
plis
de passage perpendiculaires à ces circonvolutio
pie-mère. F3 très contournée a la forme d'un S italique et offre un
pli
de passage avec la F2 à son tiers antérieur. To
sont le siège d'adhérences pie-mériennes. Le tiers postérieur et le
pli
de passage avec la frontale ascendante sont peu
pé. FA est très volumineuse. Rien à noter au lobe pariétal, ni au
pli
courbe, si ce n'est des adhérences nombreuses au
te particulièrement contournée. Toutefois elle n'envoie guère qu'un
pli
de passage au niveau de son quart antérieur à F
quart antérieur à F2 tandis que FI et F2 présentent environ cinq
plis
de passage entre elles sur toute leur étendue.
pédoncule cérébral (PL. i et II). La circonférence adhère ainsi, au
pli
situé au- dessous et en avant du cap de r 3, à
lobe pariétal. Adhérences nom- breuses de la pie-mère au niveau du
pli
courbe. Le lobe occipital est fort peu développ
nte sur la partie pos- térieure de la 2- temporale et au niveau des
plis
de passage, au pli courbe et au lobe occipital
térieure de la 2- temporale et au niveau des plis de passage, au
pli
courbe et au lobe occipital un foyer très net de
rtie toute supérieure du lobe pariétal. En arrière et au-dessous du
pli
courbe, le lobule pariétal inférieur est le siè
inférieur dans la portion qui correspond au lobule paracentral. Le
pli
de passage qui termine cette circonvolution et la
ont plus volumi- neuses qu'à gauche. Les sillons sont profonds; les
plis
de pas- sage assez nombreux. Le cervelet est
ut le lobe pariétal présente des adhérences qui s'étendent de PA au
pli
courbe inclusivement. La scissure de Sylvius, r
s deux tiers inférieurs. - Atrophie et aspect chagriné au niveau du
pli
courbe. Scissure de Syl- vius, lobule de l'insu
détacheyra. a circonvolution frontale qui est assez nette. / ' Le
pli
pariétal supérieur, le pli pacta inférieur sont
n frontale qui est assez nette. / ' Le pli pariétal supérieur, le
pli
pacta inférieur sont Le pli pariétat supél'ieur
te. / ' Le pli pariétal supérieur, le pli pacta inférieur sont Le
pli
pariétat supél'ieur, le pli Pi} iétal inféi'iew'
périeur, le pli pacta inférieur sont Le pli pariétat supél'ieur, le
pli
Pi} iétal inféi'iew' sont aussi assez bien dist
s et se continuent par une entaille peu profonde, creu- sée dans le
pli
de passage superficiel qui réunit les deux circon
leur origine. Dans leur .iers antérieur elles offrent de fréquents
plis
de passage soit profonds, soit superficiels. Le
de Rolando, puisque ces deux scissures communiquent par-dessus nu
pli
de passage profond. Les deux branches inférieures
rences à la partie inférieure du lobe pariétal surtout au niveau du
pli
courbe et sur la partie inférieure du lobe tem-
ues sont larges, charnues, colorées, il n'y a pas d'asymé- trie des
plis
naso-labiaux. - Les oreilles, bien faites, ourlée
va en s'accentuant de la périphérie au contre qui est au niveau du
pli
courbe. La pie-mère très vascularisée sur tout
rale, la plus profonde et la plus altérée, est uu peu au-dessous du
pli
courbe sur le trajet de la seconde circonvoluti
tions frontales sont volumineuses contournées et n'ont que de rares
plis
de passage. Adhérences nombreuses au tiers moye
artie antérieure et 142 Lésions pulmonaires. surtout au niveau du
pli
courbe. 11 en est de même à la partie postérieu
al, on peut noter un aspect chagriné de la pariétale ascendante, du
pli
courbe, des plis pariétaux. - Sur le lobe front
r un aspect chagriné de la pariétale ascendante, du pli courbe, des
plis
pariétaux. - Sur le lobe frontal, nous notons à
postérieure des deux circonvolutions frontales une série de petits
plis
de passage, distants de 3 à 4 millimètres. La p
ieds sont régulièrement con- formés, les ongles minces, aplatis. Le
pli
de l'aine gauche est le siège d'un érythème ass
horizontale de ! a scissure de Sylvius. Sur l'hémisphère gauche, le
pli
de passage superficie) qui unit en bas les deux
irconvolutions FA et I'1 sont très sinueuses à gaucho, presque sans
plis
a droite. Il y a lieu de noter un certain degré
ion est moins accentuée. - Le lobe pariétal, surtout au niveau du
pli
courbe, présente des adhérences méningitiques ass
out dans leur moitié inférieure. - Le lobe pariétal supérieur et le
pli
courbe sont très altérés. La lésion va en s'acc
- FI et F2, mal délimitées à leur partie antérieure où de nombreux
plis
de pas- sage les unissent à Fa, forment avec F
assez mince mais les lobes pariétaux supé- rieur et inférieur et le
pli
courbe ont un aspect normal. Il en est de même
pe F A et sa partie inférieure s'unit à ce niveau par un volumineux
pli
de passage en crochet avec F2. Il est à remarqu
e aucune anomalie, pas plus que le lobe pariétal infé- rieur, ni le
pli
courbe. Le lobe occipital est d'apparence norma
exe et disparaît aussitôt que l'acte qui l'a provoquée est accom-
pli
. Réflexions. - Les causes prédisposantes et dét
tale ascendante. pt, P2, PC,lobes pariétaux supérieur et inférieur,
pli
courbe. Lo, lobe occipital. Tt, T2, première
ale ascendante. P', P2, PC, lobes pariétaux supérieur et inférieur,
pli
courbe. LO, lobe occipital. Tl, T2, T3, premi
ale ascendante. pt, P2; PC, lobes pariétaux supérieur et inférieur;
pli
courbe. Ti, T2, T3, première, seconde et troisi
ale ascendante. P', P2, PC, lobes pariétaux supérieur et inférieur,
pli
courbe. T', T2, T3, première, seconde et troi
le ascendante. P1, Il-, PC, lobes pariétaux supérieur, inférieur et
pli
courbe Lo, lobe occipital. Tl, T2, T3, premiè
neux, avec dépression de l'ombilic. Au-dessus des hanches, passe un
pli
cutané qui sépare la cage thoracique des os ili
laire sous-cutané est peu développé, les Nanisme avec obésité. 01
plis
cutanés à peine marqués. Cheveux assez abondants,
mais recouverts d'un épais pannicule adipeux et un peu courts. Les
plis
articulaires y sont marqués par des encoches. L
férieure de la paroi abdominale forme un repli épais surplombant le
pli
inguinal. Ombilic très déprimé. Bassin large. ,
adipeux un peu épais. Il est difficile de la pincer au niveau des
plis
articulaires ; on note la présence d'encoches cut
amenant une véritable dépression de l'ombilic et formation do deux
plis
adipeux qui couvrent les sillons inguinaux dans
ibilité. Ils sont très potelés, le pannicule adipeux est épais. Les
plis
articulaires sont le siège d'encoches, ils sont
illants. Pénil saillant, doublé d'une épaisse couche de graisse. Le
pli
sus-pubien est très profond, très marqué. Les g
t très saillantes, séparées des pom- mettes par une dépression. Les
plis
naso-géniens sont très marqués. Dans toutes ces
entr'ouverle. Lèvre supérieure épaisse, relevée, surmontée de deux
plis
naso-labiaux saillants, encadrant une fossette
par l'adipose, ayant le volume d'une noix, arrondi, limité par des
plis
de peau profonds. Cou. Gros, arrondi. Circonfér
cylindre graisseux, doublant le menton. Le cou est délimité par des
plis
de peau profonds à sa partie supérieure et à sa
gros volume, ils vont en s'efii- lant progressivement en cône. Les
plis
articulaires du coude, les fossettes sus-olécrâ
t-bras s'effile brusquement au niveau du poignet. A cet endroit les
plis
articulaires ont la forme d'encoches profondes.
ssinée. La face postérieure des cuisses présente toute une série de
plis
horizontaux qui la bossellent irréguliè rement.
ne série de plis horizontaux qui la bossellent irréguliè rement. Le
pli
fessier est profond et étroit. Le pli inter-fes-
ssellent irréguliè rement. Le pli fessier est profond et étroit. Le
pli
inter-fes- sier est vertical, profond, fermé. T
roit. Le pli inter-fes- sier est vertical, profond, fermé. Tous ces
plis
cutanés sont le siège d'intertrigo, Fesses quad
globuleux, arrondi, couvert de vergetures. Ombilic très pro- fond.
Pli
sus-pubien très accentué, se prolongeant très loi
du côté des crêtes iliaques. 1'Iis inguinaux trësprofonds. Tous ces
plis
sont le siège d'un léger intertrigo. Colonne do
cuisses présente en dedans un gros bourrelet au-dessous duquel le
pli
du jarret est très accusé. Entre celui-ci et le p
ssous duquel le pli du jarret est très accusé. Entre celui-ci et le
pli
fessier, il y a 3 plis demi-circulaires. . Na
jarret est très accusé. Entre celui-ci et le pli fessier, il y a 3
plis
demi-circulaires. . Nanisme avec obésité. 135
r une largeur de 11 cent, et une hauteur de 5 cent. Entre eux et le
pli
de Faine, il y a 2 cent. de peau glabre. Les po
nt en général facilement; mais il y a des adhéren- ces au niveau du
pli
pariétal inférieur, du pli courbe, de T et, de
ais il y a des adhéren- ces au niveau du pli pariétal inférieur, du
pli
courbe, de T et, de T-; quelques petites adhére
n histologique), des adhérences de la pie-mère surtout au niveau du
pli
pariétal inférieur, du pli courbe, de T1 et de
nces de la pie-mère surtout au niveau du pli pariétal inférieur, du
pli
courbe, de T1 et de T2, et un peu sur la premiè
e nature il tous les niveaux, avec maximum cependant au niveau du
pli
courbe, des circonvolutions frontales et pariét
Ici cependant les lésions sont plus accusées, surtout au niveau du
pli
courbe et du lobule paracentral, les adhérences
s circonvolutions de la partie postérieure du lobe temporal et du
pli
courbe présentent un grand nombre de petits sillo
nférieure et la pariétale ascendante dans son entier. Celle-ci. les
plis
pariétaux supérieur et inférieur et le pli cour
n entier. Celle-ci. les plis pariétaux supérieur et inférieur et le
pli
courbe pourraient être considérés comme hypertr
phiés. La première temporale, elle aussi, est volumineuse. Mais les
plis
de passage n'existent pour ainsi dire pas (Pr..
eloppées que sur la face convexe. La Planche VIII montre en CCC, un
pli
qui double la partie postérieure de la circonvo
ution du corps calleux, cachée par le septum lucidum et le trigone,
pli
qui pourrait être rattaché au lobule paracentra
isphères sont les sui- vantes : 262 ) Absence DU CORPS calleux.
plis
pariétaux inférieur P2 et supérieur P1 et le pli
DU CORPS calleux. plis pariétaux inférieur P2 et supérieur P1 et le
pli
courbe, demi- cercle qui encadre la frontale et
t en arrière jusqu'au corps calleux sur la face interne. En bas, un
pli
de passage large la termine et fait z communiqu
de lobule indépendant avec le reste de l'hémisphère. Au niv)U de ce
pli
de passage la substance cérébrale est très minc
. 1' Tri, première et seconde circonvolutions temporales. P1, P2,
plis
pariétaux. Explication des planches. 33 i, Pl
sphère cérébral gauche : face interne. F, frontale interne, avec un
pli
sinueux, Fa', Fl' faisant une saillie notable s
saillie notable sur le plan de Fi. - LP, lobe paracentral. - CCC,
pli
doublant la circonvolution du corps calleux, cach
appropriée, est surtout bien mise en evidence lorsqu'il s'agit de ces
plis
qui se dessi-nent à la surface des hémisphères, e
Il y a lieu de distinguer, d'ailleurs, parmi les circonvolu-tions les
plis
fondamentaux, ainsi appelés parce que leur dispos
que leur disposition et leurs rapports sont absolument fixes, et les
plis
secondaires ou accessoires, dont il faut savoir f
ches de Fritsch, Hitzig et Ferrier, si l'on ignore la disposition des
plis
et des sillons sur la substance grise du lobe p
rne (sillon pariéto-occipi-tal externe) ; — sp, scissure parallèle.
Plis
: p fa, pli frontal ascendant ; 1, 2, 3, premier,
ariéto-occipi-tal externe) ; — sp, scissure parallèle. Plis : p fa,
pli
frontal ascendant ; 1, 2, 3, premier, deuxième, t
: p fa, pli frontal ascendant ; 1, 2, 3, premier, deuxième, troisième
plis
frontaux ; — le chiffre 3 qui manque devrait être
3 qui manque devrait être entre les lignes ponctuées D et E ; — p va,
pli
pariétal ascendant ; — l p p a, lobule du pli par
ctuées D et E ; — p va, pli pariétal ascendant ; — l p p a, lobule du
pli
pariétal ascendant ; — p m i, pli marginal inféri
al ascendant ; — l p p a, lobule du pli pariétal ascendant ; — p m i,
pli
marginal inférieur ; — p c, pli courbe ; — l o, l
du pli pariétal ascendant ; — p m i, pli marginal inférieur ; — p c,
pli
courbe ; — l o, lobe occipital ; — l q r, lobeorb
avec les mouvements des oreilles et l'audition^ ce qui concerne les
plis
et les sillons fondamentaux, et telle disposition
vidente chez l'homme par suite de la présence de ce qu'on appelle les
plis
de passage qui comblent plus ou moins complètemen
nger la scissure de Sylvius par une ligne imaginaire passant par un
pli
désigné sous le nom de pli courbe (pc) ou gyrus a
par une ligne imaginaire passant par un pli désigné sous le nom de
pli
courbe (pc) ou gyrus angularis. La surface exte
s est partagé à son tour en lobes secon-daires, qui portent le nom de
plis
ou circonvolutions, par des scissures ou sillons
rieur, d'après Fer-mer ; 2° le lobule pariétal inférieur ou lobule du
pli
courbe, à cause de sa connexité avec le pli (pc)
al inférieur ou lobule du pli courbe, à cause de sa connexité avec le
pli
(pc) du même nom ; 3° enfin un sillon, plus marqu
on-volution marginale et, à l'extrémité de la scissure parralèlle, le
pli
courbe dont l'ablation, au dire de Ferrier, produ
ariétale postérieure ou cire, centrale postérieure); — P l, lobule du
pli
pariétale; — P 2, lobule du pli courbe ; — P :i,
ntrale postérieure); — P l, lobule du pli pariétale; — P 2, lobule du
pli
courbe ; — P :i, pli courbe; — T T 2, T 3, premiè
— P l, lobule du pli pariétale; — P 2, lobule du pli courbe ; — P :i,
pli
courbe; — T T 2, T 3, première, deuxième et trois
d'une façon très confuse, chez l'homme, en raison de l'existence des
plis
de passage, le lobe occipital des lobes pariétal
scis-sure interpariétale, vous découvrez successivement le lobule du
pli
pariétal ou lobule pariétal supérieur (P1), le lo
obule du pli pariétal ou lobule pariétal supérieur (P1), le lobule du
pli
courbe (P2) et enfin le pli courbe (P3). Quant
ule pariétal supérieur (P1), le lobule du pli courbe (P2) et enfin le
pli
courbe (P3). Quant au lobe spliénoïdal, ou temp
nte ici, de môme que chez le singe, une scissure qui remonte jusqu'au
pli
courbe : c'est la scissure parallèle. Entre elle
occipital ; d) les deux premières circonvolutions sphénoïdales et le
pli
de pas-sage. Selon M. Betz, cette région serait d
est la circonvolution du corps calleux (CC) (gyrus fornicatus); 3° ce
pli
se continue en arrière avec un lobule parfaitemen
rce qu'elle n'est par interrompue, comme sur la face externe, par des
plis
de passage, sépare nettement le lobe carré (ou qu
te ; — artère de la circonvolution pariétale ascendante ; — artère du
pli
courbe ; — artères cérébrale antérieure et cé-réb
, lobule pa-riétal supérieur. — LPi, lobule pariétal inférieur. — Pc,
pli
courbe. — Lo, lobe occipital. recourbent ensuit
dante.(Fig 9, 3 et 7^?V/ J 2, III). La quatrième branche se rend au
pli
courbe et à la pre-mière circonvolution sphenoida
er cérébral est le point capital. — Importance de la connaissance des
plis
du cerveau. -- Circonvolutions motrices. — Vicq d
re pour s'orien-ter dans ce dédale qu'on appelle depuis longtemps les
plis
du cerveau, on est nécessairement frappé par la d
te ; — artère de la circonvolution pariétale ascendante ; — artère du
pli
courbe ; — artères cérébrale antérieure et cé-réb
er cérébral est le point capital. — Importance de la connaissance des
plis
du cerveau. — Circonvolutions motrices. - Vicq d'
que (Analyse) des réflexes. (V. Réflexes). Gyrus amgularus, 13. (V.
Pli
courbe.) Gyrus fornicatus, 38. (V. Corps ca
ed, 304. (V. Trépidation spinale. ) Plaques jaunes, 74, 171, 335.
Plis
du cerveau, 10, 232. Pli courbe, 13. Poliomyéli
spinale. ) Plaques jaunes, 74, 171, 335. Plis du cerveau, 10, 232.
Pli
courbe, 13. Poliomyélite antérieure, 340 ; —
de préciser leur siège exact. Il existe en effet de chaque côté du
pli
interfessier, à sa partie supérieure, à gauche,
ne cicatrice de la largeur d'une lentille. A droite et en haut du
pli
interfessier, une cicatrice irrégulière d'un cent
auche qui est plus élevée que la fesse droite et une disparition du
pli
fessier à gauche...... ' Lorsque la malade veut
érieure de la face était pleine, pesante, d'une teinte cireuse, les
plis
naturels avaient disparu (fig. 15, 16, 17, 18). L
prononcé à la face palmaire où les tissus pouvaient être pincés en
plis
épais, et donnant la sensation d'un développement
nt au bord interne de la main. La peau était moite, il existait des
plis
sur le dos des doigts. Les ongles étaient larges
l- leurs, à part cela, présenter un aspect nor- mal, sauf que les
plis
de la peau et les bulbes pileux semblent s'être
rnatives d'excitation ou de stupeur avec leurs phé- 1. d. Seglas et
Pli
. Cltaslin, la Catatonie (Arch. neur., 1888). 2.
on oedémateuse, et aux mains et aux pieds sillonnée en tous sens de
plis
massifs. La couleur de la peau est celle ordinair
'un Ijrtin jaunâtre. Le vagin remarquablement large présente peu de
plis
et se termine dans un cul-de-sac postérieur lar
es et qui sont situées : l'une, à trois travers du doigt au-dessus du
pli
du coude, et l'autre, il trois travers de doigt
du pli du coude, et l'autre, il trois travers de doigt au-dessus du
pli
articulaire du poignet. On constate aussi que
'observation, de considérer la planche XVII pour comprendre que les
plis
que l'on observe sur la paupière supérieure ne pe
lors des appareils silicates, pointes de feu, vésicatoires, tant au
pli
de l'aine qu'au genou. Les articulations étaient
ui-même le bassin destiné à recevoir le sang. On voit, au-dessus du
pli
du coude, le lien destiné à interrompre le cours
est sèche, de coloration bleuâtre, parcourue par des sillons et des
plis
nombreux donnant à cette région un aspect ridé
essent un chatouillement qui, partant de ce point, remonte jusqu'au
pli
de l'aine. Elle semble précéder les vertiges pr
fait. Le malade a cependant encore des secousses, il montre les deux
plis
in- guinaux comme point de départ de tirailleme
11Y, Médecin de Bicêtre. Interne des hôpitaux. il i NOTE SUR LE
PLI
FESSIER On enseigne dans les ouvrages classique
e en même temps, par le relief de son rebord inférieur, la cause du
pli
fessier. Il est facile de constater, cependant,
parler de la graisse accumulée en ce point sous la peau, et que le
pli
fessier tient à d'autres causes tout à fait étr
dans, par la rainure interfessière, en bas, par le sillon courbe du
pli
fessier qui la sépare de la cuisse; en dehors,
é avec un pannicule NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. Il. 1'1.. XXX\'III
PLIS
FESSIERS DANS LA STATION DEBOUT La partie gauch
E HT BABÈ, t t 1 T E U n S Nouvelle ICONOGRAPHE T. H. ('L. XXXIX
PLIS
FESSIERS DANS L'ATTITUDE IIANCHÉF, (FEMME) L I
E) L I ! i CR 0 fS 11 1 I : nET DA D t, Ê DIT C U R D NOTE SUR LE
PLI
FESSIER. adipeux peu abondant, comme les athlèt
large aponévrose d'insertion. En bas, la fesse est' bornée par le
pli
fessier, sillon qui est très profond en dedans
inférieur. Le simple examen du nu suffit pour se convaincre que le
pli
fessier est rattaché aux parties profondes par
rences solides. Par exemple, dans l'attitude hanchée (pl. XXXIX) le
pli
fessier du côté de la jambe portante se creuse
. L'anatomie nous donne la raison de ces apparences. Au niveau du
pli
fessier, la face profonde de la peau contracte no
s à la Faculté (communi- cation orale). , Il en résulte, entre le
pli
cutané et le bassin, une connexion intime ' qui
n effet que si le bassin s'élève d'un côté, il entraîne avec lui le
pli
fessier 2±2 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
égère du tronc. Les muscles fessiers sont contractés. NOTE SUR LE
PLI
FESSIER. ? 3 masse charnue du muscle qui, dans
l'influence de la pesanteur. Quand le tronc se fléchit en avant, le
pli
fessier tend à disparaître et le muscle contrac
férieur très oblique en bas et en dehors. (Fig. Qg) Les attaches du
pli
fessier à l'ischion n'existent que dans sa partie
e où il est profond; en dehors, ainsi que nous l'avons déjà dit, le
pli
fessierse perd avant d'atteindre la face externe
ment dû au muscle fessier lui-même. Il existe quelquefois un second
pli
fessier un peu au dessous et en dehors du précé
essier un peu au dessous et en dehors du précédent. En résumé, le
pli
fessier est donc un pli permanent maintenu par de
et en dehors du précédent. En résumé, le pli fessier est donc un
pli
permanent maintenu par des adhérences profondes
u par des adhérences profondes de la peau au squelette, à l'égal du
pli
de l'aisselle. Il augmente la saillie de la fes
irconvolutions cérébrales sont d'une forme compliquée avec nombreux
plis
de passage, le sillon de Rolando ne se montre nel
nte du pied exceptée). Une zone hystérogène très sensible située au
pli
de l'aine du côté gauche et s'étendant un peu sur
phénomènes de l'aura classique. Aura. Sensation de boule partant du
pli
de l'aine et remontant à la gorge; sensation de
xalgie hystérique avec zone hyperesthésique dans la région externe du
pli
de 1 aine empiétant sur la région supéro-extern
czémateuse (deux cas ,1'- pro- voquée par le borax), 16. Fessier (
pli
), 38, 39. Fresque de l'hùpilal de Sienne, 22.
10, 11, 12, 13, il. Femme malade (la) par Jan Steen, 52. fessier (
pli
), C2. Hystérie (champs usuels dans 1' -), d0, 1
al. Il y a de nombreuses adhé- rences de méningo-encéphalite sur le
pli
pariétal inférieur, le pli courbe, les deux tie
- rences de méningo-encéphalite sur le pli pariétal inférieur, le
pli
courbe, les deux tiers postérieurs du lobe tempor
ontales sont bien dessinées, mais un peu petites, F2 envoie à F3 un
pli
de passage d'envi- ron 01" 03. L'insertion de 1
t plusieurs sinuo- sités, est médiocrement volumineuse et envoie un
pli
de pas- sage curviligne à Pli. - Les plis parié
médiocrement volumineuse et envoie un pli de pas- sage curviligne à
Pli
. - Les plis pariétaux lez, P2 et P3 sont assez
t volumineuse et envoie un pli de pas- sage curviligne à Pli. - Les
plis
pariétaux lez, P2 et P3 sont assez développés,
olumineux. L I pré- sente quatre digitations. 'l ? grêle, envoie un
pli
rayonnant qui recouvre la 4 ? digitationde Ll,
en de signaler. (l. I). ' Face interne. 1 , peu sinueuse, reçoit un
pli
de passage de C C ( ? L P a l'aspect d'une gros
u profonds. (PL. II). En résumé, arrêt relatif des circonvolutions,
plis
de pas- sage très peu nombreux, volume et poids
nalons la persistance de la suture métopi- que, le petit nombre des
plis
de passage du cerveau. la méningo-encéphalite e
pendice anormal. des circonvolutions bien nourries avec de nombreux
plis
de passage. Des deux côtés, la couche optique
n développées et davantage que les postérieures. Il reçoit un petit
pli
de passage de TI, circonvolution très grêle mai
2, sont très incisées et semblent nor- males ainsi que le lobule du
pli
courbe. Lobe temporal. - Nous avons noté déjà u
étale ascendante, la partie inférieure et antérieure de Pa, tout le
pli
pariétal supérieur, P1, les deux tiers postérie
postérieurs de la première temporale, T1, jusqu'au prolongement du
pli
courbe, P C, la partie moyenne de la deuxième t
sillon de Rolando, un peu entr'ou- vert, n'est interrompu par aucun
pli
de passage. La scissure de Siili711ts est encor
veloppement, les autres ne paraissent avoir rien de particulier. Le
pli
fenporo-yrmi.ntrcl,to. est sclérosé et atrophié
supérieurs. 92 Idiotie myxoedémateuse. érythème assez prononcé du
pli
de l'aine gauche et des ) ! oeui, de deux à cin
rge et bien plus sinueuse. Sur tout le lobe frontal, il n'y a qu'un
pli
de passage entre F2 et F3, La frontale ascendante
e sillon de Rolando, Sli, est très tortueux, sans interruption. Les
plis
pariétaux, supé- rieur, Pl, et inférieur P2, so
upé- rieur, Pl, et inférieur P2, sont assez volumineux ainsi que le
pli
courbe, PC et le lobe occipital LOC. Le pli cou
volumineux ainsi que le pli courbe, PC et le lobe occipital LOC. Le
pli
courbe envoie un pli de passage au lobe occipit
le pli courbe, PC et le lobe occipital LOC. Le pli courbe envoie un
pli
de passage au lobe occipital qui est assez déve
n, les circonvolutions CH et TO sont un peu grêles et s'envoient un
pli
de passage, FI, C C C, LP et le lobe carré, LQ,
. Les circonvolutions sont développées mais n'offrentque de rares
plis
de passage. Les sillons paraissent d'une profonde
ence complète de poils. Ganglions assez nombreux au cou et dans les
plis
de l'aine, aucun sous les aisselles. Cheveux impl
direction antéro- postérieure, blonds cendrés. Blépharite à droite.
Pli
orbito- palpébral excessivement saillant et cha
oût : Ler ? perçoit les saveurs et les distingue. Menton, régulier.
Pli
naso-labial peu marqué. Oreil- les grandes, éca
rent assez largement sur FA tandis que F3 n'est uni à FA que par un
pli
inférieur, assez grêle. FA est coupée par un si
es deux tiers supérieurs. Les autres circonvolutions pariétales, le
pli
cour- be et les circonvolutions occipitales sup
lobe carré, du coin et du lobe occipital sont plutôt petites. Les
plis
de passage sont assez rares, les sillons sont peu
e externe. F', F2, F3, lre, 20, 3' circonvolutions frontales. P1,
pli
pariétal supérieur. PA, circonvolution pariétal
A, circonvolution frontale ascendante. SR, sillon de Rolando. P2,
pli
pariétal inférieur. P3, pli courbe. Se S., sc
endante. SR, sillon de Rolando. P2, pli pariétal inférieur. P3,
pli
courbe. Se S., scissure de Sylvius. LOC, lobe
es. P1, Pli pariétal supérieur. P2, Pli pariétal inférieur. PC,
Pli
courbe. PA, Circonvolution pariétale ascendante
bitaire. T',T2,T3, lire, 2e, 3°, circonvolutions temporales. tpc,
Pli
de passage de T2 au PC. to, Pli de passage de T
circonvolutions temporales. tpc, Pli de passage de T2 au PC. to,
Pli
de passage de T2 au LOC. Sep, Scissure parallèl
irconvolution frontale ascendante. ' r SR, sillon de Rolando. PC,
pli
courbe. LOC, lobe occipital. LO, lobe orbitai
la partie supérieure de l'avant-bras droit, à 3 ou 4 centimètres du
pli
du coude. La fièvre aurait été assez vive; l'inci
ule adhérent. Nez aquilin, régulier, légèrement dévié à droite. Les
plis
du front, les sillons naso-labiaux soit au repo
gnet jusqu'à une ligne passant à deux travers de doigt au-dessus du
pli
articulaire. - A la face palmaire de la main, l
la sensibilité sont conservés des deux côtés de l'épaule jusqu'au
pli
du coude en avant, jusqu'à l'olécrâne eu arrière.
. Au-dessous on note les particularités suivantes : Aneslhésic du
pli
du coude à l'extrémité des doigts ; </terme-
epuis l'extrémité des doigts jusqu'à cinq centimètres au-dessous du
pli
du coude et de Développement de la tète. 23 l
sthésie des doigts, des mains, des avant-bras jusqu'au voisinage du
pli
du coude. Toutefois, la région analgésique est
n analgésique est un peu moins étendue, en ce sens qu'au-dessous du
pli
du coude et au-dessous de l'olé- cràne, c'est-à
e pachyméningite ; elles sont surtout développées au voisi- nage du
pli
courbe, où elles forment un sillon large qui se
ied de la frontale ascendante. Sur cette circonvolution on note des
plis
de passage très nombreux et un peu de pachy- mé
tou- cher ; les inférieures, non boursouffiées, présentent des
plis
transversaux. L'ouvertu- re palpébrale est peti
au du cou qui se continue avec le menton est très épaissie, et un
pli
IDIOTIE avec cachexie pachydermique. 65 Oreil
sont arquées. Le dé- veloppement adipeux est très prononcé. Gros
pli
profond a la partie moyenne de la cuisse et u
un autre moins pro- fond, moins long Ù 1 cent. 1/2 au-dessous du
pli
de l'aine. Les deux plis circonscrivent une b
d, moins long Ù 1 cent. 1/2 au-dessous du pli de l'aine. Les deux
plis
circonscrivent une bande dn 3 cent. 1/2 de ha
la racine du bras pour le diviser dans le creux de l'ai- selle en
plis
secondaires. La main est globuleuse, la peau
acée. Les doigts sont très courts, élar- gis en massue, ridés. Le
pli
d'opposition du pouce esttrès marqué. Les émi
loppement adipeux. Les cuis- ses sont fléchies sur le bassin. Le
pli
de l'aine est creux. A la face interne des cuis
origine est bien contournée et communique avec F2 par trois petits
plis
de passage F2 est coupée par un sillon à son ti
s contournée elle communi- que dans ses 2/ : ¡ antérieurs par trois
plis
de passages assez volumineux avec F3 et en arri
ure se continue avec le tiers postérieur de Fa. Ceci joint aux deux
plis
antérieurs avec F, lui fait perdre au premier a
nant la partie inférieure de PA, le lobe pariétal inférieur et le
pli
courbe. Le lobe temporal n'offre rien de partic
n'offre rien de particulier si ce n'est comme à gauche les nombreux
plis
de passage entre T2 et T3. La scissure perpendi
éveloppées (PL. I et II). Les sillons sont assez profonds, mais les
plis
de passage sont peu nombreux. Relevons en par-
l. Les trois circonvolutions frontales sont nettes mais de nombreux
plis
de passages et des sillons secondaires longitud
très complexe. Les circonvolutions y sont petites et nombreuses, le
pli
courbe est mal délimité. PA garde seule son aut
-kyste. Lorsqu'il est vidé, la scissure temporale qui se termine au
pli
courbe se trouve très élargie. Le lobule de l
effarement, elle semble avoir peur lorsqu'on s'approche d'elle. Les
plis
du front et de la face sont très marqués, les y
de l'A, on met il nu la substance blanche. Il en est de même sur le
pli
pariétal inférieur et sur la moitié postérieure
on trouve un très grand développement des circonvolutions et des
plis
de passage. A partir de la moitié postérieure du
est de même de F2, F3, du tiers inférieur de F A, de P A, des deux
plis
pariétaux, et de presque tout le lobe temporal.
ascendante et '1'2, elle est principalement accusée 3 la région du
pli
courbe où la substance corticale présente l'asp
sage et le reste du corps sont glabres. Noevus rouge au- dessous du
pli
du coude et ncevi à la partie supérieure du bra
S.R., sillou de Rolando.. - P.A., pariétale ascendante. P.P.I.,
pli
pariétal inférieur. T1, première temporale. L
nte. S.R., sillon de Rolando. P.A., pariétale ascendante. P.I.,
pli
pariétal inférieur. Tl, T2, T-1, première, seco
re partielle m'a révélé la raison d'être des lignes, des rides et des
plis
de la face en mouvement. Or, ces lignes et ces pl
des rides et des plis de la face en mouvement. Or, ces lignes et ces
plis
sont justement les signes qui, par leurs combinai
dans le discours de Camper une seule proposition importante. « Les
plis
du visage, dit-il, doivent nécessairement couper
it impossible d'expliquer, de cette manière, la formation de quelques
plis
ou rides qui se produisent pendant le jeu de la p
er à connaître l'action propre des muscles de la face, les rides, les
plis
, les reliefs nombreux et infiniment variés que ch
critérium, recommandé par Camper. Selon ce célèbre observateur, les
plis
, les rides du visage, sont nécessairement perpend
ideau, on voit, suivant la souplesse et l'ancienneté de l'étoffe, des
plis
se former dans des directions variées et quelquef
ces mouvements, suivant cette assertion de Camper, à savoir : que les
plis
et les rides du visage sont nécessairement perpen
de la face et fait connaître exactement la cause physique de tous ses
plis
, de toutes ses rides, en provoquant la contractio
ire leur action partielle, les reliefs, les creux, les sillons, les
plis
, les rides, en un mot les mouvements variables au
fondamentales (élévation et courbe du sourcil) et lignes secondaires (
plis
frontaux, curvilignes, et concentriques à l'arc d
pement de la ligne fondamentale (élévation et courbe du sourcil, sans
plis
frontaux) : attention. A gauche, abaissement du
sa position et sa forme normales ; 2° que le front s'est sillonné de
plis
curvilignes, concentriques à la courbe du sourcil
. On constate que son sourcil s'est élevé sans produire le plus léger
pli
sur son front ; — c'est le privilège de l'enfance
t tel, que, chez certains individus âgés et maigres, on voit quelques
plis
verticaux de la peau se former au-dessus de la po
au de la racine du nez, refoulée en bas, s'est sillonnée de plusieurs
plis
transversaux. On remarque enfin, sur les figure
a caroncule lacrymale, où la racine du nez est sillonnée de plusieurs
plis
transversaux, on remarque que le regard a pris un
e externe, à concavité inférieure; 3° qu'il s'est développé plusieurs
plis
cutanés transversaux sur la partie médiane du fro
la partie médiane du front, du côté électrisé, et qu'en dehors de ces
plis
, la peau s'est tendue au-dessus de la moitié inte
t. Le maximum d'excitation a fait paraître chez la plus âgée un léger
pli
médian, que l'on verrait dans la figure 29, si el
E. Fig. Zl3. —Destinée à l'étude des mouvements, des reliefs et des
plis
cutanés, occasionnés par l'action partielle du tr
u-dessous des commissures labiales de ces figures, des reliefs et des
plis
occasionnés par le refoulement de la peau, et qui
bliques en haut et en dehors, et sur la paupière inférieure de petits
plis
cutanés transversaux. Ces rides secondaires n'e
itement localisée dans ce dernier muscle. Aussi n'y voit-on pas les
plis
cutanés qui se sont formés sur la partie gauche d
le fait la nature, gonflé la tête de son sourcil oblique, si quelques
plis
douloureux avaient sillonné la partie médiane de
le fait la nature, gonflé la tète de son sourcil oblique, si quelques
plis
douloureux avaient sillonné la partie médiane de
et Tarbès in Biblioth. méd., t. XXXIV, p. : ! 4; t. XL, p. 232; t.
Pli
, 375; t. LXXII, p. 119. 16 ô DU MÉRYCISME. d'
e; elle est très sinueuse et envoie à la deuxième circonvolution un
pli
assez volumineux, re- montant le long de la fro
ont très irrégulières. Fi, dans sa moitié antérieure, se compose de
plis
si- nueux, transversaux et dans la moitié posté
plis si- nueux, transversaux et dans la moitié postérieure de deux
plis
longi- tudinaux, en partie confondus; son inser
tale est très sinueuse; en avant, elle se confond avec F3 par trois
plis
de passage; elle se replie deux fois transversa
millimètres. Ses trois faces sont ridées. Les lobules pariétaux, le
pli
courbe sont égale- ment réduits dans leurs dime
r et atrophié. -- La circonvolution du corps calleux est simple; un
pli
volumineux la relie à la circon- volution front
n en forme d'x; le lobule pariétal inférieur est réduit à un simple
pli
. Le pli courbe est rudimentaire; le lobe occipita
me d'x; le lobule pariétal inférieur est réduit à un simple pli. Le
pli
courbe est rudimentaire; le lobe occipital, com
son extrémité inférieure, se divise en deux parties réunies par un
pli
de passage à un centimètre du bord supérieur. -
ndante est régulière. Le lobule pariétal supérieur, l'inférieur, le
pli
courbe, le lobe occipital sont rudimentaires; les
à peu près saine); : i° sur les deux premières temporales et sur le
pli
courbe. A la face interne, on note quelques adh
re droit. Fa, frontale ascendante. Pa, pariétale ascendante. P,
pli
pariétal supérieur. T, partie postérieure des c
ale. La Planche montre, entre P et T, un vaste foyer intéressant le
pli
pa- riétal inférieur, le pli courbe, etc. Mén
P et T, un vaste foyer intéressant le pli pa- riétal inférieur, le
pli
courbe, etc. Ménitgo-encéphalite : face interne
: 13 cent. 1/2 de circonférence au niveau de l'aisselle, 12 1/2 au
pli
du coude et 8 1/2 au poignet. Les membres infér
'incurvation des tibias; la circonférence de la cuisse au niveau du
pli
de l'aine est de 22 cent. de chaque côté; elle
et ont des bords un peu rectangulaires ; elles présentent quelques
plis
de passage. A son origine, la scissure de Sylvi
le lobule pa- riétal inférieur l'est moins, ainsi que le lobule du
pli
courbe : tous deux présentent le même arrêt de
bule de l'insula a six digitations. Les lobules pariétaux, celui du
pli
courbe paraissent réguliers, sans arrêt de déve
rs antérieurs du lobe frontal droit, le lobe pariétal inférieur, le
pli
courbe, et, à un moindre degré, les circonvolut
re droit. Fa, frontale ascendante, Pa, pariétale ascendante. P,
pli
pariétal supérieur. T, partie postérieure des c
ale. La Planche montre, entre P et T, un vaste foyer intéressant le
pli
pa- riétal inférieur, le pli courbe, etc. .mp
P et T, un vaste foyer intéressant le pli pa- riétal inférieur, le
pli
courbe, etc. .mp ,Becquet ! T,Pari", 1-r : :
lobule pariétal inférieur, avec ou sans participation du lobule du
pli
courbe et de la première circonvolution tempora
à l'étude *. On tend à localiser le centre cortical du Ptosis c au
pli
courbe 1 suivant quelques cas anatomiques. Mais
sociation de la troisième paire semble effectuer par des lésions du
Pli
courbe ou du voisinage, rien n'est encore arrêt
u'à l'heure actuelle, du facial supérieur inscrit dans la région du
pli
courbe sur le schéma de Charcot et Pitres ? «
. Après la lecture du rapport de M. Ruillard, le président ouvre le
pli
cacheté contenant le nom du candidat récompensé
NERVEUSE. gauche, elle descend plus bas par devant presque jusqu'au
pli
de l'aine, et par derrière, elle s'élève plus h
l'épiderme des paumes des mains et des doigts; des fentes dans les
plis
interphalangiens, des cicatrices restées à la s
iculaire externe est séparée de la scissure interpa- riétale par un
pli
de passage à niveau allant du lobule pariétal s
voie deux rameaux descendants, l'un en avant, l'autre en arrière du
pli
courbe; un peu au-dessous de la partie moyenne
mpue seulement au niveau de la scissure inter- hémisphérique par un
pli
d'insertion de la première frontale et vers son
nsertion de la première frontale et vers son tiers supérieur par un
pli
d'insertion de la deuxième frontale à sa moitié
ution frontale. La. première frontale, peu développée, envoie trois
plis
de pas- sage à niveau à la seconde; sa moitié p
cissure frontale, sinueuse, assez profonde, est interrompue par les
plis
de passage ci-dessus indiqués et communique ave
est très plissée, très découpée et irrégulière; elle projette deux
plis
de passage à niveau à la partie triangulaire de
rs; le lobule pariétal inférieur très maigre, présente ainsi que le
pli
courbe, plus développé des traces de méningo-encé
, plus développé des traces de méningo-encépha- lite disséminée; un
pli
de passage à niveau relie le pli courbe à la pr
ningo-encépha- lite disséminée; un pli de passage à niveau relie le
pli
courbe à la première circonvolution occipitale.
cépfecclite sur presque toute leur étendue; la première envoie deux
plis
de passage à niveau à la seconde. La première s
issure temporale qui est sinueuse, irrégulière, interrompue par des
plis
de passage à niveau allant de la deuxième à la tr
a deuxième circonvolution temporo-occipitale; celle-ci envoie des
plis
de passage à niveau à lapremière circonvolution t
sure calloso-marginale par un petit sillon horizontal; il existe un
pli
pariéto-limbique postérieur. La scis- sure perp
iculaire externe est séparée de la scissure inter- pariétale par un
pli
de passage à niveau se rendant du lobule pariét
e interne; en bas elle est isolée de la pariétale ascendante par un
pli
de passage à niveau contourné, allant de celle-
nte par un pli de passage à niveau contourné, allant de celle-ci au
pli
pariétal inférieur, au delà de son coude elle e
ariétal inférieur, au delà de son coude elle est interrompue par un
pli
de passage transversal atrophié, se rendant du
terrompue par un pli de passage transversal atrophié, se rendant du
pli
pariétal supérieur au pli courbe; plus loin, el
ssage transversal atrophié, se rendant du pli pariétal supérieur au
pli
courbe; plus loin, elle va se confondre avec le
le frontale interrompue seulement vers son quart supérieur par un
pli
de passage à niveau atrophié, allant de la deuxiè
te. La première frontale s'insère à la frontale ascendante par deux
plis
de passage à niveau, atrophiés, vernzi- formes
ndo par le sillon déjà décrit; au tiers antérieur on y rencontre un
pli
de passage étroit, atrophié et au tiers postéri
un pli de passage étroit, atrophié et au tiers postérieur un autre
pli
de passage profond. La deuxième frontale s'insè
nd. La deuxième frontale s'insère à la frontale ascen- dante par un
pli
de passage courbe, atrophié; elle est atrophiée,
trent des traces de méningo-encéphalite ; en avant elle envoie deux
plis
de passage à niveau, atrophiés, à la troisième
nt est inter- 244 CLINIQUE NERVEUSE. · rompue en avant par un des
plis
de passage dont il vient d'être question. La tr
supérieure, la pre- mière plus que la seconde. Lobe pariétal. Le
pli
pariétal supérieur est tout à fait atrophié, ve
s une couleur un peu ocreuse et forme son extrémité postérieure. Le
pli
pariétal inférieur et le pli courbe sont relati
et forme son extrémité postérieure. Le pli pariétal inférieur et le
pli
courbe sont relativement assez bien développés
bien développées, sinueuses. La deuxième envoie à la troisième deux
plis
de passage à niveau; sur la moitié antérieure de
e, légèrement en retrait vers l'incisure préoccipitale, pousse deux
plis
de passage à niveau grêles à la troisième circo
us jaunâtre que la précédente, est assez développée, elle envoie un
pli
de passage à niveau Li la première vers son tie
ntérieur. Les scissures sont assez profondes, interrrompues par les
plis
de passage ci-dessus. La circonvolution frontal
est atrophié, vermiforme dans sa moitié .antérieure ; il existe un
pli
pariéto-limbique antérieur et un pos- térieur ;
; lobule pariétal supérieur. P. i.; lobule pariétal inférieur ou du
pli
courbe. Pl. c. ; pli courbe. T. 1, T. 2, T. 3 ;
érieur. P. i.; lobule pariétal inférieur ou du pli courbe. Pl. c. ;
pli
courbe. T. 1, T. 2, T. 3 ; première, deuxième et
, lobule pariétal supérieur. P. i.; lobule pariétal inférieur ou du
pli
courbe. PI. c. ; pli courbe T. 1, T. 2, T. 3 ;
érieur. P. i.; lobule pariétal inférieur ou du pli courbe. PI. c. ;
pli
courbe T. 1, T. 2, T. 3 ; première, deuxième et
lobe occipital gauche s'étendant en avant à la partie supérieure du
pli
courbe, au premier pli pariéto-temporal à la pa
s'étendant en avant à la partie supérieure du pli courbe, au premier
pli
pariéto-temporal à la partie tout à fait postér
i pariéto-temporal à la partie tout à fait postérieure du lobule du
pli
courbe (2" pariétale) . - Destruction des faisc
vers la deuxième pariétale, intéressant la deuxième occipitale, le
pli
courbe, la partie tout à fait postérieure de la d
partie tout à fait postérieure de la deuxième pariétale, le premier
pli
de passage pariéto-temporal qui ferme normalement
iques de Gratiolet). 6°. Coupe correspondant à la partie moyenne du
pli
courbe (PI. VI et VII D). (1) Je dois à l'oblig
a partie postérieure de la 2° Pariétale immédiatement en avant du
pli
courbe. B ' Coupe passant par la partie moyen
avant du pli courbe. B ' Coupe passant par la partie moyenne du
pli
courbe. C Coupe passant par la partie posté
nne du pli courbe. C Coupe passant par la partie postérieure du
pli
courbe à 2 cm. 1/2 environ en avant du pôle o
Parc, Lobule paracentral.- Pi, Ira Pariétale.- Pa, 2° Pariétale.- Pc,
Pli
courbe.- PrC, Précunéus. - pCL, Pli cunéo-limbi-
ariétale.- Pa, 2° Pariétale.- Pc, Pli courbe.- PrC, Précunéus. - pCL,
Pli
cunéo-limbi- que. po-j-K,Point de fusion des sc
a partie postérieure de la 2e pariétale immédiatement en avant du
pli
courbe. Coupe passant par la partit moyenne d
en avant du pli courbe. Coupe passant par la partit moyenne du
pli
courbe. aphasie amnésique (Halipw.) Coupe p
amnésique (Halipw.) Coupe passant par la partie postérieure du
pli
courbe à 2 centimètres 1/2 environ en avant du
postérieure du pli courbe à 2 centimètres 1/2 environ en avant du
pli
courbe. Masson & Clr, Editeurs APHASIE am
Clr, Editeurs APHASIE amnésique 45 Le ramollissement comprend le
pli
courbe, mais respecte l'extrémité posté- rieure
te à la 2e occipitale est détruite ainsi que celle correspondant au
pli
courbe (Destruction du faisceau longitudinal su
ta nous nous trouvons en présence de 3 lésions : 1) Une lésion du
pli
courbe et des faisceaux sous-jacents (faisceau lo
dre en considération. Nous retenons donc exclusivement la lésion du
pli
courbe et des fais- ceaux sous-jacents. Notre o
nférieur, en détruisant la partie posté- rieure du gyrus angulaire (
pli
courbe) et une grande partie du lobule supra- m
cinq francs en argent, occupant le lobule pariétal inférieur et le
pli
courbe. OBs. X. Bianchi (Berl. klin. Woch., 2 a
. Autopsie. Plaque de ramollissement ancien sur le gyrus angulaire (
pli
courbe) empiétant sur la substance grise de la
hémorragie ancienne à gau- che au niveau de la substance blanche du
pli
courbe et de l'insula avec par- ticipation du s
nt (8 fois sur 10) sur lé lobule pariétal inférieur, y com- pris le
pli
courbe, mais quelquefois elles ne s'étendaient pa
tibilité. Dans notre observation la lésion est à la fois corticale (
pli
courbe, cir- convolution occipitale) et sous-co
palpation. P. Ri- cher fait remarquer la présence, à sa surface, de
plis
transversaux cuta- nés, qui, selon lui, indique
ronc en arrière, la masse mus- culaire devient plus flasque, et les
plis
transversaux s'exa- gèrent. Vient-il à fléchir
- gèrent. Vient-il à fléchir le tronc en avant, au contraire, les
plis
s'effacent, le muscle devient dur et s11llant com
au côté gauche. Remarquer, dans ces trois ligures, la présence de
plis
cutanés transversaux à la surface des spinaux d
rochant de la ligne médiane du dos (lig. 3 et 4). En même temps les
plis
cutanés s'effacent du même côté, tandis qu'ils
étroite, elle est en même temps plus saillante, et il n'y a pas de
plis
cutanés à sa surface. Cet aspect est tellement
n, l'abdomen aplati sur le bassin trop étroit pour le recevoir. Des
plis
transversaux profonds barrent la région ombilical
ur regarder devant lui ; le tronc est tassé, l'abdomen présente des
plis
transver- saux, les-genoux sont légèrement fléc
e la partie supérieure; à ce niveau existent en effet deux ou trois
plis
transversaux plus ou moins profonds allant d'un
me une vous- sure transversale limitée en bas par le plus élevé des
plis
, se continuant sur les côtés avec la saillie de
e ouverte en bas vers la région épigastrique plane. Dans ces cas, les
plis
transversaux sont moins nombreux et moins accen
et moins accentués ; quelquefois il y a une simple dépression sans
plis
véritables. De chaque côté de l'abdomen, l'hypo
' dehors, et dans la dépression ainsi formée viennent se perdre les
plis
trans- versaux. La région du flanc n'existe p
considérable de la hauteur du flanc se traduit par la formation de
plis
latéraux et postérieurs plus nombreux et moins
raux et postérieurs plus nombreux et moins marqués qu'en avant. Les
plis
inférieurs horizontaux commencent en arrière à
auteur de la crête iliaque. Au- dessus, l'extrémité postérieure des
plis
se relève et leur direction devient paral- lèle
en avant. En résumé, voussure de l'épigastre et de l'hypogastre,
plis
transversaux profonds au niveau et au-dessus de
portée en arrière ; cette déformation s'accuse par l'effacement du
pli
inguinal en avant, par la diminu- tion de la sa
domen, choses banales chez la femme, expliquent la modification des
plis
transversaux qui chez l'homme contribuent tant
i chez l'homme contribuent tant à donner l'aspect du vrai Paget. Le
pli
ombilical n'existe pas ; il y a un ou deux plis
ct du vrai Paget. Le pli ombilical n'existe pas ; il y a un ou deux
plis
sus-ombilicaux, peu accusés du reste, quelquefois
aque. Le tassement moins marqué du tronc explique la diminution des
plis
transver- saux de l'abdomen ; souvent il n'en e
ncs est toujours très appréciable et se traduit par la présence des
plis
postérieurs qui se retrouvent presque cons- tam
n haut et il droite : il en résultait une asymétrie des flancs, des
plis
postérieurs, des dépressions des hypochondres,
is postérieurs, des dépressions des hypochondres, une obliquité des
plis
antérieurs de l'abdomen en bas et à droite. Mai
ajoute encore que le thorax est quelquefois bombé en haut, que des
plis
transversaux barrent l'abdomen, on comprend qu'il
concavité palmaire. La main semble creusée à sa partie médiane. Les
plis
palmaires sont bien dessinés. A la face dorsale
le papier se soulevait au niveau de cette émi- nence et formait un
pli
. Le but de la rééducation de l'écriture consist
une altération de la circulation du sang; il s'arrête nettement aux
plis
des membres et les oedèmes des différents seg-
a suite d'une lésion mécanique(évidage des glandes lymphatiques aux
plis
du membre), ramène la théorie de l'infection à
occlusion de l'oeil avec contraction du contât se traduisant par des
plis
cutanés HÉMISPASME FACIAL PÉRIPHÉRIQUE (1) PA
s côtes et le bassin, et le sommet de cet angle, marqué par un gros
plis
cutané, est séparé du bras pendant le long du cor
us-tendue par un abondant et ferme tissu cellulo-adipeux, forme des
plis
transversaux au |niveau des articulations et mê
le n° 991 du Musée Dupuy- tren dont la peau, au lieu de former des
plis
transversaux, dessine des rides verticales comm
bres inférieurs on distingue, comme chez les achondroplasiques, des
plis
cutanés transversaux supplémentaires qui relèvent
quasiment tonique, donne rapidement à la colonne cartilagineuse un
pli
définitif, et cela d'autant mieux que l'ossificat
dévelop- pée au point de former aujourd'hui, à la partie interne du
pli
de l'aine, une tumeur très volumineuse, gênant
formée par l'extrémité supérieure du fémur, dans l'angle externe du
pli
de l'aîne, l'artère fémorale soulever la peau par
a tumeur née ordinairement sans cause connue, élève premièrement le
pli
inguinal au-dessus, au-des- sous ou en arrière
us sains ; ils auraient pu arriver ainsi à la naissance, malgré les
plis
, malgré l'hétérotopie (2). Ces foetus à moelle
; en tout cas il faut se rappeler qu'il correspond généralement au
pli
articulaire postérieur. Il est bien entendu que
érence : 4 cent. Phimosis. Testicules remontés. Erythème intense au
pli
inguino-crural et à la région anale. Cet érythè
leur influence. Les joues de l'enfant sont charnues, épaisses : les
plis
nasolabiaux, égaux, se creusent nettement. Le vis
be frontal. - La Il', circonvolution frontale (F1 ) est unie par un
pli
de passage à la frontale ascendante et par un pli
) est unie par un pli de passage à la frontale ascendante et par un
pli
de passage, situé à la partie antérieure du lob
à la deu- xième frontale. Celle-ci (l'=), sinueuse, est unie par un
pli
de passage à la frontale ascendante et à la 3e
iétales ne présentent rien de particulier. Elles sont unies par des
plis
de passage aux 1 ? et -'e temporales (T et T2|.
, T3) sont normales. T et T2 sont unies au lobe occipital par des
plis
de passage. Les circonvolutions occipito-temporal
les circonvolutions pariétales : l'atrophie commence au niveau des
plis
de passage. Face interne. - Ce qui frappe avant
de moindre volume surtout dans la par- tie supérieure qui répond au
pli
de passage pariéto-occipital. Le lobule paracen
sure frontale parallèle (se. p. f.) est in- complète, coupée par un
pli
de passage entre la 2e frontale (F2) et la fron
ès sinueuse. La troisième frontale est absolument anormale ? Pas de
plis
de passage avec la frontale ascendante. Pas de
en avant par un sillon presque centinu, interrompu seulement par un
pli
de passage pour la deuxième frontale ; elle est
macroscopique. Les circonvolutions étaient bien développées, les
plis
de passage nombreux, les sil- lons profonds. (V
toine et de l'intestin. - Gracilité des circonvolutions, rareté des
plis
de passage. Conn... (Yvonne), née à Cr.. (Seine
ilement. Il n'y a que quelques adhérences très légères au niveau du
pli
pa- riétal inférieur. Les circonvolutions sont
lutions sont en général grêles, surtout celles du lobe frontal. Les
plis
de passage sont rares, les sillons peu profonds
e lobe frontal est très distinct et séparé de FA complètement, sans
plis
de passage. Il n'en existe pas non plus entre P
temporale est interrompue dans sa partie moyenne par un volumineux
pli
de passage de '1 ? à Ta. Le lobule de l'insula
la face interne, mêmes caractères : circonvolu- tions élémentaires,
plis
de passage rares, sillons superficiels. Pas de
tale, au niveau de la région pariétale postérieure, aux environs du
pli
courbe, et il la région occipitale (surtout sci
mum dans les circonvolutions pariétales inférieures et au niveau du
pli
courbe. b) Réseau myélinique. Le réseau d'Exner
Les circonvolutions du lobe frontal sont assez sinueuses avec des
plis
de passage et des sillons assez profonds. La FA
cissure parallèle. Tel, 1'=", Ta, circonvolutions temporales. P1,
pli
pariétal supérieur. P2, pli pariétal inférieur.
, Ta, circonvolutions temporales. P1, pli pariétal supérieur. P2,
pli
pariétal inférieur. , PC, pli courbe. LOC, lo
. P1, pli pariétal supérieur. P2, pli pariétal inférieur. , PC,
pli
courbe. LOC, lobe occipital. 232 .. EXPLICATI
ouce de la main gauche, ou mieux entre les mors d'une pince plate, un
pli
cutané parallèle au bord palpébral, et assez larg
pébral, et assez large pour que l'œil soit bien ouvert, et enlever ce
pli
d'un seul coup par la section faite avec des cise
à-fait superficielle et bornée à la peau, on peut la soulever dans un
pli
et l'enlever d'un seul coup, par excision, avec l
es et demi (un pouce et demi) envi-ron de profondeur, et au niveau du
pli
supérieur de lailc du nez. En glissant alors douc
our les demi-lèvres latérales que la bride trop courte, formée par le
pli
muqueux labio-gingival, empêcherait de pouvoir s'
s de cette tentative à la direction de la plaie contraire à celle des
plis
de flexion du cou. Dans un autre cas, M. Felpeau
onformer au précepte que les bords de la plaie ne contrarient pas les
plis
de flexion , nous conseillerions, après avoir raf
n 1738. Lieu de l'incision. Guattani incise du côté gauche , sur un
pli
transversal à la peau, depuis le sternum jusqu'à
loyé avec succès par M. Cruveilhier, et qui consiste à pincer dans un
pli
des par-ties molles le trajet du trocart en le co
distension de la paroi abdominale, les tégumens et les muscles en un
pli
vertical et légèrement oblique, dont il main-tien
ponction de la paroi pratiquée de dedans en dehors. Lâchant alors le
pli
dermo-musculaire, les parties molles, en reprenan
s'être assuré en la déplissant qu'elle ne renferme pas quelque petit
pli
d'intestin qui se trouverait pincé. Cette recherc
er le bord de l'épiploon de son feuillet, M. Jobert en a interposé un
pli
entre les lèvres rapprochées de l'intestin, et a
troisième position ; tantôt il vaut mieux inciser sur le milieu d'un
pli
fait à la peau, pli dont l'aide tient une extrémi
; tantôt il vaut mieux inciser sur le milieu d'un pli fait à la peau,
pli
dont l'aide tient une extrémité et l'opérateur l'
aussi, plus qu'à la région inguinale, à commencer l'in-cision sur un
pli
fait à la peau. C'est surtout au-devant de la her
des viscères qu'il contenait, on soulève sa paroi antérieure dans un
pli
fait à la peau, et on pousse l'aiguille à travers
l'obliquii du rectum, un bistouri droit, même à lame étroite, ne peut
pli
servir. C'est pour ces cas que J. L. Petit avait
éaire, c'est-à-dire étroit et allongé, situé dans le fond de l'un des
plis
rayonnes del'o-rificede l'anus. Longue de quelque
les bords de la fissure et d'en permettre le nettoyage, en étalant le
pli
muqueux dont elle constitue le fond, et dans lequ
ent solide. On taille le crayon en pointe, puis écartant avec soin le
pli
muqueux pour mettre la fissure à découvert, on en
tères ne se présente, c'est que l'ulcère est situé au fond de quelque
pli
cutané, ce dont on s'as-sure en tendant la peau a
'emploi, bien plus efficace, des procédés qui suivent. Excision des
plis
cutanés de l'anus. Sous cette désignation se trou
e procidence de l'anus, qu'après la réduction il restait au dehors un
pli
cutané circu-laire, mince et pendant, long de un
uvent se présenter. En effet, dans l'état sain, l'anus est entouré de
plis
cutanés en saillie, d'un tissu ferme, convergeant
est plus res-serré , au point qu'ils se présentent froncés comme les
plis
d'un sac à coulisse chez les sujets affectés de c
es cas de chute du rectum , où cet orifice est amolli, et dilaté, les
plis
cutanés se relâchent et s'effacent, et la peau de
eau de la marge de l'anus est distendue , flasque et frippée pai-lles
plis
irréguliers. L'objet du procédé de Dupuytren a ét
s de douleur au malade, quatre, cinq , six ou un plus grand nombre de
plis
rayonnans du pourtour de l'anus, et les excise le
s les autres, avec des ciseaux courbes sur le plat. L'excision de ces
plis
doit commencer à un centimètre au moins de l'anus
, une pince à griffes, et la tumeur étant sortie, il excise quelques
plis
de la mu-queuse immédiatement au-dessus du sphinc
ération avec succès. Son malade étant placé comme pour l'excision des
plis
radiés de l'anus, la tumeur étant réduite et les
yens avaient échoué, avant qu'on connût la méthode par l'excision des
plis
de l'anus, est actuellement réservée pour les cas
mentionnés. Toutes les fois que l'intestin sera sain, l'excision des
plis
rayonnes del'anus méritera la préférence,mais lor
ni-cité et sa contractilité, on fera bien de joindre à l'excision des
plis
rayonnes de l'anus, une cautérisation légère de l
terne du scrotum. L'opérateur maintient lui - même les veines dans le
pli
de la peau ou bien il les confie à un aide. Les
lacé comme nous l'avons dit, et les veines du cordon ramenées dans un
pli
extérieur de la peau, le canal déférent repoussé
ser tout simplement une épingle derrière les veines comprises dans un
pli
antérieur du scrotum pour opé-rer ensuite la cons
: le malade couché ou debout, le chirurgien saisit les veines dans un
pli
antérieur de la peau des bourses, cherche le cana
iate-ment les veines du cordon , qui sont étroitement serrées dans le
pli
antérieur du scrotum. Sanson espérait par ce moye
e les tégumens comme nous venons de le dire, on a proposé de faire un
pli
transversal à la peau , d'en don-ner un côté à te
e pouce et les quatre doigts de la main gauche le cordon à travers un
pli
de la peau du scrotum et de l'aine, le soulève et
en enfonce hori-t. vu. zontalement un bistouri étroit, à travers le
pli
delà peau scrotale qu'il tient entre ses doigts,
et en le tirant en bas et un peu en arrière ; puis il enfonce dans ce
pli
, de droite à gauche, un bistouri étroit dont le d
ouleur d'un rose pâle dans toute son étendue; on y remarque aussi des
plis
longitudinaux qu'on at-tribue à ce que le canal d
lite le cathétérisme. Le bec, en tournant sur lui-même, se dégage des
plis
de la muqueuse et glisse pour ainsi dire par le p
arrivée dans l'urètre , se déprime tout aussi bien sous l'action d'un
pli
, d'un mouvement spasmodique, d'un aplatissement m
r-reur en plus ou en moins : en plus parce qu'il pouvait ramasser des
plis
de la muqueuse, qui, s'ajoutant au rétrécissement
mieux déplissée, leur bec était moins exposé à se fourvoyer dans ses
plis
. Mais les essais malheureux de MM. Bérard jeune e
ts très variables, au périnée, sous le scrotum , le long du pénis, au
pli
des aines , sur les lesses et au dedans des cuiss
devra le faire qu'avec beaucoup de précaution, dans la crainte qu'un
pli
de la vessie ne soit pincé entre les mors, accide
uvoir être contenu, on courrait le risque de pincer fortement quelque
pli
ou quelque colonne de la vessie mal distendue qui
a peau soit en contact avec la peau, et on le traverse à l'endroit du
pli
avec un fil ciré, assez fort et assez long; une s
r réduit l'organe, il excisa, avec une pince et de forts ciseaux, les
plis
relâchés de la muqueuse de la face interne des gr
la su-ture plus faciles, il commença par placer les fils à la base du
pli
à enlever. Pour exécuter ces manoeuvres , la femm
il place ainsi trois ou quatre fils doubles au travers de la base du
pli
vaginal, en commençant par le plus élevé. Pendant
aintient ces fils étalés, le chirurgien, avec un bistouri, détache le
pli
sur les côtés, puis de haut en bas, à 6 ou 7 mill
ment, coupant l'un des chefs sur le nœud, et ramenant l'autre dans le
pli
de l'aine où il l'assujettit avec une bandelette
de lui faire parcourir la circonférence du pessaire pour effacer les
plis
qui pourraient s'être formés au-dessus. Parmi l
t (pl. 77, fig. 1) et placés sous la mâchoire inférieure, ou dans les
plis
des aines, et en recom-mandant aux aides de press
4.— Chute du rectum. Réduc-tion, i64; débridement, 165 ; excision des
plis
cutanés de l'anus, i65, 166; excision de la tumeu
La conjonctive étant alors soulevée par les deux crochets en forme de
pli
, l'opérateur, armé des ciseaux courbes, y fait un
ieure; puis, saisissant avec une pince à ressorts et à mors plats, le
pli
oculo-palpébral de la conjonctive , dans le point
igne étant confiée à un aide , le chirurgien saisit avec une pince un
pli
de la conjonctive, le divise avec des ciseaux , e
upières modérément écartées, je fais former, avec les deux pinces, un
pli
vertical à la membrane con-jonctive saisie un peu
au-dessus du niveau du muscle; avec les ciseaux mousses je divise ce
pli
horizontalement de la cornée vers la paroi intern
entre le pouce, l'indicateur et le médius de chaque main, il forme un
pli
cutané perpendi-culaire, le plus élevé qu'il lui
vé qu'il lui est possible; puis, donnant à tenir à un aide le côté du
pli
qu'il tenait de la main droite, de cette main il
à six ou huit lignes au-dessus de l'insertion sternale du muscle, un
pli
parallèle à la direction de ce dernier, pli dont
on sternale du muscle, un pli parallèle à la direction de ce dernier,
pli
dont la base répond au point de la peau qui, dans
lâchement, longe le bord externe du muscle. Je plonge à la base de ce
pli
un bis-touri mince , large de deux lignes et légè
e son tranchant sur le muscle. Dans un troisième temps, j'abandonnele
pli
de la peau et coupe le tendon. La peau relâchée e
au moyen d'une simple ponction, et après avoir fait préalablement un
pli
à la peau , je coupe le muscle d'arrière en avant
in, le chirurgien, après avoir déterminé le lieu d'élection, forme un
pli
soulevé à la peau en ramenant de très loin, de ba
ramenant de très loin, de bas en haut, les tégumens de manière que le
pli
soit entièrement constitué aux dépens de la surfa
anmoins à plat la surface tégumentaire et on supplée à l'absence d'un
pli
de hauteur convenable en faisant glisser l'instru
ôte où doit se faire la piqûre. Dans les circonstances ordinaires, le
pli
n'ayant pas moins de cinq à six centimètres de sa
ans la cavité pleurale. Lâchant alors et faisant lâcher par l'aide le
pli
cutané (fig. 2), le chirur-gien presse de haut en
us-cutané qui doit avoir de six à sept centimètres de longueur, si le
pli
de la peau a été suffisamment élevé. Dans ce mouv
e côté par des points de suture. A la base du lambeau se distingue le
pli
de tor-sion qui passe par-dessus les tégumens de
l étant de former des cicatrices horizontales qui se perdent dans les
plis
de flexion du cou, la figure 1 représente un lamb
Le chirurgien est occupé à ouvrir avec la pointe du bistouri sur un
pli
soulevé avec la pince la membrane qui fait sailli
— (c) Section de la paroi dermo-musculaire de l'abdomen, au-dessus du
pli
de l'aîne. — (d) Orifice cutané du bout intestina
lève à part. Figure 2. Ponction au travers du sac herniaire, sur un
pli
à la peau. Figure 3. Second temps dans lequel l
à ouvrir le sac avec la pointe du bistouri porté en dédo-lant sur un
pli
soulevé avec la pince. Figure 2. Débridement. L
pratiquées, on en opère une quatrième avec les ciseaux courbes sur un
pli
formé par la pince à plat. Figure 3. Excision c
symphyse pubienne. — B. Plan de section de la plaie abdominale. — C.
Pli
de réflexion du péritoine de la paroi abdominale
c'est-à-dire, pour que le dard passe de lui-même entre le pubis et le
pli
de réflexion du péritoine. La vessie a été préala
les paupières étant écartées avec le blépha-rcctome (figure 6), et le
pli
transversal de la conjonctive et du fascia formé
chirurgien el qui s'harmonise avec celle de l'aide (b) pour former le
pli
vertical de la conjonctive et du fascia. — (d) Ci
(d) Ciseaux tenus de la main droite qui incise perpendiculairement le
pli
soulevé. Figure 2. (d) Crochet double à écartem
de M. J. Guérin. Figure 1. Ponction avec la lancette de l'auteur. Un
pli
à la peau est pratiqué par la main droite d'un ai
. Le temps représenté de l'opération est la ponction sous-cutanée; un
pli
à la peau est formé par la main droite d'un secon
IGURE i. (a) Main gauche d'un aide qui fixe l'extrémité supérieure du
pli
cutané dont l'extrémité inférieure est tenue par
avoir subi une atrophie : il est bien développé des deux côtés, ses
plis
sont nombreux, profonds, pas rétrécis, et conti
e en tissu adipeux et dans la région mammaire les téguments font un
pli
extrêmement marqué. Les mamelons sont enfoncés
ent de cette région dans la crise d'hystérie. Puis, une Note sur le
pli
fessier, rec- tifiant une erreur classique : le
une Note sur le pli fessier, rec- tifiant une erreur classique : le
pli
fessier n'est pas, comme on l'enseigne couramme
ent, formé par le bord inférieur du muscle grand fessier ; c'est un
pli
permanent maintenu par des adhérences profondes d
tenu par des adhérences profondes de la peau au squelette, comme le
pli
de l'aisselle ; la saillie qui le surmonte est du
? ' IV 1 1 III l Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière T. XX.
Pli
. XXVIII II d Ville c IV c PARALYSIE CÉRÉB
cuisse sont très développés. La limite supérieure de l'oedème est le
pli
inguinal en avant, le pli fessier en arrière. O
. La limite supérieure de l'oedème est le pli inguinal en avant, le
pli
fessier en arrière. On n'observe pas de vais- s
s deux membres à plusieurs niveaux : ' Cuisse droite au niveau du
pli
Cuisse gauche au même niveau : inguinal : 0 m.
cupé exactement que le membre abdominal hypertrophié, s'arrêtant au
pli
de l'aîne et au pli fessier sans se montrer nulle
le membre abdominal hypertrophié, s'arrêtant au pli de l'aîne et au
pli
fessier sans se montrer nulle part ail- leurs.
saillies molles, flasques, dé- terminant par leur bouffissure deux
plis
profonds naso-géniens entre lesquels le nez est
rmant collier, mais constitue une épaisse pèlerine qui presque sans
pli
passe de la région cervicale à la région dorsale.
s (l'écorché est une statuette bien connue attribuée à Michel Ange (
pli
. XXXIII, A). Ses qualités artistiques justifien
muscles là où il devrait n'y en avoir qu'un. « Autre remarque : les
plis
de l'abdomen ne correspondent pas aux divi- sio
des muscles grands droits ; ils reproduisent plutôt l'apparence des
plis
cutanés. Ce qui ne saurait exister sur un écorché
poignet est augmenté de volume par rapport à celui du côté opposé (
pli
. L et LI). Nous n'avons pas à discuter ici (10)
hisseurs. Le nerf cubital est à sa place. Au niveau de la région du
pli
du coude, on constate que le réseau veineux sup
cubitus. L'artère radiale qui est d'abord très superfi- cielle, au
pli
du coude, s'engage bientôt entre les extrémités e
eaux ténus ; leurs troncs cessent d'exister. L'artère humérale,au
pli
du coude, donne en dehors une branche volumineuse
arrondie sur laquelle on remarque un petit tubercule cutané et deux
plis
de la peau, dont l'un adhère aux parties profon-
tyloïdes et s'insèrent à la face profonde de la peau, au niveau des
plis
que nous avons signalés sur le moignon. Il existe
les de la région externe. L'artère humérale se divise, au niveau du
pli
du coude, en 5 ou 6 petits ra- meaux qui se dis
'anormal non plus. Nerfs. - Membre supérieur droit. - Le médian, au
pli
du coude, passe entre les deux fléchisseurs com
on avec un membre amputé est d'autant plus exacte qu'on remarque un
pli
déprimé de la peau à l'extrémité du moignon, co
réparation cicatricielle. A l'extrémité de ce moignon, en dehors du
pli
demi-circulaire que nous ve- nons de signaler,
'olécrâne. Rien de changé dans les dispo- sitions normales jusqu'au
pli
du coude. L'artère humérale, un peu grêle, se b
leur réduction de volume, ont tous leurs rapports normaux jusqu'au
pli
du coude. HÉMIMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES
ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 319 Le médian se prolonge au-delà du
pli
du coude en un petit rameau fin qui semble se p
n dedans et en bas. Les orteils viennent aboutir juste au niveau du
pli
de jonction de la jambe avec la cuisse ou jarre
qui ne rappellent nullement, par leur disposition, l'M classique du
pli
du coude. Nerfs. Ils présentent dans la moitié
urts qu'ils restent fléchis à angle assez aigu sur le bras et qu'au
pli
du coude les parties molles du bras se réflé- c
ces s'insèrent sur un large pédicule dont ils sont sépa- rés par un
pli
. Au point où ce pédicule élargi se fixe sur le
Au point où ce pédicule élargi se fixe sur le moignon on observe deux
plis
cutanés de flexion, l'un un peu postérieur au p
flexion, l'un un peu postérieur au premier. C'est au niveau de ces
plis
et particulièrement au niveau de l'antérieur que
Les mouvements s'accompagnent de très petits craquements. Dans le
pli
antérieur, des objets ténus sont solidement fixés
artie inférieure une petite fossette, centre de convergence de huit
plis
cutanés disposés radiairement. Cette petite fos
ie sur le moignon, l'insertion du pédicule servant de charnière, de
pli
de flexion. Dans ce pli, des épingles peuvent êtr
ertion du pédicule servant de charnière, de pli de flexion. Dans ce
pli
, des épingles peuvent être main- tenues solidem
auche, etc. L'extrémité du moignon est lisse, sans dépression, sans
plis
cutanés, sans cicatrice. Cette petite hémimèl
ien moins souvent atteint dans ces cas d'hémimélie que le radius.
Pli
. - Faix, Musculature du membre malformé chez un h
lordose lombaire très marquée avec saillie en arrière du sacrum. Le
pli
fessier droit est plus bas que le gauche, la sa
l'humérale qui perfore l'aponévrose du bras au-dessus du niveau du
pli
du coude ; ce n'est donc pas un fait compa- rab
èmes de la pariétale ascendante, la plus grande partie du lobule du
pli
courbe, le pied des circonvolutions frontales m
e dilatations vasculaires. Cette tuméfaction commence au niveau des
plis
inguinaux et s'arrête à celui des mal- léoles.
eure. La circon- volution du crochet semble ne pas être touchée. Le
pli
rétrolimbique est tout à fait modifié, ainsi qu
centraux. 1° Sur les coupes frontales, qui passent par la région du
pli
courbe, on voit : La substance blanche de la de
sé dans l'hémisphère gauche et qui occupait la substance blanche du
pli
courbe et des parties voisines du lobe temporal e
isphère gauche, qui a détruit la substance blanche sous- jacente du
pli
courbe, où, d'après les opinions de Charcot (1),
onvolution pariétale et y compris celle-ci jusqu'au commencement du
pli
courbe ; dans le sens vertical la poche va depu
eur de la scissure pa- riéto-occipitale, à la partie postérieure du
pli
courbe, kyste gros comme une Fig. 2. - Face ext
urts qu'ils restent fléchis à angle assez aigu sur le bras et qu'au
pli
du coude les parties molles du bras se réflé- c
s sur le bras. Un autre muscle étalé est situé à la partie interne du
pli
du coude dans le sens de la flexion et il est é
on dans la boutonnière. Il peut prendre de petits objets soit dans le
pli
de flexion de la phalange unguéale et de la pre
enir par exemple son crayon afin de le tailler) de l'angle formé au
pli
du coude par la flexion de l'avant-bras sur le
l'a- cromion (bord antérieur) jusqu'à deux centimètres au-dessus du
pli
du coude. Tout le reste du bras est uniformémen
t 31 centimètres. D'ailleurs nous avons trouvé pour l'épaisseur des
plis
cutanés prise au com- pas d'épaisseur : Bras
au-dessus de la base de la rotule et à 5 centimètres au-dessous du
pli
fessier,en avant par la ligne médiane ,en arrière
ité supérieure du péroné, en arrière à 19 centimètres au-dessous du
pli
du genou, en dedans à 11 centimètres au-dessous
ité supérieure-du péroné, en arrière à 12 centimètres au-dessous du
pli
du genou, et en dedans à 12 centi- mètres au-de
rémité des doigts, 2 têtes 1/2 dont environ 1 tête de l'acromion au
pli
du coude. Aussi, le milieu du corps est-il situé
roplasique, renferme à ce point de vue des renseignements précieux (
pli
. XXXVI, S). Ces notions histologiques exposées,
roné à l'articulation du genou, l'obliquité en bas et en dedans des
plis
de flexion du membre su- périeur, signalés par
les deux doigts et qui est réduit ici à une légère dépression. Les
plis
transversaux de flexion sont au contraire bien
Les plis transversaux de flexion sont au contraire bien marqués. Le
pli
de flexion de la première phalange est, comparati
ssé sur ces deux doigts que sur les doigts sains correspondants. Le
pli
de flexion de la phalangine sur la phalange, nett
alange, nettement accusé, est à peine à une distance plus longue du
pli
précédent que sur les doigts sains de l'autre c
i précédent que sur les doigts sains de l'autre côté, tandis que le
pli
de flexion de la phalangette sur la phalangine
e flexion de la phalangette sur la phalangine est à une distance du
pli
situé au-dessus, triple de ce qu'elle est sur l'a
igts tandis que la phalangine y a contribué pour beaucoup. Enfin le
pli
de la pha- langette est une fois plus éloigné d
ite coupure superficielle au niveau de la partie antéro- externe du
pli
de flexion de l'index : elle a saigné, et la cica
une mince la- melle. De même, la 2e circonvolution pariétale et le
pli
courbe sont réduits à l'état de minces lames, t
u bien à la basilique ? .... Ce qui est certain c'est qu'on voit au
pli
du coude droit,que soutient une gracieuse suiva
e volume ne dépasse pas la cuisse ; elle s'arrête net, en avant, au
pli
de l'aine, laissaut à la grande lèvre sa forme
'aine, laissaut à la grande lèvre sa forme normale ; en arrière, au
pli
fessier, sans participation de la fesse à l'hy-
tif. Lorsqu'on saisit la peau du liras à pleine main, l'on tient un
pli
plus épais à droite qu'à gauche, comme s'il était
cupé exactement que le membre abdominal hypertrophié, s'arrêtant au
pli
de l'aine et au pli fessier, sans se montrer null
le membre abdominal hypertrophié, s'arrêtant au pli de l'aine et au
pli
fessier, sans se montrer nulle part ailleurs. I
nfiltration oedémateuse surajoutée. L'on ne remarque pas en bas ces
plis
indurés de la peau, tombant sur le pied comme d
e propos, d'après Landouzy, que Duchenne avait coutume de faire des
plis
à la peau, pour dépister l'atrophie musculaire, a
isse semblent dictées d'une façon systématique. Son ar- rêt net aux
plis
de l'aine et de la fesse ne met-il pas en évidenc
ui-même le bassin destiné à recevoir le sang. On voit au- dessus du
pli
du coude le lien destiné à interrompre le cours d
ns la main droite un long bâton dont un aide tient l'autre bout. Du
pli
du coude jaillit un filet de sang qui tombe dans
tendant son bras droit au barbier qui palpe avec soin la région du
pli
du coude avant d'opérer; un lac enserre le bice
eune docteur musqué qui la sou- tient de la plus galante manière Du
pli
du coude jaillit en arcade un in- terminable fi
eur d'un corps autrefois athlétique, la flétrissure de la peau, ses
plis
, ses glis- sements, sont d'une parfaite exactit
proéminents, avec de grandes aréoles, adipose du ventre formant des
plis
inférieurement. Absence totale de poils aux ais
ésentent rien d'anormal. Au niveau de la nuque, on trouve plusieurs
plis
transversaux, dus à une extension forcée de la tê
contractés et leur relief se dessine nette- ment sous la peau. Les
plis
transversaux très accentués passent par l'om- b
hénar; les plans superficiels sont flasques et s'affaissent en gros
plis
mous, au niveau de la commissure séparant le pouc
pertonie n'avait pas un point de départ irritatif dans la région du
pli
du coude en dedans du biceps. Depuis ce premier
nce thé- nar ; il éprouve un tiraillement pénible dans le milieu du
pli
du coude et de la face antérieure du bras. 84
ien esl en adduction, ce qui accuse plus que normalement le premier
pli
palmaire. La première phalange du pouce, qui est
yenne de la plante, également rétrécie', est souvent par- courue de
plis
cutanés à direction prédominante antéro-postérieu
s marquée à droite ; elle se traduit par de profondes dépressions des
plis
transversaux de la main et des plis de la base
ar de profondes dépressions des plis transversaux de la main et des
plis
de la base des doigts et par des bourre- lets i
ase des doigts et par des bourre- lets intermédiaires. A droite, le
pli
transversal inférieur est remplacé sur toute sa
toute sa longueur par une bride linéaire profondément déprimée ; le
pli
moyen de la main d'une part, le pli de la base
aire profondément déprimée ; le pli moyen de la main d'une part, le
pli
de la base des 4e et 5° doigts d'autre part sont
également bridés et creusés, quoique à un moindre degré; entre ces
plis
sont des bourrelets saillants à consistance fih
ts saillants à consistance fihreuse, bourrelet horizontal entre les
plis
moyens et inférieurs, bourrelet plus prononcé au
y a un enfoncement linéaire ana- logue, quoique un peu moindre, du
pli
transversal inférieur, une légère dé- pression
u moindre, du pli transversal inférieur, une légère dé- pression du
pli
moyen, un bourrelet entre les deux plis et un aut
, une légère dé- pression du pli moyen, un bourrelet entre les deux
plis
et un autre entre le pli inférieur et la base d
n du pli moyen, un bourrelet entre les deux plis et un autre entre le
pli
inférieur et la base des trois derniers doigts
OSE OSSEUSE DES ARTICULATIONS PHALANGINO-PHALANGETTIENNES 163 Leurs
plis
articulaires sont effacés. Leur peau est inextens
que son adiposité a débuté par les parois du ventre qui faisait des
plis
tombant sur les cuisses. A ses parties cedématiée
et aux articulations du poignet dans les membres supérieurs. Les
plis
de la région fessière et du thorax sont remarquab
com- plètement indemnes la troisième circonvolution frontale et le
pli
courbe à gauche, car on n'observe ni agraphie,
t au-dessous du tiers' moyen de la clavicule et sortie au niveau du
pli
axillaire postérieur. Large plaie d'entrée inté
parti- culier (facies gerodermica) (1). Dans le type eunuchoïde les
plis
sont plus discrets, la peau plus fine et moins
r et mouvoir latéralement le tronc, sans douleur. On remarque trois
plis
transversaux sur l' l'abdomen. La colonne ver
aussitôt son tronc se courbe, la tête restant en extension. Un gros
pli
transversal se dessine au niveau de l'ombilic,
onc. A deux travers de doigt au-dessus de l'ombilic, ou constate un
pli
transversal très apparent. La percussion des
es sont douloureuses à la pression. Sur l'abdomen on remarque trois
plis
transversaux passant l'un au niveau, les deux a
latéralité se font normalement. - On remarque sur l'abdomen deux
plis
transversaux passant, l'un au- niveau de l'ombi
oit sur l'abdomen, à un travers de doigt au-dessus de l'ombilic, un
pli
transversal peine marqué; au-dessous, un second
e l'ombilic, un pli transversal peine marqué; au-dessous, un second
pli
très accentué passant par les régions inguinales
vation du tronc très prononcée, la tête restant en extension. Un gros
pli
tra- verse l'abdomen de gauche à droite, un peu
xtension. Cette incurvation ne change pas pendant la marche. Pas de
plis
transversaux sur l'abdomen. Il n'y a aucune déf
re 1916). Le malade se présente le tronc plié sur le bassin avec un
pli
transversal passant par l'ombilic. Il marche à pe
t touchent le sol, .les jambes sont eu extension. On ne voit pas de
plis
transversaux sur l'abdomen. Il n'a pas de trouble
ntale droite est-elle légèrement plus saillante que la gauche (?).Les
plis
du front, qui sont très-accusés, sont égaux des d
i sont très-accusés, sont égaux des deux côtés. Il en est de même des
plis
pal-pébraux. La moitié droite de la face semble m
te seule. Droite. Gauche. Circonférence de la cuisse au niveau du
pli
de l'aine____ 41e,5 42e,5 Circonférence à 10 ce
nsions. La moitié gauche du front est plus petite que la droite ; les
plis
palpébraux sont égaux ; l'ouverture palpébrale ga
s, contractiles. L'ouïe est aussi bonne d'un côté que de l'autre. Les
plis
palpébraux, ceux du front, sont aussi accusés à d
jà pliée avec la main gauche, pendant que la droite prépare un second
pli
. Membre inférieur gauche. — Il est moins long
urs : A gauche. A droite. Circonférence de la cuisse au niveau du
pli
de l'aine....... 46e 51€ Circonférence à 10 c
i pour la moitié droite, 26 centimètres et demi pour la gauche. — Les
plis
du front sont marqués et égaux. — Les plis palpéb
demi pour la gauche. — Les plis du front sont marqués et égaux. — Les
plis
palpébraux paraissent moins accusés à droite qu'à
u front à gauche ; les bosses frontales ne sont pas saillantes. — Les
plis
du front sont égaux comme profondeur, mais il y e
e. — Les yeux paraissent égaux. Les pupilles sont normales. Il y a un
pli
palpébral de moins à gauche qu'à droite. — Lorsqu
'à droite. — Lorsque la malade ferme énergi-quement les paupières les
plis
naso-palpébraux sont plus nombreux à droite qu'à
s la marche. Gauche. Droit Circonférence delà cuisse au niveau du
pli
de l'aine....... 57 c 59,5 Cire, à 10 cent, au-
he érectile qui occupe également tout le sourcil correspondant. — Les
plis
du front sont égaux. Les arcades sour-cilières so
'à gauche. Droit. Gauche. Circonférence de la cuisse au niveau du
pli
de l'aine____37e 39° Circonférence à 10 centimè
e aux lombes. — L'épaule droite est plus élevée que la gauche. -«- Le
pli
fessier est abaissé à droite. La sensibilité gé
à la face externe du bras (Pl. VI bis), à 5 centimètres au-dessus du
pli
du coude ; — 2e à la face interne du bras (3 cent
du coude ; — 2e à la face interne du bras (3 centimètres au-dessus du
pli
du coude) ; — 3° au niveau du pli du coude, en de
du bras (3 centimètres au-dessus du pli du coude) ; — 3° au niveau du
pli
du coude, en dedans dutendon dubiceps; — 4° imm
ong suivant qu'elles enjambent un, deux, ou un plus grand nombre de
plis
. Sur les centres lobulaires de la substance bla
. Griffe médiane. L'excitation du nerf médian un peu au dessus du
pli
du coude donne des résultats ana- logues à ceux
'ablation des lobes occipitaux des deux côtés sans inté- resser les
plis
courbes, c'est-à-dire en arrière du sillon pariét
, n'entraîna aucun trouble de la vue. 2° La destruction complète du
pli
courbe d'un seul côté dé- termina une cécité to
e de pertur- bations passagères. La destruction simultanée des deux
plis
courbes produisit une cécité de trois jours lai
derrière elle une amblyopie évidente. 3° L'ablation à la fois du
pli
courbe et du lobe occipital d'un hémisphère ent
té opposé à la lésion. Ainsi, un animal auquel on enlève d'abord le
pli
courbe gauche et après un temps assez long le p
enlève d'abord le pli courbe gauche et après un temps assez long le
pli
courbe et le lobe occipal droits présente une h
lobes occipi- taux (absence de trouble visuel) et dans une autre le
pli
courbe du côté gauche, est atteint de cécité te
tate l'amélioration de la fonction. 4° C'est par la destruction des
plis
courbes et des lobes occi- pitaux des deux hémi
riences de Ferrier sur le gyrus angulaire du chien correspondant au
pli
courbe du singe et de l'homme, M. Dalton a enle
Les mémoires doi- vent être revêtus d'une épigraphe répétée sur un
pli
cacheté renfermant le nom et l'adresse des aute
e sur un pli cacheté renfermant le nom et l'adresse des auteurs. Le
pli
annexé à un tra- vail couronné est ouvert en sé
15(5 FAITS DIVERS. ment est accordée à un mémoire de concours, le
pli
qui y est joint n'est ouvert qu'à la demande de
ndamentales : élévation et courbe du sourcil : Lignes secondaires :
plis
frontaux curviliques et concentriques à l'arc d
et effacement des rides frontales. Le sourcil devient rectiligne;
plis
verticaux sur le front; redressement des poils
à concavité supérieure, l'autre externe à concavité infé- rieure.
Plis
transversaux de la partie médiane du front qui
dans ; la peau de la partie médiane du front est lisse et tendue;
plis
transversaux à la racine du nez. Chez notre mal
et en avant, et la peau des parties latérales du nez se marquer de
plis
parallèles à- la direction de l'épine nasale. C
ombinées inexpressives du même auteur). Dans le premier cas, chaque
pli
de la physionomie concourt à l'expression 'd'un
à rappeler la con- tracture des membres; mais, le plus souvent, les
plis
de [la physionomie ne tardent pas à se détendre
a partie postérieure du cerveau et'qu'il ne dépasse pas en avant le
pli
courbe ; le centre auditif serait placé dans le
e contre l'autre sans tissu interposé. 11 est impossiblede faire un
pli
à la peau, tant elle est mince et exactement adhé
.'Nevv-Yôrlt, âût 1880,` p·. 98.) · ' T ? i 1 1 , î 1 ... n f C'LT(
Pli
.) i'ijli-'iï' ? 6r Wt L'auteur rapporte Meux-1
sans avoir trouvé rien de précis; Je ne crois cependant pas, que le
pli
, courbe soit, comme Ferrier l'a indiqué, le siè
n'y a pas d'épiphora. Pas de troubles de la motilité des yeux. Les
plis
naso-géniens sout très marqués. Les mâchoires s
els de l'écorce cérébrale : Ferrier les localise uniquement dans le
pli
courbe, Munk uniquement dans le lobe occipital
gues. Ce 2e malade présentait, à 3 centimètres environ au-dessus du
pli
de flexion du poignet, une cicatrice transversale
on lui a assigné un centre volontaire cortical soit au voisinage du
pli
courbe (Grasset et Landouzy), soit plutôt dans la
s, limitant un creux d'un centimètre, de forme ovalaire, coupant le
pli
articulaire méta- tarso-phalangien. A cette épo
ets fistuleux se font jour sur la deuxième phalange et au niveau du
pli
palmaire métacarpo-phalan- gien ; le patient en
ons pemphi- goïdes et d'ulcères anciens. La paume est concave ; ses
plis
sont bien accu- sés ; l'épiderme y desquame en
môme que ponr le côté droit. La paume est dure, sèche, cornée, les
plis
y sont atté- nués. En dedans de l'éminence thén
es sourcilières. Tronc. Les diverses sensibilités sont normales. Au
pli
fessier droit le malade a eu une eschare ; il c
espaces interdigitaux. La piqûre n'est sentie que vers le milieu du
pli
cutané moyen, à l'extrémité supérieure du pouce
h ARTHROPATHIES TABÉTIQUES DES DEUX HANCHES Obliquité anormale du
pli
fessier ^Battaille et ...cil ! éditeurs SUR
supérieur du grand trochanter au lieu de correspondre au milieu du
pli
de l'aine comme dans l'état normal est en réalité
de présente un aplatissement des fesses et une obliquité anormal du
pli
fessier en haut et en dehors. En voici l'explicat
sses et l'abaissement du bassin a pour conséquence une obliquité du
pli
fessier qui d'horizontal devient oblique de bas
t par la descente de l'ischion qui maintient l'extrémité interne du
pli
fessier » (l'1. XXI). Quand la malade étant deb
de l'épine iliaque antérieure et supérieure. Elle coupe en avant le
pli
de l'aine en son milieu et aboutit en arrière au
au-dessus de l'épine iliaque antérieure et supérieure et le milieu du
pli
de l'aine étant situé à environ 5 centimètres a
viens déparier, si la peau est peu élastique, on peut remarquer des
plis
verticaux qui se dessinent légèrement en forme
es règles générales, c'est-à-dire, d'après les altérations dans les
plis
ou dans les traits du visage. Dans l'affaiblissem
e. Dans l'affaiblissement des muscles de la face dont je parle, les
plis
se détendent ou disparaissent complètement. Sur
nd zygomatique, le petit zygomatique, en se contractant, forment un
pli
sur le limbe de leurs points d'attache inférieu
elle leurs fibres nombreuses sont répandues, produisant souvent des
plis
supplémentaires. La peau en- vahie par des mill
tout d'abord; la peau rend bien encore, il est vrai, les principaux
plis
aux points extrêmes du muscle, savoir : à ses p
és, le muscle de la colère, le pyramidal du nez apparait fortement (
plis
transversaux à la racine du nez, abaissement du
t localisées le long de la co- lonne vertébrale et suivant les deux
plis
inguinaux. Ce sont des douleurs sour- des, cont
fondes. Les sourcils épais se rapprochent au-dessus du nez par deux
plis
très accentués. Ces rides donnent la physionomie
long et busqué tombe sur des lèvres fortes un peu retour- nées. Un
pli
profond le sépare des joues et sa mobilité est te
de rides très profondes. Les sourcils touffus et rapprochés dans un
pli
douloureux. Les yeux petits, tristes et malprop
he ne présentent qu'une tonicité peu accentuée. Le front se ride en
plis
horizontaux profonds ; le sillon nasolabial s'acc
stigmates déjà observés. Le front est creusé de grosses rides. Les
plis
des sourciliers sont accentués très fortement.
à étudiés. Le front ridé, les sourcilliers souvent contractés en un
pli
douloureux ; les yeux petits, clignotants et ce
xes tendineux, atrophie musculaire, anesthésie remon- tant jusqu'au
pli
de l'aine, avec, au-dessus, une zone d'hyperesthé
ord des fausses côtes, et la région épigastrique est barrée de ou 3
plis
profonds comme on les voit chez tout cyphotique
3. Nous en reproduisons des photographies-(pl. VIII,fig.-1, 1;3, et
pli
XI)'. On remarque une'cyphose très marquée au niv
mbent de chaque côté de la poitrine en se continuant avec un énorme
pli
cutané, qui à la façon d'une poche, de convexit
tte façon, le tronc, vu par sa face antérieure, offre trois énormes
plis
adipeux, qui le déforment, et lui donnent un aspe
le constater dans les photo- graphies, les différents bourrelets et
plis
adipeux se sont sensiblement atté- nués (PI. XI
eures plutôt lisse et tendre. Ici il est même difficile de faire un
pli
à la peau. La peau des paumes a un aspect très
ux autres circonvolutions occipitales et à la partie postérieure du
pli
courbe. Le faisceau longitudinal contient donc
nde, ressemblant à une grosse figue allongée, située à l'origine du
pli
cutané formé en arrière par le bras appliqué cont
ntaires noirs. 3) La troisième, à droite de la partie supérieure du
pli
interfessier, du volume d'une noix, hémisphériq
nférieure de la circonvolution pariétale supérieure, la totalité du
pli
courbe, la partie postéro-inférieure du gyrus sup
le lobule paracentral, la circonvolution pariétale supé- rieure,le
pli
courbe, les deuxième et troisième circonvolutions
et deuxième circonvolutions occipitales, de la partie inférieure du
pli
courbe, des 3/4 postérieurs de la première circon
). Dans l'hémisphère gauche il existe un foyer profond du niveau du
pli
courbe : Nous commencerons par décrire les coup
, le lobule paracentral, la circonvolution pariétale supérieure, le
pli
courbe, la Schéma n* II. - Cas Ro... 184 LASA
forme et lingual. Le ramollissement détruit la partie inférieure du
pli
courbe et la deuxième temporale ; le lobule fus
de cette région) est en grande partie normal, excepté au niveau du
pli
courbe où il est directe- ment touché par la lé
dépend pas de lésions sur place, mais du foyer profond au niveau du
pli
courbe et des lésions corticales du lobule fusifo
cke (pâleur de la pariétale supérieure et de la partie adjacente du
pli
courbe, de la partie inférieure du lobule lingu
partie supérieure du gyrus supra- margiualis, la majeure partie du
pli
courbe et la totalité des trois circonvo- lutio
antérieure de la deuxième circonvolution occipitale, la totalité du
pli
courbe, le pied de la deuxième circonvolution t
on temporale. Dans le lobe occipital (Fig. 2), la lésion détruit le
pli
courbe et la deuxième circonvolution occipitale
tral, la circonvolution pariétale supérieure, la partie antérieure du
pli
courbe. la partie postérieure des deuxième et t
ramollissement a entraîné la disparition de la presque totalité du
pli
courbe et de la deuxième temporale, il détruit pr
e sagittale interne ; elle renferme les radia- tions thalamiques du
pli
courbe et en outre des radiations calleuses qui s
sur la coupe précédente,mais le gyrus supramarginalis a remplacé le
pli
courbe et la première circonvolution tem- poral
té intéressées par le ramollissement. Nous avons vu qu'au niveau du
pli
courbe, la lésion s'étend dans la profondeur ju
ke avec décoloration con- sécutive des circonvolutions supérieures (
pli
courbe et circonvolution pariétale supérieure).
proviennent de toutes les circonvolutions occipitales, ainsi que du
pli
courbe, de la partie postérieure des deuxième et
oppement. Les fibres de ce faisceau proviennent en grande partie du
pli
courbe et du gyrus supramarginalis, elles se rend
se terminent dans les circonvolutions supérieures;le la convexité (
pli
courbe, gyrus supramarginalis). A la suite de l
la suite d'une lésion profonde du pied de la première temporale, du
pli
courbe et de la partie adja- cente de la deuxiè
e. Cg : cingulum. 212 LASALLE-ARCHAMBAULT . supramarginalis, le
pli
courbe, la partie postérieure des. deuxième et tr
s idées se rapprochent des nôtres. Dans un cas de ramollissement du
pli
courbe et de la deuxième circonvolution tempora
et des yeux, abaissement de la commissure la- biale, effacement des
plis
cutanés' de la face à droite. Pas de troubles pup
e paraît abolie des deux côtés, mais l'examen est fort difficile. Les
plis
naso-labiaux sont effacés ; le visage est bouff
races de l'ancien noevus pigmentaire auquel fait suite au niveau du
pli
du coude un noevus pilaire,et recouverts à la p
es maladresses : il NOUVELLE Iconographie de la Salpêtrière T. XIX.
Pli
. XLVI E F G H EVOLUTION D'UN CAS DE MAL
ion n'était pas liée à la destruction du centre visuel des paroles (
pli
courbé),mais à la rupture des communications entr
ne (à l'exception d'une plaque au ni- veau de la face antérieure du
pli
du coude qui reste sensible). Elle est nettemen
n haut par une ligne qui suit la limite supérieure des fesses et le
pli
de l'aine de chaque côté; l'anesthé- sie n'exis
que l'on distingue difficilement sur la reproduction ci-contre. Les
plis
de la tapisserie ont en effet empêché la mise au
occipital ; en avant viennent s'ajouter les fibres du précunéus, du
pli
courbe, des circonvolutions pariétales supérieure
la couche sagittale externe occipitale. Nous acceptons cependant le
pli
courbe qui est compris dans la note de notre di
aites en jouant sur la face dorsale de la main droite. Au niveau du
pli
du coude, des deux côtés, deux petites plaques
pariétale ascendante; Pi, lobule pariétal supérieur; P2, lobule du
pli
courbe ; Pa, pli courbe. Le ramollissement est
ante; Pi, lobule pariétal supérieur; P2, lobule du pli courbe ; Pa,
pli
courbe. Le ramollissement est représenté par le
s ne veulent pas vieillir et ils ne savent pas vieillir, le moindre
pli
du visage, la moindre décoloration du système p
ol. La pre- mière circonvolution frontale envoie dès son origine un
pli
long, sinueux, mais unique à la deuxième fronta
s unique à la deuxième frontale. Dans une partie de sa longueur, ce
pli
double la circonvolution, puis elle se compose
e pli double la circonvolution, puis elle se compose de deux petits
plis
transversaux dontle postérieur donne naissance
x petits plis transversaux dontle postérieur donne naissance à deux
plis
antéro-postérieurs qui viennent en forme de croch
ntéro-postérieurs qui viennent en forme de crochet s'insérer sur un
pli
antéro-postérieur de la deuxième qui naît de la
ontale. La deuxième circonvolution frontale comprend à l'origine un
pli
transversal assez volumineux qui, en bas, s'abo
vec la troisième circonvolution frontale. Delà partie moyenne de ce
pli
part la deuxièmecircomo- lution frontale qui va
mecircomo- lution frontale qui va directement en arrière, reçoit le
pli
de pas- sage de la première circonvolution fron
emière sinuosité, puis une seconde, dont le sommet reçoit le second
pli
de la première frontale, puis vient s'insérer s
le ascendante. A un centimètre de sa partie inférieure part un gros
pli
de passage qui l'unit au pli pariétal inférieur
e de sa partie inférieure part un gros pli de passage qui l'unit au
pli
pariétal inférieur. Ce pli interrompt la scissu
t un gros pli de passage qui l'unit au pli pariétal inférieur. Ce
pli
interrompt la scissure interpariétale qui se trou
et se prolongeant avec la branche transversale du sillon médian du
pli
pariétal supérieur; cette partie delà scissure
ond qui le divise presque entièrement en deux parties; il envoie un
pli
de passage au pli courbe et en reçoit un du pli
presque entièrement en deux parties; il envoie un pli de passage au
pli
courbe et en reçoit un du pli pariétal supérieu
rties; il envoie un pli de passage au pli courbe et en reçoit un du
pli
pariétal supérieur; celui-ci est sinueux, mais mo
; celui-ci est sinueux, mais moins volumi- neux que l'inférieur. Le
pli
courbe est plissé, et n'offre rien de particuli
l'insula est bien développé; il reçoit de la première temporale un
pli
de passage volumineux, bifurqué à sa base. Face
e. Le lobe paracentral est épais, long, bien développé; au 'lieu du
pli
longitudinal qu'il présente ordinairement, on obs
u du pli longitudinal qu'il présente ordinairement, on observe deux
plis
transversaux dans l'axe postérieur assez profond
e cal- carine sont normaux. - Le lobule fusiforme envoie en haut un
pli
de passage à la circonvolution de l'hippocampe.
très dévelop- pée, très sinueuse, surtout en avant; elle envoie un
pli
de passage en haut et vers le tiers antérieur à
iétal inférieur, la partie la plus antérieure du lobe occipital, le
pli
courbe, la partie postérieure du lobule pariétal
l, l'autre est très atrophiée, réduite à l'état membraneux. Tout le
pli
courbe est très atrophié et réduit à l'état mem
use, profonde; elle est interrompue vers son tiers antérieur par un
pli
de passage allant de la première frontale à la
résentant des types anormaux de circonvolu- tions, sous la forme de
plis
de passage insolites. Tel cet hémisphère gauche
al de la Société. Les mémoires manus- crits seront accompagnés d'un
pli
cacheté avec devise, indiquant les noms et adre
çures plus ou moins profondes, des ulcérations siégeant au niveau des
plis
naturels de la peau, constituant une sorte de mal
tait, à cette époque, à la main gauche, au talon de la main, dans les
plis
digito-palmaires du pouce, du médius et de l'annu
au de corne coiffant à plat le sommet du moignon. La peau a perdu ses
plis
et ses stries, et n'est pas adhérente aux tissus
'a eu aucun panaris, présente le même aspect dépourvu de stries et de
plis
que le médius et l'annulaire. Le pouce n'a rien d
une différence. A la face palmaire, la distance qui sépare le premier
pli
digital du troisième, et dernier est différente à
centuée. En avant, au contraire, saillie très prononcée au-dessus des
plis
de flexion du poignet. Le poignet est plus cylind
e la main est également gonflé, la peau est tendue et ne fait plus de
plis
comme au côté opposé. La peau en général est li
é. La peau en général est lisse, un peu luisante, les stries et les
plis
sont effacés. Ce gonflement est dur, l'impressi
apparence d'un raccourcissement du membre avec un peu d'effacement du
pli
fessier droit et d'abaissement apparent du pli ga
un peu d'effacement du pli fessier droit et d'abaissement apparent du
pli
gauche, en même temps que torsion de la colonne v
uisse droite, où il existe une plaque d'anesthésie remontant jusqu'au
pli
inguinal et au bord supérieur de Fos coxal, se pe
hésie qui occupe la face antéro-externe du membre, remontant jusqu'au
pli
de l'aine et occupant le domaine du nerf musculo-
nets de paralysie faciale nucléaire. Le front présente à peu près ses
plis
transversaux normaux. L'œil se ferme entièrement
on voit la commissure gauche se relever notablement et s'entourer de
plis
en demi-cercle. A droite, les muscles du menton
rir les yeux démesurément — et vous constaterez en même temps que les
plis
transversaux du front sont beaucoup plus marqués
de ce sourcil abaissé et vers son extrémité nasale, deux oil trois
plis
verticaux dont l'un très apparent limite en dedan
l était encore notablement plus élevé que du côté sain. En outre, les
plis
verticaux du sourcilier, la petite fossette faisa
environ au-dessus de a ligne sourcilière et limitée en dedans par un
pli
vertical. Ce pli vertical parallèle à deux ou tro
s de a ligne sourcilière et limitée en dedans par un pli vertical. Ce
pli
vertical parallèle à deux ou trois autres plis mo
par un pli vertical. Ce pli vertical parallèle à deux ou trois autres
plis
moins saillants est situé à deux centimètres à ga
nt. Cet abaissement du sourcil, cette fossette sus-sourcilière et ces
plis
verticaux qui semblent dus à une contracture du m
c. of London. XXXIX. 2 Thèse de Paris. "J890, p. 188. 3 P. 184.
pli
pour soulever un fardeau très lourd ; il en était
ts sont volumineux, comme boursouflés; la peau est plus rugueuse; les
plis
de la surface palmaire sont plus profonds; bref l
s dans presque toute leur étendue, le lobule pariétal inférieur et le
pli
courbe. Veuillez remarquer, je vous prie, que la
t également complètement pris. La face est dépourvue de rides et de
plis
, l'air expiré soulève la joue, les lèvres du côté
, noyau ambigu. io, couche interolivaire (diminuée à gau- che).
Pli
, pyramide (aplalie à gauche). Oia, olive inféri
nt-bras droit, on remarque deux cicatrices semblables au-dessous du
pli
du coude. Il n'y en a pas aux mains. Les membre
ques existent au dos, il la face postéro-interne de chaque bras, au
pli
du coude, à la face antérieure de l'avant-bras,
iane, au niveau de la région lombaire. La peau présente de nombreux
plis
horizontaux, et il reste une masse assez volumine
terne du deltoïde, le long de la face interne du bras, au niveau du
pli
du coude (Allas de Sappey), sur les diverses ré
la région lombaire, la région sus-ombilicale, sous-ombilicale et le
pli
du coude. Les 2 tumeurs de la région mastoïdien
rections de travail (figure d'expression uniforme, mains inhabiles,
plis
des étoiles lourdement indiqués, touches lumine
ntimètres au lieu de 48 à droite. La fesse gauche est aplatie, le
pli
interfessier plus bas et plus accusé par suite
896. Mensurations au compas d'épaisseur : Diamètre transversal au
pli
radio-carpien supérieur à droite 4 cent. 2. à g
tumeurs : l'une au-dessus de l'épitrochlée et l'autre au niveau du
pli
du coude, 2 lipomes 244 P. E. LAUNOIS ET R. BEN
des vaisseaux du bras droit, à quatue travers de doigt au-dessus du
pli
du coude, existe une petite masse allon- gée, l
le. - Des douleurs fulgurantes parcourent les membres inférieurs du
pli
de l'aine aux genoux ; leur acuité est telle que
sommaire précédent de Kroenig, nous ajoutons les détails suivants :
Plis
cutanés abdominaux. Rapprochement considérable du
antérieure, à peu près à la hauteur de l'ombilic, on remarque deux
plis
profonds de la peau à ce niveau, indiquant un rap
ent considérable du thorax et du bassin s'accuse par la présence de
plis
cutanés symétriques, de profondeur variable. Da
clavé dans le bassin. Hémi-thorax droit dévié en avant et à gauche.
Plis
cutanés et abdomi- naux. Colonne cervicale et
déviations résulte naturellement la formation d'un grand nombre de
plis
cutanés de la paroi abdominale, situés au-dessu
ît en totalité la déviation latérale gauche du thorax : on voit les
plis
cutanés déjà mentionnés plus haut, au-dessus de
ivants : Attitude penchée en avant. Abaissement de l'épaule droite.
Plis
cutanés loin- baires droits. Ligne médiane du t
avers de doigt, à peu près au-dessus de l'ombi- lic, on remarque un
pli
cutané peu profond allant de droite à gauche. La
autre part, on remarque dans la région lombaire droite une foule de
plis
cutanés en diagonale, qui laissent pré- sumer d
te est considérablement attirée en haut : on y voit six à sept gros
plis
cutanés qui vont s'épanouir en éventail dans la r
. Attitude voûtée. Contact du rebord costal et de la crête iliaque.
Pli
cutané abdomi- nal. Scoliose cervico-dorsale
tte flexion exagérée du thorax sur le bassin se traduit par un seul
pli
profond de la paroi abdominale. Examinée 278 JE
Dans la station debout, cette longue cyphose s'accentue encore. Le
pli
cutané abdominal devient plus profond, les écha
n angle de 75 à 80°. Le ventre est tombant, proéminent, sillonné de
plis
sus-ombilicaux, les lombes et le bassin sont chas
. L'opéxé ne partage pas cette quiétude ; ses yeux convulsés et les
plis
de son front indiquent assez son angoisse et sa
PS, lobule pariétal supérieur; l'r, lobule pariétal inférieur; PC,
pli
courbe; ° : 1' deuxième mr- convolution occipit
embroche un peu la deuxième circonvolution occipitale, au-dessous du
pli
courbé. Voici une lésion qui présente donc un t
ouva que l'abcès intéressait plutôt le lobe occipital et le lobule du
pli
courbé (l'altération de cette circonvolution en
sait pas en avant ni en arrière une ligne circulaire passant par le
pli
de l'aisselle (PL LVII). La consistance était
ras. Si bien que si l'on mesure la main de l'extrémité du médius au
pli
du poi- gnet on trouve quatorze centimètres à d
inférieure brusquement coupée à 3 centimètres au-dessous du premier
pli
du poignet, rien ne rappelle la disposition ordin
voit seulement un vague prolongement venir se perdre au niveau des
plis
du poignet jusqu'au contact du radius. Les autres
d'un seul côté ou des deux côtés. La paroi abdominale se plisse en
plis
transversaux plus ou moins nombreux et profonds
re. Entre les deux, l'abdomen est raccourci : il disparait sous les
plis
cutanés qui rident sa paroi : ces replis sont t
ré d'amyasthénie à gauche. La commissure labiale est abaissée et le
pli
uaso-génien est moins profond de ce côté, le dyna
teur , commun qui innerve la paupière supérieure. ". A gauche les
plis
du front sont violemment marqués, le malade s'est
n lui fait montrer les dents, la commissure droite des lèvres et le
pli
naso-génien restent abaissés. La langue est dévié
fente de la paupière droite est plus large que celle de gauche, le
pli
naso-génien à droite est un peu plus abaissé qu
Les pupilles également dilatées réagissent à la lumière. A gauche, le
pli
naso-génien est tiré, effacé. Les extrémités ga
à peu près normale ; leur surface cutanée est blanche, lisse, sans
plis
, avec un développement exagéré de poils follets
ux se contractent, contraction que rendent évidente l'apparition de
plis
transversaux sur le front et le soulèvement bil
contraction adjuvante du frontal qui se manifeste par l'apparition de
plis
transversaux sur le front et par le soulèvement
me une pièce de un franc, peu colorée et mal limitée. Au niveau du
pli
du coude droit, une masse sous-cutanée faisant sa
diquent l'absence d'une surdité nerveuse simultanée, la section de ce
pli
, saillant en arrière de la courte apophyse, peut
irconvolution temporale borde la scissure de Sylvius, d'où son nom de
pli
marginal inférieur de Gratiolet. Du pôle temporal
ns temporales profondes ou transverses de Heschl, constituées par les
plis
de passage temporo-pariétaux. La deuxième circo
parallèle. Elle se perd en arrière au niveau de la circonvolution du
pli
courbe. La troisième circonvolution temporale a
a grande circonvolution limbique de Broca par l'intermédiaire de deux
plis
de passage, cunéo-limbique et rétro-limbique, ou
gyrus supra-marginalis; le segment postérieur, le gyrus angularis ou
pli
courbe, qui coiffe fa portion verticale postérieu
images visuelles des mots est situé au niveau de la circonvolution du
pli
courbe. Sa lésion produit la cécité verbale. Ce
e motrice ; centre de Wernicke, en continuité avec la zone auditive ;
pli
courbe, contigu à la zone visuelle. Ces centres s
de la première temporale; la cécité verbale domine avec une lésion du
pli
courbe, mais toujours en même temps on trouve tou
ique jusqu'aux deux premières temporales, les trois occipitales et le
pli
courbe ; b) Le faisceau uncinatus, reliant le p
ale pure, la lésion a détruit les fibres d'association qui retient le
pli
courbe au territoire de la scissure calcarine des
, il faudra trépaner au niveau du centre de Broca (cas clePicqué), du
pli
courbe ou du centre de Wernicke. Nous avons vu, e
bord inféro-externe de l'hémisphère, est interrompu en arrière par un
pli
de passage; il sépare les deuxième et troisième c
ois circonvolutions, une partie du lobe pariétal (gyrus ancjalaris ou
pli
courbe), et, en avant et au-dessus de la scissure
" le centre des images visuelles des mots, qui se trouve au niveau du
pli
courbe ; 3° le centre des images motrices d'artic
est exactement limitée aux muscles des mains et ne dépasse pas les
plis
articulaires des poignets. Il n'existe aucune m
t rouge, violacée, chaude, raidie; il était impossible d'y faire un
pli
; il semblait au malade que cette partie du memb
à gauche. 11 est plus facile de plisser la peau de ce côté et le
pli
est plus gros. Les fosses sus et sous-épi- neus
pour s'y faire traiter. Il représentait à ce moment le type accom-
pli
de la cachexie morphinique. M. Comar l'a traité p
b) Déviation conjuguée de la léte et des yeux dans les lésions du
pli
courbe. Grasset et Landouzy, presque en même te
a circonvolution qui coiffe le fond de la scissure de Sylvuis et le
pli
courbe (Grasset). Cette localisation fut admise
rationnelle, à la lumière des notions nouvelles ? Les lésions du
pli
courbe déterminent de la déviation conjuguée, mai
d'une façon inconstante. Rappelons d'abord que ces mêmes lésions du
pli
courbe déterminent aussi d'une façon incons- ta
a tête et des yeux. Faut-il généraliser et dire que si la lésion du
pli
courbe détermine de la déviation oculaire, c'est
s donc tenté d'admettre la progression suivante pour les lésions du
pli
courbe : une lésion très superficielle et légèr
isons cependant qu'il n'y a rien d'irrationnel à prolonger jusqu'au
pli
courbe le centre postérieur des mouvements des
vante : La déviation conjuguée des yeux, consécutive aux lésions du
pli
courbe, est due à la suppres- sion fonctionnell
hérique, respecte le centre postérieur sensorio-moteur ainsi que le
pli
courbe. Il s'agit alors d'une lésion soit des c
habituellement asso- ciée à l'hémiplégie motrice, sans lésion ni du
pli
courbe, ni du lobe occipital, est produite par
du releveur a été localisé par Grasset' et Lan- douzy2 au niveau du
pli
courbe, par les auteurs anglais (Ferrier, de Bo
gion par la majorité des auteurs. Cependant Mendel le,localise au
pli
courbe, en se basant sur des expériences d'Exner
teur postérieur. Ce dernier, il est vrai, ne siège pas au niveau du
pli
courbe, mais à la face interne du lobe occipita
tal ; les fibres centrifuges qui en partent pas- sent au-dessous du
pli
courbe, d'où les effets des lésions et des exci
bras gauche, el, l'autopsie, en même temps, qu'un ramollissement du
pli
courbe, montra une hémorragie du pied de la deu
us en avant la partie supéro-interne de la couche optique. « Sur le
pli
de passage du lobule pariétal supérieur avec la
it la déviation conjuguée des yeux, et l'hémianopsie. La. lésion du
pli
courbe agit de même par l'intermédiaire des fib
s d'énergie que l'orbiculaire gauche. Effacement des sillons et des
plis
de la ' face à droite ; déviation de la commiss
limité et l'on voit quelques poils aberrants de chaque côté dans le
pli
abdomino-crural. Les poils se retrouvent au périn
dans une veine- LÉSIONS EXCLUSIVES DES CORNES ANTÉRIEURES. 365 du
pli
du coude avec toutes les précautions d'usage (ser
stades de polypnée et de pause respiratoire. A. Fenayuou. LIV. Les
plis
cutanés formés par les adducteurs de la cuisse da
la cuisse, à trois ou quatre centimètres au-dessous du périnée, un
pli
de la peau : c'est le pli des adducteurs. Chez le
tre centimètres au-dessous du périnée, un pli de la peau : c'est le
pli
des adducteurs. Chez les REVUE DE PATHOLOGIE NE
lieu chez les nourrissons. La fossette de l'adulte provient bien du
pli
cutané des nourrissons car l'étude des enfants
s âgés. Si l'on constate des différences de hauteurs notables de ce
pli
chez les nourrissons et les enfants.qui marchen
inuent progressivement chez les enfants plus âgés. L'abaissement du
pli
cutané des adducteurs tient et à la modificatio
et aux extenseurs de la jambe, modifie la forme et la situation du
pli
cutané des adducteurs. Leur paralysie, dans la
adducteurs. Leur paralysie, dans la poliomyélite, se traduit par un
pli
cutané plus superficiel et plus bas que du côté
cinq à dix millimètres, et, parfois au-dessous, se forme un second
pli
moins creux, ce dernier surtout chez les enfants
out cas, il existe un spasme considérable des adducteurs. Le second
pli
doit tenir à la place où le bord inférieur du cou
cupe la tumeur' ? L'absence d'alexie proprement dite indique que le
pli
courbe est peu lésé, et que, par suite, c'est l
s les points d'élection accessibles à la pression; un effacement du
pli
nasolabial gauche; du nystagmus de l'oeil gauch
lomouson, 317. Deux cas de bizarres, par Prl'obrajenski. 333. Les
plis
cu- tanés des inducteurs dans la infantile, p
e l'homme, texte, p. LXXIII), sur les suppléan- ces réciproques des
plis
et des sillons. Hémisphère droit. Face externe
; elle soulèverait en outre di- verses objections secondaires. Le
pli
courbe (Pc) élant repéré à l'extrémité posté- P
), on peut fixer aux points marqués G mu et op 1'' ? , le lobule du
pli
courbe (gyrus supra-marginal) et l'opercule par
, dans cette hypothèse, qui paraît pourtant la plus plausible, le
pli
courbe ne présente pas ses rapports habituels ave
leurs, n'atteint pas la face externe) et l'on cherche vainement les
plis
verticaux deGromier sur le trajet du sillon inl
qu'au corps calleux, aune petite distance duquel il se bifurque. Un
pli
de passage volu- mineux l'unit à la circonvolut
it à la circonvolution frontale interne ( ? .F7). ). En avant de ce
pli
, un sillon compliqué et très pro- fond peut êtr
son extrémité antérieure, au niveau de laquelle il n'existe pas de
pli
de passage pariéto-occi- pital, etqui se contin
'hémisphère : elle se divise en 2 branches qui limitent en avant un
pli
très large et fortement con- tourné : celui-ci
- phère, unit P' à 01 : on ne saurait cependant l'homo- loguer au
pli
pariéto-occipital interne et supérieur de Grati
terne et supérieur de Gratiole. La calcarine (lui) est normale. Les
plis
de passage cunéo-limbiques font naturellement d
e passage cunéo-limbiques font naturellement défaut; il existe un
pli
de passage cunéo-lingual à peiné saillant sur l
e pas, même HÓUAGÉNÉSIE CÉRÉBELLEUSE. 77 dans sa profondeur, de
pli
de passage rétrolimbique ; elle isole donc comp
endante, s'unit en dehors à la cir- convolution sous-jacente par un
pli
de passage li- mité pas l'anfractuosité sulcifo
a circonvolution qu'il limite en bas, par exemple celle d'un simple
pli
de passage temporo-limbique (- tl). Hémisphère
on distingue dans sa profondeur plusieurs saillies arrondies et des
plis
de passage. Le sillon très oblique (R ? ) qui e
ce sillon comme se conti- nuant plus bas, après interruption par un
pli
de passage (marqué 11) unissant, indirectement,
pression. Vers son ex- trémité supérieure, R est interrompue par un
pli
de passage mi-profond, invisible sur la figure
serait en op P2, et l'opercule pariétal serait représenté par le
pli
situé entre le précédent et le gyrus supra- mar
ism e de Jensen (J ? ); indépendance et com plexi té des sillons du
pli
courbe (Pc) qui ne dépendent HEMtAGKNÉSIE CÉR
? ;- extrême minceur de TI et fusion de t avec t 9 2 au-dessous du
pli
courbe. Face interne (fig,12 et 13). Comme sur
te du sillon cal- loso-marginal (c m ? ). Il en est de même pour le
pli
pariéto-limbique antérieur ( -p la). Quant au p
t de même pour le pli pariéto-limbique antérieur ( -p la). Quant au
pli
oc- ARCHIVES, 2° série 1906 t. XXII. 6 82 A
906 t. XXII. 6 82 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. cupant la situation du
pli
pariéto-limbique postérieur, sa détermination e
est naturellement purement conven- tionnelle, de même que celle des
plis
cunéo-limbiquc et rétro-limbique. La scissure p
imbique. La scissure pariéto-occipitale ne pré- sente qu'un on deux
plis
de passage très profonds, à peine visibles ; so
ns complexes. Il s'unit directement à la deuxième limbiquc par deux
plis
très contournés. Le lobule fusiforme, nettement
en avant avec T '. Le sillon de Pansch n'est interrompu que par un
pli
de passage très mince mais absolument superfici
sch. La troisième temporale s'unit au contraire v 1' 2 par un large
pli
situé vers le tiers moyen du lobe. La circonv
est notablement plus petite que la droite; à remarquer aussi les
plis
verticaux du front. Les muscles de la joue gauc
odique plus accusé encore lorsque le malade parlait ou souriait. Le
pli
naso-génien était plus marqué de ce côté. Il
la jambe droite. Les rétlexes roluliens sont à peine exagérés. Le
pli
naso-génien droit est abaissé et très légèrement
e facial inférieur est paralysé ; la langue est déviée à gauche; le
pli
naso-génien gauche est abaissé et elfacé. Le faci
Le facial inférieur est paralysé. La bouche est tirée à droite, le
pli
naso-génien est plus marqué du côté droit; la lan
it est paralysé. La commissure labiale de ce côté est abaissée ; le
pli
naso-génien gauche est plus accentué que le dro
; la déformation est surtout accentuée quand la malade parle : les
plis
de la face du côté droit sont alors beaucoup pl
du facial inférieur. La commissure buccale droite est abaissée; le
pli
naso-génien est moins profond; la langue est dé
aralysé, La bouche est inclinée et abaissée vers le côté droit ; le
pli
naso-gémen est exagéré; la face semble tirée ve
al inférieur gauche. La commissure buccale gauche est abaissée ; le
pli
naso-génien est effacé ; la langue est déviée à
hémiplégique gauche depuis dix ans. Amélioration progressive. Le
pli
naso-génien gauche est abaissé, mais non effacé,
ale gauche est abaissée, la joue gauche est flasque et tombante. Le
pli
naso-génien gauche est abaissé et etiacé. La la
asie motrice en décembre 1897. Joue droite flasque et tombante ; le
pli
naso-génien droit est bien' marqué, mais abaiss
e gauche est abaissée ; la joue gauche est pendante et flasque ; le
pli
naso-génien est abaissé, mais plus profond qu'à
plégie gauche en 1895. Contracture très accentuée des membres. Le
pli
naso-génien gauche est abaissé et très peu marqué
t au membre supérieur. Marche très péniblement et en fauchant. Le
pli
naso-génien droit est abaissé et effacé ; la comm
il a de la difficulté à articuler certains mots. Etat actuel : Le
pli
génie-nasal gauche est presque effacé, la joue
ent combattre la conception du noyau du facial supérieur isolé au
pli
courbe (Exner, Paneth, Landouzy, Dieulafoy). Les
e dans la profondeur la rigole supérieure de l'insula. Le lobule du
pli
courbe et le pli courbe étaient sains. Si l'ob-
eur la rigole supérieure de l'insula. Le lobule du pli courbe et le
pli
courbe étaient sains. Si l'ob- servation qu'on
emier sillon temporal dont la lèvre posté- rieure était intacte. Le
pli
courbe ne présente aucune espèce de lésion. Sur
frontales à la pariétale inférieure, mais sur cette coupe encore le
pli
courbe est intact, la lésion s'arrête au premie
nce d'un autre moteur cortical pour le facial supérieur localisé ou
pli
courbe. Tout s'accorde pour démontrer sa non-ex
urée (1895) et que si certaines observations tendent à le placer au
pli
courbe, d'autres nombreuses contredisent à cett
e qui est une des principales caracté- ristiques de la maladie. Les
plis
de la peau avaient disparu au ni- veau des part
? ? Mt'(/t ? : a/) ; la quatrième correspondrait principalement au
pli
courbe. Celle-ci seule serait un territoire ter
ère visuelle, envoyer concurremment des conduc- teurs à la zone 39 (
pli
courbe et partie supérieure de la première temp
qui correspond prin- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. '159 cipalement au
pli
courbe, est aussi carticofuge, et, probablement
e; dans la région épigastrique les parois abdominales forment trois
plis
transversaux. Le type de la respiration est abd
ois de traitement les phénomènes se sont amendés en ce sens que les
plis
abdominaux ont disparu et l'excavation de la colo
es; quel- ques consonnes sont mal prononcées. Rougit facilement. Le
pli
naso-labial est quelque peu effacé. Impossible
destiné aux conceptions verbales, est loca- lisé dans la région du
pli
courbe (gyrus supramarginalis et supraangularis
ssociation se produisant dans les lésions de la circonvolu- tion du
pli
courbe (g. supramarginalis). Malgré le pouvoir de
association ou cécité verbale d'asso- citation en cas de lésions du
pli
courbe (g. supraangularis). Le malade lit les l
e mendi- cité, dans les prisons civiles et militaires. Le voeu de
M. Pli
. Rey est ensuite adopté. Syndrome urinaire neur
Le sang puisé avec toutes les précautions d'usage dans une veine du
pli
du coude et ensemencé dans du bouillon, donne,
illeurs2, leur paroi postérieure est mince, fragile et présente des
plis
plus ou moins réguliers, destinés à disparaître
ppés dans le feuillet moyen, se sont accumulés en abondance dans ce
pli
, et refoulent de plus en plus la mince paroi cé
llon est dû simplement à l'accroissement en épaisseur de l'un des
plis
qui le limite et, quoiqu'il n'ait peut-être pas
36 millimètres; y, vaisseaux placés dans le sillon qui sépare deux
plis
, lesquels vont former les deux circonvolutions
d'un dépôt croupal ou 86 RECUEIL DE FAITS. purulent, au niveau du
pli
de passage de la 2e circonvolution fron- tale à
olution fron- tale à la marginale antérieure, et aussi au niveau du
pli
de passage de la 3° circonvolution- frontale av
s toute sa longueur; elle est presque réduite en putrilage, vers le
pli
sourcilier. Lobe pariétal : ramollissement de l
ai sur l'étiologie et la pathogénie de l'élél)hai2liasis des Arabes ;
pli
A. CLARAC (thèse de Paris, 1881). Contributio
fortement épaissis; l'extension de la tête détermine à la nuque des
plis
très profonds. Sur le tronc, le système pileux
s avec les parties profondes, et il est très difficile d'y faire un
pli
. Les mamelles sont dures, gonflées. Dans plusie
rtie inférieure de la frontale et de la pariétale ascen- dantes, le
pli
qui unit l'extrémité inférieure do ces deux cir-
ces deux cir- convolutions ; 3° la plus grande partie du lobule du
pli
courbe (PL. VI, P 2). Le lobule de l'insula. da
n temporale dont l'extrémité posténeuie est lésée. P 2, lobule du
pli
courbe. L. 0, lobe oibilaire (face intérieure d
Pendant qu'on nettoyait D..., il s'est ouvert un petitabcès dans le
pli
interfessier, un peu à gauche. -1 gr. 50 d'ipéc
as d'altération. Le cervelet et l'isthme réunis pèsent z0 gr. ; les
plis
du cervelet offrent au toucher une dureté assez
trouvé 93t sillons surnuméraires à droite, et 1,005 à gauche ; 617
plis
de passage et d'anastomose à droite et 621 à ga
les variétés des sillons sont un peu plus fréquentes que celles des
plis
de passage ; la moyenne pour les sillons est de
l'hémisphère gauche, et de 5,67 pour l'hémisphère droit, celle des
plis
serait de 3,76 égale pour l'un et l'autre hémis
illons confluents, on devrait plutôt les considérer comme ayant des
plis
anastomotiques plus fréquents; mais en somme il
a raison que l'indication du siège des altérations à la surface des
plis
cérébraux ne présentait pas la précision nécess
. Les mémoires doivent être revêtus d'une épigraphe, répétée sur un
pli
cacheté, renfermant le nom et l'adresse des ail
sur un pli cacheté, renfermant le nom et l'adresse des ailleurs. Le
pli
annexé i un travail couronné est ouvert en séan
'une récompense seulement est accordée à un mémoire de concours, le
pli
qui y est joint n'est ouvert du';1 la demande d
36 millimètres ; ? vaisseaux placés dans le sillon qui sépare deux
plis
, lesquels vont former les deux circonvolutions
T=, deuxième cireomolution temporale dont est lésée -, lobule du
pli
combe. 0, lobe orbitaire (face intérieure du lo
e grise ainsi qu'au niveau de l'extrémité postérieure de T2, sur le
pli
pariétal inférieur et le pli courbe. - Pas de d
l'extrémité postérieure de T2, sur le pli pariétal inférieur et le
pli
courbe. - Pas de dilatation du ventricule latéral
oter. L'abc(ornen présente une cicatrice opératoire, au-dessus du
pli
de l'aine, à gauche, consécutive à l'opération d'
des lobes frontaux, quelques-unes vers le lobule paracentral et le
pli
pariétal supérieur. Au-dessous de la faux du ce
est proéminent, on ne trouve au- cune trace de hernie. Au niveau du
pli
de l'aine on remarque l'existence d'une adipose
ont rarement atteint la forme extrême. De plus la synostose COM-
PLI
;TE est extrêmement exceptionnelle un seul cas s
'P, première, deuxième, troisième circonvolutions frontales. Il ?
pli
pariétal supérieur. P2.. pli pariétal inférieur
me circonvolutions frontales. Il ? pli pariétal supérieur. P2..
pli
pariétal inférieur. ' P3., pli courbe. Se., t
Il ? pli pariétal supérieur. P2.. pli pariétal inférieur. ' P3.,
pli
courbe. Se., t ? , scissure temporale. L. Oc.
tère ou avant-coin. 0., coin. 1, c a., fissure calcarine. p p a
pli
pariéto-limbique antérieur, p p p., pli pariuto
fissure calcarine. p p a pli pariéto-limbique antérieur, p p p.,
pli
pariuto-limbique postérieur. C.C., corps calleu
lvius. F1, F2, Fla. , 1,-e, 2e, 3c circonvolutions frontales. P ?
pli
pariétal supérieur. P2., p i pariétal inférieur
. P ? pli pariétal supérieur. P2., p i pariétal inférieur. P3.,
pli
courbe. F. A., circonvolution frontale ascendan
calleux. C. C. ( ? , circonvolution du corps calleux. p. p. a. ,
pli
pariéto-limbique antérieur. p. p. p. , pli pair
ps calleux. p. p. a. , pli pariéto-limbique antérieur. p. p. p. ,
pli
pairéto-limbique postérieur. P. , pédoncule.
e postérieur. P. , pédoncule. 0..\. , corne d'Ammon. p. f. 1. ,
pli
frontal limbique. G. R. , gyrus rectus. F. c.
Barrs, plaçait sa main rebelle entre ses genoux, ou crispée sur les
plis
d'un vêlement. Une de mes malades (obs. 2) usait
rs on voit la bouche s'ouvrir; se fermer et le front se plisse, les
plis
naso-labiaux et naso-jugaux se creusent alterna
ieure de la co- lonne vertébrale. On voit à la partie inférieure du
pli
inter-fessier une dépression en forme de vulve
ennedontje viens de déter- miner les deux points extrêmes, coupe le
pli
de l'aine en son milieu et aboutit en arrière a
ntérieures et supérieures à cinq centimètres au-dessus du milieu du
pli
de l'aine. En ar- rière le sacrum est également
es et l'a- baissement du bassin a pour conséquence une obliquité du
pli
fessier qui ARTHROPATHIES COXO-rÉMURALGS. 129
t par la descente de l'ischion qui maintient l'extrémité interne du
pli
fessier. Avec le bassin, tout le torse est desc
s ici. La dernière qui termine le tronc par en bas aboutit juste au
pli
fessier, point de repère important à cause de s
e membre inférieur, comme le torse, mesure quatre têtes, du sol, au
pli
de l'aine en sa partie médiane qui répond dans la
es rapports avec le bassin sont intéressants à noter. Elle coupe le
pli
de l'aine en son milieu. L'épine iliaque antérieu
a face postérieure le membre inférieur mesure 3 têtes 1/2 du sol au
pli
fessier, ce qui donne 1 tête 1/2 à la longueur de
que cette ligne, chez l'homme normal, répond en avant au milieu du
pli
de l'aine et qu'elle aboutit en arrière au somm
plus haut, elle est au niveau des épines iliaques, et le milieu du
pli
de l'aine par où elle devrait passer est situé à
in- terne.et postérieure. De l'interligne articulaire du genou au
pli
fessier, la cuisse, d'après le ARTHROPA'11111 :
ences morphologiques de cette descente du bassin est l'obliquité du
pli
fessier de bas en haut et de dedans en dehors q
ier de bas en haut et de dedans en dehors que l'on constate ici. Le
pli
fessier chez l'homme normal est horizontal. On
iliaque et le rebord costal du côté sain, par- fois la formation de
plis
horizontaux dans le flanc correspondant, sont. le
u prononcés, la peau est restée assez élastique et ne garde pas les
plis
qu'on y fait, la langue n'est pas sèche ni l'hale
les doigts réunis. Circonférence du bras à sa racine 16 1/2 c. du
pli
du coude 15 1/2 c. du poignet il 1/2 c. Pas d
gras il la coupe. Rein droit. j (50 gr. ) normaux la coupe, pas de
plis
, se décorti- Rein gauche. 1 quent facilement.
e, péricarde normal. Estomac. Pas de lésion ; la muqueuse forme des
plis
nombreux dus à la rétraction de l'organe. Pan
mme précédemment. Le torse mesure plus de quatre têtes du vertex au
pli
fessier. Les sub- divisions sont il peu près le
nt, en ar- rière, à la partie inférieure de la fesse et non plus au
pli
fessier. La cinquième division coupe la cuisse,
coupant les fesses à leur partie inférieure, notablement au-dessus du
pli
fessier. Mais supérieurement la délimitation es
ite le torse par en bas ne l'est plus, car elle correspond juste au
pli
fessier, ce qui fait le torse trop court. Pour
rigide. La hanche et le genou sont donc maintenus en extension ; le
pli
inguinal est plus accentué à droite qu'à gauche e
pléiade de ganglions lymphatiques durs et volumineux siégeait dans le
pli
de l'aine : de grosses veines sillonnaient le scr
se forma quelques fissures très-douloureuses sur la marge et dans les
plis
de l'anus. Cette complication céda bientôt à des
c'était en mars 1868, nous aperçûmes une rougeur considérable dans le
pli
de l'aine gauche, sur la face interne de la cuiss
e parfaitement sec, se développant souvent en même temps que celui du
pli
de l'aine, mais ne donnant pas lieu comme lui au
bien confirmé dont la surface était celle du scrotum tout entier, du
pli
de l'aine gauche et d'une partie de la verge. M.
ntenu en haut par des bretelles, en bas par des liens passant dans le
pli
de l'aine, se trouvait parfaitement immobilisé, m
depuis le talon de la main jusqu'à 3 centimètres environ au-dessus du
pli
supérieur du poignet. Pen¬dant cinq ou six mois i
ns le sens transversal, ni dans le sens longitu¬dinal. Au sommet du
pli
palmaire supérieur existe l'ouverture d'un trajet
sse en le poussant de haut en bas, on peut le faire parvenir jusqu'au
pli
palmaire inférieur. Dirigé de bas en haut, le sty
aire du carpe et descend dans la paume de la main jusqu'au ni¬veau du
pli
moyen. Elle est limitée, en dehors et en dedans,
imètres de profondeur : en le retirant, on remarque à sa sur¬face des
plis
qui rappellent les replis de Douglas. Cette lame
roit gorgés de sang noir coagulé. — Tube digestif: estomac à demi rem¬
pli
d'aliments; l'intestin grêle, rouge extérieuremen
centim. 22 centim. Circonférence du bras immédiatement au-dessus du
pli
du coude............... 24 — 20 — Circonférence
ideau commençant un peu à gauche de la symphyse du menton et dont les
plis
, verticaux ou obliques vers la droite, ont d'abor
uteur, puis augmen¬tent rapidement de longueur, de telle façon que le
pli
principal a 3 centimètres d'avant en arrière et
rsque l'enfant regarde à gauche ; enfin, dans cette même attitude, le
pli
se prolonge jusqu'à l'aisselle droite, les joues
: les mouvements de la tête s'exécutaient avec plus de facilité ; les
plis
verticaux s'arrêtaient un peu au-dessus de la cla
ère. C'est à partir de cette seconde cicatrice qu'existent encore des
plis
et une bride qui remontent jusqu'au bord inférieu
de son visage qui lui donne un as- pect absolument infantile (Voir
PLI
et II).Sa taille en effet dépasse la moyenne, 1
, les masses musculaires des fesses sont très peu déve- loppées, le
pli
fessier médian est un peu asymétrique, le pli sou
peu déve- loppées, le pli fessier médian est un peu asymétrique, le
pli
sous-fessier est peu accentué : dans son ensemb
9 centimètres en longueur et 12 centimètres en largeur au niveau du
pli
de flexion des orteils. La voûte plantaire est
droit. Depuis 5 semaines, douleurs en ceinture ; elles atteignent les
plis
de l'aine. Etat actuel (16 septembre 1906). Mal
nombreuses taches brunâtres. On constate aussi des verrues dans le
pli
de l'aine gauche, sur la poitrine, sur le tronc,
mais la résistance des parois n'est pas augmentée. Les ganglions du
pli
de l'aine gauche sont mieux palpables que les dro
es douleurs ont passé. A leur place ont apparu les douleurs dans le
pli
de l'aine gauche s'irradiant vers la fesse gauche
e faciale assez évidente, le côté gauche est plus déve- loppé et le
pli
naso-labial de ce côté est plus accentué. Le sour
e ; son rire transversal, le relâchement des lèvres, l'asymétrie du
pli
naso-labial sont autant de faits qui doivent fa
r ses lèvres humides. Elle présente un véritable tic de léchage. Le
pli
naso-labial à droite est plus accusé, la bouche
amincie, cyanosée. Le tissu cellulaire a perdu toute élasticité ; les
plis
de la face dorsale des doigts sont disparus. Au
- naux rien de notable. Pas de ganglions dans l'aisselle ou dans le
pli
de l'aine. L'articulation sterno-claviculaire d
'autre (Babinski). Il n'y a jamais dans l'hystérie d'effacement des
plis
du front (Babinski), jamais de flaccidité permett
cursions exagérées les,uns sur les autres, jamais d'abaissement des
plis
cutanés.... 2° La volonté est impuissante à pro
est rapprochée de la longueur apparente, déterminée parle niveau du
pli
interdigital dorsal. 238 S C H EVALUER LA B
che, de la première et de la deuxième circonvolution temporales, du
pli
courbe, du précoin et du coin. Althaus a fait c
blement dans le mouvement des paupières. En fronçant le front, les-
plis
des deux côtés sont également manifeste. Le pli
ant le front, les- plis des deux côtés sont également manifeste. Le
pli
naso-labial [de gauche est presque entiè- remen
rsales inférieures. on voit une proéminence de la peau qui forme un
pli
assez gros dirigé avec ses deux bouts en avant.
igé avec ses deux bouts en avant. A la palpation on s'aperçoit que le
pli
est constitué non seulement par la peau et le t
droite où elle occupe la convexité du cerveau jusqu'au voisinage du
pli
courbe. Un foyer plus récent détruit la couche
scendant parallèlement à cette ligne pour venir mourir au-dessus du
pli
du coude. Ce groupe de taches est particulièrem
ations métacarpo-phalangiennes et des phalango-phalanginiennes, des
plis
très mar- qués, qui, à chaque instant, sous l'i
es étaient au contraire augmentées de longueur. Il existait un seul
pli
de flexion palmaire, trans- uersal. 446 CHEVA
Rien du côté de l'oculomotion. Dans l'acte de grincer des dents, le
pli
labial droit est un peu plus prononcé qu'à gauche
Neurol. Cblatt, 189J. (6) Touche, Cas d'aphasie sens, par lésion du
pli
courbe chez un gaucher. Soc. Biol.. 1S99. (7)
- che en bas et en dedans pour la pupille gauche), conservation des
plis
radiés de l'iris; réflexe à la lumière aboli, r
On le met mieux en évidence le poing fermé que la main étendue. Les
plis
cutanés sont plus ou moins modifiés suivant la po
droplasie qu'à l'affection typique que nous décrivons (Leboucq), un
pli
transversal coupe la partie métacarpienne de la p
aces articulai l'es dévie les rayons digitaux (main en trident). Un
pli
transversal coupe la paume de la main (Regnault
Raccourcissement des cinquièmes doigts (1) F. REGAULT, Anomalie des
plis
de la main dans l'achondroplasie et la dysoslose.
s doigts, supporté qu'il est par un métacarpien rabougri (1) ». Les
plis
digitaux restent normaux (Lannelongue). L'arr
lis est uni à la circonvolution pa- riétale supérieure par un large
pli
de passsage. Le lobe occipital pré- sente dans
subdivisées en trois parties par de courts sillons superficiels.Le
pli
courbe est traversé d'avant en arrière par un s
eure de la scissure de Syl- vius. Comme dans l'hémisphère droit, le
pli
courbe est traversé d'avant en arrière par un s
et troisième circonvolutions temporales sont reliées par plusieurs
plis
de passage. A la face inférieure de l'hémisphèr
et demi environ du bord hémisphérique, étant intercep- tées par des
plis
de passage qui relient le cunéus au précunéus au-
bule postérieur du gyrus suprarnarginalis et la partie attenante du
pli
courbe; il en résulte une décoloration notable de
nes irrégularités de l'amnios, ou du liquide amniotique ; ainsi les
plis
de l'amnios, se lianl avec les doigts, détermin
e lianl avec les doigts, déterminent la syndactylie ; au cas où les
plis
se déchirent t essr, en même temps, d'autres co
nvolutions ascendantes, la saillie plus ou moins considé- rable des
plis
de passage transversaux sont des dispositions vul
me; Anoma- lies asymétriques des circonvolutions cérébrales ; trois
plis
de pas- saga dans le sillon de Rolando ci droit
-centi- mètre environ. Le fond du sillon n'est interrompu par aucun
pli
, on n'y voit que de petits contreforts des circ
vius et la scissure parallèle sont régulières, il en est de même du
pli
courbe et de son lobule. La scissure inter- par
et de son lobule. La scissure inter- pariétale est traversée par un
pli
du passage superficiel qui réunit la partie ant
du lobule pariétal supérieur à la partie anté- rieure du lobule du
pli
courbe. Entre ce pli et la circonvolution parié
upérieur à la partie anté- rieure du lobule du pli courbe. Entre ce
pli
et la circonvolution pariétale ascendante, ily
tions occipitales, les scissures perpendicu- taires externes et les
plis
des passages postérieurs sont pour ainsi dire s
de la scissure inter-hémisphérique, le sillon est interrompu par un
pli
de passage profond, qui fait suite à l'extrémité
tale, le sillon est de nouveau interrompu, mais cette fois par deux
plis
de passage tout à fait superficiels (4 et 5, PI
la scissure de Sylvius. Le fond de cette dépression est sillonné de
plis
beaucoup moins volumineux que les plis de passage
e dépression est sillonné de plis beaucoup moins volumineux que les
plis
de passage des autres sillons, et présentant un
branches de bifurcation d'une longueur exagérée, entourées de deux
plis
très saillants; de sorte que, en comptant le pli
entourées de deux plis très saillants; de sorte que, en comptant le
pli
qui entoure l'ex- trémité de la scissure parall
L) La scissure inter-pariétalc (S1P) n'est interrompue que par un
pli
de passage profond. Le lobule pariétal (PS) sup
ule pariétal (PS) supérieur n'offre rien de remarquable. Le premier
pli
de passage paricto-occipital est affaissé, mais n
RR'. Les deux extrémités du sillon de Rolando, interrompu par trois
plis
de passage, 3, 4, 5. FA. 1,'A'. Circonvolution
une superficielle, 9. S I P. Scissure interpariétale, coupée par un
pli
de passage, 1 A. LPS. Lobule pariétal supérieur
re de Sylvius. L PI. Lobule pariétal inférieur, constitué par trois
plis
, 11, 12 et 13. S 0 F. Scissure occipitale exter
l'on fait gri- macer les deux côtés de la face, on remarque que les
plis
cutanés sont moins prononcés à droite, et que l
struction des trompes ; pha- ryngite glanduleuse très intense, avec
plis
accusés et sécré- tion abondante. Dans ce mod
erroge, il hésite et fait répéter. Pharynx. Très congestionné, gros
plis
latéraux perpen- diculaires, rouge vif, qui rem
84. Chaque mémoire devra porter une devise qui sera répétée dans un
pli
cacheté contenant la carte de visite de l'auteu
rtains' points ? à,-la base du ,thorax, dans,le dos, au' niveau des
plis
. articulaires.des'jambes.et-des r brastllyr iii
RR', Les deux extrémités du sillon de Rolando, interrompu par trois
plis
de passage, 3, 4, 5. 1 FA, FA', Circonvolution
t une superficielle, 9. SIP, Scissure interpariétale, coupée par un
pli
de passage, tO. LPS, Lobule pariétal supérieur.
e de Sylvius. L P 1, Lobule pariétal inférieur, constitué par trois
plis
, 11, 12 et 43.. S 0 E, Scissure occipitaleexter
it les objets. Il n'y a pas d'arc sénile ni de paquets adipeux. Les
plis
palpébraux, ceux du front, sont aussi accusés à d
éjà pliée avec la main gauche pendant que la droite prépare un second
pli
. Membre inférieur gauche. 11 est moins long que
e de la face postérieure du cubitus. L'artère humérale se divise au
pli
du coude en cinq ou six petits rameaux qui se dis
la partie moyenne, est de douz.e cen-timètres pour les deux côtés. Au
pli
du coude, la circonférence est de chaque côté de
res et demi, il est conique. La peau a sa coloration natu-relle. — Le
pli
du coude présente deux plis transversaux, distant
. La peau a sa coloration natu-relle. — Le pli du coude présente deux
plis
transversaux, distants l'un de l'autre, dans l'ex
, distants l'un de l'autre, dans l'extension, de deux centimètres. Le
pli
inférieur répond à l'articulation du coude-qui es
et prend une forme arrondie ; alors disparaissent en partie dans les
plis
de la peau les particu-larités qui viennent d'êtr
Sur le moignon la peau a sa coloration normale ; à peine voit-on un
pli
transversal au niveau du coude. A l'aide de l'é
i, mais, comme il est court et qu'il n'y a pas de sillon au niveau du
pli
du coude, le moignon ne se distingue pas du bras.
— La joue droite semble un peu moins proéminente que la gauche. — Les
plis
du front sont marqués et égaux. — Les plis palpéb
nente que la gauche. — Les plis du front sont marqués et égaux. — Les
plis
palpébraux paraissent moins accusés à droite qu'à
ment dirigés vers la droite et en bas ; les pupilles sont égales. Les
plis
du front, effacés à droite, sont assez accusés à
établir ce qui existe exactement, car la base du membre, au niveau du
pli
de l'aine, présente une circonférence de 55 centi
nche XXVII. Les muscles du bras sont solides et assez volumineux. Les
plis
, dus au froncement des téguments au niveau de l'a
e sa face : la moitié droite de son front est lisse, unie, sans aucun
pli
; le sourcil occupe presque le bord orbitaire ; a
é au côté opposé, on voit que, du côté gauche, le front est creusé de
plis
profonds. Le sourcil gauche est arqué et se trouv
le sourcil gauche fortement arqué, relevé, et, au-dessus de lui, des
plis
cutanés dus à la contraction du frontal gauche, p
ssus de lui, des plis cutanés dus à la contraction du frontal gauche,
plis
qui font complètement défaut à droite.) La tume
orps. Il existe en outre des zones hystérogènes, l'une au niveau du
pli
de l'aine du côté gauche, l'autre au-dessus du
rsiste. En outre, il existe une zone spasmo-frênatrice au niveau du
pli
de l'aine du côté droit, dans une région symétr
s; l'étonnement admiratif du verre vert : le bal et les salons rem-
plis
d'arbustes et de fleurs; l'expression de dégoût d
des différences d'un côté à l'autre. A 5 centimètres au-dessous du
pli
du coude on note en effet, E ! 6 cent. 11-2 à g
ec une lésion spinale. Cette anesthésie est limitée en avant par le
pli
de l'aine, en arrière par la crête iliaque. Le
pé- rieurement (fit. 31 et 32) par une ligne très nette qui suit le
pli
de l'aine jusqu'à à l'épine iliaque antéro-supé
et de paralysie faciale nucléaire. Le front présente à peu près ses
plis
transversaux normaux. L'oeil se ferme entièreme
nt de la figure. A la lèvre infé- rieure, au pourtour de la bouche,
plis
en patte d'oie exagérés par chaque mouvement de
d'oie exagérés par chaque mouvement de physionomie. Sous le menton,
pli
cutané flasque et ridé, et plissement de la pea
t la moitié inférieure de la peau du visage qui est intéressée. Les
plis
haso-géniens sont plus accusés qu'a l'état normal
CUTANÉ.. · 171 encore plus marqués. Les lèvres sont plissées et ces
plis
sont séparés par des sillons ou des rides verti
s hori- zontal, même aspect sénile de la peau avec ses rides et ses
plis
. Les seins plutôt petits, tombent comme ceux de
dessiner la courbe des fausses côtes. Sur l'abdomen, la direction des
plis
est transversale. Au niveau des aines ceux-ci s
res, soit dans les membres supérieurs soit dans les inférieurs, les
plis
sont d'autant plus accusés qu'on se rap- proche
, de couleur et de longueur normaux. Les cuisses sont sillonnées de
plis
à direction verti- calement oblique, surtout ma
s, on fait apparaître dans des régions peu touchées une infinité de
plis
plus manifestes que sur une peau saine. - Les
niveau de la partie droite de l'hypogastre immédiatement au-dessus du
pli
de l'aine, le malade accuse d'abord une vive do
la plante du pied exceptée ; 3° une zone hystérogène correspondant au
pli
de l'aine du côté gauche; 4° un double rétrécis
. La motilité des yeux est intacte. La langue est tirée droite. Les
plis
du front, les paupières, les sourcils sont bien s
s, consistant surtout en soulèvement des lèvres et en production de
plis
profonds. Il existait une atrophie notable de l
eur droit. Quant à l'électrisation des nerfs, du médian au bras, au
pli
du coude et au poignet, du radial au sortir de
ieur de l'antllélix avec lequel elle se confond en formant ainsi le
pli
transverse de la conque divisée alors en deux c
de déformations acquises (aspect infundibuli- forme, effacement des
plis
radiés) pouvant révéler des habitudes de pédéra
aracté- ristiques comme dans l'épilepsie; les cicatrices du cou, du
pli
du coude, des organes génitaux révélant des ten
NOTE SUR LA MORPHOLOGIE DE LA NUQUE. 363 dorsale, une série de gros
plis
cutanés, au nombre de 3, A, 5, descendant adroi
de 3, A, 5, descendant adroite et à gauche de la ligne médiane; ces
plis
se retrouvent plus petits, moins longs et moins
ontact, douleur, tem- pérature à 100°) et délimitée en avant par le
pli
de l'aine, en arrière par une ligne passant au
ns touché; au bras, la lésion est moins étendue. Il y a toujours au
pli
du coude et la paume de la main des plaques de pe
17; main gauche, 21. Le périmètre des deux mains pris au-dessous du
pli
de flexion du pouce donne les résultats ci-dessou
alade. L'avant-bras, mesuré à trois travers de doigts au-dessous du
pli
du coude, donne 20 centimètres de circonférence
ments de la tête et des yeux, centre qui serait situé au niveau du
pli
courbe, Ces derniers auteurs admettent même l'e
és de la têteet des yeux. Seulement les uns (Bonardi) le placent au
pli
courbe (1) GaosscT, Semaine médicale, 18 mai 19
omportent normalement dans la vision monoculaire et binoculaire. Le
pli
naso-labial droit est plus évident que le gauche
et en dehors. Dans l'acte de montrer les dents, on remarque que le
pli
naso-labial s'accentue davantage et la lèvre su-
duits par les excitations qui portent sur le tégument au-dessous du
pli
inguinal ; ces excitations pour être effectives
sur le membre inférieur. La zone de production était limitée par le
pli
inguinal : Aussi, suivant l'avis exprimé par M. B
Groupe en marbre du Dr PAUL RicHER. SOUVENT FEMME VARIE 121 deux
plis
cutanés concentriques le séparent du mont de Vénu
la région lombaire de deux fossettes s symétriques; au-dessous, le
pli
fessier encercle nettement la saillie cal- lipy
anches, ventre et pubis saillants, région sacrée presque verticale,
plis
fessiers profonds, hyper- extension du genou, e
nt du ventre, l'inclinaison forcée du bassin en avant, l'absence du
pli
fessier. Mais les modes vont vite... Le corse
ît que six. Or, ils ne conn;iissent 1'uii et l',iulte qu'une petite
pli
lie de leur famille. En elfe[, j'ai pu établir, d
hémisphère gauche atteint « la circonvolution pariétale inférieure (
pli
courbe, lobule pariétal inférieur, circonvoluti
pe de lésion temporale, le foyer de ramollissement inté- resse « le
pli
courbe, la partie inférieure de la circonvolution
opercu- laire; dans quatre autres, les circonvolutions pariétales (
pli
courbe et gyrus supramarginalis) ; dans quatre
deuxième circonvolutions temporales, le gyrus supramarginalis et le
pli
courbe ; dans deux, elles affectent en arrière un
e limite assez nettement au côté pariétal (gyrus supramarginalis et
pli
courbe) ; dans un autre, il occupe le pied de l
obule fusiforme et la circonvolution de l'hippocampe, ainsi que les
plis
de passage qui relient cette circonvolution à l'é
ucoup plus destructive, la lésion intéresse la partie antérieure du
pli
courbe, la majeure partie du gyrus supramargina
s (PI. XL, fig. 1) ont l'aspect caractéristi- que, en battoir ; les
plis
y sont très accentués. Les doigts, aussi gros à
cette face antérieure sur une hauteur de 2 centimètres au-dessus du
pli
du coude et de 4 centimètres au-dessous. 3° Au
aires, tactiles qui se produisent lorsque ce mouvement a été accom-
pli
autrefois. C'est seulement par ce réveil cénesthé
n contraction presque perma- nente, la bouche est enlr'ouverte0 les
plis
naso-labiaux sont très profonds. C'est comme un
ané fort peu marqué. La peau de la région est normale, sillonnée de
plis
transversaux. A la palpation, on sent les os du
aire et donne naissance, sur son - pourtour, à quelques très légers
plis
. Son diamètre est d'environ 3 milli- mètres. El
t qu'il s'agit de sillons plus ou moins profonds, provoqués par des
plis
cutanés, conduit à les envisager d'une manière
nt une extrémité est relevée sur son épaule droite couvre de larges
plis
la partie inférieure de son corps. Le bras droit,
er, vêtue d'une tunique transparente et d'une sorte de chemisette a
plis
onduleu; élève vers le dieu ses deux bras nus e
iton » transparente qui moule les formes de son corps et descend en
plis
harmonieux jusqu'au sol, se ren- verse brusquem
son qu'on trouve des contradictions dans la composition : ainsi les
plis
du manteau de Dionysos et de la tunique de la m
che et la prophétesse assise ont au contraire des vêtements dont les
plis
sont librement et largement traités. Dans la tè
rme se rapproche de celle d'un quadrilatère aux angles arrondis. Le
pli
fessier est profond. Les cuisses sont bridées s
e centre articulaire de la hanche correspond sur le nu au milieu du
pli
de l'aine mesuré de l'épine iliaque il la racine
éprimée, le flanc se creuse, et le défaut des côtes est marqué d'un
pli
transversal, pendant que, de l'autre côté, la r
se creuse l'échancre en dehors et lui donne un aspect réniforme. Le
pli
fessier disparaît presque, et le bord inférieur
e l'horizontalité du bassin. Le ventre est saillant et sillonné des
plis
transversaux qui se produisent lors de la flexi
chez un homme debout la 11.1 tète comptée du vertex se terminait au
pli
fessier. Il est vrai que le pli fessier est au-
e comptée du vertex se terminait au pli fessier. Il est vrai que le
pli
fessier est au-dessous de l'ischion, mais il faut
nt exacte la distance qui sépare la face inférieure de l'ischion du
pli
fessier. Et l'on peut s'en tenir aux proportions
aits effacés, sans re- lief. Une seule ride est accentuée, c'est le
pli
naso-géuien des deux côtés (Voy. fig. 47 et PI.
rbitisme, la sclérotique élrmt;plus découverte que normalement. Les
plis
naso-labiaux n'existent pas au repos. Les lèvres
infiltration s'étend il la totalité du membre depuis le pied jusqu'au
pli
de l'aine. C'est un oedème d'une extrême dureté
e, est normale et l'on n'y trouve pas de traces de cicatrices : les
plis
qu'on y rencontre paraissent bien être naturels.
lan, un jeune homme presque nu, les reins entourés d'une étoffe aux
plis
durs, s'appuie du genou droit sur un rocher. La j
l'arl. passim. LES POSSÉDÉS DE P. BRONZET 261 ment dessinés, les
plis
des draperies sont élégants et harmonieux ; le mo
noyaux bulbaires oculomoteurs et peut-être aussi avec la région du
pli
courbe. il) Enfin la continuité et la contiguït
e de Weber typique et le cas vaut la peine d'être étudié en détail (
pli
. XLIV). Dans l'histoire du malade on ne trouve
rieure recouvre en grande partie le globe de l'oeil. Il n'y a aucun
pli
à la peau. Le sourcil est élevé. L'oeil est fixé
e de cliniciens (2). Il ne serait pas inadmissible que le lobule du
pli
courbe, qui intervient dans l'oculo- motricité
tait à cette époque à la main gauche, au talon de la main,[dans*les
plis
digito-palmaires du pouce, du médius et de l'an
de corne coiffant à plat le sommet du moignon. La peau a perdu ses
plis
et ses stries et est adhérente aux tissus profond
gt, qui n'a eu aucun pana- ris, présente le même aspect dépourvu de
plis
et de stries que le médius et l'annulaire. Le p
e différence. A la face palmaire, la distance qui sépare le premier
pli
digital du troisième et dernier est différent à d
vec un compas d'épaisseur spécialement construit pour cet usage les
plis
cutanés ainsi formés successivement dans les {div
cu- mulée surtout vers le centre et au bord inférieur, au-dessus du
pli
fessier. Elle entre pour beaucoup, surtout chez
éformait, se tassait, que son ventre devenait saillant en avant, un
pli
profond séparant l'abdomen du thorax, au-dessous
ocollographie Chêne et LONGUET CARCINOSE DE LA COLONNE VERTÉBRALE
Plis
transversaux profonds de la peau dus au rapproche
articulations sacro-iliaques. Les fesses sont plates, tombantes; le
pli
fessier a à peu près disparu. Les pointes des i
l existe entre les deux parties, entre l'ombilic et l'épigastre, un
pli
profond de la peau de direction horizontale et tr
ventre, d'où la saillie de l'abdomen en avant et la produc- tion du
pli
profond qui le traverse au-dessus de l'ombilic.
res. 80 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA Salpêtrière. de l'abdomen, du
pli
qui le traverse et de son volume exagéré dont il
gauche, il existe un peu de contracture des muscles de la joue ; le
pli
naso-génien est plus profond à gauche et peu mo
l de l'omoplate du côté gauche, l'autre à l'hypogastre au-dessus du
pli
de l'aine du côté droit. La pression exercée au
paupières un peu tombantes par suite d'un allongement du tarse; le
pli
cutané qui surplombe la paupière supérieure est t
du poignet; elle est' épaissie, ce qui détermine la for- mation de
plis
permanents très accentués à hauteur de la face po
t également complètement pris. La face est dépourvue de rides et de
plis
, l'air expiré soulève la joue, les lèvres du cô
rd costal a retrouvé sa hauteur habituelle ; il n'y a plus trace de
plis
transversaux cutanés. Les deux épines iliaques
e principale du corps offre une convexité droite très-prononcée et un
pli
à gauche et en avant. Les poumons s'adaptent à
x de vives souffrances, mais elle retombe aussitôt. La nuque forme un
pli
considérable, au fond duquel on aperçoit deux rel
inaison latérale est peu sensible. La nuque, très-affaissée, forme un
pli
profond. Les muscles postérieurs, fortement tendu
evenir ensuite involontaire; le cou, fréquemment incliné, conserve ce
pli
. Je crois qu'on ne confondra pas ce cas avec notr
ement, figure un canal dans lequel circule la synovie. Plus tard, les
plis
s'effacent en adhérant ensemble , en sorte qu'une
sses; celle du côté luxé est élargie transversalement et apla tie. Le
pli
de la fesse est plus élevé et quelquefois déformé
ns, faute d'opérer ce mouvement. Voici encore un autre caractère : le
pli
fessier du côté droit est plus élevé. 3e cas. —
queuse oculaire à quelque distance du premier, de manière à former un
pli
transversal ; il est confié à un aide. L'opérateu
s à griffes, et divise en même temps la membrane et le muscle dans le
pli
qu'il a formé. Les suites de l'opération sont g
e quasi-perfection. H reste un peu trop d'ouverture des paupières, le
pli
en dedans est un peu trop marqué, le globe oculai
rizontale. Quand le corps était dans la station verticale, le pied se
pli
.iit en deux entre les deux rangées du tarse, et d
la jambe. Seulement, dans le talus pied creux entier, on remarque un
pli
profond à la plante, et la saillie sous-métatarsi
que l'électricité n'a pas d'action sur le muscle paralysé. Il y a un
pli
très-pofond à la piaule, et un grand élargissemen
est fortement rétracté. A la plante du pied, vous pouvez remarquer un
pli
assez profond qui ordinairement appartient au p
dernière grossesse. A droite, vous voyez un pied équin enroulé. Le
pli
plantaire est aussi prononcé que dans le pied cre
ne du pied ; le talon et la pointe du pied sont portés en dehors ; le
pli
plantaire est assez prononcé. Il y a ici rétracti
ontre la malléole interne; ce qui reste du tendon est enfermé dans un
pli
profond, où il est très-difficile de l'atteindre
, par l'autre moule, que le redressement a été complet. Remarquez ces
plis
de la peau, là où existait le talon supplémentair
rièveté et la solidité des membres, le boursouflement des chairs, les
plis
profonds et nombreux qui les sillonnent transvers
s muscles, et on fait prendre en quelque sorte aux organes un nouveau
pli
. Les mêmes moyens conviennent encore comme pallia
lus rapprochée du cou et l'inclinaison en avant plus considérable. Un
pli
profond se forme à la nuque, qui est très-courte
amassés et effacés de l'autre ; les téguments forment un ou plusieurs
plis
au-dessus de la hanche du côté où penche le tronc
Je crois que cela n'aurait lieu que si elles formaient des angles ou
plis
profonds. On voit de ces plis sur quelques-uns de
eu que si elles formaient des angles ou plis profonds. On voit de ces
plis
sur quelques-uns de nos dessins; mais il est prob
cas, on peut être suspendu par les mains, les avant-bras fléchis, le
pli
des coudes, par le côté interne des bras, par le
roit. On trouvo par la palpation le testicule gauche inclus dans un
pli
de la peau au niveau du canal inguinal ; la pre
ëlre jusqu'à la mort. 1 Hi ANOMALIES DES CIRCONVOLUTIONS. voie un
pli
de passage à la troisième, laquelle offre des s
ntes sont bien développées ; le sillon de Rolando est normal. Les
plis
pariétaux supérieur et inférieur, le pli courbe,
e Rolando est normal. Les plis pariétaux supérieur et inférieur, le
pli
courbe, le lobe occipital, ainsi que les circon
e la circonvolution du corps calleux envoie, suivant l'habitude, un
pli
de pas- sage au lobe quadrilatère, à droite, c'
adrilatère, à droite, c'est au lobe paracen- tral qu'elle envoie ce
pli
de passage. Le coin, le lobe occi- pital, la ci
volution pariétale ascendante aussi régulière que la précédente. Le
pli
pariétal supérieur est peu volumi- neuf - le pl
la précédente. Le pli pariétal supérieur est peu volumi- neuf - le
pli
pariétal inférieur est régulier ainsi que le DE
nférieur est régulier ainsi que le DESCRIPTION DES EXOSTOSES. 117
pli
courbe et le lobe occipital. Le lobule de l'insul
est excellent. Le malade n'a pas cessé d'être gâteux. Erythème des
plis
inguinaux et de la partie inférieure de l'abdom
nt l'un occupe la pre- mière circonvolution frontale, et l'autre le
pli
courbe. Le foyer antérieur est situé dans la pa
de la grosseur d'une lentille, et siège dans le lobule antérieur du
pli
courbe à l'endroit même où vient se terminer le
ce très notable du côté gauche. Ce- lui-ci présente, en -outre, des
plis
plus nombreux et plus profonds, comme si l'enve
rémité inférieure de la main n'arrive du côté droit qu'au niveau du
pli
inguinal. Du côté gauche elle reste même au-des
dans l'aisselle. L'extrémité du médius arrive à peine au nivaeu du
pli
inguinal. La distance entre l'acromion et l'épi
r gauche. Ces douleurs spontanées s'exagèrent .quand oh comprime le
pli
du genou, le mollet ou le pied correspondant. L
r une particularité digne de remarque, et qui est l'exagération des
plis
paralabiaux. Au cou la palpation révèle une atr
, sèche, lisse et ne se laisse absolument ni pincer, ni soulever en
plis
. Sur la face dorsale des doigts, au niveau des
région. A propos du facies nous faisons remarquer l'exagération des
plis
paralabiaux : c'est là un fait que nous trouvon
le dedans de la cuisse droite, qu'il y a un léger eczéma clans les
plis
cutanés entre le scrotum et la cuisse et dans les
rolonge dans la région intermédiaire au gyrus supramarginalis et au
pli
courbe. Le noyau amygdalien a été respecté, mais
ions de voisiuage. L'écorce de la 2° circonvolution temporale et le
pli
courbe (partie inférieure) sont assez sérieusem
convolutions temporales) et des représentations visuelles verbales (
pli
courbe) ; ces lésions ne sont pas forcément con
es ; mais la partie postérieure des deux premières temporales et le
pli
courbe,qui appar- tiennent davantage à la zone
ne sensorielle (partie postérieure des deux premières temporales et
pli
courbe) dans la récupération de la lecture et d
c- tion synergique de presque tous les muscles de la face : de gros
plis
cutanés se dessinent sur le front,autour des ye
e palpébrale gauche est légèrement moins ouverte que la droite. Les
plis
de la paupière supérieure sont également marqués
voit le frontal et le sourcilier gauches se con- tracter, mais les
plis
cutanés qui résultent de cette contraction sont m
; les paupières se contractent également à gauche et à droite ; les
plis
palpébraux supérieurs et inférieurs sont aussi
es est moins mobile que la moitié droite. On remarque aussi que les
plis
déterminés par la contraction des muscles mis en
e gonfler les joues; mêmes remarques que précédemment, au sujet des
plis
faciaux. Dans cet acte, non seulement il n'appara
urcil, le rétrécissement de la fente palpébrale, l'accentuation des
plis
palpébraux, l'exagération du sillon naso-labial,
z est légèrement plus abaissée du côté droit que du côté gauche. Le
pli
naso-génien droit est moins marqué que le gauche.
des lésions rouges prurigineuses et non suintantes ; au niveau des
plis
interfessiers et du scrotum la rougeur était plus
de pus. Tout autour de ces ulcérations et dans toute l'éten- due du
pli
interfessier, la peau est rouge et enflammée, au
ue du pli interfessier, la peau est rouge et enflammée, au niveau des
plis
in- guinaux-cruraux il existe une zone rouge et
rt à la formation dn stroma des parois des vaisseaux encéphaliques (
pli
. LXIII, fig. 5) en formant un stroma reticulair
ts, con- formément à une-remarque de M. Babinski, des- sinent des
plis
transversaux entre le rebord costal et la crête
rebord costal et la crête iliaque ; parfois même au-dessous de ces
plis
, on sent la dernière côte en contact avec le ba
peut consta- ter également sur ses photographies l'abaissement du
pli
de la fesse du côté du membre fléchi, c'est-à-dir
gau- che est moins élevée que celle du côté droit (fg. 46). Le
pli
fessier est abaissé, presque effacé. Les muscle
Entre les dernières côtes et la crête iliaque la peau présente des
plis
transversaux. L'épaule gauche elle-même est trè
us ou moins fléchi au niveau de la hanche et au niveau du genou; le
pli
de la fesse s'abaisse, et la plante du pied rep
ou moins fléchi au niveau de la hanche et au niveau du genou; le
pli
de la fesse s'abaisse et la plante du pied repose
dre cet individu; mais vous, autorilé judiciaire, vous avez accom-
pli
votre devoir. Functus est officio, c'est fini ; v
? 1. 224 RECUEIL DE FAITS. on note une ensellure très marquée. De
plis
? la colonne dorsale décrit une légère convexit
rax au niveau des mamelons 0'"665 ' de l'abdomen en passant par les
plis
des flancs et l'ombilic Om74 cent. Le ventre
du tiers inférieur des jambes, des pieds. Au niveau de ceux-ci, les
plis
sont très accusés, comme si la peau avait été m
is les pieds sont violacés. 11 existe un érythème assez prononcé du
pli
de l'aine gauche et des noevi, de deux à cinq m
bord de l'hélix. Cet enroulement s'accompagne d'une exagération des
plis
de l'anthélix dont la branche supérieure ne s'acc
tion de la partie fondamentale du pavillon, à la rétrogradation des
plis
auriculaires libres (cauda helicis de His), tan
e que l'enroulement s'est effectué au niveau du bord postérieur des
plis
libres plus tôt qu'au niveau de leur bord supé-
té d'hémianopsie avec alexie. La substance blanche ressortissant au
pli
courbe, à la première occipitale, à la portion
tales, du segment inférieur des libres de Gratiolet, de l'écorce du
pli
courbe. Dégénérescence secondaire du segment su
s l'encéphalite par cautérisa- tion. Elles stigmatisent le degré le
plis
intense de ces inflamma- tions ; 2° à un second
et quelque affaissement, notamment un défaut d'élasticité dans les
plis
du visage ; aucune espèce de paralysie d'ailleu
hypoesthésie. A gauche hypoesthésie du membre inférieur à partir du
pli
fessier, le seg- ment supérieur, y compris le b
; sur la face interne, au contraire, on remarque le plus souvent un
pli
angulaire à arête assez vive de la gouttière ba
n retrouve chez eux, n'a rien à voir avec les états oxycéphaliques (
pli
. VIII). L'hyperostose du crâne chez les idiots
entation augmenta dans les dernières années, atteignant surtout les
plis
articulaires, mais il n'y avait pas parallélism
moignent les initiales D. T. qui figurent sur un des acces- soires (
pli
. XV). La scène se passe dans une grande pièce c
ocher (Fig. 9 ). Au-dessus de la ligne temporale on doit trouver le
pli
supramarginai et le pli courbe, séparés par la
us de la ligne temporale on doit trouver le pli supramarginai et le
pli
courbe, séparés par la linea limitons, et plus ba
es lobes pariétal et temporal, en déchirant la partie inférieure du
pli
courbe, pour ressortir par la deuxième circonvo-
it été détruite. Le plus probable est qu'à son passage au niveau du
pli
courbe la balle, ' par répercnsion, a détruit l
arois du ventricule, explique pourquoi bien des fois des lésions du
pli
courbe et du pli marginal provoquent de l'hémia
le, explique pourquoi bien des fois des lésions du pli courbe et du
pli
marginal provoquent de l'hémianopsie. » Selon Dej
destruction ait atteint aussi « le faisceau arqué, qui réu- nit le
pli
courbe et la première circonvolution temporale à
bassin ; les seins sont gras, les fesses sont saillantes et dans le
pli
interfessier, on voit très nettement à l'exa- m
d'ulcérations. Ganglions aux aisselles, à la nuque, aux coudes, aux
plis
de l'aine. Nous avons recherché tout particuliè
stoient faits de plomb ou de rire, de retenir toujours les derniers
plis
qu'ils ont receus,jusqu'l ce qu'on leuren imprime
ft f. Zahnheilkunde, 1912, p. 1-35. 45. RroNAULT. - Anomalies des
plis
de la main dans l'achondroplasie de la dysos- t
RE T. XXV. Pt. XXXV \' DÉMARCHE DANS 1/ATHÉTOSE (Ci ii éni itogri
pli
ie) (Aloysio de Castro). Masson & Cie, Ed
. Le dos n'est pas voûté et l'on ne voit pas à la base du thorax le
pli
transversal profond que l'on est accoutumé à voir
en faisceaux onduleux ou en faisceaux (VD) qui s'enfoncent dans les
plis
des membranes papil- laires (PI. LUI. G). i\O
circonvolutions cérébrales (ce sont les membranes papillaires) . Les
plis
sont eux-mêmes variables dans leurs dimensions,
n dorsale l'infiltration graisseuse détermine la formation de trois
plis
dont l'un transversal passe d'un côté à l'autre a
urs sont trop courts, leur extrémité digitale atteignant à peine le
pli
inguinal. Les réflexes achilléens et rotuliens
son modelé et sa sou- plesse. En avant la tuméfaction s'arrête au
pli
de l'aine. En arrière, au contraire, elle occup
ses membres inférieurs une augmentation énorme de l'épais- seur des
plis
de sa peau. Comme on l'a vu sur les photographies
ous avons institué une étude systématique de l'épaisseur des divers
plis
de la peau, mesurée au compas de sculpteur. Cet
re autres facteurs, aux divers degrés d'embonpoint. Chez l'une, les
plis
de la peau, à la cuisse, suivant les endroits p
etc.) ; - 5° Rencontre de deux ou plusieurs consonnes quelconques (
pli
, gme, ¡'b1'e, stl'i, bstl'u. etc.). IV. - Dipht
veau. HÉMISPHÈRE GAUCHE. - Face externe. Les cir- convolutions, les
plis
de passage sont assez nombreux. F' et Cerveau ;
assez ouverts, iris bleu. Les paupières supérieures présen- tent un
pli
régulier au niveau des cils qui sont longs et plu
base forme une grosse et large saillie, séparée de l'abdomen par un
pli
transversal. - llydro- thérapie, gymnastique, e
orment comme des arêtes. - Le foyer ocreux occupe tout Tri jusqu'au
pli
. pariétal inférieur inclusivement et près de de
rois circonvolutions (ronta- les sont très sinueuses avec plusieurs
plis
de passage - Les circonvolutions frontale et pa
cédemment signalés sur cette face ; ils sont séparés par un petit
pli
de passage de la circonvolution du corps calleux
peu des sillons super- ficiels qu'elles présentent. - T1 envoie un
pli
de passage au fond du lobule de l'insula qui, l
ale ascendante. P. A., circonvolution pariétale ascendante. Pst.,
pli
pariétal supérieur. P2., pli pariétal inférieur
volution pariétale ascendante. Pst., pli pariétal supérieur. P2.,
pli
pariétal inférieur. P. C., pli courbe. Se. f.
Pst., pli pariétal supérieur. P2., pli pariétal inférieur. P. C.,
pli
courbe. Se. f. s., Scissure frontale supérieure
temporo-occipitales. T3., 3a circonvolution temporale. p.p.a : ,
pli
pariéto-limbique antérieur. p.f.l., pli fronto-
tion temporale. p.p.a : , pli pariéto-limbique antérieur. p.f.l.,
pli
fronto-limbique. p.p.p., pli pariéto-limbique p
pariéto-limbique antérieur. p.f.l., pli fronto-limbique. p.p.p.,
pli
pariéto-limbique postérieur. C.H., circonvoluti
a 8 jours, et) l'excitation galvanique et faradique du nerf crural au
pli
de l'aine ne donnait presque aucune contraction ;
oite correspond l'abaissement relatif du grand trochanler droit et du
pli
fessier correspondant. Ajoutons que l'épaule droi
sont 1res vives. a) La malade se plaint encore de douleurs dans le
pli
de l'aine, à droite et à gauche ; il existe donc,
le lobule pariétal inférieur, avec ou sans participation du lobule du
pli
courbe et de la première circonvolution temporale
le lobule pariétal inférieur, avec ou sans participation du lobule du
pli
courbe, que siégerait la lésion qui tient sous sa
ace palmaire, cette limite est représentée par une ligne parallèle au
pli
du poignet et située au-dessous de ce pli, à un c
par une ligne parallèle au pli du poignet et située au-dessous de ce
pli
, à un centimètre environ. \1 insensibilité, d'a
une ligne droite perpendiculaire au grand axe du membre, parallèle au
pli
de flexion de l'articulation du poignet, et du cô
à l'axe du membre, situé à deux travers de doigt environ au-dessus du
pli
du coude en avant et passant en arrière au-dessus
re, la sensibilité cutanée tend à reparaître, dans l'aisselle et au
pli
du coude (fig. 72 et 73). En même temps, le malad
p. 347). Huit ou dix jours plus tard, elle a commencé à reparaître au
pli
du coude et dans l'aisselle. Le 7 juillet on cons
membre inférieur gauche, attitude du malade ; forme de la fesse et du
pli
fessier. — Analogies cliniques considérables avec
x et qui a été fait d'après une photographie (%. 77). Notons que le
pli
fessier est plus élevé et plus large à gauche qu'
rnier est double, tandis que le pre- Fig. 76. mier est unique. Le
pli
interfessier est incliné de bas en haut, de gauch
ant [fig. 84), cette limite est représentée par une ligne qui suit le
pli
de l'aine de chaque côté, jusqu'à l'épine iliaq
dit, la limite en question est marquée par une ligne qui passe par le
pli
de l'aine, réservant les organes génitaux et remo
membre inférieur gauche, attitude du malade; forme de la fesse et du
pli
fessier. — Analogies cliniques considérables avec
. Avec 30 figures dans le texte et 2 planches. PARIS BUREAUX DU
Pli
0 G Il È' MÉDICAL l. 1b, rue des Cannes. -
éposées les images optiques des lettres, et qu'il le place, dans le
pli
courbe, en le reliant d'un côté avec les deux c
ste des lésions des lobes temporo-pariétaux, et en parti- culier du
pli
courbe dont la partie la plus superficielle était
tres troubles hallucinatoires. En résumé, la lésion de la région du
pli
courbe aurait donné nais- sance à des sensation
ons pariéto-occipitales; en tout cas, la trépanation au niveau du
pli
courbe fit cesser ces symptômes .morbides. Or tou
s ou ovales, sans prolongements visibles. Le protoplasma est rem-
pli
de granulations graisseuses pressées les unes con
continue, son extension apparente est due à une habitude, à un faux
pli
de l'esprit. L'expli- cation psychologique de l
la sensibilité tac- tile depuis les insertions du deltoïde jusqu'au
pli
du coude. A partir du pli du coude et jusqu'à l
epuis les insertions du deltoïde jusqu'au pli du coude. A partir du
pli
du coude et jusqu'à l'extrémité des doigt=, perte
valvules sont parfois très développées, épaissies, présentant des
plis
festonnés qui oblitèrent toute la lumière du vais
ments pos- térieurs des occipitales. La région située en arrière du
pli
courbe ne parait en relation avec les irradiati
UE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 377 collatérales. Le
pli
courbe lui-même appartient au centre d'as- soci
tre temporal et le centre pariétal passent l'un dans l'autre par le
pli
courbe et la partie postérieure du trigone. Il se
rent du côté droit. Elles sont caractérisées par l'irrégularité des
plis
, que ces derniers soient parcourus par des scis
la partie supérieure de l'avant-bras droit, à 3 ou 4 centimètres du
pli
du coude. La fièvre aurait été assez vive; l'inci
adhérent. Ne : ; aquilin, régulier, légèrement dévié à droite. Les
plis
du front, les sillons naso-labiaux soit au repo
gnet jusqu'à une ligne passant à deux travers de doigt au-dessus du
pli
articulaire. A la face palmaire de la main, le
la sensibilité sont conservés des deux côtés de l'épaule jusqu'au
pli
du coude en avant, jusqu'à l'olécrâneen arrière.
. Au-dessous on note les particularités suivantes : Anebthébie du
pli
du coude à l'extrémité des doigts ; thermo- ane
epuis l'extrémité des doigts jusqu'à cinq centimètres au-dessous du
pli
du coude et de PARÉSO-ANALGÉSIE DES EXTRÉMITÉS
sthésie des doigts, des mains, des avant-bras jusqu au voisinage du
pli
du coude. Toutefois, la région analgésique est
n analgésique est un peu moins étendue, en ce sens qu'au-dessous du
pli
du coude et au-dessous de l'olé- crâne, c'est-à
Sur la face dorsale la diminution = 1 division jusqu'au niveau du
pli
articulaire de l'articulation du cou-de-pied. Sur
morte, on ne le comprend pas ; la branche qui irrigue la région du
pli
courbe dont la lé- sion produit l'hémiopie et p
rents d'après 'leur susceptibi- lité à la douleur. La grandeur du
pli
, la profondeur â laquelle ce pli. est entré dans
lité à la douleur. La grandeur du pli, la profondeur â laquelle ce
pli
. est entré dans les mors de l'appareil, la rapi
e donnent pas une sensation de douleur de la même qualité. Dans les
plis
entre les phalanges des doigts du côté de la pa
hypoesthésie à la face interne de la fesse gauche, qui dé- passe le
pli
fessier' de quelques centimètres pour empiéter su
ou C'vésicules à la'face antérieure de l'avant-bras,.au- dessous du
pli
du coude, et un autre sur la- face dorsale du pou
thénar; enfin il la face antérieure de l'avant-bras, au- dessous du
pli
du coude (PI..XXVI et XXYI1.)' ? ? . Toutes les
e façon bizarre; elle n'affecte l,i que l'avant-bras, au-dessous du
pli
du coude, la main et aux pourtours de l'éminence
e la verge se distingue nettement de celle des bourses tant par les
plis
qu'on y trouve d'ordinaire que par une pigmen-
t inéxacte..T'ai pu m'en rendre compte en voyant l'original dont la
Pli
. XLI donne une reproduction. Il s'agit d'une op
s plusieurs jours. Quant au costume, c'est une'longue robe à larges
plis
avec col de fourrure, et il n'y vm '1 i 25J N
s du matin, elle sent ses bras devenir raides et se con- tracturer (
pli
. XLIV et XLY). ? . Les bras s'éloignent du corp
s'éten- dant en bas jusqu'à l'interligne du genou, en haut jusqu'au
pli
de l'aine, entourant de tous côtés l'ulcération
s circulaires passant en haut à deux travers de doigt au-dessous du
pli
inguinal, en bas à un travers de main au- desso
ouvert. Une fusée purulente traverse la fesse droite et aboutit au
pli
fessier. Autour de l'eschare et à la partie su-
l est tellement riche en capillaires que, lorsque ceux-ci sont rem-
plis
de sang, on croirait avoir affaire à un angiome.
die. Parmi les premiers on doit ranger l'émaciation générale et les
plis
cutanés qui en sont la conséquence et qu'on obs
la théorie émise autrefois par l'un de nous sur l'horizontalité du
pli
fessier absolument indépendante du bord inférieur
ariété d'aphasie observée, la troisième circonvolution frontale, le
pli
courbe ou la pre- mière temporale. Toutefois, s
des lésions siégeant soit dans le lobe temporal, soit au niveau du
pli
courbe (du côté gauche chez les droitiers, du c
ésulte un certain degré d'aphasie sensorielle. C'est qu'en effet le
pli
courbe à coup sûr, la première temporale peut-êtr
infiltré d'une graisse molle qui forme des bourrelets au niveau des
plis
cutanés ; 'autour du cou, sur la région pré- pu
arquée : la commissure labiale droite est lé- gèrement abaissée, le
pli
naso-génien est plus effacé ; mais les deux'narin
iqûres se trouve sur la limite du cuir chevelu du front et dans les
plis
entre les phalanges sur la surface pal- maire d
pression nécessaire, on n'a pas la sensation du pouls. - Dans les
plis
normaux de la peau la sensibilité douloureuse est
ande que quand les articulations sont en extension, avec la peau en
plis
(les doigts). La sensibilité douloureuse des su
la peau est mince, plus la sensibilité douloureuse est grande (les
plis
de la région palmaire des mains qui recouvrent le
latéraux. Pour continuer la comparaison, cette rigole représente le
pli
interfessier par rapport aux deux tubérosités l
e leurs anastomoses les régions antérieure et postérieure du crâne (
pli
. XXXII). « Point curieux à noter : Celle circul
sillon de Rolando sans être interrompu comme du côté opposé par des
plis
de passage. Enfin il s'étend pour ainsi dire ju
tions qui sont grêles, moins étendues et réunies à ce niveau par un
pli
. La forme générale est celle d'un U ouvert en h
la rotation externe; à l'épine iliaque antérieure et supérieure et au
pli
de l'aine, on trouve une tumeur diffuse, résist
e con- génitale à marche progressive. La joue droite tombe comme un
pli
jusqu'au re- bord du maxillaire inférieur et la
'au rebord inférieur du maxillaire inférieur, est comme soulevé. Le
pli
naso-génien est effacé, la hosse frontale saill
ntre les doigts la moitié droite des lèvres, on a la sensation d'un
pli
deux fois plus épais qu'a gauche. Le nez est in
che. Le nez est incurvé à gauche. Lorsqu'on fait rire le malade, le
pli
naso-génien gauche se dessine nettement ; à dro
chiffres sensiblement égaux : Mensuration circulaire, au-dessus du
pli
du coude, 0 m. 145 mill. à droite ; 0 m. 145 mi
à gauche. Mensuration de l'avant-bras, à 5 centimètres au-dessus du
pli
du coude, 0 m. 14 cent. à droite ; 0 m. 135 mil
135 mill. à gauche. Mensuration du poignet, à 5 cent. au-dessus du
pli
de l'articulation. 0 m. 11 cent. à droite, 0 m.
couche optique qui vont vers le corps lenticulaire sont conservés (
pli
. XLV, Y). Voilà tout ce qui reste des hémisphèr
jusqu'au thorax et envoyant dans le bras une bande osseuse jusqu'au
pli
cubital, immo- bilité sur l'épaule gauche. A
circonvolution temporale; sur le lobule pariétal supérieur ; sur le
pli
courbe ; sur la pointe du lobe occipital. b) Fa
inte de la scissure de Sylvius ; sur la première temporale ; sur le
pli
pariétal supérieur ; enfin sur le pli courbe.
première temporale ; sur le pli pariétal supérieur ; enfin sur le
pli
courbe. b) Face interne : trois îlots sur la pr
tale. P A, pariétale ascendante. F A, frontale ascendante. P C,
pli
courbe situé en arrière du- lobule frontal inféri
ue de Charonne. Ils devront porter une épigraphe, reproduite sur un
pli
cacheté conte- nant le nom de leur auteur. Ré
t 3e circonvolu- tions frontales droites et de la circonvolution du
pli
courbe du même côté. Ravin..., 62 ans, est en
ié inférieure des pariétale et frontale ascendantes et au niveau du
pli
courbe. Elles dispa- raissent à mesure qu'on re
d; mais en nous servant de l'oculaire quadrillé de l'hémati- "rrs
Pli
v .. "'ra r,·'' ¡ 1111" r ,i ? ¡ ? I . n 1 mètr
tiônhélleV,0 dont'' deux' surtout'' remarquables ? "1 Le 'p'remier"
pli
B.eJp'rissâgë 1 occipité)lpafiét¡d'"étaitj prôf
rs spécial, les mémoires écrits en français seront accompagnés d'un
pli
cacheté avec devise, indiquant les noms et adress
us que par intervalles, sa figure reste anxieuse et contractée; les
plis
naso-labiaux et les rides du front sont accusés
térieure de la scissure de Sylvius. L'atrophie intéresse surtout le
pli
courbe, la partie postérieure des première et d
Rolando (PL. VI, S). Signalons encore : f) un îlot sur le lobule du
pli
pariétal;- g) un sur le lobule du pli courbe (P
: f) un îlot sur le lobule du pli pariétal;- g) un sur le lobule du
pli
courbe (PL. VI, Pc.), empiétant sur l'extrémité
isphère gauche. N, N, N, Ilots de sclérose. P c, îlot occupant le
pli
courbe. R, sillon de Rolando. S, scissure de
ras, tandis qu'elle laisse sensible la région pal- maire voisine du
pli
du coude, et que, à la tête et au cou, elle est
R UNE LÉSION DE la CIRCONVOLUTION pariétale INFÉ- RIEURE (lobule du
pli
courbe), EN rapport avec la théorie DES localis
centre des mouvements oculo-palpébraux et la partie postérieure ou
pli
courbe proprement dit est ou bien le centre de
rja;7910B m en enduis auprès du malade.. Sa réponse fut nega- .00
Pli
! (f 1 na ? Ar,,a]'->V81b . 1 fiicogo ? ob t
au, des mem- ,-91 )i.o',9'. 90C (SUIS , 9189-1.10) ,1090,' ,T;0 ? o
pli
. i'nt ? v9 bres inférieurs, .quelques heures a
" a-.iï ? riuv-.iû ? ïjjoJJ ,j*uiiA>iii aUDuj 'in.ijj im miimoa
pli
? gmxlg ? Prt Jgs2JJJr1 89b 2szJrllrtdil ao8arjuo
tale. P A, pariétale ascendante. F A, frontale ascendante. P C,
pli
courbe situé en arrière du lobule frontal inférie
émisphère gauche , N, N, Ilots de sclérose. P c, ilot occupant le
pli
courbe. R, sillon de liolamlo. S, scissure de
uxième, troisième circonvolution temporale. T 4, circonvolution, ou
pli
temporo-occipital latéral. T , circonvolution,
nvolution, ou pli temporo-occipital latéral. T , circonvolution, ou
pli
temporo-occipital médian. II, circonvolution de
ibue l'hyperdactylie un fait purement mécanique, par l'ac- tion des
plis
de l'amnios pendant la vie intra-utérine (5). W
sme. Mais il n'est pas absurde de penser que des stimulants locaux (
plis
de l'amnios, comme le voudrait Ahfeld, ou d'aut
arrière, elle est complètement immobile pendant la respiration ; un
pli
horizontal passe à trois centimètres plus haut
ration est abdominal. 14° La région de l'abdomen est divisée par un
pli
horizontal, qui passe à 3 centimètres au-dessus
che ; de ce côté, à peine au-dessus de la crête iliaque, on voit un
pli
cutané transversal très net, qui n'existe pas d
la peau. Les petits carrés de la peau, compris et limités entre les
plis
épidermiques, sont augmentés de largeur ; ils o
ause d'une légère boursouflure de l'épiderme (PI. XXXI, XXXII). Les
plis
de l'épiderme sont très marqués. Cette façon de s
ale est précisément en larges carrés ou écailles bien limités par des
plis
profonds. , Réflexes. Réflexes rotuliens exag
s dit, une largeur anormale des petits carrés de la peau, entre les
plis
épidermi- dues. Ces carrés sont plutôt luisants
Ces carrés sont plutôt luisants. Cette distance spéciale des petits
plis
cutanés, unie à une légère boursouflure, donne l'
de la peau d'un lézard ou d'un crocodile sur la face ventrale. Les
plis
, au lieu d'être presque disparus, comme dit Bri
t légère- ment boursouflés de l'épiderme, larges el limités par des
plis
cutanés bien prononcés. Si nous passons maint
ait corps avec les parties sous-jacentes..... la peau est lisse, sans
plis
, sans mobilité aux doigts surtout la peau est l
mènes d'atrophie cutanée, où la peau est lisse, luisante même, sans
plis
, altérations qui s'accompagnent à l'atrophie musc
ndeur de la peau ; celle-ci est sèche et se laisse soulever en gros
plis
surtout aux extrémités supérieures (dos des mai
gne médiane du membre autrement dit une ligue réunissant le milieu du
pli
de l'aine au sommet de la rotule; elles sont su
deux tiers exter- nes). En haut elles ne dépassent pas le niveau du
pli
fessier. En bas elles empiètent à peine-sur la
nins, son oeil profond ombragé de sourcils broussailleux. Dans les
plis
de la bouche et des paupières, une vivacité tem
re défléchie par des efforts de redressement. Affaiblissement des
plis
et sillons à gauche, surtout du sillon naso-génie
ndl'oplasie, Soc. anat. de Paris, oct. 1908, p. 439. Anomalie des
plis
de la main dans l'achondroplasie et la dysostose.
1 m. 730. Or on trouve : 442 CORDIER ET REBATTU plus que de rares
plis
an niveau dps tempes et du cou, et qui d'ailleurs
iminution d'un centimètre pour la circonférence prise au-dessous du
pli
du coude, entre les deux côtés. La force de pré
re le vagin dans tous les sens, de façon à faire disparaître tous ses
plis
, à le raccourcir, et à présenter la paroi supérie
ger les sur-faces avivées de telle sorte que la réunion se fasse sans
plis
, et en ligne droite ; d'aviver profondément jusqu
ille, on le plie en deux par le bout qui arrive dans la gouttière; ce
pli
, fait dans une très-petite étendue, suffit pour l
rec-tum, affaisse la tumeur, et le vagin cessant d'être distendu, des
plis
se forment sur la paroi postérieure. Il sembler
térieure du vagin ; tirez sur ces deux érignes de ma-nière à faire un
pli
à la paroi du vagin; portez l'indicateur gauche d
ne ai-guille courbe passez trois ou c[uatre fils doubles à la base du
pli
vaginal, et alors enlevez avec le bistouri la muq
i vaginal, et alors enlevez avec le bistouri la muqueuse qui forme ce
pli
, en vous arrêtant à 6 ou 7 millimètres des flls,
adicale. Pour y arriver, on pourra employer l'exci-sion rayon née des
plis
de la muqueuse des grandes lèvres et de la peau d
de l'épine ihaque , d'un côté, à celle du côté opposé, en suivant les
plis
des fesses. m. La suture avec incisions libérat
pour découvrir le méat urinaire on est obligé de déprimer en bas les
plis
du vagin qui le masquent. Le rectum est moins fré
n arrière duquel se voient les piqûres laites par les griffes, et les
plis
qui en résultent. Cet instrument pouvant détermi-
ulu. Figure xv. Pince à griffes et à coulisse pour saisir de larges
plis
de la muqueuse du vagin. Suppléments à la Médec
par des sutures d'argent passées transversalement et forment ainsi un
pli
longitudinal qui rétrécit le vagin et refoule le
gle, pouvait offrir un obstacle suffisant au prolapsus utérin, par le
pli
qui suivait la réunion des deux bords ; l'expérie
centrale des flancs; — 10° la région des ovaires; — et enfin, 11° le
pli
de l'aine, à quelques centimètres au-dessous de l
ig. 1). . 3° Région hystérogène sus-inguinale. — Elle occupe sur le
pli
transversal formé par le ventre qui est gros, une
ce de 2 centimètres de diamètre, située à égale distance du milieu du
pli
de l'aine gauche et de la région ovarienne. A ce
re les seins, volumineux, au point de faire sur eux une empreinte des
plis
de la chemise. Les doigts sont fortement fléchis;
. —A 10 heures et demie, application de plaques de zinc au-dessous du
pli
du coude à 11 heures 3/4, retour de la sensibilit
t n'est perçu. On peut pincer vigoureusement la peau, transpercer des
plis
avec une épingle, appliquer un vase froid, projet
dit qu'elle a des crampes dans les mollets, des douleurs qui vont des
plis
de l'aine aux pieds ; ces douleurs seraient plus
es membres inférieurs : droit. gauche. Circonférence au niveau du
pli
de l'aine.... 68 c. 64 c. — à 10 centimètres au-d
as de zones sus ou sous-claviculaires, ni au niveau des flancs ou des
plis
inguinaux. Aura. — S... est agacée, irascible,
la vulve, irritation des parties voisines, rougeur érysipélateuse des
plis
génito-cruraux et de la face supéro-interne des c
sinantes. Cependant, il n'en existe ni au périnée, ni à l'anus. — Les
plis
génito-cruraux et la face supéro-interne des cuis
perdu de sa mobilité : on ne peut que la rider et non la soulever en
plis
. La tuméfaction sous-jacente n'est pas homogène
et de la radiale sont normaux dans tout leur trajet. Les veines au
pli
du coude sont peu développées. Ce dernier caractè
au niveau de l'extrémité gauche de la fourchette sternale, et dans le
pli
de l'aine, il se décida alors à entrer à l'hôpita
e au bord interne du pied. 97 97 Circonférence. Cuisse au niveau du
pli
génito-crural.............. 62 58 Cuisse partie
hantiasis est exactement limité au membre inférieur, et se termine au
pli
de l'aine. L'épaississement de la peau et des cou
irecte va être faite chez notre malade; compression de la fémorale au
pli
de l'aine, pendant douze heures chaque jour, avec
e de huit heures du soir à huit heures du matin. Une excoriation du
pli
de l'aine obligea de cesser la compression; puis,
La pie-mère s'enlève en général assez facilement, sauf, au niveau des
plis
pariétaux, du pli courbe où il y a des adhérences
e en général assez facilement, sauf, au niveau des plis pariétaux, du
pli
courbe où il y a des adhérences, ainsi que sur le
nsi que le S. R. Le lobe frontal est relativement très développé; ses
plis
de passage sont assez nombreux, les sillons sont
La moitié gauche de la face est moins mobile que la moitié droite; le
pli
na-solabial est moins marqué à gaucho. Pas de tro
stinctes, la circonvolution de Broca peu plissée.— Il n'existe pas de
pli
de jonction entre la partie inférieure des circon
céphalile occupe surtout le lobe frontal, le pied de F3, Pa, Fa, le
pli
pariétal inférieur, le pli courbe, et, par places
le lobe frontal, le pied de F3, Pa, Fa, le pli pariétal inférieur, le
pli
courbe, et, par places, les trois cir-convolution
ulières, assez développées, y com-pris colles de la face interne. Les
plis
de passage sont rares. Les sillons sont moyenneme
férieure du lobe frontal, sur l'extrémité postérieure de F 2, sur les
plis
pariétaux supérieur et inférieur, sur le pli cour
érieure de F 2, sur les plis pariétaux supérieur et inférieur, sur le
pli
courbe, sur la circonvolution de l'hippocampe et
ont été faites sur l'homme. Le foie des suppliciés fut trouvé rem-
pli
de matières sucrees. Celui de morts de maladie se
d'idiots. Mais ici les deux sillons sont séparés par un très mince
pli
de passage pa- riéto-occipital supérieur (premi
un très mince pli de passage pa- riéto-occipital supérieur (premier
pli
de passage de Gratiolet). Au devant du sillon o
dévolue à la peau du front, près la limite du cuir chevelu, et aux
plis
de la peau entre les phalanges du côté de la paum
se traduit par le dessin d'un sillon rectiligne ou arqué ou par des
plis
convergeant en un sillon sur l'éminence hypothéna
imite du cuir chevelu de la tête, à la peau des joues, au-dessus du
pli
naso-labial; l'at- touchement y détermine un fr
ns en moins accusée, au cou, à l'épaule, le long du tronc jusqu'aux
plis
inguinaux en avant et aux fesses en arrière, à
ête dont l'un prédominant à gauche et situés au-dessus du lobule du
pli
courbe dans la première pariétale. Les points c
on occipitale d'abord, puis temporale gauche dans le voisinage du
pli
courbe). ? - La tête est projetée en arrière +il
rtiellement atteintes dans leur tiers supérieur et inférieur, et du
pli
courbe. On constate une hémiplégie des extrémit
forment comme des arêtes. - Le foyer ocreux occupe tout T' jusqu'au
pli
pariétal inférieur inclusivement et près de 2 c
trois circonvolutions frontales sont très sinueuses avec plusieurs
plis
de passage. Les circonvolutions frontale et par
de la face interne du lobe occipital avec destruction du cunéus; le
pli
courbe parait intact. L'auteur signale aussi l'
ntermédiaire de Jensen; - j ? deuxième sillon intermédiaire; l' c.,
pli
courbe; - 7r p o ? premier pli de passage pariéto
euxième sillon intermédiaire; l' c., pli courbe; - 7r p o ? premier
pli
de passage pariéto-occipital de Gratiolet; --p
pli de passage pariéto-occipital de Gratiolet; --p p o2., deuxième
pli
de passage pariéto-occipital de Gra- tiolet ; p
le ascendante; P. A., circonvo- lution pariétale ascendante; - 111,
pli
pariétal supérieur; r Ps, pli pariétal inférieu
- lution pariétale ascendante; - 111, pli pariétal supérieur; r Ps,
pli
pariétal inférieur; P', C., pli courbe; Sc. f.
111, pli pariétal supérieur; r Ps, pli pariétal inférieur; P', C.,
pli
courbe; Sc. f. s., scissure frontale supérieure;
l ; L. Q., lobule quadrilatère ou avant-coin; - C., coin; P. F. L.,
pli
fronto limbique; -P. P. P., pli pariéto limbique
u avant-coin; - C., coin; P. F. L., pli fronto limbique; -P. P. P.,
pli
pariéto limbique postérieur; C. A., corne d'Amm
face externe des bras sous la forme d'une bande s'étendant jusqu'au
pli
du poignet et ne dépassant pas la ligne médiane
ent une bande interne qui partant de l'aisselle atteint à peu près le
pli
du coude. (Il s'agit bien là d'un territoire pl
haut, un peu au-dessus. 'de l'hori- zontale, on. voit se former un
pli
cutané, ptérygoïdien, qui part de la' deuxième
euxième côte à la coulisse bicipitale de l'humérus. C'est un simple
pli
de la peau, renfermant dans son intérieur une m
gorie des Little non guérissables spontanément. Un garçon de 7 ans (
pli
. XIX, E et F), né avant terme, ne marche pas du
ce une scène plus plaisante. Dans un intérieur garni de rayons rem-
plis
de livres, avec quelques fioles sur le plus haut
tampes, nous montre un médecin plus digne etdeplus saute envergure (
pli
. XXII). C'est une oeuvre d'un plus grand caractèr
ficatif. La jeune fille timide, craintive, embarrassée, tenant t un
pli
de sa robe de la main gauche, et près d'elle une
rrière, elle recouvre la 2' pariétale et s'étend jusqu'au lobule du
pli
courbe ; en bas, elle recouvre en partie la po te
ABDOMINAL DROIT 267 couche de graisse sous-cutanée que coupent des
plis
profonds, entre autre celui de la partie moyenn
e celui de la partie moyenne de la face interne, à la cuisse, et le
pli
longi- tudinal qui sépare à la partie postéro-i
mais il empiète légèrement sur le cap du lobe carré à la : base du
pli
de passage temporo-limbique. Le foyer du cuneus
rissaud). A. Face externe de l'hémisphère gauche. Pas de lésions du
pli
courbe ni du lobule du pli courbe. B. Face inte
de l'hémisphère gauche. Pas de lésions du pli courbe ni du lobule du
pli
courbe. B. Face interne de l'hémisphère gauche.
ns à la partie antérieure de laFq; 3° Exulcérations siégeant sur un
pli
de passage de la FI à la FI, à la a hauteur du
langes), sur l'extrémité inférieure des os de l'avant-bras. Dans le
pli
cutané qui unit le pouce à l'index du côté gauc
icard el ,fllguic). NOUVELLE Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE. T. XV.
Pli
. LI DÉVIATION DE LA COLONNE VERTÉBRALE DANS LA
oyez que les muscles paralysés sont flasques, sans consistance ; le
pli
fessier est abaissé, à gauche. Déplus, ils sont f
rie bien apparente : peut-être est-elle un peu tirée à gauche ; les
plis
du front se font également des deux côtés. La f
ues, ainsi que l'en- coche thoraco-ahdominale du flanc droit et les
plis
cutanés à ce niveau, tiennent à l'attitude lian
te partie du membre prend la forme d'un cône dont la base'serait le
pli
du coude et le sommet le moignon qui représente
grimaçant, des con- vulsions toniques, des muscles soulevaient les
plis
naso-géniens des deux côtés et provoquaient un
réseau veineux peu apparent ; la tuméfaction s'arrête au niveau du
pli
du poignet. Il n'y a pas d'empreinte manifeste pa
offre l'aspect lisse (Glossy Skin) de sorte que les sillons- CL les
plis
articulaires sont effacés. Les ongles,' allongés,
ions et les vides qui existent normalement. Elle élève le niveau du
pli
postérieur du poignet et efface la saillie si m
ante, et comme collée à l'os au niveau de la dernière phalange. Les
plis
articulaires sont effacés. Comme chez les autre
si vous conti- nuiez. » 1 La pression profonde et même un simple
pli
fait à la peau réveillent les mêmes phénomènes.
la lésion spinale ne dépassaient pas, comme limite supérieure, les
plis
inguinaux. Voici par exemple une observation de
er cette perversion de la sensibilité ne remontant pas au-dessus du
pli
de l'aine, en avant; en ar- rière elle n'arriva
nt tendus et lisses; à peine sont dessinées les lignes normales des
plis
de flexion, la flexion cependant s'exerçant san
YGIENNE. · LE DÉDOUBLEMENT DU TOURBILLON DES CHEVEUX 197 sance du
pli
fessier. L'infundibulum du côté droit est sur un
plus vraisemblablement d'une tentative imparfaite pour figurer les
plis
cutanés du cou que les statuaires antiques consid
thyroïde peut s'ajouter à l'embonpoint graisseux pour accentuer les
plis
cutanés que les artistes aiment à reproduire. I
ea contre les injures des hommes, mais leur permit de se livrer aux
pli
", exactions. Il est en effet avéré qu'au temps
là façon des femmes de son temps, dra- pée dans un long manteau aux
plis
raides et cassés. Lamain gauche sur son coeur,
le sur la tête, tenant de la main gauche un pain dissimulé dans les
plis
de son manteau, et de l'autre main versant le con
le mal de Saint Roch, siégeant à la partie supéro-interne, près du
pli
inguinal, là où se trouvent les ganglions dont l'
nfondues; frontale et pariétale ascendantes régulières ainsi que le
pli
courbe; les trois circonvolutions temporales so
rbe; les trois circonvolutions temporales sont nettes; le lobule du
pli
courbe, le lobule pariétal, le lobe occipital s
les Planches I et II. Toutes sont très distinctes, il n'y a pas de
plis
de passage. Des sillons assez profonds les sépare
e ascendante. ? llt, lobules pariétaux, supérieur et inférieur. P3,
pli
courbe. Tl, 7 ? 1'3, circonvolutions temporales
la surdité verbale soient en relation avec des lésions occupant le
pli
courbe ou la partie postérieure des circonvolut
rrier. Bien plus, ils nous paraissent très propres à établir que le
pli
courbe n'est pas plus le centre de la vue, que
lables. » (Stuart Mil ! ). M. le Président procède à l'ouverture du
pli
cacheté contenant le nom de l'auteur et proclam
r à Lille, Marcel Bnand et un autre candidat dont le nom était sous
pli
cacheté. La Société décide qu'une récompense de
t. JonissEN,çE (G.). Les mouvements de l'iris chez l'homme à l'état
pli
y- siologique. Brochure m-8° de 52 pages, Paris
e, trente-huit centimètres adroite, trente-neuf à gauche; tour du
pli
fessier, cinquante-deux à droite, cinquante-quatr
ap- partenant pas au domaine de la folie morale, les actes accom-
plis
, soit sous l'influence d'une impulsion irrésistib
s cas d'hallucinations de la vue chez les paralytiques généraux, le
pli
courbe n'est pas affecté d'une façon aussi marq
ate que la circonvolution supra-marginale est' plus atteinte que le
pli
courbe dans les cas qui s'accompagnent d'halluc
scendante. Pl, Pc, lobules pariétaux, supérieur et inférieur. Pa,
pli
courbe. - y, T-, 1'3, circonvolutions temporale
une écorce onduleuse de substance grise, dessinant un grand nombre de
plis
et replis, appelés circonvolu-tions (1), disposés
be occipital, les deux premières circonvolutions sphénoïdales, et les
plis
de passage, régions considérées comme le siège de
interne (prœcuneus, lobule quadrilatère), relié au précédent par des
plis
de passage et limité en arrière par un sillon pro
olution temporo-occipitale est sectionnée dans toute son étendue ; le
pli
unciforme qui la termine en avant renferme la cou
du trigone. L'extrémité antérieure de la corne d'Ammon, qui occupe le
pli
unciforme, présente sa coupe plus bas (13). Elle
ruciforme. Les circonvolutions de l'insula sont réduites à un ou deux
plis
seu-lement. Les fibres commissurantes des régio
res du cervelet sont détachés par la section. La coupe représente les
plis
, les ondulations et les lamelles formés par la su
heinungen, keine Sensil)ilittitssii51,un(yen bestehen, etc. » . '
Pli
. Zenner (3) nous communique un cas d'une tumeur o
a deuxième pariétale (gyrus supramarginalis et moitié antérieure du
pli
courbe). Dans le 48 LONG fond de la scissure
hyse basilaire. Sur la face interne, on remarque le plus souvent un
pli
angulaire à arrête assez vive de la gouttière b
u'au genou et en arrière s'étendant en bande longitudinale jusqu'au
pli
fessier (Fig. 2). Au périnée Inc. 1. - Anesthés
la totalité des deux extrémités depuis le ligament de Poupard et le
pli
fessier en haut, jusqu'aux orteils en bas. Le p
nt après l'enlèvement des bandages ; elle montre des sillons et des
plis
comme la première. L'intelligence de cet homme es
ostic nous paraît devoir être écarté en raison de la persistance du
pli
de flexion des trois derniers doigts qui n'exis
es; la peau est lisse ; toute ride frontale a disparu ainsi que les
plis
normaux. ' Si l'on examine les yeux, on constat
'accentue, car elle est tirée vers la droite, et dans cet acte, des
plis
apparaissent plus marqués dans la région sous-orb
nérale habituelle, mais elle est plus flexueuse que normalement. Le
pli
de passage fronto-pariétal inférieur est situé
YRIE 265 La scissure sous-frontale, bien marquée, ne présente qu'un
pli
de pas- sage fronto-limbique (pré-ovalaire).
ieu de présenter la forme d'un coin, il est constitué par un simple
pli
à direction antéro-postérieure situé en- tre la
irconvolutions paraissent-elles divisées en un plus grand nombre de
plis
que d'habitude alors que l'apparence en question
s. C'est delà même particularité que résulte l'aspect contourné des
plis
corticaux. Qu'on suppose un hé- misphère normal
orticaux. Qu'on suppose un hé- misphère normal dont l'épaisseur des
plis
aura diminué et dont les sil- lons et les incis
""...1 ? l ' "- ABSENCE CONGÉNITALE BILATÉRALE DU RADIUS 413 Les
plis
de la paume de la main n'o.nt pas leur dispositio
de la paume de la main n'o.nt pas leur disposition habituelle ; les
plis
transversaux manquent et il existe' deux plis lon
tion habituelle ; les plis transversaux manquent et il existe' deux
plis
longitudinaux bien mar- qués (fig. 2). L'inde
ffisamment développé, grêle, court, uni il la base au médius par un
pli
cutané ; ses mouvements propres sont très peu éte
is, 1838. ) ? (M-'l-jI-. r <|"ll^' 1 1J 1 j I *' 1 j ? ? . 1 ' 1 t
pli
1 J f f 11 I ° l3roussais ? - De l'irritation e
fid^ôlh-aj^te^Lajira^ejit31si.iJ)iI J1<aJE\l;sf9 ln 19}}<19°d1)
Pli
èJfi dans le sens religieux., ? r , lt=JJJi3v o
coolisipe,est, çommun,7 aux,,deui. ; L'acoolismei,es,t - 1' -c e,
plis
,fréqueut"chez;l ? hQpm, sans doute; sur Glkaliéné
ées ;ila,1cin- quième occipitale avec- la cinquième temporale parle
pli
de.passage occipito-hippoçanïpique. A, gauche,
'UP" toni'¿ité' ! "des , , ,L ^™ ? 10'" 1 ? f·rF ,t 1'1 "I" ? >"
pli
? n-'ipioiii muscles' innerves par eux. L influ
à peu près saine) ; 5° sur les deux premières temporales et sur le
pli
courbe. A la face interne, on note quelques adh
re droit. Fa, frontale ascendante. Pa, pariétale ascendante. P,
pli
pariétal supérieur. T, partie postérieure des c
ale. La Planche montre, entre P et T, un vaste foyer intéressant le
pli
pa- riétal inférieur, le pli courbe, etc. PLA
P et T, un vaste foyer intéressant le pli pa- riétal inférieur, le
pli
courbe, etc. PLANCHE V. ]'féningo-encéphalite
Déjerine2, de Broadbent et le mien `, d'après lesquels la région du
pli
courbe est plus par- ticulièrement intéressée;
n bien circonscrite se trouvait limitée pour la cécité psychique au
pli
courbe (fait de Déjerine) et pour la surdité ps
nterruption le long du sillon interpariétal jusque sur le lobule du
pli
courbe (gyrus angulaire) et, par les circonvolu
ule pariétal supé- rieur qui est intégralement envahi. Du lobule du
pli
courbe, l'alté- ration passe dans la 2e circonv
ion des circonvolutions ascendantes, le ramollissement du lobule du
pli
courbe peut être invoqué pour la pathogénie de la
re droit. Fa, frontale ascendante. Pa, pariétale ascendante. P,
pli
pariétal supérieur. T, partie postérieure des c
ale. La Planche montre, entre P et T, un vaste foyer intéressant le
pli
pa- riétal inférieur, le pli courbe, etc. EXP
P et T, un vaste foyer intéressant le pli pa- riétal inférieur, le
pli
courbe, etc. EXPLICATION DES PLANCHES. 457 i
, irrégulières, qui paraissent fermées ou communiquent entre elles (
pli
. V et VI, B'). Dans le rachitisme, malgré les c
apparent. Au-dessous du maxillaire inférieur on remarque plusieurs
plis
cutanés. Les limites de la tumeur sont : en hau
aque. Les téguments abdominaux font à ce niveau des larges et longs
plis
qui dépassent un peu la ligne médiane. Les mame
ne davantage surtout vers sa base. Elle est délimitée en bas par un
pli
cutané. L'extrémité inférieure du thorax n'est
r contracture de l'orbiculaire, le nez est déjeté du même côté. Les
plis
du front sont assez marqués. Lorsque S... mobilis
s photographies la contraction dé- formante par incurvation du nez (
Pli
. n° 2), la contraction parcellaire du peaucier,
e et surabondante ; entre les doigts on observe la persistance d'un
pli
cutané très accentué, presque une membrane inte
si la peau était en excès et les doigts sont unis entre eux par un
pli
cutané haut de presque un centimètre : vé- rita
de cône vers le ventre qu'il refoule et qui se sillonne de nombreux
plis
; d'avant en arrière c'est un aplàtissement asy
passant par les deux mamelons ; 3° la direction, oblique aussi^des
plis
de l'abdomen. Les quatre dernières côtes parais
arrondie, régulière, qui part de la sixième dorsale pour aboutir au
pli
fessier, déterminant latéralement un pli cutané
me dorsale pour aboutir au pli fessier, déterminant latéralement un
pli
cutané profond. Le rideau musculaire du dos e
nt, l'un à l'articulation phalango-phalangienne, l'autre au dernier
pli
de la paume de la main. Ces gonflements devinrent
meur entame, dans presque toute son épaisseur, la circonvolution du
pli
courbe qui est réduite à une lamelle très mince e
affleure presque la surface de l'hémisphère ; la circonvolution du
pli
courbe est réduite par places à un millimètre d
e ses doigts et de l'attirer à l'extérieur. Sa surface présente des
plis
longitudinaux; elle est atrophiée et plus molle
IBIERGE ET GASTINEL gueur et mesurent 0 m. 11 de large au niveau du
pli
de flexion des orteils. La voûte plantaire est
bles seins qui repré- sentent environ le volume d'une mandarine. Le
pli
sous-mammaire mesure 11 centimètres de long à d
maire, confinant en dedans à la ligne médiane, atteignant en bas le
pli
mammaire inférieur et remontant en haut jusqu'à
x et analogues des deux côtés. Rien d'anormal aux bras. Depuis le
pli
du coude jusqu'au poignet, anesthé- sie tactile
douleurs spontanées ni provoquées. Sur l'abdomen n'existent pas de
plis
cutanés transverses. Le thorax semble rentré da
ation caractéristique de la tête en avant, la cyphose dorsale et le
pli
transversal de l'abdomen qui ont porté des aute
érieur du thorax avec cyphose, disparition de l'espace iléo-costal,
plis
transversaux de la peau au-dessus et au niveau
obe occipi- tal. A droite, elle est interrompue à son milieu par un
pli
qui réunit le lobule pariétal supérieur à l'inf
ntérieures de la frontale ascendante est interrompu à droite par un
pli
anastomotique; à Fig. 2. Face externe de l'hémi
rmalement avec le lobule pariétal supérieur en haut et le lobule du
pli
courbe en bas. Le lobule pariétal supérieur est
en bas. Le lobule pariétal supérieur est formé, à gauche, d'un seul
pli
sinueux qui va s'amincissant en arrière, et con
roite, il e,,t un peu plus développé, et envoie une anas- tomose au
pli
combe. A gauche, la circonvolution du pli courbe
nvoie une anas- tomose au pli combe. A gauche, la circonvolution du
pli
courbe forme un vaste plateau où se dessinent d
forme un vaste plateau où se dessinent deux fossettes allongées; le
pli
courbe est très simple et formé par une seule cir
contournant la scissure parallèle. A droite, la circou- volution du
pli
courbe est un peu mieux dessinée, et le pli courb
la circou- volution du pli courbe est un peu mieux dessinée, et le
pli
courbe un peu plus sinueux, moins haut, et est
oup plus volumi- neux qu'à gauche. 3° Lobes occipitaux . Les deux
plis
de passage pariéto-occipitaux sont formés par d
ent directement avec la grande ouverture des hémisphères sans aucun
pli
de passage superficiel. Réflexions. - Dans l'ob
a plante du pied gauche, un chatouillement qui remonterait jusqu'au
pli
de l'aine, mais il est difficile, en raison de
s également. Celles du côté droit présentent des flexuosités et des
plis
de passage plus nombreux qu'à gauche. En arrièr
ions sont très petites et comme ratatinées. Il y a de très nombreux
plis
de passage. A la coupe on constate de la fermet
esse e la peau. Les téguments paraissent comme tirés et tendus sans
plis
ni rides, quelque chose comme si les tissus sou
sure droite est alors fortement attirée en haut et en dehors et les
plis
de la figure sont très marqués à droite, comme
ehors et en arrière ; on le soutient de la main gauche au niveau du
pli
du coude, le bras du sujet formant un angle obt
supérieur est analogue à la précédente, mais au lieu de soutenir le
pli
du coude, l'observateur, assis, fait appliquer à
u début, avant que la paralysie n'ait commencé à rétro- grader, les
plis
du front sont effacés et le sourcil est abaissé.
e faciale hystérique l'abaissement du sourcil ni l'efface- ment des
plis
du front qui dépendent dans la paralysie organiqu
e l'abaissement de la commissure labiale ainsi que l'effacement des
plis
du front dans la paralysie faciale de l'hémiplé
onc et que parfois le domaine de la surréflectivité ne dépasse pas le
pli
de l'aine, même lorsque la limite inférieure de
c et que parfois le domaine de la surréflectivité ne dépasse pas le
pli
de l'aine, même lorsque la limite inférieure de l
de gauche à droite ; on observe alors à la nuque du côté gauche des
plis
de la peau, qui sont la conséquence de la contr
st d'un volume trois ou quatre fois moindre que du côté gauche, les
plis
du front sont effacés, le sillon naso-labial es
a par- ticularité suivante : quand l'excitation porte au-dessous du
pli
fessier ou à la fesse à plus de 6 ou 7 centimèt
marqués aux membres inférieurs, ils sont peu prononcés au-dessus du
pli
de l'aine. Il existe une anesthésie presque tot
ce des déplacements, de la toux. Elles siègent surtout au-dessus du
pli
de l'aine droit, mais ne se laissent pas locali
de glace. L'anesthésie devient un peu moins profonde au-dessus des
plis
de l'aine; la malade commence à percevoir, quoi
ie aux membres inférieurs, mais commence à être perçue au-dessus du
pli
de l'aine. La sensibilité articulaire et muscul
lus difficiles à provoquer par l'excitation de la peau au-dessus du
pli
de l'aine. Toutefois, nous avons pu les faire a
es de défense bien caractérisés, qui se laissent provoquer jusqu'au
pli
de l'aine. Les réflexes tendineux sont ici d'
a la température et a la douleur; ces troubles s'étendent jusqu'au
pli
de l'aine ; ils sont bien plus prononcés à droi
écialiste doit être formulé il l'insu de l'intéressé et transmis sous
pli
cacheté pour qu'il ne puisse pas être le point
mais pas très forte ; la limite de ces réflexes ne dépasse guère le
pli
de l'aine ; raideur musculaire peu prononcée. L
qui occupent les membres inférieurs, remontent un peu au- dessus du
pli
de l'aine, sont surtout prononcés à l'extrémité d
ve à gauche, en pleines régions analgésiques ; il existe au-dessus du
pli
de l'aine et parallèlement à sa direction une pla
tandis que chez notre malade (V. fig. 17),elle passe en avant par le
pli
de l'aine tandis qu'en arrière elle ne remonte pa
acine où elle se limite en avant par une ligne qui suit exactement le
pli
de l'aine et en arrière par une ligne qui suit le
t exactement le pli de l'aine et en arrière par une ligne qui suit le
pli
fessier inférieur. Eh bien, messieurs, voilà un f
ent en formant sur un point quelconque des parties hyperesthésiées un
pli
de la peau que l'on comprime en suite entre le po
e un frôlement superficiel ou encore lorsqu'on comprime légèrement un
pli
cutané compris entre deux doigts, la sensation pr
plique sur le flanc gauche de celle-ci, mis à nu, un peu au-dessus du
pli
de l'aine, l'extrémité des quatre doigts étendus
aire à l'axe du membre, et passant à quelque centimètres au-dessus du
pli
de l'articulation du cou-de-pied ; du côté de la
ou-de-pied ; du côté de la hanche la ligne limitante suit en avant le
pli
de l'aine, empiétant un peu sur l'adomen, tandis
forme une courbe à convexité supérieure qui de l'extrémité interne du
pli
fessier remonte vers la crête iliaque. Ce sont
née en manchon se limitant par en haut suivant une ligne parallèle au
pli
de l'aine et par en bas suivant une ligne circula
spéciales. Elle comprend la main entière et cesse un peu au-dessus du
pli
du poignet par une ligne droite circulaire passan
, puis le front du même côté ; un instant après, on la voit saisir un
pli
de sa robe de la main droite, au niveau de cette
le testicule gauche, sur le cordon et dans les régions avoisinantes ;
pli
de l'aine, flanc, hypogastre. Néanmoins, quelque
niveau de la partie droite de Thypogastre immédiatement au-dessus du
pli
de Faine, le malade accuse d'abord une vive doule
aque supérieure en arrière; en avant elle descend obliquement dans le
pli
inguinal scrotal. La peau du tronc a conservé t
e, la lésion est localisée par la majorité des observateurs dans le
pli
courbe et dans la partie adjacente du lobe pari
une certaine époque, Ferrier localisa les centres visuels dans les
plis
courbes, à l'exclusion des lobes occipitaux. Da
blissement appréciable de la vision. La destruction unilatérale du
pli
courbe produit seulement une perte, passagère d
la vision dans l'oeil opposé; et même la destruction bilatérale du
pli
courbe n'est pas une cause de perte totale ou p
de perte totale ou permanente de la vision. S'il y a destruction du
pli
courbe et du lobe occi- pital dans un hémisphèr
s deux rétines dans la région ôccipito-angutaire correspondante, le
pli
courbe est la région spéciale de la vision clai
. 222 PATHOLOGIE NERVEUSE. gistes détruisirent, chez un singe, le
pli
courbe, d'un côté d'abord, puis de l'autre, san
s. Comme on pouvait cependant objecter que la couche corticale du
pli
courbe ayant été détruite jus- qu'aux sillons l
l fut décidé de faire sur un autre animal, une ablation complète du
pli
courbe, dans toute sa profondeur et dans toute
èvres des sillons furent écartées en conséquence, et la totalité du
pli
courbe d'un côté fut enlevée, pro- duisant là u
long de la ligue du sillon pariéto-occipital, laissant intact le
pli
courbe. Il en résulta l'établissement immédiat
un autre singe, on enleva les deux lobes occi- pitaux, laissant les
plis
courbes intacts; il en résulta une cécité total
éral de la Société. Les mémoires manuscrits seront accompagnés d'un
pli
cacheté avec devise, indiquant les noms et adre
ice d'un reste d'anciennes habitudes, la dernière trace d'un ancien
pli
de l'esprit dû à la pre- mière discipline métap
ureux. La main est prise en entier, de 5 centimètres au-des- sus du
pli
radio-carpien à l'extrémité des doigts. Ceux-ci t
que du sang noir. La face palmaire est également enflée, car les
plis
digitopalmaires et digitaux forment comme autant
tre part, une compression assez forte par un bandage très serré, au
pli
du coude, donne, au bout de quatre minutes TROU
marbrures de nuances plus foncées qui remonte un peu au-dessus du
pli
radio-carpien, s'accuse au niveau de la face dors
es élancements, particulièrement aux mains, et semblant provenir du
pli
du coude ( ? ). C'est, ordi- nairement, une sen
faisant le tour de la main, et placé transversalement, au niveau du
pli
d'opposition du pouce, donne 22 centimètres, alor
lade, produit déjà une fois à la Salpêtrière. ' La compression au
pli
du coude, l'élévation du membre donnent, au bou
de nouveau oedématiés, dans toute leur partie externe ; ce sont les
plis
naso-géniens, qui sont effacés, les joues qui son
en avant, du côté gauche, suivant une surface limitée en bas par le
pli
de l'aine et en haut 196 RECUEIL DE FAITS. un
e en appliquant le plus fortement qu'il le peut, sa main contre les
plis
de son vêtement, en tâchant d'entrelacer ses doig
ensibilité. - Anesthésie tactile sur toute la jambe droite jusqu'au
pli
inguinal; le toucher est normal sur le dos du p
elui de la cécité verbale, symptôme qui fut nette- ment localisé au
pli
courbe gauche dans la première autopsie faite p
ue la lésion s'étend du côté de la première temporale ou du côté du
pli
courbe. Le début de l'aphasie sensorielle peu
sensorielle vraie, tiendrait à un trouble fonctionnel au niveau du
pli
courbe. M. Mirallié aborde ensuite l'étude de l
re des première et deuxième temporales centre des images auditives;
pli
courbe, cen- tre des images visuelles. Ces dive
e côté droit; rigidité du muscle sterno-cléïdo-mastoïdien gauche. Les
plis
de la joue, du menton et des ailes du nez sont ef
. Griffe médiane. — L'excitation du nerf médian un peu au-dessus du
pli
du coude donne des résultats analogues à ceux de
fondamentales : etevation et courue du sourcil : Lignes secondaires :
plis
frontaux curviliques et concentriques à l'arc du
sse et effacement des rides frontales. Le sourcil devient rectiligne;
plis
verticaux sur le front; redressement des poils du
rne à concavité supérieure, l'autre externe à concavité inférieure. —
Plis
transversaux de la partie médiane du front qui de
ans ; — la peau de la partie médiane du front est lisse et tendue ; —
plis
transversaux à la racine du nez. Chez notre mal
aut et en avant, et la peau des parties latérales du nez se marque de
plis
parallèles à la direction de l'épine nasale. Ce m
combinées inexpressives du même auteur). Dans le premier cas, chaque
pli
de la physionomie concourt à l'expression d'un se
çon à rappeler la contracture des membres ;mais, le plus souvent, les
plis
de la physionomie ne tardent pas à se détendre et
soin d'isoler le point excité des parties sous-cutanées en faisant un
pli
à la peau, demeure également sans résultat. Tandi
ue, principalement par les parties qui font saillie, les cheveux, les
plis
des vêtements, le bout des doigts, etc. Ce passag
c, vue par la région postérieure. On voit à la partie inférieure deux
plis
qui répondent aux articulations. A leur niveau, i
l-de-sac dans l'excavation pelvienne. Il est à remarquer que c'est au
pli
de cette circonvolution et nullement à l'extrémit
par un canal de même dimension, de huit lignes de longueur, garni de
plis
longi-a tudinaux, tapissé par la même fausse memb
« offrir à sa partie inférieure, un diamètre de trois lignes. » Les
plis
longitudinaux qu'on remarquait à la face interne
oulent difficilement, mais sans douleur. « Sous les aisselles et au
pli
des aines, sur les côtés du thorax , aux jarrets,
sont à l'état normal ; les ganglions lymphatiques des aisselles et du
pli
de l'aine de chaque.côté sont gros et présentent
dans au canal alimentaire. On en voyait encore sous les aisselles, au
pli
des cuisses, sur les côtés du thorax et au creux
, recouverte de mucus, et présentait des rides circulaires sans aucun
pli
qui ressemblât aux valvules conniventes. Ces circ
a valvule iléo-cœcale, une sorte de corrugation, d'où résultaient des
plis
formés seulement aux dépens de la membrane muqueu
ltaient des plis formés seulement aux dépens de la membrane muqueuse,
plis
ondulés à la manière des circonvolutions : tous c
ne muqueuse, plis ondulés à la manière des circonvolutions : tous ces
plis
étaient couverts d'une fausse membrane très adhér
t la corrugation de l'intestin ou plutôt de la muqueuse qui forme des
plis
peu réguliers, et qui est incomplètement recouver
comme avec un emporte-pièce; en outre, elle présente une multitude de
plis
muqueux, parallèles , qui vont, en se multipliant
re qu'on s'approche du lieu qu'occupent les valvules conniventes. Ces
plis
, qui avoisinent la valvule iléo-cœcale, sont tout
ies de la muqueuse de l'intestin grêle. Un très grand nombre de ces
plis
présente une couleur verdâtre, qui n'est pas pour
e coloration superficielle, mais qui pénètre toute l'épaisseur de ces
plis
, et pourrait bien indiquer un état gangreneux : i
es par la matière colorante de la bile ait eu lieu après la mort. Les
plis
muqueux présentent d'ailleurs une multitude de gr
ules muqueux isolés, d'ailleurs parfaitement sains. La surface de ces
plis
paraît rugueuse, ce qui résulte de la présence de
e pertuis presque capillaires, dont plusieurs étaient cachés dans les
plis
radiés que présente cette région. La muqueuse du
qui la revêt. La boue plâtreuse ou caséiforme remplit les vides des
plis
de l'acéphalocyste. Cette boue adhère à la lamell
7, MALADIES DIT LARYNX, DE LA TRACHEE ET DU CORPS THYROÏDE La •
PLI
A Chazal del. J-TTLp. d~e.£cmircicr/Bina.rdct
ine celluleuse, qui entoure les vaisseaux et nerfs brachiaux jusqu'au
pli
du bras. En outre, l'inflammation avait envahi le
tte même chambre se représentait à son esprit, et déterminait dans le
pli
des bras comme un coup électrique en même temps q
a vessie. La surface interne de la vessie GV est noire, couverte de
plis
: la couleur noire n'est pas due à la gangrène, m
é. La trompe droite ouverte T D O (fig. 3') présente une multitude de
plis
longitudinaux, disposés suivant la longueur de la
loureux de la face consécutif à une lésion probable de la région du
pli
courbe. (Bull, Soc. ltiol., 1876; arc. de phys.
te pzsdchose. (.4 Ilgnz. Zeitsch. f. psych., Bd. 3 3 H., 1871.) 9
Pli
. Rey. - Consid. cliniques sur quelques cas d'atax
. La deuxième fron- tale, très sinueuse, se confond en avant par un
pli
avec la troisième et n'offre pas d'attache sur
n en forme d'x; le lobule pariétal inférieur est réduit à un simple
pli
. Le pli courbe est rudimentaire, le lobe occipita
me d'x; le lobule pariétal inférieur est réduit à un simple pli. Le
pli
courbe est rudimentaire, le lobe occipital, com
son extrémité inférieure, se divise en deux parties réunies par un
pli
de passage à un centimètre du Il bord supérieur
mdante est régulière. Le lobule pariétal supérieur, l'inférieur, le
pli
courbe, le lobe occipital sont rudimentaires; les
gue hors la bouche. La langue est aplatie, mince, parcourue par des
plis
serpentins; elle conserve l'empreinte des dents
urs de la pariétale ascendante, la moitié anté- rieure du lobule du
pli
courbe el l'extrémité de la racine de la troisi
ssure de Sylvius et comprend la partie postéro-supérieure des trois
plis
postérieurs de l'insula. Destruction delà premi
us attentif ne tardait pas à déceler que la pression exercée sur un
pli
de la peau au niveau du tendon patéllaire ou ai
n était ballonné, l'estomac contracté; sa face interne présentait des
plis
longitudinaux, obliquement coupés en losange par
it des plis longitudinaux, obliquement coupés en losange par d'autres
plis
beaucoup moins considérables. Ces plis et la muqu
coupés en losange par d'autres plis beaucoup moins considérables. Ces
plis
et la muqueuse de la grosse extrémité de r estoma
e grosse extrémité : quelques points rouges le long du bord libre des
plis
dont je viens de parler et de quelques valvules c
ais le long du muscle biceps, dans l'épaisseur du tissu cellulaire du
pli
du bras, et même dans l'épaisseur de quelques mus
tégument? la dure-mère et l'arachnoïde : on voit sur nette figure les
plis
et brides que présentait la surface interne de la
été représentées sur cette ligure ; les autres sont cachées dans les
plis
que nous avons faits à l'intestin grêle pour le m
our ainsi dire de la dure-mère pour aller recouvrir cette tumeur. Des
plis
très-prononcés indiquent cette disposition. Tum
dépression d'autant plus étroite et ressemblant d'autant « mieux à un
pli
transversal, que la main est plus renversée en ar
vers le pylore, ou s'il s'y propage, c'est le long du bord libre des
plis
que forme la muqueuse gastrique; il suffit alors
leuâtre qui contraste avec celle de la membrane muqueuse. Lorsque des
plis
occupent la surface interne de l'estomac , c'est
occupent la surface interne de l'estomac , c'est le bord libre de ces
plis
qui est d'abord le siège du ramollissement et de
posées suivant la longueur de ce viscère; chaque bande répondait à un
pli
de la muqueuse qui a été détruite et comme dissou
phagien (*). Cette muqueuse a été complètement détruite au niveau des
plis
, parce que ces plis étant la partie la plus saill
uqueuse a été complètement détruite au niveau des plis, parce que ces
plis
étant la partie la plus saillante plongeaient dan
collante, très difficile à enlever, d'une couleur jaune brunâtre. Des
plis
longitudinaux, semblables à des valvules conniven
ponctuée, disposée par plaques, par bandes, le long du bord libre des
plis
longitudinaux de la membrane muqueuse; quelquefoi
son centre dans une assez grande étendue, perforée en P, au fond d'un
pli
ou froncement transversal. La fîg. 5 ' représen
n trait linéaire ou par un petit godet, avec froncement circulaire et
plis
radiés. Les pertes de substance considérables lai
moitié gauche de la face est moins mobile que la -moitié droite; le
pli
na- solabial est moins marqué iL gauche. Pas de
ctes, la circonvolution de Broca peu plissée.- Il n'existe pas de
pli
de jonction entre la partie inférieure des circon
cép/wlile occupe surtout le lobe frontal, le pied de F3, Pa, Fa, le
pli
pariétal inférieur, le pli courbe, et, par plac
lobe frontal, le pied de F3, Pa, Fa, le pli pariétal inférieur, le
pli
courbe, et, par places, les trois cir- convolut
e paume du main de chaque côté, et descendant un peu au- dessous du
pli
fessier. La vulve et son pourtour sontanestltésiq
formée il sa partie, antérieure pal' F3 forte- ment divisée par des
plis
de passage profonds qui ou modifient 1-a : pect
très lents. Il se peut aussi que la zone réflexogène monte jusqu'au
pli
fessier et descende jusqu'au creux poplité, voi
ie antéru-internc de la paupière inférieure droite, au voisinage du
pli
palpbru-·jual; il tomba en arrière et pel'lliLc
étrie faciale par déviation légère de la bouche vers la gauche ; le
pli
naso-génien gauche est plus marqué, pas de dévi
i- mable et subtil conseiller de Chartes V, le gentilhomme accom-
pli
de ce temps, en faisait les honneurs. Il leur m
de corne d'un taureau lui ayant ouvert les téguments, du périnée au
pli
de l'aine, retombé sur la tête, a perdu l'oeil
lisiblement,en français ou en latin ; ils seront accompa- gnés d'un
pli
cacheté avec devise indiquant les noms et adresse
préfet un pouvoir très étendu. Ce pouvoir est défini par l'article
pli
, et les moyens de l'exercer le sont par l'article
e, est parsemée de brides dont quelques-unes, insérées au niveau du
pli
mento-labial, pro- duisent le renversement de l
rises., soit dans les chutes, soit par dos morsures et présente des
plis
de cicatrices de la muqueuse formant comme une
que côté, mesu- rées d'une extrémité à l'autre sans tenir comptedes
plis
in- termédiaires, sont les suivantes : Côté d
agéré de persister à considérer comme une même circonvolution, deux
plis
cérébraux parallèles, égaux en LÉSIONS DE LA DÉ
les sont moins longues qu'à droite et offrent des inflexions et des
plis
de passage assez irré- guliers. La deuxième cir
paupière supérieure et l'arcade sourcillière (yeux exca- vés). Les
plis
naso-labiaux sont assez marqués, mais non très
s non très accentués ; sur tout le pourtour des lèvres, on voit des
plis
rayonnés en grand nombre. Ces plis existent aus
pourtour des lèvres, on voit des plis rayonnés en grand nombre. Ces
plis
existent aussi au niveau du menton. La partie
e reste tou- jours couchée, la tète soutenue par des oreillers, les
plis
naso- labiaux sont très accentués ; la lèvre in
ent plus atro- phiée que le reste de l'organe et présente plusieurs
plis
trans- versaux formant comme des rides en trave
érieurs ou inférieurs. Leur siège d'élection se trouve au niveau du
pli
du coude et du creux poplité. Mais l'auteur n'a
malades qui possèdent ces zones, à arrêter l'attaque en pinçant un
pli
de la peau qui recouvre le sein, sans comprimer
li de la peau qui recouvre le sein, sans comprimer la glande, ou un
pli
de la peau du flanc, sans comprimer profondémen
ales sous-jacentes (circonvolutions ascen- dantes, région frontale,
pli
courbe et organes voisins). P. K. IX. LA POPULA
'al,en ? I.t ? 9,e correspond' pas au IllonJ de' la'Iquestion ? iul
pli
,i;nomèue,paral3; 'tiqiiè; ln II rtroublé'rderla
tiguës au centre du loucher du même côté; d'autre part, bien que le
pli
courbe du côté droit fût atteint, aucun symptôm
otion du coloris réclament l'intégrité de la première temporale, du
pli
courbe; l'habileté, la dextérité des mains, l'h
▲