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1 (1893) La photographie médicale : application aux sciences médicales et physiologiques
Nous n'insisterons pas sur l'avantage qu'il y a à faire intervenir la plaque photographique dans l'enregistrement de toutes ce
ent même de s'en servir; aujourd'hui, grâce aux progrès réalisés, les plaques sont préparées industriellement et il n'y a qu'à
ont préparées industriellement et il n'y a qu'à se les procurer. La plaque exposée à la lumière dans l'appareil photographiq
12. Armoires. — 13. Armoire à clichés. — 14. Potence. — 15. Armoire à plaques sensibles. — 16. Planchettes et tiroirs pour papi
Tout d'abord, on évite les taches qui pourraient se produire, sur la plaque par suite d'un trempage inégal ou d'un bain non h
développement se poursuit dans de meilleures conditions, parce que la plaque n'est pas toujours en présence des mêmes couches
ffet indéniable, et nous verrons plus loin, dans le développement des plaques pour projection, l'application courante de cette
toutes les opérations qui suivent le développement; de la sorte, les plaques passent dans les cuvettes les unes après les autr
des armoires bien étanches à la lumière pour y enfermer les boîtes de plaques et les papiers sensibles. Un emplacement spécia
ion mobile qui sera très précieuse pour faire deux vues sur la même plaque ou exécuter des épreuves stéréoscopiques. La lo
tue le châssis négatif, puis on arme l'obturateur et l'on démasque la plaque sensible. Il faut naturellement quelques instants
temps plus ou moins Les châssis porteront un numéro d'ordre et une plaque indicatrice en ivoire ou en peau sur laquelle on
nt cet instant? Ou bien l'épreuve ne sera pas nette, l'image mal en plaque , ou bien il faudra recommencer à nouveau la mise
alade étant devant cet appareil, on arme l'obturateur, on démasque la plaque ; à ce moment on effectue la mise au point sur le
et les deux autres portant l'un le cliché à reproduire et l'autre la plaque sensible, on obtiendra une reproduction à taille
dra choisir un objectif couvrant convenablement la grandeur maxima de plaque que peut faire l'appareil. Cet objectif aura natu
is quelques années, il ne peut plus être question d'employer d'autres plaques que celles dites au gélatinobromure d'argent. Ell
irons que nous travaillons à la Salpêtrière avec plein succès sur des plaques de la maison Guilleminot. Les plaques Lumière (ét
rière avec plein succès sur des plaques de la maison Guilleminot. Les plaques Lumière (étiquette bleue) nous ont donné égalemen
bleue) nous ont donné également d'excellents résultats. Bien que ces plaques nous suffisent pour le travail courant, il est ce
l s'agit, non pas de déterminer la sensibilité absolue d'une nouvelle plaque , mais de savoir seulement si elle est plus ou moi
emier procédé. — Nous mettons dans un châssis négatif une bande de la plaque que nous employons d'habitude, puis'une bande de
ande de la plaque que nous employons d'habitude, puis'une bande de la plaque à essayer. Si notre format est ||, ces bandes aur
olet progressivement, de façon à démasquer des bandes successives des plaques en expérience. Chaque exposition doit durer le mê
r le volet jusqu'en haut de sa course de façon à avoir une partie des plaques qui n'aura pas été impressionnée et qui permettra
ettra de juger si elles sont voilées ou non. On développe alors les plaques dans le même bain et pendant le même temps. La pl
oppe alors les plaques dans le même bain et pendant le même temps. La plaque qui pour un temps de pose donné présentera l'opac
ieur (1 ). Second procédé. — Nous mettons dans un châssis double la plaque à essayer et celle que nous employons d'habitude.
aris, Gauthier-Villars et fils. maintenant d'impressionner ces deux plaques d'une manière identique et de voir après développ
ire deux instantanés d'un même sujet, en ayant soin de poser les deux plaques l'une après l'autre, aussi rapidement que possibl
s viennent modifier constamment l'éclairage. On développe ensuite les plaques dans le même bain et pendant le même temps. S'il
n'exigentpas une pareille sensibilité?Étant donné que l'on trouve des plaques un peu moins rapides que celles que nous avons in
tre réponse n'est pas douteuse. Il faut une deuxième provision de ces plaques qui servira pour les reproductions, les photograp
où la rapidité de la pose n'est pas la condition même du succès. Les plaques de cette catégorie dont nous nous servons portent
ente préparation mais un peu moins rapides que les précédentes. Les plaques au gélatinobromure doivent être conservées à l'ab
ndiscrétion d'un tiers. (') Nous nous servons aussi avec succès des plaques de M. Perron de Màcon; ces plaques sont très bien
nous servons aussi avec succès des plaques de M. Perron de Màcon; ces plaques sont très bien préparées et d'une grande finesse.
grande finesse. § II. — CHARGEMENT DES CHASSIS. Pour employer les plaques sensibles on les place tout d'abord dans les châs
l'on s'en éloignera suffisamment. Combien d'opérateurs accusent leurs plaques de présenter un léger voile, qui sont seuls fauti
re compliquée, elle ne demande qu'un peu d'habitude et de soins. La plaque photographique a deux faces, celle qui porte la c
rreurs. Il est indispensable d'épousseter, avec un blaireau fin, la plaque avant de la mettre dans le châssis ; de cette man
che et qui feraient autant de taches. Bien souvent, les fabricants de plaques sont accusés de livrer des plaques constellées de
s. Bien souvent, les fabricants de plaques sont accusés de livrer des plaques constellées de petits trous, alors que le seul co
est également prudent de blaireauter le châssis avant d'y mettre les plaques . Dans un laboratoire organisé, on doit toujours
x qui contiennent les châssis chargés, d'autres, les châssis dont les plaques ont été exposées et d'autres enfin, les châssis v
le; 5° L'influence de la coloration du modèle; 6° L'influence des plaques ; 7° L'influence du révélateur. Parmi les rais
onne épreuve d'un malade en pied occupant une hauteur de om,o5 sur la plaque , il faudra augmenter la pose dans les proportions
ions spéciales et allonger la pose en conséquence. 6. Influence des plaques employées. — Cette influence n'est pas discutable
sensibilité considérables qui existent entre les diverses marques de plaques du commerce et les inégalités que l'on constate m
ons d'un fabricant. Il faudra donc se servir autant que possible de plaques de même marque, qui possèdent en général une sens
éanmoins, nous engageons toujours notre lecteur à s'approvisionner de plaques portant le même numéro et provenant de la même ém
du reste pris l'habitude, lorsque nous renouvelons notre provision de plaques , défaire un essai comparatif entre une plaque du
ons notre provision de plaques, défaire un essai comparatif entre une plaque du nouveau numéro et une de l'ancien dont nous co
ns le verre à expérience une cuillerée d'acide pyrogallique (pour une plaque ajouter la quantité d'eau nécessaire pour bien co
une plaque ajouter la quantité d'eau nécessaire pour bien couvrir la plaque , environ 6occ à 8occ puis 5CC de sulfite et 4 à 5
assium. Ce bain ainsi composé est versé à plusieurs reprises sur la plaque mise dans la cuvette de verre. De cette manière l
les bulles persistaient, il faudrait les enlever en projetant sur la plaque un fort courant d'eau ou encore en les enlevant a
ne saurait développer l'image latente, mais il permet, pendant que la plaque y séjourne, le ramollissement de la couche, son i
de soude, on reverse le bain dans le verre et le tout ensuite sur la plaque . 11 faut éviter avec soin de verser le carbonate
t éviter avec soin de verser le carbonate de soude directement sur la plaque , ce qui pourrait produire un développement inégal
constamment la cuvette de façon que le liquide baigne uniformément la plaque . Si la pose a été normale, et c'est ici l'hypothè
orsqu'on a tous ceux-ci, l'opération est terminée. On lave alors la plaque et on la met dans le bain de fixage. Nous parlero
de soude sans addition ni d'eau, ni de bromure. Après avoir laissé la plaque une minute environ dans ce bain, on ajoute une bo
de pyrogallique (de deux à trois cuillerées) et on laisse agir sur la plaque . L'image vient très rapidement et avec une grande
'action de la lumière sur les surfaces photographiques telles que les plaques au gélatinobromure d'argent n'est pas indéfinimen
ec un peu de soins. Le lavage terminé, il est bon de passer sur les plaques un blaireau fin et mouillé afin d'enlever les sal
tes delà paupière, de paralysie oculaire, de strabisme, etc. Avec les plaques actuelles et un malade suffisamment tranquille, o
ue d'habitude; dans certains cas spéciaux, on devra même recourir aux plaques plus spécialement faites pour reproduire les jaun
ite d'être rapporté et qui montre bien les propriétés spéciales de la plaque photographique dans certains cas. Notre maître
rcmploire, signalons le fait que nous avons consigné. Un jour, sur la plaque photographique, nous avons trouvé deux points au
rées différemment du tissu normal, elles peuvent être révélées par la plaque avant même que l'œil puisse percevoir ces différe
déterminés et à empêcher l'appareil de fonctionner lorsque toutes les plaques auront été impressionnées. En ce qui concerne cet
ppareil photo-électrique donne 9 images disposées en couronne sur une plaque fj. du régulateur de Foucault sur lequel on ins
ur trois lignes parallèles, ce qui permet d'obtenir 12 images sur une plaque f| et d'utiliser entièrement celle-ci, ce qui n'a
eil précédent dans lequel les images n'occupaient qu'une partie de la plaque (Jîg- 53). Nous avons conservé dans cet apparei
etteté suffisante; malgré leurs exquises qualités, la sensibilité des plaques n'est pas telle que l'on puisse poser impunément
st que toute image nette sur le verre dépoli le sera également sur la plaque sensible. Il sera donc de la plus grande facilité
rmet de le laisser ouvert tant que dure la pression de la main. Les plaques sensibles, placées dans des petits cadres métalli
ant et un numérotage spécial permet de savoir exactement le nombre de plaques employées. On peut donc faire un certain nombre d
car il suffit entre chaque pose d'armer l'obturateur et de changer la plaque qui vient d'être exposée. Inutile de dire qu'un
eils photographiques n'étaient pas ce qu'ils sont aujourd'hui, où les plaques demandaient une pose d'une certaine durée. C'es
il puisse mettre l'image laryngée bien sur la ligne et au foyer de la plaque photographique. A un signal du doigt, l'opérateur
r l'emploi d'une source lumineuse qui vient tracer une courbe sur une plaque sensible. On peut opérer avec une source de lumiè
es et si l'on fait progresser le malade ? Les lampes traceront sur la plaque sensible des trajectoires qui indiqueront à chaqu
re dans cette hypothèse. Voici comment nous opérons. Nous prenons une plaque sensible et dans le laboratoire noir, bien entend
flamme est horizontale; il peut être bon également de mettre les deux plaques au fond d'une caisse profonde ouverte aux deux, b
dépoli comme d'habitude (fig. 61). La pièce est placée soit sur une plaque de liège soit sur une planchette quelconque soit
ant expérimentalement à quelle distance se forme l'image nette sur la plaque à partir du plan dans lequel se trouve le verre d
raire, sont plus visibles, si nous osons nous exprimer ainsi, pour la plaque que pour notre œil. Il s'ensuit que les effets pe
s'agit d'éviter. On peut obtenir ce résultat soit par l'emploi des plaques isochromatiques, soit par l'interposition de mili
Examinons successivement ces deux manières d'opérer. i° Emploi des plaques isochromatiques. — Si l'on incorpore dans la couc
es capables d'absorber certains rayons du spectre, on constate que la plaque est devenue plus sensible précisément pour ces ra
La présence de ces substances modifie complètement la sensibilité des plaques pour tel ou tel rayon du spectre. Il s'ensuit que
r la question à consulter les Ouvrages spéciaux. La préparation des plaques isochromatiques se fait maintenant industrielleme
es isochromatiques se fait maintenant industriellement; on trouve des plaques sensibles au vert et au jaune, au jaune et au rou
). L'addition de la matière est faite dans l'émulsion même. Mais ces plaques ne sauraient suffire dans tous les cas et l'on pe
ès diluées des substances en question, au par exemple, d'y plonger la plaque pendant deux minutes, de la laver abondamment et
ns les bons Ouvrages de Physique ou de Spec-troscopie. L'emploi des plaques isochromatiques est très délicat et il faut une c
certaine expérience pour en tirer le maximum d'effet. Ainsi, avec les plaques isochromatiques du commerce, on obtient assez sou
ns lumineux des verres ou des liquides colorés, tout en employant les plaques ordinaires non isochromatisées. Ce dispositif nou
ique montre que les résultats peuvent être aussi parfaits qu'avec les plaques isochromatiques. Si l'on emploie des verres color
à ne pas apporter de perturbation dans la marche des rayons (') Ces plaques spéciales sont préparées par la maison Lumière, d
umière, de Lyon ; M. At-tout-Tailfer fabrique également d'excellentes plaques isochromatiques. Fig. 68. reil tel que celui
ageusement en combinant l'effet des milieux colorés avec l'emploi des plaques isochromatisées pour telle ou telle couleur : on
s le châssis négatif et on lui substitue, au moyen de l'opération, la plaque sensible De cette manière, on est assuré de la co
ces, ce qui n'arrive pas avec les châssis ordinaires dans lesquels la plaque ne se trouve pas toujours exactement en concordan
s lumineux, puis on substitue avec précaution le châssis contenant la plaque sensible au verre dépoli. On pose alors le temps
fois l'éclairage trouvé et, nous devons ajouter, une fois la mise en plaque faite. En effet, avec les forts grossissements, i
and diaphragme qui ne laisse passer que les rayons qui tombent sur la plaque . La mise au point s'effectue en avançant ou en
il et mettons au point sur une feuille de papier blanc collée sur une plaque de verre qui prend exactement la place du verre d
le diaphragme employé. La nature du liquide interposé et l'emploi des plaques ordinaires ou isochromatiques amèneront également
tions, pour un grossissement de 20 diamètres, avec éclairage jaune et plaques ordinaires, les poses ont varié de 1 à 3o seconde
eux qui peu- Pl. XIV. Coupe de moelle pathologique. — Sclérose en plaques . vent servir pour les études dont nous avons pa
rmée dans des petits tubes à essai. La reproduction des cultures en plaques ne présentera pas de difficultés particulières; i
tions, les conditions de l'expérience peuvent changer. Il faut que la plaque photographique donne la reproduction fidèle de to
e étude spéciale. Nous avons vu dans le cours de cet Ouvrage que la plaque photographique n'est pas apte à traduire d'une ma
éparations parfaites pour l'examen histologique peuvent donner sur la plaque photographique des résultats absolument contraire
l'impression d'un objet foncé se détachant sur un fond clair. Sur la plaque photographique, ce sera précisément l'inverse; le
bilité pour certains rayons tandis qu'on la diminue pour d'autres. La plaque , qui est ordinairement si sensible aux rayons vio
à l'opérateur, qu'il les emploie isolément ou même combinées avec les plaques isochromatiques. Il devra faire une série d'essai
B se colorent en violet. Le fond est décoloré. Il faudra employer des plaques ordinaires et des poses très courtes. Il pourra ê
ions à la fuchsine. Pour celles-ci, il sera nécessaire d'employer des plaques isochromatiques et d'augmenter considérablement l
s actiniques d'agir suffisamment. On prendra l'éclairage jaune et des plaques isochromatiques. Il sera très avantageux de faire
a plus foncé que le bleu, il faudra employer l'éclairage jaune et des plaques isochromatiques. Dans le second cas, les plaques
lairage jaune et des plaques isochromatiques. Dans le second cas, les plaques ordinaires pourront être employées tout simplemen
ent. Il pourra être avantageux d'employer dans ce cas particulier des plaques isochromatiques plus spécialement préparées pour
actiniques et, à cet effet, employer des écrans colorés en jaune; les plaques isochromatiques préparées spécialement pour la re
'emplacement que l'on y trouve, le numéro d'ordre que devra porter la plaque . Avant le développement, nous reportons au crayon
ue. Avant le développement, nous reportons au crayon ce numéro sur la plaque elle-même. Le numéro, ainsi tracé, n'est pas effa
er le numéro du châssis et l'on met en regard le numéro d'ordre de la plaque . On classe ordinairement les clichés dans des b
peut classer les clichés dans les boîtes en carton qui renferment les plaques sensibles et qui restent, après emploi, sans usag
n de calibres ou d'équerres en verre. Cette opération se fait sur une plaque de verre et avec un canif ou une pointe bien tran
ves préalablement coupées à la taille voulue, on les applique sur une plaque de verre face en dessous et les unes sur les autr
e les parties protégées restent perméables. Si alors on mouille cette plaque , l'eau ne prendra que dans les parties n'ayant pa
l'atelier photocollographique, l'une où l'on fera les préparations de plaques et les lavages, l'autre où se trouveront l'étuve
ire sécher rapidement la couche de gélatine bichromatée coulée sur la plaque de verre se compose d'une boîte rectangulaire en
hypothèses. Préparation des planches photocollographiques. — Les plaques sont nettoyées d'abord dans des solutions étendue
assurer l'adhérence de la couche de gélatine : on frotte d'abord les plaques avec un chiffon enduit de tripoli et humecté d'ac
on filtre sur un morceau de flanelle. On essuie une dernière fois les plaques avec un chiffon de papier buvard imbibé d'ammonia
es avec le blaireau, puis on verse la solution sur le côté dépoli des plaques ; on l'étend avec une baguette de verre et on la l
r la face silicatée avec les doigts et essuyer avec soin le dos de la plaque . On peut silicater un certain nombre de glaces à
température du bain-marie sera descendue à 45°, on mettra sur chaque plaque la quantité reconnue nécessaire. L'épaisseur de l
cuve où l'eau se renouvelle constamment; on ne doit plus voir sur la plaque la moindre coloration jaune. Cette opération est
posé d'eau et de glycérine; cette dernière a pour but de maintenir la plaque humide et d'éviter son séchage trop rapide. Pou
le rouleau de gélatine sur le marbre et on le passe rapidement sur la plaque pour obtenir les demi-teintes. L'emploi du roul
insolubilisée plus ou moins profondément et, si l'on traite une telle plaque par l'eau tiède, on obtiendra des creux et des re
gélatine dans l'alun et on la fait sécher. On la place alors sur une plaque d'acier bien dressée et l'on applique par-dessus
a main de l'homme, retouche qui peut toujours altérer la vérité. La plaque de cuivre qui doit recevoir l'image porte un grai
insolée sous le négatif à reproduire. Après insolation suffisante la plaque est passée au perchlorure de fer. Comme sous l'
ns du Congrès international de Photographie de 1889, le format de ces plaques doit être 8,5 x 10. Pour donner de bons résultats
une transparence absolue dans les blancs ; à cet effet, on se sert de plaques préparées spéciale^ ment. Ce sont ordinairement d
e sert de plaques préparées spéciale^ ment. Ce sont ordinairement des plaques au chlorure d'argent : elles ont l'avantage de do
des blancs très purs et des tons très agréables. On se sert de ces plaques de deux manières : ou bien le cliché à reproduire
ons ces deux hypothèses. 1. Diapositives par contact. — On place la plaque au chlorure sur le cliché face contre face, exact
avec le papier sensible. On expose ensuite suivant la sensibilité des plaques , soit à la lumière diffuse, soit à la lumière art
au jour; au gaz à im de distance, il faut de 1 à 5 minutes; avec ces plaques il vaut donc mieux opérer au jour. Avec la marque
er toute réflexion de lumière, soit par le dos, soit par les bords de plaque . A cet effet, nous mettons toujours une surface n
que. A cet effet, nous mettons toujours une surface noire derrière la plaque sensible ; de plus, nous enfermons le cliché dans
e se produit que lorsque le cliché à reproduire est plus petit que la plaque de projections. C'est ce qui (') Nous nous serv
st ce qui (') Nous nous servons également avec succès des nouvelles plaques au lactate d'argent que MM. Guilleminot viennent
ce que nous avons dit de la marque Ilford s'applique exactement à ces plaques . arrive avec le 8 x 8 et le 8 x g; si alors on
s intermédiaires, et, entre autres, celui correspondant au format des plaques de projection. Dans cet appareil, comme on le v
e on le voit, le négatif à reproduire est fixe, mais l'objectif et la plaque sensible peuvent se mouvoir à volonté; par des dé
à la rigueur, de modérer la venue de certaines parties de l'image. La plaque étant à nu, il est facile avec un écran, ou même
..... 8 On mélange par parties égales au moment de s'en servir. Les plaques viennent rapidement dans ce bain et on les enlève
es poses d'un quart d'heure et plus. Au contraire, avec les nouvelles plaques à ton noir de Ilford ou Guilleminot, i à i minute
u Guilleminot, i à i minutes sont suffisantes. A ce point de vue, ces plaques sont donc bien avantageuses. Développement des
de vue, ces plaques sont donc bien avantageuses. Développement des plaques à projection. — Dans ce genre de travail, où l'on
ployer des bains tout préparés dans lesquels il suffira de placer les plaques les unes après les autres et de leslaisser le tem
isser le temps voulu. Nous ne donnerons que la formule applicable aux plaques à ton noir d'Ilford ; ces plaques nous paraissent
erons que la formule applicable aux plaques à ton noir d'Ilford ; ces plaques nous paraissent de beaucoup supérieures aux plaqu
ir d'Ilford ; ces plaques nous paraissent de beaucoup supérieures aux plaques au chlorure, non pas tant au point de vue de la t
vue de la transparence que de la régularité du travail. En effet, les plaques au chlorure (Perron) donnent des colorations diff
e au séchage. Toutes ces raisons réunies nous ont fait abandonner ces plaques , pour un travail où il faut avant tout de la régu
soude et on termine par un lavage soigné. Nous avons remarqué que ces plaques , probablement à cause de leur grande sensibilité,
ur toute leur surface. On s'en rend parfaitement compte en mettant la plaque sur une feuille de papier blanc. Or, pour qu'une
arfaite, il faut qu'on voie le papier aussi blanc dans les blancs des plaques que dans les parties voisines. Nous enlevons al
ducteur au prussiate rouge de potasse et à l'hyposulfite de soude. La plaque immergée pendant quelques instants dans ce réduct
té des Conférences d'Épernay, 8 mars 1890. puis nous superposons la plaque sensible. Cette légère épaisseur empêche les plaq
us superposons la plaque sensible. Cette légère épaisseur empêche les plaques de se coller ensemble; mais cet intervalle pourra
it rapidement. Pour obtenir un séchage rapide, nous passons sur notre plaque et à plusieurs reprises de l'alcool absolu : celu
e l'alcool absolu : celui-ci s'empare de toute l'eau contenue dans la plaque . On essore celle-ci en l'agitant vivement et on l
ations sensibles...................................... 4° Essai des plaques .............................................. 41
la coloration du modèle........................... 5o Influence des plaques employée?............................... 5° Inf
r réduction.................................. 207 Développement des plaques à projections....................... 2o8 Obtent
.............. i4° XIV. — Coupe de moelle pathologique. Sclérose en plaques ................ 166 XV. — Coupe de moelle......
2 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
, suivant la méthode de Buttner, on se contente de le recouvrir d'une plaque de cuir épais, les troubles trophiques ne se mont
bro-spinale,que nous avons observée il y a quelques années, l'une des plaques scléreuses avait envahi, vers le milieu de la rég
Thistoire de la paralysie labio-glosso-laryngée et de la sclérose en plaques , fendent à établir que, dans le bulbe comme dans
Chez une femme actuellement en traitement à la Salpêtrière, d'énormes plaques d'urticaire se produisent à chaque accès au nivea
t je vais vous entretenir se montre, à l'origine, sous la forme d'une plaque érythémateuse, sur la-quelle se -développent rapi
ses, ulcéreuses, tantôt papuleuses,ressemblant à s'y méprendre, à des plaques muqueuses, sont en général occa-sionnées par le c
ons, il se mani-feste sur certains points de la peau une ou plusieurs plaques t. Charcot. — Noie sur la formation rapide d'un
vésicules ou les bulles se développent vers la partie centrale de la plaque érythé-mateuse: elles renferment un liquide tantô
aux, et met à nu une surface d'unrouge vif, parse-mée de points ou de plaques bleuâtres, violacées, répondant à une infiltratio
un fait dont je me suis assuré plusieurs fois par l'au-topsie. Les plaques violacées s'étendent rapidement en largeur, et el
uis la tache eccliymotique, apparaissent sur la partie centrale de la plaque érythémateuse, c'est-à-dire à 4 ou 5 centimètres
depuis hier le siège d'une rou-geur vive, et déjà, en un point de la plaque érythémateuse, l'épiderme s'est détaché. 14 mar
bourgeons charnus, s'est produite sur la fesse droite au niveau de la plaque ecchymoiée. — Le gonfle-ment, la rougeur et la do
vrier. Le 23 du même mois, la peau de la région sacrée présentait une plaque érythémateuse qui, le 5 mars, avait fait 1. Mit
rveau, mais surtout de l'hémorrhagie intra-encéphalique en foyer, des plaques congeslives, de véritables ecchymoses sur les plè
buch, p. 595. » DEUXIÈME PARTIE Paralysie agitante et sclérose en plaques disséminées. CINQUIÈME LEÇON De la paralysie
Galien. — Indépendance de la paralysie agitante et de la sclérose en plaques . — Recherches de Par-kinson. — Travaux français :
. — Maladies terminales ; elles diffèrent de celles de la sclérose en plaques . — Durée de la paralysie agitante. Résultats né
ns dans la paralysie agitante: fixité des lésions dans la sclérose en plaques . — Lésions du pont de Varole et de la moelle allo
n rôle: la paralysie agi-tante se montre plus tard que la sclérose en plaques . — Sexe. — Hérédité- — Influence de la race.
premières études cliniques, la paralysie agitante et la sclé-rose en plaques disséminées, sont restées jusqu'à ce jour con-fon
, par W.-R. Sanders. 2. Sur la paralysie agitante et la sclérose en plaques généralisées. Thèse de Paris, 1868. Gohu, cependa
des lé-sions disparates. Quelques-unes appartiennent à la sclérose en plaques disséminées ; les autres, parleur multiplicité, p
e se remarque souvent dans la forme cérébro-spinale de la sclérose en plaques . Je dois appeler toute votre attention sur un m
gmus, qui figure si souvent dans la symp-tomatologie delà sclérose en plaques disséminées, n'existepas dans la paralysie agitan
général, dans la paraplégie qui accompagne fréquemment la sclérose en plaques disséminées, et c'est là un caractère distinctif
finsi habituellement à l'existence desfemmes atteintes de sclérose en plaques ou d'ataxie locomotrice progressive. Cependant,
rées des lésions qui appartiennent vraisemblablement à la sclérose en plaques . Tels sont les cas de Bamberger, Lebert, Skoda. S
tante ou avait-on sous les yeux le tableau clinique de la sclérose en plaques ? Le fait est parfaitement établi, aumoinspour l'
eux de ces cas (mul-tiplication des corps amyloïdes) ou à l'un d'eux ( plaque scléreuse à la face postérieure du bulbe). Dans l
a vérité, après 40 ans, plus tard, par conséquent, que la sclérose en plaques disséminées. Tou-tefois, cette règle n'estpas abs
lsif, et cela est d'autant plus remarquable, que, dans la sclérose en plaques , il produit quelquefois un amendement assez marqu
és. (B.) (Note de la 2e édition.) SIXIÈME LEÇON De la sclérose en plaques disséminées. — Anatomie pathologique. Sommaire.
s. — Anatomie pathologique. Sommaire. —Historique de la sclérose en plaques disséminées : Période fran-çaise ; — Période alle
çaises. Anatomie pathologique macroscopique. - Aspect extérieur des plaques de sclérose. — Leur distribution : cerveau; cerve
ribution : cerveau; cervelet, protubérance, bulbe, moelle épinière. — Plaques de sclérose sur les nerfs. — Formes spinale eépha
ormes spinale eéphalique ou bulbaire,cérébro-spinale. —Caractères des plaques : couleur' consistance, etc. Anatomie microscopi
de chromique. — Capillaires artériels. Caractères histologiques des plaques de sclérose. —Coupes transversales: zone périphér
. — Coupes lon-gitudinales. — Altérations des vaisseaux. — Examen des plaques de sclérose à l'état frais. — Lésions histologiqu
à la section des nerfs. — Granulations graisseuses sur les coupes de plaques scléreuses à l'état frais. — Modification des cel
d'une autre affection jusqu'alors confondue avec elle, la sclérose en plaques disséminées. C'est à cette affection, qui nous
consacrer cette leçon etles suivantes. Anatomiquement,la sclérose en plaques disséminées est une espèce pathologique nettement
quelques mots d'histo-rique. HISTORIQUE. On trouve la sclérose en plaques mentionnée pour la pre-mière fois dans VAtlas d'a
3e livraisons que vous ver-rez figurées les lésions de la sclérose en plaques . A côté, vous pourrez lire les observations clini
le part ailleurs, à ma connaissance, il n'y a trace de la sclérose en plaques . Après M. Cruveilhier, Carswell, dans l'article
1838), a fait dessiner des lésions qui se rapportent à la sclérose en plaques . Mais cet auteur, qui a puisé surtout les matéria
n fait clinique. Même aujourd'hui, je ne crois pas que la sclérose en plaques soit connue en Angle- terre(1). Je ne la trouve
55, des exemples de lésions se rattachant évidemment à la sclérose en plaques ; toutefois, le côté physiologique seul a frappé
rches étaientindispensables. C'est à laSalpêtriôre que la sclérose en plaques attira de nouveau chez nous l'attention. Dès 1862
nt fidèlement reproduites, vous voyez la moelle épi-nière tachetée de plaques grisâtres, à contours plus ou moins réguliers, ma
(Voy. Planches V et VI). Tantôt discrètes, tantôt confluentes, ces plaques ou ces ta-ches, ainsi que vous pouvez facilement
t extérieur ne donnerail delà lésion qu'une idéelrèsincomplèle. Les plaques , les Lâches, dont nous venons de parler, ne sont
ndeur des tissus. Souvent même, la coupe seule révèle l'existence des plaques cachées intérieurement. • Examinons en premier
dans sa forme et nous pouvons ajouter ni dans sa couleur,,., car les plaques sont très rares sur la substance grise des circon
en ce qui concerne lés parties centrales. En effeL, nous trouvons des plaques surtout sur les parois des ventricules (Pl. Vil),
IV et VII, Fig. 1 et 2). Le cervelet ne présente d'habitude que des plaques inté-rieures, occupant spécialement le corps rhom
erses circonscriptions de l'isthme sont très fréquemment le siège des plaques de sclérose, lesquelles, là, sont à la fois périp
les, là, sont à la fois périphériques et profondes. Sur le bulbe, les plaques affectent isolément ou simultanément les olives,
rigine des nerfs bulbaires. Pour ce qui a traita la protubérance, les plaques siègent en gé-néral à la face antéro-postérieure.
à la sclérose. On les voit quelquefois sortir, à leur origine, d'une plaque de sclérose et se montrer parfaitement sains ; d'
er parfaitement sains ; d'au 1res fois, on trouve sur leur trajet des plaques scléreuse en tout semblables à celles des centres
ssent pas de doute à cet égard. Les nerfs craniens qui ont offert des plaques de sclérose sont les nerfs optiques, olfactifs et
a 5e paire. Quant aux nerfs rachidiens, nous savons seulement que des plaques ont été vues sur les racines postérieures et anté
insisterai pas plus longuement, Messieurs, sur cette to-pographie des plaques scléreuses ; toutefois, je ne puis me dis-penser
e attention sur l'intérêt qui s'y at-tache. Vous voyez, en effet, les plaques siéger sur des régions très diverses des centres
divisions importantes que nous retrouve-rons en clinique. Tantôt les plaques occupent exclusivement la moelle (forme spinale);
(forme céphalique ou bulbaire); enfin, l'existence simul- tanée de plaques dans l'encéphale et la moelle répond à la forme c
reste plus qu'à indiquer les principaux caractères que présentent les plaques considérées individuellement. Quelquefois les pla
présentent les plaques considérées individuellement. Quelquefois les plaques sont saillantes et comme turgescentes ; d'autres
couleur rosée et l'on voit s'y dessiner des vaisseaux abondants. Ces plaques ont une consistance ferme et donnent des surfaces
est, Messieurs, au point de vue de l'anatomie simple, la sclérose en plaques généralisées; il nous faut entrer mainte-nant dan
'étude des altérations histologiques de la moelle dans la sclérose en plaques . La description de ces altérations, que nous allo
A. Lorsque l'on examine à l'œil nu un tronçon cle moelle portant une plaque de sclérose, il semble que les parties ma-lades s
plus en plus, à mesure que l'on approche de la région centrale de la plaque , région où elles acquièrent leur plus haut degré
plus (1). c) C'est — vous le savez — dans la région centrale de la plaque scléreuse que l'on observe les altérations les pl
— Elle représente une préparation fraîche, provenant du centre d'une plaque scléreuse, colorée par le carmin et traitée par d
tions diverses que subissentles vaisseaux sanguins qui traversent les plaques de sclérose, altérations qui peuvent être bien ét
grand nombre de noyaux qu'à l'état normal. Plus près du centre de la plaque , les noyaux se sont multipliés encore et, déplus,
lier, que ces corps sont toujours moins abondants dans la sclérose en plaques que dans les autres variétés de l'indu-ration gri
lettes ou des granulations graisseuses (2). Revenons maintenant aux plaques de sclérose. Nous avons à étudier là des phénomèn
anulations graisseuses, tantôt libres,tantôt agglomérées Fig. 12. — Plaque de sclérose à l'état frais. — a, gaîne lymphatiqu
roprement dits (Fettkornchen Agglome-rate,) on peut trouver, dans les plaques de sclérose, des .corps granuleux ayant un noyau
es granulations graisseuses ne se ren-contrent jamais au centre de la plaque de sclérose, c'est-à-dire flans les régions où la
raire, elles occupent toujours les parties les plus extérieures de la plaque (3), ou, autrement dit, les zones périphériques o
etites traînées blanches, visibles à l'œil nu, sur le fond gris de la plaque sclérosée. Cependant les tuniques elles-mêmes de
tion, qui vient de vous être présentée, de l'alté-ration scléreuse en plaques disséminées est surtout relative àla substance bl
). Dans l'encéphale, etaussisurles nerfs optiques et olfactifs, les plaques de sclérose présentent essentiellement le même ca
l'irritation formatrice. Mais, après avoir reconnu que la sclérose en plaques est une myélite ou une encé-phalite interstitiell
vous montrer par quel appareil de symptômes se révèle la sclérose en plaques des centres nerveux (1). 1. Dans une note publi
er les idées générale-ment admises sur l'histologie de la sclérose en plaques . D'après ses recherches, les parties sclérosées s
laires. (Note de la 2' édition.) SEPTIÈME LEÇON De la sclérose en plaques disséminées. Sypmtomatolgie. sommaire. — Divers
s. Sypmtomatolgie. sommaire. — Diversité d'aspect de la sclérose en plaques disséminées, au point de vue clinique.— Causes d'
es d'erreurs de diagnostic. Examen clinique d'un cas de sclérose en plaques . — Du tremblement; modi-fications qu'il impose à
nt été les causes qui ont pu refar-der l'apparition de la sclérose en plaques disséminées dans les systèmes nosologiques où ell
jà faire pressentir qu'il en serait ainsi. Vous vous rappelez que les plaques ouïes îlots occupent quelquefois exclusivement la
, maispeufamiliarisé encore avec la symptomntologie de la sclérose en plaques , était venu le visiter dans le service de clini
la vérité très complet, de la forme cérébro-spinale de la sclérose en plaques . C. La paralysie agitante estsurtout la maladie
ante estsurtout la maladieavec laquelle cette forme de la sclérose en plaques a été le plus longtemps, et est encore, sans dout
if, à l'époque où nous nous efforcions de faire sortir la sclérose en plaque du chaos des myélites chroniques, que nous engage
n sait commentM. Or- 1. Sur la paralysie agitante et la sclérose en plaques généralisées. Thèse de Paris, 1867. denstein s'
te avait été porté pendant la vie et que, à l'autopsie, on trouva des plaques de sclérose disséminées dans toutes les parties d
nguer les caractères à l'aide desquels on peut séparer la sclérose en plaques cérébro-spinale des maladies qui s'en rapprochent
376, 425, 469, 483). — Bourncville et L. Guérard : De la sclérose en plaques disséminées. Paris 1869. — Bourncville : Nouvelle
— Bourncville : Nouvelle étude sur quelques points de la sclérose en plaques disséminées. Paris, 1869. Charcot. OEuvres comp
mme un des caractères cliniques les plus importants de la sclérose en plaques cérébro- 1. Nous reproduisons ci-après deux spé
u..., qui a succombé, dans le service de M. Charcot, à la sclérose en plaques . Cette femme est entrée à la Salpêtriôre, le 24 s
, s'observe quelquefois dans des affections autres que la sclérose en plaques ,par exemple dans l'intoxication mer-curielle,dans
iens, dès à présent, à faire ressortir, c'est que,dans la sclérose en plaques , lorsqueaucunecomplicationn'estintervenue,le trem
sur les caractères de l'écriture des malades atteints de sclérose en plaques . Le plus souvent, d'ailleurs, nous avons observé
vaux qui l'ont fait admettre dans la clinique usuelle, la sclérose en plaques a été quelquefois désignée sous les noms de choré
taxie; jamais vous n'observerez rien de semblable dans la sclérose en plaques . J'ajoute en dernier lieu — et ce dernier trait e
ataxie se trouvent entremêlés quelquefois avec ceux de la sclérose en plaques , quand les îlots scléreux occupent, dans certaine
uoi l'épingle s'échappait des doigts. A l'autopsie, on trouva une des plaques de sclérose occupant les colonnes postérieures da
à peu près cons-tant, dans la forme cérébro-spinale de la sclérose en plaques . Il ne faut pas oublier toutefois qu'il existe de
e un symptôme durable, et d'ailleurs plus fréquent, de la sclérose en plaques cérébro-spi-nale; je crois pouvoir affirmer que t
rité digne de remarque, surtout si l'on songe que, après la mort, des plaques de sclérose occupant toute l'épaisseur du cordon
olument interrompue, bien que ceux-ci, dans leur trajet à travers les plaques de sclérose, soient dépouillés de leur gaine de m
de deux maladies — l'ataxie locomotrice progressive et la sclérose en plaques cérébro-spinale. Pour mon compte, je n'ai jamais
au moins infiniment rare. Il est assez commun, au contraire, que les plaques scléreuses qui, dans la règle, siègent principale
dont les foyers de sclérose sont 1. Les observations de sclérose en plaques dans lesquelles les cordons posté-rieurs sont int
mmée Broisat, qui est morte dans le service de M. Charcot Sclérose en plaques occupant surtout les cordons postérieurs) : les d
stiques en ce sens que les symptômes et les lésions de ia sclérose en plaques et de l'ataxie locomotrice étaient plus accusés,
ombé à une pyélo-cystite compliquée d'eschares au sacrum. — Autopsie: plaques scléreuses sur le nerf moteur oculaire externe ga
r le nerf moteur oculaire externe gauche et sur les nerfs optiques; — plaques de sclérose sur la protubérance, le pédoncule cér
tubérance, le pédoncule cérébelleux supérieur du côté droit, etc. : — plaques de sclérose à la surface des ventricules latéraux
lbe el dans le 4e ventricule.—Sur la moelle,nous avons trouvé: 1° une plaque de sclérose longue de dix centimètres, occupant l
hauteur, sur le cordon postérieur cdroit ; —3° au-dessous, une autre plaque assez circonscrite, occupant les deux ordons post
les faces anléro-lalérnles de la moelle existaient plusieurs petites plaques de sclérose. B). le siège, s'était communiqué,
c. G, p. 595), l'histoire d'un malade qui a succombé à la sclérose en plaques l'orme bulbo-spinale ,chez lequel on avait observ
. — Chez une malade nommée Vincent, qui a succombée à une sclérose en plaques . M. Charcot a observé une atrophie des muscles de
ire. — Attaques apoplectiformes. — Leur fréquence dans la sclérose en plaques disséminées. —Considérations générales sur les at
ure ou point de vue du diagnostic. Des périodes dans la sclérose en plaques . —Première, seconde et troisième périodes. — Symp
de paralysie bulbaire. — Des formes et de la durée de la sclérose en plaques . Physiologie pathologique. — Relation entre les
aux qui peuvent venir compliquer la symptomatologie de la sclérose en plaques céré-bro-spinale. Il s'agit d'à ttaques apoplecti
le premier type a été rencontre, quant à présent, dans la sclérose en plaques ; mais il n'est pas douteux qu'en se multipliant,
us savons, d'un autre côté, que, dans la sclérose multiloculaire, les plaques scléreuses oc-cupent non seulementla moelle épini
; je n'ai rencontré ja-mais que les lésions anciennes— foyers ocreux, plaques jaunes ou foyers d'infiltration celluleuse — qui
s, pendant le cours de la maladie. En ce qui a trait à la sclérose en plaques , elles ont été notées trois fois dans l'observati
ttaque apoplectiforme survenant, chez un sujet atteint de sclérose en plaques . Néanmoins, on peut relever dans plusieurs observ
une rémission passagère (B.). 1. Vulpian. — Note sur la sclérose en plaques de la moelle épinière, obs. n, in Mémoires de la
ents. Grossesse à 22 ans qui met lin aux vomissements. La sclérose en plaques disséminées a débuté à 23 ans et demi: faiblesse
e asphyxiée, le 7 février 1871. Autopsie. — Il existe de nombreuses plaques de sclérose dans le cerveau et la moelle. En rais
lésions de l'axe spinal, doivent être consignées ici. Il y avait des plaques de scléros* dans toute la hauteur des cordons lat
le service de M. Charcot. Aux symptômes ordinaires de la sclé-rose en plaques sont venues s'ajouter, vers le mois de mai, de la
12 juin sans qu'on eût noté de râles dans la poitrine. Autopsie. — Plaque de sclérose sur le chiasma des nerfs optiques se
, au niveau de l'origine apparente du nerf trijumeau, on découvre une plaque de sclérose large et irrégulière (Fig. 16, b, b')
Fig. 16. — a, pneumogastri que.— b, petite p laque de sclérose : — c, plaque de sclé-rose. Fig Al—a, pneumogas-trique : — b,
de sclé-rose. Fig Al—a, pneumogas-trique : — b, hypo-glosse : — c, plaques de sclérose, s'en trouve pour ainsi dire écourt
ersale, répondant à la partie moyenne des olives, fait voir une autre plaque de sclérose [Fig.il, c) paraissant intéresser le
ficile d'établir, quant à présent, la durée moyenne de la sclé-roseea plaques . Dans un premier relevé(Bourneville et Guérard, l
maximum a, été de 16 à 17 ans (B. 2. Dans trois cas de sclérose en plaques disséminées, avec prédominance des lésions dans l
(Bourneville. — Nouvelle élude sur quelques points de la sclé-rose en plaques disséminées, 1869.) enfin du traitement de la s
arois despetifs vaisseaux qu'on rencon-trerait toujours au centre des plaques en voie de formation serait le fait initial ; de
nomènes dont l'ensemble constitue la symptomafologie delà sclérose en plaques ? Cela est possible, au moins en partie. Déjà nous
étendue en hauteur. D'un autrecôté, la prédominance habituelle des plaques de sclérose sur le trajet des cordons anléro-lalé
ras de la parole, sont en rapport avec la localisation habituelle des plaques dans l'épaisseur de la protu-béranceet du bulbe.
vec laquelle les symptômes parétiques progressent dans la sclérose en plaques , et du long espace de temps qui s'écoule avant l'
ernant les conditions qui président au développementde la sclérose en plaques se réduit à fort peu de chose. 11 paraît établi t
ière limite que puissent atteindre les sujets atteints de sclérose en plaques . Relafivementà l'influence héréditaire, nous n'
rne un enfant qui présenta les pre-miers, symptômes de la sclérose en plaques disséminées à l'âge de 7 ans. Elle mourut à l'âge
érescenec jaune blanchâtre ou gris d'acier, tantôt diffuse, tantôt en plaques disséminées. Dans la moelle — et principalement l
s Archiv fur KUnische Medicin, t. X, fase. 0, p. 696), la sclérose en plaques a débuté durant la convalescence d'une fièvre typ
urleuse, chez la-quelle les premières manifestations delà sclérose en plaques se sont montrées alors qu'elle venait d'avoir une
t (1873, vol. 1, p p. 236) a publié le résumé d'un cas de sclérose en plaques observé par M. Moxon â Guy's tlospital, où l'on v
ru un certain nombre de travaux ou d'observations sur la sclé-rose en plaques . Comme ils ne font que confirmer les descriptions
tion : 1° Tinial : Etude sur quelques complications de la sclérose en plaques disséminées: th. de Paris, 1873; —2° et3° H. Schi
Exam., 1877, p. 842 : —10° Pitres : Des anomalies de la sclé-rose en plaques (Rev. mens, de Méd. et de Chir., 1877, p. 893) :
sa dépendance la contrac-ture permanente dans les cas de sclérose en plaques ou fasci- examen pratiqué le 20 mars 1873 par M
il y a eu hier une garde-robe après lavement. lh... urine sous elle. Plaque érythémateuse sur la fe.^se droite. Sueurs abonda
aux précédentes qui peu-vent survenir dans le cours de la sclérose en plaques (2), et,en-fin, dans les attaques, avec ou sans c
s ; — altérations des sens: —effets transitoires de l'application des plaques d'or et d'étain dans l'hystérie. — Leur action pe
ppliquez sur une région quelconque des parties anesthésiées, soit une plaque d'étain, soit quelques piè-ces d'or, xrous consta
ue la sensibilité a reparu dans tous ses modes, non seulement sous la plaque métallique elle-même, mais encore au-dessous et a
rnier genre une 1/2 heure, 2 heures, 24 heures au plus, après que les plaques ont été enlevées, l'anesthésie s'est reproduite t
nte d'une autre maladie, très intéressante, elle aussi la sclérose en plaques . On connaît la description minu-tieuse qu'il en a
minué de hauteur, paraît être devenue plus grosse. (B.) Sclérose en plaques disséminées : Cas fruste de la forme spinale ; —
mes céphaliques. Cette malade nous offre donc un cas de sclérose en plaques fruste dans la forme spinale. Elle nous montre au
uste dans la forme spinale. Elle nous montre aussi que la sclérose en plaques peut, parfois, subir des temps d'arrêt con-sidéra
. Charcot (p. 271), en ce qui concerne \e pronostic àe lasclé-rose en plaques . L'explication est plus difficile h donner. Tou-t
ition les planches VII et VIII rela-tives auxlésions delà sclérose en plaques . Elles ont été dessi-nées sur des pièces que nous
tie de son étendue. On aperçoit, disséminées à la surface, de petites plaques grises ayant quelques millimètres de largeur et d
adhérente. — A l'œil nu, sur des coupes transversales, on trouve des plaques de sclérose dissé-minées et sans ordre: elles occ
es sont encore plus durs que la moelle ; leur surface est parsemée de plaques . La plus étendue siège sur la pyramide antérieure
oite. Protubérance, — Sur sa surface convexe on compte huit petites plaques . Le plancher du quatrième ventricule est irréguli
sale pratiquée sur la partie médiane, fait voir une sorte de semis de plaques de sclérose. — De nombreuses coupes du cerve-let
au. — Les surfaces des ventricules latéraux sont parsemées de grandes plaques grises, dures, qui empiètent sur le corps strié,
L II A"Delahaye Lecrosnier, Editeurs, PLANCHE III » SCLÉROSE EN PLAQUES (ENCÉPHALE) Fig. 1. — Cerveau tout entier vu pa
QUES (ENCÉPHALE) Fig. 1. — Cerveau tout entier vu par sa base. — a, Plaques de sclérose dis* séminées en différents endroits
f optique. c, Ilots scléreux sur le pédoncule cérébral gauche. d, Plaques de sclérose disséminées en divers points de la pr
ielles, les autres profondes ; aspect un peu déprimé au niveau de ces plaques . Les nerfs émergeant de la protubérance paraissen
laques. Les nerfs émergeant de la protubérance paraissent sains. e, Plaques de sclérose, occupant irrégulièrement divers poin
n des deux plans (horizontal et vertical) résultant de la coupe. a, Plaques de sclérose disséminées dans la substance blanche
e. a, Plaques de sclérose disséminées dans la substance blanche. 6, Plaque scléreuse ayant envahi le corps rhomboïdal. c,
e blanche. 6, Plaque scléreuse ayant envahi le corps rhomboïdal. c, Plaques de sclérose qui ont été sectionnées presque symét
de la coupe horizontale. d, X/aisseaux très visibles au milieu des plaques scléreuses. e, Vaisseaux devenant de plus en pl
s optiques. — c, Ilots de sclérose sur les pédoncules cérébraux. d, Plaques de sclérose, disséminées en divers points cle la
ations. Les nerfs émergeant de la protubérance paraissent sains. e, Plaques et îlots de sclérose occupant irrégulièrement div
t fr. Paris. P. Lackerbauer Chromo lith. PLANCHE IV sclérose en plaques (cerveau) . Fig. 1. — Coupe du cerveau faite ho
dans différentes régions (substance blanche et substance grise). a, Plaques et îlots de sclérose dans les régions antérieures
es (commissure an-térieure, partie avoisinant le 3e ventricule.) b, Plaques scléreuses gagnant les parties antérieures des bo
gagnant les parties antérieures des bords des ventri-cules latéraux ( plaques ventriculaires). c, Extension des îlots scléreu
s îlots scléreux à l'extrémité postérieure des ventricules laté-raux ( plaques ventriculaires). d, Ilots scléreux irrégulièrem
se dans d'autres régions (substance blanche et substance grise). a, Plaques et îlots de sclérose dans les régions antérieures
sclérose dans les régions antérieures (commissure an-térieure). b, Plaques scléreuses dans les parties antérieures des ventr
cléreuses dans les parties antérieures des ventricules latéraux- c, Plaques de sclérose dans la substance grise du noyau intr
et fr. Paris. P. Lackerbauer Chromo lith. PLANCHE V sclérose en plaques (moelle épinière). Fig. 1. — Moelle épinière vu
stérieure (la dure-mère sec-tionnée est rejetée de chaque côté). s, Plaques et îlots de sclérose, irrégulièrement disséminés,
très prononcé.1 et empêchant de voir la vascularisation spéciale des plaques scléreuses elles-mêmes. Fig. 2.— Moelle épinièr
-mère est section-née dans toute sa hauteur et rejetée de côté). s, Plaques et îlots de sclérose, irrégulièrement disséminés,
. A. Delahaye et E. Lecrosnier Editeurs. PLANCHE VI sclérose en plaques (moelle épinière). Fig. 1. —Moelle épinière vue
postérieure (la dure-mère section-née est rejetée sur les côtés), c, Plaques de sclérose irrégulièrement disséminées. v, Vas
ienne (pie-mère) dominant et empêchant de voir la vascularisation des plaques scléreuses elles-mêmes. Fig. 2.— Moelle épinièr
postérieure (la dure-mère sec-tionnée est rejetée sur les côtés). s, Plaques et îlots de sclérose irrégulièrement disséminés.
A. Delahaye et E. Lecrosnier Editeurs. PLANCHE VII sclérose en plaques . Fig. 1. — Face interne de l'hémisphère gauche.
A. Delahaye et E. Lecrosnier Editeurs. PLANCHE VIII SCLÉROSE EN PLAQUES . Fig. 1. — Protubérance et bulbe ; face antérie
tes ces figures, les parties colorées en gris cendré représentent des plaques de sclérose. CHARCOT. _ Oeuvres complètes . T
Galien. — Indépendance de la paralysie agitante et de la sclérose en plaques . — Recherches de Par-kinson. — Travaux français:
. — Maladies terminales ; elles diffèrent de celles de la sclérose en plaques . — Durée de la paralysie agitante. Résultats né
ns dans la paralysie agitante: fixité des lésions dans la sclérose en plaques . — Lésions du pont de Varole et de la moelle allo
n rôle: la paralysie agi-tante se montre plus tard que la sclérose en plaques . — Sexe. — Hérédité* — Influence de la race....
race......................... 155 SIXIÈME LEÇON de la sclérose en plaques disséminées. — anatomie pathologique. Sommaire.
. — anatomie pathologique. Sommaire. — Historique de la sclérose en plaques disséminées : Période fran-çaise ; — Période alle
çaises. Anatomie pathologique macroscopique. — Aspect extérieur des plaques de sclérose. — Leur distribution: cerveau, cervel
tribution: cerveau, cervelet, protubérance, bulbe, moelle épinière. — Plaques de sclérose sur les nerfs. — Forme spinale, cépha
e spinale, cépha-lique ou bulbaire, cérébro-spinale. — Caractères des plaques : couleur, con-sistance, etc. Anatomie microsco
cide chromique. — Capillaires artériels. Caractères histologiques des plaques de sclérose. — Coupes transversales : zone périph
e.— Coupes lon-gitudinales. — Altérations des vaisseaux. — Examen des plaques de sclérose à l'état frais. — Lésions histologiqu
la section des nerfs. — Granulations graisseuses sur les coupes de plaques scléreuses à l'état frais. — Modifications de cel
............................ 189 SEPTIÈME LEÇON de la sclérose en plaques disséminées. — symptomatologie. Sommaire. — Div
— symptomatologie. Sommaire. — Diversité d'aspect de la sclérose en plaques disséminées, au point de vue clinique. — Causes d
es d'erreurs de diagnostic. Examen clinique d'un cas de sclérose en plaques . — Du tremblement; modi-fications qu'il impose à
1 HUITIÈME LEÇON des attaques apoplectiformes dans la sclérose en plaques . — des pério-des et des formes, — physiologie pat
ire. — Attaques apoplectiformes. — Leur fréquence dans la sclérose en plaques disséminées. — Considérations générales sur les a
ure ou point de vue du diagnostic. Des périodes dans la sclérose en plaques . —Première, seconde et troisième périodes. — Sy
e paralysie bulbaire. — Des formes et de la durée de la sclérose en plaques . Physiologie pathologique. — Relation entre les s
; — altérations des sens ; — effets transitoires de l'application des plaques d'or et d'étain dans l'hystérie. — Leur action pe
............................................... 421 IV. Sclérose en plaques disséminées : Cas fruste de la forme spinale; —
, 340, 346. Amblyopie hystérique, note, 362 ; — dans la sclérose en plaques , 233. Amyotrophie protopathique ( V . Atrophi
; — d'une lésion hémilatérale de la moelle , 103, — de la sclérose en plaques dis-séminées, 62 , 244 ; de la sclérose des cordo
— différences qui séparent l'ataxic du tremblement de la sclérose en plaques , 230 ; — dans la sclérose en plaques, 242. Atro
du tremblement de la sclérose en plaques, 230 ; — dans la sclérose en plaques , 242. Atrophie musculaire, 5. — consé-cutive à
-Accès, 372, 373, 375. Attaques apoplectiformes dans la sclérose en plaques , 249 ; — fré-quence, 249, 250, : — dans la pa-ral
Lésions du — dans la paralysie agitante, 182 ; — dans la sclérose en plaques , 193, 251. C Capsule interne, 313. Capsules s
des cellules nerveuses, 218, 219. — Lésions des — dans la sclérose en plaques , 244, 245 ; — — dans la contracture hystérique, 3
-ments désordonnés de la — com-parés au tremblement de la sclérose en plaques , 280, 317. — (V. IlÉ-michorée). — rythmique hysté
ie, 65 ; — dans la myélite aiguë centrale, 65 ; — dans la sclérose en plaques , 241. (V. Myopathies.) Contracture hystérique -
-siologie pathologique de la—,368. — permanente dans la sclérose en plaques , 245. — tardive dans l'hémiplégie de canse céré
s muscles, note, 42 ; 55. Délire des grandeurs dans la sclé-rose en plaques , 238. Démarche dans la paralysie agitante, 175.
arche dans la paralysie agitante, 175. Diplopie dans la sclérose en plaques , 233, 258. Douleurs fulgurantes fPathogénie des
s de 1') dans la paralysie agitante, 167, 421 ; — dans la sclérose en plaques , 227, 228. Ecthyma, 76. Electro-Diagnostic, 3
le dans la contracture hys-térique, 350, 364 ; — dans la sclé-rose en plaques , 245, 262. — Ses formes, 267. — Arrêt de 1'—, 338
anisation : diffé-rences d'action, 39, 55, 58 ; — dans la sclérose en plaques , 241. Fève de Calabar dans la paralysie agitant
ve de Calabar dans la paralysie agitante, 187 ; — dans la sclérose en plaques , note, 272. G Ganglion cervical supérieur (Ef
25. Globe hystérique. (V. Aura.) Griffe dans un cas de sclérose en plaques avec lésions des cellules nerveuses, note, 63 ; —
, 68. (V. Amyotrophies, Atrophie musculaire, Myopathies, Sclé-rose en plaques .) Myélite aiguë centrale, 65.— Dimi-nution de l
293. Nerfs (Ecrasement et ligature des, 54. — Excision des —, 58. — Plaques de sclérose sur les —, 194; — dilatateurs, 149. (
sion, Rétropulsion.) — — bulbaire, symptomatique de la, sclérose en plaques , 263. — consécutive à la lésion des nerfs. 46,
nérale progiuessive ; caractères qui la rapprochent de la sclérose en plaques , 223, 236. (V. Attaques apoplectiformes. ) —
-miparaplégie. ) Parésie des membres inférieurs dans la scélrose en plaques , 239. — Rémissions, 240. Parole (Troubles de la
ubles de la) dans la pa-ralysie agitante, 168 ; — dans la sclérose en plaques , 235. Peau 'Troubles trophiques de la), 22 ; —
le dans l'hys-térie, 362 ; — postérieure, ccmpli-quant la sclérose en plaques , 231, 242, note, 264. (V. Ataxie locomo-t r i c e
Historique, 190. — Anato-mie macroscopique, 192. — Distri-bution des plaques dans le cerveau, 193 : — dans la moelle, 193 ; —
eau, 193 : — dans la moelle, 193 ; — sur les nerfs, 195. — Aspect des plaques de sclérose, 194. — Histo-logie, 195, 205. — Alté
158 : — dans la pa-ralysie agitante, 166, 229 : — dans la sclérose en plaques , 226. — In-fluence des mouvements, 227. — Caractè
stérie, 350 ; — dans la sclérose des cordons latéraux, la sclérose en plaques , la sclérose descendante, 350 (Note). Trismus,
uel, 147. — Critique, 150. —Conclusions, 151. — Dans la sclérose en plaques , 263. Tubercule de la moelle, 112. Tympanisme
re dans l'ataxie locomotrice, 175. V Vertiges daus la sclérose en plaques , .236, 258 ; — épileptiques, 375. Vision (Troub
3 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
RS » DES MALADIES ORGANIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 1 (Sclérose en plaques , paraplégie, tabes, amyotrophie et syringomyélie)
s organiques spinales et en particulier du tabès, de la sclérose en plaques , de la syringomyélie, des paraplégies et des am
tions morbides d'hystérie et de tabes, d'hystérie et de sclérose en plaques , etc., existent donc. Dans ces cas, s'agit-il tou
le, il est toujours aisé de différencier le tabes de la sclérose en plaques et celle-ci de la syringomyélie, etc. Nous ne pou
IÈRE PARTIE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DE LA SCLÉROSE EN PLAQUES L'hystérie est le type parfait des névroses ; l
LAQUES L'hystérie est le type parfait des névroses ; la sclérose en plaques représente le type des maladies organiques. Ce
la représentation mentale des formes cliniques de la sclé- rose en plaques . Il suffit, pour cela, de parcourir le magnifique
ts et formuler des lois. Il est classique de décrire la sclérose en plaques sous quatre formes : les formes cérébro-spinale
ôt le type de la paralysie agitante, tantôt celui de la sclérose en plaques ». Cinq mois après, lf. le professeur Pitres2 p
est un syndrome hystérique simulant de toutes pièces la sclérose en plaques , que la méprise a été maintes fois commise et q
oses » ; - III. Les associations de l'hystérie et de la sclérose en plaques ; 1Y. Les principaux éléments du diagnostic diff
idélité plus ou moins grande les traits multiples de la sclérose en plaques . Les observations que nous allons rapporter nou
Ons. I (inédite). Syndrome hystérique simulateur de la sclérose en plaques . - Louis D... it, quarante-ncuf ans, forgeron, en
vant ses yeux, sa céphalalgie s'exaspère et il tombe sur un coin de plaque de fer. Si on n'avait couru aus- sitôt à son se
e. Le tremblement des mains est analogue il celui de la sclérose en plaques (fig. 1). Lorsque la main est au repos, rien d'
motrice n'avaient pas varié. La symptomatologie de la sclérose eu plaques se trouve ici complè- tement réalisée : début p
rès MM. Charcot et Marie, est souvent à l'origine de la sclérose en plaques , l'âge tardif auquel se sont développés les accid
s le but est atteint. Il rappelle en un mot celui de la sclérose en plaques . Mais son mode de début, ses variations quo- ti
, septembre 1890). Syndrome hystérique simulateur de la sclérose en plaques . Gervais Bl...ger, 39 ans, chaisier, entré le 2
remblement (nu. 1) rappellent ceux du tremblement de la sclérose en plaques . Le liquide est projeté au loin et le verre vie
au contact, à la douleur et à la température. Il existe une petite plaque sen- sible au niveau du grand angle de l'oeil g
lement intentionnel, peut-être pourrait-on songer à une sclérose en plaques . L'embarras de la parole qui manque aujourd'hui a
S HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 23 rappellent ceux de la sclérose en plaques . Mais en y.regardant de près on voit que ce tre
lègue et ami M. Poulalion). Syndrome simu- lateur de la sclérose en plaques . - Joseph M...basch, quarante-sept ans, journal
gues. Il y resta trois mois ; on aurait, dit-il, parlé de sclérose en plaques . Il y a treize jours, il aurait eu une attaque
c l'augmentation d'amplitude que l'on rencontre dans la sclérose en plaques . La langue est tremblante; elle paraît au malade
rthrie et de tremblement intentionnel, et on songe à la sclérose en plaques . Actuellement, outre ces phénomènes, il présent
. C'est bien là un tableau fait pour les méprises. Et cependant les plaques de sclérose n'existent pas ici. M... est hyst
Or les rémissions frappantes que l'on rencontre dans la sclérose en plaques ne sont pas aussi absolues et on est en droit d
i M. Poulalion). - Syndrome hystérique simulateur de la sclérose en plaques . Jules Del...re, trente-huit ans, couvreur, entre
is ans, il a contracté la syphilis (deux chancres indurés suivis de plaques muqueuses dans la gorge, de roséole, de chute de
e sortait d'un service hospitalier avec le diagnostic « sclérose en plaques » sur sa feuille de sortie. En quittant récemme
oy et Babinski). Syn- drome hystérique simulateur de la sclérose en plaques . La nommée G...ard, quarante ans, entre le 19 j
ici avec le tabes, avec la paralysie agitante, avec la sclérose en plaques . L'évé- nement est venu détruire ces hypothèses
d., 1800, p. 495). Syndrome hystérique simulateur de la sclérose en plaques . Armand M., trente-huit ans, vigneron. Antécé
contact, ni il la température. A la face, cependant, on trouve une plaque d'anesthésie, commençant à l'aile gauche du nez
as là un tableau morbide qui ressemble étrangement à la sclérose en plaques . « Nous en retrouvons la plupart des caractères,
ent croissantes, troubles sensitifs ou sensoriels imputables il des plaques cérébrales, tendance ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉR
ne doit pas être mise en cause. Mais, comme il est des scléroses en plaques à tableau incomplet, à marche lente, on aurait
rt, ce malade est un hystérique; comme stigmates, il pré- sente une plaque d'anesthésie faciale, de l'anesthésie pharyngée,
t, Lon- don 1888). Syndrome hystérique simulateur de la sclérose en plaques . Henriette P..., célibataire, vingt-cinq ans,vi
rappelait tellement celui qu'on observe souvent dans la sclérose en plaques , que, étant donné qu'il se trouvait associé à l
résence de l'hystérie. En effet, on pouvait penser à la sclérose en plaques , à cause de la paraplégie spasmodique datant de
- ticdesclérosemultiloculaire et l'autopsie ne fit découvrir aucune plaque de sclérose, aucune altération appréciable des
son évolution, ne peut être distinguée de la véritable sclérose en plaques . » L'année suivante, Langer signalait dans la Wie
ne un cas du même genre. On avait fait le diagnostic de sclérose en plaques , et l'autopsie vint révéler l'absence complète
aphie. Ç- OBS. IX (Gazette des hôpitaux, 25 juin 1881). Sclérose en plaques dissé- minées cérébro-spinale à forme insolite.
rtainement, par son aspect clinique, dans le cadre des scléroses en plaques disséminées. Mais la sclérose ne doit pas porte
rvateur peu attentif. Cependant les grands traits de la sclérose en plaques cérébro-spinale se retrouvent presque tous ici.
complète de con- naissance, etc. Mais, tandis que la sclérose en plaques portant exclusivement sur les cor- dons moteurs
ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 43 la sclérose en plaques . Il ne s'exagère pas quand cet homme veut donner
tions longtemps prolongées produisent des résultats semblables. Des plaques et des pointillés rouges, tenant à des troubles d
olland, in Journ. de Méd. de Bordeaux, 1889). Un cas de sclérose en plaques avec localisation bulbo-protubé1'al1tielle et dis
r à l'hystérie. Nous sommes ici en présence d'un cas de sclérose en plaques avec localisation bulbo-protubéranticlle. » C'e
Dans tous les cas, il ne saurait être question ici de sclérose en plaques , et il nous semble parfaitement inutile d'insiste
, on trouve les signes suivants, caractéristiques de la sclérose en plaques : facies spécial, mémoire affaiblie, langue tremb
s, exagéré parles mouvements volontaires, comme dans la sclérose en plaques . Au repos, les membres inférieurs] ne tremblent
teur discute le diagnostic qui pour lui n'est pas de la sclérose en plaques franche. Il croit qu'il s'agit d'un cas de « pseu
euf ans et considérée alors par moi comme un exemple de sclérose en plaques anormal, il est facile de retrouver une partie
45,janvier 1890). - Le Dur Leuch rapporte quatre cas de sclérose en plaques . Le quatrième concerne un homme de cinquante-se
, on fit à la clinique d'Eichhorst le diagnostic non de sclérose en plaques , mais de névrose tremblante (schuttelneurose).
quel on avait fait divers diagnostics, surtout celui de sclérose en plaques . Plusieurs années après, ce malade mourut dans
ectiformes analogues à ceux que l'on a observés dans la sclérose en plaques . Malgré l'absence d'autres détails le différend
sque complète. Le tremblement ressemblait à celui de la sclérose en plaques ; il lui était im- possible d'approcher un verre
semaines d'un traitement hydrothérapique, cette fausse sclérose en plaques disparut et le tremblement s'atténua progressivem
'agit là d'un trouble organique et vraisemblablement de sclérose en plaques , ayant tiré un grand bénéfice de la thérapeutiq
il a surtout en vue les rapports de l'hystérie et de la sclérose en plaques , il insiste sur la valeur diagnostique du tremb
se que d'un syndrome hystérique isolé ou associé à la sclé- rose en plaques . Nous connaissons cependant des observations et
l'évolution ultérieure vint démentir en révélant une sclé- rose en plaques anomale. A. SOUQUES, Interne (Médaille d'or)
e point. La coloration de la main est d'habitudc violacée, avec des plaques plus foncées, et d'autres plus blanches; c'est
e aux influences extérieures. La main devient rouge sombre avec des plaques plus ou moins foncées et des points cyanosés; d
constance, je fus frappé en explorant cette membrane de trouver une plaque osseuse enclavée dans son épaisseur et je dus la
eur et je dus la disséquer pour l'extraire; cet ostéome formait une plaque mince ayant les dimensions d'une pièce de cinqu
est la copie fidèle du tremblement symptomatique de la sclérose en plaques ; un troisième, par sa localisation aux membres
s mieux conduites. Il simule aussi le tremblement de la sclérose en plaques , mais d'une façon beaucoup moins exacte; car, si,
e tremblement hystérique ressemble au tremblement de la sclérose en plaques et en quoi il en diffère. , Lorsqu'on voit un
ut, au premier abord, se croire en présence d'un cas de sclérose en plaques . Les oscillations dont sa tête est secouée, ses
tentionnel, c'est-à-dire identique au tremblement de la sclérose en plaques . La confusion est ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEMEN
'observation a été ainsi et bien il tort diagnostiqué : sclérose en plaques . Mais là se bornent les analogies. Les dissembl
de le différen- cier immédiatement du tremblement de la sclérose en plaques . Lorsqu'un sujet atteint de sclérose en plaques
t de la sclérose en plaques. Lorsqu'un sujet atteint de sclérose en plaques s'est commodément assis sur une chaise et qu'il
nce- ment un peu lent que présente le tremblement de la sclérose en plaques . Somme toute, en dépit des analogies réelles qu
lement hystérique et le tremblement symptomatique de la sclérose en plaques , nous croyons qu'ils se différencient l'un de l'a
cupons ne simule qu'imparfaitement le tremblement de la sclérose en plaques , il est bien de tous points semblable au trembl
nts intentionnels, rappelant ainsi le tremblement de la sclérose en plaques (Voir les observations II, III, IV, IX du mémoire
uée, on peut penser un instant qu'il s'agit d'un cas de sclérose en plaques ; mais il n'y a là qu'une ressemblance grossière,
s au tableau clinique que présente le tremblement de la sclérose en plaques . Ce dernier cesse toujours et complè- tement il
ssède qu'une partie des caractères du tremblement do la sclérose en plaques . Il n'est pas purement et simplement intentionn
raiment frap- pante entre ce tremblement et celui de la sclérose en plaques . Ce tremblement existe donc depuis deux ans, et
volontaires et, partant, identique au tremblement de la sclérose en plaques , est une variété rarement ÉTUDE CLINIQUE DES TR
e malade est bien une copie fidèle du tremblement de la sclérose en plaques , puisque, nul au repos, il apparaît et se renfo
les res- semblances jusqu'à rendre la confusion avec la sclérose en plaques à peu près inévitable ! La démarche, la parole
te catégorie de faits que doivent faire retour, et les scléroses en plaques qui miraculeusement guérissent sous l'éclat des m
ent sous l'éclat des mi- roirs rotatifs, et les pseudo-scléroses en plaques qui sur la table d'amphi- théâtre se trouvèrent
qui sur la table d'amphi- théâtre se trouvèrent dépourvues de toute plaque de sclérose. Jusqu'ici la névrose hystérique av
états dynamiques capables de reproduire le tableau delà sclérose en plaques , il faudrait ouvrir un nouveau cadre nosogra- p
e besoin ne s'en fait pas sentir. En ce qui concerne la sclérose en plaques , les faits de Westphall sont restés à peu près
purement intentionnel, simulateur du tremblement de la sclérose en plaques . A.DUTIL, Ancien interne de la Clinique des
TEURS » DES MALADIES ORGANIQUES DE LA MOELLE KPIMHRn (Sclérose en plaques , paraplégie, tabes, amyotrophie et syringomyélie)
E 1 II ASSOCIATION DES SYNDROMES SIMULATEURS ET DE LA SCLEROSE EN PLAQUES De l'avis de M. le professeur Charcot et de M.
professeur Charcot et de M. P. Marie, l'hystérie et la sclérose en plaques sont les deux affections du système nerveux qui
té de ces signes qui rendaient certain le diagnostic de sclérose en plaques , survint un tremblement rhythmique du membre su
eod. loco). Une jeune fille de quatorze ans atteinte de sclérose en plaques (paraplégie spasmodique, tremblement inten- tio
t dans la salle, je fus très étonné devoirquema jeune « sclérose en plaques » présentait des mouvements tiqueux analogues à
s symptômes hystériques avec le complexus morbide de la sclérose en plaques . Dans ces cas, l'embarras est parfois tel que l
provoquée par les maladies organiques spinales : tabes, sclérose en plaques , atrophie musculaire, maladie de Friedreich, ma
différences du syndrome hystérique simulateur et de la sclérose en plaques vraie. Nous exposerons donc dans un parallèle syn
ou bien n'y a-t-il qu'une association d'hystérie et de sclérose en plaques ? A. La réponse à la première proposition n'est
aître complètement avec une brusquerie inconnue dans la sclérose en plaques ; les émotions, la fatigue semblent l'augmenter,
avant tout, taciturne, pleureur ; le malade atteint de sclérose en plaques est plutôt gai, il a le rire facile et désordon
). Tableau synoptique des symptômes oculaires dans la sclérose en plaques et l'hystérie. ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTERIQUES
avant-bras est en voie décroissante. Au menton même on constate une plaque . Toutes ces lésions sont très nettement arrêtée
gion sous-maxillaire gauche. Sur la région temporale, du même côté, plaque rouge livide érythémaleuse. Le 20 mai, sur la sur
auraient été provoquées par le médecin qui la soignait au moyen de plaques électri- ques, et cela dans un but thérapeutiqu
urions déjà : la pseudo-paralysie générale, la pseudo-sclé- rose en plaques , le tremblement pseudo-mercuriel, la pseudo-para-
oujours d'une céphalée occipi- tale, constrictive, elle a encore la plaque sacrée; les troubles dyspeptiques persistent. E
ui existent entre le tremblement mercuriel, celui de la sclérose en plaques et certaines formes de tremblement hystérique.
sies de déformation toulousaine; dans d'autres cas, il a trouvé des plaques d'ostéite. Des accidents sérieux tels que l'hyd
e faite pour l'ophthalmoplégie avec ataxie locomotrice, sclérose en plaques , paralysie générale progressive, psy- chose. Da
gie et symptômes spinaux, Westphal nota une dégénérescence grise en plaques , vitreuse, d'une grande partie du cerveau, de l
ro-inférieure du bras, à la face postéro-externe de l'épaule, trois plaques de sphacèle larges au moins comme une pièce de
ces lésions étaient completements indolentes; ni le panaris ni les plaques de sphacèle n'avaient jamais provoqué la moindr
es de sphacèle n'avaient jamais provoqué la moindre souffrance; ces plaques s'étaient produites, sans réaction, à la suite
trochléen un peu gros, mais il n'y avait rien dans l'aisselle. La plaque anlibrachiale se cicatrisa peu à peu; à la fin d'
hiques cuta- nées. Au bras et à l'épaule, d'abord, ce sont les deux plaques de sphacèle indiquées plus haut, et qui ne sont
ections coexistantes avec la folie (ataxie locomotrice, sclérose en plaques ), décèlera parfois des anomalies congénitates t
RS » . DES MALADIES ORGANIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE (Sclérose en plaques , paraplégie, tabes, amyotrophie et syringomyélie)
(il avait vingt-cinq ans), il a eu la syphilis : chancre il la verge, plaques muqueuses, etc., soignée en Belgique. Deux ans
la partie moyenne de la cuisse au niveau du cou-de-pied. En outre, plaques hyperes- thésiques très sensibles, au niveau de
e la région sternale et sur le sommet du vertex ; de plus, quelques plaques sur les bras et dans le dos. Anesthésie des con
es signes suivants : Troubles de la sensibilité. Hyperesthésie en plaques , |pour tous les modes de sensibilité (conctact,
hyperesthésiée pour le plus léger frôlement. Elle porte encore des plaques d'anesthésie sous les deux clavicules et il l'ava
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. bras du côté gauche. Elle dit que ces plaques d'anesthésie et d'hyperesthésie varient assez s
sque vers le coude et à la partie postérieure du bras sous forme de plaques serpigineuses. Dans ces cas, il ne cesse pas d'êt
sur la partie postérieure du tronc, sur les fesses, est marbrée de plaques violacées, d'un ton un peu moins foncé que le lob
XXXVI). La partie postérieure des bras et les fesses . portent des plaques un peu plus foncées. La planche ne peut donner
es. La planche ne peut donner qu'une idée de la distribution de ces plaques . Cette coloration s'efface mo- mentanément par
aines. Pendant les grandes chaleurs de l'été la teinte violacée des plaques diminue d'intensité, mais il suffit de laisser
sombre. Sur la face plantaire du gros orteil, il existe trois petites plaques lenticulaires tout à fait noires à peu près sym
tarse et du métatarse, vers le bord interne du pied, il existe une plaque noire de la largeur d'une pièce de un franc; un
talon. Au côté gauche, le deuxième orteil présente au milieu d'une plaque bleue une petite eschare superficielle. Sous le
superficielle. Sous le milieu de la piaule du pied, il a une large plaque noire, grande comme une pièce de deux francs. C
une large plaque noire, grande comme une pièce de deux francs. Ces plaques noires ont une sensibilité très obtuse. Le ma
son séjour à l'infirmerie pour prendre la température localesur les plaques asphyxiques et sur les régions voisines. Les ther
e est bien établie, 27 avril, face postérieure de la fesse droite : plaque asphyxique, T. 29° i; plaque saine voisine, T.
face postérieure de la fesse droite : plaque asphyxique, T. 29° i; plaque saine voisine, T. 30 ? 28 avril, face postérieu
ne voisine, T. 30 ? 28 avril, face postérieure de la fesse gauche : plaque asphyxique, ` ? J°8; peau saine voisine, 31°.
J°8; peau saine voisine, 31°. 29 avril, région lombaire droite : plaque asphyxique, 33°l.; peau saine voisine, 3 f ? u.
dans les premiers jours de mai le malade a pu marcher, cependant les plaques noires n'étaient pas complètement effacées le 1
ATEURS DES MALADIES ORGANIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE (Sclérose en plaques , paraplégie, tabes, amyotrophie et syringomyélie)
ni mon excellent chef de clinique, M. Oulmont, n'avons trouvé de plaque d'anesthésie, si limitée soit-elle. Je sais qu'en
use appréciable, comme elles étaient venues, laissant seulement des plaques d'hyperesthésie cutanée. Il y a un an, la vite a
. Ces douleurs n'étaient pas superficielles et ne laissaient pas de plaques d'hyperesthésie cu- tanée. Leur siège en effet
s de la parole qui avait fait songer tout d'abord à une sclérose en plaques . Il présen- tait en même temps un oedème du pie
autres affections orga- niques cérébro-spinales (tabes, sclérose en plaques , syringomyélie, sclérose cérébrale, etc.), tous
t paroxystiques, atroces, courtes, rapides, souvent accompagnées de plaques d'hyperes- thésie cutanée. Elles siègent de pré
e tabes, elle y est en outre distribuée par zones irrégulières, par plaques , avec une cer- taine symétrie, suivant certaine
étendue. Il y a toujours au pli du coude et la paume de la main des plaques de peau saine. Aux membres inférieurs, la distr
t aux orteils, hyperesthésie il la voûte. Les jambes présentent des plaques au niveau des genoux et des malléoles; aux cuis
EURS » DES MALADIES ORGANIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE (Sclérose en plaques , paraplégie, tabes, amyotrophie et syringomyélie)
r... à savoir : paralysie agitante, vésanie, épilepsie, sclérose en plaques , etc., etc... Mais dans la règle c'est la neurast
4 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
sée sans que les artères de la base ou des méninges présentent aucune plaque d'infiltration graisseuse ou calcaire ; mais les
supérieure, est à peine athéromateuse, et présente seulement quelques plaques scléreuses dans sa portion descendante. Cependant
rchargé de graisse, paraît à peu près sain. L'aorte présente quelques plaques calcifiées. La substance corticale des reins est
s le quatrième ventricule. Les artères de la base présentent quelques plaques molles, blanchâtres. Le cœur présente une hypertr
oins large que l'orifice pulmonaire. L'aorte ne présente que quelques plaques athéromateuses au niveau de la crosse : les reins
alvules sont d'ailleurs normales. L'aorte présente d'assez nombreuses plaques jaunes cl'athérome. Les reins pèsent ensemble 205
sseuse, mais est d'ailleurs normal. — L'aorte présente quelques rares plaques cl'athérome. - Les reins pèsent ensemble 230 gram
ses par points. Le cœur est normal, L'aorte présente quelques rares plaques jaunes dans la portion thoracique, elles devienne
se, mais sans rétrécissement ni insuffisance. Aorte athéromateuse par plaques . Reins normaux. Ors. XXVII. Salpêtrière, Saint-
ipal. Les artères de la base de l'encéphale sont athéromateuses par plaques , sans rétrécissements notabfes. Les branches méni
e distance en distance, on trouve sur quelques-unes d'entre elles des plaques jaunes opaques. Les viscères n'ont pas pu être ex
aires. — L'aorte, dans toute son étendue, présentait à peine quelques plaques athéromateuses non calcifiées. Les reins étaient
mes des petites artères. Les artères de la base offrent de nombreuses plaques scléreuses. Obs. XXX. Hôpital Saint-Antoine (1)
ses orifices normaux, mais les valvules aortiques sont incrustées de plaques calcaires. La circonférence de l'orifice aortique
onférence de l'orifice métrai est de 0m,08, L'aorte présente quelques plaques athéromateuses. Les reins sont sains et pèsent en
convolution en rapport avec l'une de ces branches présente une petite plaque jaune de ramollissement ancien. Obs. XXXVII. Sa
issies, mais sans lésions de canalisation. —L'aorte présente quelques plaques athéromateuses. Obs. XXXVIII. Salpêtrière, Sain
un certain degré d'épaississement. — V aorte présente cle nombreuses plaques athéromateuses; quelques-unes cle ces plaques son
présente cle nombreuses plaques athéromateuses; quelques-unes cle ces plaques sont ulcérées dans la portion abdominale du vaiss
r, à peu près sain, pèse 343 grammes. — L"'aorte offre quelques rares plaques d'athérome. — Les reins pèsent ensemble 230 gramm
ètement oblitérée par l'athérome, et, à ses divisions, correspond une plaque jaune, superficielle, trace d'un ramollissement a
al. Le cœur est sain; l'aorte est parsemé dans toute sa longueur de plaques calcaires et d'ulcères athéromateux. Obs. XL1V.
nce. Les artères de la base sont minces et ne présentent que quelques plaques athéromateuses molles. Obs. XL VIL Salpêtrière,
s de la base sont dilatées, flexueuses, à peine marquées cle quelques plaques d'athérome. Le cœur est sain, il pèse 270 grammes
ertrophié; les valvules sont saines. Vaorle, large, présente quefques plaques scléreuses et un abcès athéromateux ouvert. Les r
la base, basi-laire, carotides et leurs branches fortement altérées : plaques scléreuses, athéromateuses et calcaires. Obs. L
ions de cette branche, on trouve sur la circonvolution d'enceinte une plaque jaune cle ramollissement ancien de 3 centimètres
dilatations anévrysmales. Les artères de la base présentent quelques plaques d'athérome. L'examen des viscères n'a point été f
se 380 grammes. Les valvules aortiques et mitrales sont incrustées de plaques calcaires. Le rein gauche considérablement atroph
gr. ne présentait pas de lésions valvulaires. L'aorte offre quelques plaques athéromateuses. Les reins sans altération de stru
grammes ; ses valvules sont saines. L'aorte ne présente que quelques plaques jaunâtres. Les deux reins pèsent ensemble 205 gr.
rte thoracique n'est pas alhéromateuse ; on trouve seulement quelques plaques calcaires dans l'aorte abdominale. Les reins sont
rement athéromateuses. Le cœur est normal. Vaorie présente quelques plaques jaunes molles. Les reins sont petits, granuleux,
n'était point ramolfie. L'artère basilaire était çà et là couverte de plaques blanches. Les deux faits suivants se rapportent
e jour après l'attaque, rarement plus tôt, quelquefois plus tard, une plaque érythéma-teuse, à bords mal définis, occupe, dans
ujours nets et arrêtés, s'est développée sur la partie centrale de la plaque érythémateuse, c'est-à-dire à 4 ou 5 centimètres
me se détache et la surface dénudée du derme apparaît alors comme une plaque rouge, humide, saignante, parsemée de taches ou d
avec soulèvement de l'épiderme. T. R. 38°, 4. Le neuvième jour, la plaque ecchymotique s'élargit. Le onzième jour, eschare
sans perte de connaissance, le 4 novembre 1806. — Le troisième jour, plaque violette avec excoriation de l'épiderme ; le soir
laccidité; marche progressive. Septième jour, érythème de fa fesse, plaque violacée, soulèvement de l'épidémie. T. R. 37°,2.
dité. Deuxième jour, érythème de la fesse gauche. Quatrième jour, plaque ecchymotique et soulèvement épider-mique. T R. 40
e avec contracture, puis flaccidité. Le quatrième jour, érythème et plaques ecchymotiques. — Mort le quatrième jour.T. R. 39°
mai 1867. — Hémiplégie droite sans contracture. Le troisième jour, plaque violacée de la fesse. T.R. 37°, 3/5.— Mort le qua
euxième jour, érythème de la fesse. T. R. 37°,0. — Le quatrième jour, plaque violette. T. R. 37°,8. — Le sixième jour, eschare
ur, eschare du diamètre d'une pièce de 2 francs, entourée d'une large plaque violette. T. R, 41°. — Mort le sixième jour. T. R
anvier 1800. — Hémiplégie gauche sans contracture. Le dixième jour, plaque violacée, puis eschare. T.R. 37°, 4/5. — Mort le
ars 1807. — Hémiplégie flasque complète à gauche. Le deuxième jour, plaque ecchymotique à bords anguleux, épiderme soulevé e
e des membres droits, sans contracture. Troisième jour, érythème et plaque ecchymotique. TR. 38°, 6. — Le soir ecchymose et
s de sphacèle du côté paralysé. — Le même jour, le soir, deux petites plaques violettes de l'autre côté. TR. 39°. — Mort te onz
plégie gauche avec flaccidité. Le deuxième jour érythème violacé et plaque ecchymotique : TR. 37°, 6. Charcot. Œuv. compl.
brale. 6 Le troisième jour, soulèvement épidermique au niveau de la plaque . Le cinquième jour, eschare très étendue delà f
laque. Le cinquième jour, eschare très étendue delà fesse gauche. — Plaques violacées de la fesse droite : TR. 40°. Mort le c
—Hémiplégie gauche, sans contracture. Le cinquième jour, une large plaque violette sur chacune des fesses. — Mort le cinqui
vingt-s'eptième jour. TR. 41°, 4/5. Obs. XXIII. Meunier, 69 ans. — Plaque jaune de l'hémisphère gauche. — Ramollissement ré
hôpital de Bon-Secours, au commen cément de Tannée 1849. Elle a des plaques muqueuses au pourtour du vagin; elle est enceinte
u côté droit, on aperçoit, à l'union du frontal avec le pariétal, une plaque jaune, rugueuse, tachetée de points rouges très f
e, qui seul présentait des altérations. Sur cet hémisphère, une large plaque de ramollissement jaune occupait le fond de la sc
Chez une femme actuellement en traitement à la Salpétrière, d'énormes plaques d'urticaire se produisent à chaque accès au nivea
Autopsie. Les artères qui forment l'hexagone présentent de nombreuses plaques d'endartérite noueuse avec rétrécissement, mais s
ais sans altération de leur calibre. Sur Y hémisphère droitexiste une plaque de ramollissement blanc, récent, irrégulièrement
llissement blanc, récent, irrégulièrement arrondie, plus large qu'une plaque de 5 francs. Cette plaque occupe la partie la plu
irrégulièrement arrondie, plus large qu'une plaque de 5 francs. Cette plaque occupe la partie la plus inférieure et la plus an
dans la profondeur de deux centimètres environ. Au pourtour de cette plaque , la substance grise de plusieurs circonvolutions
de l'artère sylvienne droite, déjà singulièrement ré tréci par une plaque annulaire d'endartérite, l'est plus encore, niais
e dans l'étendue d'une pièce de deux francs. Hémisphère gauche. Une plaque jaune {Ramollissement ancien), arrondie et déprim
rtie la plus intérieure. Les rameaux, artériels qui se rendent àcette plaque sont rétrécis en plusieurs points par des nœuds a
orrespondants ne présentent d'ailleurs aucune lésion de canalisation. Plaques athé-romateuses non ulcérées sur l'aorte. Les lob
nd ; il présente en outre une teinte rosée générale et, çà et là, des plaques d'injection sanguine d'un rouge vif ; on voit de
bres paralysés ne s'est en rien modifié. dinars, matin.— Une petite plaque violacée, d'apparence ecchy-motique, à bord angul
e du côté paralysé, L'épidémie est légèrement ridé à la surface de la plaque qui repose sur un Coud érythémateux. La l'esse du
était devenu des plus graves lorsque ces douleurs ont paru. Déjà une plaque ecchymolique, puis bientôt une eschare s'étaient
déjà par un noyau athéromateux. Sur l'hémisphère gauche il existe une plaque jaune, déprimée, de 4 centimètres de diamètre env
de la moelle présente, sur une coupe faite à la région cervicale, une plaque de dégénération secondaire très accusée. A ce poi
ltérations remarquables : la membrane synoviale présente çà et là des plaques rouges, plus ou moins larges, fortement vasculari
tat général s'est progressivement aggravé depuis plusieurs jours; une plaque livide s'est produite sur la fesse gauche. L'appé
métaux par un simple changement dans leurs conditions électriques. Plaques revêtues d'un corps isolant sur une de leurs face
de cause organique et de date ancienne, guéris par l'application des plaques de métal. (Charcot, 1er rapport; Landolt et Oulmo
lications. M. Burq, avant ma visite avait appliqué à cette malade des plaques métalliques. « Les effets de l'application exte
essayé moi-même, dans un cas d'hémianesthésie de cause cérébrale, une plaque d'or aussi pur qu'il est possible de l'avoir, et
'expérience, devenait parfaitement sensible après l'application d'une plaque de fer sur l'organe. « J'ai fait quelque chose
celle qu'elle possède sur l'anesthèsie hystérique. L'application des plaques métalliques de M. Burq, sur les régions anesthési
emps qu'elle rappelle la sensibilité. Lorsqu'on cesse d'appliquer ces plaques , les troubles de la sensibilité et l'achromatopsi
sthésique, l'application, sur la partie anciennement anesthésiée, des plaques métalliques, auxquelles la malade était sensible,
à l'or, n'a plus aujourd'hui de trace d'anesthésie ; si on place la plaque d'or sur la partie anciennement insensible, l'ins
troublées sont revenues, comme on les a vus renaître par l'action des plaques métalliques. Si l'on prolonge le contact des pi
s disparues a lieu par l'effet de l'aimantation comme par l'effet des plaques métalliques. Enfin, les phénomènes qui suivent la
tation sont semblables à ceux que l'on observe après l'enlèvement des plaques métalliques. « M. Charcot remet à la Société un
uleurs disparues sont revenues chez ces malades, sous l'influence des plaques métalliques et de l'aimant. M. Vigouroux va pours
vous appliquez du côté anesthésié, généralement sur l'avant-bras, une plaque métallique, de l'or si vous voulez. Il n'est pa
le à l'or, ainsi qu'on l'a reconnu par une exploration préalable. Une plaque de ce métal est appliquée sur la tempe gauche. Un
t la notion revient en dernier lieu. Si maintenant nous enlevons la plaque métallique, nous constatons dans quelques instant
st devenue incapable d'être impressionnée, même par l'application des plaques qui, autrefois, la mettaient, d'une manière très
l. Il obtint même du préparateur de ce dernier une grande quantité de plaques aimantées, qui devaient lui servir à multiplier s
gulièrement. Elle rattache d'ailleurs l'action de l'aimanta celle des plaques métalliques et des courants faibles, et jette une
t la sensibilité au moyen de l'application d'un collier fait avec des plaques de zinc. Après quelques minutes, la sensibilité e
court séjour. 9 février 1881. L'anesthèsie se trouve réduite à une plaque de la largeur des deux mains environ et qui occup
peut obtenir le transfert répété par l'application de l'aimant ou de plaques métalliques ; mais si la contracture est bi-latér
agent;, physiques pouvaient donner lieu aux mêmes phénomènes que les plaques de métal. Le docteur B. Vigouroux, qui s'occupait
(a). Il présente en outre une teinte rosée générale, et ça et là des plaques d'injection sanguine d'un rouge vif. On voit de p
103. Hé.mianestiié.hie croisée, p. 89: — organiques guéries par les plaques de mêlai, p. 219: par les électro-aimants et les
5 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
es maladies nerveuses (névrite, syringomyélie, tabès, sclé- rose en plaques ) ; cependant dans ces maladies on ne trouve que q
en est pas autre- ment (tabès, neuritis, syringomyélie, sclérose en plaques ), car en somme la cause de toutes ces maladies
douloureux. Après les bains sulfureux qui lui furent ordonnés « une plaque noire apparaissait au-dessus du sein gauche » pui
que sur le tégument lui-même. Rien au visage ni aux membres. Pas de plaques pigmentées. Pas de noevi pilaires ou vasculai-
appréciable à l'oeil nu dans la moelle : foie gras. Coeur, quelques plaques athéromateuses dans la région sus-sigmoïdienne.
s, toute l'aorte thoracique, il est possible de ne découvrir aucune plaque athéromateuse saillante et sur l'aorte abdominale
tissu conjonctif épaissi se détachent des orifices vasculaires. Les plaques de fibrose ne sont pas toujours aussi denses et s
, por- tions de peau inégalement colorées sans limites bien nettes, plaques de che- veux blancs disséminées au milieu d'une
entaire, la plupart des autres noevi et des tumeurs, la plus grande plaque de décoloration des cheveux (tempe droite, voir l
HOSPICE DE BICÊTRE. LABORATOIRE DE M. PIERRE MARIE SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS PAR GIUNIO CATOLA Assistant à l
e. L'opinion prédominante au sujet de l'étiologie de la sclérose en plaques est celle qui reconnaît à la maladie une origin
èvre typhoïde et la variole; mais on a aussi observé la sclérose en plaques à la suite de la rougeole et de la scarlatine e
t jouer un rôle étiologique dans le développement de la sclérose en plaques , on a, au contraire, contesté ce même rôle à l'
Traité sur les maladies du système nerveux, dit que la sclérose en plaques n'a rien à voir avec la syphilis ; il reconnaît c
yers disséminés. P. Marie dans l'article consacré à la sclérose, en plaques dans le Traité de médecine de Charcot et Boucha
- lis) prenne une part notable dans la production de la sclérose en plaques , du moins telle qu'elle est comprise dans le pr
soient par cela même compris sous la déno- mination de sclérose en plaques . Il y a lieu, à mon avis, d'établir ici des 338
fférences tranchées. Dans quelques autopsies on trouve en effet des plaques peu nombreuses, souvent limitées à la moelle, à c
rréguliers et pleins d'anfractuosités. Le microscope montre que ces plaques présentent assez souvent une destruction plus ou
em- porte-pièce que nous avons décrit plus haut dans la sclérose en plaques ; elles se continuent ou du moins se prolongent
ente ordinairement par les symp- tômes classiques de la sclérose en plaques , notamment le tremblement, les troubles de la p
sie ; enfin sa marche n'est pas la même que celle de la sclérose en plaques , elle se montre souvent beaucoup plus rapide et s
écis ; mais tout en pensant que pour elle comme pour la sclérose en plaques proprement dite, les maladies infectieuses jouent
, je suis cependant convaincu que ces deux espèces de sclé- rose en plaques naissent dans des conditions différentes : c'est
si par exemple que la syphilis, qui ne produit guère la sclérose en plaques pro- prement dite, pourrait être dans certains
outes deux soient dans la commune acception du mot des scléroses en plaques , je vous proposerais de réserver ce nom à la va
tableau symptomatique n'est pas le même que celui de la sclérose en plaques ordinaire. Si dans l'anamnèse du malade on renc
a aucune valeur étiologique dans le développement de la sclérose en plaques . Suivant l'avis de Müller, l'existence d'une sc
de Müller, l'existence d'une sclérose multiple syphili- SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 339 * tique est uniquement admiss
flammatoires semblables à celles qu'on retrouve dans la sclérose en plaques vraie ; il fait remarquer que les deux processus
les mêmes caractères histologiques que les foyers de la sclérose en plaques vraie. Dans les zones scléreuses de la myélite
ques vraie. Dans les zones scléreuses de la myélite syphilitique en plaques , les cylindraxes et les cellules nerveuses ne se-
la n'appartiendrait pas à la structure des foyers de la sclérose en plaques pure. Ici on aurait, au contraire : intégrité p
représente surtout un processus de réparation, dans la sclérose en plaques la gliose ne serait pas en rapport avec la dis-
e le processus anato- 340 GIUNIO CATOLA mique dans la sclérose en plaques commence dans le tissu nerveux. Ils arrivent à
histopathologique. Il dit que dans ce cas l'origine vasculaire des plaques rend compte et de leur configuration et de leur
année, P. Marie écrivait dans le Progrès médical : « La sclérose en plaques n'est que la localisation médullo-encé- phaliqu
publié par Jacobson, Minor et Flatau, au chapitre de la sclérose en plaques , a fait remarquer que assez souvent on voit les p
sclérose en plaques, a fait remarquer que assez souvent on voit les plaques de sclérose suivre le trajet des vaisseaux. Il
ée ou thrombosée. ' Pour les auteurs qui considèrent la sclérose en plaques comme une gliose disséminée primitive d'origine
e par Edouard Muller. Dans son livre il distingue une sclé- rose en plaques d'origine endogène (sclérose en plaques vraie) et
distingue une sclé- rose en plaques d'origine endogène (sclérose en plaques vraie) et une sclé- rose en plaques d'origine e
d'origine endogène (sclérose en plaques vraie) et une sclé- rose en plaques d'origine exogène. La première, qu'on devrait a
n. Cela donné, il ne s'agirait pas, dans ces cas, d'une sclérose en plaques vraie, mais d'une sclérose disséminée secondair
outiennent l'origine infectieuse de la sclérose en pla- SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 341 i ques tout en acceptant une fo
tique disséminée, éta- blissent entre cette forme et la sclérose en plaques légitime (qu'ils attribuent à l'action d'une in
liée à une anomalie congénitale de développement de la sclérose en plaques de n'importe quelle origine infectieuse. Cepe
décisive l'infection syphilitique de l'étiologie de la sclérose en plaques . Déjerine et Thomas dans le Traité des maladies
mercure, car, disent-ils, il n'est pas démontré que la sclérose en plaques ne puisse reconnaître la syphilis comme cause.
as et Long). Dans le cas d'Orlowsky il s'agissait d'une sclérose en plaques associée à une myélite syphilitique. Dans les f
la sclérose diffuse du cerveau et de la moelle avec la sclérose en plaques . Long rapporte une observation fort intéressant
la partie supérieure et moyenne, épaississement des méninges, deux plaques de sclérose multiple vraie au niveau de la moelle
adame. « La complication d'une syphilis spinale par une sclérose en plaques de nature différente, dit-il, est certainement un
un cas d'affection syphilitique rare. Il pense qu'on peut avoir des plaques scléreuses tout à fait semblables à celles de la
plaques scléreuses tout à fait semblables à celles de la sclérose en plaques vraie sans être en même temps une vraie scléros
rose en plaques vraie sans être en même temps une vraie sclérose en plaques . Cela d'au- tant plus, suivant son avis, que la
ladies du cerveau admet qu'une petite partie des cas de sclérose en plaques repose sur l'infection syphi- litique. Moncor
syphilis héréditaire peut jouer dans ['étiologie de la sclérose en plaques . Il croit que la sy- philis héréditaire ne doit
de la rate, périsplénite, néphrite interstitielle. Dans ce cas les plaques de sclérose n'avaient pas tous les caractères his
s de sclérose n'avaient pas tous les caractères histologi- ques des plaques de la sclérose multiple vraie. Cardarelli en 18
en 1897 a relaté un cas de combinaison du tabes avec la sclérose en plaques qu'il juge avoir une origine certainement syphili
rg, tremblement intentionnel, contractions fibrillaires SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 343 dans la langue et les masséters
soudre est d'autant plus grande qu'à côté des foyers de sclérose en plaques avec tous les caractères histo- logiques classi
tuées. En effet, les lésions vas- culaires sont dans la sclérose en plaques plus fréquentes qu'on ne l'a- vait pensé autref
ires, on a trouvé les mêmes lésions dans les cas chroniques rose en plaques . On y a décrit de l'épaississement de la paroi (R
ssives. Dans les espaces périvasculaires des vaisseaux de ces mêmes plaques scléreuses on a encore rencontré des leucocytes
épaissie ou oblitérée dans la partie centrale de presque toutes les plaques . Enfin Rossolimo et Williamson ont vu la scléro
s un caractère histolo- gique exclusif aux foyers de la sclérose en plaques vraie ; on l'a maintes fois décrite aussi dans
CATOLA ' En somme nous pouvons conclure : 1° Dans la sclérose en plaques on a le plus souvent la conservation plus ou mo
t. 2° Dans les zones de sclérose n'appartenant pas à la sclérose en plaques vraie, y compris celles d'origine syphilitique,
ment défaut. Si à ces conclusions on ajoute que dans la sclérose en plaques vraie on rencontre souvent des lésions vasculai
es aussi ont été maintes fois trouvées altérées dans la sclérose en plaques classique (Borst et d'autres). Cela considéré
éellement les caractères histologiques des foyers de la sclérose en plaques vraie et si elle est réellement due à l'in- fec
er- veuse. Car si la syphilis est capable de donner naissance à des plaques de sclérose tout à fait comparables à celles de
as de raisons pour refuser à cette forme l'étiquette de sclérose en plaques uni- quement parce que dans son étiologie figur
uement parce que dans son étiologie figure la syphilis. SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPI11LIS 345 Après avoir passé ainsi en rev
de l'infection syphilitique dans le développement de la sclérose en plaques , je vais rapporter deux observations personnelles
s 5 ou 6 jours le malade dit qu'il voit double le matin SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 347 au moment où il se réveille et
dinales et transversales on voit dans les hémisphères cérébraux des plaques grises en très petit nombre, au niveau de la couc
U Fig. 4 Fig. 5 Fig. 6 Fig. 7 Fig. 8 Fig. 9 SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS (Catola.) Masson & Ci«, Édite
ES ET SYPHILIS (Catola.) Masson & Ci«, Éditeurs SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 349 noyau central inférieur, de l'o
es identiques à ceux qu'on est habitué à voir dans la sclé- rose en plaques ordinaire. Pie-mèrs.- La pie-mère spinale est é
. 11). Dans les vaisseaux de la substance médullaire transformée en plaques de sclérose, on observe : augmentation en nombr
Fig. 10 fig.13 Fig. 11 t Fias Fig. 12 Fig. 15 SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS (Catola.) SCLÉROSE EN PLAQUES ET
Fig. 15 SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS (Catola.) SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 351 1 ractères d'une métamorphose h
de grandeur différente. Dans la substance médullaire, en dehors des plaques de sclérose, les vais- seaux sont très souvent
s tourbillons de fibrilles maintes fois décrits dans la sclérose en plaque n'y sont pas évidents. Au niveau des plaques de
s dans la sclérose en plaque n'y sont pas évidents. Au niveau des plaques de sclérose il n'existe presque plus une fibre ne
la méthode de Stroebe et de Kaplan, on peut dire que dans certaines plaques ils laissent déceler leur pré- sence sur une tr
que nous l'avons rencontrée aussi dans un autre cas de sclérose en plaques légitime. Il vaudrait la peine d'examiner régul
d'examiner régulièrement ces zones dans tous les cas de sclérose en plaques et particulièrement dans ceux qui présentaient
e un peu de ce que nous trouvons habituellement dans la sclérose en plaques commune; mais, d'un autre côté, nous ne saurion
autre côté, nous ne saurions assez insister sur ce qu'au niveau des plaques sclé- reuses l'identité est absolue,ce qui du r
es, assez nombreux dans la partie inférieure de la moelle. Quelques plaques de sclérose sous l'épendyme des ventricules latér
2 i Fig. 3 t Fig. 4 4 ,1 : \ Fig. 5 11 I i SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 1 (Catola.) SCLÉROSE EN PLAQUES E
11 I i SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 1 (Catola.) SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 353 Sclérose des zones ciliaires et
LIS 353 Sclérose des zones ciliaires et périciliaires du cervelet ; plaques scléreuses disséminées dans les pédoncules et l
uveau que ceux-ci peuvent réaliser les caractères histologiques des plaques de la sclérose multiple légitime. Dans ce cas l
qui ne laissait absolument pas prévoir l'existence d'une myélite à plaques avec les caractères que nous décrirons. Observa
au de Goll (fig. 1). Au niveau de la 3e racine cervicale existe une plaque scléreuse qui occupe le faisceau de Goll et un pe
méthode de Stroebe et de Kaplan nous avons pu mettre en SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 355 évidence dans les territoires s
bien directement démontrable des cylindraxes nerveux. L'étude des plaques de sclérose y met en évidence une augmentation no
x que dans les autres parties des pla- ques. Au niveau de la grande plaque de sclérose du 6e segment dorsal (fig. 5), les
on a considéré comme spécifique pour les foyers de la sclé- rose en plaques classique. ' La pie-mère médullaire est un peu
partie postérieure de la moelle et au niveau des zones scléreuses. Plaques de sclérose disséminées sans dégénérescences seco
aires (épaississement et dégénéralion de la paroi) surtout dans les plaques scléreuses et dans la méninge épaissie. Dans
sie. Dans ce cas donc,nous voyons réalisée à nouveau l'existence de plaques de sclérose d'une origine sans doute syphilitiq
is- tant entre la myélite syphilitique disséminée et la sclérose en plaques , nous ne pouvons omettre une remarque : Certain
ébro-spinale ne réalise jamais la symptomatologie de la sclérose en plaques . Nonne dans son livre,admet qu'elle ne copie excl
ptomato- logie très analogue ou identique à celle de la sclérose en plaques , ceci est démontré aussi d'une façon indubitabl
tomatologie du malade était si comparable à celle de la sclérose en plaques qu'il ne nous semble pas justifié de lui refuse
diagnostic différentiel est très difficile sinon tout à SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 357 -1 fait impossible. Car dans la
caux, tout comme on les rencontre dans le tableau de la sclérose en plaques vraie. Notre premier cas est particu- lièrement
s le cervelet, dans la substance nerveuse non encore transformée en plaques scléreuses. En conclusion, les données bibliogr
- vent posséder tous les caractères histologiques de la sclérose en plaques commune. Nous arrivons ainsi à admettre que la
ut jouer un rôle assez important dans l'étiologie de la sclérose en plaques et qu'on est fondé à admettre une forme de sclé
e en plaques et qu'on est fondé à admettre une forme de sclérose en plaques syphilitique tout à fait comparable aux formes
la corne antérieure d'une zone médullaire non transformée dans une plaque de sclérose. Colora- tion : hématoxyline d'Ehrl
abinski (J.) Recherches sur l'anatomie pathologique de la sclérose en plaques 11t étude comparative des diverses variétés de
hologique, 1885. 3. Etude anatomique et clinique sur la sclérose en plaques , Paris, 1885. 4. BALINT. Beitrage zur detiologi
og. Centralbl., 1903. 11. Bourneville et GuËRARD. De la sclérose en plaques disséminée. Paris 1869. 12. BucHWALcu. Ueber mu
lerosi a placche d'origine silitica. 15. Catola (G.). - Sclérose en plaques ; atrophie cérébelleuse et sclérose pseudo-systéma
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e/und. Deutsche Zeitschrift sur Nervenheillcunde, 1902. SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPHILIS 3.a 28. FLATAU urrn KLICI1CN. - Ueb
. Centralbl., 1895. 48. Joffroy. - Note sur un cas de sclérose en plaques disséminées. Gaz. méd. de Paris, 1870. 49. JO
klin. Medizin., 1899. 57. Ladame Syphilis médullaire et sclérose en plaques . Revue neurol., vol. VIII. 58. Lannois et PAVIO
ues. Revue neurol., vol. VIII. 58. Lannois et PAVIOT. - Sclérose en plaques consécutive à une arthrite tuberculeuse. lie- v
Thèse de privat-docent. Genève, 1899. 65. Marie (P.). - Sclérose en plaques et maladies infectieuses . Progrès médical, 1884.
s médical, 1884. 360 GIUNIO CATOLA - 66. Marie (P). - Sclérose en plaques . Traité de médecine Charcot-Bouciiard, 2c éd. 190
ouciiard, 2c éd. 1904. 67. : 1ASSALONGO et SILVESTHI. - Sclérose en plaques infantile d'origine grippale. Revue neurologiqu
- De l'influence étiologique de l'hérédo-syphilis sur la sclérose en plaques chez les enfants. Revue mensuelle des maladies
. 85. RENEu. Contribution à l'origine infectieuse de la sclérose en plaques . Gaz. méd. de Paris, 1893. 86. REDLICII. - Zu
e usw. infolge von Syphilis. Berl. klin. Woch., 1885. SCLÉROSE EN PLAQUES ET SYPIiILIS 361 101. SCHUSTEII UND B1ELSCIIO\1
res fines, on voit parfois une espèce d'arborisation, ou mieux, des plaques terminales. Il se détache de certaines fibres d
sie porte sur tout le membre jusqu'à la racine (à l'exception d'une plaque au ni- veau de la face antérieure du pli du cou
et, sur le tronc ou la face, on la constate seulement au niveau des plaques que nous décrirons tout à l'heure. Etat des r
des poils et la dissociation syringomyélique de la sensibilité. La plaque située sous le sein gauche et s'étendant transver
te sur la photo- graphie au-dessous du sein gauche. Au niveau de la plaque les poils sont tous tombés, ce qui fait ressort
sont tous tombés, ce qui fait ressortir nettement les limites de la plaque sur le thorax très velu du sujet. Ce placard n'
symétrique, sauf un peu dans la région du dos. Il existe d'autres plaques présentant les mêmes caractères, en particu- li
travail on pourra se rendre compte de la distribu- tion des autres plaques . Le malade est un sujet intelligent, qui répond
t dans les coupes d'un fragment de peau prélevé au niveau d'une des plaques d'anesthésie, rechercher le bacille de la lèpre
r. A l'âge de vingt-quatre ans il contracte la syphilis (chancre et plaques muqueuses). Depuis l'âge de vingt ans jusqu'à auj
t; le trouble moteur serait très analogue à celui de la sclérose en plaques ; nous ferons simple- ment remarquer à ce sujet
entriculaire ; on serait porté à croire que bien que limitée, cette plaque jaune ancienne peut facilement atteindre un niv
s antérieurs. En effet, le dessin nous invite à con- sidérer que la plaque jaune ancienne sert de trait d'union à deux parti
la topographie telle que décrite par l'auteur : « On constate deux plaques jaunes anciennes dont l'une occupe la partie cent
TUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 569 cette dernière plaque commence en arrière à 2 centimètres du pôle occip
s refusons ai admettre comme « type de lésion occipitale » la vaste plaque jaune que présente ce cas Bras. Un ramollisseme
ntées par le cas Neumann (Anat., t. 11, p. 145) : « Il s'agit d'une plaque jaune n'intéressant que le lobe temporal, et en
sa racine, le nerf périphérique et ses terminaisons muscu- laires ( plaques motrices). Le faisceau pyramidal ne s'entrecroise
rappellent quelque peu les arborisations de certaines variétés des plaques mo- trices (éminences et plaques terminales). Q
isations de certaines variétés des plaques mo- trices (éminences et plaques terminales). Quant aux cellules ganglionnaires
dif et scoliose des adolescents (1 pl.), 129. CATOLA. Sclérose en plaques et syphilis (3 pl.), 337. CIIARTIER et Lejonn
nes périphériques), par J.-C. Roux et J. HEITZ, 297. Scléroses en plaques et syphilis (3 pl.), par GATOLA, 331. Spondyl
J. NA- GCOTTE), XXXIV, XXXV, XXXVI,XXXVII, XXXVIII. Sclérose en plaques et syphilis (CATOLA), LI, LII, LUI, LIV. Spon
6 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
doigts sans nécrose des os; masque sclé-rodermique); lèpre mutilante ( plaques d'anesthésie, chute des phalanges, macules de mor
ravages. En outre, l'examen de son corps décèlera la présence de ces plaques de morphea, dont je vous parlais tout à l'heure.
se. « L'anesthésie à la piqûre se prolonge sur tout le membre, sans plaques de sensibilité disséminées. Elle est limitée par
voir que tel ou tel tremblement n'est pas produit par une sclérose en plaques ou une paralysie agitante, ou encore une maladie
ui de la paralysie générale. Imite le tremblement de la sclérose en plaques . Imite encore plus parfaitement peut -être le t
nt dans des maladies bien distinctes. La première dans la sclérose en plaques des centres nerveux, l'autre dans l'intoxication
ez pas que le tremblement de la paralysie agitante, de la sclérose en plaques , de la maladie de Basedow enfin, ne présente pas
s, les caractères assignés au tremblement classique de la sclérose en plaques . Mais procédons. Je dis au malade de se dresser
n et à la marche, ne sont pas chose très vulgaire dans la sclérose en plaques . On peut les y rencontrer cependant, à peu près
par secondes. Donc, contrairement à ce qui a lieu dans la sclérose en plaques , le tremblement ici peut exister déjà dans ce qu'
ès haut degré. Ce dernier trait, qui nous éloigne de la sclérose en plaques , rapproche au contraire notre cas des faits de tr
: il semble y avoir là, par conséquent, sur la rétine, une véritable plaque hystéro-gène. Deux autres zones hystérogènes se v
pas rare de voir l'hystérie entrer en combinaison avec la sclérose en plaques et se traduire chez le sujet ainsi affecté par la
ès cela, supposer que chez 13... il y a coexistence de la sclérose en plaques et de l'hystérie, celle-ci étant représentée dans
il paraît inutile d'insister davantage : le fantôme de la sclérose en plaques s'est évanoui. Nous sommes en présence de l'hysté
é droite du corps, soit une hémianesthésie droite incomplète ; 2° une plaque d'analgésie absolue correspondant à peu près à l'
ivers services où il est entré portent les diagnostics de sclérose en plaques , alcoolisme, myélite chronique. Le bulletin de Ne
lus grande partie, absolument comme cela a lieu dans la sclérose en plaques . Quand le sujet est debout, les oscillations de
er. Le nombre des oscillations est plus grand que dans la sclérose en plaques . Il s'accroît notablement sous l'influence des
premier malade de la leçon précédente. L'analogie avec la sclérose en plaques était telle que l'erreur de diagnostic a été fait
face dorsale, le poignet sont d'une coloration violacée, parsemés de plaques d'un rouge vif. Les doigts sont comme bridés au n
e a disparu au membre supérieur en grande partie; il reste encore des plaques anesthésiques, en particulier à la partie postéri
ord plantaire externe et aboutit à l'extrémité du petit orteil. Cette plaque d'analgésie comprend donc : toute la surface dor
sauf sur la face antéro-externe de la cuisse droite, où il existe une plaque d'anesthésie remontant jusqu'au pli inguinal et a
c. 36 c. 15 — — — — 44 c. 45 c. 25 — — — — 30 c. 50 c. Fig. 33. — Plaque d'anesthésie cutanée dans le domaine du crural. P
. En se reportant à l'observation, on voit que la malade présente une plaque d'anesthésie qui occupe la face antéro-externe du
e la sensibilité des téguments, je n'ai à vous signaler qu'une petite plaque de dysesthésie occupant la face dorsale du pied.
rmes frustes et anormales n'ont pas encore, comme dans la sclérose en plaques , leur histoire régulière. On connaît cependant dé
un côté, en effet, il y a parfois, dans la syringomyélie typique, des plaques où l'anesthésie se montre totale, non dissociée,
on du thermoesthésiomètre porté à une certaine température laisse des plaques rouges assez persistantes ; ce qui n'a pas lieu d
eut paraître singulière au premier abord. Il n'existe point d'autre plaque d'anesthésie, mais dans l'hypocondre du côté gauc
ttaques convulsives épileptiformes avec projection du tronc en avant; plaque hyperesthésique siégeant sur l'hypocondre gauche
iplégie syphilitique. Lésions de la syphilis cérébrale. Historique. Plaques gom-meuses des méninges: pachyméningite gommeuso
es à un certain stade de leur évolution, tandis qu'à la périphérie la plaque gommeuse a subi la transformation fibreuse. Ce
gommeuse a subi la transformation fibreuse. Ce sont, en effet, des plaques gommeuses plutôt que des tumeurs arrondies et cir
a Société médicale des Hôpitaux par M. Fournier, le 28 mars 1880. Les plaques gommeuses pachyméningées envahissent la pie-mère
es flocons, des granulations dans le corps vitré, et d'autre part des plaques choroïdiennes couvertes de dépôts pig-mentaires.
, libre de tout symptôme paralytique permanent et occasionnée par une plaque gommeuse superficielle des méninges, siégeant au
e induré avec double pléiade ganglionnaire de l'aine, la roséole, des plaques muqueuses, etc., toutes manifestations qui ont
avec une femme plus que suspecte. Cette femme, nous dit-il, avait des plaques muqueuses et des éruptions cutanées « entre cuir
n déjà si profondément triste. Des formes frustes de la sclérose en plaques ( I ) ; Sommaire. — Formes classiques, spinale,
es classiques, spinale, cérébrale et cérébrospinale de la sclérose en plaques . Quelques symptômes rares ou anormaux de cette ma
exemple de forme fruste par effacement. Messieurs, La sclérose en plaques cérébro-spinale, cette affection que caractérisen
ni système, qu'on puisse « tout voir » en un mot dans la sclérose en plaques . Cette affection est régie, comme les autres mala
est, dans ses grandes lignes, le tableau classique de la sclérose en plaques cérébro-spinale. Je veux appeler votre attentio
e caractère non moins important à connaître, c'est que la sclérose en plaques n'appartient pas à la catégorie des maladies fata
qui n'appartiennent pas davantage au cadre vulgaire de la sclérose en plaques , peuvent également survenir dans quelques cas exc
i, pour ne citer qu'un exemple, le tableau clinique de la sclérose en plaques se trouve clans certains cas réduit, à peu de c
3. (2) Pitres. Contribut. à l'étude des anomalies de la sclérose en plaques . [Revue mensuelle, 1877, p. 902.) n'avait vu et
t par analogie nous fûmes donc amenés à soupçonner que la sclérose en plaques était appelée à subir le même sort. Il fallait,
hésitais pas à présenter cette malade comme un exemple de sclérose en plaques anormale (1). Je puisais mes principaux arguments
1878. (2) Charcot. Diagnostic des formes frustes de la sclérose en plaques , Progrès médical, 1879, p. 97. Cette diplopie, no
l'abducens et du moteur oculaire commun, et que, dans la sclérose en plaques comme dans le tabès, les symptômes oculaires peuv
dessinée à l'époque, vous représente fidèlement le siège de plusieurs plaques de sclérose éparses sur le cerveau, la moelle, le
s vous indiquer que nous étions parvenu à reconnaître une sclérose en plaques dépouillée de ses attributs les plus caractéris-
l soient un peu plus fréquentes dans le tabès que dans la sclérose en plaques (20 au lieu de 17 0/0). Il y a actuellement dan
t dans le service de la Clinique deux malades atteints de sclérose en plaques anormale (forme paraplégie spas-modique avec nyst
C'est ainsi, Messieurs, que fut ou vert le chapitre de la sclérose en plaques anormale. Depuis cette époque, un certain nombre
copique. (1) Bouicli. Anomalies et formes frustes de la sclérose en plaques . Th. de Paris, 1883. (2) Babinski. Etude anatom
1883. (2) Babinski. Etude anatomique et clinique de la sclérose en plaques . Th. de Paris, 1885. (3) Oppenheim. Zur Patholo
l. Klin. Woch., 1888. (4) Bourneville et Guérard. De la sclérose en plaques disse-minées. Paris, 1869. Le fait n'est pas ra
rations du nerf optique et retrouvé dans cinq autopsies cinq fois des plaques de sclérose dans le nerf optique, le chiasma ou l
r que la constatation, dans certaines formes anormales de sclérose en plaques , de lésions ophthal-moscopiques prendrait une imp
le rapport des troubles visuels, cent malades atteints de sclérose en plaques . Chez quarante-cinq d'entre eux il a trouvé des l
orme à nos connaissances sur l'évolution singulière de la sclérose en plaques : M. Uhthoff, ayant pu avoir des renseignements su
au point de vue du diagnostic des formes atypiques de la sclérose en plaques . Vous devrez désormais, de parti pris, aller à la
'étude diagnostique des formes anormales ou frustes de la sclérose en plaques . Je dis frustes en appliquant cette épithète indi
otre étude. Le tableau général des formes frustes de la sclérose en plaques peut se diviser en trois parties : A). Les form
..., bref, un ou plusieurs des nombreux symptômes de la sclérose en plaques qui se seraient effacés depuis lors en partie ou
ous montrer tout à l'heure un exemple très remarquable de sclérose en plaques fruste appartenant à cette catégorie. B). Les f
oculaire ou qui ne s'y montrent qu'exceptionnellement. La sclérose en plaques se présente ici sous trois variétés principales :
, car on n'a pas signalé, que je sache, de combinaison de sclérose en plaques et de tabes proprement dit. Nous éliminons ici, c
lutition, ne sont pas tout à fait exceptionnelles dans la sclérose en plaques et je vous en montrerai un exemple frappant. Ne s
pour éviter les méprises, être prévenu de ce fait que la sclérose en plaques peut simuler la sclérose latérale. Prévenus de ce
ulement que, de par l'étude que nous avons déjà faite, la sclérose en plaques est possible avec une pareille symptomatologie. N
qui vous a présenté le type parfait du tremblement de la sclérose en plaques . Dans la station assise, dans le décubitus, dans
u cours d'une pneumonie, je vous faisais remarquer que la sclérose en plaques se développait souvent à la suite d'une maladie i
e douzième jour, que l'affection a débuté (1} P. Marie. Sclérose en plaques et maladies infectieuses. {Progrès rnéd., 1884, p
pourrait cependant que les attaques apoplectiformes de la sclérose en plaques se fussent, à l'origine, entremêlées avec les man
es; la parole était lente, scandée, comme dans certaines scléroses en plaques . L'intelligence était nette, mais avec une nuance
s formes (type Rendu), simule à s'y méprendre celui de la sclérose en plaques . Il est très probable que cette simulation n'a pa
ui avec cette étude générale sur les formes frustes de la sclérose en plaques . Vous connaissez maintenant les principes et la m
oigts sans nécrose des os ; masque sclérodermique) ; lèvre mutilante ( plaques d'anesthésie, chute des phalanges ; macules de mo
iplégie syphilitique. Lésions de la syphilis cérébrale. Historique. Plaques gom-meuses des méninges: pachyméningite gommeuse
econde catégorie. . 385 XXI. Des formes trustes de la sclérose en plaques . (Leçon). Sommaire. — Formes classiques, spin
es classiques, spinale, cérébrale et cérébrospinale de la sclérose en plaques . Quelques symptômes rares ou anormaux de cette ma
. Alcoolisme et hystérie, 291, 303. Amblyopie dans la sclérose en plaques , 400. Anesthésie névritique et syringomyélique,
. Bulbaire: paralysie — isolée, 197, c Cécité dans la sclérose en plaques , 400 ; cécité verbale, 389. Céphalée syphilit
ns l'hystérie, 453. o Oculaires : troubles —, dans la sclérose en plaques , 400, 403, 407. Œdème blanc des hystériques, 97
rodactylie, 3. Sclérodermie, 3 ; masque dans la —, 6. Sclérose en plaques , 399 ; Rémissions et arrêts dans l'évolution de l
ue et tremblement mercu-riel, 51 ; — intentionnel dans la sclérose en plaques , 400 ; — hystérique intentionnel, 50. Trépanati
7 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
de vitrier : les portions d'intestin correspondantes présentaient des plaques tuberculeuses sous-péritonéales PT, PT, PT", PT".
res, à nœuds très-rapprochés VL, VL', etc. (fig. i), partaient de ces plaques pour se rendre aux ganglions lymphatiques corresp
L', VL", VL'", VL"" (fig. 2), naissaient dans des points dépourvus de plaques tuberculeuses. Je crus d'abord avoir affaire à de
ême, au moins pour ceux de ces vaisseaux qui naissaient au niveau des plaques tuberculeuses, lesquelles formaient comme le fond
des ne naissaient pas au voisinage des ulcérations (fig. 2, 4) et des plaques tuberculeuses des intestins. Au reste, ce n'est p
upérieure était marbrée de blanc et de rouge; ailleurs, c'étaient des plaques PPP irrégulières, des espèces d'îles, ici foncées
es ( fig. 2) des infiltrations de pus concret PPP correspondantes aux plaques extérieures et s'étendant plus ou moins profondém
, très-serrées avec cartilaginification, ossification par grains, par plaques , ou bien dans la totalité des membranes d'envelop
ante de la bile chimiquement combinée avec le tissu muqueux ). Petite plaque de pointillé rouge à cette grosse extrémité : que
rosse extrémité de l'estomac (encore teinture cadavérique). Plusieurs plaques de pointillé rouge vers la fin de l'intestin grêl
. Réflexions. — Ici deux altérations se présentent : i° les petites plaques de pointillé rouge disséminées dans l'estomac, le
té à croire que l'irritation qui a présidé à la formation des petites plaques rouges date de l'époque où la malade a accusé une
ire présentait dans son tronc et dans toutes ses divisions de petites plaques saillantes, qui ont été exactement rendues sur l'
été exactement rendues sur l'artère ouverte AO (fig. 3 ). Ces petites plaques étaient formées par la pellicule interne artériel
-dale vide AD. Les parois de cette vaste ampoule étaient parsemées de plaques d'ossification, lesquelles n'ont pas été représen
males, nous verrons que la dilatation ou ampoule AD était parsemée de plaques osseuses, cartilagineuses, crétacées, de diverses
lorsque, devenues fragiles, cassantes, elles se fendillent entre deux plaques ossiformes. Tout le temps que le tissu de l'artèr
jet cette poche anévrysmale naissait d'une ampool© ovoïde parsemée de plaques cartilaginiformes, ossiformes. Le malade mourut s
de figurer ici, naissaient d'une artère non dilatée, mais parsemée de plaques ossiformes elliptiques. C'est un cas de ce genre,
escendante de la crosse de l'aorte est inégale, rugueuse, parsemée de plaques saillantes AP (iig. 2). Au bas de cette altératio
cotyloïde gauche, matière plâtreuse déposée sous la forme de petites plaques isolées ; cartilage intact. Ligament cotyloïdiene
ioste. Les articulations scapulo-humérales n'offraient que quelques plaques ou points de matière crétacée. — On en trouvait q
pubienne, dans l'épaisseur des substances intervertébrales.— Quelques plaques dans les articulations costo-transversaires et te
ction du voile du palais moins considérable. On peut distinguer trois plaques blanches sur les piliers postérieurs.—Le quatrièm
ment l'abdomen avec le doigt, ou, ce qui est bien préférable, avec la plaque d'ivoire de M. Piorry, le son sera mat à l'hypoga
i' représente quelques ramifications artérielles AO parsemées de ces plaques ossiformes si communes chez les vieillards. En
vre entéro-mésen-térique, imposé à cette maladie. Du reste, comme les plaques agminées occupent toutes le bord convexe de l'int
e de l'intestin, on ne doit pas être surpris de voir l'altération par plaques affecter exclusivement ee bord convexe, circonsta
et remplissant exactement l'intervalle que laissaient entre elles les plaques agminées. Plusieurs étaient ulcérées à leur centr
lement plus développés que de coutume, se présentent sous la forme de plaques gaufrées, chaque point déprimé répondant à l'ouve
ées, chaque point déprimé répondant à l'ouverture d'un follicule. Ces plaques gaufrées sont plus ou moins proéminentes, mais ja
lement que les follicules isolés eux-mêmes, ce qui tient à ce que les plaques de Peyer sont logées dans l'épaisseur même de la
érite folliculeuse aiguë est la forme pustuleuse, qui consiste en des plaques saillantes pustuleuses, que je ne puis mieux comp
de long sur demi-pouce de largeur, oblongues et elliptiques comme les plaques agminées aux dépens desquelles elles sont formées
s sont formées. Il n'est pas rare de voir une pustule au centre d'une plaque de Peyer, laquelle est d'ailleurs saine dans tout
étendue ; quelquefois même on trouve plusieurs pustules le long d'une plaque un peu considérable , et les intervalles qui les
upement chez les divers individus. On ne saurait méconnaître dans ces plaques une affection simultanée ou successive et des fol
limbe rouge; chaque follicule est transformé en un petit ulcère ; les plaques de Peyer sont elles-mêmes parsemées çà et là de p
ve et présente deux variétés. Tantôt la gangrène est circonscrite aux plaques folliculeuses et aux follicules eux-mêmes, tantôt
jacente de la muqueuse se détachent à la manière d'un bourbillon, les plaques agminées se séparent à la manière d'une escarre;
Leur couleur était livide, leur bord convexe présentait çà et là des plaques plus injectées, et au niveau de ces plaques des v
e présentait çà et là des plaques plus injectées, et au niveau de ces plaques des vaisseaux veineux sous-péritonéaux, dirigés p
'entérite folliculeuse aiguë. La figure 3 est surtout très-belle. Les plaques agminées sont le siège d'une foule de petites ulc
dessin et surtout sous celui du coloris, rend très-bien la forme des plaques elliptiques. La figure première représente les pl
n la forme des plaques elliptiques. La figure première représente les plaques agminées de Peyer à l'état naturel, et ces auteur
licules agminés dont je n'ai pu retrouver un seul. Tout autour de ces plaques escarrifiées la muqueuse était coupée à pic, et p
contre le jour, les parois de l'intestin sont noires d'injection. Ces plaques d'ailleurs ne présentaient pas la forme elliptiqu
n. Ces plaques d'ailleurs ne présentaient pas la forme elliptique des plaques agminées, mais bien une forme irrégulièrement cir
paient pas comme de coutume le voisinage de cette valvule : une seule plaque agminée existait en effet auprès de la valvule il
feuillet de cette valvule qui appartient à l'intestin grêle; or cette plaque était en partie détruite. Les fibres musculaires
-injectés. L'intestin ouvert du côté de son bord concave a offert des plaques pustuleuses de diverses dimensions et de diverses
r le voisinage de la valvule iléo-cœcale VIG presque sain ; une seule plaque ulcérée PU se voit au milieu de follicules plus d
la situation précise des follicules agminés. En étudiant les diverses plaques pustuleuses PP, PP, PP, on verra que toutes occup
ue toutes occupent le niveau du bord convexe de l'intestin, comme les plaques agminées elles-mêmes. J'appellerai l'attention su
nées elles-mêmes. J'appellerai l'attention sur la plus supérieure des plaques pustuleuses de cette figure, qu'on voit proéminer
ues pustuleuses de cette figure, qu'on voit proéminer au centre d'une plaque gaufrée PG remarquable par sa longueur ; d'autres
utres pustules occupent une plus ou moins grande étendue de ces mêmes plaques gaufrées, et semblent même les dépasser quelquefo
bres musculaires de l'intestin, occupent l'extrémité inférieure de la plaque pustuleuse la plus considérable de cette figure P
masses concrètes jaunâtres qui précèdent en général l'érosion de ces plaques . Cette figure prouve en outre que l'entérite pust
l'entérite pustuleuse n'envahit pas simultanément tous les points des plaques de Peyer, mais que ces pustules se développent in
par les follicules ; mais les papilles intestinales qui hérissent les plaques agminées (*) et qui occupent l'intervalle des ouv
qu'on dit qu'il n existe pas de papilles ou villosités au niveau des plaques agminées; c'est encore à tort que quelques anatom
e était d'un rouge noir dans toute sa circonférence, et non point par plaques , comme on l'observe le plus habituellement. Sous
he 11 ; mais la muqueuse soulevée et comme boursoufûée en très-larges plaques présentait des milliers de perforations. Ayant pl
Ayant placé l'intestin sous l'eau, il m'a été facile de voir sur ces plaques fongueuses, entre les petites ouvertures dont ell
n autre chose que les orifices des follicules. La multiplicité de ces plaques , leur rapprochement, leur forme irrégulière, la d
gminés, lesquels affectent souvent la même forme annulaire. Entre ces plaques fongueuses ou pustuleuses PP, PP se voient des fo
multi-pliées dont la principale occupait la valvule iléo-cœcale : une plaque ulcérée occupait le colon C. Il était évident que
trisation incomplet dans des espèces de caroncules que présentent les plaques PC, PC, situées au-dessus de la valvule Quant aux
sentent les plaques PC, PC, situées au-dessus de la valvule Quant aux plaques pustuleuses et gaufrées, situées plus haut, PG, P
me conduit dor^ à admettre deux altérations bien distinctes : i° des plaques incomplètement ou complètement cicatrisées qui dé
nnement guérie ; i° des altérations nouvelles qui consistent dans des plaques gaufrées, pustuleuses, des ulcérations folliculeu
urs couches pseudo-membraneuses parsemées de vaisseaux sanguins et de plaques de sang. Du reste, la cicatrice s'est faite lente
n cadavérique. Epaississement léger avec rougeur d'un petit nombre de plaques gaufrées au voisinage de la valvule iléo-cœcale;
embrane muqueuse, excepté au voisinage dè l'orifice pylorique OP. Des plaques rouges annoncent un reste de réaction vitale. La
vingt-quatre heures à cette opération, je trouvai le foie parsemé de plaques rouges lie-de-vin superficielles, légèrement proé
icielles, légèrement proéminentes; son tissu, divisé au niveau de ces plaques , m'a offert la même couleur lie-de-vin dans l'épa
te capillaire de la rate. Le foie présentait à sa surface de larges plaques de couleur ardoisée ; incisé au niveau de ces pla
rface de larges plaques de couleur ardoisée ; incisé au niveau de ces plaques , il a offert des masses irrégulières, plus ou moi
la tunique musculeuse. L'intestin grêle présentait une rougeur par plaques à sa partie inférieure. Tous les autres organes é
sur le museau de tanche M où il se terminait par un bord dentelé. Des plaques irrégulières d'épiderme épaissi se voyaient sur l
t des matières fécales molles, et présente dans toute son étendue des plaques rouges disséminées. La vésicule biliaire est di
fig. III, pl. 1, 14e liv. ) ; dans le grand cul-de-sac est une petite plaque rouge pointillée. U intestin grêle est distendu
de gros grains de petite vérole, les seconds F, P, F, P, F, P, à des plaques saillantes, gaufrées, sur plusieurs desquelles on
ra. Choléra mortel en sept heures, au milieu de crampes. Rougeur et plaques d injection de la muqueuse. Développement des pla
pes. Rougeur et plaques d injection de la muqueuse. Développement des plaques de Peyer. Emphysème sous-muqueux. Tissard (Jean
es matières alimentaires non digérées. Emphysème sous-muqueux. Larges plaques rouges çà et là. L'intestin grêle est rempli de
les agminés. Gros intestin. La muqueuse injectée présente de larges plaques d'ecchymose ; les follicules sont très développés
tre la mort et l'autopsie. L'injection générale de la muqueuse, les plaques rouges, le développement des follicules agminés d
prononcées* Choléra asphyxique mortel en seize heures. Injection et plaques d'ecchymose dans la muqueuse de l'intestin grêle
t par des ramollissements circonscrits.Le long de la grande courbure, plaque noire qu'on a pu prendre, au premier abord, pour
courbure, plaque noire qu'on a pu prendre, au premier abord, pour une plaque de gangrène ; autour d'elle est une légère ecchym
intestin grêle, sont très volumineux. Le gros intestin présente des plaques ecchymosées plus considérables que celles de l'in
s ecchymosées plus considérables que celles de l'intestin grêle ; ces plaques sont irrégulières et entourées d'arborisations :
mement injectée et présente çà et là des ecchymoses par points et par plaques rouges, pl. 5, fig. 1, cette injection qui n'est
istait dans une coloration rouge-noire de la muqueuse, avec de larges plaques d'ecchymose ; le centre de l'altération était le
, étaient des portions d'intestin tout-à-fait saines, puis de petites plaques d'ecchymose de distance en distance : il y en ava
de la maladie. À l'ouverture, je trouvai le gros intestin parsemé de plaques d'un rouge-noir, comme dans l'observation précéde
ividu qui a été représenté pl. IV, fig. i. Une rougeur interne et des plaques ecchymosées P, L, P, L, se voient çà et là dans t
N'ayant pas eu occasion de les rencontrer, je pouvais croire que des plaques noires ecchymosées, semblables à celles représent
ers supérieurs de l'intestin grêle. La partie inférieure présente une plaque de Peyer énorme P,P. Un grand nombre de follicule
; chez quelques individus, c'était une rougeur ponctuée, disposée par plaques , par bandes, le long du bord libre des plis longi
remier abord les caractères d'une éruption; les seconds sous celui de plaques saillantes, gauffrées, dont plusieurs offraient u
re qu'elle soit uniforme ; souvent on trouve çà et là des points, des plaques d'ecchymose. Si on examine contre le jour et appl
rborisation, et présente des points d'ecchymose disséminés, de larges plaques noires, qui ne sont autre chose que le résultat d
ntestin est comme plaquée d'ecchymoses de diverses grandeurs : et ces plaques noires ont pu être prises par des observateurs in
noires ont pu être prises par des observateurs inattentifs, pour des plaques de gangrène; je n'ai observé qu'une seule fois, d
s intestin , c'est dans le cas figuré pl. V : la forme elliptique des plaques gangrenées est remarquable. Les follicules du g
mment motivées. f Observation. Induration du pancréas, des poumons. Plaques blanchâtres et ulcérées dans Vintestin grêle.
sept minutes (1). Les intestins qui me furent présentés offraient des plaques blanchâtres, oblongues, elliptiques, avec épaissi
ongues, elliptiques, avec épaississement considérable des parois. Ces plaques étaient parsemées de petites ulcérations , et dan
e ces noyaux, poumons parfaitement sains. Dans le canal intestinal, plaques de Peyer très saillantes : quelques-unes rouges e
ux ou trois lignes d'épaisseur, recouvrant uniformément ou par larges plaques la face utérine du placenta,sans pénétrer dans so
r Garin ( Journ. de médec., frimaire an x), chaque cotylédon avait sa plaque osseuse : et toutes ces plaques, qui avaient de t
maire an x), chaque cotylédon avait sa plaque osseuse : et toutes ces plaques , qui avaient de trois à quatre lignes d'épaisseur
articulations qui permettaient aisément la sortie du placenta. Chaque plaque osseuse présentait des rayons divergents qui proc
ous les accidents. Fjg. 1. Lobe gauche du foie présentant de larges plaques blanches, irrégulières, de diverses"di-mensions A
et dont plusieurs occupaient la circonférence de l'organe. Toutes ces plaques sont entourées d'un cercle brun ardoisé. Fig. 1
ercle brun ardoisé. Fig. 1'. Coupe de ce même lobe. On voit que les plaques ne sont pas seulement superficielles, mais pénètr
recouverte d'un épiderme uniformément épais, et nullement disposé par plaques irrégulières. L'extrémité supérieure de la tume
nt la suite des fièvres intermittentes ; sa surface était parsemée de plaques cartilagineuses. Les parois abdominales et le f
verte, on voit : i° la dilatation de cette partie ascendante ; 20 les plaques crétacées jaunâtres dont elle est parsemée ; 3° l
ue j'insiste sur ce point. La dilatation de l'aorte, la formation des plaques ossiformes dont elle est parsemée sont les conséq
tricule gauche a déterminé la dilatation de l'aorte avec formation de plaques crétacées; mais encore les parois artérielles son
tenus au milieu de la matière graisseuse. Ce fragment présente 1° une plaque osseuse PO, 2° une petite tumeur pédiculée TC cri
côté) très volumineux : on voit la masse adipeuse et pileuse MP, des plaques ossifiées PO,PO, une bride fibreuse B, à l'extrém
Les poils sont quelquefois adhérents aux parois du kyste à l'aide de plaques crétacées qui les retiennent immobiles ; et dans
s ou moins grand nombre. Il est facile de confondre l'adhérence par plaques crétacées des poils dans un des points de leur lo
ollissement par l'acide nitrique, et même la simple inspection de ces plaques qui permet de suivre les poils à leur surface et
ur surface et dans leur épaisseur, ou enfin le brisement de ces mêmes plaques permettra d'éviter toute espèce d'erreur à cet ég
quelquefois lisse, et le plus souvent inégale , rugueuse, parsemée de plaques cartilagineuses et crétacées. À cette surface int
es tissus normaux. Dans cette catégorie , je classe la coloration par plaques ou par points irréguliers de la surface du poumon
es. J'ai vu fréquemment la surface interne de l'estomac parsemée de plaques , de points noirs qui lui donnaient un aspect ti
uelquefois piqueté de noir; d'autres fois cette coloration a lieu par plaques ; enfin il n'est pas rare de voir le péritoine of
8 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
tout autrement au contraire. Cette ligne qui est plus claire sur la plaque radiographique est là pour nous révéler une cal
au-dessus bientôt commence la partie la plus mince de la moelle. La plaque de pachyméningite se trouve exclusivement sur l
ne constate pas de lésions macroscopiques. Les méninges, excepté la plaque de pachyrné- Fm. 2. - 1. Corne antérieure gauch
férentes maladies nerveuses de nature non tuberculeuse (sclérose en plaques , hémiplégie, etc.) et la réaction fut pour la p
'il s'agisse d'une véritable voix scandée comme dans la sclérose en plaques , parce que ici la prononciation n'est pas nette,m
gnotic différentiel ; on peut éliminer tout de suite la sclérose en plaques , la sclérose cérébrale primi- tive, la diplégie
superficielles du cortex et consister très vraisemblablement en une plaque de méningo-encéphalite. La disparition presque
so- ciée une recrudescence dans les phénomènes inflammatoires de la plaque de méningo-encéphalite qui primitivement avait
ites nettes ; ils ne ressem- blent pas aux foyers de la sclérose en plaques , ni aux festons qu'on rencontre dans la méningo
c de myélite aiguë ou subaiguë, d'abcès extraduraux, de sclérose en plaques et ce n'est que sur la table d'autopsie que le
août 1896, suivi de phénomènes secondaires multiples et prolongés ( plaques muqueuses, vulvaires, anales, à la bouche, érupti
n'étions pas sûrs du diagnostic. Nous avons éliminé la sclérose en plaque et la myélite chronique. Nous considérions co
té de la partie supérieure du corps parlaient contre la sclérose en plaque . La marche de la maladie ne correspondait pas à
e la pensée que, dans notre cas, il puisse s'agir d'une sclérose en plaques , ou d'un syndrome syringomyélique, ou enfin d'u
difficile à diagnostiquer. On pensa à la myélite, à la sclérose en plaques (oscillations de la maladie assez notables), à la
mptôme dans les cas où il n'y avait pas de tumeurs. (la sclérose en plaque par exemple). Henneberg l'a observé dans un cas d
x autres affections, il faut prendre en considération lasclérose en plaques , la carie vertébrale, la syringomyélie et la méni
elles et les tumeurs des méninges. 1 478 FLATAU La sclérose en plaques , dans la plupart des cas, ne présente pas de gr
s dernières années lorsqu'on reconnut d'une part que la sclérose en plaques peut affecter une forme tout à fait atypique et
des douleurs minimes. Actuellement il est prouvé que la sclérose en plaques peut évoluer sans aucun phénomène céphali- que
n- nel. Il existe donc un type franchement spinal de la sclérose en plaques . Outre cela on connaît des cas où cette maladie
accès de très fortes douleurs. Nonne a décrit un cas de sclérose en plaques où les accès douloureux atteignaient une grande
ient une grande intensité; il croit que dans des cas semblables les plaques très petites siègent dans le voisinage des raci
J'ai eu l'occa- sion d'observer quelquefois des cas de sclérose en plaques du type spinal exclusivement. Assez souvent alo
res symptômes nous ont indiqué qu'on avait affaire à la sclérose en plaques . Il faut encore ajouter que dans tous ces cas le
contre de temps en temps dans les stades initiaux de la sclérose en plaques . Dans tous ces cas il n'y a autre chosè à faire
st fort rare de voir des douleurs considérables dans la sclérose en plaques . Les plaintes des malades au début font penser qu
es tirail- lements. Une de ces malades (qui avait de la sclérose en plaques du type médullaire) se plaignait de très fortes
es et su- bissent l'influence du mauvais temps. 3° La sclérose en plaques peut également provoquer l'anesthésie de cer- t
leur propre gré, tandis que nos malades atteints de la sclérose en plaques marchent et se promènent (même ceux qui souffre
é le liquide céphalo-rachi- dien de malades atteints de sclérose en plaques , le résultat jusqu'à présent L fut toujours nég
suiv. (2) Raymond et ALQUIEIt,Jléaiago-encéplialete tuberculeuse en plaques . Encéphale, 1909, ne 15. xxiii c 32 48 FLA.
épaissie, opaque, et anormalement riche en vaisseaux sanguins. Une plaque cica- tricielle très saillante recouvre, de cha
a Salpê- trifre, 1908, p. 113, Jlénittgoencéphalite tuberculeuse en plaque . Encéphale, 1909, Nr. 1. Recklinghausen. - <
RIE LESIONS ÉPENDYMAIRES ET SOUS-ÉPENDYMAlHES DANS LA SCLÉROSE EN PLAQUES , PAR Pierre MERLE et C. CASTINE Interne des
sions épendymaires et péfi-épendyraaires au cours de la sclérose en plaques ont été signalées par plusieurs auteurs. L'étude
de vue général, au point de vue de la pathogénie de la sclérose en plaques et de la façon dont agit l'élément toxique ou i
est un exemple typique de cette localisation péri ventriculaire des plaques de sclérose. Il s'agissait cliniquement d'un ma
le. Quelque temps après, le tableau symptomatique de la sclérose en plaques était au complet avec spasmodicité des membres
riant les coupes ces endroits on s'aperçoit souvent que ces petites plaques se rejoignent à la couche péri- ventriculaire e
se par endroits. En dehors du ventricule il existe quelques petites plaques , notamment au-dessous du noyau lenticulaire, co
clérose dense. On voit par endroits, généralement à la limite de la plaque de sclérose pro- prement dite, de petites plaqu
à la limite de la plaque de sclérose pro- prement dite, de petites plaques qui paraissent répondre, macroscopiquement, à u
oisinante. Nous verrons qu'au point de vue histologique ces petites plaques doivent aussi être différen- tiées de la scléro
mble. En dehors des régions périventriculaires, il existe plusieurs plaques de sclé- rose, à distance, en plein tissu céréb
ée. Sur les coupes macroscopiques on peut reconnaître de nombreuses plaques de sclérose. fou \ELLE Iconographie DE la SALP6
eu était : r peu prés de même pour l'hémisphère gauche). 2. Petite plaque de sclérose à distance du ventricule. (Méthode de
Y11AIRLS ET SOUS-ÉPENDYMAIRES GLe7 Examen llISTOLOGIQUE. CERVEAU. - Plaques à distance du ventricule. Le plus souvent ces p
E. CERVEAU. - Plaques à distance du ventricule. Le plus souvent ces plaques sont constituées de la façon suivante : Tout d'
emment tuméfiées et altérées. Un second point est la richesse des plaques en petits vaisseaux et en néo- vaisseaux. Ces c
sont des cellules du type cellules araignées. Il n'existe, dans la plaque même, que très peu de petites cellules à noyau
ois. Il existe par endroits quelques cellules mûriformes. Parmi Ips plaques à distance, en pleine substance blanche, il en es
isseau et se détachent au contraire en plus foncé sur les coupes. Plaques <' ? ' : ueM/t' ! cu/at<'M. Par l'examen ma
ventricule, on constate qu'il paraît exister plusieurs variétés de plaques de sclérose. Les unes sont bien au voisinage du v
reliées à la surface épendymaire que par une sorte de pédicule. Ces plaques ont générale- ment la même structure que les pl
pédicule. Ces plaques ont générale- ment la même structure que les plaques à distance que nous venons de décrire. Nous vou
enons de décrire. Nous voulons insister surtout sur l'autre typo de plaques périventriculaires, les plus fréquentes, celles
res. Il existe dans ces pla- ques moins de capillaires que dans les plaques de sclérose lâche à fibrilles enchevêtrées qui
tissu conjonctif ayant l'aspect homogène et hyalin. Au-dessus de la plaque de sclérose, l'épithélium épendymaire et la régio
ivement en profondeur depuis l'é- pithélium jusqu'aux limites de la plaque de sclérose dont les contours sont, comme nous
me d'une ligne irrégu- lière. Lésions épendynàires à distance des plaques de sclérose périventriculaires, - Elles sont pe
us réactionnel. Altérations de la substance cérébrale entourant les plaques de sclérose. Nous avons vu que les limites étai
e sclérose. Nous avons vu que les limites étaient nettes autour des plaques . Elles le sont d'autant plus que la substance c
n cellulaire indique un processus de réaction à la périphé- rie des plaques . Les vaisseaux sont en ces points dilatés, gorgés
montrent, comme cela est classique, la démyélinisation complète des plaques de sclérose» Il existe par- fois, sur les bords
Elle montre des cylindraxes en nombre à peu près identique dans les plaques de sclérose et dans le tissu normal. Dans les p
ique dans les plaques de sclérose et dans le tissu normal. Dans les plaques périventriculaires les cylindraxes parallèles à l
pect de filaments tendant à se dédoubler longitudinalement.Dans les plaques périvasculaires situées en pleine substance cér
ue. Recherche des corps granuleux. - Il en existe très peu dans les plaques de sclérose cérébrale. Autour des plaques périv
existe très peu dans les plaques de sclérose cérébrale. Autour des plaques périventriculaires, on en voit quelques- uns à
être vraisemblablement d'origine et de nature névroglique. Dans des plaques à distance on note souvent leur absence complète.
plaques à distance on note souvent leur absence complète. Dans une plaque du lobe occipital, constituée par de fines fibr
rand nombre. (La recherche des corps granuleux a été faite pour les plaques cérébrales à l'aide du soudan sur des coupes à
sous-jacente est peu intense. Moelle. Il existe de très nombreuses plaques de sclérose à tous les éta- ges. Certaines, à l
ains points, un nombre considérable autour des vaisseaux. Certaines plaques vraisemblablement jeunes, étant donné les caractè
sont complètement bourrées de volumineux corps granuleux. Dans les plaques plus étendues, constituées par du tissu sclé- r
lus restreint de ces corps granuleux disséminés à la périphérie des plaques . 618 ' MEULE ET PAST1NE Chez ce malade, attei
es. 618 ' MEULE ET PAST1NE Chez ce malade, atteint de sclérose en plaques , classique au point de vue clinique, existait u
au point de vue clinique, existait une dissémination médullaire des plaques de sclé- rose. Les plaques cérébrales étaient e
xistait une dissémination médullaire des plaques de sclé- rose. Les plaques cérébrales étaient en petit nombre comparativemen
c la sclérose périventriculaire, des lésions du centre ovale et des plaques des noyaux gris centraux. C'est à ces dernières
ue, le fait intéressant est la locali- sation périventriculaire des plaques de sclérose. Cette localisation a été notée par
nalé aussi la distension des ventricules au cours de la sclérose en plaques (Scliiile, Jolly, Greiff). Certains ont vu dans c
a pu résulter d'un étal inflammatoire chronique, cause commune des plaques de sclérose et de l'épendymite. Miiller (2) s
l'épendymite. Miiller (2) signale comme lieu d'élection pour les plaques de sclérose la région péri-épendymaire de l'aqu
de l'aqueduc de Sylvius. En examinant plusieurs cas de sclérose en plaques de la collection de M. Pierre Marie, nous avons
904. LÉSIONS ÉPENDYMAIRES ET SOUS-ÉPENDYMAIRES 619 la sclérose en plaques et cette atteinte se produit vraisemblablement pa
n cas de sclérose mul- tiple avec localisation périventriculaire de plaques d'étendue assez consi- dérable. L'intégrité d
e assez consi- dérable. L'intégrité de l'épithélium au-dessus des plaques de sclérose ne leur a pas permis d'admettre que
ien puisse être le véhicule de l'agent irritant dans la sclérose en plaques . C'est cette opinion que l'un de nous a soutenu
t GUCCIONE, Quelques symptômes et lésions rares dans la sclérose en plaques . Encéphale, mars 1910. (2) HORST, Z. Path. Anal
ou irritants, Chez noire malade nous avons constaté deux sortes de plaques de sclé- rose au point de vue de la structure,
souvent vers les parois d'un vaisseau. C'est là le type des petites plaques à distance du ventricule (Pl. LXIX). Dans les
des petites plaques à distance du ventricule (Pl. LXIX). Dans les plaques périventriculaires au contraire, l'aspect le plus
mêmes. Celte sclérose parait plus compacte, plus dense que pour les plaques éloignées, comme si cela résultait d'un process
, probablement plus lent et plus continu. Du reste, au-dessus de la plaque périventriculaire, on trouve des lésions manife
té intéressant est l'abondance des corps granuleux dans beaucoup de plaques médullaires et les carac- LESIONS ÉPENDYMAIRES
e nous rapportons semblent indi- quer qu'au cours de la sclérose en plaques , il peut se produire une irrita- tion des paroi
de donner lieu à de la sclérose périventriculaire. La sclérose en plaques est souvent une affection inflammatoire comme l
te, sur sa paroi postérieure. On voit à cet endroit des sortes de plaques à contours irréguliers, don- nant l'impression
catrice. Leur teinte blanc rosé tranche sur les tissus voisins. Ces plaques sont légèrement surélevées ; elles sont acciden-
cicatrice qui leur est toute spéciale et si caractéristique. Ces plaques sont rarement le siège de métamorphoses régressiv
de calcification. Autre constatation qui aide à les distinguer des plaques athé- romateuses. L'endothélium et l'intima d
- romateuses. L'endothélium et l'intima de l'aorte recouvrent ces plaques dans la grande majorité des cas, sans solution
hémisphère droit ces lésions épendy- maires affectaient la forme de plaques soit linéaires, soit noueuses, légè- rement sai
ons que nous avons décrites : épaississement pie-mérien généralisé, plaque méningée cicatricielle de la convexité frontale g
ulaire latérale. Actuellement, nous poursuivons l'élude d'un cas de plaque sclé- reuse de la partie moyenne du corps calle
Ependymaires (Lésions - et sous-épendy- maires dans la sclérose en plaques ) (1 pl.), par PIERRE Merle et G. Pastine, 613.
Raymond (Le professeur -) (1 pl.), par Meige, 489. Sclérose en plaques , lésions épendymaires el sous-épendymaires (1 p
.). Lésions épendymaires et sous-épendymaires dans la sclérose en plaques (1 pi.), 613. Mingazzini. Contribution clinique
e). Lésions épendymaires et sous-épendymaires dans la sclérose en plaques (1 pl.), 613. ROUDNEW - Dermographisme rouge et
ques (LADAME), XV et XVI Raymond (Le Prof. -), LIV. Sclérose en plaques , lésions épendymaires (Pierre MERLE et G. PASTI
9 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
embre gauche maintenu étendu, ¹ 1. — Légende. a. Anesthésie. b. Plaque hystérogène. Fig. 11. ¹ 2. — Légende. a. Po
existe au-dessus du pli de l'aine et parallèlement à sa direction une plaque , allongée (Fig. 11 bis Fifí, 11 b\ ¹ 1 ¹ 2
is Fifí, 11 b\ ¹ 1 ¹ 2 n°l,è.)ovalaire, hyperesthésique.Cette plaque est à un certain degré hystéro-gène, c'est-à-dire
omme n'a pas d'attaques convulsives ; on ne rencontre pas chez lui de plaques hystérogènes, hyperesthésiques. Mais vous savez q
. 22. — 1. Aoesthésie complète. 2. Diminution de la sensibilité. — 3. Plaques hystérogènes. gauche très nettement accusée, un
cependent encore, avant de clore cette énumération, l'existence d'une plaque hypéresthésiquehystérogène dont il a été déjà que
us haut, située sur le tronc dans la région hépatique, et celle d'une plaque de même nature occupant le scrotum du côté gauche
te fort singulière et certainement peu commune. Plusieurs points ou plaques hystérogènes : l'une d'elles, la principale, occu
e fer. À savoir : paralysie agitante, épilepsie, vésanie, sclérose en plaques , etc., etc.. Mais, dans la règle, c'est la neur
e et hystérie. 2e Malade. — Cas complexe. — Hystérie et sclérose en plaques . (A propos de ces deux cas, on fait ressortir l
e avec une affection organique bulbo-spinale, à savoir la sclérose en plaques . Seulement ici, c'est l'hystérie quiparaîtau prem
hiquement l'hystérie d'un cô.y,jd4$axie locomotrice et la sclérose en plaques , de l'autre ; notre tâche se Jrrou^era, je pense,
AU SYNOPTIQUE DES SYMPTOMES OCULAIRES dans le tabes, la sclerose en plaques et l hystérie a. Appareil moteur de l'œil. Ta
bulbaire ou tnêrf périphérique). Diplo-pie consécutive. Sclérose en plaques : 1° Paralysies dans les mouvements associés des
sont, vous l'avez compris, les symptômes oculaires de la sclérose en plaques qu'il s'agit particulièrement de mettre en relief
e régulière. Un des troubles oculaires classiques dans la sclérose en plaques , en tant qu'il s'agit des fonctions musculaires d
e la paralysie d'un des muscles moteurs de l'œil; dans la sclérose en plaques , au contraire, elle est surtout liée à une paraly
uer que ce symptôme-là n'appartient ni à l'ataxie ni à la sclérose en plaques . Le signe d'Argyll Robertson appartient exclusi
. Rien de semblable dans l'hystérie, non plus que dans la sclérose en plaques où l'on observe par contre quelquefois un myosis
aire, essentiellement transitoire de l'amaurose liée à la sclérose en plaques . L'ophthalmoscope, en pareil cas, ne montre qu'un
n'en est pas de même, dis-je, lorsque l'amaurose, dans la sclérose en plaques , est la conséquence d'une névrite optique. Alors,
me des troubles visuels liés à la névrite optique dans la sclérose en plaques . Sans doute, trop souvent ils aboutissent eux aus
incertitude du regard, c'est très vraisemblablement de la sclérose en plaques qu'il s'agit. Les réflexes pupillaires sont nor
rique. Nous serions donc en présence d'un de ces cas de sclérose en plaques peu nombreux encore (cas d'Eulenbourg et de Gnauk
dont les mis appartiennent à l'hystérie, les autres à la sclérose en plaques . Mais vous venez de voir que si ces divers symp
vers symptômes ne sont pas rares, tant s'en faut, dans la sclérose en plaques , et ils constituent même jusqu'à un certain point
sujet. Incontestablement, d'après ce quej'ai vudumoins, lasclérose en plaques est de toutes les affections organiques des centr
et vous voyez par contre, dans le cas qui nous occupe, la sclérose en plaques ouvrir la marche et céder le pas, au moins pour u
té, à droite et à gauche, la ceinture s'étend sur les Fig. 43. — a. Plaque hyperesthésique ; Fig. 44. — a. Ceinture hyperest
resthésie est tuée et testicule douloureux. portée au summum; ce. Plaques hyperesthésiques. lombes, contourneles hanches,
l'étude des stigmates. L'hypéresthésie cutanée n'est pas limitée aux plaques hystérogènes que nous avons décrites à propos de
ropos de la rachialgie simulant les douleurs du mal de Pott. D'autres plaques de même caractère se voient, l'une au niveau du c
sans provocation, existent à peu près constamment sur la plupart des plaques d'hypéresthésie, s'exaspèrent spontanément vers 6
un cas de myélite diffuse chronique, enfin dans un cas de sclérose en plaques . A propos des effets physiologiques de la suspe
des pieds s'est atténuée ou a disparu et que, chez deux malades, des plaques d'anesthésie plantaire sont redevenues sensibles.
iée à la neurasthénie. Par contre, un malade atteint de sclérose en plaques avec exagération considérable des réflexes rotuli
plégie spasmodique (huit cas dont deux sont relatifs à la sclérose en plaques ), n'a subi quant à présent plus de huit séances ;
i s'était produit dans un cas antérieur (sujet atteint de sclérose en plaques signalé dans la leçon du 15 janvier), la suspen
llations qui rappellent exactement ce qui se voit dans la sclérose en plaques et qui font le plus souvent manquer le but ; tand
même évolution que celle de l'ataxie locomotrice et de la sclérose en plaques par exemple, où l'on a vu les types primitivement
s ou qu'il a fait quelques pas. J'appelle votre attention sur cette « plaque sacrée », comme je l'appelle, parce qu'elle const
ions organiques de la moelle épinière, qu'elle pourrait simuler. La « plaque sacrée » est, en quelque sorte, le pendant de la
muler. La « plaque sacrée » est, en quelque sorte, le pendant de la « plaque occipitale » ou « cérébelleuse» ainsi que la dési
inale étaient déjà fort accentués : céphalée neurasthénique, à savoir plaque cérébelleuse et plaque frontale. — Tête vide, mém
accentués : céphalée neurasthénique, à savoir plaque cérébelleuse et plaque frontale. — Tête vide, mémoire lente, impossibili
iment de faiblesse dans les membres inférieurs et l'existence de la « plaque sacrée » ; à peine la malade peut-elle faire quel
es parties molles de la face interne de la cuisse où existe une large plaque d'hyperes-thésie cutanée et profonde (Voir le sch
peres-thésie cutanée et profonde (Voir le schéma). Au niveau de cette plaque , une' Fig. 54. — a. Anesthésie. Fig. 55. — a. A
outurier et droit interne est douloureuse. Vous remarquerez que cette plaque hypéresthésique paraît répondre à la partie du me
7. — Champ visuel de l'œil gauche. Celui de l'œil droit est normal. plaque hyperesthésique occupe la partie inférieure de la
urvenant dans les membres inférieurs et des douleurs sacro-lombaires ( plaque sacrée) qui se montrent à la moindre fatigue. Il
e résultat. La neurasthénie spinale du début s'est accentuée : la « plaque sacrée » est plus prononcée que jamais; les membr
de symptômes neurasthéniques bien accentués ; pas de céphalée, pas de plaque sacrée, pas de confusion de l'esprit, pas de vert
là de stigmates, pas d'anesthésies sensorielles ou sensitives, pas de plaques hypé-resthésiques, c'est la névrose hystérique qu
n à noter relativement au goût et à l'ouïe. Il n'y a pas de points ou plaques hystérogènes. Nous ne sommes pas encore tout à
ie ou syrin-gomyélie, certaines tumeurs intraspinales, la sclérose en plaques et enfin la maladie que j'ai désignée sous le nom
s différentes affections spinales, — tabès syringomyélie, sclérose en plaques , etc., etc., —-qui, comme nous le rappelions il n
esthésie. la douleur, le chaud et le froid. b. Hypoanesthésie. 6. Plaque hypéresthésique sous ombilicale, c. Points hystér
ous apercevez sur son épaule a été produite hier par le contact de la plaque métallique du D g Fig. 84. thermomètre de s
mianesthésie et des stigmates chez un individu atteint de sclérose en plaques , ou chez un myopathique, direz-vous que c'est la
plaques, ou chez un myopathique, direz-vous que c'est la sclérose en plaques ou la myopathie progressive qui en sont la cause?
à considérer: la région qui est tout entière hypéresthésique et deux plaques hystérogènes (voir le schéma fig. 82). Si je pres
la perte des autres modes de la sensibilité : tact, température. — b, plaque hystérogène. malade. Ce jeune homme est sans do
rs chez notre malade, au dessous du rebord costal du côté gauche, une plaque hystérogène dont la compression détermine d'une f
e de symptômes d'ordre neurasthénique, tels que douleur en casque, la plaque sacrée, la dyspepsie nerveuse, etc, et vous aurez
le, presque incapable de mouvement et portait sur sa face dorsale une plaque brune de la dimension d'un thaler environ. On le
eur gauche. Au membre inférieur gauche, il n'existe plus qu'une large plaque d'anesthésie occupant les faces antérieure et ext
es analogues à ceux que nous avons établis à propos de la sclérose en plaques des centres nerveux. Quoi qu'il en soit, en lui
l'exploration faite à l'aide d'un thermomètre de surface (1), dont la plaque métallique, chauffée progressivement à l'aide d'u
oigts de la main, jusqu'aux attaches des épaules, l'application de la plaque du thermomètre chauffée jusqu'à 90° ne produit pa
le cou, le malade éprouve un sentiment pénible de brûlure lorsque la plaque du thermomètre a été portée à 100°. Les tempéra-
capillaire. Fig. 112. plètement défaut est représentée panine large plaque qui occupe toute l'étendue du tiers supérieur de
). 4° Sur le dos et sur le devant de la poitrine, l'application de la plaque du thermomètre ne donne la sensation de Fig. 12
ntre, les sensibilités à la douleur (piqûre, pincement),à la chaleur ( plaque du thermomètre à surface portée à 80°), et au fro
l s'est manifesté dans les deux flancs, surtout à gauche, une zone ou plaque hystérogène. Le moindre frôlement, la moindre pre
ystérogène. Le moindre frôlement, la moindre pression exercés sur ces plaques font apparaître les prodromes de l'attaque et par
au synoptique des symptômes oculaires dans le Tabès, la Sclérose en plaques et l'Hystérie................. 163 Tableau géné
59 Fig. 35 — — (Sensibilité)............ 160 Fig. 36.—Sclérose en plaques et hystérie (Sensibilité) . . . . 167 Fig. 37,
otrice et hystérie 151 2e malade. —Cas complexe.Hystérie etscléroseen plaques . A propos de ces deux cas on fait ressortir l'imp
, 71. Achromatopsie. — et hystérie, 159. 165, 169. — et sclérose en plaques , 165. — et tabès, 158, 165. Age dans la chorée,
, 288, 389. Aliénés voyageurs, 32T. Amaurose. — de la sclérose en plaques , 164. — hystérique, 164. — tabéti-que, 158, 164.
e, 474. Champ visuel (Rétrécissement du), 138.— dans la Sclérose en plaques , 165, 166. — dans l'Epilepsie et l'Hystérie, 423.
athologie, 152. Dickinson, 109, 110. Diplopie.— de la Sclérose en plaques ,164, 166. — de l'Hystérie, 164, 266. — du Tabès,
— et mal. de Basedow, 240.— et saturnisme, 121, sq.,— et sclérose en plaques , 162. Hystérie et syringomyélie.— (Diagnostic),
es, 415. —Type sca-pulo-huméral, 414. Myosis. — Dans la sclérose en plaques , 164. N Nacrée (Papille du tabès), 164. Ner
stérie, 163. — Dans la maladie de Basedow, 235. — Dans la sclérose en plaques , 163. — Dans le tabès, 163. Olliye (Dr G.), 39.
lgie et Sçiatique névrite, 25. sciatique névrite, 34. Sclérose en plaques . — Achromatopsie, 165,169. — Amaurose, 164. — Cha
04. — dans la paraplégie spasmodique, 204, 220. — Dans la sclérose en plaques , 204, 217,220, 221 —Dans l'impuissance neurasthén
10 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
part., p. 817), dit avoir observé un malade atteint de sclérose en plaques qui, pendant sa jeunesse, aurait présenté une r
é dans un point quelconque du trajet entre l'écorce cérébrale et la plaque terminale de Rou- get. En tout cas, nous ne sau
pour la parole ; or, la fenêtre ronde a disparu, confondue dans la plaque cicatricielle qui couvre le promontoire de cett
omanie, et que la conscience a besoin d'une plus CAS DE SCLÉROSE EN PLAQUES FRUSTE. 51 grande force de réflexion pour se ma
ressante àplus d'un titre.- Il s'agit d'un deces cas de sclérose en plaques , qui, par la nature des phénomènes qu'ils présent
oute qu'on émit l'opinion de l'existence possible d'une sclérose en plaques fruste ; l'autopsie confirma pleinement cette p
ique ; noyaux disséminés de sclérose sur les ventricules cérébraux, plaques coiiflitei2tes sur la partie inférieure de moel
ole est lente, scandée ; entre chaque syllabe il CAS DE SCLÉROSE EN PLAQUES FRUSTE. 53 y a une petite pause ; mais le malad
illeurs. L'absence du tremblement caractéristique de la sclérose en plaques était complète ; à aucun moment de sa vie le ma
de la parole d'un autre malade du service, atteint de sclérose en plaques à type classique, qu'appuyé aussi sur l'ensemble
que qu'on avait en présence, on porta le diagnostic : sclé- rose en plaques à forme fruste. Des cas semblables ont d'ailleu
de deux faits personnels, qui sont de très beaux cas de sclérose en plaques fruste. {Revue mensuelle de médecine et de chir
dation en 1873. )Jscliares, ér3-sipèle, mort.-Autopsie : Nombreuses plaques de sclérose sur les différentes parties de l'en
de sclérose sur les différentes parties de l'encéphale, sclérose en plaques delà moelle épinière. A l'époque où la malade fut
où la malade fut présentée comme offrant un exemple de sclérose en plaques fruste, la para- plégie spasmodique occupait à
face interne de la couche optique, on ne trouve que trois petites plaques de la dimension d'un petit pois, situées en arriè
partie sur le plafond opposé il ce dernier centre, le milieu de la plaque passant par le bord externe du ventricule latér
tale et spliénoïdale, En résumé dans le cerveau, on ne trouve des plaques de sclérose que sur les parois des ventricules
e nous ont rien fait découvrir de nou- veau, sinon que les diverses plaques n'atteignaient pas une profon- deur de plus de
aire subit une espèce d'atrophie en masse, déformé par un nombre de plaques tellement considérable, qu'il semble qu'il n'y
conseils de notre maître, nous avons pratiqué dans l'intérieur des plaques de sclérose des injections interstitielles de p
les portions cervicales et la moitié supérieure de la dorsale, des plaques de sclérose, très super- ficielles, ne pénétran
ste un léger degré d'hémianesthésie gauche avec dys- chromaptosie ; plaques anesthésiqucs sur le dos. Les règles vien- nent
on trouva sous la plèvre des foyers hémorrhagiques nom- hreux; les plaques de Peyer étaient épaissies et la muqueuse du re
ues cas analogues et serait disposé aies ranger dans la sclérose en plaques ; maison n'a jamais noté le tremblement. Cepend
ôme ne serait peut-être pas absolument constant dans la sclérose en plaques . Ainsi le Dl Weber dit avoir observé un exemple
blement avait manqué. Comme de plus les symptômes de la sclérose en plaques sont forcément très variables à cause de la dis-
on impossible dans aucune direction. Observation III. Sclérose en plaques . Paralysie conjuguée latérale droite. Nystagmus
ssé. Les paralysies associées sont fréquentes dans la sclérose en plaques ; mais elles sont ordinairement incomplètes; il
si dire jamais quand la paralysie est ancienne. Dans la sclérose en plaques , la paralysie conjuguée est presque toujours ac
ui a lieu dans l'observation suivante. Observation VII. Sclérose en plaques . Paralysie du mouvement de convergence. 11-e
bservation X. M"0 Woid..., vingt-trois ans, atteinte de sclérose en plaques (Consultation de M. Charcot). Symptômes oculair
le, double et incom- plète, comme la produit parfois la sclérose en plaques , on peut observer cette-forinè de diplopie, mai
s yeux pendant qu'on en pratique l'examen. Le soir, le centre de la plaque rouge est dépouillé d'épiderme sur une surface
nq francs en argent. En outre, sur la fesse droite, on aperçoit une plaque rouge, large comme la paume de la main, sans dé
détruites par une lésion évidemment ancienne et remplacée par une plaque jaune. Cette plaque jaune est tout à fait super-
lésion évidemment ancienne et remplacée par une plaque jaune. Cette plaque jaune est tout à fait super- ficielle ; elle ne
entre la dure-mère et la voûte osseuse. Hémi- /j ? e droite. Large plaque érylhémateuse de la région fes- siere droite, a
ations superficielles survenues quatre jours après le traumatisme ; plaque éîythéiîtateitse identique sur la fesse gauche
olie du côté droit et considérablement diminuée à gauche. 26. Une plaque érythémateuse, absolument insensible, large com
par larges écailles et le derme est à nu dans toute l'étendue de la plaque ; les phlyctènes qui en parsèment la surface ont
pois, ne dépassant pas l'épaisseur du derme. Le 30 juin une seconde plaque érythémateuse se produit sur la fesse gauche, e
s régions fessières droite et gauche sont recouvertes par une vaste plaque d'un rouge violacé, s'étendant en largeur depui
eures après la mort dans le tissu cellulaire sous-jacent aux deux plaques érythémateuses. Examen histologique. 1° Nerfs d
deux plaques érythémateuses. Examen histologique. 1° Nerfs de la plaque fessière droite. Dans chaque préparation, exist
tement des fibres régénérées. En résumé, les nerfs aboutissant à la plaque fessière droite sont uniquement composés de tub
utres tendent à reconstituer leur structure normale. 2° Nerfs de la plaque /eM ? 'e gauche. Les filets nerveux recueillis
ction- nement régulier, soit qu'elles n'aient pas été atteintes, ( plaque fessière gauche), soient qu'elles aient été rég
rimées au centre, un peu pigmentées à la périphérie et formant deux plaques confluentes de 4 centimètres de diamètre au niv
cupe le onzième espace intercostal du même côt. Elle comprend trois plaques éruptives, dont les éléments sont groupés de fa
s de façon à former un ovoïde allongé dans le sens de l'espace. Ces plaques sont séparées par des intervalles de peau saine
ne fièvre typhoïde ET RAPPELANT LE TREMBLEMENT DE L\ \. SCLÉROSE EN PLAQUES ; par M. BoU- VERET (Lyoit inéclical, n° 4 â, 18
ent qu'elle tente d'un tremblement pareil à celui de la sclérose en plaques . Les membres inférieurs et supérieurs exécutent
montrer qu'à l'instar de la paralysie générale et de la sclérose en plaques , l'ataxie locomotrice peut offrir des attaques
igna- lons-en les résultais : Io Il est fréquent d'observer que les plaques terminales motrices reçoivent de fines fibres a
un seul et même trous- seau fournir des fibres amyéiiniquesa à une plaque terminale et à un vaisseau sanguin; parfois une
isseau. D'ailleurs, ou bien la fibre amyéiique se rend dans la même plaque terminale, formée d'une fibre amyélique ordinai
le de Brenner.) 2° On constate fréquemment l'anastomose de diverses plaques terminales tant du même muscle que de divers mu
. 3° Deux fibres ntyéli- niques peuvent aboutir à une seule et même plaque terminale. 4° Il existe de nombreuses formes de
ie partielle. Extension de la paralysie au membre supérieur gauche. Plaque de méningite tuberculeuse loca- lisée au voisin
.'' 6 avril.-Il existe sur la fesse gauche, au heud élection, une plaque violacée, grande comme une pièce de deux francs.,
guêtre anestllésique,à 1;L jambe,, et rien de plus qu'au1 début. La plaque fossieroj a doublé, et, il commence à se faire
CLRVE1U.-Le sillon (le I,olando du côté;droit est. i coifTé par une plaque de méningite fibrino-purulsnte, de deux 1 ....n
: millimètres épaisseur, a J'ai face , externe du cerveau; cette, ! plaque recouvre toute.ilâi largeur- des 'circonvolutions
lt;scissure ? En écartanMesJèvres\Io la scissure, on voit que, la , plaque de,) méningite ? qui n'est'plus visible' extéri
la moelle.,L<L moelle était saine; il'' existait seulement une. plaque de méningite* tuberculeuse avec» ...<tf ? &l
Circonvolution frontale ascendante. }', pariétale ascendante. (i, Plaque de méningite tuberculeuse. Figure 2. Face inter
I, Circonvolution frontale interne. L P, Lobule paraceutral. · a, Plaque de méningite tuberculeuse. Anciuvrs, t. V. il
ubléltro- rf1 W 91 ! n/i " ` w. 111 nt 1 1 - < ? .. n. 1...t 1 plaque en raison de son évolution ultérieure.' Puis, a
ent normalement'sans retard.' appréciable. 'Il n'y a5 nulle part de plaques ^anesthésiqucs.^Lo sens; muscu- ''làiré ? eh1' r
onsi dégéméra t ives desjnerssjsensj ti fs de la peau au niveau des plaques d'anesthésie.cutanée dans ,1'ataxie., L'observa
àctèl.'és"destremb]f'ments deiaparai\'sie'a"itante,dë)a'sctérosc en plaques / de 1 ataxie 6âde'l'a choree. Le membre supérieur
n'ié efiv·élppesd'ün lJrôuill2rd.l ).. r ? rT ai, Apparition, d'une plaque grisâtyp de^consis.tançc un peu, ligneuse et^un
e'phénomènes par Mi,1 ? Cliarcot, Dumontpallicr, Luys; l'action des plaques , de l'aimant, de l'électricité statique, des co
tonnets constatés chez des sujets morts de fièvre typhoïde dans les plaques de Peyer, dans le tissu conjonctif de l'intesti
at de et de son diagnostic avec la folie), 116. Z> Sclérose en plaques fruste (un cas de), par Bomcli, 51. Scythes (
, Circonvolution frontale ascendante. P, pariétale ascendante. a, Plaque de méningite tuberculeuse. Figure 2. Face inter
FI, Circonvolution frontale interne. L P, Lobule paracentral. a, Plaque de méningite tuberculeuse. Ëvrem, Ch. Iiécuasss
11 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
tance corticale. — Muqueuse vésicale, arborisations, quelques petites plaques noirâtres. bord externe du condyle externe du f
Sur le côté externe de la rotule, corps étranger ayant l'aspect d'une plaque osseuse, très-irrégulière, mesurant deux centimè-
llimètres d'épaisseur, il est possible de passer le doigt entre cette plaque et la synoviale pariétale qui lui envoie une diza
normale, et offre des bourre-lets osseux ou cartilagineux disposés en plaques , qui lui sont, pour ainsi dire, surajoutés. Son c
rondie, dont le centre, très-pâle, légèrement soulevé, présentait une plaque simu-lant celle de l'urticaire. Comme phénomène i
progressive avec paralysie labio-glosso-laryngée, sur la sclérose en plaques , sur une atrophie du cerveau produite par des kys
. Guibout, à l'hô-pital Saint-Louis, chez laquelle il est survenu des plaques syphili-tiques d'une coloration peu ordinaire et
é-nomination de syphilides populeuses plates, et que M. Bazin appelle plaques muqueuses de la peau, alors qu'elles s'accusent a
lorsque nous l'avons examinée, offrait les caractères suivants : les plaques syphilitiques, localisées sur la par-lie antérieu
arié, comme 5e année. 5 on peut le voir sur la figure ; certaines plaques atteignaient le dia-mètre d'une pièce de dix cent
ctérise ce genre d'éruption. Peu élevées au-dessus des téguments, ces plaques paraissaient avoir une épaisseur égale; les grand
ents, ces plaques paraissaient avoir une épaisseur égale; les grandes plaques étaient un peu déprimées dans leur partie cen-tra
de l'éruption, forme une sorte de cercle sur la par-tie moyenne de la plaque ; nous devons dire même que l'éruption a disparu s
rant à la teinte photographique elle-même. La forme et la surface des plaques n'ont présenté aucune humidité, aucune croûte, co
ésenté aucune humidité, aucune croûte, comme on en rencontre dans les plaques muqueuses de la peau, de M. Bazin. L'éruption a
au, de M. Bazin. L'éruption a pâli graduellement, et la saillie des plaques s'est nivelée avec les téguments qui les environn
r. Le 25 du même mois, la peau de la région sacrée est le siège d'une plaque érythémateuse. Le 5 mars, il s'y est développé un
y a deux ans, époque où il contracta la syphilis : chancre, roséole, plaques muqueuses. Cet homme commet aussi quelques excès
fourchette et deux à trois centimètres du plancher périnéal. Petites plaques ecchymotiques de la moitié infé-rieure de l'annea
e rougeur diffuse, assez foncée, sur laquelle se dessi- liaient des plaques ecchymotiques dépendant d'une contusion de la vul
n-tôt, la plaie résultant de la déchirure, celles qui succédèrent aux plaques ecchymotiques se recouvrirent « de productions pu
rger, Giraldès, Bœckel sont d'accord pour admettre des marbrures, des plaques érythémateuses éparses. — La peau a souvent un as
5 gr.). Ni lésions valvulaires, ni surcharge graisseuse. — Quelques plaques athéromateuses sur ïaorte. L'estomac présente,
gts, surtout vers les articulations des phalanges, sont recouverts de plaques grisâ-tres ayant la consistance et l'apparence de
a consistance et l'apparence de la corne, d'aspect v r- nissé ; ces plaques sont crevassées, parcourues de siLons profonds. E
s caractères qu'au dos des mains, un peu moins marqués peut-être. Les plaques grises occupent de chaque côté la face inférieure
Réflexions.— Le malade était atteint d'une affection squameuse. — Les plaques épaisses qui recouvraient le dos des mains et les
'humidité naturelle delà région ne s'y fait-elle pas sentir? Sous les plaques , la peau ne présentait nulle trace de vésiculatio
d'exsudation (la lésion est sèche, il n'y a pas d'ulcération sous les plaques ), de desquamation (les squames sont épaisses et a
ce sujet aucun renseignement. La desquamation se faisant par larges plaques , la rougeur scarla. tineuse des téguments sous-ja
ments sous-jacents, et même les fissures profondes qui sillonnent ces plaques , ces caractères nous permettent de re-connaître l
sous l'influence de lésions diverses (sclérose dif-fuse, sclérose en plaques , ramollissement rouge, désagrégation gra-nuleuse)
ée et de douleurs à la gorge, où, d'ailleurs, on ne découvrait pas de plaques muqueuses. Il n'y aurait eu aucune éruption cutan
langue nette, humide ; une selle quotidienne après lavement. Quelques plaques érysipéla-teuses sur la fesse droite. 4 mai. —
la face interne des fesses. 5 mai. — P. 80; T. V. 57 ',5. Plusieurs plaques érysipélateuses sur la cuisse gauche. Etat généra
. —Soir : P. 80 ; T. V. 38°,4. 6 mai. — P. 68; T. V. 57°,5; petites plaques érysipôlateuses sur la région, fémorale externe.
pté deux fois; T. V. 38°,9. 7 mai. — P. 92 ; T. V. 37°,9. Nouvelles plaques érysipélateuses à la face interne de la cuisse ga
s qu'elles ne l'é" taient lors du dernier examen. Enfin N... a eu des plaques muqueu-ses sur le voile du palais, qui n'offre pl
sa dépendance la contracture permanente dans les cas de scléroses en plaques ou fasciculées — ces cordons, dis-je, sont désign
teur. Tous les auteurs, qui ont parlé des syphilides, ont décrit la plaque muqueuse de la langue, mais le plus souvent, sous
é M. Saison. Il décrit successivement la syphilide érythémateuse, les plaques muqueuses, les syphilides tuberculeuse et ulcéreu
tions non syphilitiques de la langue (aphthes, hydroa, zona, mu-guet, plaques des fumeurs, etc.). M. Saison rapporte neuf obser
e de la syphilis ne se manifeste pas seu-lement sur la langue par les plaques muqueuses ; — 2° Outre la syphilide tuberculeuse
et le psoriasis ; — enfin, peut-être ce qu'on a décrit sous le nom de plaques de fumeurs n'est-il autre chose que ces manifesta
le. Sur la surface externe de ce fragment est incrustée dans l'os une plaque de plomb, grande comme la moitié d'une pièce de d
oute la portion contuse de l'os. Ce même fragment d'os présente une plaque de plomb incrustée dans l'os et épaisse d'un demi
ique si ingénieux de M. Trouvé, ces instruments, en tombant sur cette plaque de plomb, pourraient faire affirmer au chirurgien
qu'il y a une balle incrustée dans l'os, quand il n'y a qu'une petite plaque de plomb. L'œdème considérable des membres infé
e distance l'une de l'autre ; chaque fois le caustique, sous forme de plaque , lut maintenu sur les ulcérations pendant cinq he
te quelques follicules solitaires gonflés, mais pas de gonflement des plaques de Peyer, ni des ganglions mé-sentériques; autour
t l'aspect des grains d'une glande acineuse ; en les écrasant sur une plaque de verre, on y re-connaît, au moyen du microscope
ombilic, au niveau de l'hypochondre et du flanc gauches, une sorte de plaque qui paraît confondue avec la paroi abdominale. A
n. Le ventre mesure 88 centimètres. Au pal-per, on sent une espèce de plaque irrégulière, semblant faire partie des parois abd
fraîche, rosée; le ventre n'avait que 85 centimètres. L'induration en plaque que nous avons signalée persistait. — Nous avons
vait pas sensiblement changé. Le ventre restait assez volumineux ; la plaque semblait descendre de plus en plus et gagner un p
12 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
0 m. 31 cent. de longueur, dans lequel sont disposées une série de plaques de 0,10 centimètres sur 0,05 centimètres, const
ues de 0,10 centimètres sur 0,05 centimètres, constituées par une plaque métallique à grosses saillies, par conséquent t
illies, par conséquent très rugueuse, comme une râpe; par une autre plaque , métallique, avec des saillies moitié plus peti
moins rugueuses ; puis du drap, de la soie, du velours et enfin une plaque de bois lisse. On commence par promener les doi
que de bois lisse. On commence par promener les doigts sur les deux plaques extrêmes, c'est-à-dire la plus rugueuse et la p
i de commodité. Nous en avons essayé un ici autre consistant en une plaque en cuivre, de 12 centimètres de coté, percée de
trous de 5 millim. de diamètre, et appliquée tout à fait contre une plaque en verre, afin d'empêcher les malades de passer
es cabanons est plus bas que le sol des couloirs. Portes garnies de plaques de fer et de verrous, avec judas par lequel on
Autopsie faite trente-deux heures après la mort. Sur l'ab- domen, plaque verdâtre répondant à la fosse iliaque droite. Du
le, sa pointe est formée par les deux ventricules. Une seule petite plaque laiteuse sur le ventricule droit. Le péricarde
ion de la largeur d'une pièce de 0 fr. : i0 allongée entourée d'une plaque d'érythème de la largeur d'une pièce de francs.
e est entourée d'une vive inflammation surélevée et ressemble à une plaque muqueuse. Douleur vive.-Traitement : onguent st
reuses à la partie antérieure du tronc qu'à la face postérieure. La plaque végétante de l'anus a environ quatre centimètre
a moitié droite de l'anus dans ses deux tiers inférieurs. Une autre plaque végétante existe du côté gauche. Traitement : p
ot, sirop d'iodure de potassium, vin de gentiane, cautérisation des plaques muqueuses avec une solution de nitrate d'argent
e croûtes dans les cheveux ; petites adénites cer- vicales ; larges plaques muqueuses sur les deux amygdales. - L'éruption
on cutanée a un peu diminué; les papules sont moins nombreuses. Les plaques anales s'améliorent ; la défécation est moins d
rieure de la poitrine, qu'en arrière. Sur l'amygdale gauche, petite plaque , 2 déc. Pas de croûtes dans les cheveux. Quelqu
. Quelques ganglions cer- vicaux. Quelques macules sur la peau. Les plaques muqueuses de l'anus ont bien diminué d'étendue.
Les plaques muqueuses de l'anus ont bien diminué d'étendue. Petite plaque muqueuse opaline sur l'amygdale droite. C... co
e, frissons, courbature, raideur du cou. Ce matin il présente des plaques d'un aspect rubéolique sur la face ; les bras, le
ndi ; limonade vineuse. T. R. 40°, 2. Soir : T. R. 390, 2. 7. Les plaques ont presque disparu; il n'en reste que quel- qu
oir : T. R. 38°, 8. 13. Syphilides des lèvres en diminution. Petite plaque mu- queuse sur le pilier antérieur droit du voi
antérieur droit du voile du palais. Stomatite mercurielle. Grandes plaques de roséole sur les lèvres, les régions scapulai
s, les régions scapulaires ; aspect marbré de la poitrine; quelques plaques dans le sillon interfessier. Quelques croûtes d
croûtes dans les cheveux. Syphilides anales ulcérées, persistantes ( plaque muqueuse hyper- trophique). - Traitement : supp
e potasse; cautérisation au nitrate d'argent. 17. Cautérisation des plaques de la gorge. Même état de la gingivite. Les syp
uentes du cuir chevelu ; syphilides squameuses cuivrées, par larges plaques sur le front, le pourtour des narines, les comm
s des coudes. Papules de 8 millimètres de diamètre avec collerette. Plaques muqueuses ulcérées de 5 millimètres de diamètre
re et sur la lèvre supérieure en face de la canine gauche. D'autres plaques muqueuses sur la voûte pala- tine en arrière de
e alène, à la partie supérieure et externe de la jambe gauche. 2. Plaque érysipélateuse s'étendant depuis la plaie jusqu'à
13 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
verte de croûtes sur la narine droite ; sur la joue gauche, petites plaques érythémateuses disséminées, la plus grande n'at
s grande n'atteignant pas 15 mu, de diamètre. Sur la nuque, grandes plaques rouges de 7 cm. de long sur 5 de haut. A ce niv
manifestations inflammatoires. Sur le dos de la main droite, large plaque violacée consé- cutive à une phlyctène. Pas de
. Sur les mains, qui sont d'habitude cyanosées, il reste encore des plaques violacées. En résumé, nous notons durant la pér
elles, tendent à s'étaler, il se rejoindre, de manière à former des plaques étendues à contours irréguliers. Au bout de deu
érisée par des indurations en forme de tubercules ovalaires ou de plaques allongées qui se développent dans l'épaisseur d
doisé lorsque les indurations deviennent confluentes et forment des plaques conglomérées; ou lorsque tout en restant isolée
érieures. Dans d'autres cas, l'érythèmc se présente sous forme de plaques isolées, moins localisées ; les phénomènes géné
desquamation parfois assez considérable ; d'autres fois, sur les plaques érythémateuses rosées, il se forme des vésicule
ncée de la peau de la face ; chez un autre, la face se recouvrit de plaques bronzées n'ayant aucun rapport pal1lOg'énitiquc
cas de zona 1 hOl'ilco-ln'ul'hial très étendu, avec de très larges plaques de vésicules et qui nous parait assez intéressa
rine, dans l'aisselle et il la par- tie postérieure de l'épaule des plaques rouges avec quelques vésicules claires. Il crut
journée, sur la face interne de ce membre, une poussée de larges plaques de vésicules. L'éruption s'est faite complètement
), au niveau du troisième espace intercostal, il y a une traînée de plaques rouges de dimensions variables, de forme ovalai
épandues sans ordre, une série de vésicules fines et claires. Cette plaque commence exactement sur la partie médiane, suit
au de la ligne mamelonnaire, elle va se con- fondre avec une énorme plaque rouge présentant trois grandes phlyctènes jaunâ
es et se perdant en dehors dans l'aisselle et en bas avec une autre plaque descendant jusqu'à une ligne horizontale passan
LE, Bicêtre, 1899. 5 Fis. 2. 66 . Zona THORACO-BRAQHIAL, que la plaque axillaire se décompose en 3 plaques ovalaires à
. Zona THORACO-BRAQHIAL, que la plaque axillaire se décompose en 3 plaques ovalaires à grand axe oblique, recouvertes chac
lant sur la partie externe. Les douleurs spontanées au niveau des plaques situées sur la poitrine et sur le dos manquent.
ion ne donne aucun point douloureux, soit sur le trajet des grandes plaques , soit sur les points d'émergence des nerfs inte
la piqûre est très atténuée sur les zones saines qui avoisinent les plaques de zona. .. La diminution de la sensibilité à l
ûtes superficielles sur les phlyctènes. La peau correspondant aux plaques éruptives a une coloration d'un rouge brunâtre.
e crâne, ovoïde, à grosse extrémité occipitale, est mince, avec des plaques transparentes au niveau de la fontanelle antéri
112 Inégalité DE poids des hémisphères cérébraux. IX. Sclérose en plaques ayant débuté dans l'enfance; Imbécillité; PAR
enfants du service, de 1879 à 1899, que quatre cas de sclérose en plaques . Nous publions aujourd'hui l'un d'eux, nous rés
ade mangeait peu. Il s'est éteint le 3 juin 1879. » 116 Sclérose en plaques disséminées. la poitrine » avec hémoptysie et l
é ainsi pour Lucien (voir la note ci-dessus) ? J; 11' Sclérose en plaques disséminées. 1 petit déjeuner. Il poussa un cri
ou- jours été défectucuse ; il tombe fréquemment. 120 SCLÉROSE EN plaques disséminées. A l'école, il se montrait toujours
ce tremblement offre tous les caractères de celui de la sclérose en plaques . - Revacciné sans résultat. - ler avril-3\ ao
a été de 3 mois; il aurait eu une douzaine d'accès. 124 Sclérose en plaques disséminées. semestre d, l'aînée. B... est atte
bouche, on note le tremble- ment caractéristique d.) la scléruse en plaques . Le tremblement de la tète, léger aujourd'hui,
éréditaires ET personnels. 131 Tableau des Accès, 132 SCLÉROSE EN plaques disséminées. elle n'était plus normale comme av
e l'existence de lésions méningitiques com- pliquant la sclérose en plaques disséminées. En tout cas, ces lésions sommeille
33 cipale, qui ne paraît pas avoir été reconnue, la sclé- rose en plaques disséminées, dans sa forme' la plus complète, c
e avec les carac- tères spéciaux au tremblement de la sclérose en plaques . Les oscillations s'accentuent à mesure que le
si- non pathognomonique tout au moins capital de la sclé- rose en plaques , avec le tremblement de la paralysie agitante,
particuliers, vient à l'appui de notre diagnostic. 134 SCLÉROSE EN plaques DISSÉMINÉES. L'état parétique, car il ne s'agit
pep/brmes confirment aussi la réalité, chez B..., de la sclérose en plaques . A en juger d'après nos cas personnels la sclér
se en plaques. A en juger d'après nos cas personnels la sclérose en plaques , qui débute dans l'enfance, aurait une marche b
s l'enfance, aurait une marche bien plus lente que la sclérose en plaques de l'âge adulte et se complique- rait, parfois,
ignalé par M. Charcot dans ses admirables leçons sur la sclérose en plaques : Le 136 Physionomie. regard est vague, incer
t- a"- n j 3 ci 7y M w Fig. 5. 138 SCLÉROSE EN plaques disséminées. IX. La prédomi- nance du tremble
et a enrayé dans une certaine mesure la marche de la sclérose en plaques . Cette maladie a offert une aggra- vation depui
compris dans la lésion. - A la place des digitations on trouve une plaque jaune brunâtre, dure avec quelques arêtes en av
plaque jaune brunâtre, dure avec quelques arêtes en avant ; cette plaque ocreuse arrive en dedans jusqu'à 4 millimètres de
par un caillot noir. Sur la face externe de l'hémisphère gauche, plaques laiteuses le long de la scissure de Sylvius, vasc
place, mais n'offre ni ulcérations, ni follicules clos engorgés, ni plaque de Peyer tuméfiée. Rien de particulier au cæcum
14 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
nulaire était très aminci, élargi, jaunâtre, et présentait de petites plaques crétacées, qui lui donnaient beaucoup d'analogie
ans l'épaisseur de leurs parois une multitude de points opaques et de plaques ossifiées. En étudiant le pédoncule des tumeurs
longueur de l'intestin grêle offraient d'ailleurs les mêmes taches et plaques noires d'ébène ou ardoisées foncées que celles qu
et quelquefois au loin, de manière à dépasser dans tous les sens les plaques gaufrées ou les follicules isolés, siège manifest
n voyait en effet des stries noires s'échapper pour ainsi dire de ces plaques de sang qui peuvent être considérées comme un obt
ne à deux lignes de diamètre, de couleur blanchâtre, semblables à des plaques cartilagineuses. Les autres sont pédicules, ovoïd
nsidérable que dans la première moitié. On trouve aussi de nombreuses plaques de Peyer, qui vont en s'allongeant à mesure qu'on
ortement avec la couleur grise de la membrane muqueuse elle-même. Ces plaques font saillie d'une ligne au moins, leur consistan
es autres parties de la muqueuse, et, ce qui le prouve, c'est que les plaques de Peyer étaient gonflées et rouges, et que, parm
ranes fibreuse et musculeuse__Granulations miliaires des épiploons. — Plaques opalines du péritoine. L'estomac représenté f
t tout le paquet intestinal, des épanchemens séro-purulens, de larges plaques gangreneuses accompagnaient le plus souvent les m
ig. i présente le dernier pied de l'intestin grêle IG : on y voit les plaques de Peyer indiquées ou plutôt remplacées par une c
indiquées ou plutôt remplacées par une coloration ardoisée; les deux plaques les plus élevées, dont l'une est indiquée par la
e la poche folliculaire, et alors non-seulement toute l'étendue de la plaque de Peyer ne constitue qu'un seul et même ulcère,
appartenant à une entérite folliculeuse aiguë; car ces cicatrices et plaques occupaient le siège accoutumé de l'entérite folli
prise dans le temps sur l'une d'elles : « Intestin grêle parsemé de plaques d'un noir ardoisé ; ces plaques n'occupaient que
elles : « Intestin grêle parsemé de plaques d'un noir ardoisé ; ces plaques n'occupaient que le « tiers inférieur [de l'intes
de follicules. La coloration « noire n'était pas toujours bornée aux plaques , elle s'étendait, dans plusieurs cas, à unecer-«
ale des follicules agminés. Le gros intestin pré-« sentait de petites plaques noires au centre desquels étaient de petits point
ercier Benard et Cie (PLANCHE III, XXXIe LIVRAISON.) Entérite par plaques gangreneuses. Le gros intestin, représenté plan
a décidé à la faire représenter. Cette altération consiste dans des plaques gangreneuses ou eschares proéminentes, formées pa
ongueur du gros intestin se voyait une sorte de froncement autour des plaques escarifiées. Du reste, je ferai remarquer l'int
ction sous-péritonéale qu'on rencontre dans la péritonite. Toutes les plaques agminées de Peyer étaient transformées en pustule
rosée, sans injection vasculaire sensible, sans ulcération. Entre ces plaques pustuleuses de forme et d'étendue si diverses, se
nt rien de constant, rien de régulier, et que, dans quelques cas, les plaques parfois si considérables, qui occupent la fin de
produit non tubulé, morcelé, qui a pu être pris quelquefois pour des plaques gangreneuses. J'ai donné des soins à une jeune fe
et proéminent. Indépendamment de cette couche pseudo-membraneuse, les plaques agminées étaient saillantes, à surface rugueuse,
s ne faisaient pas le quart de l'épaisseur totale. Surface interne. Plaques de pointillé rouge foncé extrêmement rapprochées,
yste acéphalocyste. Plusieurs de ces débris présentaient çà et là des plaques ou épaississemens cartilagineux, crétacés. La plu
esure qu'on approche des parois du kyste. Ces parois présentent des plaques calcaires PC,PC, lesquelles sont contenues dans l
s d'acéphalocyste. Le kyste était "fibreux, cartilagineux, parsemé de plaques calcaires. La couche qui le tapissait immédiateme
su du diaphragme lui-même et à la plèvre, qui présentait çà et là des plaques cartilagineuses. Voici les réflexions que me sugg
le cancer des membranes séreuses se manifeste le plus souvent par des plaques d'apparence cartilagineuse, j'interpréterais d'un
ui s'ouvraient dans la poche principale par des orifices étroits. Des plaques crétacées occupaient la surface de la poche, surt
de 26 ans.— Tubercules cancéreux au voisinage. Hydrothorax.—Quelques plaques cancéreuses superficielles occupant les deux poum
la cause de cet épanchement était dans le développement de tumeurs ou plaques cancéreuses formées, soit aux dépens de la plèvre
trace d'inflammation. La surface du poumon était parsemée de petites plaques circulaires d'inégales dimensions, d'un blanc dem
s sur la plèvre pulmonaire, et qui se seraient étendues en lames. Ces plaques étaient subjacentes à la plèvre, d'une épaisseur
une grosse masse cancéreuse et trois tubercules); 4° sur les poumons ( plaques cancéreuses superficielles très multipliées); 5°
sses cancéreuses analogues à celles du foie; i° tantôt sous celles de plaques superficielles analogues à des taches de cire. Da
le tissu cellulaire sous-pleural, paraît le siège de la maladie. Ces plaques , qui sont d'aspect cartilagineux, sont formées pa
s actuel, l'antériorité de la grosse masse cancéreuse du foie sur les plaques superficielles du poumon n'est pas équivoque; mai
sont comme marbrées de gris et de noir; quelques-unes présentent des plaques grises au milieu d'un tissu tout-à-fait noir. On
La trachée-artère et même la surface interne du larynx présentent des plaques pseudo-membraneuses , qui attestent une inflammat
la tumeur était formée par un kyste à parois fibreuses, parsemées de plaques crétacées. Dans ce kyste se voyait une matière de
décris. La figure 2 représente une portion de poumon recouverte de plaques cartilagineuses ou plutôt cireuses, c'est-à-dire
surface de cet organe. Une coupe, dirigée sur le milieu d'une de ces plaques , établit qu'elles sont tout-à-fait superficielles
ue des vaisseaux lymphatiques oblitérés et indurés. Réflexions. Les plaques cireuses de la surface du poumon sont une des for
êtrière, et plus particulièrement dans le cas de cancer mammaire. Ces plaques cireuses échappent quelquefois à une observation
e ? Il a certainement lieu dans la plèvre, et, dans quelques cas, ces plaques sont tellement superficielles, qu'on dirait qu'el
ue l'altération de la plèvre était consécutive. Je considère donc ces plaques cireuses comme ayant essentiellement leur siège d
lus superficielle du poumon. Des degrés insensibles conduisent de ces plaques cancéreuses, qui sont plus ou moins denses, plus
sentaient jusqu'à une certaine distance des ulcérations disposées par plaques . Le poumon gauche présentait dans son sommet un
Salpêtrière, que de voir la peau des jambes se couvrir de taches, de plaques d'ecchymoses plus ou moins considérables. Ces tac
mbe. Une vieille femme entra dans mes salles en mars i836, pour des plaques d'ecchymoses, qui occupaient les deux membres inf
ieur; on y voit que ce vaisseau est parsemé dans toute sa longueur de plaques circulaires crétacées, jaunâtres, dont la surface
s, l'ampleur des valvules sygmoïdes VS,VS,VS, qui sont incrustées par plaques de phosphate calcaire et un peu éraillées. Ces si
ères comme le résultat d'une hypertrophie du ventricule gauche. Les plaques ossiformes qui occupent toute la longueur de l'ao
dé à conclure des observations que j'ai faites à cet égard que si les plaques crétacées exercent quelque influence sur la produ
e la cholestérine. Cette sécrétion coexiste presque toujours avec des plaques calcaires; lorsque la matière pultacée est cernée
membrane moyenne. Je considère comme cicatrices de ces ulcères, des plaques couleur ardoise foncée qui se voient quelquefois
e l'aspect que présente souvent l'aorte dilatée et malade, savoir des plaques blanches et jaunâtres formées les unes par des co
. Il faut observer que, d'une part, la membrane du sac présente des « plaques jaunes, tandis que, d'une autre part, celle de l'
e et comme pultacée. La poche anévrysmale elle-même était parsemée de plaques cartilagineuses, de plaques calcaires tantôt reco
e anévrysmale elle-même était parsemée de plaques cartilagineuses, de plaques calcaires tantôt recouvertes en entier par une pe
pens de la membrane interne qu'étaient formées et la pellicule et les plaques crétacées et les plaques cartilagineuses. La memb
ne qu'étaient formées et la pellicule et les plaques crétacées et les plaques cartilagineuses. La membrane moyenne avait subi l
ion. Au-dessus et au-dessous de l'anévrysme, l'aorte présentait des plaques crétacées de même couleur et de même aspect que c
ocation ; intelligence jusqu'au dernier moment. Ouverture du corps. Plaques cartilagineuses sur le péricarde, qui contient un
a vie. Aorte ascendante, crosse de l'aorte dilatées et parsemées de plaques crétacées. La tunique moyenne est aréolaire et pa
de plaques crétacées. La tunique moyenne est aréolaire et parsemée de plaques . Evidemment, ces altérations ont été produites so
reux ou plutôt cartilagineux très dense, ferme, élastique, parsemé de plaques ossiformes et susceptible d'être divisé en plusie
érences fibreuses très résistantes au milieu desquelles se voyait une plaque fibro-cartilagino-osseuse de 5 à 6 pouces de long
de 5 à 6 pouces de long sur 1 de large et 6 lignes d'épaisseur. Cette plaque est restée adhérente à la plèvre costale. (1) L
en contact immédiat avec le sang: on voyait sous quelques-unes de ces plaques une matière comme purulente noirâtre séparée du s
(2), autant elle est nuisible dans (ï) l'examen anatomique de cette plaque a montré que sous une couche cartilagineuse étaie
dépens des couches les plus inférieures ; telles étaient deux larges plaques , dont l'une occupait le genou ou le point de réf
La dure-mère présente à sa face interne de petits points rouges, des plaques rouges que constituent des vaisseaux veineux poin
cérée dans quelques points. Le reste de l'aorte présente çà et là des plaques calcaires. Ce cas d'anévrysme vrai partiel des ar
du sinus longitudinal supérieur. L'adhérence avait lieu au moyen dîme plaque tuberculeuse circulaire un peu moins grande qu'un
rait quelques-unes; les parois du ventricule latéral présentaient des plaques d'ecchymose qui occupaient une grande épaisseur.
isseur. La convexité des deux hémisphères présente à sa surface des plaques hémorrhagiques, formées par du sang infiltré dans
dans les points correspondais. L'incision du cerveau au niveau de ces plaques montre : ici de petits foyers sanguins, là un ram
euse. Le gros intestin présente également de l'injection avec petites plaques pseudo - membraneuses ; deux ou trois ulcérations
um d'intensité. La fig. 2 représente la surface du cerveau parsemé de plaques lie-de-vin, offrant diverses nuances de coloratio
mé de plaques lie-de-vin, offrant diverses nuances de coloration. Ces plaques sont limitées par des lignes en zigzag, assez sem
série de globules sanguins très foncés. Indépendamment de ces larges plaques lie-de-vin qui résultent de la combinaison du san
a fig. 2 présente en outre un énorme foyer apoplectique subjacent aux plaques lie-de-vin. La fig. 2', qui est la coupe d'un d
les artères vertébrales et cérébelleuses inférieures, présentent des plaques crétacées PC La circonférence antérieure du lob
céreux mUiaires et pisiformes, cutanés, sous-cutanés , musculaires. — Plaques cireuses de la plèvre. Desmoulins {Marianne) ,
mme olivaires très durs et de ne donner aucun suc à la pression. 5° Plaques cancéreuses de la plèvre.—Les plaques cancéreuses
r aucun suc à la pression. 5° Plaques cancéreuses de la plèvre.—Les plaques cancéreuses de la plèvre sont un des effets les p
de toute continuité de tissu entre le tissu malade et la plèvre. Les plaques circulaires, semblables à des gouttes de cire con
our la plèvre ce que sont les tubercules pour les autres organes. Ces plaques ,comme les tubercules sont un symptôme de l'infect
omme les tubercules sont un symptôme de l'infection cancéreuse. Ces plaques de la plèvre peuvent être limitées à la plèvre co
ique. Cependant le cas représenté pl. 3, xxvne livr., établit que ces plaques peuvent exister pendant un certain temps sans ent
L'observation suivante donnera une idée du mode de formation de ces plaques cancéreuses de la plèvre. Une femme, âgée de 70
de même que la plèvre pulmonaire du côté droit présentaient plusieurs plaques opalines circulaires à divers degrés de développe
sont comme un épaississement léger de la plèvre, les autres comme une plaque épaisse saillante du côté de la cavité pleurale.
é de la cavité pleurale. Toutes s'enlèvent avec la plèvre. Aucune des plaques pulmonaires ne s'enfonce dans l'épaisseur du poum
paisseur du poumon. On aurait dit au premier abord que chacune de ces plaques n'était autre chose qu'un épaississement cartilag
urésie observée dans le cas précédent, s'explique par la présence des plaques pleurales. Comment se rendre compte de la péricar
—Envahissement delà mamelle droite.—Mort par épanchement pleurétique.— Plaques cireuses de la plèvre. Aimée Ryon, soixante-et-
l est refoulé en avant et en haut. Le tissu du poumon est sain. Des plaques cireuses occupent la partie de la surface du poum
Le poumon droit est libre d'adhérence et couvert d'une multitude de plaques cireuses. Rien dans l'épaisseur du poumon lui-mêm
éveloppement du cancer de la plèvre,qui se manifeste sous la forme de plaques cireuses, c'est-à-dire de plaques blanches, génér
e,qui se manifeste sous la forme de plaques cireuses, c'est-à-dire de plaques blanches, généralement circulaires, semblables po
rculaires, semblables pour l'aspect et même pour la consistance à une plaque de cartilage. La percussion et l'auscultation n
imitivement affectée.—Sternum cancéreux. — Foie cancéreux. — Quelques plaques cireuses sur le poumon. Montpetit (Marie-Margue
, et adhérait au diaphragme. La surface du poumon présentait quelques plaques cireuses. Réflexions. L'identité de nature et l
res extrêmement déliées, réticulées : elles présentaient en outre des plaques rouges qui n'étaient autre chose que des groupes
dont un certain nombre était adhérent aux parois du kyste. De petites plaques crétacées se voyaient çà et là à la surface inter
. Enfin, j'ai vu le cancer du péritoine se présenter sous l'aspect de plaques dures, cartilagineuses, à la manière de gouttes d
les vaisseaux sanguins. Le petit épiploon était épaissi, parsemé de plaques et de granulations de nature cancéreuse. Les dive
ant être enlevés sans intéresser le tissu même du péritoine. Quelques plaques d'aspect cireux se voyaient aussi çàet là. De ces
e. Quelques plaques d'aspect cireux se voyaient aussi çàet là. De ces plaques et tubercules, les uns avaient le caractère évide
euse et musculaire. Granulations miliaires cancéreuses des épiploons. Plaques opalines du péritoine............... Maladies d
x, miliaires et pisiformes , cutanés , sous-cutanés et musculaires. Plaques cireuses de la plèvre. Réflexions et observations
e de 26 ans. Tubercules cancéreux au voisinage. Hydrothorax. Quelques plaques cancéreuses superficielles occupant les deux poum
branes fibreuse et musculeuse. Granulations mi-liaires des épiploons. Plaques opalines du péritoine. 27e liv., pl. 1 , p. 1. —
ancéreux miliaires et pisiformes, cutanés, sous-cutanés, musculaires. Plaques cireuses de la plèvre. 27e liv., pl. m, . /. — Le
nvahissement de la mamelle droite. Mort par épanche-ment pleurélique. Plaques cireuses de la plèvre. 31e liv., pl. n. p. /. — D
e primitivement affectée. Sternum cancéreux. Foie cancéreux. Quelques plaques cireuses sur le poumon. 31e liv., pl. n, p. 3. —
23. — Choléra mortel en sept heures, au milieu de crampes. Rougeur et plaques d'injection de la muqueuse. Développement des pla
pes. Rougeur et plaques d'injection de la muqueuse. Développement des plaques de Peyer. Emphysème sous-muqueux. 14e liv.. pl. 1
v, v.p. 24. — Choléra asphyxique mortel en seize heures. Injection et plaques d'ecchymose dans la muqueuse de l'intestin grêle
enlérile chronique. 14e liv., pl. 1,11, m, iv, v, p. 10.—Entérite par plaques gangreneuses. 31e liv., pl. ni, p. /. — La forme
mbranes fibreuse et musculeuse. Granulations miliaires des épiploons. Plaques opalines du péritoine. 27e liv. , pl. 1, p. /. —
e crampes.Rougeuretplaquesd'injectiondela muqueuse. Développement des plaques de Peyer. Emphysème sous-muqueux. 14e liv., pl. 1
, v, p. 24. — Choléra asphyxique mortel en seize heures. Injection et plaques d'ecchymose dans la muqueuse de l'inleslin grêle
n grêle chez les cholériques. 14e liv., pl. 1,11, ni, iv, v, p. 3y. — Plaques blanchâtres et ulcérées de l'intestin grêle chez
trécissement du gros intestin. 26e liv., pl. vi, p. /. — Entérite par plaques gangreneuses. 31e liv., pl. m, p. /. — Transforma
ncéreux miliaires et pisiformes , cutanés, sous-cutanés, musculaires. Plaques cireuses de la plèvre. 27e liv., pl.ni, p. /.—Le
Envahissement de la mamelle droite. Mort par épanchement pleurétique. Plaques cireuses de la plèvre. 31e liv., pl. n, p. 2. —
e primitivement affectée. Sternum cancéreux. Foie cancéreux. Quelques plaques cireuses sur les poumons. 31e liv-,pl. 11, p.3.
on. 15e liv., pl. n, p. 3. — Induration du pancréas cl des poumons; plaques ulcérées dans l'intestin grêle d'un enfant qui mo
de la pneumonie et de la pleurésie. 29e liv., pl. v, p. 4. PLÈVRE. Plaques cancéreuses de la plèvre. 27e liv., pl. m, p. i,5
ncidence de l'asthme et de l'œdème du poumon. 22e liv., pl. m, p. à. — Plaques cancéreuses superficielles, occupant les deux pou
la-fois. 32e liv., pl. y, p. G. — Mélanose ou œdème noir du poumon. = Plaques cireuses du poumon. 36e liv., pl. 11, p. /. — Kys
15 (1911) La pratique neurologique
éique. , Le trou sténopéique est un petit. orifice au milieu. d'une plaque de cuivre. Il existe dans la boîte de verres ré
ifférentes manières : ' ' 1° On peut se servir d'un carton ou d'une plaque métallique de cou- leur noire présentant à son
oductrices des scotomes sont le plus souvent des hémorragies ou une plaque de cho- l'Qïdite, quelquefois un décollement de
lésions du nerf optique (névrite, atrophie), lésions de la rétine { plaque de cho1'Ofdite, hémorragie, décollement, etc.).
oencéphalile supérieure. Paralysie bulbaire asthénique. Sclérose en plaques . Para- lysie générale. Tabès : rarement complèt
s nerveuses non syphilitiques. On l'a rencontré dans la sclérose en plaques (une fois), dans quelques cas de syringo- Inyél
n symptôme habitue) de la maladie. C'est le cas pour la sclérose en plaques , la maladie de Friedreich. Vices de conformatio
it être attribuée il une altération du système nerveux. Sclérose en plaques . On le rencontre dans la moitié des scléroses en
clérose en plaques. On le rencontre dans la moitié des scléroses en plaques . Il présente des modalités diverses. Il peut être
e dans les mouvements intentionnels. Le nystagmus de la sclérose en plaques n'est pas toujours persistant, il peut, excepti
f interne. [LANNOIS.] 128 MALADIES DE L'OREILLE. 5° Sclérose en plaques . Tabes. - Des troubles auditifs à évolution rap
caractère de surdité nerveuse ont été signalés dans la sclérose en plaques : on a même décrit des plaques Imlbo-protuhéran-
ont été signalés dans la sclérose en plaques : on a même décrit des plaques Imlbo-protuhéran- tielles intéressant les noyau
bon de s'assurer avec le miroir qu'il n'y a pas de cicatrice ou de plaque calcaire sur la membrane tympanique. TROUBLES N
ôle beaucoup plus enace et accessoire. Le vertige de la sclérose en plaques , très fréquent, presque toujours rotatif, parfo
ès violent et très répété, est sans doute dû le plus sou- vent aune plaque cérébelleuse ou bulbaire, atteignant ou non le ce
iculaires (maladies infectieuses, utenin- gites, tabès, sclérose en plaques , tumeurs cérébrales, syphilis, etc.), qui éclai
rès, au centre de la fesse, du côté de l'hémiplégie, s'aperçoit une plaque érythémateuse, uvlématiée, d'un rouge sombre. .
XIE ET COMA. 1 R : i furonculeuses traduisant également le diabète, plaques rosées de l'in- toxication oxycarbonée, traces
e syndrome jacksonnien; nous énumérerons brièvement la méningite en plaques et le tuberculome des méninges, les tumeurs et le
la paralysie géné- Tale, des ictus dans le tabès et la sclérose en plaques . Ces troubles font aussi partie du syndrome cli
tion par Yoxyde de carbone existent de la congestion du visage, des plaques rosées sur le corps. Le sang veineux coule ruti-
ncte. La façon dont s'expriment les malades atteints de sclérose en plaques est bien caractérisée. Le débit est ainsi monot
Dans tous ces cas, la parole est scandée comme dans la sclérose en plaques , mais elle est plus explosive, et surtout plus
nti dans la plupart des dysarthries spastiques, dans la sclérose en plaques notamment. La surdité provoque également de l
ier dans la paralysie générale. Les malades atteints de sclérose en plaques ont une écriture extrêmement appuyée (Rogues de
ne lésion unilatérale en foyer (hémorragie, ramollissement, tumeur, plaque méningée, compression) ou par un traumatisme (fra
e est épargné. (D'après Dejerine). 550 SENSIBILITE. observe des plaques d'hyperesthésie, d'hyperalgésie si intenses, que
IBILITÉ OBJECTIVE. 551 Dans la lèpre, on peut encore rencontrer des plaques isolées d'hyper- esthésie ou d'anesthésie, c'es
en casque ». Elle peut être localisée, sous la forme de point ou de plaque , il l'occiput ou dans la région fronto-parietat
chialgie enfin est 1'réclttente dans l'hystérie et la neurasthénie ( plaque lombaire). I'naryu wnoi.. 24 i-fc [ROUSSY.]
sorte de mélange des symptômes du tabès avec ceux de la sclérose en plaques . Quelquefois les réflexes tendineux sont simpleme
MEN DES REFLEXES..45') Dans la forme cérébelleuse de la sclérose en plaques , on peut observer la diminution ou l'abolition
éflexes se rencontre dans les affections suivantes : La sclérose en plaques , qu'elle se manifeste sous la forme spasmo- diq
le ramollissement, les diverses affections nerveuses (scfe- rose en plaques . tabès, epifepsicjacksoneune. méningite tubercule
cause (myélite syphilitique ou 11(üdue, syringomyélie, sclérose en plaques ), le signe de Babinski est presque constant ; i
veux, telles épie le tahcs, la para- lysie générale, la sclérose en plaques , la chorée de Sydcnttam, la ménin- gite tubercu
lis, les maladies spéciales il l'axe cérébro-spinal, la sclérose en plaques , la sclérose latérale amyotrophique, les troubl
cérébello-spasmodique se rencontre notamment dans la sclé- rose en plaques . Enfin, un mélange d'ataxie et de spasmodicite ca
e clinicien doit songer avant tout au mal de Pott, à la sclérose en plaques , à la myélite syphilitique d'l,rh. a) Paraplégi
la syringo- myélie, elles sont exceptionnelles dans la sclérose en plaques ; elle ne s observe jamais dans la sclérose lat
ce dans les paragraphes précédents, à l'exception de la sclérose en plaques , dont nous présente- rons en quelques mots les
actères diagnostiques. La paraplégie spasmodique de la sclérose en, plaques est, en général, typique, d'intensité moyenne.
-sa signature éliologique, on peut, on doit songer à la sclérose en plaques . " - 4" Paraplégies shasnirodirjncc ? avec cont
rite avec myéloinalacie consécutive, des gommes, de la méningite en plaques ou en virole, vasculaire ou gommeuse. Ces différe
toutes les transitions. Bien plus, la syphilis peut déterminer des plaques de sclérose produisant la spasticité des membre
oubles de la parole, tout le groupement classique de la sclérose en plaques ordinaire; et déjà, chez les paraplégiques de E
iphériques. , On peut rencontrer dans le tabès, dans la sclérose en plaques des atrophies d'origine myélopathique. De même,
on, d'autre part, certaines formes de paraplégie, Pott, sclérose en plaques , subissent de grandes oscillations. On ne saura
cette affection peut rappeler de -près certains cas de sclérose en plaques , de maladie de Fri'edreich ou d hérédo-ataxie cér
aire essentielle chez le vieillard,- le mal de Pott, la sclérose en plaques , la myélite syphilitique chez l'adulte. Il convie
uire des paralysies des extrémités inférieures. Il peut exister des plaques d'hyperesthésie et des contractures isolées, ma
Ott. Les troubles du larynx sont exceptionnels dans la sclérose en plaques : lletlii, yui a fait une étude très complète d
se et du pneumogastrique. J'ai examiné plusieurs cas de sclérose en plaques sans rien trouver d'anormal au larynx. Rethi a
va- - riables, rappelant ceux du lobes ou ceux de la sclérose en plaques : l'abo- lition des réflexes tendineux, le sign
parole scandée, bredouil- lée) ressemblant à ceux de la sclérose en plaques ; parfois une légère Bn.&scii. Berlin, Gesel
erveuse, de méningo- myélite syphilitique, de tabès, de sclérose en plaques , même exception- nellement dans certaines névri
phiques, la pachyméningite cervicale hypertrophique, la sclérose en plaques , quelques cas de syringomyélie et de méningo-my
est fréquemment une « main de prédicateur ». Dans la sclérose en plaques , l'amyotrophie, généralement modérée, peut pren
a précèdent et, en dehors des signes ordinaires de la sclérose en plaques (démarche cérébelleuse ou spasmo- dique, trem
s de la vi- sion, etc.), la forme amyotrophique de la sclérose en plaques se caracté- riserait par la fréquence et la pré
dissociation syringomyélique de la sensibilité, par l'anesthésie en plaques , par l'importance des troubles trophiques de la
scoliose; symptômes médullaires simulant le tabes ou la sclérose en plaques : Romberg, Westphal, Robertson, myosis, ataxie,
ration des ré- flexes ; souvent mains de prédicateur. Sclérose en plaques : Amyotrophie souvent plus généralisée (mem- br
s (anesthésie dissociée, troubles trophiques); symptômes" propres : plaques d'anesthésie, épaississement des troncs nerveux
usses et les déviations n'augmentent pas, comme dans la sclérose en plaques , au sur et à mesure que la main approche du but
uement que par le syndrome cérébelleux isolé. Dans la sclérose en plaques , le syndrome cérébelleux révèle l'existence d
rose en plaques, le syndrome cérébelleux révèle l'existence d'une plaque de sclérose du cervelet ou de la protubérance
e nystagmus ne se- raient, pas caractéristiques de la sclérose en plaques , mais bien d'une lésion du cervelet ou des voies
u des voies cérébelleuses; s'il sont si communs dans la sclérose en plaques , c'est que dans cette maladie il existe général
en plaques, c'est que dans cette maladie il existe généralement des plaques prolubéran- tielles qui intéressent les voies c
s voies cérébelleuses ; mais ces troubles feraient défaut quand les plaques de sclérose sont limitées il la moelle. Souvent
la lésion. Fig. 12. z Ecriture d'un malade atteint de Sclérose en plaques avec tremblement intentionnel très accusé. IN
ment intentionnel, plus ou moins analogue à celui de la sclérose en plaques , niais augmen- tant moins nettement au sur et à
reusement définies comme le tabes, la syringomyélie, la sclérose en plaques , la sclérose laté- rale amyoirophique, tantôt d
bservé avec son complet développement dans le tabès, la sclérose en plaques ou la syringomyélie, le syndrome labio-glosso-lar
me hulbo-protubéran- licl ou bulho-ponio-péclonculaire (sclérose en plaques , syringomyélie par exemple). Le diagnostic de
ce posé le diagnostic de tabès (Gianelli, Paviot) ou de sclérose en plaques . Dans ces maladies toutefois, le syndrome d'hyper
lt;/(Wi ? <e. un tabétique ou un individu atteint de sclérose en plaques qu'évolue lentement la paralysie labio-glosso-lar
chez un tuberculeux, à une CONVULSIONS ET CRISES CONVULSIVES. 829 plaque méningée; l'exaspération nocturne de la douleur,
oscillations peuvent être assez étendues comme dans la sclérose en plaques ; enfin, certains tremblements peuvent cesser pe
e fait en évidence dans l'examen d'un malade atteint de sclérose en plaques . 5° Autres influences modificatrices. L'émotion
toxications; il peut être enfin chronique comme dans la sclérose en plaques , dans la paralysie agitante, dans la maladie de
à des lésions organiques connues. Tremblement dans la sclérose en plaques . Il est le type du tremblement apparaissant l'o
t l'oblige à garder le lit. A côté du tremblement de la sclérose en plaques , nous mentionnerons immédiatement le tremblemen
Friedreich qui est en effet très analogue à celui de la sclérose en plaques . Le diagnostic de la maladie se fera par l'atax
on le voit dans le 11'('111- blement intentionnel de la sclérose en plaques . Enfin, il l'inverse du tremblement parkinsonie
t mercuriel, mais elle, rappelle le tremblement de la sclé- rose en plaques que nous avons décrit tout d'abord, cependant cel
nnel, il simule alors absolument le trem- blement de la sclérose en plaques , c'est donc alors un véritable symptôme hystéri
ar Dutil; c'est la recherche des autres symptômes de la sclérose en plaques , l'état des- réflexes tendineux, le phénomène des
s qui seuls pourront faire affirmer le diagnostic de la sclérose en plaques . 5" Tremblement lent (4 il 5 1/2 oscillations)
de l'urémie cérébrale; on l'a observé également dans la sclérose en plaques ou au cours de l'atrophie musculaire (Fiarges P
ervé la myoclonie associée à la myotonie dans un cas de sclérose en plaques fruste. Paviot et Nové-Josserand l'ont con stat
tre part les mouvements athétosiques peuvent simuler la sclérose en plaques . Dans cette affection le tremblement et la dysart
e de Friedreich; elle peut s'observer également dans la sclérose en plaques . Féré l'a rencon- trée également dans la paraly
relativement rares dans cer- taines affections comme la sclérose en plaques ou la paralysie générale, dans d'autres, au con
s téguments à l'entour. Cela est net surtout au' niveau des petites plaques isolées (morphée) bordées d'un anneau lilas des
, plus rarement dans la syrin- gomyélie, le tabès et la sclérose en plaques . On peut quelquefois, dans la lèpre, observer c
les trophiques mutilants des extrémités. On a également signalé des plaques de gangrène plus ou moins symétriques à la suit
; ;- un rebord le limite plus ou moins nettement. Lorsqu'il est en plaques de peu d'étendue, celles-ci peuvent être plus o
ermie. Il existe rarement des phénomènes subjectifs au niveau de la plaque ; ces phénomènes consistent, le cas échéant, soit
pertes de substance sous-cutanées,... (mais) la distribution de ces plaques atrophiques ne correspond à aucun territoire ne
s, la lèpre, le diabète, la syringomyélie, le tabès, la sclérose en plaques , on a signalé leur atrophie, accompagnée parfois
mènes inflammatoires. Dans les né- vrites, le tabès, la sclérose en plaque , la syringomyélie, l'hémiplégie, les ongles son
e la pelade et les affections de la VC paire. Dans la sclérose en plaques , les alopécies ne sont point rares. Il en est d
, héréditaire et familiale ou non, associée ou non à des îuevi. Des plaques d'hypertrichose recouvrent par- fois l'aire d'u
ertrichose du côté de la face atteint de prosopalgie, au niveau des plaques d'oedème chronique qu'il est parfois donné d'ob-
THERMIE. 957 7 au moment des attaques congestives de la sclérose en plaques et de la paralysie générale. - Dans les névri
elle de la paralysie labio-glosso-Iaryngée, celle de la sclérose en plaques . Il existe enfin des tachycardies de la maladie
s lésions bulbaires primi- tives ou secondaires (tabès, sclérose en plaques , etc.). TROUBLES DE L'APPAREIL URINAIRE Par l
en d'une électrode néga- tive intra-vésicalc ou intra-cervicale, la plaque positive sur la région lombaire. Il est. préfér
de l'état d'évacuation de la vessie. On observe dans la sclérose en plaques les mêmes intermittences des contractions vésic
nconsciente; de même dans la myélite diffuse et dans la sclérose en plaques où elle est liée à l'évacua- tion involontaire
ient une atteinte des noyaux du bulbe. Signalée dans la sclérose en plaques , la polyurie est fréquente dans le tabes; elle
intervalle. Le priapisme est un symptôme du début de la sclérose en plaques , mais cette période dure peu et fait place rapi
us fréquente dans la syrin- gomyélie et surtout dans la sclérose en plaques , à la deuxième période, constante dans les comp
ES. 979 syphilitiques névrosés pour lesquels tout pli an palais est plaque muqueuse il son début. On peut observer égale
oniens, nystagmus et tremble- ment intentionnel dans la sclérose en plaques , etc. Le tremblement est rarement localisé à un
tre lents (Parkinson, tremblement dit st'nite). moyens (sclérose en plaques , hystérie) ou rapides (goitre exophtal- mique,
mouvements de trombone). Au contraire la langue dans la sclérose en plaques ne montre que de faibles secousses fibrillaires
e pré- sentant simplement du tabès viscéral (Leyden). Sclérose en plaques . On peut rencontrer des crises très voisines de
'APPAREIL DIGESTIF. Dans la maladie de Friedreich et la sclérose en plaques peuvent se rencontrer des diarrhées, voisines d
e excoriation ; desséchées, elles brunissent, puis se détachent par plaques , laissant des ulcérations superficielles ; dans
par méningite ou )1J('.ningo-myélite syphilitique, par sclérose en plaques , par cancer médullaire, méningé ou vertébral, p
oubles secondaires : céphalée nocturne, iritis, éruption papuleuse, plaques muqueuses de la bouche et de l'anus, alopécie.
es sourcils (signe de l'omnibus de Fournier). Il est rare que des plaques muqueuses s'observent en dehors de la période s
condaire de la syphilis, cependant on peut observer quelquefois des plaques muqueuses 5 ans, 10 ans, 15 ans et même plus aprè
ain a rencontré 8 réactions positives sur 15. Dans la sclérose en plaques , la réaction a été positive dans les trois cas
ontré cliniquement l'origine syphilitique de certaines scléroses en plaques . De même, la réaction était positive dans deux ca
de cérébro-spinal des tabétiques, scléroses combinées, scléroses en plaques par Mott et Ally Burton. Elle a constaté dans le
u cours de cancer du cerveau. Cyto-diagnostic dans la sclérose en plaques . Carrière de Lille a examiné trois cas, a trouv
e, sans accidents, ou avec accidents cutanés superficiels (roséole, plaques mu- queuses), sept seulement présentent la réac
ius ou du quatrième ventricule et ceux qui paraissent rattacher les plaques de sclérose hériventriculaire il l'existence d'un
près avoir traversé une partie du corps, viennent impressionner une plaque photographique ou un écran, dans le second groupe
, n'est pas favorable à la mise en évidence de ces altérations ; la plaque , sensible, au contraire, les accuse, car elle a
tes ou partielles, n'appa- raissent souvent pas avec netteté sur la plaque sensible : telles sont les fractures de la tabl
rote de cause occasionnelle, paralysie générale, tabès, sclérose en plaques , etc. ; la radiographie n'a rien à voir avec ces
on a observé des atrophies et des usures osseuses décelables sur la plaque photographique, ou une .véritable disjonction d
lacune dans l'os, Le mal de Pott ne se révèle géné- ralement sur la plaque sensible que par les déviations qu'il détermine,
lques cas un volumineux abcès par congestion peut apparaître sur la plaque ; mais à ce moment l'abcès est, généralement tr
lieu de 66 pour 100. d'après llegnard) : l'os apparaît donc sur la plaque sensible avec une transparence anormale. Les frac
rustes ou initiales ctiniquement, mais déjà caractéristiques sur la plaque sen- sible. M. Héclèrc a insisté sur l'existe
rtain succès dans la syringomyélie, les paraplégies, la sclérose en plaques , le tahes, etc. Les tumeurs de l'hypo- physe on
bles tentatives ont été faites dans les paraplégies, la sclérose en plaques , le tabès. Les paraplégies spasmodiques ont été p
dans des cas de paraplégies spasmodiques dépendant probablement de plaques médullaires de sclérose. P. Lereboullet et Beau
érieurs due à une ancienne paralysie infantile. Dans la sclérose en plaques , les résultats sont souvent favorables, mais mo
, Raymond, et Beaujard ont obtenu dans plusieurs cas de sclérose en plaques une amélioration très notahle de la motilité. E
us donnons la préférence, .quand il s'agit d'électrodes en forme de plaques , sont constituées par un feutre épais d'un cent
ituées par un feutre épais d'un centimètre environ, hien fixé à la' plaque de métal, le tout recouvert d'un tissu hydrophi
s anciennes, clans les myélites, dans le tabes, dans la sclérose en plaques , dans des paralysies par compression de la moelle
ystématisées, telles que les myélites transverses et la sclérose en plaques et dans les myélites systématisées qui ne porte
ns de la moelle), de lésions plus ou moins disséminées (sclérose en plaques ), de lésions systématisées. , Les lésions ne so
n certain nombre de ces affections, notamment dans des scléroses en plaques et dans des cas de compres- sion médullaire par
d, ou les deux pieds : l'autre électrode, sous la forme dune, large plaque , est appliquée sur la région dorso-lombaire de la
au lieu du bain électrode, il est souvent préférable d'employer une plaque électrode que l'on place sur la partie inférieu
tion du courant alva- nique continu soit avec le bain soit avec les plaques . Pendant cette application on interrompt et on
brale, et avec une électrode d'assez petites dimensions en forme de plaque ou de tampon on localise les excitations sur les
de 50 à 6(1 ? est placée sur un côté delà nuque; l'autre électrode, plaque ou tampon de 15 à 50 ? est placée de l'autre cô
e malade couché. Le bain électrode est alors remplacé par une large plaque , correspondant à l'anode, de 150 il 500 cm\ pla
réunissant au même pôle de la batterie par un fil bifurqué les deux plaques placées sur l'une et l'autre jambe. Pour le reste
cédemment sur la colonne vertébrale. L'anode, repré- sentée par une plaque de 100 à 200 cnr, est placée successivement sur
e le malade soit couché ou qu'il soit assis. La posi- tion de celle plaque sur la région lombaire nous parait en général pré
à une électrode constituée par une fine toile métallique ou par une plaque avec revêtement spongieux et mouillé. Cette éle
m. A., pendant 10 il 20 minutes. Le bain peut être remplacé par des plaques fixées sur les mollets, ou sur les cuisses, ou
r les deux côtés, un conducteur bifurqué réunit le pôle négatif aux plaques placées sur l'un et l'autre côté; l'inten- sité
sant dans l'axe de la tige. L'autre électrode, con- stituée par une plaque ordinaire, est placée sur le sternum ou sur la
ate de soude. Contre la rachialgie, el les douleurs sous forme de « plaque sacrée », on ajoutera au bain statique l'eflluv
: électrode négative sur la colonne vertébrale; électrode positive, plaque ou rouleau, sur les muscles qui sont le siège d
e, on incise « au scalpel le périoste, la périphérie de chacune des plaques osseuses, « sans intéresser les fontanelles ni
intéresser les fontanelles ni la membrane suturale. On enlève ces « plaques , parcelle par parcelle, et lorsque les deux os pa
ployant ce « procédé, de ne pas léser la dure-mère en enlevant, les plaques osseuses, « car la moindre ouverture donne issu
ipient contenant une légère quantité d'alcool. 2° Préparation des plaques de verre. Faire couper des plaques de verre de
ité d'alcool. 2° Préparation des plaques de verre. Faire couper des plaques de verre de 20 à 25 centimètres carrés. Les lav
t leur protoplasma coloré en rouge, leur noyau est moins foncé. Les plaques de sclérose névroglique ont une coloration roug
l'alhérome cérébral, 991. - tabétiques, 992. dans la sclérose en plaques . dans l'oedème angioneurotique, 995. gas- tri
s. Syringomyélie, paraplé- gies spasmodiques, -118G.- Sclérose en plaques , compressions médullaires, un. - Spondylose rhi
rodactylie, 1050, 1047. Sclérose combinée sénile, ataxie, 7G3. en plaques , lésions de l'oreille, z Atrophie musculaire ty
cause, 857. - transitoires, 838.- permanents. dans la sclérose en plaques , 858. - dans la maladie de Friedreich, - la par
16 (1891) Anatomie pathologique de la moëlle épinière : 45 planches en héliogravure avec texte explicatif
ue ou jaune. Nous nous sommes servis avec avantage, en général, des plaques au gélatino-bromure (marque as de trèfle), et p
éparations dans lesquelles le jaune ou le rouge dominaient, t des plaques isochromatiques (Monckhoven) plus sensibles à ces
service de M. le pl' Charcot). PLANCHE X Figure 19. SCLÉROSE EN PLAQUES . Région cervicale lombaire. Coupe pratiquée dan
le supérieure et colorée par la méthode de Pall. On voit une petite plaque de sclérose très prononcée dans la zone radiculai
droit. K. Partie sclérosée du cordon antéro-latéral gauche. L. Plaque de sclérose du cordon latéral gauche. M. Plaq
latéral gauche. L. Plaque de sclérose du cordon latéral gauche. M. Plaque de sclérose de la zone radiculaire. Figure 20
aque de sclérose de la zone radiculaire. Figure 20. SCLÉROSE EN PLAQUES . Région cervicale. La figure représente un poin
cliniques de M. le Pr Charcot PLANCHE XI Figure 21. SCLÉROSE EN PLAQUES . RÉGION cervico-dorsale. Coupe pratiquée dans l
aît encore, mais peu distincte, la substance grise englobée dans la plaque scléreuse. A. Corne antérieure. B. Corne post
rdons. J. Cordons postérieurs sclérosés. Figure 22. SCLÉROSE EN PLAQUES . Région cervicale inférieure. Coupe pratiquée d
la méthode de Pall. On y voit la distribution très irrégulière des plaques de sclérose disséminées dans les cordons postér
K. Sclérose latérale gauche. L. Partie moins altérée de la même plaque . M. Zone sclérosée du faisceau postérieur.
ont fourni la planche X. , PLANCHE XII FIGURE 23. . SCLÉROSE EN PLAQUES . Région cervicale inférieure. Coupe pratiquée d
cervicale inférieure et colorée par la méthode de Pall. On voit des plaques de sclérose extrêmement étendues, occupant la moi
antérieur gauche. K. Partie de la corne gauche en- vahie par la plaque de sclérose. L. Partie de cette plaque située
ne gauche en- vahie par la plaque de sclérose. L. Partie de cette plaque située dans le faisceau lat. gauche. M. Zone
one sclérosée du faisceau latéral droit. Figure 24. SCLÉROSE EN PLAQUES . Région cervicale. La figure représente un poin
nt persisté. E. Vaisseau. PLANCHE XIII FIGURE 25. SCLÉROSE EN PLAQUES . RÉGION dorsale supérieure. Coupe pratiquée dan
la région dorsale supérieure et colorée par la méthode de Pall. Les plaques de sclérose sont disséminées dans presque toutes
Zone sclérosée du cordon latéral gauche. FIGURE 26. SCLÉROSE EN PLAQUES . Région cervicale. Coupe pratiquée dans la régi
17 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
la paraplégie spasmodique de la myélite transverse, de la sclérose en plaques , etc., ce n'est pas d'un coup que les choses en a
es crises épileptiques. L'une de ces malades offre une anesthésie par plaques et une ovarie gauche; elle a des contractures spo
en, l'existence, du côté aneslhésié, de deux points ou plutôt de deux plaques au niveau desquelles la sensi bilité est exagér
droite et à gauche des apophyses épineuses. Ce sont là les points ou plaques hystéro- Fig.iiS, — Zones hystérogènes de la fa
fois, si l'on insiste, l'attaque hystérique. Ces points, ou mieux ces plaques , ont encore la propriété d'être le siège d'une se
g. 16), et, de ce côté, il ne voit que le rouge. En outre, il y a des plaques d'hypéresthésie au crâne et au vértex (zone hysté
peu profonde, mit six semaines à guérir, et aujourd'hui, il reste une plaque rouge violacée de 3 à 4 cent, de large sur 10 à 1
entel, pour ainsi dire, ce sont les myélites diffuses, la sclérose en plaques , les tumeurs de la moelle épinière, l'ataxie loco
formes. Ghorée rhythmée Sommaire. — Tremblement de la sclérose en plaques ; oscillations à grand arc. — Tremblement de la p
s, Je veux vous parler aujourd'hui, à propos des cas de sclérose en plaques que je vous ai montrés dans les précédentes leçon
isté sur les çajraclèresjarticuliers du tremblement de la sclérose en plaques , et déjà j'ai démontré qu'il ne se manifeste qu'à
e de la bouche. Ce caractère spécial du tremblement de la sclérose en plaques se traduit facilement par un tracé à l'aide des a
e la fig. 36 représente le tremblement intentionnel de la sclérose en plaques . La ligne horizontale A B indique le stade du r
s'éloigne plus du point B. Tel est le tremblement de la sclérose en plaques . Pour mieux mettre en relief les caractères si pa
Commençons par la(^ralysie agitante.? Comme celui de la sclérose en plaques , le tremblement de la maladie de Parkinson se com
uira ces oscillations à grand arc qui sont spéciales à la sclérose en plaques . Ce caractère se révèle bien sur les tracés pris
de repos, mais elles ne le sont jamais autant que dans la sclérose en plaques . Rappelez-vous aussi que, dans la paralysie agi
siège de mouvements communiqués. Les tremblements de la^clérose en plaques , de la maladie de^arkinson sont h. oscillations l
été effective ment confondue avec le tremblement de la sclérose en plaques . Je veux parler de la chorée ou plutôt des mouvem
le du mouvement et font manquer le butjtandis que dans la sclérose en plaques et dans les autres tremblements dont je viens de
y a entre les mouvements choréiques et le mouvement de la sclérose en plaques je ne sais quelles analogies extérieures qui font
font que des médecins distingués ont vu longtemps dans la sclérose en plaques une sorte de chorée. Duchenne (de Boulogne), qui
ne), qui avait bien distingué l'ensemble des signes de la sclérose en plaques , mais qui ne la connaissait pas au point de vue a
lquefois une analogie grossière avec le tremblement de la sclérose en plaques . Ainsi sont formés, Messieurs, les deux premier
t des affections connexes. Cela nous éloigne un peu de la sclérose en plaques , mais je craindrais, en tardant plus, de manquer
écrire. C'est ainsi que le lendemain de son entrée, on constatait une plaque d'anesthésie comprenant toute la face : cette pla
n constatait une plaque d'anesthésie comprenant toute la face : cette plaque est, du reste, variable, car les jours suivants,
existe toujours pas d'ovarie, mais, en revanche, on constate quelques plaques d'anesthésie irrégulièrement disséminées à gauche
chez lui très nets. Ils consistent dans une hémianesthésie double en plaques d'une très grande étendue, pour la douleur (pince
duisent aucune sensation anormale. Quand on presse légèrement sur les plaques hystérogènes, dont le siège vient d'être indiqué,
mates hystériques sont très nets; ils consistent en une anesthêsie en plaques , disséminées irrégulièrement sur tout le corps, e
re gai, tandis que si la crise a été provoquée par l'excitation de la plaque hystérogène, le délire est toujours sombre, furie
Salpêtrière, on constate ce qui suit: anesthésie cutanée disposée en plaques disséminées ; diminution du goût et de l'odorat à
l'œil droit; points hystérogènes très étendus, sous formes de larges plaques hy-péresthésiques occupant en avant presque toute
des pieds, etc. L'attaque peut être facilement provoquée lorsque ces plaques d'hypéresthésie sont soumises à une friction même
ous fait constater ce qui suit : anesthésie généralisée, disposée par plaques disséminées; rétrécissement considérable du champ
sition du rouge, polyopie monoculaire, anesthésie de l'arrière-gorge, plaques hysté-rogènes, attaques d'hystérie suivies d'une
otablement de celui de Porcz...., il existe chez le premier plusieurs plaques hypéreslhésiques hystérogènes, l'une située sous
64, 65, A.) Le département insensible représente en quelque sorte une plaque moulée sur l'épaule et qui rappelle la pièce des
e attention sur la façon singulière dont se limite, par en bas, cette plaque anesthésique. Vous voyez que la ligne déterminée
Pin..., et aujourd'hui, 16 juillet, il existe seulement deux petites plaques sensibles à la partie postérieure du bras. Au con
en arrière ; sur la moitié interne de la face antérieure du bras, des plaques sensibles sont disséminées çà et là sur les parti
à l'avant-bras, la tendance que, chez les sujets de ce genre, ont les plaques d'anesthésie à se limiter par une ligne circulair
i. Sur l'épaule et sur la partie antérieure du bras les bords de ces plaques sont, au contraire, inégaux, comme déchiquetés.
. la peau est non-seulement sensible, mais encore hypéresthésiée. Ces plaques d'hypéreslhésie se voient, en particulier, au niv
ait, tout le membre inférieur est devenu complètement insensible; les plaques d'hypéreslhésie du genou et de la hanche ont disp
g. 82. jourd'hui (16 octobre 1886) la main et les doigts chargés de plaques et anneaux de cuivre, qu'il n'a guère quittés, pa
— Distribution de l'anesthésie chez Le Log.. ; sur la tête une large plaque d'hyperesthésie. vent, une epistaxis termine la
n injections sous-cutanées d'un milligramme de sulfate de strychnine. Plaques de cuivre en collier. — En quittant Genève, Ch. t
iformes. chorée rhythmée. Sommaire. — Tremblement de la sclérose en plaques ; oscillations à grand arc. Tremblement de la par
tion du rouge, polyopie monoculaire, anesthésie de l'arrière-gorge, plaques hys-térogènes, plaques d'hystérie suivies d'une a
ie monoculaire, anesthésie de l'arrière-gorge, plaques hys-térogènes, plaques d'hystérie suivies d'une amélioration de la paral
ie, 250, 289, 301, 402, 44?. Tremblements, 209; — de la sclérose en plaques , 209; - de la para'ysie agitante, 209; — sênile
18 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
é du rire et du pleurer, impulsifs un peu comme dans la sclérose en plaques . Elle n'éprouve ni céphalées, ni vertiges, ni v
début d'une déformation typique du pied. L'idée d'une sclérose en plaques ne s'est pas présentée davantage à votre esprit
issante, avec abolition des réflexes tendineux; dans la sclérose en plaques , elle est au contraire en rapport avec une para
ait dans la maladie de Friedreich une combinaison de la sclérose en plaques , bien décrite déjà par Charcot et Vulpian et du
nombre de scléroses médullaires, principalement dans la sclérose en plaques , qui, au même litre que la maladie de Friedreic
ement intentionnel, de nystagmus, de scansion exclut la sclérose en plaques , sclérose qui serait du reste uni et non multiloc
s grande conviction d'ailleurs, établi le diagnostic de sclérose en plaques de forme fruste, d'une de ces formes, qu'après Ch
parler scandé el la démarche ataxo-spaslllodique de la sclérose en plaques , mais n'a pas trace de tremblement volitionnel, p
vation, concernant les formes frustes ou anomales de la sclérose en plaques , post ou intra-infectieuses, contient des argum
déficit cérébelleux était encore mal connu, et comme la sclérose en plaques lui emprunte nombre de signes, comme d'autre pa
leuses et sur le cervelet peuvent arriver à simuler la sclérose en plaques classique, on comprendra tout l'intérêt que com
consonnes, rappelle absolument « la dys- phasie » de la sclérose en plaques . Il n'a pas de troubles intellectuels, pas de v
êtrière T. XVIII. PI. IV SCLEROSE EN PLAQUES FRUSTE SCLÉROSE EN PLAQUES FRUSTE 33 rieurs, au point qu'il ne pouvait man
dont je présente un spécimen, res- semble à celle de la sclérose en plaques , irrégulière, hachée. La parole est scandée, ex
qu'on lui demande un effort de ses membres supérieurs, SCLÉROSE EN PLAQUES FRUSTE 35 il contracte sa glotte, pour immobili
ure impossi- ble. Paragraphe dans l'écriture spontanée. Autopsie. Plaque de ramollissement ancien sur le gyrus angulaire (
moins des traits de la maladie de Henri R..., c'est la sclérose en plaques et la maladie de Fried- reich. Avec la scléro
ose en plaques et la maladie de Fried- reich. Avec la sclérose en plaques , notre malade a très peu de points de res- semb
tingue des formes cervicales, cérébrobulbaires. Dans la sclérose en plaques , outre le type classique, cérébrospinal, il exist
avril 1896 quelque peu amélioré. Diagnostic probable : sclérose en plaques . Le 23 novembre de la même année, son père l'am
lente, bredouillée, tout à fait analogue à celle de la sclérose en plaques . Examen de la motilité. Il existe à droite une
té. Parole nasonnée, bredouillée, scandée comme dans la sclérose en plaques . Pas de troubles des sphincters. Les uri- nes n
iphérique, a montré à Sainton et J. State (2) dans les méninges des plaques calcaires et dans la moelle des scléroses pseudo-
onnelle à une myosite; il cite même un cas, où il a trouvé quatorze plaques de myosite dans les muscles de l'avant-bras mal
le sol à côté de la scie, et l'on voit très exactement figurées des plaques de sphacèle au niveau de la malléole in- terne.
eu l'idée de photographier les deux positions du tronc sur une même plaque , en donnant au malade le temps de passer de l'u
sparentes, très adhérentes. Atrophie des circonvolutions. Moelle. Plaque de leptoméningite à la face antérieure, au niveau
s inférieures. Sur les coupes de la moelle dorsale, on constate une plaque de lepto-ménin- gite, sans myélite. Elle se con
mmet droit. Cour. - 280 grammes, adhérences péricardiques, quelques plaques d'athé- rome à la base de l'aorte. Foie. 1,52
midaux d'origine encéphalique s'ajoute la sclérose consécutive à la plaque de lepto- méningite de la face antérieure de la
re était tellement adhérente qu'elle entraînait avec elle de larges plaques de substance grise ramollie. Pas d'athérome des a
ères morphologiques pourrons-nous invoquer pour le diagnostic ? les plaques ortiées sont pâles, sont étendues, sont passagère
ux malades acroparesthésiques présentant des éruptions alternées de plaques d'urticaire et d'oedème circonscrit. C'est une do
-être unique entre ce dernier et l'urticaire, est dans la durée. La plaque ortiée ne dépasse généralement pas la durée de
ie par une transsudation de sérum, et on admet naturellement que la plaque ortiéesoit la conséquence de la dilata- tion mê
effet ? ou bien ne fait elle pas songer que dans la formation de la plaque ortiée classique on doit prendre en examen deux
es cas à étiologie diverse les oedèmes circonscrits surgir avec les plaques d'urticaire, avoir une évolution parfaitement i
de Quinke vrai, c'est-à-dire l'aedème de l'hypoderme tout comme les plaques d'urticaire ou oedème du derme,peut se présenter
n importante pour notre théorie. C'est une no- tion commune que les plaques d'urticaire et les oedèmes de Quinke peu- vent
miné par des lésions diverses ayant un siège commun, l'éruption des plaques d'urticaire n'est pas rare. « Cette éruption »
rmations osseuses ; les membranes conjonctives « se déta- chent des plaques osseuses déjà formées, et il en résulte, non seul
e nerveuse, mais elle ne renferme pas davantage de vaisseaux, ni de plaques hémorragiques ; elle est constituée par des éléme
ités. C'est ainsi que l'on ob- serve, par endroits, des vestiges de plaques hémorragiques, aussi bien superfi- cielles que
é cela il se distingue nettement du trem- blement de la sclérose en plaques ; car, contrairement à celui-ci, il ne se produ
men la serrant de près, de ceux qu'elle affecte dans la sclérose en plaques . Elle est basse, monotone, non articulée, incom
ques, même dans des observations rangées dans la pseudo-sclérose en plaques ou dans 1'liéiédo-a taxie cérébelleuse (Tré- ne
d'isoler sous le nom de « maladie familiale à forme de sclérose en plaques ». Les différences que nous avons montrées plus h
ptômes et leur manière d'être habituelle au cours de la sclérosé en plaques , l'absence du nystagmus nous dispenseront de nous
us appesan- tir davantage sur ce sujet. La notion de la sclérose en plaques familiale ou même infantile n'est encore appuyé
connu, on ne sait trop pourquoi, sous le nom de pseudo-sclérose en plaques . Quoiqu'il ne s'agisse pas là d'une maladie fam
soeur, chez les- quels il fait le diagnostic de pseudo-sclérose en plaques de Westphal et qui sont également comparables à
e se retrouvait pas à l'autopsie ; que c'est souvent la sclérose en plaques , la syringomyélie, la pachyméningite hypertroph
OSE ' r M. Brissaud faisant récemment l'autopsie d'une sclérose en- plaque fa- miliale trouva également une sclérose combi
s laquelle il voit un exemple familial de cette pseudo- sclérose en plaques de Westphal, dont nous avons parlé plus haut, ren
tre la paraplégie de Lorrain et leur maladie à forme de sclérose en plaque doit être maintenue. 1 Il est certain que dans
dans la leur, la ressemblance de - l'affection avec la sclérose en plaques est grande : en effet, on s'y trouve en présenc
ou atrophie des papilles optiques), qui au cours de la sclérose en plaques vraie constituent une rareté. Dans d'autres obs
e certains cas d'affections spastiques familiales et la sclérose en plaques ne prouve qu'une chose, c'est que dans l'une et l
nutile de garder le nom de maladie familiale à forme de sclérose en plaques , qui rappelle un tableau anatomique trop précis,
égique pure serait comme si chez les adultes et dans la sclérose en plaques on voulait faire une distinction absolue entre
e disséminée, alors qu'il est excep- tionnel de voir la sclérose en plaques affecter durant toute son évolution l'aspect do
que maladies spastiques familiales, maladie à forme de sclérose en plaques (Brissaud, Friedreich, Charcot-Marie et Dejerine-
i, en admettant le type de maladie familiale à forme de sclérose en plaques , on veut seulement rappeler que les affections sp
s fa- miliales peuvent parfois simuler plus ou moins la sclérose en plaques , il n'y a pas grand inconvénient à le maintenir
il moyen. Méthode polaire : électrode ster- 440 NOICA ` nale, une plaque de métal de 25 centimètres de surface; électrode
com- plète, os séparés par des lacunes nombreuses semées de petites plaques os- seuses irrégulières ou de traînées de dépôt
est, par exemple, la syphilis du nouveau-né se manifestant par des plaques muqueuses, des lésions cutanées, des gommes dan
. HOSPICE DE BICÊTRE LABORATOIRE DE M. PIERRE MARIE SCLÉROSE EN PLAQUES ; ATROPHIE CÉRÉBELLEUSE ET SCLÉROSE PSEUDO-SYS
ELLE Iconographie DE la SALPETR1RE. T. XVIII. Pl. LXI SCLÉROSE EN PLAQUES , ATROPHIE CÉRÉBELLEUSE (Catola) Masson &
Masson & Cie Éditeurs PLototyno UcrtLaud, Pans SCLÉROSE EN PLAQUES 587 que la pie-mère et les hémisphères cérébrau
let) présentent par ci par là des petites zones pâles SCLÉROSE EN PLAQUES 589 Coupes transversales du cervelet et du bulb
e coupe passant au ni- veau de la 1110 paire existe une très petite plaque de sclérose dans le tiers interne de la substan
ll'. . VII - 60 r. dorsale. V 111 - 12e r. dorsale. SCLÉROSE EN PLAQUES SCLÉROSE PSEUDO-SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE (Cnol
ES SCLÉROSE PSEUDO-SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE (Cnoln ) SCLÉROSE EN PLAQUES 591 sont atteints exclusivement dans leur parti
ès accentuée du rhombencéphale et surtout du cervelet; deux petites plaques de sclérose complète dans la substantia nigra d
ant au même temps le tableau auatomo-pathologique de la sclérose en plaque (surtout au niveau du cervelet et de la protubéra
même temps et comme symptôme d'une méningo- myélite se faisant par plaques , notre malade présentait une abolition per- sis
oct : 1905) et l'autopsie a permis de constater des adhérences par plaques des méninges médullaires, surtout au niveau de la
année suivante fit un séjour à l'Antiquaille où on le soigna pour des plaques muqueuses à l'anus. 596 LANNOIS Il s'est ma
mériennes existent presque seules, à peine accompagnées de quelques plaques hémorragiques et d'un début de prolifération né
mbo droite) (2 fig., 1 pl.), par Henry MnIGE), 234. Sclérose en plaques ; atrophie cérébelleuse et sclérose pseudosysté
tique de la moelle épinière (2 pl.), par CATOLA, 583. Sclérose en plaques fruste ou syndrome cérébelleux de Babinski (1 p
et Moutier, 61. Syndrome cérébelleux de Babinski ou sclé- rose en plaques fruste (1 pl.), par ScHr,ni3, 31. Syndrome de
re hystérique chez les enfants (2 fig.), 443. CATOLA. Sclérose en plaques ; atrophie cérébelleuse et sclérose pseudo-syst
uloe alatoe physiologiques (1 pl.), 667. G. SciiEni3. Sclérose en plaques fruste ou syndrome cérébelleux de Babinski (1 p
gourout et LAI G1'o'EL-LAVASTI1'o'E), XXXVIII, XXXIV. Sclérose en plaques , atrophie cérébelleuse (CATOLA), LXI. Scléros
19 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
au pavillon d'isolement, car il présen- tait sur la tête plusieurs plaques de teigne tonsurante. Le lendemain on notait un
pathologique, mentionnons les lésions de méningo-encéphalite, les plaques transparentes des os du crâne et l'absence de s
crâne sont extrêmement minces et offrent tous de, très nom- breuses plaques transparentes. - La suture sagittale vue par tr
émet des branches par sa convexité tournée du côté de l'appendice. Plaques de Peyer un peu gonflées, non ulcérées. L'intes
constamment souillées, deviennent érythémateuses. Le 8 mars deux plaques de la grandeur d'une pièce de 2 fr. s'ulcè- ren
atons l'absence complète de synostose des sutures et la présence de plaques transparentes surtout à la région de la fontane
oit vers l'inion. Les deux Irons pariétaux existent. On voit deux plaques translucides vers le bord supérieur du pariétal d
st assez élevée, mince, les os sont peu épais. Il y a de nombreuses plaques transparentes occupant la moitié de la calotte
vraie. 101 du crâne. En effet, outre qu'elle porte de nombreuses plaques transparentes, ses sutures ne présentent en auc
ectomie. 2° Chez Pot ? même minceur, même légèreté de la calotte; plaques transparentes fort étendues, siégeant vers la p
antérieure de la sagittale. Ce petit pertuis occupe le centre d'une plaque transparente. Pla- giocéphalie très marquée ave
niveau des pariétaux, un peu au-dessus de chacun des temporaux, des plaques translucides, présentant un certain nombre de p
timètre. Cheveux châ- tain foncé, peu abondants, courts; nombreuses plaques d'alo- pécie dues au tricophyton. Le tourbillon
wormiens. Les parois du crâne étaient très minces et parsemées de plaques translucides. Elles étaient par conséquent RÉOS
ent se multiplier. La face externe du bras droit est le siège d'une plaque érythémateuse, disparaissante à la pression, de
calotte crânienne sont assez épais et consistants. Il n'y a pas de plaques transparentes. En revanche, on exa- minant succ
res; - lésions méningiti- ques anciennes et récentes; - lésions des plaques de Peyer. Dufoul... (Auguste-Ernest), né à le
nt distinctement marqués sur les pariétaux. La calotte présente des plaques transparentes sur les parié- taux en arrière de
taux en arrière de la suture coronale près de la ligne médiane. Ces plaques sont au nombre de deux à l'angle fronto-sagittal
sur la face convexe gauche que sur la droite. Il existe encore des plaques ecchymotiques sur toute l'étendue des lobes fro
male de l'in- testin grêle sur le dernier mètre de son étendue. Les plaques de Peyer sont tuméfiées et vascularisées. L'une
ne d'elles a envi- ron trois centimètres de longueur. Quatre de ces plaques sont nettement altérées, une d'entre elles a ét
onfirmé par l'autopsie, qui nous a fait découvrir des lésions des plaques de Peyer en voie de réparation. C'est probablem
te de l'occipital, joints à cet état particulier des sutures et aux plaques transparentes que présente la calotte crânienne
egma ; au niveau de la partie antérieure du frontal se trouvent des plaques légè- rement transparentes, de la surface d'une
La pie-mire de la convexité est très-peu vascularisée : -, quelques plaques ecchymotiques à droite et à gauche. Les veines
ans la boite osseuse et clans les mem- branes clu cerveau. Quelques plaques ecchymotiques de. la pie-mère qui est congestio
e la dure-mère au niveau des su ures. -Pas de Ira e de synostose. - Plaques très abondantes et étendues de méningite purule
occipitale gauche est un peu plus petite que la droite. Nombreuses plaques transparentes le long de la suture inler-fronta
ngles antérieurs et internes des pariétaux. A gauche, il existe une plaque transparente de 2 centimètres de longueur sur 5
ngrène DES extrémités inférieures. 241 la teinte érythémateuse. Les plaques sont limitées par un très léger bourrelet. T. I
euf de moineau. 1889. Mars. - L'enfant présente iL cette époque des plaques à la bouche et à l'anus avec des adénites cervi
t une desquamation épithéliale abondante et en plusieurs points des plaques res- semblant à des plaques de pelade. On remar
le abondante et en plusieurs points des plaques res- semblant à des plaques de pelade. On remarque surtout ces plaques sur
es res- semblant à des plaques de pelade. On remarque surtout ces plaques sur la moitié droite du cuir chevelu. Dans la rég
t dans le voisinage, les cheveux rasés commencent à reparaître. Les plaques dénudées ne 298 DESCRIPTION DE la malade. son
tures; lésions méningiti- ques anciennes et récentes; - testons des plaques de Peyer. Dufoul... (Auguste-Ernest), 3 ans. (V
distinctement marques sur les pariétaux. La calotte présente des plaques transparente* sur les parié- taux en arrière de
igne Fig. 33. 310 Sutures DU crâne dans l'idiotie. médiane. Ces plaques sont au nombre de deux à l'angle fronto-sagitta
au niveau des sutures.-PaS de traces d'ossification des sutures. - Plaques très abondantes et étendues de ménigite purulen
st assez élevée, mince, les os sont peu épais. Il y a de nombreuses plaques transparentes occupant la moitié de la calotte
ux pariétaux, qu'il en est au contraire presque détaché. Il y a une plaque transparente de chaque côté de la suture métopi
ent mince et présente latéralement des régions trans- parentes. Des plaques translucides existent encore sur les pariétaux
20 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
tremblement, soit de la paralysie agitante, soit de la sclérose en plaques . Dans une note présentée à la Société médicale
l'aspect des malades atteints de paralysie agitante, de sclérose en plaques ou d'une autre maladie à tremblement. Ce fait q
gitantes obtenues par un simple jeu de miroirs, de ces scléroses en plaques sans plaques de sclérose, etc. A ce point de
nues par un simple jeu de miroirs, de ces scléroses en plaques sans plaques de sclérose, etc. A ce point de vue, nous cro
age du tambour à réaction de M. Marey. Ce tambour est monté sur une plaque en métal que l'on fixe solidement sur la surfac
eur Foucault recouvert d'une feuille de papier sensible ou bien une plaque qui glisse sur des roulettes d'un mouvement uni
t lumi- neux se reproduiront sous forme d'une ligne continue sur la plaque sensible ou sur la feuille qui enveloppe le cyl
figuration anormale de la région . sacro-coccygienne. Fila. 29. Plaque velue de la région lombaire. LA QUEUE DES SATYR
ICONOGRAPHIE D 14 LA StlLl'1'l'lill.lal : . région lombaire. Cette plaque velue qui a souvent la forme d'un losange à deu
chidienne. Sous la forme où elles se présentent assez souvent,' ces plaques velues constituent une difformité' a peine rema
mais avec elles. L'ataxie, la maladie de Friedreich, la sclérose en plaques , le goitre exophthalmique, la myopathie atrophi
angoisse intense lorsqu'elle était forcée de mettre sa main sur la plaque de métal, mais encore elle était prise, à ce mome
ule n'est pas conscient de sa simulation, c'est un être passif, une plaque photographique qui a enregistré ses impressions e
droite du corps, soit une hémianesthésie droite incomplète; 2° une plaque d'analgésie absolue correspondant à peu près à
ment. - Il n'existe nulle -part d'anesthésic cutanée, sauf quelques plaques dysesthésiques aux deux poignets. Il n'existe e
ique, mais encore une hystérique. On a vu plus haut la présence des plaques dysesthésiques au niveau des poignets. Il exist
a langue limitée aux Eig. 16. - Clossoprnphc. vu du profil. - A, B, Plaque destinée ;1 s'appliquer sur le. maxillaire Infé-
mc du tambour pou- vant être rapproché ou étarté de l'oiilicr dc la plaque A Il, le lube qui le fait communiquer avec l'ap
appareil. FIG. 17 - Glossographe vu par sa face infnricurc. - A, B, Plaque d'appui, C, Tambour sur le boulon duquel vient
e enfin quelques cellules basophyles dans les mêmes endroits. Les plaques terminales motrices sont atrophiées, et ne sont p
moins rapi- dement, laissant à découvert après sa chute une petite plaque érythémateuse. Devenu un véritable infirme, le
existe-t-elle plus fréquemment qu'on ne le suppose au ni- veau des plaques d'anesthésie. Mais peut-elle trouver une explica-
isent sur des surfaces générale- ments circonscrites, procèdent par plaques , par îlots, intéressant la face plantaire, les
es doigts, une partie des membres supérieurs et inférieurs; que ces plaques plus ou moins nombreuses affectent une distributi
. Les planches XLIV, XLV et XLVI sont consacrées à la sclérose en plaques . La planche XLIV reproduit une coupe de la région
- paration a été colorée par la méthode de Pall. On voit une petite plaque de sclérose très prononcée dans la zone radicul
sies. La planche suivante XLVI reproduit une coupe de sclérose en plaques dans une région extrêmement altérée : seules les
, qui l'a décrite dans les Archives de Médecine expé- rimentale. La plaque de sclérose que nous représentons est figurée à
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE T 111 PL XLIV SCLÉROSE EN PLAQUES ( REGION PEU ALTÉRÉE ) 1 T 111 PL XLV NOUVE
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÉTRIERE T III PL XLVI SCLÉROSE EN PLAQUES ; FORT GROSSISSEMENT ) > ANATOMIE PATHOLOG
ordon latéral; f, Cordon postérieur. Planche 1 LIV. - Sclérose en plaques . Région pou altérée ; a, Cordon antérieur sain;
n; b, Cordon latéral peu lésé; c, Cordon latéral assez sclérosé; d, Plaque très altérée de la zono radiculaire postérieure
Fc. 77. - Schéma do la paralysie infantile. rtc. 78. - Sciérose en plaques . su NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIËRË.
rue Mignon, 2. - lA et MOTTE1\OZ, directeurs. Fm 70. - Sclérose en plaques . NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T Il
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T Ili PL XLVI SCLÉROSE EN PLAQUES (Région TRÈS ALTERÉE ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE
ez une petite fille, avec atrophie con- sidérable, 6. Sclérose en plaques , 44, 45, 46. Syringomyélie, 47, 48, 49, 50. T
tes et polynévrites, 57, 58, 59, 60, 61, 62, 63. Région lombaire ( Plaque velue de la -), 29. Région sacro-coccygienne (C
Sciatique (Déformation du tronc dans la ), ), 72, 73. Sclérose en plaques , 78, 79. Sensibilité (Tabes et dissociation syr
21 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
ne diffère en rien d'essentiel de ce qu'elle est dans la sclérose en plaques ou dans la sclérose symétrique des cordons latéra
tives. — Des douleurs fulgurantes symp-tomatiques dans la sclérose en plaques disséminées, la paralysie générale progressive et
ice progressive et la maladie que j'ai proposé d'ap-peler sclérose en plaques disséminées. Celle-ci, comme celle-là, envahit à
es symptômes spinaux ; 2° des symptômes cephaliques. — La sclérose en plaques , de même que l'ataxie locomotrice, est le plus so
des scènes de ce genre. scléreuse. Tel est le cas de la sclérose en plaques dissé-minées. Il n'est pas rare que, dans cette a
allons donc entrer à ce propos dans quelques dé-veloppements. I. plaques , qui reconnaît un processus fort analogue, mais d
complète et plus rapide que celle qui se pro-duit dans la sclérose en plaques , les cylindres d'axe persistant en effet beaucoup
aurose tabétique de celle, par exemple, qui accompagne la sclérose en plaques . L'embolie de l'artère centrale de la rétine do
èrement douloureux, une anesthésie cutanée circonscrite sous forme de plaques et qui se développe malgré la persis-tance des do
ntrale chronique ; hydromyélie ; tumeurs intra-spinales ; sclérose en plaques ; — sclérose laté-rale symétrique. De l'atrophi
yotrophie progressive 2. 5° Nous devons citer encore la sclérose en plaques . En général, dans les cas ordinaires relatifs à c
n pendant la vie. Telle a été, du reste, l'histoire de la sclérose en plaques disséminées : on n'a connu, pendant longtemps, qu
'une trémulation qui rappelle celle qu'on observe dans la sclérose en plaques disséminées et aussi chez certains sujets atteint
e tôt ou tard plus ou moins prononcée. Ainsi : a) dans la sclérose en plaques ; — b) dans En effet, les muscles de la langue
a-nées . — Seconde période (paralysie, atrophie, griffe, contracture, plaques d'anesthésie, paralysie et contracture des membre
pareil cas. — Pathogénie. ~ Amyotroptiie consécutive à la se érose en plaques disséminées. Paralysie générale spinale subaigu
s paralysés et atrophiés et souvent il se produit sur ces membres des plaques à'anesthésies qui peu-vent s'étendre jusqu'à la p
quelquefois dans le cours de Xataxie locomotrice et de la sclérose en plaques . A. On sait que l'amyotrophie progressive, plus
i se surajoute quelquefois aux symptômes ordinaires de la sclérose en plaques . Elle survient, d'après mes observations, dans le
plaques. Elle survient, d'après mes observations, dans les cas où les plaques scléreuses qui, dans la règle, prédominent sur le
ent des membres. — Pronostic et traitement. — Diagnostic: Sclérose en plaques de forme spinale, contracture hystérique, myélite
taque tout d'abord au système spinal sensitif (douleurs fulgu-rantes, plaques d'anesthésie et d'hyperesthésie, etc.), et ne dét
bien que la chose soit ici souvent fort difficile, de la sclérose en plaques de forme spinale. Il peut, en d'autres termes, êt
ue nous les avons étudiés longuement déjà, à propos de la sclérose en plaques où on les retrouve dans tous leurs dé-tails 2.
é et décrit. Dans l'observation d'une femme atteinte de sclérose en plaques que nous avons recueillie en 1862, M. le professe
ileptoïde, comme se montrant aune cer-taine période de la sclérose en plaques disséminées, des paraplégies par compres-siO'i, d
rminée par compression, sclérose latérale amyotrophi-que, sclérose en plaques disséminées, etc. Dans le diagnostic du tabès spa
i, pour ne citer qu'un exemple, le tableau clinique de la sclérose en plaques se trouve dans certains cas réduit, à peu de chos
concomitante des membres supérieurs (forme spinale de la sclérose en plaques ) '. Môme, en pareil cas, la coexistence actuelle
é posé avec quelques réssrves. Elle a fait reconnaître l'existence de plaques scléreuses disséminées, limitées à l'étage inféri
l se trouve en présence de certaines formes frustes de la sclérose en plaques . Chascot. Œuvres complètes, t. ii. 21 SEIZIÈM
le à celle que j'ai décrite dans le temps à propos de la sclé-rose en plaques . Tant que R... est tranquille, au repos, il n'y a
mouvement se rapproche non seulement du tremblement de la sclérose en plaques , comme je viens de vous le dire, mais encore, à q
hémisphères. Suivant la théorie fondée sur des travaux ré-cents, les plaques gommeuses dans l'épilepsie partielle devront siég
part des formes de la sclérose, et en particulier dans la sclérose en plaques , on observe souvent, à une certaine époque de l'a
cléreuse des cordons latéraux se mon-trent sous forme de deux petites plaques rouges, transparentes, irrégulièrement arrondies,
ictives. —Des douleurs fulgurantes symptomatiques dans la sclérose en plaques disséminées, la paralysie gé-nérale progressive e
ntrale chronique ; hydromyélie ; tumeurs intra-spinales ; sclérose en plaques ; — sclérose laté-rale symétrique. De l'atrophi
a-nées . — Seconde période (paralysie, atrophie, griffe, contracture, plaques d'anesthésie, paralysie et contracture des membre
pareil cas. — Pathogénie. Amyotrophie consécutive à la sclérose en plaques disséminées. Paralysie générale spinale subaigu
ent des membres. — Pronostic et traitement. — Diagnostic: Sclérose en plaques de forme spinale, contracture hystérique, myélite
ion par les filets ra-diculaires internes, 279. — Dans la sclérose en plaques , 277, 280. — Lésions du grand sympathique dans le
4. — Diagnostic avec le tabès spasmodi-que, 32ù. — Deux cas 439. — En plaques , 6, 25, 320. — Douleurs ful-gurantes, 33— Amyotro
22 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
éflexes rotuliens, sans parler d'autres symptômes. z 20 Sclérose en plaques , qui n'est pas une affection familiale et diffère
t nous échap- per lorsqu'une éruption consiste, par exemple, en des plaques disséminées sans ordre sur toute la surface tég
racines spinales ou des troncs nerveux ; - 3° La sclérodermie en plaques qui, il l'inverse des deux précédentes, el, com
d'une influence de hasard. Laissons donc de côté la sclérodermie en plaques et occupons-nous seu- lement de la sclérodermie
s de sclérodermie en bandes disséminées (Thibierge et Drouin). A, plaque sus-mammaire dans le territoire de distribution d
rne du biceps suivant le territoire de la le racine cervicale. - C, plaque scapulaire dans le territoire de la 2e racine d
le trajet correspondant au territoire de la 1° racine cervicale. - E, plaque du dos de la main continuant, par sa partie ext
amment significative. Les éléments éruptifs sont disposés tantôt en plaques , tantôt en bandes longitudinales, tantôt enfin en
trouble de l'innervation trophique la disposition zoni- forme des plaques éruptives et les atrophies d'apparence cicatric
départ ultérieurs de phénomènes de dégénérescence des cordons, des plaques de sclérose et même de cavités simulant la sgring
ctuel. - Enfant robuste. On constate sur le front la présence d'une plaque blanchâtre, brillante, allongée (longueur : 8 cen
de la racine du sourcil gauche, jusqu'au som- met de la tête. Cette plaque se continue jusqu'au lobule du nez par une lign
une ligne blanchâtre, peu apparente, large d'un demi-centimètre. La plaque frontale est vernissée, plissée transversalemen
itié supérieure une teinte jaune-brunâtre. A la périphérie de cette plaque se trouve un liseré rose légèrement saillant 19
lité au niveau do la tache. La malade est revue au bout de mois; la plaque de sclérose n'a pas changé d'aspect. Chez cet
les caractères de la lésion cutanée. Nous retrouvons là en effet la plaque lardacée brillante, entourée de l'anneau lilas ca
nt également dans les sclérodermies localisées (forme disséminée en plaques ). (1) L. Spillmann, Sclérodermie lardacée en co
lière entourée. d'une auréole couleur café au lait. Au niveau de la plaque de la fosse iliaque, les plis cutanés sont plus a
. Elles s'accompagnaient d'atro- phie des membres du môme côté. Ces plaques blanchâtres semblaient être collées à l'os. É
d'une pièce de 5 francs, peu visible, à peau plus fine. Une autre plaque de même dimen- sion, à contours moins nets à la
ubles de la motricité. - Fig. 1. - Sclérodermie dis- séminée en plaques (Ob- servation III). ' NOUV. Iconographie DE
s deux dernières observations concernant des cas de sclérodermie en plaques disséminées paraissent très semblables au premier
ardacés, oedémateux. Dans l'observation III, il s'agit également de plaques blanchâtres, mais au niveau de toutes ces plaqu
agit également de plaques blanchâtres, mais au niveau de toutes ces plaques , la peau est lisse, déprimée, d'aspect cica- tr
ne crise convulsive qui précéda de peu l'apparition des pre- mières plaques de sclérose. Notre quatrième observation se rap
peut être surtout relevé. A ces réseaux sclérosiques succèdent des plaques . » Cette description qui a en vue la sclérodermie
n, on aperçoit les premières taches blanches sur les hanches et une plaque blanche sur la nuque, des dimensions d'une pièce
viron, de forme irrégu- lièrement quadrangulaire. A droite de cette plaque , une autre plus petite, portant en son centre u
s blanches. La pigmentation autour des taches est plus marquée. Les plaques qui se trouvent au niveau du cuir chevelu à la
èrement pigmentée. Cette tache présente abso- lument l'aspect d'une plaque de vitiligo, mais au palper on constate nette-
frustes du my°xaedéme; si, en outre, on remarque l'existence d'une plaque congestive au centre de la joue, si le sujet épro
genre. » Ce complexus symptomatique : apathie, embonpoint naissant, plaque congestive de la joue, sensation persistante de
isiblement vers le myxoedème franc. La teinte ambrée du visage ; la plaque congestive des joues et du nez ; la bouffissure é
ru, mais il reste de l'anesthésie sur ces régions. Dans ce fait, la plaque fémorale rappelait d'autant mieux la mé- ralgie
membres. Les réflexes rotuliens sont conservés. Il existe quelques plaques d'anesthésie sur la région thoracique où il se pl
ieure. - Anesthésie jusqu'à l'articulation tibio- tarsienne droite. Plaque anesthésique à la moitié externe du sein droit. H
sie au pied droit jusqu'à l'articu- lation tibio-tarsienne ; petite plaque d'anesthésie au-dessus du genou à la face inter
'étendant à gauche depuis les orteils jusqu'au milieu de la jambe ; plaque d'hypoesthésie au bord externe de la cuisse dro
ule droit (rég. sup.). Valvules mitrales un peu épaissies, quelques plaques jaunes molles. Végéta- tions athéromateuses au
matin « son épaule descendre ». Il existe au niveau du scapulum une plaque osseuse ostéophytique de 8 cent- mètres de long
sauf aux jambes où elle est très légèrement retardée (au niveau des plaques d'eczéma). Il n'y a jamais eu de douleurs spont
u niveau de l'articulation scapulo- humérale droite, d'une nouvelle plaque ostéophytique, large de près de 10 centi- mètre
sertion musculaire. Io A l'insertion supérieure du deltoïde est une plaque (fig. M, L) osseuse en forme d'épaulette, mesur
es d'épaisseur. En bas, l'épaisseur diminuait progressivement et la plaque devenait presque tranchante en haut. 2o Plaqu
gressivement et la plaque devenait presque tranchante en haut. 2o Plaque mesurant 3 centimètres sur 2, aplatie, ronde, en
(fig. L). 3° De l'insertion de la longue portion du biceps part une plaque large de 2 cen- timètres, s'étendant sur le tra
tubercules crétacés. ' C ? Surcharge graisseuse légère. Quelques plaques laiteuses au ni- (1) Brissaud, De la névroglie
e malade. La malade déjà citée de Guinon (11) est une hystérique ( plaques dyses- thésiques au niveau des poignets, ovarie
e bi-axillaire. L'aisselle droite est insensible, il y a une petite plaque d'hypoalgésie à la partie externe de la face supé
ète. La perception tactile est abolie dans les creux axillaires. La plaque d'anesthésie crânienne s'étend en arrière jusqu
plité, à gauche jusqu'au tiers inférieur de la jambe. Il existe une plaque d'anesthésie sur la fesse gauche et l'anesthési
d'analgésie va rejoindre celle observée à la face antérieure, cette plaque d'analgésie est entourée d'une zone d'hypoalgésie
e, s'étendant du creux épigastrique jusqu'au sein droit : une autre plaque existe au sein gauche et dans les deux régions
pereslhésies se retrouve dans la syringomyélie, dans la sclérose en plaques et dans les affections générales qui comportent
de la dissocialion syringomyél ique. Dans les cas de sclérose en plaques , les troubles objectifs cle la sensibi- lité so
tology, juillet 1S99) une observation d'OEdème dur et douloureux en plaques symétriques à la partie antérieure des deux jam
es mains étaient aussi atteintes, et on vit bientôt se produire des plaques cyanoti- (lues (2). Il importe de remarquer q
e ne présente ni taches hyperchro- miques, zones érythémateuses, ni plaques d'infiltration dermique. Il n'a jamais quitté B
23 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
ons de Bouchard s'affirmaient d'autant plus que dans la sclérose en plaques , dans le tabès combiné,dans la sclérose latérale
système nerveux, syringomyélie, lèpre, tumeur, névrite, sclérose en plaques , pouls lent permanent avec crises encéphaliques
toute la région pariétale de la voûte crânienne était composée' de plaques osseuses irrégulières de grandeur variable (maxim
araison de 'cette épreuve, de la radiographie A susdite et d'autres plaques du même crâne m'a convaincu qu'il s'agit aussi,
toucher que la peau avoisinante. Il n'était pas surélevé comme une plaque d'érysipèle. Les veines, sur la cuisse et sur la
l'apparition d'une rougeur persistante. Ajoutons la présence d'une plaque érythémateuse survenue dans la région sacrée, d
peuvent y faire penser. On peut aussi songer à une altération de la plaque motrice terminale, l'aspect de notre malade en
, il contracte la syphilis, présente des accidents secondaires, des plaques muqueuses, etc.. ; il fait un traitement assez
et l'empêchent de dormir. Il ne présente, comme anesthésie, que la plaque sacrée, s'étendant un peu au périnée, et à la par
de tiraillement et de déplacement des membres durant l'immobilité. Plaques d'hyperesthésie sur les cuisses. Le sens muscul
ci està ce point dilatée queson diamètre longitudinal mesuresur la plaque à peu près 2 centimètres, cependant que dans le
, qui plus tard avaient tourné en jaune, et plus tard au noir : ces plaques noires étaient alors tombées, en laissant des ulc
ait au côté in- terne de la jambe (où nous voyous l'ulcération) une plaque jaune, avec de petites tâches blanches, entouré
elle. Le soir même de ma visite, il se forme chez elle deux petites plaques escharotiques sur le dos du pied, au côté interne
ied, au côté interne, avec le même cortège de phénomènes (douleurs, plaque anémique, gangrène sèche, ulcération). La jeu
cération). La jeune fille revient il l'hôpital au mois de mars ; la plaque du mois de novembre 1905 était presque complète
e cicatrice cliéloï- dienne, complètement analgésique ; les petites plaques de janvier étaient aussi en voie de guérison.
: je n'ai pu déceler la moindre trace'a'acide ou bien d'alcali ; la plaque était absolu- ment aseptique ; seulement à la p
mplètement isolée. Après une pé- riode de trois mois (mai 1906), la plaque n'était pas encore guérie, mais les crises conv
s la crise convulsive les douleurs avaient complètement disparu. La plaque anémique, sans réaction alentour, se transforma
dage amidonné : au côté interne de la jambe (PI. LXV) j'observe une plaque plus étendue que les pré- cédentes, blanche, fr
e très sensible mais d'une coloration normale. Dans le milieu de la plaque blanche on remarquait de petites taches sombres
clinique pour le diagnostic de l'hystérie. 2 Joséphine présenta des plaques de gangrène cutanée qui étaient spottta- nées e
e doute possible : au moins pour ce qui concerne les deux dernières plaques . Pour les pre- mières manifestations de la mala
n. En tout cas, la simulation n'a pas été possible pour la dernière plaque qui s'est formée sous un bandage inamovible ; e
ire qu'il n'y a pas eu non plus de simulation pour l'avant-dernière plaque que j'ai examinée dans les premiers moments de
erait plus scientifique, il serait ridicule. . 3° La pathogénie des plaques de gangrène cutanée doit être cherchée 'dans un
rgot de seigle. Pas possible le doute d'une embolie mycotique ; les plaques étaient aseptiques. . Venons maintenant à une d
ns la circulation des embolies ayant produit à un moment donné, les plaques gangreneuses de la peau, et en dernier lieu l'ulc
bolie de la peau; c'est bien : mais embolie de quelles artères ? La plaque était unique, égale, large de plusieurs centimètr
membre. Je crois donc pouvoir exclure aussi l'origine embolique des plaques gangreneuses chez ma malade. Puisque nous avons
ous renoncer au diagnostic ? Je crois que non. ' En regardant les plaques de sphacèle, en songeant à la lenteur de leur g
yphilitique avec paraplégie flasque, j'ai observé la forma- tion de plaques de gangrène cutanée sur la surface antérieure de
surface antérieure de la cuisse et sur la face externe de la jambe, plaques qui présentaient une analogie frappante avec le
gangrènes cutanées qui présen- tent une analogie frappante avec les plaques présentéespa1' notre ma- lade, on peut toujours
grène spontanée de la peau connues en clinique médicale, et que les plaques de notre malade présentaient une analogie morphol
taient une analogie morphologique et nosologique seulement avec les plaques de gangrène qui se forment sous la dépendance d
nous affirme avoir observé chez unsujet hystérique la formation de plaques de gangrène spontanée au-dessous d'un bandage o
que toute possibilité de simulation était écarlée. Renaut a vu les plaques de gangrène se produire sous ses yeux, et il ar
émonstration absolue et directe que chez les sujets hystériques les plaques de gangrène hystérique peuvent se produire, tou
fait des analyses chimiques répétées de la peau cor- respondant aux plaques , et ils n'ont pu déceler la présence d'un agent
chez les sujets hystériques ? La même malade a présenté de petites plaques gangreneuses parfaite- ment égales aux plaques
présenté de petites plaques gangreneuses parfaite- ment égales aux plaques de la peau, sur le repli glosso-épiglottique et
n- séquence d'une irritation artificielle, pourquoi donc toutes les plaques de gangrène chez les hystériques guérissent-ell
eulement un peu de fièvre au moment de la production d'une nouvelle plaque escharotique. (2) Deux sujets (\eumann, Joseph)
ions de M. Balzer et de M. Bruchon on a remarqué la coïncidence des plaques gangréneuses de la peau avec des phénomènes dus
ade hystérique de M. Etienne (qui pré- sentait depuis longtemps des plaques multiples de gangrène spontanée de la peau une
ongtemps des plaques multiples de gangrène spontanée de la peau une plaque de gangrène survenue sur la paroi du vagin donna
présence de plusieurs médecins témoins, la pro-' duction de vraies plaques hémorragiques qui présentaient la forme d'une c
z l'hystérique de M. l3ernlaeim et chez la malade de M. Tdward, les plaques de gangrène se produisirent sous l'effet direct d
ériques présentent très facilement des'phénomè- nes vasomoteurs. La plaque , telle que je l'ai observée moi-même, dans sa p
; et comme dans ce dernier cas, il se forme une gangrène sèche, la plaque d'anémie se transforme peu à peu en une plaque de
e gangrène sèche, la plaque d'anémie se transforme peu à peu en une plaque de gangrène. Dans nombre d'autres observations
la maladie de Raynaud, une maladie du système vasomoteur, avec les plaques de gangrène spontanée de la peau. , Rien de plu
econnaît pour (1) Chez la malade de Doutl'elepont qui présentait 80 plaques de gangrène, l'examen macroscopique et microsco
u'à la suile d'un procès de réparation. Il est indispensable que la plaque gangreneuse soit éliminée, que les tissus qui s
our prolifèrent, que la cicatrice se forme. S'attendre à ce que les plaques guérissent par suggestion, équivaudrait à s'att
contraire, que la suggestion peut arrêter la formation de nouvelles plaques . Je dis « je crois », parce que rien dans la litt
it possible, puisque nous avons démontré que dans la production des plaques la suggestion occupe la première place étio- lo
us affirme « avoir observé chez un sujet hystérique la formation de plaques de gangrène spontanée au-dessous d'un bandage o
nct de la dissimulation remarquablement développé. 2° Plusieurs des plaques observées par M. Valobra à l'hôpital étaient, a
24 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
blitération de ces diverses artères. — Ramollissements superfi-ciels, plaques jaunes. — Communication entre les territoires vag
acente. La partie superficielle du foyer forme ce qu'on appelle une plaque jaune. La coloration jaune appartient exclusiveme
ur. Dans ce cas, la circon-volution en question est remplacée par une plaque jaune dé- Fiff. 16. — Territoire vasculaire de
. C'est ainsi que, dans un cas de des-truction limitée au lobe carré ( plaque jaune), il n'existait aucun indice de paralysie c
aralysie correspondante. — Dans un autre fait, il s'agit encore d'une plaque jaune laquelle intéressait une large étendue de l
et par moi. Dans les cas auxquels je fais allusion, il s'agissait de plaques jaunes ayant détruit dans une grande étendue les
te très accentuée. servations que les ramollissements superficiels ( plaques jau-nes) étendus, lorsqu'ils occupent soit le lob
. ciens(l). La lésion, dans ces cas, se présentait sous la forme de plaques jaunes, plus ou moins étendues en largeur, intére
ions frontale et pariétale ascendantes, étaient restées indemnes. Les plaques jaunes occupaient l'une des régions suivantes, sa
que. Historique rapide de l'ataxie locomotrice et de la sclérose en plaques long-temps considérées comme des névroses. — L'ét
nom d!'induration multiloculaire des centres nerveux, àe sclérose en plaques , prêterait à des con-sidérations du même ordre. L
la substance grise et la substance blanche adjacente, telles que les plaques jaunes ou les foyers artifi-ciels d'hémorrhagie c
pyrami-dal depuis les cellules de l'écorce grise du cerveau jusqu'aux plaques ter-minales dans les fibres musculaires. — A, Cel
e l'ablation du gyrus sigmoïde. Exception spéciale à la sclérose en plaques . — Desideratum histologique. Messieurs, L'étu
qu'à ce jour du moins, semble con-tredire la loi : dans a sclérose en plaques les lésions, alors même qu'elles sont très étendu
e reviser, sous ce rapport, l'anatomie pathologique de la sclérosé en plaques ; et, d'ailleurs, c'est là un point que je ne f
s'agit d'un ramol-lissement partiel se présentant sous la forme d'une plaque jaune ou d'un foyer d'inflammation celluleuse; ta
n rotulie n» Mais il existe sur la face antérieure de la cuisse une plaque d'hyperesthésie dont l'excitation détermine une v
ptômes de la paraplégie spasmodique. Je veux parler de la sclérose en plaques ; mais c'est là un point qui mérite d'être étudié
que n'a encore fourni aucune preuve. — Diagnostic avec la sclérose en plaques . Tabès dorsal chez l'adulte et chez l'enfant, —
appelée le tabès dorsal spasmodique. Je veux parler de la sclérose en plaques disséminées. Je me bornerai à rappeler que les
e avec la paralysie spasmodique, si celle-ci relève d'une sclérose en plaques ; et c'est surtout d'après ce principe que le diag
tra qu'il n'en était pas ainsi, et qu'il s'agissait d'une sclérose en plaques . Mais, en relisant l'observation, nous nous aperç
ystématisées. — Myélites centrales, sclérose épendymaire, sclérose en plaques , sclérose latérale amyotrophique. Du système ne
penclymaire la méningite-spinale hypertrophique,enfi\i la sclérose en plaques qui, dans certaines circonstances, peu-vent prend
sclérose latérale amyotro- que, comme il en a été delà sclérose en plaques ou de l'ataxie locomotrice. Voilà, certainement,
blitération de ces diverses artères. — Ramollissements superfi-ciels, plaques jaunes. — Communication entre les territoires vas
que. Historique rapide de l'ataxie locomotrice et de la sclérose en plaques long-temps considérées comme des névroses. — L'ét
e l'ablation du gyrus sigmoïde. Exception spéciale à la sclérose en plaques . — Desideratum histolo-gique.....................
que n'a encore fourni aucune preuve. — Diagnostic avec la sclérose en plaques . Tabes dorsal chez l'adulte et chez reniant. —
ystématisées. — Myélites centrales, sclérose épendymaire, sclérose en plaques , sclérose latérale amyolrophique. Du système ne
ctus appoplectique, 296. Induration multiloculaire. (V- Sclérose en plaques .) Infarctus cérébral, 69. Influence modératrice d
. — de la main, 205. — du pied, 304. (V. Trépidation spinale. ) Plaques jaunes, 74, 171, 335. Plis du cerveau, 10, 232. P
rations secondaires.) Sclérose péri-épendymaire, 378. Sclérose en plaques , 181 ; — Ab-sence des dégénérations secondaires d
e, 359 ; — Théories du —, 368 ; — Diagnostic du — avec la sclérose en plaques disséminées, 369. Tapetum. 139. Tëgmentum, 87
25 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
u du lobe temporal. 1 Après l'ablation des. méninges on observe des plaques congestionnées avec surface dépolie et exulcéré
la région dorso-lombaire. Le coeur est normal. L'aorte présente une plaque cartilagineuse au niveau de la crosse. Les po
roupes plus ou moins cir- culaires, formant par leur confluence des plaques d'apparence érythé- mateuse où l'on pouvait cep
francs en argent. Du même côté et un peu plus en dehors, plusieurs plaques rouges (PI. XIV). Pied-gauche tombant, avec for
a partie inféro-externe de la jambe et sur le dos du pied, quelques plaques d'anesthésie. ' Voilà un tableau assez net, et
mblance, étant donné l'évolution de l'affection, qu'il s'agit d'une plaque de méningite chroni- que comprimant les paires
it, le sein gauche, qui était le siège du mal, se marbra de petites plaques rouges, d'une sorte de rash sca1'latini{orme, don
eurscontinuant, il ajoute successivement une, deux, trois et quatre plaques de tôle au papier verre qui recouvre le fond de s
de G kil. 1/2. 6' Des genouillères en cuivre formées chacune d'une plaque de cuivre entourée de papier collé. Remarquons
n, comme coiffure, sa casquette dont le fond est garni de plusieurs plaques de tôle et- pesa ni près de 1 kilogramme. Penda
plusieurs fois d'observer chez les épileptiques de mon service des plaques de pelade qui guérissent sans aucun traitement et
trouva son oreiller jonché de poils, et il constata l'existence de plaques dénudées qui étaient le siège d'une très légère d
s dénudées qui étaient le siège d'une très légère démangeaison. Ces plaques étaient au nombre de quatre, trois dans la région
et une plus grande, un peu à droite du tourbillon des cheveux. Ces plaques étaient absolument blanches et régulièrement arro
de coloration, ne se laissaient pas arracher. Du reste, les quatre plaques ont été mesurées dans le sens antéro- postérieur
oir de petits poils se montrer uniformément sur toute l'étendue des plaques , excepté sur la plaque du côté droit la plus gr
ontrer uniformément sur toute l'étendue des plaques, excepté sur la plaque du côté droit la plus grande (22 millimètres su
veux venaient d'être coupés, de distinguer l'ancien emplacement des plaques . (1) C. li. de la Sac. de Biologie, 1892, p. 18
ion. On peut compter sur toute l'étendue du cuir chevelu plus.de 50 plaques dénudées. La plupart ont l'étendue d'une pièce de
nées sans règle. A la partie postérieure et à droite on voit 3 ou 4 plaques conglomérées, mais dont la forme circulaire est b
fronto-pariétale vers la droite de la ligne médiane, il existe une plaque dénudée beaucoup plus étendue et ayant six centim
antéro-postérieur et 4 et demi dans le sens transversal. Toutes'ces plaques ont un aspect uniforme, toute trace de poils a di
al du sujet ne se prête pas une étude convenable. Sur la limite des plaques les poilssont absolument normaux et leur implan
r implantation est solide. - Dans les deux jours qui ont suivi, les plaques occipitales paraissent s'être légèrement étendu
stationnaires. 1 Le 21 lévrier, on constatait que les plus petites plaques étaient couvertes de petits poils fins sur tout
sur toute leur étendue, on n'en apercevait que quelques-uns sur les plaques moyennes et aucun sur la grande plaque frontale.
it que quelques-uns sur les plaques moyennes et aucun sur la grande plaque frontale. Les plus pe- tites plaques se sont co
moyennes et aucun sur la grande plaque frontale. Les plus pe- tites plaques se sont comblées au cours du mois de mars. . Da
sont comblées au cours du mois de mars. . Dans le mois suivant, les plaques conglomérées et les plaques qui avaient primiti
is de mars. . Dans le mois suivant, les plaques conglomérées et les plaques qui avaient primitivement les dimensions de 1 f
poils un peu pâles d'abord puis plus foncés. Le 20 mai toutes les plaques des régions postérieures et latérale sont disparu
leur position par la couleur des cheveux. A cette époque la grande plaque frontale persiste; elle est toujours assez réguli
uire chez quelques épileptiques une chute de cheveux, sous forme de plaques généralement multiples, assez régulièrement arr
limité au côté droit, tout à fait semblable à celui de la sclérose en plaques . Ni l'ophtalmoplégie ni l'hémiplégie ne s'étaie
Une seule chose pourrait être supposée : ce serait la sclé- rose en plaques . N'étaient le jeune âge de cet enfant et l'ophtal
pareille hypothèse. Tout en rejetant l'existence d'une sclérose en plaques , je tiens cependant à faire quelques réserves à
symétri- ques aux zones d'anesthésie du côté gauche. Enfin larges plaques anesthésiques sur les faces postérieures droite e
à la partie su- périeure des cuisses il existe un semis de petites plaques gangreneuses superficielles, allant du volume d
cisées, on aperçoit en arrière, entre les racines postérieures, une plaque blanchâtre, molle, nettement circonscrite, qui
onscrite, qui occupe toute la hauteur du renflement lombaire. Cette plaque n'est autre chose qu'une infiltration purulente d
qu'une infiltration purulente de l'arachnoïde. Il existe une autre plaque plus' petite un peu plus haut. 328 NOUVELLE ICO
tat aigu, la dispo- sition des lésions chroniques de la sclérose en plaques . Cette analogie évidente n'a rien qui doive sur
idente n'a rien qui doive surprendre étant donné que la sclérose en plaques est rapportée actuellement à un processus infecti
t autour de l'émergence de ces nerfs la méninge présente de petites plaques d'infiltration embryonnaire. Entre l'origine du
émergence, il existe sur le bord supé- rieur de la protubérance une plaque considérable d'arachnoïdite, avec infiltration
26 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
le des parois de la trachée, par la présence, dans leur épaisseur, de plaques cartilagineuses et de glandules muqueuses. Yoici
itudinale : c'est dans l'épaisseur de cette tunique que se voient les plaques cartilagineuses (Fig. 6, a), ainsi que les glandu
ent 0,02 y. (Fig. 1, a). De plus, et c'est là un trait important, les plaques cartilagineuses et les glandes muqueuses y font d
es noyaux sont logés dans la fossette intercapillaire, tandis que les plaques de protoplasma recouvrent les capillaires (Fig. H
rane limitante.— c, tissu embryonnaire. n'offrent pas de noyau. Ces plaques résulteraient de la fusion d'un certain nombre de
on de quelques cellules voi-sines, il est interrompu çà et là par des plaques claires, plus ou moins larges, sur lesquelles les
e voient plutôt dans les mailles intercapillaires et, par contre, les plaques sans noyaux recouvrent les vaisseaux. Fig. 14.
Une variante de ce processus est la formation de grandes cellules ou plaques à noyaux. Elle a lieu quand le protoplasma ne se
r scission. — Il se forme souvent, dans ces circonstances, de grandes plaques à plusieurs noyaux. — Chez l'homme, dans la périt
n des éléments cellulaires. Il n'est pas rare de rencontrer alors des plaques à noyaux, — une variété des cellules géantes. M.
dothélial; scission du noyau, scission de la cellule ; formation de plaques a noyaux ou cellules géantes. Je répé-terai que,
les bords des lobes inférieurs. A gauche, la lésion forme une grande plaque uniforme; à droite elle est disposée symétriqueme
aminons maintenant les lésions : 1° La surface du poumon présente des plaques un peu déprimées d'une coloration bleuâtre ou rou
urtout les derniers; on les rencontre soit isolés, soit juxtaposés en plaques plus ou moins larges, dans lesquelles on voit des
euse et tenace; d'ailleurs pas de pso-rentérie, pas de gonflement des plaques de Peyer. Analyse microscopique des parties alt
érieurs qu'à la base, et qu'au sommet cette matière forme souvent des plaques au niveau desquelles il existe une dé-pression av
aire s. La plèvre pul-monaire était, elle aussi, recouverte de larges plaques rouges. Les surfaces de section présentaient la m
les apparences suivantes: sur la première, on rencontre une véritable plaque à noyaux mul-tiples. Ces noyaux, serrés les uns c
l-tiples. Ces noyaux, serrés les uns contre les autres au centre delà plaque , deviennent de plus en plus rares, à mesure qu'on
nuellement ses mains à son nez, ont dé-terminé aux poignets de larges plaques ecchymotiques.. qui les en-tourent en forme de br
ur le devant de la poitrine, une éruption érythéma-teuse, composée de plaques arrondies, noires, confluentes, dispa-raissant co
, comme tassées les unes contre les autres. A la base de l'encéphale, plaques de fausses membranes verdâtres au niveau du chias
s. — La membrane muqueuse de l'iléon présente, sur-tout au niveau des plaques de Peyer, des tubercules nombreux et à divers deg
est uniformément répan-due, ou, au contraire, disposée sous forme de plaques , de marbrures. Il est facile de s'assurer, en exa
e présentent aucune altération. L'aorte est saine: on n'y voit pas de plaques athéromateuses, elle n'est nullement dilatée. Le
es plus déclives, des flocons albumino-fibri-neux verdâtres. Quelques plaques pseudo-membraneuses, verdâ-tres, sur la plèvre qu
ven-tricule gauche, au voisinage de la pointe, on voit de nombreuses plaques blanches, d'une grande étendue et d'une date évid
ne saillie d'environ un centimètre. La face interne est recouverte de plaques calcaires; elle paraît, du moins en certains poin
ies à évolution rapide6: des gangrènes circonscrites ou diffuses; des plaques ecchy-motiques enfin, occupant l'épaisseur de la
cas qui nous occupent, on a re-marqué, au centre des infractus ou des plaques ecchymofiques, des artérioles distendues et oblit
antainsi à une grande partie de la surface interne de l'intestin. Les plaques de Peyer et les follicules isolés sont dans un ét
ventricule gauche, près du sillon auriculo-ventricu-laire, existe une plaque blanchâtre, d'aspect fibreux et d'origine évidemm
rtement adhérentes, à la face postérieure des pou-mons, on trouve des plaques pseudo-membraneuses peu épaisses que l'on peut dé
après le début. A l'autopsie, on constate l'intégrité parfaite des plaques de Peyer et des follicules isolés de l'intestin g
penchons pour cette dernière opinion. l'état d'induration rouge et plaques purulentes quelques superfi-cielles; il y avait a
rois de l'artère. Dans les der-niers pieds de l'iléon, ulcération des plaques de Peyer dont quel-ques-unes sont envoie de cicat
es, et meurt au bout de quelques minutes. Autopsie. Ulcérations des plaques de Peyer et des follicules isolées presque entièr
e lésion, une dégénérescence des parois aortiques, qui, par-semées de plaques ossiformes sur divers points, offraient dans tout
est surtout à l'in-térieur de cette grande artère qu'on rencontre ces plaques os-siformes si bien organisées, qui jouissent d'u
ue toujours à la fonte d'un dépôt athéromateux, ou à l'avulsion d'une plaque crétacée. Symptômes et Diagnostic — Les signes
ement de l'artère iliaque droite, et dont les bords sont incrustés de plaques calcaires; en haut, à droite et en avant, elle s'
iolacées. Nulle autre altération de cette mem-brane. Dans Yiléon, les plaques de Peyer sont blanchâtres, mais non hypertrophiée
elques incrustations. L'aorte descendante thoracique, à part quelques plaques athéromateuses, est, dans toute son étendue, sain
s où les caillots sont adhé-rents, on aperçoit, par transparence, des plaques blanchâtres qui paraissent sous-jacentes, mais pa
ques blanchâtres qui paraissent sous-jacentes, mais pas de véritables plaques calcaires. D'ailleurs, la membrane interne est fr
uand on l'incise. Il renferme çà et là un certain nombre de noyaux ou plaques fibrineuses analogues à celles qui ont été signal
admettre que des parcelles de matière athéromateuse, des fragments de plaques osseuses artérielles ou de végétations valvulaire
, àla rigueur, supposer que chez cette malade, quelques fragments des plaques osseuses qui existaient à l'o-rigine de l'aorte e
oles. — 2, epithélium. — 3, parois alvéolaires. Fig. 4. — 1, grande plaque à plusieurs noyaux. — 2, 21 tissu élastique de la
9; — struc-ture des — de calibre, 29; — tunique fibreuse des —, 30; — plaques cartilagineuses des — ,30 ; 33, — tunique muscule
27 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
e que les autres ; je ne l'ai vu que deux fois ; il consiste dans des plaques rouges légèrement saillantes à la surface de la p
La saillie qu'elles forment est très légère et comparable à celle des plaques d'urticaire..... 4° Plusieurs malades ont été a
, et un rétrécissement et une ulcération du rectum, indépendamment de plaques muqueuses de la vulve. Cette femme aurait eu, i
mois dans le service de M. A. Guérin à l'hôpital de Lourcine pour des plaques muqueuses et avait pris quatre pilules de Bellost
st prescrit. On donne o gr. 5o d'iodure de potassium chaque jour. Les plaques muqueuses sont cautérisées. Des cautérisations
cautérisations hebdomadaires sont pratiquées comme précédemment. Les plaques muqueuses guérissent vite, l'orifice de la fistul
ral, de couleur jaunâtre ou grisâtre, et séparées entre elles par des plaques , dont lablan-cheur contraste avec celle des tégum
taches pigmentaires se forment aux dépens du pigment qui occupait les plaques restées décolorées, et ces dernières sont d'autan
e fut soumise durant son séjour à l'hôpital s'adressait surtout à des plaques muqueuses, et l'on ne peut attribuer à l'efficaci
oute sa surface jusque vers l'extrême périphérie. Les contours de ces plaques , droites ou curvilignes, sont tantôt nettement tr
voit commencer la métamorphose régressive : les contours des grandes plaques apoplectiques perdent leur coloration et devienne
Tête : Os, péricrâne, rien. — Les artères de la base offrent quelques plaques graisseuses. — Encéphale, 1,100 gr.; —cervelet, i
embres, suivies de langueur, d'affaiblissement général. Bientôt des plaques de couleur variable, rouges (mal rouge de Cayenne
contracté la gale qu'il s'aperçut que sur les membres existaient des plaques circulaires rouges à rebords un peu- saillants, a
rds un peu- saillants, avec anesthésie complète. Jusqu'en 1856, ces plaques augmentèrent de nombre et de dimensions; mais, so
axillaire du côté droit; rougeur partant du tubercule enlevé; petite plaque d'érysi-pèle.. Pendant le mois d'avril, rien de
u nom de teigne linguale ; celle-ci se présentait sous la forme d'une plaque noirâtre, occupant la base de la langue, ressembl
mécanisme simple, telle quantité d'air que l'on désire à travers une plaque percée de petits trous, qui le divise au moment o
de la fesse droite est plus foncée qu'hier et, au centre, on voit une plaque bleuâtre de 4 cent, de diamètre. Erythème de la f
du ventricule latéral. Ces lésions ne rappellent en rien l'aspect des plaques jaunes, résultant des ramollissements anciens. (L
ngestion hypostatique. — Cœur, 220 gr. (sans le péricarde) ; quelques plaques laiteuses à la périphérie. Sang noir, en partie c
e fixer d'une façon commode et sûre, je fis glisser sur lui une large plaque de caoutchouc bien souple, mais de quelque épaiss
rou qui livrait passage au tube en le serrant un peu ; j'amenai cette plaque au contact de la peau et l'y appliquai à l'aide d
on ne rencontre aucune trace d'ulcération; mais on trouve par larges plaques des ecchymoses bornées au bord antérieur. Elles s
tout dans la dernière moitié de l'intestin grêle. Autour de plusieurs plaques de Peyer non ulcérées existe une congestion assez
28 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
M. P. Regnard eurent pour but de rechercher si l'application d'une plaque métallique sur la peau détermine ou non un cour
la peau détermine ou non un courant. Pour s'en assurer, il relia la plaque de métal à un galvanomètre de du Bois-ltey- mon
le circuit en attachant le second fil du galva- nomètre à une autre plaque du même métal que la première et placée sur un
sultats géné- raux furent que : un courant s'établit entre les deux plaques et que la déviation galvanom6trique, donnée par
ste ou même puisse exister dans le cas où l'on applique une seule plaque de métal. Les partisans des courants engendrés pa
é émises. M. Oni- mus avait d'abord indiqué une action possible des plaques métalliques sur les courants électro-capillaire
n excès dans l'inflammation, etc.). M. Oni- mus se demandait si les plaques de métal ne pourraient pas agir d'une manière a
solant (cire à cacheter, gomme laque, caoutchouc, gutta-percha) les plaques métalliques qui avaient été recon- nues pour ag
recouvrait que la partie du métal qui ne touchait pas la peau. Les plaques de cuivre, de laiton, de zinc, d'argent, ainsi pr
à laquelle, après essais préalables, elles étaient destinées. Des plaques de laiton, munies de pointes, parurent agir plu
de laiton, munies de pointes, parurent agir plus rapidement que les plaques ordinaires. La plaque de métal actif, au lieu d
tes, parurent agir plus rapidement que les plaques ordinaires. La plaque de métal actif, au lieu d'être enduite d'une couc
être enduite d'une couche isolante, fut simplement recouverte d'une plaque d'un autre métal. Dans ce cas, bien que le méta
remplie, on peut superposer alternati- vement un certain nombre de plaques de ces deux métaux et l'on constate toujours qu
termine par le métal actif, on a exactement le même effet que si la plaque qui se trouve en contact avec la peau avait été
assant, ilne serait pas exact de considérer comme nul l'effet de la plaque neutre. S'il ne se produit pas de nou- veaux ph
'est que leur évolution est empêchée par la seule présence de cette plaque ; il y a en somme un véri- table arrêt, de tell
e que les phénomènes déjà produits au moment de l'application de la plaque neutre, sont comme immobilisés dans le statu qu
cutives. En outre, cette tension totale est la même que si les deux plaques en question (la première et la dernière) étaien
re) étaient directement en contact. Or, dans notre expé- rience des plaques superposées, nous ne pouvons imaginer d'autre c
applications métalloscopiques. Nous avons constaté en effet que des plaques de zinc, par exemple, encrassées d'une couche é
t sur le côté sain, où elle provoquait de l'anesthésie. Or, avec la plaque pola- risée, ce dernier mode était seul efficac
ite des métaux plusieurs agents électriques faibles. Telles sontles plaques d'ébo- nite, de gutta-percha, de cire à cachete
solutions métalliques, employées par M. Burq comme succédané de ses plaques . Or, une injection hypodermi- que d'eau distill
totale; la sensibilité commence bientôt à reparaître au niveau des plaques ; lorsqu'elle s'étend sur une zone de quelques
la contraction paradoxale dans le tabes dorsal, dans la sclérose en plaques , dans la para- lysie agitante; tantôt le réflex
, chez quatre hémiplégiques, chez un sujet atteint de sclérose en plaques et chez cinq alcooliques affectés de tremblement
certains groupes de muscles, souvent ceux qui sont sous-jacents aux plaques d'anesthésie cutanée. Aussi, la pointe du pied
limitée à la tunique interne du vaisseau, de plus indépendante des plaques athéromateuses qui peuvent BIBLIOGRAPHIE. H5
e nappe de collodion, qui, comme lorsque le photographe prépare une plaque , s'y étale en une mince couche adhérente : on l
ces qui sont facilement enlevées par un léger lavage à l'eau sur la plaque même, puis par l'addition de glycérine. Ce n'
it reposer la lame porte-objet sur un corps légèrement chauffé (une plaque de métal, une brique, un godet de porcelaine),
nt si une buée de vapeur d'eau était amenée à se condenser sur la plaque de verre, au contact des bords de la couche ÉTU
e point ramolli au pied de la deuxième circonvolution frontale. Une plaque (jaune) de ramollissement à la partie pos- téri
rculation cérébrale' donnant lieu à- des infarctus locaux'et à1 des plaques ischémiquedues'à ? la dégénérescence athéromate
29 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
lques malades les procédés de la chronophotographie géométrique sur plaque fixe de M. Ma- rey, de manière à étudier les mo
n ne trouve pas de cicatrice appréciable, et qui ne fut suivi ni de plaques muqueuses ni d'au- cune autre manifestation syp
é avait des signes très marqués de dégénérescence et de sclérose en plaques . Le travail de Fagge est plein d'intérêt; il no
is les éléments éruplifs ne se disposent pas ici en stries, mais en plaques variées de dessin irrégulier; sur la fesse les
nds, festonnés; on re- marque partout que les parties centrales des plaques sont plutôt plates, tandis que leurs parties ma
s parties marginales sont comparativement plus relevées; toutes les plaques s'étendent pour la plupart le long de l'axe du tr
rouge asséz lisse. Sur la cuisse et le naous veneris,lacouleur des plaques est d'un rouge plus foncé et l'écaille- ment su
us clairement que dans les autres régions du corps. La grandeur des plaques est variée : depuis la grandeur d'une lentille
lle jusqu'à un cercle d'un centimètre de diamètre. Plusieurs de ces plaques élémentaires en se confondant forment des figures
é de Médecine de Nancy. L'histoire des sclérodermies localisées, en plaques (kéloïde d'Addison, sclérémie lardacée, morphée
'histoire d'un malade « qui portai tau côté gauche de l'abdomen une plaque qui s'étendait de jour en jour..... Lorsqu'on t
s'étendait de jour en jour..... Lorsqu'on touchait le milieu de la plaque avec le doigt, le malade n'éprouvait aucune sen
ns de sclérodermie généralisée et un cas de morphée scléreuse, avec plaques lardacées, de la région dorsale chez un homme d
ome I, 1880. () nAI1'l'Il;LE)IY, Note sur un cas de sclérodermie en plaques . xi ' 10 .. 142 "-) LOUIS SPILLMANN . Dan
s la tête du sourcil gauche jusqu'à la lisière du cuir chevelu, une plaque dont l'aspect est le suivant : 1° Elle est ento
e rose, qui occupe la partie saine de la peau sur les limites de la plaque , et au niveau de laquelle on constate du plisse
ar- tie malade des parties saines. 3° Le centre est occupé par la plaque proprement dite; d'un jaune pâle un peu rougeât
tites excoriations. Elle est dépourvuede cheveux ainsi que les deux plaques blanches. Au niveau de ces plaques, la peau est
vuede cheveux ainsi que les deux plaques blanches. Au niveau de ces plaques , la peau est décolorée, lisse. Il semble existe
permet de percevoir les mêmes sensations que celles fourniespar la plaque chéloïdienne du sommet du crâne. Il semble que
'hôpital, son état général fut aussi satisfaisant que possible. Les plaques lardacées devinrent plus brillantes et la bande
crises ne se reproduisent pas. On allait recourir au traitement des plaques sclérodermiques et de la chéloïde par l'électro
est un beau cas de sclérodermie en coup de sabre, accompagnée d'une plaque chéloïdienne, survenue chez un dégénéré nerveux
ez notre malade l'origine nerveuse de la lésion, c'est le siège des plaques . Elles suivent exactement, en effet, le trajet
lésion périostée de t'autre côté du diploé, analogue à celle de la plaque chéloïdienne, et ayant produit, soit une compre
anes des sens ne sont pas touchés. Cependant Zollinger a trouvé une plaque osseuse dans la choroïde avec amaurose, Pinter et
es je ne reviens pas en détail. Je ne vois guère que la sclérose en plaques et les tumeurs cérébrales qui puissent entrer e
que, chez noire malade, nous ayons affaire à un cas de sclérose en plaques ? Certes, rien dans son cas ne rappelle la sclé
e en plaques ? Certes, rien dans son cas ne rappelle la sclérose en plaques classique, avec son appareil symptomatique bien
e notre malade, nous pourrions supposer, chez elle, l'existence des plaques de sclérose peu nombreuses, siège exclusive- me
ffaire, chez elle, il une de ces formes irrégulières de sclérose en plaques , mais tel n'est pas mon avis. Reste l'hypothè
ant : « Chancre induré de la lèvre inférieure, à droite ; roséole ; plaques muqueuses amygdaliennes, engorgement des gangli
ginairement des plus bénignes : chan- cre induré; roséole; quelques plaques muqueuses buccales et rien autre. Traitement me
. Fournier) (inédite). Père syphilitique : chancre induré, roséole, plaques muqueuses gutturales il diverses reprises. Trai
. contracte la syphilis en 1880. Chancre induré, roséole, alopécie, plaques buccales à diver- ses reprises. Traitement : pi
hé- rédo-syphilis (syphilide cutanée polymorphe, fissures labiales, plaques mu- queuses, coryza sanieux et sanguinolent, te
La mère" a eu un chancre des parties génitales, de la roséole, des plaques muqueuses, etc. Elle n'a subi un traitement que v
r GEam). - lui. X... contracte la syphilis à dix-huit ans (chancre, plaques muqueuses, syphilides papuleuses, etc.); il se.
J. NISSIM plus ou moins atteints. Le grand dorsal forme une grande plaque osseuse, de- puis son origine jusqu'à l'angle d
tébrale et celle de la 66 à deux pouces de la colonne. Nombreuses plaques osseuses dans les muscles, particulièrement dans
rond. L'omoplate gauche est solide- ment fixée par ces différentes plaques . Petite exostose vers le milieu de la 6e côte d
ssifiée; le reste du muscle est pâle, atrophié. Des bandes et des plaques osseuses se voient dans les muscles abaisseurs de
ur du grand adducteur, depuis son origine jusqu'à sa ter- minaison. Plaque osseuse dans la partie inférieure du vaste extern
nd pectoral, au creux axillaire ; cette masse envoie, en dedans une plaque osseuse qui se ra- mifie et couvre les 2% 3c et
es os en quelques points. La peau nor- male présente par places des plaques qui deviennent d'un rouge sombre ou bleuâtres l
du 28 mai 1886. T. D..., 3 ans, en 188 déjà l'enfant présentait des plaques osseuses dans le grand dorsal droit et un noyau
Sur le bord externe du grand dorsal (ou du petit rond) se voit une plaque osseuse de 4 pouces, dans la paroi postérieure de
en dehors. Lé- gers mouvements entre l'omoplate et l'humérus : les plaques osseuses ne sem- blent pas être réunies aux os
semaines, la tuméfaction se tassa laissant à sa suite des nouvelles plaques osseuses et une difficulté dans les mouvements
t surtout au niveau de son insertion. Là ils se continuent avec des plaques osseuses se trouvant sous le deltoïde et le gra
e l'insertion ; ils se continuent ainsi que du côté opposé avec des plaques osseuses sous le deltoïde et aussi avec le gran
n constate des protubérances sur le bord interne des omoplates, des plaques osseuses dans le grand dorsal. Les bras, le plus
sé, localisées aux membres supérieurs. Dans certains endroits des plaques osseuses se sont développées dans le fas- cia e
e voit une petite tumeur qui se réu- nit par une bandelette avec la plaque interne. Une bande mince, dure, occupe la régio
' ol'l1elllCllla 1 iOIl. ' La façade (le son hôtel était décorée de plaques de faïence aux personnages renouvelés 11 ? 11)C
30 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
début font penser aux vertiges qu'on observe dans la sclérose en plaques . Mais la forme de sclérose que l'autopsie a déc
décelée chez notre malade diffère de tous points de la sclérose en plaques . En effet, nous avons vu que les foyers siégeai
parties de l'encéphale présentent des lésions dans la sclérose en plaques , que celle-ci affecte de préférence les parties
, que celle-ci affecte de préférence les parties centrales, que les plaques , au lieu d'être blanches, ont une coloration gr
en 1879, M. Lombard s'attache encore à démontrer la supériorité des plaques thermo-électriques sur les thermomè- tres de su
Bert reprenait à son tour les expé- riences de Lombard, au moyen de plaques thermo-électriques et arrivait, sur l'homme, à
st préférable d'employer des thermomètres de surface plutôt que des plaques thermo-électriques, dont la sensibilité est trop
istance, et dans le voisinage de l'une d'elles on trouva une petite plaque ulcérée. C. T. VII. UN cas D'HÉMIPLÉGIE ET d'
sissement général des méninges. Sur la convexité des deux côtés, plaques opalescentes de la pie-mère ; adhérence intime
les, le tronc basilaire, les èi- carotides présentent de nombreuses plaques d'athérome. Rien ? de particulier dans les tissus
à montrer aussi que les effets physiologiques, déterminés par la plaque de métal,' peuvent' être, avec plus de simplicité
e disparait graduellement, en suivant une sorte de retrait vers les plaques . C'est ce que M. Burq ap- , pelle aneslhésie 1'
'. " » . .. jj ? t, ! J\)lJJ11" pl, n lU . a01Ï c§i^on enlève les plaques , avant que la sensibilité ait com- D m,eI}cé j
nerveux. Des gravures annexées à leur travail montrent la forme des plaques .. i ' ? , ;> ! " ' ? ? ,. nr'* " "-il 'iir
HERAPIE, ^ESTHÉSIOGÈNES. 269 ' o. ! I ! -J ! lf,1 ,. 1 cacité des plaques ou armures et n'y voit qu'une forme d'ap- plica
avions même ( communication verbale) que M. DurIT avait essayé ,des plaques aimantées,, pa- rérllés celles'quittaient autre
rveau à l'examen macroscopique. Sur la moelle durcie, se trouve une plaque de sclérose dans la portion cervicale du cordon
es et tout le reste de la coupe sont sains. Histologiquement, cette plaque se carac- térise par l'épaississement de la név
dessous de la limite indiquée (la troisième paire), l'étendue de la plaque diminue rapidement. Au niveau du quatrième nerf
lètement. A la hauteur des cinquième et sixième nerfs cervicaux, la plaque s'approche de plus en plus de la périphé- rie e
érine. Un cas analogue de M. Schultze (Cen- tîalblatt, 1878), d'une plaque de sclérose dans la portion cer- vicale supérie
teur comme pro- bablement congénital. Un second cas analogue, d'une plaque de sclérose, occupant exactement le même siège
lle, mais à de légers épanchements, à de petites embolies, et à des plaques d'encéphalite ou de sclérose. M. BLANDMRD (Lond
n'a pas de contracture, même partielle. 11 n'y a toujours aucune plaque méningitique, ni aucun trouble vaso-moteur, même
le coma, avait la bouche fuligineuse; le face était violacée par plaques , le rythme respiratoire était renversé et la resp
re celui de méningite tuberculeuse, avec cette particularité qu'une plaque de méningite devait se trouver sur la convexité
e de la congestion et une vascularisation disséminée par îlots. Les plaques de Peyer et les follicules clos sont examinés l
au nombre desquels il faut compter surtout des cas de sclérose en plaques . Mais la véritable encépha- ' Ces mêmes lésions
d'une encéphalite scléreuse telle que celle dont la sclé- rose en plaques a fourni de si nombreux exemples. On ne peut pa
able de l'acuité auditive du côté insensible, on avait appliqué une plaque de métal sur la région temporale de ce côté. M.
sensibilité dans une certaine étendue de la peau d'un mem- bre, une plaque d'anesthésie de dimension et de configuration é
néralement à considérer le retour de la sensibilité au niveau de la plaque de métal, et sa disparition dans une région sym
ne zone sensible; et sur l'autre jambe dans le point symétrique une plaque d'anesthésie. En un mot, les membres inférieurs
t ? Simplement par l'apparition sur le point symétrique d'une autre plaque d'anesthésie pareille à celle du côté de l'appl
ctement les mêmes applications sur le côté sain, on y détermine une plaque d'anesthésie, et en même temps apparaît sur l'a
action commence (une ou plusieurs minutes après l'application), une plaque d'anes- thésie s'établit autour du métal et sim
ntéro-externe (points analogues). A partir de ce moment, ces quatre plaques d'anesthésie, semblables en forme et en étendue
vers la périphérie. De sorte que, au bout de quelques minutes, les plaques elliptiques d'anesthésie sont devenues des band
érale résulte de la. fusion sur la ligne médiane de ces différentes plaques primitivement écloses sur les quatre membres. N
de séances de tabouret, en commençant par les extrémités, puis par plaques irrégulières, mais des deux côtés à la fois. Re
s, le diagnostic vraisemblable est celui de dégé- nération grise en plaques cérébro-spinale, quoique l'ensemble symptomatiq
rdait jadis une grande créance. Cette malade présente de nombreuses plaques d'anesthésie. Son délire la rap- proche de quel
Plu- : -90piu.'By a(joi'iu,9U 18^5., e Ifi"jf3 tjrn.p.'ft'rn sieurs plaques . ecchymotiques, noirâtres, au voisinage, ,10.)"
régions éloignées. Par exemple, pour parler d'abord des métaux, une plaque d'or ne donnera lieu à aucun phénomène chez un
lorsque, par exemple, la sensibilité est déjà revenue autour de la plaque d'or, cette sensibilité persiste et l'anesthési
llier, témoin de nos' expériences, nous suggéra l'idée de placer la plaque neutre non plus sur la plaque active, mais à cô
ces, nous suggéra l'idée de placer la plaque neutre non plus sur la plaque active, mais à côté, sur la peau même. Le résul
et d'arrêt se produisait quelle que fût la distance entre, les deux plaques , lors même qu'elles étaient l'une sur le bras d
rtant : l'arrêt dé- pend dans ce cas, c'est-à-dire lorsque les deux plaques sont sur la peau, de leur position relative par
sition relative par un rapport au centre nerveux. Ainsi, lorsque la plaque neutre se trouve entre la plaque active et le c
entre nerveux. Ainsi, lorsque la plaque neutre se trouve entre la plaque active et le centre, l'arrêt est général et compl
pique différerait de celle de tous les métaux simples. L'emploi des plaques doubles apporterait donc aux recherches métallo
ion des phénomènes (sensibilité ou anesthésie, etc.) au moyen d'une plaque neutre est efficace, quel que soit le procédé q
-delà du terme ordinaire. Il suffit pour cela d'une ou de plusieurs plaques neutres. Le résultat ainsi fixé dure généraleme
ans retour. Quelquefois le résultat persiste après l'enlèvement des plaques , alors il est définitif. Nous avions même conse
e, et même, pour plus de certitude, de réunir deux de ces métaux en plaques doubles. Cette méthode de fixation n'a pas pass
n pouvait fixer la sensibilité, une fois revenue, en appliquant une plaque composée de deux métaux. M. Vigoureux reprit la q
à la Société de biologie, ne se rapporte à l'emploi méthodique des plaques doubles, ni à la fixation des phéno- mènes. Le
ents, les secousses, les névral- gies, los phénomènes vaso-moteurs ( plaques congestives, bibliographie. 627 pointillé ccc
31 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
Ainsi le papier noir épais susceptible de protéger parfaitement une plaque sensible de la lu- mière du jour, est traversé
e- ment close l'ampoule cathodique et exposer à courte distance une plaque photographique recouverte de l'objet que l'on v
ions travailler dans une pièce éclairée sans inconvénient aucun, la plaque étant protégée contre la lumière naturelle, et
lorsque le modèle ai reproduire s'appliquera très exactement sur la plaque sensible, les parties situées dans des plans an
dissection sur le vif opérée par l'action de certains rayons sur la plaque photographique : la forme exacte d'une fracture
enfin obtenu la photographie entière d'un lapin de garenne sur une plaque de format 50 X 60. Cette épreuve est d'une nettet
ésenter dans cet amphithéâtre, des syringomyélies, des scléroses en plaques , des maladies de Friederich, dont les symptômes é
ive myopathique, la sclérose latérale amyotrophique, la sclérose en plaques , la myélite transverse, la syphilis médullaire, l
yphilis : il n'a jamais eu de chancre, jamais d'alopécie, jamais de plaques dans la bouche. - - Il n'est pas buveur el ne
is diagnostics doivent être discutés : 1. La tuberculose : Gomme ou plaque de méningite basilaire siégeant dans la région
vé chez un paralytique général, compliqué de tabes inci- piens, une plaque de méningo-myélite, présentant absolument- tous l
olutives, spontanément ? 'e- (1) N.1GEOTTC et Lenoble, Note sur une plaque de myélite siégeant dans le faisceau antéro-lat
'un réflexe rotulien exagéré que les tremblements de la sclérose en plaques . 1 Malgré cela j'ai réussi à obtenir les courbe
arsemée dans toute la hau- teur de la moelle d'innombrables petites plaques blanchâtres, d'une dureté pierreuse (arachnitis
angle qui sépare la corne antérieure de la corne postérieure. Cette plaque sclé- reuse s'étendait sur une hauteur de 6 à 7
e nom de sclérose disséminée, qu'on peut tra- duire par sclérose en plaques , Dickinson (1) publiait, sans commentaires, deu
de cas pour la plupartcongénitaux, qu'il attribue à la sclérose en plaques , affection que la prédominance habituelle de se
t d'idiotie et d'accès épileptiques, et non celui de la sclérose en plaques . Dans un deuxième mémoire, M. Moncorvo (2) donn
s, Berthier, 1884. , (2) Moncorvo. De l'étiologie de la sclérose en plaques chez les enfants et notam- ment de l'influence
'autorise, dans tous les cas, à porter le diagnostic de sclérose en plaques . Depuis, M. Moncorvo (1) a publié 3 nouvelles o
servés, que les accidents doi- vent être attribués à la sclérose en plaques . Cliniquement , ces cas doivent être rapprochés
énitale héréditaire ne semble pas donner naissance à la sclérose en plaques , il ne ressort pas moins des faits, qu'elle peu
d'ailleurs invisibles, mais capables cependant d'impressionner des plaques sensibles, vient à peine d'être découverte par Ro
biculaire tendant à disparaître. L'auteur pensa qu'il s'agissait de plaques de sclérose dans le cerveau et dans le bulbe su
s symptô- mes caractéristiques de la sclérose multiple (sclérose en plaques ) sous /'or- me de paraplégie spasmodique. Les p
reuse de la vulve, suivie de chute des cheveux, de céplialée,'et de plaques muqueuses buccales. Elle se fit t soigner à l'H
au bout de six semaines environ on observa sur les jambes plusieurs plaques rou- ges qu'on vint vite me montrer. Ces plaq
jambes plusieurs plaques rou- ges qu'on vint vite me montrer. Ces plaques étaient constituées par des agglomérations' de pé
bout de quelques jours on vit se produire une nouvelle éruption de plaques rouges avec un gonflement beaucoup plus considé
eds. En deux jours l'érup- tion était complète, il y avait dix-huit plaques sur la jambe gauche et 37 sur la droite, présen
mencé à s'en apercevoir la veille. On voit sur la jambe droite onze plaques et sur la jambe gauche 9 plaques présentant un
. On voit sur la jambe droite onze plaques et sur la jambe gauche 9 plaques présentant un aspect assez uniforme et distribu
rme et distribuées principalement sur la face antéro-interne. Ces plaques généralement arrondies ou ovalaires varient de l'
s LE BORAX DANS LE TRAITEMENT DE L'ÉPILEPSIE 205 En dehors de ces plaques , on remarque sur les deux jambes un grand nom-
présentent une différence de coloration bien marquée sur les mêmes plaques , les unes sont tout il fait rouges, récentes, d'a
hies nouvelles ont apparu les jours suivants, mais'pas de nouvelles plaques . Puis l'oedème a diminué, et la dé- coloration
angle qui sépare la corne antérieure de la corne postérieure. Cette plaque scléreuse s'étendait sur une hauteur de six il
ON XVII, 29 avril 1896. Foetus de 5 mois 1/2. Mère âgée de 19 ans ; plaques muqueuses constatées le 3. mois de la grossesse
t atteint de maladie de Raynaud, au seul doigt qui ait présenté une plaque de gangrène. Ce malade, la vérité, ne présente
epuis longtemps déjà par la maladie de Raynaud, avait de nombreuses plaques de gangrène digitales à tous les doigts, sauf aux
32 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
e de nombreuses dépres- sions plus ou moins prononcées et plusieurs plaques transpa- rentes. Les différents os de la base d
tué sur la moitié gauche de l'occipital (2 cm. 3 cm.). Nombreuses plaques translucides sur la moitié postérieure des pariét
té de la suture fronto-pariétale et des occipitaux, se voient des plaques transparentes. (Fig. 9). OBS. VII. IDIOTIE cong
aisseur varie de 1 mm. 1/2 à 3 mm. ; il présente do très nombreuses plaques transparentes disséminées partout, .principalem
st assez élevée, mince, les os sont peu épais. Il y a de nombreuses plaques transparentes occupant la moitié de la calotte
du crâne sont extrêmement minces et offrent tous de très nombreuses plaques transparentes. - La suture saggiltale, vue par
mpte-rendu pour 1892, p. 23. 12 -2 IDIOTIE. détaché. Il y a une plaque transparente de chaque, côté de la suture métop
ement apparentes sur la face interne. Pas d'os wormiens.-Nombreuses plaques transparentes, prin- cipalement sur les pariéta
ent mince et présente latéralement des régions trans- parentes. Des plaques translucides existent encore sur les pariétaux
alotte crânienne sont assez épais et consis- tants. Il n'y a pas de plaques transparentes. En revanche, en examinant succes
nis. Calotte blanche, mince (2 à 4 millim.), symétrique; nombreuses plaques transparentes surtout paral- lement et en arriè
gauche. Près du point de départ de la suture sagittale, on voit une plaque encore plus transparente, en forme de 8. A droite
ore plus transparente, en forme de 8. A droite, se trouve une autre plaque très transparente, de forme circu- laire. Les s
s sont représentées par des lignes légèrement déprimées. Il y a des plaques transparentes au niveau du bregma et des suture
es et inter-pariétales. Cuir chevelu bleuâtre avec quelques petites plaques lenticulaires violacées. - Les os du crâne, un
e. - Pie-mère congestionnée. Sur la base et la face convexe, larges plaques ecchymotiques. A la face interne des lobes fron
isphères présente une vasculari- sation modérée, uniforme, avec des plaques ecchymotiques, sur le bord extérieur et la face
inférieure de la frontale et de la pariétale ascendantes. Quelques plaques ecchymotiques aussi sur les lobes temporaux à l
ndis qu'elles sont ramollies sur le reste du cerveau et offrent des plaques laiteuses au niveau des régions sylviennes. 198
e jusqu'au niveau du lobe frontal qui, lui ? est représenté par une plaque de substance cérébrale offrant : ' l'aspect de
oit, du reste, est plus mince et plus développé que le gauche ; les plaques transparentes* rares d'ailleurs, sont plus nomb
Péricarde : rien. Coeur : 400 gr., en systole, normal ; légères, plaques d'athérome de l'aorte ascendante. . /4Moi) ! C)
fontanelles sont comblées et les sutures ne sont pas élargies ; des plaques translucides existent sur le frontal et les par
interne porte les empreintes profondes des vaisseaux méningés. Les plaques trans- parentes y sont rares. La calotte de Gre
te purulente). 282 « Hydrocéphalie; SCAPHOCÉPHALIE. adhérences et plaques laiteuses ; une de ces plaques conte- nait un p
halie; SCAPHOCÉPHALIE. adhérences et plaques laiteuses ; une de ces plaques conte- nait un petit noyau calcaire. Foie (850
e et blanchâtre surtout à gauche. La vascularisation s'accentue par plaques à droite sur la première temporale et le lobe p
es sillons sont profonds ; il n'y a pas d'altération autres que les plaques congestives si- gnalées. Le ventricule latéral
la face interne de la lèvre inférieure. , 14 août. On constate une plaque muqueuse, d'aspect^ légèrement papillomateux à
q... fait de fréquents séjours à l'infirmerie pour y être soigné de plaques muqueu- ses, à la bouche et à l'anus, compliqué
33 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
e canule emporte - pièce qui devait prendre son point d'appui sur une plaque de corne introduite par les fosses nasales. Mais
3). Introduire sous la paupière, entre elle et le globe de l'œil, la plaque de l'élévatoire en écaille; soulever la paupière,
'étrangler circulairemcnt, fixer les fils tendus clans la fente de la plaque restée au dehors et maintenir cette dernière immo
er, par une compression permanente avec des fils métalli-ques sur une plaque ou même par une demi-luxation, de re-dresser ces
étau, avec interposition, dans les gouttières génio-gingivales, d'une plaque de plomb qui s'oppose à la formation de nouvelles
spèce de trocart chauffé à blanc, qu'il introduisait au travers d'une plaque protectrice. Louis, dans le siècle dernier, préfè
me d'arrosoir en saillie dans la bouche, et de l'autre par une petite plaque , élargie en pavillon , logée à l'intérieur de la
mais avec une modification. Son instrument se compose de deux petites plaques métalliques, d'un centimètre de diamètre, réunies
. Lorsque le kyste est affaissé, saisissant avec des pinces l'une des plaques de l'instrument, on insinue l'autre plaque au ded
avec des pinces l'une des plaques de l'instrument, on insinue l'autre plaque au dedans delà cavité, la première restant au deh
commandés par Ledran , mais en se servant, en guise de fourche, de la plaque fendue de la sonde cannelée ordinaire. Procédé
cle dernier, quelques chirurgiens faisaient recouvrir l'orifice d'une plaque métallique trouée, et Garengeot, d'une mousseline
elles émanent, n'exercent qu'une compression insignifiante. La double plaque de Lottery, le jeton de Quesnay, sont dans le mêm
st le plus parfait: 1» en ce que. la canule à robinet est munie d'une plaque curseur qui s'applique à la plaie pour limiter la
ébridement d'instrumens protecteurs. On a rejeté depuis long-temps la plaque ailée de Méry, les bistouris herniaires de Bienai
dont il s'est servi est assez ingénieux. Il a eu recours à une petite plaque ovale de bois de sapin, rendu lisse et poli, d'un
r de 3 à 4 centimètres sur une largeur de 2 ; peut-être au lieu d'une plaque de bois, dont le contact est toujours un peu dur
pulsé parles selles. Quoi qu'il en soit, M. Reybard ayant percé cette plaque de deux trous en travers (fig. 6), y passa une an
anse de fil. Armant ensuite, l'un et l'autre chef d'une aiguille, la plaque présentant son plus petit diamètre suivant la lon
ie, fut introduite dans la cavité de l'intestin , et chaque côté delà plaque intestinale fut traversé par l'aiguille correspon
e fut traversé par l'aiguille correspondante, en regard du trou de la plaque , de manière que les deux côtés de l'intestin vins
trouvant plus que linéaire et correspon-dant au grand diamètre de la plaque . Enlevant alors les aiguilles droites, le chirurg
l'extraction du fil ; le lendemain même de cette manœuvre, la petite plaque de bois fut expulsée au dehors avec les selles.
nous l'avons dit plus haut, c'est un in-convénient assez grave que la plaque soit formée d'une substance non altérable, car il
de l'écusson qui doit être un peu tourné en haut. L'écusson est une plaque d'acier comme le ressort, de forme elliptique, ov
ce et flexible, larges de i3 millimètres (6 lignes), terminée par une plaque semblable à celle qui doit soutenir la pelote ; a
arfaite, en se moulant sur tous les contours : ensuite on courbera la plaque ou l'écusson, en lui donnant le degré d'inclinais
uchon en caoutchouc, fixé dans une pelote supportée elle-même par une plaque longue de 80 millim. (3 pouces) environ, large de
3o lig.,) et recourbée pour s'adapter àla convexité du ventre. Cette plaque métallique, convenablement matelassée, doit être
qui, après avoir entouré l'abdomen, vient se boucler en avant sur la plaque de l'écusson. (La figure 9 de la planche 3^ repré
dans l'esprit de l'opérateur. Nous avons déjà parlé de la présence de plaques graisseuses et de kystes pleins de liquides au-de
n'est besoin ni de la sonde ailée de Méry, ni de toute autre munie de plaques latérales et plus ou moins compliquée. Pour agi
Dupuy-tren un autre entérotome, dont les mors sont terminés par deux plaques elliptiques ayant f\ centimètres de long sur i de
lliptiques ayant f\ centimètres de long sur i de large : l'une de ces plaques présente sur sa (ace interne, près de ses bords,
mémo forme et de mémo grandeur , placée à la face interne do l'autre plaque . Elles ne se touchent que par cotte courbe, et so
o diffère de celui do M. Liotard que parce que la surlace externe dos plaques qui en terminent les mors est bombée comme dos co
rument est plus facile à appliquer cpie celui de M. Liotard, dont les plaques doivent se trouver fréquemment trop larges pour ê
ie celui cle Dupuytren, doit exposer davantage à comprendre entre ses plaques une anse intestinale saine cpii serait venue se p
d'un centimètre environ. Lorsqu'il est éteint, il prend un cautère à plaque encore rougi à blanc , et le, promène rapidement
s douloureuses, surtout pendant les garde-robes ; tantôt, ce sont des plaques dures, inégales, bosselées, donnant lieu à un rét
es étranglées par des mouchetures et scarifications, et de passer une plaque de carton mince ou une compresse fine entre l'ann
les fabricans d'instrumens de chirurgie. Celui deM.Char-rière est une plaque rectangulaire présentant 3o trous placés sur deux
ventre (fig. a); il place alors l'indicateur sur l'orifice ou sur la plaque qui le bouche pour diriger le bec de l'instrument
es (5 pouces à 5 pouc. 1^2); le pavillon de la canule est garni d'une plaque en bec de cuiller percée de trous. Le malade étan
rès la forme d'une grosse lancette; c'est une chasse composée de deux plaques mobiles, renfermant une lame à deux tranchans, pl
ourses (Royer). Le chirurgien plaçait le cathéter, et renversant sa plaque vers la ligne blanche, de manière à ce que sa con
enue dans la cannelure du cathéter, il pre-nait cet instrument par sa plaque , et lui faisait décrire lentement un mouvement de
tome fût moins exposé à sortir « de sa cannelure; il en saisissait la plaque avec la main gau-« che, l'inclinait vers l'aine e
Cheselden introduisait son cathéter dans la vessie, en renversait la plaque vers l'aine droite , et le donnait à tenir à un a
en arrière clans la cannelure du cathéter, dont il faisait relever la plaque pour éloi-gner sa convexité du rectum, continuait
te de son lithotome. Lorsqu'il l'avait rencontrée, il re- levait la plaque du cathéter pour porter sa courbure vers la symph
umens. Le cathéter dont il se servait portait un manche au lieu d'une plaque . Le malade étant assujetti, et le cathéter plac
la cannelure lui indi-quaient qu'il y était parvenu, il saisissait la plaque du cathéter, la relevait presque perpendiculairem
'au cul-de-sac de la cannelure du cathéter, dont il amenait un peu la plaque vers lui. Alors il les séparait, touchait la pier
. Cet instrument (pl. 68, fig. 6) est un cathéter ordinaire a, sur la plaque duquel est adopté un trocart courbe b, qui peut s
umens sont bien en contact, et lorsqu'on en est certain, on saisit la plaque du cathéter de la main gauche, on lui fait subir
x instrumens étaient dans des rapports con-venables, il saisissait la plaque du cathéter avec la main gauche, et la renversait
éter doit présenter une large surface de préhension. Ceux qui ont une plaque quadrilatère sont plus faciles à tenir que ceux q
l'instrument conducteur est introduit, on en incline généralement la plaque vers l'aine droite, afin que sa convexité repouss
incisé la paroi hypogastrique, de placer entre elle et la vessie une plaque de plomb destinée à tenir le péritoine appliqué c
chez l'homme, introduit dans l'urètre un ca-théter dont il dirige la plaque en bas, en pressant vers l'anus pour que sa conve
aut, refoule en avant les parties qu'il doit inciser. Puis, cédant la plaque à un aide auquel il ordonne de la maintenir dans
nnelure s'appuyait contre la paroi su-périeure du canal, déprimait la plaque de cette sonde avec la main gauche, faisait gliss
et des tenettes. Le cathéter étant placé dans la vessie, on relève sa plaque vers les pubis, de manière à déprimer le bas-fond
te un spéculum bivalve avec une pla-que, mue par une charnière. Cette plaque étant insinuée entre le col et la paroi correspon
ition, il faisait entrer son pavillon dans une ou-verture faite à une plaque métallique qui descendait au devant de la vulve,
outenir: une fois que la cloison vésico-vaginale fut bien saisie, une plaque d'argent qu'un ressort à boudin poussait avec for
de charpie placée au devant du méat urinaire, reçut l'effort de cette plaque qui refoulait en arrière l'urètre et la lèvre ant
ler la lèvre antérieure en arrière, en pla-çant, entre l'urètre et la plaque quiest située près du pavillon, une quantité de c
verse. Lorsque les lèvres de la fistule seront saisies entre les deux plaques , on fera rentrer une partie des érignes; la compr
fera rentrer une partie des érignes; la compres-sion exercée par les plaques devra être assez modérée pour ne pas interrompr
r les fistules transversales, les tiges précédentes présen-tent leurs plaques situées perpendiculairement à leur extrémité pren
e, qu'on les passe dans un serre-nœud ou dans les trous d'une pince à plaques , de manière, en tout cas , à rapprocher et à serr
présente la pince de M. Fabri dont une branche garnie avec une petite plaque en bois, est introduite ou dans le rectum ou dans
r est une espèce de pince, à deux branches, terminées chacune par une plaque ovale, présen-tant des engrenages sur leur face i
n dans l'intestin perforé, et l'autre parle rectum, jusqu'à ce que sa plaque fût ar-rivée au niveau de la première ; alors, on
nale, qu'elles compren-nent entre elles, restent intactes lorsque les plaques sont aussi fortement serrées que possible l'une c
t de quelques jours, la partie des deux intestins, comprise entre les plaques , étant gangrenée, et ceux-ci ayant contracté des
-te ner au périnée. Au bout inférieur de cette tige est placée une ce plaque circulaire trouée à son centre, à laquelle sont a
es courroies. En serrant ou en relâchant un petit e écrou, dont cette plaque est inunie, on peut graduer à volonté e sa pressi
ès courbe, qu'elle ne frotte pas contre les grandes lèvres, et que sa plaque s'applique exactement contre la fourchette et le
rvient une hémorrhagie, M. Sauter porte des gâteaux de charpie et des plaques d'agaric jusque dans le fond du vagin. Ce panseme
anneau dans lequel passe le fil forme une extrémité, l'autre est une plaque fendue où se fixe le fil.-—Fig. 15. Autre serre-n
ort. Figure 26. Spéculum très simple de M. Saint-Yves formé de deux plaques dentaires à angle soudées à un anneau dans lequel
28 à 31. Airignes droites à une seule ou à deux branches. — Fig. 32. Plaque protectrice que M. H. Larrey adapte aux airignes
ne canule (a), qui tient au manche, porte à son extrémité cou-dée une plaque fixe (b) avec une sorte de petite timbale (c) mo-
se en mouvement par un curseur (e). Le jeu de la canule rapproche une plaque mobile (f) dont l'application sur la plaque fixe
e la canule rapproche une plaque mobile (f) dont l'application sur la plaque fixe fait office de pinces pour saisir le voile m
(c) en poussant le curseur (e), le voile membraneux est saisi par les plaques (b, f); puis, faisant glisser le curseur (g) qui
tables ciseaux qui opèrent la section et les deux au-tres portent les plaques de fixité avec les trois aiguilles et les petites
Procédé de M. Reybard. — a. Réunion de la plaie de l'intestin sur la plaque de M. Reybard. — b. Plaque vue en position dans l
. Réunion de la plaie de l'intestin sur la plaque de M. Reybard. — b. Plaque vue en position dans l'intérieur d'un intestin do
intestin dont la paroi tour-née vers l'observateur est enlevée. — c. Plaque isolée. PLANCHE .11. ENTÉRORAPHIE. PLAIES D
gueur, y compris les deux anneaux ou orifices externe et interne, (a) Plaque d'acier isolée. ( b ) Plaque recouverte de sa gar
eaux ou orifices externe et interne, (a) Plaque d'acier isolée. ( b ) Plaque recouverte de sa garniture. Figure 6. Bandage i
e (a) l'opérateur saisit l'instrument le pouce appliqué sur la petite plaque de la tige à crémaillère pour contenir la branche
r. 29. Percuteur h trois genres de pression. 1° A l'extrémité une plaque (a) pour appuyer avec la paume de la main. 2" A u
face. 31. Le même percuteur dont M. Leroy d'Étiolles a modifié la plaque (a) pour l'engager dans sa gouttière, et qu'il a
e de fistule vé-sico-vaginale. (a)Sonde à demeure dans la vessie, (b) Plaque obturatrice en caoutchouc, (c) Tube central, (d)
r et enflammer les bords des fistules. Le caustique est reçu dans les plaques creuses. 5, 6, 7. Cautère de diverses formes po
. 20. Pince de M. Fabri dont une branche (a) garnie avec une petite plaque en bois, est introduite ou dans le rectum ou dans
istules transversales. Une ca-nule (a) est passée dans la vessie ; la plaque (b) s'applique par un ressort sur le méat urinair
Pl. 70). 2° OPERATION SUR L'UTÉRUS. 30. Spéculum bivalve avec une plaque , mue par une charnière, pour incliner à volonté l
34 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
e, datant de l'âge de 7 ans chez un sujet mort il. l'âge de 84 ans. Plaque jaune de la partie moyenne des cir- convolution
BRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 101 Il s'agit d'une vaste plaque jaune, qui occupe toute la face externe de l'hémi
ure et moyenne de l'artère cérébrale antérieure (Fig. 65 et 79). La plaque jaune intéresse l'écorce et la partie adjacente
struction de tout le manteau cérébral de l'hémisphère gauche. Cette plaque jaune qui datait de onze ans, avait déterminé une
e nous renseigne nullement - étant donnée l'extrême extension de la plaque jaune - sur les territoires corticaux qui envoien
G. 80. - Cas Courrière. Cécité verbale pure. Topographie des lésions. Plaque jaune ancienne - indiquée par des hachures - de
ert. 3/2 grandeur nature. Cas Courrière. Cé- cité verbale pure. Plaque jaune de la base du cunéus et de l'écorce des
OMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Courrière. Cé- cité verbale pure. Plaque jaune de la base du cunéus et de l'écorce des
ur nature. ' TOME II. 8 Cas Courrière. Cé- cité verbale puro. Plaque jaune de la base du cuneus et de l'écorco des
oit (Fig. 88) présente la lésion la plus étendue : on constate deux plaques jaunes anciennes, dont l'une occupe la partie cen
ur une étendue antéro-postérieure de si centimètres; cette dernière plaque commence en arrière, à 2 centimètres du pôle oc
mpe et le pilier postérieur du trigone. Dans toute l'é tendue de la plaque jaune l'écorce est complètement détruite, trans
ment. Les coupes vertico-transversales (Fig. 89) montrent que celte plaque a détruit les trois couches de fibres qui doublen
de la scissure calcarine (K) et rejoint dans celle région la vaste plaque jaune qui a détruit le lobule lingual. Ces coupes
t complètement isolée du reste de l'écorce du lobe occipital par la plaque jaune sous-jacente. Ces lésions si étendues du
double lésion corticale dans un cas de cécité corticale. A droite, plaque jaune ancienne du cuneus et de la lèvre supérieur
du cuneus et de la lèvre supérieure de la scissure calcarine, vaste plaque jaune des lobules lingual et fusiforme et de l'
ules lingual et fusiforme et de l'isthme de l'hippocampe. A gauche, plaque jaune de la partie postérieure du lobule lingua
lésion des centres corticaux do la vi- sion. Hémisphère droit : plaque jaune du cunéus, des lobu- les lingual et fus
. - Cas Bras. Cécité corticale. - Hémisphère droit. Topographie de la plaque jaune et des dégénérescences secondaires sur un
ertico-transversale pas- sant par la partie moyenne du cunéus. La plaque jaune a détruit la moitié interne du lobule fusif
par double lésion du centre cor- tical do la vision. A droite, plaque jaune du cuneus, des lo- bules lingual et fu-
par double lésion du centre cor- tical de la vision. A droite, plaque jaune du cunéus, des lo- bules lingual et fu-
ied du pédoncule cérébral et de la bandelette optique. qu'une plaque jaune limitée portant sur la partie postérieure d
o-limbique (,,cl) et le forceps postérieur du corps calleux (Fin) . Plaque jaune du lobule lingual (Lg) et du pli cuneo-limb
lésion du contre cor- tical de la vision. Hémisphère gauche : plaque jaune do la scissure calcarine et du pli cuné
lésion du centre cor- tical de la vision. Hémisphère gauche : plaque jaune de la scissure calcarine et du pli cuné
vinar, de la partie supé- Fig. 101. - Cas Leudot. (Bicêtre 1890.) Plaque jaune de la circonvolution pa- riétale inférieu
insulaire et de la circonvolution posté- rieure de l'insula. Cette plaque jaune a atteint l'épendyme ventriculaire et s
ercule ric. 10. - Cas Leudot. Aphasie sensorielle avec hémianopsie. Plaque jaune du pli courbe, du lobule pariétal inférie
emple typique de lésion du lobe occipito- lemporal. Il s'agit d'une plaque jaune ayant délruit la face externe du lobe occ
e lobule lingual. Les coupes microscopiques sériées montrent que la plaque jaune a dé- truit, non seulement l'écorce du lo
deux ans, chez un homme ayant succombé à 59 ans à une pleurésie. Plaque jaune du pli courbe, de la partie inférieure de
CL de la zone de w er- nicke (W.) Fig. 131). Cas Le Soguilloii. Plaque jaune du pli courbe, de la partie inférieure
ions thalamiques supérieure (fin.130) et moyenne (Fig. 131). La plaque jaune (Ram a) a sectionné les couches sagitta
du noyau 144 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Le Seguillon. Plaque jaune du pli courbe, do la partie infeiieiire
à 136) a trait aune lésion isolée du lobe temporal. Il s'agit d'une plaque jaune n'intéressant que le lobe temporal, et en p
ceau externe du pied du pédoncule céré- bral consécutive a une plaque jaune oc- cupant les parties moyenne et posté
.) Trouvaille d'autopsie chez un homme mort à l'Age de 6 ans. - Plaque jaune des parties moyenne et postérieure des
e Fig. 137. - Cas Moriceau. Hémisphère gauche. Aphasie transitoire. Plaque jaune des deux fiers antérieurs de la troisième
e I'o\- trémité antérieure de Fi et Fe de l'hëml- sphère droit. Plaque jaune des deux tiers antérieurs de Fj. gauc
l'ex- trémité antérieure de F, et Fe de 1'liénii- sphère droit. Plaque jauno des doux tiers antérieurs do F3 gauch
rieure des première et deuxième circonvolutions frontales droites. Plaque jaune des deux tiers antérieurs de la troisième
EUX. Cas Hicaud. lIé- miplégie cérébrale infantile gauche. o. Plaque jaune de l'in- sula, de la région rétro-insul
e gauche. Topographie de la lésion corticale et sous-corti- cale. Plaque jaune de l'insula de la région rétro-insulaire
moyen de Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sula, do la région rétro-insul
NERVEUX. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sula, de la région rétro-insul
horizontales pas- sant par la région thalamique supé- lieur. La plaque jaune de l'insula respecte le puta- men et
ERVEUX. Cas Rivaud. Ilê- miplégie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de 1 in- sula, do la région rétro-insul
nature. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sula, de la région rétro-insul
NERVEUX. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'm- sula, de la région rétro-insula
nature. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune dcl'in- sula, de la région rétro-insula
latéral. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune del'in- sula, de la région rétro-insula
nature. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sula, de la région rétro-insul
NERVEUX. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sula, de la région rétro-insul
nature. Cas Hivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gattelie Plaque jaune de 1"111 sula, do la région l'étro-lI1s
ral uu de l'extrémité supérieure de la région rolandique (tu- meur, plaques de méningite, foyer de ramollissement ou d'hémorr
remier cas, sur- tout si la lésion est de nature irritative tumeur, plaque de méningite, plaque jaune, - la présence d'att
ut si la lésion est de nature irritative tumeur, plaque de méningite, plaque jaune, - la présence d'attaques d'épilepsie déb
u'il s'agisse d'une section du pilier postérieur du trigone par une plaque jaune de la scissure calcarine qui empiète sur la
rouvaille d'autopsie. Ce cas se rapporte a une lésion très limitée ( plaque jaune) du pli rétrolimbique de la partie adjacent
ibutaires de ces cellules. tnc. 266. - Cas Chab Topographie de la plaque jaune superficielle du pli rétrolimbique et de
érescence partielle du tamia 'lotir : m. 19 Fig. 268. - Cas Chab. Plaque jaune superficielle du pli rétrolimbique et de la
o-externe et supéro-externe du carrefour ventriculaire. Cas Chab. Plaque jaune du pli rétro- limbique, de la par- ti
eur du corps calleux. Les fibres dégé- Fig. 269,270, 271. Cas Chab. Plaque jaune superficielle du pli rétrolimbique et de
occipito- frontal. 292 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Chab. Plaque jaune du pli retro- Innbique, de la par- ti
le long de l'angle externe du ventricule latéral consécutive à une plaque jaune du pli rétrolim- bique, de la partie adja
Hilaire. Topographie de la double lésion corticale. Cas II ilaire. Plaque jaune du pli cnurbo, du lobule pariétal in-
corps do Luys. 316 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Hilaire. Plaque jaune du pli courbe du lobule pariétal in-
oyau rouge. Inc. ? 87, ? 88, 289. - Cas Hilaire. Hémiplégie droile. Plaque jaune détruisant la cir- convolution pariétale
an cours de la paralysie générale progressive ou de la sclérose en plaques . Dans l'épaisseur de l'écorce cérébelleuse, il
antes dans la paralysie générale progressive et dans la sclérose en plaques (Weigert) et dans ces cas, les fibres névroglique
35 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ation de la largeur d'une pièce de 0 fr. 50 allongée entourée d'une plaque d'érythème de la largeur d'une pièce de 5 franc
e est entourée d'une vive inflammation surélevée et ressemble à une plaque muqueuse. Douleur vive. -Traitement : onguent s
reuses à la partie antérieure du tronc qu'à la face postérieure. La plaque végétante de l'anus a environ quatre centimètre
moitié droite de l'anus dans ses deux tiers inférieurs. - Une autre plaque végétante existe du côté gauche. Traitement : p
ot, sirop d'iodure de potassium, vin de gentiane, cautérisation des plaques muqueuses avec une solution de nitrate d'argent
e croûtes dans les cheveux ; petites adénites cer- vicales ; larges plaques muqueuses sur les deux amygdales. L'éruption cu
on cutanée a un peu diminué; les papules sont moins nombreuses. Les plaques anales s'améliorent ; la défécation est moins d
rieure de la poitrine, qu'en arrière. Sur l'amygdale gauche, petite plaque . idée. Pas de croûtes dans les cheveux. Quelque
. Quelques ganglions cer- vicaux. Quelques macules sur la peau. Les plaques muqueuses de l'anus ont bien diminué d'étendue.
Les plaques muqueuses de l'anus ont bien diminué d'étendue. Petite plaque muqueuse opaline sur l'amygdale droite. C... co
e, frissons, courbature, raideur du cou. Ce matin il présente des plaques d'un aspect rubéolique sur la face ; les bras, le
di; limonade vineuse. T. R. 40°, 2. Soir : T. R. 39°, 2. 7. - Les plaques ont presque disparu; il n'en reste que quel- qu
r : T. R. 38°, 8. 13. - Syphilides des lèvres en diminution. Petite plaque mu- queuse sur le pilier antérieur droit du voi
antérieur droit du voile du palais. Stomatite mercurielle. Grandes plaques de roséole sur les lèvres, les régions scapulai
s, les régions scapulaires ; aspect marbré de la poitrine; quelques plaques dans le sillon interfessier. Quelques croûtes d
croûtes dans les cheveux. Syphilides anales ulcérées, persistantes ( plaque muqueuse hyper- trophique). - Traitement : supp
potasse; cautérisation au nitrate d'argent. 17. - Cautérisation des plaques de la gorge. Même état de la gingivite. Les syp
luentes du cuir chevelu; syphilides squameuses cuivrées, par larges plaques sur le front, le pourtour des narines, les comm
s des coudes. Papules de 8 millimètres de diamètre avec collerette. Plaques muqueuses ulcérées de 5 millimètres de diamètre
re et sur la lèvre supérieure en face de la canine gauche. D'autres plaques muqueuses sur la voûte pala- tine en arrière de
e alêne, à la partie supérieure et externe de la jambe gauche. 2. Plaque érysipélateuse s'étendant depuis la plaie jusqu'à
es pieds s'est atténuée ou a disparu et que, chez deux malades, des plaques d'anesthésie plantaire sont deve- nues sensible
res inférieurs est devenue moindre; dans un seul cas de sclérose en plaques sont sur- venus des accidents. Les malades atte
couchement : enfin les maladies de la moelle telles que sclérose en plaques , tabes, maladie de Friedreich, la myopathie pro
à une autre roue d'où part une tige horizontale aboutissant à une plaque tournante {fig. 8). De la plaque tournante s'él
horizontale aboutissant à une plaque tournante {fig. 8). De la plaque tournante s'élèvent t trois tiges verticales do
minée par une pomme d'arrosoirs'élevant il 2 ? 43 au-dessus de la plaque tournante; les trois tiges montantes sont ré-
appareil. Examinons le fonctionnement. Le malade est placé sur la plaque tournante, les courroiessont bouclées. Immédia-
, avec la manivelle de la tribune, on imprime un mouve- ment à la plaque tournante, le malade surpris, ne bouge plus et
s affections nerveuses {ataxie locomotrice progressive, sclérose en plaques , hystérie, paralysie agitante). Volume in-8 de
s affections nerveuses (ataxie locomotrice progressive, sclérose en plaques , hystérie, paralysie 320 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQ
très mar- quées dans la substance blanche. Il existe de véritables plaques à contour irrégulier, foncées, formées de tissu
s de tissu scléreux, contenant pourtant des tubes par endroits, ces plaques occupent tout le cordon postérieur et toute la
corticales moyennes et la formation de bandes de tissu scléreux par plaques dans la même région ne sont que les deux premie
par M. Richar- dière dans sa thèse. La question du rapport de ces plaques cicatricielles avec l'épilepsie ne peut aussi q
, en quelques points, l'aspect d'un tissu finement celluleux. Les plaques jaunes trouvées dans ces cas sont sans- doute d
uvements in- tentionnels. C'est là cependant des cas de sclérose en plaques , dans lesquels ces symptômes font totalement dé
andes maladies : l'alaxie loco- motrice progressive, la sclérose en plaques , l'hystérie, la paralysie agitante; maladies au
ibilité, l'abolition des réflexes. L'hémiplégie dans la sclérose en plaques présente des attaques répétées, transitoires, l
dans certains cas de distinguer l'hémiplégie liée à la sclérose en plaques d'avec l'hémiplégie liée à la paralysie générale
stigmates de l'hystérie (troubles de la vision, zones hystérogènes, plaques d'anesthésie, attaques hystériques, crises de s
36 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
lité exquise, exagérée par la moindre pression superficielle. Cette plaque d'hyperesthésie parait avoir pour centre la tré
pendant deux à trois mois. Entre temps, étaient survenues quelques plaques muqueuses sur les lèvres et sur la face interne
xiste un bracelet d'hypercsthésie au niveau du poignet droit et des plaques de même nature 1 du côté droit : à la partie an
trouble très manifeste se rapprochant de celui de la . sclérose en plaques ; elle est hésitante, lente, traînante et nasonnée
teur, en scandant les mois (parole analogue celle de la sclérose en plaques ). Tronc. On observe une légère déviation de la
oche de la marche de l'ataxie combinée avec celle de la sclérose en plaques , réalisant le type de la démarche titubante au
caractères propres à la marche dans l'ataxie et dans la sclérose en plaques . Comme l'ataxique il lance les jambes en avant
ou base de sustentation fortement élargi; comme dans la sclérose en plaques la démarche est titubante, les pieds de même nom
nt de paralysie des extenseurs de la jambe droite, accompagnant une plaque d'engourdissement analogue à celle de notre mal
nant une plaque d'engourdissement analogue à celle de notre malade, plaque consécutive à la plaque d'anesthésie. Malheureu
dissement analogue à celle de notre malade, plaque consécutive à la plaque d'anesthésie. Malheureusement le malade n'est p
surface cutanée chacun des nerfs donne la sensibilité à de petites plaques bien délimitées, disséminées sans ordre au mili
aques bien délimitées, disséminées sans ordre au milieu des petites plaques innervées par l'autre nerf, en sorte que les en
ibles dissé- minés dans cette zone d'anesthésie correspondaient aux plaques d'in- nervation du musculo-cutané dont la sensi
et état normal de celui qu'on observe par- fois dans la sclérose en plaques , ainsi que nous en avons vu et en voyons encore
par une lignc transversale passant par les clavicules. Au-dessous, plaque sen- sible coupant transversalement les seins i
ement, et cette altération rappelle de loin celle de la sclérose en plaques . Elle est difficile, embarrassée, traînante res
nstamment négative. Ces points sont très circonscrits ; des petites plaques pas plus grandes, dans deux ou trois endroits,
substitue le frôlement avec le bout du doigt, quelques-unes de ces plaques disparaissent, la plupart cependant per- sisten
lade ne perçoit rien. Il est intéressant de faire remarquer que les plaques qui s'effacent ne le font qu'après un frôlement
le malade sent l'attouchement et le frôlement partout en dehors des plaques , il ne les localise pas partout avec une égale ex
existe partout ; cependant, elle est très émoussée dans la région des plaques anesthésiques, et, à ce niveau, il faut comprim
eur, grossièrement appréciées, existent partout, même au niveau des plaques , je crois. Quant à l'exploration portée jusqu'a
oté de différence dans la sensibilité thermique entre la région des plaques ciuesthésiqucs et le reste des jambes. Mais je le
n tout cas, elle est certainement légèrement émoussée au niveau des plaques , où les piqûres très légères ne sont pas perçues.
aire, et que je suis le premier à signaler. C'est l'anesthésie par. plaques , au niveau desquelles la sensation tactile est ab
outes les autres formes de la sensibilité légèrement émoussées. Ces plaques sont au nombre de huit ou dix pour le membre dr
t. Dès le len- demain, on villa sensibilité réapparaître autour des plaques ; et quelques' jours après, elle était redevenue
ion. Courants continus tous des jours pendant un quart d'heure, une plaque étant appliquée sur le rachis, l'autre baignant d
37 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
cision sur la sonde cannelée à travers une ouverture, on en saisit la plaque de la main droite, entre le pouce et la face palm
e métallique et par conséquent inflexible, muni à son extrémité d'une plaque qui supporte un petit treuil métallique analogue
la face opposée du contact des nœuds de torsion par la présence de la plaque . Le garrot offre plusieurs avantages : (a) On peu
olongé des tissus, dont le résultat est, à la longue, la formation de plaques gangreneuses par obstacle à la circulation; mais
n temporaire ; laissé à demeure, au contraire , il sèche et forme des plaques solides très adhérentes qui blessent et arrachent
ussures très larges. Durillon et Oignon. Le durillon est une simple plaque épi-dermique peu épaisse, en regard des points de
théorie comme cause première. Procédé de Desault. Muni d'une petite plaque de fer blanc de dix-huit lignes de longueur, de q
ait le bord de l'ongle en déprimant les chairs, tordait en dessous sa plaque métallique autour de l'orteil et la maintenait fi
éviée. Pour redresser une dent (Pl. 25 , fig. 4-), on se sert d'une plaque en or, argent ou ivoire, percée de trous, convexe
utour du collet de la dent, les deux bouts traversent les trous de la plaque où on les fixe. La plaque elle-même est placée en
, les deux bouts traversent les trous de la plaque où on les fixe. La plaque elle-même est placée en sens inverse de la dent q
enouvelle au besoin pour ne pas discontinuer la traction. Enfin si la plaque se déplace on la fixe par une ligature aux dents
veiller par intervalles pour graduer à mesure le redressement avec la plaque et les liens. Si le sujet est adulte, on essaie e
eule piqûre avec chaque pointe. Conservation pour plusieurs jours. ( Plaques de verre.) Une série de piqûres étant faites à la
ence du bouton, essuyer le liquide en y appliquant la surface de'deux plaques de verre d'un pouce carré d'étendue; puis accoler
ccin du contact de la lumière. Conservation pour plusieurs mois. i° Plaques de verre (procédé de Jenner). L'illustre inventeu
édé de Jenner). L'illustre inventeur de la vaccine se servait de deux plaques de cristal parfaitement planes et polies; mais, a
ssait cette cavité, et, en faisant glisser l'une sur l'autre les deux plaques , il renfermait ainsi le vaccin dans un espace pri
té pour qu'il pût rester fluide; il lutait ensuite les bords des deux plaques comme nous l'avons dit plus haut. Pour employer l
ur de la fossette, il suffisait de tourner en sens inverse les deux plaques pour rompre leur adhésion. Ce petit appareil, aus
chèverait de rendre ce moyen d'un effet sûr en taillant les bords des plaques en biseau de la surface externe vers l'interne, d
uction de l'air; on enduirait d'un vernis noir la surlace externe des plaques ; enfin, pour les empêcher de se disjoindre accide
à la surface de la piqûre; dès qu'il est solide, détacher les petites plaques qu'il forme et les enfermer dans un tube de verre
omme de tout vaccin sec, l'étendre dans une gouttelette d'eau sur une plaque de verre. Ce procédé, qui laisse encore le vaccin
nsi conservé a pu servir pendant plusieurs mois ; mais évidemment les plaques de verre sont préférables, sur-tout dans le procé
aginé, dans le même but, une petite pince à ressort terminée par deux plaques de pression , et qui agit également bien. (e) S
nson (pl. 3i, fig. i, 11" 3). L'instrument se compose de deux petites plaques parallèles qui sont rapprochées par un mouvement
l'agaric empilé en pyramide et pressé par une pièce de monnaie ou une plaque métallique de dimensions convenables. Un abbé Bou
aintenues par des compresses longuettes, surmontées au besoin par une plaque ; le tout fixé par un bandage contentif approprié
ion au-dessus de la tumeur se fait avec une bande sur l'artère et une plaque d'opposition, l'une et l'autre fixées par un comp
ent des points d'appui. La charpie accumulée en tampon, fixée par des plaques et des compresses longuettes, le tout contenu par
tanées de mauvaise nature, excroissances cancroïdes, naevi materni et plaques érectiles. C'est dans le même but que, succédant
i séparent les ouvertures faites par le trépan ; et le méningophylax, plaque de fer légèrement courbée qu'il glisse au-dessous
rforatif sur le centre de la pièce osseuse à extraire, et embrasse la plaque eu ébènc qui surmonte l'arbre du trépan avec le p
dicateur de la main gauche réunis en cercle. Appuyant alors sur cette plaque avec le front ou le menton, il saisit de la main
re l'action des instrumens en glissant entre les os et les chairs des plaques de bois ou de carton, etc., et qu'on devra, duran
ide d'une petite scie cultellaire, en glissant au-dessous de l'os une plaque de bois ou de carton pour protéger les parties mo
ion clu radius et clu cubitus, après avoir passé au-dessous d'eux une plaque de bois protectrice. Procédé de [auteur (pl. 6o
ée par l'étendue de la maladie; insinuer entre l'os et les chairs une plaque de bois ou de métal et pratiquer la section de l'
mal aussi exactement que possible; puis glisser une compresse ou une plaque derrière l'humérus, dont on fait la résection ave
aisceaux d'origine du deltoïde et du trapèze, j'ai pu, à l'aide d'une plaque de bois enfoncée dans l'articulation comme un lev
rent. La dénudation une fois achevée dans tous les sens, on passe une plaque protectrice derrière l'os et on opère sa résectio
n usant de précaution pour ne point léser les vaisseaux poplités. Une plaque protectrice de bois ou de cuir bouilli est glissé
a face postérieure de l'extrémité tibiale pour glisser au-dessous une plaque protectrice, et l'enlever avec la scie de la même
lors de la dénuder des chairs environnantes, de passer au dessous une plaque protectrice, et d'en faire la résection au moyen
plication pour isoler el dénuder les vaisseaux dans les ligatures. La plaque terminale, qui sert généralement à le maintenir,
Une pelotte fixe d'appui (A), de forme rectangulaire, cousue sur une plaque métallique percée de deux mortaises (a) aux extré
ression de l'une ou de l'autre artère sous-clavière. 2° Une seconde plaque d'acier (B), de même forme que la précédente, sur
dans les mortaises dont nous avons parlé précédemment. Cette seconde plaque sert de point fixe pour le reste de l'appareil ;
ention. 3° Une lame d'acier tournante (C), fixée par une vis sur la plaque (B), s'inclinant en quart de cercle à droite et à
e d'un montant (E), dont la base évasée (e) tourne par une vis sur la plaque (C), et peut être fixée en position par une clef
ours, par un bâtonnet (c), maintenu fixement par un cordon (cl) ; une plaque (e) ordinairement en écaille ou en corne , mais q
eux préservée par une compresse en double interposée entre elle et la plaque . Figure 3. (A) Compression cle la partie inféri
(a), appliquée sur l'artère, la vis de pression (b), qui commande la plaque d'opposition (c), agissant sur le diamètre opposé
jours. Il se compose d'une pelotte de compression (a), cousue sur une plaque métallique (b), et gouvernée par la vis de rappel
nductrices (d) ; ces trois dernières tiges sont guidées par une autre plaque métallique (e), qui supporte le lacs de contensio
ppe tout l'appareil en passant longitudinalement sur l'une et l'autre plaque terminale, où. il est maintenu par deux petits co
maintenu par deux petits coulants métalliques (h, h). Le lacs sur la plaque supérieure (e) est fendu longitudinalement pour l
. Compresseur de J. L. Petit, légèrement modifié par M. Charrière. La plaque supérieure (e) est diminuée d'étendue, et le lacs
upérieure (e) est diminuée d'étendue, et le lacs, en passant de cette plaque à celle de la pelotte de compression, remplace le
et planche 21 pour celles du pied). Cette pelotte se compose de deux plaques , l'une supportant la pelotte, l'autre fixée sur l
re fixée sur la première par une petite clef tournante. Cette seconde plaque est surmontée à chaque bout d'un chevalet, entre
u'une dent voisine étant enlevée permet de lui trouver un espace. Une plaque est placée en dedans, et reçoit dans ses trous le
e les bords alvéolaires, qu'ils écartent par un mouvement de vis. Une plaque inférieure est destinée à contenir la langue. Cet
sur les côtés de l'aiguille. 3. Compression par la pince ou double plaque de M. Sanson, égale- ment figurée sur une branc
châtre, offre l'apparence de tissu fibreux. Il n'existe nulle part de plaques crétacées. ÉNUMÉRATION DES PARTIES CONSTITUANTE
l se compose de la tige (a), sur laquelle se visse à une extrémité la plaque (b) légèrement concave, sur laquelle on appuie le
) (a) Main gauche de l'opérateur qui maintient circulaireinent la plaque entre le pouce et l'index. (b) Plaque sur laque
aintient circulaireinent la plaque entre le pouce et l'index. (b) Plaque sur laquelle le chirurgien appuie le front ou le
manière à être mû horizontalement par la même manivelle, (e) est une plaque centrale appliquée sur la lame (a) de la figure 1
38 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ées. Il est actuellement franchement tabétique. Dans la sclérose en plaques , on observe également de la diplopie avec récid
i- cale, aux omoplates, aux coudes, aux poignets (où existent des plaques gangreneuses de 6 centimètres de hauteur sur 4 ou
u des lobes frontaux, et à gauche; cette surface présente plusieurs plaques d'une coloration rosée laiteuse. Au niveau de l
ale ascendante el du lobule paracenlrcd de ce côté, on remarque une plaque jaune avec diminution de consis- tance de la su
partition égale sur toute l'étendue, contrairement à la sclérose en plaques , qui est irrégulière et disséminée sous forme d
grande abondance de liquide séro- 1 Bourneville. De la sclérose en plaques . Paris, 1869. 38 PATHOLOGIE NERVEUSE. sanguin
sur toute l'étendue du premier tiers de la scissure longitudinale. Plaque gangreneuse sur plusieurs orteils. Autres organes
- mère adhérant sur une excavation contenant un liquide clair. La plaque siégeait surtout sur la face moyenne de l'hémisph
Fig. 2. Face moyenne de l'hémisphère droit, montrant le siège de la plaque de ramollissement dans l'obs. 8. (Haab.). 200
DE FAITS. de souffles ni de frottements. Dysphagie modérée; petite plaque blanche entre les amygdales. M. Charcot hypno
la tête sont agités pendant cet exercice comme dans la sclérose en plaques . A deux reprises différentes, aphonie passagère
stagmus et le trouble de la parole, si typiques dans la sclérose en plaques ; son stade prodromique remonte à l'enfance; so
elle présente au niveau du sillon médian antérieur, quatre petites plaques du volume d'une lentille, consistantes, blanc g
urine, conscience des vertiges, pas de trouble de sensibilité ni de plaques anesthé- siques. Pas d'inégalité pupillaire.
n novembre 1884, on note : la sensibilité cutanée est intacte, sans plaques d'anesthésie, ni d'hyperesthésie. Au coeur, les b
Coeu ? , : il est volumineux et non hypertrophié. Il pèse 650 gr. Plaques laiteuses sur la face antérieure et postérieure d
ntricule gauche. La valve interne de la mitrale présente de légères plaques d'athérome. Ventricule droit très diminué de vo
ctus cicatrisés à la surface, rien à la coupe. Bâte : congestion et plaques cartilagineuses à sa surface. Reins : le rein g
hysème au sommet. - Ganglions péribronchiques indurés. Nombreuses plaques de sclérose sur les plèvres. Observation IV. C.
intacts. z La moelle n'a pas été examinée. Coeur : poids, 37S gr. Plaques d'athérome faisant un relief cons- dérable dans
cide. Ca. 1 . VI. Etude anatomique et clinique sur la sclérose en plaques ; par le Dr J. Babinski, ancien interne des hôpi
thèse de M. Babinski n'est pas une monographie de la sclé- rose en plaques . L'auteur s'est proposé exclusivement dans ce 4
ce de dégénérations descendantes et ascendantes dans la sclérose en plaques qui a semblé être une dérogation à la loi wallé
absence habituelle de dégénérations secondaires dans la sclérose en plaques ne constitue pas une déroga- tion à la loi wall
t à ce que lés cylindres-axes sont ordinairement conservés dans les plaques de sclérose. Dans les cas où leur intégrité n'e
re et très prolongée d'un grand nombre de cylindres-axes dans les plaques de sclérose. La myéline, en effet, est une substa
r par ce rapprochement les caractères anatomiques de la sclérose en plaques . Or, la nature de la dégénération des tubes ner
point de vue histologique, les traits essentiels de la sclérose en plaques . Au contraire, la sclérose systématique seconda
au point de vue de ses caractères histologiques, de la sclérose en plaques que de la sclérose secondaire. Dans le chapit
élite non destructive et peut conduire au diagnostic de sclérose en plaques . A cette étude anatomique sont annexées deux pl
ermettent de se rendre rapidement et exactement compte du siège des plaques de sclé- rose dans les observations personnelle
t décrites certaines variétés et certaines formes de la sclérose en plaques qui n'ont pas encore été étudiées ou ne l'ont é
té que d'une manière insuffisante. L'hémiplégie dans la sclérose en plaques n'est pas toujours consé- cutive à une attaque
peut donner faussement l'idée d'une lésion cérébrale en foyer. Des plaques de sclérose disséminées dans la moelle peuvent,
lieu de désigner une pareille affection sous le nom de sclérose en plaques à forme destructive. Si la marche de la scléros
rose en plaques à forme destructive. Si la marche de la sclérose en plaques est d'ordinaire éminem- ment chronique, elle pe
re dans ces cas qu'on a affaire à une forme aiguë de la sclérose en plaques . Enfin, il existe une affection dont la symtoma
ion dont la symtomatologie est exacte- ment celle de la sclérose en plaques : paralysie avec contractures, tremblement à l'
phal qu'il existe une névrose qu'on peut appeler pseudo-sclérosé en plaques . CH. F. VII. Contribution à l'étude de la malad
ec l'hystérie et l'épi- lepsie, par Souza Leite, 216. Sclérose en plaques (étude anato- mique et clinique sur la), par
39 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
les organes phériphériques. Beaucoup de malades ont sur la peau des plaques rouges légèrement saillantes, qui ap- paraissen
TOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. lèvres de l'incision sur des plaques de liège et se donner ainsi beaucoup de jour.
mment en Europe. La pièce à congeler est placée directement sur une plaque en métal sous laquelle on pulvérise de l'éther ju
s, la poliomyélite antérieure, la forme spinale de la sclé- rose en plaques , la polynévrite généralisée, l'hématomyélie, la
ratoire on trouve un peu de sérosité sanguinolente, avec de petites plaques de fibrine, mais pas de pus : cette sérosité a
ière, décrivit, entre autres, la paralysie agitante, la sclérose en plaques , jusque-là confondues, qu'il a pour ainsi dire
, venaient les leçons sur la paralysie agitante et la sclérose en plaques . Il ne les modifia pas et nous avions repris co
nt parfois des sujets tout à fait originaux : telles la sclérose en plaques , les arthro- pathies, la pathogénie de Phémorrh
oir. il reproduisit la Danse des Fous d'Albert Dürer sur de grandes plaques de faïence qui ornent l'une des façades de son
eu des hystériques. - 1891 : Des formes frustes de la sclé- rose en plaques . - 1892 : Un calculateur prodige : Inaudi; La méd
et morphinoma- nie ; De la maladie de Morvan (1889) ; - Sclérose en plaques et para- lysie générale; Arthropathies précoces
est lente et scandée, absolument caractéristique de la sclérose en plaques . Au repos le malade n'accuse aucun trem- blemen
nous retrouvons encore tous les signes classiques de la sclérose en plaques , signes qui malgré leur atténuation, sont encor
tout traitement. Il ne présente plus aucun signe de la sclérose en plaques . Mai 1893. - Depuis cinq mois et demi, je vois
tème nerveux mentionne les accès de fièvre précédant la sclérose en plaques ; mais la brus- querie de l'invasion de ces tro
une sclérose vraie, et rap- proche mon cas de la pseudo-sclérose en plaques , observée aussi dans le rhumatisme. Il serait i
ir si les cas analogues, non traités, ont abouti à la sclérose en plaques vraie. En tout cas il faut noter que parmi les mi
pace de six ans à Batoum, je n'ai jamais rencontré la sclé- rose en plaques , qui paraît une maladie excessivement rare dans
, tendant à se réunir sur la ligne médiane; de plus on aperçoit une plaque noirâtre, sèche, sur le grand trochanter droit,
e diminu- tion n'est pas régulière, mais est répartie sous forme de plaques . Dans le lobe pariétal la lésion redevient plus
.() " 'Il ne m'est pas possible non plus d'assimiler la sclérose en plaques à une myélite. La première est une maladie bien
utres parties'de l'encéphale que la forme spinale de la sclérose en plaques est devenue de plus en plus rare et qu'a dispar
que, et de les enlever à la myélite. Il 1 M. LEYDEN. La sclérose en plaques disséminées, avec symp- tômes cérébraux, diffèr
disséminées, avec symp- tômes cérébraux, diffère de la sclérose en plaques purement spi- '- nale. Celle-ci ne représente q
malade avait pré- senté la plupart des symptômes de la sclérose en plaques et, de plus, un tremblement des cordes vocales,
cordes vocales et les troubles de la phonation dans la sclérose en plaques . Février 1892. Archives, t. XXVI. 23 3ü4 ANAT
que tout, dans cette observation, était en faveur de la sclérose en plaques : tremblement, trépidation épileptoïde, trouble
les reproduire ici. Ainsi donc tous les phé- nomènes de sclérose en plaques , que nous faisions remarquer en terminant l'exp
nous publions; et, d'autre part, leur fréquence dans la sclérose en plaques , les erreurs de diagnostic auxquelles ils peuve
rticulier qui puisse le faire distinguer de celui de la sclérose en plaques . Sa patho- génie n'est peut-être pas bien diffé
, émise par saccades, rappe- lant bien plus celle de la sclérose en plaques . Ajoutons que dans plusieurs de ces cas on a fa
eille et du larynx, nous ratta- chions ce symptôme à la sclérose en plaques , et nous arri- vions même à le considérer comme
ogie symptomatique qu'offrait notre observation avec la sclérose en plaques , en partie par les tra- ' 1 vaux antérieurs que
mière mention de ce symptôme. En décrivant trois cas de sclérose en plaques accompagnés de troubles laryngés, il en cite un
tation de sa pathogénie. Il s'agissait de deux cas de sclérose en plaques qui n'ont pas reçu, il est vrai, le contrôle de l
n rai- son de sa coexistence avec les symptômes de la sclérose en plaques . Lôri l'assimile volontiers au tremblement intent
es cordes vocales n'a pas été décrit uniquement dans la sclérose en plaques . Hermann Krausel l'a vu dans la chorée, alors q
us les cas une cause identique. En ! ce qui concerne la sclérose en plaques , on peut, en l'assimilant'au tremblement intent
de la parole, bref tous les symptômes habituels de la sclérose en plaques : ordinairement isolés ou au nombre de deux ou tr
lement, le nystagmus ou les troubles de la parole de la sclérose en plaques . Le diagnostic ne peut se baser que sur la rech
ion qui puissent' mettre sur la trace de cette sorte de sclérose en plaques d'ori- gine cérébelleuse. Nous croyons inutil
ale et sensorielle : perte du goût, rétrécissement du champ visuel, plaque hystérogène sous le sein gauche. D'un autre côt
a nature de ces vomissements. Rétrécissement léger du champ visuel. Plaques hystérogènes sous le sein droit. -Anesthésie ph
les réflexes. Pas de troubles marqués de la sen- sibilité sauf une plaque très sensible, très douloureuse à la pression à
is hystériques avec boule nerveuse, rétrécissement du champ visuel, plaques hystériques; dans. une autre, père asthmatique,
es nerfs, quoiqu'ils présentent une plus longue résistance que les' plaques terminales motrices; 6° il"est impossible de' d
ine un amendement considérable ». J. Noir. X. Un cas de sclérose en plaques et hystérie associés, avec autopsie ; par le pr
inion de M. Grasset qu'il s'agissait bien réellement de sclérose en plaques et que l'hystérie lui était combinée et ne s'ét
tte courte observation aurait trait à une méningite tuberculeuse en plaques à foyers disséminés, guérie. L'auteur se base pou
40 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n peut le voir sur les figures 1 et 2, elle n'est pas générale; les plaques sensibles, nombreuses, d'étendue fort variable,
ma, existent aux membres et au tronc. Au niveau de plusieurs de ces plaques , notamment de celle de la partie latérale gauch
oint aux troubles de la parole, avait fait, songer à la sclérose en plaques . Observation III. - Intoxication saturnine. Hys
dont il parle. Il ne scande pas les mots comme dans la sclérose en plaques , il ne mange pas les syllabes comme le paralyti
on observe dans les muscles chez les sujets atteints de sclérose en plaques . Tous les mouvements de la langue sont [normaux
uniformément traînante, ni les indi- vidus atteints de sclérose en plaques , qui scandent beaucoup plus régulièrement les m
, qu'on observe dans la paralysie générale et dans la sclérose en plaques . Nous y avons déjà fait allusion brièvement. Ra
des mains ont pu faire songer chez Dr... (OBs. II) à la sclérose en plaques 1. Les commémoratifs, le mode de début, l'époqu
- 2° tremblement dans les mouvements volontaires (type sclérose en plaques ) ; ;- 3° contractions anormales dans les mouvem
survient un décubitus cous idérable aux deux fesses ; de petites plaques de gangrène apparaissent en divers points des mem
e decettelésion centrale, la paralysie, générale, et la sclérose en plaques . Or. l'autopsie révéla une gomme occupant le peti
du lobe occipital ; le processus mar- cherait du reste surtout par plaques . Au point de vue histologique, c'est une atroph
de 1887 3. L'observation a élé publiée sous le titre de Sclérose en plaques (Berlin. Juin, Wo- chenschrcf't 1888, n° 5). Vo
gt-trois ans, amélioration; G° sclérose en ,[ -)in bibliographie. plaques , diminution du tremblement après quatre séances.
s. Les stigmates de l'hystérie e\itent (diminution du champ visuel, plaques d'hypéresthésie) ; les membres supérieurs sont
à l'ex- 164 . PATHOLOGIE NERVEUSE. trémité du petit orteil. Cette plaque d'analgésie'comprend donc : toute la surface do
'occasion des mouvements, il est naturel de songer à la sclérose en plaques , dont la trépidation pré- sente les mêmes carac
liminer. M. Charcot, qui a tracé du tremblement de la sclérose en plaques une description magistrale, parvient à le dépiste
is de conclure que notre malade n'est point atteinte de sclérose en plaques . Le tremblement en effet, s'il se produit au mo
ent au type de la paralysie agitante ou à celui de la sclérose en plaques . Ici, les deux maladies doivent être mises hors d
nellement à l'intensité de la contraction, imprime à la sclérose en plaques son cachet spécial. - Enfin, le tremblement pro
oigt approche du but déterminé comme il arrive dans la sclérose 'en plaques . Ici- le mouvement augmente - bien d'amplitude'
emblement appartenant à la paralysie agitante et à la sclé- rose en plaques : . - ,- - Vous'venez de voir, par la précédent
ent intentionnel a les mêmes caractères que celui de la sclérose en plaques . - Dans un mémoire récent, sur lequel je revien
ofesseur Castan a publié une leçon sur un cas de pseudo-sclérose en plaques , consécutive à la variole, qui pourrait bien êt
pourrait bien être un tremblement hystérique à forme de sclérose en plaques . Vous voyez, que le tremblement hysté- rique ex
haut : le type de la paralysie agitante, le type'de la sclérose en plaques , le type du -tremblement sénile. Nous aurions'a
La deuxième comprend le tremblement sénile, celui de la sclérose en plaques et les oscillations de la maladie de'Parkinson.
lésion organique consistant dans la présence d'une tumeur ou d'une plaque de sclérose. Il peut se faire, enfin, que la lé
janvier 1889.) 218 CLINIQUE NERVEUSE. la fesse et en ce point une plaque rouge elliptique, avec notable soulèvement de l
- puis, dans ces cas, la coexistence de troubles trophiques variés, plaques rouges sur le trajet des nerfs, zona, bulles de
xie par le charbon pouvait provoquer l'apparition d'une sclérose en plaques . C'est bien l'agent toxique qui est la cause de
bout de six jours il ne restait plus qu'une anesthésie légère en plaques . Ailleurs, nous trouvons l'observa- tion d'un i
le froid, la piqûre, le toucher sont normale- ment perçus, - pas de plaques d'hyperesthésie, pas d'anesthésie pharyngée ni
e de l'appareil circulatoire, ni dans les autres viscères, sauf une plaque athéromateuse à l'origine de la crosse de l'aorte
s affections nerveuses (ataxie locomolrice progressive, sclérose en plaques , hystérie, paralysie agitante). Volume m-8° de
es ou médullaires. La seconde appartient surtout à la sclérose en plaques . Ces deux genres s'observent également dans la mo
s affections nerveuses (atnxie locomotrice progressive, sclérose en plaques , hystérie, paralysie agilanle). Volume m-8° de
n spéciale de la -, par Grinion et Parmentier, 145. Sclérose EN PLAQUES , par Bruns, Berkhan, 112. SENS musculaire, pa
41 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
sans confluence. Dans les aines petits ganglions durs. Alopécie par plaques . En même temps gale. Elle semble ignorer le pou
ules, des maux perforants, des ulcérations du derme, voire même des plaques de sphacèle, avec éruptions huileuses; parfois bo
ue; mais il ne l'a pas suivi. Le chancre a été suivi de roséole, de plaques muqueuses sur le scrotum. Il y a 15 jours, en r
seudo-paraltique avec hémispasme facial; récidive. A nes thés ie en plaques , crises nerveuses. Augustine 11L.... âgée de 10
t de la commissure labiale gauche ; 2° une' anesthésie répartie par plaques en divers points du corps. Disparition progress
érieure. Langue non déviée. Comme la première fois, on constate des plaques d'anesthésie absolue, surtout au niveau du cou.
aritiond'2crtela- que d'anesthésie sur le mollet gauche, puis d'une plaque symétrique sur le mollet droit. Extension gradu
e plaque symétrique sur le mollet droit. Extension graduelle de ces plaques . A 42 ans, développement de troubles trophiques
longue à guérir. La zone d'anesthésie s'accrut progressivement. Une plaque également insensible se développa peu après sur
durs, roulant sous le doigt. Pas de nodules, de taches pigmentées de plaques achromiques. Au devant de la poignée du sternum
omiques. Au devant de la poignée du sternum on trouve cependant une plaque diffuse, brunâtre ; le malade l'attribue aux arde
de lésions cutanées ni de troubles de pigmentations autres que deux plaques brunâtres situées au devant de chacun des coudes,
RIÈRE. la première fois, l'apparition sur le Ironc et les fesses de plaques érythé- mateuses caractéristiques qui, il elles
i- gnant jusqu'à 25 ou 30 centimètres de diamètre. Le centre de ces plaques est rose pâle, légèrement dépigmenté ; leur pér
isolées, tantôt réunies en petits groupes de quatre à huit. Sur ces plaques , dont la forme et la distribution topogra- phiq
IQUE 137 tions thermiques sont seulement affaiblies, excepté sur la plaque sternale où elles sont abolies. Les troubles se
fs ne sont d'ailleurs pas exacte- ment limités par les contours des plaques ; ils empiètent ra et là sur les téguments du v
chancre induré sur la verge. A la suite, roséole limitée au tronc; plaques muqueuses à la face interne des joues, dans le ph
té opposé, l'épaississement névroglique a f- fectait la forme d'une plaque triangulaire à base tournée en dehors, lesom- m
Tétouan, vint, pendant plusieurs mois, faire traiter sa sclérose en plaques . Il arrivait tous les jours, ponctuellement, acco
de M. le professeur Fournier, qui porte le diagnostic de syphilis ( plaques muqueuses hypertrophiques végé- tantes, éruptio
jet d'une leçon clinique il la Salpêtrière). . Syphilis certaine ( plaques muqueuses, psoriasis palmaire). Seize ans plus la
t 1 mois : battements de coeur terribles. A de 2S ans, il eut des plaques muqueuses il l'anus et dans la bouche : la syph
ÈRE. - autres qu'un psoriasis palmaire, apparu 2 ou 3 ans après les plaques iiiuqtieti- ses, diagnostiqué par un médecin qu
ent. En 1886, chancre induré de la verge, et à quelque temps de ]Ù, plaques mu- queuses dans la bouche. Il n'a jamais remar
des maladies de la moelle non différenciées, il sort la sclérose en plaques , la sclérose latérale amyolrophique (maladie de
surface du corps. Il a eu aussi des boutons dans les cheveux et des plaques muqueuses dans la bouche et il l'anus. 11 a pri
dé- but ; et pendant 4 ans il fut tranquille. En 1891, une large plaque recouverte de croûtes apparut au niveau de l'aine
1888. Deux mois après apparaît une roséole très accentuée suivie de plaques mu- queuses la bouche et au pharynx. Malgré l'a
ant de droite à gauche. Pas de symptômes neurasthéniques (céphalée, plaque sacrée) ; pas de confusion de l'esprit, de vert
. Les attaques cessèrent tout à fait. Seuls, les maux de tête, la plaque sacrée, le gonflement de l'estomac, les bouffée
ais. II se plaint surtout de son dos et de ses reins. Chez lui la « plaque sacrée » est spécialement douloureuse. Il march
de tête qui répond bien au type neurasthénique (céphalée en casque, plaque occipitale). Elle accuse en outre des douleurs
e de Charcot enserrant la tête comme dans un étau circulaire, ou la plaque occipitale qui s'étend aux muscles de la nuque
laire, ou la plaque occipitale qui s'étend aux muscles de la nuque ( plaque cervicale). Puis la rachialgie que les malades
uleurs dans le dos, entre les deux épaules, et au niveau des reins ( plaque sacrée). Certains, comme le ditM. Levilltin (1)
42 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
en au niveau de l'articulation mé- tatarso-phalangienne, il y a une plaque rouge non ulcérée tenant sans doute à la pressi
, et, en certains points, une légère teinte grisâtre sié- geant par plaques soit au niveau des cordons latéraux, soit au ni
urs, dans les espaces périvasculaires ; dans les cas de sclérose en plaques que nous avons examinés.' ces espaces étaient,
Si on jette un coup d'oeil à la symptomatologie delà sclérose en plaques , on est frappé d'une chose de la plus haute impor
lité de la marche et la multi- plicité des formes de la sclérose en plaques , appelé avec juste raison polymorphe par le pro
assistons à une rémission durable. Les rémissions de la sclérose en plaques , qui sont très fré- quentes, ont une grande imp
rière. Tout ce qui précède démontre évidemment que la sclérose en plaques a une tendance naturelle à la guérison. Cette ten
oduction de ce travail, qu'on se rappelle que dans la sclé- rose en plaques , o.t voit quelquefois survenir des amende- ment
et n'était le regard vague qui nous a fait penser à la sclérose en plaques et tourner notre interrogatoire et nos recherches
ale de la maladie, nous avions posé le diagnostic de la sclérose en plaques . MM. les professeurs Caramitzas, Orphanides, Ma
lle est fortement lésée. Enfin, en ce qui concerne la sclérose en plaques , nous avons le cas de Wilson, où la malade est
sible et plus conforme aux faits, tout au moins pour la sclérose en plaques . En effet, il est bien établi aujourd'hui que d
s. En effet, il est bien établi aujourd'hui que dans la sclérose en plaques , les cylindres axiles résistent jus- qu'aux der
es du travail destructif, et s'il est très difficile de trouver une plaque tant ancienne qu'elle soit, dans laquelle le mi
- tervention de la thérapeutique faite au début de la sclérose en plaques , a peut-être empêché le travail destructif de pro
que où tout le monde médical apprendra à reconnaître la sclérose en plaques , à son début surtout, quand elle se présente so
guérison se multipliera. Il ne faut pas ignorer que la sclérose en plaques n'est pas du tout une maladie rare, au contrair
sieurs travaux successifs, les troubles oculaires de la sclérose en plaques , qui fournissént des signes si précieux au diag
incipaux points de ce travail nous dirons : 1" Que la sclérose en plaques est une maladie curable ; 2° La guérison peut ê
elèvent. La pachyméningite cervicale hypertrophique, la sclérose en plaques , la sclérose laté- rale amyolrophique, l'atroph
u dans la sclérose en CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 179 plaques ; quoiqu'il en soit, ce que l'on peut affirmer,
a donc franchi une nouvelle étape; comme l'ataxie et la sclérose en plaques , d'abord méconnue même dans ses formes les plus
ns, et retour de la sensibilité au point précis de l'applica- tion. Plaque symétrique de l'aneslhésie sur l'avant-bras gauch
rodromique; c'est le pemphigus qui précède parfois l'apparition des plaques et des zones anesthésiques, d'ailleurs inconsta
du nerf optique, des accidents assez fréquents dans la sclérose en plaques . Dans la moitié des cas, on constate une diminu
l'atrophie du nerf optique d'origine névritique dans la sclérose en plaques , M. Gnauck distingue l'atrophie primi- tive du
ntuée pendant longtemps sur la moitié temporale dans la sclérose en plaques . P. K. XXXIII. SUR la CO-ATTEINTE ÉVENTUELLE DE
semaines), permit le diagnostic entre l'hystérie et la sclérose en plaques . Cas différent de ceux de Gnauck * et qui prouve
différent de ceux de Gnauck * et qui prouve que dans la sclérose en plaques la névrite peut ne pas se borner a 1 Voy. Archi
daire des cordons pyramidaux latéraux; Dans deux cas, sclérose en plaques ; Dans deux cas, myélite par compression; Dans
bave, succion, parole nulle, gdtisme, etc... - Syphilis : roséole, plaques muqueuses anales, adénites. - Etat du malade en 4
èvres, dans la bouche, ni dans le pharynx. A l'anus, on trouve deux plaques exulcérées à gauche et en bas, une en haut et à
'iodure de fer; bains. - 10 octobre. Persistance de l'éruption, les plaques muqueuses de l'anus se sont un peu élargies; ro
es, sous-maxillaires, axillaires et inguinales; rien dans la gorge, plaques muqueuses anales.1. DES FAMILLES D'IDIOTS. 355
. DES FAMILLES D'IDIOTS. 355 5 15 novembre. Persistance de larges plaques de roséole qui tendent à s'effacer : plaques mu
Persistance de larges plaques de roséole qui tendent à s'effacer : plaques muqueuses anales; on ne sent plus les adénites
nte cuivrée : persistance des adénites, pas d'alopécie. 45 janvier. Plaque muqueuse près de la commissure labiale gauche.
gnant. Quelques squames dans le cuir chevelu, un peu d'alo- pécie ; plaque rouge de la paupière inférieure gauche, pointe du
Popoff il la suite de la fièvre typhoïde). 8 Marie. - Sclérose en plaques ... Progrès médical, 1884. » Landouzy. - Des par
de - avec autopsie), par Charcot et .Marie, l, 168, Sclérose en plaques (curabilité de )a),parCatsaras,S6. Sclérose n
43 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
Ibid. Bricon, loc. cit., p. 38. X HISTOIRE DU SERVICE présence de plaques muqueuses (anus et amygdales), et d'une éruptio
ésente à sa surface, au niveau de la partie postéro-inférieure, une plaque arrondie, do lalargeur d'une pièce de 2 francs
mes : pas d'ecchymose pé- ricardique ni sous-endocardique; quelques plaques laitou- BOURN. 3 34 IMBÉCILLITÉ. ses, surto
ur l'aorte, au-dessous de la carotide primitive galo- che, quelques plaques calcaires d'athérome. Rien aux carotides. ibd
paroi interne de ce vaisseau se détachent en relief de nombreuses plaques d'athérome. Abdomen. Foie : 1500 grammes, norma
de l'axe médullaire, la ca- vité sus-arachnoïdienne est parsemée de plaques calcaires blanches, aplaties, ovalaires et de v
l'altération velvétique des cartilages, et, enfin, l'éburnation par plaques des surfaces osseuses; telles sont les principa
nt épaissie ; orifice aortique suffisant, valvules saines; quelques plaques blanchâtres sur l'aorte. Squelette. 1° Crâne. L
Persistance de l'adénopathie et de la blépharite. Apparition d'une plaque d'herpès ci°ciné au niveau de la région moyenne
s, l'éruption est très con- fluente; elle se présente sous forme de plaques rouges et lisses. La conjonctivite est intense;
ermès 0 gr. 15 ; potion de Todd). 1er Février. - Apparition d'une plaque d'impétigo sur le nez et sur la paupière inféri
ôtés de la poitrine sans souffle. Eczéma impétigineux sous forme de plaques sur le lobule et à la base du nez, la commissur
135 une ulcération impétigineuse. Le visage est parfois marbré de plaques rouges. Traitement tonique. Poids du corps, 9k,
fait son apparition. Au niveau du visage, il se manifeste par des plaques rouges, dont l'aspect ne rappelle en rien celui
pétit, mais ne peut déglutir les aliments solides. Il présente deux plaques d'eczéma in2pé- tigineux, l'une au niveau du si
scarlatiniforme, dans ses deux principales modalités : d'une part, plaques rouges, lisses, sur le visage ; d'autre part, e
c grisâtre. A la partie antérieure du lobe inférieur, on trouve une plaque ovalaire, faisant relief, de 3 centimètres de h
3 centimètres de haut. Sur une coupe horizontale, on voit que cette plaque répond un îlot degangrène, volu- mineux, cunéif
muqueuse. Du côté droit, les bron- ches, injectées, présentent des plaques de muqueuse gangre- née ; les petites bronches
du cartonnage, 50 c. BOURNEVILLE et L. GUÉRARD. De la sclérose en plaques dissémi- nées. Vol.,gr. in-8 de 240 pages avec
44 (1913) Exposé des travaux scientifiques
s, exami- nés depuis leur origine jusqu'à leur terminaison dans les plaques motrices, se sont montrés tout à fait normaux.
l de Pott, de méningomyélite, de myélite transverse, de sclérose en plaques , de syringomyélie, de sclérose latérale amyo- t
aisceau pyra- midal étaient détruites et dans d'autres (sclérose en plaques . par exemple) où l'altération n'était que super
, cliez la malade dont il s'agit, d'un côté, le réflexe SCLÉROSE EN PLAQUES 101 direct étant aboli le réflexe consensuel es
symptômes à la suite de pratiques radiothérapiques . SCLÉROSE EN PLAQUES Les études anatomiques et cliniques sur la sclé
E EN PLAQUES Les études anatomiques et cliniques sur la sclérose en plaques , qui ont fait l'objet de ma Thèse de Doctoral,
par suite d'une cassure de la gaine de myéline. C. Sclérose en plaques . Tube à myéline altéré vu sur une coupe longi
ette ques- tion : « Sur une coupe longitudinale passant par une plaque de sclérose, on peut voir dans les points de tr
entiel dans la destruction de la myéline Inc. Il. - Sclé- rose en plaques . Tube à myéline qui, normal d'un cùté, est
c netteté. B. J'ai été amené à discuter, à propos de la sclérose en plaques , la question controversée de la régénération de
ma thèse sont les suivantes : « L'hémiplégie dans la sclérose en plaques n'est pas toujours consé- cutive à une attaque
être tenté de le rapporter à une lésion cérébrale en foyer. « Des plaques de sclérose disséminées dans la moelle peuvent,
om de sclérose en pla- ques à forme destructive. « La sclérose en plaques , dont la marche est d'habitude éninem- ment chr
hérapie dans diverses affections de la moelle (tabes, sclé- rose en plaques , etc.). A vrai dire, abstraction faite de la syri
écriture qui, du reste, ont été surtout étudiés dans la sclérose en plaques , et « l'ataxie cérébelleuse », phénomène mal dé
service de Pierre Marie, chez sept malades atteints de sclérose en plaques et chez un malade porteur d'une lésion cérébelleu
obtenus par ces auteurs : ce Quatre malades atteints de sclérose en plaques ne pouvaient faire les mouve- ments isolés brus
lésions des tubes nerveux de la moelle épinière dans la sclérose en plaques (Académie des Sciences, 8 juin 1884). 12. Reche
1884). 12. Recherches sur l'anatomie pathologique de la sclérose en plaques et élude comparative des diverses variétés de s
février 1885). 13. Etude anatomique et clinique sur la sclérose en plaques (Thèse, Paris, )885, chez Masson). Il¡. Atrop
100 Pseudo-tabes spondylosique.................. 101 Sclérose en plaques loi 1 Compression de la moelle. Tumeurs intra-r
45 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
rface de la pomme d'arro- soir est entièrement plane, faite d'une plaque de cuivre assez ? (, ? La pomme d arrosotagst p
L'éruption est essentiellement boutonneuse; elle est continente en plaques à la base du thorax et à l'épigastre très cohér
e; adénite sous-maxillaire depuis plusieurs jours; apparition d'une plaque d'herpès circiné au niveau de la corne gauche d
le est un peu rouge. T. R. 40°,6. -Soir : 40°,2. 1 accès. 20 mai. Plaques d'érysipèle à la racine du nez, en avant de l'o
tefois il s'est développé une collection purulente au-dessous d'une plaque impétigineuse sur la bosse frontale droite. - P
ne lésion. A la partie antérieure des deux cuisses, on remarque des plaques rouges, larges environ comme la moitié de la ma
u et ressemblant à de la miliaire rouge ; il existe de plus petites plaques et surtout des points au tiers inférieur et int
és réunis soit pour former des colliers, bracelets, jarretières, ou plaques pour diver- ses régions. (Fig. 1 15). Aimants
ntation dans les céphalalgies, etc.) AIMANTS. 91 Fig. 11 et 12. - Plaques pour la région cardiaque. 92 TRAITEMENT DE L'ÉP
odèle pour colliers, hracelets, jarretières. Fig. 13. - Modèle pour plaques diverses. AIMANTS. 93 Le poids est resté, tan
uvé à différentes reprises la sensation de cloques éclatant sous la plaque aimantée ; mais il est il noter qu'il a accusé
881. 9 mars. Depuis hier, apparition d'un érysipèle de la face ; la plaque rouge a débuté par le lobule du nez pour remont
phlyctènes remplies de sérosité citrinc sur la moitié gauche de la plaque érysipélatcuse. - Pas de plaies ni d'ulcération
s. Les narines sont à demi fermées par le gonflement. Largeur de la plaque en passant par-dessus le nez : 12 cent. - Haute
s on est obligé de le maintenir au lit à. l'aide de la camisole.-La plaque érysipélateuse est moins vive ; elle a respecté
15 mars. T. R. 37°,8. - Soir : 37°,8. - Pas d'accès. 16 mars. La plaque d'érysipèle se desquame ; au niveau du pavillon
46 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ut le passage du courant électrique. Il avait sur le bras plusieurs plaques rouges que le médecin a qualifié, dit le malade
a tempe gauche et sur la région antéro-externe du bras gau- che des plaques de zinc, et sur la partie antéro-interne du bras
he des plaques de zinc, et sur la partie antéro-interne du bras une plaque d'argent. Au bout de vingt-trois heures, il y a e
ffuse et une lésion systématisée (ataxie locomotrice et sclérose en plaques ). Le tabes combiné est de cette dernière catégo
spasmodique, de la myélite diffuse transverse et de la sclérose en plaques . ' Pour les deux premières maladies, on peut po
rement dits. Le diagnostic est plus difficile avec la sclérose en plaques . Ceci est une maladie cérébro-spinale comme les
ques. Ceci est une maladie cérébro-spinale comme les tabes, et, les plaques pouvant se rencontrer un peu partout, on conçoi
diagnostic. 38 PATHOLOGIE NERVEUSE. Les lésions de la sclérose en plaques ne présentent ni symétrie ni continuité. Une pl
la sclérose en plaques ne présentent ni symétrie ni continuité. Une plaque pourra donner des symptômes de tabes ataxique d
t et qu'on pourra confondre, dans beaucoup de cas, la sclérose en plaques avec le tabes combiné comme on l'a confondue av
e, du tabes spasmodique, des myélites diffuses et de la sclérose en plaques : les caractères cliniques sont assez tranchés
erbales et d'amnésie générale. A l'autopsie, on trouva deux petites plaques jaunes au niveau de la troisième circonvolu- ti
aux pommettes une congestion capillaire très vive, et rappelant les plaques que l'on observe dans la cirrhose hépatique. R.
obstruction par embolie ou à une thrombose. L'autopsie montra des plaques de ramollissement disposées d'une façon parfait
ication sur ce point 1. Voici plusieurs cas nouveaux de sclérose en plaques , avec névrite optique au niveau des papilles. L
Discussion : M. Hirschberg. 11 est rare que, dans la sclérose en plaques ou dans une myélite chronique, on observe une v
phénomènes passagers de ce genre ont été vus dans la sclé- rose en plaques . L'intégrité de la sensibilité permet de rejeter
para- lysie pseudo-bulbaire, la paralysie générale, la sclérose en plaques , la paralysie bulbaire et le tabes. Dans la cho
éflexe, conser- vent leur aptitude pleine et entière. - Sclérose en plaques : état semblable. Paralysie bulbaire progressiv
en même temps, il a une hémines- thésie sensitivo-sensorielle ; des plaques d'hyperesthésie, de l'anesthésie du pharynx. De
s l'influence de l'aimant, le rétrécisse- ment du champ visuel, les plaques d'hyperesthésie, l'anesthésie du pharynx, les a
légère parésie du pli naso-Iabial et de la joue gauche avec légère plaque d'atrophie grise brunâtre, trem- blement modéré
lé l'atteinte constante de ces fibres fines sous forme d'une petite plaque intermédiaire aux cordons latéraux et postérieu
nels rappelle, quand on les rapproche de la démence, la sclérose en plaques . A ce propos, Remak critique l'expression d'ath
l'absence d'atrophie, rapprochent cette affection de la sclérose en plaques dont elle diffère par le type régulier de sa sy
de sclérose multiloculaire pendant l'enfance. Après la sclérose en plaques , l'hydrocéphalie serait, d'après lui, capable d
tiques (Westphal) ? qu'on puisse penser à une sorte de sclérose en plaques spéciale ? On n'en saurait décider. Il parait, en
rateur et descendant avec elle; névrite atrophique disséminée, en plaques , dans le plexus brachial gauche ; atrophie des él
, en effet la partie postérieure du cou et de l'épaule droite. La plaque d'érysipèle est rouge; le bourrelet n'est pas fra
he; on trouve sur la face antérieure, près de la pointe, une petite plaque lai- teuse ; le ventricule droit est affaissé ;
st affaissé ; sur sa face antérieure se trouve également une petite plaque laiteuse; les deux oreillettes sont dilatées. L
crosse de l'aorte, au-dessus des valvules, on trouve quatre larges plaques athéroinnteuses ; il en existe une autre petite
rsale, un autre aux lames podaliques et IaLé- rales, ainsi qu'à une plaque située perpendiculairement entre les pieds, au
LY fait une remarque à laquelle M. STEIN ré- plique que la dernière plaque n'est employée que pour le bain faradique. M.
47 (1934) Oeuvre scientifique
es intoxications, en particulier de l'alcoolisme, de la sclérose en plaques qui vraisemblablement est la conséquence d'une
ndineux et trépidation épileptoïde du pied, qui me parait due à une plaque de sclérose occupant la région dorso- lombaire
l de Pott, de méningomyélite, de myélite transverse, de sclérose en plaques , de syringomyélie, de sclérose latérale amyotro
faisceau pyramidal étaient détruites et dans d'autres (sclérose en plaques , par exemple) où l'altération n'était que super
che est semblable au précédent, mais le disque est remplacé par une plaque rectangulaire qui se trouve dans le même plan q
alade atteint de paraplégie incomplète liée vraisemblablement à une plaque de sclérose ; d'un côté on observe la trépidati
tre, de la façon la plus indis- cutable, au cours de la sclérose en plaques à forme spasmodique et de la syringomyélie. «
ici maintenant deux sujets atteints de sclérose multiloculaire avec plaques soit sur le cervelet, soit sur les fibres cérébel
étaient si accusés qu'on avait porté le dia- gnostic de sclérose en plaques ». Dans certaines observations d'affections du
es cérébelleux, en particu- lier du tremblement dans la sclérose en plaques . Des observations anatomo-cliniques précises pe
RVELET hyperplasie névroglique rappelant l'aspect de la sclérose en plaques . La topographie de cette lésion est vasculaire.
XIÈME PARTIE PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE 1. SCLÉROSE EN PLAQUES . PARAPLÉGIES I SCLÉROSE EN PLAQUESO [J. Bab
absence habituelle de dégénérations secondaires dans la sclérose en plaques ne constitue pas une dérogation à la loi Wallérie
t à ce que les cylindres-axes sont ordinairement conservés dans les plaques de sclérose. Dans les cas où l'intégrité n'est
truits. 2° La destruction des gaines de myéline dans la sclérose en plaques , loin d'être sous la dépendance d'un phénomène
M. J. Babinski a consacré sa thèse inaugurale (t885) à la sclérose en plaques : Etude anatomique et clinique sur la sclérose
lérose en plaques : Etude anatomique et clinique sur la sclérose en plaques (i vol., 15o pages, chez Masson, à Paris). (N. D.
i marqua une époque dans l'histoire alors récente de la sclérose en plaques , et posait des problèmes dont plusieurs restent d
E point de vue histologique les traits essentiels de la sclérose en plaques . La nature de la dégénération des tubes nerveux
au point de vue de ses caractères histologiques, de la sclérose en plaques que de la sclérose secondaire. 6° La régénérati
élite non destructive et peut conduire au diagnostic de sclérose en plaques . 7° L'hémiplégie dans la sclérose en plaques n'
ostic de sclérose en plaques. 7° L'hémiplégie dans la sclérose en plaques n'est pas toujours consé- cutive à une attaque
ogressive- ment. L'hémiplégie constitue parfois dans la sclérose en plaques pendant un temps plus ou. moins long le trait l
tique et peut donner l'idée d'une lésion cérébrale en foyer. 8" Des plaques de sclérose disséminées dans la moelle peuvent, l
lieu de désigner une pareille affection sous le nom de sclérose en plaques à forme destructive. 9° La sclérose en plaques
e nom de sclérose en plaques à forme destructive. 9° La sclérose en plaques dont la marche est d'habitude éminemment chroni
re dans ces cas qu'on a affaire à une forme aiguë de la sclérose en plaques . 10° Il existe une affection dont la symptomato
tion dont la symptomatologie est exactement celle de la sclérose en plaques et dont les lésions échappent complètement à no
os moyens d'investigation. On peut la dénommer : pseudo-sclérose en plaques . ' , II SUR UNE FORME DE PARAPLÉGIE SPASMODIQ
21 Fig. 28 (Obs. III). Coupe au niveau de la 2e paire dorsale. Plaque de sclérose intense. 1 Fig. ag (Obs. III). Coup
1 Fig. ag (Obs. III). Coupe au niveau de la GB paire lombaire. Plaque de sclérose légère. 322 p9RAPLÉGIES - AFFECTION
omique. A l'oeil nu on ne voit nettement sur la moelle qu'une large plaque de sclérose siégeant à droite dans le faisceau an
o-latéral, au niveau des émergences des racines antérieures ; cette plaque occupe toute l'épaisseur du manteau blanc et en
nférieure et dorsale supérieure montrent dans le point indiqué, une plaque de sclérose multiloculaire parfaitement typique
sclérose multiloculaire parfaitement typique ; les limites de cette plaque sont nettes et la sclérose est absolue en ce sens
due, mais les cylindres- axes sont conservés, quoique tuméfiés ; la plaque n'est pas destructive ; les racines antérieures
ntactes. Dans le reste de la moelle, on trouve un certain nombre de plaques qui siègent toutes dans les cordons antéro-laté
laques qui siègent toutes dans les cordons antéro-latéraux ; de ces plaques , les unes montrent une sclérose très intense, m
e part il n'y a destruction des cylindres-axes et au-dessous de ces plaques il n'existe pas la plus petite sclérose systémati
isée. Les vaisseaux sont épaissis et sclérosés dans l'intérieur des plaques ; ils ne portent pas les traces d'un processus
Je rapprocherai de ces faits une observation de pseudo-sclérose en plaques que j'ai rapportée dans ma thèse (') ; il s'agit
nt altérés (2). (1) Etude anatomique et clinique sur la sclérose en plaques , par J. Babinski. Thèse de Paris, 1885, p. 107
spasmodiques organiques, notamment dans celles qui sont liées à des plaques de sclérose ou à des compressions de la moelle. V
ité ont presque entièrement disparu. Il existe toutefois : in une plaque d'hypoesthésie tactile sous le sein droit; 2° u
me que possible. Le coin de la lèvre et l'oeil étaient isolés de la plaque par un morceau de carton. Au moyen d'un rhéostat,
enne des poses a été quatre minutes ; la distance de l'ampoule à la plaque , 45 centimètres ; celle de l'ampoule aux tégume
e de la manière suivante. La malade est couchée sur le ventre ; une plaque de plomb mince protège les cheveux et la région
ès courte durée, et que la contracture a été extrêmement intense. Plaque de sclérose ou tumeur comprimant la moelle, telle
lésions des tubes nerveux de la moelle épinière dans la sclérose en plaques (Académie des Sciences, 8 juin 1884). 12. Reche
1884). 12. Recherches sur l'anatomie pathologique de la sclérose en plaques et étude compa- rative des diverses variétés de
février 1885). 13. Ktude anatomique et clinique sur la sclérose en plaques (Thèse, Paris, 1885, chez Masson). 14. Atroph
4). 279. Sur la valeur du phénomène des orteils dans la sclérose en plaques (Réunion neu- rologique internationale annuelle
SIXIÈME PARTIE X PARAPLÉGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE Sclérose en plaques . Paraplégies. 1. - Sclérose en plaques ... 313
S DE LA MOELLE Sclérose en plaques. Paraplégies. 1. - Sclérose en plaques ... 313 IL Sur une forme de paraplégie spasmodi
48 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
à la partie postérieure de la moelle dorso-lombaire, de nombreuses plaques ossiformes développées dans, l'épaisseur des mé
moelle osseuse. Seule, l'infiltration calcaire faisait défaut, les plaques les plus Aoluniineusesolfranl la consistance de l
ent partout plus épais qu'à droite. Les sutures persistent. Large plaque transparente au niveau de la fontanelle antérieur
upérieur de la F. A. avec son tiers moyen, la pie-mère présente une plaque de 12 millim. environ sur 10 millim. environ, o
la pie-mère sur la partie moyenne de la convexité, avec une petite plaque dure et comme crétacée sur la F. A. et une légè
ras. P. KERAVAL. V. Contribution à l'histologie de la sclérose en plaques (nouveaux procédés), par 31. UIELSCHOWSKY (lYeltr
Les fibres nerveuses amyé- liniques dans les foyers de sclérose en plaques , par 31. litNL5CIi0\'SKY.-Contribution à la que
nération des fibres nerveuses dans les foyers de la sclé- rose en plaques , par M. C.tI<T : LS (Neurolog. Centralblatt,
llules ner- veuses, qu'un serait tenté de considérer la sclérose en plaques comme une lésion primitive de ces manchons, mai
x, et l'ex- trême ressemblance des foyers récents de la sclérose eu plaques avec cure de la myélite aiguë isseminee, justif
¡¡'i existe des fibres régénérées dans les foyers de la sclérose en plaques mais « je doute fort qu'elles aient au point de
n tout cas, de plus en plus convaincu que dans la vraie sclérose en plaques , il y a lésion de la substance blanche cL de l'
doit s'expliquer par une altération de la perception. Sclérose en plaques juvénile. 3131. Dupré et P. Garnier rapportent
131. Dupré et P. Garnier rapportent un cas typique du sclé- rose en plaques , à marche sullainuo, ayant débuté il v a (i mois,
l'équilibre, ,011liol1lH'1 statique, Au syndrome de la sclérose en plaques , s'a- joutent des troubles hysléro-neuraslhéniq
es sont les par- licularilus intéressantes de ce cas de sclérose eu plaques . Poliomyélite curable chez un gymnasiarque cons
n a signalé encore la papile étranglée hilaLéraledansla sclérose en plaques , la jxiehyiiiéningite, quelques maladies infec-
sseuse et l'affection nerveuse. Il se peut aussi que la sclérose en plaques soit ! ! l'efl'('e sur un terrain à anomalies c
ade à l'âge de 8 ans (chute d'un escalier de cave '1 La sclérose en plaques ne débute, il esl vrai, (pie cinq ans plus lard
système nerveux : paralysie générale, tabès, épilopsic, sclérose en plaques ; le liquide paraît normal, la pression est aug
paralysie générale, fréquence des éosinophiles dans la sclérose en plaques el la syphilis cérébrale ; 7° hydrocéphalie chron
fférentiel entrel'ataxie cérébelleuse héréditaire et la sclérose en plaques ; par FouoLlco.(liiv. crit. di clinica med., 10
e prolongement delà colonne de Clarke. L. W. XXXIII. Scléroses en plaques familiales. Contribution à la pathogénie des pa
plégic familiale ou paraplégie spas- tique familiale ou sclérose en plaques familiale. L'auteur l'a observée chez deux frèr
res qui se lient il des troubles de développement. t. Sclérose en plaques elle : un enfant de f« ! x. M. Armand-Delille p
dineux, clonus du pied et nystagmus. Il s'agirait d'une sclérose en plaques à forme spinale. Cette affection ne paraît pas
de pa- ralysie faciale grave avec 1) Il, dans un cas de sclérose en plaques avec paraplégie et dans un cas de névralgie fac
que familiale pure et à la maladie familiale à forme de sclérose en plaques , types isolés artificiellement entre lesquels on
. le Président prononce l'éloge funèbre de M. Parinvud. Sclérose en plaques , M. Claude présente un malade de : : 8 ans qui,
riques, pas d'altérations de la sensibilité, pas d'amyotrophie. Les plaques auraient leur localisation sur les conducteurs
e myélite y)t)'c;te/ty)7Mtnxc, ou, selon l'avis de M. Déjerine, une plaque de sclérose unique, n'ayant provoqué aucune dég
ll'érentiel enlre 1' cérébel- leuse heréditaire et la sclérose en plaques , par Rodolico, 239. ATHÉIIO)lATEUX. Voir Troubl
lle et Maugeret (Reine), 18. Contribution à l'histologie de la en plaques (nouveaux procédés), par Bielsehowskv, 40. Re
uber, 45. Les fibres nerveuses amyéliniques dans les foyers de en plaques , par l31elschowslcy, 45. Contri- bution à la
ré- génération des. fibres nerveu- ses dans les foyers de la-en plaques , par l3artels, 45. Nou- velle contribution àl'a
ie pathologique de la latérale amyotrophique, par Sarbo, 50. en plaques juvénile, par Dupré et Garnier, 71. - en plaq
Sarbo, 50. en plaques juvénile, par Dupré et Garnier, 71. - en plaques , voir Ataxie cérébel- leuse. en plaques famili-
upré et Garnier, 71. - en plaques, voir Ataxie cérébel- leuse. en plaques famili- ale, Contribution à la patho- génie d
uzon, 302. latérale amyotrophique, par Raymond et Cestan, 451. en plaques , par Claude, 451. Sécrétion sudorale.Voir Cen
49 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
èvre ; à mesure que chaque fil est passé, on l'enroule sur une petite plaque de bois à laquelle on a fait autant d'entailles q
ois instruments : i*^ un support, longue tige terminée par une petite plaque ana-logue à celle des sondes cannelées, et fendue
oite avec les pinces recourbe les fils à 2 centimètres en avant de la plaque ; cette pince passe dans la main gauche, sans lâch
s fils ainsi redressés tiennent bien la fistule fermée, il prépare la plaque . C'est une lame de plomb, de i à 2 millimètres d'
e largeur de i5 à 20 millimètres. Il arrondit les angles, approche la plaque de la rangée de sutures, y fait des marques corre
rs chaque couple de fil, il le passe dans le trou correspondant de la plaque ; puis il presse avec soin sur elle pour qu'elle s
e de Galli, ou dans un grain de plomb perforé, qu'il écrase contre la plaque ; enfin il plie les fils et les coupe près des gra
dixième jour, M. Bozeman coupe les fils entre le tube de plomb et la plaque , dégage la plaque à l'aide d'une pince, écarte le
Bozeman coupe les fils entre le tube de plomb et la plaque, dégage la plaque à l'aide d'une pince, écarte les deux chefs de ch
tie à M. Sims, ce procédé est carac-térisé surtout par l'emploi d'une plaque de métal, pour assu-jétir les sutures, les rendre
Sims que dans le procédé Bozeman. On a varié de bien des manières la plaque de ce dernier chirurgien; ainsi M. Baker Brown a
; MM. Coghill, Atlée, Battey ont aussi imaginé des instruments et des plaques ; mais il est aujourd'hui démontré que tous ces a
; sans parler de la suppression de la sonde, on a déjà substitué à la plaque de bois des verroteries de couleurs variées, enfi
a suture enchevdlée qu'il pra-tique avec des fils métalliques et deux plaques de métal étroites et percées de trous ; les fils
s, puis tordus autour de petits boutons qui se trouvent aussi sur les plaques . Cet appareil permet de ser-rer ou de desserrer f
par la cautérisation sont ceux où l'on a affaire à un épithélioma en plaque mince ou à un cancer rongeant peu étendu. Dans
avancer contre la peau un disque métalh-que basculant, formé de deux plaques sur lesquelles est placée une rondelle de baudruc
pédicule qui est au-dessus du clamp, est renversée sur le bord de la plaque mobile de l'instrument et coupée avec un cautère
es deux chefs de chaque suture bb sont passés dans un des trous d'une plaque de plomb aa, percée d'autant de trous qu'il y a d
que de plomb aa, percée d'autant de trous qu'il y a de sutures. Cette plaque glisse le long des fils jusqu'à ce qu'elle soit a
à ce qu'elle soit arrivée au contact de la fistule ce. Figure x. La plaque a a, pressée contre la fistule, la recouvre parfa
rsés chacun par les deux chefs d'une suture bbb, et poussés contre la plaque . Figure xi. Les grains de plomb arrivés contre
contre la plaque. Figure xi. Les grains de plomb arrivés contre la plaque sont écrasés ; puis les fils sont plies et coupés
n pour la cautérisation du pédi-cule; sur la moitié gauche il y a une plaque en cuivre avec rebord saillant. Figure xxi. Cla
0. Extrémité des sondes de M. Caudmont. Au pavillon sont soudées deux plaques qui reçoivent le pouce et l'index. Il y a en outr
extraire les fausses membranes. Figure xvi. Canule double, à grande plaque , pour bien protéger la plaie. Modèle Guersant.
duit fermée, comme on le voit en a, et on la pousse jusqu'à ce que la plaque c rencontre la peau. Un mouvement de rotation por
rs par les deux orifices latéraux. Figure xxiii. Canule de Luër. La plaque b et le tube cd sont mobiles l'un sur l'autre, po
50 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
droit (PI. XVI) . Elle a été prise, le sujet couché sur le dos, la plaque photographique placée derrière l'épaule et le mem
e lç sujet assis, la face postérieure de l'humérus appliquée sur la plaque , l'avant-bras fléchi au maximum sur le bras. (P
a été prise la main en pronation, la face palmaire appliquée sur la plaque photographique. (On peut se la représenter en se
t-hras et la main en supination reposant par la face dorsale sur la plaque photographique. On y peut voir, ainsi que sur d'a
elles, névrites périphériques, hémiplégie à début lent, sclérose en plaque . Mais dans tous ces cas on peut se convaincre par
ébrale, et de petits fragments du néoplasme restèrent attachés à la plaque de symphyse ostéo-méningée locale créée à ce nive
le front, dans la mensuration céphalique, a déterminé deux grosses plaques larges comme une pièce de 1 franc. Comme on p
brusquement chez notré malade, de faire un rapprochement t entre la plaque d'urticaire et la possibilité de troubles vaso-mo
tement dermogra- phique : les piqûres d'épingle donnaient une large plaque d'urticaire et nous lui écrivions facilement so
il n'y a pas de limites précises. - A l'angle supéro-interne de la plaque , c'est-à-dire dans l'angle formé par l'extrémit
uvrent l'épaule se continuent avec la précédente. Face antérieure : plaque irrégulière de peau saine. Face externe : quelq
tache est moins colorée que les précédentes, et interrompue par des plaques depeau saine. Dons. - Même coloration. Tache oc
it alors apparaître aux faces antéro-internes des cuisses de larges plaques roses à bords déchiquetés, et qui semblent prod
ns (12 déc. 1900). 1. - Sensibilité au froid. - Il existe plusieurs plaques d'hyperesthésie pour le froid. Un objet perçu c
s le milieu du cou, en arrière par la ligne médiane. En avant cette plaque n'a pas de limites pré- cises. Elle envoie un p
. De plus une bande partant de .cette 220 BINET-SANGLE ET vannier plaque au-dessous du lobule de l'oreille va aboutir la s
bservations (15 février 1901), -10 Sensibilité au froid. Toutes les plaques d'hyperesthésie pour le froid ont disparu. 2" S
des deux mains, principalement à l'éminence thénar. Toutes les autres plaques d'hyperesthésie pour le chaud ont disparu. Tr
que, lorsque nous explorions les régions occupées auparavant par ces plaques , le malade n'accusait la sensation chaude ou fr
d'ondulations. C'est donc par cette hypothèse que j'expliquerai les plaques oscillantes d'hyperesthésie pour le chaud et pour
du sang veineux dans la peau diminue la sensibilité thermique, les plaques d'hyperesthésie, pour le chaud ou le froid, c'e
ce à persister à la main gauche. Cela tend encore à prouver que ces plaques sont bien d'origine centrale. On remarquera é
ues sont bien d'origine centrale. On remarquera également que les plaques d'hyperesthésie pour le froid se sont montrées
thésie pour le froid se sont montrées pour la plupart à droite, les plaques d'hyperesthésie pour le chaud, pour la plupart
oscillante gauche. 3° Par une hypokynesthésie gauche. 40 Par ces plaques oscillantes d'hyperesthésie pour le froid (ou d'a
de médecine, 1891. z NOEVUS VEINEUX ET UYSTÉRIE 237 5° Par des plaques oscillantes d'hyperesthésie pour le chaud (ou d'a
en 1890 le cas d'un dégénéré qui présen- tait cette anomalie. « La plaque velue, disait-il, ne présente aucune alté- rati
ns scientifi- ques, nousavons radiographié côte à côte, sur la même plaque , c'est-à-dire par suite avec la môme durée de p
nombreux grains et corpuscules à corps concentri- ques et quelques plaques de tissus osseux. En dedans de ces diverses couch
ê- trière en 1888, où on élimine successivement ataxie, sclérose en plaques , maladie de Friedreich ; entré à Laënnec fin 18
ue, ni empâtée comme 376 SWITALSKI on le voit dans la sclérose en plaques ou dans la maladie de Friedreich. Le malade dit
r qu'il me paraît légitime de se ranger avec Gilles de la Tourette. Plaque hyperesthésique ou hystérogène de la peau de la
sont normaux et réguliers ; le poumon gauche présente à la base une plaque de matité, avec des râles fins, sans souffle.
te. Poids du coeur, 190 grammes. Au niveau de la crosse, quelques plaques d'athérome, qui disparaissent dans l'aorte thor
s de Paget. Dans Moizard et Bourges (4), nous trouvons : « quelques plaques d'allié- rome dans la portion ascendante de la
ssies, la pie- mère du cerveau et de la moelle épaissie et semée de plaques calcaires. Enfin chez le malade de Gaillard, Bé
érisé, la petite est plaintive; elle a de la fièvre, quelques rares plaques d'urticaire sur le tronc; agitation et mou- vem
gère desquamation par places et quelques papules blanchâtres. Rares plaques d'urticaire aux jambes. A part cela, tout va bien
e rappelons : Etat fébrile sans cause appréciable ; seules quelques plaques d'urticaire trahissent une infection ; puis, to
r, occupant le milieu du dos de la main droite, sous la forme d'une plaque indurée rougeâtre de la dimension d'une pièce d
51 (1907) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1906
e des circonvolutions. — Crâne ovoïde, très mince avec de nom-breuses plaques transparentes, persistance des sutures. Min. De
alite disséminée prédominant au lobe frontal. — Crâne très mince avec plaques transparentes;persistance des su-tures, bosses pa
Crâ-ne assez épais, lourd, graisseux, gris. Per-sistance des sutures. Plaques transparen-tes au niveau des ang'cs pariétaux ant
déve-loppée que la gauche. Opposition à l'autopsie. Crâne mince; plaques tranparentes ; persis-tance des sutures, os wormi
............ 1 | Vernisscusc............. 1 Ether. Préparateur de plaques photographiques.. 1 Total...... 154 Le tableau
, le 8. 1889. — Le 2 janvier, entre à l'isolement, pour la teigne : plaque de la grandeur d'une pièce de 2 francs au niveau
gné la partie supérieure du cou, à gauche, où il existe trois grandes plaques ; application de teinture d'iode. — 20 février. In
cision d'un abcès de lagros-scur d'une noisette, ayant apparu sur une plaque après une épilation. — 24 février. Petits furoncl
lioration notable de la teigne : croûtes au niveau de l'occiput; deux plaques encore rosées, de la gran-deur d'une pièce de 50
au inguinal externe). — Os du crâne minces, peu durs, avec nombreuses plaques trans-parentes. Persistance des sutures, la mètop
ée. Les os du crâne sont très peu épais, et pré-sentent de nombreuses plaques transparentes, persistance des sutures, sauf de l
e de la mort. — Elle a montré de plus un crâne mince, avec nombreuses plaques transparentes et persistance des sutures sans ^au
ômes cérébro-spinaux. Thèse de Paris. Lebreton. — De la sclérose en plaques chez les enfants. Thèse de Paris. Denis (C). —
52 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
s quelques cas ; plusieurs se rapportent nettement à la sclérose en plaques , qu'on a longtemps confondu avec la maladie de Pa
ont été trouvés nor- maux. Deux petits muscles de la main et leurs plaques terminales étaient envahis par de la graisse. D
nous moulons sur le dos du pied, avec une bande de caoutchouc, une plaque malléable en étain qui porte en son milieu une
anciennes, maux de Pott avec compres- sion médullaire, scléroses en plaques , méningo-myélites, myélites trans- verses, etc.
malades porteurs de lésions médullaires ou cérébrales (scléroses en plaques , hémiplégies anciennes, etc.), présentant un synd
nsion en érection 5 Trace ne 5. Etat pathologique. (Sclérose en plaques paraplégie spasmodique) pd : réflexe planti-tib
e l'avons rencontré que chez un seul malade, atteint de sclérose en plaques avec un état re- marquablement spasmodique des
nes; Lannois (8) dans un cas de tumeur du noyau caudé, constate des plaques opalines de méningite au cours de la trépanatio
douloureux de la face interne du tibia. Les orteils présentent des plaques plus foncées, asphyxiques. Un séjour de 12 heur
us de la jarretière; au-dessous de ce ni veau, se trouvent quelques plaques disséminées principalement à gauche. Elles n'of
onc et les membres, respectant la face. La pigmentation de la peau, plaques et ponctua- tion, date de la première de ces po
atif. Pigmentation de la peau. Elle est double, représentée par des plaques pigmentaires et par une pigmentation punctiform
aires et par une pigmentation punctiforme. Il existe une dizaine de plaques peu étendues, de coloration jaune, café au lait
es tumeurs cu- tanées (236) et la double pigmentation de la peau en plaques et en taches. Si l'on joint, à ces deux symptôm
e affirme n'avoir jamais eu la syphilis (ni chancre, ni roséole, ni plaques muqueuses) et on ne trouve, à l'examen, aucune tr
une lésion. C'est seulement d'un côté de la moelle qu'on trouve une plaque de sclérose périphérique, de forme oblongue, situ
e gélatineuse du 5e ascend. qu'elle se présente sous la forme d'une plaque oblongue fortement sclérosée et qui correspond
mente d'arrière en avant et forme dans son extrémité antérieure une plaque sclérosée, qui a la forme d'un triangle situé e
tance blanche est plus mince que normalement, en outre ou voit une plaque \de dégénération située dans le bras horizontal
ce centripète, mais elle peut se présenter sous forme d'îlots ou de plaques qui sur des coupes oc- cupent, d'après Leber, d
susciter tout autre processus in- flammatoire (myélite, sclérose en plaques , etc.). Contrairement à Philippe et Oberthur, n
sus sains ; tantôt elle forme des nodules arrondis, disséminés, des plaques végétantes infiltrant les tissus voisins ; mais
sie, cependant que le côté droitde la face et'du cou se couvrait de plaques rouges et que le côté gauche de la tète devenai
iodure. Il n'a jamais remarqué d'éruption, dit n'avoir jamais eu de plaques muqueu- ses et n'avoir jamais perdu ses cheveux
lle remarque, quelques jours après, qu'elle porte sur le ventre une plaque analogue à celles qu'elle avait précédemment eu
jambes. Mais au lieu de rester pâle quelques jours seulement, cette plaque dure plus longtemps, devient violacée, puis noi
ue dure plus longtemps, devient violacée, puis noire. Bientôt cette plaque se détache ; on finit de l'enlever avec des cis
du ventre, sur les fesses, sur le dos des mains et des doigts ; ces plaques de gangrène superficielle se succèdent ainsi pe
st bientôt reprise d'attaques. Elle voit également quelques petites plaques de sphacèle se produire dans la région para-ombi-
est pour y voir bientôt apparaître, à la jambe gauche, une nouvelle plaque livide, blanc mat : ce nouvel accident la fait
e chéloïdes, légèrement déprimées et plissées : elles répondent aux plaques de sphacèle cicatrisées. Les dessins, que nous
e gauche. Sur la face interne de celle-ci, on constate en effet une plaque longue de 10 centimètres environ, large de 4, o
ron, large de 4, où la peau est déjà sphacélée..L'as- pect de cette plaque de sphacèle rappelle beaucoup plus celui d'une fa
s sale, très uniforme, n'ayant aucune tendance à se détacher, celte plaque sphacélée n'intéresse certainement que les partie
er et recouvrir toute la sur- face sphacélée. Au voisinage de cette plaque la peau est marbrée, présen- tant des placards
ÉVRIER Pendant que nous assistions à la fin de l'évolution de cette plaque de sphacèle, une autre en tout semblable, bien
la peau. La malade quitta l'hôpital ayant guéri la première de ses plaques , la seconde étant en voie de cicatrisation ; el
us parait peu vraisemblable. Tout d'abord, le membre sur lequel les plaques de sphacèle se sont pro- duites est certainemen
53 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
lement employé était le sui- vant : l'électrode indifférente (large plaque cle 16 cm. sur 11 cm.) était appliquée au devan
. 24 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Dans la sclérose en plaques les résultats sontpeu satisfaisants parce que l
ée chronique; elle se rap- proche plutôt de celle de la sclérose en plaques , « elle est lente, traînante, plus ou moins sca
elle des individus atteint de la maladie de Freidreich, sclérose en plaque , paralysie générale, chorée chronique, elc... (
subit en pareil cas le tissu osseux se montre, vous le sa- vez, par plaques , par foyers disséminés. Quand elle porte sur la d
, et nous n'avons par conséquent pas à en tenir compte. Sclérose en plaques . Les déviations vertébrales appartiennent-elles
es appartiennent-elles parfois aux manifestations de la sclérose en plaques ? Nous trouvons dans la monographie de Bourne-
quelle débutent, à l'âge de 17 ans, les symptômes d'une sclérose en plaques . Celle- ci évolue suivant la forme cérébro-spin
nte. L'autopsie montre, conformément au diagnostic, une sclérose en plaques de la moelle, avec intégrité du cerveau. Nous rel
examiner attentivement le rachis des sujets atteints de sclérose en plaques . Il est probable que l'attention une fois fixée s
affectés de (1) Deutsche 71)i ? lR6, n. 14. (2) De la sclérose en plaques , etc. llil) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
, etc. llil) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. sclérose en plaques sans rencontrer ni scoliose, ni autre déformation
rticulation; elle se rapproche plutôt à la parole de la sclérose en plaques , elle est lente; traînante, difficile à sortir, r
, les ma- ladies des tics, la maladie de Friedreich, la sclérose en plaque , paralysie agitante, etc., affections autonomes
parole n'est pas altérée dans la paralysie agitante. Sclérose en plaques . L'athétose double se confondrai ! plus facile-
double se confondrai ! plus facile- ment encore avec la sclérose en plaques . Massalongo, Bourneville et Pil- liet et d'autr
ance et les différences de l'athé- tose double et de la sclérose en plaques . Pourquoi une pareille confusion serait-elle po
ble de la parole et du tremblement qui caractérisent la sclérose en plaques . Les troubles de la parole ont en effet quelque
s les différences sont assez nettes. Tandis que dans la sclérose en plaques , elle est scandée, traînante, au contraire dans l
t les autres muscles de la face. Les tremblements de la sclérose en plaques , à l'inverse des mouvements athétosiques, cesse
repos. La paraplégie spasmodique, si fréquente dans la sclérose en plaques , est exceptionnelle dans l'athétose double. (
a marche spasmodique sont communs aux deux maladies. La sclérose en plaques , bien qu'on puisse l'observer dans l'enfance, a
rémission et d'ag- gravation caractéristiques clans la sclérose en plaques . Ataxie héréditaire ou maladie de Friedreich. E
nt à la parole, elle est surtout scandée, comme dans la sclérose en plaques , mais non spasmodique comme dans l'athétose doubl
que dans un cas où les phénomènes spinaux étaient prédominants, la plaque sacrée, la faiblesse des membres inférieurs, l'
e et s'exagérant par l'acte intentionnel, comme dans la sclérose en plaques . Les deux graphiques ci-joints (fig. 43), pris
larmes. Le 15. Retour de la sensibilité cutanée, mais seulement par plaques irré- gulièrement disséminées et avec un certai
onserve intacte dans toutes ses formes. Nous trouvons seulement une plaque analgésique sur la poitrine. Le sens de l'ouïe,
roit, la sensibilité apparaît intacte : nous trouvons seulement une plaque d'analgésie située sur la poitrine. A côté de c
arence intention- nelle, qui imite le tremblement de la sclérose en plaques et le tremblement mercuriel, qui, lui-même, d'a
54 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
IQUES. 49 La sensibilité cutanée n'est pas normale; on constate une plaque d'anesthésie au bras droit, de même des points
origine centrale (hémiplégie avec ou sans contractures, sclérose eu plaques disséminées à forme hémiplégique, névralgie fac
s angles seraient occupés par le tabes dorsalis, par la sclérose en plaques , par l'ataxie cérébelleuse ». C'est donc avec c
es stigmates, céphalée, craquements de la nuque, état des pupilles, plaque sacrée, vertige, sur les troubles. des fonction
la douleur, toutefois elle paraît un peu retardée. Elle n'a pas de plaques anal- gésiques ou anesthésiques. Elle ne répond
0 ' PATHOLOGIE MENTALE. cutanée est diminuée, mais il n'y a pas de plaques d'anesthésie. Le réflexe pharyngien est conserv
e, nous ne pouvons rien apprendre de bien précis. Il n'y a pas de plaque d'analgésie, d'anesthésie, d'hypéres- thésie, e
avec la tête d'une épingle et les piqûres de la pointe. Il y a des plaques d'anes- thésie et d'analgésie à la jambe gauche
cutifs aux traumatismes crâniens, la démence sénile, la sclérose en plaques , etc. En même temps qu'il empêche le malade de
nerveux, notamment dans la paralysie générale, dans la sclérose en plaques et plus fréquem- ment encore dans le tabes. Il
aissance, fut atteint d'un coryza, de syphi- lides maculeuses et de plaques muqueuses. Ces accidents disparu- rent sous l'i
pas d'eschares de la région fessière ou des talons; la sclérose en plaques devait évidemment être abandonnée. Avions-nous
e ce travail. Un cas de tremblement segmentaire dans la sclérose en plaques . M. Grasset (de llontpellier). Quoique déjà for
segmentaire chez une femme de quarante ans atteinte de sclérose en plaques . La maladie a débuté, il y a deux ou trois ans,
tout d'abord ferait croire que le signe classique de la sclérose en plaques n'existe pas chez notre malade, puisqu'on somme
En réalité, elle a le tremblement intentionnel de la sclérose en plaques avec ses caractères classiques ; toutefois, ce tr
en gant, ce qui n'est ni classique ni fréquent dans la sclérose en plaques . A ces deux points de vue, le tremblement de no
otre malade est l'opposé du tremblement classique de la sclérose en plaques . Au lieu d'être massif, il est segmentaire et,
r que cette femme n'est qu'une hystérique et n'a pas de sclérose en plaques . Je reconnais que l'hémianesthésie transitoire
ore vivante. Et s'il y a lésion, ce ne peut être qu'une sclérose en plaques . En tous cas, alors même qu'on n'accepterait pa
sons obtenues par suite d'une opération chirurgicale. Sclérose en plaques médullaire consécutive ci une arthrite tubercul
de la colonne verté- brale ni des méninges médullaires. Sclérose en plaques typique : plusieurs petites plaques grisâtres,
ninges médullaires. Sclérose en plaques typique : plusieurs petites plaques grisâtres, d'aspect gélatineux, sur la moelle d
ctant que le pyra- midal croisé et, dans les faisceaux postérieurs, plaque égale- ment symétrique, ne laissant indemnes qu
eau de Burdach. Au niveau du renflement brachial et au- dessous, la plaque est limitée au côté droit, etc. Pas de plaques su
al et au- dessous, la plaque est limitée au côté droit, etc. Pas de plaques sur le bulbe ni sur le renflement lombaire. Sur
et de secousses convulsives localisées qui font diagnostiquer une plaque de méningite dans la région paracentrale. Huit jo
'examen du cerveau fil constater ainsi qu'on l'avait prévu : 1° des plaques de méningite tuberculeuse sur la région paracen
été de physiologie, M. Baraduc annonça qu'il avait pu fixer sur des plaques sensibles des radiations lumineuses produites p
l'on lient la main pendant une durée de 15 minutes au-dessus d'une plaque sensible (plaque Lumière) immergée, gélatine en
in pendant une durée de 15 minutes au-dessus d'une plaque sensible ( plaque Lumière) immergée, gélatine en dessous, dans un
image résulte de l'action du fluide vital sur le sel d'argent de la plaque impressionnable. 2° Nous avons répété la même e
ions et empiètent sur le lobule paracentral. Il existe en outre une plaque jaunâtre au niveau du tiers moyen du sillon de
do atteignant la partie correspondante de la frontale ascen- dante. Plaques de congestion sur la face externe du lobe occipit
pois, sur la partie inférieure gauche de la protubérance. Quelques plaques d'athérome sur les sylviennes et sur les artère
e tenez et l'appareil sexuel, par inlacliellsie, 150. Sclérose en plaques . Un cas ' de tremblement segmentaire dans la
25. 'rRMIBLE31ENT. Un cas de - segrnen- taire dans la sclérose en plaques , par Grasset, 395. Tumeurs cérébrales. Deux c
55 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es phénomènes concomitants de rougeur diffuse ou bien sous forme de plaques isolées : cette rougeur peut survenir indépenda
oir étudié, analysé le diagnostic différentiel entre la sclérose en plaques , et une psychose com- binée à une névrose (hyst
stèmes de fibres qu'ils renferment. Cinquième groupe : lé- sions en plaques des faisceaux pyramidaux. Sixième groupe : lési
ues apoplec- tiformes de la paralysie générale ou de la sclérose en plaques ; dans l'état de mal épileptique ou éclamptique
7, p. 54.) A. 11.10uLT. CORRESPONDANCE GUÉRISON DE LA SCLÉROSE EN PLAQUES Nous avons reçu de M. Catsaras la lettre suivan
tique, par exemple, des tumeurs ou des îlots étendus de sclérose en plaques . Les laits de ce genre n'ont pas d'importance thé
, ayant posé, durant la vie du malade, le diagnostic de sclérose en plaques ou de paralysie bulbaire progressive, ont été s
33) ; J. Babinski, Etude analonzique et clinique sur la sclérose en plaques (Th. doct. Paris, 1885); Oppenheim, Ueber einent
Il·1 108, 1887), etc. Ancmves, t. XV. 23 354 CLINIQUE NERVEUSE. plaques ou de tabes, quoiqu'on ne trouve à l'autopsie d
nant de rencon- trer des pseudo-tabes que des pseudo-scléroses en plaques , des pseudo-paralysies bulbaires ou des pseudo-
le gauche surtout. Le ventricule gauche est un peu dilaté. Quelques plaques d'athérome dans l'espace sous-aortique ; léger
t se rapprocher le plus de l'athé- tose double, sont la sclérose en plaques , l'alaxie locomotrice, l'ataxie héréditaire et
taire et la chorée. Dans la forme cérébro-spinale de la sclérose en plaques , on observe des troubles de la vue : diplopie,
aques apoplecliformes qui sont assez fréquentes dans la sclérose en plaques ne paraissent pas se rencontrer dans l'athétose
a face qui n'existent pas, chez les malades atteints de sclérose en plaques et tandis que les troubles de'la parole vont en
e les troubles de'la parole vont en s'aggravant dans la sclérose en plaques , ils restent stationnaires dans l'athétose doub
e tremblement s'aggrave de plus en plus à mesure que la sclérose en plaques fait des progrès, tandis qu'il reste le môme, o
chez les malades atteints d'athétose double. Dans la sclérose en plaques , on note au début une parésie affectant une seu
ec- tions n'est pas la même; d'une façon générale, la sclérose en plaques tend à s'aggraver de plus en plus pour aboutir, p
ation grise, inégalité des pupilles), les douleurs fulgurantes, les plaques anesthésiques ou hypc- resthésiques, la perte d
217); le mémoire très intéressant de M. P. Marie sur la Sclérose en plaques chez les enfants (Revue de médecine) et enfin l
plusieurs, sous la forme bila- térale, hémilalérale, disséminée (en plaques ), stationnaire ou passagère, de concert avec de
s) - hémianesthésie brachiale ou crurale (deux cas) anesthésie en plaques se rapprochant de l'hémianesthésie (un cas) - ane
plaques se rapprochant de l'hémianesthésie (un cas) - anesthésie en plaques bilatérales (cinq cas) - émoussement de la sensib
les différents phénomènes de cette nutrition. La forme arrondie des plaques de vitiligo, et la marche excentrique de celles
ueillies par lui, d'individus nerveux, chez lesquels apparurent des plaques de vitiligo; celles-ci guérirent par l'applicat
cheveux à la suite d'une émotion; la perte du pigment au niveau des plaques de lèpre anesthésique; le chloasma, ce dernier
e dernier : une sorte dé déplacement. D'autre part, la symétrie des plaques de vitiligo est en faveur de la théorie. Les in
rent gris du même côté que la paralysie. Dans le troisième cas, les plaques d'atrophie pigmentaire apparurent en même temps
gauche). Un peu de parésie faciale gauche. Diagnostic : sclérose en plaques . Une plaque occupe l'ap- pareil réflexe, qui su
eu de parésie faciale gauche. Diagnostic : sclérose en plaques. Une plaque occupe l'ap- pareil réflexe, qui suivant le ner
- ral, puisque le réflexe tendineux rotulien a disparu. Une autre plaque lèse les fibres sciatiques dans les cordons latér
formation du Ironc cau- sée par la), par Babinski, 1. Sclérose en plaques (guérison delà), par Catsaras, 333. Secret pr
56 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
s physiologistes ont prétendu qu'en appuyant ses mains chaudes ou une plaque légèrement chauffée sur la tête d'un sujet névrop
hiques doivent être assimilés à tous les autres agents de suggestion ( plaques , anneaux, colliers, etc., etc ). Us agissent comm
re. EFFETS DE LA SUGGESTION HYPNOTIQUE DANS UN CAS DE SCLÉROSE EN PLAQUES Par let D* J- FONTAN, professeur îl l'École de
aru l'année dernière, l'observation d'un homme atteint de sclérose en plaques , et dont les troubles moteurs et sensitifs avaien
icroscopique); elle conforma entièrement le diagnostic de sclérose en plaques ; et les constatations que nous avons faites nous
a page 133. OBSERVATION V. Myélite chronique diffuse (sclérose en plaques fruste). — Paralysie flasque des membres inférieu
e, il porte, sans hésitaiion.commc nous, le diagnostic de sclérose en plaques truste. Aucun des médecins traitants n'a jamais
nous avions entendu émettre tour A tour le diagnostic de sclérose en plaques fruste (pas de tremblements, BÏ de nystagmus, ni
iques. Moelle cervicale. — Immédiatement au-dessous du bulbe, une plaque de sclérose considerable occupe tout le cordon la
erçoivent cependant encore. Sur les bords/brusques et tranchés, de la plaque de sclérose, on voit la structure tubulairc des g
e altération de la substance grise gauche, et, en outre, une nouvelle plaque dans le cordon latéral droit. Au renflement lom
e la décussation des pyramides, on n'en voit point de trace. Mais une plaque existe dans le plancher du quatrième ventricule.
paraissent elles-mêmes altérées. Dans le sens de la hauteur, cette plaque s'arrête à deux millimètres en dessous d'une lign
elever, en quelque point que ce fût de l'appareil nerveux optique, ni plaques de sclérose, ni même un état d'atrophie partielle
lles s'appuieront nos conclusions : i* Le diagnostic de sclérose en plaques fruste était absolument justifié. La prédominance
téro-latéraux est on fait habituel de cette maladie. La hauteur de la plaque de sclérose cervicale, qui mesure plusieurs centi
et la substance grise elle-même. Puis elle disparait et les autres plaques sont ensuite brèves et nettement circonscrites. C
ues sont ensuite brèves et nettement circonscrites. Cette sclérose en plaques est de forme bulbo-spi-rnale, aucun i'.ot de dégé
eint même les libres radiculaires et la substance grise à gauche. Les plaques disséminées dans les cordons 'droits sont partout
importantes : ¦A.— La première a trait a l'élude de la sclérose en plaques en général. ¦Noos tenons en effet, la preuve de c
eurs, et particulièrement Charcot, l'ont indiqué, dans la sclérose en plaques . B. — Notre dernière conclusion a irait à l'act
ure profonde, large de 5 à 6 centimètres, quelle s'était faite sur la plaque rougic du fourneau de l'office, et dont elle n'av
des pièces métalliques. On se munit d'un certain nombre de petites plaques métalliques de formes variées ou de pièces de mon
ie des éléments cérébraux. Comme sur la même corde ou sur la même plaque de cuivre peuvent se produire des systèmes différ
ns le service duquel le malade a passé, arait pensé a une sclérose en plaques , s appuyant, je crois, sur ce fait que le tremble
tant?. Pour qu'un de ¦os collègues ait pu porter celui de sclérose en plaque *, il fallait, ce me semble, que le cas fût douteu
outeux. J'ajouterai qu'on abuse un peu, a mon sens, de la sclérose en plaques et qu'on en voit la où il n'y en a pis. C'est, du
ilieux aussi spéciaux, je » ai vu que quatre autopsies de sclérose en plaques . Il y a donc, a mon avis, beaucoup moins de scl
en plaques. Il y a donc, a mon avis, beaucoup moins de scléroses en plaques sur la table d'amphithéâtre qu'au lit du malade.
ité d'urine rendue en vingt-quatre heures. Dans un cai de sclérose en plaques , j'obtins une courte rémission des symptômes. U
19. Responsabilité médicale (les limites de la), 254. Selérose en plaques (effets de la suggestion hypnotique dans un cas d
57 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
les unes sont isolées, dont les autres, au contraire, sont réunies en plaques plus ou moins larges. De ces pustules, les unes o
érieure. La région de la nuque est entièrement couverte par une large plaque composée de pustules, dont les plus périphériques
les sont en-tièrement confondues. De larges fissures sillonnent cette plaque , au fond desquelles le derme est mis à nu, par su
inférieure de l'épaule ; mais le gauche pré-sente au coude une large plaque composée d'au moins huit ou dix pustules, dont la
itus amorphe, de texture grenue et d'aspect pseudo -membraneux. Les plaques qui en résultent ne peuvent se détacher sans entr
ouvre les muscles arylhénoïdiens. On observe d'abord une ou plusieurs plaques diphthéritiques (fausse diphthérile), auxquelles
ut voir quelquefois,'chez un même individu, les lésions spéciales des plaques de Peyer et des follicules isolés de l'iléon coex
17, 29, t.), et quelquefois aussi le typhus fever avec ulcération des plaques de Peyer et des follicules isolés *. C'est donc e
ro-portion des cas où l'autopsie démontre l'existence des lésions des plaques de Peyer et des follicules isolés de l'intestin,
pidement, la peau est parsemée principalement à la face et au cou, de plaques ecchymotiques plus ou moins étendues ; la rigidit
s lorsque la coloration anormale du tégument externe est disposée par plaques , par bandes et que les conjonctives n'en sont pas
e, mais surtout l'abdomen et le scrotum, sont recouverts d'une grande plaque d'un brun très sombre ; les épaules et les bras,
région laté-rale du thorax ; elle l'est moins à la région du dos. Ces plaque ; brunes ne se limitent pas par des bords tranchés
mérite d'être signalé. Cette sur-face était recouverte de nombreuses plaques d'apparence ver-ruqueuse, ovales ou arrondies, op
une membrane germinale. Nous avons vu dans des hydatides du foie des plaques végé-tantes, tout à fait semblables qui avaient é
u 100e de potasse caustique. Ce sont ces granulations qui donnent aux plaques verruqueuses leur aspect laiteux et leur opacité.
rès rouge ; il en est de même des parois buccales, qui se couvrent de plaques blanches de muguet. Bien que les vomissements aie
condisciples, atteint de- puis l'âge de quinze ans d'un psoriasis à plaques confluentes et étendu à presque toute la surface
oujours à la suite de ces cures, l'affection cutanée s'amendait ; les plaques pâlissaient ou même disparaissaient en partie, ma
re fois de psoriasis vers l'âge de seize ans; mais à cette époque les plaques , bien qu'elles fussent assez larges et répandues
et qui avait consisté, au dire du malade, en onctions faites sur les plaques à l'aide d'une pom-made mercurielle. L'affection
de nouveau suivant le même mode. Sous l'influence du mé-dicament, les plaques de psoriasis s'effaçaient et disparaissaient même
ode de dix années, Jean avait acquis, principalement au voisinage des plaques persistantes ou en la place même de celles qui
ccale se co-lorer sur une grande étendue, de manière à constituer des plaques noirâtres : ce fait avait été déjà signalé par Kr
e la fièvre typhoïde, lorsqu'elle est entretenue par l'ulcération des plaques de Peyer, peut être utilement traitée par le nitr
58 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
ynx : aphonie. — Modifications de la sensibilité sous l'influence des plaques métalliques, de l'électricité statique, etc. So
sous elle, ce qui lui arrive assez communément. 13 décembre. — Deux plaques de cuivre, appliquées sur les jambes, au niveau d
ce d'électrisation disparaissait, M. Vigouroux a fait appliquer des plaques de cuivre sur le bras et la jambe du côté droit.
très courte durée. 10 janvier. — Application pendant 20 minutes de plaques de zinc au-dessous du coude droit dans une hauteu
. — L'anesthésie persiste au-dessous du coude droit. — Application de plaques de zinc sur-l'avant bras gauche durant 15 minutes
ras gauche durant 15 minutes, pas de modification. 13 janvier. — La plaque anesthésique droite persiste. — Après s'être assu
stence de l'anesthésie sur la jambe gauche, on applique un collier de plaques de zinc autour du mollet. Aucun changement en 15
llet. Aucun changement en 15 minutes. 14 janvier. — Application des plaques de zinc sur la jambe gauche (9 h. 1/2). A 10 3/4,
(9 h. 1/2). A 10 3/4, la sensibilité commence à revenir au niveau des plaques . Peu à peu, la zone semble s'agrandir et finit pa
nouveau toute la jambe gauche. —A 10 heures et demie, application de plaques de zinc au-dessous du pli du coude à 11 heures 3/
de la face, du cou, etc. Application, à 10 heures, sur le front des plaques d'une petite pile de deux éléments au sulfate de
bilité est revenue à gauche sur la partie du front qui correspond àla plaque de la pile; en revanche, il s'est produit de Yane
la pile; en revanche, il s'est produit de Yanesthésie au niveau de la plaque qui reposait sur la moitié droite du front. (Tran
être assuré que la situation est la même qu'hier, nous appliquons des plaques d'étain. Au bout d'une heure environ, la sensibil
le déclare n'éprouver aucune souffrance. Elle a, sur chaque joue, une plaque rouge ; d'après elle, il en serait toujours ainsi
elle, il en serait toujours ainsi chaque fois qu'on l'endort, et ces plaques rouges, qui s'accompagnent d'une sensation de cha
59 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
oite, de l'byperesthésie du cuir chevelu, une céphalée en casque avec plaque frontale et insomnies fréquentes, alternant avec
laire, c'est-à-dire sans contact du corps avec la face sensible de la plaque , repose sur un fait capital indéniable que j'ai d
1893. Ce fait continuellement confirmé depuis est le suivant : La plaque photographique actuelle (type Lumière) est impres
ourbe cosmique.— ???? de colere. — Tempête fluidique produite sur une plaque mise, face verre, sur le front d'une personne pri
en un état hypervihratoire d'expansion ou de décondensalion n° 3) La plaque a donc ses sels-réduits par cette double mani
crite sous le n° 5927. Cette méthode consiste en l'impression de la plaque , sans contact aucun, ni direct, ni indirect de la
érament excessivement vibrant, l'impression de ces vibrations sur des plaques , en mettant celles-ci dans ce que l'on peut appel
de la plaque-, ou le front mis en rapport avec la face verre de la plaque ; Bj, en mettant au point une personne que l'on p
faites chez moi. 2° Procédé portatif. — Jl consiste â employer des plaques préalablement occluses dans un double portefeuill
act avec la surface du corps, au moment de la période vibratoire ; la plaque occluse mise dans un petit appareil de contention
sans contact pelliculaire : A) dans le laboratoire noir; B) avec une plaque occluse. 2° Eliminer les plaques piquées ou a v
ns le laboratoire noir; B) avec une plaque occluse. 2° Eliminer les plaques piquées ou a vacuoles, défauts de préparation.
icielle ou profonde, effectuée de la face libre à la face verre de la plaque ou inversement, cette réduction est le critérium
u'on en a tirée, dans la stricte observation scientifique. — Ainsi la plaque occluse devient le fidèle témoin des échanges vib
et de la négation pour rentrer dans l'expérimentation physique. La plaque prise comme témoin irrécusable des vibrations hum
suggestion à l'état de veille. Il y a quelques années, à l'aide des plaques électroïdes du Dr Chaza-rain (cuivre et zinc), j'
eur, puis de la tumeur elle-même qui, par l'application continuée des plaques ;la nuit seulement}, avait fini par disparaître e
été opérée par la suggestion et l'auto-suggestion, agissant avec les plaques métalliques comme avec le papier, ou pour la sugg
avec le papier, ou pour la suggestion aidant l'action électrique des plaques dans le premier cas et par la suggestion seule da
e la sensibilité du sujet en expérience. J'ai pris d'abord une petite plaque de verre que j'ai recouverte de velours. Le sujet
ant mis comme précédemment en état de somnambulisme et anesthêsié, la plaque préparée fut placée entre ses mains ; il ressenti
nettement les piqûres qui étaient faites à l'étoffe qui recouvrait la plaque de verre. Le carton ne m'a pas donné de résulta
laquelle j'ai donné vaguement la forme du sujet en la fixant sur une plaque de verre. J'ai sensibilisé le mastic en l'approch
e mastic en l'approchant du corps du sujet auquel je faisais tenir la plaque de verre entre les mains. Après quelques instants
de verre entre les mains. Après quelques instants, tenant moi-même la plaque de verre à une petite distance du sujet, celui-ci
es que l'incoordination de l'ataxie, le tremblement de la sclérose en plaques , la paralysie consécutive à l'apoplexie. Pendan
ectrîsation a régulièrement une durée déterminée à l'avance, les deux plaques cheminent de chaque côté de la colonne vertébrale
les pôles sont intorverlis toutes les cinq minutes, ensuite l'une des plaques passe sur le devant de la poitrine pour glisser i
60 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
gtosso-laryngée. Frère mélancolique. Nièce maniaque. La sclérose en plaques peut être héréditaire3. D'autres fois elle se p
e en doute. Observation LXVI. - D..., vingt-neuf ans. Sclérose en plaques . Mère migraineuse. Oncle maternel aliéné. Deux
40 pathologie générale. Observation LXVII. - mye X... Sclérose en plaques . - Père et deux tantes maternelles aliénés. - F
- Fils, tic de la face. Observation LXVIII. - Mme B... Sclérose en plaques . Fille aliénée. Observation LXIX. - M"° C...,
liénée. Observation LXIX. - M"° C..., vingt-cinq ans. Sclérose eu plaques ; pas d'antécédents avoués. A eu, à quatre ou cinq
gitique ( ? ). Observation LXX. D..., vingt-neuf ans. Sclérose en plaques . Oncle maternel, mort aliéné à la suite d'un coup
de la sclérose multiloculaire à quarante-deux ans. La sclérose en plaques s'accompagne souvent de troubles psychiques que
e [générale et peuvent s'expliquer par ce fait que la sclérose en plaques étant une lésion de nature inflammatoire peut,
onde. 11 y a une excoriation légère sur le trochanter droit, et une plaque ecchymotique sur les deux malléoles internes.
stence de dégénérescences secondaires au-dessus et au-dessous d'une plaque de sclérose multiloculaire. Le fait est vrai d'
naguère par M. Charcot dans l'histoire anatomique de la sclérose en plaques , à savoir l'intégrité habituelle des cylindres-
énérique de scléroses diffuses. Il n'est pas jusqu'à la sclérose en plaques , si bien étudiée pourtant dans ses caractères g
ibilité, et il nous a semblé que, sous l'influence d'un bracelet de plaques de cuivre, les sensations tactiles devenaient u
ée 1884 : prix Bernard de Civrieux (1 ,OO fr.), De la sclérose et ! plaques dissémi- nées; prix Falret ( 1 ,000 fr.), Des f
uve, à la surface de chaque hémisphère, une lésion symétrique : une plaque de ramollissement jaune à l'extrémité inférieur
rticales, existait une lésion symétrique de chaque hémisphère : une plaque de ramollissement à l'extrémité inférieure de l
ive. A l'autopsie, pas de lésions dans les noyaux bulbaires; mais plaques de sclérose dans les corps calleux, sur les paroi
corps calleux, sur les parois des ventricules latéraux; une petite plaque de sclérose fut observée dans chaque capsule, a
écrire en détail : douleurs fulgurantes, engourdissement cu- bital; plaque d'engourdissement sur la partie latérale droite
myélite 11'Ons- verse. Certaines formes anormales de la sclérose en plaques et en particulier celles qui s'accompagnent de
de la sensibilité vésicale et uréthrale qui peut faire partie d'une plaque anesthésique s'étendant plus ou moins sur les t
viscé- rales constituent, à pioprement parler, des anesthésies en plaques qui s'étendent plus ou. moins autour du méat ou d
ère in- consciente. Ajoutons que, comme les autres anesthésies en plaques de l'ataxie, l'anesthésie vésicale peut se modifi
onsidérons l'anesthésie des voies urinaires comme une anesthésie en plaques , nous ne pouvons guère concevoir que l'anesthés
esthésie présente aussi les caractères des dysesthésies cutanées en plaques , c'est-à-dire qu'elles sont très variables comm
243 par ses symptômes céphaliques, se rapproche de la sclérose en plaques , tandis que ses troubles spinaux ont pu permettre
iagnostic douteux (sclé- rose latérale amyotrophique ou sclérose en plaques ); par L'HÉRI- TIER de CnEzELLE. Thèse de Paris,
se de Paris, 1884. 1 Sur une des formes frustes de la sclérose en plaques disséminées; par BwB.wLD. Thèse de Paris, 1883.
61 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- L'enfant est complètement guéri ; il revient me trouver pour une plaque de tricophytie du cuir chevelu. Depuis, la guér
tout se serait passé sans douleur. Nombreux stigmates d'hystérie : plaques d'anesthésie, point dou- loureux épiglottique,
ditions différentielles de la paralysie agitante, de la sclérose en plaques , de la paralysie générale et de l'hémor- ragie
its nodules d'alhérome dans le tronc basilaire, et quelques petites plaques de même nature sur la crosse de l'aorte. Les po
-six ans, quarante et un ans) présentant seulement quelques petites plaques clair- semées d'athérome dans quelques gros tro
ite, 29°,2. - De chaque côté, au niveau de la queue du sourcil, une plaque d'oedème assez régulièrement arrondie (3 centi-
lité reparaissant au-dessus du poignet. Le soir, apparition d'une plaque d'oedème blanc, très légèrement rosée, au-dessu
it furoncle, de la face externe du bras droit, provoque une large plaque d'urticaire douloureux, cuisante comme une aiguil
elui ressortissant aux aliénistes; de ce nombre sont la sclérose en plaques , le tabes, le ramollissement cérébral et la par
e la paralysie infantile, de la péri-encéphalite, de la sclérose en plaques étaient la conséquence probable d'infections an
ent émotionnel passager, un rétrécissement du champ visuel et des plaques d'anesthésie. Environ quinze jours après son entr
ec une affection organique..Chez une malade atteinte de sclérose en plaques que j'ai observée et qui présentait, en dehors
les mouvements anormaux surajoutés au tremblement de la sclérose en plaques ; je me crois donc autorisé à dire que les premi
les centres nerveux, il guérit par suggestion. Dans la sclérose en plaques on peut aussi réussir par l'hypnose et la sugge
les positions extrêmes du regard qu'on observe dans la sclérose en plaque . Le strabisme interne qui l'accompagne est très
niveau de la seconde vertèbre lombaire. Il s'agit sans doute d'une plaque de méningite. A notre REVUE DE PATHOLOGIE NERVE
e. Tous les organes sains, sauf la moelle et les méninges spinales. Plaque molle, blanchâtre, circonscrite, constituée par d
M. Féré a souvent observé, chez les épileptiques de Bicêtre, des plaques de pelade qui guérissaient généralement vite et s
er était cou- vert de cheveux et on constata qu'il était porteur de plaques de pefede, lesquelles s'étaient produites rapid
mblements secondaires ou sympto- maliques, il étudie la sclérose en plaques , la paralysie agitante, le goitre exophtalmique
des extrémités inférieures y compris la plante des pieds. Seule une plaque située à la partie externe des genoux et grande
u et à la figure, le tact est normal et très net. · Il existe une plaque d'hyperesthésie à la pression le long de la col
des pieds, il y a aussi un peu d'hypoesthésie de la douleur. Aux plaques en dehors des genoux où le toucher est conservé,
inguinal; le toucher est normal sur le dos du pied gauche, sur une plaque grande comme la main au mollet et sur la surfac
et par ses lumières invisibles icunographiant et impressionnant la plaque photogra- phique, il a détaché un chapitre spéc
chicones, nom qu'il donne aux images créées par notre esprit sur la plaque . Dans un précédent ouvrage sur la Force vitale,
e, Carré éd.) Dans l'iconographie qu'il décrit, il a trouve avec la plaque une nouvelle méthode d'enregistrer les mouvemen
épendante du corps matériel, dont elle sort pour se produire sur la plaque . Les psychicones sont caractérisés par l'absenc
un psychicone. En dehors de son emploi habituel en photographie, la plaque photographique ordinaire est un agent de récept
lonté, cette image s'évacue par la main et vient se graphier sur la plaque . Pour aider son extériorisation, une faible ten
rps se trouvant dans un bain d'électricité statique positive) et la plaque , située en dehors à l'état neutre. Quant à la v
i l'exprime et l'exté- riore sous cette forme qui se graphie sur la plaque à laquelle la main l'abandonne. Les conclusions
ue nous venons de dire sont : BIBLIOGRAPHIE 401 1° Physique. La plaque impressionnée offre unesignature diffé- rente s
ble de notre lumière de vie qu'il modèle pour se manifester sur une plaque sensible, ainsi donc l'expérience même prouve q
ralytiques généraux, bulbaires, pseudo-bulbaires, de la sclérose en plaques , est facile. Au premier abord un aphasique sensor
62 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e la parole, ni mégalomanie); ce n'est pas non plus une sclérose en plaques (étiologie, âge du malade, évolution). Reste l'hy
ques (étiologie, âge du malade, évolution). Reste l'hypothèse d'une plaque néoplasique de la base s'insinuant entre la bande
et sur un sujet, exactement comme la lumière laisse sa trace sur la plaque de la chambre obs- cure du photographe. Or, pou
On applique en cet endroit une couronne de trépan, on enlève une plaque de méningo-encéphalite du diamètre d'une pièce de
ui ouvre le crâne; on tombe sur le sillon de Rolando; un enlève une plaque de méningite qui laisse à découvert le pied de
ne partie de la tête, du tronc et des extrémités ; quelques petites plaques hypéresthésiques, d'autres régions assez grande
s ici à signaler particulièrement la planche 1 où sont figurées les plaques termi- nales des muscles de divers animaux et d
figure 4 de cette planche représente, avec des détails nouveaux, la plaque ter- minale des muscles du lézard, vue à un gro
teurs passent successivement en revue les lésions que subissent ces plaques dans la section expérimentale des nerfs. Mais,
ale de ce tra- vail est celle qui est consacrée aux altérations des plaques motrices dans les diverses affections du systèm
ans le muscle, une atrophie de la fibre et du réseau terminal de la plaque , tandis que dans le tendon on voit, au contrair
te est caractérisée par la prolifération nucléaire des noyaux de la plaque (Pl. VU, fig. 6). L'exécution des planches est
un exemple à la Société médicale des hôpitaux; 2° La sclérose en plaques disséminées est aussi sus- ceptible de réaliser
oeuf de moineau. 1880. Mars. - L'enfant présente à cette époque des plaques à la bouche et à l'anus' avec des adénites cerv
yélite diffuse, l'atrophie musculaire progressive et la sclérose en plaques disséminées. Dans ces derniers cas, il dénote l
ps droit par compression du nerf mus- culo-cutané sur l'angle d'une plaque de marbre. Ce qui est anor- mal, c'est que le p
soit resté indemne. 11 se peut qu'il y ait une anomalie, ou que la plaque de marbre ait, dans l'aisselle, atteint isoléme
Chaque cellule ou chambre se compose d'une lame positive et de deux plaques négatives et à la tension de 2 volts, ce qui do
maladie deMénière; spasmodique elle s'observe dans la sclérose en plaques . Mais ces différents types peuvent se combiner
II. - Monoplégie brachiale gmche hystéro-trauma- tique, sclérose en plaques . Lésion organique des nerfs des muscles deltoïd
s'être manifestés chez lui, les premiers symptômes de sclérose en plaque . Cela commença par de la titubation; ses jambes n
pêtrière en 1887, puis de nouveau en 1890. Diagnostic : sclérose en plaques . Depuis deux ans, il gagnait sa vie en distribu
ospectus sur la voie publique. Il était donc atteint de sclérose en plaques et suivait le traitement qui lui avait été pres
s symptômes qui permettent d'affirmer l'existence de la sclérose en plaques chez cet homme sont les sui- vantes : 1° tituba
urait l'interpréter sans dis- cussion. L'hystérie et la sclérose en plaque sont les deux maladies du système nerveux qu'on
n ce qui concerne l'existence chez notre malade d'une sclé- rose en plaques , le doute n'est guère possible. Il a été reconn
dans la sciatique, dans la syringomyélie, le tabès, la sclérose en plaques . Ce chapitre est au contraire à faire entièreme
n parallèle avec le tabès, la maladie de Friedreich, la sclérose en plaques , etc. L'hérédité d'abord, les troubles trophiqu
ingue assez nettement des deux affections voisines : la sclérose en plaques et l'ataxie de Duchenne (de Boulogne). C'est un
lques réflexions sur l'éliologie et le traitement de la sclérose en plaques a propos des leçons sur les maladies de la moelle
lques réflexions sur l'étiologie et le traitement de la sclérose en plaques à propos des leçons sur les maladies de la moelle
63 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
ge trou au-dessous duquel nous avions fait au- trefois disposer une plaque métallique sur laquelle était placé un vase en
, en effet la partie postérieure du cou et de l'épaule droite. La plaque d'érysipèle est rouge ; le bourrelet n'est pas fr
he; on trouve sur la face antérieure, près de la pointe, une petite plaque lai- teuse ; le ventricule droit est affaissé ;
st affaissé ; sur sa face antérieure se trouve également une petite plaque laiteuse; les deux oieillettes sont dilatées. L
crosse de l'aorte, au-dessus des valvules, on trouve quatre larges plaques athéromateuses ; il en existe une autre petite
disparu. L'enfant ne réagit plus au pincement, La face présente des plaques rouges. Coma. Mort à onze heures du soir. Tempé
breuses, il en existe un certain nombre. Sur le péritoine pariétal, plaques ca- séeuses lenticulaires et irrégulières, surt
es ont la forme papuleuse. - Les amygdales sont couvertes de larges plaques diphthériques, grisâtres, sanieuses. Une d'elle
auf à droite de l'incision trachéale, où l'on re- marque une petite plaque diphthérique. Abdomen. Rate petite, 55 gr., nor
la troisième cir- convolution frontale, mais disséminées en petites plaques irrégulières. La première circonvolution fron
Février. Même état, mais à l'inspection de la bouche on trouve des plaques assez nombreuses de sto. matite. - Badigeonnage
au moindre contact. Sur les joues, à la face interne, se trouve une plaque un peu déprimée et gri- sâtre, large comme une
r la muqueuse buccale de la joue gauche on trouve une ulcération en plaque , allongée, repo- sant sur le tissu sous-jacent
ticules très petits. Intestins un peu injectés ; hypertrophie des plaques do Peyer sans ulcérations ; tuméfaction légère
utour d'un follicule de De Graef après la ponte ovulaire. Ces 194 PLAQUES JAUNES ; PSEUDO-KYSTES. foyers ne sont pas apop
IV. L'intérêt de ce cas réside surtout dans la constatation de ces plaques jaunes ou de ces petits pseudo-hystes mul- tipl
a base droite; lavement purgatif. 19 mars. Respiration fréquente, plaques de rougeur sur les joues. A l'auscultation, râl
base. - Noyaux de broncho-pheumonie à la base du pou- mon gauche. Plaques ecchymotiques de la pie-mère. Lelon... (Louis),
gé- nérale, est modérément vascularisée. On trouve seulement doux plaques ecchymotiques sur la face convexe du lobe frontal
érieure, entourée d'une zone vascu- laire. Notons encore do petites plaques ecchymotiques sur la face inférieure du lobe fr
64 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ait, très den'sifiée, et nous trouvons même de véri- tables petites plaques de sclérose évidemment constituées par la réuni
gauche. La faux du cerveau présente dans son quart antérieur une plaque osseuse ovalaire, à grand diamètre antéro-postéri
é de laquelle elle semble s'être développée. Il existe trois autres plaques osseusses beaucoup plus petites situées postéri
rande courbure de la faux. Enfin, dans sa partie moyenne, une autre plaque , la plus grosse de toutes, parait s'être dévelo
e de Friedreich, les affections cérébelleuses ( ? ), la sclérose en plaques ( ? ). 2° Mouvements des membres supérieurs (pr
maladie de Rayttaud, l'oedème circonscrit fugace et la gangrène en plaques névoopathique doivent, en bien des cas, être te
stence de ce symptôme révélé par M. Babinski sur trois scléroses en plaques et ne l'ont pas trouvé sur un malade atteint d'
un malade atteint d'un syndrome hystérique simulant la sclérose en plaques cérébello-spasmodiques, ils croient, en conséqu
l M. Touche et lui-même avaient posé le diagnostic de sclé- rose en plaques , maladie dont le sujet présentait exactement les
mme M. Babinski l'a déjà avancé, pathognomoniques de la sclérose en plaques et ne se produisent dans cette maladie qu'autan
aques et ne se produisent dans cette maladie qu'autant qu'il y a de plaques de sclérose sur le cervelet, la protubérance et
Aussi Bergonié recommande-t-il comme électrode active une grande plaque d'étain enveloppée de nombreuses feuilles de ga
r exemple où la résistance cutanée est moindre, où l'humidité de la plaque est plus grande ou bien son contact avec la pea
la nutrition du cylindraxe et provoque sa réparation (sclérose en plaques ). La substance de soutènement, ou névroglie d'o
rsistance de l'irritation atténuée, devenir chronique : sclérose en plaques consécutive à encéphalomyélite disséminée. Il
. Le microscope permet d'en déterminer deux aspects, a. Sclérose en plaques : foyer composé d'un réseau fort ou fin de libr
xication qu'à une action réflexe. M. H. XLIV. Un cas de sclérose en plaques à tremblement hémilatéral ; par Remlinger {Revu
inger {Revue de Médecine 1899). Observation d'un cas de sclérose en plaques où le tremblement était limité aux membres supé
et d'attribuer ce tremblement à l'hystérie. M. il. XLV. Sclérose en plaques médullaires consécutive à une arthrite tubercul
de la moelle. L'autopsie montra qu'il s'agissait d'une sclérose en plaques . L'auteur émet dans ce cas l'hypothèse d'une in
siège {Revue neu- rologique, mars 1902). E. 13. LXIX. Sclérose en plaques infantile à forme hémiplégique d'ori- gine héré
disséminées, sans sys- tématisation aucune, à aspect de sclérose en plaques . {Revue neu- t'o<o : <e, oct. 1902). E. B
sculaires. {Revue neurologique, oct. 1902). E. B. LYXI. Sclérose en plaques à symptômes transitoires et récidivants. Paraly
s, s'il n'est pas un fait nouveau dans l'histoire de la sclérose en plaques s'est présenté rarement avec des caractères aus
e de Babinski de con- clure à une affection organique, probablement plaque de sclérose rhumatismale. Malformations congé
e, qui doit être exclu comme tout autre tumeur, mais en forme d'une plaque tuberculeuse méningienne (méningite en plaque).
, mais en forme d'une plaque tuberculeuse méningienne (méningite en plaque ). Discussion. Dr W. Mouratoff trouve le cas II
eu d'anesthésie qui ne persiste aujourd'hui que sous la forme d'une plaque au membre inférieur droit. Il n'y a jamais eu a
ham, comme elle s'associe à l'épilepsie, au tabes, à la sclérose en plaques etc... Dans les pages qui suivent, l'auteur dém
ec anévrisme ; soit enfin à la présence d'une gomme cérébrale ou de plaques scléro- gommeuses des méninges comprimant une a
tbésies organiques (tabès, hémianesthésie hémiplégique, sclérose en plaques , névrites), ne sont pas du tout fixes, immuable
ganiques du tabès, de l'hémianesthésie cérébrale, de la sclérose en plaque , de la névrite, ont conservé derrière le masque
lls (,t les encéphalites chroniques de l'enfance. Un cas (le - en plaques à tremblement hémilatéral, par Iielnlinner, 279
en plaques à tremblement hémilatéral, par Iielnlinner, 279. - en plaques médullaires consé- cutive à une arthrite tuberc
hrite tuberculeuse rie l'épaule, par Lannois et Da- viot, 279. en plaques infantile à forme hémiplégique d'origine héré
e d'origine hérédo-sypliilitique probable, par Carrier. 286. - en plaques à symptômes transitoires et récidi- vants. Pa
65 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
r Raymond (Leçons clin., t. Il), Schultze, Hoffmann, la sclérose en plaques (Ebstein, Jellinek) ne sont pas en cause chez n
r la rapidité de ces mouvements, il faut savoir que chaque passage de plaque se fait dans 0,06 de seconde et que tous les mo
arrhée, etc., persis- tent avec la même intensité. L'apparition des plaques de morphée, locali- sées aux jambes, coïncide a
n peu, surtout dans la moitié inférieure du corps. L'apparition des plaques de morphée coïncide avec ce commencement d'amé-
cit à cet endroit, puis elle se déprime. L'apparition des premières plaques sclérodermiques aurait eu lieu vers l'àge de 18
e peut pas être très précise, car elle n'aurait observé la première plaque qu'après que la dépression fut très manifeste.
plaque qu'après que la dépression fut très manifeste. Les premières plaques dans leur ordre d'apparition sont celles du mil
corps prend un tel développement qu'il devient un peu anormal. Les plaques sclérodermiques se multiplient et progressent e
uation appa- raît de nouveau, en quantité à peu près normale. Les plaques de sclérodermie, au nombre de 12, sont assez symé
jambes, toutes occupent la face postérieure de celles-ci. Les deux plaques antéro-externes sont les moins sy- métriques, c
diatement au-dessus et en avant de la malléole externe. La première plaque apparue est celle de la partie moyenne de la jamb
e ne peut pas préciser l'ordre dans lequel sont apparues les autres plaques sclérodermiques. La plupart des plaques sont lé
sont apparues les autres plaques sclérodermiques. La plupart des plaques sont légèrement pigmentées, offrant un aspect bru
manifeste, de sorte que, sur la photographie, on voit seulement les plaques profondes à cause de l'ombre qu'elles projetten
bre qu'elles projettent et non grâce à leur pigmentation. La grande plaque de la partie inférieure du mollet gauche et quelq
con- naissance sont les suivants : Leube (1) a vu apparaître des plaques de sclérodermie au visage et aux mains chez un
n dans l'état du malade et ayant fait en même temps disparaître les plaques sclérodermiques, l'a porté à conclure qu'entre
nce des yeux est limi- tée, la sensibilité est obtuse au niveau des plaques sclérodermiques. Le pouls, de 100-130, monte à
s après l'apparition des symptômes hasedo- wiens, il a observé deux plaques de sclérodermie sur la face antéro-externo des
oduit une amélioration. Eddowes (4), dans un cas de sclérodermie en plaques avec alopécie et leucodermie, dit que le corps
rdance avec les cas, parmi lesquels peut se ranger le nôtre, où les plaques sclérodermiques occupent exclusivement les jambes
nce de sueurs, qui en effet est un phénomène fréquent au niveau des plaques de sclérodermie. Mais c'est Thirial qui, le pre
ires, la saillie des acromions. On note dans la région sternale une plaque de sclérose en bande horizontale qui est nettem
x seins sont petits, atrophiques. Aux bras on aperçoit une série de plaques disposées sur la ré- gion externe depuis le cou
- gion externe depuis le coude jusqu'au bord cubital de la main,ces plaques , de dimensions variables, ont une couleur blanc
urs, au contraire, les lésions sont plus marquées, on rencontre une plaque à la face externe de la cuisse droite et deux gra
re une plaque à la face externe de la cuisse droite et deux grandes plaques à la face antérieure des deux genoux dans la régi
face antérieure des deux genoux dans la région prérotulienne ; ces plaques ont une dimension d'une pièce de 5 francs et elle
tané est adhérent à la région sous-jacente, et aux pourtours de ces plaques sur la crête du tibia, il y a une quantité de p
e ci-jointe (Voir Fig. 3, PI. XLIII). Aux pieds il y a encore des plaques disséminées au talon et sous la plante au nivea
, limitation dans les mouvements arti- culaires, la peau adhère aux plaques sous-jacentes. Enfin la malade de Busi présenta
spinales. C'est ainsi que, dans le cas d'Emery (9), le vitiligo en plaques sur le visage, les avant-bras et le scrotum, se
ait en forme de trigone, les os peu épais, durs, avec de nombreuses plaques transparentes ; il avait une synostose des troi
une transsudation ou multipliant les hémorragies microsco- piques ( plaque de méningite, lumeurs vasculaires, etc.) (1). »
66 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
es mélancoliques, asignalé chez certains d'entre eux l'existence de plaques de sphacèle sur la peau. , 3° Un dernier poin
rdissement des pieds s'atténue ou disparaît; chez deux malades, des plaques d'anesthésie plantaire redevinrent sen- sibles.
même l'avait remarqué. Par contre, un malade atteint de sclérose en plaques avec exagération considérable des réflexes rotu
ait naitre les premiers essais chez les spasmodiques (sclé- rose eu plaques , myélite transverse, etc.) ont dû être écartées.
es symptômes de paraplégie spasmodique dans un cas de sclérose en plaques . - Deux malades atteints de paralysie agitante,
le nom de fibrome diffus, et parfois se termine par la sclérose en plaques ... D'ans l'encéphale de Ghirlenzoni on ne fit p
aines la malade s'est aperçue qu'elle avait au niveau des mains des plaques brunâtres sur l'apparition desquelles elle est pe
desquelles elle est peu à même de fournir des renseignements. Ces plaques , à son dire, se seraient montrées une première fo
aires qu'on peut constater son les suivantes. Du côté droil est une plaque pigmentée, haute d'environ quatre centimètres,
endant un peu sur les parties latérales de celui-ci. En haut, cette plaque se confond insensiblement avec la coloration du
des doigts. Pas de troubles du côté des ongles. Du côté gauche, une plaque plus colorée encore que la plaque à peu près sy
é des ongles. Du côté gauche, une plaque plus colorée encore que la plaque à peu près symétrique du côté opposé, plaque à
colorée encore que la plaque à peu près symétrique du côté opposé, plaque à bords plus irréguliers, haute d'environ G cen
elle du côté opposé. Au-dessus de cette zone brun-rougeâtre est une plaque décolorée répon- dant à la moitié supérieure du
que décolorée répon- dant à la moitié supérieure du dos de la main, plaque parsemée de quelques îlots de couleur brunâtre
e la plante du pied est tout à fait guéri : il reste à la place une plaque d'épiderme induré et épaissi, mais tout à fait
poing de notre sujet. - Pas de sérosité dans le péricarde, quelques plaques laiteuses sur le péricarde, et particulièrement l
mucine transformée. Quant au système nerveux, outre la présence de plaques ossiformes dans les méninges rachidiennes, M. I
plus, anesthésie complète du pharynx, de la langue des deux côtés ; plaques d'anesthésie complète il gauche dans la région so
t presque complètement disparu est revenu les jours précédents. Les plaques insensibles le sont moins ; mais il existe au niv
tion de saillies oedémateuses, entourées de rougeur, semblables aux plaques ortiées, pouvant former des figures variées à v
ignait cette hypothèse beaucoup plus soutenable pour la sclérose en plaques . L'exagération des réflexes rotuliens jointe au n
métriquement abolie jusqu'à 2 travers de doigt au-dessous du coude. Plaque d'anesthésie comprenant l'espace interscapulairc,
67 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
té traitée à la salle Sainte-Adélaïde, service de M. Lorain, pour des plaques muqueuses ; depuis cette époque, elle a eu de l'a
t décolorés. 11 en est de même du cœur, qui présentait en outre une plaque laiteuse sur le ventricule droit, et quelques pet
C. Pour la photographie, la tige doit être terminée par une petite plaque noire, de 1 centimètre carré de surface. VII. M
e à aimant ; 2° Enrouler autour du cylindre, au lieu de papier, une plaque de collodion élastique, préparée et iodurée ; 3
'action de la lumière est annulée. Partout où la lumière arrive, la plaque sensible est atteinte. La ligne d'intersection
e à l'épreuve quelque chose de nuageux. B. Procédé par l'aiguille à plaque . On amène le tube de verre au 1 Les Battements
rieur du cylindre et de la fente; on plonge dans le tube l'aiguille à plaque , qui, soulevée par le mercure, vient faire écran
dessus la lumière entre librement et sans intermédiaire jusque sur la plaque sensible, en produisant des tons vigoureux. Par
iguille ne masquant qu'un point à la fois, la lumière laissera sur la plaque une ligne déliée, comme aurait pu le faire l'écri
ucher et on constate à la surface de la peau des rides profondes, des plaques luisantes, des nodosités blanchâtres qui contrast
oïdienne gauche, aux aines. Pas d'angine; œdème des grandes lè¬vres ; plaques muqueuses assez nombreuses à la vulve, que la mal
ntre elles ont une couleur blanche, brillante, rappelant l'aspect des plaques de psoriasis. La lèvre supérieure, où les croûtes
macule brunâtre. L'œil gauche va mieux. — Ni céphalée, ni angine, ni plaques muqueuses à la vulve. Les petites lèvres sont méd
Alexis, n° 20) pour une syphilis constitutionnelle. Elle avait eu des plaques muqueuses, depuis cinq mois, qui disparais¬saient
st restée à l'hôpital jusqu'au 13 février 1869. Pendant ce temps, les plaques muqueuses et la syphilide ont guéri et elle est a
ai. -— Rigidité cadavérique très-prononcée. Cerveau : arborisation en plaques de la pie-mère, qui recouvre la convexité de l'hé
ve : 1° sur la face postérieure du coude une vaste cicatrice.avec des plaques de kéloïde, adhérente dans un espace circonscrit
mensions variables, la plupart offrant ça et là des îlots et même des plaques de kéloïde. Ces cicatrices n'ont pas niodilié sen
68 (1881) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1880
mâchoires, mais pas de maladies de peau, d'adénites inguinales, de plaques mu- queuses ni d'alopécie; mariée à 18 ans. [Pè
me temps qu'il existait une hémianalgésio gauche complète, avec des plaques d'anesthésie disséminées du même côté. Ainsi, l
hésie droite. On applique à 10 heures du matin un bracelet formé de plaques de cuivre sur la jambe droite au niveau du moll
a jambe droite au niveau du mollet et un second bracelet formé de plaques de zinc sur l'avant-bras droit. Au bout d'un qu
t mais inégalement ; elle est très marquée au-dessous et autour des plaques métalliques; au pied, au tronc et à la tête les
l'hémianesthésie est encore re- venue droite dès qu'on a retiré les plaques zinc ou cuivre. 12 juin. Hémianesthésie droite
s, le tronc basi- laire, les carotides sont parsemées de nombreuses plaques d'athérome. Rien de particulier dans les tissus
e l'encéphale, la pie-mère est injec- tée. On observe également des plaques ecchymotiques sur la face convexe des lobes fro
'un dépôt jau- nâtre, opaque, situé sous l'arachnoïde ; ces petites plaques minces, dont quelques-unes atteignent la dimens
............. 1 fr. 50 BOURNEVILLE et L. GUÉRARD. De la sclérose en plaques dissémi- nées. Vol. gr. in-8 de 240 pages avec
NEVILLE. Voir Charcot. BOURNEVILLE et L. GUÉRARD. De la sclérose en plaques dissémi- nées. Vol. gr. in-8 de 240 pages avec
. Tome I : Troubles trophiques; - Paralysie agitante; - Sclérose en plaques ; - Hystéro-épi- lepsie. Paris, 1880. 4* éditio
69 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
té améliorés (3 hémiplégies, 3 myélites chroniques, une sclérose en plaques , 3 tabes). Le traitement s'est montré particuli
érison au bout de trois semaines. G. D. IX. Un cas de sclérose en plaques traité par la méthode de ré- éducation fonction
rose Archives, 21 série, t. IX. 5 66 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. en plaques depuis cinq ans environ. Les divers traitements a
d'obtenir par cette méthode, dans le traite- ment de la sclérose en plaques , des résultats plus favorables que ceux qu'il a
modification que les douleurs se disposent maintenant non plus en plaque , mais en couronne, à la périphérie du territoire
, qu'on lui tiraille la peau à la partie anté- rieure de la cuisse. Plaque d'anesthésie post-opératoire stationnaire. Au p
V. Contribution à l'histologie et à la pathologie de la sclérose en plaques insuliforme; par S. Eruen. (i)t.111-010g. Central
e quelques cylindraxes disparaissent dès le début de la sclérose en plaques . C'est précisément ce quifait le tremblement inte
- dionne au besoin la surface (Duval) ou que l'on sertit dans les plaques colloïdiques de Weigert, car elles sont friables.
senté des symptômes tout à fait semblables à ceux de la sclérose en plaques , à l'autopsie : ramollissement de la face infér
i une lésion cérébelleuse a reproduit le syndrome de la sclérose en plaques . Cette dernière affection ne s'accompagne du tr
ement typique que lorsque le cervelet est pris ou lorsqu'il y a des plaques à localisation bulbo-protubérantielles intéressan
timètres de large. Pansement picriqué. Quelques semaines après, une plaque de sphacèle se limite net- tement par un sillon
tement par un sillon assez profond d'où s'échappe du pus ; cette plaque , plus longue, que large, de forme presque rectang
a mydriase. Les pupilles sont toujours normales dans la sclérose en plaques et la syringomyélie. Dans l'épilepsie, rigidité
re de la dure-mère au niveau de la région frontale gauche une large plaque rouge, végétante, hémorragique. Deux ou trois p
ires à l'axe de ces membres. La seconde est un cas de sclérose en plaques s'accompagnant au niveau des quatre membres d'u
pieds, phénomènes qui engagent à admettre, à côté de la sclérose en plaques , des lésions syringomyéliques dont la topograph
nts de tabes, 7 de myélite, 4 de gliomatose, 1 cas de sclérose en plaques , 7 cas de névrites, 2 cas d'épilepsie, 1 cas de p
ompris dans Id lésion. - A la place des digi- tations on trouve une plaque jaune brunâtre, dure, avec quelques arêtes en a
e plaque jaune brunâtre, dure, avec quelques arêtes en avant; cette plaque ocreuse arrive en dedans jusqu'à 4 millimètres
bres motrices déjà bien connues ainsi que leur terminaison dans les plaques de Kiihne. - Les fibres sensorielles chez les v
itives du trijumeau. G. DENY. XLVII. Formes frustes de scléroses en plaques à début mono ou hémiplégique avec amyotrophie;
de Neuro- logie, 1899, n° 18.) Ces formes frustes de scléroses en plaques à début mono ou hémipléhique s'observent surtou
tôme de la plus haute importance pour différencier la sclé- rose en plaques de la névrose hystérique. G. D. XLV111. Scléros
rose en plaques de la névrose hystérique. G. D. XLV111. Sclérose en plaques chez un enfant, par M. le professeur Raymond. (
tence pouvait être soupçonnée, se présentait d'abord la sclérose en plaques . Toutes les manifestations observées chez le ma
ticulier par Erb en 1878 et par Grasset en 1886, que la sclérose en plaques n'est pas très rare dans l'en- fance. Il était
que infantile ou maladie de Little. Le diagnostic de la sclérose en plaques et de la diplégie cérébrale spasmodique constit
entionnel à grandes am- plitudes, plus fréquent dans la sclérose en plaques que dans la diplégie cérébrale spasmodique tend
- nothérapie. Elle est également inefficace contre la sclérose en plaques ; on a bien représenté, en ces derniers temps, cet
rie ou de neurasthénie, maladies capables de simuler la sclérose en plaques avec une parfaite ressemblance. Charcot préconi
ne parfaite ressemblance. Charcot préconisait contre la sclérose en plaques le nitrate d'argent administré à l'intérieur; M
port avec l'anémie et la hucémie, par Dana, 517. SCI.I110>P ou plaques , traitée par la rééducation lonctionnelle, par
70 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
nts d'une affection spasmodique rappelant un peu la sclé- rose en plaques ( ? ) et complétée par l'étude histolo- gique d
atteintes l'une de paraplégie spas- modique, l'autre de sclérose en plaques . Les deux observations qui suivent sont celles
. Décortication de la pie-mère difficile sur l'hémisphère gauche. Plaques circonscrites de méningo-encéphalite chronique.
agments de subs- tance grise. - En résumé, sur les deux hémisphères plaques circonscrites de méningo-encéphatite chronique.
; : 9t;es ; mort rapide. - Autopsie. Crdne mince avec de nombreuses plaques transpa- rentes; pas de synostoses. Transformat
t et du frontal gauche). Elle est très mince, offrant de nombreuses plaques transparentes sur le frontal droit, les pariéta
on pré- coce des fontanelles, persistance des sulures, nombreuses plaques transparentes qui indiquent que, dans ce cas enco
héréditaires, ni sur l'histoire de la malade. A l'entrée, quelques plaques de teigne. Malformation congénitale du voile du
crâne assez épais et assez durs; persistance de toutes les sutures; plaques transparentes. Épaissis- sement notable de la d
tale gauche : il semble que ce soient des cicatrices de teigne. Une plaque grande comme une pièce de deux francs est située
ariétale gauche; à cinq travers de doigt plus en arrière, une autre plaque grande comme un franc; une autre plaque plus gr
plus en arrière, une autre plaque grande comme un franc; une autre plaque plus grande à la région occipitale (1). Petits
pais et assez durs; persistance de toutes les sutures, nom- breuses plaques transparentes. La dure-mère est très nota- blem
gnées que dans la paralysie générale des aliénés et- la sclérose en plaques ...... Dans les cas que nous avons étudiés, même
tômes cérébro-spinaux. Thèse de Paris. Lebreton. De la sclérose en plaques chez les enfants. Thèse de Paris. DENIS (C.).
71 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de la vie, des troubles vaso-moteurs particuliers, sous forme de plaques rouges de la face. Ils font remarquer la rareté d
ême difficulté du diagnostic anatomique. Eliminant la sclé- rose en plaques qui se serait décélée depuis si longtemps par q
yringomyélie atypique à prédominance bulbaire, ou d'une sclérose en plaques . ' L'évolution générale du tabes fait le sujet
du tabès dorsal spasmo- diquesontdes plus obscures. » - Sclérose en plaques , p. (j20 : « Les causes sont obscures et encore
« On ne sait rien sur les causes de cette maladie. » - Sclérose en plaques , p. 327 : « L'étiologie est fort obs- cure. » P
Le Fort à l'hôpital du Midi pour une fistule ulcérée à l'anus, avec plaque chancreuse sur la bourse gauche. A vingt-quatre
e : 1° la sclérose des faisceaux postérieurs de la moelle; 2° des plaques fibreuses d'arachnitis spinale ; 3° des racines p
e néo- membrane vascularisée très mince et peu injectée »; 9° des plaques de sclérose rares sur les artères cérébrales de l
érence totale des deux feuillets péricardiques » - 1 ? « quelques plaques scléroathéromateuses dans l'aorte thoracique et
roit sauf à la face. Sueurs profuses du côté droit. Dissociation en plaques de la sensibilité à la température et au contac
oit que tous les mouvements spontanés sont faciles, on constate des plaques d'anesthésie dans les membres inférieurs et sup
st pas possible de constater ni aucune zone d'anesthésie, ni aucune plaque d'hypéresthésie. L'examen de la sensibilité spé
un long îlot scléreux, ayant l'aspect d'un cordon. On trouva des plaques disséminées de sclérose dans les pédoncules, la p
ncipalement les cordons latéraux en étaient surtout atteints. Les plaques sont très nombreuses et dans certains endroits so
.2). M. HOSSOLDIO. Contribution à la palhogénir. de la sclérose en plaques en rapport avec la question des différentes lésio
uteur finit son travail en notant la coïncidence de la région de la plaque de la moelle allongée avec le bassin de certains
droits qui sont situés auprès des ventricules et des vaisseaux. Les plaques peuvent occuper une région vascu- laire.définie
isager les altéra- tions indiquées de la moelle épinière, comme des plaques scléro- tiques. M. Weidenhammer confirme la p
sseur Roth différencie le cas donné des cas typiques de sclérose en plaques où il faut admettre l'existence d'un agent spéc
algie, elle n'a pas donné, que je sache, l'image de la sclérose .en plaques , sclérose latérale amyotro- phique qui frappe à
uche. Les valvules mitrales normales, l'aorte pourvue de nombreuses plaques alhéro- mateuses avancées. Les poumons sans adh
icatrice, on enleva une rondelle osseuse, qui fut remplacée par une plaque d'argent. Après l'opération, le malade parlait
par MM. Ch.-A. François-Franck et L. Hallion ; Structure intime des plaques terminales des nerfs moteurs chez les vertébrés
mme ; par M. Il. Bor- dier ; Note sur les procédés de recherche des plaques terminales motrices; par M. Charles Rouget; Sur
.) E. l3Lm. XXXVIII. Contribution A la pathologie DE la sclérose EN plaques ; par A. Srnihll'ELL, (Ne2crolog. Cent2oclbl., X
a lumière des vaisseaux n'est point diminué dans les scléroses en plaques . L'ischémie n'a que faire ici. - ,Ne serait-ce
temps : de l'hydromyélie, de la gliose centrale, de la sclérose en plaques vraie, et un fait d'hydromyélie avec foyers scl
VEUSE. 505 M. Strumpell annonce que s'il y a des cas de sclérose en plaques où l'on constate du tremblement intentionnel (C
ns aucun trouble simultané de la sensibi- lité, dans la sclérose en plaques on rencontre la plus vive ataxi- sans trouble d
ition sine qua non de l'alaxie. A côté de cela, dans la sclérose en plaques les réflexes des téguments cuta- nées manquent
multiple disséminée, par Gras- set et Vedel, 97. Syphilis et - en plaques , par Orlovhs, 349. Pa- thogéllie de la en plaqu
yphilis et - en plaques, par Orlovhs, 349. Pa- thogéllie de la en plaques , par Rossolimo, 352, en plaques, par Strumpel
ovhs, 349. Pa- thogéllie de la en plaques, par Rossolimo, 352, en plaques , par Strumpell, 504. Séquestration illégale e
72 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ctérisés. Nous appliquâmes d'abord sous la clavicule du malade deux plaques en étain, recouvertes d'une peau humide, mais s
e d'une rougeur peu marquée, dessinant surtout la circonférence des plaques , qui ne fut suivie d'aucunepapulation et dispar
s, qui ne fut suivie d'aucunepapulation et disparut rapidement. Les plaques étant placées de nouveau, sur une région cutané
enstruelles, survenir des hémoptysies abondantes qu'annonçaient des plaques d'urticaire et des (roubles vaso-moteurs de la
ésies généralisées, nous avons des dy- sesthésies ou anesthésies en plaques ; soit enfin changer de forme et se pervertir.
t impossible sans le concours de la vue. Il a des ailes- thésies en plaques étendues. Les douleurs en ceinture n'ont pas ce
ataxique ou plutôt c'était un ataxique ébauché. 6° Anesthésie en plaques . La paralysie de la sen- sibilité qui a été con
des membres inférieurs. Etat actuel (20 août 4 884). Anesihésie en plaques assez étendues. Retards dans la sensibilité. Si
août 1884). La sensibilité est profondément altérée; on trouve des plaques d'anesthésie assez étendues aux différentes rég
ète et définitive. État du malade le 3S août 1884. Il n'y a plus de plaques d'anesthésie. Plus de retards dans la sensibili
du coton. On a pu constater aussi, chez l'une et chez l'autre, des plaques d'anes- thesie cutanées liées à l'hystérie, laq
de l'encéphale (épilepsie, hystérie, apoplexie commune, sclérose en plaques , paralysie générale, méningite). Voilà la matiè
inale et symptôme d'Argyl-Robertson dans les deux yeux; par places, plaques d'anesthésie dans les jambes (analgésie sur- to
res normales. Dans les hanches, et en partie dans la peau du dos, plaques d'hyperesthésie, et paresthésies de divers genres
des nerfs moteurs diffèrent peu de celles des nerfs sensitifs. La plaque motrice terminale est un produit de la différenci
es. .. La sensibilité interrogée sous tous ses modes a montré des plaques .d'anesthésie très étendues surtout au membre gau
perte de connaissance. En même temps", il y avait sur son corps des plaques plus ou moins éten- dues, noirâtres. En lui ouv
it cinq immersions, son corps reprend la forme, c'est seulement les plaques noirâtres et les ecchymoses conjoneti- vales qu
is se fléchit et s'étend tout d'un coup. Il y a des anesthésies par plaques , à ce membre, la sensibilité est intacte à l'au
psychiques d'abord, comme on a vu le froid frapper les éléments des plaques motrices de certaines régions dans un cas rappo
ainsi que les éléments de conduc- tion étaient intacts, mais où les plaques seules avaient subi l'influence du froid, agiss
, l'électricité n'amenait aucun effet; elle était impuissante ; les plaques étaient paralysées. Ici, au contraire, le trava
miers groupes, comprenant l'hystérie, le tabes et la sclérose en plaques qui retentissent le plus fréquemment sur l'organe
ette maladie, sans complication. La seule lésion consistait en deux plaques de sclérose, identiques ' celles de la sclérose
en deux plaques de sclérose, identiques ' celles de la sclérose en plaques , qui occupaient les deux cor- 475 REVUE DE PATH
inférieur des pyramides. Un examen attentif nous a montré d'autres plaques échelonnées tout le long des faisceaux pyramida
LOGIE NERVEUSE. atteint de grande hystérie. Il présentait de larges plaques d'hyperesthésie dont le moindre attouchement pr
73 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
ion ¡¡l'autopsie. - Tuberculose généra- Os du crâne épais et durs ; plaques transpa- lisée. renies. Rien d'apparent à l'oei
ne présentant pas d'hymen. 1 Cachexie. Os du crâne très minces ; plaques transpa- rentes ; plagiocèphalie prononcée ; pe
face présente un léger progna- thisme ; le menton est arrondi; une plaque d'impétigo assez étendue siège au niveau de l'a
e du frontal gauche et de l'occipital droit), peu épais; nombreuses plaques transparentes princi- palement au niveau des fo
t et de l'occipital gauche). La coupe est mince, le tissu compacte. Plaques transparentes au niveau de l'angle antéro- supé
t plus distants des sourcils que de deux centimètres. 11 existe une plaque d'eczéma sec il la racine du nez. Les yeux sont
. (PL. IX, ig. 2). Les deux crânes sont minces avec de nombreuses plaques transparentes. Sur la face interne de l'hémisph
la portion terminale de l'intestin grêle la présence de cinq ou six plaques de Peyer tuméfiées. Pas de perforations intesti
evelu maigre et pâle. - Crâne allongé, les os sont peu durs, larges plaques transparentes au niveau des angles des pariétau
plaques transparentes au niveau des angles des pariétaux. Entre ces plaques et la suture frontale, il existe sur la face ex
ais (5 à 6 mill. d'épaisseur). Région frontale très étroite. Quatre plaques transparentes au niveau de la fontanelle antéri
nflammation du péritoine circonvoisin. A l'ouverture de l'intestin, plaques de Peyer gonflées, mais non ulcérées. Foie volu
ecouvert d'exsudats pseudo-membraneux. Ulcé- rations nombreuses des plaques de Peyer, localisées au voisinage du coecum ; p
UTOPSIE. - Plagiocéphalie légère; os du crâne offrant de nombreuses plaques transparentes. Distension considé- rable des ve
17 octobre. - Char... entre au pavillon d'isolement, por- tant deux plaques de teigne tondante, l'une à droite, l'autre à g
74 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rition d'une plaqué d'anesthésie sur le mollet gauche, et peu après plaque symétrique sur le mollet droit. A quarante-deux
que' le diagnostic était établi par la découverte des bacilles; des plaques érythémateuses se développè- rent au niveau de'
éveloppè- rent au niveau de'plusieurs des endroits anesthésiés. Ces plaques sont caractéristiques delà lèpre^ à 'elles seul
rés, et il est frontal et tempo- ral, plus rarement occipital. La plaque spinale (existe trente-cinq fois sur cinquante) e
nt. Cet état coïncidait toujours avec une névralgie générale. Une plaque qui manque rarement, c'est la plaque ombilicale
ec une névralgie générale. Une plaque qui manque rarement, c'est la plaque ombilicale (quarante-trois fois sur cinquante).
d'air). Sommeil normal, fonctions digestives régulières. Pas de. plaque spinale, ni de céphalée. Aucun trouble vaso-moteu
, des anxiétés et des terreurs, inappétence, légère constipation. Plaque cervicale et ombilicale. Foie et rate normaux.
ième injection, elle se sent complètement guérie. A la pression, la plaque ombilicale et cervicale persiste sensible- ment
la- tation de l'estomac avec constipation. Foie et rate engorgés. Plaques cervico-dorsale et ombilicale réveillées par la p
tif. Présence de plasmodies sans pigment dans le sang, pas de . · plaques vertébrales, céphalée en casque, sommeil un peu a
constipation, léger trouble de sommeil. Céphalée parfois en casque, plaque spinale, et surtout ombilicale. Aucun -autre tr
nt cardiaque; colonne vertébrale douloureuse à la pression avec des plaques dou- - loureuses spontanées, surtout lombaires,
chute rapide des poils, se présentant habituellement sous forme de plaques arrondies, complètement glabres ; le fond de ce
s forme de plaques arrondies, complètement glabres ; le fond de ces plaques était constitué par de la peau saine, d'autres
s d'ovarie. A côté de cela la malade perçoit les démangeaisons de . plaques d'eczéma qu'elle porte aux mains ; elle accuse
récis. Le tambour au lieu d'être tenu à la main « est monté sur une plaque en métal que l'on fixe solidement sur la surfac
jambe sur le pied. (Revue neurologique, 1894.) E. BLIN. SCTRROSE en plaques infantile d'origine grippale; par les Drs 1)1.%
r les Drs 1)1.%SS.LO.I;Go et Silvestri. Il s'agit d'une sclérose eu plaques disséminées infantile, sur- venue chez une enfa
au cours d'une atteinte d'in- iluenza. Le diagnostic de sclérose en plaques a été établi sur l'existence d'un tremblement i
ogique des maladies infectieuses, dans -la genèse de la sclérose en plaques disséminées; 2° aussi bien que - 'les autres ma
es, l'influenza peut provoquer le déve- loppement de la sclérose en plaques disséminées; 3° mieux que la théorie des loxine
se), a de la valeur pour l'inter- " prétation de la pathogénese des plaques de sclérose disséminées dans le système nerveux
ité générale et spéciale (je rappelle sans décrire), anesthésies ou plaques hyperesthésiques, les désordres moteurs, paraly
ils ressemblent d'une façon frappante à certains cas de sclérose en plaques d'avec lesquels le diagnostic est très difficile
r du névraxe. Pour le premier but, la figure de division oriente sa plaque équatoriale parallèlement à la hauteur de la ce
axial. Pour réaliser le second but, la figure de division donne une plaque équatoriale perpendi- culaire à la hauteur de l
es chapitres : aphasies, localisation cérébrale, tabès, sclérose en plaques , paralysie générale progressive, para- BIBLIOGR
es méningites, de la paralysie spinale infantile, de la sclérose en plaques , des encé- phalites, etc. ' L'ouvrage nouveau
ment spéciales ; ataxie, lésions du cervelet, myélites diffuses, en plaques , combinées ou compliquées. Les phénomènes d'ord
écifique du sang chez les alié- nés, par Vorster, 61. Sclérose en plaques infantile d'ori- gine grippale, par Massatongo
75 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
c certain d'un microbe, du moment que nous pouvons ensemencer des plaques de gélatine pour suivre les différentes ma- niè
assage. G. D. V. DE la GLYCUSOUIE ET DU diabète dans la SCLÉROSE EN plaques ; par le Dr H. RICH.1BDIÉRE. (Rev. de méd., 188
vations publiées dans ce travail il ressort : 1° que la sclérose en plaques par ses localisations sur le plancher du qua- t
0 juillet 1884. Syndrome de la paraplégie spastique ; anesthésie en plaques ; troubles vaso-moteurs et urinaires. Le nommé D
sibilité examinée sous tous ses modes a démontré une anesthésie par plaques étendues. Sens musculaire parfaitement normal,
loppe comme des hypérhémies spontanées de la peau, de la rougeur en plaques , etc. Morvan signale des hémorrhagies des organ
d bien à la suppression complète de la région motrice, ancienne (la plaque jaune type), afin qu'on ne coure pas le risque
toute la longueur des membres et plus haut, tantôt elle l'est par plaques , par exemple (Cas. IX). Il est des cas où la se
ur était rouge bleuâtre b). le malade de'l'OBSERVATION IX avait ses plaques anes- thésiques froides et livides. Enfin c), c
ure, chatouillement très fort si la plante des pieds, anesthésie en plaques , signe de Romberg. Traitement : travail dans l'
e plaint beaucoup. Il y a au niveau des membres, çà et là, quelques plaques d'anesthésie. Si l'on dit au malade de fermer l
droite de la base du thorax. Au membre gauche, on découvre trois plaques d'anesthésie dont l'une siège presque au milieu d
paralysés. Impossibilité de marcher dans l'obscurité. Anesthésie en plaques . Exaltation des réflexes rotuliens, clonus des
le à la région sacrée, sur laquelle ses campagnons ont constaté une plaque rouge. Le 25 janvier, cette plaque rouge s'ulcè
ses campagnons ont constaté une plaque rouge. Le 25 janvier, cette plaque rouge s'ulcère, il avait de la fièvre. Ses urin
téra) du corps tout entier. L'examen de la sensibilité a relevé des plaques d'anesthésie à diverses régions des membres par
ilité dans tous ses modes nous a fait remarquer des dysesthésies en plaques étendues. Il se trouve dans la nécessité de por
l est possible de supposer ici, qu'un foyer limité, par exemple une plaque sclérosée, ait dé- truit la conductibilité des
ont parfois réduites à une simple raie hypérémiée, délimitant les plaques ou les régions anesthétiques. Cependant l'a- ne
critique à propos de quelques nouvelles observations de sclérose en plaques . Dans une première partie, l'auteur établit que
du décubitus, mort. Durée : huit ans.A : <<oSte.'Sclérose en plaques spinu- bulbo-protubérautielle, à forme diffuse
tion iiévro-lique, intégrité des gaines myéliniques; la sclérose en plaques se rattache à une altération vasculaire beaucou
). Observation I. Lepto-méningite et myélite aiguë, avec nombreuses plaques circulaires de nature inconnue, occupant les ra
ble myélite, analogue au processus histologique de la sclérose en plaques et du tabes. Les principales formes cliniques q
r admet des lésions de stéalose portant sur toutes les glandes; des plaques d'athérome à tous les degrés dans les artères,
s causés par l'emploi des), par Catsaras, 145, 346. Sclérose en plaques (glycosurie dans la), par Richaidièie, 68. Sc
76 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ordons de Burdach à leur voisinage des cordons de Goll; ce sont des plaques d'une grande netteté, d'une vive intensité, mais
rganique du cer- veau ; elle serait la manifestation habituelle des plaques jaunes, des ramollissements corticaux ou sous-c
couleur de chair cuite. La face interne de l'aorte est couverte de plaques athéromateuses. La rate est un peu augmentée et
ntriculaires sont saines; la valvule aortique dure, envahie par des plaques athéromateuses épaisses est rétrécie et insuffi
t pulmo- naire sont dilatées, gorgées de sang liquide, parsemées de plaques atl1éromaleuses.- Les poumons se présentent com
ute son étendue qu'un lacis de tubes rigides, friables, parsemés de plaques athéromateuses très rapprochées et dans lesquel
centres. R. de Musgrave CLAY. XLIV. UN cas anormal DE SCLÉROSE EN plaques ; par Théodore DILLER. (The New-York Médical Jo
is il bords nettement tranchés. S'il s'agit d'un cas de sclérose en plaques , dit l'auteur, ce cas est anormal en ce qui tou
'aux régions sacrée et lombaire. Ces régions présentent souvent des plaques isolées à sensibilité normale. Cette anesthésie
opposé, et d'autre part des symptômes incontestables de sclérose en plaques : exagération des réflexes, tremblement inten-
et polymorphe une seule maladie, une forme fruste de la sclérose en plaques . Il y aurait localisation d'une plaque scléreuse
me fruste de la sclérose en plaques. Il y aurait localisation d'une plaque scléreuse au niveau de la protubérance, en ce l
e. A côté des trois variétés des formes frustes de la sclérose en plaques par intervention des phénomènes insolites, déjà d
4) ont été invariablement accompagnées ou suivies d'une éruption de plaques ecchymotiques, lesquelles ne sont jamais apparu
es, lesquelles ne sont jamais apparues en dehors de ces crises. Ces plaques étaient de nombre, de dimensions et de sièges v
queuses; elles étaient tantôt symétriques, tantôt asymétriques. Les plaques les plus grandes avaient absolument l'aspect de
de la région ; bientôt survenait une sensation de brûlure, puis la plaque s'étendait excentriquement. Au bout de quelques
llaient en s'atténuant en sur- face et en intensité, le rayon de la plaque se réduisait progressi- vement puis tout dispar
tat ordinaire la sensibilité à la douleur est exagérée sur toute la plaque , mais la sensibilité tactile est émoussée : quand
laque, mais la sensibilité tactile est émoussée : quand on frôle la plaque avec le doigt, il semble au malade que la sensati
ient au nombre de cinq ou six dans une journée en même temps que la plaque brûlante s'étendait à la face externe de la cui
sont caractéristiques de celle-ci que lorsqu'elles apparaissent en plaques isolées et qu'on ne constate aucune relation en
cération transversale de la face interne de la joue gauche ; petite plaque rouge près de la dernière molaire. Petites adénit
on trouve une demi-douzaine de croûtes épaisses repo- sant sur des plaques indurées, rosées à là périphérie, ayant une dir
ique suivante : une électrode indifférente constituée par une large plaque de zinc de 8 X 12 centimètres est appliquée sur
rvan. Des associations hystéro-o1'ganigues. Un cas de sclérose en plaques et hystérie associées, suivi de l'autopsie du mal
Sclérodermie, par Ilemngham, 7. Sclérose. Un cas anormal de en plaques , par Diller, 269. Un cas de - spinale postérieu
rophique chez un syphilitique, par Olivier et Ilalipre, 286. - en plaques à forme d'hémiplégie alterne, par Wizel, 287.
77 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
la valvule iléo-cœcale, sur une longueur de 16 à 17 centimètres, des plaques marron foncé, mar brées de violet et de gris , al
ayant, en général, 15 mil-limètres de long sur 5 à 6 de large. Ces plaques « sont constituées par les éléments du muguet, av
pas dans leur cavité d'éléments pa-rasitaires. Lorsqu'au niveau d'une plaque , on enlève, à l'aide de ciseaux courbes, un fragm
isolés et de godets gris ou jaunes, ce sont, dit M. Parrot, de larges plaques saillantes et brunâtres, constituées par une végé
e commençait à se lever, on s'aperçut un jour quelle avait une petite plaque noire au niveau de la région inférieure de la jou
légères, mais multiples. Fréquemment, mais passagèrement, de grandes plaques rouges, rappelant plutôt l'éry-thème que l'urtica
s, striées dans un point de leur longueur, présentaient ail-leurs des plaques de granulations très-caractérisées ; d'autres fib
eur Hacherelle, pour calmer les spasmes de la vessie, et détacher les plaques d'incrustation calcaire, semblables à celles que
f de la pile portative du docteur Onimus au mandrin. Je fais tenir la plaque du pôle négatif sur le ventre au-dessus du pubis.
ces dilatations inusitées et répétées de la vessie, il ne sort pas de plaques calcaires, ce qui me fait rejeter l'existence d'i
statâmes la présence, au niveau du flanc gauche, d'une sorte de large plaque . L'état général, au moins en 1869 et dans les pre
tre d'une femme ayant un kyste de l'ovaire; 2°indura-tion en forme de plaque paraissant occuper la paroi abdominale. L'étend
bon, correspond aux pieds, et le pôle négatif, constitué lui, par une plaque de zinc, correspond à l'extrémité céphalique. Tel
me nerveux central. On trou-vait disséminées à la base du cerveau des plaques spéciales et dont la cause était syphilitique. L'
s plaques spéciales et dont la cause était syphilitique. L'une de ces plaques se trouvait à l'ori-gine du nerf facial droit, et
eur du poumon droit, dont les bronches sont hypérémiées. — Nombreuses plaques laiteuses à la surface du cœur. Caillots noirs et
s. Le tissu du cœur est un peu décoloré, friable. Poids, 790 grammes. Plaques athèro-mateuses assez nombreuses sur l'aorte. A
tées, sont deve-nues superficielles, tortueuses, et forment plusieurs plaques de vari-cosités que l'on voit s'enchevêtrer les u
areil résultant du dégorgement des tissus. Comme l'appareil amène des plaques de gangrène cutanées sur le front, on se décide à
fait disparaître une portion du tissu propre, elle ne dissout pas les plaques scléreuses, et ne fait point disparaître les élém
e, irrite directement sa face ex-terne et y détermine la formation de plaques végétantes. Abordant l'examen des altérations m
'épiderme des portions qui ont macéré se détache facilement en larges plaques . L'injection du système circulatoire est faite
78 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
fond creux, rouge, jaunâtre par places. De chaque côté, on voit des plaques noirâtres qui vont se détacher à leur tour. Du
ies organiques, affections protubérantielles, myélites, sclérose en plaques , paralysies spinalesspasmodiqucs). Ce réflexe p
l'aiguille revient graduellement au zéro si l'on parle de- vant la plaque de verre à la distance de 40 cent. Si, de l'ins
s'accentue ; exemple : paralysie spinale spas- modique, sclérose en plaques . Ce réflexe esl, très intense dans la neurasthé
tif et passif. L. V.1HL. \1. - Quelques modalités de la sclérose en plaques à évo- lution peu connue ; par E. MUFLIER. (I\'
r E. MUFLIER. (I\'eurolo. Centralbl., XXIV. 1905.) I. Sclérose en plaques s'annonçantsouvent longtemps avant le développe
illement du bras à l'occasion des fins travaux. Il. - Sclérose en plaques débutant par une fatigue anormale localisée. Ce
degré très prononcé. Obser- ration à l'appui. 111. - Sclél'Ose en plaques commençant par douleurs névralgi- larmes violen
ncipal du voile du palais. M. THOMAS rapporte un cas de sclérose en plaques uniquement médullaire. Euphorie délirante et
ans pannicule adipeux liers postérieur de la fosse temporale, large plaque d'atrophie cutanée, montant dans les cheveux. L
points pa- raissent plus atrophiés et sont recouverts d'une petite plaque noi- ràlre se délachantfacilenleul sans laisser
ràlre se délachantfacilenleul sans laisser d'ulcération. A gauche, plaque large comme une pièce de 5 francs, à centre déc
'une lésion des racines et des cordons posté- rieurs. Sclérose en plaques . M. LEJONNE montre les préparations de lésions
de lésions des cellules des cornes antérieures dans la sclérose en plaques . Phénomènes spasmodiques chez une hystérique.
lr nan ? 1 ! IU(i. Quelques symptômes nouveaux dans la sclérose en plaques . VI11. CLAUDE et Egger considèrent comme luis l
nourricière du cylindre-axe conservé. M. Marie. Dans la sclérose en plaques syphilitique, le cylin- dre-axe est détruit ; i
e cylin- dre-axe est détruit ; il reste indemne dans la sclérose en plaques infectieuse. Syringomyélie ù symptomatologie
(Léon), né le 9 mars I Sg I . Idiotie du second degré, sclérose en plaques . A son entrée (c8g6) ne se tenait debout que so
'écriture très défectueuse est due à son tremblement (sclé- rose en plaques ). 1905. - Pell ? prend de plus en plus goût à l
s autres signes cliniques devaient faire penser- il une sclérose en plaque , mais l'examen histologique n'a pas confirmé ce
uivi, douleurs vagues erratiques, insomnie, craquements à la nuque, plaques d'anesthésie sacrée. HÉbfIDYSESTHÉSIE gauche, a
les parties delà peau décou- vertes ne tardent pas à se marbrer de plaques bleuâtres de plus en plus confluentes et qui di
. Méningite biliaire. Syndrome de Manière. MM. Raymond et BAUR. - Plaque de méningite chronique devant le bulbe et le po
ermie. Voir Hémiatrophie. Sclérose. Quelques modalités de la - en plaques iL évolution peu connue, par Mueller, 14 ? -
ution peu connue, par Mueller, 14 ? - Voir Pseudosclcrose. - en plaques , par Lejonne, 223. - Quelques symptômes nouveau
aques, par Lejonne, 223. - Quelques symptômes nouveaux dans la en plaques , par Claude et Egger, 225. - Dix. huit cas de
79 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
s. Il en est de même de la sensi- bilité à la température. Pas de plaques d'hypéresthésie ni d'anesthésie. Légère douleur
81. 9 mars. - Depuis hier, apparition d'un érysipèle de la {ace; ta plaque rouge a débuté par le lobule du nez pour remont
phlyctènes remplies de sérosité citrinc sur la moitié gauche de la plaque érysipVateu,e; pas de plaies ni d'ulcérations.
Les narines sont à demi-fermées par le gonflement. Largeur de la plaque en passant par dessus le nez : 1` ? cent. ; haute
on est obligé de le maintenir au lit à l'aide de la camisole. - La plaque érysipélateuse est moins vive ; elle a respecté
mars. T. R. 37°, 8. - Soir : T. R. 3 ? S. Pas d'accès. 16 mars. La plaque d'érysipèlc desquame; au niveau du pavillon de
l'auricule et l'oreillette du même côté, existent plusieurs petites plaques laiteuses. Le coeur renferme des caillots fibri
et des caillots noirs. On ne trouve sur les valvules qu'une petite plaque d'athérome à l'orifice aOl'tiqu8, Le myocarde e
- 'Vésicule biliaire pleine de bile. Intestin sain, mais ayant des plaques de Peyer très développées. -- Gansons mësph- to
l'autre. Au niveau de l'angle antérieur des pariétaux, il y a deux plaques transparentes : celle de gauche a un centimètre
de suffocation ;les lèvres déviennent bleues, en même temps que des plaques violacées apparaissent sur la face, et qu'il se
dance à s'agglomérer, et on trouve de nombreux hématoblastea avec plaques de fibrine. 8 août. - Anorexie. La diarrhée a r
s cris fréquents. Sueurs toujours abondantes, sudamina par larges plaques . La poche sous-cutanée se reforme, mais l'é- co
80 (1886) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1885
e et la robineterie sont dis- simulés dans un caniveau recouvert de plaques en tôle striée. La manoeuvre se fait au moyen d
; bave, succion, parole nulle, gâtisme, etc.. Syphilis : roséole, plaques muqueuses anales, adénites. Etat du malade en ')8
èvres, dans la bouche, ni dans le pharynx. A l'anus, on trouve deux plaques exulcérées à gauche et en bas, une en haut et à
'iodure de fer; bains. - 10 octobre. Persistance de l'éruption, les plaques muqueuses de l'anus se sont un peu élargies; ro
es, sous-maxillaires, axillaires et inguinales; rien dans la gorge, plaques muqueuses anales. , 2fi / / DES rAIIIILLES D'ID
S. 26 / DES FAMILLES D'IDIOTS. 15 novembre. Persistance de larges plaques de roséole qui tendent à s'effacer : plaques mu
Persistance de larges plaques de roséole qui tendent à s'effacer : plaques muqueuses anales; on ne sent plus les adénites
nte cuivrée : persistance des adénites, pas d'alopécie. 45 janvier. Plaque muqueuse près de la commissure labiale gauche.
nant. Quelques, squames dans le cuir chevelu, un peu d'alo- pécie ; plaque rouge de la paupière inférieure gauche, pointe du
81 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
tait du côté gauche de l'encéphale une dépression considérable, une plaque jaune étendue et une atrophie de tout l'hémisphèr
blanc mat qui les compose. Dans la seconde forme, ce sont de petites plaques arrondies qui semblent faire corps avec le tégume
ment. Examen des viscères. — Péricarde sain, sauf l'existence d'une plaque laiteuse siégeant sur la surface viscérale et de
comme imbibés de sang,saillants, irréguliers, disposés sous forme de plaques ou de simples points accolés à la dure-mère et bi
e présente quelques points rouges analogues, non réunis sous forme de plaques . — Le cerveau parait sain, dans toute son étend
it de dépôts d'urates. La surface muqueuse du bassinet présentait des plaques de coloration jaunâtre, répon-dant à des dépôts d
et privées de sang. La muqueuse du bassi-net épaissie présentait des plaques de coloration jaunâtre, ré-pondant à des dépôts g
euse; on voit seulement sur la face interne de ce vaisseau de petites plaques jaunes non ulcérées. Les cavités du cœur sont rem
sur-face, le siège de semblables dépôts. Quelques-unes de ces petites plaques crayeuses étaient déprimées en capsules à leur ce
; seule l'aorte présente çà et là dans sa portion ascendante quelques plaques athéromateuses et une concrétion calcaire de peti
tophacée donne lieu à une belle coloration poupre (murexide). Sur la plaque d'apparence calcaire qui existait à la surface de
sont revêtues de cette même couche blanche qui se retrouve aussi par plaques aux faces su-périeure et inférieure des fibro-car
Sur d'autres articulations, la même matière blanche se présentait par plaques ; sur d'autres enfin, elle ne formait qu'un point
ne formait qu'un pointillé blanchâtre, tendant cependant à former des plaques . En plusieurs points, il y avait en outre érosion
nes, adroite et à gauche.—Aux articulations des coudes, des poignets, plaques blanches disséminées sur les cartillages cliarthr
main gauche sont intacts. — Arti-culations coxo-fémorales : plusieurs plaques blanches à droite et à gauche. — Articulations
t luisante, fait souvent corps avec elles et paraît alors tachetée de plaques arrondies, d'un blanc mat, qui révèlent suffisamm
xemples du dernier genre, mais j'ai vu plusieurs fois de très petites plaques superficielles d'urate de soude, siéger sur diver
étions de l'aorte thoracique chez des sujets goutteux (p. 273-275). Plaques ostéiformes des valvules mitrales. — Lobstein cit
iformes des valvules mitrales. — Lobstein cite un cas dans lequel des plaques ostéiformes contenues dans l'épais-seur des valvu
oie princi-palement et sur l'estomac, le péricarde) sont parsemées de plaques blanches qui, examinées au microscope, paraissent
ro-nique, 167. Opium,danger del'—dans la goutte,540. Ostéiformes ( plaques ) — des valvules cérébrales dans la goutte, 527.
82 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dents de la malade soit avec les dents artificielles, soit avec la plaque destinée à les porter, se traduisait immédiatemen
c succès dans deux cas de névralgies, et dans un cas de sclérose en plaques , elle a diminué le tremblement et augmenté la f
rait à peu près celui de l'excès de tremblement de la sclé- rose en plaques , de par l'attention, et des maladresses des jeune
décomposant en : 34 tabétiques (29 hommes, 5 femmes); 1 sclérose en plaque (femme); 1 myélite chronique (homme); 1 névrose
'en manifesta une autre, non moins bien localisée, occupant trois plaques du tégument, très voisines les unes des autres, s
yers qu'elle occupait; ils sont représentés sur la figure par trois plaques de stries verticales (fig. 12, B). Il y a quelq
ts d'application de la substance vésicante. Actuellement, les trois plaques de vitiligo ne sont plus douloureuses, elles so
les vésicules, très confluentes et disposées sous la forme d'une plaque allongée, suivent la direction générale do la crê
senté ces altérations du tégument qui, d'abord caractérisés par des plaques purpuriques, avaient abouti aune dépigmentation
nsky en ont signalé des exemples. Rien ne prouve d'ailleurs que les plaques terminales ne fussent pas altérées, dans les mu
· revue DE pathologie NERVEUSE. 267 X. Du DÉBUT DE la SCLÉROSE EN plaques ET DE L1 myélite aiguë ; par A. CRIMER. (Arch.
ches SUR LES TROUBLES oculaires QUI SURVIENNENT dans la sclérose EN plaques (sclérose en foyers multiloculaires) ; par W. U
ations anatomiques des nerfs optiques tiennent, dans la sclérose en plaques , le milieu entre l'atrophie tabétique primitive,
ciété la moelle épinière enlevée à un malade atteint de sclérose en plaques . Les foyers scléreux siègent surtout dans les c
ésie gauche généralisée pour les sensations tactiles, disposées par plaques pour les sensations douloureuses. Parole et voi
t à la paralysie agitante, et ceux qui ressemblent à la sclérose en plaque . On reconnaîtra l'ori- gine hystérique de ces t
gayement hystérique et les troubles de la parole, de la sclérose en plaques , de la paralysie glosso-labio-la- ryngée et de
ressemblances avec le tremblement de la parole dans la sclelose en plaques ou dans la paralysie losso-l abm-laryuée. Je ne c
2 P. 20, loc. cit. A PROPOS DU BÉGAYEMENT HYSTERIQUE. éi'1 1 en plaques ou de toute autre affection. Je ne veux pas faire
M. Ballet, relevaient de la paralysie géné- rale, de la sclérose en plaques ou de toute autre affection. II ne veut pas fai
par Gulli, 151. Myélite AIGUE,.début de la - et de la sclérose en plaques , par Cramer, 267. par Unverricht, 269. Nécr
atrophie musculaire, par Schulz, 273. Sclérose, début de la - en plaques et de la myélite aiguë, par Cra- mer, 267; -t
a myélite aiguë, par Cra- mer, 267; -troubles oculaires de la -eu plaques , par Ulillioff, 269; - latérale amyotrophlque,
83 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nerveux nous mon- tre que l'épaississement ectodermique nerveux, la plaque médul- laire qui doit s'incurver en gouttière,p
tronc, sont séparées l'une de l'autre, sur la ligne médiane, par la plaque cordale. Ce n'est qu'ultérieurement, lors de la
s 59 cas de paraparésie organique (44 myélites et 15 scléro- ses en plaques ), il y eut 35 fois flexion plantaire. Dans 45 cas
ues mois, apparaître successivement plusieurs signes de sclérose en plaque et, notamment, le signe de Babinski. M. passe e
de thrombus dans les capillaires expliquerait la dégénérescence en plaque des cellules nerveuses ; leur enchâsse- ment da
oite à la moitié gauche de l'axe gris. Ch. BONNE. IX. Sclérose en plaques et syphilis ; par CATALA. (Nouv. Icon. de la Sa
Salpêtrière,1906, n° 4.) La question des rapports de la sclérose en plaques et de la syphi- lis est loin d'être résolue ; l
dégénérescences secondaires) ne sont pas rares dans la sclérose en plaques vraie. Rien n'autorise donc à éliminer la syphi
de cette affection. L'auteur apporte une observation de sclérose en plaques légitime avec autopsie chez un syphilitique, et
disséminés réalisant les caractères histologiques de la sclérose en plaque vraie, et il conclut que la syphilis peut jouer u
s peut jouer un rôle impor- tant dans l'étiologie de la sclérose en plaques et qu'on est fondé à admettre une forme de sclé
e en plaques et qu'on est fondé à admettre une forme de sclérose en plaques syphilitique tout à fait comparable aux formes
de l'iliaque primitive gauche pour un-caillot formé au niveau d'une plaque athéromateuse ulcérée de l'aorte, et de l'iliaq
ale ou d'une sclérose évo- luant très lentement vers la sclérose en plaques . La séance de samedi après-midi est ouverte à 2
loppé) et, par endroits, à introitus vagi- nae, où il y a aussi des plaques d'auesthésie et d'analgésie. Pas d'autres troub
la fesse gauche deux lésions exactement con- tiguës : l'une est une plaque de gangrène sèche, violacée, de forme vaguement
philitique. De plus.selon toute vraisemblance, cette ulcération, la plaque de gangrène sèche, l'ecchymose fessière et les
- Etude clinique et anatomo-pathologique d'un cas de sclé- rose en plaques ; par RAYMOND et GUÉVARA-RAJAS. (L'Encé- phale,
et GUÉVARA-RAJAS. (L'Encé- phale, 1907, n 3.) Cas de sclérose en plaques bien établi par les phénomènes clini- ques et l
lymphocytose abon- dante, existence de lésions diffuses à côté des plaques de sclérose, dégénérescence myélinique et cylin
idente. Pour expliquer r la présence de lésions diffuses à côté des plaques scléreuses, il faut peut être admettre l'associ
éreuses, il faut peut être admettre l'association d'une sclérose en plaques pri- mitive avec des lésions de myélite seconda
compression ou lésion organique de la moelle sacrée. Sclérose en plaques avec association de polynévrite éthylique Prése
SAI,-IION. \'oir .Syphilis. Schaefer. Voir Réflexe. Sclérose en plaques et syphilis, par Catala, p. 73. Contribution
y, p. 168. Etude, clinique et anatomo-pathologique d'un cas de en plaques , par Ray- mond et Guérava-Rajas, p. 387 atrop
84 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
téguments est frappée d'insensibilité, ou bien encore présente des plaques d'anesthésie disséminées. Ailleurs, ce seront d
ez le malade des altérations de nature non douteuse (ulcérations, plaques muqueuses, éruptions cutanées), j'ai toujours c
ur la valvule tricuspide et la mitrale. Pas de sclérose. Quelques plaques athéromateuses de l'aorte. Abdomen. Estomac. Ri
es et légèrement tuméfiées sansaltération de volume des vaisseaux ; plaques blan- châtres plus ou moins volumineuses sur la
20 306 BIBLIOGRAPHIE. être fait d'avec l'hystérie, la sclérose en plaques , l'atrophie mus- claire progressive myélopathiq
ospice, division con- sacrée aux aliénés, pour l'inauguration de la plaque commémora- tive érigée en l'honneur du surveill
ue commémora- tive érigée en l'honneur du surveillant Pussin. Cette plaque , en 3314 VARIA. marbre noir, a lilé fixée dan
teur de l'Administration générale de l'Assistance Publique. Cette plaque a été placée en mémoire de Jean - Baptiste PU
et par Parizet : le précurseur de Pinel. Le voile qui recouvrait la plaque étant tombé, M. le Préfet de la Seine a pris la
lissons en inaugurant, après la statue de l'illustre médecin, cette plaque de marbre, qui vous rappellera que la République
s dans la rue qu'on lui a indiqué elle n'a pas trouvé ce nom sur la plaque (il venait d'être récemment changé en celui de J
de ceux qu'on observe soit dans la chorée, soit dans la sclérose en plaques . Quand le malade veut se lever de sa chaise, il
qui paraissent s'en rapprocher le plus : la chorée, la.sclérose en plaques , l'ataxie locomotrice et l'ataxie héréditaire.
ent pendant les mouvements voulus (/iëMM<6;.rte, hémisclérose en plaques ), puis il passe rapidement en revue les princip
atées faibles. G. D. . XVI. GLYCOSURIE au COURS DE la sclérose en plaques ; par Mon. 13. EDWARDS. (Reu. de Méd., 1886.)
nt observé de la glycosurie chez un malade atteint de sclé- rose en plaques , du service de M. Charcot, Allie BI. Edwards a
a conclu- sion suivante : dans le cours du tabes, de la sclérose en plaques , et, en général de toutes les affections des ce
eau du plancher du quatrième ventricule. G. D. XVIII. SCLÉROSE EN plaques . Grande amélioration SURVENUE A la suite D'UNE
ait soigné sans succès depuis près de deux ans pour une sclérose en plaques , d'origine inconnue. L'amende- ment des symptôm
rseur et de collaborateur de Pinel, qualifications inscrites sur la plaque commémorative récemment édifiée à sa mémoire. D
cré), par Marie et Guinon, 111. Revue critique, 81. Sclérose en plaques -(glycosurie au cours de la), par Edwards, 409
85 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
même dans son langage imagé, à un « dindon qu'on placerait sur une plaque de fer rouge ». Il s'ingénie de mille manières po
dizaine d'années. La langue est quadrillée en gaufre, avec quelques plaques blanches, sans contractions fibril- laires, san
le d'établir le diagnostic d'ataxie de Fried- reich, de sclérose en plaques , d'atrophie cérébelleuse, on ne peut s'empêcher
E L'OCCURRENCE DES TROUBLES DE la SENSIBILITÉ dans la SCLÉ- rose EN plaques disséminées; par C. S. fREUND. (Arch. f. Psych.,
l'hémianesthésie en pareil cas. Ce qui caractérise la sclé- rose en plaques , c'est le caractère passager, temporaire de ces
de grandes attaques convulsives et d'attaques de catalepsie avec plaque d'hyperesthésie au niveau de la nuque, hémianesth
disait gravement aux malades : Appliquez -vous sur la peau tant de plaques dynamodermiques, et vous guérirez. Moron remet-
de plaques dynamodermiques, et vous guérirez. Moron remet- tait les plaques avec la manière de s'en servir, signant ses consu
docteur de Monplaisir ». Les malades s'aper- çurent bientôt que les plaques ne produisaient aucun effet. Ils por- tèrent pl
la papille et de la macula qui se présente ici sous la forme d'une plaque d'un Touge cerise. La perception lumineuse a di
lateurs» des maladies organiques de la moelle épinière (sclérose en plaques , paraplégie, tabes, amyotrophie, et syringomyél
c une fidélité parfois très frappante, les traits de la sclérose en plaque , du tabès, etc. L'auteur a pu réunir 80 faits d
a trait aux syndromes hystériques « simu- laveurs de la sclérose en plaques ; après avoir exposé les analo- gies que le trem
conduits à créer un groupe d'affections dites : pseudo-sclérose en plaques , pseudo-tabes, etc., qui, d'après ces données, do
moelle ; 2° ces syndromes simulent de toutes pièces la sclérose en plaques , les paraplégies traumatiques ou spon- tanées,
ue et de ceux de la paralysie agitante et de ceux de la sclérose en plaques ou de l'athétose, sur le caractère et la genèse
sitôt, nous avons conçu l'es- poir de provoquer la résorption de la plaque exsudative par l'io- dure de potassium, et les
périeur du côté gauche; l'écorce était amincie. Au-dessous de cette plaque , la substance blanche présentait une cavité de
lement, doit.êlre rapportée au lobe pariétal. Elle se manifeste par plaques irrégulièrement disséminées et irrégulières. C'
- La même dégénérescence corticale engendre la dégénérescence en plaques et en cordons de la couche blanche des hémisphère
foyers cérébraux, par Darksche- witsch, 105; dans la sclérose en plaques , par Freund, 106. SEXUELLE, inversion, par Roll
86 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
début de l'affection. M. H. XXIII. Formes frustes de sclérose en plaques à début mono ou hémiplégique avec amyotrophie ;
2 paralytiques, 3 épileptiques, 1 tabéto-paralytique, 1 sclérose en plaques , 2 atro- phies musculaires progressives, 2 hyst
oscillante gauche ; 3° par une hypokynesthésie gauche ; 4° par ces plaques oscillantes d'hypéresthésie pour le froid (ou d
d'anesthésie pour le chaud) siégeant surtout à droite ; 5° par des plaques oscillantes d'hyperesthésie par le chaud (ou d'an
l'observation I, où la paralysie était limitée à la main, une large plaque d'anesthésie cutanée enveloppait la totalité de
e) on trouva le cerveau parsemé de taches scléreuses de sclérose en plaques , et particulièrement deux plaques sur la moelle
taches scléreuses de sclérose en plaques, et particulièrement deux plaques sur la moelle seulement, dont une à la région lom
aisant une véritable hémisection de la moelle. Parmi les nombreuses plaques du cerveau l'une d'elles avait complètement scl
s. Des cas analogues mais sans autopsies au cours de la sclérose en plaque sont signalés par Parinaud. Pronostic du tabè
a rapporté un certain nombre de guérisons de tabes,'de sclérose en plaques , etc. ; mais chaque fois, il y avait une erreur
avait pensé que la maladie de Thomsen était due à une affection des plaques terminales et des fibres des muscles en rapport
es de gélatinobromure enfermées dans des tubes de verre ou dans des plaques de verre hermétiquement clos; certaines de ces
açon à y tracer des dessin*. Il place encore de ces tubes ou de ces plaques chez l'homme, der- rière l'oreille, à l'intérie
eux, souvent symétrique (voir les figures). L'anesthésie existe par plaques : elle suit parfois le trajet de certains nerfs
tribution à l'étiologie et à la symptomatologie de la sclé- rose en plaques ; par R. GAUPP. (Cenlmlbl. f. Nel'venheilk., XXII
Nel'venheilk., XXIII, N. F. XI, 1900.) Observation de sclérose en plaques d'origine traumatique ; les symptômes paraissen
ns ses proportions. Les lésions névrogliques s'étendent souvent par plaques et sont surtout communes au niveau de la corne
et peu profondes des régions frontale et temporale, pré- sente une plaque de méningo-encéphalite, d'intensité exception-
issement des réflexes. Il pourrait - être dû à l'intoxication de la plaque musculaire; la substance toxique serait produit
les muscles en travail et excercerait un pouvoir paralysant sur la plaque motrice. G. Carrier. XIX. Contribution à l'étud
'a eu que des accidents secondaires de peu d'impor- tance, quelques plaques muqueuses à l'anus, et de l'alopécie. Plus tard
acksonienne, et alors elles sont l'expression d'une gomme, ou d'une plaque .de méningite développée au niveau de la zone r
use, tremblement intentionnel semblable à celui de la sclé- rose en plaques , bredouillement' scandé et lent, asynergie de la
'être connu des auristes ainsi que des neurologistes. Sclérose en plaques . M. Ballet présente une malade atteinte depuis
Ballet présente une malade atteinte depuis 1897 d'une sclé- rose en plaques dont la marche a fait hésiter au début entre le
s cas de paralysie générale, par C. H.Jenko, - 132. Sclérose EN plaque à début mono ou hémiplégique avec amyotro- ph
87 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
: Au niveau du pied de la troisième circonvo- lution frontale, une plaque jaune formant un foyer de ramollisse- ment supe
uivant : un gros dé à coudre en argent fut attaché par un fil à une plaque de zinc. Le dé fut mis au pouce, et la plaque d
aché par un fil à une plaque de zinc. Le dé fut mis au pouce, et la plaque de zinc appliquée sur le bras ; on plaça un peu d
de zinc appliquée sur le bras ; on plaça un peu de charpie sous la plaque de zinc, et cette charpie fut mainte- nue imbib
court séjour. 9 février 1881. L'anesthésic se trouve réduite à une plaque de la largeur des deux mains environ et qui occ
us ou moins marqué; au niveau du front, on l'a vu n'exister que par plaques . Il peut aussi être plus accentué d'un côté que
'ailleurs pas limitée exactement à la ligne médiane : il existe une plaque sensible de la largeur de la main à la limite d
le long des dernières côtes pour aller se confondre avec une autre plaque un peu moins étendue située en dehors et au- de
dessous du sein gauche ; autour du nombril, il existe encore une plaque semblable de la largeur de la paume de la main.
r)'irréguiari<éde)'hémia- nesthésie, qui est interrompue par des plaques sen- sibles, dont deux s'étendent autour de poi
urs qui empêchent tout sommeil. La région douloureuse présenté deux plaques rouges, l'une allongée de douze centimètres env
us de la dernière fausse côte etprésentant la même direction. Cette plaque offre sur certains points une surface irréguliè
ulle part de vésicules. Le 3, on voit se développer au centre des plaques rouges, sous forme de traînées longitudinales,
ire respectif : il s'agit de faire pratiquer par un potier dans des plaques en terre cuite une série de dépressions. Ces plaq
otier dans des plaques en terre cuite une série de dépressions. Ces plaques de cinq espèces, pourvues chacune de six à soix
onservatrice exclusive des faisceaux nerveux moteurs, émanerait des plaques terminales de ces organes dont se dégagerait co
cas à un réflexe cutané pro- voqué par l'excitation portée sur une plaque d'hyperesthésie. Ce qui paraît distinguer ce ré
ras et par la cuisse; la dernière partie qui reste sensible est une plaque située en dehors de 'ombilic. DE L'HYS'l'liRO
88 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e, et les narines remplies de sang coagulé; tout à côté une large plaque de sang s'étale sur les dalles en briques du co
.; pas d'ec- chymoses péi-icardique ni sous-endocardique ; quelques plaques laiteuses, surtout sur la face antérieure des v
. Sur l'aorte' au-dessous de la carotide primitive gauche, quelques plaques calcaires d'athérome. Rien aux carotides. Abd
chancre, à la suite duquel il au- rait en des maux de gorge et des plaques sur le scrotum ; depuis plus de vingt ans, il n
ubles céphaliques permettant de faire recon- naître une sclérose en plaques au début, a vu la contracture des deux membres
s sinapismes la même série de phénomènes que ceux dans lesquels les plaques métal- liques n'agissent que comme agents irrit
ains points. En' arrière de ,1'ancienne cavité, il existe une large plaque d'usure à peu près lisse allant de la hase de l'i
étention d'urine, voyait disparaître l'aphasie quand on plaçait une plaque de zinc au-devant du larynx, et la rétention d'
quand on en pla- çait une à l'hypogastre. De plus l'application des plaques de zinc avait une influence sur l'excrétion mêm
zinc avait une influence sur l'excrétion même de l'urine. Quand les plaques étaient retirées, l'urine devenait plus abon- d
olides au point de vue absolu et au point de vue relatif; quand les plaques étaient appliquées la quantité de l'urine dimin
es normales. L'auteur constaté aussi que, pendant l'application des plaques de zinc, les différences entre la température c
phériques étaient plus accentuées qu'en dehors de l'application des plaques , et attribue ces différences dans l'excrétion d
nt notée dans les cas de diabète, surtout à l'état isolé. Une large plaque d'anesthésie se voyait sur la cuisse d'un jeune
urs qu'on trouve cette anesthésie. Quelquefois elle se montre par plaques sur diverses parties du corps, sur les organes gé
l'anesthésie plantaire, ou des hyperesthésies tran- sitoires et en plaques comme nous en connaissons un exemple, pourraien
nte, qui aurait échappé. Fond d'oeil .pâle et gris. Apoplexies et plaques blanches de la rétine, affectant le voisinage d
pareilles àcellcs de la rétinite albuminurique. D'après Lober, les plaques blanches auraient moins de tendance à se confon
89 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et de la moelle (paralysie générale, apoplexie, tabes, sclérose en plaques ). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Cas d
a rétine on voit, entre les fibres nerveuses, des stries ou petites plaques de tissu conjonctif, localisées du côté nasal j
ssissement des méninges molles. L'arachnoïde présente de nombreuses plaques calcaires dans la région lombaire en arrière. L
pèse 488 grammes. L'endocarde est sain ; le myocarde est parsemé de plaques de sclérose. L'aorte présente, dans toute son é
ues de sclérose. L'aorte présente, dans toute son étendue de larges plaques molles, un peu translucides, épaisses, arrondie
asorum de sa tunique externe; au même niveau il existe deux petites plaques d'endartérite fibreuse, sans qu'on puisse spéci
e porte en arrière, au niveau du renflement lombaire, de nombreuses plaques calcaires. L'épendyme du quatrième ven- tricule
Observation IV. Tabès; paralysie générale; méningo-myélite diffuse; plaque de myélite vasculaire dans le faisceau latéral. -
latéral gauche, à la hauteur de la quatrième paire dorsale, d'une plaque de myélite localisée qui avait échappé au premier
mensions minimes et à l'absence de dégénération secon- daire. Cette plaque , que nous avons décrite à la Société anatomique,
a méthode d'Azoulay, on découvre, vers l'extrémité inférieure de la plaque , des fibres où la myéline est en voie de fragment
e leucocytique Sur les coupes vertico-transversales, on voit que la plaque est tra- versée par deux volumineuses artériole
page beaucoup sur leur trajet ultérieur. Il est à noter que cette plaque de myélite n'est pas du tout en rapport avec la
a quatrième DOR- sale. Dégénérescence des cor- dons postérieurs ; plaque de myélite dansile faiscean latéral. - Procéd
le de la même pla- que de myélite; c, commissure postérieure ; m, plaque de myélite. - Procédé d'Azoll- la ! }. ÉTUD
tion anatomique que rien dans l'observation ne laissait prévoir. La plaque de myélite, qui est faite exactement sur le typ
e . Fig. IJ. Observation IV. - COI PC l'R.1\ : \GRS1LC de la même plaque de myélite, à un plus foit grossissement. Ménin
300 . CLINIQUE NERVEUSE. Si l'on rapproche dé ces faits la petite plaque de myélite de l'observation IV, que l'absence d
une parenté entre l'infiltration embryonnaire que l'on voit dans la plaque de myélite de l'ob- servation IV et la sclérose
ars de ce pro- cessus morbide; certains vaisseaux de la sclérose en plaques peuvent bien donner lieu à des apparences analo
nérescences secondaires. De plus, il est facile de concevoir qu'une plaque de myélite, telle que celle de l'observation IV
e générale, celles des nerfs radiculaires - cause du tabes, - les plaques localisées de myélite syphilitique ne sont que l'
ytique). P. X. XXXII. Contribution A l'histologie DE la sclérose EN plaques cérébro-spinale ; par M. PopOrr. (Neurolog. Cen
cence d faisceau pyramidal, par Mott, 321. ilisto- logie de la en plaques céré- bro-spinale, par Popoff, 387. Séniles.
90 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e, janvier 1903). - E. B. VI. Atrophie du cervelet et sclérose en plaques ; par André Thomas, M. Thomas a pratiqué l'exame
résenté une symptomatologie très analogue à celle de la sclérose en plaques et à l'autopsie de laquelle on avait cru trouve
ours une intégrité de la conduction (névrite périaxile, sclérose en plaques ). Il y a donc de ce côté à 80 SOCIÉTÉS SAVANTES
droite, au niveau de l'émergence du nerf du même nom, présente une plaque érythémateuse infiltrante sur les bords de laqu
ords de laquelle on remarque encore plusieurs tubercules. Une autre plaque érythémateuse se voit à la région sus-orbitaire
ortait du bain, elle remarqua au niveau des jambes l'exis- tence de plaques violacées, et rapprocha cette constatation de c
bas-ventre, en même temps que de nouvelles 110 CLINIQUE NERVEUSE. plaques apparaissent au niveau des bras puis sur la joue
ma circiné et instituent un traitement ioduré à la suite duquel les plaques se décolorent, desquament et dispa- raissent. M
curetage, de là elle se rend en Suisse pour soigner son anémie. Les plaques reparaissent et, à Genève, les mé- decins porte
devient enceinte et accouche en 189-4. Aussitôt après, de nouvelles plaques violacées, siégeant aux membres inférieurs, aux
toire appa- rente de l'appareil vasculaire, tels que la sclérose en plaques , les dégénérescences primitives des cordons de
er parmi les atrophies réflexes par lésion articulaire. Sclérose en plaques chez un infantile myxoedémateux. MM. HAYMOND et
mateux de dix-huit ans porteur de signes évidents de sclérose en plaques (tremblement intentionnel, parole lente et scandé
nte et scandée, nys- tagmus) et de débilité mentale. La sclérose en plaques est très rare chez les enfants. Syringomyélie
ante : d'abord congestion de la région fessière et production d'une plaque d'érythème qui s'est couverte de phlyc- tères ;
ons du pouls. Elles n'avaient rien de l'athétose, de la sclérose en plaques : rien non plus du tic généralisé, la face étan
ontre de l'étranglement de la papille avec oedème péripapillaire et plaques atrophiques sur la papille. Congestion veineuse
le patient présente des accidents du côté de la moelle (sclérose en plaques probable) auxquels il succombe en trois ans. '
pareil se distingue des autres par deux organes essentiels : tu une plaque de carton pleine qui s'applique sur la rotule don
rticipe à cette hypertrophie osseuse (1-"ig. 15). Il n'y a pas de plaques transparentes sur la moitié droite, hyper- trop
eur pituitaire volumineuse, quelques particularités intéressantes : plaques os- seuses méningées spinales, tuberculose pulm
ordinier, 4S9. Voir Maladie. CERVELET. Atrophie du et sclérose en plaques , par Thomas, 62. Voir Tumeurs. Noie sur un cas
Gauchler et Roussy, 75 Sclérodermie, par Huet, 509. Sclérose en plaques . Voir Cezaelet. Un cas de - symétrique des lobe
Un cas de - symétrique des lobes occipitaux, par Marchand, 68. en plaques chez un infantile m yxoe- démateux, par Raymond
91 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
aire. Les petites taches ont les dimensions d'une tête d'épingle. Les plaques atteignent à peine la dimension d'un centimètre
ont réparties de la façon suivante : deux grandes bandes formées de plaques juxtaposées descendent des aisselles jusqu'à la c
eliées par une bande transver- sale'abdominale. Sur le dos quelques plaques sont groupées sous forme de traî- nées longitud
re re- garde légèrement à gauche. La forme n'est plus celle d'une plaque osseuse sensiblement plane avec une légère vous
sillon balano-préputial, puis roséole, croûtes dans les che- veux, plaques à l'abus et au scrolum). Le traitement mercuriel
aractéristique, une cicatrice à la place du chancre. Il n'existe ni plaques moqueuses, ni céphalées. On ne peut constater un
et le malade s'alite. On constate une éruption syphilitique avec plaques muqueuses buccales et alopecie. On constate en
ct deux ulcérations buccales se présentant sous la forme de petites plaques jaunâtres, in- durées à la base, douloureuses,
s sur la face antérieure que celle du côté opposé, ils manquent par plaques , dont deux nettement circonscrites. Le quadriceps
J'ai étudié aussi les spasmodiques avec titubation, la sclérose en plaques en particulier qu'il ne semble pas avoir envisa
THOMAS prendre : sans être explosive comme celle de la sclérose en plaques , la pa- role est légèrement scandée. La langue
a été considérée par différents auteurs comme un cas de sclérose en plaques localisée au cervelet, bien que l'examen histolog
ncore de la nature des lésions. Le diagnostic avec la sclérose en plaques est parfois délicat; suivant la. description de
; suivant la. description de Charcot, la démarche de la sclérose en plaques peut affecter plusieurs aspects; il en existe t
moins intense dans l'atrophie cérébelleuse que dans la sclérose en plaques ; la parole est également moins explosive et les
rs et inférieurs sont pour ainsi dire constants dans la sclérose en plaques , exceptionnels dans l'atrophie du cervelet ; l'
ndée et le nystagmus ne sont pas caractéristiques de la sclérose en plaques ; mais d'après lui ils doivent être considérés
ne lésion cérébelleuse et s'ils sont si communs dans la sclérose en plaques t le, c'est qu'il existe des plaques protubéran
si communs dans la sclérose en plaques t le, c'est qu'il existe des plaques protubérantielles qui intéressent les libres cé
ubérantielles qui intéressent les libres cérébelleuses. Lorsque les plaques de sclérose sont limitées à la moelle, ces troubl
lleuses dans la patliogénie de certains symptômes de la sclérose en plaques , nous ferons remarquer que, dans les lésions lo-
t à l'extérieur du cervelet, comme c'est le cas dans la sclérose en plaques . Les malades atteints de paralysie pseudo-bulbà
de la jambe gauche, une contracture des doigts du même côté et des plaques d'anesthésie. On trouva la balle dans la partie a
s intimement. Le cuir chevelu est glabre par endroits. Il y a des plaques de pelade très nombreuses, cachées par le restant
s faces l'une vers l'autre. Ces faces sont dépolies, dépourvues par plaques de cartilage d'en- croûtement et de tissu compa
cartilage d'en- croûtement et de tissu compact : au travers de ces plaques , on voit le tissu spongieux de l'os dont les tr
18ï9, Rallier et Pick signa- laient la fréquence de la sclérose en plaques à la suite des maladies aiguës et lui attribuai
, Pierre Marie se fait l'apôtre de la même idée pour la sclérose en plaques ; il a même généralisé cette idée, de sorle qu'il
tant à une myélite transverse, ou à une forme fruste de sclérose en plaques , compliquée de troubles trophiques de la colonn
lies à forme UN CAS DE DERM0-NEUR0-F1BR0MAT0SE 643 de sclérose en plaques et à forme de tabes spasmodique (Strumpell, Kah-
92 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
res il y a un tremblement un peu analogue à celui de la sclérose en plaques . Il existe des troubles de la diadococinésie da
qui ne se reproduisirent pas plus tard. A l'autopsie, on trouve des plaques de méningo-encéphalite au niveau du lobe pariét
aitement spécifique. Le malade dit avoir eu quelque temps après une plaque rouge sur le thorax ; pas de ro- séole ni de cé
peau, quelquefois légère incontinence vési- cale). J'ai trouvé ces plaques scléreuses dans les cordons latéraux (surtout L
sur l'image. L'hémisphère le plus foncé est celui qui repose sur la plaque . L'autre hémisphère se traduit par une image pl
e on trouve des valvules aortiques un peu dures surtout à la base ; plaques athéromateuses, 2 ou 3 la base de l'aorte, à l'ép
. fut, après consultation, consi- déré comme atteint de sclérose en plaques . Depuis fin 1902 amaurose totale. Tous les tr
es mailles du réseau ; on assiste presque à l'effondrement de cette plaque scléreuse et on voit, à l'extrême droite, une a
lacunes en formation : cette organisation des foyers de sclérose en plaques avec tendance lacunaire est le fait de la sé- n
de fibres s'écartent pour 1- prendre une direction horizontale. Ces plaques s'organisent souvent, et c'est le cas ici, auto
voit aussi s'organiser ,habiluellement au- tour d'un vaisseau, des plaques de sclérose; celle qui est dessinée dans la fig
te à considérer des lésions banales de sclé- rose secondaire et des plaques identiques à celles qui s'observent dans les au
processus sclé- reux a un aspect qui doit le faire distinguer de la plaque véritablement sénile : la névroglie de la couch
le femme n'est pas une cérébelleuse sénile ; elle est porteur d'une plaque très ancienne de sclérose tubéreuse dans la- qu
s fait assister au processus de formation lacunaire par nécrose des plaques scléreuses. La figure 1 reproduit une des nom-
e.) SUR LE CERVELET SÉNILE 363 l'effritement et de la fonte d'une plaque comme celle que représente la figure 1 de la pl
ractérise au contraire par des atrophies très limitées qui sont des plaques de sclérose ordinairement périvasculaire. Ces pla
qui sont des plaques de sclérose ordinairement périvasculaire. Ces plaques tendent à se nécroser pour former des lacunes.
utour du noyau dentelé. Ce sont les zones de prédilection, mais les plaques et les lacunes peuvent s'installer en tout poin
364 ANGLAM ET CALMETTES naissent toujours, même dans les cas où les plaques intéressent toute une foliole ; la formation la
aisé de dire si un cervelet est atrophié ou sénile. Bien mieux une plaque scléreuse atrophique ou hypertrophique ancienne
n observe des prédominances scléreuses qui peuvent aller jusqu'à la plaque , mais n'aboutiront jamais à la lacune. Les cellul
t intentionnel de tous points analogue il celui de la sclé- rose en plaques . Peu après son admission dans le service, la ma
d'une vis avec coussinet (h), en avant, - d'une gou- pille (b) avec plaques il deux pattes qu'on introduit sous le bord supér
e calcium ne pourrait agir en soustrayant l'eau extravasée dans les plaques d'urticaire ? La conclusion qui semble découler
93 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
oprement, mais il ne se sert toujours que de la cuiller. J8 mars. Plaque de teigne assez bien délimitée au niveau du tou
ue de teigne assez bien délimitée au niveau du tourbillon ; petites plaques disséminées en avant. Traitement : épilation, s
au en coupes régulières plus ou moins épaisses. Il se compose d'une plaque de cuivre horizon- tale large de 10 centimètres
ong de REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 61 cette plaque et par suite de cette échelle se meut à frottemen
de faire avancer le pont de la longueur mesurée sur l'échelle de la plaque pour obtenir une coupe de l'épaisseur voulue pa
la mam. On fera bien aussi de ne pas le placer directement sur la plaque de cuivre mais sur une pièce de liège interposée.
ux, où l'on voit plusieurs enfants dont les têtes sont couvertes de plaques teigneuses très fidèlement rendues. Viennent en
Le trou de Botal est oblitéré. Le coeur droit est un peu dilaté. Plaque atéromateuse de 2 cm. de longueur sur l'aorte.
ge d'au- cune lésion. Le foie est un peu congestionné et il y a des plaques de péri-hépatite à la face supérieure du lobe d
es, s'est fermée et, à l'autopsie, nous avons trouvé à sa place une plaque osseuse transparente. IV. Bien que Deb..., fût
soit question d'hémorrhagie ou de ramollissement. La sclérose en plaques n'existe guère au-dessous de quinze ans et n'a pa
hez lesquels, ils ont relevé ainsi que dans des cas de scléroses en plaques et de scléroses combinées le phéno- mène de con
syphilomes. Les auteurs discutent la possibilité d'une sclérose en plaques mais ne peuvent se prononcer sur l'origine prem
nt à cet avis. 7')'o ! t&psc/n ! tes dans un cas de sclérose en plaques . IL Laknois (de Lyon). Les troubles intellectue
e, dépression mélancolique, etc.) sont la règle dans la sclérose en plaques . Il est rare de les voir s'exagérer et devenir le
nnois rapporte. Un homme de vingt-six ans présente -une sclérose en plaques typique ayant débuté à dix-sept ans après une s
-elle été commise plusieurs fois dans les deux sens, la sclérose en plaques ayant été prise pour de la démence paralytique
bles peuvent s'expliquer par l'extension et la générali- sation des plaques aux lobes.frontaux, par leur présence sur le co
é et autopsié dans le service de M. 11ER.1VAL, et où la sclérose en plaques fut combinée à la paralysie générale. Erythro
ites, contractées et tassées. A droite, au niveau du lobe pariétal, plaque de ramollissement. Ecorce cérébrale mince et pâ
rement découvertes dans le travail des champs. On observe aussi des plaques foncées et indurées au niveau des grands trocha
rgent contre certaines manifestations du tabès et de la sclérose en plaques , l'emploi de la suspension dans le traitement d
« Tout Paris et puis les fils, le téléphone; tabac et tout Paris. Plaque d'or et je Iravaille. Je suis jeune et tout Paris
se du sys- teme nerveux, les Lésions cérébrales dans la sclérose en plaques , les Amyolrophics au cours du tabès, etc. En ou
lalie P et Guillain, 180. Troubles psychiques dans un ca, de - en plaques , par Lannois, 273. SECRET médical. Le secret mé
94 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ent moins. La malade actuelle présente les signes de la sclérose en plaques . L'examen du frère de la malade décèle que le t
ement est en voie d'amélioration, sans autre signe de sclé- rose en plaques , son tremblement diminue quand il absorbe une c
érieure (observation de Sceligmulkes), sur le tabes, la sclérose en plaques , l'atrophie mus- culaire progressive, la paraly
Weber, la syphilis cérébrale, les formes frustes de la sclérose en plaques . Ce volume, publié par les soins de M. Georges
as- théniques, un caractère tout à fait spécial (le casque et les plaques de la céphalée neurasthénique), bien différent de
r. Une des valvules aortiques présente au fond du nid de pigeon une plaque très dure qui n'ar- rive pas jusqu'au bord libr
i-lune ou en un ovoïde arrondi. P. K. XXVI. UN cas DE SCLÉROSE EN plaques cérébrospinale chez l'enfant, avec remarques SU
es dorsal spasmodique, de la paralysie infantile, de la sclérose en plaques , de la maladie de F1'Íed1'eich, des scléroses c
en donne une description complète. Il étudie ensuite la sclérose en plaques dont l'origne infectieuse ne lui parait pas pouvo
limitées au bras gauche furent l'unique symptôme de la sclérose en plaques dont le tableau complet se développa plus tard.
leau complet se développa plus tard. Mais ce fait d'une sclérose en plaques , maladie éminemment diffuse qui se mani- feste
nts d'accès comitial ? Manifestations céphaliques d'une sclérose en plaques au commencement ? Ebauchess d'attaque hystériqu
é, que je sache, par la diplopie : pour ce qui est de la sclérose à plaques , tous ses phénomènes sont absents ici, tandis q
e avec l'hystérie. (Th. de Paris, 1891.) 53. Charcot. Sclérose en plaque et paralysie générale. (Leçons à la Salpêtrière
UEIL DE FAITS SYNDROME HYSTÉRIQUE SIMULATEUR DE LA SCLÉROSE EN- . PLAQUES , par le Dr A. Cochez, Ancien interne des hôpi
pha. Bien que les observations d'hystérie simulant la sclérose en plaques ne soient pas rares, (Charcot, Rendu, Souques, Mi
'état mental des hystériques. SYNDROME HYSTÉRIQUE DE LA SCLÉROSE EN PLAQUES . 47-1 d'Alger). G... (John), quarante-quatre an
s écrites (pas de cécité ver- SYNDROME HYSTÉRIQUE DE LA SCLÉROSE EN PLAQUES . 473 baie) et répond d'abondance par écrit à to
ie le sol (démarche de Todd). SYNDROME HYSTÉRIQUE DE LA SCLÉROSE EN PLAQUES . 475 L'occlusion des yeux ne parait pas augment
ers présentés par le malade pouvaient faire songer à la sclérose en plaques : vertiges, attaques apoplecti- formes, trouble
aniques du système ner- veux, et en particulier avec la sclérose en plaques , ne sont pas rares, et recherchons si tous les
ent imputables à l'hystérie. Il est facile de mettre la sclérose en plaques hors de cause, car nous ne trouvons ici aucun s
1STAN. - Des associations hystéro-orgauiques. Un cas de sclérose en plaques et hystérie associées avec autopsie. Brochure in-
-, par P. Ja- net, 448; - syndrome -, simu- lateur de sclérose en plaques , par Cochez, 470. IDIOTIE, traitement chirurg
59; - paralysie bul- baire avec -, par Kronthal, 260. SCLÉROSE EN plaques , cérébro spi- nalechez l'enfant, par Nolda, 276
95 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
rendant de là à la section, M. Peyron a montré à M. le Ministre, la plaque commémorative, posée récemment en l'honneur de
ur la valvule tricuspide et la mitrale. Pas de sclérose. Quelques plaques athéromateuses de l'aorte. Abdomen. - Estomac.
le gauche surtout. Le ventricule gauche est un peu dilaté. Quelques plaques d'athérome dans l'espace sous-aortique ; léger
de ceux qu'on observe soit dans la chorée, soit dans la sclérose en plaques . Quand le malade veut se lever de sa chaise, il
t se rapprocher le plus de l'athé- tose double, sont la sclérose en plaques , l'ataxie locomotrice, l'ataxie héréditaire et
taire et la chorée. Dans la forme cérébro-spinale de la sclérose en plaques , on observe des troubles de la vue : diplopie,
aques apoplectiformes qui sont assez fréquentes dans la sclérose en plaques , ne paraissent pas se rencontrer dans l'athétos
a face qui n'existent pas, chez les malades atteints de sclérose en plaques et tandis que les troubles de la parole vont en
e les troubles de la parole vont en s'aggravant dans la sclérose en plaques , ils restent stationnaires dans l'athétose doub
e tremblement s'aggrave de plus en plus à mesure que la sclérose en plaques fait des progrès, tandis qu'il reste le même, o
chez les malades atteints d'athétose double. Dans la sclérose en plaques , on note au début une parésie affectant une seu
ec- tions n'est pas la même; d'une façon générale, la sclérose en plaques tend à s'aggraver de plus en plus pour aboutir, p
ation grise, inégalité des pupilles), les douleurs fulgurantes, les plaques anesthésiques ou hype- resthésiques, la perte d
217); le mémoire très intéressant de M. P. Marie sur la Sclérose en plaques chez lus enfants (Revue de médecine) et enfin l
96 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aEWSKA. IV. Un cas de tremblement segmentaire dans la sclérose en plaques ; par le professeur Grasset. (Revue Neurologique,
yotrophique; 3° tabès spasmodique; 4° tabès combiné; 5° sclérose en plaques ; fit compression de la moelle et myélites trans
de la base fortement athéromateux. Sylviennes béantes, dures, avec plaques d'athérome sur toute leur étendue. · Hémisphè
énéralisée à la région dorsale dans les colonnes latérales surtout, plaques de sclérose irrégu- lières, plaque gommeuse de
les colonnes latérales surtout, plaques de sclérose irrégu- lières, plaque gommeuse de la région dorsale inférieure et sclér
agnés de nystagmus rotatoire. Fait-on tourner ce malheureux sur une plaque à mouvement cen- trifuge dans toutes les direct
restreint. Diminution de la force par atrophie muscu- laire. Sur la plaque centrifuge, la malade ne sent, les yeux fermés,
ensateurs à cause de l'anesthésie des deux globes oculaires. Sur la plaque centrifuge, les rotations à droite sont aussitô
ité. -Landis (111 ? Rosa). Contribution à l'élude de la sclérose en plaques chez l'enfant. - Legay (René). Essai sur les rapp
ique fut tentée sans le moindre résultat. A. M. XXXI. Sclérose en plaques . - Clinique du P1' de Rrnzi. (1'coua Riuislc cl
herccp., n° 3, 1899.) A l'occasion d'une observation de sclérose en plaques le maitre fait ressortir toute l'importance que
ives. A. Marie. XXXVI. Diagnostic différentiel entre la sclérose en plaques et l'hystérie ; par Thomas 13UZZ\I\D. (British
lles, un peu d'étourdissement. sans perte de connaissance. Quelques plaques de pemphigus aigu sont survenues deux semaines
pendant en revue le diagnostic différentiel d'avec : la sclérose en plaques , le tabe, ordinaire ; la syphilis héréditaire ;
sibilité à la douleur considérablement diminuée; il existe même des plaques d'anesthésie à la plante des pieds. Pas d'hémip
se manifeste un tremblement com- parable à celui de la sclérose en plaques . 11 est difficile desavoir si cette atrophie du
si cette atrophie du membre supérieur est due à la présence d'une plaque de sclérose sur la moelle ou à une névrite périph
le tremblement est d'origine hyst'é- rique ; à type de sclérose en plaques dans la deuxième observa- tion, parkinsonnien d
rs cérébrales. Asymétrie faciale ; déviation de la luette à gauche; plaques d'analgésie disséminées; exagération des réflexes
ite aiguë ou subaiguë ; 8° La névrite optique dans la sclérose en plaques ; 9° La névrite optique dans la maladie de Guerhe
ia. Anatomie pathologique de l'écorce cérébrale dans la sclérose en plaques . Les auteurs ont étudié les localisations de la
plaques. Les auteurs ont étudié les localisations de la sclérose en plaques au niveau de l'écorce céré- brale, en examinant
une large part dans la symp- tomatologie générale de la sclérose en plaques . La méningite peut expliquer les attaques épile
2H. bi'jterate dans la néphrite, I,ttpillsiiy, 500. Sclérose en plaques . Un cas de tremblement segmentai ! dans la -,
97 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le dernier mètre de l'intestin grêle, nous trouvons une douzaine de plaques de Peyer, formant saillie, très conges- tionnée
ense. A 0 ? 80 de l'embouchure caecale, commencent à apparaître des plaques de Reyer ulcérées, saillantes, confluentes; l'u
rée atteint 7 centimètres de long et 3 centimètres de large. Aucune plaque dans le gros intestin. Macroscopiquement le cer
alement curieuse. Les auteurs y joignent trois types de sclérose en plaques clas- sique (2 h. et 1 f.) indemnes de tout tro
des cas plus rares, elle peut donner naissance à de la méningite en plaques . Les toxines sécrétées par le bacille de Koch j
ie, de la pleurésie, des maladies du système ner- veux (sclérose en plaques , tumeurs), de la syphilis, du diabète, des into
nique, et une recherche minu- tieuse découvre, soit une sclérose en plaques , le début d'une para- lysie générale, une néphr
provo- quer. Je l'ai constaté sur un malade atteint de sclérose en plaques datant de deux ans, et je me propose de le rech
. Elle doit faire songer également à cette variété de sclérose en plaques à début paraplégique aigu, décrite par M. le prof
et bien qu'il existe des observations indiscutables de sclérose en plaques familiales-, nous ne pensons pas que l'on puisse
pilepsie et instituer la médication bromurée. G. D. VI. Sclérose en plaques avec amyotrophie; par le D Boocuaon. (Joui,il.
le phénomène prédominant, doivent être rattachés à une sclérose en plaques . G. D. VIL L'encéphalite aiguë non suppurée et
ningitiques ; mort rapide. Autopsie. Crâne mince avec de nombreuses plaques transpa- rentes; pas de synostoses. Transformat
t et du frontal gauche). Elle est très mince, offrant de nombreuses plaques transparentes sur le frontal droit, les pariéta
on pré- coce des fontanelles, persistance des sutures, nombreuses plaques transparentes qui indiquent que, dans ce cas enco
des poils rudes et abondants. Les coudes et les genoux portent des plaques de psoriasis invétéré. La voûte palatine est la
eil et aucun signe de lésion nucléaire. Cas fruste de sclérose en plaques ou paralysie générale. A131. Brissaud et Monod.
érences entre le cerveau et la paroi crânienne : introduction d'une plaque de celluloïde, d'une plaque d'or, entre le cerv
paroi crânienne : introduction d'une plaque de celluloïde, d'une plaque d'or, entre le cerveau et le crâne ; mise en cont
mercuriel. M. H. L. Paraplégie spasmodique familiale et sclérose en plaques fami- liale ; par CCSTAN et GUILL.11N. (Revue d
à partir de l'adolescence l'ensemble syndromique de la sclérose en plaques . Dans les deux maladies observées, l'absence de
e et dorsale, c) myélite cervicale et tabes dorsale, d) sclérose en plaques disséminées. 5° Névroses communes el autres mal
x, par Fei-e, 117. SCLi nuscs cumblnées, par Babinski, î8. - en plaques avec amyotro- 17111e, par lolicli111(l, 240. --
. - en plaques avec amyotro- 17111e, par lolicli111(l, 240. -- en plaque » ou paralysie générale, p.u BI issaud et 10110(
98 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- bois, MM. les amateurs photographes feront bien de* se munir de plaques orthochromatiques. Déjeuner général à Saint-Pierr
des mouvements irréguliers qui rappellent ceux de la sclé- rose en plaques . d) Le mouvement associé de flexion de la cuiss
s incoordonnés de la jambe droite. coup à celle de la sclérose en plaques . Il n'existe ni paralysie faciale, ni paralysie
as constants, permanents; un peu analogues à ceux de la sclérose en plaques , ils ne se produisent qu'à l'occa- sion des mou
les dysarthriques des affections cérébelleuses tels que sclérose en plaques , hérédo-ataxie cérébelleuse. Or, pour Luys et J
TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMUS CONGÉNITAUX ']'Il sclérose en plaque fruste ? Cette opinion est inadmissible parce q
encontre toujours dans l'histoire des sujets frappés de sclérose en plaques . Nous pensons donc qu'ici encore une anomalie d
Mosny. Manuel de médecine, Debove-Achard, t. III, art. Sclérose en plaques , p. 613. 1 2 Loc. cil., p. 600 : 118 PATHOLOG
on défectueuse serait la cause du tremble- ment dans la sclérose en plaques par exemple : dans cette affection les cylindra
Par quelques-uns de leurs caractères, ils relient à la- sclérose en plaques familiale dont l'existence est aujour- d'hui ad
e homme; il en est d'ailleurs ainsi parfois dans la sclérodermie en plaques , qui pré- sente quelque ressemblance avec cette
s sillons, surtout à gauche. Ni pus, ni fausses membranes, quelques plaques laiteuses au niveau de Rolando à gauche. Vaisse
à côté d'un sarcome assez volumineux de la région du cervelet, des plaques de méningite néoplasique, qui recouvraient tout
- tématique, tel que l'ont décrite Magnan et Legrain. Sclérose en plaques infantile à forme hémiplégique d'origine /te<
ied droit. A l'autopsie et l'exunzezz histologique, on releva des plaques de sclérose disséminées dans tout l'axe cérébro
gique de l'hérédo- syphilis dans le développement de la sclérose en plaques chez les jeunes enfants. De la sortie refusée
philis. Ils n'ont jamais trouvé le signe au cours de la sclérose en plaques (35 cas), de la polynévrite (30 cas), de l'atro
l'arachnoïde, un épanchement de sang abondant, qui se répartit par plaques sur les régions frontale, occipitale et cérébel
et avait refoulé la partie droite de la protubérance. Sclérose en plaques familiale. ' nI. HmssAUD présente un malade de
te-trois ans atteint de tous les signes objectifs de la sclérose en plaques et sujet en outre, actuellement, à des crises d
les autopsies de cas pareils, il ne s'agi- rait pas de scléroses en plaques en pareille occurrence, mais de scléroses bilat
r, 51u. Sclérodermie dactylique, par de Macre, 159. Sclérose en plaques infantile il forme hémiplégique d'origine lié-
99 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
t a l e de VU. D. Crâne peu dur, épais, graisseux avec nombreuses plaques t r a n s p a r e n t e s . — Vascul. t r è s f
ulose pulmonaire. Os du c r â n e t r è s minces, nomb. et larges plaques t r a n s p a r e n t e s , applat. de l'occipi
l é g è r e m e n t vasculariséc. — Cachexie. Os du crâne minces, plaques t r a n s p a r e n t es au niveau de la fontan
ernisseuse .............................. 1 Ether. Préparateur de plaques photographiques.. 1 Total...... 143 Le tablea
e, présente une vascula-risation presque générale ; ça et là quelques plaques ecchy-motiques. Les lobes frontaux sont accolés p
à fond creux, rouge, jaunâtre par places. De chaque côté, on voit des plaques noirâtres qui vont se détacher à leur tour. Du cô
les sutures persistent et sont finement dentelées. Pas d'os wormiens. Plaques transparentes au niveau de l'angle anté-ro-supéri
,8 étant les plus hautes températures. Trai-tement : Gollodion sur la plaque , pulvérisations avec eau boriquée. Sortie do l'is
certain nombre de petites lésions superficielles prenant l'aspect des plaques de Peyer. Dans le nésentère se trouvent quelques
s de lésions tuberculeuses bien que le corps et le cou présentent des plaques pigmentaires. — Vessie, rien de particulier. — Or
ômes cérébro-spinaux. Thèse de Paris. Lebreton. — De la sclérose en plaques cliez les enfants. Thèse de Paris. Denis (C). —
100 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
hiques correspondants, de la corne antérieure de la moelle. » Les plaques de méningites spinales diffuses observées par Tes
éningites spinales diffuses observées par Tessier et Roque (5), les plaques de pachyméningite relatées par Touche (6) ne sont
it artério-scléreux ; le malade de Moizard et Bourges (7) avait des plaques athéromateuses sur (1) Béclère, Radiographie d'
sur le crâne une petite capsule de caoutchouc fermée par une mince plaque de mica, à travers laquelle passent les radiation
0 milligrammes de bromure de radium, dont les rayons traversent une plaque de mica. La durée d'application varie de 24 96
s d'occupation et de le distinguer -du tremblement delà sclérose en plaques , de la paralysie générale, de l'éthylisme, de la
dans la paralysie générale, la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques , la chorée ; mais l'examen somatique, qui doit
épreuves photographiques : pour ce faire il les appliquait sur une plaque de verre, puis avec le bord radial de l'index d
l lissait les épreuves pour obtenir une cohésion par- faite avec la plaque , et pour chasser les bulles d'air qui pouvaient s
CCIV) chez un ouvrier ferblantier qui, dès qu'il voulait placer une plaque de métal, éprouvait dans le bras tenant le martea
c une distance constante de 30 centimètres, entre l'anticathode et la plaque . 232 MERLE ET RAULOT 4° Mah..., 45 ans. C'est
combinés de cette contracture avec le tabès dorsalis, la sclérose en plaques , la syringomyélie, il arrive à la conclusion qu
e dans les autres parties du côté droit du corps, on constatait des plaques anesthésiques et hyperalgésiques, qui changeaient
tés par la méthode de Cajal nous ont montré la dégé- nérescence des plaques terminales au niveau desquelles pouvaient s'obser
t secondaires et étroitement dépendantes de la lésion primitive des plaques terminales encore récemment étudiée par TELLO (
2) qu'ils persistent au sein des îlots scléreux dans la sclérose en plaques . Tout porte à croire que les cylindraxes ne res
du bout périphérique et viennent à nouveau prendre contact avec les plaques musculaires. Ce court travail ne constitue, nou
ulement par intermittences- Au chancre, ont succédé la roséole, des plaques mu- queuses de la bouche, enfin la chute des ch
aux. Le mode de fixation employé ne nous a pas permis d'étudier les plaques motrices. Certaines glandes à sécrétion inter
selon une incidence aiguë au niveau de l'extrémité antérieure de la plaque nwvique Si on compare cette distribution aux sc
s'était demandé si cette malade n'était pas atteinte de sclérose en plaques . La malade mourut en septembre 1907. Examen a
qu'on avait pensé chez notre malade à l'existence d'une sclérose en plaques ; l'insuffisance de l'observation clinique nous ob
raisse et de formations -cristalloïdes sous forme d'aiguilles ou de plaques rhombiques.Ces masses de granulations et dé cri
e maladie manquent les atrophies musculaires. Contre la sclérose en plaques est surtout l'évolution et la notable atrophie
vec les clavicules. La première paire de côtes s'articule avec deux plaques osseuses distinctes reliées l'une à l'autre par
es osseuses distinctes reliées l'une à l'autre par du cartilage. La plaque qui s'articule avec la première côte droite est
de côte gauche, elle s'articule par un très étroit cartilage avec une plaque osseuse qui semble provenir de l'ossification i
u. Les autres ster- nèbres se sont soudées ensemble pour former une plaque unique médiane, présentant des prolongements ir
s'adapter les cartilages costaux. Le prolongement envoyé par cette plaque sternale à la 3e côte droite est dévié en avant
les cartilages de la 30 et de la 6° côtes gauches la présence d'une plaque osseuse isulée. Le point particulièrement intér
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