es soutenues à la Faculté de médecine de Paris (1), dans les articles
Pied
bot, Vertébrale (déviations de la colonne), etc.,
e; le tendon d'Achille est fortement tendu; un tremblement nerveux du
pied
et de la jambe se manifeste dans les mouvements d
jambe se manifeste dans les mouvements de flexion forcée imprimés au
pied
. La sensibilité est conservée, quoiqu'un peu alté
r effet de produire une difformité nouvelle. Vous voyez l'attitude du
pied
, dans la marche, chez cette jeune personne qui es
reuve par ce qui se passe chez cette jeune fille ; le bord interne du
pied
commence à être plus abaissé que le bord externe.
araître cette déviation, en habituant cette jeune personne à poser le
pied
à plat. Enfin il est une complication possible
mérite de cette opération. DEUXIÈME ANNÉE * 1*56. ARTICLE V. DU
PIED
BOT. (1) L'objet de notre réunion vous est déjà
par la description du strabisme; aujourd'hui, nous allons étudier le
pied
bot. Nomenclature. — Malgré les grandes dissemb
t. Nomenclature. — Malgré les grandes dissemblances qui séparent le
pied
et l'organe de la vision, on peut cependant établ
rection qui frappent l'un et l'autre, et si l'on a nommé le strabisme
pied
bot de l'œil, on pourrait, avec non moins de rais
pied bot de l'œil, on pourrait, avec non moins de raison, appeler le
pied
bot strabisme du pied. Strabisme, en effet, vie
pourrait, avec non moins de raison, appeler le pied bot strabisme du
pied
. Strabisme, en effet, vient de crps'cçio, je to
emporain s'est servi du verbe cxplcpto pour désigner la difformité du
pied
bot, qu'il appelle stréphopodie, et à l'aide des
c., il dénomme toutes les variétés. On avait précédemment appelé le
pied
bot kxjllopodie, kyllose, d'après le langage des
ge des anciens, qui nommaient le dieu Vulcain Kyllopodô, c'est-à-dire
pied
courbe, tortu. Hippocrate et Galien se sont servi
kullosis pour désigner la courbure des membres , et en particulier le
pied
bot. (I) Première leçon, 23 mai 1856. Pour no
ère leçon, 23 mai 1856. Pour nous, nous conserverons le vieux terme
pied
bol, déjà en usage avant Ambroise Paré. Suivant c
l, déjà en usage avant Ambroise Paré. Suivant certains élymologistes,
pied
bot se dit pour pied botté; mais l'adjectif bot a
t Ambroise Paré. Suivant certains élymologistes, pied bot se dit pour
pied
botté; mais l'adjectif bot a un sens bien plus ex
nes, que sa racine est le verbe sanscrit badh, frapper, blesser, d'où
pied
bot, pied contrefait, difforme (1). Définition.
a racine est le verbe sanscrit badh, frapper, blesser, d'où pied bot,
pied
contrefait, difforme (1). Définition. — Quoi qu
Quoi qu'il en soit de ces étymologies, nous entendons aujourd'hui par
pied
bot tout vice de direction permanent, toute dévia
bot tout vice de direction permanent, toute déviation persistante des
pieds
. Les déviations de ce genre résultent d'une inc
cles et très-souvent des os eux-mêmes. Mouvements physiologiques du
pied
. —Cette inclinaison a pour point de départ celle
celle qui se produit dans les mouvements normaux des articulations du
pied
. Ces mouvements sont au nombre de quatre, l'exten
autres, adduction et abduction , l'astragale est immobile, et tout le
pied
pivote autour de la tête de cet os par un mécanis
ur des orteils. Le jambier postérieur produit l'adduction simple du
pied
; il devient un peu extenseur quand le pied est f
uit l'adduction simple du pied ; il devient un peu extenseur quand le
pied
est fortement fléchi. Le court péronier latéral
péronier latéral ne produit de même que l'abduction directe, quand le
pied
a été préalablement amené à l'angle droit. Chac
premier le fléchisseur-adducteur, le second l'extenseur-adducteur du
pied
. Le long fléchisseur du gros orteil ne paraît c
ques. Je n'ai considéré jusqu'ici que les mouvements de totalité du
pied
. Je ne m'arrêterai pas aux mouvements partiels de
ien qu'il leur revienne une part d'influence dans les déformations du
pied
bot. Mais je ne puis me dispenser de signaler une
s cunéiformes, le scaphoïde et même le cuboïde. Ce mouvement donne au
pied
plus de voussure dans son milieu, augmente en ce
aire, en s'affaiblis-sant au-dessous du rhythme normal. Variétés du
pied
bot. — Je viens de vous exposer brièvement les mo
bot. — Je viens de vous exposer brièvement les mouvements normaux du
pied
, et l'influence qu'il faut attribuer à chaque mus
e le sens de ces mouvements va déterminer les principales variétés du
pied
bot. D'abord, aux huit mouvements du pied corre
s principales variétés du pied bot. D'abord, aux huit mouvements du
pied
correspondent huit déviations possibles, huit sor
ments du pied correspondent huit déviations possibles, huit sortes de
pieds
bots. Ce seront les déviations par extension, fle
iologique. Ainsi, dans la flexion, dans l'extension normales, tout le
pied
suit le mouvement de l'astragale et du calcanéum;
pourrait donc, comme on le voit, établir douze ou quinze variétés de
pieds
bots. Mais, pour plus de simplicité, je rattach
r le temps. Le premier groupe comprend tous les cas où la pointe du
pied
est tournée en dedans, c'est le varus; le deuxièm
ans, c'est le varus; le deuxième groupe, tous les cas où la pointe du
pied
est tournée en dehors, c'est le valgus. Varus a
Varus a désigné d'abord, chez les Romains, toutes les difformités des
pieds
qui rendaient boiteux ; plus tard, on réserva ce
, on réserva ce mot pour les difformités qui dirigeaient la pointe du
pied
en dedans, en l'opposant à valgus, qui se disait
dedans, en l'opposant à valgus, qui se disait de toute déviation des
pieds
en dehors. Celte phrase de Celse explique très-bi
mbre est plus long que l'autre, et il devient valgus ; car le bout du
pied
se tourne en dehors. Quand la luxation est en deh
luxation est en dehors, le membre se raccourcit et devient varus ; le
pied
s'incline en dedans. » Ces expressions varus, v
aussi bien des courbures des jambes, qui rapprochent ou écartent les
pieds
, que des pieds bots eux-mêmes. C'est dans ce sens
courbures des jambes, qui rapprochent ou écartent les pieds, que des
pieds
bots eux-mêmes. C'est dans ce sens que Luci-lius
xx. Ed. Fouquier, Paris, 1823, p. 403. n'applique aujourd'hui qu'au
pied
bot les noms de varus et de valgus. Dans le tro
ied bot les noms de varus et de valgus. Dans le troisième groupe de
pieds
bots, le pied, dans l'extension forcée, ne touche
s de varus et de valgus. Dans le troisième groupe de pieds bots, le
pied
, dans l'extension forcée, ne touche le sol que pa
r les orteils ou l'extrémité des métatarsiens : c'est le pes equinus,
pied
équin. Dans le quatrième groupe , le pied est d
s : c'est le pes equinus, pied équin. Dans le quatrième groupe , le
pied
est dans la flexion forcée; il touche le sol seul
le sol seulement par le talon : c'est le talus. Cette division des
pieds
bots en quatre classes se prête parfaitement d'ai
t, si elles sont d'égale valeur. g Ier. — Histoire pathologique des
pieds
bots. Elle comprend deux périodes : 1° la pério
ante ; 2° la période de déviation confirmée. I. Première période du
pied
bot. — Elle peut être considérée dans le pied bot
I. Première période du pied bot. — Elle peut être considérée dans le
pied
bot accidentel, acquis, et dans le pied bot natif
peut être considérée dans le pied bot accidentel, acquis, et dans le
pied
bot natif ou congénial. A. Première période du
uis, et dans le pied bot natif ou congénial. A. Première période du
pied
bot accidentel. — Nous assistons en quelque sorte
d bot accidentel. — Nous assistons en quelque sorte à la formation du
pied
bot, quand il se développe après la naissance. So
les os, les ligaments, les muscles, dans les tissus morbides. 1° Le
pied
bot accidentel, de cause purement osseuse, est ra
le ; le rapprochement des os restés intacts incline nécessairement le
pied
du côté malade ; les muscles ne se rétractent que
chroniques, dans le rhumatisme, la goutte, et dévier le squelette du
pied
en rapprochant leurs deux attaches. Mais on obser
n observe plus souvent l'allongement, le relâchement des ligaments du
pied
; il coïncide ordinairement avec la faiblesse des
toutes les parties du squelette. Vous jugerez des difformités que le
pied
peut contracter sous l'influence de cette cause p
cause par le bel exemple de talus que je place sous vos yeux. h° Le
pied
bot primitivement musculaire est de beaucoup le p
pied bot primitivement musculaire est de beaucoup le plus commun. Ce
pied
bot, de même que le strabisme, n'est qu'un fait p
ur principe dans le système osseux lui-même. Quoi qu'il en soit, le
pied
, plus peut-être que toute autre partie du corps,
le traitement des fractures de jambe ; si l'on a laissé la pointe du
pied
s'abaisser et les extenseurs se raccourcir par l'
tenseurs se raccourcir par l'effet de cette attitude , il se forme un
pied
équin. L'usage des béquilles trop élevées a que
e, en obligeant les malades à s'appuyer constamment sur la pointe des
pieds
. Camper (1) assure que, quand les dames de son
hitiques. Un effort de la volonté, qui incline pendant longtemps le
pied
dans la même direction, peut finir par rompre l'é
tion, peut finir par rompre l'équilibre musculaire et par produire un
pied
bot. C'est ce qui arrive dans certaines claudicat
ications ; les sujets prennent l'habitude de marcher sur la pointe du
pied
, la flexion devient très-bornée, un pied équin se
de marcher sur la pointe du pied, la flexion devient très-bornée, un
pied
équin se développe. Bruckner (2) a vu deux varu
ux varus causés par des ulcérations superficielles au côté interne du
pied
, par suite de l'effort continuel des malades pour
ssante, de certains muscles dans beaucoup de maladies douloureuses du
pied
ou de la jambe, produit des effets analogues. C'e
u mollet, l'action involontaire du triceps sural détermine souvent le
pied
équin. Mais la source la plus fréquente de ce g
quin. Mais la source la plus fréquente de ce genre de déviation des
pieds
réside dans les affections des muscles eux-mêmes,
s, 1781, p. 28. (2) Ueber, etc., ou Des causes et du traitement des
pieds
bots, p. 51, Gotha, 1796. ture des extrémités,
796. ture des extrémités, qui se présente sous la forme aiguë ; les
pieds
sont portés dans une telle adduction qu'on croira
es pieds sont portés dans une telle adduction qu'on croirait voir des
pieds
bots varus. Quand les enfants guérissent, il ne r
tures peuvent se présenter à l'état chronique et amener de véritables
pieds
bots. Mais c'est surtout la paralysie qui est l
tout la paralysie qui est la cause la plus fréquente de déviation des
pieds
, et c'est surtout par les paralysies qu'elles lai
brales et les convulsions-de l'enfance sont une cause si fréquente de
pied
bot. La marche de la maladie est, dans ce cas, pr
ressive. M. Broca(l) a montré plusieurs exemples très-intéressants de
pieds
bots provenant de cette cause. Quelle que soit
de pieds bots provenant de cette cause. Quelle que soit la cause du
pied
bot accidentel, son mode de formation est toujour
se prononce davantage ; le? muscles cèdent encore, on peut ramener le
pied
à sa position naturelle , mais il faut déjà une f
éjà une force étrangère ; enfin le raccourcissement est permanent, le
pied
ne peut plus être ramené immédiatement dans sa po
dans sa position naturelle, malgré la force qu'on emploie ; c'est le
pied
bot confirmé. Je vais faire passer sous vos yeu
mal vertébral ou d'autres lésions , et qui offrent divers exemples de
pieds
équins en voie de formation. Ier et IIe cas. —
al coïncidant avec une paralysie du jambier antérieur. La position du
pied
est celle de (1) Bulletin de la Société anatomi
de l'extenseur du gros orteil, lorsqu'ils font effort pour fléchir le
pied
. Dans les cas de ce genre, ce muscle tend, en eff
ortement en arrière chaque fois que l'on dit à l'enfant de fléchir le
pied
, quoiqu'elle ne parvienne pas à exécuter ce mouve
t ; on arrive avec peine à dépasser l'angle droit ; il y aura bientôt
pied
bot équin si la cause pathologique persiste ; la
ns la moelle, sans affection vertébrale; chez l'autre, la tendance au
pied
équin ne résulte que de l'effort volontaire pour
ne résulte que de l'effort volontaire pour soulever sur la pointe du
pied
le membre raccourci. A côté des pieds bots prop
pour soulever sur la pointe du pied le membre raccourci. A côté des
pieds
bots proprement dits se trouvent certaines anomal
ts proprement dits se trouvent certaines anomalies de conformation du
pied
qui ne gênent point la locomotion, et qu'on peut
e période. C'est à ce titre que je les décris ici. Je veux parler des
pieds
plats et des pieds creux. Pied plat. — Dans le
ce titre que je les décris ici. Je veux parler des pieds plats et des
pieds
creux. Pied plat. — Dans le pied plat, la vouss
les décris ici. Je veux parler des pieds plats et des pieds creux.
Pied
plat. — Dans le pied plat, la voussure tarso-méta
eux parler des pieds plats et des pieds creux. Pied plat. — Dans le
pied
plat, la voussure tarso-métatarsienne est aplatie
outre, on bouvier. 12 trouve souvent un changement de direction du
pied
. Le calcanéum est tourné en dehors, entraînant da
uvez voir cette disposition sur le squelette que je vous présente. Ce
pied
a été recueilli à Rennes, et envoyé à la Société
chirurgie par M. Lacour (1). Avec quelques personnes, on peut appeler
pieds
larges les pieds plats de la première espèce, aûn
Lacour (1). Avec quelques personnes, on peut appeler pieds larges les
pieds
plats de la première espèce, aûn de les séparer n
er nettement de ceux qui ont un si grand rapport avec le valgus. Le
pied
plat est ordinairement congénital; quand il est a
duré longtemps, elle laisse des traces profondes dans le squelette du
pied
. Ainsi, sur ce pied de M. Lacour, qui appartenait
laisse des traces profondes dans le squelette du pied. Ainsi, sur ce
pied
de M. Lacour, qui appartenait à un sujet âgé, la
l'articulation astragalo-scaphoïdienne. L'anomalie qui constitue le
pied
plat n'a point d'inconvénient sensible pour la ma
'a point d'inconvénient sensible pour la marche, quand ce n'est qu'un
pied
large, ou quand l'abduction n'est pas trop pronon
ement parfois un peu moins de facilité à se soulever sur la pointe du
pied
, et l'on observe que, dans cette attitude, le pie
r sur la pointe du pied, et l'on observe que, dans cette attitude, le
pied
porte très-peu du côté interne, vis-à-vis la sail
éronier agit avec moins de force que dans la conformation normale. Le
pied
plat nuit aux fonctions du membre lorsqu'il est t
un véritable valgus. Il importe de distinguer dans la pratique les
pieds
plats qui tendent à s'accroître, au point de deve
sept enfants, trois filles et quatre garçons, offrant des exemples de
pieds
plats à différents degrés, qui la plupart paraiss
art paraissent être congénitaux. Ier cas. — Chez l'un, pourtant, le
pied
plat est évidemment l'effet d'une paraplégie inco
cas de cette espèce, tend par lui-même à abaisser le bord interne du
pied
et à renverser la plante légèrement en dehors.
énérale sans paralysie. Chez presque tous ces enfants, la pointe du
pied
est plus ou moins portée en dehors ; la saillie d
alléole interne est plus saillante que l'externe ; le bord interne du
pied
est plus ou moins rapproché du sol. IIIe et IVe
rs peuvent fournir une course de plusieurs lieues sans douleur. (1)
Pied
creux. — Il y a deux sortes de pied creux : dans
sieurs lieues sans douleur. (1) Pied creux. — Il y a deux sortes de
pied
creux : dans l'une, la concavité plantaire est au
ement seule, mais le plus souvent avec d'autres vices de direction du
pied
. L'autre forme du pied creux s'éloigne moins de
souvent avec d'autres vices de direction du pied. L'autre forme du
pied
creux s'éloigne moins de la conformation naturell
u mi- (1) Deuxième leçon, 30 mai 1856. 12. lieu de la plante du
pied
, une exagération de la saillie sous-métatarsienne
du pied, une exagération de la saillie sous-métatarsienne; le dos du
pied
est plus bombé, son extrémité antérieure plus rap
erse, s'abaisse en avant avec le métatarse pour replacer la pointe du
pied
sur la même ligne que le talon. A ce degré, les m
sur la même ligne que le talon. A ce degré, les mouvements normaux du
pied
sont peu modifiés ; l'adduction est parfois un pe
ment de l'avant-pied, le talon s'élevant moins qu'à l'ordinaire. Le
pied
creux dispose au talus, peut-être même au varus.
dispose au talus, peut-être même au varus. Beaucoup plus rare que le
pied
plat, il est, comme ce dernier, congenial ou acqu
ore peu étudié les causes qui le produisent. B. Première période du
pied
bot congénital. — La période de formation du pied
Première période du pied bot congénital. — La période de formation du
pied
bot congénital s'accomplit dans l'utérus; elle éc
plus tard, la contraction inégale des muscles détermine peu à peu des
pieds
bots suivant le mécanisme que vous connaissez mai
res enfants naissent aussi avec un spina bifida, mais ils portent des
pieds
bots en venant au monde. N 'est-il pas à peu près
On peut faire le même raisonnement toutes les fois que l'enfant né
pied
bot porte en outre des marques d'une lésion nerve
ui produisent cette difformité après la naissance. C'est ainsi que le
pied
bot paralytique, lorsqu'il est congénital, doit ê
s ces derniers temps, des exemples remarquables de ce fait. Mais le
pied
bot peut se montrer, à la naissance, sans traces
roduits par cette affection étaient la cause du plus grand nombre des
pieds
bots natifs, comme ils sont la cause d'un certain
des pieds bots natifs, comme ils sont la cause d'un certain nombre de
pieds
bots acquis(1). Cette idée, développée à l'étrang
l'équilibre musculaire et l'inclinaison du tarse qui constituent les
pieds
bots. Hippocrate expliquait la formation des pi
constituent les pieds bots. Hippocrate expliquait la formation des
pieds
bots natifs par la pression de l'utérus sur le fœ
es contractions musculaires irrégulières , et par suite la torsion du
pied
. Cela semble indiqué par des cas de déviations av
vec planches, t. Ier, lre livraison. (4) Mémoire sur l'èliologie du
pied
bot. Paris, 1839, et Bulletin de VAcadémie de méd
à la vérité, des sillons semblables. Enfin, on a signalé des cas de
pieds
bots natifs déterminés par l'absence congéniale d
minés par l'absence congéniale de certains os, de certains muscles du
pied
. Palletta parle de deux talus produits par l'abse
e et des os cunéiformes a été la cause primitive de l'inclinaison des
pieds
. Ce sont là, j'en conviens, des cas rares, encore
omalies transmises dans les familles de génération en génération. Les
pieds
bots sont une de ces anomalies. On voit des enfan
ennent de leurs parents. Cela ne veut pas dire que les pères et mères
pieds
bots engendrent nécessairement des enfants pieds
e les pères et mères pieds bots engendrent nécessairement des enfants
pieds
bots ; et il ne faudrait pas raisonner ici comme
audrait pas raisonner ici comme ce vannier cité par Bruckner, et qui,
pied
bot lui-même, et déjà père de trois enfants pieds
ar Bruckner, et qui, pied bot lui-même, et déjà père de trois enfants
pieds
bots, accusa sa femme d'infidélité parce qu'il lu
et d'une prédisposition héréditaire; il est plus vraisemblable que le
pied
bot héréditaire résulte simplement d'un mode de d
pied bot héréditaire résulte simplement d'un mode de développement du
pied
qui répète, chez l'enfant, la disposition des org
penser que, dans certains cas, sans hérédité, il peut se produire des
pieds
bots (1) Loc. cit.y p. 49, spontanément par l
e. En résumé, il y a pour moi deux modes principaux de formation du
pied
bot congénital. D'une part, il peut être la suite
tion. Au point de vue clinique, on peut s'éclairer sur l'origine du
pied
bot natif, non-seulement par l'examen du membre e
sions, on peut présumer, en l'absence d'une cause héréditaire, que le
pied
bot a été produit par une affection convulsive in
tures, on ne peut rien affirmer de positif. II. Deuxième période du
pied
bot. — Vous savez que nous avons rattaché les pie
euxième période du pied bot. — Vous savez que nous avons rattaché les
pieds
bots à quatre groupes ; commençons par les varus.
er et l'extenseur des orteils participent aussi à cet allongement. Le
pied
est dans une forte adduction ; son bord externe e
talon; mais celui-ci n'est pas plus élevé qu'a l'ordinaire. Le dos du
pied
, incliné en dehors, présente une saillie osseuse
'externe devient plus saillante. Les ligaments dorsaux et externes du
pied
sont allongés, ceux de son bord interne et de sa
e les conditions d'équilibre du corps sur sa base de sustentation. Le
pied
portant sur le sol principalement par son bord ex
ction exagérée, associée à une légère extension, jusqu'au point où le
pied
est replié sur le côté interne de la jambe, il y
rincipaux. Dans le premier, l'avant-pied forme avec l'axe normal du
pied
un angle obtus. Dans le deuxième, l'axe de l'av
xes forment un angle plus petit que l'angle droit. Le renversement du
pied
est si considérable que son dos repose sur le sol
de la rangée postérieure du tarse abaisse non-seulement la pointe du
pied
, mais aussi son bord externe, déjà entraîné en ba
externe, déjà entraîné en bas par le mouvement d'adduction. Le dos du
pied
est tourné en avant en même temps qu'en dehors, e
me degrés. — Le deuxième degré, auquel je réunis le troisième, est le
pied
bot varus par excellence ; aussi y insisterai-je
sa rotation de dehors en dedans, sont portées à un tel point, que le
pied
est à la lettre plié en deux. L'astragale et le c
s un plan assez exactement antéro-posté-rieur, tandis que le reste du
pied
a son axe dans un plan transversal , et fait avec
nne un angle à peu près droit. Cette déformation si considérable du
pied
provient des désordres de l'articulation médio-ta
n dedans ; son tubercule, ordinairement saillant au bord interne du
pied
, s'enfonce et disparaît au-dessous de la malléole
duit sur le vivant par la sailiie de la tête de l'astragale au dos du
pied
, par celle de l'extrémité antérieure du calcanéum
u calcanéum vers son bord externe. On retrouve sur ce bord externe du
pied
les deux côtés de l'angle, perpendiculaires l'un
nte au bord externe est comblé par les parties molles de la plante du
pied
, et il en résulte une surface triangulaire empiét
des articulations tarsiennes, elles ne constitueraient pas encore le
pied
bot complet, s'il ne venait s'y ajouter l'extensi
pas été suffisamment compris. Quand l'extension vient à agir sur un
pied
ainsi déformé, voici ce qui arrive : l'avant-pied
ve en arrière; il en résulte une forte inclinaison en avant du dos du
pied
, et la plante regarde en arrière. Si l'extensio
l'extension est très-considérable, comme dans le troisième degré, le
pied
se tourne sens dessus dessous ; sa plante regarde
dorsale repose sur le sol. C'est la réunion de l'adduction forcée du
pied
avec cette extension plus ou moins étendue, qui p
plus ou moins étendue, qui produit ce qu'on appelle Y enroulement du
pied
. Le mouvement de la poulie astragalienne sur la m
uver en rapport avec le calcanéum. Il résulte de cette extension du
pied
, s'ajoutant au varus direct, que le talon ne port
de du bord externe de la face plantaire et même de la face dorsale du
pied
. Il répond au cuboïde et à l'extrémité postérieur
muscles propres, s'incliner en dedans, augmenter ainsi la courbure du
pied
, en la rendant plus générale, et rapprocher encor
nterne de la jambe, comme on le voit surtout chez les nouveau-nés. Le
pied
peut perdre alors complètement ta forme allongée,
ulaire, comme vous en avez un exemple sous les yeux. C'est là le vrai
pied
bot dans le sens primitif du mot, le pied rond, t
les yeux. C'est là le vrai pied bot dans le sens primitif du mot, le
pied
rond, tronqué, obtus. Enfin, il y a aussi des dév
passent les uns sur les autres. Voici plusieurs enfants porteurs de
pieds
bols, sur lesquels nous allons examiner les diffé
ue je viens de vous exposer. Ier cas. — Cette petite fille porte un
pied
bot congénial ; sa mère nous dit qu'elle s'est be
s depuis sa naissance ; elle est forte et intelligente. Elle avait un
pied
bot du deuxième degré il y a trois ans; la sectio
a section du tendon d'Achille , faite à celte époque, a transformé ce
pied
bot en varus du premier degré. Le pied forme un a
celte époque, a transformé ce pied bot en varus du premier degré. Le
pied
forme un angle obtus avec la jambe ; le talon por
mparés aux muscles de l'autre jambe. La mère nous dit que la jambe du
pied
bot est plus courte que l'autre. Les abducteurs c
tension sont presque abolies, bien qu'il n'y ait pas de paralysie. Le
pied
est court, ramassé. Dans ce cas, nous ne trouvons
servée, ainsi que l'a constaté M. Duchenne. De l'autre côté existe un
pied
plat pathologique. IIP cas. — Sur cet autre gar
lacer au-dessous l'épaisseur de deux doigts ; c'est presque un simple
pied
équin. Il a été primitivement varus, car l'enfant
ent varus, car l'enfant marchait d'abord sur le bord externe. L'autre
pied
était dans le même état, mais il a guéri seul, et
fine et douce. IVe cas. — Voici une petite fille qui vous offre le
pied
bot clas- sique, presque le deuxième degré. Il
d, et grande élévation du talon. Ve cas. — Chez ce garçon, c'est un
pied
bot double du premier degré. Cet enfant a subi de
a deuxième, on a coupé deux tendons. Il reste encore, malgré cela, un
pied
bot du premier degré. VIe cas. — Cette jeune fi
er degré. VIe cas. — Cette jeune fille, qui est très-nerveuse, a un
pied
bot double et congénital. Cette enfant, opérée de
le talon porte bien. VIP cas. — Enfin, voici un garçon affligé d'un
pied
bot héréditaire double, du deuxième degré au moin
ditaire double, du deuxième degré au moins. La mère a aussi un double
pied
bot. L'enfant appuie sur le bord externe de chaqu
ssi un double pied bot. L'enfant appuie sur le bord externe de chaque
pied
; le talon est relevé. Dès les premières semaines
vé. Dès les premières semaines, un chirurgien chercha à redresser ces
pieds
à l'aide d'attelles de bois; ce traitement, conti
s changements dans la déviation et l'a presque convertie en un simple
pied
équin. (1) Nous allons commencer cette séance p
n certain nombre de femmes d'un âge adulte, et qui ont la plupart des
pieds
bots varus à divers degrés. Chez presque toutes,
tions résultent de convulsions survenues dès le bas âge ; ce sont des
pieds
bots acquis. Ier cas. — Madame Elard, quarante-
e des paralysies et des contractures des muscles de l'avant-bras. Les
pieds
sont devenus courbes ; quand ils portent sur le s
ux-mêmes; la première phalange s'est renversée sur la face dorsale du
pied
; la seconde et la troisième sont repliées sur la
seux. Il y a chez celte femme une légère disposition au varus et au
pied
creux. C'est un exemple de pied bot produit par u
une légère disposition au varus et au pied creux. C'est un exemple de
pied
bot produit par une maladie articulaire; mais le
on. IIe cas. — Madame Meuriot, quarante-neuf ans, est un exemple de
pied
bot équin varus à droite, survenu à la suite de c
e, l'élévation considérable du talon et l'abaissement de la pointe du
pied
, qu'il est presque impossible de relever. Les sai
ssible de relever. Les saillies osseuses sont bien marquées au dos du
pied
. Les mouvements ne sont conservés que dans les de
uit ans, a eu des convulsions à l'âge de dix huit mois. Elle porte un
pied
bot varus droit et une main bot du même côté. Vou
sur l'avant-bras; en cachant pour un moment les doigts, on dirait un
pied
bot valgus. Les mouvements sont complètement abol
sur les muscles qui ont agi avec excès, qui se sont contractures. Le
pied
n'a conservé, lui aussi, aucun mouvement. Le gros
e callosité. IVe cas. — Madame Doidan, cinquante-sept ans, porte un
pied
bot équin gauche et une main bot du même côté. Ce
qui est une main bot valgus, a conservé quelques mouvements; mais, au
pied
, ils sont abolis ; il y a une demi-ankylose des a
ations tarso-mé-tatarsiennes, et la marche s'exécute sur la pointe du
pied
; on voit une large callosité sur la saillie sous
faite que chez les précédentes, en raison de l'inclinaison directe du
pied
, de la largeur et de la fixité de la base de sust
ale. Ve cas. — Madame Moysant, soixante-huit ans, est atteinte d'un
pied
bot varus équin, suite d'une fièvre aiguë avec dé
a persisté et a produit le varus ordinaire. Cependant l'aspect de ce
pied
suffit pour affirmer que ce n'est pas un varus co
tragale et du calcanéum est moindre que dans cette dernière espèce de
pied
bot. L'extrémité du cinquième métatarsien offre u
ulement elle est très-pénible en raison de la sensibilité générale du
pied
et de la faiblesse extrême des muscles : aussi ne
adame Lefèvre, cinquante-sept ans. Chez cette femme, nous trouvons un
pied
bot varus droit, avec une atrophie du membre supé
mouvement est revenu en partie dans le membre supérieur, tandis qu'au
pied
la paralysie est complète ; il y a un varus légèr
st complète ; il y a un varus légèrement équin et un certain degré de
pied
creux. Vous voyez que le bord externe est forteme
ucoup moindre dans les antérieures. Il n'y a pas de callosités sur ce
pied
, parce que cette femme ne marche pas. Étude des
ce que cette femme ne marche pas. Étude des éléments anatomiques du
pied
bot. — Jusqu'ici, en poursuivant l'étude du pied
ments anatomiques du pied bot. — Jusqu'ici, en poursuivant l'étude du
pied
bot varus, nous n'avons envisagé le pied que clan
i, en poursuivant l'étude du pied bot varus, nous n'avons envisagé le
pied
que clans son ensemble. Mais, pour avoir une idée
Déformation des os. — L'astragale est assurément, de tous les os du
pied
, celui qui subit le plus de déformation dans le v
nce. Voici des dessins représentant les os du tarse de quatre enfants
pieds
bots, morts peu après la naissance ; vous serez f
s, qui offrent une disposition différente. Elles proviennent des deux
pieds
d'un sujet âgé. La tête de l'astragale, au lieu d
on exceptionnelle de l'astragale : je vous ai dit que la déviation du
pied
en dedans se produit dans les articulations médi
é en dedans, augmente encore la déviation du calcanéum. L'un des deux
pieds
que je viens de mettre sous vos yeux en est un ex
tion tibio-astraga-lienne est ordinairement étrangère au mouvement du
pied
en dedans; quelquefois, pourtant, elle concourt à
pour produire un varus. Blandin a observé un fait de ce genre sur un
pied
d'enfant. On voit donc qu'il peut y avoir une t
t. On voit donc qu'il peut y avoir une triple cause de déviation du
pied
en dedans. Le calcanéum, quoique moins déformé
résultant d'un effort qui porte sur sa tubérosité. Vous voyez, sur ce
pied
, que le p!us grand diamètre de la tubérosiié calc
dans le varus congénial, parce que les os résistent davantage, si le
pied
bot ne se produit qu'après leur entière ossificat
État des ligaments. — Après les changements éprouvés par les os du
pied
, nous arrivons à ceux qui portent sur leurs liens
ts. 13. D'autres altérations viennent encore gêner la mobilité du
pied
. Il se développe autour des articulations des vég
État des muscles. — Les altérations qu'offrent les muscles dans le
pied
bot portent sur leur longueur, sur leur direction
s ce rapport qu'une nuance entre la fin de la période de formation du
pied
bot accidentel, et les premiers instants du pied
iode de formation du pied bot accidentel, et les premiers instants du
pied
bot confirmé. Le raccourcissement permanent est d
é. Le raccourcissement permanent est d'abord peu prononcé. Certains
pieds
bots congénitaux eux-mêmes sont sur la limite des
oublier qu'il y a deux sortes.de raccourcissement musculaire dans le
pied
bot. On a longtemps discuté pour savoir si la r
tion musculaire existait avant ou après l'inclinaison osseuse dans le
pied
bot. Les uns ont soutenu , d'après Duverney (1),
leurs attaches, qu'il était par conséquent consécutif à la torsion du
pied
. Mais il faut s'expliquer sur ce qu'on entend p
es des os, tome II, c. 3. (2) Mémoire sur la torsion congéniale des
pieds
des enfants, dans Mémoires de chirurgie pratique,
s muscles et de leurs tendons, quand on fait effort pour redresser le
pied
. Mais une force étrangère peut vaincre instantané
les instants; elle persiste seule sur le cadavre, ce qui fait que le
pied
bot y est moins prononcé que sur le vivant. La
dgré; la première est presque toujours supérieure à l'autre. Plus le
pied
bot est ancien, moins cette différence est pronon
es articulations sont plus profondément lésées. C'est surtout dans le
pied
bot congénial que la rétraction des ligaments est
plus marquée par rapport à celle des muscles. Au contraire, certains
pieds
bols paralytiques ne présentent presque que la ré
outes ces variétés pour les effets de la ténotomie. L'ancienneté du
pied
bot, outre qu'elle augmente l'étendue de la rétra
effet du rapprochement de leurs attaches. Les muscles de la plante du
pied
, par exemple, ainsi que l'aponévrose plantaire, a
dans l'état normal, et qu'il tend à augmenter encore la déviation du
pied
en dedans et le renversement du ta'on dans ce sen
on normale d'adduction; il tend plutôt alors à diminuer la torsion du
pied
en dedans. Enfin le long extenseur des orteils,
on du pied en dedans. Enfin le long extenseur des orteils, quand le
pied
se porte en dedans, décrit, par ^n tendon, une co
devient adducteur. Vous avez vu ce muscle relever le bord interne du
pied
sur une jeune malade de M. Du-chenne ; j'avais mo
semblables altérations, les fonctions locomotrices. Si des sujets nés
pieds
bots marchent avec aisance, même dans l'âge adult
s, 1855. pag,711, 837, On a dit aussi que certains muscles, dans Je
pied
bot, devenaient fibreux. Je n'en connais pas d'ex
membre. — L'atrophie, l'arrêt de développement qui atteint un membre
pied
bot, porte sur toutes les parties de ce membre, o
ent et deviennent graisseux. Complications du varus. — On trouve le
pied
bot associé à d'autres difformités. Celles-ci peu
-ci peuvent êtie sa cause, comme le spina-bifida, l'absence des os du
pied
ou de la jambe; ou bien un autre effet d'une même
un autre effet d'une même cause, comme la main bot, produite avec le
pied
bot par une affection cérébrale hémiplégique. D'a
e simultanée du bec de lièvre ou d'une iniperforation du rectum et du
pied
bot. Ce qu'on peut dire alors, c'est que, par une
ar une loi générale, les imperfections tendent à s'associer; aussi le
pied
bot est-il très-commun dans les monstres, même sa
uit quelquefois par un traitement incomplet du varus ordinaire, si le
pied
vient à être ramené dans la flexion, tout en rest
: le talon est abaissé comme dans le talus; la pointe et la plante du
pied
sont portées en dedans, le bord externe est abais
ans le varus. d. Varus-vatgus. — Dans le varus-valgus, la pointe du
pied
est portée en dedans, le talon en dehors, le bord
n en dehors, le bord externe est convexe, le bord interne concave. Le
pied
décrit dans son ensemble la forme d'un S. C'est c
une enfant qui offre un exemple remarquable de ces coïncidences d'un
pied
bot avec des vices de conformation multiples, don
nue au monde avec un bec-de-lièvre et une gueule de loup; de plus, le
pied
droit est imparfait; les orteils ne sont pas déta
u'il manque un orteil. En outre, cette enfant offre du même côté un
pied
équin à peu près direct. Ce pied est paralysé, et
, cette enfant offre du même côté un pied équin à peu près direct. Ce
pied
est paralysé, et tout le membre est atrophié jusq
btus la flexion considérable de l'époque de la naissance. De plus, le
pied
, qui était tourné en dedans et probablement à l'é
urné en dedans et probablement à l'état de varus équin, est devenu un
pied
équin simple. (1) Orthomorphie, tome Pr, page 1
ulté jusqu'ici quelque amélioration. L'enfant marche sur la pointe du
pied
. Il ne s'est rien passé, durant la grossesse de
ces nombreuses difformités. B. Pied bot valgus (1). — Les valgus ou
pieds
bots externes sont bien moins fréquents quelesvar
ion, sous le nom de valgus commun; la troisième sera décrite dans les
pieds
équins. Valgus commun. — De même que le varus s
— De même que le varus se complique habituellement de l'extension du
pied
sur la jambe, le valgus tend généralement à s'ass
ments physiologiques. Les agents musculaires de cette déviation des
pieds
en dehors sont les antagonistes de ceux qui produ
spondent à ces deux ordres de muscles affectés; el'où la division des
pieds
bots, (1) Cinquième leçon, 20 juin 1856 propo
(1) Cinquième leçon, 20 juin 1856 proposée par RI. Bonnet (1), en
pied
bot poplité interne et pied bot popliié externe,
in 1856 proposée par RI. Bonnet (1), en pied bot poplité interne et
pied
bot popliié externe, division qui serait bonne s'
is trois degrés principaux dans le valgus commun. Dans le premier, le
pied
forme avec son axe normal un angle très-obtus; le
ord interne porte sur le sol dans toute sa longueur; c'est presque le
pied
plat de la deuxième espèce. Vous en voyez des exe
pièces sèches et sur ces moules. Le renversement qui se voit dans le
pied
plat est ici exag'ré; les saillies de la malléole
travaillent debout; elle finit par amener un état très-douloureux du
pied
par la distension des ligaments dans un sens, et
retourné. L'angle est encore obtus dans le deuxième degré; le bout du
pied
commence à se détacher du sol, et le bord interne
a région tarsienne. Examinons le déplacement qu'éprouvent les os du
pied
dans le valgus. L'astragale est à peine modifié
En même temps il éprouve une rotation qui incline la face dorsale du
pied
en dedans. Le cuboïde éprouve aussi une subluxa
ation du calcanéum , du scaphoïde et du cuboïde, qui produit celle du
pied
tout entier. La conséquence de ces déplacements
de la locomotion varie d'ailleurs suivant le degré de renversement du
pied
. Quand ce renversement est considérable, le sujet
Les muscles abducteurs et fléchisseurs ont une tendance à aplatir le
pied
en l'élargissant. Cependant j'ai vu le contraire.
Je vous ai parlé de l'absence congeniale de quelques os dans certains
pieds
bots; or une coïncidence remarquable s'observe su
certainement un rapport entre l'absence de ces os et la déviation du
pied
; on peut comprendre que les muscles du côté exter
trouvé la même résistance que ceux du côté interne, ont entraîné le
pied
dans leur sens. Tout ce que j'ai dit des déform
très-rare dans le valgus ; vous en voyez ici plusieurs exemples. C.
Pied
équin. — Les pieds équins sont les plus communs d
valgus ; vous en voyez ici plusieurs exemples. C. Pied équin. — Les
pieds
équins sont les plus communs des pieds bots accid
emples. C. Pied équin. — Les pieds équins sont les plus communs des
pieds
bots accidentels, et les plus rares des pieds bot
nt les plus communs des pieds bots accidentels, et les plus rares des
pieds
bots congénitaux. Je parle de l'équinisme pur ou
r fait, en avait conclu que le varus congénital n'était d'abord qu'un
pied
équin se compliquant plus tard de déviation en de
. Cette opinion ne repose sur aucune preuve. Une cause fréquente du
pied
équin accidentel est la formation d'abcès, d'ulcè
duisant la rétraction du triceps sural. Les principales variétés du
pied
équin sont : 1° le pied équin direct; 2° le pied
triceps sural. Les principales variétés du pied équin sont : 1° le
pied
équin direct; 2° le pied équin varus; 3° le pied
ncipales variétés du pied équin sont : 1° le pied équin direct; 2° le
pied
équin varus; 3° le pied équin valgus, que je réun
d équin sont : 1° le pied équin direct; 2° le pied équin varus; 3° le
pied
équin valgus, que je réunis au valgus équin. Su
valgus équin. Suivant la forme et la direction de l'avant-pied, le
pied
équin est encore dorsal ou plantaire, plat ou cre
ed, le pied équin est encore dorsal ou plantaire, plat ou creux. a.
Pieds
équins en général; — pied équin direct. — Le cara
e dorsal ou plantaire, plat ou creux. a. Pieds équins en général; —
pied
équin direct. — Le caractère général des pieds éq
ds équins en général; — pied équin direct. — Le caractère général des
pieds
équins est l'extension de l'articulation tibio-as
inguerai trois principaux : 1° Dans un premier degré, la flexion du
pied
sur la jambe est seulement bornée; elle atteint l
le droit ou un angle très-voisin du droit, mais ne le dépasse pas. Le
pied
est d'ailleurs bien conformé; on ne s'aperçoit pa
mple, la jambe étant dans une direction verticale; toute la plante du
pied
pose sur le sol; le talon est à peine soulevé. Ma
soulevé ; les sujets atteints de cette déviation ne peuvent pos*r le
pied
à plat en gravissant un plan ascendant ; le tendo
ée est souvent même accompagnée de douleur. 2° Le deuxième degré du
pied
équin est caractérisé par le soulèvement continue
nt continuel du talon dans la station , par l'extension permanente du
pied
, qui forme avec la jambe un angle obtus. 3° Dan
Dans le troisième degré, cet angle est complètement effacé, l'axe du
pied
est dans la direction de l'axe de la jambe ; le t
plus souvent le calcanéum concourt de deux manières à l'extension du
pied
. D'une part, il s'abaisse avec l'astragale; le ta
n un mot il participe moins que l'astragale à l'extension exagérée du
pied
. Le,poids du corps tombant obliquement sur la par
oules. Le talon est élevé sur les uns en proportion de l'extension du
pied
, et non sur les autres, le calcanéum étant, sur l
upéro-postérieure répond en arrière aux os de la jambe. Le reste du
pied
ne présente quelquefois aucun signe de déformatio
e vous le voyez sur ce moule. Son aspect ne diffère pas de celui d'un
pied
normal qui serait constamment soulevé sur la poin
ils et sur les têtes des métatarsiens; c'est ce qu'on peut appeler le
pied
équin simple. Mais, pour peu que la rétraction
on soit ancienne, elle entraîne d'autres changements dans le reste du
pied
. L'articulation médio-tarsienne s'infléchit à l
aison de l'astragale; la tête as-tragalieune se trouve à nu au dos du
pied
; vous voyez la saillie qu'elle fait sur tous ces
u dos du pied; vous voyez la saillie qu'elle fait sur tous ces cas de
pieds
équins. Voici un moule où celte saillie est telle
a même manière sur le calcanéum. Il y a donc ordinairement, dans le
pied
équin, un angle médio-tarsien comme dans le varus
ragale; le côté rentrant, en exagérant la concavité de la plante du
pied
, lui donne l'aspect du pied creux. Aussi le pied
exagérant la concavité de la plante du pied, lui donne l'aspect du
pied
creux. Aussi le pied équin est-il habituellement
té de la plante du pied, lui donne l'aspect du pied creux. Aussi le
pied
équin est-il habituellement un pied creux. Le lon
l'aspect du pied creux. Aussi le pied équin est-il habituellement un
pied
creux. Le long péronier paraît êlre l'agent princ
dant son action jusqu'au métatarse, il en résulte que cette partie du
pied
participe aussi, quoique légèrement, à la courbur
lante, en arrière, succède l'exagération de sa convexité en avant. Le
pied
, vu de côté, offre alors la forme d'une S. C'est
et fortement appliqués au sol par les petits muscles de la plante du
pied
, agrandissent en avant celte base de sustentation
ces moules, étalés, aplatis, élargis par l'effet de la pression. Le
pied
prend ainsi une configuration particulière ; il e
que l'élévation du talon, qui l'a fait, dans l'origine, comparer à un
pied
de cheval. Pline le Naturaliste avait dit des hab
t dit des habitants de certaines îles qu'ils passaient pour avoir des
pieds
de cheval , ce qui les avait fait nommer hippopod
Pline, Andry, dans son Orthopédie, n'a entendu désigner par le nom de
pied
équin qu'une forme particulière du pieel. Il ne f
particulières des orteils peuvent se joindre à cette forme commune du
pied
équin. La plus fréquente est l'extension forcée d
parence de griffes, comme dans la déviation analogue des doigts. Le
pied
équin direct est plantaire, dans cette première d
est plantaire, dans cette première disposition des orteils, comme le
pied
équin simple. Comment est-il maintenu clans cel
ne, dans la première partie de son mémoire sur les muscles moteurs du
pied
. Le triceps sural fait porter le pied sur le côté
oire sur les muscles moteurs du pied. Le triceps sural fait porter le
pied
sur le côté externe de la saillie sous-métatarsie
toute la région métatarso-phalangienne est courbée vers la plante, le
pied
tout entier est roulé de haut en bas sur lui-même
il y a une concavité générale du talon à la pointe ; ce n'est plus le
pied
creux du long péronier, c'est le pied creux des f
à la pointe ; ce n'est plus le pied creux du long péronier, c'est le
pied
creux des fléchisseurs des orteils. On peut l'app
, c'est le pied creux des fléchisseurs des orteils. On peut l'appeler
pied
équin enroulé, ou encore pied équin dorsal, parce
hisseurs des orteils. On peut l'appeler pied équin enroulé, ou encore
pied
équin dorsal, parce que c'est le dos du pied, ver
équin enroulé, ou encore pied équin dorsal, parce que c'est le dos du
pied
, vers son extrémité, qui pose sur le sol. On l'a
son extrémité, qui pose sur le sol. On l'a appelé par la même raison
pied
èquin en dessous. Celte forme de pied équin dor
l'a appelé par la même raison pied èquin en dessous. Celte forme de
pied
équin dorsal est rarement directe, mais elle est
sur le sol, au point que les ongles en sont usés et raccourcis. i .
Pied
équin varus. — C'est un pied bot dans lequel, l'e
ongles en sont usés et raccourcis. i . Pied équin varus. — C'est un
pied
bot dans lequel, l'extension étant le caractère d
ot dans lequel, l'extension étant le caractère dominant, la pointe du
pied
et sa plante sont en outre plus ou moins déviées
urs des orteils. bouvier. 11 Ses caractères se composent de ceux du
pied
équin et du varus au premier degré. La base de su
plantaire, les orteils se trouvant refoulés et même luxés. Certains
pieds
bots sont à la fois équins varus et varus équins,
valgus postérieur. Ce plâtre représente un équiu varus, parce que le
pied
a été moulé dans la position horizontale. Quand l
ition horizontale. Quand le corps était dans la station verticale, le
pied
se pli.iit en deux entre les deux rangées du tars
se renversait encore davantage, comme dans le valgus, en sorte que ce
pied
bot est un véritable équin varus valgus. c. Le
en sorte que ce pied bot est un véritable équin varus valgus. c. Le
pied
équin valgus et le valgus équin, dont il me reste
de l'abduction. Le long péronier ne peut seul produire ces formes de
pieds
bots, parce que, seul, il ne peut pas soutenir le
r, nous allons examiner trois enfants atteints, les deux premiers, de
pieds
équins, le dernier de valgus. Ier cas.— Chez le
ncomplète à gauche, sans causes apparentes. C'est depuis lors que son
pied
a pris la forme d'un pied équin. Remarquez comme
auses apparentes. C'est depuis lors que son pied a pris la forme d'un
pied
équin. Remarquez comme le talon est élevé; cela f
cles du molltt ; mais que l'enfant essaye d'appuyer complètement le
pied
sur le sol, vous voyez disparaître aussitôt ce ra
sur le sol, vous voyez disparaître aussitôt ce raccourcissement ; le
pied
devient alors légèrement valgus et pied plat. C'e
itôt ce raccourcissement ; le pied devient alors légèrement valgus et
pied
plat. C'est donc un cas de rétraction légère acco
gère accompagnée d'une forte contraction anormale. Ainsi, sur le même
pied
, nous trouvons un pied équin à peu près direct, q
forte contraction anormale. Ainsi, sur le même pied, nous trouvons un
pied
équin à peu près direct, quand l'enfant marche; u
in ne conserve aujourd'hui qu'un peu de faiblesse musculaire; mais le
pied
offre un léger équinisme. Il est susceptible des
'emportent sur leurs extenseurs, et le membre s'étend avec peine. Aux
pieds
, nous trouvons des valgus légèrement éqi.ins. Mai
pieds, nous trouvons des valgus légèrement éqi.ins. Mais la plante du
pied
, chez cette enfant, a conservé sa concavité habit
é : saillie du côté interne de l'astragale, déviation de la pointe du
pied
en dehors, renversement de la plante, concavité d
us (1). — Jusqu'ici, je vous ai décrit trois groupes de déviations du
pied
, les déviations en dedans, en dehors et en bas.
et en bas. Nous allons étudier maintenant la déviation en haut, ou
pied
bot talus. C'est la plus rare des déviations de
n en haut, ou pied bot talus. C'est la plus rare des déviations des
pieds
. Cependant le valgus congénital est presque toujo
: 1° le talus direct, 2° le talus valgus ou talus commun, 3° le talus
pied
creux. a. Talus direct; — talus commun. — Le ta
nt que je connaisse; l'auteur dit formellement que le bord externe du
pied
n'était pas relevé; seulement, il a omis d'indiqu
urs degrés. 1° Premier degré. — Dans un premier degré, la pointe du
pied
ne peut pas s'abaisser au delà de l'angle droit,
e leçon, 27 juin 1856. (2) W. J. Little, On the, etc., ou Traité du
pied
bot. Londres, 1839, p. 263. (3) Mémoire sur le
., ou Traité du pied bot. Londres, 1839, p. 263. (3) Mémoire sur le
pied
bot. Paris, 1838. (4) Bulletin de l'Académie de
t. III, p. 231. mal. Le corps ne peut être soulevé sur la pointe du
pied
, et le talon pose bien plus que celle-ci dans la
se soulèvent et se tendent quand on s'efforce d'abaisser la pointe du
pied
; le tendon d'Achille est relâché et peu saillant.
Deuxième et troisième degrés. — Dans un deuxième degré, la flexion du
pied
sur la jambe produit un angle moindre que l'angle
nfin, dans le troisième degré, cet angle devient si aigu que l'axe du
pied
est bien près d'être parallèle à l'axe de la jamb
sement du triceps sural et d'une forte rétraction des fléchisseurs du
pied
. Il s'y joint un certain degré d'abduction dû à p
nent une direction oblique, approchant de la verticale, comme dans le
pied
équin, mais dans un sens opposé. Dans les cas anc
calcanéum sur l'astragale , comme on le voit sur cette pièce de talus
pied
creux. La facette postérieure du calcanéum est en
eux os forment un angle ouvert en arrière, comme dans certains cas de
pied
équin, quoique par une causi agissant dans un sen
la base de sustentation. De la le nom de calcanien qu'on a donné à ce
pied
bol (Scoutetten, Little). L'avanl-pied ne fait
en haut qui diminue l'angle médio-tarsien et la courbure naturelle du
pied
. Il peut môme se produire une faible convexité à
du pied. Il peut môme se produire une faible convexité à la plante du
pied
. C'est ce qui a eu lieu sur cette pièce de talus,
os sont primitivement moins altérés dans le talus que dans les autres
pieds
bots, et surtout que dans le varus. Voici un dess
les os du tarse d'un enfant de six semaines, qui portait un varus au
pied
droit, un talus au pied gauche; les os du talus n
fant de six semaines, qui portait un varus au pied droit, un talus au
pied
gauche; les os du talus ne diffèrent pas sensible
ine en arrière par une extrémité conique. De la flexion généra e du
pied
sur la jambe, de l'abduction légère qui s'y joint
int, dérivent les caractères extérieurs du talus commun. La pointe du
pied
est plus ou moins élevée au-dessus du sol, plus o
ès les premières semaines. Enfin, la direction, la forme des bords du
pied
sont déterminées par le degré de valgus qui compl
entation gêne beaucoup la locomotion, qui est mal assurée. b. Talus
pied
creux. — Le talus pied creux n'est qu'un demi-tal
la locomotion, qui est mal assurée. b. Talus pied creux. — Le talus
pied
creux n'est qu'un demi-talus ; c'esi-à-dire qu'en
l'astragale et du calcanéum, se replie en bas et ramène la pointe du
pied
sur le sol. De là l'exagération de la concavité p
du pied sur le sol. De là l'exagération de la concavité plantaire, le
pied
creux ajouté au talus. Je ne connais pas d'exem
le pied creux ajouté au talus. Je ne connais pas d'exemple de talus
pied
creux congénital; mais il pourrait s'en présenter
d creux congénital; mais il pourrait s'en présenter. Cette forme de
pied
bot s'est montrée jusqu'ici liée à la paralysie o
du triceps sural, et à la rétraction concomitante des fléchisseurs du
pied
et du long péronier ou des longs fléchisseurs des
ce muscle, accompagnée d'un spasme très-prononcé des fléchisseurs du
pied
. Dans le talus creux, au contraire, la paralysie
'emporter sur le triceps, d'une légère rétraction des fléchisseurs du
pied
, qui ne résistent alors que très faiblement aux f
ui ne résistent alors que très faiblement aux fléchisseurs de l'avant
pied
. Ces derniers muscles sont sollicités à agir pa
e squelette par M. le docteur Duchenne. Les mu cles de la plante du
pied
et l'aponévrose plantaire se raccourcissent consé
'aponévrose plantaire se raccourcissent consécutivement dans le talus
pied
creux. Je pense, avec M. Duchenne , que leur rétr
étraction n'est point primitive. Les caractères extérieurs du talus
pied
creux médio-tarsien, ou du long péronier, sont ce
g péronier, sont ceux du talus commun, dans la région du talon, et du
pied
creux, dans la région antérieure du pied. Cette d
ns la région du talon, et du pied creux, dans la région antérieure du
pied
. Cette dernière déformation est tout à fait sembl
eure du pied. Cette dernière déformation est tout à fait semblable au
pied
creux que l'on observe dans le pied équin commun.
tion est tout à fait semblable au pied creux que l'on observe dans le
pied
équin commun. L'identité est telle, dans les deux
ux cas, qu'on distingue à peine les squelettes de ces deux espèces de
pieds
bots, placés l'un à côté de l'autre; ils ne diffè
ère dont ils se joignent aux os de la jambe. Seulement, dans le talus
pied
creux entier, on remarque un pli profond à la pla
nte, et la saillie sous-métatarsienne est moins prononcée que dans le
pied
équin. L'exagération de la voussure tarsienne f
ion de la voussure tarsienne finit par déformer les os, comme dans le
pied
équin. On voit, sur cette pièce, le scaphoïde et
rme de coin , comme les pièces d'une voûte. L'autre espèce de talus
pied
creux, celui des fléchisseurs des orteils, présen
léchisseurs des orteils, présente, comme la variété correspondante de
pied
équin, une concavité plantaire moins prononcée et
une courbure uniforme de la face dorsale. De plus, le bord interne du
pied
est un peu relevé comme dans un léger varns, parc
les longs fléchisseurs des orteils sont en même temps adducteurs. Le
pied
creux du long péronier présente une disposition c
ent déviés dans le talus. Us offrent la forme de griffe dans le talus
pied
creux, quand les muscles inierosseux sont paralys
inierosseux sont paralysés. Us sont dioits ou relevés vers le dos du
pied
, lorsque ces muscles sont sains. La sustentatio
muscles sont sains. La sustentation est plus assurée dans le talus
pied
creux que dans les autres formes de pied bot. Les
t plus assurée dans le talus pied creux que dans les autres formes de
pied
bot. Les fonctions du membre sont cependant plus
alysie du triceps sural. Je n'ai distingué que deux sortes de talus
pied
creux, suivant que la courbure exagérée du pied e
deux sortes de talus pied creux, suivant que la courbure exagérée du
pied
est produite par le long péronier ou les longs fl
les Dois muscles sont associés. C'est ce qu'on peut appeler le talus
pied
creux direct. Voici un jeune garçon qui vous mo
eils agit fortement, ainsi que le long péronier; il en résulte que le
pied
n'est ni relevé ni abaissé à son bord interne, co
raction isolée de chacun de ces muscles. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DU
PIED
BOT. — Il semble tout d'abord que le diagnostic
RENTIEL DU PIED BOT. — Il semble tout d'abord que le diagnostic des
pieds
bots ne peut présenter aucune difficulté; c'est u
er en pareil cas, et le diagnostic différentiel de ces déviations des
pieds
mérite que nous nous y arrêtions quelques instant
s. La déviation peut être simulée; on a vu des conscrits feindre le
pied
bot, et la vue ne suffit pas pour déjouer cette m
é dans une famille pour une jeune fille qui marchait sur la pointe du
pied
; je crus avoir affaire à un pied équin, mais un d
fille qui marchait sur la pointe du pied; je crus avoir affaire à un
pied
équin, mais un de mes maîtres que j'avais appelé
marche de ces affections, qu'on distinguera leur effet local du vrai
pied
bot. Même quand le mal est borné au pied, et qu
a leur effet local du vrai pied bot. Même quand le mal est borné au
pied
, et que l'enfant l'apporte en naissant, il peut n
On déterminera avec soin à quel moment de sa formation se trouve le
pied
bot, s'il présente un mélange de contraction et d
On devra ensuite passer en revue tous les éléments qui constituent le
pied
bot. Ainsi, il faudra explorer l'état de la contr
hacun d'eux ; reconnaître les déviations composées; examiner enfin le
pied
sous toutes ses faces et dans les positions diver
culation de la hanche est dans l'état normal. § II. — Traitement du
pied
bot. Jusqu'ici nous n'avons envisagé le pied bo
§ II. — Traitement du pied bot. Jusqu'ici nous n'avons envisagé le
pied
bot que comme un objet d'histoire naturelle, que
tile de cette étude. Voyons donc ce que l'art peut faire contre les
pieds
bots. Et d'abord je ne mets pas en question s'i
ts. Et d'abord je ne mets pas en question s'il importe de guérir le
pied
bot. Ce n'est pas assurément une lésion qui menac
les supposant réelles, consolent peu les boiteux. Quelle amertume le
pied
bot n'a-t-il pas répandue sur la vie de lord Byro
Au point de vue physiologique d'ailleurs, vous savez que beaucoup de
pieds
bots nuisent à la locomotion et la rendent quelqu
e survenir des ulcères , des caries. Cet état fonctionnel du membre
pied
bot prive les pauvres d'une foule de travaux manu
ucoup de professions. Le trop célèbre ïalleyrand fut condamné par son
pied
bot à embrasser l'état ecclésiastique, pour leque
existence est dans nos mains quand nous sommes appelés à remédier au
pied
bot. Les anciens, si soigneux de tout ce qui to
ti. Ils faisaient tous leurs efforts pour corriger les déviations des
pieds
. On trouve dans le ïraiié rapt apOpwv, ou des art
g. 78 et suiv. précoptes admirablement tracés sur le traitement des
pieds
bots. Ils furent complétés plus lard par le Comme
rd dans un profond oubli. On abandonna longtemps la thérapeutique des
pieds
bots aux rebouteurs, aux bandagistes, comme si el
ré(l), de Fabrice de Hilden et de quelques autres, le trai-tem- nt do
pied
bot fit si peu de progrès, que Dionis, il n'y a p
is, il n'y a pas plus de cent cinquante ans, déclarait que « quand le
pied
est mal fabriqué dès la première conformation , o
de confesser qu'il n'avait que très-rarement réussi à retires er les
pieds
bots (3). Des médecins, des chirurgiens éminent
t quelques-uns de leurs loisirs au perfectionnement du traitement des
pieds
bots. Des artistes ingénieux les secondèrent ; d'
thodes se multiplièrent. Cependant l'application de l'orthopédie au
pied
bot resta encore concentrée entre les mains d'un
me jusqu'à l'abus, est devenue une partie importante du traitement du
pied
bot. Ce traitement se compose, en effet, de tro
mployer dans ce cas sont les mêmes que dans les plus légers degrés du
pied
bot confirmé; nous les retrouverons donc dans le
aniques (2). — La ténotomie ne suffit pas pour amener la guérison des
pieds
bots; dans presque tons les cas, il faut joindre
ation, il faut se rappeler que les différentes lignes articulaires du
pied
sont affectées de diverses manières. Les principa
es déviées, sur toutes les déviations élémentaires dont se compose le
pied
bot. Ces déviations élémentaires se trouvant ta
ar Uippocrate, et développé surtout par Dupuytren (1), de traiter les
pieds
bots le plus tôt possible, et même dès les premiè
r empêcher la résistance de s'organiser plus complètement. Enfin le
pied
bot accidentel cède plus facilement aux moyens mé
endre des trois sortes de puissances employées dans le traitement des
pieds
bots, savoir : 1° la main; 2° les bandages; 3° le
i parlé indique-t-il déjà la manière de s'en servir pour redresser le
pied
bot. De nos jours, Brûckner (1) et M. Mellct (2)
cialement pour le varus. Rien de plus simple que ces manœuvres, si le
pied
bot est simple et la résistance peu considérable.
pied bot est simple et la résistance peu considérable. Ainsi, dans le
pied
équin simple, dans le talus, dans le varus et le
, il suffit qu'une main fixe la jambe, tandis que l'autre agit sur le
pied
et l'attire ou le repousse en sens contraire de l
dans le varus prononcé, il ne faut pas seulement porter la pointe du
pied
et la rangée antéro-tar-sienne en dehors, il faut
istance forte, de ne s'occuper de la flexion qu'après avoir ramené le
pied
suus l'axe de la jambe, ou l'avoir dérouté, comme
stragale et du calcanéum, tandis que l'autre main ramène la pointe du
pied
en dedans, abaisse son bord externe et fait tourn
t en redressant le valgus, remédier au talus, produire l'extension du
pied
sur la jambe. C'est ce qu'on opère, comme dans le
règle est applicable au valgus équin, dans lequel il faut fléchir le
pied
au lieu de l'étendre. Les déviations multiples
t fléchir le pied au lieu de l'étendre. Les déviations multiples du
pied
équin creux, ou du pied équin enroulé, peuvent êt
u de l'étendre. Les déviations multiples du pied équin creux, ou du
pied
équin enroulé, peuvent être aisément attaquées pa
n'y a d'exception que pour la déviation des orteils en haut, dans le
pied
creux du long péronier ; il faudra les abaisser.
nier ; il faudra les abaisser. Les déviations alternatives du talus
pied
creux exigent une manœuvre plus difficile. On a,
manœuvres plusieurs fois par jour. La coaplalion des subluxations du
pied
ne peut être obtenue ici qu'à la longue, et non s
rit lui-même par des efforts soutenus, en exerçant les muscles de son
pied
et en le redressant très-fréquemment avec la main
sant très-fréquemment avec la main. J'ai moi-même observé un enfant
pied
bot de naissance, dont le varus avait été réduit
tante qui lui tenait lieu de mère. Cette dame allait jusqu'à tenir le
pied
dans sa main la nuit, tout en dormant. Des prat
t des plaies, des fractures, furent aussi appliqués au traitement des
pieds
bols. L'invention des machines n'a pas même fait
sés. Une simple bande roulée peut ramener la pointe et la plante du
pied
en dehors, et l'y maintenir, dans le varus des en
ient dans le varus, en appliquant la bande de gauche à droite pour le
pied
droit, et de droite à gauche pour le pied gauche.
de gauche à droite pour le pied droit, et de droite à gauche pour le
pied
gauche. Briickner a décrit et représenté un ban
B0UV1EU. 45 de façon que l'autre chef se trouve au bord externe du
pied
; il réunit alors les deux chefs en les croisant s
aut et qu'on arrêtait solidement au-dessus du mollet pour empêcher le
pied
de retomber. Il y a plus de cent ans, Cheselden
d de retomber. Il y a plus de cent ans, Cheselden employait dans le
pied
bot et les fractures un bandage composé de bandel
une semelle de bois, qui forme avec elle un angle obtus. En fixant le
pied
sur la semelle, on se sert de l'attelle comme d'u
employé ce moyen avec quelque avantage. Il s'est aussi servi, dans le
pied
équin, de cette (1) Cheselden, Anat. of the hum
ans le traitement des fractures , ont été aussi appliqués à celui des
pieds
bots. Dieffenbach étendit aux pieds bots l'usage
t été aussi appliqués à celui des pieds bots. Dieffenbach étendit aux
pieds
bots l'usage de ses moules en plâtre, qu'à l'exem
M. Alathyssen, les plaques de gutta-percha, appliquées molles sur le
pied
redressé avec les mains, et presque instantanémen
particulièrement tiré parti de cette substance dans le traitement des
pieds
bots. Quelle est la valeur de tous ces bandages
s? Les premiers, les bandages simples, se dérangent facilement, et le
pied
tourne dans ces bandes. Ils sont d'ailleurs incap
, ils produisent des paralysies, des gangrènes. On ne peut visiter le
pied
aussi souvent qu'il le faudrait, ni relâcher ou a
n outre, jusqu'au moment où l'appareil est complètement solidifié, le
pied
peut être dérangé de la position qu'on veut lui d
— Les machines ou appareils mécaniques applicables au traitement des
pieds
bots ont singulièrement varié depuis le brodequin
la remplacer, être assez puissantes pour exagérer le redressement du
pied
, pour lui donner un commencement de déviation dan
plaques repousse le côté externe, l'autre la partie antéro-interne du
pied
. MM. d'Ivernois et Mellet ont rétabli les faits
n. Ces fentes livrent passage aux cour- plâtrées : Michaux, sur les
pieds
lots, dans le Bulletin de l'Académie de médecine
s d'une lalonnière, qui se fixent à des boutons, et qui retiennent le
pied
sur la semelle avec une autre courroie appliquée
érieure en dehors et en avant, suivant la direction et la courbure du
pied
. Ce levier se retrouve dans presque tous les appa
reils construits depuis. J'ai réuni sous vos yeux les machines pour
pieds
bots de plusieurs fabricants de Paris. Je vais tâ
tivement aux questions d'invention et de priorité. Tout appareil de
pied
bot se compose de deux parties; l'une embrasse le
ut appareil de pied bot se compose de deux parties; l'une embrasse le
pied
comme une chaussure, c'est la pièce podale ou péd
deux plaques latérales. Dans l'appareil de M. Ferdinand Martin, le
pied
est fixé très-solidement sur une simple semelle p
quel il sait disposer les courroies croisées en divers sens autour du
pied
, que M. F. Martin supplée à tout autre moyen de c
es Martin ne fixe pas non plus le talon à l'aide d'une talonnière. Le
pied
est emboîté dans une chaussure à bords peu élevés
areils agissant en sens contraire pour les deux formes principales du
pied
bot. La mère de cet enfant a fait une chute penda
urs du côté droit et des muscles opposés du côté gauche. Le valgus du
pied
gauche a presque disparu depuis l'emploi des mach
e tissu adipeux, comme cela est arrivé dans les parties voisines. Aux
pieds
, nous trouvons des pieds équins enroulés, fait ra
la est arrivé dans les parties voisines. Aux pieds, nous trouvons des
pieds
équins enroulés, fait rare parmi les congénitaux.
esque direct. Le triceps sural est fortement rétracté. A la plante du
pied
, vous pouvez remarquer un pli assez profond qui
uvez remarquer un pli assez profond qui ordinairement appartient au
pied
creux du long péro-nier latéral, mais que nous re
oique le long fléchisseur des orteils soit également rétracté; car le
pied
creux est direct, et les orteils sont aussi recou
nt de poursuivre l'élude des machines employées dans le traitement du
pied
bot, examinons un enfant affecté d'un pied bot do
yées dans le traitement du pied bot, examinons un enfant affecté d'un
pied
bot double compliqué d'une difformité remarquable
enseignements sur cette dernière grossesse. A droite, vous voyez un
pied
équin enroulé. Le pli plantaire est aussi prononc
n pied équin enroulé. Le pli plantaire est aussi prononcé que dans le
pied
creux du long péronier ; ce pied creux est probab
taire est aussi prononcé que dans le pied creux du long péronier ; ce
pied
creux est probablement, en raison de l'égale incl
est probablement, en raison de l'égale inclinaison des deux bords du
pied
, de ceux qui dépendent à la fois du long péronier
éronier et des fléchisseurs des orteils. Si on cherche à redresser le
pied
, on éprouve une grande résistance. A gauche, il
ous remarquez la saillie de la tête de l'astragale au côté interne du
pied
; le talon et la pointe du pied sont portés en de
ête de l'astragale au côté interne du pied ; le talon et la pointe du
pied
sont portés en dehors ; le pli plantaire est asse
i rétraction des deux péroniers latéraux, et moins sensiblement qu'au
pied
droit, rétraction des fléchisseurs des orteils.
st un exemple rare de la rétraction du triceps crural, compliquant le
pied
bot. C'est ordinairement la rétraction des fléchi
açon que le même appareil tourne à volonté la semelle et la plante du
pied
en dehors ou en dedans, élève ou abaisse la point
nte, et par conséquent s'applique également au varus et au valgus, au
pied
équin et au talus. Je trouve en outre, dans ces
ière comme sur un pivot. Cela peut servir pour redresser la pointe du
pied
dans certains cas. Dans la plupart de ces appar
un appareil à valgus. Un mécanisme plus simple est employé dans le
pied
équin et dans le talus. Il suffit de l'articulati
it de l'articulation destinée à produire la flexion ou l'extension du
pied
sur la jambe. Je préfère, dans ce cas, deux monta
point d'appui à la partie supérieure de la jambe, en arrière dans le
pied
équin, en avant dans le talus. Il est bon toutefo
a sandale en dedans ou en dehors, afin de prévenir le renversement du
pied
d'un côté ou de l'autre. C'est à l'aide de pres
es coussins et des courroies, que l'on combat la courbure «xagérée du
pied
équin et du talus pied creux, en agissant sur l'a
roies, que l'on combat la courbure «xagérée du pied équin et du talus
pied
creux, en agissant sur l'astragale saillant au co
ent usage. Supposons un cas de varus : on commence par redresser le
pied
avec la main, et on le pose à plat dans la sandal
on le pose à plat dans la sandale ; en même temps qu'on maintient le
pied
et la sandale bien appliqués l'un sur l'autre, on
spondant à chaque coussin est fixée aux boutons de la semelle ; si le
pied
ne paraît pas suffisamment fixé, on peut ajouter
e la jambe, dont on l'approche plus ou moins suivant la résistance du
pied
; on le maintient au moyen de la courroie qui lui
ches, le talon ne reste plus au fond de la sandale, il se soulève; le
pied
tourne tout entier et répond à la semelle par son
and le redressement latéral est assez avancé, on commence à porter le
pied
dans la flexion. Cette seconde partie du traiteme
lors que la ténotomie devient utile. On ne se borne pas à amener le
pied
à la rectitude normale ; on pousse la flexion jus
je signale. Dans la première année, et même dans la seconde, si le
pied
bot est au premier degré, la résistance est faibl
e troisième degrés ne se redressent pas sans douleur à cet âge, si le
pied
bot est congénial. L'équinisme du varus surtout n
ion considérable , elle réduit les pressions à celles qu'exigerait un
pied
bot du premier degré. Après trois ans, les diff
du premier degré. Après trois ans, les difficultés croissent, si le
pied
bot est con-génial. La douleur est constante, mêm
le membre dans une enveloppe qu'on fixe solidement au genou. Si le
pied
bot est accidentel, les douleurs sont beaucoup mo
causées par l'application des machines sont toujours intenses, si le
pied
bot est congénial, et très-vives aussi s'il est a
Le but de ce genre de chaussures est de borner les mouvements du
pied
dans le sens de la déviation dont il était attein
t atteint. Déjà par elle-même, la tige du brodequin tend à retenir le
pied
dans une bonne situation; mais, ordinairement, ce
ance de ces branches met obstacle aux mouvements latéraux exagérés du
pied
. En outre, presque tous ces appareils sont disp
tous ces appareils sont disposés de manière à limiter l'extension du
pied
et le soulèvement du talon, afin de s'opposer à u
pposer à une nouvelle rétraction du triceps sural dans le varus et le
pied
équin. On peut se servir d'une simple vis, fixée
culière du brodequin lui-même : on met des contre-forts du côté où le
pied
tend à se dévier. On emploie quelquefois un autre
e seule branche externe, d'une sorte de tuteur courbe, on repousse le
pied
en dedans. Dans le pied équin, il suffit du resso
d'une sorte de tuteur courbe, on repousse le pied en dedans. Dans le
pied
équin, il suffit du ressort élastique dont j'ai p
ou perdue. Déjà M. Rigal de Gaillac avait imaginé de redresser les
pieds
inclinés en divers sens, à l'aide de liens de cao
— Sur cette jeune fdle, voici le bandage tel qu'il est appliqué. Les
pieds
sont enfermés dans un chausson. Il n'y a ni monta
terminé l'étude des forces extérieures appliquées au redressement du
pied
bol. Il en est une autre pourtant, qu'on a consei
pesanteur. Dans un petit nombre de cas, en effet, par exemple dans le
pied
équin, dans le talus, le poids du corps, en allon
t soustraire le membre à son action, qui, en raison de la position du
pied
dans le varus et le valgus, tend à augmenter la d
délicatesse des organes. Au reste, dans le traitement ordinaire du
pied
bot, tous les moyens concourent : main, bandages,
(I) Neuvième leçon, 18 juillet 1856. Il suffisait de savoir que le
pied
est retenu dans sa position vicieuse par des musc
doute cet ordre de faits observés au cou qui inspira la ténotomie du
pied
aux médecins dont parle Thilenius, et plus tard à
que des sections partielles, étendit ce procédé à d'autres tendons du
pied
, et même à d'autres parties du corps. C'est longt
ie fut appliquée successivement à presque tous les muscles moteurs du
pied
. Aujourd'hui, deux méthodes sont en présence. L
t en présence. L'une a pour principe de diviser, dans chaque forme de
pied
bot, tous les tendons des muscles qui l'ont déter
itudinale, parce que ses bords sont ensuite moins écartés, lorsque le
pied
est fléchi par l'appareil mécanique ; elle est au
faces. Ces dessins, que j'ai fait faire d'après nature sur des sujets
pieds
bots, vous inspireront toute sécurité à cet égard
er, Mémoire sur la section du tendon d'Achille dans le traitement des
pieds
bots (Mémoires de l'Académie de médecine. Paris,
ant couché sur le ventre et convenablement maintenu , un aide fixe le
pied
, prêt à faire effort pour le ramener dans la flex
ngitudinale à la peau, près du bord externe du tendon, si on opère le
pied
droit, près de son bord interne, si c'est le pied
don, si on opère le pied droit, près de son bord interne, si c'est le
pied
gauche. Si l'on tenait à porter le ténotome dans
oit pour mieux protéger les vaisseaux, on se placerait, pour l'un des
pieds
, de manière à tourner le dos au malade. M. Bonnet
s. On peut indifféremment, aussitôt après l'opération , replacer le
pied
dans l'appareil mécanique, si l'enfant l'a déjà p
'extension dans les premiers moments. Section des autres tendons du
pied
. — Passons sommairement en revue la section des a
ied. — Passons sommairement en revue la section des autres tendons du
pied
. Les trois muscles fléchisseurs du pied, jambie
ction des autres tendons du pied. Les trois muscles fléchisseurs du
pied
, jambier antérieur, extenseur du gros orteil et e
t peu la peau. On les divise au bas de la jambe ou au côté externe du
pied
, suivant le relief qu'ils présentent dans l'un
deux régions, tandis que le court ne peut être coupé isolément qu'au
pied
. A la jambe comme au pied, la section sous-tert
court ne peut être coupé isolément qu'au pied. A la jambe comme au
pied
, la section sous-tertdineuse est peut-être préfér
'il est aussi accompagné de fibres charnues qu'on devra diviser. Au
pied
, le tendon du court péronier se trouve sur le tra
lui indique, on augmentera la saillie du tendon, en faisant porter le
pied
dans l'abduction ; si c'est un enfant trop jeune
énients, qu'en 1839, M. Vel-peau (1) conseilla de couper le tendon au
pied
. On le trouve sur une ligne étendue du scaphoïde
manifeste le long de cette ligne, quand le sujet porte fortement le
pied
dans l'adduction. Une dépression qui se produit a
ouvent, n'est que difficilement applicable, parce que la déviation du
pied
qui réclame cette section change toutes les condi
our qu'il convienne de les chercher dans cette région. Ce n'est qu'au
pied
, principalement sur les premières phalanges, qu'o
l a pu aussi être aisément divisé sur le bord interne de la plante du
pied
, où sa rétraction le rend souvent saillant. On
rétraction le rend souvent saillant. On a encore pratiqué dans les
pieds
bots la section de l'aponévrose plantaire, de l'a
petite fille de six ans et demi qui arrive de la campagne. Elle a un
pied
équin à gauche, avec pied creux du long fléchisse
t demi qui arrive de la campagne. Elle a un pied équin à gauche, avec
pied
creux du long fléchisseur des orteils; le pied es
d équin à gauche, avec pied creux du long fléchisseur des orteils; le
pied
est dans l'adduction, les muscles fléchisseurs du
es orteils; le pied est dans l'adduction, les muscles fléchisseurs du
pied
sur la jambe sont paralysés, et ne se contractent
d'un morceau de taffetas adhésif. On va replacer aujourd'hui même le
pied
dans l'appareil que portait déjà l'enfant. II*
je vous ai déjà présenté dans la cinquième leçon; il est atteint d'un
pied
équin creux, avec un léger degré de varus. Quand
. Quand l'enfant est debout, le poids du corps suffit pour ramener le
pied
à angle droit sur la jambe; mais aussitôt que le
pour ramener le pied à angle droit sur la jambe; mais aussitôt que le
pied
est soulevé ou qu'il n'est plus maintenu, le tric
ls et la saillie sous-métatarsienne. Les causes de cette déviation du
pied
sont un peu obscures : à quatre ans, l'enfant aur
rétablirent, mais irrégulièrement, et il est resté la déformation du
pied
dont je viens de parler, et une flexion considéra
restées intactes. (2) Dixième leçon, 25 juillet 1856. tendons du
pied
, sauf quelques différences qui tiennent aux tendo
ser l'un sur l'autre ou à la surface du péroné. Les fléchisseurs du
pied
sont dans des conditions un peu moins favorables,
la main ; mais les mêmes considérations s'appliquaient évidemment au
pied
, pes altéra manus. C'est ce que M. Velpeau fit tr
Velpeau fit très-bien ressortir, en posant, à l'égard des muscles du
pied
, des principes analogues à ceux que je viens de d
ferai remarquer que, heureusement pour le praticien, les fonctions du
pied
n'exigent pas la même précision de mouvements que
ans préjudice pour les malades, et même à leur avantage, pratiquer au
pied
des sections qui affaiblissent ou détruisent l'ac
nnais pas de cas de mort à la suite de la ténotomie pratiquée pour le
pied
bot. Malgré ces accidents, la réparation se fai
et les parties profondes. D. Mode d'action de la ténotomie dans les
pieds
bots. — On comprend le mode d'action de la ténoto
bots. — On comprend le mode d'action de la ténotomie dans la cure des
pieds
bots. Mais une question diversement résolue est c
n des muscles antagonistes ne rétablissent pas la position normale du
pied
? Le bout inférieur n'étant pas écarté suffisammen
des ligaments. — On ne s'est pas borné à couper les tendons dans les
pieds
bots, on a encore divisé les ligaments. L'idée es
eux que l'indication d'une opération semblable puisse se présenter au
pied
(1). Cependant cette opération a été pratiquée
un ligament astragalo-scapkoïdien qu'on trouverait au bord interne du
pied
. Au surplus, de graves objections s'adressent à
mier moule. G. Indications de la ténotomie. — Quelles sont, dans le
pied
bot, les indications et les contre-indications de
ntages. Quand on n'employait que les moyens mécaniques, la flexion du
pied
, dans la guérison du varus, du pied équin, dépass
moyens mécaniques, la flexion du pied, dans la guérison du varus, du
pied
équin, dépassait rarement l'angle droit, au moins
ngés par une substance intermédiaire. J'ai dit que le traitement du
pied
bot congenial devait commencer à la naissance. La
al gauche. Son état général est très-satisfaisant. Vous voyez que son
pied
est maintenu dans l'appareil de M. Jules Martin,
habitué. Jusqu'à quel âge la ténotomie peut-elle être utile dans le
pied
bot? C'est moins de l'âge que de l'ancienneté e
cienneté et du degré de la difformité qu'il faut tenir compte dans le
pied
bot accidentel. On peut opérer avec succès à tout
quand la déviation ne date que d'un petit nombre d'années. Dans le
pied
bot natif, il est rare qu'on obtienne un bon résu
déviation. La seciion des tendons est plus longtemps efficace dans le
pied
équin, dans le talus; elle est bien plus tôt cont
l'élément fibreux ou osseux, l'opération est contre-indiquée dans les
pieds
bols très-anciens. Dans ces conditions, on est ex
qu'il soit moins propre à remplir ses fonctions. Doit-on opérer le
pied
bot paralytique? Cette question si simple rappe
n, abstenez-vous de toute opération. La brièveté du membre, dans le
pied
équin, est-elle une contre-indication au traiteme
embre. Cela est vrai, et on ne devra pas opérer, si la déformation du
pied
ne fait pas de progrès. Mais si celle-ci augmente
s facilement à l'action des machines. Vous lirez telle observation de
pied
bot où l'on a pratiqué dix ou douze sections musc
alement la seule qui soit indiquée dans le varus des enfants, dans le
pied
équin, même compliqué de varus léger, de pied cre
us des enfants, dans le pied équin, même compliqué de varus léger, de
pied
creux. Après la première enfance, c'est encore le
une résistance capable d'empêcher la guérison. Les autres muscles du
pied
et l'aponévrose plantaire s'étendent le plus souv
ra la même règle dans le talus et dans le valgus. Les fléchisseurs du
pied
, les péroniers latéraux réclament, en effet, bien
moyens mécaniques et les procédés ténotomiques appliqués à la cure du
pied
bot, vous ont peut-être fait perdre de vue une tr
vement (1). » L'auteur rapporte les deux observations; il y avait des
pieds
équins accidentels. Un bandage compressif a suffi
ulières qui dérivent de la considération des causes, dans la cure des
pieds
bols. L'atrophie du membre, effet constant de l
, 1843, p. 43. La paralysie partielle, complication si fréquente du
pied
bot, sera combattue par des médications analogues
Boulogne), rend ici de grands services. RÉSULTATS DU TRAITEMENT DES
PIEDS
BOTS. — Les résultats définitifs du traitement
TEMENT DES PIEDS BOTS. — Les résultats définitifs du traitement des
pieds
bots, en général satisfaisants, ne le sont pas ég
ent dans tous les cas. Dans les guérisons même les plus complètes, le
pied
réunit rarement tous les caractères de l'état nor
t primitif, ou s'altère par l'effet même des moyens de traitement. Le
pied
équin creux peut conserver en partie sa courbure
plètement redressé perd au contraire la cambrure naturelle et devient
pied
plat, sans que cela nuise à ses fonctions ; le va
et devient pied plat, sans que cela nuise à ses fonctions ; le valgus
pied
plat ne recouvre que rarement la courbure normale
èrement, pour peu que le traitement ait été tardif. Les mouvements du
pied
laissent souvent à désirer. Leur étendue est moin
s que soient ces légères imperfections, il suffit que la direction du
pied
soit à peu près normale, qu'il pose à plat sur le
lui réservait l'avenir. Nous allons terminer cette longue étude des
pieds
bots, en vous montrant d'abord une série de moule
Tous aurez ainsi une idée exacte du pouvoir de l'art dans la cure du
pied
bot. Parmi les moules, ceux-ci sont remarquable
lpech, en 1816. Ce malade avait alors six ans, et portait à droite un
pied
équin, avec pied creux. Delpech a fait dessiner l
e malade avait alors six ans, et portait à droite un pied équin, avec
pied
creux. Delpech a fait dessiner le pied trois ans
t à droite un pied équin, avec pied creux. Delpech a fait dessiner le
pied
trois ans après l'opération. J'ai pu retrouver le
arder la guérison. J'ai pu constater, sur le sujet, que la flexion du
pied
ne dépassait pas l'angle droit. Du reste, il y av
blissement des fonctions locomotrices, malgré une petite déviation du
pied
en dehors que vous observez encore sur le moule.
réduction des subluxations médio-tarsiennes ; seulement la plante du
pied
est légèrement aplatie; le talon est abaissé; le
nt la plante du pied est légèrement aplatie; le talon est abaissé; le
pied
a une direction parfaite; il pose bien sur le sol
Un exemple de varus plus prononcé est celui-ci : c'est le moule du
pied
d'un petit malade de l'hospice des Enfants-Trouvé
'hospice des Enfants-Trouvés. L'enfant marchait presque sur le dos du
pied
, comme le prouve cette large callosité qui faisai
grandes modifications qu'apporte le traitement dans les déviations du
pied
. C'est le pied droit d'un enfant atteint de varus
ations qu'apporte le traitement dans les déviations du pied. C'est le
pied
droit d'un enfant atteint de varus con-génial dou
nial double du deuxième degré. Ce moule représente la conformation du
pied
avant le traitement. Le petit malade avait quatre
fis la section du tendon d'Achille; le traitement consécutif amena le
pied
à la position représentée par ce second moule. L'
cinq ans après d'une méningite tuberculeuse. Vous pouvez voir sur le
pied
qui m'a été remis, qu'il n'y a plus de subluxatio
forme seulement une légère saillie à la plante, et le bord interne du
pied
est un peu trop élevé. Remarquez aussi que le ten
ec beaucoup de négligence ; aussi, au bout de ce temps, la flexion du
pied
n'arrive pas encore à l'angle aigu. On cesse alor
t est repris, et l'appareil porté nuit et jour. Au mois d'octobre, le
pied
était complètement redressé et la flexion se fais
ue l'étendue des mouvements est presque normale; ce garçon fléchit le
pied
à angle aigu, et il l'étend de manière à pouvoir
e aigu, et il l'étend de manière à pouvoir marcher sur la pointe ; le
pied
a conservé sa concavité normale. Ce fait vous mon
Le traitement mécanique est suivi avec soin, et, dès le 5 juillet, le
pied
droit est bien redressé, et la guérison très-avan
rès-avancée à gauche. Trois mois après , l'enfant marchait seule, les
pieds
bien à plat ; la flexion atteignait des deux côté
nt abandonne l'appareil en juin 1851. Aujourd'hui, la conformation du
pied
est un peu moins régulière ; ses mouvements sont
ans, vient dans mes salles le 10 juillet 1855, pour être traité d'un
pied
bot varus gauche congénial. La difformité est trè
rus gauche congénial. La difformité est très-prononcée ; la plante du
pied
est tout entière dirigée en arrière, et le pied n
noncée ; la plante du pied est tout entière dirigée en arrière, et le
pied
ne pose que par son bord externe. La jambe est un
pendre souvent l'usage ; il survient une phlyctène au côté interne du
pied
, et un peu plus tard, l'enfant est atteint d'une
20 janvier 1856, je coupe le tendon d'Achille, et depuis ce moment le
pied
est maintenu dans l'appareil. Je vous montre ce c
parler n'ont trait qu'au varus. Voici deux moules qui représentent le
pied
droit d'un enfant atteint de talus, avant et ap
double, congénial ; mais la difformité était bien moins prononcée au
pied
gauche. L'un de ces moules vous montre le degré d
au pied gauche. L'un de ces moules vous montre le degré de flexion du
pied
droit au moment de la naissance. J'appliquai les
les appareils vers la fin du mois suivant, et dès le mois d'août, les
pieds
avaient déjà gagné en extension. Mais le traiteme
tension. Mais le traitement fut négligé à ce moment ; on laissait les
pieds
libres pendant plusieurs semaines. En janvier 184
ait les pieds libres pendant plusieurs semaines. En janvier 1841, les
pieds
posaient à plat dans la marche; mais le résultat
ait guère l'angle droit, et la flexion était encore très-étendue; les
pieds
, surtout le droit, étaient plats et un peu renver
ix-sept ans après le premier, vous montre la conformation actuelle du
pied
. Le membre a été moulé dans sa plus grande extens
considérable pour que le jeune homme puisse marcher sur la pointe du
pied
. La flexion atteint un angle un peu moins aigu qu
n atteint un angle un peu moins aigu qu'à l'état normal; la plante du
pied
a sa concavité naturelle. Le pied gauche a conser
gu qu'à l'état normal; la plante du pied a sa concavité naturelle. Le
pied
gauche a conservé une légère inclinaison en dehor
fait confirme deux principes que j'ai établis dans le traitement des
pieds
bots, savoir : qu'on peut le plus souvent éviter
mps après la naissance. ARTICLE VI. DU RACHITISME. (1) Entre le
pied
bot et le rachitisme, tout est contraste. La pr
rtis cruribus (appellat pater )... t Un père dit que son fils a les
pieds
un peu en dedans, quand ses jambes sont toutes to
X. Dans ce cas, les genoux se touchent ou même se croisent, et les
pieds
sont fortement écartés. La courbure en dehors e
ur, ont l'aspect de deux grandes parenthèses. Dans celte variété, les
pieds
sont portés à la rencontre l'un de l'autre. La
s naturelles, l'action musculaire, et l'effet produit par le poids du
pied
quand le membre est soulevé. Les articulations
é comme exemple des nombreuses difformités qui peuvent compliquer les
pieds
bots {voyez page 231). Aujourd'hui, je veux vous
ère séance, le triceps sural ainsi allongé par la flexion exagérée du
pied
dans une forte courbure de la jambe en avant. U
embres inférieurs sont courbés en dehors et ont la forme d'une S. Les
pieds
ont la direction des valgus. Cette enfant ne peut
fdle peut, au moyen d'une rotation des membres, rapprocher assez les
pieds
pour marcher, en prenant de chaque côté un point
RACHIS. DIVISION DES COURBURES PATHOLOGIQUES DU RACHIS (1). — Le
pied
bot et le rachitisme, qui ont fait l'objet de mes
onformation, qu'une difformité comparable jusqu'à un certain point au
pied
bot. Les courbures pathologiques du rachis déri
une lésion des membres inférieurs. Le sujet se tient sur la pointe du
pied
pour compenser le raccourcissement résultant de l
le membre inférieur correspondant, qui ne posait que sur la pointe du
pied
. C'est un cas tout à fait exceptionnel. On a pa
'observe dans la véritable rétraction musculaire, telle que celle des
pieds
bots et du torticolis musculaire ancien, etc. : c
tement des os, et les muscles sont loin de faire corde, comme dans un
pied
bot de cadavre qu'on cherche à mouvoir en sens in
raison de ce fait est facile à concevoir. Ce n'est pas, comme dans le
pied
bot, un mouvement articulaire qui infléchit le ra
prenant les idées de Méry et de Morgagni, elle appliqua la théorie du
pied
bot, du torticolis musculaire ancien au plus gran
eu d'agir également à droite et à gauche dans la station sur les deux
pieds
, comme à l'état normal, ils sont, de toute nécess
ous la forme d'une corde arrêtant l'effort, comme cela arrive dans le
pied
bot, le torticolis, etc. Voulez-vous vous assur
doute, quand le sujet se tient, sans cause connue, sur la pointe d'un
pied
pour incliner le bassin et courber la colonne ver
un lit ordinaire, auquel on donne un peu d'inclinaison de la tête aux
pieds
, et un peu plus de fermeté qu'aux lits le plus en
encore dans la position droite, si le corps, au lieu de poser sur les
pieds
, est suspendu par les parties supérieures ; mais
un siège incliné d'un côté à l'autre, d'une chaussure plus haute à un
pied
qu'à l'autre. Ce moyen exerce peu d'influence dan
uniquement destinés à varier les mouvements praticables, sans que les
pieds
posent à terre, et à les graduer de manière à dou
n leur laisse, dans les premiers temps, la possibilité de s'aider des
pieds
ou d'atteindre le sol avec la pointe des pieds. O
ibilité de s'aider des pieds ou d'atteindre le sol avec la pointe des
pieds
. On les exerce, dans la position horizontale ou i
se traîner, à ramper à plat ventre en s'aidant des mains et même des
pieds
, le long d'un banc, d'une planche à laquelle on p
siège du mal, et on le précipitait du haut d'un toit ou d'un mât, les
pieds
en bas ou la tête la première, en lâchant une cor
arties inférieures, quelquefois augmenté par l'addition de plombs aux
pieds
(2). Le même principe inspira à Nuck, pour les dé
u un simple ressort en boudin. On fixe ces ressorts à la tête et au
pied
du lit; on fait aboutir à l'un d'eux les courroie
résistance produite par le frottement, résistance que le ressort des
pieds
a à surmonter. C'est d'abord au bassin que la tra
la traction est la plus forte; mais, quand le corps a glissé vers le
pied
du lit, elle devient plus forte du côté de la têt
gt-sept ans, ayant des membres très difformes et une taille de deux
pieds
onze pouces, se fit tirer tous les jours par le c
deux pieds onze pouces, se fit tirer tous les jours par le cou et les
pieds
pendant sept ou huit mois, et se fit administrer
antes si l'on pouvait saisir la colonne vertébrale comme on saisit le
pied
ou la jambe. Mais, si l'on veut agir immédiatemen
, soit les membres supérieurs et le haut du thorax, sans détacher les
pieds
du sol ou le bassin du siège, quand le sujet est
s années que dura le traitement, elle ne posa pour ainsi dire pas les
pieds
à terre; constamment couchée ou suspendue au-dess
temps..................... 158 DEUXIÈME AXXÉK, 1§56. Art. V. — Du
pied
bot....................... 168 Nomenclature....
nition............................ 169 Mouvements physiologiques du
pied
................ » • Variétés du pied bot.......
Mouvements physiologiques du pied................ » • Variétés du
pied
bot....................... 1^1 § 1er, — Histoir
d bot....................... 1^1 § 1er, — Histoire pathologique des
pieds
bots. ,........ 173 I. Première période du pied
e pathologique des pieds bots. ,........ 173 I. Première période du
pied
bot................ 'b. A. Première période du
ière période du pied bot................ 'b. A. Première période du
pied
bot accidentel......... »»• Pied plat..........
..... 'b. A. Première période du pied bot accidentel......... »»•
Pied
plat......................... I77 Pied creux...
ot accidentel......... »»• Pied plat......................... I77
Pied
creux........................ 179 B. Première p
I77 Pied creux........................ 179 B. Première période du
pied
bot congénital......... 180 II. Deuxième périod
période du pied bot congénital......... 180 II. Deuxième période du
pied
bot............... 183 A. Varus................
t troisième degrés........... 185 Étude des éléments anatomiques du
pied
bot......... • 192 Déformation des os..........
lgus.................... 202 Valgus commun.................... C.
Pied
équin...................... 205 a. Pieds équins
un.................... C. Pied équin...................... 205 a.
Pieds
équins en général ; pied équin direct....... **•
. Pied équin...................... 205 a. Pieds équins en général ;
pied
équin direct....... **• b. Pied équin varus....
205 a. Pieds équins en général ; pied équin direct....... **• b.
Pied
équin varus................... 2^9 c. Pied équi
n direct....... **• b. Pied équin varus................... 2^9 c.
Pied
équin valgus et valgus équin........... 210 D.
..... l*« 2° Deuxième et troisième degrés........... 213 b. Talus
pied
creux................... 215 Diagnostic différe
Talus pied creux................... 215 Diagnostic différentiel du
pied
bot............... 217 § II. — Traitement du pi
c différentiel du pied bot............... 217 § II. — Traitement du
pied
bot................. 218 I. Moyens mécaniques..
u tendon d'Achille.............. 24** Section des autres tendons du
pied
........... 245 B. Phénomènes de réparation aprè
tomie................ 252 D. Mode d'action de la ténotomie dans les
pieds
bots..... 255 E. Section des ligaments.........
Moyens médicaux.................... 260 Résultats du traitement des
pieds
bots............ 261 Art. VI. — Du rachitisme..
nous avons employée et qui consiste à faire marcher les malades les
pieds
préalablement enduits d'une substance colorante
Trois jours après l'accident, il essaya de se lever seul : il mit les
pieds
hors du lit, mais à peine avait-il touché le so
ue est complète (sauf quelques légers mouvements de redressement du
pied
) avec abolition du réflexe rotulien. Le membr
e s'arrêter après avoir fait quelques pas. Le corps s'appuie sur le
pied
droit sain placé en avant et qui y restera toujou
droit sain placé en avant et qui y restera toujours d'ailleurs, le
pied
gauche ne devant jamais le dépasser, à l'inverse
cément la résis- tance des ligaments de l'articulation du genou. Le
pied
, lui aussi, obéit aux mêmes lois; placé en varu
ntermédiaire de la face dorsale des trois premiers orteils. Mais ce
pied
est tellement inerte que, pendant la progressio
ravité d'un nouveau genre. La base trouvée, il peut alors porter le
pied
droit (et la béquille droite) en avant et progr
hode étant de 0 ? 6 cent. Mais tout n'est pas fini, et lorsque le
pied
droit s'est porté en avant de la quantité indiq
longueur égale au pas précédent. S'appuyant alors solidement sur le
pied
droit (et la béquille droite), R ? se penche en
nt il porte le tronc de gauche il droite, tirant ainsi après lui le
pied
gauche qui, dans ce mouvement est porté en avan
à empreintes variant avec les diverses oscillations paralytiques du
pied
. Il, ... réalise ainsi le type le plus complet
nicité, la jambe droite reste dans la rectitude phy- siologique, le
pied
en équin portantsur le sol par les quatre premier
re paralysé G... est obligé de porter tout le poids du corps sur le
pied
gauche. Le pied alors ne reste pas fixe, immobi
est obligé de porter tout le poids du corps sur le pied gauche. Le
pied
alors ne reste pas fixe, immobile, et ses dépla
alade est menacé de tomber. Aussi s'ap- puic-t-il au minimum sur ce
pied
et progresse-t-il par une série de petits sauts
ce pied et progresse-t-il par une série de petits sauts sur un seul
pied
, lançant le tronc en avant et entraînant dans c
n moyenne que 0 ? 4G7 millim. En réalité iln'est pas plus lon duele
pied
lui-même (ou23), puisque la longueur du pied qu
est pas plus lon duele pied lui-même (ou23), puisque la longueur du
pied
qui progresse fait na- turellement partie intég
l'étude de la marche : l'écartement latéral et l'angle d'ouverture du
pied
par rapport ;1 la ligne d'axe, l'usage de béqui
mduction, elle porte en avant lajambe paralysée, faisant décrire au
pied
un arc de cercle. Notre malade, au contraire, ne
t d'aucune sorte pour le détacher du sol; pendant qu'elle marche le
pied
balaye (saueeps) le sol. Cela, je pense, est ca
rébrale, une période qui s'étend du moment où le malade peut mettre
pied
à terre et progresser, jusqu'à l'époque où les ré
malade tel que en s'en tenant au simple aspect de la jambe et du
pied
on s'exposerait bien peu à commettre une erreur
é en arrière; la jambe droite est contracturée dans l'extension, le
pied
tourné en dedans; la langue aussi déviée à droi
malade en s'appuyant sur sa canne, qu'il tient de la main droite. Le
pied
droit traîne par terre tout d'une pièce, presqu
r juste. Lorsqu'il descend un escalier et qu'il a posé la pointe du
pied
droit sur une marche, le talon trépide trois ou
ervice de la Salpê- trière pour une contracture hystérique des deux
pieds
qui avaient l'attitude du pied bot varus équin.
une contracture hystérique des deux pieds qui avaient l'attitude du
pied
bot varus équin. Au début, la contracture dispara
e raidirent toutes droites en extension, représentant l'attitude du
pied
bot équin avec orteils fléchis. On ne pouvait e
la gorge. A cette époque(il y a deux mois) à la suite d'un bain de
pied
trop chaud (au dire de la malade), les jambes r
les, et purent être fléchies ou étendues sur les cuisses ; mais les
pieds
conservèrent l.enr 32 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
tion sur l'état de ses membres intérieurs. On constate que les deux
pieds
sont dansl'exten-' sion forcée, et les orteils
ment replié (PI. V). Le deuxième et le troisième orteils, de chaque
pied
sont soudés l'un il l'autre dans les deux tiers s
sur la cuisse au gré de la volonté. 0... peut imprimer même à, son
pied
quelques mouvements, mais très limités. La force
de trépidation spinale. On peut modifier légèrement la position du
pied
, surtout dans le sens de l'extension; lorsqu'on
tendons d'Achille des deux côtés. A la suite de cette ténotomie, les
pieds
sont redressés facilement et immobilisés en bon
Bulletin médical du 23 mars 1887.) Contracture hystérique des deux
pieds
. Disparition des phénomènes spasmodiques. ' Per
à coup, un matin, sans prodromes, s'est produite la déformation des
pieds
en varus équin, déformation qui a atteint immédia
ou était, elle, aussi rigide; que les tentatives de redressement du
pied
faisaient percevoir la sensation de résistance
iendrait bientôt sans doute à bout de la contracture spasmodique du
pied
. Les tentatives d'hypnotisme étant restées sans r
arsienne, et la malade a pu alors se tenir debout sur la pointe des
pieds
comme on la voit aujourd'hui. On peut ob- serve
X) comment la malade peut marcher sans appui en faisant reposer les
pieds
sur l'extrémité des deux ou trois derniers métata
ts suivants : La malade peut, dans une certaine mesure, mouvoir son
pied
librement en dedans, en dehors, en avant, en ar
modique. Au contraire, quand on veut produire la flexion dorsale du
pied
, on est bientôt arrêté brusquement par un obs-
sous-cutanée des tendons d'Achille des deux côtés. A la suite, les
pieds
purent être redressés presque complètement. Les
onna les tendons du fléchisseur du gros orteil des deux côtés ; les
pieds
furent de nouveau immo- bilisés dans un panseme
NS F113RO-TFiNDINEUS17S. 35 Le 24 juin, la malade put se lever, les
pieds
étant redressés; un léger degré de flexion des
es, et, le 13 juillet, la marche est facile; tous les mouvements du
pied
sur la jambe sont aisés et non douloureux, il y
jours. A la même époque est survenu un abcès sur la face dorsale du
pied
droit qui donna lieu à une longue suppuration.
e gauche contrac- turée dans l'extension porte à la face interne du
pied
et il la face antéro-esterne de la jambe des ci
qui frappe le plus à l'aspect de ce membre c'est la déformation du
pied
(fig. 19). Celui-ci est dans l'extension mais s
r le plan du lit, parlant sur le bord interne. En même temps que le
pied
, la jambe a subi un ccrlain degré de torsion en
insistant on provoquerait des attaques. La rigidité est égale, au
pied
, au genou, à la hanche; son intensité e1l1- DES
du réflexe tendineux ; cependant, lorsqu'on essaye de redresser le
pied
, on détermine la trépidation spinale. Pendant le
che et au genou, mais la déformation ne se résout pas absolument au
pied
, où quelques obstacles, probablement de nature
DELAHAYE Q LECNOSNIFR, ÉDITEURS UN TYPE DE PARALYSIE AGITANTE. 41
pieds
relevés sur les barreaux d'une chaise, tournant v
is par la main droite, il le souleva; et aussitôt ses jambes et ses
pieds
s'affermirent. « Et s'élançant, il se tint debo
perclus des jambes. Raphaël nous montre un rachitique dont les deux
pieds
sont contrefaits; Le Poussin a pris pour modèle
Le Poussin a pris pour modèle un homme atteint de contracture du
pied
droit. Le malade mis en scène par Albert Dürer ap
uraient masquer leur état d'ex- trême maigreur ni la déformation du
pied
gauche qu'on voit dans l'ombre déjeté en dehors
l : 10 janvier 1884. -- Dans la station debout, Seltz... écarte les
pieds
et élargit sa base de sustentation. Néanmoins, il
uellement et le malade se porte tour à tour du talon sur la pointe du
pied
et vice versa. Si les deux pieds sont rapproché
ur à tour du talon sur la pointe du pied et vice versa. Si les deux
pieds
sont rapprochés, l'oscillation augmente; elle a
apporte. Cependant, malgré cette titubation, il ne se prend pas les
pieds
l'nn dans l'autre, et il nous dit qu'il lui arriv
peu près complètement. ' Si, alors, on lui dit de toucher avec son
pied
notre main tenue à 40 ou 50 cen- timètres au-de
ent ce but, mais ses mouve- ments sont saccadés, incertains, et son
pied
décrit une série de festons de droite à gauche
aucune contracture, pas de rigidité musculaire, pas de phénomène du
pied
. - Le malade n'a jamais eu de douleurs ressembl
peu en haut. NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. I. PL. X DÉFORMATION DES
PIEDS
DANS LA MALADIE DE FRIEDREICH LECR06NIFH ET BAB
ent de la tête. Dans la station debout, elle écarte notablement les
pieds
, néanmoins elle ne peut garder complètement le
oscillations, se portant alternativement du talon sur la pointe des
pieds
et réciproquement; en même temps, les orteils s
nte. Membres inférieurs. - Au repos on constate une déformation des
pieds
en varus-équin, surtout équin, beaucoup plus pr
e est extrêmement excavée. Le cou-de-pied esl très sail- lant et le
pied
légèrement renversé sur son bord interne. Lorsq
d'une canne. 11 existe alors une incoordination très manifeste, les
pieds
sont projetés de côté, et le talon frappe viole
i ferme les yeux; du reste dans cette situa- tion, même lorsque les
pieds
sont écartés, elle tomberait si on n'avait soin
on dans laquelle on place ses membres supérieurs et inférieurs. Les
pieds
présentent une légère exagération de la voûte p
peu au-dessus du genou, circulairement, elle envahit la jambe et le
pied
dans leur totalité (fig. 22, 23). Le réflexe ph
n homme ivre ». A l'âge de quatorze ans, il s'aperçut aussi que ses
pieds
se déformaient, la saillie physiologique de la
t leurs divers muscles offrent une force de résistance normale; les
pieds
toutefois ontun aspect tout particu- lier qui s
figure 24, comparée à la figure 28, repré- sentant l'empreinte d'un
pied
, normalement conformé. Lorsque le malade est de
ui imprime des mouvements latéraux ou antéro-postérieurs on voit le
pied
s'a- giter, indépendamment des mouvements commu
aciques et abdominaux paraissent sains. p FIG. 2t. - Empreinte du
pied
d'Aub, (Obs, IV) (Réduct. 2/3). 5S NOUVELLE CON
out, on remarque qu'il écarte lar. gement les jambes, la pointe des
pieds
étant portée en dehors ; le corps tout entier e
Vient-on à lui fermer les yeux, Aub... oscille alors sur sa base, les
pieds
se lèvent et il tomberait infailliblement sur l
te : sa démarche rappelle celle d'un homme ivre. Il fixe toujours ses
pieds
quand il marche et il lui est impossible de mar
est assis on lui dit de lever une jambe en l'air, on remarque que le
pied
est agité de légères oscillations dans tous les
s lorsqu'on commande au malade d'aller' toucher avec l'extrémité du
pied
un objet placé un peu haut. L'intelligence es
é assez prononcé d'équinisme surtout accusé à gauche où le creux du
pied
est extrêmement accentué. Dès que l'on engage la
ement, par exemple à atteindre la main qu'on lui présente; avec son
pied
, on observe une incoordination très manifeste, et
re les caractères typiques de la démarche ataxique : projection des
pieds
, frappement du talon, etc. La station debout, les
uns relatifs en particu- lier à la scoliose et à la déformation des
pieds
, notre attention étant d'en faire bientôt une é
i; comme dans la sclérose en plaques la démarche est titubante, les
pieds
de même nom passant alternativement des deux cô
ine l'empreinte laissée sur le sol ou le papier d'expérience par un
pied
normalement conformé (fig. 28), on remarque qu'
acés et particuliè- rement la figure 24 représentant l'empreinte du
pied
d'Aub... avecl'empreinte normale, et l'on const
rollaire presque obligé est l'exagération de la cambrure normale du
pied
. C'est qu'en effet, ainsi que le montrent les e
d. C'est qu'en effet, ainsi que le montrent les em- preintes, les
pieds
des malades atteints de la mala- die de Friedre
ury i. Files se caractérisent (pl. 10) par une cambrure exagérée du
pied
, une saillie anor- male, du, tarse en dos d'âne
tre sous la dépendance d'altérations dans la charpente osseuse du
pied
. En effet, cette cambrure exagérée se corrige s
ataxie locomotrice vraie, on pensera peut-être qu'il s'agit la d'un
pied
bol tabétique ou tout au moins d'un succédané d
ant, ainsi que l'enseigne M. Charcot, et l'empreinte laissée par un
pied
tabétique suffirait à elle seule pour écarter t
Charcot et Féré. Note sur les altérations osseuses et articulaires du
pied
chez les ta6- tiques. Archives de neurologie, 1
me dans la plupart des cas que nous avons relatés, consiste dans un
pied
bot équin, si l'on fléchit tout d'un coup le pi
consiste dans un pied bot équin, si l'on fléchit tout d'un coup le
pied
avec une certaine violence, on sent et on entend
malade prend la porte de la cave pour une autre porte et avance le
pied
droit; au lieu du sol qu'elle croyait rencontre
é comme la malléole externe peut l'être dans la flexion exagérée du
pied
en dedans. » 3° Le dernier mode de fracture de
9 octobre 1887, étant à la chasse, il veut sauter un fossé, mais le
pied
droit, seul, atteint l'autre bord, le pied gauche
sauter un fossé, mais le pied droit, seul, atteint l'autre bord, le
pied
gauche reste accro- ché par une broussaille et
lade retombe en arrière; le corps porte sur la jambe gauche dont le
pied
est fortement tourné en dedans en même temps qu
r très forte siégeant entre le gros orteil et le deuxième orteil du
pied
gauche : cette douleur est tellement intense qu
ie supérieure et externe de la jambe. Le malade ne peut mettre le
pied
gauche à terre, la moindre pression sur un poin
éprouvait un grand soulagement lorsque, étant couché, il tenait son
pied
demi fléchi sur la jambe, la plante appuyée con
jambe, la plante appuyée contre un plan résistant, pour maintenir le
pied
dans cette position. A la partie externe et sup
du deuxième; de là elle monte en s'élargissant un peu sur le dos du
pied
pour en occuper d'abord le tiers moyen, puis les
Le malade a une démarche caractéristique. Lorsqu'il veut-'porter le
pied
gauche en avant, il est obligé de lever la cuis
uche en avant, il est obligé de lever la cuisse très haut, sinon le
pied
traînerait à terre par la pointe. Lorsque la ja
par la pointe. Lorsque la jambe est levée suffisamment, on voit le
pied
retomber inerte, la pointe tournée vers le sol.
ber inerte, la pointe tournée vers le sol. Quand le malade pose son
pied
à terre, la pointe et le bord externe touchent
lle du côté opposé. ' Mouvement. - Le malade ne peut communiquer au
pied
gauche aucun mouvement volontaire de flexion su
exion sur la jambe, ni aux orteils de mouvements d'extension sur le
pied
. Il lui est de môme impossible de relever le bo
de môme impossible de relever le bord externe ou le bord interne du
pied
, le talon restant à terre. Il n'offre aucune rési
ed, le talon restant à terre. Il n'offre aucune résistance : 1° si le
pied
étant fléchi sur la jambe, on cherche à l'étend
le pied étant fléchi sur la jambe, on cherche à l'étendre; 2° si le
pied
étant dans la rotation en dehors on cherche à l
en dedans et réciproquement; 3° si les orteils étant étendus sur le
pied
, on cherche à les fléchir. On peut donc dire qu
Au niveau de la zone d'anesthésie qui existait à la face dorsale du
pied
et à la face antéro-externe de la jambe, il n'exi
e la moitié interne de cette face antérieure, et le bord interne du
pied
. La zone d'innervation du nerf saphène interne
rgissant jusqu'au niveau de la partie moyenne de la face dorsale du
pied
où elle s'effile en une petite bande qui va occ
lo-cutané seul innerve une bandelette située sur la face dorsale du
pied
, allant jusqu'à la malléole externe et s'étendant
ieu du quatrième. Le reste de la face dorsale et le bord externe du
pied
sont innervés par le nerf saphène externe. Ex
lade de Weber conserva une paralysie incomplète des fléchisseurs du
pied
. Chez le malade de Brand, il persista quelque t
re au bout d'un an une paralysie complète des muscles extenseurs du
pied
et des péroniers latéraux. ' Chez le malade.de
ez son malade, des dou- leurs violentes et une anesthésie du dos du
pied
se montrer dès le début; mais à ces phénomènes
n caractère qui ne varie pas pour chaque segment du membre. Pour le
pied
, c'est l'équinisme, avec légère flexion des ortei
t aussitôt une défor- mation inverse de la précédente. Au lieu d'un
pied
équin, on aurait un pied talus, etc. M. Charcot
ion inverse de la précédente. Au lieu d'un pied équin, on aurait un
pied
talus, etc. M. Charcot est très affirmatif sur ce
AS DE MALADIE DE FRIEDREICII (Suite et fin). 1 Anatomiquement, le
pied
tabétique est caractérisé par une altération po
asement concomitant de la voûte plantaire. L'empreinte est celle du
pied
plat à son maximum de développement, la concavité
nt1. De tout cela il résulte, croyons-nous, que les déformations du
pied
- dans la maladie de Friedreich sont assez spéc
lévation exagérée d'une épaule, 1. Féré. Note sur un nouveau cas de
pied
tabétique. Revue de médecine, 1887. - Gilles de
miplégiques infantiles, avec atliétose, présentent une déformation du
pied
qui se rapproche assez particulièrement de cell
HIE DE LA SALPÊTRIÈRE. circulairement, elle' envahit la jambe et le
pied
dans leur totalité. » Nous n'ignorons pas que p
jambe oedé- matiée enveloppée d'une bande qui laisse à découvert le
pied
tuméfie et couvert d'ulcères. A l'extrémité o
ses jambes sont égale- ment malades; on peut distinguer en effet un
pied
enveloppé de bande- lettes. S'il nous fallait d
fesseur Damaschino, l'hôpital Laënnec, sept cas d'arthropathie du ,
pied
chez des ataxiques. Ce sont ces observations qui
examen microscopique de la moelle. Les manifestations tabétiques du
pied
étant relativement rares, nous avons cru intére
le genou, la hanche, l'épaule, etc., et aucun cas d'arthropathie du
pied
n'était signalé jusqu'en 1883, époque à laquell
squ'en 1883, époque à laquelle M. le professeur Charcot décrivit le
pied
tabétique. « Presque toutes les observations publ
analogues portant sur les os courts et les petites articulations du
pied
. C'est sur un groupe de faits de ce genre que n
remier exemple de cette affection... « Ces lésions symétriques du
pied
, se présentant en dehors de toute autre cause c
qui nous parut provisoirement désignée suffisamment sous le nom de
pied
tabétique... Il peut, comme on le voit, se présen
r, dans le cours de l'ataxie locomotrice, une affection complexe du
pied
, dans laquelle les os et les articulations sont
oposons de désigner, pour plus de commodité, par la dénomination de
pied
tabé- tique, mérite de fixer l'attention, car,
uvera dans le mémoire de MM. Charcot et Féré cinq observa- tions de
pied
tabétique. Nous avons cru devoir insister sur c
En 188, M. Boyer fit paraître dans la Revue de médecine un cas de
pied
tabétique. M. Chauffard, en 1885, présenta il l
, présenta il la Société médicale des hôpitaux un malade atteint de
pied
tabétique. Cette communication résumait DES .IR
mmunication résumait DES .IR'rlll;0h,1'CIIII;S 'C.1B1 : 'l'IQUCS DU
PIED
. 135- alors d'une façon très précise et très co
consacré toute une leçon it l'étude des arthropathies tabétiques du
pied
. En 1880, M. Troisier présenta à la même Sociét
du pied. En 1880, M. Troisier présenta à la même Société un cas de
pied
tabétique double à la première période du tabes
La même année, à la Société médicale des hôpitaux, parut un cas de
pied
tabétique observé par M. Féréol. En 1887, à la
ernhardt présenta un malade tabétique atteint d'une arthropathie du
pied
gauche. La même année, le docteur Czerny publ
d chez un ataxique. II Symptômes. En général, l'arthropathie du
pied
, comme celle des autres parties du squelette, d
1111. Joffroy et Bail ne sont pas relatives à des arthropathies du
pied
; mais on peut admettre, par analogie, que les m
nes se passent' au niveau des grandes articulations et au niveau du
pied
. Ce début si fréquent de l'arthropatllie dans u
et lui oppose une certaine résistance. La tuméfaction dorsale du
pied
augmente peu à peu; elle est uni- forme, et ne
t une saillie angulaire portant seulement sur la surface dorsale du
pied
, et prédominant plus ou moins sur le bord inter
orsale du pied, et prédominant plus ou moins sur le bord interne du
pied
. Il y a alors une déviation apparente, parfois tr
puisse avoir envahi une plus ou moins grande partie du squelette du
pied
, et donner lieu par conséquent il des déformati
oles, avec hypertrophie de la mal- léole externe : la dissection du
pied
nous permit de voir que non seulement le péroné
ssi le calcanéum étaient profondément altéras. Le bord interne du
pied
est très épaissi ; il est abaissé. Cet épaissis-
U PIED. 137 près complet de la voûte plantaire, qui donne lieu à un
pied
plat. L'existence de ce pied plat, facile à rec
a voûte plantaire, qui donne lieu à un pied plat. L'existence de ce
pied
plat, facile à reconnaître à la vue, peut aussi
trée sur le papier par la méthode des empreintes'. L'em- preinle du
pied
plat est toute particulière. Grâce à cette méthod
montré M. Gilles de la Tourette, les modifications profondes'que le
pied
arthropalhique entraîne, par le fait t même de
ôté de son écartement latéral et de son angle d'ouverture; l'axe du
pied
, chez ces malades, est sensiblement paral- lèle
hez l'homme sain. Il serait, croyons-nous, inexact d'avancer que le
pied
plat se ren- contre toujours dans le pied tabét
inexact d'avancer que le pied plat se ren- contre toujours dans le
pied
tabétique. Sur ce point, nous ne parta- geons p
geons pas l'avis des auteurs qui se sont occupés de la question. Le
pied
plat peut faire complètement défaut, alors que l'
ier; elle parait même un peu exagérée, de sorte que l'empreinte des
pieds
est normale. » MM. Charcot et Féré ont, du rest
est avec raison que M. Troisier propose d'admettre deux variétés de
pied
tabétique, l'une avec effacement, l'autre avec co
pendant la marche3. Lorsque l'arthropathie n'a pas donné lieu à un
pied
plat, la voûte plantaire est exagérée, et ce pi
s donné lieu à un pied plat, la voûte plantaire est exagérée, et ce
pied
, avec sa forte convexité dorsale, peut être com
vec sa forte convexité dorsale, peut être comparé très justement au
pied
chinois. ' M. Chauffard a également insisté sur
s. ' M. Chauffard a également insisté sur l'empreinte donnée par un
pied
frappé d'arthropathie. Le pied est, en général,
nsisté sur l'empreinte donnée par un pied frappé d'arthropathie. Le
pied
est, en général, diminué de longueur. Les mallé
La pression exercée sur le tarse, ou les mouvements exécutés par le
pied
, ne sont en général pas douloureux : il existe pe
ulation, ils sont diminués, et peuvent, même, être impossibles : le
pied
, dans sa totalité, est anky- losé. Ces change
nky- losé. Ces changement si importants qui se passent du côté du
pied
donnent lieu il des troubles plus ou moins marq
tion est très développée, le malade ne peut plus se reposer sur son
pied
arthropathique et, il est obligé de se ser- vir
nsibilité il la piqûre et au froid est, généralement abolie dans le
pied
, mais d'une façon particulière. La région dorsale
e dans le pied, mais d'une façon particulière. La région dorsale du
pied
est complètement insensible, tandis que la face
e. Notons que ces troubles de scn- sibilité ne sont pas spéciaux au
pied
atteint d'arlhropathie, mais qu'ils existent so
lhropathie, mais qu'ils existent souvent aussi au niveau de l'autre
pied
sur lequel il est impossible de trouver la plus
etite lésion osseuse ou articu- laire. Dans les artllropathies du
pied
, le siège des lésions est presque tou- jours le
t nous en citons un cas, Ors. III) l'arthropathie peut ne siéger au
pied
qu'au niveau d'un orteil. Chez noire malade, on
il. Chez noire malade, on ne trouvait aucune autre arthrophathie du
pied
que celle du deuxième orteil. Celle artliropa
èrement sur le sol, et est déformée, aplatie, ce que l'empreinte du
pied
montre d'une façon très nette. Dans une autre o
flexion. En résumé, on peut classer les arthropathies labétiques du
pied
de la façon suivante : 1° Arthropathies libio
; 3° Arthropathies des orteils; 4° Arthropathies généralisées du
pied
. Dans cette dernière forme, les différentes par
Dans cette dernière forme, les différentes parties du squelette du
pied
sont atteintes il des degrés divers. OUS. 1.
qui se produisent dans les mouvcmcnts de flexion et d'extension du
pied
. L'articulation est augmentée de volume, elle e
it développée dans le membre inférieur gauche. Examen anatomique du
pied
. - L'extrémité inférieure du tibia ne pré- sent
a lésion est moins avancée que sur le calcanéum. ' Les autres os du
pied
ne présentent rien d'anormal, sauf le premier mé-
si gêner les mouve- ments. Ainsi, quand la déviation a porté sur le
pied
, lorsque celui-ci a été redressé, on voit persi
lorsque le malade commence à marcher, de provoquer des douleurs; le
pied
ne peut reposer' entièrement sur la plante, à c
et aussi delà raideur périarticulair,e. En même temps, la plante du
pied
demeure encore creusée, ridée, et ne peut être
ulté qu'éprouve le malade à s'appuyer complètement sur la plante du
pied
. Il est inutile d'ajouter que la flexion des or
tions. Pour arriver à rendre aux articulations, surtout à celles du
pied
et du genou, toute lenr souplesse, deux facteur
pénible et douloureuse provoque une congestion avec gonflement des
pieds
et des jambes, qui deviennent rouges et chauds;
loureuse diminue, les arti- culations s'assouplissent, la plante du
pied
s'aplanit, sauf sur le bord interne qui est le
ntement, par une traction douce, les orteils ainsi que la plante du
pied
, et à mobiliser les articulations dans tous les
ste la guérison définitive. Tout ce que nous avons dit à propos des
pieds
ou des genoux qui z ont servi de type à noire d
voit se développer du côté des articulations tibio-tarsiennes (les
pieds
n'ayant pas été pris dans l'appareil), et surto
moment, les genoux étaient assez mobiles; l'articulation du cou-de-
pied
au contraire présentait une grande raideur, le mo
mobilité revint petit à petit; au bout d'un mois, la malade mit le
pied
à terre; les articulations devinrent plus soupl
ieurs de la jambe. -- La rétraction musculaire avec déformation des
pieds
avait pour caractère particulier de différer un
de différer un peu de celle produite par l'alcoo- lisme du côté des
pieds
, ou par la pachyméningite du côté des genoux. L
r obtenir le résultat voulu et le rétablissement de la fonction des
pieds
, sans avoir recours au sommeil anesthésique et
qu'apparut subitement la conll;2clure Iles jambe* immobilisant les
pieds
dans l'altitude de l'équinisme. Celle contracture
cture per- sista jusqu'en janvier 1887. Quand elle eut disparu, les
pieds
reslcrenl en équinisme, mainlenus par une rigid
rigidité persistante des muscles 2. Le 4 mars 1887, ou constate aux
pieds
les défol'l11aliolls suivantes : les pieds fort
rs 1887, ou constate aux pieds les défol'l11aliolls suivantes : les
pieds
fortement fléchis forment avec l'axe de la jambe
his forment avec l'axe de la jambe un allgle 1 l'ès obtus, l'axe du
pied
étant presque sur la môme ligne que celui de la j
tant presque sur la môme ligne que celui de la jambe. Sur le dos du
pied
existe une tuméfaction arrondie, formée par la po
jalienne soulevant les tendons des muscles extenseurs. La plante du
pied
est très fortement excavéc. Tous les orteils so
fléchie et en môme temps légèrement déviée vers le bord externe du
pied
. Les mouvements spontanés sont très limités. La
du pied. Les mouvements spontanés sont très limités. La flexion du
pied
sur la jambe est presque complètement abolie. C
ts que la malade peut relever de quelques degrés la face dorsale du
pied
. Le mouvement d'extension des orteils est peu p
nt une crépitation très nette pendant les mouvements communiqués au
pied
. A quelques centimètres au-dessus du talon, les
x, le tendon d'Achille forme une corde résistante. Sur la plante du
pied
, près du bord interne, on sent une corde saillant
eil. Toutes les déformations précédentes sont identiques sur chaque
pied
. Les muscles réagissent facilement sous l'influ
ille. Quelques craquements se produisent au moment où on ramène les
pieds
à peu près à l'angle droit. Un appareil ouaté l
nsement ouaté pour appliquer un appareil plâtré. Le redressement du
pied
est très douloureux : sueurs, lipothymie, vomis
L'appareil plâtré est enlevé. La malade peut fléchir et étendre les
pieds
. Mais les orteils sont toujours dans une position
i. Section du tendon du long fléchisseur du gros orteil (sur chaque
pied
). Malgré cette section, la deuxième phalange ne s
est devenue de plus en plus facile, elle s'exécute sur la plante du
pied
devenue normale, les orteils étant suffisamment a
ons. Cette observation démontre nettement que l'immo- bilisation du
pied
en équinisme, produite primitivement par une con-
les deux jambes sont atteintes de contractures qui immobilisent les
pieds
dans la position de l'équinisme. Les membres supé
rès lui une rétraction des muscles ' postérieurs qui immobilise les
pieds
dans l'équinisme. Au mois de juin 1887, elle vi
A ce moment on constate les déformations suivantes (pl. v) : Les
pieds
sont dans la position de l'équinisme le plus comp
de sentir le tendon d'Achille fortement tendu. Les mouvements des
pieds
sont très limités. Avec de grands efforts, la m
és. Avec de grands efforts, la malade arrive à porter la pointe des
pieds
en dedans et en dehors. Mais les mouvements de
13 juillet 1887. - Section sous-cutanée des tendons d'Achille. Les
pieds
sont maintenus, à peu près à angle droit, dans
pendant huit jours. 22 juillet. Appareil plâtré immobilisant les
pieds
il angle droit. 28 août. - Les appareils plâtré
-tarsienne sont intégralement rétablis. Néanmoins, l'attitude des
pieds
n'est pas tout à fait normale; ainsi, le pied g
oins, l'attitude des pieds n'est pas tout à fait normale; ainsi, le
pied
gauche est légèrement dévié en dedans. Les orte
état de ses jambes en avril 1885 était suivant (pl.1VII) : Les deux
pieds
sont fortement contractures en équinisme. Elle ne
SALPÊTRIÈRE. quelques pas. La marche esl surtout difficile, car les
pieds
ne reposent sur le sol qu'au niveau des orteils
l'articulation tibio-tarsienne. Quinze jours après la section, les
pieds
sont maintenus dans la flexion, aussi complète
i, elle commence à marcher dans la salle, soutenue par un aide. Les
pieds
se redressent rapidement et, malgré la douleur et
es mou- vements de l'articulation. Après la section tendineuse, les
pieds
furent ra- menés dans la position normale. Mais
vita- lité grâce au massage et à l'électricité ; mais, à droite, le
pied
resta dans un équinisme très marqué et empêchan
d'Achille, manifestement trop courts, s'opposent au redressement du
pied
et à la flexion. L'articulation tibia-tarsienne
1 cr octobre 1887, je fais la section du tendon d'Achille et mets le
pied
autant que possible dans la flexion, mais incom
le pied autant que possible dans la flexion, mais incomplète. Le
pied
est entouré de ouate et maintenu avec des bandes.
Après huit jours, j'applique une gouttière plâtrée qui maintient le
pied
dans la flexion presque complète. L'appareil
ète. L'appareil reste en place pendant quarante jours. Après que le
pied
est sorti de l'appareil, la jeune fille s'exerc
orti de l'appareil, la jeune fille s'exerce à la marche; la pointe du
pied
porte seule sur le sol au début, mais avec des
ux, sans secousses, ni brusquerie. Quand on lui fait rapprocher les
pieds
, à ces balancements s'ajoutent de véritables se-
Le dos est courbé en avant; le regard est fixé invariablement sur les
pieds
. Le bras droit est écarté du tronc : il est arm
xique). Si le malade vient à déplacer un instant ses regards de ses
pieds
, soit qu'il ferme les yeux, soit qu'il regarde le
le est très peu étendue, et se fait avec une cer- taine lenteur. Le
pied
retombe sur le plancher en le frappant du talon,
e que statique. Le ma- lade peut bien fléchir, étendre la jambe, le
pied
, la cuisse, et diriger le membre dans tous les
seurs de la jambe; 2° fléchisseurs de la cuisse; 3° fléchisseurs du
pied
et extenseurs des orteils ; 4° extenseurs de la j
t agité : il remue conti- nuellement soit ses bras, ses jambes, ses
pieds
. Ces mouvements, qui n'ont rien de convulsif, s
assée, traînante ressemblant un peu à celle des gens avinés. ' Le
pied
est déformé. Le malade ne peut nous renseigner su
déformation. Elle se caractérise par l'excavation de la plante des
pieds
, surtout vers le bord interne; saillie sous-métat
long péronier se tendent énergiquement. L'empreinte est celle du «
pied
creux ». Il n'y a pas d'exagération dans l'exte
de sensibilité, c'est d'une sensation particulière à la plante des
pieds
, et pendant la marche, il lui semble, dit-il, q
arche sur du sable, sur du coton, que le terrain s'enfonce sous ses
pieds
. Si on recherche la douleur en la provo- quant,
point circonscrit du mollet, il accuse l'impression à la plante du
pied
. Il en est de même pour beaucoup d'autres point
71 firme assis à terre et qui étale au grand jour ses jambes et ses
pieds
contrefaits. Saint Pierre, d'un geste qui signi
us devons faire quelques réserves, c'est sur les déforma- tions des
pieds
. Les orteils du membre gauche sont étrangement
pieds. Les orteils du membre gauche sont étrangement tordus, et le
pied
droit a subi une sorte de torsion sur son axe qui
on sur son axe qui nous semble devoir s'expliquer difficilement. Le
pied
nous montre sa face plantaire, pendant que la j
ne lumière, n'a pas, de parti pris, atténué les déformations que le
pied
qui la termine ferait supposer beaucoup plus ac
f ans et demi, en sortant du collège, il ne mesurait pas moins de 5
pieds
8 pouces; de dix-sept à dix-huit ans il avait g
a encore gagné 3 pouces; depuis cette époque, en effet, il mesure 5
pieds
11 pouces. Le malade était d'une bonne santé et
it un peu plus de difficulté à mettre ses gants. L'hypertrophie des
pieds
se serait montrée à peu près en même temps que
LIE. 170 Longueur du tibia en ligne droite 442 millimètres. 1 Les
pieds
sont volumineux, leur hypertrophie- présente les
du petit orteil, 75 millimètres. = n ' Le second orteil, surtout au
pied
gauche, est un des plus hypertrophiés. Ici enco
ont pas devenus trop étroits, il semble donc que l'hypertrophie des
pieds
soit restée station- naire depuis ce laps de te
taché aucune importance à l'augmentation de volume des mains et des
pieds
, non plus qu'à celle de la face, et quant à la dé
tés chez notre malade par certains troubles dans la circulation des
pieds
. Les orteils, surtout du côté de la plante, sont
la plante, sauf à la partie excavée; elle est peu marquée au dos du
pied
. Elle augmente beaucoup quand le malade se met
'est alors qu'elle est manifeste partout, même à la face dorsale du
pied
. En outre, les pieds de notre malade sont toujour
st manifeste partout, même à la face dorsale du pied. En outre, les
pieds
de notre malade sont toujours froids, d'après c
n effet, je l'ai exa- miné en plein été et j'ai toujours trouvé ses
pieds
glacés, même quand il venait de faire une cours
près constante dans la maladie de Friedreich, comment expliquer ce
pied
bot spécial qui tient certainement à une déséquil
n tout cas, il m'a paru curieux et intéressant de les relever. Le
pied
bot diffère chez notre malade du type qu'a si bie
bservée. Ces deux faits ainsi pré- sentés prouvent peut-être que le
pied
bot de la maladie de Friedreich n'est pas un en
s n'est que la conséquence de l'équi- nisme, et de l'incurvation du
pied
; mais, voici l'incurvation et l'équi- nisme, et
réciable. Fait important, car il prouve peut-être à lui seul que le
pied
bot de la maladie de Friedreich est un pied bot
-être à lui seul que le pied bot de la maladie de Friedreich est un
pied
bot de contracture. Comment, en effet, expliquer
des orteils qui ne tient pas à l'équinisme ni à l'in- curvation du
pied
? En dehors de la contracture, il n'y aurait, je
me borne à la présenter pour faire valoir la forme particulière du
pied
bot que j'ai trouvé chez mon malade. Mais je
uses, je signale la sensation de sable, de coton sous la plante des
pieds
pendant la marche. C'est là un fait très rare dan
bles de la circulation vasomotrice que j'ai constatés au niveau des
pieds
de mon malade. Ces phénomènes n'ontpas été, que
omplet. J'ai noté la coloration vio- lacée et le refroidissement du
pied
. Il y a des observations où seule- ment le refr
pied. Il y a des observations où seule- ment le refroidissement du
pied
est constaté. Daus la plupart des cas, à la col
te et fin') OBS : II. - Ataxie locomotrice, arthropathie double des
pieds
. Arthro- pathie d'un orteil. Il s'agit d'un m
otrice, signe de Romberg, (roubles de la sensibilité, etc. Ses deux
pieds
sont déformés, principalement le pied droits. 11
a sensibilité, etc. Ses deux pieds sont déformés, principalement le
pied
droits. 11 existe au niveau de la région dorsal
alement le pied droits. 11 existe au niveau de la région dorsale du
pied
droit, une saillie surtout marquée au niveau de
des os du tarse. Même saillie un peu moins marquée à gauche. Les
pieds
semblent être tassés d'avant en arrière, et la vo
la voûte du tarse est conservée, de telle sorte que l'empreinte des
pieds
est normale. La pression n'est pas douloureuse.
inte des pieds est normale. La pression n'est pas douloureuse. Le
pied
droit présente un certain degré de varus quand le
e le laisse aller dans la résolution complète. La mensuration des
pieds
donne les résultats suivants. DES ARTHROPATHIES
térieure est sensible. Insensibilité absolue de la face dorsale des
pieds
; conservation de la sen- sibilité à la face pla
la sen- sibilité. Ons. IV. - Ataxie locomotrice. Arthropathie du
pied
droit. Le nommé S...., Pierre, âgé de cinquante
Depuis quatre ans, sa vue a beaucoup faibli. Il y a mal perforant au
pied
droit. A sa sortie de l'hôpital, le malade reco
de tout le membre inférieur droit, remontant jusqu'au genou, et le
pied
commença il se déformer. La dou- leur existait
e tumeur blanche. C'est à partir de cette époque que les orteils du
pied
droit subirent aussi de notables déformations.
e. La sensibilité est diminuée partout, principalement au niveau du
pied
droit, où le malade perçoit à peine les piqûres
u-dessus des malléoles et s'étendant sur toute la face dor- sale du
pied
. Les recherches de la sensibilité au, froid donne
n tihio-tarsienne sont très diminués; les mouvements de 'flexion du
pied
en dedans sont à peu près nuls. Tous les orteil
sa face interne regarde en bas, et que, dans la station debout, le
pied
repose en partie sur la face inférieure de l'orte
métatarsien gauche. Quelque temps après, tout le bord interne du
pied
gauche s'est tuméfié. Abolition des réflexes ro
ition des réflexes rotuliens. Aujourd'hui on constate, au niveau du
pied
gauche, une tuméfaction siégeant principalement
rieure présente 5 cenlimètres et demi de hauteur, tandis que sur le
pied
droit, la mensuration de la tête du premier mét
étruits et laissent l'os à nu. Dans les arlhropalhies tabétiques du
pied
ce- sont les os qui pré- sentent les lésions le
dé- formation, un épaississement ou une usure des différents os du
pied
. Ils ont généralement un aspect spongieux, une
extrémités inférieures du tibia et du péronné, tout le squelette du
pied
, présentent des troubles destructifs que la défor
C'est ainsi que sur le malade de l'observation I, la déformation du
pied
était loin d'être en rapport avec les lésions art
ns trouvées à l'autopsie. Nous résumons ici la première autopsie de
pied
tabétique, publiée par MM. Charcot et Féré. C
étique des deux genoux, le second à une arthropathie du genou et du
pied
gauches : dans ces deux faits, à la région lomb
quelques affections qui peuvent simuler l'arthropathie labétique du
pied
. Le rhumatisme articulaire aigu présentera de l
opathie tabétique. A côté dupiedtabétique, M. Joffroyi a signalé le
pied
bot tabétique. Ce n'est pas un pied bot osseux,
tique, M. Joffroyi a signalé le pied bot tabétique. Ce n'est pas un
pied
bot osseux, car les lésions articulaires sont n
ar les lésions articulaires sont nulles ou insignifiantes; c'est un
pied
bot musculaire. Dans le tabes, en effet, les mu
ne sont plus pour les articulations que des ligaments relâchés. Le
pied
se trouve livré à son propre poids ou aux forces
et amaigris; ou obtient très facilement le ballottement latéral du
pied
. Nous terminerons le diagnostic par ces quelque
réalité le diagnostic ne laisse pas d'être très délicat... 1. Du
pied
bot tabétique, Société médicale de ? hôpitaux, 13
athies labétiques en général ; il ne parle pas des arthropathies du
pied
qui n'étaient pas connues à cette époque. DES A
, par ce mot, que la vie de l'individu. L'arthropathie tabétique du
pied
ne menace pas directement le malade. - Mais i
éri- sent déjà l'ataxie locomotrice. De plus, une arthropathie du
pied
, qui forcera le malade à ne plus sortir de son
ion. Si l'ankylose a de la tendance à se faire, il faudra placer le
pied
dans une bonne situation, et appliquer un appar
ion sus-mal léolaire chez un ataxique atteint d'une arthropathie du
pied
: il n'avait pu redresser l'ankylose. Le malade
isypèle. Il nous semble bien bizarre de pratiquer une amputation du
pied
chez un malade « dont la faiblesse des jambes e
voit pas l'usage qu'un ataxique, à cette période, eût pu faire d'un
pied
artificiel. Czerny conseille l'arthrotomie ou l
arche, involontairement projetée en avant d'une façon excessive, le
pied
droit retombait lourdement et faisait en louchant
lourdement et faisait en louchant le sol plus de bruit que l'autre
pied
. Ce phénomène, cette espèce d'ataxie aurait dis
sensiblement au même niveau. Mais la longueur res- pective des deux
pieds
diffère notablement. Pour le droit 0,23 cent., po
sur le rachis, l'autre baignant dans de l'eau salée où plongeait le
pied
droit du malade. Courant maintenu à 12 milliamp
1878. A cette époque, il tombe d'une hauteur de 12 mètres, sur les
pieds
, et se fracture le rachis dans la région dorso-
he, principalement à la cuisse, et plus encore à la face dorsale du
pied
. Cette douleur, plus fréquente par les temps humi
ongé. Crampes fréquentes dans les deux jambes, mais surtout dans le
pied
gauche. Le sujet n'a pas cessé de boiter, cette
térieure de la jambe droite est toutefois assez sensible. Enfin les
pieds
sont presque complètement anes- thésiés : à la
as, il y a constamment sensation de froid aux jambes et surtout aux
pieds
; ce phé- nomène semble être exclusivement subje
. En novembre 1887, il travailla pendant une- huitaine de jours les
pieds
dans l'eau glacée. Ceux-ci, dès les premiers jo
leur sensibilité, devinrent d'un ^blanc mat, sauf le gros orteil du
pied
droit qui était vio- lacé, desquamèrent, et bie
quamèrent, et bientôt des ulcérations apparurent sur les orteils du
pied
droit. Le malade entra le 6 décembre à l'hôpital
Château-Thierry le 28 mars dernier. Depuis ce temps, les lésions du
pied
droit, et particulièrement le durillon du talon a
appui. Le malade attire immédiatement l'attention sur l'état de ses
pieds
, et surtout de son pied droit. Celui-ci a une c
mmédiatement l'attention sur l'état de ses pieds, et surtout de son
pied
droit. Celui-ci a une coloration normale; cependa
teils, notamment auprès de l'ulcération du premier orteil. Quant au
pied
gauche, il ne présente pas de plaie ni de cicat
vers duril- lons, même le dernier, auraient à l'inverse de celui du
pied
droit, préexisté à la gelure, et même à la chut
chute ? 2° Les divers troubles trophiques que l'on trouve aux deux
pieds
, principalement au pied droit, sont survenus à
oubles trophiques que l'on trouve aux deux pieds, principalement au
pied
droit, sont survenus à la suite d'un refroi- di
rtain temps, une tendance à la paralysie vasomotrice de la peau des
pieds
. 3° Que penser des accidents épileptiformes pré
demi et son diamètre de 2 centimètres et demi. La longueur totale du
pied
est de 30 centimètres et son diamètre au niveau
ni les personnes de la famille ne la reconnurent. État actuel. Les
pieds
sont volumineux, ainsi que les orteils; quoique
ont cependant conservé leur forme; il n'y a aucune déformation des
pieds
dans le sens propre du mot, seulement ceux-ci s
lement ceux-ci semblent être ceux d'un colosse. La circonférence du
pied
au niveau de la tête des métacarpiens est de 29
232 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. La forme générale du
pied
est conservée; le pied n'est pas plat. Le cin-
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. La forme générale du pied est conservée; le
pied
n'est pas plat. Le cin- quième orteil se trouve
s'aperçut que sa taille avait grossi. Rien encore aux mains et aux
pieds
. A l'âge de trente ans elle commença à souffrir
é aussi considérablement. C'est à celte époque que ses mains et ses
pieds
commencèrent à grossir progres- sivement. Il fa
re n° 37, et aujourd'hui il lui faudrait environ 48 ou 50. Les deux
pieds
sont considérablement augmentés de volume, les
ollets ont considérablement diminué de volume. : . Sur le dos des
pieds
et la face antéro-externe de la jambe se- trouven
ditif externe, 13.6. Diamètre bi-auriculaire, 13.7. Longueur du
pied
gauche, 22.6. Longueur du pied droit, 24. Dia
bi-auriculaire, 13.7. Longueur du pied gauche, 22.6. Longueur du
pied
droit, 24. Diamètre transversal au niveau de la
Circonférence au même niveau, 26. Hauteur au milieu de la plante du
pied
droit, 5.8 ; gauche, 5.8. Circonférence du gros
e, à quatre lieues de Lunéville, âgé de trente-neuf ans, haut de cinq
pieds
deux à trois pouces, d'une stature grêle et min
ent même en quelques endroits déborder les unes sur les autres; les
pieds
et les mains peuvent être comparés, relativement
trumeuses. Depuis l'âge de quinze ans, augmentation progressive des
pieds
et des mains. A vingt ans, soldat pendant sept
che, fine, atémique, sans oedème. Comme contraste, les mains et les
pieds
sont phénoménaux; la forme de ces extrémités n'
; il faut un certain effort pour soulever les mains et surtout les
pieds
; y a-t-il de l'affaiblissement musculaire ou est-
ouvient que, quand il était militaire, il avait un peu moins de six
pieds
. Son dos était alors parfaitement droit. Le poids
loureuses, particulière- ' ment les genoux cet été, mais jamais les
pieds
n'ont été notablement dou- loureux. Dans le tem
ations douloureuses survint l'augmentation de volume des mains, des
pieds
, des oreilles, des lèvres et même de toute la t
és. Au premier coup d'oeil, augmentation de la tête, des mains, des
pieds
, faisant un contraste frappant avec- le peu de
es et les bras sont d'une maigreur qui contraste avec le volume des
pieds
et des mains. Les genoux sont notablement épais e
quelle on représente fréquemment le diable au moyen âge. Au lieu de
pieds
humains, il lui a donné des pâlies d'oiseau pal
éral chez un), 22, 23. Friedreich (maladie de), déformation des
pieds
dans la -, 10; physionomie dans la - , 12; scol
Syphilitiques (les dans l'art), 50. Tabétique (arthropathie - du
pied
), 25, 26; coupe transversale de la moelle lomba
ongitudinale des cordons de Goll, 31, dans un cas d'arthropathie du
pied
. Trophiques (troubles dans les fractures de c
sthésie dans la - , 70, 71; écriture dans la , 25; em- preinte du
pied
dans la - 24; tracés de marche dans la -, 26, 2
, 81, 82. Péroné (zone d'anesthésie dans la fracture du), 37.
Pied
(empreinte du dans la maladie de Friedreich), 2
cromégalie, par Marie, 173, 229. Arthropathies (des - tabétiques du
pied
), par Pavlidès, 133, 198. Aveugles (les - dan
e optique; elles constituent la voie pédonculaire (VP), occupent le
pied
du pédoncule cérébral, abordent ensuite le rhom
TItIIEUR, INTERMÉDIAIRE ET MOYEN. CENTRE OVALE, CAPSULE INTERNE,
PIED
DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL. A. CENTRE OVALE A leur
l'angle externe du ventricule latéral, puis s'étrangle légèrement (
pied
cle la couronne rayonnante) (pCR) avant de se c
e, tandis qu'elles peuvent le respecter chez l'adulte. Au niveau du
pied
de la co2c- ronne rayonnante, chacun des segmen
agée. FiG. 4. - Le segment antérieur de la couronne rayonnante, son
pied
, ses deux couches sagittales et le faisceau occ
rps calleux. Cia, segment antérieur de la cap- sule interne. - pCR,
pied
du segment antérieur ou frontal de la couronne ra
grise sous-épendymaire (se), se concentrant à la partie interne du
pied
de la couronne rayonnante en un faisceau complexe
s cal- leuses, un faisceau horizontal dont les fibres traversent le
pied
de la couronne rayonnante et s'irradient (rOF)
s- versales. calleux (Fig. 8) ; en arrière du genou, au niveau du
pied
de la couronne rayonnante, les deux couches se
ig. et 6, OF + Pr), contournent la tète du noyau caudé, croisent le
pied
de la couronne rayonnante et entrent dans la ca
sous-lenticulaire de la capsule interne et leur continuation dans le
pied
du pédoncule cérébral. Coupe vertico-transversa
he commune au sillon collatéral et au troisième sillon temporal. - P,
pied
du pédon- cule cérébral. - Pa, circonvolution p
onvolution pariétale ascendante, - Parc, lobule paracentral. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - ]les, pédoncule céré
lenliculo- optique de la capsule interne (Fig. 7) et de là dans le
pied
du pédoncule cérébral (voy. coupe sagittale Fig
occipito-frontal qui se rendent dans le tapetum. Au voi- sinage du
pied
de la couronne rayonnante et dans la partie antér
efour ventriculaire. Fusion de ces deux couches au voisinage du
pied
do la cou- ronno rayonnante et leur continuat
lenticulaire (putamen). - Nie, noyau rouge. - P, étage inférieur ou
pied
du pédoncule céré- bral. - l'es, pédoncule céré
oche du genou de la capsule. Cet angle est de 25 à 30° au niveau du
pied
de la couronne rayonnante (pCR) (Fig. 17) et du
sant par la région de transition entre la cap- sule interne et le
pied
du segment supéiieur de la couronne rayonnant
l'a, circonvolution pariétale ascendante. - l'c, pli courbe. pCR,
pied
de la couronne rayonnante. po, scissure parie
volutions occipitales. - oa, sillon occipital antérieur. - pcn,
pied
de la couronne ]-;tyoillil Ille. - l'Ill, pulxi
région sous- thalamique de la capsule interne, au voisinage du
pied
du pédoncule céré- bral intéressant les seg-
ec la région sous-optique de Forel et en continuité directe avec le
pied
du pédoncule cérébral (P). Sur toutes les coupe
eur (Cip) et rétro-lenticulaire (Cisl) et la branche commune par le
pied
du pédoncule cérébral (P) (Fig. -17). La divi
a région thalamique de la capsule, la région sous- thalamique et le
pied
du pédoncule cérébral se continuent sans ligne de
t les limites de la région sous-optique de la capsule interne et du
pied
du pédoncule cérébral. Cia, segment antérieur;
re; Cisl, région sous-lenticulaire de la capsule interne. - pCR, le
pied
du segment antérieur ou frontal de la couronne
es sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante. - P,
pied
du pédoncule cérébral. - l'y, sa continuation dan
aspects de la capsule interne dans la région de transition entre le
pied
de la couronne rayonnante et la capsule interne
(2, 3, 4, : i); dans la région sous-thalamique (6, 7, 8) et dans le
pied
du pédoncule cérébral (9). La ligne poin- tillé
-lenticulaire de la capsule interne et formant la partie externe du
pied
du pédoncule cérébral. - Arc, noyau caudé. - NL
-frontal. - OpR, opercule rolandique. - ol, sillon collatéral. - par,
pied
de la couronne rayonnante. - pri, sillon prérol
G. 20. Coupe horizontale intéressant la région de transition entre le
pied
de la couronne rayonnante et la région thalamiq
doncule antérieur; l'pTIt, pédoncule postérieur du thalamus. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - Pr, fibres de proj
dire pas (Fig. 20). Ces coupes in- téressent en effet bien plus le
pied
de la couronne rayonnante que la cap- sule inte
e optique. - PaTh, pédoncule antérieur de la couche optique. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante. l'ul, pulvinar. - It
stérieur de la région sous-thala- mique et la partie interne du
pied
du pédoncule. s'adosse à l'extrémité antérieu
étale ascendante. - PaTh, pédon- cule antérieur du thalamus.] 'pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - prs, sillon pré-rola
capsule interne (Cip), et plus bas, le cinquième le plus interne du
pied
du pédoncule cérébral. Cette étude montre en outr
térieure du segment pos- térieur (Cip) et dans la partie interne du
pied
du pédoncule cérébral (Voy. cas Rivaut, Racle,
t le plan vertico-transversal de l'hémisphère el convergent vers le
pied
du pédoncule cérébral. Les fibres antérieures, ad
é en deux parties par la lame médullaire supplémentaire lnzi'. pC ?
pied
de la couronne rayonnante. - PiTh, pédoncule in
. - Les segments rétro et sous-lenticulaire de la capsule interne, le
pied
du pédoncule cérébral et le faisceau de Turck v
au lenticulaire (putamen). - NR, noyau rouge. - P, étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral. PTml, pédoncule du tuber
ent cette direction oblique, jusque dans les régions supérieures du
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 25). Il s'agit, en ef
ont l'autre se recourbe en bas et descend dans la partie externe du
pied
du pédoncule cérébral en formant le faisceau de T
udé au sommet du noyau lenticulaire, puis se coude et entre dans le
pied
du pédoncule cérébral. A un examen superficiel, c
u paraît venir du noyau caudé et représenter le contingent strié du
pied
du pédon- cule cérébral. En réalité, il s'agit
de nous l'a montré en 1893 que toutes les fibres longitudinales du
pied
du pédoncule cérébral sont d'origine corticale.
rétro-lenticulaire et sous-lenticulaire de la capsule interne et le
pied
du pédoncule cérébral vus sur une coupe vertico-t
les unes dans le thalamus et le noyau rouge, les autres dans la
pied
du pédoncule ecré- bral. Le segment rétro-
, sillon calloso-marginal. - C7 ! , couronne rayonnante. - pCR, son
pied
. - ds, diverticule du subiculum.- Fa, circonvolut
, partie de ce faisceau qui contient des fibres de projection. - P,
pied
du pédoncule cérébral. 11-I, deuxième circonvolut
s pallidus, les autres se continuent directement avec les fibres du
pied
du pédon- cule cérébral en formant la voie pédo
o-lenticulaire de la capsule interne n'envoie pas de fibres dans le
pied
du pédoncule cérébral; tributaire du lobe occipit
pes horizontales. Ce segment n'en- voie pas de fibres dans le
pied
du pé- doncule cérébral. Disposition ·bnc-
- thalamique et des- cend ensuite dans le cin- quième externe du
pied
du pédoncule cérébral, après s avoir abandonn
eaux dont l'un, faisceau de Tiirck (FT), forme la partie externe du
pied
du pédoncule cérébral, et dont l'autre faisceau
ante; le segment postérieur de la cap- sule interne au voisinage du
pied
du pédoncule cérébral et ses rapports dans la r
audé. - ""L3, NL2, les trois segments du noyau lenticulaire. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - PiTh, pédoncule infé
genouillés et intéressant la corne d'Ammon, le faisceau externe du
pied
du pédoncule cérébral et le noyau rouge. Méthode
mporal , et du segment inférieur de la couronne rayonnante jusqu'au
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 29 et 7). La couche i
, segment postérieur de la capsule interne au voisinage immédiat du
pied
du pédoncule cérébral. z Cisl, segment sous-len
suite de lésions de la première circon- volution temporale. C. -
PIED
DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL. VOIE PÉDONCULAIRE Le pie
temporale. C. - PIED DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL. VOIE PÉDONCULAIRE Le
pied
du pédoncule cérébral (P, Fig. 12, 25, 33, 34, 35
Les coupes horizontales du cerveau (T. ICI' p. 577), sectionnent le
pied
du pédoncule obliquement (Fig. 33) : La partie
acapsule interne, la partie postérieure, libre, appartient seule au
pied
du pédoncule, la déli- mitation étant établie p
n étant établie par la bandelette optique. La surface de section du
pied
du pédoncule décrit sur ces coupes une courbe à c
dedans, et les travées grises qu'il envoie dans l'épaisseur même du
pied
du pédoncule et qui sont particulièrement abondan
isines de la bandelette optique, la partie antérieure et interne du
pied
du pédoncule est embrassée par les libres horizon
érieures (Fig. 34), intéressant l'émergence même du bord interne du
pied
du pédoncule, celui-ci est longé en dedans par le
sition entre le segment sous-thalamique de la capsule interne et le
pied
du pédoncule cérébral. - Coupe horizontale passan
du noyau lenticulaire. -11'R, noyau rouge. - P, étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral. - pCR, pied de la couronne
u rouge. - P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - PiTh, pédoncule in
dale du ventricule latéral. If, bandelette optique. FIG. 34. - Le
pied
du pédoncule cérébral, ses rapports avec le pédon
NR, noyau rouge. - ol, sillon collatéral. - l', étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral. - pCR, pied de la couronne
atéral. - l', étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante. PTott, pédoncule du
nculaire : ce sont en effet des formations surajoutées, adossées au
pied
du pédoncule et en tout comparables aux radiation
ontales obliques parallèles à la bandelette optique, sectionnent le
pied
du pédoncule cérébral perpendiculairement à sa
de fascicules obliques qui traversant plus ou moins radialement le
pied
du pédoncule, se dirigent vers le locus niger e
ous le nom de stratum inter- medium (Meynert), de couche dorsale du
pied
du pédoncule cérébral (Flechsig). (Stri el PLp,
et en particulier de la profondeur du deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral, on voit se détacher un c
s'accolent au ruban de Reil médian dans les régions inférieures du
pied
du pédon- cule cérébral. Ils constituent le fai
res du pied du pédon- cule cérébral. Ils constituent le faisceau du
pied
à la calotte, le pes lemniscus de Meynert et de
les. On les voit alors se détacher du deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule (PLs, Fig. 38), se diriger obliqueme
e diriger obliquement en bas et en dedans, croiser la face libre du
pied
du pédoncule cérébral en formant le faisceau en
illon pédonculo-protubérantiel, elles atteignent le bord interne du
pied
du pédoncule cérébral et se placent en dedans d
u ruban de Reil médian. Plus bas, elles rentrent dans Fig. 35. - Le
pied
du pédoncule cérébral, sa couche intermédiaire ou
s, qui à l'enconlre du pes FiG. 36. - La dissociation des libres du
pied
du pédoncule cérébral, en particulier du stratu
do ces faisceaux dans la to- pographie des dégé- nérescences du
pied
du pédoncule céré- bral. lemniscus superfic
, en arrière et en dehors; elles contournent le faisceau externe du
pied
du pédoncule cérébral, puis s'infléchissent en
2,is transversus de Gudden. Lorsqu'on étudie les dégénérescences du
pied
du pédoncule cérébral, en particulier celles de
superficiel (PLs) ainsi que les rapports de la partie supérieure du
pied
du pédoncule avec l'anse du noyau lenticulaire
rcule mamillaire. Dans les dégé- nérescences du faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral, on trou- vera toujours a
u'il faudra se garder de considérer comme appartenant au système du
pied
du pédoncule cérébral. Si dans ces cas Fic. 37
es cas Fic. 37 et 38.-Dégénérescence des trois cinquièmes moyens du
pied
du pédoncule céré- bral, de la partie correspon
FiG. 39 et 40. - Cas Bizaguet. Dégénérescence de la partie moyenne du
pied
du pédoncule cérébral consécutive à une lésion
supérieure (Fig. 39), la zone dégénérée occupe la partie moyenne du
pied
du pédoncule; dans la région pédonculaire infér
jaune. - Remarquer l'atrophie extrême des régions non dégénérées du
pied
du pédoncule cérébral et dans la figure 40 l'hémi
cus niger. N7 ! , noyau rouge. Niv, noyau du nerf pathétique. - l',
pied
du pédoncule cérébral; P', son faisceau interne s
ance. S'agit-il d'une dégénérescence des trois cinquièmes moyens du
pied
du pédoncule, on pourra suivre le pes lemniscus
scus superlicicl (PLs) dégénéré le long de la face superficielle du
pied
du pédoncule cérébral et on verra ses fibres ho
s dégénéres- cences, de prime abord anormales, du faisceau moyen du
pied
du pédon- cule cérébral, telles que le cas Biza
occupe dans la région pédonculaire supérieure la partie moyenne du
pied
du pédoncule (Fig. 39); elle est limitée en ded
eau interne sain (P') (Fig. 40) et le refoule dans la profondeur du
pied
du pédoncule, simu- lant ainsi une dégénérescen
- cicule de fibres horizontales contourner les fibres verticales du
pied
du pédoncule cérébral. Elles ne quittent pas le
t être suivies, sur les coupes sériées, le long de la face libre du
pied
du pédoncule cérébral et jusque sur la face lat
nom de pédoncule ou de bras'. 2° Les autres longues passent par le
pied
du pédoncule cérébral for- ment la voie pédoncu
res de projections. - PaTh, pédoncule antérieur du thalamus. - C71,
pied
de la couronne rayonnante du lobe frontal. - l'Lc
tus, face orbitaire de la première cir- convolution frontale. - Il,
pied
du pédoncule cérébral. - ]les. pédoncule cérébell
ire. - Nm, noyau médian du thalamus (centre médian de Luys). - pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - Pul, pulvinar. - 111
lenticulaire (putamen). - J"fI, noyau rouge. - P, étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral. - pCR, pied de la couron
u rouge. - P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - PiTh, pédoncule infé
zontale oblique en bas et en dehors de la région sous-optique et du
pied
du pédon- cule cérébral (cette coupe appartient
antérieur; A'e, noyau externe du thalamus. - NIl, noyau rouge. - P,
pied
du pédoncule cérébral. - PiTh, pédoncule inféro-i
médian de Luys). - PaTh, pédon- cule antérieur du thalamus. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - 11111, pulvinar. -
s postéro-externes (]) . 5'1) qui contournentle faisceau externe du
pied
du pédoncule et abordent le tubercule quadrijumea
andelette optique, passant par le noyau rouge, le corps de Luys, le
pied
du pédoncule cérébral, le segment rétro-len- ti
lenticulaire (putamen). - A7Î, noyau rouge. - P, étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral. - l'ul, pulvinar. - Qa,
UBÉRANTIELLES CORTICO-BULBAIRES ET CORTICO-MÉDULLAIRES. FIBRES du
pied
du pédoncule cérébral. - Les fibres de projection
la voie pédonculaire et forment à elles seules toutes les fibres du
pied
du pédoncule cérébral. Les recherches de l'un
ont démontré, contrairement à ce qu'on croyait jusqu'alors, que If
pied
du pédoncule cérébral ne contient, ni dans sa cou
courbe, d'autre part, n'envoient de fibres de projection ni dans le
pied
du pédoncule cérébral, ni dans l'étage antérieur
rolandique de ce secteur occupent les quatre cinquièmes internes du
pied
du pédoncule cérébral, celles de la partie sous
49). On peut donc, pour la commodité de la description, diviser le
pied
du pédoncule en cinq parties égales. 1. La part
s. 1. La partie interne, cinquième inlerne ou faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral reçoit ses fibres de l'oper
eure du segment postérieur (Cip), puis forment la partie interne du
pied
du pé- doncule cérébral. (Voy. cas Schweigoffer
hode des dégénérescences secondaires La voie pédoncu- laire. Le
pied
du pédon- culo cérébral est exclusivement for
né- rescence. montre que la dégénérescence du faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral s'accompagne d'une dégéné
Schweigoffer). Dans son trajet pédonculaire, le faisceau interne du
pied
du pédoncule est croisé en haut (au voisinage d
at de la prote- bérance (Voy. Fig. 3 -i0). Le faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral a été identifié par Meyne
rantielles et de rares fibres pyramidales. Le faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral dégénère à la suite de lé
artant, ne déterminent pas la dégénérescence dn faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral. Les lésions de la partie a
100, cas Carré, Fig. 186 à 188), respectent le faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral et la distance qui sépare
celle qui, plus bas, sépare le faisceau dégénéré du bord interne du
pied
du pédoncule céré- bral ; ce sont là autant de
sont là autant de preuves qui démontrent que le faisceau inlerne du
pied
du pédoncule correspond bien au faisceau geniculé
nent pas toujours une dégénérescence totale, du faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral. On y rencontre quelquefois
ctées au sein de la lésion primitive et qui peuvent être suivies du
pied
de la couronne rayonnante jusque dans le faisceau
u pied de la couronne rayonnante jusque dans le faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral. (Voy. cas Rivaud, Fig. 142
interprétation et l'on peut se demander, si le faisceau interne du
pied
du pédoncule, en dehors des très nom- breuses f
cas Pradel (vaste lésion cor- ticale avec dégénérescence totale du
pied
du pédoncule cérébral et intégrité complète des
les lésions de ces régions s'accompagnent d'une intégrité parfaite du
pied
du pédoncule cérébral, en particulier de son fa
ontradiction avec le fait de la dégénérescence du faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral, obtenu par Ferrier et Tu
e envoie, tout comme la zone motrice rolandique, des fibres dans le
pied
du pédoncule cérébral. Chez l'homme, l'existenc
ns les dé- générescences in- complètes du fais- ceau interne du
pied
du pédoncule. 76 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX
aberrant de la voie normale'et si les fibres du faisceau interne du
pied
du pédoncule du cas Richard ne proviennent néanmo
ère (Voy. p. 207). 2, 3, 4. La partie moyenne, ou faisceau moyen du
pied
du pédoncule cérébral, est constituée par des f
q sixièmes supérieurs des circonvolutions rolandiques (Fa, Pa), des
pieds
d'insertion des circonvolutions frontales (F,, F2
obule paracentral (Parc). Ces fibres descendent directement dans le
pied
du pédoncule cérébral sans s'arrêter dans les gan
d'autant plus rapprochée du genou de la capsule (Ci[g]) et, dans le
pied
du pédon- cule, une région d'autant plus voisin
supérieur) forment les deuxième et troisième cinquièmes internes Au
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 49), et passent par l
- ceau de Tiirck qui les refoulent en avant; elles occupent dans le
pied
du pédoncule cérébral le deuxième cinquième ext
ceau de Tiirck (Fig. t9). Les libres des trois cinquièmes moyens du
pied
du pédoncule cérébral abandonnent chemin faisan
3G, 37, 38). D'autres contournent parfois la face superficielle du
pied
du pédoncule et forment le pes lemniscus superf
dans la couche optique et forment à elles seules l'étage inférieur du
pied
du pédon- cule cérébral. Les fibres du segment
ans la région sous-thalamique les cinq sixièmes antérieurs, dans le
pied
du pédoncule cérébral les quatre cinquièmes int
segment postérieur de la capsule interne et le cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral. C,qe, corps genouillé ex
la situation respective de leurs fibres dans la capsule interne et le
pied
du pédoncule cérébral. Les fibres de la parti
le pied du pédoncule cérébral. Les fibres de la partie moyenne du
pied
du pédoncule cérébral con- tiennent donc des ne
corticaux du nerf fa- cial. Ces différentes catégories de fibres du
pied
du pédoncule ne se groupent pas en faisceaux di
t intimement mélangées les unes avec les autres, aussi bien dans le
pied
du pédoncule cérébral que dans le segment posté
effet, que toute dégé- nérescence des quatre cinquièmes internes du
pied
du pédoncule cérébral, retentit à la fois sur l
amide bulbaire, et que toute dégénérescence de la moitié interne du
pied
du pédoncule cérébral retentit en outre sur les n
corticaux des nerfs moteurs crâniens. 11 n'existe donc pas dans le
pied
du pédon- cule cérébral, comme le veulent certa
s nerfs moteurs crâniens se groupent surtout à la partie interne du
pied
du pédoncule cérébral, tandis que les fibres py
s dans les deuxième, troi- sième et surtout quatrième cinquièmes du
pied
du pédoncule. L'élude des dégénérescences secon
secondaires montre que les dégénérescences du cinquième interne du
pied
du pédoncule déterminent toujours une diminution
s fibres pyramidales occupent donc une étendue très grande, dans le
pied
du pédoncule céré- bral, beaucoup plus grande q
cinquièmes internes et surtout dans les trois cinquièmes moyens du
pied
du pédoncule. 5. - La partie externe ou faiscea
du pied du pédoncule. 5. - La partie externe ou faisceau externe du
pied
du pédoncule cérébral ou faisceau de Türck (FT)
descendent avec le segment postérieur de la capsule interne dans le
pied
du pédoncule cérébral et en occupent le cinquiè
fibre ne descend dans la pyramide bulbaire. Le faisceau externe du
pied
du pédoncule cérébral ne contient donc que des fi
lles et quelques fibres pour le locus niger. Le faisceau externe du
pied
du pédoncule cérébral a été désigné sous les no
Gczhzz, Flechsig). D'après tous ces auteurs, le faisceau externe du
pied
du pédoncule entrait en connexion intime avec le
93, dans des recherches qui démon- trent que le faisceau externe du
pied
du pédoncule cérébral tire son origine exclusiv
iel et que les lésions du lobe occipital ne retentissent pas sur le
pied
du pédoncule cérébral. Ces recherches ont depuis
inge ont obtenu de même une dégéné- rescence du faisceau externe du
pied
du pédoncule (méthode de Marchi). Pusateri (189
temporal. Il dégénère de haut en bas, comme les autres faisceaux du
pied
du pédoncule cérébral. « S'il dégénère moins souv
ip) se traduisent par une dégénérescence secondaire de la partie du
pied
du pédoncule contigué au faisceau de Tiirck, sa
dans la région thalamique de la capsule. En RÉSUMÉ : Les fibres du
pied
du pédoncule cérébral émanent toutes di- rectem
rovienne» dit secteur moyen de l'hémisphère cérébral. Les fibres du
pied
du pédoncule cérébral comprennent les radiations
cus niger est plus intense lorsque le deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral est dégénéré, que lorsque l
eurone lent- porn-protubérantiel. Les quatre cinquièmes internes du
pied
du pédoncule contiennent de même de nombreuses
différentes hauteurs des noyaux pontiques. Toute dégénérescence du
pied
du pédoncule cérébral est toujours accompagnée d'
yens du segment postérieur, occupent les trois cinquièmes moyens du
pied
du pédoncule cérébral et forment la pyramide bulb
eau de Turck, mais un petit nombre de fibres du faisceau interne du
pied
du pédoncule. En effet, les dégénérescences du
ig. 134 à 136), tandis que les dégénérescences du faisceau interne du
pied
du pédoncule déterminent toujours une petite di
eigoffer, Fig. 122). Les dégénérescences des trois quarts moyens du
pied
du pédoncule cérébral sont, par contre, toujour
e et en parti- culier de la voie pédonculaire. - La constitution du
pied
du pédoncule cérébral, telle que nous venons de
n opposition avec les opinions admises alors, d'après lesquelles le
pied
du pédoncule cérébral contenaient de nom- breus
que le faisceau pyramidal, comme du reste la plupart des fibres du
pied
du pédoncule, tiraient leur origine du corps st
ns des ganglions de la baseaveclacorticalité cérébrale et avec le
pied
du pédoncule céré- bral, d'après l'opinion de M
Fig. i. - La constitution du tronc encéphalique, en particulier du
pied
du pédoncule cérébral, d'après Meynert (arcs. f
e passant : 1, par les tubercules ciuaari- jumeaux antérieurs et le
pied
du pédoncule cérébral au-dessous de l'oiigine du
clair, le système cérébelleux en jaune. Cf, le faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral (fibres de l'anse lenticula
upe 5) et le cordon antérieur homolatéral. - Cbr, région moyenne du
pied
du pédoncule cérébral dans laquelle les fibres de
s fibres du pédoncule cérébelleux moyen. - Cp, le faisceau externe du
pied
du pédoncule cérébral ou faisceau de Turck; il
du pédoncule cérébral. Le corps strié envoyait les siennes dans le
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 50). Les fibres du no
longeaient la face inférieure du globus pallidus, contournaient le
pied
du pédoncule cérébral à la manière de la bandelet
recourbaient en bas et formaient t les fibres les plus internes du
pied
du pédoncule cérébral (CF, Fig. 1). La plupart de
. 1). La plupart des fibres de l'anse lenticulaire abandonnaient le
pied
du pédoncule cérébral après un court trajet, s'
partie interne de la Contingent lenticu- lo-caudé des libres du
pied
du pédon- cule cérébral. 86 ANATOMIE DES CE
re le contingent strié qui occupait les parties interne et moyenne du
pied
du pédoncule cérébral ltig. 51, coupe 1), celui
ccipital et temporal. Ces dernières occupaient la partie externe du
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 51, coupe 1, Cp), l
profonde ou stratum intermedium des parties in- terne et moyenne du
pied
du pédoncule cérébral, puis descendaient dans l
èche l'interprétation de Meynert en démontrant l'existence, dans le
pied
du pé- doncule cérébral et dans la pyramide bul
Aussi, dans ses travaux ulté- rieurs (1879), Meyneit admet dans le
pied
du pédoncule cérébral, outre les faisceaux du c
et du lobe frontal. Cet auteur fut ainsi conduit à admettre que le
pied
du pédoncule cérébral contenait à côté de FiG.
cérébral contenait à côté de FiG. 52. - La région pyrami- dale du
pied
du pédon- cule cérébral, d'après Charcot. (Lo
ches de Flechsig contrôlées par ses propres observations, divisa le
pied
du pédoncule céré- bral en trois faisceaux :
opinion de Meynert et identifie tour à tour le faisceau interne du
pied
du pédoncule avec l'anse du noyau lenticulaire et
nold. Fig. 53. - La région pyramidale de la capsule interne et du
pied
du pédoncule, d'après Flechsig. 1, coupe horizo
région sous-optique de la capsule interne; 3, coupe transversale du
pied
du pédon- cule cérébral. a, le faisceau exter
cule cérébral. a, le faisceau externe de la couche inférieure du
pied
du pédoncule cérébral (faisceau occipito-tempor
e l'hypoglosse. - c, le faisceau interne de la couche inférieure du
pied
du pédoncule cérébral (fibres du noyau caudé) n
isé. - d, la partie interne de la couche supérieure ou dor- sale du
pied
du pédoncule cérébral (fibres du lobe frontal, du
nisée. - b, la partie externe de la couche supérieure ou dorsale du
pied
du pédoncule cérébral (fibres du noyau lenticulai
inisée. - g, les radiations de la calotte. Les trois faisceaux du
pied
du pédoncule d'après Charcot. La subdivision
oncule d'après Charcot. La subdivision du faisceau interne du
pied
du pédoncule par Brissaud. 88 ANATOMIE DES CE
ig basés sur la méthode embryo- logique. - La constitution du
pied
du pédoncule d'après Flechsig. La couche ven-
r- lico-protuhérantielles directes, et divise chez le nouveau-né le
pied
du pédoncule céi ébral en deux couches, l'une v
ipitile-Grosshirnrinden-Briickeiibalin), occupe le tiers externe du
pied
du pédoncule, ne se myélinise que plusieurs mois
ns la région pédonculaire supérieure, le troisième quart externe du
pied
du pédoncule. C'est un faisceau myélinisé à la na
rance ; 4° Le faisceau qui comprend les deux cinquièmes internes du
pied
du pédon- cule, se revêt tardivement de myéline
igine dans les trois circonvolutions frontales ainsi que dans leurs
pieds
d'insertion sur la fron- tale ascendante; elles
t à la suite de lésions de ces régions, occupent le bord interne du
pied
du pédoncule cérébral, deviennent profondes dans
interne, passent en avant du faisceau pyramidal et se placent dans le
pied
du pédoncule, entre le faisceau cortico-protubé
tubéranliel (Slrei- feiilingel-Brückenbahn). La couche dorsale du
pied
du pédoncule cérébral est située au voisinage imm
steiner, Édinger, Bechterew, v. Monakow, Zacher) et admettent dans le
pied
du pédoncule cérébral : un faisceau cortico-pro
érantiel pos- térieur et, dans les couches internes et profondes du
pied
du pédoncule des fibres d'ori- gine caudée et l
fibres, au moins chez l'homme, - ont démontré (Fig. 49) : l°Que le
pied
du pédoncule cérébral ne contient pas de fibres s
étendues de la corticalité cérébrale; 2° Que le faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral tire son origine non pas du
., - mais qu'il prend naissance dans l'opercule rolandique et dans le
pied
d'in- sertion de la troisième circonvolution fr
° Que le faisceau pyramidal occupe les trois cinquièmes moyens du
pied
du pédoncule cérébral. En 1894 et 189G, Flechsi
sphères sensorielles et la sphère 1 ic. 34. La région pyramidale du
pied
du pédon- cule cérébral, d'après Dejerine. (Yoy
c- rine sur l'origine exclusivement corti- cale des fibres du
pied
du pédoncule cérébral. Les nouvelles idées
moyen de l'hémisphère envoie seul des fibres de projection dans le
pied
du pédoncule cérébral, et de là dans les régions
s et les ganglions qui en dépendent, mais n'en envoient pas dans le
pied
du pédoncule cérébral. En 1897, Sachs est de
ostérieur de la capsule interne, surtout dans sa partie moyenne. Le
pied
du pédoncule gauche, présente une petite zone de
trijumeau. - ]'P, voie pédon- culaire ; VP(d), la zone dégénérée du
pied
du pédoncule gauche : Vu'(¡'), la zone d'intensit
rapporlant à ce cas). Dans le centre ovale, la capsule interne elle
pied
du pédoncule céré- bral, l'enchevêtrement des d
édon- culaire dans un cas de dégénérescence de la partie moyenne du
pied
du pédoncule cérébral. (Cas Bizaguet, voy. Fig.
ire par exemple, et qui suivent la voie de la capsule interne et du
pied
du pédoncule cérébral, appartiennent aux fibres
icale ou capsulaire et il en est de même à la suite d'une lésion du
pied
du pédoncule, de la protubérance, du bulbe et de
dante de la voie pédonculaire, remontant plus ou moins haut dans le
pied
du pédoncule cérébral et le segment postérieur de
de projection du man- teau cérébral. Dégé- nérescence totale du
pied
du pédoncule cérébral. 102 ANATOMIE DES CEN
de projection du man- teau cérébral. Dégé- nérescence totale du
pied
du pédonculo cérébral. (C'est-à-dire le terri
une dégénérescence totale de toutes les fibres longi- tudinales du
pied
du pédoncule cérébral (P), y compris le stratum i
de projection du man- teau cérébral. Dégé- nerescence totale du
pied
du pédoncule cérébral. loi ANATOMIE DES CEN
de projection du man- teau cérébral. Dégé- nérescence totale du
pied
du pédoncule cérébral. corps de Luys (Fig. G8
70. - Cas Pradel. Région sous-thalamique. - Dégénérescence totale du
pied
du pédoncule cérébral (P). Les fibres qui trave
ale du pied du pédoncule cérébral (P). Les fibres qui traversent le
pied
du pédoncule [radiations strio-luysiennes (CM,
Pradel. Région pédonculaire supérieure. - Dégénérescence totale du
pied
du pédoncule cérébral (P). Dégénérescence des cor
projection du man- teau cérébral. Dege- nérescence totale du du
pied
pédoncule cérébral. 1 106 ANATOMIE DES CENT
de projection du man- teau cérébral. Dégé- nérescence totale du
pied
du pédoncule cérébral. 2° Que le pied du pédo
é- nérescence totale du pied du pédoncule cérébral. 2° Que le
pied
du pédoncule cérébral (P), y compris le stratum i
pédonculaire moyenne et inférieure. - Dégéné- rescence complète du
pied
du pédoncule cérébral : les fibres qui limitent l
e complète du pied du pédoncule cérébral : les fibres qui limitent le
pied
du pédoncule cérébral en dedans correspondent d
bres protubérantielles qui comblent le trou borgne et dissocient le
pied
du pédoncule cérébral (comparez avec coupe norm
de projection du man- teau cérebral. Dégé- nérescence totale du
pied
du pédoncule cérébral. 108 ANATOMIE DES CENTR
rps strié et le corps de Luys, s'il montre que toutes les fibres du
pied
du pédoncule cérébral prennent leur origine dans
ient leurs fibres de projection soit dans le thalamus, soit dans le
pied
du pédoncule cérébral. - Ce der- nier problème
lésions du lobe occipital ne retentissent ni sur l'étage inférieur ou
pied
du pédon- cule qui est toujours sain, ni sur le
ns du corps genouillé interne (RCgi), le faisceau de Turck (FT), le
pied
du pédoncule cérébral (P) sont absolument normaux
capsule interne (Cip) en particulier du faisceau deTûrck et du
pied
du pédon- cule cérébral. Fc. 82 et 83. Cas Co
ieur do la cap- sule interne (Cip), du faisceau de Tiirck et du
pied
du pédoncule cérébral. 114 ANATOMIE DES CENTR
CE CÉRÉBRALE. 117 Le segment postérieur de la capsule interne, le
pied
du pédoncule cérébral, en particulier le faisce
, Cge, BrQa, Qa. Intégrité parfaite du faisceau de Turcl : , du
pied
du pédoncule cérébral et do la bandelette o
Pul, Cge, BrQa, Qa. Intégrité parfaite du faisceau de Turck, du
pied
du pédoncule cérébral et de la bandelette o
énérescence s Tap, RTh, Fli, Cisl, Pul, Cge, \V. Inté- grité du
pied
du pé- doncule cérébral du faisceau de Tùrck
Cisl, Pul. Cge, \Y. Intégrité parfaite du faisceau de Turck, du
pied
du pédoncule cérébral et de la bandelette o
erficielle de ce tubercule. La bandelette optique est intacte et le
pied
du pédoncule cérébral est parfaitement normal (Fi
ant par le thalamus (Fig. 91), la région sous-optique (Fig. 95), le
pied
du pédoncule cérébral et la bandelette optique ga
ne (Cge), du pulvinar (Pul) et de la zone de Wernicke. Intégrité du
pied
du pédoncule cérébral. - Les zones dégénérées son
e interne et du pulvinar. Intégri- té de la moitié ex- terne du
pied
du pé- doncule cérébral. Monoplégie facio-
rière du genou. Dégénérescence du deuxième cinquième interne du
pied
du pédoncule cérébral. limitées et n'intéress
re. Celle-ci peut être suivie dans le deuxième cinquième interne du
pied
du pédoncule cérébral et du locus niger (Fig. 99,
e interne et du pulvinar. Intégri- te de la moitié ex- terne du
pied
du pé- doncule cérébral. Monoplégie facio-
rière du genou. Dégénérescence du deuxième cinquième interne du
pied
du pédoncule cérébral. L 124 ANATOMIE DES
e interne et du pulvinar. Intégri- té de la moitié ex- terne du
pied
du né- doncule cerebral. monoplégie facio-
rrière du genou Dégénérescence du deuxième cinquième interne du
pied
du pédoncule cérébral. L'écorce du gyrus supr
t postérieur de la capsule interne (Cip), aucune ne descend dans le
pied
du pédoncule cérébral (l'). Ce fait démontre do
ié gauche du corps. Dégénérescence du deuxième cinquième interne du
pied
du pédoncule cérébral et du locus niger consécuti
genou. Remarquer dans ce cas l'intégrité de la moitié postérieure du
pied
du pédon- cule cérébral, malgré la lésion du pl
venant du lobe temporal, formenl le faisceau de Turck (FT); dans le
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 105), la dégénéres-
du faisceau de Turck et correspond au deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule. Cette dégénérescence du pied du péd
ème cinquième externe du pied du pédoncule. Cette dégénérescence du
pied
du pédoncule tient à la lésion concomitante du
générescence du pied du pédoncule tient à la lésion concomitante du
pied
d'insertion de la circonvolution pariétale infé-
yau rouge (NR). Dégénérescence du deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral, intégrité du faisceau
yau rouge (NR). Dégénérescence du deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral Intégrité du faisceau
ce noyau (,Nll). Dégénérescence du deuxième cin- quième externe du
pied
du pédoncule cérébral. Intégrité du faisceau de T
yau rouge iNR). Dégénérescence du deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral. Intégrité du faisceau
; sa partie postérieure n'envoie pas de fibres de projection dans le
pied
du pédoncule cérébral et ne contient ni fibres
e, retentissent sur la couche optique (Th), le locus niger (Ln), le
pied
du pédoncule cérébral (P) et la pyramide bulbaire
ur de la capsule interne (Cip) et les quatre cinquièmes internes du
pied
du pédoncule cérébral. Dans le segment postérie
ur de la capsule interne (Cip) et les quatre cinquièmes internes du
pied
du pédoncule, le siège de la zone dégénérée dépen
rconvolution pariétale ascendante. Coupe horizontale passant par le
pied
du pédoncule cérébral. Dégénérescence du deuxiè
pédoncule cérébral. Dégénérescence du deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral (P(d). Intégrité du faisc
ée occupe le genou de la capsule [Ci(g)] et le cinquième interne du
pied
du pédoncule 'cérébral (cas Schweigoffer, Fig.
rieure du segment postérieure de la capsule interne (Cip), et dans le
pied
du pédoncule cérébral le deuxième cinquième ext
se rapprochera du genou de la capsule interne et du bord interne du
pied
du pédoncule cérébral (Cas Naudin,Fig. 113 à 41
rieur de la région sous-thalamique de la capsule interne et dans le
pied
du pédoncule céré- .bral et en forment les quat
sorte que toute - dégénérescence des quatre cinquièmes internes du
pied
du pédoncule, quel qu'en soit le siège et la ca
noyau externe du thalamus, du deuxième cin- quième externe du
pied
du pédoncule cérébral, du pes lcm- niscus pro
09), les parties supérieure (Fig.110) et infé- rieure (Fig. 111) du
pied
du pédoncule cérébral et la partie moyenne du bul
u bulbe (Fig. 112). Dégénérescence du deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral (Cip (d,), P d), du locus
noyau externe du thalamus, du deuxième cin- quième externe du
pied
du pédoncule cérébral, du pes lem- niscus pro
nterne, du noyau externe du thalamus, du cin- quième moyen du
pied
du pédoncule cérébral et du locus niger. dé
dégénérescence capsulaire. Dégénérescence du cin- quième moyen du
pied
du pédoncule cérébral et du locus niger. Méthod
en dedans et en avant par le faisceau de Turck. Il occupe, dans le
pied
du pédoncule cerébral, le deuxième cinquième exte
précédent (Fig. 114). Il en est de même pour le secteur dégénéré du
pied
du pédoncule cérébral (P). (Fig. If;j). Comme dan
e quart inférieur de la circonvolution frontale ascendante (Fa), le
pied
d'insertion de la deuxième circonvolution frontal
, de la partie antérieure du thala- mus, du faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral. Légère diminution de
ume de la py ra- mido bulbaire. de la capsule interne (Cip) et le
pied
du pédoncule cérébral (P). Mais la zone de dégéné
[g]) et siège dans la région sous- thalamique (Fig. 126) et dans le
pied
du pédoncule (P) à l'union du quart interne et de
ayant détruit l'écorce du quart inférieur de la zone rolandique et le
pied
de la troisième FiG. 116. - Cas Schweigoffer. M
, de la partie antérieure du thala- mus, du faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral. Légère diminution de
, do la partie antérieure du thala- mus, du faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral. Légère diminution de
se du noyau lenticulaire(.11), puis forme le cinquième interne du
pied
du pédoncule cérébral (P) (Fig.121). La dégénér
121). La dégénérescence, très ma- nifeste à la partie supérieure du
pied
du pédoncule, au voisinage de la bandelette o
portent, en effet, vers les couches profondes du bord interne du
pied
du pédoncule et une partie s'épuisent dans le l
hale, IIIe partie). Une partie des fibres du cin- quième interne du
pied
du pédoncule cérébral descend dans la protubéranc
uvent la FiG. 121 et 122. - Dégénérescence du faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral et du locus niger dans le
, do la partie antérieure du thala- mus, du faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral. Légèrodiminution de
postérieur de la capsule interne, et du deuxième cinquième interne du
pied
du pédoncule cérébral; 2° lésion du lobe occipi
ricurdolacapsulein- terne et du deuxième cinquième interne du
pied
du pédoncule cérébral; 21 lésion du lobcoccip
eur de la capsule in- terne et du deuxième cinquième interne du
pied
du pédoncule cérébral ; 2° lésion du lobe occ
125 et 126) et une dégénérescence du deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 127 et 128). Méthod
circonvolutions temporales une dégénérescence du cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral, c'est-à-dire du faisceau
ire inférieure. Dégénérescence du deuxième cin- quième interne du
pied
du pédon- cule cérébral, de la partie adjacente
de la partie adjacente du locus niger et du faisceau ex- terne du
pied
du pédoncule ou faisceau de Tiirck (FT). Il e
. Sur les coupes plus inférieures il occupe le cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 128). Il existe don
ortico-genouillées externes ; 3" des libres du cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral. Il est impossible dans ce
i revient au lobe temporal. Mais, vu l'absence de dégénérescence du
pied
du pédoncule cérébral dans les lésions du lobe
est permis d'affirmer que la dégénérescence du cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral relève unique- ment de la
ent relativement que peu de fibres dégénérées- Elle occupe, dans le
pied
du pédoncule céré- FIG. 129. - Cas Le Seguillon
sceau de Turck. Dégénérescence du deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral Dégénérescence très i
sceau de Turck. Dégénérescence du deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral. Dégénérescence très
ule cérébral. Dégéné- rescence du deuxième cinquième ex- terne du
pied
du pédoncule cérébral, du pes lemniscus profond
au de Tûrck, et une dégénérescence du deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 133). Il existe e
de la capsule interne et descend dans le deuxième segment externe du
pied
du pédoncule cérébral. Ce cas présente en out
ées, p. 31 et suivantes.) La dégénérescence du cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral que l'on observe, soit lo
ue les lésions isolées du lobe occipital ne retentissent pas sur le
pied
du pédoncule cérébral. La dégénérescence du cin-
du pédoncule cérébral. La dégénérescence du cin- quième externe du
pied
du pédoncule cérébral dépend en effet de la lésio
enticulaire de la capsule interne (Cisl) et du cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral ou faisceau de Tûrck (FT).
ns le corps genouillé inlerne (Cgi) et dans le cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral. Toutes ces fibres passent
ES NERVEUX. Cas Neumann. Dé- générescencedufas- ceau externe du
pied
du pédoncule céré- bral consécutive a une p
c le segment pos- td/'i01l1' de la capsule inlerne (Cip), dans le
pied
du pédoncule céré- bral, constituent le faiscea
al, constituent le faisceau de T1ÏI'ck (FT) (cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral) et s'épuisent dans la su
s radiées de l'ex- trémité antérieure du thalamus. Intégrité du
pied
du pédoncule cérébral. 148 ANATOMIE DES CEN
s radiées de l'ex- trémité antérieure du thalamus. Intégrité du
pied
du pédoncule cérébral. FiG. 138 et 139. - Cas
oyaux externe et interne du thalamus (Th). Pas de dégénérescence du
pied
du pédoncule cérébral. La zone dégénérée est colo
externe et interne du thalamus, mais elles ne retentissent pas sur le
pied
du pédoncule cérébral. Les lésions des deux t
noyaux externe et interne du thalamus et respectent elles aussi le
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 141). Dans ces deux
érées. Fig. 111. - Cas Moriceau. Hémisphère gauche. Inté grité du
pied
du pédoncule cérébral dans un cas d destruction
lobe pariétal. Elles n'envoient pas de fibres de projection dans le
pied
du pédoncule cérébral et ne contiennent par con
l'étude du trajet de ces libres dans la capsule interne et dans le
pied
du pédoncule cérébral. Si l'on fait abstraction d
ouillés, au noyau rouge, etc., pour ne considérer que les fibres du
pied
du pédoncule, dont l'origine corticale est démo
geniculé. Dans l'un et l'autre cas, il existe une dégénérescence du
pied
du pédoncule cérébral et du segment postérieur
sule interne (Cip) (région sous-thalamique) et la partie interne du
pied
du pédoncule cérébral. Lorsque c'est le segment
scence siège en arrière du genou et respecte le faisceau interne du
pied
du pédoncule. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
, dans la région sous-tha- lamique de la capsule interne et dans le
pied
du pédoncule, des dégéné- rescences variables a
immédiatement en arrière du genou respectent le faisceau interne du
pied
du pédon- cule cérébral, et la zone dégénérée e
eur de la capsule interne (Cip) font dégénérer la partie moyenne du
pied
du pédoncule cérébral (cas James, Fig. 184); le
189) entraînent une dégénérescence du deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral et respectent le faisceau
le faisceau de Türck. Ce dernier fais- ceau - cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral ne dégénère que lorsque l
capsule interne (Cirl) sont très rares et ne retentissent pas sur le
pied
du pédoncule cérébral. Les lésions de la partie
înent de ce fait la dégénérescence du deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral. Par contre, les lésions
nt l'épendyme ventriculaire au-dessus du noyau caudé, sectionne les
pieds
des segments moyen et antérieur de la couronne
région rétro-insulairo et de l'opercule sylvion sectionnant le
pied
des segments anté- rieur, moyen et pos- tér
iculaire de la capsule interne (Cirl) (Fig. 147). La destruction du
pied
de la couronne rayonnante (pCR) n'est toutefo
-insulaire et de l'opercule sylvien droit (Fig. 142). Section des
pieds
des segments moyen et antérieur de la couronne
les coupes sériées, être suivies dans les tiers interne et moyen du
pied
du pédoncule cérébral (P) (Fig. 150) et s'épuisen
et 149), contient un très grand nombre de fibres saines, et dans le
pied
du pédoncule (P) on trouve un faisceau de Tiirc
région rétro-insulaire et do l'opercule sylvien sectionnant le
pied
des segments anté- rieur, moyen et pos- tér
rouge, du locus ni- ger, des quatre CII1- quièmes internes du
pied
du pédoncule cé- rébral.Agénésie com- plète d
région rétro-insulaire et de l'opercule sylvien sectionnant le
pied
des segments anté- rieur, moyen et pos- tér
rouge, du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes internes du
pied
du pédoncule cé- rébral.Agénésiecom- plète de
région rétro-insulaire et de l'opercule syh ien sectionnant le
pied
des segments ante- rieur, M03 en et pos- té
au rouge, du locus niger. des quatre cin- quièmes internes du
pied
du pédoncule cc- rébral. Agénésie com- plète
- Cas Rivaud. Dégéné- rescence des quatre cinquièmes internes du
pied
du pédoncule; les fibres saines, en particulier
région rétro-insulaire et de l'opercule sylvien sectionnant le
pied
des segments anté- rieur, moyen et pos- ten
rouge, du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes internes du
pied
du pédoncule cé- rébral. Agenésie com- plote
région rétro-insulaire et do l'opercule sylvien sectionnant le
pied
des segments anté- rieur, moyen et pos- ter
rouge, du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes internes du
pied
du pédoncule cé- rebral.rlgénésie com- plete
tit amas névroglique contenant le noyau arqué. Les libres saines du
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 150) se sont toutes é
région rétro-insulaire et do l'opercule sylvien sectionnant lo
pied
des segments anté- rieur, moyen et pos- tér
rouge, du locus ni- ger, des quatro cin- quièmes internes du
pied
du pédoncule cé- rébral.A.-énésiocom- plète d
région rétro-insulaire et de l'opercule sylvien sectionnant le
pied
des segments anté- rieur, moyen et pos- ter
rouge, du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes internes du
pied
du pédoncule cé- rébral.Agénésie com- plète d
Une dégénérescence presque complète des quatre cinquièmes internes du
pied
du pédoncule cérébral (P) (Fig. 150), une atrop
phie complète de la pyramide (Py) démontre que les fibres saines du
pied
du pédoncule cérébral, soit celles du faisceau de
tache de sclérose névroglique. Le faisceau pyramidal, au niveau du
pied
de la couronne rayonnante, pendant les premiers
de trace. Bien qu'il n'existe pas ici une dégénérescence totale du
pied
du pédoncule cérébral ce cas présente néanmoins
région rétro-insulaire et do l'operculo sylvien sectionnant le
pied
des segments anté- rieur, moyen et pos- tér
rouge, du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes internes du
pied
du pédoncule cé- rébral. Agenésie com- plète
égion rétro-insulaire et de l'opercule s3 Ivicii sectionnant le
pied
des segments anté- rieur, moyen et pos- tér
rouge, du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes internes du
pied
du pédoncule cé- rébral. Agenésie com- plete
égion l'étro-lI1sulalfc et du l'opercule sylvien sectionnant lo
pied
des segments anté- rieur, moyen et pos- tér
rouge, du locus ni- ger, des quatre cin- quièmes internes du
pied
du pédoncule cé- rébral.Agènésic com- plète d
ous lenticulaires de la capsule interne, et la partie supérieure du
pied
du pédoncule cérébral. Bibliothèque des Inter
de la capsule interne. Dégénéres- cence de la partie moyenne du
pied
du pédoncule. Intégrité partielle du faisceau
de la capsule interne. Dégénéres- cence de la partie moyenne du
pied
du pédoncule. Intégrité partielle du faisceau
de la capsule interne. Dégénéres- cence de la partie moyenne du
pied
du pédoncule. Intégrité partielle du faisceau
de la capsule interne. Dégénéres- cence de la partie moyenne du
pied
du pédoncule. Intégrité partielle du faisceau
au géniculé. Elles peuvent être suivies dans le faisceau interne du
pied
du pédoncule, mais elles y sont moins nombreuse
érescences secondaires démontre en outre que toutes les fibres du
pied
du pédoncule sont d'ori- gine corticale (Voy. c
peut se demander si les libres respectées à la partie interne du
pied
du pédoncule ne représentent pas le contingent
gion sous-optique et le fais- Fin. 172. - Cas Racle. Cinq coupes du
pied
du pédoncule cérébral passant par le tuber cine
n pédonculo- protubérantiel. Dégénérescence de la région moyenne du
pied
du pédoncule cérébral, conservation partielle d
de la capsulo interne. Dégénéres- cence de la partie moyenne du
pied
du pédoncule. Intégrité partielle du faisceau
eau géniculé. 172 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. ceau interne du
pied
du pédoncule avec les fibres que l'opercule rolan
rontal envoient dans le faisceau géniculé et le faisceau interne du
pied
du pédoncule (Voy. p. 73). Dans les parties moyen
. Cette dernière peut être suivie dans la région sous-optique et le
pied
du pédoncule cérébral où elle est limitée en de
de la capsule interne, du faisceau de Tiirck et du tiers externe du
pied
du pédoncule cérébral. Une intégrité du noyau rou
Dégénérescence du faisceau géniculé et de la partie interne du
pied
du pédoncule. Lésion de la région sous-lentIC
te du segment postérieur. Dégéné z rescence du tiers externe du
pied
du pédoncule, y compris le faisceau do Turck.
Racle) il existe une dégénérescence des parties moyenne et interne du
pied
du pédoncule cérébral avec intégrité partielle
complèle du faisceau de Tiirck et du deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule. Chez Il. 176. - uas Cogery. 1° Lé
escence du faisceau de Tiirck et du deuxième cin- quième externe du
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 177). Dégénérescence
issure antérieure (coa). 2° Dégénérescence du faisceau in- lerne du
pied
du pédoncule consécutive à la lésion du segment a
escence du faisceau de Turck et de la partie externe adjacente du
pied
du pédon- cule cérébral. 2° La dégénérescence
pédon- cule cérébral. 2° La dégénérescence du faisceau interne du
pied
du pé- doncule (Pi, d) est refoulée en dehors
u interne, du faisceau de Turck et du deuxième segment externe du
pied
du pédoncule avec intégrité des fibres de sa pa
ied du pédoncule avec intégrité des fibres de sa partie moyenne. Le
pied
du pédoncule de Cogery représente en quelque
e de Cogery représente en quelque sorte « l'épreuve négative » du
pied
du pédoncule de Racle. L hémisphère du cas Coge
cune des dégénérescences distinctes dans la cap- sule interne et le
pied
du pédoncule cérébral : Fig. 178, 179, 180. - C
Dégénérescence du faisceau géniculé et de la partie interne du
pied
du pédoncule. Lésion de la région sous-lentic
nte du segment postérieur. DL-6- nérescence du tiers externe du
pied
du pédoncule, y compris le faisceau de Turck.
Dégénérescence du faisceau géniculé et do la partie interne du
pied
du pédoncule Lésion do la région sous-lenticu
nte du segment postérieur. Dégé- nérescence du tiers externe du
pied
du pédoncule,)- compris le faisceau de Tiirck
s-thalamique la partie antérieure du quart postérieur de Cip. Dans le
pied
du , pédoncule cérébral elle est mal délimitée
egment posté- rieur (Cip) (Fig. 17G), puis le faisceau inlerne du
pied
du . pédoncule cérébral (Fig. 177). Elle a en
t dans le corps genouillé et le pulvinar, ou qui descendent dans le
pied
du pédoncule cérébral. Au-dessous de la lésion pr
e la lésion primitive, la dégénérescence occupe le tiers externe du
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 178); elle intéresse,
ntéresse, par conséquent, le faisceau de le 2° cinquième externe du
pied
du pédoncule et empiète sur le 3° cinquième. Un
e. Une large zone de fibres saines la sépare du faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral dégénéré à la suite de la l
l'on s'approche du sillon bulbo-protubérantiel. Les libres saines du
pied
du pédoncule s'épuisent, en effet, presque tout
nou. La dégénérescence pédonculaire respecte le faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral, et siège immé- diatement
dégénérée occupe, dans la région sous-oplique (Fig. 187) et dans le
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 188), une situation
aisceau de Turck dans la région sous- thalamique, et occupe dans le
pied
du pédoncule cérébial son deuxième cinquième ex
rieure de l'insula. La dégé- nérescence occupe la partie moyenne du
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 181), et la pyramid
rière du genou. Dégénérescence du deuxième cinquième interne du
pied
du pédoncule. Cas James. Hémi- plégie droit
e la capsule intenre ; dégénéres- cence de la partie moyenne du
pied
du pédoncule. Fig. 181 et 182. Cas Séjalon.
n arrière du genou. Dégénérescence du deuxième cinquième interne du
pied
du pédoncule cérébral et de la partie adja- cen
r de la capsule interne. Dégénéres- cence de la paitie moyenne du
pied
du pédoncule cérébral, dégénérescence presque c
escence capsulaire; dégénérescence du deuxième cinquième interne du
pied
du pédoncule cérébral et du locus niger (Fig. 188
rrière du genou ; dégénérescence du deuxième segment interne du
pied
du pédoncule cérébral. 2° Lésion du quart p
térieur de Cip, dégénérescence du deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule. 180 ANATOMIE DES CENTRES NERVEU
rrière du genou : dégénérescence du deuxième segment interne du
pied
du pédonculo cérébral. 2° Lésion du quart p
térieur de Cip, dégénérescence du deuxième cinquième externe du
pied
du pédonculo. Cas Lavigne. Lé- sion de la p
ticulaire. Dégénéres- cence du deuxième cinquième externe du
pied
du pédon- cule cérébral Inté- grité du faisce
faisceau de Turck; elle occupe le deuxième cin- quième externe du
pied
du pédoncule cérébral. Dégénérescence du locus
au de Turck, (FT) dégénérescence du deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral, du stratum intermedium (
eure (Fig. 190) de la région thalamique de la capsule interne et du
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 191). nié- thode de
ticulaire. D6gW dres- cenco du deuxième cinquième externe du
pied
du pédonculo cérébral. Intégrité du faisceau
de Ttircl\ : (Fig. 191) et occupe le deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral, la zone dégénérée occupe u
mmissure antérieure (coa), Foyer primitif dans la partie moyenne du
pied
du pédoncule. Conservation relative du faisceau
erne et entraîne une dégé- nérescence de la par- tie moyenne du
pied
du pédoncule, l'autre occupe le segment rét
erne et entraîne une dégé- nérescence de la par- tie moyenne du
pied
du pédoncule, l'autre occupe le segment rét
nterne en avant du faisceau de Turck, atteint la partie supérieure du
pied
du pédoncule cérébral et a entraîné une dégénér
ule cérébral et a entraîné une dégénérescence de la partie moyenne du
pied
du pédoncule et du locus niger, pouvant être su
t et respecte en partie le faisceau de Tiirck. Le faisceau externe du
pied
du pédoncule contient un certain nombre de fibr
quadrijumeau antérieur. Dégénérescences des deux tiers externes du
pied
du pédoncule cérébral et du locus niger Dégénéres
plète du faisceau de Tiirck. Intégrité des fibres du tiers interne du
pied
du pédoncule. Intégrité du ruban de Reil médian
de projeclion de l'écorce cérébrale fait complètement défaut. Ni le
pied
du pédoncule cérébral, ni l'étage antérieur de
vius et, disséquant en quelque sorte le corps strié, a sectionné le
pied
du segment supérieur de la couronne rayonnante.
interne, et que la région sous-thalamique de la capsule inlerne, le
pied
du pédoncule cérébral, l'étage antérieur de la pr
inales dans la région sous- optique (le lacapsule interne et lo
pied
du pédoncule cérébral. Absence de la voie p
inales dans la région sous- optique de la capsule interne et le
pied
du pédoncule cérébral. Absence de la voie p
e interne (Cip), par le corps de Luys (CL) et la partie antérieure du
pied
du pédoncule cérébral. Remarquer le grand nombr
NR), le ganglion de l'habenula (Gh), le faisceau rétroflexe (F.1), le
pied
du pédoncule (P), le centre médian de Luys (i\m
informe contenant un assez dense feutrage de fibres myélinisées. Le
pied
du pédon- cule ne contient pas la moindre fibre
udinales dans la région sous-optyue de la capsule interne et le
pied
du pédon- cule crél)ral..11)seii- ce de la vo
ortico-bulbaires et cortico-médullaires, fait complètement défaut; le
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 202 à 207) et l'éta
les dans la région sous-opti- quc do la capsule in- terne et le
pied
du pédoncule cérébral. Absence de la voie p
e (Fi=.20ret 205) sont aussi dépourvues de fibres verticales que le
pied
du pédoncule cérébral, l'étage antérieur de la
dans la région sous-opti- 1- que do la capsule in- terne et lo
pied
du pédoncule cérébral. Absence de la voie p
inales dans la région sous- optique de la capsule interne et le
pied
du pédoncule cérébral à l'exception du fais-
u fais- ceau géniculé et d'une' partie du fais- ceau interne du
pied
du pédoncule céré- tral. Absence de la voie
inales dans la région sous- optiquo de la capsule interne et le
pied
du pédoncule cérébral à l'exception du fais-
du fais- ceau géniculé et d'une partie du fais- ceau interne du
pied
du pédoncule céré- bral. Absence de la voie
ncéphalie (po). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 203
pied
de la couronne rayonnante, que le putamen devient
inales dans la région sous- optique de la capsule interno et le
pied
du pédoncule cérébral à l'exception du fais-
du fais- ceau géniculé et d'une partie du fais- ceau interne du
pied
lu pédoncule cére- bral. Absence de la voie
inales dans la région sous- optique de la capsule intorno et le
pied
du hédoncnlc cérébral a l'exception du fais-
du fais- ceau genicule et d'une partie du fais- ceau interne du
pied
du pédoncule cere- bral. Absence de la voie
ions de la convexité et de la face interne de l'hémisphère et dont le
pied
affleure l'épendyme ventriculaire (pCR, Fig. 22
niveau du crochet elles sont sectionnées obliquement; au niveau du
pied
, perpendiculairement à leur axe, ces dernières su
eau des fibres de projection recouvrant le faisceau calleux. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante du faisceau de fibres d
paisseur dans la partie moyenne de la convexité, en même temps que le
pied
s'éloigne des bords de la porencéphalie pour s'
le crochet contient plus de libres que précédem- ment, bien que le
pied
de la couronne rayonnante reste toujours grêle. I
s horizontales obliques on se convainc qu'une partie des fibres du'
pied
de la couronne rayonnante franchit l'étrangleme
base au centre ovale - elles changent de direction dans la région du
pied
de la couronne rayonnante, deviennent sagittale
inales dans la région sous- optique de la capsule interne et le
pied
du ' pédoncule cérébral à l'exception du fais
du fais- ceau géniculé et d'une partie du fais- ceau interne du
pied
du pédonculo céré- bral. Absence de la voie
inales dans la région sous- optique de la capsule interne et le
pied
du pédoncule cérébral à l'exception du fais-
du fais- ceau géniculé et d'une partie du fais- ceau interne du
pied
du pédoncule céré- bral. Absence de la voie
inales dans la région sous- optique de la capsule interne et le
pied
du pédoncule cérébral à l'exception du fais-
du fais- ceau géniculé et d'une partie du fais- ceau interne du
pied
du pédoncule céré- bral. Absence de la voie
inales dans la région sous- optique de la capsule interne et le
pied
du pédoncule cérébral a l'exception du fais-
du fais- ceau géniculé et d'une partie du fais- ceau externe du
pied
du pédoncule céré- bral. Absence de la voie
interne (Cig, Fig. 228, 229, 230), et plus bas la partie interne du
pied
du pédoncule cérébral (Fi, Fig. 231), puis s'ép
Quelle est l'origine corticale de ces fibres du faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 231)' ? proviennent
ennent du faisceau géniculé et descendent dans la partie interne du
pied
du pédoncule. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeu
ie presque totale de la voie pé- donculaire. Le faisceau interne du
pied
du pédoncule (Fi) contient seul des fibres my-
inales dans la région sous- optique de la capsule interne et le
pied
du pédoncule cérébral a 1 exception du fais-
du fais- ceau géniculé et d'une partie du fais- ceau interne du
pied
du pédoncule céré- bral. Absence de la voie
r quelques fibres appartenant au faisceau lenticulaire de Forel. Le
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 231) ne contient (à l
cale et le trajet ittlracérébral des fibres de l'étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral. Mém. de la Soc. de Biologi
quent les circonvolutions rolandiques, le lobule para- central, les
pieds
d'insertion des circonvolutions frontale et parié
nous venons de le voir, une dégénérescence secondaire du thalamus, du
pied
du pédoncule cérébral, de l'étage antérieur de
en arrière jusqu'au sillon interpariétal et comprend, en avant, les
pieds
d'insertion des deuxième et première circonvo-
olandique, le quart inférieur des circonvolutions rolandiques et le
pied
d'insertion de la troisième circonvolution fronta
imple de la tête a été obtenue par Mills et 11 earn, en excitant le
pied
de la deuxième circonvolution frontale en avant d
le en avant de la zone des doigts et de la main. C'est enfin sur le
pied
de la deuxième circonvolu- tion frontale, dans
Dans un cas de Garel (1890), il existait une lésion très légère du
pied
de la troisième frontale et de l'extrémité infé
lations du cou-de-pied et des orteils, et l'on produit la flexion du
pied
et la flexion ou plus souvent l'extension des o
qu'on électrise les régions antérieures de la zone, à la flexion du
pied
et aux mouvements des orteils s'ajoutent la flexi
e phonatoire du larynx, enfin, siège dans la partie anté- rieure du
pied
de la frontale ascendante; son excitation produit
a plus grande étendue dans la région sous-thalamique aux confins du
pied
du pédoncule cérébral. L'excitation de la capsu
ale. - ofi, face orbitaire de la première circonvolution frontale.- ?
pied
du pédoncule cérébral. - Pc, pli courbe. P'c pl
la circonvolution d'enceinte de la scissure de Sylvius, s'étend du
pied
de la troisième circonvolution frontale au pli co
ur et dé- termine l'aphasie. Variétés d'apha- sies. occupe le
pied
de la troisième circonvolution frontale, le centr
graphique, d'un centre spécialisé pour les mouvements de l'écriture
pied
de la deuxième circonvo- lulion frontale gauche
l'autopsie révélât l'existence d'une lésion isolée et localisée au
pied
de F,. Or une pareille observation n'a jamais été
st facile de comprendre qu'une lésion limitée du centre ovale ou du
pied
de la cou- ronne rayonnante, déterminera des ph
mise. Le noyau lenticulaire, en effet, n'envoie pas de fibres dans le
pied
du pédoncule cérébral et n'en reçoit pas de la
de l'avant-bras sont autrement spécialisés que ceux de lajambe et du
pied
. En résumé, l'existence de monoplégies par lési
sensibilité spé- ciale. Il n'y a pas de faisceau sensitif venant du
pied
pédoncule et passant directement dans la capsul
'\, partie orbitaire de la première cir- convolution frontale. - P,
pied
du pédoncule. - 1'01, pédoncule olfactif. Rolp, r
u thalamus. - Nii, noyau rouge et sa capsule de fibres (CNlI). - P,
pied
du pédoncule cérébral. PaTh, pédoncule antérieur
noyau antérieur, vue, noyau externe du thalamus. NR, noyau rouge. l',
pied
du pédoncule cérébral. - Pt771, pédoncule infér
el sous-lenticulaire de la capsule interne, le faisceau externe du
pied
du pédoncule cérébral et le noyau rouge. Méthod
e. - 11, circonvolution de l'hippocampe. Lg, lobule lingual. - pcn,
pied
de la couronne rayonnante. - Tg, corps du trigone
, locus niger. - NR, noyau rouge. - CNR, sa capsule de fibres. - P,
pied
du pédoncule cérébral. - l'o, protubérance. - l
e de fascicules qui se portent en bas et en dehors et traversent le
pied
de la couronne rayonnante (Fig. S69 à 272). Ce
antérieur, interne et externe du thalamus. - NC, le noyau caudé. - P,
pied
du pédoncule cérébral. - aPcs, entre-croisement
Le noyau externe est en rapport en dehors avec la partie interne du
pied
du pédoncule cérébral, du corps de Luys et du f
iculaire de Forel; dans l'espace compris entre le noyau externe, le
pied
du pédoncule cérébral et la surface du tuber cine
locus niger. - NR, noyau rouge. - C\-R, sa capsule de fibres. - P,
pied
du pédoncule cérébral. - l'o, protubérance. - 1
edans du locus niger, entre la substance perforée postérieure et le
pied
du pédoncule cérébral, et croise les fibres du
la continuation du segment postérieur de la capsule interne avec le
pied
du pédon- cule cérébral ; l'aspect de la zone r
laire de la capsule interne. - coa, commissure antérieure. - 1)CIi,
pied
du segment antérieur de la couronne rayonnante. -
érescence du tiers moyen en [particulier du 3° cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 285); une dégénéresce
manifeste de libres pyramidales liomolatérales. La dégénérescence du
pied
du pédon- cule s'accompagne d'une dégénérescenc
sain sur toutes les coupes qui passent par le tiers supé- rieur du
pied
du pédoncule cérébral, c'est-à-dire sur toutes le
olandlftllc. Dégénérescence de Cip, Ne, \m; dégé- nérescence du
pied
du pédoncule céré- bral, du locus niger, du
rieur de la capsule interne (Fig. 283 et 284), du tiers moyen du
pied
du pédoncule et du pes lemniscus profond (PLp),
iveau de la deuxième circonvolution occipitale. Il n'existe dans le
pied
du pédoncule cérébral, examiné à la méthode de
(FT) (Fig. 289); une dégénérescence des trois cinquièmes externes du
pied
du pédoncule cérébral peu prononcée au niveau d
é- rieure Cip, Pul, Ne. Nm, Cgi, Cge, BrQa, partie moyenne du
pied
du pédoncule, pes lemniscus pro- fond, pes le
rieure Cip, Pul, Ne, ¡\111, Cgi, Cge, BrQa, partie moyenne du
pied
du pédoncule, pes lcmmscus pro- fond, pes lem
stérieur de la capsule interne (Cip) des trois cinquième externe du
pied
du pédon- cule. Dégénérescence partielle du fai
e inférieure aux confins de la région sous-optique (Fig. 288) et le
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 28'.)). Bibliothèqu
andes variétés d'aspect. Sur les coupes horizontales passant par le
pied
de la couronne rayonnante, les fascicules de la
290. - Coupe horizontale intéressant la région de transition entre le
pied
de la couronne rayonnante et la région thalamiq
ntérieur du thalamus. TTA, pédoncule postérieur du tlialamus. - ? CR,
pied
de la cou- ronne rayonnante. - Pur, fibres de p
s de projections. - PaTh, pédoncule antérieur du tha- lamus. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante du lobe frontal. - Plch
région sous-thala- mique de la capsule interne à sa limite avec le
pied
du pédoncule et s'ir- radient dans l'extrémité
nt postérieur de la cap- sule interne et de la partie supérieure du
pied
du pédoncule cérébral en fascicules denses, nom
nterne - Rcoa, radiations de la commissure antérieure traversant le
pied
du segment postérieui de la couronne rayonnante
eau frais, après ablation de la bandelette optique, con- tourner le
pied
du pédoncule cérébral au niveau de sa pénétration
La lésion sous-jacente aux circonvolutions rolandiques a sectionné le
pied
du segment supérieur de la couronne rayonnante,
ip) (Fig. 296 et 297) pouvant être suivie dans la partie moyenne du
pied
du pédoncule céré- bral (Fig. 299 et 300), dans
lio optique. Dé- générescence do la partie moyenne do Cip et du
pied
du pédoncule. Degene- rescence de Zr, Lme,
che optique. Dé- générescence de la partie moyenne de Cip et du
pied
du u pédoncule. Dégéne- rescence do Zr, Lme,
ptique, du noyau rouge et de sa cap- sule de fibres. externe du
pied
du pédoncule cérébral, y compris le faisceau de T
région sous-thalamique. Dégénérescence de la partie moyenne du
pied
du pédoncule (P), du lo- cus niger (Ln) et du
pes lemniscus profoml(PLp). Intégrité du faisceau in- lerne du
pied
du pédon- cule, malgré la dégéné- rescence de
97. Intégrité du faisceau de Turck, de la partie adja- cente du
pied
du pédoncule, du segment sous-lenticulaire de la
lques rares grains isolés. Dégénérescence de la partie moyenne du
pied
du pédoncule cérébral, qui, dans la région pédo
e ruban de Reil médian. Intégrité des parties interne et externe du
pied
du pé- doncule. Méthode de Marchi. Cas l2oosc
che optique. Dé- générescence do la partie moyenne de Cip et du
pied
du pédoncule. Dégéné- rescence de Zr, Lme,
halamus. Il existe enfin une dégénérescence de la partie moyenne du
pied
du pédoncule (P), du locus niger (Ln) et du pes l
l'anse lenticulaire ne concourt pas à former le faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral et n'envoie pas de fibres d
ne du segment postérieur de la capsule interne (Fig. 303 à 30), et du
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 30G à 309), dégénér
Ln, Fig. 307 et 308) et une dégénérescence des voies aberrantes du
pied
du pédoncule : pes lemniscus profond (PLp) et p
e moyenne du segment postérieur de la cap- sule interne et du
pied
du pédonculo cérébral , du locus niger. du pe
nférieure. Intégrité du ruban de Reil et du faisceau interne du
pied
du pédon- cule cérébral. 31O ANATOMIE DES C
e moyenne du segment postérieur de la cap- sule interno et du
pied
du pédoncule cérébral, du locus niger, dupes
nférieure. Intégrité du ruban de Reil et du faisceau interne du
pied
du pédon- cule cérébral. thalamique jusque da
a capsule interne (Cip), (Fig. 30j et 30G) ni de la partie interne du
pied
du FiG. 304 et 305. - Cas Gardette (Salpêtrière
res fibres dégénérées que l'on constate dans le faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral au voisinage du sillon pédo
ardette (Salpêtrière, 189G). Dégénérescence de la partie moyenne du
pied
du pédoncule cérébral et du locus niger (Ln) cons
cule ma- millaire (Tm) (Fig. 306). Intégrité du faisceau interne du
pied
du pédoncule cérébral. (Méthode de Marchi.) C
ie moyenne du segment postérieur dola cap- sule interne et du
pied
du pédonculo cérébral, du locus niger, du pes
nférieure. Intégrité du ruban do Reil et du faisceau interne du
pied
du pédon- cule cérébral. 342 ANATOMIE DES CEN
e moyenne du segment postérieur de la cap- sule interne et du
pied
du pédoncule cérébral, du locus niger, du pes
nférieure. Intégrité du ruban de Reil et du faisceau interne du
pied
du pédon- cule cérébral. Il existe d'autre pa
ardette (Salpêtrière, 189G). Dégénérescence de la partie moyenne du
pied
du pédoncule cérébral (P, I), du locus niger (Ln)
nticulaire et thalamique de Forel. Intégrité du faisceau inlerne du
pied
du pédoncule cérébral, malgré la dégénérescence d
énérées qui se trouvent sur la Figure 309 dans le faisceau interne du
pied
du pédoncule appartiennent au pes lemniscus sup
TRIÉ. 343 3° Que l'anse lenticulaire n'envoie pas de fibres dans le
pied
du pédoncule cérébral, en particulier dans le f
rectus, face orbitaire de la première circonvolution frontale. - P,
pied
du pédoncule cérébral. - Pcs, pédoncule cérébelle
ope, face orbi- taire de la première circonvolution frontale. - l',
pied
du pédoncule cérébral. - Plch plexus choroïdes
, est en rapport avec le locus niger (Ln), la partie postérieure du
pied
du pédoncule céré- bral (Fig. 7, p. 10) (P) et
es lme', lmi'. PaTh, pédoncule antérieur de la couche optique. pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - PiTh, pédoncule infé
enouillé externe, la bandelette optique et la partie postérieure du
pied
du pédoncule cérébral (v. Monakow). Les cellule
r se recourbe et embrasse dans sa courbe la partie posté- rieure du
pied
du pédoncule cérébral (P), dont le séparent les c
ur. - CR, le segment supérieur de la couronne rayonnante. - pCR, le
pied
de la couronne rayonnante. - ds, diverticule du
ando. - RCc, radiations du corps calleux ; on les voit traverser le
pied
de la couronne rayonnante et s'irradier dans la
ntrent en effet que la couche optique n'envoie aucune fibre dans le
pied
du pédoncule cérébral et qu'elle n'en reçoit aucu
est La couche optique n'cnvotoaucunonbrc descendante dans le
pied
du pédoncule cerebral. Connexions avec le n
) de l'homme consécutive à une lésion sous-corticale sectionnant le
pied
de la couronne rayonnante et le noyau lenticula
e joindraient à la bandelette optique, contourneraient avec elle le
pied
du pédoncule cérébral, atteindraient ainsi les pa
erne et centre médian de la couche optique. - NR, noyau rouge, if\,
pied
du pédoncule. - PTm, pédoncule du tubercule mamil
uée au-dessous de la couche optique, au-dessus du locus niger et du
pied
du pédoncule cérébral, entre la capsule inlerne e
faisceau de Turck (FT), c'est-à-dire les éléments con- stitutifs du
pied
du pédoncule cérébral qui affectent seuls des rap
ral, par le tiers antérieur de la couche optique, et sectionnant le
pied
du pédoncule cérébral et la substance innominée s
C.11, commissure de Meynert. - coa, commissure anté- rieure. -peR,
pied
de la couronne rayonnante. - CSgt. couches sagitt
interne et du sommet du globus pallidus, au-dessus et en dedans du
pied
du pédoncule cérébral et de la partie supérieure
e de Meynert. coa, commissure antérieure. CL, corps de Luys. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - F, champ de Foret. -
dé. - NL3 NL2, NL,, les trois segments du noyau lenticulaire. - Il,
pied
du pédoncule cérébral. l'cid, plexus choroïdes
a substance innominée sous-lenticulaire de Reichert, à la limite du
pied
du pédoncule cérébral et de la région sous-opti
en avant à mesure que le locus niger croît. 11 a disparu lorsque le
pied
du pédoncule cérébral apparaît librement à la b
s connexions avec le segment postérieur de la capsule interne et le
pied
du pédoncule cérébral deviennent très manifestes;
rès manifestes; il occupe en effet le sinus de l'angle formé par le
pied
du pédoncule céré- bral et la capsule interne (
ule interne (région sous-thalamique) et dans la partie adjacente du
pied
du pédoncule cérébral. Les fibres de la capsule i
e du tubercule mamillaire, est en rapport avec la partie interne du
pied
du pédoncule cérébral (Fig. 32 et 325). L'extré
Avec le corps strié. segment postérieur de la capsule interne et du
pied
du pédoncule céré- bral, dont le sépare la part
on expérimentale de la commissure de Meynert à la partie interne du
pied
du pédoncule cérébral. Or, les deux premiers ca
pédoncule du tubercule mamillaire la sépare de la partie interne du
pied
du pédoncule, à sa limite avec la région sous-t
igert). La région sous-optique comprise entre la couche optique, le
pied
du pédoncule cérébral et le locus niger compren
sous-lenticulaire de la capsule interne. - CL, corps de Luys. pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - er, commissure sous-
dé. - Nit, NL2, Nez, les trois segments du noyau lenticulaire. - P,
pied
du pédoncule cérébral. Ilchl, plexus choroïdes
e optique, puis pénètre entre les faisceaux de la partie moyenne du
pied
du pédoncule cérébral (Voy. T. 1er, Fig. 191, p.
t, Forel, Gudden n'ont pu la suivre au delà de la partie moyenne du
pied
du pédoncule cérébral; Darkschewitsch et Pribytko
e - 0F1 face orbitaire de la première circonvolution frontale. - P,
pied
du pédoncul cérébral. Pc, pli courbe gauche. Pc
aires de la vision ? Reçoit-il des fibres du noyau lenticulaire et du
pied
du pédoncule, comme l'admettent v. Monakow, Hen
orps de Luys, le corps genouillé interne, le noyau lenticulaire et le
pied
du pédoncule cérébral. Mais les résultats fourn
n'entraîne en effet jamais chez l'homme une dégénérescence soit du
pied
du pédoncule cérébral, soit du noyau lenticulaire
obe semi-lunaire inférieur. - Oi, olive inférieure ou bulbaire. - Il,
pied
du pédoncule cérébral. - Py, pyramide antérieur
lobe semi-lunaire inférieur.-Lsls, lobe semi-lunaire supérieur. - P,
pied
du pédon- cule cérébral. - Po, protubérance. -
llbérantiel supérieur ou pédonculo- protubérantiel; il la sépare du
pied
des pédoncules cérébraux el forme sur la ligne
e, légèrement échancrée à ce ni- veau. Au niveau du bord externe du
pied
du pédoncule cérébral, le sillon protubérantiel
ial antérieur du bulbe. - Oi, olive inférieure ou bul baire. - P,
pied
du pédoncule cérébral, - l'o, protu bérance. -
nne du sillon protubérantiel supérieur, entre la protubérance et le
pied
du pédoncule cérébral. Le plus souvent il est
reçoit un petit fas- cicule descendant qui longe le bord externe du
pied
du pédoncule céré- bral. Par ses fascicules pri
ft, faisceaux arrondis, funiculi teretes. -Le, locus caeruteus. - ?
pied
du pédon- cule cérébral. Pcm, pédoncule cérébel
les bien dis- tinctes : l'une fail suite à la capsule interne et au
pied
du pédoncule cérébral, forme l'étage antérieur
pédonculaire, qui en occupe toute la hauteur, forme à elle seule le
pied
du pédoncule cérébral et la pyramide bulbaire e
aisceau compact de la couronne rayonnante, la capsule interne et le
pied
du pédoncule central, et avons démontré qu'elle p
us-lenticulaire de la capsule interne, et occupe toute l'étendue du
pied
du pédoncule cérébral. En pénétrant dans l'étag
ux qu'ils étaient, et se groupent le long de la face postérieure du
pied
du pédoncule cérébral en petits fascicules arro
, Fig. 393). La dissociation commence à la partie anléro-interne du
pied
du pédoncule cérébral, de chaque côté du trou b
normale seule, de déterminer quelle part les différents segments du
pied
du pédoncule cérébral prennent à la constitu- t
inime (Voy. cas Neu- mann, p. 145), que celui du segment interne du
pied
du pédoncule est faible, mais incontestable, (V
es, car toute dégénérescence, même limitée, de la partie moyenne du
pied
du pédoncule cérébral, retentit à la fois sur l
niger une trame névroglique revêtant la forme et la disposition du
pied
du pédoncule, mais dépourvue de fibres longitudi-
rance (Atrophie olivo-Jo7to-cééb·llezcse de Dejerine et Thomas). Le
pied
du pédoncule et la pyramide bulbaire sont intac
56) se détache de la face profonde du deuxième cinquième externe du
pied
du pédoncule cérébral, traverse obliquement le lo
377), moins constant, contourne en écharpe la face superficielle du
pied
du pédoncule et se place en dedans de son faisc
e) elles contournent, lorsqu'elles existent, le faisceau externe du
pied
du pédoncule et le sillon latéral de l'istlime
postéro- externes, lorsqu'on le voit contourner Loule la largeur du
pied
du pédoncule TONII, 1[. u. 3 Fig. 378, 379, 3
illing, les entre-croisements dorsal et ventral de la calotte et le
pied
du pédoncule cérébral. Coupe horizontale obliqu
laire au niveau de la commis- sure en fer à cheval de Wernekink. Le
pied
du pédoncule cérébral au niveau du sillon pédon
l'un se porterait en avant, fusionnerait le long du bord externe du
pied
du pédoncule cérébral avec le faisceau interne,
tion de la partie externe de la pyramide et de la partie externe du
pied
du pédoncule cérébral. Mais ce ne fut qu'en 1883,
(BrQp), le corps genouillé interne (Cgi), la partie postérieure du
pied
du pédoncule cérébral (P) et du locus niger (Ln).
aux antérieur et postérieur; 2° que la voie pédonculaire ou voie du
pied
du pédoncule cérébral fait suite à la capsule i
e Vieussens (VV). Toutes ces coupes sectionnent donc obliquement le
pied
du pédoncule cérébral, et c'est ainsi que s'exp
u'à la partie interne de la coupe, la partie externe sectionnant le
pied
du pédoncule au- dessus du sillon pédonculo-pro
au-dessus des fibres transversales de la protubérance, intéresse le
pied
du pédoncule cérébral au voisinage de son bord
uc de Sylvius (Aq) à son embouchure dans le quatrième ventricule.
Pied
du pédoncule cérébral. Les fibres du pied du pédo
le quatrième ventricule. Pied du pédoncule cérébral. Les fibres du
pied
du pédoncule ou de la voie pédonculaire (VP) so
ière, devien- nent horizontaux et se groupent à la face profonde du
pied
du pédoncule cérébral en une couche de lâches f
e cérébral en une couche de lâches fascicules, la couche dorsale du
pied
du pédoncule ou stratum intermedium (Stri). Il
eloppé et forme un faisceau compact qui occupe la partie externe du
pied
et s'adosse au ruban de Reil médian (Itm). II r
r la coupe N° 13 x (Fig. 328, T. du bord interne au bord externe du
pied
du pédoncule et ne sépare qu'incomplè- tement l
ibres (xiPcs) s'entre-croisent en fascicules presque FIG. 419. - Le
pied
du pédoncule cérébral, sa couche intermédiaire ou
inférieur (xiPcs) qui s'effectue sur une grande hau- Fic. 420. - Le
pied
du pédoncule cérébral, la couche intermédiaire, l
cédente. Ils se détachent de toute l'étendue de la face profonde du
pied
dupédoncule (coupe P2), s'entourent d'une gangu
ubérance (SgPo), dissocient les fas- cicules de la face profonde du
pied
du pédoncule et adossent au ruban de Reil média
coupe P4 (Fig. 422), la moitié interne de la face superficielle du
pied
du pédoncule. Les fibres transversales profondes
couches transversales, superposées d'arrière en avant. FiG. 421. -
Pied
du pédoncule cérébral en particulier dissociation
formation réticulée (SR). FiG. 422. - La dissociation des fibres du
pied
du pédoncule cérébral par les fibres transversa
de la voie pédonculaire; ils appar- tiennent aux fibres externes du
pied
du pédoncule cérébral, au faisceau de Turck, et
mais n'appartenant pas à la voie pédonculaire, ne provenant pas du
pied
du pédoncule cérébral et ne se con- tinuant pas
rs, carac- térisée en particulier par la trépidation épileptoïde du
pied
, permettra de reconnaitre l'existence d'une aff
nsion quand on excite la INTRODUCTION t LA SÉMIOLOGIE 1 plante du
pied
et, de plus, il n'est pas rare que les orteils s'
elques mots la description. Du côté sain, la piqûre de la plante du
pied
provoque, comme cela a lieu d'habitude à l'état
e flexion de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse, du
pied
sur la jambe et des orteils sur le méta- tarse.
flexion de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du
pied
sur la jambe, mais les orteils, au lieu de se f
des orteils à la 28 SÉMIOLOGIE suite de la piqûre de la plante du
pied
, mais, comme en pareil cas, il n'y a pas chez l
résumé, le mouvement réflexe consécutif à la piqûre de la plante du
pied
peut subir dans les paralysies crurales reconnais
e vous sachiez que dans ces conditions l'excitation de la plante du
pied
provoque ordinairement, entre autres mouvements
nairement, entre autres mouvements réflexes, tels que la flexion du
pied
sur la jambe, de la jambe sur la cuisse, de la
s normaux chez lesquels, à la suite de l'excitation de la plante du
pied
, les orteils restent, au moins en apparence, im
Or, dans certains états pathologiques, l'excitation de la plante du
pied
provoque l'extension des orteils, en particulie
e quand on excite la partie interne de la plante du 3o SÉMIOLOGIE
pied
que lorsque l'excitation porte sur la partie exte
i des exemples : chez certains sujets, l'excitation de la plante du
pied
ne provoque d'extension que dans le gros orteil
rteils s'étendent quand on excite la partie externe de la plante du
pied
et se fléchissent lorsque c'est la partie inter
plante du pied et se fléchissent lorsque c'est la partie interne du
pied
qui est excitée ; chez d'autres encore, le réfl
re, le réflexe plantaire, quelle que soit la partie de la plante du
pied
qui est excitée, se manifeste tantôt par de la fl
ver le mouvement réflexe des orteils. Il importe que les muscles du
pied
et de la jambe ne soient pas en état de contracti
es yeux. La jambe doit être légèrement fléchie sur la cuisse, et le
pied
reposera sur le lit par son bord externe ou bie
nergiquement, de cha- touiller simplement ou de piquer la plante du
pied
. Ce dernier mode d'excitation est nécessaire ch
t pourrait être exécuté consécutivement à la piqûre de la plante du
pied
par un acte de la volonté ; il faut, dans des c
on que je veux vous signaler. Les orteils suivent nécessairement le
pied
dans le mouvement de flexion qu'il exécute sur
ont très exagérés. Du côté droit, le chatouillement de la plante du
pied
donne lieu à une flexion des orteils ; du côté ga
ne extension des orteils à la suite de l'excitation de la plante du
pied
gauche. La troisième malade a été frappée il y
gération notable des réflexes tendineux et trépidation épileptoïde du
pied
, qui me parait due à une plaque de sclérose occ
ssibilité absolue de se tenir debout ; l'excitation de la plante du
pied
provoquait alors, d'une façon constante, l'exte
t la trépidation réflexe per- sistent. L'excitation de la plante du
pied
détermine maintenant d'abord la flexion des ort
est le siège d'une paralysie spasmodique, la piqûre de la plante du
pied
donne lieu à une extension des orteils. Du côté d
ns élevé, des troubles de la motilité, l'excitation de la plante du
pied
détermine une extension très légère du gros ort
t défaut à ce moment comme auparavant, l'excitation de la plante du
pied
provoquait ainsi qu'au premier jour, l'extensio
até de ce côté le signe des orteils, moins accentué toutefois qu'au
pied
paralysé. Chez une femme atteinte d'hémiplégie
ées, j'ai noté le fait curieux suivant : l'excitation de la plante du
pied
paralysé donnait lieu de ce côté à une extensio
e ce côté à une extension des orteils ; l'extension de la plante du
pied
normal provoquait, outre une flexion des orteils
ante du pied normal provoquait, outre une flexion des orteils de ce
pied
, une flexion des orteils du pied paralysé. J'ai
utre une flexion des orteils de ce pied, une flexion des orteils du
pied
paralysé. J'ai vu le phénomène des orteils dans
diatement après une crise, j'ai vu que l'excitation de la plante du
pied
donnait lieu à de l'extension des orteils à gau
agération des réflexes tendineux et de trépi- dation ëpileptoïde du
pied
. Le sujet empoisonné par la strychnine guérit r
SÉMIOLOGIQUE 35 mon interne M. Cestan, l'excitation de la plante du
pied
ne provoquait aucun mouvement des orteils. Chez
ec exagération des réflexes tendineux et trépidation épileptoïde du
pied
, tandis qu'inversement on observe très nettemen
ce réflexe chez le nouveau-né. Le chatouille- ment de la plante du
pied
provoque normalement l'extension des orteils. O
de Paris, séance du 2 juillet igo3. L'excitation de la plante du
pied
provoque parfois, entre autres mouve- t ments r
s atteints d'une perturbation du PARAPLÉGIE SPASMODIQUE Fig. 1. -
Pied
au repos. Fil : ). 2. - Pied au moment de l'ex-
du PARAPLÉGIE SPASMODIQUE Fig. 1. - Pied au repos. Fil : ). 2. -
Pied
au moment de l'ex- citation. Abduction des orle
midal n'est pas encore constitué, le chatouillement de la plante du
pied
donne lieu généralement à une abduction des ortei
t est assis ; les jambes font avec les cuisses un angle obtus ; les
pieds
reposent sur le sol par le talon. 3" Le malade
le côté, la jambe légèrement fléchie sur la cuisse, l'extrémité du
pied
soutenue par la main gauche de l'observateur.
particulier quand je m'occuperai de la « trépidation épileptoïde du
pied
». Mais en opposition avec cette variabilité qu
pellent « épilepsie spinale » et qu'on observe le plus sou- vent au
pied
. On le désigne alors sous la dénomination de « cl
nt au pied. On le désigne alors sous la dénomination de « clonus du
pied
», « trépidation épileptoïde du pied ». On recher
la dénomination de « clonus du pied », « trépidation épileptoïde du
pied
». On recherche ce signe en pro- cédant ainsi :
la jambe immobile dans la main gauche et saisissant l'extrémité du
pied
avec la main droite, l'observateur fléchit brusqu
é du pied avec la main droite, l'observateur fléchit brusquement le
pied
sur la jambe sans l'abandonner. Il y a trépidatio
et d'exten- sions, donnant à la main qui soutient et accompagne le
pied
, la sensation d'un rythme parfait. ' Ce phéno
être réservé à un état pathologique. 6a SÉMIOLOGIE Le clonus du
pied
cela ressort de ce qui précède ne constitue un
ent des réflexes tendineux forts et chez lesquels le soulèvement du
pied
, sans nul artifice préalable, n'a pas provoqué
pidation ; qu'on invite alors les sujets en expérience à étendre le
pied
sur la jambe et à résister un peu au mouvement de
suite, les divergences d'opinions sur la signification du clonus du
pied
. Outre la trépidation du pied, on observe des p
s sur la signification du clonus du pied. Outre la trépidation du
pied
, on observe des phénomènes identiques dans d'au
rtains cas, une série de secousses identiques à celles du clonus du
pied
: c'est la « trépidation épileptoïde de la main
e des orteils qu'on obtient par la percussion de la face dorsale du
pied
. A l'état physiologique cette excitation provoque
fets de ce réflexe provoqué par la percussion de la face dorsale du
pied
masquent, s'ils ont une puissance suffisante, c
se manifeste, en particulier, par de la trépidation épileptoïde du
pied
. . Lésions périphériques. Les névrites peuvent-
chilléen et on pourra même observer la trépidation épi- leptoïde du
pied
; une arthrite du genou déterminera d'abord une ex
supérieur. z4 si SÉMIOLOGIE Une excitation légère de la plante du
pied
donne lieu généralement à une flexion des ortei
u membre inférieur se manifestant principalement par une flexion du
pied
, de la jambe et de la cuisse ; ce mouvement est
éciable, après excitation de la paroi abdominale ou de la plante du
pied
, quand on la constate des deux côtés, ne constitu
es orteils, et, d'autre part, les mouvements réflexes de flexion du
pied
, de la jambe et de la cuisse. En ce qui conce
s du système nerveux central, les mouvements réflexes de flexion du
pied
, de la jambe et de la cuisse sont manifestement
ion plus longue, et la zone réflexogène plus étendue. La flexion du
pied
, de la jambe et de la cuisse est parfois portée
qui, à l'état normal, est ordinairement circonscrite à la plante du
pied
, elle gagne la jambe, la cuisse et souvent elle
en évidence cette surréflectivité. a) Le sujet étant assis et ses
pieds
reposant sur le parquet, on excite les tégument
constate d'habitude que la cuisse se fléchit sur le bassin, que le
pied
se détache du plancher et se maintient quelque
dans les conditions que je viens d'indiquer, des sujets normaux, le
pied
reste généralement fixé au sol ; exceptionnelle
sujet étant assis ou couché, on pince la peau de la face dorsale du
pied
ou de la partie inférieure de la jambe. Sous cett
du pied ou de la partie inférieure de la jambe. Sous cette action le
pied
se fléchit, parfois très énergiquement, ce que
se. r) Le sujet étant couché, on saisit avec la main l'extrémité du
pied
et par certaines perturbations des réflexes, pa
ralement une flexion très prononcée de la cuisse, de la jambe et du
pied
(Bechtereff, Marie et Foix). A vrai dire, il ne s
effet, chez l'adulte normal, les mouvements réflexes de flexion du
pied
, de la jambe et de la cuisse s'associent à la fle
ande d'Esrnarch peut en même temps exagé- rer la flexion réflexe du
pied
, de la jambe et de la cuisse et faire disparaître
que chez quelques malades, tandis que l'excitation de la plante du
pied
déter- mine de l'extension des orteils, ceux-ci
urtout quand elle se manifeste par de la trépidation épileptoïde du
pied
, le phé- nomène des orteils est présent : les o
orteil, s'étendent sous l'influence de l'excitation de la plante du
pied
et parfois, en même temps, ils s'écartent les u
nt engendrer de la surréflectivité tendineuse, de la trépidation du
pied
, quand il s'agit d'arthrite médio-tarsienne ou ti
neux sont d'une intensité à peu près normale et que le phénomène du
pied
fait défaut. Les réflexes tendineux finissent g
on notable des réflexes tendineux avec trépidation épi- leptoïde du
pied
, et parfois danse de la rotule ; d) réflexes de d
iers, quand elle occupe les membres inférieurs, de clonus fruste du
pied
. Mais c'est peut-être la pauvreté de la sémiotiqu
manifeste par un abaissement de l'épaule ainsi que par une chute du
pied
et de la main ; lorsque les jambes sont pendantes
e la main ; lorsque les jambes sont pendantes, l'angle que forme le
pied
avec la jambe est plus grand du côté paralysé ; q
ate aussi chez beaucoup de malades de la trépidation épileptoïde du
pied
et parfois aussi de la trépidation épileptoïde
d'une exagération de ces réflexes ; le soulèvement de la plante du
pied
a parfois pour conséquence une tré- pidation du
e la plante du pied a parfois pour conséquence une tré- pidation du
pied
qui se propage dans certains cas au membre entier
otables. On peut voir de même, en ce qui concerne la trépidation du
pied
, qu'il ne s'agit pas d'une véritable trépidatio
eux périarticulaire, consécutive elle-même à l'attitude vicieuse du
pied
qui remontait déjà à plusieurs mois et qu'en dé
bdominal. Les mouvements consécutifs à l'excitation de la plante du
pied
sont, dans bien des cas d'hémiplégie organique,
es, qu'à l'état normal, chez l'adulte, l'excitation de la plante du
pied
provoque entre autres mouvements réflexes une f
erturbation dans le système pyramidal, l'excitation de la plante du
pied
donne lieu généralement à de l'extension des or
s et il existe dans bien des cas de la trépidation épileptoïde du
pied
. 7° Les réflexes cutanés sont générale- ment
ent réflexe des orteils consé- cutif à l'excitation de la plante du
pied
subit ordinairement une inversion dans sa for
x ne subissent pas de modification et la trépidation epileptoïde du
pied
fait défaut. 7° Les réflexes cutanés ne parai
x. Le mouvement réflexe consécutif à l'excitation de la plante du
pied
ne subit pas d'inversion dans sa forme. Le phé-
des divers segments du membre inférieur les uns sur les autres : le
pied
se relève et se fléchit sur la jambe, celle-ci
la cuisse s'étend alors sur le bassin, la jambe sur la cuisse et le
pied
sur la jambe ; le membre inférieur tout entier s'
s vif de la peau ne déterminera qu'avec peine une simple flexion du
pied
. Entre ces types extrêmes se placent tous les i
rons à revenir. Ajoutons enfin qu'une flexion réflexe très forte du
pied
sur la jambe peut se produire, les autres segme
ur la plante, en môme temps qu'on abaisse l'extrémité antérieure du
pied
. Au membre supérieur on peut facilement provoqu
e on peut obtenir, entre autres mouvements réflexes, une flexion du
pied
, de la jambe et de la cuisse. S'agit-il là d'un
ui me parait pathognomonique : si on obtient une flexion réflexe du
pied
en pinçant la peau du membre inférieur hors de la
férieur hors de la zone plantaire, par exemple à la face dorsale du
pied
ou à la jambe, on est en droit d'affirmer qu'il
d'Achille entre le pouce et l'index peut déter- miner la flexion du
pied
et l'extension des orteils du côté paralysé, ce q
noeuvre décrite par Schaefer, j'ai obtenu, comme lui, la flexion du
pied
et l'extension des orteils. Puis, je me suis cont
le phénomène d'Oppenheim est caractérisé par la flexion réflexe du
pied
que provoque, chez les malades atteints de lési
server des malades chez lesquels l'excitation du tégument du dos du
pied
ou de la jambe provo- que simultanément un mouv
du gros orteil. Parfois alors une excitation légère de la plante du
pied
détermine une extension du gros orteil, les autre
on constante des réflexes tendineux avec trépidation épileptoïde du
pied
... Le phénomène des orteils s'associe à cette t
je la fais) et me bornant à observer les mouvements exécutés par le
pied
, la jambe et la cuisse. Voici en quoi consisten
ions du mem- bre inférieur telles que le frottement de la plante du
pied
avec une épingle, le pincement de la peau de la
d avec une épingle, le pincement de la peau de la région dorsale du
pied
ou de la jambe, notamment à sa partie inférieur
se produit, outre une contrac- tion du fascia lata, une flexion du
pied
sur la jambe, de la jambe sur la cuisse, de la
la plante, en même temps qu'on abaisse l'extré- mité antérieure du
pied
. La zone réflexogène est plus ou moins étendue
oins étendue suivant les malades. Souvent, elle occupe seulement le
pied
et la jambe et s'arrête approxima- tivement au
urement sur ce point. Dans certains cas, tandis que l'excitation du
pied
et de la jambe donne lieu au mouvement habituel
peau de la partie inférieure de la jambe est suivi d'une flexion du
pied
et d'une extension de la jambe sur la cuisse ; j'
aussi de voir ceci : l'excitation, provoquant toujours une flexion du
pied
, accentuait un peu, pour commencer, l'attitude
s vif de la peau ne déterminera qu'avec peine une simple flexion du
pied
. Entre ces types extrêmes se placent tous les i
Or, voici ce qui parait bien établi. Une excitation de la plante du
pied
telle que le frottement avec une épingle est so
du fascia lata que Brissaud a très bien décrite et d'une flexion du
pied
, de la jambe et de la cuisse. Ce sont là les même
'excitation d'une région quelconque du membre, hors de la plante du
pied
, si elle peut provoquer un mouvement de flexion d
n de la cuisse et de la jambe, ne donne jamais lieu à la flexion du
pied
. Je crois utile d'appuyer sur ce point. Sans do
Au contraire, l'absence pour ainsi dire constante de la flexion du
pied
chez le sujet normal (exception faite pour un cas
lleurs dépister) rend simple la solution du problème. La flexion du
pied
obtenue par l'excitation d'une autre région que l
u pied obtenue par l'excitation d'une autre région que la plante du
pied
permet d'affirmer qu'on a affaire à un état morbi
je propose une expression nouvelle : signe de la flexion réflexe du
pied
pour désigner les réflexes pathologiques que no
simple pour constater ce phénomène est de pincer la peau du dos du
pied
ou de la par- tie inférieure de la jambe. J'ins
rer. : : Le retrait du membre inférieur, et notamment la flexion du
pied
, a mani- festement des rapports avec le signe d
épète, que l'extension réflexe des orteils et la flexion réflexe du
pied
sont, dans la majorité des cas, associées et je
1900, à propos du travail de Schaefer sur le réflexe antagoniste du
pied
, que, dans l'hémiphégie organique, le pincement
émiphégie organique, le pincement de la peau en diverses parties du
pied
et de la jambe peut provoquer à la fois ces deux
hénomène des orteils en l'absence du signe de la flexion réflexe du
pied
, mais aussi la disposition inverse. J'ai cité a
cette Observation à cause du passage suivant qu'on y trouve : « Les
pieds
sont en varus équin et les orteils en flexion. Ce
passa ce malade dans mon service, le réflexe cutané de la plante du
pied
se faisait des deux côtés en flexion plantaire,
e, ou encore mieux par un pincement énergique de la peau du dos des
pieds
, le mou- vement réflexe de flexion du pied, de
e de la peau du dos des pieds, le mou- vement réflexe de flexion du
pied
, de la jambe et de la cuisse associé à la flexi
la réapparition du mouvement réflexe de flexion des orteils ; or le
pied
peut contiuner alors à exécuter un mouvement réfl
lors d'observer, après avoir pincé la peau de la jambe ou du dos du
pied
, la flexion des orteils associée à une forte flex
dos du pied, la flexion des orteils associée à une forte flexion du
pied
. Ces faits ne sont guère en concordance avec l'
ntester aucunement les relations qui unissent la flexion réflexe du
pied
avec l'extension des orteils, les connaissant mêm
ue de sclérose ; d'un côté on observe la trépidation épileptoïde du
pied
et le triple retrait associé à l'extension du g
ion de douleur légère et en même temps une très faible extension du
pied
et parfois aussi une flexion des orteils. Or, dan
e sensation de douleur plus intense, et, en outre. à une flexion du
pied
ainsi qu'à une extension des orteils du côté pa
s qui présentent ces réactions, extension des orteils et flexion du
pied
, celles-ci sont généralement obtenues par le pinc
e la zone plantaire, inca- pable de produire une flexion réflexe du
pied
à l'état normal, peut en déterminer une dans l'
mes : « mouvement de retrait brusque de tout le membre : flexion du
pied
sur la jambe, de la jambe sur la cuisse, de la cu
ements réflexes produits par la manoeuvre qui consiste à fléchir le
pied
et les orteils. En mai 1910 (Revue Neurologique
réflexes de défense pathologiques, notamment la flexion réflexe du
pied
, et le signe des orteils n'est pas indissoluble,
rré- flectivité tendineuse extrêmement forte, la flexion réflexe du
pied
est généralement faible ou même fait défaut, ce
réflexes tendineux et trépidation épileptoïde, la flexion réflexe du
pied
peut aussi manquer de même qu'il y a parfois ab
éflexes tendineux normaux, sans trace de trépidation épileptoïde du
pied
et avec réflexes de défense très caracté- risés
ent les membres inférieurs, flé- chissent la cuisse, la jambe et le
pied
, les allongent ensuite avec une grande force, e
s sont nettement exagérés ; il y a de la trépidation épileptoïde du
pied
des deux côtés. « On constate le signe des or
e ; elle ne traîne pas ses jambes; elle ne fauche pas; la pointe du
pied
ne butte pas contre le sol. « Un examen objec
rès nette le signe des orteils et le signe de la flexion réflexe du
pied
. On peut dire qu'en pareille occurrence il s'ag
ntaire, et ce n'est qu'ultérieurement qu'elle s'étendrait à tout le
pied
et à la jambe; les réflexes deviennent de plus
constater l'extension réflexe des orteils et la flexion réflexe du
pied
. Dans quelques cas, des neurologistes, présents à
orteil s'étend ; du côté opposé, le membre inférieur s'allonge, le
pied
s'étend et les orteils se fléchissent (réflexes
t les points excités. Si, par exemple, l'excitation de la plante du
pied
, selon qu'elle porte sur sa partie externe ou s
rovoque, outre la triple flexion, une abduction ou une adduction du
pied
, on pourrait affirmer que la section est incomp
avec un tube de glace provoque une flexion comme l'exci- tation du
pied
. Par contre, on pourrait considérer, d'après MM
jusqu'à 1-) ? Réflexes rotuliens forts, trépidation épileptoïde du
pied
. Signe des orteils et flexion réflexe du pied trè
dation épileptoïde du pied. Signe des orteils et flexion réflexe du
pied
très caractérisés. La malade reçoit une heure a
dification appréciable. Je note seulement que la flexion réflexe du
pied
obtenue par le pincement de la peau de la jambe
le pincement de la peau de la jambe est particulièrement lente : le
pied
, après s'être fléchi, ne revient à sa position
léens restent abolis; le pincement de la peau de la face dorsale du
pied
ne provoque aucun mouvement; l'excitation de la p
e du pied ne provoque aucun mouvement; l'excitation de la plante du
pied
détermine une forte extension du gros orteil, l
détermine une forte extension du gros orteil, la triple flexion du
pied
, de la jambe et de la cuisse, et une contractio
du fascia lata. Le lendemain de l'opération le pincement du dos du
pied
déterminait l'extension des orteils et la flexi
u pied déterminait l'extension des orteils et la flexion réflexe du
pied
. Je vais actuellement étudier les réflexes de d
tion notable des réflexes tendineux avec trépidation épileptoïde du
pied
, et parfois danse de la rotule; d) réflexes de dé
it segmentaire que nous avons déjà deux fois rencontré : flexion du
pied
sur la jambe, de la jambe sur la cuisse, de la cu
ude. Les réflexes rotuliens sont faibles, il n'y a pas de clonus du
pied
. Par contre, ses réflexes d'automatisme sont tr
rsistance très nette du signe des orteils et de la flexion réflexe du
pied
. Sauf ces derniers phénomènes, le fonctionnemen
rimée. Que sous l'influence d'une irritation nocive de la plante du
pied
continuellement en contact avec le sol, la triple
xion, semble avoir une autre signification que la triple flexion du
pied
, de la jambe et de la cuisse. M. Riddoch fait o
e et qu'elle accompagne l'extension de la cuisse, de la jambe et du
pied
. Mais il est à remarquer qu'à l'état physiolo-
à l'état physiolo- gique chez l'homme, l'excitation de la plante du
pied
, qui provoque la flexion des orteils, détermine
n à l'état physiologique : la flexion de la cuisse, de la jambe et du
pied
ressortissant aux réflexes de défense primitifs
s de la voie pyramidale. En ce qui concerne la flexion réflexe du
pied
, on la constate aussi chez l'enfant, ainsi que
quer parfois, à l'état pathologique, des réflexes des orteils et du
pied
en excitant les téguments de l'abdomen et du thor
t la cuisse et la jambe, il se produit en même temps une flexion du
pied
. C'est là le « tibialis phénomène » de Strümpell.
u mouvement que le malade veut exécuter. Inversement, la flexion du
pied
entraîne une flexion de la jambe et de la cuiss
e qui concerne la flexion de la jambe à l'occasion de la flexion du
pied
, elle s'explique aisément par ce fait que les mus
jumeaux ont leur point d'attache au fémur. Quant à la flexion du
pied
associée à la flexion de la jambe, elle pour- r
cuisse a pour conséquence une flexion de la jambe ; l'extension du
pied
peut s'accomplir avec une énergie plus grande s
mouvement de flexion ou d'extension, on constate que la jambe et le
pied
se fléchissent ou s'étendent simultanément. On ob
ssent plus du tout sous l'influence de l'excitation de la plante du
pied
: ils restent immobiles. Mais, quelques instants
ls sans aucune abduction, quelle que soit la région de la plante du
pied
sur laquelle porte l'excitation). Plus ordinairem
fie que partiellement; l'excitation du bord interne de la plante du
pied
provoque la flexion du gros orteil, tandis que
e la flexion du gros orteil, tandis que cet orteil s'étend quand le
pied
est excité sur son bord externe. De ces observa
manière inconstante. Le pincement de la peau à la face dorsale du
pied
ne provoque de flexion du pied ni à droite ni à
cement de la peau à la face dorsale du pied ne provoque de flexion du
pied
ni à droite ni à gauche (criterium de l'exagéra
it (côté anesthésié); par contre, si on pince de la même manière le
pied
gauche (côté des troubles moteurs), on voit app
exagérés à droite où l'on constate de la trépidation épileptoïde du
pied
. Le réflexe plantaire se fait à droite toujours
De ce même côté (où prédomine l'anesthésie), le pincement du dos du
pied
pro- voque parfois un réflexe de défense classi
un réflexe de défense classique, c'est-à-dire une flexion dorsale du
pied
lente et continue. Ce mouvement peut résulter d
violentes du côté gauche, sans accompagnement de flexion dorsale du
pied
. De plus, ces excitations douloureuses, sont su
s on a affaire à des mouvements brusques, rapides. c) La flexion du
pied
qui constitue, comme l'un de nous l'a montré, la
rdres principaux de mouvements donnant lieu, l'un au soulèvement du
pied
au-dessus du sol et à sa translation, l'autre à
l se trouve d'associer la translation du corps à la pro- pulsion du
pied
. " Je relève ensuite cet autre caractère noté p
e la partie supérieure du corps en arrière, fléchit la jambe sur le
pied
et la cuisse sur la jambe et portant ainsi les
état nor- mal, ce qui a pour conséquence un soulèvement excessif du
pied
; dans le deuxième temps, le bruit produit par
du pied ; dans le deuxième temps, le bruit produit par la plante du
pied
qui vient s'ap- pliquer violemment sur le sol d
la cuisse, et la cuisse retombe brusquement, de telle sorte que le
pied
vient frapper le sol contre la fesse. On voit
sur ce fait que les mouvements que nous venons de décrire sont, au
pied
de la lettre, des mouvements démesurés. Leur cara
La cuisse est fléchie, elle l'est brusquement et démesurément, et le
pied
est porté en avant. Mais la partie supérieure d
éussit en fléchissant dans une mesure appropriée les jambes sur les
pieds
et les cuisses sur les jambes ; c'est tout le cor
et les cuisses sur les jambes ; c'est tout le corps, de la tête aux
pieds
, qui s'incurve en arrière, et les genoux sont por
question garde les jambes verti- cales et à peu près immobiles, les
pieds
comme figés au sol : la partie supérieure du co
au sol. , c) Le malade étant assis, on l'invite à porter le bout du
pied
vers un point situé à 60 centimètres environ au
puis l'extension de la jambe devient plus énergique et la pointe du
pied
arrive au but ou le dépasse, lancée avec une cert
ion sur la cuisse, celle-ci s'étend brusquement sur le bassin et le
pied
vient s'appuyer sur le sol. d) Cette dernière v
C'est donc encore l'asynergie qui est en jeu. Porter la pointe du
pied
vers un endroit déterminé est un acte qui, chez
tension de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du
pied
sur la jambe sont exécutés simultanément ; qu'ils
de, en même temps qu'il fléchit la cuisse, étend la jambe, porte le
pied
en avant d'une manière démesurée et le lance pr
sur le bassin, les jambes légèrement fléchies sur les cuisses, les
pieds
écartés l'un de l'autre. Quand le malade, après
ire ne sont pas très prononcés ; en effet, les divers mouvements du
pied
sur la jambe peuvent être exécutés dans une cer
TICIPÉE DES SECOUSSES FARADIQUES DANS LES MUSCLES DE LA PLANTE DU
PIED
(2) Dans la séance du mars igi5 de la Société d
u de penser que la fusion des secousses serait encore plus nette au
pied
qu'à la jambe, et l'observation confirme cette id
des plus apparents : les électrodes étant appliquées à la plante du
pied
avec un nombre donné d'interruptions, tandis qu
ien qu'au tact. C'est certainement dans les muscles de la plante du
pied
que la fusion anticipée des secousses faradique
et plus parti- culièrement dans les petits muscles de la main ou du
pied
. Sous l'influence du réchauffement par la diath
tendineux sont exagérés, et il y a de la trépidation épileptoïde du
pied
. A l'examen ophtalmoscopique on constate de l'o
s ; ils sont forts, sans être manifestement exagérés. Tandis que le
pied
droit présente une attitude normale, et que de
extension sur le métatarse, et le chatouille- ment de la plante du
pied
accentue encore l'extension ; on observe donc le
r l'état du réflexe cutané plantaire ; l'excitation de la plante du
pied
donne lieu à de la flexion du gros orteil à dro
et os est plus court d'un centimètre que le tibia du côté droit. Le
pied
est plus court, plus creux, plus large et plus tr
Le pied est plus court, plus creux, plus large et plus trapu que le
pied
droit. Enfin, les muscles du mollet remplis, dans
'une exostose importante sont moins exten- sibles qu'à droite et le
pied
ne peut se fléchir sur la jambe plus qu'à l'angle
sus un spécimen. Quand on commande au malade de porter la pointe du
pied
vers un point déter- miné, il exécute le mouvem
e manière anormale. On l'invite, par exemple, à porter la pointe du
pied
vers un point situé à 60 centimètres environ au-d
puis l'extension de la jambe devient plus énergique et la pointe du
pied
arrive au but, lancée avec une certaine brusqueri
ion sur la cuisse, celle-ci s'étend brusquement sur le bassin et le
pied
vient s'appliquer à plat sur le sol. Ces parti-
ient toutefois, après des efforts, à trouver l'équibre, parfois les
pieds
très écartés l'un de l'autre, mais parfois auss
trou- ver l'équilibre, lesjambes restent presque immobiles et les
pieds
sont en quelque sorte figés au sol. L'occlusion d
açon très imparfaite les mouve- ments de flexion de la jambe sur le
pied
et de la cuisse sur la jambe, qu'accomplit dans
ont plus de brusquerie que chez l'individu sain et à chaque pas le
pied
vient frapper le sol en s'appliquant dessus par t
'arrière en avant, oscillent un peu de gauche à droite, mais que le
pied
finit par se poser à peu près à l'endroit qu'il
i imprimer de propulsion, dès le premier pas le malade est arrêté, le
pied
en effet se trouve porté en avant et le tronc é
us à gauche qu'à droite. Il n'y a pas de trépidation épileptoïde du
pied
. Le chatouillement de la plante du pied donne l
trépidation épileptoïde du pied. Le chatouillement de la plante du
pied
donne lieu, du côté droit, à de la flexion des
ouvements élémentaires du membre inférieur gauche sont brusques et le
pied
gauche vient s'appliquer sur le sol d'une maniè
Le malade, qui, depuis l'enfance, souffrait de sueurs profuses aux
pieds
, au point d'être obligé de changer trois fois p
entre la lésion bulbaire et la suppression de la transpiration des
pieds
signalée par le malade ; cette perturbation aur
ement exagérés ; on ne peut provoquer de trépidation épileptoïde du
pied
. Le chatouillement de la plante des pieds donne l
trépidation épileptoïde du pied. Le chatouillement de la plante des
pieds
donne lieu à de la flexion des orteils sur le m
st fléchie au point que le talon est en contact avec la cuisse ; le
pied
est fléchi sur la jambe et les orteils sont étend
; le pied est fléchi sur la jambe et les orteils sont étendus sur le
pied
. La Fig. 22. (Obs. I). Contracture des membres
ramènent, et au delà, à la position primitive ; en même temps, les
pieds
sont pris d'un tremblement à oscillations très fr
AFFECTIONS DE LA MOELLE au sacrum, aux cuisses, aux jambes et aux
pieds
. Il y a de l'incontinence d'urine et des matièr
exagérés et l'on provoque aisément de la trépidation épileptoïde du
pied
. L'excitation de la plante du pied donne lieu a
la trépidation épileptoïde du pied. L'excitation de la plante du
pied
donne lieu au phénomène des orteils ('). La malad
l'épilepsie spinale des deux côtés; le chatouillement de la plante du
pied
donne lieu à des mouvements réflexes de tout le
aussi à des crises de douleurs d'un quart d'heure de durée dans, le
pied
droit et à des crises de douleurs fulgurantes d
t. de la trépidation épileptoïde. Le chatouillement de la plante du
pied
provoque des mou- vements très étendus de flexi
plante du pied provoque des mou- vements très étendus de flexion du
pied
sur la jambe et d'extension des orteils sur le
ion notable des réflexes ten dineux avec trépidation épileptoïde du
pied
, phénomène des orteils. Ajou- tons à cela que c
a percussion du tendon achilléen, un léger mouvement d'extension du
pied
. Je suis donc convaincu que ce trouble est bien
es tendineux a suc- cédé à une exagération accompagnée de clonus du
pied
, la transformation s'étant opérée petit à petit
flexion de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du
pied
sur la jambe qui le plus généralement prédomi-
des réflexes ten- dineux et des réflexes de défense, avec clonus du
pied
et signe de l'orteil bilatéral. Un traitement s
on. Il y a un an, la malade s'aperçut pour la première fois que son
pied
se refroidissait, devenait violacé et enflé. El
y ajoute de l'oedème, de la cyanose et une hypothermie prononcée du
pied
et de la jambe du côté droit, avec surex- - (')
e est le point de départ et qui aboutit aux muscles exten- seurs du
pied
sur la jambe, mais qu'il n'indique ni la nature d
Les réflexes rotuliens et achilléens sont très forts, le clonus du
pied
facile à produire. Le signe du gros orteil est
sensibilité profonde est fortement diminuée au membre inférieur, au
pied
surtout : le malade ne se rend aucun compte des
urtout : le malade ne se rend aucun compte des attitudes données au
pied
, tandis qu'il indique à peu près le sens (flexion
supérieurs et inférieurs sont abolis. L'excitation de la plante du
pied
provoque l'extension du gros orteil, faible à d
- Obs. IL Tact. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 365 même temps que le
pied
où on la recherche, le membre inférieur correspon
end les jambes et ressent des fourmillements dans les genoux et les
pieds
; il marche pourtant, mais se fatigue vite et l
re facilement la cuisse sur l'abdomen, la jambe sur la cuisse et le
pied
sur la jambe ; dans tous les mouvements, le membr
s qui sont forts. A droite et à gauche l'excitation de la plante du
pied
provoque l'extension franche du gros orteil et
tion des réflexes rotuliens, conservation des achilléens, clonus du
pied
, extension de l'orteil par excitation de la plant
clonus du pied, extension de l'orteil par excitation de la plante du
pied
). Examen de la sensibilité. La sensibilité tact
flexion de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du
pied
sur la jambe ; ces mouvements, qui sont bilatérau
nt exagérés et l'on peut provoquer de la trépidation épileptoïde du
pied
. Le chatouillement de la plante du pied détermi
trépidation épileptoïde du pied. Le chatouillement de la plante du
pied
détermine des deux côtés une extension réflexe
male; il en est de même à la région plantaire et au bord externe du
pied
des deux côtés ('). Lorsque (') Voir à ce sujet
écuter quelques mouvements volontaires de flexion et d'extension du
pied
et le surlendemain elle peut fléchir les jambes s
chaud et le froid commencent à être nettement perçus au niveau des
pieds
et des jambes. Le 6 avril, tous les mouvements
eds et des jambes. Le 6 avril, tous les mouvements des orteils, des
pieds
et des jambes sont revenus. 378 P21RAPLICIES -
ent comme d'habitude en une flexion de la cuisse, de la jambe et du
pied
. Ces mouvements relativement faibles au moment
ante de ces troubles : Les membres inférieurs (sauf la plante des
pieds
) et la partie inférieure du tronc, jusqu'à une
e de temps en temps que la malade est en état de mouvoir un peu son
pied
; il existe toujours des spasmes spon- tanés in
de défense et une exagération des réflexes tendineux avec clonus du
pied
. Les troubles parétiques et la contracture prédom
ndineuse, le signe des orteils et le signe de la flexion réflexe du
pied
existent encore et sont sur- tout nets à droite
ent les membres infé- rieurs, fléchissent la cuisse, la jambe et le
pied
, les allongent ensuite avec une grande force, e
s sont nettement exagérés ; il y a de la trépidation épileptoïde du
pied
des deux côtés. On constate le signe des orteil
Aux membres inférieurs, sauf à la région péri-anale et la plante des
pieds
, l'anes- thésie est, pour ainsi dire, complète
aine. La sensibilité articulaire et musculaire est encore nulle aux
pieds
et aux orteils, très diminuée pour les grandes
ale : elle ne traîne pas ses jambes, elle ne fauche pas, la pointe du
pied
ne butte pas contre le sol. Un examen objecti
l'exagération des réflexes tendineux avec trépidation épileptoïde du
pied
, le signe des orteils et des réflexes de défens
et des réflexes de défense très forts (signe de la flexion réflexe du
pied
). Les réflexes cutanés abdominaux sont abolis.
é- rieurs se montre presque normale, sauf dans les abducteurs des
pieds
, légèrement parésiés. On constate encore l'exis
e sa position primitive en extension; les mouvements volontaires du
pied
et des orteils sont en partie conservés. On tro
ent de la cuisse, ni mouvement de la jambe, ni flexion réflexe du
pied
(criterium de l'exagération des réflexes de déf
étant couchée sur le ventre, on voit se produire une extension du
pied
. Au membre inférieur gauche, qui est souple e
es réflexes de défense, la substitution du mouvement d'extension du
pied
à celui de flexion. Deuxième question : Mais, e
aison du tronc du côté opposé à la sciatique, sans soulève- ment du
pied
du côté malade; de là, une attitude toute spécial
ce; du côté gauche ces mouvements sont plus faibles. L'extension du
pied
est assez forte; la flexion du pied au contrair
nt plus faibles. L'extension du pied est assez forte; la flexion du
pied
au contraire est affaiblie. L'excitabilité idio
che ; au contraire, on peut obtenir des deux côtés une extension du
pied
sur la jambe en percutant le tendon achilléen a
« J'ai placé, dit-il, le long de la face interne de la jambe et du
pied
une bande de papier à timbres-poste. Grâce au p
même légère. Il était donc évident que si, au cours de la nuit, le
pied
placé en adduction forcée revenait, même d'une
enir le membre inférieur immobile quand on leur excite la plante du
pied
. Il n'est pas rare, du reste qu'un sujet qui a ré
xploration de ces réflexes, on doit donc s'assurer que la jambe, le
pied
et en particulier les orteils ne se raidissent pa
oisième malade, il est vrai, M. I)éjerine fait ressortir que, si le
pied
est contracturé, les orteils ne le sont pas : m
e viens d'exa- miner, il m'a été possible, en excitant la plante du
pied
, d'obtenir une flexion nette des petits orteils
s et à l'hypothermie. Il suffit de réchauffer artificiel- lement le
pied
et parfois seulement de laisser séjourner le mala
raumatismes du genou se développent parfois des états parétiques du
pied
. On peut observer en pareil cas des contractures
nous nous sommes déjà reportés, un malade atteint de contracture du
pied
droit immobilisé en varus équin et disait : « L
droit immobilisé en varus équin et disait : « L'adduction forcée du
pied
est survenue dans les conditions suivantes : le
alors que la plaie opératoire était cicatrisée, le malade a vu son
pied
se mettre en adduction et assez rapidement la c
egré que vous la voyez. On a chloroformé le malade et immobilisé le
pied
dans un appareil plâtré. Au bout de quelques jo
vé, le membre a repris son attitude vicieuse ; il y a sur le dos du
pied
un oedème très accusé avec refroidissement du p
a sur le dos du pied un oedème très accusé avec refroidissement du
pied
droit par rapport au pied gauche. » Il existe d
edème très accusé avec refroidissement du pied droit par rapport au
pied
gauche. » Il existe d'autre part une large zone
ste d'autre part une large zone anesthésique sur la face dorsale du
pied
et à la jambe. «Il s'agit bien ici, concluait Bal
uisse droite, d'une claudication des plus marquées avec rotation du
pied
en dehors. Nous constatons de l'atrophie muscul
léens sont normaux et égaux. Il n'y a ni trépidation épileptoïde du
pied
, ni clonus de la rotule. Il existe, par contre,
ouvent de transfixions de l'avant-bras, de la main, de la jambe, du
pied
et, particularité intéressante, les troubles ne
ntracture des muscles pelvi-trochantériens associée à la parésie du
pied
, la contracture en flexion de la jambe, les pie
ée à la parésie du pied, la contracture en flexion de la jambe, les
pieds
bots et les greffes des orteils ; la main d'acc
prédominent aux extrémités et s'y cantonnent souvent. La main ou le
pied
atteint de troubles de motilité est cyanosé, ma
tout au membre inférieur. Cet oedème peut être loca- lisé au dos du
pied
, ou s'étendre exceptionnellement jusqu'au voisina
ermie est surtout prononcée à l'extrémité (doigts, orteils, main ou
pied
), et elle s'atténue progressivement de l'extrémit
être perceptible au genou, et même à la cuisse pour une blessure du
pied
, au coude et à l'épaule pour une transfixion du
che produite par la pres- sion du doigt sur le dos de la main ou du
pied
malade, au lieu de dispa- raître plus lentement
ue notre observation actuelle vient confirmer. Le réchauffement des
pieds
faisait chez notre malade réapparaître les réflex
lus ou moins segmen- taire. Elle était surtout nette à la plante du
pied
, moins accusée à la face dorsale et moins encor
doigts, au poignet, au coude, à l'articulation tibio-tarsienne, au
pied
, à la hanche. C'est aux jointures des doigts, don
rieur gauche, de la surexcitabilité mécanique des petits muscles du
pied
et de la lenteur de la secousse, une abolition
de gelures, d'une paraplégie crurale complète. Il présente aux deux
pieds
des trou- bles vaso-moteurs, de l'hypothermie,
u, d'une contracture en exten- sion de la jambe avec contracture du
pied
en varus équin et atrophie du mollet. Cet homme
béquilles sont supprimées, le genou est amené en flexion normale, le
pied
est redressé. B... arrive même à sauter à cloch
a salle de consultation, faire des exercices d'assouplis- sement du
pied
, en particulier des mouvements de flexion dorsale
en les trainant par le bras. Malgré cet entraînement intensif, son
pied
n'arrive pas à se tenir redressé complètement.
antaire en dedans, face dorsale en partie en bas, mais la pointe du
pied
a toujours tendance à se porter en dedans et le
rser. Quand je l'observe à son insu, je le vois courir la pointe du
pied
tournée en dedans. Si on l'examine et qu'on lui d
Si on l'examine et qu'on lui demande de redresser complètement son
pied
, il le fait volontairement, même sans grand effor
sans grand effort apparent, 576 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES mais le
pied
« ne tient pas » en position normale ; il tend to
ntracture des mus- cles pelvi-trochantériens avec état parétique du
pied
. Une dernière remarque avant de terminer cette
ille sont abolis des deux côtés. Le chatouillement de la plante des
pieds
donne lieu à de l'extension des orteils. La march
, la malade commence à exécuter quelques mouvements volontaires des
pieds
. Puis, son état resta très longtemps stationnaire
le exagération des réflexes tendineux des deux côtés avec clonus du
pied
et danse de la rotule ; signe des orteils bilat
parente, la malade commence à éprouver des four- millements dans le
pied
droit d'abord, puis dans le pied gauche et de la
ouver des four- millements dans le pied droit d'abord, puis dans le
pied
gauche et de la faiblesse des membres inférieur
ontracturés, en adduction, les jambes en extension sur la cuisse, les
pieds
en extension sur les jambes et il est difficile
ntaires de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du
pied
sur la jambe sont très étendus, quoique encore
est pas celle de la paralysie spasmodique commune, car la pointe du
pied
se soulève bien à chaque pas et ne frotte pas c
uvelles recherches graphiques sur le phénomène de la trépidation du
pied
» (Encé- phale, janvier 909). 157. Monoplégie
IBLIOGRAPHIQUE 221. Excitation faradique bilatérale de la plante du
pied
(Société de Neurologie, 6 mai r g r 5). 222.
anticipée des secousses faradiques dans les muscles de la plante des
pieds
(Société de Neurologie, il janvier 1917). 245
dans la rivière. En arrangeant sa voiture, la terre s'éboula sous ses
pieds
et il tomba dans le Rhône, où il resta la tête so
uels de paraplégie spasmodique avec trépidation spinale (phénomène du
pied
) ont acquis un grand développement. Est-ce donc à
gérés et l'on obtient la trépidation par redressement de la pointe du
pied
. La trépidation peut aussi se produire quelquefoi
l point qu'il lui était devenu impossible de se mettre debout sur ses
pieds
. Depuis cette époque, le tremblement a persisté
mois. Il fut alors atteint d'un eczéma dans la paume des mains et aux
pieds
. Le médecin qu'il consulta lui ayant conseillé de
, lorsqu'un beau jour elle est prise d'une contracture qui lui met le
pied
gauche en talus. En même temps se développe au ni
met le pied gauche en talus. En même temps se développe au niveau du
pied
et de la jambe un œdème considérable. C'était un
hyperesthésie exquise et des douleurs spontanées dans la jambe et le
pied
. Ces phénomènes durèrent environ un mois, puis
gonflement du membre malade était parvenu. La circonférence du cou-de*
pied
droit (1) Çharcot, — Leçons du Mardi.'T. II, 18
Le 27 avril 1889 elle tomba dans un petit escalier, s'étant pris les
pieds
dans une ficelle qu'un enfant de la maison avait
roformique; ce qui fut fait. La malade resta avec un poids au bout du
pied
pendant 53 jours, sans le moindre résultat autre
l'on remarque. Parce que cela lui fait trop mal, elle ne pose pas son
pied
droit sur le sol; elle le maintient sur la pointe
uche (3 centimètres de différence sur la circonférence du mollet). Le
pied
est inerte et complètement tombant. Il paraît y a
exes. — Point douloureux péronier et fourmillements dans la plante du
pied
. — Refroidissement de la jambe malade. L'électr
ui sont sous sa dépendance ont perdu leur excitabilité électrique. Le
pied
est tombant ; il y a paralysie avec atrophie des
he, surtout dans la fesse. Les douleurs se localisent rapidement au
pied
gauche, aux orteils et surtout au gros orteil. Le
rapidement au pied gauche, aux orteils et surtout au gros orteil. Le
pied
est inerte dans la flexion et ne peut être relevé
rtie antérieure de la jambe, en dehors du tibia, à la face dorsale du
pied
. Trouble de la sensibilité également à la face pl
e du pied. Trouble de la sensibilité également à la face plantaire du
pied
, mais bien moins accentué. Au bout de six semai
des béquilles. La paralysie reste limitée aux muscles qui relèvent le
pied
, lequel est tombant et traîne sur le sol. Ici n
ieur gauche et la fesse. Ces douleurs se localisèrent bientôt dans le
pied
gauche et le gros orteil. Enfin, au bout de quinz
mois après son accouchement, elle se trouvait dans l'état suivant :
Pied
gauche tombant ; la malade est obligée de relever
la hanche pour que la pointe des orteils ne frotte pas par terre. Le
pied
se pose sur le sol en deux temps. Amaigrissemen
s obtuse à la partie antéro-externe de la jambe, à la face dorsale du
pied
et surtout au gros orteil. Affaiblissement de la
gros orteil. Affaiblissement de la sensibilité à la face plantaire du
pied
. Pas de douleur à la pression. Douleur spontané
ofonde, entrecoupée d'élancements très pénibles et très fréquents. Le
pied
est toujours froid, comme engourdi. L'explorati
is la délivrance. La jambe et la cuisse pouvaient remuer, mais non le
pied
ni les orteils. Douleurs spontanées le long de la
Dix mois plus tard (avril 1875), elle peut marcher, mais traîne le
pied
droit. Elle ne peut ni l'étendre ni le porter dan
st de même à la palpation. La piqûre n'est pas sentie sur le dos du
pied
droit et à la partie antérieure de la jambe droit
mois, la malade peut remuer un peu ses orteils, mais non étendre le
pied
sur la jambe. En marchant, le pied tombe et traîn
u ses orteils, mais non étendre le pied sur la jambe. En marchant, le
pied
tombe et traîne. On constate alors une paralysi
et anesthésie dans la même région. Egalement anesthésie sur le dos du
pied
, moins une bande étroite longeant le bord externe
bord externe et comprenant les deux derniers orteils. A la plante du
pied
, légère altération de la sensibilité dans la régi
taire est un peu moins sensible au chatouillement. Douleurs dans le
pied
depuis le début de la maladie, continues, sourdes
-de-pied, aux premier et deuxième orteils. Refroidissement notable du
pied
droit. Chute du pied très manifeste pendant la
t deuxième orteils. Refroidissement notable du pied droit. Chute du
pied
très manifeste pendant la marche. Le pied se pose
e du pied droit. Chute du pied très manifeste pendant la marche. Le
pied
se pose en deux temps sur le sol. La malade est o
es sur le côté gauche de l'abdomen. Puis douleurs dans la jambe et le
pied
gauches qui « étaient comme engourdis et parcouru
sements font bientôt place à une véritable paralysie delà jambe et du
pied
. La cuisse se fléchit surle bassin ; la pointe du
là jambe et du pied. La cuisse se fléchit surle bassin ; la pointe du
pied
se dévie en dehors ; apparition d'une tuméfaction
. Mouvements possibles dans la hanche et la cuisse. Redressement du
pied
impossible ; il tombe, semblant prolonger l'axe d
oute l'étendue de la face antéro-externe de la jambe et sur le dos du
pied
ainsi qu'au talon. Sur les quatre doigts externes
e au niveau du gros orteil. La sensibilité est intacte à la plante du
pied
et dans toute l'étendue de la jambe, sauf la régi
ées, le malade s'aperçut qu'il existait une faiblesse considérable du
pied
gauche. Ce pied laissait traîner sa pointe à terr
'aperçut qu'il existait une faiblesse considérable du pied gauche. Ce
pied
laissait traîner sa pointe à terre dans la marche
ulement, tous les caractères de la dé-marche de stepper. La pointe du
pied
est tombante et il relève le genou d'uno façon ex
férieur gauche en avant. En le regardant de dos, on voit la plante du
pied
tout entière, grâce à la chute du pied, qui devie
t de dos, on voit la plante du pied tout entière, grâce à la chute du
pied
, qui devient presque vertical dans ce mouvement.
vertical dans ce mouvement. En l'écoutant marcher, on n'entend pas le
pied
poser à terre en deux temps, comme cela se produi
oduit souvent chez les steppers. Il marche assez lentement, posant le
pied
gauche sur le sol avec précaution, la pointe la p
le double bruit habituel de se produire. L'examen des mouvements du
pied
démontre qu'il existe une paralysie très accentué
démontre qu'il existe une paralysie très accentuée des extenseurs du
pied
et des orteils. Le mouvement d'extension est abso
e la peau de cette face antérieure ; suivant enfin la face interne du
pied
, un peu au-dessus du bord plantaire jusqu'à l'ext
ant indemne la moitié interne du talon, enfin suit la face externe du
pied
le long du bord plantaire externe et aboutit à l'
tte plaque d'analgésie comprend donc : toute la surface dor sale du
pied
, moins une petite bande interne, la face externe,
sie au contact chez le malade de l'Observation VII. sible du dos du
pied
est un peu plus étendue, que la face externe du p
sible du dos du pied est un peu plus étendue, que la face externe du
pied
est presque indemne et que la face postérieure de
au-dessous du point où elle commence. Les faces interne et externe du
pied
sont respectées, la face dorsale proprement dite
r moments elles sont plus fortes à la fesse ou au mollet, ou enfin au
pied
. Actuellement, elle se plaint surtout de douleurs
la pression sont les points fessier, poplité, malléolaire, dorsal du
pied
, plantc.ire, Il existe des fourmillements dans
érables. CE lème de la partie inférieure de la jambe. Démarche.— Le
pied
est complètement tombant. La malade marche diffic
e difficilement. Elle craint de tomber en accrochant la pointe de son
pied
contre le sol. Elle steppe manifestement du côté
uisse, atténuée à la face externo de la jambe, exagérée sur le dos du
pied
. Sensibilité a la chaleur. —« Hypoesthésie à la
r eu affaire à une véritable paralysie des extenseurs de la jambe. Le
pied
tombant, la démarche de stepper, l'absence de rés
é, péronier supérieur, malléolaire, plantaire (milieu de la plante du
pied
). Dans l'intervalle de ces points la douleur est
au froid et au chaud est diminuée depuis la partie moyenne du dos du
pied
jusqu'à l'extrémité des orteils. — Le pied est to
a partie moyenne du dos du pied jusqu'à l'extrémité des orteils. — Le
pied
est tombant et ne peut être redressé ; il ne peut
ersaux qui font défaut du côté opposé, dus probablement à la chute du
pied
. Le malade en marchant relève le genou droit pl
e du côté droit ; quand il marche un peu vite, il traîne la pointe du
pied
sur le sol. L'affaiblissement des muscles jambier
e fournit des nerfs cutanés à la plus grande partie de la jambe et du
pied
. Les deux tiers externes de la jambe, la presque
. Les deux tiers externes de la jambe, la presque totalité du clos du
pied
, moins une bande étroite au côté interne, reçoive
bande beaucoup plus large en bas qu'en haut, et au bord externe du
pied
. Le reste est innervé par des branches du nerf cr
de douleurs dans la jambe droite, très vives au niveau du mollet. Le
pied
est douloureux, la malade ne peut le poser à terr
ant quatre mois. A ce moment, elle éprouve des fourmillements sous le
pied
droit; elle s'aperçoit que le pied devient lourd
éprouve des fourmillements sous le pied droit; elle s'aperçoit que le
pied
devient lourd ; elle butte en marchant ; en monta
est obligée de lever la jambe d'une façon exagérée, car la pointe du
pied
qui tombe accroche contre les marches. Il en résu
ion sacrée. Elle se plaint de fourmillements, d'élancements dans le
pied
, la jambe et surtout la région postérieure de la
is aussi les muscles du mollet, paraissent amaigris notablement. Le
pied
est tombant ; et l'on remarque qu'il existe un pe
ésie incomplète au tact, avec analgésie, au niveau du bord externe du
pied
droit et de la demi-circonférence externe de la j
ur droit. Motilité. — Impossibilité absolue de relever la pointe du
pied
. Tous les extenseurs et péroniers sont pris. Le j
a démarche est assez particulière. La malade steppe évidemment de son
pied
droit dont la pointe tombe et frotterait sur le s
s le steppage. Mais à cause de la douleur que provoque la pression du
pied
sur le sol, elle ne marche pas franchement par
ine dessus, le talon ne portant pas sur le soL et lance bien vite son
pied
gauche Fig. 27 et 28. — Ancsthésie au tact et à
er le moins longtemps possible, à cause de la douleur, appuyée sur le
pied
droit. Dans la progression de la jambe droite on
le long de la partie externe de la jambe et gagne le bord externe du
pied
. Peu de jours après, la douleur est tellement for
n de la marche. C'est au niveau delà partie externe de la jambe et du
pied
qu'il souffre le plus. Une dizaine de fois par jo
ier, points fémoraux, point poplité, trajet péronier, point dorsal du
pied
et point plantaire. La pression en masse des musc
ts douloureux, la pression des muscles, l'exécution des mouvements du
pied
et delà jambe font apparaître des crampes doulour
du tronc vers la gauche. Il marche-en traînant la face plantaire du
pied
droit sur le sol, sans jamais l'en détacher. Au
détacher. Au repos, le membre inférieur doit être étendu, raide, le
pied
dans l'axe de la jambe, la pointe du pied tombant
doit être étendu, raide, le pied dans l'axe de la jambe, la pointe du
pied
tombante et portée en dedans, la face plantaire p
dans, la face plantaire plus creusée que normalement. Les doigts du
pied
se relèvent et s'abaissent avec difficulté. Les a
limités et sont aisément vaincus lorsqu'on s'y oppose. L'extension du
pied
et des orteils est particulièrement faible. S'il
parésie, il existe aussi de la contracture ; la jambe, la cuisse, le
pied
ne pré-, sentent aucune flaccidité; partout il ex
t la face postérieure de la jambe il y a anesthésie complète; — et au
pied
, dans un espace limité en arrière par les artic
geant vers le deuxième orteil, et s'étendant jusqu'au bord externe du
pied
, — le malade est complètement anesthé-sique, auss
erne de la jambe, la partie la plus interne du dos et de la plante du
pied
, a entièrement conservé la sensibilité tactile, m
limitée à la partie externe de la jambe et à la plus grande partie du
pied
, est atteinte d'anesthésie complète et absolue. C
continuellement fait mouvoir les pédales de son instrument, les deux
pieds
agissant successivement, mais le droit fatiguant
. Parfois, la nuit, elle éprouvait des crampes douloureuses dans le
pied
et la jambe, surtout à droite; elle les mettait s
loureuses dans le mollet et une certaine faiblesse, une maladresse du
pied
droit. Bientôt, la douleur se localise nettement
qu'on ne la vît pas boiter. Dès cette époque, elle remarque que son
pied
droit est enflé le soir, plus froid et plus rouge
nt d'abord la région fessière. Elle a duré environ huit mois, mais le
pied
reste tombant, il butte contre le moindre obstacl
ambe saine. La jambe droite est légèrement ployée sur la cuisse et le
pied
repose par sa pointe sur le sol. Le talon ne touc
ressent de la faiblesse de la jambe droite et surtout de la chute du
pied
. Le moindre obstacle exige un effort considérab
considérable et bien souvent la malade manque de tomber, soit que son
pied
accroche dans un tapis, soit lorsqu'elle veut tou
jusqu'au genou, dont elle occupe la région externe. La jambe et le
pied
malades semblent présenter une légère hyperesthés
Achille est douloureuse à la pression et pendant la marche. Dans le
pied
et la jambe, sensations de picotement, chatouille
. Fig. 33. — Plaque d'anesthésie cutanée dans le domaine du crural.
PIED
. Le périmètre du pied malade excède de 1 centim
anesthésie cutanée dans le domaine du crural. PIED. Le périmètre du
pied
malade excède de 1 centimètre celui du pied sain
. PIED. Le périmètre du pied malade excède de 1 centimètre celui du
pied
sain (à la région médiotarsienne). JAMBE. DROIT
la molleóle externe........ 20 c. 21c. Troubles vaso-moteurs.— Le
pied
malade est beaucoup plus froid que le pied sain,
Troubles vaso-moteurs.— Le pied malade est beaucoup plus froid que le
pied
sain, il est rouge, violacé par places. On observ
un empâtement oedémateux autour des mollets et sur la face dorsale du
pied
. Examen électrique.— Examen faradique avec 6 ce
ural seul est indemne. Nous croyons devoir insister sur l'examen du
pied
: en effet, on remarque, outre l'œdème, la couleu
t, on remarque, outre l'œdème, la couleur, le froid, la sueur, que le
pied
n'est point tout à fait ballant, libre, dans l'ar
arsienne ; c'est une anomalie dans l'espèce. Quand on veut fléchir le
pied
de la malade sur la jambe, à un moment, on est ar
st point une résistance musculaire, élastique. Il s'agirait donc d'un
pied
bot équin incomplet, qui ne tient pas à la prédom
productions fibreuses ou plutôt fibro-tendineuses qui maintiennent le
pied
dans une position vicieuse. Nous insistons sur ce
fluence d'un traitement approprié qui serait surtout Température du
pied
malade. — du pied sain . — des deux cuisses
ent approprié qui serait surtout Température du pied malade. — du
pied
sain . — des deux cuisses 24°, 28°,4 30»,
électrique, on obtienne le retour des contractions musculaires, le
pied
n'en restera pas moins fixé en équin, et il faudr
cularité explique comment, dans le cas de paralysie des extenseurs du
pied
, nous ne voyons pas, comme dans la règle, le pied
e des extenseurs du pied, nous ne voyons pas, comme dans la règle, le
pied
s'appuyer sur toute la plante dans la station deb
membre droit la démarche de stepper si caractéristique des cas où le
pied
est tombant. En résumé, il s'agit ici de sciati
s frappa et, en le déshabillant, nous pûmes constater qu'il avait les
pieds
tombants, surtout le pied gauche. Les fléchisseur
lant, nous pûmes constater qu'il avait les pieds tombants, surtout le
pied
gauche. Les fléchisseurs étaient d'ailleurs aussi
douleurs dans les jambes, survenant la nuit principalement: « J'ù les
pieds
dans le feu », disait-il. La première idée qui no
ble symptomatique, démarche de stepper, douleur, atrophie musculaire,
pied
violacé et œdémateux, fut qu'il s'agissait d'une
ints trochantérien, poplité, péronier, malléolaire externe, dorsal du
pied
. Peu à peu l'impotence et l'amaigrissement du mem
en effet, avec la plus grande difficulté, steppant du côté gauche. Le
pied
gauche était tombant, œdématié, d'aspect violacé,
cence n'est que partielle clans les mêmes muscles ; les mouvements du
pied
sont, il est vrai, plus faibles qu'à l'état norma
naler qu'une petite plaque de dysesthésie occupant la face dorsale du
pied
. Enfin, la vessie et le rectum ne sont nullement
roupes voisins sont respectés ; certains mouvements de la jambe et du
pied
sont compromis, tandis que les autres et ceux de
vec réaction de dégénérescence des muscles innervés par le sciatique (
pied
tombant) et quelquefois de ceux innervés par le c
. La résistance à tous les mouvements de la cuisse, de la jambe et du
pied
est considérable des deux côtés. Mais on remarque
marchant sur le rail d'un tramway il renversa en dedans la plante du
pied
et se fractura le péroné droit en tombant. Il res
-sept jours. — Deux ans auparavant il avait eu le troisième orteil du
pied
droit écrasé par la chute d'un marbre. Lorsqu'a
s'étendent assez bien, mais ne se fléchissent pour ainsi dire pas. Le
pied
se redresse incomplètement et s'abaisse bien. Les
'étendent assez bien, mais se fléchissent à peine. Le redressement du
pied
est très faible ; l'abaissement s'exécute avec fo
doigts ne pouvant se fermer. Les genoux se relèvent assez bien et les
pieds
se détachent du sol. Il marche, bien entendu, trè
re fulgurant; démarche de stepper; paralysie double des extenseurs du
pied
avec atrophie musculaire dégénérative. — Glycosur
bien vraisemblablement d'une névrite. Il ne faudrait pas prendre au
pied
de la lettre le caractère symétrique de ces névra
usculaire dans les membres inférieurs prédomine sur les extenseurs du
pied
. Cette démarche est si fréquente chez les alcooli
une paralysie musculaire portant principalement sur les extenseurs du
pied
, de telle sorte que l'avant-pied est tombant, et
tchouc, ni de tapis, etc.. Il a toujours trop chaud ou trop froid aux
pieds
: dès qu'ils sont chauds, surtout la nuit sous le
e, il a une certaine difficulté à se mettre en équilibre sur ses deux
pieds
. Quand il marche, ses mouvements ne sont pas inco
la manière d'un paralytique alcoolique, steppant nettement surtout du
pied
droit. Lorsqu'on le fait marcher avec ses soulier
it. Lorsqu'on le fait marcher avec ses souliers, on s'aperçoit que le
pied
frappe le sol en deux fois, le talon d'abord et l
nsuite. En effet, il existe une véritable paralysie des extenseurs du
pied
, principalement à droite. Le malade étant assis e
is et les jambes élevées, si on veut lui faire redresser la pointe du
pied
, il ne peut exécuter ce mouvement et le pied est
e redresser la pointe du pied, il ne peut exécuter ce mouvement et le
pied
est véritablement tombant. On ne constate cependa
s de troubles cérébraux. Quelques sensations dysesthé-siques dans les
pieds
(sensation que ses pieds sont collés l'un à l'aut
Quelques sensations dysesthé-siques dans les pieds (sensation que ses
pieds
sont collés l'un à l'autre dans le lit, comme ave
tions douloureuses. Il se plaint seulement d'une sorte de brûlure aux
pieds
pendant la nuit et d'engourdissement léger pendan
de la hanche, bien qu'il y ait un certain degré de parésie. Mais les
pieds
sont tombants. Non seulement le malade ne peut pa
uvements passifs de flexion, mais même il est incapable de relever le
pied
en extension. Cela est encore bien analogue à ce
n. Mais cela tient sans doute à ce que la paralysie des extenseurs du
pied
, qui le tient immédiatement sous sa dépendance, n
anormal du step-page, destiné à empêcher dans la marche la pointe du
pied
tombante de traîner sur le sol. Si la paralysie
is. La nuit, lorsqu'il est au lit, il éprouve toujours, au niveau des
pieds
et de la partie supérieure des jambes, une sensat
mentée dans la région à ces moments et même bien souvent, il sent ses
pieds
découverts se refroidir. Mais dès qu'il tente de
tion de brûlure reparaît, et il préfère passer des nuits entières les
pieds
découverts et froids. Ces sensations, vous le s
a présentés à un haut degré. Je veux parler d'abord de cet œdème des
pieds
et de la partie inférieure des jambes qui a exi
nt de violentes crampes dans les jambes et de fourmillements dans les
pieds
et les mains. Mais ceci dépasse le domaine de l
st raidi en extension , vous voyez le malade marcher : l'extrémité du
pied
droit ne quitte pas le sol, le genou fléchit à pe
rt exagéré et on provoque avec la plus grande facilítele phénomène du
pied
. A gauche, les mêmes modifications existent, mais
gé de regarder où il marche et de calculer tous les pas qu'il fait du
pied
gauche ; mais cela tient à un état spasmodique de
ur le trajet des muscles adducteurs de la cuisse et des extenseurs du
pied
. L'action de ces derniers muscles est tellement p
ellement prépondérante que, lorsque le malade veut poser la plante du
pied
sur le sol, il n'y parvient pas ; il marche sur l
ur le sol, il n'y parvient pas ; il marche sur le bord externe de son
pied
, comme s'il avait une paralysie des péronés. Le
'un ataxique, si ce n'est par la difficulté qu'il éprouve à placer le
pied
à l'endroit voulu. Elle ressemble beaucoup plus à
r l'équilibre. C'est aussi en patinant qu'il se rendit compte que son
pied
gauche avait une tendance marquée à se tourner en
be est raide, se meut tout d'une pièce, oscille de divers côtés et le
pied
ne s'appuie sur le sol que par son bord externe.
ines positions, surtout dans la position assise, lorsque la pointe du
pied
appuie sur le sol. Les réflexes plantaires sont e
de celte démarche. — L'hémiplégique hystérique marche en traînant le
pied
paralysé, qui derrière lui balaie le sol. Remarqu
cun mouvement de circumduction, sans faire aucun effort pour lever le
pied
. Dans cette forme « on balaie le sol en marchant.
e l'hémiplégique organique(de thaaw, tourner, rouler et ttouç, wofoç,
pied
; Homère appelle les bœufs «Xfiroxç) et le mot he
croit qu'il vaut mieux former les mots autrement et dire hélicopode,
pied
qui tourne en hélice (de ikoiu, tourner), et helc
icopode, pied qui tourne en hélice (de ikoiu, tourner), et helcopode,
pied
qui traîne (de éXxw, traîner.) de couteau. Quel
miques agitent les membres, en particulier les membres inférieurs. Le
pied
frappe violemment le sol. De temps en temps inter
re fulgurant; démarche de stepper; paralysie double des extenseurs du
pied
avec atrophie musculaire dégénérative. — Glycosur
de cette démarche. — L'hémiplégique hystérique marche en traînant le
pied
paralysé, qui derrière lui balaie le sol. Remarqu
lennorrhagie sans complications. R. aservi ans dans, l'artillerie à
pied
; très vigoureux, il pesait au moment du tirage
due par de gros bourrelets a pris l'aspect de l'éléphantiasis. Le
pied
semble normal, de forte taille; pas d'irrégularit
UR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 7 Membre inférieur droit.
Pied
. Les phalanges et le métatarse son normaux. Les o
otules droite et gauche semblent normales. Membre inférieur gauche.
Pied
; même aspect que le pied droit. Tibia. Moins v
mblent normales. Membre inférieur gauche. Pied ; même aspect que le
pied
droit. Tibia. Moins volumineux que le droit, ma
respecte au contraire d'une manière absolue les os des mains et des
pieds
, les os de la face, sauf parfois le maxillaire in
gnostic différentiel. De même, pour ce qui regarde les mains et les
pieds
. Dans notre obser- vation les 2e et 3e métacarp
ant la vie étaient manifestement déformées à leur niveau. Pour le
pied
droit, l'examen du squelette nous a montré qu'il
saillie anormale. Les extrémités du péroné sont hypertrophiées. Les
pieds
sont grands. Les premiers métatarsiens semblent
e métacarpiens du même côté. De même certains métatarsiens des deux
pieds
semblent participer il l'hypertrophie osseuse g
mmes échevelés et habits en désordre, crient, chantent, battent des
pieds
, des mains, sautent comme des maniaques, ce qui
ère, la tète renversée et les cheveux au vent, danse sur pointe des
pieds
, suivant le mode ordinaire. Elle est velue d'un
s droit, le torse, le centre et le haut des cuisses sont nus. A ses
pieds
, un animal qui cument iconographique. Voici les
aut noter en particulier la rai- deur des jambes et la position des
pieds
juxtaposés en extension, le talon détaché du so
eveux épars. Les membres inférieurs sont légèrement fléchis, et les
pieds
convulsés, la pointe en dedans. La main droite
, a accentué les caractères somatiques tels que les contractures du
pied
el de la main. L'artiste ancien, s'il ne les
ns figurées de ménades -nous les montrent dansant sur la pointe des
pieds
, le torse fortement rejeté en arrière, la tète
renversée, balançant le tronc en avant et en arrière, sautant d'un
pied
sur l'autre, accélérant ou ralentissant sa marc
ite ou symétrique, et accessoirement la sta- tion sur la pointe des
pieds
. 2° La station verticale hanchée ou asymétrique
La station verticale hanchée ou asymétrique. ';0 La station sur un
pied
. 4° La station à genoux. 00 La station assise
ut portant également sur les deux jambes qui sont en extension. Les
pieds
qui se louchent par le talon s'écar- lent en av
murs et tout l'édifice repose, en dernière ana- lyse, sur les os du
pied
. Nous savons que le squelette du pied est formé d
ière ana- lyse, sur les os du pied. Nous savons que le squelette du
pied
est formé d'os nombreux disposés à la manière d
ête sur la colonne vertébrale et pour la station de la jambe sur le
pied
, elle est ruinée pour le resle du corps par la se
rs temps. Le sujet est .invité à se tenir en équilibre sur les deux
pieds
placés comme clans la station droite,' en prena
. Dans la première (1. Fig. 17), le modèle repose sur la pointe des
pieds
. On voit que pour maintenir l'équilibre, le cor
culation du genou. DE LA STATION 77 Station (les jambes sur les
pieds
. L'articulation tibio-tarsienne ne possède aucu
ne peut avoir lieu qu'à la condition de l'abaissement de la pointe du
pied
, nous devons bien admettre que la situation que
te du pied, nous devons bien admettre que la situation que prend le
pied
dans la sta- tion entraîne forcément un allonge
mer une saillie exagérée, d'un dessin ferme ci arrêté. Station des
pieds
sur le sol. Les deux pieds reposent par la plan
un dessin ferme ci arrêté. Station des pieds sur le sol. Les deux
pieds
reposent par la plante sur le sol, mais ne le lou
nte sur le sol, mais ne le louchent pas dans toute leur étendue. Le
pied
reproduit la forme de voûte du sque- lette et i
ue par le talon, le bord externe et bipartie antérieure. Les deux
pieds
circonscrivent la base de sustentation par laquel
dans la station dont il est question ici, à distance égale des deux
pieds
en avant d'une ligne qui joindrait les apophyses
e base de sustentation est composée de la surface couverte par deux
pieds
et de tout l'espace qui les sépare. Mais la lig
corps peut s'incliner en avant sans qu'il y ait chute. Lorsque les
pieds
sont écartés l'un de l'autre, la base de sustenta
déplacements beaucoup plus étendus dans le sens de l'écartement des
pieds
. Si l'homme ajoute à son propre poids des poids
ELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Station sur la pointe des deux
pieds
. Mécanisme. La plupart des auteurs professent
auteurs professent que, dans l'acte de se dresser sur la pointe des
pieds
, le pied représente un levier du deuxième genre,
ofessent que, dans l'acte de se dresser sur la pointe des pieds, le
pied
représente un levier du deuxième genre, levier
rs avaient lait erreur, et que, dans la station sur les orteils, le
pied
représente un levier du 1er genre dont la puiss
niveau de la nouvelle base de sustentation formée par les doigts du
pied
el lecentre de rotation, au milieu, dans l'arti
4). La vérité est que le mouvement de soulèvement sur la pointe des
pieds
peut s'exécuter indistinctement d'après ces dif
articulation tibio-tarsienne. Lorsque la position sur la pointe des
pieds
est réalisée, il est bien clair, puisqu'il y a
ce n'est qu'ensuite que le mouvement d'élévation sur la pointe des
pieds
a lieu. En effet, « placez horizontalement sur
e la règle ; à ce moment, essayez de vous dresser sur la pointe des
pieds
, la règle sera repoussée ». Et il vous sera imp
de l'extrémité des orteils. Essayez de vous tenir sur la pointe des
pieds
, la chose vous sera complètement impossible. Et
ontre un mur, nous nous élèverons sans difficulté sur la pointe des
pieds
. Nous re- marquons en même temps que ce mouveme
du 3° genre. Or dans les deux cas, le soulèvement sur la pointe du
pied
peut également avoir lieu, mais l'équilibre de
ver- rons qu'il est possible de soulever le corps sur la pointe des
pieds
sans toucher à la règle, mais il la condition d
est inévitable. En effet l'équilibre de la station sur la pointe des
pieds
, comme de toute espèce de station, ne peut être
ède que l'effort qui consiste à soulever le corps sur la pointe des
pieds
peut être fait dans n'importe quelle position de
ment obliques en sens contraire. Dans la station sur la pointe des
pieds
il s'en ajoute une nou- velle par en bas obéiss
velle par en bas obéissant à la même loi et re- présentant l'axe du
pied
. La verticale abaissée de l'axe des épaules ren
u pied. La verticale abaissée de l'axe des épaules ren- contre le
pied
au niveau des articulations méla- tarso-pllalan
a-t-elle ten- dance à s'élargir latéralement par l'écartement des
pieds
, ou bien, sans déplacement des pieds, par suite
éralement par l'écartement des pieds, ou bien, sans déplacement des
pieds
, par suite d'une simple torsion du pied en deho
bien, sans déplacement des pieds, par suite d'une simple torsion du
pied
en dehors dont l'effet est de reporter l'appui
sque la ligne de gravité tend il dépasser l'aire de sustentation du
pied
sur lequel porte le poids du corps, c'est elle qu
le transport de la ligne de gravité dans l'aire de sustentation du
pied
portant. Cette obliquité du bassin n'exige pour
bligé avec le mode de station dont il s'agit. III. Station sur un
pied
. La station hanchée peut se transformer en stat
r un pied. La station hanchée peut se transformer en station sur un
pied
le plus simplement du monde. Il faut dire que l
out établi pour ainsi dire, et que l'acte de soulever légèrement le
pied
de la jambe fléchie ne modifiera que bien peu l
Dans certains cas, on pourra donc retrouver dans la station sur un
pied
presque tous les caractères de la station hanch
es caractères de la station hanchée. Mais les choses changent si le
pied
soulevé est porté plus en haut et en avant, en ar
scription de toutes les attitudes si va- riées de la station sur un
pied
. Je me contenterai de désigner leurs carac- tèr
du corps tout entier, et la condition première de la station sur un
pied
, c'est que la ligne de gravité du corps passe par
le. Cette incli- naison est plus ou moins accentuée, suivant que le
pied
s'éloigne plus ou moins de la ligne médiane. El
'en éloigner. La caractéristique morphologique de la station sur un
pied
se trouve au niveau des masses musculaires, qui
des fesses est-elle bien curieuse il étudier dans la station sur un
pied
suivant que la jambe est portée en avant ou en ar
ontracter simultanément. Si l'homme s'élève sur la pointe d'un seul
pied
, l'équilibre devient encore plus précaire. Les
s avons dit plus haut à propos de la station sur la pointe des deux
pieds
et de la station DE LA STATION 95 sur un seul
inte des deux pieds et de la station DE LA STATION 95 sur un seul
pied
nous dispense d'entrer ici dans de plus longs com
ans le sens antéro-postérieur par le contact constant des doigts de
pied
ou de la jambe elle-même avec le sol, de sorte qu
noux est bien plus grande que celle de la station sur la plante des
pieds
, puisqu'elle a la forme d'un rectangle dont les
dont les petits côtés varient suivant l'écartement des genoux et des
pieds
et dont les grands côtés sont égaux à la longue
nsidérable sur le plan d'appui, et suivant la hauteur du siège, les
pieds
touchent ou ne louchent pas le sol. La ligne
21 déc. 1893. Au lit, les membres inférieurs étant en extension, le
pied
gauche n'occupe pas la même position que le pied
t en extension, le pied gauche n'occupe pas la même position que le
pied
droit. La pointe est déviée en dedans, elle tom
ce côté, en même temps qu'il existe un certain degré d'adduction du
pied
: en somme celui- ci est placé en varus équin l
ATTAILLE ET C" Éditeurs UN CAS d'hÉMIPARAPLE GIE SPINALE 115 Le
pied
est extrêmement mobile et se laisse porter dans t
t atteint par la paralysie. La marche est impossible sans appui. Le
pied
gauche se place en varus équin paralytique et l
aires pour un seul choc du tendon). Le redressement de la pointe du
pied
produit, de ce côté seulement, de la trépidation
petite ouverture en son mi- lieu, à l'aide d'un élévatoire à trois
pieds
. Si l'os est dé- primé d'un côté seulement « fa
s, les cuisses sur les jambes, et ces dernières mo- biles sur les
pieds
. La station debout n'est réa- la condition que
absolument nécessaire à la fixation en équilibre de la jambe sur le
pied
. La pesanteur, entraînant le corps en avant, sa
ès-, que nulle. Cependant elle se tient parfaitement debout sur ses
pieds
. Comment la chose est-elle possible ? On peut,
lles ibiieii t'le principal rôle dans la station de la jambe sur le
pied
. Mais ici'chez'notre" malade il ne saurait v avoi
s la station debout, on leur commande de relever la pointe de leurs
pieds
, le poids du corps reposant alors uniquement sur
s'exécute avec la plus grande facilité chez les sujets normaux et le
pied
se place aisément à angle aigu sur la jambe. Il
hiques qui s'efforcent en vain de détacher du sol la pointe de leur
pied
; tout au plus arrivent-ils parfois à soulever lé
ésistance invincible que l'on rencontre lors- qu'on veut fléchir le
pied
sur,la jambe ; à peine peut-on, dans la majorité
ines déformations plus accentuées encore on voit la face dorsale du
pied
continuer le plan antérieur de la jambe : tels so
très facile de se rendre compte par le soulèvement de la pointe du
pied
. Chez un homme sain, la flexion dorsale du pied p
ent de la pointe du pied. Chez un homme sain, la flexion dorsale du
pied
place celui-ci dans une position telle qu'il fa
avec la jambe un angle aigu ou- vert en avant. Chez nos malades le
pied
ne dépasse pas l'angle droit. Nous pouvons donc
nc en conclure que sous le rapport de la station de la jambe sur le
pied
, nos malades, au lieu d'être placés par suite de
celle qui a lieu dans le sens latéral par suite de l'écarlement des
pieds
et sur laquelle la plupart des auteurs ont alli
qu'un pas' ! Littré nous dit qu'un pas c'est l'action de mettre un
pied
devant l'autre pour marcher. On désigne aussi p
re pour marcher. On désigne aussi par pas l'espace qui s'étend d'un
pied
à l'autre quand on marche. Ainsi dans le langage
é par la série des mouvements qui se produisent entre l'action d'un
pied
et celle de l'autre pied. M. Marey a fait très ju
ents qui se produisent entre l'action d'un pied et celle de l'autre
pied
. M. Marey a fait très justement remar- quer qu'
ouvements qui s'exécutent entre deux positions semblables d'un môme
pied
, de sorte que le pas de M. Marey correspond il
, où les deux jambes étant écartées il la manière d'un compas les 2
pieds
reposent à la fois sur le sol, l'un par la poin
te, l'autre par le talon. C'est la période du double appui. Puis le
pied
qui est en arrière quitte le sol pour se porter e
plus loin; pendant tout ce temps le corps ne repose plus que sur un
pied
. C'est la période d'appui unilatéral. Celle pér
jambe oscillante d'accomplir son oscillation sans heurter le sol du
pied
. Eh'bien ! en réalité, c'est le contraire qui a l
enir la ligne de gravité dans la base de sustentation formée par le
pied
portant, il faut bien que le haut du torse se r
ièvres et des douleurs ». Il aurait eu alors une « maladie des deux
pieds
» atteints 'symétriquement jusqu'aux chevil- le
ue bien portante ; mais elle a conservé pendant quelque temps les «
pieds
tournés en dedans ». Elle s'est mariée deux fois.
ent de ce segment du membre inférieur. (Fig. 48). Les mouvements du
pied
sont également très faibles. Les extenseurs notam
xtenseurs notam- ment sont assez atteints pour qu'il y ait chute du
pied
pendant la marche. Il en résulte due les chauss
es par la pointe qui frotte sur le sol. ' A la flexion dorsale du
pied
, provoquée la malade ne résiste pour ainsi dire
ur ainsi dire pas. Néanmoins, on ne peut qu'à grand peine amener le
pied
il angle droit sur la jambe. Il existe assuréme
ésistance est un peu mieux conservée quand on cherche à abaisser le
pied
, elle est cependant très rapidement vaincue.
de la jambe sur la cuisse que dans le mouvement d'abais- sement du
pied
(jumeaux et soléaire). Il existe donc là un certa
à gauche droite. Quand la malade, portant le poids du corps sur le
pied
gauche, incline sou torse à gauche, le côté dro
e membre inférieur droit se soulève. Cette chute du bassin du côté du
pied
qui quitte le sol correspond à l'atrophie bilat
surtout à celle du moyen fessier. Elle se produit aussi bien sur le
pied
droit que sur le pied gauche, mais en sens inve
en fessier. Elle se produit aussi bien sur le pied droit que sur le
pied
gauche, mais en sens inverse. Sensibilité. La m
sont rouge-violacées. La malade se plaint d'avoir facilement « les
pieds
gelés » et « l'onglée ». Sens. Ouïe, odorat, go
ne peut maintenir longtemps sa jambe étendue sur la cuisse quand le
pied
est soulevé. Les muscles posté- rieurs sont éga
facilement`les orteils; elle-étend~et fléchi t. aussi - facilement le
pied
, mais elle n'oppose qu'une résistance très faib
ier très élargi. Les cuisses sont très amaigries. Les jambes et les
pieds
semblent respectés. UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITI
ophiés ; leur force reste encore très bonne ; la flexion dorsale du
pied
et l'extension des orteils se fait bien et la rés
qu'un peu plus faible peut-être qu'a l'état normal ; l'extension du
pied
sur la jambe est également forte et dans cette
dessus. Dans la station debout, les jambes sont écartées, les deux
pieds
repo- sant sur le sol tantôt par toute la plant
proéminente et la parole embarrassée. Environ à la même époque, les
pieds
commencèrent à se déformer comme on les voit ac
elle attendit à StMary's Hospilal pour que le chirurgien opérât son
pied
droit; mais la permission ne lui en fut pas donné
ettre dans la station debout, elle se tenait sur les orteils de son
pied
droit et cherchait un appni. La déformation spi
s la région thy- roïdienne. (Fig. 53). Les deux mains et les deux
pieds
sont très congestionnés. Ii, ides. Squelette et
, la flexion peut se faire un peu, mais non l'exten- sion. Les deux
pieds
sont dans la position dn « talipes equinus », le
un degré très accentué, le gauche un peu moins. On peut ramener le
pied
à angle sur la jambe ; mais il revient tout de su
on n'observe d'hyperlrophie. Enfin, il existé dans les mains et les
pieds
un mouvement continuel qui ressemble à de l'ath
tion vertébrale. L'année suivante, on a remarqué la déformation des
pieds
, et bientôt après la face et la parole ont été
de la déformation de la face, il faut noter celle des mains et des
pieds
ainsi que l'ensellure dorsale. La position des
s pieds ainsi que l'ensellure dorsale. La position des mains et des
pieds
est due à l'action non contrebalancée des fléch
On ne peut cependant pas prétendre qu'il s'agit de déformations du
pied
comme on en ohserve dans certaines amyotrophies
primitives; car dans ces cas, c'est surtout l'extension exagérée du
pied
que produisent les ré- tractions fibreuses. On
- tez que l'infiltration s'étend il la totalité du membre depuis le
pied
jusqu'au pli de l'aine. C'est un oedème d'une e
'invoquerai encore un autre exemple : L'usage a consacré- le nom de
pied
labélique à un effondrement des os du tarse, qui
sons guère l'hydarthrose. C'est parce qu'il existe une ostéite que le
pied
s'é- crase et prend cet aspect informe qui rapp
d s'é- crase et prend cet aspect informe qui rappelle assez bien le
pied
cassé delà chi- noise. Ainsi, les troubles tro[
urantes très vives siégeant au niveau du mollet et de la [liante du
pied
survenaient par crises durant un mois environ.
ce sexuelle, dérol)cmciil des jambes, sensation de lapis sous les
pieds
, etc. En ce momcnt même, il est sujet à des cri
résenté le moindre phé- nomène moteur. Chez ce malade, atteint de «
pied
tabélique » du côté gauche, l'effondrement du t
tibio-tarsienne avec une éruption purpurique. La lésion osseuse du
pied
gauche date déjà de plusieurs années. Or voici
alade (qui sait s'observer), dit qu'il sent venir la déformation du
pied
droit, comme est venue celle du pied gauche. So
l sent venir la déformation du pied droit, comme est venue celle du
pied
gauche. Souhaitons qu'il se trompe; mais n'oublio
qu'il se trompe; mais n'oublions pas que l'oedème et le purpura du
pied
gauche ont précédé la déformation du pied tabé-
l'oedème et le purpura du pied gauche ont précédé la déformation du
pied
tabé- tique. Il est donc peu probable que l'oed
parition dans les membres infé- rieurs, d'abord dans la jambe et le
pied
gauche. En 1871, elle était déjà très incoordon
En 1883, à la suite d'un faux pas, se montre une arthropathie dans le
pied
gauche, accompagnée d'oedème. En 1887, paraly
vue de la sensibilité objective, anesthésie complète dans les deux
pieds
. Dans les jambes, les cuisses et le tronc jusqu'à
es inférieurs, on trouve une arthropathie (hypertrophiante) dans le
pied
gauche. C'est un pied tabétique d'un type spécial
ve une arthropathie (hypertrophiante) dans le pied gauche. C'est un
pied
tabétique d'un type spécial. L'ostéo-arthro- pa
ement, sur l'astragale et les os de la première rangée du tarse. Le
pied
apparaît élargi au niveau de l'articulation tib
ivers segments des membres inférieurs : mollets. talons, plantes du
pied
, jarret. Pendant un au - il y a 7 ans les doule
lusivement frappé les membres inférieurs, surtout les jamhes et les
pieds
(creux poplité, mollet, talon et plante des pieds
t les jamhes et les pieds (creux poplité, mollet, talon et plante des
pieds
). A peine quelques douleurs moins vives du rest
de l'arthropathie, elle avait fait, un jour, cinq ou six lieues il
pied
. Cependant, il cette même épo- que (quelques mo
flé, plus gros qu'il n'est aujourd'hui. La jambe tout entière et le
pied
du même côté étaient pareillement très augmentés
s de morsure ressenties surtout dans le talon et dans les doigts de
pied
. La marche était normale. C'est il cette époque q
nt des troubles dans la marche, la sensation d'épais tapis sous les
pieds
, le dérobement des jambes, la démarche ataxique.
cuisse et dans toute la jambe, il gauche dans le mollet et dans le
pied
. Ces cri-' ses durent plusieurs jours de suite
. Douleurs de broiement et de morsure d'une grande intensité dans les
pieds
et dans le talon. Douleurs constrictives dans l
ude gauches (Nissen), ou épaule et poignet droits, ou bien genou et
pied
gau- ches (Graf). Le fait intéressant à relever
ièrement, les deux hanches (2), ou les deux genoux (3), ou les deux
pieds
(4), ou les deux épaules. Les plus rares arthro
; Celles du genou par,Graf, Parmentier et Schlesinger ; Celles du
pied
par Graf, Morvan et Strumpcli. Ces arthropathie
bilatéralité existait 13 fois sur GO aux genoux ; 8 fois sur 39 aux
pieds
; 9 fois sur 38 il la hanche ; 6 fois sur 27 à l'
Chauffard, Soc. médical. des hôpitaux, 1883. Sur 7 cas 4 fois les 2
pieds
étaient pris. NOUV. ICONOCR. Lt LA SALPllrFtIt'
oit sur un rocher. La jambe gauche est tendue, mais non raidie ; le
pied
repose par la pointe sur le sol : on n'y observ
t un peu augmente : ') droite, normal il gaucho. Pas de clo- nus du
pied
. Le réflexe plantaire existe ; le réflexe tendine
tabétiques accusent la fausse sensation d'un tapis épais sous leurs
pieds
. Ce fait, vulgaire en clinique nerveuse, démontre
cette étrangère qui s'installe dans la maison » : Elle conduit les
pieds
de l'homme, Sait le chemin qu'il eût choisi,
s et amener le raccourcissement et l'amincissement des mains et des
pieds
. En somme il n'y a rien ia de semblable à ce que
ou le genu valgum compliqué d'arthrite ; imitant, surtout au cou de
pied
, certaines ostéo-arthrites tuberculeuses, lorsqu'
que t'arthropathie tropho-suppurée nécrotique siège aux extrémités,
pied
ou main, sans dépasser le carpe d'une part, l'ar-
r fracture verté- brale, paraplégique qui gardai t le lit, dont les
pieds
étaient garantis du poids 306 NOUVELLE ICONOGRA
ormes très différentes l'une de Fig. S ? Petites arthropathies du
pied
, chez un tabétique : Forme hypertrophiante (ar-
18 fois sur 31 cas réunis par nous), ces grandes arthro- pathies du
pied
évoluent sans concomitance d'un mal perforant. On
ces grandes arthropathies rencontrées dans le tabès sous le nom de
pied
tabétique, en laissant dans l'ombre celles analog
us le nom plus compréhensif de grandes arthopathies tro- phiques du
pied
, ou même sous celui de pied trophique qui rappell
de grandes arthopathies tro- phiques du pied, ou même sous celui de
pied
trophique qui rappelle non seulement les lésion
u de la lésion nerveuse, les petites articulations de la main ou du
pied
et ne s'étendant que rarement et accessoirement a
u du pied et ne s'étendant que rarement et accessoirement au cou de
pied
, au poignet, au coude. Leur début est tantôt rh
apparurent sans douleurs, dans les deux genoux et les deux cous de
pied
, des épanchements considérables. L'oedème ne dépa
50 a M Q o > f Ci : ) es Fig. 86, 87, et 88. -
Pied
tabétique. A. Aspect clinique et B lésions osseus
eut un résultat également.. nul ; Scllange, sur un genou et sur un
pied
tabétique, M.. Jeanne ! dans-une observation in
du genou, dans le cas de M. Marchand qui amputa la jambe pour un
pied
tabétique, dans un cas analogue que nous avons pu
nnant. Il en fut ainsi dans notre intervention citée plus haut pour
pied
tabétique, dans l'inter- vention pour genou tab
t au peuple. Ils entendirent le ser- mon, puis ils déposèrent à ses
pieds
la malade, qui lui dit avec une grande foi : «
cnémiens se contractent, le talon se lève, etc. ; les mouvements des
pieds
n'ont aucunement les caractères outrés de ceux
ure hémiplégique est complète : exagération du réflexe et clonus du
pied
gauche. ' 21 mars. - La malade peut se lever se
rrive en traînant la jambe droite péniblement. Pendant la marche le
pied
droit est porté en avant avec une certaine raid
du mollet et toute la moi- tié inférieure de la jambe, y compris le
pied
. Sur le membre inférieur gaucho, ou constatait
eur gaucho, ou constatait seulement une très légère hypoesthésie du
pied
disparaissant par atténuation au niveau de la c
cru- rale s'est effacée; les régions anesthésiques de la jambe, du
pied
, de la fesse ne sont plus que légèrement hypoes
lève les ta- lons du lit et fait quelques mouvements d'extension du
pied
. L'anesthésie a presque totalement disparu ; l'
la zone périanale. Sensation pénible et constante de froid dans le
pied
gauche, avec abaissement de température de plus
avec abaissement de température de plusieurs degrés par rapport au
pied
droit. Les réflexes sont tous normaux, sauf les
gé de soulever fortement la jambe gauche à chaque pas, la pointe du
pied
étant nota- blement pendante et la plante, lors
la plante, lorsqu'elle appuie sur le sol, s'étalant comme dans les
pieds
plats paralytiques : phénomènes qui tiennent à la
pathies tabétiques des deux genoux, 58, 59. de l'épaule, 60. du
pied
, 85, 86, 87, 88. du coude avec hydarthrose, 81,
itus ex- térieur, 1, 2, 3, 4, 5. l'as (simples et doubles), 43.
Pied
tabétique, 86, 87, 88. Possédées des Dieux dans
Station des cuisses sur les jambes, 20. Station des jambes sur les
pieds
, 21. Station (équilibre de la), 17. Station s
eds, 21. Station (équilibre de la), 17. Station sur la pointe des
pieds
, 23, 24, 25. Station verticale droite ou symétr
uelque sorte le porter; il maintenait le genou fortement élevé, et le
pied
était tombant. Les mouvements des orteils, le
mouvements des orteils, les mouvements de flexion et d'extension du
pied
sur la jambe, de la jambe sur la cuisse, de la cu
efois la température était manifestement abaissée, aux mains et aux
pieds
. Le malade avait les jambes émaciées, les émine
cles de la cuisse, ensuite dans ceux des jambes, enfin dans ceux du
pied
. Aux membres supérieurs, l'amélioration a suivi
e et dort bien. Il relève encore le genou plus que normalement ; le
pied
est toujours bal- lant ; mais Ch... peut s'habi
ts d'extension générale ; cependant, il relève i peine la pointe du
pied
, et les mouvements d'adduction et d'abduction q
la jambe gauche. En outre, Ch... ne peut se tenir sur la pointe du
pied
, et quand on lui fait, fermer les yeux, il prés
de troubles vaso-moteurs, on ne constate pas de refroidissement du
pied
, mais une légère sécrétion sudorale. Enfin, o
abord il la jambe gauche, puis à la jambe droite. Il ressentait aux
pieds
des fourmillements dès qu'il se reposait. Il du
proché. L'atrophie atteint en premier ' lieu les petits muscles des
pieds
, puis ceux de la jambe en commençant par les ex
à peu près la même dans notre cas, sauf pour les petits muscles des
pieds
qui sont indemnes chez X,... Mais où les deux a
er, sauf que les noter, sauf la con- très bien dévelop- plantes des
pieds
formation voûtée pés, surtout en ce sont légère
s d'anoma- tonus musculaire à gauche : z,,5. lies. est normal. Le
pied
Les mouvements est normal. Les actifs sont libr
a- exagéré. fortement exagéré lieux : patellaire. géré. Clonus du
pied
. fait défaut. Réflexes cula- Le réflexe plan-
antes voûtées. Exagération des réflexes rotuliens. Léger clonus des
pieds
. Léger embarras de la parole. Hémicranie. III
tude dans les jambes. Exagération des réflexes rotuliens. Clonus du
pied
. Plantes voûtées. Développement considérable de l
n des réflexes rotuliens chez tous les trois malades et clo- nus du
pied
chez le 2e et le 3e malades ; 8° Gêne dans les
ment qu'il n'était pas capable de faire un pas, de se tenir sur ses
pieds
, et quand il s'es- sayait à marcher, les cuisse
l'au- tre, les jambes se raidissaient en extension pendant que les
pieds
en ex- tension dorsale permanente se plaçaient
pour ainsi dire écartées laissant entre elles un espace ovale; les
pieds
sont tournés en dedans, le gauche tendant ci ch
t que la tète de l'astragale fait une saillie notable sur le dos du
pied
; il existe une déviation du bord externe (pied
table sur le dos du pied ; il existe une déviation du bord externe (
pied
équin-varus). A la palpation les mus- cles des
jambes se fléchissent, mais on ne peut vaincre la contrac- ture des
pieds
qui reste permanente. La marche est impossible.
t les deux cuisses en adduction forcée avec rotation en dedans ; le
pied
gauche tend toujours à chevaucher le pied droit
c rotation en dedans ; le pied gauche tend toujours à chevaucher le
pied
droit. Dans les membres supérieurs la contrac
asale est très déformée. Toutes les fibres nerveuses qui forment le
pied
du pédoncule manquent; manque aussi la couche d
êles. Les orteils sont infléchis en arc de cercle vers la plante du
pied
. En aucun point des membres supérieurs et inférie
puyé sur deux aides, G... s'avance les genoux déviés en dehors, les
pieds
en équerre surtout le pied droit. La jambe a cons
avance les genoux déviés en dehors, les pieds en équerre surtout le
pied
droit. La jambe a constam- ment une tendance à
main gauche, annulaire, médius de la main droite). A la surface des
pieds
on note de l'oedème sur la face dorsale et de l'h
ai, sorte de ballon de verre, qui ne pouvait tenir debout, faule de
pied
. On y remédiait en le déposant dans un étui cyl
ervicale, de la 8" et de la Ire dorsale. F, bande de la jambe el du
pied
sur le territoire de la Sa lombaire et un peu de
r musculature. Aucun trouble de la marche. La station debout sur un
pied
est facile, ainsi que la z marche à reculons le
, un voile noir sur la tète, une fraise au cou, les jambes nues, un
pied
chaussé hors du panier, l'autre dedans. Armée d
écharpe blan- che, un grand sabre à poignée rouge sous le bras, un
pied
chaussé et l'au- tre nu, son soulier gisant non
ssion du cuir et ne se laisse pas plisser. Sur la face dorsale du
pied
droit existe une bande blanc nacré, partant du
r et du 2° orteil, large de 2 centimètres, et s'arrêtant au cou-de-
pied
. Cette plaqïia. est limitée à sa périphérie par u
olaires est épaisse et donne au palper l'impression du cuir. , Le
pied
est placé à angle droit sur la jambe. L'extension
ET L. SPILLMANN Entre 21/2 et 3 ans, la mère aperçut sur le dos du
pied
droit une petite tache au niveau de laquelle la
petite, intelligence vive, éveillée, un peu nerveuse. Sur le dos du
pied
droit une tache blanche d'aspect cica- triciel
nt grêles et remontant en bande jusqu'au pli sépa- rant le dos du
pied
de la jambe (fig. 1). A la face antéro-externe
le flanc et le 3e longeant la croie antérieure du tibia elle dos du
pied
. Sauf au dos du pied où la peau a un aspect fin
geant la croie antérieure du tibia elle dos du pied. Sauf au dos du
pied
où la peau a un aspect fin, cicatriciel, la plupa
des doigts est sèche, amincie, surtout au niveau de l'index. Les
pieds
sont habituellement bleuâtres et froids. Au nivea
s et froids. Au niveau du talon et du 1/3 antérieur de la plante du
pied
, l'épiderme est corné, dur. légèrement exfolié.
xfoliation de l'épiderme à la la paume des mains et à la plante des
pieds
. Cesphéno- l, mènes existant chez deux enfants
r le grand trochanter droit avec dépression centrale. Sur le dos du
pied
, bande bleuâtre occupant le 2° et le 3e métatarsi
d'atrophie musculaire progressive souvent familiale, débutant par les
pieds
et les jambes et atteignant plus tard les mains
e est en adduction, légèrement fléchie sur lebassin, la jambe et le
pied
sont projetés en dehors, fléchis sur la cuisse so
rojetés en dehors, fléchis sur la cuisse sous un angle de 120° ; le
pied
en adduction et en varus équin forme un angle plu
émité inférieure des os de la jambe, par suite de cette position du
pied
, fait une saillie et ils ne sont plus en contact
sont plus en contact in- time avec la surface articulaire des os du
pied
(astragale et scaphoïde) qui semblent être luxé
e est en abduction légèrement fléchie sur le bassin, la jambe et le
pied
sont rejetés en dedans, le pied en varus équin fo
échie sur le bassin, la jambe et le pied sont rejetés en dedans, le
pied
en varus équin forme un angle obtus avec la jam
et ne sont plus en contact avec les facettes articulaires des os du
pied
. Etat de la motilité. - La résistance à la flex
roite sont un peu charnus. Les interosseux ainsi que les muscles du
pied
ont complètement disparu. Les muscles du bras s
ant 8 jours et assez abondante. A 15 ans, à la suite d'un bain de
pieds
froid pris pendant les règles, celles-ci ont ce
s des poussées d'eczéma très tenace, sec, squameux aux mains el aux
pieds
, des aphtes à la langue, elle perdit ses cheveu
, assez intense, occupant les deux mains et les deux poignets ; les
pieds
n'étaient envahis que depuis huit jours. A prem
face anté- 224 PAUL DE MOLÈNES rieure du poignet. A la plante des
pieds
et plus particulièrement du pied gauche, les ma
rieure du poignet. A la plante des pieds et plus particulièrement du
pied
gauche, les manifestations cutanées étaient ide
siforme ancienne palmaire et plantaire. Ajoutons que les ongles des
pieds
et des mains étaient intacts, et qu'il n'exista
matisation diffuse et pâte de zinc très faiblement résorcinée ; aux
pieds
emplâtre à l'huile de cade pour détacher les sq
bien toléré pendant encore vingt jours et appliquer aux mains et aux
pieds
l'emplâtre de Vigo. .25 septembre. - Améliora
essenti pendant toute cette grossesse aucun malaise; l'éruption des
pieds
et des mains n'ayant pas reparu, elle n'est pas v
gnets, et de nou- veaux placards épais, squameux, fissurés des deux
pieds
, et comme je lui demandais des nouvelles de sa
iorotique. Mais qui sait si l'une d'elles, dont la mule a quitté le
pied
, n'éprouvait pas dans sa chaussure quelque compre
elle de vie dans ses jolis yeux et quelques frissons dans son petit
pied
. Tablier blanc, robe rouge et corsage vert bord
caraco bleu sombre, jupe rouge, tablier blanc, boit dans un verre à
pied
. L'homme, un peu en arrière à droite, tout vêtu d
tout particulièrement soigné son portrait. Debout devant le lit, un
pied
posé sur la marche qui le précède, le gros homm
réciable. La posture de la malade y prête assurément, car elle a le
pied
gauche posé sur une chaufferette et la jambe droi
bout derrière elle. La malade est assise, une chaufferette sous les
pieds
, le coude gauche appuyé sur une table couverte
tête est prise dans une cornette blanche avec un grand voile. A ses
pieds
, un chat est accroupi. Derrière la table, se ti
s et des céphalées violentes. Elle est constamment enchifrenée. Les
pieds
sont gros. Elle présente le teint clas- sique.
ement, il y a quatorze ans, elle eut un gonflement des mains et des
pieds
, présenta de l'albuminurie et fut traitée dans ce
stive des joues et du nez ; la bouffissure évidente de la face, des
pieds
, des mains; la température subnormale ; la voix c
, dorment dans de la flanelle et se lèvent néanmoins, le matin, les
pieds
froids. Dans les cas avancés, la raideur des mu
à s'agenouiller. Une forme fréquente est la douleur de la plante du
pied
, uni ou bilatérale. La douleur est vive, surtou
quelque temps. A rapprocher de ce fait la mauvaise conformation du
pied
pied plat que l'on rencontre très souvent chez
que temps. A rapprocher de ce fait la mauvaise conformation du pied
pied
plat que l'on rencontre très souvent chez les i
rlons, présentent, en réalité, d'autres tares dysthyroïdiennes : le
pied
plat, l'hyperhydrose plantaire fétide, l'adénoï
ienne. J'ai rencontré aussi quelques cas très nets d'ichthyose. Les
pieds
sont froids, humides et plats,transpirant facilem
t aussi impossible d'avoir une orthographe correcte que d'avoir les
pieds
chauds : l'organisation cérébrale est incom- pl
E CIIRONIQUE 295 mençante, l'oedème, le gonflement des mains et des
pieds
. L'hypothyroï- die bénigne chronique existe san
nts chauds, les bains de vapeur, les boissons chaudes. Le bain de
pied
chaud et même le bain général très chaud, avant l
ouleurs dorsales, de douleurs dans les jambes et dans la plante des
pieds
. Le traitement commence à la dose d'une pastille
eaucoup de cheveux. Elle est extrêmement frileuse et a toujours les
pieds
froids. Elle ressent de vives douleurs dans la
ntales, de douleurs dans Ips épaules, les bras, et dans la plante des
pieds
. Cette douleur plantaire la chagrine beaucoup.
douleurs rhumatismales, les démangeaisons vulvaires, la douleur du
pied
, l'oppression n'existent plus qu'à l'état de souv
ieurs sont grêles, allongés ; il y a de l'étroitesse du thorax et les
pieds
sont plats. Il est extrêmement maigre et délica
iées ; les gencives sont rouges, irritées, ron- gées de tartre. Les
pieds
transpirent beaucoup, surtout l'été, et cette tra
sse la normale. (Fig. 28.) Il est incontinent d'urines la nuit. Les
pieds
sont extrê- NOUV. ICO-.IOC;RAI'IIIE DE LA SAlPr
e. « En hiver, ce sont les mains », dit-il, « et en été ce sont les
pieds
qui me mettent au supplice ». La conformation d
hargées de tartre. J'ai placé en regard de X4 (Fig. 28) l'image en [
pied
(Fig. 29) d'une femme atteinte de myxoedème fra
duit pres- que complètement l'incontinence nocturne des urines. Les
pieds
sont bien moins fétides. La taille s'est élevée
oite. Il est âgé de 18 ans, mesure 1 m. 488 et pèse 37 kg. 100. Les
pieds
sont plats, transpirent facilement. Les parties
l'avant-bras, aux membres inférieurs les muscles de la jambe et du
pied
, les muscles des régions antéro-externe et post
sidieux, traînant. L'atteinte des mains est postérieure à celle des
pieds
de deux ans en moyenne (chiffres extrêmes 6 sem
propre du gros orteil, le jambier antérieur, les petits muscles du
pied
: les muscles du mollet sont tardivement diminués
maigrissement et de l'affaiblissement de ces groupes musculaires le
pied
prend des attitudes variables ; à un premier de
ttitudes variables ; à un premier degré (v.' PI. LI, fig. ABC D) le
pied
est en varus équin, quand il pend inerte, sa pl
on. La démarche est steppante. A un degré plus avancé, la plante du
pied
est complètement portée en dedans, le malade ma
plètement portée en dedans, le malade marche sur le bord externe du
pied
, les jambes un peu écartées, comme s'il avait d
es, et d'autre part, l'épaississement de l'épiderme de la plante du
pied
qui peut être un obstacle à la perception. CARA
mois ; elles se produisent aux membres inférieurs et remontent des
pieds
jus- qu'à la moitié de la jambe sous forme de c
e, l'hypoesthésie s'arrête au tiers antérieur de la face dorsale du
pied
. La sensibilité tactile est conservée également
a sensibilité tactile est conservée également au bord interne de ce
pied
. - B. Face postérieure. - A la plante du pied d
au bord interne de ce pied. - B. Face postérieure. - A la plante du
pied
droit le côté interne, les trois premiers ortei
oucher ; il en est de même pour la par- tie médiane de la plante du
pied
gauche. Les deux fesses et à gauche le bord ext
es doigts de la main droite. Retard à la perception de la douleur ;
pied
gauche, face supérieure 4", ra- cine du deuxièm
; pied gauche, face supérieure 4", ra- cine du deuxième orteil 4" ;
pied
droit, racine du gros orteil 2". Face plan- tai
erse- ment ; la véritable sensation ne s'établit qu'à la longue. Au
pied
et à la che- ville gauche le froid est ressenti
e produire, la malade s'aperçut qu'elle sentait mal le sol sous ses
pieds
, il lui semblait marcher sur des coussins de pl
éprouva de la peine a se tenir en équili- bre, quand elle levait le
pied
pour avancer elle croyait être tirée en arrière.
superficielle (pli. LV). I. Tact. A. Face antérieure. Anesthésie au
pied
droit jusqu'à l'articu- lation tibio-tarsienne
hypoesthésie périmalléolaire droite ; à gauche, celle-ci s'étend du
pied
au tiers inférieur de la jambe. II. Douleur.
e. II. Douleur. A. Face antérieure. Hypoalgésie à droite de tout le
pied
jusqu'à l'articulation tibio-tarsienne; hyperal
laviculaire gauche. B. Face postérieure. - Analgésie à la plante du
pied
gauche, respectant le talon; au pied droit anal
re. - Analgésie à la plante du pied gauche, respectant le talon; au
pied
droit analgésie au talon, au gros orteil, aux qua
a chaleur, aux orteils droits, s'étendant un peu au bord interne du
pied
droit ; hypoesthésie périmalléolaire à droite;
n du nerf cu- bital. B. Face postérieure. - Anesthésie depuis les
pieds
jusqu'à la région sa- crée ; la sensation tacti
l la face externe de la jambe gauche jusqu'au dernier orteil, et au
pied
droit il la base du gros orteil. B. Face postér
- A. Face antérieure. - Thermo-hyperesthésie tout le corps sauf aux
pieds
. Hyperesthésie au froid descendant plus bas que l
ns l'obscurité, par suite d'une sensation de fourmillement dans les
pieds
, accompagnée de perte de sa sensation du contac
che. Actuellement, la malade'a des douleurs dans le bord externe du
pied
droit, surtout dans les deux derniers orteils ;
uinal. B. Face postérieure. - L'hypoesthésie existe aux plantes des
pieds
et la jambe droite jusqu'au pli fessier. Cet am
lus prononcée. B. Face postérieure . - Hyperalgésie aux plantes des
pieds
et à la cuisse ; Dans la zone d'anesthésie ; el
A. Face antérieure. - Thermo-hypoesthésie depuis l'articulation du
pied
jusqu'au pli inguinal; hyperesthésie au froid dan
inguinal; hyperesthésie au froid dans la ré- gion ombilicale et au
pied
gauche ; hyperesthésie à la chaleur dans une band
U SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÊT1UÈRE NOTE SUR DEUX TICS DU
PIED
PAR F. RAYMOND. Professeur de la Clinique d
rgane assez rarement atteint par des affections de ce genre, sur le
pied
. * OBs. 1. - Cette dame Db..., âgée de 37 ans
se plaindre de ne plus pouvoir marcher à cause d'une maladie de son
pied
gauche. En effet, ce pied, comme le montre la f
voir marcher à cause d'une maladie de son pied gauche. En effet, ce
pied
, comme le montre la figure (Pl. LIX, A), se porte
re les conseils d'un chirurgien et de se faire couper les doigts du
pied
gauche. Elle espère pouvoir marcher beaucoup mi
rmanente, que nous observons pen- dant que la malade est debout, le
pied
posé à terre, éveille l'idée d'une contracture,
ien tranquille, qu'elle ne songe plus à marcher, tout disparaît, le
pied
rede- vient souple. Même quand la malade est de
ied rede- vient souple. Même quand la malade est debout et quand le
pied
porte à terre on le sent revenir à l'attitude n
peu de temps : Db... ne tarde pas à se préoccuper de nouveau de son
pied
, le i'ègarde, et immédiatement, le pied dévie e
réoccuper de nouveau de son pied, le i'ègarde, et immédiatement, le
pied
dévie en dedans, le pouce se relève et les doig
ès que la malade essaie de marcher ou mieux dès qu'elle pense à son
pied
. Db... remarque elle-même que la nuit tout va mie
ie, elle est restée couchée sans pouvoir se lever et ce jour-là son
pied
était guéri. Au contraire, l'humidité, lèvent, qu
uéri. Au contraire, l'humidité, lèvent, qui la préoccupent pour son
pied
, augmentent le spasme et les souffrances. Ajout
le spasme et les souffrances. Ajoutons que l'on ne constate, ni au
pied
, ni sur la jambe, aucun trou- ble de la sensibi
. ! CO'<OGRAPH ! E DE LA SALPÊTRIÈITE. T. XII. Pl. LIX TICS DU
PIED
F. Ravinm.uL-ii2. Tr1 ? L" NOTE SUR DEUX TICS
X TICS DU PIED F. Ravinm.uL-ii2. Tr1 ? L" NOTE SUR DEUX TICS DU
PIED
355 Elle eut, dès le début de son mariage, des
oment la pauvre dame souffrait également d'un cor au petit doigt du
pied
gau- che ; elle se dit, avec une logique que no
bonne pour son mollet devait être égale- mont bonne pour son cor au
pied
et elle appliqua la dite pommade sur le petit d
aspect mystérieux. Dès le lendemain elle avait des crampes dans le
pied
; à force de s'observer, de s'interroger sur l'
dans le pied ; à force de s'observer, de s'interroger sur l'état du
pied
malade, elle l'a vu peu à peu se déformer jusqu
rattacher, à celte préoccupation, les spas- mes et les attitudes du
pied
qui, peu à peu, ont donné naissance à une habit
e malade un jeune homme de 20 ans, Te..., qui présente également au
pied
un accident très comparable au précédent. Ce je
sa jambe droite ou dès qu'il essaie de marcher tous les orteils du
pied
droit se fléchissent fortement, se recroquevillen
roit se fléchissent fortement, se recroquevillent vers la plante du
pied
et cette flexion forcée des orteils persiste tant
server que le malade sent quelquefois une impression de froid il ce
pied
quand il est resté longtemps dans une attitude
d étonnement du malade, nous lui faisons constater que, s'il marche
pieds
nus en cher- chant à bien sentir le sol avec la
he pieds nus en cher- chant à bien sentir le sol avec la plante des
pieds
, il peut poser le pied à plat indéfiniment. Ce
chant à bien sentir le sol avec la plante des pieds, il peut poser le
pied
à plat indéfiniment. Ce sont bien comme dans le
semblable : nous voyons comment l'attention a été at- tirée vers le
pied
, et comment cette habitude a supprimé l'autre tic
e habitude et d'un trouble de leur propre vo- NOTE SUR DEUX TICS DU
PIED
357 lonté, nous les avons soumis à une gymnasti
. Ils devaient chercher à sentir exactement le sol sur lequel leurs
pieds
ap- puyaient, à le presser volontairement avec
ces, et s'il faisait une attention continuelle aux mouvements de son
pied
droit, mais le tic recommençait dès qu'il se re
que chez lui des rechutes sont fort à craindre. Ces deux tics des
pieds
, par leur évolution et par leur traitement, con-
tact, au froid, à la piqûre. Réflexes normaux. Pas de phénomène du
pied
. Vue normale. Goût, odorat, ouïe normaux. P
es deux jours. A 21 ans il eut une pneumonie. Il fut reformé pour
pied
plat gauche datant de l'enfance. Le malade a re
es ; pas de douleurs ; intelligence nette. Membres inférieurs. - Le
pied
gauche présente l'apparence du pied plat valgus
nette. Membres inférieurs. - Le pied gauche présente l'apparence du
pied
plat valgus. Pied droit normal ; applatisseme
ieurs. - Le pied gauche présente l'apparence du pied plat valgus.
Pied
droit normal ; applatissement des mollets et des
sibles ; les réflexes rotuliens sont exagérés. Pas de phénomènes du
pied
. Contracture des extenseurs du pied. Tremblem
exagérés. Pas de phénomènes du pied. Contracture des extenseurs du
pied
. Tremblements fibrillaires. Dimensions : moll
vée. Réflexes patellaires exagérés légèrement, pas de phénomènes du
pied
. Du côté de l'oeil, diplopie passagère après fa
se tient debout, bien que titubant un peu ; il peut se tenir sur un
pied
, même les yeux fermés. Il marche encore assez fac
rébrantes, etc. Réflexes patellaires normaux ; pas de phénomènes du
pied
. Les pupilles ne réagissent que faiblement à la
us exaltés à gauche qu'à droite. Il n'y avait pas de trépidation du
pied
, il n'existait aucun trouble de la sensi- bilit
n bicycle heurte violemment contre la pédale le bord interne de son
pied
droit au-dessous de la malléole interne. Le gon-
, striés lon- gitudinalement, sont friables. Les déformations des
pieds
sont analogues, et lit encore, l'hypertrophie e
ostérieure du calcanéum. Voici quelques dimensions des mains et des
pieds
: ACIi01'fÉGALIE ET DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE 40
conférence au niveau des éminences 28 » 27 » 1 Longueur 27 » 28 »
Pieds
Circonférence au niveau des articulations métatar
venue difficile, et pour piquer à la machine, elle devait fixer ses
pieds
sur la pédale ; elle avait tendu des cordes dan
Aujourd'hui les douleurs persistent dans l'espace compris entre le
pied
et l'articulation du genou ; ces douleurs sont
antérieure. - Anesthésie des deux membres inférieurs, remontant du
pied
jusqu'au pli inguinal. B. Face postérieure. Ane
-axillaire. B. Face postérieure, - Hypoalgésie aux deux plantes des
pieds
et hyperal- gésie en ceinture. III. Températu
domen. B. Face postérieure. Hyperesthésie an chaud à la plante du
pied
droit ; hyperesthésie à la plante du pied gauch
e an chaud à la plante du pied droit ; hyperesthésie à la plante du
pied
gauche. Hyperesthésie à la chaleur, aux deux fe
ls, ainsi que des fourmille- ments dans les talons et la plante des
pieds
. Il y a trois ans, les mouvements de la jambe d
nt, d'arrachement que calme la compres- sion de la région. Dans les
pieds
, elle éprouve des douleurs constrictives que n'
e plaque d'hypoalgésie à la partie externe de la face supérieure du
pied
droit. Hyperalgésie au flanc droit et aux mains j
du poignet. Hyperalgésie aux mains jusqu'au bout des doigts. Aux
pieds
, il y a un retard de la perception de 3" à la fac
ésie à la face interne des cuisses et aux fesses. A la plante des
pieds
, la sensation de chaleur est perçue avec un retar
IL DouLEUR. - A. Face antérieure. - Analgésie aux jambes, depuis le
pied
jusqu'aux genoux ; hypoalgésie jusqu'aux plis ing
hésie crânienne. B. Face postérieure. A gauche, analgésie depuis le
pied
jusqu'au creux poplité ; au-dessus hypoalgésie
ésie est manifeste jusqu'au creux poplité. Analgésie à la plante du
pied
droit hypoalgésie à celle du pied gauche. Anal-
poplité. Analgésie à la plante du pied droit hypoalgésie à celle du
pied
gauche. Anal- gésie au creux axillaire s'étenda
ondes au milieu de la jambe ; de deux secondes à la face dorsale du
pied
. A droite le retard est de 2 secondes au milieu
eu de la cuisse et de la jambe ; de 4 secondes à la face dorsale du
pied
. FROID. A. Face antérieure. - Anesthésie à la f
pied. FROID. A. Face antérieure. - Anesthésie à la face dorsale des
pieds
, re- montant à droite jusqu'au tiers inférieur
- Anesthésie en corset ; hypoesthésie aux fesses et aux plantes des
pieds
. IL Douleur. - A. Face antérieure. - Hypoalgési
immédiatement au contact du corps chaud, notamment à la plante des
pieds
où il y a 2" de retard. Chez tous ces malades o
défaillance qui va jusqu'à la perte des esprits. , - ' Or, à ses
pieds
, gît un couteau pointu. - Ces ! l'arme avec laq
uant au décor, ce qu'on en voit est à l'unisson, une table à larges
pieds
tournés, un épais tapis d'Orient, une aiguière et
urs) et d'une façon perma- nente plus froide que la main gauche. Le
pied
droit est aussi notablement plus froid. Les réf
e donner des indications pour leur étude. La coupe 1 passe par le
pied
de la pariétale ascendante. La coupe 2 passe pa
pariétale ascendante. La coupe 2 passe par la partie postérieure du
pied
de la pariétale as- cendante. NOUV, ICONOGRAP
APHASIE AMNÉSIQUE 441 La coupe 3 passe par la partie antérieure du
pied
de la 2e circonvolu- tion pariétale et coupe la
T. XII. PI. I.XXVIII Coupe 3 passant a la partie postérieure du
pied
de la pariétale ascendante. Coupc 3 passant à l
a pariétale ascendante. Coupc 3 passant à la partie antérieure du
pied
de la 3c pariétale. APHASIE AMNÉSIQUE (Trénel
( Tréllet) Fig. 8. Coupe 2, passant à la partie postérieure du
pied
de la pariétale ascendante. Fig. 7. Coupe ;
ascendante. Fig. 7. Coupe ;, passant par la partie antérieure du
pied
de la deuxième pariétale. Maison ET Cie, Édit
lésion. Dans la coupe 2 (l'l. L11VIII et Schéma 8) qui passe par le
pied
de la pariétale ascendante, la lésion siège net
sylvienne. - P. c. Pariétale ascendante. - Ps, Pli courbe. - p. P.
Pied
de la deuxième pariétale. - p. i. Sillon interpar
qui dure depuis près de cinq ans ». A l'époque de la formation, le
pied
et la cheville ont commencé à gros- sir, puis l
ette tuméfaction, non plus que les années suivantes. La jambe et le
pied
sont restés gros, durs au toucher, toujours bla
olumineuse, défigurant tous les con- tours. Cuisse, genou, jambe et
pied
disparaissent, noyés dans une sorte de gangue o
des bourrelets d'apparence éléphantiasique (PI. LXXX et LXXXI). Au
pied
, la tuméfaction fait bomber la face dorsale au-de
gros bourrelets, au pourtour des chevilles, sur la face dorsale du
pied
, et cela principalement lorsque la malade est r
inférieur droit, survenu sans douleurs et sans fièvre, cantonné au
pied
et à la jambe pendant plusieurs années et ayant
médiane et accompagnée d'une anesthésie en botte de la jambe et du
pied
droit. Par surcroît, on découvrait une dimi- nu
'âge de 13 ans au moment de la formation, se cantonnant d'abord aux
pieds
et aux che- villes, des deux côtés, pendant un
sses furent envahies simul- tanément, et depuis près de quatre ans,
pieds
, jambes et cuisses sont dé- formés à l'extrême,
blanc, dur et indolore, ayant débuté de la même façon, par les deux
pieds
, pour enva- hir ensuite les jambes ; toutefois,
Ar..., présente déjà les signes du début de la même affection. Son
pied
droit, le cou-de-pied et la moitié inférieure d
il l'âge de 25 ans,était oedématié des deux mem- lires inférieurs,
pieds
, jambes et cuisses. Il mourut brusquement, parait
avait été, le fait est certifié, affligé de la même façon des deux
pieds
et des deux jambes, les cuisses étant respectée
de Ar...) apparaissant à l'âge de la puberté, occu- pant tantôt les
pieds
et les jambes, tantôt la totalité des membres inf
eil, en 1890, un cas intitulé : Eléphantiasis noslras symétrique du
pied
el de la jambe. Cette observation diffère notable
albuminu- rique, atteint depuis l'âge de 18 ans d'oedèmes partiels (
pieds
, mains, avant-bras, jambe, scrotum), indolores,
bien à la loca- lisation la plus ancienne de son enflure (jambe et
pied
). Au-dessus, la cuisse, l'oedème étant de date
ans, hystérique, qui fut atteinte d'éléphantiasis des jambes et des
pieds
à Page de 15 ans. D'abord l'oedème était blanc
r. Plus tard sont survenus des troubles trophiques des mains et des
pieds
(cyanose, petites ulcérations). La peau était p
la Société des hôpitaux de Rome (1896) a signalé un oedème des deux
pieds
et jambes survenu chez une hystérique; mais les m
8 llENl\Y MEIGE bourrelet au niveau des chevilles, sans envahir les
pieds
. Cependant, à la suite de la marche, le dos des
s envahir les pieds. Cependant, à la suite de la marche, le dos des
pieds
se tuméfiait également; mais l'oedème qui surve
l'élé- phantiasis, et remontant en arrière jusqu au pli fessier, le
pied
demeu- rant normal. La jambe gauche était éga
urs vives de la jambe droite, survint un oedème mou, et indolore du
pied
et de la jambe. LE TROl'H(DÉME CHRONIQUE HÉRÉDI
veloppée au niveau de la cuisse, de la jambe, de la face dorsale du
pied
, nulle à la fesse, à peine marquée au creux po-
ar M. Debove (considérable à la cuisse, à la jambe et sur le dos du
pied
, nul à la l'esse, au creux poplité, sur la plan
le dos du pied, nul à la l'esse, au creux poplité, sur la plante du
pied
et sur les orteils). Là, on pouvait soutenir avec
m d' oedème rhumatismal chronique (1). OEdème dur des jambes et des
pieds
, plus marqué à droite, donnant la- sensation du
'agissait d'un oedème des extrémités inférieures, plus accentué aux
pieds
et aux jambes, et s'arrêtant au genou. Les ca
Les enfants de Lydia, 2e fille de Joseph W. 3 fils avec oedème d'un
pied
. 3 filles indemnes. B. Les enfants de Sarah,
lle de Joseph W. 5 'morts en bas âge. 2 indemnes, 1 oedème d'un
pied
. C. Les enfants de Olive, 1,0 fils de Joseph W.
nfants de Olive, 1,0 fils de Joseph W. 4 indemnes. '1 oedème d'un
pied
. . D. Les enfants de Charité, 6e fils de Joseph
s enfants de Sally, 7e fille de Joseph W. 2 indemnes. 1 oedème du
pied
. F. Les enfants de Julia, ge fille de Joseph W.
lesquels li-3 indemnes. 1 oedème des deux jambes . 4 oedème d'un
pied
. 6e génération : Sur les nombreux enfants connu
d. 6e génération : Sur les nombreux enfants connus. 1 oedème d'un
pied
. 1 oedème des deux jambes. Cette étonnante gé
ophie périphérique envahit un ou plusieurs seg- ments du corps (les
pieds
, les jambes, les cuisses). , Si une seule moiti
gnalées, on peut voir déjà la diversité des localisations : un seul
pied
, les deux pieds, une jambe, (1) La distribution
t voir déjà la diversité des localisations : un seul pied, les deux
pieds
, une jambe, (1) La distribution métamérique de
sse et moins épaisse au niveau du creux poplité : les mouvements du
pied
sur la jambe sont très libres. La malade n'épro
, elle danse, et toutes les semaines elle fait ses 22 kilomètres il
pied
pour venir à la ville et re- tourner chez elle.
ussion dans les doigts. Membres inférieurs. - Pendant la marche, le
pied
droit est traîné et fauche légèrement; la chaus
par la pointe. Genu valgum remontant à l'enfance. La station sur un
pied
est impossible. Le malade se tient debout les y
carapace cornée brunâtre. Le petit doigt, l'annulaire, le médius du
pied
droit sont le siège de durillons et de cors. Pa
art. Pour le moment on peut soupçonner quelque crise de goutte à ce
pied
mal chaussé qui repose sur une chauffe- rette.
iard, 327, 40S. Tabes labyrinthique, par P. Bonnier, 131. Tics du
pied
(noie sur deux cas), par Raymond et P. JAXET, 3
me fruste (36 phot.), 261. Janet P. et F. Note sur deux tics du
pied
(3 phot.), 353. .Marty L. et G. SABRAZES. Atrop
te (4 phot.), 1. Raymond LT Pierre JANET. Note sur deux tics du
pied
(3 phot.), 3;i3. BICIIE A. et de Gotiiard. Etud
d), LUI, LIV, LV, LVI, LVII, LXVI, LXVII, L1VI11, LXIX. Tics du
pied
et P. Janet), LIX. Torticolis mental (Noguès),
s fois et qui ont laissé sur la peau une pigmentation anormale. Les
pieds
sont très volumineux, ils mesurent 29 centimètres
pli de flexion des orteils. La voûte plantaire est affaissée et le
pied
complètement plat. Le gros orteil est très gros
timètres plus en arrière que celle du gros orteil. Les ongles des
pieds
présentent quelques traces de dystrophie. La st
s faits que nous avons relevés dans la main sont visibles aussi aux
pieds
. Le calcanéum est très gros et il présente des tr
e : 63 centimètres,mains exagérément lourdes et longues (25 cent.),
pieds
énormes (31 cent,), cyphose dorsale très pro- n
r notre sujet : ils ne sont pas douteux. Il suffit de se rappeler ses
pieds
et ses mains, la voussure du dos, l'hypertrophi
t rudimentaire, et l'individu entier, porté qu'il est sur de petits
pieds
contrefaits, semble être hors d'aplomb et prêt
ue). Peu modifiés dans leur conformation générale, les mains et les
pieds
sont évidemment plus courts qu'à l'état normal
s avant-bras et les jambes ont presque la longueur des mains et des
pieds
respectifs, tandis que les bras et les cuisses so
Un signe digne de remarque est qu'on peul imprimer à la main et au
pied
des mouvements beaucoup plus amples qu'à l'ordi
qu'à l'ordinaire : ainsi par exemple, on peut porter la main et le
pied
avec leurs faces dorsales respectivement du côté
e, 11 centimètres) ; cuisse 21 centimètres, jambe 21 centi- mètres,
pied
20 centimètres. * Tronc. Quoique moins frappant
s réflexes patellaires sont exagérés; on obtient aussi le clanisme du
pied
. Autrement on ne remarque rien de pathologique,
17 cm. 5, la longueur de la jambe = 19 centimètres, la longueur du
pied
= 13 cm. 5. , Les épiphyses des os longs parais
s le lever tout entier, mais les mouvements de flexion du genou, du
pied
et des orteils étaient encore pos- sibles). Le
toute faculté de mouvement (la hanche aussi bien que la jambe et le
pied
). Aujourd'hui la malade est sans connaissance,
réponses quand on applique le froid ou le chaud sur sa jambe et son
pied
droits). Les XIe et Xe côtes sont douloureuses
orce musculaire des membres supérieurs est bonne. Le gros orteil du
pied
droit a une tendance à se placer en extension.
temps quand on examine sa sensibilité thermique sur la jambe et le
pied
droit. Pendant son séjour à l'hôpital, le malad
res bien vifs, surtout du côté droit. La trépidation épileptoïde du
pied
droit (à gauche quel- ques mouvements classique
rocuré par la compresse chaude électrique. ' Au mois de juillet les
pieds
ont enflé. La colonne vertébrale, surtout au ni
phine. Pendant son séjour à l'hôpital, est apparu le gonflement des
pieds
. La douleur de la colonne vertébrale commence à
t de la jambe droite et d'un engourdissement sur la fice externe du
pied
droit. A l'examen objectif sent mal les piqûres a
droit. A l'examen objectif sent mal les piqûres au bord externe du
pied
droit. 16. Les réflexes du tendon d'Achille abo
ndon d'Achille gauche à peine marqué, le droit aboli. La flexion du
pied
droit est notablement plus faible que du gauche,
leur le long de la face postérieure de la cuisse, de la jambe et du
pied
; les réflexes du tendon d'Achille disparaissent d
la XIIe vertèbre dorsale est très douloureuse, molle, la flexion du
pied
droit, affai- blie. Les douleurs de la nuque le
ait intacte. L'abolition du réflexe achilléen, l'affaiblissement du
pied
droit et des douleurs le long de la face postér
eurs le long de la face postérieure de la cuisse, de la jambe et du
pied
droit, sont expliqués par la compression des ra
re de la cuisse et de la jambe, la pareslhé- sie du bord externe du
pied
avec l'abolition du réflexe du tendon d'Achille.
assez bonne, la flexion visiblement plus faible.- Les mouvements du
pied
sont bons (la flexion dorsale aussi bonne que l
he, finalement à la face antérieure de la jambe gauche et au dos du
pied
. Quelques mois après, les douleurs du côté droi
ents de l'articulation de la hanche et du genou, tandis que ceux du
pied
et des orteils sont tout à fait normaux. 62 FLA
maines la jambe gauche est devenue plus faible et depuis 2 jours le
pied
gauche a perdu tous ses mouvements. Etat actuel
Au genou gauche, mouvements limités et fai- bles. Les mouvements du
pied
et des orteils sont abolis. Les réflexes patel-
issement du membre in- férieur gauche, depuis 2 jours, paralysie du
pied
gauche. État actuel. Le sacrum est douloureux,
jambe gauche est diminuée principalement dans le segment distal. Le
pied
gauche est immobile. Ré- flexes tendineux et pl
nt prédominant aux segments distaux du membre gauche (immobilité du
pied
) confirme celle supposition.En sa faveur parlent
il a ressenti des picotements et des fourmil- lements dans les deux
pieds
(à gauche un peu plus). Puis cette sensation a en
présence du phénomène de Babinski et la trépidation épileptoïde du
pied
. Affaiblissement du pied gau- che. En général p
Babinski et la trépidation épileptoïde du pied. Affaiblissement du
pied
gau- che. En général pendant la durée de la mal
mbe inerte. La flexion des genoux est incomplète. Les mouvements du
pied
et des orteils sont plus faibles que normalement,
te. nm 5 66 FLATAU . des deux côtés. Trépidation épileptoïde du
pied
. La sensibilité tactile, doulou- reuse et therm
s du sacrum et sensation de serrement du ventre. Affaiblissement du
pied
gauche puis des membres inférieurs surtout du g
t est contracture en flexion, la hanche aussi bien que le genou. Le
pied
repose sur le lit principa- lement par son bord
s inférieur de la cuisse et la creux poplité reposent sur le dos du
pied
droit. Le pied gauche est en position de varus-éq
la cuisse et la creux poplité reposent sur le dos du pied droit. Le
pied
gauche est en position de varus-équin. (1) Ce c
istance). Les muscles adducteurs de la cuisse résistent de même. Le
pied
et les orteils conservent des mouvements passif
hille sont abolis des deux côtés (à droite on constate une flexion du
pied
lente et tardive).Phénomène de Babinski des deu
e la main droite (abolie), la main même (affaiblie) et sur les deux
pieds
. La sen- sibilité douloureuse est diminuée aux
able du côté gauche) et troubles considéra- bles sur la jambe et le
pied
gauche (à droite les troubles seulement sur les
bien perçu que le chaud. Le sens musculaire troublé aux doigts des
pieds
et de la main droite. L'examen électrique n'a p
ans présentant tous des déformalions très marquées des mains et des
pieds
sans aucune lésion tuberculeuse de la face (2). C
ère aux membres supérieurs et inférieurs. Valgisme et équînisme des
pieds
, main en griffe totale, position simienne du po
ffet Marguerite traînait légère- ment les jambes en marchant et ses
pieds
avaient tendance à se porter un peu en dedans.
s modifications survenues dans les membres inférieurs. En effet les
pieds
prenaient une position vicieuse (pied ballant a
res inférieurs. En effet les pieds prenaient une position vicieuse (
pied
ballant avec steppage), tandis que la démarche al
La jeune fille ne pouvait marcher qu'avec une paire de béquilles, ses
pieds
102 BERTOLOTTI et ses jambes étaient complète
une façon tout à fait extraordinaire, pour aboutir à des mains et des
pieds
déformés et atrophiés au degré le plus extrême.
arguerite. 6. Main d'Aurélie. 8. Main d'Elisabeth. 4. Jambes et
pieds
de Marguerite. MALADIE FAMILIALE DÉGENÉRATIVE
trophie atteint son degré maximum à la hauteur des chevilles et des
pieds
qui sont ré- duits à un véritable état de squel
ont ré- duits à un véritable état de squelette (V. PI. XIII). Les
pieds
sont dans une position vicieuse de varus-équin tr
alon est porté en haut par la rétraction du tendon achilléen et les
pieds
sont en adduction forcée. Le dos du pied est tr
tendon achilléen et les pieds sont en adduction forcée. Le dos du
pied
est très arrondi et dans le milieu de la face dor
dorsale est placé uu durillon très dur et épais. Le bord interne du
pied
, à cause de la position ea varus, est profondém
a- 108 8 BERTOLOTTI tose,de même les téguments qui recouvrent les
pieds
sont très épais et présen- tent des altérations
trait à la sensibilité tactile, il semble qu'elle est émoussée aux
pieds
et aux mains, ce qui ne serait pas extraordinai
u type spino-neurotique Charcot- Marie. Début de l'atrophie par les
pieds
. Pas de contractions fibrillaires. - Aucune trace
équilibre stable, elle piétinait souvent sur place et traînait ses
pieds
en marchant. 110 13ERTOLOTTt Bientôt cette fo
aissaient des altérations trophiques aux membres in- férieurs : les
pieds
maigrissaient, la peau était devenue livide, les
usculaire aux extrémités inférieures est rigoureusement limitée aux
pieds
, aux jambes et au tiers inférieur des cuisses.
e doigt au-dessus du genou et atteint son maximum aux jambes et aux
pieds
qui sont réduits dans un état d'atrophie extrêm
ques traînées de fibres musculaires sclérosées et rétractées. Les
pieds
sont en varus exagéré, mais la rétraction du tend
arguerite; de cette façon s'explique l'absence d'équinisme dans les
pieds
d'Aurélie. Sur la photographie (V. PI. XII), le
sme dans les pieds d'Aurélie. Sur la photographie (V. PI. XII), les
pieds
paraissent très volumineux, mais ce fait, qui n
qui ne correspond pas à la réalité, tient à un défaut de la pose, les
pieds
étant vis-à-vis de l'objectif dans un plan beau
dans un plan beaucoup plus avancé que -le reste du corps. Bref, les
pieds
n'étaient pas au point. Au contraire, comme nou
point. Au contraire, comme nous l'avons relevé chez Marguerite, les
pieds
d'Aurélie sont petits. Le dos du pied est très
relevé chez Marguerite, les pieds d'Aurélie sont petits. Le dos du
pied
est très arrondi. Les durillons que nous avons co
que nous avons cons- tatés chez Marguerite sur la face dorsale des
pieds
, chez Aurélie au contraire se retrouvent sur le
eds, chez Aurélie au contraire se retrouvent sur le bord externe du
pied
; cette disposition différente, selon moi, est
tion différente, selon moi, est due simplement à la disposition des
pieds
pendant la marche, alors que cette marche avec
c des béquilles était encore possible chez elle. Le bord interne du
pied
est incavé cause de l'atrophie musculaire et à ca
ie est pourtant moins avancée que chez la soeur. Les mouvements des
pieds
sur la jambe sont complètement abolis, les mou-
train d'évoluer. Contractions fibrillaires évidentes. Sleppage des
pieds
(pied ballant). Rétractions tendineuses à peine
d'évoluer. Contractions fibrillaires évidentes. Sleppage des pieds (
pied
ballant). Rétractions tendineuses à peine ébauc
bref, les mains d'Elisabeth maigrissaient. Après ce fut le tour des
pieds
qui devinrent ballants et très flous dans leur ar
'ont pas encore commencé et elle pourrait encore se traîner sur ses
pieds
si l'articulation tibio-tarsienne eût été fixée.
mbe de coq véritable comme nous l'avons relevé chez ses soeurs. Les
pieds
d'Elisabeth ne sont pas trop déformés ni. atrophi
s rétractions tendineuses sont à peine en train de commencer. Les
pieds
de la petite fille sont ballants, l'atrophie des
e qui do- mine et qui est la cause de l'attitude paralytique de ses
pieds
. Les mouvements de flexion des orteils sont enc
'extension des 'orteils est au contraire complètement abolie. Les
pieds
d'Elisabeth sont en équinisme paralytique. On n'o
n n'observe aucune trace de varisme. L'adduction et l'abduction des
pieds
font complètement défaut. Le bord interne du
'abduction des pieds font complètement défaut. Le bord interne du
pied
n'est pas déformé ; la face dorsale se présente u
oubles trophiques chez Elisabeth sont encore à peine ébauchés : les
pieds
sont un peu froids et cyanosés, mais ils ne prése
se manifester par une atrophie des petits muscles des mains et des
pieds
. ' (1) Frïud, Neurologische Centralblatt, 1893.
DIE FAMILIALE 125 L'atrophie musculaire débute généralement par les
pieds
et envahit après les extrémités supérieures. La
cles péroniers, les extenseurs des orteils et les petits muscles du
pied
. A la suite des rétractions tendineuses, l'altitu
uscles du pied. A la suite des rétractions tendineuses, l'altitude du
pied
est en équin ou en varus-équin. ' Si enfin le
évolution déjà avancée et la présence des durillons à la plante du
pied
ou quelque- fois à la face dorsale du pied. E
durillons à la plante du pied ou quelque- fois à la face dorsale du
pied
. Et bien, tous les caractères les plus saillant
extrémités et à la présence des durillons sur la face dor- sale des
pieds
. Nous pouvons donc établir de cette façon un' r
tion des réflexes tendineux, déformation de la main en griffe et du
pied
en varus-équin. Il y avait en outre des altérat
atrophie des nerfs optiques, avaient re- marqué en passant que les
pieds
de leur malade étaient restés petits et déformé
orteils se mettent est extension quand on excite la face plantaire du
pied
, mais le gros orteil reste immobile ? Pas d'i
xes patellaires et achilléens sont très vifs. Léger clonus des deux
pieds
. Le réflexe plantaire est normal. Le réflexe ab
is, l'hypogastrique manque). Troubles sensitifs (tactiles : sur les
pieds
et les jambes ; douloureux : dans les segments
membres inférieurs la sensibilité douloureuse est affaiblie, sur le
pied
droit elle est abolie ; thermiques : affaiblissem
de ce sens sur les membres inférieurs, abolition sur la jambe et le
pied
droits). Le sens des attitudes est aboli aux or
que pas. Réflexes patellaires assez vifs Trépidation épileptoide du
pied
. Phénomène de Babinski des deux côtés (à gau- c
Aux membres inférieurs elle sent les piqûres sur les jambes et les
pieds
.Incontinence de l'urine et des matières fécales
de la peau des bras, jambes, cuisses elle cyanose des mains et des
pieds
. La plus légère irrita- tion,une ligne tracée p
troubles vaso-moteurs, tels que l'état cyanotique des mains et des
pieds
, la teinte marbrée de la peau, et quelquefois u
le malade oppose une résistance (Babinski) à la main qui soulève le
pied
, elle est très irrégulière, et souvent se général
la localisation de la contracture, par exemple : une contracture du
pied
, sans modifica- tion du réflexe rotulien ; une
que le sujet s'en doute, par exemple, en portant son attention sur le
pied
, lorsqu'il s'agit de la hanche ; l'absence de d
is, atteinte de lèpre nerveuse sans lésion de la face mais dont les
pieds
étaient profondément mutilés, était fort conten
odium. Tantôt le rayon de même nom est atteint aux mains, comme aux
pieds
; tantôt la lésion est symétrique aux extrémité
YMEUË. METAPODIALE CONGENITALE (A. Chevallier). Radiographies des
pieds
de Char. (Obs. 1). - M.n c : c : ('"\ ? G ? I&l
e accessoire dans la constitution de l'arc externe, arc d'appui, du
pied
(1). Notons encore un léger degré de syndactylie
ntre les deuxième et troisième orteil (PI. XXI). A la main comme au
pied
, le raccourcissement du quatrième rayon méta- p
ble ; les éminences thénar et hypothénar, la semelle musculaire, du
pied
, sont intacts. Il n'y a d'autre part, aucune autr
normale ; l'articulation IV tarsométatarsienne est, comme dans tout
pied
normal, à quelques millimètres au dessus de la Ve
ge adjacente sont peu foncées. Tous les cartilages de la main et du
pied
sont disparus. Ceux de l'avant- bras sont en vo
ergent vers l'axe du doigt après un trajet ascendant sur les dos du
pied
(lig. 1). Le deuxième orteil paraît « s'enclave
. Zanasi). (Obb. I. Bernabé Andréa). Radiographies des mains et des
pieds
. Masson & Cie, Editeurs rnou,ni ? n.rmoua
otre petit homme s'est bien porté ; il ne signale qu'une entorse du
pied
, causée par un saut, et des rhumes de peu d'imp
tés sont très raccourcies en comparaison du tronc, les mains et les
pieds
carrés, larges et courts. Ces disproportions sont
jambes sont légèrement arquées avec leur convexité au dehors. Les
pieds
sont gros et larges ; ils sont courts, mais en pr
ts, mais en proportion moins que les mains. Le gros orteil des deux
pieds
est très gros ; au pied droit le quatriè- me do
ins que les mains. Le gros orteil des deux pieds est très gros ; au
pied
droit le quatriè- me doigt est plus court et il
lation du genou ; cela n'ar- rive pas chez les individus normaux.
Pieds
: Pied droit. - Les os du tarse sont lourds et dé
u genou ; cela n'ar- rive pas chez les individus normaux. Pieds :
Pied
droit. - Les os du tarse sont lourds et déformés.
nes montrent, soit aux diaphyses soit aux épiphyses, des exostoses.
Pied
gauche. Mêmes altérations dans la conformation qu
auche. Mêmes altérations dans la conformation qu'on a remarquées au
pied
droit. Ici il n'y a pas d'altérations particuli
mé qu'à l'autre pied et il est aussi quelque peu en abduction. Au
pied
droit, ainsi qu'au pied gauche, on peut remarquer
il est aussi quelque peu en abduction. Au pied droit, ainsi qu'au
pied
gauche, on peut remarquer la présence d'os sésa
Zanasi). Obs. II. August. Radiographies du coude, du genou et du
pied
. Masson & Cie, Editeurs. PIIOlot rlC n1 t
el M. Zlllltlsi). Obs. II. August. Radiographies des mains et des
pieds
. Masson & Cie, Editeurs. hlmlotpir Ikrilm
laires sont prompts bilatéralement; très vifs les achil- léens ; au
pied
on obtient quelques secousses cloniques. Réflexes
la ligne articulaire. La rotule ne présente rien de particulier.
Pied
(En position latéro-tibio-fibulaire). - L'épiphys
. Zanasi). Obs. III. Otto. Radiographies du coude, du genou et du
pied
. Masson & Ce, Editeurs Phntnlypte 13eUhnu
irri el M. Zanasi). Obs III. Otto. Radiographies des mains et des
pieds
Masson & C1C, Editeurs. NOUVELLE Iconogra
rte lordose lombaire. 260 GIUSEPPE rRANC111N1 ET MAURO ZANASI Les
pieds
sont petits, raccourcis et larges, petits aussi l
et de structure normales. Rien d'autre qui mérite d'être signalé.
Pied
. Position latérale fibulo-tihiale. L'arcade pla
unéiformes est plus saillant que de coutume vers la face dorsale du
pied
. L'ACHONDROPLASIE EST-ELLE HÉRÉDITAIRE 261
processus médians et latéraux, présentent comme une interruption.
Pied
. (En position antéro-postérieure). La forme gén
s jambes sont un peu arquées avec leur con- vexité au dehors. Les
pieds
sont plutôt gros dans les trois cas et particuliè
premier, où ils présentent une anomalie que nous allons décrire. Au
pied
droiteneffet le quatrième orteil est plus petit
es doigts, fait qui a été vérifié par M. le Dr Lévi à la main et au
pied
d'un sujet qu'il a dé- crit, et qu'il met en ra
nos cas, ce fait ne se constatait que chez un sujet et seulement au
pied
droit. Il est cependant intéressant et c'est un
vérifiée dans un cas d'infantilisme du type Lorain, à la main et au
pied
droits. Sur la mentalité des achondroplasiques
tigante; notre premier malade avait voyagé des journées entières, à
pied
sous un soleil brûlant, sans en ressentir le moin
toucher avec leur sur- face interne. Aucun signe de rhumatisme aux
pieds
. Les artères périphériques des membres supérieu
tre, l'hyper- trophie osseuse frappe en même temps les mains et les
pieds
, ce qui consti- tue, ainsi qu'on le sait, un de
s haut et ainsi qu'on peut le constater dans les photographies, les
pieds
et les mains non seulement ne présentent aucune
oitié gauche du corps, sous la forme de paresthésies, commençant au
pied
et à la main. Elles étaient sui- vies de secous
re de ce côté. Vifs aussi les tendons d'Achille. Parfois, clonus du
pied
des deux côtés. Epigastrique, mésogastrique et
nts. Il en est de même des crémasters. En chatouillant la plante du
pied
, on obtient à droite la flexion de tous les doi
, faire une légère ab et adduction, fléchir et étendre le genou. Le
pied
droit est absolu- ment immobile, les orteils so
mouvements, quoique là aussi on voit un notable affaiblissement. Le
pied
est immobile. La marche est impossible. La sens
réllexes rotuliens sont exagérés. La trépida- tion épileptoïde des
pieds
se voit de deux côtés.Les troubles sensitifs de m
ans quel sens. Il ne se rend pas compte non plus des mouvements des
pieds
, des genoux et des cuisses. Les vertèbres sont
u-dessous de l'ombilic et dans les côtés. La sensation du froid aux
pieds
augmente ; elle était très pénible, les pieds s
ensation du froid aux pieds augmente ; elle était très pénible, les
pieds
se réchauffaient difficilement. Dans le membre
eur et d'immobilité du tronc depuis les dernières côtes jus- qu'aux
pieds
. Etat actuel. La malade est de grande taille, b
du genou est minime au point de vue de la force et de l'étendue. Le
pied
est tout à fait immobile, le gros orteil seul p
oindre obstacle rend les mouvements impossibles. Les mouvements des
pieds
sont également lents et limités, la force de la f
deux cas elle est très petite. Aux mouvements répétés, la force du
pied
droit s'épuise. La malade peut mouvoir tous les
s bien sentis ; à droite, ne sont pas ressentis du tout, excepté au
pied
où la sensibilité est affaiblie (ces troubles e
début. La malade renouvelle ses plaintes de sensation du froid aux
pieds
, de douleurs dans le côté gauche et dans la régio
hauteur où elle peut toucher avec le talon droit la face uorsale du
pied
gauche ; le genou droit se fléchit jusqu'à l'angl
ait que grâce à la pesanteur du membre,qui tombe. Les mouvements du
pied
droit et de ses orteils sont un peu meilleurs et
sant, eu étendant les genoux et en exécutant la flexion dorsale des
pieds
. Les réflexes patellaires sont vifs ; les achil
illéens assez vifs. La trépidation épileptoïde existe dans les deux
pieds
ainsi que le phénomène de Babinski bilatéral. Les
du membre inférieur gauche était 326 C) FLATAU abolie (excepté au
pied
), à droite affaiblie. Les réflexes patellaires et
it mar- chande, devait beaucoup marcher et souvent restait avec les
pieds
mouillés. Etat actuel. La malade est de petite
le. Réflexes achilléens très exagé- rés, trépidation épileptoïde du
pied
des deux côtés. Phénomène de Babinski très pron
neux sont très exagérés. Trépidation épileptoïde des rotules et des
pieds
. Phénomène de Babinski bilatéral. Les gros or
ulations est exagérée. Trépi- dation épileptoïde de la rotule et du
pied
. Phénomène de Babinski. La sensibilité comme au
e iliaque. Le sens des attitudes est aboli dans les doigts des deux
pieds
, presque aboli dans les articulations du cou-de-
gts des deux pieds, presque aboli dans les articulations du cou-de-
pied
; la malade se trompe souvent en ce qui concerne
ervant des mains. Les membres inférieurs sont toujours étendus, les
pieds
légèrement abaissés, les gros orteils en adduct
est dévié en dehors à tel point qu'il forme avec le bord interne du
pied
un angle presque droit. Les mouvements actifs d
es réflexes patellaires sont très exagérés (la percussion du dos du
pied
provoque la contraction du muscle quadriceps).O
tient le réflexe de Babinski en excitant les 2/3 externes du dos de
pied
. Le réflexe d'Oppenheim. Le réflexe abdominal sup
es infé- rieurs (surtout dans le droit) ; sensations de brûlure des
pieds
, de ser- rement dans le ventre, des contraction
s du lobule paracentral et de l'opercule rolan- dique ainsi que les
pieds
de la première et deuxième frontale participent
remarqué encore l'absence d'un certain nombre de pyramides dans le
pied
de la première circonvolution frontale. Donc, d
que la patiente puisse dire si c'est plus souvent aux genoux ou aux
pieds
, et parfois même dans les membres supérieurs, s
sse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse, et d'byperextension des
pieds
sont possibles aussi.) Mouvements actifs tous b
la malade frappe légèrement les talons, et a tendance à lancer les
pieds
. Ces troubles s'accentuent lorsque la déambulatio
rche à yeux clos. La patiente ne réussit pas à se tenir sur un seul
pied
. Romberg évident. Si l'on ordonne il la malade, r
(1). « Le quatrième orteil forme une saillie sur la face dorsale du
pied
(des deux côtés) et repose sur le 3e et le 58 ort
le (Paul Cbevallie1"). Obs. III. Photographie et radiographie des
pieds
de Vib. BRACHYMÉLIE MÉTAPODIALE CONGÉNITALE - 4
es phalanges raccourcies, en particulier de la quatrième. Les os du
pied
droit ont été réservés pour être décalcifiés. La
CHEZ LA MÈRE. La malade, Emilie Laug., est âgée de dix-huit ans. Le
pied
droit est nor- mal ; le gauche est au contraire
mble s'implanter en retrait des autres orteils sur la face dorsale du
pied
; son extrémité n'atteint pas le bout du petit o
ntent assez régulièrement diminués de volume relativement aux os du
pied
droit ». La colonne, le crâne, le bassin, le th
ACHONDROPLASIE (Paul CGetnllier). Radiographies des mains et des
pieds
de Claudilis. Masson & C,e, Éditeurs. "11
rrêts de développement), Grosse (2) a vu des orteils raccourcis. Au
pied
droit, le cinquième orteil est fortement en ret
rait, alors que le gros orteil dépasse .sensiblement les autres; au
pied
gauche, outre des malformations analogues, il exi
ultiples, « généralement sy- métriques et analogues de forme », les
pieds
et les mains, dit le catalogue n'offrent aucune
t courts, surtout le quatrième et ont des tètes volumi- neuses. Aux
pieds
, il y a raccourcissement manifeste du quatrième i
exagérés (le gauche un peu moins). Trépidation épileptoïde des deux
pieds
et phénomène de Babinski. Abolition de la sensi
ord cubital de l'avant-bras. Par contre réapparut la sensibilité du
pied
et de la jambe gauche et du pied droit. Deux jo
contre réapparut la sensibilité du pied et de la jambe gauche et du
pied
droit. Deux jours après l'opération, le pied dr
la jambe gauche et du pied droit. Deux jours après l'opération, le
pied
droit peut exécuter de petits mouvements, de mê
eut exécuter de petits mouvements, de même que le genou droit et le
pied
gauche. La limite de la sensibilité est descend
bord inférieur des côtes droites. Fortes dou- leurs surtout dans le
pied
et le genou gauches. Les mouvements des membres
ttitudes de l'articulation du cou-de-pied et des or- teils des deux
pieds
. La sensibilité, assez vite revenue à la normale
. Il persiste encore de la trépidation épileptique de la rotule et du
pied
des deux côtés et le phénomène de Babinski. Tra
ée dans cette région d'une façon moins prononcée sur la jambe et le
pied
gauche. La sensibilité douloureuse est affaiblie
l et Ier dorsal ; pourtant la douleur primitive est apparue dans le
pied
gauche. Dans un cas décrit par Ilamson Thompson
ns un endroit bien éloigné de la tu- meur, ainsi par exemple sur le
pied
quand la tumeur se trouve dans la moelle cervic
ocalisées (Behn-Laquer), le plus souvent elles s'irradient vers les
pieds
. Puis apparaissent des anesthésies dans la région
n cas décrit par Klieneberger la douleur a débuté par la plante des
pieds
, puis elle a disparu et ne s'est répétée que deux
langue légèrement déviée à droite. Le chatouillement de la plante du
pied
gauche a pour résultat la flexion dorsale du gr
Réflexe rotulien plus marqué à gauche qu'à droite. Pas de clonus du
pied
, ni de la rotule. Si l'on chatouille à gauche l
du pied, ni de la rotule. Si l'on chatouille à gauche la plante du
pied
vers le milieu, on observe quelquefois le sympt
latérale descendante qui s'inter- cale entre le corps calleux et le
pied
de la couronne rayonnante (laquelle, à notre av
ur du corps calleux, et du faisceau longitudi- nal supérieur par le
pied
de la couronne rayonnante. Le faisceau occipito-
tacher des libres qui se portent en bas et en dehors, traversent le
pied
de la couronne rayon- nante et entrent dans la
ur des coupes horizontales on voit que le noyau caudé est séparé du
pied
de la couronne rayonnante par un faisceau sagitta
cromélie évidente soit totale, soit rhizomélique ; les mains et les
pieds
sont parfaitement conformés. L'examen le plus s
achitisme et la diaphyse tibiale est parfaitement normale. 1 . Le
pied
est svelte et allongé, les proportions des doigts
proportions des doigts sont normales, en somme rien qui rappelle le
pied
carré des achondroplasiques. Seul fait digne de
SOMIE ESSENTIELLE (E. Levi). Obs I. Radiographie de la main et du
pied
. Ossification complète. Os SèSat1101de parfait.
s extrémités dans toutes les grandes articulations, les mams et les
pieds
: tout reste du squelette a été examiné au radios
ongs ne présentent le moindre stigmate rachitique. Les mains et les
pieds
sont parfaitement conformés, allongés et sveltes
tés, ni aux grandes.articulations des membres, ni aux mains, ni aux
pieds
. 554 ETTORE LEVI ' Tous les réflexes tendineu
s membres ne présente pas la moindre déformation rachiti- que ; les
pieds
et les mains sont sveltes et allongés et ne rappe
veltes et allongés et ne rappellent d'aucune façon les mains et les
pieds
carrés des achondropiasiques. Dans ce cas, comm
es phalanges des doigts sont déformées en baguette de tambour ; aux
pieds
aucune défor- mation : La surface cutanée est
ent du même métatarsien chez la mère et chez la fille, bien qu'à un
pied
différent (obs. IV) ; anoma- lie chez deux soeu
. L'agi- lité n'est pas assez diminuée pour entraver le travail. Au
pied
l'orteil est claviforme ; il est repoussé sur l
; parfois elle est diminuée : ce fait nous a paru plus fréquent aux
pieds
. On peut même observer un certain degré de réduct
çTO^n'è ? Ke(Rieder); le quatrième et le cinquième (Kirmisson). Aux
pieds
, il s'agissait tantôt du quatrième métatarsien
achimsthal, Klausmer), le cinquième (2 obs. de Joacbimsthal). - Aux
pieds
, sont en cause le deuxième métatarsien (Daniel,
n. Est-il légitime d'en rapprocher notre observation III : aux deux
pieds
, le quatrième métatarsien, les premières phalan
ignes suivantes, qui se rapportent étroitement à notre sujet : « Au
pied
droit, le quatrième orteil est plus petit que les
otre cas ce fait ne se constatait que chez un sujet et seulement au
pied
droit. Il est cependant intéressant et c'est un
vérifié dans un cas d'infan- tilisme du typeLorain, à la main et au
pied
droits. » (A suivre.) ! «ni . 39 HOPITAL ISRA
ond jour après l'opération la ma- lade a recouvré la sensibilité du
pied
et de la jambe gauches et du pied droit. Deux j
lade a recouvré la sensibilité du pied et de la jambe gauches et du
pied
droit. Deux jours après l'opération, la malade
ux jours après l'opération, la malade pouvait légèrement mouvoir le
pied
et le genou droits. L'amélioration progressait to
le. Une malade de Schullze pouvait exécuter quelques mouvements des
pieds
le second jour après l'opération, etc. Cette amél
e, que la topographie de ses circonvolutions est indéterminable. Le
pied
de la première circonvolution frontale cependan
la scissure pariéto-occipi- tale au sillon occipital inférieur. Le
pied
de la première circonvolution temporale ne se j
pramarginalis, mais se recourbe en bas et en arrière pour s'unir au
pied
de la deuxième temporale. Les deuxième et trois
téré et se réduit à un simple trou situé entre le noyau caudé et le
pied
de la couronne rayon- nante. Le trigone adhère
fascicules pâles obliquement dirigés, ,qui ne font que traverser le
pied
de la couronne rayonnante et la zone sous-épendym
pourtour de la circonvolution de l'hippocampe, entre celle-ci et le
pied
du pédoncule cérébral, qui expli- quent sans do
genouillés, dans le voisinage du sillon de l'hip- pocampe, entre le
pied
du pédoncule et la bandelette optique et au pourt
- bent en dedans vers le tapétum en traversant toute l'épaisseur du
pied
de la couronne rayonnante temporooccipitale. El
s le segment sous-lenticulaire de la capsule interne jusque dans le
pied
du pédoncule cérébral, sont tous des détails anat
c la capsule médiane du noyau rouge, d'autres enfin, contournent le
pied
du pédoncule cérébral et s'épuisent dans la par
ort au tronc, la micromélie totale ou rhizomélique, lesmains et les
pieds
carrés, etc. Nos sujets ne présentent pas non p
n. En effet, si nous prenons en considération les radiographies des
pieds
et des mains de notre sujet, nous voyons que ch
es car- tilages épiphysaires des phalanges des mains et surtout des
pieds
sont réduits à une lamelle très fine, et nous p
st ferme, mais non dure ; il est mobile avec la peau du doigt. Le
pied
gauche est normal. Le droit présente six orteils
nomène pathologique touchant le squelette. Le cinquième orteil du
pied
gauche apparemment normal, possède un noyau oss
taire phalangien qu'il écorne en dedans. L'orteil supplémentaire du
pied
droit est le cinquième ; ses phalanges sont nor
ylosées, en sorte qu'il fait saillie quand la main est fermée. Le
pied
gauche semble normal. Le pied droit possède un ci
saillie quand la main est fermée. Le pied gauche semble normal. Le
pied
droit possède un cinquième orteil bifurque. Le
e) ; doigt surnuméraire métacarpo-phalangien (il gauche). Ous. V.
Pied
droit du frère de Clôt. II. 690 ' CHEVALLIER
ésentait : un os supplémentaire latéro-phalangien (cinquième orteil
pied
gauche) ; un orteil complet surnuméraire (schizom
orteil complet surnuméraire (schizomélie ( ? ) du qua- trième rayon
pied
droit) ; un rudiment de doigt sur le bord cubital
ies et les pattes des cétacés. La forme ancestrale de la main et du
pied
des mammifères n'était pas penta- dactyle, mais
tain nom- bre de travaux ont été consacrés à l'étude des doigts des
pieds
et des mains. En ce qui concerne les déformatio
rs doigts sont liés entre eux; 8° parfois la réunion des doigts des
pieds
ou des mains se fait de telle manière, que la m
des pieds ou des mains se fait de telle manière, que la main ou le
pied
sont compara- bles à des « pinces de homard ».
le pouce était joint à l'index par une membrane. Le gros orteil du
pied
gauche était très long et renflé près de la bas
vait amputés; des changements à peu près pareils se constataient au
pied
droit. P. Bégouin et J. Sabrazès (6) ont observ
t les cas suivants : 1° un cas de polydactylie (6) aux mains et aux
pieds
(il y avait des petits doigts supplémentaires)
avait des petits doigts supplémentaires) ; en outre, les doigts du
pied
gauche étaient disposés en « coup de vent» ; 2°
par l'annulaire et par l'auriculaire; le majeur manquait; les deux
pieds
présentaient à peu près les mêmes anomalies ; A
enregistré un certain nombre de cas dans lesquels les mains et les
pieds
d'une personne, présentaient à la fois l'aspect e
e homard» ; dans d'autres cas, c'était tantôt les mains, tantôt les
pieds
. Tel est le cas de Raymond et P. Janet (15) et de
ce d'autres doigts. Dans le cas de Thibierge (16), les mains et les
pieds
n'avaient que deux doigts; le pouce des deux ma
tion du coude; l'autre doigt était long et non courbé. Les doigts des
pieds
étaient déformés de la même manière. Dans le ca
décrit (obs. 11) la syndactylie du gros et du second orteils sur le
pied
droit,de même que du troisième et du quatrième
e le second. Dans le cas de Ma- gnan (1), tous les orteils des deux
pieds
étaient reliés entre eux, de sorte que cette pa
étaient reliés entre eux, de sorte que cette partie de la plante du
pied
avait l'aspect d'une masse amorphe, au milieu d
si on les avait amputés (a). Dans le cas de Régis (S), le pouce du
pied
gauche était très grand, et le petit orteil était
édition de son Cours de maladies psychiques, mentionne un cas où le
pied
droit n'avait que trois orteils (le premier éta
rès agrandi, et les deux autres étaient presque rudimenlaires) ; le
pied
gauche avait deux orteils (le premier était gro
le premier cas de poly- dactyle deLondeet Meige (9), les doigts du
pied
gauche étaient inclinés, vers l'extérieur (en c
térature mé- dicale, il dit que l'absence des doigts intérieurs aux
pieds
(1-4) est fré- quente. Paulicky (24), médecin m
e l'hypertrophie des doigts dans un de ses cas, le second orteil du
pied
gauche était long de 10 centimètres et le même or
teil du pied gauche était long de 10 centimètres et le même orteil au
pied
droit avait 4 cent. 5 de longueur ; la grosseur
au pied droit avait 4 cent. 5 de longueur ; la grosseur du doigt du
pied
gauche était 4 cent. 5 et la grosseur du même o
igt du pied gauche était 4 cent. 5 et la grosseur du même orteil au
pied
droit était de 1 cent. 5. Busch mentionne d'aut
PHIE DE LA SALl'È1RIÈRE. T. XXIII. Pl. LXXX ANOMALIES DES DOIGTS DE
PIEDS
(Seletzlzi). Masson & Cie, Éditeurs. Ph
e de la Salpêtrière.. ' T. XXIII. Pl. LXXXI ANOMALIES DES DOIGTS DE
PIEDS
(Seleliki). 1 Masson & Cie, Editeur ? P
e se retourne en bas ; ce phénomène est frappant sur la planche 10 (
pied
droid) ; il est moins visible sur la plan- che
ez évidente. Le même phénomène est encore visible sur la planche 8 (
pied
droit). Chose bizarre : je n'ai observé la positi
je n'ai observé la position en question du petit orteil, que sur le
pied
droit ; cette dernière circons- tance est évide
gure 12, où la découpure entre le deuxième et le troisième doigt du
pied
droit est considérablement plus courte qu'entre t
re le deuxième et le troisième orteil est un peu plus courte sur le
pied
gauche que sur le pied droit ; il est, cependant,
oisième orteil est un peu plus courte sur le pied gauche que sur le
pied
droit ; il est, cependant, probable que, dans c
et le troi- sième) existe la syndactylie apparente, surtout sur le
pied
droit. z 7° La face dorsale des orteils ne semb
; ainsi (fig. 13) la situation du premier et du deuxième doigts du
pied
droit est régulière, tandis que les autres sont
e 1 le représente. 700 SELETSKI La même chose se produit sur le
pied
gauche avec cette seule différence que le deuxi
pendant, cette position n'appartient qu'au premier orteil d'un seul
pied
; ainsi, par l' exemple, sur la figure 7, c'est
d ; ainsi, par l' exemple, sur la figure 7, c'est le gros orteil du
pied
droit, sur la figure 1 1, c'est celui du pied g
est le gros orteil du pied droit, sur la figure 1 1, c'est celui du
pied
gauche, mais dans ces deux cas, la chose est très
convexité à l'extérieur; parfois on peut observer ceci sur les deux
pieds
, parfois sur un seul. Cette anomalie est bien vis
est bien visible sur les figures 1 et 16 ; on la remarque aux deux
pieds
; sur la figure 9 le qua- trième doigt du pied
a remarque aux deux pieds ; sur la figure 9 le qua- trième doigt du
pied
gauche est dans la même position ; sur la figure
x quatrièmes doigts (toutefois l'anomalie est plus apparente sur le
pied
gauche) ; sur la figure 17, ce sont aussi les d
s en tête d'épingle, quant au premier et au deuxième doigt des deux
pieds
; c'est ce qui a lieu sur les figures 4 et 13 ;
eils : sur les figures 13 et 18, on voit que les seconds orteils du
pied
gauche se trouvent dans cette position ; et si
aille des personnes ; ainsi les malades, dont les photographies des
pieds
sont représentées sur les figures 13 et 19, sont
19, sont considérablement plus grands de taille, que celui dont les
pieds
sont représentés sur la ligure 3. OUt'FLf.F î
1· LA 141.1LTR1LR1. T. XXIII. PI. LXXXI ! ANOMALIES DES DOIGTS DE
PIEDS
.SCCli I . Masson & Cte, Editeurs l'llt
lIlIltl,P.If1' ANOMALIES DES ORTEILS - 701 13" Enfin, parfois les
pieds
mêmes sont démesurément grands et lar- ges, de
orte qu'il est impossible aux malades de trouver chaussures à leurs
pieds
; ce phénomène sera bien saisi, si l'on compare l
ordinaires, c'est-à-dire dans le dixième cas le cinquième orteil du
pied
droit est tourné de manière que son côté dorsal
ent. Explication DE la radiographie (PI. LXXXII). Photographie du
pied
gauche d'un malade (n° 1). Les phalangettes et
énitales des quatre membres, lésions symé- triques des mains et des
pieds
. Revue de chirurgie, 1903, p. 349. 14. PETHELLA
conogr., 1897, p. 369. 16. G. Thibierge. Une femme homard, mains et
pieds
à deux doigts. Nouv. Iconogr., 1908. 17. SuGR
es BAIIIIES et GAIDE. - Malformations congénitales des mains et des
pieds
. Giz. des hôpitaux, 1904, p. 697. 23. STEfIVTfI
ntre antérieur ou frontal sensitivo-moteur siégeant surtout dans le
pied
de la 2" frontale, un centre postérieur ou occi
arrière, droite ou il gauche, soit autour d'un axe passant par ses
pieds
, soit parallèlement il l'axe de son corps; plus
es vides ou pleins inexistants, d'un trou béant, d'un allongement des
pieds
ou de tout l'individu, d'une personnalité dédou
nois et Chavanne). [A.LÉRL] '.150 ? ' VERTIGES. - il écarte les
pieds
et les déplacé en piétinant sur place, il étend,
er, le sujet étant assis, les yeux bandés, le dos contre l'axe et les
pieds
sur le bord du plancher. A l'état normal, le su
coups, etc.); b) ébranlement du corps par chute sur les genoux, les
pieds
, etc.; c) variations exagérées de la pression d
e le salut militaire le geste du serment celui de la bénédiction un
pied
de nez, etc.. , c) Mimique descriptive. Enjoi
grands faisceaux d'association inll'1-11('111161)li('l'Ifllll ? le
pied
de la couronne rayonnante. Un foyer situé dans
I. Ces mouvements consistent en petites secousses dans la main ou le
pied
droit qui se produisent seulement lorsque le ma
lassi- ques étant liée il la destruction de la substance blanche du
pied
de la .5e frontale gauche. L'association de I
i courbe, les deux premières tempo- rales, plus particulièrement le
pied
de ces dernières circonvolutions. La lésion de
l'existence de la surdité verbale pure des classiques, localisée au
pied
de la première temporale gauche, est des plus pro
alade fera le simulacre d'envoyer un baiser quand on lui demande un
pied
de 11<'Z. L'apraxie peut exister aussi bien
donner tel doigt, se frotter les mains, faire un signe de croix, un
pied
de nez; très complexes : bourrer une pipe et l'
ser les jambes, ne pourra plus monter un escalier, danser, sauter à
pieds
joints, se tenir en équilibre sur la pointe des
ser, sauter à pieds joints, se tenir en équilibre sur la pointe des
pieds
. - Phatique xeuiiol. - 15 . P - : XJ : UllfJL
autres dermiques (corpuscules de Meissner. siégeant il la main, au
pied
. el surfont abondants au niveau de la pulpe des d
rolan- rliqlle (circonvolutions frontale et pariétale ascendantes,
pieds
des fron- tale et pariétale et lobule paracentr
nte antérieure du lobule paraccnlral et. de l'opercule rulandicluc,
pied
des deux premières frontales) ; la frontale ascen
is », la plus exquise de la peau. Les régions calleuses (plante des
pieds
, paume des mains) et les régions cicatricielles
diquer tout d'abord la région excitée, le plus exactement possible (
pied
, jambe, bras, etc.), puis de montrer avec son ind
es de 1/20-1/10, alors que pour les autres régions, comme le dos du
pied
ou la face postérieure de la cuisse, il faut de
; on en trouve aujourd'hui différents mo- dèles dans le commerce/Le
pied
duTdiapason mis en vibration est appliqué sur l
paresthésie à la température. Troubles de la notion des attitudes au
pied
et il la main gauches; perte complète du sens s
orticale : ramollissement du gyrus supramarginalis, du pli courbe, du
pied
de F3 de l'oper- cule rolandique et de Tl. (Cas
le n'intéresse que certaines régions des téguments, la main ou le
pied
; fruste, elle ne comprend que des altérations d
face externe de la jambe.(5° racine lombaire) et sur la plante des
pieds
(1rye sacrée); plus tard encore ils peuvent envah
thésie légère pour le tact et la douleur sur le dos et la plante du
pied
(partie du domaine de 1'5 elS¡). (Cas Desho..., B
1906). · 512 SENSIBILITÉ. gion du tendon d Achille. la plante du
pied
(S2 + SI); la région antéro- externe de la jamb
pied (S2 + SI); la région antéro- externe de la jambe et le dos du
pied
(L5+S,). (Voir schéma de Seittert.) Enfin, s'
t, que. dans la névrite lépreuse.. Ici l'anesthésie peut envahir le
pied
, la jambe, etc., et s'arrêter brusque- ment au
ent les doigts ou les deux mains le plus souvent, plus rarement les
pieds
ou la pointe de la langue. Cette affection se ren
sensation de brûlure, le malade ayant ainsi la sensation d'avoir le
pied
dans de l'eau bouillante. Souvent la douleur es
e, siègent le plus souvent aux membres inférieurs, aux orteils, aux
pieds
. Ils peuvent, mais plus rarement, se présenter au
urvenant par crises, sous l'influence du froid et siégeant soit aux
pieds
, soit aux mains, plus rarement au nez ou au lob
ieure; du genou, il la face interne de la jambe, au bord interne du
pied
jusqu'au gros orteil. La marche est difficile e
sous-cutané; 5° vers la malléole interne; 4" sur le bord interne du
pied
et la racine du gros orteil. La névralgie obt
nnements sont la règle. Une douleur plus ou moins vive au niveau du
pied
, des orteils, de la jambe, douleur ressentie pa
'elles forment avec les cuisses un angle de 155" ouvert en bas, les
pieds
reposant sur le sol par les talons. On conseiller
lexe est le plus souvent apprécié par le mouvement de propulsion du
pied
en avant, que le pied repose sur le sol, que la
nt apprécié par le mouvement de propulsion du pied en avant, que le
pied
repose sur le sol, que la jambe soit pendante o
l'avons vu, par la contraction du triceps ou par la pro- pulsion du
pied
, par la violence de la contraction du triceps et
tte masse musculaire et a pour résultat un mouvement d'extension du
pied
sur la jambe. ' Pour l'apprécier, il faut que l
mmande au malade de se mettre il genoux sur le bord de son lit, les
pieds
dépassant le bord du lit. On peut, si le malade
, en constatant sa flaccidité, en vérifiant la mobilité parfaite du
pied
sur la jambe et en provoquant, par la palpation
provoquant, par la palpation des muscles du mollet, l'extension du
pied
sur la jambe. On percute alors le tendon d'Ac
le calcanéum; on voit se produire le léger mouvement d'extension du
pied
sur la jambe, la face plantaire tend à regarder
as prendre pour le réflexe achilléen le léger mouvement transmis au
pied
par le tendon achilléen déprimé sous la percussio
tendon achilléen déprimé sous la percussion du marteau. Clonus du
pied
. Quelquefois la percussion du tendon achilléen
tendon achilléen n'amène pas seulement un mouvement d'extension du
pied
sur la jambe, mais est le point de départ d'une
départ d'une série de mouvements rythmés et saccadés d'extension du
pied
sur la jambe. Si l'on cherche à s'opposer RÉFLE
'opposer RÉFLEXES. 453 à ces mouvements par la .flexion forcée du
pied
sur la jambe, ils se pro- duisent d'une façon c
pro- duisent d'une façon continue et régulière : c'est le clonus du
pied
qui est le signe de l'exagération du réflexe ac
le signe de l'exagération du réflexe achilléen. - , ' Ce clonus du
pied
(ou phénomène du pied ou épilepsie spinale ou t
tion du réflexe achilléen. - , ' Ce clonus du pied (ou phénomène du
pied
ou épilepsie spinale ou trépidation épileptoïde
on sur la cuisse et en détermi- nant brusquement une flexion du
pied
sur la jambe; le pied est animé de secousses
détermi- nant brusquement une flexion du pied sur la jambe; le
pied
est animé de secousses d'extension rythmiques
, régulières, pendulaires, qui durent tant que la flexion forcée du
pied
persiste et peuvent apparaître sans que lé sujet
tères sont nécessaires pour affirmer qu'il s'agit bien de clonus du
pied
véritable. Il faut éviter de prendre pour un clon
onus du pied véritable. Il faut éviter de prendre pour un clonus du
pied
la fausse épilepsie spinale qu'on rencontre che
ts nerveux à réflexes un peu forts qui se raidissent en étendant le
pied
sur la jambe quand l'observateur cherche à. fai
exes rotuliens sont très marqués un phénomène analogue au clonus du
pied
. Pour le provoquer, on peut, comme l'a montré Erb
a rotule. Ce phénomène e&t associé le plus souvent au clonus du
pied
et à l'exagération des réflexes tendineux. '1
ratique 11EUROL.. 28 . caouzoiv. Fig. 4. Exploration du clonus du
pied
. (Blocq et Onanoff.) 454 . , .. RÉFLEXES, . - ,
, on pou- vait obtenir un clonus de la main analogue à celui du
pied
. Il est nécessaire de pratiquer une extension
res inférieurs par la brusquerie et la rapidité de la propulsion du
pied
et par le clonus du pied. Cette exagération des
squerie et la rapidité de la propulsion du pied et par le clonus du
pied
. Cette exagération des réflexes des membres inf
par l'exagération du réflexe patellaire, par l'existence du clonus du
pied
. Elle est associée à la contracture ou elle en
gération du réflexe rotulien et, de plus, trépidation épifeptdde du
pied
dans 20 pour 100 des cas. Elle est plus souvent b
pu constater l'exagération des réflexes patellaires et le clonus du
pied
chez les athé1'omateux. Ses recherches ont port
mots la description : « Du côté sain, la piqûre de la plante des
pieds
provoque, comme cela a lieu d'habitude il l'éta
e flexion de la cuisse sur le bassin. de la jambe sur la cuisse, du
pied
sur la jambe, et des orteils sur le métatarse.
e flexion de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse, du
pied
sur la jambe, mais les orteils, au lieu de se f
teils : Le malade doit être placé de telle façon que les muscles du
pied
, de la jambe soient dans un relâchement complet
i va être pratiquée. Si le malade est assis, l'observateur place le
pied
du malade sur son genou et cherche à obtenir un
e et de la cuisse. On procède alors il l'excitation de la plante du
pied
; on se servira dans ce but de la pointe d'une épi
de la pointe d'une épingle ou, si la sensi- bilité de la plante du
pied
est trop grande, de la tète d'une épingle d'une
oigt. L'excitation doit porter de préférence sur le bord externe du
pied
: on pratiquera tout d'abord une excitation trè
teils se fléchissent, c'est-à-dire se ramas- sent vers la plante du
pied
, mais, chez beaucoup de sujets, le réflexe rait
, les orteils s'étendent, c'est-à-dire se renversent vers le dos du
pied
, la face palmaire des orteils tendant à regarde
vive chez certains sujets chatouilleux amène un retrait brusque du
pied
accompagné de quelques mouvements vifs des orte
rteils sont entraînés par le mouvement, de flexion et de retrait du
pied
et semblent se mettre en extension. On ne considé
orteils.. ' z (Babinski, Gazelle des It6pîtaux.)..., . Fig. 8. -
Pied
photographié au moment où l'on excite la plante d
. Fig. 8. - Pied photographié au moment où l'on excite la plante du
pied
du côté paralysé avec une aiguille, et montrant
iété de Neurologie. (juillet 1905) que l'excitation de la plante du
pied
pouvait non seulement amener l'extension des orte
teils existe à l'état normal ; '. Paraplégie spasmodique. Fig. 9.
Pied
au repos. - ; [Revue Neurol. 1903.) Fig. 10.
ique. Fig. 9. Pied au repos. - ; [Revue Neurol. 1903.) Fig. 10.
Pied
au moment de l'excitation. Abduction des orteil
il faut tenir compte des troubles de la sensibilité de la plante du
pied
qui empêche l'excitation, point de départ du réfl
t en extension du côté paralysé, mais l'exten- sion de la plante du
pied
du coté opposé provoquait la flexion du côté pa
mentionner, à propos du réflexe plantaire, le réflexe abducteur du
pied
, décrit par Hirschberg, réflexe qui se produit ap
Hirschberg, réflexe qui se produit après excitation de la plante dn
pied
et qui se traduit par l'adduction du pied : ce
excitation de la plante dn pied et qui se traduit par l'adduction du
pied
: ce réflexe aurait une grande valeur pour le d
taire, il est provo- que comme lui par l'excitation de la plante du
pied
. Si l'on examine, en effet, les mouvements prod
et, les mouvements produits par une excitation vive de la plante du
pied
, on voit qu'ils consistent dans la flexion du pie
ve de la plante du pied, on voit qu'ils consistent dans la flexion du
pied
sur la jambe, de la jambe sur la cuisse, de la
bducteurs de la cuisse. Si l'on réduit l'excitation de la plante du
pied
à un minimum on ne verra apparaître qu'une cont
rologisches Centzal l3lalt, 1899) est le mouvement d'exten- sion du
pied
et de flexion des orteils provoqués chez l'indivi
s cas pathologiques, la mêmes manoeuvre donne lieu il la flexion du
pied
et à l'extension des orteils du côté paralysé.
d'excitation du réflexe de Babinski n'est pas limitée la plante du
pied
, mais s'étend jusqu'au niveau du tendon d'Achille
est en apparence normale frottent cependant un peu contre le sol le
pied
du côté qui a été paralysé. Un autre signe à note
les premiers moments. Il est bon, en effet, de faire mettre sur ses
pieds
tout hémiplégique qui n'est ni comateux ni subcom
cée, il existe le plus souvent du « fauchage » par circumduction du
pied
du côté paralysé, ou bien du trainell1ent du pi
circumduction du pied du côté paralysé, ou bien du trainell1ent du
pied
avec ou sans circumduction. La contracture est
t surtout ils restent égaux des deux côtés (Babinski). Le clonus du
pied
semble appartenir exclusivement à l'hémiplégie
era pas que chez les névropathes on peut observer un faux clonus du
pied
(Babinski). Le réflexe plantaire est, dans l'hé
tes. La contracture y prend, lorsqu'elle existe, un aspect spécial (
pied
bot, main bote); le pied est alors, le plus sou
nd, lorsqu'elle existe, un aspect spécial (pied bot, main bote); le
pied
est alors, le plus souvent, varus équin, la main
des efforts pour parler : on voyait chez leur malade la main ou le
pied
droits animés de mouvements involontaires. Nous a
oit alors se produire un mouve- ment d'élévation du bord interne du
pied
avec rotation de la plante du pied en dedans ;
t d'élévation du bord interne du pied avec rotation de la plante du
pied
en dedans ; en même temps, on voit saillir au niv
ied en dedans ; en même temps, on voit saillir au niveau du cou-de-
pied
la corde du tendon du jambier antérieur, muscle q
sont courts et pé- nibles ; il semble qu'un poids étrange cloue les
pieds
au sol. Plus tard cette difficulté va s'exagéra
l. Plus tard cette difficulté va s'exagérant, le malade soulève les
pieds
tour à tour, mais c'est à peine s'il peut détac
rse : la marche est gênée par la raideur croissante des muscles. Le
pied
frotte au niveau de la pointe et du bord externe,
sses pour côtés, les jambes dessinant les contours du second. Les
pieds
sont en varus équin; le tronc s'incline en avant
en avant davantage. Dès que le malade veut marcher un peu vite, ses
pieds
s'emmêlent et la chute devient inévitable. Il e
treindre les chances de chute par heurt des genoux ou rencontre des
pieds
. Rapidement la inutilité se trouve entravée dav
es pieds. Rapidement la inutilité se trouve entravée davantage. Les
pieds
raidis ne permettent plus que la marche digitig
uilibre est difficile il maintenir dans ces conditions. A peine les
pieds
touchent-ils le sol, que soulevés aussitôt par
s. Le phénomène de la rotule coexiste fréquemment avec le clonus du
pied
, et le quadriceps est tout particulièrement rem
à la vérité pénible : le malade se traîne sans pouvoir détacher les
pieds
du sol. Il existe dans mainte circonstance un [
re ainsi quelques pas pénibles, heurtant les genoux, accrochant les
pieds
. Soudain, l'angoisse, l'inhibition disparaissen
alade est alors projeté en l'air par une espèce de saut dès que ses
pieds
toit- chent le sol ; il progresse ainsi par bon
de Gamberger peut même être provoqué au lit par flexion brusque du
pied
. Troubles de la marche par contractures ou rigi
étractions s'observent à la suite de paralysies des exten- seurs du
pied
ou de contractures des fléchisseurs. Le malade se
ble de celle-ci. Elle est parfois assez grande. Le malade frotte le
pied
et fait un effort violent pour avancer chaque mem
ose et la rigidité du segment atteint; les plus redoutables sont le
pied
bot, une laxité spéciale donnant aux articles l'a
hérique. Pour ne parler que des segments inférieurs, les muscles du
pied
sont les premiers atteints, puis se prennent les
er en reposant sur le sol pur la pointe de ses souliers et les deux
pieds
postérieurs de la [MOUTIER.] 508 PARAPLÉGIE.
e bassin, les genoux en adduction, les jambes divergentes, mais les
pieds
en varus équin revenant se toucher par leur poi
supportent malles appareils orthopédiques, pré- sentent souvent un
pied
bot, rappellent parfois en un mot les membres d
'ordinaire, bien qu'ils présentent fréquemmentde la déformation des
pieds
, soit un varus équin. soit un pied cambré, tassé,
réquemmentde la déformation des pieds, soit un varus équin. soit un
pied
cambré, tassé, comparable il celui des t'YIedre
lt;'giql ! LdouW.es. Ils marchent à petits pas, difficilement. Leur
pied
pose rarement à plat; le talon touche seul il t
ostérieure du membre inférieur avec parti- cipation de la plante du
pied
, par une paralysie flasque ou plus sou- vent un
du groupe autero- externe des muscles de la jambe et des muscles du
pied
(avec déforma- lions diverses, varus équin prin
sier. Toutefois, quand le sujet est assis. les jambes fléchies, les
pieds
reposant sur le sol, la contraction du grand fe
ps repose sur le membre inférieur atteint. Dans la marche, quand le
pied
du côte paralysé doit se, porter en avant, le déf
inférieur du côté opposé. Si l'on prie le malade de se tenir sur un
pied
, on voit l'épine iliaque du côté qui ne porte p
uchenne). ' Quand les muscles pdvitrochanteriens sont paralysés, le
pied
est dévié en dedans; le, malade, lorsqu'il est
nt seuls paralysés, on observe que, pendant la marche, la pointe du
pied
se dévie en dedans ou en dehors suivant les cas
intervient pour main- tenir l'équilibre dans la station sur un seul
pied
(station hanchée). Le grand fessier qui insère
driceps, on constate que le. malade, étant assis, ne peut porter le
pied
en avant; s'il est agenouillé il ne peut se rel
i a lieu pendant la marche. Lorsqu'ils sont paralysés, la pointe du
pied
pendant la marche est déviée en dedans. Quand l
le chef interne du grand adducteur est seul paralysé, la pointe du
pied
est, au contraire, déviée en dehors. Biceps c
mi- membraneux pendant la marche fléchissent le genou et élèvent le
pied
au-dessus du sol. Quand ils sont paralysés, la
nt le pied au-dessus du sol. Quand ils sont paralysés, la pointe du
pied
frotte contre le sol et, pour obvier à cet inco
à cet inconvénient, le malade est obligé de fléchir anormalement le
pied
sur la jambe. Il faut noter aussi que les ligam
aisseur. Physiologie. Le jambier antérieur fléchit énergiquement le
pied
sur la jambe, le tord légèrement en dedans, il
et en dedans. Il est fléchisseur, adducteur, rotateur en dedans du
pied
. La paralysie dujaudjicr antérieur détermine un
r en dedans du pied. La paralysie dujaudjicr antérieur détermine un
pied
bot équin varus ; ce varus se transforme en valgu
s ; ce varus se transforme en valgus dans les efforts de flexion du
pied
. Consécutivement il la paralysie du jambier ant
extension exagérée du gros orteil pendant les efforts de flexion du
pied
. Extenseur commun des orteils. Insertions. L'ex
es interosseux. Le muscle exten- seur détermine aussi la flexion du
pied
sur la jambe, Duchenne a bien montré que telle
montré que telle était sa principale fonction ; il tord légèrement le
pied
en dehors; c'est donc un fléchisseur adducteur.
seur commun et du jambier antérieur détermine la flexion directe du
pied
. Quand le jambier antérieur et l'extenseur comm
commun sont paralysés, il en résulte des troubles de la marche. Le
pied
ne pouvant se fléchir frotte par sa pointe, le
teppe o. Quand l'extenseur commun des orteils est seul paralysé, le
pied
porte sur le sol par son bord externe; quand le
phalange, plus faiblement la seconde. Secondairement, il fléchit le
pied
sur la jambe, le porte en dedans et lui imprime u
mprime un mou- vement léger de rotation en dedans. Il exerce sur le
pied
, mais plus faiblement, la même action que le ja
- mun des orteils est fléchisseur, abducteur, rotateur en dehors du
pied
. Région externe. Long péronier latéral. Inser
la gouttière du cuboïde, traverse en diagonale la face inférieure du
pied
. Il s'insère sur le tubercule externe de l'extr
é externe. Physiologie. - Le long péronier latéral est extenseur du
pied
sur la jambe, il produit la torsion du pied en
atéral est extenseur du pied sur la jambe, il produit la torsion du
pied
en dehors, il maintient la concavité de la voût
ent la concavité de la voûte plantaire. Le mouvement d'extension du
pied
est peu éner- gique, toutefois le long péronicr
nséquence l'effondrement de la voûte plantaire et l'apparition d'un
pied
plat. Quand le long péronier latéral est paraly
long péronier latéral est paralysé, on constate le renversement du
pied
sur son bord interne pendant son extension volont
atarsienne sur le sol et de se tenir solidement en équilibre sur le
pied
malade, de la fatigue et de la douleur dans la pl
ur le pied malade, de la fatigue et de la douleur dans la plante du
pied
en avant et en dedans de la malléole externe ap
qui se développent il la longue sur le bord externe delà plante du
pied
, principalement au niveau de la tète des deux d
. Physiologie. Le court péronier latéral élève le bord externe du
pied
et amène la plante à regarder en dehors. Il n'est
lante à regarder en dehors. Il n'est ni extenseur ni fléchisseur du
pied
comme l'ont soutenu différents auteurs. Duchenne
it de mouvements dans l'articulation tibio-tarsienne que lorsque le
pied
a été porté préalablement dans la flexion ou da
MUSCULAIRE. Physiologie. - Le triceps sural produit l'extension du
pied
, son adduc- tion, sa rotation en dedans. Il amè
ension du pied, son adduc- tion, sa rotation en dedans. Il amène le
pied
en varus équin. Le mouve- ment d'extension est
es phalanges des orteils et la flexion des deux dernières. Quand le
pied
repose sur le sol la contraction des jumeaux et
Lorsque le triceps sural est paralysé, le mouvement d'extension du
pied
est presque aboli, le malade ne peut soutenir le
de ne peut soutenir le poids du corps en se tenant sur la pointe du
pied
, la marche est très difficile. Enfin, au bout d
temps, par suite de la prépondérance du muscle long péro- nier, le
pied
est entraîné en abduction et rotation en dehors,
et le talon accentue sa saillie, ainsi se cons- titue la variété de
pied
bot que Duchenne a dénommée talus pied creux to
se cons- titue la variété de pied bot que Duchenne a dénommée talus
pied
creux tordu en dehors (11-illioii). ' Plantai
un auxiliaire des jumeaux et- du soléaire et prend à l'extension du
pied
une part plus ou moins considérable qui est nat
s sur les métatarsiens. L'obliquité de ses ten- dons à la plante du
pied
explique qu'il imprime aux orteils, surtout aux
est à tort que quelques auteurs Pont considéré comme exten- seur du
pied
(Poirier). ' Long fléchisseur propre du gros or
e. Physiologie. Le jambier postérieur est faiblement extenseur du
pied
sur la jambe. D'après Duchenne il porte le pied d
lement extenseur du pied sur la jambe. D'après Duchenne il porte le
pied
dans l'adduction directe, il ne serait, que fai
endant le mou- vement d'adduction, dit Duchenne, le bord interne du
pied
est a peine plus élevé que l'externe. La paraly
externe. La paralysie du jambier postérieur a pour con- séquence un
pied
bot valgus. MUSCLES DU PIED Région dorsale.
er postérieur a pour con- séquence un pied bot valgus. MUSCLES DU
PIED
Région dorsale. Pédieux. - Insertions. Le péd
abducteur transverse), situé à la partie antérieure delà [liante du
pied
, s'insère sur les parties fibreuses de 1 articu
ur commun et s'oppose ainsi à la torsion des orteils. Lombricaux du
pied
. Insertions. Les lombricaux sont au nombre de q
et étendent les deux autres. Interosseux. Insertions. Il existe au
pied
sept muscles inter- osseux : quatre interosseux
autres. Ils produisent aussi des mouvements de latéralité. L'axe du
pied
passant par le second orteil, les interosseux p
l en résulte des douleurs dans la partie antérieure de la plante du
pied
. , 111. - MUSCLES DU COU W l Région latéral
obule paracentral ; certains anatomistes étendent cètte zone sur le
pied
de la première et de la deuxième circonvolution f
première et de la deuxième circonvolution frontale ainsi que sur le
pied
de la circonvolution pariétale supérieure. Troi
olandique, le quart inférieur des circonvolutions rolandiques et le
pied
d'insertion de la troisième circonvolution fron
ieures du lobe paracentral et de l'opercule rolandique ainsi que le
pied
de Fi et de F, participent aussi à cette zone mot
épi- neuses. 11 faut l'aire cette numération le malade ayant les
pieds
joints et fléchissant le tronc autant -qu'il le
ion du genou, à la partie interne de la jambe et au bord interne du
pied
. Paralysie du nerf sciatique. La paralysie du n
, le nerf tibial subit une élongation du fait de rhyperextensiou du
pied
sur la jambe. Le sciatique poplité externe in
ne de la jambe et les péroniers. Quand il est paralysé la pointe du
pied
est abaissée, la plante du pied regarde en dedans
Quand il est paralysé la pointe du pied est abaissée, la plante du
pied
regarde en dedans. Les mouvements d'adduction e
n dedans. Les mouvements d'adduction et d'abduction de la pointe du
pied
sont presque impossibles. Dans la marche le mal
est obligé de fléchir la cuisse sur le bassin pour due la pointe du
pied
ne frotte pas contre le sol, il steppe. J'ai in
iatique poplité externe de faire un mouvement de flexion dorsale du
pied
, on constate que l'angle formé par cette flexion
articulation du genou. La différence dans l'étendue du mouvement du
pied
, suivant que la jambe, est on n'est pas fléchie,
. ET DES NERFS SPINAUX. 655 noncée pour que la flexion dorsale du
pied
soit rendue impossible quand la jambe est étend
r le nerf sciatique poplité externe ont pour fonction de relever le
pied
et de le rapprocher de la jambe; dans cette act
s cette action ils sont appelés à vaincre non seulement le poids du
pied
, mais encore l'action antagoniste de la muscula
du mollet n'influence aucunement l'étendue de la flexion dorsale du
pied
, mais les muscles innervés par le. nerf sciatiq
iatique poplité externe, ceux-ci s'observent sur la face dorsale du
pied
à l'excep- tion d'une hande interne, puis sur l
de la région postérieure de la jambe et des muscles de la plante du
pied
; les mouvements de flexion, -d'abduction et d'add
et d'adduction des orteils, les mouvements de flexion plantaire du
pied
sont abolis. On trouvera plus haut les symptôme
sural, du long fléchisseur commun des orteils, des inter- osseux du
pied
(voir pages 549, 551, 555). La paralysie du tro
irmèrent sa localisation, chez le singe, il la partie antérieure du
pied
de la circonvolution frontale ascendante : de plu
ssi elles déterminent certaines déformations caractéristiques, le
pied
bot équin ou varus, la rétraction de l'avant-br
déterminer la flexion permanente de la cuisse, le genuvalguin, le
pied
valgus, le pied plat, etc. ; elles peuvent être
flexion permanente de la cuisse, le genuvalguin, le pied valgus, le
pied
plat, etc. ; elles peuvent être presque génér
(1 a toujours constate une hypersécrétion sudorale des mains et des
pieds
; l'un d'eux en marchant pieds nus laissait sur
ersécrétion sudorale des mains et des pieds; l'un d'eux en marchant
pieds
nus laissait sur le sol l'empreinte humide et e
le sol l'empreinte humide et exacte des orteils et de la plante des
pieds
. La sclérodermie a été signalée dans un cas de
à fait caractéris- tique. Ils se tiennent les jambes écartées, les
pieds
regardant en dehors, le tronc renversé en arriè
ls s'inclinent d'un côté pour dégager la jambe opposée et posent un
pied
sur le sol, puis dégagent de même l'autre jambe
d sur le sol, puis dégagent de même l'autre jambe et posent l'autre
pied
; ils sont ainsi « à quatre pattes » ; ils grimp
ut être peu prononcé et n'apparaître la fin de chaque pas, quand le
pied
va reposer sur le sol; il peut être plus pronon
r le malade de s'appuyer sur le sol autrement que sur la pointe des
pieds
. Les rétractions tendineuses peuvent être très
alysie pseudo-hypertro- phique : station les jambes écartées, les
pieds
en dehors, lordose lombaire et cyphose dorsale,
s l'adolescence, rarement plus tard, par l'atrophie des muscles des
pieds
et des jambes. Exceptionnellement le début peut
3), Sainton) (*). . Aux membres inférieurs, l'atrophie atteint au
pied
tous les muscles, en particulier les interosseu
yotrophie Charcot- Marie. Atrophie considérable des jambes et des
pieds
, jambes de ('0'1, pieds creux et cambrés, ort
. Atrophie considérable des jambes et des pieds, jambes de ('0'1,
pieds
creux et cambrés, orteils en grilles; atrophie
n des membres aurepos v et par. les troubles fonctionnels. .' Les
pieds
sont en varus équin, fortement cambrés, plus ou m
leur face dorsale (Ganghofner) (') ; les orteils sont en griffe. Le
pied
est plus ou moins ballant au bout d'une jambe m
es, il reste un espace entre les genoux. Tous les mouvements du
pied
et des orteils sont altérés, mais d'une façon
cuisses lan- cent, pour ainsi dire, à chaque pas la jambe et le
pied
; quand il y a une forte luxation du pied en
aque pas la jambe et le pied ; quand il y a une forte luxation du
pied
en dedans, les sujets mar- chent les ïambes r
et un peu écartëes, à petits pas, comme s'ils n'osaient soulever le
pied
du sol, les mains s'écartent du corps et formen
1. GAl'iGIIOFEn, Pruger 11lNtic, 11'oc%cnschr., 1891. Fig. 10. -
Pieds
dans Z'amyol1'ophie Charcot-Marie. Pieds cambré
nschr., 1891. Fig. 10. - Pieds dans Z'amyol1'ophie Charcot-Marie.
Pieds
cambrés, enroulés sur leur bord interne, en varus
ent en anesthésie peu pro- noncée, parfois dissociée, localisée aux
pieds
, aux jambes ou aux mains. Cette rareté des trou
paule et le bras ; tardivement elle envahit aussi les jambes et les
pieds
, puis les avant-bras et les mains. Les muscles de
e l'àmyolrophie Charcot-Marie : début par les pieds- et les jambes (
pied
bot vai'us équin, souvent pied de Fnedreich), p
début par les pieds- et les jambes (pied bot vai'us équin, souvent
pied
de Fnedreich), puis 'par les mains et les ava
pertrophique (malade de Pierre Marie). Atrophie des jambes et des
pieds
, atrophie des mains, cypho- scoliose. Chez ce m
ras (Etienne) ou le tronc, tout à fait exceptionnelle- ment par les
pieds
et les jambes (cas de Raymond et Philippe) (').
arement part à l'atrophie : elle commence par les petits muscles du
pied
et par les fléchisseurs du pied sur la jambe, p
commence par les petits muscles du pied et par les fléchisseurs du
pied
sur la jambe, puis gagne les fléchisseurs de la
Aux membres atteints elle débute le plus souventpar l'extrémité (
pied
bot équin, main de singe), rarement par la raci
tenseurs que sur les fléchisseurs; l'atteinte rapide des muscles du
pied
et des muscles antéro-externes de la jambe provoq
UIQUF veuno. 46 [A. LÉRI 722 ATROPHIES MUSCULAIRES. hallante du
pied
et la marche en steppant; les muscles du mollet e
l'oeil; elle commence aux membres infé- rieurs par les muscles des
pieds
et des jambes, elle atteint parfois les membres
se localisent aux membres inférieurs et surtout aux extenseurs des
pieds
; elles gagnent parfois la racine des membres, plu
oureuses du cubital, du péronier, du circonflexe, des extenseurs du
pied
et des orteils (paralysie diabétique de Charcot
a période d'in- coordination. Elle commence par les muscles des
pieds
, interosseux et émi- nences thénar et hy- p
téro-exter- nes, parfois en res- pectant le jambier antérieur; le
pied
se met alors en varus équin, s'enroule autour d
de son bord interne et tous les orteils se fléchis- sent : c'est le
pied
bot tabétique de Joffroy. Des rétractions aponé.
e pied bot tabétique de Joffroy. Des rétractions aponé. Fig. 1 7. -
Pieds
bots tabétiques de Joffroy (collection Charcot).
eds bots tabétiques de Joffroy (collection Charcot). Enroulement du
pied
sur son bord interne. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A
. ATROPHIES CONSÉCUTIVES A UNE PARALYSIE. 725 vrotiques fixent ce
pied
en extension, alors que les mouvements de latér
on peut diminuer les troubles de la marche dus à la déformation des
pieds
; des ténotomies ont été faites, en particulier la
à l'autre les deux os voisins, a été notamment préconisée contre le
pied
bot flasque de certaines paralysies infantiles
ance; début par extrémité des membres; d'abord membres inférieurs :
pieds
, extenseurs de la jambe; puis mem- bres supérie
horax, tronc; diaphragme; viscères; membres infé- rieurs rarement :
pieds
, jambes, cuisses; évolution lente (sauf sclérose
ateur place sa main à une soixantaine de cen- timètres au-dessus du
pied
et en avant du genou du sujet et lui ordonne de
ant du genou du sujet et lui ordonne de toucher cette main avec son
pied
, le malade regarde son pied, larde et hésite d'
ordonne de toucher cette main avec son pied, le malade regarde son
pied
, larde et hésite d'abord comme s'il allait pren
site d'abord comme s'il allait prendre un élan, puis brusquement le
pied
se détache du sol ou du plan du lit, s'élance en
nt retombe brusquement sans avoir atteint son but; si par hasard le
pied
à touché la main ou l'avant-bras de 1 observa-
ujours bien plus prononcé si l'on empêche le malade de regarder son
pied
. Si l'on commande au malade INCOORDINATION ATAX
commande au malade INCOORDINATION ATAXIQUE. 755 \ de porter un
pied
sur le genou opposé, on observe la même hésitatio
e au malade étendu à terre de fléchir le genou de façon à ce que le
pied
vienne toucher la fesse, le pied se jette brusque
chir le genou de façon à ce que le pied vienne toucher la fesse, le
pied
se jette brusquement en arrière ou en dehors, l
potonie est plus mar- quée ; mais généralement dans ce mouvement le
pied
traîne sur le sol plus que chez un sujet normal
arce qu'elle n'a pas besoin d'être re- cherchée. Pour marcher, le
pied
du tabétique quitte brusquement le sol et se
n ba- lancier et frappe le sol par le talon, très peu en avant du
pied
reste a terre; le malaue « ta- lonne », il us
res par le talon. Pendant la marche il regarde avec obstination ses
pieds
; la démarche devient plus incertaine si on l'e
e corps s'incline à droite et à gauche, en avant et en arrière, les
pieds
se déplacent, s'écartent, se rapprochent et final
porte secours, quelquefois la station est encore possible quand les
pieds
sont écartés, mais devient impossible quand ils
le quand ils sont rapprochés, Très souvent, la station sur les deux
pieds
est possible, la station sur un seul pied, l'atti
la station sur les deux pieds est possible, la station sur un seul
pied
, l'attitude à cloche- pied, est tout à fait imp
eds est possible, la station sur un seul pied, l'attitude à cloche-
pied
, est tout à fait impossible ; l'impossibilité de
pied, est tout à fait impossible ; l'impossibilité de se tenir sur un
pied
est même un des phénomènes les plus fréquents e
e d'un côté, et c'est de ce côté seulement que l'attitude à cloche-
pied
ne peut être conservée. La perte de l'équilibre
mou- vement de la marche), soit dans la station debout sur les deux
pieds
ou sur un seul, peut manquer absolument quand l
res inférieurs soit en ordonnant au malade de main- tenir un de ses
pieds
en l'air contre un objet donné, contre la main de
E. 757 oscillations immédiates, suivies d'une chute très rapide des
pieds
. C'est ce qu'on a appelé l'ataxie statique. L
e l'escalier » de Fournier) ; 3° Rechercher le signe de Romberg les
pieds
joints ; 4° Commander l'attitude à cloche-pied,
s la marche. Pour se tenir debout, le malade écarte notablement ses
pieds
, élargis- sant ainsi sa base de sustentation,
sant ainsi sa base de sustentation, tourne souvent légèrement ses
pieds
en dedans et renverse légèrement son corps en
rière, comme pour bien « caler » son tronc sur ses cuisses et ses
pieds
sur le sol. Dans les cas peu accentués, il peut
toujours du même côté dans les lésions unilatérales (Menzel), les
pieds
quittent le sol et s'y re- posent par une série
bes largement écartées, lentement, à petits pas, il soulève peu les
pieds
du sol, mais les oscillations du corps s'exagèren
tel point que, malgré toutes ses précautions, elles entrainent les
pieds
tantôt trop à droite, tantôt trop à gauche, par
- ment loin de la ligne droite qui mènerait au but à atteindre; les
pieds
s'appliquent au sol tantôt brusquementpar toute
tenir debout, le malade renverse le corps en arrière et écarte les
pieds
, il se « cale » sur ses hanches. 768 INCOORDI
and l'asynergie est extrêmement avancée, le cérébelleux soulève son
pied
, souvent plus haut qu'un sujet normal par suite d
on , on remarque que les pas sont à peu près réguliers et que les
pieds
res- tent à peu près normalement écartés de l
étendu, on le prie de fléchir un membre inférieur, de façon que le
pied
vienne se poser à terre le plus près possible de
un individu normal fléchira simultanément la jambe et la cuisse, le
pied
quittera le sol sans s'en écarter notablement et
s perdre le contact du sol qui lui servira de guide et traînera son
pied
avec plus ou moins de brusquerie Fig. 5. - Déma
ique type (figure de l3alrinski). - Le malade soulève très haut son
pied
et le porte très loin en avant, niais le tronc
a cuisse, la jambe restant étendue, et soulèvera ainsi très haut le
pied
au-dessus du sol, puis, dans un deuxième temps,
se et viendra brusquement frapper la terre -avec toute la plante du
pied
. Si on lui commande ensuite d'allonger de nouve
e mouvements se repro- duira en sens in- verse : soulèvement du
pied
par flexion de la cnisse, exten- sion de la j
ar suite de la contraction de ses psoas agissant seuls, élèvera ses
pieds
souvent très haut au-dessus du sol, et générale
Le sujet étant assis, on lui ordonne de toucher avec le bout de son
pied
la main que l'observateur étend à 60 centimètres
le cérébelleux fléchira d'abord la cuisse et soulèvera très haut le
pied
, puis, il étendra brusquement la jambe et viendra
e pied, puis, il étendra brusquement la jambe et viendra frapper du
pied
la main de l'observateur; mais le choc ne sera pa
main saute en l'air ; s'il s'était agi d'un tabétique ataxique, le
pied
dans ses mouvements désordonnés aurait peut-être
it alors violemment repoussée par un coup brutal. Pour reposer . le
pied
à terre, le cérébelleux . exécutera en sens inver
, extension de la cuisse, et frappera le sol par toute la plante du
pied
. Le sujet étant debout, on le prie de s'appuyer
n arrière, fléchit les cuisses sur les jambes et les jambes sur les
pieds
pour maintenir son équilibre; un asynergiquc pe
rement les cuisses sur le bassin et les jambes sur les cuisses, les
pieds
étant écartés l'un de l'autre, le cérébelleux p
ement long- temps sans qu'il se produise la moindre oscillation des
pieds
; cette même attitude pourra être maintenue un t
t croisés et les jambes étendues; b) malade assis : toucher avec le
pied
la main de l'observateur; c) malade debout : pose
a catalepsie cérébelleuse : le malade étant couché, main- tenir les
pieds
en l'air, les jambes et les cuisses demi fléchies
ançant les jambes en avant*et en dehors et en laissant retomber ses^
pieds
par le talon, en talonnant : c'est cette démarc
sition de stabi- lité, et sont constamment obligés de changer leurs
pieds
de place et en même temps d'imprimer il leur tè
x sont très fréquents : ce sont un pied- bot tout particulier, le «
pied
de Friedreich », et une scoliose ou une cypho-s
resque constante enfin de troubles trophiques, de déforma- lions du
pied
ou de la colonne vertébrale. Mais il existe des
ation, nystagmus, abolition des réflexes rotuliens, déformation des
pieds
et du rachis. Mais elle s'en distingue par l'hype
e talonne pas pourtant, car il cause de l'atrophie mnscu- laire ses
pieds
sont pendants et il a une tendance : 1 stopper. L
it, l'étendre de même; varier ce mouvement, en fai- sant arrêter le
pied
à mi-chemin d'abord à la volonté du malade, puis
à amener le talon sur la rotule, l'étendre de même jusqu'au cou-de-
pied
, puis jusqu'à la pointe du pied ; varier de la mê
l'étendre de même jusqu'au cou-de- pied, puis jusqu'à la pointe du
pied
; varier de la même façon ce mouve- ment en fai
pied ; varier de la même façon ce mouve- ment en faisant arrêter le
pied
en chemin, à volonté et au commandement. [A. LÉ
du lit, l'étendre de même; varier ce mouvement en faisant porter le
pied
sur le lit dans l'angle formé par la cuisse et
à une hauteur plus ou moins grande. L'exercice consiste à poser un
pied
ou les deux pieds sur la barre dans ses différe
us ou moins grande. L'exercice consiste à poser un pied ou les deux
pieds
sur la barre dans ses différentes positions.
nt aussi être présentés il la main. L'exercice consiste à passer un
pied
dans le cercle, autant que possible sans le tou
, dont la largeur égale 21 centimètres, c'est-à-dire celle des deux
pieds
chaussés et placés parant- lèllenient. Bande no
s de il centimètres de large, c'est- à-dire de la largeur d'un seul
pied
. Bandes noires pareilles aux précédentes, mais
Bande de 21 centim. en zigzag de C5 centim. de côté. Empreintes des
pieds
, les talons réunis, les pointes normalement écar-
nsversale maxima des empreintes = ? il centim.). ' Empreintes des
pieds
disposéesen rosace, marquéescnnoir. en hachures
s ou en pointillé, indiquant la place que doivent venir occuper les
pieds
pour tourner à droite ou à gauche. La descrip
ation de la rotation de la jambe en dehors, de façon que l'angle du
pied
et de la ligne de direction ne dépasse pas 45°;
ièmes de pas en arrière : mouvements plus difficiles. Marcher les
pieds
l'un devant l'autre, sur la bande étroite. Marc
igzag, en série régulière. Changer de direction, tourner : l'un des
pieds
exécute une légère rota- tion, le talon servant
s exécute une légère rota- tion, le talon servant de pivot, l'autre
pied
se soulève et vient se mettre TECUQDE. 793 au
un derrière l'autre à la distance d'un seul pas : de cette façon le
pied
de l'un doit se mettre immédiatement il la plac
on le pied de l'un doit se mettre immédiatement il la place même du
pied
de celui de l'autre, le malade d'arrière attend
umérotées indiquant, en partant du centre, la place de la pointe du
pied
dans une série de petits pas en avant, en arriè
hauteur des mains et, à terre, des cavités mar- quant la place des
pieds
. Goldscheider emploie une chaise roulante et des
position assise, élever la cuisse, le genou fléchi, puis reposer le
pied
sur le sol en le frappant avec force; en lui fa
êtues d'un costume de gym- nastique qui leur permette de voir leurs
pieds
. Pourtant un homme normal ne marche pas en rega
eurs pieds. Pourtant un homme normal ne marche pas en regardant ses
pieds
, et, pour que la cure de rééducation soit vraim
s femmes que leur jupe em- pêche dans la vie courante de voir leurs
pieds
. Aussi, quand les malades auront appris, par de
e jambe par une inclinaison latérale du tronc, en même temps que le
pied
opposé se soulève du sol par une flexion de la
e; 2° à incliner ensuite le corps en avant de façon il permettre au
pied
soulevé de reprendre contact avec le sol; 5° à
outer l'exagération fréquente des réflexes tendineux avec clonus du
pied
, l'état de la pupille qui est dilatée et immobi
d'entre elles, nous voulons parlcr du tremblement clonifoiî ? ze du
pied
avec trépidation épileploïde qui se rencontre l
ed avec trépidation épileploïde qui se rencontre le plus souvent au
pied
, quelquefois à la rotule, quelquefois à la main
lon sur le sol quand le malade s'appuie sur la partie antérieure du
pied
.. . DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT. - 84
ieurs, on percevra également le trem- blement en faisant étendre le
pied
au malade et. quand le pied repose sur le sol p
le trem- blement en faisant étendre le pied au malade et. quand le
pied
repose sur le sol par la pointe, on voit la jam
gies spasmodiques. Nous avons dit plus haut, il propos du clonus du
pied
, quels étaient les caractères différentiels de
les caractères différentiels de ce vrai clonus et du faux clonus du
pied
. c) Le tremblement de rythme moyen peut être ab
onsistant clans des inégalités de l'allure, dans le projettement du
pied
hors de la ligne médiane pendant la marche, dan
nd le malade est au repos, les mouvements ne l'abandonnent pas, les
pieds
et les jambes s'agitent comme par une sorte de
niveau des membres inférieurs, c'est la contracture de flexion : le
pied
est dévié en \'itl'11St·lllllll aux membres, la
qui interrompent brusquement la marche : coup de pied donné par un
pied
sur la cheville opposée, lancement du pied en a
oup de pied donné par un pied sur la cheville opposée, lancement du
pied
en avant, en arrière ou sur un côté, frappement
un côté, frappement du sol, arrêt brusque, génuflexion, saut sur un
pied
ou sur les deux, changement de pas, pas de polka,
neltl"ill.,1 (JO 1. ÉTUDE CLINIQUE ET PATIIOGÉNIQUE. 90 ? tic du
pied
. HaskovccC) a vu deux sujets qui, atteints de cra
era un même geste, se promènera dans le même sens, heurtant du même
pied
le même caillou, jappant contre une porte, ou rec
interne de la jambe, du genou et de la cuisse. Les extenseurs du
pied
, quand ils sont en hypotonie, permettent une ex
hc legs), la flexion brusque d'un genou, la torsion soudaine d'un
pied
. L'hypotonie des membres supé- rieurs est sur
ent dans la paralysie générale où il a décrit un aplatisse- ment du
pied
par hypotonie. Elle est aussi un symptôme des a
elle ne dépasse guère en tout cas la face dorsale de la main ou du
pied
. On l'observe tout particulièrement à la suite
imprimer de godet. Un trouble analogue peut s'observer au niveau du
pied
. La main succulente n'est point d'ailleurs l'ap
ement adipeux respecte absolument la face, le cou, les mains et les
pieds
; d'où un contraste frappant entre les membres, co
orants s'observent en toute région ; on en a signalé de typiques au
pied
, à la main, au sacrum, dans la bouche, et la rh
ce externe des orteils, soit sur la saillie du cuboïde dans les
pieds
bots ou même à l'extrémité des moignons. A la
s pieds bots ou même à l'extrémité des moignons. A la plante du
pied
, son lieu d'élection, le mal perforant se renco
oir, par un mécanisme analogue, disparition des os de la main et du
pied
avec tassement et déformation extrêmes de ces s
Souques et J. B. Clarcotl. Fig. 1'.). - Arlliropalhie tabétique du
pied
gauche. TROUBLES TROPHIQUES. 955 ties de ce t
ns )'ccr/</6 ! e, il coïncide avec une hypertrophie analogue des
pieds
et des mains. Le maxillaire inférieur est dispr
pyloriques peu serrées. Dans ces crises bénignes, les mains et les
pieds
(type d'extension) peuvent être seuls atteints,
fréquente est l'existence d'un 6° doigt à la fois aux mains et aux
pieds
; les doigts surnuméraires sont plus bu moins comp
- Moebius, Trélat et Monod, Duplay, Moncliet, etc.) : la main ou le
pied
y participent, mais souvent moins que les seg-
développement de la tète (faciès acromégalique), de la langue, des
pieds
, la céphalée, l'aménorrhée, la cyphose cervico-do
ns..La-main est toute différente de la main de l'acromégalique. Les
pieds
présentent des déformations analogues; les os lon
rtant pas indemnes et leur examen peut confirmer le diagnostic; les
pieds
se prennent d'ordinaire en même temps que les m
, même généralisée, il est remarquable que les extrémités, mains et
pieds
, ne participent pas il l'adiposité générale, et
est pas toujours limitée aux mains : elle atteint souvent aussi les
pieds
, mais moins souvent que la gangrène sénile, par
isme exceptionnellement en dehors de la paralysie des extenseurs du
pied
, saturnisme exceptionnellement en dehors de la
RI . Nous suivrons pour la description des diverses déformations du
pied
le plan que nous avons adopté pour celles de la
la main nous permettront d'être bref sur les troubles similaires du
pied
. Nous noterons pourtant que, d'une façon généra
une fréquence et- une importance très différentes à la main et au
pied
. I. TROUBLES DU DÉVELOPPEMENT A. DIFFORMITÉ
de polydac- tylie, de syndactylie sont semblables à la main et au
pied
: elles jportent souvent symétriquement sur les
esquels les deux membres inférieurs sont soudés à l'exception des
pieds
; urodèles (oupa., queue), chez qui les deux mem
queue), chez qui les deux membres sou- dés se terminent par un seul
pied
, sou- vent très incomplet; sirénomèles, chez
èles, chez lesquels il y a à la fois symélie et ectro- mélie, les
pieds
manquant complètement. Les hypertrophies et les
ons. ' B. DYSTROPHIES CONGÉNITALES Chez les achondroplasiques les
pieds
sont gros et courts, mais il n'a pas été signal
nt gros et courts, mais il n'a pas été signalé de forme spéciale du
pied
analogue à celle de la main. Les pieds particip
signalé de forme spéciale du pied analogue à celle de la main. Les
pieds
participent, à un moindre degré que les mains, à
EUSES SYSTÉMATISÉES, liIPERTROPltl : 1\TES. Dans l'acromégalie, les
pieds
comme les mainS sont éla1'f)is el e'paissis, ca
inime au cou-de-pied et au genou, à la jambe et à la cuisse. Le
pied
des géants est semblable à celui des acromégali
re de la jambe est plus volumineuse que la partie moyenne et que le
pied
a l'aspect spécial du gros « pied d'éléphant » (l
e que la partie moyenne et que le pied a l'aspect spécial du gros «
pied
d'éléphant » (lia. 2). Le tibia est plus ou moi
] Fig. 2. - Osléo-a1'lhropalhie hycr- 11'ophianle ]Jncll1/11qlte.
Pied
massif, hypertrophie de l'extrémité inférieure
dre degré, de son extrémité supérieure. 10 a Sl.)11;10t.OGli : DU
PIED
. 13) Dans les affections OS'fi : 0- : 11t'l'ICU
égulières, déformantes. Dans le rhumatisme chronique déformant, les
pieds
sont souvent portés dans leur ensemble soit en
en dehors, l'articulation tibio-tarsienne est parfois ankyloséc, le
pied
est gros, court, saillant au niveau du tarse. L
etit orteil peut présenter la même déviation latérale vers l'axe du
pied
. D'autres fois le gros orteil est relevé, en exte
me phalange et étendus dans la première et la troisième. La peau du
pied
du rhumatisant chronique est sèche, rude, écail
lisse et luisante. Le rhumatisme chronique blennorragique prend au
pied
une marche assez spéciale : c'est la gaine du t
sienne et les articulations du métatarse se pren- nent ensuite : le
pied
s'étale, s'aplatit et s'ankylose plus ou moins, i
ale, s'aplatit et s'ankylose plus ou moins, il se fait une sorte de
pied
plat douloureux; ce pied est souvent dévié en to-
ose plus ou moins, il se fait une sorte de pied plat douloureux; ce
pied
est souvent dévié en to- talité sur son bord ex
ct devient semblable il celui du rhumatisme chronique déformant, le
pied
reste très longtemps dou- loureux. La crise t
ouvent beaucoup plus longtemps. La goutte chronique se révèle aux
pieds
comme aux mains par des DIFFORMITÉS ACQUISES.
des articulations. Les tophus se localisent souvent à la plante des
pieds
ou au talon; ils caractérisent nette- ment la g
re, symétrique ou asymétrique aux deux extrémités. Les petits os du
pied
sont souvent plus gonflés qu'à l'état normal.
ements donnent à cette arthropathie des caractères spéciaux. Le «
pied
tabétique » (Charcot et Féré) (fig. 4) est essent
et du métatarse. Ses caractères sont : une tumé- faction du dos du
pied
surtout marquée au niveau des articulations tarso
e ou même convexe (exceptionnellement une cambrure exa- gérée, en «
pied
de Chinoise » ) un épaississement du bord interne
hyse du scaphoïde et du premier cunéiforme ; un raccourcissement du
pied
qui, joint aux caraçtères précédents, donne au
ourcissement du pied qui, joint aux caraçtères précédents, donne au
pied
un aspect- « cubique» ; souvent une déviation t
ve des.diF- férents segments les uns sur les autres. L'empreinte du
pied
tabétique présente' une forme spéciale en rappo
C) Dans LES affections DYSTRO- PHIQUES DES PARTIES MOLLES. . Le
pied
participe dans le myxoedème à l'infiltration gé
'infiltration gé- nérale du tégument et du tissu sous-cutané; les
pieds
sont élargis, épaissis, pachydermi- ques; la
ment. Les oedèmes dits hystériques portent moins souvent sur le
pied
que sur la main, ce qui se conçoit, étant donné
artificiel. Tous les autres oedèmes portent plus volontiers sur les
pieds
que sur les mains : les oedèmes blancs, mous, i
te d'érysipèle, de' phlébite, etc., prennent surtout la jambe et le
pied
et donnent aux membres inférieurs un aspect spéci
é et douloureux de l'é1 : ylhromélalgie porte plus- souvent sur les
pieds
que sur les mains ou débute par les pieds. . No
rte plus- souvent sur les pieds que sur les mains ou débute par les
pieds
. . Nous ne pouvons insister ici sur le diagnost
caractères aigu ou chronique, congénital ou acquis, dur ou Fig. 4.
Pied
tabétique : cubique, épais, plat et court, sail
maladie de Ray- naud peuvent s'observer, quoique plus rarement, aux
pieds
comme aux mains : elles se présentent avec des
si les orteils sont souvent atteints les uns 'après les autres, le
pied
tout entier, la jambe, la cuisse même peuvent s
térisée par l'amputation spontanée du 5e orteil de l'un ou des deux
pieds
, parfois du 4e et rarement du 5e. Elle débute par
e plusieurs années. Jamais l'affection ne s'étend ni au au reste du
pied
, ni aux doigts. La congélation peut, amener le
la tuberculose, la syphilis peuvent provoquer des mutila- tions du
pied
très analogues à celles qu'elles déterminent parf
parfois au niveau des mains. [A. LÉRL] 1048 SÉ)11 : 101,OG11 DU
PIED
. Le mal perforant est plantaire dans la grande
es diabétiques, ceux qui ont subi un traumatisme grave des nerfs du
pied
, une gelure, etc., sont le plus volontiers attein
ATTITUDES VICIEUSES Il Irnüfwstinguer les altitudes vicieuses du
pied
sur la jamhe ou pieds- bots, qui peuvent être v
souvent ces diverses attitudes vicieuses sont combinées sur un même
pied
: par exemple le pied-bot varus équin se compliqu
pied : par exemple le pied-bot varus équin se complique souvent de
pied
creux avec grille des orteils : le pied-bot talus
et de troubles du développement; mais les muscles de la jambe et du
pied
sont intacts, contrairement aux autres pieds-bo
e. Il y a des troubles trophiques et vaso-moteurs de la jambe et du
pied
, la peau est froide, violacée, le membre est at
lexes tendineux sont exagérés et l'on constate souvent du clonus du
pied
. ' [A. LÉRI.] Fig. 5. Pied-bot congénital ave
ns l'une ni dans l'autre. Très souvent, c'est moins par l'examen du
pied
que par les signes associés de la maladie, dont
ctures qui les dé- terminent. La paralysie de tous les muscles du
pied
produit un pied ballant, souple, lâche, obéissa
é- terminent. La paralysie de tous les muscles du pied produit un
pied
ballant, souple, lâche, obéissant à la pesanteu
upprime l'action de l'articulation tibio-tarsienne en maintenant le
pied
fléchi à angle droit : c'est le pied- bot total
ied fléchi à angle droit : c'est le pied- bot total, il s'agit d'un
pied
paralytique plutôt que d'un pied-bot paralytiqu
hysiologique de ces muscles. Les principaux muscles fléchisseurs du
pied
sur la jambe sentiejannxcr antérieur et l'exten
et l'extenseur commun des orteils : le jambier antérieur fléchit le
pied
en le portant en dedans, l'extenseur commun en le
un léger équin valgus, la flexion ne peut plus se faire sans que le
pied
soit préalablement porté en abduction; si l'ext
un léger équin varus, la flexion ne peut plus se faire sans que le
pied
soit d'abord mis en adduction; si les deux musc
y a un pied-bol talus direct. Les principaux muscles extenseurs du
pied
sur la jambe sont le triceps sural et le long p
le long péronier latéral. Le triceps sural étend surtout l'arnerc-
pied
; il le porte aussi en adduction et en rotation i
IEUSES. )05 ! exagère la concavité de la voûte plantaire, cambre le
pied
; le long fléchisseur commun des orteils contrib
seur commun des orteils contribue aussi accessoirement à cambrer le
pied
; il a pour rôle principal de fléchir énergiquemen
es phalanges et faiblement les premières et de porter légèrement le
pied
en rotation interne. Si le triceps sural est se
i le fléchisseur commun est paralysé en même temps, il y a un talus
pied
creux valgus. Si le long péronier latéral est s
reux valgus. Si le long péronier latéral est seul paralysé, il y a un
pied
plat varus qui devient pied-plat valgus dans la
i le triceps et le long péronier sont paralysés simulta- nément, le
pied
est fléchi parle jambier antérieur et courbé par
it un pied- bol équin direct. Les principaux muscles rotateurs du
pied
sont le jambier postérieur et le court péronier
érieur et le court péronier latéral. Le jambier postérieur porte le
pied
en adduction et rotation interne, le court péro
que est très rare ; il est total {.A. LÉRI] '1052 SÉMIOLOGIE DU
PIED
. ou partiel,. Il peut être dù à une' paralysie
s l'hémiplégie cérébrale, à la période de flaccidité, on observe un
pied
immobile et hallant, équin par son propre poids,
t quand il est pendant, soit au lit : c'est un pied-bot total ou un
pied
paralytique. b) Parmi les affections médullaire
particulier : tels le pied-bot tabétique, décrit par Joffroy, et le
pied
de Friedreich. , Le pied-bot tabétique (Hg. 7
est un pied-bot équin varus, avec enroulement du bord interne du
pied
et flexion des or- teils, il est d'ordi- na
eds-bols tabétiques de Joffroy (collection Charcot). Enroulement du
pied
sur son bord interne. 1054 SÉMÉIOLOGIE DU PIE
s muscles et il y a parfois momentanément, au début, une flexion du
pied
avec adduction et rotation interne, un talus va
tion et rotation interne, un talus varus plus ou moins prononcé. Le
pied
de Friedreich (fig. 8) est un pied creux varus éq
varus plus ou moins prononcé. Le pied de Friedreich (fig. 8) est un
pied
creux varus équin avec grillé : il est court, «
de la jambe; les réflexes tendineux sont diminués ou abolis. Le «
pied
de Friedreich » s'observe presque constamment et
es affections variées de la voie pyramidale (Cestan). On observe un
pied
très analogue dans la névrite interstitielle /¡yp
pagne toujours de lésion médullaire : on y retrouve le tassement du
pied
, le pied-bot équin varus modéré, le pied-creux,
phie musculaire Charcot-Marie, qui est aussi une myélo- névrite, le
pied
est moins déformé; il est en équin direct, parfoi
pied est moins déformé; il est en équin direct, parfois eu Fig..8.
Pieds
de Friedreich. Pied-bot paralytique, hyperextensi
ot paralytique, hyperextension des orteils, surtout du gros orteil,
pied
cambré et creux. ATTITUDES VICIEUSES. 1055
oliomyélite aiguë de l'enfance, on peut observer un pied-bot total,
pied
ballant paralytique, ou des pieds- bots partiel
. LÉ RI.] Fig. 9 et 10. Deux variétés fréquentes de déformation des
pieds
dans la paralysie infantile portant sur les mem
ouble pied-bot équin varus très prononcé. B) Atrophie à la fois des
pieds
et de la totalité des membres inférieurs (cul-de-
ent un léger équin valgus avec perle des mouve- ments de flexion du
pied
sauf après adduction préalable par paralysie is
tés. e) Le pied-bot paralytique est rare dans l'hystérie : c'est un
pied
équin ou varus équin. '* Le pied-bot acquis s
es. o) Dans l'hémiplégie cérébrale de l'adulte avec contracture, le
pied
est en extension modérée sur la jambe, en équin
modérément fléchis, rarement en flexion très forte. L'equinisme du
pied
est une des principales causes déterminantes de
, on peut observer des pieds-bols dont la principale variété est le
pied
équin ou varus équin. c) Le pied-bot hystérique
CREUX Les pieds-creux sont caractérisés par la cambrure exagérée du
pied
. Ils sont congénitaux ou acquis; ils sont rarem
alange avec flexion des deux autres), par la cambrure exagérée du
pied
, souvent par un certain degré d'équinisme. "
aux ne se révèlent qu'à Page de la marche, parce que normalement le
pied
de l'enfant est plat; la voûte plantaire ne se
aru lysie alruphiquc surtout du triceps sural] 1058 SÉMIOLOGIE DU
PIED
. ciale à l'adolescence, caractérisée par l'affa
cles voisins, notamment des péroniers latéraux et des extenseurs du
pied
. Il est d'ordinaire bilatéral. Il parait en rappo
m et la scoliose sont fréquents) : il importe de le distinguer du «
pied
tabétique » que nous avons décrit, qui est dû à u
du long péronier (Duchenne), soit à une contracture des muscles du
pied
(« crampe du pied » de soit à un relâchement li
(Duchenne), soit à une contracture des muscles du pied (« crampe du
pied
» de soit à un relâchement ligamenteux (Le Fort
spaces interosseux présentent une dépression sur la face dorsale du
pied
. L'abducteur et, le court fléchisseur du gros o
tre dans la « griffe. pied-creux » congénitale de Duchenne, dans le
pied
de la maladie de Friedreich et de la névrite in
ORMAUX Les mouvements anormaux sont hien moins caractéristiques aux
pieds
qu'aux mains, ce qui se conçoit, étant données
re délicatesse des mouvements que l'on peut constater au niveau des
pieds
. Dans la paralysie agitante on ne voit guère de
mouvements de pédale » ; quand dans la position assise la pointe du
pied
touche le sol, le talon fait entendre une succe
gérés ou même provoqués par le redressement brusque de la pointe du
pied
: il en résulte un « faux clonus » du pied. Les
brusque de la pointe du pied : il en résulte un « faux clonus » du
pied
. Les pieds du parkinsonien sont souvent raides,
e la pointe du pied : il en résulte un « faux clonus » du pied. Les
pieds
du parkinsonien sont souvent raides, étendus, e
éitîiathélose post-hérniplégique, surtout infantile, on observe aux
pieds
comme aux mains des mouvements lents et irrégulie
extension, de flexion, d'adduction et d'abduction des orteils et du
pied
. Dans l'athétose double, les mouvements sont mo
. Dans l'athétose double, les mouvements sont moins accentués aux
pieds
qu'aux mains : il y a pourtant des mouvements len
t des mouvements lents, arythmiques et inégaux, de circumduction du
pied
, d'extension et de flexion des orteils. Dans
ion des orteils. Dans les accès de contractures de la tétanie, le
pied
se porte en varus équin, il se creuse en long e
issent, surtout le pouce qui se porte sous les orteils voisins : le
pied
de la tétanie reproduit l'attitude de la main.
aura soin de faire asseoir le malade afin de prendre la hauteur du
pied
, de façon il alléger la voûte plantaire. Nous ne
neux iliaque. , Bi-trochanlérien. Grande envergure. Longueur du
pied
. Quant- aux circonférences, on pourra se conten
t le D. Liurêtal, soit la grande envergure. Enfin, la longueur du
pied
se prend avec le compas-glissière du point le p
c'est une longueur maxima sans clé/mi- mer la pulpe de l'orteil. Le
pied
ne doit pas supporter le poids du corps. Mensur
il a été dit un peu plus haut. Les talons doivent être au mur, les
pieds
d'équerre. Si l'une quelconque de ces condition
placé sur un tabouret de 50 centimètres, les yeux Ù l'horizon, les
pieds
légèrement avancés pour qu'il n'y ait point ten
t-bras et les jambes plus que les bras et les cuisses. La main elle
pied
sont relativement moins développés que les segm
ous recommanderons également de prendre le contour de la main et du
pied
. Il va de soi que toutes les mesures capables, co
tera principalement sur la forme et les dimensions des mains et des
pieds
, sur le profil du maxillaire inférieur, la l'orme
gts « en saucisson » que terminent des ongles petits et striés. Les
pieds
sont camards, les orteils et les ongles conform
mesurera enfin les membres, on relèvera le contour des mains et des
pieds
. L'hypertrophie éventuelle de l'os hyoïde et du l
. 11 y a, en effet, hypertrophie aL'ee déformation des mains et des
pieds
, élargissement de la phalangette osseuse, incur
ue temps un syndrome acromégalique transi- toire. Ils ont de grands
pieds
, de larges mains, un nez considérable, une voix
. D) Le malade pourra se plaindre d'une douleur vive au niveau du
pied
, d'une crampe violente au niveau de la jambe. I
es rotuliens (Pita et Abasie). ou enfin l'apparition d'un clonus du
pied
. D'autre part, Mongourd, de Bordeaux (Société B
directement ou indirectement sur la tète ou le dos, chutes sur les
pieds
, sur les genoux, sur le siège. Le seul renseign
u à l'extrémité des membres, à la paume de la main ou sur le dos du
pied
par exemple; on voit apparaître alors des contr
application des électrodes. Sur la paume des mains et la plante des
pieds
la résistance se comporte d'une manière notable
régions du corps ; elles sont généralement moins accentuées sur les
pieds
et sur les mains; aussi les méthodes consistant
t représentée par un bain dans lequel on fait plonger la main ou le
pied
; l'intensité donnée au courant doit être assez fa
électrodes d'un bain dans lequel on fait plonger suivant le cas un
pied
, ou les deux pieds : l'autre électrode, sous la f
ain dans lequel on fait plonger suivant le cas un pied, ou les deux
pieds
: l'autre électrode, sous la forme dune, large
; l'anode est constituée par un bain dans lequel on fait plonger le
pied
, ou les deux pieds si la sciatique est double,
tituée par un bain dans lequel on fait plonger le pied, ou les deux
pieds
si la sciatique est double, de façon que l'eau
thode, est représentée par un bain, dans lequel on fait tremper les
pieds
, ou les mains, suivant que l'on se propose d'agir
ent de la neurasthénie. Le malade est assis sur un tabouret, et les
pieds
reposent sur une large électrode humide, à laquel
ès les auteurs américains. On pourrait aussi faire tremper les deux
pieds
dans un hain électrode. Dans le cas où l'on voudr
ade au lit. on appliquerait deux larges électrodes humides sous les
pieds
, ou à la partie inférieure des jambes, et on le
pour ce genre de malades ; suivant les cas, on v ferait plonger les
pieds
ou les mains en donnant au courant une intensité
chez les paraplégiques, 512. Achondroplasie. La main, 1017. Le
pied
, 10 ia. Nanisme, itou2. Ra- diodiagnostie, J 17
. Acoustique, Voy. Nerf auditif. Acromégalie. La main, 1017. - Le
pied
, 1045. Radiographie. Selle turcique. Parois d
G ! ! 8. Début dans la seconde enfance. Début par les muscles des
pieds
, 695. Evolution lente, G4. Pied, 1054. Traite
re, troubles intellectuels, 875. Mouvements de la main, 1041. des
pieds
, 1059. Atrophie congénitale des membres, 1016,
intermittente de la moelle, 577, 505. du cerveau, 578. Clonus du
pied
, 452, 840. de la ro- Iule, 454. de la main, 454
etc., 1015. Hypertrophie et atrophie, 1016. . tératologiques des
pieds
, 1042. Digastrique. Innervation, physiologie,55
Diplégies cérébrales infantiles, 509. atrophies musculaires, 714.
pied
bol, U 052. Diplopie, recherche, 20 ? mensura
. Friedreich (Maladie de), incoordination, 777. tremblement, 859.
Pied
, 1 054. Cytodiagnostic, 'Il 57. Fuchsine. Col
1)0. Gieson (Van) 1'ov. Fuchsine. Gigantisme. La main, 1018. - Le
pied
, 1045.-caractères, 1079.-avecinfan- tilisme,
4. - chronique. Déformation des mains, 10` ? ! E. - Déformation des
pieds
, zut. Graefe (Signe de de), 107. Grand cOI1
st-hémiplé- unique. Mouvements de la main, 1040. - Mouvements des
pieds
, 1059. Hémiatrophie faciale, 929, 950. Hémipl
ène de Stiunipell, 480. Hémiplégies alternes, 471. ctjné- braies,
pied
bot, 1055, 1056. - atrophies consécutives, 71 I
aux simulant une maladie organique, 999. - OEdèmes, 1028, 1046. -
Pied
bot paralytique et spas- modique, 1056. - Trait
- dical, 264. Interrosseux. Innervation, physiologie, 557. - du
pied
. Innervation, physio- logie, 555. Intestin. S
culaire, 722. troubles trophiques, 925, ! 12ü. - )Iutila tion des
pieds
, 1047. Leucodermie, trouble trophique, 9)5. L
52 - Écoulement prolongé, 1144. ZD Little (Syndrome de -), 508. -
pied
bot, 1052. Localisations corticales motrices,
dullaires), 515. Lombricaux. Innervation, physiologie, 550. - du
pied
, Innervation, physio- logie, 555. , Long du c
2. - Paraplégie, 486. Mouvements anormaux de la main, 1040. des
pieds
, 1058. - associés, 477. - dans l'hémiplégie, 47
ralysies, 559. - du bras, paralysies, 521, 524. du cou, 556. - du
pied
, 552. du thorax, 561. - de l'abdomen, 505. -dit
myopa- thie chez le même sujet, z Variétés topographiques, 682. -
Pied
hot, 1056. - RADIOGRAPHIE de l'atro- phie oss
585. Myxoedème. Idiotie myxoedémateuse, 273. - La main, 1028. Le
pied
, 1046. - Nanisme, 1091. Radiodiagnostic, 1179
19. - crises gastriques, 995. - hys- térique de la main, 1028. - du
pied
, 1046. - nerveux, 919. segiiieit- taine des m
éo - arthropathie hypertrophianlc· lmell1niquc. La main, 1018. - Le
pied
, 1045. Ostéomalacie. La main, 1026. - Radio-
, 1555. Paralysie agitante, tremblement, 840. - La main, 1040. Le
pied
, 909.- Traitement électrique, 1559. - cérébra
pinale infantile, atrophies musculaires, 712. - Défor- mation des
pieds
, 1055. - Cytodiagnos- tic, 1156. - Paralysies
divante, 505. - sensitive, 518, 490. - spas- modique, 489, 494. -
Pied
bot, 1056. - radiothérapie, 1186. - spasmodique
Pick (Apraxie idéatoire de -), 225. Picro-carmin. Voy. Carmin.
Pied
. Séméiologie. TROUBLES du D1`ELOP- PEMENT. Diff
ouvements anormaux, 1058.- d'éléphant, 1045. de Friedreich, 1054.
Pieds
bots congénitaux, avec malforma- tion osseuse;
pasmo- diques, 1056. - creux congénitaux, 1056. - acquis, 1057.
Pieds
plats congénitaux. - acquis. Pied plat valgus d
énitaux, 1056. - acquis, 1057. Pieds plats congénitaux. - acquis.
Pied
plat valgus douloureux, 1057. - tabétiques, 724
sies radiculaires et des lésions médullaires, 342. Com- pression.
Pied
bot, 1055. - sacré. Paralysies radiculaires, 62
sies radiculaires et des lésions médullaires, 542. - Compression.
Pied
bot, 1055. R Rachialgie, 599. ' Rachis. Tra
! 172. Rachitisme. Déformation des mains, 1025. - Déformation des
pieds
, 1045. - Na- nisme, 1004. - Radiodiagnostic. l
logie, 572. Rhumatisme chronique blennorragique, déformations des
pieds
, 1044. - chro- nique déformant. Déformations de
nique déformant. Déformations des mains, 1020 ? Déformations des
pieds
, 1044. goutteux, Déformations des mains, 1022
es, U1)1. - Crises gastriques, 992. - Crises intestinales, 997. -
Pied
bot, 1055. Lymphocytose rachidienne, H;)2. - Ar
a sensibilité objec- tive, 556. - signes, 995. La main, 101. - Le
pied
, 1059. Tétraplégies, 490. Thalamus, lésions,
l'accident, X... était de nouveau en état de remuer les orteils du
pied
droit; peu à peu la motilité s'est rétablie dans
tié du tronc et dans le membre inférieur droit. De ce même côté, le
pied
était froid, comme glacé, tandis que le pied gauc
t. De ce même côté, le pied était froid, comme glacé, tandis que le
pied
gauche, le pied du côté paralysé, était brûlant
té, le pied était froid, comme glacé, tandis que le pied gauche, le
pied
du côté paralysé, était brûlant. X... éprouvait t
tenir d'a- plomb, sans appui ; il pouvait rapprocher et écarter les
pieds
. Sitôt qu'on lui faisait fermer les yeux, son c
cer d'un pas. Pendant ce mouve- ment en arc de cercle, la pointe du
pied
gauche se détachait bien du sol,mais elle accro
fesse. De même encore, les mouvements de flexion et d'extension du
pied
gau- che étaient très limités. Par contre, les
teurs, on constatait que dans l'altitude des jambes pendan- tes, le
pied
gauche devenait plus rapidement violacé que le pi
pendan- tes, le pied gauche devenait plus rapidement violacé que le
pied
droit ; c'était le contraire de ce que le malad
é gauche, du côté de la lésion, on constatait de l'hyperesthésie du
pied
et de la jambe, remontant jusqu'au-dessus du geno
légère flexion. Je vais commander au malade de rapprocher ses deux
pieds
,et de se tenir debout en s'appuyant également s
b. Vous remarquerez encore que dans la station debout, la pointe du
pied
gauche est dirigée plus en dehors que la pointe d
la pointe du pied gauche est dirigée plus en dehors que la pointe du
pied
droit. t. La station sur la pointe des pieds
hors que la pointe du pied droit. t. La station sur la pointe des
pieds
est possible, bien qu'au prix de cer- taines di
ds est possible, bien qu'au prix de cer- taines difficultés pour le
pied
gauche. La station sur les talons est impossibl
station sur les talons est impossible en raison de l'impuissance du
pied
gauche. Dans la flexion dorsale, l'axe de ce pied
l'impuissance du pied gauche. Dans la flexion dorsale, l'axe de ce
pied
ne peut se rappro- cher de l'axe de la jambe, a
agité par un léger tremblement. Vous voyez que le malade ramène son
pied
gauche à terre, d'un mouvement 10 l'. RAYMOND
ueur du pas est diminuée (36 cent. au lieu de 63); l'écartement des
pieds
est augmenté (31 cent. au lieu de 1-1). De même
de 1-1). De même il y a augmentation de l'angle formé par l'axe des
pieds
avec la ligne directrice : cet angle est d'envi
Chez le Phocomèle, le membre difforme est réduit à une main ou à un
pied
, plus ou moins normal, attaché directement à l'ép
'Héxttimèlc, le membre difforme est privé de son extrémité, main ou
pied
, et se trouve réduit à son segment sus-jacent : s
d'humérus et de fémur), soit au contraire du segment inférieur, du
pied
ou de la main (appendices digitiformes, articul
gauche totalement absent; membre inférieur droit représenté par un
pied
mal conformé, directement articulé avec le pelvis
tout son développement, la jambe ou l'avant-bras et mieux encore le
pied
ou la main font défaut ou sont restés dans un é
lienne, ils ont trouvé un squelette comprenant le squelette normal du
pied
moins le cuboïde, le 2e et 3e cunéiforme, le 2%
bel exemple de polydactylie symétrique : Aux deux mains et aux deux
pieds
, il est pourvu de six doigts. C'est le tpe du s
ar les muscles interosseux font presque toujours défaut. A chaque
pied
, un petit orteil surnuméraire est accolé au cinqu
nt attachés. Le gauche est d'un tiers moins long que le droit. L.
Pieds
. La polydactylie des mains se répète intégralemen
it. L. Pieds. La polydactylie des mains se répète intégralement aux
pieds
. Ici, la conformation squelettique diffère peu
i, la conformation squelettique diffère peu d'un côté à l'autre. Au
pied
droit, l'orteil surnuméraire part du bord externe
aît pas avoir été formé par la fusion de deux os con- tiges. ' Au
pied
gauche, l'apparence extérieure est .la même. Le m
symétriques aux deux mains ; on les a vu aussi se répéter aux deux
pieds
. Cependant les doigts surnuméraires cubitaux av
ouva un homme d'une taille' extraordinaire qui avait six doigts aux
pieds
et aux mains, c'est-à- dire vingt'-quatre doigt
ITAIRE. MASSON & C'e, Éditeurs. RADIOGRAPHIE DES MAINS ET DES
PIEDS
D'UN SIXDIGITAIRE. MASSON \ Cie, lidrtems. LE
ux ont souffert d'ampoules, d'écorchures, de durillons, de cors aux
pieds
, et il s'est trouvé des gens pour entreprendre
Paris Pion., 1894, p. 223. Il est tiré de l'ouvrage : Toilette des
pieds
, ou traité de la guéri- son des cors, verrues e
oncles, on souffrait des dents, de la tête, voire même des cors aux
pieds
A qui s'adresser pour obtenir le pansement ou l
eau tiède ou de vapeur. Et comme, dans les soins du corps, ceux des
pieds
ne sont pas moins urgents que ceux de la tête, le
p. 409, PI. XXXIX. 48 HENRY MEIGE tres est assis sur un banc, les
pieds
posés sur le rebord d'un baquet. Il re- çoit le
eflets d'or et d'argent, le Barbier-Pédi- cure opère, courbé sur le
pied
d'un client. Vieillard cassé au visage labouré
eurs rustiques, travail- lant à tour de rôle sur la tête et sur les
pieds
. Plus d'apparat serait superflu pour la clientè
ec leurs mains croisées sous le jarret, posent avec précaution leur
pied
nu sur un tabou- ret, sur un billot, ou sur le
able. LeBarbier vient, m et un genou en terre, saisit d'une main le
pied
dou- loureux et se penche pour regarder de plus
1896. 54 UENK 11EIGE Pour ne parler que des interventions sur le
pied
, l'iconographie nous apprend qu'elles reconnais
, que les artistes font siéger de préférence sur la face dorsale du
pied
, et pour lesquelles n'existait qu'un mode de trai
iac donnait le conseil suivant pour détruire la « corne qui est aux
pieds
» : « Rase-là, tant qu'il sera possible, puis q
ont toujours joué un rôle capital dans le traite- ment des cors aux
pieds
. w La composition de ces emplâtres était infini
e merlin, LES PÉDICURES AU XVIIe SIÈCLE . 59 5 L'Opération sur le
pied
. Institut Staedel, Frankfort-sur-Main. 6° Le Pé
ateur a mis genou en terre. De la main gauche il tient le bout du u
pied
de son client, de la droite il détache un emplàtr
ambe droite à l'aide de ses deux mains croisées sous le jarret; son
pied
nu repose sur un escabeau. Derrière eux, une fe
Telle est bien la disposition schématique de toute opération sur le
pied
dans une officine populaire. mauvais état de
l'apparat. L'opération se borne à renouveler un sniplàtre posé sur le
pied
d'un vieux paysan. II . DAVID Teniers le Je
, les mains croisées sous le jarret, soutient sa jambe droite dont le
pied
nu repose par le talon sur un escabeau. Son cha
sur les épaules. Un genou en terre, il retient de la main gauche le
pied
de son client et, de la droite, s'apprête à verse
ù Teniers fait agir ses médecins de village, comme aussi le poêle à
pieds
de chien, la table ronde ornée de dauphins, le po
de l'anacardier et « qui est un bon remède pour guérir les cors aux
pieds
et pour ôter les taches de rousseur du visage »
nt sa jambe droite avec ses deux mains croisées sous le jarret. Son
pied
nu repose par le talon sur un billot de bois, prè
de la droite, il décolle un emplâ- tre posé sur la face dorsale du
pied
. Très attentif à sa besogne, il opère avec préc
ère vue : Le Barbier retire un vieil emplâtre posé sur une pluie,du
pied
, probable- ment occasionnée par le frottement d
VIIe SIÈCLE 69 « Un chirurgien de village fait une opération sur le
pied
d'un homme âgé. Une vieille femme et un jeune g
eau de Teniers du musée de Madrid représentant une Opération sur le
pied
, soit d'une réplique très analogue à ce dernier
une chaise à dossier droit où son chapeau est ac- croché, pose son
pied
nu sur un cube de bois, tient sa jambe entre ses
s et de l'autre détache un emplâtre appliqué sur la face dorsale du
pied
. Jeune, le nez crochu, les lèvres minces, les che
ots d'onguent, les bouteilles, le plat à barbe, le banc, le poêle à
pieds
de chien, la table à otes de dauphins et le por
rit, en tenant dans la main droite le cor qu'il vient de couper du
pied
droit du paysan. Un autre paysan soutient le pa
Vraisemblablement, il s'agit de l'extirpation complète d'un cor du
pied
droit, et l'on s'explique aisément les contorsion
vais décrire. C'est un cas d'oedème et avec cyanose des mains, des
pieds
et des jambes (observ. XVI) au cours de la syri
lisme fait défaut. A l'âge de 20 ans, la malade a eu une entorse du
pied
gauche (peut-être s'est-il produit un arracheme
déformation appréciable du tarse, du métatarse, ni des autres os du
pied
. La station debout est impossible. Lorsqu'on ma
gauche, et de la droite promène une lancette sur le bord externe du
pied
. Ce n'est pas sans douleur, car le patient fron
tasse un pêle-mêle de drogues et de cosmétiques. Une chaise à trois
pieds
, un banc, une cruche, un chandelier, un balai,
e. Un bistouri, un caustique, un emplâtre : voilà pour les cors aux
pieds
130 HENRY MEIGE les trois engins thérapeutiqu
Un homme à cheveux rouges, assis sur une chaise boiteuse, pose son
pied
droit sur un escabeau, se penche en avant pour re
barbier, un genou en terre, détache un emplâtre collé sur le dos du
pied
. Derrière eux, se trouve une table sur laquelle
ne chaise dont l'un des montants supporte son chapeau de feutre. Le
pied
gauche repose sur un billot carré, les deux mai
la silhouette. LES PÉDICURES AU XVIIe SIÈCLE 131 pratiquer sur le
pied
du patient une opération, bien simple d'ailleurs,
s instruments ébréchés, le barbier de village enlève un emplâtre du
pied
de son client; l'un agenouillé, attentif à sa b
n client; l'un agenouillé, attentif à sa besogne, l'autre assis, le
pied
sur un billot de bois, soutenant sa cuisse gauc
ment fait par le chirurgien sur quelque plaie de la face dorsale du
pied
. Le mauvais soulier que l'on voit tout proche e
blance des chirurgiens dans ces deux tableaux. L'Opération sur le
pied
. , Institut Staedel, Frankfort-sur-Main (1).
ds chemins,il n'a, pour le moment, qu'un souci : la guérison de son
pied
malade. Assis sur une caisse, le talon posé sur
compagnés de grimaces et de contorsions Fig. 4.- L'Opération sur le
Pied
, d'après un tableau d'ADRIAEN BROUWER. Institut
ficile sur le choix de ses clients. Il se hâte d'appliquer sur le
pied
de son malade un topique contenu dans un petit
le nom de leur auteur (2). » . . Il s'agit d'une opération sur le
pied
, et, plus exactement, du grattage d'un cor, d'u
tre villageois a profité- de la circonstance pour faire soigner son
pied
chez le chirurgien de l'endroit. Il a posé par
escabeau, tenant entre ses genoux, dans sa main gauche, le bout du
pied
malade, et, de la droite, faisant avec un court
es (1). Le chirurgien opère sur le bras, mais la ventouseuse sur le
pied
. C'est elle qui nous intéresse actuellement. No
be droite sortant toute nue de ses cottes relevées. Elle a posé son
pied
sur le hord d'un baquet et se ren- verse en arr
, mal éclairée par une petite lampe fumeuse, applique sur le dos du
pied
une des ventouses qu'elle puise dans un panier po
a journée dans les rues, disoit sans cesse : « Je tire les cors des
pieds
sans mal ni douleur. » Je ne sçais s'il exécutoit
1 Voici l'art véritable de l'homme Qui peut extraire les cors aux
pieds
et les durillons. Ne m'entends-tu pas, ne me vo
ds et les durillons. Ne m'entends-tu pas, ne me vois-tu pas, cor au
pied
? Ne m'entends-tu pas, cor au pied ? cor, oh !
u pas, ne me vois-tu pas, cor au pied ? Ne m'entends-tu pas, cor au
pied
? cor, oh ! cor ! Il ne s'agit plus ici de Barb
age en village un topique merveilleux pour la guérison des cors aux
pieds
. Joyeux drille il face bien nourrie, moins gueu
l'escorter et faire chorus avec lui : , Ne m'entends-tu pas cor au
pied
! cor, oh ! cor ! ... Les tireurs de cors étaie
ur un malade et celle officine simiesque semble montée sur un grand
pied
. Mais les clients affluent, et les chirurgiens
impent sur les meubles. S'il ne s'agit pas d'une opération sur le
pied
, le singe-opérateur figuré sur celle gravure es
es membres inférieurs étendus et fixés il plat sur cette table, les
pieds
se joignant et se touchant par leur bord interne.
corps en avant ; les jambes sont maintenues dans la rectitude, les
pieds
reposant sur la table par les talons et leur bo
ait surtout à gauche ; de ce côté on pouvait provoquer le clonus du
pied
, le phénomène de la trépidation spinale. Dans
e l'hyperesthésie cutanée à gau- che, qui remontait de la plante du
pied
jusqu'à la crête iliaque ; de ce même côté, la
maines, la paralysie motrice, à droite, s'était can- tonnée dans le
pied
. Les troubles de la sensibilité subsistaient enco
me était complètement rétabli, à cela près qu'il traînait encore le
pied
droit. - En somme vous retiendrez surtout ce dé
it une anesthésie superficielle, qui remontait depuis la plante des
pieds
jusqu'au niveau de la 3'côte. Même limite supérie
dos, de la hanche. Il ne marchait qu'à grand'peine, en traînant le
pied
droit. Il avait de la dif- ficulté à se servir
mention et par conséquent une reproduction. J'ajoute enfin que les
pieds
sont tout à fait bien conformés et qu'il n'exis
ve pas seulement à la main, elle se montre également à la plante du
pied
. Nous connaissons une famille composée de trois
, Bruxelles, 1839. (` ? ) IGid., p, 496. 188 EMILE BOIX mité au
pied
droit. Chez la première de ces dames, le siège du
, la dernière phalange est légèrement étendue. Lorsqu'on examine le
pied
par sa face plantaire, on aperçoit la corde qui
e l'aponévrose plantaire ; mais chez lui, le second doigt de chaque
pied
offre cette disposition : l'angle formé par le
versé. Pour résoudre la question, nous nous sommes servis soit d'un
pied
de squelette monté, soit de la main de cadavre
cutable. Seul le mot de myxeedémc pourrait, à la rigueur, pris au
pied
de la lettre, laisser place à quelques malen- t
ble sur ses jambes, mais, soutenu par des aides, il put se rendre à
pied
chez lui ; on lui appliqua un pan- sement antis
que hiver, dès les premiers froids, pour ne se fermer qu'en mai. Le
pied
gauche était le siège de douleurs intolérables.
tenir debout appuyé sur ses béquilles. Il repose sur le sol par son
pied
droit, alors que la jambe gauche légèrement fléch
mbe droite. Les aisselles appuyées sur deux béquilles, il laisse le
pied
droit en avant, fléchissant légèrement la jambe
d droit en avant, fléchissant légèrement la jambe sur la cuisse. Le
pied
en abduction repose sur le sol à la fois par le
l'attitude suivante. Le membre inférieur droit est en rectitude, le
pied
droit en légère abduction. 'A gauche, la cuisse
ement de la cuisse de dehors en dedans. A droite, les mouvements du
pied
s'accomplissent tous. La jambe droite étant flé
n général, tous possibles du côté droit. A gauche les mouvements du
pied
sont limités, l'extension de la jambe ne dépass
e, il faut signaler la teinte violacée que prend la face dorsale du
pied
, surtout à gauche, à la suite de la station verti
Il existe une flexion très prononcée du métatarse sur le tarse . Le
pied
gauche est en varuséquin. Le gros orteil est en f
cendant sur l'avant-bras et sur la jambe. La face, les mains et les
pieds
avait conservé leur coloration normale. La peau é
EMMURÉS DE TIRASPOL 357 les recouvrait de terre; commençant par les
pieds
, il les ensevelissait pro- gressivement. Quand
on n'est pas la seule qu'elle présente, elle a égale- ment les deux
pieds
ma) formés,quoique moins que les mains.La Planche
XL représente les radiographies que M. Albert Londe a faites de ces
pieds
. Les cinq orteils sont présents, mais deux, le
» D'UNE EPILEPTIQUE MASSON R LIC, Editeurs. s. RADIOGRAPHIES DES
PIEDS
D'UNE EPILEPTIQUE qui présente aux mains la déf
s générations différentes de la même famille ayant aux mains et aux
pieds
la même malformation que vous ne voyez ici comp
: toutes les femmes de la famille naissaient avec des mains et des
pieds
normaux. M. le Dr Jules Janet nous envoie oblig
donne 33 centimètres, de l'interligne articulaire jusqu'au sol, le
pied
reposant à plat, 37 centimètres, en tout 70. Cett
té droit, soit à marcher comme elle le fait toujours sur la pointe du
pied
gauche. C'est donc une asymétrie complète dans
me tou- jours à une peur. Un enfant caché sous un lit lui a pris le
pied
dans une chambre très noire et l'accès est venu
ement exagéré de la partie inférieure. Elle est dure au toucher. Le
pied
est long, gros, augmenté dans tous ses diamètres,
extrémités inférieures; les avant-bras et les jambes et surtout les
pieds
et les mains. '« Nous ne croyons pas qu'il y ai
atisme spi- nal où l'arthrite affecta les deux genoux puis les deux
pieds
; on trouva du pus dans un genou, du liquide ci
rme aiguë frappe plutôt le poignet, le coude, la main, le genou, le
pied
. Ainsi l'autopsie est encore ici complète avec
ne cons- titution, le malade ne présente rien d'anormal du côté des
pieds
et du côté de la main droite. Les dents sont bi
mbres inférieurs est survenue postérieurement à celle des mains. Le
pied
est tombant ; la démarche est en stepper. Pour s'
stable. Diminution notable du réflexe patellaire. Pas de clonus du
pied
. Dans les conditions où nous nous trouvions nou
nférieurs : rougeur érythémateuse sur les jambes ; léger oedème des
pieds
. Hernie inguinale droite. Nous avons vu que le
épromes : LA LÈPRE DANS L'ART 423- les mains, les avant-bras, les
pieds
, les jambes, et face tout particulière- ment.
embres inférieurs, une atrophie du même genre.frappe les muscles du
pied
, les extenseurs en particulier, puis les muscles
urs en particulier, puis les muscles de la jambe, fléchis- seurs du
pied
et péroniers, créant des pieds-bots de formes var
et amènent la chute d'une phalange, d'un doigt, d'une main ou d'un
pied
tout entier. Puis, une cicatrice se forme et le m
les pertes de subs- tance ne sont pas limitées au visage. Un des
pieds
de cet infirme, le droit, ne possède plus que tro
infirme, le droit, ne possède plus que trois orteils, tandis que le
pied
gauche a conservé ses cinq doigts. Or les am- p
faute aussi grossière que celle d'oublier deux orteils sur un seul
pied
. Cette singularité n'est pas une fantaisie, mai
a voulu représenter un Lépreux. A ces difformités de la face et du
pied
s'ajoutait encore une impotence complète des memb
n Lépreux qui s'appuie sur un bâton, un pilon à la jambe gauche, le
pied
droit informe dans une chaussure trouée, (1) Pr
représente S. Pierre et S.Jean faisant des aumônes aux pauvres. Aux
pieds
des Apôtres est couché un ' homme qui semble in
ée semble déformée par un oedème considérable, envahissant aussi le
pied
. Il est malaisé de reconnaître la maladie que le
es mains jointes, les jambes nues,- une bande enroulée au-dessus du
pied
gauche ; l'autre,pres- que caché, s'appuyant su
à l'état de squelette revêtu par une peau d'un brun très foncé. Un
pied
raccorni paraît terminer ces membres ratatinés.
git-il encore de Lépreux dans les figurations d'estropiés privés de
pieds
ou de jambes, dont les moignons sont entourés de
côté de lui. Sa jambe gauche, demi-nue, est entourée, ainsi que le
pied
, d'un bandage soigneu- sement fait, mais qui, m
ement fléchie, semble complètement paralysée et très atrophiée ; le
pied
gauche est traînant en extension forcée. Il est p
us devons faire quelques réserves, c'est sur les défor- mations des
pieds
. Les orteils du membre droit sont étrangement tor
des pieds. Les orteils du membre droit sont étrangement tordus, et le
pied
gauche a subi une sorte de torsion sur son axe
sur son axe qui nous semble devoir s'expliquer dif- ficilement. Le
pied
droit nous montre sa face plantaire pondant que l
Lépreux. Cette hypothèse expliquerait la singulière déformation du
pied
gauche que le rachitisme ne saurait produire à un
rétraction tendineuse telle que la Lèpre sait en créer aussi bien aux
pieds
qu'aux mains, Quant au pied droit dont les orte
la Lèpre sait en créer aussi bien aux pieds qu'aux mains, Quant au
pied
droit dont les orteils sont, ou tronqués, ou reco
ecourbés en griffes, il offre encore davantage d'analogies avec les
pieds
déformés par les lésions de la Lèpre nerveuse e
une sorte de contradiction entre les déformations considérables des
pieds
et la musculature puissante des jambes. Raphaël
ique impression- nant. '. Le premier se traîne à genoux, faute de
pieds
, car il n'a plus que des tronçons de jambes. De
LA LÈPRE DANS L'ART 44l' En second lieu, la double amputation des
pieds
, peut parfaitement passer pour être la conséque
s par lui. La jambe gauche, tronquée à son extrémité inférieure, le
pied
manque complètement, est repliée en flexion. De
un pilon sur lequel repose le genou. Du côté droit, la jambe et le
pied
existent encore, mais dans quel la- mentable ét
ce obligée de l'atrophie musculaire des muscles du mollet, a mis le
pied
en équinisme droit, sur le prolongement de l'ax
de l'axe de la jambe : aussi le membre repose-t-il sur la pointe du
pied
. Bien plus, un seul orteil, le gros, est visibl
st coutumière de ces amputations spontanées des orteils, et même du
pied
tout entier; elle crée de semblables amyotrophi
d'une porte, on aperçoit la reine agenouillée, occupée à laver les
pieds
de quelques miséreux. Non loin de là, on la voit
la maladie. Il est vu de dos et se tient sur les genoux ; ses deux
pieds
ont disparu, et les moignons de ses jambes ento
t surtout retenir de cet infirme, c'est la double amputation de ses
pieds
. Elle pourrait être à la vérité la conséquence d'
e supports, sur lesquels l'infortuné se traîne en rampant. ' . Le
pied
gauche, tuméfié, informe, a cependant gardé sa po
lisable : la lèpre sait encore muti- ler plus cruellement. Sur ce
pied
disloqué les orteils sont manifestement recroquev
t calme,*abaissant ses regards sur les malheureux qui rampent à ses
pieds
, richement velue, la cou- ronne royale sur la t
sauraient masquer leur état d'extrême maigreur ni la déformation du
pied
gauche qu'on voit dans l'ombre déjeté en dehors
ogée des souffrances humaines causées par la maladie (2). (t) Les
pieds
de ce personnage, un peu perdus dans l'ombre, ser
Au milieu, Sainte Anne tenant sur ses genoux l'Enfant Jésus ; à ses
pieds
, la Vierge enlr'ouvrant un livre. A gauche, S
e par un oedème considérable, et, par places, largement ulcérée. Le
pied
énorme, tuméfié à l'excès, n'a plus forme humai
fe dont le bas du corps est drapé. On distingue cependant encore le
pied
droit, com- plètement bouleversé etentouré'de l
nférieurs surtout ; la jambe gauche est entourée d'une bande, et le
pied
enveloppé d'un linge. L'épaule gauche semble di
et plusieurs personnes entourent un moribond couché dans un lit au
pied
duquel une femme est en prières. Dans le fond,
ivent des habits, un homme est vu de dos, à demi-nu ; il a perdu le
pied
droit, et sa jambe entourée de linges repose su
s et croisées semblent immobilisées par une raideur invincible : le
pied
gauche en extension forcée, les orteils recour-
ne aux extrémités des membres, les contractures ayant déterminé aux
pieds
et aux mains des griffes nettement indiquées, l
omme desséchée. de couleur brune et entourée de quelques linges. Le
pied
nu offre une apparence squelettique, il est con
est contracture et extraordinairement émacié ; on dirait encore un
pied
de momie. Cependant le reste du corps est vi- g
ques ; mais au bout d'une jambe encore bien musclée on entrevoit un
pied
informe; l'autre est perdu dans l'ombre, ou man
une béquille sous l'aisselle gauche. La jambe gauche, privée de son
pied
, entourée de linges, repose sur un pilon fixé au
donne son manteau, est peut-être aussi une victime du même mal. Son
pied
mutilé, la déformation de son nez et de ses lèv
genoux sur deux courts pilons, aidé de petites béquilles. Les deux
pieds
sont amputés, les moignons entourés de linges.
mention : à la porte du temple, sur le passage de Saint Martin, aux
pieds
de Sainte Elisabeth de Hongrie, dans les OEuvre
s d'alu- minium superposées, XXIV. Radiographies des mains et des
pieds
d'un sexdigitaire, VI. Radiographie de la mai
urs dans la paralysie infantile, XXXV, XXXVI. Radiographies des
pieds
chez une épilep- tique, XL. Radiographies de
ère; elles entrent dans la constitution de la capsule interne et du
pied
du pédon- cule et seront étudiées avec ces régi
icules latéraux. 2" temps. - Ce temps a pour but de sectionner le
pied
de la couronne rayonnante du lobe fronto-pariét
e l'insula. On agit de même de l'autre côté. 3'' temps. On coupe le
pied
de la couronne rayonnante du lobe tem- poral. P
oupe de Meynert a été bien pratiquée, la section doit passer par le
pied
de la couronne rayonnante, et respecterles noyaux
éphalique, depuis la partie inférieure du bulbe, jusqu'au niveau du
pied
de la couronne rayonnante. Mais ici se présente u
- LF, lobe frontal. LT, lobe temporal. .VA, noyau amygdalien. P,
pied
du pédoncule. - pFd, pli falciforme de Broca. F
rolandique, la partie moyenne des circon- volutions temporales, le
pied
des circonvolutions frontales, les ganglions de
la cuve ; quant à cette dernière elle repose sur le sol à l'aide de
pieds
, qui relèvent iL peu près à la hauteur d'une tabl
taires, le locus niger de Sommering. L'étage inférieur constitue le
pied
du pédoncule, l'étage supérieur, la calotte ou
pied du pédoncule, l'étage supérieur, la calotte ou tegmentul11. Le
pied
du pédoncule, qui représente le système de projec
pallidus, Noyau amyqdalien, Avant-Mur.) de la Capsule interne et du
Pied
du Pédoncule. Éminence ganglionnaire. - La face
du segment postérieur de la capsule interne (Cip) pour se rendre au
pied
du pédoncule cérébral (fig. 52 il 63). La par
cOl'luJe t1'nrfl ? eml- HI circtclaris). , " ? Capsule interne et
pied
du pédoncule. - Le corps strié^&forme au dé
lenticulaire. - nL, nerf de Lancisi. - ot, sillon collatéral. - P,
pied
du pédoncule cérébral. - Pa, circonvolution parié
sl1le interne. Segment posté- rieur on lenticule- optique.
Pied
du pédoncule. La partie e.xtnu-ventoiczclaioe d
calotte du cerveau moyen, dont il constitue Y étage inférieur ou le
pied
du . pédoncule cérébral. Les fibres de la couro
e- \ lette optique. Elles se placent ensuite à la partie externe du
pied
du pédon- cule cérébral et forment le faisceau
ébral et forment le faisceau de Tiirck (J. Dejerine). Les fibres du
pied
du pédoncule cérébral atteignent le bord supérieu
ottements. Dans les gaines lamelleuses des doigts et de la plante des
pieds
, Gaine lamellense. (laine de Henle. Eiidotl
eau du cou du cochon, et chez l'homme dans la peau de la plante des
pieds
et de la paume des mains On les décrivit bientô
01, sillon collatéral ou occipito-temporal; ot', ses incisures. - P,
pied
du pédoncule cérébral. - l'ol, pédoncule olfact
on- trer toute l'étendue de la scissure de Rolando, ainsi que les
pieds
d'insertion des premières circonvolutions front
tions pariétales. - Pa, circon- volution pariétale ascendante. pF3,
pied
d'inser- tion de la troisième circonvolution fr
iels, soit profonds, et dont les principaux sont constitués par les
pieds
d'insertion des première et deuxième circonvoluti
(F,) s'insère à la circonvolution frontale ascendante (Fa) par deux
pieds
d'insertion superficiels, le sillon prérolandique
ents du sillon prérolandique, dont il est séparé en général par les
pieds
d'insertion des deux premières circonvolutions fr
quentes anastomoses. Elle s'insère généralement en arrière par deux
pieds
, situés très près de la scissure intrr-hémisphéri
ascendante (S[v]) de cette scissure, et' une partie postérieure, le
pied
ou partie operculaire (Op F 3)' situé en arrière
, circonvolu- tion pariétale ascendante. - Pc, pli courbe : - pu,2,
pied
de la deuxième- circonvolution frontale. po, sc
ui interrompt la continuité du second sillon frontal (fig. 155). Le
pied
ou partie operculaire (Op F 3)' se continue avec
anastomotique quelquefois profond, le plus souvent superficiel. Le
pied
se dirige ensuite de haut en bas, parallèlement
tout à fait inférieure de la circonvolution frontale ascendante. Ce
pied
pré- sente du reste de très grandes variétés, a
l, le sillon marginal antérieur de l'insula (ma) (fig. 1 î : 3). Le
pied
recouvre la face supérieure de la région insula
Cap de Broca. Incisure du eap. Partie operculaire. Direction du
pied
. Sillon marginal an- térieur. La troisième
RES NERVEUX. Fin. 160 et 161. Pli courbe et variétés d'insertion du
pied
de la troisième ciconvolu- tion frontale gauche
is, dans des autopsies quelconques, un remarquable développement du
pied
de la circonvolution de Broca, sans que pour cela
nvolution frontale (F,), tandis que la partie inférieure reçoit les
pieds
d'insertion des deuxième et troisième circonvolut
inférieure. - Pa, circonvolution pariétale ascendante. ,, pFi, pF,
pieds
d'insertion des première et deuxième circonvoluti
scissure pariéto-occipitale. - por, sillon post- rolandique. - p1'"
pied
de la circonvolution pariétale inférieure. - pri,
riétale ascendante. - Pc, plicourhe. - PI, pôle de l'insula. - yF3,
pied
d'insertion de la troisième circonvolution fron
- 7tG" 7tG., premier et deuxième plis verticaux de Crémier. - 7tP.,
pied
d'insertion profond'de la circonvolution pariétal
rémité inférieure de la circonvolution pariétale ascendante, par un
pied
en général étroit, quelquefois profond, décrit de
onvolution pariétale. - P., deuxième circonvolution pariétale. - pF3,
pied
de la circonvolution d ' Broca. - po, scissure
s anastomotiques. Elle est reliée à la pariétale ascendante par son
pied
, d'insertion; elle est reliée à la pariétale su
branche verticale ascendante de la scissure Sylvienne (S[v). 4° Le
pied
d'insertion de lic troisième circonvolution front
- Pa, circonvolution pariétale ascendante. - Pc, pli courbe. - pF3.
pied
de la troisième circonvolution frontale. - PI, pô
e en général un repli saillant, une crête ou un ourlet, qui sert de
pied
d'insertion au pli de passage fl'onto-limbiqul ?
(Parc), les deux autres au précunéus (PrC). Ces derniers servent de
pied
d'insertion aux plis de passage ? <'7o ? s' (T
nvolutions frontales. ot, sillon collatéral. Il, étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral. l'ol, pédoncule olfactif.
ième circonvolutionfron- tale F, . Son opercule........ OpR Son
pied
pF, . " Son cap.......... 13(c) Sa portion or
: 11, con- missure de Meynert séparant le faisceau externe 1'e, du
pied
du pédoncule du faisceau interne Pi. 1·'11, fas
llon du nerf moteur oculaire commun 1/ entre le faisceau interne du
pied
du pédoncule Pi et le fasciculus retrouexus de Me
um. - No, nodule du cervelet. - Nt, noyau du toit du cervelet. - P,
pied
du pédoncule cérébral. Po, protubérance. Put, pul
alu le nom de sillon du nerf oculo-moteur. Ce sillon, qui sépare le
pied
ou étage inférieur du pédoncule de la calotte o
e (sulcus lateralis mesf'l/Cf'phali) (si), qui sépare en dehors, le
pied
du pédoncule de la région de la calotte (fig. -
gion des tubercules quadrijumeaux; l'autre antérieure, la région du
pied
du pédoncule ; la troisième, externe et central
externe et centrale, la région, de la calotte du pédoncule. 1° Le
pied
ou l'étage inférieur du pédoncule (P) (y ? e, cru
t postérieur de la capsule interne. La bandelette optique croise le
pied
du pédoncule au niveau de son point de pénétratio
tion dans l'hémisphère, et établit la ligne de démarcation entre le
pied
du pédoncule et la w·gion..oous-llzalanir7uc de
rotubérance, où ils mesurent de 12 à 15 millimètres de largeur, les
pieds
des pédoncules cérébraux, divergent bientôt obliq
cule cérébral en trois régions. ' - - i Etage intérieur ou ,
pied
du pédoncule. Laban'ictcttcopti- que établit
Laban'ictcttcopti- que établit la ligne de démarcation entre le
pied
du pédoncule et la région sous- thalamique do
NERVEUX. 1 . 1 : Disposition fasci- culée de la face libre du
pied
du pédon- cule. protubérance un angle droit (
nettement les coupes transversales du pédoncule. La face libre du
pied
du pédoncule est recouverte par la pie-mère; elle
es que dans les externes, de telle sorte que Gudden a pu diviser le
pied
du pédoncule en deux parties inégales, l'une in
a bandelette optique et croisent en éven- tail la partie externe du
pied
du pédoncule, dont ils recouvrent soit la moi-
antéro-interne au bord postéro-externe, la face super- ficielle du
pied
du pédoncule, et constituent le faisceau arciform
du faisceau interne du pédoncule est peu accentué, la séparation du
pied
du pédoncule en faisceau interne et en faisceau
commis- 1 sure de Meynert se porte en dehors. Chez les sujets où le
pied
du pédoncule est irrégulièrement constitué, le
dden, un bon point de repère pour l'orientation. La face libre du
pied
du pédoncule est croisée par un certain nombre
ique. - Oi, olive inférieure ou bulbaire. - Pe, faisceau externe du
pied
du pédoncule. - Pi, faisceau interne du pied du
e, faisceau externe du pied du pédoncule. - Pi, faisceau interne du
pied
du pédoncule. - Po, protubérance. PTml, pédoncule
son trajet, sa partie antérieure étant recouverte par les fibres du
pied
du pédoncule. Il occupe la partie moyenne du pédo
dement de volume, puis se porte en dedans et en avant, contourne le
pied
du pédoncule, et pénètre dans le sillon du nerf
nt, plus ou moins volumineux et inconstant, de la partie interne du
pied
du pédoncule, tandis que le tractus peduncularis
détache du sillon latéral de l'isthme de l'encéphale, contourne le
pied
du pédoncule le long du bord supérieur de " la
es pédoncules cé- rébraux. Elle est séparée de l'étage inférieur (
pied
du pédoncule) par le locus niger, et confine
hal-Edingcr. - NR, noyau rouge de Stilling. - P, étage inférieur ou
pied
du pédoncule. - l'Tml, pédoncule du tubercule mam
Sylvius. - Sli, substance réticulée. - Stri, stratum intermedium du
pied
du pédoncule. - Tb, trou borgne antérieur ou inte
cornée. - NC, tronc du noyau caudé. NC', queue du noyau caudé. - l',
pied
du pédoncule. - Pcs, pédoncule cérébelleux supé
rium. - No, nodule du cervelet. Nt, noyau du toit du cervelet. - P,
pied
du pédoncule cérébral. Po, protubérance. Pul, pul
ement étranglée au niveau du noyau caudé, est connue sous le nom de
pied
de la couronne- rayonnante (pCI3). La capsule i
ascendante. Pclh, plexus choroïdes du troisième ventricule. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - ]Jl'i.. sillon préro
ame terminale embryonnaire. NC, noyau caudé. l', étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral. 1'0, protubérance. psl,
a, commissure antérieure. - Gp, glande pinéale. P, étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral. -ri, diverticule de l'in
xième segments du noyau lenticulaire. ot, scissure collatérale. l',
pied
du pédoncule cérébral. - l'es, pédoncule cérébe
lenticulaire. - JV/f, noyau rouge. - ol, scissure collatérale. - P,
pied
du pédoncule cérébral. - Pcs, pé- doncule céréb
rne de la première circonvolution frontale. P, étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral. 7-plp, pli pariéto-limbiqu
. - NC', queue du noyau caudé. OF, faisceau occipito-frontal. - pCli,
pied
de la couronne rayonnante. llcha, plexus choroï
oyau caudé. - t'C", partie recourbée de la queue du noyau caudé. pCR,
pied
de la conronne rayonnante. Pul, pulvinar. R, sc
llie connue sous le nom de corne d'Ammon, de grand hippocampe ou de
pied
de l'hippocampe (CA). La corne d'Ammon se prése
rium. - No, nodule du cervelet. 11'l,noyau du toit du cervelet. l',
pied
du pédoncule cérébral. Po, protubérance. - Pul,
cendante. - Pc/;3, plexus choroïdes du troisième ventricule. - par,
pied
de la couronne rayonnante. - pri, sillon pré-rola
noyau caudé. - NC", partie recourbée de la queue du noyau caudé. pCR,
pied
de la couronne rayonnante. Pul, pulvinar. - R,
al et sur le faisceau de 7M ? 'cZ' qui occupe le segment externe du
pied
du pédoncule et qui sépare le noyau lenticulair
e. Dissection de la capsule interne. Couronne rayon- nante et
pied
de la couronne rayon- nante. horizontales,
irection verticale, et corres- pond au cinquième externe environ du
pied
du pédoncule. (Voy. t. II.) Le segment postérie
de l'arrivée du fais- ceau de Tiire/e, les parties constituantes du
pied
du pédoncule cérébral. 11 décrit sur les coupes
noyau lenticulaire et le bord externe du noyau caudé, constitue le
pied
de la. couronne rayonnante (pCR). Le bord antér
nne rayonnante (pCR). Le bord antérieur de la capsule interne et du
pied
de la couronne rayonnante se dirige d'arrière e
ale (P) dans une grande étendue, depuis la partie supérieure de son
pied
d'insertion sur la pariétale ascendante (Pa) jusq
n le retrouve entre la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le
pied
de la couronne . rayonnante (pCR) (Ji-. 228). E
rement (foncées par conséquent) qui N , . font partie du système du
pied
du pédoncule cérébral. De la partie postérieure
sposées en fascicules appartiennent en majeure parlie au système du
pied
du pédoncule cérébral. Les fascicules sont séparé
région thalamique, et se rapproche déjà par son aspect de celui du
pied
du pédoncule cérébral. En avant, il est limité
endent avec le segment postérieur de la capsule interne (Cip) dans le
pied
du pédoncule dont elles forment environ le cinq
. - oa, sillon occi- pital antérieur. - ot, sillon collatéral. - P,
pied
du pédoncule cérébral. - Qa, tubercule quadriju
rieur de la capsule, interne, qui revêt déjà tous les caractères du
pied
du pédon- cule (P), et qui décrit une courbe il
de l'anse du noyau lenticulaire (Al) qui contour- nent en dedans le
pied
du pédoncule cérébral. L'anse du noyau lenticulai
ule interne qui constitue déjà sur celle coupe l'étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral (P). Les fibres les plus po
é- rieures s'insinuent entre le corps genouillé externe (Cge) et le
pied
du 1)(,*dfjii- cule (P) et se terminent dans le
u cerveau au niveau de la substance perforée antérieure (Spa) et le
pied
du pédoncule cérébral (P) au niveau de la bande
oyau lenticulaire (Al), qui contournent la partie antéro-interne du
pied
du pédoncule cérébral (P), pour occuper la partie
la fossette interpédonculaire (Voy. Base du cerveau, p. 3c ? 1). Le
pied
du pédoncule cérébral (P), embrassé par la bandel
le faisceau longitudinal postérieur (Flp) ; la région inférieure ou
pied
du pédoncule (P) séparée de 426 ANATOMIE DES CE
le de reconnaître dans sa constitution : l° l'étage inférieur ou le
pied
du pédoncule (P); 20 l'étage moyen ou la région d
Sylvius (Aq) et la substance grise centrale de l'aqueduc (SgAq). Le
pied
du pédoncule cérébral (P) est embrassé en avant p
moitié postérieure, la bandelette optique (II) s'applique contre le
pied
du pédoncule cércbral (P) et présente deux face
oa, sillon occipital antérieur de Wcrnicke. of, sillon collatéral. P,
pied
ou étage inférieur du pédoncule cérébral. itrl,
, sillon occipital antérieur de Wcrnicke. oi, sillon collatéral. - P,
pied
du pédoncule cérébral. - mi, pli rétro-limbique
licale ascendante de la scissure de Sylvius S(v), qui sépare du
pied
de la troisième circon- volution frontale (F3)
partie orbitaire de la troisième circonvolu- tion frontale. - pCH,
pied
do la couronne rayonnante. 438 ANATOMIE DES CEN
,, partie orbitaire de la troisième circonvolution frontale. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - sec, sinus du corp
paroi externe. Le noyau caudé (NC) est limité en dehors par le
pied
de la couronne rayonnante (pCR) (coupe n° 40,
au troisième segment du noyau lenticulaire (NL3) et les fibres du
pied
de la cou- l'onne rayonnante pCR, de- venue a
, partie orbitaire de la troi- sième circonvolution frontale. pCli,
pied
de la couronne rayonnante.S(H), branche antérie
rojection. Le système des fibres de projection est constitué par le
pied
de la couronne rayonnante ( ptt ), dont les l
30 il 40 (fig. 237-240), in- téressent le segment antérieur du
pied
de la couronne rayon- nante (pCR), qui se p
r.3, partie orbitaire de la troisième circonvolution frontale.-pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - S(a), branche anté
ntricule latéral (VL). Sur les coupes nos 43 et 46 (fig. 241-242), le
pied
de la couronne rayonnante (pCR) se continue ave
, fig. 237) entre le forceps antérieur du corps calleux (Foa) et le
pied
de la couronne rayonnante (pCR), puis entre ce de
inférieure ou orbitaire, se confond avec la partie correspondante du
pied
de la couronne rayonnante (pCR) et du genou du
séparé par la substance grise sous-épendymaire (Sge), tandis que le
pied
de la couronne rayonnante (par) le recouvre en
? partie orbitaire de la troisième circonvolution frontale. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - Sge, substance grise
coupe n° 55 intéresse en oulre l'opercule frontal, c'est-à-dire le
pied
de la Iroi.siè7rtn, circonvolztliou-fioll- tale
a, union du sillon collatéral et du troisième sillon temporal. z P,
pied
du pédoncule cérébral. - Pa, circonvolution parié
le (Sgc), la région sous-optique est en rapport : en dehors avec le
pied
du pédoncule céréG·al (P), et en bas, avec le tub
hémisphères, et se confond au niveau du centre ovale (CO), avec le
pied
de la couronne rayonnante. Il y a peu de choses
a, union du sillon collatéral et du troisième sillon temporal. - P,
pied
du pédoncule cérébral. -- Pa, circonvo- lution
ule paracentral se continue, sur la coupe n° 75 (fig. 249), avec le
pied
d'insertion de la première circonvolution frontal
nvolu- tion pariétale ascendante. - Parc, lobule paracentral. - 11,
pied
'du pédoncule cérébral - Pcm, pédoncule cérébel
présente sous l'aspect d'une bandelette étroite, qui repose sur le
pied
ou l'étage inférieur du pédoncule (P) et qui at
en arrière du corps de Luys. Le locus niger repose toujours sur le
pied
du pédoncule cérébral (P) et atteint en dedans
inférieure de la capside externe (Ce). Ces coupes intéressent le
pied
du pédoncule cérébral (P), au moment où il s'ir
tique (II), c'est-à-dire au niveau de la région sous-t/lI1lamique, le
pied
du pédon- cule (P) se continue avec la capsule
ume inégal. Le faisceau supérieur et interne continue la direction du
pied
du pédoncule. Il se porte en haut et en dehors,
lvius S (p), le corps genouillé externe (Cge), la partie externe du
pied
du pédoncule cérébral (P) et la région de la ca
ral. - \'C ? tronc du noyau caudc. - NC', queue du noyau caudé. - ?
pied
du pédoncule cérébral. - Pi, circonvolution parié
dehors de la calotte, nous trouvons dans les figures 252 et 253 le
pied
du pédoncule cérr·Go'rcl (P), qui delà protubér
aît sur la coupe n° 83 (fig. 252) où il recouvre la partie externe du
pied
du pédoncule (P). Sur les coupes nos 86 et 88 (
Cip) se continue directement sur la coupe n° 83 (lig. 252), avec le
pied
du pédoncule cérébral (P); sur la coupe n° 86 (
ine et ]JOI'iélo-occipi/alc (K+po); la partie moyenne correspond au
pied
d'insertion du pli 1'étl'o-limúiquc (-rl); la p
sillon collatéral (ot), le pli l'élro-lim- bique qui représente le
pied
d'insertion du lobule lillgual (Lg) sur le lobe l
ortante. Ce pli profond, pli czcnreo- limbique (,cl), représente le
pied
d'insertion profond du cunéus (C) sur le lobe l
NC+NL3), la couche optique (Th), la région sous-optique (F, NR), le
pied
du pédoncule cérébral (P), la région des tubercul
mière circonvolution frontale (gyrus rectus). - P, étage inférieur ou
pied
du pédoncule' cérébral. - P,, première circonvo
rieure; la partie antéro-inférieure constitue l'étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral (P); la partie postéro-su
otte du pédoncule. Au-des- sous et en avant du locus niger (Ln), le
pied
du pédoncule cérébral (P) se prolonge dans la p
5 (fig. 271) elle est enclavée entre la queue du noyau caudé, et le
pied
du pédoncule cénrGral (P), mais elle présente tou
e à la présence des fibres radiées. La couche optique repose sur le
pied
du pédoncule (P) dont elle est séparée par le c
ique de Foret (Fth) qui appartiennent il la région sous-optique. Le
pied
du pédoncule (P) est sectionné obliquement par
, située entre la circonvolution de l'hippocampe (H) d'une part, le
pied
du pédoncule cérébral (P) et la couche optique
former le ]Julvi- nar (Pul); en bas et en avant elle repose sur le
pied
du pédoncule cérébral (P), dont elle est séparé
est séparée par la zone réticulée (zr). Les parties antérieures du
pied
du pédoncule céréGnal (P) se continuent avec de
interne (Cip), et sont situées immédiatement en arrière du rnuu. Le
pied
du pédoucazle cérébral (P) a diminué de volume, p
e et troisième circonvolutions frontales. ol, sillon collatéral. P,
pied
du pédoncule cérébral. -P,, première circonvoluti
Elles n'ont en effet pas encore changé de direction. En arrière du
pied
du pédoncule cérébral, entre celui-ci et le pulvi
forme d'un triangle isocèle, extrêmement allongé, compris entre le
pied
du pédoncule cérébral (P) et l'écorce grise de
ues; elle se porte en arrière, entoure à la manière d'une fronde le
pied
du pédoncule cérébral (P) et s'irradie dans le pu
OSCOPIQUES DU CERVEAU; 30a ') dans la capsule interne des fibres du
pied
du pédoncule (P), elui`.ilé'z'fjt uMüŸCs ? vers
ol, sillon collatéral. Pi, première circonvolution pariétale. - P,
pied
du pédoncule cérébral. Pa, circonvolution pariéta
férieur. Le bord supé- rieur de l'éventail se continue au niveau du
pied
de la couronne rayonnante (pCR), avec une zone
es. - Pa, circonvolution pariétale ascendante. Pc, pli courbe. pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - Pchl, plexus choroïd
. Pa, circonvolution pariétale ascendante. - Pc, pli courbe. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - PNL" pédoncule du tr
ent pour la plupart en haut et en arrière, et se confondent avec le
pied
de la couronne rayonnante (pCR). La couronne ra
irconvolution frontale (oFa), que le cap de Broca (F., [C]), que le
pied
d'insertion de la troisième circonvolution fron
mporal aborde la région sous-thalamique de la capsule interne et le
pied
du pédoncule cérébral. On pourrait reprochera c
raduelle de la région sous-thalamique de Forci, de la calotte et du
pied
du pédoncule cérébral. IV La quatrième série, e
llèlement, et où elles pénètrent dans le centre ovale en formant le
pied
de la couronne rayonnante (pCR). Les libres du
e en formant le pied de la couronne rayonnante (pCR). Les libres du
pied
de la couronne rayonnante se portent en haut et e
isent avec les fibres calleuses et présentent un coude au niveau du
pied
de chacune des circonvolutions frontales. L'irrad
tal. - OpF3, opercule de la troisième circonvolution frontale. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - pri, sillon prérol
dirigent en haut et en dehors, s'entre-croisent avec les libres du
pied
de la cou- ronne rayonnante (pCR) et se portent
alleuses (Ce). Quant au fais- ceau occipito-frontal, situé entre le
pied
de la couronne rayonnante, la substance grise s
nt un certain nombre de fibres, qui entrent dans la constitution du
pied
de la couronne rayonnante, dont elles occupent la
inger. Le corps calleux (Ce), le faisceau occipito-frontal (OF), le
pied
de la couronne rayonnante (pCl3.), ainsi que la
ctères que sur la coupe précédente (n°III, fig. 281). Les libres du
pied
de la couronne rayonnante (par) se portent en bas
DU CERVEAU. a3 : 3 du putamen (NL3), puis s'entre-croisent avec le
pied
de la couronne rayonnante (pCR) et semblent se
tion frontale ascendante (Fa), après intrication avec les fibres du
pied
de la couronne rayonnante et avec les fibres du
7·nt : rl. 0/j/f, opercule rolandique. ot, sillon collatéral. y)CR.
pied
de la couronne rayonnante. pri, sillon prérolan
pariétale ascendante. PaTh, pédoncule antérieur du thala- mus. pCR,
pied
de la'couronne rayonnante. prs, sillon prérolandi
e segment postérieur de la capsule interne, la partie antérieure du
pied
du pédoncule cérébral (P), la partie moyenne de
pe le fond du sillon qui sépare la circonvolution du crochet (U) du
pied
du pédoncule cérébral (P). Du sommet et de la fac
res proviennent de la partie supérieure de la capsule interne et du
pied
de la couronne rayonnante (pCR) et s'entre-croise
au-dessous des noyaux interne et externe du thalamus, en dedans du
pied
du pédoncule cérébral (P) et de la partie inférie
e la troisième circonvolution frontale. ot, sillon collatéral. - P,
pied
du pédoncule cérébral. - Parc, lobule para centra
- P, pied du pédoncule cérébral. - Parc, lobule para central. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante. P.VL3, pédoncule du
courbe à concavité supérieure, puis entrent dans la constitution du
pied
de la couronne rayonnante (pCR) et affectent un t
jection tha- /amt'Me ? il en est d'autres qui côtoient au niveau du
pied
de la couronne rayon- liante (pCR) la face prof
s fascicules de fibres qui entrent plus bas dans la constitution du
pied
du pédoncule cérébral (P). Ce sont les fibres d
irection paral- lèle aux fibres qui entrent dans la constitution du
pied
du pédoncule cérébral. Outre la couronne rayonn
générescences par lésions corticales, les cinq sixièmes internes du
pied
du pédoncule cérébral (J. Dejerine). Elles sont s
ns de la calotte (RC). Elle intéresse en outre la partie moyenne du
pied
du pédoncule cérébral (P) et de l'étage antérieur
y , 1 décrite par les fibres de la couronne i·ayorzrrarrte (GR). Le
pied
de la cnitrrr>c-uâs- z rayonnante (pCR) et l
, opercule rolandique. ot, sillon collatéral. P, étage inférieur ou
pied
du pédoncule céré- braI. Pa, circonvolution par
, circonvolution pariétale ascendante. Parc, lobule paracentral. /jCt,
pied
de la couronne rayonnante. Plchsph, plexus chor
re les autres et qui se rendent, pourla plus grande partie, dans le
pied
du pédoncule cérébral (P). Elles affectent un asp
r qu'on puisse déjà voir le faisceau de 7'M)'c/c s'irradier dans le
pied
du pédoncule. A la paroi externe de la corne sp
(VI), entre les fibres calleuses situées en dedans et les libres du
pied
de la couronne rayonnante (pCR) situées en deho
res se portent en dehors et en bas, s'entre-croisent avec celles du
pied
de la couronne rayonnante et entrent dans la cons
ule (Va). En dehors du lIoyalt 1'( ! Uge(NIl), entre ce dernier et le
pied
du pédon- cule cérébral (P), se trouve le locus
he commune au sillon collatéral et au troisième sillon temporal. - P,
pied
du pédon- . cule cérébral. - Pa, circonvolution
convolution pariétale ascendante. l'arc, lobule paracentral. - pen.
pied
de la couronne rayonnante. - Pcs, pédoncule céréb
EUX. dier. Dans la région lhalamique il reçoit toutes les fibres du
pied
de la couronne rayonnante (pCR) qui se rendent,
ptique (Th) dont elles for- ment les fibres radiaires, soit dans le
pied
du pédoncule cérébral (P). Ces dernières fibres
obe temporal et le faisceau de 7'M ! 'c ? (FT) ou faisceau externe du
pied
du pédon- cule cérébral. Ces fibres apparaissen
rne dans la région sous-thalamique et entrent dans la constitution du
pied
du pédoncule. Les dégénérescences secondaires o
ie moyenne du lobe temporal; occupent le sixième externe environ du
pied
du pédoncule cérébral et que par conséquent le
me et troisième circonvolu- tions temporales (FT'). Les fibres du
pied
du pédoncule cérébral (P), qu'elles proviennent d
ule cérébelleux supérieur (Pcs), ainsi que la partie postérieure du
pied
du pédoncule cérébral (P)et de Y étage antérieur
le cérébral (P)et de Y étage antérieur de la protubérance (Poa). Le
pied
du pédoncule cérébral n'est plus en connexion ave
e S/111s-épendymail'e et se confondent en dehors avec les fibres du
pied
de la couronne rayonnante (pCR). Les fibres du
les fibres du pied de la couronne rayonnante (pCR). Les fibres du
pied
de la couronne rayonnante (pCR) se portent en bas
es radiées supérieures ou fibres y ? r7<) ? </6tntt ? < du
pied
de la couronne rayonnante, appartiennent au lob
pito-frontal. OpP-2, opercule pariétal. - ot, sillon collatéral. P,
pied
du pédoncule cérébral. - Pi, deuxième circonvolut
irconvolution pariétale ascendante. - Parc, lobule paracentral. -pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - l'cs, pédoncule cé
envoie de nombreuses libres dans le ruban de Reil médian (Rm). Le
pied
du pédoncule cérébral (P) est complètement séparé
t à fait spécial (Voy. fig. 284 et t. II). En avant et en dedans du
pied
de la couronne rayonnante, on trouve le faisceau
res, enfin, traversent au niveau de la tête du noyau caudé (NC), le
pied
de la couronne rayonnante et entrent dans la co
- terne (Cip), qui affecte déjà dans cette région les apparences du
pied
du pédoncule cérébral. L'anse du noyau lenticul
édoncule cérébral. L'anse du noyau lenticulaire (Al) passe entre le
pied
du pédoncule céré- Gial (Cip), et le pilier ant
e et troisième circonvolutions frontales. - P, étage infé- rieur ou
pied
du pédoncule cérébrale. - PTml, pédoncule du tube
- delette optique (II) la commissure de Meynert (CM) et en avant du
pied
du pédon- cule cérébral (P), le ganglion du tub
lion partent des fibres qui contournent la partie antéro-interne du
pied
du pédoncule cérébral (P), puis se portent en a
L,), le cingulum (Cing), les radiations du corps calleux (RCc) elle
pied
de la couronne rayonnante (pCR). Celte coupe in
iétale inférieure. l'a, circonvo- lution pariétale ascendante. pCR,
pied
de la couronne rayonnante. PrC, précunéus. pri,
res coupés perpendiculairement à leur axe, et qui appartiennent au.
pied
de la couronne rayonnante (pCR). On peut suivre
peut suivre les radiations calleuses presque jusqu'aux con- fins du
pied
de la couronne rayonnante, au delà elles se perde
xterne du ventricule latéral, avant de s'entre-croiser au niveau du
pied
de la. couronne rayonnante avec les fibres de pro
e fibres différenciées sur cette coupe est formée par les libres du
pied
de la couronne rayonnante (pCR). Ces libres sont
. Au sur et à mesure que l'on se porte en dehors, les fascicules du
pied
de la couronne rayonnante devien- nent de plus
ses libres il direction antéro-postérieure, en dehors les fibres du
pied
de la couronne rayon- nante (pCR) à direction v
e de faisceaux de fibres coupés en travers. Entre le cingulum et le
pied
de la cort- ronne rayonnante, se trouve la troi
. volution pariétale. Pa, circonvolution pariétale ascendante. - pCR,
pied
de la cou- . - ronne rayonnante. PrC, précunéus
léchissaient sur la coupe précédente, puis dissocient les fibres du
pied
de la couronne rayonnante (pCR) comme précédemm
es du pied de la couronne rayonnante (pCR) comme précédemment. Le
pied
de la couronne rayonnante (pCR) est formé de deux
ons calleuses (RCc). Les rapports de celte, moitié posté- rieure du
pied
de la couronne rayonnante sont variables. En avan
igeant transversalement de dedans en dehors. La moite antérieure du
pied
de la couronne rayonnante (pCK) présente un asp
erne du noyau caudé (NC), dissocie les gros fascicules de fibres du
pied
de la couronne rayonnante de cette région, et l
lles s'entre-croisent avec les radiations calleuses. Les confins du
pied
de la couronne rayonnante sont aussi mal accusés
supérieure du noyau caudé (NC), le tronc du corps calleux (Ce), le
pied
de la couronne rayonnante (pCR) et le ventricul
ution pariétale. - put, circonvolution pariétale ascendante. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante. -- PrC, précunéus. - p
ransver- salement en dehors, et s'entre-croisent avec les fibres du
pied
de la couronne rayonnante (pCR), mais l'entre-c
on, on peut suivre des libres pâles, peu riches en myéline, dans le
pied
de la couronne rayonnante (pCR), pied qui i bie
peu riches en myéline, dans le pied de la couronne rayonnante (pCR),
pied
qui i bientôt va constituer la capsule interne.
enliculo-caudées, le système de fibres de projection qui constitue le
pied
de la couronne rayonnante (pCR), système qui s'
t les libres du faisceau occipito-frontal (OF), ainsi que celles du
pied
de la couronne rayonnante (pfft). En arrière, les
diées que nous retrouverons sur des coupes plus infé- rieures. Le
pied
de la couronne rayonnante commence sur cette coup
considérées comme appartenant à des régions de transition entre le
pied
de la couronne rayonnante et la capsule interne p
apsule interne présente en effet il peu près la même largeur que le
pied
de la. couronne rayonnante de la coupe n° 3 (fig.
noyau lenticulaire (putamen). - 01',faisccau occipito-frontal.-pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - RCc, radiations du
e. Ces fibres verticales font suite aux fibres de même direction du
pied
de la couronne rayonnante (pCR) des coupes préc
ipito-- frontal. - Pa, circonvolution pariétale ascendante. - pcli,
pied
de la couronne rayonnante. Plch, plexus choroïd
tte; en dehors et en avant, elle se confond encore en partie, avec le
pied
de la couronne rayonnante (pCR), en dedans avec
aiblement colorées, et qui délimitent assez nettement les fibres du
pied
de la couronne rayonnante (pCR). Entre la cap
lenticulaire. PaTh, pédoncule antérieur de la couche optique. pCR,
pied
de la couronne rayonnante. Plch, plexus choroïdes
sule appartient à la couche optique, à la région sous-optique et au
pied
du pédoncule cérébral, toute la partie enfin situ
dian de Luys). PaTh, pédoncule antérieur de la couche optique. pCR,
pied
de la couronne rayonnante. Pul, p'ulvinar. - RTh,
culaire. Nm, noyau médian du thalamus (centre médian de Luys). pCR,
pied
de la couronne rayonnante. Pul, pulvinar. RTh,
g]) correspond au segment le plus interne de l'étage infé- rieur ou
pied
du pédoncule cérébral. En avant et un peu au-de
ntre médian de Luy). - PaTh. pédoncule antérieur du tlulamus. -pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - pus, pulvinar. Qa, t
lme', lmi'. PaTh, pédoncule anté- rieur de la couche optique. pCR,
pied
de la couronne rayonnante. PiTh. pédoncule infé
st divisé en deux par la lame médullaire supplémentaire Inti'. par,
pied
de la couronne rayonnante. PiTh, pédoncule inféri
premier, deuxième et troisième segments du noyau lenticulaire. - pCR,
pied
de la cou- COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 61
(Cip). Le segment postérieur de la capsule interne se transforme en
pied
du pédoncule cérébral. Il n'est pas encore libr
la capsule interne (Cip), que l'on pourrait presque appeler déjà le
pied
Au pédoncule, est surtout formé de libres section
ant par la ligne 13 de la ligure 299. Cette coupe intéresse déjà le
pied
du pédoncule cérébral proprement dit (P), que l
nse du noyau lenticulaire. - NR, noyau rouge. P, étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral. - pCR, pied de la couronne
yau rouge. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - PiTh, pé- doncule
mitée en dehors par la capsule externe (Ce), V avant-mur (AM) et le
pied
de la couronne rayonnante (pCR); en arrière par
1), du segment postérieur proprement dit, qui constitue déjà ici le
pied
du pédoncule cr·rz·Gral (l'); il en est séparé pa
(Al). Quelques- unes de ces fibres traversent la partie interne du
pied
du pédoncule cc·rr%Grczl (l'), pour aboutir au
ncule cérébral (P), se dirige en arrière et en dedans, passe entre le
pied
du ci2,(.,bial(P) el lepili( ? ait dit trigone
jusqu'au voisinage du faisceau longitudinal postérieur (Flp). Le
pied
du pédoncule cérébral (P) est limité en dehors au
M), qui se rendent dans le corps de Luys (CL). L'étage inférieur ou
pied
du pédoncule (P) c'est-à-dire la continuation du
ulaire (Al) et de la commissure de Meynert (CM). La face interne du
pied
du pédoncule, (P) présente une concavité très acc
ule (V3) au niveau de l'embouchure de l'aqueduc de Sylvius (Aq). Le
pied
du pédoncule cérébral (P) n'est adhérent à la bas
rilatère de Fouille, un relief plus ou moins accentué. En dedans du
pied
du pédoncule cérébral (P), en dehors An pilier an
se du noyau lenticulaire (Al), qui contourne l'extrémité interne du
pied
Au pédoncule, se porte en avant et en dedans, e
). En dehors de l'allse du noyau lenticulaire, la partie interne du
pied
du pédon- 40 626 ANATOMIE,DES CENTRES NERVE
e straittzn inlermedium de Meynert (Voy. fig. 193 et 397, Stri). Le
pied
du pédoncule cérébral est libre dans ses trois
oyau lenticulaire (putamen). NR. noyau rouge. P, étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral. peu, pied de la couronne r
noyau rouge. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral. peu,
pied
de la couronne rayonnante. PiTh, pédoncule infé
audé. NR, noyau rouge. ot, sillon collatéral. P, étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral. pCR, pied de la. couronn
on collatéral. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral. pCR,
pied
de la. couronne rayonnante. PTml, pédoncule du
e masse de substance grise, sillon- née par les dernières fibres du
pied
de la couronne rayonnante (IiCR), et séparée -d
r la circonvolution du crochet (U) et 1 perforé antérieur (Epa). Le
pied
du pédoncule cérébral(P)ne lient plus Ü la base d
, oblongue, qui s'insinue entre la commissure de Meynert (CM) et le
pied
An pédoncule cérébral (P). Cette petite masse gri
laire latéral de Gudden (PTml), lequel contourne le bord interne du
pied
du pédoncule cérébral (P), le bord externe du n
augmenté de volume, et sépare seul maintenant Vêlage infé- rieur ou
pied
Au pédoncule (P) de l'étage supérieur ou région d
oyau lenticulaire (putamcn). - NR, noyau rouge. P, étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral. Pul, pulvinar. Qa, tuber
tion postérieure de l'insula. Sur cette coupe, l'étage inférieur ou
pied
du pédoncule (P) est déjà constitué dans sa par
s sa partie interne. Nous nous trouvons ici en effet à la limite du
pied
Au pédoncule cérébral (P) et du segment postérieu
rébral (P) et du segment postérieur de la capsule interne (Cip). Le
pied
du pédoncule cérébral (P) décrit une courbe à con
a substance grise du tuber cinereum (Te). En avant et en dehors, le
pied
du pédoncule cérébral est limité par la bandelett
nexion avec la bandelette optique appartient à l'étage inférieur ou
pied
du pédon- cule, tandis que toute la région qui
ie tou- jours de nombreux fascicules de fibres dans le pulvinar. Le
pied
du pédoncule cérébral (P) ne diffère de celui d
noyau lenticulaire (putamen). .YR, noyau rouge. P, étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral. l'ul, pulvinar. Qa, tube
r un mince pont de substance grise, au niveau de l'angle interne du
pied
du pédoncule cérébral, (P.). Le tubercule quadr
yau lenticulaire (putamen). XR, noyau rouge. l', étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral. PTml, pédoncule du tubercu
genouillés interne et externe (Cgi, Cge), de la partie postérieure du
pied
Au pédoncule cérébral (P). Le noyau rouge (NR
it être cherchée au niveau de la partie libre de la face interne du
pied
du pédoncule cérébral (P), en arrière du locus ni
au niveau de la large zone d'émergence de la troisième paire. Le
pied
du pédoncule cérébral (P) est presque complètemen
ro-lenticulaire (Cirl) et correspond au sixième externe environ, du
pied
du pédoncule cérébral. Le putamen (NL3) est réd
la bandelette optique (II), traversent le cin- quième postérieur Au
pied
du pédoncule (P). Ces libres appartiennent non pa
vec la circonvolution du crochet (U). Cette dernière est séparée du
pied
du pédoncule cérébral (P) par la bandelette opt
e cérébral (P) par la bandelette optique (II). Sur cette coupe le
pied
du pédoncule cérébral (P) est complètement cons
es au niveau de la partie postérieure du locus niger. Les fibres du
pied
du pédoncule cérébral (P) présentent déjà un as
ncule cérébral (P) présentent déjà un aspect un peu particulier. Ce
pied
n'est plus, comme sur les coupes pré- cédentes,
liques, ce qui tient à la torsion qu'éprouvent toutes les fibres Au
pied
du pédoncule, peu de temps après leur émergence
nnées obliquement sont surtout nombreuses dans la moitié interne du
pied
du pé- doncule; dans la moitié externe, les fib
es dernières viennent surtout du stratum intermedium, traversent le
pied
Au pédoncule en se dirigeant obliquement en de-
ant obliquement en de- hors et en avant. Le cinquième postérieur du
pied
du pédoncule est extrêmement large, et formé pr
oyau lenticulaire (putamen). NR, noyau rouge. P, étage inférieur ou
pied
du pédoncule céré- bral. Pes, pédoncule cérébel
région de l'étage supérieur ou calotte du pédoncule, est séparée du
pied
du pédoncule cérébral (P), par le locus niger (Ln
présente ses cellules pigmentées disposées en groupes. L'aspect du
pied
Au pédoncule cérébral ne diffère pas beaucoup de
utes du slratum intermedium de Meynert (SIri) (fin. 193 et 297). Le
pied
du pédoncule cérébral est nettement délimité en a
n arrière; il ne reçoit plus aucune fibre de la base du cerveau. Le
pied
du pédoncule cérébral, de même COUPES MICROSCOP
rieures, et qui refoule le noyau rouge en avant et en dehors. Le
pied
du pédoncule cérébral (P) a augmenté de volume ai
cule quadrijumeau antérieur. NR, noyau rouge. P, étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral. Pes, pédoncule cé- rébel
e-croisement du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs). En dedans du
pied
du pédoncule cére'Gral (P) se trouvent sectionnée
- glion du tubercule quadrijumeau postérieur. P, étage inférieur ou
pied
du pédoncule cérébral. Pcs, pédoncule cérébelle
s caractéristiques. Le stmtum intei'medill1n s'est fusionné avec le
pied
du pédoncule cérébral (P), dans lequel il envoi
s'enchevêtrent avec les fibres à direction oblique ou verticale du
pied
du pédoncule cérébral, En dedans, le pied Au pé
ion oblique ou verticale du pied du pédoncule cérébral, En dedans, le
pied
Au pédoncule cérébral est limité par un faiscea
uxième segments du noyau lenticulaire. - oi, sillon collatéral. l',
pied
du pédoncule cérébral. - l'es, pédoncule céré-
remière et troisième circonvolutions frontales. Il étage inférieur ou
pied
du pédon- cule cérébral. - l'Tnl, pédoncule du
des circonvolutions de l'opercule sylvien, en dehors des fibres du
pied
de la couronne rayonnante et à la hauteur du tron
e bord supérieur de l'avant-mur, recouvrent en dehors les fibres du
pied
de la couronne rayonnante, et concourent a former
arqué est très bien délimité en dedans, où il est appli- qué sur le
pied
de la couronne rayonnante : ses libres sont en ef
seur du corps calleux, et du faisceau longitudinal supérieur par le
pied
de la couronne rayonnante (Iib. 3S1, 382). Comme
au uncinalus. Le corps calleux et le cingulum ont été enlevés et le
pied
de la couronne rayonnante a été disséqué. La pr
'f7), partie du fais- ceau occipito-frontal formant tapetum. - pCR,
pied
de la couronne rayonnante. - l'ut, pulvinar. -
rsales des fibres qui se portent en bas et en dehors, traversent le
pied
de la couronne rayonnante et entrent dans la co
-frontal. - OpR, opercule rolandique. ot, sillon collatéral. - par,
pied
de la couronne rayonnante. - pri, sillon prc-rola
rne, et descendent avec les fibres de ce segment postérieur dans le
pied
du pédon- cule cérébral, dont elles concourent
commune au sillon collatéral et au troisième sillon temporal. - P,
pied
du pédoncule cérébral. Pa, circonvolution pariéta
irconvolution pariétale ascendante. Parc, lobule paracentral. -par,
pied
de la couronne rayonnante.- I'cs, pédoncule céréb
ue, au corps genouillé interne, au pulvinar, au globus pallidus, au
pied
du pédoncule cérébral, etc., etc. ; elle doit don
es fibres de pro- . jection du lobe temporal qui descendent dans le
pied
du pédoncule cérébral. 116 ANATOMIE DES CENTRES
ral. 116 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le faisceau ex- terne du
pied
du pé- doncule cérébral ou faisceau « de Tiir
e.) Les lésions du lobe occipital ne retentis- sent pas sur. le
pied
du pédoncule c{ : l'é- ])val. Le faisceau d
fet, que les fibres qui constituent le cinquième externe environ du
pied
du pédoncule cérébral, c'est-à-dire que les fib
la méthode des coupes microscopiques sériées, lui ont montré que le
pied
du pédoncule cérébral, ainsi que le segment posté
as du tubercule quadrijumeau antérieur, mais respecte absolument le
pied
du pédoncule cérébral. Par contre, dès que les
e segment posté- rieur de la capsule interne et se poursuit dans le
pied
du pédoncule. Des recherches que nous venons d'
féro-interne et traversent le faisceau arqué de Bur- dach (Arc), le
pied
de la couronne rayonnante (pCR) et une partie du
inférieures du segment antérieur de la capsule interne (Cia) et du
pied
de la couronne rayonnante du lobe frontal (pCR)
ions du lobe occipital ne déterminent pas de dégénérescence dans le
pied
du pédoncule. Ainsi que nous l'avons dit plus h
dans le pied du pédoncule. Ainsi que nous l'avons dit plus haut, le
pied
du pédoncule et en particulier son cinquième ex
ier, deuxième et troisième s'eg- ments du noyau lenticulaire. pC/t,
pied
de la couronne rayonnante. PiTh, pédoncule infé
courbe régulière, qui correspond au bord supérieur du putamen et au
pied
de la couronne rayonnante et dont le sommet cor
s avoir croisé, perpendiculairement à leur direction, les fibres du
pied
de la couronne rayonnante. Dans les cas d'agénési
du corps strié, et ne s'entre- croisent pas par conséquent avec le
pied
de la couronne rayonnante. Les fibres postérieu
cale et le trajet intra-cérébral des fibres de l'étage inférieur ou
pied
du pédoncule ce ! 'e6 ? ? Mém. de la Son. de Biol
qu'elle traverse obliquement en arrière et en dehors (psp) : c'est le
pied
du septum lucidum ou bandelette diagonale. La bra
s transversus pedunculi (Gudden) est un petit faisceau superficiel du
pied
du pédoncule qui se dirige, ainsi que son nom l'i
merge de la lame perforée postérieure, à la partie la plus interne du
pied
, et le plus souvent au contact du bord 1. Les r
ibres internes du pédoncule, puis se porte en dehors, passe devant le
pied
, le contourne, et, parvenu à son bord externe, au
t pas exceptionnel, en effet, que ce faisceau s'étale à la surface du
pied
sous la forme de bandelettes minces, plus ou moin
aient le faisceau en écharpe (TP) ne passaient pas avec les fibres du
pied
sous la bandelette optique (BO). Elles se jetaien
édonculaire. Il existe des communications semblables, non pas sous le
pied
du pédoncule, mais au-dessus. BO, bandelette op
est oblique en haut et en avant. Elle sépare le pilier de la voûte du
pied
du septum lucidum. PEL. Le septum lucidum ou pe
(EPA), au-devant de la commissure antérieure. Ce prolongement est le
pied
ou pédoncule du septum. psp. Le pied du septum
rieure. Ce prolongement est le pied ou pédoncule du septum. psp. Le
pied
du septum pellucidum a la forme d'une petite band
ation plus superficielle et la direction toute spéciale des fibres du
pied
du septum permet, pour peu qu'on y fasse attentio
ermet, pour peu qu'on y fasse attention, d'éviter toute méprise. Le
pied
du septum lucidum, large en haut, au-dessus et en
ans l'espace perforé, une région plus antérieure. Elle est séparée du
pied
du septum par un intervalle d'un centimètre envir
onne insensiblement avec la substance blanche de l'espace perforé, le
pied
du septum court sur la surface de cet espace, auq
pace, auquel il n'est relié que par des filaments très délicats. Le
pied
du septum arrive par ce trajet jusqu'au côté post
-devant de la commissure antérieure (CA). Là, elle se confond avec le
pied
du septum. Elle se compose de deux couches : une
est important d'éviter. Vicq d'Azyr, qui avait reconnu l'existence du
pied
du septum, l'avait décrit sous le nom de pédoncul
x (qui aboutit, lui aussi, à l'espace perforé) est situé au-devant du
pied
du septum. — Broca, bien qu'ayant adopté la signi
a, bien qu'ayant adopté la signification attribuée par Vicq d'Azyr au
pied
du septum, a donné une description remarquablemen
degré d'évolution de la maladie. » IN'ous.pensons que l'existence du
pied
du septum ou bandelette diagonale est constante;
e du fond de Sylvius ; Tt, circonvolution temporale transverse ; pTt,
pied
de la temporale transverse ; T1, première cirvonv
'origine du pli de passage temporo-pariétal profond, mérite le nom de
pied
de la circonvolution temporale transverse. Nous
fronto-orbitaire; — soe, la troisième circonvolution frontale; — pF*,
pied
de Schéma 2o. — Face inférieure d'un hémisphère
On aperçoit en effet, à la partie externe de la région orbitaire, le
pied
de la troisième frontale (pF^), faisant saillie e
n souvent très nette entre l'opercule temporal (T^ schéma 35 B) et le
pied
de la temporale transverse (Tt, schéma 35 B). L
ascendante; F^, F-, F', première, deuxième, troisième frontales; pF^,
pied
delà deuxième frontale; 7:fA, pli d'anastomose an
obule pariétal inférieur, ou deuxième circonvolution pariétale ; pP*,
pied
du lobule pariétal inférieur; GP, lobule du pli c
nvolution naît de la frontale ascendante (F) par deux racines ou deux
pieds
(pF2, pF2). Le pied supérieur est normal; le pied
frontale ascendante (F) par deux racines ou deux pieds (pF2, pF2). Le
pied
supérieur est normal; le pied inférieur est situé
ux racines ou deux pieds (pF2, pF2). Le pied supérieur est normal; le
pied
inférieur est situé au-dessus de l'extrémité supé
aphie) dont le foyer semble précisément circonscrit dans la région du
pied
de la deuxième frontale (F2). Or le mode d'origin
frontale (F2). Or le mode d'origine de cette circonvolution par deux
pieds
distincts commande de déterminer avec soin toute
) prend naissance dans la frontale ascendante (F, schéma 58) par deux
pieds
, dont l'inférieur (wB) est situé immédiatement en
pieds, dont l'inférieur (wB) est situé immédiatement en arrière du
pied
de la troisième (F3). Ce pied inférieur est un vé
est situé immédiatement en arrière du pied de la troisième (F3). Ce
pied
inférieur est un véritable pli d'anastomose entre
ssure de Rolando; F, frontale ascendante; F2, deuxièm frontale ; pF2,
pied
de la deuxième frontale; pri, sillon prœ-rolandiq
d de la deuxième frontale; pri, sillon prœ-rolandique inférieur; pFs,
pied
delà troisième frontale; p„ sillon post-rolandiqu
xième frontale (F2), mais jusqu'à la première (F1). De cette façon le
pied
delà troisième frontale, en arrière et au-dessous
e part, nous savons que le pli d'anastomose (tcB) situé en arrière du
pied
de la troisième frontale émerge de la profondeur
tre des mouvements du membre supérieur gauche siège en partie; sur le
pied
de la deuxième frontale droite? Assurément non. L
'une indication générale. Le centre du langage articulé siège dans le
pied
de la troisième frontale gauche ; mais nous avons
dmette, par exemple, l'existence d'une lésion circonscrite (N) sur le
pied
de la troisième frontale (pF3, schéma 40). Si la
ion différente ; le centre du langage articulé ne sera plus ni sur le
pied
de la troisième frontale (pF5), ni sur l'extrémit
t. La difficulté de localisation serait encore bien plus grande si le
pied
de la troisième frontale prenait naissance à l'ex
ème sillon frontal ; F, circonvolution frontale ascendante ; pF3,
pied
de la troisième frontale ; F3, corps de la troi
convolution pariétale ascendante; P2, lobule pariétal inférieur; pP2,
pied
du lobule pariétal inférieur; GP, lobule du pli c
pi, sillon pariétal transverse ; P-, lobule pariétal inférieur; pP^,
pied
dvi lobule pariétal inférieur; p, sillon interpar
ur (prs) se confond avec le sillon prœ-rolandique inférieur (pri). Le
pied
de la deuxième frontale, qui, dans l'état normal,
ui leur est commun à toutes les trois, et qui n'est, en somme, que le
pied
dédoublé de la deuxième frontale (pF3, tcB). Mais
endante; ¥', F2, première et deuxième circonvolutions frontales; pF2,
pied
de la deuxième frontale; pF3, pied de la troisièm
me circonvolutions frontales; pF2, pied de la deuxième frontale; pF3,
pied
de la troisième frontale; t. B, pli d'anastomose
isant ainsi ce lobule en deux portions : la portion antérieure est le
pied
du lobule pariétal inférieure (pP2) ; la portion
e de Sylvius, qui sépare la première circonvolution temporale (T1) du
pied
de la temporale transverse (pTt). Quelquefois on
he postérieure» s'élève en avant de l'opercule frontal (OF), entre le
pied
de la troisième frontale (pF3) situé cil arrière,
en haut, et, entre ses deux branches de bifurcation, trouve place le
pied
de la première circonvolution frontale (pF1). En
ue en haut, et entre ses deux branches de bifurcation trouve place le
pied
de la deuxième circonvolution frontale (pF2). A s
nt s'insérer sur la frontale ascendante (F). C'est là qu'on trouve le
pied
de la première frontale (pF1), contournant l'inci
é antérieure du sillon pariétal (p). Il forme la limite antérieure du
pied
du lobule pariétal inférieur (pP2). Mais il se co
age pariéto-occipital (tu 0) ; la région inférieure est formée par le
pied
du lobule pariétal inférieur (pP2), par le lobule
calé entre ces deux genoux, la frontale ascendante donne insertion au
pied
de la deuxième frontale (pF2). A son extrémité su
se postérieur fait défaut. F2. La deuxième frontale s'insère par un
pied
unique (pF2) à la frontale ascendante (F). Elle e
rbe franchement en avant. Cette première portion de son trajet est le
pied
de la troisième frontale (pFs) ; il est limité, e
Le corps de la troisième frontale est la portion qui fait suite au
pied
; il est limité en haut parle deuxième sillon fron
ule pariétal (OP) ; l'autre moitié, la postérieure, est formée par le
pied
du lobule pariétal inférieur (pP2). La pariétal
tion sur l'extrémité inférieure de la pariétale ascendante (P) par un
pied
bien isolé (pP2). En haut il est limité par le si
ariétal inférieur (P2) que du lobe sphénoïdal. Il est au voisinage du
pied
de la temporale transverse (pTt). O1. La premiè
ui la divise en deux portions. La portion postérieure (pTt) répond au
pied
de la circonvolution temporale transverse qui fai
ui, d'avant en arrière, la première circonvolution temporale (T1), le
pied
de la temporale transverse (pTt), l'opercule du f
a scissure de Sylvius n'envoie qu'un très court prolongement entre le
pied
de la circonvolution pariétale inférieure (pP2) e
a deuxième frontale (zB) s'élever de l'opercule frontal (OF) jusqu'au
pied
de la deuxième frontale (pF2). C'est dans le tron
position des circonvolutions* Y^. La troisième frontale piésonlc un
pied
aminci (pF'), dont fait partie en réalité le pli
ème frontale prend naissance dans la frontale ascendante (F) par deux
pieds
: un supérieur (pF^) tout voisin du genou supérie
éro-postérieure. ?\ Le lobule pariétal inférieur fait corps avec le
pied
de la deuxième circonvolution pariétale (pP^) en
optique (CII). Cette portion terminale du corps calleux appartient au
pied
du septum lucidum (psp). En arrière on reconnaî
ntée par la face interne de la couche optique (Th), et il a divisé le
pied
du pédoncule (PP) à l'endroit môme où celui-ci pé
ylvius envoie une profonde branche de bifurcation supérieure entre le
pied
de la deuxième pariétale (pP^) et la deuxième par
te préparation. FP. Le faisceau pyramidal est la portion moyenne du
pied
du pédoncule cérébral. Il s'enfonce dans l'hémisp
i passe au-dessous de la bandelette optique (BO) * et qui adbère au
pied
du pédoncule (PP) dans une étendue de trois ou qu
ème frontale (F^), divisée au niveau de l'extrémité supérieure de son
pied
, se continue directement avec l'opercule frontal
e limbique (L). Mais en réalité elle en est séparée par les fibres du
pied
du septum, qui, étant ici perpendiculaires au pla
ontale, le sillon prae-rolan-dique inférieur (pri) s'enfonce entre le
pied
de cette circonvolution et sa partie moyenne; il
ns du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (69, BQP), émanent du
pied
du pédoncule. Ils sont en apparence la conlirmati
e latérale correspond exactement à la ligne de jonction imaginaire du
pied
du pédoncule et du ruban de Reil. On voit sur la
s'ajoutera à la lame latérale (Lmd). La partie la plus postérieure du
pied
du pédoncule est représentée par le faisceau de T
trer la direction du fasciculus retroflexus. PV, pont de Varole ; PP,
pied
du pédoncule cérébral ; QA, QP, tubercules quadri
nce sous le nom de faisceau de Meynert (FM), la portion des fibres du
pied
du pédoncule qui, situées à la partie la plus pos
t par le savant professeur de Vienne. Quant au faisceau postérieur du
pied
du pédoncule (FM), on l'appelle communément, à re
s remarquables, isoler le faisceau en question des autres portions du
pied
du pédoncule. Pour ne pas rompre avec l'habitude
coupe, le bord externe du mésocéphale sera toujours représenté par le
pied
du pédoncule; et ici déjà (fig. 71) c'est le pied
s représenté par le pied du pédoncule; et ici déjà (fig. 71) c'est le
pied
du pédoncule qui limite la surface de section. Un
ure et postérieure de la calotte, passe accidentellement au devant du
pied
du pédoncule. Mais ses tenant et aboutissant sont
rmale du tractvis trans-versus pedunculi (TP) à la face inférieure du
pied
du pédoncule gauche (PP). PV, pont de Varole ; GE
lotte dans l'étage supérieur du pédoncule. PV, protubérance ; PP,
pied
du pédoncule ; TM, tubercule juamillaire; cii
ntia nigra de Sœmmering, apparaît entre l'étage supérieur (TEG) et le
pied
du pédoncule ou étage infé- Vue par transparenc
rs du pont, les fibres transversales arrêtées dans leur trajet par le
pied
du pédoncule (FP) sont précisément les mêmes qu'o
stérieure du noyau rouge de la calotte (NR). PV, pont de Varole ; PP,
pied
du pédoncule cérébral ; LN, locus niger de Sœmmer
intermedium, parce qu'elles sont intermédiaires au locus niger et au
pied
du pédoncule. IS. Stratum intermedium (fig. 84).
Tiirck-Meynert (fig. 79) représente la portion la plus postérieure du
pied
du pédoncule. 11 est séparé de l'étage supérieur
al (fig. 83) commence à s'isoler du faisceau de Tùrck-Meynert dans le
pied
du pédoncule. Mais cette diflérenciation n'est ja
s genouillé pour constituer le faisceau de Tùrck-Meynert (FM) dans le
pied
du pédoncule. Elles se mêlent dans ce trajet avec
se dirige directement en avant, continuant d'abandonner des fibres au
pied
de la couronne rayonnante \ Mais, dans cette port
e, ont simplement traversé ce noyau de haut en bas pour se joindre au
pied
du pédoncule : on les 1. On appelle pied de la
en bas pour se joindre au pied du pédoncule : on les 1. On appelle
pied
de la couronne rayonnante l'ensemble des fibres q
et en dehors, et seperdau milieu des FP, faisceau pyramidal dans le
pied
du pédoncule du côté gauche. T'O, portion occip
les faisceaux de l'étage supérieur, PV. Le pont de Varole;, PP, le
pied
du pédoncule cérébral ; LN,locus niger de Sœmme
pont de Varole esL sectionné ici au milieu de la masse des fibres du
pied
du pédoncule (fig. 91). Le nombre des fibres tran
ure du pont de Varole, constituée par des fibres transversales. PP,
pied
du pédoncule. 91, coupe vertico-transversale du
loration claire. Il s'entre-croise donc avec les fibres verticales du
pied
du pédoncule. Mais il est à peu près impossible d
quelle distance du locus niger il reprend la direction des fibres du
pied
du pédoncule, attendu qu'après un assez court tra
tum intermedium ne peut plus être reconnu dans la masse des fibres du
pied
. CAO. Le faisceau tegmento-thalamique, qui s'ét
anches, passe, d'une seule traite, de la capsule interne (Cl) dans le
pied
du pédoncule, en décrivant une courbe à concavité
apsule, est un faisceau situé en avant du faisceau pyramidal, dans le
pied
du pédoncule, où ses rapports peuvent être quelqu
nsversale et la teinte foncée se perd en stries obliques au milieu du
pied
du pédoncule. Sur cette dernière coupe, on peut e
ANL. L'anse du noyau lenticulaire est le faisceau le plus interne du
pied
du pédoncule, k la face inférieure du cerveau, c'
e, vue de profil, change brusquement de direction pour passer dans le
pied
du pédoncule. Elle arrive, cheminant d'avant en a
lus compa(de, à mesure qu'arrivent dans l'hémisphère les faisceaux du
pied
du pédoncule (PPS); parmi ces faisceaux, celui de
nférieur de la capsule, ou capsule inférieure (CIF). Les faisceaux du
pied
du pédoncule qui constituent la masse fondamental
est aisé de constater que ces deux faisceaux pénètrent franchement du
pied
du pédoncule dans la capsule, en s'accolant à la
es fibres dont ces stries se composent vont directement du putamen au
pied
du pédoncule, sans s'arrêter dans le globus palli
segments internes et s'y réduisent. Après réduction, ell«s gagnent le
pied
du pédoncule, en empruntant la voie des deux lame
du noyau rouge, en dedans et au-dessus du faisceau le plus interne du
pied
du pédoncule. Ce petit noyau auquel on a encore d
le du fasciculus retroflexus ; CAO. faisceau tegmento-thalamique.
pied
de la couronne rayonnante ; elles suivent le môme
s coupes deviennent plus antérieures, accapare la presque totalité du
pied
du pédoncule. Sur la coupe 102, par exemple, le f
nse du noyau lenticulaire (ANL), la presque totalité de la section du
pied
du pédoncule. Sur cette môme coupe (102), les fib
terne, se porte en bas et en dedans, pour former le bord antérieur du
pied
du pédoncule. Mais avant d'y arriver, elle passe
e sous-optique (BSO), et qu'il se dirige en haut et en dedans vers le
pied
de la couronne rayonnante, représenté ici par le
externe de la bandelette optique (BO). Il représente, au voisinage du
pied
du pédoncule, en avant du faisceau de Türck-Meyne
102) avec la racine inférieure du thalamus (ThI) et rejoint ainsi le
pied
du pédoncule (FP, fig. 102), au-dessous duquel il
d'autres termes, que le deuxième sillon frontal s'enfonce derrière le
pied
de cette circonvolution. Ce sillon, comme on le s
pyramidal, elles suivent un trajet intra-capsulaire direct, depuis le
pied
du pédoncule jusqu'à l'écorce. Il s'agirait de ce
'espace perforé postérieur (EPP, fig. 104), au-dessus et en dedans du
pied
du pédoncule. 11 est adossé à la face supérieure
inférieur constitué exclusivement par les fibres les plus internes du
pied
, c'est-à-dire par le faisceau géniculé CFG) et l'
nous avons vue s'épuiser progressivement en haut et en dehors dans le
pied
de la couronne rayonnante et dans le locus niger
de Varole ; TM, tubercule mamillaire; FP, faisceau pyramidal dans le
pied
du pédoncule gauche (vu à droite) ; LTE, lamina t
droite) ; LTE, lamina tegmenti, située à la partie la plus interne du
pied
du pédoncule, en dedans de l'anse du noyau lentic
u lenticulaire (ANL) ; MOG, nerf moteur oculaire commun, émergeant du
pied
du pédoncule en dehors de la lamina tegmenti ;
deux fortes traînées grises (LTE) accolées, à droite et à gauche, au
pied
du pédoncule. Elles sont grisâtres, parce qu'un p
106) est sectionné au-dessus il la bandelette optique (BO) ; tout le
pied
du pédoncule est repré ciilairo (ANL), vont se
isceau géniculé est moins intime; elle occupe, à elle toute seule, le
pied
du pédoncule (fig. 107, 108, ANL), tandis que le
de la capsule interne; à partir de là, ils sont accolés aux fibres du
pied
du pédoncule. En avant du faisceau capsulaire (MF
iser dans le thalamus, est donc remplacé maintenant par les fibres du
pied
du pédoncule que nous avons appelées dans leur en
ième circonvolution temporale. Il appartient au système des fibres du
pied
du pédoncule. CI. La capsule interne (fig. 106)
t, — d'une manière presque absolument constante, — un peu en avant du
pied
de la deuxième circonvolution. Dans l'étendue mêm
rcule mamillaire (TM). En dehors du tubercule mamillaire, apparaît le
pied
du pédoncule, occupé par l'anse du noyau lenticul
andelette optique (BO, fig. 112,115) s'enfonce comme un coin entre le
pied
du pédoncule et le lobule de l'hippocampe. Cavi
le interne (FG, 111), décrit une courbe en spirale avant de gagner le
pied
du pédoncule, en dehors et au-dessous de l'anse d
n pas au-dessous de l'anse; elle repose directement sur les fibres du
pied
du pédoncule; l'anse pédonculaire est plus loin e
rieur appartiennent (ThI, schéma 172) à la racine inférieure du PP,
pied
du pédoncule; BO, bandelette optique; EPA, espace
rrière; elle est sectionnée ici au moment où elle va pénétrer dans le
pied
du pédoncule. GAP, le ganglion de l'anse, prolo
ue; TC, tubcr cinereum ; TM, tuber mamillaire; PV,pont de Varale; PP,
pied
du pédoncule, sectionné à gauche (côté droit de l
tte optique; FG, faisceau géniculé formant le bord le plus interne du
pied
du pédoncule; ANL, anse du noyau lenticulaire; PU
diane. FG. Le faisceau géniculé (fig. 111) est tout ce qui reste du
pied
du pédoncule. Le faisceau de Turck-Meynert, en ef
13) et représente la portion la plus antérieure et la plus interne du
pied
du pédoncule. Comme on peut le constater à l'exté
s vu que parmi les fibres lcnticulo-caudées, il en est qui gagnent le
pied
du pédoncule sans traverser le noyau lenticulaire
le en dehors du scptum pour former la capsule externe (CE). psp. Le
pied
du septum lucidum dont nous avons étudié le traje
et limité en dehors par l'expansion la plus anté- Vue de profil du
pied
du septum lucidum à la face interne de l'hémisphè
s faut remonter aux figures 129 et 128 pour mieux suivre le trajet du
pied
du septum d'avant en arrière. On le voit sur la c
septum lucidum ; LMV, substance ré-ticulaire du carrefour ; psp,
pied
du septum lucidum ; OLI, racine olfactive inter
ieure et une concavité antérieure. La convexité est enveloppée par le
pied
du septum lucidum (psp, schéma 197); la concavité
t il s'agit. Sur la coupe 131, le rostrum (ROS) situé au-dessous du
pied
du septum lucidum (psp), et à peu }irès confondu
Les libres du rostrum (ROS) se confondent en apparence avec celles du
pied
du septum (psp). GVE, gyrus vostibuli. s'incl
erticales, accolées au gyrus vestibuli (GVE) se mêlent avec celles du
pied
du septum (psp) ; et leur diflerencialion devient
la tête du noyau caudé (NC) en dehors du cingulum (Cm), tandis que le
pied
du septuni^ (psp) reste accolé au gyrus vestibuli
e à l'écorce du cap du lobe carré (CQ). Substance blanche. PP. Le
pied
du pédoncule aborde l'hémisphère au-dessus et en
s, coupées à peu près perpendiculairement à leur axe, représentent le
pied
du pédoncule proprement dit ; elles contiennent l
formis, envoie ses fibres à la capsule interne, mélangées à celles du
pied
du pédoncule. CEO. Les fibres cérébello-thalami
lles se recourbent en arrière et en dedans, immédiatement en avant du
pied
du pédoncule (PP, fig. 5). Elles passent alors au
franchit la ligne médiane, au-dessus de la lame terminale (LAT) et du
pied
du septum lucidum (psp). BSO. La bandelette sou
alité des fibres du faisceau de Tùrck-Meynert (FM, fig. 5), issues du
pied
du pédoncule. FM. Le faisceau de Tiirck-Meynert
Le faisceau de Tiirck-Meynert, qui représente le quart postérieur du
pied
du pédoncule (PP, fig. 3) et qui arrive à l'hémis
antérieur, dans la substance réticulaire d'Arnold, juste en avant du
pied
du septum lucidum (psp). En arrière il adhère à
e toutes les fibres qui, sur les coupes précédentes, constituaient le
pied
du pédoncule. 11 est strié par les fibres du tegm
réfléchissent de haut en bas et d'avant en arrière pour constituer le
pied
du septuni et la couche blanche antérieure de la
nnent peu à peu, de bas en haut, leurs rapports de contiguïté avec le
pied
du pédoncule, par conséquent avec le faisceau pyr
GR) et la commissure antérieure (CA) trois couches distinctes : 1" le
pied
du septum lucidum, dont les fibres verticales sec
eur de la capsule interne, strié par le fait de l'entre-croisement du
pied
du pédoncule avec les fibres de la calotte, pré
n reconnaît, d'avant en arrière le genou (GC), le rostrum (ROS) et le
pied
du septum lucidum (psp). On remarquera que le pie
ostrum (ROS) et le pied du septum lucidum (psp). On remarquera que le
pied
du septum arrive au contact de la lame terminale
u caudé (ANC, 1 et 2) passent au-dessous de lui; 4° La situation du
pied
du septum lucidum (psp, fîg. 2) derrière le noyau
la bandelette optique (BO) au niveau où celle-ci passe au-dessous du
pied
du pédoncule (PP). Le couteau a pénétré immédiate
terne et la plus antérieure du lobule de l'hippocampe (HL) : c'est le
pied
du septum lucidum, ou bandelette diagonale. Le
rémité la plus antérieure du pli précédent. PF. Pôle frontal. pF^
Pied
de la première circonvolution frontale. pF^ Pie
ôle frontal. pF^ Pied de la première circonvolution frontale. pF^
Pied
de la deuxième circonvolution frontale. pF''. P
frontale. pF^ Pied de la deuxième circonvolution frontale. pF''.
Pied
de la troisième circonvolution frontale. PGP. P
e et le lobule du pli courbe (entre P et GP). PI. Pôle de l'insula,
pied
de l'insula. PO. Pôle occipital. PP. Pied du pédo
GP). PI. Pôle de l'insula, pied de l'insula. PO. Pôle occipital. PP.
Pied
du pédoncule cérébral. pP\ Pied de la deuxième ci
de l'insula. PO. Pôle occipital. PP. Pied du pédoncule cérébral. pP\
Pied
de la deuxième circonvolution pariétale. pri. Sil
ariétal transverse. pty Deuxième sillon pariétal transverse. pTt.
Pied
de la circonvolution pariétale transverse, pli de
„............... Pentagone sous-ovalaire (PSO)................ lv
Pied
de la couronne rayonnante (LTE)............. 282
........ lv Pied de la couronne rayonnante (LTE)............. 282
Pied
de la première frontale (pF^)............... 4
......... 282 Pied de la première frontale (pF^)............... 4
Pied
de la deuxième frontale (pF^)............... 4
........... 4 Pied de la deuxième frontale (pF^)............... 4
Pied
de la troisième frontale (pF^)............... P
............ 4 Pied de la troisième frontale (pF^)...............
Pied
de l'insula (PI) (voy. Pôle de l'insula).........
.... Pied de l'insula (PI) (voy. Pôle de l'insula)........... xli
Pied
de la temporale transversale (pTt). . ,.........
. xli Pied de la temporale transversale (pTt). . ,......... l, 12
Pied
du pédoncule cérébral (PP).......... . iv, 265, 4
.. l, 12 Pied du pédoncule cérébral (PP).......... . iv, 265, 4ol
Pied
du petit hippocampe (CAL)................ lxxxi
iv, 265, 4ol Pied du petit hippocampe (CAL)................ lxxxi
Pied
du septum lucidum (psp)............. . xn, 412
tefois présence du signe de Babinski. L'excitation de la plante des
pieds
détermine de forts mouve- ments de flexion des
la plante des pieds détermine de forts mouve- ments de flexion des
pieds
sur les jambes ; différentes contractions sont qu
ent comme d'habitude en une flexion de la cuisse, de la jambe et du
pied
. Ces mouvements relative- ment faibles au momen
guère modifiée ; ce qui frappe surtout c'est l'extrême gracilité du
pied
de cette circonvolution, d'où il résulte que le
me. Ftc. i. - Première observation. Destruction presque complète du
pied
de la troisième circonvolution frontale gauche.
rolandique gauche, dans l'espoir d'extirper un néoplasme voisin du
pied
de la troisième cir- convolution frontale. Or,
elques secousses de fausse trépidation à droite ; pas de clonus ni du
pied
,ni de la rotule. Réflexe plantaire de défense.
- blissement des membres inférieurs, surtout dans les mouvements du
pied
; après 5 jours de parésie il cessa complètemen
pied ; après 5 jours de parésie il cessa complètement de remuer les
pieds
ainsi que les or- teils. Successivement apparut
lade res- sentit les premières douleurs sous forme d'arrachement au
pied
et dans les ge- noux jusqu'aux pieds inclusivem
urs sous forme d'arrachement au pied et dans les ge- noux jusqu'aux
pieds
inclusivement. Depuis six semaines, constipation
alement aux extrémités inférieures, à partir des genoux jus- qu'aux
pieds
inclusivement. Les mouvements plus vifs du tronc
ve au niveau de la ligne xyphoïde (schéma de Ed. Flatau), jusqu'aux
pieds
inclusivement ; la sensibilité tactile est égal
i arrive parfois de se tromper dans l'indication des mouvements des
pieds
. Absence de réflexes abdominaux; réflexe crémasté
'état empira sérieusement, les douleurs dans les genoux et dans les
pieds
augmentèrent ainsi que les symptômes spastiques d
de démarcation située au niveau de l'appendice xyphoïde, jusqu'aux
pieds
inclusivement. Le tableau clinique (6 mois aprè
smodique ; le genou gauche replié, commence à remuer les orteils du
pied
gauche ; redresse tant soit peu le genou droit.
à froid et il distingue convenablement le sens des mou- vements du
pied
. 40 ROTSTADT 12. Premiers symptômes des mouve
nts du pied. 40 ROTSTADT 12. Premiers symptômes des mouvements du
pied
gauche, il remue légè- rement les orteils du pi
des mouvements du pied gauche, il remue légè- rement les orteils du
pied
droit ; douleurs en ceinture au niveau de l'endro
opéré, douleurs dans les membres inférieurs. 25. Le malade remue le
pied
droit, rapproche les membres écartés, dans la d
r affaiblie depuis la ligne ombilicale (schéma de Flatau) jusqu'aux
pieds
inclusivement ; sensibilité musculaire des orteil
at normal ; seule la chaleur se fait moins sentir aux jambes et aux
pieds
, et il arrive au malade de prendre le froid pou
tômes de trépidation épileptoïde patellaire faiblissent, le clonus du
pied
droit disparait, tandis que le phénomène de Bab
ais marche lentement à petits pas, parfois il a l'air de traîner le
pied
droit ; on n'aperçoit pas cependant de symptômes
ccrus ; réflexes achilléens des deux côtés très vifs sans clonus du
pied
; réflexe plantaire sous forme de flexion dorsa
clonus du pied ; réflexe plantaire sous forme de flexion dorsale du
pied
; pas d'ataxie ; tous les mouvements vifs, volont
sibilité depuis la ligne du tronc (D. I. E plus ou moins) jusqu'aux
pieds
inclusivement. 31 août 1910. Douleurs au côté d
au de l'arc costal, souvent au sacrum. 24 septembre 1910. Clonus du
pied
bilatéral, le réflexe plantaire gau- che commen
mouvements des genoux sont plus réguliers ; il n'a pas la liberté du
pied
et des orteils droits ; les mouvements correspo
té du pied et des orteils droits ; les mouvements correspondants du
pied
gauche sont conservés mais dans une proportion
on. Contractions rapides, engourdissement douloureux de la plante des
pieds
et des jambes. Clonus du pied ; phénomène bilat
issement douloureux de la plante des pieds et des jambes. Clonus du
pied
; phénomène bilatéral de Babinski ; paralysie d
s. Clonus du pied ; phénomène bilatéral de Babinski ; paralysie des
pieds
et des orteils ; parésie des mouvements du genou
ons des hanches et des genoux, la paralysie des mouvements pour les
pieds
et les orteils (d'abord à droite). Les réflexes
tir de la ligne du tronc (d'après le schéma de E. Flatau) jusqu'aux
pieds
inclusivement; la démarche devient déplus en pl
, plein. 19. Premier symptôme de récupération du mouvement dans les
pieds
et les orteils, dans des amplitudes très limité
dans des amplitudes très limitées de force faible ; trépidation des
pieds
bilatérales ; souvent le malade donne des indicat
po- sition et la direction du mouvement des petits orteils aux deux
pieds
. 23 novembre . - Dans la position couchée le ma
'Eulenbourg. 12 décembre. - Il avance sans aide ; les mouvements du
pied
droit sont les plus faibles. 23 janvier 1911.
réapparition de la parésie du mouvement dans les articulations des
pieds
, tenu par la main, le malade avance encore, mai
uls) faibles; réflexes patellaires etachittéens exagérés; clonus du
pied
gauche, phénomène de Babinski bilatéral. 4 mars
cinq jours après le traitement, réapparition du mouvement dans les
pieds
et les orteils ; la parésie des articulations du
nément avec les douleurs sous forme de piqûre, de brûlure, dans les
pieds
, d'engourdissement des deux membres inférieurs, a
er l'extrémité inférieure droite ; il ne peut presque pas remuer le
pied
, les orteils ; La tonicité des muscles est accr
té; réflexes tendineux très vifs ; symptôme patellaire et clonus du
pied
bilatéral (clonus de droite intermittent), sign
et à la chaleur affaiblie à partir de la ligne ombilicale jusqu'aux
pieds
inclusivement. 18 juin. - La compression de la
; mouvements achilléens également très vifs avec trépi- dation des
pieds
. Signe de Babinski bilatéral ; pas de réflexes ab
e sternum et dans la cage thoracique. 20-30 juillet. Le clonus du
pied
faiblit des deux côtés. TRAITEMENT CHIRURGICAL
tion de la tonicité des muscles que dans les mouvements violents du
pied
gauche et du genou. Réflexes pa- tellaires vifs
vifs avec trépidation ; réflexes achilléens vifs et faible clonus du
pied
; le signe de Babinski persiste. Lorsque le mal
aire dans les orteils revient à son état normal ; la trépidation du
pied
disparait; les douleurs reparaissent cependant
la première opération ; en effet, deux jours après, les orteils, les
pieds
et les genoux recommencèrent à fonctionner. L'a
ut la nuit; c'était un refroidissement douloureux (d'abord dans les
pieds
et les orteils) des jambes, surtout dans la dro
. Peu après, apparaît une sensation de brûlure dans les orteils, le
pied
droit, qui gagne graduellement toute l'extrémit
rt de faible portée et à force presque nulle ; le genou droit et le
pied
n'ont pas de mouvements ; elle remue les orteils
dation patellaire ; réflexes achilléens très accrus avec clonus des
pieds
. Signe de Babinski bilatéral ; pas de réflexes
complète du sens musculaire pour les mouvements des orteils et des
pieds
; pression des vertè- bres lombaires également
es la sensibilité à la chaleur, à la douleur et le sens musculaire (
pieds
et orteils) disparaît complètement. Les sympt
ine et des fèces ; absence du sens musculaire dans les orteils, les
pieds
et les genoux ; rétention d'urine ; constipatio
s, le soir, plus rarement dans le jour, elle a des crampes dans les
pieds
et éprouve la sensation d'un courant électrique,
a jambe, elle l'accomplit dans une mesure très in- signifiante ; le
pied
droit et les orteils du pied droit ne bougent pas
s une mesure très in- signifiante ; le pied droit et les orteils du
pied
droit ne bougent pas. Mouve- ments correspondan
es, plus fortes ; toutefois la malade ne peut pas remuer du tout le
pied
gauche ainsi que les or- teils. Réflexes patell
atellaire ; réflexes achilléens de vivacité moyenne, sans clonus du
pied
; signe de Babinski bilatéral. Réflexes abdom
n passagère de courant électrique, surtout au côté droit; oedème du
pied
. 23. - Douleurs au sacrum dans la fesse droite,
ut-être un peu plus vifs à gauche. Pas de clonus de la rotule ni du
pied
. Réflexe de Bechterew-Mendel en extension. Réfl
phiques. - Peau un peu sèche. Engelures fréquentes aux mains et aux
pieds
. Retard d'ossification des os. La radiographie
érieur paralysé, les courbes qu'il décrit, l'écartement latéral des
pieds
, les mouvements du tronc et du bassin, tout cel
l'homme nor- mal ce type de marche. Placé devant l'observateur, les
pieds
rapprochés, l'individu incline le tronc dans le
'à la fin de celte phase d'oscillation latérale il touche le sol du
pied
. Le tronc se penche alors de l'autre côté, à l'in
lysé empêcherait son ad- duction complète et pendant cette phase le
pied
raclerait le sol par son bord interne, ce qui p
ers le côté contraire, et alors, an commencement de l'abduction, le
pied
malade racle le sol par son bord externe Ce n
u tibial antérieur et du postérieur (rele- veurs du bord interne du
pied
) et à celle des adducteurs de la cuisse, qu'on
a cuisse, qu'on doit attribuer le trouble, chute du bord interne du
pied
, et par conséquent son raclage pendant la phase
à celle de l'extenseur commun des orteils (chute du bord externe du
pied
) et du petit fessier ainsi que du moyen fessier (
ARCHE LATÉRALE DANS L'HHMirLEGH ! ORGANIQUE 83 avons observé que le
pied
parétique s'appuie, à la fin de chaque pas, dans
aque pas, dans un plan de plus en plus antérieur à celui de l'autre
pied
, en même temps qu'il essaye de changer la direc
arche vers le côté sain ; on y voit le raclement du bord interne du
pied
parétique, au commencement de l'adduction (1 et
ue, au commencement de l'adduction (1 et 2). On y voit aussi que le
pied
, à la fin de l'adduction, s'est placé dans un p
du membre ne produit pas le raclement du sol par le bord externe du
pied
(2, 3, 4).. b Passons maintenant à l'analyse de
e à la gauche. L'inspection des empreintes démontre le raclement du
pied
paralytique par la partie antérieur de son bord
dant l'adduction, la ré- duction du pas, la situation antérieure du
pied
malade et la modification dans le sens de l'axe
malade et la modification dans le sens de l'axe longitudinal de ce
pied
, avec tendance au change- ment du sens de la ma
le malade chemine vers le côié hémiplégique, soit vers l'autre, le
pied
paralytique se traîne toujours sur le sol. Mais c
de était debout on constatait un déplace- ment et l'entraînement du
pied
gauche. , . Aujourd'hui les contractions déterm
s (Ferreira da Costa). Quelquefois elle frappe le sol avec un des
pieds
, plus à droite qu'à gauche, comme si elle exécu
ccès est moins fort elle fait des faux pas ou frappe le sol avec le
pied
. Néanmoins la malade marche et peut traverser l
émie des organes centraux et surtout celle des zones rolandiques et
pieds
des troisièmes circonvolu- tions frontales, dro
s qui enveloppent le cadavre ; elle se jette sur lui, lui baise les
pieds
et les mains, lui adresse tout haut les paroles
r un plan ho- rizontal, divergent par leurs extrémités distales. Le
pied
aussi est court. On a remarqué une certaine ten
nomhreux cas on a trouvé que le 4e doigt de la main, et parfois du
pied
, a une base d'implantation postérieure, due à la
aux extrémités distales des membres ; les cuisses, les jambes, les
pieds
et les mains étaient fort raccourcis. Cependant
jours sain et vigoureux, de sorte qu'il peut faire de longs voyages à
pied
. Et il en profita pour gagner sa vie, surtout e
es fesses, des cuisses et des jambes sont très bien développés. Les
pieds
sont moins courts et moins larges que les mains ;
oportionellement moins raccourci que le tibia. Pour le squelette du
pied
il faut noter la brièveté et la forme extrêmement
nte et contribue à donner à Frassi l'aspect d'un petit athlète. Les
pieds
sont grands. Au pied droit le 4° orteil apparaî
onner à Frassi l'aspect d'un petit athlète. Les pieds sont grands. Au
pied
droit le 4° orteil apparaît beaucoup plus court
staux sont vifs, surtout les patellaires. Il n'y a pas de clonus du
pied
, ni de la rotule. Examen radiographique. La rad
ses correspondant aux insertions musculaires. Quant au squelette du
pied
gauche on peut noter tout d'abord qu'il est com
sures donnent respectivement : .... 170 FER RU CC 10 HAVENNA à du
pied
gauche est ;sous la dépendance d'une base d'impla
ns la suite, a la première place l'anormale brièveté du 4e doigt du
pied
gauche. Celui-ci, comme on peut facilement voir
ien. D'ailleurs ni sur les pal tiers molles, ni sur le squelette du
pied
, nous n'avons pu noter aucune trace de lésions
semblable nous n'avons pu rencontrer dans le squelette de l'au- Ire
pied
et des mains. Ce genre de dystrophie, uni à d'a
du jeu métacarpien à la main et respectivement du 4° métatarsien au
pied
. Il admet ce symptôme comme étant peut-être d'o
de MM. Franchini et Zanasi l'anomalie en question n'existait qu'au
pied
droit; point à l'égard de l'autre pied et des mai
en question n'existait qu'au pied droit; point à l'égard de l'autre
pied
et des mains. Chez l'individu étudié par M. Zos
rd inférieur de la maléole externe : 19 centimètres. La longueur du
pied
, du calcanéum à l'ex- trémité unguale du gros o
l semble normale et leurs proportions rela- tives conservées. Les
pieds
surtout celui du côté gauche sont plats. Le mal
e droite ; 24 centimètres ; gauche : 23 centimètres. La longueur du
pied
droit : 22 cent. 5 ; gauche : 23 cent. 5. La ra
excitation plantaire ne détermine aucune réaction. Pas de clonus du
pied
. Les mouvements volontaires des dill'érents seg
n jeune étudiant de 19 ans, qui se plaignait d'une hyperhydrose des
pieds
, très accentuée depuis 3 semaines. En outre, en
u à la polyclinique demander conseil au sujet de l'hyperhydrose des
pieds
, dont la fétidité occasionnée par la sueur le g
ées s'exagèrent .quand oh comprime le pli du genou, le mollet ou le
pied
correspondant. Les jours suivants les douleurs
ent le genou légèrement fléchi, et la jambe renversée en dehors, le
pied
s'appuyant sur le lit par son bord externe, tan
ndis que sa face interne regarde légèrement en dedans, la pointe du
pied
est tombante. Cette chute du pied est permanente,
égèrement en dedans, la pointe du pied est tombante. Cette chute du
pied
est permanente, même quand nous lui demandons d
us lui demandons de le soulever, comme elle fait d'ailleurs avec le
pied
sain (fig. 1) ; mais la malade peut abaisser le
lleurs avec le pied sain (fig. 1) ; mais la malade peut abaisser le
pied
malade si nous lui soulevons passivement la poi
isser le pied malade si nous lui soulevons passivement la pointe du
pied
. Elle est incapable de tourner le pied en dedans,
ons passivement la pointe du pied. Elle est incapable de tourner le
pied
en dedans, si nous l'avons redressé d'avance, m
dyses- thésie pour les sensations thermiques sur le bord externe du
pied
. Du côté du membre inférieur droit on n'observe
lètement, sauf une certaine sen- sation de brûlure sur la plante du
pied
. 20. - La malade commence à marcher, mais elle
pied. 20. - La malade commence à marcher, mais elle steppe avec le
pied
gau- che, car il lui est impossible de soulever
e pied gau- che, car il lui est impossible de soulever la pointe du
pied
. 23. La malade très améliorée quitte la Materni
a timi- dité et la peur de la vérole. D'ailleurs dès qu'il remet le
pied
sur le bateau, il ne tarde pas à tout oublier e
gauche qui s'étend ensuite aux mains, au visage, au cou, moins aux
pieds
, avec pigmentation intense de la peau. Après qu
, apparurent à la suite sur les deux genoux, sur la face dorsale du
pied
, et quelques-uns isolément sur le front jet sur l
voir dans la photographie ci-jointe (Voir Fig. 3, PI. XLIII). Aux
pieds
il y a encore des plaques disséminées au talon et
ns les régions sclérosées. L'aponévrose plantaire est rétractée, le
pied
est plat et le talon, à cause de la rétraction de
t la myosite interstitielle sont bien démontrées (Voir Fig. 7). -
Pieds
. Ici encore la radiographie met en évidence de vé
e la SALYETRILRE. T. XXVI. Pl. XLV SCLÉRODERMIE Radiographie du
pied
et du genou. (Bertolotti). Masson & Cie,
des de sclé- rose les plus accusées (coude, genou,,face dorsale des
pieds
), de petits nodules indurés remplis d'une subst
uelques endroits des crevasses ; tout ceci prédomine en arrière des
pieds
et encore davantage entre les orteils ; à ces end
eau est plus dure que normalement et ici et là entre les doigts des
pieds
se trouvent de petites papilles. De plus on peu
trouvent de petites papilles. De plus on peut encore constater aux
pieds
que les ongles sont anor- malement petits. La p
jambes, et de plus, après avoir été questionné, il raconte que ses
pieds
ne sont jamais vraiment froids, mais plutôt chaud
signes de troubles trophiques, tels que les petits ulcères sur les
pieds
et à la cuisse, la rugosité particulière de la pe
s papilles entre les orteils, la mauvaise croissance des ongles des
pieds
, el la grosseur des testicules des deux côtés,
l'eau ou du lait, je ne sais pas, là (elle montre son bras), et au
pied
. C'est tout. Mon mari avait voulu à l'hospice e
diques et de la 3e circonvolution frontale, aussi bien au niveau du
pied
, qu'au niveau du cap et de la région orbitaire (P
moins. Le réflexe patellaire est très exagéré, mais le phénomène du
pied
ne peut être cons- taté, pas plus que la trépid
partie antérieure de la scissure de Sylvius, couvrant le cap et le
pied
de la 3" frontale, l'opercule frontal, la partie
, elle écrit, grot. L'écriture des mots usuels est conservée (main,
pied
, rue, chemise, panta- lon). Celle des phrases e
olution frontale, dont la plus grande partie a été détruite (cap et
pied
). C'est à ses dépens ainsi qu'à ceux de l'operc
ieures du lobe frontal. Fibres de projection. Voie pédonculaire. Le
pied
du pédoncule est dé- généré dans sa partie moye
e de l'hémisphère gauche de Chass... - Porencéphalie, comprenant le
pied
et le cap de la 3* circonvolution frontale, la mo
moyenne, le tho- FiG. 1. - Le malade danse, saute sur la pointe des
pieds
; les bras sont toujours fléchis et agités de h
bout, on constate qu'il se met à danser. Il danse sur la pointe des
pieds
avec beaucoup de souplesse, sautant d'un pied s
se sur la pointe des pieds avec beaucoup de souplesse, sautant d'un
pied
sur l'autre. Mais les mouvements qu'il exé- cut
lé des cris étranges, sauvages. Il lui arrive de ne pas sauter d'un
pied
sur l'autre, mais de soulever les deux pieds à
e de ne pas sauter d'un pied sur l'autre, mais de soulever les deux
pieds
à la fois. Par moments encore il porte les deux
rs la jambe droite sur la cuisse gauche, frappe de la main droite son
pied
droit, agite la tête activement, crie, chante,
e et en flexion des deux côtés. Pas de trépidation épi- leptoïde du
pied
ni de la rotule. Il n'existe pas de troubles de
le et il n'existe pas de troubles trophiques du côté des ongles des
pieds
. Les organes génitaux sont à peine développés ;
t le malade debout, on voit qu'il écarte d'une manière exagérée ses
pieds
, augmentant de cetle façon son polygone de susten
tation. La marche est traînante, lenle, avec le même écartement des
pieds
. L'agilité naturelle de son âge lui manque. Pou
« tête énorme et déformations presque symétriques des mains et des
pieds
sans aucune déformation des os longs des membre
'ont pas de lésions spéciales même à la Radiographie ; de plus, les
pieds
sont normaux. 5° L'acromégalie pourrait être en
5° L'acromégalie pourrait être envisagée, mais chez notre malade,
pieds
, mains et thorax sont normaux. Seule l'extrémité
qué ailleurs (1) que les petits os des extrémités, des mains et des
pieds
, prennent très souvent part au processus. Nous av
fig. 1), toute (1) ANDRÉ LÉRi, Les lésions des extrémités, mains et
pieds
, dans la maladie de Paget. Société médicale des
ettement les caractères acromégaliques de la tête, des mains et des
pieds
(Voir Pl. LXXI). Il y a du prognathisme du maxill
leur état s'est trouvé très mauvais et ils ont presque disparu. Les
pieds
ont tous les caractères des pieds acromégaliques,
s et ils ont presque disparu. Les pieds ont tous les caractères des
pieds
acromégaliques, et y a .aussi des troubles trop
conographie DE la Salpêtrière. T. XXVI. Pl. LXXII DÉFORMATIONS DU
PIED
CHEZ LES TABÉTIQ.UES 1 et 2. Pied tabétique. -
XXVI. Pl. LXXII DÉFORMATIONS DU PIED CHEZ LES TABÉTIQ.UES 1 et 2.
Pied
tabétique. - 3. Pied bot tabétique. - 4. Pied bal
ORMATIONS DU PIED CHEZ LES TABÉTIQ.UES 1 et 2. Pied tabétique. - 3.
Pied
bot tabétique. - 4. Pied ballant tabétique. (Pi
S TABÉTIQ.UES 1 et 2. Pied tabétique. - 3. Pied bot tabétique. - 4.
Pied
ballant tabétique. (Pierre Marie et Boitiller).
ARIS sénvc : DU 6 NOVEMBRE 1913 SUR UNE VARIÉTÉ DE DÉFORMATION DU
PIED
CHEZ UNE TABÉTIQUE, PAR PIERRE MARIE etBOUT
ans leur histoire est l'étude des déformations que présentent leurs
pieds
et qui semblent répondre à des types cliniques
ts (Pl. LXXII). Chez le premier malade nous observerons en effet le
pied
tabétique de Charcot et Féré; il y a un affaiss
lantaire tel que celle- ci devient plate, une tuméfaclion du dos du
pied
surtout marquée au ni- veau des articulations t
ississement du bord interne qui est arrondi, un raccourcissement du
pied
avec une immobilité très marquée des différents
ement des mouvements de flexion, d'extension et de circumduction du
pied
. La lésion est bila- térale et l'intégrité fonc
e par ses caractères cliniques nous semble être la défor- mation du
pied
que présente notre troisième malade. Ici lorsque
nous 474 MARIE ET BOUTTIER imprimons un mouvement à la jambe, le
pied
est secoué dans tous les sens : il est. « balla
mouvements qu'elle imprime aux orteils sont pour ainsi dire nuls. Le
pied
est un peu cambré, les doigts sont légèrement f
nt fléchis sans contracture : on n'observe pas là de déformation du
pied
qui soit comparable à celle qui constitue le pi
atre années en constitue le dernier caractère. Au niveau de l'autre
pied
en effet, c'est à peine si on note une légère m
ctuelle les altérations physiques et fonctionnelles que présente le
pied
de cetle malade, on cons- tate qu'elles ne rent
tle malade, on cons- tate qu'elles ne rentrent ni dans le cadre des
pieds
tahétiques de Charcot ni dans celui des bots ta
r le pied-bot tabétique. Le diagnostic de notre dernier cas avec le
pied
tabétique se pose à peine : énorme déformation
ostéo-articulaires. Le pied-bot tabétique se 'différencie de notre
pied
ballant par l'inté- grité presque complète des
vOGEAYF11E DE LA SALPÈrIULHE. r. xxvi. PI. L7CRI11 DÉFORMATION DU
PIED
CHEZ UN TABETIQUE Pied ballant chez un tabétiqu
LHE. r. xxvi. PI. L7CRI11 DÉFORMATION DU PIED CHEZ UN TABETIQUE
Pied
ballant chez un tabétique. (Pierre Marie et Bou
r). Masson & Cie, Éditeurs. SUR UNE VARIÉTÉ DE DÉFORMATION DU
PIED
CHEZ UNE TARETIQUE 475 Il semble donc que nous
présence non pas à proprement parler d'une déformation tabétique du
pied
avec lésions articulaires, mais bien de phénomè
erne de la jambe du côté gauche, auraient déterminé une attitude du
pied
absolument comparable à celle qu'on observe dans
toujours est-il que cliniquement la déforma- tion présentée par le
pied
de cette malade tabétique semble rentrer dans u
pe de faits que les déformalions bien classiques qui constituent le
pied
tabétique d'une part, le pied-bot tabétique d'aut
-neuf ans. Elle était congénitale et ne portait que sur un côté. Le
pied
gauche était absolument normal Le malade ne p
hie du le', à l'atrophie légère des 4e et 5*, les autres parties du
pied
offrant des dimensions normales. Le 2° orteil est
l est particulièrement énorme. La partie antérieure de la planle du
pied
forme une grosse tubé- rosité correspondant aux
-phalangiennes. Tandis que le diamètre antéro-postérieur maximum du
pied
gauche mesure 23 centimètres, celui du pied dro
o-postérieur maximum du pied gauche mesure 23 centimètres, celui du
pied
droit mesure 27 centimètres. Ce dont il était d
ont été artificiellement placés sur la figure à la face dorsale du
pied
, dans le but de les mettre en vue. TROPHOEDÈME
ureux dans la jambe gauche, qui descen- daient jusqu'à la plante du
pied
. Avec le progrès de la maladie, la force muscul
able. 28. Le malade marche seul sans s'aider, mais à petits pas. Le
pied
est tombé. On note un degré de steppage. 25 m
5 mai. - La sensibilité vibratoire est reparue au niveau des os des
pieds
. 25 septembre. Le malade est presque complèteme
sté- rieure du -), par Raimiste et NEIDING, 245. Déformation du
pied
chez une tabélique, par et BOUTTIER, 4Î3 Déma
aux et le spasme facial essentiel), par Pitres et Au IUlE, 365.
Pied
(Une variété de déformation du - chez une tabét
z un -), par Gou- ntès, 242. - (Sur une variété de déformation du
pied
chez une -), par Marie et BOUT11r : U, 473. T
316. 480. BOUTTICR et P. Marie. Sur une variété de déformation du
pied
chez une tabétique, 473. CASINO (AlOygiO de)
2. Marie (Pierre) et LIOUTTIER. Sur une variété de déformation du
pied
chez une tabé- tique, 473. Marinesco G.) et G
Sein hystérique (Charon et Counnos). XVIII. Tabes, déformation du
pied
(Marie et Bouttier), LXX et LXXIII. Trypanoso
amarginalis. les autres (Schupfer, Weisenburg,Poggio) le situent au
pied
de F'. Le cas que nous avons observé et qui a l
dante, partie moyenne, le long de la lèvre rolandique et en face du
pied
d'insertion de la 2e circonvolution frontale.
on de Rolando sous la frontale ascendante en face de l'insertion du
pied
de F2, mais sans empiétement sur celle-ci. Celt
est particulièrement marqué. Les ongles sont très lésés. , ... °
Pieds
. Les accidents remontent ici à trois ou quatre an
DE la Salpêtrière. T. XXVII. PI. III Main gauche. Main droite.
Pied
droit. ACRODACTYLOPATHIE HYPERTHROPHIANTE Rad
stérieure de l'épiphyse distale. Le mêmes lésions se retrouvent aux
pieds
. Ici encore, la phalangette est exclusivement o
e malade devient inquiet, les troubles sont déjà considérables. Les
pieds
et les mains sont énormes, les doigts hyper- tr
té congénitale). Très souvent c'est l'hypertrophie des mains et des
pieds
qui éveille l'attention, et le médecin pense à
ressant nous est donné par l'association de la polydactylie avec le
pied
bot con- génital, ainsi que Marsch l'a démontré
les deux présentaient uneexa- daclylie bilatérale et symétrique aux
pieds
(2). Toutefois il est encore permis de faire-ob
la Salpêtrière. T. XXVII,. Pl. VII Main gauche. Main droite.
Pied
droit. POLYDACTYLIE Observation Margueritte.
t, tandis que la main gau- che présente une disposition normale, au
pied
droit nous constatons le dédoublement des rayon
enfin la bifurcation du Ve rayon métapodial est très nette pour le
pied
gauche. C'est encore le cas de faire observer q
membre, présente un nombre des phalanges inférieur (main) ou égal (
pied
) au nombre des articles phalangiens du doigt plac
d'un autre cas d'acrogigantisme localisé au V- rayon métapodial du
pied
; de tels exemples, bien que peu ou pas décrits
tellement, qu'il dort presque tout le jour. Quand on le met sur les
pieds
, il se tient tout à fait raide, il marche à pet
er l'état physique s'aggrave lentement. Les oedèmes se montrent aux
pieds
et aux mains. Pendant la dernière semaine du mois
restait toujours bon. Ascite depuis 3 mois, avant 2 mois oedème des
pieds
, 9 enfants, 1 abortus. Pas grand buveur (4 verr
rand développement. Les extrémités prises furent successivement les
pieds
, le nez et les coudes. C'est au niveau des pied
ccessivement les pieds, le nez et les coudes. C'est au niveau des
pieds
que nous avons observé les lésions les plus mar-
les lésions les plus mar- quées (Pl. XIII). Tout à fait typique au
pied
droit, l'asphyxie locale s'est com- pliquée, à
u du 3e orteil (et ceci explique l'aspect un peu différent des deux
pieds
sur la photographie ci-coutre). t' En fait, d
u de l'hypoglosse. - Oi, olive bul- baire. Os, olive supérieure. P,
pied
du pédoncule. Pci, Peu, Pcs, pédon- cules céréb
xiste de la danse de la rotule, et de la trépidation épileptoïde du
pied
. Le réflexe cutané plantaire se fait à droite e
ession très rapprochée, exten- sion des orteils, flexion dorsale du
pied
, flexion de la jambe et ascension du genou. Que
dès qu'on l'excite en un point). Le pincement de la peau du dos du
pied
suffit à provoquer un vif mouve- ment de flexio
La notion de position est très troublée. Les attitudes données aux
pieds
et aux jambes ne sont nullement perçues ; la fl
bres inférieurs, on ne retrouve plus cette appa- rente symétrie; le
pied
gauche présente des proportions énormes et la d
re du calcaneum à celle du gros orteil, on trouve comme longueur du
pied
gauche 34 centimètres ; elle n'est que de 24 à
ntimètres, le deuxième orteil de 12 centimètres. La conformation du
pied
droit est celle d'un pied normal (PI. XXVI et X
eil de 12 centimètres. La conformation du pied droit est celle d'un
pied
normal (PI. XXVI et XXVII). Couché sur un pla
a jambe gauche, qui garde des dimensions normales et gagne enfin le
pied
gauche,, où elle atteint les plus extrêmes limite
elle atteint les plus extrêmes limites. L'examen radiographique du
pied
montre l'hypertrophie osseuse des phalanges des
cette dernière, et en ne considérant que les lésions osseuses, les
pieds
comme les mains sont élargis et épaissis, camards
son quartier, il recommence invariablement son sautillement sur le
pied
droit. Le travail exerce là une suspension évid
rtoir ou dans la cour, il ne va jamais qu'en sautillant sur un seul
pied
, toujours le même. Au contraire, ainsi que nous
cuiller ou un verre les fait souffrir. Ils n'apprécient pas avec les
pieds
nus la froideur du sol ; mais en revanche, ils
er à cause de la douleur que leur cause la pression sur la peau des
pieds
. Aussi beaucoup gardent-ils le lit, et encore,
ain temps d'anesthésie, des altérations trophiques des mains ou des
pieds
. Quoique la présence de zone d'hypoeslhésie ou
dans une plaque plus pu moins arrondie. La figure 6 représente les
pieds
de la malade correspondant à la figure 8 ; la p
tion faite d'une plaque arrondie qui existe dans le côté interne du
pied
gauche, qui est sans points marqués à l'encre ;
chez beaucoup de ces malades l'anesthésie des tissus pro- fonds des
pieds
. Et en même temps, par l'effet du processus névri
pereslhé- sie articulaire. Les mouvements passifs qu'on imprime aux
pieds
produi- sent de la douleur et la marche est for
que la station debout et la marche me fassent souffrir beaucoup des
pieds
, je ne peux pas dire si je marche sur le sol ou
eur diagnostique. Pour trouver l'anesthésie des tissus profonds des
pieds
quand elle n'est pas très manifeste, nous devon
faut examiner successivement l'étal de sensibilité des segments des
pieds
, en commençant par les articulations plus distale
t par ces tissus profonds et ils peuvent marcher avec un morceau de
pied
seulement. En présence de faits de cette sorte, c
uel nous avons insisté. Le contraste que, sensoriellement, forme le
pied
tabétique avec le pied lépreux cause en réalité
Le contraste que, sensoriellement, forme le pied tabétique avec le
pied
lépreux cause en réalité de l'étonnement Chez b
hésie articulaire. En revanche, dans un grand nombre de mains et de
pieds
lépreux avec anesthésie cutanée el mutilations, l
ste, peutse limi- ter pendant longtemps à quelques articulations du
pied
seulement; chez d'autres, elle existe pour l'ex
Chez d'autres encore, t'anesthésie articulaire existe pour tout le
pied
. Dans le tabès, surtout dans sa période ataxique,
ique, on trouve la dite anesthésie dans toutes les articulations du
pied
. Je dois avouer que l'anesthésie articulaire de
correspondants. L'homme dans la figure 15, auquel appartiennent les
pieds
mutilés représentés par les figures 13 et li, q
ymptômes nerveux consistent en aneslhésie incomplète de la peau des
pieds
; anesthésie des attitudes segmenta ires pour la f
anesthésie des attitudes segmenta ires pour la flexion plantaire du
pied
gauche ; paresthésies dans les jambes avec douleu
ui d'un h;lteau. Les genoux fléchissent moins que normalement et le
pied
, en tombant, produit un bruit quelquefois perce
, à chaque pas il se produit un choc brusque sur toute la plante du
pied
. Cette secousse, du fait- que le genou reste mo
e (différent du type non paralytique dont je parlerai plus bas). Le
pied
pendant, figure 22, et la marche en steppage, fig
té profonde, fait que beaucoup de malades, ayant : des mains et des
pieds
en période avancée d'atrophie musculaire et mêm
jambier antérieur, spé- cialement du côté droit. Et, cependant, les
pieds
ne sont pas pendants et le malade dans sa march
duction comme le démontre la figure 23, dans laquelle là pointe du
pied
se voit en contours diffus à cause de son mouve
, dans beaucoup de cas, exagérés ; et dans maintes occasions où les
pieds
et les jambes présentent des lésions névri- liq
, il y en a d'autres où avec l'existence des mêmes lésions dans les
pieds
et les jambes, les réllexes ont le type normal et
rrespondante, compensée bien des fois après un certain temps, et le
pied
pendant, état qui se corrige au moyen d'un appare
l est jeune et si on préserve de l'hu- midité et des frottements le
pied
du côté opéré, la croûte peut alors cons- titue
celle protection peut persister jusqu'au retour de l'innervation du
pied
par la régénération nerveuse (Voir à ce sujet l
voir, après un certain temps, se présenter chez lui le sphacèle du
pied
de guérison difficile, et toutes les autres con
femme lépreuse respectivement. On la retrouve dans le même doigt du
pied
de la figure 52 qui appartient au jeune homme d
ressé le 172 BARRAQU13R grand sciatique, et dans le même doigt du
pied
exposé dans la figure 53 qui se rapporte à une
a figure 54 et les premier, deuxième et troisième métatar- siens du
pied
de la figure Ils. Ces images sont assez semblab
e la figure 55, dans la deuxième pha- lange du petit doigt, dont le
pied
appartient à un cas de cette maladie. Il y a un
figure 58 dont il ne reste que des vestiges. La figure 59 dont les
pieds
représentés appartiennent à un tabétique. montr
er métatarsien ; on voit aussi la raréfaction osseuse dans les deux
pieds
, surtout dans les phalanges du gros orteil droi
s du gros orteil droit. L. J'ai déjà indiqué que le squelette des
pieds
de la figure 53 qui appar- tient à une femme ta
oup le plus commun, par les membres inférieurs, prenant d'abord les
pieds
, puis les jambes, enfin la partie inférieure de
jour qu'il a de la peine mettre ses chaus- sures, un autre que son
pied
lourne en marchant, etc... Voici le premier de
Marie : « Atrophie musculaire progressive envahissant d'abord les
pieds
et les 180 SOUQUES jambes, ne se montrant aux
rs. Deux symptô- mes frappent au premier abord : la déformation des
pieds
et l'atrophie musculaire portant sur les jambes
cuisses, toutes lésions parfaitement symétriques (PI. XXXII). Les
pieds
sont en varus équin, le varus étant plus accentué
.. (âgé de 47 ans), présente une atrophie encore plus marquée : les
pieds
ont une déformation très analogue, en double va
nels. Ces deux malades ne peuvent se tenir debout, il est vrai, les
pieds
nus, car leurs pieds déformés, entièrement para
s ne peuvent se tenir debout, il est vrai, les pieds nus, car leurs
pieds
déformés, entièrement paralysés el ballants, ne
fournissent, pas une hase stable ; ils ne peuvent davantage marcher
pieds
nus. Mai s. munis de chaussures or- thopédiques
F... chez lequel on ne peul noter qu'un peu de refroidissement des
pieds
. Chez S..., au contraire, ils sont très accusés
contraire, ils sont très accusés : refroidissement considérable des
pieds
, des jambes, des genoux, sans qu'il y ait cepen
hésie superficielle et profonde à tous les modes, siégeant aux deux
pieds
, remontant jusqu'aux chevilles et sur la partie e
lantaire n'existe pas, ce qui semble dû à l'atrophie des muscles du
pied
. Je dois signaler ici que M. et Mme Long ont sign
istales. Je résumerai ces altérations en disant que les muscles des
pieds
, des jambes et des mains sont iiiexciuibles au
er sans ses béquilles. Les réflexes tendineux sont tous abolis. Aux
pieds
et aux mains il y a hypoesthésie superficielle
trales et intéressaient surtout la région operculaire, y compris le
pied
de la troisième circonvolution frontale. Donc,
de cette région que siège le centre cortical du noyau rouge. Que le
pied
de la troisième circonvolution frontale, cepend
ue prend naissance au niveau de la région operculaire, y compris le
pied
de la troisième circonvolution frontale, et, se
une topographie analo- gue, mais s'étendent en avant jusque dans le
pied
de la troisième circon- volution frontale, en d
(gyrus supramarginalis et pli courbe) ; dans un autre, il occupe le
pied
de la troisième circonvolution fronlale; dans un
e temporal ; b) du lobe frontal etc)de la région operculo-centrale (
pied
de la troisième frontale, insula et partie avoisi
ssez faihlement. La capsule interne se poursuit directement daus le
pied
du pédoncule cérébral et paraît tout à fait norma
xterne (Pl. XXXV-C) et se trouve ainsi à sectionner complètement le
pied
de la couronne rayonnante et à détruire le tier
de Luys vers le noyau rouge, puis elle descend directement dans le
pied
du pédoncule cérébral. Au niveau de la couche o
dans, traverse la capsule interne à l'endroit où celle-ci s'unit au
pied
du pédoncule cérébral. On dirait que la dégénér
niveau, du locus niger, lequel renferme, immédiatement en dedans du
pied
du pédoncule, un bâtonnet incolore parti- culiè
stater ainsi que la zone dégénérée qui sépare la capsule interne du
pied
du pédoncule cérébral. Cette zone paraît être plu
etit foyer lacunaire occupe l'angle qui sépare le faisceau arqué du
pied
de la couronne rayonnante, et contribue sans do
, moins intense qu'auparavant, peut être suivie directement dans le
pied
du pédoncule cérébral. Au niveau de la couche o
du corps de Luys. Ramollissement peu ancien intéressant surtout le
pied
de la troisième circon- volution frontale gauch
ne de l'hémisphère, ce foyer semble se limiter assez étroitement au
pied
de la troisième circonvolution frontale et n'in-
ir- conscrit, on voit qu'en réalité la lésion détruit totalement le
pied
de la troisième circonvolution frontale et qu'e
xterne du ventricule latéral où elle sectionne la majeure partie du
pied
de la couronne rayonnante. A cet endroit, le ramo
t, le ramollissement atteint di- rectement la substance profonde du
pied
de la deuxième circonvolution fron- tale et se
nde de l'opercule rolandique et même dans la zone sous-corticale du
pied
de la troisième circonvolution frontale. Au nivea
nce profonde de l'opercule rolandique et atteint le bord externe du
pied
de la couronne rayonnante. Il en résulte une déco
la région operculo-centrale, c'est-à-dire la région de l'insula, le
pied
de la troisième circonvolution frontale, l'oper-
de la capsule interne pour se rendre aux ganglions cen- traux et au
pied
du pédoncule cérébral. Ces lésions entraînent, au
poignets sont manifestement élargis. Aux membres inférieurs, les
pieds
(PI. XL, fiez) élargis, épaissis, pré- sentent
1914. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVII. PL. XLI
PIED
ACROMÉGALIQUE PIED NORMAL (CluZel et L. Lévy)
nographie DE la Salpêtrière. T. XXVII. PL. XLI PIED ACROMÉGALIQUE
PIED
NORMAL (CluZel et L. Lévy) Masson & Cie,
e nom de poil/-syndactylie. Il s'agit d'un homme de 35 ans dont les
pieds
et les mains présentent la conformation suivant
le bord cubital : les autres doigts sont libres (PI. XLIV). - Aux
pieds
on observe une disposition très sensiblement symé
s com- plexes. Il ne s'agit de syndactylie pure ni aux mains ni aux
pieds
. Le squelette de la main gauche, quoique simple
angette un angle ouvert du côté radial. L'examen radiographique des
pieds
donne des indications concordantes. Chacun d'eu
rteils ; l'orteil supplémentaire appartient au bord externe. Sur le
pied
droit, cet orteil dépend du 4e orteil normal ;
eils enlre lesquels il se trouve (Pl. XLV, XLVI). La disposition du
pied
gauche esl, à ce point de vue, bien plus curieuse
e rapporte à l'un des orteils normaux. Aussi, tant aux mains qu'aux
pieds
, )'apparente syndactylie dissimule une polydact
en effet que la polydactylie est accompagnée, tant aux mains qu'aux
pieds
, de syndactylie. Or, de même que nous n avons pas
remarquable publié par Chambrin (3), relatif à un homme dont chaque
pied
possède huit orteils, tous en syndactylie et dont
- nées du muscle extensor hallucis, les excitations de la plante du
pied
ne provo- quent pas un véritable réflexe de Bab
assez légères, mais la zone réflexogène ne déborde pas la plante du
pied
. Si nous prions le malade de fléchir le genou,
de là bonne formule d'inner- .vation musculaire, les extenseurs du
pied
sont en forte contraction. Pour mettre le talon
rps est en mouvement continuel et il risque des chutes. Mis sur les
pieds
, le dos est légèrement courbé ; le tronc et la tè
Les pas sont petits, le mouvement est assez rapide. En général les
pieds
sont très peu levés, ils ne perdent presque pas l
rdent presque pas le contact avec le sol ; de temps en temps un des
pieds
est levé très haut. Parfois il s'arrête tout à co
de retrait des membres inférieurs après excitation de la plante du
pied
sont vifs, mais la zone ré Il exogène ne dépass
ou- pes de muscles : les genoux étaient mis en forle extension, les
pieds
et les orteils en flexion plantaire ; c'est à p
aient et siègent encore actuellement au niveau du genou, du cou-de-
pied
et des mains; elles apparaissent brusquement et d
ois à la Pitié, étant pris de tels étourdissements dès qu'il met le
pied
à terre qu'il doit garder complètement le lit.
ouleurs fulgurantes typiques ; douleurs en éclairs allant du genou au
pied
. Des crises gastriques et laryngées ont apparu
se sous-cutanée. Ils se présentent habituellement en extension. Les
pieds
sont en équinisme accentué, avec un léger degré d
one d'hypoes- thésie très accentuée sous la plante et sur le dos du
pied
, pour les trois modes : contact, douleur, sensi
ndément altérée. La baresthésie est à peu près abolie au niveau des
pieds
; elle est diminuée partout ailleurs et en part
immobiles lors d'excitations de la piaule. On ne note ni clonus du
pied
, ni réflexes de défense. Les troubles des sphin
er une sensation subjective de froid au niveau des mains et non des
pieds
; cette sensation n'est pas perçue objective- m
ire gauche mélatrazcnzatique. Forme clinique curable. - Fracture du
pied
droit, limais plus tard hémiparaplégie gauche,
L'amélioration continue en octobre et permet quelques promenades à
pied
et la diminution des remèdes. Il y a même des jou
plutôt exagéré, carac- tère légèrement spastique. Pas de clonus du
pied
. Réflexe plantaire; adroite la piqûre provoque
xe plantaire; adroite la piqûre provoque un redressement de tout le
pied
; à gauche, abaissement des quatre derniers ort
més. L'utérus est infantile. Il y a un genu valgum bilatéral et les
pieds
sont plats. La menstruation se fait normalement
et des mu- nonucléaires : UN CAS DE DYSTROPHIE HYPOPHYSAIRE 321
pied
plat. Un tel syndrome nous fait admettre une dyst
dans celle dystrophie, et ils l'ont attribuée à une compression du
pied
du pédon- cule et se demandent en même temps si
rganes génitaux ont le rôle prépondérant, on a l'aspect eunuchoïde (
pieds
plus longs que d'habitude), quand la prépondé-
ait que nous rencontrons dans notre cas, c'est le genu valgum et le
pied
plat, C'est un fait sur lequel on a peut-être tro
la possibilité d'un rapport entre le coxa vara, le genu valgum, le
pied
plat et la dystro- phie adiposo-génitale (cité
. inférieurs, seule l'extrémité inférieure gauche est atypique ; le
pied
gauche est légèrement plus volumineux que le droi
Saillie légère d'une bosse frontale gauche ; Hypertrophie légère du
pied
gauche ; Cheiromégalie surtout du même côté, ca
aint-flilaire, Moebius, Trélat et Monod, Duplay, Mouchel), les deux
pieds
(Clutlon [3]), une main (Apert [4]). Mais dans
dis qu'ils sont normaux et libres au-dessous de cette commissure; au
pied
gauche, le ° ? 8 et le 3" orteils sont soudés à
s ; ils présentent donc une soudure inverse de celle des doigts. Au
pied
droit tous les orteils sont normaux. Evidemment
mites de la vraisemblance. Et ce n'est pas tout : la syndactylie du
pied
ajoute encore à l'invraisemblance. Ici encore,
M. DERVAUx, Syndactylie terminale des deux mains et syndactylie d'un
pied
. Société d'obstétrique de Paris, 1909. ÉTUDE
us très complexe portant sur l'ensemble des tissus de la main ou du
pied
et d'où résulte aussi bien le mode de différencia
u : des deux côtés, la jambe est grêle, incurvée et terminée par un
pied
portant seulement les deux premiers orteils. L'ax
e par un pied portant seulement les deux premiers orteils. L'axe du
pied
continue directement celui de la jambe, le talo
he ils sont disposés^ J perpendiculairement à l'axe longitudinal du
pied
. , A la palpation, on constate effectivement un
'on ne peut non plus distinguer les uns des autres les divers os du
pied
. On ne remarque aucune particularité notable su
onnées, elles porteraient sur le squelette entier de la jambe et du
pied
; celui-ci serait fortement comprimé contre cell
sur l'organisme entier et localisé dans la région de la jambe et du
pied
. Car il est inadmissible qu'une déformation tra
embres très contractures du côté gauche. Le réflexe de la plante du
pied
gauche montre à l'état continu, tant après que pe
particulièrement pénible; en marchant, si je frappe un peu dur les
pieds
sur le sol, ça me sonne dans la tête. Je ne peux
ouleurs dans les membres inférieurs, surtout dans les jambes et les
pieds
, douleurs qui durent depuis quelques mois, l'em
andes dimensions, de type à la fois charnu et acromé- galique ; les
pieds
de même. Jambes grosses, avec un développement pr
main, l'extension des genoux se combinant d'une flexion dorsale des
pieds
, l'opisthotonus se combinant d'une flexion forcée
es extenseurs ne sont pas obtenues par l'excitation de la plante du
pied
. Quant aux troubles des mouvements volontaires, l
de 45 jours à 2 mois. Il sent des fourmillements commençant par le
pied
gauche et s'étendant rapidement à toute la moit
NS DE LA MAIN PAR BLESSURES DE GUERRE DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES
PIEDS
CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 123 remoptant jusqu'au
tendance fort réduite à se rétracter. DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES
PIEDS
CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX ' 125 Le meilleur moye
de Paris, 29 juillet 1915. 126 LÉRI Toute une série d'oedèmes des
pieds
et des jambes ont été constatés par Roger chez
qu'il était malaisé de les couper. Sans doute bien des oedèmes des
pieds
, souvent qualifiés gelures, ont eu pour cause e
bre, Presse médicale, 6 avril 1916. DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES
PIEDS
CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 127 maire, sur les qua
lète. Mais dans bien des cas nous avons vu des extrémités, mains ou
pieds
, violacées, froides, effilées ou plus ou moins su
actions électriques qui ne nous aient DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES
PIEDS
CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 133 effaré car l'élect
.... (1" 't.\'t>' /" A 13 C D lu 1 : DÉFORMATIONS DU
PIED
PAR BLESSURES DE GUERRE (4 4 1 /,; 1 DÉFORMAT
AR BLESSURES DE GUERRE (4 4 1 /,; 1 DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES
PIEDS
CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 135 En somme, nous tro
oureuses siégeaient dans letern- toire du nerf radial. V , LE «
PIED
EFFILÉ » DANS LES LÉSIONS DE LA BRANCHE INTERNE D
in 1915 de la Société de neurologie la déformation très spéciale du
pied
que l'on ob- serve dans certains cas de blessur
siste essentiellement en un effilement des difjé- rentes parties du
pied
; elle apparaît avec évidence quand on examine
artie interne se relève, devient fuyante, il se fait une ébauche de
pied
creux. Enfin l'avant-pied est lui-même rétréci, s
l et celle du talon des 4° et 5° orteils ; on croirait que l'avant-
pied
a subi une sorte d'enroulement transversal sur so
; c'est le plus souvent le 2e orteil quiest repoussé sur le dos du
pied
, le leur et le 3e arrivent parfois presque au c
leur plante. Donc, dans son ensemble, et par toutes ses parties, le
pied
paraît rétréci et comme effilé. Ce « pied eff
toutes ses parties, le pied paraît rétréci et comme effilé. Ce «
pied
effilé » est constant, à un degré plus ou moins a
rle professeur Pierre Marie et IVlme Bénisty, IV1. Meige, etc... Au
pied
comme à la main, outre la déformation, on obser
s sont presque toujours localisées à l'extrémité du membre, main ou
pied
, quel que soit le niveau du membre où le nerf,
membre où le nerf, médian ou sciatique interne, ait été touché; au
pied
elles frappent surtout la plante, comme à la main
ns connu un malade auquel on avait déconseillé de se main- tenir le
pied
malade constamment mouillé et qui calmait ses dou
et qui calmait ses douleurs en sè mouillant continuellement l'autre
pied
. Elles sont influencées surtout par des impress
ou simplement l'idée qu'il pour- rait glisser. Ce qui donne au «
pied
effilé » toute sa valeur diagnostique, c'est qu'i
s, manifestations toujours sujet- tes à caution. Si l'effilement du
pied
est en général plus ou moins propor- tionné à l
nt persistantes ; il suffisait pourtant de regarder leur plante des
pieds
pour acquérir une conviction absolue. Il est vrai
mais il n'en est pas toujours ainsi, et parfois nous avons vu des «
pieds
effilés » très nets avec un réflexe achilléen par
parfaitement conservé. Ce qui donne aussi sa valeur à ce signe du «
pied
effilé », c'est qu'il peut se produire d'une fa
vaient presque disparu après deux mois, alors que la déformation du
pied
existait encore nette, quoique diminuée (pl. XXXI
ion, plus modérée, mais encore très nette, dans un cas de gelure du
pied
avec douleurs vives et persistantes dues certai
douloureux ne sont eux-mêmes pas indispensables à la production du
pied
effilé. Nous ne pouvons dire encore avec quelle
restreinte. Ce que nous pouvons dire, c'est qu'qn peut observer le
pied
effilé dans les lésions de la branche interne d
ne gêne de la marche due à une certaine sensibilité de la plante du
pied
dans la station debout, un autre parce que le tro
uloureuses, mais très effacées et très restreintes. Tous avaient un
pied
nettement effilé. L'effilement du piedque nous
s venons de décrire peut être remarqué aussi en regardant le dos du
pied
, mais d'une façon généralement bien moins nette
e à un cas où la déformation est assez accentuée. - En résumé, le
pied
effilé se constate avec une extrême facilité en r
se constate avec une extrême facilité en regar- dant la plante des
pieds
. C'est une déformation qui s'observe d'une façon
Ce signe a d'autant plus de valeur qu'il peut être très précoce. Le
pied
effilé peut être constaté aussi dans une série d'
seule analogue que nous .1 . B c u E F DÉFORMATIONS DU
PIED
PAR BLESSURES DE GUERRE 7U7;F-LLF, ICONCGRAPHIE
ONS DES MAINS ET DES PrEDS^^Z^ESrBLESSÉS'NERVEUX 139 ayons vue ; le
pied
est tordu sur lui-même et comme enroulé sur son a
tion était déjà sensiblement moins prononcée. La figure a montre le
pied
effilé dans un cas de gelure, avec douleurs név
igines sacro- lombaires ; il n'y avait pas de plaie extérieure ; le
pied
était gonflé, violacé et desquamant ; il y avai
et une accentuation de la paralysie. Les figures E et F montrent le
pied
effilé dans un cas de blessure du sciatique au
r une gêne de la marche due à un peu de sensibilité de la plante du
pied
et surtout à la cicatrice du creux poplité et du
creux poplité et du mollet. La figure F indique que l'effilement du
pied
peut être constatée à la face dorsale, mais d'u
ournal médical français, 15 mai 1912. DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES
PIEDS
CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 141 Ces deux modalités
eure ou actuelle, les examens radio-, DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES
PIEDS
CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 143 graphiques qui ont
des deux mains, et d'un orteil prolongeant la série des premiers au
pied
gauche. Le pied droit est normal. (4) Itives-
, et d'un orteil prolongeant la série des premiers au pied gauche. Le
pied
droit est normal. (4) Itives-sur-Fure, chef-l
acarpien. Il n'y a pas non plus de métacarpien supplémentaire. Au
pied
droit, on constate qu'il n'existe absolument rien
it lui-même, « six doigts il chaque main et six doigts seulement au
pied
gauche ». Le doigt cubital de la main gauche es
plus long à lui seul que les phalangettes des 3e ou le doigts. Au
pied
gauche l'orteil surajouté est infiniment plus com
e du 5e orteil, la phalangine et la phalangette, en synostose. Au
pied
droit, nous l'avons dit, on ne constate extérieur
résentaient, l'un comme l'autre, vingt- trois doigts ou orteils, le
pied
droit seul était normal, le père, à l'inverse d
uni ou bi-latéraie, siégeait simultanément ou non aux mains et aux
pieds
. C'est ainsi que Beauvais, Mason, Bull, Blasius
ifformité est généralement bilatérale, elle peut siéger sur un seul
pied
. Ces constata- tions ne nous semblent pas avoir
trace de malformation. Pierre-Alexandre avait six orteils à chaque
pied
; il fut opéré vers l'âge de cinq ans, par un m
a écrit avoir « six doigts à chaque main et six doigts seulement au
pied
gauche ». Nous avons vu que c'est un sexdi- git
rteurs d'un sixième doigt, d'un doigt supplé- mentaire implanté aux
pieds
et aux mains. « Lorsqu'en 1829 et 1836, dit M.
trois polydactyles. Tous trois manquent d'orteil supplémentaire au
pied
droit (encore n'y en a-t-il qu'un sur les trois
n couteau la main à quelqu'un pour donner un coup demain, marcher à
pied
la route, etc. » sont'mar- quées au coin de leu
d'une plaie pénétrante à la poitrine par balle, a continué la lutte
pied
à pied dans la tranchée et l'a défendue le lende-
laie pénétrante à la poitrine par balle, a continué la lutte pied à
pied
dans la tranchée et l'a défendue le lende- main
bles de dormir, mais moins forts qu'autrefois. Dans la marche, le
pied
droit se lève plus haut que le gauche. Le malade
l en train. Symptômes à l'entrée. Le malade est amené à l'hôpital à
pied
, à 1 heures. A 13 heures, T. : 38°9 ; il cause,
s et inférieurs. Le malade ne peut fléchir les doigts ni bouger les
pieds
; tête en boule de bilboquet. Peau bien humide,
une paraplégie complète; impossibilité de soulever les jambes et le
pied
, ni de remuer les orteils. Le malade peut légèr
n considérable des réflexes rotuliens. Trépidation épilep- toïde du
pied
à droite et à gauche. Mouvements d'élévation de
La gauche se lève difficilement encore. Quelques trépidations du
pied
droit; trépidation du pied presque indéfinie à
ilement encore. Quelques trépidations du pied droit; trépidation du
pied
presque indéfinie à gauche. Le malade urine s
intacte dans les membres supérieurs. 18. - Trépidation indéfinie du
pied
gauche ; trépidation du pied droit moindre. Réf
rieurs. 18. - Trépidation indéfinie du pied gauche ; trépidation du
pied
droit moindre. Réflexe rotulien se rapproche de
s du coeur un peu sourds, lointains. 25. - Trépidation indéfinie du
pied
gauche, prolongée au pied droit. Réflexe rotuli
lointains. 25. - Trépidation indéfinie du pied gauche, prolongée au
pied
droit. Réflexe rotulien exagéré. 28. Réflexe
e rotulien exagéré. 28. Réflexe du genou exagéré. Trépidation des
pieds
indéfinie. Réflexes des orteils en extension (lég
oignet normal. Réflexe oculaire normal. Le malade peut élever les
pieds
15 centimètres au-dessus du plan du lit. Abduct
noux ou des jambes. Les membres inférieurs sont en contracture, les
pieds
en équinisme. Aucune douleur à la palpation des
éflexes rotuliens très exagérés des deux côtés ; clonus vrai des deux
pieds
indéfini. Pas de Babinski. , La marche est di
icilement fléchir les jambes. Réflexes très exagérés, phénomènes du
pied
très marqués, surtout à gauche. A la marche, le
nt normaux, encore très légèrement renforcés à gauche. Le clonus du
pied
n'existe plus, la marche est encore hésitante, ma
he facilement. Orteils en extension. Deux ou trois trépidations des
pieds
. Réflexe du genou exagéré à droite, orteils en
oux et dans les tibias. Réflexes rotuliens exagérés. Vrai clonus du
pied
prolongé à gauche. 4, 5 tré- pidations à droite
liens se rapprochent de la normale. Encore quelques trépidations du
pied
. La démarche est plus aisée. 2. - Plus de doule
flexe rotulien un peu marqué; ébauche de quelques tré- pidations du
pied
. Plus de douleur. La marche est plus ferme, plus
r. La marche est plus ferme, plus assurée. 1 : 3. - Peut élever les
pieds
au-dessus du plan du lit, avec oscillation et t
orteils en extension à droite et à gauche. Ebauche de trépidation du
pied
à droite. Le malade peut marcher, mais en flé
on du réflexe rotulien à gauche et à droite. Pas de phé- nomènes du
pied
. - Violentes douleurs spontanées dans le tibia
urnes surtout. Exagération des réflexes rotuliens sans phénomène du
pied
. 27. - Réélévation de la température, crise dou
rive, en s'aidant de ses mains, plus difficile à gauche. Elève le
pied
gauche à 10, 15 centimètres, le droit à 15, 20, d
20, difficilement. Sensibilité à la piqûre très atténuée, aux deux
pieds
. Sensibilité tactile conser- vée. Sensibilité n
e à droite. Réflexes des orteils en extension. Le malade élève le
pied
droit à 40 centimètres, le pied gauche à 35 centi
ls en extension. Le malade élève le pied droit à 40 centimètres, le
pied
gauche à 35 centi- mètres, avec effort. Il s'
xes des genoux normaux. Orteils en flexion. 30. - Pas de clonus des
pieds
. Réflexes normaux. Observation VII. Jour...,
e rotulien gauche. Deux ou trois trépidations épileptoïdes aux deux
pieds
. Etat saburral des voies digestives. Piqûres
orteils en extension légère, en flexion à droite. Pas de clonus du
pied
. Sensibilités normales. Sensibilité musculaire
che, moins à droite. 4. La marche est possible, mais difficile, les
pieds
traînent.Fléchissement. Pas de trépidation, ni
pieds traînent.Fléchissement. Pas de trépidation, ni de clonisme du
pied
. Réflexe du genou très marqué ; réflexe du tend
. Symptômes à l'entrée. Douleurs lancinantes dans les jambes et les
pieds
, surtout vives au voisinage des articulations.
n du réflexe rotulien des deux côtés, deux ou trois trépidations du
pied
. Réflexes oculaires normaux. Céphalée, habitu
ion des réflexes rotuliens des deux côtés ; 3 on 4 trépidations anx
pieds
. Pas de troubles de sensibilité. Mammite gauche
de la peau. Deux trépidations déterminées par l'extension rapide du
pied
, à droite et à gauche. Orteils en flexion à dro
Etat adynamique. Réflexes rotuliens exagérés. Clonus épileptoïde du
pied
. Hypersensibilité plantaire. ' Céphalée inten
ts sont considérablement moins douloureux. Phénomène épileptoïde du
pied
, se manifestant et se propageant pendant longte
indres, les réflexes rotuliens exagérés. Phénomènes épileptoïdes du
pied
des deux côtés. \ Le malade ne peut marcher. Do
colonne verté- brale est beaucoup moins douloureuse. Lève mieux les
pieds
au-dessus du plan du lit. , 9 septembre. Le m
enir debout sans un appui. Démarche d'aspect spastique, traînant le
pied
qui ne se décolle que difficile- ment du sol. R
entué, surtout à gauche. Réflexes des orteils en flexion. Clonus du
pied
net à gauche, moins à droite. 18. Réflexes des
l'entrée. - T. : 37°8. P. : 88. Céphalée. Légères douleurs dans le
pied
gauche et dans le genou droit. 212 Etienne La
exie. Constipation. Marche de la maladie. 31 août. Douleurs dans le
pied
gauche le genou droit et le coude droit, sans g
- Démarche canetante. Réflexes des genoux très augmentés. Clonus du
pied
à oscillations répétées. Orteils en flexion. Réfl
6 ; l'infirmier de l'observation 1 le 1er mai. Les deux chasseurs à
pied
de la deuxième série étaient entrés le 3 et le
vées simultanément en août 1915 dans deux bataillons de Chasseurs à
pied
, et tous deux cantonnés dans la même localité,
ode, deux heures avant la constatation de la fièvre ; il arrivait à
pied
, ayant l'aspect d'un homme très fatigué, déprimé,
vation XI dès que le malade peut se lever ; il ne peut décoller les
pieds
du sol et traîne les pieds. L'état des réflex
peut se lever ; il ne peut décoller les pieds du sol et traîne les
pieds
. L'état des réflexes est variable. Quand nous a
, avec exagération du réflexe patellaire et apparition du clonus du
pied
. Dans tous les cas d'exagération ou d'inversion
es réflexes, les réflexes tendineux ont été augmentés. Le clonus du
pied
a été observé dans tous ces cas, sauf dans l'ob
ues pas, la démarche étant très difficile, hésitante, l'élévation des
pieds
étant très limitée et hésitante, les jambes fla
; le 24e jour, le malade peut marcher, mais très difficilement, les
pieds
traînants, les jambes fléchissantes; au 30e jou
, les orteils réagissent en extension, ébau- che de trépidation des
pieds
; le 12 juin, même état, sauf que le clonus (1)
5. MYÉLITES AIGUËS ÉPIDÉMIQUES. DEUX ÉPIDÉMIES MILITAIRES 223 des
pieds
n'existe plus qu'à droite ; le 19, l'extension de
léen sont augmentés, les orteils en extension à gauche et clonus du
pied
à gauche. Dans l'observation III, au 39*'jour,
u 39*'jour, les réflexes patellaires sont encore vifs, le clonus du
pied
continu à gauche et ébauché à droite, les ortei
ité par l'iodure de potassium. 4 août. On observe à la plante des
pieds
, des deux côtés, plusieurs infiltrations cutané
ambes ne sont pas diminuées. Les éruptions cutanées aux plantes des
pieds
ont augmenté. Pas d'albumine dans l'urine. L'ex
r normale. Réflexes rotuliens et plan- taires normaux. Ni clonus du
pied
, ni signe de Babinski,. 5 septembre. Pas d'albu
signe de stomatite. 19. L'éruption syphilitique sur les plantes des
pieds
est maintenant diminuée. Dans l'urine, trace d'
pas touché directement, mais de la terre éboulée vint recouvrir son
pied
droit. Il resta debout, il eut quelques douleur
oit. Il resta debout, il eut quelques douleurs à la face externe du
pied
droit, jamais très vives, pendant environ deux
jourd'hui, il sent encore quelques tiraillements quand il tourne le
pied
. C'est environ six mois après l'accident qu'il
l'atrophie des péroniers latéraux et à une sorte de subluxation du
pied
en dedans. Le pied est en équin et légèrement e
iers latéraux et à une sorte de subluxation du pied en dedans. Le
pied
est en équin et légèrement en varus ; le malade d
'avec effort qu'il peut arriver à appliquer le talon sur le sol. Le
pied
est très fortement cambré et légèrement enroulé
tout le premier. A première vue, c'est l'atrophie de la jambe et du
pied
droit qui frappe, si bien que le malade nous ay
moindre degré certes, mais d'une façon évidente, sur la jambe et le
pied
du côté opposé. La jambe gauche n'a plus sa for
saillante qu'à droite, on sent vaguement les tendons péroniers. Le
pied
n'est ni en équin ni en varus, mais il est pres
t avec beaucoup de force, y compris la flexion et l'ex- tension des
pieds
(de 90° à 130-140°). Seuls les mouvements des ort
; elles sont d'ailleurs légères. La marche se fait sur la pointe du
pied
droit ; elle se fait en se dandinant, en canard
en canard, sans steppage ni talonnement. Le malade peut rester les
pieds
joints sans piétiner sur place ; dans cette pos
tiner sur place ; dans cette position, il se tient sur la pointe du
pied
droit et s'appuie surtout sur la plante du pied g
nt sur la pointe du pied droit et s'appuie surtout sur la plante du
pied
gauche ; on voit alors qu'il ne peut se mainten
'est peut- être une légère hypoesthésie à la piqûre de la plante du
pied
droit. Le malade n'a jamais eu de douleurs prop
ne une ébauche ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES 265 d'extension du
pied
à gauche ; l'excitabilité mécanique des muscles a
nt très légèrement excitables au ni- veau de la tête du péroné, les
pieds
se fléchissent en se portant en dedans. L'hypoe
présente une atrophie très pro- noncée de toute la musculature des
pieds
et des jambes et une atrophie légère de la part
mbres inférieurs on remar- que que l'hyperesthésie s'étend jusqu'au
pied
. Sensibilité thermique. La malade sent le froid
ation et atrophie du tarse et du méta- tarse, de telle sorte que le
pied
forme un angle d'ouverture supérieure et antéri
ndant des deux côtés à la zone motrice et ayant atteint à gauche le
pied
de la troisième circonvolution frontale ou région
ntracture des adducteurs' de la cuisse, la marche sur la pointe des
pieds
et la strabisme ; par contre, les réflexes rotuli
L'accès est revenu, mais moins intense, une autre fois. Babinski au
pied
gauche. 26. Un peu d'amélioration de l'état gén
Babinski moins vif à droite. Pas de clonus de la rotule. Clonus du
pied
gauche. Réflexes abdominaux douteux à gauche, n
tions de dou- leur. Le signe de Babinski se produit en extension au
pied
gauche, en flexion de l'autre côté. Les réflexe
bras et les jambes. Le signe de Babinski se produit en extension au
pied
gauche. La température du soir : 38° 8. Le pouls
ont rien de particulier, sauf le phéno- mène de l'orteil positif au
pied
gauche. Il se produit en flexion du pied droit.
mène de l'orteil positif au pied gauche. Il se produit en flexion du
pied
droit. . 29. Le patient, après son arrivée, est
ouleur de tête. Le phénomène de Babinski se produit en extension au
pied
gauche. La température du soir : 37°. Le pouls
toutes les extrémités. Le phénomène de Babinski se produit aux deux
pieds
. Les incoor- donnés. Mydriase et nulle réaction
et qui sont d'un brun décoloré à l'incision. Ces parois forment le
pied
de la circonvolution centrale antérieure. Là l'
Il commence même à être fatigué en marchant, au bout d'une heure le
pied
gauche devient « lourd » et pose bruyammeut à ter
pulmonaire. Pas d'antécédents rhumatis- maux. Le malade présente un
pied
bot droit, congénital ; pas de stigmates de syp
cation sur ce sujet, ltummo a signé une altération morphologique du
pied
, en conséquence de l'épaississement du squelette
à ceux produits par la castration ; nous trouvons les mains et les
pieds
grands et massifs ; la selle turcique augmentée ;
rd, et aidé d'une canne et soutenu par des brancardiers, il a été à
pied
jusqu'au poste de secours, distant d'un kilomètre
dit « trou de renard », le 10 août 1916, accroupi sur la pointe des
pieds
, les jambes fléchies sur les cuisses et les cui
tison- nier. Un panier à charbon et un large soufflet déposés à ses
pieds
vont lui servir à alimenter le fourneau où s'op
CANTALOUBE, 144. Blessés nerveux (Déformations des mains et des
pieds
chez les ), par Léri, 121. Blessure cervicale d
e, par Laignel-La- Z'AST1NE et P. Courbon, 81. - de la main et du
pied
chez les blessés nerveux, par Léri, 121. Derc
ATHANASSIO- Benisty, 65. Nerveux (Déformations des mains et-des
pieds
chez les blessés -), par Li'.ri, 121. Névrite h
cité chez un adénoïdien), par Rimuaud et Revault D'ALLONNES, 162.
Pieds
(Déformations des - chez les bles- sés nerveux)
ages, 297. Léri (André). Quelques déformations des mains et des
pieds
chez les blessés ner- veux, 121. Atrophie mus
aratoniques (LA10NEL-LAVASTINE et COURaOV) XXIV à XXVII. - et des
pieds
chez les blessés nerveux (Léri), XXVIII à XXXII
Phantaisies (Les guérisseurs de -) (MEME Henry), LXVIII à LXX.
Pieds
et mains, déformations chez les blessés nerveux
est pour une dernière atteinte rhumatismale des articu- lations des
pieds
, des genoux et des poignets, qu'il demande son en
la marche est-elle très pénible. Le malade marche à petits pas, les
pieds
écartés, sans traîner la semelle. Il se fatigue
du quatrième étage dans une cour très irrégu- lièrement pavée. Les
pieds
, puis le siège, puis la nuque touchèrent successi
e que la malade a été, sans s'en apercevoir, forte- ment brûlée aux
pieds
par une bouillotte trop chaude ; lésion qui a lai
ure des faces externe et antéro-externe des jambes; face dorsale du
pied
jusqu'au voisinage de son bord interne; bord ex
ale du pied jusqu'au voisinage de son bord interne; bord externe du
pied
et moitié externe de sa face plantaire. Ces tro
isses. Le triceps fémoral est bien conservé, le gros orteil de chaque
pied
est déforme de la façon suivante : la première
térés ; la partie inférieure des deux jambes et la face dorsale des
pieds
sont tachetées de petites macules rouges irrégu
lésions sont les suivantes : sur la face supérieure du gros orteil du
pied
droit, la peau présente une légère tuméfaction,
Une ulcération en voie de cicatrisation s'observe sur la plante du
pied
gauche, au niveau de la tête du cinquième métatar
u niveau de la tête du cinquième métatarsien. La malade dit que ses
pieds
enflent pour peu qu'elle marche. Enfin, signalons
ils droits vint se mettre en contact direct avec la face dorsale du
pied
gauche, et le condyle interne du fémur droit se
u'au bout de dix-huit mois environ qu'il lui fut possible de mettre
pied
à terre et de faire quelques pas rendus plus di
, les deux premiers orteils gauches reposant sur la face dorsale du
pied
droit par leur face plantaire, la malléole inte
es deux côtés, surtout à gauche, où le redressement de la pointe du
pied
détermine la trépidation spinale qui existe aus
- Lorsque Marie D... se tient debout appuyée sur ses béquilles, le
pied
gauche ne vient en contact avec le sol que par
d gauche ne vient en contact avec le sol que par le gros orteil, le
pied
étant en équin direct. De plus, le membre infér
eu rotation en dedans. Si elle abandonne ses béquilles (pl. V) le
pied
gauche peut porter à plat sur le sol, mais alor
on, et pour satisfaire à.la demi-flexion nécessaire pour l'appui du
pied
gauche. - - - - , - Vue du tlos(pl. VI), on con
emps que, pendant la première partie de ce mou- vement la pointe du
pied
frotte sur le sol, faisant entendre un bruit de f
gros orteil mortifié. Enfin, signalons un arrêt de développement du
pied
chez un sujet dont la croissance n'était pas te
sept ans, ses doigts et ses mains, deux ou trois ans plus tard ses
pieds
et la partie inférieure de son visage, lèvres, ne
d'engourdissement dans les parties affectées et de brûlure dans les
pieds
et les jambes, elle n'avait rien éprouvé de vraim
ation d'un développement excessif du tissu adipeux sous-cutané. Les
pieds
étaient très gros et très larges, le gonflement
d'hypertrophie des tissus sous-cutanés de la face, des mains et des
pieds
. - Communiqué à la Société clinique de Londres le
n mourut. La malade elle-même eut mal à la gorge et de l'oedème des
pieds
, mais pas d'éruption. Elle affirme qu'il exista
de 9 pouces; autrefois la malade faisait usage de gants n° 7. Les
pieds
étaient plus affectés que les mains; la circonfér
Il y a un épaississement sous-cutané très marqué au bord externe du
pied
, il la face plantaire et au dessous de la malléol
e et au dessous de la malléole interne, mais très peu sur le dos du
pied
. Les parties épaissies forment des masses qui pou
e se sert de ses mains aussi bien qu'auparavant. Circonférence du
pied
droit à la racine des orteils, 10 pouces 1/2; a
ine des orteils, 10 pouces 1/2; au niveau du milieu de la plante du
pied
11 pouces ? - Les avant- bras et les jambes ne
plus tard, douleurs de tête continues. Bientôt il remarqua que ses
pieds
commençaient à devenir plus gros. Ses bottes de
bes présentent une augmentation de volume modérée; quant à celle du
pied
elle est énorme, et ici encore ce sont les partie
arche est un peu lourde, surtout semble-t-il parce que la pointe du
pied
a une tendance à tomber un peu en bas. Rien de
e volume du visage et des mains, et presque en même temps aussi des
pieds
et du tronc. En trois à six mois cette augmentati
devint plus brun, la tète toujours plus grosse. Les mains et les
pieds
se montrèrent bleuis, froids, épais et sans forme
é de ce qu'il appelle pompeusement ses doctrines, ils le mettent au
pied
du mur en lui envoyant des malades à traiter, e
ade étant au lit, nous constatons à la face plan- taire de ses deux
pieds
de larges phlyctènes qui viennent de s'y former :
eu de la concavité de la voûte plantaire, et sur le bord interne du
pied
. Chacune de ces phlyctènes est large de quatre ce
de mollesse et très peu de temps; encore ne l'a-t-elle fait que du
pied
droit; elle n'a pu non plus se frotter les pieds
-t-elle fait que du pied droit; elle n'a pu non plus se frotter les
pieds
sur les barreaux du lit. Son état indique d'ail
est encore plus sensible il la périphérie. Les extrémités, mains et
pieds
, sont froides, cyanosées, présentant des troubl
omènes signalés, nous dirons que la sensation d'engourdissement des
pieds
s'atténue ou disparaît; chez deux malades, des
orsion. Le malade a quitté le sol, de telle façon que la pointe des
pieds
ren- versée en bas ne puisse le rencontrer; l'o
membre inférieur droit est de 2 centimètres plus court; et les deux
pieds
sont inégaux : le droit n'a que 225 millimè- tr
- tres de long, tandis que le gauche en a 245. Cet allongement du
pied
droit coïncide avec un aplatissement de la voûte
embres, et spécialement de la mâchoire inférieure, des mains et des
pieds
. La malade était issue d'une famille de goutteu
naturelles étaient très exagérées et les petits os des mains et des
pieds
très augmentés de volume; aussi les extrémités ét
exacte du temps n'a pas été possible), la grandeur des mains et des
pieds
fut remarquée à propos dit choix des vêtements, m
n entourage remarquèrent une augmenta- lion de la circonférence des
pieds
, des mains et du visage, augmentation qui fut d
ux premiers temps de son mariage. Alors « la chair » aux mains, aux
pieds
, à la face, aurait épaissi de plus en plus ; alor
ents des membres. Au contraire, les parties molles des mains et des
pieds
ont éprouvé un développement massif, de sorte que
st partout molle et élastique, non oedémateuse, et aux mains et aux
pieds
sillonnée en tous sens de plis massifs. La coul
ues jambes, ou remarque tout d'abord le dévelop- pement exagéré des
pieds
qui ont l'apparence de pieds-plats, sur leurs bor
ujours couchée, on s'aperçoit que la jambe est raccourcie et que le
pied
se met en équin direct. Au bout de quarante m
elles de fer, un appareil il coxalgie et un appareil à extension du
pied
. Elle se couche tous les soirs ainsi armée de p
l à extension du pied. Elle se couche tous les soirs ainsi armée de
pied
en (- : il) pendant deux ans et demi. - La jamb
5 centimètres entre celle-ci et la face inférieure du talon. Les
pieds
étaient gros et présentaient une déviation tenant
nt une déviation tenantun peu du varus et un peu de l'équin. Sur le
pied
droit on voyait en outre le gros orteil luxé en
vait encore sur le mé- dius, mais à un degré moins prononcé. Sur le
pied
gauche on n'appréciait pas de difformités notab
r pour cette opération ses gants, qu'il tient de la main gauche. Au
pied
du lit, un aide soulève un vase à large encolure
avec précaution cependant le linge qui recouvre une plaie du dos du
pied
. Dans le fond, près d'une table, une femme déco
vahi toute la partie inférieure du corps, suivant la règle. Seul le
pied
droit que la robe découvre apparaît manifesteme
III) nous montre la ventouseuse occupéeàplacer les ventouses sur le
pied
d'une commère, pendant qu'un compagnon, quepréo
dique, en rapprochent le pemphigus, le purpura, le mal perforant du
pied
observé pour la première fois par M. Christian 3.
es paralytiques généraux, th. 1889. y. Christian, Jlal perforant du
pied
dans lu paralysie générale (Ann. méd. psych., 188
p. 3.t3, 5. Charcot et réré, Affections osseuses el articulaires du
pied
chez les tabétiques (Arch. de Neurologie, ]883.
mal perforant plantaire au début (pl. XXVII). Rien de semblable au
pied
droit. .Cet état. ichtyosique de la peau s'acco
onotonie assez spéciale : sa femme est magnifique, « elle a eu cinq
pieds
six pouces » ; il a une blouse en drap d'or qui
cinq pieds six pouces » ; il a une blouse en drap d'or qui « a cinq
pieds
six pouces » ; il a des choux qui ont « cinq pied
d'or qui « a cinq pieds six pouces » ; il a des choux qui ont « cinq
pieds
six pouces », etc. Ses idées délirantes se mani
rche encore passablement en traînant la jambe droite, il est venu à
pied
d'Ivry il l'hospice de Bicêtre et pourra y reto
me là hanche du même côlé. Le membre inférieur est en extension, le
pied
est légèrement abaissé, do manière que le talon
nt de faux avec sa jambe gauche; elle frotte le sol de la pointe du
pied
a la façon des sujets atteints d'hémiplégie cér
- Kt. r. ment que le centre de gravité vient à tomber au-devant des
pieds
. Par suite de cela, 1 ..talion debout avec les
il fut réduit à ne marcher qu'avec des potences ; ses jambes et ses
pieds
devinrent froids comme du marbre et on était ob
mpés dans de l'eau-de-vie pour tâcher de faire venir la chaleur aux
pieds
». Cette paralysie dura trois mois et finit par
en extension : la cuisse étendue sur la jambe et sur le bassin : le
pied
en extension (fig. 59, CO). Au bout de dix-huit
s'asseoir : elle mange debout et marche sur le talon, la pointe du
pied
relevée. Pendant la station droite, on voit sur
elle porte par instant tout le poids du corps. Quand on examine le
pied
contracturé, pendant un temps assez long, on re
mouvements très lents d'élévation et d'abaissement de la pointe du
pied
; la raideur augmente quand on essaye d'abaisser l
u pied; la raideur augmente quand on essaye d'abaisser la pointe du
pied
, de même quand on essaye de fléchir la jambe sur
it-il, que sa démarche est redevenue tout à fait normale et que son
pied
ne lui refuse aucun service même pour sauter
cérébrale dans le travail cité plus haut. FiG. 00. - Altitude du
pied
contracture. 212 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SA
r la première fois une aura précédant les accès. Cette aura part du
pied
gauche, à la face plantaire duquel s'est dévelo
tres les vertiges procursifs). Le 8 novembre 1886, le durillon du
pied
s'enflamme et on l'enlève : les accès avaient é
s procursifs et des accès avec aura partant toujours du durillon du
pied
gauche. Ces accès sont toujours remarquables pa
cès en percutant le tendon rotulien. En mars 1887, apparaît sous le
pied
droit un autre durillon dont l'irrita- tion pro
e, lorsqu'il ne perd pas connaissance, porte lui-môme la main à son
pied
gauche et cherche à se déchausser pour comprime
lons plantaires il est à noter que la transpiration à la plante des
pieds
a toujours été très abondante et détermine souven
avec une solutiou de tannin chaque jour et on veille il ce que ses
pieds
soient toujours tenus dans des chaussettes sèch
rtiges, seulement le malade peut au bout de quelque temps mar- cher
pieds
nus et la percussion du lendon rotulien ne provoq
epuis cinq jours le malade ressent de nouveau une aura par- tant du
pied
gauche. L'ancien durillon de la plante du pied es
ne aura par- tant du pied gauche. L'ancien durillon de la plante du
pied
est tout à fait guéri : il reste à la place une
gonflement et de la rougeur. Le malade ne peut appuyer la plante du
pied
sur le sol en marchant : le pied porte sur son
alade ne peut appuyer la plante du pied sur le sol en marchant : le
pied
porte sur son bord externe. De temps en temps, lo
pied porte sur son bord externe. De temps en temps, lorsqu'il pose le
pied
par terre, il est pris d'une trépidation de tou
roit, à la face. En pressant sur la région tuméfiée de la plante du
pied
on provoque une vive douleur, et la trépidation
Le 29 mai 1889, le malade peut se lever et marcher sur la plante du
pied
sans inconvénient : plus de secousses ni d'accè
kilogr. 500), le malade est com- plètement guéri de son phlegmon du
pied
, et il ne reste qu'un léger épais- sissement po
its trous.visibles à l'oeil nu... L'hypertrophie des mains et des
pieds
ne porte pas seulement sur les parties molles,
molles, elle atteint aussi les os; nous avons fait sur la main et le
pied
conservés, une coupe longitudinale qui permet d
un doute à cet égard; la même coupe, répétée sur une main et sur un
pied
d'un homme de haute stature, nous a permis de c
tent sont beaucoup plus indiquées qu'à l'état normal. La main et le
pied
avaient été plongés aussitôt l'autopsie dans une
1 de moins que la moyenne (120° à 130°). Les os de la jambe et du
pied
sont, eux aussi, volumineux, par exemple le tib
son tiers moyen, au lieu de 80 millimètres, mais ni le tibia ni le
pied
ne sont plus longs que normale- ment. AUTOPSI
oie derechef l'émétique, on a recours il des saignées du bras et du
pied
, et à plusieurs autres remèdes qui adoucissent la
ajoute coup sur coup la saignée de la gorge à celles du bras et du
pied
. Il met tout en oeuvre pour sa guérison, mais t
soutiennent tout le corps, et une troisième lui porte en l'air son
pied
gauche pour l'empêcher de se briser en tombant su
omplète, disent les maîtres de l'art, sur la cuisse, la jambe et le
pied
gauche, et incomplète sur la langue, sur le bras
ières, elle en fait un étrier par lequel elle soutint en l'air' son
pied
paralytique. Elle se fait attacher cet étrier a
deux épaules s'accrochoient à sa ceinture, et soutenoient ainsi son
pied
gauche, pendant que tout son corps étoit pendu
rison par l'intercession du saint Diacre. » Elle se met en route, à
pied
, dès la pointe du jour« avecson attirail de béq
e se 4G NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. soutient sur son
pied
paralytique qui a recouvré toute son action et
agit avec facilité et avec force ; cette cuisse, cette jambe et ce
pied
qui n'éloient plus pour elle qu'un poids lourd et
gissait d'une pièce de matière inanimée; pendant qu'elle marche, le
pied
balaye le sol; cela, je pense, est caractérisqu
ie. Hyperesthésie 'de tout le membre inférieur gauche (la plante du
pied
exceptée). Une zone hystérogène très sensible s
demi-journée pour absorber un verre d'eau. Lorsqu'il voulait mettre
pied
il lerre et essayer de se soutenir sur ses jambes
rant par la station debout, avec vive hyperesthésie de la plante du
pied
. Le membre inférieur droit était normal. Comme
mai dernier des symptômes que voici : Le 7 mai, le gros orteil du
pied
gauche se contracture en extension et abduction
e contracture en extension et abduction forcée. Le jour suivant, le
pied
et la partie inférieure de la jambe sont envahi
u gros orteil se généralise il tout le membre inférieur gauche ; le
pied
se place dans l'attitude du pied bot talus et la
ut le membre inférieur gauche ; le pied se place dans l'attitude du
pied
bot talus et la jambe est immo- bilisée en exte
pièce et en s'appuyant sur le talon. L'oedeme qui occupe tout le
pied
et les deux tiers inférieurs de la jambe est én
éborrhée du cuir chevelu; et l'un deux portait à la jambe et sur le
pied
deux anciens placards d'eczéma. Le borax est
exes rotuliens très exagérés des deux côtés, mais sans phénomène du
pied
, la marche est très suffisante; toutefois les p
ans phénomène du pied, la marche est très suffisante; toutefois les
pieds
se détachent un peu difficilement du sol. Diver
au du cou-de-pied. (Sur les fig. 81 et 82 l'hyperesthésie envahit les
pieds
; il en était ainsi lorsque les clichés furent g
ÉLIE. 315 difier d'une façon assez accentuée.) - La sensibilité aux
pieds
est normale. La sensibilité à la douleur est no
ée. Bord postérieur boursouflé. Longueur totale de l'os 325 mill.
Pied
. - Tous les os du tarse sont très spongieux; le c
postérieure et interne qui forme un vrai crochet sous la plante du
pied
et une tubérosité antérieure très saillante. AN
mme une véritable corne. La dissection n'a été effectuée que sur le
pied
gauche, qui m'a été remis, conservé dans le liq
ac par la bouche un peu de lait. Lorsqu'on mettait l'animal sur les
pieds
, il LE SIÈGE DES PROCESSUS CONSCIE\TS CHEZ LES
le renflement lombaire, mais constituée dans la capsule interne. le
pied
du pédoncule cérébral et l'isthme de l'encéphale
de douleurs rhumatismales dans les bras et les jambes et surtout au
pied
gauche. La maladie actuelle remonte au 13 mai 1
ble ; la jambe ne peut être ni fléchie, ni étendue complètement. Le
pied
reste dans la position équin varus, le gros ort
. Le malade ne peut se tenir debout, ni mar- cher sans soutien ; le
pied
gauche traîne et repose sur le sol par son bord
son bord externe. Réflexes patellaires exagérés. Pas de clonus du
pied
. Signe de Babinski positif à gauche. Sensibil
s passifs et dans la marche, le malade se plaint de souffrir de son
pied
, et'de sa jambe gauches et, même au repos, il a
ent du feutrage des fibres qui s'y entrecroisent en tous sens. Au
pied
de la couronne rayonnante on voit encore une raré
ns interruption sur toute la hauteur de la capsule interne, dans le
pied
du pédoncule cérébral et dans l'isthme de l'en-
scléreuse à l'union des deux tiers internes et du tiers externe du
pied
du pédoncule, 'zone qui livre passage aux fibres
enne ; cette dernière, au contraire, plus plisséeetplus éloignée du
pied
de la couronne rayonnante,peut être détruite pa
rieure : bien visibles en effet avec la méthode de Weigert jusqu'au
pied
de la couronne rayonnante, elles ne le sont plu
ronne rayonnante, elles ne le sont plus dans la capsule interne, le
pied
du pédoncule cérébral, la protubérance annulair
motrice restreinte sur toute l'étendue de la capsule interne et du
pied
du NOUVELLE Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE. T
la substance blanche du centre ovale. Sur les coupes passant par le
pied
de la couronne rayonnante (fig. 7) on trouve un
latéral Ve et, en dehors de la substance grise épendymaire, par le
pied
de la couronne rayonnante, étroit et effilé en av
hère a produit un abais- ria. 7. - Coupe horizontale passant par le
pied
de la couronne rayonnante. 50 LONG sement de
fibres de projection. Mais il va lui-même en se rétrécissant et au
pied
de la couronne rayonnante, il est réduit à une
ance blanche, on constate (fig. 7) : ' 1° Qu'il n'y a pas dans le
pied
de la couronne rayonnante des travées fibreu- s
t circonvolutions lia et Pa) se répartissent suf toute l'étendue du
pied
de la couronne rayonnante (elles devraient faire
ale. La seule particularité à faire valoir c'est le petit volume du
pied
de la couronne rayonnante et du segment postérieu
disparu et les fibres de projection occu- pent toute la largeur du
pied
du pédoncule. Elles sont moins nombreuses, il e
cérébral droit, atrophie portant également sur la calotte et sur le
pied
du pédoncule. On re- trouve cette atrophie unil
ieur delà capsule interne et plus bas dans les segments internes du
pied
du pédoncule cérébral. Or nous voyons au contrair
à voie motrice occupent toute l'étendue de la capsule interne et du
pied
du pédoncule cérébral. Il semble et c'est I;i p
is occupant comme à l'état normal toute la capsule interne et tout le
pied
du pédoncule cérébral .En d'autres termes il s'
n est un remarquable exemple. La gangrène atteint successivement le
pied
droit, le pied gauche, la main droite, la main ga
uable exemple. La gangrène atteint successivement le pied droit, le
pied
gauche, la main droite, la main gau- che ; elle
cident plus important, il a subi un commencement de congélation des
pieds
et des mains à l'âge de 24 ans pen- dant un voy
ne présente rien de particulier, ni douleur, ni lésion cutanée. Le
pied
gauche semble guéri depuis 1902. Les traitement
a successivement GANGRÈNE SYMÉTRIQUE DES EXTRÉMITÉS 61 atteint le
pied
droit, le pied gauche,;la main droite, la main ga
t GANGRÈNE SYMÉTRIQUE DES EXTRÉMITÉS 61 atteint le pied droit, le
pied
gauche,;la main droite, la main gauche . L'appa-
s plantaires et dans quelques autres formes de lésions trophiques des
pieds
. Archives de Physiologie normale et pathologiqu
- neuse, s'engourdit, il ne la sent plus, il remue difficilement le
pied
; lous ces troubles fonctionnels n'existent, ai
urrelet, que le malade a constaté toute sa vie ; au- dessous est le
pied
augmenté également de volume, mais dans des propo
que le cylindre d'oedème paraît se terminer brusquement au cou-de-
pied
au niveau du bourrelet mentionné, en haut au cont
ez vive. Le trajet des nerfs n'est pas sensible. Le gonflement du
pied
n'est perceptible qu'a la face dorsale ; il est b
l est blanc, sans godet, indolore, dur, non capitonné; la plante du
pied
a l'aspect du pied plat. Dans le sillon qui sép
odet, indolore, dur, non capitonné; la plante du pied a l'aspect du
pied
plat. Dans le sillon qui sépare l'oedème de la
ed plat. Dans le sillon qui sépare l'oedème de la jambe de celui du
pied
, se voient de fines arborisations vasculaires,
é (33° 2 à droite, 34° 2 gauche, le matin avant le lever). Les deux
pieds
ont la même longueur ; il en est de même des deux
matin avant le lever et le soir an moment du coucher, sauf pour le
pied
: la différence, à la jambe gau- che, est de 1
d et Laignel-Lavastine, tandis que la jambe avait un oedème dur, le
pied
était le siège d'un oedème mou. Le godet à la p
rdait en haut avec un désir joyeux ; elle se tenait un instant sur un
pied
léger, pendant que l'autre jambe était levée et
, la tête inclinée à droite, les membres complètement relâchés, les
pieds
maigris en extension laissent voir la saillie d
en à désirer comme hypertro- phie ; le nez, d'ailleurs fort, est en
pied
de marmite,, ce qui arrive quelquefois dans la
tte tumeur, d'apparence kystique, refoule en- haut et en dehors les
pieds
très élargis de F A et de P A, en bas et en deh
et de P A, en bas et en dehors la partie adjacente de Ti,en avant le
pied
de F3 (PI. XVIII). La substance cérébrale voisi
musculaire, nulle à droite pour les mouvements actifs et passifs du
pied
et de la jambe, est conservée à gauche. Le rétlex
l existe (Fig. 1) une anesthésie tactile, douloureuse et thermique du
pied
et de la jambe, remontant sur la face interne d
esthésie tactile, douloureuse et thermique du pubis, à la jambe et au
pied
à droite dans le domaine des 1r*, 20 et 3° raci
a ligne médiane, la cuisse étendue sur le bassin, le genou étendu, le
pied
en équin varus, avec les orteils fléchis en bas
s ; et une autre attitude d'abaissement et de rotation en dedans du
pied
produite par la contraction du triceps sural.
sité interne du tibia (3e et 4e segments lombaires). L'extension du
pied
, on peut la provoquer par la percussion de la m
ovoque habituellement la contraction du triceps sural (extension du
pied
) et par propagation de produire la contraction du
membre inférieur indique le mouvement de s'appuyer sur la pointe du
pied
pour marcher, nous avons pensé tout de suite qu'u
urcir le membre inférieur qui sont paralysés (fléchisseur dorsal du
pied
, flé- (li D'après Marie, Traité de médecine l3r
rs de la cuisse, extenseurs de la jambe, fléchisseurs plantaires du
pied
), ou bien ne sont pas paralysés du tout, ou bie
et des muscles antagonistes dans la production des mouve- ments du
pied
. LE MÉCANISME DE LA CONTRACTURE 15U ' Mouveme
dans la paume de notre main, ou si elle appuyait avec la plante du
pied
, pendant que nous lui résistons. Les attitudes
mbre supérieur en flexion et du mem- bre inférieur en extension, le
pied
en équin-varus, avec le gros orteil en extensio
embres en contracture : étendre le genou, appuyer avec la plante du
pied
et appuyer avec le talon, sont les mouvements s
TATIONS D'ART CHEZ DEUX ALIENES 17 lique, après y avoir disposé, au
pied
et dans les branches, toutes sortes d'ani- maux
lorsqu'elle eut atteint son troisième mois, on s'a- perçut que ses
pieds
étaient enflés alors qu'il n'existait aucune caus
ache rouge sur la jointure métatarso-phalangienne du gros orteil du
pied
droit. L'enflure des jambes n'était pas augmentée
respiration était de 52 par minute. La cuisse droite, la jambe, le
pied
, exactement à partir de la ligne du ligament de
moins affectés que le reste, c'étaient les surfaces plantaires des
pieds
et les orteils eux-mêmes. La tuméfaction semblait
d'hyperesthésie cutanée et il n'y avaispas de douleur du tout. Les
pieds
eux-mêmes n'étaient pas sensiblement plus froids
de télangiectasies, la malade avait constaté que ses jambes et ses
pieds
devenaient rapidement engourdis et violets dans
t et vigoureux malgré son âge. L'oedème affecte la face dorsale des
pieds
et les jambes jusqu'aux genoux; là, il s'arrête b
be était normale. Le tiers inférieur de la jambe, la cheville et le
pied
étaient aug- mentés de volume, rouges et doulou
alors moins enflée, et le genou moins volumineux et moins rouge. Le
pied
et la che- ville étaient encore rouges et enflé
e avait à peu près disparu, le genou semblait normal,et l'oedème du
pied
et de la cheville était moindre et pouvait être
foncé à la pression. La rougeur s'était étendue un peu au-dessus du
pied
. Le 13 novembre la température était à 99° F.,
'une petite région à la partie supérieure du triangle de Scarpa. Le
pied
et la jambe étaient moins enflés et moins rouge
ux, et de là, très graduellement, il s'étendit en descendant sur le
pied
et sur les orteils. Sa première « attaque aiguë
ticulations métatarso-phalangien- nes ; les surfaces plantaires des
pieds
sont à peu près normales, mais le dos du pied e
faces plantaires des pieds sont à peu près normales, mais le dos du
pied
est enflé et entouré d'un sillon profond au-devan
aussure. L'augmentation de volume est symétrique, affecte moins les
pieds
que les jambes et elle s'ar- rête brusquement j
de 116 par minute. Tous les viscères étaientsains en apparence. Son
pied
droit était rouge et enflé. Un cercle irrégulie
6 par minute. La rougeur de la jambe droite était plus générale, le
pied
était davantage tu- méfié, et une tache rouge s
encore mais considérablement diminués. Le 9 juillet, la jambe et le
pied
étaient encore enflés et nettement rou- ges ; m
e des veines des jambes est une rareté dans les obser- vations. Les
pieds
ne sont pas exagérément froids. L'on peut concevo
alpêtrière, n* 1, 1903. Souques. Elephantiasis nostms symétrique du
pied
el de la jambe. Nouvelle Ico- nographie de la S
e signalé l'hy- pertrophie des quatre extrémités. l'hyperdrophie du
pied
ou podoméga- lie (4), l'hypertrophie du bras n'
'avoir toujours trop chaud, transpirations faciles des mains et des
pieds
, céphalée, caractère changeant, mauvaise humeur
ffant et de pleurs ; des obèses enfin, avec hémorrhoïdes, froid aux
pieds
, signe du , sourcil, rhumes faciles, asthénie,
duction, elle porte en avant la jambe paralysée, faisant décrire au
pied
un arc de cercle. Notre malade, au contraire, ne
he de Toddou démarche hélio- pode (de elao = traîner et 7 ! "01JÇ =
pied
) et à la démarche de l'hémiplégie organique le
le pas postérieur. L'hémiplégique flasque, au contraire, traîne son
pied
sur le sol par son bord interne d'une façon pre
malade au même niveau que la jambe saine, c'est-à-dire, lorsque le
pied
sain est à l'appui, le corps se penche en avant e
s hémiplé- giques organiques. Pourtant ce n'est pas le traîner du
pied
paralysé, comme on dit souvent, mais plutôt la
eule pièce ; de plus si on lui ordonne de marcher sur la pointe des
pieds
, il accomplit sans difficulté ce mouvement, con
l accomplit sans difficulté ce mouvement, conservant toujours à son
pied
la position d'abduction exagérée ; façon de mar
e qui nous intéresse. Voici ce qu'on constate : le malade traîne le
pied
du côté atteint et ne l'élève guère au-dessus du
mple, lorsqu'un patient dont la santé générale est bonne et dont le
pied
est frais, ou froid, et bien conformé, a souten
maines qu'il lui est impossible de faire porter aucun poids sur son
pied
; ou lorsqu'un au- tre, au genou duquel on ne p
t d'appuyer sur sa jambe gau- che, plie trois fois rythmiquement le
pied
sur son bord externe et accomplit finalement le
IENCÉPHALO-MYÉLITE AIGUE 259 Mobilité plus grande des jambes et des
pieds
tant à droite qu'à gauche : adduc- tion, abduct
L'amélioration continue. La flexion, l'extension de la jambe et du
pied
, l'abduction et l'adduction de ce dernier sont de
é des fragments des 1'' et 2e circonvolutions frontales droites et du
pied
de F' droite, du F' gauche et du pied de F' gau
tions frontales droites et du pied de F' droite, du F' gauche et du
pied
de F' gauche. Inclusion et coupes à la paraffin
urée de nombreux noyaux névrogliques. Fio. G. Coupe transversale du
pied
de la 3' circonvolution frontale gauche. Sur- f
plus fines. Fic.. H. Cellules pyramidales de l'écorce cérébrale du
pied
de F3 g. Chromatolyse du corps cellulaire. Homo
le du côté sain était suivie, en même temps que de l'exten- sion du
pied
du côté correspondant, de l'extension de celui du
s mouvements controlatéraux succéder à l'excitation de la plante du
pied
: flexion de la jambe et adduction de la cuisse,
re de ces malades l'exci- tation, par le frôlement, de la plante du
pied
, provoque non seulement la flexion des orteils
Dans certains cas, d'un côté seulement, l'excitation de la plante du
pied
provoquait la flexion des orteils des deux côté
flexe controlatéral plantaire, tandis que l'attouchement de l'antre
pied
ne pro- voquait que la flexion des orteils du c
ait que la flexion des orteils du côté irrité, les orteils de l'autre
pied
n'exécutant alors aucun mouvement. Nous ne re
nt pas'; 6 enfin (10, 5 0/0), ne l'ont quepar l'excitation d'un des
pieds
. Ainsi donc, près de 30 0/0 des malades indemne
plantaire controlatéral ? On sait que l'excitation de la plante du
pied
du côté paralysé provoque très fréquemment (85
ces malades non plus la plante du côté paralysé, mais la plante du
pied
du côté sain, les orteils de ce côté sain se mett
outre, du côté paralysé et du côté sain, un mouvement de flexion du
pied
sur la jambe. Ce phénomène hétérogène avait déj
n à droite et en flexion à gauche ; lorsqu'on excitait la plante du
pied
gauche, les orteils droits se fléchis- saient »
ées, j'ai noté le fait curieux suivant : l'excitation de la plante du
pied
paralysé donnait lieu de ce côté à une extensio
ce côté à une extension des orteils ; l'excitation de la plante du
pied
normal provoquait, outre une flexion des orteils
ante du pied normal provoquait, outre une flexion des orteils de ce
pied
, une flexion des orteils du pied paralysé». Nous-
utre une flexion des orteils de ce pied, une flexion des orteils du
pied
paralysé». Nous-mêmes (3) avons présenté récemm
plantaire hétérogène. Lors- que l'excitation intéresse la plante du
pied
du côté malade, l'ordre mo- teur redescend du c
uche, qui l'est beaucoup plus. A droite et à gauche l'excitation du
pied
provoque le réflexe de Babinski, mais l'excitat
ation du pied provoque le réflexe de Babinski, mais l'excitation du
pied
droit provoque la flexion de l'orteil gauche ta
flexion de l'orteil gauche tandis que l'excitation de la plante du
pied
gauche ne provoque aucun mouvement du côté droi
aut degré, doit être très altéré : par l'excitation de la plante du
pied
de ce côté nous constatons les mêmes phénomènes
hénomènes positifs et négatifs que par l'excitation de la plante du
pied
d'un hémiplégique aveccontracture, c'est-à-dire l
ion n du gros orteil du côté paralysé, et l'absence de mouvement du
pied
du côté sain. L'autre faisceau pyramidal au con
le pouvait lorsque chez un hémiplégique nous excitions la plante du
pied
du côté relativement indemne. Au n° 2 la sall
qu'avec peine au-dessus du plan du lit. L'excitation de la plante du
pied
droit provoque l'extension de l'orteil, et la f
te du pied droit provoque l'extension de l'orteil, et la flexion du
pied
sur la jambe, selon le mode aujourd'hui classiq
le gros orteil du côté droit s'étend ; mais par cette excitation le
pied
droit s'étend sur la jambe, au lieu de se fléch
flexe qui tient à la fois du réflexe plantaire normal (extension du
pied
) et du réflexe pathologique (extension de l'ortei
si le mouvement des orteils rappelle le mode pathologique, celui du
pied
rappelle au contraire le mouvement réflexe norm
fection avérée du sys- tème nerveux, l'excitation de la plante d'un
pied
provoque des mouve- LES RÉFLEXES CONTROLATÉRAUX
S RÉFLEXES CONTROLATÉRAUX 277 ments de flexion des orteils des deux
pieds
, mouvements réflexes, et non de défense. Or ces
ée du côté sain. Chez un paraplégique, l'excitation de la plante du
pied
du côté gauche, très paralysé, ne provoque aucu
s qu'eux. Chez un autre paraplégique, au contraire, l'excitation du
pied
du côté le moins atteint, qui pourtant peut êtr
mouvement controlatéral d'extension, avec exten- sion également du
pied
sur la jambe (dissociation du réflexe pathologiqu
xe pathologique ordinaire), tandis que l'excitation de la plante du
pied
du côté le plus atteint ne provoque aucun réfle
e, cet homme a fait une poussée articulaire subaiguë au niveau d'un
pied
. Le malade est profondément cachectisé, il a la
uvement : tout se passe dans les jam- bes. Il étend complètement le
pied
qui touche à terre quand la pointe seule repose
hé, pour atteindre la main au-dessus du plan du lit avec le bout du
pied
, il fait des efforts considé- rables. L'es tr
à fait eurythmique. La taille est fine et élancée ; les mains et les
pieds
302 ETTORE LEVI bien conformés sont allongés
ion normale du squelette ; les tibias sont parfaitement droits. Les
pieds
sont très allongés, sveltes. A la palpation on
tte année-ci ils le sont un peu plus ; il y a tendance au clonus du
pied
aussi bien d'un côté que de l'autre. Le clonus n'
out et marche. La patiente se tient debout sans aide, même avec les
pieds
très rapprochés, sans que l'on remarque la moindr
u 312 2 ETTORE LEVI tronc. Elle se tient debout aussi sur un seul
pied
et aussi facilement d'un côté que de l'autre.
la cécité absolue ; pas d'ataxie ni d'asynergie céré- belleuse. Les
pieds
ne sont pas traînés les pointes sur le sol et ils
épiphyses surtout au poignet et au cou- de-pied. Les mains et les
pieds
sont fins et allongés. Les masses musculaires s
re plus évidents, sont constatables chez Adrienne et chez Eliséo.
Pied
(Marguerite) (PI.LII).- Les extrémités inférieure
que le ma- lade a dû changer sa bague de doigt. Même chose pour les
pieds
; les chaus- sures du patient sont devenues tro
rçut du développement exagéré de son visage, de ses mains et de ses
pieds
. Il paraît qu'au bout d'un an ce dé- veloppemen
e déve- loppement du visage et des extrémités supérieures (mains et
pieds
) et celui du reste du corps ; cette disproporti
s inférieurs il n'y a de remarquable qu'un énorme développement des
pieds
, qui sont agrandis en totalité, mais de façon plu
volume des lèvres, du nez, de la mâchoire. Ensuite les mains et les
pieds
ont grandi d'une façon disproportionnée à l'âge d
ssement delà selle turcique, L'examen radiographique des mains, des
pieds
et des genoux, répété d eux ans après, n'a rien
é droite de la mâchoire, à l'examen radiographique des mains et des
pieds
le développement du tissu osseux a paru des deux
rième cas où l'on a fait la radiographie du crâne, des mains et des
pieds
, et où jusqu'à présent il n'y a pas eu de signes
ives, il deviendrait une autre espèce d'homme et serait sur le même
pied
que les plantes dont on change les caractères e
e, les reins ceints d'un court tablier blanc, est agenouillée à ses
pieds
et tient le nouveau-né dans ses mains. On ne vo
ius; à sa main gauche, la troisième phalange du médius ; à ses deux
pieds
, le troisième (i) Recueillie par M. Soum et M.
té remarquable, chez elle aussi le troisième orteil manque aux deux
pieds
, comme chez ses frères. Les malformations ne se
nte colère, puis il se rend à l'église et dépose sa barre de fer au
pied
de l'autel. Les gendarmes, croyant avoir affair
s plus intéressantes chez Pierre sont celles de ses mains et de ses
pieds
. Nous en ferons à part, et plus loin, l'étude d
re, mais la marche est maladroite et bizarre : le malade traîne les
pieds
qu'il tient écartés ; il se meut paresseusement
let1r' NOUVELLLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPTTRIÈRE T. XXI. Pl. LXV .
Pied
gauche. Pied droit. SYNDACTYLIE - ECTRODACTYL
LLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPTTRIÈRE T. XXI. Pl. LXV . Pied gauche.
Pied
droit. SYNDACTYLIE - ECTRODACTYLIE - CLINODACTY
a pré- cédente, a subi une tentative d'opération qui a échoué. Le
pied
gauche présente un pouce très long, renflé à sa b
termédiaires sont représentés par un moignon commun et difforme. Le
pied
droit offre, à peu de chose près, la même disposi
ent atrophie du métacarpien, mais disparition complète de cet os.
Pied
gauche. - Les malformations portent sur le squele
tus, ouvert en dehors et en avant, s'articule en arrière, Fig. 1. -
Pied
gauche. SYNDACTYLIE ECTRODACTYLIE CLINODACTYLIE
lètement défaut. Celui du cinquième existe. Il existe donc, dans le
pied
gauche, quatre métatarsiens au lieu de cinq. Si
métatarsiens à l'état normal (pre- mier et deuxième cunéiformes).
Pied
droit, Hallux Valgus. Les métatarsiens existent,
accourcis, mais un peu élargis. Il ya un début de fusion. Fig. 2. -
Pied
droit. 410 régis Le premier métatarsien surpl
es du cinquième orteil, au nombre de trois. ' Le squelette des deux
pieds
présente, en résumé,les malformations curieuses
s l'observation qui précède : 1° les malformations des mains et des
pieds
; 2° la coexistence, avec ces malformations, d'
mplement remarquer que chez notre sujet, les deux mains et les deux
pieds
sont tous quatre atteints à divers degrés de malf
que ces malformations prédominent, pour chaque main et pour chaque
pied
, au niveau du troisième segment osseux. Faisons
ses frère et soeurs et que, chez eux, l'ano- malie porte, tant aux
pieds
qu'aux mains, sur le troisième segment ou segme
t normal de 12 ans ; les mêmes faits furent vérifiés au coude et au
pied
. Cette observation ne- contredit pas cependant no
, Zeitschr. f. Psych. H. 2, 1908. UNE « FEMME HOMARD » MAINS ET
PIEDS
A DEUX DOIGTS PAR R Georges THIBIERGE, méde
igeance de M. le Dr Sottas les photographies de ses mains et de ses
pieds
. La radiographie des mains m'a été communiquée pa
A SALtÊTRtÈM. T. XXI. Pl. LXVIII UNE FEn ! E-HO ! ARD (Mains et
pieds
à deux doigts.) (Tbibicrge) Masc;on &- ÇH
DE la SALPETRIÉRH. T. 1XI. Pl. L11X UNE FEMME-HOMARD (Mains et
pieds
à deux doigts.) (Tbibierge) Masson & Cm,
p; Cm, Éditeurs. Phototypie Bertliaud, UNE FEMME HOMARD, MAINS ET
PIEDS
A DEUX DOIGTS 473 unique métacarpien et sont fe
e-même ; l'ongle est incliné vers le bas et vers le bord interne du
pied
. La configuration du deuxième orteil est analog
accusée, de 'sorte que l'ongle regarde directement en dedans. Au
pied
gauche, la portion métatarsienne des deux orteils
s deux orteils a la forme de boudins ou mieux de navets. 1 b ' Au
pied
droit, au contraire, la base du deuxième orteil s
mité anté- rieure arrondie et un peu amincie. Les deux orteils du
pied
droit sont -plus volumineux que ceux du pied ga
Les deux orteils du pied droit sont -plus volumineux que ceux du
pied
gauche. L'angle saillant du deuxième orteil est p
est assez ferme, mais la malade avance brusquement, en déjetant le
pied
en dehors et en talonnant un peu. - Il y a de l
se lève rapidement du lit ; je la prie de me montrer un moment ses
pieds
, désirant examiner l'état de ses réflexes cutanés
tanés. Elle me prie de ren- voyer mon examen, elle m'assure que ses
pieds
ne sont pas propres. J'insiste davantage, la mè
'aphonie elle souffrit la nuit de douleurs atroces à la jambe et au
pied
droits, et que le lendemain malin elle présentait
se forme chez elle deux petites plaques escharotiques sur le dos du
pied
, au côté interne, avec le même cortège de phéno
la troisième poussée de gangrène cutanée au côté interne du dos du
pied
(mars 1906). J'ai étudié il co moment la réacti
au dessert, elle crie, elle hurle, prise de douleurs à la plante du
pied
droit, et elle tombe dans une crise convulsive. L
ottines très hautes, et les bas blancs, et je vois sur la plante du
pied
une tache blanche, très blanche, complètement ane
gaze, enfin de l'ouate qui enveloppait la jambe depuis la pointe du
pied
jusqu'au tiers inférieur de la cuisse. Au-dessu
es. Pour les pre- mières manifestations de la maladie (main gauche,
pied
droit), on peut seulement observer que si la lé
c aucune valeur. 3° La photographie de l'ulcération de la plante du
pied
, à forme géométrique, rectangulaire, ne me semb
z les animaux (3 pl.), 1. Thibierge. Une femme homard, mains et
pieds
à deux doigts (2 pl.), 472. V ALODIIA. Contribu
noplégie crurale par lésion du -) (1 pl.), par Long, 37. Mains et
pieds
à deux doigts (2 pl.), par Tiiii31EiiGE, 412.
plus souvent la cessation des accès qui débutaient par la main ou le
pied
. Galien a observé un enfant de 13 ans, chez leque
ndre de Tralles fit cesser une épilepsie qui commençait par le dos du
pied
, en appliquant, en ce lieu, un vésicatoire. Wepfe
ire. Wepfer a vu guérir un paysan épileptique dont l'accès partait du
pied
, à l'aide d'un vésicatoire apposé sur le dos (1
ête ; 2° celle qui commence par le bras ; 3° celle qui irradie par le
pied
; 4° celle dont l'aura part d'un organe abdominal
ions sont survenues. ophthalmie qui a duré trois ans, engelures aux
pieds
), et, à 7 ans, une fièvre intermittente. — Elle e
enou, roide, accomplit d'une façon passable les divers mouvements. Le
pied
n'est pas sensiblement déformé. Voici les mensura
fait assez bien, sans trop de fatigue ; mais, dans les mouvements, le
pied
traîne un peu et se renverse parfois ; la malade
t par de l'incertitude dans les mouvements du bras le renversement du
pied
dans la marche, etc. Puis, au bout de quelques mo
ssement du membre ; parfois, il lui arrive aussi de traîner un peu le
pied
, mais ce phénomène n'est pas bien accusé, car Del
ond au bras paralysé. Dans la marche, l'enfant traîne cette jambe, le
pied
se renverse. En un mot, les membres d'un côté du
érieur. L'attitude habituelle, c'est L'extension, avec déformation du
pied
qui présente généralement l'attitude du pied bot
ion, avec déformation du pied qui présente généralement l'attitude du
pied
bot varus équin, tantôt à un léger degré, tantôt
Gr... en jouant, en mangeant^ etc. En raison de la malformation du
pied
gauche (pied lot paralytique), elle aurait été op
ant, en mangeant^ etc. En raison de la malformation du pied gauche (
pied
lot paralytique), elle aurait été opérée au Burea
urait eu pour avantage de faire qu'elle marche moins sur la pointe du
pied
. A cinq ans, taenia; à cette époque,elle bavait e
r, ni craquements dans les jointures. Toutefois, il paraîtrait que le
pied
deviendrai t un peu roide « quand le temps est po
sités. Quand la malade est debout et déchaussée, on constate que le
pied
est d'abord tranquille et appliqué contre le sol,
lation, signalée par M. Charcot, entre les mouvements choréiformes du
pied
, de la main et de la face. Si, par exemple, on di
emple, on dit à la malade d'ouvrir la main gauche ou de la fermer, le
pied
, chaque fois, se met en mouvement ; les orteils s
t en mouvement ; les orteils se fléchissent ou s'étendent, ensuite le
pied
repose de nouveau sur le sol. Si la main est port
d repose de nouveau sur le sol. Si la main est portée sur la tète, le
pied
se tourne, s'agite, etc. — Simultanément, on voit
du cou se convulser. Dans la marche, Gr..., à chaque pas, frappe du
pied
. Le talon porte le premier, ensuite la pointe du
pas, frappe du pied. Le talon porte le premier, ensuite la pointe du
pied
. On ne remarque presque pas de mouvements choréif
ur longueur : les mouvements anormaux sont circonscrits à la main, au
pied
, au cou, à la face ; en d'autres termes, nous
ts et les orteils ; quelquefois, en effet, la main tout entière et le
pied
sont affectés ; — 3° enfin quelques muscles de la
s de la face et du cou sont, en même temps que ceux de la main et des
pieds
, agités de mouvements cho-réiformes (2). » Or, la
lacée, rendue très-évidente par les temps froids (alors la main et le
pied
paralysés peuvent être violacés); 2° que leur tem
Membre inférieur droit. — Les jointures sont assez libres, sauf le
pied
qui est assez rigide. Il a l'attitude du pied bot
t assez libres, sauf le pied qui est assez rigide. Il a l'attitude du
pied
bot varus équin. On l'assouplit facilement par de
de plus de 10 centimètres ; S... marche tout à fait sur la pointe du
pied
qui décrit un léger arc de cercle. La déambulatio
ommença à marcher vers cette époque; elle s'avançait sur la pointe du
pied
, et on assure que, à cet age, il n'y avait pas de
scrofuleuse. A 10 ans (1870), sept abcès se sont développés sur le
pied
et la jambe paralysés. Des incisions ont été prat
bres du côté droit et ceux du côté gauche s'est accusée, enfin que le
pied
s'est déformé. Les phénomènes de Yaura auraient
roit. — Roideur de la hanche et du genou: rigidité du cou-de-pied. Le
pied
est en varus équin ; il est en quelque sorte carr
ns l'extension. La malade exécute la plupart des mouvements ; ceux du
pied
sont plus circonscrits. — Pas de trépidation spon
orteil médian. 14 15,5 T... marche en détachant assez facilement le
pied
du sol. D'habitude , elle s'avance sur la pointe
acilement le pied du sol. D'habitude , elle s'avance sur la pointe du
pied
; quelquefois , pourtant, le pied s'appuie entière
ude , elle s'avance sur la pointe du pied; quelquefois , pourtant, le
pied
s'appuie entièrement. Elle marche en fauchant (à
ambe droite que sur la gauche. — Il existe des cicatrices : 1° sur le
pied
; 2° à cinq centimètres au-dessus de ia malléo
nfance, qu'elle a marché à 4 ans, pissé au lit jusqu'à 5 ans, que ses
pieds
auraient été tournés en dehors et que, à onze ans
ieurs aspects. Aujourd'hui, le membre inférieur gauche est rigide; le
pied
est en varus équin. La malade marche 7 sans a
a constaté à plusieurs reprises que, lorsqu'on exagère la flexion du
pied
, on provoque une trépidation du membre inférieur
s, de torsion de la tète, bref d'un accès incomplet. — L'extension du
pied
n'arrête pas l'évolution de ces convulsions. —
inférieur gauche est dans l'extension et moyennement contracture ; le
pied
, rigide, est en varus équin. D'abord, la tète e
xion sont imparfaits. Il y a une rigidité très-accusée du genou et du
pied
qui présente l'attitude du pied bot varus équin.
rigidité très-accusée du genou et du pied qui présente l'attitude du
pied
bot varus équin. Les orteils sont dans la flexion
his. — Le membre inférieur gauche est dans l'extension, rigide, et le
pied
est en varus équin. — Quant aux membres du côté d
abituelle de la jambe gauche. Quand on la soulève et qu'on fléchit le
pied
, tout le membre est pris de trépidation. En outre
e des membres du côté gauche. Les mouvements provoqués, la flexion du
pied
sur la jambe ne déterminent pas aujourd'hui de tr
dans ses accès de délire. 28 novembre. — La flexion dorsale du
pied
détermine les phénomènes suivants : La tête se
embre inférieur gauche, très-rigide dans toutes ses articulations, le
pied
en varus équin, est d'abord immobile, puis envahi
) ; le membre inférieur est également rigide, dans l'extension, et le
pied
est en varus équin; — Puis, il survient dans la j
flexion pouvait, dit-elle, s'effectuer dans une certaine mesure. Les
pieds
étaient «retournés. » Durant les quatre dernier
ÉRO-EPILEPSIE ÉTAT NORMAL les jambes sont allongés, rigides. Le
pied
gauche, en va-rus équin, est collé contre la plan
gides. Le pied gauche, en va-rus équin, est collé contre la plante du
pied
droit. Tym-panite légère. Telle est la situation
ion fréquente des jambes, surtout de la gauche ; souvent la pointe du
pied
gauche vient cogner contre la malléole interne du
t la pointe du pied gauche vient cogner contre la malléole interne du
pied
droit, ce qui fait trébucher la malade et la fait
titubant, se bouscule contre les portes, se cogne les malléoles; les
pieds
se renversent, et elle tombe quelquefois ; c'est
léoles; les pieds se renversent, et elle tombe quelquefois ; c'est le
pied
gauche qui se retourne et s'accroche le plus dans
uche, sur laquelle elle ne peut se tenir et qui reste en arrière ; le
pied
se place en travers. — Les deux membres inférieur
rne du cou-de-pied gauche ; au bout de 5 ou 6 minutes, contracture du
pied
et du genou. La malade dit avoir éprouvé successi
déterminé aucune sensation particulière. 14 nov. —La contracture du
pied
et du genou gauches persiste. V... dit que sa jam
r à sa bouche ; — d'autres fois, elle s'imagine qu'elle va mettre les
pieds
dans l'eau; — elle voit des bêtes noires, semblab
l'après-midi, la jambe droite était prise do tremblement dès que. le
pied
posait par terre. De 6 heures du soir à 4 heures
tatarse droit ; elle prétend qu'il lui semblait que l'aura montait du
pied
au ventre. Dans la soirée, fourmillements dans to
sorte que la rotule regarde la face interne du genou gauche et que le
pied
, placé transversalement, traîne son bord externe,
tracture très-prononcée du membre inférieur droit, dans l'adduction ;
pied
bot équin. Toutes les jointures sont rigides. La
de se tenir sur l'une ou l'autre jambe et de marcher en regardant ses
pieds
. Le pied droit ne repose pas complètement sur le
r sur l'une ou l'autre jambe et de marcher en regardant ses pieds. Le
pied
droit ne repose pas complètement sur le sol. — Si
la pluie tombant, elle est allée s'asseoir sur une pierre, à nu, les
pieds
également découverts. De 8 heures à minuit, 49
en outre dans l'adduction tandis que la jambe est un peu écartée ; le
pied
est en équin. Le membre inférieur gauche est co
solides ; toutefois, dans fa marche, X... est obligée de regarder son
pied
droit, sans cela, elle ne saurait s'il est par te
à la suite d'une contrariété, L... est allée se promener en chemise,
pieds
nus, dans la cour, par une pluie battante. On a d
(Pl.XVI)(1);—les membres inférieurs sont allongés et rapprochés, les
pieds
en varus équin ; — la face se porte à droite et s
rps se courbe en arc (Fig. 4), ne repose plus que sur la nuque et les
pieds
; les cheveux sont en désordre, 4. le cou est
vasion. « Seulement deux mois «ans avoir de crises, et je me tire des
pieds
. » (Repos; L... s'asseoit^. « Tu paies de toupet
t fait le geste). « Tu pleures ?... Va-t-en, je te fiche des coups de
pieds
... Ma petite sœur... Tu pleures ! Je voudrais que
ne pas sentir ses jambes ; la droite reste rigide. Dans la marche, le
pied
droit tourne, ce qui la fait chanceler. Elle a de
sur la cuisse; dans ce mouvement, le talon seulement ou la plante du
pied
toute entière frotte sur le lit. [Fig. 5.) Ceci
ieté est peinte sur son visage, elle bat la mesure avec la main et le
pied
du côté droit; elle s'arrête,écoute très-attentiv
é d'elle, remonte, etc.) X... s'assied, allonge la langue, agite le
pied
gauche, place ses deux coudes l'un sur l'autre ;
bras gauche demi fléchi en avant ; — des jambes dans l'extension; les
pieds
sont en varus équin. Une attaque, provoquée par
sprit par » le moyen de quelques vieux bois sur une muraille de » dix
pieds
de hauteur, et l'ayant menée sur ladite mu- (
n grand » effroy, il la fit tomber du haut de cette muraille de dix »
pieds
bien mesurés sur des pierres et des tuilles qui »
s le début, on n'a eu soin de leur mettre la camisole, de fixer leurs
pieds
, leurs bras et leur tronc. Cette exagération des
homme la troisième à celle d'un bélier II a une queue de serpent, des
pieds
d'oie, une haleine enflammée. Il se montre à chev
val sur un dragon... Lorsqu'on l'exorcise, il faut être ferme sur ses
pieds
et l'appeler par son nom. Il donne des anneaux co
rouuée bien souvent toute » pliée en arc parfait, la teste contre les
pieds
ius-» ques sur la bouche, et le ventre éleué en a
n (Pl. XXXII); les membres inférieurs sont rigides et rapprochés, les
pieds
en varus équin. Dès le début, il sort de la bouch
c. Août-Décembre (1).— On pro- (t) Le 25 novembre, contracture du
pied
droit, qui a disparu par le chloroforme. voqu
soit plus particulièrement en cause. Par contre, les dimensions du
pied
,avec leur 0 m. 363 de longueur est énorme et en
disproportion flagrante avec la partie fémoro-tihiale du membre le
pied
du grand Charles, étudié par MM. Launois et Pierr
la première mensuration, et 0 m. 299 dans la deuxième. De plus, le
pied
est plat, toute sa face plantaire touche le sol,
diminution de la taille produite par l'affaissement de la voûte des
pieds
. Si, maintenant, nous jetons un regard sur les
et l'en- semble de ses formes corporelles (excepté ses mains et ses
pieds
), ce qui lui donne un habitus morphologique trè
gie, et surtout le développe- ment disproportionné des mains et des
pieds
, par rapport aux autres seg- ments de membres.
néral, à l'acromégalie à début précoce. Et c'est bien son cas. Le
pied
est grand et difforme, comme on peu[ facilement s
le compare avec le canon de Vitruve, qui donne pour la longueur du
pied
la septième partie de la taille, nous devrions
la taille du géant, chiffre dépassé de 63 millimètres. En somme, le
pied
de José Lopes au lieu d'avoir un septième de sa
érence. Sa voûte s'est affaissée sous le poids du corps, le cou-de-
pied
est énorme, les malléoles sont hypertrophiées et
t 0 m. 1 ? 0 à la base delà deuxième. J'ajouterai que l'énormité du
pied
est frappante qu'elle a été immédiatement signa
. Eh bien, cette singulière hypertrophie de la face, des mains, des
pieds
et des malléoles, accompagnée de céphalée et de
IGANTISME, INFANTILISME ET ACROMÉGALIE (Magalhacs Lemos). Main et
pied
du géant Jose Lopès, comparés à ceux de son frère
ce sujet, notre géant prétend qu'il a toujours eu les mains et les
pieds
trop grands, ce qui est catégoriquement confirmé
ment confirmé par son frère et par son parrain d'après ceux-ci, les
pieds
et les mains seraient apparus déjà hypertrophié
droite on trouve un nodule ayant les di- mensions d'une noix. Le
pied
droit en demi-flexion dorsale, les orteils légère
La voûte plantaire droite est exagérée. Les téguments dorsaux du
pied
gauche paralysé présentent un léger oedème et l
ésentent un léger oedème et la pression laisse un léger godet. Le
pied
gauche en extension, la plante regarde en bas et
d'angine de poitrine. On observe aussi des crampes qui fixaient les
pieds
dans l'attitude du pied-bot ? 7 Une fois les
articulations et des os parmi lesquels nous trouvons par exemple le
pied
valgus et le genou valgus. Il serait dû à une tra
est tantôt bilatérale, tantôt unilatérale, parfois aux mains ou aux
pieds
seulement, assez souvent même aux mains et aux .
mains ou aux pieds seulement, assez souvent même aux mains et aux .
pieds
en même temps et avec un nombre égal ou différent
ard (3) vit chez un nouveau-né dix doigts à chaque main et à chaque
pied
; Johnson (4.) rapporte égale- ment une observa
égale- ment une observation de dix doigts à chaque main et à chaque
pied
; Voight (5) trouva chez un nouveau-né treize d
va chez un nouveau-né treize doigts à chaque main et douze à chaque
pied
; Hagenbach (G) décrit, entre autres, un cas de q
enbach (G) décrit, entre autres, un cas de quatorze doigts à chaque
pied
; etc. Les auteurs ne sont pas d'accord sur la
femmes avaient presque tous un doigt surnuméraire aux mains et aux
pieds
(4). Renon parle d'une famille dans laquelle la
isme si les mêmes formations se trouvent aux deux mains et aux deux
pieds
(7). (1) SPOTO, loc. cit., p. 10. (2) Portigl
jamais dans les mairies I » « J'ai reçu ce matin une roue sur le
pied
: c'est pour cela qu'il me fait mal ; cela a fa
alle. Elle dit, tour à tour, que son fils est fautassin, chasseur à
pied
, artilleur, et elle décrit son costume, chaque fo
risée par M. Rat, qui les a moulées de leur vivant. L'un mesurant 7
pieds
pouce de hauteur, l'autre ne dépassant pas 3 pied
de la plus petite stature qui ait jamais été vu, ayant seulement 2
pieds
7 pouces (0 m. 783) de haut et 37 ans d'âge. Il
nt eu trois enfants, dont un, mort à l'âge de 20 ans, mesurait cinq
pieds
et sept pouces de haut. Malgré l'exiguïté de sa
ble, d'une force peu commune ; il pou- vait, sans efforts, sauter à
pieds
joints du parquet sur une chaise. Sous le rappo
2 ans, il est garçon de restaurant et passe 4fi heures par jour sur
pied
; pendant tout le temps de son service, il est ex
ège, il a dû souvent passer de longues heures tout trempé, avec les
pieds
humides, c'est alors qu'il ressentit pour la pr
s temporo-maxillaires. La région des petites articulations des deux
pieds
est enflée. Atrophie ou tension de quelques mus
t du malade au moment de l'examen. - Le malade se tient debout, les
pieds
arqués dans les articulations des genoux et des c
rouvant pas de repos, à cause de cette douleur, retourna chez lui à
pied
, mais avec beaucoup de difficulté et en s'appuy
les muscles innervés par le nerf péronier sont totalement abolis. Le
pied
droit est tourné en dedans et en bas (pied-bot
émité pour s'arrêter brusquement aux poignets et aux chevilles. Les
pieds
et les mains sont normaux. Toutes les régions a
N. R., la région de l'insula et jusqu'au lobe temporal, c. g. e, le
pied
du pédoncule. Elle n'a guère épargné que les pa
nte de sa part. Cependant, il exécute les ordres simples : levez le
pied
droit, tirez la langue, prenez le porte-plume,
ématome avec sphacèle considérable et para- lysie des extenseurs du
pied
. Ce fut encore 1 centimètre cube d'huile conten
particulières, universelles par tout le corps, par- ticulières aux
pieds
et aux mains, et aux joinctures, d'oygnements div
tête couverte ou découverte, suivant les forces. On metloit ai ses
pieds
un réchaud plein de braise, et par un trou fait e
lettes de parfum ;en sorteque le malade demeuroit exposé depuis les
pieds
jusqu'à la tête, à la fumée qui i s'en exhalait
Rouen viennent les Tabourins et Fifres, le Cappi- taine des gens de
pied
, le 1er ranc, le 2e et le ranc, le Port'Enseigne,
de Panurge sans doute, qui voulait « une braguette longue de quatre
pieds
,et carrée et non ronde». ...(Pantagruel, liv. J
temps ') (Pantagruel liv. II, ch. XV). Le cccypittcine cles gens de
pied
a son bas de chausse gauche rabaissé pour montr
raillez qui filent la cyre et sont de couleur de tête de pyvert, de
pied
de canard et de bec de sygoigne, aussi le nez rem
u bras et un autre de la jambe. Au cinquième le premier soldat a le
pied
nu entouré d'un pansement en spirale qui ne lai
uverte d'emplâtres, a un bras amaigri et bandé porté en écharpe, le
pied
pansé aussi. Il est bien fâcheux que cette plan
ble. » Leur localisation fréquente au poignet, au genou, au cou-de-
pied
explique d'une façon très satisfaisante la plupar
ertain degré de contracture, à droite. L'excitation de la plante du
pied
provoque le retrait du membre, à gauche ; à dro
de volume d'un tiers au moins, en comparant avec leurs homologues ;
pied
gauche en varus équin. D'après les renseignemen
és des deux côtés, plus à droite qu'à gauche. Pas de clonus vrai du
pied
. Réflexes achilléens normaux. MouVËHH Iconogr
vice. Il pense quelquefois à sa famille. Il souffre des rems et des
pieds
et il dit qu'il a peur parce qu'il est éreinté ;
, à tout petits pas lents. En passant sur le tapis, il s'essuie les
pieds
. Puis il s'arrête spontanément au bord du tapis
x Genève je pense a m enfants « étant près ou éloignem « mère = 5
pied
« leurs coiffures et leur toilette « leur déj
stent, les réflexes abdominaux également. Il n'y a pas de clonus du
pied
, pas de réflexes des raccourcisseurs. Le signe
di- mensions vraiment anormales de ses extrémités et surtout de ses
pieds
. Au point de vue héréditaire, on note. Du côt
lequel il contraste étrangement. Sa taille est moyenne 1 m. 72, ses
pieds
et ses mains de volume normal ; de plus c'est u
roisième enfant. Georges âgé de 16 ans. Il est déjà très grand; ses
pieds
présentent un volume exagéré (pointure 46) ; il
iettes pleines de riz. Au conseil de revision il est ajourné pour
pied
plat et varices internes. Il y a environ un an,
entiques, tant au point de vue de la longueur, que du volume. Les
pieds
proportionnellement à la taille sont très dévelop
développés : en effet si l'on s'en rapporte au canon de vitrase le
pied
doit avait la 7° partie de la longueur totale d
jambe droite et du genou. Nous avons vu enfin que le malade a les
pieds
plats, ce qui d'ailleurs ne le gêne pas pour ac
ALOÏDES (Mossé) . A, A'. Le malade A. L. et son frère. B, lui'.
Pieds
du malade A. L. et de son frère. DÉFORMATIONS A
entimètres. Ajou- tons que le malade n'est pas gaucher. Comme les
pieds
, les mains bien conformées sont énormes. Elles af
ssez bien avec le tronc. Tronc solide, membres inférieurs robustes,
pieds
énormes. Les membres supérieurs au contraire pa
Etat mental. - Notre malade n'est pas seulement un homme aux grands
pieds
et aux grandes mains. Il n'est pas seulement un d
ses prouesses amoureuses et les nombreuses marches qu'il a faites à
pied
sans la moindre fatigue. Il sait lire, écrire e
Ainsi ,on a vu des cas où il n'y avait point de lésions du côté des
pieds
[Ganser(l), Israël (2). Rad (3)], de la colonne
et Chauffard (7) a publié un cas d'acromégalie sans déformation des
pieds
ni des mains. La pathogénie de l'acromégalie
V Pl. L DÉFORMATIONS ACROMÉGALOÏDES (Mossé) . Radiographies des
pieds
de A. L. Masson & Cie, Editeurs. l'IlIItO
lume ; les mains, quoique fortes, ne dépassent pas la normale ; les
pieds
, surtout les orteils, sont petits (Pl. LI). Les
normale ; les pieds, surtout les orteils, sont petits (Pl. LI). Les
pieds
enflent fréquemment; poumons, coeur, foie et rate
névralgie faciale unilatérale. La force musculaire des mains et des
pieds
est bien conservée. Les réflexes tendineux sont
mptômes atypiques et rares : on n'y trouve point de déformation des
pieds
et des mains. Chauffard a publié une observatio
sonne n'a jamais présenté de difformité des doigts des mains ou des
pieds
. Objectivement, le sujet présente : un crâne-ov
ombaire. Le squelette du bassin et des membres inférieurs est normal.
Pieds
plats. Le thorax est asymétrique ; la moitié dr
les cuisses, la jambe droite en adduction sur la jambe gauche, les
pieds
fléchis sur les jambes avec rotation en dedans,
avec rotation en dedans, en varus équin ; le bord externe des deux
pieds
appuie sur le plan du lit, les deux plantes se
qu'au mem- bre supérieur ; érythème purpurique à la face dorsale du
pied
droit. Sécheresse de la peau. Sensibilité dim
ents de trombone de la langue ; flexion des jambes sur les cuisses,
pied
gauche en varus équin ; réflectivité exaltée. T
it pas trop avancée. Dans ce cas, la marche est plus difficile, les
pieds
sont écartés de 20 ai 30 centimètres, les membr
30 centimètres, les membres plus raides, les pas plus courts, et les
pieds
se mettent par terre avec un certain bruit. M
ent par terre avec un certain bruit. Mais le malade ne jette pas le
pied
démesurément, et si le pied se balance légèreme
n bruit. Mais le malade ne jette pas le pied démesurément, et si le
pied
se balance légèrement et latéralement, on voit
rmés, sa marche devient immédiatement beaucoup plus difficile : les
pieds
plus écartés, les pas plus courts, les jambes e
lle légèrement. Le malade est incapable de se maintenir sur un seul
pied
, surtout si les yeux sont fermés. Il y ci don
peu, et d'une façon si limitée aux articulations des orteils ou du
pied
, que nous ne pouvons pas admettre que cetle per
es oscillations, c'est très simple, nous n'avons qu'à appliquer notre
pied
sur l'extrémité inférieure du bâton qui est res
sur le lit; rester debout avec les talons rapprochés, rester sur un
pied
, sauter à cloche-pied, marcher, etc. Certes, on
lation coxo-fémorale, mais aussi dans les muscles des jambes et des
pieds
, quand le malade, par exemple, reste debout ; mai
ambes n'oscillant plus latéralement, de sorte que le malade met les
pieds
où il veut, c'est-à-dire en bonne place. Son éq
ne et même s'il la garde, il n'a plus besoin de suivre des yeux ses
pieds
, car le malade étant sûr de leur direction, il re
contrac- tions petites et courtes parmi les muscles qui meuvent les
pieds
et les orteils, J'ai vu dernièrement une observ
remarqué que, lorsqu'il se tenait debout, et sans être chaussé, ses
pieds
, au lieu de rester tianquillement posés à plat su
ec le talon un de ses genoux, soit quand il est debout sur les deux
pieds
, et encore plus s'il désire rester sur un seul
t sur les deux pieds, et encore plus s'il désire rester sur un seul
pied
, ou marcher, etc. 352 NOICA On comprend très
sin sur les cuisses, des cuisses sur les jambes, des jambes sur les
pieds
, se trouvent maintenues immobiles et par conséq
puisse s'exécuter dans de bonnes conditions, que non seulement nos
pieds
soient bien fixés par terre, mais aussi que le
ne chaise, si, en lui disant de fermer les yeux, je lui déplace les
pieds
, et puis je lui recommande de se relever, en- g
de se relever, en- gardant les yeux fermés, alors il rapproche les
pieds
, les met dans la bonne position,puis une fois q
les met dans la bonne position,puis une fois qu'il est fixé sur ses
pieds
, il cherche à se relever. Si en se relevant, le
la marche deviennent de plus en plus difficiles, la station sur un
pied
, soit restant sur place, soit quand le malade mar
é et risquer de perdre l'équilibre. D'où la nécessité d'écarter les
pieds
, pour élargir la base de sustention, et le besoin
s douleurs d'arrachement, des sensations de brûlure à la plante des
pieds
, de l'ataxie 362 HEIMANOWLTSCH avec signe de
re quelques phénomènes : ataxie, Romberg, brûlures de la plante des
pieds
. Ce fui la première atteinte au tableau qui dès
légère courbe à concavité interne. La musculature est normale. Les
pieds
, courts, ont une tendance à être carrés ; il n'y
es métatarsiens. L'absence complète de voûte plantaire constitue un
pied
plat des plus typiques. Examen des viscères et
SALPLTRIkRE. T. XXIV. PI. LVII ACHONDROPLASIE (Radiograpliie du
pied
). (J. Rebattu). 'VFLLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
ne. Le raccourcissement est moins accusé au niveau des mains et des
pieds
, qui présentent à un certain degré la conformat
et le péroné ne participe pas à l'articulation du genou. Du côté du
pied
, les métatarsiens, notamment les quatrièmes, ne p
pré- sentent aucune anomalie. Mais il faut relever l'existence d'un
pied
plat, alors qu'on note plus souvent une voûte p
il existe à leur niveau une hyperhydrose assez marquée. Enfin les
pieds
participent au même processus que les mains, mais
palatine est ogivale (obs. IV) ; il y a de la cyphoscoliose et les
pieds
ont grandi (obs. VI) ; il y a de la spondy- los
aits ? Un bon nombre, comme les mains en battoir, l'allongement des
pieds
et l'hémianopsie, sont indiscutablement en rapp
l'instinct sexuel, puis frigidité, épaississement des mains et des
pieds
, sécheresse de la peau. Pâleur de la peau et de
rmale. Pouls à 72. Température : 36°2. Augmentation du volume des
pieds
et des mains. ' Polyurie avec urines normales.
s pigmentaires anormales. Cyphoscoliose, augmentation de volume des
pieds
. Polyurie avec urines normales. Anémie. Le tr
du visage et du cou, de la face dorsale des mains des doigts et des
pieds
(mais le malade a 45 ans) : Asthénie. l'infan
intellectuels signalés. . Pigmentation du front, des mains et des
pieds
. Pouls à 75. Tension 12. Homme courbé en deux,
p de couteau, il reçut, dans la région scrotale, un violent coup de
pied
qui l'étendit sans connaissance. Lorsqu'il revint
icules s'atro- pliaient. Les forces physiques diminuent sur le même
pied
et bientôt il ne peut plus continuer son métier
gure des mains ne manifeste pas d'acromégalie plns que la taille du
pied
.Enfin le massif facial tout entier s'est atroph
ille n'a pas changé (1 m. 65) depuis le régiment ; les mains et les
pieds
ne sont pas mortifiés (même pointure) ; le crâne
que l'aspect atrophié de la verge et des bourses. Les mains et les
pieds
sont légèrement pigmentés, la peau du dos du pi
Les mains et les pieds sont légèrement pigmentés, la peau du dos du
pied
est tendue presque d'aspect sclérodermique et sil
s : les deux avant-bras sont raccourcis et les mains, ainsi que les
pieds
, sont affectées d'une façon qui sera tout à l'heu
Ce n'est pas le véritable aspect de la main en trident. L'état du
pied
est représenté sur le dessin ci-joint (fig. 2) qu
ci-joint (fig. 2) qui donne une idée fort exacte de la réalité. Le
pied
est court et trapu ; en même temps il paraît, si
y a en outre raccourcissement des avant-bras et un état anormal des
pieds
. En raison de notre ignorance concernant la patho
ctères de la main en trident. Par contre la syndactylie observée au
pied
droit n'offre aucune relation avec l'achondropl
pendant qu'il était encore pa- ralysé, par des engourdissements aux
pieds
, qui petit il petit ont envahi tout le corps, y
Si je demandais au malade de fléchir le genou, tout en maintenant le
pied
correspondant renversé sur la jambe, il ne pouv
possibilité, si on lui demandait d'étPn- dre le genou, en tenant le
pied
renversé. Il ne réussissait à faire ce mouve- m
ouve- ment, ainsi que le mouvement précédent, que s'il relâchait le
pied
. Le malade nous explique cette difficulté en no
ous explique cette difficulté en nous disant que, pour renverser le
pied
avant de fléchir le genou, il faudrait raidir tou
mps le genou. De même, il ne peut étendre le genou sans relâcher le
pied
, car tenant celui-ci renversé, il raidit aussit
hir la cuisse sur le bassin, la jambe sur la cuisse et renverser le
pied
, et dans un temps suivant, il faut étendre le g
un temps suivant, il faut étendre le genou, en tenant la pointe du
pied
en haut. Ce sont ces mouvements combinés qui ma
st indiscutable que ce malade ne peut pas rester debout sur un seul
pied
, même ayant les yeux ouverts. Soutenu par les ais
alle, en rejetant ses jambes plus qu'il ne faut, ne posant jamais les
pieds
par terre dans la bonne place et les posant tou
demandons de se relever, sans fermer les yeux, il regarde alors ses
pieds
, très attentivement, les approche de la chaise, s
ns de se relever ayant les yeux fermés, et après lui avoir posé les
pieds
par terre, chacun dans une position différente, n
uit. Le malade qui ne sait pas dans quelle position se trouvent ses
pieds
parce qu'il a perdu le sens articulaire- cherche
ses cannes. Mais comme il n'a pas pris la précaution d'arranger ses
pieds
, il n'arrive pas à se lever, malgré toutes les pe
lgré toutes les peines qu'il se donne : on le voit alors agiter ses
pieds
dans tous les sens, sans cependant arriver à se s
re ayant le sens articulaire conservé, nous pouvons leur placer les
pieds
comme nous voulons, ils les remettront toujours d
blement il y a dix ans, par une sensation de brûlure aux orteils du
pied
droit, qui progres- sivement dans une année a e
sation de brûlure, bien pénible dit-il, a commencé à être sentie au
pied
gauche, et rapidement - cette fois-ci dans trois
escendu en bas, envahis- sant les deux membres inférieurs jusqu'aux
pieds
. . Cet engourdissement était si fort que pendan
sensation de brûlure, il aent aux membres inférieurs et surtout aux
pieds
, encore aujourd'hui, pendant une heure seulement,
rture, et l'hiver il se sent soulagé en mettant de la neige sur ses
pieds
. Une fois les brûlures pas- sées, il a continue
t abolie. Il localise mal les piqûres sur la peau des jambes et des
pieds
, et toujours avec un certain retard. Le sens
d. Le sens articulaire est complètement aboli aux articulations des
pieds
et aux genoux, très troublé aux hanches, sans ê
ypo- tonie que lui-même nous montre avec quelle facilité il met ses
pieds
derrière la nuque. Les pieds sont tombants, e
ntre avec quelle facilité il met ses pieds derrière la nuque. Les
pieds
sont tombants, et appuyent sur la surface du lit
jambes, il cherche en vain à se soulever, car, quoiqu'il remue ses
pieds
, il ne peut pas les approcher et les mettre dans
'autre s'appuyant vigoureusement sur une canne. Il a déjà placé ses
pieds
dans la position de marcher, l'un devant l'autre,
plus loin. Pendant ce temps le malade se trouve appuyé sur ses deux
pieds
, toute la plante des pieds appuie par terre, et
le malade se trouve appuyé sur ses deux pieds, toute la plante des
pieds
appuie par terre, et les genoux sont tous les deu
qui se trouve en marche. L'homme sain se lève déjà sur la pointe du
pied
qui est en avant, et fléchit légèrement le genou
devrait se relever avec tout le poids de son corps sur la pointe du
pied
. Mais notre demande de marcher, il se décide à
t, puis après, il étend rapidement la jambe et se hâte de mettre le
pied
par terre - presque à plat - de peur qu'il ne res
l déplace le membre en fermant les yeux, on observe qu'il relève le
pied
plus haut qu'avant, que la jambe oscille un peu
brusquement, et avec une telle exagération, que l'on dirait que le
pied
va être posé par terre, plus loin que s'il avai
pas antérieur avec les yeux fermés. En réalité le malade, pose le
pied
moins loin qu'auparavaut lorsqu'il avait les ye
surveiller celle-ci attentivement. Le malade soulève assez bien le
pied
, en oscillant très légèrement et puis il le pose
à plat, à une distance assez rapprochée du pas normal. Une fois le
pied
par terre nous prenons avec la craie l'empreint
ne fois le pied par terre nous prenons avec la craie l'empreinte du
pied
, et nous lui recommandons de remet- tre son pie
aie l'empreinte du pied, et nous lui recommandons de remet- tre son
pied
à côté de l'autre sans que son talon dépasse en a
e nous avons tracée. En effet le malade porte assez correctement le
pied
eu arrière et le met à côté de l'autre sans dépas
as en avant, mais avec les yeux fermés. Cette fois-ci il soulève le
pied
plus haut que normalement, les segments du memb
us qu'il ne faut, et quand il étend la jambe et qu'il veut poser le
pied
par terre, nous nous-attendons qu'il pose le pi
'il veut poser le pied par terre, nous nous-attendons qu'il pose le
pied
beaucoup plus loin que dans le cas précédent. En
s le cas précédent. En réalité, après avoir fait poser au malade le
pied
par terre, je prends à nouveau son empreinte, et
On le prie après, tout en maintenant les yeux fermés, de retirer sou
pied
et de le remettre à côté de l'autre. On voit al
n voit alors que le malade soulève très haut le genou, et remet son
pied
à côté de l'autre, mais toujours son talon est pl
ade avec les yeux fermés, en voulant faire le pas en avant, pose le
pied
plus en dehors et plus en arrière qu'il ne le f
est pour nous l'interprétation de ce phénomène. Le ma- lade met le
pied
plus en dehors, parce que sa jambe étant suspendu
endre bien compte de l'oscilla- tion de sa jambe. Voilà pourquoi le
pied
se pose en dehors de la ligne de direc- tion. S
pose en dehors de la ligne de direc- tion. Si maintenant il met le
pied
plus en arrière, c'est qu en exécutant les mouv
nt il étend trop sa jambe en avant, et puis, quand il veut poser le
pied
par terre, il le fléchit trop en arrière pour les
e fléchit trop en arrière pour les mêmes motifs : voilà pourquoi le
pied
se pose un peu plus en arrière. De même quand il
i le pied se pose un peu plus en arrière. De même quand il pose son
pied
à côté de l'autre,il dépasse en arrière laligne h
'autres avec les yeux fermés, car il ne sait pas où se trouvent ses
pieds
. Nous insistons qu'il essaye tout de même, mais
onduire. Pour compléter l'observation, ajoutons que le malade a les
pieds
tombants et use ses bottines sur leur bord exte
tombants et use ses bottines sur leur bord externe. Cette chute des
pieds
tient plus pro- bablement à la flaccidité des m
ient plus pro- bablement à la flaccidité des muscles extenseurs des
pieds
qu'à une névrite périphérique ; les muscles ext
enseurs ne sont pas atrophiés et les mouvements de renversement des
pieds
sur le dos des jambes, sont conservés. Conclusi
diurne dont il n'a conscience qu'en voyant l'urine couler sous ses
pieds
. Même chose se passe vraisemblablement chez les
gnorée. Jusqu'à l'âge de six ans elle n'a pu que se trainer sur les
pieds
et les mains, elle avançait à quatre pattes. Ja
cher la malade (fig. 2 et 3), on constate l'extension permanente du
pied
et des orteils, l'extension des mains, puis du
dus, les pommettes rouges. Il demande à chaque instant des bains de
pieds
sinapisés. Rien d'inquiétant jusqu'au commencem
, il demeurait assis penché du côté droit; on le recoucha (bains de
pieds
sinapisés, calomel 0,501. Il recommença de nouv
e fois des malades nouvellement admis qui ont fait un long trajét à
pied
pour venir à l'asile, on observe souvent une ex
ts suivants : .- 1° Flexion, extension, abduction et adduction d'un
pied
, ensuite de l'autre pied, et puis simultanément
on, extension, abduction et adduction d'un pied, ensuite de l'autre
pied
, et puis simultanément le même mou- vement avec
autre pied, et puis simultanément le même mou- vement avec les deux
pieds
; 2° Mouvement de rotation du pied dans l'articu
e même mou- vement avec les deux pieds; 2° Mouvement de rotation du
pied
dans l'articulation tibio-tarsienne. Le malade
n tibio-tarsienne. Le malade doit décrire un cercle avec le bout du
pied
; 3° Flexion du genou. - Pendant ce mouvement la
a cuisse. Pendant ce mouve- ment ? 3 genou est fléchi, la plante du
pied
repose sur le plan du lit, le bassin est immobi
e rota- tion dans l'articulation coxo-fémorale en décrivant avec le
pied
un cercle; 9° Les jambes sont allongées et ra
nne au moins au début du traitement. 1° Rester debout immobile, les
pieds
un peu écartés, les mains appliquées sur la cou
ter dans cette position une à deux minutes; 2° le même exercice les
pieds
joints ; 3° étant debout les pieds écartés, exé
minutes; 2° le même exercice les pieds joints ; 3° étant debout les
pieds
écartés, exécuter avec les bras des mouvements
on des bras en avant, en haut et en bas). 4° Le même exercice les
pieds
joints ; 4° fléchir le corps en avant, à gauche
roite, en décrivant avec la tête un cercle; 6° le même exercice les
pieds
étant joints; 7° s'accroupir et se relever lent
7° s'accroupir et se relever lentement ; 8° Le même exercice les
pieds
étant joints ; 9° plier le corps en avant et tâ
en avant et tâcher d'arriver avec les bouts des doigts au bout des
pieds
; 10° le même exercice les pieds joints ; 11° se t
ec les bouts des doigts au bout des pieds; 10° le même exercice les
pieds
joints ; 11° se tenir sur la pointe des pieds;
le même exercice les pieds joints ; 11° se tenir sur la pointe des
pieds
; 12° le même exercice les pieds joints; 13° se
ts ; 11° se tenir sur la pointe des pieds; 12° le même exercice les
pieds
joints; 13° se tenir debout les genoux fléchis
13° se tenir debout les genoux fléchis ; 14° Le même exercice les
pieds
rapprochés ; 15° en se tenant t les genoux fléc
rcices de locomotion. - 1° En se tenant debout avancer lentement un
pied
de la longueur d'un pas. Ramener ce pied de nou
ebout avancer lentement un pied de la longueur d'un pas. Ramener ce
pied
de nouveau en place, en le soulevant d'un seul
de nouveau en place, en le soulevant d'un seul coup. Placer le même
pied
en arrière et le ramener de nouveau en place. D
même pied en arrière et le ramener de nouveau en place. Déplacer le
pied
latéralement de la longueur d'un pas et le rame
urs de la semelle juste à l'endroit, où le malade aura à placer son
pied
. Ces exercices seront répétés alternativement a
son pied. Ces exercices seront répétés alternativement avec chaque
pied
. 2° Placer un pied devant l'autre sur la' même
ces seront répétés alternativement avec chaque pied. 2° Placer un
pied
devant l'autre sur la' même ligne et rester en
n équilibre; 3° faire vingt pas en avant, en posant doucement t les
pieds
, en' touchant le sol avec toute la surface de la
es pieds, en' touchant le sol avec toute la surface de la plante du
pied
. Le malade doit compter ses pas à haute voix; 4°
pas; 8° marcher les genoux ' fléchis; 9° marcher sur la pointe des
pieds
; 10° marche sur commandement avec arrêt brusqu
git la base de sustention, en écartant les jambes et en plaçant les
pieds
au dehors. Pour remédier à la mauvaise sensibil
unilatérale sont situés à gauche. Observation I : paresthé- sies au
pied
gauche et sensation de corset à gauche. Observa-
avec le bord de l'ongle une friction rapide le long de la plante du
pied
, comme on pro- cède ordinairement pour provoque
qu'on lui enfonçait un morceau tranchant de glace dans la plante du
pied
. La sensation dou- loureuse, provoquée par la f
Désordre le plus complet dans les mouvements des jambes. Les deux
pieds
dans la position de varo-équin, et impossibilité
ement en s'appuyant sur une canne. Les jambes étaient lourdes et le
pied
gauche lui semblait être enserré dans uuétau. A
e. Sensibilité. Le sens du toucher est aboli à la plante des deux
pieds
, sur le reste des extrémités le malade sent et lo
de la peau. Retard dans la perception de la douleur aux plantes des
pieds
. Ce retard existe, quoique moins prononcé jusqu
e. Le passage rapide avec l'ongle du pouce le long de la plante des
pieds
provoque une douleur vive, qui arrache un cri a
fermés, le malade ne reconnaît pas la position qu'on donne à ses
pieds
et aux jambes. Dans les articulations des genoux
s trop de difficultés d'un siège. Il ne peut pas se lever ayant les
pieds
joints. Debout. Quand le malade est debout ses
ever ayant les pieds joints. Debout. Quand le malade est debout ses
pieds
sont agités par des mouvements continuels. Il n
par des mouvements continuels. Il ne peut pas se tenir debout les
pieds
joints. 11 ne peut pas non plus se tenir sur une
e pièce. Il a plutôt la démarche titu- bante, peu sûre. Il place le
pied
avec précaution, comme s'il marchait sur de la
roite. Le malade a de temps en temps des douleurs fulgurantes aux
pieds
et dans les jambes. La crise dure parfois plusieu
plus difficiles (se tenir sur une jambe, marcher sur la pointe des
pieds
, marcher à reculons, marcher les genoux fléchis,
oint, que le malade peut rester debout les yeux fermés et "même les
pieds
joints. Il peut marcher les yeux fermés et dans
tions coxo-fémorales. Seuls les troubles dans les articulations des
pieds
n'ont pas bougé. Nous avons revu le malade le 8
y a toujours de l'insensibilité motrice dans les articulations des
pieds
. Le malade nous dit y qu'il a des jours où il m
de l'aimant (Barthélemy). La paume des mains, la face plantaire des
pieds
où manquent les glandes sébacées sont indemnes.
ident pas avec les frissons, elles arrive- raient plutôt après. Les
pieds
transpirent facilement, été comme hiver. Enfin
à leur volonté. Il a observé 32 amputés; beaucoup ont une sorte de
pied
fantôme au bout de leur moignon pour lequel ils
expériences que l'on peut faire réapparaitre par l'éleclrisation le
pied
fantôme dans l'esprit de vieux amputés qui en a
la cicatrice du moignon à l'extrémité duquel le malade objective un
pied
imaginaire ; l'injection cocaïnique sous la cicat
sup- prime subitement l'illusion et toute représentation mentale du
pied
fantôme devient et demeure impossible pendant t
insensiblement : la malade s'aperçoit un jour que ses mains et ses
pieds
sont plus violacés qu'aupa- ravant ; la colorat
est également très accentuée aux orteils, mais à la face dorsale du
pied
elle diminue progressivement. Cette coloration vi
vio- lacée est surtout marquée à la face dorsale des mains et des
pieds
, leur face palmaire et plantaire est moins bleue
érations de la calorification locale et de la sudation : le dos des
pieds
et des mains est glacé et sec, tandis que leur
d'une transpiration froide. Les orteils et la partie adjacente du
pied
présentaient les mêmes caractères. La sensibilité
tte infirmité depuis un an environ; elle dit que ses mains et ses
pieds
avaient insensiblement changé de couleur, qu'ils
Les symptômes névrosiques s'amendèrent rapidement; les mains et les
pieds
récupérèrent insensiblement leur coloration et le
aux), et les irréguliers, les pervers, les vicieux, ceux qui ont un
pied
dans le crime et un pied dans la folie, ces sujet
les pervers, les vicieux, ceux qui ont un pied dans le crime et un
pied
dans la folie, ces sujets dont les magistrats,
, la parole volontaire est lésée. La lésion n'a donc pas atteint le
pied
de la troisième circonvolution frontale gauche. C
très faible amplitude à la cuisse et à la jambe, plus accentués aux
pieds
qui, tour à tour, étendus ou fléchis, portent bru
, tantôt par la pointe, tantôt parle talon; excep- tionnellement le
pied
complètement soulevé, retombe à plat. Ces phéno
tend à s'extérioriser, les secousses augmentent d'inten- sité, les
pieds
s'étendent et se fléchissent alternativement, l'a
ceux de la région postérieure de la cuisse, ceux de la jambe et du
pied
, ainsi que le sphincter anal, le releveur de l'
la face interne de la fesse gau- che, ainsi que du bord externe du
pied
gauche. L'anesthésie s'étend à la muqueuse de l
bien définie. - Troubles de la motricité et de la trophi- cité : Le
pied
gauche est tombant et en extension forcée, non pa
pas par suite de contracture, mais par suite de paralysie, c'est un
pied
bot paralytique. Atrophie marquée de tout le me
sept mois, puis à ce moment l'amélioration resta stationnaire, le
pied
était toujours inerte. L'excitabilité faradique r
radique redevint petit à petit normale, mais les muscles moteurs du
pied
gauche ne réa- gissaient que légèrement. On not
les joues et les extrémités sont violacées. OEdème considérable des
pieds
et des jambes avec température très basse de la
up de pied sur la poitrine. Le coup de pied avait été donné avec le
pied
nu et le malade ne parut pas sur le moment être i
prise de fourmillements dans le creux des mains et à la plante des
pieds
. Ces fourmillements ont persisté pendant trois
iction rapide et superficielle avec l'ongle le long de la plante du
pied
provoque une vive douleur qui dure pendant plus
solue, les yeux ouverts ainsi que les yeux fermés. Jambe gauche. Le
pied
gauche se trouve dans une position de varo-equi
n'est qu'avec beaucoup de peme que la malade arrive à redresser le
pied
. Les mouvements de cette jambe sont fortement i
ber de tout le poids de son corps. Elle ne touche le sol qu'avec le
pied
droit, en rejetant le corps fortement en arrièr
ait complètement paralysée et ne touche le sol qu'avec la pointe du
pied
. Une fois debout la malade est incapable de con-
asques. Quand la malade est assise elle ne touche le sol qu'avec le
pied
droit. Le pied gauche n'appuie par terre qu'ave
a malade est assise elle ne touche le sol qu'avec le pied droit. Le
pied
gauche n'appuie par terre qu'avec la pointe et un
ôtés sous les bras elle saute sur sa jambe droite, ou glisse sur le
pied
droit. La jambe gauche balance dans tous les sens
. La malade apprend assez vite à exécuter les exercices au lit. Son
pied
varo- équin est également vite corrigé. Mais qu
erse toute seule la cour de l'hospice se rend à la gare d'Orléans à
pied
pour prendre l'omni- bus, s'en va toute seule e
mie qui habite au cin- quième et rentre le soir seule à l'hospice à
pied
depuis la gare d'Orléans. 15 mai 1896. La mal
toute la surface des extrémités inférieures y compris la plante des
pieds
. Seule une plaque située à la partie externe de
Paresthésies. Fourmillements fort désagréables aux orteils des deux
pieds
. Sensation de crampes aux pieds. Phénomène plan
t désagréables aux orteils des deux pieds. Sensation de crampes aux
pieds
. Phénomène plantaire. La friction rapide et lég
La friction rapide et légère avec l'ongle le long de la plante des
pieds
provoque une douleur intense qui arrache des cr
tion de la piqûre d'épingle : de trente secondes sur la surface des
pieds
et à la plante, de trente à vingt secondes à la
u'on se rapproche de la racine des membres. Excepté à la plante des
pieds
, il y a aussi un peu d'hypoesthésie de la douleur
dans l'espace. Les mouvements sont fortement incoordonnés. Les deux
pieds
se trouvent dans la position de varo-equin, les o
musculaires des jambes. Elle corrige bien la position vicieuse des
pieds
, et même quand elle fait un mouvement coor- don
hir le genou pendant que la cuisse reste en position verticale, son
pied
ne se renverse plus. Au début du traitement qua
erse plus. Au début du traitement quand elle essayait de relever le
pied
gauche, le renversement du pied droit s'accentu
t quand elle essayait de relever le pied gauche, le renversement du
pied
droit s'accentuait davantage et vice versa. Mai
apprenne à se tenir debout. Malgré ses efforts de volonté, les deux
pieds
étaient en forte posi- tion de varo-équin, les
plantaire. La friction rapide avec l'ongle le long de la plante des
pieds
produit une forte douleur qui « va jusqu'au coe
station verticale. Le signe de Rom- berg est très net. En marche le
pied
est lancé en avant sans fléchir le genou, et re
par son propre poids, le talon frappe fortement le sol, parfois les
pieds
s'enchevêtrent et font chanceler la malade qui
malade est sortie pour faire une course en ville. Elle est allée à
pied
de l'hospice de la Salpêtrière jusque dans la r
a démarche est moins sûrc et moins régulière. Elle tâtonne avec les
pieds
. La malade a quitté la Salpêtrière au mois d'ao
hypoesthésie sur toute la surface tégumentaire sauf à la plante des
pieds
, où la sensibilité est assez vive. Aux jambes la
mission au moins aussi longs. Ces douleurs, toujours localisées aux
pieds
et aux jambes, ne dépassent pas le genou, empêc
des deux côtés (la fric- tion avec l'ongle le long de la plante du
pied
provoque une douleur très vive). La sensibili
bes, elle ne sait pas quelle jambe est dessus, laquelle dessous. Le
pied
droit est légèrement renversé en varo- équin.
haise avec les mollets. La malade étant debout regarde fixement ses
pieds
, qui sont ouverts en dehors, la pointe en abdu
ui se fait uniquement sur le talon et une partie du bord interne du
pied
. Tous ces phénomènes d'incoordi- nation et les
devient défectueuse. Le malade monte difficilement l'escalier, les
pieds
s'enchevêtrent pendant la marche. A la même épo
onne. Rien aux articulations. Sensibilité. - Excepté à la plante du
pied
gauche le sens du [en- cher est normal sur tout
antaire. La friction rapide avec l'ongle du pouce sur la plante des
pieds
produit une douleur très vive. Cette douleur pe
dant une minute à peu près. L'application du froid il la plante des
pieds
produit une sensation de brûlure tellement forte
démesurément la jambe, la lance par terse e avec le bord externe du
pied
Les pieds se lèvent. Tout d'un coup une jambe s
ent la jambe, la lance par terse e avec le bord externe du pied Les
pieds
se lèvent. Tout d'un coup une jambe se lève mal
par des mouvements de la grande chorée. Les jambes se croisent, les
pieds
s'enchevè- trent et le malade s'abandonne aux p
n'est pas senti sur la surface des jambes, y compris la plante des
pieds
, jusqu'à la hauteur du ligament de Poupart. La
d'épingle est perçue avec un certain retard surtout à la pfante des
pieds
. Ce retard va en diminuant à mesure qu'on se ra
a friction rapide avec le bord de l'on- pie le long de la plante du
pied
occasionne une vive douleur. Cette douleur se p
malade ne peut pas se lever seul de sa chaise. Il reste debout les
pieds
écartés, la pointe dirigée en dehors. 11 tient
dehors. 11 tient les bras écartés du corps et regarde fixement ses
pieds
. De temps en temps les genoux fléchissent brusq
pieds. De temps en temps les genoux fléchissent brusquement et les
pieds
sont con- tinuellement agités de mouvements. Le
uement et les pieds sont con- tinuellement agités de mouvements. Le
pied
gauche a des ten- dances à se renverser en deda
dances à se renverser en dedans. Impossibilité de rester debout les
pieds
rapprochés. Impossibilité de se tenir sur un pied
ester debout les pieds rapprochés. Impossibilité de se tenir sur un
pied
. Aussitôt que le malade ferme les yeux; il tomb
arche est franchement ataxique. Le malade regarde attentivement ses
pieds
. Il déplace la TRAITEMENT DE L'ATAXIE DANS LE T
TAXIE DANS LE TABES DORSALIS. 385 jambe d'une seule pièce, jette le
pied
en dehors et frappe lourde- ment du talon le so
e s'assoit et se lève sans aucune diffi- culté et sans regarder ses
pieds
. Dans la rue il marche seul sans donner le bras
n marchant dans la rue, le malade n'a plus besoin de regarder ses
pieds
. Dans un appartement il peut marcher sans canne.
st un peu améliorée. Elle existe cependant toujours aux plantes des
pieds
. Il y a une légère amélioration dans la sensibi
es mouvements soient d'une grande amplitude. Dans l'articulation du
pied
droit et dans toutes les articulations de la ja
ro-épilepsie. Début de la maladie. En 1887 douleurs fulgurantes aux
pieds
, principalement aux orteils. Mais déjà quelques
clette et se fracture le péroné de la jambe droite avec luxation du
pied
. A la suite de cet accident il reste couché penda
e droite jusqu'au pli inguinal; le toucher est normal sur le dos du
pied
gauche, sur une plaque grande comme la main au
peiçue avec un certain retard surtout à la plante et sur le dos des
pieds
. Ce retard est moins prononcé sur les jambes ju
plantaire. La friction rapide avec l'ongle le long de la plante du
pied
produit une sensation de douleur très vive. Ce
e. Rien d'anormal aux articulations. Quand le malade est couché, le
pied
gauche prend la position de varo-équin par suite
e volonlé le malade parvient à corriger cette position. vicieuse du
pied
, mais aussitôt que l'attention du malade n'est pa
aussitôt que l'attention du malade n'est pas dirigée de ce côté, le
pied
retombe. La sensibilité profonde (articulaire,
is, les genoux sont rejetés au dehors, les cuisses en abduction, le
pied
gauche renversé. Pour se lever de son siège le
léchit pas les genoux, mais se laisse tomber les jambes raides. Les
pieds
volent en l'air quand il tombe dans le fauteuil
. Le malade ne peut pas rester debout seul. Il faut le soutenir. Le
pied
gauche reste tordu et ne touche le sol qu'avec le
e reste tordu et ne touche le sol qu'avec le bord externe. Les deux
pieds
sont continuellement agités de mou-' 358 CLINIQ
-' 358 CLINIQUE NERVEUSE. vements. De temps en temps la pointe du
pied
se relève et le ma- lade pivote sur les talons.
cé. Locomotion. En marchant le malade surveille attentivement ses
pieds
, aussitôt qu'il lève les yeux, le pied gauche se
surveille attentivement ses pieds, aussitôt qu'il lève les yeux, le
pied
gauche se renverse et le malade tombe. Il n'a p
e l'air de toucher à peine le sol. Le malade met avec précaution le
pied
en avant en laissant le corps en arrière. Il a
départ. Il exécute assez bien tous les mouvements au lit. Au lit le
pied
gauche ne se renverse plus. Le malade s'assoit
sans qu'on le sou- tienne et sans qu'il ait besoin de regarder ses
pieds
. Le malade marche assez convenablement à l'aide
tres. En marchant avec une canne, il n'a pas besoin de regarder ses
pieds
. Dans l'appartement et dans le jardin il peut fai
eut faire une centaine de pas sans canne. 11 peut rester debout les
pieds
joints. Il peut se tenir pendant quelques secon
e de Romberg dès le début. En 1885, douleurs fulgurantes dans les
pieds
, les jambes et dans les trois derniers doigts de
mment. Au mois de juin 1893 le malade se fait une entorse légère au
pied
gauche, qui le retient au lit pendant une dizai
est normal sur toute la surface des jambes, excepté à la plante des
pieds
, où le malade sent un peu moins nettement. Il y
in retard dans la perception de la douleur, surtout à la plante des
pieds
, où ce retard est de quatre à cinq secondes. A
ne plantaire. Le passage rapide de l'ongle le long de la plante des
pieds
provoque une vive douleur (une cuisson), qui pe
articulaire) est très peu trou- blée ; excepté à l'articulation des
pieds
, où le malade ne senl pas les mouvements qu'on
rotation en dehors dans l'articulation coxo-fémorale, la pointe du
pied
est dirigée en dehors. Ce phénomène est plus pr
surtout la gauche. Debout. Le malade ne peut pas rester debout les
pieds
joints. Les jambes et les pieds sont agités de
alade ne peut pas rester debout les pieds joints. Les jambes et les
pieds
sont agités de mouvements. Le pied gauche tourn
pieds joints. Les jambes et les pieds sont agités de mouvements. Le
pied
gauche tourne, malgré le malade, sur le talon e
malgré le malade, sur le talon et se place la pointe en dehors. Les
pieds
se soulèvent sur les talons et le malade tombe en
e. La dé- marche est franchement ataxique. Il talonne fortement. Le
pied
gauche est placé avec le talon en dedans, la po
Il s'applique à marcher sur la partie anté- rieure de la plante du
pied
. Il n'éprouve plus aucune difficulté pour se le
rg n'est pas modifié. La sensibilité profonde des articulations des
pieds
est toujours aussi troublée qu'au début du trai
26 401 BIBLIOGRAPHIE. centre de Broca ou de l'aphasie motrice au
pied
de la troisième circonvolution frontale gauche,
a première temporale gauche, celui de l'agraphie placé par Exner au
pied
de la deuxième frontale gauche et enfin celui d
vation de M. Bar où l'autopsie révéla une seule lésion localisée au
pied
de la deuxième frontale (localisation de l'agra
partie de la'circonvolution d'enceinte de la scissure de Sylvius :
pied
de la troisième frontale, centre des images mot
apsule interne formant son extrémité antérieure, le bord interne du
pied
du pédoncule puis arrivent aux noyaux moteurs d
er les psaumes de la pénitence; puis je le fis porter à l'église au
pied
de l'autel de saint Nicolas. Là, nous récitâmes
fice du matin hors du choeur, il vint au chapitre se prosterner aux
pieds
des religieux, le coeur ému et l'âme brisée, pu
si complètement délivré du malin esprit, qu'il laissa ses liens au
pied
de l'image de saint Michel... » (Deschamps. His
ovoquer des mouvements réflexes en pinçant la peau de la plante des
pieds
. Sensibilité normale, ventre fortement distendu
et les cellules du « tegmentum pontis » ; 4° Faisceau interne du
pied
du podoncule. - D'après les recher- ches de l'a
able. Frey a expérimenté la formaline contre les sueurs fétides des
pieds
, à l'asile de Schwetz, sur 40 sujets, dont 13 g
e chromique n'avaient pas donné de résultats. Les badigeonnages des
pieds
avec une solution de formaline à 2 p. 100 suppr
ettre les localisations segmentairespour la main, l'avant- bras, le
pied
et la jambe, tandis que pour le bras et la cuisse
dis qu'on connaît l'excessive fréquence des déviations anormales du
pied
. » Toutes ces raisons, localisation de l'atroph
ction de la cuisse se font à peu près bien. La jambe soulevée, le
pied
tombe, la pointe en bas et en de- dans. La ma
le bassin, de façon à soulever au-dessus du sol la pointe de son
pied
tombant, puis il le laisse reposer d'une seule
la relever ; les membres inférieurs étaient très faibles, seuls les
pieds
remuaient encore assez bien ; les mouve- ments
Les muscles de la région postérieure de la jambe et de la plante du
pied
fonctionnent encore un peu, les orteils peuvent
nt encore un peu, les orteils peuvent être fléchis sur la plante du
pied
et cette dernière abaissée et tournée en dedans,
gion antéro-externe de la jambe) ne peuvent relever ni la pointe du
pied
ni les orteils ; le pied reste en varus équin.
jambe) ne peuvent relever ni la pointe du pied ni les orteils ; le
pied
reste en varus équin. Etat des niasses musculai
es rétractions sont légères ; le plus souvent, elles déterminent un
pied
varus équin, une flexion de la jambe sur la cuiss
nce bien développée. , Marché. - Le malade marche sur la pointe des
pieds
, les cuisses fléchies sur le bassinet les jambe
AN ET LEJONNE les genoux sont rapprochés l'un contre l'autre et les
pieds
écartés de 40 centi- mètres. Pour exécuter le p
roit sur le bassin, les jambes à angle droit t sur les cuisses, les
pieds
en équin légèrement varus. Etude détaillée des
de la cuisse sur le bassin ont conservé une certaine énergie. Les
pieds
sont en équin varus surtout à gauche par rétracti
acilement les orteils ; il les fléchit avec force vers la plante du
pied
. Sont simplement un peu faibles les mouvements
ement un peu faibles les mouvements de relèvement de la totalité du
pied
(jambier antérieur). Cette intégrité des or- te
gueur suffisante aussi bien il droite qu'a gauche. L'extension du
pied
sur la jambe active et passive est bien conservé
st bien conservé à droite et à gauche, mais à gauche, la flexion du
pied
sur la jambe est limitée par la rétraction des
sleppage grâce a l'intégrité des muscles releveurs de la pointe du
pied
, mais marche cependant en se dandinant, le corp
notre malade peut-il marcher avec facilité, mais sur la pointe des
pieds
à cause de son pied varus-équin, et sa démarche e
marcher avec facilité, mais sur la pointe des pieds à cause de son
pied
varus-équin, et sa démarche et son maintien son
et flexion de la cuisse sur le bassin et de la jambe sur la cuisse,
pied
varus équin. Démarche en flexion forcée, démarche
ique est immobilisé à jamais sur un siège, les jambes fléchies, les
pieds
tombants. On peut dès lors supposer avec vraise
e assez énergique à tel point que notre jeune malade marche avec un
pied
vams équin, L'immobilisation n'est donc pas la
naient quelquefois la jambe comme un étau ; d'autrefois partant des
pieds
, elles allaient comme un éclair jusqu'au genoux
marche n'a rien de bien spécial, la malade détache sans effort les
pieds
du sol, mais fléchit trop la jambe sur la cuisse,
effort les pieds du sol, mais fléchit trop la jambe sur la cuisse, le
pied
s'ap- pliquant sur toute la plante ou même sur
sses ont simplement conservé leur volume et leur forme normale. Ses
pieds
, lorsque les jambes sont pendantes, sont légère
élasticité normale au toucher, ils sont durs et comme fibreux ; les
pieds
sont ballants, sans la moindre trace de rétractio
crural, dans les muscles antéro-externes des jambes et dans ceux du
pied
. En examinant la malade, on surprend de temps e
e ou très affaiblie dans les muscles des cuisses, des jambes et des
pieds
. Elle est presque partout éteinte, et seulement t
l'on se rapproche davantage 56 socA de l'extrémité du membre. Aux
pieds
, par exemple, la sensation est assez obs- cure.
ucher, d'autant moins nettement que l'on se rapproche davantage des
pieds
. Cependant à la même hauteur au même niveau, la
ans certains points elle paraît plus obscure que dans d'autres. Aux
pieds
la piqûre est ressentie comme une brûlure. Si
sent mal le sol, il lui semble qu'il y a du coton sous la plante des
pieds
. Elle ressent quelquefois du fourmillement aux
enne, n'ayanl plus aucune fixité, les malléoles sont par rapport au
pied
, dans un état d'instabilité très prononcée : en c
du coté droit que du côté gauche. A la flexion et à l'extension des
pieds
et des orteils il se manifeste,dans les muscles
e la région postérieure des cuisses, des muscles de la jambe et des
pieds
; 2° Une aneslhésie, totale on dissociée, qui o
rieure des cuisses et des jambes, le bord externe de la jambe et du
pied
, quelquefois toute la surface du pied, moins une
ord externe de la jambe et du pied, quelquefois toute la surface du
pied
, moins une étroite bandelette con- ligué au bor
t des douleurs dans les lombes, et il ne pouvait plus remuer ni les
pieds
ni les jambes ; c'est à peine si, avec ses memb
orteils et les péroniers; le jam- bier antérieur était indemne. Les
pieds
n'étaient pas tombants. Partout, aux membres in
d'hypoesthésie le long du bord externe de la face dorsale de chaque
pied
. Depuis lors, l'état de D... n'a pas subi de mo
bord Fig. : 3. 88 RAYMOND externe de la face dorsale de chaque
pied
(Fig. 3). La sensibililé tactile est affectée d
a face postérieure de la cuisse, tous les muscles de la jambe et du
pied
, par l'intermédiaire du nerf sciatique et de se
cles de la face postérieure des cuisses ; muscles des jambes et des
pieds
, tandis que les muscles innervés par le crural
ie médiane de la face postérieure de la jambe et le bord externe du
pied
. Il ne sera pas superflu de vous rappeler que tou
ues petits mouvements choréiformes, des sueurs, surtout au niveau des
pieds
et des mains; pas de tremblement. On suspend le
seitterdu roy, parle dans son Orthopédie (tome premier, 1741) des «
pieds
dont le talon ne touche pas aisément la terre »
e » et plus loin des « défauts concernant le port des jambes et des
pieds
». Dans ces deux chapitres, l'auteur considère
t. Les membres sont en état de rigidité spastique avec athétose des
pieds
et des mains et les réactions électriques, les ré
, l'enfant a pro- gressé régulièrement, il marcherait bien mais les
pieds
ont des déformations osseuses très profondes qu
erveau gauche qui la perçoit ? Pourquoi la localisons- nous à notre
pied
droit sinon parce que c'est telle partie de notre
en tous les points du corps. Si l'on place le malade debout, les
pieds
réunis, on ne constate pas le signe de Romberg
- tour de la tumeur, en haut et en arrière, une bordure étroite. Le
pied
de la 3° frontale, comprimé en arrière de la tu
tater que cette tumeur relativement volumineuse, qui comprimait le
pied
dela3e frontale,et qui depar sa nature et l'évo
/2. Il occupe la partie de la frontale ascendante qui correspond au
pied
de la 2e frontale. En dehors de ce pédicule, to
ule rolandique qui présente un aplatissement si considérable que le
pied
de la frontale ascendante présente plus de 3 cent
: Père, âgé de 21 ans, bien constitué et bien portant, ayant eu un
pied
coupé accidentellement, indemne de syphilis et
sauf quant à la tête et quant aux extrémités (les deux mains et le
pied
droit) était normale. Pendant les fk semaines d
rémités des membres, la face, le crâne et le cerveau. Extrémités.
Pied
droit. Le gros orteil se termine par un bourrelet
t de développement de la face, et à des déformations des mains, des
pieds
, du cerveau et du crâne; la déformation dominan
les, à la suite desquelles il a con- servé des contractures dans le
pied
gauche. Ce pied-bot l'a toujours hor- riblement
ations de tous côtés et surtout dans le côté gauche, le côté de son
pied
malade et douloureux, La misère survint, un séj
r de neuf mois dans un asile de malheureux, l'opération faite à son
pied
, tout cela ne contribua pas peu à supprimer le
accouchement ils se sont présentés l'un par la tête l'autre par les
pieds
, se faisant mutuellement face. Le sujet de gauc
à ce qu'elle est actuellement. La jambe était à demi-fléchie, et le
pied
déjà légèrement en varus. On montra XV ' 18 2
ar un large repli cutané palmant en quelque sorte la jointure. Le
pied
, très en varus, remonte contre la face interne de
gles bien développés que la malade doit couper de temps à autre. Ce
pied
garde quelques mouvements actifs par rapport à
lles le segment basilaire du membre s'étant atrophié, la main ou le
pied
s'in- UN CAS D'HÉMIMÉLIE DU MEMBRE ABDOMINAL DR
ou moins atrophié, le moignon portant un rudiment de la main ou du
pied
. C'est évidemment cette disposition que nous trou
u tibia, et dans ce cas le genou se rappro- che de la normale. Le
pied
est en varus équin au plus haut degré, et souvent
e, la malléole se subluxant en bas. Il en résulte que l'ensemble du
pied
est très mobile sur la jambe. Très réduit dans se
est très mobile sur la jambe. Très réduit dans ses di- mensions, le
pied
a le plus souvent le nombre d'orteils normal. Sou
niques seraient or- dinairement les suivants : l - La jambe et le
pied
sont très raccourcis, mais on ne dit pas ordinair
en dedans ou en dehors, lui donne la forme d'un arc, d'un sabre. Le
pied
est quelquefois en position normale, le plus so
. D'autre part, les caractères impor- tants de l'absence du péroné (
pied
en valgus, tarse assez bien développé, déformat
constatons, au contraire, la flexion de la jambe sur la cuisse, le
pied
en- roulé en varus, le tarse réduit il un seul
fusionnée au condyle interne, la jambe très atrophiée, la plante du
pied
regardant en haut et accolée à la face interne
u altérée. Troubles légers de la marche et de la station debout les
pieds
rapprochés. Aux membres supé- rieurs : incoordi
ne sort de son lit que pour faire ses besoins sur un drap placé au
pied
du lit. Il est impossible de le faire aller à la
ns les actes étranges et stéréotypés. Quand P... ne se tient pas au
pied
de son lit ou le long d'un mur dans l'atti- tud
uïe. Attitudes stéréotypées (PI. XLV, I). L'hiver il reste assis au
pied
de son lit, la tête basse, les mains sur les ge
les cuisses fléchies sur le bassin, les jambes sur les cuisses, les
pieds
écartés l'un de l'autre. Il ne présente pas d'ail
de la face postérieure du même côté gauche du corps. A la plante du
pied
, à la région lombaire, à la face postérieure de l
unl'hui je serai le danseur wasaoki de ta Seigneurie. » Il leva les
pieds
, frappa le sol et marcha. Imitant les mouvements
ts péni- bles de ceux qui se noient, il se dressa sur la plante des
pieds
, au mo- ment où la mer commença à les mouiller.
e la hanche, du même côté, le membre inférieur est en exfension, le
pied
est légèrement abaissé de manière que le talon
e de boiterie provoquée par un spasme du mol- let gauche qui met le
pied
en varus équin. Ce spasme se produit au maximum
ns sont exagérés et les cutanés abolis. Il y a un léger clo- nus du
pied
. , Le signe des orteils est très net des deux c
rmée en un Pied-bot de Friedreich très complet (l'l. LUI. C). Les
pieds
sont en équinisme, tassés d'avant en arrière, ave
ils sont en hyperextension avec saillie des ten- dons. La plante du
pied
est plus excavée et ridée. Ce pied creux persiste
llie des ten- dons. La plante du pied est plus excavée et ridée. Ce
pied
creux persiste dans la station debout, comme en
mme en fait foi l'empreinte sur laquelle toute la partie moyenne du
pied
fait défaut. Le spasme du mollet gauche a gagné
pparaît pas immé- diatement (1), mais au bout de quelques pas ; les
pieds
ne reposent plus alors que par l'extrémité anté
dans la station debout, et un défaut d'équilibre empêchant les deux
pieds
de poser, à la fois, à plat sur le sol. Des ver
nation, ni signe de Romberg, réflexes rotuliens exagérés, clonus du
pied
et signe des orteils, intégrité des sphincters
de longtemps, les autres acci- dents ; Une attitude spéciale des
pieds
, dans la marche. Des mouvements involontaires d
e à 18 ans, bientôt suivi des spasmes des mus- cles fléchisseurs du
pied
et de la jambe, à gauche d'abord, et plus tard
spasmodique. (Obs.I). - A' Le même, conigeant sa déformation 13, C
Pieds
rappelant le pied hot de Fricdmich (Obs 1 et Il),
I). - A' Le même, conigeant sa déformation 13, C Pieds rappelant le
pied
hot de Fricdmich (Obs 1 et Il), LE SYNDROME DU
lent avoir conservé l'intégrité de leur force, seule, la flexion du
pied
sur la jambe paraît un peu affaiblie, surtout à
surtout à gauche. Quand on tire, avec une égale force sur les deux
pieds
fléchis, la gauche résiste un peu moins, sans cep
Il se lève sans le secours de ses mains, et peut rester debout, les
pieds
rapprochés et les yeux fermés, sans perdre l'équi
on in- terne, elle est de plus légèrement fléchie sur le bassin, le
pied
gauche dirigé en dehors, le droit en dedans. Le
a tête se relève, l'épaule s'abaisse. Le départ se fait toujours du
pied
droit, le gauche se contente de le suivre, sans
re est comme bridé, et l'effort que fait le malade pour détacher le
pied
du sol, et contrebalancer l'action des antagonist
'action des antagonistes, produit une détente un peu brusque. Les
pieds
, le gauche snrtout, frottent contre le sol, de la
, tout à l'heure impossible ; mais le résultat est médiocre, et les
pieds
semblent avoir plus de peine à se détacher du s
le les particularités suivantes : Après chaque pas exécuté par le
pied
droit, le gauche vient se placer sur le même pl
u en arrière. La base de sustentation n'est pas élargie. Les deux
pieds
conservent leur position respective des deux côté
n respective des deux côtés de la ligne d'axe, mais la distance des
pieds
à cette ligne n'est pas partout égale, surtout
sans doute, l'attention du sujet est tenue en éveil. La pointe du
pied
gauche frotte contre le sol, au départ, dans l'in
des traces qui précèdent immé- diatement le moment de l'appui. Le
pied
droit laisse des traces du frottement de la point
ment de la pointe dans les premiers pas seulement. L'empreinte du
pied
gauche diffère de celle du pied droit. Dans la pr
ers pas seulement. L'empreinte du pied gauche diffère de celle du
pied
droit. Dans la première, on constate l'absence
onde, les orteils manquent parfois, mais l'avant-pied et l'arrière-
pied
sont bien marqués ; la partie moyenne de la plant
ot. - Nous trouvons l'explication de ces empreintes de la plante du
pied
dans l'existence d'un double pied-bot analogue au
n des premières phalanges, flexion des autres, saillie des tendons,
pied
creux persistant dans la station debout (PI. LUI,
n- férieurs. Elle va en s'atténuant de la jambe vers la plante du
pied
. Pas de dissociation. Le sens des attitudes s
ions de la déséquilibration du tonus. La figure et l'em- preinte du
pied
sont caractéristiques. L'une et l'autre déviati
tibles, et ne suppriment point les mouvements actifs du tronc et du
pied
. L'action des antagonistes les corrige en parti
é, le tronc se redresse, mais une légère courbure persiste; pour le
pied
, la plante reste un peu excavée. Le bras droi
notre malade. Elle n'est pas franchement spasmodique, bien que les
pieds
frottent le sol, d'où ils se détachent à peine.
jambes écartées et en titubant ; il n'est pas obligé de regarder ses
pieds
, ce qui d'ailleurs lui serait difficile. On p
enseignement nous révèlent en elle le symbole de la science ; à ses
pieds
une servante agenouillée broie dans un mortier qu
re femme, probablement l'épouse ou la mère du malade, est assise au
pied
du lit, repliée sur elle-même, la face à demi voi
cette même bande. Une autre zone d'anesthësie occupait la plante du
pied
gauche. Les membres inférieurs étaient très ama
s physiologiques; seuls les mouvements de flexion et d'extension du
pied
sur la jambe, les mouvements de latéralité des
d'extension du pied sur la jambe, les mouvements de latéralité des
pieds
, les mouvements des orteils s'exécutaient sans vi
autres mouvements segmentaires sont très affaiblis, surtout ceux du
pied
. ' Le réflexe rotulien est très affaibli à droi
une bande qui s'étend, sans discontinuité, depuis la fesse jusqu'au
pied
, de chaque côté (figures 1 et 2). Les troubles
face postérieure de la cuisse et, à gauche seulement, la plante du
pied
. Plus tard, l'anes- thésie a envahi la face pos
ostérieure de la cuisse et de la jambe et, à gauche, à la planté du
pied
. Déjà la distribution asymétrique de cette anesth
de la journée. Envi- ron une semaine plus tard, il remarqua que son
pied
gauche était engourdi,ne se réchauffant plus et
hauffant plus et, avec cela, difficile à mouvoir. Peu après, les deux
pieds
se mirent à enller. Du pied gauche la sensation
fficile à mouvoir. Peu après, les deux pieds se mirent à enller. Du
pied
gauche la sensation d'engourdissement se propa-
, en marchant, et qu'il traîne la jambe gauche. De ce même côté, le
pied
est ballant ; il oscille dans tous les sens. R.
es sens. R... a de la peine à fléchir et à relever les orteils de son
pied
gauche; les mouvements qu'il exécute ainsi sont
VAL 483 faiblesse. Il lui est impossible de fléchir ou d'étendre ce
pied
, ou de lui imprimer des mouvements de latéralit
e la face postérieure de la cuisse, aux mus- cles de la jambe et du
pied
. Nous nous trouvons donc de nouveau en pré- sen
e postérieure du mollet, elle se réduit à une étroite languette. Au
pied
, on retrouve l'anesthésie à la plante, et à la pa
douleur. Ce détail vous donnera une idée du degré de l'analgésie au
pied
gauche. L'incontinence et la rétention d'urine
d'un brusque refroidissement, dans le membre inférieur gau- che, au
pied
d'abord, puis à la jambe et à la cuisse suivis de
de la face postérieure de la cuisse, des muscles de la jambe et du
pied
, à gauche. Atrophie, très nette, des mêmes musc
retrouve à la plante, et à la partie externe de la face dorsale du
pied
. Elle s'étend à la muqueuse de l'urèthre. A par
cipation de la plante et de la partie externe de la face dorsale du
pied
. Celle circonscription unilatérale de l'anesthé
.. a éprouvé de l'engourdissement et une sensation de froid dans le
pied
gauche. Ces sensations anormales ont gagné la j
nthe. y a envi- ron sept mois, en appuyant sur une pédale, avec son
pied
gauche, il s'aperçut que sa jambe gauche était
ns appétit. Le surlendemain, il boitait et il traînait la pointe du
pied
gauche. Enfin le quatrième jour, B... dut s'app
comme pendante, et en marchant, le malade la projette en avant. Le
pied
est ballant. Vous voyez que le membre inférieur
, il existe un abaissement de la température locale. Les orteils du
pied
gauche sont comme figés dans une immobilité per-
uvements volontaires d'élévation, d'abaissement et de latéralité du
pied
gauche sont abolis. Le malade ne peut pas davan
ments élémentaires du membre infé- rieur gauche sont brusques et le
pied
gauche vient s'appliquer sur le sol d'une maniè
euse, les jambes fortement écar- tées, le talon frappant le sol, le
pied
se relevant brusquement à chaque pas. Lorsque l
e développement excessif des autres parties du corps. - De même, le
pied
est volumineux (lig. 2), sans être CLICHÉ INFRO
NTISME ET INFANTILISME 545 difforme, du moins en ce qui concerne le
pied
droit; le pied gauche, déformé par le fait du g
TILISME 545 difforme, du moins en ce qui concerne le pied droit; le
pied
gauche, déformé par le fait du genu valgum, est
nt des sciences. Congrès de Caen, 1894. CLICHÉ INFROIT Fig. 2. Le
pied
du géant Charles. 546 LAUNOIS ET ROY selles e
crus proportionnellement que les segments distaux. 4° La main et le
pied
sont un peu moins accrus que le segment distal 1
n négligeant même l'inclinaison compensatrice du bas- sin. Quant au
pied
(droit), sa longueur a augmenté d'une manière app
une manière appré- ciable (12 mm.). Mais à droite comme à gauche le
pied
et les orteils sont trop déformés par les attit
a description du géant Péruvien, mort à 30 ans avec une taille de 7
pieds
8 pouces, note qu'il avait un pénis extrêmement
sa hauteur, ou, plus exactement, sa longueur était exactement de 6
pieds
et 7 pouces 3/4 (2 m. 02), quoique, à la vérité
ectivement par le sommet de la tête et par le talon et la plante du
pied
. Son nom de baptême était Emma Aline Batallaid;
de baptême était Emma Aline Batallaid; elle était née en France au
pied
du Jura, son âge variant, d'après les déclaration
avec leur longueur moyenne dans sa race, qui serait les 10/19 de 5
pieds
, o, 2 pouces (1 m. 65) (Quatrefages), c'est-à-d
carrés du bout, et de largeur uniforme sur toute leur longueur. Les
pieds
, au lieu d'être les 3/19 delà taille, soit 12,
es leurs dimensions ; mais le plus frappant est l'accroissement des
pieds
. A la face antérieure de la jambe droite, cicat
non difforme, est plus longue et plus grêle que la droite. Les deux
pieds
semblent trop grands pour le reste du corps : un
orps que dans ses branches : GIGANTISME ET INFANTILISME 575 Les
pieds
ne sont pas allongés en proportion des jambes, ni
llongés en proportion des jambes, ni des autres par- ties du corps.
Pied
droit en varus équin. Il n'y a d'ostéophytes qu'a
e observateur écrit : « C'est un grand gail- lard qui a près de six
pieds
; il est grand, maigre et parait gelé ; il a de
l'hypertrophie disproportionnée et caractéristique des mains et des
pieds
, ni la cyphose cervico-dorsale, etc. Sa tête semb
etc. Sa tête semblé petite, sur- montant un aussi grand corps ; ses
pieds
et ses mains sont énormes, est vrai, mais leur
une dans les gravures re- présentant des géants, la coiffure et les
pieds
dépassent le filet d'encadre- ment. On remarque
oduit le portrait de Daniel Cajanus, géant sué- dois, haut de 7 à 8
pieds
, dessiné par Reckers, - et celui deBernardoGigli
Reckers, - et celui deBernardoGigli i ou Gilli, géant italien de 8
pieds
, gravé par Fougeron, d'après un dessin de 1411l
rnière image l'énormité des mains est remar- quable; par contre les
pieds
sont peu développés. Enfin une gravure hollanda
juillet' 184 5, en tambour-major' ; ses mains (42 centimètres) et ses
pieds
sont énormes. r ArtUurGalley, lithographie en
Si l'on peut admettre à la rigueur que l'énormité des mains et des
pieds
soit passée inaperçue ou que les artistes aient n
ir nous ait été transmis. On estime sa taille approximativement à 8
pieds
ou 8 pieds et demi, neuf pieds, dit-on, avec so
été transmis. On estime sa taille approximativement à 8 pieds ou 8
pieds
et demi, neuf pieds, dit-on, avec son casque. S
time sa taille approximativement à 8 pieds ou 8 pieds et demi, neuf
pieds
, dit-on, avec son casque. Son combat malheureux
le. Souvent, David est figuré seul tenant à la main, ou foulant aux
pieds
la tête de son gigantesque adversaire ; mais ce
ne trahit point la force musculaire. Sa grande barbe et son nez en
pied
de marmite n'ont rien de spécial aux personnalité
e l'église San Miniato hors les Murs, un Saint Cristophe haut de 20
pieds
, peint par A. Pollaiuolo, qui fut, dit-on; copi
apparaît là, presque nu, gigantesque et herculéen. Ses mains et ses
pieds
sont plutôt de petites proportions ; mais le visa
de la main gauche son tronc de palmier. Ses jambes sont nues ; les
pieds
, sans être disproportionnés dans leur lon- gueu
hanche), enfin le point malléolaire externe (f) ; le point dorsal du
pied
manque sur ce sujet. Ajoutons encore les traits
onc du côté opposé à la sciatique, absence complète de soulèvement du
pied
du côté malade. Eh bien, Messieurs, il convient d
eur gauche, côté de la sciatique, est demi fléchi et en même temps le
pied
de ce même côté ne repose à terre que par la poin
e, au-dessus du creux poplité, en arrière, est sensible, ainsi que le
pied
, tandis qu'en avant, ces mêmes parties sont parto
convulsions. Enfin, il revint à lui et l'on put le ramener chez lui à
pied
, tout confus, tout ébaubi. Il est resté dans sa c
xe rotulien est notablement exagéré ; pas de trépidation provoquée du
pied
; — 4° Le membre gauche est ^remarquablement atro
arche et prêter attention au bruit qu'il fait lorsqu'à chaque pas ses
pieds
viennent successivement frapper le parquet. Ceux
que dans la progression il fléchit ses cuisses à l'excès et élève ses
pieds
démesurément. Vous voyez ce 13 caractère se p
sse sur l'abdomen, et la jambe sur la cuisse, de façon à soulever les
pieds
anormalement au-dessus du sol ; mais ceux-ci sont
généralement une paralysie plus ou moins prononcée des extenseurs des
pieds
, et c'est justement à cette circonstance qu'est d
est absolue à gauche, tandis qu'à droite elle reste incomplète. Là le
pied
est ballant absolument dans l'articulation tibio-
ale, tandis qu'à droite ce mouvement est possible et en même temps le
pied
se porte dans Vadduction ; mais nous reviendrons
la cuisse au niveau de la racine du membre. 44 c. 43 c. Les deux
pieds
sont tombants, ballants dans l'articulation tibio
auche. C'est pourquoi le malade entoure habituellement la jambe et le
pied
de ce côté d'un matelas d'ouate recouvert d'une b
eurs non seulement à réchauffer le membre, mais encore à maintenir le
pied
, qui autrement serait ballant, fléchi à angle d
our qu'il prenne une teinte d'un rouge violacé qui, de l'extrémité du
pied
, s'étend jusqu'au niveau du genou. Nous parlero
s plus tard cle l'anesthésie cutanée qui se montre sur la jambe et le
pied
gauches ; je me borneà signaler pour le moment qu
nseur est bien conservé au contraire et en conséquence l'extension du
pied
est en partie possible ; mais dans ce mouvement-l
du pied est en partie possible ; mais dans ce mouvement-là, l'axe du
pied
est porté en dehors. Les muscles du mollet sont e
l'empêchait habituellement de dormir. Alors la peau des jambes et des
pieds
était peu sensible aux piqûres, maison ne pouvait
bes surtout, sans provoquer une vive douleur. Enfin les jambes et les
pieds
étaient chauds, œdématiés, tuméfiés. Joints aux m
étaient vives, ainsi que les douleurs nocturnes ; la tuméfaction des
pieds
et des jambes s'accentuait, etc., etc. En même te
s prédominant toutefois, comme c'est la règle, sur les extenseurs des
pieds
; puis à l'époque de la période régressive, le ph
des pieds ; puis à l'époque de la période régressive, le phénomène du
pied
tombant ainsi que la démarche du steppeur qui s'y
très bien conservé. Sur cette même jambe, les muscles fléchisseurs du
pied
sont détruits en partie seulement. Cette inégal
eur prédominance symétrique sur les muscles de la flexion dorsale des
pieds
. Ainsi, je le répète, il ne nous paraît pas imp
urvint dans sa descendance au deuxième degré, chez un des produits un
pied
bot avec atrophie de plusieurs orteils et une gue
nettement accusée, une anesthésie presque absolue sur la jambe et le
pied
gauches. Les troubles sensoriels sont de leur côt
ute l'expérimentateur le plus hafeile, s'il lui fallait le prendre au
pied
delà lettre. Eh bien, ce problème-là, la maladie
es conduisent aux membres inférieurs, à la production des pieds-bots (
pieds
bots paralytiques) etc. Les récidives ne sont pas
défaut, la peau du membre est froide, livide surtout à la jambe et au
pied
et couverte d'une sueur gluante. Le pied présente
ide surtout à la jambe et au pied et couverte d'une sueur gluante. Le
pied
présente un léger équi-nisme. Pour ce qui est d
solument nulles dans tous les muscles de la cuisse, de la jambe et du
pied
et après trois mois de tentatives thérapeutiques
es douleurs pareilles à celles que j'avais eues dans le dos, dans les
pieds
et les jambes d'abord, puis dans les bras et les
illes à celles que j'ai eues dans le dos. Il me semblait que dans les
pieds
, dans les jambes, dans les cuisses, on me donnait
des lames de feu; cela me partait dans les genoux, dans les doigts de
pieds
, quelquefois dans les talons et aussi dans les mo
eurs fulgurantes ne se sont pas montrées encore dans les cuisses, les
pieds
ni les jambes. Il est possible, en effet, que ces
ond pas au type classique ; la malade ne progresse pas en lançant ses
pieds
en avant, ceux-ci retombant avec bruit sur le sol
que qu'il s'agissait. La trépidation par redressement de la pointe du
pied
(ce qu'on appelle aujourd'hui le phénomène du pie
nt de la pointe du pied (ce qu'on appelle aujourd'hui le phénomène du
pied
) était entre autres très marquée (1) ; pas de tro
et que les douleurs thoraciques. En juillet 1870, la malade était sur
pied
,et,en août,la guérison étant considérée comme com
de longues courses. Plusieurs fois, par exemple, elle s'est rendue à
pied
de la Salpêtrière aux Ternes ce qui représente vo
e l'autre et ne tendent pas à rester accolés : pas de frottements des
pieds
sur le sol à chaque pas ; pas de tendance à se dr
le sol à chaque pas ; pas de tendance à se dresser sur la pointe des
pieds
, comme cela se voit dans un grand nombre des cas
membres inférieurs d'une trépidation par redressement de la pointe du
pied
(phénomène du pied) assez prononcée et depuis que
d'une trépidation par redressement de la pointe du pied (phénomène du
pied
) assez prononcée et depuis que j'ai appris à conn
répidation assez marquée produite par le redressement de la pointe du
pied
, mais vous remarquez surtout comment chaque percu
écembre; j'en dirai autant, des réflexes rotuliens et du phénomène du
pied
. Ils sont sensiblement restés ce qu'ils étaient a
es il faut relever que son père a été atteint d'une tumeur blanche au
pied
pour laquelle il a subi l'amputation de la jamb
rés, on ne retrouve pas, par contre, la moindre trace du phénomène du
pied
, et il n'y a aucun trouble à noter du côté des fo
l le faisait auparavant ; il lui est possible de se tenir sur un seul
pied
, pendant deux minutes environ. Les douleurs fulgu
une traction progressivement continue à l'aide de poids attachés aux
pieds
. Les résultats obtenus ont été satisfaisants. Dis
re. Le malade ayant quitté le sol, de telle façon que la pointe des
pieds
ne puisse le rencontrer, l'opérateur le soutient
n bureau et je me suis baissé pour caresser mon chien qui était à mes
pieds
: la fracture s'est faite je ne sais comment ; je
eoir à chaque pas. M. Charcot prie le malade de se tenir debout les
pieds
rapprochés l'un de l'autre et de fermer les yeux.
dans la marche ; le malade peut faire maintenant de longues courses à
pied
: c'est ainsi que récemment,il s'est rendu à pied
e longues courses à pied : c'est ainsi que récemment,il s'est rendu à
pied
de la place d'Italie à Auteuil sans canne. Les do
d'uriner et parfois incontinence d'urine. Sensation de coton dans les
pieds
et les jambes; réflexes rotuliens absents, pas de
u'il sent mieux le sol, qu'il n'a plus de sensation de coton dans les
pieds
; qu'il marche mieux. Après la vingt-quatrième sé
vos urines, Le malade : Je n'ai plus la sensation de coton sous les
pieds
. Je n'ai plus de douleurs mais j'éprouve quelquef
sensation douloureuse et ob-tusion de la sensibilité de la plante des
pieds
. Réflexes rotuliens absents. Signe de Romberg trè
la miction ; un peu d'incontinence de temps à autre. Mal perforant du
pied
. Signe d'Argyll Robertson. Début du traitement,
cinquième séance, la sensibilité est redevenue normale àia plante des
pieds
. A partir de la seizième séance, la miction est n
de la miction et des sensations pathologiques qui existaient dans les
pieds
. Le signe de Romberg a disparu òu, tout au moins,
moins. Après la sixième séance, les douleurs ont cessé d'exister,les
pieds
sentent mieux lesol; le signe de Romberg ost moin
s pas oublier que, plusieurs fois, la sensation d'engourdissement des
pieds
s'est atténuée ou a disparu et que, chez deux mal
ans sa chute; parfois il lui semblait que son lit se soulevait par le
pied
, tandis que sa tête tombait en arrière. Les siffl
ntenir la tête et le tronc tout d'une pièce et fixant constamment ses
pieds
du regard. La raison de cette attitude rai de e
ents puis s'abaisse et, en marchant, il se dit obligé de regarder ses
pieds
; — affaiblissement de la mémoire ou, pour mieux
ons singulières ; il assure qu'il ne sait pas nettement où posent ses
pieds
. Cependant, pas d'analgésie ou d'anesthésie sous
sur la face interne et antérieure de la jambe, sur toute l'étendue du
pied
. 36 Sur ces deux dernières régions, la sensib
e tenir debout et marcher, mais il traine après lui, en marchant, son
pied
sur le soàl la manière d'un corps inerte (signe d
quand c'est une contracture musculaire spasmodique qui est en jeu. Le
pied
est libre dans l'articulation tibio-tarsienne. Il
inférieur droit. On peut en dire autant des mouvements volontaires du
pied
; tous sont possibles mais notablement limités, s
ur et les autres modes de la sensibilité, est limitée tant du côté du
pied
, que du côté de l'abdomen, d'une façon fort origi
aître sur le schéma ci- Fig. 62 Fig. 63 contre ; ainsi du côté du
pied
la limite est marquée par une ligne circulaire dé
ces, lorsqu'on les a laissé durer et si l'on peut ainsi dire, prendre
pied
dans l'organisme. Enfin les contractures hystériq
stination soit en montant dans un autre train soit même quelquefois à
pied
, ainsi que le fait a été constaté lors de la terr
nt pas usés ; cela ne démontre-t-il pas qu'il n'a pas fait la route à
pied
; qu'il a dû prendre par conséquent un billet de
is ces affaires-là. » Alors il m'a mis les menottes et m'a conduit, à
pied
, à travers la ville, au Palais de Justice. Mais l
ription, messieurs, a été suivie par le malade très régulièrement, au
pied
de la lettre, et vous allez être menés à reconnaî
de conscience; mais le malade prétend avoir senti que, s'il eut été à
pied
« il aurait fait une fugue comme les autres fois
du drap, puis passage Saulnier pour y prendre des patères. J'étais à
pied
. Dix minutes peut-être après mon départ, étant da
de plâtre et montait à l'échelle, lorsqu'un échelon se brise sous son
pied
; il est précipité et tombe à travers l'ouverture
anquillement et sans avoir été remarqué par personne, il avait fait à
pied
, sans boire ni manger, le trajet de Paris à Amien
lus que 4 ira.ncs en poche, il prend le parti de se rendre à Liège, à
pied
. Mille misères l'attendaient dans ce voyage pédes
ces entrefaites, envoyé quelque argent, il se rend à Spa, toujours à
pied
, et de là à Verviers où il entre encore à l'hôpit
ne. De Châlons, toujours souffrant et boitant, il se met en route à
pied
pour Paris, marchant environ quatre heures par
ésentait vraiment l'image poignante du complet dénûment. Il avait les
pieds
meurtris et, pendant plusieurs jours, il ne se se
-il, nullement guéri, car il se propose aussitôt qu'il sera remis sur
pied
de partir pour le Brésil. Il est remarquable que,
à l'heure et dans lequel nous sommes entrés en quelque sorte de plain
pied
. Je me bornerai donc à faire ressortir les analog
ne légère tendance à la trépidation par redressement de la pointe des
pieds
, surtout du côté droit, mais cela est,en somme,pe
més, il n'oscille pas le moins du monde. Il peut se tenir sur un seul
pied
. Je lui dis d'écarter ses jambes, de se fendre co
pour ainsi dire collés l'un contre l'autre, portant sur la pointe des
pieds
; ceux-ci glissent en quelque sorte sur le sol et
pas qu'il veut faire, au moment où le genou se fléchit pour élever le
pied
et le porter ensuite en avant, comme c'est la règ
se le genou et a pour effet consécutif de fixer, en quelque sorte, le
pied
sur le sol, l'empêchant de s'en détacher. Ce qui
l n'usait pas d'un artifice consistant à se dresser sur la pointe des
pieds
, en même temps qu'il penche son corps en avant, c
our se rendre d'un point à un autre de la salle du cours en sautant à
pieds
joints, ou encore à cloche-pied et vous voyez qu'
l'harmonie « de l'acte fonctionnel, toutes les fois que la plante du
pied
touche sur le « sol ». M.Jaccoud semble penser qu
une hyper-kinésie morbide de la moelle par le contact de la plante du
pied
sur le sol. Cette interprétation ne me paraît pas
est-à-dire ceux dans lesquels la station reste normale, la plante des
pieds
reposant cependant sur le sol, suffisent pour la
membres resteront accolés l'un à l'autre, sans raideur toutefois, les
pieds
ne se détachant du sol qu'avec peine. On dirait a
es autres du même groupe, pouvait sans la moindre difficulté sauter à
pieds
joints, à cloche-pied, marcher à quatre pattes, e
à l'heure ; certaines anesthésies absolues occupant les mains et les
pieds
dont M. leDr Brissaud a fait une intéressante étu
son propre récit — « une grande peur ». Il se vit en rêve, couché au
pied
d'un mur élevé qui se présentait à sa gauche. Il
es une formule fort encourageante : mais il ne faut pas la prendre au
pied
de la lettre et maintes fois vous aurez l'occasio
pas non plus de trépidation par redressement brusque de la pointe des
pieds
. On constate, au contraire, lorsqu'on cherche à p
ir dans un instant. Remarquez maintenance vous prie, l'attitude des
pieds
. Ils sont tombants, dans l'équinisme, avec une te
poignet. La main est tombante, beaucoup moins à proportion que les
pieds
cependant, et la résistance que la malade peut op
cture spasmOdique, l'absence de réflexes rotuliens et du phénomène du
pied
; la paralysie affectant d'une façon prédominante
; la paralysie affectant d'une façon prédominante les extenseurs des
pieds
et des mains symétriquement; la réaction de dégén
ante, et que s'il n'y a pas de gonflement œdémateux des jambes et des
pieds
, ces parties-là prennent lorsque les membres infé
développée, une atrophie des muscles extenseurs suivie d'une chute du
pied
, analogue à la chute du poignet qu'on observe dan
n observe dans la paralysie saturnine ; rien ne retient la flexion du
pied
, qui est flottant, ballottant, que l'influence de
s de M. ïer-rillon, a été nécessaire pour produire le redressement du
pied
. L'opération dans ce cas, comme d'ailleurs dans l
en un sentiment de brûlure, occupant principalement les jambes et les
pieds
. Ces sensations douloureuses s'exaspèrent la nuit
s se manifestent par un simple contact même léger de la peau, sur les
pieds
principalement et sur le tiers inférieur des jamb
t de relever que les excitations portant sur la peau de lajambe et du
pied
sont perçues avec un retard qui peut aller jusqu'
aris. Là*, on le montre enfermé dans une cage de fer, tout noirci des
pieds
à la tête, portant un bonnet de plumes, et des ch
des pieds à la tête, portant un bonnet de plumes, et des chaînes aux
pieds
; là, au grand ébahissement des badauds, on le vo
e et l'autre, surtout la gauche. De plus il s'était formé à droite un
pied
bot, tandis qu'à gauche le pied est demeuré flasq
De plus il s'était formé à droite un pied bot, tandis qu'à gauche le
pied
est demeuré flasque, ballant dans toutes les dire
tion violacée et les rugosités que présente la peau des jambes et des
pieds
, en même temps que l'application de la main sur c
i embrasse toute l'étendue du corps, à l'exception de la plante des
pieds
où la sensibilité est seulement émoussée, et de l
l est hystéro-épileptique, si l'on prend la signification du terme au
pied
de la lettre. A ses crises de jour, qui sont des
s escaliers, les jambes lui semblaient faibles, comme paralysées, les
pieds
souvent « butaient » en marchant. Il se plaignait
oite et notez le fait, cherchant des yeux, dans les champs voisins un
pied
de bruyères blanches qu'il avait remarqué en alla
ne planche ou un gros bâton. Gela s'est fait sentir surtout dans le
pied
gauche au-dessous des chevilles, mais aussi en mê
é sur le dos, le tête près du fossé, tournée du côté de Noisy, et les
pieds
par conséquent du côté de Paris. M. Charcot: Vo
émontrant que l'assertion de Pline ne doit pas toujours être prise au
pied
de la lettre. D'ailleurs, je le répète, tout ce q
claté... Singulière préoccupation chez un homme qui se croit avoir un
pied
dans la tombe. Ceci concorde fort bien, il faut l
nt réfugiés sous un appentis, au moment où la foudre tombe à 25 ou 30
pieds
; on voit l'un d'eux se baisser comme pour ramass
lésion atteint le bras, c'est le bras qui sera paralysé ; ce sera le
pied
au contraire si c'est lui qui porte la marque du
net droit jusqu'à l'extrémité des doigts, et depuis l'articulation du
pied
gauche jusqu'au bout des orteils,la perte du sent
, et la sensibilité se manifesta en même temps à la^main droite et au
pied
gauche. Le neuvième jour,le bras avait acquis ass
femmedont onvient de parler fut directement blessée par la foudre au
pied
gauche qui fut dépouillé de son épiderme dans une
rs externe de la cuisse, sur le tiers inférieur de la jambe et sur le
pied
(voir le schéma fig. 9fi) ; elle porte à la fois
aralysie motrice. Le malade marche en boitant, sans frotter le sol du
pied
, sans traîner le membre après lui à la manière d'
t amélioré ; quesajambegauche estplusforte; eneffet,il sauteà« cloche
pied
» surlepied gauche, ce qu'il ne pouvaitpas faire
elle secoue brusquement son tronc et ses membres et frappe le sol du
pied
, de manière à figurer un mouvement de grande impa
omatiquement, quand elle marche, les pavés sur lesquels elle pose les
pieds
. Elle est violente, sujette à des colères enfanti
membres resteront accolés l'un à l'autre, sans raideur toutefois, les
pieds
ne se détachant du sol qu'avec peine. On dirait a
ner à ses occupations, mais à son grand désappointement-, à peine ses
pieds
avaient-Us touché le sol, qu'il s'affaissa et tom
pas exagérés; il n'y a pas de rigidité des membres ; le phénomène du
pied
n'existe pas ; pas de douleurs dans ces membres;
, un peu après, se fléchissent au niveau des genoux, de façon que les
pieds
ne portent plus sur le sol. C'est là, vous l'avez
marcher et de se tenir debout. Quand on essayait de le mettre sur ses
pieds
, ses membres inférieurs fléchissaient et se dérob
mbres au-dessus du pian du lit. Pas la moindre apparence d'ataxie, le
pied
était dirigé très sûrement vers le point que l'on
me celles d'un enfant en lisières, il riait lui-même en regardant ses
pieds
...,» quelques jours après, il y avait un progrès
mme, vous retrouvez cette facilité à progresser à quatre pattes, ou à
pieds
joints que nous avons signalée déjà dans d'autres
la moitié gauche du corps. La tête seule , et les extrémités, main et
pied
, sont exceptés. Les frictions, même légères, sont
ncipalement en ce que toujours il était forcé de porter le premier le
pied
gauche en avant, le pied droit suivant par derriè
jours il était forcé de porter le premier le pied gauche en avant, le
pied
droit suivant par derrière ; il procédait ainsi à
normale. Quoi qu'il en soit, lorsqu'il s'agit de se tenir sur un seul
pied
, de sauter à pieds joints ou à cloche-pieds, déma
l en soit, lorsqu'il s'agit de se tenir sur un seul pied, de sauter à
pieds
joints ou à cloche-pieds, démarcher à quatre patt
onc en avant; alors la trépidation se précipite en même temps que les
pieds
frottent sur le sol et l'allure devient plus rapi
étinement résulte de ce que la flexion du genou suivie d'élévation du
pied
, qui, dans la marche normale, inaugure chaque pro
e douleur. La même chose a lieu sur toute l'étendue des jambes et des
pieds
et sur le quart inférieur des cuisses, les genoux
ressenti la moindre douleur, une brûlure au 3e degré de la plante du
pied
droit, dont la guérison a mis plusieurs mois à se
-t-il, un jeune homme hystérique ; on peut plonger indifféremment son
pied
gauche dans la glace ou dans l'eau très chaude, s
ativement plus affaibli. Le malade ne peut pas se tenir debout sur le
pied
droit ; il marche lentement, en s'aidant d'une ca
che lentement, en s'aidant d'une canne ; il boite et traîne un peu le
pied
par moments. Les réflexes tendineux sont conservé
aralysies alcooliques et dans la contracture spasmodique hystérique. (
Pied
bot hystérique (3). Voir la Leçon 17 (2° Malade,
a malade est guérie ; elle ne souffre plus, fait de longues courses à
pied
, ne présente pas la moindre trace de paralysie sp
iphérique, une atrophie des muscles extenseurs, suivie d'une chute du
pied
, analogue à la chute du poignet qu'on observe dan
n observe dans la paralysie saturnine ; rien ne retient la flexion du
pied
— qui est flottant, ballottant — que l'influence
stration. J'ai à établir les points suivants : 1° La déformation en
pied
bot équin varus, que nous avons sous les yeux, a
acile de démontrer que la malade est bien hystérique et que le double
pied
bot qu'elle présente a pour origine une contractu
t à coup, un matin, sans prodromes, s'est produite la déformation des
pieds
en varus équin qui a atteint immédiatement son pl
on du genou était aussi rigide, que les tentatives de redressement du
pied
donnaient la sensation de résistance élastique qu
viendrait sans doute bientôt à bout de la contracture spasmodique du
pied
. Les tentatives d'hypnotisme étaient restées sans
-tarsienne, et la malade a pu alors se tenir debout sur la pointe des
pieds
, comme vous le voyez aujourd'hui. Vous pou vez
rver comment la malade peut marcher sans appui en faisant reposer les
pieds
sur l'extrémité des deux ou trois derniers métata
Vous voyez que la malade peut, dans une certaine mesure, mouvoir son
pied
librement en dedans, en dehors, en a\ant, en arri
modique. Au contraire, quand on veut produire la flexion dorsale du
pied
, on est bientôt arrêté brusquement par un obstacl
ade ne peut se tenir debout sur la jambe gauche; dès qu'il soulève le
pied
droit pour porter le poids du corps tout entier s
mais il n'y a ni balancement du tronc, ni frottement de la pointe du
pied
sur le parquet. Les mouvements de flexion, d'ex
aralysies alcooliques et dans la contracture spas-modique hystérique (
Pied
bot hystérique)...... 535 Appendice n° 3.—Hysté
. — Hyperesthésie, 386. — (Lacunes dans la mémoire dans la), 389. —
Pied
tombant, 382. — Pronostic, 391.— Réactions élec
ique, 314. Physiologie pathologique, 359. Pick, 182. PlDOUX, 176.
Pied
tombant, 85, 382. Pierret, 336, 499. PlORRY, 37
énomènes : I. Soulèvement des tables : plusieurs ou tous les quatre
pieds
d'une table se trouvent en l'air. Terme technique
ompte-rendu », et sans que le médium touche la table des mains ou des
pieds
. « A Varsovie on s'est servi d'une table faite ex
se composait d'une planche posée sans saillies de bords, sur quatre
pieds
unis par des tringles, sans aucun autre accessoir
mains une des mains d'Eusapia un peu avant la paume, et elle met ses
pieds
sur ceux des voisins. Les mains d'Eusapia reposen
s secondes et retombe avec bruit presque toujours sur tous les quatre
pieds
d'un coup. Sa position dans l'air est presque hor
s d'un coup. Sa position dans l'air est presque horizontale, mais les
pieds
du côté opposé au médium s'élèvent visiblement de
mètres plus haut que du côté du médium ». M. Reichman affirme que les
pieds
du côté opposé quittent le plancher avant ceux du
'Eusapia (quand elle est assise) commence de se gonfler, puis vers le
pied
de la table s'avance, couverte de la robe noire,
omme une langue large à peu près de 5 centimètres, qui se met sous le
pied
de la table et l'élève. » (2) Nous trouvons pourt
ée en haut au moment où le médium ne la touchait ni des mains, ni des
pieds
, ni même par la robe. Quelquefois le médium était
assis du côté large de la table. En contrôlant à l'aide des mains les
pieds
d'Eusapia, j'y aï toujours senti une forte tensio
enoux d'Eusapia, unis, étaient également d'une demi-aune distants des
pieds
voisins de la table, celui de gauche et celui de
n de ses genoux; nos genoux touchaient, outre cela, les siens, et ses
pieds
reposaient séparément sur les miens, qui étaient
touchait la table, et spécialement Eusapia, ni par la main, ni par le
pied
, ni par le jupon. Dans ces conditions, à la lumiè
, la table, sans oscillations préalables, s'éleva par tous les quatre
pieds
tout-à-fait horizontalement, et cette lévitation
tation était impossible dans ces conditions. » « Pour contrôler les
pieds
d'Eusapia pendant la lévitation ordinaire, écrit
fondes et étroites furent placées sous la table, et Eusapia y mit ses
pieds
, sans chaussures. Les boites avaient les fonds do
le disposition électrique, que l'on pouvait y manœuvrer librement des
pieds
, en les promenant de 2 pouces dans chaque directi
nt de 2 pouces dans chaque direction ; mais si l'on voulait sortir le
pied
de la boite, la sonnette électrique se mettait à
t à sonner déjà à la moitié du chemin et ne se taisait que lorsque le
pied
retournait à sa place. Eusapia ne peut pas se ten
otographia la table d'en bas : on voit sur la photographie tous les 4
pieds
de la table, la gauche en contact avec la robe d'
ia, comme ceci a toujours lieu à la lumière, mais les boites avec les
pieds
du médium sont à leur place. Immédiatement après
que la sonnette se faisait entendre non seulement quand on sortait le
pied
, mais quand on l'élevait trop haut dans la boite.
te. » M. Ochorowicz mentionne des lévitations, faites par Eusapia les
pieds
liés, et tenus sous la table par une personne qui
tenus sous la table par une personne qui y restait à genoux; les deux
pieds
visibles à la lumière ; avec un autre appareil él
s autres formes encore. Ainsi, par exemple, « s'élevaient très haut 2
pieds
de la table, près desquels était debout Eusapia,
une autre série au centre de la planche. Dans le premier cas les deux
pieds
du côté opposé au dynamomètre s'appuient sur le p
ers elle sans changement de poids, alors elle recommande de tenir les
pieds
opposés et enfin le dynamomètre montre une augmen
ns sur la table; le gonflement de la robe se glisse alors sous un des
pieds
de la table. Cette catégorie des phénomènes a été
« Le 31 décembre la lumière n'était pas affaiblie. Eusapia avait les
pieds
soigneusement liés à l'aide d'un ruban blanc, à t
(4) Courrier de Varsovie, N° 18. tendu de façon à éloigner les deux
pieds
d'Eusapia du pied gauche de la table, était tenu
sovie, N° 18. tendu de façon à éloigner les deux pieds d'Eusapia du
pied
gauche de la table, était tenu par un des assista
tait tenu par un des assistants ; on recouvrait, outre cela, les deux
pieds
de la table par les mains. Dans ces conditions et
tournant le dos au rideau; le côté postérieur de la chaise était à un
pied
environ du rideau (selon le Dr Harusewicz le dos
s, Reichman); les contrôleurs disent à haute voix, qu'ils sentent les
pieds
du médium sur les siens. Après une attente d'une
a petite table est tombée ( « comme si quelqu'un l'avait tirée par le
pied
antérieur », ajoute M. Reichman), que la sonnette
de ses bords au mur. Les contrôleurs assurent ne pas avoir lâché les
pieds
du médium. » (Prus). M. Reichman note encore une
Varsovie », N° 11. centimètres du médium, une petite table à trois
pieds
. « Je suis beaucoup plus haut que Eusapia, dit-il
dans cette position il m'était impossible d'atteindre la table par le
pied
, plus long que celui du médium. » (1) Après une a
trôleur de gauche, Swiencicki, celui de droite; pour mieux sentir les
pieds
j'enlève à Eusapia les chaussures. Bientôt le méd
lle reste sans bouger, je tiens la main gauche, je sens sans cesse le
pied
; Swiencicki me dit la même chose. Nous entendons
cesse à sa place, au bouton de la lampe : 1 mètre 16 centimètres ; du
pied
droit d'Eusapia : i mètre 32 centimètres. Puis je
Eusapia : i mètre 32 centimètres. Puis je lui ordonnai de délivrer le
pied
du contrôle de Swiencicki, de se tourner avec la
chements dans l'obscurité complète; nous contrôlions ses mains et ses
pieds
par les nôtres. Le Dr Matuszewski assis de gauche
touchement, ainsi la simultanéité est presque sûre ; les mains et les
pieds
sont à ce moment en ordre. Je sentis la première
La Voix par l'attouchement momentané et dans l'obscurité du plat de
pied
déchaussé ; même quand le dos est nu, non seuleme
s la chemise et les vêtements, il est alors difficile de discerner le
pied
de la main. L'attouchement momentané d'une ordina
pe la table de ma jambe gauche ! » En même temps elle frappait de son
pied
mon genou, et tout-à-fait simultanément se firent
contracture n'était pas très forte puisque la malade voulut sortir à
pied
le jour suivant ; mais, surprise par la venue d'u
nt qu'irrésistible d'un objet, d'un endroit, d'une personne, il a bon
pied
, bon œil, bon estomac, bon cœur et se porte bien.
es jambes, en serrant très fortement, puis quitta ma jambe, posant le
pied
, comme auparavant, sur mon pied ; après quelques
ment, puis quitta ma jambe, posant le pied, comme auparavant, sur mon
pied
; après quelques moments j'entendis le mouvement
temps suspendue en l'air, qu'on put passer librement la main sous ses
pieds
pour constater qu'elle ne touchait en effet absol
, je constatai qu'entre moi et Mme Szadkowska glissaient en l'air les
pieds
de la table, dont la planche planait au-dessus de
é la terrine et la sonnette. Bientôt elle s'inclina et se coucha, les
pieds
en haut, et la planche sur celle de notre table,
eurs. La distance d'une main du médium à l'autre était peut-être d'un
pied
ou un peu plus. Le phénomène dura quelques second
si délicate. La malade avait été opérée chez moi et était retournée à
pied
chez elle immédiatement après l'opération. Je lui
plaint de rien, mais il ne parle pas. On lui fait prendre un bain de
pied
sinapisé ; pendant ce bain de pieds il prononce q
as. On lui fait prendre un bain de pied sinapisé ; pendant ce bain de
pieds
il prononce quelques mots pour demander à manger;
ia tire vers elle, par la tringle, la table fixée au plancher par les
pieds
opposés, et par la plus simple décomposition de l
toujours accompagnée du gonflement de la robe, qui se glisse sous le
pied
de la table et couvre, selon M. Reichman, le pied
i se glisse sous le pied de la table et couvre, selon M. Reichman, le
pied
d'Eusapia, employé par elle pour lever la table (
s les Nos 358 et 359 du journal cité. « Je fus étonné, dit-il, que le
pied
d'Eusapia quittât à certains moments le mien (j'e
bientôt; au moment même de la lévitation, j'étais persuadé d'avoir le
pied
du médium sur le mien. A la deuxième séance, je m
sur le mien. A la deuxième séance, je m'assis non comme contrôleur du
pied
gauche, mais comme celui des genoux; assis du côt
alançait en cadence. Le contrôleur de droite affirmait alors tenir le
pied
droit d'Eusapia. Je contrôlais également les geno
nt à la position antérieure. Evidemment, le médecin qui contrôlait le
pied
gauche ne se doutait même pas de tout cela, comme
je ne m'en aperçus point quand j'étais assis de gauche et tenais mon
pied
sous celui d'Eusapia. Sur la base de ces observat
it à l'aide des mains, ce que chacun peut voir. Puis elle délivre son
pied
gauche et le met (couvert du gonflement de la rob
met (couvert du gonflement de la robe : « la main de John » ) sous le
pied
gauche de la table élevé pendant les balancements
nt les balancements. Ayant ainsi la table entre sa main gauche et son
pied
gauche, elle la presse de la main, ce qui fait qu
uvrir le moyen dont Eusapia se sert pour délivrer clandestinement son
pied
du contrôle de son voisin. Je l'ai découvert le 1
ue la lévitation n'eut pas lieu, malgré une longue attente, quand les
pieds
d'Eusapia étaient par moi attachés à la chaise ;
table. J'étais assis de gauche, et Eusapia, comme toujours, posa son
pied
gauche sur mon pied droit. J'approchai mon genou
s de gauche, et Eusapia, comme toujours, posa son pied gauche sur mon
pied
droit. J'approchai mon genou du sien, pour mieux
er coup du côté extérieur du genou, tandis que j'étais sûr d'avoir le
pied
d'Eusapia sur le mien du côté intérieur du même g
jambe gauche d'Eusapia qui revenait d'une excursion. Ayant avancé mon
pied
gauche sous la chaise dans la direction d'Eusapia
aisais des miennes. Je demandai à l'autre contrôleur, s'il sentait le
pied
du médium? « Oh ! oui, je sens bien le talon ou q
lon ou quelque chose de pareil », fut la réponse. Alors j'avançai mon
pied
gauche et cherchai le pied du contrôleur : je le
eil », fut la réponse. Alors j'avançai mon pied gauche et cherchai le
pied
du contrôleur : je le trouvai sous celui d'Eusapi
pied du contrôleur : je le trouvai sous celui d'Eusapia. Retirant le
pied
, je rencontrai le bout de mon pied droit sous les
sous celui d'Eusapia. Retirant le pied, je rencontrai le bout de mon
pied
droit sous les doigts du pied du médium, à la dis
t le pied, je rencontrai le bout de mon pied droit sous les doigts du
pied
du médium, à la distance de quelques pouces seule
ts du pied du médium, à la distance de quelques pouces seulement du
pied
de l'autre contrôleur. En avançant de nouveau mon
seulement du pied de l'autre contrôleur. En avançant de nouveau mon
pied
gauche vers celui de l'autre contrôleur et en le
tre contrôleur et en le passant momentanément et légèrement entre son
pied
et le mien, je devinai que nos deux pieds étaient
ment et légèrement entre son pied et le mien, je devinai que nos deux
pieds
étaient unis par le même corps, savoir un des pie
inai que nos deux pieds étaient unis par le même corps, savoir un des
pieds
d'Eusapia, dont le talon reposait sur le pied de
e corps, savoir un des pieds d'Eusapia, dont le talon reposait sur le
pied
de l'autre contrôleur, et les doigts sur le mien.
me prouvé que pendant ses divers mouvements Eusapia délivre un de ses
pieds
sans que les contrôleurs s'en aperçoivent et met
ieds sans que les contrôleurs s'en aperçoivent et met l'autre sur les
pieds
de deux controleurs. J'ajoute que l'absence momen
r les pieds de deux controleurs. J'ajoute que l'absence momentanée du
pied
d'Eusapia sur le leur avant le commencement des p
llonger la jambe gauche. J'ai découvert le moyen dont elle dégage les
pieds
; M. le Dr Heryng en aperçut un autre : selon lui,
; M. le Dr Heryng en aperçut un autre : selon lui, Eusapia retire son
pied
de la bottine (qui la plupart du temps n'est pas
ui la plupart du temps n'est pas boutonnée), laisse la bottine sur le
pied
du contrôleur, la presse du talon de l'autre pied
e la bottine sur le pied du contrôleur, la presse du talon de l'autre
pied
, dont les doigts reposent sur le pied de l'autre
, la presse du talon de l'autre pied, dont les doigts reposent sur le
pied
de l'autre contrôleur, et provoque ainsi l'illusi
pied de l'autre contrôleur, et provoque ainsi l'illusion que les deux
pieds
se trouvent sous la table. » Le Dr Heryng affir
staté les faits suivants : 1° Eusapia touchait plusieurs fois par son
pied
gauche, avancé hors de la robe, (1) Les lecteur
nos têtes et sonné pendant un moment dans l'air, tomba par terre, aux
pieds
du Dr H. et d'Eusapia, étaient dus (à cette séanc
s du tambourin ; Eusapia se reposait alors, et poussa le tambourin du
pied
, probablement pour qu'il ne la gênât. — Quant aux
ne me démentira pas, si je disque je lui demandai s'il contrôlait mon
pied
gauche, et qu'au moment de sa réponse affirmative
ouché à la hanche. Il fut démontré que ma botte vide reposait sur mon
pied
, tandis que ma jambe gauche se trouvait derrière
ive de ces expériences : 1° qu'il est possible à un homme de lever le
pied
à la hauteur des hanches, et même plus haut; mais
s de la main gauche, et fit un mouvement violent en arrière, vers ses
pieds
. J'ai crié : « l'épingle ! » en polonais szpilka,
nesthésie du côté droit, sauf à la paume de la main et à la plante du
pied
; au contact, même distribution à l'anesthésie ;
apia permet aux contrôleurs de lui tenir les mains et de mettre leurs
pieds
sur les siens; mais bientôt, sous prétexte de pre
étexte de pression démesurée, elle met elle-même ses propres mains et
pieds
sur ceux des contrôleurs et rend ainsi le contrôl
té étroit de la table, ce qui lui permet d'approcher les mains et les
pieds
des deux contrôleurs et d'employer les artifices
tériques pourraient servir de prétexte pour délivrer les mains et les
pieds
qui entrent alors en mouvement. Enfin, l'obscurit
ehant, de Velaines-sur-Sambre, présente une luxation de la hanche, un
pied
bot varus accidentel et un ulcère couvrant les de
la neuvième, Joachime ressentit de violentes douleurs et elle vit son
pied
difforme se redresser avec la régularité d'une ai
ait 13 ans en 1887. quand débuta une carie du deuxième métatarsien du
pied
gauche. Un trajet fîstuleux se forma par la suite
casque serrant la tête, une douleur très vive entre les épaules, les
pieds
et les mains sont toujours froids, et tout la por
rétendent guérir les entorses en faisant le signe de la croix avec le
pied
, et en disant: « In te, domine, speravi ; non c
non confundor in œlemum » A Apremont, le guérisseur sagne avec son
pied
droit trois fois le pied malade et prononce la fo
» A Apremont, le guérisseur sagne avec son pied droit trois fois le
pied
malade et prononce la formule suivante : Ante s
égna environ 4.000 ans avant Jésus-Christ. La voici : Bourrelets de
pieds
de chien. ... 1 Dattes' ........... 1 Sabots
s; une fille guérie d'un cancer inopérable ; une autre d'une carie au
pied
, M1,M X..., Z..., que des maux incurables avaien
nt au-dessous de l'ombilic et descendait le long des jambes jusqu'aux
pieds
. Les avant-bras était tout couverts de croûtes
ent était quelque peu agité pendant les suggestions. Ses mains et ses
pieds
remuaient fréquemment. Je lui fis les suggestio
alade avait contracté un eczéma sur les hanches et sur une partie des
pieds
, qu'il se frottait l'un contre l'autre pendant la
ande quelque soulagement à un eczéma du cuir chevelu des mains et des
pieds
qui dure depuis huit ans. La démangeaison du cu
e. La forme écailleuse de l'affection était confinée aux mains et aux
pieds
. Les dermatologistes avaient abandonné la malad
nue vers vous souffrant d'un eczéma du cuir chevelu, des mains et des
pieds
, j'étais sans sommeil et complètement déprimée. J
, affectant spécialement le cuir chevelu, le visage, les mains et les
pieds
. Visage très .coloré, démangeaison intense du cui
moins fréquentes ; la démangeaison cesse. L'eczéma des mains et des
pieds
disparait, ainsi que les profondes crevasses des
es membres droits. Le chatouillement n'est pas senti à la plante du
pied
droit. La parole est nette, la mémoire est à pe
ns la région cervicale. Lorsqu'on pique avec une épingle la plante du
pied
gauche, la malade ne sent rien, mais il y a de l'
ied gauche, la malade ne sent rien, mais il y a de l'hyperesthésie du
pied
droit. La sensation est normale sur le devant des
elle marche, on remarque que la tète est projetée en avant, et que le
pied
gauche traîne un peu. Le 5 mai 1894, les bords
sont égaux et la rétine en bon état. 11 y a encore de l'analgésie du
pied
gauche et les réflexes rotuliens sont exagérés da
quelques marches qui conduisaient à l'eau. Elle revint à l'hospice à
pied
(une distance de 800 mètres), soutenue par sa mèr
« Oh, Anna ! tes os sont rentrés, » Elle rentra à rhospice,toujours à
pied
, où elle fut examiné par un médecin qui la pronon
a gare, elle se rendit de l'omnibus jusqu'au compartiment du train, à
pied
et sans aide. Elle rentra chez elle dans la soi
a soirée du 4 décembre ; au bout de ce long voyage, elle fit encore à
pied
le trajet entre le terminus du tramway et leur de
e et dont la perte ou aphasie motrice est le résultat de la lésion du
pied
de la troisième circonvolution frontale gauche ;
teur, qui fait mentalement le même mouvement, commande mentalement le
pied
de l'induit. M. Pickmann exécute dans la perfecti
de voir cette affection siéger dans cette région. En effet, c'est aux
pieds
, première en ligne, aux mains, au territoire inne
perhydrose localisée trouve son lieu d'élection. Quand elle siège aux
pieds
, elle constitue une repoussante infirmité, et, au
ère obéit parfois à des impulsions bizarres; il lui arrive de venir à
pied
de chez elle à Narbonne (20 kilomètres) sans savo
la rivière. En déchargeant sa voi- ' tur la terre s'éboula sous ses
pieds
et il tomba dans le Rhône, où il - resta la têt
s faible que le gauche; le malade ne peut se tenir debout sur son :
pied
droit. Les mouvements de flexion et d'extension d
s toutes ces articulations, sauf pourtant aux cous-de-pied, car les
pieds
sont immobilisés dans '^l'extension. Du côté
e tenir debout sans béquilles et faire quelques pas en glissant les
pieds
sur le parquet ou en sau- tillant légèrement. L
ez, des paupiè- res, etc. ; il est très mince au dos de la main, du
pied
, au niveau des cla- vicules z1 à 2 millimètres)
du pannicule adipeux de la face palmaire de la main et plantaire du
pied
, à cause des adhérences étroites de la peau de
graisseux de la face palmaire de la main et surtout de la plante du
pied
, qui, par sa disposition spéciale dans les cell
les jambes fléchies à angle droit sur les cuisses, et la plante des
pieds
reposant sur le sol. Dans la position debout, l
bres postérieurs d'homme, quelquefois seule- ment des jambes et des
pieds
de bouc. Leur tête est plus humaine que celle d
ivDu- mesnil, dans lequel la longueur des poils aurait été de trois
pieds
anglais, et telle que le sujet était obligé de
nant bien sa vie, voit tout à coup son fils, couvreur, tomber à ses
pieds
et se tuer net. La douleur qu'il ressent est te
rce, à cause de la douleur des reins, de rester appuyée sur un seul
pied
le moins de temps possible. Cette absence de part
blement augmentés des deux côtés. Pas de trépidation épileptoïde de
pied
. , Déformations, pl. X, XI, XII; fig. 31, 33. S
u est entraîné vers la partie antérieure de la cuisse droite, et le
pied
prend la direction de l'équin varus. Les orteils
prennent les attitudes forcées de l'athétose. De temps en temps le
pied
se relève en masse et les tendons de l'extenseur
exes tendineux du membre supérieur. Le redressement de la pointe du
pied
ne provoque pas de trépidation èpileptoïde. '
reprendre ses occupations. A son grand désappointement, à peine les
pieds
avaient-ils touché le sol, qu'il s'affaissa et to
ne chaise dont l'un des montants supporte son chapeau de feutre. Le
pied
gauche repose sur un billot carré, les deux mai
e du lieu, le chirurgien de campagne, est occupé à pratiquer sur le
pied
du patient une opération, bien simple d'ailleurs,
important et plus intéres- sant encore. Un voyageur s'est blessé le
pied
, il a quitté son soulier, pareil à celui de not
assés sous le jarret donnent au corps une attitude particulière. Le
pied
gauche - près duquel se trouve le soulier - rep
ques agitent les membres, en particulier les membres inférieurs. Le
pied
frappe violemment le sol. De temps en temps int
par exemple qu'on ne peut pas arriver à le faire tenir sur un seul
pied
. Il reste seulement le genou plié, la pointe du
ir sur un seul pied. Il reste seulement le genou plié, la pointe du
pied
reposant encore sur le sol. On constate aussi qu'
uspension) ; 2° des dou- leurs vives à la suite du choc violent des
pieds
du malade sur le sol par suite de la rupture d'
ès de son tombeau. Sur le bas-relief gauche (pl. XXII), on voit, au
pied
du tombeau, quatre personnages dont trois sont
pé- rieurs, a la jambe gauche contracturéc en flexion, la pointe du
pied
dirigée en bas dans la forme du pied-bot équin
s trop de crainte de se tromper celui de contracture hystérique. Le
pied
et le reste du membre ne paraissent pas, en eff
gauche se prit; enfin, quelques mois après, le bras gauche puis le
pied
droit furent atteints. Cette faiblesse augmenta
de motilité. Lorsque le triceps crural fut atteint, le phénomène du
pied
cessa de se manifester. On nota aussi des oedèm
u pied cessa de se manifester. On nota aussi des oedèmes légers des
pieds
et des mains. Vers la fin, les muscles du cou e
e temps à autre de quelques légers four- millements à la plante des
pieds
et aux jambes. Pendant les premiers jours de se
. Il y a presque impossibilité de remuer les cuisses et les jambes;
pieds
tombants. Elle se plaint de fatigue, est décour
avée les jambes. Les réflexes cutanés sont conservés à la plante du
pied
et aux jambes. Les troubles s'aggravent, la res
des enfants de son âge, on avait dû lui placer un tabouret sous les
pieds
pour la grandir. Elle a eu ses règles une seule
on aspect massif et du dévelop- pement particulièrement exagéré des
pieds
, des mains et de la face. La taille (lu ,68) dé
centuée qu'au membre thoracique, l'hyperthrophie de l'extrémité. Le
pied
est surtout très large, la malade ne trouve pas
ce les trois grands signes précédents : à savoir l'hypertrophie des
pieds
, des mains et de la face, il nous reste à termi
l'enfant commence à grandir d'une façon exagérée : les extrémités,
pieds
, mains, face, prenant toutefois les devants dan
inférieures. La malade ne trouve pas facilement de chaussures à son
pied
. Son ancienne pointure ne lui est pas devenue t
isses et les jambes ne présentent rien de particulier à signaler.
Pieds
. On constate de chaque côté une saillie considéra
ent très épaissi et aug- menté de volume en largeur. La plante du
pied
(voir planche XXXI) est uniformément large dans
ACROMÉGALIE PHOTOCOLLOCRAPHIE Chêne ET Longuet Comparaison d'un
pied
d'acromégalique (situé à gauche) avec le pied d
guet Comparaison d'un pied d'acromégalique (situé à gauche) avec le
pied
d'une grosse fille de même âge. LECROSNIER ET
;; il NOUVLLII : ICONOGRAPHIE DELA SAL=irrIfRE : il : P. K\% : Le
pied
droit est un pied noimal ; le g2t"(he qui est cel
ICONOGRAPHIE DELA SAL=irrIfRE : il : P. K\% : Le pied droit est un
pied
noimal ; le g2t"(he qui est celui d'une acromég
Dh. PHOTOCOLLOGRAPHIE CHÈNI : ET LONGUET. ACROMÉGALIE , Plante du
pied
d'une acromégalique (situé à drotte) Plante du
E , Plante du pied d'une acromégalique (situé à drotte) Plante du
pied
d'une giosse fille de même âge (.situé il gauche)
BUT RÉCENT. 105 ment épaissis, mous au toucher. La circonférence du
pied
droit au niveau des articulations métatarso-pha
é plus haut que la malade s'était aperçue de cette hypertrophie des
pieds
en largeur par l'obligation où elle s'était trouv
t, elle ressent de légers élance- ments dans les jambes et dans les
pieds
. Jamais de douleurs la nuit. Elle se plaint b
rait alors simplement en présence d'une femme à grosse face, à gros
pieds
et à grandes mains. Mais il faut remarquer que
de doute en ce qui la con- cerne. J'en dirai à peu près autant des
pieds
. Seules les mains prêtent un peu à la critique,
encore nullement atteintes car elle put faire facilement le trajet à
pied
. A son entrée, elle fut comme la première fois
s. Depuis quelques jours très grande difficulté pour réchauffer les
pieds
. 7 février. - La main gauche qui est plus paral
lade a constamment l'onglée. Ces troubles vaso- moteurs, oedème des
pieds
et de la main gauche, alternatives de cha- leur
et surtout des articulations tibio-tarsiennes. Elle prétend que les
pieds
tournent lorsqu'elle, mar- che ; cette faibless
e ; cette faiblesse est plus marquée du côté gauche. Les muscles du
pied
ne présentent aucune trace d'atrophie; la face pl
ement dans les extrémités inférieures dans le même sens pour chaque
pied
que dans la main correspondante. 24 décembre. -
érable : 38°2. La gauche reste à peu près à la même température. Le
pied
droit est toujours plus froid que le gauche, ma
ent cyanosée, tandis que celle de la main droite est très rouge. Le
pied
gauche présente également un refroidissement no
tant cantonné, a progressivement mais très lente- ment augmenté aux
pieds
et aux mains. Les muscles du tronc, des jambes
dans les mouvements. L'atro- phie s'est surtout plus accentuée aux
pieds
qui présentent l'aspect de varus équins, les pr
avec difficulté. Il éprouva des fourmille- ments dans la plante des
pieds
et n'eut plus une notion bien précise du sol su
yres; on lui fit des injections de pilocarpine sans résultat. Les
pieds
étaient constamment froids comme de la glace, dit
e de la glace, dit-il, lourds et insensibles. A trois reprises le
pied
gauche enfla sans cause apparente, sans douleur,
ions. La sensation de froid aux jambes, de glace sous la plante des
pieds
restait persistante; les mains devenaient aussi
r des bulles remplies de sérosité siégeant au niveau des mains, des
pieds
. Elles se développaient en quelques heures, se cr
tes cessait comme par enchan- tement. , Le malade lance un peu le
pied
en marchant et frappe légèrement du talon; il m
rme rouge, parsemé de petits points'ecchymotiques (PL XXXIII). Le
pied
gauche, qui à trois reprises a été gonflé, n'est
it les traces d'une ancienne bulle sur la face dorsale du pouce. Le
pied
droit présente une déformation très évidente. La.
e à la main, surtout lorsqu'on procède par comparaison avec l'autre
pied
, qui est plutôt froid. Le malade en a' du reste
artout, sauf au niveau de la partie interne des jambes et du dos du
pied
sur une faible étendue. Sur la limite de ces régi
u pinceau est senti). Au niveau de la face interne des jambes et du
pied
elles indiquent que le passage du pinceau n'est
es réflexes, une démarche légèrement ataxique, enfin des lésions du
pied
droit qui rappellent ce que l'on a décrit sous
ns du pied droit qui rappellent ce que l'on a décrit sous le nom de
pied
tabétique. Le tabes paraît donc indéniable. Une
en rond; ils n'en sont séparés que parun étroit tabouret, et leurs
pieds
la touchent presque. Incommodés par la chaleur,
reux poplité, point péronier, mollet. Au niveau des malléoles et du
pied
il n'existe ni douleur spontanée ni provoquée. C'
ur, d'abord à la fesse, puis dans tout le trajet, la malléole et le
pied
exceptés. La percussion sur le talon, sur le
, dans une attitude favorable à la diminution de la douleur. ' Le
pied
du côté droit repose sur le sol par toute la surf
239 Les mouvements actifs et passifs dans la hanche, le genou et le
pied
sont normaux et s'exécutent avec une souplesse
ebord costal droit touche la crête iliaque correspondante. Les deux
pieds
portent à terre toute leur étendue. Il y a une lé
figuré et' les trois *disciples . extasiés. A l'étage inférieur, au
pied
du mont miraculeux se passcüne= '... scène qui
mentale de Bucarest. UN CAS D'ÉLÉPHANTIASIS NOSTRAS SYMÉTRIQUE DU
PIED
ET DE LA JAMBE On a cru pendant longtemps que l
xcessive à travers champs, elle fut prise de vives douleurs dans le
pied
droit, qui se mit à entier; obligée de garder le
eler un médecin qui porte le diagnostic de goutte. Ce gonflement du
pied
qui, au dire de la malade, ne se serait pas acc
t eu une sciatique double accompagnée de gon- flement dans les deux
pieds
. Cet oedème était blanc, douloureux, sans adéno
nnue cette fois, elle éprouva de violentes dou- leurs dans les deux
pieds
. En même temps elle ressentit quelques vagues d
s les épaules. Ces douleurs s'accompagnèrent de gonflement des deux
pieds
; comme l'oedème, elles étaient beaucoup plus ma
lles étaient beaucoup plus marquées du côté droit, et tandis que le
pied
gauche reprenait bientôt son volume normal, le dr
resté depuis oedématié. Cet oedème siégeait sur la face dorsale du
pied
, sous forme de petite tumeur. C'est dans cet état
iére; elle portait alors unepetite tumeur oedémateuse sur le dos du
pied
droit : c'est à peine si le pied gauche présent
e tumeur oedémateuse sur le dos du pied droit : c'est à peine si le
pied
gauche présentait dans la même région une légèr
'est-à-dire depuis huit ans, sans nouvelle crise aiguë, l'oedème du
pied
droit s'est progressivement accru; il a gagné p
NOSTRAS. 283 c'est l'augmentation de volume et les déformations des
pieds
et de la moilié supérieure des jambes; c'est la
able, presque monstrueuse. Celle défor- mation, qui a débuté par le
pied
, est limitée actuellement au pied et à la jambe
éfor- mation, qui a débuté par le pied, est limitée actuellement au
pied
et à la jambe, ou plus rigoureusement à certain
ons de ces deux seg- ments qu'il nous faut préciser. La plante du
pied
est complètement respectée ainsi, du reste que le
linique. Fie. ï 4. 284 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
pied
, qu'elle recouvre et surplombe. Cette tumeur, net
lons revenir. Impotence absolue. Lorsque la malade veut changer son
pied
de position, pour se délasser, elle le prend av
Besnier. Il s'agit donc de déformations oedémateuses localisées au
pied
, au cou-de-pied et à une partie de la jambe. Ce
a malade. Aussi redoute-t-elle tout examen et tout déplacement. Les
pieds
et les jambes enveloppés d'une épaisse couche d
léphantiasique avec localisation oedémateuse sur la face dorsale du
pied
droit. Après un intervalle de trois ans, deuxiè
e douleurs névralgiques le long des sciatiques et localisé aux deux
pieds
. Les renseignements donnés par la malade sont t
est survenue un nouvel accès avec oedème bilatéral et définitif des
pieds
. Ainsi cet oedème éléphantiasique, après trois
enu bilatéral. Et aujourd'hui encore l'inégalité de volume des deux
pieds
est une preuve objective de l'inégale ancienneté
objective de l'inégale ancienneté des lésions (cir- conférence des
pieds
, à droite 38 centimètres, il gauche 33 centimètre
r G. Guinon, 73. Eléphantiasis nostras (Un cas d' symétrique du
pied
et de la jambe), par Souques, 281. Graisse (Du
BLE DES PLANCHES Acromégalie, 24, 25, 27, 28; mains dans l ? 30 ;
pieds
dans l ? 29, 31. Adrien Brauwer (Dessin inédit
te renversée, balançant le tronc en avant et en arrière, sautant d'un
pied
sur l'autre, accélérant ou ralentissant sa marche
e par une force irrésistible, ne saurait s'arrêter; elle saute sur un
pied
. La contracture est souvent croisée, le membre
du côté droit2. Aussitôt qu'elle s'assoupit, elle voit des hommes au
pied
de son lit, passant dans un sens ou dans l'autre,
r...3, ce sont des hommes qui viennent en avant d'elle, s'arrêtent au
pied
de son lit, la regardent fixement et lui font peu
tase, rit, échange même quelques mots avec la vision, qui s'arrête au
pied
de son lit. Cependant les autres phénomènes de l'
il y avait 35°,5,une fois même 36°,1, au lieu de la normale 34°,4; au
pied
35°,3, au lieu de 34°,2; dans l'aisselle, du même
ntensité, la douleur descend dans la jambe droite et jusqu'au bout du
pied
droit, en même temps qu'elle monte au creux épiga
« Quand je m'arrête, j'ai des milliers de fourmis dans la plante des
pieds
, dans les jambes. Il faut que je marche. » Elle
oulève et quitte l'oreiller. En même temps les jambes s'étendent, les
pieds
étant en extension forcée, et s'élèvent un peu au
extension, les genoux fortement appliqués l'un contre l'autre, et les
pieds
en pied-bot cquin tournés en dedans ou en dehor
ainsi que le corps, courbé en arrière et ne reposant plus que sur les
pieds
et la tête, peut simuler Y arc de cercle, et que
quefois. Les genoux sont fortement appliqués l'un contre l'autre, les
pieds
tournés en pied bot équin varus. La congestion de
ux sont fortement appliqués l'un contre l'autre, les pieds tournés en
pied
bot équin varus. La congestion de la face est. ex
es membres inférieurs sont dans l'adduction et l'extension forcée, le
pied
en pied bot équin; ils se fléchissent parfois lég
es inférieurs sont dans l'adduction et l'extension forcée, le pied en
pied
bot équin; ils se fléchissent parfois légèrement
arrière er forme d'arc, ne reposant sur le lit que par la tête et les
pieds
. Le ventre souvent météorisé forme le sommet de l
ève le plus souvent la jambe droite et ne repose plus que sur un seul
pied
Fig. 35. Contorsion. — Arc de cercle. La cour
entière repose sur l'oreiller (fig. 44). Au lieu de reposer sur les
pieds
et la tête, la malade peut ne porter que sur un p
his permettent aux hystériques de reposer sur le lit par la plante du
pied
. Fig. .40. Contorsion. —Variété de l'arc de cer
is, puis tout à coup s'arrête dans la position de Varc de cercle, les
pieds
fort rapprochés de la tête et le ventre très proé
u de reposer sur ses deux extrémités, c'est-à-dire sur la tête et les
pieds
. Lorsque cette phase des contorsions est suffis
n point d'ap- Fig. 50. — Grands mouvements du tronc. pui avec ses
pieds
sur son lit, les jambes étant à demi fléchies.
s, le mouvement est plus local, il est exécuté par un seul membre. Le
pied
droit, par exemple, vient frapper le genou gauche
é avec violence. Ler.... se soulève, tout le corps reposant sur les
pieds
et la tête seulement, puis elle se laisse retombe
quels les coups sont dirigés (fig. 76). Elle lutte avec le poing, les
pieds
, la tête et les dents. Elle s'acharne après l'enn
er sur son lit. Elle se jette de côté et d'autre, bat le lit avec ses
pieds
. « Ah ! Ah !... oui... les bourreaux, les voilà!
e qu'elle représente, sans habits de couleurs vives. Elle apparaît au
pied
de son lit, où elle demeure quelques instants lui
ndant pas délivrée; car son inquiétude croît. « Ah ! j'en ai plein le
pied
... Elles me mangent... Otez donc toutes ces vipèr
air à sa bouche; — d'autres fois elle s'imagine qu'elle va mettre les
pieds
dans l'eau ; — elle voit des bêtes noires, sembla
elle est saisie d'un tremblement nerveux. Elle demande des boules aux
pieds
. « Oh! les bêtes, fait-elle en regardant au plafo
ment, hoquet. Ler... prétend qu'on lui tire la tête, les « pés » (les
pieds
) ; cette dernière sensation s'explique par la con
tantôt le mouvement est encore plus restreint et se trouve limité aux
pieds
, aux mains et même à un seul doigt. Ou bien le tô
le cou. » Les plaintes se prolongent : a J'ai des crampes!... Ah! mes
pieds
!... mon pied se tortille... (Contracture de-pieds
plaintes se prolongent : a J'ai des crampes!... Ah! mes pieds!... mon
pied
se tortille... (Contracture de-pieds.) Qui vient
e dans l'autre. La jambe droite est contracturée dans l'extension, le
pied
en varus équin.Les membres du côté gauche sont li
toutes ces femmes dans ce bateau!... et ces hommes couchés à leurs
pieds
! On dirait la Mythologie (sic) qui passe là... O
nds mouvements, cris.— Nouvel arc de cercle, la malade repose sur les
pieds
et la tête; puis tout d'un coup elle se jette sur
que nous avons déjà rapportés. Il s'y ajoute de grands mouvements des
pieds
qui frappent violemment contre la barre du lit, e
précédemment. b). Contorsions, cris, grands mouvements, frappe des
pieds
. Tout d'un coup elle s'arrête : c). « Oh! ces h
e dans son lit : « C'est de l'eau, ça! Je ne veux pas me mouiller les
pieds
.... Oh! (Avec des gestes de dégoût.) il sort des
signification. Assise sur son lit, elle croise les jambes, saisit son
pied
droit et se met à sucer son gros orteil. Elle rit
urvient avec une violence extrême. Elle se dresse toute droite sur un
pied
, le poing levé et la fureur au visage. Tout le po
us les précédentes attaques. Attitudes passionnelles. Elle fait des
pieds
de nez, tire la langue en fai-sant des grimaces.
— Elle se retourne tout à coup comme si quelqu'un venait de passer au
pied
de son lit : « Comme tu es belle!... tu es mariée
suite elle se lève : « Oh ! les rats !... les rats qui me mangent les
pieds
, oh! ces queues!... » 10 h. 25 m. 30 s. Le déli
, l'avant-bras en pronation, le poing fermé et le poignet fléchi. Les
pieds
sont en pied botvarus. La tête renversée tourne l
en pronation, le poing fermé et le poignet fléchi. Les pieds sont en
pied
botvarus. La tête renversée tourne la face un peu
ièrement par des poulpes aux grands bras rouges qui s'attachent à ses
pieds
, et par des ser-pents de toutes les couleurs. Ces
térus, de la raideur des jambes. La malade marchait sur la pointe des
pieds
jusqu'à ce qu'elle perdît con-naissance. Survenai
le parfait; tout le corps était incurvé en arrière, et la tête et les
pieds
reposaient seuls sur le lit. Les yeux ouverts éta
demande de l'eau, l'eau n'est pas rouge. » On lui apporte un bain de
pieds
sinapisé. Elle s'écrie qu'elle ne veut pas prendr
re une courbe dans laquelle le corps ne repose que sur la tête et les
pieds
(attitude en arc de cercle). Ce dernier mouvement
période des contorsions et des grands mouvements. Les mains et les
pieds
sont fortement fléchis, portés en dedans, les doi
iveau des genoux et renversée brus-quement en arrière, tandis que les
pieds
, les jambes et les cuisses se re-courbent et sont
aduellement crescendo et se terminant par un frappement énergique des
pieds
sur le sol. Dans cette phase, le délire est gén
ésie des membres supé-rieurs et inférieurs. Contracture passagère des
pieds
. Hémianesthésie gauche. Dyschromalopsie gauche. A
ois tout le membre est étendu; les orteils sont fléchis, ou encore le
pied
prend l'attitude de Yéquin varus. Durant ce tem
lèvres. Les membres sont dans l'extension, le poing est fermé, les
pieds
sont en varus équin. Cette immobilité tétanique
uis se courber en arc de cercle, le ventre météorisé au sommet et les
pieds
et la tête aux extrémités de l'arc et comme point
e et servant cette ibis de point d'appui, la malade, arc-boutée des
pieds
et de la tête, lance son corps dans l'espace, for
e rapidité et une furia étonnantes. Parfois, c'est la tête et un seul
pied
qui s'arc-boutent, tandis que le corps forme un a
forme un arc à concavité antérieure et que l'autre jambe s'élève, le
pied
tendu montrant l'espace. Durant cette période,
nnes qui l'entou-rent; de plus, il reste une contracture partielle du
pied
gauche (varus équin), avec parésie des extrémités
s dis-paroître insensiblement. Elle a été saignée une seule fois du
pied
pendant le premier mois de sa maladie; les accè
mbattus par les mêmes moyens, auxquels on ajouta une forte saignée du
pied
. Renouvellement des accès pendant plusieurs jours
lendemain de l'écoulement : ses symptômes redoublèrent par le bain de
pieds
; lorsqu'il eut cessé, les règles ne couloient plu
eur tétanique des extrémités inférieures, dans laquelle la pointe des
pieds
était fortement tournée en dedans. Après quelqu
, des contorsions ridicules, des mouvements convulsifs des doigts des
pieds
et des mains, le resserre-ment total de l'œsophag
rut bien calme; seulement elle se plaignait d'un grand picotement aux
pieds
. Je fis enlever les rubéfiants qu'on y avait plac
de grands mouvements, mais la malade s'arc-bouté de la tête et des
pieds
sur son lit, dont elle fait plier les barreaux de
craquements. La jambe était fléchie com-plètement sur la cuisse et le
pied
sur la jambe; mais ces mouvements de flexion étai
res inférieurs qui sont en extension complète, et dans la position du
pied
qui, maintenu à angle droit sur la jambe, ne repo
e et le quatrième doigt. La jambe se contracture dans l'extension, le
pied
se place dans la position du pied bot équin. Le
se contracture dans l'extension, le pied se place dans la position du
pied
bot équin. Les membres ainsi contractés sont an
site du matin, elle est contracturéc de la jambe droite seulement, le
pied
est en varus équin. Peu à peu les trois autres me
es directions, se pelotonnait, souvent se mettait la tète en bas, les
pieds
en l'air et appuyée contre le mur. La figure étai
ent, et elle se met à faire le tour de sa chambre en marchant sur les
pieds
et sur la tête, le corps étant penché suivant sa
pour but et qui eurent pour résultat de refouler les cou-vertures au
pied
du lit. Elle va se lever, me dit sa mère. En e/f'
La température a sensiblement baissé aux exirémilés; les mains et les
pieds
sont pâles et froids comme du marbre, tandis que
train de vie ordinaire, et faisait, dans la matinée, 12 kilomètres à
pied
pour aller assister à la pre-mière communion d'un
a-sion. « Seulement deux mois sans avoir de crises, et je me tire des
pieds
. » {Hepos, L .. s'asseoit). « Tu paies de toupet
olère et fait le geste). Tu pleures? Va-t-en je te fiche des coups de
pieds
. . Ma petite sœur.,. Tu pleures! Je voudrais que
es, et craignant de ne pouvoir assister au bal du mardi gras, mit ses
pieds
dans un seau d'eau froide. Les menstrues furent s
lique qu'à une apparence. la langue, frapper des mains, frapper des
pieds
, s'abaisser, s'ac-croupir, s'agenouüler, se relev
rappe-t-il des mains, celle-ci frappe aussi des mains, frappe-t-il du
pied
, celle-ci frappe aussi du pied ; de même pour le
frappe aussi des mains, frappe-t-il du pied, celle-ci frappe aussi du
pied
; de même pour le petit bruit fait avec les ongle
spondant; à un saut complet la malade peut répondre en levant un seul
pied
, etc.. K Nous n'avons jamais pu la faire rire o
mage. Par exem-ple, dans l'angle d'une pièce, la malade est placée un
pied
sur les barreaux d'une chaise, et les deux mains
reuses courroies. Aussitôt B... se baisse, ôte son soulier, place son
pied
avec soin sur la semelle de la sandale et en atta
commençant par la dernière qu'elle vient de boucler. Puis une fois le
pied
libre, sans prendre même un instant de répit, ell
e regarde en bas, décrit le panorama de la ville qui se déroule à ses
pieds
, etc.. On lui demande si elle n'a pas peur. Elle
on. Mais nous lui faisons remarquer que la balustrade manque, que son
pied
est tout près du bord et qu'elle va avoir le vert
ont contracturées dans f extension, rapprochées l'une de l'autre, les
pieds
en pied bot équin. Perte de connaissance. —Anes
acturées dans f extension, rapprochées l'une de l'autre, les pieds en
pied
bot équin. Perte de connaissance. —Anesthésie.
Pendant que je Pexamine, je remarque que tout à coup la main et le
pied
gauche se mettent dans une extension forcée, je l
e secondes la contracture cesse et la malade se sert de la main et du
pied
gauches. Une minute après, le même phénomène de c
les phénomènes cataleptiques suivants : il suffisait de lui élever un
pied
ou une main pour déterminer immédiatement des con
uis; quelque odeur spiri-tueuse un peu forte qu'on approchât à 1 ou 2
pieds
de sa narine droite, elle se jetait du côté gauch
ement de l'esprit volatil d'ammo-niaque, qu'elle sentait à plus de 10
pieds
de distance de son lit. Lorsqu'on l'approchait d'
tes. » On laleva en chemise, elle demeura debout; on lui souleva un
pied
, elle resta droite sur l'autre; on la pencha de t
M. Attalin dit qu'il croit qu'elle se fut tenue la tête en bas et les
pieds
en haut. Ce qui est très surprenant, c'est que so
rfait équilibre. Il semblait que la statue de cire se collait par les
pieds
à ce qui la portait, pour l'empêcher de tomber. E
a secouait, on la pinçait, on la tourmentait, on lui mettait sous les
pieds
un réchaud de feu, on lui criait même aux oreille
fit venir M. Charles, professeur en médecine; la dame fut saignée du
pied
par M. Le Vacher; ces messieurs allèrent souper e
avoir été saignée, mais elle s'en douta quand elle vit la ligature du
pied
. Le réchaud de feu, qui aurait dû lui faire une i
restait dans l'attitude où nous l'avions placé. Même indépendance du
pied
vis-à-vis de la jambe, de la main vis-à-vis du br
e énergie que, la tête renversée en arrière, reposant sur le sol, les
pieds
appuyés par Vextrémité des orteils seulement, l'a
vont toujours en augmentant. 9 h. 30. — La malade s'appuie sur les
pieds
, tandis que sa tête, complè-tement fléchie en arr
ets imaginaires qu'il secoue et rejette aussitôt, appuie et frotte le
pied
sur le sol comme pour écraser des insectes, passe
ir. » On parvient avec peine à fixer son attention ; ses mains, ses
pieds
sont sans cesse en mouvement pour saisir ou repou
parle, les engage ci fuir, à échapper au danger, se détourne, voit au
pied
du lit des rats, une araignée, voit des flammes,
anesthésies cérébrales par lésion de la partie la plus postérieure du
pied
de la couronne rayonnante, qui, en ce point, cont
tension, les muscles de la cuisse saillants,la rotule immobilisée. Le
pied
pré-sente une attitude caractéristique (pied-bot
est élevé, le tendon d'Achille saillant et tendu, la face dorsale du
pied
renversée en dehors, sa face plantaire excavée re
n arrière, la malléole externe devient très proéminente. La pointe du
pied
est fortement abaissée et les orteils sont fléchi
t dans la flexion forcée. Quelquefois la contracture est limitée au
pied
. La contracture permanente limitée au membre su
idation de tout le membre facilement obtenue en relevant la pointe du
pied
. Les mêmes phénomènes spasmodiques sont également
i était allongé, se fléchit, la cuisse sur le bassin, et la plante du
pied
tout entière frotte sur le lit. (Fig. 100)» Cec
en-dant un grand nombre préférait les coups de poings et les coups de
pieds
, et pour cette opération il ne manquait pas de ge
er; d'autres demandaient qu'on les frappât rudement sur la plante des
pieds
, de manière à déterminer de la douleur, autre-men
rtoir, où il commença un jeu de luth et de harpe si mélodieux que les
pieds
frétdlaient aux nonnains pour danser... Puis il p
s les démoniaques de Kintorp, dit Calmeil, accusaient à la plante des
pieds
une sensation de brûlure comparable à celle qui a
périeure, le dit spectre se tut et demeura quel-que temps pleurant au
pied
de son lit. Enfin la dite fille épouvantée et le
es convulsions comme à la ma-tinée de ce jour; en l'une d'icelles ses
pieds
paraissaient crochus. Lui a ledit Barré fait plus
ou soUve et ne touchait, ainsi qu'aucuns nous ont certifié, que d'un
pied
à sadite couche. Ce qu'avons trouvé de plus étran
rre : qu'après di-» verses autres contenances, la sœur Agnès porta un
pied
par le derrière de la y tête jusques au front, en
ire : qu'en cet état elle alla se roulant et serpentant » jusques aux
pieds
du prêtre, qui lui mit le saint sacrement sur les
me d'arc, en sorte qu'elle ne touchait au pavé que de la » pointe des
pieds
et du bout du nez, et qu'il semblait qu'elle voul
re autres postures, une telle extension de jambes, qu'il y avait sept
pieds
de longueur d'un pied à l'autre, la fille n'en ay
telle extension de jambes, qu'il y avait sept pieds de longueur d'un
pied
à l'autre, la fille n'en ayant que quatre en hau-
hau-teur : qu'après cela le démon alla sejeter le ventre à terre aux
pieds
du père, qui tenait le saint sacrement en main, e
ant sur le bout de l'épine du dos, et qu'aussitôt il y porta les deux
pieds
joints aussi, en sorte que les deux paumes des ma
paumes des mains touchaient les deux côtés du dehors de la plante des
pieds
: qu'elle demeura en cette posture assez longtemp
erses contorsions et trem-blements : qu'il porta cinq ou six fois son
pied
gauche par-dessus Fépaule à la joue, tenant cepen
visage à demi tourné et peint en image de l'enfer, et alla baiser le
pied
du saint ciboire que l'exorciste tenait en main,
cipale porte de l'église cathédrale... faire amende hono-rable, tête,
pieds
nus et en chemise, ayant la corde au cou... ce fa
t à quatre heures du matin, environ le soleil levant, s'assit sur les
pieds
de sa couche, et lui dit d'un ton d'homme désespé
X de la page 141 à 145 (cité par Calmeli,/oc, cit.)- leva bien deux
pieds
de terre... et j'eus peur d'être enlevée hors de
présence du Corps et Sang précieux de Jésus, ds vinrent fondre à mes
pieds
, se prosternèrent en terre, la baisèrent par comm
les saurais souffrir » ; et en se débattant étran-gement, mettait les
pieds
contre la grille, se renversait sur le dos, la tê
Haye, baye, liaye, que ces bigots-là me font souffrir, » frappant des
pieds
et des mains contre terre, faisant un bruit épouv
s bras tendus en l'air et les extrémités des doigts, des mains et des
pieds
recourbées les unes en dedans comme un cranapon,
es de toute sorte de nature, convulsions, concussions, battements des
pieds
et des mains, cris, hurlements, exclamations, ris
ilité extrême, la barre de fer de la vitre du chœur, élevée de quatre
pieds
au moins au-dessus d'elle, et passa dans le jardi
trouvée bien souvent toute pliée en arc par-fait, la tête contre les
pieds
jusque sur la bouche, et le ventre élevé en arcad
le dos presque jus-qu'aux reins, comme l'on dépeint les sirènes, les
pieds
et lesjambes renversés tout de môme en arrière et
saisit de la fille, et la laissant appuyée seulement sur le talon du
pied
droit, il lui courbe tout le corps, et lui plie l
aules, ni le dos, ni aucune partie du corps ne touchant à terre... le
pied
gauche en l'air, haut, élevé... de sorte que tout
tout le corps est appuyé sur leur front autant ou plus que sur leurs
pieds
, et tout le reste est en l'air, et demeurent long
te sur les ge-noux pendant que la téke est renversée en arrière, à un
pied
environ du sol, de sorte que le corps a l'air d'ê
ue, touchant le pavé seulement du haut de la tète et de la plante des
pieds
, tout le reste demeurait en l'air tenu comme une
prosternée touchant la terre de la pointe de l'estomac, la tête, les
pieds
, les mains aussi bien que le reste du corps porté
née tout le corps plié comme un cercle, en sorte que la plante de ses
pieds
venait lui toucher au front: que les nommées Cons
u'elles touchaient seulement du sommet de la tète et de la plante des
pieds
, tout le reste du corps en l'air et marcher en ce
arrière, de sorte que le haut de la tête allait joindre la plante des
pieds
, la bouche venait baiser la terre et for-mer de l
te soîur par le moyen de quelques vieux bois, sur une muraille de dix
pieds
de hauteur, et l'ayant menée sur ladite muraille
a été l'entrée; car c'est enremuant premièrement l'orteil, et puis le
pied
, et puis la jambe, et puis la cuisse, et puis le
ables en son corps tomba toute roide sur le plancher, les bras et les
pieds
étendus, les extrémités des uns et des autres re-
telle façon que leur tête reposait sur le sol en même temps que leurs
pieds
. » Cette crise dure plus ou moins, 10, 20 minut
a toile cirée qui sert de couverture à l'échoppe oîi elle étale... le
pied
lui glisse, elle tombe sur l'appui de sa boutique
u'à Saint-Médard, parce qu'elle ne pouvait encore se soutenir sur son
pied
gauclie, ni le lever de terre, et qu'elle le lais
t 1731. La demoiselle Fourcroy, qui fut guérie d'une contracture du
pied
gauche, fut prise de convulsions dans les circons
» Cette malade était atteinte depuis quinze mois d'une affection du
pied
gauche que Carré de Montgeron caractérise ainsi
depuis plus d'un an racorni, retiré et desséché le tendon d'AchUle du
pied
gauche : avait fait remonter le talon beaucoup pl
le talon beaucoup plus haut qu'il ne devait être ; avait renversé le
pied
quasi sens dessus dessous : en avait gonflé et co
et en cet état les avait soudés à ceux de la jambe, ce qui rendait ce
pied
d'une difl'ormité hideuse, et en avait fait perdr
e comprirent rien à cette singulière affection, et déclarèrent que le
pied
était atteint d'une ankylose absolument incurable
moiselle Fourcroy était donc atteinte d'une contracture hystérique du
pied
gauche. La demoiselle Fourcroy (dit la demoisel
gauche. La demoiselle Fourcroy (dit la demoiselle Lamaque) avait le
pied
gauche anky-lose, sens dessus dessous... Je l'exa
it espérer que Dieu la guérirait de l'incom-modité qu'elle avait à ce
pied
. J'ai été plusieurs fois témoin de ses convulsion
on et paraissant évidemment sans connaissance se déchaussa... pritson
pied
gauche... delà main droite... et se mit à le remu
ed gauche... delà main droite... et se mit à le remuer... Aussitôt ce
pied
, qui avait été si longtemps immobde, s'agita de d
erdre con-naissance, raconte cette malade, m'obligeaient à battre des
pieds
la terre, les carreaux ou le marbre du tombeau. J
nnage très vénéré des fidèles; elle se sentit repoussée en mettant le
pied
sur les marches de l'escalier; à peine avait-elle
gitant quelquefois si fortement, qu'd faut qu'une personne soit â ses
pieds
pour veiller et prévenir toute indécence et pour
vant que de le réciter, elle veut qu'on lui mette la tête en bas, les
pieds
en haut, le corps en l'air. Après avoir récité, a
n débitant ses plus sublimes sermons; de temps à autre il élevait ses
pieds
qu'il posait sur le chef d'un autre convulsionnai
ant 2. Plusieurs d'entre elles, as-sure-t-on, se firent traverser les
pieds
et les mains par d'immenses clous de fer, qui all
end sur une croix de bois de deux pouces d'épaisseur et d'environ six
pieds
et demi de long, posée à plate terre; on l'attach
es lisières à ceintures, au-dessous des genoux et vers la cheville du
pied
; on lui lave la main gauche avec un petit linge t
déclouer le marchepied de la croix pour le rappro-cher, afin que les
pieds
puissent l'atteindre et y porter à plat. A sept h
tteindre et y porter à plat. A sept heures et demie on cloue les deux
pieds
de Françoise sur le marchepied rapproché avec des
e pas de sang des blessures faites aux mains, mais seulement d'un des
pieds
et en petite quantité; les clous bouchent les pla
heures trois quarts, on soulève la tète de la croix à trois ou quatre
pieds
de hauteur; quatre personnes la soulèvent ainsi p
uite et l'on appuie le haut de la croix sur le siège d'une chaise, le
pied
de la croix restant à terre. A sept heures cinq
a croix plus haut, en l'appuyant contre le mur à la hauteur de quatre
pieds
ou quatre pieds et demi au plus. La jeune soeur
t, en l'appuyant contre le mur à la hauteur de quatre pieds ou quatre
pieds
et demi au plus. La jeune soeur Marie entre en
la croix de Françoise de haut en bas, et on l'incline en appuyant le
pied
contre la muraille, de la hauteur de trois pieds
ncline en appuyant le pied contre la muraille, de la hauteur de trois
pieds
seulement, la tête de la croix posant sur le plan
relever sa croix, la tête appuyée contre le mur à peu près de quatre
pieds
ou quatre pieds et demi. En cet état, elle présen
x, la tête appuyée contre le mur à peu près de quatre pieds ou quatre
pieds
et demi. En cet état, elle présente sa poitrine à
A dix heures douze minutes, on élève la croix de Françoise, dont les
pieds
étaient encore cloués, on l'appuie contre la mura
é et presque debout. J'ai déjà dit que les bras étaient détachés, les
pieds
poi'taient à plat sur le marchepied. On me donna
e des deux côtés, qu'on emmanche dans un bâton, long de deux ou trois
pieds
, ce qui forme une petite lance, destinée à faire
y avait été attachée. On a beaucoup de peine à arracher les clous des
pieds
avec une tenaille. Nous sommes deux à aider le pr
s'avançassent dans le pen... Le pen était l'espace qui s'étendait au
pied
de l'estrade; nous pûmes donc voir et entendre ju
qui était devant nous recula de manière à laisser un espace libre au
pied
de l'estrade. Les prédicateurs descendirent et vi
r un spasme si violent qu'il ressemblait aune voiUe, reposant sur les
pieds
et la partie postérieure de la tête, resta dans c
ils eussent besoin. Celle-ci, par amour du Seigneur, leur lavait les
pieds
, leur drait la vermine des jambes et de la tête m
ne se soutenait(sufria-sonffrait, subferebat) à rien, ni touchait de
pied
en terre, mais seulement des deux orteils majeurs
oult fois, étant en ce ravissement, on lui baisait les soles sous les
pieds
... Ainsi une dame qui avait nom Béatrix était v
vSainte-Cécile ; tout son corps était suspendu, si bien que l'un des
pieds
ne touchait en terre que sur l'espace d'un dour (
un des pieds ne touchait en terre que sur l'espace d'un dour ( j d'un
pied
), et de l'autre elle ne s'appuyait que du som-met
ied), et de l'autre elle ne s'appuyait que du som-met de la pointe du
pied
ou de l'orteil majeur; et elle resta ainsi depuis
uvent il arriva qu'étant en ce ravissement on lui baisait la sole des
pieds
par grande dévotion, comme est susdit. De nombr
quan-tité de plomb, et devant lui le fit jeter tout bouillant sur les
pieds
tout déchaux (déchaussés) et oncques rien n'en se
ut retournée de ce saint ravissement, sentit moult grande douleur aux
pieds
et si fière angoisse qu'elle ne la put souf-frir,
u sang qu'elle y aper-cevait. Ces stigmates se montrèrent bientôt aux
pieds
et au cœur. Ilsétaient à peu près ronds, s'étenda
gnes de diamètre, et fixés de part en part aux deux mains et aux deux
pieds
. Le jeudi soir et le vendredi, toutes ces plaies
mblable à un ange glorieux, touchant à peine son lit de la pointe des
pieds
, éclatante comme une rose, les bras étendus en cr
chine à coudre. Les stigmates saignaient abondamment aux mains et aux
pieds
; le sang suintait du front et de la tête, suivant
autres fois, elle se soulève, s'avance; elle repose sur la pointe des
pieds
, on la dirait prête â s'échapper ; les mains s'él
es membres supérieurs s'étendent transversale-ment en croix, les deux
pieds
se croisent, le dos du pied droit reposant sur la
ent transversale-ment en croix, les deux pieds se croisent, le dos du
pied
droit reposant sur la plante du pied gauche. ..
eux pieds se croisent, le dos du pied droit reposant sur la plante du
pied
gauche. .....Elle reste dans cette situation ju
ernemeut, alors que les bras sont étendus transversalement et que les
pieds
sont croisés l'un sur Fautre, on éprouve une cer-
C'est ainsi que l'on a obtenu d'excellents clichés des mains et des
pieds
. Lorsqu'il s'agira d'étu- dier un membre entier
ès exagé- rés ; il y avait également un clonus inépuisable des deux
pieds
. Les trou- bles oculo-pupillaires se réduisaien
ans la moitié gauche du tronc, à la cuisse gauche, à la jambe et au
pied
droits. Je vous signalerai ensuite une observat
laryngées. Troubles de la motilité. La malade marche sans jeter les
pieds
folle- ment et sans talonner. Cependant elle a
e présente pas de signe de Romberg : Elle sent bien le sol sous ses
pieds
. Le phénomène du dérobement des jambes n'existe p
udes morbides particulières.' RHUMATISME DES PETITES JOINTURES ET
PIEDS
PLATS VALGUS DOULOUREUX DANS LA BLENNORRHAGIE
tte sur le rôle important de la blennorrhagie dans la pathogénie du
pied
plat valgus douloureux. L. Edmond, 38 ans, jour
resque inaperçus. 15 jours après, les mêmes symptômes se montraient
PIED
PLAT DANS LA BLENNORRHAGIE L. BATTAILLE ET C"
lle pari de gêne dans les mouvements. Nulle part de craquements aux
pieds
notamment les articulations des phalanges du mé
médius gauche. Un matin notre malade en se levant et en posant ses
pieds
par terre ressentit une telle douleur au niveau
ant ses pieds par terre ressentit une telle douleur au niveau des 2
pieds
qu'il lui fut impossible de se tenir debout et
relever malgré toutes les précautions qu'il put prendre pour mettre
pied
à terre il lui fut à nouveau impossible dose le
ne douleur lancinante partant du talon, comme si elle traversait le
pied
au niveau du talon de bas en haut pour aller s'
e de la cheville et au niveau du métatarse il la face supérieure du
pied
. Le malade crut avoir all'aire il un nouvel accès
nte RHUMATISME DES PETITES JOINTURES DANS LA BLENNORRHAGIE 31 des
pieds
. Après avoir retravaillé quelques jours, de nouve
ouleur continue mais elle est provoquée par le toucher en posant le
pied
sur le sol, c'est alors un élancement, une douleu
mollet. Le malade est obligé de marcher sur la partie antérieure du
pied
, sur les or- teils, malgré tout comme le talon
notables crampes dans les mollets qui l'obligent il s'arrêter. Le
pied
est plat, la cambrure du pied est il peine marqué
llets qui l'obligent il s'arrêter. Le pied est plat, la cambrure du
pied
est il peine marquée, la pointe plan- taire sem
sans aucun doute, dans les bourses séreuses de la région interne du
pied
, ou, comme le disait Charcot, les bourses séreuse
es troubles trophiques. Le malade se plaint en effet d'un froid aux
pieds
persistant, par instants quand il s'est un peu
x pieds persistant, par instants quand il s'est un peu fatigué, les
pieds
rougissent et se couvrent de sueur. Nous remarq
de diamètre fixé entre deux petites tringles perpendiculairement au
pied
horizontal qui est en fonte. L'anneau est recouve
aphe. TRACÉS OBTENUS AVEC LE CLONOGRAPHE. Fic.. 4. Trépidation du
pied
dans la myélite transverse. FIG. 5. Réflexe rot
Fis. 7. Hémichorée hystérique (Bras). Fiq. 8. Paralysie agitante (
Pied
et' main). 1 Fio. 9. Amyotaxie spéciale chez
ie et accompagné d'une femme qui porte un tambou- rin, d'un faune à
pieds
de boucs, d'un Érôs qui joue de la flûte, et d'
anxiété, lui proposèrent de le recon- duire chez lui : il partit «
pied
; donnant simplement le bras à un de ses compagn
. 10.) Les deux jambes sont étalées symétri- quement surje lit, les
pieds
légèrement déviés en dehors. Les limites supéri
s roluliens sont complètement abolis : il n'existe pas de clonus du
pied
. ' ' ' IV. Réservoirs. Les. troubles de la mict
où elle disloque t'architectonique des tissus et gagne de là par le
pied
de la corne antérieure la totalité de cette cor
extrêmes du corps ; les membres et surtout les extrémités, mains et
pieds
. Le bras, la jambe se laissent en- core travers
r l'avant-bras. Les jambes sont raides, en extension forcée, et les
pieds
, assez mal in-' diqués d'ailleurs, semblent con
et deux miracles accomplis par ce Saint. Au milieu, le portrait en
pied
de St Antoine de Padoue. Au-dessus, le Christ e
ière les reins et la pose de la jambe droite laisse supposer que le
pied
est contracturé en dedans. Malgré la raideur des
aut du corps renversé en arrière. La face est très grimaçante ; les
pieds
et les mains contractures. Le geste est plus dr
é à marcher que vers l'âge de 4 ans. Les jambes étaient raides, les
pieds
en varus-équin frottaient le sol de la pointe; lo
frottaient le sol de la pointe; lorsqu'il était assis, le bout des
pieds
s'appuyant sur le sol, il survenait de la trépida
te spasmodique. Il s'avance à l'aide de deux cannes en traînant les
pieds
sur le sol, surtout le droit. Il peut se retourne
raideur dans les jambes et des douleurs déchirantes sur le dos des
pieds
dès qu'il marchait longtemps ; de temps en temp
it longtemps ; de temps en temps, fourmillements dans la plante des
pieds
. Pendant l'été de 1891, la lecture devient diff
neuses qui les fixent dans cette situation anor- ' maie. 1 e. Les
pieds
reposent sur le plan du lit par leur bord externe
au des articulations du tarse, de telle sorte que la face dorsale des
pieds
regarde en avant, en dehors et en haut. Le sièg
lations tibio-tarsiennes et médio-tarsiennes. Le bord in- terne des
pieds
est recourbé, concave, les deux gros orteils se r
courbé, concave, les deux gros orteils se regardent. Enfin les deux
pieds
sont en extension sur les jambes. En résumé : v
r les jambes. En résumé : varus équin et de plus rotation forcéo du
pied
en dedans par rapport a l'axe de la jambe. '
Troubles de sensibilité. On note une hyperesthésie très marquée des 2
pieds
; une hypoeslhésie des jambes et cuisses il par
ieurs, de sorte qu'il ne sentait rien ni avec les mains ni avec les
pieds
. Forte céphalée 8 ou 10 jours avant l'engourdis
, bien qu'elle élar- gisse sa base de sustentation, en écartant ses
pieds
l'un de l'autre, elle oscille et se cramponne a
s est sensiblement conservée : elle touche assez bien avec le bout du
pied
un objet placé au-dessus du lit et dans diverse
urs. La marche peut cependant s'effectuer à l'aide d'une canne, les
pieds
étant lourds et traînant sur le sol il la moind
devinrent le siège de phé- nomènes inusités. Il lui sembla que ses
pieds
s'enfonçaient dans le sol ou mieux qu'un tapis
sol ou mieux qu'un tapis moelleux s'interposait entre le sol et ses
pieds
. Ceux-ci étaient lé- gèrement engourdis, ils ét
mbo-sacrée revinrent plus vives et avec elles l'engourdissement des
pieds
se montra plus accentué ; il lui sem- blait qu'
ra plus accentué ; il lui sem- blait qu'en marchant elle posait les
pieds
dans le vide, ce qui rendait la locomo- tion hé
debout, elle doit faire attention pour rester en équilibre car ses
pieds
sentent mal le sol, il lui est impossible, dit-el
te un léger degré de trépidation spinale. - Signe de Romberg, les
pieds
joints, les yeux fermés. La palpation et la per
TAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 145 dissemenl passager de la plante des
pieds
sans qu'on puisse noter d'anesthésie véritable
les ongles des orteils sont fendillés et ont disparu en partie. Au
pied
droit,au niveau-de la tête du premier métatarsien
; épaississements dermiques, en particulier sur le bord interne du
pied
droit. Le tihia droit est un peu plus incurvé que
S HÉRÉDITAIRE ET TABES Arthropathies des hanches, des genoux et des
pieds
. ? BATTAILLE ET Cie Éditeurs - LA SYPHILIS HÉ
sation de 3 se- maines, ne put jamais être réduite. Aujourd'hui, le
pied
droit est dévié en dehors, l'astragale repoussé
' en dedans. Le poids du corps semble porter sur le bord interne du
pied
, vers sa partie postérieure. Là, d'ailleurs, s'
, donnant une sensation pseudo-fluctuante. Sans cause apparente, le
pied
gauche, après le pied droit, s'est épaissi pour
n pseudo-fluctuante. Sans cause apparente, le pied gauche, après le
pied
droit, s'est épaissi pour ainsi dire sur son bo
. Membres inférieurs. Les membres inférieurs sont en extension, les
pieds
tombants, la pointe du pied gauche tournée en d
bres inférieurs sont en extension, les pieds tombants, la pointe du
pied
gauche tournée en dedans. Les orteils sont légère
réflexe cutané plantaire est normal. - Il existe enfin un clonus du
pied
, inépuisable à gauche et presque aussi marqué à
ou de piqûre sont moins nettes aux jambes et à la face dorsale des
pieds
qu'aux cuisses. La face plantaire des pieds est
t à la face dorsale des pieds qu'aux cuisses. La face plantaire des
pieds
est un peu plus sensible que les jambes. La sen
Sa taille est droite et bien formée, ses genoux, ses jambes et ses
pieds
sont dans les proportions exactes d'un homme bi
quel jaillit un jet d'eau. De la main droite il vide une fiole. Ses
pieds
reposent sur un dragon à longue queue.. La figu
ssent comme deux bourgeons énormes que terminent, des jambes et des
pieds
boursouflés. , . Les plis de la peau, distendue
le corps et sur les mem- bres, criblé de fossettes aux mains et aux
pieds
, est, abstraction faite' de la tête, comme un b
carrées. Les jambes très courtes sont manifestement arquées et les
pieds
un peu tournés en dedans. Cet individu grotesqu
dos voûté jusqu'à paraître bossu, leurs mains en battoirs et leurs
pieds
démesurés,sont comme des ébauches d'acromégaliq
mité. Comme- Alypius, philosophe d'Alexandrie, qui n'avait que deux
pieds
de haut, il pouvait rendre grâces à Dieu d'avoi
e ° goût de l'époque (PI. XXVII). - . Le plus jeune, à gauche, au
pied
d'un escalier,tient dans ses mains une grosse c
e pas de menuet que semble esquisser ce petit homme, en ramenant le
pied
gauclie au-devant du pied droit, ne permet de sai
esquisser ce petit homme, en ramenant le pied gauclie au-devant du
pied
droit, ne permet de saisir qu'une très 'légère,
lies squeletti- ques, portant sur la tête, sur les mains et sur les
pieds
. La face n'est pas acromégalique, pas plus que
lè- vres épaisses, le menton fortemenLproéminent ; les mains et les
pieds
sont énormes; les saillies occipitales sont aus
ils saillants, il lui manque cependant les mains en battoirs et les
pieds
en bateaux pour être un parfait acromégalique. Sa
ns du poignet et de la main. La figure 6 (PL XXXII) nous montre les
pieds
d'une tabétique, l'un étant dans la situation h
Lorsque, chez un sujet sain, l'opérateur cherche, en saisissant le
pied
, à augmenter l'amplitude du mouvement spontané,
eur vive, localisée à la face postérieure du membre, étendue jusqu'au
pied
, et due à l'élongation du nerf sciatique, et de
sensibilité de la peau intacte. Il existe un oedème léger des deux
pieds
remontant au-dessus des malléoles. La malade cont
aques rouges avec un gonflement beaucoup plus considérable des deux
pieds
. En deux jours l'érup- tion était complète, il
nération de l'élément nerveux qui nous frappe. B. Une atrophie du
pied
du pédoncule cérébral gauche, qui s'est ré- LA
GRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Comme nous l'avons déjà dit plus haut, le
pied
du pédoncule est divisé généralement en trois p
l'atrophie insignifiante, qui fait partie de l'atrophie générale du
pied
pédonculaire. Remarquons en passant que les aut
e, mais toujours couronnée de succès : on pendait Geneviève par les
pieds
, la tète en bas. Quand on la retournait, elle é
i la soulageait dans ces accès, était de se faire suspendre par les
pieds
lorsque cela lui prenait dans les champs, ou si
-même à quelque chose d'élevé, et de se roidir tout le corps et les
pieds
. Cet état de souffrance fut caché pendant plusieu
alade perdait jusqu'à quatre pintes de sang, malgré les saignées du
pied
et du bras qu'on lui faisait. Ces vomissement
mps ayant augmenté, elle fut saignée au bras une fois et ensuite au
pied
deux fois en quinze jours. A la première saigné
jusqu'à « quatre pintes de sang, malgré les saignées du bras et du
pied
qu'on lui faisait ». Les hémorrhagies suivaient
ncissement, l'ap- plication serrée contre les os. - Au niveau des
pieds
, à la face dorsale, la peau, d'un rouge cuivré,
suffirait à expliquer l'enraidissement complet des articulations du
pied
. On observe en outre des rétractions 11brotendi
é- ment, se courbe, monte un escalier sans trop de difficulté... Le
pied
au contraire est en quelque sorte vissé sur la
te vissé sur la jambe comme par une bottine orthopédique : c'est un
pied
de bois. Par contraste avec ces altérations si
opie ni strabisme, ni ptose de la paupière supérieure. La plante du
pied
gauche est légèrement Ityperesthésique ; les pied
ure. La plante du pied gauche est légèrement Ityperesthésique ; les
pieds
sont tomhants, autant par suite du relâchement
! 11AR'CÛROSG TABÉTIQUE 273 quelques jours, tombe lourdement sur le
pied
gauche en descendant du siège de sa voilure. Sa
auche. lx . 18 " 274 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Le
pied
gauche est en rotation externe et abduction. Le g
d'un petit réchaud. Le patient, assis sur le coin d'une table, les
pieds
sur un tabouret, l'é- paule et la poitrine nues
rante. Toutefois.ils ont retrouvé une partie de leur tonus, car les
pieds
ne sont plus tombants, ne sont plus ballants, c
eur semble qu'on leur brise les membres, qu'on leur broie les os du
pied
et de la jambe, qu'on les pique, qu'on leur lar
jambe, qu'on les pique, qu'on leur larde les chairs, la plante des
pieds
, avec un couteau, qu'on leur ronge les chairs.
se plaignent de ce que le contact des couver- tures du lit avec les
pieds
et les jambes leur devient insupportable. De mê
les déformations qui se produisent en pareils cas, aux mains et aux
pieds
. Ce sont des rétrac- tions qui portent principa
ée et la dernière phalange en extension(fig.3 et 33). La plante des
pieds
dessinait une concavité ; les orteils étaient flé
tiré avec des rétractions tendineuses persistantes des mains et des
pieds
, après vingt-deux mois de séjour à l'hôpital. Che
tre, les' douleurs, les contractures paralytiques des mains et des
pieds
ont persisté jusqu'à la mort, survenue après un
arrhée persistante, et qui avait présenté ensuite, aux mains et aux
pieds
, une éruption de lâches rouges, éruption très pru
aînant et en s'appuyant aux meubles. Quant le malade est assis, ses
pieds
sont ballants* quelquefois même ils flottent en
ulaire; c'étaient des dou- leurs violentes et des raideurs dans les
pieds
et dans les jambes. Mais bientôt la parésie env
s membres ; le malade perdit l'usage complet de ses mains et de ses
pieds
; cet état persistait encore en partie, plus d'un
fille avait ressenti des douleurs dans les membres ; plus tard ses
pieds
et ses mains se sont para- lysés ; les jambes s
ue, tels sont les signes avant-coureurs de la paralysie. Puis les
pieds
et les mains sont frappés d'une impuissance fonct
t un degré extrêmement prononcé aux petits muscles des mains et des
pieds
, aux autres segments des membres, au thorax. Une
ut prédominer aux extrémi- tés, ou même se limiter aux mains et aux
pieds
(type chiropodal) . Dans les deux cas elle peut
entrent en scène, les déformations qui en résultent, aux mains et aux
pieds
, sont différentes dans les deux cas. Dans ceux
ceux de paralysie arsenicale, les petits muscles de la main et des
pieds
, muscles interosseux, muscles de l'éminence thé
e d'abord les muscles extenseurs et flé- chisseurs des mains et des
pieds
. Les mains et les pieds sont ballants (fig. 37
tenseurs et flé- chisseurs des mains et des pieds. Les mains et les
pieds
sont ballants (fig. 37 et 38) (1),. Lorsque e
que il elle-même, a cependant quelque chose de caractéristique. Aux
pieds
, indépendamment de ces déformations des orteils
înent des déformations caractérisées par la fixation des mains, des
pieds
, en flexion ou en extension. 1 Je ne crois pa
ain gauche (PI. XLVIII). , Les ongles de la main droite, ceux des
pieds
sont normaux. La lésion du pouce remonte il 4 a
utre à la cyphose cervico-dorsale des acromégales. .1 1 Enfin les
pieds
sont hypertrophiés et sont comme la tête hors de
u son épaule et une partie de son. dos. Un barbier de village, le
pied
droit posé sur un escabeau, fait une inci- sion
le dos, par Henry Meige, 381. Rhumatisme des petites jointures et
pieds
plats valgus douloureux dans la blennorrhagie,
LE DES AUTEURS BIZARD (L.). Rhumatisme des petites join- tures et
pieds
plats, valgus douloureux dans la blennorrhagie,
san), I, lI. - Rhumatisme blennorrhagique des doigts, V, VI.
Pied
plat dans la blennorrhagie, IV. Purpura borique
héréditaire et tabès (arthropathies des hanches, des genoux et des
pieds
), XVIII, XIX. Troubles trophiques des ongles
ent. Au mois d'avril 1886, Cab... tomba d'une échelle haute de 35
pieds
. Il se fit de fortes contusions, se brisa le péro
rs fortement déviée et le bégayement persistait. Les mains et les
pieds
étaient animés d'un tremblement géné- ral ; ce
nt que les troubles de la parole joints à un tremblement marqué des
pieds
et des mains ont pu faire songer chez Dr... (OB
e, parfaitement raisonnable d'ail- leurs, qui, lorsqu'elle a mis un
pied
sur une pierre un peu saillante, se sent forcée
pierre un peu saillante, se sent forcée de rechercher pour l'autre
pied
une sensation analogue; de même, lorsqu'elle a
rviennent des troubles tro- phiques : décubitus fessier, oedème des
pieds
, ulcérations en différents points des membres i
ire. la couche optique du même côté, gagnant la capsule interne, le
pied
du pédoncule, la pyramide du côté lésé, pour pa
le pied du pédoncule, la pyramide du côté lésé, pour passer dans le
pied
du pédoncule et la pyramide du côté opposé d'où
pédoncule cérébral révèle qu'il n'y a que le tiers la- téral de son
pied
qui soit tout à fait exempt de dégénérescence.
lecture attentive. R. M. C. XXI. UN cas DE dégénérescence totale DU
pied
D'UN pédoncule ; cérébral par G. RossoLYnco. (N
re, il y eut dégénérescence secondaire du tiers moyen et externe du
pied
du pédoncule cérébral. P. K. XXII. ETAT ANATO
ésolutiou de se suicider; il entre dans l'eau, mais avant de perdre
pied
il se ravise et renonce au suicide. Dans le tro
(3 centimètres de différence sur la circonférence du mol- let). Le
pied
est inerte et complètement tombant. Il paraît y a
es. - Point douloureux péronier et fourmillements dans la plante du
pied
. Refroidissement de la jambe malade. L'électris
ont sous sa dépen- dance ont perdu leur excitabilité électrique. Le
pied
est tombant; il y a paralysie avec atrophie des
,surtout ,dans la fesse. Les douleurs se localisent rapidement au
pied
gauche, aux or- SUR UNE COMPLICATION DE LA SCIA
MPLICATION DE LA SCIATIQUE. 151 teils et surtout au gros orteil. Le
pied
est inerte dans la flexion et ne peut être rele
antérieure de la jambe, en dehors du '( tibia, à la face dorsale du
pied
. Trouble de la sensibilité également à la face
du pied. Trouble de la sensibilité également à la face plantaire du
pied
, mais bien moins accentué. Au bout de six semai
s béquilles. La paralysie reste limitée aux muscles qui relèvent le
pied
, lequel est tombant et traine sur le sol. Ici n
ur gauche et la fesse. Ces douleurs se localisèrent bientôt dans le
pied
gauche et le gros orteil. Enfin, au bout de qui
mois après son accouchement, elle se trouvait dans l'état suivant :
Pied
gauche tombant ; la malade est obligée de relever
a hanche pour que la pointe des orteils ne frotte pas par terre. Le
pied
se pose sur le sol.en deux temps. Amaigrissem
obtuse à la partie anléro-exteme de la jambe, à la face dorsale du
pied
et surtout au gros orleil. Affaiblissement de l
os orleil. Affaiblissement de la sensibilité à la face plantaire du
pied
. Pas de douleur à la pression. Douleur spontané
onde, entrecoupée d'élancements très pénibles et très fréquents. Le
pied
est toujours froid, comme engourdi. L'explorati
la délivrance. La jambe et la cuisse pouvaient remuer, mais non le
pied
ni les orteils. Douleurs spontanées le long de la
Dix mois plus tard (avril z75), elle peut marcher, mais traîne le
pied
droit. Elle ne peut ni l'étendre ni le porter dan
de même à la palpation. , La piqûre n'est pas sentie sur le dos du
pied
droit et à la partie antérieure de la jambe dro
mois, la malade peut remuer un peu ses orteils, mais non étendre le
pied
sur la jambe. En marchant, le pied tombe et tra
ses orteils, mais non étendre le pied sur la jambe. En marchant, le
pied
tombe et traîne. On constate alors une paralysi
anesthésie dans la même région. Egalement anesthésie sur le dos du
pied
, moins une bande étroite longeant le bord exter
ord externe et comprenant les deux derniers orteils. A la plante du
pied
, légère altération de la sensibilité dans la ré
taire est un peu moins sensible au chatouillement. Douleurs dans le
pied
depuis le début de la maladie, continues, sourd
ar des élancements violents. Point doulou- reux péronier, au cou de
pied
, aux premier et deuxième orteils. Refroidisseme
e pied, aux premier et deuxième orteils. Refroidissement notable du
pied
droit. Chute du pied très manifeste pendant la
deuxième orteils. Refroidissement notable du pied droit. Chute du
pied
très manifeste pendant la marche. Le pied se po
e du pied droit. Chute du pied très manifeste pendant la marche. Le
pied
se pose eu deux temps sur le sol. La malade est
sur le côté gauche de l'abdomen. Puis douleurs dans la jambe et le
pied
gauches qui « étaient comme engourdis et par- c
ents font bientôt place à une véritable paralysie de la jambe et du
pied
. La cuisse se fléchit sur le bassin; la pointe du
jambe et du pied. La cuisse se fléchit sur le bassin; la pointe du
pied
se dévie en dehors; apparition d'une tuméfactio
Mouvements possibles dans la hanche et la cuisse. Redressement du
pied
impossible; il tombe, semblant prolonger l'axe de
te l'étendue de la face antéro-externe de la jambe et sur le dos du
pied
ainsi qu'au talon. Sur les quatre doigts externes
au niveau du gros orteil. La sensibilité est intacte à la plante du
pied
et dans toute l'étendue de la jambe, sauf la ré
le malade s'aperçut qu'il existait une faiblesse con- sidérable du
pied
gauche. Ce pied laissait traîner sa pointe à terr
rçut qu'il existait une faiblesse con- sidérable du pied gauche. Ce
pied
laissait traîner sa pointe à terre dans la marc
lement, tous les caractères de la démarche de stepper. La pointe du
pied
est tombante et il relève le genou .d'une façon
rieur gauche en avant. En le regardant de dos, on voit la plante du
pied
tout en- tière, grâce à la chute du pied, qui d
dos, on voit la plante du pied tout en- tière, grâce à la chute du
pied
, qui devient presque vertical dans ce mouvement
rtical dans ce mouvement. En l'écoutant marcher, on n'entend pas le
pied
poser .à terre en deux temps, comme cela se pro
uit souvent chez les sleppers. Il marche assez lentement, posant le
pied
gauche sur le sol avec précaution, la pointe la
double bruit .habituel de se produire. L'examen des mouvements du
pied
démontre qu'il existe une ,paralysie très accen
montre qu'il existe une ,paralysie très accentuée des extenseurs du
pied
et des orteils. Le mouvement d'extension est ab
a peau de cette face antérieure; suivant enfin la face interne du
pied
, un peu au-dessus du bord plantaire jusqu'à l'ext
indemne la moitié interne du talon, enfin suit la face ex- terne du
pied
le long du bord plantaire externe et aboutit à l'
ette plaque d'analgésie'comprend donc : toute la surface dorsale du
pied
, moins une petite bande interne, la face extern
ie. La seule différence est que la bande interne sensible du dos du
pied
est un peu plus étendue, que la face externe du
ible du dos du pied est un peu plus étendue, que la face externe du
pied
est presque indemne et que la face postérieure
-dessous du point où elle commence. Les faces interne et externe du
pied
sont respectées, la face dorsale proprement dite
moments elles sont plus fortes à la fesse ou au mollet, ou enfin au
pied
. Ac- tuellement, elle se plaint surtout de doul
a pression sont les points fessier, poplité, malléolaire, dorsal du
pied
, plantaire. Il existe des fourmillements dans l
érables. OEdème de la partie inférieure de la jambe. Démarche. Le
pied
est complètement tombant. La malade marche diff
difficilement. Elle craint de tomber en accrochant la pointe de son
pied
contre le sol. Elle steppe manifestement du. cô
sse, atténuée à la face externe de la jambe, exagérée sur le dos du
pied
. Sensibilité à la chaleur. - Hypoeslhésie à la
eu affaire à une véritable paralysie des extenseurs de la jambe. Le
pied
tombant, la dé- marche de steppe ? \ l'absence
péronier supérieur, malléolaire, plantaire (milieu de la plante du
pied
). Dans l'intervalle de ces points la douleur es
u froid et au chaud est diminuée depuis la partie moyenne du dos du
pied
jusqu'à l'extrémité des orteils. - Le pied est to
partie moyenne du dos du pied jusqu'à l'extrémité des orteils. - Le
pied
est tom- bant et ne peut être redressé; il ne p
ux qui font dé- faut du côté opposé, dus probablement à la chute du
pied
. Le malade en marchant relève le genou droit pl
du côté droit; quand il marche un peu vite, il traîne la pointe du
pied
sur le sol. L'affaiblissement des muscles jambier
urnit des nerfs cutanés à la plus grande partie de la jambe et du
pied
. Les deux tiers externes de la jambe, la pres-
es deux tiers externes de la jambe, la pres- que totalité du dos du
pied
, moins une bande étroite au Fig. 15. - Distribu
beau- coup plus large en bas qu'en haut, et au bord externe du
pied
. Le reste est innervé par des branches du nerf
e douleurs daus la jambe droite, très vives au niveau du mollet. Le
pied
est douloureux, la malade ne peut le poser à terr
nt quatre mois. Ace moment, elle éprouve des fourmillements sous le
pied
droit; elle s'aperçoit que le pied devient lour
rouve des fourmillements sous le pied droit; elle s'aperçoit que le
pied
devient lourd; elle butte en macchant; en montant
st obligée de lever la jambe d'une façon exagérée, car la pointe du
pied
, qui tombe, accroche contre les marches. Il ..e
ion sacrée. Elle se plaint de fourmillements, d'élancements dans le
pied
, la jambe et surtout la région postérieure de l
aussi les muscles du mollet, paraissent amaigris notablement. Le
pied
est tombant; et l'on remarque qu'il existe un peu
sie incomplète au tact avec analgésie, au niveau du bord externe du
pied
droit et de la demi- circonférence externe de l
droit. 1 Motilité. Impossibilité absolue de relever la pointe du
pied
. Tous les extenseurs et péroniers sont pris. Le
marche est assez particulière. La malade steppe évidem- ment de son
pied
droit dont la pointe tombe et frotterait sur le s
steppage. Mais à cause de la douleur que provoque la pres- sion du
pied
sur le sol, elle ne marche pas franchement par pa
dessus, le talon ne portant pas sur le sol, et lance bien site son
pied
gauche en avant pour rester le moins longtemps
le moins longtemps possible, à cause de la douleur, appuyée sur le
pied
droit. Dans la procession de la jambe droite on
e la marche. C'est au niveau de la partie externe de la jambe et du
pied
qu'il souffre le plus. Une dizaine de fois par
r, points fémoraux, point poplité, trajet péronier, point dorsal du
pied
et point plantaire. La pression en masse des mu
ouloureux, la pression des muscles, ' l'exécution des mouvements du
pied
et de la jambe font apparaître des crampes doul
tronc vers la gauche. Il marche en traînant la face plantaire du
pied
droit sur le sol, sans jamais l'en détacher.
détacher. Au repos, le membre inférieur doit être étendu, raide, le
pied
dans l'axe de la jambe, la pointe du pied tomba
it être étendu, raide, le pied dans l'axe de la jambe, la pointe du
pied
tombante et portée en dedans, la face plantaire
dans, la face plantaire plus creusée que normalement. Les doigts du
pied
se relèvent et s'abaissent avec difficulté. Les
mités et sont aisément vaincus lorsqu'on s'y oppose. L'extension du
pied
et des orteils est particulièrement" faible. S'il
parésie, il existe aussi de la contracture; la jambe, la cuisse, le
pied
ne présentent aucune flaccidité; par- SUR UNE C
face postérieure de la jambe il y a anesthésie com- plète ; - et au
pied
, dans un espace limité en arrière par les arti-
ant vers le deuxième orteil, et s'étendant jusqu'au bord externe du
pied
, - le malade est complètement anesthésique, aussi
dorsale que sur la face plantaire. Il est à remarquer que le cou de
pied
présente les mêmes troubles de la sensibilité q
ne de la jambe, la partie la plus interne du dos et de la plante du
pied
, a entièrement conservé la sensibilité tactile,
mitée à la partie externe de la jambe et à la plus grande partie du
pied
, est atteinte- 184 PATHOLOGIE NERVEUSE. d'ane
d le bras est appuyé le long du tronc, la main sur les genoux et le
pied
reposant à terre ; mais il se manifeste aussitô
nant, on constate que la démarche est incertaine et trépidante. Les
pieds
se déjettent quelque peu en dehors, le talon fr
ileptoïde que l'on produit, vous le savez, en étendant fortement le
pied
sur la jambe; - les tremblements passagers, ceu
sur les extrémités; les doigts sont atteints en premier lieu, les,
pieds
peuvent' l'être aussi. De plus les mouvements a
nt est tel que l'acte devient impossible. Il en est de même pour le
pied
; si l'on demande au malade étendu dans son lit,
n lit, de diriger de la même manière que précédemment, la pointe du
pied
vers un but déterminé, on voit bientôt l'organe
es bras levés si surtout on le place dans l'attitude debout sur les
pieds
, J'enga- geant à rester immobile ; onpeutalorsc
s et régulièrement rythmées d'extension et de flexion , directes du
pied
sur la jambe, de la jambe sur la cuisse, et de
oite au sortir de la période comateuse était tout à fait inerte, le
pied
tourné en dehors,' l'impotence fonctionnelle de
ehors,' l'impotence fonctionnelle de la jambe et l'insensibilité du
pied
complète. Au membre supérieur, la paralysie s'e
jambe, de l'anesthésie à la face dorsale de la main et sur tout le
pied
. Dans les formes monoplégiques et hémiplégiques
innervation, leur localisation si commune sur les ex- tenseurs du
pied
et de la main-- puis, dans ces cas, la coexiste
. Uni ou bilatéraux, ils portent généralement en même temps sur les
pieds
, mais peuvent être limités à un doigt, à quelqu
réflexe : contracture EN flexion UNI- latérale du GROS ORTEIL ET du
PIED
ouvrant la scène, et ALTER- NANT, PLUS TARD, AV
du gros orteil qui se fléchit en entrainant la flexion plantaire du
pied
: durée une demi-minute. Ce phénomène s'est depui
voqué de la parésie du membre inférieur gauche et en particulier du
pied
. - 06s. III : paralysie tabétique partielle, gr
hémiplégie atteignant graduellement et successive- ment la main, le
pied
, la face du côté gauche ; accidents pro- gressi
bes; perte du sens musculaire et articulaire pour les jambes et les
pieds
des deux côtés, surtout à gauche; diminution de
ns accourus au secours furent reçus à coups de poings et à coups de
pieds
et ne parvinrent pas à se rendre maîtres des ré
e et du sens musculaire à droite. La malade ne peut se tenir sur le
pied
droit, les yeux fermés, tandis qu'elle le fait bi
le pied droit, les yeux fermés, tandis qu'elle le fait bien sur le
pied
gauche. Il y a de la dyschromatopsie à droite ; e
au bout des doigts, dans les poignets, dans les jambes et dans les
pieds
. Mais ces douleurs paraissent avoir augmenté ca
le semblait apercevoir ses persécuteurs, et elle criait : «Oh ! mes
pieds
, mes jambes ! » Un tremblement nerveux s'ensuiv
tout cela, dit son mari c'était comme des anneaux qu'elle avait aux
pieds
et aux jambes. On voyait parfois comme des empr
ordons qui auraient serré avec force ses jambes dans le bas près du
pied
, ce qui représente le brode- quin sous l'Inquis
us forme de jambières, ainsi que sur la face dorsale des orteils du
pied
gauche. A la face plantaire, la sensibilité est d
servée, ainsi que lé sens musculaire, sauf pour les mouvements du
pied
et des orteils. Ainsi, lorsqu'on lui touche les d
s du pied et des orteils. Ainsi, lorsqu'on lui touche les doigts de
pied
, il faut serrer très fort pour qu'elle sente, e
laire est complètement perdu pour les arti- culations des doigts de
pieds
, ainsi que la notion de position. Ces phénomène
ion de position. Ces phénomènes sont des plus évidents à gauche. Au
pied
droit, le sens musculaire et le sens articulair
ticulation tibio-tarsienne, ainsi que de la notion de posi- tion du
pied
, complètement perdus à gauche, très obtus à droit
ais si heu- reuse de marcher pour aller voir mon enfant. Arrivée au
pied
du lit on lui dit d'en faire le tour pour aller
si on y parvient, il reprend son attitude première. Si on pince son
pied
ou sa queue, l'animal bondit en avant suivant s
state que les lapins passent et repassent les obtacles tels que les
pieds
de chaises et de tables et est d'avis que, quoi
que les contorsions que l'on obtient en chatouillant la pointe des
pieds
. Cependant, on ne peut douter que ce sont de ces
gt. genou. - liallux, premier tronc. Wp, hanche. Anlde, cheville du
pied
, Knee, genou. Hallux, premier orteil. - Toes,
cas DE DÉGÉNÉRESCENCE secondaire descendante DU faisceau EXTERNE DU
PIED
DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL ; par C. WINELER. - UN CA
CAS DE DÉGÉNÉRESCENCE SECONDAIRE BILATERALE DU FAISCEAU EXTERNE DU
PIED
DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL AVEC ATROPHIE DE LA MOITIÉ
. La zone de dégénérescence porte surtout sur la partie latérale du
pied
du pédoncule cérébral; on la voit se poursuivre
du ventricule latéral. Dégénérescence du tiers médian et latéral du
pied
des deux pédoncules. Intégrité des pyramides. A
la force. P. KERAVAL. L1V. DES SYSTÈMES DE fibres QUI OCCUPENT LE
PIED
DU PÉDONCULE ET DE leur DÉGÉNÉRESCENCE par SIOL
andelette optique; elles n'arri- vent que par leur intermédiaire au
pied
du pédoncule cérébral. Les parties latérales de
énie, par KowalewsllY, 257. Pédoncule, dégénérescence totale du
pied
d'un par liossolymo, 94. Pc«cl : eTUUl.rrt; d
1890. (3) Souques et GASNE, Un cas d'hypertrophie des mains et des
pieds
avec troubles vasomoteurs des extrémités chez u
iner le siège et la nature, faute de renseigne- ments précis. Les
pieds
sont grands et gros ; troubles vasomoteurs envahi
ubles vasomoteurs envahissant seulement les orteils et la plante du
pied
. Les pieds sont douloureux. Le port de la chaus-
moteurs envahissant seulement les orteils et la plante du pied. Les
pieds
sont douloureux. Le port de la chaus- sure est
avec troubles vaso- moteurs d'allure particulière aux mains et aux
pieds
(Deutsche med. Vochenschr. 1894, p. 519). L'A
. 1894, p. 519). L'ACROCYANOSE CHRONIQUE HYPERTROPIIIANTE 5 des
pieds
. Aux membres inférieurs, la peau était tendue ; l
nent des phénomènes vaso- moteurs aux extrémités : les orteils, les
pieds
et les jambes sont le siège d'une coloration li
n persistante. Fourmillements, picotements dans les extrémités. Les
pieds
sont le siège de semblables phénomènes. Hypertr
ations de froid et de doigts morts, plus accentués aux mains qu'aux
pieds
. Ces parties sont d'un bleu som- bre jusqu'au n
r- mique bien conservée ; la sensibilité à la piqûre un peu obtuse.
Pieds
un peu augmentés de volume, sans qu'on puisse l
ie rétrocédèrent ; les mains diminuèrent de volume, de même que les
pieds
. L'auteur a classé cette observation sous l'éti
vent : on peut corriger cette déformation, mais elle se reproduit.
Pieds
froids, un peu cyanosés, mais non augmentés de vo
peu à peu inhabiles, si bien qu'il a dû abandonner son métier. Les
pieds
étaient jusqu'alors normaux. Dans ces derniers te
biles; cependant aucune modification des réactions électriques. Aux
pieds
, rien d'anormal. Visage : id. Pas de stigmates hy
u visage, après une asphyxie locale. Dans l'hiver, les mains et les
pieds
deviennent froids, d'un bleu violacé, marmoréens,
n'éprouve aucune douleur. Jamais d'aagelures, ni aux mains, ni aux
pieds
. Il affirme qu'il a toujours beaucoup transpiré
ds. Il affirme qu'il a toujours beaucoup transpiré des mains et des
pieds
; il ne remarque pas à ce moment que les sueurs
96, pendant l'hiver, en enlevant ses chaussures, il observe que ses
pieds
sont enflés. Il ne s'en était pas aperçu auparava
par conséquent, pas été gêné par sa chaussure. Comme les mains, les
pieds
aug- mentent de volume sous l'influence du froi
d'anor- mal, mais transpire toujours passablement des mains et des
pieds
. Depuis deux ans environ, la coloration des mai
des pieds. Depuis deux ans environ, la coloration des mains et des
pieds
change. La peau devient rouge, puis violette. C
ouille ». 10 PÉHU Vers le milieu de mai 1902, il constate que les
pieds
deviennent violets, en dehors de toute action d
ntent, les transpirations aussi ; il a toujours les mains moites, les
pieds
humides. Depuis le milieu de mai, il n'a pas
se plaint toujours de douleurs plus ou moins vives aux mains et aux
pieds
, il éprouve des picotements et des lancées. On
eau est légèrement rosée, mais sans trace de cyanose (PI. I). Les
pieds
sont colorés. Mais la teinte est beaucoup moins a
une émotion. Mais jamais il n'y a de la pâleur. Les mains et les
pieds
sont toujours humides, même lorsque le malade est
puisse établir de rapport avec les changements de coloration. Les
pieds
augmentent aussi parfois de volume, surtout quand
douloureuses : les phénomènes ont débuté en même temps que pour les
pieds
et les mains. Les cheveux sont châtains, bien i
régulière des zones violacées, qui ont en outre uue étendue minime.
Pied
gauche. Bord interne, gros orteil 6". Bord extern
de douleurs cuisantes se produisait régulièrement. Les mains et les
pieds
sont également douloureux. Les poignets de même
ancée. Chez tous, il y avait une augmentation marquée du volume des
pieds
et des mains, avec de la (1) Souques, Maladie d
(2) H. Hihsciifeld, Sur une augmentation de volume des mains et des
pieds
d'origine névrilique (Zeitschr. f. klin, Med" 1
mpératures froides, voire même seulement fraîches. Entre temps, les
pieds
qui étaient jusque-là indemnes sont pris à leur
au 1/3 ou au 1/4 inférieur du poignet par une ligne circulaire. Aux
pieds
, la coloration n'est pas aussi étendue : tout au
plus remonte-t-elle jusqu'au milieu de la face dorsale. La plante du
pied
, et la paume de la main sont respectées, probab
rmaux : les poils ne présentent aucune particularité notable. Aux
pieds
,l'hypertrophie a des caractères très voisins.Mais
que la cya- nose et la paresthésie rétrocédèrent : les mains elles
pieds
diminuèrent de volume. Mais dans toutes les obs
scrofulotuberculeuse avec état cyanique permanent des mains et des
pieds
. Sous ces dénominations diverses, parce qu'envisa
tersbourg quand elle tomba sur la cuisse gauche en « se tournant » le
pied
gauche en dehors. Malgré une douleur assez vive
il reparut bientôt, s'accompagnant d'oedème mou de la face dorsale du
pied
, qui seul disparaissait dans la position couché
e dé- terminait le godet de l'oedème mou que sur la face dorsale du
pied
. Au niveau de la jambe la peau avait une résist
sit l'exagération des réflexes tendi- neux et du clonus passager du
pied
ainsi qu'un état d'hyperesthésie doulou- reuse
à hérédité névropathi- que survient à la suite d'un traumatisme du
pied
gauche (entorse) un oedème douloureux localisé
de nos bras ou de nos jambes, et que, lorsqu'on nous marche sur le
pied
, nous localisions la douleur au gros orteil et
on que le champ visuel n'était pas retourné ; il finit par voir ses
pieds
et ses mains là où il les sentait. Cela revient à
u rouge. Ce- lui-ci et sa capsule ont été complètement détruits. Le
pied
du pédoncule, le locus niger de Soenunering, le
substance réticulée de la calotte fait presque entièrement défaut. Le
pied
du pédoncule est fort bien coloré à droite et à
phie névritique et de la myopathie : atrophie des petits muscles du
pied
chez une jeune fille de 15 ans avec steppage, réa
ambes ; il était incapable de se relever seul ; on le remettait sur
pied
, il repartait pour retomber plus loin. En mêm
nt supérieur ; les cuisses en abduction et rotation en dehors ; les
pieds
en équinisme avec saillie très marquée de la fa
er. Le malade en effet conserve quelques mouve- ments des doigts de
pied
et une ébauche du mouvement, d'extension du pied
ments des doigts de pied et une ébauche du mouvement, d'extension du
pied
sur la jambe. Au moment où se produit ce mouvem
otogr.). Pas de relèvement permanent des orteils ; pas de griffe du
pied
. Les membres supérieurs présentent eux aussi un
eurs la face antérieure des bras ; pour les membres inférieurs, les
pieds
, la face postérieure des jambes 114 LANNOIS ET
des jumeaux sous forme de boule décrite plus haut avec extension du
pied
et flexion du gros orteil. Ces contractions n'a
n a été frappé par les déformations qu'il présentait : déviation du
pied
en valgus et surtout raccourcissement très notahl
ur des mem- bres était déjà telle que nous la voyons, et de plus le
pied
droit était complètement dévié en valgus, de so
- cher s'appuyer sur sa malléole interne. M. Kirmisson, abordant le
pied
droit par sa partie externe, sectionne les péro
ors en dedans. Depuis l'intervention chirurgicale, la position du
pied
sur la jambe est normale. L'appui se fait surto
émité inférieure du tibia fait saillie à la face interne du cou-de-
pied
et le pied est fortement dévié en valgus ; le dos
ieure du tibia fait saillie à la face interne du cou-de- pied et le
pied
est fortement dévié en valgus ; le dos regardant
tement dévié en valgus ; le dos regardant en avant et en dedans. Le
pied
est plus petit qu'à droite, 14 centimètres contre
ose et un développement pileux très marqué au niveau des jambes. Le
pied
gauche est un peu froid. A la partie externe du
VII PHOCOMÉLIE ET HEMIMELIE (Flalbrorr.) Radiographies des deux
pieds
. - Droit (en haut), gauche (en bas). . UN CAS D
es, on ne trouve, en dehors du tibia, la trace d'un noyau osseux.
Pieds
. Dans le squelette du pied, les malformations son
s du tibia, la trace d'un noyau osseux. Pieds. Dans le squelette du
pied
, les malformations sont nombreu- ses (PI. XXVII
um, et comme a droite il y au- rait absence de la partie externe du
pied
. Le squelette des quatre orteils est complet et
vec déviation angulaire du tibia, les malformations du squelette du
pied
font partie du tableau de l'hémimélie par absen
me, tuméfiée, doublée de volume par un oedème, surtout manifeste au
pied
, qui prend'un aspect éléphantiasique. L'artiste
tide. Le fait est attesté par le geste de l'aide, qui, assis sur le
pied
du lit, soulève d'une main le bandage de la jam
'une d'elle est entière ; mais l'autre a été éventrée de façon que le
pied
oedématié puisse s'y loger. Telle est cette o
chiastre au genou, laissant à nu la région rotulienne tuméfiée. Le
pied
nu est énorme, très oedémaliô sur sa face dorsa
Le pied nu est énorme, très oedémaliô sur sa face dorsale. Jambe et
pied
sont d'ailleurs tuméfiés et contrastent par leu
a jambe gauche est entourée d'une bande soigneusement enroulée ; le
pied
nu est considérablement enflé, et en outre couv
es. L'un de ceux-ci, qui reçoit du Saint une pièce de monnaie, a le
pied
droit tuméfié et la jambe entourée d'une bande.
sternum. Aux membres : Largeur exagérée des extrémités (mains et
pieds
), doigts en boudin (PI. XXXVII, B) ; longueur t
rison de la fièvre; l'écoulement de l'oreille persistait encore. Le
pied
droit, qui n'a jamais été paralysé, demeura faibl
a- tion (PI. XL111). Sur les radiogrammes de la main (et aussi du
pied
) on constate que l'os- sification de tous les o
ait ». L'autre sor- tit aussitôt après et il tenait dans sa main le
pied
de son frère ; c'est pour- quoi il fut nommé Ja
e premier en- fant, on aperçoit le second qui tient dans sa main le
pied
du précédent. Dans le fond, un lit avec une bas
il y a quinze jours, le spasme s'étendait même sur la jambe' et le
pied
gauche qui était recroquevillé et qui formait u
érés et même il y avait de temps en temps, une ébauche de clonus du
pied
. Mais cette exagération des réflexes était très
t pas l'extension des orteils après. l'excitation de' la plante des
pieds
, il n'y avait pas de troubles de la miction, ni d
ur, nous trouvions cette contracture au moins bizarre. La forme du,
pied
était peu ordinaire; les pieds hystéri- ques co
acture au moins bizarre. La forme du, pied était peu ordinaire; les
pieds
hystéri- ques contracturés ont. fois sur 10 l'a
née par la force inégale des différents muscles de la jambe. Ici le
pied
n'était pas en équin, mais il y avait une simple
ndemain, quand nous ayons voulu continuer cette étude, le spasme du
pied
lui donnait une forme toute différente : la voûte
ent pendant plu- sieurs mois. Les mains sont grasses el molles; les
pieds
épais, aplatis. NOUVELLE ! CONOGRAI'II1E DE LA
avec aisance. Dans la marche, la jambe droite est plus faible et le
pied
droit tend à se tourner en dehors. Au demeura
un sixième petit doigt à chaque main et un sixième orteil à chaque
pied
. ' Certains esprits, peut-être, n'hésiteraient
t M. le professeur Jaboulay, dans un cas d'arthropathie nerveuse du
pied
, utilisa avec succès la résection. En raison du p
M. le professeur Jaboulay, le 4 janvier 1903, pour une affection du
pied
droit, dont le début remonte à dix-huit mois.
le malade a commencé à se sentir gêné au niveau du bord externe du
pied
gauche; il eut là une sorte de tuméfaction qui s'
le, non doulou- reuse, non adhérente au plan osseux. Au niveau du
pied
droit, sur la face plantaire, apparut presque en
échapper le même liquide, sans fragments osseux ; puis, peu à peu, le
pied
parut se disloquer, mais sans causer de grandes
se disloquer, mais sans causer de grandes douleurs. Etat actuel du
pied
. Actuellement, le malade se présente avec un pied
s. Etat actuel du pied. Actuellement, le malade se présente avec un
pied
droit énorme, tuméfié ; ce qui frappe immédiate
côté externe, la région est gonflée, la peau est lisse, tendue. Le
pied
tout entier semble luxé en arrière, et sa face do
face antérieure de la jambe. La voûte plantaire n'existe plus : le
pied
parait comme tassé. La circonférence au niveau
du côté malade et de 22 cent. 5 du côté sain. Vient-on à saisir le
pied
et à essayer de le mobiliser sur la jambe, on s'a
Si l'on fait tenir le malade debout, ses orteils touchent le sol ; le
pied
NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. X
de veut marcher, l'extrémité des orteils appuie sur le sol, puis le
pied
se met à angle droit sur la jambe, il parait vrai
ême enlevés. Un lavage abondant à l'eau oxygénée est pratiqué. Le
pied
est ensuite immobilisé dans un appareil plâtré, à
n de l'intervention. Après enlèvement du plâtre, on constate que le
pied
est déjà consolidé : il n'est plus ballant, et
e flexion, déjà assez limités. On fait un nouveau plâtre, fixant le
pied
dans une bonne attitude. Nouveau pansement le 2
on appareil plâtré ; la veille de son départ, il s'appuyait sur son
pied
, et marchait facilement; les mouvements de l'ar
ûte plantaire est affaissée. Mais le malade est enchanté d'avoir un
pied
solide au lieu d'un moignon que lui aurait lais
Localement il existe une ankylose presque complète à angle droit du
pied
sur la jambe ; il n'y a plus de suppuration. La
es parties molles ont été également atteintes. Les articulations du
pied
, les os de tout le tarse postérieur ne sont pas
oignées l'une de l'autre. Sans doute, les mouvements et la force du
pied
ne sont pas bien éten- dus ; et on se demande s
ourrelet correspondant à la limite supérieure de la chaussure : les
pieds
ne sont pas augmentés de volume. Au tronc et au
éfaction n'affecte pas aux membres une répartition cylindrique. Les
pieds
et les mains sont respectés et l'épaississement a
étien pendant le jour, allait les retrouver, déposer des torches au
pied
des vieux symboles, et célébrer avec grand mystèr
s de la lune, en agitant des torches ; leurs agapes mystérieuses au
pied
des menhirs donnèrent naissance aux fables du s
e, elle eut les sens si troublés qu'on dut la lier des mains et des
pieds
». (1) Ibill., loc. cil. (2) Les textes origi
nte employés contre les grands agités, qui devaient être « liés des
pieds
et des mains pour les empêcher de nuire à eux-m
e tous ceux qui hébergent des fous ou des sots, lieront ceux-ci des
pieds
et des mains de telle sorte qu'ils ne puissent nu
s, ceux aussi qu'on peut voir par terre et qui étaient destinés aux
pieds
, se retrouvent sur un certain nom- bre de figur
nous appren- nent d'ailleurs qu'on avait coutume de « lier par les
pieds
et par les mains-.M-les aliénés dangereux. Da
IENRY MEIGE même avec des chaînes ; car souvent, ayant les fers aux
pieds
et étant lié de chaînes, il avait rompu ses cha
. Selon la tradition il est enchaîné ; - dans le cas présent par le
pied
et par la main gauche ; ses jambes sont nues, il
en dedans, mal- gré les efforts du personnage qui le maintient. Les
pieds
eux-mêmes semblent violemment contorsionnés. De
dans les grandes attaques d'hystérie. Ce possédé'est nu, et porte au
pied
droit une chaîne brisée, selon les conventions
les femmes que chez les hommes. Il est localisé le plus souvent au
pied
, à la face dorsale, commençant à la racine des
exceptionnellement à la face. Il donne à la pression, au niveau du
pied
, l'impression d'élasticité quand il est très te
lan osseux.(V oir Pl. LXV, fig. 1 et PI.LXVI, fig. 3.) La peau du
pied
infiltré est de teinte grisâtre : mais souvent la
nose peut s'observer dans le pseudo-oedème catatonique alors que le
pied
a conservé sa chaleur normale; elle subsiste mê
edème, et, dans plusieurs cas, des malades dont l'infiltra- tion du
pied
existait dans une phase de stupeur, ne présentaie
t Rennes, il existait manifestement une prédilection pour le dos du
pied
et le dos de la main. Si par ailleurs, les memb
rend très manifeste- ment le degré intense d'infiltration du dos du
pied
dont le développement est hors de proportion av
musculaires des membres et de la face, la finesse des attaches des
pieds
et des mains; les lipomes multiples symétriques c
crit par Sellerin. La localisation est importante à connaître : les
pieds
, les mains, la face sont toujours indemnes et c
trophoedème, au contraire, il n'y a plus opposition entre l'état du
pied
et celui de la jambe, l'infiltration étant unique
se distinguera du tropheedème en ce qu'il respecte les mains et les
pieds
et présente des phénomènes douloureux. La consi
cas où le syndrome de Dercum s'asso- cierait à un pseudo-oedème du
pied
. IV. - Essai pathogénique. Dans les paragraph
n peut observer dans la polyomyéli1e antérieure un oedème du dos du
pied
ne s'atténuant pas par le repos, ne prenant pas
dant l'examen ; Ciseau ne peut rester seul à l'écurie, il frappe du
pied
, s'ex- cite, se couvre de sueurs alors qu'il ne
mètres de petit trot; exagération de la sécrétion cornée en pince (
pieds
antérieurs). Asymétries faciales (abaissement d
s normaux. Hyperesthésie du nez. Mauvaise sécrétion de la corne aux
pieds
de devant. Abaissement de l'oeil droit et dévia
nt à la pression intempestive et réitérée du mors dans un travail à
pied
pro- longé par la difficulté d'obtenir, chez ce
: une fracture des deux os de l'avant-bras à 13 ans, une entorse du
pied
à 18 ans, accidents qui n'ont eu aucune suite fâc
l'exécution d'un pansement; de même en route, pendant les étapes à
pied
et indépendamment de la fatigue, lorsque la mar
Pline, qu'on lui - donne de nouvelles entraves; ce roi des animaux,
pieds
et mains liés, pleure, gémit, et sa vie commenc
ent assujetti par les bande- lettes, depuis les aisselles jusqu'aux
pieds
. Les bras sont libres et l'enfant NOUVELLE Icon
ur- nant violemment la tète, la main gauche crispée en grille, le
pied
gauche en exten- sion forcée. La bouche est béa
e, la face postérieure du bras, les régions dorsales de la main et du
pied
. Partout ailleurs cette couche est multiple et co
uatre fractions: la portion pelvi--fémorale,la cuisse, la jambe et le
pied
. i° Portionpelvi-fémorale (Pl. 5, 7, 8). Ses li
i isole en avant le groupe peu volumineux des muscles fléchisseurs du
pied
ou extenseurs des orteils. En dehors, deux cloiso
péroné, conscriveut la loge des péro-niers ou élévateurs externes du
pied
. Ces deux loges, avec le tibia, ne forment encore
res des fléchisseurs des orteils et de l'extenseur du bord interne du
pied
, le jamhier postérieur. 4° Pied. (Pl. 1 2 et 1
de l'extenseur du bord interne du pied , le jamhier postérieur. 4°
Pied
. (Pl. 1 2 et 13. ) Il est constitué en majeure pa
ses tendineuses divergentes qui s'épanouissent sur la face dorsale du
pied
. La couche musculaire sous-plantaire est beaucoup
utes celles du corps humain; fixée sur les os, aux deux extrémités du
pied
, et sur l'un et l'autre de ses bords, elle a pour
ion liquide, ayant son origine à l'extrémité terminale, la main ou le
pied
, remonte le long des divisions vasculaires jusqu'
aires, aux autres fractions des membres, la jambe et l'avant-hras, le
pied
et la main. Dans chaque point où les vaisseaux pa
ration, délimitation. Formée par la masse des muscles fléchisseurs du
pied
, compris dans la gaine ostéo-fibreuse circonscrit
s péroniers, la branche musculo-cutanéc, qui devient superficielle au
pied
; et, en avant, le nerf tibial antérieur, qui acc
en haut avec l'aponévrose fémorale, et en bas avec les aponévroses du
pied
par le ligament annulaire du tarse. 4° Couche mus
: (a) en plan superficiel, les muscles du mollet ou les extenseurs du
pied
, les deux jumeaux et le soléaire compris dans une
uelques fibres des jumeaux ou du soléaire dans l'extension brusque du
pied
. Sur le trajet de l'artère tibiale postérieure se
région, formée par le pli de flexion articulaire de la jambe avec le
pied
, est dirigée horizontalement avec une inclinaison
rs, et parcourue par la saillie verticale des tendons fléchisseurs du
pied
. Les parties composantes sont : i° La peau, cou
r la ceinture d epaississement de l'aponévrose jambière et dorsale du
pied
, dite le ligament annulaire du tarse, qui bride e
nom de tibiaux à la jambe en celui de pédieux sur la face dorsale du
pied
. 5° Squelette. Il est formé par la partie antérie
iquées dans les plaies d'armes à feu et dans celles par écrasement du
pied
. Les opérations les plus importantes qui s'y prat
re; elle est accompagnée par les rameaux lymphatiques superficiels du
pied
. Le nerf saphène est ordinairement accolé en deda
dangers et sur-tout les inconvéniens ultérieurs de celle du tibia.
pied
. Le pied se partage en trois régions, calcanien
sur-tout les inconvéniens ultérieurs de celle du tibia. pied. Le
pied
se partage en trois régions, calcanienne, dorsale
e 12. rides transversales correspondant au mouvement d'extension du
pied
. 2° Couche sous-cutanée. Disposée en vue d'une fo
d et des malléoles, elle comprend au-delà toute la face supérieure du
pied
dans ses trois portions, sans autre démarcation s
t de vue chirurgical, toute la surface osseuse qui comprend le dos du
pied
et ses côtés comme appartenant à la région dorsal
ute la portion charnue formera la région plantaire. A l'extérieur, le
pied
forme une double voûte convexe d'avant en arrière
ant sa longueur, par les saillies palmées des tendons fléchisseurs du
pied
ou extenseurs des orteils. Parties composantes.
de fibres courbes transversales, elle revêt toute la face dorsale du
pied
; continue en haut avec le ligament annulaire du
és, parles deux saphènes, qui longent les bords externe et interne du
pied
. Au plan profond se rapportent (c) les vaisseaux
lus mince. RÉGION PLANTAIRE Étendue à toute la face inférieure du
pied
, elle se confond, en arrière, avec la région calc
confond, en arrière, avec la région calcanienne, et sur les côtés du
pied
avec sa région dorsale, au-dessus de la saillie d
illie des muscles latéraux plantaires. Sa forme générale est celle du
pied
lui-même, rétrécie en arrière, élargie en avant,
so-métatarsienne. i° Peau. Épaisse et dense dans toute la longueur du
pied
, elle est plus mince et très sensible dans la por
ixée de chaque côté, par des appendices, sur les deux bords osseux du
pied
, fortement adhérente, sur les deux faces, à la p
commun tendu entre les extrémités périphériques de la double voûte du
pied
, et qui sert également de lien pour le squelette
e. Les vaisseaux internes longent en dessous le bord correspondant du
pied
; les plantaires externes parcourent en arc la voû
alanges, les premières assez longues et les autres très courtes. Le
pied
, par sa situation et ses usages, est exposé à un
tat sont l'objet des opérations les plus variées, que la structure du
pied
permet, comme celle de la main, d'étendre à sa to
art,aujourd'hui, a beaucoup agrandi le domaine des résections pour le
pied
. On pratique en totalité ou par fractions la rése
r la compression de l'artère fémorale. 3° Artères de la jambe et du
pied
. \J artère tibiale postérieure est accessible en
structure différentes. Les trois premières affectent spécialement le
pied
et surtout la face dorsale des articulations des
plume. C. Extirpation (Procédé de Dudon). Le malade étant assis, le
pied
lavé, convenablement éclairé par la lumière natur
surface du coussinet sous-métatarsien ou sur l'un et l'autre bord du
pied
. Plus épais et formé de feuillets épi-dermiques s
est partielle, un ou deux ongles seulement sont envahis et surtout au
pied
, ceux du premier, du second ou du cinquième ortei
moyen vraiment curatif de l'ongle incarné. Procédé de Dupuytren. Le
pied
étant maintenu immobile par un aide, et l'orteil
Les aponévroses sont celles de la paume de la main et de la plante du
pied
, les grandes aponévroses des membres ne pouvant ê
oposition de M. Vidal, les divers tendons extenseurs ou élévateurs du
pied
. Disons , toutefois, après M. Malgaigne, qui en f
le malade à marcher sur le côté externe de l'extrémité antérieure du
pied
.—Pratiquée d'abord en 1685 par Minius, oubliée pe
ui appartient à M. Scoutetten. Dans le pied-bot, quand l'extension du
pied
est portée très loin, les vaisseaux tibiaux posté
, le tendon d'Achille tourné en haut vers l'opérateur, la jambe et le
pied
maintenus par un aide, le chirurgien présente, à
icatrisées et le tendon offrait un allongement de quelques lignes. Le
pied
ayant été mis clans un appareil contentif qui le
e, la face interne du membre tournée vers l'opérateur, le genou et le
pied
fixés par des aides et l'articulation tibio-tar-s
ncer rallongement du tendon par l'appareil contentif qui maintient.le
pied
fléchi. Modification de M. Duval. Le procédé et
brides fibreuses, si elles ne sont pas aussi communes à la plante du
pied
qu'à la paume de la main, plus exposée au lésions
qu'on l'observe à la main. En raison de la fixité de la charpente du
pied
, les rétractions, dans toute la portion tarso-mét
ie topoyraphtqtie de la région du rollile, page /|)-:"". saignée du
pied
. Considérations an atomiques l. On saigne les d
nd il y en a deux. On a dû laisser immerger pendant quelque temps les
pieds
dans un bain chaud ; la ligature est posée à deux
t les genoux couverts d'un drap ployé en alèze, l'opérateur saisit le
pied
qu'il incline légèrement en dehors, en même temps
rger le membre et faisant exécuter au malade de nombreux mouvemens du
pied
. On s'assure, de temps à autre, en amenant le pie
breux mouvemens du pied. On s'assure, de temps à autre, en amenant le
pied
au dehors, que le jet de sang continue. L'inconvé
, soit comme surface. Ainsi on peut saigner dans ce but les veines du
pied
et de la main, quand ce sont ces organes qui sont
idité, saignaient même les veines des doigts et les petites veines du
pied
; le faible écoulement qu'elles donnent ne pouvan
imètre de profondeur, recouverte par la peau, l'aponévrose dorsale du
pied
et le feuillet fibreux de liaison des tendons ext
ident, qui n'est pas très rare vu la direction en haut de la voûte du
pied
qui l'expose à l'action des corps vulnérans. Tout
être tentée avant de pratiquer l'opération. Manuel opératoire. Le
pied
fixé dans l'extension par des aides, le chirurgie
membre, et fixée par des aides, l'un contenant le genou et l'autre le
pied
, s'assurer, par l'extension de ce dernier organe,
on de l'une à l'autre extrémité de la plaie. Faisant alors fléchir le
pied
pour mettre les muscles dans le relâchement, les
ttre dans le relâchement par la flexion de la jambe et l'extension du
pied
. Sur le vivant, le fouettement des muscles et le
face antérieure tournée vers le chirurgien, la jambe dcmi-fléchie, le
pied
étendu et relevé sur son bord externe, pour mettr
malade étant couché sur le ventre, la cuisse étendue et la plante du
pied
tournée en haut et en dedans, le chirurgien placé
s ou, si l'on est seul, en la repoussant soi-même avec le genou ou le
pied
. 20 Ou bien la lame est brisée sur l'os; on la sa
, le coude, la main; au membre abdominal, les fesses, les genoux, les
pieds
. Quand ces tumeurs sont isolées, elles acquièrent
ège habituel est à la main, au-devant des tendons fléchisseurs, ou au
pied
, au-devant des tendons extenseurs des orteils. Da
e, à l'oreille, à l'omoplate, sur les parois du thorax, à la main, au
pied
et en divers autres points des membres. En résult
hoire inférieure, au sternum, sur les faces dorsales de la main et du
pied
. Physiek avait imaginé ce procédé. M. Lawrence l'
orment dans les jointures. Les articulations du genou, du coude et du
pied
, qui présentent de larges surfaces cartilagineuse
put se promener, et il exécutait tous ses mouvemens sans douleur : le
pied
pouvait être porté à six décimètres (vingt-deux p
ou avec déviation considérable de la jambe en dedans, au point que le
pied
ne pouvait en aucune façon appuyer sur le sol. A
dure dans cette nouvelle position. La jambe étant ainsi redressée, le
pied
regardait le sol. La plaie fut réunie par quelque
se fatiguer : il pouvait même monter à cheval. Toute la plante de son
pied
touchait le sol, et il boitait à peine. MALADIE
utation ordinaire pourra s'appliquer aux autres. L'opérateur place le
pied
gauche en avant, de manière à s'effacer et à lais
e, pesait cpiatre kilogrammes. MEMBRE ABDOMINAL. Le squelette clu
pied
étant entièrement disposé pour la solidité, il n'
station; d'un autre côté le tarse, qui forme la plus grande partie du
pied
, est composé d'os courts dont la structure prédis
moyen de deux autres incisions transversales dirigées sur le dos clu
pied
, circonscrire un lambeau quadrilatère qu'on renve
il, pouvant retrouver un soutien en arrière, constitue encore pour le
pied
un point d'appui assez solide, comme fa fait rema
un lambeau quadrilatère, à base interne, qui fut relevé sur le dos du
pied
. Le tendon du long péronier fut écarté en dehors,
ite, le malade put marcher librement et recouvra les mouvemens de son
pied
. Pour un cas à peu près semblable au précédent,
de seize ans portait un engorgement chronique de la partie externe du
pied
, au niveau de la jonction du tarse et du métatars
tion du tarse et du métatarse; deux fistules existaient sur le dos du
pied
, et donnaient issue à une suppuration assez abond
une suppuration assez abondante : les parties molles de la plante du
pied
étaient saines. M. Velpeau diagnostiqua une carie
n horizontale au côté externe, comme s'il eût voulu séparer le dos du
pied
de sa plante; une seconde incision vint tomber pe
z nombreux; il en résulte ordinairement une soudure de la jambe et du
pied
: cependant chez le malade de Rumsey il y eut con
un aide qui embrasse le talon d'une main et l'extrémité antérieure du
pied
de l'autre. Tout étant disposé, pratiquer sur les
et les filets nerveux superficiels qui vont animer la face dorsale du
pied
. Les deux chefs de la compresse longuette sont co
e contre sa poitrine la tête légèrement renversée du malade, dont les
pieds
étendus sur un petit tabouret ne peuvent, de cett
montrer les ressources opératoires fournies par la structure même du
pied
et de la main, ne servirent qu'à faire entrevoir
ec des bandelettes agglutinatives. MEMBRE ABDOMINAL. AMPUTATIONS DU
PIED
. Analomie opératoire. — C'est dans l'organisati
ATIONS DU PIED. Analomie opératoire. — C'est dans l'organisation du
pied
qu'il convient de puiser des données générales po
élémentaires, et éclairer leur appréciation relative et absolue. Le
pied
est composé de vingt-six os qui forment en médeci
ent, à mille combinaisons opératoires d'autant plus précieuses que le
pied
, étant un organe de sustentation et de mouvement,
té possible. Comme, à part celles des orteils, les articulations du
pied
, destinées moins à des mouvemens partiels étendus
mble , et encore très obscure, on peut en quelque sorte considérer le
pied
comme un seul os, ne point s'astreindre, pour les
considérations nous permettent encore d'établir qu'à chaque région du
pied
les procédés pour les désarticulations et les amp
articulation. Le peu d'épaisseur des tégumens de la face dorsale du
pied
, la mobilité aussi bien que la multiplicité des t
ne devons point oublier non plus cjue chez les enfans le squelette du
pied
, presque tout entier cartilagineux, n'offre aucun
it formées sur l'état des tendons après les amputations partielles du
pied
, et diminuer la crainte qu'on avait de les intére
reste dans un équilibre parfait (pl. 66). Amputations partielles du
pied
dans la continuité. Ces amputations, fort en us
ce ; d'abord parce qu'il faut se réserver la latitude de n'enlever au
pied
que les parties absolument impossibles à conserve
union immédiate, outre qu'on assure ainsi une plus grande solidité au
pied
. Si, d'un côté, l'union du premier métatarsien av
d'une petite scie ou des cisailles de Liston. Le malade est couché le
pied
sur le bord du lit et maintenu par un aide qui fi
Lambeau interne. — Procédé de M. Lisfranc. — Premier temps. Pour le
pied
gauche, saisir avec le pouce, l'indicateur et le
u dont l'épaisseur est prise aux dépens de la face plantaire. Pour le
pied
droit, à moins d'être ambidextre, se mettre de cô
ne coin-presse ou une attelle très mince placée entre les deux os, le
pied
tourné en dehors, saisir le métatarsien par sa tê
cicatrice située en haut. Historique. Les amputations partielles du
pied
avec les ciseaux, la hache ou la grande tenaille,
nt: Scultet attribue à Fabrice d'Aquapendente l'ablation partielle du
pied
avec la tenaille, mais nous n'avons rien trouvé d
ante hors du lit, l'artère comprimée par un aide au creux poplité, le
pied
est soutenu et fixé à son articulation tibio-tars
nu et fixé à son articulation tibio-tarsienne. Premier temps. Pour le
pied
droit la main gauche embrasse le métatarse par la
s dans la continuité. Amputation des os métatarsiens en général. Le
pied
maintenu par un aide qui tend les tégumens : le c
e incision qui se dirige obliquement, à droite ou à gauche suivant le
pied
, sur la face dorsale du métatarsien, et sur l'esp
de ne jamais amputer la jambe, toutes les fois qu'on peut attaquer le
pied
sans entrer dans l'articulation tibio-tarsienne ;
e par un aide au pli de l'aîne ou au tiers inférieur de la cuisse; le
pied
est soutenu par un autre aide. Méthode circulai
, et dont les autres sont libres dans leurs gaines. Les extenseurs du
pied
, insérés dans des anfractuosités, sont difficiles
un autre soutient la jambe et relève les chairs, un troisième fixe le
pied
enveloppé d'un linge, attentif aux mouvemens du c
e est fléchie à angle droit sur le bassin, la jambe sur la cuisse, le
pied
repose à plat sur le sol; la cuisse gauche est fl
se, la tubérosité de l'ischion s'appuie sur le talon, et la pointe du
pied
sur le sol: les deux jambes sont écartées pour as
ou lit : « L'ablation totale des os aux articulations de la main, du
pied
, du poignet, du coude pied, du genou, et du coude
le des os aux articulations de la main, du pied, du poignet, du coude
pied
, du genou, et du coude, n'est pas ordinairement t
, p. i.8). Albucasis amputait dans les articulations du poignet, du
pied
, du coude et du genou , avant que la gangrène les
e comme une opération bien connue la désarticulation du poignet et du
pied
, et regarde en général, d'après sa propre expérie
tures sont réunies dans des limites resserrées, comme à la main et au
pied
, et n'est même pas toujours rigoureux pour les ar
ureux de la tête conservée contre la chaussure, ou de renversement du
pied
en dedans après son ablation. M. Blandin a réhabi
c. C'est l'analogue de celui que nous avons décrit pour les doigts. —
Pied
gauche. i° Le pied contenu par un aide, saisir le
de celui que nous avons décrit pour les doigts. — Pied gauche. i° Le
pied
contenu par un aide, saisir les orteils entre les
celles-ci sous les trois autres, faire relever en dedans la plante du
pied
, embrasser les cinq orteils, les relever vers la
tarsien, un aide soutenant les orteils à mesure qu'ils sont détachés.—
Pied
droit. Le procédé est en tout point le même, la p
ne inter-osseux. Méthode a un lambeau. — Procédé de M. Lisfranc. Le
pied
placé sur une table et fixé par un aide, saisir l
ur la face plantaire. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Scouletten.
Pied
gauche. i° L'articulation reconnue avec l'extrémi
procéder à la désarticulation comme il a été dit plus haut. — Pour le
pied
droit, les orteils saisis entre les doigts, le pl
ommencer une incision oblique dirigée le long du bord interne pour le
pied
gauche, et sur la face dorsale pour le pied droit
g du bord interne pour le pied gauche, et sur la face dorsale pour le
pied
droit, vers la rainure de flexion du cinquième or
our le pouce, l'amener au point de départ par la face dorsale pour le
pied
gauche, ou par le bord interne pour le pied droit
r la face dorsale pour le pied gauche, ou par le bord interne pour le
pied
droit; isoler l'os sur les faces plantaire et int
ésent le premier que l'on sache l'avoir positivement pratiquée sur le
pied
gauche d'un malade. Depuis on la voit opérée en A
ée du tarse avec les insertions des muscles qui relèvent les bords du
pied
. Aujourd'hui cette amputation, perfectionnée par
er, par Laroche, de conserver tout ce que l'on peut de la longueur du
pied
. Ce précepte, formulé récemment par M. Mayor, qui
Mayor, qui veut que dans les amputations on coupe à toute longueur le
pied
, considéré comme un seul os, en faisant accepter
moyen de reconnaître le plan inter-articulaire sur les deux bords du
pied
: pour le côté interne, en remontant le long du m
3, 4, 5). Le malade couché en supination, la jambe demi-fléchie et le
pied
fixé par un aide1 au-dessus des malléoles pendant
urgien, armé d'un couteau droit, se place en face du membre à opérer.
Pied
gauche. 10 La plante du pied saisie dans la paume
it, se place en face du membre à opérer. Pied gauche. 10 La plante du
pied
saisie dans la paume de la main gauche, le pouce
rds, et leur succession en travers : pratiquer sur la face dorsale du
pied
de dedans en dehors, à douze millimètres au-devan
t l'indicateur, appliquer la pointe du couteau sur le côté externe du
pied
et ouvrir les deux articulations cuboïdo-métatars
eux, dégager la pointe et incliner légèrement l'extrémité digitale du
pied
pour faire saillir les têtes métatarsiennes : s'i
craquement assez fort. 4° Les os séparés, tirer un peu sur le bout du
pied
pour augmenter l'écartement, couper les ligamens
urner les tubercules osseux des deux métatarsiens externes; tendre le
pied
horizontalement, et, faisant glisser le couteau,
ou cinq dans le second, proportionnellement à l'épaisseur inégale du
pied
d'un bord à l'autre. Si, la section opérée, les l
trouvaient à nu sur le lambeau, on les couperait avec des ciseaux.
Pied
droit. La seule différence essentielle tient à l'
ient à l'inversion dans la position des doigts par rapport au bord du
pied
; le pouce Rappliquant sur le tubercule du cinquiè
exceptionnels où les quatre extrémités osseuses sont malades. i° Le
pied
tenu comme pour l'autre procédé, piquer avec la p
couteau sous l'un des tubercules métatarsiens, soit l'externe pour le
pied
gauche ou l'interne pour le pied droit, glisser s
métatarsiens, soit l'externe pour le pied gauche ou l'interne pour le
pied
droit, glisser sous la voûte métatarsienne, resso
auxquelles le scaphoïde est intermédiaire. La jambe verticale sur le
pied
posant horizontalement à plat, voici les indicati
outeau sous la voûte du tarse, du bord externe vers l'interne pour le
pied
gauche, ou en sens inverse pour le pied droit, en
xterne vers l'interne pour le pied gauche, ou en sens inverse pour le
pied
droit, en prenant garde de heurter contre le tube
du fort ligament inférieur cunéo-scaphoïdien, abaisser l'extrémité du
pied
et achever la désarticulation par la section des
sseux, transverses, sous-plantaires et calcanéo-cuboïdien : enfin, le
pied
étant détaché et la surface du moignon formée par
iforme entre ces deux os. Procédé de Chopart (pl. 81, fig. 1 et 2).
Pied
droit. La jambe fixée comme il a été dit précédem
et 2). Pied droit. La jambe fixée comme il a été dit précédemment, le
pied
saisi par sa face palmaire daus la paume de la ma
s reportant le tranchant vers le bord externe, et abaissant un peu le
pied
, entrer dans l'articulation de ce côté, et couper
atre articulations. Rien ne s'opposant plus à 1 ecartenient, luxer le
pied
en bas en tirant un peu à soi, introduire le cout
s, du grand cunéiforme et du premier métatarsien en dedans; enfin, le
pied
remis horizontalement, tailler, comme il a été di
entimètres de longueur sur cinq d'un bord à l'autre. Pour agir sur le
pied
gauche il suffit de renverser les positions relat
nt du tubercule du scaphoide sur le côté interne: si l'on agit sur le
pied
droit, nous dit l'auteur, mais, selon nous, quel
le pied droit, nous dit l'auteur, mais, selon nous, quel que soit le
pied
, commencer par une incision horizontale du demi-c
ion horizontale du demi-cercle externe du tarse, c'est-à-dire pour le
pied
gauche à partir du milieu de la voûte du tarse ré
e jusqu'à l'apophyse de réflexion du tendon long péronier, et pour le
pied
droit en sens inverse. Cette première incision ef
putation dans l articulation tibio-tarsienne. La désarticulation du
pied
offre cet intérêt: qu'elleest encore à ce moment,
gnerolles conseille de conserver l'astragale et de n'emporter avec le
pied
que le calcanéum; mais, outre que cet os ne prése
dens(v\. 83 bis, fig. i, 2, 3et 4). La jambe fixée par un aide, et le
pied
suspendu librement : partant en arrière au niveau
lléole externe, tailler, en suivant horizontalement l'un des bords du
pied
, une incision cutanée qui traverse en ligne courb
milieu du métatarse et parcoure horizontalement aussi l'autre bord du
pied
pour retourner au point de départ; disséquer à gr
le trajet de la scie sur les malléoles; puis, en tirant un peu sur le
pied
, introduire horizontalement encore la scie sous l
malléolaire, 57, 58. — Région calcanéenne, 58. — Région dorsale du
pied
, 59. — Région plantaire, 59, 60. MÉDECINE OPÉRA
érotomie, généralités , 144—147. — Saignée du bras, 147. — Saignée du
pied
, saignée du cou, 148. — Saignées spéciales peu us
amputations dans la continuité du membre abdominal. Amputations du
pied
. Des orteils, 238. — Des os métatarsiens, 239.
ES MUSCULAIRES, APONÉVROSES, VAISSEAUX ET NERFS DE LA JAMBE ET DU
PIED
. ADULTE, DEMI-NATURE. Figure i. — Plan antéri
Plan antérieur. Figure 2. — Plan postérieur de la jambe et dorsal du
pied
. Figure 3. — Surface plantaire profonde. INDI
rtie moyenne de la jambe. Figure 3. — Plan de section transversale du
pied
, dans les articulations tarso-métatarsiennes. Fig
es articulations tarso-métatarsiennes. Figure 4- — Plan de section du
pied
, au milieu des os métatarsiens. ADULTE, GRANDE
es 18 et 19 pour les artères de la tête, et planche 21 pour celles du
pied
). Cette pelotte se compose de deux plaques, l'une
Z. COMPRESSION DES ARTÈRES PÉDIEUSE ET TIBIALE POSTERIEURE. Sur un
pied
adulte, la pelotte (K) (voyez planche 20, fig. 6)
s compresses en double protègent les deux bords interne et externe du
pied
. Tome 6. Pl.21. Dessiné d'après nature par
S (demi-grajndeur). 1. Spéculum Oris modifié. 11 se compose de deux
pieds
garnis d'étain, que l'on place entre les bords
de chat. Us sont moins souvent utiles que le précédent. Levier dit
pied
de biche, aujourd'hui de plus en plus inusité.
ian. SAIGNÉE DE LA SAPHÈNE INTERNE, FIGURES 4 ET 15. Figure 4. Le
pied
droit du malade, appuyé sur le genou de l'opérate
la saillie de la saphène interne, continuation de la veine interne du
pied
(2). Le pouce gauche de l'opérateur (b) fixe le v
USE. 1. Section de la peau. 2. Section de l'aponévrose dorsale du
pied
. 3. Premier faisceau du muscle pédieux, écarté
ure 1. La jambe droite, demi-fléchie, est couchée sur un oreiller, le
pied
étendu. Sur ce membre sont représentées les ligat
ibio-péronienne. Le membre étant couché sur sa face postérieure, le
pied
contenu par les deux mains d'un aide, dont on n'a
e. (a). Lambeau cutané quadrangulaire rejeté sur la face dorsale du
pied
. Il entraîne avec lui le pédieux (b ), coupé dans
e de ce que l'art peut tenter raisonnablement pour la conservation du
pied
dans un cas de carie du bord interne du tarse , s
(a) . Lambeau cutané quadrangulaire rejeté sur la face dorsale du
pied
. (b) . Tendon du long fléchisseur propre du gro
oisines. 10. Nerf sciatique poplité externe. Figure 2. MOIGNON DU
PIED
. ( Amputation de Chopart. ) Ce cas provient d
aciliter l'intelligence de la pièce, on l'a entourée du trait noir du
pied
complet, avec ses tégumens, mis en perspective. D
passent sur la figure, tracent les courbes que décriraient le dos du
pied
et le coussin sous-métatarsien des parties molles
sion réelles, et contre-balancées l'une par l'autre, de la portion du
pied
qui est conservée. INDICATION DES PARTIES. A.
ient vus à l'œil nu sur une lame qui aurait, du talon à la pointe, 22
pieds
de long et 3 pieds de large. Figure 11. Pointe
sur une lame qui aurait, du talon à la pointe, 22 pieds de long et 3
pieds
de large. Figure 11. Pointe du bistouri. On y v
Mains d'un aide qui contiennent la jambe et l'extrémité tarsienne du
pied
sur lequel on opère. c, Main gauche du chirurgi
Mains d'un aide qui contiennent la jambe et l'extrémité tarsienne du
pied
sur lequel on opère. g, Main gauche du chirurgi
hirurgien, au moment où l'opération est représentée, fait incliner le
pied
pour couper avec le bistouri les muscles inter-os
b, Autre main du même aide qui contient l'extrémité tar- sienne du
pied
et fixe en même temps les deux extrémités d'une b
x. d, Main gauche du chirurgien qui tient l'extrémité digitale du
pied
. e, Sa main droite occupée à pratiquer avec le
ES ARTICULATIONS TARSO-MÉTATARSIENNES. (Procédé de M. Lis franc.) (
Pied
gauche. ) Figure 3. Ouverture des articulations
mbe. n, Main gauche du chirurgien qui embrasse l'extrémité libre du
pied
par sa face plantaire. Le pouce (o) et l'indicate
de la jambe. v, Main gauche du chirurgien qui saisit l'extrémité du
pied
par les orteils, et la renverse en bas pour facil
N.H. Jacob direxit d'après nature par Rogat. AMPUTATIONS SUR LE
PIED
. ADULTE, DEMI - NATURE. FIGURES \ ET 2. AMP
de Chopart modifiée.) (Membre droit.) Figure 1. Désarticulation. Le
pied
maintenu en situation conve" nable, après avoir p
nférieure de la jambe. b, Main gauche du chirurgien qui embrasse le
pied
par sa face plantaire, le pouce (c) et l'indica
e. h, Main gauche du chirurgien qui incline en bas l'extrémité du
pied
, fixé par les orteils, pour faciliter la section
l'extrémité inférieu re de la jambe, p, Main d'un aide qui fixe le
pied
. q, Couteau à double tranchant tenu de la main
6. Pl.83. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. AMPUTATIONS DU
PIED
ET DE LA JAMBE. ADULTE, DEMI-NATURE. FIGURES
entre deux doigts, est formé par la peau de toute la face dorsale du
pied
en avant, et par celle qui revêt en arrière la pa
ambe, sur-tout dans la région malléolaire. L'appareil se compose d'un
pied
artificiel et d'une jambe lacée qui n'est autre c
ES OSSEUX 29 jambe légèrement fléchie sur la cuisse, l'extrémité du
pied
soutenue par la main gauche de l'observateur.
appellent « épilepsie spinale » et qu'on observe le plus souvent au
pied
. On le désigne alors sous la dénomination de «
nt au pied. On le désigne alors sous la dénomination de « clonus du
pied
», de « trépidation épileptoïde du pied ». On rec
dénomination de « clonus du pied », de « trépidation épileptoïde du
pied
». On recherche ce signe en procédant ainsi : t
la jambe immobile dans la main gauche et saisissant l'extrémité du
pied
avec la main droite, l'obser- vateur fléchit br
du pied avec la main droite, l'obser- vateur fléchit brusquement le
pied
sur la jambe sans l'abandonner. Il y a trépidat
et d'extensions, donnant à la main qui sou- tient et accompagne le
pied
la sensation d'un rythme parfait. « Ce phénomèn
nt des réflexes tendineux forts, et chez lesquels le soulèvement du
pied
, sans nul artifice préalable, n'a pas provoqué
épidation ; qu'on imite alors les sujets en expérience à étendre le
pied
sur la jambe et à résis- ter un peu au mouvemen
moment où la marche devient correcte, l'excitation de la plante du
pied
, quandclledétermine, Fixe 2. Étal normal. Flexi
ormal. Flexion des orteils provoquée par excitation de la plante du
pied
. ce qui est la règle, un mouvement réflexe des
s normaux chez lesquels, à la suite de l'excitation de la plante du
pied
, les orteils restent immobiles, au moins en appa-
du système pyramidal, l'excitation de la 38 SÉMIOLOGIE plante du
pied
provoque ordinairement l'extension des orteils, e
bitude plus forte quand on excite la partie interne de la plante du
pied
que lorsque l'excitation porte sur la partie exte
i des exemples : chez certains sujets, l'excitation de la plante du
pied
provoque l'extension du gros orteil ou des deux
rteils s'étendent quand on excite la partie externe de la plante du
pied
et se fléchissent lorsque c'est la partie interne
plante du pied et se fléchissent lorsque c'est la partie interne du
pied
qui est excitée ; chez d'autres encore, le réflex
re, le réflexe plantaire, quelle que soit la partie de la plante du
pied
qui est excitée, se mani- feste tantôt par de l
ver le mouvement réflexe des orteils. Il importe que les muscles du
pied
et de la jambe ne soient pas en état de contrac
les yeux. La jambe doit être légèrement fléchie sur la cuisse et le
pied
reposera sur le lit par son bord externe ou bien
énergiquement, de chatouiller simplement ou de piquer la plante du
pied
. Ce dernier mode d'excitation est nécessaire ch
pourrait être exécuté, consécutivement à la piqûre de la plante du
pied
, par un acte de la volonté ; il faut, dans des ca
crois utile de vous signaler. Les orteils suivent nécessairement le
pied
dans le mouvement de flexion qu'il exécute sur
t défaut à ce moment comme auparavant, l'excitation de la plante du
pied
provoquait, ainsi qu'au premier jour, l'extensi
até de ce côté le signe des orteils, moins accentué toutefois qu'au
pied
paralysé. « Chez une femme, atteinte d'hémiplég
s, j'ai noté le curieux fait suivant : l'excitation de la plante du
pied
paralysé donnait lieu de ce côté à une extension
ce côté à une extension des orteils ; l'excitation de la plante du
pied
normal provoquait, outre une flexion des orteil
ante du pied normal provoquait, outre une flexion des orteils de ce
pied
, une flexion des orteils du pied paralysé. « J'
utre une flexion des orteils de ce pied, une flexion des orteils du
pied
paralysé. « J'ai vu le phénomène des orteils da
diatement après une crise, j'ai vu que l'excitation de la plante du
pied
donnait lieu à de l'extension des orteils à gau
gération des réflexes tendineux et de la trépidation épileptoïde du
pied
. Le sujet empoisonné par la strychnine guérit r
exagération des réflexes ten- dineux et trépidation épileptoïde du
pied
, tandis qu'inversement on observe très nettemen
de ce réflexe chez le nouveau-né. Le chatouillement de la plante du
pied
provoque normalement chez le nouveau-né l'exten
pagné de surréflectivité tendineuse avec trépidation épileptoïde du
pied
et de l'abolition du réflexe anal. Sa présence, p
d'exécuter ce mouvement à la suite d'une excitation de la plante du
pied
. Mais, en y prêtant l'at- tention nécessaire, u
que chez quelques malades, tandis que l'excitation de la plante du
pied
détermine de l'extension des orteils, ceux-ci se
ion de douleur légère et en même temps une très faible extension du
pied
et parfois aussi une flexion des orteils. Or, d
une sensation douloureuse plus intense et en outre à une flexion du
pied
ainsi qu'à une extension des orteils du côté para
ts obtenus par son procédé et par le chatouillement de la plante du
pied
, et alors il eût été vraisembla- blement condui
eût été vraisembla- blement conduit à se demander si la flexion du
pied
et l'extension des RÉFLEXES CUTANÉS 49 orteil
manoeuvre décrite par Schaefer, j'ai obtenu comme lui la flexion du
pied
et l'extension des orteils. Puis, je me suis co
pas autre chose que le phénomène des orteils. Quant à la flexion du
pied
, si elle ne constitue pas, comme le croyait Schae
u signe des orteils, et la flexion du BABINSKI. 4 sn SÉMIOLOGIE
pied
ainsi obtenue peut être considérée, ici encore, c
t dans mon pre- mier travail (97). « L'excitation de la plante du
pied
provoque parfois, entre autres mouvements réfle
dal n'est pas encore constitué, le chatouillement de la plante du
pied
donne lieu généralement à une abduction des ort
ue l'abduction réflexe provoquée par une excitation de la plante du
pied
constitue, quand elle est bien marquée, une pré
57 ties du membre inférieur, peut provoquer une flexion réflexe du
pied
, du côté paralysé. J'ai signalé un autre moye
l'exagération des réflexes de défense : le sujet étant assis et ses
pieds
reposant sur le parquet, on excite les tégument
constate d'habitude que la cuisse se fléchit sur le bassin, que le
pied
se déta- che du plancher et se maintient quelqu
ux, en se plaçant dans les con- ditions que je viens d'indiquer, le
pied
reste généralement fixé au sol; exceptionnellem
guments du côté de la para- lysie, en un point quelconque depuis le
pied
jusqu'à la partie infé- rieure de la joue, déte
disparition en étendant la jambe sur la cuisse et en fléchissant le
pied
sur la jambe. Ordinairement, le muscle, après a
naison du tronc du côté opposé à la sciatique, sans soulèvement du
pied
du côté malade; de là, une attitude toute spécial
on constante des réflexes tendineux avec trépidation épileptoïde du
pied
. Ce syndrome constitué par la réunion de trois si
ir fig. 15), ce qui a pour consé- quence un soulèvement excessif du
pied
; dans le deuxième temps, le bruit produit par l
du pied; dans le deuxième temps, le bruit produit par la plante du
pied
venant s'appliquer violemment sur le sol dénote
manière générale, son orientation, sa direction intentionnelle; le
pied
ou la main ne dévie pas de la route qu'il doit
pendent d'une affection cérébelleuse : Avant d'arriver au but, le
pied
ou la main s'écarte plus ou moins du chemin qu'
éplacer. On constate alors qu'il est arrêté dès le premier pas : le
pied
se trouve porté en avant, tandis que le tronc,
les barres de lits d'une salle d'hôpital. Il faut remarquer que le
pied
suit à peu près sans dévier le chemin qu'il p
açon très imparfaite les mou- vements de flexion de la jambe sur le
pied
et de la cuisse sur la BABINSIiI. Io 116 AF
asynergie. Le malade étant assis, on l'invite à porter la pointe du
pied
vers un point situé à 60 centimètres au- dess
l'exten- sion de la jambe devient plus énergique et la pointe du
pied
arrive au but, lancée avec une certaine brusque
n demi-flexion, la cuisse s'étend brusque- ment sur le bassin et le
pied
vient poser à plat sur le sol. Cette dernière v
C'est donc encore l'asynergie qui est en jeu. « Porter la pointe du
pied
vers un endroit déterminé est un acte qui, chez
tension de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse et du
pied
sur la jambe sont exécutés simul- tanément et e
es sur le bassin, les jambes légèrement fléchies sur les cuisses, les
pieds
FIG, 19. Catalepsie cérébelleuse. Pose de 15
r les hg. 21 et 22, le trace d'en haut correspond aux oscillations du
pied
, celui du milieu est l'inscription des vibratio
vements élémentaires du membre inférieur gauche sont brusques et le
pied
gauche vient s'appliquer sur le sol d'une maniè
tendineux sont exagérés et ily a de la trépida- tion épileptoïde du
pied
. A l'examen ophtalmoscopique, on constate de FI
eurs, de la trépidation épileptoïde du 196 HYSTÉRIE. P1TII1AT1SME
pied
, que l'on rapporte également à l'hystérie. Mais,
velles recherches graphiques sur le phénomène de la trépidation du
pied
» (Encé- phale, janvier 1909). 157. Monoplégi
olacées au talon gauche, aux malléoles externes, au bord externe du
pied
droit ; oedème du membre inférieur droit, hydarth
. Le malade marche avec peine à l'aide d'un bâton, à petits pas, le
pied
droit traînant sur le sol. On constate un affaibl
sement considérable de tous les segments du membre inférieur droit (
pied
, jambe, cuisse), simple paré- sie pour tous les
mme une myopatbique ; se mettant, d'abord, à genoux, puis posant de
pied
droit à terre, enfin appuyant la main droite su
rs ; on constate seulement un peu d'hypoesthésie au bord externe du
pied
droit, et à la dernière phalange des orteils ; la
est forte et talonne. Elle ne peut toucher un objet de la pointe du
pied
, qu'après une série d'oscillations irrégulières.
és, signe de Babinski à gauche ; à droite on obtient l'abduction du
pied
avec flexion des 3e et 4e orteils. Fièvre ave
omplète, flasque avec exagération des réflexes rotuliens, clonus du
pied
, anesthésie complète, rétention permanente des sp
ous l'avons vu une fois, quelques articulations des extrémités, des
pieds
par exemple; mais cet envahissement est excepti
liés en 1899. La hauteur de tous les sujets, mesurée de la tête aux
pieds
, en suivant les contours de la colonne vertébra
oudures épiphysaires sont faites dans le squelette de la main et du
pied
, et dans les articulations radio-carpienne et t
le teint bleuâtre et surtout la dimension anormale des mains et des
pieds
. Le bébé se développa très bien, mais il semblait
lus, sur- . tout après des efforts musculaires, et les mains et les
pieds
grandissaient-telle- ment, qu'il lui fallait to
temps en temps il a des paresthésies dans le bout des doigts et des
pieds
. La force musculaire a beaucoup diminué dans le
irconférence, mais les bras et les jambes, surtout les mains et les
pieds
, les genoux, les poignets et l'articulation des p
mains et les pieds, les genoux, les poignets et l'articulation des
pieds
si lourds, si grands, que l'épithète monstrueux
ourd, comme il diffère encore de longueur avec les autres doigts du
pied
, et comme les bras sont maigres et comme le ventr
rvateur Carl Gerhardt connaissait déjà l'augmentation de volume des
pieds
et des mains, l'état douloureux et le gonflement
notre F... est déjà venu au monde avec de grosses mains et de gros
pieds
. Pierre Marie appelait l'acromégalie une « hype
n a remarqué les di- mensions relativement grandes des mains et des
pieds
, d'abord sans troubles de fonction, et Bregman
dans lequel il existait une augmentation de volume des mains et des
pieds
avec une proé- minence des os malaires, un gros
, l'expression infantile, la même station debout, les jambes et les
pieds
énormes, surtout à droite ; mais les pro- porti
ie DE la SALPÊTRIÈRE. T. XIX PI. XVII Obs. I Obs. 11 OEDÈME DES
PIEDS
CHEZ DEUX IMBÉCILES (L. Trepsat.) Masson et C
asson et Ci-, Editeurs PIIUlal)(lI ! ! BI'11hDUd, Pans OEDÈME DES
PIEDS
CHEZ DEUX IMBÉCILES, PAR L. TREPSAT, Inte
s malformations physiques considérables, un oedème spécial des deux
pieds
qui ressemble à l'oedème myxoedémateux, et au p
âtisme avec hydrocéphalie et paraplégie avec contracture ; aux deux
pieds
infiltration à forme de pseudo-oedème avec cyanos
et zone de congestion diffuse large de 2 centimètres. OEdème des
pieds
. - Les deux pieds présentént un oedème cotonneux,
estion diffuse large de 2 centimètres. OEdème des pieds. - Les deux
pieds
présentént un oedème cotonneux, gé- latiniforme
ux jambes l'aspect de deux poteaux arron- dis. Mais entre le dos du
pied
et la partie inférieure de la jambe, au niveau de
res doigts sont en flexion forcée, l'ongle touchant le sol quand le
pied
y repose. En aucun point la pres- sion ne forme
claires, rouge vif. La température de l'oedème au niveau du dos dn
pied
est seulement de ? c'est-à-dire, de très peu su
ite, au milieu de la face dorsale du 3e orteil une ulcé- OEDÈME DES
PIEDS
97 ration superficielle de la dimension d'une p
très nette, légèrement cyanotique mais beaucoup moins tendue qu'aux
pieds
; les doigts ont la forme de boudins (main succ
ises à tout le monde, veut faire la maîtresse dans sa division. Les
pieds
sont toujours bleus asphyxiques ; on note quelque
ès net encore est un peu moins volumineux, l'infiltration du dos du
pied
est plus tendue, de consistance moins gélatineu
scence, micro ce plia lie, atrophies osseuses et musculaires. - Aux
pieds
, infiltration élastique du derme à forme de pse
sique. Stigmates de dégénérescence : asymétrie crânienne OEDÈME DES
PIEDS
99 et faciale, oreilles désourlées à la partie
roite. Atrophie du membre inférieur droit portant sur le fémur. Aux
pieds
, le pied droit est valgus talus, les deux premi
ophie du membre inférieur droit portant sur le fémur. Aux pieds, le
pied
droit est valgus talus, les deux premiers orteils
lus, les deux premiers orteils sont subluxés sur le mé- tatarse, le
pied
gauche est légèrement varus avec un équinisme mar
large de 2 millimètres et zone de congestion diffuse. OEdème des
pieds
. La face dorsale des deux pieds est le siège d'un
e de congestion diffuse. OEdème des pieds. La face dorsale des deux
pieds
est le siège d'un oedème élastique, tendu, qui
eptembre, 33 kilogrammes. L'oedème ne s'est nullement modifié : les
pieds
sont bleu noirâtre, les bour- relets très tendu
mars 1905. Les dit'té- rences sont à peine sensibles. OEDÈME DES
PIEDS
101 plémenL11re de 20 grammes de NaCI a amené u
ine, mais les oedèmes n'ont subi de ce fait aucune variation. Les
pieds
des deux malades ressemblent fort sur nos photogr
pieds des deux malades ressemblent fort sur nos photographies à des
pieds
de mY,Toedérnateuses : même bourrelet énorme, mêm
fois produit dure de 1 h. 1/2 à 2 heures. On constate de plus aux
pieds
des ulcérations superficielles. Ces petites esc
sceau de la sensibilité générale qui formerait la partie externe du
pied
du pédoncule et qui se terminerait dans le lobe
e le segment postérieur de la capsule interne et descendent dans le
pied
du pédoncule cérébral dont elles concourent à for
e, des fibres qui pro- viennent de ces lobes et qui passent dans le
pied
du pédoncule. Ce que l'on désigne sous le nom d
des coupes frontales d'un cas de ramollissement du'pli courbe et du
pied
de la deuxième circonvolution temporale, fait l'a
llidus du noyau lenticulaire. Enfin d'autres fibres passent dans le
pied
du pédoncule cérébral, mais parmi ces dernières,
longitudinal, mais le traverse tout simplement pour se rendre dans le
pied
du pédoncule cérébral dont il constitue le cinq
iagnostique précieux chez les Dioscures de Monte Cavallo à Rome. Au
pied
du monument représentant deux adolescents au mome
onner. Les genoux et les coudes sont normaux; on ne constate pas de
pied
plat, la dentition est passable. Il existe un f
scendants, on ne relève aucune déformation analogue. Il n'existe ni
pied
plat, ni carie vertébrale, ni sciatique ; la ma
e à huit mois ; dès la naissance on s'est aperçu que ses mains et ses
pieds
étaient mal conformés. Vers l'âge de quatre a
une diminution de l'étendue des mouve- ments, c'est par exemple, un
pied
équin par la seule brièveté des muscles, comme
par un arrêt de développement en volume, même visible au niveau du
pied
; une coxalgie s'accompagne d'une diminution de
développement des autres parties. Certains doigts des mains et des
pieds
présentent un arrêt de dévelop- pement surtout
et des jambes sont fort diminués de volume. Or les déformations des
pieds
et de la main s'expliquent par le seul fait de
en avant parce qu'elle appuyait unique- ment sur le bord externe du
pied
. De 4 à 10 ans la marche est restée embar- 140
let 1905. A. Troubles atrophiques par arrêt de développement. 1.°
Pieds
. - Ils présentent une configuration tout à fait a
ement, comme nous le verrons tout à l'heure, sur le bord externe du
pied
, la partie externe de la voûte s'est affaissée
out) de volumineux duril- lons qui témoignent des points d'appui du
pied
sur le sol. La partie antérieure du pied est fo
nent des points d'appui du pied sur le sol. La partie antérieure du
pied
est fortement' augmentée de volume et semble avoi
LTIPLES CONGÉNITALES PAR ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 141 reste du
pied
. Sur elle s'implantent 5 doigts de pied dont aucu
QUE DES TISSUS 141 reste du pied. Sur elle s'implantent 5 doigts de
pied
dont aucun n'est normal. Tous d'abord sont en r
surtout le pre- mier et le second semblent luxés en arrière sur le
pied
(fig. 1). Le gros orteil est piriforme, son ten
mblent accolés l'un à l'autre, la pression, comme du reste celle du
pied
entier, en est douloureuse. A la palpation on con
i que la famille de la malade l'affirme absolument. Ces lésions des
pieds
sont symétriques, Jambes : des deux côtés on re
st légèrement déviée en dehors (genu valgum) et forme avec l'axe du
pied
un angle rentrant en dedans. Les tibias sont légè
entimètres. Au genou, un léger degré de genu recurvatum . FiG. 1.
Pieds
, aspect extérieur. 142 KLIPPEL Cuisses à peu
se, oblique en dedans. Axe de la jambe, oblique en dehors. Axe du
pied
, oblique en dedans. FiG. 2. La phalangette du S
n : on y observe des arrêts de développement, semblables à ceux des
pieds
. En effet, le 5e doigt de la main gauche présente
e : la marche est anormale. La malade marche sur le bord externe du
pied
et trébuche souvent. Elle ressent de la faiblesse
uliens et achilléens ; on a même observé du côté droit un clonus du
pied
des plus nets : il faut ajou- ter que ce clonus
rface de la peau. 152 NOICA paumes des mains et les plantes des
pieds
où la sensibilité est normale. Sur la poitrine,
la peau qui couvre le dos des doigts, le dos des orteils, le dos des
pieds
, la verge et le scrotum qui, avec la peau des p
ubles de la sensibilité au toucher. La même, le 10 novembre 1905.
pieds
, du cou et de la tête sentent les piqûres les plu
NOICA . ' et une ligne horizontale inter-mamelonnaires. Le dos des
pieds
et des orteils, le dos des doigts et les organe
est bien perçue. Il est à remarquer que sur le dos des mains et des
pieds
les pressions très fortes provoquent des douleu
rovoquent des douleurs. Sur la paume des mains et sur la plante des
pieds
il ne sent pas les pressions légères, mais il a l
s celle des faces palmaires des doigts, et la peau de la plante des
pieds
y compris celle FiG. S et 9. - 10 novembre 1905
aphie des troubles de la sensibilité à la pression. Sur les dos des
pieds
et des mains, les pressions très fortes sont dou-
, mais celle qui recouvre les faces dorsales des doigts, le dos des
pieds
et des orteils, la sensibilité tactile est très p
sation. La peau de la tête, du cou, celle des faces plantaires, des
pieds
et des orteils, celle des faces palmaires des m
rement au-dessus du pénis. Sur les dos des doigts et sur le dos des
pieds
et des orteils la légère hypoes- thésie est dev
remarque aussi que la peau de la paume des mains, de la plante des
pieds
et de la verge est un peu hypothermique (la peau
an chaud et à la douleur sont un peu plus accentuées sur le dos des
pieds
et sur la surface des jambes que sur les FiG. 1
urs, sauf les faces palmaires des mains et les faces plantaires des
pieds
ont complètement perdu cette sensation, on peut
sation de douleur, tandis que sur les faces palmaires et plante des
pieds
, sur la peau de l'abdomen, sur le cou et la tête
droite. On n'en remarque aucune au cou, aux mains, aux jambes, aux
pieds
. En résumé : distribution topographique irrégul
es dégénérées appartiennent au faisceau de Türck et passent dans le
pied
du pédoncule cérébral. Le faisceau normal ne se
hé. D'autres foyers siègent au niveau du corps du noyau caudé et du
pied
de la couronne rayonnante et de la partie supér
a deuxième circonvolution occipitale, la totalité du pli courbe, le
pied
de la deuxième circonvolution temporale, le bor
tales, nous n'avons jamais observé de dégénéres- cence au niveau du
pied
du pédoncule cérébral ; par contre nous avons con
rconvolution temporale, mais on ne relève rien d'anormal du côté du
pied
du pédoncule; il en est de même de deux autres ca
rps du ventricule latéral, au-dessus du noyau caudé et en dedans du
pied
de la couronne rayon- nante, un petit faisceau
de lésions du noyau caudé qui intéressent la capsule interne ou le
pied
de la cou- ronne rayonnante. Les lacunes, même
ipitale est totalement dégénéré à la suite d'une lésion profonde du
pied
de la première temporale, du pli courbe et de la
es corticifuges destinées au pulvinar, au corps genouillé interne, au
pied
du pédoncule cérébral, ces fibres du faisceau o
o-frontal. 11) Aucune fibre de l'écorce occipitale ne passe dans le
pied
du pédoncule cérébral ; toutes les fibres que l
er11lille.) PARAPLÉGIES PAR RÉTRACTION CUEZ LES VIEILLARDS 263 de
pied
) dans la région lombaire. Dans ces différents cas
n flexion sur le bassin, les jambes en flexion sur les cuisses, les
pieds
en extension. La palpation des muscles atrophié
est écailleuse, sèche, parfois ichtyosique ; sur la face dorsale du
pied
ou autour des malléoles, on constate parfois un
muscles antérieurs de la cuisse ; . L'excitation de la plante du
pied
provoque des contractions à distance plus marqu
térien et cutané abdominal très nets ; tremblement épi- leptoïde du
pied
; réflexe de Babinski en extension. Les réflexes
fin ap- parurent une contracture dans la jambe droite, le clonus du
pied
et l'exa- gération des réflexes tendineux des d
constata de l'exagération des réflexes patellaires et du clonus du
pied
. Il continua à exercer sa profession jusqu'en 1
UNIO CATOLA cuisses sont de même un peu fléchies sur le bassin. Les
pieds
sont en exten- sion sur la jambe. Les divers se
t. Les réflexes rotuliens sont forts des deux côtés. Le clonus du
pied
existe de même des deux côtés. Les réflexes du
que le sens des attitudes segmentaires semble peu touché. Clonus du
pied
, signe de Babinski des deux côtés. Légère exagéra
ble. Les réflexes rotuliens sont très exagérés. Il y a du clonus du
pied
très mar- qué. Le réflexe de Babinski est pré
e l'ataxie. Exagération de tous les réflexes tendi- veux. Clonus du
pied
et extension du gros orteil de deux côtés. Facili
intentionnel des membres supérieurs et inférieurs ; il traînait les
pieds
en marchant et chancelait. Il présentait encore d
s évidents d'acromégalie, l'aspect de sa face, de ses mains, de ses
pieds
, les dimensions de sa taille sont caractéris- t
e main d'adulte on peut apprécier la différence des dimensions. Les
pieds
sont également augmentés de volume, surtout dans
Du côté des extrémités tout d'abord l'hypertrophie des mains et des
pieds
était manifeste. On sait qu'il existe deux type
s de notre malade. De même aux extrémités inférieures, on décrit un
pied
élargi et épaissi, sans augmentation notable de
gmentation notable de la longueur. Chez notre malade la longueur du
pied
était accrue et ce segment du membre inférieur ét
convulsions de la moitié droite du corps, à la suite desquelles le
pied
droit demeura « faible », mais sans paralysie v
uton qu'il identifie avec le cône de croissance de Cajal et avec le
pied
terminal de Hetd. Il décrit également des plexu
tre ; elle pouvait cepen- dant encore faire quelques mouvements des
pieds
,et les bras étaient encore relativement intacts
ains qui sont le siège d'une atrophie très marquée, et au niveau du
pied
droit. Amyotrophie. Aux membres supérieurs, l'a
cles de la jambe avec une diminution de la force musculaire dans le
pied
droit. Aucune amyotrophie au niveau du tronc ou
atéralement, concave en tous sens, arrondi, en verre de montre. Les
pieds
sont petits, très courts, les orteils surtout. ,
pâle, anémique, présentant une déformation très prononcée des deux
pieds
et des mains, avec atrophie musculaire, le membre
oit (frac- ture ancienne) est raccourci (PI. LXXII C). ' Les deux
pieds
présentent la déformation suivante : équinisme tr
alement,sont tendus et se dessinent sous la peau. L'é- quinisme des
pieds
n'est pas tout à fait direct, mais s'accompagne d
de la voûte plantaire interne est très exagérée, c'est un véritable
pied
creux, et partant le diamètre antéro-postérieur d
un véritable pied creux, et partant le diamètre antéro-postérieur du
pied
est raccourci, le talon antérieur étant beaucou
degré de rétraction du triceps sural pour l'équinisme ; et pour le
pied
creux, par des rétractions fibreuses, étendues du
se tendent fortement dans la flexion passive. Les thénars des deux
pieds
sont nettement atrophiés ; pour les interosseux
lexion plantaire, ne mo- difiant du reste en rien la déformation du
pied
. Les mouvements possibles des orteils se bornen
ont possibles, mais à l'aide de souliers spé- ciaux et d'une canne (
pieds
nus, la marche est presque impossible). Sans cann
scille et tomberait si on ne le retenait (ataxie statique). Debout et
pieds
nus, on constate quelques mouvements athétosiqu
ières phalanges du pouce et des orteils est encore augmentée. Les
pieds
appuient sur le sol, sur les talons antérieur et
ints d'appui, un épaississement épidermique avec bourse séreuse. Le
pied
, en effet, appuie sur le bord externe par suite d
Membres inférieurs, sensibilité tactile très altérée. Nulle sur les
pieds
et les jambes, elle commence à réapparaître au ni
rapproche de la racine du membre. Le chatouillement de la plante du
pied
n'est presque pas senti. Sensibilité à la douleur
d notable dans la transmission, sept à huit secondes pour le dos du
pied
, retard qui diminue en remontant. La localisation
férieurs est peu prononcée, et si on lui dit de toucher son cou-de-
pied
gauche avec son talon droit, les mouvements trans
malade n'arrive à exécuter le mouvement qu'en faisant décrire à son
pied
une série de mouve- ments transversaux, puis, i
nt moins assuré sur ses jambes. Il peut marcher, aller facilement à
pied
depuis Bicêtre à l'avenue d'Italie, en s'aidant
e ans. Début de l'affection dans le bas âge par une déformation des
pieds
, pour laquelle on pratiqua la téuotomie à l'âge d
la racine. Aux membres inférieurs double pied-bot équin varus avec
pied
creux. Aux membres supérieurs atrophie musculaire
u. Membres inférieurs. Complètement abolie sur la face plantaire du
pied
et des orteils, ainsi que sur la face dorsale j
embres inférieurs. A droite la sensibilité à la douleur est abolie au
pied
dans la mêmeétendue que pour la sensibilité tac
atteignant 4 à 5 secondes pour les régions plantaire et dorsale des
pieds
et diminuant de bas en haut. Ce retard est acco
(eau à 70 degrés). Très diminuée sur la face plantaire et dorsale des
pieds
, avec retard de 2 h 3 secondes à ce niveau et h
, du fait de l'atrophie des muscles des jam- bes et de la plante du
pied
, le pied présente une déformation qui est tou-
de l'atrophie des muscles des jam- bes et de la plante du pied, le
pied
présente une déformation qui est tou- jours la
résente une déformation qui est tou- jours la même. Il est en varus
pied
creux..Les orteils présentent une dé- formation
t leurs jambes d'une manière saccadée et les lançant en dehors, les
pieds
retombant brusquement sur le sol. Ils ne peuvent
observations. On retrouve en effet chez eux la même déformation des
pieds
, la cyphoscoliose, l'abolition des réflexes, la d
musculaire, qui dans ces cas n'atteindrait que les muscles propres du
pied
et de la jambe, tandis que dans les nôtres l'at
ice de M. le professeur Ray- mond, avec une paraplégie complète aux
pieds
et aux jambes, moins marquée aux cuisses, prédo
il oscillait sur lui-même les jambes écartées, sans déplacement des
pieds
. Il marchait, les jambes écartées, en festonnan
dal croisé. La démonstration de la nature unique- ment corticale du
pied
du pédoncule cérébral et de la pyramide bulbaire
ent du genou et du segment postérieur de la capsule interne dans le
pied
du pédoncule; ainsi que ce dernier se confond ave
ui réunit les deux lames de cette couche au-dessous », constitue un
pied
de pédoncule assez convenable. Dans le sens hor
un pied de pédoncule assez convenable. Dans le sens horizontal, le
pied
du pédoncule classique se dirige d'arrière en a
ngé, au lieu de présenter le large ruban compact qui caractérise le
pied
du pédoncule cérébral ; aussi sa constitution e
ue la substance innominée le Reicliert sépare le globus pallidus du
pied
de notre pédoncule de même façon que le locns n
même façon que le locns niger s'iuterpose entre le noyau rouge et le
pied
dn pédoncule cérébral. La réunion de ces deux p
oyau rouge et le pied dn pédoncule cérébral. La réunion de ces deux
pieds
de pédoncule forme donc un V ouvert en avant, e
gda- lien, renferme surtout des fibres corticipètes (on sait que le
pied
du pédoncule cérébral est, par contre, corticif
fuge) ; c'est naturellement de cette lame que nous voulons faire un
pied
de pédoncule provisoire. Le faisceau de Tùrck p
un pied de pédoncule provisoire. Le faisceau de Tùrck passe dans le
pied
du pédoncule en arrière et au-dessous (coupe fr
concourt également à former le cinquième in- terne et postérieur du
pied
du pédoncule que nous décrivons. Bien entendu,
; que la pyramide bulbaire égale le deuxième cinquième ex- terne du
pied
du pédoncule cérébral. En d'autres termes, le fai
titielle hypertrophique (5 p1.,0 sch.),477. Trepsat. 01 ? dime des
pieds
chez deux im- béciles (1 pl.), 95. Weber. De
en (quelques observations) (2 pl.), par W. Reis, 120. OEdèrne des
pieds
chez deux imbéciles (1 pi.), par TREPSAT, 95.
qlles dans l'art italien (WIKTOR Reis), XVIII, XIX. OE ièti]2 des
pieds
chez deux imbéciles (L. TREPSAT), XVII. Opéra
é à faire son service militaire et incorporé dans les chas- seurs à
pied
. Là encore il éprouvait de grandes difficultés au
mentent encore par l'occlusion des yeux. Si, pendant la marche, son
pied
vient à rencontrer un obstacle, l'effort qu'il fa
de la planche, indique l'angle d'inclination de cette dernière. Les
pieds
des montants ont 96 c. de longueur. Pour rendre
. Pour rendre l'appareil moins encombrant, j'ai fait construire ces
pieds
G. DEVY r joulen.1- Fig. 2. Appareil du Dr Bo
es mobiles de et F.g Kz et eg qui sont fixées à la face interne des
pieds
des montants par des charnières et qu'on peut é
31 n'ont que 37 centimètres ; quand au contraire on les étend, les
pieds
des montants présentent 96 centimètres de longu
n séjour au lit, elle se plaignit de douleur dans le gros orteil du
pied
droit et dans peu de temps les douleurs envahiren
inférieurs. Le malade étant même chaussé on voit que les doigts de
pied
exécutent des mouvements. L'extension est plus fr
orteils. C'est tantôt une circumduction très lente de la pointe du
pied
produite par le jeu' de .1'arlÍ- culation médio
une inclinaison variable sur le bord externe ou in- terne. Pas de
pied
bot varus ni valgus. Mouvements très limités de
adduction et abduction des doigts de la main. Mêmes phénomènes aux
pieds
; de temps en temps il fléchit sur ses genoux. '
, les étend en avant, les genoux légèrement fléchis, à plat sur les
pieds
. Pas de steppage, il lève bien les pieds, et fa
nt fléchis, à plat sur les pieds. Pas de steppage, il lève bien les
pieds
, et fait des petits pas très pressés, courts, ce
out prononcés vers les extrémités des membres, aux or- teils et aux
pieds
. Aux orteils, la flexion et l'extension dominen
orteils. C'est tantôt une circumduction très lente de la pointe du
pied
, produite par le jeu de l'articulation médio-ta
inance de la position en varus, tantôt la flexion ou l'extension du
pied
sur la jambe, avec supériorité notable de l'ext
les contractures rendent l'examen très difficile ; le phénomène du
pied
n'existe pas, même avec des réflexes rotuliens
le malade est ému, lorsqu'il se sent observé ; on voit alors un des
pieds
s'immobiliser pour un moment par un spasme passag
ne peut pas se rappeler exactement à quel moment les mouvements des
pieds
sont apparus. État actuel. C'est une jeune fill
beaucoup, Le sommeil seul suspend ces mouvements. Aux mains, aux
pieds
et à la face surtout quand la malade parle ou mar
noux presque collés l'un contre l'autre, ainsi que les cuisses, les
pieds
en varus équin, la malade marche sur la pointe
uisses, les pieds en varus équin, la malade marche sur la pointe du
pied
, c'est la démarche spasmodique type Ollivier d'
diffi- cile il produire à cause de la raideur. Pas de phénomènes du
pied
. Pas de douleurs, sensibilité générale conservé
; pas de signe de Romherg. Troubles vaso-moteurs : les mains et les
pieds
sont toujours froids et violacés. La parole e
upérieures ; ils consistent en quelques oscillations latéra- les du
pied
, et en une légère flexion de la jambe sur la cuis
les genoux rapprochés l'un contre l'autre, les jambes écartées, les
pieds
tournés en dedans, reposant sur leur pointe et le
embres. Pas d'hypertrophie, ni d'atrophie. Pas do dé- formation aux
pieds
. Pas de déviation de la colonne vertébrale. Réf
malade, presque idiot. Les réactions électriques sont nor- males.
Pieds
et mains rouges et froids. Presque toutes les f
au niveau des articulations phalangiennes. Au niveau des orteils et
pieds
, mêmes contractions se produisent : en abduction
inférieurs, les orteils se placent dans des positions forcées, les
pieds
se transformentenpieds-bots : les jambes quelquef
dans l'athétose double : refroidissement au niveau des mains et des
pieds
, qui peuvent être rouges, livides, violacés et
epuis l'apparition des troubles articulaires, des douleurs dans les
pieds
et dans les jambes. Ces douleurs sont vives ; ell
ou de la face seulement, ou bien aussi quelque- fois la longueur du
pied
. Suivant les auteurs, la tête est contenue dans l
ex à la Fig. 21. ARTHROPATHIES COSO-rÉlSiORALES. 133 plante des
pieds
. Le tronc, y compris la tète mesure quatre longue
i est atrophié. Seuls les mou- vements d'extension et de flexion du
pied
droit sont notablement affaiblis. Secousses et
plate gauche. Un lil à plomb passant par ce point tombe en arrière du
pied
gauche il 13 centimètres en dehors d'une ligue
ors d'une ligue antéro-postérieure tracée sur le sol entre les doux
pieds
el également distante de chacun d'eux. Le tronc e
inférieurs. Force diminuée, surtout au membre inférieur droit. Aux
pieds
notamment, la flexion et l'extension manquent d'é
. Au contact : légèrement diminuée dans toute cette moitié, sauf au
pied
et il la main ainsi qu'a l'avant-bras droits, o
de la racine vers l'extrémité, de manière à être assez prononcée au
pied
. A la chaleur (75 à 80°), même, répartition, si c
mence d'habitude par s'attaquera des muscles isolés (interosseux du
pied
, etc.). Tabes. Kroenig (2), dans un intéressa
du côté opposé ri la sciatique : absence complète de soulèvement du
pied
du côté malade. La scoliose mérite, en raison d
s ou moins fléchi. Alors de deux choses l'une. Ou bien la plante du
pied
repose sur le sol par toute sa sur- face : cela
est en effet spasmodique, les ma- lades marchent sur la pointe des
pieds
, les genoux rapprochés l'un contre l'autre ; ta
. Dans le deuxième cas, il y a raccourcissement de ce membre, et le
pied
reste élevé à quelques centimètres au-dessus- d
lade ; le centre de gravité va se projeter verticalement du côté du
pied
paralysé ? Non, car le bassin va subir une tran
en dehors à gauche de la base de sus- tentation formée par les deux
pieds
, il est nécessaire que le bassin se déplace ver
re. Observation VIII (Personnelle). Hypertrophie des mains et des
pieds
avec troubles vaso-dilatateurs de ces extrémi-
; c'est à partir de ce mo- ment qu'elle est devenue gênante. Ses
pieds
ont toujours été de dimensions quelque peu exagér
e tuberculose ; il n'a que de la bronchite banale. Les mains et les
pieds
sont le siège d'une hypertrophie régulière, accom
les, les autres acquises. Peut-être l'hypertrophie des mains et des
pieds
doit-elle être, dans l'espèce, rapprochée au poin
chant à analyser les détails, on remarque que le pas est petit, les
pieds
glissent l'un à côté de l'autre sans se détacher
ieur gauche. , Le membre inférieur fléchit pendant la marche ; le
pied
se détache mal et frotte Contre le sol ; il y a
main en pronation repose sur la cuisse : la jambe est fléchie ; le
pied
présente un certain degré d'équinisme et ne tou
int à son tour, de raideur d'abord, d'un léger- tremblement limité au
pied
, en- suite ; progressivement, tout le côté droi
suivante : le malade semble prendre appui presque uniquement sur le
pied
gauche ; il incline fortement le tronc de ce cô
xacte des gestes professionnels. Certains malades sautent sur leurs
pieds
d'une façon rhythmée, absolument comme s'ils da
à peine si la jambe se plie dans l'articulation du genou et que les
pieds
se soulèvent de terre. Ceux-ci semblent « collé
ollet, il existe une tendance manifeste à marcher sur la pointe des
pieds
. Lorsque la contracture des membres inférieurs at
localement ou sur une surface plus étendue ; on peut même placer le
pied
douloureux dans l'eau par exem- ple et se servi
les jambes, la peau est couperosée et il y a un léger oedème sur le
pied
et au ni` eau des malléoles où le doigt laisse un
lis qu'on y fait, la langue n'est pas sèche ni l'haleine forte. Les
pieds
jusqu'aux chevilles sont le siège d'un oedème ass
ce est assez persistante. Elle a constamment froid aux mains et aux
pieds
ce qui l'oblige enjuil- let-août à les garantir
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. UN CAS D'HYPERTROPHIE DES
PIEDS
ET DES MAINS AVEC TROUBLES VASOMOTEURS DES EXTR
rique mâle qui présentait un développement exagéré des mains et des
pieds
accompagné de douleur, de parésie et de trouble
d'abord frappé de la disproportion qui existe entre ses extrémités (
pieds
et mains) qui sont énormes et le reste du corps
A LONDE PHOTOCOLLOGRAPHOE ( ? H £ NE & LONGUET Hypertrophie DES
PIEDS
ET DES mains avec TROUBLES VASO-MOTEURS CHEZ UN
JOUIS 'J3ATTAILLE & VIE ÉDITEURS UN CAS D'HYPERTROPHIE DES
PIEDS
ET DES MAINS. 283 le reste tout semble normal.
la nature, faute de renseignements précis donnés par le sujet. Les
pieds
sont très grands et très gros (PI. XXXIII) ; ils
IÈRE. face dorsale et envahit seulement les orteils et la plante du
pied
; ils sont douloureux, les douleurs sont locali
téristique de ce fait que si D... avait déjà avant sa pleurésie des
pieds
volumineux, il y a eu à partir, de ce moment un a
Raynaud présente quelques,traits que nous UN CAS D'HYPERTROPHIE DES
PIEDS
ET DES MAINS. 285 n'avons pas retrouvés dans no
a dû l'abandonner, il y a dix mois, à la suite de douleurs dans les
pieds
qui survenaient après une courte station debout e
ce de M. le Dr Monod. A cette époque il présentait aux mains et aux
pieds
des troubles trophiques et des déformations qui
te sur l'avant-bras que du côté droit. Membre inférieur gauche : au
pied
, anes- thésie sur la face dorsale, la partie an
nsibilité diminuée sur la face externe. Membre inférieur droit : au
pied
, anesthésie limitée aux orteils ; à la jambe et
ains sont devenues complètement in- formes (pl. XXXIX). Du côté des
pieds
, les orteils se sont étendus sur la face dorsal
rforants, rebelles, au niveau du talon antérieur de l'un ou l'autre
pied
. Entre temps, il s'est brûlé sans le savoir, à
n effet il a ressenti des douleurs dans les mains et surtout dans les
pieds
. C'étaient des douleurs lancinantes, courtes, s
ations de préférence, sans dépasser les genoux et les poignets. Aux
pieds
, ces douleurs étaient provoquées par la marche.
Motilité. Le malade présente une paralysie double des extenseurs du
pied
, complète à gauche, incomplète à droite. Les deux
xtenseurs du pied, complète à gauche, incomplète à droite. Les deux
pieds
sont tom- bants ; le gauche ne peut être relevé
isse (schéma) en respectant la voûte plantaire dans chacun des deux
pieds
(nous avons constamment trouvé cette région sen
ne et rosée. Aux membres inférieurs, la peau de la face dorsale des
pieds
est tendue, amincie, pigmentée, sans oedème. Le
, sans oedème. Les déformations portent symétriquement sur les deux
pieds
et les font paraître raccourcis mais c'est un rac
ées, sessiles sur le métatarse et renversées sur la face dorsale du
pied
. Il n'existe là en ef- fet que la dernière phal
nt ces déformations qui expliquent le raccourcissement apparent des
pieds
. Les ongles des orteils sont très épaissis et str
antaire, on voit plu- sieurs maux perforants : (Pl. XL) deux sur le
pied
droit, trois au pied gau- che, qui sont indolen
sieurs maux perforants : (Pl. XL) deux sur le pied droit, trois au
pied
gau- che, qui sont indolents et rebelles. , A
Membres inférieurs. Pas de mouvements athétosiques appréciables des
pieds
; quand la malade est au repos, mais lorsqu'elle
ien compte de l'état des réflexes roi tuliens. Pas de phénomènes du
pied
. Pas d'incoordination véritable des mem- bres i
re répète qu'elle n'a jamais été impres- sionnée), pas d'oedème des
pieds
, pas d'attaque, pas de syncope. Accouche- ment
s pour mar- cher. Quand il marchait il s'appuyait sur la pointe des
pieds
et jamais sur le talon, mais il n'a jamais marc
ue quand on a essayé de le faire marcher qu'on s'est aperçu que sou
pied
n'était pas naturel. On assure qu'au lit son pi
aperçu que sou pied n'était pas naturel. On assure qu'au lit son
pied
était droit, qu'il le tenait droit dans le soulie
s, l'enfant lient sa tête penchée en arrière, avance assez bien. Le
pied
gauche maintient le pied droit écarté, le soulève
penchée en arrière, avance assez bien. Le pied gauche maintient le
pied
droit écarté, le soulève plus difficilement et
maintient le pied droit écarté, le soulève plus difficilement et le
pied
tombe. Complètement gâteux. Nystagmus. Pupilles
à s'entrecroiser. Flexion complète des jambes sur les cuisses. Les
pieds
sont en extension presque complète avec adducti
irré- guliers et très imparfaits, les jambes s'entrecroisant et les
pieds
portant sur le sol tantôt par leur face plantai
teinte, en effet, que grâce à un artifice qui consiste à placer les
pieds
du sujet sur un plan incliné qui en abaisse la po
plus court, le tronc plus long, et les quatre membres plus courts. Le
pied
est plus petit, la main de même dimension. D'
re. Relativement à la taille, voici quelles sont les proportions du
pied
et de la main. A partir de 5 ans, la main est l
de 5 ans, la main est le neuvième de la taille. A tous les âges, le
pied
forme environ 0,15 ou 0,16 de la hauteur totale p
on 0,15 ou 0,16 de la hauteur totale prise pour unité. A 10 ans, le
pied
égale la hauteur de la tête. Avant 10 ans, le pie
nité. A 10 ans, le pied égale la hauteur de la tête. Avant 10 ans, le
pied
est plus court, après il est plus long. Enfin
'en diminuer les secousses ; il traînait un peu la jambe droite, le
pied
légèrement dévié en dedans. La course était possi
roit était fléchi à angle obtus sur le bras au devant du tronc ; le
pied
droit était considérablement dévié en dedans, en
ormes ; la jambe droite croise la gau- che en passant pardessus, le
pied
droit est en position de varus équin et le ta-
ntracture existe comme au membre supérieur. On peut en effet par le
pied
droit soulever le malade tout entier du plan du l
ué à droite qu'à gauche et le membre tout entier paraît remonté. Le
pied
droit est en varus-équin ; les orteils en flexion
ment plus considérable au bras qu'à la jambe. Enfin, les orteils du
pied
droit ne sont pas, comme les doigts de la main
tion prolongée d'un courant faradique faire cesser la contracture du
pied
droit, qui est en varus équin, en agissant sur
e l'attention du malade, diminue et supprime même la contracture du
pied
droit qui tombe ballant le long du tabouret éle
ade pût se 360 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. diriger à
pied
au campement qui était éloigné d'à peu près un ki
e dans la partie la plus inférieure de la jambe ou à l'extrémité du
pied
, aux orteils par exemple. La faradisation périphé
ents, passifs, en même temps qu'apparaît le clonus de la main ou du
pied
et l'exagération des mouvements réflexes. Le mo
gine probablement), par Veillon, 201 ; (Un cas d'hypertrophie des
pieds
et des mains avec troubles vaso-moteurs chez
; Emaciation dans l'anorexie ), 1, 33, 36, 3-1 ; Ilypertrophie des
pieds
et des mains avec troubles vaso-moteurs chez
côtés. On ne voit pas nettement de région nettement dégénérée dans le
pied
du pédoncule cérébral gauche, mais on a l'impre
cause de la dégénérescence se- condaire ancienne constatée dans le
pied
du pédoncule cérébral. Les corps genouillés int
après le début de la dothiénentérie. A 52 ans, en 1893, il a eu les
pieds
et les jambes gelés et c'est cette gelure qu'il
e quelques-unes; à gauche existe une cicatrice d'excision. Rien aux
pieds
. Sur le tronc ces petites tumeurs sont extrêmem
cause dé- terminante de cette éruption subite fut cette gelure des
pieds
et des jambes. à laquelle le malade attribuait
sor- tant du bain on constate que ses jambes sont paralysées, « le
pied
et la jambe avaient grossi démesurément et étai
ur qu'ils soient heurtés ; en outre depuis quelque temps elle a les
pieds
et les mains glacés. La sensibilité cutanée e
omoteurs sont uniquement constitués par la cyanose des mains et des
pieds
, mais il existe de fréquentes poussées d'urticair
S... (hélix'), canonnier de 2e classe au 110 Bataillon d'Artillerie à
pied
, est envoyé il l'hôpital le 14 mars 1899 « en o
e-ci, un homme est ligotté de solide manière, par les bras, par les
pieds
, par les reins, et même par le cou : impossible d
une canne, et portant une aiguière en équilibre sur sa tête. Ses deux
pieds
disparaissent dans un pot muni d'un couvercle.
e tomber dans la rue. En même temps il commença à éprouver dans les
pieds
, les jambes et les cuisses des douleurs aiguës
ues. Signe de Romberg assez net. Impossibilité de se tenir sur le
pied
gauche seul. Abolition du réflexe rotulien des
te ni suppuration ni ulcération péri-unguéale. Les autres ongles du
pied
droit sont striés dans le sens de leur longueur,
striés dans le sens de leur longueur, mais bien conservés. Ceux du
pied
gauche sont normaux et ne sont jamais tombés. L
ormaux et ne sont jamais tombés. Le chatouillement de la plante des
pieds
est bien perçu. La sensibilité est relativement
urs. Les mus- cles des extrémités, les interosseux des mains et des
pieds
en particulier, pré- sentent même une véritable
gonflement indolore apparut brusquement dans le genou gauche et le
pied
du même côté. Ce gonflement disparut au pied au
le genou gauche et le pied du même côté. Ce gonflement disparut au
pied
au bout d'une quinzaine de jours ne laissant d'
e l'épine iliaque antéro-supérieure au bord externe de la plante du
pied
: M. I. D : 88 centimètres. M. I. G : 95 cent
ment indolore, encore plus accentuée dans le sens de l'extension du
pied
sur la jambe et donnant il celui-là le caractèr
tension du pied sur la jambe et donnant il celui-là le caractère du
pied
tabétique. Les réflexes rotuliens sont abolis.
nférieurs, douleurs fulgurantes et sensation de boue molle sous les
pieds
. Le long du bord cubital du bras gauche, sensa-
un oedème dur où le doigt s'enfonce avec difficulté. La jambe et le
pied
ont leur volume normal. La radiographie est ven
airs ; à plusieurs reprises, il a eu la sensation de coton sous les
pieds
. Tout cela ne l'a pas em- pêché de marcher très
atti- raient pas spontanément l'attention, un peu de tapis sous les
pieds
et, une seule fois, une légère ataxie. Nous s
ensation d'en- gourdissement et de froid au niveau de la main et du
pied
droit. Les nerfs et les masses musculaires ne s
phie musculaire avec paralysie Ilaccide portant sur les muscles des
pieds
et des mains, avec prédominance sur les ex- ten
tanées. Diminution prononcée de la sensibilité tactile au niveau du
pied
et de la jambe droite ; les sensibilité thermiq
6 ans. En mai 1893, chancre ; en août 1893, engourdissement dans le
pied
gauche, puis incertitude de la marche ; en octobr
lisée avec atrophie musculaire, pré- dominant sur les extenseurs du
pied
, avec participation légère des muscles ex- tern
s. Paraplégie flasque complète avec atrophie musculaire et chute du
pied
. Pas de troubles des sphincters. Pas de troubles
atrophie musculaire avec RD., hypoesthésie limitée aux mains et aux
pieds
. Mort en janvier 1896. L'examen histologique mont
n gauche, au genou et aux deux bras ; gommes des joues et du cou de
pied
gauche ; exostoses crâniennes. A la fin de l'an
mputer plusieurs segments des doigts et des orteils, mutilation des
pieds
et des mains. Les désordres progres- sent jusqu
ois après douleurs aiguës, avec gonflement du talon gauche, près du
pied
droit. Le malade présen- tait une véritable hyp
et de l'index ; amputa- tion de toutes les phalanges du médius. Au
pied
pas de mutilation, 'mais dif- formités à cause
roubles intellectuels. La mala- die a débuté par les extenseurs des
pieds
, a gagné les mains atteintes très légèrement et
e les fibres de l'oculo- moteur, l'autre occupe le quart interne du
pied
du pédoncule. Ces foyers s'étendent sur une hau
ste qu.'un petit foyer scléreux situé au niveau du quart interne du
pied
du pédoncule. Les noyaux des nerfs moteurs ocul
? Tubercule quadrijumcau. NR. Noyau rouge. - LN. Locus nigcr. - PP,
Pied
du pédoncule. - 1, Foyer scléreux. - II. III, F
duction, elle porte en avant la jambe paralysée, faisant décrire au
pied
un arc de cercle. Notre malade, au contraire, n
aucune ' sorte pour le détacher du sol ; pendant qu'elle marche, le
pied
balaye (sweeps) le sol. Cela, je pense, est car
avec le. double pas (1).Le premier se rapporte aux mouvements qu'un
pied
fait en se mettant devant l'autre pour marcher,
ouvements qui s'exécutent entre deux positions semblables d'un même
pied
. Les différentes phases du pas simple sont d'aprè
nstate une attitude anormale.En effet, au lieu de voir la pointe du
pied
postérieur reposer par terre et le talon relevé
pied postérieur reposer par terre et le talon relevé, ainsi que le
pied
de la jambe antérieure dans une position invers
ambe antérieure dans une position inverse, on constate que les deux
pieds
reposent à plat sur le sol (fig. II). Quant à l
cuisse et que la jambe postérieure est presque en extension. . Le
pied
paralysé garde d'une manière générale la môme att
de oscillante). 180 M. G. 1\L-\RINESCO respondant de la pointe du
pied
. Donc, pas de mouvements propres dans l'articul
ant les différentes phases de la marche. Dans le pas postérieur, le
pied
est horizontal sur le sol, il s'avance pé- nibl
ppui comparable à l'état normal parce que depuis le début, les deux
pieds
reposent à plat. La jambe malade est en extension
contraire, elle est même fléchie; ceci dépend du fait de ce que le
pied
, au lieu d'aborder la terre parle talon, se pos
ppui comparable à l'état normal parce que depuis le début, les deux
pieds
reposent à plat. La jambe portante malade est en
nous voyons dans l'hémiplégie organique, que dans cer- tains ca le
pied
affecte la forme de pied varus, dans d'autres cel
légie organique, que dans cer- tains ca le pied affecte la forme de
pied
varus, dans d'autres celle de pied en grille ou
ins ca le pied affecte la forme de pied varus, dans d'autres celle de
pied
en grille ou de pied bot équin. Uans l'hémiplég
la forme de pied varus, dans d'autres celle de pied en grille ou de
pied
bot équin. Uans l'hémiplégie hystérique l'articul
presque la même ouverture d'angle surtout le parcours du pas et le
pied
glisse sur le sol. J'ai employé à plusieurs rep
m'a sembtéctre ta ptus significative pour traduire la manière dont le
pied
est mis en mouvement pour se mettre en avant de
ition danses, festins, sarabandes, jeux de toutes sortes, courses à
pied
ou à che- va), cérémonies variées, etc. A gau
alade assis dans un, fauteuil tient un sabre sous le bras ; il a le
pied
déchaussé,et le. front ceint, d'un bandeau. A g
te. Il existe encore des dissemblances dans le costume du patient ;
pieds
chaussés dans le tableau du musée de St-Omer, nus
s supports pour chapeaux. Chacun de ces supports était composé d'un
pied
en bois d'où sortait une tige verticale en fer de
ffé- rences de 4 à 2 centimètres suivant les segments du membre. Le
pied
gauche paraît plus petit que le droit à cause d
de la traction opérée par le tendon d'A- chille, les orteils de ce
pied
sont un peu fléchis', les mouvements actifs moins
en arrière et au-dessus de la scissure de Sylvius, dans le haut du
pied
de la cinquième circonvolution à gauche. Sur la
ouvements de la jambe gauche sont bien revenus, elle saute à cloche
pied
et peut se tenir sur le pied malade, même les y
sont bien revenus, elle saute à cloche pied et peut se tenir sur le
pied
malade, même les yeux fermés. Les réflexes rotu
dans leur in- tégralité, la contracture a disparu de la jambe et du
pied
droits. Le membre su- périeur peut exécuter que
son allure particulière. Il traîne la jambe droite et la pointe du
pied
est tournée en dehors. De temps en temps, il fl
e. Du côté du membre inférieur, on constate une tendance marquée du
pied
à se tourner en dehors ou en dedans et des mouv
ur ranger des supports à chapeaux. Ces- supports consistaient en un
pied
en bois duquel sortait une tige de fer de plusieu
é, l'enfant marche avec difficulté, il traîne la jambe et avance le
pied
en fauchant. La paralysie du bras est plus grande
court après et l'arrête; un autre, étant à cheval est désarçonné, un
pied
reste pris dans l'étrier et le malheureux est t
ssance et, l'hémorra- gie n'étant pas très forte il put se rendre à
pied
à son domicile situé à 2 kilo- mètres de là. Il
n. Les réflexes sont très exagérés. La trépidation épileptoïde du
pied
et de la rotule s'obtient facilement et s'ac- c
par un mou- vement de torsion de la partie inférieure du corps. Le
pied
quitte cependant le sol et ne traîne pas. Il
du bassin. Les hémiplégiques hystériques traî- nent la jambe et le
pied
ne quitte pour ainsi dire pas le sol. 3° Enfin
arres. Le malade porte en outre une ulcération à la face dorsale du
pied
droit et un mal perforantplantaire avec anesthé
rsale du pied droit et un mal perforantplantaire avec anesthésie au
pied
gauche. Il a de l'exa- gération des réflexes ro
fois enfin la pince de homard peut s'observer,non aux mains, mais aux
pieds
, tel le fait curieux de Jayle et de Jarvis, Pre
rouvait , de vives douleurs fulgurantes à partir du genou jusqu'aux
pieds
. De plus elle ne sentait pas le besoin d'uriner
es masses musculaires ont subi une notable réduction de volume. Les
pieds
sont tombants, en exten- sion forcée,la face do
le lit, mais quand on déplace xm 17 258 SABRAZÈS ET FAUQUET ses
pieds
, les yeux étant fermés, elle ne peut dire exactem
n d'Achille (véritable pied-bot tendineux). A gauche, la flexion du
pied
sur la jambe est incomplète, gênée par des brides
vés ; la malade retire la jambe en bloc quand on pique la plante du
pied
. Appareil digestif. - L'état des maxillaires su
sensation de picotements et engour- dissements dans les plantes des
pieds
). En 1882, glissade non douloureuse sur la jamb
n dire, elles auraient apparu subitement, il lui semblait que « ses
pieds
voulaient fuir ». Il attribue l'apparition de ces
de courtes excursions, les jambes sont fléchies sur les genoux, les
pieds
ne se lèvent que péniblement et retombent lourdem
cent. 25. gauche : 33 cent. oxo. Du grandtrochanterà la plante du
pied
droit : 97 cent. 5. gauche : 97 cent. De la v
sculaire. En 1868, troubles de la sensibilité dans les mains et les
pieds
. Sensation d'en- gourdissement et de picotement
ncinantes dans les deux membres inférieurs. Abolition du phénomène du
pied
et du genou. Début d'une spondylolisthèse du co
penchée en avant, les jambes écartées, le regard fixé il terre. Les
pieds
joints, il accuse de l'incertitude et vacille : l
s peu hésitante, elle est effectuée il petits pas, en talonnant les
pieds
jetés en dehors ; elle est suffisamment assurée p
is il survient à quelques interval- les, dans les mains et dans les
pieds
,des sensations désagréables de picotements et d
effet, il fut pris de douleurs à type fulgurant, siégeant dans les
pieds
et les jambes, arrivant par crises. Ces douleur
ment. Le malade se plaint beaucoup de la raideur de ses jambes, ses
pieds
lui paraissent serrés comme avec une corde. I
dans les membres infé- rieurs : ce sont de la raideur dans les deux
pieds
, une lourdeur gênante dans la jambe droite, pui
ite, puis des douleurs véritablement fulgurantes dans les doigts du
pied
droit d'abord, puis du pied gauche. En même temps
ablement fulgurantes dans les doigts du pied droit d'abord, puis du
pied
gauche. En même temps, apparaissaient des troub
utes les articulations, en particulier dans celles des mains'et des
pieds
qui sont les unes et les autres un peu noueuses
d'un mal perforant plantaire, localisé au premier orteil de chaque
pied
. Il fut amputé une première fois à gauche il y a
e douleurs. Il n'existe pas de troubles trophiques apparents. Les
pieds
ne sont pas déformés. On y trouve les moignons d'
. les réflexes plantaires sont vifs. La station debout sur les deux
pieds
est possible, les yeux ouverts ou fermés. Le ma
même rapprocher les jambes et réunir les talons. La station sur le
pied
gauche, les yeux ouverts, est facilement obtenue.
uverts, est facilement obtenue. L'équilibre est im- possible sur le
pied
droit. Les yeux fermés, sur un pied comme sur l'a
uilibre est im- possible sur le pied droit. Les yeux fermés, sur un
pied
comme sur l'autre, le. malade vacille et menace
sustentation très élargie. La malade se déplace lentement : chaque
pied
est détaché du sol, longtemps après l'autre, ap
lsion). Position assise. - Le malade est assis sur un tabouret, les
pieds
sont en 344 J. DEJERINE ET A. THOMAS contact
antéro- postérieur. Il éprouve une certaine peine à rapprocher les
pieds
et les genoux ; mais ce qui lui est plus partic
ur de tomber. Nous lui demandons de soulever en même temps les deux
pieds
au-dessus du sol, mais comme il redoute une chu
ne peut passer de la position assise à la station debout, s'il a les
pieds
rapprochés, il tombe alors soit en arrière, soi
it en arrière, soit sur le côté : il peut au contraire se lever les
pieds
écartés, mais très difficilement, s'il n'a pas d'
s très difficilement, s'il n'a pas d'appui. ' Station debout. - Les
pieds
sont écartés, la base de sustentation très élar-
se déplace peu latéralement. Il peut cependant se tenir debout les
pieds
rapprochés, mais les oscillations sont plus nom
des membres inférieurs, les jambes ne sont nullement lancées. Les
pieds
et les bras sont écartés de l'axe longitudinal, c
s. Les pieds et les bras sont écartés de l'axe longitudinal, chaque
pied
est dé- taché du sol après plusieurs hésitation
mais assez brusquement et il retom- be de même sur le sol ; chaque
pied
ne se détache que lorsque l'autre est en- tière
le calculer d'avance tous ses mouvements : il avance rapidement son
pied
par peur de tomber au moment même où il ne repo
ent; il commence par dire qu'il ne peut pas; puis il essaie, chaque
pied
ne se déplace que de quelques centimètres en arri
es troubles de la marche. Il avance ordinairement sans regarder ses
pieds
: si pendant la marche, on place un écran au-de
an au-dessus de ses yeux, de façon à l'empêcher de voir le sol et ses
pieds
, il n'en résulte aucune modification de sa déma
lade a absolument besoin d'un appui, sinon à chaque déplacement des
pieds
, il risquerait de tomber à la renverse ou en av
équent, pas de signe de Babinski. Le chatouillement de la plante du
pied
détermine, comme chez l'individu normal, un mou
les talons est de 37 centi- mètres. Il marche à petits pas, chaque
pied
se détache brusquement du sol et retombe de mêm
séquence de cette dt3séquilihration. Pendant la station debout. les
pieds
sont écartés, la base de sustenta- tion élargie
s marchent avec précaution comme cher- chant leur équilibre, chaque
pied
n'est soulevé qu'après plusieurs.ési- tations,
chez les cérébelleux, la station debout ne peut avoir lieu que les
pieds
écartés, la base de sustentation est élargie; i
ise au fond de l'insula est atteinte, le trauma portait au droit du
pied
de la frontale ascendante. Foc. XV. La coucho o
e segment antérieur de la capsule interne et le faisceau interne du
pied
du pédoncule, puisque les fibres qui les constitu
lle Bichat, no 10. Sa haute stature attire immédiatement l'attention.
Pieds
nus, il mesure 2 m. 12. Il paraît avoir atteint
eils se fléchissent peu à la suite de chatouillement de la plante des
pieds
. Phénomène nouveau, la sensibilité est diminuée
nomène nouveau, la sensibilité est diminuée dans tous ses modes aux
pieds
et aux jambes jusqu'à une ligne circulaire passan
au contraire, sont ceux d'un infantile Lorain, minces, grêles. Les
pieds
sont plats et fétides. Cet enfant présente d'une
me intestinal des plus intenses. Elle a toujours froid, surtout aux
pieds
, même au lit. Se lève le matin, plus lasse et p
e. Le gros orteil est large et aplati. Dans la station assise, le
pied
se met il peu près dans le prolongement de la j
il peu près dans le prolongement de la jambe; le malade a bien le «
pied
tombant » (PI. LXIII). Les mensurations donnent
'aspect déjà décrit. C'est la « démarche de canard », la pointe des
pieds
est dirigée en dedans et racle le sol à chaque pa
u- rir, les jambes sont lancées follement à droite et à gauche, les
pieds
re- tombent incertains sur le sol, l'équilibre
Son accoutrement est piteux : sur la tète, un bonnet informe ; aux
pieds
, des savates qui ne demandent qu'à l'abandonner
quelle attitude noble et digne il se tient assis sur une chaise, un
pied
sur un tabouret, le poing droit majestueusement
d'une masse de globules granuleux saute aux yeux dans la région du
pied
du pédon- cule du côté gauche. On voit une asse
ssement. On ne voit qu'un petit nombre de fibres dégénérées dans le
pied
du pédoncule du côté droit. Par toute la coupe tr
te du corps ; après l'accès restait une rigidité dans la main et le
pied
droits. Le jour de la mort a eu lieu un nouvel ac
sséminées s'accumulent en grande quantité dans la région médiane du
pied
du pédoncule des deux côtés. Les fibres dégénér
tion très marquée des fibres dégénérées dans la région ma- trice du
pied
du pédoncule peut être envisagée comme la continu
. La malade signale d'elle- même une grande tendance à se tordre le
pied
gauche. Depuis qu'elle souffre de ces engourdis
us- quement au bout de ce temps. En 1880, chute sur la plante des
pieds
de la hauteur de quatre échelons : rupture du t
ère hypoes- thésie plantaire, un peu de sensation de tapis sous les
pieds
. Anesthésie pharyngée, testiculaire; un peu de
tient dans la position indiquée par la photographie. Du côté des
pieds
,existe une laxité ligamenteuse anormale qui perme
i monstrueuses du côté des genoux, d'arthropathisatioll latente des
pieds
(JÜrgens, Marie), qui,en outre, a présenté sous l
ais s'il veut marcher, il est obligé de regarder où il va mettre le
pied
. Il fait de petits pas, pose le pied à plat, to
é de regarder où il va mettre le pied. Il fait de petits pas, pose le
pied
à plat, toujours en fixant le sol et progresse
très faible des deux côtés. Pas de trépidation épileptoïde soit des
pieds
, soit des rotules Au. mois de juin 1889, treize
eau de charbon tombant dans le fond d'une mine d'une hauteur de 450
pieds
, et fut frappé à la tète. Il perdit aussitôt co
voir, au moment de la collision, une vitesse ap- proximative de 140
pieds
par seconde Lavage iodoforme, pansement. Le p
et pendant le trajet, on le porta la tête étant plus basse que les
pieds
! . D'après le médecin, c'est de ce moment que
d'abord le sol. La station sur la jambe gauche et sur la pointe du
pied
est impossible. Tous les mouvements propres au
rieur gauche seul sont impos- sibles La flexion des orteils et du
pied
. est des plus mauvaises, celle du genou est trè
t précipité d'une voiture et poursuivit le cheval pendant trois cents
pieds
pour l'arrêter. En saisissant l'animal, il épro
t d'une partie de chasse fut précipité de son cheval. Il se prit le
pied
dans l'étrier et dans sa chute, frappa le sol de
partie postérieure de la tête. Le cheval fut arrêté, il dégaga son
pied
et se déclarant un peu troublé 542 RENÉ martial
e d'habitude pendant treize jours, tantôt allant à cheval, tantôt à
pied
, mais plus fréquemment en voiture, il se rendait
un mot. Il se rendit à la maison et remarqua pendant ce temps que son
pied
droit n'était pas aussi vigoureux que le gauche
it notablement affaibli et le patient avait cessé de travailler. Le
pied
gauche se fatiguait aussi depuis l'apparition des
seul, mais il traîne fortement la jambe du côté droit, la pointe du
pied
droit regardant en dedans, par suite d'une contra
sensibilité à gauche ; à droite, la sensibilité est conservée. Au
pied
gauche, signe de Babinski. Température, 36° 8 ;
Ainsi immobilisé, le malheureux peut crisper les doigts, battre des
pieds
, et hurler à sa guise : il faudra bien que la m
ANNES ET BARNEFF de l'oeil; malformation des doigts, des mains, des
pieds
, anesthésie du trijumeau, paralysie faciale : L
o- nique, s'étant montré à l'âge de la puberté, occupant tantôt les
pieds
et les jambes, tantôt la totalité des membres i
pus examiner une de ses nièces, une fillette de trois ans dont les
pieds
étaient nettement oedématiés. Ce sont ces faits
ravité. A 10 ans, elle aurait eu pendant 5 à 6 mois de l'oedème des
pieds
et des chevilles, qui gardait l'em- preinte du
ment la pression avec le doigt laissait un godet sur la jambe et le
pied
et qu'on lui trouva aussi un peu d'oedème de la
phantiasis. Au-dessous, la boursouflure reprend et occupe le dos du
pied
dont la circonférence est de 24 centimètres et de
rencontre une dureté ligneuse et ne peut faire de go- det ; sur le
pied
, il laisse une dépression superficielle, mais on
nt moins pro- fonds, les doigts moins boudinés, la circonférence du
pied
d'à peine 23 centimè- tres. Mais la dureté lign
rqué, occupant la partie inférieure du mollet, et surtout le dos du
pied
; sillon assez net au ni- veau de l'articulatio
ent de l'a- némie assez marquée et se plaignait souvent d'avoir les
pieds
enflés le soir. A l'âge de 19 ans, elle eut une
enflés le soir. A l'âge de 19 ans, elle eut une scarlatine, et ses
pieds
furent très enflés pendant la convalescence. El
ccupe la partie in- férieure des jambes, les malléoles et le dos du
pied
. Aucune lésion viscérale. Pas de troubles de la
uis quelques semaines. En l'examinant, on trouve un oedème double des
pieds
. La plante est complètement effacée, et le dos
double des pieds. La plante est complètement effacée, et le dos du
pied
est considérablement tu- méfié, surtout à droit
rme qu'à l'âge de dix ans, elle eut assez longtemps de l'oedème des
pieds
et des chevilles qui gardait l'em- preinte des
re, la marche devint difficile ; l'enfant trébuchait et traînait le
pied
en marchant. A la fin de 1896, il cessa de pouv
lien est exagéré des deux côtés, trépidation épi- leptoïde des deux
pieds
, par redressement brusque du pied. Troubles tro
épidation épi- leptoïde des deux pieds, par redressement brusque du
pied
. Troubles trophiques. Atrophie légère des muscl
en toutes les parties du corps humain, depuis la teste, insques aux
pieds
. A Lyon, chez Pierre Ravaut, rue Mercière, à l'
les stylets, les élévateurs, les rugines, les pinces à racines, les
pieds
de biche, les becs de corbeau, les langues de c
llons entreprendre. Aujourd'hui, pour ne pas vous conduire de plein
pied
, et sans préparation,, dans le domaine que nous d
le latéral ; — V, sa corne sphé_ noïdale ; — P, P, capsule interne ou
pied
de l'expansion pédonculaire ; — L, L, noyau lenti
rance, vous voyez la face inférieure du pédoncule cérébral, dont le
pied
ou étage inférieur est issu, pour une bonne parti
nnement a été décrit par Reil, sous le nom de couronne rayonnante, le
pied
de la couronne rayonnante est le point d'émergenc
la cap-sule externe ou interne, les noyaux de la substance grise, le
pied
de la couronne rayonnante, etc., — vous parviendr
de cellules pyramidales peut être, jusqu'à un certain point, prise au
pied
de la lettre : leur configuration se rap-proche,
-longation, non pas de tout le pédoncule cérébral, mais seu-lement du
pied
ou crustra, étage inférieur. Le tegmentum ou étag
, étage inférieur. Le tegmentum ou étage supérieur, qui est séparé du
pied
par le locus ni-ger, entre en connexité surtout a
érait la capsule interne comme une émanation complète et immédiate du
pied
de la couronne rayonnante. C'est là une erreur qu
ker. Ces auteurs ont, en effet, démon-tré que des fibres provenant du
pied
s'arrêtent en chemin pour pénétrer dans les diver
e rayonnante el partant avec l'écorce grise, de l'autre côté, avec le
pied
du pédoncule. La réalité de l'existence de ces
A M, avant-mur. — CE, capsule externe. — G I, capsule interne. — P P,
pied
du pédoncule. — C A, corne d'Amman. — N I, insula
a capsule interne est com-posée surtout de fibres contenant celles du
pied
. — Toujours est-il — et nous aurons l'occasion de
p . 127, Il n'est pas question de fibres pédonculaires provenant du
pied
de la couronne rayonnante pour la couche optique,
nce innominée. [Figure d'après M. Meynert.) A ces faisceaux qui, du
pied
du pédoncule, se rendent aux noyaux gris centraux
rce grise les noyaux gris centraux ; 4° les faisceaux directs qui, du
pied
du pédoncule, se rendent à l'écorce grise sans s'
traux. On peut, dans la capsule interne elle-même et encore dans le
pied
de la couronne rayonnante, reconnaître ces divers
ue ; — L, noyau lenticulaire du corps strié ; — I, capsule interne ou
pied
de la cou-ronne rayonnante de Reil; — C, noyau ca
cule latéral; — V, sa corne sphé-noïdale ; — P, P, capsule interne ou
pied
de l'expansion pédonculaire ; — L, L, noyau lenti
es par en bas jusqu'à la protubérance, le long du pédoncule cérébral (
pied
, étage inférieur), dont elles occuperaient la par
es impressions sensitives venues du côté opposé du corps. Emanés du
pied
du pédoncule central, ces faisceaux, au sor-tir d
e très accentuée. On comprend qu'au contraire plus haut, au niveau du
pied
de la couronne rayonnante, une lésion de même éte
nesthésie bien ac-cusée, en rapport avec des lésions peu profondes du
pied
de la couronne rayonnante. 11 importerait maint
roisée, employé dans ces leçons, ne saurait être pris, absolument, au
pied
de la lettre, puisque l'obnubilation de la vue Po
ce d'une lé-sion de la partie postérieure de la capsule interne ou du
pied
de la couronne rayonnante, tandis que les faits e
nt où une lésion de la partie postérieure de la capsule interne ou du
pied
de la couronne rayonnante a, en même temps que l'
térieure de la capsule interne ou les irradiations correspondantes du
pied
de la couronne rayonnante. Du même coup, j'ai e
sue de la capsule interne, formerait la partie la plus postérieure du
pied
de la couronne rayonnante. Existe-t-il quelque
A M, avant-mur. — G E, capsule externe. -G I, capsule interne. — P P,
pied
du pédoncule. — CA, corne d'Ammon. — N I, insula
faisceau en question est situé entre le corps genouillé externe et le
pied
.du pédoncule. L'existence de ce faisceau, affirmé
— Gi, corps genouillé interne. — Ge, corps genouillé externe. — P,
pied
du pédoncule cérébral. Om, faisceaux médullaires
tubercules quadrijumeaux postérieurs, aux deux corps genouillés, au
pied
du pédoncule cérébral. qui tiendraient sous l
le à votre attention et qui répond à la partie la plus postérieure du
pied
de la cou-ronne rayonnante, pourrait donc être co
e, prin-cipalement sur la partie la plus inférieure, au voisinage, du
pied
du pédoncule cérébral, là où toutes les fibres so
au-dessous du foyer, peut être suivie, du côté correspondant, dans le
pied
du pédoncule, la protubérance, la pyramide antéri
lérose descendante, à condition qu'ils ne soient pas trop éloignés du
pied
de la couronne rayonnante. 3° Les lésions de la
fibres de la capsule interne dans son tiers moyen. En pareil cas, le
pied
du pé-doncule cérébral du côté gauche paraîtra pl
la lésion centrale elle se rapproche d'autant plus du bord interne du
pied
du pédoncule, que la lésion de la capsule est sit
fibres pédonculaires directes, c'est-à-dire qui, après leur issue du
pied
du pédoncule, traverseraient la capsule interne s
capsule interne. Dans ce cas, il y avait une atrophie très accusée du
pied
du pédoncule, de la protubérance et de la pyramid
rs en deux parties (1) : 1« l'étage inférieur qu'on appelle encore le
pied
(pes, crusta) ; 2° l'étage supérieur ou tegmentum
ire, de considérer attentivement l'étage inférieur des pédoncules, le
pied
des pédoncules. Chez Fig. 54. — Coupe horizonta
vous l'avez prévu, le faisceau pyra-midal peut être suivi au-delà du
pied
dans la profondeur de l'hémisphère. On peut tout
s que le sommet est du côté de la protubé-rance. Ainsi, la surface du
pied
du pédoncule se trouve en quelque sorte divisée e
sous la forme d'un espace quadrilatère occupant la partie moyenne du
pied
, s'étendant depuis la substance grise de Scemmeri
pond au côté le plus étroit du parallélogramme, jusqu'à la surface du
pied
, qui représente le côté le plus large. Les fibr
r la présence d'une bandelette grise qui occupe le segment interne du
pied
du pédoncule et n'intéresse pas le segment moyen.
orps. Ce fait mérite d'être rapproché de cet autre fait que dans le
pied
du pédoncule, — du moins d'après mes observations
ons postérieures de l'hémisphère. Les fibres de ce segment externe du
pied
remonteraient donc direc-tement dans le tiers pos
régions de la capsule sont représen- (l) Voy. p. m, fées dans le
pied
du pédoncule par les trois faisceaux dont il a ét
une coupe fron-tale passant d'un côté par l'extrémité postérieure du
pied
des trois circonvolutions frontales, et de l'autr
curseurs de la contracture secondaire. — Epilepsie spinale, clonus du
pied
. — Statistique. — Propagation de l'épilepsie spin
e spinale provoquée. Les auteurs allemands fappel-ent le phénomène du
pied
{Fussphœnomen), ou encore le clonus du pied. Ma
appel-ent le phénomène du pied {Fussphœnomen), ou encore le clonus du
pied
. Mais c'est là un signe qui appartient à la cli
nte, si, à l'aide de l'autre main, on relève brusquement la pointe du
pied
, immédiatement on provoque une série de secousses
rare que le phénomène correspondant connu sous le nom de phénomène du
pied
. Ces deux signes, comme nous le montrerons, app
epsie spinale provoquée, et en Allemagne, sous le nom de phénomène du
pied
, clo-nus du pied. Dans le domaine pathologique, c
voquée, et en Allemagne, sous le nom de phénomène du pied, clo-nus du
pied
. Dans le domaine pathologique, ce n'est pas, tant
cture a commencé à paraître. Chez une autre malade, le phénomène du
pied
n'est der venu appréciable qu'un mois après l'att
i jouissent encore de quel-ques mouvements, cette même trépidation du
pied
, qui, quel-quefois, s'étend à toutes les parties
, que, contrairement à ce qui a lieu pour la trépidation provoquée du
pied
, le phéno-mène du genou appartient à l'état norma
ure, il précède même assez géné-ralement l'apparition du phénomène du
pied
; et s'il arrive qu'il soit peu prononcé, sa prés
lhlatt f, d. Nervenkr., 1879. (2) Ibid., 1878. II. Le clonus du
pied
et celui de la main appartiennent, ainst qu'il no
nine qui met en évidence, dans les cas pathologiques, le phénomène du
pied
, accroît dans les mêmes circonstances, l'intensit
ans toutes ses parties ; on pou-vait le soulever tout d'une pièce, le
pied
avait pris l'attitude de l'équin varus, bref il s
s'est amendée, mais elle persiste à un haut degré, et le phénomène du
pied
ainsi que le réflexe rotulien sont très exagérés
ute sur le poignet, d'une pression un peu forte exercée sur le dos du
pied
, j'ai vu se développer chez certains sujets, pres
trophique des muscles qui, normalement, opèrent la flexion dorsale du
pied
. La tonicité musculaire, d'une façon incessante
rester élevé pendant plus de trente mi-nutes debout sur la pointe des
pieds
par la contraction des muscles jumeaux. Au contra
e, ainsi que je vous l'ai dit, qu'il soit rigide dans l'extension. Le
pied
prend alors l'attitude du varus équin. Toutes cho
cuse encore da-vantage ; les jambes s'étendent sur les cuisses et les
pieds
res-tent suspendus en l'air sans qu'il soit jamai
nvolontaire agite avant qu'il soit appuyé de nouveau sur le sol. » Le
pied
est pris de trépidation chaque fois qu'il est por
ambes ont de la tendance à rester ho- rizontales ; en tout cas, les
pieds
ne touchent pas à terre. Enfin le malade se dress
que sorte fixé au sol, il parvient, non sans efforts, à dé-tacher ses
pieds
et il commence à progresser. C'est ici qu'il Fi
au remarqua-blement fidèle, tracé par Ollivier (d'Angers). « Chaque
pied
, dit-il, se détache avec peine du sol, et dans l'
r le sol. » Dans ces mouvements de progression, tantôt la pointe du
pied
est abaissée et traîne plus ou moins sur la terre
détacher, tantôt elle est relevée brusquement, en même temps que le
pied
est rejeté en dehors. J'ai vu quelques ma-lades q
x béquilles ou de deux cannes, marche littéralement sur la pointe des
pieds
, par suite de la contraction exagérée des gastroc
tion, col-lés l'un à l'autre avec tant de force que les jambes et les
pieds
s'embarrassent en s'entrecroisant. Enfin, la flex
embarrassent en s'entrecroisant. Enfin, la flexion plantaire des deux
pieds
qui reposent sur les orteils détermine une inclir
'aperçoit, en effet, qu'ils ont une attitude assez particulière : les
pieds
sont étendus, les genoux sont collés l'un à l'aut
ambes, marchant péni-blement « comme si elle avait un boulet à chaque
pied
». Trois mois plus tard, s'est déclarée la paraly
suivi, la plupart du temps, d'une trépidation prolongée. Le signe du
pied
(trépidation provoquée par le redressement de la
ne du pied (trépidation provoquée par le redressement de la pointe du
pied
) existe aussi, à un très haut degré. Quant à la
rges et très profonds. • Des corps granuleux existaient aussi dans le
pied
du pédoncule,chez une femme autopsiée par M. Char
curseurs de la contracture secondaire. — Epilepsie spinale, clonus du
pied
. — Statistique. — Propagation de l'épilepsie spin
p-pement, 190. c (Capsule interne, 7, 8 ; — ses rap-ports avec le
pied
du pédoncule, 87 ; — sa constitutions 89 ; — ses
; — Scructure des —, 233. Claustum, 298. Clonus, (V. Phénomène du
pied
et Phénomène du genou.) Colline de Doyère, 387.
te, 367 ; — Interprétation de la —, 377. Parésie hystérique, 322.
Pied
du pédoncule, 5 ; — dans ses rapports avec la cap
phie des —, 336. Phénomène du genou, 310. — de la main, 205. — du
pied
, 304. (V. Trépidation spinale. ) Plaques jaun
ion de la jambe sur la cuisse, qu'elle relève bien la pointe de ses
pieds
et que ceux-ci ne sont pas ballants. D'ailleurs
H ET llÉIlÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 9 extension et un commencement de
pied
creux de Friedreich (le gros orteil cependant e
ue, la démarche cérébelleuse, le début d'une déformation typique du
pied
. L'idée d'une sclérose en plaques ne s'est pas
E GAUCHE, MÉTATIfAUIIIATIQUE. FORME CLINIQUE CURABLE. Fracture DU
PIED
DROIT. Quatorze MOIS PLUS tard, HÉMI-PA- RAPLÉG
lle a de la peine à marcher. Elle vacille un peu sur ses jambes, le
pied
se tord, se met de côté. En même temps elle a d
drôles de sensations. C'est comme si elle avait sous la plante des
pieds
des boules, des pelottes sur lesquelles elle roul
dans son fauteuil provoque des crampes qui mettent les jambes, les
pieds
, les orteils en extension forcée. Les pieds*son
mettent les jambes, les pieds, les orteils en extension forcée. Les
pieds
*sont tantôt trop froids ou trop chauds. Elle cher
ir corriger ces erreurs de sensations. Lorsqu'elle prend un bain de
pieds
chaud, la sensation est inégalement ressentie par
de pieds chaud, la sensation est inégalement ressentie par les deux
pieds
, de même pour le froid. La sensation thermique es
membre inférieur droit, depuis la ceinture du bassin à la plante du
pied
. Elles intéressent toutes les sensibilités géné
Le talon posé sur le lit, genou fléchi, glisse de suite inerte. Le
pied
abandonné à lui-même penche en varus équin. Il
osition des membres inférieurs. Assise, Mme X... ignore où sont ses
pieds
qu'on trouve comme perdus sur le sol, en attitu
qui va toujours s'accentuant. Le tact et le froid sont'ressentis au
pied
droit. Le chaud est ressenti par le pied gauche
le froid sont'ressentis au pied droit. Le chaud est ressenti par le
pied
gauche (Fig. 2). Les dysesthésies primitivement
paraissent Fig'. 2 (2" Période). - La sensation du chaud revient au
pied
gauche. La sensation du froid revient au pied d
n du chaud revient au pied gauche. La sensation du froid revient au
pied
droit. Ces sensations reviennent aussi plus tar
sez active; elle marche, se promène volontiers, bien que ses petits
pieds
paraissent mal proportionnés avec le volume du co
e chute violente qui produisit une frac- ture des deux malléoles du
pied
droit et une demi-luxation de l'astragale. La r
er que pendant cette période de temps les sensations des plantes de
pieds
étaient bien quelque peu amorties ou perverties
re cas, remarquable par son en- trecroisement médullaire (trauma du
pied
droit, plégie de la jambe gauche),ce- lui cité
place dans le cadre nosographique. Il est vrai qu'un traumatisme du
pied
est un fait trop banal pour être rendu seul res
u douloureuses asssi bien à gauche qu'à droite, du bassin jusqu'aux
pieds
. Le ventre est très ballonné, encombré. La face
gressif des sensibilités thermiques normales commençant : a)par les
pieds
; continuant : b) par la face postérieure, c) par
, tantôt en flexion, tantôt en extension. Il n'y a pas de clonus du
pied
, il n'y a pas la moindre raideur dans les mouveme
er en les appliquant sur le sol. 4° Assis, pour toucher un objet du
pied
, la jambe et la cuisse se détendent en deux tem
éro-postérieures, dans la station assise, les cuisses relevées, les
pieds
reposant par le talon sur le barreau de la chaise
bnle paracent1'al gauche et un foyer sous-cortical correspondant au
pied
de la 3° frontale droite. Mme L..., âgée de 67
portant : 4° Sur le cap de la circonvolution de Broca, 2° Sur le
pied
de la frontale ascendante, 3° Sur le pied de la
ion de Broca, 2° Sur le pied de la frontale ascendante, 3° Sur le
pied
de la pariétale ascendante, 4° Sur la partie mo
ure de la 3e frontale. Le foyer se trouve immédiatement en avant du
pied
de la 3° frontale. Il est placé sous F 3 et res
istance dans les muscles vertébraux cor- respondant au côté dont le
pied
se détache du sol, s'élève et reste suspendu ;
aussi, mais beaucoup moins, les muscles du côté correspon- dant au
pied
immobile. Ces deux efforts se succèdent immédiate
Le second agit pour modérer l'impulsion communiquée au tronc par le
pied
qui se trouve en arrière et prévenir la chute d
e de gymnase, pendant qu'il inscrivait simultanément les foulées du
pied
et les oscillations du tronc. Cartel confirme l
ble appui dans le pas, au moment où le poids du corps se porte d'un
pied
sur l'autre, que se produit cette contraction d
ne la contraction croisée de la masse sacro-lombaire par rapport au
pied
portant dans la marche, celte remarque a moins d'
tivement dans la marche, et c'est toujours du côté correspondant au
pied
sur lequel se décharge et s'appuie le poids du
liée à la progression, mais se rattache à l'oscillation du corps d'un
pied
sur l'autre. Elle a lieu en effet sous la mêm
me, aussi bien dans l'oscillation sur place, dans la station sur un
pied
, que dans la marche. Il n'est même pas nécessai
ur un pied, que dans la marche. Il n'est même pas nécessaire que le
pied
se dé- tache du sol, dans cette oscillation sur
e ; il suffit que le poids du corps se porte alterna- livement d'un
pied
sur l'autre. Dans ces conditions, on voit la co
e en avant ; et elle se produit là aussi toujours du côlé opposé au
pied
qui supporte le poids du corps (fig. 7). C'est
r dans la marche. Quand tout le poids du corps se porle sur un seul
pied
, la verticale passant par le centre de gravité
lle n'est autre chose qu'une série d'oscillations alternatives d'un
pied
sur l'autre, à cela près que ces oscil- lations
sant par le centre de gravité du corps se rapproche à chaque pas du
pied
portant (tout en restant généralement un peu en d
faut que la ligne du centre de gravité ne tombe point en dehors du
pied
portant ; et pour cela, il faut que la colonne
on dirait d'un véritable réflexe croisé, provoqué par le contact du
pied
opposé avec le sol. Et de fait ne peut-on admettr
isant à la façon d'un réflexe qui serait provoqué par le contact du
pied
opposé avec le sol. Elle dure tout le temps de
non à la progression, mais à la translation du poids du corps d'un
pied
sur l'autre ; elle se produit sous la même form
la verticale passant par le centre de gravité du corps en dehors du
pied
portant sur le sol. 6° La contraction unilatéra
la le visiter : « Je trouvai, dit-il, le pauvre cuisinier, à quatre
pieds
, cheminant comme une bête, la langue hors de la b
nt déchausser, en constatant qu'il porte des chaussettes et que ses
pieds
sont propres. Plutôt que dé découvrir sa qualit
nez crochu, le col long, les yeux étincelants, une queue aiguë, des
pieds
fort agiles. Il remplit la chambre de fumée. Les
Sur ce tableau un des rois, agenouillé prend dans sa main droite le
pied
gauche de l'enfant, dont le gros orteil s'étend
ement, la jambe droite demi-fléchie et la gauche à demi étendue. Le
pied
droit est immobile. Le pied gauche, fléchi sur
fléchie et la gauche à demi étendue. Le pied droit est immobile. Le
pied
gauche, fléchi sur la jambe, est touché par la ma
t normalement chez les nouveau-nés par l'excitation de la plante du
pied
et qui, au contraire, n'est consécutif à la même
u musée du Prado à Madrid, doivent être étudiés. Dans les deux, les
pieds
de l'enfant sont pareils ; le gros orteil gauche
-pied gauche de l'enfant touche la joue droite de l'adorateur et le
pied
droit est effleuré au talon par la main droite ét
Charles-Quint, le visage de l'adora- teur ne touche plus du tout le
pied
gauche de l'enfant et sa main droite, au bien d
eurer le talon, met le pouce sur la face dorsale du bord externe du
pied
droit. L'extension du gros orteil gauche dans l
-Jean s'explique physiologiquement par l'excitation de la plante du
pied
par la joue de l'adorateur. L'absence de cette
ros orteil accompagnée d'une abduc- tion des autres orteils du même
pied
. Mais là, le mouvement général de l'Enfant indi
fort pour prendre une cassette que lui offre un des adorateurs. Ses
pieds
ne subissent aucun contact. Les mouvements des
ion des autres or- L'EXTENSION DES ORTEILS DANS L'ART H9 teils du
pied
gauche touché par la barbe, les lèvres et la main
fices), on distingue encore très bien l'extension du gros orteil du
pied
touché par la bouche de l'adorateur. Enfin, dans
e de l'autre (1). Dans l'une, petit dessin à l'aqua- relle (2), les
pieds
de l'enfant. qui repose sur les genoux de sa mère
uvre dramatique des Offices (3) que nous reproduisons (fig. II), le
pied
droit de l'enfant, que baise à la plante, avec
ermet plusieurs remarques. Dans les Adorations des Mages, quand les
pieds
sont nus [ils sont entourés de langes dans Giot
du Prado)], les orteils sont fléchis, droits ou étendus. Quand les
pieds
ne sont pas touchés, les orteils sont presque tou
la Bibliothèque nationale). Et cela répond à la réalité. Quand les
pieds
sont touchés, quelquefois les orteils sont immo
ndajo de l'Os- peedale degli innocenti de Florence, où l'on voit le
pied
droit de l'enfant, touché par la main et les lè
otticelli (Musée des offices, salle de l'Angelico), où l'on voit le
pied
de l'enfant, sans mouvement des orteils, reposa
da Pratovecchio, où le gros orteil droit est étendu de même que le
pied
et la jambe de l'enfant (3), la Vierge adorant l'
double extension des gros orteils avec flexion des autres des deux
pieds
de l'enfant touchés par l'avant-bras d'un ange,
d'un ange, la Vierge allaitant l'Enfant, fusain de Durer (5), où le
pied
gauche de l'enfant s'appuie sur l'avant-bras de
utres, la Sainta Familla dell'impanata, de Raphaël (6) enfin, où le
pied
gauche de Jésus, soutenu dans la paume de la Vier
qu'un cas particulier de la mimique si ex- pressive et si riche des
pieds
chez les enfants. Cette note ne peut même pas s
ifficile à mettre en lumière, semble cependant être en extension.Le
pied
est normal,sans déformation aucune ; il n'y a pas
ible, et la station debout très com- promise. Pas de déformation du
pied
. Pas d'atrophie musculaire. La. force segmen- t
, présentait avant sa mort un léger degré de pied-bot varus, et les
pieds
d'Amélie Haud..., sa soeur, étaient en extensio
ta en extension jusqu'à la fin de sa vie ; il y avait, du reste, un
pied
creux de Friedreich typique. Au cours des exame
normale.Marche peu sûre, spastique.K...a de la peine à détacher les
pieds
du sol. En même temps ataxie, mouvements exagé-
ents exagé- rés, Romberg. Réflexes patellaires très vifs, clonus du
pied
. Ecriture grosse, ataxique. La parole est absol
s empêchait l'écartement des jambes ; elles restaient étendues, les
pieds
en equino-varus lorsqu'on asseyait le malade su
xagé- rés à droite et on provoque même très facilement le clonus du
pied
et le signe des orteils de ce côté, . NOUVELL
re. Les cellules du locus niger sont un peu décolorées à gauche. Le
pied
du pédoncule gauche ne présente pas de zones nett
y a du côté gauche quelques fibres plus minces et plus pâles et le
pied
du pédoncule gauche est un peu réduit de volume.
- laire, qui eût lésé les deux oculo-moteurs en comprimant aussi le
pied
du pédoncule gauche. L'anatomie pathologique
a la persistance de quelques fibres radiculaires qui passant par le
pied
du pé- doncule, se portaient dans le tronc du n
ogressives, déformation hypertrophique de la tête, des mains et des
pieds
; / te<Ms ? 7Mtjoa- résie droite, paraplégie
ns le sens de leur longueur. Membres inférieurs. Les orteils et les
pieds
sont volumineux. Les autres segments ne paraiss
s son aspect normal ; une autre fois le même phénomène se montre au
pied
, ou bien encore au thorax, ou bien la tuméfacti
'2fi heures l'oedème avait disparu de la main, et il était'évident au
pied
gauche et aux deux paupières. Douze heures aprè
s heures, apparaissant sans raison tantôt aux paupières, tantôt aux
pieds
, tantôt à une main, sans aucun désordre de la s
caire sur la peau du tronc, et avec des oedèmes de Quinke au dos des
pieds
, des paupières, des joues et parfois avec des c
erçut que quelquefois le matin il ne pouvait mettre sa chaussure au
pied
droit, car le pied était tuméfié. Vers midi le
is le matin il ne pouvait mettre sa chaussure au pied droit, car le
pied
était tuméfié. Vers midi le pied avait le volume
sa chaussure au pied droit, car le pied était tuméfié. Vers midi le
pied
avait le volume normal. Parfois c'était la jamb
viron. Depuis cinq ou six mois le malade a reconnu que la jambe et le
pied
n'ont plus repris leur volume normal. Cela ne l
ille la tuméfac- tion présente une diminution de volume brusque. Le
pied
est au contraire tuméfié. Les doigts potelés, e
contraire tuméfié. Les doigts potelés, en saucisson. C'est un vrai
pied
succulent. La cou- leur de la portion tuméfiée
ander la jambe avec une bande de flanelle, laquelle de la pointe du
pied
lui montait jusqu'à la moi- tié de la cuisse.
rampes, des soubresauts douloureux dans les muscles de la jambe et du
pied
, rarement dans ceux de la cuisse. Le réflexe pa
oit, le côté de l'inclinaison du tronc. Dans les deux cas, les deux
pieds
reposent sur le sol, les genoux n'ont pas plié,
très exagérés, clonus des rotules, trépidation épileptoïde des deux
pieds
. Réflexes plantaires en flexion. Athérome des
au niveau du sacrum et occupèrent également la face dorsale des deux
pieds
. Il devint cachectique et succomba le 9 avril 1
ouvait-il permettre un diagnostic exact : l'aspect de la main et du
pied
du côté paralysé donnent l'impression d'une hém
la main et des doigts en flexion, l'attitude en extension forcée du
pied
, du côté droit, ont été notées dès le début, et,
lan du lit. Elle ne peut imprimer aucun mouvement à sa jambe, à son
pied
, il ses orteils. Cela tient en partie à la cont
ure très prononcée. La jambe est dans l'extension sur la cuisse, le
pied
dans l'extension forcée forme un pied-bot varus
le pied dans l'extension forcée forme un pied-bot varus équin avec
pied
creux très caractéristique. Les orteils sont fl
eux très caractéristique. Les orteils sont fléchis sur la plante du
pied
, l'exception du gros orteil qui est plutôt en e
a cicatrice de son ancienne fracture. La contracture au niveau du
pied
est telle que l'on ne peut corriger l'atti- tud
nentes ; il en résulte une attitude par- ticulière de la main et du
pied
comparables à celles que l'on remarque dans l'h
; nous dirons seu- lement que par son équinisme varus excessif avec
pied
creux, le pied de notre malade rappelle beaucou
eu- lement que par son équinisme varus excessif avec pied creux, le
pied
de notre malade rappelle beaucoup une ancienne
et s'effectue avec une sorte de mouvement de roulis du bassin, les
pieds
étant très peu soulevés au-dessus de terre. Si,
nférieur gauche en le prenant au niveau du jarret et amène ainsi le
pied
sur la chaise. Puis saisissant la corde de son
ssées d'urticaire avec l'éruption d'oedème de Quinke aux mains, aux
pieds
, aux paupières. Cassirer (13) a vu dans la cliniq
aire; mais on peut l'observer isolé, et dans le mem- bre inférieur (
pied
succulent de Crocq) lorsque change le siège de la
e caractère fait défaut. Dans le membre inférieur par exemple, « le
pied
tuméfié est directement uni au cylindre de la jam
indrissement de la circonférence correspondante à l'articulation du
pied
fait défaut, autant que le membre semble vraiment
lation du pied fait défaut, autant que le membre semble vraiment un
pied
d'élé- phant » (Lesser). Nous reviendrons sur
prend aussi que l'éléphantiasis peut, dans certaines circonstances (
pied
, main), simuler un caractère métamérique. Eléph
dans les régions inférieures de la' moelle nous pouvons observer le
pied
succu- lent (Crocq) et l'épanchement aigu ou ch
és, formant une courbe à convexité antéro-externe. Lorsque les deux
pieds
sont rapprochés, les extrémités internes des plat
e a dis- paru, remplacée par une surface mousse. Les mains et les
pieds
sont normaux. L'examen des viscères nous montre
le malade affirme n'avoir jamais eu de fracture. Le squelette du
pied
n'offre rien d'anormal : les orteils ne sont ni a
valgum (3 cas de P. Marie et Sainton, cas inédit de Couvelaire), des
pieds
plats (cas 4 de P. Marie et Sainton,cas de Carp
ur constituer une cavité unique. Il est impor- tant de noter que le
pied
de la tumeur est continué en avant par la substan
ire. On observe également des déviations plus ou moins marquées des
pieds
, déviations sur lesquelles les auteurs s'arrête
isemblable, s'il s'agissait vraiment d'une 'disposition vicieuse du
pied
ou simplement d'une action mécanique imprimée,
s ; démarche difficile à caractère ataxo- spasmodique : il lève les
pieds
très haut et frappe le sol. Les réflexes tendin
rieur. 11 août 1903. Démarche à petits pas, les jambes écartées, le
pied
droit 406 BALLET ET ROSE est en varus équin e
ysie faciale inférieure gauche. Démarche pachydermique. Clonus du
pied
. Le malade ne suit pas avec ses yeux le doigt ;
le moment. Les jambes à moitié fléchies ne touchent pas le sol, les
pieds
sont en varus équin. Impression de raideur gé
s la résistance auxmouvements passifs. Seule la flexion dorsale des
pieds
est défectueuse. Tout mouvement un peu fort pro
cussion du tendon provoque du tremblement et du tétanos. Clonus du
pied
. , Réflexe de Babinski à gauche seulement; il e
inski à gauche seulement; il est intermittent. Réflexe adducteur du
pied
des deux côtés. Réflexe abdominal vif. Réflex
ts paralytiques, si ce n'est au niveau des muscles exten- seurs des
pieds
. Cette paralysie toute localisée a été signalée d
om- mencé à l'âge de 14 ans, brusquement, par des douleurs dans les
pieds
, les jambes, les genoux et les épaules. Les dou
manifester à la face palmaire des mains et à la face plantaire des
pieds
, mais surtout aux pulpes des doigts et des orte
s, il ne pouvait plus étendre les doigts, nous dit-il ; de même aux
pieds
, il pouvait plier les orteils mais pas les DEUX
. Les orteils sont fléchis en bas, surtout le gros. Les muscles des
pieds
sont atrophiés, leur atro- phie produit des fos
tance musculaire aux membres inférieurs est abolie, ou presque, aux
pieds
et aux genoux ; à peine les fléchisseurs opposent
avantage le réflexe plantaire, mais il se produit une rétraction du
pied
et même du membre tout entier, un véritable mou
ous prome- nons la pointe de l'aiguille sur la peau de la plante du
pied
. Les réflexes cutanés, anal, crémastérien et ab
ns la position d'un quadrupède, c'est-à-dire qu'il s'appuie sur les
pieds
et les mains à la fois, sans réussir d'ailleurs
leurs étant encore plus fortes aux épaules. Il prétend même que les
pieds
, les jambes et les épaules étaient enflés. Une
ifs dans l'articulation tibio-tarsienne, dans les articulations des
pieds
et des orteils sont abolis. Tous les mouvemen
lus, par suite de l'atrophie musculaire. Si on excite la plante des
pieds
, on voit seulement un mouvement de flexion de l
dants et longs. La face palmaire des mains et la face plantaire des
pieds
ont une peau, blanche-rosée, parcheminée et tou
jumeaux, fléchisseurs communs des orteils, muscles de la plante des
pieds
, contractions nulles. Nerf sciatique, tibial, c
duelle des observations. Cas. I. Contracture hystéro-traumatigue du
pied
en talus valgus. Jeanne V ? 13 ans 1/2, blanchi
ouf- frir pendant la marche, à ne pas pouvoir, dit-elle, appuyer le
pied
par terre avec régularité. En entrant dans la
En entrant dans la salle de consultation, elle marche avec peine, le
pied
gauche fléchi, n'appuyant que sur le talon, aya
camotant le pas sur ce membre. Sur l'enfant couchée, nous voyons un
pied
plat, légère- ment valgus, immobilisé à angle d
s « dans les os » et en effet au pre- mier abord la pression sur le
pied
paraît mal supportée. Mais un examen un peu cir
miné. A un moment donné, par exemple, ce fut sur le bord externe du
pied
, à un autre sur le bas du tibia, et cette fois, d
r, sans souffrir, en appuyant bien à plat sur le sol la plante d'un
pied
redevenu souple. Exeat, le 30 septembre. Le
ET HERBINET Mais sitôt que, la patiente assise, nous pûmes voir le
pied
de près, le palper, cette impression changea, c
ence malade, il ce point qu'une contracture intense immobilisait le
pied
en talus-valgus très accentué. Etait-ce donc l'ha
et telle qu'on la rencontre, parfois, déterminée par l'entorse d'un
pied
plat jusqu'alors toléré ? L'idée nous traversa
use hystérique occasionnée par une entorse externe, avec torsion du
pied
en dedans, d'où une contracture en talus-valgus,
ieure normale à part cela, n'appuye sur le sol que par la pointe du
pied
. Au-dessus de la courbure lombaire se dessine, ma
ion continue avec 2 kilogrammes à la tète et 2 kilogrammes à chaque
pied
. Il fallut quelques jours, pendant lesquels nous
uelques autres d'anesthésie complète, en particulier à la plante du
pied
droit; par contre, quelques régions où la simpl
roite ou à gauche. De même était variable la manière de traîner les
pieds
, ou de les lancer tantôt de côté, tantôt normal
ons vu que la région lombaire était souple ; quand on soulevait les
pieds
, jambes demi-fléchies, les reins se creusaient.
bras, que pour la jambe et l'avant-bras, et n'intéresse que peu le
pied
et la main. La cuisse et le bras; normalement plu
ment écartée avec concavité interne ou postéro-interne du fémur, le
pied
se met volontiers dans l'extension avec rotatio
moins touchés que les autres segments des membres, les mains et les
pieds
sont épais et doivent un aspect ramassé à la briè
Lepage. .Mère et enfant achondropl. (Soc. d'Obslétl ? de Gyn. et de
Pied
., 1904). Lequeux. Un foetus achondroplasique (S
ec dégén. polykystique des viscères (Soc. d'Ubslétr., de Gyn. et de
Pied
., 1901). Porak et DURANTE Sur un cas d'ostéogén
. ' Au membre inférieur nous trouvons les dimensions suivantes : Le
pied
droit du calcanéum au gros orteil = 16 cent. 8.
à la malléole externe = 30 cent. 5. La longueur du bord interne du
pied
du milieu de la face postérieure du calcanéum jus
e saillie sous la peau à quelques centimètres de la face dorsale du
pied
. Le péroné, plus volumineux qu'à l'état normal,
ue la malléole ex- terne vient se trouver au niveau de la plante du
pied
. La diaphyse présente une courbure très accusée
x- trémité inférieure du fémur se trouve presqu'au niveau du dos du
pied
. En résumé, nous pouvons faire une liste des al
ndactylie. Pour nous, le fait de la fréquence de la polydactylie du
pied
coexistant avec la difformité congénitale du ti
externe du calcanéum et elle est arrivée au niveau de la plante du
pied
. Puisque l'extrémité supérieure était fixée par
u fémur luxée en avant et sous la peau, presque au niveau du dos du
pied
; la jambe constituée par un péroné infléchi, pro-
it l'espèce de nanisme du sujet. Nous comprenons à présent que le
pied
développé dans ces conditions qui sont très dif
ITE CONGÉNITALE DES MEMBRES H79 dre le mécanisme des altérations du
pied
. La masse des cellules indiffé- rentes qui form
xterne gauche. Tous les réflexes tendineux sont exagérés. Clonus du
pied
à gauche. Réflexe de Babinski en extension de d
scandée, diplopie, exagération des réflexes tendi- neux, clonus du
pied
, extension des orteils, incontinence des urines e
a nigra de Soemmering à droite, dans son tiers moyen à gau- che. Le
pied
du pédoncule est absolument intact. Sur une coupe
ts soumis à mon examen, j'ai fréquemment constaté une déviation des
pieds
en dedans. Mais, constam- ment, il m'a semblé q
re, aussi bien que la contraction dont elle résulte. Au surplus, le
pied
est soumis à des actions musculaires antagonist
d'a- près la très grande majorité des observations, la déviation du
pied
se fait en dedans. Il semblerait que l'action d
uit pour déborder légère- ment à la face externe du cou-de-pied. Le
pied
gauche paraît normal et pour- tant la radiograp
du tibia et l'hypertrophie de l'extrémité supérieure du péroné. Le
pied
droit paraît normal. Pourtant, sur la radiograp
r gauche, 3 sur le pé- roné droit, 6 sur le péroné gauche, 5 sur le
pied
droit, 8 sur le pied gauche. En groupant ces
- roné droit, 6 sur le péroné gauche, 5 sur le pied droit, 8 sur le
pied
gauche. En groupant ces exostoses par régions
a- ternel, ils grandissaient normalement. Ensuite, les mains et les
pieds
crois- saient sans proportion avec les autres p
sonnages perdent même parfois la figure humaine ; prenant plusieurs
pieds
et plusieurs têtes, ils deviennent des monstres p
ié; ça et là voltigent des oiseaux gigantesques à tête humaine. Aux
pieds
du vieillard un cadavre est étendu en travers d
'escrime des poings dans le vide contre un ennemi inexistant. A ses
pieds
, à droite, un roi hébété et sans sujets couronn
es à jouer, tient son sceptre ridicule et se cramponne à son propre
pied
gauche ce qui le fait chanceler. Plus à droite en
ie bouffon couronné de plumes et la palme au poing. On lui embrasse
pieds
et mains. Il est suivi d'une ombre encapuchonné
Il est suivi d'une ombre encapuchonnée dévôtement inclinée ; à ses
pieds
un fou éclate de rire en le montrant tandis qu'
léchirent pas sous lui, il put rester de- bout, mais pour rentrer à
pied
a la caserne il lui fallut l'aide de deux camarad
rable dans la marche. Il peut l'aire d'assez lon- gues promenades à
pied
mais les jambes sont lourdes et il ne peut courir
stance musculaire. La démarche offre le caractère spasmodique : les
pieds
frottent sur le sol sur- tout par le bout, écar
ie des muscles. Réflexes rotuliens très exagérés : le relèvement du
pied
produit immédiate- ment de la trépidation spina
ènes peu douloureux consistant surtout en four- millements dans les
pieds
, dans les membres inférieurs avec sensations d'
faces planlaires ne sont pas bien appuyées à plat, que la pointe du
pied
doit s'incliner, il se produit spontanément des c
intient assise sur le bord du lit les jambes pendantes, on voit les
pieds
devenir violacés et se couvrir d'une sueur légère
ui-même note qu'il use ses chaussures il la pointe, et davantage du
pied
gauche. A cette époque, il aban- donne sou méti
articulations tibio-tarsiennes paraissent augmentées de volume. Le
pied
est tombant. MENSURATIONS. 14 NOUVELLE ICONOG
érieurs étaient encore parfaitement sains, car il put faire ainsi à
pied
, pendant deux ans, vingt-huit kilomètres par jour
sur le devant de la poitrine ; la jambe est raide et allongée ; le
pied
légèrement tourné en dedans, traîne pendant la ma
outes leurs forces. Par mesure de prudence, nous lui fimes lier les
pieds
et les mains avec de fortes courroies, mais il re
enfant se jeta sur un banc, frappant autour de lui des mains et des
pieds
. Si le médecin lui signi- fiait très énergiquem
uis l'âge de 48 ans la malade accuse la sensation de sable sous les
pieds
. Vers l'âge de 53 ans elle aurait eu de la dipl
e aurait eu de la diplopie passagère. A 57 ans (Février 1890), le
pied
gauche commence à grossir au niveau de l'articu
illements aux quatre extrémités. Sensation de sable à la plante des
pieds
, avec froid habituel. La sensibilité tactile est
froid habituel. La sensibilité tactile est partout normale, sauf au
pied
droit où existe une espèce de dysesthésie en bott
atre travers de doigt sur le bas de la jambe et occupe le tarse. Le
pied
est déjeté en dedans. La malléole externe défor
déformée et épaissie louche presque le bord externe de la plante du
pied
. L'extrémité inférieure du tibia est fracturée, f
ifs sont anormaux comme direc- tion et étendue. Dans la station, le
pied
se met en varus. Il n'y a ni rou- geur, ni chal
lité tactile est fortement émoussée, presque abolie à la plante des
pieds
. Il en est de même de la sensibilité à la douleur
ladie de Friedreich. Forme fruste. Déformations caractériliques des
pieds
. (Notes recueillies par M. Audeoud). Humbert
ille, sauf une soeur dont l'histoire est la suivante : Née avec des
pieds
normaux, elle marche à 16 mois et se porte bien
âge de 4 ans où elle con- tracte la rougeole. Vers cette époque, le
pied
droit commence à se défor- mer ; il se tasse da
un traitement or- thopédique pendant 3 mois. A l'âge de 13 ans, le
pied
devient équin; la malade ne pouvant plus marche
vient équin; la malade ne pouvant plus marcher que sur la pointe du
pied
, on fait la sec- tion du tendon d'Achille. Six
on d'Achille. Six semaines après, l'enfant peut mettre la plante du
pied
sur le sol. Elle n'a jamais eu de douleur ni d'
âgée de 18 ans, elle se porte bein, marche sans difficulté, mais le
pied
est resté raccourci, comme par le fait d'un arr
d'un arrêt de développement. La voûte plantaire est très accusée. Ce
pied
est tout à fait semblable à ceux de son frère d
ut à fait semblable à ceux de son frère dont l'observation suit. Le
pied
gauche est normal. Le réflexe patellaine est abol
e de 6 ans ses parents remarquent qu'il a de la peine à fléchir son
pied
droit, le talon reste élevé. Peu à peu le membr
este élevé. Peu à peu le membre inférieur droit maigrit. A 7 ans le
pied
gauche commence à présenter une déformation sem
sensibilités subjectives et objectives normales. Sueurs froides des
pieds
. Les extrémités supérieures n'ont pas la force
la force normale. L'enfant ne peut se suspendre par les mains. Les
pieds
présentent une déformation particu- lière plus
oûte plantaire est très accusée ; le tarse fait saillie sur le dos du
pied
. Les orteils sont difformes. A gauche les 2e, 3
ostic repose donc uniquement sur la déformation caractéristique des
pieds
, sur l'abolition du réflexe rotulien, sur le faci
ntelligence ; enfin sur l'existence d'une dé- formation analogue du
pied
droit de la soeur de notre malade. Nous n'avons
son âme. ' Au coin gauche du tableau, un autre diable tient par les
pieds
une âme condamnée et la plonge dans les feux de
ons spontanées des mains et des ulcères perforants de la plante des
pieds
. Antécédents héréditaires. B... n'a pas connu s
rfait état de santé; cependant l'anesthésie progresse et envahit le
pied
gauche. A l'âge de 41 ans, il vient habiter Bor-
ne douleur très légère et un engourdissement dans le gros orteil du
pied
droit. Toute l'extrémité, la pulpe, le voisinage
ention. 124 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. A 44 ans, le
pied
gauche est atteint. Sur le gros orteil, répétitio
e la tète du 50 métatarsien. Un soulèvement bulleux de la plante du
pied
gauche s'accompagne de la production d'un large u
ait normalement. L'affection est surtout localisée aux mains et aux
pieds
. Nous ferons d'a- bord un examen rapide des aut
utour des genoux, sur le tiers infé- rieurdesjambesainsi quesur les
pieds
, nombreuses cicatrices superficielles, générale
ement, for- mant un bloc épais d'un centimètre il son bord libre.
Pied
droit (fig. 7). Motitité normale. Quelques douleu
st tombé à plusieurs reprises, sans douleur. Sur le bord externe du
pied
et un peu en arrière de la 5e articula- tion mé
présente un ulcère long de trois centimètres suivant le grand axe du
pied
, large de deux centimètres, profond d'un centim
bésique. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYR1NGOVLYÉLIQUE 129
Pied
gauche (fig. 8). Les caractères de la peau et des
égion plantaire. Le stylet n'atteint pas d'os dénudé. La flexion du
pied
est douloureuse; pas de douleurs spontanées. Les
ésions. Pas de sudation exagérée sur les membres ; les mains et les
pieds
sont plutôt secs. Troubles sensitifs (fig. 9,
la moitié interne de l'aire de la cuisse. Toute la jambe et tout le
pied
sont Fig. J et 10. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUS
iction élastique des jambes ; fourmillements et picotements sur les
pieds
pendant la marche. Troubles du sens musculaire.
une nuit. Elles siégeaient sur- tout dans le genou, le mollet et le
pied
. Dans la hanche il ne sentait rien. 146 NOUVELL
re. Il n'éprouva que peu de douleur à ce moment ; il put regagner à
pied
le chemin de fer. Le gonflement de la cuisse et
'ouïe. Constipation légère avec rémission. Sensation de froid aux
pieds
depuis le début de la maladie dès 1885. Coeur :
'urine. Le jour suivant, il Veut se lever ; mais à peine a-t-il mis
pied
à terre qu'il sent ses jambes se dérober sous lui
e malade ressent des douleurs spontanées violentes qui, partant des
pieds
, remontent jusqu'au niveau de l'eschare coccygien
sur les cuisses. Quelques mouvements de flexion et d'extension des
pieds
seulement sont possibles. Les réflexes patellai-
lement des deux côtés la trépidation spinale par le redressement du
pied
sur la jambe. Les masses musculaires de la cuis
es excitations éner- giques provoquent des mouvements convulsifs du
pied
. Persistance de la réten- tion d'urine ; pas de
ils cherchent. Et c'est après des lieues et des lieues parcourues à
pied
, sous la pluie et le vent, par le froid, et dan
sque complète des deux membres inférieurs. Dès qu'on la met sur ses
pieds
, elle s'affaisse immédiatement. Au lit, elle exé-
s de son mari. Mais il existe toujours de la trépidation spinale du
pied
droit. Celle- ci est apparue également à gauche
jambe droite est visiblement gênée par la raideur, et la plante du
pied
frotte parfois le sol. Au repos, la tonicité de
inférieurs ; cependant elle paraît diminuée à droite. Au niveau du
pied
, du genou, on arrive il triompher des efforts de
ilement lorsqu'il veut marcher vite, mais sans frotter la pointe du
pied
sur le sol. Etant assis, il lui est impossible de
ec exagération des réflexes tendineux et trépidation épileptoïde du
pied
plus tard ; au bout de 3 mois, rigidité modérée d
ès forts des deux côtés. Par la percussion du ten- don rotulien, le
pied
est projeté très loin, mais sans brusquerie et av
e et avec une certaine lenteur. Par le redressement de la pointe du
pied
, on produit une tré- pidation épileptoïde très
t, dans le dos, dans la partie interne des cuisses, les jambes, les
pieds
, sans localisation plus précise. Les membres
malade. Le contact est perçu partout sauf dans la jambe et dans le
pied
gauches (fait qui n'existait pas lors du premie
wn-Séquard (anesthésie au contact, au chaud et au froid modéré sur le
pied
et la jambe gauche). Le sens musculaire est par
deur de la jambe droite. Le genou ne se fléchit pas et la pointe du
pied
frotte le sol à chaque pas. La jambe gauche est
souffre pas. 11 éprouve seulement quelques engourdissements dans le
pied
et dans lajambe (sur- tout à gauche). Objective
nt moins bien sentis à gau- che qu'à droite (sur la jambe et sur le
pied
). Le froid est perçu comme douleur et non comme
re diminution de la sensibilité il la piqûre sur la face dorsale du
pied
droit. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 355
ite. De ce côté, on peut produire, par le redresse- mont brusque du
pied
, une trépidation épileptoïde inépuisable; à gauch
objective se bornent à une paresthésie au froid sur la jambe et le
pied
du côté opposé (syndrome de Brown-Séquard ébauché
t gênée. Il traîne légèrement la jambe droite; parfois la plante du
pied
frotte sur le sol. En outre cette jambe est raide
e très accentué. Quand on commande au malade de se tenir debout les
pieds
au contact, il oscille et éprouve une grande di
idérablement exagérés des 2 côtés : la trépi- dation épileptoïde du
pied
est facile à produire à droite comme à gauche ; q
seulement de ressentir des fourmillements dans la jambe et dans le
pied
du côté droit. Ces fourmillements durent depuis l
eux. Paris; Ballière 1892. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 261
pieds
. Sa marche était mal assurée, il titubait. Réform
les jambes en marchant, fait d'assez grands pas, mais la pointe du
pied
frotte souvent contre le sol. La jambe gauche sur
on, les genoux collés l'un contre l'au- tre, traînant la pointe des
pieds
sur le sol. Il a de la peine à s'asseoir précisé-
ment réflexe, car l'extension complète du membre ne le permet pas. Le
pied
est à angle droit sur la jambe : on n'obtient p
usses du muscle triceps de la cuisse. La trépidation épileptoïde du
pied
est très facile il produire par le redressement
siste. Dans la nuit, il se livre au coït. Le 2 octobre. X.. va à
pied
à son institution et fait sa classe : Ù 10 heures
ition des réflexes rotuliens, on pouvait produire la trépidation du
pied
; plus tard le signe de Westphal fit place à une e
us que 4 francs en poche, il prend le parti de se rendre à Liège, à
pied
. Mille misères l'attendaient dans ce voyage (1)
es entrefaites, envoyé quelque argent, il se rend à Spa, toujours à
pied
, et de là à Yerviers où il entre encore à l'hôpit
ne. De Chutons, toujours souffrant et boitant, il se met en route à
pied
pour Pa- ris, marchant environ quatre heures pa
tait vraiment l'image poignante du complet dénû- ment. Il avait les
pieds
meurtris, et pendant plusieurs jours, il ne se se
manie des voyages, car il se propose aussitôt qu'il sera remis sur
pied
de partir pour le Brésil. Observation II (1).
urs qui ne cessent jamais passent du bras à la jambe, de la main au
pied
, pour reparaître a l'ancienne place et recommence
ors de fractures comminutives : C'était le triploïde dont les trois
pieds
appuyaient au-delà des fragments mobiles sur le
du membre inférieur droit après la contracture est la suivante : le
pied
est en flexion plantaire, le genou est fortemen
s les petits mus- cles ; les doigts de la main comme les orteils du
pied
présentent cet état avant la rigidité totale de
contractent les premiers. Ainsi, si l'excitation était faite sur le
pied
droit, c'est une flexion plantaire, qui survenait
disparaissent. Par exemple, si je fais des frictions sur la peau du
pied
quand les muscles sont contracturés, la dispariti
scles sont contracturés, la disparition commence à se manifester au
pied
par les mêmes mouvements de flexion et d'extensio
aussitôt le bras et la face, si le diapason est situé au-dessus du
pied
. 4. Si-nous mettons le diapason au-dessous du.
ué au-dessus du pied. 4. Si-nous mettons le diapason au-dessous du.
pied
pour déterminer une résolution d'une hémicontra
non pas avec la même intensité, parce que pendant que le bras et le
pied
droit sont dans une catalepsie tétanique, le br
et le pied droit sont dans une catalepsie tétanique, le bras et le
pied
gauche soûl seulement dans un étal d'hypertonio
e lever; si on l'oblige à marcher en la soutenant, elle déplace ses
pieds
avec beaucoup de lenteur, sans flexion des articu
s, rudes au toucher et se rident facilement; ceux des jambes et des
pieds
sont plus pâles et plus froids que dans les rég
oulement de salive, sueur visqueuse sur le visage. 30-31 OEdème des
pieds
; les tissus cutanés sont pâles. La quantité d'
ontient ni sucre ni albumine. Constipation. 2 avril. L'oedème des
pieds
disparait. La constipation persiste pen- dant t
accentuent encore. 3-7. Menstrues ; léger oedème de la plante des
pieds
. 1` ? -in. Herpès à la lèvre inférieure. 16.
, oedème de l'articulation tibio-tarsienne et de la plante des deux
pieds
, taches violacées des tissus de la peau dans la r
e sorte d'allure sautillante, le malade s'avançant sur la pointe du
pied
. De plus le haut du corps est rejeté en arrière
réflexes, XLII à XLVI. Danse macabre du Bar, XVI. Déformation des
pieds
dans la maladie de Friedreich, XII. Ilypel'tl
hilitique, coupes de la moelle, 4, 5, 15, 16, 17, 18, 19, 26, 27.
Pied
dans la lèpre nerveuse, 7, 8. Pseudo-lzypertrop
ire et articulaire est aboli à la main, à l'avant-bras, au bras, au
pied
, au genou; il est obnubilé seulement as la hanc
, en lambeaux. Revenu à lui, il a pu regagner son domicile, seul, à
pied
. Se sentant très fatigué, il s'est couché. C'étai
ant sur le sol, est animé au repos d'un tremblement régulier et son
pied
bat pour ainsi dire la mesure sur le parquet. Dan
use encore davantage; parfois il éprouve de la peine à détacher ses
pieds
du sol. Pas de signe de Romberg. La marche est po
juillet 1890, il rentre à la Pitié. La veille il s'était réveillé au
pied
de son lit, par terre, et avait été repris de s
laires. Pas de trépi- dation spinale ni de troubles trophiques. Les
pieds
sont en varus équin. Aux membres supérieurs, la
du côté gauche. Les membres infé- rieurs sont dans l'extension, les
pieds
en varus équin. Les réflexes sont normaux aux g
côté gauche. 10 juin. La malade remue volontairement les orteils du
pied
droit pendant la séance. 11 juin. -Elle remue d
t la séance. 11 juin. -Elle remue de la même manière les orteils du
pied
gauche. Le 12, on dit à la malade de lever les
se assez facilement, les jambes un peu écartées, traînant un peu le
pied
droit, comme dans l'hémiplégie hysté- rique. Le
e rotuliens sont exagérés, et, en relevant brusquement la pointe du
pied
, on détermine une trépidation intense et prolon
tenir debout. Ils ont une tendance générale il la rigidité, et les
pieds
sont en extension sur le cou-de-pied. Les réfle
cou-de-pied. Les réflexes du genoitsont exagérés; il y a du clonus du
pied
et de la rotule. Absence de réflexes plantaires
rs titres. Il y avait d'abord exagération des réflexes et clonus du
pied
, ce qui est, dit-il, un accompagnement rare de la
vertébrale; une contracture permanente des muscles fléchisseurs du
pied
, une trépidation qui se manifestait principalemen
et du goût est toujours complète. La contracture des extenseurs des
pieds
n'a pas diminué, les Liions ne louchent pas il te
'a pas diminué, les Liions ne louchent pas il terre : la plante des
pieds
reste anesthésiée, et, quand le malade la pose su
s avec trépidation des membres inférieurs en essayant de fléchir le
pied
, contrairement à ce qui s'observe, le plus sou-
vements étaient bien revenus, puisqu'il put faire deux kilomètres à
pied
pour prendre le che- min de fer ». Six mois apr
tremblement. Les mouvements passifs sont raides et résistants. Les
pieds
sont en varus équin. Exagération des réflexes r
a à se lever. Il marche les jambes écartées, poussant lentement ses
pieds
devant lui et s'accrochant aux barreaux des lits.
côté gauche de la région sacrée, principalement quand elle pose le
pied
droit. L'opinion, qu'on avait déjà émise, était q
le avait des engourdisserrents, qui descendaient de la ceinture aux
pieds
, et de là, remontaient à la gorge. Son mari dit q
La résistance à tous les mouvements de la cuisse, de la jambe et du
pied
est considérable des deux côtés. Mais on remarq
archant sur le rail d'un tramway il renversa en dedans la plante du
pied
et se fractura le péroné droit en tombant. Il res
-sept jours. Deux ans auparavant il avait eu le troisième orteil du
pied
droit écrasé par la chute d'un marbre. ' Lorsqu
TRIÈRE. pouvant se fermer. Les genoux se relèvent assez bien et les
pieds
se déta- chent du sol. Il marche, bien entendu,
Chloroforme. Son regard devient fixe, puis on voit peu à peu son
pied
droit se placer dans l'altitude d'une contracture
vait mal à la tête. Puis elle fait le geste de rejeter ses draps au
pied
du lit, allonge ses jambes, place ses mains le
d'essayer de faire la griffe avec les orteils. Il place d'abord son
pied
en varus équin en étendant la première pha- lan
examine un de ces sujets alors qu'il est assis sur une chaise, les
pieds
posés à plat sur le sol et les avant-bras repos
constances que voici : un matin, vers huit heures, il se rendait à
pied
au domicile d'un de ses clients, lorsque lout à
es. Le lendemain, toujours tremblant sur ses jambes, il se rendit à
pied
, mais soutenu par deux personnes, à l'hôpital L
l ne boite nullement en marchant, peut sauter à cloche-pied sur son
pied
gauche, etc. ' Les réflexes tendineux ne sont p
s une amplitude plus grande; le malade raidit la,jambe en posant le
pied
sur le sol. Il éteint par cet artifice les osci
uand il est assis, les jambes étant fléchies il angle droit, et les
pieds
reposant à plat sur le sol. Alors les talons se
s plutôt diminués qu'exagérés. Ainsi, si on redresse brusquement le
pied
, le tremblement cesse parfois un instant. Dès q
, quelquefois même ils sont affaiblis. Le redressement brusque du
pied
fait cesser le tremblement au lieu de le renfor
t très intense des deux membres inférieurs. Quand il est assis, les
pieds
reposant à plat sur le sol, les deux jambes trépi
marcher. Sa démarche est sautillante, mais non pas spasmodique. Les
pieds
ne frottent pas le sol; les réflexes rotuliens
tendon excite le tremblement; par contre le redressement brusque du
pied
l'influence fort peu et même parfois le supprime
III. Henriette R..., treize ans, est entrée il la clinique pour un
pied
bot hystérique guéri actuellement. Elle ne présen
née, sans aura; les four- millements, les engourdissements dans les
pieds
et les jambes, la fièvre, etc., plaideront plut
ans en 1858; sa mère est morte d'une paralysie qui commença par les
pieds
et dura sept à huit ans. Dans son jeune âge il
as. Les cuisses sont amaigries : excepté la goutte qui le tient aux
pieds
, il paraît qu'il marche bien. Réflexes patellai
; ni engourdissement dans les mains, ni douleurs en éclair dans les
pieds
; aucun signe d'ataxie locomotrice. 1. John Bris
ge, moins nombreux sur les jambes et sur les mains. Le front et les
pieds
auraient élé épargnés. Il n'y avait aucun oedèm
ent au boul d'une heure environ. Le soir venu, la malade retourna à
pied
à la Salpê- trière, mais au moment où elle alla
s rotuliens sont très brusques, très exagérés, mais le phénomène du
pied
fait complètement défaut. Il n'y a pas trace de c
s jours, et on était obligé de la soutenir, quand elle se rendait à
pied
de sa salle au laboratoire de la clinique.. Peu
irection devient transversale. La face antéro-externe, la jambe, le
pied
sont relativement peu touchés. Si on examine la
Les diverses parties du corps sont bien conformées, les mains et les
pieds
petits, la taille normale, le poids du corps in
ndons.active le tremblement et cependant le redressement brusque du
pied
, au lieu de provoquer une recrudescence des sec
eresthésie cutanée de tout le membre inférieur gauche, la plante du
pied
exceptée ; 3° une zone hystérogène correspondant
t. Par contre, quand le malade a sa jambe fléchie à angle droit, le
pied
reposant à plat sur le parquet et quand il est
sion du tendon développe la trépidation, le redressement brusque du
pied
égale- ment, mais ces manoeuvres ne sonl effica
orps décrivait un arc de cercle en avant, tandis que sa tête et ses
pieds
touchaient seuls le plan du lit. Cette attaque
r dans l'articulation tibio-tarsienne à chaque fois qu'elle pose le
pied
droit à terre; de là la boiterie. Mais elle se se
te jambe droite que sur la gauche. Elle peut se tenir debout sur le
pied
droit, sauter à cloche-pied, etc., aussi aisément
ur le pied droit, sauter à cloche-pied, etc., aussi aisément sur un
pied
que sur l'autre. De môme avec le membre supér
malade en a conscience et se plaint d'avoir constamment froid aux
pieds
et aux jambes. La perte des réflexes, l'absence
nes suivants : la jambe était entièrement fléchie sur la cuisse, le
pied
dans l'extension : un amaigrissement considérable
deux cuisses sur le bassin et des deux jambes sur les cuisses, les
pieds
étant en exten- sion. Section des tendons des m
ment pliées sur le bassin que les genoux touchaient le menton. Les
pieds
étaient dans l'extension. Cet état de douleur
peau quand on cherchait à pro- duire l'extension. Quant aux deux
pieds
ils étaient maintenus dans l'extension moyenne,
10 janvier 1891, la malade marche debout et droite, les plantes du
pied
reposent à plat sur le sol. Grâce aux massages, i
t abolis; mais les réflexes cutanés des extrémités de la plante des
pieds
sont exagérés; les réflexes du crémaster et des
rhumatismale. Tous les hivers les articu- lations des mains et des
pieds
, de même que les grandes jointures des membres
rmaux, sensibilité idem). Il y a des deux côtés un certain degré de
pied
plat. Les deux gros orteils présententdes craqu
entdes craquements articulaires, les autres quatre orteils des deux
pieds
sont considérablement atrophiés, les ongles ne so
ume de la main appliquée à la cuisse, les jambes rappro- chées, les
pieds
en équerre; cela fait, vous prendrez les mesures
e une tête; Diamètre bi-trochantérien, il tète 1/'2 ; Longueur du
pied
, 1 tôle 1/7. Voici maintenant les principales m
ntéro-supérieure) ; D'un grand trochanter à l'autre ; Longueur du
pied
. Comme je vous l'ai dit tout à l'heure, cet exa
, déviations et luxations congénitales) et les diverses variétés de
pied
bot congénital. En dehors de ces difformités, i
pposabilité, la ligne palmaire unique, la forme large et aplatie du
pied
, la saillie du talon, la direction exagérée du
ie du talon, la direction exagérée du pouce vers le bord interne du
pied
, les déformations des doigts liées à l'arthriti
inférieur droit. -Impotence presque complote; il détache à peine le
pied
du plan du sol. L'extension volontaire est diff
de flexion, mal à ceux d'extension. Les mouvements des orteils, du
pied
, de la hanche, sont également très restreints et
t exalté à droite, normal à gauche. A droite, la flexion dorsale du
pied
éveille peut-être trois ou quatre secousses, mais
ue toujours acco- lées l'une à l'autre dans toute leur étendue. Les
pieds
sont légèrement en valgus. Les orteils sont flé
e de la malade une allure toute spéciale. Quand elle progresse, les
pieds
sont ren- versés en dehors, les jambes légèreme
ux côtés la trépidation spinale par le redressement de la pointe du
pied
. La malade connaît bien cette trépidation; elle
à la suite d'une émotion ou quand elle veut changer de position. Les
pieds
ne sont pas dans l'attitude du pied bot. Les de
veut changer de position. Les pieds ne sont pas dans l'attitude du
pied
bot. Les deux membres inférieurs sont dans l'ad
nsi à la face, au front, sur le cuir chevelu; en bas à la jambe, au
pied
et. à la plante du pied gauche. L'application d
sur le cuir chevelu; en bas à la jambe, au pied et. à la plante du
pied
gauche. L'application d'un corps froid permet d
arche inclinée à droite avec l'aide d'une béquille; elle frotte des
pieds
sans se renverser en arrière à chaque pas comme d
and elle marche. Depuis quelques semaines, elle a la sensa- tion de
pieds
et de jambes en caoutchouc. Quand on lui fait fer
membres. Il est remarquable que le chatouillement de la plante des
pieds
ne produit pas de réflexe. Cependant la plante n'
la marche se fait régulièrement pour le membre inférieur droit; le
pied
gauche traîne sur le sol et ne peut être soulevé
tremble sensiblement, mais moins qu'auparavant. Le genou fixé et le
pied
redressé brusquement à plusieurs reprises, il s
venue chez M. Charcot; elle marche sans appui, mais en frottant le
pied
gauche contre le sol. On constate que sur les m
digestions sont faciles. 23 mai 1882. Encore de la trépidation du
pied
gauche, un peu moins à droite. Les réflexes rot
ssible. Les sphincters de la vessie et du rectum sont paralysés. Le
pied
droit a été frappé d'abord, le gauche une semai
une semaine après, puis la main gauche presque en même temps que le
pied
, et enfin plus tard la main droite pendant le v
gauche, on détermine facilement la trépi- dation en fléchissant le
pied
; on y arrive difficilement à droite. La sensibi
iens sont exagérés surtout à droite. Pas de trépidation spinale. Le
pied
a de la tendance à se mettre en pied-bot interne.
u plan du lit. La démarche est spasmodique; elle frotte du bout des
pieds
, mais peut encore marcher. Du côté de la sensib
nt surtout avec le côté gauche. Sensation très marquée de froid aux
pieds
, objective et subjective. Pas d'insensibilité pro
sions ; une fois, à la suite de ces convulsions, elle aurait eu les
pieds
tournés en dedans, et on aurait été obligé de lui
ivement l'un et l'autre talon et de ne reposer que sur la pointe du
pied
, elle ne tremble pas, elle ne tombe pas. Si on lu
à celle des spasmo- diques. Elle marche ainsi assez bien. Le saut à
pieds
joints, n'est pas pos- sible, pas plus que la m
voulu le faire lever, pensant qu'il allait mieux, mais aussitôt sur
pied
, il prend une crise de nerfs et we reste raide
uvent être obtenus : ils sont très exaltés et la flexion dorsale du
pied
provoque une trépidation épileptoïde prolongée
trépidation épileptoïde prolongée qui s'arrête dès qu'on fléchit'le
pied
dans la flexion plantaire. Absence de troubles
et de déformation thoracique. A vingt-cinq ans, accès épileptiques.
Pieds
bots. Contracture de la jambe gauche. Thorax apla
re. Voûte palatine ogivale. Pas d'hypertrophie des amygdales. Aux
pieds
existe une anomalie caractérisée par un retrait d
e diathèse de contracture. 2° Trépidation épileptoïde (Phénomène du
pied
). Ce phénomène existe, mais il est rare dans la
t depuis plus d'une année une contracture des muscles extenseurs du
pied
sur la jambe. La diathèse de contracture, lor
t souvent remar- quablement ralentie, les extrémités des mains, des
pieds
, du nez, des oreilles sont le siège d'un refroi
nes. En général, cet état asphyxique est limité aux extrémités; aux
pieds
il n'occupe que les orteils, aux mains il re- m
nce. Depuis plusieurs années, les extrémités de ses mains et de ses
pieds
et son nez ont pris une teinte violacée, et il
... ne présente aucune malformation notable, sauf des deux côtés un
pied
plat dévié, qui peut être en partie la conséquenc
u aucun paroxysme. Le 22 avril, le malade se plaint de souffrir des
pieds
. On constate que la teinte cyanique des orteils
ait noires à peu près symétriques des deux côtés. Sous la plante du
pied
droit, à peu près à l'union du tarse et du métata
eu près à l'union du tarse et du métatarse, vers le bord interne du
pied
, il existe une plaque noire de la largeur d'une p
ue une petite eschare superficielle. Sous le milieu de la piaule du
pied
, il a une large plaque noire, grande comme une
u. Peu à peu la recrudescence douloureuse de l'état asphyxique des
pieds
NOTE SUR L'ASPHYXIE LOCALE DES EXTRÉMITÉS. 357
8 mai quand il est sorti et la petite escarre du deuxième orteil du
pied
gauche n'était pas complètement guérie. Dans
par une légère dépression longitudinale. Mais, en soulevant par les
pieds
l'enfant étendu sur le ventre, on détermine, il l
ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 371 détacher ses
pieds
du sol : elle les traîne, surtout le droit, en fr
ppuyer sur le dossier d'une chaise qu'elle, pousse devant elle. Ses
pieds
sont appliqués au sol et frottent. Quand elle d
OGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Et aussitôt la malade se met à sauter à
pieds
joints et à remonter ainsi une vingtaine de mar
, l'amélioration est telle que la malade peut aisément détacher ses
pieds
du sol et monter un escalier, suivant le mécani
canne, jetant ses jambes à droite et à gauche, le sol donnant à ses
pieds
une sensation" de mousse. Depuis 1888., elle es
ns l'attitude normale du repos, les jambes légèrement fléchies, les
pieds
en varus équin. Les mouvements de flexion et d'
une sclérose en plaques. Il présen- tait en même temps un oedème du
pied
etde la jambe gauches. M. le profes- seur Dieul
nsibles. Le réflexe pharyngé est aboli. Sensation de tapis sous les
pieds
. Le sens musculaire est complètement aboli; il ne
gie avec anesthésie cutanée singulière, fugace, mobile, étendue des
pieds
aux genoux. Enfin survient une incoordina- tion
ibution de l'anesthésie obéit à des règles analogues : la plante du
pied
est prise : anesthésie au talon et aux orteils,
ar l'oedème, confortablement installé dans un luxueux fauteuil, les
pieds
sur de moelleux coussins. Deux valets le transp
entence' du dessin qui,est au-dessous parle d'autre manière : « Tes
pieds
t'ont porté pouf faire le mal, dit-elle, qu'ils a
omme 11u"çouv..çrl d'ulcères et d'emplâtres, assis sur un banc, les
pieds
posés sur le rebord d'un baquet. Il reçoit les
lever s'est précipitée dans sa chambre. Elle l'a trouvée debout au
pied
du lit; elle l'a vue aussitôt tomber sans connais
e n'avait fait qu'aug- menter à droite. Le malade s'aperçut que son
pied
droit tournait en dedans. Le 15 avril 1889, le
uche a 23 centimètres de largeur, et celle du côté droit 2G 1/2. Le
pied
est beaucoup moins développé qu'à droite. La vo
p moins développé qu'à droite. La voûte plantaire exagérée donne au
pied
l'aspect du pied creux varus. Le malade ne peut
qu'à droite. La voûte plantaire exagérée donne au pied l'aspect du
pied
creux varus. Le malade ne peut imprimer à ses o
égulièrement et normalement. La partie inférieure de la jambe et le
pied
sont toujours refroidis. Les tégu- ments présen
usculaire esl en appa- rence beaucoup moins marquée qu'à gauche. Le
pied
est déformé en valgus. Les orteils sont en grif
aux dernières phalanges : le malade ne peut pas relever les bords du
pied
. Au mollet, les reliefs musculaires sont peu ac
out le membre inférieur gauche ; on peut plonger indifféremment son
pied
gauche dans la glace ou dans l'eau très chaude, s
l lui arriva de renverser une marmite d'eau chaude qui lui brûla le
pied
gauche. Immédiatement après, il eut sa première
i est souvent arrivé de refaire automatiquement son lit la tête aux
pieds
. La période de stupeur proprementjdite est rempla
aires à cette expérience, c'est de mettre debout une table à quatre
pieds
; les deux inférieurs reposent par terre et les de
use au lieu d'élection, c'est-à-dire sur le gros orteil de l'un des
pieds
par exemple; dans les quelques cas que j'ai obs
de cette artère; du troncse détache successivement : l'arlériole du
pied
de la troisième circonvolution fron- tale la. o
it à fléchir les jambes raides de l'enfant en appuyant la plante du
pied
sur la paume de la main, on déterminait l'appar
se gauche en particulier est moins grosse que la cuisse droite. Les
pieds
offrent un aspect spécial, intéressant à considér
es membres supérieurs (Pl. I et II). Dans toutes ces positions, les
pieds
restent constamment en équin direct; ils ne peu
ais de plaies ni d'écorchures sur le tégument cutané. Les ongles du
pied
gauche, membre le plus atteint, sont mal nourri
rris, striés transversalement, et se cassent facile- ment. Les deux
pieds
sont d'ailleurs toujours froids. Le sternum fai
3 pour subir l'opération suivante. Nous rappellerons que les deux
pieds
étaient en équin direct. Dans la sta- tion debo
aules ne reposait que sur les orteils. Lorsqu'on voulait fléchir le
pied
sur la jambe, on sentait que des 2 côtés le ten-
poque où les membres inférieurs étaient flasques et où la pointe du
pied
se portait naturellement en bas sous l'action d
fallait opérer parce que l'enfant grandissait vite et qne les os du
pied
mena- çaient de se déformer. Cet avis fut par
fut retiré après 15 jours. La soudure du tendon était parfaite. Le
pied
pouvait être fléchi sur la jambe norma- lement.
e pied-bot équin no s'étant pas reproduit, l'enfant posant bien son
pied
à plat, section du tendon d'Achille gauche ; résu
Louis X... 26 .NOUVELLE, ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE pose ses
pieds
. plat,. les cuisses ne. sont plus accolées l'une
de la ten- dance à se raidir ; l'enfant porte assez fréquemment les
pieds
en dedans ». La lecture de ces deux observation
et la station debout, les yeux fermés, n'était possible que si les
pieds
étaient écartés. Les pupilles étaient égales,'
loureuse croît depuis le pouce jusqu'au petit doigt. Aux doigts des
pieds
c'est moins prononcé. Sur le dos des mains au c
u el au jarret, même enveloppement adipeux, ainsi qu'à la jambe. Le
pied
est étroit et plat. Le bras et l'avant-bras sont
empiéter sur la cuisse ; enfin de l'hypoesthésie du bord externe du
pied
gauche. Un schéma que je vais faire placer sous
la molililé et de la troplaicité. ' . Remarquez d'abord comme son
pied
gauche est tombant. Il est en exten- sion forcé
as le lait dune contrac- ture musculaire. Voyez en effet comme ce
pied
se laisse mouvoir en tout sens, comme il est ba
e laisse mouvoir en tout sens, comme il est ballant. Bref, c'est un
pied
bot paralytique, un pied dont l'attitude vici
ns, comme il est ballant. Bref, c'est un pied bot paralytique, un
pied
dont l'attitude vicieuse est le fait d'une para
attitude vicieuse est le fait d'une paralysie des ex- tenseurs du
pied
. Quant au reste,, les mouvements actifs du pi
xagération sa jambe gauche se fléchit sur la cuisse, voyez comme le
pied
retombe sur le sol en deux temps, d'abord sur l
e les relever : C'est d'ahord une anesthésie du bord inférieur du
pied
gauche, du périnée, de la fesse et de la vulve
fait constater ensuite l'existence d'une parésie des extenseurs du
pied
, des adducteurs et abducteurs de la cuisse ; une
ucteurs de la cuisse ; une atrophie des mus- cles de la jambe et du
pied
, prédominante dans le domaine d'innervation du
géné- rescence, et qui est cause, en majeure partie, de la chute du
pied
et du st,ep- page. Soit dit en passant, les phé
sul- tait un contact incessant avec l'eau froide ; d'autre part les
pieds
restant immobiles, le tronc avait à exécuter, s
edème à partir du 1/3 inférieur de la jambe gauche et sur le dos du
pied
. Réflexe patellaire gauche un peu diminué, le d
isse. Hyperesthésie cutanée à la région fessière, sous la plante du
pied
, à la partie inférieure de la co- lonne vertébr
sse gauche, à la partie inféro-externe de la jambe et sur le dos du
pied
, quelques plaques d'anesthésie. ' Voilà un tabl
ée et de la vulve, de la fesse droite, du bord plantaire interne du
pied
droit ; une diminution de la sensibilité à la f
OUVELLE ICONOGRAPllIE DE LA SALPÊTRIÈRE gauche qui, débutant par le
pied
gauche (février 1894), a successivement envahi
ssive. Elle débute habituellement par les muscles de la jambe et du
pied
d'un côté, pour envahir ensuite les parties hom
t les figures schématiques placées sous vos yeux (V. fig. B). Aux
pieds
, elle peut être limitée à la face plantaire. D'au
autre cas, on a noté de l'engourdisse- ment, des fourmillements aux
pieds
, ou encore des sensations anormales dans le rec
s, mais ils n'avancent que lentement, difficilement, en traînant un
pied
, ou en frottant les plantes contre le sol. Notre
ace postérieure de la cuisse et des jambes, à la face plantaire des
pieds
(ou à la totalité des pieds sauf à une bande si
et des jambes, à la face plantaire des pieds (ou à la totalité des
pieds
sauf à une bande située le long du bord interne
la région postérieure de la cuisse, aux muscles des jam- bes et des
pieds
. 100 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
ion postérieure de la cuisse, de tous les muscles de la jambe et du
pied
; anesthésie de la face postérieure de la cuiss
e et de la jambe, de la région plantaire, ou de toute la surface du
pied
, moins le bord interne (Affection de toutes les r
rieure de la cuisse, et à la totalité des muscles des jambes et des
pieds
. L'examen électrique des muscles paraly- sés fa
LA QUEUE DE CHEVAL 105 tie postéro-latérale de la jambe ; enfin, au
pied
, l'anesthésie ne respecte qu'une zone contiguë
vrée de la mort; elle se lève seule,elle se soutient sur le bout du
pied
de cette jambe qui depuis si longtemps étoit be
per dans toute autre attitude que la station verticale sur les deux
pieds
, attitude du soldat sans armes. Elle disparaît, e
soldat de 23 ans est affecté depuis 3 ans d'un eczéma du dessus des
pieds
. Hémianestbésio droite comprenant le côté droit d
l'ouic, le goût et. t'odorat. Auestbé- sie de la peau du dessus du
pied
gauche et de la surface antérieure de la jambe
cte depuis 5 ans d'un eczéma chronique des mains, des bras et des
pieds
. Anesthésie il la douleur du tronc et des extré
l'indique le trajet dn faisceau moteur. Prenant son origine réelle au
pied
de la circonvolution ascendante, la XII0 paire
à angle droit sur le bras, la jambe à angle aigu sur la cuisse, le
pied
venant toucher la partie interne supérieure de
gauche on obtient (2), 5 au genou, fut, à l'olécrtille. Glonus\des
pieds
des deux côtés. L'examen des onze pre- mières p
re. elle. , . ? ... La malade.est assise, une chaufferette sous les
pieds
,' le coude gauche appuyé sur une table,' couver
che de sa jupe. Sa tête est prise clans une cornette blanche. A ses
pieds
, un chat est accroupi. Derrière la malade et de
épondit rien. 13° Alors le roi dit il ses serviteurs : Liez-lui les
pieds
et les mains, et jetez-le dans les ténèbres ext
erreries, retenu par une riche agrafe au devant de la poitrine. Aux
pieds
, des chaussures également ornées de pierres pré
té et très vivant. Le convive indigne est enlevé précipitamment les
pieds
les premiers par ces serviteurs robustes. Il es
ant voir sa jambe droite prise dans une sorte de maillot blanc. Ses
pieds
sont ju- chés sur des sandales bizarres dont la
sur des sandales bizarres dont la semelle en bois repose par trois
pieds
élevés sur le sol. Sur sa tète est planté un gran
es jambes. Il est assis sur un massif fauteuil de bois fixé par les
pieds
à un large socle pour empêcher tout mouvement d
de bois de dif- férente hauteur que l'opérateur devait mettre à ses
pieds
pour dominer plus ou moins la tête du patient.
s vert, au premier plan duquel est une table ronde en bois il trois
pieds
grossiers, avec un broc d'étain, un verre, et un
scalpels, pinces, curettes, ciseaux, etc., à portée de sa main. Ses
pieds
sont chaussés de sandales à semelle de bois sem
ainsi, il se dérobe de son mieux ; pas très vite, car à la place du
pied
droit il a une espèce de pot qui doit singuliè-
Chacun son tour, n'est-ce pas ? - Ce peu charitable personnage a le
pied
gauche sur son chapeau, le bras gauche en échar
la démarche était-elle moins troublée : l'enfant écartait moins les
pieds
, ses pas étaient moins incertains et plus régul
Les réflexes tendineux sont exaltés du côté droit mais le clonus du
pied
y fait défaut. Vous voyez que, dans la marche,
t. Vous voyez que, dans la marche, la jambe droite traîne et que le
pied
correspondant frotte le sol. Vous voyez, d'autr
u éprouve une sensation de fourmillement dans les mains et dans les
pieds
, puis une certaine hésitation, une certaine gêne
xtrémités inférieures, les'orteils se fléchissent sous la plante du
pied
en se resser- rant les uns contre les autres, l
- dants se contracturèrent rapidement; puis, bientôt après, ceux du
pied
gauche entrèrent en contracture. Mais la synerg
ricieuse, volontaire, difficile à tenir, et trépignait facilement des
pieds
quand on la mettait en colère. Elle avait des r
à 2 ans 1/2. Très nerveuse, coléreuse, elle trépigne facilement des
pieds
. Elle pleure sou- vent, ne dort pas la nuit mai
es ; les cuisses en adduction; les jambes en rotation interne ; les
pieds
, en extension forcée ainsi que les orteils, sont
convulsives à la moindre contrariété, grince clos dents, trépigne des
pieds
. Insomnie, cauchemars, cris, pleurs; cris incoh
eurs sont toujours en extension avec adduction, extension forcée du
pied
dont les orteils sont fortement fléchis. Le pie
xtension forcée du pied dont les orteils sont fortement fléchis. Le
pied
prend l'attitude du pied-bot varus équin. Penda
e dissimule guère, il traîne derrière lui son membre déformé et son
pied
en griffe. Cependant il a conservé, malgré son
OPÉRATIONS SUR LA TÈTE 295 cheval le suit, tête basse, flairant son
pied
difforme ; il est conduit par une femme à corne
s. A la Pinacothèque de Munich, il nous montre une Opération sur le
pied
(1) chez un étuviste de village. Il a encore trai
au menton et aux pommettes saillants, aux mains en bat- toirs, aux
pieds
, énormes, au dos gibbeux, véritables portraits d'
uir, ses petites jambes prises dans des bas blancs mal tirés et les
pieds
dans de gros souliers pleins de paille. Celui-ci
ions chirurgicales. Dans l'un (1), il s'agit d'une Opération sur le
pied
, faite à un vieillard par un barbier de village
ment velus. L'opérateur debout, sa trousse pendue à la ceinture, le
pied
droit posé sur le banc où est assis son malade,
douleur, car le patient crie, grimace, serre les poings, et lape du
pied
. Mais l'opérateur n'en a cure el ne perd pas sa
assister il une opération en plein air, sur une estrade dressée au
pied
d'un arbre touffu, près d'un village, au milieu
n, les vêtements en désordre, un linge blanc noué autour du cou, le
pied
droit sur un grossier tabouret de bois, le bas
ie opératoire. Médecins de ville ou de village, opérateurs au petit
pied
de l'espèce des barbiers, physiciens, rebouteux
s est impossible, mais il existe des soubresauts involontaires, les
pieds
« sautent tout seuls » suivant l'expression de la
rotuliens sont abolis, il n'y a pas de trépidation épi- leptoïde du
pied
. Les muscles sont flasques, surtout à droite; ils
rtout à gauche, mais diminuée ; le cha- touillement de la plante du
pied
est encore perçu, mais d'une façon peu intense.
sensation très intense et très per- sistante de froid qui occupe le
pied
et la jambe droite et s'arrête au-dessus des mo
bres, inférieurs au contraire sont flasques, un peu oedématiés, les
pieds
tombants. Il existe au niveau du coccyx une esc
reuses s'accompagnaient de marbrures violacées ou noirâtres sur les
pieds
et à la partie inférieure des jambes; ces marqu
indre mouvement volontaire ; elle ne peut pas mouvoir ses doigts de
pied
si peu que ce soit. Néanmoins il se produit que
ux sont abolis; pourtant lorsqu'on relève brusquement la pointe des
pieds
, on détermine dans le triceps crural une petite
talon vers' fesse, enfin il résiste peu quand on essaie d'étendre son
pied
préalablement fléchi. ' A droite les muscles
és dans tous les segments du membre mais surtout dans la jambe : le
pied
est dans une position vicieuse, il est en équin
que sur ceux de la région antéro- latérale, cependant la flexion du
pied
sur la jambe est impossible, tandis que le mala
rtout depuis trois mois. Le malade s'avance les jambes écartées, le
pied
droit dont la pointe tombe légèrement est porté
rès souvent la pointe accroche le sol, enfin eu arrivant à terre le
pied
semble s'aplatir fortement, s'étaler. Il nous f
mettre debout et l'installer en équilibre sur sa base. , ' . Les
pieds
glissent péniblement sûr le sol,- lé corpset la't
des- quels passe le pouce. La malade « file de la laine ». - Aux
pieds
c'est le « mouvement de édccle o. A la face, la l
yclrose surtout au tronc et } à la figure. ' Les chevilles et les
pieds
sont fortement oedématiés. On constate au nivea
ticale tombe beaucoup plus en avant près de l'extrémité digitale du
pied
(Fig. 70). Il en résulte que la perpendiculaire
evillée sur elle-même, les mains ramenées sur les cuisses, les deux
pieds
relevés sur les barreaux d'une chaise, tournant v
réalisation des mouve- ments, la station hanchée, la station sur un
pied
, la station sur les talons, où sur les pointes
celles qui résultent de la contraction du quadriceps. Sur le dos du
pied
se dessinent les tendons des orteils qui sont rec
tous les membres. Ce que voyant, je fis soulever le malade par les
pieds
pour abaisser sa tôle, et avec le stylet, j'ouv
cule, une lésion atteignant simultanément le faisceau pyramidal (le
pied
) et le nerf moteur oculaire commun ou même son
imultané- ment la cause compressive ou destructive atteigne dans le
pied
du pédon- cule le faisceau pyramidal, il vous s
quiet, les yeux égarés et la physionomie angoissée. Il montrait son
pied
gauche sans chaussette et sa jambe avec le pant
DES NÉOPLASIES CORTICALES 23 Je tiens à ce que vous m'examiniez ce
pied
et celle jambe, disait-il ; ils sont tordus, je
d et celle jambe, disait-il ; ils sont tordus, je n'ai jamais eu un
pied
comme ça, il est tout à fait déplacé. Est-ce qu
pied comme ça, il est tout à fait déplacé. Est-ce que tu as mal au
pied
? Non. Çà ne me fait pas de mal, mais on me l'a
'a tordu tout de même. Crois-tu qu'on puisse tordre une jambe ou un
pied
sans produire de douleur ? Il a l'air de réfl
irconvolutions ascen- dantes et au lobule paracenlral, y compris le
pied
du lobule pariétal supé- rieur, où le tubercule
complet ; auriculaire supplé- ,mentaire aux deux mains et aux deux
pieds
; orteils « en coup de vent » au pied gauche.
e aux deux mains et aux deux pieds ; orteils « en coup de vent » au
pied
gauche. II. - Un autre cas de polydactylie : an
polydactylie : annulaire supplémentaire aux deux mains et aux deux
pieds
; auriculaire supplémentaire dénué de squelette
est encore porteur d'un sixième doigt à la main droite et aux deux
pieds
. A la main droite, ce doigt surnuméraire se dét
post mortem ou au cours d'une opération chirurgi- cale. Les deux
pieds
de ce même sujet sont pourvus des six doigts ; ma
méraires affectent une disposition différente à l'un et à l'au- tre
pied
. Du côté droit, la tête du cinquième métatarsie
l ; il chevauche sur ce dernier par son extrémité. (Pl. y. C.) Au
pied
gauche, la radiographie permet d'abord de constat
on nouvelle dont nous sommes redevables à la radiographie. Sur ce
pied
gauche, le petit orteil surnuméraire part, non de
. SI. orteil supplémentaire. ANOMALIES DIGITALES Polydactylie des
pieds
. (A. Londe et II. Aleige.) MASSON & çiC1
e dernier os. Cette hypothèse est encore confirmée par l'examen des
pieds
. La radio- graphie reproduite PI. V. A. représe
men des pieds. La radio- graphie reproduite PI. V. A. représente le
pied
gauche de la même femme, et, en vertu d'une loi
ore de plus petit volume et de densité moindre que les autres os du
pied
. La Fig. 3 montre la configuration extérieure d
autres os du pied. La Fig. 3 montre la configuration extérieure du
pied
gauche et, à che- val sur le 4° et le 5" doigt,
ale, 26 février 1898). Il s'agit d'un cas d'ecti-odactylie des deux
pieds
accompagnée d'ecl1'odactylie avec syndactylie d
eur moyen de l'hémisphère envoie des fibres de projec- tion dans le
pied
du pédoncule cérébral, les secteurs antérieur et
jugé bon de paralyser leurs mouvements en posant tout bonnement son
pied
sur le genou de sa victime. Dame ! quand on est
rche suit plan horizontal. Moment du double appui. Les orteils du
pied
gauche n'ont pas en- core pris entièrement cont
che en avant. Dans la marche à reculons (Fig. 4), au mo- ment où le
pied
se porte en arrière, le torse se penche en avan
ignalées à propos de l'inclinaison du torse, sont très nettes. Le
pied
qui se porte en arrière arrive au contact avec le
squ'il est tout entier appuyé sur le sol que les orteils de l'autre
pied
commencent à se détacher. Puis ce pied quitte l
l que les orteils de l'autre pied commencent à se détacher. Puis ce
pied
quitte le sol tout d'une pièce, à la manière de
riode de double appui est plus prolongée. Il s'en suit que les deux
pieds
sont appliqués ensemble sur le sol dans une plus
ment où les orteils de la jambe postérieure quittent le sol, ici le
pied
de la jambe antérieure est bien appliqué sur le s
d de la jambe antérieure est bien appliqué sur le sol, alors que le
pied
postérieur ne fait que commencer à détacher le ta
masse à déplacer. La phase de double appui est prolongée. Les deux
pieds
portent à la fois dans toute leur étendue sur l
a jambe oscillante arrive fléchie sur le sol, le genou en avant. Le
pied
prend contact avec le sol bien rare- ment par l
souvent par la plante, d'autres fois par la pointe. Une fois que le
pied
a bien pris son appui sur le sol, le membre se
temps du double appui, alors que le talon se soulève, la pointe du
pied
faisant effort sur le sol pour aider à la propu
la flexion est moins prononcée que dans la marche en poussant et le
pied
touche le sol d'abord par le talon, jamais par
ment prolongée, le membre oscillant arrive en flexion à l'appui, le
pied
prend contact avec le sol par la plante, le mem
cas, il existe un moment relativement assez long pendant lequel, un
pied
portant à pleine plante sur le sol, l'autre pied
pendant lequel, un pied portant à pleine plante sur le sol, l'autre
pied
se soulève sur la pointe progressivement (Fig.
le membre oscillant arrive à l'appui en extension complète et le
pied
rencontre le sol par le talon. A peine le pied
ion complète et le pied rencontre le sol par le talon. A peine le
pied
a-t-il pris contact avec le sol dans toute son
-t-il pris contact avec le sol dans toute son étendue que l'autre
pied
s'en détache par la pointe. En résumé, le mouve
utre pied s'en détache par la pointe. En résumé, le mouvement des
pieds
ne diffère guère de ce qu'il est dans la marc
membre portant qui travaille tout le temps du pas postérieur. Le
pied
arrive par la plante sur la marche. La phase de
pui est prolongée et pendant un temps fort appré- ciable les deux
pieds
reposent en entier sur deux degrés successifs.
nue et pro- longée, pour cesser complètement à la fin, avant que le
pied
quitte le sol. Nous trouvons,dans ce mécanism
on, le quadriceps maintient sa con- traction, jusqu'au moment où le
pied
prend contact avec le sol, la jambe en flexion.
léchir la jambe pendant son oscillation que juste assez pour que le
pied
ne heurte pas les aspérités du sol. Le corps doit
ticales, et d'une atténuation des chocs produits par la pression du
pied
sur le sol. Or, on sait, disent-ils, que les a-
n entraîne aussitôt la disqualification est de ne point soulever le
pied
qui produit la propulsion avant que l'au- tre t
Pour marcher, on lance la jambe en avant, presque en extension, le
pied
va se placer devant celui qui est encore posé,
elui qui est encore posé, le talon touchant le sol le premier et le
pied
légèrement tourné en dehors. Il ne faut pas éca
poing, et de même le bras droit doit être projeté en avant avec le
pied
droit pour être ramené ensuite en flexion au pa
rte. Il en résulte qu'au début de la phase d'appui, au moment où le
pied
prend contact avec le sol, le membre au levé est
ché du membre portant. Nous savons que d'or- dinaire la retombée du
pied
sur le sol, après sa phase de suspension, se fa
e. Ici, c'est le contraire, et, le plus souvent, c'est la pointe du
pied
qui touche le sol tout d'abord. L. Marche patho
pris d'accidents multiples. Il présenta au niveau du gros orteil du
pied
gauche un mal perforant, dont la trace persiste,
ou constate une démarche tabétique ; il talonne fortement des deux
pieds
. Il a le signe de Rom- berg. L'incoordination d
; il décrit le lichen ruber des paumes des mains et des plantes des
pieds
chez une malade qui souffrait du pseudo-tabes alc
ète. III. Un officier de 22 ans. Le lichen ruber sur les mains, les
pieds
et la nuque. La distribution de l'éruption est
supérieure, la région pectorale, le côté, la fesse, et la plante du
pied
. On remarque sur la paume de la main des petites
gnent d'assez grandes dimensions. Du côté ex- terne de la plante du
pied
celles-ci se disposent en forme de stries rappela
ur » qu'il présente au plus haut degré, aussi bien aux mains qu'aux
pieds
. On peut se rendre compte par la radiographie (
est celui d'un homme dont le métier con- sistait à former avec ses
pieds
des mottes de ton. La jambe droite, ankylosée dan
ement, le torse fortement cambré. Les jambes élaient cagneuses, les
pieds
diffor- mes, le ventre saillant, volumineux, éq
internes atteignait une longueur de quatre travers de doigt. « Les
pieds
étaient fortement deviés en varus, avec les premi
la même raison, il. figuré le genu valgum de la jambe droite el le
pied
bot varus gauche que présentait son modèle. Ces
té,de la faiblesse et de l'engourdissement dans la jambe et dans le
pied
qui se refroidissait faci- lement. Dans ces der
nce à éprouver de la pesanteur et de la gêne dans les mouvements du
pied
et de la jambe droite. Quelquefois même au repos,
ite. Quelquefois même au repos, les orteils s'engour- dissent et le
pied
se refroidit; la sensation de refroidissement rem
a cuisse, par l'ossification de la patte d'oie. Les jambes et les
pieds
, comme les avant-bras et les mains, sont rare-
ommun des orteils adroite, l'ossification du soléaire à gauche. Aux
pieds
, Munchmeyer signale l'ossification de tous les mu
e traduit encore par un aplatissement de l'é- minence thénar. Aux
pieds
, nous relevons les anomalies suivantes : L'extr
os orteils du malade de Munchmeyer sont recourbés vers la plante du
pied
. Brensohn, Kuemmel, Uhde, Pagel, signalent l'ali-
1889, l'épaule, le bras, la région poplitée, le mollet, le cou-de-
pied
et la face dorsale du pied, du côté gauche, furen
a région poplitée, le mollet, le cou-de- pied et la face dorsale du
pied
, du côté gauche, furent simultanément envahis.
evant de la tête de l'astragale ; celle-ci limite les mouvements du
pied
dont la flexion ne peut pas dépasser l'angle droi
veau est de 24 centimètres, elle est de 22 seulement à droite. Le
pied
tout entier est gros, massif, avec un dos proémin
er est gros, massif, avec un dos proéminent, rappelant, de loin, le
pied
des tabétiques. Par suite de l'ankylose du genou
ppement de deux pointes osseu- ses nouvelles sur la face dorsale du
pied
. - Le gros orteil est ankylose. De la partie ex
. Le malade a toujours bien senti le sol 180 LÉON BONNUS sous ses
pieds
, sauf vers les derniers temps, où il lui semblait
sur un escabeau, 'le corps tourné à droite, la tête de face. A ses
pieds
, son large chapeau de feutre traîne sur le sol.
raîne sur le sol. Derrière lui, se tient debout le chirur- gien, le
pied
droit posé sur l'escabeau, coiffé d'un bonnet qu'
aille à quelque ouvrage de couture, une pe- tite fille jouant à ses
pieds
. Sans abandonner sa lâche, la travailleuse jett
antôt à droite, tantôt à gauche, el malgré qu'elle écartât les deux
pieds
, elle était toujours en imminence de tomber. Du r
TKOWSKY La moins sensible est la région du siège et les plantes des
pieds
, surtout les talons. Le cuir chevelu de la tê
lle des surfaces palmaire et plantaire. Les surfaces dorsales des
pieds
sont plus sensibles que le dos des mains. Autou
de l'autre côté il n'y a pas de relation directe : sur la plante du
pied
, où la peau est très épaisse, la sensibilité ta
ce. A l'âge de trois semaines, bulles de pemphigus aux mains et aux
pieds
; puis coryza ; puis augmenta lion progressive
ents de la hanche sont conservés, ainsi que ceux du cou-de-pied. Le
pied
a le ballottement du pied du polichinelle. L'arti
servés, ainsi que ceux du cou-de-pied. Le pied a le ballottement du
pied
du polichinelle. L'articulation du genou est an
roubles vaso-moteurs accentués surtout au niveau de l'extrémité. Le
pied
est atteint d'engelure tous les hivers. 264 A
, danse, fait même de la bicyclette, se tient à cloche-pied sur son
pied
droit. A l'examen, on note un raccourcissement de
une atrophie osseuse portant sur les divers segments du membre : le
pied
droit chausse 36, le pied gauche 3 : i. L'atrophi
nt sur les divers segments du membre : le pied droit chausse 36, le
pied
gauche 3 : i. L'atrophie parait surtout marquée s
ction de la jambe sur la cuisse et d'un arrêt dedé- veloppement. Le
pied
formait un varus équin. La différence de longueur
Les membres inférieurs sont dans l'extension forcée et oedématiés.
Pieds
en varus équin, surtout le gauche. De nouvelles t
e droite. Ossification de tous les muscles interosseux dor- saux du
pied
. Le 14 mai, scarlatine légère durant 3 jours. Hui
se des hanches. Les genoux sont mobiles, idem des articulations des
pieds
. Orteils recourbés vers la plante du pied. Liga
em des articulations des pieds. Orteils recourbés vers la plante du
pied
. Ligament cervical ossifié. Bande- lettes osseu
termine l'immobilité par les douleurs qu'elle occasionne. Jambes et
pieds
normaux. Cypho-scoliose droite près du torticol
ction aussi ; le bassin est saillant il gau- che. Aux jambes et aux
pieds
, une mobilité limitée. Les os du squelette poss
arcade abolit l'extension et limite l'abduction. Les jambes et les
pieds
sont nor- maux, sauf une difformité du gros ort
ux. Fracture de l'avant-bras droit en tombant d'une hauteur de deux
pieds
, guérison sans déplacement et avec un cal très
gère flexion, épaississement de l'extré- mité supérieure du péroné.
Pied
en valgus équin. Le gros orteil est plus petit
lexion de la jambe droite subluxée avec ankylose complète du genou.
Pied
en varus équin. Pointe osseuse à la partie supé
uscles plantaires droits gonflés, douloureux et tendus. Mobilité du
pied
droit moindre que celle de gauche. Circonférence
.. commençait à marcher ; elle s'accentuait il chaque pas, quand le
pied
frappait le sol ; puis la marche continuant, la d
tit qu'au- trefois et. plus petit encore lorsqu'il se repose sur le
pied
gauche. La station debout est facile. Dans son
ant et en bas ; les coudes sont un peu écartés du corps. Jamais les
pieds
ne reposent éga- lement sur le sol. Out... « ha
111LIQUE 323 l'ankylose, la jambe gauche est légèrement fléchie, le
pied
gauche touche le sol par la tête des métacarpie
davantage penché en avant, et pour empêcher la chute, Duf... met le
pied
droit en avant du pied gauche (PI. XXXVIII, 3).
nt, et pour empêcher la chute, Duf... met le pied droit en avant du
pied
gauche (PI. XXXVIII, 3). Modifications de l'att
à 28 centimètres en avant du ta- lon droit. Si Duf... repose sur le
pied
gauche, la verticale passant par l'antitra- gus
fascia lata,le réflexe de Babinski n'existent pas. Pas de clonus du
pied
. Douleurs. Lorsque le malade ne fait pas de mou
son chemin, à heurter une pierre, s'il écrase brusquement sous son
pied
quelque objet dur (noyau de fruit), s'il marche s
droite est assez mobile; le malade la fléchit de telle sorte que le
pied
soulevé peut être mis sur une chaise (c'est là le
is sur une chaise (c'est là le maximum pos- sible de la flexion, le
pied
est plutôt glissé que posé sur le siège) ; mais,
se porte en arrière, ou en avant, ou se ploie au genou si les deux
pieds
restent sur la même ligne (position très instable
ppui). Si nous examinons Duf... commençant à marcher en avançant le
pied
droit, nous voyons que le poids du corps repose
droit. Ultérieurement (C) la jambe gauche s'étend sur la cuisse et le
pied
vient reposer à terre grâce à la flexion du mem
e redressement et l'élévation du corps lorsque Duf... repose sur le
pied
droit, et la chute en avant du corps lorsqu'il se
droit, et la chute en avant du corps lorsqu'il se re- porte sur le
pied
gauche. , Dans son pas, de promenade, le malade
accompagner d'aucun mouvement de rotation ; le malade marche avec 2
pieds
, 2 genoux et une hanche. La com- paraison de M.
de ro- tation de droite à gauche de tout le corps, pour porter son
pied
gauche assez en arrière du droit. Ce mouvement
l se fait tout d'une pièce autour du membre droit étendu. Porter le
pied
droit en arrière est encore plus difficile, atten
dehors de la droite. Il est a remarquer que dans cette position le
pied
droit repose sur son côté externe, et que ce mouv
uvements d'abduction (limités, il est vrai). Duf... peut mettre son
pied
droit sur une chaise, mais la fin de ce mouve-
tée de la main, et Duf... n'a plus qu'à le faire glisser au delà du
pied
(PI. XXXVIII, 6). Quand il veut s'asseoir sur u
UE 335 masse par les mouvements des'articulations des genoux et des
pieds
. Pour les bras les mouvements d'élévation sembl
seulement sur sa jambe droite plus longue, et sur la pointe de son
pied
gauche. Les malades de M. Marie marchent comme
étaient un pivot; Duf...marcheavecune hanche, deux genoux et deux
pieds
. L'ankylose coxo-fémorale bilatérale ou unilatéra
homme, qui a considérable- ment grandi, présente une taille de sept
pieds
quatre pouces et un poids de 325 livres. Relati
vement au reste du corps qui est bien proportionné les mains et les
pieds
sont énormes; la bosse frontale ainsi que les deu
hallux valgus, raccourcissement des le,, 4e et 5e orteils des deux
pieds
. Avril 1893. Pas d'augmentation de la raideur d
ièce nue dont une fenêtre, au fond, s'ouvre sur un paysage. A ses
pieds
, se traîne un pauvre être tout contrefait, à demi
eurs après avoir aimé et admiré le Maître pendant sa vie déposer au
pied
de sa statue le juste tribut de ma reconnaissance
us surpre- nantes du siècle. Charcot aborda d'un coeur haut et d'un
pied
ferme cette ré- gion incertaine et troublante o
e fauche pas, mais marche en équerre déviant en dehors la pointe du
pied
gauche. Il y a une exagération considérable de
uels elle se soutenait littéralement sur le vertex et la pointe des
pieds
. Tout de suite après elle prend des attitudes qui
s-orteils ; ils sont raccourcis et repliés vers la ligne médiane du
pied
de sorte que leur extrémité est au-dessous du d
en sur le système os- seux, pas de déformations congénitales (main,
pied
). Le 16 novembre 1894. Incision de la tumeur du
ose des 484 A. WEIL ET J. NISSIM hanches en légère abduction, les
pieds
restent éloignés de 25 centimètres. Flexion de
e, el jusque sur la terre d'Afrique, où il a plusieurs l'ois mis le
pied
. De chaque pays, on est certain d'entrevoir un
ante, sans pouvoir s'appuyer au dossier, les genoux rapprochés, les
pieds
joints, de ses talons ballant la charge sur le
chapeau sur la tète, un ta- hticr ceint autour de suyarztçâsus=-lcs
pieds
chaussés de grosses galo- ches, examinant mu ce
ie sur le membre droit, et s'abaissant au contraire lorsque l'autre
pied
prend contact avec le sol. L'examen systématiqu
éguments Nous n'avons pas constaté de modification du squelette des
pieds
. La tête du péroné est hypertrophiée à droite (
tonie musculaire très accentuée aux membres inférieurs. Tendance au
pied
varus à droite : le pied droit de plus semble un
entuée aux membres inférieurs. Tendance au pied varus à droite : le
pied
droit de plus semble un peu raccourci. Pas d'in
s. Il existe de l'anesthésie à la piqûre au niveau de la plante des
pieds
. Sens stéréognostique conservé aux mains. Réf
où la malade n'avait encore que de l'hypoesthésie de la plante des
pieds
et avait eu des crises gastriques, des douleurs l
les frac- tures vertébrales et surtout dans les fractures des os du
pied
. On a vu que chez notre malade il n'y avait eu
it, l'aida tout de suite se débarrasser de son sac et elle retourna à
pied
à la maison qui n'était pas loin. Comme elle ét
, fut pris à cette époque de douleurs et sensation de froid dans le
pied
droit pendant la marche. En janvier 1906, il re
temps, il ressentait des douleurs très vives dans les jambes et les
pieds
: ces- douleurs deve- naient si vives qu'il éta
ec un torticolis, un mouvement convulsif de la hanche, et un tic du
pied
. La crampe peut précéder le torticolis : ainsi en
les doigts ; elle peut aussi fléchir sa cuisse gauche, sa jambe,son
pied
, leur donner des mouvements d'adduction et d'abdu
ative des réflexes. On obtient de même le clonus ou la trépidation du
pied
gauche et l'extension de ses orteils par l'atto
la réflectivité, on obtient facilement la trépidation épileptoïde du
pied
et la danse de la rotule ; le réflexe du genou
baire, les bras et les jambes extrêmement courts, très musclés, les
pieds
et les mains typiquement carrés en font un exempl
des jambes sont extrêmement dévelop- pés, forts et toniques. Les
pieds
sont relativement moins courts et carrés que les
rticulaire est très élargie ; la malléole interne très accentuée.
Pied
. - Les os du tarse ne présentent rien de très not
plus droite et linéaire que d'habitude. Comme à la main on voit au
pied
aussi que le raccourcissement total est dû surt
bres sont plus réduits que les segments distaux. Les mains et les
pieds
présentent aussi les déformations classiques av
luxée et il en reste une défor- mation actuelle. Les mains et les
pieds
de notre patient présentent aussi une autre ano-
Le quatrième doigt des mains, et beaucoup plus évidemment celui des
pieds
, a une base d'implantation nettement postérieure
cun observateur. Nous voyons, en effet, par les radiographies des
pieds
et des mains de notre nain que le quatrième mét
Salpêtrière T. XXII. PI. XXII ACHONDROPLASIE (Ellor-c Levi).
Pied
carré. Brièveté anormale du 4' métacarpien. zur ,
s dif- férents auteurs. Ce nouveau caractère propre à la main et au
pied
des achondroplasiques s'ajoute ainsi aux précéd
tout le poids du corps sur le gros orteil, et les exten- : seurs du
pied
et du gros orteil subissent une contraction exagé
cile et fatigant amène parfois des douleurs débutant à la plante du
pied
, et gagnant le mollet et la cuisse.- La névrose
aque jour de longs exercices pour se maintenir sur les pointes de ?
pieds
. Au bout de quelque temps de ces essais fatigan
uchenne a vu un tourneur (obs. CCV) chez lequel les fléchisseurs du
pied
sur la jambe se contracturaient dès qu'il l'app
rs de la cuisse chez un tisserand qui actionnait son métier avec le
pied
. On peut'rapprocher de ces différents cas la ma
la harpe chromatique qui n'a qu'une seule pédale, actionnée par le
pied
gauche ; elle jouait de son instrument ÉTUDE SU
as de relever en détail la conformation des mains; la petitesse des
pieds
apparaît au contraire évidente. Le nain est r
de noyaux irréguliers, les uns très durs, les autres ramollis. Les
pieds
sont nettement tombants. Mensuration Membres
jambes. Enfin s'il est couché il se place sur le ventre, écarte les
pieds
en arrière, rejette le bassin en arrière en app
ière en appuyant ses mains sur le sol. Il se rapproche ainsi de ses
pieds
. Lorsqu'il les a atteints il grimpe pareillement
nsibilité, sauf l'apparition à la partie moyenne du bord interne du
pied
gauche d'une phlyctène de la grosseur d'une noi
aractéristiques par le volume des mollets sont en demi-flexion, les
pieds
en équinisme compliqué d'un certain degré de va
den- tique des jambes s'accompagnant d'abduction extrême ; les deux
pieds
revê- tent le type équin, légèrement à gauche,
eure du tibia se prolonge insensible- ment avec le rebord dorsal du
pied
. Troubles moteurs. La mobilisation des membres
tension et la flexion des orteils qui se fait assez facilement. Le
pied
a conservé ses mouvements de latéralité, par ra
urs. Contemporairement les petites articu- lations des mains et des
pieds
se prirent à leur tour et en plus ; il fut attein
on peut noter la présence de véritables nodosités d'Héberden. Les
pieds
sont moins endommagés, seulement le gros orteil s
tueuse, le malade ne peut se plier, ni ramasser un objet placé à ses
pieds
. La pression des apophyses épineuses des vertèb
ive que ses trou- bles ont débuté par les petites articulations des
pieds
et des mains, si bien que dans les premiers tem
et, à elles deux, elles auraient cherché à lui casser les doigts de
pieds
. Sortie de la .maison de santé. M... retourna d
re ; la marche est lente ; la malade semble lever difficilement ses
pieds
; on ne constate cependant aucun trouble paraplégi
oedématiés ; il s'agit d'un oedème dur, localisé surtout au dos du
pied
. Au niveau du cou, on constate la présence d'un
s, l'état mental de M... reste stationnaire.Par contre l'oedème des
pieds
augmente et s'étend non seulement au dos du pied,
ntre l'oedème des pieds augmente et s'étend non seulement au dos du
pied
, mais également à la partie inférieure de la ja
omplète. Sous l'influence de l'alitement continu, les jambes et les
pieds
oedématiés ont diminué de volume, mais l'oedème
nférieurs s'est considérablement accru. Il occupe chaque segment du
pied
; chaque partie comprise entre les articulations
pied ; chaque partie comprise entre les articulations des doigts de
pied
forme un bourrelet; le dos du pied présente l'asp
les articulations des doigts de pied forme un bourrelet; le dos du
pied
présente l'aspect d'uue masse énorme semblable
comme une collerette une partie des autres régions oedématiées des
pieds
. La localisation de f'oedème est symétrique aux
etites squames jaunâtres qui résistent au savonnage et aux bains de
pied
prolongés ; elle est irrégulière, granuleuse, a
le réflexe cutané plantaire est normal. Quand la malade soulève les
pieds
au-dessus du sol, ceux-ci sont animés d'un trem
is encore des proportions plus considérables. A la face dors' le du
pied
droit, au niveau d'un tissu cicatriciel résulta
re ancienne, il s'est produit une ulcération. ' Mars. La plaie du
pied
droit est cicatrisée. Novembre. Depuis quelques
ties de son corps autres que les régions oedématiées. La cicatrice du
pied
droit s'est encore ulcérée. Asthénie très prono
Janvier 1909.- Même état mental ; l'ulcération delà face dorsale du
pied
droit est en voie de guérison. La circonférence
dorsale du pied droit est en voie de guérison. La circonférence du
pied
droit atteint à sa partie moyenne 38 centimètre
e inférieure de la jambe droite 49 centimètres. La circonférence du
pied
gauche à sa partie moyenne est de 37 centimètre
ème ; l'oedème est bien segmen taire au ni- veau des orteils et des
pieds
, mais à la partie inférieure de la jambe l'in-
ions rolandi- ques gauches, de la frontale ascendante et atteint le
pied
de la deuxième fron- tale. La plus grande parti
ite complète s'ac- compagnant d'un certain degré de contracture. Le
pied
droit est en équinisme marqué et ne peut être r
olacée ; il existe une coloration bleutée au niveau des ongles. Les
pieds
sont froids et ont une couleur violette, cyanot
ès marqué par rétraction du tendon d'Achille ; le redresse- ment du
pied
droit est impossible. ' Tous les muscles parais
otuliens est absolue ; la trépidation épileptoïde n'existe plus. Le
pied
droit est complètement flasque, en varus équin.
on sur le bassin, les jambes en légère flexion sur les cuisses, les
pieds
en supination reposent sur leur bord externe. L
nce des contractures, de l'exagération des ré- flexes, du clonus du
pied
, différencie nettement la myélite aiguë du cas qu
ngtemps. Nous avons de plus vu qu'une vaste escarre se produisit au
pied
droit. Seule, la persistance de la sensibilité
incompétence musculaire est limitée surtout à la flexion dorsale du
pied
droit et des orteils du même pied ; mais pour l
e surtout à la flexion dorsale du pied droit et des orteils du même
pied
; mais pour les autres mouvements de ce membre
ieur gauche, nui est spécialement accusée à la flexion dor- sale du
pied
. Dans les autres membres la motilité est normale.
e, elle marchait bien et il n'y avait plus de parésie bien nette du
pied
gauche. Les réflexes tendineux des membres inféri
ieur droit, particulièrement une paralysie de ta flexion dorsale du
pied
. Cependant elle pouvait marcher assez bien, sans
- tude en touchant la paroi abdominale. La force des mouvements des
pieds
est maintenant assez améliorée, mais la parésie
flexion de la cuisse droite sur le bassin et la flexion dorsale du
pied
gauche avec moins de force que de l'autre côté
s inférieurs, le malade ne fait que quelques mouvements minimes des
pieds
et des orteils. Il y a une parésie du tronc. Le
rs suivants, pendant lesquels le malade a été alternative- ment sur
pied
et au lit, Ensuite il a éprouvé une difficulté à
mbres inférieurs, sauf qu'il pouvait remuer un peu les orteils d'un
pied
; il y avait encore une para- 396 PETRÙN ET EHR
très pro- noncée. En. mai il commence à pouvoir se tenir sur ses
pieds
et à faire quelques pas, si. on le soutient ; m
de ces mouvements est très faible. En général, les mou- vements des
pieds
sont mieux conservés. La motilité du membre supér
e, nous observons que la sensibilité tactile est un peu diminuée au
pied
droit et à la face externe de' la jambe droite. E
s inférieurs manque toujours. Vers la fin de janvier un clonisme du
pied
gauche est apparu.. Pendant le mois de février,
n pur type spas- modique avec exagération des réflexes, clonisme du
pied
, signe de Ba- binski et apparition de fortes co
; les réflexes cutanés sont normaux : l'excitation de la plante du
pied
détermine la flexion du gros orteil. Sensibilit
bres infé- rieurs, qui mesurent, du grand trochanter à la plante du
pied
, 1 m. 04; en effet, on admet que la longueur de
unique- ment dans le sens transversal, et en forme de Lente. Les
pieds
sont à l'avenant des mains : épais, larges) ils o
pli de flexion des orteils. La voûte plantaire est affaissée et le
pied
complètement plat. Les gros orteils sont très v
e chose de l'acromégale : il a de la cyphose, il a aux mains et aux
pieds
une ébauche de ce que sont les doigts des acromég
ement prononcé de la portion inférieure du visage. Les mains et les
pieds
sont très grands, mais leurs dimensions sont à pe
ent pileux est normal sur toute la surface du corps. Les ongles des
pieds
présentent quelques signes dystrophiques. Les o
re est extrêmement épaissie quoique il n'y ait pas d'oedème, , Le
pied
est, très grand et surtout lourd et épais ; il es
jambe de ce qu'est la main comparée au bras. Le talon antérieur du
pied
est très épais et prononcé ; la concavité plantai
y a aucune trace d'ataxie ni d'asynergie. En marchant il traîne les
pieds
comme si tout mouvement lui coûtait une grande
rus proportionnellement que les segments distaux.. d) La main et le
pied
sont un peu moins accrus que le segment distal
mégalique typique, il est tout de même entaché d'acromégalie. Ses
pieds
et ses mains ne sont pas énormes, relativement à
ains ne sont pas énormes, relativement à sa grande taille, mais ses
pieds
surtout ont des caractères d'épaisseur et de lour
erprétation n'est pas douteuse. Les radiographies de la jambe et du
pied
nous montrent aussi une très nette disproportio
ongueur) que chez l'homme normal. Les mêmes faits sont visibles aux
pieds
, qui présentent aussi le type en long. Le premi
re plus évidents sont visibles aux phalangettes. La radiographie du
pied
en profil nous montre les propor- tions absolum
exagérés. Le ré- flexe plantaire provoque des mouvements répétés du
pied
; ce phénomène est plus marqué du côté gauche.
tés. Il lui était difficile de plier ou d'étendre les genoux et les
pieds
; il avait en même temps des douleurs dans les
interne de la jambe et sur une bonne partie de la face plantaire du
pied
(surtout sur le côté interne). Anesthésie au ch
raître vers le bas et, de- puis le tiers moyen de la jambe jusqu'au
pied
tout entier, cette sensibilité était bien conse
r sur le gros or- teil et sur la partie avoisinante de la plante du
pied
. Anesthésie aux vibrations du diapason, sur tou
ions du diapason, sur tout le membre, sauf sur la face plantaire du
pied
. L'examen objectif permettait, en outre, de rel
ec un morceau de fer rouge jailli de l'enclume). Sur la plante du
pied
il existe des deux côtés, un mal perforant, indol
interne de la cuisse droite, anesthésie également sur la plante des
pieds
des deux côtés. La sensibilité est abolie sur l
sibilité est abolie sur la cuisse droite et sur la face plantaire des
pieds
. Aux vibrations du diapason : hypoesthésie sur
ur la jambe droite et, d'une façon moins évidente sur la plante des
pieds
: anesthésie sur les autres par- ties des membr
ie considérable avec hydarthrose facile à constater nettement. Le
pied
droit présente une déformation très remarquable a
nte une déformation très remarquable au niveau des métatarsiens. Le
pied
, plat sur sa face inférieure, présente sur la fac
unique, occupant dans le sens transversal toute la face dorsale du
pied
, dans le sens antéro-postérieur, l'espace compris
ucune conclusion particulière ni absolue, que la face plantaire des
pieds
est, des deux côtés, sensible aux vibrations du
s de la grosseur d'une noisette. Rien d'important au malléole et au
pied
. Tous les mouvements sont possi- bles ; cependa
lfmanu. * Tout à l'entour on n'observe pas de veines ectasiques. Le
pied
, de forme et dimensions normales, est tenu rapp
. Rien de notable aux os ni dans les articulations des mains et des
pieds
. La réaction de Wassermann pour la syphilis, pr
s, paraissent augmentés de volume à la palpation ; les mains et les
pieds
sont respectés. Il y a hypotrophie sans réactio
début se fit par l'hypertrophie de la malléole externe et des os du
pied
; dans le cas de Pescarolo etBortolotti les lésio
es lésions furent notées aux os dans les phalanges des mains et des
pieds
. 532 RAVENNA Dans mon cas le symptôme douleur
Alors que le squelette du visage ainsi que celui des mains et des
pieds
est respecté, on peut dire que tous les autres os
nt surtout les parties molles et les os du visage, des mains et des
pieds
, qui sont symétriquement augmentées de volume.
n signe de la tendance de tout l'organisme aux néoformations perdit
pied
. Dans mon cas, la mère, une soeur et peut-être
que pendant des heures entières, il exécute des sauts tantôt sur un
pied
tantôt sur l'autre. Le malade est fréquemment vio
. Sur la ligne médiane une femme nue dont le sexe est voilé fait un
pied
de nez à sa voisine l'Espagnole. Il s'agit de d
as lents Par un chemin désert, sans amour, sans faiblesse, Et mon
pied
s'ensanglante au chemin qui le blesse Et s'éloi
ues. Dégénérations ascendantes. Les fibres pyramidales au niveau du
pied
du pédoncule gauche, au-dessus de la lésion, se
e par suite de la raideur de la jambe droite : l'enfant traînait le
pied
droit. Depuis lors, jusqu'au moment de l'examen
bres inférieurs. Il ne pouvait parcourir que de petites distances à
pied
, autrement il se fati- DEUX CAS 1)'HYDROCÉPHALI
e de Ba- binski se produit des deux côtés, il est plus manifeste au
pied
droit. Les ré- flexes crémastériens et abdomina
e du malade est spasmodique. Il touche le sol de toute la plante du
pied
gauche, et seulement avec le tiers antérieur de l
du pied gauche, et seulement avec le tiers antérieur de la plante du
pied
droit. Il traîne cette jambe en marchant, il pr
'urine et des matières fécales. A droite il se produit le clonus du
pied
. La force dynamométrique est de 20 à droite et de
iforme du 14 octobre. Le signe de Babinski ne se produit plus qu'au
pied
gauche. Novembre 1907. Le malade s'est émacié p
tuliens, et tricipitaux sont brusques et exagérés. Pas de clonus du
pied
. Le signe de Babinski se produit des [deux côtés.
ue soutenu, et alors il tient les jambes fléchies aux genoux et les
pieds
écarlés. Le pied droit tourne en dedans pendant
rs il tient les jambes fléchies aux genoux et les pieds écarlés. Le
pied
droit tourne en dedans pendant qu'il marche, de
u'il marche, de sorte que le malade s'appuie sur le bord externe du
pied
. La marche est très irrégulière et spasmodique. L
es inférieurs. Soutenue,elle marche avec les genoux en flexion, les
pieds
écartés, en s'appuyant sur leur bord interne. L
s rotuliens sont exagérés des deux côtés. Clonus très manifeste des
pieds
. Les réflexes cutanés ne se produisent pas. L
notre sujet. Sa grand' mère maternelle présenta une difformité aux
pieds
consistant en un pied-bot avec rétraction dorsa
t une affeclion aiguë, qui lui laissa une difficulté de mouvoir les
pieds
et une difformité de ceux-ci qui ne s'est pas mod
de marcher et ne lui occasionna au- cun trouble dans la marche. Ses
pieds
étaient restés quelque peu déviés avec les doig
était à peu près la même des deux côtés et localisée uniquement aux
pieds
. Il nie avoir eu syphilis ou maladies vénérienn
ations fébriles. Jusqu'à 18 ans (il y a 4 ans) la difformité de ses
pieds
resta sans modifica- tion ; alors seulement il
rivé souvent de tomber terre en marchant, surtout s'il heurtait son
pied
contre un cail- lou ; il est donc maintenant ob
ésies ni de troubles des réservoirs. Il se plaint d'hyperidrose aux
pieds
. Il y a deux mois environ il a ressenti, en se
rs. - Pas d'attitudes vicieuses des cuisses et des jambes. Dans les
pieds
on voit que la concavité de la voûte plantaire es
n forcée des pre- mières phalanges. La 2" phalange du gros doigt du
pied
comme aussi la 2° et la 38 des autres quatre do
8 des autres quatre doigts sont fléchies de manière que l'attitude du
pied
est en griffe. Le pied droit a une tendance à s
s sont fléchies de manière que l'attitude du pied est en griffe. Le
pied
droit a une tendance à se disposer en équin avec
ed droit a une tendance à se disposer en équin avec léger varus. Au
pied
gauche il y a encore une légère rotation à l'exté
652 ALESSANDRINI La peau ne présente rien d'anormal ; au niveau des
pieds
, elle est froide. II n'y a pas de tremblements
deux ou trois saillies dures au-dessous du plan musculaire. Dans le
pied
gauche sont possibles l'abduction et l'adductio
extension et médiocre pour celui de flexion.La force d'extension du
pieds
est presque nulle ; celle de flexion est modique;
jours en augmentant vers le bas. Il y a une légère hyperesthésie du
pied
pour la chaleur et le froid. Pas de trouble de
se fatigue plus facilement. Membres inférieurs. - On y remarque le
pied
en griffe déjà décrit. Il est en outre en posit
n peu et à fléchir quelque peu la jambe. Il ne peut pas mouvoir les
pieds
(excepté une faible extension dorsale). Il ne p
côtés une paralysie de quelques muscles antérieurs des jambes et du
pied
et par conséquent un pied en griffe qui toutefo
lques muscles antérieurs des jambes et du pied et par conséquent un
pied
en griffe qui toutefois lui permit de marcher. Ju
embre 1907, on a remarqué une paraplégie flas- que, atrophique avec
pied
en griffe ; les symptômes morbides sont plus ac
d'une paralysie spinale infantile, qui lui laissa une parésie d'un
pied
avec tendance au varus équin. A l'âge de 35 ans
eurs avec dysesthésies analogues à celles des doigts a commencé aux
pieds
. Puis, la faiblesse a augmenté. Pas de douleurs
ormale, sauf des troubles très légers de la sensibilité tactile aux
pieds
et aux doigts. Il peut être assis sans s'aider de
sans entraîner de paralysie complète, sinon de la flexion dorsale des
pieds
. Le signe de Lasègue existe des deux côtés (dan
peut s'asseoir sans qu'on l'y aide et qu'il peut se mettre sur les
pieds
. Pendant la convalescence on observe qu'il retr
cles iuterosseux des mains et les muscles de la flexion dorsale des
pieds
sont encore très faibles. e 668 PETREN ET EHREN
ne diminution très considérable de la force pour les mouvements des
pieds
et des orteils ; pour les mouvements des genoux
al ; quant aux sens de température il ne peut, ni aux mains, ni aux
pieds
, faire la distinction entre des tubes d'eau à 6 e
ents, mais ré- guliers. Etat à la fin d'avril. Les mouvements des
pieds
sont possibles dans l'ex- tension normale et il
ncement de septembre, il a senti des dysesthésies aux jambes et aux
pieds
, des sensations de fourmil- lement et de picote
iens. Il y a presque une paralysie complète pour les mouvements des
pieds
et des orteils ; car ici il n'y a de possible q
ntaires ont disparu. La sensibilité tactile est un peu diminuée aux
pieds
, partout ailleurs elle est normale. La sensibil
nous avons constaté une paralysie complète pour les mouvements des
pieds
et des orteils. Les réflexes patellaires ont disp
les du sens musculaire aux orteils et de la sensibilité tactile aux
pieds
se sont aggravés. Le 4 février, un nouveau exam
ès lentement. Il y a encore une parésie complète des orteils et des
pieds
. Dans le décubi- tus latéral, il peut faire l'e
t si l'on tient avec la main la cuisse fixe, il ne peut soulever le
pied
; c'est-à-dire que sa force pour faire l'extens
rvés. La sensibilité tactile est normale partout, à l'exception des
pieds
et de la peau sur les deuxièmes et troisièmes p
malade peut maintenant faire des mouve- ments très minimes avec les
pieds
. Le diagnostic de la polynévrite dans ces trois
tume, atteignant presque la surface articulaire du tibia. Quant aux
pieds
, il gauche les petits os tarsiens se présentent
ntent assez régulièrement diminués de volume relativement aux os du
pied
droit, ce qui produit l'effet d'un certain arrêt
t supérieur aux animaux, c'est entendu. Il parle, il pos- sède deux
pieds
, deux mains, il en diffère assurément par beaucou
iquelemomentpendantlequella têteétait en haut et par conséquent les
pieds
en bas; la qua- trième marque le moment où l'
s'est développée dans la sphère des nersspéro- niers accompagnée de
pied
équin des deux côtés, par suite de la contractu
nt améliorés. Elle commença à élever et à remuer plus librement les
pieds
; l'atrophie disparut presque complètement; et
en descendant, la sensibilité baisse, de sorte que les plantes des
pieds
ne perçoivent que la différence de 7°. Mais la
e (aphémie), à l'insula celui-ci n'étant fixé, sur le schéma, qu'au
pied
de la troisième circonvolution fron- tale. On r
fron- tale. On remarquera que le centre cortical de l'aphémie, au
pied
de la troisième frontale, est en rapport intime a
la parole (grand hypoglosse) et de la mimique (facial inférieur) au
pied
de la frontale ascendante; le premier centre si
sie, amnésie verbale mo- trice graphique', a son centre cortical au
pied
de la deuxième circonvolution frontale gauche (
ns l'attention sur la connexion du centre cortical de l'agraphie au
pied
de la deu- xième frontale avec le centre cortic
n- dante où nous le figurons, en un point, qui répond en avant au
pied
de la deuxième circonvolution frontale'. Le centr
arcot et Pitres. On place le centre cortical du grand hypoglosse au
pied
de la circonvolution frontale ascendante, d'apr
ernement et progression des troubles paralytiques. Mal perforant du
pied
dans les derniers temps de la vie. -- Mort. C
t tout à fait inconscient. Un matin, à la visite, on nous montre le
pied
gauche de C... et nous constatons au niveau de
blement d'origine alcoolique); pas d'altérations de la moelle. Le
pied
fut examiné avec soin et nous pûmes voir qu'il s'
es voir qu'il s'agissait bien dans notre cas, d'un mal perforant du
pied
. Toutefois, nous ne pûmes constater aucune alté
nstater aucune altération de l'os ni du périoste ; les vaisseaux du
pied
ne nous parurent pas présenter d'altérations. R
, mais que nous n'avons pas rencontré d'altération des vaisseaux du
pied
. Notre observation paraît plutôt se rapprocher
ou en la secouant énergiquement. Elle est échevelée, à peine vêtue,
pieds
nus ; faciès halluciné, mobilité excessive, act
du corps opto-strié gauche, petit ramollissement siégeant sur le
pied
de la deuxième frontale gauche, immédiatement en
grossesse. Elle avait été vivement impressionnée par l'as- pect du
pied
de ce dernier, qui était tourné en dedans. Le D
es mouvements bilatéraux dans les quatre extrémités, aux mains, aux
pieds
,' aux doigts, aux orteils. C'est de 1'tithétose
ls passent aussi facilement à l'état tonique; on trouve souvent les
pieds
immobi- lisés pendant un assez long temps en si
s à marcher à l'âge de cinq ans; mais, dans ces derniers temps, son
pied
bot intermittent parait avoir nui à sa marche.
auxquelles succéda l'immobilisation par con- tracture ; ici aussi,
pied
bot équin. L'excitabilité électrique des muscle
ièvre typhoïde, il s'est pro- duit une contracture dans une jambe ;
pied
bot varus-équin ; forte atrophie du jambier ant
urs une ataxie très marquée avec paresthésies dans les mains et les
pieds
, bientôt compliquées de paralysie de la motilit
mouvements et sous l'influence des émotions; tremblement dans les
pieds
, faiblesse musculaire généralisée, apathie, amnés
me de véritables barres de fer et frottait le sol sur- tout avec le
pied
droit, qui était plus affecté : ce qui contribuai
ve aussi presque toutes les fois qu'il commence à se mettre sur ses
pieds
et à marcher après être resté assis longtemps sur
roit par le procédé élémentaire, c'est-à-dire la brusque flexion du
pied
. Impossible de la provoquer au membre gauche sa
e gauche sans faire marcher le malade avant l'essai, et encore le
pied
ne trépide que très peu. Le malade a quelquefois
température contact) au membre droit, surtout à la région du dos du
pied
qui est presque complètement anesthésiée : à ga
semble très légèrement affectée. Par le toucher, on constate que le
pied
droit est plus froid que le gauche et il présen
la peau et particulièrement par le chatouillement de la plante du
pied
augmentent considérablement. Le phénomène du geno
s membres paralytiques sont très raides.- Par une légère flexion du
pied
, on voit se développer la trépidation épileptoï
faire cesser le tremblement, il faut fortement fléchir le pouce du
pied
. La sensibilité se trouve affectée seulement so
tions de la peau et surtout par le chatouillement de la plante du
pied
se trouvent augmentés. L'exaltation du réflexe ro
spiration brusque et de caractère spastique. Une seule flexion du
pied
suffit pour provoquer la trépidation épileptoïd
citations de la peau, surtout par le chatouillement de la plante du
pied
, beaucoup plus à droite. Le phénomène du genou
de boite, il traîne ses jambes, il frotte le sol en marchant et ses
pieds
tremblent, sur- tout au réveil et sous l'influe
erses excitations et surtout par le chatouillement de la plante des
pieds
, ont été trouvés exaltés. Le phénomène du genou
n suivant la droite dans la même direction. Une légère flexion du
pied
suffit pour faire paraître l'épilepsie DES ACCI
faire cesser le tremblement, il faut fortement fléchir le pouce du
pied
. L'épilepsie spinale existe aussi spontanément
n il se force, rien ne sort. Ace moment, il est pris à l'arrière du
pied
gauche d'un fourmillement très fort, qui rapide
er 1874, il a pu marcher à l'aide d'un bâton seule- ment ; mais ses
pieds
étaient toujours très lourds et agités d'un tre
par le massage des muscles antagonistes. Par une légère flexion des
pieds
, on provoque l'épilepsie spinale, qui, une fois
mmencée, ne cesse qu'après avoir fortement fait fléchir le pouce du
pied
. L'épilepsie spinale existe aussi spontanée, su
ons étranges du membre gauche ; hyperesthésie au froid au niveau du
pied
corres- pondant. Nicolas Lagos, trente-deux a
liens des deux côtés, mais surtout à gauche. Une seule flexion du
pied
gauche suffit pour déterminer la tré- pidation
alade et encore faire plusieurs essais pour obtenir le phénomène du
pied
. Le malade est tourmenté de secousses, surtout
implement son membre gauche, alors il sent depuis le genou jusqu'au
pied
une sensation désagréable de picotement. Cette
roite. Il y a aussi une hyperesthésie exquise au froid au niveau du
pied
gauche. Il n'y a pas trace d'atrophie; les memb
alaxation des muscles anta- gonistes. Pour peu qu'on fléchisse le
pied
sur la jambe, soit le gauche, soit le droit, on
e des deux côtés. Il s'avance alors en soulevant lour- dement les
pieds
et en frappant le sol ; le tronc est incliné
à gauche et les deux genoux co- gnent l'un contre l'autre, les
pieds
étant notablement écartés, au con- traire.
scissure frontale, d'autre part avec elle-même et divise en bas le
pied
de la troisième circonvo- lution frontale. La
lle-ci, moyennement développée, présente également, surtout sur son
pied
, des traces de méningo- encéphalite, mais moins
dans la deuxième scissure frontale et isolant ainsi complètement le
pied
de la troisième circonvolution frontale du cap et
ssage dont il vient d'être question. La troisième frontale, dont le
pied
et la moitié du cap sont relativement assez dév
e paracentral. Elle empiète aussi, d'après quelques auteurs, sur le
pied
des circonvolutions fron- tales. MM. Charcot et
ans leur plus récent travail, ont cependant placé avec Nothnagel le
pied
des circonvolu- tions frontales dans la zone la
irconvolu- tions frontales dans la zone latente, sauf évidemment le
pied
de la troisième frontale (aphémie) et de la deu
'après cet auteur, toute la partie de l'écorce située en arrière du
pied
des cir- convolutions frontales. La zone motric
olomin métho- clique. Paris, 1878. DE L'AXE CÉRÉBRO-SPINAL. 253
pied
des frontales ; la frontale, par la frontale asce
fibres centrifuges, qui descendraient dans le segment interne du
pied
du pédoncule et s'arrêteraient à la protubérance.
Ces fibres indirectes sont de deux ordres et vont : 1° les unes, du
pied
du pédoncule aux noyaux du corps strié en suivant
e). C'est le faisceau de fibres partant des cellules de l'écorce du
pied
de la troisième circonvolution frontale gauche
j. I, fig. 3, jaune), de même que les fibres parties de l'écorce du
pied
de la deuxième frontale, siège de l'agraphie, f
ts anatomo-cliniques (lésions, engendrant l'aphémie, de l'écorce au
pied
de la troisième frontale, lésions du faisceau p
rice du trijumeau). Du centre cortical d'origine de ce faisceau, au
pied
de la frontale ' Bitot.- Sur la capsule interne
l'axe cérébro-spinal 257 ascendante en empiétant légèrement sur le
pied
de la pariétale ascendante (PL. I, fig. i, vert
réelle bulbaire à ces noyaux, mais bien une origine corticale, au
pied
de la circonvolution frontale ascendante. ' Ray
destructive supérieur ! ; : au pédoncule, dans la partie moyenne du
pied
du pédoncule ; à la protubérance, la dégénéresc
el, né à la région cortico-frontale, se place au segment interne du
pied
du pédoncule; le faisceau sensitif aboutissant à
remarque tout à coup qu'un agent de police la toise de la tête aux
pieds
, et qu'en la regardant, celui-ci touche d'une m
rts du malade de l'OBSEIiVATIONVIIl, lesquels ayant commencé par le
pied
gauche et suivi une marche rapidement ascendant
ons de la peau, et surtout par le cha- touillement de la plante des
pieds
, se trouvent égale- ment avoir augmenté plus ou
us les paraplégiques, par l'emploi des sca- phandres, tremblent des
pieds
ou ont tremblé- s'ils sont presque ou tout à fa
un coup d'oeil sur l'historique de cette observation, on lira « ses
pieds
« tremblent surtout au réveil et sôus l'influen
faradisation, pincement de la peau, chatouillement de la plante des
pieds
, ex- tension du grand doigt de pied, etc., etc.
hatouillement de la plante des pieds, ex- tension du grand doigt de
pied
, etc., etc. Souvent la trépidation est tellemen
qu'il fallait fortement et brusquement fléchir le grand doigt du
pied
pour faire cesser le tremblement involonlaire.
nd à pro- gresser et à aller jusqu'à la contracture permanente au
pied
bot spasmodique. Bref, l'évolution du syn- drom
.DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 365 le genou jusqu'au
pied
. Ce même membre était le siège d'une hypéresthé
is sur douze observations a). le malade de t'OBSERVATiON I avait le
pied
droit froid en même temps que sa couleur était
es, douleurs en ceinture, chatouillement très fort si la plante des
pieds
, anesthésie en plaques, signe de Romberg. Trait
est pris très souvent d'un chatouillement très fort à la plante des
pieds
, et dont il se plaint beaucoup. Il y a au niveau
s content,d'être débarrassé de ce chatouille- ment de la plante des
pieds
qui lui était si désagiéable. La fermeture des
iveau de la partie supé- rieure du jarret et la troisième au dos du
pied
. Le malade, étant dans le lit, perd la notion d
lorsqu'il ferme les yeux. Si on commande au malade d'approcher les
pieds
à la station debout et de fermer les yeux, il e
bles trophiques. Sauf un certain degré d'hypéridrose à la plante du
pied
gauche, il n'y a pas d'autres troubles vaso-mot
nesthésie en plaques. Exaltation des réflexes rotuliens, clonus des
pieds
spontané et provoqué. Secousses. Discampsie art
sont, eux aussi, troublés; en effet, ses membres sont froids et son
pied
droit est affecté d'anidrose. Il n'a pas sué depu
l n'a pas sué depuis son accident. Il n'en est pas de même pour son
pied
gauche. La nutrition musculaire ne laisse rien
de sorte que le 9 décembre, il a pu se tenir debout et marcher, les
pieds
trem- blants, à l'aide d'un bâton. ce moment, i
moins fréquentes, moins intenses et moins durables. Le clonus des
pieds
qui existe spontané, nous l'avons dit, peut êtr
urines et de selles, secousses, clonus des 384 CLINIQUE NERVEUSE.
pieds
, contractures passagères, crises de douleurs fulg
urs sui- vants, le malade avait des secousses et du tremblement aux
pieds
. Le 17 avril, il a pu marcher sans appui, mais
q ans) qu'on suit l'histoire de ce malade. Il traînait toujours les
pieds
qui, de temps en temps, frottaient le sol et s'ag
malade est nette- ment spasmodique, il s'appuie un peu plus sur le
pied
gauche pour soulever sa hanche droite et, de ce
constatable par les procédés les plus élémen- taires. Le clonus des
pieds
existe aussi bien spontané que provoqué, surtou
Il n'y a pas d'atrophie musculaire, sauf une anidrose complète des
pieds
qui existe même quand il fait très chaud; il n'y
hypertome, plus accusée dans les membres inférieurs et le clonus du
pied
. Une diminution du toucher peu accusée dans les m
r, une diminution très accu- sée de la sensibilité thermique sur le
pied
et diminuant vers les cuisses, où elle est norm
Ces mouvements circulaires étaient limités en étendue, environ six
pieds
de diamètre. La marche était quelquefois chance
t gros. Les mains sont épaisse-, pseudo-oedémateuses, ainsi que les
pieds
, mais ceux-ci à un moindre degré. Le ventre est
embres supérieurs et intérieurs sont gros, courts; les mains et les
pieds
offrent les caractères classiques. La parole es
28 434 REVUE DE PATHOLOGE NERVEUSE. mateuses; 8° les mains et les
pieds
sont épais, boursouflés, comme oedémateux, bien
ent généralement par une alté- ration qui englobe : couche optique,
pied
de la couronne rayon- nante, partie limitrophe
asile. Enfin, il n'est pas besoin que l'aliéné se lève et mette les
pieds
à terre pour se tuer ; il se peut tuer sans bru
ité judiciaire, voilà la vérité légale, que la commission foule aux
pieds
... M. Delsol. Ce que vous dites est exact en ma
lies de développements multiples, gueule de loup, coeur à droite,
pied
droit antérieur en varus, quelques orteils de cet
ymétrie faciale, prosnatisme, arrêt de développe- ment des membres,
pied
bot, lésions des organes génitaux uri- naires.
rombrose des sinus veineux de la dure-mère. Paolidès : tubétique du
pied
. Furet : Contribution « l'élude de l'hystérie d
échissent, tout en conservant leur rigidité, et s'entre-croisent. Les
pieds
participent à la contracture et les orteils sont
s. Les membres inférieurs sont dans l'extension forcée, y compris les
pieds
. Tout le corps, en un mot, est rigide et absolume
x et les y fixant à l'aide de clous qui traversaient les mains et les
pieds
. Ces « saintes » qui se laissaient plus ou moins
'écoulait pas de sang quand on enfonçait les clous dans la main et le
pied
du côté gauche, tandis qu'elles semblaient souffr
ent souffrir et perdaient du sang quand on transperçait la main et 1@
pied
du côté droit. Sachant aujourd'hui que les hys-
plaies au côté de la poitrine, de s'enfoncer des clous au travers des
pieds
et des mains. Il y a là les éléments d'une curieu
bien des fois renouvelé et toujours identique, elle serait revenue à
pied
de Toulouse à Paris, vêtue de l'uniforme de l'asi
se livre à une espèce de danse singulière : elle saute en l'air, les
pieds
abandonnent le sol en même temps: elle jette la t
igide ; il est impossible d'imprimer des mouvements aux jointures; le
pied
a l'attitude du pied bot varus équin. La flexion
ible d'imprimer des mouvements aux jointures; le pied a l'attitude du
pied
bot varus équin. La flexion dorsale du gros ortei
ection de l'infirmerie générale.— 25 fév. — Contorsions. Mars. — Le
pied
droit, contracture après des attaques survenues l
incessant de mouvement, saute partout, danse, se tient debout sur le
pied
de son lit, cherche à embrasser, lève ses jupes,
xtension ; la hanche, - le genou, le coude-pied sont très-rigides; le
pied
est en varus équin; les muscles se dessinent d'un
remarque que la contracture a diminué-dans la hanche et le genou. Le
pied
conserve la même attitude et reste rigide. 13 f
ative des deux régions ovariennes: il existe une double ovaralgie. Le
pied
est redevenu libre: par conséquent le membre infé
entes reprises, dans ses attaques, G-... s'est donné des entorses des
pieds
ou des poignets, s'est fait des fractures, etc. Q
es bras et dans les jambes qui étaient rigides et à demi-fléchies;les
pieds
avaient i'attitude du pied bot varus équin. L'ext
ui étaient rigides et à demi-fléchies;les pieds avaient i'attitude du
pied
bot varus équin. L'extension a fait cesser les se
res 45. — Lebras et la jambe du côté droit sont absolument libres; le
pied
est normal. Bientôt l'épaule et le coude, à gauch
s. — Les membres inférieurs sont dans l'extension et l'adduction; les
pieds
en varus équin. Puis, congestion de la face, re
nuque et le talon droit, car le membre inférieur gauche, y compris le
pied
, est soulevé au-dessus du lit. G... conserve cett
s lequel la face est elle-même dirigée. Tout le corps est rigide. Les
pieds
sont envarus équin.La jambe droite est allongée,
Les membres inférieurs sont rigides, le gauche croisant le droit; les
pieds
sont en varus équin. Compression ovarienne.— La
alade appuie la région hyperesthésiée contre un corps quelconque, les
pieds
de son lit, le mur, etc., les effets sont les mêm
des bras (les doigts s'écartent), ou bien les secousses soulèvent les
pieds
(la malade est assise dans un fauteuil). Ces seco
d'autres fois, elle se met debout sur son lit, n'appuyant qu'un seul
pied
, étendant l'un des bras comme si elle prêchait ou
due par un chien, lorsqu'elle se plaint qu'on lui tire la jambe ou le
pied
? Quant au souvenir des faits d'ordre moral, rien
ui serait arrivé d'autres aventures. Ensuite, elle se serait rendue à
pied
de Bruxelles à Bois d'Haine qu'elle atteignit tro
raient moqués d'elle. Enfin, elle serait revenue à Paris, voyageant à
pied
et couchant dans les bois. Nous ne donnons ces dé
ènes cardiaques, M... a été prise d'une contracture de la jambe et du
pied
gauches. La marche était impossible tant le pied
re de la jambe et du pied gauches. La marche était impossible tant le
pied
était dévié et la jambe pesante. La contracture a
étend que sa jambe est devenue progressivement moins lourde et que le
pied
, qui était en varus équin, s'est remis en deux te
et. — Hier soir, lors de la dernière friction, on s'est aperçu que le
pied
gauche était contracture ; le genou et la hanche
se est légèrement fléchie sur le bassin et la jambe sur la cuisse; le
pied
est en varus équin ; les orteils sont énergiqueme
s avons vu que, pour le membre inférieur, elle aurait commencé par le
pied
. On note encore, depuis trois jours, et non d'u
fléchie sur le bassin; la jambe est à angle droit sur la cuisse et le
pied
en varus équin très-accentué. M... souffre consta
à la tête du lit) ; 2° les hras, la poitrine (et vont s'attacher aux
pieds
du lit). De plus, le tronc est maintenu par des b
bandes transversales, attachées aux parties latérales du lit, et les
pieds
par des liens fixés aux barreaux voisins du lit.
à moi... là,...au cœur...Ce petit était si drôle!.. (Elle embrasse le
pied
du lit, pleure). Oh ! mon Dieu ! si j'avais encor
, je ne fais pas de mal... » Elle regarde sous son lit : « Il y a des
pieds
sous mon lit... des pieds d'Ernest!... Il me tena
» Elle regarde sous son lit : « Il y a des pieds sous mon lit... des
pieds
d'Ernest!... Il me tenait dans ses bras... On éte
ignit le gaz... on faisait brûler le punch. » Alors, elle revient aux
pieds
du lit, pleure : « C'est embêtant !» Elle prend s
jointes ; puis, elle se balance lentement ; marche sur la pointe des
pieds
, va embrasser une de ses compagnes , reste debout
vingt minutes. En 1875, nous avons observé : 3° une contracture du
pied
gauche, puis de tout le membre inférieur, enfin,
cée par des secousses et s'est constituée lentement, débutant, par le
pied
et la main, et gagnant ultérieurement les autres
heures. b) Les crampes siègent principalement dans les mains et les
pieds
, surtout à droite ; elles maintiennent, durant un
e le membre inférieur ; si, alors, la malade est assise, on entend le
pied
battre le parquet de petits coups secs, qui se su
ition durant plusieurs minutes. Fait-on reposer la malade sur un seul
pied
, elle s'y tient pendant trois, quatre minutes ou
embre inférieur gauche, 118, 122, 126, 126. — droit, 59, 62, 83. — du
pied
, 60. 121 — du col de la vessie, 93. (V. Torticoli
e citoyen arrêta enfin sa course; mais, dans ce moment, il tomba au
pied
d'un arbre; il 1 Ces cas se trouvent rapportés
une forme dangereuse, sous celle de spasmes dans le bras et dans le
pied
gauche, légers d'abord, plus violents ensuite,
ntairement de droite à gauche, en avant, en arrière ; le bras et le
pied
du côté gauche ne discontinuaient non plus de re-
involontairement. En marchant, il décrivait toujours un arc avec le
pied
gauche, tournant le poing en dehors, et, debout,
par se changer en simples tressaillements des muscles du bras et du
pied
du côté souffrant. Ce tressaillement ne le quit
itter sa chaise de poste pour faire quelques minutes d'exer- cice à
pied
, quand, tout à coup, il sentit que le mouvement d
surmon- table. Il arrivait quelquefois que, saisi d'un paroxysme au
pied
de l'escalier, il montait en ligne droite avec
nt la perte de connaissance, une bouffée de chaleur lui montant des
pieds
à la tête, le long de la colonne vertébrale.
endant qu'elle était à l'école, elle se dressait subitement sur ses
pieds
et faisait plu- sieurs fois le tour de la class
il dit ressentir un engourdissement qui, partant de l'extrémité du
pied
droit, occuperait la face externe et dorsale de
ée ou suivie d'une sorte de tapotement des mains, des coudes ou des
pieds
et sur le caractère duquel nous aurons à reveni
nt quinze minutes qui laissèrent à leur suite une dé- formation des
pieds
; à sept ans, nouvelles convulsions durant une j
ulsions durant une journée qui auraient corrigé la malformation des
pieds
( ? ). 5° fausse couche à quatre mois, attribué
otite, ni ophthalmie, ni vers, etc Il serait sujet à transpirer des
pieds
et aurait un durillon sous le pied. Pas d'onanism
l serait sujet à transpirer des pieds et aurait un durillon sous le
pied
. Pas d'onanisme, pas de rapports sexuels. ;l2
s ordinaires et les accès procursifs éprouverait, sous la plante du
pied
gauche, un chatouillement qui remonterait jusqu
u gros orteil, soit par une pression circulaire au-dessus du cou de
pied
L'aura semble du reste être d'assez longue duré
itôt le membre inférieur gauche est pris de mou- vements rapides du
pied
tapant le sol (160 tapotements à la minute) qui
hébété pendant 2 à 3 minutes, parlant avec peine, puis reprend son
pied
déchaussé pour montrer son durillon. A 10 h.
Jdl'otlté- rapie. 1886. 8 novembre. - Inflammation du durillon du
pied
gauche. - Le durillon est enlevé. 1887. 25 ja
. - Vall... est pris d'un accès. Il ressent t un engourdissement du
pied
gauche, cherche à empêcher l'accès au moyen de
out le corps, les membres infé- rieurs fléchissent un peu, mais les
pieds
ne quittent pas le sol ; la face est pâle, les
in gauche la cuisse gauche, puis survient un tapotement du talon du
pied
gauche, la pointe du pied res- tant fixe, suivi
, puis survient un tapotement du talon du pied gauche, la pointe du
pied
res- tant fixe, suivie d'une inclinaison à gauc
r- dinaires. On ne saurait dire si l'extirpation du durillon du
pied
gauche a eu une influence sur le nombre des acc
sous de ceux-ci jusqu'à la scissure de Sylvius; elle sépare ici le
pied
de la troisième frontale de la circonvolution fro
e inférieurement située à un demi-cen- timètre environ au-dessus du
pied
de la circonvolution. Dans son ensemble, le lob
oitié antérieure. - La troisième circonvolution frontale possède un
pied
grêle; son cap est subdivisé en trois parties p
voie un prolongement très volumineux au pli pariétal inférieur au
pied
de la scissure de Sylvius; elle a également en av
a salle de l'infirmerie, va à un lit vide, essaie de l'ouvrir parle
pied
, finit enfin par relever le drap et se couche s
Viss... se levait, marchait ou non et donnait de violents coups de
pieds
, ou de violents coups de mains; tantôt dans le
organes abdominaux sont normaux. Le malade, les yeux fermés et les
pieds
rapprochés l'un de l'autre, a quelque peine à s
supérieures et inférieures sont bien développées ; les mains et les
pieds
sont cyanosés, froids. - Sur les bras, cica- tr
r les bras, cica- trices de vaccin ; trois cicatrices sur le dos du
pied
gauche : une près de la rotule à gauche. - Péri
ante; elle envoie deux rameaux ascendants antérieurs, l'un entre le
pied
de la troisième circonvolution fronlale et la c
fronlale et la circonvolution frontale ascendante, l'autre entre le
pied
et la partie triangulaire de la troisième circo
on quart inférieur un pli antéro-inférieur qui va se perdre dans le
pied
de la circonvolution frontale ascen- dante. - L
a troisième frontale qui est bien développée, mais irrégulière, son
pied
se confond avec celui de la frontale ascendante.
s deux cô- tés. Il s'avance alors en soulevant lour- dement les
pieds
et en frappant le sol; le tronc est incliné
à gauche et les deux genoux co- gnent l'un contre l'autre, les
pieds
étant notablement écartés, au con- traire.
scissure frontale, d'autre part avec elle-même et divise en bas le
pied
de la troisième circonvo- lution frontale. La
lle-ci, moyennement développée, présente également, surtout sur son
pied
, des traces de méningo- encéphalite, mais moins
dans la deuxième scissure frontale et isolant ainsi complètement le
pied
de la troisième circonvolution frontale du cap et
ssage dont il vient d'être question. La troisième frontale, dont le
pied
et la moitié du cap sont relativement assez dév
Ces mouvements circulaires étaient limités en étendue, environ six
pieds
de diamètre. La marche était quelquefois chance
igts en mouvement. Le corps se tortille, les genoux se touchent, le
pied
ne repose que sur sa partie antérieure; les tal
partie antérieure; les talons sont fortement relevés, la pointe du
pied
droit se dirige un peu en dedans. Il arrive à sui
membres inférieurs, ils conser- vent leur même degré de flexion. Le
pied
droit n'appuie que sur son tiers antérieur et s
que sur son tiers antérieur et sa pointe est tournée en dedans; le
pied
gauche tourné en dehors, porte davantage et il
projection des ataxiques. La seule analogie consiste en ce que les
pieds
se soulèvent plus que de raison. Le malade a un
l n'y a pas d'épilepsie spinale. Le chatouillement de la plante des
pieds
produit des mou- vements réflexes considérables
traire, la contraction des muscles. - Dern... peut toucher avec ses
pieds
la main de l'observateur sans qu'il y ait erreur
ntradiction avec l'examen. Le malade étant levé, on le fait marcher
pieds
nus. On constate alors que le talon gauche, qui
ois toucher le sol, reste élevé et que les orteils, surtout ceux du
pied
droit, sont[animés.de mouvements d'athétose. Le s
a les yeux ouverts. Il déclare mieux marcher avec ses souliers que
pieds
nus. Observation II. - Père très nerveux, sujet
du son père quand elle avait sept ans : « J'ai été menée à coups de
pieds
, à coups de poings, chez l'un, chez l'autre, à
rochés, les jambes un peu fléchies sur les cuisses; les pointes des
pieds
fortement portées en dedans se touchent. On ne pe
la marche, qui n'est possible qu'avec un aide, Lem... sou- lève les
pieds
plus qu'il n'est nécessaire, appuie le pied gauch
, Lem... sou- lève les pieds plus qu'il n'est nécessaire, appuie le
pied
gauche sur l'avanl-pied et son bord externe; le
ire, appuie le pied gauche sur l'avanl-pied et son bord externe; le
pied
droit, qui se soulève plus haut que le gauche,
mètre Mathieu moyen, on trouve 5 des deux côtés. Dans la marche à
pieds
nus, on constate de nouveau que les pieds s'élè
côtés. Dans la marche à pieds nus, on constate de nouveau que les
pieds
s'élèvent outre mesure, que les talons, surtout l
es supérieurs est élevé, servant en quelque sorte de balancier. Les
pieds
se sou- lèvent parfois plus haut qu'il ne convi
e, qui sont très évidents aux orteils, lorsque les malades marchent
pieds
nus, ce qu'ils déclarent moinsbien faire qu'avec
es membres inférieurs, si l'athétosique et l'ataxique soulèvent les
pieds
plus qu'il ne convient, l'athétosique ne projet
V. Imbécillité ; malformations congénitales des deux mains et du
pied
gauche ; polysarcie ; Par BOURNEVILLE et RAOCLT
e assez considérable d'exemples de malforma- tions des mains et des
pieds
qui doivent faire l'objet d'un petit travail d'
ystagmus, myopie. - Malformations des doigts des deux mains et du
pied
gauche. (Polydactylie). Esn. Marie, âgée de 16
re attribue les difformités que sa fille présente aux mains et à un
pied
, à l'impression vive et persistante produite sur
ainsi que les jambes; les mollets ont 43 cent. de circonférence.
Pieds
. Pied droit normal. Pied gauche : Les quatre pre-
que les jambes; les mollets ont 43 cent. de circonférence. Pieds.
Pied
droit normal. Pied gauche : Les quatre pre- mie
es mollets ont 43 cent. de circonférence. Pieds. Pied droit normal.
Pied
gauche : Les quatre pre- miers orteils sont nor
inte à l'âge de trois ans. Quant aux malformations des doigts et du
pied
gauche, la description que nous en avons donnée
s cesse en augmentant et ont gagné le creux poplité, la jambe et le
pied
. Ces douleurs avaient les caractères suivants :
l'autre dans la région dorsale et à concavité gauche. La plante des
pieds
porte à terre de deux côtés, mais appuie davant
e de la jambe jusqu'à la partie postérieure de la région dorsale du
pied
. La pre,sion exagère la douleur aux points fess
r aux points fessier, trochantérien, poplité, péronier et dorsal du
pied
. Les douleurs irradient dans la région crurale
avité droite, l'autre supérieure, à concavité gauche. La plante des
pieds
repose des deux côtés sur le sol. On ne peut pa
FORMATION DU TRONC. 9 trochantérien, poplité, péronier et dorsal du
pied
. D'autre part, les mouvements actifs et passifs
e externe jusque dans la région lombaire et n'occupe pas du tout le
pied
; elle est continue et sourde, mais très violemm
lusivement sur le membre inférieur gauclie ; cependant la plante du
pied
droit est dans toute son étendue en contact int
ême une feuille de papier, entre le sol et le talon ou la pointe du
pied
droit. La malade étant debout, les talons écart
bord costal droit touche la crête illiaque correspondante. Les deux
pieds
portent à terre dans toute leur étendue. Il y a
jambe droite est légèrement fléchie sur la cuisse, et la plante des
pieds
porte à terre de deux côtés mais appuie davanta
ntage à droite. Dans l'OBSERVATiON II il est noté que la plante des
pieds
repose des deux côtés sur le sol. Dans l'OBSERV
que exclusivement sur le membre inférieur gauche, mais la plante du
pied
droit est dans toute son étendue en contact int
me une feuille de papier, entre le sol -et le talon ou la pointe du
pied
droit (il s'agit d'une sciatique droite). Dans
t (il s'agit d'une sciatique droite). Dans l'OBSERVATION V les deux
pieds
portent à terre dans toute leur étendue. Dans l
endue. Dans l'OasERVATiON IV il n'est pas fait mention de l'état du
pied
. En somme, comme on le voit dans toutes les obs
ons où l'attention a été dirigée de ce côté, on a constaté que le
pied
du côté malade, quoique appuyant sur le sol ave
tout en évitant d'exercer une pression du côté affecté, laisse son
pied
22 ) PATHOLOGIE NERVEUSE. complètement appliq
côté opposé ci la sciatique et l'absence complète de soulèvement du
pied
du côté malade. Il s'agit donc là simplement d'
har- monie de l'acte fonctionnel toutes les fois que la plante du
pied
pose sur le sol, c'est-à-dire lorsque les im- p
de ces mem- bres, le malade peut se lever, mais, dès qu'il a les
pieds
à terre, il ne peut se tenir debout ou marcher;
ments désordonnés, il arrive enfin que la progression, en sautant à
pieds
joints ou en sautant à cloche-pied, est possibl
eul de prendre un segment de membre. Il n'y a pas de trépidation du
pied
, ni trace de contracture. On fait descendre la
en effet, les membres inférieurs restent accolés l'un à l'autre. Le
pied
droit se détache cependant et se porte en avant,
se produit pas. Lorsqu'on lui dit de sauter, elle esquisse un saut
pieds
joints, mais ne va pas jusqu'au bout. Il est à
ait se servir de ses jambes et sautait comme une pie, tantôt sur un
pied
, tantôt sur un autre, parcourant ainsi toute la
on lui ordonne d'exécuter divers mouve- ments, tels que projeter le
pied
en avant comme pour donner un coup de pied, ten
onner un coup de pied, tenir les jambes horizontalement, mettre les
pieds
sur les barreaux de la chaise, croiser les jamb
ait pas marcher, ni même se tenir sur ses 00 PATHOLOGIE NERVEUSE.
pieds
. Pendant les jours suivants il renouvela à divers
, il souffrit de douleurs avec léger gonflement à l'articulation du
pied
gauche; ces douleurs se cal- mèrent après un ce
endu sur un lit, le malade essayait de-- mouvements variés avec les
pieds
, il allongeait et ramenait ses cuisses ensemble e
ueur et sans désordre. Invité à marcher dans la chambre, il mit les
pieds
à terre, mais il ne put pas se tenir sur ses jamb
membres inférieurs bien coor- donnés, lorsqne cet enfant était sur
pied
on constatait une impuis- sance motrice qui fai
lexes rotuliens sont exagérés; on ne peut démontrer le phénomène du
pied
. On met le malade à terre : il se tient les gen
un léger frôlement ou chatouillement, surtout celui de la plante du
pied
, sont suivis de sensations désagréables et de s
taient fléchis tout le corps était projeté en l'air l'aide des deux
pieds
, et ainsi se succédaient un certain nombre de s
daient un certain nombre de sauts très réguliers, dans lesquels les
pieds
quittaient le sol. A proprement parler c'était
e tout le corps, les bras y compris, surtout à gauche. Le clonus du
pied
n'existe pas. Il n'y a aucune modification de
res ne sont pas rigides. La flexion du genou a lieu au moment où le
pied
est posé sur le sol. En conséquence l'axe du co
l. il a lieu en avant. Le saut se fait sans exception, la plante du
pied
tout entière restant sur le sol. Il ne survient
pied tout entière restant sur le sol. Il ne survient pas, quand le
pied
porte sur la pointe, ni quand le corps est éten
Alors le coeur bat, et le visage rougit. L'application ordinaire du
pied
sur le sol ou bien la percussion de la plante d
ordinaire du pied sur le sol ou bien la percussion de la plante du
pied
par un corps dur, par exemple dans le lit contre
marcher, les symptômes sus-énumérés s'acceuluer. La malade porte un
pied
en avant puis en arrière, piétinant sur place s
'secousses sont inégales, et se produisent sur les deux jambes. Les
pieds
ne traînent pas sur le sol comme pour les para-
morte : on la remua, elle ne le sentit point; on lui approcha du
pied
une chandelle avec laquelle on la bt ûld sans qu'
a des nouvelles du sabbat ; elle accusa alors une grande douleur au
pied
, sans pouvoir dire d'où cela lui venait. » En
sulfate d'atropine. La réap- parilion se fit d'abord au niveau des
pieds
, qui devinrent sensi- bles à la piqûre ; pendan
es réflexes rotuliens sont très exagérés et le simple relèvement du
pied
donne lieu à la tré- pidation spinale. Cette tr
attaques épileptoïdes. Gangrène spontanée de tous les orteils du
pied
droit. Démence, marasme. Mort après sept ans de m
se remit à manger et à boire comme par le passé; mais soudain, ses
pieds
enflèrent si fortement, qu'il ne put dès lors f
uite de cet accident, il recouvra enfin la raison, et, une fois son
pied
guéri, il reprit les rênes de son épiscopat.
ravail et l'insuffisance du sommeil, le malade se rendit chez lui à
pied
vers la Noël. Après avoir fait plusieurs kilomètr
ule supérieure, par exemple, ne perçoit qu'un seul attouchement les
pieds
du compas étant écartés de cinq centimètres, ta
cartés de cinq centimètres, tandis qu'en plaçant à tour de rôle les
pieds
du compas sur les mêmes^endroits le malade indi
ême la moitié gauche du thorax (en haut jusqu'à la clavicule) et le
pied
gauche. Ici, comme à la face, le malade perçoit
Je dos de la main gauche, 2 centimètres et l'attouchement de chaque
pied
du compas séparément est très justement localis
cer un coup de pied, croiser ses jambes sous lui, atteindre avec le
pied
le but qu'on lui désigne, etc. De plus, les m
marche sont complètement impossibles. Dès qu'on met le malade sur
pied
, en le maintenant sous les ais- selles de chaqu
res infé- rieurs restent accolés l'un à l'autre sans raideur, les
pieds
se détachant à peine du sol ; ces mouvements n'
incertitude de la station et de la marche, figurant assez la marche
pieds
nus, sur un sol'rocailleux, chez des individus
s la majo- rité des cas, et il n'existe pas non plus de clonus du
pied
. Un point intéressant à relever, c'est que des
ue offre des particularités connues bien différentes (projection du
pied
en avant). Mais, surtout, le malade au repos of
rs de l'accès, tous les autres mouvements (saut, marche à cloche-
pied
) sont empêchés. L'erreur sera donc aisément évi
et si le malade est cou- ché, se manifestent aussitôt qu'il pose le
pied
à terre. Mais les désordres qui se produisent a
ent de nouveau à un certain degré quand on chatouille la plante des
pieds
ou quand on la presse fortement, phénomènes qui
nts de paraplégie spasmodique par le redressement de la pointe du
pied
. Il n'y aurait pas lieu de distinguer l'affecti
ce que les sauts ne se produisent pas immédiatement aussitôt que le
pied
a touché le sol, ne se continuent pas ensuite j
n en ce que ni la percus- sion ni le chatouillement de la plante du
pied
ne dé- terminent le phénomène. On différencie
nts avec leurs jambes lorsqu'on les tient de façon à ce que leurs
pieds
touchent le sol \ Vulpian remarque, à cette occ
lle boite en marchant, puis elle se décide à marcher en sautant les
pieds
rap- prochés. Quand on lui dit de se tenir debo
lle progresse très bien en marchant à quatre pattes et en sautant à
pieds
joints. Réveillée elle conserve l'impatience de
salle de l'infirmerie, va à un lit vide, essaie de l'ouvrir par le
pied
, finit enfin par relever le drap et se couche s
Viss... se levait, marchait ou non et donnait de violents coups de
pieds
, ou de violents coups de mains; tantôt dans le
organes abdominaux sont normaux. Le malade, les yeux fermés et les
pieds
rapprochés l'un de l'autre, a quelque peine à s
ssemblait à un sque- lette ou à un spectre ambulant. Constamment au
pied
des autels, elle ne voyait et n'aspirait qu'à l
de sulfate d'atropine. La réapparition se fit d'abord au niveau des
pieds
qui devinrent sensibles à la piqûre ; pendant p
qui dura dix-huit mois, d'où il sortit avec une : < paralysie du
pied
gauche ». La léthargie ne récidiva pas ainsi qu
de quarante-huit ans qui, à la suite d'une blessure de la plante du
pied
présenta, un tétanos généralisé avec crises de
uera toutefois qu'il est utile de donner à chaque malade huit cents
pieds
cubes d'air dans les salles du jour et les dort
n ceinture . Incertitude de la marche. Sensations de gonflement des
pieds
et de dénivellement. Signe de Rorn6eg. Excitati
abre au combat de Beaune-la-Rolande, il fut renversé et foulé aux
pieds
par des chevaux; mais ses blessures furent peu gr
qu'il lui était difficile de monter les escaliers ; il lançait ses
pieds
au delà du but à atteindre ; il s'entravait ; i
but à atteindre ; il s'entravait ; il n'avait plus d'équilibre. Ses
pieds
étaient le siège d'une sensation bizarre ; ils
ment, et dont voici les caractères : chaque fois qu'il appuyait les
pieds
par terre, il sentait le sol s'enfoncer de troi
timètres et c'est seulement après avoir subi cet enfoncement que le
pied
lui paraissait solidement fixe sur un plan rési
sûr de conserver l'équilibre, le corps voûté en avant. Il lance les
pieds
au delà du but à atteindre et laisse retomber f
La sensibilité cutanée est obtuse. Les piqûres pratiquées sur les
pieds
et les jambes sont perçues avec un léger retard e
me sensation d'affaisse- sement du sol que lorsqu'il appuie sur les
pieds
. Le chatouillement plantaire est bien perçu et
de chaleur sont mal appréciées. Un jour, le malade se chauffant les
pieds
devant le feu, laissa brûler ses chaussons sans
supérieures et inférieures sont bien développées ; les mains et les
pieds
sont cyanosés, froids. Sur les bras, cica- tric
r les bras, cica- trices de vaccin ; trois cicatrices sur le dos du
pied
gauche : une près de la rotule à gauche. Périon
nte ; elle envoie deux rameaux ascendants antérieurs, l'un entre le
pied
de la troisième circonvolution frontale et la c
frontale et la circonvolution frontale ascendante, l'autre entre le
pied
et la partie triangulaire de la troisième circo
on quart inférieur un pli antéro-inférieur qui va se perdre dans le
pied
de la circonvolution frontale ascen- dante. La
a troisième frontale qui est bien développée, mais irrégulière, son
pied
se confond avec celui de la frontale ascendante.
es supérieurs est élevé, servant en quelque sorte de balancier. Les
pieds
se sou- lèvent parfois plus haut qu'il ne convi
es membres inférieurs, si l'athétosique et l'ataxique soulèvent les
pieds
plus qu'il ne convient, l'athétosique ne projet
u genou; clonus podalique des deux côtés. Contraction paradoxale du
pied
gauche. Pas de syphilis. La maladie a débuté, à
idérable du phénomène du genou, une simple esquisse du phénomène du
pied
. A l'époque de l'admission, le pathétique droit
Franck a montré d'abord qu'il existe cinq centres distincts dans le
pied
de la couronne rayonnante de Reil, faisceaux bl
ment; puis l'auteur s'adresse à l'homme, et alors on entre de plein
pied
dans le domaine de la pathologie cérébrale. Il
é émétisée une fois et saignée deux. Je prescris deux syna-pismes aux
pieds
et une potion avec gomme ammoniaque, 1 gros, diss
mmation désorganisatrice (20 sangsues sur l'abdomen; 2 sinapismes aux
pieds
; bain conditionnel, qui n'a pas été donné, vu les
) J'ai examiné avec la plus grande attention la peau de la plante des
pieds
d'un ours ; les canaux épidermiques qui recouvren
s attentive : je les ai parfaitement vus chez l'homme à la plante des
pieds
. Comment des observateurs distingués ont-ils pu n
, au lieu d'être fléchies sur les cuisses, sont dans l'extension; les
pieds
PD, PG sont arcboutés contre la mâchoire inférieu
tuées dans le court intervalle qui sépare les jambes. La main et le
pied
du côté droit MDPD étaient bien plus vicieusement
droit MDPD étaient bien plus vicieusement r™*f©rmJo jue la main et le
pied
gauches MG^ PG. Le pied PD était complétp™=iit re
plus vicieusement r™*f©rmJo jue la main et le pied gauches MG^ PG. Le
pied
PD était complétp™=iit reverse sur le tibia : ce
MG^ PG. Le pied PD était complétp™=iit reverse sur le tibia : ce même
pied
atrophié avait r*» la widt^ de la longueur du p
tibia : ce même pied atrophié avait r*» la widt^ de la longueur du
pied
gauche PG. Le genou droit GD présentait [égalemen
quelette des deux extrémités inférieures et du bassin de ce fœtus. Le
pied
droit PD est vu par sa face dorsale, le pied gauc
u bassin de ce fœtus. Le pied droit PD est vu par sa face dorsale, le
pied
gauche PG par sa face plantaire. Les surfaces art
ité, à la longueur des ligamens latéraux de l'articulation. Les os du
pied
droit sont évidemment atrophiés. A la jambe, l'at
es à représenter l'état des parties molles et dures de la jambe et du
pied
d'un adulte pied-bot. Les figures i, 2, 5 sont de
le était r.m»*uriè*c cl fcûaaii iuus les jours un assez long trajet à
pied
. Je voulus connaître à fond l'état des parties mo
glissement de la peau sur cette tubérosité. La peau de la plante des
pieds
était ténue comme celle qui n'est pas sujette aux
i voulu voir si cette aponévrose était un obstacle au redressement du
pied
, ainsi que l'a avancé M. Maisonnabe ; mais il a é
ons que j'ai tous divisés sans avoir plus de facilité pour ramener le
pied
dans sa direction normale. D'ailleurs les muscles
ied dans sa direction normale. D'ailleurs les muscles de la plante du
pied
avaient conservé leur couleur naturelle et à peu
au calcanéum; C face postérieure du calcanéum ; FP face plantaire du
pied
. Fig. 5. Elle représente le pied ramené dans sa
u calcanéum ; FP face plantaire du pied. Fig. 5. Elle représente le
pied
ramené dans sa direction naturelle, la jambe étan
stime à un quart de cercle le mouvement de^ rotation qu'avait subi le
pied
autour de son axe pour la production de la diffor
placemens congéniaux, Pieds-bots. Examen anatomique des os dans les
pieds
- bots chez des individus de différens âges. — So
hoïdienne, l'autre TA qui forme une tubérosité sur la face dorsale du
pied
et sert quelquefois à supporter le poids du corps
très-intéressantes sous le point de vue de l'amputation partielle du
pied
. Fig. 5 (*). Elle représente le calcanéum et le
t du scaphoïde, est un des in-convéniens de l'amputation partielle du
pied
par Chopart. La fig. 6 prouve que cet inconvéni
inconvénient peut aussi se rencontrer pour l'amputation partielle du
pied
dans les articulations tarso-métatarsiennes, suiv
liquées sur la partie antérieure du tronc ; il en est résulté que les
pieds
, areboutés sous le menton, ont du se renverser en
le pied-bot; mais la compression n'ayant pas été la même sur les deux
pieds
, la difformité lui est exactement proportionnelle
eux pieds, la difformité lui est exactement proportionnelle. Ainsi le
pied
droit est plus renversé que le pied gauche; bien
ctement proportionnelle. Ainsi le pied droit est plus renversé que le
pied
gauche; bien plus, il est atrophié. La jambe droi
xactement l'aspect des pieds-bots. Ici, même observation que pour les
pieds
; l'inégalité de compression a entraîné l'inégali
uis demandé quelquefois pourquoi les mains, si analogues pourtant aux
pieds
(pes altéra manus\ ne présentent aucune difformit
la iuAaLira oong/.. niale des fémurs résultent de l'arcboutement des
pieds
contre le menton, areboutement qui, en s'opposant
contre le menton, areboutement qui, en s'opposant à l'écartement des
pieds
, des jambes et des cuisses, a pu déterminer la co
ans lequel l'enfant, affecté de double j3ied-bot par areboutement des
pieds
sous le menton, a présenté un bassin dont les os
bot. Tout le monde connaît les caractères extérieurs du pied-bot : le
pied
a éprouvé une double déviation, son axe antéro-po
n qui mesurent les degrés de la difformité ; ainsi la face dorsale du
pied
regarde en avant, les orteils sont dirigés en ded
arde en avant, les orteils sont dirigés en dedans; le bord externe du
pied
regarde directement en bas; le bord interne du pi
e bord externe du pied regarde directement en bas; le bord interne du
pied
regarde en haut et forme avec le tibia un angle d
dedans. Tantôt le malade marche sur la partie externe de la plante du
pied
, tantôt sur le bord externe ; d'autres fois sur u
devant, l'autre en arrière de la jambe, comprendraient la totalité du
pied
. A quelle conformation du pied se rattache cette
a jambe, comprendraient la totalité du pied. A quelle conformation du
pied
se rattache cette déviation? La dissection des pa
isque le centre de gravité du corps était transmis au bord externe du
pied
et à une partie de sa face dorsale. Devons-nous e
la ligne de la jambe, la deuxième rangée est sur la ligne du reste du
pied
; d'où un angle très-obtus saillant en avant. De l
de rotation en dedans (que j'estime à un quart de cercle) subi par le
pied
sur son axe vertical. Or, si nous examinons les p
t cet os qui a entraîné dans un déplacement consécutif la totalité du
pied
. La fig. 5, planche ni, le prouve vu iQ manière l
vu iQ manière la plus manifeste; l'écartement qu'il a fallu donner au
pied
pour le ramener dans sa direction naturelle, donn
nne la mesure précise de la déviation. Cette figure, dans laquelle le
pied
est rendu à sa véritable direction, permet aussi
de la tubérosité postérieure, et sur laquelle repose en général le
pied
dans la marche : alors la peau si ténue du dos du
en général le pied dans la marche : alors la peau si ténue du dos du
pied
devient épaisse, calleuse; quelquefois cette peau
je, a émis l'opinion « que l'obstacle principal au rétablissement des
pieds
- bots était dans le défaut de développement en l
plantaire avait suivi le sort de toutes les parties aponévrotiques du
pied
et de la jambe, c'est-à-dire qu'elle était singul
jeu des mou-vemens des articulations tarsiennes et le redressement du
pied
dévié. Il est d'ailleurs évident que le vice de c
l'obstacle principal, au moins le premier obstacle au redressement du
pied
. Les ligamens des articulations astragalo-scaphoï
s muscles seuls ont échappé à l'atrophie générale. C'est parce que le
pied
, dans la position où il était placé, exécutait qu
direction. Si le vice de conformation de l'astragale n'existe pas, le
pied
a beau être dévié au moment de la naissance, la c
direction, soit spontanément, soit par l'art, suffira pour ramener le
pied
à sa direction normale; et cette distinction oubl
déformé, il l'a été lentement par une force qui a agi en imprimant au
pied
un mouvement de dehors en dedans, et en le retena
ng-temps dans cette direction. De cette manière, le rétablissement du
pied
se fait par. un mécanisme tout-à-fait semblable a
ladelphie , rapporte qu'en 1813 un de ses enfans naquit avec les deux
pieds
tournés en haut et en dedans, de manière que le g
près plusieurs essais, eut l'idée de fixer, au moyen d'une bande, les
pieds
de l'enfant sur deux semelles de bois réunies au
'une tige transversale. Le succès fut si rapide, qu'en trois mois les
pieds
étaient à peu près revenus à leur état naturel, e
u être produit par un appareil très-simple à l'aide duquel le bout du
pied
aurait été relevé et conséquemment le tendon abai
ne, avait d'ailleurs cherché à remédier au mouvement de projection du
pied
en bas dans le pied-bot. Nous avons vu en effet q
direction de Taxe antéro - postérieur, et doit cesser aussitôt que le
pied
sera ramené à sa direction naturelle. côté de c
bue au relâchement des muscles et des tendons qui occupent un côté du
pied
et de la jambe et à la contraction de ceux de l'a
nchyme, je prescris vingt sangsues à l'épigastre, deux sinapismes aux
pieds
, deux vésicatoires aux jambes. Le 12, à peu prè
l'air qui entoure la malade au moyen d'un éventail. — Sinapismes aux
pieds
; potion éthérée, et néanmoins les défaillances p
s revenaient tous les soirs et étaient par fois précédés de froid aux
pieds
. Dès-lors je pus me rendre compte de ce qui s'éta
s aux jambes avaient été placés. Nous prescrivîmes des sinapismes aux
pieds
, un vésicatoire à la nuque; impossible de lui des
urdissement qui se prolongeait le long des cuisses, des jambes et des
pieds
. Il attribua cet état à la fatigue du voyage , at
on les dernières fausses côtes circulairement jus-« qu'aux ongles des
pieds
, il existait une ecchymose générale qui augmentai
i augmentait en noirceur à mesure qu'elle « approchait des doigts des
pieds
. Le scrotum surtout était d'un noir d'encre. Tê
de pesanteur et d'engourdissement dans les cuisses, les jambes et les
pieds
: une heure après, invasion des symptômes mention
it une chute sur l'épaule gauche, peut très-bien se rendre chez lui à
pied
et dîne d'un grand appétit. Le lendemain, l'épaul
ligne qui passe par les mamelles. Le chatouillement de la plante des
pieds
détermine quelquefois de légères secousses dont l
douloureux avec ou sans érythème. La paume des mains , la plante des
pieds
, c'est-à-dire les parties les plus exposées à l'a
ital. Un autre avait une paralysie de tous les muscles qui meuvent le
pied
, et s'était donné plusieurs entorses. Chez d'autr
de membre sur laquelle se trouvent ces concrétions est une partie du
pied
; Sur les surfaces articulaires se trouve une ma
ble : cette femme entra à l'Hôtel-Dieu pour une gangrène spontanée du
pied
et de la moitié inférieure de la jambe du même cô
un lavement avec le vin émétique trouble ; deux larges sinapismes aux
pieds
et aux jambes en manière de bottine : saignée du
sinapismes aux pieds et aux jambes en manière de bottine : saignée du
pied
le soir. — Le lendemain, même état de stupeur, d'
bien que ces piqûres, de même que le chatouillement de la plante des
pieds
et de la paume des mains déterminent quelques con
-forte saignée au bras. Tartre stibié en lavage, deux sina-pismes aux
pieds
qu'on renouvellera dans la journée.)—Le lendemain
entent aucun phénomène morbide. Le pouls est ralenti. (Sinapismes aux
pieds
.) — Les jours suivans, 28 février, ier et 2 mars,
-mel, de deux grains chaque. Lavemens de séné ; larges sinapismes aux
pieds
.) Le lendemain, la malade est tellement bien qu'o
issement, ou bien méningite sous-arachnoïdienne. (Deux sinapismes aux
pieds
. ) L'enfant ne s'étant nullement plaint des sinap
remière fois ; les membranes se rompent, un fœtus se présente par les
pieds
. Cinq minutes après sa sortie, le placenta s'enga
s'étend de là comme d'un centre en diminuant graduellement au dernier
pied
, aux deux ou trois derniers pieds de l'intestin g
n diminuant graduellement au dernier pied, aux deux ou trois derniers
pieds
de l'intestin grêle. Le bord libre de la valvule
comme tassées. J'ai vu récemment un cas dans lequel les deux derniers
pieds
de l'intestin grêle étaient hérissés de granulati
montrant que, chez le plus grand nombre des sujets, les deux derniers
pieds
de l'intestin grêle, siège presque exclusif de l'
résente au premier abord aucun signe d'altération ; les deux derniers
pieds
de Fimcotin 510IC etaieui jjluugc» dans la cavité
s altérations principales disséminées dans les deux ou trois derniers
pieds
de l'intestin grêle. les follicules agminés de
F., âgé de vingt-deux ans, d'une vigueur extraordinaire, vient de son
pied
à l'hôpital, le 12 avril. Observé le i3, il prése
récit ne confirment que faiblement mes soupçons. (Deux sinapismes aux
pieds
; deux vésicatoires à la partie interne des cuisse
rée.) Mort pendant la nuit. Ouverture du cadavre. Les deux derniers
pieds
de l'intestin grêle plongeaient dans l'excavation
beaucoup de force, et ne veut pas me laisser partir. ( Sinapismes aux
pieds
, vésicatoires aux jambes.) Le 19, même état. Le 2
'apoplexie la plus instantanée. Un homme de soixante ans retournait à
pied
dans son pays ; tout-à-coup, sur la grande route,
arvenu à le mettre sur ses jambes, il pouvait marcher en traînant ses
pieds
sans les détacher du sol ; du reste, intégrité pa
sues le long des jugulaires ; vésicatoires aux jambes; sinapismes aux
pieds
; tartre stibié en lavage.) Le malade succomba dan
is si ténues et si peu résistantes. La suspension de l'animal par les
pieds
de derrière, ainsi que l'a fait M. Carswell, en c
d'évacuation sanguine : on s'en tint donc à de larges sinapismes aux
pieds
. Le Ier mai, le malade n'a qu'un seul vomisseme
s le membre. 11 n'existait d'ailleurs aucune trace ni de saignée au
pied
, ni de lésion externe qui pût rendre compte de la
modérément et se coucher sur le crin et la paille. Exercice modéré à
pied
ou en voiture. » Lorsque le malade arriva de Pa
par cuillerées , pour boisson. Souffrir la soif. Deux synapismes aux
pieds
. Le 27, diminution; le 28, suppression des sell
tant; point de refroidissement; crampes rares et peu douloureuses aux
pieds
et aux jambes; évacuations très fréquentes de mat
bilieuses, puis semblables à du petit-lait, en même temps crampes aux
pieds
et aux jambes; nausées suivies de vomissements gl
Seltz à la glace, par gorgées. Deux synapismes en bottines autour des
pieds
et des jambes. Le 29, la langue devient sèche e
; langue blanche , visqueuse ; crampes rares, bornées aux muscles du
pied
et de la jambe; refroidissement léger de la peau;
ulcérations anciennes dans le gros intestin et dans les deux derniers
pieds
de l'intestin grêle. ARTICLE 1. Choléra moyen
nt mesurée sur ce symptôme. Les crampes débutent dans les muscles des
pieds
, et s'étendent plus ou moins rapidement à ceux de
nt précédés d'efforts considérables. Des crampes surviennent dans les
pieds
et dans les jambes ; froid des extrémités ; soif
outent des vomissements, des crampes qui commencent à la plante des
pieds
et s'étendent aux mollets, puis au côté externe d
ant. Au moindre mouvement , crampes qui parcourent successivement les
pieds
, les jambes , les cuisses et les doigts. A la sui
n service de garçon de café* La veille de son entrée, il était allé à
pied
au bois de Boulogne ; et après avoir beaucoup jou
t. Néanmoins il se lève à six heures, prend son café, et se rend, à
pied
,, rue du Hazard-Richelieu, n°4, pour faire son se
e de la valvule iléo-cœcale. Elle se compose, dans les trois derniers
pieds
de l'intestin, d'une arborisation très déliée, et
donnés; elle arrache son bonnet, se découvre toute nue , se roule aux
pieds
de son lit, pousse des cris plaintifs, et ne répo
intense au voisinage de la valvule iléo-cœcale, et dans les derniers
pieds
de l'intestin grêle, allait en diminuant de bas e
vril, sur le soir, vomissements ; crampes dans les jambes et dans les
pieds
; froid. Les accidents ont marché en croissant to
avec Uniment ammoniacal camphré. Quatre grands sinapismes , deux aux
pieds
et aux jambes, deux aux mains et aux avant-bras ;
escription : Douze sangsues ci l'épigastre. Bouteille très-chaude aux
pieds
. Glace sur la tête. Eau de Seltz glacée pour bois
u bras, de huit onces. Compresses froides sur la tête. Sinapismes aux
pieds
. Le 22 , état à peu près le même ; expectation
t cholérique; froid; cyanose générale , plus prononcée à la face, aux
pieds
et aux mains qu'aux autres parties du corps ; abs
s'éloigne de la valvule ; souvent limitée aux deux ou trois derniers
pieds
de l'intestin grêle, elle occupe quelquefois la m
e; apparaissant au nord, au midi, à l'orient; à l'occident, sautant à
pieds
joints des contrées mal saines pour aller sévir d
es couvraient les extrémités inférieures, depuis les genoux jusqu'aux
pieds
inclusivement, et depuis les coudes jusqu'aux m
riode de concentration. Plusieurs veines ont été piquées: le bras, le
pied
ont été plongés dans un liquide chaud; des pressi
a sortie du tronc , dans le cas de version ou de présentation par les
pieds
, cette constriction, dis-je , ne serait-elle pas,
tient à la compression du cordon. Dans le cas de présentation par les
pieds
, l'application hâtive du forceps, après la sortie
e plusieurs jours. Observation 7. Enfant né avec des phlyctènes aux
pieds
, aux mains et et la paupière supérieure. Mort au
stules dans différentes parties du corps. L'épiderme de la plante des
pieds
et des orteils est détaché comme dans la brûlure.
rence prise au niveau des bosses frontales et occipitales est de deux
pieds
. La fontanelle antérieure a un diamètre transvers
tion à la fatigue du long voyage qu'il venait de faire ( 300 lieues à
pied
)* Rentré dans la vie privée, il se livra à une
sécutif à des coups violents reçus sur l'abdomen , à un long voyage à
pied
, à un genre de vie extrêmement pénible ; mais on
eur extrême des articulations : en saisissant le cadavre par les deux
pieds
on le soulève comme un morceau de bois ; décolora
ns précédentes. Péritonite puerpérale latente. Douleur excessive du
pied
. Etat ataxique. Pus et pseudo-membranes dans la c
nt douloureux ; 104 pulsations. La malade ne souffre plus que dans le
pied
gauche, qui pourtant n'offre aucune tuméfaction.
if est toujours très vive. Le 9 , la maladie semble circonscrite au
pied
, dont pourtant le volume est naturel. Parfois, co
ve très bien, cause à merveille, et ne se plaint que d'une douleur au
pied
. Le pouls est à 100 pulsations et moins grêle ; l
es, i° une inflammation des synoviales articulaires et tendineuses du
pied
; 3° un ramollissement gélatiniforme de l'estomac
malade accusait une douleur à la partie inférieure de la jambe et au
pied
: mais l'examen le plus attentif n'y faisait déco
contractilité n'avaient par conséquent pu s'opposer à la déviation du
pied
et à la distension des ligaments. Une saignée'a
des différences de longueur, depuis quelques lignes jusqu'à plusieurs
pieds
. Il en est qui ne le cèdent pas aux cheveux les p
eux et avec les téguments du fœtus, qu'on découvrit avec peine trois
pieds
, et deux bras dans ee fœtus. Les téguments, les m
nique T' M', occupant la peau delà région calcanéenne de la plante du
pied
. (Cette tumeur appartient à un autre sujet). Fi
même, la cause de cette déviation et que dans un cas de pied-bot, les
pieds
étaient arc-boutés sous la mâchoire inférieure. U
sesse extra utérine , le fœtus à terme était ployé en double , et ses
pieds
étaient arc-boutés contre la paroi supérieure de
s étaient arc-boutés contre la paroi supérieure de la poche. Les deux
pieds
présentaient au plus haut degré le vice de confor
est pas sans importance de remarquer que la malade, qui était venue à
pied
à l'Hôtel-Dieu, s'en retourna de même, et qu'elle
s. (i) François Ruas, âgé de quarante ans, menuisier. Chute de neuf
pieds
de hauteur à trente-huit ans, et depuis lors doul
rois ulcérations circulaires de la muqueuse de l'intestin grêle, à un
pied
environ de la valvule ilio-cœcale; ganglions du m
805 Ù l'âge de 4 ans, parlant à peine et marchant sur la pointe des
pieds
qui sont tournés en dedans, le corps pen- ché e
(dos, côté droit, poitrine, côté gauche, dos), en terminant par les
pieds
, eu tout de 5 à 35 secondes ou encore : jeton é
ertificat immédiat nous examinons nous-même l'enfant de la tête aux
pieds
s'il y a lieu ; il en est ainsi depuis 18S0, ce q
cture de l'avant-bras .- 1 d'en/.o ? 'se du poignet; 1 d'entorse du
pied
gauche; 49 (le plaies légères dans des accès. A
réalité un rez-de-chaussée bien aéré, bien éclairé, donne de plein
pied
sur une large terrasse exposée à l'ouest et sur
avons dû recourir encore cette année aux (le Bicêtre. Les bains de
pieds
ont été donnés à la Fondation où existe, ainsi
ir. 16 juin. On constate ce matin que la figure est bouffie ; les
pieds
et les mains sont légèrement enflés. Soif vive, l
. Membres inférieurs assez longs, cuisses fermes, jambes grêles ;
pieds
courts et plats. 2° État physiologique. Marcell
; se débat, griffe et donne des coups de 30 IDIOTIE MONGOLIENNE.
pieds
quand on veut lui faire faire ce qui ne lui plait
s irréguliers, le jarret tendu, les jambes écar- tées, la pointe du
pied
frappant le sol avant la plante. Peu expansif,
ffectueux. Le père est syndac- tyle : il a les 2c et 3° orteils des
pieds
collés. On ne peut les écarter. Il n'y aurait p
- thylisme, genu-valgum, syndactylie : 3 orteils médians des deux
pieds
collés. Mère, 48 ans, bien portante. Migraineuse,
maux. Cuisse fléchie sur le bassin, jambe fléchie sur la cuisse, le
pied
est en position normale sur la jambe. Orteils,
circonvo- lutions. Elle intéresse l'extrémité postérieure de F2, le
pied
de FA, toute la pariétale ascendante, la partie
itié les jambes sur les cuisses en laissant toutefois reposer ses
pieds
sur le sol. Les jambes doivent alors former un an
ulien. Le réflexe se perçoit : a) par le mouvement de propulsion du
pied
; b) par la contraction visible du triceps ; c
ement de ses muscles du mollet en les palpant ou en mobilisant le
pied
sur la jambe, on frappe alors clu marteau le tend
jambe, on frappe alors clu marteau le tendon d'Achille : on voit le
pied
s'étendre sur la jambe, la plante du pied tenda
d'Achille : on voit le pied s'étendre sur la jambe, la plante du
pied
tendant à passer du plan vertical vers le plan ho
est exagéré, la percussion peut faire appa- raitre le phénomène du
pied
qui consiste en une série d'extensions rythmiqu
d qui consiste en une série d'extensions rythmiques et saccadées du
pied
sur la jambe. Le clonus du pied peut, du reste,
tensions rythmiques et saccadées du pied sur la jambe. Le clonus du
pied
peut, du reste, être recherché d'une autre faço
e membre du malade et en cherchant à provoquer la flexion forcée du
pied
sur la jambe, le pied s'anime des secousses d'e
en cherchant à provoquer la flexion forcée du pied sur la jambe, le
pied
s'anime des secousses d'extension rythmiques et
ntaire. - On le recherche en chatouillant légère- ment la plante du
pied
, (sur son bord externe de préférence) avec une
orteils se fléchissent, c'est-à-dire se rabattent vers la plante du
pied
; à l'état pathologique, ils s'étendent, c'est-
ologique, ils s'étendent, c'est-à-dire se renversent vers le dos du
pied
, la face palmaire des orteils tendant à regarde
lexe indépen- dant de la volonté, avec les mouvements de défense du
pied
d'un malade craintif qui, au moindre attoucheme
ied d'un malade craintif qui, au moindre attouchement, fléchit le
pied
sur la jambe et simule ainsi l'extension des orte
ouffissure et faux ((,dème des paupières, des joues, des mains, des
pieds
, etc; présence des pseudo-lipomes, absence de l
nt disparu. On observe une desquamation de la peau des mains et des
pieds
. Deb... taquine les infirmiers, par exemple ca-
grammes. Pas de glande. La desquamation de la peau des mains et des
pieds
continue. Pouls : 120. Urine : 500 grammes. 1
cé à marcher à deux ans et demi. On a alors remar- qué que l'un des
pieds
(on ne peut dire lequel) était tourné et appuya
quel) était tourné et appuyait sur son bord externe. Cette sorte de
pied
bot varus n'existait plus à l'entrée à Bicétre.
bres inférieurs : rien à signaler, pas de déviation osseuse, pas de
pied
plat. Ongles et orteils courts. Sensibilité nor
la joie. Il se balance .latéralement, en levant alternativement les
pieds
et roulant la langue dans la bouche. 1894. 16
les portes, les fenêtres, qui reçoivent coups de poings et coups de
pieds
. 1902. Décembre. - Lem... apporte beaucoup d'ap
dû quitter sou- vent l'école (le bruit qu'elle faisait en tapant du
pied
, en criant, gênait ou amusait les autres enfant
es. Voici comment la mère de l'enfant les décrit. V... frappait des
pieds
à chaque instant, démolissait le buffet à coups
sont animés de mouvements brusques, violents. La malade frappe des
pieds
, surtout du droit, comme un cheval impatient qu
a course, le saut s'exécutent bien. Dans la marche, elle frappe des
pieds
, principalement du droit. Traitement. - Sirop d
mettre en pronation, en supination, s'ouvrir et se fermer. Avec ses
pieds
elle frappe le sol. Quelquefois, elle lance si
le frappe le sol. Quelquefois, elle lance si fortement en avant son
pied
fléchi que le genou semble vouloir atteindre la t
certaine expression. Quelquefois, en effet, notre malade frappe du
pied
, lâche ses mains qui étaient réunies devant elle,
souvent ses voisines, leur donne des coups de poing, de coudes, de
pieds
, et tout cela sans méchan- ceté, involontaireme
en contracte la bouche, fait des grimaces, etc. Elle saute, tape du
pied
avec ardeur, relève sas jupes, fait des contorsio
lument concentré sur le siège des plaies clu Christ : front, mains,
pieds
, côté. Elles voudraient les voir saigner. D'où
ements volontaires et provoqués, diminués ; « il marche du bout des
pieds
» qu'il soulève péniblement et tombe souvent. R
ifficulté, ne répond pas aux questions. Il marche sur la pointe des
pieds
, le corps penché en avant, ne semblant jamais ê
e semblant jamais être en équilibre et tombe souvent. Il tourne les
pieds
en dedans, principalement le droit. Il monte et
descend les escaliers seul, sans hésitation, mais toujours le même
pied
en avant. Ler.. ne mange pas seul, essaie de
sur lui-même en se calottant, s'égratignant, se mordant, tapant du
pied
, mais ces colères n'ont pas de durée, elles tom
uchent et les jambes .s'écartent très légèrement en dehors. Les
pieds
sont en valgus très Bourneville, Bicêlre, 1902
rement fléchies sur le bassin, les jambes sur les cuisses. Les
pieds
sont en équin très accusé ; les genoux font s
tures opposent une énergique résistance à l'ex- tension. Dans les
pieds
, les mouvements sont très limi- tés et on ne
, les mouvements sont très limi- tés et on ne peut redresser le
pied
bot. Les réflexes du poignet et rotulien sont
s réflexes du poignet et rotulien sont exagérés. Pas de clonus du
pied
. Lasezsibilité à la douleur existe partout-
peut davantage l'alimenter; il est pâle, a les mains, les bras, les
pieds
violacés et glacés et meurt dans cet état sans
agérés, ainsi que les réflexes rotuliens. Il n'y a pas de clonus du
pied
. Les réflexes plantaires sont en flexion. Le ma
et les jambes sont plus fléchies qu'autrefois, le varus équin des
pieds
n'a pas augmenté. La flexion et la pronation des
es jambes sont appliqués contre la face postérieure des cuisses. Le
pied
reste en attitude normale. Les membres supérieu
es réflexes plantaires sont en flexion. Il n'y a pas de clo- nus du
pied
. Les réflexes rotuliens ne sont pas perceptibles
s. Il existe une rigidité invincible des hanches et des genoux. Les
pieds
sont relevés fortement sur les hanches, la face
nt un peu en dehors. Il existe une contracture très prononcée des
pieds
, prédominant à droite. Le cou-de-pied est rigide,
compression méthodique qui pro- duit artificiellement l'atrophie du
pied
de la Chinoise. C'est le bistournage qui réduit
nde partie de ses journées dans la cour, à la même place, debout au
pied
d'un ar- bre, immobile, la tête fléchie, les br
e », qu'elle ne pouvait ni marcher ni se tenir debout, mais que son
pied
était resté parfaitement mobile ainsi que ses g
gré son infirmité ; mais la sta- tion assise devient difficile, les
pieds
ne peuvent plus s'appliquer à la pédale et elle
elle peut se soutenir sur deux chaises, reposant sur la pointe des
pieds
, les genoux mi-fléchis, très écartés l'un de l'au
a base de sus- tentation ; la rotation externe entraîne le repos du
pied
sur son bord latéral externe, et le contact des
repos du pied sur son bord latéral externe, et le contact des deux
pieds
malgré l'écart considérable, 20 centimè- tres,
e de la rotation externe de la cuisse que ces mouvements portent le
pied
d'un côté sur le genou opposé. Tous les mouveme
quer MM. Mayet et Jouve, les petites articulations des mains et des
pieds
ne sont pas épargnées par le processus morbide.
c et les membres inférieurs sont indemnes et la malade peut faire à
pied
de longues promenades. L'atrophie des membres s
e et se balance à chaque pas comme un cérébelleux ; il lance chaque
pied
et talonne légèrement. Par moment un à-coup se
ble qu'il n'ait plus son équilibre ; pour le reprendre il frappe du
pied
. Quand il fait demi-tour, il le fait lentement
dance à lever un peu trop le genou. Pour atteindre un objet avec le
pied
, il dirige moins bien la jambe droite que la ga
el que de l'ataxie. Réflexes rotuliens très forts. Pas de clonus du
pied
net. Réflexes cutanés plantaires en flexion. Le
vant, en frappant ensuite légèrement le sol avec toute la plante du
pied
. Les jambes sont tenues étendues dans la démarche
te du pied. Les jambes sont tenues étendues dans la démarche et les
pieds
, surtout le droit, frottent légèrement le sol ava
mes oscillations peu marquées existent quand ou lui fait toucher du
pied
un objet placé au-dessus du plan du lit. ATROPH
réflexe contralatéral très marqué des deux côtés ; pas de clonus du
pied
. Réflexe cutané plantaire en extension des deux
ement établis ; il s'avance à petit pas mais avec len- teur, chaque
pied
se détache lentement du sol et est projeté en ava
ant avec assez de vivacité, mais à peu de distance. A chaque pas le
pied
repose à terre avec violence. Il y a une raideu
n raideur dans la démarche : les jambes sont tenues étendues et les
pieds
frottent légèrement le sol avant de le quitter (O
t du fait des douleurs, qui sont à leur maximum lorsqu'elle pose le
pied
sur le sol ou qu'elle fléchit les articu- latio
ne touche pas le sol. Dans la marche, seule la partie antérieure du
pied
droit, fortement équin, porte sur le sol. Rien
t fléchi dans la' hanche et dans le genou et en forte adduction. Le
pied
et en position équine et en adduction légère, a
me au niveau du talon une corde absolument inextensible qui fixe le
pied
en équin, s'oppose à la flexion dorsale et perm
125 de la force musculaire dans les divers segments du membre ; le
pied
est celui dont la motilité est le plus compromi
re inférieur gauche est de 6 centimètres plus court que le droit.Le
pied
est équin,avec flexion exagérée des orteils,dans
ins nette que du côté opposé ; malgré cette rétraction tendineuse, le
pied
offre l'aspect du pied ballant et ses mouvement
osé ; malgré cette rétraction tendineuse, le pied offre l'aspect du
pied
ballant et ses mouvements passifs ont une amplitu
eurs très manifestes, accusés surtout au ni- veau de la jambe et du
pied
; la peau est très froide et violacée. Tandis que
l'autre une hémiplégie cérébrale typique, avec athétose, clonus du
pied
et phénomène de Ba- binski. Les cas de la deu
a- lisée aux muscles de la jambe gauche, Ceux-ci sont atrophiés, le
pied
gau- che est équin, mais sans limitation de sa
t équin, mais sans limitation de sa motilité passive, tandis que le
pied
droit est fixé en talus valgûs. La peau du membre
ont dans un état de contracture légère et entraînent la position du
pied
en valgus avec flexion dorsale du gros orteil ;
ement, forte atrophie musculaire, abolition des réflexes tendineux,
pied
équin ; cette paralysie date de Cage de 5 ans,
es ou familiaux notables, tombe sur la cuisse gauche et « tourne le
pied
» en patinant, en l'hiver 1900. L'ecchymose dis
cipent pas à l'augmentation du membre qui n'inté- resse donc que le
pied
, la jambe et la cuisse. - Ainsi que nous l'avon
apparut en même temps à la cuisse, puis plus tard à la jambe et au
pied
. Les orteils furent respectés. Le début a été f
ne participe pas à l'oedème. Il n'intéresse que la cuisse, jambe elle
pied
, respectant les orteils. On peut donc parfaitem
CAS DE TROPHOEDÈME CHRONIQUE 163 Seulement plus tard la jambe et le
pied
furent envahis à leur tour. Cette progression d
relet circulaire au-de- sus duquel se creuse un sillon profond. Les
pieds
et les mains de notre ma- lade remarquablement
e à celui du poignet 170 PRUNIER il limite en bas l'adipose ; les
pieds
sont peu près normaux. Ils présentent cependant
l'infiltration se localise avec prédilectiou à la face dorsale des'
pieds
et des mains. On a de plus décrit dans l'adipos
er se tient debout, en station droite et symétri- que, sur les deux
pieds
, dans l'attitude conventionnellement adoptée par
laire la plus externe. En avant et en dedans, elle s'avance vers le
pied
du pédoncule dont elle lèse la partie avoisinante
ie avoisinante à l'extrémité externe du corps de Luys Le reste du
pied
du pédoncule, ainsi que le corps de Luys sont net
ute posté- rieur du pulvinar, le foyer détruit la moitié externe du
pied
du pédoncule, le corps genouillé interne complè
Elle s'avance en avant et en dedans pour détruire les 3/4 externes du
pied
du pédoncule et le locus niger en totalité et s
et 9), on voit que le foyer primitif se poursuit aussi bien dans le
pied
du pédoncule que dans la calotte. Dans le pied
uit aussi bien dans le pied du pédoncule que dans la calotte. Dans le
pied
du pédoncule, il détruit presque complètement t
ncore sec- tionnées. Le foyer détruit encore ici le bord interne du
pied
du pédoncule dont tout le reste est représenté
erne de celui-ci. En avant enfin, il détruit la moitié externe du
pied
du pédoncule et coupe complètement à ce niveau
ieure, la lésion se continue aussi bien dans la calotte que dans le
pied
du pédoncule. Dans la calotte, au niveau du noy
ne pointe qui pénètre dans le locus niger, entre le noyau rouge et le
pied
du pédoncule, sectionnant à ce niveau les fibre
ibres les plus externes du pédoncule cérébelleux supérieur. Dans le
pied
du pédoncule,la lésion au contraire augmente d'ét
dans, il pousse une pointe qui s'insinue entre le noyau rouge et le
pied
du pédoncule, en plein locus niger et vient secti
sectionner le groupe externe des fibres de la Ille paire. Dans le
pied
du pédoncule, le foyer qui a sectionnné la partie
tie externe du locus niger, détruit en haut la moitié externe de ce
pied
et SYNDROME DE WEBER AVEC UÉMIANOPS1E DATANT DE
OME DE WEBER AVEC UÉMIANOPS1E DATANT DE 28 ANS 197 plus bas tout le
pied
du pédoncule, exception faite pour quelques petit
essus morbide basal puisse produire, par compression ou invasion du
pied
du pédoncule et de la bandelette optique, l'ass
s que l'hémiplégie droite et que le foyer pédonculaire inléresse le
pied
du pédoncule et un grand nombre de libres de la I
Noyau de Goll. 1. NL. Noyau lenticulaire. NR. Noyau rouge. P. -
Pied
du pédoncule. Pcs. - Pédoncule cérébelleux supé
chée sur le dos ; en marchant, elle boitait un peu et tour- nait le
pied
gauche en dehors ; les réactions électriques du m
grande amélioration dans la marche parce qu'elle ne déviait pas le
pied
, et que le pas était presque normal si elle l'e
çons. ' La force musculaire est diminuée dans la flexion dorsale du
pied
, conservée dans la flexion plantaire, un peu fa
léens n'ont pu être recherchés l'enfant ne voulant pas relâcher son
pied
; les réflexes cutanés plantaire et crémastérie
styloïdes des tibias sont plus saillantes que normalement. Enfin le
pied
est un peu plat. Les dimensions du membre infér
grosse que la gauche ; 1... avait très facilement des engelures aux
pieds
et surtout à la main droite ; peu de temps après
aperçoit surtout dans les mouvements d'abduction et d'adduction du
pied
. Les réflexes rotuliens et achilléens sont très
s d'hypertrophie est localisé aux extrémités. Parfois la main et le
pied
sont pris en même temps, tantôt les quatre extr
fixe [P. Marie (4), Straeten (5), etc.]. Il est exceptionnel que le
pied
soit seul atteint d'hypertrophie, il n'est pas
que, empiétant surtout sur T. 1 et T. 2. mais touchant également le
pied
de Fa. et Pa. G. s. m. et T. 3 paraissent li- b
l a fait l'amputation pour faire appliquer une jambe artificielle à
pied
articulé. La mère avait vu, durant la gestation
é inférieure du tibia et qui représente à lui seul, le squelette du
pied
. Il n'y a pas trace de muscles, au- dessous de
ge gros comme un pois qui est le seul représentant du squelette des
pieds
. Ce carti- lage est comme perdu dans la masse d
s d'elles, à 4 ou 5 centimètres au-dessous du scro- tum et les deux
pieds
adossés l'un à l'autre se trouvent tout près de l
tié interne de la jambe. Nous n'avons pas décou- vert de rotule. Le
pied
est implanté sur la face interne (antérieure), de
llie convexe. Il n'y a aucun mou- vement dans cette articulation du
pied
. L'articulation des métatarsiens et des orteils
ils sont réguliers. L'attitude des membres est symétrique. Les deux
pieds
se touchent par ce qui correspond à l'extrémité s
, quoique normalement constitué, existe très nettement, et les deux
pieds
sont probablement au complet. XXII. - G. Cousin
se détache perpendiculairement à l'axe de ce membre, une ébauche de
pied
. Il n'existe de tare d'aucune sorte. L'ébauche
ébauche de pied. Il n'existe de tare d'aucune sorte. L'ébauche de
pied
a 4 centimètres de long, et se termine par deux o
, représente probablement le gros orteil. On fait une amputation du
pied
pour mettre un appareil prothétique. Ce pied n'
fait une amputation du pied pour mettre un appareil prothétique. Ce
pied
n'est rattaché à la cuisse que par du tissu fibro
r. De chaque côté, il est incomplet et grêle, d'une seule pièce, le
pied
mis à part, sans articulation du genou. Est-ce un
s avec une articulation tibio-tarsienne fonctionnant très bien. Les
pieds
sont presque normaux, à part les détails suivan
4°, un peu atrophiés, semblent greffés sur un même métatarsien. Le
pied
droit est absolument normal, sauf qu'il est un pe
e fusionnée au condyle interne, la jambe très atrophiée, la plante du
pied
regardant en haut, accolée à la face interne de
par cette hémimélie, par une éducation de son autre main et de ses
pieds
, particulièrement du pied correspondant au côté d
ne éducation de son autre main et de ses pieds, particulièrement du
pied
correspondant au côté de l'hémimélie; entre le
respondant au côté de l'hémimélie; entre le pouce et l'index de sou
pied
droit, elle comprime avec force, saisit des obj
ert de membres humains. Il est impossible de passer sans fouler aux
pieds
ces débris informes gisant en abondance et diss
me pour empêcher le navire de sombrer et s'élança précipitamment au
pied
de la colline. Pendant deux semaines il souffri
sent pour la première fois des fourmillements qui commencent par le
pied
droit, remontent jusqu'à l'aine et durent deux à
es deux côtés. A droite, parfois, le re- dressement de la pointe du
pied
amène deux ou trois secousses successives. Le r
lexes rotuliens sont forts des deux côtés, exagérés même. Clonus du
pied
à droite, avec signe de Babinski des deux côtés.
et, chez ce malade, exagération des réflexes rotuliens et clonus du
pied
. Ces signes peuvent, du reste, faire défaut, comm
eux sont, aux quatre membres, notable- ment exagérés ; le clonus du
pied
, le signe de Babinski sont très nets des deux c
), Hoffmann(3), ou bien déterminer une hypertrophie considérable du
pied
: podo-mé- galie de Schlesinger (4). Si le dé
, d'après le récit du malade, un an avant cet examen, en 1903. Le
pied
ne présentait pas cette hypertrophie. L'examen
sens transversal, étaient forte- ment striés longitudinalement. Les
pieds
étaient gros, trapus, à leur niveau la peau éta
rsale, la malade ne présentait aucune hypertrophie des mains ni des
pieds
, mais seulement une raré- faction du squelette
semble arrêtée par le buttage de la tête péronière contre le fému
Pied
. - Le pied est large, court, mais de constitution
tée par le buttage de la tête péronière contre le fému Pied. - Le
pied
est large, court, mais de constitution normale ;
gros et sur le même plan transversal que le premier. La mobilité du
pied
est minime. Membre inférieur gauche. Le membre
éro- externe de la jambe. Le genou ne possède pas de rotule. ' Le
pied
présente les mêmes particularités qu'à droite : d
ues, absolument différenciés et bien développés dans le rudiment de
pied
de l'hémimélie qu'ils relatent, donne un intérêt
étale ascendante, la plus grande partie du lobule du pli courbe, le
pied
des circonvolutions frontales moyennes et inférie
rconvolutions frontales moyennes et inférieures, et une par- tie du
pied
de la 1re frontale. L'hémisphère droit contient u
aris. 1899, p. 607. (3) JUMPOLSKI, Déformation congénitale des deux
pieds
et d'une main. Ozasopismo lekarskie, nua 8, 190
a colonne vertébrale se courbant, la stature diminua. Le volume des
pieds
aussi augmenta, sans toutefois les déformer d'une
ia gauche, on remarque deux saillies de la grosseur d'une noix. Les
pieds
sont volumineux et les orteils sont accrus en lar
xion et l'extension des jambes out presque disparu ; la mobilité du
pied
est normale. La sensibilité est conservée entiè
s de la physionomie acromégalique. L'accroissement des mains et des
pieds
est considérable. L'examen radio- graphique nou
la rue est très difficile, le malade ne pouvant voir où il pose le
pied
.' Il faut dire qu'il est grippé ; peut-être cet
sagréables dans les jambes, dans l'articulation du genou, jusqu'aux
pieds
. Remarques. 1° L'alitement, lorsqu'il est tolér
out, attirer votre attention, sur les déformations des mains et des
pieds
, qui sont, dans ce cas, tout à fait, remarquables
main droite ; le pouce est en dedans, opposé aux autres doigts. Les
pieds
sont en varus équin très pro- noncé, tordus sur
ue depuis plusieurs mois il s'affaiblit peu à peu ; fréquemment ses
pieds
et ses chevilles enflent le soir, lorsqu'il est
ne des membres inférieurs ; il marche à petits pas, en traînant les
pieds
, comme font, d'habitude, les parkinsoniens. De mê
gourdir les doigts. Lorsque le malade est couché, vous observez, au
pied
gauche, des oscil- lations moins amples qu'à la
commissure ; l'ensemble figure la coupe verticale d'un champignon à
pied
bulbeux. Les fibres endogènes de la zone cornu-
lexes du membre inférieur que provoque l'excitation de la plante du
pied
une valeur que tous les cliniciens s'ac- corden
gital ; le second, dans les muscles de la jambe qui agissent sur le
pied
, réflexe planti-tibial ; le troisième enfin, da
planti-tibial, il est impossible de s'adresser aux déplacements du
pied
, qui consistent ordinairement en une extension
. Enfin, pour le réflexe planti-digital, nous moulons sur le dos du
pied
, avec une bande de caoutchouc, une plaque mallé
écédentes : 1° A l'état normal, l'excitation minima de la plante du
pied
par le grattage à l'aide d'une pointe mousse pr
entraîne des mo- difications du réflexe au grattage de la plante du
pied
; ces modifications consistent essentiellement,
tant un syndrome spas- modique très complet (contracture, clonus du
pied
et de la rotule, exa- gération des réflexes ten
comme à l'état normal, l'excitation minima efficace de la plante du
pied
provoque des réactions musculaires simultanées
FÉRÉ, Médecin de Bicêtre. L'étude des empreintes de la plante du
pied
peut donner un certain nombre de renseignements
eut se rendre compte par exemple de l'aplatissement de la plante du
pied
dans la fatigue et de la cambrure sous l'influe
Les variations de la forme normale et pathologique de la plante du
pied
, étudiées par la méthode graphique, th. Nancy, 18
e graphique, th. Nancy, 1819 ; CH. Féré, Note sur un nouveau cas de
pied
tabétique (Rev. de médecine, 1884, p. 477) ; CH.
1884, p. 477) ; CH. Féré et G. DE- MANTI(É, Elude sur la plante du
pied
, et en particulier sur le pied plat considéré c
DE- MANTI(É, Elude sur la plante du pied, et en particulier sur le
pied
plat considéré comme stigmate de dégénérescence
et G. DEMANTKÉ, Note sur les variations de la forme de la plante du
pied
sous l'influence du repos, de la station et de la
de la main (ibid., p. 316). Les lignes papillaires de la plante du
pied
(ibid" p, 602). La main, la préhension et le to
ars 1903. Poids : 52 kilogr. 500. l'aplatissement llYPOTONIQUE DU
PIED
81 graissement du pied à augmenter l'étendue de
logr. 500. l'aplatissement llYPOTONIQUE DU PIED 81 graissement du
pied
à augmenter l'étendue de l'empreinte. La diminu-
e. La diminu- tion du poids total concourt avec l'amaigrissement du
pied
à diminuer l'étendue de l'empreinte. Il faut no
reinte. Il faut noter d'ailleurs que la compression tem- poraire du
pied
par une chaussure étroite et résistante peut empê
La fatigue diminue la tonicité musculaire et aplatit notablement le
pied
. Cet effet de l'atonie musculaire est général : l
différences que m'avaient présentées les empreintes de la plante du
pied
dans la station au repos et dans la fatigue m'ont
99, p. 910). * 82 FÉRÉ On s'aperçoit bien vite que l'empreinte du
pied
ne renseigne que très imparfaitement sur le deg
ppement de l'hypotonie peut masquer l'aplatissement de la plante du
pied
. Cependant ce procédé d'exploration présente un
gré la perte de poids un aplatissement considérable de la plante du
pied
. Cette coïncidence ne s'est présentée que quatre
entation du rôle de l'hypotonie dans la déformation de la plante du
pied
. L'empreinte n° 1 a été prise le 31 mai 1901, q
e 52 kilogrammes. Malgré la diminution de poids, l'aplatissement du
pied
est très manifeste. L'élargissement de l'emprei
ement du pied est très manifeste. L'élargissement de l'empreinte du
pied
, avons-nous dit, peut être mas- qué par l'amaig
tion. » Le moine, qui est de face et qui s'est brûlé, a un nez « en
pied
de marmite » : la fente des narines est vertica
est intacte. Les réflexes rotuliens sont normaux ; pas de clonus du
pied
. Les fesses sont peu développées ; les moyens f
l'âge de 32 ans), douleurs articulaires avec gonflement aux genoux,
pieds
, mains, pendant 1 mois. De suite après des douleu
des deux côtés égale- ment ; pas de trépidation de la rotule ou du
pied
. Blépharospasme et hémispasme facial gauche.
jambes écar- tées en ogives, les talons écartés et les pointes des
pieds
rapprochées. Pied en varus équin se corrigeant
s en ogives, les talons écartés et les pointes des pieds rapprochées.
Pied
en varus équin se corrigeant facilement. Quand
tre à plus de 10 centimètres. En 1898. - A cette époque le double
pied
bot se réduit difficilement ; le malade se plai
h : la démarche titubante et ataxique, les mouvements spontanés, le
pied
bot, les troubles de la parole, l'abolition des
ite (pl. XIX, - fig. A), et qui représente saint Maur guérissant le
pied
d'un homme tombé de cheval. Le cavalier est ass
e gauche qu'il élève vers le saint. Celui-ci touche délicatement le
pied
blessé. Nous ne trouvons pas ici de détail méri
e. Les membres inférieurs sont tordus et convulsés, les pointes des
pieds
tournées en dedans. Ce dernier trait' est exact
mbreuses, c'est-à-dire aux extré- mités des membres, aux mains, aux
pieds
, à la face. Aussi les déforma- tions qui en rés
du tout. Il se plaint aussi d'éprouver des « picotements » dans les
pieds
, qu'il rattache à « un grand froid auquel il fut
sont longs, un peu massifs, mais non « boudinés ». Par contre, les
pieds
sont énor- mes, ainsi que le cou-de-pied ; des
aigre qui lui donna un si terrible point de côté qu'il s'abattifaux
pieds
du président ». Quant à son intelligence, elle
ariqueux (amincissement, pigmentation). Les ongles des mains-et des
pieds
sont striés longitudinalement et cannelés trans
lques différences entre lafaçon dont se meuvent les deux jambes, le
pied
gauche traîne particulièrement dans la marche de
lanc. Les réflexes rotuliens sont égaux : il n'y a pas de clonus du
pied
. L'excitation |du réflexe plantaire amène l'ext
ès cet examen, est apparu du côté gauche au niveau de la main et du
pied
un oedème blanc, non douloureux, mou, se lais-
'est un oedème un peu violacé et surtout marqué au niveau du dos du
pied
et de la cheville ; il est à peine marqué du cô
main gauche amène 10. La démarche est possible, mais hésitante : le
pied
droit frotte contre le plancher. | Le réflexe
crit s'étendant le long du tibia, sans envahir les malléoles, ni le
pied
». Les traînées rougeâtres de la surface firent p
On constate un gonflement du membre inférieur droit portant sur le
pied
, la jambe et la cuisse ; il est régulier de sor
se à la fin de la journée. La force musculaire : est conservée, les
pieds
sont froids, cyanosés et mouillés de sueur ; cet
elligible. Examen physique. - Pseudo-oedème très accentué du dos du
pied
avec bourrelet, a la racine des orteils. Cyanos
e 20 centimes. A la face posté- rieure de la jambe et sur le dos du
pied
, les taches purpuriques tout en étant aussi con
rosées très pâ- les, disséminées sur la peau. A la face dorsale du
pied
, on voit une pigmenta- tion punctiforme plus ne
l'âge de 40 ans. il se mit de nouveau à c trimarder », se rendant à
pied
et en chan- tant en Espagne en passant par Pari
à terre. Il faisait encore fléchir une barre de fer rougie avec son
pied
, mais il avait eu soin de le garnir. Cinq ou si
u altérée. Troubles légers de la marche et de la station debout les
pieds
rapprochés. Aux membres supérieurs : incoordinati
dorsales du côté gauche ; très légère hyperesthésie à la plante du
pied
. Pas de retard des sensations. Abolition des ré
régions paraplégiques. En particulier, au ni- veau des mains et des
pieds
, la Tache Blanche (1) produite par une simple p
, jusqu'aux dernières années de sa vieil- lesse, il se baignait des
pieds
à la tête dans l'eau froide,.... mais bénite ».
changent de pas toutes les deux mesures. D'autres sautent à cloche
pied
, les jeunes adoptent franchement la polka . Mais
is et dans l'Auvergne, en levant haut les genoux et tapant fort des
pieds
,avec des déhanchements de corps et des balancem
s. Tout un groupe aux jarrets élastiques progressait en sau- tant à
pieds
joints comme des kanguroos. Saint Willibrord n'es
ion banchée sur le côté correspondant, position pendant laquelle le
pied
ne touche, malgré tout, le sol que par sa point
e. Vers la fin de la vie, contractions tendineuses dans les jambes.
Pied
en équin direct. Autopsie (1). - Moelle et bulb
ut de la maladie : Facies immobile, étonné. Les yeux ouverts et les
pieds
joints, il ne peut pas se tenir droit. Signe de
baires. Sensibilité tactile et à la piqûre abolie aux jambes et aux
pieds
; très diminuée aux avant-bras et aux mains. En
otée dans deux de ces cas, de même que l'attitude pa- thologique du
pied
: tel est l'ensemble des symptômes communs à ces
inique nous savons que la. scoliose et l'attitude patho- logique du
pied
sont des symptômes banals dans la maladie de Frie
terne, immédiatement sous-jacente aux cônes et aux bâtonnets, leurs
pieds
étalés et juxtaposés constituent la limitante i
st déposé le tonneau commémoratif de son principal mi- racle. A ses
pieds
, un petit ange tient un livre ouvert où l'on peut
rent à des gesti- culations singulières : l'un sautant sur les deux
pieds
, en contorsionnant son bras et sa jambe droite
son bras et sa jambe droite ; l'autre dansant sur la pointe d'un seul
pied
, en levant une jambe en l'air, avec des agitati
tement ceux de la chorée ou de l'athé- tose. Une femme saute sur un
pied
et incline en même temps la tête à gauche, dans
mmes échevelés et habits en désordre, crient, chantent, battent des
pieds
, des mains, sau- tent comme des- maniaques, ce
xe patellaire exagéré à droite, plutôt affaibli à gauche. Clonus du
pied
et signe de Babinski des deux côtés. La tête es
ir un peu. Il peut étendre la jambe droite mieux que la gauche. Les
pieds
tombent et ne peuvent être fléchis sur la jambe
en les portant, pour ainsi dire, vers l'objet à saisir. Les deux
pieds
, surtout le droit, sont en hyperextension et tomb
s orteil droit, en particulier, est comme pelotonné sous la plante du
pied
; le malade s'inquiète beaucoup de ces déformat
nce les jambes en avant, mais bien dans la ligne droite, la pointe du
pied
retombe la première, puis le talon qui frappe f
phie se traduit par une difficulté marquée dans le fléchissement du
pied
sur la jambe et par l'impossibilité pour le malad
le malade de relever le gros orteil, alors que les autres doigts du
pied
sont susceptibles d'un léger mouvement. La paré
nte au niveau du mollet dès qu'il essayait de faire un mouvement du
pied
. Un autre de mes malades, grand myopathique dep
ollet qui soulève les talons, élève tout le corps sur la pointe des
pieds
et le ferait tomber en avant s'il ne prenait quel
eurs centimètres, et le malade se trouve suspendu sur la pointe des
pieds
. Ce n'est qu'au bout de quelques secondes, parf
cliné ou s'il veut modifier son allure, c'est toujours la pointe du
pied
qui retombe la première. Il y a une diminution
ues de la peau, parmi lesquelles il distingue : le pseudo-oedème du
pied
, l'érythème polymorphe, le pur- pura et les gra
reste constamment debout près de la porte. OEdème des jambes et des
pieds
. 27 janvier 1904. Mutisme absolu, résiste à tou
, 8 mars. Même état de stupeur, gâtisme. On constate à l'examen des
pieds
un pseudo-oedème intense avec cyanose, refroidi
m'en aller, laissez-moi m'en aller. » Les mains, les jambes et les
pieds
sont le siège d'une hyperhydrose intense. On re
me, impulsions passagères. Pseudo-oedème blanc, élastique du dos du
pied
. Alopécie du crâne, exfolia- tion de l'épiderme
contours mal limités. La jambe gauche est très oedématiée depuis le
pied
jusqu'au genou : elle prend un aspect en poteau
ue depuis cinq années, avec pseudo-oedème blanc élastique du dos du
pied
, offre une profonde eschare à la jambe gauche.
se (épaule) ; scissure de l'os crochu (genou) ; ligne du bourrelet (
pied
). Membre postérieur : Angle externe de l'ilium
ostérieur : Angle externe de l'ilium (hanche) ; ligne du bourrelet (
pied
). Mensurations : Membre antérieur : De la crête
a crête sus-épineuse à l'os crochu ; do l'os crochu au bourrelet du
pied
. Membre postérieur : De l'angle externe de l'il
. Membre postérieur : De l'angle externe de l'ilium au bourrelet du
pied
. Ces mesures doivent être prises des deux côtés
comparaison, et peuvent t s'appliquer à d'autres régions du corps (
pieds
, articulations, longueur de croupe, flanc). A
» : de même enfin un grand nombre de malfor- mations ou lésions du
pied
(encastelure, fourbure congénitale, crapaud). Les
stamment ; les uns mordent, mâchonnent, d'autres ruent, frappent du
pied
à tout propos, s'emballent dans un véritable état
ements somptueux contrastent avec la mise simple du Christ, qui est
pieds
nus. Eux portent de fortes bottes et des robes
ent laérédo-syphilitique tardive (1 phot., 2 pl.), par Rose, 277.
Pied
chez les paralytiques généraux (notes sur l'apl
musculaire (2 planches), 85. Féré. L'aplatissement hypotonique du
pied
chez les paralytiques généraux (2 fig.), 79.
sentait, disait-elle, des bouffées de chaleur jusqu’à l’extrémité des
pieds
; mais la température de ces derniers, quoique au
audra me faire cinquante-trois passes lentes et égales de la tête aux
pieds
, se reposer pendant cinq minutes, renouveler le m
r, on doit, chaque soir, remplacer la douche à colonne par un bain de
pieds
: « L’eau, dit-elle, ne doit pas même atteindre
inte à l’approche de chaque printemps; l’abdomen est énorme, bains de
pieds
froids. 22 mars. — Leucorrhée abondante. Douche
ui font le plus grand bien : même opération sur les jambes et sur les
pieds
; la chaleur et la sensibilité reparaissent aux e
otre incrédule se met crier, tout épouvantée, qu’on la tirait par les
pieds
. Puis le bruit de recommencer dans la maison même
aril vide, au moment où le reptile digérait paisiblement un agouty au
pied
d’un caféier. J’acceptai l’olTre avec empressemen
rendras leurs scrupules, si je te dis que le hideux reptile avait dix
pieds
de long, et qu’il jeûnait depuis huit jours. Ici,
e mouvements particulière aux serpents venimeux. Il pouvait avoir dix
pieds
de long; son corps était assez gros pour que deux
i démolit. Les fenêtres s’ébranlèrent, et le parquet remuait sous les
pieds
des assistants : ce tintamare dura pendant une he
la parole, me dit : » Ma fille a depuis son enfance des venues aux
pieds
et aux mains ; depuis six mois, son médecin lui b
nt plus souffrir, que la plus grande partie se trouve à la plante des
pieds
: il y en a de grosses comme des noisettes. A l’œ
gémissements, occasionnés par les souffrances qu’elle ressentait aux
pieds
et aux mains. Toute la nuit se passa à peu près d
êne dans sa marche ! Alors je m’empressai de visiter les mains et les
pieds
; les verrues étaient entièrement disparues; c’es
rfaitement à une marmotte engourdie. On put la faire rouler avec le
pied
, lui prendre les mains et la retourner de mille f
à l’instant même clouée sur son siège; je jetai alors à. six ou sept
pieds
d’elle le miroir magique, et 011 la vit sortir de
s tard ont donné naissance aux fées, aux vampires, aux farfadets, aux
pieds
fourchus ; qui, dans le treizième siècle, roulaie
lagé par quelques passes magnétiques opérées lentement de la tête aux
pieds
, avec contact ou môme sans le plus léger contact,
s pouces de la surface du corps, et souvent même à celle de plusieurs
pieds
, ou bien encore seulement par une légère friction
le pauvre garçon, après avoir monté l’escalier de sa chambre, sur les
pieds
et les mains, s’était barricadé. Deuxième obser
papier un disque de /i à 5 centimètres, et le plaçai par terre à ses
pieds
: l’effet fut immédiat. « Je vois, s’écria-t-el
us en plus, et me bride les yeux. » L’envie la prend d’approcher le
pied
du disque ; trois fois elle essaie, trois fois el
la forçait de s’incliner; les genoux se pliaient d’eux-mêmes, et les
pieds
se levaient s’appuyant seulement sur la pointe. D
s’illumine d’abord, puis le cœur, puis enfin je flambe de la tête aux
pieds
; porté-je mes mains dans la direction de la port
s que je ne saurais définir. Des frissons me montent rapidement des
pieds
à la tète ; la circulation s’accélère; je me sens
s présent, une table ronde reposant sur une colonne à trois ou quatre
pieds
, comme celle dont il a été question), et, en vert
ent sans danger; des guéridons se sont divisés et sont tombés sur les
pieds
des expérimentateurs ; une jeune per-• sonne dans
variée de toutes manières, en touchant l’habit, la tète, l’épaule, le
pied
d'un des participants; toujours même résultat : c
’étais très-attentif sur leurs mains, leurs bras, leurs coudes, leurs
pieds
, et qu’il m'est impossible d’admettre que j’aie é
ir l’expérience en famille. c. J’ai pris un guéridon rond, ayant un
pied
à trois branches en chêne. Nous avons, entre cinq
coups : aussitôt la table s’est penchée d’elle-mème, et, avec un des
pieds
, a frappé vingt-quatre coups. « En vérité, c’es
ua sur le sol, d’un cercle blanc, la circonférence où se posaient les
pieds
de la table. Deux minutes se passèrent. Le guér
uces au delà du cercle de craie. Il pivotait lentement sur ses quatre
pieds
. Impossible de dire où se fût arrêtée l'expérie
ons. Et notez qu’elle ne tournait pas sur un pivot, mais sur quatre
pieds
, et sur un sol inégal. Je n’ai jamais vu plus sai
cer par un grand mannequin articulé, en bois, qu’ils posèrent sur ses
pieds
et sur ses mains. Il ne s’écoula pas un cpiart
cuinulets comme un être animé ; puis, se dressant subitement sur ses
pieds
, il se mit à courir autour de la chambre, en pour
largeur est de cinquante centimètres environ, assez bas, et à quatre
pieds
, sans roulettes. Sept ou huit personnes, dames ou
énéralité des expériences de ce genre, la table pivotait sur les deux
pieds
du même côté, les deux autres s’élevant en l’air.
es s’élevant en l’air. Souvent aussi, pour empêcher le glissement des
pieds
touchant au parquet, on était obligé de les arrêt
On a adressé à la table l’injonction suivante : «Lève-toi sur un seul
pied
, et du côté opposé à « celui auquel on applique
uel on applique un moyen d’arrêt. » La table se lève d’abord sur deux
pieds
; ensuite, et comme par un nouvel effort, elle se
e, et comme par un nouvel effort, elle se lève lentement du troisième
pied
et reste quelques secondes dans cette position, a
à la table de danser, et le meuble s’est mis à osciller sans que les
pieds
quittassent le sol, grâce à un léger défaut d’équ
'indiquer âSe dv^vSdix-huit ans, l’autre au nombre des ’ n levant les
pieds
du côté qui huit ; le meuble a n,)‘n f D|)antui
u Potet, il fit vers la rainure de la table, tâchant d’y emboîter son
pied
pour y trouver un point de résistance qui lui per
ines, tandis que j'encourageais de vive voix notre somnambule k trois
pieds
. M. L... alla compter les touches île son piano,
e vraiment curieuse, à, se dégager du tapis, dans les plis duquel ses
pieds
à chaque instant s’accrochaient, tandis que nous
nt de sources souterraines. En conséquence, ils firent creuser à huit
pieds
de profondeur, et ils trouvèrent... quoi? de l’ea
siècles les degrés de l’échelle lumineuse, et arrivera éclatante aux
pieds
du souverain maître, à Dieu, premier et dernier m
s très-variés, s’inclinent de tel ou tel côté, lèvent un ou plusieurs
pieds
, frappent un certain nombre de coups, etc. Bien p
de nos expériences une très-petite table ronde en bois léger, à trois
pieds
, un de ces guéridons en miniature que l’on trouve
lier sur son axe perpendiculaire et qu’elle eut été arrêtée par les
pieds
arc-boutés vigoureusement sur le parquet. Ces mou
ble. Le meuble parcourut rapidement toute l’étendue delà chambre; ses
pieds
étaient parfois arrêtés par les inégalités du par
is il devenait beaucoup plus lent ; « 8° La table appliquée par ses
pieds
sur un carreau de verre tourna comme à l’ordinair
t monté sur une lourde colonne du même bois, qui se termine par trois
pieds
, distants entre eux de 55 centimètres. « Les pe
resque. « — Frappe trois coups, frappe dix coups. Frappe avec ton
pied
gauche, avec ton pied droit, avec le pied du mili
rois coups, frappe dix coups. Frappe avec ton pied gauche, avec ton
pied
droit, avec le pied du milieu. Lève-toi sur deux
ix coups. Frappe avec ton pied gauche, avec ton pied droit, avec le
pied
du milieu. Lève-toi sur deux de tes pieds, sur un
avec ton pied droit, avec le pied du milieu. Lève-toi sur deux de tes
pieds
, sur un seul de tes pieds, tiens-toi debout, rési
le pied du milieu. Lève-toi sur deux de tes pieds, sur un seul de tes
pieds
, tiens-toi debout, résiste à l’effort de ceux qui
une pression des mains dans la situation qu’elle prenait sur un seul
pied
, résistant d’une manière incontestable aux effort
t. Pour les heures, il frappait fortement le parquet avec l’un de ses
pieds
, et pour les minutes, il frappait également avec
l’un de ses pieds, et pour les minutes, il frappait également avec le
pied
, mais plus doucement et par des mouvements réguli
eut, avance, recule, tourne en tous sens, lève un ou plusieurs de ses
pieds
en se penchant, sans tomber, jusqu’en dehors de s
aintenant dans la salle? La table frappe trois coups avec l’un de ses
pieds
. Nous étions cette fois au cabinet de physique av
qui en tenait deux dans une de ses mains. La table lève trois fois le
pied
. —Vous vous trompez, lui dit le questionneur; pui
ups bien distincts; puis elle lève une sixième fois très-lentement le
pied
qu’elle laisse retomber avec la plus grande légèr
te; pour une année commencée, la table se borne à lever légèrement le
pied
; et, sur la demande qui lui en est faite, elle i
ngs de quinze flacons chacun ; il commande à la table de frapper du
pied
quand son doigt, qu’il va promener sur les flacon
nde émotion dans la jolie petite ville d’Aix : M'"' X*'** lit par 1rs
pieds
, sons le secours des yeux !... Personne ne croit
ment même sur un morceau de papier que je dépose, plié en quatre, aux
pieds
de M^'X***. Deux heures sonnent en ce moment, nou
t que fait le papier mystérieux, quand la malade le froisse entre ses
pieds
. « A trois heures, elle annonce que la lumière
tat d’excitation générale augmente de plus en plus, et la lumière aux
pieds
devient plus vive. La malade continua alors insen
tement, mais visiblement. Elle cherche vainement il s’assurer sur ses
pieds
; les pieds eux-inêmes subissent l’entraînement et
s visiblement. Elle cherche vainement il s’assurer sur ses pieds; les
pieds
eux-inêmes subissent l’entraînement et ils suiven
On ne plaisante pas. Vous tournerez irrésistiblement, de la tête aux
pieds
! « — Comme un derviche? Hurlerai-je aussi, com
er ensuite, et le torse à demi tourné, les jambes durent, suivre, les
pieds
pivotant immaîtrisablement. Les expérimentatrices
ement impossible. En peu d’instants il fallut (pie je fisse subir aux
pieds
la rotation du tronc à demi tourné, et nulle volo
la chaîne autour d’une table ronde reposant sur une colonne ;'i (rois
pieds
, et dont le plateau en bois de chêne non poli éta
e jeune fdle qui devint amoureuse d’un domestique qui se trouvait aux
pieds
de son lit au moment où elle sortait d’un coma. C
rciste, aurait été enlevé par le démon à la colonne d’une église, les
pieds
collés en haut et la tête en bas, puis aurait éft
puis aurait éfté, par le même procédé, replacé tranquillement sur ses
pieds
. A plus forte raison devrait-on s’abstenir, dans
releva ensuite, et marcha sur les genoux aussi rapidement que sur ses
pieds
; ses yeux étaient ouverts; le mouvement des paupi
lui dit que c’est un serpent, et il le repousse et l’écrase avec son
pied
. « On apporte un verre d’eau en lui disant que
à ces traductions, la propagande magnétique va se trouver sur le même
pied
en France, en Italie, en Allemagne et en Amérique
ui est montée sur une lourde colonne du même bois, terminée par trois
pieds
distants entre eux «le 55 centimètres. Elle a 6
imposait le plus souvent la condition d’adresser son commandement au
pied
placé immédiatement devant elle et sur lequel, pa
sonnes dont l’autorité sur la table était constatée, et douze fois le
pied
désigné s’est levé et a frappé distinctement le c
et tantôt très-élevés. Une fois nous avons été surpris de voir que le
pied
demeurait immobile, malgré l’ordre qu’il venait d
voudront bien expliquer comment ces neuf personnes, persuadées que le
pied
devait se lever, 11e lui ont imprimé aucun mouvem
succès non interrompu de vingt, de trente commandements successifs.
pied
placé devant elle) savait que son commandement co
a même table et que l’un de nous a essayé par fraude de déterminer le
pied
placé devant lui à frapper le chiffre auquel il p
pète qu'on eut soin de faire adresser la plupart des commandements au
pied
placé devant l’expérimentateur qui connaissait le
ts au pied placé devant l’expérimentateur qui connaissait le chiffre,
pied
sur lequel il ne pouvait agir, ainsi qu’il est ai
n que lui imprime la volonté et qu’il s’accumule dans le voisinage du
pied
auquel l’ordre s’adresse, le pied ne se lèvera-t-
’il s’accumule dans le voisinage du pied auquel l’ordre s’adresse, le
pied
ne se lèvera-t-il pas ? Supposons que le fluide l
sont croisées, le creux poplité de l’une sur le genou de l’autre, le
pied
libre n’est pas immobile : il oscille. Ses oscill
Sénac et de Ilaller, un poids de cinquante livres attaché au bout du
pied
est poussé sensiblement encore. a Lorsqu’on tie
en avant, de manière à ne laisser appuyer sur le parquet que les deux
pieds
de devant de la chaise. Les coudes reposent sur l
tel sens, pour la faire arrêter, pour lui faire lever un ou plusieurs
pieds
, pour lui faire frapper un certain nombre de coup
u dans quelle position fâcheuse vous vous trouveriez à, minuit, les
pieds
en l’air et les jupes......» « Un immense éclat
point eu de mal ; mais en même temps sa fille asphyxiée tombait à ses
pieds
. Cette mère courageuse ne perd pas de temps ; ell
s qui ne croient point au magnétisme crient au miracle, font lever un
pied
aux tables qui en ont trois, et par ce moyen obti
ruits, des royaumes disparaître... un fleuve de sang coule jusqu’àmes
pieds
.... Oh! faites cesser cette cruelle vision!.... m
ons du corps des possédés et tu guériras les malades. Ainsi armé de
pied
en cap, je me proposais de recommencer la bataill
e quelques instants sur le creux de l’estomac, puis j’attire vers les
pieds
, de même que dans la magnétisation locale j’attir
lle); on ne veut pas qu’il passe par là; il veut y passer.... Oh ! le
pied
lui manque.... il tombe de seize pieds de haut da
r de vestiges ; il avait marché des cuadrus entières sur la pointe du
pied
; il enjambait de basses murailles, traversait un
me jour, 27 septembre i835; je constatai la déviation de la pointe du
pied
en dehors, déviation qui était extrêmement pronon
a déviation du membre. La demi-flexion de la cuisse et la rotation du
pied
en dehors, qui sont l'effet naturel de la contrac
s confirmer, que dans les fractures du col du fémur les déviations du
pied
en dehors tient en général non aux muscles, non a
urcissement très considérable de la cuisse; déviation de la pointe du
pied
en dehors, telle que le pied gauche (côté malade)
de la cuisse; déviation de la pointe du pied en dehors, telle que le
pied
gauche (côté malade) fait un angle droit avec le
s, telle que le pied gauche (côté malade) fait un angle droit avec le
pied
droit; rapprochement considérable du grand trocha
e ramener le fémur dans sa direction naturelle, et que la rotation du
pied
en dehors était une conséquence de l'engrenement.
ns; d'où les diverses espèces et les divers degrés de la déviation du
pied
, déviation qui devrait être toujours la même, si
culaire. Il est des conditions d'engrenure telles, que la rotation du
pied
en dedans, doive en être la suite. Pour bien appr
able qu'il offre un exemple de ce genre de fracture avec déviation du
pied
en dedans. Fracture intra-capsulaire col du fém
de la fracture : raccourcissement du membre de i5 lignes; rotation du
pied
en dedans. Saillie et volume du grand trochanter
briser les os. Il importait de déterminer pourquoi la déviation du
pied
avait lieu en dedans, et j'ai pu me convaincre d'
uisse droite. Symptômes: raccourcissement du membre avec déviation du
pied
en dehors, rapprochement du grand trochanter de l
ourcissement de 18 lignes du membre inférieur avec forte déviation du
pied
en dehors et abaissement de la pointe du pied : a
avec forte déviation du pied en dehors et abaissement de la pointe du
pied
: ascension et saillie sphéroïdale de l'éminence
lade est appliqué au-dessus du genou du côté sain. Le bord interne du
pied
malade embrasse dans sa concavité le bas de la ja
les mouvemens de progression ne sont pas accompagnés, au moment où le
pied
, du côté luxé, appuie sur le sol, de chevauchemen
ndant la vie une luxation de fémur en haut et en dehors. La pointe du
pied
était en effet dirigée en dedans, les mouvemens d
ur le cadavre, quel ne fut pas mon étonnement de trouver la pointe du
pied
tournée en dehors, et comme je n'avais qu'accesso
porté dans l'adduction, la jambe fléchie sur la cuisse, la pointe du
pied
tourné en dehors; la rotation en dehors du membre
elles étaient considérables et très douloureuses, commençant par les
pieds
et s'étendant aux genoux, aux cuisses, puis aux m
tôt, ses yeux quittent les doigts. Le chatouillement de la plante des
pieds
détermine des secousses convulsives douloureuses;
xviiie livraison.) vices de conformation. — lésion des mains et des
pieds
( absence des parties ). Les figures i , 2, 2',
s i , 2, 2', 3, 3', /i( demi-grandeur), représentent les mains et les
pieds
d'un sujet adulte sur lequel je n'ai aucun rensei
. L'une et l'autre sont réduites aux deux derniers doigts. Les deux
pieds
(fig. 3, 4) sont disposés en manière de pince de
ont disposés en manière de pince de homard. Il n'y a, à chacun de ces
pieds
, que deux orteils, le premier et le cinquième ; l
e anse. La figure 3' représente la dissection de la face dorsale du
pied
. Entre le gros orteil et le petit orteil, le sque
ale du pied. Entre le gros orteil et le petit orteil, le squelette du
pied
, réduit au tarse, présentait une poulie de renvoi
isseur et abducteur oblique. La figure 5 représente le squelette du
pied
droit d'un individu âgé de quarante ans, affecté,
te du pied droit d'un individu âgé de quarante ans, affecté, aux deux
pieds
, d'un vice de conformation tout-à-fait semblable
onformation tout-à-fait semblable au précédent. Le squelette des deux
pieds
a été déposé dans les cabinets de la Faculté par
eur classification. Voici d'ailleurs la description du squelette du
pied
droit représenté fig. 5. Le squelette du pied gau
ription du squelette du pied droit représenté fig. 5. Le squelette du
pied
gauche offrait quelques différences de peu d'impo
neuf ans, qui offrait en même temps que la conformation en pinces des
pieds
, une division congéniale du voile du XXXVIIIe L
desinit in piscem mulier formosa supernè (Horace), ou àsctî fœtus au
pied
de griffon, dont le bon Paré nous a conservé la f
confondus,et deux latéraux sont formés par les tibias T, T'. Les deux
pieds
, contenus par leurs bords externes, forment un pi
T, T'. Les deux pieds, contenus par leurs bords externes, forment un
pied
unique à neuf orteils, dont la face dorsale regar
rsiens, sont également soudés avec fusion. L'extrémité calcanienne du
pied
regarde en avant ; l'extrémité digitale en arrièr
tés à concevoir pourquoi les deux péronés, les deux bords externes du
pied
sont réunis et pourquoi la face dorsale du pied r
eux bords externes du pied sont réunis et pourquoi la face dorsale du
pied
regarde en bas et la face plantaire en haut ; mai
même Société. Dans ce cas, les deux fémurs, les deux jambes, les deux
pieds
, sont distincts; mais les deux membres inférieurs
gne médiane, les gros orteils regardent en dehors, la face dorsale du
pied
est dirigée en bas, la face plantaire en haut.
es distinctes, deux fémurs, quatre os pour les deux jambes : les deux
pieds
étaient parfaitement distincts. Dans le premier c
ieds étaient parfaitement distincts. Dans le premier cas, on a vu les
pieds
soudés par le tarse et le métatarse, distincts se
s du tarse manquent. Dans le degré le plus avancé, il n'y a plus de
pied
, ni même vestige de pied: le membre inférieur uni
ns le degré le plus avancé, il n'y a plus de pied, ni même vestige de
pied
: le membre inférieur unique se termine par une ja
rait pas, dans cette théorie, pourquoi les cuisses, les jambes et les
pieds
, qui sont contigus chez le fœtus, n'ont pas suivi
corps était dans l'état normal : seulement il y avait six doigts aux
pieds
et aux mains. ie genre. Cyclopie avec fusion de
r ; car on a plusieurs fois trouvé en même temps que la cyclopie, des
pieds
bots, des hernies thoraciques, c'est-à-dire le pa
en forme d'ergot, qui m'a paru être le vestige du clitoris. Les deux
pieds
se regardent par leur face plantaire, et, par con
plantaires sont également libres. La figure i', qui représente les
pieds
de grandeur naturelle, écartés l'un de l'autre au
ne rien omettre, je dois dire que les bords externes réunis des deux
pieds
sont convexes, les bords internes concaves, comme
s deux pieds sont convexes, les bords internes concaves, comme si les
pieds
, en même temps qu'ils avaient subi un renversemen
e temps subi un renversement en haut, d'où résulte que l'axe des deux
pieds
qui est perpendiculaire à l'axe des jambes décrit
présente une largeur beaucoup plus grande que de coutume, et que les
pieds
ressemblent assez bien à des mains dont les doigt
sont confondus, mais distincts sous un même tégument commun, que les
pieds
réunis forment un angle droit avec la jambe. La f
igure 2', grandeur naturelle, donne une idée parfaite des rapports du
pied
avec la jambe et de la forme des deux pieds, vus
e parfaite des rapports du pied avec la jambe et de la forme des deux
pieds
, vus par leur face dorsale. Dans la figure 2' com
par leur face dorsale. Dans la figure 2' comme dans la figure 2, les
pieds
et les orteils ont été écartés les uns des autres
n bas, en ATPB: chacune des branches de bifurcation est destinée à un
pied
. Je ferai également remarquer la fusion des deux
commun des deux artères tibiales postérieures, pour fournir aux deux
pieds
. Dans l'intervalle des deux tibias, on trouve enc
propres des gros orteils manquent. La même figure 3 représente les
pieds
vus par la face plantaire : on ne trouve dans cet
de la rotule R, qui regarde directement en dehors, et la situation du
pied
par rapport à la jambe, situation telle que le pi
t la situation du pied par rapport à la jambe, situation telle que le
pied
est renversé de dehors en dedans, que son bord ex
uper le côté externe de la jambe, ils en occupent le côté interne. Au
pied
, les os du tarse sont distincts, à l'exception de
de remarquer que le mouvement de rotation subi par les jambes et les
pieds
est identiquement lemême. Fig. 7. Bassin et m
d'un placenta. Tous ces prolongemens que nous retrouverons encore aux
pieds
AF, servaient de moyens de suspension à l'enfant
le fœtus étant ployé en double sur lui-même, de telle manière que les
pieds
débordaient en haut la tête, et venaient appuyer
formée par une grande portion d'épiploon et une anse intestinale d'un
pied
de longueur; l'épiploon et l'intestin étaient con
astre. Le pouls est toujours filiforme; la peau froide, « surtout aux
pieds
; les cris énergiques; une diarrhée considérable
d'eux apparaît une tumeur de deux pouces et demi de diamètre et d'un
pied
de longueur, ayant une direction oblique de haut
rite folliculeuse aiguë ou chronique. La fig. i présente le dernier
pied
de l'intestin grêle IG : on y voit les plaques de
s 20 sangsues aux jugulaires, un lavement laxatif, des synapismes aux
pieds
. J'étais bien loin de m'attendre à une mort aus
and soulagement un tube pseudo-membraneux parfaitement régulier, d'un
pied
de long. L'inflammation pseudo-membraneuse du gro
pas de même de l'intestin grêle, qui, dans les deux ou trois derniers
pieds
de sa longueur, présentait des traces non équivoq
qu'elle franchit même la valvule iléo-cœcale, et envahit les derniers
pieds
, la plus grande partie de la longueur de l'intest
ait à aller ramasser du bois, et il lui arrivait souvent de traverser
pieds
nus des ruisseaux très froids pendant qu'elle éta
artin, qui était en mal d'enfant. Je trouvai M. Sobaud, qui tenait un
pied
au dehors et qui éprouvait les plus grandes diffi
Quinze jours auparavant, cette jeune fille était tombée de plusieurs
pieds
avec une échelle, dont la base, mal affermie, ava
gsues. Prescription : Large vésicatoire sur le coté, synapismes aux
pieds
. Le 23, sentiment de suffocation tel que le mal
. Sous l'influence de la position du membre ( position telle que le
pied
était de beaucoup plus élevé que le genou), et de
morte par suite d'une phlébite capillaire hémorrhagique de la peau du
pied
et de la jambe. Cette femme n'appartenait pas à m
de la jambe gauche jusqu'au dessous du genou. La plante et le dos du
pied
offraient la même coloration. La jambe droite n'o
couleur livide qu'en dedans sur le trajet de la veine saphène, et le
pied
sur sa face dorsale et le long de son bord intern
, salle Saint-Luc, avec une tuméfaction douloureuse des jambes et des
pieds
, sans tache de sang et ecchymose superficielle.
de se circonscrivit avec la douleur au voisinage de l'articulation du
pied
et au dos du pied; le reste de la jambe présenta
t avec la douleur au voisinage de l'articulation du pied et au dos du
pied
; le reste de la jambe présenta une légère tuméfac
gnée! Le 3 décembre i836, la malade se plaint d'une douleur vive au
pied
droit. N'apercevant rien, je crus que cette doule
du poids des couvertures, je fais mettre un cerceau pour garantir le
pied
. Le lendemain, la malade accuse une douleur trè
xtrémité des orteils du même côté : la gangrène s'étend rapidement au
pied
, au bas de la jambe , à toute la région antérieur
z remarquable, elles se faisaient principalement sentir sur le dos du
pied
qui était complètement gangrené : cette sensibili
fig. 1.) La gangrène, caractérisée par une couleur noire, occupe le
pied
en entier, toute la région antérieure et externe
égions postérieure et interne. Elle est très exactement délimitée. Le
pied
est desséché et momifié. La peau de la jambe est
res du membre inférieur depuis l'arcade fémorale jusqu'à la plante du
pied
. Les artères fémorale et poplitée et leurs divisi
ait convalescente, à la demi-portion. Le 7 février, on me montre le
pied
de cette malade : le petit orteil était noir, ins
ment. Cet animal est mort le 24 juillet, avec une gangrène sèche du
pied
et de la jambe, ïi y avait plusieurs abcès gangre
n exercée sur le membre augmente les souffrances Le cinquième jour,le
pied
paraît complètement gangrené. Les douleurs se con
tée au gros orteil, elle s'étendit ensuite aux autres orteils du même
pied
. L'état général était d'ailleurs excellent. Le ma
reux. Le i4 juin, la gangrène avait frappé graduellement la moitié du
pied
. Le malade mourut cachectique, A l'ouverture, a
angrené : ainsi, j'ai vu dans un hôpital de province un homme dont le
pied
et la jambe momifiés ne tenaient plus que par les
, les battemens artériels ne sont plus perceptibles. La jambe et le
pied
sont décolorés, blancs, sans aucune trace de putr
e membre inférieur droit.—Le iermai, froid, insensibilité complète du
pied
, de la jambe et de la moitié inférieure de la cui
'une éponge. Cœur sain. Les muscles de la jambe, de la cuisse et du
pied
droit sont sains comme ceux d'un cadavre assez fr
«elle paralysie rhumatismale douloureuse qui débute parla plante des
pieds
ou la paume des mains, et qui est désignée sous l
s lancinantes vives avec sensation de froid à l'extrémité digitale du
pied
droit: on fit appliquer des cataplasmes sinapisés
tale du pied droit: on fit appliquer des cataplasmes sinapisés sur le
pied
malade; 011 chercha à y réveiller la sensibilité
degré; et là, on ne reconnut le véritable caractère de la maladie du
pied
que quelques jours après, lorsqu'à l'insensibilit
des douleurs dans les jambes, depuis les genoux jusqu'à la plante des
pieds
; 2° une ceinture ou barre douloureuse occupant su
ccrochant aux colonnes de son lit. Le chatouillement de la plante des
pieds
, quoique non perçu, détermine des contractions mu
1838, voici dans quel état : lèvres violacées, variqueuses; mains et
pieds
cyanoses comme dans le choléra le plus intense; i
titesse extrême du pouls. Insomnie. La malade se lève la nuit, marche
pieds
nus, et trouve un grand soulagement à plonger les
nuit, marche pieds nus, et trouve un grand soulagement à plonger les
pieds
dans l'eau froide pour se rafraîchir. La crise
ctions se renouvellent trois fois à de courts intervalles— Saignée au
pied
. — Un mois après, nouvelles contractions à la mêm
ie plus considérable encore que de coutume, elle gagne son lit de son
pied
, et à peine couchée tombe dans l'état suivant, qu
stait, il voulut néanmoins se rendre chez lui à petites journées et à
pied
, en compagnie d'un de ses camarades qui conduisai
s. La rigidité s'arrête aux genoux; car les muscles des jambes et des
pieds
sont au contraire dans un état de flaccidité rema
des membres inférieurs, les infirmières sont obligées de se placer au
pied
du lit et de tirer sur les jambes de toutes leurs
voulait marcher trop vite. C'est par les genoux et par la plante des
pieds
que la paralysie a débuté. Il lui semblait dans l
t comme saisis, et qu'il y avait un coussin interposé à la plante des
pieds
et au sol. La perte du mouvement a commencé par l
après son accident. Décubitus dorsal obligé, sensibilité tactile des
pieds
abolie jusqu'aux malléoles; plus haut sensibilité
on approchait du tronc: en même temps qu'ils étaient insensibles, les
pieds
faisaient éprouver des picote-mens douloureux, qu
rûlure, et qui s'étendaient aux jambes et aux cuisses. L'attitude des
pieds
était remarquable. Les orteils étaient fortement
uable. Les orteils étaient fortement fléchis sur le métatarse, et les
pieds
, fortement étendus sur les jambes , restaient imm
té tactile avec picotemens douloureux, l'attitude et l'immobilité des
pieds
, l'augmentation du sentiment et du mouvement à me
tion de moelle inférieure à la dépression, que naissent les nerfs des
pieds
, et cependant l'anatomie établit que les nerfs de
es nerfs des pieds, et cependant l'anatomie établit que les nerfs des
pieds
ne sont en quelque sorte qu'un démembrement des n
cute les mouvemens de progression, mais terre à terre en traînant les
pieds
: elle tomberait comme une masse si on cessait de
rfs sciatiques, et à la partie interne des cuisses. Les jambes et les
pieds
, d'abord respectés, ne tardèrent pas à être envah
ouvait un engourdissement douloureux dans la jambe gauche, et que son
pied
tournait sous elle , si bien qu'elle croyait s'y
Au "bout de trois jours, la malade se plaint de douleurs sourdes aux
pieds
, puis aux deux jambes. Ces douleurs ou plutôt cet
ept à h uit jours. La «malade peut marcher, mais en vacillant sur les
pieds
. Les muscles de la jambe sont à-la-fois douloureu
la cause rhumatismale se portait d'abord sur la peau de la plante des
pieds
, où elle restait long-temps stationnaire , et s'
onté, la malade parvient à imprimer un léger mouvement aux orteils du
pied
gauche; car le côté gauche a toujours été un peu
elle est réveillée par la douleur. Cette douleur commence au bout des
pieds
et monte jusqu'à l'épaule à la manière d'un vent
soutenir.Commotions fréquentes dans tout le corps. Sensibilité des
pieds
et des jambes presque nulle ; perception extrêmem
es; mais la sensibilité des mains est dans le même état que celle des
pieds
. La malade dit que le petit doigt est mort. La le
t est mort. La lenteur de la perception est la même aux doigts qu'aux
pieds
. Rétention d'urine depuis quelques jours; cathété
sensibilité est intacte, le chatouillement est perçu à la plante des
pieds
; mais il ne détermine aucun déplacement des memb
n i835. Commémoratifs. Au début, en 1818 , engourdissement, dans le
pied
et dans la jambe du cote gauche; plus tard engour
ed et dans la jambe du cote gauche; plus tard engourdissement dans le
pied
et dans la jambe du côté droit. Eclairs de douleu
la chorée. Les membres inférieurs sont complètement atrophiés, les
pieds
fortement étendus sur les jambes, les orteils for
res n'a pas été pour quelque chose dans cette position permanente des
pieds
et des orteils. Lorsque les membres in férienrs
rs d'engourdissement sans douleur : il lui semblait que la plante des
pieds
était endurcie, qu'elle n'embrassait pas exacteme
prendre des alimens. La sensibilité persistait: le chatouillement des
pieds
déterminait une rétraction très prononcée du memb
e le disent les gens du peuple. Depuis un an, elle éprouvait dans les
pieds
et les jambes, mais surtout dans la plante et a
les pieds et les jambes, mais surtout dans la plante et au dos des
pieds
un engourdissement qui se dissipait en général pa
vec exacerbation qu'elle rapporte principalement aux articulations du
pied
, du genou et de la cuisse. La malade compare ces
uve dans les doigts à celle qu'elle ressentait, dans le principe, aux
pieds
. a0 Mouvement. Intégrité à-peu-près parfaite du
sence de mouvemens volontaires, douleurs très vives, continuelles aux
pieds
, aux jambes, aux cuisses et aux reins. Il semble
e la longueur du membre inférieur. Le chatouillement de la plante des
pieds
, mode d'exploration si important, ne provoque auc
Douleurs continuelles dans les reins , les cuisses, les jambes et les
pieds
. Elle redoute le plus léger contact. Morosité, ma
ont remplacé les douleurs des reins ; les douleurs des cuisses et des
pieds
ont cessé. La malade ne se plaint que des jambes,
bres inférieurs était intacte, que le chatouillement de la plante des
pieds
, triomphant de la volonté de la malade, détermina
ûre ne déterminent aucun mouvement. Le chatouillement à la plante des
pieds
ne provoque de légers mouvemens que lorsqu'on fro
eurs, surtout à droite. La malade meut volontairement les orteils, le
pied
, la jambe ; mais lorsqu'on soulève le membre, ell
, il y a dix-huit mois environ, par des fourmillemens à la plante des
pieds
et aux jambes : bientôt les bras tremblèrent, la
e faiblesse réelles, que démontraient anatomiquement l'existence d'un
pied
bot et la dégénération graisseuse des muscles de
t été remplacées par la paralysie, qui, en quelques heures, passa des
pieds
aux jambes pour envahir la totalité des membres i
ger fait avec la barbe d'une plume; le chatouillement à la plante des
pieds
est le stimulant qui conserve le plus long-temps
re qu'éprouve le malade soit autour des articulations des genoux, des
pieds
, des hanches, soit autour du bassin, de la base
de n'a aucune espèce de perception du chatouillement de la plante des
pieds
, mais ce chatouillement détermine tantôt des mouv
s. Pouls fort, dur, résistant, naturel pour la fréquence.— Saignée du
pied
, infusion d'ipécacuanha, limonade tartarisée. L
pouls était plein, la face pléthorique : saignée de 12 onces, bain de
pied
synapisé. Il ne restait que quelques douleurs vag
resserrées et immobiles; point d'écume à la bouche. (Large saignée du
pied
). — Le calme revenu, le malade dit fort tranquill
ère sérieuse. Quinze sangsues aux apophyses mastoides; synapismes aux
pieds
. Point de soulagement. Le soir, redoublement de l
blement affaibli pour le sentiment. Le chatouillement de la plante du
pied
est faiblement perçu et détermine à peine un lége
du matin, insensibilité générale. Le chatouillement de la plante des
pieds
n'est pas perçu ; cependant léger mouvement de l'
ans tous les cas, il y a maladie irritative, inflammation. Saignée du
pied
. Le 2, même état, douze sangsues dont six à l'a
à la région temporale gauche. Le 3, deuxième saignée très copieuse au
pied
, vésicatoire à la nuque,, lavemens purgatifs. Le
t pendant le temps du lever ; car on le lève tous les jours. Bains de
pied
sinapisés matin et soir ; lavement purgatif tous
loppement d'une odeur spécifique de la matière qui forme les cors aux
pieds
. ce Analyse. —• Une macération prolongée dans l
croissances de même nature. Toute la peau des bras, des jambes et des
pieds
avait un aspect horrible : elle était calleuse et
pièce déposée au musée Dupuytren, et qui représente les mains et les
pieds
d'une vieille femme couverts de productions corné
e de la corne molle, et occupant la paume de la main et la plante des
pieds
. C'est peut-être encore au mucus ou au pus dess
FD, le fémur droit; FG, le fémur gauche; JG, la jambe gauche; PD, le
pied
droit ; ABG, l'avant-bras gauche. La figure 5 r
tant le tronc en haut et en avant, il amena le dos, les fesses et les
pieds
. Saisissant alors les fesses du second enfant, il
vité abdominale. Antoinette Soupe, âgée de 5o ans, est venue de son
pied
à la consultation gratuite de l'hôpital de la Cha
trémités. Vices de conformation. Lésions congeniales des mains et des
pieds
(absence de parties). Syndactylies.—Ankyloses con
r la cyclopie. 33e liv., pl. v, vi, jp. y. — Lésions des mains et des
pieds
; absence des parties. 38e liv., pl. i, p. i. — Le
, pl. m , p. i. — Péritonite puerpérale latente. Douleur excessive du
pied
. Etat ataxique. Pus et pseudo-membranes dans la c
v, p a. NIEL (M.), Procédé employé par lui pour le redressement du
pied
bot. 2eliv., pl. iv, .p4. NITRATE DE BISMUTH. S
uatre cinquièmes de leur étendue. = Enfant né avec des phlyetènes aux
pieds
, aux mains et à la paupière supérieure. Mort au
2e liv. , pl. v, p. /. PHLYCTÈNES Enfant né avec des phlyetènes aux
pieds
, aux mains et à la paupière supérieure. 15e liv.,
iologique et l'a-natomie pathologique. lrcliv., Avant-Propos, p. j.
PIEDS
. Pieds-bots. 2e liv., pl. n,p. /. — Examen anatom
. iv,p. ré-Inflammation des synoviales ariiculaires et tendineuses du
pied
. 17e liv., pl. ni, p. 2. — Vice de conformation d
endineuses du pied. 17e liv., pl. ni, p. 2. — Vice de conformation du
pied
par absence de parties. 38e liv. pl. 1, p. 1. P
uatre cinquièmes de leur étendue. = Enfant né avec des phlyetènes aux
pieds
, aux mains et à la paupière supérieure. Mort au b
., pl. m, p. /. — Péritonite puerpérale latente. Douleur excessive du
pied
. Etat ataxique. Pus et pseudomembranes dans la ca
YNOVIALES. Inflammation des synoviales articulaires et tendineuses du
pied
. = Inflammation puerpérale des synoviales. 17e li
sur la cyclopie. 33e liv., pl. v, vi, y-y- — Lésion des mains et des
pieds
(absence des parties). 38e liv-, pl. 1, p. u — Le
ne valeur diagnostique consiste dans l'atti- tude de la jambe et du
pied
du côté malade chez les sujets atteints de dévi
, la jambe serait légèrement fléchie sur la cuisse, et la plante du
pied
reposerait sur le sol par toute sa surface. L
s la station verticale, cette double flexion articulaire élève le
pied
au-dessus du sol. On peut donc voir des malades
des dont la jambe endolorie ne touche au sol que par la pointe du
pied
, tandis que la jambe saine, portant tout le poi
1). Il peut même arriver que la jambe étant fortement fléchie, le
pied
soit maintenu par une contraction per- manente
r Fig, 11. Fig. 12. 16 CLINIQUE NERVEUSE. le sol la plante du
pied
du côté malade; et ainsi se trouve réalisée la
t la cause de l'endolorissement, le sujet évite de s'appuyer sur le
pied
du côté qui souffre. En vertu d'un effort autom
fre. En vertu d'un effort automatique permanent, il maintient son
pied
légèrement élevé .au-dessus du sol. C'est le ca
s boiteries. Il s'incline alors du côté sain, de telle façon que le
pied
de ce côté supporte tout le poids du corps, et
pied de ce côté supporte tout le poids du corps, et si la plante du
pied
du côté malade est appliquée à terre, cela ne v
erticale du centre de gravité passerait, en effet, par la plante du
pied
de la jambe malade, ce qui ne se peut pas (lig.
s; et alors, contrairement à l'opinion de M. Babinski, la plante du
pied
peut ne pas reposer totalement sur le sol. Le
rt. Si, au lieu de sauter, le sujet marche alternati- vement sur le
pied
déchaussé et sur le pied garni de la semelle, i
, le sujet marche alternati- vement sur le pied déchaussé et sur le
pied
garni de la semelle, il prend encore la même at
n- chement, c'est-à-dire l'attitude de la scoliose sciatique : le
pied
garni de la semelle étant celui sur lequel le s
l se tint debout dans une immo- bilité relative. Il sentait que son
pied
se tournait en dedans. Le ~matin seulement, au
ns. Le ~matin seulement, au réveil, la douleur avait disparu, et le
pied
reprenait sa direction normale. La douleur augm
et l'attitude vicieuse de la jambe caractérisée par la rotation du
pied
en dedans. Tout mouvement L de flexion devint i
uche, plus cependant à gauche qu'à droite. Le relèvement brusque du
pied
provoque un tremblement épileptoïde passager. L
coxo- fémorale est indemne. La marche est toujours impossible ; le
pied
gauche reste tourné en dedans. 20 CLINIQUE NE
ng que le droit. Il est fléchi légèrement en dedans, la plante du
pied
reposant à plat sur le sol, le genou- et la poi
lante du pied reposant à plat sur le sol, le genou- et la pointe du
pied
tournés en de- dans, comme dans le cas de genu
sée. Lorsqu'elle se prolonge, il en résulte une légère boiterie, le
pied
tend à se replacer dans l'adduction, mais l'altit
et il n'est pas de chirurgien qui ne sache que le phéno- mène du
pied
peut apparaître au moment où on sou- lève une j
e souffre du côté contrac- turé. Comme il évite de poser à terre le
pied
de la jambe malade, il est contraint de faire p
presque impossible, le sujet évitant toujours de s'appuyer sur son
pied
gauche. Nous n'avons plus qu'un mot à ajouter :
urs sa jambe; donc, il diminue l'intervalle qui sépare la plante du
pied
du fémur : par conséquent il raccourcit sa jamb
t au niveau du genou; le pli de la fesse s'abaisse, et la plante du
pied
repose à terre par toute sa surface. 6° Dans
et au niveau du genou; le pli de la fesse s'abaisse et la plante du
pied
repose à terre par toute sa surface. En dehor
he saine en dehors de la ligne verticale qui passe par la plante du
pied
du côté sain. 10° Enfin, dans les cas où le spa
tement normaux. Les réflexes rotuliens de même. Le malade saute à
pieds
joints, court à « quatre pattes », monte sur une
il avait rattrappé les Indiens. Il put alors continuer son voyage à
pied
, marchant facile- ment et rapidement. Ce voyage
diatement après, en descendant de -wagon, il fit trois kilomètres à
pied
, sans aucune fatigue. Le lendemain il put march
orsque je lis longtemps les yeux me tirent. J'ai toujours froid aux
pieds
. Depuis dix mois je suis le régime de Priessnit
ouloureuse. Réflexes rotuliens absolument normaux. Pas de clonus du
pied
. Parole élégante et facile, jamais aucune hésit
igne sans pouvoir avancer. Au moment où il s'arrête en frappant des
pieds
sur le sol, il lève ses bras en l'air et renver
tarderait pas à se laisser choir. S'il tente de marcher encore, les
pieds
trépident sans se détacher du sol, comme si le
t, l'ou- vrier a été atteint de douleurs dans les articulations des
pieds
, vingt minutes après, survint- une paralysie co
ations XXXII, XXXIII et XXXIV, en déterminant par l'isché- mie du
pied
de la troisième circonvolution frontale la pert
la hranche sylvienne de la frontale ascendante et qui se rend au
pied
de la deuxième frontale gauche, au centre d'Exn
moteur cortical des muscles du larynx (1884) : il est localisé au
pied
de la circonvolution précruciale du chien. Masi
lo- calisé chez l'homme, sur la F3, près le centre de Broca et le
pied
de la FA, s'étendrait bien au delà, s' « en- gr
dans sa chambre. Il se plaignait que, en marchant, ses doigts de
pieds
restaient raides dans ses souliers. Le visage éta
SIE 107 bains alcalins, tisane de houblon et de valériane, bains de
pieds
tous les soirs. 25. - Pendant huit jours, les
ble. Traitement : bromure de camphre, tisane de valériane, bains de
pieds
, bains alcalins. 15. - Amélioration notable. N'
tial. Il cherche dans ses crises à marcher sur les mains et sur les
pieds
, les appuie contre le mur, cherche à mordre. Re
asie motrice apparaît prin- cipalement quand la lésion siège sur le
pied
des deuxième et troisième frontales et l'ingula
le canon de son fusil et faire partir le chien avec un doigt de son
pied
. Une détonation retentit, et le crâne du malheu-
ons, les appliquaient t aux fenêtres, et le commissaire, mettant le
pied
sur le premier échelon, se disposait à conduire
ues que ce dernier parvient à ranimer entièrement et à remettre sur
pied
le sujet par trop sensible. Les jeunes gens qui
cavité en dedans, des deux côtés, mais plus accentuée à gauche. Les
pieds
ont une apparence pachydermique plus prononcée
au niveau de l'ensellure du dos, du tiers inférieur des jambes, des
pieds
. Au niveau de ceux-ci, les plis sont très accus
olul1gée de cataplasmes. Les mains sont légèrement rouges, mais les
pieds
sont violacés. 11 existe un érythème assez pron
- fissure et faux oedème des paupières, des joues, des mains, des
pieds
, etc. ; présence des pseudo-lipomes, absence de l
es minutes, il se produit des battements et des pulsations dans les
pieds
, puis dans les jambes, finalement par tout le c
oratifs démontrèrent cependant qu'avant l'arthrite les mains et les
pieds
étaient d'un volume anormal. Le second fait c
1885, n° il. 312 CLINIQUE NERVEUSE. Il ne faudrait pas prendre au
pied
de la lettre le caractère symétrique de ces név
laire dans les membres inférieurs pré- domine sur les extenseurs du
pied
. Cette démarche est si fréquente chez les alcoo
ant principalement sur les exten- 318 CLINIQUE NERVEUSE. seurs du
pied
, de telle sorte que l'avant-pied est tom- bant,
ouc, ni de tapis, etc... Il a toujours trop chaud ou trop froid aux
pieds
: dès qu'ils sont chauds, ils lui brûlent et il
l a une cer- taine difficulté à se mettre en équilibre sur ses deux
pieds
. Quand il marche, ses' mouvements ne sont pas i
manière d'un paralytique alcoolique, steppant nettement surtout du
pied
droit. Lorsqu'on le fait marcher avec ses souli
. Lorsqu'on le fait marcher avec ses souliers, on s'aperçoit que le
pied
frappe le sol en deux fois, le talon d'abord et
uite. En effet, il existe une véritable paralysie des extenseurs du
pied
, principalement à droite. Le malade étant assis
et les jambes élevées, si on veut lui faire redresser la pointe du
pied
, il ne SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. 321
l ne SUR UN CAS DE PARAPLÉGIE DIABÉTIQUE. 321 peut le faire et le
pied
est véritablement tombant. On ne constate cepen
e troubles cérébraux. Quelques sensations dysesthé- siques dans les
pieds
(sensation que ses pieds sont collés l'un à l'a
lques sensations dysesthé- siques dans les pieds (sensation que ses
pieds
sont collés l'un à l'autre dans le lit, comme a
ons douloureuses. Il se plaint seulement d'une sorte de brûlure aux
pieds
pendant la nuit et d'engourdissement léger pend
e la hanche, bien qu'il y ait un certain degré de parésie. Mais les
pieds
sont tombants. Non seulement le malade ne peut
ents passifs de flexion, mais même il est incapable de relever le
pied
en extension. Cela est encore bien analogue à ce
Mais cela tient sans doute à ce que la paralysie des extenseurs du
pied
, qui les tient immédiatement sous sa dépendance
mal du step- page, destiné à empêcher dans la marche la pointe du
pied
tombante de traîner sur le sol. Si la paralysie
La nuit, lorsqu'il est au lit, il éprouve toujours, au niveau des
pieds
et de la partie supérieure des jambes, une sen-
30 CLINIQUE NERVEUSE. ces moments et même bien souvent, il sent ses
pieds
découverts se refroidir. Mais dès qu'il tente d
de brûlure reparaît, et il préfère passer des nuits en- tières les
pieds
découverts et froids. Ces sensations, vous le s
ésentés à un haut degré. Je veux parler d'abord de cet oedème des
pieds
et de la partie inférieure des jambes qui a exi
ent de la tête. Dans la station debout, elle écarte notablement les
pieds
, néan- moins, elle ne peut garder complètement
oscillations, se portant alternativement du talon sur la pointe des
pieds
et réciproquement; en même temps les orteils so
symptomatologie : épaississement et élargissement des mains et des
pieds
, ainsi que de la face qui devient ovalaire. 11
es sexes dans ces dortoirs est assurée. Les dortoir ? ontj quatorze
pieds
de hauteur; ils sont bien éclairés des deux côt
ermanente avec exagération considé- rable des réflexes et clonus du
pied
. Nous en avons une preuve nouvelle dans le cas
entir des douleurs dans les jambes, des picotements à la plante des
pieds
, des crampes dans les mollets; les membres infé
s inférieurs deviennent raides, le malade ne peut plus soulever les
pieds
, les détacher du sol; D... entre alors il l'hôp
ite est la plus faible des deux ; de ce côté il existe du clanus du
pied
. Pas d'oedème des jambes (2 grammes d'albumine
un bâton; elle est entravée parfois par les mouvements cloniques du
pied
droit. Dans son lit, le malade déplace ses memb
es plantaires sont diminués des denx côtés. Le clonus provoqué du
pied
n'existe que du côté droit;' il semble inépuisabl
brusques sont fréquentes la nuit, surtout à droite. Le clonus du
pied
existe très fort, maintenant des deux côtés ; si'
és ; si' on fait lever le malade, dès que celui-ci s'appuie sur ses
pieds
, le clonus lui imprime des mouvements saltatoir
de troubles objectifs (il existait de la contracture, du clonus du
pied
des deux côtés) ; elle guérit peu à peu, ou du
paraplégie est plus marquée du côté droit où il existe du clonus du
pied
; la sensibilité au contact n'est pas atteinte
plus mauvaise; exagération des réflexes des deux côtés et clonus du
pied
du côté droit. Sensibilité au contact un peu di
a paraplégie à peu près complète, s'accom- pagne du clonus des deux
pieds
; les troubles de la sensibi- lité objective re
t un moyen suggestif, cet auteur sus- pendait ses ataxiques par les
pieds
et le corps en les soule- vant en l'air, couché
à ses malades la possibilité de toucher le sol par les pointes des
pieds
. Mor- ton n'employait pas des pièces axillaires
qui descendait de la poulie. Althaus employait un trépied, dont un
pied
portait un engrenage, qui permettait de relever
ey releva ses patients par la tête seule, en laissant la pointe des
pieds
en contact avec le sol. Vood suspendait ses ata
re ses malades. Seulement il fixa ses patients à la planche par les
pieds
et bascula la partie de la planche où se trouva
la tête, de sorte que ses malades furent toujours suspendus par les
pieds
ayant la tête en bas. Dans cette désagréable po
planche inclinée comme mode de sus- pension, la tête en haut et les
pieds
en bas. Les expériences physiologiques de Bogro
n poids faible, nous appliquons des poids supplémentaires tantûtaux
pieds
, tantûtàlaceintureducorps.Nous employons parfoi
que nous em- ployons des poids supplémentaires, appliqués soit aux
pieds
, soit à la ceinture du corps, quand le poids du
ion du poids du corps. Pour appliquer les poids supplémentaires aux
pieds
, nous nous servons de bandes, bourrées d'ouate
e, assis, peut librement et .sans douleur mouvoir ses jambes et ses
pieds
; dès qu'il marche, ou du moins au bout de quelq
troubles moteurs portaient surtout sur les muscles des jambes, des
pieds
et des éminences thénars, avec intégrité de la
ourdonnements d'oreille, vaso-constriction des extrémités (mains et
pieds
). Une grande variété, la migraine ophtalmique.
contrac- tures avec abolition des réflexes et absence du clonus du
pied
; de la chorée fasciculaire diffuse provoquée, e
es, aux genoux l'excur- sion est de 1000 environ; les mouvements du
pied
et des orteils sont très limités. 1 Il n'y a
Roucoli et dans celui de Vince, où les lésions siégeaient aux deux
pieds
et où l'élongation n'a été pratiquée que sur un,
ignificatives (sens stéréognostique) qui avaient leur siège dans le
pied
des frontales 1 et 2. M. RAYMOND n'a pas discut
Mendel, Abadi, Desnos, Bechtereff et Vorotynski. Amélioration du
pied
tabétique : Revillot. Amélioration du mal plant
s d'un oedème du gros orteil gauche et d'une raideur des muscles du
pied
, lui empêchant la marche. A la suite de fatigue
membres inférieurs, diffi- culté de se tourner sur place, les deux
pieds
se cognaient pendant la marche; impossible de m
auche. Actuellement C... repris ses occupations, fait des courses à
pied
, ne ressent plus du tout de douleurs d'aucune s
issent souvent par se loca- liser sur une portion de la jambe ou du
pied
. Tantôt elles n'apparaissent qu'à la suite d'un
nts dans les membres infé- rieurs, le fléchissement des genoux, les
pieds
tournaient en mar- chant ; marche, par conséque
mécanothérapie pendant un mois. Le mois suivant elle venait déjà à
pied
, soutenue par deux aides ; l'amélioration conti-
it, d'abord la flexion des trois premiers orteils vers la plante du
pied
, puis la flexion plantaire du pied, enfin une len
emiers orteils vers la plante du pied, puis la flexion plantaire du
pied
, enfin une lente extension de l'articulation du
plus constant en l'espèce, tandis que l'excitation de la plante du
pied
produit chez les mêmes malades le réflexe exten
sont, des deux côtés, actifs. Parfois on obtient le phéno- mène du
pied
. Quand on lui chatouille la plante du pied, le gr
btient le phéno- mène du pied. Quand on lui chatouille la plante du
pied
, le gros orteil s'étend, puis le pied se fléchi
n lui chatouille la plante du pied, le gros orteil s'étend, puis le
pied
se fléchit sur la jambe et la cuisse se fléchit
alités se produisent moins volontiers. L'excitation de la plante du
pied
provoque encore la flexion dorsale du -pouce et
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 135 En résumé le réflexe. fémoral porte, au
pied
, sur les fléchisseurs plantaires, et le réflexe
en d'autres régions, on voit des fibres à myélinisation hâtive. Le
pied
des frontales est en réalité un champ d'évoluti
intense. La sphère motrice, dans la portion qui s'étend en avant au
pied
des deuxième et troisième frontales, a une valeur
s de la face, de la langue, du pharynx, du larynx, des membres : le
pied
de la troisième fron- tale commande aux mouveme
s des mêmes muscles adaptés, par perfectionnement, à la parole ; le
pied
de la deuxième frontale, à ceux des muscles en
à vingt-cinq ans et le tabès à trente-trois ans'et qui va encore à
pied
d'un bout à l'autre de la ville. 1 GO' ' , SOCI
étudiée clini- quement par Ladame; la lésion très limitée occupe le
pied
de la troisième frontale. M. Roux (de Saint-E
- tiques, somnolence, apathie. Les dimensions des poignets et des
pieds
sont très augmentées, de même que celles de la mâ
u'il avait fabriquée et s'est enfoncé deux clous à travers les deux
pieds
ainsi qu'un troisième à travers la main gauche. I
progression de la resensibilisatiou et lui fais sentir la plante du
pied
droit. Le pied fléchit et s'étend sur la jambe,
la resensibilisatiou et lui fais sentir la plante du pied droit. Le
pied
fléchit et s'étend sur la jambe, la cheville cr
des mouve- ments de supination très légers et isochrones de ceux du
pied
-)-1. La plante brûle de moins en moins ; la fl
emenls s'accélère 4- Ça se débloque le long de la partie interne du
pied
droit ? 'La plante des pieds est libre, les fou
ébloque le long de la partie interne du pied droit ? 'La plante des
pieds
est libre, les fourmis ont passé. ' Le signe +
sentez thivantagu. , 204 RECUEIL DE FAITS. Sentez les orteils du
pied
droit : mouvements de flexion et d'extension de
ez la peau du cou-de-pied : mouvements de flexion et d'extension du
pied
et de latéralité des orteils + La peau brûle, e
Cinq minutes après, la peau du cou-de-pied est réveillée. Sentez le
pied
: mouvements assez étendus de flexion et d'exten-
entez la cheville : craquements à chaque mouvement d'exten- sion du
pied
sur la jambe -(-Mouvements très intimes de flexio
mouvement de flexion et d'extension de la jambe et de la cuisse. Le
pied
ne fléchit plus -(- Il y a des boules dans le m
nge son tibia + Tout est libre au bout de huit minutes. Sentez le
pied
et la jambe : mouvements de flexion et d'exten-
ouce. Il y a de très légers mouvements extenseurs de la jambe et du
pied
. Sentez le membre supérieur droit : mouvements
tourne à la resensibilisa- tion plus complète en commençant par les
pieds
. Puis, je l'endors de 8 heures à 11, heure à la
ler entre soi - Nous avons peur du complot + Quelles réclamations ?
Pieds
plats, défaut de langue, vue courte -(- Je vais
à l'angle externe de l'oeil droit). 27. Louis se plaint d'avoir les
pieds
, l'épaule droite, la tête bloqués. En récupéran
cas fort curieux d'ano- malies de la main droite, de la jambe et du
pied
gauches, chez une malade atteinte de mélancolie
ement; mais, par contre, la jambe ou l'avant-bras, mieux encore, le
pied
ou la jambe font défaut ou sont restés à l'état r
être l'index où~le médius, mais plus probablement ce dernier. Le
pied
gauche, difforme, est complètement basculé en bas
oindres détails, la photographe et la radiographie de la,main et du
pied
qui offrent les malformations. En somme, les an
sont limitées à la main et à i'avant-bras droits, à la jambe et au
pied
gauches. Les racines des membres, le bras comme l
ée du côté droit. Exagération des réflexes rotuhens, Phéno- mène du
pied
. Démarche spastique. Certaine atrophie des muscle
raideur, mais avec simple diminution de l'excitabilité électrique.
Pied
plano-valgus. Pendant la marche les genoux pren
sale, la région fessière exceptée. Légère hypoesthésie thermique au
pied
et à la partie inférieure de la jambe du côté g
a débuté à l'âge de onze ans par une tuméfaction du gros orteil du
pied
droit. Ensuite apparut une douleur dans l'artic
ôt, je vécus' avec eux, mon maître et la famille de celui-ci sur un
pied
de très amicales relations. J'aurai dû être alo
trop obstiné. Je m'irritais en paroles et en actes, je frappais des
pieds
, je me débattais et il m'arrivait ainsi de me d
nfant a fait de l'exagération. Marche sautillante, sur la pointe du
pied
. Blésité très prononcée; le son ch parait impos
. KERAVAL. XXXVIII. Nouvelle méthode de fixation des empreintes des
pieds
pour l'étude de la marche; par 0. Moenkf.moelle
, dont la couture peut servir à déterminer l'angle d'élévation du
pied
. Ces bas ont été imprégnés d'une solution alcooli
s les plus riches en glandes, à la paume des mains, à la plante des
pieds
, au creux de l'aisselle elle dispa- raît par le
agitée, ou l'a trouvé immobile dans son lit, violacé de la tête aux
pieds
. Il succombait quelques heures après. - Le de
ie, on trouva. une tumeur de la grosseur d'un pois et sié- geant au
pied
de la première frontale gauche. L'examen microsco
un mal perforant plantaire bilatéial, des troubles trophiques du
pied
et quelques symptômes nerveux vagues. Aucun de ce
inq ans, présentent, depuis leur naissance, un oedème chronique des
pieds
, et de la pachydermie des jambes jusqu'à hauteur
, et de la pachydermie des jambes jusqu'à hauteur des genoux. Les
pieds
sont gonflés, soufflés et séparés de la base des
l'atten- tion sur l'aspect oedémateux des téguments, au niveau des
pieds
et la consistance différente de la peau à la ré
gésie et une anesthésie thermi- que très prononcée aux mains et aux
pieds
. L'anesthésie va en diminuant de la périphérie
tité de cicatrices. Traces d'anciennes brûlures. Mal perforant du z
pied
. La maladie date de deux ans, époque à laquelle l
s localisation nette. A l'examen, on constate une légère parésie du
pied
gauche. Le fond de l'oeil, examiné soigneu- sem
alléoles externes et internes. Il en existe très peu sur les os des
pieds
et des mains. A la palpa- tion, ils sont d'une
ment et une disposilion tortueuse de la radiale et des artères du
pied
qui peut, si le sujet a moins de quarante ans et
mbres inférieurs. ainsi que du tronc : les muscles des mains et des
pieds
ne sont pas atteints : les spasmes sont cloniqu
des écrivains, un spasme de la hanche et enfin, à gauche, un tic du
pied
, véritable crampe du marcheur. Le second malade
tement une crise hystérique. Les membres infé- rieurs y compris les
pieds
, présentent une anesthésie complète à la chaleu
'abord à la paume des mains, aux doigts, puis à la face dorsale des
pieds
, et elle a progressé des extrémités vers le cor
e règle et à mettre les dommages causés par des aliénés sur le même
pied
que ceux qui sont le résullàt d'accidents inévi
ion d'ostéo-arthropathie syrin- ' gomyélique (ostéo-arthropathie du
pied
droit avec troubles de la sensibilité, douleurs
est d'institution ecclésiastique. Les pèlerins qui se rendaient au
pied
de la colonne sur laquelle saint Siméon Stylite d
plique une lésion ou un trouble circulatoire du centre de Broca, du
pied
de la troisième circonvolution frontale gauche
e aphasie sensorielle, ne peut être expliquée que par une lésion du
pied
de la troisième circonvolution frontale gauche.
êcher efficacement tout gaspillage. Ainsi, le bétail est acheté sur
pied
et abattu à la ferme, sans avoir besoin d'être
x, M. Gouju, étant venu à passer par là et l'ayant vue affaissée au
pied
de l'arbre, lui avait adressé la parole et n'av
Mangeurs D'ilIO,ÇDICrS. 428. Marche. Fixation des empreintes des
pieds
pour l'étude de jft. par Moenkemoeller et Kapla
a pas être trop élevé, afin que les modèles soient éclairés jusqu'aux
pieds
. Il est d'ailleurs très facile, de placer le mala
ographiques comprend la chambre noire, l'objectif, l'obturateur et le
pied
. Nous allons étudier successivement ces divers ap
t. Pour éviter cet inconvénient, nous plaçons cet obturateur sur un
pied
indépendant de celui de la chambre et nous le réu
dans certains cas, est d'une utilité incontestable. ACCESSOIRES.
Pied
. — Le modèle que nous adopterons est le pied dit
stable. ACCESSOIRES. Pied. — Le modèle que nous adopterons est le
pied
dit d'atelier qui est robuste et néanmoins facile
nchette une deuxième planchette identique qui est montée Fig. 13.
Pied
d'atelier. à charnières sur la première. Sur le
d'opérer dans les salles de malades, il sera bon également d'avoir un
pied
de touriste ordinaire, à trois branches; ce pied
également d'avoir un pied de touriste ordinaire, à trois branches; ce
pied
permet facilement de prendre toutes les inclinais
i4)- Pour la grande chambre d'atelier, il faudra employer le grand
pied
qui est établi spécialement pour ce genre d'appar
e grand pied qui est établi spécialement pour ce genre d'appareils.
Pied
à trois branches Loupe. — Pour parfaire la mise
un temps égal à l'unité pour obtenir une bonne épreuve d'un malade en
pied
occupant une hauteur de om,o5 sur la plaque, il f
.... 2,46 1,97 i,3i Jambe (à partir de la hanche). i,i5 1,09 0,94
Pied
........................ 2,20 r,65 1,22 Œil.....
ile, courbée en avant, les mains ramenées sur les cuisses, les deux
pieds
relevés sur les barreaux d'une chaise, tournant v
trécissement de la peau est général et affecte aussi les mains et les
pieds
, qui ont également un aspect tout à fait caractér
s dans l'étude des phénomènes d'hyperexcitabilité neuro-musculaire.
Pieds
. — On aura souvent à reproduire les pieds de mala
abilité neuro-musculaire. Pieds. — On aura souvent à reproduire les
pieds
de malade, Fig. 25. soit qu'il s'agisse encor
es organes : il faudra Pl. V. Dispositif pour la photographie des
pieds
. Maladies de la peau. — On sait que les maladie
de bons résultats qu'en élevant le malade sur une table, afin que les
pieds
soient à hauteur de l'appareil (Pl. V). On placer
que, la plupart du temps, l'immobilité du malade sera plus grande, le
pied
supportant soit le poids de la jambe, soit celui
. Il pourra être quelquefois nécessaire de photographier la plante du
pied
. Dans ce cas, on mettra le malade assis ou couché
r une table à hauteur de l'appareil. Un voile noir placé derrière les
pieds
servira de fond. Nous donnons deux reproductions
errière les pieds servira de fond. Nous donnons deux reproductions de
pieds
faites dans ces conditions (fig. 26). Fig. 26.
oductions de pieds faites dans ces conditions (fig. 26). Fig. 26.
Pieds
d'acromégalique. Durillon du pied gauche chez u
nditions (fig. 26). Fig. 26. Pieds d'acromégalique. Durillon du
pied
gauche chez un épileptique. Il faudra opérer, e
nous avons décrite précédemment; puis, le voici en pleine marche, le
pied
droit posé à terre, la jambe gauche arrivant près
Contraction du grand zygomatique. devient fixe, puis peu à peu le
pied
se contracture (Pl. VII, fig. 6). Si l'on rempl
Fig. 44. c'est celle de l'arc de cercle. La malade repose sur les
pieds
et la tête complètement renversée (fig. 46). Fi
illes de la Tourette : c'est la méthode des empreintes. On enduit les
pieds
du malade d'une couleur en poudre tel que le roug
ngueur des pas, l'angle fait avec l'axe normal, la façon d'appuyer le
pied
constitueront autant de signes distinctifs (fig.
e Dr Gilles de la Tourette, de réduire d'un Fig. 55. Empreinte du
pied
dans la maladie de Friedreich. seul coup ces lo
nt, est susceptible d'applications intéressantes, les empreintes de
pieds
(Jîg. 55), de mains pouvant révéler des particula
s et la vue d'un appareil photographique de grand format monté sur un
pied
peut les effrayer et modifier leur attitude. On v
risé les liens de sa camisole de force et qui, malgré une fracture du
pied
qui la tenait au lit, s'est échappée dans les jar
ections. Le chalumeau à lumière oxhydrique (fig-64) se compose d'un
pied
métallique supportant le bâton de chaux ; deux tu
s l'avons dit, nous employons toujours l'éclairage oxhydrique. Sur le
pied
de l'appareil se trouve une équerre en bois desti
lide tabouret de om, 55 de long sur om, 45 de large, supporté par des
pieds
de fonte. Ce tabouret porte à son centre un suppo
nter et descendre au moyen d'une vis spéciale placée entre les quatre
pieds
; on peut donc monter et descendre à volonté le mi
a les mêmes dimensions que le tabouret et elle est portée par quatre
pieds
en fonte d'une hauteur de om,45. Elle est percée
verre se compose d'une boîte rectangulaire en bois montée sur quatre
pieds
(fig. 73). Le Fig. 74. mètre placé à l'intéri
ccessoires..............................-....................... 37
Pied
..................................................
Reproduction des mains....................................... 79
Pieds
..................................................
....................... 81 V. — Dispositif pour la photographie des
pieds
........................... 83 VI. — Faradisatio
Si les hystériques offrant de l'anesthésie cutanée de la plante des
pieds
ne présentent pas en effet le signe de Rom- ber
susceptible de faire comme ces ataxiques de Lamalou'qui, voyant un
pied
émerger en dehors de l'eau dans la piscine, dur
ns la position allongée au lit, si on lui commande de di- riger¡son
pied
vers un objet désigné, ces mouvements sont exéc
x ouverts, il peut se soutenir debout, sans canne, immobile, et les
pieds
rapprochés ; mais dès que les yeux sont fermés,
Pendant la marche, et dans la position debout, il ne fixe pas ses
pieds
; il regarde toujours droit devant lui, et peut
ut, et les yeux ouverts, j'ai placé un carton entre ses yeux et ses
pieds
; il a parfaitement con- servé sa position prem
i était impossible de voir ses jambes. Il ne peut se tenir sur un
pied
, que les yeux soient ouverts ou fermés. Les réf
ature différente (bas de laine, papiers, etc.). Chaque fois que ses
pieds
ont touché un de ces objets, il a manifesté une
TAXIQUES. U yeux fermés, on attache successivement divers poids aux
pieds
; on lui commande de plier sa jambe sur la cuiss
précier le triceps fémoral, les poids ont été fixés à la pointe des
pieds
par l'intermédiaire d'une longue corde qui se r
fermés, on a disposé différents poids sur la partie antérieure des
pieds
; ici c'étaient les muscles de la région antéro-
e droit sur le bassin, puis, la déllexion a lieu brusquement, et le
pied
porte fortement contre le sol. Pour le bras g
x du membre supérieur entrent en action ; le mot voilà prononcé, le
pied
à déjà frappé le sol, le cycle est terminé, la
la projection du bras droit sur l'abdomen ou en frappant avec le
pied
le sol. Cette suggestion à reproduire les mouveme
de au moment où le choc a lieu, on constate, non seulement que le
pied
en extension frappe avec violence le sol, ce qui
ondulée. Ce dernier état de la contraction répond à la position du
pied
en valgus équin. DE LA MALADIE DES TICS. 25 a
alternative des - dernières phalanges, tantôt des mains, tantôt des
pieds
. Bien que les mouvements s'exécutent inconsciem
assise près d'une croisée, lors- qu'un cheval vient s'abattre à ses
pieds
. Grande frayeur, l'enfant reste agitée toute la
i est appliqué sur la poitrine; flexion de la jambe droite, dont le
pied
frappe le barreau de la chaise ; 3° temps : La
oitrine ; le membre inférieur de ce côté est placé en adduction, le
pied
gauche s'appliquant contre le droit; enfin, des
n de la cuisse sur l'abdomen et de la jambe sur la cuisse; puis, le
pied
est ramené à terre, mais sans phénomène de choc
durant ces secousses, tout le poids du corps porte sur la pointe du
pied
gauche. En marche, les mouvements sont ceux de
existe des deux côtés et il a une in- tensité normale. Le clonus du
pied
est absent. Le réflexe du poi- gnet est très fa
membre en le laissant retomber presque aussitôt sur le sol avec les
pieds
à plat en rappe- lant avec cette façon de march
soutenant un peu. Les mouvements qui intéressent l'articulation du
pied
sont insignifiants. Les mouvements de flexion d
onctivaux sont encore absents. Jamais on n'a observé le clonus - du
pied
. Les réflexes tendineux ont toujours été plus for
e inférieur d'une jeune fille d'une douzaine d'années atteinte de
pied
bot. Ce moule reproduisait exactement la figure b
rée de la mort; elle se lève seule, elle se soutient sur le bout du
pied
de cette jambe qui depuis si longtemps étoit be
bien concéder que le terme « cancer » ne doit pas être pris ici au
pied
de la lettre et dans son acception his- tologiq
Premier temps. Le malade est couché sur un plan ho - zontal, les
pieds
reliés à une barre fixe. L'opérateur, age- noui
. - Après quelques instans de repos, le sujet est placé debout, les
pieds
maintenus fixes et par consé- quent absolument
terne on voit un fais- ceau anormal qui gagne le segment latéral du
pied
du pédoncule cérébral et un autre faisceau, plu
n temporale supé- rieure). La dégénérescence du faisceau latéral du
pied
du pédon- cule cérébral se rattache à la région
éléments qui établissent une relation avec le trousseau latéral du
pied
du pédoncule céré- bral. P. K. XIII. CONTRIBU
olando; un enlève une plaque de méningite qui laisse à découvert le
pied
de la pariétale ascendante que l'on résèque. Le
ant pendant les mouvements. Parésie très prononcée des mains et des
pieds
. Pendant les quatorze mois qui suivirent, la pa
nts syncopaux. Séance du io mai 1892. I). M. le Dl' A.-A. EGoRov.
Pied
bot déterminant des troubles de la moelle épini
des muscles du fémur, exagération des réflexes rotuliens, clonus du
pied
, tous ces symptômes bien plus manifestes du côt
nerveux par l'excitation de la moelle épi- nière, déterminée par le
pied
plat. Cette explication conserve toute sa valeu
toute sa valeur dans les ras plus graves, où il y a combinaison de
pied
plat avec contracture musculaire. L'état de la
scussion : M. le Dr W. Rora insiste sur le grand intérêt du. cas de
pied
bot rapporté, grâce au développement d'amyotrophi
'avait annoncé) que son membre inférieur gauche, cuisse, jambe et
pied
, ces deux derniers segments surtout, avait cons
que nous a permis de constater. L'atrophie porte sur les muscles du
pied
, de la jambe, de la cuisse et de la fesse. Elle
les tendons extenseurs se dessinent plus nettement sur le dos du
pied
et la pulpe des orteils, légèrement sou- levés,
de la part du malade, les mouvements de la jambe, de la cuisse, du
pied
gauche sont un peu moins énergiques, moins résist
de tomber. Puis vous passez à la station debout, immobile, avec les
pieds
rappro- chés. Après vous être assurés que cette
DES ATAXIQUES. '181 prescrivez au malade de se tenir tantôt sur un
pied
, tantôt' sur l'autre ; s'il parvient à le faire
aussi du résultat obtenu. S'il n'arrive pas à se fixer sur un seul
pied
, les yeux ouverts, n'en concluez pas qu'il soit
ce qui a lieu lorsque le patient dirige la vue ailleurs que sur ses
pieds
, qu'il regarde à droite, à gauche, en l'air, ou
a production que les divers autres moyens, tendant à soustraire les
pieds
au domaine de la vision. Vous voyez en même t
ire cette donnée qui dit que le tabétique regarde constamment ses
pieds
en marchant. Elle est même entièrement fausse ; i
i, à quel- ques pas en avant, cherche l'endroit où il va mettre ses
pieds
. Ce qui le caractérise surtout, c'est qu'il a b
lariser leurs mouvements. » Donc les patients ne fixent pas leurs
pieds
. Voilà pourquoi 1 Althaùs. Maladies de la moell
e et lorsqu'on l'empêche par un artifice quelconque de regarder ses
pieds
ou même le sol ? Beaucoup d'auteurs n'ont pas m
rine du malade un objet qui lui masque complètement la vue de ses
pieds
, l'aggravation des symptômes est beaucoup moins p
plète- ment les yeux du malade, vous vous bornez à lui cacher ses
pieds
en plaçant un écran ou une feuille de carton hori
t nécessaire, non en soi, mais pour permettre au malade de voir ses
pieds
. Et alors pourquoi le tabétique peut-il cependa
es fléchissent, mais parce qu'elle butte, n'ayant pas levé assez le
pied
au-dessus du sol). Vers la même époque, la lèvre
forte aussi. L'adduction est assez éner- gique. Flexion dorsale du
pied
faible. Le groupe des muscles de la région anté
inement affaibli des deux côtés. Quelquefois la malade se tourne le
pied
en marchant, mais cela ne l'empêche nullement d
de marcher assez longtemps et même de courir. Flexion plantaire du
pied
très forte. Il en est de même de l'adduction. L
pour laquelle, quand elle marche, elle tourne assez facilement son
pied
en dedans. Les mouvements des orteils sont norm
nou. Ils sont absents au coude et au poignet. Pas de phénomène du
pied
. La contraction idéo-musculaire ne peut être retr
ues aux deux membres supérieurs. Membres supérieurs. Les muscles du
pied
sont sains. A la jambe, seuls les péroniers et
ts bizarres et incohé- rents. Dans la marche, il traîne toujours le
pied
gauche et tourne plusieurs fois sur lui-même lo
onomie douce, yeux à demi fermés. Il marche en sautant, traînant le
pied
gauche et tournant souvent sur lui-même de gauc
et dans sa poche. Peu après, il nous tourne le dos, se porte sur le
pied
droit, se penche fortement en avant sur ce seul
e porte sur le pied droit, se penche fortement en avant sur ce seul
pied
et fait tout à coup volte-face. Nous l'interpel
n deux temps, Fifl. 38. 'Il 1-6 \ RECUEIL DE FAITS. poussant le
pied
droit à 20 centimètres environ du gauche, qu'il
'escrime. Parfois, lorsqu'on veut le faire aller vite, il porte les
pieds
en avant l'un de l'autre comme dans la marche o
its, les seuls véritablement actifs, tandis qu'il laisse traîner le
pied
gauche dans sa marche ordi- naire, et que la ma
le, car, outre l'oedème bleu, on constate que l'artère dor- sale du
pied
ne bat presque plus. Le tremblement du triceps cr
'on puisse en trouver la raison. Pas de -trépidation épileptoïde du
pied
. La marche est parfaite. , , 17 février. Nouvel
urnée un véritable surmenage et aussi un excès de boisson. Rentré à
pied
chez lui, le malade se déshabille sans diffi- c
n gauche était insensible. Après quelques soins, il fut reconduit à
pied
à son domicile. La paralysie du membre supérieu
ment en arrière, ne toucher le sol qu'avec la partie antérieure des
pieds
, et écarter ses jambes; puis il se met à marche
is il se met à marcher très lentement, à petits pas, n'avançant ses
pieds
qu'au prix d'un effort considérable; son tronc
rême. La région lombaire, sauf l'ensellure, a un aspect normal. Les
pieds
montrent un léger équinisme. Les diverses fonct
Les mouvem'ents sont des plus limités; le malade remue un peu ses
pieds
, et continue à se servir assez bien de ses mains
s. Cet enfant se plaint parfois de légers fourmillements dans les
pieds
, et d'un peu de trépidation du côté des membres p
nt presque en- tièrement disparu ; le malade peut remuer un peu lés
pieds
, plier les genoux. Il continue à se servir de s
nnent une part principale les muscles extenseurs et fléchisseurs du
pied
. Ce tremblement, très rapide, a des amplitudes
le malade n'éprouve la douleur si par accident il s'est frappé aux
pieds
et sans recours de la vue il ne peut distin- gu
he ressemble à celle d'un ivrogne; elle est parfois propulsive. Les
pieds
présentent une cambrure très exagérée et, par s
ique des tu- meurs cérébrales (Encéphale, 1881); - Mal perforant du
pied
dans l'ataxie locomotrice (Congrès de Londres,
lance perfectionné; 5° enfin des revêtements de caoutchouc pour les
pieds
des chaises ou fauteuils ; ces « bottes * de gutt
timent est une cons- truction de deux étages en bois, de 330 sur 35
pieds
de largeur, entouré par de hautes murailles et
onation. Le tremblement est limité au côté droit; manifeste pour le
pied
, il est très peu accusé à la main et ne se prod
tion a débuté, dans la manifestation du tremblement tout d'abord au
pied
droit, bien qup, le malade ne s'en soit pas ape
vembre, 13 fr. 45. Nous devons une mention spéciale aux courses à
pied
qui ont eu lieu dans la cour de l'Hospice avec
de ce groupe sur une balançoire spéciale, disposée de façon que les
pieds
vont battre sur un tremplin vertical en bois, c
en bois, collé contre le mur, trem- plin qui repousse et reçoit les
pieds
tour-à-tour (1). On pourrait appeler cet appare
enfants invalides les pren- nent à la Fondation même. Les bains de
pieds
sont également donnés à Bicêtre, où existe, com
s déjà dit, une installation rendant facile le lavage simultané des
pieds
d'un grand nombre de malades (1). Voici la stat
aussures; - Salle de bains et d'hydrothérapie; -Salle de bains de
pieds
. Ces trois derniers services sont indispensables
lules. Il ne pouvait s'agir là que d'un programme général fait au
pied
levé et comportant, il va de soi, des modifica-
ourraient être utilisés pour l'installation d'une salle de bains de
pieds
, d'un magasin aux chaussures, et d'une salle po
en égratignures qui ont pour siège principal les yeux, en coups do
pied
lancés énergiquement, en morsures. 11 crache au
longueur. Os et articulations sains. Pas de déformation des genoux.
Pieds
petits, concavité normale de la voûte. Orteils
ns volumineux que le droit. Les réflexes rotuliens sont normaux. Le
pied
gauche est plus arqué que le droit. Sen- sibili
exercer à se tenir debout et à marcher; il semble mieux appuyer les
pieds
. Même traitement : huile de foie de morue ; sir
e de la scissure de Sylvius. Cette zone d'atrophie comprend donc le
pied
des trois premières circon- volutions frontales
et adduction. La jambe est en flexion complète sur la cuisse et le
pied
est fléchi autant qu'il est possible sur la jambe
sont en flexion et le gros orteil est, de plus, en adduc- tion. Le
pied
est en rotation externe. Membre gauche en flexi
égère adduction. La jambe est en flexion complète sur la cuisse, le
pied
en rotation externe forcée, la malléole externe
de convulsions, a Antécédents personnels. 91 eu un abcès froid au
pied
; n'est pas nerveuse, caractère aima- ble, inte
fú ll1 Ill'. - Pas dc l. : Uul' ! Hlre alJonna' l des Li hias. - Les
pieds
sont bien conformés et cependant il y une faibl
ont détruites vers leurs tiers inférieur. Il en est de même pour le
pied
de F3 et de P2. Cette disposition met complètem
x opercules constitués par deux saillies qui surplombent celle du
pied
des deux circonvolutions rolandiques, (opercule
connaît les personnes, dit quelques mots : à boire» Elisa, fait des
pieds
de nez, ne perd plus ses matières. ,. 120 Descr
triques, ainsi que les membres inférieurs, sauf que le 3" orteil du
pied
gauche est légèrement en marteau. Organes gén
. - Hémiplégie droite avec contracture, épilepsie spinale. - Tic du
pied
gauche. - Phimosis. - Rougeole; Mort. Autopsi
n remarqua chez l'enfant un lie consistant en mouvements rapides du
pied
et de la main gauchos se reproduisant pendant a
i-flexion sur le bassin, la jambe en demi-flexion sur la cuisse, le
pied
en position normale. Si on essaye de fléchir le
la cuisse, le pied en position normale. Si on essaye de fléchir le
pied
droit, l'on produit la trémulation épileptoïde
mais il offre un tic tout particulier. Ce tic consiste en ce que le
pied
en adduction avec rotation en dedans considérab
imée de mouvements de va at vient rhythmiques, isochrones à ceux du
pied
. En même temps, on observe parfois chez l'enfan
guttural (errrre) très désagréable. La position qu'il imprime à son
pied
pour produire ces mouvements habituels ont amen
ne gauche, de sorte que de prime abord, on le croirait atteint d'un
pied
bot équin valgus qui disparait facilement lorsq
'un pied bot équin valgus qui disparait facilement lorsqu'on met le
pied
à plat. Notons en même temps que l'enfant prése
n'a pas de secousses trépidatoires ni de tics ; il reste inerte, le
pied
gauche appuyé sur lajambe droite. L'examen des
re durant LES prodromes. manifestait dans le côté non paralysé : le
pied
en adduction avec rotation forcée en dedans, fr
mée de mouvements de va et vient rhytmiques et isochrones à ceux du
pied
. Parfois ces mouvements des membres supérieurs
la main pendante. Les membres inférieurs sont assez droits, mais le
pied
gauche est un peu tourné en dedans. A table, l'
ême chose à droite. Rigidité des hanches, des genoux et surtout des
pieds
. 158 ' 1 Crâne; craniectomie. coupé un peu co
sont proportionnellement plus développés que les su- périeurs. Les
pieds
sont suffisamment cambrés. Organes génitaux. Ve
and-oncle paternel, convulsions dans l'enfance avec déformation des
pieds
, taille exiguë. Deux grand'tantes paternelles,
arre, les membres inférieurs plies dans tous leurs seg- ments ; les
pieds
sur les barreaux d'une chaise. La belle-mère pe
lexion des cuisses sur le bassin et des jambes sur les cuisses. Les
pieds
sont régulièrement con- formés, les ongles minc
nge- ments dans la face, le menton se refroidit, les mains et les
pieds
sont complètement glacés. Vers 4 heures, il expir
es, de paralytiques, de difformes, de sourds-muets, de bègues, de
pieds
bots, de prostituées ou de criminels ] Mère, fe
est également fléchie sur le bassin, la jambe sur la cuisse et le
pied
est en position normale. Cet état n'est pas plus
se est légèrement en rotation interne, la jambe en demi-flexion; le
pied
est en extension forcée et les orteils en défle
-même, les cuisses restant dans t'adduo- tion ut au même oieat. les
pieds
, qu'elle ne peut soulever, restant en arrière.
oieat. les pieds, qu'elle ne peut soulever, restant en arrière. Le
pied
gauche repose sur son bord interne. - La tête s
e. - L'enfant entre à l'infirmerie, accusant de la douleur aux deux
pieds
spontanément, et du côté gauche, consécutivemen
ent, et du côté gauche, consécutivement aux mouvements provoqués du
pied
. Les deux pieds, mais surtout le gauche, sont c
auche, consécutivement aux mouvements provoqués du pied. Les deux
pieds
, mais surtout le gauche, sont cyanoses. L'asphyxi
squ'aux droite, elle remonte seulement jusqu'à la partie moyenne du
pied
. Le pied gauche présente un gonflement considér
roite, elle remonte seulement jusqu'à la partie moyenne du pied. Le
pied
gauche présente un gonflement considérable sur
uche présente un gonflement considérable sur sa face dorsale ; le
pied
droit est également tuméfié. Sur la face correspo
" orteil. La consistance de la tuméfaction est la même sur les deux
pieds
; elle est dure, sans oedème. Les jambes sont d'
par un très léger bourrelet. T. II. 38°, 2. 19 octobre. - Sur le
pied
gauche apparaissent deux phlyc- tènes séro-puru
ne, l'une au-dessous de l'autre. - .Panse- ment humide phéniqué des
pieds
et des deux jambes. 20 octobre. - La rougeur de
orifice. Drainage, après lavage. 21 octobre. - La face dorsale du
pied
gauche est moins dure en général, et a, par pla
fant. Après avoir été circonscrite à l'un des orteils de cha- que
pied
, la gangrène a envahi les téguments du pied gau
des orteils de cha- que pied, la gangrène a envahi les téguments du
pied
gauche. Puis nous avons vu s'ajouter à ces lési
nts bizarres et incohérents.. Dans la marche, il traîne toujours la
pied
gauche et tourne plusieurs fois sur lui- même l
onomie douce, yeux à demi fermés. Il marche en sautant, (rainant le
pied
gauche et tournant souvent sur lui-même de gauc
et dans sa poche. Peu après, il nous tourne le dos, se porte sur le
pied
droit se penche fortement en avant sur ce seul
se porte sur le pied droit se penche fortement en avant sur ce seul
pied
et fait tout-à- coup volte-face. Nous l'interpe
- Il s'avance le plus souvent lentement en deux temps, poussant le
pied
droit a 20 centimètres environ du gau- che, qu'
scrime. Parfois, lors- qu'on veut le faire aller vite, il porte les
pieds
en avant l'un de l'autre comme dans la marche o
its, les seuls véritablement actifs, tandis qu'il laisse trainer le
pied
gauche dans sa marche ordinaire, et que la main
ées lançant les membres inférieurs en avant et posant lourdement le
pied
à terre. Elle semble par instants comprendre ce
térieure et antéro-externe de la jambe. Réflexes rotuliens normaux.
Pieds
grands, incurvés; courbure de la voûte plantair
es aisselles; peau cireuse, eczé- mateuse ; état pachydertnique des
pieds
et des mains; hernie ombilicale ; rachitisme ;
elle qui corres-pond àl'anatomie descriptive. Entrons donc de plein
pied
dans Vanatomie pathologique. L'étude anatomique d
fut qu'au bout de ce temps que survinrent des fourmil-lements dans le
pied
gauche et bientôt après les autres symp-tômes de
paralysie des mouvements à droite n'occupant guère que la jambe et le
pied
; conservation de la sensibilité de ce côté, dans
ppement du système osseux, refroidissement des membres, déformations,
pied
bot paralytique). Anatomie pathologique de la p
s enfants qui, en raison du léger degré d'al-tération des muscles des
pieds
et du peu d'étendue des défor-mations essentielle
ois que les difformités commencent à s'accuser. Ainsi se développe le
pied
bot de la paralysie infantile qui est le pied bot
. Ainsi se développe le pied bot de la paralysie infantile qui est le
pied
bot paralytique par excellence, et qui, dans l'im
cette grande laxité des jointures permet de distinguer à coup sûr le
pied
bot résul-tant de la paralysie infantile du pied
inguer à coup sûr le pied bot résul-tant de la paralysie infantile du
pied
bot congénital, alors même que Ton serait privé d
ction des .antagonistes, avait occasionné la formation d'une sorte de
pied
bot équin paralytique. Il n'est guère douteux,
e jour. Les membres inférieurs sont habituellement froids, surtout le
pied
et la jambe gauches, qui sont de plus presque tou
se produit une tendance à la flexion des jambes et à la formation de
pieds
bots équins contre laquelle on a lutté par l'appl
ursuivi les lésions de la sclérose la-térale primitive jusque dans le
pied
du pédoncule cérébral (étage inférieur du pédoncu
à l'excès dans l'extension et dans l'adduction, en même temps que les
pieds
prennent l'attitude du pied bot varus équin. Cett
dans l'adduction, en même temps que les pieds prennent l'attitude du
pied
bot varus équin. Cette rigidité souvent extrême,
habi-tude, à cette époque, si l'on redresse avec la main la pointe du
pied
étendu, on fait naître dans tout le membre une tr
restent d'autres fois limitées à des régions très circonscrites ; au
pied
, par exemple (Friedreich), à la jambe (Leyden), a
de janvier 1868 et suiv., p. 19, ch. XII). Une bonne photographie en
pied
, annexée à la communication de M. Bergeron, montr
lonté, en relevant brusquement, avec la paume de la main la pointe du
pied
ou l'extrémité des orteils (Trépidation provo-qué
es se maintiennent presque horizontales, à peine fléchies, et que les
pieds
n'arrivent pas à toucher le sol. 2 Leçons sur l
démarche de l'ataxique son cachet spécial, et par suite desquels les
pieds
, en quelque sorte projetés en avant et en dehors,
rôle principal et dans lesquels le tronc se renverse en arrière. Les
pieds
, pendant ce temps, ne se dé-tachent qu'à grand pe
i dans un passage que je ne saurais omettre de vous citer. « Chaque
pied
, dit-il, se détache avec peine du sol, et dans »
ur le sol. Dans ces mouvements de pro-» gression, tantôt la pointe du
pied
est abaissée et traîne plus » ou moins contre ter
détacher, tantôt elle est » relevée brusquement en même temps que le
pied
est déjeté » en dehors. J'ai vu quelques malades
me marche, le tronc incliné en avant, littéralement sur la pointe des
pieds
. C'est qu'à chaque pas, en raison de la prédomina
Aussi les souliers de cette femme sont-ils très usés à la pointe. Le
pied
, comme d'ailleurs dans les cas précédents, est pr
nous l'avons mentionné dans les termes suivants : « Lorsque l'un des
pieds
de cette femme est fléchi et tenu dans la flexion
ossible même à arrêter par moments, lorsque l'épreuve est faite sur a
pied
droit. » Ainsi se trouvent nettement indiqués, po
sion des muscles para-lysés, la flexion (flexion dorsale énergique du
pied
). (Etude sur quelques points de l'ataxie locomotr
évelopper consiste à relever brus-quement les orteils ou la pointe du
pied
tout entière. 11 a établi que la manœu-vre invers
vec grand soin la trépidation épileptoïde sous le nom de phénomène du
pied
(Fuss-phœno-men. — W. Erb. Ueber Sehnenreflexe be
trépidation s'y produit à volonté lorsque l'on redresse la pointe du
pied
et sou-vent elle survient spontanément, sous form
nque des jambes ou des cuisses, ou lorsqu'on chatouille la plante des
pieds
, il se produit en outre, des secousses musculaire
un certain degré de rigi-dité permanente. En redressant la pointe du
pied
on provoquait à coup sûr, dans ce membre, une tré
ifficiles, paraît-il, par une sensi-bilité excessive de la plante des
pieds
, plutôt que par l'état vertigineux. J'exigeai que
e des muscles anté-rieurs de la cuisse, — vous voyez en même temps le
pied
porté tour à tour, malgré la volonté de la malade
s parfaitement indemnes; — 3° Enfin, la partie la plus postérieure du
pied
de la couronne rayonnante. Dans deux des cas se
illeurs, relève de l'altération des faisceaux les plus postérieurs du
pied
de la couronne rayon-nante. L'altération de l'ext
x effets de la compression qu'avaient su-bie la capsule interne et le
pied
de la couronne rayonnante, au voisinage immédiat
u sortir de table, il ré-solut de se rendre immédiatement chez lui, à
pied
; mais à peine avait-il fait quelques pas dans la
e inférieur. Celui-ci alors se roidit à l'excès, dans l'extension, le
pied
prenant l'attitude du pied bot équin spasmodique,
se roidit à l'excès, dans l'extension, le pied prenant l'attitude du
pied
bot équin spasmodique, et bientôt survient la tré
tificiel-lement le développement en relevant brusquement la pointe du
pied
gauche ; la trépidation se manifeste, en conséque
arents dévoués, nos pres-•criplions furent suivies pour ainsi dire au
pied
de la lettre. Les résultats obtenus furent immédi
rome-nades ; à la fin de ce mois, il s'était plusieurs fois promené à
pied
en plein air, pendant plus d'une heure. Depuis le
de 38 ans. A l'âge de 42 ans, à la suite d'engourdissements dans le
pied
droit, la malade remarqua un jour que la cuisse d
put encore, néanmoins, pendant près d'un an, se rendre chaque jour à
pied
dans un hôtei meublé éloigné de sa demeure et où
engourdissement semblable à celui qui, dans le temps, avait occupé le
pied
droit. Cet engourdissement durait depuib plusie
cquis une laxité extrême; aussi C... pouvait aisément « embrasser son
pied
, » le porter môme derrière sa tête, toutes choses
étant au lit, et voulant faire montre de sa souplesse, elle porta son
pied
gauche vers sa bou-che, comme pour l'embrasser, e
en dehors. Il n'y a à signaler aucune particu-larité notable pour le
pied
, la jambe, le genou et même pour la partie inféri
st placé dans la rotation en dedans, le genou et le bord inférieur du
pied
reposant sur le plan du lit. Des plis moins nombr
membres inférieurs. Il paraît manifeste, toutefois, qu'au niveau des
pieds
, la sensibilité est notablement émoussée. —L'expl
ient des vomissements, une leucorrhée abondante, enfin de l'œdème des
pieds
et des mains. En même temps, la respiration devie
parole commence à devenir très embarrassée. La malade se rend alors à
pied
, tant bien que mal, à l'hôpital Saint-Antoine. Re
ors sesjambes se raidissent, s'entre-croisent, et, en même temps, ses
pieds
se portent en dedans par un mouvement involontair
nnent à l'atro-phie prédominante de certains groupes musculaires. Les
pieds
sont un peu rigides, dans une demi-extension et f
ques des divers groupes de muscles, ni contractions fîbrillaires. Les
pieds
présentaient toujours la même position vicieuse.
alysie musculaire pseudo-hypertrophique 2. Une bonne photographie, en
pied
, annexée à la communication de M. Bergeron, montr
ts et les orteils ; quelquefois, en effet, la main tout entière et le
pied
sont affec-tés ; — 3° enfin, chez l'une des malad
es de la face et du cou sont, en même temps que ceux de la main et du
pied
, agités de mouvements choréiformes. * Décembre
s au côté gauche du corps et affectant la face, le cou, la main et le
pied
. Les doigts sont sans cesse en mouvement ; ils s'
r suite de l'ouverture des doigts. Lorsque la malade est debout, le
pied
est d'abord tranquille et appliqué sur le sol ; m
y a une sorte de synergie entre les mouvements de la main et ceux du
pied
: quand on dit à la malade d'ouvrir la main gauch
quand on dit à la malade d'ouvrir la main gauche ou de la fermer, le
pied
, chaque fois, se met en mou-vement et les orteils
aphique de la Salpêtrière, t. n, p. 1 à 90. seulement la main et le
pied
du côté paralysé (hémichorée post-hémiplégique, v
nt. Les grands mouvements du bras ne sont pas saccadés. Tendance du
pied
à l'adduction ; le gros orteil se relève et se fl
muent. — Quand on observe la malade au lit, on voit que la main et le
pied
gauches sont à peu près constamment agités de mou
rtant sur l'étendue des mouvements anormaux : limités à la main et au
pied
du côté paralysé, chez la première malade, ils
circonscrits à la moite gauche de la face et du cou, à la main et au
pied
du même côté, tandis que, dans l'observation II
pement du système osseux, refroidisse-ment des membres, déformations,
pied
bot paralytique). Anatomie pathologique de la p
fois produite par une lésion qui occupe, non pas la partie visible du
pied
de la circonvolution de Broca, mais le fond du si
ndique inférieur ou pariétal inférieur, 6. PC. Pli courbe, 11. pF1.
Pied
de la première circonvolution frontale. pF2. Pi
ourbe, 11. pF1. Pied de la première circonvolution frontale. pF2.
Pied
de la deuxième circonvolution frontale, 14. pF3
ntale. pF2. Pied de la deuxième circonvolution frontale, 14. pF3.
Pied
de la troisième circonvolution frontale, 15. PG
le lobule du pli courbe (entre P et GP). PO. Pôle occipital. pP2.
Pied
de la deuxième circonvolution pariétale, 10. pr
nsverse, 6. pt%. Deuxième sillon pariétal transverse, 6, 14. pTt.
Pied
de la circonvolution pariétale transverse, pli de
t ou pentagone du lobe carré, 22, 29. PO. Pôle occipital, 16. PP.
Pied
du pédoncule cérébral. pro. Sillon prœ-ovalaire
al supérieur ou post-rolandique supérieur, 51. PC. Pli courbe. pF1.
Pied
de la première circonvolution frontale. pF2. Pied
Pli courbe. pF1. Pied de la première circonvolution frontale. pF2.
Pied
de la deuxième circonvolution frontale. pF3. Pied
tion frontale. pF2. Pied de la deuxième circonvolution frontale. pF3.
Pied
de la troisième circonvolution frontale. PI. Pôle
. Pied de la troisième circonvolution frontale. PI. Pôle de l'insula,
pied
de l'insula, 54. PO. Pôle occipital. pP2. Pied
I. Pôle de l'insula, pied de l'insula, 54. PO. Pôle occipital. pP2.
Pied
de la deuxième circonvolution pariétale. pri. S
ariétal transverse. ptv Deuxième sillon pariétal transverse. pTt.
Pied
de la circonvolution pariétale transverse, pli de
st-rolandique inférieur ou pariétal inférieur. PC. Pli courbe. pF1.
Pied
.de la première circonvolution frontale. pF2. Pied
Pli courbe. pF1. Pied.de la première circonvolution frontale. pF2.
Pied
de la deuxième circonvolution frontale, 58. pF3
rontale. pF2. Pied de la deuxième circonvolution frontale, 58. pF3.
Pied
de la troisième circonvolution frontale. PGP. P
te et le lobule du pli courbe (entre P et GP). PL Pôle de l'insula,
pied
de l'insula, 59. pP2. Pied de la deuxième circonv
urbe (entre P et GP). PL Pôle de l'insula, pied de l'insula, 59. pP2.
Pied
de la deuxième circonvolution pariétale, 57. pri.
transverse, 40. ptt. Deuxième sillon pariétal transverse, 40. pTt.
Pied
de la circonvolution pariétale transverse, pli de
PEN. Pli, ourlet ou pentagone du lobe carré. PO. Pôle occipital. PP.
Pied
du pédoncule cérébral. pro. Sillon prœ-ovalaire,
ution limbique. PEN. Pli, ourlet, ou pentagone du lobe carré. PP.
Pied
du pédoncule cérébral. pro. Sillon pra ovalaire
rand sillon occipito-temporal de Pansch, 64. PF. Pôle frontal. pF3.
Pied
de la troisième circonvolution frontale. PP. Pied
ôle frontal. pF3. Pied de la troisième circonvolution frontale. PP.
Pied
du pédoncule cérébral, 63. PRU. Sillon prawinciqu
lucidum oupellucidum, cloison transparente, 67. PL Pôle de l'insula,
pied
de l'insula, 79, 80, 81. PO. Pôle occipital, 68,
isceau parallèle, 505. Pcs. Pédoncule cérébelleux supérieur, 295. PP.
Pied
du pédoncule cérébral. prs. Sillon preerolandique
doncule cérébelleux supérieur, 428, 451. PL Pôle de l'insula. PP.
Pied
du pédoncule cérébral, 428, 451, 454. psp. Pédo
tale inférieure ou lobule pariétal infé-rieur. PC. Pli courbe. pF3.
Pied
de la troisième circonvolution frontale. pri. Sil
ième sillon occipital. 01. Scissure perpendiculaire interne. pF3.
Pied
de la troisième circonvolution frontale. PL Pôl
uatrième sillon occipito-temporal. PI. Pôle de l'insula, 460. PP.
Pied
du pédoncule cérébral, 459. PRU. Sillon prœ-unc
llon occipilo-temporal. Pcs. Pédoncule cérébelleux supérieur. PP.
Pied
du pédoncule cérébral. Pul. Pulvinar. PUT. Pu
it, il l'usagcdumanchon,d'une chemise longue se fermant au-delà des
pieds
, de calc- çons à ouverture placée en arrière et
ée, nous avons dû nous servir des bains de Bicêtre. - Les bains cle
pieds
ont été donnés également à Bicêtre où il existe
e rappeler, une installation rendant facile le lavage simultané des
pieds
d'un grand nombre de malades ; aussi avons-nous
'Achille est rétracté et forme une corde saillante sous la peau; Le
pied
semble ankylose. Il est dans l'extension presqu
omplète de la jambe sur la cuisse est impossible; les mouvements du
pied
et des orteils ont peu d'amplitude. Les réfle
teils sont libres. Le gros orteil est étendu sur la face dorsale du
pied
(contrac- ture). Les mouvements spontanés sont
vements spontanés sont assez étendus. Les ongles sont réguliers. Le
pied
est plat. Dans la station verticale qui, comme
elle sorte que le genou gauche est encadré dans le jarret droit. Le
pied
droit est vertical et ne repose sur le sol que
gros orteil droit et sur les deux tiers antérieurs de la piaule du
pied
gauche. Les béquilles fixées, il porte en masse l
uilles fixées, il porte en masse le train posté- rieur en avant, le
pied
gauche frottant sur le sol. Sensibilité spécial
que le droit est toujours froid. Le chatouillement de la plante des
pieds
n'est pas perçu. Le réflexe rotulien, conservé à
tude de la jambe droite, à l'ankylose du genou, à la déformation du
pied
, elles diffèrent de ce qu'on note d'ordinaire d
ÈRE. térieurs se dessinent sous la forme de cordes saillantes. Le
pied
gauche est contracturé en extension et la peau de
tes. Le pied gauche est contracturé en extension et la peau de ce
pied
est cyanosée. Le membre inférieur droit est en ex
se droite sur le bassin. Le genou droit est en extension forcée, le
pied
droit en attitude de valgus équin. La peau est
du lobe frontal, qui paraît même déprimé et concave au niveau du
pied
de la frontale ascendante. Sur cette circonvoluti
ieurs gros, courts, incurvés. - Etat pachydermique des mains et des
pieds
. Ongles petits poussant lentement. Peau pâle, c
r temps à la base; cyanose des lèvres, de la langue, des mains, des
pieds
. - Respiration toujours gênée, sans râles. - Cr
°. 10 mai. - Un demi-lobe. T. Il. 37°, 5 et 38°. Les mains et les
pieds
, qui avaient une coloration rouge vineuse, ont pr
gale- mcnt baumes. mais la lipoma- tose domine aux cuisses. Les
pieds
sont très gros, arrondis, bouffis et plats. Les
nt volu- mineux, ce qui est dû à l'infiltration graisseuse. Les
pieds
ont une bonne alti- tude. La face plantaire est
tanément sur les jambes. Elle parait bien appuyer la plante des
pieds
. La peau de la face dor- sale seule est un peu
tion rouge vineux ont pris la teinte cireuse du reste du corps. Les
pieds
offrent les mômes changements et paraissent éga
éveloppé que l'autre à première vue, est très légèrement fléchi, le
pied
n'est pas angle droit, mais retombe un peu. Le
len- tement ; nous ne pouvons lui faire comprendre de remuer son
pied
. En marchant, légère boiterie. comme si ce membre
archant, légère boiterie. comme si ce membre, était trop court ; le
pied
retombe de la pointe, et fauche légè- rement. I
Il est penché en avant, toujours très voûté; il lève péniblement le
pied
droit, dont la pointe frotte. Le bras droit est
longueur. Les cuisses se fléchissent très bien sur le bassin, les
pieds
et les jambes sont mobilisés très aisément. Ni ra
même état. z1896. - En février, elle est atteinte d'engelures aux
pieds
et entre à l'infirmerie, où elle reste jusqu'au
et F3 presque dans toute leur étendue, sur FI sauf au niveau de son
pied
, sur le tiers inférieur de FA. et sur la moitié
sans conserver toutefois, ainsi que les pau- pières, les mains, les
pieds
, l'empreinte du doigt qui les comprime. Le co
ra lritiques. Leurs articulât ions sont noueuses. Les mains et les
pieds
, souvent cyanosés, sont ramassés, épais, présen
. : il faut qu'elle fasse du bruit. 8 février. - Desquamation des
pieds
et des mains. Dispa- rition du tremblement des
dit merci, bonjour, non. Elle est toujours gaie.- Les mains et les
pieds
sont normaux, les doigts effilés. - Sueurs fréq
redevenue bouffie, les lèvres épaisses et déformées; les mains, les
pieds
ont de nouveau augmenté de volume et revêtu l'a
res. - Desquamation abondante, prédominant aux mains et surtout aux
pieds
qui changent de peau. Lucie a gagné en activité
e, n'éprouve aucun malaise, dort bien. La desquamation commence aux
pieds
et aux mains. 28 février. Une enfant la fait
réveil, son père le trouve sans connaissance et froid, la tète aux
pieds
du lit. Pondant trois jours, les convulsions on
anvier 1893, accès de colère à la moindres contrariété ; frappe clu
pied
, renverse les chaises. Il vent une bicyclette,
Légère palmature entre les deuxième et troisième orteils des deux
pieds
qui sont creux. A la main gauche, cicatrice consé
lui a été défendue. Si on lui résiste, se met à crier, à frapper du
pied
et à se rouler par terre; affecte de ne pas fai
... n'a cessé de crier, de pleurer et de se rouler en projetant les
pieds
et les poings de tous cotés. La face est conges
n ne voulait pas lui prêter un outil dangereux. Camille a frappé du
pied
, crié et pleuré, mais comme 011 ne fit pas atte
liens sont rapides et plus prononcés à gauche. Par la flexion des
pieds
, on obtient une trépidation épilerloïde aussi int
tion se produirait spontanément : « C'est selon comme il a posé ses
pieds
», nous dit sa mère. Tous ces phénomènes de con
de contracture, d'exagération clu réflexe rotulien et le clonus du
pied
indiquent bien un état d'éréthisme des centres
st lajambe et le bras gauches qui sont les plus forts. Il élève les
pieds
au-dessus du plan du lit en fléchissant lé- gèr
237 décrirons pas de nouveau; nous nous bornerons à dire que les
pieds
sont très plats, se portent fortement en dehors,
lourdement, avec un balancement latéral du corps et en traînant les
pieds
principalement le gauche. (tg. 40 Imbécillité
s jambes en abduction forcée, sur les cuisses ; déforma- tion des
pieds
dont la pointe est exagérément portée en dehors
trépidation épileploïde, spontanée ou provoquée par l'extension du
pied
, prédomine il droite. Au dire du malade c'est l
pui, ne pcut se prolonger au-delà de quelques minutes. La plante du
pied
droit repose à peu près complètement sur le sol
rmittentes. — Chlorose. — Douleurs vagues dans la tête. — Raideur des
pieds
. — Douleurs des genoux. — Faiblesse des jambes. —
sses « comme des éclairs. » D'un autre côté, elle ressentait dans les
pieds
des douleurs eonstrictives : son pied lui semblai
côté, elle ressentait dans les pieds des douleurs eonstrictives : son
pied
lui semblait pris dans un étau. Ces deux espèces
ît un peu exagérée. Le B... perçoit le chatouillement à la plante des
pieds
, bien que cette manœuvre ne détermine que de lége
souvent des fourmillements, avec sensation de chaleur à la plante des
pieds
; elle compare ces phénomènes à un bouillonnement
éressante à plusieurs points de vue. Observation XXVIII. — Plaie du
pied
droit : amputation du pied.— Plaie contuse étendu
s de vue. Observation XXVIII. — Plaie du pied droit : amputation du
pied
.— Plaie contuse étendue de la cuisse gauche. — Té
i.on). Il a été blessé le 1er décembre par des éclats d'obus : 1 ' au
pied
droit ; 2° à la cuisse gauche. Les accidents du c
: 1 ' au pied droit ; 2° à la cuisse gauche. Les accidents du côté du
pied
ont nécessité l'amputation immédiate. Quant à la
d'une longueur double, fut appliquée par son milieu sous la plante du
pied
, tandis que ses deux extrémités étaient portées s
gt-quatre ans, blessé le 1er décembre 1870, par des éclats d'obus, au
pied
droit et à la cuisse gauche. L'amputation du pied
s éclats d'obus, au pied droit et à la cuisse gauche. L'amputation du
pied
fut pratiquée le 2 décembre. Neuf jours plus tard
est encore douloureux et le gonflement s'est étendu à la jambe et au
pied
... » (P. Dubois, Étude sur quelques points de l'a
im-possible. Le jour suivant les mains, les genoux, les jointures des
pieds
éiaient gonflées et douloureuses. Chaleur fébrile
eul. Durant le sommeil, les mains et. les poignets, les jointures des
pieds
, devenaient erythémateuses et gonflées. En juille
ni ne parlait avant les convulsions. {• a duré 5 ans, engelures aux
pieds
) et à 7 ans, une fièvre intermit-tente. — Eile es
nou, roide, accomplit d'une façon pa.-sable les divers mouvements, Le
pied
n'est pas sen-siblement déformé. Voici les mensur
d. ... „ . 22 — 23 — — du métatarse........ 20 — 21 — Longueur du
pied
............. 21 — 22 — La marche se fait assez
e fait assez bien, sans trop de fatigues; mais dans les mouvements le
pied
traîne un peu et se renverse parfois ; la malade
dans les cas graves également à l'os iliaque, au sacrum et à tout le
pied
. 2° Cet arrêt de développement de squelette est
et de hauteur et près de cinq centimètres d'épaisseur l. Les os du
pied
et de la main sont exempts de toute altéra-tion.
rvalles. M. I... se plaint d'un sentiment d'en-gourdissement dans les
pieds
, les mains et les mollets. Les spasmes musculaire
sse-ment du membre ; parfois il lui arrive aussi de traîner un peu le
pied
, mais ce phénomène n'est pas bien accusé, car ell
GAUCHE Longueur du membre inférieur.... 79 cent. 82,5 cent. — du
pied
......... 23,5 — 24,5 — Circonférence de la cuis
tière) ,26 — 28 — — de la jambe (mollet). . 27 — 31 — — du cou de
pied
.... 22 — 23,3 — — du métatarse..... 22,5 — 23
moyenne, ils sont presque contigus (voy. Planches XVIII et XIX). Les
pieds
sont assez gros; leur pointe se dirige en dedans.
de sa base, se rétrécit progressivement, à tel point qu'au-dessus du
pied
il ne pré-sente plus que 15 centimètres de circon
u pied il ne pré-sente plus que 15 centimètres de circon-férence ; le
pied
est bien conformé ; les mouvements de la jambe so
de lon-gueur, sur lesquels la cuisse en compte 16. L'articulation du
pied
présente cependant la particularité suivante : ce
, de sorte qu'au premier abord il semble qu'il existe une luxation du
pied
en dehors; cette disposition paraît être congénit
arrêt de dévelop- Fig. 7. — A, pantoufle dans laquelle est fixé le
pied
. A ce niveau, il y a une charnière qui relie la p
ppareil — la jambière —à la pantoufle, et par suite les mouvements du
pied
im-priment des mouvements à la jambe. — B, embouc
autres. État actuel. — L'éruption qu'il porte occupe les mains, les
pieds
et les parties sexuelles. Aux mains, l'éruption e
spontanée. Elle est aug-mentée quand il se livre à son travail. Aux
pieds
, l'éruption a les mêmes caractères qu'au dos des
vertes de squames d'un gris plus jaunâtre que celles des mains et des
pieds
. Elles sont plus petites, ne sont pas réunies, co
euse. — Les plaques épaisses qui recouvraient le dos des mains et les
pieds
étaient bien des squames, et non des croûtes; l'a
Ce psoriasis est nettement limité: il occupe le dos des mains et les
pieds
, les parties sexuelles ; il est symétrique, il es
et dartreuse, Obs. XVI, p. 461), la paume des mains et la plante des
pieds
sont le siège principal de la lésion; notre malad
ames de psoriasis à la plante, au talon, puis sur la face dorsale des
pieds
et des mains. Cette différence est insuffisante p
rieure seule n'ex-pliquerait pas la présence de lésions analogues aux
pieds
et aux par-ties sexuelles. Nous ne voulons pas ce
uisse est fortement étendue sur le bassin, la jambe sur la cuisse. Le
pied
offre la déformation de requin varus le plus pron
mble, forme comme une barre in-flexible, car, en le saisissant par le
pied
, vous pourriez soulever tout d'une pièce la parti
ferai remarquer, en passant, qu'en redressant fortement la pointe du
pied
, on détermine dans le membre inférieur contrac-tu
convulsive, qui persiste quelquefois pendant longtemps, alors que le
pied
, abandonné à lui-même, a repris son attitude prim
chloroforme, nous a permis de le vérifier. Seule, la déformation des
pieds
, qui rappelle celle du varus équin, ne s'est poin
rigidité spasmodique reste limitée à quelque partie d'un membre, au
pied
par exemple et produit une sorte de pied bot hyst
elque partie d'un membre, au pied par exemple et produit une sorte de
pied
bot hystérique (Talipedal Distorsions de T. Layco
contracture avait donné lieu à la défor-mation connue sous le nom de
pied
bot varus. Des faits analogues ont été recueillis
use des muscles de la jambe gauche. Cette contracture, qui imprime au
pied
l'attitude du varus équin le plus accentué, avait
supportable. Le malade éprouve en outre des engourdissements dans le
pied
droit : ils durent 15 à 20 minu-tes et se manifes
e la flexion des doigts. — T... ne peut mouvoir ni les orteils, ni le
pied
qui est dévié. — Les muscles extenseurs, fléchiss
grande aux bras qu'aux mains. De même pour les membres inférieurs, le
pied
, la jambe, le genou et la cuisse, mais à un moind
e quelques craquements. L'articulation tibio-tarsienne est roide ; le
pied
est porté en de-dans, sa face plantaire relevée (
s-sante à remuer les orteils, qui sont un peu fléchis, et à porter le
pied
soit dans l'adduction, soit dans l'abduction. La
ndant elle traîne encore la jambe, comme elle le faisait en 1862. Les
pieds
sont, à peu de chose près, aussi longs l'un que l
ur; on observe une légère flexion du genou et une extension forcée du
pied
avec fréquente déviation en dedans représentant e
nce. Tous les signes de l'ascite sont évidents. Il n'y a ni œdème des
pieds
, ni altération des bruits du cœur, ni ictère. 1
octobre. Le malade présente une coloration rouge, érythéma-teuse des
pieds
et des jambes, qui, à la main, semblent glacés. I
ons digestives s'opèrent mieux; deux selles diarrhéiques. L'œdème des
pieds
et des jambes reste le même. 10 nov. Le malade
. Le réflexe rolulien est un peu exagéré à droite. Pas de clonus du
pied
. Urines normales. L'appétit est très diminué. I
s. Marche impossible; l'enfant debout appuie seulement la pointe du
pied
sur le sol ; ne fait aucun effort pour se tenir
'enfant cric quand on 20 CLINIQUE NERVEUSE. excite la plante du
pied
, mais ne fait aucun mouvement des orteils en fl
s n'atteignant pas le sacrum. En bas, elle se prolonge à droite. Le
pied
droit présente des troubles trophiques, est vio
interne, la meningo-e11cép/wlile occupe surtout le lobe frontal, le
pied
de F3, Pa, Fa, le pli pariétal inférieur, le pl
uperaient la ligne, et obligeraient ainsi leurs camarades à aller à
pied
, puis bâtiraient un mur en n'ouvrant qu'une tou
e voudraient-ils aujourd'hui faire « bande à part » et repousser du
pied
leurs collègues nommés comme eux ? Je parie que
que verrait-on avec leur projet ? On verrait une lutte sur le même
pied
entre des chefs ayant peut-être 30 ans de servi
ique avec exagération des réflexes rotulien et achilléen, clonus du
pied
et de la rotule, signe de Babinski bilatéral, e
ertain intérêt : à l'atrophie de tous les muscles de la jambe et du
pied
droits correspondait en effet une disparition c
ntre des muscles de la jambe et dans le second celui des muscles du
pied
avec les restric- tions que Parhon et Goldstein
dans une étendue suffisante. , La malade ne peut remuer du fout les
pieds
elles orteils, Alors que la force musculaire es
es pieds elles orteils, Alors que la force musculaire est nulle aux
pieds
, la répartition de cette force dans les autres
aravant celles-ci n'avaient plus été abso- lument nécessaires. Le
pied
est ballant et traîné sur le sol, et la malade es
aucoup augmenté dans les derniers lemp ? Sensibilité au contact. Le
pied
est totalement insensible, aussi bien sur la la
ée il angle obtus sur le bassin, la jambe fléchie sur la cuisse, le
pied
est tlh ié en varus équin. La contracture est m
ou et de la hanche, et la marche est possible sur le bord externedu
pied
avec une claudication très prononcée. Avec les
ainsi pendant de longs mois il a fait plusieurs fois par semaine, à
pied
, la route d'aller et retour de Sch ? à Anvers,
raly- tiques généraux qui présentaient, au niveau de la plante du
pied
, des maux perforants symétriques. « Obs. I. L
se. Inéga- lité pupillaire. Troubles de la parole. Mal perforant du
pied
gauche. » C'est un malade de 43 ans, célibata
omme le précédent sujet, Bon ? présentait au niveau de la plante du
pied
, à droite et à gauche, plusieurs maux per- fora
ux per- forants. Avec la rémission psychique, les deux lésions du
pied
se sont amendées elles aussi. Enfin, lorsqu'est s
se toute mécanique. Ils pensaient qu'il était dû à la pression du
pied
sur le sol, ainsi qu'au port de chaussures mal
lé un mal perforant palmaire) le mal perforant siège à la plante du
pied
et précisément au niveau du gros orteil, point
jambe en flexion, ou sur le ventre, en relâchant les mus- cles, les
pieds
dépassant la table ou le bord du lit; rayez avec
la face postérieure de la jambe, on obtient la flexion plantaire du
pied
et des orteils ; la zone ré- flexogène peut en
alais des jeunes chiens et des kystes dans les plexus choroïdes. Le
pied
du pédoncule est atrophié et en moignon. La moe
rof. Lépine. L. WAHL, 1 \ \'ll l. - Nouveau réflexe émané du dos du
pied
, par K. MENDE ? Nouveau réflexe spécial de flex
entralbl., XXIII, 191J4.¡ Frappe-t-on la partie externe du dos du
pied
, dans l'endroit qui correspond à la base ou au
s les orteils 2 à 5, surtout les 2° et 3°, se fléchir sur le dos du
pied
; culte flexion dorsale des orteils est d'autant
ines affections organiques, le heurt du la même ré- gion dorsale du
pied
produit non une flexion dorsale, mais une flexi
e (l11) le côté du la paralysie : le côté duquel le heurt du dos du
pied
détermine la flexion plantaire des orteils esl II
liomyélite antérieure, il ne se produisit, parle heurt du dos du
pied
, ni flexion dorsale, ni flexion plantaire des ort
enede Babinski), dans lesquels, en frappant sur le milieu du dos du
pied
, on obtient la flexion dorsale des orteils, tandi
de l'odorat. 1'. KI.RAVAI,. XXXV. Nouveau réflexe sur la plante du
pied
; par V. \'1T1 : 1;. (,'Veu'olog. Ce)2t)-ctibl.
s 1er et 2e métatarsiens provo- que une légère flexion plantaire du
pied
. C'est un réflexe normal. Chez les sujets à réf
e résullal, ou, en certains cas d'hémiplégie, tourn ;r la plante du
pied
en dedans. 5° Le réflexe de la malléole inter
ent par l'extension du la jambe, en certains cas par la rotation du
pied
en dehors. Parfois, dans des condition analogue
occupa foule la paume des deux mains et la plante entière des deux
pieds
, ainsi que la plus grande partie de la face int
Le siège des douleursetparesthésics est la jambe, généralement le
pied
, le mollet, plus rarement la cuisse. En certains
émités et, portant d'abord sur les petits muscles des mains et tles
pieds
, avant ut plu- profondément que sur les muscles
la mort. A l'aulopsiu : double et symétrique tubercule cortical aux
pieds
des F2 ; altérations nécroticlues diffuses des ce
ant plus grande qu'ils sont plus voisins de la racine du membre. Le
pied
se place en ex- tension sur la jambe; lesorteil
et l'abolition du réflexe plantaire (la sensibilité de la plante du
pied
étant ou non conservée). Depuis 1889. M. Teissi
mollissement des lobes occipitaux expliquaient la récitée, Enfin le
pied
delà première circonvolution frontale gauche ét
et y affecte le type signalé par les auteurs : hyperexlcn- sion des
pieds
un varus équin, les muscles jumeaux et le tendon
abdomen, au dos, respec- lant la face, les mains, les jambes et les
pieds
. Les troubles nerveux étaient caractérisés par
externe 222 SOCIÉTÉS SAVANTES. de la cuisse, de la jambe et du
pied
. Plus tard apparurent des troubles urinaires, r
des réflexes avec clonus indéfini du la rotule et trépida- tion du
pied
sans signe du Babinski, origine fonctionnelle pro
exes se rencontre aussi dans les paralysies organiques. Clonus du
pied
. M. Babinski provoque le clonus du pied chez de
ies organiques. Clonus du pied. M. Babinski provoque le clonus du
pied
chez des sujets sain* en leur recommandant d'ét
chez des sujets sain* en leur recommandant d'étendre légèrement le
pied
sur la jambe, ce qui explique lu clonus chez le
·llr· : tw·c inf : mlilisna· (2 Irlanclu·s). - TukI'Sat. OKdème dus
pieds
chez deux imbéciles (l planche), - 1. S\[.LE A&
t de tous côtés, bavardait à l'école, faisait aller ses jambes, ses
pieds
, ses mains, on aurait dit qu'elle était mue par
passe à côté de ses compagnes sans défense, elle donne un coup de
pied
à une idiote, pousse une petite, mal équilibrée s
après un accident de voiture : chevaux d'omnibus emportés. Coup de
pied
de cheval à la nuque et bras gauche brisé. Dans
tion des indications précédentes sur la localisation des muscles du
pied
et de la jambe. Ici encore peu de cellules lésées
tainement dégénéré ; d'autre part, la parésie et la déformation des
pieds
sont peut-être susceptibles d'expliquer dans un
égime des réflexes du gros orteil était exactement inverse aux deux
pieds
, sans qu'il existât aucune autre différence ent
senté de différence appréciable entre les deux côtés.Par contre, le
pied
gauche sur lequel faisait défaut le signe de Ba
in rappelle celle de l'hémiplégie cérébrale infantile, de même le
pied
creux avecéquinisme exagéré. Les contractures pré
acé). Un asile de fous au CAIRE en 1839. « ? Une cour de quarante
pieds
carrés, cm il'onnée de murailles prodigieuses d
ine. Chaque côté des murs, sont percées de petites niches de quatre
pieds
carrés, gar- nies d'énormes grilles de fer, et
t perpétuel sur la pierre l'a détruite et creusée à plus de deux
pieds
? n Illorace VERNET in Nouveaux Lundis de Wainte-
née d'avant, traumatisme grave par tamponnement d'un train. Coup de
pied
de cheval à la région pariétale droite, il y a
cturé. On adû en faire l'ablation comme le montre la déformation du
pied
et comme le confirment à la fois la radiographi
i se dégageait de cette matière s'est amoindrie; ses mains et ses
pieds
n'ont plus cette teinte violacée; enfin les mouve
cris, poussait des rugissements comme une bête fauve, tapait des
pieds
, s'arrachait la chevelure des deux côtés de la tê
sente une paralysie du tihial antérieur due à une hyperextension du
pied
d'une demi-heure de durée et ayant cause une él
; Mlle Toselli eut les deux jambes broyées, le poignet gauche et le
pied
droit sectionnés. Les fillettes avaient manifes
n ; il marche à tout petits pas sans, pour ainsi dire, détacher les
pieds
du sol ; la jambe gauche est plus paralysée que
rigidité des membres inférieurs qui s'est peu à peu développée. Les
pieds
sont en adduction forcée ; la contracture est t
oit du corps est profondément atro- phiée, surtout à la jambe et au
pied
qui, au lit, se met en équin varus ; à la ceint
ble des réflexes patellaires ; pas de trépidation, mais une fois le
pied
fléchi,il conserve un moment cette attitude en
acture. Démarche difficile, spasmodique, à petits pas. La plante du
pied
se détache difficilement du sol, laissant traîner
OTROPHIQUE. 443 des réflexes du genou, surtout à gauche ; clonus du
pied
et de la jambe du même côté. Démarche non spasm
). Les réflexes rotuliens sont énormément exagérés ; le clonus du
pied
existe des deux côtés, plus marqué à gauche. Les
smodique, il marche en écartant les jambes, déta- chant à peine les
pieds
du sol, et en traînant le droit. La langue est
e signe de Babinski ; conservation des réflexes cutanés ; clonus du
pied
provoqué par le simple chatouillement t des sur
t des surfaces plantaires ; démarche hésitante, spasmodique ; le
pied
gauche a de la peine à se détacher du sol. L'embo
is ne se servait que de la cuiller. Sa démarche était déhanchée, le
pied
gauche un peu en dehors mais elle suivait assez
ralysie, la marche était nulle, elle ne se tenait debout que sur le
pied
gauche tout en la maintenant assez fortement, ne
nel et troubles de la parole. , 504 asiles d'aliénés. Clonus du
pied
. CLAUDE et DREYFUS ont essayé de différencier p
nal dans 'un cas de mal de Pott. par Portion et Papininn, 2. du
pied
, par Babinski, 220. -- du pied, par Claude et D
. par Portion et Papininn, 2. du pied, par Babinski, 220. -- du
pied
, par Claude et Dreyfus, 50'r. Coloration. Voir
logie des religieu- ses de Port-Royal, par Binet- S'anglé, 497.
Pied
. Voir Réflexe. Pleurésie. Voir Déformation. P
et sa signification, par S'tembo, 129. -- Nouveau émané du dos du
pied
, par Men- del, 13. - Nouveau spécial de flexi
coustico-palpébral par Bechterew, J30. - Nouveau sur la plante du
pied
, 140.- Des - aponévrotiques des ex- trémités
, une flexion très légère du gros orteil et la flexion plantaire du
pied
. Dans cinq cas de lésion cérébrale organique, S
du phénomène des or- teils n'est donc pas localisée à la plante du
pied
et le signe de Schae- fer ne diffère de celui d
C11. BONNE. II. Ueber den Fussrückenreflex (sur le réf. du dos du
pied
), pal' Kurt MENDEL de Berlin. (Neural. Centralb
eints d'une maladie nerveuse fonctionnelle, la percussion du dos du
pied
produit une flexion plus ou moins nette des qua
ntaire était plus accusée quand la percussion portait sur le dos du
pied
près du bord externe. Le signe de Babinski fut né
signe de Babinski fut positif. Le réflexe pathologique du dos du
pied
serait donc plus,fréquent dans les cas de lésion
t en doute à cause de la présence du réflexe pathologique du dos du
pied
; on vit.en effet, après quel- ques mois, appar
où le signe de Babinski manquait, tandis que le ré- flexe du dos du
pied
était positif (flexion plantaire), mais sans in-
main on fixe un genou sur le plan du lit ; de l'autre on soulève le
pied
; la jambe arrive à faire avec le plan horizont
t dépassait même légèrement la limite antérieure de Fa au niveau du
pied
de r2,c'est- à-dire,en effet, du centre du memb
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 79 bres pelviens avec la plante des
pieds
. Ces 3 régions peuvent être respectées simultan
, au point de vue de la lutte, ils puissent être placés sur le même
pied
que l'homme normal ; leur responsabilité par ra
pariétale ascendantes, le lobule paracentral et peut-être aussi le
pied
d'insertion des trois circonvolutions frontales
. BAmNSxc présente une malade chez qui l'excitation de la plante du
pied
provoque le phénomène de chair de poule sur un
quand il n'est pas net.on peut par excitation du bord externe du
pied
, produire un écartement du gros orteil, signe d'a
roite et gauche (Doutrebente et Marchand) ; lobule paracen- tral,
pied
de la troisième frontale, cunéus (Laignel- Lava
es de bottines vernies ; la beauté des femmes et la beauté de leurs
pieds
ne l'intéressaient pas ; ce n'était que l'éléga
publics, parce que les dames portant des toilettes élégantes leurs
pieds
sur- tout l'excitaient énormément. Dans les rue
le malade essayait de se ligoter lui-même et de se promener, les
pieds
ligotés avec des chaînettes, dans sa chambre, mai
saisissait souvent par les mains et regardait de temps en temps ses
pieds
; alors il profita d'un bon moment, la saisit p
a résolu fermement de ligoter, coûte que coûte, pour cette fois les
pieds
de la femme. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES PERVERS
l'a fait asseoir sur une chaise, et ayant posé sur ses ge- noux les
pieds
chaussés de bottines de cette dame, les a ligotés
qu'en ligotant lespieds. Au moment, où Z. tenait sur ses genoux les
pieds
tout à fait im- mobiles de la femme, dont les b
possible. Peu à peu le malade s'est convaincu que le ligotement des
pieds
n'était pas le moyen indispensable devant lui p
gasme il suffisait alors au malade de garder sur ses ge- . noux les
pieds
immobiles de la dame, chaussés de bottines qui
aboutis- sait à une éjaculation. Quelquefois le malade ligotait les
pieds
de la dame avec des chaînettes et la forçait de
sée non pas de bottines, mais de pantoufles-tout l'intérêt pour ses
pieds
-disparaissait complètement chez le ma- ladre.
ma- ladre. Dans ces conditions, ni le ligotement ni le contact des
pieds
avec ses parties génitales ne produisaient aucu
e de haute position, de l'amener chez soi, de la faire marcher, les
pieds
ligotés. Faire descendre une femme de sa haute
s'est transformé à un certain degré en un fétichiste assez banal du
pied
et surtout des botti- nes de femme. Au premier
elle très librement. Eh bien ! à ce point de vue, le ligotement des
pieds
, le garrottage des pieds, sans doute, est plus
ien ! à ce point de vue, le ligotement des pieds, le garrottage des
pieds
, sans doute, est plus effectif que le ligotemen
malade même, qu'il accordait plus d'impor- tance au ligotement des
pieds
qu'à celui des mains. Se rendant à son deuxième
re son but principal et, que coûte que coûte, il lui ligoterait les
pieds
. Encore au moment où les tendances sadistiques
dames parées, élé- gantes, mais en ce temps-là déjà, c'étaient les
pieds
qui jouaient un rôle prépondérant. Plusieurs
ation sur une femme, la domination plus complète (le ligotement des
pieds
), et la domination sur une femme plus haut plac
nt des pieds), et la domination sur une femme plus haut placée (les
pieds
élégamment chaussés) doit provoquer un plaisir
on du sentiment sexuel avec des représentations du ligotement des
pieds
de femme et surtout des pieds élégamment chauss
des représentations du ligotement des pieds de femme et surtout des
pieds
élégamment chaussés. Dans la formation de ces a
ci dessus mentionnées devaient se former avec la représentation des
pieds
de femme chaussés. Les associations psychique
association du sens génésique avec la représentation du contact des
pieds
de femme chaussés et des bottines mêmes. Les no
ne issue à son excitation et qu'il rêvât toujours au ligotement des
pieds
des femmes chaussés de bottines vernies. En r
dont les phénomènes articu- laires portent sur la hanche droite, le
pied
et le genou gauche, qui avaient été traumatisés
7, l. II. S3 354 PATHOLOGIE MENTALE. lui demande de lui laver les
pieds
. Il était très gros, et il ne pou- vait certain
observera soit la trépidation épileptoïde légitime et pai faite du
pied
soit de trépidation de la rotule, soit la trépi
rée exagération des réflexes achilléens; trépidation épileptoïde du
pied
légitime et parfaite signe de Babinski. Pour les
e ré- flexe du paradoxal la contracture réflexe des fléchisseurs du
pied
étant prise pour celle des extenseurs ; 3° enfi
biceps brachial, biceps et muscles de l'avant-bras. Le clonus du
pied
doit être recherché avec soin, il s'accompagne pa
umatisme datant de 17 ans ; l'hémianesthésie respecte la main et le
pied
, mais s'étend à la moitié droite de la face, de
que le centre moteur du langage a sa localisation corticale dans le
pied
de F\ mais dans les rares cas publiés d'aphasie
gourdissement dans l'extrémité inférieure gauche, sur- tout dans le
pied
gauche puis dans l'extrémité inférieure droite ;
issement, fourmillements, 1)rü- lements) dans les mains et dans les
pieds
. Hypoesthésie sur les paumes de la main et sur
ce dans les espaces interosseux de la face dorsale de la main et du
pied
avec un doigt ou avec un porte-plume pro- voque
ire) ; les 401 i clinique Nerveuse. paresthésies des mains et des
pieds
, dit-il, sont devenues encore plus fortes et pl
bien conservée partout, sans excepter les muscles de la main et du
pied
; dans les muscles de la main, on trouve un peu
arti- culaire des orteils est abolie complètement. Hypoesthésie des
pieds
; (face plantaire et dorsale), hyperalgésie sur
s; (face plantaire et dorsale), hyperalgésie sur la face dorsale du
pied
, anesthésie vibratoire complète sur les extrémi
r et sur le bassin ; douleur et engourdissement assez vifs dans les
pieds
; les branches périphériques des nerfs sont très
s douleurs et les pares- thésies dans les mains et surtout dans les
pieds
le tourmentèrent énormément, la marche devint p
de la main droite et de la main gauche. Les nerfs de la main et du
pied
sont douloureux à la pression. Après 8 jours, l
u niveau des doigts s'est rétablie complètement. L'hypoesthésie des
pieds
reste; sur la face dorsale des pieds existe, ou
mplètement. L'hypoesthésie des pieds reste; sur la face dorsale des
pieds
existe, outre l'hypoesthésie,l'hyperalgésie avec
s des extré- mités est un peu affaiblie. Les nerfs de la main et du
pied
ne sont plus douloureux à la pression ; les dou
es douleurs spontanées ont cessé, les paresthésies des mains et des
pieds
persistent. t. Le sixième examen (23 déc.) a mo
nsibilité : l'hypoesthésie et l'hyperalgésie de la face dorsale des
pieds
ont disparu ; il nd reste que l'hypoesthésie de l
t disparu ; il nd reste que l'hypoesthésie de la face plantaire des
pieds
; la sensibilité articulaire dos orteils conti-
peu marquée aux bouts des doigts. Les paresthésies des mains et des
pieds
incommodent, t encore le malade, mais leur inte
ubles de la sensibilité cutanée des mains on t. disparu ; quant aux
pieds
,il ne reste que l'hypoesthésie cutanée peu pron
re malade, étaient localisés presque exclusivement aux mains et aux
pieds
; c'est ici qu'on constatait la sensibilité exa
tions diverses ; et depuis longtemps dans l'examen des mains et des
pieds
, j'apporte une attention particulière à la sens
très caractéristique pour l'inflammation des nerfs de la main et du
pied
, inflamma- tion qu'on peut nommer l'acronévrite
symptômes névritiques sont localisés ordinairement aux mains et aux
pieds
. En partie, ce syndrome acronévritique s'observ
anien), avec lesquels les branches périphé- riques de la main et du
pied
n'ont aucun rapport ; 3° le développement gradu
on les grands» troncs mixtes-. Et vraiment,excepté les mains et les
pieds
? (l'acronévrite avec sa symptomatologie mixte)
oesthésie de la face palmaire de la main et de la face plantaire du
pied
. Au cours de la maladie, nous avons observé l'a
nts troubles de la sensi- bilité à la face dorsale de la main et du
pied
(hypoesthésie, hypoalgésie, hyperalgésie, dyses
, hyperalgésie, dysesthésie), mais l'hypoes- thésie de la plante du
pied
et de la paume de la main per- sistait toujours
rti conservant même son hypoesthésie affectant la plante des deux
pieds
; ce ne fut que le mois suivant qu'on pût constate
s destinées à la face palmaire de la main et à la face plantaire du
pied
ont été plus fortement affectés que les branche
prenant part dans l'innervation de la face dorsale de la main et du
pied
. En résumant maintenant tout ce que nous avons
ion plus restreinte et plus spéciale sur les nerfs de la main et du
pied
. La première forme d'affection des nerfs périph
ractérisée par la sensibilité exa- gérée des nerfs de la main et du
pied
à la pression et par les troubles locaux de la
; nous avons déjà nommé cette forme l'acronévrite de la main et du
pied
. L'ataxie polynévri- tique aiguë a suivi un cou
abes périphé- rique aigu) associée à l'acronévrite des mains et des
pieds
. Au tableau clinique particulier de la polynévr
é droit,mais affectaient toute la hauteur du corps « de la tête aux
pieds
». Les yeux étaient convulsés. L'enfant fut alité
t de plus en plus maussade. L'en- fant ayant quelques engelures aux
pieds
on la garde au lit, une grande partie de l'hive
servent du diable, des piqûres de scorpion, etc. Tic douloureux du
pied
. M. Maurice l1LOCH rapporte un cas de douleurs
de la face ; il propose de dénommer ce symptôme « tic douloureux du
pied
» ou « névrite épileptiforme du pied», suivant
symptôme « tic douloureux du pied » ou « névrite épileptiforme du
pied
», suivant une expression empruntée à Trousseau1.
flexe. Sur le de Schaefer, par Lasarew, p. 54. Sur le'- du dos du
pied
, par Kurt, Mendel, p. 54. Sur les rapports des
xpérimentale, par l'ar- lion et Uréché, p. 209. Tic douloureux du
pied
, par Bloch, p. 471. Timidité morbide guérie p
soir. Quelques jours après, je fis précéder la douche d'un bain de
pieds
à eau courante. Dès les premiers jours de ce tr
ment congestionnées; il est sujet aux engelures et a toujours les
pieds
et les mains glacés. L'appétit et le sommeil ont
ler avec un peu de suite. L'enfant se plaint d'avoir tou- jours les
pieds
et les mains glacés, surtout quand le mal de tète
élocipède. Le temps froid et le vent sec lui sont désagréables. Les
pieds
sont habituellement froids. L'appétit est bon,
re pas, mais les douleurs reprennent aussitôt qu'il s'applique. Les
pieds
et les mains sont babituellementfroids. L'appét
uilles,' a été opiniâtre et longue. Il la lais- - sait rouler à ses
pieds
, faute, -en' partie; de pouvoir fixer. ses doigts
? p'. i ? 1 Si ? - "'1' du nt' -i 1.1 ? t - ? 1 ' , : soulevait le
pied
en J'appuyant sur sa pointe, tout le membre1 se
lenticulaire, vont se confondre avec la capsule interne et avec le
pied
du pédoncule cérébral, qu'il est tout à fait im
aire. A trente-sept ans, il vit apparaître sur la face plantaire du
pied
droit, au niveau de l'articulation métatarso-ph
nnent par crises, et siègent surtout aux genoux, aux mollets et aux
pieds
. Il existe en outre une sensation pénible et co
orsque les yeux sont fermés. Le malade sent la résistance du sol du
pied
droit, mais il lui semble souvent que le pied g
résistance du sol du pied droit, mais il lui semble souvent que le
pied
gauche repose sur une couche d'ouate. Le sens m
- fondes. La sensibilité présente quelques troubles au niveau des
pieds
. Les piqûres sont faiblement perçues sur la fac
Les piqûres sont faiblement perçues sur la face dorsale des deux
pieds
. Quelquefois, elles ne produisent qu'une sensatio
e foie et la rate. Coeur normal. De nombreux fragments de nerfs des
pieds
, des mains et des membres, et quelques racines
iens sont abolis et les réflexes au chatouillement de la plante des
pieds
sont très faibles. . Le malade éprouve depuis q
is quelques jours une sensation per- manente de froid dans les deux
pieds
. Cette sensation est purement subjective, la te
, ainsi que le bras, de trépidations, avec abduction consécutive du
pied
. A la suite des attaques, la face se couvre de
ur le bassin ; la jambe est presque étendue. Pas de contracture; le
pied
est fortement fléchi et dans l'adduction; les o
nt laquelle la jambe se fléchit un peu sur la cuisse, tandis que le
pied
s'étend sur la jambe. A la face, trémulation
des gémissements plus accentués; le chatouillement de la plante des
pieds
produit des réflexes très marqués à droite, très
S SAVANTES. 279 mittentes occupant les articulations du genou et du
pied
, dont la ge- nèse demeure inexpliquée. La dis
UROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE AFFECTIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DU
PIED
CHEZ LES TABÉTIQUES (Pied tabétique); Par MM.
AFFECTIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DU PIED CHEZ LES TABÉTIQUES (
Pied
tabétique); Par MM. J.-M. CIIAIICOT et Cn. FËRË
alogues portant sur les os courts et les petites arti- culations du
pied
*. C'est sur un groupe de faits de ce genre que
ie, incoordination, phénomènes oculo-pupillaires. Déformation des
pieds
. M. de C ? quarante et un ans, se présente à la
u mois de septembre de cette année 1879, il commença à souffrir des
pieds
qui se sont mis à se déformer. Il a cru, à cett
berg. Anesthésie presque complète (froid, étincelle électrique) des
pieds
et des jambes; incoordination motrice depuis
illes petites et égales). -- Pas de troubles gastriques. Les deux
pieds
offraient exactement la même déformation, qui,
fois, était plus prononcée à droite. (Fig. 3.) Le bord interne du
pied
était considérablement augmenté d'épaisseur dan
ait dévié en dehors, de sorte qu'il existait sur le bord interne du
pied
, au niveau de l'articulation tarso-méta- tarsie
uements au niveau des parties déformées. Ces lésions symétriques du
pied
, se présentant en dehors de toute autre cause c
ui nous parut provi- soirement désignée suffisamment sous le nom de
pied
tabétique. Peu de temps après, au Congrès de
présenta un malade, ataxique aussi, qui offrait une déformation du
pied
tout à fait semblable à celle que nous venons d
mencé en octobre dernier par un gonflement de la jambe droite et du
pied
, qui étaient douloureux tout d'abord. Puis la d
douloureux tout d'abord. Puis la douleur passa et le gonflement du
pied
resta le symptôme principal. Le cuboïde, le s
ns toutes les directions. Les ma- Ilaeuvres auxquelles on soumet le
pied
ne semblent pas provo- quer de douleurs. La pla
oumet le pied ne semblent pas provo- quer de douleurs. La plante du
pied
était le siège d'une ancs- tlnsic douteuse. Au
isit une solution de continuité de la couche cornée de la plante du
pied
droit, et il se fit une ulcération non douloure
ion non douloureuse à l'extrémité du gros orteil. Un mois après, le
pied
droit était resté dans le même état, mais plusi
e état, mais plusieurs sillons cornés étaient apparus sur l'autre
pied
. Ils étaient tout à fait indolores. Le malade n'o
it le signe d'Argyll Robertson. C'est sous notre observation que le
pied
gauche commença à être 1 Transactions of the in
(R<'t7 ? ('t<.yoi;)') : ,a ? rit 183 ? p. 772.) AFFECTIONS DU
PIED
CHEZ LES TABETIQUES. 309 affecté de la même man
angulaire non douloureuse, portant seulement sur la face dorsale du
pied
. Observation III. Ataxie locomotrice ; début à
s vésicaux et oculo-pupillail'cs, incoordination. - Déformation des
pieds
. 1V1 ? X..., de Bordeaux, vingt-deux ans. Pas d
rgyll Robert- son, pupille droite plus grande. Il existe aux deux
pieds
, au ni- veau de l'articulation métatarso-phalan
ie presque à angle droit, des deux côtés, sur la face supérieure du
pied
. Cela s'est produit depuis un an graduellement,
ui fut affectée de troubles visuels pour h'r.4. - AI llrropatlne du
pied
droit. AFFECTIONS DU 1MEI) CHEZ LES 'J'A¡;E'J
es deux genoux. On voit enfin du côté droit, une défor- mation du
pied
exactement reproduite par la figure 5, et qui r
déformations observées dans les autres cas. Le bord in- terne du
pied
droit offre un épaississement très considé- rab
; troubles urinaires, a ? ? 0'ONa- thies des genoux. Déformation du
pied
droit. MmoR... de N..., trente-six ans. Nous re
nte et oncle maternels aliénés), et de la syphilis. AFFECTIONS DU
PIED
CHEZ LES TABETIQUES. 313 i elle était prise imm
u moins très forte à ce qu'il parait. Un an plus tard environ, le
pied
droit commença à se défor- mer et à se tordre e
saillie en arrière de l'articu- 1"ig. y. Arthropathie du genou ;
pied
ataxique. AFFECTIONS DU PIED CHEZ LES r,rci : T
- 1"ig. y. Arthropathie du genou ; pied ataxique. AFFECTIONS DU
PIED
CHEZ LES r,rci : Trnor.s. : 31;> -) lation.
t en dehors; mais le fémur ne parait pas aug- menté de volume. Le
pied
droit offre une déformation très considérable. Le
s en dehors dans leur en- semble, et forment sur le bord interne du
pied
un angle obtus avec le tarse. Au niveau de l'ar
Au niveau de l'articulation tarso-métatarsienne le bord interne du
pied
offre unépaississementtrësmanifesto, et il y a
</. 5) une saillie arrondie qui s'étend en dehors sur le dos du
pied
. Le creux plantaire est à peu près effacé ; il se
s les os du tarse participent à la tuméfaction. Les ongles des deux
pieds
sont dystrophiés, particulièrement à droite. Au
I peut donc exister chez les ataxiques, une affec- tion spéciale du
pied
, s'accompagnant d'une déforma- tion au niveau d
e bord interne (Obs. I, II, IV), quelquefois sur la face dorsale du
pied
(Obs. III). Cette affection n'est sans doute po
èces qu'il a recueil- lies. Observation V. Examen du squelette du
pied
dans un cas d'affection complexe des os et des
ésentée si I,i Société anatomiqne le 13 juillet 1883. AFFECTIONS DU
PIED
CHEZ LES '1'.\lJ¡ ? 1'j(JU¡ ? 317 il ",0 If
en dehors de tout trauma- tisme, de toute affection suppurative du
pied
, ne peu- vent être rapprochées que des lésions
émontré l'examen de la moelle épinière, l'origine de l'affection du
pied
ne paraît pas pouvoir rester douteuse. Il peu
, dans le cours de l'ataxie locomotrice une affection complexe du
pied
dans laquelle les os et les articulations sont
ité parla dénomination DU L.\\G.1GL CIILZ L I : nl.lvfS. 3t3 J de
pied
tabétique mérite de fixer l'attention, car, prin-
une nuit, au moment du coït, le malade ressentit un tremblement au
pied
droit; le lendemain sa démarche était moins lib
ment au pied droit; le lendemain sa démarche était moins libre, son
pied
droit ne lui obéissant plus aussi bien ; ce mal
plus aussi bien ; ce malaise s'aggrava peu à peu, le tremblement du
pied
se répéta de temps en temps; parfois ce pied ét
peu, le tremblement du pied se répéta de temps en temps; parfois ce
pied
était pris d'une extension involontaire. CAS DE
. 357 Au printemps de 1879, un dérangement pareil apparut dans le
pied
gauche, ce qui rendit la marche très pénible. Sur
du malade ne touche pas le sol, tandis que la partie antérieure du
pied
glisse sur le plancher, le patient ne pouvant l
tomber. Pendant la marche, les jambes sont rapprochées, le bout des
pieds
est tourné en dedans, et chaque pas est accompa
s muscles; le malade le sent bien lui-même et se plaint d'avoir les
pieds
constamment comme serrés. Cette rigidité augmen
s mouvements passifs, on sent dans les articulations du genou et du
pied
la résistance des muscles. Les réflexes tendine
pingle n'en produit pas du tout, le chatouillement de la plante des
pieds
n'en provoque que de légers. Comme tout le re
région occupée par ces corps. Ainsi, on n'en trou- vait que dans le
pied
du pédoncule, tandis qu'il n'y en avait ni dans
eymentzcna), ni dans la substance noire de Soëmmering. Même dans le
pied
du pédoncule, ils occupaient une place strictem
e d'une trapèze; ce dernier occu- pait à peu près le tiers moyen du
pied
du pédoncule, en s'in- clinant un peu du côté e
et demi, il fut atteint d'une hydropisie qui envahit les mains, les
pieds
, les jambes, l'abdomen : il fut soigné par M. T
a. Il aime à clapoter dans l'eau et à pousser les cailloux avec ses
pieds
. Parfois colère, surtout quand on le débarbouil
i, penche le dos en arrière, tend la tête el les bras en avant; les
pieds
et les mains sont dans l'extension et la rotati
eptique, 161. Ataxiques (affections osseuses et ar- ticulaires du
pied
chez les), par Charcot et Féi-é, 303. Atropin
du-),279;- troubles vertigi- neux dans le), 101. t. Tabétique (
pied
), par Charcot et Féré, 305. Température dans
es enfants. Mans... (Lucien), à l'entrée en 1898, ne posait pas ses
pieds
à terre. Aujottrd'hui il fait quelques pas seul
rases. L'enfant a eu une grande partie de l'année des engelures aux
pieds
ce qui a retardé les pro- grès de la marche.
marche seul, comprend un peu ; si on le gronde il s'en va tapant du
pied
et des mains. Il dit papa, maman, à boire, du p
parations de fauteuils en fer. - 330 objets en bois faits au tour :
pieds
de meubles, pieds de table, poignées boules, cy
uils en fer. - 330 objets en bois faits au tour : pieds de meubles,
pieds
de table, poignées boules, cylindres, cônes, et
ertificat immédiat nous examinons nous-méme l'enfant de la tête aux
pieds
s'il y a lieu ; il en est ainsi depuis 1S80. Voic
ut, c'est-à-dire le sous-sol. Ce sous-sol bien aéré, donne de plein
pied
sur une large terrasse expo- sée à l'ouest et s
dû recourir encore cette année aux bains de Bicêtre. Les bains de
pieds
ont été donnés à la Fondation où existe, comme
tements soient aussi grands que possible ; il leur faut au moins 20
pieds
(1) carrés par individu ; ce qui, sur 12 pieds
eur faut au moins 20 pieds (1) carrés par individu ; ce qui, sur 12
pieds
de plafond, donne 240 pieds cubes. L'aération d
carrés par individu ; ce qui, sur 12 pieds de plafond, donne 240
pieds
cubes. L'aération doit être parfaite et l'éclai
l'éclairage aussi satisfaisant que possible, les pièces doi- (1) Le
pied
anglais est égal à 0m,301 (Note du T.) Classes
liorée, athétose. 7° Epilepsie spinale, trépidation, phénomène du
pied
. Signe de Babinski. 8° Réflexes (bras, genou, p
, phénomène du pied. Signe de Babinski. 8° Réflexes (bras, genou,
pied
). 9° Comparaison des deux côtés du tronc (tho
on. Ëcholatie. Cris. Pleurs. Rires. Circulation. Congestion des
pieds
, des mains, des oreilles et de la face ; pâle
ble avoir eu une contracture des membres inférieurs, elle avait les
pieds
tournés en dedans. Cette contracture a été attr
ant a fait de l'exagération. - Marche sautillante, sur la pointe du
pied
. - Blésité très prononcée; le son ch parait imp
t remarqué que l'enfant marchait ensuite « courbée en dehors, et le
pied
légèrement dévié ». Cet affaissement et cette dév
gne verticale passant par le centre de gravité vienne tomber sur le
pied
supportant la masse du corps. Pour éviter la fa
ent l'hémiplégique à ne prendre un appui que sur l'extrémité d'un
pied
au lieu de reposer sur la largeur de la surface
xiste : 1° une période durant laquelle le corps repose sur les deux
pieds
, c'est le temps du double appui ; 2° une périod
l se trouve modifié : « la mar- che qui commence généralementpar le
pied
du côté malade s'effectue comme il suit : le me
uit : le membre paralysé ne dépasse pas le talon du membre sain, le
pied
malade est tiré pour ainsi dire en avant en tra
arc de cercle ; il passe ensuite il l'appui, mais sans dépasser le
pied
du côté indemne pour former ce que M. Gilles de
nt a la différence de longueur des deux membres, il ne Irainepas le
pied
, il ne fauche pas. » En un mot, on a remarqué l
olument concentré sur le siège des plaies du Christ : front, mains,
pieds
, côté.. Elles voudraient les voir saigner. D'où
ayeur passa- gère due à la vue d'une souris qui se promenait il ses
pieds
; pas de perte de connaissance, s'est remise au
traumatismes ; a des engelures les hivers, « a toujours froid aux
pieds
, aime beaucoup la chaleur. » Rougeole à 2 ans,
orue. Il a fait quelques progrès au point de vue de la marche. Le
pied
gauche qui se renversait sur le bord interne est
. G... marche assez bien tenu par la main; il soulève moins bien le
pied
gauche que le pied droit ( ? ). Traitement :
bien tenu par la main; il soulève moins bien le pied gauche que le
pied
droit ( ? ). Traitement : bains salés, sirop d'
ême traitement. 25 avril. - Revient à l'infirmerie pour cyanose des
pieds
et oedème chronique. (Engelures.) 10 mai. - A
ne érythémateuse. 15 décembre - Cyanose et oedème des jambes et des
pieds
. 4 janvier. - Persistance de l'herpès. 1889.
èvre inférieure; gâteux jour et nuit, il a beaucoup d'engelures aux
pieds
. Octobre. - Il est très rageur, pleure pendant
rconférence 45 ? Novembre et Décembre. L'enfant a des engelures aux
pieds
, qui l'empêchent de marcher et qui l'ont forcé
rogrès pour la marche. Quand on veut le faire marcher, il porte ses
pieds
en arrière comme s'il voulait se mettre il geno
t. Réflexes tendineux, rotulien et tricipital exagérés. Jambes et
pieds
livides, violacés, à température bien moins éle
des, violacés, à température bien moins élevée que celle des mains.
Pieds
oedématiés, en équin valgus, recouverts d'engel
la face. sommeil agité, pleurs, tendance à mordre, cya- nose des
pieds
et des mains, etc., nous avions cru devoir ratt
ogiques ; un peu d'hyperesthésie cutanée au niveau de la plante des
pieds
. Quand la malade a été placée à l'Asile cliniqu
le pleure à chaudes larmes, entre dans une sorte de rage, tape du
pied
, bouscule les objets. Guérison. 123 2G mars.
frontale : enfin son deuxième anneau postérieur très long coupe le
pied
de la deuxième pour ne se terminer qu'au sillon
de passage avec la frontale ascendante. Pas de continuité entre le
pied
et le cap à cause de la longueur insolite du ra
.] La tête est d'ordinaire penchée. , «Les mains, idiotes, et les
pieds
sont courts et lar- ges. Les testicules, dit-on
p. 169-179). Avec un portrait, une planche du crâne, de la tête, du
pied
et une planche du cerveau. Ces deux mémoires co
roit, bras et jambe, a toujours été plus raide que le gauche. Les
pieds
étaient un peu tournés en dedans, mais cette di
beaucoup quand, vers le 20e mois, on essaya de la faire marcher, le
pied
droit s'incurva plus que le gauche. Elle ne m
mplitude. Les membres inférieurs sont cyanosés il leur extrémité (
pied
et partie inférieure de la jambe). Les cuisses, f
échies sur le bassin; les jambes fléchies sur les cuisses, les deux
pieds
en varies très marqué : ces attitudes vicieu- s
très marqué : ces attitudes vicieu- ses complètement réductibles au
pied
et au genou, ne le sont pas à la hanche. La mar
ises : « J'ai sauvé mon honneur, » tout en faisant par derrière des
pieds
de nez aux personnes qui la soignent et restant
qui semblent partir de la cicatrice se répandent jusque sur le dos du
pied
et suivent évidemment le trajet des nerfs. Cette
L'expérience justifie cette prévision. C'estainsi que dans un cas de
pied
bot,avec dégénération grais-seuse des muscles, où
circonvoisiu. Deux jours après l'accident, des bulles apparurent aux
pieds
et à la partie interne des genoux, là où existe u
n, dès le second jour après l'accident, la température prise aux deux
pieds
, au niveau de la malléole interne, s'élevait au d
de ses modes ; le moindre contact de la peau, surtout au voisinage du
pied
, provoque de la douleur : il en estde même de la
nt où il soulevait un fardeau, une douleur subite. 11 put se rendre à
pied
à son domicile distant d'un mille. Le surlendemai
influence des mouvements. Le genou, le coude, le poignet, la main, le
pied
, sont les parties les plus fréquemment affectées.
niveau du poignet du côté paralysé et un peu plus tard le genou et le
pied
du môme côté se gonflèrent à leur tour et devinre
appé d'hémiplégie à début subit. Peu après, le poignet, la main et le
pied
du côté paralysé dévinrent chauds et tuméfiés. Le
autre, les diverses join-tures de ces msmbres, le genou surtout et le
pied
, étaient le siège de douleur et de gonflement, Le
s. — Attitude du tronc et des membres. — Déformation des mains et des
pieds
. Ralentissement dans l'exécution des mouvements.
'annonce comme légère et bénigne. Le tremblement est circonscrit à un
pied
, à une main, au pouce. Ce symptôme en apparence s
ite, au bout de quelques mois, de quelques années, ce sera le tour du
pied
droit; la main gauche ensuite, puis le pied gauch
nnées, ce sera le tour du pied droit; la main gauche ensuite, puis le
pied
gauche, seront pris successivement. L'envahisse
ux sont rapprochés l'un de l'autre par un mouvement d'adduction : les
pieds
sont raides, étendus et dirigés en dedans, simula
dirigés en dedans, simulant la malformation désignée sous le nom de
pied
bol varus équin ; les orteils relevés et recourbé
a trait à une fille de 19 ans qut s'enfonça une épine sous l'ongle du
pied
droit. Elle ressentit sur le champ une vive doule
ouleur, et bientôt elle eutun tremblement qui, d'abord circonscrit au
pied
blessé, se gé-néralisa progressivement. Le trembl
uleur, violente localisée sur le parcours des nerfs de la jambe et du
pied
. Ces parties furent prises les premières du tremb
sans doute familière, et nous pourrions, à lan-gueur, entrer de plein
pied
dans l'examen des lésions intimes. Toutefois, vou
lieu et seul tout d'abord. Il paraît lourd, difficile à mouvoir ; le
pied
tourne dans la marche, au moindre osbtacle, ou le
t du tremblement qui, tôt ou tard,ne manquent pas de s'y ajouter; les
pieds
, tenus écartés pour élargir la base de sustentati
outenue par deux aides, on a noté ce qui suit: Pendant la marche, les
pieds
sont un peu projetés « comme chez les ataxiques »
cuisses sont étendues sur le bassin, les jambes sur les cuisses ; les
pieds
offrent l'attitude du pied bot varus équin; les g
bassin, les jambes sur les cuisses ; les pieds offrent l'attitude du
pied
bot varus équin; les genoux sont, de plus, tellem
sont étendus. Lorsqu'on saisit dans la main l'extrémité de l'un des
pieds
et qu'on l'étend un peu brusquement sur la jambe,
e inférieur, l'impression du froid, le chatouillement de la plante du
pied
, peirvent faire naître la trémulalion convulsi\re
selle, pour se dresser dans son lit oupour en descendre et met-tre te
pied
à terre. La marche, que n'interdit pas toujours d
rigidité permanente, — les malades s'avancent alors sur la pointe du
pied
, sans que le talon touche à terre,— provoque auss
ents dans tout le côté gauche. Alort le lor mars 1859. Autopsie. Au
pied
de la couronne radiée de l'hémisphère droit, immé
ez considérable de la substance blanche et les deux tiers externes du
pied
de la couronne radiée. — Moelle ; légère agglomér
'est ici peut-être le lieu de vous rappeler qu'une brusque flexion du
pied
fait cesser tout à coup, ainsi que l'a montré M.
rose des cordons latéraux. — Variétés que présente la 'contracture. —
Pied
bot hystérique. Messieurs, Dans son traité fo
isse est fortement étendue sur le bassin, la jambe sur la cuisse ; le
pied
offre la déformation du pied bot équin taras le p
r le bassin, la jambe sur la cuisse ; le pied offre la déformation du
pied
bot équin taras le plus prononcé. En outre, les m
semble, forme comme une barre inflexible, car, enle saisissant par le
pied
, vous pourriez soulever tout d'une pièce la parti
ferai remarquer, en passant, qu'en redressant forte-ment la pointe du
pied
, on détermine dans le membre inférieur une contra
trépidation qui persiste quelquefois peu dant longtemps, alors que le
pied
, abandonné à lui-môme, a repris son attitude prim
e ou seule-ment de parésie des membres intérieurs, se produit dans le
pied
lorsque, saisis-sant avec la main l'extrémité de
provoquée s'arrête, en général, aussitôt qu'on cesse de maintenir le
pied
dans la flexion dorsale ; elle persiste cependant
orsale ; elle persiste cependant quelquefois un peu après. Limitée au
pied
dans beaucoup de cas, elle s'étend souvent au mem
e malade pour se dresser dans son lit, pour en descendre et mettre le
pied
à terre, ou encore pour marcher. La trépidalion
manente. Ainsi, la trépidation spontanée ou provoquée, soitlimitée au
pied
, soit généralisée, s'observe dans la sclérosesy-m
ogiques ingénieuses. Suivant ces auteurs, la trépidation provoquée du
pied
(laquelle est désignée par M. Westphal sous le no
pasmodique de la main en tout semblable à la trépidation provoquée du
pied
(J.-M. C). 1. Suivant M. Hasse (Handb. der l'at
u chloroforme nous a permis de le vérifier. Seule, la déformation des
pieds
, qui rap-pelle celle du varus équin, ne s'est poi
pendant 12 heures environ, contracture du membre inférieur droit avec
pied
bot varus équin ; la contracture se complique d'u
é de faiblesse dans le membre inférieur droit, principalement dans le
pied
qui se renversait en dedans. Novembre. Berthe m
ui se renversait en dedans. Novembre. Berthe marche sans boiter; le
pied
droit se renverse encore quel-quefois en dedans e
pied droit se renverse encore quel-quefois en dedans et la pointe du
pied
bute, par instant, contre le pied gauche. Parfois
l-quefois en dedans et la pointe du pied bute, par instant, contre le
pied
gauche. Parfois aussi, la jambe droite est prise
use des muscles de la jambe gauche. Cette contracture, qui imprime au
pied
l'attitude du varus équin le plus accentué,avait
t du bras gauche maisrienà droite. Le chatouillement de la plante des
pieds
suscite des mouvements réflexes plus intenses à g
e voudrais pas, toutefois, Messieurs, que vous prissiez absolument au
pied
de la lettre le dernier terme de la propo-sition
celte année (l)sansprêliminaires, sans préambule enenirantde plein
pied
dans l'étude clinique, qui est d'ailleurs l'objet
e marinière. Dans cet instant, la jambe est étendue sur la cuisse, le
pied
fléchi sur la jambe, reproduisant d'une façon trè
sur la jambe, reproduisant d'une façon très accusée le déformation du
pied
bot équin : alors le membre inférieur, rigide d
e par le tronc. Quand la malade est assise, les jambes tremblent, les
pieds
frappent de petits coups ra-pides sur le parquet.
s intense aux jambes qu'aux bras. En effet, il y a de instants où les
pieds
reposent tranquillement sur le parquet. Depuis
lit pendant six mois. Quand elle recommença à marcher, elle avait le
pied
droit roide. Sept mois plus tard, roideur du memb
communes est l'arc de cercle: la ma-lade est courbée en arrière, les
pieds
et la tête reposent seuls sur le lit, le ventre f
urs. En 1873, une nommée Fauc..., âgé de55ans, se fitune entorse du
pied
gauche, avec gonflement, ecchymoses, etc. Peu de
lure et ta gêne de la marche persistant encore, elle s'aperçutque son
pied
tremblait. Le tremblement resta localisé au membr
nt et remuement du corps, la tête tou-chant quelquefois la plante des
pieds
, avec autres contorsions et postures étranges son
s. — Attitude du tronc et des membres. — Déformation des mains et des
pieds
. Ralentissement dans l'exécution des mouvements.
lérose des cordons latéraux. — Variétés que présente la contracture. —
Pied
bot hystérique............347 TREIZIÈME LEÇON
que, 375. Pharynx (Paralysie du), 346. Phlegmon (Faux), 25, 86.
Pied
(Déformation du), dans la para-lysie agitante, 16
éformation du), dans la para-lysie agitante, 161. (V. Trépida-tion,
Pied
bot hystérique, 360, 365. Pouls dans les attaques
280, — de l'incoordination motrice, 230. Trépidation provoquée" du
pied
dans l'hystérie, 350 ; — dans la sclérose des cor
l est contraint de presser le pas et de s'appuyer sur la pointe des
pieds
. Quand il reste de- bout il ne peut pas garder
. Les réflexes cutanés sont exagérés. L'excitation de la plante des
pieds
pro- voque une flexion brusque dorsale du pied
on de la plante des pieds pro- voque une flexion brusque dorsale du
pied
et la rétraction du membre inférieur tout entie
dant qu'il était encore au magasin de forts maux de tête. Il part à
pied
pour rentrer chez lui, mais il ne trouve pas la
écartant les jambes en marchant; elle est aussi spasmodi- que : les
pieds
sont tenus fléchis à angle droit sur les jambes,
) Masson & Cm, Editcurs. HERÉDO-ATAXIE-CRRËBELLEUSE zizi du
pied
un objet que l'on place à une certaine hauteur du
de Romberg. La parole est chuchotée, mal articulée, explosive. Le
pied
est dans une attitude variable, de préférence en
s sont même vifs; on provoque facilement des secousses cloniques du
pied
et de la rotule. Les réflexes idio-musculaires so
tion des réflexes, le nystagmus, les déforma- tions du rachis et du
pied
, le caractère familial. En ce qui concerne ce d
s de profil sur une chaise placée légèrement de côté, il appuie son
pied
gauche sur un escabeau et soutient sa jambe avec
Il s'agit en effet du changement d'un emplâtre placé sur le dos du
pied
blessé. (1) Henry AIEIGE, Les Peintres de la
t placé le chirurgien un genou à terre, tenant de sa main gauche le
pied
du blessé, il soulève de l'autre main l'emplâtr
comme le pantalon. A sa ceinture sont suspendues deux clefs ; à ses
pieds
on voit des instruments et des pots. La physi
iquité assez prononcée, ce qui s'explique par le genu varum. , Le
pied
est un pied il il mesure 0 m. 21 du talon à l'ext
prononcée, ce qui s'explique par le genu varum. , Le pied est un
pied
il il mesure 0 m. 21 du talon à l'extrémité du gr
brachycéphaiie, ies défectuosités de l'architec- ture dentaire, le
pied
plat, le fait que Khéroufa n'a marché qu'à trois
relief. A la face antérieure de la jambe et sur la face dorsale des
pieds
, la peau semble avoir gardé sa coloration habit
asymétrique elle s'arrête aux deux jambes (face antérieure) et aux
pieds
qui, ainsi que nous l'avous dit, ne sont pas at
qu'aux organes génitaux, aux paupiè- res, à la face, aux mains, aux
pieds
et aux jambes, tout le reste est pachyder- misé
o- portionnelle à l'épaississement des téguments. Aux jambes et aux
pieds
la sen- sibilité pour le plan antérieur est il
é également, et S..., couché sur le sol, l'a reçu sur la jambe elle
pied
gauches. Le réflexe achilléen, normal à droite, e
..., fantassin, 27 ans. A 22 ans, contusion avec plaie, par coup de
pied
de cheval, à la partie supéro-interne de la jambe
uble. Ous. VII. M..., cavalier, 25 ans. Il y a 3 mois, contusion du
pied
gauche et de l'extrémité inférieure de la jambe
s de l'équitation, peuvent encore marcher et servir dans la garde à
pied
. Les varices, beau- coup plus nombreuses dans l
du cerveau vers lui, ainsi que la douleur est sentie comme dans le
pied
par l'entremise des nerfs du pied, et les astres
douleur est sentie comme dans le pied par l'entremise des nerfs du
pied
, et les astres sont aperçus comme dans le ciel
dans le cas de Ilirtz et Louste), une tendance au genu valgum, des
pieds
plats, des troubles trophiques des ongles des or-
: la cage thoracique aplatie (Schentheuer), le sternum aplati, les
pieds
mal faits (Dowse),grande dépression du sternum,
tres cas des mêmes auteurs. Dans un de ces cas existaient aussi des
pieds
plats. Dans le cas de Schorstein on trouve noté
ans un deuxième cas il existait une côte cervi- cale, ainsi que des
pieds
plats. Dans un quatrième cas, on observait une
1), le malade présenta un genu valgum bilatéral et la déviation des
pieds
en varus. Voici tous les troubles, auxquels il
de, les mala- des marchent les genoux rapprochés, sur la pointe des
pieds
, si les phéno- mènes spasmodiques sont très for
nts étaient couverts de glace, Caroline était forcée de se rendre à
pied
de la maison paternelle à l'école, distante de
, la mère l'avait soulevée du lit, elle « s'appuyait un peu sur les
pieds
» tout en gardant les yeux fermés. Toutefois, l
mbre, elle trouva Caroline sautillant parterre sur les mains et les
pieds
en pleurant. Dans le premier moment d'étonnemen
astériens sont aussi abolis, et le cha- touillement de la plante du
pied
ne produit aucun mouvement des orteils. Réflexe
nerf tibial antérieur (nerf qui innerve les muscles exten- seurs du
pied
très atrophiés et parésiés), les fibres nerveuses
s de la main, avec atteinte à 33 ans seulement des inter-osseux des
pieds
) est intitulée « Amyotrophie spinale progressiv
est atteint dans la première enfance d'une atrophie des muscles des
pieds
et des jambes, avec extension plus tardive aux ma
e, vol. 39 (1910), p. 321. 300 LONG cutanée altérée seulement aux
pieds
, sensations pénibles dans les jambes ; diminuti
nt les douleurs, le malade ne peut marcher qu'avec une canne et son
pied
tombe. Les réflexes tendineux des membres inférie
se tout le long de la jambe gauche,et particulièrement au niveau du
pied
, des sensations 310 1 THOMAS ET.JUfENTIÉ de f
ités à la jambe gauche,mais ils se sont considérablement accrus. Le
pied
ne peut exécu- ter aucun mouvement volontaire,
e de la cuisse de l'anesthésie tactile douloureuse et thermique. Le
pied
gauche est violacé, toujours froid et la sudation
lade peut marcher en s'appuyant sur une canne, il steppe surtout du
pied
gauche : on constate des contractions fibril- l
ux béquilles ; il steppe des deux côtés, mais surtout à gauche. Les
pieds
sont tombants et les muscles in- nervés par les
des membres supérieurs, et en arc-boutant fortement la tête et les
pieds
sur le lit, de manière à faire décrire à son co
u des extrémités et ne présente aucune déformation des mains ni des
pieds
C'est un homme fort, bien constitué, ancien emp
de sustentation, le malade marche en portant en dehors la pointe du
pied
(PI.XLVIIf). L'affection se trouve donc uniquem
istique chez certains pagé- tiques. Pour marcher, le malade a les
pieds
légèrement écartés et l'extrémité des pieds est
archer, le malade a les pieds légèrement écartés et l'extrémité des
pieds
est tournée en dehors : la cuisse et la jambe par
r les ordres du Président de la République. Il errait sur les routes,
pieds
nus, allant souvent de Lorient à Ste-Anne d'Aur
ires et les autres réflexes tendineux sont très exagérés. Clonus du
pied
droit et réflexe plantaire du même côté en légère
llaires et achilléens sont exagérés; au côté gauche, trépidation du
pied
. Le phénomène de Babinski bilatéral est facile
largie que la gauche. 21. Sensation de froid dans les jambes et les
pieds
. 31. Dans les articulations des hanches et des
; phénomène de Babinski bilatéral ; trépidation de la rotule et du
pied
des deux côtés. Les réflexes abdominaux manquen
ière même insensible. Flexion pénible du genou droit, immobilité du
pied
droit. Les orteils exécu- tent des mouvements l
IV, V) de sa main gauche et la région anté- rieure de la plante des
pieds
se sont engourdis. Il ne s'est jamais plaint de
ausent au- cune douleur. , Démarche. Le malade ne fauche pas. Les
pieds
sont un peu plus écartés que normalement, celui
en temps le clonus de la rotule et presque constamment le clonus du
pied
, vrai et parfait. En chatouillant la plante d
le clonus du pied, vrai et parfait. En chatouillant la plante du
pied
droit, surtout dans son bord externe, on obtien
s pas toujours, l'extension du gros orteil (signe de Babinski) ; au
pied
gauche on n'a ni extension ni flexion, généraleme
rteil, mais toujours associée à d'autres mouvements des orteils, du
pied
, de la jambe. Le signe de Marie-Foix est positi
debout, il peut se pen- cher et ramasser un objet placé devant ses
pieds
: le mouvement de la colonne vertébrale paraît
sur les rotules, sur les tibias, sur les malléoles et sur les os du
pied
gauche, et elles sont perçues seulement comme con
gauche, et elles sont perçues seulement comme contact sur les os du
pied
droit. La perception stéréognoslique est conser
es petites articu- lations des extrémités, surtout des mains et des
pieds
. Pour la même raison, il n'appartient pas non p
ule opposée ; l'épaule droite, les coudes, les mains, les genoux, les
pieds
sont intacts et libres de leurs mouvements. L
gner quelque argent, fait de la couture à la main ou à la machine à
pied
. Sauf la torture de l'immobilité, la malade n'a
le doigt et le métacarpe correspondant forment un Z. Le médius et les
pieds
sont intacts. 9908. - La pression réciproque
s sont plus ou moins ankylosées, sauf celles des deux médius et des
pieds
. , Amaigrissement général, avec atrophie bien p
a des vertiges et de la céphalée. En se soulevant sur la pointe des
pieds
il a peine à se maintenir, les yeux ouverts ; i
droite. Les yeux fermés tout cela s'aggrave. La marche sur un seul
pied
est difficile à gauche, impossible à droite. La
a jambe gauche et pis encore sur la droite. La mar- che sur un seul
pied
est impossible. Adiadococinésie des membres sup
rfois il est forcé d'abandonner les trottoirs. Quand il marche le
pied
droit se lève excessivement pour retomber avec
re n'est pas si accentué. Pas de Rom- berg. Il se soutient sur le
pied
gauche, les yeux ouverts. Il perd l'équilibre les
ême les yeux ouverts. La marche à cloche-pied est possible sur le
pied
gauche, tout à fait impossible à droite. Il a l
'épine iliaque antéro-supérieure à la malléole externe) : 0, 85. Le
pied
est plutôt petit. Longueur du membre supérieur
dur, élastique, indolore, recouvrant les mem- bres inférieurs. Les
pieds
sont normaux. Les jambes ont conservé leur forme
de la culotte de zouave. Les deux jambes sont moins déformées; les
pieds
sont in- demnes. En arrière (Fig. 2) la malfo
ux ainsi que les réflexes pupillaires. L'excitation de la plante du
pied
droit ne détermine aucun mouvement. L'excitatio
ne détermine aucun mouvement. L'excitation de la partie interne du
pied
gauche produit une flexion du pied; l'excitatio
excitation de la partie interne du pied gauche produit une flexion du
pied
; l'excitation de sa partie moyenne produit un m
e c'est la cuisse gauche surtout qui est très développée. Enfin les
pieds
et particulièrement les orleils sont tout à fait
e tl'ophoedëme et en faveur de l'adipose l'inté- grité parfaite des
pieds
qui ne présentent pas le moindre oedème mou, l'
uencé par le repos, mais il se localise aux extrémités, surtout aux
pieds
et s'ac- compagne de crises d'asphyxie symétriq
uede l'infiltration des membres par un bour- relet, l'intégrité des
pieds
le rapprochent beaucoup de notre cas ; mais il
eu de médecins dans le monde.... Conservez-vous la tète fraîche, les
pieds
chauds, le ventre libre, et moquez-vous des médec
la relation, à faire entendre des coups en heurtant de son orteil les
pieds
de la table, et le journaliste observe qu’un enfa
apis, les coups sont parfaitement semblables à ceux que produirait un
pied
frappant le bois de la table, et les spectateurs
s entendent un coup venant d’une table sous laquelle sont groupés les
pieds
de leurs camarades , ils savent très-bien que c’e
avec ma tète, n’ayant pas la force de le faire avec les mains ni les
pieds
. Je perdis ensuite entièrement connaissance...
; car ilsn’ont pas exprimé d'autre idée, en plaçant des ailes aux
pieds
de Mercure, le messager des dieux, de même que le
s, elle ajouta qu’il fallait lui faire soixante passes de la tète aux
pieds
à grands courants et le réveiller immédiatement a
eux électricités vitales sans ma participation immédiate. Puisque les
pieds
, me dis-je, sont chargés d’une électricité opposé
d’une électricité opposée à celle de la tète, tout ce qui touche les
pieds
doit être aussi chargé d’une électricité semblabl
tête fut donc pour moi le siège du fluide austral ou négatif, et les
pieds
celui du fluide boréal ou po sitif. En procédant
réquente , les yeux se fermèrent et dans cette situation, à plusieurs
pieds
de distance, j’attirai sa tête dans la direction
err.ua. Page 141, ligne 3, au lieu de jusqu'au,pic, Usez jusqu'au
pied
. Page 169, lignes 13 et 26, au lieu de 31. Monc
lus grand des écureuils connus. La couleuvre n’avait pas plus de cinq
pieds
de long, et son diamètre était en proportion ; ma
pas a envahir le corps entier du malheureux qui les a laissés prendre
pied
chez lui, car tel est presque toujours le cas.
t ont eu cependant un grand succès : ce sont de simples mouvements de
pied
, soit contre les pieds de la table , soit sur le
rand succès : ce sont de simples mouvements de pied , soit contre les
pieds
de la table , soit sur le parquet. Dans beaucoup
es Esprits supérieurs , un des spectateurs demanda que chacun mît ses
pieds
en évidence en les posant sur un barreau de chais
nt dans une foule de régions. La hanche, l’épaule, le côté interne du
pied
en deviennent assez souvent le siège. J’ai vu ent
anormaux pouvaient s’entendre très-distinctement à plus de vingt-cinq
pieds
de distance et ressemblaient au bruit d’un vieux
mais est demeurée suspecte par suite du refus du médium de poser ses
pieds
de manière que leurs mouvements ne pussent échapp
ant pensé qu’il fallait procéder d’une manière rigoureuse, et que les
pieds
des médiums pouvaient être pour quelque chose dan
chose dans la production des bruits, on pria ce médium de mettre ses
pieds
en évidence en les posant sur un barreau de chais
sait fuir en ligne droite. Si alors je tenais la main à deux ou trois
pieds
de distance de son corps, la paume dirigée vers l
et il se produisait des effets plus intenses encore. Je mis enfin 20
pieds
de distance entre la malade et moi, et les secous
elle y vit.....ce qu’elle avait dans la pensée :lord Leicester aux
pieds
d’Amy Robsart. Une enquête ayant confirmé le fait
n'avoir pas exigé, en sa qualité de membre d’une commission, que les
pieds
du médium fnssent mis en évidence. Il m’a répondu
une séance à laquelle je n'assistais point, la demande de mettre les
pieds
en évidence n’a pas été adressée carrément au méd
nterie que je comprends, n’ayant pas été mis en demeure de mettre ses
pieds
en évidence, a eu le tort de ne pas aller lui-mêm
its frappeurs, c’est que j’ai assisté à plus d’une expérience, où les
pieds
étaient parfaitement visibles. Il était naturel q
l’un de nous. Or on ne m’accusera pas, j’espère, car mes mains et mes
pieds
sont en évidence ; que chacun en fasse autant. »
i adressa alors ces paroles : « Je prie Mademoiselle *** de poser ses
pieds
sur le barreau de lft chaise, comme je le fais ma
s fait connaître leur consentement à ce que le médium opérât, les
pieds
posés sur le barreau de chaise; de sorte qu’il n’
pour produire les coups dépendait du médium, exigeait 1"usage de ses
pieds
, et n'avait, par conséquent, rien que de parfaite
e. La jeune fille pesait environ 125 livres; elle se tenait entre les
pieds
de la table. » Des faits semblables sont, nous
n- mençai trois fois inutilement. Alors, perdant patience, je mis
pied
à terre... La porte s’ouvrit d’elle-inêine. Apr
onnaissance; mes gens, inquiets de ma disparition, me retrouvèrent au
pied
d’un arbre, sous mon cheval et la tête brisée. Je
dis : il croit que je ne le vois pas, mais il se trompe ; le voilà au
pied
du lit d’un tel, puis d’un tel; il a beau s eüace
esfois ils les’pressassent entre leurs mains, ou leurs marchassent du
pied
dessus, et què même ils les portassent en leur se
’hermite lui commandoit de déchausser son soulier droit, et mettre le
pied
nud sur terre : ce qu’ayant fait, il prenoit avec
ce qu’ayant fait, il prenoit avec la pointe d’un couteau la forme du
pied
du messager, faisant une trasse tout à l’entour d
forme du pied du messager, faisant une trasse tout à l’entour de son
pied
. Puis il disoit au messager qu’il levât le pied.
out à l’entour de son pied. Puis il disoit au messager qu’il levât le
pied
. Et avec ce même couteau il écrivoit les mots sui
i entourait un écureuil, alors perché sur une branche à environ vingt
pieds
de terre. Ce dernier semblait immobile, tenant sa
, bientôt, par un dernier bond, se laissa tomber à terre à environ un
pied
du reptile, sur lequel, et mû par un sentiment de
osant sur des coussins, les membres inférieurs étendus, la pointe des
pieds
en l’air et les pieds séparés l'un de l’autre. Le
, les membres inférieurs étendus, la pointe des pieds en l’air et les
pieds
séparés l'un de l’autre. Le but de cette expérien
laquelle les ligaments de la jointure du genou fussent tendus et les
pieds
sans point d’appui. Nous étions à peu près convai
ment des os nécessaire aux bruits ne pouvait s’effectuer sans que les
pieds
posassent sur un corps résistant quelconque. Les
anifestation. — Quand on leur eut rendu la position habituelle, leurs
pieds
posant par terre, les coups commencèrent bientôt
he de sa ceinture un grand coutelas qu’il place sur ses genoux. A ses
pieds
, de nombreux lamas, rangés en cercle, commencent
rt sont ainsi conçues : « Trois fumigations ; bouillon fait avec deux
pieds
de veau, un pigeoD, une laitue, un navet, des rac
ouriant et effleurant à peine le sol trop dur, trop grossier pour ses
pieds
délicats. Elle m’a regardé, et après que sa voix
de notre ville. En rentrant, M“* X... trouvait étendu, en chemise, au
pied
de son lit, son mari dont les tristes pressentime
matin, étant dans mon lit parfaitement éveillé, j’ai vu mon frère au
pied
du lit, ouvrant mes rideaux et me regardant sans
a-t-il mieux vu?... Si ma main lluidique peut ainsi s’allonger à cent
pieds
de distance de mon corps pour écrire, elle pourra
antérieures et postérieures des bras et des mains, des jambes et des
pieds
. De cette triple source de polarité résultent une
ositivité l'emporte encore dans le côté gauche sur le côté droit. Les
pieds
, les mains sont positifs, puisqu’ils reçoivent le
nnent leur origine dans le cerveau, mais de plus la main gauche et le
pied
gauche sont encore soumis à une seconde influence
1. P. comme partie inlé-rieure. 2. P. partie antérieure , dos du
pied
. S. M. partie postérieure , plante du pied. C
rtie antérieure , dos du pied. S. M. partie postérieure , plante du
pied
. CôU gauche. 3. P. polarité transversale. 2
e. 2. P. comme partie inférieure. 1. P. partie antérieure, do» du
pied
. Û. N. partie postérieure, plante du pied. Ce
partie antérieure, do» du pied. Û. N. partie postérieure, plante du
pied
. Cette figure nous montre d’abord que charpie f
nte centimètres au moins de la tête, de la poitrine, du ventre et des
pieds
.— « La deuxième observation rapportée par M. Ceri
ng intervalle il ne lui était arrivé qu’une lois de sc tenu- su,' ses
pieds
. Elle était extrêmement maigre avau une toux op.n
ons par les Esprits ne sont dues qu’à 1 action du vieux monsieur au
pied
fourchu. Cependant comme ses souffrances augmen
ps qu’il ne m’en faut pour vous le raconter, l’enfant se tint sur ses
pieds
, marcha seul, et l’ou me dit le lendemain qu’il c
s des familles, mais sans produire aucun effet. J'ordonnai un bain de
pieds
, très-chaud, des fomentations stimulantes, etc.;
tous les moyens les plus énergiques pour rétablir la circulation : le
pied
et la jambe jusqu'au genou restèrent froids et do
trois jours. Le matin du quatrième jour, je vis avec épouvante que le
pied
et la partie inférieure de la jambe jusqu’à demi-
ras au ciel en manifestant un grand étonnement, et elle me dit que le
pied
droit et la jambe étaient noirs, qu’elle n’avait
r suivre cet avis. Je pris la ligne de démarcation à demi-distance du
pied
à la jointure du genou, et, après avoir détaché l
se levant pour continuer son chemin, elle aperçut l'anneau à ses
pieds
, et, tout étonnée, porta la main à la ceinture de
herches. L’autorité elle-même fut prévenue, tout le monde fut mis sur
pied
, on fouilla tout, montagnes et champs; les gardes
venait de suivre. « La maison est élevée, le toit est rapide, si le
pied
de la promeneuse eût glissé, la pauvre servante p
era cicatrisée dans trois jours. Enfin, elle se prescrit des bains de
pieds
sinapisés contre les vertiges qui surviendront ju
se sur laquelle elle était debout. « Le soir, elle prend un bain de
pieds
sinapisé. « Le 7. Les vertiges ont cessé. «Le
e. — La malade croit que son époque menstruelle se prépare. — Bain de
pieds
sinapisé. «Dans l’intervalle du 5 au 16, lamala
ession tourmente la malade. A 8 heures du soir, elle prend un bain de
pieds
sina-pisé. A 9 heures l’oppression est si forte q
me question». — Que faut-il faire? « Réponse. —Me donner un bain de
pieds
. « Quatrième question. — Et les règles ? « Ré
ux sèche. A 3 heures du soir, elle retourne chez ses parents. Bain de
pieds
sinapisé le soir. o Le 10 janvier. La nuit a ét
elle me dit : «La suppression des règles, le froid et l’humidité aux
pieds
ont provoqué une congestion cérébrale, et à sa su
r sur la tête des compresses vinaigrées froides, me donner un bain de
pieds
sinapisé et me magnétiser demain il cinq heures d
ue en syncope. Le pouls est filiforme à 60. La tête, les mains et les
pieds
sont froids. On a de la peine à la réveiller de s
la table que quand le médium en était, assez près pour toucher de son
pied
le pied de la table; mais généralement les sons p
que quand le médium en était, assez près pour toucher de son pied le
pied
de la table; mais généralement les sons paraissai
stance, et la table tout entière vibrait quand elle plaçait un de ses
pieds
contre les pieds de la table. La confusion et les
le tout entière vibrait quand elle plaçait un de ses pieds contre les
pieds
de la table. La confusion et les erreurs où l’on
uits par les frappeuses. Ainsi, quand Mlle Fox produit des coups, ses
pieds
restant appuyés sur le parquet, le son, à cause d
arquet, le son, à cause des vêtements qui traînent tout autour de ses
pieds
, est quelque peu étouffé, et les vibrations se co
e partie éloignée de la maison, bien que l’origine en soit à quelques
pieds
de nous. Le sifflement aigu d’une locomotive, bie
guérir ou de soulager, lorsque le mal a, depuis longues années, pris
pied
dans l'organisme et qu'il a résisté aux médicatio
sur le bassin et de la jambe sur la cuisse, les mouvements isolés du
pied
, les mouvements de flexion et d'extension du pied
ouvements isolés du pied, les mouvements de flexion et d'extension du
pied
sur la jambe sont libres ; mais l'extension de la
on sur le plan du lit, ou bien il s'aide de ses mains ou de son autre
pied
pour allonger le membre. Ce sont donc, vous le vo
ou de flexion que l'on fait sur les articulations de la hanche et du
pied
, il résiste aussi fort bien quand on veut redress
voyez comment, pour descendre, il soulève la jambe droite à l'aide du
pied
gauche, pour suppléer à l'impossibilité de l'exte
t pas. Autrefois, il existait, en outre, une tendance de la pointe du
pied
à tomber, et qui rendait la marche encore plus di
encore plus difficile : cette paré-sie des muscles qui fléchissent le
pied
sur la jambe a disparu depuis. Il importe de re
'atrophie dégénérative. Par le redressement brusque de la pointe du
pied
, la trépidation ne peut être produite ni dans le
hors de la distribution du crural, dans les muscles de la jambe et du
pied
. Dans les lésions articulaires de l'épaule, du co
l'exten sion qui prédomine; la cuisse et la jambe sont étendues; le
pied
est dans la flexion plantaire, par suite de l'act
; en d'autres termes, les segments du membre sont en ligne droite, le
pied
offrant la position du pied-bot équin direct. J'a
, un mouvement de torsion, par suite duquel la rotule et la pointe du
pied
regardent presque directement en dedans. D'ailleu
t, comme le montre l'exagération des réflexes tendineux (phénomène du
pied
, phénomène du genou); et, quelquefois, en insista
engrenage d'une machine; une autre hystérique, qui avait eu le dos du
pied
fortement pressé contre le barreau d'une chaise,
ssé contre le barreau d'une chaise, fut atteinte d'une contracture du
pied
, etc. Brodie, qui connaissait parfaitement ces fa
ndon d'Achille, leur jambe se place dans l'extension, tandis que le
pied
se fléchit dans la position du pied-bot équin ; c
re. Ainsi, aux deux membres inférieurs, le relèvement de la pointe du
pied
détermine une trépidation très manifeste, surtout
s, je fais placer le malade assis sur le bord du lit, l'extrémité des
pieds
reposant sur le bord d'une chaise. Vous voyez qu'
en dehors, comme vous pouvez en juger à distance par la direction du
pied
. La malade marche assez bien, et quand elle a fai
ois jours après, la contracture occupait non seulement les muscles du
pied
qui était fléchi dans l'adduction, mais encore ce
., que je vous présente : vous me voyez, en redressant brusquement le
pied
, déterminer un pied-bot équin qui ne cédera qu'à
u péroné; 3° d'un point malléolaïre externe', 4° d'un point dorsal du
pied
. Sur deux de ces points ont été appliqués des vés
galement permanent, très pénible d'ailleurs, de fourmillement dans le
pied
et dans la jambe. b) En outre de la douleur per
en faveur des parties correspondantes du côté droit. La jambe et le
pied
gauche sont froids, marbrés de taches rouges ; le
La jambe et le pied gauche sont froids, marbrés de taches rouges ; le
pied
est, en outre, légèrement tuméfié. Cet état rappe
muscles qui produisent la flexion plantaire et la flexion dorsale du
pied
sont aussi fortement atteints. Il est impossible
l est impossible au malade, par exemple, de se tenir sur la pointe du
pied
. Ainsi, tous les muscles innervés par le grand
ce en question se révèle mieux encore si le malade détache du sol son
pied
droit, comme pour exécuter le deuxième temps de l
que tout à l'heure. Or, dans les conditions normales, au moment où le
pied
droit se détache pour exécuter le deuxième temps
naison du bassin et du tronc à droite, inclinaison à droite, quand le
pied
droit se détache du sol, persisteront vraisemblab
donc la flexion de la jambe sur la cuisse et la flexion plantaire du
pied
pourront sans doute être rétablies. Ainsi, vous
s deux côtés, à la fesse, au niveau de la tête du péroné, au dos du
pied
; elle est augmentée par la pression sur ces point
comparativement beaucoup plus libre que l'inférieur ; il a traîné le
pied
pendant environ un mois. Le 28 octobre, il se p
t inférieurs. La marche est libre, il peut se tenir aussi bien sur un
pied
que sur l'autre. force DYNAMOMÉTltlQUE : 3 ma
effet, par suite de l'impotence des muscles de la jambe, la pointe du
pied
tombe quand la malade, dans la marche, relève son
'elle est obligée, sous peine de laisser traîner à terre la pointe du
pied
, de fléchir outre mesure le genou, imitant le mou
toutes les fois que les muscles qui produisent la flexion dorsale du
pied
sont atrophiés, comme dans la paralysie alcooliqu
poulpe — et en ce qu'ils sont limités aux doigts et aux poignets, aux
pieds
et aux orteils, quoique quelquefois, cependant, o
malade est debout et soutenue, elle danse alternativement sur chaque
pied
, imitant à peu £rès la bourrée où les danses des
humatismales dans les articulations des membres inférieurs, genoux et
pieds
. Ces douleurs qui, depuis cette époque, sont reve
sans perte de connaissance : ou encore, l'enfant frappe du poing, du
pied
, prononce quelques paroles incohérentes, puis, to
ntôt en avant (emprosthotonos), tantôt en arrière (opisthotonos), les
pieds
et la tête touchant alors seuls le lit et le corp
n, alors que, peut-être, il était ivre, il tomba dans la rue, sur ses
pieds
, à ce qu'il affirme. Toujours est-il qu'il perdit
es régions des omoplates, les fesses, le creux poplité, la plante des
pieds
, etc. L'attaque peut être facilement provoquée lo
entale quelque sommaire et rudi- genre;puis, l'ayant placée sur ses
pieds
, on lui dit: « marchez » et voilà qu'elle marche.
l'endroit où il travaillait, a violemment heurté le plancher sous ses
pieds
, et il a été projeté en l'air, à une hauteur de 2
tient penché sur le côté sain, tenant sa canne de la main droite, le
pied
gauche ne repose pas sur le sol ou n'y repose que
e et pour la température. Pour les mouvements de certaines jointures (
pieds
, mains, poignets, épaules) les notions du sens mu
eulement au niveau de la hanche, mais encore cm niveau du genou et du
pied
. On ne peut toucher ce membre sans que l'enfant s
jusqu'à l'âge de 30 ans. A l'âge de 7 ans, contracture douloureuse du
pied
droit. A 9 ans, crises nerveuses. A l'âge de 10 a
ade marche à l'aide de béquilles, posant à peine à terre la pointe du
pied
; pas de stigmates hystériques. Cependant, en ten
et que la même application faite à quelques centimètres au-dessus du
pied
détermine la formation d'un véritable pied-bot éq
ter le lit et sortir de l'hôpital pour se rendre chez lui en partie à
pied
; 2° Il portait de grandes taches noires (ecchymo
e, de faire un pas en avant ; malgré tous les efforts qu'il fait, les
pieds
restent littéralement fixés sur le sol. Si les me
flexes rotuliens, pas de trépidation par redressement de la pointe du
pied
. Les troubles de la sensibdité observés aux mem
s membres inférieurs. Ainsi, l'un des membres est-il élevé, fléchi au
pied
, au genou, à la hanche, posé sur l'autre, le mala
ue, à un moment donné, on a vu les membres inférieurs s'agiter et les
pieds
venir frapper avec tant de force contre les barre
tons rien d'analogue et elle n'éprouve aucune difficulté à saisir son
pied
droit avec la main gauche, après l'occlusion des
, après trois ans de séjour, revient à Genève. En 1880, il parcourt à
pied
toute l'Europe et se fixe pour quelque temps chez
perçue comme un frôlement. A la jambe, l'aneslhésie est complète ; au
pied
, simple analgésie. Du côté droit, sensibilité int
84). — L'auteur procédait à une opération du tendon d'Achille pour un
pied
bot chez une petite fille de 6 ans, sans anesthés
duire l'agraphie, sans qu'il y ait de lésion dans le centre de Exner (
pied
de la 2e frontale gauche). On peut ainsi se conva
uit sa route sans enivrement et sans orgueil. On arrêté les armées au
pied
des montagnes, dit Chateaubriand, une vérité les
tée sur une estrade préparée à cet effet et qui était élevée de trois
pieds
au-dessus du parquet ; le sujet était ainsi en vu
ctateurs sceptiques qui ont posé leurs mains sur le parquet, près des
pieds
des médiums, et qui ont déclaré que les coups n’é
re ; elle s’est agi- toe, elle s’est renversée, elle a frappé des
pieds
, selon ses ordres. Il ne la louche pas, il lui pa
de vingt-cinq à vingt-six ans, très-maigre, avec l’œil très-vif et le
pied
très-leste. A la première vue, il représente le p
us ne doutassiez point, non seulement vous feriez sécher un arbre sur
pied
, comme je l’ai fait, mais encore si vous disiez à
l’on s’apprêtait à l’ensevelir ; muis Philippe se mit en prières aux
pieds
de l’enfant, il l’aspergea d’eau bénite, il le to
bain et d’une friction au laudanum sur l’abdomen. Je me jetai aux
pieds
de madame Vedeaux à ces dernières paroles, en lui
charrette cahotée sur le pavé. — Bientôt elle se dressa sur ses deux
pieds
; — enfin elle quitta le sol en s’élevant d’un de
, ou converser avec l’invisible. La table s’est soulevée sur ses deux
pieds
, et non sur quatre , comme l'affirment ceux qui v
personnes présentes : il nous sembla que le plancher fuyait sous nos
pieds
, ou plutôt que nous étions suspendus en l’air ; p
u’un homme a bien de la peine à la soulever ; elle est retournée, les
pieds
tantôt en l’air, tantôt en bas; à notre commandem
dans le Tyrol, deux saintes montraient au peuple leurs mains et leurs
pieds
percés comme ceux du Christ, et desquels le sang
état ; cependant, après l’exercice, les deux hommes montrèrent leurs
pieds
et leur ventre qui n'étaient pas môme rouges. u
à terre et l’éteignant tout entier jusqu’au dernier charbon, sous ses
pieds
nus et trépignants. » L’auteur, qui certifie to
Saint-Médard pouvaient impunément se faire crucifier, être foulés au
pied
, recevoir le choc de coups capables de défoncer d
udemment conduite, comme il arrive trop souvent, heurta de sa roue le
pied
de l’échelle, M. M*** fut jeté à, terre, et le co
e mauvaise compagnie et de fort mauvais goût. Ses cornes de bœuf, ses
pieds
de bouc, sa queue de sapajou et sa fourche emprun
à jamais l’image De tout magnétiseur, qui, plein de constance, Aux
pieds
d'un malade, conservera les jours De ceux qui n
ophante guerrier (3), est un Dieu dévorant... « Vous approchâtes du
pied
de cette montagne, dont la flamme montait jusqu’a
figure l'unité trinitaire de la Divinité. La Vierge écrasant sous son
pied
la tête du serpent, est le symbole de l'intellige
sous nos mains, ce fut un guéridon qui leva successivement ses trois
pieds
et qui entra en conversation avec nous, après qu’
ntra en conversation avec nous, après qu’il eut ôté convenu qu’un des
pieds
indiquerait, en frappant, la réponse oui ; qu’un
u’un des pieds indiquerait, en frappant, la réponse oui ; qu’un autre
pied
indiquerait la réponse non, et que le troisième i
ent montré une certaine sympathie pour nos premiers essais, lâchèrent
pied
dès que nous voulûmes les entraîner sur ce nouvea
Quoi qu’il en soit, ce langage des tables par les mouvements de leurs
pieds
était un procédé long et fatigant. On eut alo
forme, un peu confuse, elle se trouvera luire de même. Ses bras , ses
pieds
, ses jambes, sa poitrine, tout son corps à traver
dépouille de ce pasteur jusqu’au lieu de son enterrement, et, les
pieds
sur cette tombe, elle ressentit subitement un agr
me A..., mais en laissant entre elle et lui 1 intervalle de plus d’un
pied
. Là , ne saisissant que l’image rayonnante, il se
Anou-ncment. quatre personnes), se dressa presque droite sur deux
pieds
. Puis, ayant repris sa position, elle narra, par
es personnes observaient avec le plus grand soin les médiums dont les
pieds
étaient attachés. La table qui fut mise en mouvem
t attachés. La table qui fut mise en mouvement, était massive, de dix
pieds
de long, et l’on y ajouta, lors d’une des expérie
ous arrive brusquement, vous traverse le corps , eu vous secouant des
pieds
à la tète. Des es-carboucles resplendissantes qui
ontrée * d'Amd«C), nommé Lombo-Moke, avait dressé sa tente noire au
pied
a d’une montagne, tout près de l'ouverture d'un l
n enfant que Lombo-Moke appela Tsong-« Kaba, du nom de la montagne au
pied
de laquelle il avait planté sa a tente depuis plu
e nous ne fussions pasquelque peu « impatients d’aller le visiter. Au
pied
de la montagne où est bâtie la la-« mascrie, et n
invisibles, mains lumineuses, tables maintenues en l’air à plusieurs
pieds
du sol, conversations d’esprits, évocations d’omb
on, arpenté quelques mètres de terrain, que, s’arrêtant, il frappe du
pied
et dit : Fouillez ici, je sens un courant d’eau.
n, j’avais marché sur un caillou rond qui m’avait, tourné sous le
pied
. Arrivée chez M. Dril—, j’ai glissé en descendant
: eu montant l’escalier pour arriver au premier étage, j'avais mis le
pied
sur le bord de ma robe. Je te décrivis tout ce qu
iston, ni les résultats constatés par eux au moyen de l’immersion des
pieds
dans l’eau glacée pour le premier cas, ni par l’e
t à prendre vie, il se trouve un Flotirent qui cherche à l’écraser du
pied
. Ceci retarde «le bien peu sans doute le triomp
il est à remarquer que tout le monde en était éloigné d’au moins huit
pieds
). Le maillet, après avoir frappé encore quelques
je me glissai sous son lit, et me mis à frapper sur le plancher, les
pieds
et les côtés du lit. Ces bruits réveillèrent bien
x garantir sa tête, à l’aide de la couverture ; mais il découvrit ses
pieds
, et il poussa un cri de douleur en recevant un co
éprouve ensuite pour en voir les effets avant de les indiquer; si te
pied
m'a tourné sur un caillou sur la route en allant
ez \l. Dril... ; si, lors d’un autre voyage chez le même, j’ai mis le
pied
sur ma robe en montant son escalier; si j’ai glis
en moqueront, surtout de ma robe, sur le bord de laquelle j’ai mis le
pied
en montant un escalier; sais-tu pourquoi ? C’est
. Au moment où éclata la foudre, un des hommes du bord était assis au
pied
du mât de misaine; il fut tué sur le coup; ses ha
our le corps. Dans les voyages de la somnambule dont il s’agit, son
pied
tourne sur un caillou rond, et elle marche sur le
. Si c’est l’âme isolée qui voyage, dirons-nous que cette âme a eu le
pied
tourné, qu’elle a marché sur la robe? Mais la rob
e? Ce sera donc sur une robe spirituelle; ce sera sans doute aussi un
pied
spirituel qui aura tourné ; ce sera comme dans l’
ques jours de là, le 4 mars, il expirait à Unguratua. On l’enterra au
pied
d’un arbre. Ses papiers et ses effets furent remi
le s’est soulevée sans contact, s’est tenue quelque temps sur un seul
pied
, pendant que les personnes étaient à quelque dis
re, je refusai une voiture qu’on m’offrit, et je continuai ma route à
pied
, bien lentement il est vrai, et, pendant tout le
us sortez de ce cercle, qui paraît tout physique, vous perdez bientôt
pied
, vous entrez dans une mer sans rivage, vous avez
ou préparé pour cette réception et où jamais M. Home n’avait mis les
pieds
. Aucun domestique n’entra dans la pièce lorsque n
e salon. Ce meuble, construit en bois d'érable, avait à peu près cinq
pieds
de long sur trois pieds de large. Il formait, par
truit en bois d'érable, avait à peu près cinq pieds de long sur trois
pieds
de large. Il formait, par conséquent, un carré lo
tapis. Elle pouvait peser cent cinquante livres ; une lampe avec son
pied
était posée dessus. Au reste, le salon était parf
lampes, tout pouvait y être remarqué. Cette table reposait sur quatre
pieds
. Deux minutes ne s’étaient pas écoulées depuis
vaisseau pendant une mer agitée. Le parquet semblait onduler sous nos
pieds
. Une sorte de fluide parcourait nos nerfs, et qua
hé sur le dos ; on relève sa tète qu’on appuie sur une chaise, et ses
pieds
, dont l’extrémité est appuyée sur une seconde cha
e avec une grande violence par une force mystérieuse et invisible aux
pieds
de cette jeune fille. « Plus de cinquante témoi
une seule pièce. Un m’invita à en garrotter le médium et k l’attacher
pieds
et poings liés aux barreaux de la chaise sur laqu
grand soin. Mon sujet était fortement assujetti sur son siège, et ses
pieds
et ses poignets fixés au meuble de façon à n’en p
t, il me restait encore les deux bouts avec une longueur d’environ un
pied
; je les nouai ensemble vigoureusement cinq ou six
s assîmes l’un en face de l’autre, à une petite table carrée à quatre
pieds
; le jeune homme me donna ses mains à tenir. Tout
.'était dans I obscurité, niais le père, resté à terre , touchait les
pieds
de son fils suspendus au-dessus de sa tète. Dans
anches, de forme quadrangulaire, adossée au mur, et élevée sur quatre
pieds
de bois à la hauteur d un mètre. Elle a trois mèt
e la corde dans les deux trous dont j’ai parlé tout à l’heure, et les
pieds
sont liés à leur tour après avoir été ramenés sou
la planche, qui est ainsi la seule séparation entre les mains et les
pieds
. Je m’assure ensuite que les quatre membres de l’
: je les trouv e complètement libres, et les cordes dénouées à leurs
pieds
. Nous revenons à nos places respectives; les mé
sés, et cloués sur leurs bancs à ne pouvoir bouger, comme 011 dit, ni
pied
, ni patte. Ajoutons que tous les assistants avaie
vive qui ressemblait fort à de la peur ! J’étendis instinctivement le
pied
au-devant de ma ligure par mesure de protection.
ite table, et je me plaçai entre eux. Les médiums rapprochèrent leurs
pieds
respectifs et les étendirent, ainsi rapprochés, s
étendirent, ainsi rapprochés, sous la table. Cela fait, je posai mon
pied
droit sur les deux pieds de mon voisin de droite,
ochés, sous la table. Cela fait, je posai mon pied droit sur les deux
pieds
de mon voisin de droite, et je posai de la mê
pieds de mon voisin de droite, et je posai de la même manière mon
pied
gauche sur les deux pieds de mon voisin de gauche
oite, et je posai de la même manière mon pied gauche sur les deux
pieds
de mon voisin de gauche. Ensuite, j’appliquai une
... de la rue Saint-Honoré? j’avais un grand mal de tête et froid aux
pieds
, instantanément mon mal de tète s’est passé et me
et froid aux pieds, instantanément mon mal de tète s’est passé et mes
pieds
se sont réchauffés. C’était effectivement l’heure
e ses souliers étaient nenfs, qu'il manquait même un clou îi celui du
pied
droit. Moi. maire , je certifie avoir visité le
oit. Moi. maire , je certifie avoir visité les souliers étant à ses
pieds
, avoir reconnu que c'était la vérité. La femme An
douleur et enfin à la guérir si parfaitement, qu’elle put repartir à
pied
. On sait qu’ordinairement une entorse dure au moi
. Cela va très-vite avec l'alphabet coupé en deux et le changement de
pieds
frappeurs. On préfère, comme dans l'ancienne Grèc
immobilité d’expression. — Qu’avez-vous ? — J’aperçois... dans le
pied
de la table.... des puissances ! ! ! — Des puis
ement le bras, et le contenu tombe à terre. Elle frappe violemment du
pied
, et son visage exprime la plus vive contrariété.
asmes chauds aux cuisses. Nous avons fait tenir la tête élevée et les
pieds
abaissés et pendants, etc., tout cela n’a pas ent
îtresse de la maison ; quelques petits coups, nettement frappés à ses
pieds
, dans l’intérieur du parquet, éveillèrent notre a
e à la fin. — Oui, répondit tout le monde. — Madame , c’est à vos
pieds
que l’on a frappé par trois fois, avec insistance
ar les extrémités inférieures. Placez-lui de l'or (•) à la plante des
pieds
, pour empêcher cette soustraction perfide. On sui
nement des us et coutumes des bralimines : « larchas se dressant en
pieds
(1), invita le Roy à banqueter avecque eux ; ce q
ient le supporter, et après midi, il alla sur la promenade et lut sur
pied
toute la journée, sans se plaindre d’autre chose
’est plus aussi bonne que pendant la maladie. Dès le matin il est sur
pied
, et il éprouve le besoin de marcher toute la jour
comme une carte, au début de la première contredanse, je chavirai mon
pied
gauche , et dans mon élan pour traverser après le
après le premier en avant-deux , j’appuyai d’une telle force sur mon
pied
, qu’il m’en résulta une entorse des plus violente
sur les bras de mes camarades, et je me couchai. Durant la nuit, mon
pied
devint très-enllé et fortement échimosé, et la do
scendre en arrivant chez lui, car il m’était impossible d’appuyer mon
pied
par terre , tant je souffrais. Ce brave homme,
apporter de l’eau dans une assiette, me fit mettre le talon de mon
pied
dedans, et commença par arroser de cette eau mon
is fois dessus ; après quoi il me dit que je pouvais m’en retourner à
pied
. Eli bien ! le croira-t-on ? mais le fait est cer
mais le fait est certain , je renvoyai mon cheval, et je me retirai à
pied
à la caserne. Le lendemain ou le surlendemain,
fis part de mon événement. Il me dit que j’aurais un baromètre à mon
pied
pendant dix ans. Mais fort heureusement sa fâcheu
à plusieurs reprises, et le sentirent définitivement s’élever à deux
pieds
au-dessus du sol et se mouvoir graduellement dans
ondissant comme un ballon gonflé. Durant ces promenades en l’air, ses
pieds
étaient élevés d’environ deux pieds au-dessus du
rant ces promenades en l’air, ses pieds étaient élevés d’environ deux
pieds
au-dessus du sol, et sa tête passa juste au-desso
a aussi que l’on traçât à la craie, autour de lui, un cercle de douze
pieds
de circonférence (à l'instar de ceux que fait M.
à leur place... Alors, redoublement d’admiration et trépignement de
pieds
! Encore les ténèbres, puis les chants. Mais, p
xpériences que j’ai faites, c’est la méthode des coups frappés par le
pied
de la table qui a été suivie. Je préfère cette mé
lettres d’un alphabet écrit- La table se lève d’un côté et frappe du
pied
. Un coup veut dire oui; deux coups, non. On deman
e la fis regarder encore, et elle vit qu’on y attachait un boulet aux
pieds
, et qu’on le lançait à la mer, les pieds en avant
on y attachait un boulet aux pieds, et qu’on le lançait à la mer, les
pieds
en avant. Toute cette scène lui a fait «ne impres
e, levait la table et la faisait frapper les coups nécessaires de son
pied
. Il est très-possible que cette idée lui ait été
me incurable. Après quelques mois de magnétisation, elle a pu aller à
pied
et faire son ménage, et je l’ai montrée à une réu
ureusement, en sautant pour franchir un de ces obstacles, je posai le
pied
dans un trou que rien ne faisait distinguer dans
it distinguer dans les flaques d’eau, et une violente douleur dans le
pied
droit me força à m’arrêter. Je me traînai sous un
e lui-même. Pas d’amélioration sensible ; je pouvais à peine poser le
pied
par terre, et ni la souffrance, ni l'enflure asse
, en boitant très-bas, malgré l’appui d’une canne et bien qu’ayant le
pied
soutenu par une bande de compression. J’arrivai à
e, M. B...., l’opérateur, me fit quelques passes avec contact sous le
pied
: « C’est fini, conclut-il. — Faut-il remettre me
je me glissai sous son lit, et me mis à frapper sur le plancher, les
pieds
et les côtés du lit. Ces bruits réveillèrent bien
essayant de mieux garantir sa tête avec la couverture, découvrit ses
pieds
et reçut un coup sur un cor, ce qui lui fit pouss
à l’instant, celle-ci s’élevait jusqu’au plafond, une hauteur de dix
pieds
, d’où elle descendait ensuite carrément sur ses p
hauteur de dix pieds, d’où elle descendait ensuite carrément sur ses
pieds
: elle montait avec une grande force. Plusieurs d
able au côté de la chambre opposé au lit, une distance de dix à douze
pieds
: le médium s’assit d’un côté de la table, et moi
ulairement autour des têtes et, lorsqu’on le demandait, il posait les
pieds
sur la tête et (1) On peut ajouter que le médiu
ne séance eut lieu ainsi : nous étions dans une petite chambre de dix
pieds
sur douze. Nos deux chaises, une petite pochette,
les mains du médium derrière son dos, et, avec l’autre, je retins ses
pieds
au barreau de sa chaise. Je bandai ses yeux avec
lle était telle que je l’avais arrangée, de même que ses mains et ses
pieds
; le médium parut sortir d’une sorte de sommeil d
de haut en bas, en passant sur la cheville et allant jusqu’au bout du
pied
. En quelques minutes, la jambe, qui avait toujo
sang parut revenir en bouillonnant dans les veines de la jambe et du
pied
avec des sensations tout à fait nouvelles : enfin
l’âge de deux mois , paralysé de la jambe gauche , dont il portait le
pied
derrière son dos. Il était également atteint d’
iques, j’ai commencé à m’apercevoir d’un changement dans son état. Le
pied
, qui ressemblait à un bout de corde ou plutôt à u
ètre de croissance par jour et la cuisse un millimètre. A présent, le
pied
est bien conformé ; l’enfant a abandonné les béqu
tit, devint très-pâle , et il se manifesta une enflure œdémateuse des
pieds
et des jambes, ainsi que dans la région du foie.
e la transposition des sens ; elle entendait par les mains et par les
pieds
. On réussit également pour le goût, la vue et l
ement à l’œuvre. Il magnétisa la tête, les épaules, les genoux et les
pieds
; puis, s’éloignant à la distance d’une longueur
fa parcourait une chambre tenant une tasse à la main ; elle posait le
pied
gauche à terre, se disposait à lever le pied droi
la main ; elle posait le pied gauche à terre, se disposait à lever le
pied
droit pour se porter en avant, et elle étendait u
d’elles, h une distance de cinq mètres. J’allai vers ces daines : du
pied
je décrivis sur le parquet trois raies formant un
t la langue était collée au palais. « Je fis adhérer au parquet les
pieds
de M"’ Clémentine, et l’on ne parvint à l’en déta
e n’avais besoin que d’un geste pour lui rendre le libre usage de ses
pieds
. h Je multipliai et je variai les expériences a
t sous le doigt comme les feuilles mortes en décembre crient sous les
pieds
qui les froissent. 11 se prit à magnétiser la p
é par une telle envie de dormir, qu’à peine il pouvait se tenir sur
pied
. Au milieu îles efforts qu’il faisait pour résist
e nous respirons, l’eau que nous buvons, la terre que nous foulons du
pied
, la roche même, tout respire de la vie. Ces parol
ver des manifestations spirituelles, dans une chambre d’environ vingt
pieds
sur vingt-cinq, et un plafond de onze pieds de ha
e chambre d’environ vingt pieds sur vingt-cinq, et un plafond de onze
pieds
de hauteur. H y avait trois chandelles allumées s
rapprochées bout à bout et formaient une longueur d'environ quinze
pieds
. Il y avait deux médiums, l’un à chaque bout ; j'
e découvert dans les manifestations qui suivirent. Des mains et des
pieds
d’esprits, complètement formés, se montrèrent par
ance, c’est l'endroit où la plupart de ces exhibitions de inainset de
pieds
avaient lieu, et je vis ma main venirle prendre e
aient attirer plus particulièrement notre attention sur ce fait. Le
pied
nu d’un esprit, complètement organisé dans sa for
ce qui1 paraissait de la jambe était presque en ligne droite avec le
pied
. Ce pied se montra ainsi plusieurs fois dans cett
paraissait de la jambe était presque en ligne droite avec le pied. Ce
pied
se montra ainsi plusieurs fois dans cette on-vert
urait pa manquer de s’apercevoir d’une tricherie, chasuu étendant les
pieds
et les jambes sous les tables pour mieux Lire la
uand vous m’eûtes dit de monter à ma chambre et que je fus arrivée au
pied
de l’escalier, je crus que je no pourrais pas l
’en haut par uuc main, tout le monde en étant éloigné d’au moins huit
pieds
. La baguette, après avoir frappé quelques coups,
eur enlève un rhumatisme, et les bergers de la Campanie obtenaient du
pied
de leur chèvre , comme nous obtenons du pied de n
a Campanie obtenaient du pied de leur chèvre , comme nous obtenons du
pied
de nos tables , des réponses analogues aux croyan
t qu’une pucelle venant des marches de lu Lorraine, mettrait sous ses
pieds
les Anglais (qui se servaient encore d’arcs et de
elle disparut ; elle se trouvait alors environ à une distance de dix
pieds
de nous, et il faisait un beau clair de lune. Je
nrent me heurter la tête ; une des dames fut atteinte par un tapis de
pied
et presque aveuglée par la poussière. Arrivé à la
ffenser personne si des mouve- ments capables de faire soulever les
pieds
d’un guéridon on d’une table n’auraient pas lieu
assis au nombre de quatre, le guéridon leva successivement ses trois
pieds
, pour donner le signal de son animation. Nous le
ur donner le signal de son animation. Nous le priâmes de désigner son
pied
oui, son pied non et son pied compteur; ce qu’il
ignal de son animation. Nous le priâmes de désigner son pied oui, son
pied
non et son pied compteur; ce qu’il fit. Il y a de
mation. Nous le priâmes de désigner son pied oui, son pied non et son
pied
compteur; ce qu’il fit. Il y a des expérimentateu
ce qu’il fit. Il y a des expérimentateurs qui se contentent d’un seul
pied
, en faisant frapper un coup pour oui et deux coup
à des mouvements désordonnés, se soulevant tour à tour sur ses trois
pieds
, comme pour échapper à l'obligation de s’explique
ne pouvait donc leur attribuer les ignobles pensées exprimées par le
pied
du guéridon. Quel était donc le véritable auteur?
p du mal de tête. « Pourquoi M. L... ne se sert-il pas des bains de
pieds
que je lui ai conseillés? « Dans ce moment, dix
sont également rigides, ceux-ci dans l'extension et l'adduction ; les
pieds
sont en varus équin : ceci constitue la première
rbe à convexité antérieure et ne reposant plus sur le lit que par les
pieds
et la nuque. La tête est dans l'extension forcée,
que sur le sommet de la tête, qui est renversée, et sur la pointe des
pieds
qui sont en varus équin, de telle sorte qu'entre
es (fascination), la malade suit du regard, en tournant la tête ; ses
pieds
ne tournent pas ; — l'approche des doigts jusqu'à
en argent. — Qu'a-t-elle dans les bras ? — Rien. — Qu'y a-t-il à ses
pieds
? — Des roses, etc. — Le regard est dirigé vers l
ors. — Les membres inférieurs sont rigides, allongés, rapprochés; les
pieds
en varus équin. De temps en temps, on remarque
ne difficulté, puis rendormie après une courte lutte. (Elle frappe du
pied
, est impatiente.) Les paupières sont écartées : c
, les poignets, les jambes, les mollets; crampes dans les plantes des
pieds
. Si ceux-ci ne sont pas à plat, les orteils se co
Douleurs abdominales. — Paraplégie. — Contracture. — Déformation des
pieds
. — Secousses, -r— Ançsdiésie. — Caractères des at
—Tympanisme. —Obésité. — Sensibilité. — Motilité. — Déformation des
pieds
. — Arthrite chronique des genoux. — Atrophie re
pect fusiforme (27 centimètres à gauche, 29 centimètres à droite.) Le
pied
droit est normal ; le gauche est en varus équin e
assez grand. Le membre inférieur gauche est entièrement inerte. Le
pied
est en varus équin; les orteils sont fléchis. Le
nsion avec tendance à l'adduction. Le chatouillement de la plante des
pieds
produit des mouvements réflexes, rares et lents à
raides. — On note la même rigidité aux membres inférieurs; seuls, les
pieds
sont flasques. L'abduction des cuisses est imposs
) sur le cou-de-pied droit, c. de brûlure sur la face dorsale du même
pied
. Les membres supérieurs ne présentent pas de mo
rampes dans les mollets, des douleurs qui vont des plis de l'aine aux
pieds
; ces douleurs seraient plus vives à droite. Yoic
ntractilité faradique. On peut, en les faisant contracter, rendre aux
pieds
leur attitude normale.—Le courant continu, soit f
aigrissement des jambes et un certain degré Xatrophie musculaire. Les
pieds
, surtout le gauche, ont l'attitude du pied bot va
Xatrophie musculaire. Les pieds, surtout le gauche, ont l'attitude du
pied
bot varus équin. La perte de la notion de posit
l'extrémité du corps et en continuant le long de ses jambes jusqu'aux
pieds
avec l'intention de maintenir l'équilibre dans l'
levé, et de manière que ses genoux soient entre les vôtres et que vos
pieds
soient à côté des siens. Demandez-lui d'abord de
ou mieux, et si vous le pouvez sans vous déranger, jusqu'au bout des
pieds
. Vous répéterez les mêmes procédés pendant la plu
sur les hanches, et le long des cuisses jusqu'aux genoux ou jusqu'aux
pieds
. Après les premières passes, vous pouvez vous dis
n me disant « Bonjour » ; alors je me suis sentiecomme électrisée des
pieds
àla tête ; il s'en estaperçu, m'a demandé ce qui
il. —X... est endur-mic par le regard. Elle est impatiente, frappe du
pied
, fronce les sourcils ; les yeux sont brillants, h
ctionnedes muscles du dos, des cuisses et des jambes, et on place les
pieds
sur une deuxième chaise : le corps, rigide, reste
Planche XVIII. CATALEPSIE SUGGESTION ci tourne sur place, ses
pieds
se croisent et, si on persistait, elle tomberait.
Comment est-elle?—Elle a les mains jointes... un serpent est sous ses
pieds
... un arc-en-ciel au-dessus de sa tête... Il y a
; — on détermine des contractures variées des muscles des jambes, des
pieds
, etc. (pieds-bots artificiels.) — En excitant dif
débat beaucoup; « elle fait comme un vrai cerceau » ; quelquefois ses
pieds
viennent toucher sa tête. Puis, elle a des « exta
chaleur ne sont perçus ni d'un côté ni de l'autre, sauf au niveau du
pied
gauche, de la jambe et du pied à droite. — La muq
côté ni de l'autre, sauf au niveau du pied gauche, de la jambe et du
pied
à droite. — La muqueuse des conduits auditifs ext
de sa mère (p. 210) ; ensuite, S... roule sur elle-même, projette les
pieds
en l'air , ébauche une demi culbute, enfin elle s
es jambes fléchies vers le dos, les mains portées en arrière vers les
pieds
, la tête rejetée en arrière. Dans cette attitude,
s venons de décrire et dans lequel le corps repose sur la tête et les
pieds
. Brusquement, S... N... reprend le décubitus dors
loing de leur place. Les Sorciers neantmoins vont quelques fois de
pied
au Sabbat, ce qui leur aduient principalement lor
'elle dan-foit vn mouton noir la tenoit apponduë par la main auec fes
pieds
, qui efloient comme elle difoit, bien haireux, c'
même temps, en se regardant d’un oeil provocateur; ils frappaient du
pied
le sol avec violence et donnaient l image d’une
ion des doigts de la main. Il y a sept semaines, dans une chute où le
pied
droit supporta le poids du corps, une entorse eut
absolue. Plusieurs jours après, par une fâcheuse prédisposition, le
pied
se dévie, la plante se porte en dedans, le bord i
dire de la malade, la douleur est excessive. Plus tard la pointe du
pied
s’abaisse, le talon s’élève, et tout mouvement de
vements de la poitrine sont à peine perceptibles. Un instant après le
pied
est ramené dans sa position naturelle et maintenu
at,d' calia manièra, Fair* meli re an In’ dana on aaloo Sa' wi deax
pieds
d' derrlère ; En r'vanche onpourralt, d’on sava
en effet, qu’on magnétise avec un, deux ou plusieurs doigts, avec le
pied
, le regard, etc., pourvu qu'on introduise dans l’
feuilles de fumeterre, de mouron « rouge et de millepertuis, bains de
pieds
tous les « deux jours, pendant huit jours. 15 Aoû
r, l’expérience a toujours lieu. Nous lui avons tenu les mains et les
pieds
: toujours le contact de ses vêlements a suffi. L
ts, qu’on lui donnait à écaler, s’envola avec rapidité à plus de cinq
pieds
de distance, par le simple contact de ses robes.
de nouveau, dansa, fut renversé, puis violemment repoussé à plusieurs
pieds
de distance. En même temps la jeune tille, entraî
une toile cirée, un carton , du verre ; je l’isolai du « siège et des
pieds
. Cela me réussit complètement : «aussitôt qu’elle
ussit complètement : «aussitôt qu’elle fut assise sur la toile et les
pieds
« éloignés du sol, la chaise ne bougea plus, et j
e la faire rester assise en l’iso-« lant, c’cst-à-diie que les quatre
pieds
de la chaise « reposant chacun dans un verre à bo
re pieds de la chaise « reposant chacun dans un verre à boire, et les
pieds
« de l'enfant sur une bouteille, elle resta parfa
u que l’isolement de la chaise était inutile, qu’il suffisait que les
pieds
d’Angélique ne touchassent pas le sol, qu’ils rep
l’électricité, le serait aussi de cette force. A'cet effet je mis mes
pieds
sous ceux de l’enfant, et l’isolement fut aussi c
verre. Ensuite, m’étant assis, la petite fut mise sur mes genoux, ses
pieds
ne louchant pas la terre, et rien ne se produisit
bservation : la jeune lille, assise tranquillement sur un tabouret de
pied
el sur parquet ciré, n’éprouvait absolument rien
inq à quarante centimètres de diamètre, le premier reposant sur trois
pieds
disposés en triangle , et surmonté d’une lige ver
planètes. « parce qu’il avait constamment les yeux sur son tire- •
pied
. » Le Passe-temps des 11 et 21 février adresse
étaient attirés vers elle. Une énorme banquette avança de plus d'un
pied
dans sa direction. Une table d’un poids considé
n. 28 No-« vembre, guérison radicale. » Le malade fait trois lieues à
pied
pour venir régler son compte et faire notre conna
nsi la malade soulevait successivement le bras gauche et le droit, le
pied
droit et le gauche, et les laissait retomber lour
ême à voix très-basse, dans le creux de la main ou sous la plante des
pieds
, sur le creux de l’estomac ou le long des endroit
à découvrir la part que certaines manœuvres habi-t les et cachées des
pieds
ou des mains pouvaient « avoir eue dans le fait o
qui l’ont vae et soignée sont on ne peut plus étonnés de la voir sur
pied
; déjà ils la comptaient au nombre des morts. Dieu
ce des coups qu’il avait cru m’adresser. A cette vue il se jeta à mes
pieds
, tout en larmes, gémissant du malheur qui avait p
ille sans baguette, mais il éprouve certainement, lorsqu'il frappe du
pied
et s’écrie : «Creusez là, vous y trouverez une so
c’était peut-être de Ff* magination. Le 25, il fléchit librement son
pied
, jusqu’alors indocile au bon vouloir des remèdes
le 21, la même sueur froide fut si abondante qu’elle ruissela sur ses
pieds
; la chaleur ranima ses jambes jusqu’alors glacées
guérie à présent, me dit-elle; hier «je suis allée au Palais-Royal à
pied
et j’en revins de « même, et sans bas lacé, qui p
u’elle ae pouvait plus marcher, • que quelque chose ¿attacha* à scs
pieds
. Comment • la volonté peul-elte envahir et maît
ché au milieu d’autres us-« tcnsilos, se détacha et lui tomba sur les
pieds
. Elle «le remit en place, et quatre fois l'entonn
sique beaucoup plus robuste que la sienne. Eloigné de trois ou quatre
pieds
de l’individu «sur lequel il devait agir, et aprè
e-six pouces de longueur ; autour étaient enroulés plus de cinq cents
pieds
d’un fil dè cuivre ayant environ un cinquième de
lfate de fer, et par-dessus de l’eau distillée, a été disposée sur un
pied
entre les pôles, de manière qu’on pût l’abaisser
ête acquiert un degré de chaleur fébrile, tandis que les mains et les
pieds
deviennent froiefê. C’est cette température donné
s modifications près) à placer, par. la pensée, une carte sous chaque
pied
de Prudence. Et puis, sur l’invitation qu’on fait
ce. Et puis, sur l’invitation qu’on fait à celle-ci de regarder à ses
pieds
et de désigner l’objet sur lequel ils reposent, e
lorence. « Quelle est touchante surtout dans la femme en prière aux
pieds
de la Vierge dont elle implore le pardon de ses f
à huit doubles; nous plaçâmes le siège du malade sur le drap, et scs
pieds
sur la chaise; nous lui couvrîmes le corps, sauf
autres dames. Des passes à grands courants faites de la poitrine aux
pieds
firent disparaître promptement cet état alarmant
te et les médecins qui l’entourent; puis il se retire, et se dirige à
pied
, et sans aucun appui, vers son domicile situé à E
étacha un des anneaux en or, appelés redif, que les femmes portent au
pied
. Quand la dormeuse se réveilla et s’aperçut du vo
ont monta sur l’appui de la croisée, et, comme si un parquet de plein
pied
s’étendait au-devant de lui, il s’avança et tomba
oisième étage. Par un heureux hasard, Dupont se trouva debout sur les
pieds
, sans encombre ni foulure aucune; point n’est bes
out bas à l'oreille; ensuite Church se couche sur le dos, se place un
pied
de devant de l'animal sur le creux de l’estomac e
ec des corps passablement pesants : des panneaux de bois de plusieurs
pieds
, des voliges de sapin de deux mètres et plus, des
ré la large issue qu il avait frayée au moi pour descendre et prendre
pied
dans le monde. Quand donc, à l'apparition dans
ouveau jetée à l’eau, six ou sept fois de suite, et à douze ou quinze
pieds
de distance, elle revint constamment dans la main
ociété il revint près de l’étang, et aperçut, à une distance de vingt
pieds
, la môme grenouille immobile; il siffla, et aussi
ticulaire et d’une goutte sciatique dans les mains, les genoux et les
pieds
, qui lui occasionnaient des souffrances tellement
assise sans être isolée, ce qu’elle a appris à faire en se posant les
pieds
sur les barreaux de sa chaise. Voici, au reste, c
us connaissez, ou toute autre, à la distance d’un demi-mètre environ,
pieds
joints et les mains croisées derrière le dos, oa
ôté où l’assimilation sera plus entière. Quand Jean-Jacques était aux
pieds
de madame d'Houdctot, vainement ses yeux brillant
leur rendent même les derniers devoirs, qui est de les tirer par les
pieds
, etc.» Cet extrait curieux d’un pamphlet histor
posé. 4° La polarisation a lieu pour le corps humain de la tête aux
pieds
(verticalement); l’estomac est le point d’équilib
rer magnétiquement sur un accident de ce genre arrivé, je suppose, au
pied
, en raison de ma théorie je cherche à détruire ce
és. 4° La polarisation a lieu, pour le corps humain, de la tête aux
pieds
; l’estomac êst le point d’équilibre ou équateur d
également à chaque partie du corps prise séparément : ainsi, dans un
pied
ou une main, le pouce et l’index participent ù un
rouve prouvée par ce que nous avons dit de la polarité de la tôte aux
pieds
. Les physiciens qui se sont occupés de l’électr
t j’espère qu’elles se trouveront justes. La tête, relativement aux
pieds
, représente le pôle positif ou pôle sud, et ces d
tion sur ces points. 11 semble à la malade que ma main, éloignée d’un
pied
, presse fortement les parties sur lesquelles elle
ang au cerveau. Pour arrêter cet effet, elle se recommande un bain de
pied
avec un demi-litre de vinaigre etl50grammes de mo
ur maîtriser la folie, puis je magrtétise fortement les genoux et les
pieds
. Enfin je finis par devenir maître de cette doubl
s philosophiques, parce qu’il met les recherches métaphysiques sur le
pied
d’une science démonstrative. Une discussion rég
magnétisé et le magnétiseur se tenant debout, face à face, à quelques
pieds
de distance, il arrive que si celui-ci tourne len
l est furieux , mais n’en veut qu’à celle qui git presque morte à ses
pieds
. Éveillé, il ne sait rien, tout est oublié. Des
sus, possédée par un esprit qui se nommait Accaron, s’élever de trois
pieds
en l’air pour saisir le soleil d’or du Saint-Sacr
véritablement les lieux où ils estoient, encor qu’ils fussent 8 ou 10
pieds
dans terre ; et même les choses desquelles ils es
oir faire abaisser le ventre ainsi élevé et pendant ce temps, ont les
pieds
et les mains recrachés comme des crampons en pied
ce temps, ont les pieds et les mains recrachés comme des crampons en
pieds
de chapon rosty. 6° Qu’ayant demeuré ainsi en c
esser. 7° Que, s’estant battu la tête, les mains, les coudes et les
pieds
fort longtemps contre le plancher d’une force inc
erre; que Pieu parut, selon son humanité, la très-sainte Vierge à ses
pieds
ayant deux saints à ses côtés ; qu’il reprocha ce
itavec ledit Boullé, .celui-ci dit qu’iln’avait qu’àmettre le bout du
pied
sur le sien, -ce qu’ayant fait, il marcha et arri
t, en s'appuyant sur le sol, peut donc rencontrer un caillou sous son
pied
. Dans 1 état de charme au contraire, tout semble
vement fut d’explorer le dessous de la table: mais il était vide, les
pieds
de M. Willis reposaient sur le plancher à la dist
x bien ouverts , ce piano, d’une dimension colossale , se souleva des
pieds
de devant, retomba, se redressa et frappa en cade
cle du Courrier du 22 mai dernier : ,,-, «... Cette table avait six
pieds
de long sur quatre de largo. Le médium prit place
s l’accordéon d’une main, le fixai entre mes genoux, et, à l’aide des
pieds
, je le tins à l’abri de tout contact étranger. A
lickerings of lïglit) s agitaient Mi*dessus des cordes. Je voyais les
pieds
des personnes les plus rapprochées de l’instrumen
nomènes, je sentis à plusieurs reprises un« étreinte délicate sur mes
pieds
, ressemblant exactement >àceüe«T«ne main avec
e battant une marche en sautant, tandis que j étais assis dessus, mes
pieds
élevés au-dessus du plancher, et aucun mortel, pa
ent sans le contact d’aucune personne en corps matériel, sauf que nos
pieds
et le support de la table reposaient sur le même
ort de la table reposaient sur le même plancher. La table avait trois
pieds
carrés, et reposait sur une colonne terminée par
t trois pieds carrés, et reposait sur une colonne terminée par quatre
pieds
. Aucune personne autre que les soussignés nç se t
ersonne de la localité ne me connaissait... Elle était assise à trois
pieds
de moi, et nous nous faisions face l’un à l'autre
ire, on lui fit apparaître des poules et des œufs; sur la cheville du
pied
, des lapins; sur los du nez, des mouches; sur la
ec le son, soir et matin. — Pour régime, des bouillons faits avec des
pieds
de veau, deux fois par jour; viandes grillées ou
écouvrir un genou frauduleux qui donne furtivement l’impulsion, ou un
pied
qui, protégé par l’ampleur des plis d'une robe, f
ut de réponses de tables par le procédé bien connu du soulèvement des
pieds
; il trouve dans la justesse de ces réponses la p
upérieure furent arrachées deux fois de ses mains, et je-« tées à ses
pieds
, et, au moment où il (son confesseur, l'abbé « Mi
s trois hosties d’entre « lès mains de leurs suppôts et les mirent au
pied
du soleil « du Saint-Sacrement, qui était alors e
ngereusement blessé, se hâte de descendre et trouve le somnambule sur
pied
, occupé à essuyer quelques gouttes de sang qui dé
chevaux les plus dangereux qu’on pût voir ; il mordait, il ruait des
pieds
de derrière et de devant, personne n’était à 1 ab
urant sans bride ni mors, sous un cavalier qu’il eût voulu fouler aux
pieds
quelques jours avant, a excité dans la foule une
t toutes les fois qu’on a tenté de toucher ses jambes et lui lever le
pied
, on s'est exposé aux plus grands dangers. M. Rare
l’amenant au milieu du manège, il a soulevé successivement ses quatre
pieds
, qu'il a frappés sous le sabot avec la main, puis
n secret. Bientôt l’animal, obéissant et tremblant, se couchait à ses
pieds
. » PROGRÈS DU MAGNÉTISME. LA PRESSE PÉRIODI
qui fit résonner un piano sans le toucher, ou avancer une table d’un
pied
sans l’impulsion des mains; s’étant montré impuis
demeure au quatrième étage m’a assuré qu’il suffirait que je misse le
pied
sur la première marche de son escalier pour faire
sa femme de 1‘ magnétiser. L'autre jour, il a pu l'aire deux JSeues à
pied
, et i) travaille maintenant, pour une nombreuse f
e une tension remarquable gênant considérablement la locomotion. — Le
pied
est tuméfié et l'engorgement très-prononcé à l’ar
s une teinte moins foncée ; la tension de la peau et l’engorgement du
pied
sont sans importance. — Discontinuer les purgatio
litiges concurrents. Dans cette période, pour essayer île poser le
pied
quelque part, et ne serait-ce que dans la mesure
ommes terribles qui nous menaçaient et quatre énormes géants armés de
pied
en cap , qui semblaient vouloir entrer dans notre
tantôt sur le sol. Le nécromant jurait que, depuis qu’il avait mis le
pied
dans un cercle magique, il ne lui était jamais ri
du Magnétisme, M. Piérart cite la sœur de Jéus-qui s’élevait de trois
pieds
en l'air, et l'évêque d’Evreux qui, voulant la re
s, une ruèche de cheveux et de barbe et quelques gouttes de sueur des
pieds
, le tout provenant de l’ensorcelé; enfin d’ajoute
pour s’épanouir en dedans et en dehors. Oh! cela va jusqu’au bout des
pieds
et monte dans ma tête ; il y a des filets rouges,
l’ouïe abandonna les doigts; je la cherchai au sommet de la tète, aux
pieds
, aux genoux, rien ; mais je la retrouvai à l’épig
r 1857 ; nous nous assîmes six personnes autour d’une table de quatre
pieds
; écrire les noms des personnes formant le cercle
préalablement placés sous la table, s’agitèrent et frappèrent sur nos
pieds
et contre nos jambes. La sonnette frappait sous l
te sonnait et le porte-voix frappait la mesure sous la table, sur nos
pieds
, avec beaucoup de force. Après le chant, je fis m
s plutôt formé cette pensée, que la sonnette frappa fortement sur mon
pied
, en même temps une main m’empoigna le bas de la j
as plutôt dit cela, que la table fit un bond, s’élevant d’au moins uu
pied
et retombant si lourdement que toute la société e
deux dames. Madame X.... ayant remis le soulierde sa belle-sœur à son
pied
, quelques minutes après ils furent rechangés et r
-sœur qui est une forte et grande femme, se sentit en-traînée par les
pieds
sous la table, et, malgré tous ses efforts, elle
ation. Ces prémisses posées, je n’hésite pas à entrer de plein-
pied
dans la question du magnétisme ; et j’y suis enco
onnes à l’état de crise, de déchiffrer une lettre à distance, avec le
pied
, avec la nuque, avec l’estomac. Le mot impossible
plupart sont complètement insensibles; on « a pu leur chatouiller les
pieds
, les narines et l'angle des h yeux par l’approche
la table. Elle a la forme d’un pupitre â écrire, un peu plus de deux
pieds
de long et un pied et demi de large, de quatre à
forme d’un pupitre â écrire, un peu plus de deux pieds de long et un
pied
et demi de large, de quatre à huit pouces de haut
lors à la boîte qui était éloignée de moi d’un intervalle de quelques
pieds
, je l’ouvris et je trouvai les deux morceaux de p
de toutes mes forces , j’appelai du secours, je frappai du poing, du
pied
contre tous les murs, et je me démenai comme un f
sanctifiée par le séjour des papes. Ils lavèrent dans le fleuve leurs
pieds
souillés de la poussière du chemin, prirent quelq
ules de mes armes, disparaître en les emportant dans les crevasses du
pied
de la tour. près ile laquelle j’étais. Je rep
e et harmonieux murmure s’échappait de la source limpide qui coule au
pied
du château, et les parfums des fleurs ouvrant leu
là, je le fumai réellement, et jusqu’au bout, en me rendant à Baden à
pied
.... je ne dis pas un mot de mon aventure, et lais
it lui qui en fixait le but. En effet, ayant suspeudu le pendule à un
pied
de bois, il resta en re- pos au-dessus comme
ience réussissait lors même que le pendule était à une distance de 2h
pieds
, ou séparé de l’électrophore par un mur ou par un
e. Or, aussitôt que Schaef-fer eut mis la main sur le support, à deux
pieds
de la cloehe du milieu, et à trois pieds de celle
main sur le support, à deux pieds de la cloehe du milieu, et à trois
pieds
de celles qui étaient situées aux deux côtés, la
e 1er solidement fixée ii une porte, et on plaça l'électrophore à dix
pieds
de distance de lui et de côté, Schaefler ayant mi
ent que, comme le fermier Dickson, des fantômes les ont tirés par les
pieds
. Ouoi encore ? les lits se promènent, les son
e fis sur elle quelques passes magnétiques de la tête à la plante des
pieds
, afin de répandre également mon influence sur tou
ez fortes pour que le corps fût plié horizontalement à la hauteur des
pieds
. Cet état se prolongea la nuit et le jour suivant
, après un autre intervalle de quatre jours, je fus en état d’aller à
pied
chez ma sœur (à une distance d’un quart de mille)
e du chêne, se diriger au couchant « vers un autre gros chêne ayant 2
pieds
de diamètre, le « seul de cette grosseur, aller a
monstre ! Elle se révolte, elle refuse de vous obéir ; elle frappe du
pied
, elle grince des dents, elle est horrible à voir;
pour guérir les malades et les mettre en état de retourner chez eux à
pied
. Des enfants épileptiques depuis leur naissance o
imulé, tel est le système de ce somnambulisme médisant, que je livre,
pieds
et poings liés, avec toutes ses mômeries, aux col
nes, à l’état de crise, de déchiffrer une lettre, à distance, avec le
pied
, avec la nuque, avec l’estomac. Le mol impossible
tre. Lucie, sommée de jeter de l’encens dans une cassolette placée au
pied
de la statue de Jupiter, répond noblement qu’un c
de désigner ce que tient à la main une de ces personnes, il répond un
pied
. Il se trouve qu’une de ces personnes tenait à la
ond un pied. Il se trouve qu’une de ces personnes tenait à la main le
pied
d’un tabouret. « A 5 heures minutes, M. Collyer
e, elle n’avait rien eu malgré les pluies et l’humidité soufferte aux
pieds
pendant son voyage. Voilà, mon très-honoré maît
s; on pourrait donc jeter un coup d’œil sous la table, surveiller les
pieds
des opérateurs, vérifier s’il n’y a pas là quelqu
sion choisie par l’assemblée à le lier solidement par une corde de 50
pieds
de longueur, et il sera promptement délié, sans a
2 la paralysie totale du facial gauche tenait à la des- truction du
pied
de la seconde circonvolution frontale, et du ti
t un large foyer de ramollissement cortical. Ce foyer occupait le
pied
des deuxième et troisième circonvolutions frontal
isse- ment de la substance corticale et sous-corticale s'étend du
pied
des circonvolutions frontales à la pariétale infé
des yeux. L'autopsie montre un kyste appoplectique s'éten- dant du
pied
de la deuxième frontale gauche jusque sur la pa
mal et l'on observe très fréquemment l'a;dème des malléoles et des
pieds
. La température du corps est abaissée surtout à
La sensibilité spé-, ciale normale. Le pouls petit, filiforme. Les
pieds
et les mains (extrémités) sont froids, cyanoses
jours sans manger; a des douleurs dans les coudes, les genoux, les
pieds
, avec lièvre. Cependant le sommeil reste bon, san
les membres sont symétriques, assez bien faits, un peu grêles; les
pieds
et les mains n'offrent aucune particularité.
ui, il se débat, donne des coups de ALCOOLISME DE L'ENFANCE. 55
pied
et des coups de poing, injurie grossièrement tout
philis, ni choc, ni trauma ; à quarante-neuf ans, secousses dans le
pied
droit, puis dans le bras droit, étendues enfin à
lui ont été opposés. 1 Huitième leçon. Pathogénie et traitement des
pieds
bols. L'au- teur combat la tendance de la chiru
r combat la tendance de la chirurgie moderne, en ce qui regarde les
pieds
bols, à rester confinée, dans l'étude des lésions
rouble trophique qui prend sa source dans le système nerveux. Les
pieds
bots doivent être divisés en congénitaux et non c
és à une affection du système ner- veux n'est plus à faire pour les
pieds
bots avec impotence. Ceux non accompagnés d'imp
z le foetus et qui dans la suite a pu s'atténuer ou disparaître. Le
pied
bot non congénital est également toujours d'ori
ir et ceux qu'il faut respecter. Il insiste particulièrement sur le
pied
bot de l'hémiplégie infantile qui doit être res
émet l'opinion personnelle que tout au moins, dans bien des cas, le
pied
plat valgus ne devient douloureux que lorsque l
Drome, où son cadavre a été retrouvé. Le malheureux s'était lié les
pieds
avec une bretelle, au bout de laquelle il avait f
sur les autres. La voûte du palais est excavée. Le petit orteil du
pied
gauche manque, à la suite d'un traumatisme, d'a
ris d'oscillations (signe de Romberg). Il ne peut pas rester sur un
pied
. Il présente aussi de légers tremblements des d
uivrée, mais elles ne sont pas adhérentes à l'os ; à la jambe et au
pied
droits une éruption pustuleuse, plusieurs excor
stal ; genu valgum des deux côtés; genoux gros ; tibias recourbés ;
pieds
dirigés en dehors ; impos- sibilité actuelle de
tres sensoriels, en partie des centres d'association. Exemples : le
pied
de la première frontale; la partie orbitaire de
remière frontale; la partie orbitaire de la troisième frontale ; le
pied
de la troisième frontale ; le gyrus subangulair
tant, avec le faisceau pyramidal, de la capsule interne, gagnant le
pied
du pédoncule cérébral, se dirigeant en bas et s
endre aux noyaux moteurs des nerfs. 6) Il peut gagner la surface du
pied
du pédon- cule cérébral en dedans, se placer en
co-protubérantiel de Flechsig) et constituer un trousseau allant du
pied
du pédoncule à sa calotte au sein du ruban de Rei
e le grand nombre des variétés du trajet des fibres à la surface du
pied
du pédoncule cérébral et de la protubérance (He
té- cédents. Réflexes parcellaires exagérés, convulsion clonique du
pied
gauche. Névrite optique bien caractérisée, mais
taxique cérébelleuse. Instabilité, impossibilité de se tenir sur un
pied
. Développement, considérable de la musculature
tées. Instabilité des jambes, impossibilité de se tenir sur un seul
pied
. Démarche ataxique cérébelleuse. Développement
ns les jambes. Exagération des réflexes rotuliens, léger clonus des
pieds
. Hémicranie. Parole irrégulière, sacca- dée.
ique. Instabilité des jambes, impossibilité de se tenir sur un seul
pied
. Démarche ataxique cérébelleuse. Senti- ment de
e dans les jambes. Exagération des réflexes rotu- liens, clonus des
pieds
. Plantes voûtées. Hypertrophie vraie des muscle
he extraolivaire, du laqueus et de toutes les fibres qui forment le
pied
du pédoncule. L'oedème du canal cen- tral de la
ordonnance épithéliale. La méthode de Golgi mettant en évidence les
pieds
élargis en entonnoir, et pre- nant appui sur la
iasique, l'arthropathie tibio-tarsienne, l'ostéopathie tabétique du
pied
droit- siègent au membre où le traumatisme et l
u médius. Vers la même époque apparut une ulcération à la plante du
pied
gauche. Depuis un mois, douleur et tuméfaction
ont froides, mais conservent leurs couleur et volume habituels. Les
pieds
sont tom- bants et les jambes n'opposent aucune
ion antéro- externe de la jambe droite ou dans la partie dorsale du
pied
cor- respondant, nonobstant qu'elle ne ressenta
a douleur que pouvait lui causer l'aiguille, la malade mouvait le
pied
dans le sens de l'extension dorsale et la jambe é
re n'existe plus d'aucun côté et le plan- taire seul existe dans le
pied
gauche. Rectum et vessie. Depuis ce que nous av
ents, tandis que le gauche pouvait à peine faire ceux de flexion du
pied
et des doigts, ceux d'extension étant impossibl
SÉCUTIF A UNE BLESSURE DE LA MOELLE. 353 en extension forcée, et le
pied
, dans la marche s'appuie seul par les extrémité
us ses segments en extension. Les mouvements d'extension dorsale du
pied
et des doigts sont nuls ; le réflexe patellaire
t nuls ; le réflexe patellaire gauche est très exalté ; clo- nus du
pied
. Le membre inférieur droit jouit de tous ses mouv
même côté est légèrement augmenté ; on ne provoqué pas le clonus du
pied
. 11 n'existe pas d'atrophie pro- noncée dans au
ois et demi après la blessure médullaire l'anesthésie comprenait le
pied
droit et la jambe correspondante jusqu'à deux c
du genou; dans cette partie l'anes- thésie était complète. Dans le
pied
, l'anesthésie a persisté long- temps dans la ré
bution de l'anesthésie était la suivante : sur la partie dorsale du
pied
à partir d'une ligne située à quatre centimètre
essous de l'articulation tibio-tarsienne, sur tout le gros doigt du
pied
et dans un coin étroit correspondant à la peau
auche. Cette exagération de réflexes était accompagnée du clonus du
pied
, clonus qui a disparu peu à peu dans le côté droi
s revinrent plus forts en même temps que se provoquait le clonus du
pied
; qu'avec le temps ce dernier symptôme, complète
eur droit, tandis que dans l'opposé elle est très limitée dans le
pied
et les doigts; que l'anesthésie n'a pas disparu c
ent du congrès lorsqu'il vint à Marseille tâter le terrain, prendre
pied
et entrer en relation avec les membres du comit
uenza, quand on plaçait la malade dans une position horizontale, le
pied
se plaçait en extension ; son bord externe est
le à Mmo X... de mouvoir les orteils, de relever le bord externe du
pied
; il lui était très difficile, pour ne pas dire
ui était très difficile, pour ne pas dire impossible, de fléchir le
pied
sur la jambe. Le pied était ballant sur la jamb
e, pour ne pas dire impossible, de fléchir le pied sur la jambe. Le
pied
était ballant sur la jambe, quand on saisissait
réflexes tendineux, au contraire; pas de trépidation épileptoïde du
pied
; pas de dé- marche spasmodique, mais du steppag
tion de dégénérescence, la paralysie, l'amyotrophie, la position du
pied
, le steppage, de la maladresse dans les membres
musculaire avec atrophie de certains muscles; en outre, attitude du
pied
en équin, douleurs spontanées et à la pression
t la marche progressive du trem- blement, l'atrophie musculaire, le
pied
en équin, la diminution de l'excitabilité galva
généralisée. Les réflexes rotuliens sont diminués ; les plantes des
pieds
sont oedémateuses ; les nerfs périphériques sont
97, il devient très irritable, en même temps apparaît un oedème des
pieds
. Plus tard s'ajoute de l'amnésie et des douleur
ré ;. toute la presse parlait de lui, sûrement il allait être mis à
pied
, et les siens resteraient sans ressources, cond
ux qui sont en rapport avec l'innervation motrice de la jambe et du
pied
, un premier noyau postéro-latéral allant depuis
ne prétendons pas que les médecins de régiment pourront trancher au
pied
levé toutes les questions de responsabilité; loin
élevé, il se voit chargé SOCIÉTÉS SAVANTES. 491 de chaînes, au
pied
de l'échafaud, il a devant lui les cadavres en-
ite est le siège de quelques mouvements spontanés clioréiformes; le
pied
droit exécute des mouvements incessants de flex
le de fourmillements, d'engourdissement, de faiblesse dans les deux
pieds
. Le lendemain, il ne peut marcher, les jambes f
fficile de les écarter modérément même pendant le sommeil. Les deux
pieds
sont dans l'extension avec adduction, en équin
ontact avec le sol qu est raclé, pour ainsi dire, à chaque pas. Les
pieds
s'entrecroisent, exécutent des mouvements de ro
arles mains, cet enfant veut faire un pas il glisse péniblement son
pied
qui. en décrivant autour de l'autre un mouvemen
ls sont plus mous, plus flasques que les membres correspondants. Le
pied
gauche glisse mieux sur le sol que le droit. Lors
e était fléchie sur la cuisse, en rotation externe, de sorte que le
pied
venait toucher le milieu de la jambe droite ; l
rusques et iucoordonués. La jambe gauche est légèrement fléchie, le
pied
en extension. Les réflexes, en particulier les
riction considérable, absence de sueurs. Réflexes rotuliens abolis.
Pieds
en équin varus. Sensi- bilité diminuée aux memb
lle, 1891, p. 756). La paralysie atteignit progressivement les deux
pieds
, les deux jambes, les deux cuisses ; elle suivi
Rhumatisme blennorrhagique, à gauche, au niveau du genou, du cou de
pied
. Cette localisation ne dure que deux semaines.
deux membres inférieurs, paraplégie complète, marche impos- sible,
pieds
tombants; la malade ne peut se tenir debout, trou
s orteils sous l'influence d'une excitation cutanée de la plante du
pied
. Ce qui ressort le plus nettement de cet exposé
iculé; nombreuses malforma- tions ; paraplégie avec contracture des
pieds
; gâtisme. » (dur Garnier). Antécédents hérédi
mère, j'étais obligée de me lever pour lui allonger les jambes. Les
pieds
ont commencé à se dévier il sept ans. » Les a
uisses sont fléchies sur le bassin, les jambes sur les cuisses, les
pieds
sur les jambes. Le gauche est, de plus, en adduct
ne faut pas se leurrer et compter qu'ils peuvent entrer de plein
pied
dans la vie sociale, où ils peuvent devenir une p
chambre particulière, dont les dimensions minimum sont réglées (j30
pieds
cubes) ; il y a ordinairement deux malades dans
essaient par un système d'exercices du mouvements, de remettre sur
pieds
un malade quiaurail perdu la possibilité démarc
ès le premier effort, infructueux et désespéré de se remettre sur
pied
. Que d'enfants perclus ne sont si difficiles à fa
mbe; par contre, si l'on attachait l'extrémité d'une poulie à son
pied
(voyez- figure ci-jointe) et si l'on fixait à
r la petite fille deux fois par jour avec ce poids de 50 grammes au
pied
, et cela dans l'ordre suivant : cinq minutes d'
ise et qu'on l'eût excitée à toucher la planche de la pointe de son
pied
chaque fois qu'elle tendait la jambe ; et ceci
om- pagnées de constipation, de fourmillements dans la plante des
pieds
, de parésie des membres inférieurs. Cet état a pe
e massé- tcrilz est exagère. La sensibilité extrême de la plante du
pied
empêche la re cherche du réflexe cutané plantai
, le moindre frôlement est en eflet suivi d'un retrait convulsif du
pied
. Le malade se plaint de douleurs fulgurantes su
te tibiale gauche : cicatrice de plaie consécutive à une chute. Les
pieds
sont plats. Les réflexes et les mouvements volo
e, qui présentait une ataxie considérable quand elle réunissait ses
pieds
, mais, dans son cas. au moment où elle fermait
as seulement les articulations du tronc, mais celles du genou et du
pied
. C'est une affection ossifiante, rhumatismale,
iques ; alaxie faible mais nette, troubles vésicaux ; analgésie des
pieds
et des jambes. Diminution de la sensibilité tacti
craquement dans les muscles de ce membre; à chaque pas il traîne le
pied
gauche en marchant et la hanche s'abaisse très
terne du noyau lenticulaire et enfin dans le stratum intermedium du
pied
du pédoncule cérébral et dans la partie dorso-m
le cérébral et dans la partie dorso-médiane de la moitié interne du
pied
du pédoncule cérébral. Sur les coupes passant p
teur oculaire commun, on voit des fibres dégénérées se dirigeant du
pied
du pédoncule vers ce dernier noyau. Après avoir
Luys, dans le champ H de Foret et enfin dans la partie latérale du
pied
du pédoncule cérébral. On voit presque sur tout
aites dans la région correspondante des fibres dégénérées monter du
pied
du pédoncule cérébral vers le tubercule quadrij
eprésente des fibres aberrantes superficielles postéro- externes du
pied
du pédoncule ou le pes lemniscus profond de Déj
dans la couche optique, la capsule interne, le corps genouillé, le
pied
du pédoncule et les tubercules quadrijumeaux.
lleux supérieurs, dans leur trajet pédonculaire, la lésion enfin du
pied
du pédon- cule cérébral gauche et la destructio
sorte. Pas de dilatation du coeur, ni de souffle, pas d'oedème des
pieds
; bouffées de chaleur, sommeil conservé, appétit m
diques des deux hémisphères. Le faisceau d'association qui relie le
pied
de la'troisième frontale au centre moteur de l'éc
e de la lésion dans les faisceaux blancs sous-jacents à l'écorce du
pied
de la troisième circonvolu- tion frontale (le f
uestion de savoir, si l'écriture possède un centre autonome dans le
pied
de F2, ou si son centre cortical se confond avec
auche l'existence de lésions assez limitées de l'écorce cébrale. Le
pied
du pédoncule cérébral gauche est un peu moins b
rieurs : la flexion,- l'extension, la circumduction, la rotation du
pied
en dedans et la rotation du pied en dehors. Pou
, la circumduction, la rotation du pied en dedans et la rotation du
pied
en dehors. Pour obtenir plus facilement la flex
béquille ou sur sa canne, doit arriver à poser successi- vement son
pied
malade et sans toucher le bord sur ces diffé- r
rd sur ces diffé- rents bancs, jusqu'à ce qu'il arrive à mettre son
pied
sur la première marche de la plate-forme (fig.
3GO thérapeutique. en fléchissant les deux cuisses et en élevant le
pied
malade, l'hémiplégique perd facilement l'équili
s, nous lui donnons un point de repos au moment de la flexion (le
pied
étant posé sur le petit banc), ce qui permet au m
réagir un instant après avec toute la force acquise pour porter le
pied
'du banc par terre. M. le professeur Marinesco,
au contraire aux hémiplégiques à marcher, non pas en approchant le,
pied
paralysé du pied bien portant, mais en posant,
hémiplégiques à marcher, non pas en approchant le,pied paralysé du
pied
bien portant, mais en posant, comme cela a lieu
ied bien portant, mais en posant, comme cela a lieu normalement, un
pied
devant l'autre. Tout récemment MM. Richer et
clinique du professeur Raymond, que, normalement, l'homme porte un
pied
devant l'autre, en formant ainsi un triangle de
équille, et, plus tard par la canne. La béquille forme le troisième
pied
du trépied de la stabilité. Le corps est ainsi
la jambe paralysée est compen- sée par la résultante de deux autres
pieds
. Parfois on est obligé de décomposer la marche
mes obligés de commencer l'éducation de la marche par la pose- du
pied
en quatre temps, le malade marchait sur le bord
pied en quatre temps, le malade marchait sur le bord externe de son
pied
malade. La pose du pied se composait ici de qua
malade marchait sur le bord externe de son pied malade. La pose du
pied
se composait ici de quatre temps suivants : .
temps : extension de la jambe; ' . 3° temps : rotation exagérée du
pied
en dehors; 4" temps : déplacement de la jambe s
cher d'abord lentement, ensuite plus vite, en posant toujours son
pied
un peu en dehors. Plus tard il corrigea plus vite
us tard il corrigea plus vite ce défaut et actuellement il pose son
pied
malade normalement. Fiv. A Appareil de traction
ré- mité, d'une poignée large ou d'une courroie ordinaire pour le
pied
. Au sur et à mesure du développement de la force
ule l'eau chaude ; on évite ainsi aux agités le refroidissement des
pieds
. Aux fenêtres de certains quartiers sont placés
lement aménagées dans ce but. Les lits sont munis à la tête et aux
pieds
d'une tablette verticale, en substance mauvaise c
a surface des circonvolutions temporales et le fascia musculaire du
pied
du côté opposé. En excitant le nerf acoustique
et une partie de la couronne rayonnante qui va du lobe temporal au
pied
du pédoncule (faisceaux de Tùrck, de Dejerine).
dont les fibres pénètrent dans le corps optique. A travers tout le
pied
du pédoncule on trouve des réactions correspond
lysé comme une pièce de matière étrangère, il arrive parfois que le
pied
paralysé balaie le sol seulement dans le pas po
érieur, tandis que dans le pas antérieur le sujet l'ait glisser son
pied
malade assez en avant pour que le double pas du c
erminée des formes féminines, ou tel attribut de son sexe (mollets,
pieds
, seins, proéminences fessières, cheveux, etc.,
qu'est ce réflexe à l'état normal. L'excitation de la plante des
pieds
provoque généralement une flexion des orteils s
ils et plus forte quand on excite la partie interne de la plante du
pied
. Dans certains 1 Gazette des hôpitaux, 1900.
YSIE GÉNÉRALE. li53 cas pathologiques, l'excitation de la plante du
pied
pro- voque au contraire l'extension des orteils
ns le décubitus dorsal, les membres inférieurs un peu fléchis, le
pied
dans une légère abduction. Nous faisons couvrir l
en particulier, du côté interne et du côté externe de la plante du
pied
. Nous avons répété nos recherches à plu- sieurs
chez les deux autres elle n'existait que d'un côté seulement, le
pied
du côté opposé présentant alors une simple dimi-
nt des flexions de la cuisse, de la jambe et une flexion dorsale du
pied
, rarement une autre forme de mouvement, sont de
lexe plantaire il n'en est pas ainsi : le frôlement de la plante du
pied
n'amène plus la flexion des orteils, mais l'exten
il ne se produit pas exclusivement par l'excitation de la plante du
pied
; il est un phénomène témoin de l'activité réfle
rvenir non pas seulement à la suite de l'irritation de la plante du
pied
, mais encore à la suite de la piqûre de la peau
blit à son tour et finit par disparaître. La trépidation spinale du
pied
s'éteint également quelque temps après. Le réfl
affaiblit à son tour. Après l'excitation habituelle de la plante du
pied
il ne se produisait plus de secousse de toute l
uent le pc.s lemnicus superficiel, contournent la partie interne du
pied
du pédoncule cérébral et descendent le long de
res aberrantes postéto-rxlcmes qui contournent la partie externe du
pied
du pédoncule aux confins de la région sous- opt
dans l'hémisphère gauche, un tout petit foyer de ramollissement du
pied
de F3 (en paltie, délimité, en arrière par le s
* ou moteur; d'antre part, lésion corticale limitée à une partie du
pied
de 1-"3. L'aphasie sans agraphie existe donc, c
e comme localisation probable de l'aphasie motrice non seulement le
pied
de la 3e frontale gauch". mais aussi ceux de la
- logisches CcaalalGl., 1899.) Le chatouillement de la plante des
pieds
se traduit par la flexion des orteils du côté p
rien ; jamais, a dit Babinski, chez un individu sain les doigts de
pieds
ne s'étendent. C'est cette question qu'examine
te question qu'examine M. Colin en ayant soin détenir solidement le
pied
de 1 individu en observation afin d'éviter tout
chez la plupart des gens normaux le chatouillement de la plante du
pied
fait fléchir les orteils (GO p. 100), l'extensi
re tombé sur une série heu- reuse, puisqu'il accuse le phénomène du
pied
dans 50 p. 100 des cas de typhoïde où il l'a ch
ncorde, une femme, jeune encore, entièrement vêtue de noir, qui, au
pied
d'un arbre, au moyen d'une petite pelle, avait
nnue. Je cherche mon enfant, leur déclara- t-elle. Elle se cache au
pied
de cet arbre. Les gardiens n'eurent pas de pein
force peu commune, le fou, griffant et mordant, frappant à coups de
pieds
et de poings, les tint tous à dis- tance. Le
vantes. Pendant la dernière elle eut la jambe gauche foulée sous le
pied
d'un boeuf. La douleur fut vive, la malade perdit
, dans l'intervalle desquels la peau tranche par sa coloration. Les
pieds
présentent, sous les mêmes conditions, les mêmes
surtout le corps, sauf les oreilles, les mains et les poignets, les
pieds
et les chevilles. En stimulant la peau, l'auteur
er un acte difficile; en même temps, il piétine sur place, des deux
pieds
, d'un piétinement rapide et inégal, progressant
progressant de quelques millimètres à peine à chaque déplacement du
pied
. On dirait d'un homme qui s'aventu- rerait sur
Observation III. -11. M..., trente ans, lieutenant de chasseurs à
pied
, vient consulter le professeur Charcot, en 189t,
n est plus manifeste, on note aussi le tremble- ment épileptoïde du
pied
. Aucune sensation anormale pendant le repos, si
inaperçu pour un observateur non prévenu; il consiste en ce que le
pied
droit, au lieu de porter sur le sol d'abord par
it, au lieu de porter sur le sol d'abord par le talon comme fait le
pied
gauche, s'y pose d'emblée par toute sa face pla
gauche, s'y pose d'emblée par toute sa face plantaire; de plus, le
pied
droit dans son mouvement de translation d'arriè
ère en avant frotte souvent le sol de sa pointe. Bref, la pointe du
pied
droites ! un peu tombante, il existe une sorte
exagération des réilexes rotuliens et la trépidation épileptoïde du
pied
n'ap- partiennent pas au syndrome neurasthéniqu
uis trois ans, dans la journée, mais surtout la nuit, dans les deux
pieds
, à la région plantaire exclusi- vement, une sen
rès qu'il vient de se coucher. Il la sou- lage en s'enveloppant les
pieds
de serviettes mouillées, ou en mar- chant sur l
de fai- blesse, et en même temps une sensation de brûlure dans les
pieds
. 11 se repose une dizaine de minutes; tout s'ap
Cette sensation de brûlure interne se cal- mait par l'immersion du
pied
dans l'eau froide. Elle survenait d'or- dinaire
orte pluie. C'est à partir de ce moment qu'il éprouve dans les deux
pieds
, et bientôt après dans la main gauche, les phénom
nes dont il se plaint aujourd'hui. Examen des membres inférieurs.
Pieds
plats. C'est pour cette raison, sans doute (car
aison, sans doute (car il s'est toujours connu cette déformation du
pied
) qu'il n'a jamais été très bon marcheur. Au cou
ure ancienne : écartement et saillie anormale des deux malléoles.
Pieds
légèrement violacés, jambes et cuisses un peu mar
e où se montrent les mêmes sensations de brûlure qu'au niveau des
pieds
. Il y a vingt ans que le malade éprouve dans cett
D'après la malade elle éprouva des phénomènes analogues du côté des
pieds
. Elle ne pouvait plus marcher. L'accès dura deu
aque de méningite scléro-gommeuse siégeant à la partie interne du
pied
du pédoncule gauche et de l'origine du tronc du m
t caractérisées par des convulsions des orteils du côté droit et du
pied
du même côté, sans perte de connaissance. Les a
u même côté, sans perte de connaissance. Les autres débutent par le
pied
droit, les convulsions montentdans la jambe, le
et achilléen. Elle traîne à terre pendant la marche, la pointe du
pied
raclant le sol. Le mollet droit a 2 centimètres d
ent entraîner des lésions. Pour donner un exemple frappant, dans le
pied
bot hysté- rique sur lequel a insisté Charcot,
t de sa maladie. Ces douleurs siégeaient au niveau de la plante des
pieds
et s'accompagnaient de coloration rosée très pr
e séparant le deuxième du troisième orteil, symétriquement aux deux
pieds
. La peau se tuméfie légèrement et prend une colo-
cès, et même dans leur intervalle, la peau des orteils et celle des
pieds
entiers est le siège d'une suda- tion abondante
venait la consoler et quelquefois la soulageait en lui pressant les
pieds
entre les deux mains. Au mois de juin 1894, ell
curé quelque soulagement. - Examen actuel.- L'examen extérieur, les
pieds
exceptés, ne révèle rien de très particulier. L
n bâtonnets. Examinée dans l'intervalle des crises, elle montre des
pieds
froids et inertes. Le pied droit a conservé une
'intervalle des crises, elle montre des pieds froids et inertes. Le
pied
droit a conservé une légère coloration rosée d'
oit a conservé une légère coloration rosée d'un accès antérieur. Le
pied
gauche est pâle. La coloration rosée existe seu
ître les phénomènes, il suffit de faire placer quelques instants le
pied
de la malade hors de son lit, les genoux légère
lende- main leur caractère d'atrocité avec élancements dans tout le
pied
, rougeur vive, sudation. La malade est endorm
ses douleurs que nous n'arrivions plus à provoquer, en mettant ses
pieds
dans la position déclive. Nous lui ordonnons de
eptembre, on peut considérer la guérison comme absolue. A peine les
pieds
hors du lit présentent-ils une insignifiante mo
t-ils une insignifiante moiteur, et une légère coloration rosée des
pieds
. La malade est devenue gaie. Elle ne pense plus
venue trop tôt à l'ouvrage et a éprouvé quelques douleurs dans les
pieds
pendant quelques heures. Il me semble, dit-elle,
parables à ceux de l'érythromélalgie. Dès que la malade mettait les
pieds
en position déclive, la plante des deux pieds p
la malade mettait les pieds en position déclive, la plante des deux
pieds
prenait une coloration rouge vineuse. La sudation
ommencé des phénomènes unilatéraux d'érythromé- lalgie au niveau du
pied
gauche. Le troisième cas se rapporte a un malad
bes éthylique avec érythromélalgie des 2°, 3°, 4° orteils de chaque
pied
. Enfin, le quatrième cas que nous resignalerons
ion, je l'ai trouvée encore chez ma malade à l'érythromé- lalgie du
pied
gauche qui est très améliorée (fréquence et durée
passer le sang qu'ils contiennent dans les veines des mains et des
pieds
. Les vaisseaux capillaires sont vidés eux- même
fibres verticales qui constituent les quatre cinquièmes internes du
pied
du pédoncule cérébral. Grâce à elle encore M. D
la circonvolution frontale ascen- dante immédiatement an-dessous du
pied
du sillon de Schaffer. Mais ce sillon du cervea
n serait donc la circonvolution frontale ascendante à la hauteur du
pied
de ce sillon, c'est-à-dire un peu au-dessous de
tête; flexions des doigts et des bras; élévations continuelles des
pieds
; nystagmus; rougeur de la conjonctive; larmoiem
entôt de dyspnée, de difficultés dans l'expectoration, d'oedème des
pieds
et des jambes. Intégrité des nerfs crâniens et
isparition des réflexes tendineux, des réflexes cutanés, oedème des
pieds
et des jambes, sensibilité douteuse à la pression
jambe droite qu'elle ne peut détacher de terre et frappe le sol du
pied
gauche à chaque pas. Celte hémiplégie et cette
émarche est un peu spasmodique surtout du côté droit ; la pointe du
pied
ne se détache pas du sol et la progression est
rieurs, les cuisses sont rapprochées, les genoux se touchent et les
pieds
étendus ont la pointe tournée en dedans. Les mo
extension, les cuisses sont rapprochées les genoux en contact, les
pieds
un peu étendus et la pointe tournée en dedans.
ides, les cuisses en adduction forcée, les jambes en extension, les
pieds
en pieds bots varus équin. Cette rigidité est p
cuisses en adduction forcée, les jambes en extension, les pieds en
pieds
bots varus équin. Cette rigidité est presque inva
rrégulière. Les malades traînent la jambe et ne peuvent détacher le
pied
du sol; ils ont la démarche spas-- DE l'intoxic
n, les genoux sont en contact et les jambes divergent un peu; les
pieds
sont étendus et commencent à esquisser l'aspect d
rs la démence épileptique simple. La démarche est scintillante, les
pieds
traînants sur le sol sans que la pointe s'en dé
contracture spasmodique des adducteurs, les genoux se touchent, les
pieds
sont en varus équin bien net. Les réflexes tendin
membres inférieurs entraîne de l'adduction forcée des cuisses : les
pieds
tendent à devenir des pieds bots véritables. ,
de l'adduction forcée des cuisses : les pieds tendent à devenir des
pieds
bots véritables. , Les membres supérieurs sont
es malades et il semble alors que l'on pourrait les prendre par les
pieds
et les soulever tout d'une pièce horizontalement.
neurologique, juin 1893,) E. B. XLIX. Malformation héréditaire DES
PIEDS
ET DES mains; par Stewart 1VORVELL et RAMSAY SM
depuis neuf ans atteinle de contractures vives dans les mains elles
pieds
qui jl'empêchaient tout à fait de se tenir debo
se assez disgra- cieuse, ensuite vers sa partie la plus déclive, au
pied
du mur l'impression est des plus pénibles, on e
sans exception le malheureux aliéné soit partout obligé de rester
pieds
nus sur le parquet, même souvent aux infirmeries,
ste assez large pour recevoir le vase de nuit et limitée par quatre
pieds
qui soutiennent la partie supérieure et viennent
i- ci serait exposé à tomber à travers les intervalles des quatre
pieds
, un léger treillis en fil de fer bouche trois de
aliéné a ses souliers à sa dis- position, il reste presque toujours
pieds
nus sur le parquet la nuit pour uriner et c'est
sque toujours pieds nus sur le parquet la nuit pour uriner et c'est
pieds
nus qu'il se rend au cabinet s'il en a besoin.
n une paire de chaussons dans lesquels il n'aurait qu'à fourrer ses
pieds
soit pour uriner, soit pour aller au cabinet, s
et la porte haute de 75 cen- timètres laissant voir la tête et les
pieds
, cette seconde condition est aussi indispensabl
l'eau d'un vase en porcelaine où le malade plonge les mains ou les
pieds
et où le courant arrive par un conducteur en or
tre-bas de la cabine, bientôt recouvert d'une nappe où plongent les
pieds
du malade qui, debout ou assis sur un siège de
tite surface de la cuisse droite, ainsi que de toute la jambe et le
pied
du même côté. Onze jours après l'accident, réclin
ie et lèpre, par Goinliaiilt, 132. Malformations itéréditairesdes
pieds
et des mains, par Merwel et Smith, 387. Mas
sommes-nous ? C'est la fin de l'année, faut ensemencer... etc. Mon
pied
est malade, malade, mon pied... Nous sommes com
e l'année, faut ensemencer... etc. Mon pied est malade, malade, mon
pied
... Nous sommes comme le ciel tout n'est plus le
à contenu solide, gros comme un pois ; 4° A la partie supérieure du
pied
de F2 au fond d'un sillon, et intéres- Fig. 1.
du volume d'une noisette. 4° Sur la coupe frontale, à la hauteur du
pied
de F2' développé à la fois dans la substance gr
s ; en tout cas signalons ce fait qu'il exis- tait un kyste dans le
pied
F2 gauche. Troubles de la vue. - Nous n'avons p
étails (PI. II et III). Le membre inférieur droit est raccourci; le
pied
est dans la position du pied-bot équin; il repo
. Dans la position ordinaire, le membre tout entier, y com- pris le
pied
, se trouve placé sur un plan notablement postérie
che. Enfin la température paraît un peu abaissée de ce côté ; et le
pied
droit t présente une rougeur habituelle qui n'e
ied droit t présente une rougeur habituelle qui n'existe pas sur le
pied
opposé. La recherche de la mobilité montre que
5 kilomètres à l'heure, et qu'il peut faire jusqu'à 7 ou 8 lieues à
pied
par jour. L'examen des viscères pratiqué avec
issement du membre et de l'équinisme consécutif le point d'appui du
pied
sur le sol se trouve placé non plus au niveau d
ain. . Schéma 4. Genu recurvatum sur le membre sain ramenant le
pied
vers l'axe (fictif) mé- canique. LE GENU RECU
age, épousât une jeune fille dans la seule vue de se réchauffer les
pieds
et les mains auprès d'elle. Ils croiraient sans
47, dans la collection de Von J. Scheilbe.) 82 C-) BEAUVOIS A ses
pieds
autour de lui d'autres fillettes, d'autres petits
, il a le genou droit fléchi, comme s'il cherchait à fuir. Les deux
pieds
et les deux poignets sont entravés. Au-dessus d
le présente un anneau qui indique bien que le malade peut poser son
pied
à terre. Le pied est d'ailleurs en flexion forcée
neau qui indique bien que le malade peut poser son pied à terre. Le
pied
est d'ailleurs en flexion forcée sur la jambe. En
e, la jambe est en extension, le poids du corps repose sur elle. Le
pied
présente encore de ce côté cette singulière contr
en flexion des deux membres ; quant à la contracture en flexion du
pied
gau- che, je suis obligé d'avouer que je ne me
ar- cot et P. Richer (2). Sur l'une d'elles, le possédé est debout,
pieds
et poings liés. Le Christ le bénit. Non loin de
ient discrets. Un peu plus loin, nous voyons un individu assis, les
pieds
croisés. Peut-être s'agit-il d'un possédé, mais
e, les bras écartés, les mains ouvertes. Il n'y a pas de démon. Les
pieds
sont cependant enchaînés. NOU4'. ICONOGRAPHIE d
ple, un infirme est assis, la jambe droite enveloppée de linges, le
pied
nu, peut-être déformé. Sa tête est entourée d'un
eux longues béquilles, ses jambes trop faibles à demi fléchies, les
pieds
nus. Son costume est à remarquer (Pl. VIII, B).
he pliée à angle droit,la droite relevée par un lien qui enserre le
pied
et vient se fixer à la ceinture. Derrière eux,
it. Le dernier est encore armé de béquilles et s'avance sur un seul
pied
; sa jambe et sa cuisse gauches repliées en fle
uches repliées en flexion ne peuvent plus s'allon- ger. De plus, le
pied
est absent. Et cette mutilation rappelle bien un
omme on, voit, fort riche en détails pa- thologiques. Le Lépreux au
pied
'mutilé, l'hoIII1e),)ajnbeJdisloquée, les culs-
I7;liE 107 membres inférieurs étaient raides, il ne sentait pas ses
pieds
, et quand il était au lit il perdait la notion
mes suivants : démarche spasmodique, les jambes sont en extension, le
pied
en varus équin, le gros orteil relevé. Le malad
rme les yeux. - Réflexes rotuliens exagérés, trépidation spinale du
pied
. , Incontinence vésicale et rectale. Sensibil
de doigts plus ou moins accusés. Chez les phocomèles la main ou le
pied
se sont assez bien développés mais pa- raissent
pé, mais les parties périphériques, avant-bras et main, ou jambe et
pied
, font défaut en totalité ou en grande partie. C'e
ds du dix-septième siècle, qui suppléait ses mains absentes par ses
pieds
; celui d'un autre ectromèle, vu par G. Saint-Hi
largement ouverte. Le possédé de la seconde fresque est assis, les
pieds
tranquillement 162 HEITZ croisés. De sa bouch
ine ten- dance à porter la tête en arrière. Il est debout, les deux
pieds
écartés. Il n'y a pas de tendance à l'arc de ce
he droite. Le membre inférieur droit est plus court que l'autre. Le
pied
est porté en dehors. La hanche et le genou sont d
ation anormale, plus foncée à gauche. Les cuisses, les mollets et les
pieds
sont parsemés à leur face interne de taches vio
rne de taches violacées. Aux genoux la coloration est uniforme. Aux
pieds
elle est peu marquée, surtout à droite. Caractè
- mètres au-dessous du bord supérieur du tibia. 2° A droite. - Au
pied
dans toute l'étendue d'une bottine ayant pour li-
on : cuir chevelu ; face antéro-externe de l'avant-bras ; plante du
pied
; face antéro-interne du bras ; éminence thénar
ouïe, de la sensibilité générale, on la chatouille la nuit sous les
pieds
, elle voit des morts. Elle prétend que depuis qu'
V L... prétend qu'il y a peu de temps elle dit dans sa prière : mes
pieds
et mes mains sont cloués. Elle s'imagina immédi
en pleines convulsions. La jambe droite est raidie en extension, le
pied
rétracté en flexion, la jambe gauche, au contra
bras, avant-bras, cuisses et jambes; au contraire, les mains et les
pieds
sont moins atteints, tout en étant beaucoup plus
e au sol) mesurent 28 et 29 centimètres, au lieu de 47 et 50, et le
pied
(du talon à l'extrémité du gros orteil) 18 au l
ments longs du membre sont diminués de plus du tiers, tandis que le
pied
est diminué seulement du quart. En somme, on
soudure avec la base de la pha- lange distale. Sur trois cent et un
pieds
, Pfitzner (1) a rencontré cette soudure cent di
tanés aussi. Les orteils se fléchissent quand on pique la plante du
pied
. La sensibilité est partout conservée sous tous
ie de petites secousses successives absolument analogues au clonus du
pied
. Pas de vomissement ni de céphalée. Mort dans l
s quoique la force musculaire soit conservée, il traîne la pointe des
pieds
sur le sol comme un paraplégique avec paralysie
sible pour les personnes qui le soignent. La langue est très mince.
Pied
. - On n'avait encore rien signalé pour le pied. A
ngue est très mince. Pied. - On n'avait encore rien signalé pour le
pied
. Actuellement, il y a un léger degré de pied-bo
presque noir.Seules, les parties habituellement découvertes, face,
pieds
, mains et partie inférieure des avant- bras pré
nt d'ailleurs parfaite- ment conservées, de forme et de volume. Les
pieds
ne présentent ni déforma- NOUVELLE Iconographie
uvement est impossible. Quand il redevient possible, il entraîne le
pied
en le faisant glisser sur le sol, mais sans le
(28 dé ? 1901) un cas d'Eléphanliasis congénital des jambes et des
pieds
, qui a peu peu disparu. 468 UENRY MEIGE Quell
préférée. Les observations nous signa- lent sa présence sur un seul
pied
, les deux pieds, une jambe, les deux jambes, un
bservations nous signa- lent sa présence sur un seul pied, les deux
pieds
, une jambe, les deux jambes, un membre inférieu
du côté sain; le genou 3 centimètres; le mollet 7 centimètres ; le
pied
, sur le cou-de-pied, 25 millimètres en plus. En
ne remarque pas en bas ces plis indurés de la peau, tombant sur le
pied
comme dans l'éléphantiasis vrai. Pas de naevus, n
t parait s'accroître encore actuellement. La cuisse, la jambe et le
pied
sont atteints au même degré et l'affection s'ar
ui se surajoute à la lésion principale au bas de la jambe et sur le
pied
, après la station debout. La peau adhérente aux
circulaiie causé par la chaussure. Ce bourrelet disparaît lorsque le
pied
est nu, l'absence de bottine permettant alors à
t nu, l'absence de bottine permettant alors à l'endure d'envahir le
pied
. Au dire de Mme G.la jambe, le matin, serait fo
s supérieurs. Mme G. travaille debout et fait aller un tour avec le
pied
gauche, disposition qui lui convient, dit-elle, c
es engelures ulcérées dont elle a souffert à plusieurs reprises ; les
pieds
on ont toujours été exempts. Par deux fois, les
à gonfler, puis la cuisse. La tuméfaction s'est ensuite étendue au
pied
. En même temps paraissaient les taches vineuses.
nous notons au contraire une hy- pertrophie énorme des jambes, des
pieds
et de la cuisse, à consistance dure et tendance
trophie est plus accentuée sur la cuisse que sur la jambe et sur le
pied
. Autant qu'on peut s'en assurer sur un enfant a
e et l'angle minimum descend aux environs de dos. Les mouvements du
pied
sur la jambe et des orteils sur le pied sont auss
s de dos. Les mouvements du pied sur la jambe et des orteils sur le
pied
sont aussi très limités. Nulle part les mouve
ent; les capsules articulaires, tant à la hanche, qu'au genou et au
pied
avaient leur aspect brillant, nacré, normal, de
he,au genou et au cou-de-pied que dans les petites articulations du
pied
et des orteils. Mais les lésions les plus impor
figure 3 en dit du reste plus que toutes les descriptions. Os du
pied
. Les os courts du pied : calcanéum, astragale,
este plus que toutes les descriptions. Os du pied. Les os courts du
pied
: calcanéum, astragale, cuboïde, scaphoïde, c
te des bords de leurs facettes articulaires. Mais les os longs du
pied
, métacarpiens et phalanges, présentent des lési
à la tête, 10 au bras, 6 aux mains, 2 au ventre, 2 au siège, 10 aux
pieds
, - et chaque saignée avait sa vertu particulièr
isistes et préten- tieux. Un médecin armé d'un'bistouri fait sur le
pied
droit une incision à la naissance du gros ortei
de l'ouvrage. Arrivé dans cette ville, après avoir fait la route à
pied
, il se trouva avec deux francs, en plein chômag
gorgements ganglionnaires, des ulcères variqueux, une ulcération du
pied
pour laquelle l'amputa- tion avait été jugée né
de l'engourdissement et des fourmillements cutanés, un froid aux
pieds
continuel, avec deux zones de sensation brûlantes
ivantes : 1° desquamation de la paume des mains et de la plante des
pieds
; 2° mouvements choréiques fréquents des lèvres
ÉS SAVANTES. 85 temporale et rolandique avec dégénération totale du
pied
du pédoncule et du faisceau pyramidal des deux
lapin une dose modérée de phosphore ou d'arsenic, l'organisme lutte
pied
à pied et, pour cette lutte, le ioic lance dans
ne dose modérée de phosphore ou d'arsenic, l'organisme lutte pied à
pied
et, pour cette lutte, le ioic lance dans la cir
.. Enfin, quatre-vingt-dix. On détache rapidement les mains et les.
pieds
et on aide Prokhorow il se mettre debout. La ré
le malade avait des soubresauts de tout le corps. Pas de clonus de
pied
. . Pendant les derniers six mois de son existen
oit. Elles étaient atrophiées et la pariétale ascendante avait deux
pieds
dans la scissure de Sylvius. Lannois et Paviot,
main. Les parties les moins sensibles sont la fesse et la plante du
pied
. Le cuir chevelu est généralement fort sensible ;
. Ne sont pas du tout sensibles, la paume de la main, la plante des
pieds
, le gland du pénis, régions com- plètement dépo
c diminuer ces garanties. 11 faut en conséquence mettre sur le même
pied
les deux catégories d'experts. Il y aurait même
ion de douleur légère et en même temps une très faible extension du
pied
et parfois aussi une flexion des orteils. Or, d
une sensation douloureuse plus intense et en outre à une flexion du
pied
, ainsi qu'à une extension des orteils du côté p
ganiques par son procédé et par le chatouille- ment de la plante du
pied
et il eût été alors vraisemblablement 170 SOCIÉ
ent 170 SOCIÉTÉS SAVANTES. conduit à se demander si la flexion du
pied
et l'extension des orteils qu'il obtient sont s
manoeuvre décrite par Schaefer, j'ai obtenu comme lui la flexion du
pied
et l'extension des orteils. Puis, je me suis co
être provoqué, non seulement par le chatouillement de la plante du
pied
, mais aussi par l'exci- tation d'autres parties
onction psychique du cerveau fut. celle du langage articulé dans le
pied
de la troi- sième circonvolution frontale gauch
t inten- tionnel, pas de trépidation épileptoïde de la rotule ou du
pied
. Le sens musculaire est conservé. Il n'existe n
otuliens sont eux aussi normaux. Le chatouillement de la plante des
pieds
est perçu, des deux côtés, comme un simple cont
r ? Non, je ne sens que le côté gauche. Sentez les orteils de votre
pied
droit : elle les fléchit aussitôt, les étend sa
bout d'une minute. Zoé a recouvré la sensibilité des orteils de son
pied
droit. 22. Sentez votre pied droit ? Elle remue
uvré la sensibilité des orteils de son pied droit. 22. Sentez votre
pied
droit ? Elle remue les orteils et le pied. ? Mo
droit. 22. Sentez votre pied droit ? Elle remue les orteils et le
pied
. ? Mon pied est lourd, puis moins lourd + ça me l
Sentez votre pied droit ? Elle remue les orteils et le pied. ? Mon
pied
est lourd, puis moins lourd + ça me lance + J'a
lance + J'ai des picotements, des brûlures + ça me tiraille dans le
pied
+ ça me ronge + Tiens, je ne souffre plus -f- J
s le pied + ça me ronge + Tiens, je ne souffre plus -f- Je sens mon
pied
. Séance d'une heure. Héveil le plus complet pos
' Le signe + signifie : sentez davantage. 214 zip THÉRAPEUTIQUE.
pied
qui lui tiraille encore un peu + La cheville me b
dirait que çà va craquer + Elle fait toutes sortes de mouvements du
pied
sur la jambe + ça va craquer + ça craque. Ah !
lus mal, elle est plus petite, je la sens bien. - Sentez-vous votre
pied
? Oui. Vous appartient-il ? Ça ne me fait plus
collé. -Séance de une heure et demie. La malade sent très bien son
pied
à la douleur, à la piqûre, un peu moins au cont
. Zoé fait des mouvements de flexion et d'extension des orteils, du
pied
, de la jambe z Çà brûle dans le mollet + J'ai d
à la colonne vertébrale au-dessous du renflement cervical, puis au
pied
des deux deuxièmes frontales. Si je comprime le
la souffrance quand la compression cessait. J'ai aussi percuté les
pieds
des deuxièmes frontales. La malade a nettementa
beaucoup de l'estomac + Je sens un peu mes orteils -f- Je sens mon
pied
? Je souffre de la cheville + Je suis contente,
Je souffre de la cheville + Je suis contente, parce que je sens mon
pied
+ c'est vendredi, c'est samedi, je sens mon pie
ce que je sens mon pied + c'est vendredi, c'est samedi, je sens mon
pied
et un peu la jambe, j'ai chaud + Je sens la cui
eures et quart. J'ordonne à ma malade de se sentir complètement des
pieds
à la tête + ça se colle, dit-elle, la cheville,
ssous du renflement cervical et deux points douloureux cérébraux au
pied
des deux deuxièmes frontales. A un moment donné
sont forts, mais il n'existe pas de trépidation épileptoïde ni aux
pieds
ni aux mains. L'intelligence est bien conservée
tait épileptique. Cette naine était très bien confor- mée, avec des
pieds
et des mains parfaitement proportionnées. La tê
asomoteur, froid aux extrémités, sueurs exagérées, teinte bleue des
pieds
et des mains, tachycardie, palpitations; pour l
ur se tenir debout présente une attitude en Z ; quand il marche les
pieds
croisent à chaque pas l'axe de direction. On no
nt été constatés sont les suivants : tandis qu'à droite la forme du
pied
et le réflexe cutané plantaire sont nor- maux,
est étendu sur le métatarse et le cha- touillement de la plante du
pied
accentue encore cette attitude en exagérant l'e
ur l'état du réflexe cutané plantaire; l'excitation de la plante du
pied
donne lieu à de la flexion du gros orteil à droit
noyau rouge, les fibres de l'oculo- moteur commun et une partie du
pied
du pédoncule ; dans le pédoncule cérébral gauch
er scléreux détruisant le quart 25b SOCIETES SAVANTES. interne du
pied
du pédoncule et affleurant les fibres de l'oculo-
vec atrophie intense. Exagération des réflexes rotuliens. Clonus du
pied
gauche. Dissociation de la sensibilité aux membre
) dont un des bras est cassé; la main de l'autre bras et les deux
pieds
sont également brisés et ces extrémités présenten
e. Il existait dans ce cas des troubles trophiques des mains et des
pieds
, en rapport direct avec la pré- sence de ces ca
rd (Flechsig). En tout cas, de très bonne heure, apparaît dans le
pied
du pédoncule cérébral un premier et unique fais
et le lapin, envoie de très nombreux prolongements évidents dans le
pied
du pédoncule. C'est entre les prolongements lat
llidus; il traverse le premier segment du même organe et se rend au
pied
du pédoncule cérébral ; il occupe successivement
idus,; il est, en tout cas, fort mince dans la partie inférieure du
pied
du pédoncule et dans la protubérance. On voit a
tait en outre des troubles trophiques remarquables aux mains et aux
pieds
, phénomènes qui engagent à admettre, à côté de
it en outre de la surdité verbale. A l'autopsie : ramollissement du
pied
de la troisième et de la deuxième frontales s'e
ères années de sa jeunesse à voyager, parcourant presque toujours à
pied
, diverses parties de l'Europe et en particulier
des cuisses, des jambes, mais elle est très marquée à la plante des
pieds
et à la face antérieure des bras et des avant-b
l'aphasie motrice pure durable. Le cerveau présente au niveau du
pied
de la troisième frontale une dépression en cupule
dre ; la corde cassa et le malade fut trouvé sans connais- sance au
pied
du murcontre lequel il s'était pendu. Après plusi
nt plantaire, 456 VARIA. ulcères variqueux, mal perforant buccal,
pied
tabétique, etc.) ; A. Fougères. Sur deux nouvea
s branches terminales; Jaboulay. D'un cas de troubles trophiques du
pied
et de la jambe traité avec succès par distensio
t. La chorée débuta à vingt-quatre ans, elle évolua rapidement. Les
pieds
et les bras, sont d'abord pris, et, quatre ans
8' PATHOLOGIE NERVEUSE. tient et qu'on le prie de faire un pas, son
pied
se jette désordon- nément on avant de cinq à di
uvement, les genoux s'écartent ou se rappro- chent tout à coup, les
pieds
quittant le sol en partie tantôt de la pointe,
il est trouvé par des agents sur le Pont-Neuf, donnant des coups de
pieds
et des coups de poing. Il dit se défendre ainsi
rand, encore robuste pour son âge. Il est tout tremblant, et ni les
pieds
ni les mains ne tiennent en place. Tout son cor
au pli pariétal inférieur inclusivement et près de 2 centimètres du
pied
de PA. Tout le lobule de l'insula est compris d
actif est réduite à deux arêtes blanches dans toute sa longueur. Le
pied
de FA et F' sont atrophiés et indurés (colorati
s. (PA, P', moitié supérieure de LQ, extrémité du lobe occi- pital,
pied
de FA, F'.) Par suite de la sclérose alrophique
, la plupart situées en avant, passent en décri- vant un arc par le
pied
du pédoncule cérébral et fournissent des collat
s se dirigent sur la ligne médiane et, gagnant le bord antérieur du
pied
du pédoncule, reposant immé-' diatement sur la
mais qu'au-dessus du noyau segmentaire des muscles de la jambe, du
pied
, de la main, etc., il doit exister des centres
euses laryngées, parties de l'écorce cérébrale un peu en arrière du
pied
de la troisième fron- tale, suivent un trajet p
ourmillement dans les bras et les mains l'année dernière ; taille 6
pieds
1 pouce, poids 245 livres ; mâchoire inférieure p
onstate d'ordinaire une paresthésie ayant en général pour siège les
pieds
, associée à un certain degré de faiblesse des m
es rotuliens sont exagérés, et quelquefois on constate le clonus du
pied
, si bien que le malade présente Iles symptômes
rontal; 1"2" sillon de la deuxième circonvolution frontale; - p F ?
pied
de la première circonvolution fronlale; F ? pre
onvolution fronlale; F ? première circonvolution frnntale; - p F2.,
pied
de la deuxième cir- convolution frontnle; - F3.
onvolution frontnle; - F3., deuxième citconolution fiontale;- p F ?
pied
de la troisième circonvolution frontale; - F ? tr
ans, ayant, il y a vingt-quatre ans, reçu en plein front un coup de
pied
de cheval, et, il y a quatre ans, été atteint d'u
(anode à la nuque ou sur le rachis, cathode dans l'eau d'un bain de
pieds
à- 36 à 38° C.), soit enfin les méthodes périphé-
xamen : extrémités inférieures froides, notamment les jambes et les
pieds
, avec coloration rouge bleuâtre des orteils du
ds, avec coloration rouge bleuâtre des orteils du bord externe du
pied
, de la surface correspondant au tendon rotulien.
marcherqu'en s'ap- puyant, à la condition d'élever anormalement les
pieds
et de pié- tiner. Grande sensibilité au contact
té d'anes- thésie complète et persistante à la tête, aux mains, aux
pieds
, atteinte des organes des sens. Au début même,
porter à l'infirmerie un homme qui était tombé d'une échelle de 20
pieds
, pendant des manoeuvres d'incendie, et qui avai
était née à Lancashire; elle était grosse, rabougrie, mesurait deux
pieds
six pouces (63 c. 51); son corps était épais, s
fant de deux à trois 'ans.' Il pèse 25 livres (9ka1'75) et mesure 2
pieds
7 pouces 3/4 (environ Ow,76). Il est tran- quil
t les doigts sont très larges, courts, épais; il en est de même des
pieds
et des or- teils. La peau, sauf celle de la fac
l incline son tronc en avant, et il entraine ainsi son membre, le
pied
étant tourné en dehors et balayant le sol. Le mem
uction, projette en avant la jambe paralysée, de telle sorte que le
pied
décrit un arc de cercle. L'hystérique ne marche
s d'acte de circumduction, aucun effort quelconque pour détacher le
pied
du sol. Ce dernier en réalité sioceps) balaye l
ent ramener vers lui la jambe droite et remuer un peu la plante des
pieds
. Il est en état de faire la flexion du membre s
nt en avant, bras et épaules pendantes. il lance pour marcher les
pieds
en avant pour détacher les extrémités digitales q
tuçe. t. xu, p. '207. 226 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. et des
pieds
(troubles vasomoteurs), la rapidité du pouls (att
is sans en altérer la substance fondamentale, non plus que celle du
pied
des pédoncules céré- braux. P. K. XL. CONTRIB
xagération excessive des réflexes tendineux, clonus dorsal des deux
pieds
, troubles de la sensibilité justifie- raient en
nte (flexion des cuisses sur le bassin, des jambes sur les cuisses,
pieds
varus-équin) ; la parole ne devint mauvaise qu'
lorsqu'on lui demande de soulever la jambe, ou de faire mouvoir le
pied
, il ne répond point ; ce- pendant, si on le pri
encore chez lui, voyant son enfant tomber du lit, s'est mis sur les
pieds
, bien que ses jambes fussent paralysées alors.
la même année, la chute d'une pierre lui a contusionné l'orteil du
pied
gauche. Après le coup, il n'est resté qu'une légè
qui fléchissent la jambe, et rigidité des 270 CLINIQUE NERVEUSE.
pieds
. Voici le cours de la maladie : le 8 novembre, la
se font sentir dans la direction du bord intérieur des plantes des
pieds
. Le 10 novembre, R... commence à marcher auprès
l peut relever la jambe droite, la fléchir et remuer les doigts. Le
pied
gauche est con- tracturé en dehors, à l'état d'
e plan- cher, par suite de la contracture des muscles; tantôt ses
pieds
se déjetaient convulsivement de côté, tantôt ils
nt des douleurs. Les réflexes tendineux sont très exagérés ; sur le
pied
droit QUELQUES CAS D'HYSTÈRIE DANS LES TROUPES
es jambes sont fortement exagérés; on observe un clonus dorsalis au
pied
droit; le ma- lade peut fléchir la jambe gauche
enou, de manière que le malade ne marche que sur le bord externe du
pied
. QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSE
, il ccurbe le dos en arrière, agite fortement les bras, glisse les
pieds
. Il ne peut s'asseoir lentement, il tombe assis
st fléchie au genou; elle ne touche le plancher que de la pointe du
pied
; un trem- blement dans la jambe gauche ; le br
faradisation avec un pinceau, à remuer les doigts de la main et du
pied
, et à marcher sans béquilles. Le 10 mars,, la dém
sur le dos, il jetait les jambes de différents côtés, frappait des
pieds
le plancher avec force, ou les heurtait l'un co
; en même temps, la répartition de l'anesthésie est originale; les
pieds
sont sensibles à l'attouchement ainsi qu'à la d
t rigides, re qui fait que le malade ne marche que sur la pointe du
pied
en les faisant glisser sans les soulever et san
des membres inférieurs sont relâchés ; les réflexes de la plante du
pied
n'existent que sur le droit; le pouls, 5. Penda
rieurs sont à l'état de rigidité, les genoux fléchis; il glisse les
pieds
; les pas sont menus, le dos redressé. Ce môme j
qui se faisaient surtout voir à toute tentative de mouvement : les
pieds
glissent, ne se soulèvent pas du plancher, se r
archant, le tronc déjeté en arrière devient raide, ils traînent les
pieds
sur le sol et balancent les bras en les écartan
inférieurs, la bouffissure est surtout prononcée aux jambes et aux
pieds
dont la peau est plus ou moins cyanosée. Les de
é- rieure de la circonvolution frontale ascendante est accolée au
pied
de la 3e circonvolution frontale, fait corps avec
ublé, cette circonvolution est, du reste, bien dé- veloppée sauf le
pied
qui fait corps avec la frontale ascendante et n
e couche de graisse sur toute la surface du corps. Les mains et les
pieds
sont potelés comme ceux d'un enfant ; la peau y
part on ne trouve d'infiltration oedémateuse, ni aux mains, ni aux
pieds
, ni à la face. On enlève la partie antérieure du
maux de tête, sa tête s'inclinait sur la poitrine; les mains et les
pieds
devinrent très froids, les jambes très faibles
absente quelquefois; sur les joues pendantes et flasques et sur les
pieds
et sur les jambes, où la circulation est si pau
. - Coqueluche, rougeole. Langue et lèvres épaisses; gonflement des
pieds
et des mains; intelligence et mé- moire presque
ois ans de convulsions; 3° fille mort-née à terme (présentation des
pieds
), bien conformée; - 40 fille, morte à treize an
par sa mère, il venait bien, était frais, rose, n'avait rien ni aux
pieds
ni aux mains, ressemblait aux enfants de son âg
otite, de maladies cutanées, etc. - Vers neuf ans, les mains et les
pieds
épais et courts se seraient gonflés davantage;
e ou les mains. - Il était très sensible au froid; les mains et les
pieds
, surtout ceux-ci, étaient bleus et froids. Les
du cou-de-pied est empâtée et présente des rides transversales; le
pied
est gros, court et ra- massé, mais il est assez
pement intellec- tuel et physique, l'aspect de la face, du cou, des
pieds
etdes mains qui, d'après le récit des parents e
femme ne peut écrire elle-même par suite de douleurs nerveuses des
pieds
et des mains. Le cou est guéri, mais elle est c
e difficile- ment dese rendre un compte exact de l'état du cou, des
pieds
, etc. Toutefois, cette photographie met bien en
de 4gag gr. en octobre 1881. Un an après, visage infiltré; mains et
pieds
épais, dyspnée ; alourdissement corporel et int
ladresse des mains; elle ne peut plus tenir son aiguille; mains et
pieds
enflés ; difficulté de parole et d'idéation. Au l
rouement par le froid qu'elle aurait pris la veille en marchant les
pieds
nus dans l'eau. Dimanche 29. L'amélioration con
t (il avait aussi la plupart de ses dents enlevées par des coups de
pieds
de chevaux quand il tombait auprès d'eux, étant g
rales, ainsi qu'à une plaque située perpendiculairement entre les
pieds
, au milieu de la baignoire. Discussion.- M. JOL
ont plus senties. Si dans ces condi- tions on touche une main et un
pied
soit avec un objet froid (0°), soit avec un obj
l se rendait à Burzet, et là, restant vêtu seulement d'une chemise,
pieds
nus, chargé d'une croix, il montait au Calvaire
Grand-père paternel : excès de boissons. - Grand-père maternel :
pied
bot consécutif ri. des convulsions. - Cousinf)
bien pourtant que sur la photographie, les mains, la jambe et le
pied
gauches notablement augmentés de volume, avec tou
pertrophiées. Peau généralement très rude, surtout aux mains et aux
pieds
qui sont gonflés, parfois cyanoses. Taille, 65
'un de cause inconnue, l'autre tué par un autre enfant, de coups de
pieds
dans le ventre, pour une querelle à propos de b
serait venu progressivement. On ne peut dire à quelle époque les
pieds
et les mains se sont épaissis. Avant la chute, le
longtemps, mais très doucement : elle peut faire plus d'une lieue à
pied
. Elle n'a jamais eu de tics ni d'onanisme, ni d
rtes et offrent des déformations rachi- tiques très prononcées. Les
pieds
sont plats et légèrement bouffis. « Par moments
des membres sont gros, trapus; les os des jambes sont incurvés. Les
pieds
et les mains sont gonflés, épais, courts ainsi
des aisselles ; peau cireuse, eczémateuse ; état pachydermique des
pieds
et des mains ; hernie ombilicale ; rachitisme;
fant, dit-elle, était descendu. » Pas de syncopes, pas d'oedème des
pieds
, etc. - Accouchement à terme, naturel, en vingt
le teint cireux, les joues et les lèvres épaisses, les mains et les
pieds
gonflés, et qu'il a toujours eu des croûtes du
est glabre, rugueuse, sèche, bouffie, jaunâtre, sauf au niveau- des
pieds
et des mains où elle est rosée. Légère desquama
envies de boire, ni syncopes, ni attaques de nerfs, ni oedème des
pieds
. Le dernier mois, elle est allée trois fois à l'h
uffie; foute ta moitié droite du corps était enflée ; la main et le
pied
de ce côté avaient un volume double de la main
ain et le pied de ce côté avaient un volume double de la main et du
pied
sains. - Elevée au sein par sa mère, Suzanne a
21e au niveau des plis de l'aine et 15e au niveau des mollets. Les
pieds
sont épais, cyanosés ; les orteils normaux, mai
o- lipomes des creux sus-claviculaires sont plus apparents. - Les
pieds
et les mains sont gonflés, froids, cyanosés. La t
che. Jusqu'à huit mois bien venante, mais elle avait la langue, les
pieds
et les mains épais et la peau cireuse, et, dès
sillons de la 2° frontale. - F. A. est petite et s'anastomose à son
pied
avec la pariétale ascen- dante, interrompant la
cireux de la peau, épaississement de la langue, des mains et des
pieds
, et les caractères particuliers de la voix ont
tiques. Leurs articulations sont parfois noueuses. Les mains et les
pieds
sont souvent cyanosés, ramassés, épais, présent
ul. Mains larges, doigts courts et épais, ongles rudimentaires.
Pieds
volumineux, plats ; orteils déformés chevauchan
cercle durant sept à huit secondes. Il retombe. Corps en extension,
pieds
un peu écartés, bras étendus en croix. Cou et t
ulaire. Rigidité avec légers mouvements convulsifs des mains et des
pieds
qui frappent le sol en produisant un bruit asse
ter les paupières. Rigidité. Légère plainte ; il se soulève sur les
pieds
, puis retombe lourdement en arrière. Extension pu
repos. 10 h. 17. - Légers mouvements convulsifs des mains et des
pieds
. Quelques arcs de cercle. 10 h. 20. - Il se lèv
face. Paupières fermées. Il tapote le parquet avec les mains et les
pieds
. Nouvel arc de cercle. Se remet en X. Repos. Il t
eds. Nouvel arc de cercle. Se remet en X. Repos. Il tapote avec les
pieds
et les mains, cherche à se déchirer le cou et la
éten- du, les bras au-dessus de la tête, les jambes allongées, les
pieds
écartés. Il est alors immobile, la face rouge,
cruci- fiement, les poings fermés. Raideur générale, tête à droite,
pieds
il gauche. Il se relève à 9 h. 36. La durée a é
dans sa chambre. Il se plaignait que, en marchant, ses doigts de
pieds
restaient raides dans ses souliers. Le visage éta
ement : bains alcalins, tisane de houblon et de valériane, bains de
pieds
tous les soirs. 25. - Pendant huit jours, les
e. - Traitement : bromure de camphre, tisane de valériane, bains de
pieds
, bains alcalins. 15. - Amélioration notable. N'
ial. Il cherche dans ses crises il marcher sur les mains et sur les
pieds
, les appuie contre le mur, cherche à mordre. Re
- fissure et faux oedème des paupières, des joues, des mains, des
pieds
, etc.; présence des pseudo-lipomes, absence de la
peau, état pachydermique de la paume des mains et de la plante des
pieds
. Chaque phase morbide durait trois mois à un an
e comme dans la sclérodermie : le chatouillement de la plante des
pieds
ne détermine pas de réflexe. On observe quelque
ais ne pénétrant pas profondément. Hémisphère gauche : Au niveau du
pied
de la troisième circonvo- lution frontale, une
lente ; l'eschare s'étend. Mort. ' A l'autopsie : ramollissement du
pied
de la 3° frontale gauche, ramollissement à la p
9t REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. occupant la cuisse, le genou et le
pied
; la névralgie avait ré- sisté à tous les moyen
oing de leur place. Les Sorciers neantmoins vont quelques fois de
pied
au Sabbat, ce qui leur aduient principalement l
Enfuite renient tous les Sacrements de l'Ecclise & foulent aux
pieds
la Croix (Fig. 2) & les ymaiges de la bien
provoquée par le procédé ordinaire ( soulèvement de la pointe du
pied
). ). Cette malade n'a jamais été endormie. Nous
étrocéder, particulièrement à la paume des mains et à la plante des
pieds
, en même temps que s'amen- dait l'état psychiqu
xiste une amélioration très notable, particulièrement au niveau des
pieds
. Ces derniers ne diffèrent pas sensiblement de
embres inférieurs, le gonflement est plus marqué, à l'exception des
pieds
. On n'y voit aucune trace d'in- sertion muscula
s ou moins la forme d'une bêche ou l'extrémité d'un pachyderme. Les
pieds
pré- sentent une déformation analogue et une ap
ur certaines parties, parti- culièrement au niveau des mains et des
pieds
. Les malades suent peu ou même pas du tout; la
vient bien sans accident. Les douleurs ont notablement diminué, les
pieds
et les genoux sont même presque libres; mais la
dant lesquels, agissant commedes enfants gâtés, elles trépignent du
pied
, brisent les meubles et éprouvent le besoin irrés
- tante à l'approche de leur délire ou do leurs accès convulsifs,
pieds
nus, les vêtements en désordre et les cheveux au
stériques sont entrées dans cette voie périlleuse elles ont déjà un
pied
dans l'aliénation mentale, et au point de vue m
il reçoit sur la tête un marteau tombé d'une hauteur d'environ six
pieds
: pas de perte de connaissance; pas de symptôme
on collés sur les os (doigts, articu- lations, omoplate, clavicule,
pieds
, aponévrose crânienne). Enfin complication de l
dan- foit vn mouton noir la tenoit appenduë par la main auec ses
pieds
, qui eftoient comme elle difoit, bien haireux, c'
erminent que de faibles contractions musculaires. La trépidation du
pied
ne peut être provoquée; le réflexe rotulien a t
prendre L gauche. L'invasion continue, mais ce sont les oileils du
pied
gauche qui perdent les derniers leur sensibilité.
abord il la face; quand elle repatatt, elle se manifeste d'abord au
pied
, puis z la main, remon- tant progressivement de
les altérations DE la moelle épinière RLNCON- TRÉES dans un cas DE
pied
BOT VARUS équin; par le Dl A. PITRES. Le nomm
pu fournir aucun renseignement précis. Il avait en même temps un
pied
bot varus équin du côté gauche. Le pied était for
. Il avait en même temps un pied bot varus équin du côté gauche. Le
pied
était fortement ren- versé en dedans, et pendan
parfaitement conservée. A l'autopsie, les muscles de la jambe et du
pied
n'ont pas été disséqués. Seuls le cerveau et la
ant qu'on peut en juger par les faits pu- bliés jusqu'à ce jour, le
pied
bot est dans un certain nombre de cas la conséq
de myélite banale. Et s'il était bien démontré que dans ce cas le
pied
bot fût réellement congénital, il faudrait en con
et de l'adulte. 11 est à peine besoin d'ajouter que tous les cas de
pied
bot ne dépendent pas des mêmes conditions patho
hogéniques. Il existe en ell'et des observations très régulières de
pied
bot anciens, dans lesquelles la moelle méthodiq
1. Coyne et Troisier3. M. Tho- ' Miehaud. Note sur la pathogénie du
pied
bot congénital à propos d'un exemple d'une diff
' Déjerine. Note sur l'état de la moelle épinière dans un cas de
pied
bol varus équin. (Archives de Physiologie, 1815,
quin. (Archives de Physiologie, 1815, p. 253). - Coyne et Troisier.
Pied
bot varus congénital double : examen de la moel
égard et qui démontrent la nécessité d'établir dans l'histoire du
pied
bot un certain nombre de divisions correspondant
s mouvements de 1 Thorens. -- Documents pour servir à l'histoire du
pied
bot varus congénitale (Thèse de doctorat, Paris
s à un moindre degré; F... peut marcher et, le 29 avril, il vient à
pied
à la Charité. Etat actuel. La tête est immobi
ine pendant la marche, le malade peut même se tenir debout sur le
pied
droit pendant quelques instants. Il n'a pas d'hém
ouvements réflexes provoqués par le chatouillement de la plante des
pieds
sont à peu près les mêmes à gauche et à droite ;
la paralysie de la jambe a diminué, mais il la traîne encore et le
pied
s'est déformé. Vers le même moment, le bras par
et grêles. Le bras gauche est contracture dans la demi-flexion, le
pied
gauche est médiocrement déformé, et ne repose q
ndex; 3° sur le tendon d'Achille gauche ; 4° sur le bord externe du
pied
gauche; 50 sur la crête iliaque, sur le sacrum.
u- jours il s'agit de lésions siégeant à la partie postérieure du
pied
de la couronne rayonnante ou dans son expansion.
leur route vers le centre ano-spi- nal. H.D'O. VII. STRUCTURE DU
PIED
DU PÉDONCULE cérébral ET DU noyau lentiforme ;
orps genouillés; 4° d'autres enfin vont former la partie externe du
pied
du pédoncule, le faisceau sensitif de Tiirck. C
substance de Soemmering et qui se rendent dans la partie interne du
pied
du pédoncule. D'autres fibres partent du noyau
tent du noyau rouge pour se diriger aussi vers la partie interne du
pied
du pédoncule. Du tubercule quadrijumeau postéri
postérieur sortent des faisceaux qui vont dans la partie externe du
pied
du pédoncule, immédiatement en dedans du faisce
dedans du faisceau de Tiirck. Presque toute la partie interne du
pied
du pédoncule est constituée par des fibres venues
tance de Soemmering, 3° du tubercule quadrijumeau postérieur, 4° du
pied
du pédoncule. Le faisceau de Türck est tout à f
is, 1868), sur la trépidation épileptoïde des membres (phénomène du
pied
, clonus du bras). En 1874, Erb et Westphal rapp
son tendon (phénomène du genou). Mais, tandis que le phénomène du
pied
n'apparaît que dans les cas pathologiques, celui
ud en fait des réflexes médullaires ; Gowers pense que le clonus du
pied
résulte de l'excitation directe, tandis que le
s attrayant et plus facile. La création à Gheel d'un asile au petit
pied
, il est vrai, n'a rien changé à ses conditions
as (le la), par Gilbert, 273. (altération de la), clans un cas de
pied
bot va- rus équin, par Pitres, 319. Moteur oc
amilial (lettres sur le), 358. Pédoncule cérébral (structure du
pied
du et du noyau leuti- lonne), par Pasternatzky,
re du pied du et du noyau leuti- lonne), par Pasternatzky, 316.
Pied
bot varus équin (altération de la moelle dans u
mités inférieures, surtout dans les mouvements des articulations du
pied
et du genou, accompagnée de troubles très peu acc
ertaines anesthésies, au sens étroit du mot, celles des plantes des
pieds
, par exemple, des articulations des pieds, etc.
celles des plantes des pieds, par exemple, des articulations des
pieds
, etc., exagéreront encore ce phénomène à un degré
: « Les cliniques psychiatriques doivent être placées sur le même
pied
que les autres cliniques universitaires. Cette
nt ainsi le séjour pro- longé au lit l'installation à la tête et au
pied
du lit de tablettes verticales, en substance ma
le que la malade ne peut se tenir seule debout. Pas de phénomène du
pied
. Exagération du réflexe rotulien. Troubles du s
phie et la paralysie flasque des extenseurs et des fléchisseurs du
pied
avec prédominance sur ces derniers, entraînant ch
urs du pied avec prédominance sur ces derniers, entraînant chute du
pied
et steppage, la diminution des contractilités f
bes, avec légère dissociation syringo-myélique à la face dorsale du
pied
gauche indiquent une altération des troisième,
e France... Vous ne m'avez pas vu en ville ? ... 11 est haut de six
pieds
et monte la garde contre les Prussiens. Il y en
eloppée progressivement, à la suite'de la variole, une affection du
pied
gauche, Ipcalisée presque exclusivement aux ort
s profonds ne sont pas nécessairement altérés, et le vrai clonus du
pied
est rare; tandis que dans l'hémiplégie organiqu
ux et osseux (trépidation SOCIÉTÉS SAVANTES. 163 DE L\ rotule, du
pied
Er DE la Mur<), marchent de paire avec 1'¡'ype
e paire avec 1'¡'ype1'- tonie musculaire. La trépidation réflexe du
pied
peut se montrer à titre d'exception dans l'hémi
les muscles de la région antéro-externe de la jambe et le mollet ;
pied
bot varus équm/paraty- tique ; impossibilité de
ied bot varus équm/paraty- tique ; impossibilité des mouvements des
pieds
, difficulté des mou- vements des jambes. Abolit
dées de persé- cution. Elle croit ne plus exister, ne plus avoir de
pieds
, de mains, de corps, etc. Le second cas est r
ussion du tendon d'Achille ou par la piqûre cutanée de la plante du
pied
.. Dans cer- tains cas il est nécessaire par une
e celles-ci, comme, par exemple, la paume des mams, la plante des
pieds
sont toujours bien, graissées et cependant ne pos
bidrose siège souvent à la paume des mains, parfois à la plante des
pieds
, ..iL la face postérieure de la cuisse et de la
mbe 'gauche. 'Au -surplus, le -sujet s'est aperçu lui-môme, que son
pied
gauche'frappe le sol à MALADIE NERVEUSE FAMILIA
compagnait d'une sensation de froid dans la jambe gauche, allant du
pied
au genou. Enfin cette même jambe devenait plus
ol. A ce premier examen, il existait une sensation de froid dans le
pied
gauche, la jambe du même côté était plus faible
Les membres supérieurs étaient indemnes. La marche était facile, le
pied
ne frôlait plus le sol. 18 octobre 1899. - Suje
des réflexes ]Jatellaires, surtout du coté gauche. Pas de clonus du
pied
. Le malade sent bien la terre en marchant, mais
re est absolument conservée aux membres intérieurs, il n'y a pas de
pied
bot. ' MENSURATIONS DE LA CUISSE ET DE LA JAMBE
du côté opposé. La rotule gauche est un peu surélevée, la plante du
pied
gauche est un peu plus relevée que la plante du
, la plante du pied gauche est un peu plus relevée que la plante du
pied
droit. Il n'y a pas d'autres troubles trophique
la marche telle qu'elle existait à cette époque), l'extré- mité des
pieds
raclait le sol. A cette époque, il était encore c
aire - à ce qu'il prétend. Le sujet étant debout ne peut fléchir le
pied
sur la jambe. Ce mouvement est surtout à peine
dans l'articulation tibio-tar- sienne, le sujet fléchit et étend le
pied
plutôt qu'il ne fait exécuter de pareils mouvem
x orteils. En outre, la force musculaire est diminuée au niveau des
pieds
, en particulier au pied droit où, si le malade
orce musculaire est diminuée au niveau des pieds, en particulier au
pied
droit où, si le malade résiste bien aux mouveme
ion, il n'oppose qu'une résistance médiocre à l'extension forcée du
pied
. Dans ce Fig. 6. Écriture de Goulven, le 4S o
Les réflexes sont sensiblement normaux. Il n'y a pas de clonus du
pied
. Rien de particulier aux réflexes cremastériens,
ent la marche se fait aisément, mais de temps en temps il frotte le
pied
droit sur le sol, le frottement est plus pronon
le sol, le frottement est plus prononcé le long du bord interne du
pied
. Du reste, le sujet fait demi-tour sans hésitatio
ait existé de ce côté également. Le sujet sent bien le sol sous ses
pieds
. Membres supérieurs. - Pas de tremblement inten
pha- lango-phalanginiennes sont un peu exagérés. Il n'y a pas de
pied
bot, mais un léger pied plat gauche qui ne gène
ennes sont un peu exagérés. Il n'y a pas de pied bot, mais un léger
pied
plat gauche qui ne gène pas la marche du malade
che qui ne gène pas la marche du malade. Le sujet prétend que ses
pieds
auraient diminué de volume, mais à l'examen il
articulation tibio-tarsienne : droite. 18 cent.; gauche, 18 cent.
Pieds
, partie moyenne : droit, 23 centimètres ; gauche,
t* laquelle il frotte par moments le plancher du bord interne du'
pied
droit, mais cela à titre exceptionnel, pourrait-o
ne absolu de dégénérescence du cordon pyramidal. Pas de clonus du
pied
, pas de réflexes de Babinski. Ajoutons que nous n
ivers segments des membres inférieurs depuis les petits muscles des
pieds
jusqu'à la cuisse, son extension fatale et régu
paraplégie spasmodique avec exagé- ration des réflexes et clonus du
pied
sans troubles de la sensibilité ni des sphincte
l 1898, brusquement fut frappée la nuit d'une paralysie complète du
pied
droit et de la main gauche. L'oeil gauche ne po
s rotuliens sont exagérés des deux côtés. Il n'y a pas de clonus du
pied
. Les réflexes cutanés (crémastérien, abdominal et
ents violents des vaisseaux du cou, ou encore par de l'oedème aux
pieds
et aux chevilles. Dans la moitié environ des ca
ercices des jointures, diminution de la contracture. - DilUé- vie ;
pieds
bols. - Trépidation épileptoïde par les mouvement
lsions de l'enfance. Ces frères « très robustes sont des coureurs à
pied
très remarquables, le plus âgé a trente-quatre
s étaient prises de trépi- dation et restaient en demi-flexion. Les
pieds
ne posaient point par terre (pieds bols). La
t restaient en demi-flexion. Les pieds ne posaient point par terre (
pieds
bols). La physionomie était sans expression, sa
un peu en arrière d'elle et la calotte du pédoncule céré- bral ; le
pied
parait manquer complètement. Hémisphère droit.
de l'état congénital. Mentionnons la diplégie avec contracture et
pieds
bols remarqués après huit jours de convulsions, l
ues derrière chaque oreille, des sina- pismes sur les jambes et les
pieds
et des ventouses sèches sur la poitrine. - 14
voir sa mèle diabétique, et actuellement mourante par gangrène du
pied
droit; il m'avait précédemment renseigné sur la m
alade la sug- gestion de souffrir et de souffrir continuellement du
pied
droit; je suggérai en même temps le rétablissem
et de son père, faisant étendre la main droite de ce dernier sur le
pied
de sa femme, et le leur recommandai de faire gr
upporter cela, je veux mourir ! Une souffrance terrible agitait son
pied
et sa jambe de mouvements spasmodiques. Le doct
t que cela dépassait sa compréhension. Cependant, lorsque je vis le
pied
débarrassé de son bandage, mon expérience objecti
nergie subjective et, mentalement et oralement, je commandai que le
pied
donnât issue à du pus jusqu'au lundi suivant,-
ement convaincu qu'elle guérirait. En effet, du samedi au lundi, le
pied
suppura plus que dans les deux semaines précéde
el pouvoir : actuellement elle veut vivre, le sucre a diminué et le
pied
a repris, sauf la perte de quatre orteils (le gro
arte de la ligne médiane;' la cuisse se fléchit sur le bassin et le
pied
se soulève plus du côté malade que du côté sain
jambe se fléchit sur la cuisse, bien moins à droite qu'à gauche; le
pied
droit vient ensuite s'appliquer sur le sol avec
e; parfois ces secousses étaient accompagnées d'une douleur dans le
pied
droit. Au sortir de ces accès, elle se plaignai
autres, les jours suivants. Elles débutaient par un tremblement du
pied
droit; puis, des secousses cloniques envahissaien
inq ans, se plaint d'une sen- sibilité douloureuse des mains et des
pieds
. Réflexes normaux. Sen- sibilité normale. La ma
elativement du moins, est celle où la sensibilité est conservée aux
pieds
,'au bassin sur une surface qui rappelle un peu
ute hâte pour porter secours à l'enfant. Au moment où il mettait le
pied
à terre,'sa femme saisit un bol de vitriol qu'e
e en flexion sur la cuisse, celle-ci légèrement sur le bas- sin, le
pied
en varus équin, ayant les doigts fortement étendu
palement le gros doigt, on pouvait l'étirer, mais pas autant que le
pied
gauche. Les réflexes étaient exagérés dans ces
dans le membre droit. Le phénomène de Uabinski s'observait dans le
pied
gauche; dans le pied droit la position du gros
. Le phénomène de Uabinski s'observait dans le pied gauche; dans le
pied
droit la position du gros doigt était, à l'état
oulus le mettre debout, il appuyait, pendant de légers instants, le
pied
gauche par terre, mais le pied droit se llexion
yait, pendant de légers instants, le pied gauche par terre, mais le
pied
droit se llexiontiait davantage sur la cuisse,
avec l'avant-bras en flexion et le pouce dans la paume de la main.
Pied
bot varus équin. Spasticité dans tous les segme
ment au complet) de la maladie de Uercum. La face, les mains et les
pieds
sont indemnes, l'infiltration adipeuse est diff
. Dans une position nor- male au contraire, il ne peut regarder ses
pieds
par suite du spasme d'élévation qui s'établit l
des condyles fémoraux à l'ex-trémité inférieure du tibia, 0m,29; — du
pied
, 0n,,17. Celui-ci présente la déformation dite :
ia, 0m,29; — du pied, 0n,,17. Celui-ci présente la déformation dite :
pied
bot varus e'quin des plus accu-sées, apparence du
rmation dite : pied bot varus e'quin des plus accu-sées, apparence du
pied
de Chinois (voy. Planche 1); la jambe est assez f
x à l'extré-mité inférieure du tibia.............. 32 — Longueur du
pied
................. 19 — Diamètre de la jambe.....
Le genou est moins déformé que le droit. Il n'y a pas de luxation.
Pied
Equin très-prononcé (voy. Planche I). Le malade m
laire plus ou moins complète. L'action des muscles de la jambe sur le
pied
est à peu près abolie; à peine les orteils reçoiv
inférieur droit. Il y a un très-petit mouvement des flé-chisseurs du
pied
, mais très-petit (tandis qu'à gauche il est plus
dent pas du tout, sauf le couturier, qui se tend un peu, très-peu. Le
pied
a l'apparence du pied de Chinois. Les fléchisseur
le couturier, qui se tend un peu, très-peu. Le pied a l'apparence du
pied
de Chinois. Les fléchisseurs ont ra-mené les doig
arence du pied de Chinois. Les fléchisseurs ont ra-mené les doigts du
pied
en dessous, les extenseurs n'agissant pas du tout
me ce que donnait l'examen précédent : Des deux côtés, les muscles du
pied
, de la jambe, delà cuisse, qui se remuaient sous
, depuis un mois, s'était aperçue que les doigts de sa main et de son
pied
gauches étaient le siège de mouvements involontai
es enfants qui, en raison du léger degré d'altération des muscles des
pieds
et du peu d'étendue des déformations essentielles
ois que les difformités commencent à s'accuser. Ainsi se développe le
pied
bot de la paralysie infantile qui est le pied bot
. Ainsi se développe le pied bot de la paralysie infantile qui est le
pied
bot paralytique par excellence, et qui, dans l'im
cette grande laxité des jointures permet de distinguer à coup sûr le
pied
bot résultant de la paralysie infantile du pied b
tinguer à coup sûr le pied bot résultant de la paralysie infantile du
pied
bot con-génital, alors même que l'on serait privé
z les oiseaux, qui, comme vous le savez, perchent presque tous sur le
pied
droit. Cette faiblesse relative du cerveau gauc
actures, la main fléchie sur l'avant-bras, le genou à demi fléchi, le
pied
droit tourné en dedans. Les jours suivants, les s
u corps, et en outre elle donne une idée exacte de la malformation du
pied
. 1 Spring. Mémoires de l'Académie de Belgique,
de la masse morbide, que de la douleur qu'occasionnait la pression du
pied
sur le sol. — Pendant un an, le malade essaya de
de la tumeur ; en môme temps, prenant un fort point d'appui sur le
pied
gauche et réunissant lous ses efforts, il parvien
pied gauche et réunissant lous ses efforts, il parvient à projeter le
pied
droit de quelques centimètres en avant. Ce résult
sultat est atteint par un mouvement de glissement, le soulève-ment du
pied
étant absolument impossible. La station debout sa
ainsi constituée ne possède que des mouvements fort restreints. Le
pied
, constamment fléchi sur la jambe, ayant subi un m
e cette réflexion concourt manifestement à relever le bord interne du
pied
. A la région postérieure, les muscles, parvenus
dé dans certains points, et en rapport avec la flexion perma-nente du
pied
sur la jambe; les deux facettes articulaires anté
l'eau. Le pôle positif, constitué par un gros charbon, correspond aux
pieds
, et le pôle négatif, constitué lui, par une plaqu
fant est porteur d'une malfor-mation rare, intéressant la jambe et le
pied
du côté droit et diffé-rant des cas ordinaires de
de la malformation. — La difformité porte surtout sur la jambe et le
pied
droits. La cuisse de ce côté offre un léger racco
t surtout très-dévié. C'est ce qui, du reste, explique la position du
pied
, qui est tout à fait déjeté en de-hors et forme a
en haut. La planche XVIII rend bien compte Je cette disposition. Ce
pied
, plus court que celui du côté opposé de quatre ce
s sans manifesta-tions syphilitiques. Depuis quatorze mois, œdème des
pieds
; dou-leurs nocturnes dans les tibias. On lui don
e très-prononcé, avec de nombreuses petites taches purpurines sur les
pieds
et la partie inférieure des jambes. Il y avait, e
Mariée à l'âge de 29 ans à un ouvrier relieur, elle l'accompagna à
pied
dans les nombreuses pérégrinations auxquelles il
siège de varicosités nombreuses, sur-tout au niveau de la jambe et du
pied
. Dans ces régions, les veines superficielles, trè
e paralysie avec contracture des muscles du mollet et de la plante du
pied
. La guérison ne s'est pas fait longtemps attendre
u cellulaire sous-cutané. A la face interne et plantaire de l'autre
pied
, au-dessous de la malléole correspondante, on rem
à dix-huit mois. A sa naissance, on avait remarqué qu'elle avait les
pieds
un peu renversés en dedans, mais REVUE PHOTOGRA
roit, sans qu'il y ait de raccourcissement apparent bien sensible. Le
pied
gauche est dans une rotation légère en de-hors: l
sensible. Le pied gauche est dans une rotation légère en de-hors: le
pied
droit n'a pas de déviation appréciable. Le tronc
: 1° Taille de l'enfant, adossée contre un plan vertical et les deux
pieds
reposant autant que possible sur le même plan, lm
voudrais pas, toutefois, messieurs, que vous prissiez absolu-ment au
pied
de la lettre le dernier terme de la proposition q
ue dans la jambe droite, la contracture était tellement forte, que le
pied
tout entier était roicle et comme d'une seule piè
ne pouvait ni fléchir le genou ni remuer en aucun sens aucun doigt du
pied
. (Voy. Planche XXIX.) Aujourd'hui, elle peut fléc
elle peut fléchir un peu le genou, et elle peut mouvoir ses doigts de
pieds
. (Planche XXX1.) Chez la femme atteinte de myél
que, à cette époque, la contracture était très-prononcée, et que les
pieds
, surtout le droit, étaient fortement contractures
er. Elle nous montre que la malade peut fléchir ses jambes et que les
pieds
sont revenus à peu près à leur situation normale.
ourts. La peau des mains est flasque, lâche, fortement plissée. Les
pieds
sont courts, ramassés ; la peau y est violacée, é
.... 183 Le petit empan................... 175 Longueur totale du
pied
............... 200 Fleury a, depuis -4 ans, plu
me longueur, et prenant son point d'insertion vers le bord externe du
pied
, un peu en arrière des deux derniers orteils. Il
pendulum. , Pendant la marche, la tumeur se rabat sur la plante du
pied
, vers son bord interne. La portion de la lace pla
de longueur et de grosseur normales. Dix minutes après environ, deux
pieds
se présentant à La vulve, la sage-femme tira dess
la base est de 11 cent. 1/2. Les deux jambes sont terminées par des
pieds
bots valgus (voy, Pl. XXXV), dont la partie tarsi
so-phalangienne relevée c:i avant, de telle sorte que l'axe de chaque
pied
forme par sa brisure un angle obtus ouvert en deh
ïde fait une forte saillie. Les deux talons sont fort apparents. Le
pied
droit porte quatre orteils, dont trois sur le mêm
ont des ongles apparents, minces, longs de 1 millimètre environ. Le
pied
gauche a cinq orteils complets, dont les deux der
e, vis-à-vis d'une croisée, j'y fis placer la mala !e en travers, les
pieds
sur des chaises. J'introduisis le spéculum dans l
ion lombaire, par le même, 62. — de la fesse, par Hervieux, 209. — du
pied
, par Tillaux, 585. Montméja (A. de), 48, 96.
ophique du col utérin. . 566 Planche XXXIV. Mollusciun pen-dulum du
pied
.......3S5 Planche XXXV. Acéphale humain. 588
aux. Cette argenterie a été volée dans diverses maisons et enfouie au
pied
de l’arbre par le voleur qui n’a pu la reprendre
le vice. » « Peu après nous vîmes cet homme, par des mouvements de
pieds
presque imperceptibles, prendre de son triangle s
t, mais en conservant toujours la ligne blanche tracée entre ses deux
pieds
. 11 fit ainsi environ deux mètres dans cette dire
le pour et le contre peuvent dépendre d’un certain nombre de coups de
pieds
de table, pourquoi ne pas admettre la possibilité
crée s’ollrit à ma vue; « et pendant que je déposais mon offrande aux
pieds
de la « déesse, je devais, suivant le conseil des
Harpocrate, étendu sur des feuilles de lotus, « enveloppé depuis les
pieds
jusqu’à la tête, et qui lui défi manda le lait de
— Je prenais le chemin le plus court. — Mais il y a un mur de neuf
pieds
que vous n’auriez jamais pu franchir 1 — Oh ! o
le bonheur d’en avoir une. Attachez-le à un fil de soie d’environ un
pied
de long, fixez l’autre bout du fil autour de votr
bord 011 faisait tourner les tables, à présent on les fait frapper du
pied
; mouvement de rotation, mouvement de bascule, c’e
n haute d’un demi-mètre. Le guéridon, faisant la bascule, appuyait un
pied
, puis un autre, contre le mur, le gravissait penc
esprits. On adresse à la table une question, avec ordre de frapper du
pied
eu cas d’affirmation ; la pensée, la volonté des
usieurs fois l’alphabet, après avoir enjoint à la table de frapper du
pied
à la première lettre du mot, puis à la seconde, e
e à s’ébranler sous les doigts, je commande à ce meuble de frapper du
pied
, sans que je communique à personne le nombre de c
cente de l’os frontal, au diaphragme, au cœur, aux deux genoux et aux
pieds
(2). » (1) Ouvrage cité, p. i>5. (2) Idem,
re les choses futures; ses pythonisses, élevées sur la «table à trois
pieds
,» agitées parle dieu, lisaient dans l’avenir. Tou
e humain, pour provoquer l’ancien serpent tout meurtri du coup que le
pied
de la femme lui a porté à la tête, et pour l’invi
is de refuser de monter dans le corps de pompe au delà de trente-deux
pieds
, en dépit du fameux aphorisme nutum abhorret à va
tes la table tourna ; au bout de quinze, elle répondit en frappant du
pied
aux interrogations qui lui furent faites. Les rép
able, un guéridon de salon, ayant un mètre environ de diamètre, trois
pieds
assez massifs et garnis de cercles de cuivre, por
arait affirmer, puisqu'elle tourne. Mais, pour ce qui est de lever le
pied
, comme au bout d’un quart d’heure et durant deux
yé : « Es-tu un mauvais esprit? » Incontinent cette table lève le
pied
sous les mains mêmes de cette personne et à une h
Il suffit de mettre les extrémités de ces personnes (les mains et les
pieds
; mais les mains suffiront le plus souvent), en ra
mme ayant été renversée par sa vache, avait eu la main écrasée par le
pied
de l'animal, la chair était enlevée ; je fis coup
s jours, en appliquant les mains depuis la ceinture jusqu’au bout des
pieds
, et ne cessait que lorsque le malade s’endormait.
el il fait ses évolutions est parsemé de ces débris qu’il repousse du
pied
avec une rare dextérité. La fatigue succède au co
ctions, lui ordonna d’aller à droite, il gauche, de se lever sur deux
pieds
, puis sur un ; et, docile à ces ordres, elle exéc
rès-lent, et presque instantanément, la table, en élevant deux de scs
pieds
, a marqué la mesure du morceau que nous chantions
ce qui suit : « Prenez une petite table ronde de bois blanc dont le
pied
peut être un disque, fixez-y, au moyen de petits
ord, un nombre égal de fils de cuivre très-flexibles de deux ou trois
pieds
de long. Placez autour de la table, selon sa dime
n peut aussi augmenter la dimension de la table. Les tables il quatre
pieds
changent de place et tournent. Cette expérience d
ourdissement de ces paroles, comme d’un coup de foudre, se jeta à ses
pieds
avec son poignard, et se mit à étudier ardemment
olument la foule, il s’emparait du malade et le remettait bientôt sur
pied
, à la grande surprise des assistants, qui apprena
autour de la sur- lace que l’objet actionné occuperait. On a vu des
pieds
de table se briser en rencontrant un obstacle sur
e la guérison est efficace et que la pratique est te-nue sur un grand
pied
. Dans la nuit du vendredi saint, de minuit au sol
contre-bas. Or, en admettant une résistance horizontale à l’un des
pieds
de la table opposé à l’opérateur, le pied de la t
nce horizontale à l’un des pieds de la table opposé à l’opérateur, le
pied
de la table devient le point d’appui d’un levier
herché s’exécutera si l’impulsion est assez forte et la résistance du
pied
au glissement assez considérable, line légère rug
irigeant convenablement l’impulsion, en augmentant la pression sur le
pied
de la table qui doit servir de point d’appui, on
sque indéfiniment et produire le phénomène observé. Si la table a ses
pieds
très-rappro-chés du centre, comme cela a lieu pou
ernatifs, tant des muscles extenseurs que des muscles fléchisseurs du
pied
, de la jambe et de la cuisse. En avez-vous consci
’une de l’autre, et mettent leurs mains sur une petite table à quatre
pieds
très-rapprochés, juchée sur une table ordinaire,
les yeux de chacun de ses membres une note écrite : « Faire lever le
pied
droit ou le bras, » lorsque les mains des opérate
ètement à un membre de la chaîne, la table comptera le nombre avec le
pied
situé du côté de ce membre. ”est un autre membre
être jamais comprise. Son emblème est ce sphinx mutilé qui, couché au
pied
des pyramides, attend encore l'Œdipe qui trouvera
rs les étoiles (les danses ont toujours lieu la nuit), puis frappe du
pied
le tapis sur lequel elle se trouve, avec une forc
euse compliquée, laquelle avait amené une paralysie presque totale du
pied
gauche, paralysie accompagnée de spasmes de la po
donne la lumière donne aussi la vie). N’a-t-il pas, en effet, déjà un
pied
dans la tombe celui qui, comme Mil ton et Delille
e va jusqu’à mouiller abondamment la place du parquet où reposent ses
pieds
; ce qui justifie l’aphorisme de Mesmer, emprunté
le maîtresse, et voilà que Gemma, qui était simplement tombée sur ses
pieds
, sans se faire mal, arrive juste à propos pour se
pal rôle dans leurs prestiges : c’est un tambour ovale, long de trois
pieds
, recouvert d’un côté seulement par une peau sur
à extorquer. Des signes particuliers, des mouvements des mains ou des
pieds
, l’intonation de la voix, le toucher, etc., forme
e, la faire s’avancer devant un point désigné, frapper avec un de ses
pieds
un nombre de coups déterminé, lever successivemen
n nombre de coups déterminé, lever successivement ou à volonté chaque
pied
, se pencher jusqu’à terre et se relever. Les expé
dernière opinion, et, à force de chercher, à force de contracter ses
pieds
, ses jambes, ses tendons, il parvint à découvrir
gulière! ce frappement peut s’accomplir sans mouvement appréciable du
pied
; seulement, lorsqu’on appuie le doigt derrière l
hantement ii des passes générales, faites à. distance, de la tète aux
pieds
. Quelques frictions magnétiques, depuis le haut d
emarquai que tout son corps était roidc comme un pieu, de la tête aux
pieds
, comme si elle eût été plongée dans le plus profo
ment : « Vous ne pourrez u m’éveiller qu'en plaçant la boule sous mes
pieds
. ■> Je le fis ; en moins d’une minute, la rigi
, et je ne pouvais alors la réveiller qu’en plaçant la boule sous ses
pieds
. « Une dame voulut aussi en essayer : elle y re
turellement le monde des intelligences s’élevant de l’homme jusqu’aux
pieds
du trône de Dieu. L’homme, à la fois âme et matiè
par le zinc, et ascendant si le contact est donné par du cuivre. Le
pied
gauche paraît à M. de Morogues jouer le même rôle
paraît à M. de Morogues jouer le même rôle que la main droite, et le
pied
droit avoir les mômes propriétés électriques que
électro-simples. Qu’il soit en contact avec eux par une main ou un
pied
ou plusieurs de ces organes, l’opérateur verra to
a baguette, est-il au-dessus d’un cours d’eau ou d’un filon, les deux
pieds
en contact avec l’électro-composé par l’intermédi
aguette tourne. Pourquoi la baguette ne tourue-t-elle pas lorsque les
pieds
de l’opérateur sont à cinq mètres de distance hor
ême influence. Des passes faites depuis le haut des cuisses jusqu’aux
pieds
lui firent éprouver un cornant très-fort qui remo
à la suite les uns des autres, ont composé une bande de quatre cents
pieds
de longueur, qu’on a roulée autour d’un cylindre
e mit en prières. Mon chien entra et fut enlevé à une hauteur de cinq
pieds
, puis lancé hors de la chambre avec une force cap
on passage nos mains et nos têtes. Quelquefois elle glissait sous nos
pieds
, puis elle s’élevait et allait frapper le plafond
u sur les autres parties des personnes malades; c’étaient surtout les
pieds
des verres à liqueur qui se prêtaient le plus à c
s à tort, suivant l’honorable professeur M. Forget. On lui plonge les
pieds
dans un bain chaud et fortement sinapisé ; ils y
iers signes sont un mouvement d’affaissement qui entraîne le corps au
pied
du lit, en même temps qu’elle pousse quelques cri
rendre le contenu au malade, et, dès le lendemain, celui-ci était sur
pied
. Ségé-hus ne prenait rien pour ses consultations
aient, se resserraient convulsivement, dansaient, sautaient sur leurs
pieds
inégaux et tombaient sur le parquet. Les points,
Le village de Prevorst est, dans le royaume de Wurtemberg , à 1879
pieds
au-dessus du niveau tle la mer. 11 est entouré de
ffection, elle accompagna son corps jusqu’à la tombe, et éprouva, les
pieds
sur cette tombe, un effet bien singulier : un agr
inistres protestants, sauta tout à coup à une hauteur de sept ou huit
pieds
, et resta en l’air jusqu’à ce que les efforts de
qu’au tombeau du Christ, pour toucher et baiser la terre que foula du
pied
le divin Sauveur. C’est à travers mille dangers q
et que je vais décrire. C’est une colonne de bois, reposant sur trois
pieds
, comme un guéridon, haute d’un mètre environ, et
diverses postures ont été imposées à leurs corps ; leurs têtes, leurs
pieds
, leurs bras, leurs bouches sont devenus roides et
ns où le mouvement doit avoir lieu, les mains les plus rapprochées du
pied
appefë à se dresser sont en dehors du plateau, s’
ins placées vis-à-vis, et qui s’étaient avancées d’abord vers le même
pied
, s’en écartent en l’attirant. C’est pendant cette
is, et que les ordres de soulèvement sont proférés avec force, que le
pied
quitte le sol et que le plateau suit les mains au
ontraire. Mais quand 011 vint à reconnaître qu’au-delà de trente-deux
pieds
, l’eau refusait de monter dans les pompes, il fal
me des corps inertes, et que nous pousserions dédaigneusement avec le
pied
, comme privés de toute vie, de toute action. «
e sur le dos, et circonscrivant par la pensée l’espace qui sépare ses
pieds
, on a l’image d’un baquet vide. De même, un baque
ussitôt qu’il changera de tactique et 111e montrera ses cornes et ses
pieds
fourchus, je vous promets bien de le fuir en lui
les tenant sous les bras, l'infirmière aidant alternaltivement leurs
pieds
avec les siens, soit à l'aide du chariot ; on for
i fléchi. Balancer le corps en avant et en arrière. Appui tendu des
pieds
et des mains. Appui fléchi des pieds et des mains
t et en arrière. Appui tendu des pieds et des mains. Appui fléchi des
pieds
et des mains. Chant à l'appui des pieds et des
des mains. Appui fléchi des pieds et des mains. Chant à l'appui des
pieds
et des mains, flexion et extension des jambes.
n alternative de la cuisse et de la jambe. S'élever sur la pointe des
pieds
en cambrant les reins. Barre à hauteur de suspens
t ôcartement latéral de la cuisse et de la jambe gauche. Elever les
pieds
à la barre. Placer les jarrets sous la barre et
rière. Echelle inclinée. — Etant devant l'échelle monter avec les
pieds
et les mains. Monter à l'aide des pieds et des ma
t l'échelle monter avec les pieds et les mains. Monter à l'aide des
pieds
et des mains et descendre à la force des bras.
tant derrière l'échellle, suspension. Tractions. Suspension par les
pieds
et les mains. Flexion, extension des jambes et
sion des jambes et tractions des bras. Monter et descendre avec les
pieds
et les mains. Monter à l'aide des pieds et des
onter et descendre avec les pieds et les mains. Monter à l'aide des
pieds
et des mains et descendre à la force des bras.
ère. Echelle orthopédique. —• Étant devant l'échelle. Monter avec les
pieds
et avec les mains. Descendre à la force des bras,
ambe. Élever simultanément les cuisses et les jambes. Monter avec les
pieds
et les mains et descendre de même. Monter avec le
ter avec les pieds et les mains et descendre de même. Monter avec les
pieds
et les mains, se placer à l'appui tendu et desc
Étant derrière l'échelle, suspension. Tractions. Suspension par les
pieds
et les mains. Flexion, extension des jambes et tr
on des jambes et tractions des bras. Monter et descendre à l'aide des
pieds
et des mains. Monter à l'aide des pieds et des ma
ter et descendre à l'aide des pieds et des mains. Monter à l'aide des
pieds
et des mains et descendre à la force des bras.
extrémi-tés inférieures. Etant placé comme ci-dessus à l'appui des
pieds
et des mains fléchir les bras, corps cambré, tête
s. Sauts successifs sur place, corps cambré. Sauts en longueur de
pied
ferme. Sauts en hauteur de pied ferme. Sauts
orps cambré. Sauts en longueur de pied ferme. Sauts en hauteur de
pied
ferme. Sauts en hauteur et en longueur de pied
Sauts en hauteur de pied ferme. Sauts en hauteur et en longueur de
pied
ferme. Sauts de côté. Sauts en longueur avec
lins............ 530 — au personne]...... 1.281 26.484 Bains de
pieds
........... 5.790 Douches................. 49.87
un service régu-lier des bains généraux, des douches et des bains de
pieds
(l). \j'hydrothérapie nous rend de très grands s
teux, 162 ferrures et char-nières, 117 objets en bois faits au tour :
pieds
de table, pieds de meubles, poignées, boules, cyl
es et char-nières, 117 objets en bois faits au tour : pieds de table,
pieds
de meubles, poignées, boules, cylindres, cheville
u certificat immédiat nous examinons nous-môme reniant de la tête aux
pieds
s'il y a lieu; il en est ainsi depuis 1880, ce qu
en réalité un rez-de-chaussée bien aéré, bien éclairé, donne de plein
pied
sur une large terrasse, exposée à l'ouest et sur
u'en cas de réparations qu'elles les prennent à Bicêtre. Les bains de
pieds
ont été donnés à la Fondation où existe, ainsi qu
st surtout à cette occasion que l'on procède aux soins des mains, des
pieds
, des ongles. Voici la statistique des bains et de
être................. 893 Total ?7.998 Douches...... Bains de
pieds
36.226 2.893 Service dentaire. — Toutes les f
ntattein-tesd'hémiparésie; 13 deparaplégie; 16d'hémiplégie; 4 ont des
pieds
bots; 1 double pieds-bots; 5 sont choréiques; 3 a
héma suivant. Les malades doivent être examinés nus, de la tête aux
pieds
. On doit procéder avec douceur à l'examen. Phys
Hémichorée, athétoso. 7° Epilepsie spinale, trépidation, phénomène du
pied
. Signe de Babinski. 8° Réflexes (bras, genou, p
on, phénomène du pied. Signe de Babinski. 8° Réflexes (bras, genou,
pied
). 9° Comparaison des deux côtés du tronc (thora
. Pleurs. Rires. (Voir page clxxxvi). Circulation. Congestion des
pieds
, des mains, des oreilles et de la face ; pâleur.
ait de tous côtés, bavardait à l'école, faisait aller ses jambes, ses
pieds
, ses mains, on aurait dit qu'elle était mue par u
des cris, poussait des rugissements comme une bêle fauve, tapait des
pieds
, s'arrachait la chevelure des deux côtés de la tê
mais ne se servait que de la cuiller. Sa démarche était déhanchée, le
pied
gauche un peu en dehors mais elle suivait assez f
paralysie, la marche était nulle, elle ne se tenait debout que sur le
pied
gauche tout en la maintenant assez fortement, ne
s colères épouvantables, mordant, égratignant, donnant des coups de
pieds
à tous ceux qui l'approchaient. Maintenant il v
presque au ras du sol, afin d'empêcher les malades de placer leurs
pieds
entre cette barre et le sol, disposition qui av
née, nous avons dû nous servir des hains de Bicêtre. - Les bains de
pieds
ont été éga- lement donnés à Bicêtre où il exis
e rappeler, une installation rendant facile le lavage simultané des
pieds
d'un grand nomhre de malades ; aussi sera-t-il
e tronc, mais le corps reste droit. Il marche lentement, traine ses
pieds
et se talonne. Jamais onne l'a vu courir. A tab
les impulsions inconscientes, la clastomanie, le trai- nement des
pieds
, indice d'un affaiblissement des jambes, etc.,
elle envoie un pli de passage à la troisième, et s'insère par un
pied
volumineux sur la frontale ascendante. - La trois
ns. Elle présentait, autour des ongles des doigts de la main et des
pieds
, des ulcérations (onyxis -probablement de natur
atrophié ; l'enfant le traîne en marohant et porte sur la pointe du
pied
. Les mouvements de flexion et d'extension de la
ur le bassin, de la jambe sur la cuisse, sont possibles ; mais le
pied
est maintenu en valgus équin et on note de la con
oici ce qu'on trouve : I : est très développée et s'insère par deux
pieds
sur la l' .A. ; de petits sillons superficiels
rficiel en deux parties dont l'une, supérieure, se continue avec le
pied
de la Fi et dont l'autre, inférieure, se contin
ucoup ses parents. A l'âge de 10 ans une voiture lui a passé sur le
pied
, mais comme il avait des galoches il n'a rien e
al gauche. (530 grammes.) - Au niveau de la scissure de Sylvius, au
pied
de la Il il existe une po- il) Bien que, au mom
t les plis de passage qui la réunissent à F2 ainsi qu'une partie du
pied
de F2 présentent la même atrophie. Le repli qui
e grossesse son mari était déjà violent, lui donnait des coups de
pieds
et de poings de tous les côtés, même sur e ventre
cident scrofuleux, aucun traumatisme. Elle a eu des engelures aux
pieds
et aux mains. Les sentiments affectifs sont nul
forceps. -Asphy- xie à la naissance. - Brûlures des phalangettes du
pied
droit : cicatrisation au bout de trois mois. -
onnes présen- tes à l'accouchement l'approcha si près du feu que le
pied
droit fut bridé. Les cinq phalangettes seraient
ant le premier mois, l'enfant qui souffrait et de sa tête et de son
pied
brûlé aurait maigri beaucoup. Il prenait diffic
. Les membres inférieurs paraissent normaux, un peu éma- ciés. Au
pied
droit, on note les traces de la brûlure qui a pro
Le gros orteil a un ongle très petit et est plus court que celui du
pied
gauche. Les quatre autres orteils n'ont pas d'o
ngée à la nais- sance, compliquée d'une grave brûlure de l'un des
pieds
et enfin des convulsions qui auraient persisté
rvation, l'a saisie par les mains, égratignée et frappée à coups de
pieds
sans qu'elle ait pu se dégager et durant cela i
lique le dossier contre un mur et sur laquelle il s'assied les deux
pieds
postérieurs du siège le supportant seul. Il par
ant mourir sa sieur ainée. Il couchait clans la même chambre, les
pieds
de son lit répondant aux pieds du lit de sa soeur
couchait clans la même chambre, les pieds de son lit répondant aux
pieds
du lit de sa soeur. Il s'est levé tout debout l
nt disparu. On observe une desquamation de la peau des mains et des
pieds
, Deb.... taquine les infirmiers, par exemple ca
500 gr. Pas de glande. La desquamation de la peau des mains et des
pieds
continue. Pouls : 120. Urine : 500 gr. 14 juill
diminué, la parole est plus nette. 12 juillet. - Les mains et les
pieds
font peau neuve, les ongles poussent bien, les
e leur bonnet et rit bruyamment. La desqua- mation des mains et des
pieds
continue. 30 septembre. - Durant presque tout c
ni de la vulve, le corps tout entier est glabre. - Les mains et les
pieds
n'ont plus l'aspect pachyder- mique, il ne semb
d'apoplexie. - Oncle- maternel, mort de convulsions. -Petit cousin,
pieds
bots. Pas de consanguinité. Egalité d'âge entre
eutique. muets etc... - Un cousin maternel issu de germain, a les
pieds
tournés. Pas de consanguinité : le père est du dé
pprochement des ge- noux en dedans, l'épaississement de la peau des
pieds
et son aspect violacé. Sur tout le corps la p
, disparition des croûtes de la tête, desquamation des mains et des
pieds
qui perdent leurs caractères Lies, coloration d
appliqué, la moindre tension de l'esprit l'énervent; elle frappe du
pied
, elle pousse des cris inarticulés ; les mouvement
réparations de fauteuils en fer. 290 objets en bois faits au tour :
pieds
de meubles, pieds de table, poignées, boules, c
uils en fer. 290 objets en bois faits au tour : pieds de meubles,
pieds
de table, poignées, boules, cylindres, cônes, etc
et de débarras ; '2" magasin de chaussures, ciragier; - JO bains de
pieds
. Ces différentes pièces seraient séparées par d
e rappeler, une installation rendant facile le lavage simultané des
pieds
d'un grand nombre do malades ; aussi avons-nous
mités, du gros orteil en particulier. Les orteils s'étendent, le
pied
se tord en varus équin. Les mouvements sont moins
inférieurs sont maigres, grêles, et symétri- ques les genuox et les
pieds
viennent en contact ; en dessous soutenu sur la
varus équin, On note de plus de légers mouvements alhétosiyucs des
pieds
. Motilité, - Si donc nous considérons dans leur
ésente a sa partie moyenne trois plis de passage se portant vers le
pied
de la première {ron- tale (FI,), vers le lobttl
convolution calloso-marginale, présente des plis de passage vers le
pied
de I'I. Lobule paracentral, se continue Autopsi
genoux viennent en contact par la face interne des condyles. Les
pieds
, étendus sur la jambe en varus équin, viennent en
Idiotie légère symptomatique de méningite chronique ; paraplégie et
pieds
bots ; PAR BOURNEVILLE et sébilleau. Sommaire
essaie d'égratigner, de mordre, etc. Il marche en se dandinant, les
pieds
se renversent en dehors; il n'est pas solide su
nt très saillants. Le malade boite, il traîne la jambe gauche. Le
pied
droit se porte bien à plat sur le sol, mais le pi
ambe gauche. Le pied droit se porte bien à plat sur le sol, mais le
pied
gauche se porte sur son bord externe qui présen
sant même avec les autres enfants, en jetant l'un après l'autre ses
pieds
qui décrivent un demi cercle. Il y a une sorte
e, s'implante largement à la base de la frontale as- cendante. - Le
pied
de la troisième frontale est large et bose selé
ue, large et pro- fond : ce sillon n'est interrompu qu'au niveau du
pied
de la deuxième frontale; elle est coupée par tr
s. Kncopliale 1 .370 54 Imbécillité méningitiqtjh. Paraplégie ;
pieds
bots. 55 avec affaiblissement de l'intelligence
e gauche notablement plus que le droit, qui se termi- nait par un
pied
bot varus très prononcé. (PL. IV). Les renseign
l y1e ite a7 kil., tiOtl 5C l\IÉNIXGO-ENr : ÉPHALITE; PAUAPI.KGIE ;
PIEDS
DOTS. VI. Les lésions cérébrales consistaient,
énéralisées des deux côtés, avec ilexion et adduction de la cuisse,
pied
bot en valgus équin. Exagé- ration des réflexes
famille du père, pas d'aliénés, ni d'épileptiques, ni bègues, ni
pieds
bots, ni d'autres sourds-muets. Mère, 37 ans, m
leur assiette, les bous- cule, leur donne des coups de coude ou de
pied
. On la fait manger seule il une table : elle se
s : « leur fille va crever, ne guérira jamais. » Elle leur fait des
pieds
de nez, crache sur les carreaux, relève ses jup
jours sans manger ; a des douleurs dans les coudes, les genoux, les
pieds
, avec fièvre. Cependant le sommeil reste bon, s
les membres sont symétriques, assez bien faits, un peu grêles ; les
pieds
et les mains n'offrent aucune particularité.
caractère très emporté. Un oncle paternel mort épileptique. Jlère,
pied
bot congénital. Inégalité d'âge de 32 ans. Le
lère, pied bot congénital. Inégalité d'âge de 32 ans. Le malade :
pied
bol congénital à gauche, - Convulsions. Rougeol
au moment des règles, mouvements involontaires dans les bras et le
pied
gauche. - Grand-père, deux arrière-grands- père
une incisure très profonde la coupe un peu avant son union avec le
pied
de F A. Lobe pariétal. - l' 1 est parfaitement
de brû- lure sur la cuisse droite. Les réflexes semblent normaux ;
pieds
bien conformés. Pas de troubles apparents de la
avant avec F2 et un pli de FI et une supérieure qui va rejoindre le
pied
de F1. Lobe pariétal. P A a une configuration d
es inférieurs tout il fait réguliers; les trois derniers orteils du
pied
droit un peu portés obliquement en dehors. Le p
niers orteils du pied droit un peu portés obliquement en dehors. Le
pied
gaucho ne présente aucune déviation des orteils
jouet, pousse des cris perçants dès qu'on la regarde, trépigne des
pieds
; ne s'intéresse ài rien de ce qui se passe autour
ntimètres d'avant en arrière. T, n'est alors sclérosée que vers son
pied
au niveau du lobe pa- riétal. T2 vers sa partie
iotie légère symptomatique de ménin- gite chronique ; paraplégie et
pieds
bots; par Bourneville et SÈ131LLEAU ...........
travail, de se déplacer, d'aller de localité en loca¬lité, faisant à
pied
la plupart de ces trajets, exposé souvent, en con
hé et endormi sur l'herbe humide après avoir fait un certain trajet à
pied
, par un temps de forte chaleur. En se relevant, i
s trois jours. Le malade se plaint d'avoir toujours les jambes et les
pieds
froids, tandis qu'il éprouve, au contraire, un se
présentant iout à fait la forme de la tête d'un cham¬pignon, dont le
pied
serait inséré sur la face externe du maxillaire,
te, pas d'attaques de nerfs; depuis un an, douleurs et gonflement des
pieds
et des mains. — Mère, 61 ans, toujours un peu sou
r les applications de la photographie. l'accusé, les empreintes des
pieds
et des mains et de tout objet qui peut avoir rapp
cend. Notons encore que X..., pendant la marche, a sous la plante des
pieds
la sensation d'un corps mou, qu'il a le sentiment
cin et de térébenthine ; expulsion à la suite d'un tœnia solium de 19
pieds
de long. Deux ou trois jours après, commencement
ITE D'UNE LONGUE I M MO 1) I L 1 S A T I ON sorte qu'il atteint, au
pied
, un volume monstrueux plus frappant encore à caus
hie de la partie supérieure. Les orteils sont méconnaissables. Sur le
pied
la peau est fine et blanche, mais mas¬quée en gra
seaux poplités aug¬mente sans cesse cette tuméfaction monstrueuse des
pieds
et de la partie inférieure delà jambe; aussi croy
ppareil qui a pour but de rendre immobile l'œil du sujet, et enfin le
pied
qui supporte ces deux pre¬miers systèmes. L'oph
che du sujet. Le support triangulaire R est soli¬dement fixé après le
pied
de l'appareil. Ce pied se compose à son tour d'un
t triangulaire R est soli¬dement fixé après le pied de l'appareil. Ce
pied
se compose à son tour d'une tige T terminée supér
ût un vice de conformation de l'œil gauche. CHIRURGIE GANGRÈNE DU
PIED
DROIT, CONSÉCUTIVE A UNE BRULURE DE LA PARTIE INF
SÉCUTIVE A UNE BRULURE DE LA PARTIE INFÉRIEURE DE LA JAMBE CHUTE DU
PIED
PAR SUITE DE i/ÉLlMINATION SPONTANEE DU MEMBRE.
E V U E P H 0 T 0 G li A P111 QUE DES HOPITAUX GANGRÈNE SÈCHE DU
PIED
renseignements que nous avons recueillis sur so
considérable : en effet, comme on le voit sur notre photographie, le
pied
était en extension forcée et la jambe semblait ét
mbe semblait étranglée en arrière, au niveau du ten¬don d'Achille. Le
pied
étant refroidi, les battements des artères furent
per¬ceptibles ; quant à ceux de la pédieuse, ils étaient douteux. Le
pied
se refroidit peu à peu davantage, le sphacèle dev
ors que nous eûmes l'occasion de photographier le membre malade. Le
pied
était d'une couleur brune foncée, complètement se
accident le moindre trouble dans sa santé. Quelques jours après, le
pied
se détachait spontanément pendant un mouvement du
t d'in¬fection purulente. Le mécanisme de cette gangrène de tout le
pied
, à la suite d'une brûlure limitée de la jambe, pe
te jeune fille était dans une position véritablement inquiétante. Les
pieds
, transformés en masses informes, gonflés, doulour
nsécu¬tives à des abcès qui se sont produits en novembre 1869. Sur le
pied
, on remarque des trajets fistuleux peu profonds,
sur les orteils, ont produit ces déformations si extraordinaires des
pieds
et des mains que nous avons étudiées et qui font
Elle éprouvait alors, de temps en temps, des fourmillements dans les
pieds
; plus tard elle s'imaginait avoir sous les pieds
rmillements dans les pieds; plus tard elle s'imaginait avoir sous les
pieds
quelque chose qui l'empêchait de sentir le sol et
fert des rémissions et des exacerbations. Ainsi, elle put se rendre à
pied
à Lariboisière, et, pour revenir à son domicile,
n pénible ; sur les jambes la sensibilité semble un peu émoussée; aux
pieds
, sur¬tout à la face plantaire, la sensibilité à l
qu'à gauche. La sensibilité au chatouillement, obtuse à la plante du
pied
, est à peu près intacte sur la face dorsale. Me
s fourmillements, des douleurs lancinantes, limitées aux mains et aux
pieds
, principalement dans les appendices, dans les bra
sibilité au toucher est très-diminuée; parfois la malade rap¬porte au
pied
un contact qui a eu lieu sur la cuisse. La sensib
enversé par une voilure, qui a produit une plaie fortement contuse du
pied
droit. L'artère pédieuse et la plantaire externe
ectique très-prononcé; pâleur jaunâtre des téguments; œdème blanc des
pieds
, des jambes et surtout des cuisses ; infiltration
ans l'extension, sans traces de contracture. La malade remue mieux le
pied
droit que le gauche. Les genoux sont très-volum
l'on en sent sur les côtés de la rotule et dans le creux poplité. Les
pieds
, les hanches ne paraissent pas malades. Membres
Mahomet, s'il fait régulièrement cinq fois par jour les ablutions des
pieds
re¬commandées par le Coran, en revanche, il ne se
1, 225, 229, 247. Bouteillier (G.), 118,188. Brûlure (Gangrène du
pied
droit con¬sécutive à une) de la partie infé¬rieur
ma de la cho¬roïde............121 Planche XVII. Gangrène sèche du
pied
............122 Planche XVIII. Organes génitaux
e (janvier 1874J.- Hémiplégie gauclte incom- plète ; - atrophie des
pieds
et des mains. - Description d'un étourdissement
ralysait du côté gauche : on remarqua d'abord qu'elle tour- nait le
pied
en marchant et vacillait; puis, quelque temps apr
e. Le cou-de-pied mesure 20 centimètres à droite et 19 à gauche. Le
pied
gauche est plus court d'un centimètre que le dr
métatarse, à sa partie moyenne, est la même des deux côtés. Le'
pied
et la main gauches sont violacés et froids au tou
is, ils ne se soutien- nent pas. Le chatouillement de la plante des
pieds
détermine un mouvement réflexe peu accusé, égal
oliques, diarrhée (Tuberculisation perito- néale). Léger oedème des
pieds
. - La malade meurt le 14 oc- tobre. Malgré la p
étaient rouges et brûlants ; la peau sur le reste du corps (mains,
pieds
et tronc), était, au contraire, pâle et froide.
diminué progressivement. A onze heures, B... avait encore froid aux
pieds
et se sentait aussi fatiguée que si elle avait
eu de l'engourdissement dans la cuisse gauche, des picote- ments du
pied
au genou. Ce matin, B... est mieux ; il ne lui
sueur froide. On essaya, mais en vain, delà saigner aux bras et aux
pieds
et ce ne fut qu'au bout de six heures qu'elle r
nerveuses avec convulsions si intenses qu'elle défonça deux fois le
pied
du lit et se blessa les orteils, bien que plusi
eillance, CI se délivrer de ses liens et se sauvait dans les cours,
pieds
nus, marchant sur les épines, les cailloux, san
pour la maintenir, durant lesquelles elle frappe si violemment les
pieds
de son lit qu'elle ! e déplace ; tentatives pou
s d'extase, étendue sur son lit, se soulever de tout son corps d'un
pied
de haut environ, les talons seuls prenant un po
bre inférieur gauche est anesthésié, rigide et dans l'extension; le
pied
est en équin. Si on place une orange dans la ma
olonne vertébrale. La malade soulève le membre inférieur gauche. Le
pied
est normal quant à ses mouvements ; mais la fac
e tronc, de telle sorte que le genou repose sur le sein et que le
pied
est appliqué contre la moitié gauche de la face.
oniaque sui- vie de secousses cloniques, de mouvements brusques des
pieds
qu'elle projette violemment contre les barres d
ent, hoquet. Ler ? prétend qu'on lui tire la tète, lus « pés » (les
pieds
) ; cette dernière sensation s'explique par la c
fois. Ler... a encore de temps en temps des fourmillements dans les
pieds
et les mains, surtout à droite. - Le sommeil es
La jambe est 158 HYSTÉRO-I.PILEPSIE. raidc, dit la malade, et le
pied
ne peut plus se mettre dans l'extension. A gauc
ure dans l'extension. Lorsqu'on applique la main sur la plante du
pied
, préalablement fléchi, et qu'on soulève le membre
lève le membre infé- rieur en exerçant une certaine pression sur le
pied
, on voit au bout d'un instant tout le membre en
ive. - Le membre inférieur est très-rigide, dans l'extension ; le
pied
est en varus équin très-accusé. On y observe les
pondantes du côté droit. Les mollets sont également chauds et les
pieds
également frais et moites. Pas de différence bien
vingt-quatre heures. Ce matin, Etch... a senti, par trois fois, son
pied
droit, ordinairement libre, se tourner en dedan
e telle sorte qu'elle fait un angle droit avec la cuisse gauche. Le
pied
est en varus ; les orteils sont excessivement f
que si elles sont profondes ; le chatouille- ment de la plante des
pieds
ne produit aucun mouvement ré- flexe, la sensib
elle dé- clare avoir éprouvé des fourmillements dans la plante du
pied
droit et des crampes dans la main du même côté. P
jambes sont également solides; de temps en temps, crampes dans les
pieds
et les mollets; souvent, dans la mar- che, les
ampes dans les pieds et les mollets; souvent, dans la mar- che, les
pieds
se renversent. - Il existe encore des craque- m
montrés chez Etch... Ces signes sont les sui- vants : la main ou le
pied
du membre menacé de contrac- ture se contractur
total, 23.646 bains et 3G-888 douches, sans compter 5.847 bains do
pieds
aux enfants (1). Le traitement hydrothérapique,
tait née à Lancashire ; elle était grosse, rabougrie, mesurait deux
pieds
six pouces (63 c. 54); son corps était épais, s
enfant de deux à trois ans. Il pèse 25 livres (9 ? 73) et mesure 2
pieds
7 pouces 3/1 (environ Om·,76). Il est tran- qui
t les doigts sont très larges, courts, épais; il en est de même des
pieds
et des or- teils. La peau, sauf celle de la fac
inférieurs, la bouffissure est surtout prononcée aux jambes et aux
pieds
dont la peau est plus ou moins cyanosée. Les de
é- rieure de la circonvolution frontale ascendante est accolée au
pied
dela 3e circonvolution frontale, fait corps avec
ublé, cette circonvolution est, du reste, bien dé- veloppée sauf le
pied
qui fait corps avec la frontale ascendante et n
e couche de graisse sur toute la surface du corps. Les mains et les
pieds
sont potelés comme ceux d'un enfant; la peau y
part on ne trouve d'infiltration oedémateuse, ni aux mains, ni aux
pieds
, ni à la face. On enlève la partie antérieure du
maux de tête, sa tête s'inclinait sur la poitrine; les mains et les
pieds
devinrent très froids, les jambes très faibles
absente quelquefois; sur les joues pendantes et flasques et sur les
pieds
et sur les jambes, où la circulation est si pau
- Coqueluche, rougeole. - Langue et lèvres épaisses; gonflement des
pieds
et des mains; intelligence et mé- moire presque
ois ans de convulsions; 3° fille mort-née à terme (présentation des
pieds
), bien conformée; 4° fille, morte à treize ans
par sa mère, il venait bien, était frais, rose, n'avait rien ni aux
pieds
ni aux mains, ressemblait aux enfants de son âg
tite, de maladies cutanées, etc.. - Vers neuf ans, les mains et les
pieds
épais et courts se seraient gonflés davantage ;
ure ou les mains. Il était très sensible au froid; les mains et les
pieds
, surtout ceux-ci, étaient bleus et froids. Les
du cou-de-pied est empâtée et présente des rides transversales ; le
pied
est gros, court et t'a- massé, mais il est asse
pement intellec- tuel et physique, l'aspect de la face, du cou, des
pieds
et des mains qui, d'après le récit des parents
femme ne peut écrire elle-même par suite de douleurs nerveuses des
pieds
et des mains. Le cou est guéri, CACHEXIE PACHYD
e difficile- ment dese rendre un compte exact de l'état du cou, des
pieds
, etc. Toutefois, cette photographie met bien en
de 166 gr. en octobre 1881. Un an après, visage infiltré; mains et
pieds
épais, dyspnée ; alourdissement corporel et int
ladresse des mains; elle ne peut plus tenir son aiguille; mains et
pieds
enflés ; difficulté de parole et d'idéation. Au l
ux, normaux, sauf les articulations du genou qui sont trop grosses;
pieds
bien conformés. Organes génitaux : Pénil glab
xagéré mais égal des deux côtés. Pas de trépidation épileptoide des
pieds
. Incontinence urinaire et fécale. Plaintes cont
La première frontale est moins développée que les deux autres, son
pied
est maigre, contourné et en retrait sur les par
ale ascendante par un pli de passage à niveau, juste au-dessus du
pied
de la 3° frontale. La scissure frontale inférieur
t : 8. est très sinueuse, assez profonde. La 3e frontale, dont le
pied
semble confondu avec la frontale ascendante, est
n juin 1885, la cousine qui nous renseigne, l'a pris chez elle. Ses
pieds
étaient violacés comme par des enge- lures. A c
eu abattu. T. R. 38°,G matin et soir.- Traitement : Ipéca, bains de
pieds
, lotions vinaigrées, huile de ricin. 20 avril
e colère qui se déclarent dès qu'on le touche. Il frappe le sol des
pieds
. Il ne sait ni s'habiller, ni se laver, etc.
oisième frontale, courte, très flexueuse, s'insère largement sur le
pied
delà frontale ascendante; elle offre sur son tr
ntale et à l'extrémité inférieure de la frontale ascendante dont le
pied
offre sur une largeur de 5 à G mil- limètres un
ose avec la seconde, est irrégulièrement flexueuse et s'arrête au
pied
de la frontale ascendante dont elle est séparée p
cisure ; elle se reconstitue au delà pour aller s'insérer sur le
pied
de la frontale ascendante. La frontale ascen- d
ntués ; on note l'aspect chagriné sur la troisième frontale et le
pied
de la frontale ascendante qui présente, de plus,
a jambe droite est fortement courbée en dedans et se termine par un
pied
bot varus assez pro- noncé. Membre inférieur
On constate une cyanose très prononcée à la jambe, mais surtout du
pied
et des avant-bras. .L'enfanta rendu son méconiu
vant de la poitrine, l'une sur l'autre; il mar- che en traînant les
pieds
et en inclinant le corps assez fortement en ava
c/tement à terme, naturel, bien qu'il s'agît d'une présentation des
pieds
. - A la naissance, légère asphyxie : la sage-fe
e cir- convolution frontale est relativement peu développée ; son
pied
surtout est grêle ; son cap, d'un développement m
l. - Il existe une scissure frontale parallèle complète, partant du
pied
de la troisième circonvolution fron- tale, qu'e
réparations de fauteuils en fer. po objets en bois faits au tour :
pieds
de meubles, pieds de table, poignées, boules, c
euils en fer. po objets en bois faits au tour : pieds de meubles,
pieds
de table, poignées, boules, cylindres, cônes, etc
s, de quatre cabinets de dÓbrrams et d'une grande salle de bains de
pieds
, Cet aménagement nécessiterait, en outre. diffé
née, nous avons dû nous servir des bains de Bicêtre. Les bains de
pieds
ont été donnés également à Bicêtre où il existe
e rappeler, une installation rendant facile le lavage simultané des
pieds
d'un grand nombre de malades; aussi avons-nous
de Bicêtre, en 1898, il a été donné M. 181 bains, 10;1;)0 bains de
pieds
et 08.528 douches. CLXVIII Assistance et éducat
gion parotidienne. Pas de gonflement ni de rougeur des mains ni des
pieds
. - Le lendemain le gonflement est plus accentué
face dorsale des mains, moins marquée à là face palmaire. Rien aux
pieds
. Appétit conservé, selles fortement colorées en
èvre inférieure ; pas de rougeur du pharynx ; rien aux mains ni aux
pieds
. Tableau des accès et des vertiges. EOSINATE
x soeurs ont eu des convulsions. Un frère, convulsions, rachitisme,
pied
bot. - Convulsions à quatorze mois pendant onze
la face s'étendant môme à la partie antérieure du thorax. Rien aux
pieds
ni aux mains; rougeur de la muqueuse buccale, m
lobule de l'oreille droite. - Rien au pharynx, ni aux mains, ni aux
pieds
. 23 juillet. - llcme état; quelques ulcérations
recouvrant les ulcérations sont tombées. Rougeur vive des mains. Au
pied
droit, légères ulcérations des deuxième et cinq
; rougeur diffuse de la face. Rien à la gorge, ni aux mains, ni aux
pieds
. 9 juillet. - Rougeur intense, surtout au voisi
des deux côtés. Rougeur des mains, mais sans gonflement; rien aux
pieds
. 23 juillet. - Rougeur persistante de la face,
Pas de gonflement, mais légère rougeur du dos des mains; rien aux
pieds
. - - 3"1 août. Sur le dos du nez et au pourtour
ts, on apporte la plus grande vigilance (bains généraux, bains de
pieds
, douches), nous ont semblé aussi jouer dans l'é
este étendu, le bassin fortement relevé de ce côté, en sorte que le
pied
appuie sur le sol par la pointe. Elle marche di
, Membre gauche. - *Pas d'atrophie des masses musculaires, pas de
pied
bot. Réflexe rotulien très fort et un peu de trép
cture du membre. On la trouve cependant dans certaines positions du
pied
. Contractions idio-muscu- laires. Pas de trembl
provoqués de la cuisse sur le bassin, de la jambe sur la cuisse, du
pied
sur la jambe, doivent vaincre une certaine rési
du pied sur la jambe, doivent vaincre une certaine résistance;. Le
pied
est en varus équin. Réflexes exagérés, trépidat
e. Le corps est raide, on le soulève en entier, en prenant les deux
pieds
. Tendance à l'incurvation des reins, on peut pa
membres inférieurs sont assez bien conformés, le deuxième orteil du
pied
gauche présente une nodosité très accentuée au
a- tion phalangino-phalangienne ; la même anomalie se présente au
pied
droit, moins accentuée cependant, probablement
er. Il y réussit au moi- de mai IK0;j. A la suite d'une blessure au
pied
, il fit un séjour de 10 jours à l'hôpital Tenon.
les escaliers avec une flexion exagérée des jambes, la pointe des
pieds
en dehors. Les pieds sont raides, ne fléchissent
une flexion exagérée des jambes, la pointe des pieds en dehors. Les
pieds
sont raides, ne fléchissent pas, portent a plat
ui se fait en fau- chant, il écarte beaucoup les jambes et lève les
pieds
. Le côté droit est toujours plus faible. - B...
sa chaise. Au bout de dix minutes, le tremblement a cessé mais les
pieds
et les mains restaient « crispés ». Puis il a eu,
gauche qui est évidem- ment plus faible. L'enfant ne change pas ses
pieds
de place. On ¡lOt : une petite cicatrice au-des
u pli. pariétal inférieur inclusivement et près de deux cent : du
pied
de PA. Tout le lobule de. l'insula. est compris d
actif est réduite à deux arêtes blanches dans toute sa longueur. Le
pied
de FA et celui de i'3 sont atrophiés et indurés
s. (PA, P1, moitié supérieure de L.Q ; extrémité du lobe occipital,
pied
de FA, F3). Par suite cle la sclérose atrophiqu
culé; nom- breuses malformations; paraplégie avec contracture des
pieds
; gâtisme. » (Dr Garnier) Antécédents héréditai
mère, j'étais obligée de me lever pour lui allonger les jambes. Les
pieds
ont commencé à se dévier à 7 ans. » - Les acc
uisses sont fléchies sur le bassin, les jambes sur les cuisses, les
pieds
sur les jambes, le gauche est, de plus, en addu
limités à ce que nous venons de dire. 1899. Janvier. Engelures du
pied
gauche. 1 cr avril, - État général mauvais. Ama
de la grossesse, elle a reçu, de son mari, de fréquents coups de
pied
dans le ventre. Pour se soustraire aux mauvais tr
LIGIEUSES. gauche : cicatrice de plaie consécutive à une chute. Les
pieds
sont plats. Les réflexes et les mouvements volo
ée faisant contraste avec le peu de développement de la jambe et du
pied
, très atrophiés. Bxten- sion de la jambe imposs
lins............ 416 — au personne]...... 1.128 28.571 Bains de
pieds
........... 5.370 Potiches................. 57.1
rmi service régu-lier des bains généraux, des douches et des bains de
pieds
(1). L'hydrothérapie nous rend de très grands s
4 tableaux, 5 séries de lettres et chiffres, 10 marteaux ; 8 rangs, 2
pieds
de marbre, 2 petits rangs, pour l'imprimerie : —
teux, 143 ferrures et char-nières, 137 objets en bois faits au tour :
pieds
de table, pieds de meubles, poignées, boules, cyl
es et char-nières, 137 objets en bois faits au tour : pieds de table,
pieds
de meubles, poignées, boules, cylindres, cheville
gauche". Épilepsic. Idiotie mongolienne. Idiotie microcéphalique.
Pied
bot. Imbécillité. Défectuosité de la p a r
1 0 août. 2 0 août. Chat 4 ans. Idiotie complète congénitale.
Pied
bot. 2 3 août. Riv , G ans. Imbécillité, épil
certificat immédiat nous examinons nous-méme l'enfant de la tète aux
pieds
s'il y a lieu; il en est ainsi depuis 1880, ce qu
en réalité un rez-de-chaussée bien aéré, bien éclairé, donne de plein
pied
sur une large terrasse, exposée à l'ouest et sur
ais ne se servait que de la cuillère. Sa démarche était déhanchée, le
pied
gauche un peu en dehors, mais elle suivait assez
paralysie, la marche était nulle, elle ne se tenait debout que sur le
pied
gauche tout en la main-tenant assez fortement, ne
u'en cas de réparations qu'elles les prennent à Bicêtre. Les bains de
pieds
ont été donnes à la Fondation où existe, ainsi qu
st surtout à cette occasion que l'on procède aux soins des mains, des
pieds
, des ongles. Voici la statistique des bains et de
....... 7.081 Douches............................ 33.582 Bains de
pieds
..................... 2.509 Service dentaire. —
ntent des défor-mations des orteils. Plane..., le 2e11'-0 orteil du
pied
gauche est en forme de marteau; Lamb..., le 5e or
teil du pied gauche est en forme de marteau; Lamb..., le 5e orteil du
pied
gauche repose sur le 4e; Cayr..., les 5CS orteils
il du pied gauche repose sur le 4e; Cayr..., les 5CS orteils des deux
pieds
reposent sur le 4e; Saun..., les gros orteils de
es deux pieds reposent sur le 4e; Saun..., les gros orteils de chaque
pied
chevauchent sur le second; Bouss..., le 5° orteil
s de chaque pied chevauchent sur le second; Bouss..., le 5° orteil du
pied
droit chevauche sur le 4°; Dant..., le 2e et 3« o
pied droit chevauche sur le 4°; Dant..., le 2e et 3« orteils des deux
pieds
sont palmés et le 5° des deux pieds chevauchent s
..., le 2e et 3« orteils des deux pieds sont palmés et le 5° des deux
pieds
chevauchent sur le 4e; Gar.., le 2° et 3e orteils
deux pieds chevauchent sur le 4e; Gar.., le 2° et 3e orteils des deux
pieds
sont légèrement palmés; Mor..., le 2° et 3° ortei
ux pieds sont légèrement palmés; Mor..., le 2° et 3° orteils des deux
pieds
sont légèrement palmés; Vib.. le ic orteil form
palmés; Vib.. le ic orteil forme une saillie sur la face dorsale du
pied
(des deux côtés) et repose sur le 3e et 5e orteil
., Noir..., Puisség..., Magn..., Davau..., Wei..., présentent à leurs
pieds
une légère palmature. Sur les 230 enfants qui e
le. Le réflexe rolulien est un peu exagéré à droite. Pas de clonus du
pied
. — Urines normales. L'appétit est très diminué. I
rs. Marche impossible ; l'enfant debout appuie seulement la pointe du
pied
sur le sol ; ne fait aucun effort pour se tenir d
Pas de signe de Babinski : l'enfant crie quand on excite la plante du
pied
, mais ne fait aucun mouvement des orteils en flex
ais n'atteignant pas le sacrum. En bas. elle se prolonge à droite. Le
pied
droit présente des troubles trophiques, est viola
interne, la méningo-encéphalile occupe surtout le lobe frontal, le
pied
de F3, Pa, Fa, le pli pariétal inférieur, le pli
Les inférieurs sont également réguliers à tous les points de vue. Les
pieds
sont petits, la voûte plantaire bien incurvée. A
, pas de bègues, pas de strabiques. Un cousin du côté de la mère a un
pied
bot congénital. Pas d'autres mal-formations, pas
es vésicules auxquelles succèdent des croûtellcs. Avant la chute, les
pieds
étaient en position correcte et l'enfant commença
osition correcte et l'enfant commençait à marcher, aussitôt après les
pieds
commencent à se déformer et les membres inférieur
d'une parésie des membres inférieurs avec déformation paralytique des
pieds
en varus-équin. La marche de l'enfant à été de ce
motrice est localisé dans la région inférieure de la FA et dans le
pied
de la F3; voilà tout. La condition nécessaire e
chée par la cho- rée paralytique droite. En marchant elle traîne le
pied
droit (mouvement type de l'hémiplégie hystériqu
arche devient tout à fait impos- sible, ; dès que le malade pose le
pied
par terre, il rebondit sur la pointe, le talon
s jambes ou par la percussion du membre ou le relèvement brusque du
pied
, ce tremblement affectait une grande analogie a
lando, les mouvements sont principalement ou exclusivement dans les
pieds
et les orteils. En avant de la scissure de Rola
2. Arm bras ; - Head, tète ; - Leg, jambe ; - Mouth, bouche ; Fool,
pied
; Toes, orteils; - Thigh, cuisse ; - Trunk, tro
on de la hanche, la flexion de la jambe et enfin, les mouvements du
pied
et des orteils. Ces mouvements ne sont pas cepe
Fig. L - Aires motrices de Beevor et Horsley. Aukte, cheville du
pied
; Hlbow, coude : Eyes, yeux (a) ; Eyelids, paupiè
pression de crainte et de surprise et courut tête baissée contre le
pied
de la table où il resta quelques ' Voir Expérie
ration, il marchait dans le laboratoire, cognant sa tête contre les
pieds
des chaises et les autres obstacles sur son pas
gauche était faible et il y avait une pêne delà Iluaion dorsale du
pied
gauche. Il se déviait à droite. On le LES LOCAL
eur - signe de Homberg - atrophie du nerf optique droit. C'est le
pied
et l'orteil qui furent plis de mouvements d'exten
is six mois des mouvements lents, monotones, presque grotesques des
pieds
et des orteils, mouvements continus, nuit et jo
ntes assertions. M. ZACHER (d'Ahnveiler). Des systèmes de fibres du
pied
dupédon- cule et des relations corticales du co
voici comment sont répartis les systèmes de fibres qui occupent le
pied
du pédon- cule cérébral. Pratiquons, à l'exempl
l'insula. A l'exception du faisceau pyramidal, toutes les fibres du
pied
du pédoncule ne dépassent pas l'étage supérieur d
noyaux qu'on y rencontre. Il y existe aussi des fibres qui vont au
pied
du pédoncule; elles viennent de la calotte ou de
ennent de la calotte ou de la substance noire et descendent dans le
pied
pédonculaire. En recherchant les dégénérescence
nt dans le pied pédonculaire. En recherchant les dégénérescences du
pied
du pédoncule céré- bral, M. Zacher a observé la
ntéressant d'une façon prépondérante les extenseurs de la jambe, du
pied
et des orteils; rarement assez prononcées pour
Mais vous avez constaté aussi que notre malade regarde toujours ses
pieds
en marchant, parce qu'il sent malle sol; il com
a été réveillé par une douleur atroce, occupant la face interne du
pied
gauche dans une région parfaitement délimitée,
de steppe, il élève la jambe en contractant le triceps crural, le
pied
restant vertical et inerte ; il n'élève sa jambe
l et inerte ; il n'élève sa jambe d'ail- leurs que pour empêcher le
pied
(dont les muscles exten- seurs sont paralysés)
be. Ainsi, tantôt l'impuissance est limitée aux seuls extenseurs du
pied
, en d'autres termes, aux muscles de la jambe, e
e, le membre traîne à terre. Quant àl'impuissance des extenseurs du
pied
, elle est per- manente. En dehors de la fatigue
interne, le vaste externe, le droit antérieur, les exten- seurs du
pied
et des orteils et le jumeau interne. Vous voyez
que. Sans doute, la démarche est incoordonnée; le malade lève les
pieds
heaucoup plus haut qu'il ne ferait s'il était ind
aussi à cette atrophie, ainsi qu'à celles des muscles extenseurs du
pied
, qu'est dû le steppage. Le soin avec lequel le ma
cularis alba, disons-nous, constitue une dépendance réelle du grand
pied
d'hippocampe, car elle se trouve dans toute son
seu- lement démontré que toutes les parties essentielles du grand
pied
de l'hippocampe ne s'arrêtent pas à la partie p
rche peuvent être absolument impossibles ; la personne mise sur ses
pieds
s'affaise complètement, ses jambes sedérobent s
lcel dit 2, que par le langage articulé et que par la marche à deux
pieds
, nous avons commencé à nous distinguer des sing
donc à ce dernier point de vue par analo- gie, que la marche à deux
pieds
n'est pas plus naturelle aux hommes, que ne le
pui; ce qui prouve que ces singes ont pu apprendre à marcher à deux
pieds
, par esprit d'imitation, et on ne saurait dire
ondre, de taper, de siffler, de sonner les sonnettes, de frapper du
pied
sur le parquet (bruit auquel les singes normaux
me jour, même état. Aucune réaction aux appels, aux frottements des
pieds
, etc., bruits qui faisaient regarder avec curio
nce d'incertitude ou d'ataxie, et pouvait serrer fortement avec son
pied
, il ne le faisait seulement que quand la vision
son aisance habituelle sur les barreaux de sa cage, il plaçait ses
pieds
avec précision sans l'aide de la vision et s'aper
ait aussitôt quand il touchait terre. Le plus léger contact sur ses
pieds
ou n'importe quelle portion de la partie inférieu
e patellaire est très, exagéré et il y a une contracture marquée du
pied
. Dans cette jambe, toutes les genres de sensibi
sie complète, mais il y a une anesthésie tactile complète depuis le
pied
jusqu'au genou et affaiblissement de cette sens
tête et aux REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 285
pieds
de la baignoire. Pour le bain lrpolaire on interc
t intacts; les réflexes patellaires sont exagérés ; le phénomène du
pied
existerait seule- ment du côté gauche. Au bou
lle ceux qui s'étaient approchés trop près et ont reçu des coups de
pieds
. Il gourmande vigou- reusement un spectateur qu
o et le lobe occipital. Meynert a sup- posé que le tiers externe du
pied
du pédoncule est le passage des tractus sensiti
s- cendante, que l'on rencontre souvent dans les autres fibres du
pied
du pédoncule, manque généralement dans cette part
es sont opposées à l'hypothèse qui place dans le tiers extérieur du
pied
du pédoncule le passage des fibres sensitives.
ice, mais on aurait dit qu'ils étaient lourds et maladroits, et les
pieds
constamment avaient une tendance à glisser de lap
a sensibi- lité des deux côtés excepté dans le bras, l'épaule et le
pied
. Onze semaines après la première opération, le
tre avec une grand j probabilité déduite des rapports corticaux Pp,
pied
du pédoncule. - Cm, corps mammillairea. - Tbc, tu
onsidère généralement comme l'homologue de cette circonvolution, le
pied
du coin ou le Fig. 31 (d'après Obersteiner).
otrice de la convexité de l'hémisphère, les centres de la jambe, du
pied
et du tronc étant seulement partiellement atteint
s, un animal qui a subi l'opération reste courbé, les jambes et les
pieds
étendus (ou au plus les han- ches fléchies), le
dépendant, mais, en touchant l'oreille ou la plante droite comme le
pied
gauche, on provoquait la ferme- ture des yeux e
l'hémiplégie était accompagnée d'un fourmil- lement anesthésique du
pied
paralysé. Dans ce cas il y avait des dépôts tub
es recher- ches de Flechsig, sont situés dans la portion interne du
pied
du pédoncule et unissent le lobe frontal avec l
rescence dans les pyramides, et conclut que les cordons internes du
pied
du pédoncule réunissent ' Voir fig. 122, Foncti
REVUE ANALYTIQUE. violentes des talons et de la partie moyenne des
pieds
, dou- leurs qui empêchaient le malade de s'appu
dus normaux et est notablement augmenté après l'acces. Le clonus du
pied
manque le plus souvent dans la période inlerpar
t encore ! Citoyens repré- sentants, il est temps de les fouler aux
pieds
et de les remplacer par des codes républicains.
matiquevoisin du, par Iiny, 274. Pédoncule, système de fibres du
pied
du -, par Zacher, 139. Pensée double, par Hoppe
disparu. On observe une desquamation de la peau des mains et des
pieds
. Deb... taquine les' infirmiers, par exemple cach
- mes. Pas de'glande. La desquamation de la peau des mains et des
pieds
continue. Pouls : 120. Urine : 500 grammes. , 1
ont diminué, la parole est plus nette. 12 juillet. Les mains et les
pieds
font peau neuve, 'les ongles poussent bien, les
). 16 thérapeutique. bruyamment. La desquamation des mains et des
pieds
continue. 30 septembre. Durant presque tout ce
s ni de la vulve, le corps tout entier est glabre. Les mains et les
pieds
n'ont plus l'aspect pachydermique, il ne semble p
d'apo- plexie. Oncle maternel, mort de convulsions. Petit cousin,
pieds
bots. - Pas de consanguinité. - Egalité d'dge ent
s, de sourds-muets, etc. Un cousin maternel issu de ger- main a les
pieds
tournés. Pas de consanguinité : le père est du
rapprochement des genoux en dedans, l'épaississement de la peau des
pieds
et son aspect violacé. Sur tout le corps la pea
disparition des croûtes de la tête, desquama- tion des mains et des
pieds
qui perdent leurs carac- tères pachydermiques,
ssi, quand il marche, a-t-il continuellement les yeux fixés sur ses
pieds
pour en régler la direction; Delannoy marche le
rents endroits, mes ressources étant épuisées, j'ai dù rêve-, nir à
pied
à Paris. En arrivant je suis allé à l'Asile Clini
des jambes, et, en tout dernier lieu, les muscles des mains et des
pieds
. La paralysie, toujours flasque, progresse para
visage se précisent. L'abdomen est moins saillant, les mains et les
pieds
perdent un peu leur aspect de pelle, et le poid
; les ongles les moins malades sont friables et tachetés. Ceux des
pieds
présentent les mêmes symptômes. Le traitement t
sonnels ou héréditaires; à l'âge de neuf ans, il reçut un coup de
pied
de cheval à la région sus-orbitaire gauche; le cr
distinguaient pas une fausse note, mais une faute de quantité ou un
pied
de trop dans un vers les choquaient, ce qui pro
du réflexe du genou, la'démarche ataxique, l'engourdissement des
pieds
et le signe d'Aryll Robertson. En revanche la rap
s asiles prend possession de ses fonctions sans avoir jamais mis le
pied
dans un établissement d'aliénés, l'interne des
avait une démarche mal assurée et se plaignait de la faiblesse des
pieds
. Presque en même temps son appétit qui n'était
r de l'année 1895, le malade se sentit un jour plus mal, et que ses
pieds
se paralysaient de plus en plus. En réalité, le
Le malade est faible et il ne peut ni marcher, ni se tenir sur les
pieds
. Le côté droit de son visage se trouve en état
quoique faibles ; ceux des jambes sont encore plus faibles ceux des
pieds
sont presque tout à fait impossibles, et dans les
ssion des deux côtés. La sensibilité tactile, est amoindrie sur les
pieds
plus que dans la région de la jambe et de la cu
e dans la région de la jambe et de la cuisse. Certain mouvement des
pieds
, leur toucher et le déplacement du malade sont
très douloureux, et cette douleur l'oblige à rester tranquille. Les
pieds
sont oedémateux. La peau est boursouflée. Quant
janvier 1893, accès de colère à la moindre contrariété : frappe du
pied
, renverse les chaises. Il veut une bicyclette,
. Légèie palmature entre les deuxième et troisième orteils des deux
pieds
. Pieds creux. A la main gauche, cicatrice consé
e palmature entre les deuxième et troisième orteils des deux pieds.
Pieds
creux. A la main gauche, cicatrice consécutive
lui a été défendue. Si on lui résiste, se met à crier, à frapper du
pied
et à se rouler par terre, affecte de ne pas fai
... n'a cessé de crier, de pleurer et de se rouler en projetant les
pieds
et les poings de tous côtés. La face est conges
n ne voulait pas lui prêter un outil dangereux. Camille a frappé du
pied
, crié et pleuré, mais comme on ne fit pas atten
sur un siège élevé ou sur le bord d'une table, de manière que ses
pieds
ne touchent pas le sol. La recherche du réflexe d
es, excepté les premières, afin d'éviter de fatiguer le malade; les
pieds
sont massés après chaque séance, pour faciliter
laire médiane, injectée, a la forme d'un triangle à base vers le
pied
du pédoncule cérébral,' à angle dirigé vers l'aqu
les petits mouvements (écriture) : à dix-neuf ans, tremblement des
pieds
. Depuis six mois, projection de la tête en avan
étant tranquillement assis, on note un tremblement des mains et des
pieds
, plus ample que dans la paralysie agitante. En
te un scotome central de deux pouces de diamètre à la distance d'un
pied
, sans que l'examen ophtalmoscopique révèle de l
a défécation redevint normale : mais dès que le ma- lade eut mis le
pied
à terre, tout fut à recommencer. Au bout de deu
, finalement dans les bras (épaississement extrême des mains et des
pieds
). Quelques années plus tard elle était prise de
té à la pression du nerf cubital, sensation de coton à la plante du
pied
, troubles de sensibilité douloureuse et thermique
e tabétique aux deux genoux, ce malade présente un mal perforant au
pied
droit : de plus, il est rachitique et les auteu
ans qui se plaignit d'abord de fourmillements dans la plante des
pieds
et d'une faiblesse des jambes qui augmenta peu à
érieurs on ne note aucune modification, sauf un refroidissement des
pieds
. Abolition des réflexes tendineux et périostiqu
ans qui se plaignit d'abord de fourmillements dans la plante des
pieds
et d'une faiblesse des jambes qui augmenta peu à
n public et qui mourut le 27 février 1893 à Jowa. Elle mesurait 6
pieds
pouces 3/4 (2m,02) et paraissait avoir dix-sept a
s étaient longs, de grosseur uniforme et aux extrémités carrées; le
pied
était aussi très gros; de même la mâchoire et l
nthropoïdesqui, par la mâchoire, les sinus frontaux, les mains, les
pieds
et la cyphose dorsale rap- pellent les acroméga
maladies nerveuses, ET DE la PILEUR diagnostique DU phénomène DU
PIED
, ainsi QUE DES modifications DES réflexes tendine
e de Sylvius au corps calleux et est formée par les ascendantes, le
pied
des fron- tales, le lobule paraceutral et la pa
al et la partie de la circonvolution du corps calleux qui limite le
pied
des frontales (à peu près le tiers moyen de la
centre d'association frontal comprend tout le lobe frontal moins le
pied
des frontales (partie des frontales située en arr
5.) Auto-observation de l'auteur : 1° à la suite d'une foulure du
pied
droit, en descendant un escalier, il éprouve une
uand on promène l'ongle du pouce rapidement le long de la plante du
pied
, comme on fait pour provoquer le réflexe plantair
partie du corps, et suivant le or Moll, c'est principalement sur le
pied
que porte ce fétichisme homo-sexuel. BIBLIOGR
'Achille est rétracté et forme une corde saillante sous la peau. Le
pied
semble ankylose. Il est dans l'exlension presqu
omplète de la jambe sur la cuisse est impossible; les mouvements du
pied
et des orteils ont peu d'amplitude. Les réfle
teils sont libres. Le gros orteil est étendu sur la face dorsale du
pied
(contrac- ture). Les mouvements spontanés sont
vements spontanés sont assez étendus. Les ongles sont réguliers. Le
pied
est plat. Dans la station verticale qui, comme
elle sorte que le genou gauche est encadré dans le jarret droit. Le
pied
droit est vertical et ne repose sur le sol que
gros orteil droit et sur les deux tiers antérieurs de la plante du
pied
gauche. Les béquilles fixées, il porte en masse l
uilles fixées, il porte en masse le train posté- rieur en avant, le
pied
gauche frottant sur le sol. Sensibilité spécial
que le droit est toujours froid. Le chatouillement de la plante des
pieds
n'est pas perçu. Le réflexe rotulien, conservé à
tude de la jambe droite, à l'ankylose du genou, à la déformation du
pied
, elles diffèrent de ce qu'on note d'ordinaire d
AUCHE 468 RECUEIL DE FAITS. face dorsale, ainsi qu'à la plante du
pied
. Dans cette dernière région la diminution est s
uscles fessiers ainsi que dans ceux de la cuisse, de la jambe et du
pied
. Exploration galvanique. Pas de modifications d
= 1 division 3/4. La diminution = 1 division sur le bord externe du
pied
jusqu'au niveau de la malléole externe. Sur la
t du cuir che- velu ; son minimum est à la fesse et à la plante des
pieds
. En résumé, les avantages présentés par ce peti
e depuis plusieurs années une augmentation de volume des mains, des
pieds
, de la mâchoire inférieure, du nez, de la langu
lade observée remue spontanément et sans secousses les orteils, les
pieds
, les mettant 494 BIBLIOGRAPHIE. suit en flexi
d à se mettre en arc de cercle, la tète restant sur le traversin, les
pieds
ne portant sur le lit que par les talons, le bass
orizontalement par une ceinture fixée autour du corps, la tète et les
pieds
étant soutenus par des embrasses. Dès iors, plus
t le tour de la chambre, lançant la Jambe, mais appuyant fermement le
pied
au sol sans qu'il glisse jamais. La malade est ra
une certaine rétraction des fléchisseurs dans la région poplitée. Le
pied
porte sur la pointe, et Mme B... pour dissimuler
ises, vertiges etc., et surtout de la claudication. Je déclare que le
pied
portera a plat sur le sol, et que la marche se fe
arche d'un pas ferme, se débarrasse de sa chaussure spéciale, pose te
pied
à plat et fait de véritables promenades sur de ma
endant longtemps. A plus forte raison un hémiplégique peut traîner le
pied
longtemps après qu'il est guéri, s'il ne songe pa
eine avions-nous le dos tourné, que notre petite malade roulait à nos
pieds
. L'attaque dura vingt minutes et Marie se releva
a qu'il n'avait rien senti, qu'il ne souffrait pas; et il se retira a
pied
, comme s'il n'avait pas été touché. L'appareil fu
e dessert une croûte de pain pour la satisfaire, 30 Avoir chaud aux
pieds
. C'est une expérience que j'ai faite plus de ci
che militaire, par un temps de neige, et ayant horriblement froid aux
pieds
, ne pouvant pas marcher, parce que la marche me f
la marche me fatigue, je me donne l'auto-suggestion d'avoir chaud aux
pieds
. Je reste à cheval, je me mets dans l'état le mei
e ferme les yeux et cherche à m'endormir en pensant à avoir chaud aux
pieds
. le suis resté ainsi pendant une demi-heure entiè
ère, mais au bout de ce temps, j'avais la sensation d'avoir chaud aux
pieds
. Je n'ai pas constaté à la main si les pieds étai
sation d'avoir chaud aux pieds. Je n'ai pas constaté à la main si les
pieds
étaient réellement chauds, mais la sensation de c
ce et le bien-être résultant de la chaleur. Le résultat obtenu. les
pieds
étant chauds, j'ai cessé tout travail d'autosugge
, j'ai cessé tout travail d'autosuggestion. En très peu de temps, les
pieds
sont redevenus froids. Au bout de dix minutes, j'
ieds sont redevenus froids. Au bout de dix minutes, j'avais froid aux
pieds
comme avant. Cette observation est très conclua
Je n'ai pas continué ce jour-là l'auto-suggestion d'avoir chaud aux
pieds
, car le travail que j'ai fait, c'est-à-dire l'aut
je me sentais incapable de recommencer. Je préferais avoir froid aux
pieds
. L'auto-suggestion, en effet, ne se fait pas sans
e provoquer des accidents. (b) J'ai voulu constater si le chaud aux
pieds
était bien réel, ou si c'était une illusion des s
es sens. Pour cela, je pratique l'auto-suggestion d'avoir chaud aux
pieds
, en Juillet 1889; j'avais froid aux pieds depuis
gestion d'avoir chaud aux pieds, en Juillet 1889; j'avais froid aux
pieds
depuis plusieurs heures, il faisait froid dans la
le du nord où j'étais. Au bout de cinq minutes environ.j'ai chaud aux
pieds
.Je constate, en touchant directement mes pieds av
environ.j'ai chaud aux pieds.Je constate, en touchant directement mes
pieds
avec la main que le pied droit est manifestement
ds.Je constate, en touchant directement mes pieds avec la main que le
pied
droit est manifestement chaud, sans trace de fraî
it est manifestement chaud, sans trace de fraîcheur superficielle. Le
pied
gauche est également chaud, mais je sens que la p
motions. (c) Voici d'autres exemples d'auto-suggestion de chaud aux
pieds
: Dans l'hiver 1887-88, me trouvant au théâtre de
uvant au théâtre de S.... lequel n'est pas chauffé, ayant froid aux
pieds
, suivant mon habitude, dans un entr'acte je me do
de, dans un entr'acte je me donne l'auto-suggestion d'avoir chaud aux
pieds
. Au bout de dix minutes, j'ai chaud aux pieds; j'
stion d'avoir chaud aux pieds. Au bout de dix minutes, j'ai chaud aux
pieds
; j'espère conserver cette sensation, mais, le rid
tant en scène. l'auto-suggestion n'est plus possible, et le froid aux
pieds
revient immédiatement. (d) Entrant chez moi, et
eds revient immédiatement. (d) Entrant chez moi, et ayant froid aux
pieds
, je m'allonge sur un canapé et me donne l'auto-su
allonge sur un canapé et me donne l'auto-suggestion d'avoir chaud aux
pieds
, le résultat est obtenu en cinq minutes environ.
a été faite très souvent. (e) Rentrant chez moi et ayant froid aux
pieds
, je me promène dans ma chambre avec l'auto-sugges
je me promène dans ma chambre avec l'auto-suggestion de conserver mes
pieds
froids. Je conserve les pieds froids pendant une
avec l'auto-suggestion de conserver mes pieds froids. Je conserve les
pieds
froids pendant une demi-heure. Au bout de ce temp
Au bout de ce temps, je me donne l'auto-suggestion d'avoir chaud aux
pieds
. Moins de cinq minutes après, j'ai la sensation d
eds. Moins de cinq minutes après, j'ai la sensation d'avoir chaud aux
pieds
, et je constate, par le contact de la main, que j
nstate, par le contact de la main, que j'ai bien réellement chaud aux
pieds
. Cette façon dont l'auto-suggestion a été prati
été pratiquée, varie avec les précédentes. J'ai voulu avoir chaud aux
pieds
, sans fermer les yeux et sans changer ma manière
llé. J'ai voulu pendant cinq minutes une seule chose, avoir chaud aux
pieds
, cet effort de volonté a été suivi d'un résultat
(b) Dans les mêmes circonstances, ayant mal à l'estomac et froid aux
pieds
, je me donne l'auto-suggestion de ne pas avoir ma
temps, je pensais que je voudrais bien aussi ne plus avoir froid aux
pieds
. Mais je ne pratiquais pas l'auto-suggestion pour
pieds. Mais je ne pratiquais pas l'auto-suggestion pour le froid aux
pieds
qui m'incommodait moins que le mal d'estomac. Le
mal d'estomac. Le simple désir, la pensée de ne plus avoir froid aux
pieds
avait suffi pour que l'auto-suggestion ait un rés
. De plus, comme j'avais pratiqué l'auto-suggestion d'avoir chaud aux
pieds
bien plus souvent que l'autre, n'avoir pas mal à
énegiquement de se livrer. Ses amies furent obligées de lui tenir les
pieds
pour que l'acte pût s'accomplir. Elle resta ensui
ence des centaines de gens enchaînés, les bras attachés au cou et les
pieds
liés : quelques-uns étaient tués, d'autres tortur
é sur son trône par le Calife nominal. Aboul Abbas d'Egypte, avança à
pied
à la rencontre de l'envoyé et mit la lettre du ca
irai que vous vous plaisez avec moi, que lorsque vous aurez mis votre
pied
sur mon cou ». Ghiyath u din répondit : « Quand j
a tête sur le sol. et un de ses grands officiers prit dans sa main le
pied
du fils du Calife et le plaça sur le cou du souve
sans motif justifiable, et le cita devant le juge. Le monarque vint à
pied
, sans armes. Il salua le tribunal, et se tint dev
ué ; mais vous avez vous-même conscience de vos propres crimes. » Ses
pieds
furent liés ensemble et ses mains attachés a son
r et torturer pour de petites fautes en leur coupant les mains et les
pieds
, le nez et les oreilles, en leur arrachant les ye
orps avec le feu, en les crucifiant, en leur clouant les mains et les
pieds
, en les écorchant tout vifs, en leur coupant les
des meubles sur lesquels la malade se hisse en s'y accrochant par les
pieds
, etc., etc. Pendant la période de délire qui suit
place d'abord en opisthotonos, les mains jointes sur la poitrine, les
pieds
en varus équin. Puis l'opisthotonos s'exagère, la
in, brusquement, sur le côté, les mains gardant la même position, les
pieds
restant en varus équin avec les orteils en flexio
suite, sans s'aider de ses mains en aucune façon, se maintient sur un
pied
, le droit par exemple, pirouette entièrement sur
nt sur cette seule base de sustentation, et descend de son lit sur le
pied
gauche. » Une fois à terre, poses plastiques di
, était restée immobile dans son lit par suite d'une coxalgie et d'un
pied
bot hystériques du côté droit. Invité par M. Vern
lèverons bientôt l'appareil ; vous pourrez remuer les doigts de votre
pied
, étendre votre jambe, vous allez pouvoir vous ret
on des séances publiques d'hypnotisme pour lui couper l'herbe sous le
pied
. C'est toujours la thèse légendaire des intérêts
le malade accusait une amélioration notable. I1 avait déjà pu faire à
pied
une assez longue course, ce qui ne lui était pas
marche était naturelle. Pendant qu’elle posait à terre la plante d’un
pied
, elle levait déjà le talon de l’autre pied, et el
ait à terre la plante d’un pied, elle levait déjà le talon de l’autre
pied
, et elle marchait lentement, mais d’un pas ferme
de ceux qui, avec la conservation de la motilité, ont perdu dans les
pieds
la sensibilité qui doit guider les mouvements. Ce
omme on sait, tombent très-facilement si elles ne regardent pas leurs
pieds
. Les bras de la somnambule, ainsi que ses doigts,
........1 ici. 3. Benjamin üickenson. — Goutte à ta cheville d'un
pied
et aux orteils..................................1
...............................t id. 13. Thomas Hoges. — Douleur au
pied
..................1 id. 14. Willi.nns Gibbons. —
gosier. (Aphonie)..........id. 52. Marie Clcrkson.—Contracture des
pieds
, rhumatisme. . . Sommeil. 53. James Gladwcll. —
rtait un sentiment de fourmillement qui se portait lentement jusqu’au
pied
pour remonter rapidement au cerveau et, occasionn
puisse arriver, nous ne les craignons point ; nous les attentions de
pied
ferme. Notre détermination étant bien assise, dés
houc ; puis vient la rotation et les oscillations sur l’un ou l’autre
pied
, suivant le commandement qui en est fait. Beauc
tenu l’autorisation de M. Burtin, j’attachai au gros orteil de chaque
pied
un fil de laiton dont l’extrémité libre aboutissa
va être réorganisée prochainement pour fonctionner à l’avenir sur le
pied
de celles de Paris. Plusieurs autres Sociétés son
né de se sentir en état de pouvoir, après la séance, s’en retourner à
pied
. Je donne de temps en temps de l’eau magnétisée
sera cicatrisée dans trois jours. Enfin elle se prescrit des bains de
pieds
si-napisés contre les vertiges qui surviendront j
chaise sur laquelle elle était debout. Le soir elle prend un bain de
pieds
sinapisé. Le 7, les vertiges ont cessé. Le 12
érale. La malade croit que son époque menstruelle se prépare. Bain de
pieds
sinapisé. Dans l’intervalle du 5 au 16, la malade
on tourmente la malade ; à huit heures du soir, elle prend un bain de
pieds
sinapisé. A neuf heures, l’oppression est si fort
tin, il faisait froid, et, pour ne pas faire du bruit, je suis restée
pieds
nus. — L’oppression reviendra-t-elle? — Entre
dix et onze heures. — Que faut-il faire ? — Me donner un bain de
pieds
. — Et les règles? — Elles ne sont pas revenue
èche. A trois heures du soir, elle retourne chez ses parents. Bain de
pieds
sinapisé le soir. Le 10 janvier, la nuit a été
le me dit : « La suppression des règles, le froid et l’humidité aux
pieds
ont provoqué une congestion cérébrale et, à sa su
r sur la tête des compresses vinaigrées froides, me donner un bain de
pieds
sinapisé et me magnétiser demain à trois heures d
e en syncope. Le pouls est filiforme, à 60. La tète, les mains et les
pieds
sont froids. On a de la peine à la réveiller de s
enez la métaphysique et mordez-y a belles dents, nous vous la livrons
pieds
et poings liés, vous n’aurez guère de peine à la
nt une profondeur que tout le monde ne pénètre pas. Or, en prenant au
pied
de la lettre et dans son sens purement grammatica
heure d’ici; mais ne me désobéissez plus. » Elle me fit mettre les
pieds
dans un bain d’eau dont elle régla elle-même le d
ester stationnaire à son point de départ, comme si le gland foulé aux
pieds
ne devait pas, un jour, dresser dans le ciel la t
elles le ridicule et l’ironie ne sont plus de force. Il faut discuter
pied
h pied aujourd’hui, et non railler. Le dédain n’e
e ridicule et l’ironie ne sont plus de force. Il faut discuter pied h
pied
aujourd’hui, et non railler. Le dédain n’est plus
découvertes scientifiques qui, à leur naissance, ont été foulées aux
pieds
et n’ont appelé sur leurs auteurs que la haine ou
es maladies de la rate par des frictions opérées avec l’orteil de son
pied
droit, propriété qu’il partagea avec Achille et V
euvent voir parl’épi-gastre, par la nuque, entendre par la plante des
pieds
, comme l’a remarqué le docteur Pétetin à une époq
ar suite d’une affection maladive, j’avais été sujet à des froids aux
pieds
subits, et sans cause apparente, surtout au lit.
u lit. A force de tâtonner, j’avais trouvé moyen de me réchauffer les
pieds
en appliquant la (1 ) Depuis que ceci a ¿té écr
c la v olonté de faire affluer le sang et concurremment la chaleur au
pied
gauche. Le plus souvent (car je manquais quelqu
re à cinq, je sentais comme une chaleur interne se développer dans le
pied
gauche, et, dedans en dehors, le pied tout entier
r interne se développer dans le pied gauche, et, dedans en dehors, le
pied
tout entier se réchauffer. — Le pied droit se réc
gauche, et, dedans en dehors, le pied tout entier se réchauffer. — Le
pied
droit se réchauffait presque aussitôt après, comm
e auprès de moi, je voulus essayer de mon procédé pour réchauffer mes
pieds
, complètement engourdis par le froid. Bien enco
rsque..... o Quelque chose de bien singulier, dit la dame, j’ai les
pieds
comme des glaçons, et voici que je sens dans le p
dame, j’ai les pieds comme des glaçons, et voici que je sens dans le
pied
gauche comme s’il me coulait de l’eau chaude à l’
effet par moi ressenti quand mon procédé me réussissait. « Mais mon
pied
gauche se réchauffe rapidement, continuait-elle,
it toujours gelé. » Je forçais de volonté pour échauffer mon pauvre
pied
, qui restait parfaitement glacé. « Ma foi, c’es
disait ma voisine ; je ne sais pas comment ça se fait, mais voici mon
pied
qui me brûle à cette heure... Tiens, l’autre qui
heure... Tiens, l’autre qui s’échauffe....... Et cette dame eut les
pieds
chauds pendant tout le reste du voyage, trois ou
cependant matériellement impossible) que je fais des passes sous mes
pieds
, comme je pourrais en faire sous les pieds d’un a
e fais des passes sous mes pieds, comme je pourrais en faire sous les
pieds
d’un autre. — Et je* ne réussis, ni mieux, ni moi
ant venue trouver l'homme de Dieu sur la montagne, elle so jeta à ses
pieds
, et Giézi s'approcha pour la relever; mais l'boni
il lui fallut descendre de sa monture pour chercher la route avec les
pieds
et les mains. Nous étions tous deux sous l’influe
n cheval ; quand il agit sur la bride sans motif apparent. S’il est à
pied
, quand on le voit marcher comme un homme ivre, en
it un nœud trois fois. En quelques minutes la jument était remise sur
pied
; elle mangeait avec plaisir et était parfaitemen
j’appelle l’attention : les convulsions cloniques semblent partir des
pieds
; le malade les sent monter, et elles arrivent ai
nt s’échappe du flanc d’une colline, parcourant un espace de quelques
pieds
, se perd dans un gouffre, puis reparaît à une dis
met à exécuter un certain nombre de vibrations indiquant le nombre de
pieds
. Ce qui peut paraître étrange, c’est que j’ai plu
araître étrange, c’est que j’ai plus souvent obtenu l’indication d’un
pied
au-dessous qu’au-dessus de la véritable profondeu
poids supérieur h 300 kilogrammes, se soulève quelque peu de ses deux
pieds
antérieurs. M. N. se place à l’une des extrémités
eulement d’abandonner ce traitement, mais d’en prendre même le contre
pied
! Si la clairvoyance consiste à voir clair de cet
oii jours de suite aux pédiluvcs suivants : exposer les jambes et les
pieds
h l’ecoulement du gang chaud d'un agneau que l’on
qu’il gardera de sa chaleur: s'y faire friclionner, de la plante des
pieds
au que la peau se montrera craintive. » La just
à chaque jambe, comme une botte à l'écuyère, du jarret au-dessous du
pied
; le synapisme fait à chaud avec de forte moutard
agitée, et les personnes furent touchées aux mains, aux genoux et aux
pieds
. M. Partridge fut invité à mettre à son tour la
causa une grande frayeur. Trois des personnes de la société virent un
pied
nu et isolé, paraissant appartenir à une jeune fi
ndait mes tempes; tous les efforts tentés par moi pour réchauffer mes
pieds
et mes jambes étaient infructueux, lorsque, par u
ment insupportable ne tarda pas à me courir le long des jambes et des
pieds
en sueur. Le pouls s’élevait, s’élevait, et le dé
s étaient ou précédées, ou annoncées par une douleur émanant, soit du
pied
gauche, d’une main ou même d’un doigt. A ma sec
avez été dupes d’une illusion. L’amour du merveilleux vous a livrés,
pieds
et poings liés, à. une erreur dont votre imaginat
esprits lui commandèrent de construire une cabane de bois de quatorze
pieds
de long sur douze de large, sans fenêtre, près de
moment où toutes les personnes en étaient éloignées d’au moins trois
pieds
. Le docteur Mash demanda : — Quel est l’espri
Elle réussit même à désincarner le tsar Nicolas II qui vint dans le
pied
du meuble approuver les projets de Cam..., Jésus-
nouvelle religion. Son oncle l'ancien spirite, l'y encourage par le
pied
de la table. Deus par un message graphomoteur l
logique, août 1903.) E. B. XIII. Note sur un réflexe adducteur du
pied
; par le De R. H1RSCHBERG. Le réflexe adducte
ucteur du pied ; par le De R. H1RSCHBERG. Le réflexe adducteur du
pied
consiste dans un mouvement d'ad- duction de tou
ducteur du pied consiste dans un mouvement d'ad- duction de tout le
pied
et parfois aussi de la cuisse, sans mouve- ment
ls, sous l'influence de la friction avec l'ongle du bord interne du
pied
. Pour l'auteur, celui-ci serait pathologique et s
présente une forme de tremblement hystérique simulant le clonus du
pied
. 'M. CANTONNENT présente deux cas de goitre exo
eurs dans les jambes, celles-ci consis- tent en élancements qui des
pieds
remontent dans les mollets; de plus, les mains
souffrant de douleurs avec sensations d'engourdissement dans les
pieds
et les mains, entre à l'hôpital d'Hanoi où l'on p
e. Aux membres inférieurs, elle intéressait surtout les muscles des
pieds
et les muscles antéro-externes des jambes, prin
notable de la force mus- culaire dans les mouvements de flexion des
pieds
sur les jambes, d'extension des mains et des do
rche, on remarquait une certaine instabilité, en même temps que les
pieds
ne portaient sur le sol que par le bord externe
; à la face Fis. 20. DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 113 dorsale du
pied
gauche un oedème dur et élastique ; au niveau d
tout si on la comparait à celle des membres supérieurs ; enfin, aux
pieds
, on remarquait de nombreuses cicatrices de brûl
ment après desquamation. A la même époque, le quatrième orteil du
pied
gauche est devenu rouge, oedémateux, puis une bul
pprimées, lui fait constamment ajouter ou supprimer un ou plusieurs
pieds
par alexandrin. En se relisant elle-même, la ca
e, lui affirme que c'est lui qui l'inspire dans ' Ce vers compte un
pied
de trop « donc » ajouté comme une cheville. Cel
es membres inférieurs et un sentiment de pince dans les plantes des
pieds
; en ce temps il souffrait aussi du vertige pen
ang reflue vers le coeuret et un grand froid me fait frissonner des
pieds
à la tête. , « Cette phobie a été le tourment d
on entrée, on constate une gangrène symétrique des orteils des deux
pieds
, affectant seule- ment les phalangettes des tro
de quinine. La parole revient, ainsi que l'appétit; la gangrène des
pieds
s'arrête, les pieds bourgeonnent. Mais les abcè
e revient, ainsi que l'appétit; la gangrène des pieds s'arrête, les
pieds
bourgeonnent. Mais les abcès des régions gangli
), exagéré (20 p. 100), ou affaibli (14 p. 100) ; 8° Le clonus du
pied
n'est pas très rare dans l'hystérie (10 p. 100)
mpagnées de paralysies et contractures (11,53 p. 100), le clonus du
pied
est un peu moins commun dans les anesthésies (9
la verticale passant par le centre de gravité du corps en dedans du
pied
de ce côté; 3° La contraction mi-latérale des s
ns après le début de la maladie. Tous les muscles de la jambe et du
pied
ainsi que le troisième adducteur, le biceps cru
s ce cas d'une topographie segmentaire complète pour la jambe et le
pied
, incomplète pour la cuisse. On pourrait de même
f, Bruce, Marinesco, pour la localisation globale de la jambe et du
pied
. Dans le groupement postéro- latéral et post-po
par la droite pour se rendre chez son amie et d'entrer chez elle du
pied
droit. Néanmoins, il fut plus souvent heureux q
ds; il ne s'etait jamais occupé d'art et de sa vie, n'avait mis les
pieds
dans un musée. La vue de toutes ces statues de
les femmes du peuple, négresses, mu- lâtresses, cabresses, marchent
pieds
nus et en jupes courtes. C'est dans ce pays et
ans, il avait contracté pour le garder toujours, le fétichisme des
pieds
nus de femmes. Tous ceux que du matin au soir,
ser et porter à ses lèvres pour les couvrir de baisers, étaient les
pieds
un peu forts, gras, bien cam- brés, à peau minc
ès réguliers; la moindre déviation le dégoûtait. Ce sont encore ces
pieds
-là qui seuls le fascinent. Quand sur son chemin
fascinent. Quand sur son chemin, il rencontrait une femme avec des
pieds
répondant à son idéal, il la suivait, s'informa
la femme de chambre de sa famille ; jeune fille de couleur dont les
pieds
réunissaient toutes les qualités demandées par
il partagea la couche de la jeune servante, il désirait surtout ses
pieds
, qu'il trouvait adorables, mais igno- rant la p
ontenta en la possédant, d'avoir présent à l'esprit, l'image de ses
pieds
. Par la suite, il en fut toujours de même, non
osait pas, de peur de prêter à rire à ses maîtresses, prendre leurs
pieds
dans ses mains et à plus forte raison les porte
gênant, avant qu'il eût constaté l'action favorable du contact des
pieds
de la femme. Rentré dans son pays à dix-sept an
médicales. Il n'ent plus le plaisir de contempler par les rues des
pieds
nus de femmes, et il ignorait complètement comm
ré de constater qu'en Europe, presque toutes les femmes avaient les
pieds
plus ou moins déformés par la chaussure. Il en
ère fois, le bonheur depuis son retour dans son pays de trouver des
pieds
répondant complètement à son idéal. Celle-ci tr
es bas, puis comme c'était en hiver, elle prétendit avoir froid aux
pieds
et le pria de les prendre dans ses mains pour l
moment, il ne rougit plus de caresser, d'embrasser et de lécher les
pieds
de sa maîtresse. A noter que l'éjaculation spon-
llait les bourses et qu'il couvrait de baisers et léchait un de ses
pieds
. Y... 302 CLINIQUE MENTALE. ne songea plus à
it encore mieux garder son obsession uréthrale que de se priver des
pieds
de sa maîtresse. Je lui proposai alors de venir
e et qu'il croyait n'avoir pas besoin de se priver complètement des
pieds
de sa mai- tresse. Je me suis habitué, conclut-
le chatouillement des bourses et la satisfaction d'un fétichisme du
pied
nu. Cette fois encore, le rapport de cause à ef
te plus loin vers la droite, puis on redresse le tronc, on place le
pied
droit sur le sol à une certaine distance de l'a
ent pancréatique fût commencé, le 27 décembre, sa taille était de 4
pieds
4 1/8 pouces, et son poids 4 « stones » 7 1/2 l
droit parésié, oedématié. Phénomènes réflexes augmentés. Clonus du
pied
. Signe de Romberg positif. Intelli- gence obtus
fois un effacement du sillon nasolabial avec hypoesthésie des deux
pieds
, une autre fois une anesthésie à la face intern
x réussi- rent à pénétrer dans une chambre du rez-de-chaussée. Au
pied
d'un lit gisait le cadavre d'un nommé Steyre, bea
celte volonté étrangère qui s'impose à son esprit, elle tremble des
pieds
ci La tète, son cour se gonfle, ses oreilles bour
après ( ? ) que l'on constata la raideur du bras et de la jambe; le
pied
n'aurait jamais été tourné. Auparavant, IL.. ét
extension sur le bassin, la jambe en extension sur la cuisse, le
pied
en extension sur la jambe. Le membre entier est p
onsiste en ce que la contracture s'est faite dans l'extension. Le
pied
a l'attitude du pied bot équin. Les mensuretions
contracture s'est faite dans l'extension. Le pied a l'attitude du
pied
bot équin. Les mensuretions montrent que tous l
e la tension sanguine et, consécutivement, chaleur aux mains et aux
pieds
. L'hypnotisme est curatif en soi, en dehors de
nt du coucher, après lui avoir mis la camisole, le recouvrirent des
pieds
à l'abdomen avec de nombreux balins servant de
aux deux côtés du carrosse pour qu'il pût courir sans effleurer les
pieds
ni caresser les visages; accident qui, outre le
s avaient tout employé; ils poussent, ils pressent, ils foulent aux
pieds
deçà et delà avec ce redoublement d'ardeur et d
et s'appuyant de la main sur le bras de ce digne homme, il pose le
pied
sur le marchepied. VARIA, 521 La foule se sou
un moment de silence. Ferrer s'arrête en ce moment sur le marche-
pied
; il promène ses regards autour de lui, s'incline
phorie délirante des . Etude anatomo-chnique, par Dupré. 282. '
Pied
. Voir liéflexe.- Plexus choroïdes. Voir Vomisse
Voir Phénomène plan- laire. Réflexe. Note sur un - adducteur du
pied
, par Kirschberg, 3f, Quelques nouvelles donnée
it une autre émotion vive, à la vue d'un enfant, dont les doigts de
pied
avaient été écrasés. Elle avait cru que c'était
it eu une influence sur les déformations congénitales des doigts du
pied
que pré- sente notre malade. Accouchement à 7 m
mblement de la tête, d'une syn- dactylie partielle des mains et des
pieds
, enfin d'un hypospadias. De telles malformation
es survenaient par séries, se renouvelant 4 ou 5 fois par jour. Les
pieds
et les mains se retournaient, nous dit la mère.
: il ne peut serrer un objet. Dans la marche, l'en- fant traine ses
pieds
sans les soulever, les genoux frottent l'un con
es soulever, les genoux frottent l'un contre l'autre. La pointe des
pieds
est tournée en dedans. Les réflexes tendineux s
jambes qui allait en aug- mentant. Il marchait encore et il alla à
pied
de l'Hôtel de Ville à l'hôpital. Il y resta 15
ssements étaient plus rares il ne marchait plus quesurla pointe des
pieds
et tombait facilement en arrière. On a remar- q
ffaiblissement des membres infé- rieurs avec déformation légère des
pieds
; exagération des réflexes rotuliens, trépidati
état de raideur habituelle des membres inférieurs et sur- tout des
pieds
qui sont un peu déviés en bas et en dedans. On
embres supérieurs sont flasques, légèrement cyanosés. Au niveau des
pieds
la cyanose est encore plus marquée et l'on cons
pas changé de caractère, jusqu'à l'admission. A la naissance, les
pieds
étaient bien conformés. A 18 mois, il a commenc
ien conformés. A 18 mois, il a commencé à marcher sur la pointe des
pieds
. Il aurait marché à peu près seul à 20 mois; sa
hé à peu près seul à 20 mois; sa mère prétend que c'est ici que ses
pieds
se sont déformés. A l'entrée, gâtisme complet,
mois qu'il a passés chez sa mère. Il marchait alors plus mal et ses
pieds
s'étaient retournés davantage. 1880. 26 juin. L
hies, il faut lui tenir les deux mains. Il marche sur la pointe des
pieds
ce qui est dû à l'existence de son double pied
e sur la pointe des pieds ce qui est dû à l'existence de son double
pied
bot équin. Malgré cette difformité, il marchait
ne aléze. Soutenu, il s'avance lentement marchant sur la pointe des
pieds
, les jambes sont droites, mais les cuisses sont
inférieure de la circonvolution frontale ascendante est accolée au
pied
de r et fait pour ainsi dire corps avec elle. La
çant en bas presque au fond de la scissure de Sylvius en coupant le
pied
de la troisième frontale, interrompue à son tie
est également irrégulière et sinueuse et envoie un pli de passageau
pied
de F3 qui est très-irrégulière, relativement pe
produites très fréquemment jusqu'à 2 ans. III. La déformation des
pieds
ne semble pas avoir existé à la naissance. A 18
re marcher, on a remarqué qu'il ne s'appuyait que sur la pointe des
pieds
. La déformation se serait ensuite accentuée pro
dans la figure (6 ans), glandes au cou non suppurées, engelures aux
pieds
. Fréquentes palpitations pour lesquelles il est
ions pour lesquelles il est entré aux Enfants-malades à 15 ans, ses
pieds
étaient alors très enflés; pas de rhumatismes,
c de cercle, le corps ne reposant sur le lit que par la tête et les
pieds
, la respiration toujours suspendue. Cette pério
du soir, le malade était couché quand tout-à-coup il s'est levé au
pied
de son lit, ses yeux sont devenus hagards, puis
de la main, sauf le pouce qui est en extension et en abduction. Les
pieds
sont peu souples et étendus dans l'axe de la ja
t au genou gauches. Le genou droit parait très porté en dedans; les
pieds
semblent en équin'; le bord externe du pied dro
s porté en dedans; les pieds semblent en équin'; le bord externe du
pied
droit parait un peu relevé; les articles sont n
re dans la fosse pour le faire manger de la m,... On se régale de
pieds
, andouille. Et de mon cul, en veux-tu un bout ? C
ès sinueuse, irrégulière, insérée sur la frontale ascendante par un
pied
étroit, au-dessus duquel elle se replie en S po
s. La malade boutonne ses habits avec beaucoup de difficulté. Les
pieds
ont le même aspect que les mains. Les os ne pré
la vue, sont normaux. La malade est sensible au chatouillement des
pieds
. La température buccale est de 3Go,l. Les fac
mbes sont très arquées, principalement la gauche ; les mains et les
pieds
sont très gros, la peau est ridée aux mains, hy
s gros, la peau est ridée aux mains, hypertrophiée aux mains et aux
pieds
. La peau est sèche, épaisse et on observe une é
sauf peut-être une légère incurvation du tibia en bas; la peau des
pieds
et des mains n'est pas épaissie, pachydermique, e
passagère ; plus intense dans la région psycho-motrice et sur le
pied
de la troisième circonvolution frontale à gauche,
e de la trépidation provoquée (épilepsie spinale) est manifeste, le
pied
exécutant une série d'oscillations régulières a
au 4 0 février, localisées d'abord à la main, à l'avant-bras et au
pied
droits. Bientôt, les altérations médul- laires
malade vivant, c'est l'existence du réflexe tendineux, du clonus du
pied
, lequel a précédé, puis accompagne les contract
e a une tendance à la flexion permanente. Le réflexe tendineux du
pied
, que l'on ne constate pas à droite, existe à ga
ans la flexion depuis quelques jours. La trépidation épileptoïde du
pied
gauche est facilement provoquée; le réflexe du
ilôt scléreux, dur au toucher, et très manifestement gris. Sur le
pied
du pédoncule cérébral correspondant existe une
de la circonvolution du corps calleux; la même lésion existe sur le
pied
des deuxième et troi- sième circonvolutions fro
ire par cette série de fibres qui, parties de l'étage inférieur (ou
pied
) du pédoncule se rendent les unes au noyau lent
lésion en foyer du centre ovale, lésion étendue et peu éloignée du
pied
de la couronne rayonnante, a entraîné, tout tri
érébral terminent cette observation. G. D. XI. Noie SUR UN cas DE
pied
tabétique avec lésions osseuses ET artiiropathi
tre autres troubles tro- phiques, on a noté une tuméfaction de deux
pieds
constituée par une infiltration oedémateuse des
signalées par Page et désignées par Charcot et Féré sous le nom de
pied
tabétique, sont de même nature que celles qui car
mpossibles, avec sensation de brûlure et d'engourdissement dans les
pieds
; ces accidents disparurent quand les patients c
rieures avec douleurs violentes et sensations d'engourdissement des
pieds
et des mains, bientôt remplacées par des contra
ire, de la diminution de l'excitabilité électrique des mains et des
pieds
: jamais de réaction dégénérative; fonctionnement
e diminution de la sensibilité au cha- touillement de la plante des
pieds
; jamais il n'y a exagération des réflexes tend
eptembre 1863, d'un rhumatisme aigu qui occupa les genoux, puis les
pieds
et les épaules, et dura environ trois semaines.
scles des membres inférieurs, princi- palement dans les muscles des
pieds
, avec flexion spas- modique des orteils. Pendan
it pas cependant être provoquée par le redressement de la pointe du
pied
; mais elle avait lieu avec force lorsque le mal
orsque le malade, assis sur une chaise, relevait un peu le talon du
pied
droit. Elle se produi- sait sous la même influe
eu (décembre 18881). Il marche encore beau- coup et vient à Paris à
pied
de Saint-Mandé. L'état s'aggrave progressivemen
ésie paraplégique est très marquée : plus accentuée à la plante des
pieds
, elle est plus incomplète aux cuisses qu'aux ja
s ou quatre mois qui suivirent il s'était surmené pour remettre sur
pied
ses affaires qui étaient loin de prospérer. Il
joue, le bras, la jambe et le tronc, plus marqué dans la main et le
pied
. L'exploration ne révélait pas d'hémiplégie nette
conde cir- convolution frontale ; il y avait une autre tache sur le
pied
de cette circonvolution, s'étendant le long des
es jointuiesscapulo-huméraleset fémoro-tibiales, les hanches et les
pieds
se prennent à leur tour, la fièvre est plus int
les douleurs sont intenses au poignet (très gonflé), au genou et au
pied
gauches; que la température donne 4 ou 5 dixièm
nuels des bras, des jambes. La marche est difficile, titubante; les
pieds
s'appuient mal, le droit frotte le sol et se so
huit jours. Il essaie d'écrire son nom ; tout son corps remue, ses
pieds
battent le parquet, la plume 252 REVUE DE PATHO
vant l'arti- culation coxo-fémorale et l'articulation du genou; les
pieds
présentent l'attitude varus-équinc. Les deux te
es, et encore très légèrement, qu'au visage, au cou, à la plante du
pied
, du côté gauche, mais les corps chauds engendre
s réflexes cutanés et tendineux; le chatouillement de la plante des
pieds
se traduit par un mouvement associé du côté opp
du rachis ; parfois, il éprouve des formications à la plante des
pieds
et aux talons; la lumière l'éblouit, mauvaise hum
que l'on pouvait voir les raies que traçaient dans la poussière ses
pieds
en traînant sur le sol. A l'automne de la même
, de bon embonpoint, bien musclé, ne marche que sur la pointe des
pieds
, le talon demeurant en l'air et n'entrant pas en
estion, il préfère étendre toute la jambe en arrière, la pointe des
pieds
demeurant sur le sol en flexion plantaire. Exagér
ellaire, surtout au niveau du genou gauche. Absence du phénomène du
pied
. Intégrité de la virilité. Excitabilité neuro-m
l'empêchant pas de vaquer aux soins d'une clientèle très étendue à
pied
. Descend les escaliers avec rapidité. Son père,
sorte qu'il lui faut se rattraper pour ne pas tomber, avec l'autre
pied
rapidement projeté en avant. Au printemps de 1884
is de douleurs lancinantes, mais grande sensibilité à la plante des
pieds
sous l'influence de la pression : réaction norm
e passer d'une canne; il est encore assez agile pour rapprocher ses
pieds
de sa bouche, mais non les yeux fermés. Ces t
tuellement 476. Maint quartier fournit à ses habitants moins de 900
pieds
cubes d'air. On propose donc d'élever trois nou
lit en lit ; les jambes fléchissent, se dérobent à chaque pas, les
pieds
se détachent à peine du sol. La sensi- bilité y
bilité y est fortement émoussée, particulièrement à la plante des
pieds
; le malade croit toujours marcher sur du coton.
isent dans le membre inférieur gauche particulièrement au niveau du
pied
, du mollet et de la face interne des cuisses; e
endant obligé de toujours regarder droit devant lui où il mettra le
pied
. Léger tremble ment dans les mains, spécialemen
ssifs, du trem- 396 PATHOLOGIE NERVEUSE. blement, le phénomène du
pied
, la démarche spas- tique ou des convulsions dan
prononcée; elles sont volumineuses et de consistance diffluente. Le
pied
de la scissure rolandique est à 0m 104 de l'extré
re gauche pèse 600 gr., il présente les mêmes lésions à sa face. Le
pied
du sillon de Rolando est à Oe 102 de l'extrémité
disposi- tion rudimentaire et présentent peu de plis de passage. Le
pied
de la circonvolution frontale ascendante mesure
on frontale ascendante mesure Om018 et sa partie moyenne On 015. Le
pied
de la scissure rolandique est à on 102 de l'ext
scendantes sont moins aplaties que celles de l'autre hémisphère. Le
pied
du sillon de Rolando est à On 097 de l'extré- m
ération des phénomènes tendineux, et en particulier du phénomène du
pied
, ne peut se produire de concert avec la réactio
,, par Nicol, 296; - ( '-et syphilis), par Berger, 108. Tabëtique(
pied
),parBoyer,8D. Tabétiqup,s.4trotibles trophiques
enfants invalides les prennent à la Fondation même. Les bains de
pieds
sont également donnés à Bicêtre, où il existe,
déjà dit, une instal- lation rendant facile le lavage simultané des
pieds
d'un grand nombre de malades. Voici la statisti
ment pourrait-être retardé, serviraient soit de salle de bains de
pieds
, soit de ciroir, soit de préau, etc. M. LIÉBAUT
. Hémi- plégie droite avec contracture, épilepsie spinale. Tic du
pied
gauche. - Phimosis. -Rougeole : mort. AUTOPSIE.
isselles; peau cireuse, ecé- : 111ateuse; élat pteliydei-iiiiqtte des
pieds
et des mains; , - hernie ombilicale ; rachitism
and-oncle paternel, convulsions dans l'enfance avec déformation des
pieds
, taille exiguë. Deux grand' tantes laf crlleLLr
S. III. Idiotie légère, probablement méningitique ; paraplégie avec
PIEDS
BOTS. Sommaire. Enfant naturel. Père, excès de
u niveau des omoplates. Abdomen peu saillant. Membres inférieurs et
pieds
normaux. Puberté. - Verge : longueur 6 centimèt
uelques adhérences, prin- cipalement et des deux côtés au niveau du
pied
de la parié- tale ascendante, du pli courbe, de
réable. Attitude inclinée en avant, marche trem- blante, traîne les
pieds
, ne court pas, ne veut pas sauter, 104 11\INGO-
parce qu'il est en déché- ance et a des engelures aux mains et aux
pieds
et des boutons aux fesses. Dequis quelque temps
petits îlots ; le maximum des lésions siège sur le lobe frontal, le
pied
de la frontale et de la pariétale ascendantes. Il
ns motif, frappe des mains sur la table, frotte le parquet avec ses
pieds
. Il est très long à reprendre connaissance aprè
souffre rien de ses camarades, les frappe n'importe où à coups cle
pieds
ou de poings. Si, en récréation, il a reçu des
les, à 4 ou 5 cm. au-dessous du scrotum (Fig. 11 et 12) et les deux
pieds
adossés l'un à l'autre se trouvent tout près de
tale ascendante à la '2mc frontale ; l'autre très grêle allant du
pied
de la 3me frontale à la frontale ascendante. La s
assez sillonnées. La troisième frontale est moins volumineuse. Son
pied
est maigre et son corps est divisé à sa partie
frontale à la seconde frontale, elle communique entre le cap et le
pied
de la troisième frontale avec la scissure de Sylv
alie : cerveau. 187 bien développée surtout son cap. - Le cap et le
pied
de la 3e frontale paraissent atteints légèremen
mois, de la marche à 2 ans 1/2; marche seul à 8 ans. Déviation du
pied
droit à 7 ans. - Placement à l'Asile Clinique à 8
us faible que la gauche, sans qu'il y eut toutefois de déviation du
pied
. Il parlait presqu'aussi bien qu'aujourd'hui. R
n an ? qu'à 3 ans, il se promenait seul dans les rues. A 7 ans, son
pied
droit commença à se tourner et comme, il ne pou
sa soeur a en vain cherché à lui apprendre à lire. La déviation du
pied
droit, qui s'accroit de plus en plus, a été la
ychophagic). Membres inférieurs symétriques, assez bien constitués,
pieds
plats surtout àgauche. .VoZiZi'Zédes membres su
male. Marche défectueuse. L'enfant incline à droite et à gauche le
pied
droit dans une légère adduction. La lit. 43 don
année, que la marche devenait de plus en plus défectueuse et que le
pied
droit se déviait franchement en varus.. 1888.
1889, 24 heures après le décès. Rigidité cadavérique prononcée. Le
pied
droit est en varus équin prononcé. Tête. - A
te, qui, ultérieurement, à 7 ans, se compli- qua d'une déviation du
pied
. A tous les égards, il y avait un arrêt de déve
mort, en dé- cembre 1889. La paralysie s'aggrave peu à peu et le
pied
droit se déforme davantage (pied bot varus). Hy
aralysie s'aggrave peu à peu et le pied droit se déforme davantage (
pied
bot varus). Hydrocéphalie; réflexions. 201 Me
x, égaux, contracturés dans la position des tailleurs d'habits. Les
pieds
légèrement en talus varus semblent un peu plats
s'incurvait en arrière au point que « la tête touchait presque les
pieds
. » Ces convulsions durèrent une heure ou une he
paralysée de tous les membres, mais surtout à gauche ; elle a deux
pieds
bots ; elle serait néanmoins très intelligente,
complète. Les tibias paraissent légèrement concaves en dedans. Les
pieds
plats et en varus équin sont cyanoses. Les ongl
raides, ongles courts mais normaux. Membres inférieurs symétriques.
Pieds
nor- maux, légère exagération de la voûte plant
co-. Crâne ET cerveau. 297 lés l'un contre l'autre. La pointe des
pieds
est fortement portée en dedans (sorte de pied b
autre. La pointe des pieds est fortement portée en dedans (sorte de
pied
bot varus équin). La sensi- bilité est médiocre
iplégique. Parfois la contracture se com- plique de' déviations des
pieds
en varus équin. Les réflexes patellaires, le pl
abduction est limitée à droite par la contracture du droit interne.
Pied
bot varus droit. Thorax volumineux, déformé, à
e violentes crampes dans les jambes et de four- millements dans les
pieds
et les mains. Mais ceci dépasse le domaine de l
elle. Ils lui dictent tous ses actes. Ils font remuer ses doigts de
pied
. Ils la font parler malgré elle, surtout la nui
ble botte. Les tractions, les tor- sions imprimées aux orteils, aux
pieds
et aux jambes restent com- plètement ignorées.
6. Traitement psychique. Mouvements très limités des orteils et des
pieds
. Ébauche d'hémianesthésie : la moitié droite de
xercices dynamométriques sont pratiqués chaque jour. D... remue les
pieds
. Fig. 8. Fig. 9. Vit liez PATHOLOGIE NERVEU
oformé. Etat aussitôt après l'opération : lorsque le cobaye est sur
pied
, le bassin est un peu affaissé ; la patte droit
ril. - Le cobaye se porte bien. Le bassin est toujours affaissé. Le
pied
gauche postérieur est fléchi vers l'abdomen et la
énergiquement de l'extrémité gauche postérieure que la veille ; le
pied
est un peu dévié. La sensibilité cutanée, dans
ements ré- flexes (réflexes du périoste) sont plus exagérés dans le
pied
gauche postérieur que dans le pied droit. - La
oste) sont plus exagérés dans le pied gauche postérieur que dans le
pied
droit. - La température de la patte paralysée e
s sont abolis dans le pied- gauche posté- rieur et affaibli dans le
pied
droit, qui reste la plupart du temps dans un ét
e toujours affaissé et amoindri dans le volume. Les mouve- ments du
pied
gauche postérieur sont annulés; du côté gauche, i
bles, sont possibles dans toutes les jointures. Les mouve- ments du
pied
droit et les phénomènes de la sensibilité (de mêm
s placés loin d'elle, et, dans une soirée, battre la mesure avec le
pied
et agiter vivement ses jambes, tan- dis qu'elle
deux aides. On dirait que l'éducation de la marche est refaire; les
pieds
se détachent du sol avec difficulté ; la malade
mplexes, tels que ceux qu'exige le fait de battre la mesure avec le
pied
, suivant un rythme marqué (OBSERV. II). DE L'
ns tétaniques sans mouvements de locomotion n'a rien à voir avec le
pied
du pédoncule, mais il est possible que le réfle
raidi en extension , vous voyez le malade marcher : l'extrémité du
pied
droit ne quitte pas le sol, le genou fléchit à
agéré et on provo- que avec la plus grande facilité le phénomène du
pied
. A gauche, les mêmes modifications existent, ma
ux, par leur partie postérieure, au niveau de leur courbure vers le
pied
d'Hippocampe. Le cerveau est normal et de bonne
pté un certain affaiblissement des mouvements volon- taires dans le
pied
droit postérieur. 19. - Les mouvements sont plu
a peau 'Voir le n° Ci, page 52. 't90 anatomie. sur la plante du
pied
de la patte droite postérieure se détache par g
e tout à fait bien portant; dans la position suspendue du corps, le
pied
gauche postérieur pend plus bas que celui de dr
nd plus bas que celui de droite. Il semble aussi plus maigre que le
pied
droit; les mouvements volontaires sont assez li
es ainsi qu'il est difficile de trouver une différence avec l'autre
pied
qui reste tou- jours en arrière. Une légère hyp
rquer ;que de faibles signes de sensibilité cutanée de la plante du
pied
. 28. Statu quo. On a préparé le cobaye à une se
oujours suspendue ; le cobaye marche facilement et en même temps le
pied
postérieur reste un peu en arrière ; on remarqu
ale, sur l'abdomen et l'extrémité postérieure (excepté la plante du
pied
, où la sensibilité est très faible) il y a plei
lesquels (après le premier mois) les mouvements volontaires dans le
pied
gauche postérieur se sont complètement rétablis
Fig. 21. DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 193 terme cité dans la plante du
pied
, dans un degré peu important. Pendant ce temps,
omènes observés la veille s'est ajoutée une cer- taine faiblesse du
pied
gauche postérieure. En outre, l'hyperes- thésie
ollodion iodoformé. Après l'opération, le cobaye s'appuie sur trois
pieds
: le pied gauche postérieur est tendu et immobile
doformé. Après l'opération, le cobaye s'appuie sur trois pieds : le
pied
gauche postérieur est tendu et immobile. Les mo
ure ne suivent pas la même direction que les voies de motilité du
pied
antérieur du même côté, mais doivent se trouver d
'après notre supposition, parce que les nouvelles voies motrices du
pied
qui avait été paralysé ont été lésées par la de
jiini, « l'un- cus ne constitue que l'extrémité antérieure du grand
pied
d'hippocampe », Il ne dit pas « de la circonvol
es avec celles de la partie antérieure de la rétine, constituent le
pied
des fibres de Muller. Ces fibres se touchent to
e pied des fibres de Muller. Ces fibres se touchent toutes par leur
pied
. Ces cellules des fibres de Muller dans larétine
sie cérébrale de l'extrémité inférieure gauche et en particulier du
pied
. M. Oppenheim ? Un cas de lésion combinée des c
certaine et chancelante ; il marche les jambes écartées, levant les
pieds
plus haut que d'ordi- naire parce qu'il ne peut
es jambes écartées, en vacillant et en laissant tomber la pointe du
pied
, ataxie légère. Réaction pupillaire prompte; in
genoux et des coudes, mais ·ont toujours prédominants au niveau du
pied
. Une de ses tantes du côté paternel a toujours
ite ville de la Bourgogne, ne sachant pas un mot d'allemand, part à
pied
et sans argent, et arrive sans encombre à Vienn
rcle est très beau, souvent d'une durée qui dépasse une minute; les
pieds
se posent sur la plante et non sur la pointe; l
ne. Repos. Puis arc de cercle, le corps reposant sur la tête et les
pieds
. Il profère des obscénités, puis s'as- seoit, e
nt faire une course, il eut une peur occasionnée par la chute à ses
pieds
, d'un sixième étage, d'un individu qui se suici
'est mordu la langue, mais n'a pas uriné sous lui. Il put revenir à
pied
chez lui. fut alors traité par Raspail pendant hu
e au début de l'attaque en s'arc-boulant sur les épaules et sur les
pieds
successivement pour bondir ainsi deux ou trois
sur le dos et est agité de fortes secousses dans tout le corps. Les
pieds
frappent fortement le sol. Il se tourne sur le
briques massives. Les couloirs donnent accès à une baie de douze
pieds
et demi; on pénètre à l'étage supérieur par un es
ois, dont le dôme est coupé en deux par une flèche, elle mesure six
pieds
de large et six pieds et demi de haut. Au dehor
coupé en deux par une flèche, elle mesure six pieds de large et six
pieds
et demi de haut. Au dehors, elle est grillée, n
. Le volet intérieur de la fenêtre, obliquement disposé, est à sept
pieds
au-dessus du sol de la chambre. L'embrasure int
cette fenêtre à dôme, se trouve l'orifice de la porte qui mesure 3
pieds
de long et 6 pieds et demi de haut. Deux organe
me, se trouve l'orifice de la porte qui mesure 3 pieds de long et 6
pieds
et demi de haut. Deux organes le ferment à la d
plet. Au-dessus de la porte est un judas de 2 pieds de haut et de 3
pieds
de large qui ferme intérieurement par un panneau
cela à ce que l'électricité du sol pénètre dans le corps par quatre
pieds
au lieu de deux, théorie qui a été défendue ? Nou
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