e sont autant de points sur lesquels je reviendrai. En tous cas, je
pense
vous montrer qu'une tumeur unique peut suffire
ion de ce phénomène ? il ne peut s'agir là de tabes. Eh bien ! je
pense
pouvoir vous démontrer que cette abolition des
jonne d'appor- ter une nouvelle théorie qui sera, tout permet de le
penser
, confirmée à l'avenir par des faits plus nombre
t certaine, assurément elle est moins considérable que ne l'avaient
pensé
quelques auteurs au début de leurs recherches.
n jugeant d'après les poses incommodes que prend le malade, il faut
penser
qu'il a perdu la conscience musculaire. Les réf
'écorce et les ganglions sous- corticaux (Brissaud, Bechtereff). Je
pense
qu'il n'y a point de nécessité à prouver que le
mes lésions vas- culaires, et dans cette maladie, M. Ford Robertson
pense
que les lésions va"culair es sont primitives et
s de l'auteur (Figures). En ce qui concerne la structure, M. Pawlow
pense
qu'il n'y a pas de limites tranchées entre la s
mais leur topographie est encore contro- versée. Différents auteurs
pensent
qu'elles sont diffuses et ne peu- vent être loc
a faveur la fatigue observée à chaque espèce de séances. Il est à
penser
qu'il s'agissait d'une altération syphilitique de
, par S.-11. ScHaTzKY (Obozrénié psiclaiatrü, VI, 1901). L'auteur
pense
que les expériences physiques qu'il a citées, et
ler, et dans quelle direction il convient de pro- céder. L'auteur
pense
qu'une trépanation primordiale, en vue d'explorer
n'y avait pas de dégénérescence des faisceaux blancs. Les auteurs
pensent
que la symptomatologie doit être tout entière r
cations les plus pratiques servent de conclusion logique. Nous ne
pensons
pas que, jusqu'ici, rien n'ait été écrit de plus
rentes entre elles. » Rien n'est plus exact et beaucoup de médecins
pensent
à tort que leur seul rôle possible auprès de la
ller à Paris, faire la fête. Elle est double vierge ; elle aura des
pensions
, des trésors inépuisables. Embarras extrême de
: Un sujet lit à haute voix. S'il fait attention à ce qu'il lit, y
pense
, continue volontairement sa lecture, l'interrom
,oies intrapol;gonales. 122 . REVUE CRITIQUE. autre personne sans
penser
ce qu'il lit, s'il lit automatiquement, le cerc
nd que uVMMt; c'est un acte purement polygonal ; et avec 0, il peut
penser
à autre chose » (p. 10). Grasset, répondant p
des faits de physiologie normale et par des faits de pathologie. Il
pense
que dans la distraction, le centre 0 (psychisme
ellectuel, le sommeil de la conscience. Mais, encore une fois, nous
pensons
que les hypothèses ne valent que par les vérité
e-mème très vague par le fait de sa trop grande extension 4. Nous
pensons
, avec notre maître Babinski, quitte à y revenir
que l'étude psychologique des sujets hypnotisés amène M. Grasset à
penser
que le moi, l'intelligence volontaire est paral
ler avec ce procédé. Tout ré dans la suggestion, pourvu que l'on ne
pense
pas cor Bernheim que la suggestion peut réalise
t perdraient, à être répétées avec un contrôle rigoureux, Grasset
pense
que chez les sujets en hypnose paralysés d'un seu
des se plaindre qu'on agit sur leurs pensées, qu'ils sont forcés de
penser
d'une certaine manière ; il est souvent manifes
dmettent que quatre saveurs : aigre, douce, salée, amère ; l'auteur
pense
qu'il en faudrait 140 REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
l'auteur les croit rares, bien que Dagonet ait peut-être raison de
penser
qu'elles passent souvent inaperçues. Dans la plu-
ns. Chez ces deux malades existe aussi de l'artériosclérose. Il est
penser
que la marche des phénomènes tient à des troubl
avec ses mem- bres des mouvements sans but : l'auteur l'examine et
pense
à l'hydrocéphalie ; la tête était très grosse (
e empreints des caractères de l'ataxie cérébelleuse, tout cela fait
penser
à une affection corticale du cerveau, probablem
l'on ne doit pas invoquer uniquement l'étiologie syphilitiqne. Il
pense
que la syphilis ne peut développer un tabes légit
a paralysie générale débute parfois par des symptômes pouvant faire
penser
à la folie intermittente qu'ils simulent. D'aut
es les encéphalites ne donnent pas lieu au syndrome paralytique. Il
pense
que, malgré la multi- plicité des lésions obser
ion s'est produite, sous l'impulsion de MM. Brouardel et Vibert qui
pensent
que, le plus souvent, la prédisposition n'est qu'
p vient la frapper à la poitrine, sans que, le laissant venir, elle
pense
à se défendre, elle saisit l'animal par les parti
la frayeur n'apparaît plus qu'accessoire. Comme M. Féré, « nous ne
pensons
pas que les émotions puissent « être considérée
tifiée pour désigner ces cas. Voyons ce que l'on sait, ce que l'on
pense
généralement au sujet de l'association de l'idi
xe et difficilement explicable du goitre exophtalmique que l'auteur
pensa
comme étant au moins quelque peu semblable. Gle
chez quelques-uns de ses chiens, l'auteur ne serait pas éloigné de
penser
que certaines formes d'épilepsie, et peut-être en
iles se conformaient d'abord àl'un ou l'autre de ces deux types. Il
pense
d'autre part que t'age auquel la folie apparaît
tère spécifique de l'affection du système nerveux. Vs. A. Mouratoff
pense
que l'association de l'amnésie du type Korsakof
3j octobre 1903, n° 43 et tirage il part.) M. le professeur Poncet
pense
que dans la classe des nains achon- droplases,
précoce d'un cancer jusque-là latent. La symptomatologie peut faire
penser
à une sarcomatose des nerfs de la base du crâne
t de telles douleurs sont exceptionnelles. Pas plus nous ne pouvons
penser
à des masses émanées du corps vertébral et vena
côté et étendus sur une grande hauteur. Pourquoi donc alors ne pas
penser
à une pénétra- tion de la tumeur cancéreuse sim
de nombreux trous de con- iugaison, il, Et pourquoi aussi ne pas
penser
à la dissémination en hauteur dans la cavité de
là pour vous diriger ; lorsque vous aurez éliminé le tabes, vous
penserez
à la carcinose radiculaire. Vous serez aussi le p
ues sont celles d'une polynévrite sensitivo-motrice diffuse. Vous
penserez
aux névrites isolées des nerfs rachidiens; vous
reuses intra-craniennes, vous en connaissez la cause. Enfin, vous
penserez
à la fréquence des névrites cancé- reuses préco
thyroïdes sont fonctionnellement associées. Cette opinion permet de
penser
qu'en cas de crises d'éclampsie, chez une femme
n point de vue purement clinique la variété délirante. ' L'auteur
pense
que la folie brightique, pas plus que l'urémie dé
s périodes du mal de Bright, à la faveur de l'ocdéme céré- bral. Il
pense
en outre, pouvoir établir que ce trouble psychiqu
et les deux principaux exemples de son application, nous laissons à
penser
les critiques intéressantes de Storch; elles so
signe physique et de tout phénomène de compression pou- vant faire
penser
à un anévrysme. Le malade était au lit depuis p
anévrysme. Le malade était au lit depuis plusieurs jours et l'on ne
pensa
à l'anévrysme que vingt-quatre heures avant la
lysie générale, se ren- contre beaucoup plus fréquemment que 'ne le
pense
M. Vallon, M. Klippel a décrit cette concomitan
lle ; elle ne jouissait pas de toutes ses facultés mentales et l'on
pense
qu'elle aura mis involontairement le feu à ses
. 375 tionnel psychodynamique de l'acte sexuel, voici ce que nous
pensons
pouvoir dire : a) L'acte génital consiste dans
ection, les réflexes mus- culaires sont très marqués de ce côté. Il
pense
que les filets moteurs accessoires passent par
se, permet d'envisager le rôle probable de ces éléments. L'au- teur
pense
que ce sont des matériaux de réserve, destinés à
aliénés ; leur fonction normale est encore mal déterminée; l'auteur
pense
que chaque vibration due à la systole ventricul
un gliome myxomateux. La distribution générale de la lésion donne à
penser
qu'elle pouvait être le résultat d'une défectuo
'élec- trisation. Amélioration progressive. Gilles de la Tourette
pense
que les infections agissent en déter- minant un
sentait comme une arête osseuse au-dessous des téguments, cequi fit
penser
à une fracture du crâne par enfon- cement. La
médecine de Bordeaux par M. Tissié en 1806. Il les reprend, car il
pense
que grâce au travail de P. Marie elles peuvent
valeur , diagnostique; qu'ils peuvent même être trompeurs et faire
penser
à la paralysie générale en particulier. Il n'en
lectique suivi de perte de la conscience et de dysenterie, l'auteur
pense
(en l'absence d'examen microscopique) que ces m
va publier le Collège Royal des Médecins de Londres que l'auteur a
pensé
qu'il y avait lieu de reviser la nomenclatnre d
l y avait lieu de reviser la nomenclatnre des maladies mentales. Il
pense
qu'il faut se rallier, dans les gran- des ligue
est fort diflicile d'y faire rentrer les cas particuliers. L'auteur
pense
que l'on arrivera à un résultat beaucoup plus p
rme d'une sensation, de manière à être prise pour la réalité. Tanzi
pense
que ce méca- nisme ne se produit que dans des c
oup plus complexes que les associations motrices. Bien que l'auteur
pense
, avec Tamburini, que la sensation dont nous som
re d'association de Flechsig, ou un centre psychique, et l'auteur
pense
, avec Tanzi, que l'étude des hallucinations paraî
un besoin brutal d'ôter la vie pour le simple plaisir de l'ôter. Il
pense
que les motifs ordinaires, la jalousie, la misè
pas qu'il y ait autant de cas de folie associés à la toxémie que le
pensent
plusieurs de ses con- frères. Le point sur lequ
e qu'on remonte à l'origine des processus morbides. M. H. G. WILSON
pense
que cette question ne peut être envisagée que c
peut avoir et a souvent une origine purement men- tale. M. Bruce
pense
que personne ne peut'nier l'importance de la pr
malade, il est clair que tout trai- tement est inutile. ' M. M.mR
pense
que les opinions de M. Clouston et de M. Robert-
cérébrale pour l'explication des hallucinations unilatérales. Il
pense
que les hallucinations dites bilatérales et de ca
rme deux observations de névrose d'angoisse. "Avec Ballet, l'auteur
pense
, contrairement à la théorie de Frend, que la pr
olonté, ne fait rien, sem- ble en partie conscient de son état : il
pense
alors qne si on venait l'attaquer il serait inc
autre; il voulait dire quelque chose et n'y parvenait pas. M. N...
pensa
alors qu'il était influencé, qu'il était dominé
pond pas, reste parfois immobile des heures entières, ne paraissant
penser
à rien. Incapable de tout effort mental, il ne
. La phase aiguë n'a laissé en lui que des souvenirs peu précis; il
pense
cependant qu'il pourrait retrouver ses souve- n
n sur ce que je lui demandais. évides- ment il n'y avait pas encore
pensé
spontanément ; il me répondit enfin affirmative
insi; cela m'est totalement indiffé- rent. » Habituellement il ne
pense
à rien, il n'a pas d'états de rêverie, sa Pensé
CLINIQUE MENTALE. spontanés, il ne songe'pas à sa vie passée, il ne
pense
pas à l'ave- nir, à ce qu'il fera à sa sortie :
ent qu'il avait le cerveau vide, qu'il n'avait plus d'idées. Pour
penser
à quelque chose, il faut qu'il le- veuille, qu'il
qu'il peut évoquer des souvenirs passés, rassembler ses idées pour
penser
à l'avenir. Il fait cela un peu volontairement,
es pour penser à l'avenir. Il fait cela un peu volontairement, pour
penser
à quelque chose, pour ne pas persister dans l'éta
ui est habituel. Expérimenter sur un tel sujet pour savoir ce qu'il
pense
habi- .tuellement, pour constater objectivement
e est très difficile, car la caractéristique de ce malade est de ne
penser
à rien spontanément, mais de pouvoir le faire d'u
le pliait de laisser sa pensée au ha- sard bien que lui imposant de
penser
à quelque chose. J'ai em- ployé un test préconi
E PRÉCOCE. 44l après les autres en le priant de me dire à quoi il a
pensé
en écrivant chacun d'eux. ftomn. - « J'ai pen
dire à quoi il a pensé en écrivant chacun d'eux. ftomn. - « J'ai
pensé
au crime de Sylvestre Bonnard que je lis en ce
e le litre ne correspondait pas au sujet traité. » - Vous avez bien
pensé
cette chose au moment même où vous écriviez le
: Bouquin. - Même chose. Anatole. - « Prénom d'A. France, il y a
pensé
parce qu'il avait pensé précédemment au crime d
. Anatole. - « Prénom d'A. France, il y a pensé parce qu'il avait
pensé
précédemment au crime de Sylvestre l3ozrzarcl ; m
e de Sylvestre l3ozrzarcl ; mais au mo- ment oit il l'écrivait il a
pensé
ci Anatole Delaforge, il s'est repré- senté la
figure telle qu'il l'avait vue dans l'Illustration. François. - A
pensé
à Fr. Coppée, aucune représentation visuelle. A
de l'avenue des Gobe- lins. Alphonse. - Aucune représentation, a
pensé
à A. Daudet. Daudet. - Aucune représentation.
'il l'avait vue dans un- arrêt du train. ' Port-Tarczscon. - Il a
pensé
que Daudet avait voulu décrire Tarascon, port d
rire Tarascon, port de mer (il n'a pas lu le livre). Gustave. - A
pensé
ci Gustave 1ymard. dynaarcl. - A pensé que son
lu le livre). Gustave. - A pensé ci Gustave 1ymard. dynaarcl. - A
pensé
que son gardien s'appelle aussi AynHl1'd, mais ne
aussi AynHl1'd, mais ne se l'est pas représenté. Francisque. - A
pensé
ci Sarcey. Sarcey. - A vu Sarcey faisant une co
nière qu'il ait faite à l'Odéon; voyant ma montre sur la table il a
pensé
que Sar- cey posait aussi la sienne de la même
y posait aussi la sienne de la même façon. Temps. - Sm'cey l'a fait
penser
au Temps, il a vu le format de ce journal, mais
s volontaires. Or le malade ne se plaint pas tant de ne pas pouvoir
penser
volontairelneutque de l'effort mental qu'il lui
ser volontairelneutque de l'effort mental qu'il lui faut faire pour
penser
, il se plaint d'avoir habituellement le cerveau
n des détails). Très souvent il est distrait pendant la lecture, il
pense
à autre chose. Il a simplement entendu un bruit
acité moins grande des images men- tales ; si M. N..., en effet, ne
pense
plus spontanément, c'est que les diverses repré
uériles de se trouver en butte à certaines tracasseries auxquelles,
pense-t
-il, sont exposées les personnes qui vivent isol
; elles se résu- ment en cette formule : spontanément, le malade ne
pense
à rien ou presque à rien, mais on peut lui fair
époque, 111. N... a-t-il présenté des signes qui auraient pu faire
penser
à la gravité de l'affec- tion, mais le diagnost
ut. Sans vouloir imposer aucune hypothèse ni aucune théorie, nous
pensons
avec Sérieux que la paralysie générale est capa
du potentiel et libération d'énergie nerveuse ? Ou bien devons-nous
penser
que, dans les mouvements semi-automa- tiques et
es fibres nerveuses péripheriques. Plusieurs raisons conduisent à
penser
que très probablement le rôle de la myéline n'e
tait associée aux néoplasmes de cette région; mais d'autres auteurs
pensent
qu'au point de vue symptomatique les lobes fron
dirige le malade vers la guérison, et cela bien longtemps avant de
penser
au traitement par l'internement dans un asile,
gite tuberculeuse repose dans ces c. sur des probabilités ; mais il
pense
que, si le traitement qu'il pr conise dans la p
qu'ils crurent atteinte de lésion isolée de la couche oplique. Ils
pensent
qu'à l'heure actuelle on peutparlerd'un syndrom
fluence du patronage sur les formes morbides isolées, le rapporteur
pense
, pourtant, que le patronage est une mesure bien
grâce aux côtés négatifs de la vie de l'hôpital. A.-N. Bernstein
pense
qu'en mentionnant les bons côtés du patronage f
ns qui ont un rapport à la représentation du temps. W.-A. Mouratoff
pense
que l'appréciation du temps se fait à l'aide de
contre son rôle producteur dans l'épilepsie. Du côté théorique, il
pense
qu'il n'y a point de raison de réfuter apriori
raît comme identique avec l'institution de sa pathogénie ; M. Minor
pense
que ces opinions ne se corres- pondent pas et q
eur se sont occu- pés de l'examen du sang des épileptiques, ils ont
pensé
le moins à réfuter les observations de BnA ; le
xième circonvolution frontale. gt2 BIBLIOGRAPHIE. V.-W. Vouobieff
pense
que le centre de BROCA apparaît comme un centre
incapable de se développer, périsse prématurément. Mais l'auteur ne
pense
pas que la doctrine de l'infection spécifique e
alysie générale chez l'adulte. La syphilis détermine donc, comme le
pense
mort, une diminution de 1 éoislance, d'origine
ident au développement du monde organique, il n'est pas interdit de
penser
que le siècle actuel assistera non seulement à
nouveau, la maladie et la mort sont venues l'interrompre, et ce livre
pensé
n'ayant point été écrit, le trésor d'observations
, infectaret, lisez : insectaret. 563 — 28, raisonner avec, lisez •
penser
avec. 577 — 15, qu'ont poussé, lisez .-qu'ont p
ologie générale. Gall a essayé l'un des premiers de la résoudre. Il
pensait
avoir vu dans la moelle des renflements successif
itement conformes à la nature. Mes recherches ne me permettent pas de
penser
qu'aucun prolongement de ces cellules se termine
on de ce nerf avec cette couche superficielle du pédoncule. Mais nous
pensons
, avec MM. Philippeaux et Vulpian, que cette asser
e, du carbonate de chaux, du phosphate de chaux et de la silice. Nous
pensons
, au sujet des concrétions de la glande pinéale, c
développent parallèlement; mais ce serait errer étrangement que de
penser
qu'il y a là un rapport de corrélation absolue, j
es qui pénètrent dans la cavité de la bourse. Plusieurs anatomistes
pensent
que l'olive est un organe particulier à l'homme e
rtance à cette question; nous suivrons ici son exemple. Les anciens
pensaient
que la vallée médiane était destinée à loger une
calleux, elles pourraient être chez eux plus facilement aperçues. Je
pensai
dès lors aux Marsupiaux chez lesquels le corps ca
ions immédiatement nous élever à des conclusions physiologiques, nous
penserions
que dans l'homme, et dans quelques animaux privil
ence ultérieure. Baër professe cette dernière manière de voir (1). Il
pense
qu'à une certaine époque la couverture du cerveau
s comme trop de lumière ; elles aveuglent en éblouissant. Aussi ai-je
pensé
devoir m'en tenir ici aux choses indispensables.
Tiedemann, elle est beaucoup moins absolue qu'on ne l'a généralement
pensé
; cette sorte de parallélisme n'étant établi que
à une époque où la vie automatique languit? Je ne sais ce qu'il faut
penser
de l'histoire de Dé-mocrite, prolongeant par la f
est pour les vieux employés une étape de la mort; mais les hommes qui
pensent
beaucoup, non aux choses de la chair mais à celle
recevoir prompte-ment les substances qu'on introduit dans les veines,
pense
qu'il pourrait bien n'être pas étranger à l'actio
me l'emporte à nos yeux sur la question de masse, nous sommes loin de
penser
qu'il faille négliger celle-ci ; mais l'importanc
l'esprit et par les mœurs, le crâne des artistes habiles, de ceux qui
pensent
et imaginent beaucoup, est en général plus grand,
re de cumul malheureusement très rare et dont il faut le féliciter,
pense
, et son opinion est à coup sûr d'un grand poids,
ant de crânioscopies différentes qu'il y a de types distincts. Or que
penser
de la crânioscopie des oiseaux ou des reptiles, m
outes ses idées, parce que partout, et même dans ses erreurs, il fait
penser
, et peut être considéré comme un moteur dans l'or
uteur toute brillante de poésie? Nous dirons plus bas ce qu'il faut
penser
des localisations ; mais, quant à présent, nous n
t de volontés réelles; en effet, pour sentir et pour vouloir, il faut
penser
en un certain degré. Ces résultats donnèrent aux
ri. Mais il n'établit pas clairement le rôle des faisceaux blancs. 11
pense
toutefois qu'ils servent les uns et les autres à
rs, et que toutes pénètrent d'abord dans la substance grise ; mais il
pense
que cette substance les transmet aux cordons post
pinions qu'ils formulent. Mettons, disait saint Augustin, ce que nous
pensons
à part de ce que nous savons. Il n'y a point de m
t et par deux figures qu'il a publiées sans les expliquer, il donne à
penser
que, dans son opinion, la moelle n'est pas le seu
érale du corps que la lésion du cervelet lui-même ; et cela conduit à
penser
que la force impulsive n'appartient pas à cet org
n des anneaux fibreux qui composent son écorce blanche ; car, nous ne
pensons
pas qu'en elle-même la destruction du noyau gris
du corps (1). Eu égard aux mouvements, plusieurs physiologistes ont
pensé
que les deux extrémités des hémisphères agissaien
firmation est douteuse, la négation ne l'est pas moins. (1) On peut
penser
avec un seul hémisphère. Rien n'est mieux prouvé.
les herbivores, les rongeurs et surtout les marsupiaux. On peut donc
penser
avec raison que ces appareils sont appelés à se s
nts d'une bougie à laquelle on donnait un mouvement circulaire. Je ne
pense
pas qu'on puisse conclure de ce fait, à l'existen
l sait, il n'est pas certaines parties de son corps; il sait qu'il ne
pense
ni par ses bras, ni par ses jambes, ni par les ye
reilles, ni par aucun autre organe extérieur; enfin, à supposer qu'il
pense
par certaines parties intérieures, non-seulement
est le point de départ de la psychologie. On a voulu connaître ce qui
pense
dans l'homme, et l'attention des philosophes s'es
sise sur des bases bien solides; l'âme, je veux dire la substance qui
pense
, est le sang pour les uns, pour les autres c'est
s bêles supérieures connaissent donc! mais si elles connaissent elles
pensent
. Comment cela, si leur âme n'est que matière? Qu'
l avait écrit un livre tout exprès pour démontrer que la matière peut
penser
. Clarke le réfute absolument. Il se fonde en cela
dualité qui, suivant Clarke, est la condition de la pensée. L'âme qui
pense
ou quia un sentiment intérieur individuel, peut d
est, dit-il, un exemple de la manière dont la faculté individuelle de
penser
peut se trouver dans la matière. Ainsi, les parti
veau humain peuvent avoir, par cet arrangement spécial, la faculté de
penser
, ou à titre de production naturelle, ou comme une
jouter à la matière, outre ces propriétés naturelles, la propriété de
penser
et lui donner en même temps l'immortalité (1). Ma
ère indirecte, c'est-à-dire, en tant que quelque substance capable de
penser
lui est unie. C'est là, il est vrai, un sujet ard
n effet, se connaît comme être, mais non comme matière. Il sait qu'il
pense
, qu'il n'est rien que par celte (1) M. Lelut a
araît pas contradictoire d'accorder que la matière ou le cerveau peut
penser
. Il est évident que par celte déclaration même, i
certaine, et celle de notre corps paraît douteuse, dès qu'on vient à
penser
que la matière pourrait bien n'être qu'un mode de
nte de la matière du monde, et cette substance, dont le propre est de
penser
, a été appelée Esprit. Telle est l'opinion des pa
si le système était vrai. » La tendance naturelle que nous avons à
penser
et à concevoir les idées les plus abstraites sous
t quod ipsa sit « Quand l'esprit s'imagine qu'il est fait d'air, il
pense
, il est « vrai, qu'il est de l'air; mais il sait
est « vrai, qu'il est de l'air; mais il sait certainement qu'il le «
pense
. Or, il ne sait pas être fait d'air, il sait seul
se. Or, il ne sait pas être fait d'air, il sait seulement «c qu'il le
pense
. Qu'il mette à part d'un côté ce qu'il pense, « d
it seulement «c qu'il le pense. Qu'il mette à part d'un côté ce qu'il
pense
, « de l'autre ce qu'il sait, cela seul est certai
ameux Cogito ergo sum, qu'on peut traduire ainsi : Je suis puisque je
pense
. Ainsi l'âme est ce qui pense dans l'homme. Cela
eut traduire ainsi : Je suis puisque je pense. Ainsi l'âme est ce qui
pense
dans l'homme. Cela ne vaut-il pas mieux que de la
le d'ailleurs? un compas ou une mesure entre les mains d'un singe. Je
pense
l'avoir d'ailleurs assez prouvé. B. Du goût et
ente; je la vois réellement. J'entends bien ce son, ce concert que je
pense
. Ces sensations idéales sont, il est vrai, plus f
urces principales où puise l'intelligence? Quelques philosophes l'ont
pensé
, et parmi eux je citerai plus particulièrement Jo
ous restent de l'enfance? Comme nous ne touchons qu'à mesure que nous
pensons
plus fortement, le toucher reste imparfait bien p
ique de ces deux points ne sera point violette, comme on aurait pu le
penser
, mais rouge ou bleue. Ce résultat semble prouve
proche des idées que nous avons de nous-même, et il semble naturel de
penser
qu'elles s'effacent d'autant plus facilement qu'e
ntelligence intervient, il hésite. Mais monte-t-il en aveugle, sans y
penser
, met-il la bride sur le cou du coursier? le corps
rie et les mains l'exécuteront à l'instant sans qu'il soit besoin d'y
penser
. Ainsi, plus le musicien aura l'habitude d'un nom
e l'âme humaine. Il y a donc dans l'homme, à partir du moment où il
pense
, deux sources d'impressions distinctes également
L'art spowtané d'imaginer est donc la condition première de l'art de
penser
. Cet art met en usage un procédé fort simple : il
n vent léger s'élève et nous apporte des sons distincts. L'air que je
pensais
imaginer était joué en réalité par un orchestre é
nt la main d'une femme hystérique, plongée dans l'état magnétique. 11
pense
à un nombre, et demande à la somnambule quel nomb
ue. 11 pense à un nombre, et demande à la somnambule quel nombre il a
pensé
. Observez que, pour obtenir une réponse, il faut
el nombre il a pensé. Observez que, pour obtenir une réponse, il faut
penser
très-vivement : ceci est essentiel. Or, penser vi
r une réponse, il faut penser très-vivement : ceci est essentiel. Or,
penser
vivement à un nombre, c'est avoir une tendence én
eule que l'âme se manifeste à elle-même dans toute sa splendeur , car
penser
c'est agir, et l'homme ne se connaît que par la p
le sommeil avec des sens éveillés? Comment expliquer ces rêveurs qui
pensent
, agissent, écrivent même, avec une élévation sing
philosophes supposent que les songes sont accidentels et que l'âme ne
pense
pas toujours (1). Mais il est fort à présumer que
ibue, il serait légitime d'avancer que dans l'état de veille l'âme ne
pense
pas toujours, puisque l'homme a le plus souvent o
ap, i, §11, ut Formey, Mcm. de l'Acad. de Berlin. T. Vlil, 17-iU. a
pensé
pendant la journée (1). L'absence de mémoire est
été formulée par Lactance ; à ses yeux il est si nécessaire que l'âme
pense
toujours, que les songes sont selon lui la condit
ersonne, dit-il en faisant allusion à l'hallucination de Spinosa, n'a
pensé
peut-être à un homme à la fois Brasilieri, noir e
nt des viscères vers le cerveau. Je serais d'autant plus disposé à le
penser
, que dans le raptus des congestions cérébrales, l
n peut rêver que l'on ne rêve pas ; et ce fait seul nous conduirait à
penser
qu'il y a dans certains songes ou plutôt dans cer
te ici, il y avait une saveur perçue, c'était de la bière blanche que
pensait
le rêveur, et il en sentait le goût. D'ailleurs
ein jour l'ouïe est en réalité moins active ? Dans ce cas on pourrait
penser
qu'une des conditions les plus favorables au déve
ent dite. J'ai dit plus haut comment, dans certains cas, on s'imagine
penser
ce qu'on entend en réalité, quand la cause extéri
eille pieusement auprès d'un cadavre voit sa poitrine se soulever, il
pense
entendre son souffle et son imagination ranime ce
de la conscience et du moi. J'ai connu, dit Boerhaave, un malade qui
pensait
avoir pour jambes des brins de paille. Comment po
né de deux ordres différents d'idées, en sorte que, par moments, elle
pensait
être double. Dans ces deux cas, l'idée de dupli
uis ainsi dire, un sentiment plus distinct de lui-même se ralluma, il
pensa
, et ce fut comme une résurrection ; mais, chose m
avons deux hémisphères, comme nous avons deux yeux. Or, comme on peut
penser
avec un seul hémisphère, il est certain que leur
de la pesanteur au gré de son esprit? Combien de fous tout éveillés,
pensent
se détacher du sol et voler dans les airs? La rai
un grand mouvement d'inspiration, pendant lequel, tout éveillée, elle
pensait
réellement quitter la terre et s'élever dans les
aussi vivement que les choses de la vie réelle. Combien de fois ai-je
pensé
alors : voilà une expérience concluante, il faudr
perte de la virginité; ainsi, dans leurs songes, les jeunes filles
pensent
voler au loin et très-haut. Quand des femmes mari
dérés. Tel autre, s'affaissant sur lui-même par excès de faiblesse,
pensera
être fait de coton. S'il a précédemment vu du ful
tes les splendeurs du ciel. M. Théophile Gautier, enivré de Hachisch,
pensait
en un temps très-court avoir vécu trois cents ans
sur le pendule oscillateur. Un homme tient un pendule à la main; il
pense
à un mouvement possible, le pendule se met en mou
il pense à un mouvement possible, le pendule se met en mouvement; il
pense
que le mouvement va s'arrêter, le pendule s'arrêt
et arriveront au maximum, au moment même où le sujet de,l'observation
pensera
garder l'immobilité la plus grande. Si au lieu
aisants et des mystificateurs qui sont partout plus nombreux qu'on ne
pense
. Mais on va plus loin. Il suffit, dit-on, qu'un
e' crainte. Les lèvres répètent automatiquement les discours que l'on
pense
vivement. Songeons-nous à quelque chose d'élevé?
ys, liv. 1, ch. xx. « J'en ai vu plusieurs, dit Saint-André, qui ne
pensaient
qu'aux menaces que leur avaient fait des gens de
e sait-on pas que les larmes se tarissent aux yeux de l'hypocrite qui
pense
ne pas pleurer assez, tandis que la crainte de tr
ompassion au même degré que les autres hommes. 11 est difficile de le
penser
; mais il suffit d'indiquer ici ces choses. nomb
en voyage, devint enceinte et mit au monde un fils. Comme on peut le
penser
, la légitimité de cet enfant fut vivement contest
nifestation explique celle d'un agent spécial? Les commissaires ne le
pensent
pas. « Il y a, disent-ils, tant de rapport, « que
sme est une cause réelle et puissante, « elle n'a pas besoin qu'ils y
pensent
pour agir et pour se « manifester. Elle doit, pou
s à l'autre. M. le docteur Gromier, de Lyon, accepte ces faits, et ne
pense
pas que la science des somnambules aille au delà.
gence est abolie après la destruction des hémisphères cérébraux, nous
pensons
avec M. Flourens que toutes les sensations le son
t accomplir, peut se faire encore sans le cerveau. Je persiste donc à
penser
que pour expliquer les instincts, il faut tenir c
t les calculer? Nous n’y avons point songé dans le principe, et n’y
pensons
pas maintenant; c’est l’avenir que nous envisageo
ert-de-gris. Vous aviez tous le droit de vivre, comme la liberté de
penser
et même d’écrire, on vous a ravi ces droits sans
u jour s’il sait d’où il vient, où il va ? il ne saura répondre ; qui
pense
eu lui et le fait mouvoir ? il l’iguore ; qui voi
s avez mis à épouser l’injuste attaque qu’on a dirigée contre moi. Je
pense
que le frère Laporte vous a rendu compte de la de
but était important pour moi. Je demandai à la somnambule ce qu’elle
pensait
de ce voyage; elle me dit qu’elle ne pouvait prév
le mis en rapport avec la somnambule et il lui dit : Devinez à qui je
pense
en ce moment?— Vous pensez à une demoiselle. —Laq
somnambule et il lui dit : Devinez à qui je pense en ce moment?— Vous
pensez
à une demoiselle. —Laquelle? — C’est à votre sœur
e je me suis permis de contredire quelques-unes de vos assertions, je
pensais
que vous aviez pu vous égarer sur le côté moral
t-il être abandonné au premier venu sans règles ni contrôle? Je ne le
pense
pas ; car la santé morale et intellectuelle de no
u de l’ignorance des hommes !.....Se mouvoir, parler, voir, entendre,
penser
, fut-il jamais soumis au bon vouloir d’autrui?...
s fous qui consentent à n’agir, ne parler, ne voir, n’entendre, et ne
penser
, qu’autant qu’ils en recevront la permission d’un
e j’applaudis à celte nouvelle conquête, et je ne saurais, quand jj’y
pense
, me défendre d’un certain sérieux, qui ressemble
à la connaissance, et à la sensibilité aux stimulants ordinaires, je
pense
qu’il est très-probable, et le docteur Mouat est
odérément graduées et la connaissance plus parfaite des antidotes, je
pense
qu'il est extrêmement probable que cet agent devi
établir entre la société du Mesmérisme et l’Athénée magnétique. Je
pense
qu’elle sera bien accueillie car notre société es
ous pourrons enseigner désormais ce que nous savous, dire ce que nous
pensons
; et nous sommes sûrs d’avance de la sympathie de
in, le vert-de-gris sont connus comme tels en Europe. Je me plais à
penser
que oui, mais je ne sache pas que nos maîtres par
e, lorsque pour agir on s’est placé dans un milieu favorable. Je ne
pense
pas non plus que, lorsque le magnétiseur sait dis
et nous en avons tous les jours des exemples. Quant à nous, nous ne
pensons
pas que l’on ait encore trouvé le moyen d’agir sp
avait point prévenu de cet accident, et ne le voyant plus revenir, je
pensais
que la crainte du magnétisme le retenait. Pendant
voir de bonne heure, j’arrivai juste à ce moment. Son mari désespéré
pensait
qu'il n’y avait rien à faire. Sans m’inquiéter de
us être prêtée pour un temps déterminé afin d’y faire nos preuves, je
pense
qu’elles ne seraient pas longues à faire. Plusieu
de fente, ce qui semblerait indiquer une action électrique. J’aurais
pensé
que la force répulsive de la chaleur y était auss
es, mais aussi à l’influence morale dont chacun peut le revêtir. Nous
pensons
qu’une égale somme de magnétisme, émanant d’indiv
’il y a un n de trop dans le nom de ce savant critique : nos lecteurs
penseront
certainement comme nous. — Des quatre journaux
s de toute espèce laisse de temps à la réflexion. L’homme peut bien
penser
, se souvenir et sentir; mais il n'a plus le temps
peut bien penser, se souvenir et sentir; mais il n'a plus le temps de
penser
qu’il pense, de se souvenir qu’il se souvient et
ser, se souvenir et sentir; mais il n'a plus le temps de penser qu’il
pense
, de se souvenir qu’il se souvient et de sentir qu
sans cause apparente. » On pourrait croire, et M. Beckeinsteiner le
pensa
, que cette commotion était due au frottement du p
nécessité, et personne ne pouvant être imposé sur son nécessaire, on
pense
qu’une location au-dessous de 100 fr. ne doit pas
tions pour l’imposition sur les domestiques, par la même raison qu’on
pense
qu’une location au-dessous de 100 fr. ne doit pas
éance, je jugeai prudent de faire éloigner cette dame; mais ce que je
pensais
arriva malgré l’épaisseur des murailles et des po
bule qui donne 20 pour équivalent de nombre plein. D'autres personnes
pensent
qu'il faut entendre par ces mots un cycle lunaire
majeures prévaudront-elles sur l’habitude prise en France? Nous ne le
pensons
pas; mais elles justifient pleinement l’opinion q
t. Bien que dans ce dialogue tout paraisse arrangé de manière à faire
penser
que le somnambulisme ait été l’instrument dont no
peut-être amoindri et diminué. » Ces considérations m’ont induit à
penser
que 1 on pourrait tirer quelques bons résultats
uvelles passes..) Dormez-vous bien maintenant? F. Oui. P. Comment
pensez
-vous que doive finir votre maladie actuelle? V.
es circonstances au milieu desquelles nous vivons. Quelques personnes
pensaient
même que la gravité des événements auxquels nous
loyé, de sorte que je ne sais ce que ces différentes personnes auront
pensé
du résultat. Enfin, la malade qui, disait-on, n
pérature. Le bien-être que les malades éprouvent au soleil autorise à
penser
que la quantité de lumière solaire n’est point in
faire l’objet de leurs discussions avec leurs somnambules. Si vous le
pensez
, vous pourriez en parler à vos lecteurs. Receve
n, après la troisième séance, le mieux était tellement visible, qu’on
pensa
, pour le surlendemain, pouvoir se passer du véhic
gulièrement. Parmi les partisans de la première appréciation, les uns
pensent
que c’est un pur effet de ventriloquie, les autre
je m’y rendrai certainement. Je vois que M. Koreff avoit raison de
penser
que la guérison ne seroit pas aussi prompte que j
it à prendre dans ce pays. Mais tous nos correspondants s’accordent à
penser
que cette trêve n’aura pas de durée plus longue q
ire de la société du Mesmérisme. Revue des journaux.— La liberté de
penser
, revue philosophique, du 15 juillet, contient la
et que d’ailleurs l’antiquité fourmille des mêmes faits; mais comment
penser
sans cerveau l Tout est embarras ici, excepté pou
la thérapeutique et la matière médicale de la médecine des écoles? Ne
pensait
-il pas comme un médecin qui, dans son désenchante
nent le plus. Et pourtant, la chose est plus simple qu’on ne croit le
penser
. Pourquoi, médecins allopathes, avez-vous si ma
pressionner. D'accord, mais pour les teintures mères, il n’y faut pas
penser
, parce que ce sont des médicaments que la médecin
Or, si la création a son moteur, son fluide vivificateur, l’homme,
pensaient
les anciens philosophes, doit aussi posséder une
énuité comparable à celui où les réduit la dilution hahncmanienne. Il
pense
même que le transport des médicaments opéré par c
par des procédés particuliers il était possible d’agir sur cet agent,
pensa
avoir découvert le véritable moyen de rétablir l’
. D’autres fois, son application est complètement inutile, mais je ne
pense
pas qu’on puisse jamais la regarder comme dangere
ssez celui qui guérit, et ce choix n’est pas aussi difficile qu’on le
pense
. N’é-coutez pas les recommandations sociales; les
ue sectateur, chose étrange, croit posséder la vérité dans son art et
pense
que l’erreur est en autrui. Pourquoi faut-il que
bles. Nous ne doutons point de sa lionne foi; il croit cequ il dit et
pensera
que c’est nous qui sommes dans l’erreur. Nous acc
harlatan, de fripon, d’assassin même, el les masses ignorantes qui ne
pensent
que par le cerveau des hommes haut placés sur l’é
nétiseurs ils pouvaient savoir tout ce que je faisais, tout ce que je
pensais
, et que moi je ne pouvais que les entendre, et en
ères, magnétiseur connu et opérant ouvertement à Périgueux, me firent
penser
que des ennemis cachés m’avaient fait magnétiser
e fusse débarrassé de ces gens sans pouvoir jusqu’ici l’obtenir. Je
pense
bien que des effets si extraordinaires d’une caus
réveilla. » Le professeur (Ricard) ayant demandé à l’émir ce qu’il
pensait
des phénomènes du somnambulisme, Abd-el-Kader lui
ecteurs au courant de ce que nous aurons appris à cet égard. — Nous
pensions
qu’on ne croyait plus à l’influence des nombres;
duits. Cependant je m'effrayais peu dccette continuité d’action. Je
pensais
que le mauvais plaisant qui m’intriguait ainsi fi
que si 011 eût vérifié le fait on l’eût reconnu juste. On doit bien
penser
que dans celle circonstance je pris tous les rens
rt un séjour d’une huitaine dans la localité. Comme on doit bien le
penser
, j’étais fortement contrarié que mon voyage en ce
; celui dont nous avons publié la thèse tom. îv, page 229.Qui pouvait
penser
qu’une profession de foi aussi catégorique serait
eillies de la bouche même de notre obsédé. Comme vous devez bien le
penser
, ces phénomènes nous ont vivement impressionnés,
actuel, ainsi que les ouvrages qui traiteraient de cette question.
Pensez
-vous qu’il soit possible de faire cesser cette in
s, cette prompte efficacité est-elle bornée â des cas rares? Je ne le
pense
pas; car quand le magnétisme ne guérit pas, il so
jusqu’à ce que les magnétiseurs se soient faits médecins ; car je ne
pense
pas que les médecins se fassent jamais magnétiseu
raissait sous des formes lumineuses et bien caractérisées , on aurait
pensé
que j’avais inventé tout cela à plaisir pour étab
it que je ne puis révoquer en doute; mais il n’est pas nécessaire, je
pense
, d’avoir recours à la vision ordinaire pour expli
blissement toujours croissant qui se terminera par une syncope. Je ne
pense
pas supporter cet évanouissement plus de trois he
; mais madame F..., malgré sa confiance dans l’habileté de la police,
pensa
qu’il serait peut-être plus sûr de recourir aux v
oua la démarche qu’elle venait de faire, en lui demandant ce qu’il en
pensait
. «Madame, lui répondit le magistral, il nous ar
s que nous avons lues , nous paraît devoir être plein d’intérêt. Nous
pensons
qu’il jetera plus de lumière sur les phénomènes d
ser la vérité. 11 va traiter d’abord de la clairvoyance , parce qu’il
pense
que rien n’a nui autant qu’elle au mesmérisme. Il
tre établissant que la chose s’est passée comme elle l’avait rêvé. 11
pense
que la lucidité est un état anormal, et que ceux
t; mais , le lendemain, elles reconnurent leur erreur. 11 a cependant
pensé
durant longtemps qim le coma pouvait être produ
issait d’entendre un discours sur le mesmérisme et de le discuter. Il
pense
qu’on doit appeler le mesmérisme medium de voliti
chapitre est consacré à l’examen de l’essence des maladies; l’auteur
pense
qu’elles consistent dans un premier désordre de l
ans le chapitre xii, les cas où le magnétisme paraît impuissant. Il
pense
que : i° Chez les personnes d’une sensibilité e
démordre. Son contenu confirme de point en point ce que j’ai toujours
pensé
des individus appelés sorciers. Les procédures in
ant plus fréquemment depuis que le magnétisme se répand davantage, je
pense
qu’il serait assez sage d’en rechercher la cause,
ont plus que des malades que les magnétiseurs guérissent aisément; je
pense
qu’ils guériraient aussi bien les obsédés que les
oint celui qu’elle accusait, bien qu’à plus juste titre elle eût pu
penser
que celui qui avait agi ostensiblement pût très-b
gent, et même d’en pousser 1rs récits jusqu’à l’exagération? J’aime à
penser
qu’il en est ainsi. Pourquoi tous les magnétiseur
cteurs de Reichenbach et d’Eisenstein, 30. Abd-el-Kader. — Ce qu’il
pense
du somnambulisme, 179. Anévrisme. — Guérison, 3
la proximité des métaux ou d’une eau courante. 11 est très-naturel de
penser
que l’action de ces causes est très-faible, et qu
fluide vital qui s'unissait au premier pour lui donner la vie (i). Il
pensait
que tous les corps étaient imprégnés, suivant leu
érims omnium rerum fiunt per magnetismum. » Maxwell (2) et Santanelli
pensaient
que le fluide magnétique et la lumière avaient la
. VI, p. US. tre sc goiallait et retombait avrc le diaphragme. On a
pensé
que sans l’évacuation du sang, la pulsation aurai
, les combinaisons spontanées et la vie dans les animaux, comme l'out
pensé
Newton et Euler. Cet élément actif se rencontre n
phénomènes de somnambulisme magnétique dont j’entendais parler, j’ai
pensé
que, s’ils sont effectivement vrais, ce serait un
oit peu pénétrés du passé, et s’ils avaient moins d’ignorance. Vous
pensez
, monsieur, que toute la sorcellerie et la magie r
sation; mais bientôt la dormeuse vous échappe, et au moment où vous y
pensez
le moins, elle achève la strophe qui l’avait préo
ar le gros bout. » Tous les néophytes magnétiques , au cœur hônriéte,
pensent
en entrant la carrière qu’ils vont révolutionner
avaient vu des choses prodigieuses. » (Heuven and Helt, 411’) Nous
pensons
que ces extraits sont plus que suffisants pour ét
norer si ces choses sont â eux. Il en résulte que tout ce que l’homme
pense
, ils le pensent; tout ce qu’il veut, ils le veule
hoses sont â eux. Il en résulte que tout ce que l’homme pense, ils le
pensent
; tout ce qu’il veut, ils le veulent. » (Arcana cœ
ute bien naturelle de la teneur de ces cltatidns, dit 6. Bush, que de
penser
que 9i les influences du monde spirituel sont aus
s ses rêves. L’un s’imagine que les éléments lui sont soumis, l’autre
pense
être le roi des rois j et, satisfaits de leur pou
i’agil que de les débrouiller un peu. Orna bien essayé déjà; mais je
pense
qu’on s’y est mal pris, en cherchant àj fai.e lir
s, surtout après des essais progressifs, le somnambule on viendra, je
pense
, à répéter les signaux de son magnétiseur, quelle
ge, en cherchant à répandre l’emploi de la puis* sance vitale ; qu’il
pense
à la nécessité de mieux en connaître les lois et
sistant à toute épreuve, persistant au-delà de toute conjecture, j’ai
pensé
qu’il ne serait pas sans intérêt pour tous les am
ne serait peut-être pas inutile de le soumettre à leur méditation. Je
pensai
même que l’intervention d’une volonté puissante s
sur une affiche : Expériences de seconde vue, sa première idée fut de
penser
â la seconde vue écossaise qui donne, suivant là
e de l’enfant, ressentit le même, effet que la première. On doit biçn
penser
que toutes les précautions fureot prises pour qu’
le digne homme, ne' savait pomment s’excuser auprès de moi. « Voiïs «
pensez
peut-être, me disait-il, que'ceci est une Co-« mé
istingué pouvait très-bien apprécier les expériences en question ; il
pensa
, comme nous, que le sujet de M. Gandon était doué
le a3, dit le magnétiseur. « — Oui, reprit-elle, le a3. « — Qu’en
pensez
-vous? demanda-t-il à l’autre. « — Amélie se tro
ce sur la détermination de leurs crises. Je n’ai jamais affirmé, je
pense
, que le lluide magnétique fût toujours indispensa
is tout leur espoir dans l’arrivée du nouveau gouverneur général; ils
pensaient
que, imbue des sots préjugés qui ont prévalu en A
lus ardente bienveillance à la plus noble indépendance de faire et de
penser
. Non seulement le pouvoir lui a rendu justice,
on. Ce choix fait honneur au gouvernement. » Lord Dalhousie n’a pas
pensé
qu’il fût nécessaire de prolonger la durée de l’h
pouvons dire si le gouvernement rétablira l’hôpital mesmérique; nous
pensons
plutôt que, ayant d’abord sanctionné la résidence
du mesmérisme et de l'habileté du docteur. C’est là ce qui nous fait
penser
à eux pour les dons et rentes qui seraient nécess
r d’avocats tels que les Martineau, Buhver et Dumas du jour. « Nous
pensons
que, quiconque désire le triomphe de la science m
s-ardente se suit sur l’origine de ses révélations ; beaucoup de gens
pensent
qu’il n’est point du tout inspiré, mais qu’il ref
s d’importance que l’on doit attacher à ce moyen d’instruction , nous
pensons
qu’il n’est pas sans intérêt de relater quelques-
je ne crois pas aux magnétiseurs, et le mieux pour moi est de ne plus
penser
à cela. •* « Cette conversation, au lieu d'affa
G. Bush comme écrivain spiritualisle, ou plutôt Swedenbor-giste; nous
pensions
que c’était là le terme de son ambition ; mais no
a liqueur mystérieuse, être resté dans son état normal; car, s’il eût
pensé
n’avoir pas changé d’état, il n’aurait pas eu bes
ule. Il était donc, il croyait donc être passé dans un état anormal !
Pensait
-il être favorisé du don prophétique qu’il avait s
discours, vous dire simplement, franchement, et bien haut, ce que je
pense
tout bas. « Quand nous voyons, dans ce qu’on ap
ion rennoise. Quelques magnétistes, les plus fervents apôtres , ont
pensé
que pour donner à ce petit mouvement une impulsio
usement la pratique du magnétisme avant d’acquérir des grades. Nous
pensons
que nous exposerions le magnétisme à la déconsidé
mic. « Vu le caractère peu scientifique de cette note, le conseil a
pensé
qu’il n’y avait pas lieu d'accepter le dépôt. «
t obienu des médailles, a dit : Messieurs, « Le Jury magnétique a
pensé
que cette fête donnerait plus de relief aux récom
Quand leurs fils s’en vont mourants, Je soupire des prières Et des
pensers
consolants. u Je suis l’être des voûtes sombres
rer et non pour rendre malade notre intelligence. « Voilà ce que je
pense
du mesmérisme cl de son mploi. « Je vous ai écr
e laissent pas d’espoir de sa guérison ultérieure. Comme on peut le
penser
, elle est réduite à l’état d’un squelette. Sa phy
uteille renferme le fluide d’un tel, je souriais involontairement; je
pensais
: cela peut-être, mais c’est très-drôle, et ça n’
et nous l’y avons mis, sûrs que vous partageriez nos sentiments. Nous
pensons
que, clans un genre différent, il a un mérite éga
iscret ami nous en livra le secret, et les ayant vérifiés, nous avons
pensé
qu’ils méritaient au moins encouragement. C’est p
ant contre elle les lois et les croyances; M. Dugnani l’a eu, et nous
pensons
que vous lui en témoignerez dignement la reconnai
le qui est appelée devant le tribunal sont à l’instruction, et qu’ils
pensent
que, dans l’in- lérét de leurs clients, elles d
lle est très-bonne musicienne (rires). Ma femme exaspérée, comme vous
pensez
bien, se précipite sur moi en me disant : Je suis
connaissance du public par la réclame des journaux parisiens. Nous
pensons
qu’il est au moins téméraire d’assigner une heure
sion du fluide auquel ils croient, et que la volonté suffisait. Je ne
pense
pas que la déclaration de ces extatiques mérite a
soins qu’exigeait la santé d’une somnambule, et, certes, bien loin de
penser
à l’existence du fluide magnétique, pendant que m
t fidèlement ses discours (certes alors mon esprit était bien loin de
penser
au fluide magnétique), me dit : a Mais prenez gar
ir professionnel et dogmatique. Dans un temps plus rapproché qu’on ne
pense
, le magnétisme aura conquis sa place, et des chai
es branches, s’il en pouvait exister, ce dont on doit douter quand on
pense
aux calomnies et aux insinuations malveillantes d
bligeance de me faire connaître ce que vous aurez délibéré, auquel je
pense
pouvoir souscrire, en mon nom personnel, vu que j
et hors de nous; l’œil qui voit, l’oreille qui entend, le cerveau qui
pense
; dans le monde extérieur, la pierre qui tombe, le
ntre notre propre raison. Nous avons été longtemps incrédules; nous
pensions
que la boîte merveilleuse des adeptes du magnétis
, sans exception, en activité dans l’état de rêve; nous sentons, nous
pensons
, nous voulons; mais il nous manque celte puissanc
tuelles dans la vie normale. Il a du reste toute sou intelligence; il
pense
, il juge, il raisonne comme dans la vie normale;
e n’aura aucun souvenir de lui-même, aucune idée de ce qu’il a senti,
pensé
, fait ou dit dans l’autre vie, pas plus que s’il
i les lois suivant lesquelles vibrent les corps sonores, qu’aurait-on
pensé
si l’on eût fait une expérience bien simple et qu
en possession de toutes ses facultés intellectuelles et morales ; on
pense
et on agit comme on pourrait le faire dans la vie
épositions de cette nature. M' Jules Favre. Le tribunal n’a pas, je
pense
, l’intention de restreindre la défense? M. le P
oire qu’elle guérissait les maladies?— Oui, c’était ma conviction; je
pensais
, comme je pense encore, qu’elle en avait les facu
ssait les maladies?— Oui, c’était ma conviction; je pensais, comme je
pense
encore, qu’elle en avait les facultés, et j’ignor
strument employé d’nne façon parfculière. N'eït-il pas raisonnable de
penser
que le soufre emploie le même agent pénétrant
ingt de pratique, ces paroles sont plus difficiles à dire qu'on ne le
pense
; et, je le confesse, si je n’étais profondément
s m’attaquez, je vais me défendre et vous dire en deux mots ce que je
pense
à ce sujet. Mon imagination ne m’a point empêché,
faux frère? Vous ignorez donc qu il y a des choses que tout le monde
pense
, mais qui ne se disent pas, ou qui ne se disent q
rop loin dans nos attaques contre les médecins, tandis que nous, nous
pensons
y mettre de la mansuétude : c’est un crime à nos
ssait des éclipses tantôt partielles, tantôt totales. Ce résultat, je
pense
, est dû à plusieurs causes. «J’ai remarqué que,
pour expliquer qu'un nouvel enfant a été jeté par les fenêtres? Je
pense
, quant à moi, que la prévenue se trouvait, au mom
si ce n’est en s’appuyant sur des faits? Seulement qu’on n'aille pas
penser
que croire au magnétisme, c’est nécessairement aj
je le magnétisai et lui proposai de sortir avec moi. Je vous laisse à
penser
de son étonnement, lorsqu’il se vit en plein air,
t été plus familiarisé avec les phénomènes mystiques, il n’aurait, je
pense
, pas hésité un instant à le rattacher à la série
Bref, si j’osais émettre une opinion personnelle , je dirais que je
pense
que, grâce à une susceptibilité nerveuse excessiv
mme si une maladie était venue fondre sur lui et l’exténuer. L’auteur
pense
que ces étranges phénomènes sont dûs à un concour
libre de Francfort, tout esprit qui raisonne juste doit naturellement
penser
que l’on désigne par ce nom une ville où le comme
publiées par des savants fort éclairés et habiles observateurs ; nous
pensons
que de nouvelles recherches, des expériences suiv
faire des envois à diverses ollicines. 11 y a, dès lors, tout lieu de
penser
que le phaimacien prendra la peine de pratiquer l
ans le sommeil? Quelle différence essentielle y a-t-il entre rêver et
penser
?... Les concurrents comprendront dans leurs reche
ns tous les genres. C’est là un symptôme rassurant, qui doit donner à
penser
à certains railleurs toujours prêts à traiter de
resque exclusivement le fond et la fin. D'après cela seul, V Académie
pensera
peut-être que ce Mémoire eût dû être, ou à peu de
s, l’Académie ne peut se flatter d’avoir rempli sa tàciic ; elle doit
penser
•que les faits, «’ils sont bien établis, ont une'
personnes. » « Et comment les Pères de l’Eglise n’auraieut-ils pas
pensé
ainsi, quand, près d’eux, tantde néo-platoniciens
les événements au moment même où ils se passaient. « Le professeur
pense
que l’àme se détache de la matière ' dans l’état
aliser : le voici vivre en moi pour un instant! Tout ce que j'aime et
pense
et veux, tout mon bel avenir, le développement de
es impressions que l’âme éprouve. Et voici, quant à nous, ce que nous
pensons
de ces faits. « Selon nous, cet ensemble de sen
ise à des influences extérieures, puisqu’elle sent, conçoit, imagine,
pense
, parle, désire et veut, comme les rêves le prouve
que nous faisons, ce que nous disons, ce que nous lisons, ce que nous
pensons
, ce que nous voulons. Le moi est enlevé à lui-mêm
ce qu’on y rêve tout éveillé. L’esprit qui commence ordinairement par
penser
à quelque chose qui l’intéresse dans sa dispositi
nce et à la volonté. 11 y a dans cet état incapacité de réfléchir, de
penser
, de vouloir ; et, tant qu’il dure, 1 homme est ab
ue la fièvre ; elles rendent incapable de bien voir, de réfléchir, de
penser
; elles enflamment le cerveau, exaltent l’imaginat
remier effet de l’inspiration, c’est l’impossibilité de réfléchir, de
penser
, c’est la suspension de la conscience et du moi.
ans un océan d’amertume ou de bonheur. Dans cet état, elle ne peut ni
penser
, ni parler, ni agir, elle n'a point l’esprit prés
la réflexion d’elle-même et la conscience de son moi, la puissance de
penser
ce qu’elle a senti, d’exprimer ce qu’elle pense,
moi, la puissance de penser ce qu’elle a senti, d’exprimer ce qu’elle
pense
, et de jeter au dehors ce torrent de douleur ou d
aviez rendu des services, trouva cette médaille dans, des décombres,
pensa
qu’elle pourrait vous être agréable, et grimpa vo
nd service rendu à scs contemporains. » (Messager du 10 mars.) Nous
pensons
, comme cet écrivain, qu’il ne serait pas difficil
ort, elle leur désigna le numéro qu’ils devaient tirer de l’urne; que
penser
de cette lucidité anticipant sur les événements ?
t que d’une manière imparfaite, ou du moins nous nous crûmes fondés à
penser
ainsi. « La consultante lui demanda alors si el
t visions des somnambules ? — quà l’état de veille, nous n’avons qu’à
penser
à une personne absente ou à des lieux que nous av
oule un temps, bien court il est'vrai, entré le moment où nous' avons
pensé
à tel objet ou à telle personne et celui où , sou
muns à plusieurs de ces manifestations, quelques savants modernes ont
pensé
qu’il y aurait lieu de réduire le nombre de ces i
phénomènes magnétiques qui nous ont servi de point de départ, nous ne
pensons
donc point arriver à former immédiatement des con
igences ont la faculté d’agir sur la matière, et rien ne conduit à le
penser
; mais elles peuvent certainement entrer en commu
on- (I) Journal du Magnétisme, 1858, p. 359. [ré de David. Nous
pensons
qu’il est de leur honneur et do l’intérêt de leur
du sujet, les conditions de l’expérience. En procédant ainsi, nous
pensons
qu’on aura toute chance de réussir, surtout si l’
nt la cause n’a pu être déterminée ; mais plusieurs d’entre eux ayant
pensé
qu’il fallait procéder d’une manière rigoureuse,
uanges; car c’estoit une damoiselle fort vertueuse. » Nous aimons à
penser
que ce témoignage sur la vertu de la dame est mér
il ne dépend pas de nous de déterminer l’objet auquel nous devons
penser
. La volonté agit bien sur nos actes, assemble les
de notre zèle ; le mot surhumain que vous venez de prononcer me fait
penser
au magnétisme, dit l’homceopathe, je ne vois plus
observateurs plus libéraux ou plus larges dans leurs vues ont donné à
penser
que ces êtres, placés au-dessous de nous sur l'éc
leur permettent de découvrir ce qui échappe à la vue ordinaire , ont
pensé
que M. Paramelle, comme Jacques Aymar, comme Blet
Qui peut donc calculer les efforts qui restent à faire, lorsque l’on
pense
que l'avenir du magnétisme est de remanier la méd
sur terre. Comme l’amie à qui elle parlait ainsi lui disait de ne pas
penser
à de pareilles choses, qu’on ne revenait pas cher
précisément l’épreuve Burdin et Mabru) : ni elle ni le chroniqueur ne
pensent
sans doute qu’elle ait fait là quelque chose de r
t Frappart n'étaient ni ridicules ni puérils. Ces champions courageux
pensaient
avec raison qu’il était très-important pour la sc
à Fischbacà, dans le Luxemboorg, on parlait des chemins de fer : nous
pensions
, comme beaucoup d’autres, que jamais nos pays
nétisation des oiseaux,» et je ne peux m’empêcher de dire ce que j’en
pense
. Quoique je n’admette jamais sans un sévère exa
r longtemps sans fatigue : il se trouva conduit par le raisonnement à
penser
que les médiums devaient produire ces bruits par
uvent dans les grandes lamaseries de la Tartane et du Thibet. Nous ne
pensons
nullement qu’on puisse toujours mettre sur le com
ces faits devant le tribunal correctionnel. « Lesj uges, comme vous
pensez
, étaient dans un grand embarras; trancher la ques
ent malade, et que si le jeune officier pouvait obtenir un congé, 011
pensait
que sa vue aurait le meilleur effet. u Demander
parait avoir agi, dans beaucoup de cas, sans aucune médication, on a
pensé
qu’il avait, avant Mesmer, deviné le magnétisme.
: l'enlant le vit en effet ; il paraissait gai et content, ce qui fit
penser
qu’il était dans un lieu de bonheur. » (P. 61.)
Félix a réussi à faire passer à ses lecteurs une heure agréable; nous
pensons
même qu’il pourra leur inspirer le désir d’étudie
e dans l’appartement. L’épreuve était très-sombre. Les spiritualistes
pensent
que deux Esprits s'étant tenus près du corps, leu
ie s’est passée à enseigner les règles d’une saine pratique, et je ne
pense
pas qu’on accuse un de mes élèves d’une mauvaise
la mère. Celle-ci n’entendit rien; de sorte que la servante, étonnée,
pensa
qu’elle devait avoir quelque chose pour dormir au
droit au berceau pour voir l’enfant, mais elle ne le trouve pas. Elle
pense
aussitôt au puits, y court, trouve l’enfant dans
hérents ou s’ils lui sont communiqués. Nous sommes donc en droit de
penser
qu’il est contradictoire que la matière, qui est
pensée à un être étendu quelconque, n’a jamais imaginé que la matière
pense
d'elle-même, mais bien qu’elle reçoit cette facul
lus. Basé sur les systèmes étranges de quelques philosophes grecs, on
pensa
que l’existence de l’âme n’était point suffisamme
lle. Les uns ne voyaient en elle qu'une ombre motivante, les autres
pensaient
qu'elle était un air subtil, une exhalaison, la p
que ceux des anciens. Je ne parle pas de ceux qui, niant un Créateur,
pensent
que la matière existe seule et qu’elle produit se
bien se passer de la matière et des organes du corps pourvoir et pour
penser
. Ils croiront comme nous que si nulle science au
us de doute, l’homme est double, et son essence immatérielle étant de
penser
, sans qu’elle ait besoin pour cela d’être étendue
it besoin pour cela d’être étendue, forcément et: nécessairement elle
pensera
de toute éternité. Si toutes nos idées nous vie
conscience aussi longtemps que tout va bien çhez « lui. » Si l’âme
pense
par elle-inême, et si elle doit penser éternellem
a bien çhez « lui. » Si l’âme pense par elle-inême, et si elle doit
penser
éternellement,elle est donc une partie de la divi
âme du monde; si, au contraire, elle a besoin des sens du corps pour
penser
, alors elle perd toute son auréole divine, elle p
impuissante si elle s'arrêtait à l’homme. Voici à ce propos ce que
pense
Lamennais dans son Esquisse d'une philosophie.
rs, atome « rampant sur un atome, faible, ignorant, pouvant à peine «
penser
, agir sans rencontrer aussitôt la borne de son ac
ers l’exige ii absolument. » Voilà donc deux grands philosophes qui
pensent
de même. Notre destinée future étant cachée sous
nous et Dieu, il n’y a que le passage de cette vie à l’autre? Et que
pense-t
-on de ces innombrables globes qui roulent au-dess
roulent au-dessus de notre tète? Sont-ils donc créés en vain? Peut-on
penser
que Dieu, quiajetétousces mondes dans l’espace, e
iers, et fait rentrer dans le néant tous les grimoires... M. Constant
pense
que ces exèrcices d’écriture sont très-dangereux
et des carotides. Ces quelques mots d'introduction suffiront, je
pense
, pour faire comprendre ce qui nie reste à dire de
arvins tout de suite, et je pus l'interroger. Mes questions me firent
penser
qu’il ne s’agissait que d’uii délire nerveux ; l’
sé dans la Haute-Italie et y compte une foule d’adhérents. (1) Nous
pensons
que M. Ferrus a voulu parler de l'emploi de la lu
x jours en deux jours, suffisent pour le remettre à l'état normal. Je
pense
que vous vous êtes déjà fait la réflexion que tou
s attester qu’au physique il parait mieux que ses frères et sœurs. Je
pense
même qu’on pourrait rendre l’enfant plus heureux
en, et de vouloir bien m’en écrire un mot pour me dire ce que vous en
pensez
. -(Recevez, monsieur le baron du Potet, l’assur
reux avaient sinon dissipé mes doutes, du moins m’avaient donné à
penser
. Une idée subite me traversa l’esprit : il me pri
aussitôt. Pour dissiper la vagiie impression qu’elle éprouvait, je le
pensai
ainsi, elle se leva subitement et vint se placer
t, tenant un certain appareil, et il est pour ainsi dire dédoublé! 11
pense
, et sa pensée prenant aussitôt un corps, une figu
es principes, qui sont souvent dédaignés ou peu connus, serviront, je
pense
, à expliquer toutes les variétés de bruits se
egardait ce qui l’entoure, était distraite par le bruit, résistait ou
pensait
à autre chose, il est clair que, ne remplissant p
ens employés par les Esprits pour se manifester aux mortels. M. Morin
pense
, d’après le docteur l'lint, que dans la famille F
ine chez un sujet qui, ainsi que cela arrive plus souvent qu'on ne le
pense
, voudrait tromper le médecin en la tenant cachée.
en combinaison. Mais c'est là un sujet sur lequel je reviendrai, je
pense
, avec plus de détails quelque jour, et que j'espè
z vous retirer. [Aux auditeurs): Vous venez d'en entendre assez, je
pense
, pour comprendre que les mouvements convulsifsne
e, mais j'avoue que cette fois je suis presque invinciblement porté à
penser
que ce n'est pas dans cette impression reçue par
uez-le bien, qu'elle existe dans toute sciatique. Je suismême porté à
penser
qu'elle ne s'y voit qu'exceptionnellement et surt
omparée à celle d'aujourd'hui et conduire l'observateur non prévenu à
penser
qu'il existe quelque grave lésion vertébrale. Q
laide absolument dans le même sens. Voilà des circonstances qui, je
pense
, ne laissent planer aucun doute sur le caractère
dopter par l'étude d'un assez bon nombre de faits, et que j'aurai, je
pense
, bien des fois l'occasion de justifier clinique-m
es par d'autres causes. En ce qui concerne la dernière affection je
pense
qu'il n'est nullement légitime d'admettre qu'il e
descriptive. Mettez-vous bien dans l'esprit— et il ne faut pas, je
pense
, grand effort pour cela — qu'en soi le mot hystér
peu à peu vous vous habituerez à parler d'hystérie chez l'homme sans
penser
le moins du monde à 1'« utérus ». Ne songeons pas
toires sont intenses ; on la voit survenir au moins aussi souvent, je
pense
, dans les cas de chorée légère. En somme, vous
mme exemple d'intoxication spéciale sulfo-carbonée ? Ce serait là, je
pense
, généraliser beaucoup trop vite. Sans doute, la l
ortés au maximum avec tous leurs caractères particuliers et l'on peut
penser
qu'un processus inflammatoire consécutif nécessit
' remonte à huit ans. On peut donc admettre très légitimement ici, je
pense
, que ces modifications relatives à la distributio
au lit, fait à peu près général chez les « dormeuses », viendront, je
pense
, justifier à vos yeux, l'opinion que je professe
convulsives. M. Charcot (aux auditeurs) : Eh bien, Messieurs, qu'en
pensez
-vous ? Voilà deux cas de paralysie faciale périph
e paraplégie alcoolique qu'il est question ici ; cela ne sera pas, je
pense
, très difficile à démontrer. Toutes ces affecti
ce qui est spécialement du sujet que nous avons sous les yeux, je ne
pense
pas qu'il puisse reprendre son travail assez séri
en défaut. En somme les choses ont été plus vite que nous ne l'avions
pensé
en nous fondant sur Y électro-pronostic : nous po
ttention sur les faits de ce genre. Messieurs, il sera légitime, je
pense
, avec Lendet (Mémoire sur les chorées sans compli
à la chorée dite rhumatismale : Je me suis plusieurs fois exprimé, je
pense
, très nettement,à ce sujet. A mon avis,permettez-
s sont identiques et de même nature ; tout au plus cela peut-il faire
penser
qu'il y a entre elles une certaine affinité dont
se développe sans ce concours du rhumatisme. C'est donc ailleurs, je
pense
, qu'il faut chercher la raison des accidents grav
à éloigner les accès les uns des autres ; nous pourrons y parvenir je
pense
par l'emploi du bromure de potassium donné à dose
inue. L'écart des accès qui s'en suivra à coup sûr nous permettra, je
pense
, de constater, plus aisément que nous ne l'avons
lus de mémoire ou pour le moins il a la mémoire très lente. S'il veut
penser
à quelque chose, combiner quelques idées, dispose
ttre pour caractériser ce cas cliniquemcnt. Peut-être pourriez-vous
penser
, messieurs, que les désordres produits par le sho
ie infantile considérée dans son type vulgaire, j'en ai dit assez, je
pense
, pour que nous soyons actuellement mis en mesure
antécédents héréditaires des sujets frappés de paralysie infantile, à
penser
que la maladie dont il s'agit, représente un des
et la sclérose en plaques, de l'autre ; notre tâche se Jrrou^era, je
pense
, singulièrement facilitée par l'examen du tableau
r de l'impuissance motrice. De toutes ces éventualités il est bon, je
pense
, que le malade soit prévenu, afin qu'il apprenne
néral de symptômes radiculaires proposé par M. Gowers (1). Tel est,
pensons
-nous, le mode le plus commun de compression spina
ainsi que nous l'avons dit plus haut, conduisait tout naturellement à
penser
qu'une nouvelle poussée de la maladie ancienne, d
it dans la moelle elle-même, et en réalité il est difficile de ne pas
penser
qu'il en ait été réellement ainsi, dumoins à un c
ystérie qui actuellement domine de beaucoup. Cette assertion sera, je
pense
, pleinement justifiée par les détails qui vont su
Je crois, messieurs, que la relation existe en effet, et voici, je
pense
,en quoi elle consiste. La diathèse hystérique, vr
se sont manifestés qu'ensuite. Quoi qu'il en soit, ce sont ceux-ci
pensons
-nous, qui ont déterminé la forme particulière et
nfluence des moindres mouvements du tronc, on pourrait être conduit à
penser
que l'étude méthodique de ces troubles de la sens
sombre verdict prononcé par l'opinion générale des médecins. Je ne
pense
pas qu'à cet égard la nouvelle méthode soit appel
Fig. 48. — Lejnalade suspendu : mouvements latéraux des bras. Nous
pensons
que la plus longue séance ne doit pas dépasser tr
en de vous placer en mesure d'apprécier les résultats obtenus sera,je
pense
.de faire comparaître quelques-uns de nos quatorze
ononcée sur toute la ligne, et l'on ne saurait guère invoquer ici, je
pense
,non plus que dans les cas qui suivent,—pour se re
les. M. Cearcot, au malade : Voulez-vous bien nous dire ce que vous
pensez
des efïets du traitement que vous avez suivi ?
le plus souvent une forme grave et évolue très rapidement, les autres
pensons
-nous parce qu'ils se présentent souvent dans un é
jamais été jusqu'à prétendre, bien entendu, ni M. Neumannnon plus je
pense
, que la paralysie faciale périphérique n'est jama
parfaite, sans doute, mais qui a déjà bien son prix, s'est effectuée,
pensons
-nous, sous l'influence du traitement prescrit le
et elle négligeait les travaux de son ménage, elle ne pouvait plus ni
penser
ni compter, ses idées s'embrouillaient à chaque i
n'en crois rien, Messieurs, pour ma part; la maladie date de loin je
pense
, et rien n'est changé à son égard ; c'est nous qu
se aller », comme il dit, etn'aplus de volonté. Il ne peut même pas
penser
à ses affaires sans que sa tête se trouble.Enfin,
tressauter. 11 lui semble qu'il n'a plus de mémoire ; il ne peut plus
penser
à rien sans que la céphalée s'aggrave. En somme,
le qui l'a précédée. Voir le tableau pages 298, 299. Il suffira, je
pense
, de jeter un coup d'oeil sur letableau pour être
preuve, on pourrait formuler le problème suivant, dont la solution je
pense
, ne saurait être donnée dans l'état actuel des ch
Le malade : Oui, monsieur ; c'est la première chose à laquelle j'ai
pensé
quand je me suis réveillé. Arrivé à la gare, j'ai
je me demandai ce qu'il y avait à faire pour me tirer d'embarras. Je
pensai
que mon nouveau patron devait être bien inquiet e
quelques observations personnelles, bien plus fréquemment qu'on ne le
pense
, dans l'automatisme comitial accompagné, tel qu'i
s en entendant raconter les détails du cas de Men...s, ont sans doute
pensé
au somnambulisme. En effet, lorsqu'on entend dire
parce qu'elles ne font pas partie de son rêve. Inutile d'insister, je
pense
; vous voyez suffisamment, par ce qui précède, qu'
ses gastriques tabétiques. Il ne sera pas sans intérêt maintenant, je
pense
, de relever les principaux traits d'une observati
dresser au malade quelques questions ; ses réponses nous mettront, je
pense
mieux à même d'apprécier la réalité objective des
cient, pas tout à fait, mais fort engourdi ; je ne voyais rien, je ne
pensais
à rien, je ne reconnaissais personne. Cela a duré
1). Mais leur présence dans les crises tabétiques n'est pas faite, je
pense
, pour dérouter le médecin et il n'est pas nécessa
que dans la période des crises ; cela n'est-il pas de nature à faire
penser
que le processus qui dans la muqueuse gastrique p
es fois que la plante du pied touche sur le « sol ». M.Jaccoud semble
penser
qu'il s'agit ici delà mise en jeu d'une hyper-kin
intérêt (2). III Actuellement, il ne sera pas hors de propos, je
pense
, d'esquisser à grands traits quelques-uns des fai
se sont, par la suite, produits chez notre malade? Il n'en est rien,
pensons
-nous, mais pour légitimer cette assertion il nous
es formes, mais toujours la même au fond. V C'est ici le lieu, je
pense
, de vous faire connaître les antécédents tant hér
aractérisée, cependant, nosographiquement. On peut aller plus loin,
pensons
-nous, et chercher à pénétrer, jusqu'à un certain
ne pouvais plus marcher ; c'était chez moi comme une idée fixe,j'y
pensais
nuit et jour.» D'ailleurs la douleur produite par
e. D'après les résultats obtenus dans ces expériences, il y a lieu de
penser
, dit M. Blocq — et, à cet égard, je suis complète
ces matières les résultats ne sont pas aussi faciles à obtenir que le
pensent
certains simplistes. Quoi qu'il en soit, voici
tions fîbro-tendineuses se produire très rapidement, on est conduit à
penser
que l'intoxication alcoolique est en jeu. J'ajo
que doute dans l'esprit de plusieurs d'entre vous; et peut-être aussi
pensez
-vous que nous avons bien tardé à interroger la ma
; ils ne savent ni lire, ni écrire. Dans la société, comme bien vous
pensez
, leur famille n'appartenant pas aux classes privi
eut être à cet égard se vante-t-il — des lapins vivants. Uui eût pu
penser
que ce «terrible cannibale » n'est après tout qu'
mais, aujourd'hui que les destinées sont accomplies,le mieux sera, je
pense
,de chercher à obtenir l'admission dumalheu-reux «
ques de je ne sais quel duc ; on le retint à la caserne et ce fut là,
pense-t
-on, la cause occasionnelle de sa maladie. Il tomb
a été bienveillamment adressé par mon collègue et ami M. Hanot qui a
pensé
à juste titre que le cas pouvait nous intéresser.
ante enfin, rien n'y manque. Après cela, il n'y a pas à en douter, je
pense
, c'est bien à l'évolution de ce phénomène de la f
péciale, a bien voulu me fournir de précieux éclaircissements (3). Il
pense
que, même dans les conditions indiquées par le ré
ts héréditaires. Cette histoire abrégée de nos deux cas, suffit, je
pense
, pour vous permettre de reconnaître que les resse
'élément concomitant. Or c'est justement ce qui se sera produit, je
pense
, chez notre homme ; l'abasie figure chez lui, je
s, dégradées, défigurées. Mais ils estiment, et c'est avec raison, je
pense
, que, le plus souvent, les difficultés pourront ê
. — Roth. Arch. de Neurologie, t. XV et XVI. I C'en est assez, je
pense
, sur ce qui a trait à l'historique. Actuellement
u'on doive les y localiser. Il y a quelques raisons, au contraire, de
penser
avec M. A. Starr (2), ne fût-ce que par la nécess
it bien vite fait repousser cette hypothèse. On était plutôt enclin à
penser
qu'il s'agissait là soit d'une forme anomale de l
sitifs, quand il s'agit de la syringomyélie. Eh bien ! si vouspouviez
penser
, messieurs, que les choses sont réellement ainsi,
rents. La présence de l'hystérie chez notre patient, ne saurait, je
pense
, faire l'ombre d'un doute. Une hemianesthésie dro
isée au lit pendant une période de plus de vingt-quatre mois. Mais je
pense
que son histoire, que je vais rappeler dans un in
par contre, l'évolution rétrograde s'est arrêtée en chemin et nous ne
pensons
pas qu'on puisse espérer le retour à l'état norma
dant, d'ores et déjà, qu'à son allure spéciale, et dans sa façon de
penser
et d'agir, on voit bien le cachet de sa débilité
mme absorbé par une idée, mais en réalité dans ces conditions il ne
pense
généralement à rien. Sans vouloir amoindrir l'i
rès regretté professeur Brissaud sur l'in- fantilisme vrai, il faut
penser
à une lésion du corps thyroïde ; et, en effet,
E ET ACRO.IÉGALIE 23 de petites jambes. Voilà, en tout cas, de quoi
penser
qu'une autre glande s'en mêle. D'autre part,
» J'estime que l'argument de Babinski est suffisant pour nous faire
penser
à une lésion de l'hypophyse chez notre sujet ;
s bien d'autres raisons, et de plus grand poids, non seulement pour
penser
à cette lésion mais pour admettre son existence
nt indemnes. Mais, puisqu'elles sont plus âgées, est-il légitime de
penser
que la tare héréditaire, pour se porter exclusi
sur la nature de la- quelle, sans être tout a fait affirmatif, nous
pensons
que c'est du colloïde épan- ché dans des espace
cas précédent. Etant donné notre expérience antérieure, nous avons
pensé
immédiatement il une altération thyroïdienne et
lia le cas dans Vircchozv's- Fesischrift (1881, Berlin). L'auteur
pense
que l'ostéomalacie était conditionnée dans ce cas
e calus était formé plutôt d'un tissu ostéoïde. Von Jaksch et Rotky
pensent
que dans ce cas il s'agit d'un processus diffé-
ostéomalacie véritable, mais d'un pro- cessus voisin peut-être. Ils
pensent
qu'il a dû exister dans leur cas un certain deg
nt encore probablement dans la nutrition du tissu osseux. On peut
penser
au pancréas, glande qui à plusieurs points de vue
ester la possibilité d'une ostéomalacie infec- tieuse. Mais nous ne
pensons
pas que les choses doivent se passer de cette f
infectieuses peuvent agir par des mécanismes différents. On peut
penser
à une modification du milieu intérieur troublant
on assimilation ou amenant ces deux troubles en même temps. On peut
penser
aussi à une action indirecte, le trouble glandula
détermi- nées elles-mêmes par le microbe ou ses toxines. On peut
penser
aussi à l'intervention dans une certaine mesure d
uit aucune amélioration. Faut-il considérer la tétanie ainsi que le
pense
Silvestri, comme due à l'insuffisance du systèm
topographiques qui produisirent la diffor- mité dans notre cas,j'ai
pensé
utile de présenter ici un schéma des os du poigne
use unique, ni non plus un mécanisme de production unique. Madelung
pense
que le processus morbide, cause de la diffor- m
r exemple, Siegrist qui s'occupa le plus longuement de la question,
pense
que dans la formation de celle diffor- mité tro
dactylie, mais l'heptactactylie est aussi assez fréquente, si l'on
pense
au nombre immense de généra lions pentadigitées
autres (Topinard, Delage, Delbierre, etc.) (t) nient l'atav isme et
pensent
plutôt qu'il s'agit là d'un phénomène purement té
ples d'octodactylie, d'enneaclactylie, et de déca- dactylie dont il
pense
que ce sont des phénomènes appartenant plutôt à
is de l'amnios pendant la vie intra-utérine (5). Weismann et Wilson
pensent
qu'il s'agit là d'une variation du plasma germi
ent sont généralisés dans l'organisme. Mais il n'est pas absurde de
penser
que des stimulants locaux (plis de l'amnios, comm
ression du visage, les gestes, les propos faisaient immé- diatement
penser
à une démence. « La forme aiguë ou délirante a
ses en tête, n'arrivent à rien, et puis, quand on est seule, on n'y
pense
pas, « cela appar- tient au domaine de l'oubli
lus tard, soit que ses affaires ne fussent pas brillantes, soit qu'il
pensât
gagner plus facilement de l'argent en se montra
angage en particulier, par lesquelles nous avons pris l'habitude de
penser
, fonctionnaient et permirent ainsi la conservatio
tal) forcent le malade à se présenter lôt au médecin ; à celui-ci à
penser
alors déjà à cette possibilité et à en assurer
motrice. Ces dernières constatations chez un homme de 29 ans firent
penser
à la syphilis et prescrire le traitement mercur
ble de pren- dre les proportions d'une véritable effraction. Nous
pensons
donc que, chez de tels malades, il est prudent de
iques généraux que nous avons observés à l'asile Saint-Yon laisse à
penser
qu'il 1 en est encore de même aujourd'hui. Ra
s obscure. Le diagnostic n'a pas été fait : dans le second cas on a
pensé
à de l'urémie, dans le premier à un simple foye
uraient été paraly- és, au début. Aucun symptôme ne permettait de
penser
à une tumeur cérébrale. L'autopsie, pratiquée p
e, monotone. Il faut insister pour obtenir une réponse. D. - A quoi
penses
-tu toute la journée ? R. A rien. - D. Que fai
Ne sait pas le jour, ni la date où il est entré dans le service. Il
pense
quelquefois à sa famille. Il souffre des rems e
attitude générale. D. Pourquoi êtes-vous soucieux, M. G. ? R. Je
pense
à elle. D. - Qui. elle ? R. -- Ma femme. D.
syllabes avec le doigt passé sur l'encre fraîche : « Deux Genève je
pense
a m enfants « étant près ou éloignem « mère =
iverses. C'est là une raison, entre bien d'autres, qui nous donne à
penser
que dans le vaste cadre de la démence précoce,
nne vertébrale ou de l'ossification des ligaments, P. Marie et Léri
pensent
qu'il y a entre ces faits relation de causalité.
is elle a trouvé des granulations protoplasmiques qui lui permet de
penser
que l'organe peut aussi représenter une glande.
ophile, contenant quelquefois de fines gra- nulations ; ces auteurs
pensent
qu'elles ressemblent à certaines cel- lules de
vons pas réussi à suivre plus loin le sort des granules ; mais nous
pensons
que, vraisemblablement, ils quittent le protoplas
ellules, sous tous les autres rapports, ont le même caractère, nous
pensons
avoir le droit de les considérer comme un groupe
description de Dimitrova, mais ne dit pas non plus net- tement s'il
pense
que la plupart des cellules sont des cellules név
ourtes qui ne se colorent pas comme les fibres né- vrogliques. Nous
pensons
que ces cellules sont des cellules névrogliques
ue ces cellules sont des cellules névrogliques pylinotiques ; aussi
pensons
-nous que les cellulles que Dimilrova considère
il est si dense qu'on ne peut pas distinguer le noyau. Les auteurs
pensent
que ces cellules se rapprochent morphologiquement
soient des granules en train d'immigrer, ou plutôt d'émigrer, nous
pensons
qu'il est plus probable qu'il s'agit d'une émigra
ndis que les autres étaient colorés par le vert de lu- mière ; nous
pensons
qu'il s'agit des cellules acidophiles d'Ehrlich ;
glande pinéale contenant des fibres musculaires; c'est pourquoi il
pense
(se rapportant à leurexistencechez le hoeuf) qu'o
ion avec la sécrétion interne, comme Galalescu et Urechia l'avaient
pensé
. Nous pensons plutôt qu'elles ont aussi une rel
sécrétion interne, comme Galalescu et Urechia l'avaient pensé. Nous
pensons
plutôt qu'elles ont aussi une relation avec les p
uation des granules dans le protoplasma. Il est vrai qu'on pourrait
penser
que ce processus est aussi l'expression d'une d
nservât presque le même aspect que chez un sujet de 14 ans. Nous ne
pensons
pas qu'on pourra résoudre ce dernier problème sur
es. D'abord, on a tiré des conclusions d'après les tumeurs. Marburg
pense
qu'on pourrait supposer une hyperpinéatisme et
mpho- philes et pas acidophiles. Tous ces arguments me conduisent à
penser
que ces petits corpuscules polaires amplioplnle
a locomotion. En particulier l'on ne constate rien qui puisse faire
penser
à un étatspasmo- dique ou à une démarche lacuna
sont donc loin d'être rares. Il nous paraît cependant impossible de
penser
chez notre malade à une syringomyélie étant don
e qui prédominent il la région occipitale si bien que l'on pourrait
penser
à la compression des branches postérieures des
celle affection. Les symptômes du côté des nerfs crâniens, faisant
penser
à une tumeur, ne font que confirmer le diagnostic
nt précisément sur les résultats de ces expériences, Costantini (6)
pense
, par analogie avec d'autres formations congénital
cher dans la salle, habillé, chaussé et appuyé sur une canne, on ne
penserait
pas qu'il est ataxique ; et cependant le malade n
épendamment de sa volonté ? Au début de nos recherches, nous avions
pensé
que tous les muscles autour de l'articulation c
membre arrive à faire un angle droit et même à le dépasser. Nous
pensons
qu'au début, la duielé tient à la contraction mus
pidement son membre, il contracte ceux-ci pour le retenir. Voilà je
pense
pourquoi Duchenne de Boulogne s'est exprimé ave
nerveux central, il est besoin, avant toute autre considération, de
penser
aux troubles circulatoires. Oppenheim a publié
es chez ses parents, pas plus que l'alcoolisme ; mais rien n'y fait
penser
spécialement, et la malade affirme que ses parent
soudure complète diaphyso-épiphysaire doit, chez notre sujet, faire
penser
à un vice de développement plutôt qu'à une affect
asie dite physiologique. Lorsqu'il y a sclérose, on est en droit de
penser
à une maladie infectieuse ou toxiqne ayant rete
èveté anormale, soi t une longueur démesurée. Il est donc permis de
penser
que c'est une lésion différente, ou plutôt un t
hysique. Le Dr Toulouse (1), dans un de ses livres si originalement
pensés
, fait un amusant parallèle des (1) Tournuse. Co
fériorité corporelle ? Il n'est sans doute pas trop téméraire de le
penser
, et en somme, celte façon d'envisager les chose
amenés par l'élude des fonctions psychiques de l'achondroplasique à
penser
que leurs glandes génitales et leur cerveau ne
para, s'il existe, soit à la base même de l'achondroplasie. Nous
pensons
avoir montré qu'il ne faut pas chercher dans la n
ation mentale et pour insu- bordination, mais jusqu'à présent il ne
pense
pas qu'il soit lui-même un aliéné. . S'il a des
me. Ils contestaient d'abord qu'il pût s'agir d'une réversion ; ils
pensaient
ensuite qu'il ne s'agissait même pas d'un infan
note une fois une cer- taine houffissure généralisée qui fait mieux
penser
au myxoedème qu'à ce que l'on a l'habitude de c
ticule (ou l'ovaire) semblent être atteints simultanément, comme le
pensent
Claude et Gougerot, sous l'influence d'une mala
a de la frilosité, ce sont les questions très pressantes qui y font
penser
le malade. Pas de pigmentation addisonienne, la
ulaire ovaro thyroïdienne, ce que confirme Rénon. Raymond et Claude
pensent
qu'un syndrome pluriglandulaire associé à l'lyp
dire ? Il est forcé d'admettre une insuffisance thyroïdienne, il ne
pensera
pas au myxoedème, puisque l'état myxoedémateux
xoedémateux qui définit le syndrome, la bouffissure, manque ; il ne
pensera
pas à l'infantilisme puisque le ma- lade a le c
er, la tension artérielle baisser, des pigmentations apparaître, il
pensera
à une insuffisance des surréna- les. Il résumer
en admet- tant au début la coexistence de ces différents symptômes,
pensent
que plus lard les lésions objectives des muscle
igts, ils fléchissent leurs pha- langes les unes sur les autres. Je
pense
que les fléchisseurs interviennent ici et troub
loin, c'était parce qu'il ne pouvait pas l'arrêter. Il est logique de
penser
alors que chez ces deux malades, qui avaient de
t,ces troubles ont augmenté d'intensité. En d'autres ter- mes, nous
pensons
que généralement, sinon toujours, l'ataxie commen
te de la sensibilité profonde. D'ailleurs, il était bien logique de
penser
ainsi, du moment que les physiologistes, en com-
t des tabétiques ataxiques. Ceux qui soutiennent cette théorie ont,
pensons
-nous, le tort de croire que tous les phénomènes
de plusieurs mouvements simples, que nous avons appris à combiner,
pensons
-nous, grâce à la sensibilité consciente surtout
et elle négligeait les travaux de son ménage, elle ne pouvait plus ni
penser
ni compter, ses idées s'embrouillaient à chaque i
e somnambule suggestible. le rêveur ne s'étonne, ne doute de ce qu'il
pense
; il subit sans résistance l'automatisme des éléme
des cloches des paroles scandées, on voit les personnages auxquels on
pense
, ou bien l'on fait des gestes brusques et l'on pa
t oubli des phénomènes livrés à la mémoire automatique nous permet de
penser
consciemment à autre chose pendant qu'ils s'accom
mouvements de rotation lui donnaient facilement des nausées; et l'on
pensa
que peut-être les canaux semi-circulaires n'avaie
à apporter quelques restrictions à son égard. Ils déclarent qu'ils ne
pensent
pas qu'on puisse en retirer d'autre avantage que
'attaques con-vulsives est à peine une malade, il en est d'autres qui
pensent
, avec raison, que les insomnies, les névralgies r
stériques par un traitement hygiénique approprié ? Au contraire, nous
pensons
qu'il ne faut jamais perdre de vue que l'hystérie
tion d'une dégénérescence héréditaire ou acquise. C'est pourquoi nous
pensons
que, en même temps que la suggestion pourra être
tisme, et peut-être le savant professeur de Nancy serait-il disposé à
penser
que ceux qui l'ont précédé dans l'étude de l'hypn
ur l'esprit qui voudrait se reposer dans le quiétisme. Mais quoiqu'on
pense
, les phénomènes existent, ils sont. On sait dans
es séances d'hypnotisme, et voici par quelle étrange argumentation il
pense
donner le change a cet égard. « Il faut, dit-il
lement a Paris. En résumé tout cela est de peu d'importance, mais que
penser
des médecins, tris rares, il est vrai, dont le no
la suggestion verbale. Il faisait asseoir ses sujets, leur disant de
penser
au sommeil; de le regarder; il fixait lui-même de
du malade, la douleur disparut pour toujours. Plus tard seulement je
pensai
que c'était un effet de suggestion et je constata
des nerls, les améliorations surprenantes obtenues. Dès l'origine, je
pensais
que la suspension constituait un appareil éminemm
que voyait dans les nez retroussés un signe d'imprudence, et Aristote
pensait
qu'un nez long et courbe dénotait la magnanimité.
ou moins interlopes, tels que les marchandes a la toilette. Mais nous
pensons
qu'il suffit de signaler le fait i l'administrati
t là du véritable faux contre lequel la justice peut sévir et nous ne
pensons
pas qu'aucune réglementation nouvelle puisse être
ncerne la vente au détail de la morphine par des pharmaciens, nous ne
pensons
pas qu'il y ait lieu d'édîcter aucune règlementat
voisin de la misère. Cette histoire de faux billets était, comme vous
pensez
, absolument fausse. Il avait voulu se hausser et
stables soit par le diagnostic, soit par les résultats obtenus. Aussi
pensé
-je que des observations recueillies avec cette pr
irrémédiable mérite toute l'attention des cliniciens. En résumé, je
pense
que les faits acquis de guérison ou d'amélioratio
très accusé et caractéristique de l'intoxication par le plomb, avait
pensé
à des accidents saturnins. La malade avait, en ef
rement à mon attente, le résultat du traitement avait été négatil. Je
pensai
alors que peut-être il eût été préférable de sugg
ioration, à l'autre une aggravation sous forme de contracture : je ne
pense
pas que cela soit même supposable. C'est la malad
a son effet bien que l'hypnotisé ait fait mine de ne pas obéir. Je
pense
qu'il faut poser comme un principe absolu de ne j
ou nuisible et de ne lui donner que de bons avis : obéir, travailler,
penser
au bien ; faire le bien ; délester le mal et vice
ne voulons pas substituer notre volonté à la sienne, mais l'amener à
penser
comme nous, à partager nos idées. Loin de détruir
e nous aurons pénétré dans la place, que nous aurons amené l'enfant à
penser
comme nous, il n'en sera pas moins libre qu'aupar
bles moteurs et sensitifs observés. Il me paraîtrait plus rationel de
penser
que quelque cause occasionnelle a rais à iour l'i
s nerveux divers qu'on observe chez les foudroyés. Aussi M. Charcot
pense
qu'on peut conclure ce qui suit : 1° Dans les c
t guéri. Je pourrais produire plus de vingt cas semblables; mais je
pense
que ce qui précède suffit pour prouver qu'il y a
napé ou sur un lauteuil, je ferme les yeux, je cherche à dormir et je
pense
à l'auto-suggestion désirée. EXEMPLES D'AUTO-SU
uto-suggestion de ne pas avoir mal à l'estomac ; pendant ce temps, je
pensais
que je voudrais bien aussi ne plus avoir froid au
rouvé est difficile à définir, je n'avais pas conscience de ce que je
pensais
, je ne raisonnais pas, j'avais des idées bizarres
us accentué. Je ne raisonnais plus, tout me paraissait absurde, je ne
pensais
plus, je ne liais pas deux idées ; je ne vivais p
stion. 12° Rives et auto-suggestion. Quelquefois on rêve du sujet
pensé
pendant l'auto-suggestion. J'ai rêvé que j'écri
on d'avoir des idées. J'ai souvent rêvé des personnes auxquelles je
pensais
pendant l'autosuggestion. Pendant un de mes exe
ma table de travail, je me livre a mon exercice d'auto-suggestion, je
pense
à avoir des idées et à écrire. J'avais la conscie
ement par beaucoup de personnes. Le savant préoccupé d'une question y
pense
dans lesilence et le recueillement de la nuit. C'
on naturelle. La personne qui désire vivement une chose ou un fait, y
pense
également dans le recueillement de la nuit. Cet é
surnaturelle, me dit-elle ; vous ne pouvez donc pas deviner ce que je
pense
? » Je parvins à la rassurer et après une crise co
le rendait insensible à toute autre impression. H se croit rétabli et
pense
posséder définitivement l'équilibre psychique pro
ses, ni des enseignements de la raison naturelle, mais de la façon de
penser
, d'apprécier, de juger qui règne dans la sphère o
oir une crise assez violente provoquée par une grande contrariété, je
pensai
alors d lui dire qu'il allait se trouver dans l'é
émontra que la temperature commençait à s'élever. Il était naturel de
penser
que le lien de compression existait seulement au
d Toghlak avait entendu parler du papier monnaie employé en Chine, et
pensait
enrichir le trésor impérial en fixant une valeur
és à cela », ils auraient été infailliblement torturés davantage. Ils
pensèrent
qu'il valait mieux avoir la gorge coupée sans dél
t le sultan et invité à donner les noms des personnes de sa ville qui
pensaient
et agissaient comme ceux qui avaient été exécutés
fs des révoltés. VIII. Fin et malheurs de son règne. Quand nous
pensons
à la condition épouvantable des peuples de l'Inde
te force dans l'esprit appelé animal répandu dans les nerfs, ou qu'on
pense
qu'elle est innée chez nous de toute autre manièr
participation au crime... ? — Oh ! quant à sa participation. Je ne
pense
pas qu'elle ait alors agi sous l'influence d'une
corde quelque attention au point de vue criminel. » D'ailleurs s'il
pense
que dans le cas de Gabrielle Bompard, il n'y a pa
ujets » ayant perpétré un meurtre par suggestion préalable, elle n'en
pense
pas moins que ces sujets existent. Mainte expérie
este quelquefois à la suite de la suggestion et je suis même arrivé à
penser
qu'elle est souvent utile, à la condition qu'elle
ies, a Or. l'idée du mariage était toujours contraire d sa manière de
penser
. Cependant, les parents auxquels elle a communiqu
e avait présenté à notre premier examen. A la fin d'octobre elle ne
pensait
plus à se tourmenter pour son mariage ; elle s'in
n tenir sur cette science à laquelle on voudrait les empêcher même de
penser
. La discussion de la circulaire ministérielle p
e du côté gauche était assez marquée pour que je me crusse autorisé à
penser
que la malade était bien en hypnose somnambulique
ns que je vous ai faites, et au moment de vous endormir ce soir, vous
penserez
à ce qui a été fait ce malin. » Les hystériques
dit-il. n'est sans doute pas aussi rare que l'on serait tenté de le
penser
tout d'abord. En cherchant bien, on en trouverait
t, il n'eut plus la moindre tranquillité. Nuit et jour, obsédé par la
pensé
; du crime et de son auteur, il ne dormait plus, v
l'ballu cination est d'ailleurs très remarquable. Il lui suffisait de
penser
à une personne pour la voir immédiatement apparaî
prète tout en mal, voit tout en noir. ¡1 verse d'abondantes larme» et
pense
à se faire mourir: mais l'idée du suicide l'effra
eresthésie psycho-sen-sonc le ; mêmes idées détirantes. Tout ce qu'il
pense
prend pour le malade une forme extèreure ; ses pa
rprété dans un sens mélancolique. Pranzini lui dit : « Tout ce que lu
penses
, tout ce que tu lis est vrai, cela va t'arriver,
vas y passer. » Il redoute de lire, de se récréer, il voudrait ne pas
penser
, parce que ses mo ndres manifestations psychiques
piur d'être vu et parce qu'on l'empêcherait de le faire. Personne ne
pense
plus A lui. il est indigne; il ne guérira pas ; s
vifs. » Nous voudrions bien savoir ce que M. le Juge d'instruction
pense
du conseiller de Lancre, du parlement de Bordeaux
de rester indifférent à de pareilles hécatombes! C'est pourquoi j'ai
pensé
que vous trouveriez quelque intérêt à connaître e
onc qu'il est urgent d'entendre l'Administration nous dire ce qu'elle
pense
et ce qu'elle entend faire a propos de ces expéri
ins attachés aux traditions et au nom des malades, quelles mesures il
pense
ordonner pour empêcher des journaux qui n'ont rie
jour, trouvant cela absurde, il a brûlé sa comptabilité et n'v a plus
pensé
; mais plus tard il a le scrupule de manger de la
faut bien le dire, jamais, jusqu'au commencement de ce siècle, on n'a
pensé
à résoudre scientifiquement ce problème. L'imagin
que nous nous adressons pour apaiser notre faim. A quoi bon en effet,
pensons
-nous, manger des choses qui nous répugnent ou au
s a chez nous une importance beaucoup moins considérable que le goût.
Pensez
donc : la bouche ! ou comme disent plus énergique
ire naître ces images et par conséquent ne s'en servirait jamais pour
penser
. Au contraire, l'étal d'hypnose ressuscite le sen
e qui, le cas échéant, pourrait-être connue comme telle? Leibnitz l'a
pensé
, et bien des philosophas avec lui. Il est pour le
eusement imposée notre bureau, s'en trouve d'autant allégée; aussi je
pense
pouvoir resteindre mon rôle à vous offrir un résu
rigine et des effets de l'hypnose sans distinction aucune. Aussi je
pense
avec les élèves de M. Charcot qu'on fait bien de
res absolus de tout ce qui touche l'hypnose ou In suggestion. Je ne
pense
pas que pour le moment on en trouvera encore beau
cée chez des personnes à volonté maladive, chez les hystériqucs, nous
pensons
que d'autre part il faut en pnnepe. la desapprouv
s'enchevêtrer parfois avec une attaque hystérique (1). M. Tamburini
pense
au contraire que l'hypnotisme, dans le cas même d
a suggestion du sommeil provoqué artificiel suggestif ou braidique et
pense
que les phénomènes dits hypnotiques ne sont pas f
ion du moi » (3). Bichat, ainsi que l'a fait remarquer M. Bérillon,
pensait
avec raison que chacun des organes de la vie de r
à voir, et sans que l'apprentissage soit difficile, encore faut-il y
penser
et s'en préoccuper. Je dis que c'est chose facile
situation d'engourdissement et d'ignorance les mettant hors d'état de
penser
par eux-mêmes; et, sous prétexte d'instruction, d
t consciemment comme un soulagement de leur état j dépressif, loin de
penser
qu'ils deviennent peu à peu des ; alcooliques chr
n évidence l'automatisme de nos pensées. Si on demande à quelqu'un de
penser
à une carte, on évoquera les figures les plus sim
ir une boîte au fond de laquelle on aurait placé un appât. Nous avons
pensé
que le résultat positif ou négatif d'une telle ex
élioration. Le malade est obsédé par la persistance de son mal ; il y
pense
sans cesse le jour et en rêve la nuit : il crée l
sur l'auriculaire un autre petit qui s'est ouvert tout seul. A quoi
pense
tout de suite le médecin en pareil cas ? Le panar
tive et il n'y a ni pseudo-contracture, ni déformation. On pourrait
pensera
la phlegm&tia. alba dolens, car celle-ci peut
iens ont la fâcheuse habitude d'inciser; dans le second, les médecins
pensent
à la syringomyëlie. Depuis la leçon de Charcot en
Les Membres fondateurs de l'Institut de psychologie zoologique ont
pensé
qu'il serait intéressant d'appliquer le principe
d'être dupes de faits mal observés ou falsifiés ? Nous ne l'avons pas
pensé
, laissant à chacun la liberté ou la responsabilit
s expériences auraient eu pour effet d'ébranler la santé du sujet. Je
pense
que ce droit lui appartiendrait alors même qu'il
on de faits. Si le sujet a consenti par avance aux actes suggérés, je
pense
que l'hypnotiseur ne saurait être recherché, tout
la cause déterminante de l'acte a été la suggestion hypnotique. Je
pense
même que, dans le cas de testament authentique, i
devrons, le cas échéant, demander protection à d'autres textes et je
pense
que ces textes ne sont autres que les art. 1111 e
s quel cas v aura-t-il violence ; dans quel cas y aura-t-il dol? Je
pense
que c'est là une question de circonstances. Il y
uatre ans, et son curriculxim v'ttx, jusqu'à cet âge, doit nous faire
penser
, que cette extase soit attribuable à la troisième
as tant de mal qu'à moi ; nous oubliions nos autres devoirs « pour ne
penser
qu'à cela seul. Mon père le trouvait si mauvais q
raisonné. Le chagrin seul l'empêche de manger, mais on aurait tort de
penser
qu'il ne mange pas avec l'intention bien arrêtée
Cette disposition anatomiquede l'œdème et de la sensibilité me font
penser
immédiatement à l'œdème bleu hystérique. Je rec
n présence de dangers très graves. Ce n'est cependant pas ce qu'ont
pensé
nos voisins de Belgique qui, depuis le 30 mai 189
que ce genre de divertissement soit absolument sans inconvénients. Je
pense
même, comme j'aurai l'occasion de vous le dire to
les prendre, » et il faisait de vains efforts poury arriver. « Tu ne
penses
plus à retourner à Paris, tu n'aimes plusla bonne
vie, à la suite de chagrins d'amour, qu'il n'a pu surmonter; il y
pense
toujours ; rien ne lui sourit, dit-il, rien ne le
, en état de somnambulisme (anesthésie. etc.) Je lui suggère qu'il ne
pense
plus aux causes de ses chagrins d'autrefois, qu'i
de ses chagrins d'autrefois, qu'il ne veut plus, qu'il ne peut plus y
penser
, que ses chagrins d'ailleurs, n'existent plus et
tage; il n'en a plus besoin, dit-il, puisqu'il n'a plus d'ennui et ne
pense
plus à ses chagrins d'antan et qu'il veut redeven
ent intellectuel est plus important que dans l'émotion simple. Xous
pensons
que le rôle essentiel, dans la genèse de l'obsess
lement de la fièvre : cette faim était si violente qu'elle ne pouvait
penser
à autre chose. » (4) C'est la boulimie hystérique
l fréquente un ataxique, un cardiaque ou s'il en entend parler,... il
pense
avoir la même maladie et la décrit à son médecin,
d'ailleurs aucune obsession, et quand il ne voyait pas le vide, il ne
pensait
aucunement à enjamber la fenêtre. Je lui consei
est le résultat d'une autosuggestion involontaire. Le mélancolique
pense
constamment au suicide, il le médite, il le veut.
n sont atteints. Mais est-on en droit, comme certains auteurs l'ont
pensé
, de se servir de ces caractères pour définir l'hy
e phénomènes généraux ; c'est une incurable et une dégénérée. Je ne
pense
pas que ces signes se retrouvent avec la même net
it d'ailleurs leur objet. A ce point de vue, contrairement à ce qu'on
pensait
autrefois, l'étude du sommeil provoqué m fait pas
Un assistant, désigné à cet effet, servira de conducteur. Ce dernier
pensera
fortement à l'acte convenu, il le voudra énergiqu
la direction Xord — Sud..,, Est — Ou«t...,Xord-Est—Sud-Ouest..., etc.
Pensons
-y fortement, appliquons-nous à le vouloir avec pe
Le conducteur doit, selon les exigences requises pour l'expérience,
penser
fortement : a Vien3 par ici. va à droite, va à ga
nombreuses tentatives, le conducteur répondait non, si le sujet avait
pensé
k soulever le buvard, le conducteur se fût empres
e conducteur se fût empressé de répondre oui. Mais le sujet n'y a pas
pensé
et le conducteur n'a pas pu lui suggérer mentalem
t, sans la moindre hésitation, après avoir fixé les yeux de celui-qui
pensera
à l'une des cartes ou à l'un des objets, il a pri
ais, pour guérir, il a eu besoin des secours de la suggestion. J'ai
pensé
que ce nouveau cas d'auto-microsthésie pourrait p
déviation fausse dans la marche de l'esprit humain. Cependant, je ne
pense
pas que les clartés lumineuses que répand la scie
ieures dans ï l'univers, tandis qu'ils sont dupes, le plus souvent je
pense
sinon toujours, des seuls reflets de leur propre
ans, mais même après S0 ans. II. — En second lieu, on doit toujours
penser
à l'hystérie, même chez les vieillards, toutes le
améliorer cette névrose sénile même lorsqu'aucun signe ne peut faire
penser
à l'hystérie franche. Pour n'être qu'hypothétique
l, soit dans sa clinique, soit dans sa clientèle privée. Ensuite nous
pensons
qu'en matière de psychologie, il faut être très c
l'état de veille, il nous parait intéressant de reproduire ici ce que
pense
à ce sujet l'illustre médecin et philosophe allem
égissent « l'univers. » S'il existe encore des points obscurs, nous
pensons
qu'ils ne resteront pas éternellement inexpliqués
te et de ses mains... Plus tard, les docteurs Despinc et Charpignon
pensèrent
, à la suite de quelques expériences, que quelques
qui étudie les causes de la criminalité et le criminel lui-même. Je
pense
que, pour la science comme pour la société, il ne
u'aux racines, ces causes, — et seulement après on pourra et on devra
penser
à la répression. Il s'agit donc de substituer a
umain. Il est aussi le résultat du milieu dans lequel le cerveau vit,
pense
et agit, et ce milieu est, — soit le milieu socia
cette puissance de l'individu à se séparer du monde extérieur pour ne
penser
qu'à un seul objet. Certains savants, mathématici
efiectuer parce qu'il est nécessaire aux exercices suivants. On peut
penser
le soir en s'endormant : a Se réveiller au milieu
par se mettre dans la somnolence favorable à l'abstraction. Puis on
pense
de dix à cinquante fois pfaire, plaire, plaire, p
. Elle se fait sentir au bout de vingt ou trente fois. Pour arriver à
penser
mentalement une auto-suggestion plus de cinquante
s. Puis on fera de même pour l'auto-suggestion n° 2 causer. On la
pensera
mentalement par groupes de vingt ou trente fois a
rente fois avec des intervalles de repos, et en fin de compte on aura
pensé
mentalement cent ou deux cents fois l'auto-sugges
gestions. 3° Une méthode mixte, et c'est la plus facile, consiste à
penser
cinq ou six fois l'auto-suggestion n° 1 pfaire, p
de s'éveiller à sept heures, on veuille se lever à cinq heures. On y
pensera
en s'endormant. Très généralement on se trompe et
as ce dernier. L'auto-suggestion voulue, méditative, qui se force à
penser
d'une manière continue à l'acte que l'on veut exé
pharyngienne. Ces faits donneraient raison à M. le Dr Bérillon, qui
pense
qu'il y a là. de la part des sujets endormis, une
e, de ces points hystérogènes, le diagnostic était facile. Il fallait
penser
à l'hystérie quoique la malade n'eut jamais de co
erve, par la suite, le souvenir de ces morsures. Cette zoopsie fait
penser
à l'éthylisme. Or cette femme est très sobre.
nt n'est point particulier à la phtisie. Comme l'inspiré des Gobclins
pense
que le principal remède en ce monde est la chaleu
affecter la forme névralgique, cela n'est pas douteux, mais nous
pensons
que c'est surtout à la névropathie qu'il faut r
avec des fragments d'alvéole. La petite molaire voisine fut, on le
pense
bien, ébranlée, comme elle l'avait été à la pre
ait être de son intérêt, de prouver les erreurs de diagnostic qu'il
pensait
avoir été commises. On juge par là les nombreus
ils, ont un équivalent mécanique, thermique, chimique; l'animal qui
pense
perd une partie de son énergie. - Voilà ce qu'i
iable et transitoire de la pensée, la cons- cience : « L'animal qui
pense
, c'est l'organisme obser- vant lui-même ses mod
teurs, accumulateurs, diffuseurs d'é- nergie nerveuse. Tout porte à
penser
qu'elles ne sont jamais le siège d'actes psychi
oyau; or, « tout ce que nous savons en anatomie générale autorise à
penser
què ce noyau, quoique né- cessaire peut-être au
recherches physiologiques et cliniques, et j'ai la satisfaction de
penser
que les erreurs que j'ai commises dans la délim
point de la doctrine ci-dessus qui n'ait été controversé ; mais je
pense
que chaque point a été con- firmé jusqu'à l'évi
vec som etstriclemeut focalisées. Dans mes premières recherches, je
pensai
que les plis courbes formaient seuls des centre
nt la région de la scissure pariéto-occipitale et le pli courbe, je
pense
que le trouble de la vision est dû à cette caus
occipitaux, mais embrassent aussi le pli courbe, quoique le premier
pense
que l'effet de la destruction unilatérale du pl
ès l'ablation des deux lobes occipitaux (voir cas 25 et et 26) fait
penser
que le centre en rapport avec la conscience vis
avec la conscience visuelle n'est pas limité à ces lobes, comme le
pensait
Munck, mais s'étend sur les plis courbes, l'hém
ches de Schafer. en collaboration avec Sanger- Brown, l'ont amené à
penser
d'accord avec Munk que l'extirpation complète u
ent de la région des centres optiques primaires. Brown elTbompson 2
pensent
que l'ablation du lobe occipital d'un côté prod
mal recouvra la vision sur une certaine étendue vers la gauche. Ils
pensent
, mais ils ne donnent aucune preuve du fait, que
us, il présentait une ceitaine difficulté pour le prendre. Schoefer
pense
que ce der- nier fait est dû à l'absence de la
avec des lésions du coin et de son voisinage, Segttin et Nothnagel
pense
que cette portion du lobe occipital a une relat
lation spéciale avec la perception visuelle ; tandis que Wil- brand
pense
que le centre visuel est plus spécialement dans l
il y a une cécité dans l'oeil opposé 6. Et Goltz remarque qu'il ne
pense
pas que ces premières conclusions étaient dues il
la vision de l'oeil du même côté. Ces auteurs, cependant, semblent
penser
que l'étendue de la sphère visuelle est plutôt
histoire des ex- périences de Munk, chez les lapins '. c J'ai enfin
pensé
que je pourrais déterminer avec quel oeil le la
parce qu'il m'est arrivé parfois, que là où par mes essais j'avais
pensé
que le trouble le plus grand de la vision était d
cet animal, comme chez les vertébrés plus élevés. Singer et Munzer
pensent
aussi qu'il y a une décussation partielle chez
iplégies malgré les destructions étendues de la capsule interne; il
pense
que les lésions diffuses préalables de l'écorce
tte répercussion explique comment le malade voit un objet auquel il
pense
revêtir une forme tangible. M. Hoppe propose la
par la guérison sont loin d'être communs; c'est pourquoi l'auteur a
pensé
qu'il y aurait quelque intérêt à publier les qu
e, l'existence an- térieure d'un écoulement par l'oreille faisaient
penser
à une tumeur ou à un abcès de nature tuberculeu
la paralysie générale. Rien ne le prouve. M. MARANDON DE nIONTYEL
pense
que les paralytiques généraux par intoxication
u'il faut attribuer l'ataxie. Cette incoordination sensorielle fait
penser
à une syringomyélie ; mais. comme il n'y a pas d'
es Démoniaques dans l'art. Enfin, celte année même, l'Etat récolll-
pensait
de sou infatigable labeur en admettant aux honneu
surtout la production expérimentale des névrites saturnines, firent
penser
que les sels de plomb exerçaient leur action no
era probablement pas avec celle que donnent les histologistes. J'ai
pensé
cependant qu'il n'était pas inutile de décrire
d'Ammon. Ce fait est donc favorable à l'opinion de Treviranus, qui
pense
que la voûte et les cornes d'Ammon sont en rapp
re les ailes, marcher, nager) après la décapitation. B. Salemi Pace
pense
que le rôle joué par la moelle est pré- pondéra
l'obsession dont souffriraient ceux qui sont atteints ; la façon de
penser
chez ces malades subirait l'influence décidée de
une grande influence sur les actes du corps, et vice versai Nous
pensons
, au contraire, qu'il existe une ligne de démar-
pas une source de chaleur à la manière dont les physiologistes le
pensent
, mais qu'il n'y a que la partie de la force mus
comme un indice d'une sensation visuelle subjective, nous avons, je
pense
, dans ces réactions des signes plus caractéristiq
'ils ont employées, étaient d'avis que l'animal entendait; un autre
pensa
une fois qu'un des animaux pouvait entendre, une
iver à des conclusions fermes sur ce sujet, un membre de la Société
pensa
qu'un singe 4 Brain, vol. 10, p. 373. Bi,ain,
circonvolutions temporales supérieures était aussi sourd. Scbxlîer
pense
que moi aussi je n'ai pas douté de l'existence
chez ses animaux. Un examen tel que je l'ai fait ne donne lieu, je
pense
, à une évi- dence non équivoque sur ce point. A
complètement les réactions aux sons, nous avons quelques raisons de
penser
avec Longet, Goltz, etc., que chez les singes,
i paraît en effet quelquefois plus fine que d'habitude. Ces auteurs
pensent
que la semi-décussation des nerfs auditifs existe
Fig. 21. 254 PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE. cerveau à l'autopsie, font
penser
que les destructions des premières circonvoluti
sculaire consécutive, avec intégrité du muscle tibial antérieur. Il
pense
qu'il s'est agi là d'une névrite périphérique q
erveuses et une diminution du nombre des fibres nerveuses. L'auteur
pense
que ces lésions répondent à l'encéphalite paren
ont une per- ception consciente nette, une mémoire optique fidèle,
pensez
à la forme'transcorticale. M. Siemerling montre
reux cérébro-spinaux et les lésions de la syringo- myélie. L'auteur
pense
que le traumatisme a produit la syringo- myélie
erpréter les atrophies musculaires d'origine cérébrale; les auteurs
pensent
qu'au point de vue anatomique les atrophies en
donner des suggestions, le (aire parler, lui faire avouer ce qu'il
pense
, ainsi que ses secrets et les choses les plus
ie que je vous signalais, il y a un instant, assez de stigmates, je
pense
, pour affirmer que notre malade est hystérique
S HALLUCINATIONS DE L'ATTAQUE HYSTÉRIQUE. S bains de met. 011 ! j'y
pense
encore... M. Emile nous regardait. Marie-Jeanne
stérique et le bégayement vulgaire d'une part (ce qui nous a laissé
penser
368 PATHOLOGIE NERVEUSE. que pour M. Ballet c
il nous apparaît clairement que le bégaiement n'est pas, comme l'a
pensé
M. Ballet, le phénomène dominant. Mais si, sort
erait pro- duite toute seule, avant l'accident du père. M. Pitres
pense
que son malade est hystérique ; je ne le contre-
es malades, le bégaiement existât seul. Je serais même très porté à
penser
que les infirmités de la parole observées chez
ésent, un mystère que j je ne me charge pas d'élu- cider. M. Pitres
pense
que c'est de l'hystérie, alors je lui deman- de
substance grise de la protubérance, mais c'est là un point qui, je
pense
, demande de nouvelles re- cherches. Pour jeter
tes, se fusionnent avec des fibres motrices dans l'écorce (comme le
pensent
quelques-uns) ou se distribuent à quelques régi
é intact son sens de l'odorat. Mais pour les autres expériences, je
pense
qu'on a laissé suffisamment de la région de l'h
ns le cas où il ne serait pas si intense qu'auparavant. - J'ai donc
pensé
qu'il serait désirable de faire quelques expéri
nces dont le goût et l'odeur répugnent aux animaux normaux et je ne
pense
pas qu'il soit possible d'expliquer ceci autremen
ns olfactifs et les bulles olfactives étaient normaux. Quoique Munk
pense
que ce cas montre que la circonvolution de l'hi
portion du cerveau est le centre de la sphère olfactive. » Luciani
pense
également que chaque centre est en rapport avec
rminer s'il pouvait toujours exécuter ce tour appris, quoique GolLz
pense
que. dans des cas rares, un chien puisse exécuter
peuvent coïncider, tandis qu'ils sont séparés chez d'autres. Je ne
pense
pas que l'aura sensitive qui précède ou accompa
s est assurée sans le concours des hémisphères cérébraux ; et je ne
pense
pas non plus que les impressions, qui ne se réper
re plus grande avant de hasarder aucune hypothèse de ma part. Et je
pense
qu'il est d'autant plus nécessaire d'agir ainsi
a magistrature dans la plus large acception du mot. « Grâce à elle,
pense-t
-il, une erreur médicale ou une connivence ne sero
ter méthodiquement les malades qui lui sont confiés. M. Chambard ne
pense
pas que la division des fonctions médico- admin
priori, étant donné qu'il s'agit d'une forme de délire systématisé,
penser
que le sens qui présente des halluci- ANNALES I
e, il n'est plus persécuté. Du jour où il commence à la parler et à
penser
par son aide, les per- sécutions se reproduisen
bles résultats dans les pays d'Amérique qui l'ont adopté pour qu'on
pense
jamais à l'appliquer en France. Syndromes 'ép
x formes établies par l'auteur soient nosologiquement séparées ; il
pense
, au contraire, que la forme dégénérative est un
nfusion aiguë, d'amentia. Quant à la prédisposition héréditaire, il
pense
égale- ment qu'elle n'a pas un rôle prépondéran
r un rôle important, dans tout ceci, à la perception magnétique; nous
pensons
que ce praticien exagère un peu la portée réelle
(te M. Clever de Maldigny. Celui-ci s’exprime en ces termes : « Que
pensez
-vous, cher confrère, de ce spécimen de phénoménis
sme de Charenton. » (Nous 11e partageons pas cette opinion, mais nous
pensons
que loin de faire progresser le mesmérisme, la do
l’acception du mot, nous sommes loin de nous piquer d’ascétisme; nous
pensons
néanmoins que la doctrine du spiritisme est oppos
sans s’en apercevoir au milieu de la \ie réelle, et alors, au lieu de
penser
, on rêve. Pourquoi avons-nous des réminiscences
s ont donnée des hiéroglyphes qu'on trouve sur ses monuments, ils ont
pensé
en avoir saisi le vrai sens ; mais le sens mystiq
a force ries disciples qui prépare l'auréole des maîtres ! On avait
pensé
longtemps que des Sociétés émules devaient faire
interrogez-nous maintenant comme particuliers; comme hommes libres de
penser
et de croire à notre guise, sans que les croyance
plus hier, ni demain ! II Enfant, déjà triste et songeuse, Mes
pensers
s'envolaient ailleurs, Courant, avide voyageuse
eptées. Etes-vous donc de ces spiritualités de si facile composition?
Pensez
-vous comme ceux que j’entendais affirmer que les
al du Magnétisme. Toulon, 4 juin 1861. Monsieur le baron, Je ne
pense
pas qu’il existe un seul lecteur de votre journal
fluide??? Les inagné-tistes qui se payent d’une simple dénomination,
pensent
posséder la science de la spécifité de l’agent, p
père de celle-ci. > La mère et la fille n’attachèrent, comme on le
pense
bien, aucune importance à cette prophétie; et lor
peu de sang. Le jeune homme y appliqua une bandelette de linge et n’y
pensa
plus. Le chien disparut; on trouva sa chaîne bris
cience et de l’humanité, ses confrères ne laissèrent pas néanmoins de
penser
et sans doute de dire tout le contraire. Touchant
sait, la vertu du second. M. Cornet ne lient pas assez de compte, je
pense
, des rêveries de tous les extatiques religieux, e
ns, c’est-à-dire sans base organique, n’est pas plus acceptable. Vous
pensez
que la'clairvoyance en ce qui touche les choses n
lans la nature animée. Bien des motifs connus déjà autoriseraient à
penser
que l’homme est une source riche et permanente de
s avec les aurores australes et boréales, rapports tels que l’on peut
penser
que ces météores sont des phéno- mènes odiques
faits extraordinaires qui avaient tant impressionné Zschukke, et nous
pensons
avec celui-ci que l’étude de ces phénomènes, en l
nt d’eux-mêmes seul égale. M. le D' Tripier est un vrai médecin; il
pense
, comme nous, que la vie domine tousles phénomènes
au développement cellulaire, dit-il, sont complètement inconnues. On
pense
généralement qu’elles le seront toujours, et la m
alistes, esl l'entité simple, immatériel le, inconnue , qui seul, qui
pense
et qui veut dans notre organisme humain : C’est e
Jeau de Thessalonique, saint Athanase, saint Basile et saint Méthode
pensent
de même. Alors on entendait la spiritualité tout
Dcscartes, nous apprennent ces philosophes, « on ne s’arrêtait pas à
penser
ce que c’élail que l'âme, ou bien on s’imaginait
ste, cela est certain ; mais combien de temps? Autant de temps que je
pense
... Je suis une chose vraie et vraiment existante;
et vraiment existante; mais quelle Chose? Je l'ai dit, une chose qui
pense
. » (Médit., Il, 4-7.) Le magnétiste ne va-t-il
ette phrase peut-elle être prise dans son acception intime ? Je ne le
pense
pas, et le Christ a dit : C’est la lettre qui tue
dans notre langue, et inventé probablement par les matérialistes qui
pensent
que le néant engendre quelque chose, — le hazard,
os yeux n’aient été remplacées par d’autres plus épaisses? Vous ne le
pensez
pas, du moins, puisque vous dites, à l’appui de v
sais rien, dit l’homme le plus avancé dans les sciences, et beaucoup
pensent
de même. L aveuglement général est tel que, si
est-elle bien aussi manifeste queM, B... semble l’entrevoir? Je ne le
pense
pas. En effet, le malade a une douleur au bras, e
ature, reconnaître l’action magnétique, si longtemps déniée. .Ic ne
pense
pas que le Congrès émette le vœu d’étudier l’hist
rs sur le terrain analytique du magnétisme. « Vous qai lisez et qui
pensez
, concluez. Les Grecs avaient inventé la des flu
re implacable ennemi, le consul Clément, n’a point péri comme vous le
pensiez
. Il est plein d’existence, et je sais qu'il se pr
re, que ce qui, dans toi, voit les images et perçoit les sons, ce qui
pense
est une lumière. Elle est de l'essence du dieu, d
si plus facilement les influences des milieux éthéréens. La pensée,
pensa
/a (mot à mot, la pesée), n'est qu'une impression
s paroles, ainsi des actions. De là cette maxime des anciens : bien
penser
, bien dire et bien agir, c’est bien vivre... et,
Décomposition de la pensée. Influence de l'habitude sur la faculté de
penser
.) cation franche et rationnelle des phénomènes
pérer, c’est agir ; agir, c’est mouvoir ; or l’invididu meut quand il
pense
(*); il ne pense qu’en mouvant. » (Maine de Iîira
; agir, c’est mouvoir ; or l’invididu meut quand il pense (*); il ne
pense
qu’en mouvant. » (Maine de Iîiran.) Si la pensée
fluide vital, etc.) Cet état survient, parfois, au moment où l'on y
pense
le moins. « Le jour de la mort de saint Martin,
sante volonté pour tout le ressort de sa croyance. a La volonté, je
pense
, est la concentration des idées sur une seule ; e
des autres.... Quant à l'atmosphère de la terre, il est rationnel de
penser
qu’au lieu d’être un composé de deux éléments, ai
s d'exercice des facultés, il n'y a pas opposition radicale. Rêver et
penser
sont les deux faces d'une me-nievie, les deux man
se mit à travailler la terre, mais il n’avait pas grand courage ; il
pensait
, malgré lui, an fantôme qui lui était annoncé. Il
léchie, — en vient à déshériter ala volonté, comme agent magnétique.»
Penser
autrement... est n une hypothèse purement gratuit
nouvelle : — Je l'ai vu ! — Qui ? — Celui que je dois épouser. — Vous
pensez
à vous marier?—-Oui! catalepsie. Nous finies ce
(Les Guêpes, Revue philosophique, etc., livraison 17, 1859.) Que va
penser
de cela le citateur de la « boutade » ? Va-t-il,
al. — Les sieurs Paulet, Bâcher. — Mesmer, le cœur rempli de douleur,
pense
à aller chercher des partisans en Angleterre. — (
de m’instruire autrement que par la voie des faits; c’est pourquoi je
penserai
sans doute différemment des savants; c’est pourqu
invocations aient, formulées en laveur d’un défunt, je n’hésite pas à
penser
qu’elles reflètent frôs-exactement ce qui se pass
bir le martyre. Les médecins croient être dans le vrai, ou plutôt ils
pensent
qu’en dehors d’eux, il n’y a rien qui vaille; d’a
ître et l'entendit lui dire : « Saul, pourquoi me persécuter, moi qui
pensais
ce que tu penses, et qui te destine à réaliser da
lui dire : « Saul, pourquoi me persécuter, moi qui pensais ce que tu
penses
, et qui te destine à réaliser dans le monde ma pe
que j’en ferais des médiums. La chose est plus sérieuse qu’on 11e le
pense
. Quant à vous qui voulez étudier, refoulez la s
la terre et qu’il est notre très-humble serviteur, tous deux avaient
pensé
que la création se bornait tout entière à notre g
urative, pour arriver au moment où Mesmer, le cœur rempli de douleur,
pense
à aller chercher « des partisans en Angleterre (1
omplet discrédit. Je partage naturellement cette incrédulité; mais je
pense
qu’on a tort de mépriser 1 histoire de cette scie
r que cette attente ne sera pas déçue-, mais, quoi qu’i: arrive, nous
pensons
, pour les motifs exposés, que les archéologues ne
it près d'un an que ce phénomène ne s’était produit, et certes je n’y
pensais
plus, quand, le 2(5 août dernier, il se manifesta
ue de mettre M"" André en somnambulisme et de lui demander ce qu’elle
pensait
d’un phénomène pareil. Voici sa réponse : « 1
ent de la mêmeeawse, je le vois, si tu ne veux pas me croire et si lu
penses
que je me trompe, parce que les reoberohes d’expé
de multiplier les matières des programmes, contraindre ces enfants à
penser
par eux-mêmes et arrêter leur esprit sur des obje
ui concerne le surmenage intellectuel, je me range à côté de ceux qui
pensent
qu'on en exagère singulièrement le rôle et l'impo
ment le rôle et l'importance, au moins dans les lycées de garçons. Je
pense
que presque tous les méfaits dont on accuse le su
les détails, mais laissez-le tel qu'il est dans son ensemble. Je ne
pense
pas du tout que les programmes encyclopédiques ai
ement des difformités physiques, un certain nombre d'observateurs ont
pensé
qu'il était temps de chercher à créer une véritab
oses ni des enseignements de la raison naturelle, mais de la façon de
penser
, d'apprécier, de juger qui régne dans la sphère o
r avec moi, se rendre compte de tous mes mouvements. Il dit, exécute,
pense
et oublie même tout ce que je lui suggère de dire
pense et oublie même tout ce que je lui suggère de dire, de faire, de
penser
et d'oublier, soit immédiatement, soit à échéance
idée d'exclure cette observation de nos éléments de connaissance. Il
pense
même que les faits acquis par l'étude du moi ont
faire face. Sur ce point, je suis tout à fait de l'avis de ceux] qui
pensent
que le véritable surmenage n'existe pas dans le s
incapables de continuer leur carrière. 1° En résumé, messieurs, je
pense
qu'il est indispensable de faire des réserves au
l ne me parait pas convenable d'alléger les programmes, et qu'il faut
penser
à l'avenir et à l'intérêt des générations futures
adolescents, le régime actuel de nos établissements scolaires. Elle
pense
: que les collèges et lycées pour élèves internes
t. J Voisin. Féré. Mabille. Dufour. Chazarain, de Rochas. Decle. Nous
pensons
donc que tous ceux qui s'en sont occupés sont d'a
x substances présentées à l'extérieur. La plupart des critiques ont
pensé
trouver l'explication dans la suggestion, suggest
la plus spécieuse; et quelques-uns, MM. Féré, J. Voisin, par exemple,
pensent
l'avoir justifiée par des expériences contradicto
, pensent l'avoir justifiée par des expériences contradictoires. Nous
pensons
, à notre tour, avoir démontré que leurs expérienc
une traite, tous ces jours, écrit-il, jamais je n'ai si peu dormi. Je
pensais
à un tas d'expériences hypnotiques faites ou à fa
eil fut facilement provoqué et le malade se soulageait lui-même. Je
pensai
à utiliser l'auto-suggestion en médecine légale,
s, le sujet a accusé des troubles divers; une fois seulement, et nous
pensons
que c'est coïncidence fortuite, ce trouble corres
crire à ma main, en la conduisant, un nombre de trois chiffres que je
pensais
: et je n'avais pas conscience du mouvement invol
manifestant un penchant irrésistible vers les mauvais instinctst nous
pensons
qu'il n'y aura aucun inconvénient à provoquer l'h
imée se fixe dans l'esprit de l'hypnotisé. II est des cas où nous
pensons
qu'il y a utilité à commenter la suggestion, à la
uer à des intelligences paresseuses ou a des natures vicieuses Nous
pensons
que dans beaucoup de cas, si l'on avait recours à
z dormir tout naturellement. Fixez mon œil droit. Songez à dormir. Ne
pensez
à rien d'autre. Voici déjà que vos yeux sont humi
l tiendra la plume, mais n'écrira pas. Je regrette de n'avoir pas
pensé
à faire écrire Anatole pendant son accès de somna
rendais bien ! » Si Laure Chassin écrit cette phrase sur mon ordre,
pensait
-il. elle a pu tout écrire sur l'ordre de son mari
des contractions intestinales bruyantes. Sans préciser davantage, je
pensai
que ce devait être un purgatif. C'étaient des can
ance de chez moi à la maison de M. X... est d'environ 700 mètres.
pensiez
en venant. J'allais dormir à 9 heures environ, qu
, elle s'est sentie prise tout d'un coup d'un grand mal de tête. Elle
pensait
que ce mal de tète se dissiperait et alors elle a
âtre, je dis à Mme B..., avec la conviction qu'on met à dire ce qu'on
pense
sincèrement : * Je ne vous endormirai pas aujourd
et, dans toutes ces expériences que j'ai rapportées, il lui était, je
pense
, tout à fait impossible, quelle que fût sa perspi
est une sorte de simulation inconsciente, à laquelle il faut toujours
penser
. J'ai fait tous mes efforts pour éviter cette i
es avoir prises toutes. Quelque chose m'a échappé peut-être: je ne le
pense
pas, mais il m'est impossible de l'affirmer. Po
e. — Cinquième séance. 7 mars. Sixième séance. — Est très contente.
Pense
à mes paroles et entend même ma voix très distinc
et d'adaptation fonctionnelle que se guide l'orientation ou bruit; je
pense
que, cher notre malade, la sensation produite à g
tes; les certificats médicaux eux-mêmes incomplets. « Or, personne ne
pense
à l'hystérie, qu'il faut savoir rechercher, que l
ément, on n'en avait donné une démonstration aussi évidente. Mais que
penser
aussi de la bonne foi des pharmaciens berlinois q
ant une douzaine de régions différentes de l'encé-phale. M. Paulier
pense
que son procédé est appelé a rendre de grandi ser
s, si nombreux qu'ils soient, sont-ils de nature a infirmer, comme le
pense
l'auteur, la théorie du libre arbitre ? N'y a-t-i
ans mon service. Les médecins qui ont été appelés à le voir n'ont pas
pensé
que ce fût un apoplectique, bien qu'il se soit ré
res hystériques est un fait dès à présent hors de doute. M. Charcot a
pensé
avec raison que l'étude du mécanisme de cette pro
n médecin ; or le premier paysan venu peut faire la suggestion. Que
penser
de cette argumentation altiére ? Ne traduirait-on
a pas eu besoin de recourir à l'hypothèse des forces inconnues, il ne
pense
pas qu'il soit permis de nier l'existence de tell
n), et de diminution de l'acuité et du champ visuel. Les observateurs
pensent
qu'il n'y a pas à douter de l'existence, dans ce
el homme, puissamment bâti et bien élevé. Le reporter lui demanda :
Pensez
-vous que l'on vous a administré quelque drogue ?
i me mit mal à mon aise. — Vous toucha-t-il? — Maintenant que j'y
pense
, dit M. Loader, il me toucha. Je fumais et il me
, par exemple, que le sujet, quand on ne lui adressera pas la parole,
pensera
à quelque chose de déterminé ou se gardera de fai
ion. Fidèle à la tâche qui lui avait été confiée, la commission a
pensé
que sa mission était ici terminée et que. tout en
inement été sauvée si le Conseil avait adopté leurs conclusions. Nous
pensons
qu'il faut attribuer pour beaucoup à cette vailla
jours, ses prodigieux débuts ont tellement enthousiasmé qu'on n'a pas
pensé
à s'occuper de sa santé, jusqu'à ce que des sympt
d'une incontinence d'urine avant et après chaque représentation. On
pensa
de suite à une affection des reins, mais l'examen
et microscopique des urines n'ayant rien révélé d'anormal, il fallut -
penser
à autre chose. La température se maintenait con
olontaire. Mais celle-ci persiste dans une certaine mesure : le sujet
pense
, raisonne, discute, accepte plus aisément qu'à l'
s émises à la Société de médecine de Berlin : « Le protesseur Ewald
pense
que la suggestion est plus difficile à réaliser à
'autre : l'une normale, consciente, dans laquelle elle dit ce qu'elle
pense
avec intelligence et en toute liberté; l'autre in
e la protection de leur patron ne saurait plus couvrir les Al .saoua,
pensa
les perdre a tout jamais par les moyens mêmes qui
s, toujours nuisibles pour la santé dc ceux qui s'y prêtent. Nous
pensons
qu'il serait temps d'intervenir et de prononcer n
gne partout, dans les sciences comme ailleurs. Je ne le crois pas. Je
pense
plutôt que le nombre et le zéle des travailleurs
ophe. Buckle. a dit avec une nuance de dédain : Pour une personne qui
pense
, il y en a au moins cent qui peuveut observer : i
ndividuels très différents et, à quelques égards, irréductibles. L'un
pense
avec des images visuelles, un autre avec des imag
de Paris) et Thomas (de Tours) sont élus membres de la commission des
pensions
, en remplacement de trois membres sortants. ind
tte assemblée. Avant de se prononcer, nos confrères de Belgique ont
pensé
, avec raison, qu'il convenait de reprendre complè
ter à des scènes de compérage ou à un spectacle malsain. Aussi nous
pensons
que, loin d'avoir fait acte de vulgarisation util
ors que la rédaction de mon manuscrit sera achevée, si toutefois vous
pensez
que cela intéresse vos lecteurs. Pour aujourd'h
s et toxiques, de même leurs convictions et la logique les porteront,
pensons
-nous, à intervenir aussi dans la matière qui nous
sez défendue par cette disposition de la loi communale ? — Nous ne le
pensons
pas. Mais c'est là une question qui sort de notre
les conditions des établissement-dangereux et insalubres, etc. Nous
pensons
avoir dressé avec une impartialité complète le bi
n France, les évêques se sont montrés beaucoup plus libéraux. Ils ont
pensé
, avec raison, que l'hypnotisme appliqué dans un b
apitre consacré à l'étude de la démono-manie au moyen âge l'a amené à
penser
avec assez de raison que les sorciers devaient av
de multiplier les matières des programmes, contraindre ces enfants à
penser
par eux-mêmes et arrêter leur esprit sur des obje
ui concerne le surmenage intellectuel, je me range à côté de ceux qui
pensent
qu'on en exagère singulièrement le rôle et l'impo
ment le rôle et l'importance, au moins dans les lycées de garçons. Je
pense
que presque tous les méfaits dont on accuse le su
les détails, mais laissez-le tel qu'il est dans son ensemble. Je ne
pense
pas du tout que les programmes encyclopédiques ai
ement des difformités physiques, un certain nombre d'observateurs ont
pensé
qu'il était temps de chercher à créer une véritab
oses ni des enseignements de la raison naturelle, mais de la façon de
penser
, d'apprécier, de juger qui régne dans la sphère o
r avec moi, se rendre compte de tous mes mouvements. Il dit, exécute,
pense
et oublie même tout ce que je lui suggère de dire
pense et oublie même tout ce que je lui suggère de dire, de faire, de
penser
et d'oublier, soit immédiatement, soit à échéance
idée d'exclure cette observation de nos éléments de connaissance. Il
pense
même que les faits acquis par l'étude du moi ont
faire face. Sur ce point, je suis tout à fait de l'avis de ceux] qui
pensent
que le véritable surmenage n'existe pas dans le s
incapables de continuer leur carrière. 1° En résumé, messieurs, je
pense
qu'il est indispensable de faire des réserves au
l ne me parait pas convenable d'alléger les programmes, et qu'il faut
penser
à l'avenir et à l'intérêt des générations futures
adolescents, le régime actuel de nos établissements scolaires. Elle
pense
: que les collèges et lycées pour élèves internes
t. J Voisin. Féré. Mabille. Dufour. Chazarain, de Rochas. Decle. Nous
pensons
donc que tous ceux qui s'en sont occupés sont d'a
x substances présentées à l'extérieur. La plupart des critiques ont
pensé
trouver l'explication dans la suggestion, suggest
la plus spécieuse; et quelques-uns, MM. Féré, J. Voisin, par exemple,
pensent
l'avoir justifiée par des expériences contradicto
, pensent l'avoir justifiée par des expériences contradictoires. Nous
pensons
, à notre tour, avoir démontré que leurs expérienc
une traite, tous ces jours, écrit-il, jamais je n'ai si peu dormi. Je
pensais
à un tas d'expériences hypnotiques faites ou à fa
eil fut facilement provoqué et le malade se soulageait lui-même. Je
pensai
à utiliser l'auto-suggestion en médecine légale,
s, le sujet a accusé des troubles divers; une fois seulement, et nous
pensons
que c'est coïncidence fortuite, ce trouble corres
crire à ma main, en la conduisant, un nombre de trois chiffres que je
pensais
: et je n'avais pas conscience du mouvement invol
manifestant un penchant irrésistible vers les mauvais instinctst nous
pensons
qu'il n'y aura aucun inconvénient à provoquer l'h
imée se fixe dans l'esprit de l'hypnotisé. II est des cas où nous
pensons
qu'il y a utilité à commenter la suggestion, à la
uer à des intelligences paresseuses ou a des natures vicieuses Nous
pensons
que dans beaucoup de cas, si l'on avait recours à
z dormir tout naturellement. Fixez mon œil droit. Songez à dormir. Ne
pensez
à rien d'autre. Voici déjà que vos yeux sont humi
l tiendra la plume, mais n'écrira pas. Je regrette de n'avoir pas
pensé
à faire écrire Anatole pendant son accès de somna
rendais bien ! » Si Laure Chassin écrit cette phrase sur mon ordre,
pensait
-il. elle a pu tout écrire sur l'ordre de son mari
des contractions intestinales bruyantes. Sans préciser davantage, je
pensai
que ce devait être un purgatif. C'étaient des can
ance de chez moi à la maison de M. X... est d'environ 700 mètres.
pensiez
en venant. J'allais dormir à 9 heures environ, qu
, elle s'est sentie prise tout d'un coup d'un grand mal de tête. Elle
pensait
que ce mal de tète se dissiperait et alors elle a
âtre, je dis à Mme B..., avec la conviction qu'on met à dire ce qu'on
pense
sincèrement : * Je ne vous endormirai pas aujourd
et, dans toutes ces expériences que j'ai rapportées, il lui était, je
pense
, tout à fait impossible, quelle que fût sa perspi
est une sorte de simulation inconsciente, à laquelle il faut toujours
penser
. J'ai fait tous mes efforts pour éviter cette i
es avoir prises toutes. Quelque chose m'a échappé peut-être: je ne le
pense
pas, mais il m'est impossible de l'affirmer. Po
e. — Cinquième séance. 7 mars. Sixième séance. — Est très contente.
Pense
à mes paroles et entend même ma voix très distinc
et d'adaptation fonctionnelle que se guide l'orientation ou bruit; je
pense
que, cher notre malade, la sensation produite à g
tes; les certificats médicaux eux-mêmes incomplets. « Or, personne ne
pense
à l'hystérie, qu'il faut savoir rechercher, que l
ément, on n'en avait donné une démonstration aussi évidente. Mais que
penser
aussi de la bonne foi des pharmaciens berlinois q
ant une douzaine de régions différentes de l'encé-phale. M. Paulier
pense
que son procédé est appelé a rendre de grandi ser
s, si nombreux qu'ils soient, sont-ils de nature a infirmer, comme le
pense
l'auteur, la théorie du libre arbitre ? N'y a-t-i
ans mon service. Les médecins qui ont été appelés à le voir n'ont pas
pensé
que ce fût un apoplectique, bien qu'il se soit ré
res hystériques est un fait dès à présent hors de doute. M. Charcot a
pensé
avec raison que l'étude du mécanisme de cette pro
n médecin ; or le premier paysan venu peut faire la suggestion. Que
penser
de cette argumentation altiére ? Ne traduirait-on
a pas eu besoin de recourir à l'hypothèse des forces inconnues, il ne
pense
pas qu'il soit permis de nier l'existence de tell
n), et de diminution de l'acuité et du champ visuel. Les observateurs
pensent
qu'il n'y a pas à douter de l'existence, dans ce
el homme, puissamment bâti et bien élevé. Le reporter lui demanda :
Pensez
-vous que l'on vous a administré quelque drogue ?
i me mit mal à mon aise. — Vous toucha-t-il? — Maintenant que j'y
pense
, dit M. Loader, il me toucha. Je fumais et il me
, par exemple, que le sujet, quand on ne lui adressera pas la parole,
pensera
à quelque chose de déterminé ou se gardera de fai
ion. Fidèle à la tâche qui lui avait été confiée, la commission a
pensé
que sa mission était ici terminée et que. tout en
inement été sauvée si le Conseil avait adopté leurs conclusions. Nous
pensons
qu'il faut attribuer pour beaucoup à cette vailla
jours, ses prodigieux débuts ont tellement enthousiasmé qu'on n'a pas
pensé
à s'occuper de sa santé, jusqu'à ce que des sympt
d'une incontinence d'urine avant et après chaque représentation. On
pensa
de suite à une affection des reins, mais l'examen
et microscopique des urines n'ayant rien révélé d'anormal, il fallut -
penser
à autre chose. La température se maintenait con
olontaire. Mais celle-ci persiste dans une certaine mesure : le sujet
pense
, raisonne, discute, accepte plus aisément qu'à l'
s émises à la Société de médecine de Berlin : « Le protesseur Ewald
pense
que la suggestion est plus difficile à réaliser à
'autre : l'une normale, consciente, dans laquelle elle dit ce qu'elle
pense
avec intelligence et en toute liberté; l'autre in
e la protection de leur patron ne saurait plus couvrir les Al .saoua,
pensa
les perdre a tout jamais par les moyens mêmes qui
s, toujours nuisibles pour la santé dc ceux qui s'y prêtent. Nous
pensons
qu'il serait temps d'intervenir et de prononcer n
gne partout, dans les sciences comme ailleurs. Je ne le crois pas. Je
pense
plutôt que le nombre et le zéle des travailleurs
ophe. Buckle. a dit avec une nuance de dédain : Pour une personne qui
pense
, il y en a au moins cent qui peuveut observer : i
ndividuels très différents et, à quelques égards, irréductibles. L'un
pense
avec des images visuelles, un autre avec des imag
de Paris) et Thomas (de Tours) sont élus membres de la commission des
pensions
, en remplacement de trois membres sortants. ind
tte assemblée. Avant de se prononcer, nos confrères de Belgique ont
pensé
, avec raison, qu'il convenait de reprendre complè
ter à des scènes de compérage ou à un spectacle malsain. Aussi nous
pensons
que, loin d'avoir fait acte de vulgarisation util
ors que la rédaction de mon manuscrit sera achevée, si toutefois vous
pensez
que cela intéresse vos lecteurs. Pour aujourd'h
s et toxiques, de même leurs convictions et la logique les porteront,
pensons
-nous, à intervenir aussi dans la matière qui nous
sez défendue par cette disposition de la loi communale ? — Nous ne le
pensons
pas. Mais c'est là une question qui sort de notre
les conditions des établissement-dangereux et insalubres, etc. Nous
pensons
avoir dressé avec une impartialité complète le bi
n France, les évêques se sont montrés beaucoup plus libéraux. Ils ont
pensé
, avec raison, que l'hypnotisme appliqué dans un b
apitre consacré à l'étude de la démono-manie au moyen âge l'a amené à
penser
avec assez de raison que les sorciers devaient av
dans certaines parties du système sensible. Tardy de Montravel (2)
pense
qu'il est le résultat d’une surabondance de fluid
, aussitôt qu’elle est abstraite des sens. Saint Thomas d’Aquin (3)
pense
que les mélancoliques ont une intuition plus clai
yeux des spectateurs dans l’usage des procédés de Mesmer. On ne peut
penser
que, dans le nombre des malades qui s’y soumettai
lité de l’esprit et du coips dispose au sommeil magnétique. Celui qui
pense
et sent peu, dort d’un sommeil plus paisible que
onvaincu que j’avais une maladie de poitrine ; mon médecin seul ne le
pensait
pas. Au mois d’août, je suis un peu mieux ; le 9
nt du magnétisme, sont M. le marquis de Puységur et M. Deleuze ; j’ai
pensé
que leurs bustes devaient accompagner celui de Me
de faire des recherches pour en découvrir enfin la cause. Vous pouvez
penser
que l’on n’y manqua point. Pendant six semaines,
fils, si toutefois il y a secret. « Voilà ce que j’ai vu. « Si tu
penses
, mon cher Bruno, que le magnétisme entrait pour q
e magnétisme est un des chapitres de la science de la vie, mais je ne
pense
pas qu’il la constitue tout entière. J’y vois u
res divertissements profanes. Il m’est consé-quemment fort pénible de
penser
qu’un jour, qui n’est pas fort éloigné sans doute
les. Quand ces Messieurs m’ont écrit, ils ne se doutaient guère, je
pense
, que leurs lettres arriveraient jusqu’à vous, Mon
11e peut s'en rendre raison sans admettre un principe intelligent qui
pense
, qui agit indépendamment de l’agrégat matériel de
e j’avais à leur donner, je n’ai eu ni le temps, ni la possibilité de
penser
à autre chose. Maintenant, Monseigneur, que mes m
ent singulier dans la plique polonaise, etc., etc. Mais, Monseigneur,
penseriez
-vous que la Providence, en les disséminant pas to
ses desseins et services? Non, certainement, Monseigneur, vous ne le
pensez
pas. Et nous autres médecins, nous le pensons moi
Monseigneur, vous ne le pensez pas. Et nous autres médecins, nous le
pensons
moins encore que tout autre, parce que nous avons
crois que votre pouvoir et votre cœur émanent d’en haut. J’ai donc
pensé
, Sire, que ma réclamation en faveurdes affligés e
s perdent du terrain. Et vous, mon cher maître en magnétisme, qu’en
pensez
-vous? Comment l’expliquez-vous, ce singulier phén
ons que je croyais inutiles, a imposé des conditions auxquelles je ne
pensais
pas, a fait des contre-épreuves qui m’ont paru, à
ous ne pouvons nous en rendre compte, mais dont on ne tardera pas, je
pense
, à découvrir la loi. Seulement, pour parvenir à l
vements M'“' L..., haletante, qui ne voulait pas quitter prise, et ne
pensait
pas à diriger ou à arrêter le meuble par un acte
ouvements étonnants et dos figures singulières qu’ils traçaient, j’ai
pensé
, — et vous ne rirez pas de ma présomption, mon ch
t vous ne rirez pas de ma présomption, mon cher monsieur Hébert,—j’ai
pensé
, dis-je, que ce que je voyais là pouvait bien n’ê
ntrent et se succèdent en médecine les symptômes d’une maladie ; j’ai
pensé
qu’une série suffisante de dessins tracés sur ces
avait alors étant survenue après la réception d'une lettre, donnait à
penser
qu’elle avait mis son projet à exécution. Après
puisement qui suit toujours les accidents de cette nature. Quand ou
pense
à la difficulté qu’éprouve le médecin pour triomp
e donnée vérifiée par l’observation, et s’appuyant sur l’analogie, il
pensa
que les corps inertes pouvaient être rendus dépos
ec la malade endormie, lorsque je vins le lendemain la voir : — Que
pensez
-vous du refus du docteur à l’égard de la sabine?
celle]des hommes les plus remarquables, et si, comme ces esprits, je
pense
que toutes les grandes institutions humaines, égl
e en lui-même, je ne suis pas éloignée de partager l’avis de ceux qui
pensent
qu’il y a peut-être en lui la source d’une épidém
ut-être autant au moral qu’au physique, et qui touchent plus qu’on ne
pense
à l’idolâtrie et au paganisme, le tout pour attei
qui est au-dessus et à part du cours de la nature? Or, de parler, de
penser
, de combiner, de transposer volontairement toutes
ansportaient l’âme au cerveau. Oi le brahme qui .avait subi cet elîet
pensait
que son corps et son âme étaient réunis à la divi
t vrai que l’homme communique avec les esprits ; et si, comme nous le
pensons
, la question est résolue affirmativement, il faud
ait pas à haute voix le nombre des coups, mais se contenterait de les
penser
, après les avoir communiqués à l’oreille de son v
ups au lieu de 42, parce que ma femme, ayant meilleure mémoire, avait
pensé
au chiffre véritable. «Enfin, après avoir conti
êt qu’ils inspirent, la vôtre serait aussi prompte que la pensée. «
Pense-t
-on maintenant que nous avons pu être trompés sur
es uns diront que c’est saper les religions par leur base, les autres
penseront
qu'il faut d’abord chercher la vérité. « Peut-ê
’on l’ait jamais expliqué d’une manière quelque peu satisfaisante. Je
pense
que c’est tout le contraire qu’il faudra dire : q
e l’utiliser. « Je n’ai pas hésité, quant à moi, à publier ce queje
pense
de son origine, et j’ai basé mon sentiment sur un
l’un : « L'homme propose et Dieu dispose, » et « Honni soit qui mal y
pense
, » par l’autre. (Les deux dernières réponses fu
t voulu soutenir? Peut-on croire à la transposition des sens? Peut-on
penser
que l’avenir se dévoile au somnambule? Ce sont là
! c’est que je vois tout, moi. Suivez mon conseil, reposez-vous ; ne
pensez
plus à rien.... Je vous promets que vous arrivere
appris une chose : les somnambules mentent, mais pas autant qu'on le
pense
. Elles voient au grossissement de leur microscope
aire là-dessus... » Après une pause, elle reprend : « Ce que vous
pensez
est très-juste, c’est bien cela,.. On s’étonne d’
riences faites en compagnie de plusieurs de mes amis et confrères, je
pensai
, pouvant là disposer de nombreux expérimentateurs
ontre en appliquant le verre contre la paume de la main. On doit bien
penser
que nous avons eu la précaution de placer les aig
ans un état contre nature, s’exercer par une autre surface ? Je ne le
pense
pas, et une telle conclusion ne me paraît pas lég
une course aux environs de Genève, et la nature de l’accident faisait
penser
que les arts avaient perdu un de leurs plus digne
ultat de l’ignorance ? (1) Je trouve, et toute personne sensée doit
penser
de même, que quelqu’un qui veut prendre l’intérêt
l n’avait éclaté, au moment où elles multiplient leurs découvertes et
pensent
avoir pénétré tous les secrets de la création, su
artant jamais des opinions orthodoxes, affirmant d’autant plus qu’ils
pensent
moins, ma- nifestant leur supériorité par un ri
de déterminer le pied placé devant lui à frapper le chiffre auquel il
pensait
. Inutiles efforts! l’immobilité a été complète. L
t sans doute; mais alors le mouvement avait lieu même quand le nombre
pensé
était zéro. Nous avons ensuite combiné toutes nos
L’adversaire donnait l’ordre à la table de frapper le nombre de coups
pensé
par lui, et il s’agissait de savoir si la personn
onne dont je parle parviendrait à arrêter la table au chiffre qu’elle
pensait
elle-même. Eh bien ! sa volonté l’a toujours empo
si votre volonté ne les arrête pas au moment où se termine le chiffre
pensé
, elles continueront indéfiniment, frappant parfoi
on veut laisser dans l’ombre. Des hommes prévoyants, disons-nous, ont
pensé
que la peur saisirait les chercheurs, si on parve
1“ Des contractions musculaires en dehors de la conscience, comme le
pense
i\l. le professeur Chevreul ; i 2° Des contract
nécessaire d’attacher une somnambule à chaque bureau de police, nous
pensons
qu’un objet perdu ou volé peut très-bien être vu
ut en leur racontant des faits remarquables et décisifs, mais qu’il a
pensé
qu’un almanach, pour réussir, devait éviter une a
je propose à la justice espagnole n’est donc point, comme vous l’avez
pensé
d’abord, privée de la portée que je lui attribue,
t montré, Bon vieillard, qui grondait, en souriant, sa fille; J'ai pu
penser
encor qu’au miroir enchanté Tu voyais s'applaudir
nner des muscles, un cerveau à tout ce qu’elle veut qui agisse et qui
pense
. « Tant de gens sérieux m’ont parlé avec enthou
à des questions posées très-sérieusement. « 11 n’est pas mutile, je
pense
, de dire ici que ces expériences ne sont pas sans
dre une main amicale à tous ceux qui écriront sur le magnétisme. Nous
pensons
toutefois qu’il serait convenable à ceux qui s’av
déduire les raisons sur lesquelles il la fonde. Si, au contraire, il
pense
, comme nous, que le somnambulisme est naturel, il
de la magnétisation, dont il fait un art compliqué et minutieux. Nous
pensons
, d’après notre pratique et l’autorité des magnéti
tisans des communications n’attribuent point une âme à la table, mais
pensent
qu’un être invisible se sert de la table comme d’
er dans leur commerce sans qu’il en résultât pour nous la dispense de
penser
et d’agir, de même que l’intervention de la race
initiales, que j’en permettrai la publication. Vous n’ignorez pas, je
pense
, que connue magnétiseurs, quoique n’exerçant cett
fines expériences de M. Faraday sur les tables tournantes. Mais que
penser
de la valeur de ces expériences, toutes scientifi
les : — Je m’ennuie de vous dire des paroles mielleuses que je ne
pense
pas, et de vous exprimer des sentiments affectueu
e guéridon nous a fait pour son compte les mêmes aveux. Comme vous le
pensez
bien, monsieur le baron, tous ces faits étranges
ois le dire avec franchise, mon esprit était frappé d’étonnement ; je
pensais
constamment à ce que j’avais vu de bizarre, et je
és ne peuvent être mus que par des effets purement physiques. — Que
pensez
-vous des tables tournantes? Comment peut-on don
usieurs personnes qui formaient la chaîne, et qu’il avait réussi. Que
pensez
-vous de cela? — Lorsque la chaîne est bien étab
, l’ouvre, et en tire effectivement une chaîne de montre qu’elle n’y
pensait
plus être. Une personne présente se mit à mange
cents écrits dont l’étiquette pompeuse masque le vide, cet écrivain a
pensé
sans doute qu’il sortirait plus vite de son obscu
de meubles jaunes. Je vous ai donc prouvé qu’il n’y a besoin que d’y
penser
un instant, pour deviner qu’il qu’il y a chez moi
vous a convaincus qu’il y avait plus de choses possibles qu’on ne le
pensait
communément. Vous allez être forcés de reconnaîtr
nous en certitude. Aux raisons scientifiques qu’il a trouvées, pour
penser
ainsi, dans trois cosmologies différentes dont il
issent la reconnaître..#» B On répond : « — Vous la reconnaîtrez.
Pensez
à l’esprit de John C. « Calhoun. » « J'entends
à l'os occipital. Elsasser, Schultz, Betz, Sleiner, Duval et Picot
pensent
que les zones de ramollissement de la calotte d
ales très intenses, les paralysies, l'aphasie, la fièvre, nous font
penser
que dans notre premier cas la méningite séreuse
amen des plexus choroïdes dans diverses affections cérébrales, nous
pensons
être en droit de nous rattacher à l'avis des au
aire. En ce qui concerne spécialement l'ataxie héréditaire, Raymond
pense
que les deux formes types de celte affection, s
t pour mo- difier la symptomatologie du tabes; du moins, on peut le
penser
. Tou- jours à la lumière de ces expériences si
qui ne l'étaient pas ou l'étaient moins aupara- vant. On peut bien
penser
qu'il en est de même dans la cécité réelle, il
vit le phénomène du genou, d'abord aboli, réapparaître ensuite. Il
pense
que dans les cas humains où les réflexes pitell
absence de lésions médullaires tabétiques, elles autorisent aussi à
penser
que ce syn- drome se trouve parfois en rapport
le des lésions des racines postérieures. De tels faits don- nent il
penser
que les lésions des nerfs périphériques peuvent a
dans ces diverses circonstances. A la suite du traitement on peut
penser
qu'il s'est produit une amélio- ration anatomiq
rhydrie ; mais certains auteurs qui se sont occupés de la question,
pensent
que l'hyperchlorhydrie n'atteint ce degré que c
les et pro- portionnelles aux lésions radiculo-médullaires. On peut
penser
que les lé- sions des nerfs périphériques (névr
nnaissance aucune étude d'ensemble n'en a été faite encore. On doit
penser
à plusieurs dystrophies ou dysosioses, en particu
t Durante), la clysoslosecléido-cranienne (P. Marie). On peut aussi
penser
à 1'liérédo-sypliilis et au rachitisme. L'achon
une durée encore plus étendue sont bien connus. Il y a tout lieu de
penser
que les déformations récentes constatées à la f
mais non du fait même de Lige. 164 DUPUY On est ainsi conduit à
penser
que l'absence sans autre symptôme ner- veux des
concerne la glande pinéale, d'une conception propre à Descartes qui
pensait
, en l'élaborant, travailler en physiologiste au
ées de l'étude anato- mique de « la glande ». En effet, Descartes a
pensé
tout d'abord qu'une première difficulté pouvait
sionnent, et nous ne percevons qu'une seule image ; il faut donc, a
pensé
Descarles, qu'elles se réunissent dans un organ
e, LXV, p. 62. Fig. 4. 180 SAINTON ET DAGNAN-BOUVERET jamais de
penser
, et cette notion, conséquence de la définition ca
escartes qui - nous revien- drons plus loin sur ce point n'a jamais
pensé
que la glande pinéale fût le siège exclu- sif,
l a 'montré la cause de cette erreur : « Pour l'opinion de ceux qui
pensent
que l'âme re- çoit ses passions dans le coeur,
J, La manière dont il conçoit et définit l'âme ne lui permet pas de
penser
qu'elle puisse être unie à un organe; elle devi
uelques-unes des grottes de ces fontaines, causent eux-mêmes sans y
penser
les mouvemens qui s'y font en leur présence ; Car
t philosophe Ilamelin. Pour la comprendre « il faut, dit-il, ne pas
penser
intellectuellement..., se laisser aller à la vi
'appliquer qu'à une partie des recherches de Butschti. - Bechhold
pense
que les gels sont constitués aussi par un système
conditions, mettre en évidence l'appareil neurofibrillaire. Lugaro
pense
avec raison que la coagulation des colloïdes de
encore nier l'existence de cette fibrillation, il est fort enclin à
penser
qu'il s'agit là de phénomènes post-mortels. Du re
ibrilles qu'il considère comme des formations inconstantes. Cajal
pense
que le réticulum neurofibrillaire est constitué p
ce est différente de celle que nous montrent les préparations et je
pense
qu'il s'agirait d'un gel fluide qui ne contient p
vons conclure à une absence totale des vertèbres cervicales. Nous
pensons
qu'il n'existe ni atlas, ni axis, et que le pivot
is comme nous n'avons noté aucun trouble d'innervation, nous devons
penser
que le nombre des racines était normal et les deu
res de côtes plus ou moins réunies à leur origine; ce qui nous fait
penser
qu'elle est constituée par les 4 premières vert
lonne jusqu'au crâne possède 4 paires de côtes. Ceci nous porte à
penser
que cette masse est constituée en partie au moi
es et les muscles correspondant aux vertèbres absentes. ' On peut
penser
que cette malformation était héréditaire, la colo
nal vertébral, en sont une preuve. Isidore Geoffroy Saint-Hilaire
pensait
que la moelle descend d'autant plus bas dans le
iation régressive ou pro- gressive, mais d'une monstruosité. Nous
pensons
qu'il faut admettre que pendant le développement,
cllow ont fait des recherches qui complètent celles de Daresle, ils
pensent
que les anomalies réversives sont des arrêts de d
naçants, plus rarement des serpents. Il nie l'alcoolisme. Mais nous
pensons
que ce dernier ne peut pas être exclu, étant mê
phie. Dowse admet un vice primitif de formation après avoir d'abord
pensé
à une fracture de la clavicule pendant la vie i
ne vaut pas la peine qu'on s'y arrête. Schorstein,Gross, Sachs ont
pensé
au rachitisme survenant au deuxième mois de la
rincipaux signes de rachitisme manquant chez son malade. Couvelaire
pense
à la similitude d'origine embryologique des parti
ouvelaire ne lui'ont pas permis de trancher la question. Cet auteur
pense
à une dystrophie complémentaire de l'achondropl
xoedème. Pourtant on nepeut confondre les deux dystrophies, On peut
penser
que dans la dysostose cléido-crânienne intervie
oin cette discussion. Les faits que nous venons de citer suffisent,
pensons
-nous, à montrer dans quelle voie doivent s'enga
blesser autrement. Mais les frères, qui me racontèrent cet épisode,
pensaient
, selon les croyances populaires, que quelque ch
it un verre de lait ou deux par jour ; ni le père, ni les frères ne
pensaient
qu'elle eût jamais absorbé plus que cela, et il
qu'elle avait mangé ni qu'elle s'était remuée, ni ce qu'elle avait
pensé
et senti ; « ils avaient dit» qu'clleavait pass
rès bien reconnu son entourage au réveil ; ce qu'à ce moment elle a
pensé
au sujet de la présence de la gouvernante, elle n
ent sacré de la moelle. Elle présente une couleur jaunâtre qui fait
penser
à un lipome. La moelle est fortement comprimée
omboses ou hémorragies. Il ne s'agit donc pas, comme on pourrait le
penser
à première vue, d'une tu- meur de la moelle.
ations du coude et du genou. Mari- nesco (1) a donc raison quand il
pense
que si l'on examinait méthodique- ment les os d
système nerveux central ou périphérique comme dans la myopathie. Il
pense
que l'on de- vrait en chercher l'explication da
ner- vation du système sympathique. Or, il est peu vraisemblable de
penser
que des lésions vasculaires périphériques frapp
amifications du sympathique. C'est là un autre argument qui amène à
penser
que la dystrophie musculaire pro- gressive est
ques dissemblances avec celle d'os pagétiques typiques, nous avions
pensé
qu'il s'agissait d'une ostéopathie traumatique
ous avions remarqué quelques différences qui nous avaient permis de
penser
que cette ostéopathie n'était peut-être pas abs
ue ou autre, aucun indice d'affec- tion héréditaire, M. Lannelongue
pense
à l'influence de l'hérédité à cause de l'âge re
t-elle encore valable ? Le fait n'a rien d'invraisemblable, si l'on
pense
que ré- cemment Fréchou (1) a rapporté à cette
phie osseuse,exactement comme chez notre malade : En résumé, nous
pensons
que le traumatisme ne doitpas être éliminé des
ambre, il lisait, avant de s'endormir, des histoires de magie et ne «
pensait
que dans cela » suivant son expression. On parl
oulais casser le livre. J'avais peur... « Après, je me suis remis à
penser
à ce qu'il y avait dans ce livre et j'ai revu «
des phénomènes de névrite ou de radiculite. 1 Dans les autres, on a
pensé
surtout à la névrite, et celle-ci notamment éta
ainsi un type thénar ou médian, un type hypothé- nar ou cubital et
pense
qu'il s'agit surtout de traumatisme professionnel
n causale est indubitablement médullaire. Nous sommes donc amenés à
penser
qu'il 1 doit en être fréquemment ainsi. . D'a
sion. L'im- portance des lésions artérielles permet tout d'abord de
penser
qu'il s'agit 1 d'une lésion d'origine vasculair
commissurale ne se bifurque pas au fond du sillon anlérieurcomme le
pensait
Adamkiewicz, mais fournit une rami- [¡cation ob
st pas ici une objection suffisante. En réalité, cependant, nous ne
pensons
pas qu'il s'agisse d'une throm- bose des sulco-
'\CÉ par J. ROTSTADT. Lorsqu'il est question de mal de Pott, on
pense
généralement à une déformation de la colonne ve
lité n'est pas le pro- pre uniquement de celte maladie, comme l'ont
pensé
Kahler et Schultze et que les symptômes comme d
tanée et assez rapide de tous les symptômes ci-dessus pouvait faire
penser
qu'il s'agissait d'une affection progressive comp
hypothénarien et les auteurs qui s'en sont occupés semblent surtout
penser
soit à des lésions muscu- laires protoptlliques
mbaire et réaction de Wassermann). En dehors de la syphilis on peut
penser
a l'artério-sclérose sénile (qui déterminait un
onservation du côté atteint en faveur de la lésion centrale. Nous
pensons
également que l'existence du côté atteint d'un ré
une lésion qui le rend plus vulnérable, il est très raisonnable de
penser
que chez une pré- disposée, du fait de la lésio
y trouvait même des hémor- ragies. Dans ce cas on peut très bien
penser
à une obésité à pathogénie glan- dulaire ou mie
ent leur étude microscopique n'a pas été faite. En tout cas on peut
penser
à un certain degré d'insuffisance testiculaire et
rapport avec les tumeurs de la corticale surrénale. On peut même
penser
au corps thyroïde. Le rôle de ce dernier dans l
glande interstitielle ne semble pas altérée. ' On pourrait plutôt
penser
aux capsules surrénales, qui semblent dans notr
té fonctionnelle, car on sait que certains auteurs, tels que BENDA,
pensent
que l'obésité hy- pophysaire serait due à une h
ades, leurs antécédents alcooliques, leur alimentation. » On peut
penser
aussi à l'état du tube digestif, à la vasodilatat
d'une infiltration graisseuse beaucoup plus que d'nn oedème. Nous
pensons
donc pouvoir conclure qu'il s'agit d'une adipose
les l'origine de ces troubles trophiques. Il nous semble logique de
penser
que dans ce cas l'infection tuberculeuse a pu d
familial des enfants arriérées soit parfait et définitif ? Je ne le
pense
pas. Nous avons vu que malgré toutes les précau
ît d'une ébauche simple ! Nous verrons tout à l'heure ce qu'il faut
penser
également du tube digestif. Observons du moin
a rapporterez pas. Déjà, dès avant Chabry, il était tout naturel de
penser
qu'un organe médian se formait aux dépens des deu
tomère droit étant tué, donnerait naissance à un dimidié gauche. Il
pense
que ce monstre aurait les mêmes organes que le
? Ce n'est pas à moi,car je cite mon auteur : c'est à Chabry. Je ne
pensais
pas d'ailleurs que ce démenti fût possible, car
remier, ainsi que le croyaient les pre- miers expérimentateurs, qui
pensaient
même que telle était la rè- gle et que la premi
peut être inconnues ou méprisées de vous, mais qui valent bien, je
pense
, celles d'une route et de l'intestin. Quand vou
à « plus intellectuel » ; il avoue ainsi qu'il avait effectivement
pensé
à celle que je lui ai soumise en lui rappelant to
pa- raplégiques par lésion spinale en voie d'amélioration, mais il
pense
que le point de départ de l'excitation n'est pa
es ra- cines. Il rapproche le IIe cas du cas de Pick et de Nonne et
pense
avec ces auteurs que la dégénération des cordon
dans tous, que l'on aurait vu apparaître l'état convulsif. L'auteur
pense
que cet autre facteur est un état approprié des
e l'on ne peut pas considérer comme un épileptique en puissance. Il
pense
qu'un grand nombre de fous, et particulièrement
se de l'épilepsie qui font défaut. L'expérience de l'auteur, et il
pense
qu'elle est d'accord avec celle de tous ceux qu
uche en s'inclinant un peu ; le menton était reporté à droite. L'A.
pense
que,outre le spinal, plusieurs nerfs cervicaux
i conclut que le pronostic est beaucoup plus grave qu'il ne l'avait
pensé
lui-même, déjà plus pessimiste que tous les aut
sme apparaissent fréquemment à la ménopause, ce n'est pas, comme le
pensent
d'autres auteurs, que celle-ci déclan- che le d
plus actives qu'un traitement moral par la persuasion. M. SÉGLAS
pense
que la question de sortie est plus délicate que
prison l'établis- sement de choix pour ces malades,comme peuvent le
penser
ses collègues. Or le mouvement qui mène à l'asi
e prévalente. Cet avis est celui de MM. Vallon et DENY ; ce dernier
pense
qu'il est relativement facile de distinguer la
le, pourtant. C'est un grand malheur... j'en frissonne rien que d'y
penser
. » Ou bien encore : « Mme X... a eu si peur qu'
s conséquences fâcheuses ; on a pu dire, en effet.que si le médecin
pensait
tout homme privé du libre arbitre et aliéné du
vue son devoir de les soigner et de les traiter on même temps. Ne
pensez
-vous pas, Messieurs, qu'en introduisant ces pré-
es crois fondées en justice et en raison. M. Paris (de Nancy). Je
pense
que tout en se mainte- nant sur un terrain rigo
la raison du caractère diffus et mo- bile de leur délire. Nous ne
pensons
pas qu'il soit possible de décrire une folie ca
rculose un rôle im- portant dans la genèse de l'achondroplasie. Ils
pensent
aussi que la confusion mentale épisodiqueaété d
qui présentait de la fièvre. L'état général était satisfaisant, je
pensai
à la grippe, et j'allais rédiger l'ordonnance l
le sens de la vaso-constriction, l'hystérie, il est rationnel de le
penser
, pourra produire des troubles vaso-mo- teurs da
oit être exclusive- ment basée sur des caractères cliniques. J'ai
pensé
qu'il y avait lieu d'établir une classe spéciale
r ne croit pas à l'action du traitement mercuriel dans le tabes. Il
pense
de plus qu'il y a tout autant d'ataxiques incoo
tabétiques, plutôt par acquit de conscience que par conviction. Il
pense
même, comme M. Crocq, que le mercure, joignant
n à la maladie peut être nuisible dans le tabès. M. Duphé (Paris)
pense
que le traitement mercuriel est inutile dans le
eures de la moelle étaient très peu altérées. Ces faits donnent à
penser
que dans le tabès dorsalis les lé- sions périph
ons précédentes et celles analogues de M1\L Delille et 'incent; ils
pensent
que l'hypophyse joue un rôle sur la trophicité
isceau géniculé. MM. H. CLAUSE et LEJONNE présentent la malade; ils
pensent
à une irritation du faisceau géniculé au niveau
cellule) et des dendrites ; ou plutôt, ce qu'on sait, tend à faire
penser
, comme le dit l'auteur, que la disposition n'est
,veut la frapper à la poitrine, sans que, le lais- sant venir, elle
pense
à se défendre. Elle saisit l'animal par ses par
rables entre elles s'ils en jugent par leurs deux cas examinés. Ils
pensent
que ces lésions sont de même or- dise, et si el
ocytose pouvait être due à une affection concomitante. On peut donc
penser
avec la majorité des auteurs que si le processu
nt disparu ; de là vient l'ab- sence de réaction lymphocytaire. Ils
pensent
que les constatations seraient tout autres si o
trophique, atrophies musculaire myo- et myélopathiqucs. Mais nous
pensons
que les hypothèses émises par cer- tains auteur
saires de police communaux. - Retenues à verser pour le service des
pensions
civiles, par application de l'article 29 de la
ribués sur les fonds départementaux, leur compte de retenues pour
pensions
civiles pour le compte dû receveur central de l
re de l'Intérieur, rétribués sur les fonds départementaux ? Qu'en
pensent
nos collègues ? P ' Dr DE\VARTE. Médecin-dire
contrainte violente de jadis. Notre expérience a bien prouvé, je
pense
, que le personnel est dans un asile chose primord
a disparition de leurs symptômes auto-suggérés. M. DÉJERINE. - Je
pense
que la neurasthénie n'est pas une maladie de la
ssi exclusif que M. Hartenberg, au sujet de la psychothéra- pie. Je
pense
qu'il faut traiter ces malades-là par tous les bo
s bouts, physiquement et moralement. ' M. Ll : oroLD-LÉVI (Paris)
pense
qu'il y a intérêt à recher- cher la pathogénie
re que la méthode de rééducation de Frenkol, plus complexe qu'on ne
pense
, doit toujours être confiée à un médecin, et ne
ltes,les débats de ce congrès seront d'une grande actualité. d Je
pense
à la procédure à l'égard des personnes de respons
ni voulue par le su- jet qui a l'idée fixe de l'événement auquel il
pense
dans son délire, mais qui n'a aucunement l'idée
lement fugaces. Au point de vue des lésions anatomiques les auteurs
pensent
qu'il s'agit en l'espèce d'une lésion atteignan
tes de gestion ou d'effectuer les opérations de recettes et de dé-
penses
qui en résultent. Cela n'est pas douteux en ce
urs de 1 internat des hôpitaux. En faisant celte modi- fication, on
pensait
attirer au concours de l'internat des asiles des
e accompli, Bâcle prit la fuite vers le canal de la Sambre, où l'on
pense
qu'il s'est noyé. (La Liberté, 3 juillet). L'
esprit ; tout à coup et sans aucuns motifs, le malade commençait à
penser
à la Sibérie, aux forçats qui y travaillent et
egardant de près se rappelle ce qu'il a éprouvé avec sa compagne et
pense
à ce que doivent sentir les hommes et les femme
es ou de délibérations, les avis individuels ou collec- tifs, je ne
pensais
pas avoir à mon tour à exprimer une opinion que
de filles. Art. 4. La subvention accordée par l'Etat pour les dé-
penses
de première installation, d'appropriation, et d'a
troubles de la sensibilité, pos- sibilité de la marche. M. SICARD
pense
que l'injection de toute substance irritante pe
pte de la mentalité du soldat. Une organisation nouvelle devrait,
pense-t
-il, pour donner de bons résultats avoir pour ba
n quête d'économies -voudront augmenter le chiffre budgétaire des
pensions
civiles, alors qu'il peuvent si facilement s'en d
des pensions civiles, alors qu'il peuvent si facilement s'en dis-
penser
. Or,à tout prendre, avons-nous bien intérêt à ce
s, si la loi nouvelle disait par exemple : « Les traitements et les
pensions
de retraites des médecinsfonctionnaires des asi
ù le médecin est appelé à exercer ses fonctions. La liquidation des
pensions
se fera. d'après les règles et les tarifs de la
pensions se fera. d'après les règles et les tarifs de la caisse des
pensions
ci- a îles (loi de 1853). Cette mesure aura son
dant 10 ans. Mère de trois enfants, elle menait une vie bourgeoise,
pensait
à régulariser sa si- tuation, et s'estimait en
itions ne la trompent jamais ». Un jour de l'année 1901, comme elle
pensait
à des choses indiffé- rentes, simultanément il
d'une grande souf- france. « Cet homme souffre trop, est innocent»
pense-t
-elle. Une de ces intuitions les plus anciennes
par jalousie, qu'elle se donnait l'air d'une lesbienne, elle aurait
pensé
très long- teps que diverses personnes, dans l'
. Cela avait pris dans la maison. » Longtemps les gens n'y ont plus
pensé
, on a recommencé depuis quatre ans. » Elle semb
principale du délire qui se déclarait chez sa servante ? Nous ne le
pensons
pas. La servante se trouvait d'avance en immi
cet espionnage, nous ne savions 326 CLINIQUE MENTALE. rien, nous
pensions
que cela finirait. Pour Marie Forel, c'était du
essionnelle à leur égard, eux disparus. En termes d'école, elle les
pense
sans un rap- port exclusivement, sans prendre l
une voix d'homme, on énonçait ce- que j'allais faire, ou ce que je
pensais
. Quand j'avais faim, il me- semblait que des ge
cent mille lieues d'y .penser. Quand elle m'en a parlé, elle a bien
pensé
tout de suite qu'elle était suivie uniquement à
ttrai fille de salle, j'en ai assez de la mi- sère, il est temps de
penser
à gagner mon pain, je vais chercher une place q
tes que nous savons. Depuis quelque temps, deux ou trois mois, elle
pense
qu'on lui intercepte sa correspondance. Même, q
que l'excitant. Malgré l'existence d'une perception originelle, M.
pense
qu'il s'agissait 362 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHY
bien y a-t-il une relation quelconque entre les deux états,comme le
pense
con- jecturalement le Prof. Reclus. Quelle est
le pus qui s'écoule par l'oreille aun aspect stéatomateux, il faut
penser
à l'envahissement des os du crâne. Parfois un abc
e tenait pas debout, et qu'elle ne commençait pas à parler, qu'on
pensa
à l'arriération de l'enfant. Elle ne reconnaissai
ponsable indique.que la première préoccupation du juge doit être de
penser
à des excuses possibles et, le cas échéant, d'e
tuèrent leurs petits elles jetèrent en dehors du nid. J'ai toujours
pensé
qu'elles avaient voulu épargner à ces . SOCIÉTÉ
olière a raison de s'écrier : Les bêtes ne sont pas si bêtes que l'on
pense
! III. chez les AUTRES ANIMAUX. 11 ne faut pa
est l'àme qui, directement, avec l'aide des intermédiaires exécutifs,
pense
, parle ou écrit. Tout sentiment, toute sensation,
e, si l'on trouve beaucoup d'imposteurs. ce n'est pas une raison pour
penser
que tout le monde le soit, et que, si beaucoup de
ompagnie, est revenue et a partagé mon lit pendant quinze jours. Je
pensais
de suite aux échanges fluidiques qui sont très re
Cérébro-gastrique avec suggestion. Elle se dit tout ensorcelée et ne
pense
plus constamment à sa fille. Peut dormir. L'hallu
cinq cents mètres. Celle-ci accourut et comme, elle aussi, peut-être,
pensait
a la procession, elle vil distinctement et les en
; mais elle ne peut préciser davantage. On ne saurait, dans ce cas,
penser
à une hallucination télépathique. Il y eut bien,
aitement suggestif de névropathies et de psychopathies en général, je
pense
que le médecin doit continuer a rester l'ami et l
rand succes de ce Congrès, nous ne pouvons cependant nous empêcher de
penser
que la méthode employée au Congrès de Londres nou
rande prostration physique et morale avec crises de larmes, etc. Je
pensai
qu'il devait y avoir là-dessous une cause psychiq
de rechercher l'état immédiat de l'esprit au moment où un concept est
pensé
, de déterminer si cet état diffère suivant les in
uggestivement, dans le cerveau, des idées saines à des idées fausse',
pense
que semblablement on peut obtenir des succès enco
définir en général la conception de ce qui est normal. Cependant, je
pense
que tout le monde pourra assez vite dire dans cha
ades et avec insistance : « Vous ferez ce que vous voulez, seulement,
pensez
-y, ne vous laissez jamais hypnotiser ! » Ou bien
supposition insensée que la matière serait plus réelle que l'acte de
penser
, que les phénomènes auraient plus de réalité que
par la découverte de nouvelles forces et de phénomènes inconnus. Ils
pensent
que la matière très subtilisée et douée de qualit
ans le dédain de cette portion considérable de notre organisme. Et je
pense
que la nouvelle doctrine de la psychothérapie con
intenant je voudrais poser la question aux médecins modernes s'ils ne
pensent
pas que la loi physiologique bien connue : « Les
pouvoir de la suggestion de la part du grand bactériologue. Un n'a pu
pensé
à éliminer l'élément suggestion dans les experime
hangar. Il y » deux pieds de neige. (Silence.) Le songeur. — a quoi
pensez
-vous ? Mathis. — Je pense qu'il me faut de l'ar
neige. (Silence.) Le songeur. — a quoi pensez-vous ? Mathis. — Je
pense
qu'il me faut de l'argent... que si je n'ai pas t
ai pas trois mille francs pour le 31, l'auberge sera expropriée... Je
pense
qu'il n'y a personne dehors... qu'il fait nuit et
ant de silence. — Cet homme est fort... il a des épaules larges... Je
pense
qu'il se défendra bien, si quelqu'un l'attaque. [
un grand nombre de collaborateurs de la Revue de l'Hypnotisme. Nous
pensons
que le Zeitschrift fur hypnotismus est appelé à v
il lui arrive souvent de rester comme une masse inerte, incapable de
penser
, d'agir, de se mouvoir. Il n'a pas le courage de
nte. Elle a gardé de ce traitement un souvenir terrifiant. Quand slie
pense
aux douleurs qu'elle a éprouvée, elle se demande
ases, montre non seulement que l'orateur parle seul, mais que seul il
pense
. Tant que ses auditeurs le suivent, on peut dire
qui ne sont pas identiques. Exprimer cette opinion, cela n'a rien, je
pense
, de blessant pour M. Bernheim, « Or, celte conf
; qu'il lui suffirait pour cela de fixer ses yeux sur les miens et de
penser
à ce qu'elle ressentait le soir lorsqu'elle senta
ujet depuis un demi-siècle cl dans ces dernières années, me conduit à
penser
que l'on a fait une pari très exagérée i la diath
cine de Paris possède actuellement un cours libre d'hyp-nologie. Nous
pensons
. Messieurs, que le moment est venu pour l'Univers
double conscience : le possédé entend et comprend tout ce que dit et
pense
le renard. Parfois mémo, hôte et locataire se que
les malades de son diocèse dans le commencement de leurs maladies de
penser
à leur conscience, et de ne pas différer à leur e
due, je no guérirai jamais la vie m'est à charge ; adieu. D. — Vous
pensez
donc mourir cette nuit pour parler ainsi ? H. —
ourée de restrictions ou de commentaires. Avec l'École de Nancy, je
pense
et j'affirme que la cause des phénomènes de l'hyp
de douze ans, un bébé de sept mois : poids bien lourd, comme vous le
pensez
, pour une enfanl de cet age. Le sixième jour de
rivées des avantages indéniables d'une analgésie suggérée? Nous ne le
pensons
pas. L'aptitude à accepter une suggestion d'abo
ants. On ne voit qu'hôtels de tous ordres, surtout très modestes, des
pensions
, et une foule de boutiques et de bazars, où l'art
Evidemment, celte conclusion serait excessive. Il est plus naturel de
penser
qu'il faut que le terrain soit prédisposé. Le plu
s. Cette discordance dans la vision des couleurs donne déjà lieu de
penser
que l'imagination capricieuse du sujet joue un rô
eut pas se suggérer un phénomène dont il n'a pas l'idée. 11 y a, je
pense
, dans l'hémisphère droit du cerveau quelque chose
lle ne pouvait « tenir en place », prostration, incapacité d'agir, de
penser
, de vouloir. Quelques extraits de la correspond
té de mon lit, « me lAianl bras et jambes pour trouver la trace; je
pensai
que peut-être « j'avais eu une crise et que le
s phénomènes psychologiques. L'homme a conscience d'être; il seul, il
pense
, il a une vie psychique. A côté de nous existan
veux ; ils manifestent des phénomènes de conscience. Ils sentent, ils
pensent
, ils ont une vie psychique. Nous les appelons des
souffre, manifeste de 1a joie, de la douleur, de la colère; l'animal
pense
, mais sa pensée est asservie à ses sensations, à
nce qui le sépare des astres, arpenter les mondes lointains; quand on
pense
que l'homme qui n'est rien embrasse tout avec son
«.Substance, dit Descartes, dont toute l'essence ou la nature est de
penser
». L'homme pense : la machine automatiquement obé
Descartes, dont toute l'essence ou la nature est de penser ». L'homme
pense
: la machine automatiquement obéit et réalise la
qui impérieusement se dresse devant moi ! L'homme est une machine qui
pense
. Matière et esprit ! Êtes-vous matérialiste? Ètes
n esprit Large,et, au point de vue religieux, elle est croyante. J'ai
pensé
qu'il serait intéressant de meure en . présence c
tient un prêtre chargé de recevoir les suppliques écrites, adressées,
pensons
-nous, directement a la Vierge ! Voilà qui laisse
alogie avec les sujets dont nous venons de parler à la .Société. Nous
pensons
que ces faits expérimentaux constituent autant d'
dégoût de la morphine. Vous ne pourrez ni voir la morphine ni même y
penser
, et ainsi de suite. Vous n'aurez pendant ce temps
uit immédiatement. Actuellement, ce qui l'inquiète n'est pas ce qu'on
pense
de lui, la peine qui l'atteint, la crainte que sa
a su plus tard qu'on était en présence d'un enfant menteur; je ne le
pense
pas. En général. la coxalgie n'entre pas dans le
ntôt que l'intérêt n'a pas été le premier mobile de l'enfant: mais je
pense
que la mère, qui voyait une espérance de dommages
plus que dans celle des instinctifs qui mentent sans raison. Je ne
pense
pas qu'il faille la classer parmi les inconscient
le vit dans un milieu où elle aurait pu les entendre. Il est plutôt à
penser
que c'est en répondant à diverses questions posée
je le lui soumets en lui conservant sa forme originelle. « Beaucoup
pensent
que la circoncision est un acte purement religieu
point de se mettre en route : comme le trajet n'est pas long, on n'y
pense
guère la veille, et quand vient le moment de part
lopper primitivement, d'emblée, par les moyens hypnogènes. Lnys (1)
pense
qu'ils se succèdent toujours dans le même ordre :
r ainsi une multitude d'états hypnotiques nouveaux. Que devons-nous
penser
en présence des deux grandes doctrines si différe
extérieur et qu'il puisse répondre aux questions; ceci nous conduit à
penser
que la mémoire des choses connues à l'état de vei
pant pas alors du phénomène de la localisation des .sensations, je ne
pensai
pas a le lui demander ». « J'essayai, dit encor
'intervention active de la part du sujet. On voudra bien en effet, je
pense
, reconnaître que l'anatomie et la physiologie si
hypnotique n'est plus, comme certains l'ont soutenu longtemps et le
pensent
peut-être encore, un caprice du hasard dans leque
, le bateau ne s'était pas arrêté, il n'aurait pu résister. Le malade
pense
que cette impulsion ne pouvait être attribuée à l
il voit un inecudie, il M jette dans le feu pour nauver les gens sans
penser
» sa propre existence. S'il voit un cheval tombé
Hypnose. 3e suggestion de ralentissement.84 pulsations. r Nous
pensons
qu'il est légitime de terminer l'expérience, la j
vie, que nous nous figurions oubliés pour toujours, auxquels nous ne
pensions
jamais plus, viennent dans le rêve se dresser sou
ui de l'angine, — allègoriquement pour tous les autres. Que faut-il
penser
de cette interprétation? Tout d'abord, les dive
entité de pensées chez les monstres a conduit quelques psychologues à
penser
qu'il ne s'agissait que d'une seule personnalité.
pratique, c'est-à-dire bien intéressant pour les malades, nous ne le
pensons
pas. En admettant que l'on ait pu constater l'usa
sions du Congrès comportaient des considérations psychologiques. Nous
pensions
quelles seraient abordées avec plus d'ampleur. Ma
xprimé ainsi : a La suggestion hypnotique est rarement employée. Nous
pensons
qu'il vaut mieux ne pas y avoir recours, en raiso
é une raie sur la table et y avait appliqué le bec de l'animal, et il
pensait
avoir ainsi fait naître chez sa poule l'idée qu'e
oclin assez maltraité les critiques d'un certain Jésuite ; et il faut
penser
que pour se venger de cette indépendance d'esprit
e qu'il voudrait voir, c'est ce qui l'anime, le fait mouvoir, le fait
penser
, son esprit, son âme ayant « forme humaine » et c
voix « et sa proposition. Ce que je vis dépasse tout ce qu'on peut «
penser
et exprimer. Puis la fente et la lumière disparur
très certainement la verrue disparaîtra prochainement, Suzanne B. n'y
pensera
plus du tout, elle l'oubliera, mais il se fera un
50. Zur Pathogenese der Àrthritischen Muskelatrophien. Je ne puis
penser
à un traitement psychique, aussi longtemps que le
ondes et les intermondes sont-ils « peuplés de démons, » ainsi que le
pensait
le Milésien Thalès ? Ceux que nous avons perdus n
ute fièvre à la lutte, au duel de l'archée contre la matière peccante
pense
qu'il faut surtout donner à l'archée les forces n
éances d'hypnotisation ou lorsque dans mon salon d'attente cette dame
pensait
qu'elle ne devait pas incommoder par sa toux les
es deux cas, le désir de ne pas tousser est très vif. Mais le fait de
penser
à la toux suffit pour provoquer l'apparition viol
de cette nature. Aujourd'hui, si elle éprouve une émotion, si elle
pense
que ces phénomènes pourraient revenir, ils réappa
n certain nombre de phénomènes automatiques et le faire parler, agir,
penser
, sentir au gré de l'expérimentateur. » C'est par
ler les habitants; car contre ces étrangers jeunes et vigoureux, nous
pensions
que de pauvres bouviers seraient trop faibles. Et
trois fois à sa femme pour savoir si j'ai vu l'enfant et ce que j'en
pense
. La maman est abattue et démoralisée. Les premier
ussi de très bon cœur et reprend aussitôt gaiement ses jeux sans plus
penser
à sa chute. S'est-il réellement fait un peu de ma
; il me reprochait que, lui étant promise « depuis tant d'années, je
pensais
cependant à rompre avec lui pour « prendre un aut
cœur s'étant ouvert, « il en est sortit une flamme si ardente que je
pensais
en être consumée ; « j'en fus toute pénétrée et j
cette pompe était placée dans un feu ardent! O tristesse amère !
penser
que des gens éclairés font croire aux foules de p
tenciers transformés en une véritable école du crime. Tous ceux qui
pensent
que l'ancienne conception d'une justice d'origine
que réside tout le danger d'une pratique sans loi ni frein. » Nous
pensons
que le principal remède serait dans l'application
constaté chez lui une telle sensibilité à l'hypnotisme que nous avons
pensé
qu'il ne s'agissait pas d'une agoraphobie d'origi
constatant l'intervention divine. Ils s'y refusèrent comme bien l'on
pense
; alors il y eut un véritable tumulte à l'hôpital
rtébrés; elle intéresse notamment leur système nerveux : on peut donc
penser
qu'elle ne disparait pas complètement dans la sui
rocure-toi le mouchoir d'une vierge de cinquante ans qui n'ait jamais
pensé
au mariage ; lave-le dans le bief du moulin d'une
ur la méthode qui doit présider aux recherches psychologiques. Nous
pensons
, en effet, qu'il est temps d'étendre à la psychol
t tant contribué aux progrès des autres branches de la biologie. Nous
pensons
également que c'est desservir la science que de p
ité d'une infinité d'individus partiels, chacun doué de la faculté de
penser
; le moi serait une colonie de mois secondaires,
n'y a-pas d'hypnotisme, il n'y a que de la suggestion » (2). Bernheim
pense
de même, déclarant qu'hypnotiser quelqu'un, c'est
, d'autant plus que le sommeil n'est pas indispensable. Daos les cas,
pense-t
-il, où il y a sommeil hypnotique, ce sommeil n'es
ositif spécial permet de graduer l'intensité de ces excitations. Nous
pensons
que cet appareil est appelé à rendre les plus gra
régions correspondantes du système nerveux central. Nous continuons à
penser
que l'action de la suggestion est d'autant plus e
e mais prolongée, choc du battant d'une sonnerie électrique, etc). Je
pense
donc que son emploi donnera dans l'hystérie, des
e calma bientôt et dormit légèrement.— Nous lui suggérâmes de ne plus
penser
à son accident, de ne plus avoir peur des tramway
ement d'avis qu'un tuberculeux doit être prévenu de son état; mais je
pense
qu'il y faut des formes et des ménagements: le mé
s hystériques, basèrent leurs troubles mentaux sur la même manière de
penser
; elles eurent avec Jésus des conversations, des
a figure sur ce cœur, combattre avec elle, sont des actes, quand on y
pense
, tellement extravagants qu'on doit regarder comme
poussait. Il tremble aussi des membres inférieurs. On pourrait ici
penser
à la sclérose en plaques et l'on aurait tort, car
ns laquelle doit s'engager la psychologie scientifique. Avec lui nous
pensons
que la psychologie ne doit pas se limiter à l'étu
r regarder le chemin parcouru, nous ne pouvons faire autrement que de
penser
que notre Ecole de psychologie est née sous une h
conditions, le chat n'avait dû être reconnu qu'à distance, et M. Yung
pensa
qu'on avait bien pu se tromper II se mît alors en
point embarrassé. Mais la mort apportée ainsi au cher petit! Ont-ils
pensé
qu'il valait mieux pour lui mourir que rester pri
n tienne à l'opinion d'Hippocrate : « C'est par le cerveau que nous
pensons
, comprenons, voyons, entendons, que nous connaiss
e. Un sujet lit à haute voix. S'il fait attention à ce qu'il lit, y
pense
, continue volontairement sa lecture, l'interrompt
contraire il dicte ce qu'il lit ou s'il lit à une autre personne sans
penser
à ce qu'il lit, s'il lit automatiquement, le cerc
comprend que vVMm; c'est un acte purement polygonal et avec 0 il peut
penser
à autre chose. Si on parle avec un sujet, ce su
ient; ou bien il répondra automatiquement sans se donner le temps d'y
penser
et d'y réfléchir et alors il parle avec son seul
ité automatique. Un homme est distrait quand, à un moment donné, il
pense
à une chose et en fait une autre. Le fait se prod
sage est supprimé ou rendu plus difficile ». (1) « Quelques auteurs
pensent
que les prolongements nerveux, au lieu de se term
continuité absolue. La question n'est pas résolue; toutefois on peut
penser
que, lors même qu'il y aurait entre les prolongem
seul qui mérite « la qualification de scientifique ». Ces auteurs ne
pensent
plus probablement aujourd'hui comme en 1889 et to
diaque répugne à l'effort. S'en tenir à son médecin habituel le dis- -
pense
de gestes cl de phrases qui laissent de la lassit
e de leur âme se com- plaît aux langueurs du rêve et au vague des
pensers
que la musique éveille. Chez le grand nombre, l
it : « Je ne sais pas lire ». Alors Gabriel l'étreignit si fort qu'il
pensa
mourir. Trois fois l'ange répéta son ordre, trois
nconscience ; cette activité, quand la suggestion l'a mise en branle,
pense
, combine dés idées, raisonne, sent et agit sans q
la langue est grosse et présente des semblants d'ulcérations, on peut
penser
à la syphilis ; à la faveur de négligence dans le
dans le cours de ses études. L'Ecole l'aidera en lui indiquant les
pensions
de famille ou lés particuliers désireux de le log
, il me reprochait que lui étant promise, depuis tant d'an-« nées, je
pensais
cependant à rompre avec lui pour prendre un autre
arle plus à sa soeur de son ennemie de Chaumes. Bien plus, elle n'y
pense
plus, même en état d'hypnose. Elle refuse même
, elle n'y pense plus, même en état d'hypnose. Elle refuse même d'y
penser
. Quand nous la poussions sur ce sujet pour savo
acceptée : « Non, non, se défendait-elle. Vous m'avez défendu d'y
penser
. » Restait alors un point à modifier. Si la mal
épéter ce qu'elle vient de dire ou de lire, mais non pas ce qu'elle
pense
. « Ceci, ajoute-t-elle, n'est pas possible, et
que, soit par diminution du sens de l'activité personnelle qui fait
penser
au malheureux qu'il est l'objet de sévices et v
vraiment systématique décrite sous le nom de Verrücktheü. M. Salgô
pense
que, dans la folie systématique(Verrücktheit),
s; par JamesMACKENSIE. (Brain, Part. III, 1893, p. 321.) L'auteur
pense
que la douleur liée aux affections viscérales est
tre le point de départ de sensations douloureuses par eux-mêmes. Il
pense
que, lorsque dans une affection viscérale donné
dans lesquels il y a lésion limitée de la moelle ou des racines. Il
pense
que les segments spinaux sensitifs sont mieux d
par CRISTISON CARTER. (Brain, part. 111, 1893, p. 393.) L'auteur
pense
que dans les maladies cérébrales les fonctions
les différentes opinions sur le siège des aphasies sensorielles et
pense
que tous les cas nouveaux publiés devraient êtr
bles vaso-moteurs dans le cerveau avec tendance à l'hypérémie, il a
pensé
qu'il est tout indiqué de se servir d'un médica
ojets d'avenir et les interroger sur le choix de la carrière qu'ils
pensaient
embrasser, le jeune Calmeil qui, la veille, ava
e moment de dire, sur chaque ouvrage en particulier, ce que nous en
pensons
. D'autres les ont appréciés avant nous et ont m
La première représente une dysbasie de cause psychique, et rentre,
pensons
-nous, dans le groupe des basophobies, dont MM.
ces phénomènes soient suscep- tibles de s'amender dans l'avenir, je
pense
que les exercices forcés, les marches prolongée
- rition d'un billet de mille francs qu'elle apprit avoir été dé-
pensé
par son mari. Prise d'une soif vive, elle alla da
rchent l'hypothèse de physiologie pathologique la plus logique. Ils
pensent
que la lésion circonscrite surajoutée dans l'hé
mes relevés dans les observations de goitre exophtalmique, l'auteur
pense
que la né- vrite périphérique est un épiphénomè
la moelle; par SAciis. (Brain, part. III, 1893, p. 405.) L'auteur
pense
qu'on peut arriver au diagnostic de syphilis de
manifestes et plus fréquents. Au point de vue étiologique, l'auteur
pense
que dans les nombreux foyers de tuberculose gan
oment quelques autres observations ont été publiées. ' Nous avons
pensé
qu'il n'était pas dénué d'intérêt d'y adjoindre
En dehors de la lésion et du trouble congestif contemporain, j'ai
pensé
qu'il existait parfois une toxémie d'un caractère
e que ne l'indique M. Briand (30 à 40 grammes seulement). M. Vallon
pense
qu'il peut y avoir des cas où les attaques épi-
lui donner le nom d'anoïa qu'il propose. Reste un point grave. Que
penser
de la confusion mentale (Ver- wirrtheit- amenti
ître qu'il s'est moqué de nous en disant qu'on le tourmentait, « il
pensait
nous mettre dedans et il se déclare prêt à reco
nalogues en clinique. Certains propos de l'inculpé pourraient faire
penser
qu'il est atteint de délire des persécutions, m
théories qui ont cours sans prendre parti dans le débat. Raynaud
pensait
que le spasme vasculaire prolongé pouvait produ
pendant huit jours sans amener le sphacèle. D'autres auteurs ont
pensé
que la gangrène était un phé- nomène surajouté
laires, elle s'endort facilement, nous raconte que constamment elle
pense
à sa soeur. Nous lui ordon- nons de l'oublier.
ère coloration rosée des pieds. La malade est devenue gaie. Elle ne
pense
plus à sa soeur. Elle dort complète- ment la nu
l. Le souvenir du pensionnat redevient vivace. La malade continue à
penser
à sa soeur, à la mort, jour et nuit. Elle fait
cinq jours, une nouvelle crise de dou- leurs. Elle avait de nouveau
pensé
à sa soeur. Ayant repris son travail, elle épro
des deux parties du corps. Quant à la période menstruelle, Vulpian
pense
qu'elle met le système nerveux dans un état d'e
les malades pré- sentaient de l'asphyxie locale des extrémités. Il
pense
que le spasme des vaisseaux capillaires des mai
die de Lasègue pour désigner le délire des persécutions. M. Dagonet
pense
que celui- ci peut aussi évoluer sans idées de
n. M. Marandon de Montyel, contrairement à MM. Bail et Pichon qui
pensent
que beaucoup d'ambitieux n'ont jamais été persé
ivrognes de profession, qui boivent avec excès tous les jours, qui
pensent
et n'agissent que dans un seul but, celui de se
folie infectieuse d'après les travaux les plus récents. M. Cullerre
pense
que l'infection générale d'origine blennorrha-
isphère opposé au côté où prédomi- naient les convulsions, Lissauer
pensait
à une lésion cellulaire aiguë dans le territoir
ence de troubles purement fonctionnels (oblitération artérielle) et
pense
que l'eraotine peut donner de bons résultats. L
onstate qu'il ne leur a pas été aussi désagréable qu'on le pourrait
penser
de séjourner dans un quartier de surveillance c
ia) que dans la confu- sion mentale (Yerworrenlceil). On ne saurait
penser
à une folie périodique, malgré la brièveté de l
essayerons de le démontrer d'exci- tations répétées ; or celles-ci
pensons
-nous doivent être d'ordre réflexe, provoquées d
ailleurs, les accès comitiaux débutent parfois plus tôt qu'on ne le
pense
et nous croyons que dans bon nombre de cas, les
ngt-quatre ou quarante-huit heures sans accès, on peut être porté à
penser
que la série est terminée, de sorte que des acc
mal épileptique, être la source d'erreurs de diagnostic. Elle fait
penser
en particulier à l'éclampsie. Mais d'autre part
droit. Comme le traitement interne s'était montré inefficace, j'ai
pensé
devoir offrir à la malade la chance d'une trépa
ivement peu connues, savoir les anomalies des organes internes ; il
pense
qu'en faisant des recherches systéma- tiques et
et rapidement passagères, auraient une accélération de l'idéation,
penseraient
et parleraient avec rapidité, est cliniquement
rofession. Notons que l'individu est un crélineux, on pourrait donc
penser
à une anomalie fonctionnelle de la glande thyro
rivait : c L'hémiopie n'a pas encore été vue dans l'hystérie et, je
pense
, elle ne le sera jamais. » Il n'y a à signaler
de ne voir que le côté gauche dés objets, vous avez tout,.de suite
pensé
à une hémianopsie homonyme du côté droit et vous
e qui. s explique par sonanesthésief; tactlle et ^.musculaire, nous
pensons
cependant que cet acte sub scie t nàj-dû être ?
n 1 r r , t 1 ? m rtf. t, ? 1, ;D quand un accès débute, avait tait
penser
aux uns que toute l'extrémité cépilTlf'qüè ? d6
ur la prononciation de chaque mot. Tout cet ensemblejpourrait faire
penser
à la, paralysie, générale qu'il rappelle bien u
ée et plusieurs auteurs, le nystagmus est plus fréquent qu'on ne le
pense
après les accès épileptiques. On a signalé égal
xtension avec des positions bizarres. La position de la malade fait
penser
au premier abord aux athétoses doubles. Les mus
; leur aspect clinique tout à fait frappant et caractéristique fait
penser
à la diplégie cérébrale (maladie de Little) dan
nce et peuvent relever des causes invoquées par Little. M. Brissaud
pense
avec plusieurs auteurs que ces diplégies cérébr
expérimentation sur plusieurs crânes, la nature des symptômes, font
penser
à une lésion de la capsule interne. La paralysi
chique est élevé, nourrissant une sorte de monomanie à laquelle ils
pensent
toujours et qu'ils entourent d'une dialectique
gestion des méninges ou des autres nervures; enfin quelques auteurs
pensent
que l'attaque épileptiforme est liée à des hydro-
ompagnent, au contraire, d'élévation de température. M. A. Voisin
pense
que dans ces cas particuliers l'hyperthermie es
médecin a reçu la plus grande publicité. A priori, il est permis de
penser
que les auteurs de ce factum ont surtout en vue
s, chez moi, je renouvelle un tiers de mon personnel secondaire. Je
pense
donc qu'après dix années de service dans le mêm
état, disait un de ses mala- des, mon intelligence est nulle, je ne
pense
pas, je ne vois et n'en- tends rien; si je vois
t épilep- tique. L'hérédité similaire est fréquente surtout si on
pense
au nombre assez considérable de parents qui dev
eville et Féré plaident dans le même sens. Con- trairement à ce que
pensaient
Foville et Baillarger, on peut voir l'hérédité
e que l'hérédité maternelle, la chose est difficile. Cependant nous
pensons
avec Téreszkiewiez que l'hérédité du côté mater
tré Durham, une condition physiologique du sommeil. M. Bou- chard
pense
qu'il pourrait y avoir pendant la nuit des accu-
faudra pour cela qu'une cause déterminante entre en jeu. De même,
pensons
-nous, ceux qui naissent avec la prédisposition
que cette progression indique que le paroxysme se prépare, et nous
pensons
qu'elle correspond à l'accumulation d'un produi
ergie du courant excitateur et le travail physiologique produit. Il
pense
cependant qu'elle existe dans certaines limites
chanvre, ne guérit pas dans un délai de dix mois, on est autorisé à
penser
que ces préparations n'ont probablement été qu'
l'atro- pine avant de se prononcer sur l'état de la réfraction. Je
pense
aussi que, chez les épileptiques, il est sage d
s la paralysie générale sont assez satisfaisants pour nous donner à
penser
que cette médication serait avanta- geuse si le
ésultats obtenus sont assez . importants pour qu'on soit autorisé à
penser
que l'arsenal théra- peutique des aliénistes s'
ntes parties de son oeuvre à leur juste valeur, mais cependant nous
pensons
qu'il est temps de noter la nalure et la somme
era conscience de son rôle et de ses devoirs, en même temps que des
pensions
de retraite lui permettront d'en- visager l'ave
- trière un monument digne du corps médical français. Le comité a
pensé
qu'il y avait lieu de confier l'exécution de la s
sa convic- tion se fortifia de cet événement, qui lui donna fort à
penser
sur 1 origine de sa voix, sans qu'elle la recon
hommes par la « fondation d'une religion basée sur la bonté », elle
pensait
à cela sans exaltation, seulement en femme qui a
tortures sont purificatrices et la préparent à son apostolat. Elle
pense
en effet plus que jamais à répandre sa nouvelle
contrariété est suivie de coliques avec diarrhée. Il suffit qu'elle
pense
à son mari pour éprouver de vives douleurs dans
, d, e, f, h, i, j, le, 1, m, n, o, p, q. r, s, t. Elle s'arrête et
pense
attentat ? sensation intérieure de négation, el
s'arrête et pense attentat ? sensation intérieure de négation, elle
pense
alors attention ? sensation inlé- rieure d'affi
: le retard de développement. 32 ' ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ' Nous
pensons
que ces explications donnent entière satisfac-
ons non seulement en raison de sa rareté, mais aussi parce que nous
pensons
qu'elle est, comme les proliférations osseuses
sement, mais per- sistance des réflexes pupillaires. 111., Sabrazès
pense
que celle mydriase ressortit au réflexe pupilla
VASTINE, (Nouv. Iconog. de la Salpêtrière, n° 1, 1903.) Les auteurs
pensent
qu'il y a lieu de distinguer dans l'affection d
te manque de bases solides sur lesquelles elle puisse se fonder; il
pense
qu'il est plus vrai de considérer l'ostéomalaci
n sans provoquer une crise douloureuse.» MM. Paviot et Mauriquand
pensent
qu'il s'agit là d'un phénomène de contraction de
te sur la proportion insolite de fibrine trouvée dans le liquide et
pense
que c'est un point à étudier à l'avenir. L'abon
bacillaire incon- testable. De ces deux observations, les auteurs
pensent
pouvoir conclure, se basant sur les recherches
e, etc.) Le corps thyroïde est légèrement hypertrophié. Les auteurs
pensent
que, malgré les incertitudes de la pathogénie,
ertains oedèmes et pseudo-lipomes d'origine nerveuse. Toutefois ils
pensent
que cette association morbide lipomatose locali
céphalorachidien et de ce fait que le malade a eu la syphilis font
penser
qu'il s'agit là d'une méningite radiculaire spé
es vaisseaux contenus normalement dans le nerf optique et nous fait
penser
qu'une première phase de l'amaurose tabétique e
re autres en Bretagne et aussi en Provence. Quoi qu'il convienne de
penser
de cette opinion, l'existence de la lèpre à l'é
port du bacille chez les sujets qui prennent la maladie ? Tout fait
penser
que les bacilles sont répandus au dehors par le
niveau de la moelle ne prouve pas leur origine névritique, on peut
penser
qu'ils y ont été apportés par la voie sanguine
il reste à se demander comment se propage cette infection. On peut
penser
d'abord qu'elle gagne l'espace sous-arachnoïdie
réé et entretenu prêt à fonctionner par sa manière de vivre et de
penser
avant l'explosion absolument spontanée des phén
voyait pas autant que ce qu'il avait voulu. Il se concentrait pour
penser
à eux et causer avec eux en pensée à distance;
elle n'avait envahi ou détruit la sub- stance nerveuse. L'auteur
pense
qu'on peut expliquer les vomissements incoer- c
erprétation en est vicieuse. Voici, d'après l'auteur, ce qu'il faut
penser
. 1° Il convient de cesser d'expliquer par la dé
nc pas défavorable. La pathogénie en a été très discutée : l'auteur
pense
, avec M. Durante, qu'elles sont le produit de p
intermédiaire aux positions horizontale et verticale pouvait faire
penser
tout d'abord a une paralysie du muscle grand de
linique décrit par SCHULTT,E sous le nom de myokymie. Le rapporteur
pense
que les phénomènes dé myokymie peuvent dépendre
e, qu'il est arrêté; tantôt il croit se trouver à la gare ; parfois
pense
qu'il est à l'hôpital, mais il n'en est pas sûr
et le ramollissement du cerveau s'est associé après. Cela donne à
penser
que dans le cas de la clinique du professeur BECH
ectile en tumeur maligne. Ces diverses constatations nous amènent à
penser
que l'apparition, même nombreuse, de noevi acqu
puis je porte les yeux sur un objet voisin. Tout en discourant, je
pense
à mon mal et perds le fil de mes idées. C'est p
de crises paroxystiques et de rémissions, on ne peut se défendre de
penser
à l'intervention d'un processus toxique qui pro
que sur les limites à assigner à cette affection. Pour ma part, je
pense
qu'il y a lieu de réserver l'appellation de démen
pas consi- dérer ces faits successifs comme des coïncidences. Nous
pensons
que les hallucinations sont, dans ces cas, le p
UD, tout en trouvant' le schéma de M. Grasset ingé- nieux et clair,
pense
que dans la comparaison des centres médul- lair
viennent au cours de psychoses. Ces observations font tout de suite
penser
à la forme catatonique de la démence pré- coce,
re l'objet de quelques controverses : les uns, à l'exemple de Carl,
pensent
qu'il y a toujours atrophie directe de la papil
e contenu de l'orbite et en particulier sur le nerf optique. Nous
pensons
que cette compression du nerf, à laquelle s'ajou-
e présentait d'ailleurs aucun trouble trophique ou sensitif faisant
penser
à la syringo- myélie. Le malade mourut subiteme
bolition des réflexes rotuliens et une série de phénomènes qui font
penser
à une maladie de Thomsen limitée. S'il serre la
d'une élude sur la folie). Paris, 1879, 64 p. ; un mémoire récom-
pensé
par l'Académie de Médecine : De la folie à double
sse ni à chatouiller les vieux marcheurs. Honni soit donc qui mal y
pense
. OBSERVATION I. - M. X.... quarante-quatre ans,
ut spectacle de fustigation, modifièrent ses disposi- tions ; il ne
pensa
plus qu'à de rares intervalles à être fustigé.
était pauvre et n'avait guère d'argent pour ses menus plaisirs. Il
pensait
de moins en moins au plaisir d'être fouetté. Re
génital était amplement satisfait ; il ne se masturbait plus et ne
pensait
plus du tout au martinet. Il en fut ainsi penda
ne opération dont il avait failli mourir. Y... ne put s'empêcher de
penser
que ses quatre blennorrhagies seraient bien cap
ès porté à s'inquiéter à propos de bagatelles mêmes, peut longtemps
penser
à ces dernières; en outre, un tel individu se d
s coefficients de réfrangibilité des milieux de l'oeil. M. Storch
pense
qu'on est obligé d'admettre que l'élément de la
oumis aux phénomènes de sa conscience individuelle. M. Moskiewicz
pense
que cette théorie a l'avantage de corres- pondr
. Quand il n'existe pas de signes de ces dernières on doit toujours
penser
à l'hystérie. Il faut, par suite, toujours rech
tère de la douleur, l'action favorable du traitement mercuriel font
penser
à une lésion syphilitique et très probablement
f n'a pas été la même pour les quatre espèces de saveur, Vintschgau
pense
qu'il y a lieu d'admettre des fibres spéciales
olique qui a présidé à l'augmentation du travail. Faut-il par suite
penser
que lorsqu'une musique gaie excite trop d'éléme
ue. M. Bischoff critique à son tour la critique de M. Liepmann : il
pense
que l'existence de la surdité verbale pure dans l
uses occasionnelles nécessaires à cette hémorrhagies. Impossible de
penser
la poliomyélite : il n'y a pas eu de stade prod
les alcooliques, mais en d'autres conditions. Il y a des raisons de
penser
que la cause anatomique est une lésion du cerve
: près de dix jours; disparition graduelle rapide. 11 y a lieu de
penser
à une altération ancienne de certains centres don
rition des troubles trophiques qui leur sont propices peut amener à
penser
que cette anomalie n'est chez tous ces malades
on des éléments nerveux (Erb), etc. En ce qui le concerne, l'auteur
pense
que, dans l'état actuel de nos connaissances, c
e dans le flanc du chalet. La préposée ne trouva pas, comme bien on
pense
, cette expérience de son goût, et elle appela l
; les ouvrages classiques n'en disent, du reste, pas un mot ; on ne
pense
au traitement du foetus par traitement de la mè
l de nos connais- sances, la fonction du corps thyroïde. Nous avons
pensé
résoudre la question, autant que possible actue
re serait autonome, indépendante des cellules nerveuses. M. Muenzer
pense
que toutes les fibres qui pro- viennent d'une c
ce qui concerne 424 REVUE DE pathologie NERVEUSE. l'étiologie, il
pense
que l'hérédité ne joue qu'un rôle insignifiant,
atomo-pathologique, l'auteur, pour qui l'hystérie est une psychose,
pense
que l'on devrait « trouver les lésions dans la
conclusions en faveur de l'examen mental d'un prévenu. » M. Hoche
pense
que ces prétentions ne tendent à rien moins, da
ections hypodermiques, et qu'en outre il coûte cher, il ne saurait,
pense
M. Abraham, être introduit dans la pratique. P.
malade venait à guérir ou du moins . s'améliorer notablement, nous
pensons
qu'il devrait rester à la colonie, où l'on pour
ires interne et externe droites. Sans trancher la question l'auteur
pense
que le début immédiat et l'amélioration rapide
ire la pré- dominance de la paralysie au membre supérieur, l'auteur
pense
que le fait est dû à la sensibilité plus ou moi
suivant la hauteur d'une même moelle. Sans l'affirmer, les auteurs
pensent
que ces lésions sont en connexion avec des alté
n rôle exclusif aux lésions lacunaires et centrales du cerveau. Ils
pensent
que le syndrome parésie spasmodique est fonctio
céphalique ou médullaire ; ces diverses causes éliminées, on pourra
penser
, chez un vieillard athéroma- teux, à cette vari
génital, la coexistence fré- quente des troubles intellectuels font
penser
qu'il s'agit bien d'une affection organique. -
e des adduc- teurs) et de l'exagération des réflexes. Les auteurs
pensent
que l'hypothèse la plus vraisemblable est celle
générescence myélinique disséminée dans les différents cordons. Ils
pensent
que cette alté- ration évidente peut expliquer
simultanément en deux endroits différents. MM. Weill et Gallavardin
pensent
qu'il s'agit d'un processus inflammatoire, d'or
st pris de trac, toutes les fois qu'il joue en public; alors, il ne
pense
plus qu'à ne pas faire de fausse note, il ne se
il restait à l'adminis- tration des hospices, et c'est ainsi qu'ont
pensé
avec raison quelques journaux ayant raconté la
u I)r Roger. Pour remédier autant que possible à cet inconvénient, je
pense
que, comme moi , vous jugerez utile de publier le
une démonstration rigoureuse, et il passe les nuits à écrire ce qu’il
pense
être des conceptions sublimes. Pauvre nature que
le dès les premiers jours du traitement. « Comme vous devez bien le
penser
, le médecin cessa ses visites assidues; cependant
même maison pour une autre maladie, comme on lui demandait ce qu il
pensait
du changement survenu si rapidement dans l'état d
mission de vos idées, et conforme à votre manière de voir; mais je ne
pense
pas qu’il satisfasse les esprits quelque peu méth
d Townshend; et notre ami, M. Meade, y a répondu : « Pour ma part, je
pense
qu’une pensée sans penseur est chose que tout hom
art, je pense qu’une pensée sans penseur est chose que tout homme qui
pense
ne pourra concevoir. » L’inconséquence est trop é
lucides ont vu des choses, rappelé des circonstances auxquelles on ne
pensait
pas. Mais est-ce que tous les jours il n’arrive p
sprit, où elle est bien, cette chose oubliée, par cela seul qu’on n’y
pense
pas? L’exemple d’époptes disant des choses qu’o
borieuse. Depuis deux mois elle suivait les conseils d’un médecin qui
pensait
que le mal de celte femme venait d’un amas de san
on eût pu douter de son existence : vos raisons nous ont déterminé à
penser
qu’il est véritable. Quel malheur que le? savan
ve de se brouiller. « Il peut encore arriver que, par l’habitude de
penser
l’un à l’autre, le cas d’obsession et de tym-pani
d’un ouvrage d’OEtinger, intitulé : Pensées sur les deux facultés de
penser
et de savoir, et l’on y cite l’expérience singuli
, pendant que la femme était dans son état naturel. Quoi que je pusse
penser
do cette demande, j’y consentis : il loucha l’ulc
si délabrée, et d’un mal pareillement invétéré. Cela montre assez, je
pense
, que le mesmérisme est pour Mmc Goodall une nouve
it coucher certains animaux auprès de quelques-uns de scs malades; il
pensait
que l'on pouvait, par un contact prolongé, leur c
qui se trouve dans la nature, comme l'électricité? Je suis enclin à
penser
qu’en nous-méme existe cet agent. Oui sait si bie
coutez-moi, et étudiez ce que je vous dirai ; songez au résultat sans
penser
aux moyens employés pour l’obtenir, faites pour m
ets ne peuvent, pour ainsi dire, qu’escamolet. Et vous, enfin , qui
pensez
déroger à votre dignité de savants en croyant à l
de conserver son sérieux : le rire a gagné tout le monde, et je ne
pense
pas que jamais joie se soit communiquée avec une
voir et chercher à comprendre; elle est dans le cerveau de celui qui
pense
que tout est découvert , et que le principe qui n
s nous ne croyons point qu’il ait retrouvé la science elle-même. Nous
pensons
que tout son auditoire en a jugé comme nous. No
ou répulsive, active ou passive du fluide individuel. Seulement, nous
pensons
que la théorie de détail qui s’y rattache a besoi
ombre de malades, notamment pour les épileptiques. M. de la Salzède
pense
également que le magnétisme animal n’est pas moin
cité, et l’amélioration est « miraculeuse » , au dire des intimes. Je
pense
que celui qui s’en étonne le moins n’est pas le m
ndroit du magnétisme sont aussi les plus ignorants en médecine, et je
pense
que cette remarque aura été faite partout. M. e
e dit se trouver dans de bonnes conditions, je lui demande : « A quoi
pensez
-vous ? » Le plus souvent il me répond : « A rien.
: « A quoi pensez-vous ? » Le plus souvent il me répond : « A rien. —
Pensez
à votre mal, lui dis-je; ou bien, pensez à telle
t il me répond : « A rien. — Pensez à votre mal, lui dis-je; ou bien,
pensez
à telle personne » (le malade qui nous occupe); e
laissant jamais à la pensée humaine son libre essor, prenant soin de
penser
pour tous sur les facultés de l’âme, et exigeant
de l’éther , et atteint jusqu’à l’âme, c'est-à-dire la substance qui
pense
et raisonne; el, mieux encore, il peut émQuvoir c
charge en cherchant à répandre l’emploi de la puissance vitale; qu’il
pense
à la nécessité de mieux en connaître les lois et
ssimuler. Je lui demandai, un jour, dans son état de veille, ce qu’il
pensait
qu’il dût advenir de nous après la mort. Sa répon
é du sujet fut trouvé négatif, et cela est fort intéressant lorsqu’on
pense
que les salles remplies de monde ont toujours été
oncentrer sur les principaux viscères abdominaux et thoraciqucs. — Je
pense
que d’autres expériences démontreront que l’élect
lement que, lorsque le maître et le sujet gesticulaient, on aurait pu
penser
que le moteur était aussi bien le jeune homme que
lleurs, inconscients du leurs actes et de leurs souffrances. « On a
pensé
que les nerfs ganglionaircs avaient la propriété
ts fréquents. S’il m’eût été permis de me tromper sur le faciès j’eus
pensé
au choléra ; songez ! nous étions en pleine épidé
: j’éthérisais et purgeais , et cela simplicc manu. Mais du reste,
pensai
-je, il n’en pouvait être autrement. Nous guérisso
déposé leur rapport ; le gouvernement n’a plus qu’à se prononcer. On
pense
généralement, à Calcutta, que sa décision ne sera
mme c'était leur droit, et pour fixer les esprits sur ce qu'on devait
penser
de cette nouvelle découverte qui paraissait desti
il est un produit de l’êlre vivant doué d’une âme ou de la faculté de
penser
et de se déterminer librement, et que c’est au mo
es ne s’opéraient que chez le plus petit nombre des croyants. On doit
penser
que la foi diminue avec la civilisation ; car auj
astres. Goclénius partageait entièrement cette opinion , seulement il
pensait
que cette substance n’acquérait du propriétés cur
ment la manière de le préparer, et l’appelle ma-gues microeosmius; il
pense
que ses effets ne sont sensibles qu’autant qu’il
e la sublimité de la vérité que nous défendons. Aux magnétistes qui
pensent
que cette science n’a que des interprètes insouci
onorez tous de vivre dans un siècle de lumière. Les sciences, vous le
pensez
du moins, suivant leur progrès naturel, sont arri
incurables, par une puissante réaction sur le moral, que devons-nous
penser
de ces cures éclatantes attribuées par les hommes
r ne peut fournir. Le Jury, n’oubliant aucun des services rendus, a
pensé
que l’habile écrivain dont la plume traduit le gé
er droit au cœur de cet homme vénérable, pour lui dire : Vos frères
pensent
à vous ; ils conservent la mémoire de tant de dév
peut offrir, et de ce nombre sont celles de M. Laforgue. Le Comité a
pensé
que la médaille d’or devrait être offerte à ce gé
inversion palpable, mais personne ne l’appliqua, si même quelqu’un y
pensa
. Il paraîtrait que les choses les plus simples so
l et de vanité, qui ont conservé les préjugés de leur enfance, et qui
pensent
être arrivés dans le vrai des choses, tandis qu’i
ste trop le cœur. Vivante image du déclin de la vie, tu donnes trop à
penser
, et les moments que je te ravis, jeune homme, me
sculapes était dans l’erreur; moi je crois, et il y a tout lieu de le
penser
, que tous deux, quoiqu’ayant pris une route diffé
nourrir, il abandonne tous les plaisirs qui lui sont offerts pour ne
penser
qu’à ses malades. Sans indiquer les différentes
Une rechute et la mort ont été la suite de cette imprudence. Je ne
pense
vraiment pas qu’une distinction puisse être accor
excessive simplicité, et par cela même forl caché aux chercheurs, qui
pensent
toujours que la nature a besoin de grandes combin
et la justesse des dires du somnambule, est plus difficile que ne le
pensent
généralement bien des personnes. En se renfermant
pour désigner convenablement les éléments du magnétisme? J’aime à le
penser
; car je reconnais que l’action de la main, que l’
ata qui pourraient se formuler dans les siècles à venir. » De plus,
pense-t
-il, il n’est pas déraisonnable de supposer que Di
oment avec la rapidité dü télégraphe électrique ; ce qui vous force à
penser
à votre serviteur et ami, qui vous renouvelle la
teur. En acceptant le terrain et les armes de notre adversaire , nous
pensons
faire preuve de générosité et de loyauté. Puisq
rêver un nouveau Sinaï?... Nous regrettons de nous croire obligé de
penser
que ces formes nébuleuses résultent d’un calcul i
que ces formes nébuleuses résultent d’un calcul intentionnel; et nous
pensons
également qu’il ne serait pas impossible de dégag
de mes pensées. Je fus bien étonné qu’un esprit pût savoir ce que je
pensais
, parce que j’imaginais que de pareilles choses ét
çai à parler aux esprits, j’étais indigné de ce que je ne pouvais pas
penser
une chose, quils ne la connussent aussitôt. Cela
hantais Suzanne, mugnificatrice et jolie en anglais et il parait je
pense
qu'on fera une consécration et je l'es- père ;
et je l'es- père ; nous serons deux différents et je crois qu'il le
pense
; tu sais nous pensons qu'il y a chose magique
us serons deux différents et je crois qu'il le pense ; tu sais nous
pensons
qu'il y a chose magique dans cette affaire. Enfin
à la Sorhonnc. Voilà bien des années que nous enseignons que, pour
penser
physiologiquement (ou psychologiquement, c'est
physiologiquement (ou psychologiquement, c'est tout un), il faut
penser
anatomiquement. L'histoire des théories des fonc-
ann, de Loeb, de Max Verworn, et de beaucoup d'autres auteurs sont,
pensons
-nous, connues. Force substances chimiques, défi
dehors d'un commencement d'atrophie de la papille gauche, l'auteur
pense
que cette anesthésie généralisée doit être mise
les ravages que cause la tuberculose pulmonaire dans les asiles, et
pense
que le moment est venu de tenter un effort préc
ns le titre de serviteurs de l'Etat avec les droits correspondants (
pensions
de retraites, etc.). Dans les quartiers de tran
rurgien et un médecin fort instruits crurent à un phlegmon grave et
pensèrent
à l'ampu- tation, mais avant de la pratiquer il
tion entraîne après elle une con- séquence fâcheuse. Elle conduit à
penser
aux fatalités mystérieuses qui pèsent sur les i
ions mentales et confiés à la société. N'est-il pas affligeant de
penser
que la société qui a pris l'initiative d'intern
ntérograde après des tentatives de suicide par pendaison. Seiamanna
pense
que l'amnésie rétro-antéro- grade «peut s'obser
t ainsi devenues anatomiquement intelligibles, et il a suffi ici de
penser
ana- tomiquement pour s'élever à l'intelligence
puisse produire un mou- vement, c'est, contrairement à ce qu'avait
pensé
Alexandre Bain, ce dont il n'existe aucune preu
udrait faire dans une mesure qu'il ignore 11 est aussi incapable de
penser
comme l'enfant que de marcher ou de parler comm
e. Quant au mécanisme de ces troubles vasculaires, les auteurs ne
pensent
pouvoir invoquer une paralysie des centres ou des
aooxsuaw. (The Journal of Mental Science, janvier 1900.) L'auteur
pense
que les signes physiques de la folie sont à l'heu
enter des caractères migraineux. Pour toutes ces raisons, J. Putnam
pense
que dans certaines névralgies, mais surtout dan
al normaux. En rai- son idu peu de symétrie des symptômes, l'auteur
pense
que le , néoplasme est probablement extra-dural
- dre l'encéphale par les faisceaux cérébelleux directs. L'auteur
pense
que cette conclusion, contraire à l'expérience cl
des racines ne relèvent pas d'une localisation secondaire, comme le
pensait
Tripier, au niveau des corps vertébraux, gagnan
ue fut le prophète suédois et la formule exacte de ce qu'il en faut
penser
. Connaissant suffisamment Swedenborg on est por
8 juin 1900, '10-'18 juillet, 18-26 août, 10-23 octobre). Faut-il
penser
que les modifications physiologiques qu'en- tra
elation véritable de cause à effet : et c'est pourquoi, nous avions
pensé
pres- crire à notre malade des composés ferrugi
abdominal de Rosenbach existe du côté anesthésique. Néanmoins, nous
pensons
qu'il est bien diffi- cile de rencontrer une hé
argo senso » comme des crises psychiques. Ainsi une fois de plus on
pense
à l'existence d'une agitation psychique' J indé
quelques résultats, que nous venons de résumer, peuvent contribuer,
pensons
-nous, à l'etude de la génèse et de l'évolution
tion, ou des altérations à peine percep- tibles. Aussi''les auteurs
pensent
-ils que la recherche de ces REVUE D'ANATOMIE ET
ie du tissu thyroï- dien. Dercum, sans émettre une opinion absolue,
pense
qu'il s'agit dans ce cas d'une hypertrophie com
, de vos travaux, au but de ce congrès, et je ne puis m'empêcher de
penser
qu'en dehors des services' rendus comme médecin
Le président du congrès se trouve, cette année, pour dire ce qu'il
pense
de la ville qui nous reçoit, dans une situation u
aujourd'hui le comprendre. Je ne crois pas que la ligne de ceux qui
pensent
avoir intérêt à maintenir et à propager le mal so
ainsi du moins de celle qu'on a appelée la cause des causes. Je ne
pense
pas que les nations modernes veulent imiter Spa
x, connaître vos voeux, vos résolutions, car c'est sur eux que nous
pensons
asseoir notre jugement et dégager l'interventio
es que l'on constate à l'ouverture de la boîte crânienne avait fait
penser
à Calmeil et Foville à une périencéphalite. Brian
e de réaction de l'organe infecté. \ La pathologie générale donne à
penser
que si tout syndrome observé n'est pas absolume
ntes, c'est-à-dire du purpura, sont assez communes et peuvent faire
penser
aux personnes non prévenues que dans l'accès il
a giclé d'une excoriation antérieure. Z> Ces faits nous ont fait
penser
aux phénomènes qui se produisent chez certains
sur le front, et qui en outre a présenté des hématuries qui firent
penser
à une tumeur de la vessie. Ces hémorrhagies pos
ion sous-arachnoïdienne lombaire de cocaïne n'est pas due, comme le
pensaient
cer- ARCIIIVES, 2' série, t. XII. 19 290 PHYS
imètres cubes. Malgré le nombre restreint de nos observations, nous
pensons
être en droit de poser déjà les conclusions sui
forme d'un faisceau compact. Deux des observations permettent de
penser
à une maladie infectieuse. P. Keraval. XXVIII.
à un élar- gissement presque illimité de l'objet défini. On a pu
penser
un instant que la théorie des neurones allait é
e scolaire, si souvent invoqué, n'est pas nié par l'auteur, mais il
pense
qu'on ne doit lui accorder qu'un rôle faible et
ntellectuel est plus important que dans l'émotion simple, etc. Nous
pensons
que le .rôle essentiel, dans la genèse de l'obs
déboires et aux moqueries qu'elle peut leur attirer. Bientôt ils y
pensent
nuit et jour et ne s'occupent plus que d'invent
ur valeur, comme on serait tenté de le supposer. Autrefois, Charcot
pensait
qu'il ne fallait pas attacher grande importance
e gastrique ne se montre généralement qu'après un long emploi. Nous
pensons
que l'aspirine pourra rendre de grands services
ns l'urémie délirante, aiguë ou chronique. Il était donc naturel de
penser
que la Catatonie, dont la caractéristique sympt
tale, puis de l'amnésie, surtout de l'amnésie de fixation. L'auteur
pense
que l'insolation provoque un état d'intoxication
présent n'est d'ailleurs pas parfait et il n'est pas témé- raire de
penser
que les temps futurs rougiront peut-être de l'ap-
inconnues. Et il en est de même pour les altérations en moins. Je
pense
avec MM. Féré et Lance qu'il serait fort intéress
r 225 maîtres. Des appréciations plus'récentes encore permettent de
penser
que le nombre des élèves atteint pré- sentement
n'y a pas à s'occuper seulement des épilep- tiques aliénés, il faut
penser
aussi à ceux qui sont de simples malades, sans
méliorer la situation morale du per- sonnel secondaire ; mais il ne
pense
pas qu'il faille exiger le diplôme à l'heure ac
ne sera pas impos- sible d'avoir des chefs d'ateliers diplômés. Il
pense
que le travail est le but essentiel des atelier
otestations se font entendre contre ces excep- tions. z M. Vallon
pense
que l'article 8 du projet élaboré par la sous-
onnel secondait e hors de l'Asile ou dans l'Asile. M. Bourneville
pense
que le logement à l'asile en dehors des quartie
TÉS SAVANTES. 6° Organisation du service de veille. ' M. 'l'AGUET
pense
qu'il faut laisser chacun libre de s'organiser à
ordre d'idées la diminution du nombre des gâteux. M. BOURNEVILLE
pense
qu'il y a avantage à combiner les rondes par un
des asiles, après des discussions répétées, certains proposant des
pensions
de retraites au lieu de pensions de repos. La d
s répétées, certains proposant des pensions de retraites au lieu de
pensions
de repos. La difficulté de l'organisation des p
s secondes. Aujourd'hui, dans la Seine, il y a 75 bénéficiaires des
pensions
de repos en argent. M. Bourneville a réclamé l'or
e repos en argent. M. Bourneville a réclamé l'orga- nisation de ces
pensions
pour tous les établissements hospitaliers publi
es agents soient admis à la caisse départementale des retraites. Il
pense
que la reposance peut être conservée; pour lui,
trouve excellente cette manière de faire. Il demande donc, soit des
pensions
de repos (à l'asile), soit des in- demnités de
La reposance, à défaut de retraite, est maintenue; il sera créé des
pensions
et des indem- nités de repos. Adopté. 8° Trai
on et celui de tous les asiles d'aliénés du département, nous avons
pensé
qu'il était indispensable d'organiser au pavill
t son droit, maudit dans tout ce qu'il y a de plus maudit qui mal y
pense
... C'est une sorle de con- juration, de formule
représentait toujours les mêmes personnages qui lui ont fait subir,
pense-t
-elle, toutes sorles de souffrances et con- tinu
qu'elles se produisent.. Cette considération incline déjà à faire
penser
qu'on peut les rencontrer dans des états vésani
mandait la raison, il disait : C'est pour conserver mon allure ; il
pensait
que sans cela ses ennemis avaient droit de mort
s la nuque, trou- blant son sommeil et l'ennuyait beaucoup. Aussi y
pensait
-il beaucoup. Un mois avant son entrée à l'hôpit
nt. Le résultat fut également excellent, et il est bien permis de
penser
que la suggestion seule avait occasionné ces deux
ns sains d'esprit de ceux des gens qui sont aliénés, il ne faut pas
penser
à établir le diagnostic anatomopathologique des p
ition de charges supérieures au pouvoir de l'indi- vidu ; 3° Ne pas
penser
faciliter la prévention de la folie en limitant
la bouche. Cette malade a pu guérir et quitter l'asile. M. Trénel
pense
que la coexistence des hallucinations psycho- m
x morts au début de la maladie. D'une façon générale, M. Marchand
pense
que, plus la démence est accentuée, plus les lési
Les réformes se font rarement par le pouvoir; et, ceci est horrible à
penser
, ce sont presque toujours des révolutions qui les
cédés opératoires de Mesmer. Les autres, et nous sommes de ce nombre,
pensent
que magnétisme et mesmérisme sont et doivent être
hommes, à part de l’espèce, qui \ivenl pourvu qu'ils aient matière à
penser
. Aussitôt qu'il fut assuré de l'existence du magn
où lu sois, nous ne le retrouverons à côté d’un Jésuite!... Mais, j'y
pense
! ils doivent avoir uu lieu spécial; car Dieu ne p
e qu’ils avaient vu , il n’y avait ni fraude ni supercherie? Je ne le
pense
pas, parce qu’il faut, pour admettre des phénomèn
ndre que je le lui eusse dit, qu'elle le serait plus tôt qu’ils ne le
pensaient
, lui, la malade et M. Deleuze, etje renvoyai la s
cersur l'étoile X. C’est encore un hommefortetparfaitementéveillé; il
pense
quesa volonté est plus puissante et dominera tout
s. Voilà deux épreuves qui semblent décisives ; chacun est saisi et
pense
dans ce moment que véritablement deux génies, deu
sont pas ou l’ont été par la nature seule, ce qu’il serait absurde de
penser
-, car si la nature pouvait guérir, à quoi serion
es guerres, des famines, des maladies contagieuses, etc-, etc.? Qu en
pensez
-vous, mon cher collègue? En attendant, recevez
rincipes fixes et aux lois qu’elles ont fait reconnaître. Et, quoique
pensent
certains esprits, le magnétisme, à son tour, aura
urs remèdes : ils sont sans efficacité. Us se trompent encore s’ils
pensent
que tous seront dociles au mot d'ordre, qu'aucu
uelques supercheries, s’il n’a pas voulu faire un feuilleton amusant,
pensent
les plus honnêtes. — Us peuvent rire, les incrédu
ne, faisait contrac- ter spasmodiquement les muscles de la face, je
pensai
que cet effet était dû à une action magnétique sp
eaucoup de maladies non amen-« dables par les moyens ordinaires, nous
pensons
que « nous en aurons assez dit pour sommer les mé
; et lorsqu’il y fut de retour, il lui confirma cette promesse et ne
pensa
plus qu’à l’exécuter; mais, peu de temps après, c
ée d’une force très-grande. Elle avait de treize à quatorze ans; nous
pensâmes
que sa nubilité était cause de tout ce désordre.
peu leurs inquiétudes se calmèrent, et depuis quelques années ils n’y
pensaient
plus. Ce fut aux fêtes de Pâques 1846 que leur
le père dit à sa femme : « C’est aujourd’hui le 23 juin 1846! — Tu y
pensais
donc aussi! » lui dit-elle; et lous les deux s’av
tentés jusqu’à ce jour ne nous autorisent pas à l’espérer-, mais nous
pensons
qu’aide du somnambulisme, il deviendra assez puis
pothétique de la science qui a vu naître le scepticisme eût jamais pu
penser
à se placer à côté des sciences exactes? Le som
eau de son doigt; mais elle ne l’a pas laissé sur l’évier comme on le
pense
, car je la vois le mettre dans la poche de sa rob
ces ouvrages provenaient de la bibliothèque des Bénédictins, d'autres
pensaient
qu’ils faisaient partie de la riche collection bi
les prétentions du magnétisme animal et de la phrénologie. C’est bien
pensé
et bien dit; avec île tels champions la vérité
, pour lui, était la cause des phénomènes naturels. Thalès de Milet
pensa
que c’était l’eau. L’eau nourrissant les plantes,
ène, les astres vous ayant conduit à la source, il est tout simple de
penser
qu’ils sont la cause transéante et non fondamenta
tte âme heureuse dans la contemplation des beautés célestes, car je
pensai
: c’est la plus belle réponse à ceux qui veulent
faire ici une opération dans l’état d’insensibilité magnétique , j’ai
pensé
qu'il vous serait agréable d’en être informé des
d’assurance que mettait la jeune fdle dans ses réponses, donnèrent à
penser
qu’elle était atteinte d'aliénation mentale, ou p
— Je ne sais, je n’ai vu que l’assassinat. « — Mais rien ne donne à
penser
que Michel ait été assassiné comme vous le dites;
ncore enveloppés d'incertitude cl de mystères, on a cependant lieu de
penser
que le somnambulisme artificiel pourrait être uti
s que nos ennemis s’applaudissent entre eux de leurs persécutions, et
pensent
que le génie du mal, dont ils sont les ministres,
ions à notre cause. Oui, Messieurs, telle est notre croyance : nous
pensons
que rien de durable ne peut être fondé si la véri
s ridicules que l’on fait circuler sur cette mystérieuse agonie, nous
pensons
qu’elle présente des circonstances assez extraord
ence du magnétisme; il n’est plus besoin d’autres preuves, et nous ne
pensons
pas qu’il y ait de dénégations désormais. Ainsi l
les plus grands services ; mais c est toujours aux prolétaires qu’on
pense
les derniers, tort qu’on ne peut imputer à la Soc
ffroyable qui suffit à « donner la fièvre et le vertige, rien que d’y
penser
. — « Qu’une femme à musc pénètre dans un salon, a
dans son excellent ouvrage de théologie morale cette thèse : « Nous
pensons
qu’on doit tolérer l’usage du magné-« tisme jusqu
me Pouson ayant parfaitement indiqué les souffrances de la malade, je
pensai
que son diagnostic pouvait bien être vrai, et que
Je saisis avec empressement cette occasion d’exprimer mon opinion. Je
pense
que le somnambulisme devrait être invoqué dans to
tensité du mal, suivant elle, n’était pas aussi alarmante que nous le
pensions
. D. —A-t-elle conseillé un traitement? était il
on sur l’usage, par un médecin, des conseils de somnambule? R. — Je
pense
que le somnambulisme ne doit pas être dédaigné pa
réponse, insérée à la suite de la présente, ce que vous avez observé,
pensé
et jugé relativement à mes démonstrations, soit q
ande accessibilité des Bengalais à cette influence, M. Esdaile vint à
penser
que les magiciens et autres charmeurs dont l’Inde
tant d'autres. Sans doute c’est tomber dans un autre excès; mais que
penser
, en effet, de ce prétendu art de guérir, après ce
éloignés de vos Académies, ignorants et ignorés que nous sommes, nous
pensons
bien autrement que M. Ordinaire : nous comprenons
as astreints à sc munir préalablement d’un diplôme de savant ; nous
pensons
enfin que la médecine et le magnétisme doivent co
l, croit à une affection fie la moelle « épinière; mais moi, je ne le
pense
pas.... » Fît cc n’a été que longtemps après que
. * Quand vous ne saurez plus que faire, magnétisez. » Et nous devons
penser
que dans une famille de médecin, et surtout d’un
u XIX' siècle : L’homme n’est, pas un animal aussi crédule qu’on le
pense
. La libre de l’orgueil, si sensible dans notre tr
t le sujet, je résolus de faire des expériences pour m’éclairer. Je
pensais
que si c’élait un effet magnétique, je pourrais p
tions les plus graves sans douleur, selon la déclaration des malades,
pensa
que son premier devoir, en constatant rëfücacité
s points douteux qu’ils avaient indiqués. En même temps la commission
pense
que le sujet exige un examen plus rigoureux et pl
à s’enfuir avec mon dernier souffle. Aussi, monsieur le baron, vous
pensez
que je dus avoir recours à la médecine; je vis pl
; c’est là, ce me semble, une belle arme pour les spiritualistes, qui
pensent
que, dans certains cas, l’âme agit chez nous en d
oser à volonté; mais à côté de ces interprètes il y en a d’autres qui
pensent
autrement, sans qu’ils en soient condamnés par l’
n et de rechute; mais enfin la situation du malade empirait. Celui-ci
pensait
n’avoir plus « quatre jours à vivre, » lorsqu’on
ersonnelle qui le trouble et le rend hésitant. Par analogie, l’auteur
pense
que les jongleurs, les escamoteurs distingués doi
oslics, pressenliments, coïncidences surnaturelles, etc., que faut-il
penser
de tout cela? Les esprit; foris s’en tirent aveed
ue l’ordonnance du licenciement avait été signée la nuit; moi, je n’y
pensais
plus. J'ai vingt témoins de ce fait. Ma complaint
llucinalion dont l’imagination seule a fait tous les frais, car je ne
pense
pas que le magnétisme y soit pour rien. Voici les
sc lasserait pas d’entendre parler de toutes ces merveilles. Je ne
pensais
plus à lui ni à notre conversation, lorsque hier
e. Je lui demandai à mon tour si M. B... n’avait jamais donné liqu de
penser
qu’il eût la tête faible ; il me dit qu’on ne s’é
raordinaires les unes que les autres, sa tête se monte, il va jusqu’à
penser
que le papier allumé contient une substance qui e
est survenu do la salivation, de la diarrhée et de la fièvre, mais je
pense
qu’il est maintenant hors de danger. — J’espère
e l’état de veille. De 40 à 4 heures son existence était en blanc. Je
pense
qu il ne s’est point éveillé, mais seulement qu’i
i croient qu’en nous tout est mortel ; qu’ils sont ignorants ceux qui
pensent
que le principe qui nous anime ne peut exercer au
s autres personnes. On avait choisi la salle du Conseil municipal; on
pensait
être une trentaine, mais le brui-t s’en étant rép
s élions attribué une certaine importance en fait de magnétisme; nous
pensions
avoir obtenu du somnambulisme ce qu’aucun Puy-ség
» De toutes ces considérations résulte clairement ce que l’on doit
penser
du magnétisme animal considéré comme remède. »
le sais, et grâces en soient rendues à Dieu, tous les magnétiseurs ne
pensent
pas ainsi ; il en est, el il en est beaucoup qui
i, pour eux et pour les leurs, ne veulent ou n’osent, ou seulement ne
pensent
pas à se servir d’un moyen curatif si puissant et
ns sans trouble apparent. Il résulte de ceci que le sujet magnétisé
pense
, imagine, ügii de conserve avec son magnétiseur
ortefeuille, un billet dans votre portefeuille, vous le savez, vous y
pensez
, cela suffît pour qu’ils le disent quelquefois.
lle magnétisme ; mais nous croyons trop à son amour de la vérité pour
penser
que, quand des faits, annoncés de toutes parts et
ue celle faculté élait la récompense de leur virginité? Que faul-il
penser
de sainl Jérôme, qui n’esl pas d’accord avec vous
et j’en étais réduit à des douleurs sourdes, mais sans relâche, el je
pensais
qu’elles n’auraient de terme que lorsque je serai
cela Mesmer s’appuie sur le sentiment d’Hippo-ctate, qui avait aussi
pensé
que ce que nous appelons des maladies n’était que
lus ou moins gênés, décontenancés. Mais, la rougeur passée, ils n'y
pensent
plus. Chez d'autres, cette idée qu'ils ont roug
rougi les poursuit et les tourmente, même dans l'intervalle. Ils y
pensent
, et, souvent, ce souvenir seul les fait rougir
ent pas, ou, s'ils se troublent, c'est sur le moment. Après ils n'y
pensent
plus. Il nous paraît inutile de citer des faits d
Mais cet ennui et ce désir ne vont pas jusqu'a l'obsession. Ils n'y
pensent
que de temps à autre, à la suite de leurs crise
e qui ne se produit jamais immédiatement. Pour cela, il essaie de
penser
à autre chose, mais le plus souvent le moyen ne r
croire qu'il est occupé d'autre chose que de sa rougeur; mais il y
pense
et en est confus. Si on le lui fait remarquer,
par exemple au milieu d'une compagnie, il lui arrive tout à coup de
penser
qu'il pourrait rougir. Cette pensée l'inquiète;
ets, les avait émus, tourmentés et ils en étaient arrivés à ne plus
penser
qu'à cela, ce qui les rendait très malheureux.
egardant. Ils ont beau lire un journal, fermer les yeux, essayer de
penser
à autre chose, toujours cette idée les obsède :
l'idée de leur rougeur. Ils en sont tyranniquement obsédés. Ils ne
pensent
plus qu'à ca. Ils ont beau essayer de chasser c
l'un d'eux nous disait : « C'est comme si un bossu voulait ne plus
penser
à sa bosse, » Presque tous cherchent à se rendr
se des plus difficiles, car pour faire effort dans ce but il faut y
penser
, et penser à la rougeur c'est incontes- tableme
difficiles, car pour faire effort dans ce but il faut y penser, et
penser
à la rougeur c'est incontes- tablement le meill
voquer. Ils n'ont donc qu'un seul procédé un peu efficace, c'est de
penser
à autre chose. Beaucoup en usent, et, au moment
ond lieu, la boisson colore leur visage et cette coloration rend,
pensent
-ils, leur rougeur émotive beaucoup moins visible.
s, nous l'avons vu, sont très précis sur ce point. Il suffit qu'ils
pensent
qu'ils vont rougir, pour que la rougeur apparai
a refouler en « s'attentionnant ailleurs » ; en revanche, s'ils n'y
pensent
pas, rien ne survient. Les paroxysmes obsédants
une émotion-idée ? C'est ce qu'il est difficile de préciser. Nous
pensons
, néanmoins, que ce que les malades appellent «
r la fin du monde et la venue du prophète Elie sur la terre, et ils
pensaient
que c'était le Saint-Esprit qui les forçait à f
ue nous n'avons plus et à des choses auxquelles nous n'avons jamais
pensé
. Notre ima- gination n'a pu se les figurer. L'â
Charpentier ne croit pas que les escarres soient aussi rares que le
pense
M. Christian. Elles reconnaisent deux causes : un
de la législation des aliénés et l'un de nos anciens présidents. Ne
pensez
-vous pas que la société se doit à elle-même de
tante, aussi beaucoup de médecins et bien plus encore de directeurs
pensent
-ils que l'exception ne les vise point et est re
quand elles le peuvent sans trop nuire à leurs affaires ! Nous le
pensons
et nous le pensons d'autant plus qu'au Pensionn
ent sans trop nuire à leurs affaires ! Nous le pensons et nous le
pensons
d'autant plus qu'au Pensionnat de Ville-Evrard
ophique : ils ser- vaient à la nutrition de la cellule nerveuse. de
pense
, disait Golgi, qui a persisté, avec quelques-un
aisser guérir et désire rester malade pour tourmenter les siens. Il
pense
avec Jaccoud que l'hystérie se caractérise par un
c.), se demandent si, pour expliquer leur pathogénie on ne doit pas
penser
à des auto-intoxi- cations. Elles résulteraient
l en est un bien plus grand nombre dus au surmenage mental. M. Tuke
pense
que dans ce dernier cas il existe un état conge
ue la description de 208 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. M. Tuke; mais il
pense
que même dans ces cas l'exercice doit encore êt
même dans ces cas l'exercice doit encore être préféré au repos ; il
pense
en effet, que, dans beaucoup de cas, la nutriti
ritable cause, c'est-à-dire à l'arrêt du développement cérébral, il
pensait
néanmoins qu'il y avait une compression exagérée,
omie a été pratiquée, sans résultats satisfaisants appréciables. Il
pense
que le nombre des craniectomies faites depuis 189
on est quelque fois obligé de pénétrer plus profondément qu'on ne
penserait
; si elle doit être grosse, le trocart fin devra ê
, a réellement guéri l'épi- lepsie, est étonnamment petit. L'auteur
pense
que l'on pourrait sans peine compter sur ses do
pas cette distinction tranchée entre l'idiotie et l'imbécillité et
pense
que si l'imbécile anti-social, décrit par M. So
ne logique suivie où il n'y avait pas d'hésitation ou de défaut. Il
pensait
clairement et exprimait clairement ses pensées,
hommes seuls sont, en général, atteints d'amok. D'autres auteurs
pensent
que l'usage de l'opium est souvent la cause d'u
XXVIII. La folie DIMINUE : données statistiques QUI PORTENT A LE
penser
; par T ? 1. CH.11')1 : 1N. (1'lte Journal of ment
conclusions d'un nombre aussi restreint de faits, on serait amené à
penser
que l'améliora- 234 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE
goitre et leurs conditions héréditaires, considérations que nous ne
pensons
pa, devoir analyser ici, parce qu'elle ne sont
ù leur désir de voir des aliénés, d'ap- prendre comment ces malades
pensent
, jugent, ressentent et agis- sent. Des vues gén
ncendie, se délivrer du tourment de l'existence ; les mélancoliques
pensent
pouvoir se débarrasser de la dépression psychique
pport entre l'acte et 244 sociétés savantes. le mobile doit faire
penser
à des troubles psychiques. Certains alié- nés c
un asile de buveurs même contre la volonté du patient. M. Ganser
pense
que c'est le devoir du tuteur de provoquer le p
ce de kystes à épithélium dans des tumeurs cérébrales (gliomes). Il
pense
, avec les observateurs précédents, qu'il s'agit
ont prises de la crainte d'être enlevées par des officiers qu'elles
pensent
avoir séduits par leur beauté ; on veut les pho
fisantes à mon- trer que ces symptômes sont moins rares qu'on ne le
pense
généralement, d'autant plus que dans beaucoup d
n transmise par la cellule à ;on prolongement nerveux n'avait lieu,
pensait
-on, qu'à la terminaison de ce prolongement dans
cellules fusiformes de la couche moléculaire doivent être, comme le
pense
Cajal, des cellules d'association, unissant à cet
acte mau- vais : c'est pourtant ce que la théorie légale persiste à
penser
. malgré l'expérience. Elle maintient que lorsqu
mes généraux du myxoedème faisaient défaut ; aussi est-il permis de
penser
que son diagnostic GO myxoedème de la gorge » n
uelles, qui n'ont pas la rapidité des mouvements du tic et qui font
penser
au premier abord à des mouvements choréiformes.
encéphalomyélite aiguë disséminée. Discussion. M. ALT (Uchtspringe)
pense
que dans toutes les myélites, même dans celles
shydratées par l'alcool, puis incluses dans la celloidine. L'auteur
pense
que, contrairement à l'opinion de Weigert, la m
tait-ce la suite du faisceau en vir- gule ? 2 - MM. Bruce et Muir
pensent
avoir élucidé ce point. Pour les cas des auteur
dons communément par ce mot : il se rallie à l'opinion de Régis, et
pense
avec lui que les faits cliniques récents, tels qu
onomie spéciale des manifestations motrices était de nature à faire
penser
plutôt à une lésion circonscrite qu'à une affec
hilis céré- brale, de tumeur du cerveau, de sclérose multiple, sans
penser
à la paralysie générale. A l'autopsie, lésions
alles, de troubles moteurs, sensitissou sensoriels, doit même faire
penser
qu'il ne s'agit pas d'épilepsie vraie, mais d'h
e vue médico-légal. Tous les cas de folie transitoire doivent faire
penser
à l'épilepsie, mais il est parfois difficile de
avant tout les psychoses épileptiques transitoires. M. KRAEPELIN
pense
, lui aussi, qu'il n'y a pas de rapport entre la
e simultanés, sans qu'il faille y voir une preuve de simulation. Il
pense
que chez certains sujets (dipso- manes, morphin
ralisent habituellement à tout le corps. On pourrait, dans ces cas,
penser
à un empoisonnement par des produits toxiques r
souvent par la démence, mais fréquemment aussi par la guérison. Ils
pensent
que la maladie peut récidiver, même après un long
tué dans l'épaisseur du lobe frontal droit. A l'oeil nu, on pouvait
penser
à un enchondrome, mais l'examen hislologique mo
e (dépres- sion, irascibilité, inaptitude au travail, incapacité de
penser
) ne nécessitent pas, en général, l'admission da
s sont au premier plan : les troubles moteurs, qui pourraient faire
penser
à une lésion en foyer, ne se manifes- tent que
per- sonnelles, et que le patient avait des raisons de simuler, on
pensa
à une simulation possible. D'ailleurs on releva
tritives et non une subs- tance vivante et fonctionnante; 30. Benda
pense
que la substance chromalophile est constituée p
placer de cellules qu'au rez-de-chaussée. C'est sur ces points, je
pense
, que doit être concentré le débat. . M. LE Ro
agnan et Sérieux, G. Ballet, font les plus expresses réserves ; ils
pensent
que la production des troubles trophiques, des
loppé sous l'épaisseur du pariétal, à l'occasion du traumatisme. Il
pense
intervenir. LXVII. Un cas DE maladie osseuse
e acquise. 480 sociétés savantes. M. ADELMEtM est du même avis et
pense
que cette capacité provient à la suite d'un exe
i propres à l'amentia manicans. En se basant sur ces cas l'auteur
pense
que les troubles de la parole, accompagnant la
cours probable de l'issue de la maladie. M. le professeur KORSAKOW
pense
que les troubles du langage dans la confusion m
us haut, se superposent aux signes physiques de l'anxiété. L'auteur
pense
qu'il serait préfé- rable d'identifier les mots
lle, peu de temps après une de ces crises, une asymétrie faciale, a
pensé
qu'il s'agissait là d'un cas d'hémispasme d'ori-
tenir. Ce que je viens de dire n'aura cependant pas été inutile, je
pense
; cela vous permettra de mieux vous rendre comp
t généralement une perturbation de l'appareil vestibulaire. On peut
penser
qu'il s'agit bien de vertige lorsque le malade di
de la science infuse du médecin qu'il consulte. Il est très porté à
penser
que celui-ci comprend immédiatement la nature d
roduit, elles sont généralement étouffées à l'état naissant. Vous
penserez
peut-être qu'en vous parlant de l'attaque hystéri
pas se mettre sur son séant. Plusieurs chirurgiens consultés alors
pensent
qu'il existe du côté des jointures des lésions
s exagérés. Ce dernier fait n'est peut-être pas aussi rare qu'on le
pensait
autrefois. Sur li,% ni NSK 1. . 5 66 SÉMIOLOG
fois constituée, elle subsiste indéfiniment. S'agit-il là, comme le
pense
Erb, d'une entité nosologique conditionnée par
i est indispensable pour éviter l'ambiguïté. On peut exprimer, je
pense
, l'idée qu'on s'en fait généralement, en disant
silence. Cependant, comme il existe encore quelques dissidents, je
pense
qu'il n'est pas sans intérêt d'indiquer les cau
est pas de même pour l'hémiplégie hystérique ; beaucoup de médecins
pensent
que, si l'exagération des réflexes du côté paraly
s hémianesthésiques, je n'ai obtenu aucun mouvement apparent. Je ne
pense
pas qu'il s'agisse en pareil cas d'une véritabl
itique de M. Walshe n'est pas sans valeur. Mais il y a tout lieu de
penser
que ces rétractions n'étaient pas assez marquée
avail de agi4, dont j'extrais le passage suivant : « Cela tient, je
pense
, aux difficultés nombreuses que l'on rencontre
fense des renseignements utilisables. » Il n'en est pas moins vrai,
pensons
-nous, que dans certains cas de compression spin
qui regarde la nature des lésions, d'après ce que j'ai observé, je
pense
que l'exagération des réflexes de défense est par
donner un aperçu exact des idées que j'ai exposées sur ce sujet, je
pense
que le mieux est d'extraire d'un travail que j'
Les unes et les autres peuvent d'ail- leurs être associées. Nous
pensons
que les réactions observées chez les malades qui
e médullaire ». Comment expliquer ces faits ? On serait disposé à
penser
, ainsi qu'on l'a déjà supposé pour les réflexes
s de défense ou de réflexes d'automatisme médullaire ? Nous ne le
pensons
pas, et notre opinion est fondée sur les raisons
En ce qui concerne le mécanisme des réflexes hyperalgésiques, nous
pensons
qu'il diffère notablement de celui des réflexes d
une perturbation de la voie pyramidale, tandis qu'on est conduit à
penser
que la surréflec- tivité hyperalgésique impliqu
donnaient donc des résultats en appa- rence contradictoires, et je
pensais
alors qu'il serait intéressant de connaî- tre l
jambe sur la cuisse ne sont pas synchrones. N'y a-t-il pas lieu de
penser
que ce défaut de synchronisme est dû à une pert
nature sous- corticale de l'ataxie cérébelleuse. » Ces arguments,
pensons
-nous, ne sont pas péremptoires. En admettant qu
oubles qu'un foyer en plein hémisphère. Mais il est aussi permis de
penser
qu'en pareil cas les lésions ne sont pas exclus
supposaient qu'il était dû à une excitation du labyrinthe, d'autres
pensaient
qu'il dépendait d'une irritation directe des ce
des altérations morphologiques à peine appréciables, il y a lieu de
penser
que cette réaction de dégénérescence tient, au mo
te idée n'est pas inadmissible mais il est peut être plus simple de
penser
que la lésion atteint le noyau lui-même ou le ner
a plus prononcée à l'extrémité du membre malade, il y avait lieu de
penser
que la fusion des secousses serait encore plus ne
ntal au devant de la région motrice, mais dans l'un, on n'avait pas
pensé
qu'il fut possible de désigner le côté où siégeai
droite, mais la pré- dominance de la céphalée à gauche me portait à
penser
qu'elle occupait le côté gauche et en définitiv
ompagne pas d'une exagération sensible des réflexes tendineux, nous
pensons
que l'hé- miplégie est due à une compression de
utivement à l'emploi du mercure chez un syphilitique, pouvait faire
penser
que les lésions intra-crâniennes dépendaient de
'une exagéra- tion manifeste des réflexes tendineux, il y a lieu de
penser
qu'elle est due à une compression des centres n
umeur est présu- mée se trouver, surtout s'il existe des raisons de
penser
quelle est super- ficielle : il serait, évidemm
bation dans le fonctionnement du système pyramidal, on est amené à
penser
que c'est à une perturbation de ce genre qu'il fa
amidal, dont je ne suis pas en mesure de déterminer la nature et je
pense
que cette pathogénie doit s'appliquer sinon à tou
ction est liée à une perturbation organique des centres nerveux, je
pense
que les lésions dont elle dépend doivent être,
es réflexes tendi- neux et du réflexe cutané plantaire ? Je l'avais
pensé
d'abord ; mais, sur ce point, il y a lieu de fa
tude, qui n'était pas constante, s'exagérait à certains moments. Il
pensa
d'abord à une névrose, mais découvrant l'existenc
surtout l'état émotif du sujet : si celui-ci se sent observé, s'il
pense
simplement à son bras, ils redoublent. Ils dimi
plupart des neurologistes se sont, en effet, rangés à mon avis, et
pensent
qu'il s'agit là d'une perturbation ayant pour bas
e pas. Mais leurs visées, dès le début, étaient plus modestes ; ils
pensaient
seulement que, dans certains cas du moins, alor
et si l'on se contente d'une simple injonction. On est donc amené à
penser
que la transformation a pour cause, comme nous
n ? Il m'est impossible de le dire ; je suis simplement en droit de
penser
qu'il s'agit d'altérations peu pro- fondes, pui
e névrite optique ; ils déconseillent en conséquence l'opération et
pensent
qu'il y a lieu de continuer encore le traitemen
croire que le tabes hérédo-syphilitique est plus commun qu'on ne le
pense
généralement, mais que, comme le tabes conjugal,
l de dépister le tabes hérédo-syphilitique, car il y a tout lieu de
penser
que le traitement hydrargyrique prolongé, inten-
ils étaient constatés sur d'autres observations, tendraient à faire
penser
que sur le tronc, à côté de la dis- tribution h
se dorsale, soit au territoire de la VIIe racine. Nous pouvons donc
penser
que la lésion n'est pas très limitée, mais s'ét
ines lombaires ; il y a une zone sensible en selle. » On pourrait
penser
qu'il existe chez cette malade une lésion portant
et considérant qu'il existe des signes d'affection médullaire, nous
pensons
que l'hypothèse d'une lésion incomplète d'un se
ence, ne nous semblent pas avoir été JL suffisamment étudiées. Nous
pensons
que les notions classiques sur ce sujet mériten
C'est là peut-être l'erreur commise le plus ordinai- rement. Nous
pensons
que, dans les cas de ce genre, on a dû prendre po
e ne s'était pas du tout abaissée, comme cela aurait dû avoir lieu,
pensions
-nous, s'il se fût agi d'un abcès par congestion
la compression, mais aussi par l'arachnoïdite. Il y a tout lieu de
penser
que cette lésion consiste en une hématomyétie à
atives aux réflexes de défense ('). Nous avons été conduits ainsi à
penser
que la compression descendait approximativement
ique) est convexe. Comment expliquer cette différence ? Nous avions
pensé
et cela avant l'opération, qu'elle était due pe
oquée par les excitations périphériques fait défaut. Il y a lieu de
penser
, selon 4al, PARAPLÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOEL
pathognomonique d'une méningite syphilitique, il y a plutôt lieu de
penser
que chez cette malade, malgré ses dénégations, la
siège le bulbe même ; or, dans cette hypothèse, il serait permis de
penser
que l'agent perturbateur a agi sur le facial en
n sont atteints. Mais est-on en droit, comme certains auteurs l'ont
pensé
, de se servir de ces caractères pour définir l'
t être définis, c'est soutenir que les mots précèdent les idées Que
penserait
-on d'un naturaliste qui s'avouerait incapable de
quel sont soumis les muscles paralysés ; c'est d'ailleurs ce que je
pense
actuellement moi-même de la nature de cette atrop
rir par ce moyen, mais cela suffit pour légitimer mon opi- nion. Je
pense
qu'une comparaison vous en montrera la justesse.
iplégie n'en décèle nullement la nature. Contrairement à ce qu'on
pensait
autrefois, les caractères intrinsèques de l'hém
s centres des réflexes tendineux et sur les centres vasomoteurs, de
penser
aussi qu'elle pût amener une perturbation dans
reconnais bien que mes arguments ne sont pas péremptoires, mais je
pensais
que la réalité de la fièvre hystérique, admise da
la duperie ; nous reconnaissons aussi que, contrairement à ce qu'on
pensait
autrefois, les troubles vaso- moteurs, sécrétoi
cas, un changement dans le cours des idées ? Le malade, cessant de
penser
à sa paralysie, recouvre tout natu- DÉMEMBREMEN
ont été rangés dans l'hystérie. Nous verrons bientôt ce qu'il faut
penser
de cette opinion, mais ce qu'on peut dire dès m
enre, aura vu échouer ses tentatives thérapeutiques, sera conduit à
penser
que le succès a été entravé par quelque action co
de présenterait-elle des inconvénients plus grands qu'on ne l'avait
pensé
; ou encore se serait-on illusionné sur son uti
on- gues. Aussi, n'y a-t-il peut-être pas prétention de ma part à
penser
qu'ayant vécu pendant plusieurs années, aux déb
négatif. Est-ce à dire que l'hypnotisme soit exactement ce que l'on
pensait
autre- fois ? Nous allons discuter cette questi
il importe de la poser en termes précis. Sans doute, il y a lieu de
penser
, à priori, que les ébranlements phy- siques et
de rétrécissement du champ visuel. Pourtant on est bien en droit de
penser
que l'émotion, dans de pareilles circonstances,
iques sont un produit de la suggestion. Si l'émo- tion, comme on le
pensait
autrefois, pouvait les engendrer, elles devraient
s. « La question nous paraît d'ailleurs moins insoluble qu'on ne le
pense
; il est probable que, dans quelques années, la
s-ci, existait déjà chez elle il y a cinq ans. « C'en est assez, je
pense
, pour vous montrer comment, chez ces femmes, le
réventifs employés et des pratiques de contre-suggestion, conduit à
penser
que, pour le moins, un très grand nombre d'entr
e furent très incomplets. Pour toutes ces raisons on est autorisé à
penser
que les troubles moteurs étaient au moins en part
la guerre des Balkans des faits de même ordre ; il y a tout lieu de
penser
que plusieurs de ces cas, dans lesquels la guér
G. Ballet a ima- giné un dispositif dont l'emploi lui aurait permis
pensait
-il de résoudre la question en litige. Voici com
ion rapide d'un phénomène n'implique pas du tout, comme certains le
pensent
, l'idée d'hystérie. Elle n'a cette significatio
dans cette voie il n'y ait plus de progrès à réaliser ? Nous ne le
pensons
pas. Une enquête faite récemment dans les différe
il de contractures hystériques ou de contractures réflexes ? « Nous
pensons
, écrit-il, qu'à l'origine la contracture est réfl
donc de phénomènes hystériques ou simulés, comme certains l'avaient
pensé
? Soumettant le malade à un examen méthodique,
une perturbation des centres médullaires, il y avait des raisons de
penser
que les autres étaient de même nature. (') J. B
ar des contractions étendues mais très brèves. Certains auteurs ont
pensé
que, dans les cas de blessure des membres, la l
aires que l'on aura à prendre. Il n'y a d'ailleurs aucune raison de
penser
que les troubles physiopathiques les plus marqués
e amyotrophique réflexe, est encore plus commune qu'on aurait pu le
penser
, puisque l'examen pendant la narcose la décèle
gré d'in- tensité se modifier d'une pareille façon. Je suis porté à
penser
que les rayons X ont exercé sur l'épanchement h
pas en droit de l'affirmer mais je suis porté à le croire, et j'ai
pensé
que ce fait méritait d'être rapporté. VII D
dité. Sans être en mesure de l'affirmer, j'ai une grande tendance à
penser
que les rayons X ont exercé une action curative
tifs, fut d'abord essayé, bien qu'il n'y eut aucune bonne raison de
penser
à la syphilis ; puis, comme les douleurs étaient
at proportionné t. vii. aux désordres qu'il nécessite, nous ne le
pensons
pas, et du reste, la figure qu'il a donnée lui-mê
placée devant. Ses indications sont si positives que les modernes ont
pensé
qu'il avait dû faire des autopsies. Enfin Paul d'
cristallin dégagé de sa capsule, Warner, et d'après lui Pott, avaient
pensé
que la dépression, ou l'abaissement propre-ment d
difformité ait été hier connue des anciens, et que rien n'autorise à
penser
qu'elle ai été moins commune de leur temps que de
cisives et même canines. En théorie Blumembach, Meckel et Béclard ont
pensé
que le bec-de-lièvi e devait être con-sidéré comm
ar une mouche de poix de Bourgogne. Il ne paraît pas déraisonnable de
penser
que ce moyen, très simple, en empêchant mécanique
naux; tandis que, dans d'autres circonstances, ce ne serait, comme le
pensait
Dupuytren , qu'un kyste séreux ou séro-muqueux, d
tides, a perdu son malade. D'après l'ensemble de ces faits, M.Velpeau
pense
, avec raison, que dans les cas de simple hypertro
orps étrangers sont de nature très variée. Comme il est naturel de le
penser
, le plus grand nombre appartient aux substances a
le était elliptique en travers; mais, dans la section verticale, on a
pensé
qu'il serait convenable, pour empêcher la tension
ois il est des cas où la ponction pourrait être nécessaire, comme l'a
pensé
Monro. Riolan, de Combalusier, B. Gooch et Kellie
changerait à volonté. Lorsque le pus est de trop mauvaise nature, il
pense
cpie l'on pourrait employer une solution très fai
égard l'état de la science. Riolan , après plusieurs autres , avait
pensé
que l'on pouvait ponctionner le péricarde par un
ait de même nature est attribué à M. Larrey. On ne sait ce qu'il faut
penser
de deux cas anciens rapportés par Van-Swieten et
sur le doigt, est de prolonger la section avec des ciseaux. Sabatier
pense
que l'on doit se dispenser de l'ouvrir davantage,
teur de la plupart des remar-ques que nous venons de consigner, avait
pensé
que c'était 1 é-lasticité de la couche celluleuse
ont peu de tendance à sortir par l'anneau ombilical chez l'adulte. On
pense
même en général, depuis les travaux de Richter et
se idée des rapports du péritoine avec le cordon om-bilical, on avait
pensé
que les viscères, pour s'engager dans la base du
e cet accident arrive, quela gangrène soit plus tardive, ainsi que le
pensent
Pott et Rich-ter, ou plus prompte au contraire, c
. Camper veutque l'écus-son termine le ressort en ligne droite, et il
pense
que son incli- naison sur la tige contribue à l
puytren l'a modifié en plaçant son tranchant sur la con-vexité, et il
pense
qu'on divise ainsi plus facilement les tissus d'a
yé deux méthodes différentes, l'injection et les scarifications. Il a
pensé
qu'on pourrait se comporter à l'égard d'un sac he
e cpie le sac n'avait subi aucun travail d'oblitération , ce cpii fit
penser
cpie probablement le liquide n'avait pas été port
adhérences entre les doux parois adossées dos bouts do l'intestin. Il
pense
qu'au bout de quarante-huit heures ces adhérences
auche du colon clans son trajet le long cle la région lombaire, où il
pensait
qu'elle était en dehors du péritoine, et par cons
vu qu'elle ne fasse pas avec elle un angle dè plus de 5o degrés; nous
pensons
que sa direction a peu d'importance. Quant aux ra
ès un certain nombre d'observations qui nous sont person-nelles, nous
pensons
avec Boyer que la préexistence de la con-strictio
it, puisque Desault et ses élèves, A.Dubois et Boyer, ont continué de
penser
à cet égard comme les anciens chirurgiens et l'Ac
Pansement. De tout temps la majorité des chirurgiens fran-çais ont
pensé
que, pour que la guérison soit assurée, il faut q
gaz, comme avant la maladie, ce qui étonna beaucoup Faget, et lui fit
penser
qu'il s'était formé un nouveau sphincter. Malgré
bien circon-scrites et mobiles. Boyer, avec ses idées sur le cancer,
pensait
que, dans tous les cas de guérison, elle n'avait
on. M. Velpeau ne veut pas qu'on néglige la mèche dès le principe; il
pense
qu'en n'y ayant recours qu'après quelques jours d
btenus mettra mieux les praticiens à même de savoir ce qu'ils doivent
penser
de cette opération, que les meilleurs raisonnemen
, adoptant l'idée de Pott et de quelques-uns de ses compatriotes, qui
pensaient
que l'oblitération complète de la tunique vaginal
La blessure du testicule, moins grave que les auteurs anciens ne le
pensaient
, fait éprouver cependant une vive douleur, et peu
le cas où elle ne serait pas traversée par l'épingle , et M. Velpeau
pense
que celte compression pourrait, en outre, modérer
sseaux artériels ou son canal déférent. Ainsi M. Mau-noir, de Genève,
pense
qu'en mettant le cordon spermatique à nu par une
té propre. Ce n'est donc pas comme on l'a cru long-temps, et comme le
pense
encore M. Blandin, à la rétraction de ses envelop
r et de les tirer en dehors pour les lier séparément. Au reste , sans
penser
avec M. Velpeau que la ligature en masse mérite d
souvent pour faire place à un bourrelet quelquefois fort gênant. On a
pensé
à y remédier par l'excision des angles de la divi
e de s'allonger sous l'influence des tractions exercées sur lui, nous
pensons
qu'il vaut mieux employer le procédé de M. Bégin.
araphimosis, et lorsque la verge et le prépuce sont sains, M. Velpeau
pense
qu'on aurait tort de le rejeter, par cela seul qu
e, soit revêtue d'une compresse pendant cinq à dix minutes. Lorsqu'on
pense
que son volume est assez réduit pour pouvoir trav
rdinaire soit indispensable » (JlJéd. opér. t. 4, p. 33o). M. Velpeau
pense
que l'on rendrait encore l'opération plus simple,
L. Petit et Fab. d'Aquapendente ont pratiqué cette opéra-tion; Boyer
pense
avec raison que si la disposition vicieuse du pré
nir réussissent difficilement. Procédé de M. Laugier. Ce chirurgien
pense
que chez les enfans où le phimosis empêche ordina
M. Halle dans un cas [Gaz. Méd. i836, p. 748). Quelques chirurgiens
pensent
que la sonde à demeure dans la vessie est inutile
z lequel , néanmoins, l'urètre conserva ses dimensions. Ce chirurgien
pense
qu'on rendrait l'emploi de la sonde parfaitement
le embrasse. Toutefois cette longueur est très variable; M. Malgaigne
pense
qu'elle varie entre i3 et 22 milli-mètres. Dans l
térisée et guérit très bien. Autre procédé du même auteur. M. Bégin
pense
qu'on pour-rait encore guérir l'hypospadias en av
ter de l'opération dans les divers cas où elle s'appli- % que, on
pense
généralement qu'il n'y a lieu d'y renoncer qu'au-
cathéter dans la vessie pour l'opération de la taille. J. L. Petit
pensait
que les anciens lithotomistes employant beaucoup
et de venir les fixer sur les côtés d'un bandage du corps. Mais nous
pensons
qu'on doit y renoncer et que le procédé suivant c
leurs contemporains à les adopter. Procédé de M. Amussat. L'auteur
pense
qu'on le pratiquera avec plus de facilité, en don
ie de l'urètre située entre le bulbe et la prostate. Quelques auteurs
pensent
cependant que la portion spongieuse du canal peut
on de la portion spongieuse et de la portion musculeuse. M. Lallemand
pense
qu'ils peuvent affecter toutes les portions du ca
t, a proposé d'y substituer une bougie en gomme élastique courbe ; il
pense
qu'elle communique à la sonde une résistance asse
ongueur qui est indiquée en chiffres sur l'instrument de Ducamp. On a
pensé
que cet instrument pouvait être cause d'er-reur e
nombre et de la force des rètrècissemens de ce canal. M. Lallemand
pense
qu'en portant dans l'urètre un stylet long de 11
oin. Manuel opératoire de l'introduction des bougies. M. Ainussat
pense
qu'une position semblable à celle qu'on donne au
e de la même manière jusqu'à ce qu'on soit arrivé au n" 8 ou g. Boyer
pense
quelagué-rison qu'on obtient de cette façon est p
ome soutient encore cette doctrine, et se range au nombre de ceux qui
pensent
que la coarctation ne peut guérir d'une manière r
orsqu'il y est parvenu on le dilate en y insuf-flant de l'air. Ducamp
pensait
que cette poche ainsi distendue n'a-vait d'action
se moule sur les parties et proémine au-delà et en deçà. M. Costallat
pense
qu'on parviendrait plus sûrement au même but au m
les préceptes de prudence consacrés par la saine pratique, M. Mayor a
pensé
que l'on avait tort de se servir de sondes de mét
ec avantage d'un instrument que tel autre trou-vera défectueux. Aussi
pensons
-nous qu'on pourra indifférem-ment employer les in
'en louer. Il en est de même de M. Amussat. M. Velpean, au contraire,
pense
que cette méthode a l'inconvénient de n'offrir qu
aire obstacle un premier jet de ce liquide. Partant de cette idée, il
pensa
qu'un liquide injecté d'avant en arrière, s'in-si
Cela arrivait probablement à Boyer beaucoup plus souvent qu'il ne le
pensait
. Fausses routes. C'est comme on sait une source
re, soit d'arrière en avant, pour rétablir la route naturelle. Nous
pensons
que cette méthode, qui permet de reconnaître les
soit neutralisé par sa présence, la fistule néanmoins persiste. On a
pensé
que cela tenait à ce qu'une petite quantité d'uri
plus grande que celle qui existait avant l'emploi de la suture. Boyer
pense
qu'on pourrait peut-être prévenir cet inconvénien
nir à sa nutrition. M. Dieffenbach, app\k[uant\améthode de 6'?/.?e,
pensa
que, pou r faire réussir la suture ordinaire, il
ture; enfin tout se remit et se conso-lida parfaitement. On dut alors
penser
à fermer l'ouverture du périnée. Pour cela on ret
être dans la vessie, était situé dans l'urètre. A ce sujet, A. Cooper
pense
que l'usage de l'éponge présente de grands avanta
cher distendue au fond de la plaie. Boyer partage cette opinion, et
pense
en outre que cette inci-sion préliminaire aurait
quer cette opération trop tard. Nous nous rangeons à leur opinion, et
pensons
comme eux, qu'alors que la rétention d'urine, dét
ntaient des couches très épaisses de carbonate de chaux dont M. Leroy
pense
trouver l'ex-plication dans cette formule : « que
osition chimique elle-même et d'après la forme de ce corps, il aurait
pensé
que ce devait être un calcul prostatique. On le
aucoup plus positives d'essais de lithotrïtie. Voici les faits : On a
pensé
qu'un auteur arabe Alsaharavius, on Azzahravi, qu
enir n'étaient pas tout-à-fait les mêmes ; « et tandis que M. Amussat
pensait
écraser les calculs par la force « de ses instrum
ou de lui imprimer de légers mouvemens de droite à gauche. Lorsqu'on
pense
que la pierre est engagée dans l'anse, on ramène
la branche femelle dans toute son étendue; mais quelques chirurgiens
pensent
que cet élargis-sement peut être une cause de fra
hotriteurs. La plu-part des chirurgiens qui pratiquent la lithotritie
pensent
que cet examen, par la sonde ordinaire, est très
thotritie à son début avait fait naître des espérances illimitées; on
pensa
tout d'abord qu'elle pourrait être substituée d'u
ussi, sans prétendre éta-blir aucune règle absolue sur ce point, nous
pensons
que, en thèse générale, il vaudrait mieux soumett
gêner les manœuvres de l'opérateur. Somme toute, beau-coup d'auteurs
pensent
que les occasions d'extraire une pierre de la ves
hirurgiens cités, portant encore leur calcul ou divers fragmens. On
pense
également que le rapport de M. Leroy qui, sur 116
et quelquefois même une partie du bas-fond de ce viscère. M. Velpeau
pense
au contraire qu'on n'atteint que le côté gauche d
lire Celse, lequel dit : Plaga facienda est quâ cervix aperiatur, fit
penser
à Heister qu'il coupait le col de la vessie sur l
la division des artères du périnée. D'un autre côté, Dupujtren avait
pensé
qu'il éviterait encore plus sûre-ment les parties
ointu; qu'après avoir divisé l'urètre dans sa partie membra-neuse, il
pensait
qu'une sonde cannelée portée aix travers de cette
, à l'inciser dans le sens de ses deux rayons obliques. Il avait même
pensé
à faire construire un lithotome caché à deux lame
ssie, ne s'est point montrée. Four plus de sécurité, M. Velpeau qui
pense
, contrairement aux opinions de Béclard et de Scar
. Ainsi que nous l'avons dit dans le cou-rant de cet article, M. Senn
pense
qu'une incision oblique à gau-che de la prostate,
ineuse ; si c'est, une pierre murale en un mot; c'est une raison pour
penser
qu'elle est unique; cependant on n'en a pas de ce
t à extraire, comme dans l'exemple rapporté par Ledran. Ce chirurgien
pensait
que dans les cas d'adhérences , l'ébranlement cau
xtraction de ce dernier présente de sérieuses difficultés, M. Baudens
pense
, à l'exemple de Pye et de Dupuytren, qu'on peut,
la vessie. M. A. Vidal a fait une autre proposition du même genre; il
pense
aussi qu'on pourrait effectuer l'opé-ration en de
la vessie; mais on n'a pas pu découvrir son siège précis. M. Velpeau
pense
, et il nous semble avec quel-que probabilité, qu
omprimer suffisam-ment les tissus de derrière en devant; mais nous ne
pensons
pas que ce moyen puisse jamais devenir nécessaire
t la taille par le haut appareil comme une méthode exceptionnelle, et
pensent
qu'on doit la réserver pour les cas où le calcul,
. ou moins de diamètre, et s'il est libre, la plupart des chirurgiens
pensent
que l'on doit avoir re-cours à l'une des deux tai
duction du bistouri. Procédés de Louis et Fleurant. Ces chirurgiens
pensèrent
qu'il serait plus convenable d'inciser les deux c
ratiquée (Pl. 67, fig. 1, et fig. 2 pour l'extraction du calcul.). On
pense
qu'elle peut permettre l'extraction d'un calcul d
ni à l'urètre ni au sphincter de la vessie. Procédé de Bussière. Il
pensait
comme Méry qu'on pouvait retirer la pierre par le
e que la femme qu'il avait opérée par ce procédé avait bien guéri, il
pensait
qu'il pouvait, dans tous les cas, prévenir l'inco
sujet qu'il a opéré a guéri sans conserver de fistule consécutive, il
pense
que c'est à cette modification qu'il a dû d'obten
res latérales favorisassent la réunion par première intention , aussi
pensons
-nous avec Dupuytren et M. Velpeau, que c'est une
morts aux guéris est probable, quoique déjà très heureux, que faut-il
penser
des autres ? Qui croira que la taille puisse ne c
ux grands succès annoncés sur la taille d'une part, et de l'autre, je
pense
que la lithotritie, née d'hier, a encore beaucoup
n peut être faite avec un bistouri ou des ciseaux courbes. M. Velpeau
pense
qu'un nombre de fils suffisant, préa-lablement pa
blable, et Garengeot en a décrit un à trois branches. Mais soit qu'on
pensât
que ces instrumens ne présentaient pas une grande
t glissersur la paroi postérieure du vagin qu'elle déprime. Lorsqu'on
pense
qu'elle est arrivée assez haut pour être engagée
rs après une seconde application qui réussit complètement. M.Vel-peau
pense
que, dans ce cas, le nitrate d'argent a fait seul
it de la cautérisation, nous ne saurions partager cette opinion. Nous
pensons
que ce succès a été dû à la combinaison des deux
e, nous ne nous y arrêterons pas plus long-temps. Enfin M. Colombat
pense
que, pourles fistules longitudinales, l'aiguille
onti-nuité du vagin. 2" Dans le cas où la fistule est très élevée, il
pense
que l'on pourrait cautériser fortement la régio
d il dit que les règles pouvaient passer par l'urètre, on doit plutôt
penser
que ce n'était qu'une partie des règles, et que l
omplète la division du périnée: la malade guérit. En pareil cas, nous
pensons
qu'il se-rait préférable de pratiquer la suture a
r les anses, sans crainte de voir la chute se reproduire. M. Dufresse
pense
que l'on pour-rait également, au besoin,faire por
et de pouvoir plus tard rétablir la vulve dans son état primitif. Il
pense
que la réunion qui en résulte doit former une bar
avec raison, que celte extrémité ne perforât le rectum. Depuis, on a
pensé
qu'on assujettirait mieux la tige en y plaçant un
de coton et recouvrir d'un morceau de peau très souple. M. Capuron
pense
qu'il serait plus facile d'opérer le dégage-ment
de la grossesse, quelques chirurgiens, et entre autres Ciardien, ont
pensé
qu'on pourrait y remédier par la section de la sy
rhagie, tandis que plus tard il forme un tout inséparable. M. Velpeau
pense
que ces tumeurs résultent assez souvent d'un épan
delocque rapporte une observation fort remar-quable, dans laquelle il
pense
que l'application du forceps eût amené la guériso
trice , mais croyant néanmoins l'opé-ration bonne en elle-même, Hévin
pensa
qu'on pourrait éviter la lésion du tissu de l'uté
es exemples. Pour se rendre raison d'accidens aussi formidables, on a
pensé
que, dans ces cas, on avait porté la ligature jus
ter. » Dupuytren la regardait également comme dangereuse. M. Vel-peau
pense
que les deux manières de voir sont vraies, mais d
rps de la tumeur ; 2° Ceux où le pédi-cule est très épais, et donne à
penser
qu'il peut contenir quelque vaisseau artériel dan
employer qu'une seule pince de Mu-seux, Dupuytren et M. Lisfranc, ont
pensé
qu'on saisirait plus solidement la tumeur avec de
parce que la matrice est pour ainsi dire moulée sur lui, M. Colombat
pense
que, dans ce cas re-gardé généralement comme au-d
eux lèvres, fermées latéralement par une membrane pellucide, que l'on
pensa
être le péritoine, peut-être à nu, ou, du moins,
ison complète, d'y porterie caustique. Pour cela, certains praticiens
pensent
qu'il suffit d'y appliquer le pinceau ou le porte
ttaché au bord de l'utérus, qui était calleux dans cet endroit, ayant
pensé
qu'on pouvait extirper la tumeur, avec la callosi
e l'existence du carcinome ne serait pas bien constatée, Aï. Lisfranc
pense
qu'on doit encore opérer, si la santé générale fl
t à l'engorgement des ligamens larges; niais MM. Tanchou et Malgaigne
pensent
que ces liga-mens n'y sont pour rien. Ce dernier
aine perte de sang qu'on éva-lue de trois à six palettes. M. Lisfranc
pense
que cet écoulement est salutaire, et qu'il ne doi
d'inciser le col avec un lithotome caché de Frère Corne. M. Colombat
pense
qu'on ne doit pas entièrement rejeter ce moyen, l
n-lève la matrice pour un prolapsus ou pour un cancer, on est porté à
penser
qu'ils tiennent à ce qu'on agit sur le tissu utér
vec succès, une partie d'ovaire qui faisait partie d'une hernie, nous
pensons
qu'elle ne doit pas être rejetée ; elle peut au c
OPÉRATIONS TOKOLOGIQUES, PUBIO-SYMPIIYSÉOTOMIE. Séverin Pineau
pensait
que, dans certains cas, l'accouchement ne pouvait
les mou-vemens quoique les pubis fussent mobiles l'un sur l'autre; on
pense
alors que cela tient à ce que les symphyses sacro
-iliaques, qui constitue toujours un accident très grave. Enfin, nous
pensons
aussi qu'il ne faut jamais laisser la femme plus
est partagée par Baudelocque, Désormeaux et M. Velpeau. Mais d'autres
pensent
qu'il vaut mieux rompre la poche, parce qu'on ne
us, ainsi que nous l'avons dit, peuvent aussi les nécessiter. Nous ne
pensons
pas, comme le dit Bodin (Essai sur les accouch.,
t central, el qui forment une espèce d'étoile (Pl. 73, fig. 3). Dugès
pense
qu'il est prudent d'ap-pliquer le spéculum, afin
des cas où l'opération a été bien faite, la plupart des ténotomistes
pensent
néanmoins que les faits où elle trouve son applic
é des opéra-tions auxquels ils se rapportent, et dans tous les cas il
pense
que M. Pauli, de Landau, les aurait devancées. Ce
traire est très en-foncé, surtout s'il est proéminent, il y a lieu de
penser
que les obliques concourent à la déviation. Mais
er quand l'œil est très difficile à fixer; mais d'un autre côté je ne
pense
pas, comme je l'ai entendu expri-mera quelques ch
ue l'on peut tirer dessus sans la déchirer. L'auteur de l'observation
pense
que cette bande est formée par le tissu cel-lulai
s la section de tous les muscles qui pou-vaient y concourir. L'auteur
pense
que cet accident peut tenir à un état de rigidité
à infirmer l'opération. La plupart des physiologistes et des médecins
pensent
en effet que la section des muscles de la langue
s que d'autres : ce qui avait aussi lieu pour le bégaiement. Comme je
pensais
que le dérangement dans le mécanisme du langage q
ous paraît louable, et, par les résultats que nous en avons vus, nous
pensons
qu'elle peut ba-lancer les succès obtenus par M.
ts ont été sanction-nés par l'expérience. La plupart des ténotomistes
pensent
qu'on peut à l'avant-bras, dans le cas de rétract
t qui, parla nature de leurs usages , sont fréquemment au repos. Nous
pensons
donc que les faits, comme la théorie, militent en
, un amoindrissement de l'inflammation qui s'arrêterait, comme on l'a
pensé
, à ses degrés infimes ou à ses préliminaires; c'e
e thèse dans son Emile. Les natures innocentes, les âmes pures qui ne
pensent
pas au mal, qui n’ont dans l'esprit rien de désho
idèle. Il lui procurait des ravissements d’esprit lors desquels 'elle
pensait
voir des choses admirables et entendre des harmon
humaine comme un être immatériel, doué des facultés de connaître , de
penser
et de sentir, et par conséquent doué de volonté e
loyé dans plusieurs acceptions ; j’appellerai ainsi la faculté de
penser
cl de connaître, et, prenant la partie pour le to
ion, l’âme se sert du cerveau, je dirai même a besoin du cerveau pour
penser
et connaître, à cause de la situation complexe de
on absolument nécessaire , les facultés inhérentes à sa nature ; elle
pense
sans cerveau, voit et entend également sans lui,
rts ne serait capable d’en faire autant. Nous sommes donc induits à
penser
que l’esprit se transporte vers les objets éloign
sera profondément modifié dans ses principes et dans sa pratique. Je
pense
donc encore aujourd’hui comme il y a quinze ans..
ue lumière. Nous nous bornons à publier ce que nous avons vu, et nous
pensons
que notre devoir de journaliste est de faire conn
la ville qu’il y revenait des esprits. Son pro-« priétaire avait donc
pensé
avec raison que rien n’était plus « propre à chas
o besoin que j'en aie, ;ï m'accorder aucun soulage- « nient, * Un
pense
involontairement, en lisant ces lignes, Job sur s
suivants : « Les choses sont « venues si avant que Dieu a permis (je
pense
, pour mes pé-« ehés) ce qui ne s’est peut-être ja
cuyers de l’armée avait vainement tenté de l’apprivoiser, et on avait
pensé
avec quelque raison qu’aucune discipline ne réuss
je serai à même de donner le complément de cette histoire qui, je
pense
, intéressera ceux qui cultivent sérieusement le m
on, qui s’est répandue en Russie avant sa réalisation, a, comme on le
pense
bien, illustré encore plus le nom de Wolkstager.
sa alors dans la chambre voisine, où se trouvait le médecin : — Que
pensez
-vous de l’état d’Albert ? — M. D..., répondit l
es vitales s’affaiblir et perd souvent la vie prématurément. D. Que
penses
-tu de l’avenir du magnétisme? R. Je le crois
Pourrais-tu donner quelques développements à celte pensée? R. Je le
pense
destiné à guérir la plupart des maux de l'humanit
et pouvez-vous nous dire comment se terminera l'élection parisienne?
Pensez
-vous qu'il y aura assez de votants pour la valide
veille, toutes mes pensées et toutes mes actions sont connues. Je ne
pense
rien , je ne fais rien qui ne me soit représenté
ne peuvent se produire? « 11 est certain que l’enfant nouveau-né ne
pense
pas ; que ses mouvements sont déterminés, comme c
ua variées, ont un champ illimité, «Nous n’entrons pas, comme oa le
pense
bien, danace dûr maine qui n'est pas. celui de la
écrouler tout l’édifice des communications des esprits , comme il le
pense
: elle ne fait écrouler que les conséquences cert
ts, pour qu’on pût le ramener décemment au logis. « Nous laissons à
penser
si ce fait a prêté aux coirmrTi-taires des commèr
te des facultés intellectuelles, la chose est plus facile qu'on ne le
pense
. Pourtant le choix de la spécialité est avantageu
ance, on peut se demander ce qu’en ont dit les savants, ce qu’ils ont
pensé
de leur venue et ce qu’ilsen on (écrit. Rien, ser
dans les annales de ces temps le rôle qu'auront joué les savants, que
penseront
-ils de celte coupable indifférence , de cette fai
remarquables. Je pourrais en «ajouter beaucoup d’autres; mais je
pense
que ce serait inutile pour les personnes que ceux
r les puissances de votre âme, voyez donc ces facultés merveilleuses,
pensez
donc à cette force créatrice dont elle jouit dans
ois communes ; d’autres magné-tistes, enfin, sans récuser la science,
pensent
que la foie t le dévouement suffisent pour obteni
sans répugnance, Buvons à ces savants altiers Qui, par humilité, je
pense
, Tiennent au rang des polypiers. Ces sommit
s croyance, Le plus honnête est un jongleur. 11 était ivre, je le
pense
, Lorsque Mabru se fit auteur. Réservons-lui for
Le conteste, envisagé de la sorte, peut-il, doit-il durer? Je ne le
pense
pas. Délivrons-nous du fanatisme et de la super
aujourd’hui sortent de la ligne habituelle de la clairvoyance, et je
pense
qu'ils seront lus avec intérêt même par les perso
le magnétisme se trouve privé d’un puissant moyeu de propagande, nous
pensons
que ce changement pourra tourner au profit de not
par les lois de discrétion pour parler de son livre avec détail, nous
pensons
qu’il nous permettra cependant de dire qu’il ne d
des choses visibles fléchisse à la volonté d’un ange rebelle. Mais il,
pense
que l’esprit malin peut prendre à cette fin un co
au moins en grande partie exacts. Ainsi il y a très-peu à reprendre,
pensons
-nous, dans le récit suivant qui nous est transmis
des corps humains, nous ne les admettons pas comme démontrés, et nous
pensons
que les vols aériens que croyaient opérer les sor
esprits. Il n'est pas, en effet, vraisemblablement si facile qu’on le
pense
de dire : celui-ci est bon, celui-là est mauvais.
re jusqu’ici mon mauvais français, vous devez en être rassasié, et je
pense
qu’il serait prudent de m’arrêter ici, car si je
ntion qui les dégoûterait en agissant différemment; car ils disent ou
pensent
alors que le spiritualisme ne peut être contraire
ls invoquent l’aide de Dieu dans leurs discours. » * J'ai souvent
pensé
, en voyant tant de misère dans le monde , que les
st de l’emploi des narcotiques, de l’éther et du chloroforme, nous ne
pensons
pas qu’elle ait jamais abordé le magnétisme à ce
emonte pas au-delà de quatre moi» à quatre mois et demi ; 3° Nous
pensons
qu’il est possible qu’une jeune fille soit déflor
its observés nous semblent tellement prodigieux, que nous inclinons à
penser
qu’un autre élément non moins décisif doit aussi
e , en prétendant par là faire triompher leur système athéiste. Que
penser
aussi de ceux qui ne voient que dans l’âme,immort
les plus graves qui puissent préoccuper les esprits sérieux. On le
pense
bien, tout le monde n’était pas du même avis sur
e du magnétisme; je ne suia pas un apôtre, mais un homme sincère, qui
pense
devoir dire ce qu’il sait et ce qu’il a vu. C’e
lanches étaient rangées dans l’affreux rictus de la bouche vide. Je
pensai
que cette infortunée élait sans doute tombée comm
écoulés sans que la justice eut l ien pu découvrir,'et déjà l'on y
pensait
plus quand une fille du même village rêve la nuit
ui demanda d’écrire, dans son sommeil magnétique, une lettre dont lui
penserait
le sens et le but. Elle le fit sans hésitation, e
but. Elle le fit sans hésitation, et c’était précisément ce qu’avait
pensé
M. de la Tour-du-Pin. Il m’a assuré dernièrement,
tant de fois cette femme avait transcrit littéralement ce qu’il avait
pensé
1 « Tout récemment, j’ai parcouru, comme tant d
sfait aux besoins de chaque heure par caprice d’es- prit? Nul, je
pense
; il y a, au contraire, une voix impérieuse qui p
aturel ou bien ne doit-on y voir qu’une intervention diabolique? Nous
pensons
qu’on ne saurait, sans prévention, admettre ce de
its de magnétisme, je me mis à l’essai pour savoir ce que j’en devais
penser
et asseoir mon jugement sur cette science. Mon he
dont l’aspect me. paraissait plus soleuaiel qu'étrange : ce cerveau a
pensé
, me disaia-je; unc ârne it toffi là. Et, entraîné
ivre a été apprécié, critiqué, combattu dans plusieurs journaux. Nous
pensions
que M. Auguez , n’étant pas circonscrit dans le c
oté de lui une jeune femme et deux enfants, tous vêtus de noir ; elle
pensa
que c’étaient sa femme et ses deux fils. Cette pr
, M. Auguez fait les réflexions suivantes : « Beaucoup de magnétistes
pensent
, et nous sommes de leur avis, que celle prohibiti
personne sur laquelle vous l’avez dirigé, celle à laquelle vous avez
pensé
. Dirigé d’un Heu élevé vers un lieu plus bas, il
américains quelques relations de cures attribuées aux Esprits ; nous
pensons
qu’il n’est pas sans intérêt de les rapprocher de
n , l'a pris à son Bervice. Il n’ignorait pas les faits précédents et
pensait
que, par le moyen du magnétisme, îl parviendrait
i m’a donné la consultation m’a prédit un grand voyage sur mer. Je ne
pensais
alors à aucun voyage, surtout à celui que je vien
les, et les Boms propres nous sont connus. A ce.sujet, chacun de vous
pensera
ce qu’il lui plaira dépenser. Mais il faut bien a
sent rougir rien qu’à l’idée qu’on pourra lui répondre sur ce qu’elle
pense
. —Ah ! sur M. D..., dit la somnambule, et la vi
Imposition des mains ; il y en a un dans cette ligne : se recueillir,
penser
à Dieu, vouloir le bien de son prochain, et Dieu
cet instrument, qui est complètement inconnu en, France ; car nous ne
pensons
pas qu’il s’agisse ici du petit appareil en papie
lui dis-je, vous savez ce qu’il est? — Sans doute, me répond-il, je
pense
comme M. Mabru et comme l’Académie. — Bien vrai !
qu’elle ne voudra point. Baron du Potet. LE NÈGRE PALE. « Que
pensez
-vous du magnétisme? Est-ce surnaturel, ou bien la
aux et qui lapideraient leur prochain pour se venger des êtres qui ne
pensent
point comme eux : rien n’est plus absurde au fond
la mar lade, examinez-la avec votre aplomb académique... Eh bien, que
pensez
-vous de son état ? Si on l’appelle, elle n’entend
j’ai dit plus de bien de Dieu dans un seul de mes vers, que vous n’en
penserez
de votre vie. » Ainsi le tonnerre amenait Voltair
ent cette façon de raisonner un peu précipitée ; non-seulement ils ne
pensent
pas qu’on soit en droit d’attribuer à l’action de
186, 309, 320, 385, 520, 524, 550. Médiums et somnambules. M. Morin
pense
que certains médiums auxquels on attribue des gué
fait avocat d’une théorie officielle pour récolter des places ou des
pensions
? qu’on s'engageait comme volontaire militant parm
ment les savants sont heauconp moins hostiles à leurs idées que ne le
pensent
les magnétiseurs. Les méde-dns instruits pour la
nces, niais seulement un dout« universel : temps plus proche qu’on ne
pense
, où la force remplacera la justice, où l'argot de
(1 Ma conviction une fois bien arrêtée, comme je l’ai déjà dit, je ne
pensai
plus qu’à organiser mon école, pour laquelle j’eu
que regret mon superbe édifice s’écrouler de fond on comble, et je ne
pensai
plus, comme on peut bien le croire, à la fondatio
voulu wnsi, en faisant cette démarche, répondre aux niagnétistes qui
pensaient
que l'avenir de la science magnétique me touchait
notre plainte peut-être entendue et jë vais même plus loin encore, je
pense
que l'homme a pouvoir sur les éléments et qu'il p
t se mit à travailler la terre, mais il n’avùt pas grand courage ; il
pensait
, malgré lui, au fantOme qui lui était annoncé. 11
s'ètre mis à bêcher le champ, il n'avait pas grand courage, et qu'il
pensait
malgré lui au fantôme qui lui étaitanooDcé. Ici l
. Fatigué plusieurs mois de cette idée, U en fit part à sa femme, qui
pensa
que c’était une maladie de l’imagination. Cependa
in doit avoir en lui quelque chose des facultés somnambidiques. Que
pensent
les magnétiseurs au sujet de la nature?lls ne nie
se passaient sous mes yeux qu’ils eussent rlen^ de surnaturèl ; j'ai
pensé
seulement que chez certains individus exiètaieut,
faire preuve d’un grand savoir; mais lorsqu’on se inet sérieusement à
penser
que, malgré tout ce que les hommes ont fait jusqu
e donc si nous possédions tout ce que cette grande nation a fait et a
pensé
? Où sont seulement toutes les tragédies de l’éloq
oxf.v, Kyù avtiv iig Yfiirmév i9Xi, « Non par Dieu, mais à bien
penser
, ce serait encore mieux « de le faire coucher dan
n quart d’heure se passe et rien ne vient réaliser mes espérances. Je
pensai
alors, non sans raison, que l’enivrement et la da
et faire ce que vous m’ordonniez si impérieusement. Mais qoe va-t-on
penser
de ma disparition ? On me cherche sans doute part
eux qui commençiùent déjà à ae rendre. EnCn minuit sonne, et chacun
pense
déjà à se retirer. Quant à moi, je suis le premie
n valsant, et qui s’était grièvement blessée au genou ! Je laisse à
penser
quelle lut la stupéfaction de toute lacoin-IKkgti
a recueilli et elle communiquedes faits assez importants pour quelle
pense
qne t Académie devrait encourager les recherches
ais commencée. Je fus distrait ea attendant les réponses, et comme je
pensais
à ce malade, j’obtins par la transmission de pens
oit-elle, avec le diplôme, leur octroyer la vertu nécessaire, ou bien
pense-t
-elle que les magnétiseurs viendront à l’appel du
s, dit Maugis i il dwrdie sa perte ; i) la trouvera plus tOt qu’il ne
pense
. ([ En même temps il s'en alla h l’écurie; déta
its de tontes ces choses? c La conscience de ceriaina se révolte fi
penser
que leur âme, parla suggestion d’une idée qni vie
u’Aciiilie aux eaux du Styx ? « Que les jours et les nuits, la mère
pense
à qui, venant desenu'ailles se suspendre à la mam
infaillible ne communique son infaillibilité à personne. « Nous ne
pensons
pas que cette digression puisse paraître superflu
ues parmi vos auditeurs, en-voyei-les*moi.., — Mais que devons-nous
penser
des phénomènes transcendants du magnétisme, de la
somnambule elle-même reconnut qu'elle n’observait pas celui que nous
pensions
, que le (luide du témoin venait vers elle en pass
d’indications mélangées? en un mot, quelle consultation? Vous devez
penser
quel triste résultat sur le client pour le médeci
our lequel un de mes amis me consultait au début de ma carrière. J'ai
pensé
que la communication de ces lettres offrirait de
éteintes, qu'il faut le fatiguer le soir, et surtout l'enipêclier de
penser
k une per-sonnne (il a un amour, et il allait me
urais répondu en renvoyant la consultation laudanisée, et je laisse à
penser
l'opinion qu'on aurait eue de mon observation et
e faire toutes les recherches possibles à ce sujet. Nous laissons à
penser
avec quelle impatience on attendit une réponse. L
ur ne pas nier les étranges phénomènes du magnétisme, il me suffît de
penser
à ce qui se produit dans le somnambulisme naturel
irations psychiques, métaphysiques, physiques, médicales. On pourrait
penser
qu'il devait être difilcile do gouvener ce qui
son, Tonton, tonton, tontaine, tonton. Plus d'un le reconnaît, ]e
pense
. Mais nul n'en montre le soupçon. Tonton, ton
otées, surtout dansl Avis au lecteur et dans l’Avant-Propos : Nous ne
pensons
pas qu’on doive dire : o L’art de se faire aimer
de se souvenir, je le démagnétisais. Quelques personnes pourraient
penser
qu'une semblable prolongation de l'étatmagnétique
ences s’il n’y eût été apporté un prompt remède. Mais, maintenant, je
pense
être complètement guéri à l’aide de quelques pass
ême, en dehors moi une décharge de fluide vers l’objet auquel j’avais
pensé
. Il était curieux de voir, quand ce jeune homme
i aucune douleur, et avec l’aide de cette substance Loméopathique, je
pense
être guéri en moins dc six jours. 2« séance. —
es, d'adoucir bien des ennuis III Ail ! monsieur le baron, quand je
pense
aux satisfactions ineffables que la pratique du m
nt un jour séparés des bons, et ce jour n’est pas si éloigné qu'on le
pense
, comme le prouve la bro-cbure que vient de publie
mer un séton qu'elle porte à la nuque depuis bull àneuf mois. Je ne
pense
pas, me dit sa mère, que jamais milady, quoi qu’e
ablir notre universalité, sur le désordre même de ses ruines. » Que
pensez
-vous, cher confrère, de ce spécimen de phéno-méni
te on le couvrait bien pour le faire transpirer. A son réveil, il n’y
pensait
plus. A la suite d’une longue mftladie nerveu90
vidu, elle est l'élément de notre être qui vent, sent, perçoit, aime,
pense
et raisonne. De l’exercice de ces facultés, elle
nd mariage ressemlile au premier mari, parce que la (efome continue à
penser
au premier objet dc scs affections et que soq cer
re instruit de ce qu’on attend de lui et s’y prêter, s’efforcer de ne
penser
à rien, pour que son cerveau passif soit accessib
mi de la vérité, quel qu en soit 1 autel, trouve en vous, comme je le
pense
, un libre accès pour tout fidèle interprète, je n
e de nos objections. L’article de M. Warlomont est bien écrit, bien
pensé
et logique au point de vue de son auteurj U renfe
les choses ? N’est-ce pas s’écarter d’une saine raison d'oser môme le
penser
? Qu’est-ce que l’homme, sinon un animal fol et ma
de mille inquiétudes? 'C Cependant le vulgaire stupiile el épais ne
pense
pas ; rempli de sa folie, il chante au milieu des
la nature sage et prévoyante en a usé ainsi ; car, en effet, si nous
pensions
avec délicatesse, qui pourrait supporter les ennu
e mort. tle l'hiver. Combien n'eu est-il pas d’assez imbéciles pour
penser
de cetie façou? Le genre humain enlier ne fait qu
et l'Olympe seront déserts ? Non, il faut être hébété pour pouvoir le
penser
. « Au contraire, il faut croire que de plus exc
nemis, fut de ne point aduii/ttrc « que riiuuiolatimi d'unhummequi ne
pense
pas comme le fanatisme, cïl une hostie ugrcahlc à
oint d’aulni que celte de Platon et de Socrale. Sur lu ciuie reçu, il
pensait
eommelesagB Aristide et le philosophe Muntcsquieu
, fut son seul et uiiique évangile. 11 passa soixante ans de sa vie à
penser
et à dire que moins les hommes ont de préjuges, p
oute pas, et qui d’emblée régente la question en néo-lliéoricien (1),
pense
avoir le lil d’Ariane pour nous conduire dans not
hère. La considération des mouvements planétaires nous conduit donc à
penser
qu’en vertu d’une chalear excessive, l’almosphère
ere, produire des manifestatioQs) ? D’après cette doctrine, C’est
penser
, cojííore («ci«» abitare, se mouvoir en soi-même)
sainte, du moin-i admetlons-la comme nn lcmoigna$;c de la manière de
penser
des anciens physiologistes, o {Téraloseopie àu fl
ère fois que le fait s’était produit, le paysan, réveillé en sursaut,
pensait
bien que c'était un voleur, néanmoins il s’était
A. Lobesz. (Ewaiiuria tiie, Strasbourg et Paris, 1803.) A ceux qui
pensent
ijue le eorpt ttul, dans ce qu’il en restait chez
tielUs des hôpitaux d'iliemagne. f,i8ez l’annuaire homœopa-thique. Je
pensais
vous en avoir cité sufRsdinmçnt pour que vous ne
résultats si inconcevables ? Trois quarts d’heure à peine. Je lalse à
penser
à mes lecteurs l’effet moral produit. Là, il n’y
eut bien y consentir, afin de faciliter vos réponses. Madame, comment
pensez
-vous appeler votre enfant? —Mon intention éuit de
tit mouvement de tête que j'interprétai facilement, — A quelle époque
pensez
-vous réellement vous délivrer? demandai-je à la j
eune femme. — Vers la fin du mois de juin. — Catherine, madame B...
pense
que vous vous trompez... Regardez bien et réponde
ez-vous pas aux questions qu’on vous adresse? — Je suis occupée... je
pense
à madame B... et je regarde la petite Louise ; el
it porté sur lui, il faut aussi nier ]'auto-magnétisation, et nous ne
pensons
pas qu’il vienne à l’esprit d’un magnétiste de ré
été le magnétisme ; nous avous (lu moins cette conviction, car uoiis
pensons
que le progrès ne s’accomplit jamais par des œuvr
ui signiQe littéralement ««¿ut gui fait dêÊ paiiet. (2) Bien que je
pense
que M. Reichenbacb prenne l’od pour le fluide erv
ensation. Quand je fis le premier tableau des réactions odiqoes, je
pensais
trouver des arguments en faveur de la polarité; j
ils font tout ce qu'ils voient faire. Ils resteront ainsi longtemps.
Penser
spontanément est toujours plus fatigant que pense
t ainsi longtemps. Penser spontanément est toujours plus fatigant que
penser
par autrui. Aussi, toutes les fois qu'un homme vi
i poussé, de sorte que I j'étais maintes fois absolument incapable de
penser
à autre chose. Les images de fantaisie à sujets s
comprendre ma vie antérieure et à me demander pourquoi je n'avais pas
pensé
, auparavant à repousser ma passion anormale par u
e dormait, et comme elle ne s'était pas réveillée depuis la veille je
pensai
qu'elle avait pris quelque narcotique. A l'appui
de résister aux impulsions dont ils sont les premières victimes, ils
pensent
trouver dans le traitement psychique un secours q
out aussi bien.— Ou aux cuisses? — C'est peut-être mieux encore. — Ne
pensez
-vous pas qu'un laxatif ferait du bien?—Sans doute
ssuyer ! Le Docteur Agame est un célibataire endurci. « Tant mieux,
pensent
certaines gens, cela l'empêchera au moins de conf
a suggestion soit employée méthodiquement et scientifiquement. Q'cn
pensent
les directeurs des services de santé aux ministèr
ment de la pen-sée? Moins exclusifs que le professeur de Vienne, nous
pensons
, nous, que la clinique et l'anatomie pathologique
tation mécanique sont rigoureusement parallèles (Mœbius). Aussi ai-jc
pensé
que, pour résoudre cette question, il y ' avait l
ues sans causer aucune douleur aux patients: il ne peut s'empécher de
penser
a l'étonnement de ses collègues lorsqu'ils ont ob
océdé thérapeutique a encourager, M. Norman Kerr oppose a ceux qui le
pensent
les objections suivantes : 1° L'hypnotisme ne peu
r cette râleur. Quant a l'importance thérapeutique de l'hvnotisme, il
pense
qu'elle est encore très limitée mais que ses heur
est plutôt une modification psychique qu'un trouble organique, et il
pense
que ce mode de traitement doit être appliqué lors
u'il a observes dans la névrose traumatique. M. Thijssen (de Paris)
pense
que la discussion qui vient d'avoir lieu n'a pas
sie-abasie tous les faits dans lesquels existent ces associations. Il
pense
que dans ces cas le trouble fonctionnel dépend de
Blocq sur la nature de l'affection. Contrairement à ces ailleurs qui
pensent
que l'abasie est un trouble — de nature hystériqu
icable qu'à un nombre limité de personnes, plusieurs auteurs ont déjà
pensé
, avant nous, qu'il n'était pas sans intérêt de pu
remière séance, elle est profondément endormie. Nous lui suggérons de
penser
toute la nuit en dormant qu'elle pourra, le lende
chique contre certaines affections organiques du système nerveux nous
pensons
néanmoins qu'elles ont assez de valeur pour mérit
café. Elle resta plusieurs jours malade. En temps ordinaire elle ne
pense
pas au suicide, mais aussitôt qu'elles une contra
dans ses bras, lui demandait pardon de sa conduite. Que faut-il
penser
des faits de ce genre ? A mon avis, ils s'expliqu
(1), Coulson (2) et d'autres auteurs rapportent des faits analogues.
Pensez
-vous que des simulateurs eussent consenti à subir
avec la psychologie, les maladies mentales et nerveuses. » Nous ne
pensons
pas que la nouvelle revue réponde à un besoin, au
xiété, rien qu'en les invitant à regarder fixement ces boules. Nous
pensons
que le transfert, la fascination, les miroirs rot
tzing et moi n'avons jamais hésité à faire connaître nos insuccès. Je
pense
qu'il faut éviter tout ce qui peut provoquer des
end ainsi une importance pathologique de plus en plus grande. Wille
pense
que les obsessions sont, plus souvent qu'on ne le
ts oiseaux tombent foudroyés lors de» premières détonations. L'auteur
pense
pouvoir rattacher ce fait à l'hypnotisme it non A
e chose que quelques faibles plaintes. _ Comme conclusion, l'auteur
pense
qu'on pourra peut-être utiliser l'hypno-tisme com
s sujets, des suggestions criminelles ou délictueuses ; 2" Ceux qui
pensent
que les sujets en accomplissant la suggestion cob
dans leurs rapporti avec la jurisprudence et la médecine légale, nous
pensons
qu'il peut y avoir quei-qu'intérèt, avant de repr
une lésion cérébrale (emboli ou hémorrhagie). On était plutôt amené à
penser
qu'il s'agissait là d'une des nombreuses variées
du diagnostic, et les membres qui y prirent part furent d'accord pour
penser
qu'on n'était pas en face d'un cas de véritable s
de du sommeil apparent, il n'avait cessé de se croire damné, et qu'il
pensait
accomplir un devoir en sabitenant de toute manife
stoire il va un instant : ils se figure qu'une autre personne sent et
pense
à leur place. M. Azam a vu, à l'asile des aliènes
les disaient que le diable s'était installé dans leurs membres, qu'il
pensait
par leur esprit, qu'il dominait leur volonté. C'e
pre personnalité; et se créant une personnalité nouvelle, elle parle,
pense
, agit absolument comme elle se figure, avec tes r
res-sources de son imagination et de sa mémoire, que devrait parler,
penser
et agir une religieuse, une petite fille, un mate
saires de la théorie des localisations cérébrales. Quoique M. Bateman
pense
avec Hughltngs Jackson et d'autres que les phrase
ne de Paul Broca sur la localisation de la parole. Le médecin anglais
pense
plutôt que, quoique certaines parties Oc Pêcorc
-nistn teste I l»j Lingnate. Mes études sur l'idiotisme m'ont porté A
penser
que ie langage est l'apanage d'une certaine haute
re dupes de faits mal observés ou falsifiés ? « Nous ne l'avons pas
pensé
, laissant a chacun !a liberté et la responsabilit
mander une légère rectification de votre compte rendu. Je n'ai jamais
pensé
que ces psychoses étaient des * maladies distinct
ce qui n'a jamais été mis en doute par personne, qu'ils n'ont jamais
pensé
que l'hypnotisme et la suggestion hypnotique aien
M. Brouardel un savant qui ne vînt pas directement de Nancy, vous n'y
pensez
pas sérieusement Ce qu'il fallait, c'était un nan
ue réellement la scène qu'elle reproduit dans son délire. Elle parle,
pense
, agi:, comme elle parlait, pensait, agissait à ce
produit dans son délire. Elle parle, pense, agi:, comme elle parlait,
pensait
, agissait à cette époque. Elle ne se rappelle rie
conque de sa vie passée et en l'endormant brusquement pendant qu'elle
pense
à cet événement; 3° En excitan: certains points
z longtemps, nous devons le reconnaître, nous avons eu une tendance à
penser
que les expérimentateurs dont nous venons de cite
proclamant qu'elle peut transformer | l'honnête homme eu méchant. Je
pense
qu'eu ceci ils se trompent. Mais que ne rassureut
r (1) les victimes des Hansen et des Donato, auxquels M. Liégeois (2)
pense
« qu'on doit une certaine reconnaissance pour la
C'est k Petelin qu'une cataleptique répondait à la question : « Que
pensez
-vous de la médecine ? — C'est un bel art. Le ciel
ter contre l'interdiction des séances publiques d'hypnotisme. Noos ne
pensons
pas que leur condescendance paisse aller jusqu'à
lui sembleDlcollés l'un contre l'autre ou elle les croit morts. Elle
pense
que j'ai un * pouvoir magnétiqne » sur elle, que
essai de l'hypnotisme appliqué à l'accouchement. J'avais, comme on le
pense
, accepté cette proposition avec empressement. Mal
et nous laisser croire ainsi que notre expérience avait réussi. Je
pense
à celte objection en me rappelant l'accouchement
allier, Auvard, Secheyrou, de Jung et d'autres observateurs ; mais je
pense
que celui que je vais relater est le premier qui
t susceptible d'être hypnotisée au point d'arriver à l'anesthésie, je
pense
qu'il sera indiqué d'appliquer ce procédé, si les
par suite confuses. La neurasthénie ¦ n'est pas ce qu'un vain peuple
pense
», c'est à dire l'agglomération vague et illimité
s peuvent constituer ce délit d'exercice illégal de la médecine, nous
pensons
qu'elle a fait une mauvaise interprétation de la
ires pour des vomissements incoercibles nerveux de longue date, avait
pensé
que la suggestion serait peut-être utile. L'afT
sa sans qu'elle exécutât la suggestion. Elle paraissait môme n'y plus
penser
et causait tranquillement avec les personnes prés
La malade qui lui sert d'institutrice lui est bien connue, mais elle
pense
qu'elle n'est à la Salpêtrière que depuis un mois
en personne ? Mais d'être ainsi prôné ne doit guère lui plaire, je
pense
. H se trouve assurément plus à l'aise dans son mi
ous avons pu éliminer l'idée de névralgie dans le tronc du nerf. Nous
pensons
qu'il s'agissait d'un rhumatisme diffus occupant
du goût, de l'odorat, du tact, de la sensibilité viscérale), donne à
penser
que la couche corticale du cerveau ne reste pas é
a science elle est devenue susceptible d'extension. C'est ce qu'avait
pensé
Azum, lorsqu'il fit connaître en France les trava
sciences fl. Ses élèves ont continué à partager cette opinion et à
penser
, non sans apparence de raison, que les phénomènes
l'hypnotisme comme une névrose expérimentale à plusieurs degrés. Ils
pensaient
que l'hypnotisme est un processus essentiellement
is a laissé après elle l'état mental actuel. Aucun signe ne permet do
penser
sérieusement à une méningite. D'ailleurs, cette m
et lui a témoigné qu'il a un élaîgncmcnt entier du monde et qu'il ne
pense
qu'à se donner à Dieu. M. Singlîn fit tout ce qu'
mental et la dissociation psychique pendant le sommeil normal. Bichat
pensait
avec raison que chacun des organes de ia vie de r
gnétiques violents sur un des cotés de la face. Il y eut, comme on le
pense
bien, une contraction énergique des muscles de la
t, au lieu que le malade soit guéri, comme il l'espère et comme il le
pense
, la paralysie se déplace simplement et passe du b
lonté, et encore parce quelque chose qui nous échappe et qui nous ùit
penser
au-delà des images du rêve dont parlait Anatole.
dans le temps ou dans l'espace (Axchaffcnbu rg). En réôiiiué, nous
pensons
, â ii; suite de nos recherches, que le pre-bîciue
état psychique dont le caractère est la suppression de la faculté de
penser
avec conscience, nous voyons dépérir, en premier
ors que la malade vint k la clinique du D'Bérillon, le 8 juin. J'ai
pensé
aussitôt à l'hystérie, mais je n'ai rien trouvé d
hypnotisme, la plupart des auteurs n'en disent pas un mot. M. Grasset
pense
que « cet agent ne saurait avoir aucune action su
r d'autres plus néfastes encore./page> page n="83"> On peut
penser
que Jacqueline et Gilberte n'eurent guères d'autr
eds sont bien développés, les dents régulières et peu usées. M. Bidon
pense
que les troubles circulatoires et la suspension d
: il lut fié-* vreusementce rapport. Quelques jours plus tard il n'y
pensait
plus. Mais la destinée veillait : l'obscure petit
; naturellement les sorciers en garantissent l'efficacité; mais qu'en
pensent
les matous ! Dans ce infime pays, on recommande
. Les vaisseaux cutanés du conduit sont très dilatés, ce qui laisse à
penser
que l'hémorragie se fait par rupture de ceux-ci,
offre un caractère de parisien affiné et sympathique. Uien ne fail
penser
au philosophe mordant qui dit brutalement des vér
contradictoires que difficiles à surmonter. En premier lieu, je dois
penser
au grand nombre de fautes, do négligences, concer
dés que les mucosités doivent être expectorées de la poitrine. Ils ne
pensent
jamais que, par les efforts de toux, de nouvelles
lui laisser sa prise, pour l'aider a oublier l'alcool,au cas où il y
penserait
encore,s'il voyait boire. Il ne boit plus que d
érillon, Ribokoff et tous ceux qui se sont occupés de îa question, je
pense
qu'il faut l'abstinence totale et la surveillance
; Si la mode de cette correspondance psychique venait à prendre, ne
pensez
-vous pas que le fameux cible inauguré par Mac-ICi
des récipients afin de faire cuire leurs aliments avec le feu qu'ils
pensent
sacré. ß Nous descendons sur les bords du foyer
nt trop ? De tout temps le populaire a eu la ferme croyance que, de
penser
cons' taroment à une partie du corps ou à un orga
ets qui avaient passé spontanément à l'état hypnotique et qui avaient
pensé
aux suggestions, ont pu être amenés à se souvenir
distingué collègue de Lille. Comme lui et pour les mômes raisons, je
pense
que ce procédé est appelé à rendre de grands serv
endant sans provoquer en nous aucun trouble.Est-ce parce que nous n'y
pensons
point? Les raisons de cette indifférence sont e
ormula l'évangile de la foi spirite. Mais comme Swedenborg, Naundorff
pensait
communiquer moins avec les morts qu'avec les Ange
ectif de lésion organique du système nerveux. Toutefois, nous avons
pensé
que les hemispheres cérébraux jouaient, dans ce c
, pour d'autres raisons que la supérxoriiê providentielle de l'homme,
pensent
, avec Spencer, par exemple, que l'instinct est un
Mais vous, vous l'avez vu. Reconnaitriez-vous l'assassin? R. — Je le
pense
bien. Je lui passe alors un portrait. R. — Oh!
dernière dans un accès de folie subite et aiguë. ' Que devons-nous
penser
aussi do ce lubeivulcax maniaque qui, obligea s
semble fréquent chez les tuberculeux et il n'est pas déraisonnable de
penser
qu'il peut être la conséquence directe de l'infec
'il peut être la conséquence directe de l'infection bacillaire. Nous,
pensons
qu'il en est de l'infection tuberculeuse comme de
eintre. Le peintre voit son tableau avant de l'avoir commencé. Il y
pense
, il choisit le sujet, il voit les personnages. S'
ail se fait dans le centre nerveux par autosuggestion. Voici ce que
pense
le peintre dans le recueillement et le silence de
ouleur sera vive et gaie. « Je travaillerai sans distraction. Je ne
penserai
qu'à mon tableau, et je trouverai ma récompense d
ns sa tête un idéal de beauté qu'il veut traduire par le marbre. Il y
pense
le jour, il y pense la nuit, il voit sa statue en
de beauté qu'il veut traduire par le marbre. Il y pense le jour, il y
pense
la nuit, il voit sa statue en tous lieux dans sa
ours, en tous lieux, à toute heure./page> page n="262"> Que
pense
le sculpteur dans la contemplation de l'œuvre fut
à venir. Il est bien évident quo nous ne faisons que résumer ce que
pensent
le peintre, le sculpteur et l'architecte. Ce n'es
erson--nelles. Dans le recueillement et le silence de la nuit, nous
pensons
: Le nombre des malheureux est très grand. Commen
et cette haine. Si l'acteur doit faire une déclaration d'amour, il
pense
cette déclaration, il la fait sienne, il se l'imp
'imprime à lui-même, et cela par pure auto-suggestion. L'acteur qui
pense
ce qu'il dit, l'acteur qui éprouve les sentiments
ur qui ne fait que réciter sans s'être servi de l'autosuggestion pour
penser
lo rôle, l'acteur qui ne pense pas ce qu'il dit a
s'être servi de l'autosuggestion pour penser lo rôle, l'acteur qui ne
pense
pas ce qu'il dit a un jeu différent. Ce sera un v
s problèmes; c'est-à-dire qu'il s'abstrait du monde extérieur pour ne
penser
qu'aux questions de philosophie. Il s'impose ces
suggestion a lieu naturellement chez presque toutes les personnes qui
pensent
. Le plus souvent, l'auto-suggestion forme un ense
nes dévotes oublieuses de leurs devoirs. Et je ne suis pas éloigné de
penser
que la béatitude mystique n'est qu'une forme subl
particulièrement sur les symptômes. Malgré cela, je suis, comme on le
pense
, très insuffisamment éclairé sur le cas de/page&g
e cas si complexe n'a demandé que dix-neuf séances quotidiennes. On
pense
bien que je n'ai pus négligé de faire faire une n
gieuse, de facultés de raisonnement très développées, ses aptitudes à
penser
, à réfléchir, à associer des idées, à compter, à
bouche . En vertu de ces observations et en excluant la rage, j'ai
pensé
avoir affaire à une pseudo-rabies à base suggesti
un autre chat. Mais cela même n'est pas toujours facile à obtenir. On
pense
bien que des cas de ce genre sont justiciables de
riques aussi les polyuries dites trauma-tiques. Il est rationnel de
penser
que l'alcool ou l'émotion, localisant la névrose
it qu'il va trouver du repos. — ß C'est folie d'emporter cet objet »,
pense-t
-il, et il le jette sur le toit d'une maison basse
it nous priver volontairement d'un agent thérapeutique précieux. Nous
pensons
que ceux qui resteront fidèles à la doctrine de l
toute croyance et la dégradation physique de l’homme, il est doux de
penser
qu’une découverte s’est faite, et qu’il résulte d
mon tour devenir l’agresseur : dans aucun cas semblable on no doit y
penser
. J’avais d’ailleurs perdu la seule ressource que
Olse). SchufThousen, en Suisse, ce 20 avril 1798, • Jenesçois que
penser
de votre silence, cher et respectable ami ; je vo
; il est à présumer qu’ils ne s’écarteront guère de leur routine. Je
pense
qu’il seroit bien à propos do faire en ce moment
ssent, sans en chercher l’augmentation ou ln diminution. Lorsque vous
pensez
que tout le corps a été parcouru par lo magnétism
st pas un empirisme aveugle, mais une méthode raisonnée. Quoique je
pense
que le premier principe de toute connoissance hum
nce thérapeutique du magnétisme dans le traitement des maladies où je
pense
qu’il est de la plus grande utilité. Je vais ci
a douleur n'a plus reparu. D’après ce résultat et quelques autres, je
pense
que le magnétisme devrait fixer l’attention des c
augmentation d’action avec diminution de la puissance musculaire, je
pense
que les malades peuvent éprouver le plus grand bi
que son côté irait bien, et c’est ce qui s’est en effet vérifié. Je
pense
que dans ce cas l’union du magnétisme avec la méd
priétés nouvelles dont peut se revêtir l'agent magnétique, lorsqu’une
penser
créatrice a dit, comme Dieu : Je veux que ceci s'
role fut celle-ci: « Eh bienj le 72° 26 est sorti, je le vois. — Vous
pensez
donc voir les numéros?— Certainement. — Alors dit
examinée par le Saint-« Siège. N’ayant pas reçu d’autre réponse, nous
pensons
qu'on «doit tolérer l'usage du magnétisme jusqu’à
le comte Des Nos, relativement à des dartres guéries en trois jours,
pensent
que certains magnétiseurs ont le pouvoir de guéri
ar, dès qu’une chose pouvait se présenter aux yeux, je n’avais qu’à y
penser
dans l’obscurité; je la voyais paraître comme un
modernes sur l’usage de cet organe? Chaque homme ayant sa manière de
penser
, les spirilualistes et les matérialistes nous
r troubler les corrélations de tout l’organisme.' Il est naturel de
penser
que ce viscère, siège de tout ce qui est l’homme,
ombeau avant que le succès n’ait couronné ses recherches. Depuis on a
pensé
que ce que de son vivant on appelait une vision p
t l’opinion que les nerfs sont creux, cette disposition m’a conduit à
penser
qu’un liquide doit nécessairement circuler dans l
s il possède de fluide magnétique. Par induction ne pourrait-on pus
penser
que c’esi encore ce fluide qui, dans une forme no
. A. E", «L’âmen’est pas une chose,c’est une pensée. » Pourma part je
pense
qu’une pensée sans penseur est chose que tout hom
part je pense qu’une pensée sans penseur est chose que tout homme qui
pense
ne pourra concevoir. Si l’âme est un être indépen
s successivement depuis par plusieurs médecins ou magnétiseurs. Je ne
pense
pas qu'on eût, avant 1820, coupé, brûlé, taillé l
efois magnétisé, m envoya chercher pour lui, car il était paralysé et
pensait
que je pourrais le guérir. Comme je ne connaissai
crus pris et dirigé sur la route do la frontière. S’il en est ainsi,
pensai
-je, mes peines sont Unies ici, et, loin de me p
, je sortis de chez M. Marcillet, la tête en feu, ne sachant plus que
penser
el que croire, car enfin Alexis avait dit vrai.
ers s’étaient, par curiosité, dispersés dans chaque chambrée. Nous ne
pensions
guère voir se renouveler la scène de la veille. L
ait d’abord à l’effet du magnétisme : je voulus savoir un jour ce que
pensait
de lui un autre malade en crise; je pris, sans ré
uide magnétique. Contrairement â l’idée généralement répandue, nous
pensons
que le fluide magnétique ne tire point uniquement
erte est utile, et c’cst une raison de plus pour ne point l’examiner.
Pensez
-vous que les malades vont accourir en l'oule cher
patientes (que j’ai présentée aux docteurs Ellioston et Engledue), je
pensai
que Vin-sensibilité, qui est la concomitance inva
serait-il fou? Nous répondrons non, sans doute, quoi qu’on en puisse
penser
. Les anciens, nos pères enfin, que dans notre o
différence nest point vraiment aussi grande qu’on pourrait d'abord le
penser
, car, au fond, la cause doit être de même nature
la nuit suivante pour recommencer l'expérience. » Dieu m’en garde, »
pensai
-je, et, comme j’avais pris congé de mon hôle, le
ité des recherches auxquelles il a donné lieu. On esl étonné quand on
pense
qu’en un demi-siècle le somnambulisme puységuriqu
s encore assi'/. mûre pour être bien Irailée. Les phrénomesmérislcs
pensent
que, eu magnétisant isolément chaque organe phrén
ui fait supposer qu’il laisse des manuscrits précieux à consulter. On
pense
généralement qu’il a dû les léguer à sou ami, l’a
étisme, vigilante pour tout ce qui touche à l’avenir du mesmérisme, a
pensé
rendre un service à lu cause qu'elle soutient en
me, mais il jugeait qu’on devait donner au malade un purgatif. Moi je
pensais
qu’aucun médicament n’était nécessaire, car l’enf
Al HA\RE. —Los zélateurs du mesmérisme sont plus nombreux qu’on ne le
pense
. Dans quelque lieu qu’un fait se produise, il tro
uis un mois la cause du magnétisme a fait plus de progrès qu’on ne le
pense
. On a fait grand bruit du refus des corps savan
ait été une chose volontaire de la part de l’honorable rapporteur. Je
pense
ou qu’il n’a pas entendu toutes les paroles de MM
les diverses observations contenues dans les ouvrages de M. Du Polet,
pense
, aucontraire, qu’il faut remuer puissamment l’org
onfondait la raison par des improvisations sur des sujets quo l’on ne
pensait
pas qu’il eût jamais approfondis. Il se moquait d
onnut la cause, et me dit qu’il en avait déjà vu un pareil. Nul, je
pense
, ne sera tenté d’imiter ce jeune homme, mais chac
on. 3n I.a santé n’exclut point la susceptibilité au magnétisme; je
pense
même qu’elle est favorable au prompt développemen
s opinions des magnétiseurs, j’ai pu, au commencement de ma carrière,
penser
comme eux; mais aujourd’hui je vois qu’ils étaien
étiseur novice a obtenu quelques accès de somnambulisme, i! s’exalte,
pense
que rien n’est plus facile que !c produire cette
ruira l’éretisme nerveux, el elle « tombera dans le somnambulisme. Je
pense
qu’il « n’est nécessaire d’aucun médicament, le m
j’obtins le même résultat. Voyant sa sensibilité au magnétisme, je
pensai
qu’il lui était nécessaire, et je continuai le tr
st. Le doc1 tour Alcock fui très-éionné, mais continua cependant de
penser
qn'il devait y avoir quelque collusion. (A médi
résenté? La commission esl, dit-on, divisée d’avis sur ce point. Nous
pensons
, nous, qu’on doit préférer le Mesmer de 1784, cel
tions de votre esprit se traduisent eu actes, et qu’à peine vous avez
pensé
qu’un messager invisible a déjà transmis le rudim
oisonné des méchants a-t-il altéré mon désir de bien faire ? Je ne le
pense
pas, car je n’ai pas quitté un instant le sentier
e, et d’avoir élé le chef-lieu, le centre, le mobile de la liberté de
penser
. « Un seul des convives n’avait point pris de p
ement, tout à fait original, et expose dogmati- quement sa façon de
penser
sur l'idée fixe ou prévalente. Ses manières de
, indiscutables, par elles-mêmes, sans les contrôler. Celui qui les
pense
, les analyse ; il en creuse en rumine, sans tro
, et sans qu'il soit besoin d'être grand clerc, on a des raisons de
penser
que c'étaient là des inventions futiles auxquel
s phrases, concourt normalement à régulariser la pensée au cordeau.
Penser
ou répondre à une question, c'est trouver une i
mme, devenir des motifs d'action. C'est par elles que celui qui les
pense
ap- précie ses conceptions ad valorent d'après
ersonne. Sans doute, souvent, on l'entend se plaindre de ne pouvoir
penser
à autre chose, mais il la consi- dérera néanmoi
chée ostensiblement ou indirectement par un monsieur qui n'a jamais
pensé
à l'épouser et tutti quanti. L'absence de bas
ère origine matérielle de sa genèse ? `l Voici un homme normal, qui
pense
sans cesse à plusieurs choses presque en même t
ts combinés qui n'atteignent pas leur but. C'est pour- quoi LEU nET
pensait
que la folie n'est qu'une erreur et que, comme
s fixes morbides. C'est comme cela parce que c'est ainsi, répond ou
pense
l'aliéné. 3° Quels sont les signes différentiel
n délire qui transforme radicalement la personnalité : le Moi sent,
pense
et veut d'une façon toute différente. C'est a
é prononcé par les juges, aggravent son délire et lui font dès lors
penser
qu'il est revêtu de la toute- puissance, ou, su
ignets. Il n'existe aucune modification de la sensibilité. L'auteur
pense
qu'il s'agit dans ce cas d'une poliomyélite chr
jusqu'aux régions postérieures de l'écorce cérébrale. Les s auteurs
pensent
que les troubles de la vision sont probablement
de lésions organiques ou de néoplasmes très étendus. De même, nous
pensons
SOCIÉTÉS SAVANTES. 63 que les aliénées doiven
n leur pouvoir d'atténuer ou d'éviter ? Pour notre part, nous avons
pensé
qu'il était cruel de ne pas intervenir, et nous
libre cours à leur imagination douée d'une activité morbide, elles
pensent
il des attentais odieux commis sur leur personn
r. 20 pour celui de la Corse; 1 fr. 35 pour celui d'Alger. Prix des
pensions
. 1'° classe, 1.600 francs, 4 fr. 38 par jour; 2
espère que vous me tendrez la main, à. votre fils, qui n'a cessé de
penser
à vous, et qui vous aime. « J'ose espérer, ma t
ntailles au bras gauche et aux deux jambes, vers le cou-de-pied. Il
pensait
, dit-il, être plus tôt réuni à Dieu. Dans une l
voudrais bien coucher ». Tout d'abord simplement troublée, elle n'y
pensa
guère, mais plus tard cette idée lui revint et
en un mot, elle se séquestre pour éviter la scène à laquelle elle
pense
sans cesse et qu'elle redoute de voir survenir.
parole et sur sa pensée, on lui fait dire le contraire de ce qu'il
pense
. On l'insulte incessamment de Hollandais, de Prus
ulins et autres mécaniques endiablées, comme celle qui me fai- sait
penser
que pour toutes les petites bêtises que j'avais c
HUMÉRUS GAUCHE. 121 1 tile. C'est à la paralysie infantile que l'on
pense
d'abord : les déformations qu'elle produit sont
ntion se fixe avec peine, il n'a aucune curiosité ; en un mot il ne
pense
pas beaucoup. On peut encore invoquer en faveur
tat au physique et au moral, deux mois après son entrée. L'auteur
pense
que, dans ce cas, l'emploi de la méthode lente
les penseurs. On l'appelle diblraction : alors que le cerveau vit,
pense
, que la personnalité, par conséquent, continue de
Worobieff sur les particularités psychiques des sujets examinés. L.
pense
que la combi- naison des stigmates physiques et
pointe du coeur, comme chez l'un des deux myotolliques. L'auteur
pense
que la maladie de Thomsen est une affection con
celui d'une démence précoce chez une épileptique. M. Toulouse ne
pense
pas que l'histologie de la paralysie géné- rale
re atteint, on constate une légère atrophie musculaire. M. Brissaud
pense
qu'il s'agit d'une artérite goutteuse qui déter
mais il ne la fera point passer dans le membre sain. Il ne peut pas
penser
que l'on commence par déplacer son mal, ce qui,
étant réels. Il s'agit dans ces cas, non pas de révulsion, comme le
pensait
Bail, mais de perturbations nutritives qui atteig
ue va-t-elle corroborer celle conclusion ou nous conduire, comme le
pense
Broadbent, à admettre l'existence d'un syndrome
lobe frontal. Comme le dit Broadbent, l'apparence exté- rieure fait
penser
à l'existence d'une pression interne éner- giqu
Cette conclusion est bien en rapport avec ce que nous avait laissé
penser
certains faits cliniques qui nous montraient de
ue l'apoplexie progressive corresponde, comme tendrait à le laisser
penser
Broadbent, à un syndrome anatomo-clinique .préc
nerf parviennent à se mettre en contact. L'auteur est même porté à
penser
, mais il ne saurait actuellement le prouver par
on, il n'est pas besoin qu'il dorme, il n'a qu'à fermer les yeux, à
penser
fermement à sa santé et à songer à ce qu'on lui
il répond spontanément « qu'il croit que la plupart du temps, il ne
pensait
à rien ». Au point de vue physique, l'état de n
être la caractéristique clinique. » Il nous paraîl donc légitime de
penser
qu'il n'y a pas eu simplement un rapport de coe
ours d'origine toxi'infectieuse, et, d'autre part, il est permis de
penser
qu'une infection ou une intoxication d'ori- gin
ayeur ou les chagrins produisant une maladie mentale, peuvent faire
penser
à une influence plus forle de ces mouvements ps
se tenait au courant des travaux de Charcot et de ses élèves, et il
pensa
de suite à l'existence d'un pseudo-tabes hysté-
eudo-tabes hysté- rique. Il rassura son client et lui déclara qu'il
pensait
pouvoir l'améliorer et peut-être le guérir, et
à peu, sans toutefois disparaître complètement. L'auteur incline à
penser
qu'il a eu affaire dans ce cas à une polynévrit
ossibilité de respirer par le nez, de renifler et de se moucher. Il
pensa
d'abord qu'il se trou- vait en présence d'une d
ant éliminé toutes les causes d'insuffisance nasale, il en arriva à
penser
qu'il avait affaire à un trouble d'ordre psy- c
côté des altérations parenchy- mateuses primitives. M. Marinesco
pense
avoir démontré que la conception analomo- clini
e M. Nordau qui considère ce mouvement comme signe de décadence. Il
pense
que ces ten- dances mystico-symbolistes forment
1L la localisation du foyer dans le corps optique. M. KOR1\ILOFF
pense
que l'affection pourrait êlre d'origine post- i
side dans la dégénéra- tion de l'écorce cérébrale. M. KOJEWNJKOFF
pense
que les phénomènes cérébraux orageux et 336 soc
re de la lésion, dans l'absence de toute cause d'embolie doit faire
penser
à une hémorragie médullaire, notam- ment sur l'
s hémorragies dès l'enfance. SOCIÉTÉS SAVANTES. 339 M. KoJEVKmoFF
pense
que le rappoit causal entre les hémorra- gies e
ntre avec un couteau. Il a été transporté à l'hô- pital du Mans. On
pense
que ses blessures ne sont pas mortelles. (Petit
oreille) et le cobaye (3 centimètres cubes dans le péritoine). Nous
pensons
que ces insuccès peuvent tenir au vieillissemen
ractères de ses cultures sur milieux solides (agar, gélatine). Nous
pensons
avoir eu affaire à une forme un peu spéciale de
xpli- cation à ce phénomène pathologique. Normalement, quand nous
pensons
à quelque, chose, nous faisons appel à nos dive
moi, dit M. G. Ballet, comme chez la plupart des moteurs, quand je
pense
, la parole intérieure devient sou- vent assez v
end parfois plus haut que la ' zone de thermo-anesthésie, permet de
penser
qu'il existe peut- être dans le faisceau de Gow
zone de dégénérescence est de plus en plus pauvre, ce qui permet de
penser
qu'une très faible partie des cordons postérieu
la section transverse expérimen- tale des racines postérieures, et
pense
qu'il s'agit plutôt alors de la destruction de
appelé l'attention (Bullet. Soc. anthrop., 1896, p. 101), M. Tarde
pense
que chez eux et chez toutes les nations ancienn
nte avec hyperthermie, indiqués plus haut, permettant au moins de
penser
à un foyer de ramollissement, le médecin pourrait
nt que facteur de la sen- sation de mouvement. Pour notre part nous
pensons
que si dans la production de la sensation brute
rices conservées dans la mémoire. Tout le monde est d'accord pour
penser
que les premiers mouvements du foetus comme aussi
ux. Le médecin, en raison des habitudes éthyliques de son client,
pensa
à une gastrite alcoolique et le mit au régime du
tate des throm- boses veineuses de la pie-mère, anciennes. Il est à
penser
que celles-ci ont en pour origine l'affection r
égère du côté droit, et l'aphasie senso- rielle. On arrive ainsi il
penser
que la tumeur siège au milieu de l'ensemble des
même côté (droit), rapprochés de l'hé- mianopsie droite, engagent à
penser
qu'il y a eu aussi lésion de la partie postérie
ypochondriaque, éprouve des sensations pénibles dans le périnée, ne
pense
qu'a sa vessie, et souvent ne peut pisser qu'à
ons de l'épendyme, léger trouble de la pie-mère à la base. L'auteur
pense
que l'alcoolisme chronique a provoqué les lésions
ire a été lésée avant sa réunion au plexus brachial, ce qui donne à
penser
que la branche sensitive correspond à une autre
e dix-sept ans ayant d'abord pré- senté des accidents permettant de
penser
à une néphrite avec uré- mie. Mais la lenteur d
effets physiologiques de l'alitement encore peu étudiés paraissent,
pense-t
-il, être les suivants : il modère et régularise
artérite ni endophlébite. Ces résultats histologiques permettent de
penser
que l'écorce cérébrale et ses lésions entrent p
as attaché et qu'il n'y avait pas d'infirmiers pour le garder. Nous
pensions
même qu'il aurait presque été humain de l'encha
cédé Lande et Régnier e modité de l'appareil Spr plus, nous avons
pensé
q utile de construire un moins embarrassant q
ux) et périarticulaires fibreuses et à évolution lente. Les auteurs
pensent
que la radiographie permettra de multiplier les
de l'un à l'autre, prenant ainsi une forme alternante, ce qui fait
penser
à l'auteur qu'il y a dans ce cas deux hémichorées
trent bien la connexion clinique en même temps qu'elles laissent à
penser
combien les changements cérébraux épileptiques et
e des jambes, les change- ments de la parole et de l'écriture. Nous
pensons
que le mal va rapi- dement évoluer. Mais voilà
i à la lumière, ni à l'accommodation, ni à la convergence. Il est à
penser
que l'action synergique du spincter irien provo
mitée ici aux segments antérieurs de cette substance. Mais il est à
penser
que la substance grise d'autres régions de la m
L'existence de convulsions fibrillaires de plus en plus nettes fait
penser
à la poliomyélite antérieure chronique trauma-
uvements automatiques, bien que sa complexité soit assez grande. Je
pense
que l'apparition de ces troubles moteurs, vérit
nale et de l'extension des orteils, constatés de temps en temps, on
pensa
à une lésion organique du système ner- veux ass
ÉTÉS SAVANTES. · Synergie cérébelleuse. MM. Grasset et tiAL51ETTE
pensent
que dans la difficulté à s'asseoir éprouvée par
e de Kernig et plus qu'un trouble synergique céré- belleux comme le
penserait
M. Babinski. Les auteurs classent ce phénomène
aminer la valeur. . Epilepsie jaksonienne frontale. M. CsipAULT
pense
que l'épilepsie jaksonienne en général est d'un
u souvenir des noms, qualités, etc., de l'objet en question. On a
pensé
que cette théorie jetterait quelque lumière sur l
xe fémoral sous la forme de flexion plantaire des orteils. Il est à
penser
aussi que l'intensité du trouble de la conductibi
noyau de grain. Ce volume, cet aspect du noyau ne permettent pas de
penser
qu'il s'agisse de cellules nevrogliques. MM. La
couches moléculaire et granuleuse autour des cellules de Purkinje,
pensent
qu'il s'agit de grandes cellules étoilées de la
primordial, le groupe intermédiaire, le groupe terminal, laissent à
penser
que ce qu'il appelle des champs d'association n'e
c'est-à-dire des images d'objets ayant agi sur les sens, nous fait
penser
que la zone de perception est la zone du souvenir
on fait des coupes, comme précédemment. * Discussion. - M. Mooratov
pense
que la particularité du procédé consiste à avan
nelle et étayée sur la clinique. Avec tous les auteurs, M. Gélineau
pense
qne' l'épilepsie essen- tielle disparaîtra à me
il est vrai légère, tantôt une vaso-constriction, ce qui leur fait
penser
qu'il est prématuré d'admettre l'idée de la vas
ience en sens inverse, faire rougir d'abord un sujet, sans le faire
penser
, on ne provoquerait pas de même, con- sécutivem
e mèle à toutes les autres influences qui déter- minent ma façon de
penser
, de sentir, d'agir. Je serai donc obligé de fai
r le « phare ». J'en ai conscience, je me sens plus d'assurance, je
pense
moins et même pas du tout à ma facilité et à ma
1 type. Brusque, rapide, intensif. Bien à dire sur « avant ». Je ne
pense
à rien, ou je lis un jour- nal, ou je regarde u
forcé à dévelop- per mon instruction un peu dans tous les sens et à
penser
beau- coup par moi-même, afin non d'en imposer
une affec- tion aussi fréquente qu'est la névralgie laisse aussi à
penser
que la névralgie elle-même, dans ce cas, serait
maladie et de la mort.» Il y a de même dans les asiles des gens qui
pensent
que les vêtements sont inutiles pour leur corps s
onsécutive il tout acte passionnel, délirant ou non. M. Katzowsky
pense
et développe au moyen d'une minutieuse analyse,
ents. Le délire demeure fréquemment longtemps isolé. M. Bechterew
pense
que l'origine de semblables absurdités réside e
n certain moment, des symptômes démentiels et physiques graves font
penser
à l'encéphalite disséminée ; seuls les commémo-
la théorie de M. Duval, les auteurs adoptent la théorie exogène et
pensent
que les anomalies de cette sorte sont consécuti
inquiétude, comme par exemple, ayant perdu un objet sans valeur, je
pensais
aussitôt en moi : « Ah ! si je l'avais encore,
ière les autres. Il y avait certains mots indifférents, auxquels je
pensais
, qui me faisaient rougir. Dès cette époque - j'ét
tout l'intérêt. Après un an de co-habitation avec ces étudiants, je
pensais
qu'il serait mieux de me rendre dans un cercle
moi naturel et facile, et dans ces futilités auxquelles un autre ne
penserait
pas, je gaspillais le meil- leur de mon énergie
pportables sensations au théâtre, bref, la plus grande incapacité à
penser
et à agir et Dieu sait ce qui me serait arrivé,
consoler sans cesse, de m'encou- rager et si cela est possible, de
penser
et agir pour moi. Mon cousin arriva à R... et n
mon enfance, j'avais fréquemment des nausées, et il me suffisait de
penser
à quelque' chose de dégoûtant pour qu'aussitôt
r suite de son écolage irrégulier, et de ses nombreuxchangements de
pensions
, ne possède que quelques connaissances élémenta
(\'eurolog. Centralbl., XIX, 1900.) Feu le professeur Gessler avait
pensé
que la maladie de Thomsen était due à une affec
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 305' , Il faut encore
penser
que les fibres du faisceau de Goll ne s'ont eh'
début aigu dans une intoxication chronique permanente ? Mieux vaut
penser
que d'ordinaire nous n'observons pas la névrite'
, elles éma- nent des fibres vaso-motrices du sympathique. Il est à
penser
, ajoute l'auteur, que concurremment il y a exci
action a la lumière est en partie revenue. Localisation . On peut
penser
à une lésion des deux nerfs, à. REVUE D'ANATOMI
e couche musculaire de un centimètre d'épaisseur, ou plutôt on peut
penser
qu'après avoir pénétré la couche en question, ell
'1 - La cyanose presque généralisée des derniers moments peut faire
penser
à une accumulation d'acide carbonique. La mort
ques qui aurait succombé à une attaque apoplectiforme. M. SOLLIER
pense
que 1 idée de paralysie générale doit être écar-
M. Biuand emploie le plus souvent la suppression brusque dont on a,
pense-t
-il, trop médit. Il reconnaît cependant qu'elle n'
oubles de la sensibilité est plutôt radiculaire que métamérique. 11
pense
que quand cette disposition semble méta- mériqu
avait observé seulement auparavant l'irré- gularité pupillaire. Ils
pensent
que toute déformation pupillaire peut, en l'abs
e l'humérus, indi- quant un ancien processus de carie dans l'os, on
pense
à une tuber- culose locale du cràne ou des méni
ent et occasionnent des phénomènes céré- braux graves. M. KORNILOFF
pense
que les accès épileptiques peu- vent être provo
re la sypliilis et la paralysie générale. IVI. 1 lONSTArÇTINOWSKY
pense
que la première observation de M. Mouratoff peu
t de vue clinique, ni au point de vue ana- tomique. M. BER1\STEIN
pense
qu'à la rigueur les observations de 111. 1f ..
mais non de tout le tableau de la paralysie générale. JI. Versilotf
pense
que les ictus apopleetiformes, décrits par 1f.
Krainsky n'accorde aucune action convulsivante à l'acide urique et
pense
d'ailleurs que cette substance, loin de s'accumul
se, les cas contraires auraient été négligés comme exception. Aussi
pensons
-nous que l'abaissement du taux de l'acide uriqu
aitement électrique amena la guérison en trois semaines. M. Lannois
pense
que les l'acteurs étiologiques sont ici multiples
el le malade- est momentanément déconcerté par sa rougeur, mais n'y
pense
plus dès qu'elle est passée. L'observation 111 es
ni de dégénérescence. Pour des raisons qu'il déve- loppe, l'auteur
pense
qu'il s'agit dans les cas qu'il a observés d'un
rit minutieusement la blessure. Au moment du crime, M. Wigles'worth
pensa
qu'il avait du être commis sous l'influence d'i
e fidèle à cette opinion, mais après mûre réflexion, il est amené à
penser
que si elle représente la vérité, elle ne contien
t dans la pratique, le sentiment de la justice, n'est pas, comme le
pense
le Lord Justice Fry, un des traits fondamen'nux
pas cette particularité dans tontes les cellules altérées, aussi je
pense
qu'il s'agirait là d'une disposition plutôt nor
ent n'avait pu être recueilli sur la petite Blanche Ammann, et l'on
pensait
que l'affaire devait être à tout jamais classée
arle en elle. Elle s'ima- ginait que toutes les personnes dont elle
pensait
mal, connais- saient toutes ses pensées, que to
assée. Elle dit qu'elle entend « en elle » les personnes, dont elle
pense
mal, qui lui disent des sottises, elle fait la
en ces diverses circons- tances. Le soupçon d'avoir mal agi ou mal
pensé
, cette condition primordiale d'une conduite irr
INATIONS. 49 9 Elle veut faire des excuses à ceux de qui elle a mal
pensé
. Ces pensées qui lui viennent à l'esprit la rév
en dehors d'elle. Une seule explication est plausible. « On la fait
penser
on l'expérimente, on l'hypnotise. » Cette origi
On me parle en moi-même, dit-elle; on connaît ma pensée; ce que je
pense
n'est plus secret, tout le monde le sait. Me vi
sont des personnes qui parlent par la bouche du sujet, qui le font
penser
, qui ont pénétré dans son esprit et le gouver-
n dire, nous pou- vons reconstituer et saisir, osons-nous croire et
penser
, le mécanisme et la genèse même de ces hallucin
le rôle de la syphilis est moins cer- tain, encore que l'on doive y
penser
. La femme qui vécut quinze années dans des mais
e lettre à un collègue qu'il appelle à l'aide. Il avait entre temps
pensé
qu'il s'agissait de l'oxyde de carbone et songé
rapporte environ 20 000 francs. Les meilleurs ouvriers sont récom-
pensés
par un supplément de nourriture et quelques léger
les acquisitions faites dans le domaine de l'hypnotisme, M. Bérillon
pensa
qu'il ne pourrait faire passer ses convictions da
e hypnose, que j'appelle fortuite, est beaucoup plus commune qu'on ne
pense
, surtout chez les sujets entraînés, et elle peut
esté des douleurs péri-utérines, surtout du côté droit, et l'on avait
pensé
que peut-être il existait une ovarite ou une salp
facilement, après que je lui eus recommandé de fermer les yeux et de
penser
à ce qu'elle éprouvait lorsqu'elle s'endormait na
e n'était plus douloureux, pesait encore un peu à droite quand elle y
pensait
, mais son état n'était plus comparable à ce qu'el
us entendez bien, dix minutes, et tout le temps de votre sommeil vous
penserez
que vous êtes guérie. Vous pourrez presser sur vo
ues et ne devaient pas venir les jours suivants, si bien que Mme X...
pensait
qu'elle pouvait être enceinte, puisqu'elle n'avai
amment, permettez-moi de m'y arrêter, pour vous montrer ce qu'il faut
penser
de la puissance suggestive des hypnotiseurs sur l
(1888), Donato était venu à Lille donner des séances publiques ; sans
penser
à la défense qui lui avait été faite, notre jeune
je suis si triste, si découragé, que j'ai des idées folles et que je
pense
à chercher la mort. Ah! comme je souffre, comme j
je lui demandais énergiquement : « Eles-vous réellement malade, vous
pensez
-vous sérieusement atteint, avez-vous des raisons
ir et de douleur n'est ni aussi anormal, ni aussi rare qu'on pourrait
penser
. On le constate selon des proposions diverses, da
ourpraient, ce qui lui causait ensuite un grand trouble, car elle
pensait
qu'on la soupçonnerait d'être de connivence avec
; dans l'Observation 111, les douleurs ont paru au jour indiqué. Nous
pensons
que ces faits suffisent pour écarter la question
ur, et je les donne ici : « Ce précepteur devra, selon mon opinion,
penser
avant tout au déve-« loppement physique de l'enfa
e. Berheim dit : « Si je pose ma main sur le front du sujet, celui-ci
pense
profondément pendant un instant, sans s'endormir
L'onychopliagie deviendrait-elle la caractéristique du génie? Qu'en
pense
lo Dr Toulouse ? B. R. — N'est-ce pas dans les
... n'était pas « absolument arrachée au monde réel », qu'elle a pu «
penser
naturellement qu'il s'agissait d'une fiction, qu'
e est perçue par le sujet et le mécanisme par lequel il l'exécute. Je
pense
être arrivé à écarter ces difficultés, d'abord en
en expérience. Il ne suspecte leur bonne foi en aucune façon, mais il
pense
que, par une sorte d'auto-suggestion, ils accompl
Martin a un chapeau spécial. Vous pourrez « faire une enquête. Si on
pensait
aux morts on ne vivrait plus « Elles sont toutes
me, la théorie de ceux qui, en commentant le code, scrupuleusement je
pense
, ont décidé qu'il n'y a de fous nulle part, trouv
près cela, nécessaire de rechercher d'autres statistiques, nous ne le
pensons
pas. En second lieu, une allégation dont la for
-frontales et au tiers antérieur de la suture bipariétale : cela fait
penser
à une synostose prématurée. La bosse frontale dro
, ni les autres, ne semblent avoir demandé au sujet lui-môme ce qu'il
pensait
de la chose. J'ai questionné plusieurs hypnotis
en dormant, conservent le souvenir de leurs rêves comme s'ils avaient
pensé
ou agi les choses dont ils parlent à l'état de ve
fait un continuel échange entre ncs tissus. Il semble donc logique de
penser
qu'un supplément de nourriture doit être continué
manifestant un penchant irrésistible vers les mauvais instincts, nous
pensons
qu'il n'y aura aucun inconvénient à provoquer l'h
déjà exposés, en 1896, au Congrès de Psychologie de Munich ('). Nous
pensons
également leur rendre service en publiant la bibl
tuer l'éducation du centre d'arrêt atteint, le malade a guéri. Nous
pensons
qu'il serait possible de donner de ce fait l'inte
l'oubli complet de ces choses, je lui dis que si, par hasard, elle y
pense
encore, c'est pour s'en moquer, attendu qu'elle e
leur offre un individu « agréable (*). » Voyons ce que nous devons
penser
de ces propositions. II Dans sondiscours à l'
érillon, qui est un praticien de la suggestion thérapeutique, et qui,
pensais
-je, allait rétablir la vérité. De M. Bérillon, j'
actitude, échappée sans doute à M. Bérillon : * M. Liéboault, dit-il,
pense
que le sommeil provoqué est indispensable pour la
phénomènes d'hypnotisme. » Phénomènes de suggestion faut-il dire, je
pense
, car autrement la phrase n'aurait plus aucune sig
Liébcault n'a, je crois, jamais été aussi catégorique à cet égard. Il
pense
, non que le sommeil est indispensable, mais seule
es opinions: il traite certains malades à l'état de veille, lorsqu'il
pense
que leur suggestibilité et l'affection dont ils s
iôbeaul préfère celui de la suggestion à l'état de sommeil, tous deux
pensent
absolument de même en ce qui concerne le fond de
de tautophonie et de cataglottisme. Dans tous les cas, je persiste à
penser
que sa dissertation n'était, justifiée par la pro
guérir l'anesthésie et la paralysie hystériques, ce qui conduirait à
penser
qu'elles ont pour effet de déterminer clans l'un
ement la possibilité des suggestions criminelles. Ce qui nous le fait
penser
, c'est ce que Delbœuf nous dit, un peu plus loin.
absolument « arrachée au monde réel, elle pouvait assez naturellement
penser
« qu'il s'agissait d'une fiction, que je n'avais
ement aux malades pourraient bien être égalés, mais non surpassés, je
pense
) a estimé à 10 pour 100 la proportion des aliénés
e très délicate ; mais en principe, il semble tout à fait légitime de
penser
que les conceptions délirantes des aliénés sont j
aires sont en petit nombre (20 "/*)• Charles Richet, Brémaudet Bottey
pensent
que personne n'est absolument réfractaire à l'hyp
lus crues ; elle incline l'automate qui entraine l'cspritsans qu'il y
pense
... C'est elle qui fait tant de chrétiens, c'est e
nde chez les émotifs, les sentimentaux, les névrosés, et les gens qui
pensent
peu, comme les gens du peuple, les gens habitués
s'appesantirent encore da-« vantage... Une fois, il me dit que, s'il
pensait
vivement à moi, il pou-« vait m'influencer, mémo
bon fonds et je voulais sauver son « âme. Je n'avai3 vraiment jamais
pensé
à l'épouser, et je ne lui mon-* trui, jusqu'à sa
thme des mouvements respiratoires ; grâce à cet artiíice, j'ai pu, je
pense
, intervenir plus efficacement et utiliser dans un
i" Lors de ma première intervention, je n'avais pas, comme bien on
pense
, entrepris de modifier d'emblée l'état mental de
ussée d'Auvergne, parlant au nom du Tiers. Le peuple était misérable,
pensait
peu, s'occupait de vivre. Or les idées religieuse
en moins nécessaire Ne savait habiter dans un profane lieu, Comment
penserez
-vous que celte Sainte Mère. Etant un temple imp
it les lois de votre bonté. * Cependant, à ce moment, Jacqueline ne
pensait
pas encore à se faire religieuse. Elle av.iit pou
Je ne reviendrai plus ; il n'y a rien à faire pour voti*e cas! *>
Pensez
-vous que celte expérience l'a instruit ? Le cas é
médecin psychologue dont la compétence en ces matières ne saurait, je
pense
, être mise en doute: « Les études anatomiques, hi
intéressent aux recherches de psycho-physiologie nous sauront gré. je
pense
, de leur résumer ici les conclusions auxquelles e
lui, il ne se rappelle lien de ce qui vient de se passer. Comme on le
pense
bien, tous les médicaments qui sont de tradition
e aucun senti- ment, son air hébété ainsi que son mutisme faisaient
penser
à ce vieux proverbe : C'est pour manger, pas po
céphalique et n'a jamais du reste été signalée congénitaiement, il
pense
que les troubles de la sensibilité, que les tro
la j ambe gauche. Les auteurs éliminant les différentes étiologies
pensent
qu'il s'agit ici d'un rétrécissement spasmodique
ce de dilatation, de splanch- noptose, de douleurs véritables, font
penser
à une dyspepsie nervo- motrice simple à compare
s morbides. M. le professeur RoTH partage l'avis du rapporteur et
pense
que l'atrophie désignée plus haut, fait ce cas
sens du reste trop absolus) ne sommes-nous pas excusables d'avoir
pensé
que la discorde scientifique était non seulement
oup en ce moment de l'accroissement de la folie; l'auteur incline à
penser
que cet accroissement est pure- ment fictif. On
nt l'aborder. Il a essayé de donner les raisons qui per- mettent de
penser
que les relations qui existent entre l'écorce cér
nt leur amour comme plus noble que l'amour ordinaire. Que doit-on
penser
de l'inversion sexuelle ; l'auteur se range à l
t tonique associé au massage n'a pas donné de résultats. L'auteur
pense
que, dans ces conditions si aucune nourriture ne
ait des dettes par toute la ville, M. Hobhouse n'est pas éloigné de
penser
que le 166 REVUE d'assistance ET DE législation
e pousse pas au crime. - Au point de vue de la folie, la commission
pense
encore que les cas où le haschisch peut être in
euvre sans prétendre rivaliser avec eux, ni mieux faire. Nous avons
pensé
que les mesures législatives de répression ne vau
euples voisins prouve cependant qu'on peut lutter avec succès. J'ai
pensé
qu'il appartenait à l'Uni- versité de donner l'
sidérable. qui gênent l'interprétation. Toutefois, il est permis de
penser
que des fascicules endo- gènes ascendants forme
is observations de tabes cervico-dorsal (Eichhorst, Mar- tius) nous
pensons
que le cordon de Goll peut être détruit par un
uivant deux types : tabes bénin, tabes grave. Nous serions portés à
penser
que le tabès grave reconnaît une lésion surtout
o- thèse de la pathologie du zona émise par V. Barensprung, et il
pense
qu'ils militent en faveur de la conception du zon
e affection où la for- mation du tissu osseux est exagérée. On peut
penser
qu'une autre cause que l'acromégalie est interv
tion assez notable de la 7° racine cervicale. Il tend également à
penser
que 1° les fibres sensitives du médian destinée
om- : patible avec celle des pseudo-paralysies générales ? Je ne le
pense
, pas. De ce que la syphilis, en effet, est susc
itation de chacun des travaux écrits sur ce sujet; aussi avons-nous
pensé
qu'il valait mieux se borner à un simple exposé
mplètement disparu par la suggestion à l'état de veille. M. Régis
pense
, comme M. Pitres, que ce serait mal servir la c
son expérience de l'administration des asiles, et il est permis de
penser
que c'est en participant à quelque degré à l'ét
rique, mais il ne nous a pas dit quel capital y était engagé. Je ne
pense
pas qu'il nous donne comme modèle cet asile d'E
vel asile à côlé de l'ancien. Perise-t-il, et aucun de nous peut-il
penser
que ce soit là chose réalisable ? Ceux qui crit
ndre compte de ce qu'il a fait, lui demande et reçoit ses conseils.
Pensez
-vous que ce système ait quelque chance de s'imp
traire que la grande majorité est incurable dès l'entrée à l'asile.
Pensez
-vous sérieusement qu'un paralytique général, un d
la direction. Comme je ne puis assez exprimer tout le mal que j'en
pense
, je laisserai la parole à mon vénéré maître, le
satisfaisante. Du reste, pas d'hérédité tubercu- leuse. Fallait-il
penser
à une excitation médullaire par mal. de Pott ?
ce d'exaltation des réllexes éloignaient ce diagnostic. Devait-on
penser
à un accident occasionné par les vers intesti-
et sans manifestations préalables à la gorge ? Je ne devais guère y
penser
, chaque matin l'examen de cet enfant ne m'avait
par la famille sur la chute et sur le début de l'affection me font
penser
à l'hystérie. Je recherche s'il n'existe pas qu
en ne pouvait étancher, et ces mictions d'urine si fréquentes. J'ai
pensé
aussitôt au diabète, mais l'analyse de l'urine
La tare héréditaire dont cet enfant était frappé pouvait m'y faire
penser
; cependant les don- nées étaient insuffisantes
ifs; aussi malgré cet insuccès du traitement psychique, j'incline à
penser
que c'est un diabète hydrurique hystérique, je
la localisation des accidents paralytiques et atrophiques, l'auteur
pense
qu'il s'est agi dans ce cas d'une poliomyélite ai
ologiquement d'un même feuillet, l'ectoderme. On est donc amené à
penser
que la dyspragie médullaire exis- tait, comme l
cet enfant un phimosis avec orifice préputial très étroit, l'auteur
pensa
que ces crises pouvaient être d'origine réflexe
espondre à ces lésions qui paraissent assez fréquentes. M. Sabrazès
pense
qu'il faut se mettre un peu en garde contre ces
es cérébraux persistants. Sans nier l'existence de ces trouble ? je
pense
donc qu'ils doivent être assez rares. Je pense
e ces trouble ? je pense donc qu'ils doivent être assez rares. Je
pense
aussi que, relativement à ces troubles, il faut f
ur lequel M. Rey a insisté. Il serait à craindre, en effet, que ces
pensions
ne fussent accordées à un personnel qui est loin
Le rapporteur trouve que ces considérations ne sont pas justes et
pense
que la fondation des congrès spéciaux sera d'une
gée, les selles sont régulières. Comme stigmates d'hystérie (car je
pense
a des vomissements hystériques) je ne trouve ri
allemande (mémoire de Duvernay, de Bâle) et comme ten- .daient à le
penser
Legrand du Saule et Ollivier dont on retrouve d
ryngée était excessivement sensible. Pour les zones hys- térogènes,
pensera-t
-on qu'il existe un point douloureux sur telle p
sur la nature des phénomènes primitifs. Tout d'abord, je pouvais
penser
à l'hystérie, prononcer le nom, mais je sen- ta
garde l'affection dont elle est atteinte comme une hystérie. » Je
pense
néanmoins que l'hystérie monosymptomatique ne p
veau travaille sur ces idées bizarres que l'on y sème; le jour il y
pense
, la nuit il y rêve; toutes ces images, toutes c
l'hystérique. N'avait-on pas fait circuler ce bruit (et je laisse à
penser
avec quelle facilité, dans un pays aussi supers
s sur lesquels il est en con- tradiction avec le Dr Peterson; 2° il
pense
avoir démontré que l'épilepsie réflexe se renco
éflexe se rencontre dans un bien plus grand nombre de cas que ne le
pense
le Dr Peterson lorsqu'il écrit que ce nombre ne
passe certainement pas la proportion de un ou deux sur mille; 3° il
pense
avoir démontré que le Dr Peterson est dans l'er
dignes de créance, se compteraient aisément sur les doigt*; 4° il
pense
avoir démontré que le Dr Peterson est dans l'erre
gimes ordinaires n'avaient pas réussi à modérer les attaques; 6° il
pense
avoir démontré qu'il ne craint pas de fournir,
bien que réellement fréquente, n'existe pas nécessairement; 15° il
pense
avoir expliqué d'une manière satisfaisante pour
patiemment les anomalies c latentes » de l'accommodation, avant de
penser
une intervention opératoire ou de l'entreprendr
e ici est celle de savoir si l'obsession est souvent, comme nous le
pensons
, une forme aggravée ou, pour mieux dire, intell
tement rejeté à la périphérie du corps cellulaire, ce qui permet de
penser
que le réseau achromatique avait subi, lui aussi,
oins accusées, de l'intégrité des mouvements. Ce qui nous conduit à
penser
que la granulation chromatophile (kineto- plasm
eil et comme orne- ment, pouvait être une cause de plus-value. On a
pensé
avec rai- son qu'il s'agissait, du moins en ce
' sur lesquels l'ailen- tion se concentre et qui font immédiatement
penser
à l'acro- mégalie. Et en effet, de quelle autre
aire le dia- gnostic à distance (Souques in Charcot). Si nous avons
pensé
à recueillir cette observation, c'est que les c
lusive. M. Jof- froy, à la Société médico-psychologique, mars 1S90,
pense
que la mélancolie ou la manie peuvent marquer l
n a été de même de toute la série des hypnotiques. Nous avons alors
pensé
à la médication thyroïdienne ; le corps thyroïd
s. C'est là tout ce que nous pouvons dire. M. R.11CHLINE (de Paria)
pense
que l'hygiène et la diététique sont les princip
nèse de ces maladies. M. LUCAS-CIL1\IPIOVnII' : nE, de Paris. Je ne
pense
pas que l'on puisse avancer des faits d'une pré
de plus, tombé dans un état voisin de l'idiotisme. Aussi M. Voisin
pensa
qu'une opération chirurgi- cale pouvait seule o
l y a deux ans et demi que l'opération a été pratiquée et tout fait
penser
que la gué- rison se maintiendra. ' Résultats
altération est considérable et durable, il y a lieu généralement de
penser
qu'il ne s'agit pas de dyspepsie nerveuse, mais
nt la richesse nerveuse du tube digestif avec son double plexus, je
pense
que, sous la seule influence du système nerveux
de Chàlons-sur-Marne passait malheureusement en cou- tume, on peut
penser
à quels embarras continuels on aurait affaire.
er, 1896-1897, n° 5.) , Avec Eb, Lépine, Brissand, etc., l'auteur
pense
que les alté- rations musculaires des myopathie
s complètement la genèse anatomique et biologique du crime; 3° nous
pensons
, avec- tous les auteurs modernes, que la dégéné
le Dr ESSAYAN. (Thèse de Montpellier, 1896-1897, n° 30.) L'auteur
pense
que la chorée est un syndrome clinique qui reco
une société égoïste et retournant à l'état sauvage. Pour nous, nous
pensons
que le devoir d'une société civilisée, surtout
otre injonction suggestionnelles du ton et de l'air d'un homme qui ne
pense
pas un mot de ce qu'il dit et qui en rit sous cap
ysio-psychologique singulièrement troublant pour tout observateur qui
pense
. Que pourra-t-il conclure d'un tel phénomène, si
ne pas comprendre ma phrase, j'ajoutai : « Qu'est-ce qui vous faisait
penser
que vous ne dormiriez pas aujourd'hui ? » — « Mai
que vous ne dormiriez pas aujourd'hui ? » — « Mais rien ne me faisait
penser
cela, » — « Tout à l'heure, cependant, vous m'ave
idéoplastique immédiatement perçue par ces subconsciences ? Je ne le
pense
pas ; d'abord parce que dans le cas en question n
par les médecins de prison, dès l'arrivée des détenus. M. Bérillon
pense
qu'il vaut mieux ne pas attendre, pour transférer
l'eau n'importe où il se trouvait. 1! se réveillait souvent la nuit,
pensait
tout de suite à sa vessie et urinait immédiatemen
dès la première séance. Une fois endormi, je lui suggérai de ne plus
penser
à sa vessie, de retenir son urine pendant huit he
ne.... J'arrête les frais et jo pars. « A quinze jours de là, je ne
pensais
plus à cet incident, lorsque je suis accosté par
mépris aux Hollandais, la partie la plus étoffée de son individu. On
pense
si les ennemis, d'abord stupéfaits, saluèrent d'u
u comité d'organisation sera M. Van Hamel. Les membres du congrès ont
pensé
qu'un grand nombre de congrès ayant lieu à Paris
on à l'état de veille, subir des hallucinations rétroactives. Si l'on
pense
que de ces hallucinations de la mémoire peuvent r
up de cerveaux à l'état latent? 11 faut croire que le législateur l'a
pensé
, car il s'est appliqué à entourer le témoignage d
l ne le serait d'exercer une contrainte physique. C'est pourquoi nous
pensons
que le congrès d'anthropologie criminelle pourrai
lement elle comporte une dose de cabotinage qui répugne. « Oharcot ne
pensait
pas ainsi. « Théâtral à la Salpêtrière, il Péta
ait. » Tous ceux (jui ont eu l'honneur d'être les élèves de Charcot
penseront
que la valeur de son enseignement et la hauteur d
u médecin dans les cas d'aliénation mentale,-Troplong écrivait : « Je
pense
que la médecine légale, malgré ses prétentions, n
onduit la malade à l'idée qu'elle était incurable et l'a souvent fait
penser
à la mort. Depuis quelques mois, les menstrues
quelle le phénomène de l'amnésie est beaucoup plus commun qu'on ne le
pense
. « Nous avons recueilli, dit M. Vetault, un assez
nsibilité générale semble abolie. » Ni la police, ni le médecin, ne
pensèrent
avoir affaire à un cas d'ivresse : la démarche no
mpagne toujours d'une extrême tension cérébrale ; il ne suffit pas de
penser
une seule fois qu'on veut endormir le sujet, il f
l'arithmétique et de l'algèbre. A.-1-il atteint son but ? Nous ne le
pensons
pas. Le mathématicien trouvera que sa critique ph
it par le paragraphe suivant : Loi de Darwin et loi de Delbœuf : « Je
pense
qu'il est probable que la loi de Delbœuf» sur la
tes réfléchis. Ainsi le chien qui voit prendre au maître son chapeau,
pense
qu'il va sortir et exécute une série d'actes qui
ment elle comporte une dose de cabotinage qui répugne. « Charcot ne
pensait
pas ainsi. « Théâtral à la Salpetriôre, il l'ét
ons : « Tous ceux qui ont eu l'honneur d'être les élèves de Charcot
penseront
que la valeur de son enseignement et la hauteur d
mes du professeur Charcot. Nous serions heureux d'apprendre ce qu'ils
pensent
de la gerbe de lumière, de la nappe de clarté ébl
qui, pendant un siècle, en avait nié l'existence. Je suis de ceux qui
pensent
que, quand des récifs se trouvent à l'entrée ou a
ongrès de Munich. Ce que je n'ai pu faire à Munich, je le ferai, je
pense
, un jour ou l'autre. Mais les développements dans
érante de Delboeuf, j'avais demandé à un philosophe émi-nent ce qu'il
pensait
des travaux philosophiques de l'ami que nous veni
1er Octobre 1896. « Mon cher ami, « ... Vous me demandez ce que je
pense
de ses travaux philosophiques. Je les crois tous
qui a écrità ce livre une éloquente préface, croit que oui. L'auteur
pense
que non, et il appuie son dire sur de sérieuses r
eur image, qui la dégradent ou la spiritualisent. « Dis-moi ce que tu
penses
et je te dirai qui tu es ». L'auto-suggestion ser
que sur la surface pensante habituelle. Vous finirez par ne plus les
penser
, mais, par cous donner à elles. t Six mois de c
esprit entraînant l'incapacité de tester. C'est dire que l'on n'a pas
pensé
que la morphinomanie fût inconciliable avec la sa
Dans ce cas, Lis perdent toute initiative, toute aptitude à agir et à
penser
; il est donc peu probablo que ce soit pendant ce
issez-vous le droit d'épuiser votre sujet ? El j'ajoute : — Qu'en
pensez
-vous ? Là- dessus M. Boirac monte sur ces grand
ait Gavaud furieux. Et l'Instant d'après Ils s'apercevaient, qu'ils
pensaient
de même et se serraient la main. » Sganarellb.
né des interprétations diverses de l'action du sommeil prolongé. Nous
pensons
voir qu'il n'agit pas seulement comme traitement
ce sâtanique » le principe sur lequel reposent nos expériences, et je
pense
que nous devrions pouvoir étendre des connaissanc
que ce soit. » Brait! était porté à croire à la phrénologie, et il
pensait
que les passions, les émotions pouvaient être exc
s que vous avez cru observer entre ces deux formes. 3. — A quel âge
pensez
-vous avoir éprouvé cette impression pour la premi
« ... Pauvre bête, « Tandis qu'à peine â les pieds tu peux voir, «
Penses
-tu lire au-dessus de ta tête ? » CHRONIQUE ET C
névropathique indispensable à la genèse des fausses grossesses. Je ne
pense
pas qu'une femme normalement constituée au point
qui durerait peut-être encore plus de deux ans. Je lui conseillai de
penser
davantage à son avenir à elle et, pour sauvegarde
alheur et de son déshonneur. Ses règles ne vinrent pas, comme bien on
pense
. Et alors, elle éprouva tout ce qu'elle avait vu
ue dans le doute, il est sage de s'abstenir. En état de veille, je ne
pense
pas qu'une telle action soit à craindre. Enfin, j
mènes physiologiques et psychiques, produits par de tels procédés, je
pense
qu'ils résultent entièrement des impressions ment
i résultent de l'action réciproque de l'esprit sur ta matière, je
pense
qu'aucun nom ne peut être plus approprié que celu
r la simplicité de la théorie subjective que j'ai osé exposer, je
pense
qu'il comprendrait sans peine, comment les nouvea
la terre pour contenir un seul grain de médecine. Au momentoù Braid
pensait
que l'action des remèdes homoeopathique s, était
it pas été averti qu'il prenait quelque substance médicale. » Braid
pensait
que cette impression mentale expliquait les révol
es. Comment, après cela, peut-on croire et soutenir que la manière de
penser
et d'agir d'un peuple est le résultat de certaine
autres cerveaux ses mouvements moléculaires ; il suffira peut-être de
penser
clairement et nettement une idée pour la répandre
elque chose que ce soit était capable de les contraindre à dormir. Il
pensait
cependant que la suggestion verbale était la plus
faisait usage comme de la suggestion intelligible. Dangers. Braid
pensait
que, dans l'état hypnotique, il y avait, première
hypnotisme, je ne liens pas cet agent pour un remède universel, et je
pense
que les maladies provenant de conditions patholog
dévoiler. Et le philosophe a jugé sur les données de la science, il a
pensé
comme elle, et il a accepté son jugement en tiran
nt les lettres qu’elle avait écrites ; elle ré- pondit, comme on le
pense
bien, qu’elle ne savait pas ce qu’on voulait lui
vation, immédiatement l’homme revient à lui. On est ainsi conduit à
penser
que tous les sens sont alors capables de recevoir
avons pas ? Qui te l’a dit? Sais-tu ce que tu sais, sais-tu ce que tu
penses
? — Quand tu frappes au loin ou que tu fais appar
stence de l’âme. — En connais-tu? — Oui, W... — Il le dit, mais ne le
pense
pas. — L’esprit est-il subordonné à l’âme? — C’es
sont si étranges qu’ils me semblent tenir du miracle, et je ne puis y
penser
sans frémir. Toutefois je dois croire au témoigna
écit exact de ce qui s’est passé. Tout à vous, etc. Dénisot. J’ai
pensé
que cette relation aurait quelquelque intérêt, et
acile complaisance. Arrêtons (1) ! J’ai surabondamment divulgué, je
pense
, combien la nature des dispositions latentes impo
Nous croyons au désintéressement, au dévouement des individus : nous
pensons
même que ces vertus sont moins rares que ne l’ima
stérique. Voici, du reste, les symptômes que je remarquai, et qui, je
pense
, sont assez nombreux et assez concluants pour ne
ion évidentes) ressort littéralement de l’influence du consultant, je
pense
, à cette plainte éloquente et signiHcative, exhal
infaillible no communique son infaillibilité à personne. « Nous ne
pensons
pas que cette digression puisse paraître superflu
nage sans l’aborder. Du reste, cet enfant, qui semble peu crédule, a
pensé
que c’étaient des gens qui faisaient de la physiq
anifestation dit : — ( Pauvre mère ! je lis tes préoccupations ! Tu
penses
à de l’argent!... » — Il parle d’argent!... C’e
magnétisme, en voulant le bafouer, lui auront été utiles. Que doivent
penser
les lecteurs du journal de Strasbourg ? Il nous e
nt et d’intelligence? Oli ! certes, la main sur le cœur, vous ne le
penserez
pas!., et vous vous sentirez heureux de proclamer
par l’effet d’une certaine durée de l’attention, l’œil projetant, je
pense
, un effluve plus actif, quelques points sombres
rtant, sous le simple galvanisme métallo-né-vrurgique, eût-elle pu...
penser
à me prévenir d’évilcr sa morsure? ( J II n eu
! elle ne sera point admise aux jouissances de l’émancipation. Que
pensez
-vous de cette morale, partie intégrale de la phil
vous dites que votre âme est immortelle! ! 11 n’y a pas grand crime à
penser
dès lors que chenilles nous sommes et chenilles n
sprits incarnés et les esprits libres plus de distance que vous ne le
pensez
. Ce qui m’a fait entreprendre cette réfutation,
orie n’est qu’un fantôme qu’un rayon de réflexion fait s’évanouir. Il
pense
que chacun de nos lecteurs porte en lui cette cla
ntion. Malgré le peu d’importance de la condamnation, M. Le Gallois a
pensé
avec raison qu’il se devait à lui-même et à la ca
ous avez eu tort de « vous faire saigner et purger, il suffisait de
penser
au frère « Chéneau et à moi, etc., etc. » Vers la
Morin fut le premier révélateur. Continuons. — Quand un jeune homme
pense
à une demoiselle, est-ce qu’il ne la contraint pa
une homme pense à une demoiselle, est-ce qu’il ne la contraint pas de
penser
ii lui ?— Oui, c’est ce que les pères appellent u
e réparant, prenaient soin de noter toutes les minutes auxquelles ils
pensent
l’un à l’autre, est-ce que leurs carnets comparés
jamais d'excès, Do la victoire à toi la palme I Je vous laisse à
penser
l’enthousiasme qui s’empara de ce néophite. 11
pris connaissance, cette veuve envoya vers lui pour lui demander s’il
pensait
que les âmes des morts se connussent. Il répondit
ous la place la plus élevée ; pourquoi cette distinction ? Vous devez
penser
sans doute que je saurais mieux qu'aucun autre ma
pour la première fois, je la porte sur ma poitrine. Mes collègues ont
pensé
que j’étais digne de cette marque d’estime, je le
latt, de cette ville (New-York), demeurant Canal Street, n°13â, et je
pense
qu’elle n’a pas encore été publiée. Peu de temps
la famille de M. Rymer avant que M. Hume partit pour l’Angleterre. Je
pense
qu’il est du devoir des hommes intelligents de ch
sprit de retour en Corse : j’avais alors de très-sérieuses raisons de
penser
ainsi. Je fis part de ma secrète résolution à une
ur, me dispense de tout commentaire. Je m’en abstiendrai donc. « Ne
pensez
-vous point, mon cher Maître, que cet événement, e
t entière, la science de la médecine naturelle qui doit fort donner à
penser
à la médecine des écoles. Quoi donc d’étonnant si
idées. Nous voici nécessairement en pleine psychologie, car l’âme qui
pense
et qui raisonne est ce qui distingue l’homme de
u’elle a vu les funérailles du soldat à la mer, à quoi je n’avais pas
pensé
une seule fois. D’ailleurs j’ai eu bien souvent l
nconnues, quoiqu’elle fut occupée d’autre chose. C’est ce qui me fait
penser
que ces réponses, comme celles de la première exp
. De même qu’on peut voir parfaitement d’un œil, on peut parfaitement
penser
, sentir, etc., d’un cerveau, c’est-à-dire d’une m
t non pas de sa propre activité. Pour en revenir, à nos médiums, je
pense
que les faits que je viens de rassembler prouvent
us que les réponses viennent des âmes de personnes défuntes ; mais je
pense
qu’étant plus ou moins somnambules et lucides, ce
smérienne prenne la forme de sons, qui ne sont que du mouvement. Je
pense
donc que le médium, à son insu, agit par sou cerv
ent perdus, que la mer était couverte de cadavres et de moribonds. Je
pensai
d’abord que ce n’était qu’un rêve, mais elle étai
s pris le moindre intérêt ni à la guerre, ni aux troupes; qu’elle n’y
pense
jamais, du moins autant qu’elle a la conscience d
u comprendre comment elles ont une teinte si guerrière, vu qu’elle ne
pense
jamais à la guerre, ni comment elle n’a jamais pu
ées de la sorte, trois ont été sur le magnétisme, et sans qu’on y eût
pensé
d’abord, prouve que le magnétisme et le spiritual
, qui ne croient pas, parce qu’ils ne veulent pas croire, soit qu’ils
pensent
que le magnétisme est contraire à leurs intérêts,
ois raison quand il se demande si ces savants — MM. Mabru et Auzoux —
pensent
que C univers attend qu’ils aient une opinion; ca
demandé comment les ombres pouvaient parler sans bouche matérielle et
penser
sans cerveau. Ne pourrait-on pas, aujourd’hui, vo
bre d’adeptes qui le grossissent chaque jour? Non ! vous ne pouvez le
penser
, puisque, tant qu’il ne s’est agi que de produire
èrent toute liberté de faire le bien à ma manière. Je vous laisse à
penser
le désappointement de MM. du conseil de santé qui
lle retourna chez ses parents, et là elle n’avait d’accès que si elle
pensait
à son mari, si elle en entendait parler ou s’il v
ésulta pour moi la preuve que pendant sa vie elle avait beaucoup plus
pensé
aux autres qu’à elle -môme. Elle comprenait mieux
on a perdu quelque chose et « qu’on me demande de le rechercher, j’y
pense
toute la « journée ; le soir, je prie Dieu et la
exécuterait toute espèce de musique. Elle écrivit que ce jour-là elle
penserait
et écrirait en grec, le lendemain en français, et
tice pour guides, faut-il conclure du particulier au général ? Et que
pense
M. l’abbé Rohrbacher des hommes qui traitent la r
s , et peut-être maladive toute sa vie ! « Dans cette condition, je
pensai
de suite au magnétisme; et, pour faire valoir sa
cale, à accuser de suite l’enfantement d’une affection épiletique. Je
pensai
et dis au père que probablement la maladie s’effa
e cette première épreuve, et je conseillai aussi d’agir ainsi; car je
pensai
qu’on pouvait bien briser de cette façon la régul
d’un intérêt sérieux ; mais, connue démonstration scientifique, nous
pensons
qu’il laisse encore fort à désirer. Les extraits
de la confiance que la jeune fille montrait dans sa propre lucidité,
pensèrent
qu’il pourrait bien y avoir autant de chances d
faire les aspirations les plus ambitieuses de l’âme humaine. Quand on
pense
que tout cela est sorti du cerveau d’un jeune art
: Ne bougez pas ou vous pourriez être blessés. Je dirai ici que je ne
pense
pas qu’il pût y avoir le moindre danger pour nous
du somnambulisme , et en les tenant même pour très-suspectes, ils ont
pensé
que ies empiriques, qui s’étudiaient à rechercher
n des incrédules : « 11 est impossible b qu’un morceau de bois inerte
pense
et communique sa «pensée, a Puis la croyance m’es
umination-, et j’ai fini par reconnaître non pas qu’une table pouvait
penser
et parler, mais que quelque chose pouvait penser
qu’une table pouvait penser et parler, mais que quelque chose pouvait
penser
et parler par l’intermédiaire d’une table, ce qui
e au bois ; il y aurait méprise, sinon mauvaise foi. Non, la table ne
pense
pas et ne parle pas; elle sert d’instrument, et v
eux qui se livrent à la pratique du magnétisme. Il n’en est aucun qui
pense
avoir besoin de recourir au démon ; bon nombre de
personnes qui croient dangereux de se soumettre au magnétisme, et qui
pensent
que les sujets sont sous l’empire absolu du magné
terie, pour chercher des trésors enfouis, pour faire connaître ce que
pense
telle personne , sa position , sa moralité, etc.,
le ? Ce qui saillit immédiatement chez l'homme, c'est la faculté de
penser
, de raisonner, de vouloir et d'agir. Si quelque
? ïae /M/ ? ! 2'c, 6' ? < ? 'CM/e, etc. Pour ces dernières pro-
pensions
, en particulier, on juge uniquement l'acte, qui
ssister sans qu'il ait rien présenté d'anormal dans sa raison, nous
pensons
qu'on peut acquiescer au désir de ses enfants d
l'intelligence n'a subi aucune atteinte. De ce qui précède, nous
pensons
devoir con- clure : 1° Que G... a été atteint
ou des circonvolutions, si bien que au premier aspect, on pourrait
penser
qu'on a affaire à de la substance grise plus ou
e lasensibilité d'hémichoréeoud'hé- miathétose, il y a tout lieu de
penser
que la situation de l'al- tération dans ce cas,
aire la démonstration de leurs idées. Y arriveront-ils ? Nous ne le
pensons
pas. Et nous nous fondons pour l'avancer sur le
que classique est la résultante de l'accumulation de ces effets, il
pense
qu'il s'agit précisément en tous les cas de la
ressortir combien l'aphasique ressemble à l'enfant et au vieillard,
pense
que l'aphasique, tout intelligent qu'il soit re
le patient chancelle sans présen- ter de symptômes de paralysie, on
pense
.a une de ces hémorrha- gies qui rappellent les
inclinerait, si les résultats cliniques n'y contredi- saient pas, à
penser
à un trouble dans la réception des sensations s
conclusion. M. Reinhardt, vu l'athéromasie des artères cérébrales,
pense
qu'une série de poussées exsudatives ont succéd
la cica- lrice pathogénétique. M. Furstner en rapporte un; mais il
pense
qu'en somme il y a bien peu de faits de ce genr
de leurs facultés intellectuelles, on les abêtit, on les empêche de
penser
, on leur dit des bêtises, on leur soutire leur
nous sentons malheureusement souffrir, mais aussi heureu- sement
penser
et jouir. Il a enfin une dernière signi- ficati
s le centre indispensable des mouvements épileptiques, ainsi que le
pense
le professeur Luciani pour lequel l'excitation de
raie, ni à des phénomènes qui lui soient absolument comparables. Il
pense
que si quelquefois l'épilepsie est produite par
ataxie, la ferme- ture des yeux n'augmente pas l'incoordination, et
pense
que, lorsqu'on aura un nombre suffisant de docu
ces dernières et les différentes formes d'affections mentales. Il
pense
que la transmission de la voix se fait par l'inte
s grammaticales se rencontrent tout à fait dès le début. Erlenmeyer
pense
que les troubles dysgrammatiques de l'écriture
dans les folies aiguës et chroniques. A l'encontre de Westphal, il
pense
que la conception irrésistible peut dériver d'u
l'observation d'actes accomplis indépendamment de tout motif. Nous
pensons
alors que des incitations ont pu se réfléchir sou
guère permis de se rallier à la faiblesse de l'incitation, M. Weiss
pense
qu'en ce cas c'est lasuracuïté de l'excitation
teront dans deux ans pour le prix Aubanel. » M. Legrand du Saulle
pense
qu'il vaut mieux conserver la somme dont M. Las
t point obtenu qu'elle fut entendue par cette Commission. M. Voisin
pense
, qu'en principe, le divorce ne devrait pas être a
er une opinion qui reflète les sentiments de la Société; nous avons
pensé
qu'il valait mieux discuter en séance publique
eux catégories d'individus. Ce quartier existe déjà à Bicêtre. Je
pense
, en résumé, qu'il n'y a pas lieu de créer un asil
ais avec M. Falret le service de la Sûreté de Bicêtre, je me pris à
penser
, qu'après tout, les malheureux enfermés 2K) soc
dérés comme le résultat de phéno- mènes cadavériques. M. Westphal
pense
également que le ramollissement peut être indép
aient pas d'aliénés avant leur émancipation ; or, on devrait plutôt
penser
qu'à cette époque, d'ailleurs barbare, on ne s'es
parti de conserver au texte d'Axenfeld son intégrité. « Nous avons
pensé
, dit-il, que le devoir nous commandait de conse
du maître lui a permis de donner à son oeuvre personnelle. Nous ne
pensons
pas que les exigences du lecteur, qui demande à
plus curieuses. C'est un accident morbide plus fréquent qu'on ne
pense
, et a-mesure qu'on sait mieux le re- connaître
on de la pression intra-. labyrinthique existe auparavant, comme le
pensa
Po- litzer. Dans certaines conditions de relâch
avail, deux nouveaux procédés d'investigation, au moyen desquels je
pense
rendre possible l'examen des fenêtres ovale et
ne espèce de soins, parce qu'il se considère comme indigne. Il ne
pense
qu'à expier ses crimes imaginaires ; c'est pour c
réfléchit, il s'exa a INVERSION DU SENS GÉNITAL. 309. mina, et il
pensa
, par intuition, qu'il pouvait y avoir là un mal
us de tabliers, il se calme et son esprit reste en repos : « Je n'y
pensais
pas, dit-il, je n'en voyais pas. » Rentré en Fr
couvent et pendant quatre ans, de 1876 à 1880, il se place dans des
pensions
ou des col- lèges, comme garçon de table ou de
ns lesquelles ils se produisent. Disons toutefois que M. Bouchardat
pense
que ces accidents « s'observent surtout chez le
Ces cas sont très importants à connaître parce qu'ils peuvent faire
penser
à tort à des phénomènes tabétiques. Parmi les t
e, sont sujets à des rémissions fréquentes; c'est ce qui avait fait
penser
à Marchai (de Calvi) qu'ils étaient d'origine c
blent les plus fré- quentes. (Buzzard2, Drasche3.) . M. Huchard'*
pense
que ces névralgies ont pour cause l'ar- thritis
a dépendance la névralgie et le diabète, en sorte « qu'il en vint à
penser
que, pour conjurer la sciatique, il fallait lai
oma diabétique. * M. Lecorché, signalant la névralgie intercostale,
pense
que celle qui siège à droite, coïncidant avec u
e détails et d'analyses d'u- rines suffisants. Le professeur Panas4
pense
, avec la plupart des autours, que les caractère
s fixes, de photopsies. Le malade voyait les objets brisés. Leber
pense
que des hémorrhagies capillaires pareilles peuv
omène du pied, tonique pour la contraction para- doxale, Erlenmeyer
pense
qu'il y a là deux choses tout à fait distinctes
t criait et pleurait sans motifs, à la moindre excitation. L'auteur
pense
qu'il s'est agi là d'une contusion cérébrale po
L. ( ? eZC'- l'oîk. ? 2ede'eal Jottï,nal, 1881, p. 546.) L'auteur
pense
qu'un certain nombre de cas, traités comme atax
est-il primitivement interstitiel ou paren- chymateux ? Que doit-on
penser
de l'opinion qui le fait émaner de la propagati
e Journal - ! of Mental Science, avril 1882, p. 1.) ' M.- Gasquet
pense
que si l'on éprouve quelque difficulté à concev
l'incurabilité des affections mentales ; c'est pourquoi l'auteur a
pensé
que l'ob- servation qui précède méritait d'être
toutes les autres maladies contagieuses, son anxiété éclate dès qu'il
pense
à la diphtérie. Parmi les phobies professionnelle
ar la défécation ou du moins, au début, par des épreintes. M. Forel
pense
que beaucoup d'autres affections, telles l'incont
ériorisation de la sensibilité existe-t-elle ? (de Rochas). 14° Que
pensez
-vous de l'action des médicaments à distance ? (Bo
i outre mesure le cadre de la question soumise au Congrès. Nous ne le
pensons
pas cependant. L'étude des rapports de l'hystérie
ans un état fort analogue, sinon identique, à l'état hypnotique, il a
pensé
que, pour apprécier avec précision les effets de
e si, en le réveillant, on le questionne sur les choses auxquelles il
pensait
endormant. Si la concentration de la volonté et
a propriété d'avoir à sa disposition assez d'attention réfléchie pour
penser
avec sens et avec la même activité, et assez de v
x Regnault, termine par les conclusions suivantes: « Peu importent,
penserez
-vous, ces invraisemblances, le fait brutal est la
cteur en chef de cette Revue et lui a posé la question suivante : «
Pensez
-vous que les expériences d'hypnotisme peuvent avo
ticulé. M. le Dr W. Ireland est absolument opposé à cette théorie, et
pense
, au contraire, que l'organe de la musique est d'u
ement blessé dans sa chute de voiture. Eh bien, désormais, quand vous
penserez
à l'accident qui vous est arrivé, vous songerez t
r à leur détriment les opérations faites. Le Conseil d'Etat n'a pas
pensé
comme eux, parce que le premier jour, il n'a été
gation est supprimé, et quelques-uns des articles suivants. Mais nous
pensions
que l'essentiel était obtenu. Le vote de la suppr
ression du concours de l'agrégation fût obtenu aussi facilement. Nous
pensions
, à tort, que les membres du congrès, ayant tous d
« Votre désir de fumer n'existe plus ; à partir de ce moment vous ne
penserez
plus au tabac, vous ne fumerez plus ni cigare, ni
on discours dans un domaine si familier à mes compatriotes. Mais j'ai
pensé
que c'était pour moi une façon de payer la dette
ement trouver un complice dans un somnambule honnête. En tout cas, je
pense
encore, comme je le faisais en ce temps-là, qu'un
cherche visiblement à rassembler ses idées, il se frotte le front, il
pense
. Moi : « Qu'est-ce que vous avez? A quoi pensez-v
se frotte le front, il pense. Moi : « Qu'est-ce que vous avez? A quoi
pensez
-vous? — A rien. — Vous avez l'air tout préoccupé.
est au lit et qui d'ailleurs a tout entendu : « Il n'en fera rien, je
pense
, Monsieur le docteur ; c'est un camarade à moi, e
souriante de Mlle E... ! Et, dès lors, ne sommes-nous pas autorisés à
penser
que son rêve n'avait pas la puissance d'illusion
minales a ainsi pour bases des faits d'observation. Nous pouvons donc
penser
que non seulement les connexions des cellules ner
i s'y trouvent. S'agit-il de suggestion mentale ? M. Quintard ne le
pense
pas ; il croit à une véritable transmission à dis
e M, Curier a été soutenue par un certain nombre d'orateurs. M. Gerry
pense
qu'elle pourrait être étendue sans inconvénient a
la fois, l'autonarcose et rautohypothermie de l'hivernant, mais j'ai
pensé
que, dans ces conditions, il pourrait se produire
e bien propre à montrer qu'il n'est pas si facile que quelques-uns le
pensent
de transformer un sujet en automate assassin. J
s et annoncé que j'allais tirer moi-même, pour voir ce qu'elle aurait
pensé
e.t fait. Si pourtant elle avait tiré, aurions-
é absolument arrachée au monde réel, elle pouvait assez naturellement
penser
qu'il s'agissait d'une fiction, queje n'avais gar
t même à ce propos qu'on songa à la première histoire. Pour moi, je
pense
que cet homme — et combien n'y en a-t- il pas de
ouvent il négligeait de les relire. Autrement dit, il avait besoin de
penser
avant de parler, de préciser sa pensée en lui don
l'hypnotisme, la suggestion et, plus récemment, par la télépathie, je
pense
que tout ne finit pas avec la vie et que quelque
sommités de la science, ne fût qu'un simple simulateur? Comme bien on
pense
, ne connaissant pas le malade, je ne voulus pas m
tations étranges que cette petite présentait depuis deux jours, je ne
pensai
rien faire de mieux que de la traiter encore par
ujet est isolé, inerte d'esprit, en monoïdéisme enfin et incapable de
penser
et de vouloir librement, ce qui est relativement
naître qu'il reste des rapports intimes : entre la veille, où l'homme
pense
et agit avec une liberté complète de toutes les f
valériane à haute dose, du borate de soude sans aucun résultat. Je
pensai
alors à employer le traitement par la suggestion
! chaque fois que l'idée vous viendra de vous ronger les ongles, vous
penserez
à cette force qui vous empêche d'accomplir l'acte
: Chaque fois que l'idée vous viendra de vous ronger les ongles, vous
penserez
à cette force qui vous empêche d'accomplir l'acte
f et prépondérant, à une volonté négative. C'est ainsi que le sujet
pense
maintenant agir volontairement, tandis qu'autrefo
alon, aident la personne aux yeux bandés à s'arrêter devant tel objet
pensé
par son conducteur; ce dernier, passant devant l'
nsi nous parlons d'un arbre et mentalement nous voyons un arbre, nous
pensons
à la guerre et nous voyons le mot guerre écrit de
la guerre et nous voyons le mot guerre écrit devant nos yeux. Nous ne
pensons
en somme qu'avec des souvenirs d'actions ou de ré
sée, suivant une vieille définition de Bain, est un acte contenu ; il
pense
le souvenir de ses réactions verbales; il a une m
des mouvements nécessaires à effectuer pour prononcer les mots et il
pense
sur ces souvenirs. C'est ce type que j'ai nommé v
yeux, et, sans bouger ni faire agir aucun muscle de votre bras droit,
pensez
un, mouvement de ce bras, vous aurez alors par la
t. De là une nouvelle forme de transmission ; l'inducteur sans bouger
pense
, tend à exécuter un mouvement, sans cependant rem
écuter un mouvement, sans cependant remuer, et l'induit non seulement
pense
mais exécute ce mouvement, le bras ou la main de
95. se plaignent les transmetteurs de pensée, car il est logique de
penser
que les transmissions homogènes sont plus faciles
r Regnault est à peine croyable : rien n'est plus vrai. Vous tous qui
pensiez
que la thèse de doctorat en médecine n'avait ét
ces grands problèmes reçoivent une compensation proportionnée. Elles
pensent
que leurs enfants trouveront dans ce grand mouvem
aleureuses félicitations à un candidat pour une thèse dont il n'a pas
pensé
ni même écrit une ligne. Jamais le dignus est i
e (1). Mme A..,, tout en déplorant son état, savait très bien qu'elle
pensait
tout le temps au Dr X. Aujourd'hui encore, elle n
ée au milieu de son travail, mais elle déclare qu'à ce moment elle ne
pensait
pas à boire. Elle ne sait aucunement ce qui s'est
ison pour mettre en doute leur sincérité. Elles affirment qu'elles ne
pensent
à rien de semblable et qu'elles ne se souviennent
as, etc. » Elle se souvient même que, dans ses premières crises, elle
pensait
constamment à son père, le'marchand de vins ivrog
ait la main, avait reçu la double recommandation : Premièrement, de
penser
à ce qui devait être exécuté. L'action ne devait
ouver renforcée par la mise en jeu d'une curiosité très naturelle. Je
pensais
que le désir de connaître ce que j'avais écrit co
mais pour la décrire magnifiquement plutôt que pour dire ce qu'ils en
pensaient
eux-mêmes. Et pourtant plus d'un furent d'excelle
uvenir est à peu près nul au réveil: mais ultérieurement, à force d'y
penser
, on ressaisit les différentes scènes et l'on reco
ment de la question de savoir si les animaux réfléchissent, jugent et
pensent
au vrai sens de ces mots, en représentant tous le
pas conscience d'une pensée ne découle aucunement qu'elle a cessé de
penser
... Les disciples de Descartes ont fait erreur en
tails, sous peine de tomber bientôt de son cheval ; plus tard, il n'y
pense
plus, il conserve la posture nécessaire, ses musc
même que l'on peut agir à rencontre de sa propre conviction, on peut
penser
, se figurer, inventer ce que l'on sait être faux.
figurer, inventer ce que l'on sait être faux. Nous sommes capables de
penser
d'une manière consciente, mais nous ne pouvons pa
capables de penser d'une manière consciente, mais nous ne pouvons pas
penser
comme il nous semble bon ; nous ne sommes point
1° Nature de la révélation que le malade fait à son médecin. 2° Que
pense
le malade du secret médical, et l'abolition de ce
: l'urgence de ses aveux n'apparaît pas comme pour le malade. On peut
penser
que si le secret de la confession n'existait pas,
mbre des malades qui se font soigner. Voyons, en effet, ce que peut
penser
le malade à ce sujet. Mais, auparavant, faisons
fant pleure trop, la matrone examine avant tout sa langue, et si elle
pense
que le frein est trop long, elle ne cherche pas a
rce que le peuple voit dans les rameaux veineux une araignée et qu'on
pense
que saint Paul veut en faire un sorcier (ciaràuli
'en servir comme d'un couteau pour couper le frein de la langue, sans
penser
aux dangers graves qui peuvent résulter de cette
up de ses élèves. Comme Liébeault, Forel, Vogt et d'autres encore, il
pense
que l'essentiel du traitement hypnotique est dans
nd, doit être envisagée d'abord chez les malades soignés dans des
pensions
de famille par le docteur lui-même. Il les endort
fatigue pour mes yeux. Cette crainte devint une obsession ; plus j'y
pensais
, plus je louchais, tantôt d'un ceil, tantôt de l'
ge et que l'on peut empêcher en y songeant, c'est seulement quand j'y
pensais
que je louchais, et. si j'étais distrait, je ne l
ur recommencer aussitôt après. — Aujourd'hui, après trois séances, je
pense
beaucoup moins souvent à loucher et surtout il m'
les hypocrites et les convaincus, c'est là une chose sur laquelle, je
pense
, tous les psychologues sont d'accord. Mais ce que
et réalise l'idée. J'insiste sur le mot faculté car trop de personnes
pensent
que la suggestibilité est un phénomène anormal et
on, qui mettait toute sa confiance en Dieu, lui répondit : Quoi! Vous
pensés
que je craigne! C'est l'affaire de Jésus-Christ q
comme elles sont loin d'être suffisamment connues au dehors, j'ai
pensé
que vous voudriez bien m'excuser d'avoir désiré v
lyurie, les zones hystérogènes, l'hypersuggestibilité... ? Nous ne le
pensons
guère. On ne peut pas soutenir qu'un individu d'é
deux se sont tourmentées ; elles sont devenues hypocondriaques et ont
pensé
au suicide. Or, il s'agit, en somme, d'une affect
commande de ne pas se fatiguer, surtout de ne pas faire d'efforts, de
penser
souvent que tout se remet en place de plus en plu
besoin de faire pipi, tu appelleras ta maman. Tu me le promets ? Tu y
penseras
bien ?... Allons, réponds-moi. N'est-ce pas que t
d'hypnose chez les animaux sont certainement plus fréquents qu'on ne
pense
et je suis bien convaincu que nombre de personnes
des états différents de l'hypnotisme et de la fascination; il semble
penser
que l'on n'obtient ces états que par la fixation
s nombreux et intéressants ouvrages; je crois même et, en cela, je ne
pense
pas commettre une indiscrétion, qu'il va bientôt
manifestent déjà des facultés psychiques élevées et sont capables de
penser
! On se demande ce que devient, dans un tel rais
e développer en intelligence? Nous avons été amené par cette raison à
penser
que l'organe de l'intelligence doit son origine à
iece quand il entendit au dehors, sur la véranda un bruit qui lui fit
penser
que c'était deux animaux qui se battaient. II sor
ifier une église à Saint-Jean. Elle y déposa le doigt (M. de Kerdanet
pense
qu'il s'agit de S&int-Jean-du-Day, près Saint
bulbe et le cervelet. En s'appuyant sur ces faits positifs, Heubel
pense
qu'on est ' autorisé à en tirer la conclusion que
élevait récemment avec tant de logique et de courage. Comme lui, nous
pensons
qu'il faut changer radicalement la méthode employ
a rééducation de leur volonté y sera systématiquement appliquée. Nous
pensons
répondre par cette création au regret souvent exp
ation, se donne les apparences de la mort. Un autre se croit damné et
pense
accomplir son devoir en s'abstenant de toute mani
le maître regretté aux médecins de la nouvelle génération ('). Nous
pensons
que la prochaine séance annuelle de la Société d'
t les rites qui se succéderont au voisinage de son corps profiteront,
pense-t
-il, au salut de son âme. Quant à l'église ou à l'
mmédiatement avant le rendez-vous, il échafaude un plan d'attaque; il
pense
, réfléchît, combine; il prévoit toutes sortes de
r, il accourt se remettre entre mes mains. « Justement, me dit-il, je
pense
beaucoup à une très gentille jeune fille, d'excel
nombreuses séances. Toutefois, je me dis : Quand il me verra, à quoi
pensera-t
-il ? Quel effet lui produira ma présence ? Il ser
avait installé sa clinique. Nous espérons mieux encore. Bientôt nous
pensons
que l'on verra s'élever sur une des places publiq
génie créateur de l'artiste, risquerait de l'éteindre. L'artiste qui
pense
trop, se déshabitue de produire. Ce que l'artiste
a valeur des doctrines du Dr Liébeault. Disons simplement qu'il avait
pensé
que certains états du sommeil provoqué permettent
ateurs. Voyant son intelligence précoce et son goût pour l'étude, ils
pensèrent
qu'il fallait en faire «m prêtre; mais l'adolesce
articles qui ont été consacrés à la mémoire de Liébeault. Nous avons
pensé
que nos lecteurs, dont le plus grand nombre sont
s réactions électriques. La disposition de l'anesthésie ne peut faire
penser
à une paralysie du plexus brachial, ni radiculair
homme n'accomplisse pas d'actes illogiques, dépourvus de raison, nous
pensons
cependant qu'il est atteint de mutisme uésa-nique
on, mais cela n'en constitue pas moins un progrès appréciable. Nous
pensons
que le pronostic n'est pas défavorable et qu'il a
ans tes régions explorées et dans les régions voisines, m'amenèrent à
penser
que c'était là une insensibilité toute spéciale,
à étancher notre soif de connaissance et à satisfaire notre besoin de
penser
, l'art doit donner une expression à nos sentiment
oments où l'esprit est trop occupé de quelque autre objet ou que l'on
pense
trop à soi-même. Ayez devant vos yeux le plus spl
son sort, parlait aigrement de la médecine en présence du docteur et
pensait
au suicide. En décembre 1902, je commençai à le
dire que les indications de l'hypnotisme sont formelles; M. Dubois le
pense
aussi, ses aveux d'impuissance en sont le gage, m
sternale une tumeur peu mobile, dure, de la grosseur d'un abricot. Je
pense
aussi à une tumeur, mais me basant sur sa grosseu
de force sur telle ou telle idée déterminée. Il en résulte que nous y
pensons
avec plus de force. Xous utilisons à son maximum
sprit qui a rendu l'esprit plus dispos. Voilà ce que chacun de nous
penserait
si les philosophes férus d'inconscient n'étaient
a eu discontinuité dans le contenu de la pensée, c'est qu'au lieu de
penser
à l'objet de notre recherche, nous n'y avons poin
'au lieu de penser à l'objet de notre recherche, nous n'y avons point
pensé
du tout. Dire que nous y avons pensé inconsciemme
recherche, nous n'y avons point pensé du tout. Dire que nous y avons
pensé
inconsciemment, c'est parler pour ne rien dire.
e perdue. — Vous jetez, comme on dit, votre langue aux chiens et vous
pensez
à autre chose. Tout d'un coup, le nom se retrouve
vérité : il l'est à la manière de tout ce qui est invérifiable. Nous
pensons
que de tels expédients veulent être, autant que p
e la Salpetrière. Elle est incapable de fixer son attention et ne
pense
à rien ; c'est de la confusion totale des idées,
énération spontanée ? Non, n'est-ce pas? Et personne d'ailleurs ne le
pense
. Seulement l'on discute encore l'origine du carac
Voir revue de l'Hypnotisme n" de mai, juin et juillet 1006. qu'il
pensait
. La « voie détournée » du raisonnement n'est pas
r de l'examiner par la bouche, le vagin ou le rectum. Que le public
pense
ce qu'il veut et croie à une puissance occulte, s
! » Aussitôt la malade se tait, l'aphonie reparaît. c Certainement,
pense-t
-il, elle me trompe, c'est une simulatrice. » Alor
urette. Pitres, etc., sont des élèves de Charcot, qui ont continué de
penser
comme leur maître. Or le procédé d'hypnotisation
ient deux branches de la même science unies sur un tronc commun. Nous
pensons
même qu'à ces deux branches ne tarderont pas à s'
aul Bert, possède aussi, suivant le mot de Buffon, « cette faculté de
penser
en grand qui multiplie la science ». S'il n'a p
a part de félicitations affectueuses et pour dire tout le bien que je
pense
de lui. (Applaudisse-ments.) Il y a de longues
lorsqu'on me conseilla de recourir à l'hypnotisme. Comme bien vous
pensez
, cela n'alla pas tout seul. Vous ne sauriez imagi
tout est vague et indécis autour de lui ; il ne réfléchit pas, il ne
pense
pas et, spontanément, les mots suivants lui tombe
eurs éloquents, de traduire insuffisamment vos sentiments, mais, il a
pensé
que j'avais quelque chose à dire, parce qu'il s'e
onnaissance, j'avais eu l'idée de préparer un discours. Puis j'ai
pensé
que !es mots viendraient d'eux-mêmes pour exprime
rdeuse. Avant de m'adresser à un imprimeur, je voulus savoir ce qu'en
pensaient
mes amis. Le résultat de mon enquête fut beaucoup
e, je considère le chemin parcouru, je ne puis faire autrement que de
penser
que notre œuvre d'enseignement de l'hypnotisme et
ommis par les aliénés libres est effrayante à lire pour tous ceux qui
pensent
que si la protection de la Société est la princip
ille, des mauvais traitements aussi qu'il redoute pour son malade, il
pense
que celui-ci sera mieux soigné, mieux traité dans
hode » comment Faria demandait à ses époptes de fermer les yeux et de
penser
au sommeil. Pour Faria, la concentration est un f
on ne me domine plus ; je me sens beaucoup plus décourage etjesuis,je
pense
, comme tout le monde. Je prends même plaisir à pé
e, pendant la jtuit, il a tout à fait raison !!! 4° Vous devez bien
penser
, Mesdames et Messieurs, que cette ingéniosité
ouver les vexations dont la Société royale de Londres l'a abreuvé, je
pense
que la vocation d'Abraham et la sainteté de Melch
'a plus la hantise du public; même il s'en isole, s'en déprend et n'y
pense
pas. Il n'a ni tremblement, ni trouble; il jo
tion est donc légitime, même contre ces derniers. Dr Bérillon. — Je
pense
que le traitement du mal de mer doit ôtre pré
homme de fumer ou de priser. En effet, dans les deux cas, on pourrait
penser
qu'au début l'habitude a été créée par nécessité
ers et très curieux, tels que des excitations nerveuses pouvant faire
penser
à la rage où à d'autres névroses du même genre.
l'exécuter. On pourrait multiplier à l'infini ces exemples, et nous
pensons
qu'il serait intéressant pour les psychologues et
çait au point d'entrer dans un véritable état d'hypnose. Nous avons
pensé
que le tic, qui consistait pour le geai à frapper
-motrice ne pourrait pas être appliqué aux animaux. En principe, nous
pensons
qu'il aurait un certain nombre de succès. ii sera
élevait récemment avec tant de logique et de courage. Comme lui, nous
pensons
qu'il faut changer radicalement la méthode employ
réalité nous retrouvons, chez ces rigides protestants, la manière de
penser
des vrais alexandrins, des Philon, des Barnabas,
atons chez les fous mystiques de nos asiles. Je dirai ce qu'il faut
penser
de son intelligence, et comment chez lui, à l'inc
simulation chez les enfants sont beaucoup plus fréquents qu'on ne le
pense
généralement. Lorsqu'il s'agit de se rendre intér
nature de ces accidents ; on serait même tenté, au premier abord, de
penser
à une attaque d'épilepsie, affection qui peut, en
i vous constellent la poitrine ? Je n'ai pas besoin de répondre, je
pense
, par la négative, mais je suis dans la nécessité
singer, dans la Médecine moderne : « Un professeur, écrivait-il, ne
pense
pas comme tout le monde; vous êtes libre, indépen
préoccupés de meubler leur maison que de fortifier leur jugement. Il
pensait
que c'était faire un fort mauvais usage de son ce
est pas « le mal du siècle », elle est un mal plus fréquent que ne le
pensent
ceux qui se désintéressent de la psychologie de l
Il y a là un effort de réflexion et de volonté intéressant; mais nous
pensons
que la timidité était plutôt chez ce jeune homme
omique à jouer pour l'amusement de l'acteur et des spectateurs. Qu'en
pensent
les psychologues ? BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE C
du Dr Huchard, qui en avait le premier donné l'idée au ministre. Nous
pensons
qu'il convient d'en féliciter notre maître. Grâce
t d'une ample moisson. Aussi je ne me refuse point la satisfaction de
penser
que la brochure sur le Concours de liagrègation e
s fort, une sueur abondante coule de mon visage, je suis incapable de
penser
, les idées ne viennent pas, je parle comme vous m
prit des Français. Cette préoccupation de ce que les autres peuvent
penser
de nous est poussée si loin dans notre pays qu'el
ions affectives traduites par des invectives et des malédictions font
penser
qu'il s'agit d'une vieillesse un peu morbide. La
à contenter, lorsque nous connaîtrons mieux sa façon de sentir et de
penser
, ses derniers désirs ainsi que ses besoins. (1)
ression du concours de l'agrégation fût obtenu aussi facilement. Nous
pensions
, à tort, que les membres du congrès, ayant tous d
d'après Hélène Smith, une spirite à incarnations (i). Adèle Maginot
pensait
, comme Mrs Piper, entrer en communication avec le
veugles aient des sens privilégiés ; et, de l'autre, il est normal de
penser
que l'éducation des aveugles, comme celle de tout
cientes de notre personnalité ; il est dû à l'homme interne... Sans y
penser
et le vouloir, les médiums nous révèlent avec ing
elle ajoute seulement un peu de lait. Au point de vue médical, que
penser
de ce cas ? L'hypothèse de la simulation, on le
sa patiente. Elle ne présentait pourtant aucun symptôme pouvant faire
penser
à l'épilepsie. L'étude des rêves peut donc n'être
ais pu être répétées par d'autres observateurs ; on est porté ainsi à
penser
qu'elles ne sont pas indépendantes d'une certaine
C'est catégorique ! Portée sur ce terrain, la question fut, vous le
pensez
bien, chaudement discutée. On entendit, tout d'ab
. Or, cette « première maîtresse » me possédait encore plus que je ne
pensais
. On lançait dans la discussion, souvent avec host
our une certaine fatigue, une faiblesse dans les jambes ; aussitôt il
pense
à sa voisine, il craint que cette faiblesse ne so
re à l'anus intolérante, amenant un état tel que nous fûmes obligé de
penser
à lui pratiquer la dilatation anale. Nous eûmes
bien au bout de quelques semaines et est complèlement guérie. Nous
pensons
que cette observation présente un grand intérêt.
itude que d'à-propos if. le professeur Joffroy. C'est bien le cas, je
pense
, de rappeler cette parole de Leibnitz : « Il y a
est clair, il est compris de tous. N'a-t-on pas dit que si l'on doit
penser
avec les savants, il faut parler avec le commun ?
gnalant cet Interview, un de nos lecteurs nous demande ce que nous en
pensons
. Nous lui répondrons qu'il fut un temps où M. Déj
toires. La figure profondément obtuse de ces deux personnages ferait
penser
plutôt à quelque épileptique en période d'attaque
mieux que la simple classe spéciale anexée à l'école ordinaire. Nous
pensons
donc qu'il n'y a pas à hésiter et qu'il faut reco
ussion M. Dbmonchy. — Est-ce que les auteurs de ces expériences ont
pensé
à guérir ces brûlures par le même procédé qu'ils
uto-suggestion sont indéniables et ils sont plus nombreux qu'on ne le
pense
. J'ai rapporté, dans la séance du 25 octobre 1886
étudiants d'Europe... » A ce sujet, je ne pourrais mieux faire, je
pense
, que de vous citer les paroles suivantes, extrait
sistent et même grandissent si la malade reste dehors plus qu'elle ne
pensait
. A la maison, elle ressent la même chose s'il arr
le domaine de la thérapeutique hypnotique. Avant le traitement, je ne
pensais
pas que le cas que je viens de décrire fût vraime
ns vouloir trancher la question, avant de nouvelles expériences, nous
pensons
qu'un grand nombre de ces cas pourraient être com
ête de ses petits. En présence de cette inquiétude, les propriétaires
pensent
qu'elle a mis bas mais qu'elle a mangé les nouvea
nstances, on fait absorber aux nouvelles accouchées. On pourrait donc
penser
que des animaux qui dévorent leurs petits le font
evient furieuse à tel point qu'un observateur moins prévenu aurait pu
penser
à la rage. Il est impossible d'en approcher, elle
, passe dans un espace relativement restreint et fuit à nouveau. Nous
pensons
que cette bête voulait absolument faire ses petit
uer aux animaux en pareille circonstance, nous serons bien obligés de
penser
qu'un grand nombre d'infanticides sont le résulta
z, est morte », signé : « Muller ». Très affligés, comme bien on le
pense
, les pauvres parents apprennent ce décès à leur e
peut-être pas, ou bien ils tarderont à venir. Alors, en égoïste, sans
penser
à la douleur qu'elle allait causer à son père et
Ecole ; ses succès passés me dispensent de dire tout le bien que nous
pensons
de lui. Le cours d'Anâtomie et psychologie comp
a gymnastique en général de se pratiquer dans des locaux fermés ; ils
pensent
que des mouvements quelconques, pourvu qu'ils soi
rimer cet amour sauvage et fou, le seul qu'ils connaissaient. Je ne
pense
pas que la sagesse soit incompatible avec l'amour
trop admirables, trop impossibles à fabriquer de toutes pièces pour
penser
à les détruire quand ils existent. Voie ?1. —Le
les, autrefois si subversives, intéressaient aujourd'hui et faisaient
penser
. Comment vouloir que le médecin persiste aujourd'
ivait depuis longtemps une aspiration plus adéquate à leur manière de
penser
, de voir et de sentir, et que, le jour où ils se
e mêler une matière de fait avec une matière de thèse. Que le médecin
pense
in petto ce qu'il veut de la responsabilité de l'
aquelle M. Farez ne manque pas d'appuyer. Il n'est pas incontestable,
pense-t
-il, qu'entre les, criminels et les malades, entre
ur eux la maladie n'était qu'un châtiment divin ; et la foule, qui ne
pensait
que par les prophètes, admettait, sans réserve, c
re ce joug des esprits et des revenants qui troublent leur manière de
penser
et qui empêchent leur développement intellectuel
ais de mouvements réflexes étendus. Pour toutes ces raisons, nous
pensons
qu'on pourrait, peut-être, désigner ce symptôme s
esponsable indique au juge que sa première préoccupation doit être de
penser
à des excuses possibles, et, le cas échéant, d'en
a métaphysique sur l'autel du bon sens, avec l'arme du ridicule. Nous
pensions
qu'il s'agissait d'une exécution définitive et qu
e gosier un crapaud, ou un animal du même genre ; il suffit qu'elle y
pense
pour qu'elle sente l'animal remuer, remonter le l
ur Raymond, « la grande hystérie n'est pas réduite, comme certains le
pensent
au souvenir d'une épidémie éteinte^., les malades
crainte, elle implique déjà l'émotion. Quoiqu'il en soit, la faconde
penser
de Vaschide et de Marchand trouve des partisans (
qu'on peut faire dire au médecin ce qu'il n'a pas dit et ce qu'il ne
pense
pas, et parce qu'il doit assumer seul la responsa
polémiques auxquelles se sont livrés MM. Bernheim et Babinski me font
penser
, malgré moi aux plaideurs du bon La Fontaine ; to
d Toghlak avait entendu parler du papier monnaie employé en Chine, et
pensait
enrichir le trésor impérial en fixant une valeur
la suggestion suivante : « Vous n'aurez plus de rêve la nuit. Vous ne
penserez
plus à votre accident, vous De serez plus impress
Dans son Essaisur le langage. Charme a pu dire avec raison : «Nous
pensons
notre écriture, comme nous écrivons notre pensée.
e comme une entité morbide, mais, contrairement à M. Bernheim, il
pense
que les troubles regardés comme lui appartenant (
mesure certains points de son histoire et de son étiologie mais je ne
pense
pas que sa « conception morale de l'hystérie » pu
bilité du gouvernement et décident du sort des peuples. J'incline à
penser
que, s'il n'a pas abordé ce redoutable côté de la
ous avons patiemment cherché à le provoquer dans un but curatif. Nous
pensions
en effet qu'en rétablissant, par des transferts s
ar le présentateur. En dépit des bons résultats obtenus par lui, nous
pensons
qu'à elle seule cette thérapeutique d'ordre purem
e catégorie d'enfants à se ronger les ongles ou les lèvres, mais nous
pensons
qu'il sera toujours utile de compléter ce traitem
néral, facile, mais, réclame un minutieux examen. Il faut, cependant,
penser
au rhumatisme du pharynx qui se différencie par l
comparer; il n'y aura pas de science proprement dite, et c'est là, je
pense
, la source principale du peu de progrès qu'a fait
, etc. Ce peu de mots suffira pour indiquer l'esprit dans lequel je
pense
qu'on doit étudier les altérations organiques; à
les dont l'ensemble constitue la mole liydatique. » M. Velpeau (**)
pense
que les filamens veloutés du chorion ne sont null
grains gangliformes qui recouvrent le chorion a conduit M. Velpeau à
penser
que les hydatides en grappes de l'utérus ne recon
uysch avait abordé cette question, et son opinion est remarquable. Il
pensait
qu'elles étaient formées aux dépens du tissu cell
enfant est venu mort, bien que le travail eût été très-naturel. Je ne
pense
pas qu'une hémorrhagie moyenne, qui dans ce cas f
ré simulât cette tumeur. Fondés sur des hématuries antécédentes, nous
pensâmes
que la tumeur avait son siège dans le rein, mais
nt avait subi la même altération : c'est un aspect tout différent. Je
pense
donc que le rein ramolli presque diffluent en éta
ont le fond présentait l'aspect radié de la substance tubuleuse. Je
pense
donc que le rein représenté fig. 3 et 4 avait été
e toucher m'ayant fait reconnaître qu'ils étaient durs, résistans, je
pensai
que ces vaisseaux étaient remplis par une matière
ces fibres avaient échappé à l'atrophie; car personne n'imaginera, je
pense
, que l'atrophie des muscles soit primitive; il me
insurmontable que l'état des os, des ligamens et des cartilages. Je
pense
que, dans les déviations anciennes et considérabl
eils mécaniques de l'utile concours de la contraction musculaire ? Je
pense
donc que l'époque la plus favorable pour le trait
ticulait avec la partie postérieure de sa face supérieure ; mais nous
pensons
qu'il n'est pas nécessaire d'attaquer directement
égager le système nerveux ganglionnaire que par nécessité. Souvent je
pense
à la saignée, mais l'absence de tout point doulou
s, sans que pendant la vie aucun symptôme ait indiqua 1™ r^pnr.fi. Je
pense
d'ailleurs que le canal intestinal n'entre pour r
une indication à laquelle j'aurais dû peut-être obéir plus tôt. Je ne
pense
pas que les douleurs aux articulations scapulo—nu
e persister. Le quinquina n'est point un antiphlogistique. Non, je ne
pense
pas que cette maladie lût au-dessus des ressource
ésions capables d'expliquer les symptômes observés pendant la vie. Je
pense
même que c'est cette coïncidence assez fréquente
celui de la veille, l'invasion brusque des symptômes alarmans me font
penser
que nous avons affaire à une fièvre rémittente pe
L'insuccès du quinquina doit-il faire repousser cette idée? Je ne le
pense
pas, et je me fonde, d'une part, sur l'emploi tar
ignit dans le marasme. Quel était l'organe malade ? J'avais d'abord
pensé
au ramollissement de la rate ; mais la longueur d
. 5. Les faits de ce genre ne sont peut-être pas aussi rares qu'on le
pense
; ayant eu occasion de faire part de celui qu'on
rer de la graisse au milieu de masses squirrheuses ; mais alors je ne
pense
pas qu'elles soient une production nouvelle; c'es
la pneumonie avait été précédée d'une extravasation de sang? Je ne le
pense
pas, car la pneumonie observée dans ses diverses
étra facilement dans la cavité du ventricule gauche, ce qui put faire
penser
que le sang épanché provenait de l'intérieur même
su malade fait suinter une sérosité trouble avec ou sans fétidité. Je
pense
que c'est dans les cas de gangrène consécutive à
ie. La multiplicité des foyers gangreneux me porta au premier abord à
penser
qu'ils étaient le résultat de la fonte de tubercu
ne, la douleur , la circonstance commémorative d'un coup me portent à
penser
qu'il existe une lésion organique du foie, dont l
poplectique celluloso-fîbreux ne date pas moins de plusieurs mois. Je
pense
que le sang concret et noir qui remplissait les m
naturelle, aucune douleur, aucun signe de maladie. M. Gauthier appelé
pense
, comme le malade, que cette indisposition provena
s cette époque, difficulté plus ou moins grande à lever les bras ; on
pensa
que c'était un rhumatisme : il va patiner le 18 j
bdomen ne me fait découvrir aucune tumeur, aucune région sensible. Je
pense
qu'il existe une maladie chronique latente de que
le y détermine le mode d'irritation spécial qui la produit, car je ne
pense
pas que la matière cancéreuse soit déposée de tou
douleur notable, répond-elle à l'invasion de la péritonite ? Je ne le
pense
pas; je rapporte la péritonite à l'époque où l'ab
nte-six ans, qui mourut d'une pleuro-pneumonie aiguë. Je suis porté à
penser
que cette disposition était accidentelle; le rétr
cloisonnement et la bifidité sont au fond identiques. Toutefois je ne
pense
pas qu'il y ait défaut, absence des parties situé
milieu du caillot sangum qu'elle se manifeste d'abord, ce qui a fait
penser
que les caillots s'organisaient immédiatement et
muscles; et la rapidité de la formation du pus est telle, qu'on a pu
penser
qu'il y avait transport du pus en nature et simpl
meur molle, circonscrite, que je crus être la vessie, en sorte que je
pensai
d'abord que la malade urinait par regorgement. Le
léchissant que nous étions au vingt-cinquième jour de l'attaque, j'ai
pensé
que la coloration jaune orangé, trace indélébile
nistré pendant quatre jours à la dose d'un gros par jour, parce qu'on
pensait
que le malade était sous l'influence d'une fièvre
la base entraîne les symptômes les plus graves. Je suis donc porté à
penser
que la plupart des observations décrites sous le
me dit que la tête lui faisait moins de mal. Selles involontaires. Je
pense
que la maladie cérébrale fait des progrès, que le
épaisseur. Aussi ne puis-je partager l'opinion des physiologistes qui
pensent
que l'influx nerveux peut se transmettre à traver
ive; il vous répondra à tort et à travers, car il n'a pas la force de
penser
, encore moins celle de suivre et de rapprocher se
'intensité quelque temps après la cessation complète de la fièvre. Je
pense
que cette cessation complète coïncide avec le mom
ement des accidens le jeudi : mort à dix heures du soir. Les médecins
pensèrent
que la malade avait succombé à un iléus. La mor
(**), fondé sur deux faits, dont un seul avec ouverture cadavérique,
pense
que les fongus de la dure-mère sont le résultat d
fois et des fongus des os du crâne et des fongus de la dure-mère. Il
pense
que les premiers, qu'il distingue en fongus médul
tous les caractères des tumeurs careinomateuses. Personne ne dira, je
pense
, que la tumeur carcinomateuse datait du moment de
e tenus en ligne de compte. Un certain nombre de faits m'autorisent à
penser
que le ramollissement gélatiniforme du cerveau pe
peut-être pas de même des tumeurs cancéreuses des os du crâne, et je
pense
avec Ebermaier qu'il ne serait pas impossible de
ur elle-même à la manière d'une écaille très-mince. Dès ce moment, je
pensai
que nous avions affaire à une tumeur fongueuse de
oyers d'inflammation au milieu des symptômes les plus formidables. Je
pense
donc que l'absorption physiologique du pus n'est
ales. VI. La présence du pus au centre des caillots sanguins a fait
penser
que ces caillots sanguins s'organisaient immédiat
s muscles; et la rapidité de la formation du pus est telle qu'on a pu
penser
, ou bien qu'il y avait transport de ce pus en nat
fait confirmerait, au contraire, l'opinion de ceux qui, avec Bichat,
pensent
que nos organes et les os en particulier, ayant e
e l'avis de l'extirpation, j'engageai le malade à attendre encore. Je
pensais
en effet que nous avions affaire à un sarcocèle é
es portions d'organes ou des organes tuberculeux et cancéreux. Or, je
pense
que dans l'état actuel de la science, les infiltr
n véritable kyste fibreux qui circonscrivait exactement la tumeur. Je
pensai
que j'avais affaire à une masse encéphaloïde enky
e volume ordinaire. Je cherchai l'épididyme que je trouvai intact. Je
pensai
donc qu'il convenait de respecter le testicule, d
e tension considérable manifeste. » A la lecture de cet article, je
pensais
que mes prévisions n'avaient pas été sanctionnées
que la luxation de la main sur l'avant-bras est impossible ? Je ne le
pense
pas ; mais bien qu'elle est excessivement rare ;
civil et militaire d'Aubusson. ixe livraison. 3 droite. On avait pu
penser
qu'elle occupait les deux côtés. L'ankylose A, fi
avant, et la constitution de la malade considérablement affaiblie. Je
pensai
que des mouvemens imprimés chaque jour aux articu
cune trace de travail morbide dans les parties environnantes , durent
penser
que cette altération était purement cadavérique.
e époque où régnait une épidémie d'entérites folliculeuses aiguës; je
pensais
que telle était la maladie à laquelle nous avions
l'amaigrissement rapide, l'aspect jaunâtre de la face, tout portait à
penser
que nous avions affaire à cette maladie ; tel éta
après six mois de soins assidus ; et certes, je suis bien éloigné de
penser
que les moyens très-simples que j'ai employés ont
nt l'origine à l'opération, c'est-à-dire, à huit jours; mais d'autres
pensèrent
, et je fus de ce nombre, que cet ulcère était tou
s et le foie, se forment de la même manière ; mais l'analogie porte à
penser
qu'il en doit être ainsi, car ces abcès paraissen
ans cette première période, même la phlébite utérine. Je suis fondé à
penser
, d'après un grand nombre de faits, que l'on a sin
e volant. L'exploration du thorax ne m'ayant donné aucun résultai, je
pense
que nous avuus affaire à une pleurodynie, laquell
phie de la substance rouge, et hypertrophie de la substance jaune. Il
pense
qu'en même temps que la substance jaune se dévelo
ntervalles qu'elles laissent entre elles. N'est-il pas raisonnable de
penser
que la cyrrhose consiste essentiellement dans Y a
ésion : la pression la plus forte ne développe aucune sensibilité. Je
pense
que cette indisposition cédera à quelques amers e
ité de deux applications de sangsues sur la région du cœur, me tirent
penser
crue je m'étais sans doute trompé. Cependant les
qui peut trouver son application dans une foule de cas. X. Doit-on
penser
que des calculs biliaires puissent se former et s
deux petits calculs dans l'épaisseur de son tiers supérieur. J'ai dû
penser
que ce cordon n'était autre chose qu'un de ces ca
e dans la susceptibilité individuelle. Plusieurs faits m'autorisent à
penser
que les rétrécissemens du pylore qui ne sont pas
erne de la tumeur avait été le siège d'un érysipèle phlegmoneux, nous
pensâmes
alors que le pus formé à la surface de la peau, e
ogique est invoquée à l'appui des opinions les plus divergentes, j'ai
pensé
qu'il serait utile de fixer par des figures exact
r une plaque de gangrène ; autour d'elle est une légère ecchymose. Je
pense
que cette couleur est due à l'action de l'acide q
pouls imperceptible. Du reste, facultés intellectuelles intactes. Je
pense
que la malade ne passera pas la nuit. Prescript
s ayant paru à la suite de la conjonction de plusieurs planètes, on a
pensé
que les conjonctions nombreuses qui ont eu lieu d
let présentait la même couleur vert sale que celui de la moelle. J'ai
pensé
que la couleur vert sale était l'indice d'un épan
rrivait pas une goutte de sang aux poumons parle ventricule droit; je
pense
que l'abord du sang dans les poumons se faisait i
çà et là, au milieu du reste du poumon, des noyaux d'infiltration. Je
pense
que cette lésion peut dater du moment de la naiss
une aussi petite portion de l'organe de la respiration. Du reste, je
pense
que cette lésion ne remonte pas avant l'époque de
a soulevé la paroi antérieure de la tumeur, en sorte qu'on aurait pu
penser
que la vessie tout entière était contenue dans l'
en même temps plusieurs œdèmes douloureux dans l'hôpital, j'aurais pu
penser
que nous avions affaire à un œdème douloureux, sa
u 31 mars au 1er avril. Ouverture du cadavre. Avant l'ouverture, je
pensais
que nous trouverions une collection de pus dans l
s ici abstraction des kystes pileux sous-cutanés, et voici comment je
pense
que les choses doivent se passer :une conception
eur d'un autre individu, sont applicables aux kystes pileux. Meckel
pense
que les kystes pileux peuvent être le résultat d'
tait du caractère rhumatismal de la douleur, on était bien éloigné de
penser
qu'une cause aussi légère pût avoir produit une f
ruellement tourmenté la malade autrefois n'existait pas; néanmoins je
pensai
que l'estomac était le point de départ des symptô
die ont été recueillies ; ce nombre est certes bien réduit quand on
pense
que voici plus de trente ans que l'attention de
philis héréditaire qui a été incriminée tout d'a- bord. Lannelongue
pense
même que si les auteurs ne recueillent jamais d
-t-elle toujours d'une telle pathogénie ? Pitres et Vaillard (5) le
pensent
et attribuent la maladie à la névrite dégénérativ
thogénique de toutes ces constatations anatomi- ques ? Léopold Lévi
pense
que les lésions médullaires de son malade sont
l'ostéite déformante est loin d'être prouvée, on pourrait peut-être
penser
, avec plus de raison, à la cause (1) M. KLIPPEL
t apparues spontanément, sans que la malade se soit heurtée et fout
penser
aux ecchymoses spontanées décrites chez les tabét
petite saillie dure au niveau de la partie inférieure du fémur, on
pensa
tout d'abord à une ancienne fracture spontanée
e fé- minin. La différence est très importante. Il faut peut-être
penser
aussi à une nfluence des ovaires bien que cette
eur à la normale mais, en jugeant d'après sa teneur en iode on doit
penser
qu'elle était plulôl en hyperfonction. Nous ajo
up d'efforts pour causer avec son entourage, si bien que sa famille
pensa
de l'envoyer se faire soigner la gorge et on co
ont en pré- sence pour expliquer la nature de ces spasmes : les uns
pensent
qu'ils peuvent être d'origine périphérique ; le
ne évidemment psychique de la plupart de ces désordres, ont amené à
penser
, par analogie, que les spasmes fonctionnels dev
it localisée ? Oui pour certains auteurs qui, comme Sa- vill (198),
pensent
qu'il existe dans ces cas un trouble de fonctionn
e » de la main droite était d'autant plus rapide à apparaître qu'il
pensait
davantage à elle ; l'émotion, l'écriture en pub
is le spasme s'ac- cusait d'autant plus vite qu'il était ému, qu'il
pensait
à sa crampe, qu'il écrivait en public. De même,
» est une des manifeslationsles plus nettes. Il est donc permis de
penser
que, chez noire malade, le fait d'écrire provoq
Y qu'il lui était impossible d'écrire. Ainsi il n'écrivait pas sans
penser
qu'il écrivait, sans penser qu'il ne pouvait, p
d'écrire. Ainsi il n'écrivait pas sans penser qu'il écrivait, sans
penser
qu'il ne pouvait, pas écrire. Le phénomène d'arrê
ouble cortical, au même titre que le déséquilibre psychique. Nous
pensons
avoir démontré par ces quelques exemples qu'une
tiques. Mais le moral de M. M... restait fortement touché ; plus il
pensait
à sa crampe, plus les troubles s'accusaient ; s
eut à son tour une crampe de plus en plus violente à mesure qu'il y
pensait
davantage, Raymond et Janet ont rapporté (113
et plus le malade faisait d'efforts pour s'en débarrasser, plus il
pensait
à son affection, plus la crampe était tenace et
r la nature exacte du phénomène et de sa cause essentielle. Nous ne
pensons
pas que la cicatrice laryngée, souple, indolore e
du développement de quelque organe glandulaire. Leblanc et Edyworth
pensent
à la comparticipation de la glande thy- roïde e
yroïdie et l'opothéropie ne modifie en rien le syndrome. Vargas a
pensé
que l'achondroplasie est liée à une altération fo
es oeuvres d'imagination, la littérature et la poésie offriraient, je
pense
, un bien meilleur débouché a leurs talents souv
té ou la quantité de matière cérébrale. Cette proposition étant, je
pense
, admise sans conteste, je mie bornerai à énonce
l'activité exclusive d'un de ses organes. Ce n'est pas l'homme qui
pense
, c'est le cerveau, et le fait est si vrai qu'il n
'homme qui pense, c'est le cerveau, et le fait est si vrai qu'il ne
pense
bien que pour autant que l'organe soit normal. '
rieures des modes d'expression autres que la parole, on est amené à
penser
que nos animaux communiqueraient entre eux au moy
de d'évolution supérieur. A priori, il paraît même vraisemblable de
penser
le simple réflexe donnant déjà lieu à des opéra
pur réflexe et le mouvement est déjà exécuté avant que vous n'ayez
pensé
à le faire. La vue du. poing, l'excitation lumine
subi au moins une pression. Je me suis laissé aller à l'écrire sans
penser
à rechercher en moi-même la parti- cipation de
ne à agir, mais à cause d'une impulsion que l'on subit sans qu'on y
pense
. La volition n'est autre chose qu'une sorte d'imp
ce des facultés intellectuelles, en même temps que j'en donnais, je
pense
une meilleure compréhension. C'est là un résultat
st déjà démontrée à priori par le fait que ce n'est pas l'homme qui
pense
, mais le cerveau, et que n'ayant aucune action
trictement limité aux pensées contenues dans le cerveau. On ne peut
penser
qu'aux choses que l'on connaît et jamais à celles
lement représentées. Jusqu'à détermination plus exacte, on peut donc
penser
qu'une force nouvelle s'est interposée le long
es et ceux qui s'y seront livrés auront au moins la satisfaction de
penser
que les résultats tout imparfaits de leurs premie
ous l'action du milieu, dès la plus tendre enfance. Quoi que l'on
pense
, quoi que l'on dise, quoi que l'on fasse, il rest
peut même que le spasme se produise par le fait seul que le su- jet
pense
qu'il va écrire ; ou bien (Brissaud, Hallion et M
sujet est très préoccupé de l'idée qu'il va écrire, car alors il ne
pense
plus à l'acte même de l'écriture. Des douleurs
nuits sont agitées depuis le début de son affection, à laquelle il
pense
sans cesse. On peut éliminer chez M. A... l'éth
cité ces deux ou trois diagnostics délicats que parce qu'il faut y
penser
comme cas embarrassants d'ailleurs fort rares.
c., à l'origine des crampes professionnelles. Il importera donc d'y
penser
, et d'en rechercher les signes. Le diagnostic
s myopathiques à des fractures après trau- matismes légers qui font
penser
à une fragilité particulière des os. Cer- tains
t à fait semblables à celle du rhumatisme d'Hé- berden. Les auteurs
pensent
, avec raison, que ces nodosités sont une manife
en très grande diminution. On serait donc porté au premier abord à
penser
que les sels terreux de chaux et de magnésie qu
pas garde et quand la contracture eut atteint un certain degré, il
pensa
: « mais, c'est comme chez mon père ». L'appariti
tiologiques. Doberauer, examinant sept cas de maladie de Dupuytren,
pense
que les professions mécaniques peuvent causer l
logi- co-anatomiques de la moelle dans la contracture de Dupuytren,
pensent
que dans leurs cas, à la suite de l'affection s
272 ROUDNEW pu être transmise par l'hérédité ; le malade n'a jamais
pensé
à la possibi- lité de ce fait. Par conséquent i
lement con- seillé, et son rôle sera double; il forcera le malade à
penser
à autre chose qu'à sa profession, à détourner p
fort qu'il nécessite pour être bien exécuté, empêchent le malade de
penser
avec autant d'intensité à ses troubles morbides h
nerfs périphériques. Nous plaçant à un point de vue théorique, nous
pensons
qu'il faut l'invoquer pour expliquer la genèse de
nt une raison, sinon décisive, du moins d'une certaine valeur, pour
penser
que la maladie est contagieuse. Étudiant l'épid
ous nous borne- rons à renvoyer à cette thèse. Cependant Laurent ne
pense
pas que ces douleurs le long du dos soient dues
s malades tiennent le dos fléchi en arrière. Néanmoins Duquennoy ne
pense
pas qu'il se soit agi, dans ces cas-là, d'une mé-
également. C'est là une des deux possibilités auxquelles nous avons
pensé
pour expliquer cette curieuse histoire clinique
du peu de temps pendant lequel nous avons suivi la malade : nous ne
pensons
pas que cela puisse infirmer le diagnostic port
mbre d'auteurs et entre autres Lepage, Taylor, Galezowski, Bertozzi
pensent
qu'elles soient strictement liées à la syphilis
ique. Cagnetto, qui croit à l'origine endogénique de l'acromégalie,
pense
quecçs dégénérations médullaires soient la cons
tre le naevus et la ligne d'implantation des poils. Que devons-nous
penser
de ces différentes conceptions ? Il existe selo
idéal nous manque, mais cela en somme ne doit pas surprendre si on
pense
que le naevus, affection congénitale, tra- duit
rs se sont rangés à la manière de voir de Bech- terew, d'autres ont
pensé
qu'il s'agit de deux variétés du même processus
il n'a trouvé ni traumatisme, ni causes héréditaires. Schaikeviteh
pense
que le cas décrit par lui appartient au type inte
onneix; il en est de même pour les lésions histologiques, Peut-on
penser
dans notre cas à une autre forme de polyarthrite,
N'ayant pas trouvé d'atrophie musculaire chez son malade, Troschine
pense
que la cause principale de l'incurvation de la co
cause de la pré- dominance de la raréfaction osseuse, on ne peut le
penser
, quand on se rappelle que les fibres nerveuses
tibia gauche il existât quelque hyperostose, ce n'est pas le cas de
penser
à l'hyperostose diffuse qui commence dans les p
du fait d'avoir trouvé sur six autopsies cinq néoplasies malignes,
pensa
à une relation entre ces deux affections ; mais
s ait pu jouer un rôle important dans la production du mal, mais je
pense
que les cas observés sont en trop pelit nombre po
sidérant les nombreuses variétés observées, il n'est pas hasardé de
penser
à la possibilité de causes diverses ; l'étude com
complète. Quand je parle d'une « amélioration considérable », je ne
pense
pas au fait observé dans la plupart des cas de
s très élevés en rapport à l'ammoniaque et à l'indican. Messedaglia
pense
aussi que le diabète qui se manifeste assez sou
faut pas oublier que de nombreux auteurs et entre autres Franchini
pensent
que la lésion hypophysaire puisse être secondai
traduite pendant la vie par aucun symptôme : rappelons qu'on avait
pensé
chez notre malade à l'existence d'une sclérose
, exagérations ou perver- sions des sécrétions internes nous a fait
penser
à la possibilité d'une pathogénie glandulaire.
s peuvent s'écouler entre les deux atteintes. Il ne reste donc qu'à
penser
à une vulnérabilité spéciale de la moelle épini
io- myélite des douleurs et même une hyperesthésie, mais il n'a pas
pensé
alors à la méningite si fréquente dans la polio
spondants n'éclaire pas la cause de toutes ces atrophies, mais nous
pensons
qu'il s'agit d'autre chose que d'achondro- plas
auxquels ils appar- tenaient. L'accord n'est plus aussi unanime, je
pense
, lorsqu'il s'agit de faire rentrer l'homme dans
es qui se contredisent logiquement et qui coexistent parce qu'on ne
pense
pas à les associer, à les comparer. Inversement,
n'est pas sorti de la main des dieux, on est invinciblement amené à
penser
qu'on doit le considérer comme une simple produ
'éther et vi- brations nerveuses s'imprimer dans le cerveau qui les
pense
ensuite, conditionner la mentalité et les actes
qu'on ne l'entende dans le sens élevé que la raison commande et je
pense
que, pour être aimé, il faut être méritant, c'est
à leurs mani- festations. On ne peut, du reste, pas raisonnablement
penser
qu'il puisse en être autrement, car il faudrait
roduire et de manger. Ces différentes fins lui sont imposées et, je
pense
, également imposées. L'habitude se distingue de
ls se produisent sans que l'homme les commande et même sans qu'il y
pense
. Ce sont de simples réactions en présence d'ex-
simplement qui s'est déjà manifesté avant qu'on ait eu le temps de
penser
à le faire. L'enfant saisit le sein de sa nourric
es. La matière inorganique n'est pas aussi inerte qu'on pourrait le
penser
et elle fait preuve dans certains cas d'une vér
éclairant ou détonnant. Si ce n'est que l'on a pris l'ha- bitude de
penser
autrement, n'est pas plus difficile de vivre que
faut, travailler à cause d'un motif, subir les courants d'opinions,
penser
à la pluie quand il pleut, tel est l'homme, tel
discuter la valeur des arguments que l'on oppose à leurs théories. Je
pense
que la froide raison, la raison pure ne peut av
gence découvre enfin la spécialité qu'elle avait choisie et qu'elle
pensait
d'abord dans sa simplicité avoir comprise, mais e
les passions de la terre et les supérieurement. l. Comme on ne peut
penser
qu'aux choses que l'on connaît et jamais à cell
sommeîl de pins en plus prjfoud. il poutail s'endormir le soîr sans
penser
à sucer ses doigis. Depuis lors il n'a jamais céd
ses ! rouilles de caractère et de sa mollesse. M. le doelenr Delîneau
pensa
qu'il y avait iulêrèt à tenter la guérison. Sur s
me une enfant qui les ignore complètement. Il y a donc tout lieu de
penser
qu'il v a là encore faux témoignage. Je tiens à
ut du reste être rapproché, car le père de renfaut dont je vous parle
pensait
sérieusement à porter cette all'aire en justice,
'était le nom de son enfant, mort plusieurs mois auparavant ; elle ne
pensait
plus à sa parente, mais à cet enfant qu'elle expr
quelque peu de leur influence. Le ministre de l'Intérieur de Russie a
pensé
avec justice que nos jeunes confrè.res russes «pl
ent. Enfin. un jour, le 12 septembre 1837, un homme avisé, M. Bardin.
pensa
qu'il était temps de mettre un terme a ces inauva
paques. de suggestion mentale à distance. M. le professeur Poucliet a
pensé
qu'il était temps de recommencer l'expérience pro
re à genoux, et la même douleur restai! localisée â la même place. Je
pensai
tout de suite qu'il y avait la quelque chose, et
l reste dans 1 impossibilité de bien sentir, de bien percevoir et «le
penser
encore avec la même liberté d'esprit. Delà encore
être pensant qui. en chacun d'eux, d'une part, observe; et de l'autre
pense
et agit en même temps. J'ai vu. de mes veux vu,
aient produits par la vibration il une corde tendue, assez longue. Je
pensais
aussitôt il un tendon du membre inférieur. Mais c
peut-être aussi n y a-t-il là qu'une coîncidenccde hasard. L'auteur
pense
donc, en résumé, que la caféine peut produire cer
s insignifiantes, je ne redoute pas d'en parler. Honni soit qui mal y
pense
. Dans mou premier sommeil, après m'ètre couché av
dont la froide participation à l'assassinat de l'huissier Gouffé. fit
penser
avec raison à M. Liégeois, de même qu'à beaucoup
l'appui de la faveur accordée à cette personne. M. Masoin. — Je ne le
pense
pas. M. Thiry. — L'Académie a ouvert, il y a qu
e connais pas les détails, et dont nous n'avons pas même le droit, je
pense
, de lui demander compte. M. Thiry. — Si l'on pe
it être très désagréable. — Mais ce n'est pas si désagréable que vous
pensez
, je me suis déjà fait électriser. moi. — Mais. Mo
vidu d'une nature absolument honnête et morale, qui n'y a même jamais
pensé
, on provoque dans son cerveau une idée tout à fai
en lui disant : chaque fois qu'une crise sera pour vous prendre vous
penserez
à moi et vous vous endormirez profondément, la cr
mmandé la désobéissance. Cette suggestibilité particulière m'a fait
penser
que cette malade serait un très bon sujet pour vé
ène en lui-même avait été observé et même décrit depuis longtemps. Je
pense
que l'on peut en effet rapporter h la même cause
on â la main et du papier lout prêt pour écrire. — Puis je lui dîs de
penser
un mot. — Pas de résultat. N° 2.— Les mêmes pré
de légères modifications. — Par exemple, je voulus demander à Lacy de
penser
un mot et de l'écrire sur une bande de papier qui
e maladie qui m'a valu lotit eela. D'autant, je vous l'avoue, que j'y
pense
toujours. C'est cela qui me ronge. Vous avez beau
ettre au moins un certain degré de déterminisme, des psychologues ont
pensé
que. tout en se laissant déterminer par les motif
sîves. » Ce que je tiens à dire ne s'applique pas a M. de Joug, qui
pense
comme moi, mais répond à l'opinion qu'il a reprod
actes immoraux. The Monlhly Summ/iry, Elmira, septembre 1893. J'ai
pensé
que celte citation d'oulre-mer intéresserait la S
années ». et cependant il gardait le silence. Mais je nie prends à
penser
que ce désintéressement n'était qu'apparent et qu
lable des phénomènes cérébraux qui la précèdent et qui In suivent. Je
pense
, au contraire, que si l'ensemble de la fonction p
ntelligence avait dévoré en moi le charbon de « ma volonté. Plus f ai
pensé
, plus je me suis déséquilibré (1). - On a invoq
r à Chambige et de se suicider avec lui? Maintenant que devons-nous
penser
des faits qui ont suivi et que nous ne connaisson
lus que Chambige. n'entend plus que lui, ne voit que par ses yeux, ne
pense
que par son cerveau, n'agit qu'en vertu de son im
int. Nous avions supprimé le plus possible des chances de trahison. «
Pensez
-vous assez fortement? » disait le sujet haletant.
monde, les chefs de famille, d'ateliers, d'usines, de collèges et de
pensions
tout autant que pour les médecins de soupçonner p
hypnotiques ou post-hypnotiqucs on constaterait plus souvent qu'on ne
pense
l'action d'une suggestion inconsciente et indirec
ient une tendance à y obéir d'une façon irrésistible. M. Bérillon a
pensé
que ces expériences pouvaient intéresser les memb
rdes, nous montrent qu'on en observe une plus grande variété qu'on ne
pense
généralement. Ce sont : I" Les hystériques. C'e
érit ». prouve qu'il s'était rallié à nos idées sur la suggestion. Il
pensait
comme nous que ta suggestion est l'agent curatif
ux guérissent toujours, disait maître François Rabelais. D'autres ont
pensé
— je suis de ceux-lâ : les joyeux sont rarement m
rir après un chat, il faisait de la suggestion thérapeutique ? A-t-il
pensé
qu'il faisait de l'hypnotisme tinch lïern-heim. j
e son autorité sur le malade pour provoquer ce consentement lorsqu'il
pense
que l'expérience qu'il veut faire peut avoir le m
Seulement les empoisonneurs n'étaient point des malfaiteurs, comme le
pensait
le publie, mais bien son incurie et sa (1) M.in
e ma femme. • « Eh bien ! lui dis-je, et notre hypnotisme, vous n'y
pensez
donc plus. Montons. » En effet Mme G... était e
es minutes. Ce court instant de calme absolu, d'inconscience où il ne
pense
plus et perd ses esprits, suffît pour le ranimer.
es qui l'en empêchent et s'irrite contre elles, tant pour lui, ne pas
penser
et dormir lui semblent, en ces moments lit, un bo
illation dans l'Assommoir, l'Escalier de Pot Douille, etc. —dénoie un
penser
non développé qui se trouve chez les sauvages com
pas. En somme M. Nordau a-t-i! fait une œuvre inutile ? Nous ne le
pensons
pas. D'abord il a créé une nouvelle méthode de cr
veloppée n'ont pns, en général, un caractère bien énergique; ceux qui
pensent
beaucoup, les meditati fs sont rarement des homme
'un million d'habitants donne un cas d'insomnie par chat et conduit à
penser
que Brooklyn est une ville où l'on dort fort mal.
u'il ne pouvait y avoir de rage quand il n'y avait pas morsure : elle
pensa
et elle pense parfois encore, que le chien a pu i
t y avoir de rage quand il n'y avait pas morsure : elle pensa et elle
pense
parfois encore, que le chien a pu inordre sa robe
, l'incontinence à une sorte d'atonie du sphincter vésical. Trousseau
pensait
que la cause résidait tantôt dans une irritabilit
ommencer de nouveau. Ces faits et bien d'autres encore m'ont fait
penser
que la nosophobie est surtout constituée par une
le de l'auto-suggestion étant ainsi établi, il n'est pas téméraire de
penser
surtout après quelques résultats obtenus, que la
ntôt. Il doit donc exister des dispositions structurales qui coiii-
pensent
jusqu'à un certain point la perte des libres serv
par lésions des nerfs cutanés périphériques (Dejerine) 1 Nous ne le
pensons
pas. 1 Redlich. Die Pathologie der Labischezz I
lacté. Les urines peu abondantes sont légèrement albumineuses. Nous
pensons
à unefièvre typhoïde. Rien au coeur. Le 2 elle
ans l'épilepsie à éloigner ou à faire disparaître les accès. Nous
pensons
que des conclusions fermes au point de vue path
tance ; il est probable qu'ici la lésion est plus ancienne qu'on ne
pense
, qu'elle a été longtemps à peu près silen- cieu
s un certain degré de faiblesse ou de paralysie légère, et l'auteur
pense
que l'extrême sensibilité au bruit que présente
'une amnésie totale sous cette influence le malheureux ne peut plus
penser
, associer ses idées , est incapable de se rendre
t sa personnalité que dans la confusion mentale. Ces paranoïaques
pensent
qu'on est derrière eux, qu'on les observe, qu'o
nombre de partisans parmi les neuropathologistes. Les deux auteurs
pensent
qu'elle repose sur un malentendu et que ce male
e glomérule filtre une solution de chlorure de sodium pure, Koranyi
pense
que la tension osmotique de cette solution est
une lésion spinale. L'absence d'antécédents, le début brusque font
penser
à l'hématomyélie. Le foyer empiète à la l'ois s
ifica- tions légères dans la cellule des ganglions spinaux, mais je
pense
SOCIÉTÉS SAVANTES. 89 que ces modifications s
ôpitaux de Paris, et qui a trait à un phlegmon pour lequel on avait
pensé
à l'amputation du bras. C'est par l'action exer
tances. Atteintes de douleurs névralgiques du côté du sein, elles y
pensaient
et en parlaient sans cesse, redoutant un cancer
s et en savoir des tiennes; ainsi, tout du loin que nous sommes, je
pense
toujours en toi et je désirerais te parler. Ain
ce anatomique du trouble.de la vitalité de la cellule». Que faut-il
penser
de la justesse de ce raisonnement ? Dans l'alté
Quoique cela soit généralement admis comme vraisem- blable, nous ne
pensons
pas que ce soit vrai (Ramon y Cajal). , ' Ed.
résultant directement de l'intoxication et il n'est pas éloigné de
penser
qu'il s'est peut-être trouvé en présence de sim
de psychologie clinique et thérapeutique, octobre 1899.) L'auteur
pense
, avec de nombreuses autorilés scientifiques, que
ntir le froid sont deux choses bien distinctes. Il y a tout lieu de
penser
que l'isotliermie cutanée, le non-refroidissement
nnelle dans des hémiplégies organiques légères. Usera plus juste de
penser
une hémiplégie organique. Discussion. - M. i\IE
e une grande présomption pour le diagnostic d'hémiplégie organique,
pense
qu'il n'est pas impossible qu'il dépende de l'h
nature motrice du noyau dorsal du nerf vague. De plus, les auteurs
pensent
que ces cellules appartiennent à un type moteur
Bien que la vision fut antérieurement à peu près nulle, M. Ferrand
pense
avoir au moment de ces nouveaux accidents const
ervations indiscutables de sclérose en plaques familiales-, nous ne
pensons
pas que l'on puisse légitimement y faire rentre
, l'aspect général du malade ne permettent pas un seul instant de
penser
que l'on puisse considérer comme s'y rattachant l
interpréter les faits cliniques que nous faisons- connaître. Nous
pensons
que la lésion essentielle dans l'espèce peut cons
tériellement défaut pour poursuivre des études si variées. Avant de
penser
à ajoutera à ce programme déjà trop complexe de
stituts pour faire progresser le travail scientifique, ainsi que le
pensait
Griesinger, que nous avons déjà célébré comme l
otrice passagère. Malgré la rareté des ptosis hystériques, l'auteur
pense
que par élimination on peut y rattacher ces deux
and nombre de cas le simulacre d'une affection organique. M. Elsner
pense
que le plus souvent le complexus symptomatique
onsécutives à cette maladie sont peut-être plus nombreuses qu'on ne
pense
. L'auteur résume l'historique de la question et
ait pas une simple coïncidence parait gagner du terrain. Ilansemann
pense
qu'il est au moins probable qu'il existe une re
ué autour des vaisseaux sanguins du foie, ce qui fait immédiatement
penser
à une influence tuxique, soit autoch- tone, soi
l'impulsion au suicide ou à l'homicide, est plus répandu que ne le
pense
M. Proal, chez ce genre de criminels. L'auteur
de développement physiologi- que, parfois et plus souvent qu'on'ne
pense
, de pathologie ner- veuse », nous croyons cepen
ers jours de la naissance, l'enfant était somnolent, nous amènent à
penser
qu'il s'agitià d'un cas d'idiotie congénitale.
- des au niveau du foie, et d'après son récit il y a tout lieu de
penser
qu'il s'agissait là de coliques hépatiques. Il n'
ie, le malade ressent une céphalalgie intense sans localisation; il
pense
aune conséquence de la fête de la veille, se lè
m de raie 2 ? 1é)liigiliqite. Ces quatre éléments permettaient de
penser
déjà que le processus était localisé en partie
itive et bourdonnements d'oreille à droite. Ensemble nous amenant à
penser
que, sous cette méningite, il y avait une lésio
aurait- on pu du moins intervenir de façon efficace ? Nons ne le
pensons
pas, bien que l'observation de Cllarcot et Pitres
bien que l'observation de Cllarcot et Pitres soit de nature à faire
penser
que l'on puisse vivre sans lobe tem- poral droi
e. On ne les rencontre guère hors de la substance blanche. L'auteur
pense
que les corps qu'il a trouvés dans son cas de scl
sont très nom- breuses dans le cerveau du nouveau-né, ce qui a fait
penser
qu'elles servaient peut-être à transporter des
s des vaisseaux (iltiguenin, cité par Obersteiner). Enfin Guizzetti
pense
que ces cellules dérivent en partie de leucocytes
points de ce travail, qui est accompagné d'une planche. L'auteur a
pensé
qu'un procédé rapide et facile de coloration d'ap
il ? L'auleur n'est certainement pas en mesure de répondre, mais il
pense
qu'on 318 S REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
mme traitement, t'opofhérapie thyroïdienne est conseillée. L'auteur
pense
que l'examen microscopique de l'écorce, fait avec
leur situation ne peut que s'améliorer; sur le troisième point, il
pense
que l'association doit contribuer autant que po
à côté des névrites toxiquespar cachexie cancéreuse, il y a lieu de
penser
aux localisations neuro-muscu- laires du cancer
revolver et alla le cacher sous son oreiller. Toute la nuit il a dû
penser
à l'acte qu'il aUdit accomplir. (Indicateur de
entraîne de l'atrophie ostéo-articulaire. « On peut d'ores et déjà
penser
que ce centre, étant données les associations f
nnexes, et cette opération n'a nullement modifié son état. L'auteur
pense
qu'il s'agit d'un acro-paresthésie, d'ori- gine
ium épendymaire et celui qui revêt le plexus choroïde; cet au- teur
pense
que le point d'origine de la tumeur était le poin
L'hémianesthésie relative est un état beaucoup plus commun qu'on ne
pense
chez les aliénés : l'auteur désigne par le mot
e. Sa symétrie toutefois, sa variabilité conduisent naturellement à
penser
qu'il s'agit d'un trouble fonctionnel et non or
hèse (inadmissible suivant l'auteur) suivant laquelle la faculté de
penser
pourrait survivre à l'abolition com- plète de l
contracture du muscle génioglosse, et non du côté para- lysé, comme
pensent
quelques auteurs. La communication de M. Minor
a vu que les renseignements de la tante du malade avaient permis de
penser
que le père était syphilitique. Mais ce n'était
rofesseur Bergouié. Elle montre la perfection du cal osseux. J'ai
pensé
, à ce propos, que la radiographie serait suscep-
rictions de la majorité sont très justes* Telle était ma manière de
penser
lorsque, au mois d'août de l'année 1899, on me
déjà un an que ses attaques ont disparu complètement, et quoique je
pense
, malgré le laps de temps écoule, le plus long .
ment les attaques reparaissent entre trois ou cinq mois, quoique je
pense
je le répète, qu'il est prudent de ne pas déduire
ver dans ce mémoire assez long que deux points originaux : l'auteur
pense
que les doctrines médicales actuelles (hérédité
oivent leur être annexées (merlin) sont . moins pratiques, comme le
pensent
aussi nombre de pédagogues, que ces écoles auxi
ien de véritablement particulier par rapport aux autres. Baillarger
pensait
qu'elles se rencontraient fréquemment chez les
de importance à l'hérédité et REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 493 ne
pensent
pas qu'il s'agisse là d'accidents de nature hysté
après. 11 fuit quand il est distrait, pour réapparaître dès qu'il y
pense
. II 494 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ne le to
me obsédante. Le patient a maintenant trente-cinq ans. M. Bechterew
pense
que la neurasthénie a engendré une timidité irr
nvier 1900 et que M. Babinski a montré aussi en juin 1900. M. Marie
pense
que l'on a affaire à un spasme de l'élévation c
s un seul stigmate de cette névrose qui ait été noté : on peut donc
penser
que l'apparition de l'hystérie, si tant est qu'
e on l'a soutenu, ou de cellules d'origine névrogiique comme ils le
pensent
, c'est là le substratum organique de la chorée
m'a adressé les paroles que je viens de rapporter. Ce qui me le fait
penser
, c'est qu'il répond d'abord, presque dans les mêm
je me sépare absolument de l'honorable préopinant; j'ai le regret de
penser
, au contraire, que ces sujets prédisposés ont par
ine d'écrire un si gros volume pour le tirer d'embarras. Quoi qu'en
pense
le P. de Bonniot, une objection est debout en fac
sensorielles, etc. Quoi qu'il en soit de tous ces faits, M. Meynert
pense
qu'il faut les soumettre à une critique sévère ;
à M. L... un de ses souliers! » Elle est offusquée : « Mais à quoi
pensez
-vous? M. L…n'est pas là. je ne puis donc lui ôter
raît, au contraire, satisfaisante. Toutefois, elle a encore besoin,
pensons
-nous, d'être complétée. En effet, on a cru jusqu'
'avoir fait entièrement disparaître. Si cela est exact, comme je le
pense
, plusieurs conséquences en peuvent être déduites.
mentale et je lai obtenue une fois a l'un de ces états extrêmes. J'ai
pensé
: « Leyez le bras droit. » il a levé lentement le
présenter comme des miracles. C'est là une grosse difficulté qu'elle
pense
résoudre en imaginant l'existence d'une certaine
et de convaincre journellement les esprits les plus prévenus. Nous
pensons
cependant qufîl y aurait à tirer de la discussion
la douleur même. Elle hypnotise le malade en ce sens qu'elle le fait
penser
au siège de son mal, et, par là. entretient ou ag
s sujets de l'espèce, et peut-être sont-ils plus nombreux qu'on ne le
pense
, dit Charcot ; ¡1 semble, ajoute-t-il, « que l'ét
nt '.a symptomatologie est quelque peu irréguliérc ou insolite. Qu'on
pense
à l'hystérie, quand des accidents dans le genre d
ent de l'état ordinaire) semble légitimer cette manière de voir, nous
pensons
qu'il serait plus convenable de classer tous les
après avoir médité longuement le rapport de M. Du jardin-Beau-metz, a
pensé
qu'il devait à lui-même de ne pas rester silencie
une deuxième séance, instituer des expériences contradictoires. Elle
pensa
que, dans une telle question, on ne saurait prend
ins sont sommairement jugés ci taxés de fantaisies ci de caprices. Il
pense
que ce jugement n'esi pas sérieux et qu'il s'agit
ions purement personnelles. Ceci dit, il demande au rapporteur s'il
pense
avoir rempli consciencieusement son devoir, car i
s signes n'ont été identiques. Dans ces conditions. Ii commission a
pensé
que les faits annoncés par M. Luys n'étaient pas
consîdérationsgénérales sur la nature de l'hypnose, M. Semai arrive à
penser
que les actes accomplis sous l'influence hypnotiq
s sensibles à l'hypnotisme? Je suis de l'avis de l'Ecole de Nancy; je
pense
que tout système nerveux quelconque étant suscept
arisiennes à prendre l'initiative et a rédiger des programmes. Nous
pensons
qu'à tous ces congrès pourrait s'en joindre utile
eaucoup d'hypothèses, pour expliquer ces différents faits. On pouvait
penser
que le médicament était altéré, dans le cas où il
nt de le réveiller, de cesser d'analyser ce qu'il ressent, de ne plus
penser
à ces élancements. Les 11 et 18 mars, on renouv
qu'il prononce les mots. S'il lit bas, la voix parle bas. Lui fait-oa
penser
une phrase, « je suis souffrant », par exemple, i
pable de reconnaître ce que Ton tient a la malt:. Je deviner ce qu'on
pense
ou ce qui se fait dans la salle voisine. J'ai vou
série n'est pas conforme à l'opinion reçue. Beaucoup de médecins, qui
pensent
que seulement les affections hystériques et les n
athie vienne parler publiquement de 1'homœopathie et dire ce qu'il en
pense
, au risque de blesser quelques convictions robust
sance, vient la grande question, qu'on ne peut presque éviter : f Que
pensez
-vous, docteur, de l'homœopathic ? » C'est le mome
ec un sourire malicieux. C'est qu'ils savent bien, eux, ce qu'il faut
penser
de l'homa-opathie et. pour si peu que vous voulie
prétés. Aujourd'hui je vais prendre mu revanche et dire ce que je
pense
sans craindre d'être interrompu. Si je vous ennui
s'embrouillaient ; elle n? savait plus compter; elle ne pouvait plus
penser
à rien et ne songeait qu'à s'en aller. Elle ne ma
il survenait un météo--, ris me abdominal très marqué, Elle a souvent
pensé
qu'elle était en danger de mort. Plus tard, ell
a première séance, c. ::s;aic une iiw flicncc tr-is marquée. Comme je
pensais
que ti>u% u- phénomènes ner- wux dérivaien
nnaissant les antécédents hystériques de la malade. M. le docteur Bax
pensa
que, par 1'hypnotísatiou, on pourrait peut-être a
ine cancéreuse. . Ce fait, messieurs, n'est pas nouveau ; mais j'ai
pensé
qu'il méritait d'être soumis i votre judicieuse a
tive et les phénomènes actuels, la distribution Je la paralysie, font
penser
a une manifestation hystérique et les stigmates s
spoo- m. Sciamanna (de Rome} n'est pas de l'avis de m. Vizioli; il
pense
, au contraire, que les phénomènes observés sont s
nt des dangers de l'hypnotisme que je vais m'occupcr, et encore je ne
pense
pas traiter cette question dans toute son étendue
dissipèrent graduellement, mais lentement, ces divers troubles. Je
pense
qu'on peut encore invoquer ici le témoignage d'un
récieux auxiliaire pour le médecin. l-e temps n'est pas éloigne, je
pense
, où l'on s'étonnera que de- questice»; de ce genr
es publiques d'hvpnotisme, qu'un rapport très éloigné. Il suffira, je
pense
, d'avoir appelé l'attention sur le danger qu'il p
de vouloir interdire à M. Bernheim de créer sa terminologie, mais je
pense
que l'emploi ordinaire des termes conception et p
courir a la société sont plus théoriques que viais. Les criminels ont
pensé
jusqu'à présent, et ils ont eu raison, qu'il étai
sévissant dans de petits cercles intimes, dans les colletés, dans les
pensions
. M. Charcot a consacré l'une de ses leçons à l'ex
qu'elle aurait contribué a régénérer? Nous n'en croyons rien. Nous
pensons
plutôt que cette influence s'est exercée particul
abilité, les écarts plus ou moins grands de la ligne du vrai, a Ainsi
pense
Diderot. Grâce aux exercices de raisonnement, e
, non seulement le nom d'Elise, mais tout ce que l'on disait. J'avais
pensé
qu'en fixant la suggestion sur un seul mot, comme
ue j'ai là en réserve pour vous. R. — Vous êtes bon, monsieur, de
penser
ainsi à moi. D. — Je suis étonné que vous ne so
ucinations visuelles, beaucoup plus faciles à mire naître qu'on ne le
pense
communément, les deux faits suivants bien connus,
ux. Moi. — Avez-vous bien dormi ? B. — Mais je n'ai pas dormi, je
pense
; j'ai sommeillé un peu, voilà tout. Nous quitto
'un de nos collègues, dans le service duquel le malade a passé, arait
pensé
a une sclérose en plaques, s appuyant, je crois,
constitue alors une forme particulière d'aura intellectuelle. M. Féré
pense
même que ceite réminiscence des cpileptiques et d
e substituer à la première; est-ce la un grave inconvénient? je ne le
pense
pas. car je ne me servirai de cette personnalité
eds de mouton, je ne les aime pas, je n'en ai pas voulu. Et puis j'ai
pensé
, à juste titre, que vous me trompiez, et comme je
rentre dans la classe des délires partiels ; quant aux premiers, nous
pensons
que ce serait aller trop loin que d'en faire de v
nienne peuvent êtfe suivies de résultats identiques. Il est permis de
penser
que l'impossibilité de regarder, c'est-à-dire de
'état de veille (des), par Yung, 271, 290. Homœopathie (que faut-il
penser
de l'), par Desplats, 149, 185. Hypermnésie dan
e de la boisson que je viens de prendre ; ce n’est pas, comme vous le
pensez
, de l’eau et du vin ; c’est du vinaigre. — Dans
tandis que l’informe cacophonie d’aujourd’hui n’amuse personne. Nous
pensons
même que si on pouvait faire deux choses à la foi
acultés humaines, soit par le concours de ces deux causes. D’autres
pensent
ne pouvoir en rendre raison qu’en faisant interve
s, et chaque fois le guéridon obéit fidèlement à mon ordre mental. Je
pense
à un nom ; on récite l’alphabet, et lorsque vient
Est-il un champ plus propice aux investigations métaphysiques? Que
penser
de l’indifférence ou du dédain des psychologues d
ssagers de la Divinité : on les vénéra comme des oracles ; les autres
pensaient
être obsédés de l’esprit malin : on les traqua co
roles de l’Évangile qui promettent aux fidèles le don de guérir, elle
pensa
avoir reçu du Ciel ce privilège. Elle traitait gr
acontent les faits aujourd’hui à sa charge, et le ministère public ne
pense
pas ii poursuivre, et il ne la poursuit qu’après
che du terme, plus sa lucidité augmente. Je regrette de lie pas avoir
pensé
plus tôt à vérifier si la grossesse hc prédispose
’en font contre les toupies et contre les affaires de tout genre. Ils
pensent
donc que les tables tournent en réalité et prédis
ent donc que les tables tournent en réalité et prédisent l’avenir. Us
pensent
que les tables ont le diable àu corps, et que c’e
ntrant dans un appartement où l’on magnétise, sans que le magnétiseur
pense
à elle. Cela prouvc-t-il l'absence totale de la v
une inspiration du démon ? Si nous pouvons faire le bien, nous devons
penser
, au contraire, que c’est par des moyens que la Pr
turellement le principal sujet de la conversation. Je dis ce que j’en
pensais
: que j’étais parfaitement convaincu de l’interve
ion de ce parallèle est que le medium doit être préféré parce qu’il «
pense
et écrit par l’effet d’une influence supérieure,
r, pendant son sommeil, des trésors interdits à l’homme. Mais nous ne
pensons
pas que M,ne Anna Marie, dont le livre est classé
? A-t-il failli ii sa lucidité habituelle? Je lie le crois pas, et je
pense
que vous ne le croirez pas davantage. La raison ,
gnaler quelques-unes des propositions qui s’y trouvent. ,V1. Noizet
pense
que le sommeil magnétique n'est autre chose que l
oient semblables à celles qu’on peut avoir dans l’état de veille ; il
pense
que si l'objet qui a produit /’impression leur ét
’est pas à la hauteur de la mission qu’il s’est donnée. Nous aimons à
penser
qu'aucun de ces reproches ne pourra lui être adre
tence des esprits, il s’ensuit qu’il nie la réalité de la magie. Nous
pensons
donc que son travail devrait se borner, ou à nier
a constatés peuvent s’expliquer mécaniquement par cette hypothèse. 11
pense
qu’il ne s’en produit pas qui ne trouvent leur ex
jamais eu occasion d’observer des mouvements de cette sorte, et je ne
pense
pas qu’il y en ait eu de constatés d’une façon qu
e l’autre. Tout en ne niant pas les communications spirituelles, je
pense
que la plupart de celles qui ont affecté ce carac
ce mise au service de notre cause rendra notre tâche plus facile. «
Pensons
souvent aux vanités des choses humaines, à la bri
uragement; or, comme le candidat a plusieurs autres titres, le Comité
pense
que vous ne pouvez moins faire que de lui décerne
es messieurs peuvent y avoir un droit incontestable, mais le Comité a
pensé
que leur chef devait passer le premier. Des rense
ses titres avec d’autant plus de soin qu’on le pressait davantage. Il
pense
qu’il n’y a pas lieu de céder à l’insistance d’am
ferai part de mes idées à ce sujet. Je suis reconnaissant qu’on ait
pensé
à me faire jouir d’une récompense aussi honorable
. Recherchant avec soin tout ce qui se rattache à cette science, il a
pensé
que les phénomènes observés par lui en Afrique po
sez bon pour m’accorder une place dans votre recueil. J’ai toujours
pensé
, comme M. Jacques Salés, que l’enlèvement était d
i magnétique dont la volonté est le principe. Beaucoup de magnétistes
pensent
le contraire, mais sans motiver leurs conjectures
uel elle s’est livrée. Quoique ce travail soit très-incomplet, nous
pensons
cependant être entrés dans assez de détails pour
l'amaigrissement progressif, sont pour nous des signes qui nous font
penser
que cette dame est affectée de pbthisie au premie
LOUYET, rapporteur. Paul CARPENTIER. Acg. GUILLAUME. Le Comité
pense
que ce traitement pêche en plusieurs points essen
raticien n’est pas chaque jour interrogé par ses clients sur ce qu’il
pense
du magnétisme animal, et surtout du somnambulisme
l’accomplissement de cette étude sur le magnétisme animal ; mais nous
pensons
que notre collaborateur a donné daus cet article
qui s’établit de mes extrémités sur lui, ne serait-il pas logique de
penser
qu'un courant établi des extrémités du sujet dans
oiqu’il dise cependant : appliquée en entier, ce qui prouverait qu’il
pensait
à la vertu fluidique de l’animal, sans s’en rendr
ont réussi suivant notre désir et notre volonté. Nous avons toujours
pensé
, à la manière dont se produisaient les mouvements
e la relation démonologique de M. l’abbé Gav, ne sa- chant trop que
penser
de tout cela, mais cherchant la vérité, je résolu
aire de la médecine, je le mets infiniment au-dessus. Si quelques-uns
pensent
le contraire, ils le font par pure courtoisie ou
que je devais prendre. Néanmoins, après avoir réfléchi un instant, je
pensai
que peut-être encore, à l’aide du magnétisme, 011
porte, un secrétaire, puis un grand et deux petits tableaux (2). Vous
pensez
à ce que fait M,,,c B... ; vous craignez qu’il 11
nuyeux cela, parce qu’ils ne parlent pas en français... « Ici, on a
pensé
qu’après trois heures entières de sommeil magnéti
! Son expression est vive, pénétrante, inspirée; elle séduit et fait
penser
. « Dr MINARET. » — L’Aigle (les Cirâmes, dans
a petite a répondu affirmativement et s’est mise en marche. Mais elle
pensa
constamment à ce qu’elle achèterait avec son penn
ous les renseignements donnés par la somnambule : elle avait beaucoup
pensé
au penny, s’était assise dans un creux pour crier
Al. Napier, E. D...... n'avait jamais vu le cristal magique. Comme je
pensais
qu’elle pouvait être rendue lucide et avoir des v
le prêtre, disant quelle étoufferait. Malgré ces deux diversions, je
pense
qu’elle est toujours restée en proie à sa pensée
observations, dont je dirai un mot tout à l’heure, le conduisirent à
penser
que les vibrations acoustiques pourraient être tr
t anatomique, rapproché de la passion musicale des araignées, lui fit
penser
que la fonction auditive était remplie chez ces a
Potet et les électro-biologistes (nom singulier et impropre) avaient
pensé
à dire à leurs sujets éveillés, mais possédés (pa
pousser mécaniquement le meuble dans le sens circulaire. Comme on le
pense
bien, les cartes glissent, se déplacent, et il es
t les grands pouvoirs de l’État ont dû s’en émouvoir. Toutefois, nous
pensons
que dans un pays aussi libre que les États-Unis,
u monde externe. Malheureusement, tous tant que nous sommes, nous n’y
pensons
, non plus qu’à Dieu, avec qui nous pourrions peut
derons où il a vu des gens prétendre que les tables et les chapeaux
pensaient
, parlaient, écrivaient, étaient doués d’intellige
userait de voir, en disant qu’il est absurde qu’une aiguille de métal
pense
, parle, écrive, converse; le visiteur, fier de sa
ttra bientôt d’accord sur les principes débattus. Que ceux donc qui
pensent
avec moi que le magnétisme a plus à gagner à une
Il a perdu la vie par des moyens qui se rapportent i\ «rarbre, et je
pense
que son corps a été enterré dessous. » Alors M.
entateurs sont un des éléments essentiels de succès. M. de Gasparin
pense
que l’agent qui intervient alors est le fluide vi
asparin cherche à mettre le surnaturel au-dessus de tout examen; nous
pensons
qu’en posant mieux la question, on l’aurait mis h
bles pour nos organes; c’est ce qu’on appelle des esprits. L’auteur
pense
, au contraire, conformément à l'opinion de plusie
e Notice, qui résume le passé et pose les conditions du présent. Nous
pensons
qu’il sera lu avec intérêt. « Déjà, en 1845, il
sommeil, l’être retrouve et sait tout ce qu’il a dit, tout ce qu’il a
pensé
, tout ce qu’il a fait, et cela sans un seul effor
bue à ces sortes de communications l’autorité de révélations; mais il
pense
avec raison que, dans cet état singulier, l’espri
s, nous nous bornerons, quant à cette partie, à une observation. 11
pense
que le sommeil est causé par l'épuisement du flui
compte du mode étrange de perception chez les somnambules? Nous ne le
pensons
pas. 11 n’est pas exact de dire que le somnambule
tous ces faits présents devant les yeux, on ne sera guère étonné, je
pense
, en voyant se développer dans une semblable pile
si pâle en comparaison de ceux du Midi; * Nous étions gais; nous ne
pensions
à rien de religieux, ni * de sérieux même, et K
l’âme, de sa suprématie sur le corps et sur les instincts? Qn n’ose y
penser
. 11 Quant à moi, je ne puis m'empêcher de croir
al. « M. Mesmer reçut M'"' la duchesse de Bourbon, comme on peut le
penser
. Il nous promit des séances spéciales, et nous en
en souffrez-vous ? « — Oui, en ce moment. « — Et qu'est-ce que je
pense
encore ? » — Oh I vous pensez à une femme que j
n ce moment. « — Et qu'est-ce que je pense encore ? » — Oh I vous
pensez
à une femme que je vois bien loin «d’ici; elle es
res trahisons dont on le menaçait n’arrivaient pas jusqu'à lui. Il ne
pensait
qu’à scn amour! Pauvre jeune homme! épouser une j
r le magnétisme. Le maréchal répéta sa question. « — J’ai besoin de
penser
quelques minutes avant de vous « répondre positiv
z bien, vous le saurez « bientôt. » n Nous nous regardâmes, j’avais
pensé
à Montbéliard, à mes chers princes. Ce jour-là, 1
crédules. Je n’ai pas vu depuis le pauvre maréchal de Stainville sans
penser
que nous allions le perdre, puisque ces arrêts ét
annoncerait un degré extrême de lucidité ; nous avons des raisons de
penser
que cette di- vination plus ou moins complète s
s, Ça a été pour nous l’objet d’une moisson que nous avons ttû moment
pensé
devoir être sans fin. Combien de faits inexpl
de soulagement, mais dès qu elle était levée, le mal recommençait. Je
pensai
que le magnétisme pourrait lui faire du bien. Je
eil, à l’esprit de secte, en un mot, à de viles passions ? Nous ne le
pensons
pas. Sans doute, parmi les ennemis du magnétisme,
s sièges des passions. Néanmoins un grand nombre de magnétistes ont
pensé
qu’on s’était trop pressé de tirer ces conséquenc
personnes firent un rapprochement avec les fameux coups d’Amérique et
pensèrent
qu’il pourrait bien y avoir des esprits sonneurs.
et donne le nom de nososcopes, c’est-à-dire : voyant les maladies. Il
pense
que ce don étjit autrefois l’apanage de la nature
passé. C’est ce que nous faisons tous à l’état de veille, quand nous
pensons
fortement à une personne décédée et que nous avon
du degré de force magnétique qu’il croyait posséder, mais que si l’on
pensait
que sa présence fût nuisible à la pauvre patiente
nes égyptiennes, sur Moïse, sur Daniel, sur saint Paul, est fort bien
pensé
et nous a paru présenter souvent des aperçus nouv
ons à la maxime des économistes : Laissez faire, laissez passer. Nous
pensons
que les, magnétistes feront sagement en acceptant
ts, philosophes, académiciens de tout rang, tous les hommes enfin qui
pensent
ou croient penser, tous prendront la fièvre de pr
adémiciens de tout rang, tous les hommes enfin qui pensent ou croient
penser
, tous prendront la fièvre de propagande , beaucou
ligée. Elle se croit enceinte de deux mois au moins ! « Que dois-je
penser
de ce miracle ? qu’elle est la meilleure source à
ICALES, par Louis Peisse. C’est un excellent livre bien écrit, bien
pensé
, et qui fait beaucoup d’honneur à son auteur. Le
s tables tournantes et parlantes, des esprits, des revenants, etc. II
pense
que la réalité des phénomènes somnambuliques étan
elles, renferment une leçon grandiose et salutaire, si, comme nous le
pensons
, il ne s’agit que de faits naturels : car on nous
s, )es magnétistes ont fait rire nos grands hommes, parce que ceux-ci
pensaient
qu’à notre tour nous venions exploiter la créduli
s venus au point que nous n’avons plus peur du diable et que nous n’y
pensons
plus. Voilà le grand mal de l’époque. A qui s’adr
ve d’Amérique sous le nom de Hume, ce cornac de l’esprit frappeur; Je
pense
toujours à cette pierre noirâtre qui attire à ell
arriva au général Pelleport/un événement fort extraordinaire, dont on
pensera
ce qu’on voudra, et qui serait de nature à justif
ins à ces décisions qu’à la loi elle-même que s’attaque M. Martin qui
pense
que la dignité du médecin est compromise par le c
it émotionné. Car, il faut bien l’avouer, rien n’était projeté. Je ne
pensais
qu’arracher une dent, mais trouvant une carie , j
a assisté à une séance où se trouvaient de nombreux spectateurs. Nous
pensons
que nos lecteurs suivront avec intérêt les singul
rit de son assoupissement, ('.'est une évocation plus réelle qu’on ne
pense
et qui n’est pas encore comprise dans son vrai se
rits, soyons reconnaissants, surtout ne persécutons point ceux qui ne
pensent
pas comme nous. Le temps va venir où des passions
xercer votre génie, afin que nous sachions bientôt ce que nous devons
penser
de vous. » Oui, chers collègues, j’ai tenu ce l
ni pacte signé et scellé : il vient sans qu’on le demande, sans qu’on
pense
à lui, sans même que l'on croie à son existence ;
merveiller, par l’habitude que nous en avons. Quant à moi, je ne puis
penser
à la mort sans que ma raison ne me dise : Tout n’
payer ma dette. Mais le sujet m’ayant entraîné plus loin que je ne le
pensais
, sa communication vous prendrait trop de temps ce
aître comment cette institution avait pris naissance, et dit ce qu’il
pensait
de l’avenir qui lui était réservé. Cette liste dé
sidérément. Hélas! dans combien de déboires et de défaillances j’ai
pensé
renoncer à la tâche ! Et maintenant combien je m’
pe et Démocrite, préconisaient déjà l’existence de ces émanations, et
pensaient
que les images pénètrent jusqu’au centre de notre
perçus que , lorsqu’il cessait de la lui tenir, le mal augmentait; je
pensai
alors que l’action du parent sur la malade serait
storique de Joteph Fourier.) planète, en môme temps que (comme le
pense
le docteur itœssinger, de Genève) (1), l’achèveme
istence. La terminaison de la séance fut aussi satisfaisante. Qu’en
pensez
-vous? Ai-je accepté trop crédulement ces préludes
rien préjuger. Plus tard, s’il y a lieu, je pourrai dire ce que j'en
pense
; aujourd’hui, que ce soit seulement, entre le lec
(1) Voir les numéros 12 et 11 de ce journal. (2) Contrairement à la
pensé
» des magnétiseurs qui déclarent nedéfer-miner qu’
, Rappelez-le-vous : a A chacun selon ses œuvres ! « Car, vous ne
pensez
, vous ne dites, vous ne faites la moindre chose q
us dans la vérité, lorsque, pour expliquer l'essence des névroses, il
pense
que ces maladies consistent dans l'accumulation d
ue l'on a laissées en friche ou dont on ignorait l'existence , on
pense
y procéda- sans peine et sans résolution , oii !
encore? L'avons-nous vu? Qu'oflVe-t-il de parti-« culier? Que faut-il
penser
de ses feuilles merveilleuses? Voilà tout au-« la
trouvé l’énigme de sa destinée? Non, et cependant il vit, il sent, il
pense
, il raisonne. Qu’est-il, d’où vient-il, où va-t-i
utres chez lesquels cet état ne se produisait pas, mais j’ai toujours
pensé
que ces derniers étaient loin d’avoir atteint le
la cause de ces phénomènes, je la crois tout à fait magnétique, et je
pense
qu’elle est due à l’excitation des organes que j’
ins; l’harmonie doit être l’hymen de l’homme et de la nature. Nous ne
pensons
pas que les lugubres prédictions de M. Huzar effr
tre, qui vous en affligerez , quoique d’autres puis- sent bien en
penser
différemment. Ce résultat, c’est tout simplement
n les plus sûrs, n’être qu’illusion et mensonge, que devons-nous donc
penser
en bonne logique de ces faits miraculeux que nous
e cette espèce ; n A déclaré qu'il n’v avait rien à voter ; et elle a
pensé
« que le procès-verbal contenant le résumé des
x, suivant que la distance était plus ou moins grande. On ne peut pas
penser
que pour voir seulement, cette différence de temp
nt des conserves, et qu’au contraire de son opinion, j’avais toujours
pensé
que celles montées en écailles étaient meilleures
ur, que les verres plats, résultat auquel cependant je n’avais jamais
pensé
avant cette remarque de la somnambule. Je n’éme
mbulisme. » Sans tirer aucune conséquence de ces aphorismes, j’ai
pensé
qu’ils seraient bons à faire connaître pour tâche
ent de notre corps. Ce phénomène se présente toutes les fois que nous
pensons
à une personne éloignée, et que par la pensée nou
tte âme isolée et par conséquent indépendante du corps, comme nous ne
pensons
pas qu’on aille jusqu’à dire qu'elle rentre mouil
pas ici-bas, je ne le vois pas non plus dans le pays des esprits. Je
pense
que tout ira bien, et que bientôt son corps sera
, promet de ne pas s’éloigner, et qui disparaît à l'instant même? Que
penser
de ce capitaine norwé-gien qui se trouve à vingt
sombres et la solitude humide de ces longues allées de colonnes ; je
pensai
alors que j'étais moi-même cette chose fabuleuse
honorable collègue, — et il l’est, croyons-nous, à plus d’un titre, —
pense
que, pour donner de la valeur à un traitement mig
ue valeur à la rédaction. » Nous ne sommes pas de cet avis, et nous
pensons
, au contraire , que l’affirmation d’hommes comme
t qui se mit à parler un langage extraordinaire. Le catholique étonné
pensa
que peut-être un démon s’exprimait par la bouche
pieds. Une sorte de fluide parcourait nos nerfs, et quant àrnoi, j’ai
pensé
dans cet instant que j'allais être enlevé dansl’e
tout à fait étrangère à ma volonté et à mes désirs. Qu’avez-vous dû
penser
de mon silence pendant un si long intervalle?...
la fondation de notre établissement sont nombreuses et durables. J’ai
pensé
vous être agréable en vous faisant part de toutes
de cette admirable Invention. traitement îles plus laborieux. Je
pense
que vous avez dû recevoir une lettre à ce sujet.
a pu de môme panser des plaies très-vives et réduire des hernies. Il
pense
rendre d’incalculables services à la psychologie
i vient au secours de l’ignorance des faux sages de ces temps. J’ai
pensé
que Ges certificats, qui seront suivis d’autres t
moi, nous avons obtenu le phénomène en question , et vous devez bien
penser
que depuis, nous ne nous sommes pas lassés de le
, en mourant, déclara qu'il poursuivrait l'ingrate et la forcerait de
penser
h lui. Effectivement, mademoiselle Clairon entend
on receveur des postes est parait-il fortement ataxique; mais je ne
pense
pas que l'imitation ait 1 Blocq et Oiianofï. Sé
ble de l'état mental ? En tenant compte de l'état urinaire, on doit
penser
que tous ces troubles doivent être dus à l'into
à pour protester contre une lésion unique déterminante. Aussi, nous
pensons
que l'auto-intoxi- cation est l'élément princip
e domaine de la thérapeu- tique miraculeuse. Je ne le ni(, pas : je
pense
comme eux que la faith-healing peut directement
parties éloignées. Toute nouvelle impression occupe, non, comme le
pense
Meynert, une nouvelle cellule, mais seulement une
et généra- lement qu'elle n'existe pas dans le délire chronique. On
pense
gé- néralement que les auteurs qui croient l'av
riterait plutôt la dénomination de paranoïa secondaire. M. Vallon
pense
que le délire de persécution était, dans ce cas,
délires mystiques avec accidents hystériques. M. Charpentier. Je ne
pense
pas qu'il s'agisse ici du délire de persécution
, les hallucinations psycho-motrices verbales l'ont suivie. Je ne
pense
pas davantage à un délire de persécution chez une
antérieures des parties correspondantes de la moelle. Le rapporteur
pense
que ces expériences ont une certaine portée pra-
de lésions des parties centrales (substance grise de la moelle) et
pense
que dans les expériences du rapporteur il n'y a
rition régulière des récidives à intervalles complètement clairs et
pense
expliquer tout le complexe des troubles, simulant
int les noyaux des hypo- glosses. Discussion : M. le Dr RosSOLIMO
pense
pouvoir rapporter l'atrophie de la langue à une
nguaux semblent confirmer cette manière de voir. ' M. le or MINOR
pense
qu'il est plus probable d'admettre une hé- morr
utôt à une lésion du noyau de l'hy- poglosse. M. le Dr IiORNILOFP
pense
aussi que le processus anatomique s'est propagé
uit du tableau anatomique, tracé par le rapporteur. Le rapporteur
pense
revenir à cette question muni de preuves plus e
; 2° pour porter un jugement sur la localisation des accès, on doit
penser
au rôle des voies d'association; 3° les modi- f
t le meilleur que nous possédions en France sur la matière; et nous
pensons
qu'actuel- lement, si l'on peut faire autrement
en avons la preuve et vous n'ignorez pas qu'il y a vingt ans, on
pensait
que cette amyotrophie reconnaissait toujours un
ue ce système est l'analogue de notre système tubulaire. Cet auteur
pense
qu'il s'agit là d'un appareil de perfectionnement
s états patho- logiques qui n'ont rien de commun, il est naturel de
penser
, et le cas que nous rapportons est une éclatant
r, ainsi que sur les observations que nous venons de rappeler, nous
pensons
que le mécanisme des lésions pour- rait être in
ostration, insomnie, inappétence, incapacité de travail de tête, de
penser
, inertie complète, faiblesse et surdité croissa
consécutive de ces nouveaux vaisseaux et hémorrhagie. ' L'auteur
pense
au contraire que les apparences morbides décrites
s symptômes choréiques, il se montra de l'anasarque généralisée. On
pense
aune néphrite; on institue le traitement conven
isparaissent et, avec eux, les mouvements choréiques. Il est donc à
penser
qu'il y avait un rapport étiologique entre la c
me des phalangettes, rapproché des fissures de la langue, permet de
penser
à l'acromégalie mais, comme il manque beaucoup
it pour la Silésie plus de 8,000 idiots et imbéciles. On ne saurait
penser
à hospitaliser tous ces malheureux. En Wurtembe
nt dit continuerait à recevoir les malades adultes, la commission a
pensé
que ce qu'il y avait de mieux à faire en Silési
ditif. C'est la plus dure de toutes les tumeurs connues, et si l'on
pense
au danger de ciseler, la possibilité de briser
'orateur n'ait pas une entière confiance dans cette opération, il a
pensé
que, lorsqu'elle est légitime, elle devrait êtr
ération, si on ne lui avait pas demandé d'écrire sur ce sujet. Il a
pensé
qu'il n'est pas question du diagnostic. Le Dr F
ossibilité des monoplégies expérimentales pure- ment motrices, nous
pensons
qu'il faut encore s'en tenir à la remarque de M
e est la question que nous allons maintenant aborder. On pourrait
penser
, en premier lieu, au rachitisme. Néan- moins, c
de lésions osseuses dans les myopathies, et nous portent un peu à
penser
que la scoliose, chez notre malade, doit reconnaî
ialement pour les prisons, un service de médecine mentale. L'auteur
pense
évidemment avec raison, que les faits cons- tat
n est loin d'être aussi rare que l'avaient 394 SOCIÉTÉS savantes.
pensé
les premiers observateurs : si elle n'est pas, à
constatations des obser- vations publiées par d'autres savants, il
pense
que ces anomalies prédisposent au plus haut deg
e leur alimentation ou quand on les met au régime lacté. L'auteur
pense
que dans les asiles anglais, et il ajoute que vol
as des aliénés ? M. Campbell ne voudrait pas toutefois que l'on pût
penser
qu'il poursuit un but d'économie; s'il cite des
es causes naturelles de cette catastrophe, les paysans finirent par
penser
qu'elle était due au fait que la sorcière défunte
t pas d'être étudiée comme une maladie distincte. C'est ce qu'ont
pensé
quelques auteurs contemporains ; ils ont cru qu
termine l'accident hystérique. Le malade rêve de son accident, il y
pense
sans cesse, et cette pensée obsédante peut s'in
ère qu'on l'interroge, et malgré sa bonne volonté, affirme qu'il ne
pense
pas à remuer son bras, à serrer sa main, à faire
xaminant des tics ou des spasmes. Les uns ont lieu quand le sujet y
pense
, ils disparaissent quand le sujet est distrait
s à une idée. Mais les autres se produisent même quand le sujet n'y
pense
pas ; le spasme persiste malgré la distraction,
ce qui se passe pendant son somnambulisme ou son délire et il n'y
pense
pas. Quand l'accident arrive, il est composé par
de son enfant, ou à la terreur déterminée par un incendie, n'a qu'à
penser
à son enfant ou même à un enfant quelconque, n'
pes de faits est-elle aussi absolue ? C'est ce que nous n'avons pas
pensé
; nous avons cherché leur réunion en étu- diant
ut à l'opportunité de la trépanation dans la paralysie générale, et
pense
qu'au moyen de cette méthode de traitement, si
IIYSLOP. (The Journal of Mental Science, octobre 1890.) L'auteur
pense
que l'on s'est jusqu'ici trop peu préoccupé de
n, aucun des phénomènes sur lesquels insiste M. Char- cot. L'auteur
pense
que la différence provient ici, non de l'hypno-
à l'état de veille, sans intervention hypnotique. Aussi Tamburini
pense-t
-il que, dans ces états hystériques très accusés,
hypnotisme. L'auteur ne saurait se prononcer dans ce débat, mais il
pense
que les phéno- mènes hypnotiques varient beauco
pnotiques varient beaucoup suivant le sujet sur lequel on opère. Il
pense
qu'en hypnotisant une personne bien portante, en
e les malades de M. Bernheim ne sont pas réellement hypnotisés ; il
pense
que la forme légère de l'hypnotisme, telle qu'o
faites par l'auteur dans le service de M. Voisin l'ont con- duit à
penser
que cette méthode n'a que des avantages très res-
itant d'une forme spéciale des néo- formations délirantes ce que je
pense
de la symptomatologie spé- ciale de cette malad
e, d'hémiplégie spasmodique bilatérale et de chorée congénitale; il
pense
que ces atfections, quoique différentes entre e
ies de la fissure calcarine pour la perception de la lu- mière ; il
pense
en effet que ce rôle est affecté principalement a
parlais au début de cette communication. Elle nous porte en outre k
penser
que plus vive est l'activité psychique dans ses m
sont inspirés par l'amitié ; or, permettez-moi de vous dire ce que je
pense
do l'amitié. L'amitié, c'est un repos. C'est pour
me dire : * Vous verrez bien. Cette réponse ambiguë me donna fort à
penser
, car je savais que ma brave cliente venait le plu
à bien des fois que l'enfant montre sa bouche. Comment n'y a-t-on pas
pensé
plus tôt? » Des accidents très graves, et en pa
aite A la Pitié. plégie, une paraplégie, une crise hystérique. On
pensait
autrefois que l'hytérie était causée par un agent
mes d'être causes de son malheur et II est devenu persécuté. Comme 11
pense
sans cesse à ses modistes, il copie et répète leu
st pas permis de l'affirmer. Et d'ailleurs II. le professeur Liégeois
pensait
le contraire lorsque, il y a quelques années, il
corneilles Les oiseaux sont beaucoup plus intelligents qu'on ne le
pense
généralement. Toute leur psychologie est encore d
e du reste, toutes les femmes distinguées du Laos et même du Siam. Je
pense
qu'il s'agit donc bien là d'une Jeune Laotienne.
tête est maintenant beaucoup plus libre qu'autrefois. Comme bien on
pense
, les curieux et les photographes arrivent en foul
aques, elle surveille continuellement son mal d'épaule et ne fait que
pensera
ses attaques. Une fois constatée l'association en
nt disparu, qu'elle n'est plus attentive à ses sensations, qu'elle ne
pense
plus à sa maladie, qu'elle l'a totalement oubliée
mal. Au bout d'une semaine l'angoisse est passée et la jeune fille ne
pense
plus a sa maladie. Le 5 décembre, à 11 heures d
même auquel il avait si largement donné son concours, que nous avons
pensé
, qu'il était de notre devoir de rappeler que Ducl
it a l'avance à l'idée d'écrire sous les yeux de l'examinateur. Il ne
pensait
pas pouvoir arriver à prendre la plumo qui lui se
'endormir dès qu'elle lui passe le peigne en arrière du cou. Elle a
pensé
dès lors, qu'en Impressionnant surtout cette régi
plus le contrôle de laconsoienec. La jeune fille de tout à l'heure ne
pense
qu'à son fiancé; elle vit dans un rêve dont c
et Religion », a écrit : « Pour juger les résultats d'une guerre « on
pense
aux armes, au nombre, à la stratégie. On oublie «
s assez vite ; l'état d'attente se transforme en attente anxieuse, on
pense
déjà moins à .son mal, on attend le guérisseur co
on de la direction de la volonté, on trouve même du plaisir à ne plus
penser
par soi, et toutes les autres facultés de l'indiv
ibuables à un « fait défini n de service commandé. Cela, nous ne le
pensions
pas et ne l'avons jamais pensé. Or, il semble que
ervice commandé. Cela, nous ne le pensions pas et ne l'avons jamais
pensé
. Or, il semble que présentement l'on ait en haut
réactions du physique sur le moral et réciproquement nous autorise â
penser
que les hommes d'un mérite exceptionnel auraient
a même à la marche solitaire, automatique, qui lui laisse le temps de
penser
. Nous l'intéresserons à la gymnastique, à l'escri
: en un mot que tu sois un philosophe ou un homme du commun ». Kant
pensait
également que la disposition à agir d'après des p
nt. «L'homme, en France, — écrivait Goethe il y a cent ans, — qui ose
penser
ou ose agir d'une manière différente de tout le m
t se trouver dans l'incapacité absolue de se mouvoir, de parler et de
penser
. C'est pour désigner cet état que le physiologist
« L'homme qui a conscience d'avoir du caractère dans ses façons de
penser
, ne tient pas ce caractère de la nature ; il doit
peut attendre que du regret et que de la honte d'avoir fui ». Nous
pensons
que Descartes s'est quelque peu illusionné en att
estinées à constituer une personnalité supérieure à la première, nous
pensons
qu'il n'y a pas de méthode plus capable de réalis
t à l'usage habituel de l'alcool dans cette hypersuggestibilité. Nous
pensons
qu'elle existait avant le développement de l'habi
sique. Voici d'ailleurs comment U s'est exprimé a ce sujet : — J'ai
pensé
que le mol de spiritisme ne pouvait que troubler
hantées, la clairvoyance ou les apparitions. Interrogé sur ce qu'il
pensait
du spiritisme, M. Ch. Richet s'est nettement défe
udrait pas se hâter de croire que les Parias sont Pra-Aryas. D'autres
penseront
que ce sont tout aussi bien des Para-Aryas, vivan
ons sur la race brune de l'Inde n'est pas exclusive. Quelques auteurs
pensent
que les Aryas védiques étaient déjà bruns. Rien n
te entre la suggestion et la persuasion. Depuis, divers auteurs ont
pensé
qu'il est exagéré de considérer la suggestion com
non seulement de l'espèce humaine mais de lout être vivant capable de
penser
. 11 suffit d'avoir observé des animaux d'une fa
c, auteur d'un Essai de prophylaxie et de thérapeutique des passions,
pense
avoir trouvé un remède infaillible contre le mal
perdu aussi ; et cette pauvre femme est complètement aveugle. Vous
pensez
bien qu'elle a eu beaucoup de chagrin; en outre s
pousser peu de temps après l'apparition des règles. Le D'Mac Dowall
pense
que dans ce cas, la cause occasionnelle de la fol
nt d'avis que la suggestion seule est efficace (Bernheim). Les autres
pensent
que, en dehors de la suggestion, l'hypnose est ac
ccupation l'obsède : pourvu qu'il ne fasse pas de fausse note ! Il ne
pense
plus qu'au mécanisme et son exécution manque tota
et je m'endors quand je veux, ce qui est un progrès. Il suffit d'y
penser
, c'est si simple qu'on n'y pense pas toujours. En
qui est un progrès. Il suffit d'y penser, c'est si simple qu'on n'y
pense
pas toujours. En tous cas, je terminerai par ce m
ement conscient, est provoqué par l'idée, au moment où notre malade y
pense
. Pendant que je viens d'exposer son cas, le mal
s prendre et qu'il vomit, lui inspire du dégoût, et il ne peut plus y
penser
sans horreur. Quant le malade recouvre ses sens,
t ; mats, peu à peu, il ne produit plus cet effet. Le sujet peut déjà
penser
tout à fait tranquillement à l'eau-de-vie, mais i
rouve de consolation ni dans ses enfants, ni dans la prière; elle n'y
pense
même pas; la vue de ses enfants ne fait qu'accroî
étouffer ses souffrances; l'idée de la nécessita du l'oubli lui fait
penser
à l'alcool; au premier moment cette pensée la rem
it bien, qu'il n'a nulle envie de boire de l'eau* dc-vic et qu'il n'y
pense
même plua. D'autres (ils sont bien plus rares) vi
malade qui prend le médicament durant toute l'année, 3 fols par jour,
pense
donc toujours qu'il se traite. Dans les périodes
il s'agit d'expliquer des phénomènes qui sortent de l'ordinaire. Nous
pensions
qu'il n'était pas sans intérêt de mentionner ces
ne preuve de plus à la théorie de Stricker, d'après qui on ne saurait
pensera
une lettre ou ù un chiffre, sans que l'habitus ex
ntré qu'il fallait renoncer à l'idée d'un cheval doué de l'aptitude à
penser
librement. C'est, en effet, là qu'est le nœud de
que j'aimais avait un enfant. J'ai rompu mes relations avec elle. Je
pensais
que tout était terminé quand, un Jour, j'ai eu le
s, vivait sous l'empire d'une idée Axe, qui l'obligeait constamment a
penser
à Mlle B... X... A la lecture de la lettre que no
l'avenir, qui l'indiffère comme le présent. Elle se laisse vivre sans
penser
à rien et sans rien faire : en pantoufles et en r
de la description. Nous ne sommes pourtant pas réactionnaire et nous
pensons
que la véritable psychologie ne peut s'obstiner à
ent le besoïo de se remonter et ils cherchent des excitants là où Ils
pensent
les trouver. Ainsi, cette jeune fille a une dou
cosurie alimentaire, de l'urobilinurie 1, de l'hypoazoturie, feront
penser
à l'insuffisance hépatique. L'indicanurie mettr
elque temps tout le monde le regardait de travers dans la rue. 11 a
pensé
que c'était à cause d'un vol insignifiant commis
igue pour ses yeux. Cette crainte devient une obsession ; plus il y
pense
, plus il louche, tantôt d'un oeil, tantôt de l'au
r, plus elle revient. Le matin, au réveil, ce n'est qu'à cela qu'il
pense
. Il craint pour sa vue; s'il était bien convain
songeant, se strabisme ne survient que quand notre malade malade y
pense
, pour disparaître quand ce dernier est distrait
sen- tait un vaste décollement de la rétine de l'eeil droit; nous
pensons
que la publication de ce cas rare apportera une
se artérielle des plus marquées; ces altérations nous permettent de
penser
sans toutefois vouloir prétendre à éclairer d'u
qu'on lui oppose. A tous les neurasthéniques on conseille de ne pas
penser
à leur ma- ladie, de chercher des distractions,
ence chronique de l'alcoolisme et de la sénilité d'autre part. II
pense
que si les impulsions à des actes d'appropriation
la paralysie générale survient chez un persécuté, il est naturel de
penser
que la forme affective en subisse l'influence et
? La parésie dissociée des principales branches de la 3° pair fait
penser
à la syphilis cérébrale, maisl'échec du traitem
a- blement durant quelques-semaines. Cet essai thérapeutique fait
penser
que les manifestations de l'anesthésie bulbo-spii
n s'accompagne d'une diapédèse leucocytaire. 111. Devaux et Neiklen
pensent
que dans la neuro- phagie la première place rev
is subitement de vertiges, d'éblouissements et de vomissements On
pense
à un vertige gastrique. Quinze jours après, au
ion trop rapide En raison de la double atrophie papillaire, on peut
penser
à une lésion localisée à la base du cervelet et s
spéciale spasmodique de la maladie de Little. M. 13ris- saud ne le
pense
pas. Malgré l'absence de convulsion» et l'intégri
isant une lésion tantôt céfébrale tantôt médullaire. IL P. Marie ne
pense
pas non plus que l'absence d'épilepsie per- met
ires. M. BFIISSAUD reste d'accord avec M. Uéjériuesur les faits, il
pense
cependant qu'une épilepsie survenant seulement
réalise l'idée. J'insiste sur le mot faculté, car trop de personnes
pensent
qu'être suggestible c'est être malade et que la
moment elle se tourmentait et s'inquiétait au sujet de cela qu'elle
pensait
qu'on lui avait changé son enfant pour un autre
n défaut de précision sus- ceptible de nuire à la discussion. H a
pensé
qu'il était plus utile d'exposer la question dans
ces méthodiques sur les trou- bles des fonctions de nutrition, nous
pensons
signaler un fait dont l'importance thérapeutiqu
,*entre les éléments figurés et le sérum. C'est pourquoi nous avons
pensé
. Carrion et moi, que la meilleure pré- paration
morts n'avaient pas de bulbe. Ces constatations nous permettent de
penser
que le bulbe est la partie du système nerveux n
xtra-utérine. Comme les altérations de la moelle nous permettent de
penser
que l'éclatement de l'hydrocéphalie mfec- tieus
its du coeur avaient été en- tendus le jour de l'accouchement, nous
pensons
que le bulbe n'est pas nécessaire au développem
isant le foie, le rein, le poumon vaso- paralytiques. M. Toulouse
pense
que l'interprétation de ces faits est la même q
mpte de ses actes puisse être considéré comme responsable. Je ne le
pense
pas. L'histoire entière de sa vie me parait pro
anies et mélancolies a hypotension et à hypertension, de Fleury 1 a
pensé
pouvoir admettre des insomnies à hypo et à hypert
pression à 80 ou 90 millimètres ramenait le sommeil. Le même auteur
pense
que le réveil nocturne des neurasthéniques, sym
ons, nous croirions sortir du cadre qui nous a été tracé. Nous n'en
pensons
pas moins que c'est dans cette voie, dans la mé
munes. Trénel passe en revue les principaux de ces alcaloïdes, mais
pense
que c'est l'opium qui est encore actuellement le
e de côté la question de discipline des salles de mala- des, Trénel
pense
que certains agités doivent être isolés dans un
partient donc réellement au nerf VI et non pas au nerf VII comme le
pensent
Siemerling et Hoedeker, Gianulli, Bach, Wyrubow
r simple persuasion, elle fut débarrassée de ses vomissements. Je
pense
que beaucoup de vomissements dits incoercibles de
ience, ni l'inertie cérébrale. Le cerveau pendant le som- meil peut
penser
et travailler consciemment; mais c'est un autre
e état de conscience. Réveillé, le sujet ne se rappelle pas qu'il a
pensé
. On s'endort avec l'idée d'un problème à résoud
uit pour voir l'heure ; au réveil, ils ne se rappellent pas y avoir
pensé
. Le somnambule, comme Paganini écrivant sa Sonn
ontribuer à fixer plus fidèlement le diagnostic de la catalonie. Il
pense
que l'intervention corticale sur les actes mote
n rattache selon nous les deux affections et il est tout naturel de
penser
que les mêmes facteurs qui ont déterminé la pro
lades susceptibles de bénéficier de la suggestion religieuse ? Nous
pensons
que la suggestion à l'état de veille, sous forme
p de ses élèves. Comme Liébault, Forel, Vogt et d'autres encore, il
pense
que l'essentiel du .traite- ment hypnotique est
nd, doit être envisagée d'abord chez les mala- des soignés dans des
pensions
de famille par le docteur lui-même. Il les endo
ne et autres du même genre. Sa terminaison « forme » pourrait faire
penser
à tort qu'il s'agit d'un dérivé de l'acide form
ur (lèvres molles et relâchées bave langue épaisse et courte), nous
pensâmes
d'abord que des exercices méthodiques de gymnas
ons primordiales et développer ses facultés. Aucun traitement, je
pense
, médical ou chirurgical, ne peut lui constituer
, soit mauvaise, soit aussi de l'inexpérience. Une autre manière de
penser
, de plus haute importance, c'est de faire une c
ntilisme myxoedémateux. Elle est indiffé- rente, apathique, lente à
penser
, lente à agir. En outre, on voit sur la partie
tant, envoyant t'age déjà avancé du malade dont le visage est ridé,
penser
que l'on a affaire à une gangrène séuile, mais
qu'il s'essuie l'oeil gauche avec un pan de son manteau. Et l'on
pense
immédiatement à ces mélancoliques qui se tiennent
prouvant le désir de lutter contre les progrès de l'alcoo- lisme, a
pensé
que la carte postale illustrée serait un merveill
es que le mariage de son frère n'a fait qu'accuser davantage ; elle
pensait
constamment a la situation qui lui serait faite
ne parlait pas et ne mangeait pas ; il lui semble même qu'elle ne
pensait
pas. Elle guérit à l'hôpital ( ? ). rentre dans s
pas d'appé.tit, pourquoi n'aurais-je pas mangé autrement ? -4 quoi
pensiez
-vous ulors ? Je n'en sais rien. Pensiez-vous à
s mangé autrement ? -4 quoi pensiez-vous ulors ? Je n'en sais rien.
Pensiez
-vous à vos enfants ? - Non, je ne crois pas. -A
A votre mari ? Ma foi non. Mais cependant, vous savez bien que l'on
pense
toujours à quelque chose ? Je ne sais pas à quo
n pense toujours à quelque chose ? Je ne sais pas à quoi je pouvais
penser
, mais je ne pouvais rien faire. Pour- quoi ? Je
s a paru être le complément nécessaire des précédents. Nous avons
pensé
en effet, qu'il y aurait intérêt à suivre l'évo
e Massars et de plusieurs autres physiologistes. Beaucoup d'auteurs
pensent
que, à côté de l'anémie il y a un autre facteur
fourmillements, sensations de pression, de gonflement). Souvent on
pense
à une névrite multiple, et la di- minution des
rité médicale : le directeur de Meerenberg est en effet de ceux qui
pensent
que dans un établis- sement consacré au traitem
d'après laquelle tout chemin mène à la Vérité. Vous avez justement
pensé
. Messieurs, que la place d'un ministre de la Ré
es éléments, en altérant le caractère systémati- que ? Nous avons
pensé
qu'un cas, dont l'observation clinique avait pu
- tance grise dans la corne antérieure gauche) permettent bien de
penser
que cette moitié latérale gauche de la moelle, au
ains cas même tout phénomène extérieur cesse mais on est autorisé à
penser
que le malade n'en continue pas moins son disco
sens et cependant der- rière elles il n'y a rien. Le malade n'a pas
pensé
, n'a rien élaboré. C'est le cas de ces personne
rique une cause efficiente de l'hallucination unilatérale. Je ne le
pense
pas. Je vomirais essayer de démontrer que la br
de toute arlério-sclérose. L'état du foie serait de nature à faire
penser
à l'alcoolisme, lequel, tou- tefois, est nié da
r terre pour soutenir les revendications féminines. Comme bien l'on
pense
, la locataire expulsa son trop peu vêtu visiteu
la grande majorité de ses collègues du Congrès, le Dr Levillain avait
pensé
que les divisions qui séparaient les diverses éco
étude de l'hypnotisme s'est encore accentuée et les organisateurs ont
pensé
que le moment était venu de mettre a exécution la
er et de Griesinger. Le malade ne peut se soustraire à l'obsession de
penser
constamment à un certain sujet, à une certaine qu
nt incessamment le malade et occupant sans discontinuer sa faculté de
penser
. Presque chaque cas d'obsession constitue un sy
être syphilitiques. C'est un état psycho-pathique très différent. Je
pense
que le malade qui craint de gagner la syphilis de
avate lui promettait bonheur ou malheur; se promenant dans la rue. il
pensait
: « Si je ne touche encore une fois cette borne o
telles possibilités ». Lui aussi so croit un homme exceptionnel et il
pense
que la fatalité le pousse a faire toutes sortes d
ieusement la force impulsive des obsessions. Mais il est important de
penser
que l'anomalie de l'état psychique réside moins d
et toute autre boisson enivrante ; vous ne pouvez les voir ni même y
penser
sans éprouver un malaise insupportable ; vous sav
contenues dans le livre de M. Bernheim. Là où le clinicien de Nancy a
pensé
qu'il s'agissait d'affections organiques et où la
té des suggestions criminelles, car il ne veut rien nier à priori; il
pense
seulement que le danger qu'elles pourraient prése
ur cause les cicatrices existant aux différentes parties du corps, je
pensai
que ce cas n'était point du domaine de l'hypnothé
'te Voisin et Bérillon, membres du bureau du Congrès. La commission a
pensé
que le moment était venu de mettre k exécution le
hystérie et l'hypnotisme L'hystérie est beaucoup plus vaste que ne le
pense
M. Bernheim. et il est facile d'établir, par l'an
e l'honorable rapporteur de l'Académie, et il répond : « Nous ne le
pensons
pas : l'individu ne doit point aliéner sa volonté
toxiques, de même leurs convictions « et la logique les porteront,
pensons
-nous, à intervenir aussi dans la matière « qui
ment la volonté d'un autre jusqu'à l'obliger d'exécuter tout ce qu'il
pense
, ou qu'il existe une action particulière magnétiq
'est-à-dire découvrir un objet caché, indiquer la personne que l'on «
pensait
». etc. Ayant appliqué la main de l'inducteur sur
le D' Bernheim, professeur à la Faculté de Médecine de Nancy. J'ai
pensé
qu'il était bon, à notre première séance de la So
ité des faits d'hypnotisme qui nous sont journellement exposés, et je
pense
qu'ils reposent surtout sur la simulation des hys
l'état hallucinatoire et l'agitation; de cette façon je profiterais,
pensais
-je, d'un moment d'accalmie pendant lequel elle me
e, force psychique à laquelle le legisla-' te or n'a certainement pas
pensé
lorsqu'il a rédigé cet article. On a dit, et av
il serait imprudent de no pas tenir compte dans certains cas, cl nous
pensons
que La démonstration de la possibilité des sugges
'ont pas été hypnotisés. Je ne crois pas que cela soit suffisant ; je
pense
qu'il faut tenir très grand compte de la suggesti
en d'imminent, c'est là une appréciation personnelle. Quant à moi, je
pense
que des hommes de science ne doivent pas avoir d'
rais bien vous y voir Par parenthèse, aucune personne que je sache ne
pensa
qu'il s'était avili, ni que le spectacle dont il
. Seigneur ! Je me mis immédiatement en rapport avec Léon. Celui-ci
pensait
qne les sujets gardaient leur conscience. Moi, fo
'un deux qui réclamait mes soins pour la crampe d'écrivain, voici, je
pense
, comment vous devez procéder : faites-moi des pas
s le même but, le lecteur des pensées tâche, pendant la séance, de ne
penser
à rien du tout, et s'abstient de toute suppositio
suivants : rechercher un objet caché, montrer la personne à qui l'on
pense
, la faire changer de place, lui donner telle ou t
mot sur un certaine page d'un livre, écrire des mots ou des chiffres
pensés
par l'inducteur, trouver sur un piano les notes d
nt où ils doivent se diriger, où s'arrêter, etc., pour arriver au but
pensé
par l'inducteur. H n'y a rien de surprenant à ce
été, enregistre avec plaisir cette assiduité à suivre no» séances. Il
pense
quelle est du meilleur augure pour les travaux de
ombattent arec acharnement sur ce terrain, et chacune des deux écoles
pense
que la question est déjà définitivement résolue c
i n'offraient que les phénomènes suggestifs, décrits par Bernheim, je
pense
pouvoir apporter quelque contribution qui, peut-ê
ont trouvé ces étals mixtes dans des cas du grand hypnotisme on doit
penser
que le mélange de ces phénomènes somatiques, dans
erexcîtabilité neuro-musculaire telle que l'on était amené, dit-il. à
penser
qu'il n'y a pas d'instrument physique capable de
if plus d'acquittements que de condamnations et, quoi qu'on en puisse
penser
, ce n'est pas son moindre titre; son rôle ne sera
nsuccès (il faut avouer que c'est le plus grand nombre) sont amenés à
penser
et surtout à dire que l'hypnotisme n'est qu'une p
io et Heilieh, se ba«ani sur de» expériences conduites de celte faon,
pensent
que lïnfluence de la suggestion n'est pas limtiée
hologue et le pédagogue une étude d'un puissant intérêt; mais si l'on
pense
que de ces illusions de perception, de ces halluc
u d'hypnotisme, nous lui disons simplement : ° Douoez-moi la main; ne
pensez
qu'à ce que je vais vous dire et prêtez la plus g
à la façon dont LU dirigent l'interrogatoire. Enfin il est permis de
penser
qu'on pourrait, dans une très large mesure, préve
s, comme un éclair avec secousse. D'août en décembre, le médecin, qui
pensait
à une scia-tique, lui fit appliquer successive me
lle qu'il a pris à la suite d'une piqûre d'éther, feraient volontiers
penser
à la grande névrose; mais, dans les conditions de
vons vu, était provoquée chez notre malade par ce simple fait qu'elle
pensait
a son hémorrhagie. Plus compliquée, chez Louise L
lades présentant des manifestations de la grande hystérie, nous avons
pensé
qu'il pourrait y avoir encore quelque intérêt à é
Chambre? A vrai dire, pas trop. Nous savons que le Sénat n'aime pas i
penser
autrement que la Chambre (1). C'est ai contrair
es, ne sont qu'un Us de substance inorganique. Autant prétendre faire
penser
ou parler des pierres. Une autre cause était qu
re l'alcove, à un mètre et demi de distance de nous ; le médium avait
pensé
la remuer, mais non de U manière que cela se prod
a pins simple, la plus aisée pour tous, et nous épargne la fatigue de
penser
et d'étudier. Ce doute disparaît aux yeux du ps
ales, mais dans l'état d'une passion profonde, chez les mourants, qui
pensent
à la personne qui leur est chère avec toute l'éne
s, son poids avait diminué de seize livres. Il te pouvait, disait-il,
penser
à autre chose qu'à son chagriu, n'avait de goût n
lui fis les suggestions suivantes : bien manger, bien dormir, ne plus
penser
à son chagrin, mais occuper son esprit d'autres c
ritiques, ces critiques ne visent pas les conclusions de l'expert. Je
pense
que, vu l'état maladif très accusé de l'inculpée
possession, « était le don de* langue*. Il n'y avait que les démon»,
pensait
-on, qui pouvaient parlor des langues étrangères e
tion me suffit amplement. M. Le Jecnb, ministre de la Justice. — Je
pense
que nous voilà d'accord sur ce point : la suppres
faits anciens qui sont rapportés par des auteurs dignes de foi. Nous
pensons
qu'on les a observés d'une manière plus ou moins
n’a jamais réussi, ni devant moi ni devant d’autres médecins. « Je
pensais
que des expériences décisives ne pourraient êtr
our fléchir seulement un doigt. Après cinq ou six minutes, lorsque je
pensai
que la sensibilité de la peau dans le bras étendu
ger qu’ils avaient appelé à leur secours. A la vue de ces faits, je
pensais
à la science divine de Mesmer, et je me disais
aces, et. leur caractère constant sera la variabilité. Aussi, nous ne
pensons
pas qu’ils puissent être d’aucune utilité pratiqu
j’ai assisté chez vous. Ces grands succès doivent être attribués, je
pense
, au calme parfait de votre esprit. J’ai le ferme
la puissance nerveuse. M. Adelon rappelle que Broussais et Legallois
pensaient
, avec Reil et Prochaska , que les nerfs jouissent
le magnétisme pût jouir dans nos provinces d’une valeur méritée, j’ai
pensé
que le meilleur moyen que nous avions à opposer à
attendent tout novateur; mais si un jour vous vous sentez défaillir,
pensez
à celui que vous voulez bien appeler votre maître
ames Gregory appartient à cette classe intermédiaire, plus près, nous
pensons
, du somnambulisme que du rêve ordinaire. Cet offi
ques. Nous lui demandâmes de demeurer paisiblement au coin du feu, de
penser
à ce qu’elle voudrait et de regarder où il lui pl
attribue aux esprits la rotation et le langage des tables, bien qu’il
pense
que la chaleur accélère le mouvement, tandis que
endre la suprême sagesse. Un grand nombre de philosophes de nos jours
pensent
même, et de ce nombre est le célèbre Père Lacorda
rs magiques qu’une petite figure de satyre à laquelle j’étais loin de
penser
en les formant, et qui avait été perçue aussi par
sement cet escogriffe avec une simple serviette ? « — J’ai toujours
pensé
que cette fille avait été initiée par ses maîtres
de parler en langues inconnues. Ceux qui ont établi ce critérium ont
pensé
, avec quelque apparence de raison, qu’un homme ne
ce qui pour elle est un mystère ou même le néant. Quant à nous, nous
pensons
que le ma-gétisme est appelé à élucider la questi
on qu’ils habitaient. « Le savant professeur me dit alors que si je
pensais
que tous ces indices ne fussent pas suffisants po
la tète à Nicolas; Car... mais c’est bien assez pour h présent, je
pense
: L’avenir est à Dieu, qui protège la France ;
ses, ne sont que des tours de charlatan, ou des manifestations de nos
penses
par l’intermédiaire des organes, sans le concours
as de maladie sans lésion matérielle, et la secte des vitalistes, qui
pense
que toutes les maladies tiennent aux aberrations
effet, mais n’obtint aucun résultat, et je ne ressentis rien. On peut
penser
si je me moquai de lui. Il in’assura alors que si
et qui était somnambule ; elle se calma presque aussitôt, et nous n’y
pensâmes
pas davantage. Le soir, en me couchant, je m’ap
bliés soient plus que suffisants pour convaincre nos antagonistes, je
pense
que les magnétistes, loin de se décourager, doive
plaça sa main sur le guéridon, effleurant à peine sa surface, et sans
penser
ni à Dieu ni à ses saints; le guéridon s’arrêta t
odes immuables, à ce qu il dit, du moins, de l’esprit humain, peut-on
penser
que cette savante division d’âge ou d’époque serv
re auquel les livres de chevalerie avaient tourné la tète, nous faire
penser
à ceux sur lesquels l’horreur du magnétisme a pro
e dites-vous de cette manière d’administrer le fluide magnétique? Que
pensez
-vous de cette puissance que vous révèle M. Segond
s, ne sentait plus remuer son enfant depuis dix jours, ce qui lui fit
penser
qu’il (•lili: mm i. Les deux médecins qu’elle a
fortes du cercle au milieu duquel elles se reposent, et qui, elles le
pensent
au moins, est assez rempli pour ne plus admettre
M. Segond a grand soin de ne pas nous parler, ont bien, quoi qu’il en
pense
, une valeur supérieure au sien ; et puisqu’il aim
meurs. « Hydropisio. « Cancers. « Pleurésie. « Scrofules. Qu’en
pense
M. Segond ? Et si les titres de Desion (nous voil
ons aux phénomènes extraordinaires du magnétisme, nous sommes loin de
penser
que ces phénomènes doivent être attribués à l’esp
e son enfant, quand arrive le moment où celui-ci atteint la virilité,
pense
et agit par lui-méme, se détache enfin, petit à p
ue. La question est loin d’avoir une importance aussi générale que le
pensent
certaines gens. Il en est de cela comme de l’alla
-stinctive }ue la nature oppose à ce qui contrarie sa marche. Aussi
pensons
-nous que ces faits de maléfices ont souvent été e
’on considère la position d’un homme à qui nous supposons la foi, qui
pense
être en présence de l’ennemi de Dieu et des homme
l’action du magnétisme animal, et le premier essai donnerait lieu de
penser
que le mal finirait par céder complètement sous l
entendu fut cause que je n’emportai point de vivres; je vous laisse à
penser
ce qu’on trouve au désert ! De plus, il y avait a
istait pas; maison voit toujours, à moins toutefois qu’on ne vienne à
penser
sérieusement à autre chose on que l’imagination n
, » elle répondit : « Très-bien. » M. Tubbs lui demanda alors si elle
pensait
que l’opération fût faite. Elle dit qu’elle l’ign
explorai le passage souterrain de l’eau dans toute sa longueur, et je
pensai
que je pourrais en indiquer la route à la surface
en être identique à la première, c’est du moins ce que pourrait faire
penser
la conformité d’idées et l’ensemble des discours
tée que l’on veuille supposer l’idée religieuse, même à cette époque,
pense-t
-on qu’elle eût suffi pour déterminer des millions
asme et cette abnégation dont l’histoire nous a conservé les détails?
Pense-t
-on qu’ella seule était l’étincelle électrique qui
eu! regardons autour de nous. Qui ne sait que, parfaitement libres de
penser
et d’agir dans de telles circonstances et en prés
il y eût dans cesfaita quelque chose de surnaturel. Lui-ii même ne le
pensait
pas, et sa manière de guérir prouve « qu’il n’y a
’autres, sans nous déshériter du patrimoine de notre propre lucidité,
pensent
que le principe éternel de ces perceptions, Y esp
Émile Saucerotte, ancien chef d’escadron de la gendarmerie d’élite, a
pensé
qu’un homme de cœur devait, avant tout, avoir le
Baron DUPOTET. A monsieur Victor Meunier, Monsieur, Comme je
pense
que la communication ci-jointe est de nature à vo
ma volonté m’empêchait d’avancer. J’étais d’autant plus désolé que je
pensais
: Encore s’il voulait que j’appelle M. *** (le co
t en Allemagne qu’un enfant avait une dent cl’or. Ce fut, comme on le
pense
bien , l’occasion d’un grand tapage. Une dent d’o
ne vit dans ces phénomènes qu’une lésion de l'imagination. Greatrakes
pensa
d’abord comme sa femme ; cependant la voix ne le
ait complètement cessé ses opérations curatives, et l’on n’avait plus
pensé
à lui. Voilà des faits sérieux, authentiques et
peut être très-considérable et transporter des fardeaux énormes ; il
pense
que les anciens l’avaient étudié et s’en sont ser
ertaine lotion (1), ce que je fis avec succès. « Quelques personnes
penseront
peut-être que les suggestions sont venues de.mon
our un jour fixe sa guérison parfaite, qui néanmoins n’a pas eu lieu,
pensa
que l’on ne pourrait obtenir du magnétisme au-del
onsidérable ; si cette influence est ordinairement bienfaisante, on a
pensé
que, delà part d’un homme méchant, elle pouvait ê
agnétisme, bien qu’allégué, n’est réellement pas en jeu : que doit-on
penser
de ceux où il est employé? Faut-il admettre qu’un
s mon genre, je vis inconnu et méconnu de toute la nation allemande :
pensez
quelle société! Je n’ai pas encore eu lu moindre
e répondait toujours : « Que voulez-vous, c’est plus fort que moi, je
pense
toujours à,mon pauvre mari. » Comme depuis deux
sées par des gens qui n’ont pas daigné examiner un seul instant. J’ai
pensé
que la meilleure réponse était de publier le fait
réponse était inattendue pour M,ne Mitchell, qui, dans ce moment, ne
pensait
pas à ce sujet, mais songeait à son frère qui fai
en empare et le fait manoeuvrer à sa guise, le fait parler, écrire et
penser
d’après ses facultés qui n’ont souvent rien de co
nt une haute valeur et ont agrandi le champ de l’érudition. Mais nous
pensons
qu’il s’est abusé quant au pouvoir qu’il leur att
un d'eux devient insuffisant, il en est d'autres qui peuvent com-
penser
son action déficiente ; d'autre part, si les fonc
rone envahissent très vite les autres parties de celui-ci. Il est à
penser
que la lésion qui entraîne l'immobilité réflexe d
x en même temps que l'appari- tion des premiers troubles peut faire
penser
à des phénomènes de conpression. Dans tous les
parer les deux procédés employés. Contrairement à ce qu'on pourrait
penser
, le traitement par l'ali- tement n'a pas tout à
Ce fait tend à confirmer l'hypothèse formulée par M. Jaboulay. Il
pense
que l'intervention agit en amenant à la longue de
u plexus brachial et du plexus cervical. Malgré tout M. Brissaud ne
pense
pas que la disposition de ce trouble soit toujo
d'avis qu'un tuberculeux doit-être prévenu de son état ; mais je
pense
qu'il y faut des formes et des ménagements ; le m
ro- varia. 121 1 noncer sur la gravité de cette blessure ; ils ne
pensent
pas que l'état du commissaire de police, M. Dez
'est plus sous l'influence du sujet actif. Enfin, M. Nina Rodriguès
pense
que dans cette forme, on peut avoir de véritabl
infir- mières commandaient les follesde la battre, du moins elle le
pense
car elle les voyait rire; on lui laissait exprè
s. Par suite il conviendrait 180 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de
penser
que les relations qu'on a voulu établir entre les
ssi les phénomènes cliniques en rapport avec cette localisation. IL
pense
que la destruction d'une certaine portion des r
des racines , coïncidant avec une lésion de la moelle. M. Duplant
pense
que certains cas de maladie de Liltle peuvent ê
ulbe et de la moelle situés au-dessous de la Vie paire. M. Collet
pense
qu'il s'agit ici d'une lésion systématique de la
Cet incident a des analogies avec l'ictus laryngé; mais l'auteur
pense
, bien que la pathogénie soit obscure, qu'il s'agi
ntre vaso- moteur etc. L'anémie cérébrale en résulterait. On peut
penser
aussi à une crise d'épilepsie larvée, dont le pic
ale, assez difficile à diagnostiquer : dans le premier on pou- vait
penser
à un simple délire alcoolique, niais la présence
heureux de M. Ma- gnan, de la dégénérescence mentale qui permet de
penser
que tel prédisposé pourrra délirer consécutivem
es psychoses en s'abstenant d'opé- rer certains malades. M. Régis
pense
que dans ces conditions on doit invoquer une co
ir dans ce fait qu'une simple coïncidence. Tout au plus pourrait-on
penser
que l'intervention chirurgicale a réveillé une
uisse. Depuis cette époque, il en a observé bien d'autres cas, et
pense
que, hormis les cas de.septicémie généralisée, la
mi le Dr Ballet est appelé par moi auprès de la malade et comme moi
pense
que nous avons affaire à une psychose post-opérat
enir complet de son délire, nous raconte que, en même temps qu'elle
pensait
ne plus jamais .devoir guérir, elle attribuait
s métalliques offre une grande résistance au passage du courant. Il
pense
que lorsque de telles électrodes ont servi pend
ectricité suive ainsi les branches de ce nerf, il est fort juste de
penser
que le courant agit profondément sur le trijume
. Devant l'évolution lente et progressive des accidents, M. Pauly
pense
qu'il s'agit d'un processus pachyméningitique, au
Contrairement à l'opinion le plus généralement admise, les auteurs
pensent
qu'il y a lieu, dans l'étude du développement de
ie, angoisse, confusion de l'esprit, etc. Comme étiologie, l'auteur
pense
que les accidents tardifs et durables peuvent ê
n avant n'eût également décelée; mais d'accord avec M. Schùller ils
pensent
que la n marche de flanc » peut aidera è. établ
es cliniques de la trépidation par lésion organique. M. Babinski ne
pense
pas que l'épilepsie spinale dénote fatale- ment
qu'elles restent permanentes. Au bout de quelques mois, il faut, je
pense
, revenir à la charge et faire de nouveau appel
tence de l'hystérie dans le cas en question. , Dr V. Weidenhamuer
pense
que les oscillations dans le degré de l'ataxie
t pas fondées sur des données suffisantes. Dr VEIDI ! £ ÇGAMML ? 11
pense
à. l'existence possible d'une lésion des deux h
e sont pas des gauchers. L'auteur s'associe à l'opinion de ceux qui
pensent
que nous lisons avec les deux hémisphères. La p
ssi, comme dans les travaux précédents sur cette question, l'auteur
pense
que ce réseau n'a pas de rapport avec les voies
à sa fonc- tion. » D'où la nécessité de ne pas hésiter à,créer des
pensions
de repos. L'asile bénéficierait du remplacement
ouvant prendre aucun repos et ne voyant aucune issue à ses maux, il
pense
au suicide. En 1887, sur sa demande, M. Peyrot
lysie de la troisième paire droite survenue en 1880. Le malade ne
pense
pas avoir contracté la syphilis. Traitement. Le
i a duré quatre jours, la douleur n'est jamais revenue. Le malade
pense
que le résultat obtenu doit être attribué en pa
bon coeur. Elle a peut-être fait quelques bêtises Je ne veux pas
penser
à ce qu'elle a fait... Je n'ai plus d'idées, plus
déclarer que les aliénés sont bien plus souvent curables que ne le
pensent
les gens du monde et nombre de médecins, et que
peu d'intensité de l'hémiplégie, l'absence d'aphasie incitaient à
penser
que la zone rolandique était irritée, mais non dé
, de l'occasion qui m'est offerte de dire enfin tout haut ce que je
pense
tout bas depuis si long- temps. » 11 expose e
e sexuelle varie dans les différents genres de musique. M. Dupré ne
pense
pas que l'influence bien connue de. la musique
logique rachidien chez les tabétiques. MM. VIDAL, SIC.4RD et RAVAUT
pensent
que les différences des résultats obtenus par e
ement pathognomonique de la ménin- gite spécifique. M. P. Riciier
pense
que pour mettre fin au débat MM. Armand Delille
ine et exposait spontanément ce qui lui était arrivé et ce qu'il en
pensait
, sans répondre à un ques- tionnaire qui aurait
t de manie n'est pas grand en général, mais il permet, pourtant, de
penser
que les femmes sont plus pen- chées à souffrir
on externe que celui de l'hôpital. Vu cela, nous nous permettons de
penser
que les chiffres obtenus par nous justement sur
à des causes purement maternelles et exclusivement mécaniques et
pensent
qu'elles sont réglées par la loi dite de 1' « acc
de dégénérescence. » Au point de vue purement obstétrical, M. Porak
pense
que c'est un tort de ranger les moindres anomal
tout conformes aux grandes lois générales de la biologie. Mais ils
penseront
que les stigmates obstétricaux de la dégénéres-
contre l'existence de lésions définies, ou bien encore on pourrait
penser
à une suppléance fonctionnelle en tout cas fort
«en 1799); mais, mal- gré les résultats de l'inel, de Ileil, on ne
pense
encore qu'à un simple asile de détention. Le ré
ment offre à la surveillance de nuit. M. Robertson renvoie ceux qui
pensent
que ce procédé présente des difficultés insurmo
i renfor- cée par la mise en jeu d'une curiosité très naturelle. Je
pensais
que le désir de connaître ce que j'avais écrit
a mère au fils et plus rarement du père à la fille. Les rapporteurs
pensent
que les personnes, souffrant des obses- sions m
asiles d'Atixei-re, (le Moulins et de la Charité. L'asile paie deux
pensions
àerelraite de chacune 200 fr. Signalons l'insta
ues qu'elle avait apprises ne lui donnaient aucun plaisir ; elle ne
pensait
qu'aux caresses de ses chiens. Tous les animaux
res règles qui lui causèrent une émotion très intense parce qu'elle
pensait
que sa conduite pouvait en être la cause. Elle
onnel de ce faisceau,. M. Babinski énumère les raisons qui lui font
penser
que la contracture hystérique est identique à u
e opinion ne pourrait expliquer les phénomènes observés. M. Lannois
pense
que si il est vrai que les voies courtes cessen
pas, à un moment donné reprendre toute leur importance. Ne peut-on
penser
qu'il y a des variétés individuelles et que cer
mation des dents, la présence d'un ganglion occi- pital, M. Clément
pense
à de la syphilis héréditaire, et institue un tr
frémisse- ment, ni battement dans la région crânienne. M. Clément
pense
qu'il s'agit d'un bruit vasculaire lié à l'exis-
spinale, existait diabète sucré et alcoolisme, qui permet- tent de
penser
à un trouble localisé dans la branche centrifuge
eurs cas. Je les ai constatés surtout aux membres supérieurs. Je ne
pense
pas toutefois qu'ils se présentent à une périod
ue nous l'exerçons dans notre hypnotisme scientifique. Ce sont là, je
pense
, des cas d'une idiosyncrasie exceptionnelle compa
apparence insignifiantes et ridicules, pourra les forcer à sentir, à
penser
, à vouloir et à agir absolument comme il lui plai
tion, les actes les plus coupables, auxquels auparavant il ne pouvait
penser
sans horreur, et qu'il exécute maintenant avec le
t à l'enfant au point que celui-ci les mangeait tout crues. Il faut
penser
qu'un enfant élevé dans une famille en adopte for
, si elle était due à une nouvelle accumulation de lombrics, comme le
pensait
l'enfant qui croyait à un paquet de vers à droite
lète dans l'intervalle jusque il y a huit jours, tout cela me faisait
penser
à une auto-suggestion. Pour résoudre la questio
nertie rigide au moment où les yeux étaient fermés, vous avez lieu de
penser
qu'il était pris. Il a été en effet influencé par
vais le mettre sur la voie et il va la réaliser probablement : A quoi
penses
-tu, lui dis-je ? Il répond : à rien. — Tu penses
robablement : A quoi penses-tu, lui dis-je ? Il répond : à rien. — Tu
penses
à faire quelque chose. Prends la craie, va au tab
que, et comme il avait constaté un léger bruit de souffle au cœur, il
pensa
qu'il y avait un élément rhumatismal surajouté. I
sensitivo-sensorielle et quelques accidents antérieurs m'avaient fait
penser
à l'hys-téro-traumatisme. Plus tard, après la bru
'il faisait pour conserver l'équilibre. Ces constatations me firent
penser
, dès le premier jour, qu'une part, au moins, des
crotum, du périnée et de la muqueuse uréthrale. Cette lésion me fit
penser
que nous n'avions pas affaire à une lésion organi
de 17 ans, il est malade depuis le 7 décembre. Il se serait refroidi,
pense-t
-il, étant en sueur ; il grelotta et ressentit tou
; il ne tousse pas, ne crache pas, n'a pas de sueurs nocturnes. Je
pense
qu'il s'agit d'une influenza à forme douloureuse
région fait pousser des cris au malade ; il ne dort pas la nuit. Nous
pensons
d'abord à une ty-phlite stercoralè, mais les sell
ance de la douleur en l'absence d'autre trouble fonctionnel nous fait
penser
qu'il ne s'agit que d'une neurasthénie douloureus
nte depuis quatre ans, la toxé-mic ne saurait être constante, mo font
penser
que ces douleurs, quelle que soit leur origine, s
de l'emphysème sur l'innervation pulmonaire. Est-ce encore, comme le
pense
Biermer, l'accumulation progressive et l'accroiss
de aussi de s'isoler le plus possible de tout ce qui l'entoure, de ne
penser
à rien et de n'avoir aucune préoccupation. Je pos
s jamais prétendu que cette méthode n'a aucune action réelle, mais je
pense
que, pour lui attribuer une action indéniable, il
lle, à son tour, amène la crise. Cependant, il est plus admissible de
penser
que cet automatisme psychique est plus effet que
ndra trop de place dans sa corticalité ; et il suffira à ce malade de
penser
à son vertige, d'en entendre parler, pour l'éprou
une peur affreuse de mourir subitement si elle se laissait aller à y
penser
». Et, par une puissance d'inhibition remarquable
prévu et réduit en formules, absorba l'esprit de tous dans une seule
pensé
et l'y enserra comme en un moule de fer. Jamais p
ervention actuelle d'aucune volonté quelconque. Tous les spécialistes
penseront
comme moi que, s'adressant à un sujet hypnotisé,
r endormir. La suggestion directe n'eut pas d'heureux résultats: je
pensai
alors à me servir des rêves et à utiliser ain
l'avoir réveillé le dernier jour, je le lui avais affirmé encore sans
penser
au cas qui se présenterait plus tard. Un jour,
ion encéphalique est située au niveau de la région bulbaire, comme le
pensent
certains auteurs, le résultat de mon examen est c
on moi, trop peu observé le rôle important de ce sens; cela lient, je
pense
, à ce que la position des membres, pendant un rêv
e ne puis pas. Pourquoi, je n'en sais rien ; je vous assure que je ne
pense
pas à mourir, et je commence môme à avoir peur, m
fait en dehors des lois scientifiques. » Je ne sais pas ce que l'on
pense
à Moscou de la guérison presque instantanée du ma
sychique? Dans la fièvre typhoïde, ce n'est pas, comme on pourrait le
penser
, quand il y a stupeur absolue, avec somnolence, c
accuse les circonstances, il s'accuse lui-même de son mal; mais il ne
pense
pas qu'il lui soit possible de s'en guérir et il
moelle a aussi son état de sommeil. Pour prendre un exemple extrême,
pensons
à la chloroformisation : elle produit d'abord le
la fin de l'état de veille; on rêve souvent des choses auxquelles on
pensait
avant de s'endormir. Nous connaissons telle perso
ercher quelle est, dans la cellule nerveuse, la partie modifiée. Nous
pensons
avoir rendu bien vraisemblable l'idée que cette
maladie du cœur. Commel'auscultation montreque celui-ci est sain, on
pense
à une simple névralgie intercostale et on institu
élite, névrite, et tous les traitements furent essayés. Les auteurs
pensèrent
alors qu'il s'agissait d'une topoalgie hystérique
absolument arbitraires et prononcées sans appel. M. le Dr Bérillon
pense
qu'il y aurait intérêt à remplacer la réglementat
ans tous les cas, on ne peut que féliciter le docteur Mereser d'avoir
pensé
que l'auto-suggestion peut faire un rôle importan
l'avons dit, il commençait d'y puiser. Cette particularité m'a fait
penser
qu'il pouvait y avoir quelque chose d'hystérique
ar le fait même, des impulsions de dégénérés. Mais tout le monde ne
pense
pas ainsi. Beaucoup d'auteurs séparent la névrose
démonstration pratique lors de nos premières communications, et nous
pensons
que c'est à notre initiative et à nos travaux sur
e Jeanne Schaff..., à laquelle j'ai consacré de si longues heures. Je
pense
, comme lui, que la science ne peut progresser que
ligeant volontiers le foyer conjugal pour aller au café, il se prit à
penser
que la vie n'était pas possible sans la présence
sais bien que mes idées sont absurdes, disait-il, mais je ne puis ni
penser
ni agir autrement que je le fais. Il faut que ma
Marie Manacéine m'affirme qu'il n'y a pour dormir que les gens qui ne
pensent
pas : « Ils tombent dans le sommeil dès qu'ils re
que si j'ai, comme de coutume, dormi sans rêver; ce qui m'induirait à
penser
que le sommeil sans rêve est infiniment plus répa
iosité, l'écrivain russe est de ceux qui, pensant par eux-mêmes, font
penser
. L'ouvrage est d'une sage ordonnance, facile à su
ette Société afin d'obtenir des secours pour se rendre à P... où il
pensait
trouver de l'ouvrage. Arrivé dans cette ville,
e faire presque générale et réussir chaque fois, comme il l'avait
pensé
. En même temps qu'il était vaniteux, l'inculpé ét
CULAIRE. 35 anesthésie capsulaire du type classique Turk-Charcot et
pensent
que l'hémianesthésie n'existe que dans deux cas
etrouvait souvent des caractères identiques. Il est donc logique de
penser
qu'il existe au-dessous de l'écorce ou dans d'a
e, selon lui, se confondre et se mêler les unes avec les autres. Il
pense
que l'apparition de ces trouhles psychiques a l
it, comme Noire-Seigneur, jeûner pendant quarante jours. L'auteur
pense
que l'auto-suggestion joue dans l'étiologie et la
nouveaux faits d'observation permettent actuellement à l'auteur de
penser
qu'il n'est pas impossible d'obtenir par cette
mes qui ont mis au monde un crétin. En le proposant on a évidemment
pensé
à la syphilis, où cette méthode peut, en effet
stériques ne sont que très difficilement influencés. Aussi l'auteur
pense-t
-il que les dangers de l'hypnotisme employé comme
la base ; il faut ajouter ici qu'il existe quelquefois alors qu'on
pense
ne pas pouvoir enlever la tumeur, une indicatio
(The tG'tU-109'Ii Médical Journal, le" juillet 1899.) Les auteurs
pensent
que cette opération est la première de ce genre
t alors de passer en revue la pathologie mentale tout entière. Nous
pensons
en conséquence qu'il faut se restreindre aux ca
frère alcoolique et choréique s'est pendu à quarante-six ans. Nous
pensons
que c'est à l'alcool et non à la chorée qu'il f
mouvements involontaires avaient un caractère coordonné. Loewenfeld
pense
qu'il représente une forme de transition entre
donc pas de la mettre en parallèle avec la paralysie générale et je
pense
qu'on fera bien de s'en tenir provisoirement à
es de la folie et n'engendre point la folie, ainsi que l'avait déjà
pensé
M. Dou- trebente ; enfin parce qu'à l'instar de
besoins criants que l'on en constate partout ; à raison de ce que
pense
le peuple même de ses maux et du soulagement qu'i
it prin- cipalement détruit la moitié gauche des vertèbres. Et l'on
pensait
à la tuberculose par suite des antécédents du p
e on trouvait bien les os et les articulations détruits comme on le
pensait
, mais par unnyxo- chondrosarcome, ayant pris na
pôle positif, et qu'il ne donnait point non plus ASZ galvanique. Il
pensait
qu'il s'agis- sait des prodromes d'une dégénére
côté. D'après la description précédente de Lenhossek, on devrait
penser
que quand il n'existe pas de cordon antérieur des
sée par M. Régis dans un travail sur la folie à deux. M. TouLOUSE
pense
que la contagion psychique n'a pas été suffi- s
comme un signe prodromique de paralysie générale, pas plus qu'il ne
pense
que le malade soit un paralytique général. Pour l
venir alors à pisser. Puis deux, trois minutes après, alors qu'il y
pensait
le moins, nouveau besoin impérieux suivi cette fo
re et demi. Voici le détail de l'analyse : 210 CLINIQUE NERVEUSE.
pensé
, apparaît menaçant le besoin d'uriner. Pour ne dé
se apparaît, l'oblige à se précipiter hors de sa place; sans plus
penser
au désordre et au bruit qu'elle occasionne, elle
l m'endort, il me fait sentir mes orteils + II est cinq heures + Je
pense
à mes orteils + Je suis ré- veillée, je souffre
tatons en outre une hémianesthésie sensitivo-sensol'ielle droite et
pensons
à des crises d'hystérie. Après avoir repris que
epelin dans la dernière édition de son Traité de psychia- trie. Ils
pensent
, qu'en s'en tenant au critérium clinique qui clas
pproche ses « songes d'attaques » des « rêves d'accès » de Féré, et
pense
avec raison, semble-t-il que l'étude des rêves
r séméiologique, et ce symptôme est peut-être plus souvent qu'on ne
pense
chez l'enfant le premier signe de l'épilepsie ;
érer comme une forme nette d'attaque épileptique nocturne. L'auteur
pense
donc avoir découvert une forme de l'épilepsie n
amené à croire que ses altérations sont plus fréquentes qu'on ne le
pense
d'ordinaire, mais qu'elles passent souvent inap
ation dans le fonctionnement du système py- ramidal, on est amené à
penser
que c'est à une perturbation de ce genre qu'il
il croit que son cas, confirme l'hypothsèe de Kahler et Picq, et il
pense
qu'en dehors de l'infection et de l'intoxicatio
pu noter aucun désordre de la sensibilité, c'est pourquoi l'auteur
pense
qu'on peut exclure la polynévrite et diagnostique
ite et diagnostiquer une polyencéphalite. Discussion. M. Mouratow
pense
qu'on ne peut pas nier l'in- fluence de la tube
Le délai de dix ans est, en effet, un peu'long, surtout quand on
pense
que douze années se sont déjà écoulées'depuis le
'écorce cérébrale de quelques animaux vertébrés nouveau-nés, nous
pensons
que chez les animaux nouveau-nés qui viennent au
ils se disposent à une distance inégale l'une de l'autre. Il faut
penser
que l'état moniliforme se développe ainsi : avant
l'apparition de ce processus sont très variées. Certains auteurs
pensent
que la déformation des den- drites ci-dessus dé
ur les expériences de M. Manoué- lian, faites dans son laboratoire,
pense
que l'état monili- forme des dendrites sert de
rmes, il se propage graduellement en direction cellulipète. Il faut
penser
, pour cette raison, que les rameaux terminaux d
'une disparition totale d'appendices collatéraux, servant, comme le
pensent
Demoor, Stefanowska et quelques autres auteurs,
nclusions définitives. Pourtant des combinaisons obliques nous font
penser
qu'un état moniliforme, tant soit peu répandu,
le sujet. En ce qui concerne en particulier lé diagnostic, l'auteur
pense
que l'on devra soupçonner une tumeur du genou d
jusqu'à d'autres limites de la coupe. C'est pourquoi il y a lieu de
penser
à un lien de continuité entre les cellules du s
e même la dilatation des pupilles; ainsi en est-il quand le patient
pense
à l'obscurité du jardin la nuit. L'idée qu'il se
t tout le monde, mais seulement de suggestion », M. Dumontpallier
pense
qu'il faut garder de l'hypnotisme, le vocable et
ente au début fut constatée plus tard mais resta légère. W. Osier
pense
que dans ce cas il y a perversion des fonctions
nal of mental of nervous diseuse, janvier 1899.) .. . Les auteurs
pensent
que l'acromégalie est due à une affection de l'
ui entraîna la mort détruisit et noya la lésion primitive. M. Marie
pense
néanmoins que les théories actuelles sur le siège
ire, ses facultés de raisonnement se développent, ses apti- tudes à
penser
, à réfléchir, à associer des idées, à compter, à
able dès les premières séances. Comme Mmo B... est glycosurique, je
pense
un moment avoir affaire à un cas de « syndrome
un plan très défectueux qui se prête peu à l'agran- dissement. Sans
penser
à le démolir, comme on l'a proposé autre- fois,
ent. Sans penser à le démolir, comme on l'a proposé autre- fois, je
pense
qu'il conviendrait de n'y plus faire de construct
que notre collègue, notre ami. Mais lui, qui, durant toute sa vie,
pensa
moins à lui-même qu'aux autres, il m'en voudrai
-nous agir de même. Nous dirions de vous tout le bien que l'on peut
penser
d'un honnête homme, qu'il nous resterait' quelq
ROLOGIE. « Sans créer une organisation nouvelle il y aurait lieu,
pensait
-il, d'avoir un office situé au centre de Paris da
fective et raisonnée, que son labeur était discret et fécond, qu'il
pensait
de haut, et qu'il ne mesurait son zèle ni à l'i
st habituellement triste ; il se décourage facile- ment, parfois il
pense
au suicide, mais n'a jamais tenté de se donner
par jour. Mais la mélancolie noire s'épaissis- sant en son âme, il
pensa
que l'absinthe pourrait faire naître quel- ques
préalable de la cellule psychique. Rien ne se Cl'é(( rien. Je veux
penser
à telle chose, j'excite mentalement des cellule
ment abolie. Le malade était fort buveur de wisky, et on pou- vait
penser
à mettre sur le compte de cette habitude, les tro
pas nous donner d'indications, de tels cas nous font naturellement
penser
à la méningite et le diagnostic nous est plus d
tains avantages matériels et à la sortie définitive. Mais il faut
penser
à l'avenir, à la fixation du redressement. Sur
ils sont distraits. On croit les prendre en dé- faut, quand ils ne
pensent
plus à jouer la comédie de l'in- sensibilité ou
ôme, en d'autres termes, le malade réalise son symptôme comme il le
pense
. Au contraire, nous trouvons dans le stig- mate
séquent à un trouble général des fonctions psychologiques ? Nous ne
pensons
pas que les stigmates soient dus à des lésions
nque de précision et ne résume pas les faits parti- culiers 3. Nous
pensons
comme cet auteur qu'il est nécessaire de précis
présente la même distraction pour les souvenirs et pendant qu'elle
pense
à une idée, elle oublie toutes les notions oppo
aura alors une définition physiologique de l'hystérie. Mais nous
pensons
qu'aujourd'hui une semblable définition serait ex
nt3 ont publié des observations très précises des mêmes faits. Nous
pensons
que dans certains cas; la désagré- gation de l'
onc im- possible de séparer complètement ces deux maladies ; nous
pensons
qu'elles font partie toutes deux d'une vaste clas
Aussi cette malade qui vient se plaindre en gémissant parce qu'elle
pense
malgré elle à tromper son mari et qu'elle est o
ante avec la paralysie organique, différence qui prête grandement à
penser
. Naturellement, il y a des cas de paralysie hys
reté. L'hé- mianopsie n'a pas encore été vue dans l'hystérie et, je
pense
, elle ne le sera jamais. Maintenant, d'où vie
pelé cette théorie : Das Abreagiren der Reizzuwâchse. En résumé, je
pense
qu'il est bien en accord avec notre vue général
cessus pathologique si complexe de la paralysie générale ? Quand on
pense
que ces recherches ont été faites, comme bien d'a
u'arrivera-t-il comme résultat de son altération ? Le malade pourra
penser
, pourra comprendre les mots parlés ou écrits mais
ne, nous le voyions plein de vie à nos séances, et nous ne pouvions
penser
que la séparation fût si proche. Si longue qu'a
nt par des NÉCROLOGIE. 77 méthodes appropriées, plus qu'on aurait
pensé
ou espéré au début. Eh bien, après tant de serv
e protéger et d'assurer leur rentrée dans la vie commune. M. Rayner
pense
qu'une insti- tution analogue serait très utile
, avril 1892.) Tout le monde est d'accord, à l'heure actuelle, pour
penser
que les asiles d'aliénés sont encombrés de mala
ceux qui prennent intérêt à des établissements semblables. L'évêque
pense
que les deux classes d'infortunés doivent, dans
asiles pour les gens faibles d'esprit. Un tel changement néanmoins,
pense-t
-il, ne serait pas facile à effectuer, bien que
00 personnes comme formant la classe des imbéciles, mais ce nombre,
pense
l'orateur, doit avoir au moins doublé. Des 41.000
uvé du gliome dans un point et une cavité dans un autre, mais Miura
pense
que dans ces cas la légitimité du gliome est do
des icentrés des images d'articulation .verbale. On pourrait aussi
penser
à [une lésion des faisceaux qui joignent les ce
nt antisep-- tique. La guérison de la plaie se fit bien et les amis
pensent
aujourd'hui qu'il y a amélioration de la chorée
e siège et la cause de la lésion restent' 'obscurs. Il 'a lieu'de e
penser
à un arrêt de développement du noyau du facial du
s par jour il aurait tombé sur le côté droit de la face, et sa mère
pense
que la jambe, gauche était affectée. Le Dr Chase
s trophiques venaient de paraître dans le Mouvement médical. Nous
pensions
donc pouvoir aller vite. Nous comptions sans la
mbre ne les gênait pas comme quelques-uns de ses compatriotes. Nous
pensons
que la postérité confirmera ce jugement et il res
. 202 J.-M. CHARCOT. Lorsqu'on lit son Mémoire de la fin de 1892,
pensé
avec une si haute élévation de vues, écrit avec
stic était nécessairement très obscur. Dans ces circons- tances, il
pensa
qu'une opération était permise. Il écarte l'idée
ploi de l'hynoptisme chez les aliénés, M. Robertson a été amené à
penser
que les pratiques hypnotiques pouvaient être util
résultats extraits de l'ensemble de ces expé- riences, les auteurs
pensent
qu'il ne faut pas exagérer l'importance : l'étu
sans trouble apparent de la santé, autre que l'hystérie. M. Ballet
pense
que l'analyse chimique des urines n'a pas moins
git là de recherches à peine ébauchées et qui sont à poursuivre. Il
pense
que la question des relations des auto- intoxic
e enfin de fixer toujours les conditions de l'expérience. M. Séglas
pense
qu'il est utile d'élever la température de l'urin
malade excrète une moyenne de 9 grammes d'urée par jour. M. Legrain
pense
que le malade est intoxiqué et que la dyscrasie
encore n'exerce pas d'action synergique sur le premier. M. Redlich
pense
qu'on ne peut expliquer ce phénomène que par l'
égère plainte. Il faut la faire manger et boire, sans quoi elle n'y
penserait
pas ; elle laisse aller ses urines et ses matiè
e de Saint-Jacques, pour chaque aliéné s'élève à 5 francs par jour.
Pensez
-vous qu'à Napoléon la dépense sera moindre ? Vo
qu'à Napoléon la dépense sera moindre ? Votre commission ne l'a pas
pensé
. Elle a vu dans ce chiffre un avertissement don
e- ment recommence, cette fois en vue de saisir l'objet. L'auteur
pense
qu'il y a là la première révélation de ce qu'on p
rès avoir examiné un grand nombre de sujets, M. Jones a été amené à
penser
que l'exagération de la voussure palatine n'est p
peut ou non se terminer par la mort; - 2° On peut, pendant la vie,
penser
à cette forme d'embolie ou la diagnostiquer lor
c Meynert sur le point où se fait le croisement de ces fibres; il
pense
qu'il a lieu plus haut, dans le cervelet. En somm
ne intensité inouïe. Il cherche d'abord à se défendre, il essaie de
penser
à autre chose ; i il a peur de lui-même, il acc
dans l'interprétation de ces phénomènes obscurs ? L'auteur du moins
pense
que cette tentative serait prématurée, et que,
réation ? La mesure proposée est efficace autant que radicale. Nous
pensons
bien toutefois que ce n'est pas encore elle qui
s qu'elle augmente au moment des crises convulsives. Enfin l'auteur
pense
qu'on ne saurait, chez les aliénés, attacher d'im
e sir J. Crichton-Browne et MM. Herbert Major et Bevan Lewis; aussi
pensons
-nous qu'on ne nous reprochera pas de donner que
était légère- ment atteinte, il y avait un peu d'amaigrissement. On
pensa
d'abord à l'hystérie, jusqu'à ce que l'appariti
atifs. Le professeur Kaposi, d'accord avec le professeur Kundrat,
pense
qu'il s'agit d'une lésion hypertrophique de la pe
crocéphalie, seraitbeaucoup plus communément observé : il incline à
penser
qu'il s'agit plutôt d'une anomalie régressive;
érédité et ayant dépassé l'âge de quarante- cinq ans, le rapporteur
pense
que dans les cas typiques de ce genre chez les
liques le pronostic doit être absolument défavorable. M. Tokarski
pense
que le principal intérêt de la forme décrite co
tions dans la sphère inconsciente de la vie psychique. M. Serbsky
pense
néanmoins que dans les cas de ce genre le raiso
M. Serbsky insiste néanmoins sur le caractère typique de ce cas et
pense
que si le délire semble ici moins systématisé que
a chorée dite molle (limp chorea West). Le professeur Kojevnikov ne
pense
pas que, dans les cas du genre qui vient d'être
e de biennorrhagimus ou de morbus bieunorrhagicus. Le D''Mouratov
pense
qu'on peut expliquer tous les cas de lésion bie
on qu'elle en donne ne laisse pas d'être assez particu- lière. Elle
pense
, d'après les dires de ses hallucinations, que l'é
e, lorsqu'elle parle, elle arrive à dire le contraire de ce qu'elle
pense
, de même elle fait le contraire de ce qu'elle ava
alcoo- lisme ? Aux mariages consanguins si nombreux ? Faudra-t-il
penser
également que l'hystérie se développe plus facile
istoire de cette paraplégie, de ces troubles de la vessie me firent
penser
aussitôt à l'hystérie. L'examen direct me confi
'est-ce pas alors l'hystérique qui a été touché. J'ai dit ce que je
pensais
de la chorée guérie par la suggestion Je n'y croi
veau travaille sur ces idées bizarres que l'on y sème. Le jour il y
pense
, la nuit il y rêve. Toutes ces images, toutes c
définies, mais qui certainement résident dans l'encéphale. Il est à
penser
que dans ces conditions la lumière, en excitant
vite, tandis que si, dès le début, l'activité est médiocre, on peut
penser
que l'on en accomplira progressivement davantag
est extrêmement excitable et toujours en érection ; Tesson (d'Angers)
pense
que cet éré-thisme du clitoris a fait naitrc un é
besoin de faire pipi, tu appelleras ta maman. Tu me le promets ? Tu y
penseras
bien Allons, réponds-moi. N'est-ce pas que tu app
cupations plus urgentes, il avait laissé là son invention sans plus y
penser
jusqu'au mois d'octobre. A cette époque, voulant
particulièrement. H a fait au mois d'août un voyage a la mer, il n'y
pensait
en aucune façon en ce moment ; quand il est arriv
ment rassurés, tranquilles et persuadés qu'ils ne souffriront pas. Je
pense
donc qu'il y a là, pour nous dentistes, nn champ
armes, disait-il, contre les soldats Goths, ce sont mes larmes. Que
penser
de St Dominique l'Encuirassè. qui, d'après son hi
munication de M. le docteur Beauvisage et de M. Fri-xon, la section a
pensé
que ce modeste maïs utile examen, devait être con
de l'erreur qu'il nous signale, Je lui répondrai qu'il se trompe s'il
pense
que les psychologues et les archéologues de In vi
. Ce fut un événement que ces révélations de Liégeois qui faisaient
penser
à la cognée du bûcheron ouvrant des voies à trave
sion atmosphérique, l'hygromètre sur l'humidité de l'air ambiant. Que
penserait
-on du savant qui émettrait la prétention de consu
it point de sa compétence. Sans libre arbitre, la religion n'a plus
pense-t
-il, de support, de raison -d'être, de possibilité
nominale qu'on appelle La Science. Contrairement à Binet-Sanglé, nous
pensons
que toute prétention à l'absolu est présomptueuse
t l'illusion de l'avoir convaincu. Tout comme lui, j'ai dit ce que je
pense
, à propos d'un problème qui m'intéresse autant qu
gieuse toujours. Sa religiosité est sincère, plus sincère qu'on ne le
pense
, mais elle nait d'une nécessité sociale, elle naî
ion chimique, voila qui est insoutenable. Je n'ai jamais ni dit, ni
pensé
, ni rien écrit qui permit de croire que « d'après
une corvée ; on est un « consommateur » et non pas un convive. On ne
pense
pas à ce qu'on mange ; pendant le repas, si l'on
lui qu'il consacre aux repas le temps nécessaire et qu'il consente à
penser
a ce qu'il fait, conformément à l'adage latin « Â
daine guérison. je lui répondis que je n'en avais aucune idée, et n'y
pensai
plus. Quelques jours plus tard elle me dit : «
voir un rapport direct avec les suggestions faites à ma malade, et je
pensai
que cette guérison, dûe purement au hasard, ne va
e hypnose, que j'appelle fortuite, est beaucoup plus commune qu'on ne
pense
, surtout chez tes sujets entraînés; elle peut êtr
ce qu'elle eut consenti à déclarer qu'elle se trouvait mieux. » Que
pensez
-vous de ce praticien qui. après avoir eu recours
nous semble pas vraysemblable : qui est un vice ordinaire de ceux qui
pensent
avoir quelque suffisance outre la commune (l). »
, pendant la pins grande partie de sou existence scientifique de ce «
penser
anatonilque » dont on a fait longtemps le tnliim
é amené par la force des circonstances*! comprendre l'Importance du *
penser
psychologique. » C'est parce que je lui avais e
meil hypnotique — et j'ai fait cette demande bien des fois—: « A quoi
pensez
-vous?» — presque toujours on a cette réponse: «Ar
ui attribuer la cause de tous les phénomènes observés. C'est ce que
pense
il. Visani Scozzi qui a repris, en collaboration
damné à ramer sur les galères du Roi. Nous avons bien le droit de
penser
que. si par un coup brusque de la destinée, AI. d
, a, sinon endurcis, tout au moins renseignés, qui donc hésiterait a-
penser
que toutes les forces vont se coaliser pour réhab
certitude et l'essence objective ne font qu'un. Se tromper n'est pas
penser
ce qui n'existe pas, c'est l'absence même de pens
le but de la vie, il convenait de la diriger vers des fins utiles. Il
pensait
que de l'effort humain devait résulter toujours q
toresque ou agréable. Il est certain qu'il apportait dans sa façon de
penser
un ton d'esprit artistique. C'est à cela qu'il dû
c U est des sujets, et peut-être sont-ils plus nombreux qu'on ne le
pense
, chez qui la plupart des manifestations tant psyc
e et celle-ci terminée, ayant ln conscience dn devoir accompli, il ne
pense
pins a son malade que lorsqu'un incident on l'heu
re monte, 11 est inquiet, l'idée de son malade le poursuit. On pourra
penser
qu'un pareil homme n'a pas les qualités requises
iences de la vie. la plus compréhensive est celle qui nous autorise à
penser
que le courant foncier de l'ontogenèse et de la p
Le cas me parut assez rare, car il n'y avait aucun symptôme faisant
penser
à «l'homosexualité » ou à quelque chose d'analogu
elle la porte à exclure toute allusion à ce sujet, même si le médecin
pense
que les troubles ont leur origine dans quelque dé
est sollicitée par des provocations qui lui plaisent. A cet égard, je
pense
ne pas vous être désagréable eu vous disant que l
rrait exposer une journée entière sans interrompre, cela nous amène à
penser
qu'il sent bien qu'il ne dit pas les choses essen
oyens thérapeutiques habituellement employés ont peu d'efficacité. Je
pense
que de nombreux malades enfermés dans des asiles
e et monotone variation. Nous les écoutons sans savoir pourquoi, sans
penser
à rien, et notre intelligence s'engourdit dans ce
oir et de forces ; il ne rêve plus au mariage avec une prostituée, et
pense
épouser une jeune fille honnête à laquelle il fai
ffort du débutant n'est même plus à faire ; c'est machinalement, sans
penser
, avec des gestes automatiques que l'on roule ; on
qué, envisagé dans ses manifestations les plus-élémentaires, (et nous
pensons
qu'il en est de même pendant le sommeil normal),
dans la bulbe, soit dans la moelle ou les ganglions sympathiques nous
pensons
(conformément à une opinion déjà exprimée dans un
é, pendant que le taux leucocytaire baisse En résumé ne pouvant pas
penser
à une nouvelle formation des éléments du sang par
cent d'une douce illusion. Elle n'accorde ses suffrages qu'à ceux qui
pensent
comme elle et savent opportunément se mettre à sa
ans des limites plus étendues, en raison de la plus grande liberté de
penser
, de parler et d'écrire. Dans la famille musul
uel et moral d'nn individu qne nous ne connaissons pas et personne je
pense
, ne pourrait nier l'importance d'une telle consta
'il avait été plus intelligent et d'un caractère plus énergique. Ne
pensera-t
-on pas que si, on nous avait demandé cette étude
us permettant pas de nous offrir un suggestionneur à heure fixe, nous
pensâmes
, à l'instar de Taucanson, à en fabriqner un de to
ne pouvait pas dormir du tout : tantôt n'était pas réveillé. N,ous
pensâmes
alors tourner la difficulté, en profitant de ces
u nombre des utopies de la médecine empirique du seizième siècle. Que
penser
d’une sentence aussi rigoureuse ? La haute intell
s qu’une noblesse véritable : c’est celle de l’intelligence. Mon père
pensait
autrement que moi; cependant il n émigra point, m
; mais nous n’en sommes point les témoins, elle influe moins qu’on ne
pense
sur les vivants, et surtout sur les savants, qui
moins qu’on ne pense sur les vivants, et surtout sur les savants, qui
pensent
avoir de bonnes raisons pour douter de cette just
et punie par les premiers juges. « Pas d’appel, il est permis de le
penser
, si ce chef ne figurait pas dans la sentence. «
les prouver par un simple récit. En résumé, c’est un livre sagement
pensé
, sagement écrit. Le style en est clair, la méthod
ur savoir si elle dormait, je ne sais pas lire. D. list-ce que vous
pensez
avoir la puissance de l’endormir ? — R. Oh ! non.
cun homme ne m’a inoculé son poison, et voilà pourquoi aujourd’hui je
pense
autrement que tous, et vois la nature comme Dieu
ait m’attacher au monde extérieur eût été entièrement et (comme je le
pensai
) éternellement rompu. La crainte, l’espérance con
oué d’une sensibilité immortelle. Au moment où je réalisai, ou que je
pensais
Réaliser cette vérité, ma poitrine respira librem
magnétisé. Le ton de conviction dont il débitait ces oracles faisait
penser
qu’il se faisait illusion à lui-même. L’empereur,
n, c’élail l'excessive préoccupation que me causait mon mal. « Vous y
pensez
sans cesse, me dit-elle, cl souvent, seule dans v
nd cas de sa lucidité. — Je me suis occupé aussi de magnétisme, et je
pense
qu’un magnétiseur qui aurait affaire à un fourbe
anisation. Non : nous ne songeons pas à mutiler l’œuvre de Dieu, nous
pensons
que tout ce qu’il a fait est bien fait, el que ch
rangère au procès, et qui ne traitait que de secrets d’intérieur : je
pensais
qu’on ferait un triage des pa- piers -aisis, el
. Deux opinions ont été émises sur leur sincérité. Quelques personnes
pensent
que dominés par l’ascendant du magnétiseur, ils n
qu’ils doivent nécessairement entraîner une condamnation ? Nous ne le
pensons
pas. En effet, bien que, dans la rigueur du texte
euvent suppléer au silence de la loi. — M* Morin termine ainsi : Je
pense
avoir justifié complètement Rose Palrix de tous l
rdres ou de pensées, qui n’ont pas réussi, qui dira que ces messieurs
pensaient
réellement ce qu’ils expri- niaient ensuite de
était enfin la bienveillance, ou le désir de faire du bien (2). Il
pensait
cependant « qu’une de ces qualités pouvait supplé
tion de ce problème. De nos jours, des novateurs, ou des hommes qui
pensent
l’être , ont proclamé de nouvelles doctrines qu’i
, il congédia le DrLyon ainsi que son scribe, M. Fishbough ; heureux,
pensa-t
-il, de se soustraire à toute influence humaine. M
t presqu’instan-tanément. Pour y parvenir, il s’assied, se recueille,
pense
fortement au désir qu’il a d’y arriver; fait agir
c les esprits ; non pas de les évoquer, de les faire apparaître comme
pensent
ingénument le faire quelques spi-rilualistes d’Eu
n prétend posséder un instrument d’investigation aussi puissant, nous
pensons
et nous dirons bien haut, que c'était plutôt dans
etc. Par cette appréciation qui nous est toute personnelle, nous ne
pensons
pas froisser Davis. Ses prétentions se bornent à
bonté de m’indiquer un avocat près cette Cour. Comme vous pouvez le
penser
, ce n’est pas à moi, ni à ma somnambule que les m
, et quelques noisettes trouvés dans la malle de la nourrice, firent
penser
qu’elle pouvait bien avoir pris les i,5oo fr. L
ion de donner issue au fluide électrique. Après cette opération, j’ai
pensé
qu’il n’y avait plus qu’à envoyer dans ce corps f
r, l’enfant dépérissait à vue d’œil ; le médecin ne savait plus qu’en
penser
. C’est dans cet état que j’ai commencé à la magné
cament tonique sous l’empire d’une émission fluidique abondante, nous
pensons
qu’elle provoquera des résultats opposés sous une
ux adeptes, nous reconnaissons que notre tâche est incomplète et nous
pensons
honorer encore le mérite en émettant le vœu de vo
es qu’après s’être assuré de la valeur des remèdes indiqués , nous ne
pensons
pas que des poursuites doivent être intentées. Le
ends au grand air promener mes pensées... Mes pensées !... mais je ne
pensais
pas, j’étais abasourdi, j’étais un homme pour les
onnements très-judicieux, qui ne s’éloignaient guère de ma manière de
penser
, et il insista sur ce fait très-remarquable, qui
bitant Pau. (Basses-Pyrénées.) LAFORGUE. Pau, 7 juia 1851. Nous
pensons
que cette démarche sera sans résultat; il n’y a p
ne renferment point une épigramme, car l’auteur, en les écrivant, ne
pensait
ni au médecin Taxil, ni au magnétiseur J. B.... N
ue Jésus-Christ faisait, le premier venu pouvait le faire!.....Nous
pensons
bien différemment; mais M. Taxil n’est que méde
se mil à travailler à la terre, mais il n’avait pas grand courage; il
pensait
, malgré lui, au fantôme qui lui était annoncé.
egardait ce qui l’entoure, était distraite par le bruit, résistait ou
pensait
à autre chose, il est clair que, ne remplissant p
velle-Orlians, 6 avril 1850. Mon cher monsieur Hébert, Nous avons
pensé
à votre Hermann , qui faisait de l’anti-magnétism
Le 11" 6 contient quelques-uns de ces avis, et aussi un mot que nous
pensâmes
devoir dire pour établir notre position, mais auq
it vingt fois plus énergique que l'action magnétique; mais nous avons
pensé
qu’il commettait là une imprudence, cl nous avons
tenant, à l’œuvre, faisons éclater la grande merveille du jour! Ainsi
pensait
Tit-marsh, et d’un pas rapide il s’approche de Ro
servé le professeur et les élèves. Je puis donc vous dire ce que j’en
pense
, sans violer un serment que je n’ai point voulu f
Théophile Fiske, l’électro-biologiste, se trouvait aussi présent, il
pensait
également, d’après son expérience de cas semblabl
le science doitélre considérée aussitôt comme anéantie. L’homme qui
pense
ne rejette rien sans examen, et ne continue pas m
tème nerveux sont les plus nombreuses, et pourtant 011 aurait tort de
penser
que l'application du magnétisme dût s’arrêter là.
ours de la médecine, cl se confier exclusivement au magnétisme : nous
pensons
qu’il y a du bon partout, et l’homme sage le pren
fait son temps et qui vous repousse parmi les cerveaux fêlés? Nous ne
pensons
pas que ce soit de l’homéopathie, qui vous tend l
i, et que la semence jetée ait germée dans leur cœur ; laisse dire et
penser
les hommes de science, ils sont loin delà vérité,
ous lui présentiez dans une boîte. Vous n’avez pas parlé, vous avez
pensé
, voulu, et vous avez été compris; vous avez voulu
dans le cours de l’année dernière, L. 20 : o : 0 (5oo fr.). « Nous
pensons
qu’une propriété qui nous a été promise par M. Be
uérison. La condition la plus favorable pour le malade, c’est de ne
pensera
rien : avantage que possèdent les enfants. Le s
e guérissent ainsi de leurs maladies, il ne serait pas raisonnable de
penser
que l’homme ait été privé d’une faculté analogue,
eterre. « Ces faits, joints à quelques autres circonstances, firent
penser
à M”" de S.... qu’elle était dupe, et elle alla t
d’eau en deux ou trois minutes et un verre d’eau en une minute. Nous
pensons
que le temps nécessaire pour ce genre de magnétis
éme au lieu d’attendre que les docteurs aient décidé ce qu’il faut en
penser
. C’est une erreur de la part du public; car, je s
ur que ces malheureux aient leur part des bienfaits magnétiques, et
pensons
à foncier un hôpital spécial. Quel plus noble usa
révenus l’application de la loi. Le tribunal, après délibération, a
pensé
que le» faits d'escroquerie n’étaient pas suffi
vrages où il est accessoirement question du mesmérisme et de ce qu'en
pensaient
Napoléon et Louis XVI ; avec des réflexions par M
er les mauvaises idées plus aussi elle se sent obsédée et poussée à
penser
à tout ce qui se rattache aux relations sexuelles
qui remuent malgré lui, pouvant laisser deviner au dehors ce qu'il
pense
. Il ressent au crâne des tiraillements qui dimi
cé, il' se sent soulagé. Ces mots lui arrivent parfois sans qu'il y
pense
, mais d'autres fois ils sont présents dans son
hère qu'il est pris de l'impulsion irrésistible de marcher. Et sans
penser
davantage à son travail, envahi par cette obses
fugue en pleurant. « J'aurais bien voulu me tuer, dit-il, mais j'ai
pensé
à ma femme et à mon enfant. » Il s'est couché ;
psie nous montre qu'il y avait une tumeur, non, comme nous l'avions
pensé
, dans le lobe temporal, mais dans le lobe occip
selle turcique et venait comprimer les nerfs optiques. M. Christian
pense
pouvoir attribuer à cette compression les phéno
affirmer qu'elles soient d'origine périphérique. Peut-être faut-il
penser
ta possibilité d'une lésion des régions psychique
eurs mis en liberté. M. ZINN aîné. Contrairement à M. OEbecke, je
pense
qu'il faut interdire le buveur par habitude ava
-six cas positifs. L'examen des diagnostics formulés nous permet de
penser
qu'il s'agissait simple- ment de vésanies aiguë
nt réussi qu'à discréditer à nouveau cettebranche de la science, de
penser
qu'il existe un faisceau de recherches devant l
nous sommes tout à fait à l'aise, pour dire le grand bien que nous
pensons
de ce volume, ou M. Gaj- kiewicz a su réunir le
. III. Signification particulièrement FUNESTE DE CER- tains MOTS (
PENSÉS
, PRONONCÉS, LUS, ÉCRITS) MOTS COMPROMETTANTS.
vive ! Ils s'ef- forcent eux-mêmes de ne pas réfléchir, de ne pas
penser
pour que ce mot malfaisant n'intervienne point
présente à son esprit. Il redoute un malheur et si, à ce moment il
pense
à un pa- rent, à un ami, il s'imagine, qu'il le
rapidement de ses habits que le mot ou la chose triste ont rendus,
pense-t
-il, dangereux et ne les remet jamais plus. ,
es qu'elle ne peut s'empêcher de songer à la mort et qu'elle a même
pensé
pour se délivrer à se précipiter par la fenêtre
a cérémonie du mariage, tout en répondant oui, elle prétend qu'elle
pensait
non. Elle a donc trompé, dit-elle, son mari et
essions réitérées et des absolutions, elle reste fort in- quiète et
pense
parfois au suicide. Après son mariage, elle con
- ment leurs expériences pour conclure. Ils inclinent cependant à
penser
que leur toxicité est tou- jours sensiblement é
tant, par notre vénéré maître, le professeur Hughes Bennett. Nous
pensions
à cette époque qu'en des points mystérieux de A
guérison survient dans la moitié des cas. C'est là une raison pour
penser
que les plus grands succès peuvent être attendu
ette voie ne portent pas avant longtemps des fruits abondants et je
pense
que c'est de ce côté, c'est-à-dire par l'étude
mentale avec plus de certitude et de précision, nous ne pouvons pas
penser
à une application pratique plus étendue des doctr
d'origine. Peut-être, en ce qui concerne les nerfs spinaux, faut-il
penser
à l'influence des cellules nerveuses incluses d
, n'ayant provoqué aucun symptôme pendant la vie qui puisse faire
penser
à une affection en foyer. Par conséquent, il es
oliques négateurs doivent-ils former une classe à part ? M. Camuset
pense
que non, car tous ne présentent pas la symptoma
e quelques-uns ou du médecin seul. ' M. V. Parant (de 'l'oulouse)
pense
que, pour le médecin aliéniste, par suite des m
: 1 "i un premier essai de colonie familiale pour les aliénés, j'ai
pensé
qu'il y aurait un certain intérêt à jeter un co
pour leurs malades les terrains voisins de l'hos- pice. Nous avions
pensé
à demander l'un d'eux pour les enfants de notre
encontrent aussi dans certains états de dépression mélancolique. Je
pense
même que s'il était 310 SOCIÉTÉS SAVANTES. po
rés, mais qu'il y en a dans la science et avec autopsie. M. Régis
pense
que la communication de M. Bourneville est d'au
départements et avec les corps élus auxquels ils disent ce qu'ils
pensent
et ce qu'ils désirent dans l'intérêt supérieur de
mais c'est inutile. Ceci ajoute à la longueur de l'opération, et je
pense
qu'on peut facilement arrêter l'hémorrhagie au
. Nous avons en consé- 346 THÉRAPEUTIQUE CHIRURGICALE. quence, je
pense
, des raisons suffisantes qui nous encouragent à
e chirurgicale et les crânes des idiots enseignent ce qu'il faut en
penser
, car le crâne reste fermé, n'est pas rendu plus
de crânes, dont l'un est cràniectomisé, montrent bien ce qu'il faut
penser
de cette oblité- ration prématurée des sutures
us pré- . ferons, toutefois, nous borner dire tout le bien que nous
pensons
de cet excellent ouvrage, qui nous semble appel
s du voyage, il s'est désisté de sa plainte contre son employé. Que
pense
le Dr Bérillon de ce malade singulier ? (Matin,
mpromettant, les onomatomanes finissent pars'effor : cer de ne plus
penser
, évitant de parler, d'écrire, de lire, de regar
out la crainte du mot exprimant une idée de tristesse qui pourrait,
pense-t
-elle, porter mallieur. Aussitôt qu'elle entend
ion des mains ressuscite les morts, multiplie les pains, etc., j'ai
pensé
qu'avant de me coucher, l'apposition de mes mains
vent, il m'arrivait de compter les mots de phrases parlées. Vous
pensez
quel travail tout cela me donnait et combien cela
manifestée dans la reproduction des troubles de la sensibilité, je
pense
que c'est dans les circonstances, ci-dessus énu
. Pour ce qui est de l'aphasie motrice nous savons ce qu'il faut en
penser
. Elle peut s'observer dans l'hystérie aussi bie
et les couleurs. Il guérit, bien vite, entièrement. Il est juste de
penser
aussi, que cette hémiamblyopie homonyme droite,
difficile, étant admis le siège cortical de l'affection, si l'on ne
pensait
que nombre de ces cas appartiennent à l'hémiupie
née par Boé pour l'hémi- anopsie verticale permanente, c'est-à-dire
penser
que l'affection intéresse tout de même un seul
- miopie latérale monoculaire ne nous étonnera pas si, au lieu de
penser
à une lésion partielle de la bandelette, du chias
psie et marquent le début de la démence paralytique, nous pouvons
penser
que la simple prédisposition (héréditaire ou acqu
des et que je vous propose d'appeler la suggestion. Libre à vous de
penser
que chez l'homme normal la suggestion est plus
se fâche un jour contre un fonctionnaire de la Salpê- trière et ne
pense
plus qu'à le rosser d'importance. Elle pleure e
croyance à l'existence réelle et extérieure des objets auxquels on
pense
. Les actes réels et l'objectivité apparente des
tre personnalité. c C'est moi qui fais cet acte, disons-nous, et je
pense
que cette action est en rap- 456 CLINIQUE NERVE
u lieu et du temps où nous nous trouvons. Si, 'actuellement, vous
pensez
à un ballet de l'Opéra, cette idée ne se déve-
n malade souffrant, pauvre, humble devant vous : « Allons, mon ami,
pensez
à guérir, pensez que vous êtes guéri, tenez les
pauvre, humble devant vous : « Allons, mon ami, pensez à guérir,
pensez
que vous êtes guéri, tenez les yeux fermés, fai
lade, si vous la regardez à son insu et surtout sans qu'elle puisse
penser
qu'on l'observe, vous constaterez qu'elle remue
e pouvait plus manger. Quand elle veut manger, il faut qu'elle ne
pense
absolument qu'à cela et à rien d'autre. Sa puissa
A SUGGESTION CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 465 ciente. « Vous voulez que je
pense
à ce que je fais, disait Berthe, mais c'est imp
i l'on peut ainsi parler d'un crime qui semblait inexpli- cable. Il
pense
que si l'on soumettait tous les crimes et tous le
logie, revues analytiques. SOCIÉTÉS SAVANTES. 499 lysés. M. Jolly
pense
que les cornes antérieures ne sontpas en cause;
s'agissait point d'une contracture paralytique, il y avait lieu de
penser
à l'hystérie. J'appliquai l'aimant; le petit pa
s analytiques. 504 SOCIÉTÉS SAVANTES. Discussion : \I. JOLLY.- Je
pense
que le malade en question a plu- tôt une déviat
ue les fibres altérées soient bien celles du faisceau pyramidal. 11
pense
au contraire que les fibres du faisceau pyramid
moins accusée dans son évolution,et ces auleurs auraient tendance à
penser
que la maladie de Friedreich évo- lue d'abord s
avec ces phénomènes douloureux très angoissants, nous fit de suite
penser
à un raptus hémorragique, favorisé par la const
out et marche) égale- ment 'réparti aux deux moitiés du corps. Je
pense
qu'à la faveur de la pneumonie, dans un système n
ue Mme L... était bizarre. On ne s'en inquiéta pas tout d'abord. On
pensa
qu'il s'agissait d'un léger degré de démence et o
t 1904). \.\.111 4 50 LAMY j'avais réunies à ce sujet (1). Il a
pensé
qu'elles avaient quelque intérêt c'est ce qui m
le peut bien être, à ce moment, son utilité. Nous avons vu ce qu'en
pensait
Gerdy. Pour lui c'est un « effort d'éléw- lion»
imes dont la religion était le prétexte, qui avaient le bon sens de
penser
, avec le roi Henri IV, que Paris valait bien un
droit donné aux médecins de hâter la mort des incurables. D'autres
pensent
qu'il faut rendre exempte de douleur la mort de
fut subitement prise d'une maladie dont la des- cription nous fait
penser
à un rhumatisme articulaire aigu. Presque toutes
xagérés ; troubles des fonctions de la vessie. Ces symptômes firent
penser
d'abord à l'existence d'une spondylite. Au cours
et à l'accommodation. Après une observation de quelque durée nous
pensâmes
avoir affaire à une paralysie générale juvénile
re, etc.), tandis que Teillais dans un cas absolument semblable (3)
pense
qu'il s'agit d'une lésion nucléaire, ayant frap
jusqu'au muscle droit interne du côté opposé. C'était, si l'on y
pense
, la conception la plus logique. Nombre d'auteurs
le paire ; mais les derniers auteurs qui ont étudié cette question,
pensent
que les relations qui existent entre ces deux n
. -L'examen des plexus choroïdes aurait pu, au premier abord, faire
penser
à un processus de même ordre, d'autant plus qu'on
ue dans notre cas, un rapport de nécessité avec l'acromégalie. Nous
pensons
en effet que les lésions nerveuses de notre mal
oux, frappés de l'inten- sité des lésions hépatiques dans leur cas,
pensent
devoir faire jouer un rôle aux troubles hépatiq
tre perturbation fonc- tionnelle. Un certain nombre d'auteurs ont
pensé
que l'acromégalie résultait t d'une insuffisanc
nir les nerfs régulateurs en parfait état de fonctionnement. Nous
pensons
donc qu'il y a plus de chances pour que les lésio
ur la sécrétion des cellules des plexus choroïdes, nous inclinent à
penser
qu'il y a peut-être là comme un avortement, une c
t à trois travers de doigt au-dessus du mamelon. Il y avait lieu de
penser
à la présence d'un épanchement : une ponction fai
crampe professionnelle, car, pendant qu'il ne travaille pas, il ne
pense
plus ou il pense moins à son affection. Mais so
nnelle, car, pendant qu'il ne travaille pas, il ne pense plus ou il
pense
moins à son affection. Mais son effet serait ic
e tenue des écrivains. Dans le cas d'une affection établie, nous ne
pensons
pas que ces moyens puis- sent être efficaces, c
une crampe professionnelle, est souvent un émotif, un psychique qui
pense
souvent à son infirmité et à l'impossibilité de
ent sur un même sujet à des opinions contradictoires, plutôt que de
penser
que, si les uns ont raison, les autres ont néce
les dégénérescences secondaires à l'encéphalite (1) ».Crouzon (2) «
pense
qu'il faut aussi reconnaître comme origine prob
s lésions sont diffuses, et dépassant les aires pyrami- dales, font
penser
à des lésions primitivement médullaires. Et, de f
ion extra-médullaire, nous ne l'acceptons pas. Comme Dejerine, nous
pensons
qu'avant d'affirmer une sclérose primitive de la
s l'unilatéralité et les troubles parétiques ne per- mettent pas de
penser
1 autre chose qu'à une hémiplégie. CONTRACTURES
de frictions à l'alcool sur la co- lonne vertébrale dorsale ! Que
penser
aussi de leur disparition plus tard, deux années
r le jeu du sterno-cléido- mastoïdien ou du grand pectoral lui fait
penser
que le sous-clavier doit manquer. Nous avons co
vier. Gross, se basant sur l'absence de troubles de la déglutition,
pense
que les muscles sterno-thyroïdien et sterno-clé
ne porte que sur certains points exclusivement. Dowse après avoir
pensé
à une fracture de la clavicule in 1¿te1'O ou pe
smettant ainsi in toto du père au fils. » Shorstein, Gross et Sachs
pensent
au rachitisme survenant au te mois de la vie in
e retard dans la marche ; nous verrons plus loin ce que nous devons
penser
de ces troubles. Sachs lui-même rejette d'aille
fication et disparaissent plus tard. Or beau- coup d'embryologistes
pensent
que la clavicule est aussi un os dermique. C'es
prétend qu'il en est de même chez l'homme. Gegenbaur, d'autre part,
pense
que la clavi- cule, os mixte, présente autour d
invo- quée par M. Couvelaire. D'après cet auteur il est logique de
penser
que l'élément causal, quel qu'il soit,ne doit p
prouvent les mensurations directes données plus haut. On peut donc
penser
avec Couvelaire qu'il s'agit là d'une hérédo-dys-
uses et les plus typiques (Gegenbaur, Carpenter). - 8° Nous avons
pensé
qu'on pouvait considérer comme une forme fruste
constate à l'intérieur la trace de vacuoles, et l'on est conduit à
penser
que ces vacuoles ont progressivement con- flué
ne serait nullement proportionnelle, il y a de fortes rai- sons de
penser
que cette déformation résulte bien plutôt d'une a
assez épais signalé par Gérard et que j'ai observé de mon côté. Je
pense
, avec Gérard, que ces os se sont déve- loppés s
rité est le dédoublement du canal épendymaire. Waterston et Matthew
pensent
que ce dédoublement est secondaire, qu'il provi
s cependant que dans le cas précédent. Ce fait permet à lui seul de
penser
que le processus destructif a évolué moins longte
forme. Dans la mesure où il est permis de faire une hypothèse, nous
pensons
que ces tumeurs sacciformes résultent de proces
d on dit au malade d'étendre les mains en écartant les doigts. Nous
pensons
que ce tremblement est l'analogue de celui qu'on
la démarche du malade fut d'abord très nettement ébrieuse, faisant
penser
à une affection cérébel- leuse, et qu'ensuite e
de mouve- ments faciaux associés pendant la parole pourraient faire
pensera
l'hérédo- ataxie cérébelleuse. Mais l'absence d
is qui parla dif- ficulté de la marche et le tremblement peut faire
penser
à une affection 'spasmodique. ' Le tableau cl
de ce ta- bleau une forme nouvelle de maladie familiale ; mais nous
pensons
que ce cas doit faire substituer à la dénominat
siège le bulbe même ; or, dans cette hypothèse, il serait permis de
penser
que l'agent perturbateur a agi sur le facial en
autre seule- ment trois ans après le début de la maladie, donnait à
penser
que ces cas se rapprochent plutôt du type Leyde
sons être en face de sa première manifestation hysté- rique. Nous
pensons
à l'hystérie et nous hospitalisons l'enfant, en l
que la radiographie faite le jour même est absolument négative, et
pensons
dès lors à un torticolis par contracture hystér
s après que la difformité atteint son degré ordinaire. Au début, on
pensa
au torticolis rhumatismal, et on essaya pendant p
ale, toute lésion pharyngienne, toute adénite cervicale. Pouvait-on
penser
dans la 1" observation, à cause de la brusquerie
e de sciatique. L'absence de toute atrophie musculaire empêchait de
penser
soit à une paralysie infantile, soit à une myop
tracture et de parésie musculaires : et c'est également à quoi nous
pensons
pour la fausse paraplégie dont il nous reste à
uère avec cette hypothèse. D'après la démarche ébrieuse, on pouvait
penser
à une tumeur céré- belleuse, sans douleurs de n
rouvant que le liquide céphalo-rachidien était nor- mal nous avions
pensé
à l'hystérie bien plutôt qu'à une paraplégie or
s. Cet enfoncement du nez peut être parfois assez accusé pour faire
penser
de la syphilis héréditaire (Kassowitz). Le crân
les cas familiaux, l'intégrité rela- deux sujets observés par eux,
pensent
que certains achondroplasiques sont une tive de
eut, le ma- lade présentait certains caractères infantiles qui font
penser
à un certain degré d'hypothyroïdisme. Ces for
st bien loin d'être prouvé. Nous allons faire connaître ce que nous
pensons
nous-mêmes relativement à la pathogénie de l'acho
on des glandes sexuelles semble elle aussi très rationnelle si l'on
pense
qu'en sens inverse on peut produire chez les anim
chez certains achon- droplases. (2) Hertoghe (36) et Masoin (37),
pensent
que l'achondroplasie est due à un trouble de ce
t vrai que l'état glabre de la figure chez un homme doit nous faire
penser
à l'insuffisance testiculaire. Mais il faut enc
rence existe seulement dans l'interprétation. Maints tératologistes
pensent
que même dans les observations d'absence totale d
nt suivies par la résorption de l'os même. Il y a des au- teurs qui
pensent
à un défaut de développement dû à une maladie gén
t avec une évidence non douteuse. Pour les lésions médullaires nous
pensons
aussi à un processus d'une origine vasculaire e
me et l'extension de la tumeur, on ne pouvait pas raisonna- blement
penser
à une opération chirurgicale quelconque, ainsi je
nitale, où la cécité bilatérale -est également congénitale, on peut
penser
que cette cécité dépend précisément de processus
ntale homogène, en par- tie en cellules osseuses (1). Il est donc à
penser
que plus est grande la quantité des sels calcai
ctifs, qui d'ordinaire n'ont pas coutume d'en produire. Virchow (2)
pense
que les exostoses doivent être attribuées à un st
ment nous sommes frappé de la gravité de certains phénomènes : nous
pensons
ici surtout à l'altération du sentiment de la p
s que l'autopsie seule nous a permis de faire un diagnos- tic. Nous
pensons
que la rareté extrême de pareils cas nous justifi
as à un état moniliforme aussi prononcé des fibres nerveuses ; nous
pensons
donc que l'inflamma- tion a largement contribué
lle se produit parfois dans un rachis fermé. Enfin, il est fort à
penser
que les variations du processus méningitique ne
itions de certaines données expérimentales, nous pouvons, en outre,
penser
que non seulement la mort du névraxe n'en- traî
le symbolisme n'y perd pas ses droits, et on ne peut s'empêcher de
penser
aux allusions satyriques des « caprices » conte
hes, la toxicité de l'acéto- phénone serait beaucoup moindre que le
pensent
ces auteurs, et nous aurions pu, sans crainte d
eut-on dire, des pyromanes, est chose vraiment curieuse, quand on
pense
à la franchise des autres impulsifs. Quelle diffé
point qu'il en fut tout tremblant. Toutefois le surlendemain il n'y
pensa
plus, et il en fut ainsi jusqu'au jeudi 17. Ce,
mologie (7rocpot auprès de, à côté de, presque, de travers, et voew
penser
, être sage). Aussi différents auteurs, la prena
iens, etc.), ainsi que sur une analyse de certains faits cliniques,
pense
devoir affirmer que les couches optiques ont un
des surprises, explique sans difficulté. J'incline, pour ma part, à
penser
qu'il en est ainsi, en particulier, pour les si
de Reil cortical), dépend de l'écorce du lobe pariéto-occipital. Je
pense
, sauf plus ample et plus exact examen, que le l
oduite du côté droit de la tête, avait envahi le côté gauche, et il
pensait
que d'ici peu le crâne serait entièrement mis à
paraissent constituer un ensemble de symptômes suffisant pour faire
penser
que Appollo- nie Schreyer était atteinte d'hyst
de la commission dont j'ai l'honneur d'être le président. Elle a
pensé
qu'il serait bon, utile, nécessaire peut-être, d'
ux. Il faut donc qu'une volonté étrangère se substitue à la sienne,
pense
et agisse pour lui, souvent malgré lui, quelque
e gros chiffre de z millions du ministère de l'intérieur. Les dé-
penses
qu'il entraîne s'élèvent à 21 millions; elles son
celle des dispositions à prendre dans les cas, moins rares qu'on ne
pense
, où une per- sonne aliénée, ayant conscience de
rons plus longuement quand nous arriverons aux articles ; mais j'ai
pensé
qu'il n'était pas inutile, dès maintenant, d'ap
udra payer un impôt parce qu'on a un aliéné dans sa famille ! Je ne
pense
pas que cela soit juste, je ne crois pas que ce
r; à ce moment-là, je venais de l'interrompre; mais, cette fois, je
pense
que M. le ministre ne me le reprochera pas. M.
ne reculait pas devant l'emploi des moyens humains, voilà ce qu'il
pensait
de l'art de gouverner. Et ne croyez pas que l'art
as complexes, aussi bien que des cas simples d'aphasie ? Je ne le
pense
pas. Si elles ont pour but, non pas de séparer
lle de présider à l'accomplissement des mouvements de la parole. Je
pense
qu'on a tort, de désigner ainsi le centre de Br
s de mémoire comme siégeant dans un même centre cérébral ? Je ne le
pense
pas. J'insiste sur ce point : la formation des
d'une bonne santé; elle n'a pas eu d'autres enfant ? . Le malade ne
pense
pas qu'il y ait eu des maladies nerveuses dans sa
ensibilité. En raison du début de la maladie dans l'adolescence, il
pense
qu'il s'agit d'un arrêt de développement de la
appareils, sinon les signes d'une très légère bronchite. Nous ne
pensons
pas que le diagnostic ici soit douteux un seul
en (Leipsick, 1886). ee passage pouvant paraître obscur, nous avons
pensé
qu'une vue d'ensemble sur la classification pou
aques convulsives, l'achromatopsie réapparut comme devant. Alors je
pensai
à user de la lumière colorée. Pour ce malade, m
paralyses. Quoi qu'il en soit de la théorie, le fait existe et nous
pensons
qu'il est possible, d'après ce que nous avons v
e fond même de la question, ce dont il ne faut pas désespérer, je
pense
que peut-être nousarriverions,avec son utile conc
epter que tesdélirants chroni- ques arrivent à la démence. Je ne le
pense
pas ; je crois, au contraire, que la démence pr
nistre de la justice. Il le pouvait d'après le § S95. M. Jastrowitz
pense
en outre que la loi actuelle lie les mains aux
nt que cet article exigerait un certain nombre d'explications. Je
pensais
, en disant cela, que la lecture des paragraphes d
ois que ce principe gagne de jour en jour des adeptes, mais je ne
pense
pas aller à l'encontre du sentiment du Sénat en d
uvais et qu'il puisse rencontrer la moindre opposi- tion, mais nous
pensons
qu'il n'est pas bon d'inscrire des voeux dans u
aux pour les idiots, les épileptiques, les aliénés incurables, nous
pensons
que la dépense des asiles doit rester à la charge
rises dans le para- graphe 2 de l'article 9 étaient suffisantes. Je
pense
que si l'atten- tion de l'honorable \f. Lacombe
êt public engagé;. il s'agit du traitement de malades dont la dé-
pense
est payée par les départements et les communes, e
raitement est jus- tifiée et qu'elle s'explique naturellement. Nous
pensons
donc qu'il n'y a pas lieu d'adopter la proposit
mis- sion n'avait pas entendu c'est le sens de son article 8 dis-
penser
cet aliéné de toute espèce de surveillance de la
(un des coins de leur dortoir servait de dépôt de literie ! ). On
pense
que l'évasion a eu lieu de la façon suivante : lo
vin que des commerçants du quartier lui faisaient boire en récom-
pense
de courses ou de commissions. Vall... n'aurait
lât lentement. L'intégrité absolue de l'imagination orale me fait
penser
qu'il s'agit ici d'un cas de surdité verbale brut
RDITE VERBALE. 375 mots, sans intelligence préalable de ceux-ci. Je
pense
donc que l'on doit attribuer cette surdité verb
organe lui-même. On voit quelquefois, 38t PATHOLOGIE NERVEUSE. je
pense
, un aspect semblable dans quelques cas de paralys
es intestins suivant les indications particulières à chaque cas. Je
pense
que, lorsqu'il n'y a pas d'appétit, l'alimentat
en vu la terminaison ordi- naire de l'affection, quoi qu'il en ait,
pensons
-nous, considérablement assombri le tableau ; pe
s soient difficiles à trouver. Il en existe plusieurs; mais il faut
penser
que si les malades ne sont point arrivés jusqu'
s à l'aise, dira le futur délirant chronique. C'est que sans doute,
pensera-t
-il plus tard, on m'a rendu malade; alors on m'e
Berlin, voient sans cesse se renouveler leur entourage et par suite
pensent
peu à se faire une existence calme. Aussi s'eff
aurait donc plutôt baissé par l'intro- duction du système. On ne
pense
pas en Ecosse à tout réformer absolument, mais à
endants, aux descendants, au frère et à la soeur. La commission a
pensé
, et le Gouvernement avec elle, que donner au te
de la République de son arrondissement. » Messieurs, la commission
pense
que sa rédaction, avec certaines modifications
rveillance de l'autorité est venue l'atteindre. La commission avait
pensé
que dans ces cas le procureur de la République
projet du Gouvernement, dans le titre II de la loi. La commission a
pensé
toutefois qu'il pouvait être utile d'ajouter au
la com- mission et qui leur ont suggéré le projet en discussion. Je
pense
qu'ils existent; je crois que, en effet, cette
er le boulanger; mes vignes étaient phylloxérées, j'étais ruiné. Je
pensais
à mon malheur nuit et jour. « Mais je ne suis p
tendance de l'hémiplégie droite à disparaître nous fait d'ailleurs
penser
que l'amélioration pourra survenir et l'aphasie
S FAITS MEDICO-LEGAUX. i 1)[IIIP X... pouvait-elle tester ? Nous le
pensâmes
pas. Le testament par acte public doit être dic
lité où M™ X... se trouvait de rassembler les détails nous firent
penser
que le malade ne nous paraissait pas dans de bo
gs de Paris, un oeau cas tératologique a toujours du succès. Nous
pensons
que la cachexie pachydermique s'est déclarée qu
d'ailleurs dans un état de' dégénérescence très accusé. L'auteur a
pensé
qu'il y avait intérêt à publier ce fait, parce
Il est à craindre que ces faits ne soient pas aussi rares qu'on le
pense
. Rapport sur la clussificatiorz des maladies me
ission du congrès d'Anvers (1885). SOCIÉTÉS SAVANTES. 'il7 Vous
penserez
sans doute comme nous, dit M. Garnier, qu'il co
dont vous êtes légitime- ment fiers. M. 111.aAnoov de lllOirTYEL
pense
qu'une classification écolo- gique des maladies
se trouve être un émanation de la science française. M. A. Voisin
pense
que la manie et la mélancolie ne devraient pas
mes investigations ne se sont pas portées de ce côté. M. Legrain
pense
que dans certains cas, la séquestration du morp
. '121' soigner et de guérir les morphinomanes en ville ? -Je ne le
pense
pas, à cause de la facilité qu'ils ont de se pr
n et traitement. Dans l'asile-bospice, on aura plusieurs classes de
pensions
groupées à côté d'un régime commun formant loi;
ements d'aliénés d'un asile dans un autre. La commission du Sénat a
pensé
que le but sera atteint à l'aide des dispositio
un quartier spécial d'aliénés. Si cette observation est fondée, ne
pensez
-vous pas que dans l'article 38, au lieu du mot
ndividus qui seraient à la veille de leur libération, la commission
pense
qu'il y a lieu de s'en rapporter à l'administra
ration, qui reste juge, le fera quand elle le jugera convenable. Je
pense
que M. le commissaire du gouvernement ne fera p
s travailleurs ». Le livre pourrait se terminer là. Mais l'auteur a
pensé
qu'il convenait de rafraîchir la mémoire en rés
actes de ces nuisibles. L'application de ces principes réaliserait,
pense
M. Feré, un moyen préventif des plus efficaces,
dont je n'ai donné qu'une idée bien imparfaite, mais suffisante, je
pense
, pour engager à le lire. Paul BLOCQ. IV. De la
et unique, et l'impossibilité du système par département, vous avez
pensé
avec moi, Messieurs, que l'établissement d'un C
r les Facultés de province où il y avait deux asiles. La Commission
pense
que, de cette façon, on exciteraitl'émutation des
mière séance de lecture des compositions écrites. La Commission a
pensé
que le concours pour les places de mé- decins a
une courte allusion au traité philosophique de M. Ballet, qui, je
pense
, est bien fait pour élucider cette branche obscm
sont dès l'origine les résultats de la suggestion. Il n'en est rien
pensons
-nous. Il en est de ces propriétés comme de tout
les psychoses. Dussé-je être ajoute-t-il, le seul de mon avis, j'ai
pensé
qu'il était nécessaire de montrer le peu de con
héréditaires du malade l'explication de son impulsion. M. Vallon
pense
qu'on a beaucoup trop abusé de oette préten- du
aire ils lisent sans attention six ou sept fois de suite, mais sans
penser
non plus à autre chose, une proposition d'un jo
M. Arndt. Il ne faut, en présence de crânes parais- sant anormaux,
penser
à des conditions pathologiques que lors- qu'on
ression et de la mélancolie caractérisée, ou des accidents qui font
penser
au tabes (douleurs lancinantes, paresthésies).
il a commis l'acte criminel. Eh bien, messieurs, votre commission a
pensé
avec le gouver- nement, avec tous ceux qui se s
es cas elle n'avait pas mandat pour la provo- quer. De plus, elle a
pensé
que le seul fait déposer au jury la ques- tion
e. Alors, comment arriver à une solution juste ? Votre commission a
pensé
que lors- que dans les débats criminels, en deh
l'individu suspect d'aliénation dangereuse. , En conséquence, nous
pensons
que le nouveau texte résout de la manière la pl
uire à la dignité de la magistrature et auquel on n'a peut-être pas
pensé
, c'est celui-ci : dans le plus grand nombre des c
ans les éléments nerveux, et non dans le tissu conjonctif, comme le
pensait
Weslphall. Contrairement à l'opi- nion générale
suppression de l'action des cellules ou centres trophiques comme le
pense
le professeur bibliographie. 33'1 Bouc)iard ?
e la Soc. de biologie, 1876, `31 suic. Cf. 1875, 425, ce qu'il faut
penser
des observations tirées d'observations anciennes,
e para- lysie inscrits dans ces deux statistiques. Cependant nous
pensons
qu'il est encore plus exact défaire notre compt
es hypothè- ses avec des faits indiscutables, c'est pourquoi nous
pensons
qu'il convient d'examiner avec une attention ex
qu'un certain degré de céphalalgie ; il avait l'air d'un homme qui
pense
à quelque chose de sérieux. Au bout de ce tem
qui le fait mettre dans un four. Il n'est pas soulagé, comme on le
pense
bien ; les douleurs d'estnmac persistent; la pa
ble trophique vient à l'appui de l'opi- nion de Schifl, Merkel, qui
pensent
que les altérations ocu- laires ne relèvent pas
uoique récentes, ayant trait à l'intoxication cocaïnique. Cependant
pense
M. Saury, il n'existe pas de description exacte
LLARD croit aussi ces amnésies toxiques plus fréquentes qu'on ne le
pense
. Il connaît des enfants dont la mémoire s'est a
l'ouîe. Après les déclarations caté- goriques de M. Luys, on devait
penser
qu'il ne transigerait point et que, fort de ses
nesthésie, on trouve une lésion plus profonde. M. le Dr C.-K. Mills
pense
qu'il y a un grand nombre des lésions des centr
cause du voisi- nage de l'hypocampe et des pédoncules cérébraux. Il
pense
que les centres tactiles sont bilatéraux. Dans
t subitement et on ne put faire l'autopsie. AI. le Dr PUT-,4.&M
pense
que ce sont là des cas de transition vers le my
ques. M. le B. SACHES (de New-Yorl;). Dislrophles musculaires. Il
pense
que l'atrophie à type péronéal a peut-être les mê
la forme Déjerine-Laudouzy dans la forme d'L : rb. M. le De JACOBY
pense
que l'atrophie myopathique est due à une malfor
niveau des étranglements de Ranvier. M. le Dr pyF Smru (de Londres)
pense
que la goutte est une cause fréquente de névrit
guéri, gardant une parésie des membres supérieurs. AL le 1)' Putnam
pense
que dans un cas du D'' \1'alton, l'atrophie peu
malgré l'aspect trouble et louche du point d'ensemencement que nous
pensons
devoir être attribué au sang lui-même ou à son al
t la cause. M. Delore (de Lyon) 1 invoque la théorie bactérienne et
pense
que l'altération du filtre rénal empêche l'élim
fait si volontiers le streptocoque. Mais nous le répétons, nous ne
pensons
pas que les microbes agissent ici par leur prés
nant ce médicament en même temps que le bromure de potassium, et on
pense
que cette association produit de meilleurs résu
du lait en quantité, on peut la laisser nourrir, car il n'est pas à
penser
que la lactation puisse renforcer l'hérédité pr
mple une jeune fille qui, pendant qu'elle soigne son père, se met à
penser
à un jeune homme qui a fait sur elle une impres
tives, combat leur application à la psychologie expé- rimentale, et
pense
, en touchant de près la question de l'abus des
façon controuvée des phases de l'opération ; Il y a plutôt lieu de
penser
que ces hypnotisés d'hahitude ne diffèrent pas
ne. Mais comment cette substitution peut-elle se faire ? l'auteur
pense
qu'elle est l'expression d'une disposition psychi
para- lysie générale véritable sont capables de s'associer, mais il
pense
que la plupart des cas présentés comme des asso
u manicome, et il demande avec instance sa sortie. Le Dr Sieraccini
pense
qu'on ne doit pas lui permettre de vivre en lib
us avec précision, mais peut-on affirmer qu'ils n'existent pas ? Je
pense
avec M. Sommer qu'il existe une prédisposition
qualitative. La fré- quence ues signes de dégénérescence doit faire
penser
, chez les criminels, à une cause endogène. Cett
ouverte et si la res- ponsabilité des infirmiers est établie, nous
pensons
que la justice saura punir avec la rigueur qui
les et dont l'expert aliéniste ne doive tenir aucun compte, et nous
penserons
toujours, avec Legrand du Saulle', l, qu'en par
er à ces états graves qui entraînent si fréquemment la mort. Nous
pensons
donc que l'hydrothérapie mérite, à tous points de
clusivement qu'il faut avoir recours, on doit les combiner. Nous ne
pensons
pas non plus qu'il faille les continuer constam
les bains prolongés et les frictions sèches ou alcoolisées. Nous ne
pensons
pas, nous l'avons dit déjà, que ces médi- catio
raumatisme, par exemple, par application de forceps, il y a lieu de
penser
à une anomalie de formation congénitale. P. K.
M. DIRIGE. - (Nouv. iconog. de la Salpêtrière, 1895, no 1.) On a
pensé
que l'hermaphrodisme antique était purement con-
ntal, des idées de richesse et plus tard de persécution, qui firent
penser
à la paralysie générale ; mais en présence des
Cependant, dans l'hypothèse d'une paralysie générale, on aurait pu
penser
que les crises épileptiformes avaient été prises
rpérale. Ce fait vient corroborer l'opinion de certains auteurs qui
pensent
que la condition dominante des troubles intelle
démenti par la persistance de l'affection psychique. M. Charpentier
pense
que les troubles mentaux liés aux affections 16
oyen, empêcher la création d'une maison distincte quand la majorité
pensera
que le moment est arrivé d'en fonder une. » Il
uel le Dr Tuke fit allusion au système de pension extérieure, qu'il
pensait
devenir désirable d'utiliser. Il est à noter qu
l'olive et Lepelletier dans la protubérance (pons Varoli). Olivier
pense
encore que peut-être les tubercules de la moelle
e dans ces deux cas, de tuberculose de la moelle. Nous hésitons à
penser
, avec Hutinel, que dans son cas, les lésions tr
x personnes de son entourage. Cependant, elle perd le sommeil, elle
pense
sans cesse à son mari, mais sans avoir d'halluc
le prix et dont je ne saurais trop vous remercier. Je n'ai garde de
penser
que c'est le plus digne que vous avez élevé à c
de toutes les facultés. Au premier abord, ces malades font plutôt
penser
à l'ivresse qu'à la folie. Malgré l'abondance de
t vise les lésions du corps thyroïde dans la maladie de Basedow. On
pensa
tout d'abord ¡que l'hyper- trophie de cet organ
st le bulbe ou la glande thyroïde qui commence; il incline plutôt à
penser
que c'est surtout le bulbe. Bref, la discussion
iser mon senti- ment sur la question, car je suis à vos yeux, je le
pense
du moins, un « thyroïdien » par excellence; mai
t 0. Langendorff, ou ayant suivi une évo- lution spéciale, comme le
pense
encore Iiürtlile. Elle se produit naturellement
la thyroïde. Une troisième théorie pourrait être soutenue, on peut
penser
que les symptômes de la maladie dépendent de l'
l'ordre du jour, c'est celle de l'hyper- thyroidisation. Nous avons
pensé
, il y a plus d'un an, qu'avant de chercher à fo
ultats satisfaisants. Les obser- vations de M. Voisin le poussent à
penser
que la glande thyroïde des malades sécrète un l
ait anormal. Je présente le fait sans me permettre de conclure : Je
pense
qu'il est curieux de voir évoluer un même proce
e volonté de fer, une patience admirable et pleine d'humanité. Je
pense
, monsieur le ministre, que de semblables efforts
'entreprise tentée par M. Séguin est digne de votre sollicitude, je
pense
qu'un des meilleurs moyens d'encourager son zèl
ement interdire aux ecclésiastiques de soigner les malades; mais il
pense
que les ecclésiastiques doivent être subordonné
même façon et rapportée par nous vendredi, il nous semble permis de
penser
que le volume du corps thyroïde ne signifie rie
avait été fortement discutée en tant qu'entité morbide, l'auteur a
pensé
qu'avant toutes choses il convenait d'éta- blir
jours de splendeur, elle, est beaucoup moins fréquente qu'on'ne le
pensait
autrefois mais elle n'en existe pas moins. Cli-
gique et physiologique. En effet jusqu'à ces dernières années on
pensait
que dans l'alro- phie musculaire progressive, l
Certains auteurs, comme Mendel, sont, en effet, d'un avis opposé et
pensent
que les statistiques régionales indiquent plutô
La création de commissions spé- ciales est à désirer. M. KRÆPELIN
pense
avec M. Sioli, qu'il faut être moins rigoureux
le compte de l'hystérie. L'hystérie toxique est moins rare qu'on le
pense
, mais souvent ellen'estpas diagnostiquée, ses s
qu'il présentait ne peut s'expliquer autrement. Rien ne peut faire
penser
à l'épilepsie ; les circons- tances qui ont acc
t riche en épisodes qui sortent de l'ordinaire et qui doivent faire
penser
à une constitution psychique anormale, mais que
excitabilité du nerf en plus ou en moins. Toutefois, il ne faut pas
penser
que l'électricité ait une action curative sur l
icilé coïncidant avec une amé- lioration de l'état mental, l'auteur
pense
à une corrélation. Il s'appuie sur les expérien
es. - L'auteur fait la part qui convient aux auto-intoxications. 11
pense
qu'un certain nombre de myoclonies sont en rapp
e importante, nécessaires au développement de l'organisme, lui font
penser
qu'il s'agit de la persistance dans la vie extr
nous parait curieux à divers titres : ! Nous avons dit ce que nous
pensions
des séances' de M. Pickman et autres hypnotiseu
n, nous avons montré dans notre premier travail ce qu'il fallait en
penser
, on l'a répété douze fois, six fois à droite et
lissement s'étend jusqu'au noyau de l'oculo-moteur commun. L'auteur
pense
que les troubles de coordination des mus- cles
consiste dans l'analgésie du tronc du cubital à la pression. Cramer
pensait
que ce symptôme se rencontrait chez les trois q
en erreur en faisant songer à une méningite de la base. Il faudra
penser
à la possibilité de la compression par un anévris
ire Dechambre sur la paralysie générale, MM. Christian et Ilitti ne
pensent
point que les troubles trophiques soient fréque
ez les mêmes paralytiques. Nous avons noté l'anesthésie, car nous
pensons
avec M. Klippel 1 que l'anesthésie cutanée des
vralgies produisant de l'oedème (Arnozon)2. Aussi plusieurs auteurs
pensent
-ils que l'action nerveuse ou tro- phique peut p
loir nier l'influence des troubles trophiques et vaso-moteurs, nous
pensons
qu'habituellement ces hémor- ragies sonl, non p
geur érylhémateuse est-elle due à des troubles trophiques ? Nous le
pensons
; elle existait avant le décubitus; après, nous
n nombre d'éléments anato- miques. D'après ses recherches, l'auteur
pense
que toutes les fibres musculaires existent à la
vers symptômes de la maladie. D'après cette théorie, on est amené à
penser
que la section du sympathique doit modifier fav
qu'il il ne partage pas l'opinion de certains auteurs français qui
pensent
que l'hypnotisme joue un rôle prépondérant dans
les tribunaux. L'auteur admet une responsabilité atténuée ; mais il
pense
que la plupart des cas de ce genre ne sont rele
s en apparence absurbes qu'il avait commis, il était bien permis de
penser
qu'il ne les avait per- pétrés, concurremment a
es. Mais en même temps il y avait certains phénomènes qui faisaient
penser
qu'il existe ici des altérations plus profondes
ard, cette insommie n'avait guère reçu d'explication ; M. Sollier a
pensé
que si les hystériques ne dor- maient pas la nu
thrombose ou à la rupture d'une grosse artère, doit toujours faire
penser
à l'envahisse- ment de l'écorce par l'encéphali
rétinite, l'agitation, les hallucinations, etc., ne pouvaient faire
penser
qu'à une localisation méningée. L'absence de pa
é; celle-ci dépend d'impulsions, du milieu, des occasions de nuire.
Pensons
encore aux dégénérés supérieurs il syndromes vr
(Centralbl. f. Nervenheilk., XIX, N F., vu, 1896.) A l'état normal,
pense
Wernicke, et c'est là le mérite de son observat
- teurs de goitre et à cause de la présence de pseudo-lipomes. Il
pense
que la division des crétins en sporadiques et end
ques recueillies surtout pendant les dix dernières années, l'auteur
pense
qu'il importe de rechercher dans quelle mesure
, dans un article sur les formes spinales de la paralysie générale,
pense
que les émi- nences thénars sont envahies d'abo
rs du cerveau qui absorbent et enlèvent les matériaux de déchet; il
pense
même qu'elles s'attachent aux cellules nerveuses
trace d'un exsudat sanguin intra-médullaire. On est donc conduit à
penser
qu'il s'est agi dans ce cas d'une atrophie .mus
auteurs (Babinski, Henry), s'appuyant sur quelques-uns de ces cas,
pensent
qu'il n'y a pas lieu d'établir un lien organique
n veux être une preuve. Suivons donc votre raisonnement. M. Lentz
pense
qu'avant de se demander si un principe est bon,
pensable de la réforme qui a été récemment introduite. M. LE Roux
pense
qu'il ne doit pas être impossible à qualre méde
onnu de tout le monde. Médicalement il a un très réel intérêt. Vous
pensez
qu'il y a danger à le communiquer. Nous n'en di
ubliés ultérieurement dans les Recueils de médecine. M. Bailly ne
pense
pas que la situation créée aux médecins de nos
, encore plus catégo- rique que la note de M. Pailhas. M. Zakrewsky
pense
que « le plus grand nombre des. théories émises
ssant au moi subconscient, c'est-à-dire à l'automatisme, le soin de
penser
. C'est ce qui se produit dans l'hypnotisme et le
lion du troisième temps de la mémoire. Cette accélération fai- sant
penser
dix, vingt fois plus vite, devra, pour que la con
de l'imagination, d'une irritation locale. Au premier abord on peut
penser
que lorsque le mal est sous la dépendance de ca
isexués jusqu'au troisième mois de la vie intra-utérine. Cet auteur
pense
qu'au début de l'évolution les centres cérébro-
qu'il eut plus tard constituaient pour lui une tâche péni- ble. Il
pensa
que dans le mariage la plupart des raisons qu'il
'invertis ont conscience qu'ils sont anormaux. Les invertis peuvent
penser
qu'ils sont dans leur droit de sentir comme ils
287 7 ils peuvent même se croire supérieurs à ceux qui sentent et
pensent
autrement; mais quand ils voient faire ceux qui l
ssement. Depuis l'on n'en observa que trois ou quatre, mais la mère
pense
que beaucoup passaient inaperçues, les mouvemen
i a le plus con- tribué à stigmatiser le vice alcoolique. Mais l'on
pense
, non sans raison, qu'il ne fait pas assez, qu'i
ichesse française ? Con- viction incomplète de certains membres qui
pensent
que la boisson fermentée est peu redoutable ? N
ort degré de parésie qui rend les mouve- ments pénibles. L'auteur
pense
que dans ce cas il s'est produit une lésion des
mentale habituelle est détruite ; il en résulte une impuissance de
penser
et de vouloir, une angoisse inexpri- mable que
après s'être recueilli, la tête penchée, nous transmettre ce qu'ils
pensent
. Or, ces poissons ont un délire mélancolique de
nt, ils sont malheureux, malades, mourants, etc. Il est permis de
penser
que nous avons affaire, dans ce cas, à des phéno-
mais dès que les malades s'aperçoivent qu'ils ne peuvent sentir,
penser
, agir autrement qu'ils font, que la lutte leur
qu'on passe à l'exécution de l'acte. On a dit de l'état normal que
penser
c'était se retenir d'agir. Pour Setchenoff, c'e
ielles de l'écorce du cerveau et du cervelet, loin d'être, comme le
pensait
Golgi, privées complètement d'élé- ments nerveu
sibles ? C'est ce qu'il est difficile de dire. On est ainsi amené à
penser
que la substance du protoplasma cellulaire, y c
ervation de paralysie générale juvénile est plus ancienne que ne le
pense
M. Régis. Elle remonte à 1847 et est due à un p
ce dans la cellule que s'installe primitivement la lésion, comme le
pensent
MM. Ziegler, Binswanger, Joffroy et Pierret ? L
ne s'altèrent que postérieurement. M. Ballet, revenant sur ce qu'il
pensait
autrefois sur l'étiologie syphilitique de la pa
a pas de contradiction entre ce que je disais en 1889 et ce que je
pense
aujourd'hui. Je reprochais à M. Mabilte de faire
le peut bien être d'origine hystérique. MM. RossOLImo et ORLOVSKY
pensent
que la localisation des lésions, dans le cas de
ie-mère des régions dorso-lomhaireset delà queue de cheval. C'est à
penser
que la pesanteur a bien pu inter- venir pour fa
i appartient à chaque cellule. Par points, il semble qu'on pourrait
penser
que plusieurs noyaux appartiennent à la même ce
préparations ou des figures ci-jointes un obser- vateur non prévenu
penserait
certainement que notre malade avait dû présente
e leurs facultés intellectuelles : on les abêtit, on les empêche de
penser
, on leur dit des bêtises, on leur soutire leur
me des instruments qu'ils manoeuvent avec habi- leté 7. F. Plater
pense
que les esprits déchus ont encore, dans quelque
ne opposition immédiate, constante, contre tout ce qu'elle vient de
penser
ou de faire. Une voix intérieure, mais qu'elle
ercice. Les choses en sont venues si avant, que Dieu a permis, je
pense
, pour mes péchés, ce qu'on n'a peut-être jamais v
tiel non douteux des racines du moteur commun, certains auteurs ont
pensé
que ces deux noyaux étaient directement reliés
uisent le plus possible les dépenses de-leurs parents interdits, ne
pensent
qu'à bé- néficier de leurs revenus. Tous les
. §02' BIBLIOGRAPHIE. Cette fiche mentale, à laquelle nous avions
pensé
nous-même au- trefois, serait une très heureuse
Des traits d'ivrognerie chez les corbeaux, les hiboux et, comme on
pense
, les chiens et les chats : tout cela se trouve sc
tendre plus loin que deux ou trois diamètres papillaires. Nous ne
pensons
pas du tout que cet aspect ophtal- moscopique s
e de la vision. Le docteur Findlay qui a fait l'examen histologique
pense
que la porencéphalie a pris naissance dans un g
est leur part respective ? c'est un point à déterminer. On pourrait
penser
que si la fatigue des éléments psychiques est l
iés d'hystérie par tel médecin et de folie par tel autre : l'auteur
pense
que dans beaucoup de cas d'hys- térie et de fol
t qu'il n'y a probablement aucun peuple qui en soit exempt. 2° il
pense
que dans ce pays elle est une variation plus ou m
classification de Kraepelin et il se range à l'avis de Clouston qui
pense
qu'il est peu scientifique de ranger dans la dé
dreaser des lettres commentant ou critiquant cette discussion. J'ai
pensé
que cette invitation subsistait pour la, discus
sous le régime de la loi Dubief ? Ce se- rait trop présumer, et je
pense
que l'auteur même de la loi ne se fait pas trop
méde- cin traitant, et le fait se produira plus souvent qu'on ne
pense
, le malade, car il restera tel, sera-t-il mis dan
bli- ques, sa propre sûreté ou sa guérison ». Je suis de ceux qui
pensent
qu'un aliéné en liberté compromet toujours sa g
l pleuvait et que ses vêtements étaient traversés par la pluie il
pensa
que l'eau serait bien froide pour le rhuma- tis
riations de la plante des pieds suffisam- ment profondes pour qu'on
pensât
les premiers jours à des maux perforants. Aucun
tre les principaux signes du tabès, quelques symptômes qui ont fait
penser
à la P. G. : achoppement des syllabes, etc. Un au
ucinations obsédantes dans certaine^ allections nerveuses. L'auteur
pense
qu'il faut distinguer dans ces divers cas plusi
u : mais il désire simplement insister sur deux points : d'abord il
pense
que la méthode généralement adoptée pour appréc
lec- tuel et corporel, présentés par leurs malades. M. VIGOUIIOUX
pense
qu'une lésion périphérique peut orienter le dél
tellectuels qui paraissent liés aux lésions du cerveau. M. LAPOINTE
pense
que la malade est hystérique. M. Colin incline
M. ARNAUD croit que celle observation vient à l'appui de ce qu'il
pense
sur la localisation topographique des idées délir
- loppement, qui rend plus profonde la scissure médiane, est com-
pensé
, ou plutôt complété par le développement parallèl
ique, des idées abstraites et des idées générales. Or, si l'on peut
penser
sans mots (Galton, Ro- manes, Ribot 1898)î on n
à mesure qu'ils se succèdent ; nous verrons plus loin ce qu'on peut
penser
de ces deux consciences contiguës, mais, dans l
ispositions sur la gestion des biens, par trop brèves. Cependant je
pense
que tout n'est pas également heureux dans les a
re déterminée par un règlement d'administration publique. Les dé-
penses
des malades ou infirmes qui y sont admis seront i
pourra y être pourvu par décret rendu en Conseil d'Etat, et les dé-
penses
nécessaires pour l'exécution du dit décret pourro
u médecin (il s'amusait il le ta- ter, fut le seul symptôme qui fit
penser
à la démence précoce. Le diagnostic s'affirma p
-,»-coces se manifeste mieux dans ce qu'ils font que dans ce qu'ils
pensent
. C'estunvrai 2b0 CL1NIQL1; MENTALE. délire de
,le ne veux pas répéter, je vais écrire d'après mon coeur, je ne
pense
pas am chiffres, et je n'aime pas les écrire, par
éniable que tuanu, I ! 101) analogue, il était également logique de
penser
a une certaine « unitatératité des fonctions ps
e complet, celle qui traduit 1' « accord entre les coêtres ». Il ne
pense
d'ail- aux actes tour à tour vains et fructueux
ble. Mais la perte de la lecture et de l'écriture équivaut bien, je
pense
, ne serait-ce que par l'étendue de la zone cort
pas cet état ? Il est même probable que c'est à cela que l'Auteur a
pensé
et que c'est cela qu'il a chargé de représenter
lation est légitime' (p. 78) et, quoiqu'il n'aît pas une seule fois
pensé
à montrer le jeu indépendant des deux co-êtres
éciser pour le cas particulier. Ilérite-t-on de l'alcool ? L'auteur
pense
que l'alcoolisme n'est pas héréditaire en tant
ments ou ils seront appelés. » « Les départements pourliquiderles
pensions
d'après tous les services antérieurs exigent né
tral ? M. Pierre Marie reprochait un jour aux psychiatres de ne pas
penser
anatomiquement ; il aurait pu ajouter physiolog
t. Il avait absolument raison,et s'il est un cas où la nécessité de
penser
de la sorte s'impose c'est bien en matière d'hy
nnais.S'il en était qui,comme M. Claparède, pouvaient en douter, je
pense
que M. Pierre Janet lui-même n'en a jamais dout
ques. Nous ne sommes donc pas si loin de nous enten- dre, quoiqu'en
pense
M.Claparède,qui semble n'avoir pas vu que nos d
cérales. On ne résiste pas plusieurs mois de suite à l'insomnie. Je
pensai
donc que si elles ne dormaient pas du sommeil n
ntiment de son existence propre dans ses actes les plus simples (je
pense
, donc je suis), le Moi n'a conscience de son ex
irai autant des démarches auprès des fournis- seurs. Loin de moi la
pensé
de vouloir démontrer que le - - LA REVISION DE
sation et des débats, avertit le jury, à peine do nullité, que s'il
pense
, à la majorité, que proposition de LOI sur lus
ou a quitté sont reversées au Trésor public, au compte du'fonds des
pensions
civiles. AlI1', 61. Les honoraires de l'adminis
deux d'entre eux il y avait des adhérences très accusées. L'auteur
pense
que dans beaucoup de cas la méningite est la lé
par la ponction lombaire, et dans l'urine. Ces faits ont donné à
penser
que ces bacilles pouvaient quelque- fois passer
ou du moins n'existent,qu'à un degré inférieur de vivacité.L'auteur
pense
que l'étude des phénomènes psychiques ou de la
tal Science, janvier 1906.) Ce n'est pas d'aujourd'hui que l'on a
pensé
que l'étude de l'aphasie pourrait peut-être nou
chappent nécessairement à l'influence de la lé- gislation ; mais il
pense
néanmoins que la loi ne serait pas impuis- sant
eut avoir, de même qu'en énonçant une théorie psychologique il faut
penser
à ce que les mots recouvrent, et se demander ce
e gué- rit, ce qui est bien quelque chose en vérité. M. Claparède
pense
que toute la question est de savoir en quoi con
ena tant que je n'en sais rien. Cela importe peu d'ailleurs. J'ai
pensé
que l'épuisement nerveux pouvait être incri- mi
verra que nulle part je n'ai fait la confusion qu'il m'attribue. Je
pense
que. le choc traumatique, surtout quand il port
l'hystérie est expliquée. » Ce qui trompe M. Claparède, c'est qu'il
pense
que l'en- gourdissement, le sommeil spécial, im
les sentiments, toutes les sensa- tions qu'ils avaient eus alors, à
penser
à des détails infimes de cette époque, à des pe
ion ne peut être ouverte avant que le prcmier ne soit tranché. Je
pense
que tout esprit scientifique souscrira à cette
re de définitions et l'Auteur n'en est pas lrodiun.I1 est permis de
penser
que la sociologie peut se passer de règles mora
cri de leur conscience... sans se soucier de ce qu'en pour- raient
penser
les faiseurs de théories philosophiques » (p. 1
e la toxine ne peut plus être décelée dans les excrétions. L'auteur
pense
que c'est là probablement qu'il faut chercher l
biopsie, faits qui joints aux symptômes précédem- ment décrits font
penser
à une polynévrite plutôt qu'à une myo- pathie.
ule. La raison de cette mort rapide n'est guère évidente. M. SICARD
pense
que la position de choix pour la ponction est le
s après l'apparition des signes primitifs de syphilis ; les auteurs
pensent
qu'il existe entre les deux affections une rela
. t M. GALEZOVVSKI, qui présente ce cas de paralysie dissociée,
pense
qu'il s'agit de lésions périphériques dues à l'in
tte époque, a fait un grand chemin 1. « M. Brown-Séquard, dit-il,
pense
, non sans raison peut-être, que les glandes ou
, elle aurait dormi tran- quillement et, depuis, elle n'aurait plus
pensé
à l'incendie. Ce n'est qu'un mois après qu'elle
er un rapport médical dont voici les conclusions 1 : « Tout porte à
penser
que, dès sa première séquestration, Delannoy n'
lannoy n'est pas atteint d'aliénation mentale ; rien n'au- torise à
penser
qu'il était hors de raison au moment où il a co
l gauche. Ces lésions expliquent, d'après Redlich, l'alexie,mais il
pense
qu'il faut abandonner le terme de sous-cortical
l n'y a pas d'agraphie. Redlich n'admet pas cette interprétation et
pense
que son malade compensait la perte de l'associa
iscutable de telles 1 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 69 interventions et
pense
que la question doit être réservée, la phy- sio
s de la substance grise corticale, dont chaque couche, ainsi que le
pensent
Horsley et plusieurs autres auteurs, possède pr
i bien que la marche assez rapide de la tumeur amenèrent l'auteur à
penser
qu'il s'agissait d'un gliome ou d'un glio-sarco
drainage de la cavité crânienne dans l'hydrocéphalie crânienne : il
pense
enfin que, au point de vue du diagnostic, la va
il craint bien que l'on ne soit forcé de répondre négativement ; il
pense
aussi que les mesures prophylactiques rendues n
nstants avant la scène qui devait coûter la vie à Maitre, permet de
penser
qu'il recourait assez volontiers à la violence vi
se, tout en admettant comme indiscutable, cette catégorie de faits,
pense
qu'il en est d'autres qui peuvent être légitime
ugmentée, et dans ces conditions il ne nous semble pas téméraire de
penser
que le malade, ayant éprouvé dans le membre sup
t avec des hallucinations chroniques de l'ouïe, ce qui conduirait à
penser
que les lésions cérébrales unilatérales peuvent
comme ceux qui l'appliquent, ont échoué dans cette tâche; l'auteur
pense
que c'est maintenant aux médecins qu'il convien
usicale avec les maladies cérébrales et l'aliénation mentale; aussi
pensons
-nous qu'il sera agréable au lecteur de nous voir
de chanter, de suivre ou de reproduire des mélodies. J'in- cline à
penser
que ce pouvoir ne peut être détruit que par des
usique ne leur fait d'ordinaire aucun plaisir. Quoi qu'on en ait pu
penser
, il n'y a guère à compter sur la musique comme
bsessions et des impulsions, des scrupules, le doute, etc. L'auteur
pense
qu'il vaudrait mieux se servir du terme « états
ivité n'est pas en général très grande. Dans un cas elles faisaient
penser
au délire alcoolique, bien que Je malade ne fût
es- tions sont difficilement comprises. Le sujet est obtus, et fait
penser
à l'obnubilation des individus ivres. Les impul
; ces phénomènes stéréotypés et dénués de toute signification, font
penser
à l'automatisme et à la verbigération de la cat
croit également à une action chimique sur la cellule nerveuse et
pense
que la fièvre, à elle seule, agit rarement comme
ature vient à baisser, et disparaître avec l'hyperthermie. Gerhardt
pense
que ces faits s'expliquent par l'existence d'un
ion. Dans la dernière partie de son argumentation, M. Charpentier
pense
que les nouveaux articles de loi à propos des dél
ts irresponsables, sont inutiles; il critique les asiles-prisons et
pense
que si ceux-ci sont créés, ils ne doivent pas ê
n furent très simples et les résultats immédiats, ce qui autorise à
penser
qu'ils étaient dus à une simple absorption des
a maladie, ils s'accusent l'un et l'autre de l'avoir trop gâté. Ils
pensent
qu'il a du boire en INSTABILITÉ MENTALE. 201
r, si d'autres recherches viennent les confirmer, nous conduiront à
penser
que dans le processus morbide de l'aliénation m
eaucoup plus légèrement ceux du larynx, n'était atteint. L'auteur
pensa
que le diagnostic ne pouvait hésiter qu'entre u
l'origine, le diagnostic, la localisation des abcès du cerveau : il
pense
que dans quelques cas, il ne serait pas impossi
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. insuffisamment concluants,
pense
qu'il reste à l'heure actuelle à déterminer si
s quoi la décoloration sera trop rapide et peu uniforme. L'auteur
pense
que ces résultats autorisent à ajouter utilement
ymateuse. Des symp- tômes concomitants de contusion générale feront
penser
à une hé- morrhagie de la pie-mère et des sympt
s et précèdent de longtemps l'apparition des troubles mentaux. Il
pense
donc que l'état vacuolé et la dégénérescence des
le, mais n'ont pas la valeur d'un signe caractéristique. L'auteur
pense
que ces petits nodules participent de la nature
ncours de l'internat des étudiants à huit inscriptions, c'est, nous
pensons
l'avoir démontré, aller au-devant d'un grand no
ible de l'attribuer à une lésion intercurrente ; il est légitime de
penser
qu'elle était en réalité sous la dépendance du
e ce travail. Les abcès du cerveau ne sont pas aussi rares qu'on le
pense
communément, et l'auteur a pu en observer un as
u par lui qu'après la disparition des accidents paraplégiques; il a
pensé
que, néanmoins, le cas était assez intéressant
paralysies bulbaires unilatérales sont peu communes et l'au- teur a
pensé
qu'il ne serait pas sans intérêt de rapporter le
la base et d'une lésion de la convexité devait naturellement faire
penser
à la syphilis dont on ne trouvait cependant auc
expertise. Krait't-Kbing reconnaît une tare ueuropatilique mais ne
pense
pas que l'amnésie puisse être invo- REVUE DE MÉ
qu'il voit, tout ce qu'il entend, tout ce qu'il fait, tout ce qu'il
pense
, pour l'avoir déjà vu, entendu, fait et pensé l
l fait, tout ce qu'il pense, pour l'avoir déjà vu, entendu, fait et
pensé
l'année dernière, dans des circonstances et dan
u'il croyait voir un nez pour la pre- mière fois. Un autre malade
pensait
que les événements auxquels il assi,- tait, dur
la dénomination de fausse mé- moire n'est pas très bien fondée ; il
pense
néanmoins que le terme doit être conservé, parc
des sciences 346 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. médicales ; mais il
pense
qu'elle pourrait être ici particulièrement féco
ou un asile est une mesure nécessaire. Il est possible toutefois de
penser
que la loi servirait mieux les intérêts supérie
ur un nombre de faits actuellement plus considérable, il continue à
penser
que les affec- tions rénales, d'une forme ou d'
'après les statistiques, il n'est pas aussi évi- dent qu'il l'avait
pensé
que cette forme d'affection rénale soit tou- jo
pports qui peuvent exister entre l'acromégalie et le gigantisme. Il
pense
que, dans beaucoup de cas, les géants sont des
observateurs des lésions histologiques de cette maladie l'avaient l
pensé
? Est-ce à la périphérie du neurone, ou au niveau
treintes. M. Flatau ', dans son remarquable mémoire sur le neurone,
pense
qu'on ne peut pas encore tirer de conclusions f
au des sutures. En raison de la longue durée de la maladie on avait
pensé
, jusque dans les derniers temps, à la possibili
he qui ne se produisent qu'au début de chaque mouvement et qui font
penser
à certains modes de bégaiement. L'astasie-abasi
rigine mécanique. Quant aux troubles trophiques de la peau, il faut
penser
aux auto-mutilations : un cas typique de soi-disa
r du support mobile, élever ou abaisser le niveau de l'oeil et com-
penser
ainsi les différences dans la hauteur de la face
vision de près, tandis que a vision au loin reste bonne, doit faire
penser
il une diminution ou perte Fig. 24. Mesure de-
d'attirer l'attention du malade sur un objet lumineux, de le l'aire
penser
à un objet lumineux et on voit la pupille se cont
provoquer un mouvement de dilatation en deman- dant à l'observé de
penser
à un ohjet sombre. IV , EXPLORATION DE LA C
visuel sans lésions rétiniennes, sans lésions papillaires, il faut
penser
à une atrophie optique qui commence. Ces déform
les affections nerveuses qu'il faut, en présence d'un cas douteux,
penser
toujours à elle et en rechercher l'existence, n
rechercher une lésion organique, cause habituelle de l'hémianopsie,
penser
ensuite à la migraine ophtalmique et à l'urémie
sont le résultat de la même infection spécifique. Ensuite seulement
pensez
aux autres causes. G ? [POULARD.] 88 ' TROU
nt été constatées dans la paralysie géné- rale, le tabès, on a même
pensé
en faire un signe de videur pour ces affections
roite devienne la plus grande. C'est la mydriase à bascule. Frenkel
pense
qu'il s'agit d'une mydriase spasmodique par excit
e le signe d'Argyl Robertson, isolé ou associé, doit toujours faire
penser
à la syphilis. On ne peut cependant affirmer qu'i
). L'existence d'une paralysie isolée de l'accommodation doit faire
penser
à l'intoxication diphtérique. Souvent des angin
z des mineurs travaillant debout et suffisamment éclairés. Certains
pensent
qu'il s'agit d'une intoxication. En réalité, on
, sans maladies de l'oreille, sans causes professionnelles, il faut
penser
à une affection nerveuse, à l'une de celles que
e diminution de la sécrétion lacrymale de cause réflexe. Certains
pensent
qu'en dehors des filets centripètes excito-réflex
iminution de la vision accompagnée de dyschro- matopsie, doit faire
penser
à un début d'atrophie du nerf optique. '1 Il fa
Coul'tl'llemont, P. Gauthier, M",c Evreinoff, etc.). On a longtemps
pensé
qu'il s'agissait dans ces cas d'une labyrinthite
à l'excitation réflexe du larynx. Certains cas qui avaient pu faire
penser
à la tuberculose ont été guéris par l'enlè- vem
e nous avons indiqué. Quelques auteurs, et Gradenigo sur- tout, ont
pensé
qu'il s'agissait d'une forme de méningite séreuse
tion du ganglion de Gasser, par exemple. On sait que Magendie avait
pensé
que le nerf de la 5e paire renfermait les fibre
ême la mort. La crise n'est sans doute pas due seulement, connue le
pensait
Charcot, Ù l'irritation du nerf laryngé, mais p
des vertiges accidentels, intenses ou prolongés, on devra toujours
penser
il l'absorption d'un de ces médicaments. D'au
nfin que les sourds- muets, comme les aphasiques, parlent comme ils
pensent
et commettent ainsi fréquemment de lourdes faut
ans la démence, la stupidité; les malades ne parlent pas car ils ne
pensent
pas. Le mutisme par distraction existe dans des
: « Si l'on se rappelle cette remarque de Stricker que l'on ne peut
penser
à la fois il deux mots différents à l'aide de d
anisme du mutisme peut être un peu différent; alors que les malades
pensent
ce qu'ils voudraient dire, il se produit une hall
fort bien par l'isolement et la suggestion. Il faut enlin toujours
penser
il la simulation du mutisme. Les troubles du la
llucination une illusion dont le point de départ est latent. Séglas
pense
que l'illusion et l'hallucination n'offrent pas d
ou échanges d'immeubles, les acceptations de legs ou donations, les
pensions
: 1 accorder s'il v tien, les traités : 1 conclur
ets (faculté corticale, Wernicke et Bonhüffer). D'autres auteurs ne
pensent
pas que les faits anatomo-cliniques permettent
té1'ogènes » ou « zones spasmogènes », dont la pression provoquait,
pensait
-on, l'attaque hystérique. Ces zones ne sont en ré
malade dénionlre-t-il que cette hémiplégie est hystérique, on devra
penser
tout d'abord que les troubles sensitifs reconna
seule, sans troubles moteurs, sans modifi- cation des reilexes, on
pensera
, en premier lieu, à l'hémianesthésie hystérique
carbone. A ce sujet, il faut tou- 131GIlt : 1LG11 : . 5'J9 jours
penser
il examiner les conduites de gaz et les cheminées
atée du côté sain. Noïca (Journal de Neurologie de Bruxelles, 1907)
pense
que les réflexes ne peuvent s'exagérer du côté
re le plus fréquemment est le tabès; aussi est-ce au tabès que l'on
pensera
immédiatement en présence de l'abolition des ré
médiatement en présence de l'abolition des réflexes rotuliens. On
pensera
immédiatement après aux névrites des membres infé
ivant Baslian. Telle n'était pas cependant l'opinion de Charcot qui
pense
epic. dans la section même complète, il y a tou
e plus souvent l'abo- lition des réflexes rotuliens; toutefois nous
pensons
qu'il faut se mettre en garde contre les diffic
aiguë de la -paranoïa, l'abolition du réflexe patellaire doit faire
penser
à la paralysie géné- rale. M. Marandon de Monty
flexes tendineux; ils l'ont constaté également dans le sarcome. Ils
pensent
que ce phénomène doit être un symptôme précieux
énomène des orteils depuis la découverte de Babinski. Van Gehuchten
pense
cependant qu'il convient d'attribuer il l'aboliti
n. En raison de la locali- sation qu'il leur suppose, Van Gehuchten
pense
que toute abolition des réflexes cutanés a pour
ue nous venons d'étudier, mais les auteurs anglais (Gowers, Waller)
pensent
que ce sont des phénomènes qui se passent en de
u tendon se propage aux muscles mécaniquement, et d'autre part, ils
pensent
que le temps qui s'écoule entre la percussion d
ue celui-ci attribue à l'abolition des réflexes cutanés. Cet auteur
pense
en effet que l'abolition NATURE ET LOCALISATION
utanés corticaux et les réflexes cutanés médullaires. Babinski ne
pense
pas qu'il faille attribuer, comme le voudrait V
nt ou à cette abolition des réflexes abdominal et crémastérien ; il
pense
que, si l'on veut exprimer le caractère essenti
ostic est souvent fort difficile. Un début subit doit faire surtout
penser
il l'hémorragie cérébrale, au ramollissement et
, nous voulons surtout parler de la méningite cérébro-spinale. On a
pensé
tout d'abord que le signe de Kernig appartenait
6 pour 100 de cas de méningites tuberculeuses. Certains auteurs ont
pensé
alors que l'on pouvait dire que la méningite céré
Ainsi le biceps est un fléchissear-suhinateur. Duchenne de Boulogne
pense
que l'action supinatrice serait plutôt le fait
binée avec la rotation, détermine le mouvement d'opposition. Sappey
pense
que le court abduc- teur se contracte toujours
n abaisse l'os hyoïde en le portant légè- rement en arrière. Richct
pensait
que ce muscle tendait l'aponévrose cer- vicale
rateurs et expirateurs. Testut croit leur fonction plus modeste, il
pense
qu'ils jouent le rôle de [G. GUILLAIN..] 5ü}
è- tres antéro-postérieur et transverse du thorax. Beau et Maissiat
pensaient
flue le point d'appui nécessaire aux fibres cha
c jusque dans les branches. lIÜller et Van Deen, Kronenberg, Peyer,
pensent
que les différents muscles synergiques reçoiven
tate qu'une même racine peut fournir à des muscles antagonistes. Il
pense
que la contraction simultanée de deux muscles d
e leur production par une excitation uui-I'éldiculail'(" ? Ouand on
pense
il la multiplicité des mouvements adaptés il une
chez des animaux appartenant, il des espèces différentes, quand on
pense
: '1 la multiplicité des mouvements nécessaires
on que, chaque muscle serait sous la dépendance de deux racines; il
pense
que peut-être, dans les muscles à innervation r
s habituels dans les para- lysies radiculaires inférieures. Raymond
pense
qu'au début l'anesthésie ne fait jamais défaut
amélioration rapide que donne le traitement spéci- fique. De Peters
pense
que ces paralysies sont dues à un processus infla
s furent maintenues en flexion forcée et en abduction. Les ailleurs
pensent
que la pathogénie de ces paralysies ? r.TT11,l.Ar
résence de ganglions dans le médiastin, on ne peut s'em- lipeher de
penser
à la possibilité d'une lésion récurrentielle comm
au moins la grande majorité des cas, ne paraît pas être, connue le
pensaient
Duchenne et Virchow, un simple trouble trophiqu
premier cas, contractions fibrillaires dans le second) avaient fait
penser
à l'existence de lésions nerveuses dont l'autop
e un premier bruit prolongé et légèrement soufflant qui nous a fait
penser
à l'exis- tence d'une sténose. Babès (') et Kal
atteints. Les muscles de la face le sont moins rarement qu'on ne le
pensait
, leur affaiblissement entrerait assez souvent p
aux ont toujours fait défaut. Marinesco, Bernhardt, Raymond avaient
pensé
que l'amyotrophie Gombault-Dejerine-Sotlas n'ét
ces tableaux cliniques, l'appareil fébrile ordinaire du début font
penser
qu'il s'agit sans doute dune infection de natur
consécutives aux altérations vasculaires. Il nous paraît logique de
penser
que d'autres altérations névritiques peu- vent
du degré toujours incomplet de l'hémiancsthésie cérébrale nous fait
penser
qu'il y a là aussi peut-être une cause de l'inten
ment de toute lésion des cor- dons postérieurs (Collet), et Bonnier
pense
même que le signe de Romberg dans le tabes est
que chez les ataxiques véritables, mais il n'est pas vrai, comme le
pensait
Friedreich, que le signe de Romberg fasse toujo
es. Si l'on ne trouvait rien, s'il n'y a ni fièvre, ni albumine, on
pensera
il la possibilité d'une intoxication dont nous
sont encore peu marqués, vagues, on doit réserver le diagnostic et
penser
il la possibilité d'une encéphalite. Nom- breus
es complications de l'urémie cérébrale, auxquelles il faut toujours
penser
, quoiqu'elles soient moins fréquentes chez l'enfa
mme enceinte qui a ou a eu des convulsions, le médecin doit d'abord
penser
à l'éelarrrpsie puerpérale, surtout si cette fe
cette femme a présenté de l'albuminurie pendant sa grossesse. Il y
pensera
il plus forte raison s'il trouve la femme en tr
lisées auront fait leur apparition. En dernier lieu, il faut savoir
penser
à une affection qu'on a trop long- temps méconn
ns par le membre inférieur, épilepsie partielle crurale, doit faire
penser
, chez un tuberculeux, à une CONVULSIONS ET CRIS
tomatologie vague et montre que le danger est au cerveau. Faute d'y
penser
on peut être embarrassé par la survenue de convul
voir des formes irrégulières ou frustes d'attaques hystériques : on
pensera
au vertige hystérique, aux attaques épileptoïde
s mouvements choréiforines. Toutefois, il ne faut pas aller jusqu'à
penser
que le, tremblement simple peut, dans certains
trembleurs chez les hommes que chez les femmes. Croctj de Bruxelles
pense
que ces tn'lI1h]eurs, en apparence nor- maux, s
]eurs, en apparence nor- maux, sont des sujets pathologiques, et il
pense
, que le tremblement est un phénomène anormal.
Nancy, 1890) a étudié avec Meyer le tremblement t physiologique et
pense
que tout le monde tremble plus ou moins il l'état
loch et uliuscluct (Société de Biologie, février 1004). Ces auteurs
pensent
que, le tremblement est un phénomène commun à t
ouvements volontaires et aussi suivant la rapidité du rythme : nous
pensons
que cette distinction est plus théorique que prat
n'apparaissant qu'à l'occasion des mouvements volontaires. Nous ne
pensons
pas qu'il soit nécessaire de ranger tous les trem
as conclure d'emblée à l'existence de maladie de Parkinson; il faut
penser
quelquefois au tremblement de forme parkinsonie
ler de la chorée chronique. A côté de ces troubles, Blocq et Grenet
pensent
qu'il faut classer des manifestations non choré
thétose double est assez semblable à la chorée, puisque M. Brissaud
pense
que ces deux syndromes peuvent se confondre dans
Sydenham a été étudié par Oddo (Congrès de l'IIa°seille; 1899), il
pense
que la tendance habituelle ' des symptômes de la
ie). Ces troubles des réflexes avaient déjà été vus par Joffroy, il
pense
que les réflexes peuvent se trouver normaux des
ils sont une des caractéris- tiques de la chorée de Sydenham. Blocq
pense
qu'il faut distinguer parmi eux les troubles ch
Archives de Neurologie, 1900) Kattwinkel, Vaschidc et Vurpas. Dutil
pense
que ces troubles psychiques sont con- stants, e
affection a été très discutée : nous avons vu que certains auteurs
pensent
qu'elle est de nature hysté- rique, tels sont l
des travaux de Charcot, de Raymond, d'Oulmont et de Grasset, on a
pensé
que le siège de ces lésions était plutôt à la par
ent , en ce sens que le tic peut se pro- duire alors que le tiqueur
pense
à toute autre chose, que souvent aussi celui-ci
ire de ce qu'on leur dit, mais encore le contraire de ce à quoi ils
pensent
et de ce qu'ils vou- draient faire H (Nogucs) ;
'il' d'idée^). A l'opposé des auteurs précédents, Pitres et Crnchet
pensent
que. si un état mental prédisposant est nécessa
mentonnière (figure de Babinski). . - TICS. su permettraient de
penser
, d'après Babinski, que certains au moins des hé
éterminations etiologiques, les constatations anatomiques nous font
penser
que certaines crampes pro- fessionnelles ont sa
imposé le plus grand surmenage fonctionnel ou professionnel. Aussi
pensons
-nous que si, dans ses manifestations cliniques mu
thèse qui n'est pas admise par tout le monde ; bon nombre d'auteurs
pensent
que l'hyperthermie peut être due il une lésion ce
les durent peu de temps, mais cependant un certain nombre d'auteurs
pensent
qu'il ne s'agit pas de fièvre véritable, mais b
e ou de la simulation si fréquente chez les hystériques. Babinski
pense
qu'il convient toujours de rechercher une infecti
-- Les indolents, ordinairement poil akiuri- ques, pendant le jour,
pensent
continuellement à leur miction, et cette idée n
a sphère du trijumeau, du facial, de l'oculo-moteur externe, feront
penser
à des lésions périphériques, aue- vrismes, gomm
cas plus délicats, avant de songer aux névroses, il con- viendra de
penser
que le ptyalisme peut dépendre d'un réflexe à poi
taches pigmentaires, rendront le diagnostic facile pour peu (pion y
pense
('). 1. Un cas de ce genre, que nous avons obse
es convulsives, des signes généraux d'intoxi- cation permettront de
penser
à la gangrène ergotinique. Les gangrènes massiv
ter que les quatre grandes causes du nanisme ? Poucet et Leriche le
pensent
et décrivent des nains bien proportionnés, sans t
s stigmates sera importante. 1° Interrogatoire du malade. On pourra
penser
qu'il s'agit de syphilis quand le malade aura e
méfaction avec conservation relative de l'état général pourra faire
penser
au foie syphilitique. Certaines néphrites aiguë
es méninges, ou à la soustraction d'une quantité de liquide. Sicard
pense
qu'il y a ouver- ture des méninges en un point
orragique du liquide pourra donc être causé par elle, aussi Crouzon
pense
que la couleur sanglante du liquide céphalo-rac
che, rhinite, oreillons, gastro-entérite, typhoïde, syphilis). On
pensera
comme de juste à la syphilis héréditaire, si l'en
e cultures microbiennes) étant très rares en pathologie humaine, on
pensera
de préférence à la possibilité d'une variété se
Pour ce qui est du diagnostic étiologique, on ne manquera pas de
penser
à la possibilité de la syphilis et surtout à cell
} 1158 SYNDROMES VENTRICULAIRES. La forme comateuse reconnue, on
pensera
naturellement à la possibi- lité d'une épendymo
ocessus anato- nnidae dont ils dérivent. Pour y parvenir, il faut y
penser
systématique- ment, et surtout ne pas se conten
expérimentaux, précédemment signalés. Nous sommes donc en droit de
penser
que si certains troubles lml- baires proviennen
exclusi- vement dans les ventricules. On a d'ailleurs tout lieu de
penser
que si le canal central diffuse les poisons, il
âne, aplatissement du thorax, taille de guêpe, etc.), doivent faire
penser
que le'tissu osseux prend une certaine part dans
es confirmations et des recherches nouvelles, mais il est permis de
penser
que ces squelettes décalcifiés présentent déjà
e cependant, cette diminution est moins prononcée qu'on pourrait le
penser
au premier abord, sans doute en raison de la di
ou entre les régions semblables chez des individus différents. On a
pensé
que le nombre des orifices glandulaires s'ouvrant
nt de la diminution de la résistance électrique, et Vigouroux avait
pensé
qu'elle avait une valeur séméiologique presque
le rhéostat de la façon que nous avons indiquée précédemment. On a
pensé
agir de cette manière sur le foyer hémorragique,
d, aborda nettement et crut pouvoir résoudre la question. Il avait,
pensait
-il, réuni cinq exemples d'association des deux
Il n'est pas un mot de son mémoire pouvant faire supposer qu'il ait
pensé
à des lésions spinales propres à la paralysie g
des racines postérieures d'autre part. Nous nous croyons autorisé à
penser
qu'il s'agit ici, tout au moins en très grande
es fibres cordonnales dégéné- rées ? Tout d'abord il est logique de
penser
que ces fibres appartiennent aux systèmes commi
s voix qui viennent de partout qui disent : 'Amour, amour... Ils ne
pensent
qu'à l'amour. » Demande : « Comment sont ces vo
puyant sur l'observation qu'ils rapportent, MM. Queyrat et Chrétien
pensent
, avec M. Déjerine, qu'à l'exemple de maintes autr
peuvent apparaître tardivement. Cependant, il n'est pas défendu de
penser
qu'un réflexe parti du coeur ou de l'aorte peut d
que peut fournir des probabilités en faveur de l'une ou l'autre. Il
pense
que le début habituel de la. maladie par des tr
es auteurs ont peu- Insisté. 68 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. CHRISTIAN
pense
que ce qui est surtout caractéristique, c'est l
'altérations lépreuses dans les autres organes internes. L'auteur
pense
que son observation confirme l'opinion d'après
idal. Sa lésion, à peu près constante, devait évidemment nous faire
penser
à une dégénération descendante, ayant pour poin
génération pyramidale, et la question est plus complexe qu'on ne le
penserait
après une observation superficielle. Tout à l'h
ces laissés vides par la destruction des éléments nerveux, comme le
pense
Weigert ? Et pourquoi cette prolifération névro
ns la paralysie générale, et l'anatomie patholo- gique nous amène à
penser
que ses lésions doivent être le - résultat d'un
l'avons dit au Congrès de Toulouse et nous n'étions pas éloigné de
penser
alors que la tuberculose avait joué un rôle imp
rieur. En étudiant les lésions de la moelle, nous sommes conduits à
penser
qu'elles s'accompagnent de lésions périphé- riq
1898) des nouvelles de Mille K... ; elle se maintient très bien. Je
pense
que cette période de trois ans qui s'est écoulé
oxication résultantde la putréfaction d'aliments mal digérés. Il ne
pense
pas, comme Voisin, que les poisons de l'économi
lysé, bien que ce noyau soit extrêmement congestionné, [pourrait-on
penser
pour expliquer sa paralysie, à la lésion du fai
très marquée de lacouche optique correspondante. AI. Sander tend à
penser
que cette atrophie est primitive, car, même lor
nsiste a limiter l'aire de sécrétion de la glande. Robert Hutchison
pense
que le goitre exophtalmique est provoqué par un
elle dépend encore d'un facteur individuel, car on est en droit de
penser
qu'un homme soumis à une dose quotidienne de 7
titre, signe et délivre tous mandats pour l'acquittement des dé-
penses
. - - ART. 9. Le Secrétaire rédige les procès-ve
gner par la voie des journaux, .portent sur nos dépo- « sitions, je
pense
qu'il n'y faut pas attacher une trop grande « i
es psychiques com- mencèrent huit jours après l'opération. M. Régis
pense
, tout en reconnaissant la large part qui revien
ohé (de Baltimore), forment d'exception. Broca, Verneuil, Billrotli
pensent
que ce sont les alcoo- liques qui sont surtout
rieure vient s'ajouter celle des suites de l'intervention ? On a
pensé
aussi que les troubles psychiques post-opératoire
te à examiner le rôle que peut jouer l'auto-intoxications. M. Régis
pense
qu'il doit être considéré comme prépondérant et
tial, du tremblement des mains et de la langue, de nature à faire
penser
à une intoxication alcoolique, une maladie des ce
ut qu'il if adresse à nos hôtes. Si je disais de lui tout ce que je
pense
, la modestie de M. Petrucci pourrait'en souffri
icale pour un asile de 800 ma- lades : SOCIÉTÉS SAVANTES. 265
penses
étant de 130.000 francs dépassent donc ses recett
nts, dans leur construction, dans leur organisation. personne ne le
pense
; quelques-uns pourraient être détruits sans auc
association d'une paralysie du voile avec une paralysie faciale, et
pense
que les cas qui en ont été rapportés soulèvent pl
eurs prolongements épais s'attachant à un vaisseau voisin. L'auteur
pense
que ces cellules tirent leur origine de l'endothé
cranien ni de pression cérébrale puisque les veines du crâne com-
pensent
elles-mêmes toute tendance du liquide cérébro-spi
persis- tent encore. S'appuyant sur ces observations, M. Joffroy
pense
qu'une prédis- position héréditaire ou acquise
OCIÉTÉS SAVANTES. Quant à l'étiologie de l'affection, M. Schataloff
pense
qu'elle relève probablement de l'affaiblissemen
eloppement de la maladie. Discussion.- MM. 111OORATOw et KojEWKiKow
pensent
que l'anky- lose de la colonne vertébrale peut
aqueduc de Sylvius, à côté d'une épendymite granuleuse. Les auteurs
pensent
, vu l'existence d'anomalies multiples du canal
ne peut à cet âge s'abstenir d'un objet horrible et dégoûtant, que
pensez
-vous qu'il ait fait à vingt ou vingt-cinq ans,
on n'est pas simple et renferme bien des inconnues à résoudre. Nous
pensons
cependant que même dans l'hypothèse où les trou
- rition de ces symptômes. D'une façon générale, d'ailleurs, nous
pensons
que ce n'est qu'avec une extrême prudence qu'en
jusqu'à la troisième, jusqu'à la mort par marasme. Ainsi seulement,
pensons
-nous, il est possible d'obtenir des données com
hondriaques et engendrer de l'excitation génitale avec onanisme. Il
pense
que cette hyperesthésie peut être locale, corre
rémission ? Le tableau suivant répond à cette question. Nous avons
pensé
que l'état de calme et d'agitation du sujet éta
en peut établir les comparaisons. C'est à ce point de vue que j'ai
pensé
intéressant de tirer des déduc- tions des éléme
e dystrophie, attribue la prédominance au système nerveux. L'auteur
pense
que, dans ce cas spécial, il y aurait lieu d'adme
dance d'une sclérose systé- matisée combinée de la moelle. L'auteur
pense
qu'il y a des degrés dans la débilité congénita
un symptôme ; l'amyotrophie progressive, et non pas, comme il le
pensait
, et comme on le croit trop généralement encore, u
, après une crise, un calme absolu d'un jour ou.deux. Les auteurs
pensent
que le paramyoclonus, dans cette observa- tion,
ue les lésions de bronchite continuent à l'augmenter. Il faut enfin
penser
, au cours d'un état comateux, à la pénétration
relatives à la toxicité de la sueur chez les épileptiques. l'auteur
pense
que le bain d'air chaud est un excellent moyen
n décrit les symptômes primordiaux (la dépression, l'empêchement de
penser
et de se mouvoir) et accessoires (les divers tr
e et triomphe de la théorie de l'auto-intoxication Y L'auteur ne le
pense
pas, et pour lui l'antagonisme, généralement ad
qu'un progrès par rappoit au schéma de Wernicke et Lichtheim. Ainsi
pense
M. 0 tuszew : : ki, P. IiEn.wnL, LXX. Lésions f
branches de la science médicale étroitement comprises. M. Sikorsky
pense
que le i ôle de la psychiatrie et de la neurologi
étis, Sol Porto. Celui-ci ex-marchand ambulant de viande de cochon,
pensa
que même sans enlever à ces dépouilles la forme
apables de réaliser un pareil tableau. Au premier abord on pourrait
penser
à l'onyxis syphilitique, mais ce diagnostic ne ré
ophie des mains et des pieds qui éveille l'attention, et le médecin
pense
à l'acromégalie. C'est la forme pseudo- acroiné
alade a une série de petites poussées pseudo-rhumatiszzzales : on a
pensé
à un rhumatisme subaigu, blennorrhagique, tubercu
dée que dans certains cas de malformations congénitales l'on puisse
penser
à une origine hypophysaire. Fumarola théoriquem
upière supérieure. 36 MENDICINI ET ARTOM Par exemple, on pourrait
pensera
la possibilité d'une ptose hystérique de la pau
bres du facial du côté atteint sont conservées, tandis que d'autres
pensent
que l'orbiculaire est en connexion avec les deu
r que les muscles du menton des deux côtés se croisent entr'eux. Il
pense
que c'est justement à cause de cet entre-croise
roisements. Pendant que les recherches de Hoche nous engageraient à
penser
qu'une petite partie des fibres de la voie cent
avait permis la tumeur eut pu être très facilement enlevée. On peut
penser
d'autre part que la motilité volontaire n'était
elle de M. le Dr Claude en particulier) et il est possible,comme le
pense
cet auteur,quelles jouent un certain rôle dans
elle a été préoccupée par les ennuis qui en ont été la suite. Elle
pense
qu'elle a la sympathie des autres jeunes filles
es du bureau, mais lorsqu'elle travaille elle ne peut s'empêcher de
penser
à l'autre femme. Examen de l'origine du tic. Il
emblement hystérique pendant le travail. Une employée du bureau des
Pensions
, âgée de 45 ans, me consulta pour un fort tremb
ntion. Il en résulte une diminution évidente dans les puissances de
penser
, de travailler, et de participer à la vie sociale
réactions affectives morbides. Il n'était pas suggestible ; mais il
pensait
lentement et avec difficulté. Mon diagnostic fu
ne devons pas nous étonner de telle négation ; et môme nous devons
penser
que nous fussions tombés nous-mêmes dans la mêm
onge à incriminer autre chose que le trouble nutritif initial. Nous
pensons
donc que, dans notre cas, il n'y a, a l'origine,
précédemment Aschner. de la glycosurie en lésant le tuber cinereum
pensent
même que « le rôle de l'hypophyse dans le (1) J
branes du fond de l'aeil, ni déformation de la selle' turcique. Ils
pensent
que d'une façon générale, tout particu- lièreme
s voulions envisager est celui du traitement. Nous avons, au début,
pensé
procurer quelque soulagement à notre malade en
- taires dans la même direction que la bille ; de même le sujet qui
pense
avec émotion à un mot qu'il a entendu ou qu'il
se de son impressionnabilité cénesthésique que l'hystérique ne peut
penser
à un acte quelconque sans ressentir une forte i
bétique ou un paralytique général. Dans le premier cas, on pourrait
pensera
une poliomyélite antérieure isolée; mais la clini
nettes, indiquant la participation de la méninge au processus. Nous
pensons
donc qu'il s'agit ici de méningomyélile diffuse p
a lésion méningo- médullaire, puisque le malade est tabétique. Nous
pensons
que, comme dans le cas précédent, il s'agit de
ie, pas de déformation de la selle lurcique. Aussi est-il permis de
penser
que dans ces cas il y a relatiozenlre la neurof
breuses hypothèses ont été envisagées. Celle à laquelle les auteurs
pensent
en premier lieu est l'hérédité, et s'ils trouve
s ajoutons que rien dans l'aspect extérieur des doigts ne permet de
penser
à une cicatrisation ancienne, nous pour- rons a
ssons à l'ensemble des cas connus, nous nous sentons très enclins à
penser
qu'il ne s'agit pour aucun d'un processus très
ne à chacune et non pas simplement analo. gues et rien ne permet de
penser
à une simple convergence de forme. Suivant tout
its observés avec l'hypothèse traumatique, nous, n'hésiterons pas a
penser
que mieux vaut éviter l'intermédiaire de l'amni
avation des phénomènes morbides ; à priori on pouvait très sûrement
penser
à cette probabilité, car le suc des glandes sur
empoisonnement par le carbamale d'ammoniaque, on pouvait sûrement
penser
que le foie serait probablement insuffisant et qu
es observations inexactes et des suppo- sitions erronées : Kraïnsky
pensait
notamment qu'avant chaque attaque épileptique,
nsky croyait pouvoir en pronos- tiquer l'approche d'une attaque. Il
pensait
aussi que l'acide urique ou plutôt une clo ses
ncore que l'acide urique provenait des 364- BOLTEN carbamates, il
pensait
que cela donnait une base suffisante à sa théorie
e bien connue, n'eurent aucun effet, ce qui prouve que l'on ne peut
penser
à une insuffisance du pancréas. c) Par contre,
phénomène de l'extension du gros orteil, mais il faut se garder de
penser
, d'après cela, que l'on se trouve toujours en p
la pression locale, et un alcoolisme modéré avoué par le malade, on
pense
qu'il s'agit d'un épanchement sanguin sub- dura
de la glande thyroïde que chez les sujets normaux. Quelques auteurs
pensent
aussi que l'hypofonction delà glande thyroïde a
ents, l'eau et l'oxygène. Dans tous les cas, la plupart des auteurs
pensent
que le rôle de la catalase s'exerce dans le dom
maladie du métabolisme, une auto-intoxication. Frouin,par exemple,
pensait
que dans les cas de tétanie, on trouve dans l'uri
en avoir maintenant quelque fonds de vérité. C'est ainsi qu'Erdheim
pense
que chez les animaux privés des glandes paralhy-
n dans l'excré- tion de l'azote (de nature inconnue), ce qui le fil
penser
à une action moins active du foie ; plus lard i
intermédiaire. En cas d'absence des glan- des parathyroïdes. Cooke
pense
avoir déterminé également des troubles du métab
souvent des attaques épileptiques plus ou moins complètes. Westphal
pense
que la tétanie et l'épilepsie, dans la majorité
ttaque une fois passée, ils se sentent vifs, améliorés et dispos et
pensent
aussi pour la plupart que celle attaque sera la
qui passe dans la tête. Je reste quelquefois un quart d'heure sans
penser
à rien, puis les idées me reviennent. » L'app
un cas d'amyotrophie consécutive à une lésion de la moelle, j'avais
pensé
qu'il s'agissait d'une disposi- tion pathologiq
des altérations morphologiques à peine appréciables, il y a lieu de
penser
que cette réaction de dégénérescence tient, au
supposaient qu'il était dû à une excitation du labyrinthe, d'autres
pensaient
qu'il dépendait d'une irritation directe des ce
du réflexe du radius con- firme donc l'hypothèse de M. Babinski qui
pense
que cette inversion est condi- tionnée par une
s. » Le phénomène des orteils ne dénote pas, comme certains l'ont
pensé
, une abolition du réflexe cutané plantaire normal
donnaient donc des résultats en appa- rence contradictoires, et je
pensai
qu'il serait intéressant de con- naître la rais
cture dépendant d'une affection organique de la voie pyramidale; on
pensait
d'ailleurs que les fais- ceaux pyramidaux étaie
'appeler contracture lendino-réjlexe. Cette relation me conduisit à
penser
que dans cette forme de contiacture la rigidité
pas en droit de l'affirmer, mais je suis porté à le croire, et j'ai
pensé
que ce fait méritait d'être rapporté. » En av
s de donner au sujet du tabes conjugal, est plus commun qu'on ne le
pensait
généralement (83). TABES 97 Du même ordre d'i
t rare par rapport à la fréquence de la syphilis, il y a tout lieu de
penser
que les cas de méningite chronique spécifique c
si le labes, ai-je dit, comme une affection moins grave qu'on ne le
pensait
autrefois. Il est juste pourtant de rappeler qu
ité, se modifier spontanément d'une pareille façon. Je suis porté à
penser
que les rayons X ont exercé sur l'épanchement hém
sur des examens cliniques et anatomiques, nous avons été conduits à
penser
que la syphilis est une cause assez commune des
chés d'avoir recours à ce mode de traitement. Mais il est permis de
penser
qu'une pareille interven- tion pourrait être ef
une paralysie ayant le même aspect symp- tomatique. C'est surtout,
pensait
-on, en tenant compte des circons- tances dans l
jambe sur la cuisse ne sont pas synchrones. N'y a-t-il pas lieu de
penser
que ce défaut de synchronisme est dû à une pert
de l'oreille interne (région cochléaire) ; dans deux cas, on devait
penser
à l'artério-sclérose ; dans l'un de ces cas le
tion est liée à une perturbation organique des centres nerveux, je
pense
que les lésions dont elle dépend doivent être,
des réflexes tendineux et du réflexe cutané plantaire ? Je l'avais
pensé
d'abord ; mais, sur ce point, il y a lieu de fa
ans le titre donné par Pechkrantz à son mémoire. On reconnaîtra, je
pense
, que mon travail, s'il est le deuxième en date,
matisme articulaire aigu prolongé », écrit : ... « Il est permis de
penser
que si le salicylate de soude, administré penda
flexes tendineux et les centres vaso-moteurs, il y a des raisons de
penser
qu'elle peut aussi troubler dans leur fonctionne-
d'accidents organiques dans l'hystérie n'étant plus à redouter, je
pensai
qu'il y avait lieu de repren- dre l'élude de la
il importe de la poser en termes précis. Sans doute, il y a lieu de
penser
, à priori, que les ébranlements physiques et su
de rétrécissement du champ visuel. Pourtant on est bien en droit de
penser
que l'émotion, dans de pa- 13ABL\Sh.t. Ifl 21
ériques sont un produit de la suggestion. Si l'émotion, comme on le
pensait
autrefois, pouvait les engendrer, elles devraie
symptomatologie insuffisante.' 11 repousse l'électro-diagnostic. Il
pense
que tous les troubles périphériques de l'innerv
mpu- tables à la base ni au trajet de la bandelette optique, on dut
penser
.. à une lésion des deux lobes occipitaux et, é
récier 'rôdeur, ou le goût. D'après les expériences de Munk, on dut
pensera
la destruc- tion d'une zone du lobe pariétal im
'analyse et le meilleur moyen de le présenter à nos lecteurs, c'est
pensons
-nous, d'en décrire rapidement la placed'ensembl
s les plus voisins de la Seine constituaient une région. M. Regnard
pense
que l'on devrait supprimer la close rela- tive
qu'à l'impotence cérébrale complète, et à l'impossiblité absolue de
penser
et de concentrer leurs idées. Ils perdent en mê
et les effets promptement curatifs de la quinine nous autori- sent,
pensons
-nous, à rattacher notre neurasthénie au palu- d
e. Le malade ne peut plus s'occuper de ses affaires. Il ne peut pas
penser
, et depuis trois jours il a suspendu toute sa cor
dition du compte que le cuisinier lui présente, et chaque effort de
penser
lui provoque des tiraillements douloureux intra-
en présence d'un épileptique dont rien n'explique la maladie, de
penser
à l'état oculaire. E. Régis. V. Cas de folie co
adifs et malfai- sants ne sont pas en assez grand nombre pour qu'on
pense
à leur édifier un établissement dans chaque dép
vre contenant les travaux du Congrès ; « 2° Des locaux, chambres,
pensions
, seront arrêtés à l'avance, à des prix modérés,
e de la vie commune, quoique bien difficilement. Cela permet- il de
penser
que le terrain était prédisposé de longue date à
urs constaté aucune amélioration sensible. ' ' '- '" Enfin, j'avais
pensé
à expérimenter le traitement qu'ont imaginé, po
ions qui les ont irritées ? Un état d'épuisement chronique comme le
pense
M. Féré ? Dans l'amnésie consécu- tive à un cho
t donc être question^ ici d'amnésie par mode dit hystérique;^ je'ne
pense
pas non plus, qu'on soit autorisé à voir chez c
évision; d'une augmentation; dersa' population, mais on n'avait pas
pensé
que cette augmentation put) jamais devenir très
rais alors deux grandes ombres : Pascal, Charcot, et j'aimerais à
penser
que, pour toute la durée de nos travaux, ils sero
e définition quel- conque. Quand nous sentons, nous nous souvenons,
pensons
, quand nous voulons ou exécutons un mouvement,
e l'attaque, sont assez accusées pour qu'au premier abord on puisse
penser
qu'on est en présence d'un état maniaque d'autr
sa mort tragique. Je suggérai à la malade que désormais, quand elle
penserait
à l'accident dont son fils avait failli être vi
eintes d'une folie véritable, peut- être moins fréquemment qu'on ne
pense
et que cette folie peut revêtir chez elles, par
casion d'observer des cas semblables. M. Gilbert Ballet. M. Joffroy
pense
que l'hystérie, est une maladie de dégénérescen
possibles pour qu'ils puissent recouvrer pleinement leur santé. On
pense
que plus tard encore on obtiendra de meilleurs
programme spécial pour la construction d'un asile d'alcooliques. On
pensait
que c'était la même chose qu'un asile d'aliénés
st tout simplement une psychose infectieuse, et je suis de ceux qui
pensent
, par conséquent, que polynévrite et psy- chose
cin me semble gravement engagée dans les deux cas. M. Charpentier
pense
que, même avec la nouvelle loi, la direc- tion
re assez important de pensionnaires de différentes classes dont les
pensions
plus ou moins élevées accrois- ' sent les resso
et naturel et qui peut être rapporté à un principe étranger. Je ne
pense
pas que dans les six autres qui restent à exorc
ferait une très fausse idée de l'épidémie d'Auxonne si l'on pouvait
penser
, qu'en dehors des grandes crises et des crises
le champion de cette idée que si nos traitements d'activité et nos
pensions
étaient centralisés entre les mains de l'Etat,
é par le Sénat, qui faisait payer par l'Etat les traitements et les
pensions
de retraite des médecins. Les dispositions esse
cins' fonctionnaires, et les associent corrélative- ment pour leurs
pensions
de retraite aux charges et bénéfices des caisse
etraites et le relèvement du taux alloué par la loi de 1853 sur les
pensions
civiles. Nous devons donc revendiquer le mainti
Sénat, qui met notamment à la charge de l'Etat les traitements et
pensions
de retraite des médecins en chef, médecins-direct
maux de tête ont disparu, ainsi que l'état neurasthénique. M. Duret
pense
que la trépanation a pu faire disparaître les m
ogiqzie qui permet d'améliorer les idiots microcéphales. Nous avons
pensé
que s'il était possible de faire cette démonstr
é à la Faculté de Montpellier, c habitué depuis de longues années à
penser
avec lui ». Et cette collaboration a été fécond
t ses journées à faire de la dentelle d'une façon automatique, sans
pensera
rien, dit-elle. De fait, par l'examen direct à
straite, ayant l'air de rêver, bien qu'elle déclare formellement ne
penser
à rien ; ou s'absorbant par exemple dans la conte
i a fait en France une étude très complète de ces cas particuliers,
pense
que les malades entrent alors dans un état de s
é les mêmes phénomènes, leur attribue une autre interprétation et
pense
qu'il s'agit là d'une forme de sommeil hypnotique
on du gendarme qui est venu la chercher; et découvre même qu'elle y
pense
dans la journée à l'état de veille, mais « sans
De son côté, Merson 1, s'appuyant sur un grand nombre de dosages,
pense
que l'urée est en général augmentée, que les ch
la paralysie générale. Et après lui MM. J. Christian et A. Ritti 6
pensent
également que dans cette maladie les modificati
sseur Ladd qui est le livre de chevet des étu- diants. Mais nous ne
pensons
pas qu'il.y ait actuellement un laboratoire org
les considérations sentimentales ou philoso- phiques, pour ceux qui
pensent
que l'argent est la capitalis et même 1'uliiina
Voilà donc ce qui se fait dans la Seine. Peut-être ailleurs a-t-on
pensé
aussi à ce mode d'assistance. Nous accueillerons
onal d'hygiène et de démographie de ]3uda-l>csLh. J'ai cependant
pensé
qu'il pouvait être intéressant d'ajouter quelqu
e s'installe auprès d'un de ses beaux-frères, veuf depuis peu; elle
pensait
pouvoir lui être utile dans la surveillance de
e des cabales contre elle, on l'empêche de trouver du travail. Elle
pense
que peut-être les concierges sont les coupables
très nettement l'écho de la pensée; elle entend répéter ce qu'elle
pense
, ce qu'elle dit, ce qu'elle écrit; « on reprodu
u'elle dit, ce qu'elle écrit; « on reproduit en phrases sa façon de
penser
. » Si elle pense à son beau-frère elle entend a
elle écrit; « on reproduit en phrases sa façon de penser. » Si elle
pense
à son beau-frère elle entend aussitôt une voix
et qu'il a joué le rôle d'agent provocateur de l'hystérie. » Nous
pensons
, au contraire, que l'incontinence nocturne d'ur
ison des idées, car les allures du malade se ressentent de ce qu'il
pense
. Il peut aussi se produire non de la déviation
nc, en se plaçant dans le cadre de la psychophy- siologie, plutôt à
penser
que, dans un grand nombre de cas, dès le début,
ses actes et obtenir des confidences sur ce qu'il sent et ce qu'il
pense
; c'est seulement par une description minutieuse
ons violentes peuvent exagérer les relations de la personnalité. Je
pense
encore aujourd'hui que les troubles morbides qu
lade était tuberculeux. De par ces éléments cliniques, on pouvait
penser
à établir une analogie entre ce cas et ceux don
ture cutanée est. modifiée : mais il n'y a pas comme on pourrait le
penser
a priori, une hypothermie absolument constante.
emment par le professeur Poncet ? Ces deux éléments incitent donc à
penser
qu'on est en présence d'indi- vidus en puissanc
u, facial, hypoglosse, glosso-pharyn- gien), il est donc naturel de
penser
à une lésion de l'axe cérébro-spinal ; c'est ce
me acquis. D'après les observations que nous avons compulsées, nous
pensons
en effet que le type de trophoedème congénital,
nguine, et d'embryon de filaires dans le sang ne nous permet pas de
penser
à la filariose. . L'oedème hystérique, tel qu'o
scrire un fait sur la liste des macrodaclylies, un fait curieux, je
pense
, et auquel les belles photographies et radiogra
existence, qui consiste, nous dit-on dans le « quelque part ». « Je
pense
, donc je suis, cela veut dire surtout : Il y a ic
nc je suis, cela veut dire surtout : Il y a ici quel- que chose qui
pense
, donc il y a ici quelque chose. » « Notre moi est
lusion subjective qu nous pousse à prendre nos manières de voir, de
penser
, de dire, pour des manières d'être des choses.
M. VictorI-Ienri. La localisation n'est pas, ainsi qu'a l'air de le
penser
M. Bonnier, un processus précis, déterminé, imméd
de la sensibilité kinesthésique (Bewegungsem- pfindungen). Foerster
pense
, avec raison à mon avis, que cela prouve que la
la rareté relative des lésions limitées du pé- doncule, nous avons
pensé
qu'il pouvait y avoir un certain intérêt à re-
clinique abrégée nous donne des rensei- gnements insuffisants, nous
pensons
pouvoir affirmer la nature spécifique du proces
à l'idée d'une plaie vulgaire ; mais devant sa persistance, on dut
penser
à une gomme tuberculeuse ou à une lésion périos
se et des bords, analogues à celles de la méningi te gommeuse. Nous
pensons
pouvoir écarter de suite la méningo-encéphalite c
re cas le caractère familial ; mais nous avons dit ce qu'il fallait
penser
de la fréquence de son absence. Mais un phénomè
fondamentale histogénétique entre le gliome et le sarcome. Gowers,
pensait
qu'il était plus facile de différencier ces deux
e- ment, pour l'un ou pour l'autre mécanisme, mais ce que l'on peut
penser
· c'est que c'est véritablement l'épithélium ép
e des muscles de la même région. Cette constatation nous autorise à
penser
que c'est dans la zone médul- laire de l'innerv
gigantisme, tantôt l'acromégalie, d'autres fois l'infantilisme, et
pense
que le gigantisme et l'infantilisme découlent d
ment le gosier », lui faire oublier les heures de rudes labeurs, et
pense-t
-il à tort, lui donner une nouvelle somme d'éner
lus contre une habitude séculaire, et fortement enracinée; aussi je
pense
que le seul remède efficace consisterait à dimi
ct gêné a un caractère si spécial, qu'au premier abord, on pourrait
penser
à la maladie de Parkinson ; cependant un examen
énar à l'ab- sence de l'artère radiale, il ne semble pas inexact de
penser
que les va- riations du côté droit sont du même
compte. Mais si l'on pousse l'analyse plus à fond, on est conduit à
penser
que le processus est plus profond, qu'il 1 touc
he la différenciation- nous verrons tout à l'heure ce qu'on peut en
penser
c'est ce dernier qui domine et carac- térise l'
un processus d'arrêt de croissance, et cela nous est une raison de
penser
que ce processus est .tout à fait indépendant du
rofonde, le malade avait également des mictions involontaires. Nous
pensons
que de la réunion de ces signes positifs et malgr
ies non suppurées, la résec- tion doit être préconisée ; nous ne le
pensons
pas, mais les faits ne sont pas là pour l'affir
es marges. Cette pièce fait partie de ma collection ; elle date, je
pense
, de décembre 1818. LA SYPHILIS DANS PART (R B
iquer la paralysie générale, n'ont aucune valeur décisive, quand on
pense
quelles peuvent être les altérations vasculaires
e de l'adipose permet de-le conjecturer), il n'est pas illogique de
penser
que l'intoxication alcoolique puisse favoriser le
réateur, son cher Pays d'Erin, et les merveilles de la nature. Je
pense
, qu'il n'est pas sans intérêt dé citer ici cet hy
dans l'invi- tation. D'un autre côté, les gens invités aux noces ne
pensent
pas pouvoir faire un plus grand honneur aux mar
chargeait encore, au moyen âge, les prétendus auteurs du sabat. Je
pense
que l'on peut également retrouver l'origine des c
hisseurs avec production d'un bruit de chaînons qui pou- vait faire
penser
à un kyste synovial à grains riziformes. Elle s'é
onservation de la sensibilité. 1° Nature de la tumeur : On pourrait
penser
soit à un lipome, soit à un névrome. En faveu
nous est pas possible de nous prononcer sur leur nature, mais nous
pensons
plutôt qu'il s'agit ici de cellules granu- leus
ine la conception vulgaire émise par certains infir- miers lesquels
pensent
expliquer ce symptôme par des phénomènes de sta
tes de myxoe- dème congénital sont beaucoup moins rares qu'on ne le
pense
: on en trouvera la preuve dans le remarquable
pensables pour nous fixer sur la fréquence de ce syndrome que je ne
pense
pas exceptionnel chez les aliénés. Une statisti
e malade attend ce qu' « ils » vont répondre à sa pensée, dès qu'il
pense
à quelque chose ; quelquefois « ils » disent de
o- mène non normal, comme une maladie ; mais très souvent il tend à
penser
et même il croit que ces voix viennent du diahl
ccuper de leurs affaires, quoiquepas aussi bien qu'auparavant. Nous
pensons
que la capacité au travail chez ces malades dim
. Korsakoff dans les examens cliniques des malades; S. S. Korsakoff
pensait
que les ma- lades cessent de boire du vin pour
n erronée de ces hallucinations, con- sistant en cela que le malade
pense
qu'il se trouve sous l'influence du 396 SOUKHAN
rouve sous l'influence du 396 SOUKHANOFF ET WEDENSKY diable. Nous
pensons
qu'au sujet de l'explication que le malade donne
t qu'un nombre restreint d'observations permet de conclure, on peut
penser
que le délire alcoolique continu se développe che
ares : telle est l'épigraphe de son livre. On ne peut s'empêcher de
penser
à cette autre : Scientiam non odit nisi ignares.
fonctionnement du système nerveux. Ces éphidroses peuvent rentrer,
pensons
-nous, dans l'un des quatre groupes suivants : .
cune lésion apparente dans les différents organes. M. Bar- tholow
pense
que dans ces cas il y a quelque altération d'un
n est enclave d'un désir propre, mais non d'un désir supposé; je ne
pense
pas vivre sur le londeinent d'autrui. Monsieur
suffisant. Y aurait-il lieu de le rendre plus luxueux ? nous ne le
pensons
pas. Volontairement, Mistral est incapable de d
e résultat d'une consigne donnée dans un but presque théâtral. Nous
pensons
donc qu'il est inutile de dépenser pour Mistral
ir de l'asile où vous êtes ? Oh ! non, même je n'y suis pas, je n'y
pense
pas. D. Y a-t-il longtemps que vous y êtes ? R.
e, dont tous les assistants furent grandement estonnez; je laisse à
penser
au lecteur comme ce bon seigneur faisant cest o
a le plus profond. Certains signes qu'il constate peuvent lui faire
penser
à une affection organique : il interroge les pe
llons; tu ne tueras personne; tu ne déshonoreias pas ta famille; ne
pense
plus à ta femme, c'est une coquine; pense à ta
oreias pas ta famille; ne pense plus à ta femme, c'est une coquine;
pense
à ta mère, etc. » Le malade les entend aussi bien
, celui de réfuter la doctrine de 118 SOCIÉTÉS SAVANTES. ceux qui
pensent
que l'hallucination de l'ouïe n'est qu'une idée
luciné, il faut encore croire en ses hallucinations. M. Ballet ne
pense
pas que l'hallucination puisse jamais être cons
opsies cinq à six cas seulement de cica- trices encéphaliques, Kast
pense
qu'il serait prématuré d'adopter l'idée de Stru
tion au renvoi des para- graphes 1 et 3 ; quant au paragraphe 2, je
pense
que les explica- tions que nous venons d'échang
ment sur l'exécution de la loi dans tous les établissements. Nous
pensons
, eu examinant la chose de près et en ne nous li
eurs, après avoir accueilli autour de moi bien des observations, je
pensais
que cet article ne serait accepté par personne
is pas supposer qu'il y aurait cela ! Mais je lis mieux que vous ne
pensez
. Messieurs, ce comité-là est absolument inutile
rop avant dans le champ des hypo- thèses, il est permis d'admettre,
pensons
-nous, qu'il existe dans l'écorcedes groupes cel
Ci... étant en somnambulisme, on lui dit ces simples mots : « Tu ne
penses
plus marcher. » Aussitôt les jambes fléchissent,
se redresse d'une façon exagérée alternativement. Il y a lieu de
penser
que l'injonction « Tu ne peux plus marcher » su
l'excitation directe des fibres sudorales. MM. Vulpian et Raymond
pensent
que les fibres excito-sudorales de la face acco
e de toute lésion correspondante du tronc du nerf, que faut-il en
penser
? Nous avons vu que Morse ! ) ! , Ebstein, Rieh
es déductions de Meynert d'après les cas de Kahlbaum z le portent à
penser
que la maladie a été précédée par un pro- cessu
ation, cela est probable, mais il y a quelque chose de plus et nous
pensons
que véritablement, pendant cet état, les hystér
a apoplectique. » Si l'autopsie n'avait pas été faite, on aurait pu
penser
que la malade avait succombé à toute autre chos
gie hystérique pour nous abstenir de donner cette énumération. Nous
pensons
qu'aujourd'hui les phénomènes hystériques sont
nt, délire chronique, débilité mentale, épilepsie ; surtout si l'on
pense
avec M. Magnan que l'épilepsie est une maladie
étranglée ordinaire, nettement marquée. Il y a lieu cependant de
penser
dans l'espèce à une embolie, en considérant l'ins
ont il s'agit n'est lui-même qu'un complément de l'article 11. Je
pense
que M. Bardoux s'associera à la pensée que j'expr
danger pour eux-mêmes. Et ce cas se rencontre plus souvent qu'on ne
pense
. La responsabilité peut être atténuée encore lo
s, des épileptiques et des vieillards dans les asiles d'aliénés. Il
pense
que les enfants âgés de moins de quinze ans, imbé
dit de la part des corps législatifs une grande libéralité, on doit
penser
, qu'on peut demander actuellement des réformes
ure. Si l'avantage pour les malades peut être aussi grand que je le
pense
, le nombre des guérisons s'accroîtra, et le nom
une altération appréciable des centres nerveux'. . Que fallait-il
penser
de ces faits contradictoires ? ` ? Trousseau en
essive d'urines (jusqu'à quatre litres par vingt-quatre heures), on
pensa
qu'il avait une affection rénale(quoiquel'analy
de croire à sa réalité. Et dans quel intérêt Pur... aurait-il dé-
pensé
tant d'astucieuse persévérance ? C'était un homme
t chez elle un champ plus favorable à leur déve- loppement. Nous ne
pensons
pas devoir insister davantage sur cette questio
ent à notre observation à l'état de paralysies isolées ? Nous ne le
pensons
pas. Il y a là des divisions à établir et si le
ntreprendre des expériences au laboratoire. Un instant nous avons
pensé
à l'expérience en rivière. Nous n'y avons pas f
ous le nom de moria postépileptique, est plus fré- quente que ne le
pensait
Samt ; elle se montre non seulement à la suite
centre décoloré et leur pourtour foncé, sont bien faites pour faire
penser
à une action nerveuse, comme cause de ce troubl
océphalie) n'est pas un type rare en France et les anthropologistes
pensent
devoir l'attri- buer, en général, à l'habitude
vons prévoir cette longue et méthodique évolu- tion, que nous avons
pensé
qu'il fallait désigner cette espèce pa- thologi
sans dire cependant sa façon de comprendre ces faits-là, car je ne
pense
pas qu'il songe à nier leur existence. Enfin il d
e ce qui leur donne une importance hors de proportions. M. Briand
pense
que cela ne prouve pas grand chose contre la do
dents du malade et la marche de la maladie. Voyons à présent ce que
pensait
More] des délirants persécutés. Morel en 1860 (
ant le délire ambitieux du paralytique général, du circu- laire, il
pense
qu'en dehors des caractères généraux signalés par
emps il se plaint d'être tracassé par des ennemis ima- ginaires, je
pense
au délire chronique, lequel devient évident pour
re. M. Bernhardt présente une malade atteinte d'accidents faisant
penser
à une (altération centralegliomateuse ? ) localis
e expression générale : « la marche de la maladie » ? Ce serait, je
pense
, plus correct au point de vue du texte et de l'
ar les malades pour expli- quer l'origine de la paralysie. Bérard a
pensé
que dans ces cas il se produisait, sous l'influ
Si l'hystérie de l'homme s'observe si nette, si com- plète, on doit
penser
que les cas où on rencontre des manifestations
ire qu'ils méprisent la douleur et tiennent à la braver comme on le
pense
souvent. Je ne le crois pas beaucoup. Ils ont u
ue chez nous. D'après quelques renseignements, j'ai tout lieu de le
penser
; mais, comme je ne pourrais le démontrer, je n'
eur pantelant sous les bras exposent sa tête au-dessus du foyer. Je
pense
que c'est là un moyen additionnel pour détermin
ice et le sens musculaire. C'est donc à tort que cer- tains auteurs
pensent
qu'il a désigné le sens musculaire sous le nom
rable. Outre les impressions conscientes kinesthétiques, M. Bastian
pense
qu'il y a en outre une série fort importante d'
ions centripètes émanant des muscles, ou émanant de la peau. Ludwig
pense
aussi « qu'il est conce- vable et non invraisem
nsitives. C'est ainsi que Bernhardt (Archiv. für Psychiatrie, 1872)
pense
que des notions de résistance et de poids dériv
s l'écorce un centre spé- cial pour le sens musculaire. Nothnagel
pense
que l'affection de la motilité consécutive à la
res. Etant donné l'état général excellent de la malade on devrait
penser
à une lésion localisée et bénigne. Les douleurs v
publié par M. Déjerll1e, semble confirmer l'opinion des auteurs qui
pensent
que la localisation de la faculté du langage ne d
it d'avoir le premier mis le fait en lumière. MM. Gui- non et Marie
pensent
en outre qu'il y aurait peut-être matière a int
és par fauteur de ceux d'une méningite spinale à laquelle on eût pu
penser
par suite de l'absence de céphalalgie, de contr
aliéné qui pour- rait parfaitement vivre dans sa famille. L'auteur
pense
, en effet, que le traitement des aliénés n'impo
conviendra ? Je ne crois pas qu'on puisse aller jusque-là, et je ne
pense
pas que le Sénat approuve en ce point le projet
endre des mesures dans l'intérêt de l'a- liéné. La commission avait
pensé
et cela résulte de l'ensemble de son travail qu
intervient pas et nous admettons qu'il ne doit pas intervenir. Je
pense
, en effet, que lorsqu'un aliéné reste confié aux
r. Je suis d'ailleurs beaucoup plus dans la question que vous ne le
pensez
. Je dis que c'est votre République qui a, la pr
on. La commission n'accepte pas non plus celle substitution; elle
pense
que lorsque le malade est dans une maison autre q
ion, après avoir délibéré sur l'addition proposée par M. Lacombe, a
pensé
que véritablement elle n'étaitpas nécessaire. N
qu'il est enfermé dans un local où il ne peut s'échap- per. Nous ne
pensons
donc pas que la confusion que redoute l'auteur
e tous les grands personnages, mais encore celle de ses physiciens,
pensa
qu'il pouvait y avoir intérêt pour la gloire de
tudes, qui, tout compte fait, coin- DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 211
pense
et au delà les inconvénients problématiques du
criblé de blessures à Gra- velotte (sans plaie à la tête), etc. Je
pense
, comme M. Strauss, que, sans exagérer l'importa
lui-même augmenter, et, si mes vues sont justes, rien n'autorise à
penser
que cette augmentation doive actuellement s'arr
lade.- Conception. -Pas derapportshabituels dans Jes ivresses. «Une
pensait
qu'àdormiret il était quatre ou cinq jours sans
is le début de ses accès. Pas de kleptomanie, ni de pyromanie. On
pense
qu'il se touche un peu depuis longtemps même dè
as croire que le traitement des aliénés fût aussi inhumain qu'on le
pense
. Sans doute, on n'avait pas constitué de traite
s le 18 mai 1887; j'ai dit, en mon honneur et conscience, ce que je
pensais
de son état, et depuis j'ai laissé sans réponse t
Gaillard, député du déparlement de Vaucluse, j'ai bien le droit de
penser
qu'il n'y a plus de secret SOCIETES SAVANTES. 2
çonneux et mé- fiant, il était devenu communicatif et exubérant. Il
pense
que la syphilis cérébrale chez un fou héréditai
xtravagant ! ... Il demande que tout cela soit oublié puisqu'il n'y
pense
plus lui-même... Il est certain toutefois que des
s toute SOCIÉTÉS SAVANTES. 287 son économie. C'est presque sans y
penser
qu'il aurait pris le train pour Munich; il ne s
it à même de la poche de sa redingote ; c'est alors que le banquier
pensa
à l'envelopper d'un journal. Les experts conclu-
se rendre compte de la conséquence de ses actes.- 2° Il y a lieu de
penser
qu'à l'époque de l'acte incriminé, il était att
a récupéré ses facultés et son calme. M. IDELEIt. Au début, j'avais
pensé
, d'après la manière d'être du malade, à un comm
nt la grandeur de l'initiative prise par le VARIA. 3)5 savant, je
pensai
que le succès obtenu était peut-être dû en par-
on sommeil l'influence de la suggestion mentale : il lui ordonne de
penser
à la même personne que lui. Elle semble deviner
très semblable sur ce point à la nôtre. Interpellée sur ce qu'elle
pense
, elle répond : « A rien » ; mais, dès qu'elle y
mier type, elle n'entend ni ne parle dans l'attaque du second. On
pense
immédiatement à rapprocher cette attaque des gr
nt. Celui-ci a eu lieu à terme, naturellement, sans chloroforme. On
pense
que l'enfant est resté lontemps au pas- sage :
la température. La maladie se termina par la guérison et l'auteur
pense
qu'il a eu affaire à un cas de pseudo-méningite d
ème frontale. 1''L ! REVUE d'anatomie ET DE physiologie. L'auteur
pense
que c'est à cette dernière lésion qu'il faudrait
tales permanentes. J'ai saisi la commission d'un amendement; j'ai
pensé
qu'il était inutile et vous venez d'entendre le
un élément absolument décoratif et l'élément vraiment utile. J'ai
pensé
qu'il valait beaucoup mieux extraire de cette com
faire bénéficier des dispositions de la loi du 9 juin 1853 sur les
pensions
civiles. Mais il a tourné la difficulté en vola
de clinique et sous ma direction pendant cette période de temps. J'ai
pensé
qu'il pouvait y avoir quelque utilité pour ceux q
et à gauche. De ces leçons, travaux divers, notes, observations, j'ai
pensé
qu'il serait utile de faire connaître les plus in
procéder à l'examen du malade que voici et qui présente, à ce que je
pense
, un exemple du groupe de Morvan, je crois utile d
jointe à la déformation considérable notée en avant, me permettent de
penser
que le nerf est soulevé par une crête osseuse dép
mise sur le compte de cette soi-disant attaque d'apoplexie. Peut-on
penser
à un vertige de Menière ? Le malade présente, e
s ce n'est pas cela seulement qui l'a guidé dans son intervention. Il
pensait
, en outre, que l'effet moral produit par cette op
migraine ophthalmique, pour ne parler que de celle-là, il y a lieu de
penser
qu'une ischémie corticale par spasme vasculaire,
cause physiologique de la plupart des accidents. Mais il y a lieu de
penser
aussi que ces lésions purement dynamiques, foncti
nt, mais il doit y rester attaché cependant, vous le reconnaîtrez, je
pense
, avec moi, par les caractères fondamentaux. Il
ysie concomitante du moteur oculaire externe. C'est l'unique fois, je
pense
, jusqu'ici, que cette association de la paralysie
grès du mal ? Mais avant de parler de thérapeutique, il est bon, je
pense
, d'indiquer quelques considérations relatives à l
insi parler. Cette forme d'œdème névropathique ne diffère point, je
pense
, de l'œdème hystérique déjà connu; il n'en est qu
de troubles utérins avec déplacement de cet organe. On aurait donc pu
penser
qu'il s'agissait là d'un cas à ranger parmi ceux
té décrits dans cette maladie. La raison est bien simple. On pourrait
penser
évidemment chez cette femme à l'hystérie en voyan
nnue, grâce aux travaux de M. le professeur Four-nier. Il est bon d'y
penser
dans des cas analogues. Les causes toxiques et
es cas (1) et j'arrive à une cause à laquelle on devait naturellement
penser
chez notre malade, au mal de Pott. C'est une affe
e la sensibilité ni des sphincters. Tout concorde donc à nous faire
penser
à une lésion des noyaux bulbaires et des noyaux d
oumis à une époque de sa vie à l'intoxication plombique, on aurait pu
penser
un instant à une paralysie saturnine (Obs. III).
, sous l'influence du poison plombique et il n'était plus possible de
penser
chez lui à un effet de l'intoxication saturnine.
a moelle. On devra donc toujours, en présence de malades de ce genre,
penser
à la polynévrite généralisée. Mais dans certains
e d'une ou de plusieurs phalanges. Voilà d'assez bonnes raisons, je
pense
, pour être conduit à penser que le syndrome de Mo
langes. Voilà d'assez bonnes raisons, je pense, pour être conduit à
penser
que le syndrome de Morvan ne répond pas à une mal
ons classiques de la syringomyélie. Il ne paraît pas nécessaire, je
pense
, de pousser plus loin la discussion, après tout c
e la claudication intermittente chez les diabétiques pourraient faire
penser
à cette hypothèse. Il pourrait s'agir aussi d'une
les caractères du step-page. En résumé, Messieurs, voici ce que je
pense
dans l'état actuel des choses, tout prêt d'ailleu
omme. C'est la démarche de stepper. Quand vous voyez cela, vous devez
penser
naturellement tout d'abord à la paralysie alcooli
isse. Ainsi dans ce cas, c'est à l'alcoolisme que vous êtes amené à
penser
, et non pas au tabès. L'examen des yeux, l'absenc
lésion des faisceaux postérieurs peut s'associer à la glycosurie. Je
pense
qu'il y a lieu de les diviser en deux groupes :
notablement amélioré. En présence de ces modifications heureuses, je
pense
qu'il nous est permis d'espérer dans l'avenir la
tions de M. Oppenheimsur la névrose trauma-tique ne diffèrent pas, je
pense
, foncièrement des nôtres propres et l'on est auto
, cependant, de façon à rendre plus difficile à cet égard qu'on ne le
pensait
, le diagnostic entre l'hémiplégie capsulaire et l
ie. Mais je crains bien qu'il ne soit obligé de changer de métier. Je
pense
qu'il ne saurait s'exposer de nouveau à retomber
ésie que je vous signalais, il y a un instant, assez de stigmates, je
pense
, pour affirmer que notre malade est hystérique et
bsèdent; nous n'avons pas le sentiment de la parfaite quiétude. Si,
pensons
-nous, notre échafaudage laborieusement construit
tive, je les lègue volontiers. Pour nous, qui savons ce qu'il faut en
penser
, nous n'hésitons pas à dire que ce serait, dans c
En groupant cet ensemble de phénomènes, il n'est pas téméraire, je
pense
, d'affirmer que la syphilis est en cause. D'aille
modique, embarras particulier de la parole, nystagmus, vous serez, je
pense
, entièrement fixés sur la nature de la maladie pr
tômes relatés dans l'observation, la céphalée, les vomissements, font
penser
tout de suite à une tumeur, et c'est en effet cet
réveiller aussitôt; s'éveiller à une heure déterminée pour uriner;
penser
en s'en- dormant qu'il ne faut pas uriner au li
eux nuits mouillées depuis le 24. Suggestion addition- nelle : <
Penser
en s'endormanl qu'il ne faut pas pisser au lit. »
ut haut de ses jeux. Elle pisse au lit depuis sa naissance. Le père
pense
qu'elle fait deux fois par nuit, vers minuit et c
, se reproche d'avoir livré un seeret qu'il aurait dû garder. « Que
penserait
-elle de moi, ajoute-t-il, si elle savait cela ? »
ns. Au point de vue du mode d'action de cette médication Salzburg
pense
, avec Flechsig, qu'on peut admettre : 1° que l'op
ITTI fait remarquer qu'il en est de même en Serbie. M. Roubinowitch
pense
que la Société pourrait intervenir auprès du mé
hosphore, la. cocaïne, la nicotine, l'antipyrine, l'alcool. Nissl
pense
que les cellules ganglionnaires à fonction physio
de confusion hallucinatoire suivis d'amnésie complète, M. Schultze
pense
que les accès de som- meil sont de nature épile
de celles de Lombroso que de celles des adversaires de ce dernier,
pense
qu'on est auto- risé à isoler de la foule des é
ous nous contenterons seulement de rappeler que si Schultze 1 avait
pensé
pouvoir attribuer à la lésion des racines une d
surale et dans d'autres régions dont nous repar- lerons. Carl Mayer
pense
aussi que dans les cas de destruc- tion de la q
if ; s'agit-il au contraire d'un encé- phale primitivement sain, on
pense
, selon la systématisation ou la diffusion relat
Quand le réflexe patellaire manque d'une façon permanente, il faut
penser
à une lésion organique des cordons postérieurs
que le point de départ de l'affection n'était pas imaginaire. Bruns
pense
aussi qu'il est préférable d'abandonner le mot
e amélioration notable de la folie des récla- mations. M Mescuede
pense
qu'il convient de rayer le mot de « querulan- t
pt mois, puis après s'est porté deux coups de rasoir à la gorge. On
pense
à un acte de folie. (Intransigeant du 17 juille
s la coordination, et chez le tabétique les yeux cherchent à com-
penser
les troubles de la sensibilité tactile et de la s
bétique est en développement rapide, le malade ne pourra pas com-
penser
les troubles de la sensibilité, puisque ces troub
s assez circonscrit au pourtour des articulations pour qu'on puisse
penser
à un rhumatisme articulaire. L'immobi- lité, la
procédés de recherche médicaux. A ce point même que l'on pourrait
penser
tout phénomène subconscient mis à part à une vé
que favorise l'immo- bilité du membre parésié ou contracturé. Nous
pensons
en outre que, à la distension des capillaires d
gée lors des entrées successives du malade, reste nulle. On ne peut
penser
à une intoxication alimentaire chronique, chez un
onnaissances sur la pathogénie des maladies infectieuses. , On ne
pensait
pas tout d'abord que la révolution dût se propa-
ports de causalité avec la syphilis et que loin d'être, comme on le
pensait
communément, une maladie constitutionnelle dériva
s la faculté de nous représenter mentalement un objet auquel nous
pensons
; cette faculté acquiert parfois une vivacité exce
our que l'hallucination soit constituée, il ne suffit pas, comme le
pensent
la plupart des psychologues, qu'il y ait extéri
nt, qui les conditionne et les explique. En résumé, messieurs, je
pense
que le rôle du centre auditif, bien que nécessa
sur la véri- table valeur des mots, et je ne pouvais m'empêcher de
penser
que la plupart des phénomènes que notre collègu
t toujours dans l'encéphale les centres sous-corticaux. Or, Meynert
pense
que la perception réelle est toujours fondée sur
cdotes racontées dans les journaux au sujet de AIII° Couesdon, j'ai
pensé
que mon cas de folie était similaire à celui de
ooliques réci- divistes les précautions précitées. M. Charpentier
pense
que les malades à ne pas interner dans les asil
on des asiles en asiles de traitement et asiles d'in- curables ; il
pense
qu'en modifiant ces termes décourageants, on pe
Au risque de tomber dans des redites, après la note de M. Taty, je
pense
qu'on ne saurait trop insister sur cette ques-
comme des déchets sociaux, M. Charpentier ? M. Taty est disposé à
penser
qu'il y a utilité à faire la scission en maladi
. Ils sont véritablement obsédés par l'idée de leur infirmité et ne
pensent
plus qu'à ça, malgré tous leurs efforts pour s'
ur moyen habituel, pour essayer de s'empêcher de rou- gir, c'est de
penser
à autre chose, de « s'attentionner ailleurs »,
eaucoup des types connus et décrits; c'est pour cela que nous avons
pensé
qu'il y avait quelque intérêt à signaler ces fo
exercice enclos de murs, s'il y en a à l'hôpital ? Dire ce que vous
pensez
de leur nécessité et de leur utilité ? 2 44. In
aitements selon les hôpitaux ; cependant la majorité des directeurs
pensent
qu'il vaudrait mieux les uniformiser. 16 et 1
, incontinence d'urine également rapportée à l'hysté- rie. L'auteur
pense
qu'il s'agit d'une myopathie sans aucune lésion
de Parkinson et hystérie à la fois ? Le professeur de Renzi ne le
pense
pas, l'absence de la rigidité caractéristique des
et d'atrophie mus- culaire et des altérations de la sensibilité. On
pense
d'abord qu'il est atteint d'atrophie musculaire
toutes. sortes d'actes puérils. ' Dans le cas en question peut-on
penser
à une tumeur siégeant dans la région antérieure
masses musculaires particulièrement développées chez les criminels,
pensa
qu'une étude comparative de ces apo- 316 REVUE
donc comme causées par une excitation physique du cerveau. Moebius
pense
que cette interprétation ne peut être appliquée
olique elle peut, chez les deux sujets, être élimi- née. L'auteur
pense
que l'interprétation de Wagner, qui nie la nature
e la folie, et qui restent encore aujourd'hui des modèles. J'aime à
penser
que les traditions antérieures se perpétueront
sur la plage, où il se promène au bras de sa femme. Comme bien on
pense
, nous avons eu les mêmes difficultés à vaincre
es anges, bons et mauvais, recevoir d'eux les inspirations, ne rien
penser
, ne rien dire, ne rien faire que sous leur dict
e démonophobe se regarde d'avance, comme perdu, le persécuté obsédé
pense
facilement à une défense possible, car il a, en
l 1846, dans l'asile cons- truit par le département. » Nous avons
pensé
qu'il y avait là une lacune à combler dans l'hi
s considérait comme superflue la construction d'une infirmerie ; il
pensait
aussi que les frais de construction d'une buand
tif à noter, c'est l'absence de crises épilepliformes pouvant faire
penser
a une irritation méningée par une tumeur compri
e pas, à l'origine, de phénomènes dou- loureux, ainsi que l'avaient
pensé
certains auteurs, et la première sensation qu'e
congénitale du sens de la vue ne gêne pas autant qu'on pourrait le
penser
, le sujet atteint de cette affection, en rai- s
proposition et l'ai renvoyé pour quelque temps dans un hôpital. J'ai
pensé
en effet que le traitement hypnotique ne convenai
inue et nous achevons par les moyens usuels l'inhibition commencée.
Penser
, a dit très justement Albrecht Rau, c'est lire le
où les costumes femininssontenmajorite.se -découvrent, comme bien on
pense
, en nombre plutôt restreint On y aperçoit quelque
er. » Voilà 1'opinion d'un homme droit, fier et combatif. Comme lui
pensent
la majorité des hétérosexuels. Et je dois dire qu
rer ces pratiques anormales à un instinct véritable. Pourrait-on même
penser
un seul instant qu'il y ait, en la circonstance,
rès exact basé sur l'origine embryonnaire et alors il est possible de
penser
que ces transformations particulièrement délicate
es. Nous livrons ces observations à l'examen de nos collègues; nous
pensons
toutefois que les homosexuels ont été mal venus e
chez les animaux. Jusqu'à preuve du contraire nous sommes obligés de
penser
que c'est une aberration ou une augmentation anor
ent également de troubles gastro-intestinaux. Certains cliniciens ont
pensé
— et j'ai été de ceux-là — que ces troubles inter
ment. Il faut donc attendre que le malade en arrive, de lui-même, à y
penser
et à le désirer, et encore, dans ce cas, est-il s
éclara n'avoir jamais rien éprouvé de semblable ; elle n'avait jamais
pensé
, dit-elle, que l'on pût accoucher aussi facilemen
cause évidente de l'insuccès de l'hypnose dans le cas présent ; je ne
pense
pas, en effet, qu'il faille-l'attribuer à l'écoul
bles d'aller ». Aujourd'hui nous élargissons cette définition et nous
pensons
qu'elle doit surtout tendre à former les cœurs et
bêles de se retirer des lieux qu'elles intestaient, M. de Kerdaniel a
pensé
qu'il serait instructif de rappeler ces pratiques
le précurseur de tous les autres. Aussi M. Jollivet Castelot a-t-il
pensé
effectuer un travail utile en résumant, en commen
plus rares dans notre système d'éducation. L'auteur cité précédemment
pense
qu'on peut abolir plus facilement les récompenses
atique et de la pédagogie d'ancien régime. D'ailleurs, M. Paul Appell
pense
que. tonte réforme, dans le sens du développement
Paris, ressentais si cruellement nos désastres, c'est à peine si j'y
pense
. Je sens bien que l'Alsace est perdue, que je ne
s qui se rapproche, puis son éclatement. Je compte les coups et je ne
pense
à rien, pas même à la fin du siège de Paris. Je n
lées. La comparaison de ses aptitudes avec celles d'autrui autorise a
penser
que l'on peut légitimement prétendre arriver, dan
ui-ci ne réussit pas. c'est qu'il n'est pas assez vieux. Mais on ne
pense
pas à tout. et. faute de s'être précautionné, il
e l'inévitable esprit de routine, tombent d'elles-mêmes- Beaucoup
pensent
que-lorsqu'il s'agit de guérir un vicieux, un alc
Liégeois était du nombre trop petit de ceux qui à l'heure actuelle
pensent
logiquement sur la suggestion et qui-l'emploient
première fois Mme X... L'hémiauesthésie gauche, l'anorexie, me firent
penser
qu'il s'agissait avant tout d'une hystérique et q
aissait étroitement liée a l'anes-thésie gastrique ; autrement dit je
pensais
que l'idée de suicide était une manifestation pur
tellectuelle et la valeur morale sont plus souvent associées qu'on ne
pense
. Il serait illogique de refuser des récompenses
rès bonne, mais il faut l'avoir trouvée sans la chercher, sans même y
penser
. Le paysan est journellement exposé, dans son t
e hallucination mais une représentation mentale inconsciente. Et elle
pense
alors que son père est heureux puisqu'il a le rep
ssesse ; elle leur trouve les traits fatigués, les yeux cernée ; elle
pense
que ces symptômes sont caractéristiques de la gro
nésie est incomplète. 26 octobre... La malade est plus calme ; elle
pense
rarement à sa grossesse et son esprit ne s'arrête
ntion aux passants ; il ne lui semble plus qu'on la regarde ; elle ne
pense
plus à ses yeux cernés ni à sa grossesse. Elle ne
mander l'heure, k ne pas se renseigner sur les choses au dehors, k ne
penser
qu'au repos, à la pensée du repos. Cela tout le m
dû attaquer avec le bistouri, pour libérer le méat. Il n'y avait plus
pensé
; mais, en présence de cette acné, il se dit :.Ce
n gastrique médicamenteuse, l'acné pullule de plus belle. C'est donc,
pense-t
-il, que sa syphilis ne va pas mieux ; le traiteme
s fortes alors qu'ils ne perçoivent plus les odeurs douces. M. Pitres
pense
que l'anesthésie olfactive pent être bornée à cer
sions. L'épisode de Nisus et de Euryale, au 9* livre de VEnéide, fait
penser
aussi à un attachement homosexuel, source de vert
seulement à celui-ci de fixer l'objet qu'il s'agit de trouver et d'y
penser
fortement. Discussion M. le Docteur ?e?????.
ériences sans contact, il n'est même pas nécessaire que le conducteur
pense
fortement à l'objet ; il suffit qu'il le regarde.
éressé a la production ouvrière ; il se réunit avec des personnes qui
pensent
comme lui, il se forme un comité qui fait des enq
entraîner ù des créations toutes de fantaisie. Au contraire, Il faut
penser
qu'il a voulu dépeindre des types réels et qu'il
e ?. X... fume la cigarette : cette habitude est en grande partie, je
pense
, la cause de sa maladie. Un jour, chez le Dr Chaz
e ne fuma que cinq ou six cigarettes, sans grand plaisir et sans trop
penser
a fumer. De plus, la crise habituelle n'eut pas l
que j'aurais voulu adresser de vive voix au nouveau légionnaire. Je
pense
qu'ils seront nombreux, ceux qui pensent comme mo
x au nouveau légionnaire. Je pense qu'ils seront nombreux, ceux qui
pensent
comme moi que la croix vient trop tardivement réc
de multiplier les exemples. Si c'est à ces procédés que Mme de Staël
pensait
, elle avait raison de dire que * l'éducation fait
es et psychologiques. Contrairement à l'avis du docteur O. Vogt. je
pense
qu'il fnut continuer à mettre sous les yeux des m
¦_'-¦¦' - qui font parmi les paperasses Manger l'heure du Jeu par les
pensons
vonicee El sans eau. sans gazon, sans arbres, nan
ité scientifique de ce qu'il appelait, non sans quelque emphase. « le
penser
analomique. » Dès ce moment, l'idée me vint que «
ase. « le penser analomique. » Dès ce moment, l'idée me vint que « le
penser
psychologique » alors si méprisé, ne tarderait pa
ans l'hérédité des sujets atteints de maladies nerveuses. Mais nous
pensons
que ces affections ne peuvent être rattachées à
et les accidents ultimes qui l'ont précédée. Nous serions portés à
penser
que Sarrazin a succombé à une maladie infectieu
s dans le cas que nous venons de relater, on pourrait être tenté de
penser
qu'il s'agit là d'un exemple de double lésion s
ll (PL. II, fin. 11 et 12) pour que nous ne soyons pas éloigné de
penser
qu'il s'agit ici, contrairement à ce qui est po
clérose systématique. Voilà pourquoi nous ne serions pas éloigné de
penser
que, dans l'espèce, les altérations de la régio
cérébelleux était lésé au même titre que le pyramidal. Les auteurs
pensent
qu'il s'agissait là d'une lésion propagée. 1
il s'y montre turbulent et difficile à maintenir au travail; il ne
pense
qu'à jouer et « cherche à aller aux cabinets avec
re dont la suppression peut entraîner de graves conséquences-, nous
pensons
qu'il serait souvent bon de ne pas y mettre obs
assium, etj'ai ajouté cette phrase caractéristique : « .l'incline à
penser
que je me suis tout à coup trouvé en face d'un
harcot, qui observa Rosa G... dès les premiers jours de la maladie,
pensa-t
-il avoir affaire à un cas d'épilepsie symptomat
e, lui firent abandonner son premier diagnostic, et le portèrent il
penser
qu'il s'agissait d'attaques d'hystéro-épi- leps
moindre lésion anatomique soit appréciable dans l'encéphale, et ils
pensent
que les symptômes de cette maladie devaient êtr
r l'incapacité d'exprimer les pensées par le langage articulé ou de
penser
par des mots. Si, au contraire, elle occupe le
e nez; une très faible quantité seulement peut être déglutie. Aussi
pense-t
-on un moment à nourrir la malade avec une sonde
nent quelquefois le caractère d'élancements et pour- raient faire
penser
aux douleurs fulgurantes du tabes. Ces crampes
pu observer sous la direction de notre maître, nous autorisent à
penser
que l'atrophie de la langue, sans 1 Bulletin de
Les paralysies sont plus communes dans l'ataxie qu'on ne l'avait
pensé
, et déjà en 1876, M. Pierrot les signalait comm
a pathogénie de ces accidents est encore très obs- cure. M. Pierret
pense
qu'il s'agit là de paralysies réflexes. « Les e
ent des caractères cliniques identiques; il est dès lors naturel de
penser
que la pathogénie des premières doit être la mê
des yeux, on ne trouve relaté aucun trouble de la sensibilité. Nous
pensons
que ces troubles n'ont pas'été suffisamment rec
l'urine et l'haleine offrant une réaction caractéristique, l'auteur
pense
qu'il s'opère dans le REVUE DE PATHOLOGIE NERVE
uveaux meurtres. Certains médecins, partageant l'opinion d'Aubanel,
pensent
que tout aliéné qui a commis un meurtre doit êt
aient qu'il n'y avait pas d'aliénés réellement inoffensifs, car ils
pensaient
que tous pou- vaient devenir dangereux à un mom
, et soeur aînée d'une hystéro-épileptique Nous n'avons pas besoin,
pensons
-nous, ayant l'honneur de parler devant des méde
rovisoires ou d'essai n'est donc pas aussi simple qu'on pourrait le
penser
tout d'abord. Elle exige de la part du chef de
et, de la sorte, il pourrait éviter de faire fausse route, quand il
pense
que le moment est venu de proposer la mise en l
M. de L.1 Je ne suis peul,-être pas aussi ennemi des congés que le
pense
M. Christian ; j'en accorde tous les jours, mai
aigus et chroniques de la commune de Copenhague. ,. '11' Ii Les
pensions
, dans, ces asiles, comme à l'hôpital, sont de tro
e du même avis, et, bien que n'ayant pas de preuves à fournir, nous
pensons
qu'il existe dans le pédoncule un faisceau de f
ns des muscles ni anomalies dans le résultat de l'examen électrique
pense
qu'il s'agit là d'un défaut de développement pa
aussi qu'Esquirol (1838), Benaudin (1842), Parchappe (1846) avaient
pensé
11'influence possible de la profession et qu'un
nécessitent un travail de nuit ou un sommeil trop court. Quand on
pense
à l'extrême fréquence et à la gravité des in- s
u'on en trouve quelquefois chez les hys- tériques ; j'étais porté à
penser
ainsi parce que dans la suite de l'histoire de
rce indemne ; quand l'écorce diminue de volume, s'atrophie, on doit
penser
a une atrophie fondamentale des éléments cortic
lenticulaire sont très fréquem- ment liées à l'aphasie. M, Meynert
pense
que les hémiplégies consé- cutives à la destruc
se décrit par lui ; les cellules n'en sont pas aussi petites que le
pense
Roller. Une partie des investigateurs nie le ra
S SAVANTES. qu'elle indique une lésion des cordons postérieurs'. Il
pense
qu'il n'existe aucun rapport fixe entre l'état
uses : chaque section constituait un morceau de filigrane. M. Arndt
pense
que le liquide de l'oedème s'était collecté dans
f, droit dont il userait dans le plus grand nombre des cas, et nous
pensons
, en outre, qu'il serait indispensable que le mé
n est de 235,000 habitants. Nous avons résumé plus haut les prix de
pensions
. Disons ici que les indigents de Copenhague y t
municipale tranche les questions de solvabilité et de réduction des
pensions
. L'hôpital Saint-Jean est situé à vingt minutes
- vice à faire des remplacements, les membres du cinquième groupe
pensent
mettre de la sorte l'Administration en mesure de
qui leur avait fait passer une nuit et une journée d'inquiétude On
pense
, dit la Vallée d'Eure, que cette petite fille n
n contre laquelle nous devons tout d'abord nous prémunir. On pourrait
penser
que ces anévrysmes sont une lésion, sinon constan
che à son origine. La coexistence de ces diverses lésions nous a fait
penser
que la périartérite scléreuse que nous venons de
i ont été employés déjà pour la recherche du vaisseau rupture où l'on
pensait
trouver la source de l'hémorrhagie sont tous défe
de conducteurs aux irritations jusque dans les muscles. M. Charcot
pense
donc que les nerfs moteurs et sensitifs seuls doi
rhémorrhagie, on doit également, et pour la même raison, se refuser à
penser
que le raptus sanguin et les néoplasmes datent du
ses particularités offertes par ces néo-membranes ! Les auteurs qui
pensent
que les néo-membranes sont produites par un exsud
d'un épanchernent sanguin dans la cavité arachnoï-dienne ? Nous ne le
pensons
pas. La perte de connaissance n'a duré que très p
e doute. D'un autre côté, relativement à l'hémorrhagie méningée, nous
pensons
que, loin d'avoir pris la moindre part à la produ
uté les opinions contradictoires émises sur ce sujet. Pour nous, nous
pensons
avec Kolliker que ce feuillet n'existe pas en réa
s cas. Il n'est représenté que par une couche d'épithélium. M. Brunet
pense
que les néomembranes sont produites par un blastè
s, à la vérité très rares, de variole, de scarlatine et de typhus. Il
pense
que si les produits pachyméningïtiques ont souven
ire de M. Bailla r-ger, dès 1826, M. Calmeil avait été conduit déjà à
penser
que la formation des fausses membranes peut précé
veloppe et la montre d'une application plus générale qu'il ne l'avait
pensé
d'abord ; c'est ensuite la thèse de M. Brunet. Ce
des dans les cas qui nous occupent spécialement. Or si, comme nous Je
pensons
, l'inflammation néo-membraneuse de la dure-mère p
oposée se montre-t-elle à la hauteur du but à atteindre? Pour moi, je
pense
qu'une observation remplissant toutes les conditi
n'avons pas trouvé, à la vérité, qu'elles répondissent, ainsi que l'a
pensé
l'auteur que nous venons de citer, à une subinfla
que nous venons de citer, à une subinflammation des muscles, et nous
pensons
, au contraire, qu'elles relèvent le plus souvent,
l'action des pièces d'or parleur double composition or et cuivre, et
pensait
que l'or absolument pur ne pouvait donner lieu à
arition des couleurs n'est pas constant, ainsi que M. Landolt l'avait
pensé
tout d'abord. Une hystérique a perdu d'un côté la
uire, pour que ce phénomène ait, en réalhé jiujsl manifester. Si vous
pensez
au chatouillement qui peut se produire sur un poi
e désignée par l'attention, un chatouillement effectif. Nos collègues
pensent
donc que les phénomènes de sensibilité qu'on obse
r, les autres au zinc, d'autres à un autre métal. Il est difficile de
penser
qu'elles fassent délibérément le choix d'un métal
l'état normal, est présentement complètement abolie. Il y a lieu de
penser
que la malade est encore sous le coup de la diath
il y en a trois qui sont extrêmement améliorées, mais qu'on doit, je
pense
, considérer comme placées encore sous le coup de
pareil sujet, M. Charcot n'a pas craint d'en aborder l'étude ; car il
pense
que tous les phénomènes d'ordre naturel, quel que
déjà été reconnus depuis longtemps par le père Athanase Kirscher, qui
pensait
que la cause de ces phénomènes résidait dans Vima
n part avec ce poinçon : elle ne s'en aperçoit môme pas. Nous avons
pensé
que si l'aimant agissait par les courants d'induc
s ne sont, d'ailleurs, pas l'apanage exclusif de l'hystérie, comme le
pensait
autrefois Briquet ; j'ai démontré qu'ils peuvent
t plus souvent à gauche qu'à droite ; après l'avoir cru longtemps, je
pense
aujourd'hui qu'il existe à peu près autant d'obse
bien simple, et, après moi, vous pourrez en faire tout autant, car je
pense
bien que vous ne me supposez pas un pouvoir surna
se rapprochant plus ou moins de celles posées par Pflûger? Nous ne le
pensons
point, parce qu'elle est subordonnée au degré d'a
t ainsi qu'il est possible de donner d'une façon assez satisfaisante,
pensons
-nous, la raison physiologique de l'attitude des d
ain nombre de raisons que nous exposerons plus loin, nous inclinons à
penser
que la contracture est ici, comme ailleurs, le ré
ion photographique de cette expérience déjà délicate. Néanmoins, nous
pensons
que ce mouvement des narines s'est inscrit assez
vec la contracture permanente hystérique. Elles pourraient persister,
pensons
-nous, fort longtemps. Nous n'avons pas prolongé l
r la contracture ; mais il existe bien d'autres raisons qui nous font
penser
que là, comme dans le reste du corps, le phénomèn
qui a lieu dans le strychnisme. Les preuves sont nombreuses qui font
penser
à une modification fonctionnelle du centre nerveu
ique (nerfs et muscles). Ce phénomène a été suffisamment décrit, je
pense
, sous le nom hyperexcitabilité neuro-musculaire d
es régions dites motrices de l'encéphale ne saurait rendre compte, je
pense
, de ces résultats. 11 y a donc là bien des inconn
es sont dès l'origine les résultats delà suggestion. Il n'en est rien
pensons
-nous. Il en est de ces propriétés comme de toutes
agissait d'un myxoedème fruste ou,pour mieux dire, at- ténué ; nous
pensions
pouvoir affirmer d'avance que le corps thyroïde é
ps. Elle riait, elle pleurait avec la plus grande facilité, elle ne
pensait
qu'à jouer, elle devenait vaniteuse et extrêmemen
e de prendre la moindre décision, « comme un enfant ». Idées de dé-
penses
, d'achats ; rires ou pleurs sans motif. Il restai
-il, en premier lieu, d'ostéo-arthropathies tabétiques ? Nous ne le
pensons
pas. Les os des tabétiques en effet ne présente
Au point de vue clinique, ces déformations ostéo-articulaires, font
penser
au premier abord (il suffit d'examiner les photog
s, le trai- tement mercuriel a donné des résultats positifs. Nous
pensons
que le cas de notre malade peut venir s'ajouter à
malade n'a commencé à marcher qu'à cette même année. Aussi faut- il
penser
qu'il n'était pas normal probablement dès sa nais
e thymus conserve son activité d'une façon prolon- gée ; et on peut
penser
avec Andershon, Noël Paton que l'entrée en fonc-
lution de cet organe qui appartient à l'enfance. Mais que faut-il
penser
dans notre cas de l'état de la glande pituitaire
insi dans le cas de Hudovernig), nous croyons qu'on est en droit de
penser
que la pituitaire a été, elle aussi, intéressée.
s organes génitaux. Mais, ce qui dans notre cas nous a fait surtout
penser
à un trouble de la fonction hypophysaire, c'est
gigantisme observé chez l'oncle de ce géant. Ce fait nous porte à
penser
qu'il y a dans la famille de ce malade une véri
le faillit se noyer dans un naufrage). Basé sur ces faits, l'auteur
pense
que c'est surtout l'hérédité qu'il faut incrimi
utres glandes à sécrétion interne. Nous ne savons pas ce qu'il faut
penser
au juste de cette action directe de l'hérédité,
e point de départ dans ce cas n'est pas la glande thyroïde. Il faut
penser
dans ce cas comme dans le nôtre à une autre gla
de certaine forme de l'hémiplégie cérébrale infantile, fut amené à
penser
qu'à ces particularités cliniques devait corres
fantile et de beaucoup des cas d'hémiplégie cérébrale infantile. Il
pense
, lui aussi, que dans la plupart des cas les pro
], (3). En présence de ces faits il paraît d'autant plus logique de
penser
, comme Oppenheim (4) l'écrivait dès 1897, « qu'
igts. Quant à l'explication que l'on peut donner de ces faits, nous
pensons
.158 LONG qu'il n'est nul besoin d'invoquer u
ces cas encore la vraie cause nous échappe. Nous pouvons pour- tant
penser
à un trouble évolutif en rapport peut-être avec d
Les nerfs trophiques n'ayant été jamais démontrés on doit forcément
penser
aux vaso-moteurs. Pourtant le caractère variable
hantiasis où le système lymphatique est le plus atteint, autorise à
penser
avec Valobra (16), qu'il pourrait bien s'agir dan
t parce que c'était trop simple, mais aussi peul-être parce qu'on a
pensé
qu'il fallait parer la science pour la faire ac
soin - passez-moi l'expression qu'on leur dore la pilule ? Je ne le
pense
pas. La science toute nue est faite aussi pour
ite que la gauche ; quoiqu'il soit difficile de se pronon cer, nous
pensons
que c'est la première qui est atrophiée, mais nou
surdité; et, d'autre part, si les troubles dentaires doivent faire
penser
à l'hérédo-syphilis, ils ne sont cependant pas
) ne pro- nonce pas son nom, même pour l'éliminer ; Brinswanger (2)
pense
que « tous les cas de mydriase hystérique peuve
riase'hyslérique doit être soumis à la règle suivante : on ne devra
penser
à la possibilité de l'hystérie qu'après avoir é
us délicat ; mais, chez ce jeune homme, tout symptôme pouvant faire
penser
à la lèpre fait défaut (pas de séjour dans un pay
bonne influence sur l'état psychique des troupes. Voilà pourquoi je
pense
que le laps de temps compris entre le 27 janvie
i eurent l'occasion d'ob- server la cheiromégalie ou la podomégalie
pensèrent
à une combinaison de l'acromégalie et de la syr
rs aucun stigmate de rachitisme, ni trace de fracture pouvant faire
penser
à la dysphasie périostale. HÉMIMÉLIE AVEC A
pement et que la production de bourgeons n'ait pas lieu ». Chaput
pense
pour son observation à « un étranglement du membr
oin, donne lieu, d'ailleurs, à des variétés nombreuses. On pourrait
penser
à des constrictions soit par des brides amnioti
ui est la cause de l'absence de ce muscle. » Michel, Jean, Cousin
pensent
également que dans leurs observations, il s'agi
bstacle s'op- posant à leur développement. >7 Infroit et Heitz
pensent
aussi : « que leur hémimélie avec absence du pé
d'être résolu. Dareste admet une compression amniotique. Mouchotte
pense
que peut-être pourrait-on penser pour sa '28 ob
e compression amniotique. Mouchotte pense que peut-être pourrait-on
penser
pour sa '28 observation d'hémimélie à un arrêt
lis héréditaire, et ayant évolué pendant la vie foetale. Larcher ne
pense
pas que la « coïncidence signalée dès longtemps p
es indications de Warren Harmon Lewis, combien il paraît logique de
penser
qu'il s'agit, dans notre cas du moins, d'un arr
articulière à ces stases ou transsu- dations lymphatiques efon peut
penser
que son trophaedème est dû à une transsudation
facteurs qui règlent le métabolisme calcique nous devons forcément
penser
à l'insuffisance thyroïdienne. L'un de nous a s
ipation des hypo- thyroïdiens à un trouble du même genre. M. NETTER
pense
également que la glande thyroïde a un rôle impo
ier, Taurone relevait la tête en tournant le visage à gauche. Cela,
pense-t
-il, devint chez lui une habitude. Tout de suite
a conversation, il avait coutume de tourner la tête à gauche, et il
pense
que c'est pour regarder l'interlocuteur de son me
irrité ; bientôt il s'en préoccupe, s'en inquiète ; il ne cesse d'y
penser
, s'observe, s'analyse. A ce mal irritant s'ajoute
position joints à l'appréhension de ne pas pouvoir y réussir. J'ai
pensé
qu'il fallait essayé de rendre au miroir sa ver
devant le miroir, mais sans succès. En présence de cet état, j'ai
pensé
qu'il fallait profiter de ce que les contrac- t
spirer le camphre ; je réduirai ainsi encore ma ration de tabac. J'ai
pensé
au camphre à cause de sa réputation calmante. -
lorsqu'on échappe aux effets de celle-ci encore in- complète, si on
pense
exécuter un mouvement dans la région atteinte ou
t-il pas mieux pour obtenir de la rééducation les meilleurs effets,
penser
à bien faire pendant les exercices, et bien fai
ire pendant les exercices, et bien faire, que.... bien faire sans y
penser
? Vous me pardonnerez de vous communiquer des i
r à ce résultat, il est très juste de dire que le vrai moyen est de
penser
à bien faire, plutôt que de bien faire sans y pen
i moyen est de penser à bien faire, plutôt que de bien faire sans y
penser
. Il importe au début de simplifier au maximum t
vous signalais a eu des consé- quences bien plus funestes que je ne
pensais
,. Le fléchissement que j'avais 500 HENRY MEIGE
exci- tabilité générale ne s'est pas sensiblement aggravée, me font
penser
que je suis bien dans le genre de crise que j'i
eillerez pour arriver, si possible, à une guérison complète. ' Je
pense
depuis quelque temps à me procurer un « Exerciser
Quelque reproche qu'on puisse - adresser à cette expression, nous
pensons
qu'elle désigne mieux que toute autre le désord
des cellules des cornes antérieures qui est exagéré, mais certains
pensent
que ce pouvoir reste normal et qu'il y a au con
cité de l'affection (le sujet a actuel- lement vingt ans) permet de
penser
à ce diagnostic sans qu'on ait de certitudes cl
af- faiblissement progressif des facultés, qui devait surtout faire
penser
à la démence primitive. Les signes physiques
aggraver. Le malade est actuellement en état de démence. L'auteur
pense
que la folie de l'oncle du malade a bien pu agir
logie des maladies du cerveau et de l'entendement; il faut toujours
penser
à elle, la suspecter surtout lorsqu'on est déro
es dissertations sur les localisations médul- iairea. Le professeur
pense
qu'il n'est pas exact d'inféoder le syn- drome
ant, moyennant quoi ils réintégreraient leurs cellules. Comme on le
pense
bien, M. le directeur qui en cette occasion a m
décrits dans cette maladie. La raison est bien simple. On pourrait
penser
évidemment chez cette femme à l'hystérie en voy
une affection cérébrale ou céré- 1ro-splIJale; nous sommes portés à
penser
que le siège des lésions MALADIE DES TICS ET TR
autre chose que des manifestations purement hysté- riques. Buzzard
pense
, au contraire, que l'hystérie est trop souvent
eut-être en serait-il de même pour le charbon. Le premier, Leudet a
pensé
que les paralysies par le charbon pouvaient êtr
PARALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON. 229 sommes conduit à
penser
qu'il y aurait peut-être dans certains cas, lie
ation à lire et à mé- diter le travail de Kandinsky, qui « pousse à
penser
et offre beau- coup de matériaux ». Mais que M.
mélancoliques chez les diabétiques par le traitement du diabète, il
pense
qu'il existe une relation entre la dépression m
qu'il paraît plus calme, et le second dès qu'il s'agite un peu. Il
pense
qu'avec une section, bien organisée au point de
ceux-ci sont réservés pour ceux seuls qui ont commis des délits. Il
pense
donc qu'il suffit de maintenir l'état de choses a
ction entre les aliénés criminels et les criminels aliénés, mais il
pense
que les plus dangereux ce sont les aliénés déli
ablir les rapports entre le trau- matisme et la folie. M. Dubuisson
pense
que le traumatisme peut provoquer toutes les fo
t l'atrophie portait également sur l'hémisphère droit. M. Dubuisson
pense
que la perte de substance est due à un trouble
pé- cifique. Dans toutes, il s'agissait d'anciens syphilitiques. Il
pense
que, dans tous les cas où il est impossible de
es aux sujets traités par le profes- seur. Et quand on l'a lu, ou y
pense
sans cesse, on le médite silen- cieusement, mal
us l'influence d'une émotion, d'une peur. Il suffit souvent qu'elle
pense
au sco- tome pour que celui-ci apparaisse. Inve
l'apparition des crises ; une peur, une émo- tion, le fait seul de
penser
à sa maladie suffisent parfois à les faire naît
cette opinion. DE LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE HYSTÉRIQUE. 333 - Nous
pensons
, au contraire, avoir démontré^ avec toute la ri
t la solution définitive. Elle peut être adoptée aussi par ceux qui
pensent
que les diffé- rents appareils de l'organisme a
tributaires des segments de la moelle dans la cavité crânienne. Je
pense
pouvoir en démontrer l'application à un nerf cr
e ne le crois pas; je n'y vois qu'une simple modifica- tion. Je
pense
que si les histologistes autorisés reprennent c
trouvait ces doctrines qu'il lui exposait très intéressantes, elle
pensait
que c'était peut-être vrai qu'il y avait des es
ouvent des réincarnations : a D'après ce que mon mari me disait, je
pensais
que j'avais peut-être été autre chose avant. »
and on est mort on est bien mort ». Mais autrefois, chez elle, elle
pensait
comme son mari, qu'elle avait été inquisiteur e
scription que nous en avons donnée est tellement classique que nous
pensons
ne pas devoir insister. Ce diagnos- tic étant a
e est bien réelle- ment arrivé ; 2° que cela est arrivé comme on le
pense
; 3° que c'est arrivé quand on le pense 1. D'où
cela est arrivé comme on le pense; 3° que c'est arrivé quand on le
pense
1. D'où il résulte qu'il y a trois portes ouver
rer » sous un de ses aspects q les localisations du cerveau, » j'ai
pensé
en considérant les nombreux travaux publiés dan
'animaux. Une bonne interprétation de ces phénomènes comporte, je
pense
, une explication suffisante des principales objec
font normalement et on peut garder l'animal indéfiniment. Flourens
pensait
que l'ablation des hémisphères annihile tous le
de Flourens comme non démon- trées d'une façon convaincante, Longet
pense
que l'ablation des hémisphères enlève seulement
mouvements d'après leurs impressions rétiniennes. -- Mackendrick '
pense
que l'ablation d'un seul hé- misphère produit l
ènes décrits par Munk indiquent une cécité complète des pigeons, il
pense
que tous ceux qui ont soutenu que l'ablation de
lumière, excepté la contraction ou la dilatation de la pupille. Il
pense
que c'est par hasard qu'ils évitent les obs- ta
t des sièges différents. Les expériences de Bouillaud ont t été, je
pense
, confirmées par mes propres expériences chez les
riences n'ont fait que soulever la question de localisation, et on
pensait
généralement que, en ne considérant tout au moins
nombre d'enfants faibles d'esprit et anormaux qui fréquentent les
pensions
, les écoles élémentaires publiques, industrielles
brisant les carreaux des autres fenêtres, criant et gesticulant. «
Penser
à le rattraper par le même chemin, c'était expose
- voirs ou de certaines qualités propres à eux seuls » . Camus et
pense
que ce sont également des délirants chroniques; M
us haute idée, ce n'est pas un mégalo- maniaque véritable, et je ne
pense
pas qu'il doive être rangé parmi les délirants
s finissent-ils par être atteints de délire ambitieux ? Morel ne le
pensait
pas. Cependant, dans la discussion à la Société
r mode d'apparition, de leur caractère, de leur évolu- tion, nous
pensons
qu'il s'agit ici d'une association ' Bullet. de
cas d'association tabético-diabétique sont plus fréquents qu'on ne
pense
. Il est probable qu'un certain nombre d'entre e
Cependant, quoique le diagnostic de ces cas ne soit pas ferme, je
pense
qu'on ne peut sûrement, dans aucun d'eux, élimi
euls que j'aie pour le moment sous la main, suffiront amplement, je
pense
, pour vous donner une idée de ce que l'on doit
rrêt exercé sur la moelle en état d'hypérexcitabilité. On pouvait
penser
que si des spasmes musculaires étaient provoqués
essé de travailler à la machine, et qu'elle garde le repos, elle ne
pense
plus à accuser la gravidité. Espérons que la gr
ent cette opinion, qui a bien des chances d'être vraie, les auteurs
pensent
qu'il n'y a pas lieu, au point de vue qui les o
, de menacer ou de frapper leurs ennemis ima- ginaires, d'autres ne
pensent
qu'à les tuer. J'ai dans mon service un persécu
a règle, la dégénérescence peut aussi parfois être acquise. Je ne
pense
pas devoir mentionner l'homicide com- mis parle
énin et guérissent facilement même sans inter- vention. M. Lecorché
pense
également que ces para- lysies sont par essence
propos des commentaires de l'observation III, ce qu'il fallait en
penser
. Cette atrophie diffère, si toutefois elle existe
parler sa pensée et de causer seule tout le temps; auparavant elle
pensait
sans parler. D r i i t . ' J. Séglas et P. Be
isin malade; elle cherchait un prétexte pour y -aller. Alors elle
pensait
à ses enfants. « Quel mal vqis-je leur faire, se
léchir avant d'acheter sa maison ? qu'elle a été bête. Elle ne peut
penser
à 'autre chose. A propos de n'importe quoi elle
nir, et son état d'in- décision est tel qu'elle désire la mort sans
penser
à se la donner. Elle présente de la conversatio
yeur à tout le monde, tellement la terreur est en moi. J'ai peur de
penser
des choses qui ne sont pas bien. » Elle a con
ût mise à l'âge de trois ans, quand on chuchotait près d'elle, elle
pensait
qu'il y avait un mystère dans sa famille. Elle
t affolées de voir une physionomie comme la mienne. » « Hier j'ai
pensé
, à propos de ma tristesse, que mon fils m'avait
e, de la vue et du goût. Nous avons vu ce qu'étaient ses voix. Nous
pensons
que les hallucinations de la vue et de l'ouïe n
il n'est encore qu'imparfaitement connu; c'est pourquoi l'auteur a
pensé
qu'il y aurait quelque intérêt à donner de ce c
dou- 1220 REVUE DE pathologie mentale. leurs lombaires conduit à
penser
que la maladie reconnaissait pour cause une lés
C.-T. DENT. (The Journal of Mental science, avril 1889.) L'auteur
pense
que la folie consécutive aux opérations chirurgi-
que la guérison de la folie chronique n'est pas aussi rare qu'on le
pense
et qu'on l'enseigne généralement. R. M. C. 234
l'avocat (Hilarité.) , 111 Fontaine DE Rambouillet. M. le Dr Magnan
pense-t
-il qu'il soit salutaire pour la malade d'aller
ns. r- Quelques renseignements, pris à la volée, me don- nèrent à
penser
qu'il s'agissait d'un cas de somnam- bulisme sp
s continue à parler, à écrire, à exprimer par des signes ce qu'il
pense
, on sait aujourd'hui que cet état correspond à
ître vénéré, ou plutôt c'est notre maître à tous, M. Charcot, qui a
pensé
qu'une leçon de psychologie pathologique ne ser
egré 80 que Berthe est déjà tombée en arrière hyp- notisée. n Que
pensez
-vous de ces observations ? Quel est votre avis
les. Renoncer aux hypothèses, c'est renoncer à comprendre et même à
penser
. C'est par elles que la science ressemble à l'a
ous voyons un drapeau, quand nous entendons la cloche qui nous fait
penser
à l'arrivée du chef de service, ou simplement q
a ordonnés. Alors il est perdu, il est empoisonné, il va mourir. Il
pense
que peut-être, en priant, il sera délivré, sauv
rances des autres, encore bien que lui-même en soit l'auteur. Il ne
pense
qu'à lui, à ses chagrins, à ses douleurs, a ses
soixante coups de son arme à cha- cune de ses victimes ? z A... a
pensé
que c'était M... qui l'avait ensorcelé par suit
colies pures que les pseudo-hallucinations et les illusions. » Nous
pensons
que les pseudo-hallucinations dont parle Schuele
he et 120 pulsa- tions de la radiale droite. Elle meurt le soir. On
pense
à une hémor- rhagie méningée. On trouve à l'aut
lésion de la dure-mère; pas de pachyméningite de ce côté. L'auteur
pense
que ce cas vient à l'appui de la théorie par la
s auteurs dénomment celle globuline du terme de neuroglobuline. Ils
pensent
que les neuroglobulines des différentes espèces
it reproduit dans la nouvelle loi en préparation. M. CHRISTIAN ne
pense
pas qu'un semblable questionnaire puisse trouve
glace emplâtre crânien à la cantharide. Il y aurait donc lieu de
penser
qu'il s'est produit de la méningo- encéphalite
rent des convulsions sur un membre normalement développé. De là à
penser
qu'il s'agissait d'un exsudat méningitique qui, a
trouveriez tous qu'elles sont par trop au-dessous de ce que vous en
pensez
vous-mêmes, car vous l'avez vu à l'oeuvre et cela
le croire, de la chute qu'elle fit du premier élage... Hier, elle
pensait
renouveler l'expérience, mais en l'entourant ce
moment, il ne nous paraît pas possible de préciser davantage. Nous ne
pensons
pas que l'on puisse dire, par exemple, quelle est
vement, une petite note d'où nous détachons le passage suivant : « Je
pense
, comme vous, que cette fréquence des localisation
ral et en particulier des lésions tuberculeuses. Nous n'avons pas, je
pense
, à regretter de lui avoir accordé quelques dévelo
r. Ah ! oui, j'en ai avalé ! C'est si bon, les bains de mer. Oh ! j'y
pense
encore... M. Emile nous regardait. Marie-Jeanne n
onfirmés auraient présenté antérieurement des accès de somnambulisme,
pense
que ce dernier état se rapproche à ce point de l'
ontaire de l'urine et des matières fécales. Mais si on avait pu alors
penser
à l'épilepsie en raison de ces deux phénomènes :
nocturno et le somnambulisme hystérique. Nous serions plutôt porté à
penser
que les premières crises purement nocturnes étaie
sedlitz, l'eau de mer... C'est si bon les bains de mer !... Oh ! j'y
pense
encore. M. Emile nous regardait. Marie-Jeanne n'a
riture et paraît fort étonné d'avoir écrit tout cela en une heure. Il
pense
qu'on a dû le faire écrire pendant qu'il « dormai
de B..., le journaliste, est avant tout un ouvrier de la plume. Il ne
pense
, dans le somnambulisme, qu'au journal, à la copie
se dans le cerveau d'une cataleptique au repos, mais il est permis de
penser
qu'il est absolument inactif. Chez le somnambule
enir de ce qui s'est passé pendant l'état somnambulique, de ce qu'a
pensé
, exécuté la personne délirante. Celle-ci a-t-elle
onfirmés auraient présenté antérieurement des accès de noctambulisme,
pense
que ce dernier état se rapproche à ce point de l'
« Il est des sujets, et peut être sont-ils plus nombreux qu'on ne le
pense
, chez qui la plupart des manifestations tant psyc
iodes, contrairement à ce qui a lieu dans le grand hypnotisme. » Je
pensais
alors que les caractères somatiques et psychiques
Je ne veux pas entreprendre de vous expliquer ces phénomènes, car je
pense
que dans leur étude nous n'en sommes encore qu'à
rique, plaide en faveur de la même hypothèse. M. Binet, M. Azam (2)
pensent
que cette seconde personne, qui se manifeste pass
notisme spontané. Pour les mêmes raisons que je donnais ci-dessus, je
pense
qu'il vaut mieux ranger aussi ce cas dans ceux de
l'intermédiaire de phénomènes convulsifs, il est peut-être permis de
penser
qu'elle en sort également par le même procédé. Ce
ciellement. En ce qui concerne le premier point, on est en droit de
penser
, raisonnant d'après ce qu'on a vu dans la suite e
existe à l'égard de cette amnésie, qui devrait cependant lui donner à
penser
, une sorte d'indifférence qui la lui fait accepte
re et nous-mêmes, bien qu'il fût en somme assez naturel. Mais nous ne
pensions
pas sur le moment que la malade pût reconnaître
'amnésie par choc moral? Nous verrons tout à l'heure ce qu'il faut en
penser
. Je vous disais, Messieurs, que cette femme ava
ond, un épuisement nerveux consécutif à cette longue crise ? Je ne le
pense
pas. A mon avis, il s'agit simplement d'un équiva
dire pseudo-tabes d'origine diabétique? Nous ne le croyons pas. Nous
pensons
que, dans certains cas, l'interprétation doit êtr
de leur mode d'apparition, de leur caractère, de leur évolution, nous
pensons
qu'il s'agit ici d'une association du tabès avec
ces cas d'association tabético-diabétique sontplus fréquents qu'on ne
pense
. Il est probable qu'un certain nombre d'entre eux
ie. Cependant, quoique le diagnostic de ces cas ne soit pas ferme, je
pense
qu'on ne peut sûrement, dans aucun d'eux, élimine
nière. Traduction française de J. Morin, 1885. vention. M. Lecorcbé
pense
également que ces paralysies sont par essence mob
, à propos des commentaires de l'observation III, ce qu'il fallait en
penser
. Cette atrophie diffère, si toutefois elle existe
ue à la nôtre, a paru difficile à interpréter à ce dernier auteur. Il
pense
que la différence de structure des noyaux et des
, qui épargne même à ce niveau la plus grande partie du noyau. Nous
pensons
donc que si dans notre cas il n'a pas existé de p
'une semblable déformation, lorsqu'on le fait déshabiller, doit faire
penser
tout de suite à la maladie myopathique. En ce q
te à la maladie myopathique. En ce qui concerne la pathogénie, nous
pensons
qu'il y a lieu de se rallier à l'hypothèse émise
l'absence de recherches anatomo-pa-thologiques précises, on pourrait
penser
qu'il s'agit là, comme pour les déformations crân
seul existé, concurremment avec les crises convulsives, on aurait pu
penser
qu'il s'agissait simplement de migraine ophthalmi
Le patient ne voit pas son contremaître ni son marchand de vins, il y
pense
seulement et cette idée obsédante, angoissante, q
s manifestations psychiques est tellement prédominante que nous avons
pensé
plus naturel de la classer parmi les cas d'auras
s seuls que j'ai pour le moment sous la main, suffiront amplement, je
pense
, pour vous donner une idée de ce que l'on doit en
que la critique des faits allégués parles auteurs, nous conduisent à
penser
, au contraire, que rien n'est moins solidement ét
issance un peu profonde de la nosographie saturnine ne permet pas, je
pense
, de s'arrêter à cette vue. Puisons, en effet, l
nerveux que présente notre malade? Cela me paraît vraisemblable. Je
pense
que, chez un sujet prédisposé, l'hystérie peut êt
Messieurs, à exposer ma profession de foi, et je puis m'en tenir, je
pense
, à déclarer une fois de plus que, dans mon opinio
portée au type clinique. Néanmoins, quelques auteurs continuaient à
penser
que l'affection est à son origine une névrose. To
placer dans une flexion exagérée et rester fixés en contracture. Je
pense
en avoir assez dit pour mettre en évidence l'infl
u. Il y aurait donc là une influence personnelle qui donne beaucoup à
penser
. Je dirai même plus, il ne s'agit pas seulement c
mènes sont tellement accentués qu'un médecin instruit a été conduit à
penser
que, dans ce cas, la lésion spinale était primiti
ssait dans toute l'étendue du côté gauche. Cette circonstance donne à
penser
que, chez notre malade, la tendance Voir p. 38.
nstant votre attention. Mais avant d'en venir là, il conviendra, je
pense
, de compléter par quelques détails l'histoire de
ulateur. suffisamment probantes de la légitimité de l'affection. Je
pense
que j'ai suffisamment insisté, et qu'il est établ
ent d'être dit à propos de la contracture de notre jeune malade, nous
pensons
l'appliquer point pour point, au cas du sujet mâl
jeune fille que je vous ai déjà présentée l. Vous acceptez déjà, je
pense
, qu'il s'agit là d'une attitude pathologique parf
essaires pour entraîner la conviction. Cela ressortira pleinement, je
pense
, de l'exposé dans lequel j'entre immédiatement.
rte, dont le siège paraissait êlre dans le creux poplité ; nous avons
pensé
que l'obstacle résidait dans les tendons des fléc
de tout mélange, de toute complication. Il ne sera pas inutile, je
pense
, afin de mieux faire ressortir l'intérêt qui s'at
ort couramment le français. 11 déclare néanmoins qu'il ne peut plus
penser
en français et qu'il ne parle celte langue qu'en
utre, c'est le seul point de différence. Mais il faut reconnaître, je
pense
, que ce caractère dislinctif n'est pas fondamenta
déplacée d'abord, puis a disparu. Mais la malade est encore loin, je
pense
, de la guérison complète. Je me rappelle une jeun
. Sommaire. — L'hystérie chez le mâle n'est pas aussi rare qu'on le
pense
. — Rôle du traumatisme dans le développement de c
ilie pas avec le schéma, qu'ils ont dans l'esprit, de l'hystérie, ils
penseront
qu'il s'agit là d'une maladie spéciale, non encor
urs-ci, existait déjà chez elle, il y a cinq ans C'en est assez, je
pense
, pour vous montrer comment, chez ces femmes, les
mes permanents de l'hystérie. C'est là du moins ce qui ressortira, je
pense
, très nettement de l'examen détaillé que nous all
sion organique en foyer, cérébrale ou spinale ? Il me sera facile, je
pense
, de vous montrer qu'il n'en est rien. VINGT-UNI
e dans ce cas ; mais où siége-t-elle, quelle est sa nature? C'est, je
pense
, dans l'écorce grise de l'hémisphère cérébral du
dié depuis longtemps, sur les malades de mon service 1 et qu'il a, je
pense
, signalé le premier. La polyopie monoculaire (d
e l'un des hémisphères cérébraux. Personne ne saurait contester, je
pense
, que dans l'observation qui vient d'être rappelée
Il est des sujets, et peut-être sont-ils plus nombreux qu'on ne le
pense
, chez qui la plupart des manifestations tant psyc
e les choses iront assez vite. Je ne sais si je ne me trompe, mais je
pense
que, dans une quinzaine de jours, un mois peut-êt
sique des hystériques, quelques-uns d'entre vous, les nouveaux-venus,
penseront
peut-être qu'il s'agit là d'une gageure imprudent
e « Influence of the Mind upon t/te Body, p. 97. » — Nous pouvons, je
pense
, en français, écrire indifféremment Shock ou Choc
ure à entretenir son mal, étant donné que celui-ci est, comme nous le
pensons
, surtout d'origine psychique ou, si vous l'aimez
ulièrement insisté cette année et l'année dernière. On ne saurait, je
pense
, trop multiplier les faits, dans ce domaine encor
n'y a aucune espèce de rapprochement à établir. C'en est assez, je
pense
, pour permettre d'affirmer que la déformation du
reconnaître chez Dum... Et cela déjà nous porte tout naturellement à
penser
que, chez lui, c'est bien dans l'hystérie qu'il f
crois, d'en arriver à la démonstration de notre cas. Elle pourra, je
pense
, être faite rapidement, après les préliminaires d
uche est élevée et de ce côté la bouche entr'ouverte. Cela avait fait
penser
d'abord qu'il y avait là, à droite, paralysie du
. 298), c'est que l'idée est déjà le fait sous une forme plus faible.
Penser
, c'est se retenir de parler ou d'agir. » « Les ac
r M"8 X.... et certains symptômes subjectifs et objectifs nous firent
penser
à un mutisme greffé sur une hystérie à forme non
urait-on accepter, dans toute sa rigueur, l'opinion de M. Legoux, qui
pense
que, dans l'hystérie, l'aphasie n'est pas un élém
d'aphasie, à l'étude duquel il a si puissamment contribué. Nous avons
pensé
qu'il serait intéressant de reproduire les points
. Sommaire. — L'hystérie chez le mâle n'est pas aussi rare qu'on le
pense
. — Bôle du traumatisme dans le développement de c
. A l'abbesse redoutable, i.e rebelle est consigné. Bonne sœur ne
pensez
plus; Que le malheureux exclus Meure dans l’impén
ard restât étrangère à ces débats scientifiques; qu’en conséquence il
pensait
qu’il pourrait être utile que l’auteur rendît, s’
mal, ou agit « seulement à la légère, le magnétisé voudra le mal « ou
pensera
à la légère. Si le magnétiseur est mû » par de bo
et sévères , si sa conscience est « nette, le magnétisé parlera bien,
pensera
bien, agira « bien et sera honnête homme.» Les
e le plus sensible, M. Faivre, pour lut demander mentalement ce qu’il
pensait
du docteur. Quelque chose d’étrange se passa subi
ue vous excitiez vous-mêmes au travail. En acceptant vos hommages, ¡1
pensa
qu’en lui vous vouliez glorifier la vérité dont i
urable , cette petite devra intéresser les savants , et méritera', je
pense
, d’être recommandée à leur examen. Je lui ai prom
, par son analogie avec les effets de la foudre, a fuit tout de suite
penser
que l’électricité devait jouer un grand rôle dans
ous sera utile un jour à vous-même. Faites, quoi qu’on puisse dire ou
penser
de vous; n’écoutez point les hommes à préjugés ou
plus de trois quarts de pouce de long. Quand on me demanda ce que je
pensais
à la fin de celte singulière opération, je répond
on chagrin; elle me répondit : « Mes pleurs sont bien « légitimes; je
pense
à ma sœur; je la vois dans un » bien triste état.
ime n'eût pas été commis......— Il a été plus commis que vous ne le
pensez
, lui dis-je avec un air sérieux et tranquille. »
l se jeta à mes pieds, tout en larmes, gémissant du malheur qui avait
pensé
arriver et implorant telle pénitence que je croir
opinion, qui se laisse influencer toujours par de faux sages, avait
pensé
comme la science, et rejeté une faculté très-réel
nne malade dont j'avais apporté les cheveux c’était ma mère, et je ne
pense
pas qu’on puisse attribuer cette expérience à des
que les explications se donnent pour rien. 0 Mesmer ! aurais-tu pu
penser
que des gens dont tu n’aurais pas voulu pour remp
r les Chambres, cette loi pourra-t-elle être appliquée ? ¡¡Nous ne le
pensons
pas. Comment, en effet, atteindre ceux qui parvie
point qu’il n’entende plus son magnétiseur. Par analogie, la Société
pense
qu’on peut suspendre l'audition comme on paralyse
t comment le voulait-il ce triomphe? par l’influence de la France. Il
pensait
« qu’il était de sa dignité que les o autres na
s on ne trouve la base de semblable accusation. Ce qu’il a dit, il le
pensait
; ses erreurs mêmes sont celles d’un ami de l’huma
dre hommago à Mesmer pour sa découverte. La guérison est certaine, je
pense
; plus de cinq cents personnes ont vu et peuvent c
nvahir notre domaine, la crainte nous prend, nous l’avouons, car nous
pensons
que Je magnétisme s’en trouvera très-mal un jour,
naître et d’enflammer les esprits, il sera intéressant de lire ce que
pensait
Mesmer sur la grande question de l’enseignement e
ille pour se reposer; on marche pour goûter on sommeil plus doux ; on
pense
pour délasser ensuite sa pensée; un ami repose so
la cause unique, parmi les femmes, de la fièvre imitative? Nous ne le
pensons
pas. De si frivoles origines conviennent peu à de
a conseiller et qui voudra prendre pareils remèdes? Plusieurs membres
pensent
que ce livre sera funeste aux deux sciences que s
iter celte séance comme un triomphe pour la cause magnétique, et nous
pensons
que M. du Potet accomplira sa tâche en constituan
que, du fluide galvanique, du fluide magnétique minéral; ils ont mémo
pensé
déjà, et probablement arriveront bientôt à démont
ri- niée au fluide par l’action mécanique; cette objection sera, je
pense
, levée par une seule comparaison. Si l’on veut
sont dites.» Il ne sait s'il prononça ces paroles ou s’il ne (it que
penser
; mais il sc souvient qu’au retour, lui avant dema
midi à 6 heures. Les hémor- roïdes ne sont pas sorties. « II est à
penser
, nie dit-elle, qu’elles ont crevé intérieurement
nce, et toujours à l’insu de la malade, qu’il ne m’est plus permis de
penser
que le hasard pût être quelque chose dans reflet
te de votre enseignement et j’en ai reconnu la sagesse. « Vous avez
pensé
que. sans détruire les illusions que les esprits
ion de voir employer l’action magnétique dans un cas semblable, et je
pensais
que l'état de crise dans lequel se trouvait cette
ment assez embarrassé au milieu de gens qui ne savaient peut-être que
penser
de moi et des reproches que l’on ni adressait. Je
’il a infligée au somnambule; il regarde l’épreuve comme décisive, et
pense
que ses confrères qui la nient ne la supporteraie
délaissée. Voici les passages saillants de cet article très-justement
pensé
: « En 1827, M. Paramelle, curé de Cornac, dema
e membre correspondant ! « Mais le mal est bien plus grand qu’on ne
pense
. On ne peut pas douter de la science de M. Paramc
faire considérer comme exercice illégal de la médecine. Notre maître
pense
que les Chambres ne sanctionneront pas les préten
la vérité, chacun se mcsle de médecine, et il y a peu de gens qui ne
pensent
y savoir beaucoup, voire môme plus que les médeci
é et l'ignorance que la loi a voulu frapper. Les législateurs d'alors
pensaient
qu’il existait une science médicale, et que ceux
le « savez pas vous-même. Tâchez qu’on vous encxpli-« que le sens, et
pensez
-y fortement. » M. Netter alors remit à son ami, p
en disant qu’au moins «on mal à elle ne se communiquerait pas. Je le
pensais
aussi; mais bientôt nous vîmes lo ventre de Mm' F
e devant les illustres hôtes de la rue de Poitiers, pour les amener à
penser
que la science qui offre de tels prodiges vaut bi
et les belles études anatomo-cliniques de Pitres. Mais que doit-on
penser
d'abord, avant tout essai d'inter- prétation, d
l'air appliquée au creusement des puits à houille. Ces au- teurs
pensent
que pendant le séjour dans l'air com- primé, la
se détaillée, que nous insérons à titre de curio- sité : « Rasori
pensait
que les congestions sont constam- ment veineuse
stement observer. Par une réflexion toute naturelle, on est amené à
penser
que si c'est le dégagement de gaz dans le systè
ans lesquels s'engagent les embolies gazeuses; c'est ce qui me fait
penser
que les troubles et les lésions qui caractérisent
dans les accidents dus à la décompression brusque. » M. Paul Bert
pense
aussi que, lorsque les gaz ne se produisent que
vons toujours eu soin de noter ce détail, parce que des auteurs ont
pensé
, a tort suivant nous, que l'administration du chl
d on le battait. IMBÉCILLITÉ ET INSTABILITÉ MENTALE. 1 13 Sa mère
pense
qu'à la maison il ne se masturbait pas. On a pr
x adultes, qu'il ne peut rester aux enfants et qu'avec eux rc il ne
pense
qu'à ça ». Depuis quelque temps, on était assez
e est tolérée, la suspension et la traction plus effectives. Nous
pensons
que la plus longue séance ne doit pas dépasser
inution de la compression des tubes nerveux subsistants. M. Althaus
pense
, en outre, que la méthode a souvent une grande
e, l'hémorrhagie continue pendant un temps plus ou moins long. Ils
pensent
qu'on peut tenter un traitement actif contre la t
arfaite qui subsiste aprèsl'ablation des deux lobes occipitaux fait
penser
que l'aire de la conscience visuelle n'est pas
de la conscience visuelle n'est pas confinée à ces lobes, comme le
pensait
Munk, mais s'étend au gyrus angulaire, l'hémiop
ission des racines du plexus scialique. Par conséquent, on pourrait
penser
, dans les traumatiques dont il vient d'être que
ne bouge plus et la douche est donnée, avant que le malade n'ait
pensé
à résister de nouveau. Nousnensonsou'il s'azit
éclusement et qu'enfin il n'a- vait pas été fatigué, on ne peut pas
penser
aux causes qui agissent en s'opposant à l'élimi
utre que cet accident avait suivi la première immersion, on ne peut
penser
au nombre des immersions successives. Enfin, si
a occasionné l'accident étant la première, on ne peut naturellement
penser
au nombre des immersions successives. Etant aus
s en chloroforme et en chloral au contact des liquides alcalins; il
pensait
surtout à l'utiliser comme anesthésique ; mais
isolément des cheveux ou des fibres ligneuses a conduit l'auteur à
penser
que le malade accumulait ces substances dans sa
o-rétinite; chez la première, l'aspect de la papille faisait plutôt
penser
une atrophie primitive des nerfs optiques. Tout
es se distribuent. La guérison des troubles intellectuels conduit à
penser
que les ganglions hémisphériques n'ont pas été
nconscient en percevra un autre de 2 millimètres. 111. Pierre JANET
pense
qu'il n'existe pas à ce sujet de loi aussi form
s émis par 111. Brouardel et AI. Gilles de la Tourette, M. Liégeois
pense
qu'un hypnotique peut parfaite- ment mettre en
ée, etc...) provoquées par le coupable. Mais il n'aura pas toujours
pensé
à tout et en suivant une voie contraire à la si
e rendre compte du dédoublement de la personnalité de sa malade. 11
pense
, comme MM. Charcot, Binet et P. Janet que ce so
tre ce somnambulisme naturel et les rêves bruyants de la malade. Il
pense
que beaucoup de fugues in- conscientes relatées
ormulées dans une précédente séance par M. Marandon de Alontyel. Il
pense
que le sulfonal est un précieux agent narco- ti
de ménagements, ce qui étonnera peut-être. Mais je suis de ceux qui
pensent
que pour préparer uti- lement le remède, il fau
de la vie commune, sous la surveillance privée des habitants. Il ne
pense
pas toutefois que ces colonies doivent être con
les racontait avec beaucoup de netteté, de sorte que nous avions pu
penser
, à un premier examen, qu'elle n'était atteinte
ns étaient précoces et fréquentes. Notre maître, le Dr Bourneville,
pense
qu'il faut faire jouer un grand rôle dans ces c
au moyen de l'exercice, d'organes naturellement capables de com-
penser
dans une certaine mesure les parties détruites.
ons sensibles de la périphérie. « L'âme n'est nulle- ment, comme le
pensait
Flourens, une manière de fonction d'ensemble du
ent ni travailler, ni marcher. Avec cela, il lui était difficile de
penser
, ou plutôt elle n'avait pas envie de penser. Elle
lui était difficile de penser, ou plutôt elle n'avait pas envie de
penser
. Elle s'asseyait dans un endroit quelconque, s'
dans un endroit quelconque, s'y affaissait et restait ainsi, sans
penser
, tout en s'attrappant sur cette absence de pensée
ndant environ une semaine, puis disparut complè- tement. L'auteur a
pensé
qu'il était intéressant de relater ce fait en r
réditaires de la malade (père alcoolique, mère débauchée), l'auteur
pense
que le fibrome de la dure-mère n'a pas été la c
intéressées dans la maladie de Parkinson (Vulpian), M. J. Teissier
pense
qu'un certain nombre des grands symptômes de la
es en- contact plus intime et plus répété avec le mercure, l'auteur
pense
que chez ce malade l'hystérie était le résultat
libre arbitre avant, pendant, après l'acte incriminé. -Quoi qu'en
pense
M. Jolly', rien n'est plus simple que d'apprécier
stérie, la paralysie agitante; maladies auxquelles on doit toujours
penser
quand il 1 FAITS DIVERS. 467 I s'agit de para
illeuse, rangée, est séduite par un jeune homme. Depuis lors, elle ne
pense
plus qu'à lui ; pour le faire vivre, elle vole sa
Je la mets dans un état de résolution, puis je lui suggère de ne plus
penser
à son jeune homme, de sc remettre au travail, de
M. Paul Magnin. — Cette personne a pleine confiance en vous et elle
pense
bien que vous saurez la débarrasser de cette para
rs symptômes : immobilisation, douleur, gonflement, état fébrile font
penser
au rhumatisme. Or, dans le cas présent, affirmer
ter. II ne nous semble pas utile d’insister plus longtemps, et nous
pensons
avoir établi que la pratique de 1 hypnotisme est
e ; enfin, sa marche est trépidante. On a, à propos de cette femme,
pensé
à la paralysie pseudo-bulbaire; or, il ne s'agit
respiration, de tachycardie, de sueurs profuses. Plusieurs auteurs
pensent
que cette affection implique un pronostic grave,
de soixante-cinq cas d'alcoolisme chronique. Les résultats furent, je
pense
, satisfaisants étant données la nature des cas et
ce temps n’a bu que de petites quantités de vin léger à ses repas Je
pense
que dans ce cas il vaut mieux permettre un peu de
ffaires après deux mois de traitement. Il continue à aller bien. Je
pense
donc attribuer la guérison à l'hypnotisme puisque
rale, les lois de la suggestion. Quant à la seconde proposition, je
pense
que M. Lionel Dauriac a voulu dire que nous ne sa
ent hors d'état de les partager. Un enfant, un primitif, un animal,
pensent
que tous les objets de la nature sont animés, qu'
aspéro, que les prêtres eux-mêmes, en pratiquant ces fraudes pieuses,
pensaient
seulement exprimer, d’unefaçon plus sensible et p
les savants à partager nos travaux ne peut étonner personne, quand on
pensera
que cette science hypnotique peut fournir de préc
omme le remarque aussi M. Morselli, une chose à laquelle n’ont jamais
pensé
ceux-là mêmes qui jusqu’à présent prétendent exam
de l’avoir reconnu, et d’avoir eu le courage de dire tout haut ce que
pensent
tous les psychologues animés de l’esprit scientif
ogie à l'université de Leyde, le docteur Jelgersma ne tardera pas, je
pense
, à donner un cours d'hypnotisme thérapeutique.
moment même où cette scène repassait très vite dans ma conscience, je
pensais
que cette jeune fille était la fille d’un vérific
in pendant les expériences avec le pléthysmographe, m'est venue. J’ai
pensé
alors aux mêmes expériences quand M. J... servait
ément avoué, il nia énergiquement, tout ce qu'on lui reprochait. On
pensa
tout d’abord que la jeune fille avait été endormi
d'AusterJitz, qui est très large; elle était accompagnée de son fils.
Pensez
-vous qu'il marchait près de sa mère ? Pas du tout
e du peu de raison de ses craintes. Je lui ai demandé ce que son fils
pensait
de toutes ses manies : « il enrit», a-t-elle répo
lle bien, mais lentement ; au milieu de sa besogne, elle s’en vient à
penser
à l’un de ces sujets de terreur, et la besogne n’
teurs une biographie de J.-P. Durand de Gros (i), nous étions loin de
penser
que nous devrions si tôt déplorer la brusque disp
'attention sur un objet. Ne recevant plus de sensation, le cerveau ne
pense
plus, il s'engourdit, il devient un instrument pa
ressées. Cette pratique réussit merveilleusement chez l’enfant. On ne
pense
jamais assez combien l’enfant écoute les conversa
avec emportement, semble dire : je veux te convaincre, je veux que tu
penses
ainsi; le sujet se rebiffe. Pour convaincre, il f
un ton tranquille et assuré, qui affirme : il est impossible que vous
pensiez
autrement. Certains hystériques, fort suggestionn
r ou entendre ce qu’on désire, ce qu'on craint, ou seulement ce qu’on
pense
avoir dû être ; on obéit à la violence de ses imp
vait récemment avec tant de logique et de courage. Comme lui> nous
pensons
qu’il faut changer radicalement la méthode employ
vidente de ces délires avec les états somnambu-liques m’avait amené à
penser
dès le début, qu’il serait peut être possible d'u
ue par autosuggestion peutautographiersursa peau les mots auxquels il
pense
: les lettres s'inscrivent en un large ruban rose
bientôt sous la peau d’énormes saillies. Mais c’est à la condition de
penser
constamment et fortement aux mouvements que l’on
nstances. Atteintes de douleurs névralgiques du côté du sein, elles y
pensaient
et en parlaient sans cesse, redoutant un cancer d
e, ne croyait pas aux mouvements de la matrice. Aétios (vi8 siècle)
pensait
que l’hystérie affectait non seulement cet organe
logie sociale doit de grands progrès, j’ai nommé Lombroso. Ce dernier
pense
que le génie est une forme de l'épilepsie. On ser
mit deux ans à préparer son livre des principes et n’exista que pour
penser
et calculer : il agissait sans y songer. Plus d’u
hamps chromatiques étant d’ailleurs homocentri-ques, on est conduit à
penser
que les éléments chromatiques sont intercalés les
lle se dit : « Si j’ai l'air embarrassé, qu’est-ce que ce monsieur va
penser
de moi ! » III Il y a sept ans, en 1893, elle
ue le traitement ne donne pas un résultat suffisant, il faut toujours
penser
à une cause organique et surtout au diabète. G.
ces nouvelles, associera des images et des idées, jugera, raisonnera,
pensera
à Tinsu de N. Et, s’il arrive qu’il se ressoude m
vent bientôt écarter cette hy- pothèse. - Un instant, nous avions
pensé
que notre malade commençait une coxalgie. La sc
anger désormais cette forme nouvelle, l'attaque abasique, dont nous
pensons
avoir démontré l'existence par l'observation qu
entre. - Quant à la doctrine des localisations cérébrales, M. Forel
pense
que divers districts de l'écorce reçoivent des
ce moyen il a prolongé la vie de plu- sieurs de ses malades; et il
pense
que si cette méthode était t employée dans la p
impul- sions homicides ne se seraientplus renouvelées. M. Rouillard
pense
que le plus souvent les mélancoliques avec cons
erner le substratum ana- tomique de la verbigération on n'y saurait
penser
, quoi qu'ait dit sur ce point Kahlbaum. M. NEIS
ces deux dispositions arrivent au même résul- tat. Mais nous avons
pensé
que la formule adoptée par la com- mission est
, et il est bon d'éviter cet inconvénient. Mais, enfin, si le Sénat
pense
que la rédaction de M. Lacombe appuyée par M. P
pté.) « Art. 47. - Sont payés par l'Etat : «la Les traitements et
pensions
de retraite des inspecteurs généraux du service
cteurs généraux du service des aliénés, fi. 2° Les traitements et
pensions
de retraite des médecins-direc- teurs, directeu
ombre de centimes qui seront réservés sur le prix de'journée et les
pensions
payées soit par les départements, soit par les fa
loi du 9 juin 1853 a supprimé les caisses particulières et que les
pensions
sont payées sur les fonds géné- raux du Trésor.
de fois de suite. Le Dr D..., de Mov. qui la visite tous les jours,
pense
que son état ne présente pas de danger immédiat;
t trophique : ils serviraient à la nutrition du tissu nerveux. « Je
pense
, dit Golgi, que ces prolon- gements sont les ca
traitement qu'il est bon de signaler : C[ M. Brown-Sequard, dit-il,
pense
, non sans raison peut-être, que les glandes ou
x dans le cas particulier. Si l'on a abusé delà séclusion, l'auteur
pense
qu'on n'en abuse guère aujourd'hui ; d'ailleurs
écessairement que cette dernière soit de nature nerveuse ; l'auteur
pense
toutefois que si cette alternance se produit fr
les ne prouvent pas davantage, car quel est celui des sujets qui ne
pensera
pas à accuser une anomalie quelconque de la sen
ite toute la nuit. Elle ne m'a pas laissé une minute de repos. J'ai
pensé
qu'il fallait en finir. J'ai pris le couvercle
claudication intermittente chez les diabétiques pourraient faire
penser
à cette hypothèse. Il pourrait s'agir aussi d'une
s caractères du step- page. En résumé, Messieurs, voici ce que je
pense
dans l'état actuel des choses, tout prêt d'aill
e. C'est la démarche du stepper. Quand vous voyez cela , vous devez
penser
naturellement tout d'abord à la paralysie alcoo
3 , Ainsi dans ce cas, c'est à l'alcoolisme que vous êtes amené à
penser
, et non pas au tabes. L'examen des yeux, l'abse
ésion des faisceaux postérieurs peut s'associer à la glycosurie. Je
pense
qu'il y a lieu de les diviser en deux groupes :
tablement amélioré. En présence de ces modifica- tions heureuses,je
pense
qu'il nous est permis d'espérer dans l'avenir l
es scléroses combinées, ne nous paraît pas aussi complexe qu'on l'a
pensé
, pour peu qu'on envisage tous les éléments qui
ion. En résumé, il paraît résulter des travaux antérieurs et nous
pensons
que notre examen confirme cette opinion que la
sciente : On prend la main du côté anesthésié et on dit au sujet de
penser
à un nombre quelconque, de 1 à 20 par exemple.
ue l'on tient, en comptant de 1 à 20. Supposons que le ma- lade ait
pensé
;tu eliitrre 11 ; dans ce cas on peut voir, môme
moment dont nous parlons. Dans cette expérience, le nombre lia été
pensé
consciemment; la pression n'a pas été perçue, e
savant maître d'apporter l'ordre dans l'étude de l'hystérie. Nous
pensons
qu'en l'état actuel, il est permis de DE LA PER
aucunement l'idée d'un processus systéma- tique : elle fait plutôt
penser
à une lésion diffuse. Pour terminer l'examen de
faire à un processus de nature absolument diffuse. On est conduit à
penser
qu'il existe un facteur qui dirige la sclérose,
es actes. Il fut déclaré aliéné par le jury et acquitté. L'auteur
pense
que ce cas est un de ceux qui correspondent le
effet d'un pur hasard, ou une corrélation plus intime ? M. Geoffroy
pense
que les troubles intellectuels présentés par sa
ique bien plus grande que l'assistance familiale. Peut-être faut-il
penser
, pour expliquer cette différence, à la qualité
ent du premier; peu de lenips après il se met également à vomir. On
pensa
que, bien qu'il se fût écoulé peu de temps entr
dans la direction de cette démenée. 13. Nous n'avons aucun motif de
penser
qu'un cerveau, dont les antécédents héréditaire
gardiens, mais qui n'auront aucun rapport avec les malades. Dis-*
pensés
des gros ouvrages auxquels ils ne doivent pas êtr
ls pour en avoir fait l'objet d'un travail spécial, mais ceux-là ne
penseront
pas ainsi qui ont vu de pies les asiles et les
qui, il y a trois ans, avait perdu un im- portant procès. » Nous
pensons
que dans les cas de ce genre, au lieu d'essayer d
située au-dessus de la grande commissure interhémis- phérique. Que
penser
donc de l'indication donnée par tous les auteur
rticulier des plexus choroïdes et des ventricules latéraux, nous ne
pensons
pas que 1 Voyez Mare Sée. z la communication de
e corps, la pâleur jaunâtre des téguments, rare chez l'enfant, font
penser
à l'auteur qu'il s'agit de quelque chose de sem
évi- dentes. Il rejette absolument l'interprétation de Ord et ne
pense
pas que des lésions cutanées telles que celles
tuels surviennent toujours à quelque phase de la maladie, Inglis ne
pense
pas qu'il y ait un rapport nécessaire entre le
tient à un trouble profond du grand sympathique. Dyce Duck- worth
pense
, de son côté, que le myxoedème est une maladie
r un avec hémiplégie gauche. Ces considérations permettent, nous le
pensons
, de négliger les cas oùles auteurs, comme M. Fa
, l'emploi d'une solution de salicylate de soude. M. Seeligmùller
pense
avec Horner qu'il s'agit là d'un . catarrhe des
DORSAL ; par Th. BUZZARD. (The Lancet, septembre 1881.) L'auteur
pense
que quelquefois l'absence du réflexe patellaire
enfemelle : M. r Luys, de- ut, mande ensuite à la Société ce quelle
pense
., déscrises{ qui .jugent jb un délire, par, une
nction à établir entre le délire fébrile et le délire vésanique, et
pense
qu'une maladie peut, dans certains cas, se subs
es, morbide, apyrétique, chronique, qui ôte à l'homme le pouvoir de
penser
et d'agir librement, dans le sens de son bonheu
f de clinique u la Faculté de médecine de Montpellier. Nous avons
pensé
qu'il était utile de donner un compte rendu com
donner une des- cription complète de la maladie. Aussi avons-nous
pensé
qu'il ne serait pas sans intérêt de publier le ca
onsidérablement élargi le cadre primitif de la ma- ladie. W. Gull
pensait
que l'affection était propre à l'âge adulte et
nique faite à l'occasion de notre malade. 31. le professeur Grasset
pense
que la cachexie pachy- dermique trouve sa place
rticulaire aigu n'est point rare ; Briquet l'avait déjà notée et il
pensait
que le rhumatisme agissait comme cause prédispo
ans la journée les vomissements ne reparaissent plus, puis comme on
pense
à la possibilité d'une supercherie, on fait sur-
e fait existe, 200 REVUE CRITIQUE. mais il est plus rare qu'on le
pense
, et l'on cite bon nombre de ces femmes chez les
s morbides si différents, mais nos observations nous auto- risent à
penser
que le plus souvent l'hypocondrie dans le jeune
ment démontrer que l'asile de Broadmoore n'est pas, comme parait le
penser
M. Motet, la preuve la plus éclatante de l'util
ra- tique nous apprend que les familles, loin de raisonner ainsi,
pensent
tout autrement et s'estiment au contraire beaucou
absolu entre les prémisses et les conclusions de M. Christian ; il
pense
que ces deux mots aliénés et criminels jurent d
e ne puis partager l'opinion de MM. Christian et Motet, quand ils
pensent
qu'il n'y a aucune différence entre celui qui a c
me, en auraient commis ou tenté de commettre un second. M. lnLnEr
pense
qu'on doit attendre la fin de la discussion pour
ou concomitants dans le tabès ou la paralysie progressive, M. H...
pense
que l'im- mobilité de la pupille est due à l'in
erches historiques. Malgré les exceptions qu'on en a cité, l'auteur
pense
que le béribéri est une maladie propre aux pays
e ne rend pas non plus complètement compte des phénomènes. L'auteur
pense
qu'une lésion bulbaire n'explique- rait pas les
homme ; par C. Giacomini, Torino, Ermano Loescher, 1882. L'auteur
pense
que les variétés si fréquentes dans la dispo- s
niste. Quant à la physiologie pathologique de ce spasme, M. Charcot
pense
qu'il s'agit d'une hyperesthésie de la muqueuse
sur les travaux de M. Reynaud, sur l'aphyxie locale des extrémités,
pense
que la migraine ophthalmique dépend d'une anémi
sont arrivés à des opinions absolument discordantes. G. Burckhardt
pense
que les phénomènes tendi- neux sont des réflexe
nt le centre ; Brissaud en fait des réflexes médullaires ; Gowers
pense
que le clonus du pied résulte de l'excitation dir
de nature réflexe ; enfin, A. Waller rejette l'idée d'un réflexe et
pense
que la moelle n'agit qu'en maintenant le tonus
ections méthodiques portant sur la moelle et les racines, Tschiriew
pense
avoir démontré que les phénomènes tendineux son
ts suffisants pour constituer un véritable délire. M. Blanche. Ne
pensez
-vous pas alors que ces impulsions au suicide ét
rne sur le centre épiieptogéne vaso- moteur, M. Coulbault incline à
penser
que toute décision concer- nant la pathogénie d
E. Thèse de Paris, 1881. Contrairement t ce qu'on a cru, l'auteur
pense
que l'alcoolisme, non seulement n'est pas la ca
autre personne allend dans l'officine le re- tour de la première et
pense
garantir, par sa présence, l'honnêteté de celle
genoux commencent à trembler. L'idée de ce que le méde- cin en doit
penser
, et qu'il m'attend, celle idée augmente muon em
le wagon, aux magasins, partout où je me trouve ;il il me suffit de
penser
à mon regard l'l à mon expres- sion, surtout lo
celle expression impure ; je suis incapable de. me distraire el de
penser
à autre chose, comme je le pouvais faire aupara
lin, les cama- rades et les gens en général ; je tremble lorsque je
pense
la nécessité de- louer une chambre. Après mon r
t aussi bien de la peine. 11 y avait un temps où il me suffisait de
penser
que j'allais rou- gir, et je rougissais instant
point de rêves. Mais une fois quelque chose, se remua en moi et je
pense
qu'il vous faut le savoir et je raconterai jusqu'
tion - actuelle, une telle mesure entraînerait un surcroît de dé-
penses
de nature à grever assez lourdement le budget de
e l'on trouve dans la subs- tance blanche du cerveau, permettent de
penser
que le poison possède une intense affinité chim
, qui se développe, il est vrai, chez des débiles mentaux. L'auteur
pense
qu'il existe un grand nombre de cas de ce genre
urnée de travail est payée de 50 à GO centimes. La dépense pour les
pensions
de retraite et secours a été de 1.20) fr. Le prix
seront plus nombreuses. Jusqu'ici toutefois,on est dans le droit de
penser
que si la tuberculose des dernières vertèbres l
ésence, peut- être, d'un léger degré de parésie des mains, ont fait
penser
à une polynévrite alcoolique à forme surtout se
on fibreuse, cicatricielle que de progression, et ce fait donne à
penser
que peut-être il ne se serait pas produit un ép
au foie et très pro- bablement aux autres organes. Il est puéril de
penser
qùe (1) TOULOUSE et ROUOINOVITCH. - La Mélancol
- ture de la substance chromatophile Je tendrais, dit l'auteur, à
penser
que la substance de cimentation, autrement dit la
ujourd'hui à un exlatique. Ce n'est pourtant qu'un obsédé qui, pour
penser
, est obligé de représenter les idées en images vi
e que l'intensité des hallucinations auditives observées doit faire
penser
aune action locale de la lésion. M. KERAVAL rap
sujet de l'insuffisance du per- sonnel surveillant de son asile. Je
pense
vous envoyer sur le même sujet un article relat
nération des fidèles, des reliques, des icones mi- raculeuses. Elle
pense
avec crainte qu'elle aura le même des- tin en d
elles se ren- contrent les états hypochondriaques, on est conduit à
penser
qu'il ne reste plus place pour une entité auton
uto-mutilations des hypo- chondriaques. ' M. 13RISSAUD (de Paris)
pense
que peut-être l'hypochondrie n'est qu'une repré
rurgicale peut, dans certains cas, guérir 1 hypochondriaque, I. Boy
pense
que le psychiatre se trouve « dans l'impossibil
a d'embar- ras en présence de l'infinie diversité des malades ». Je
pense
que le rapporteur est trop modeste et qu'il pou
n diagnostic mental précis et un diagnostic chirurgical exact et je
pense
partager l'opinion du plus grand nombre en affir-
l'apanage exclusif des états démentiels. M. Henry Meige (de Paris)
pense
que l'incitation peut bien être d'origine tantô
orté sur le 3e voeu relatif aux engagés volontaires. M. Christian a
pensé
que l'on ne trouverait pas de médecins voulant
es microbes d'as- sociation. ' Pour l'ensemble de ces raisons, ;e
pense
qu'il faut éviter d'appliquer à ces processus s
se des halluci- nations. Cependant au point de vue pathogénique, je
pense
qu'il y a lieu de distinguer les cas où l'hallu
Comme chez la malade alaquelle nous venons de faire allusion, nous
pensons
qu'en l'absence d'aucun trouble objectif de la
au bout de quelques semaines par la guérison. Il n'y a pas lieu,
pensons
-nous, de maintenir cette dis- tinction, basée d
la conscience aux animaux, la réser- vant à l'homme seul ; d'autres
pensent
qu'elle doit exis- ter, à l'état embryonnaire d
p. 234. 304 CONGRÈS DES MEDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. Je
pense
plutôt que ce concours favorisera des ambitions m
mène de fixation. Ainsi si dans l'intervalle des classes l'élève ne
pense
à rien, les résultats de l'enseignement demeure
it que le père prononçât involontairement, tout bas' les mots qu'il
pensait
, si bas que les assistants fussent incapables de
n- ditions du bien-être général en allégeant certainement les dé-
penses
du département. » (1) De même que dans d'autres
inges du fond des sillons cérébraux, épaissies à un tel point qu'on
pense
immédia- tement à un tissu gommeux. Le traiteme
quets et se causent ; on lui dit qu'on va la faire enfermer. Elle
pense
qu'elle est « très anémique ; elle souffre consta
la mort et prétendait n'avoir besoin ni de boire ni de manger. Elle
pensait
qu'on se moquait d'elle parce qu'on s'en occupa
nt à quelque déraul dan 1p dl"\('l°l'Iw- ment du tissu nerveux, .le
pense
que ces quelques brèves noies seront d'un intér
de la trépidation épileptoïde Pour expliquer ce fait, M. Lannois a
pensé
qu'on pouvait in- voyuer une sorte de rappel il
iel. D'autres auteurs comme Grasset, Favier, Golsclunit, Garrigues,
pensent
que la sclérodermie el la gangrène de ilavnaud
ponLan(''mc))t,ou\cr[,&l'(;.\t.6rieur. Dans ce ca, .'1. Lannui,
pense
que le pus s'était collecté au-dessus du sinus la
evant lui parle segment t inférieur dans le canal vertébral. Guibal
pense
aussi' que le mécanisme de la compression osseu
ion directe sur les éléments nerveux. Ce sont ces cas qui donnent à
penser
que, même pour ceux où la présence et l'action
arac- tères morphologiques semblables à ceux de Bra », les A. ont
pensé
, un moment, se trouver en présence du neurocoque,
et Petit ont, peut-être, cultivé le neurocoque et non, comme ils le
pensent
, un staphylocoque banal. recherches MlcnOBlOL
aïque que religieuse, et voilà ponrquoi je SOCIÉTÉS SAVANTES. 487
pense
qu'il faut renoncer à l'espoir de tout progrès sé
là de simples coïncidences, car ces cas sont trop nombreux : je ne
pense
pas davantage qu'il faille trop s'attacher aux ob
niennes et l'absence de fonction ostéogène de leur périoste. , Nous
pensons
que de telles pièces montrent l'inutilité des int
s surnumé- raires du par Volpi-Gti- rardini, p. 123. Caisse des
pensions
. Avantages et désavantage de la - -, par le D
e- miers cas datent de la fin du XVIIIe siècle (2). Nous avons donc
pensé
qu'il y avait quelque intérêt à publier l'obser
ctiformes, ainsi que de la marche irrégulière de l'affection. On ne
pensa
pas à l'existence d'un anévrysme de l'artère vert
égard aux nombreux cas de neurofibromatose congénitale et familiale
penser
qu'il s'agit d'une évolution retardée d'un vice
congénital jusqu'alors non appa- rent ? Peut-être môme pourrait-ou
penser
que dans notre cas la cause dé- terminante de c
volume. Le malade présente, en outre, quelques phénomènes qui font
penser
à de la compression médiastine. Enfin, il se
vient : son maréchal des logis l'ayant trouvé très fatigué l'a dis-
pensé
de la manoeuvre. Dans la nuit, S... s'étant levé
ail et Guéneau de Mussy l'avait déjà soutenue (10). M, Paul Regnard
pense
également que la paralysie des muscles lisses i
la cause principale, sinon unique des pneumatoses intestinales. Ils
pensent
d'ailleurs que l'hystérie n'est pas seule capab
tre le désir de se faire opérer et la crainte de l'opération. Et il
pense
: S'il faut souffrir tant de douleurs, pour se
e tête ». » Conclusion : le plus fol des deux n'est pas celui qu'on
pense
. PIERRES DE TÊTE ET PIERRES DE VENTRE 99 Tel
en groupant les faits connus jusqu'à présent on peut arri- ver, je
pense
, aux types suivants : I Narcolepsie ; II sommeil
Benjamin (Charlo- tenburg) etc. Dans ces cas, il s'agit souvent, je
pense
, 'de pseudo-sommeil 1 par aliénation mentale ou
ète, mais elle n'est suivie d'aucun contrôle d'autop- sie. L'auteur
pense
encore à la possibilité de fractures du rachis, i
itre « Déviations ne relevant pas de lésions localisées », l'auteur
pense
à l'existence probable dans le tabes de déviati
crut tout d'abord à une altération des vertèbres en ce point et on
pensa
à une compression des nerfs de la queue de cheval
frent des particularités remarquables et leur examen seul permet de
penser
sans nul doute à un trouble trophique de même nat
entraîne de l'atrophie ostéo-articulaire. On peut d'ores et déjà
penser
que ce centre, étant données les associa- tions
dans la poliomyélite typique, la paralysie infantile, nous porte à
penser
que dans l'espèce notre malade est atteint de pol
; pendant qu'elle marche, le pied balaye (sweeps) le sol. Cela, je
pense
, est caractéristique de la paralysie hysté- riq
e le transport de la jambe malade est plus complexe qu'on ne Pavait
pensé
tout d'abord. Une autre particularité intéressa
images, dont quelques-unes sont de véritables chefs-d'oeuvre, com-
pensent
avantageusement la pénurie des documents écrits c
ent apocryphe. M. Henry Meige qui étu- die de très près ce tableau,
pense
qu'en raison de certaines incorrections de trav
Iconographie et à laquelle nous venons de faire allusion, mais nous
pensons
que le tableau du musée de St-Omer est justemen
s'agit-il ? Un bassin de métal figuré sur un coin de table donne à
penser
qu'il est question d'une saignée. On pratiqua
t comment s'y prendre. Alors il allait et venait dans la chambre et
pensait
longue- ment à ce que voulait dire « sortir » j
e- six heures après l'accident. Au premier abord, on est tenté de
penser
que l'hémiplégie n'a que des rap- ports indirec
composée de quel- ques fragments rubanés placés bout à bout. Nous
pensons
qu'on peut expliquer la genèse de cette bordure c
éjà pathologiques au moment de l'in- tervention opératoire ? Nous
pensons
que ces cellules étaient déjà malades lors de l'o
phies du cervelet non familiales; nous avons déjà dit ce qu'il faut
penser
du caractère familial ; quant au trau- matisme
roduction des hématomes de la dure-mère dans ce cas, il faut encore
penser
aux hémorrhagies plus pro- fondes, centrales po
ements dans la profondeur de la sub- stance cérébrale. Voici ce que
pensent
les auteurs. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈ
re, au moment où il pénètre dams le cerveau. Nous pouvons donc déjà
penser
à une hémiplégie avec B.n : : >mii : 3 ! - n
de la médiane dans la direction de l'apophyse basilaire. Grasset
pense
que c'est cette dernière blessure qui a déterminé
essus du point lésé, ce qu'on n'avait pas aperçu auparavant et l'on
pense
un instant à un anévrysme. On pratique un peu a
rtels, ils eussent probablement été plus sévères. C'est ce que fait
penser
aussi cet autre cas mentionné par le professeur
toute autre tare organique ou mentale permet- tent difficilement de
penser
à une maladie familiale, nous croyons qu'il fau
ire toutes réserves sur l'avenir de ce malade et il est légitime de
penser
que nous n'avons assisté qu'il une première manif
a parole,mais l'argument serait insuf- fisant, et tout nous porte à
penser
au contraire que les railleries dont il poursui
iminé une altération des cornes antérieures; d'autres, plus précis,
pensent
à des modifications de centres vaso-moteurs méd
ul type de lésions vertébrales. Mais ce serait encore une erreur de
penser
que l'écra- sement latéral est obligatoire, qu'
ésentent le maximum des lésions. Il n'est pas étonnant par suite de
penser
une dystrophie comparative- ment plus grande de
ais souffert de ces désordres verté- braux, nous serons en droit de
penser
d'ores et déjà à une ostéo-arthro- pathie de la
core aucune déformation apparente. Pour ces motifs, à peine peut-on
penser
aux fractures, aux luxations banales, aux entor
mettait l'incoordination mo- trice de ses jambes. L'immobilisation,
pense
l'auteur allemand, a favorisé la production de
l qui ne lui causait ni douleur, ni gêne, ni inquiétude. Nous avons
pensé
comme eux, et, tout en reconnaissant que le tra
ue 541 en concordance avec le rouge. Cette limite concentrique fait
penser
que la fai- blesse visuelle peut être ici plutô
otlunann, Hoche). Mais en est-il de même dans la myélite aiguë ? Je
pense
que les processus vasculaires de la myélite jouen
é les mêmes altérations après la résection du nerf pneumogastrique,
pense
qu'elles motivent une grande I'ic. 10. Cellule
moins profonde de la cellule nerveuse. C'est pour cette raison, je
pense
, que les réactions généralisées des vaisseaux san
te différend entre l'action du virus fixe et du virus des rues ? Je
pense
qu'il y a lieu de faire intervenir trois facteu
e exsudalive localisée à la région lombaire. On peut con- clure, je
pense
, de ces expériences très nombreuses du reste, que
le est extrêmement accusée, dans d'autres, elle est peu intense. Je
pense
, si je ne me trompe, que l'intensité de la méni
valeur des expériences de tous les auteurs cités plus haut, mais je
pense
qu'il faut être fixé sur la signification du mot
logiques qu'on rencontre dans la myélite aiguë, il est possible, je
pense
, de donner une définition naturelle de ce proce
qu'il est complètement déplacé, comme on le voit sur la figure. Je
pense
que dans ce dernier cas, ainsi FiG. 24. - Cellu
n (5) est d'un avis tout différent. En somme il y a doute. Comme le
pense
M. Séailles (6), il est probable que ce brouill
ommun d'origine intra- utérine (peut-être syphilitiques). On peut
penser
aussi, bien que le fait n'ait pas été démontré po
e trouver le corps thyroïde dans un cou gras et court. C'est ce que
pensèrent
les premiers médecins qui la virent. Mais l'éch
phiques de la colonne vertébrale ou de ses muscles, finalement nous
pensâmes
pouvoir rattacher ce cas à la syringomyélie, une
est plus afforté au bout cen- tral (Van Gehuchten, Sano). Marinesco
pense
cependant que dans les am- putations les lésion
hâtive des cellules. En se basant sur une seule observation (1) il
pense
que la soudure n'a d'influence que sur le sort
blis pour permettre une solution définitive de cette question. Nous
pensons
toutefois pouvoir nous rattacher aux auteurs qu
plus précieux, on l'employerait à leur service, parce qu'ils récom-
pensent
magnifiquement ». L'arsenal des dentistes était
ces exemples. Ceux que nous venons de passer en revue suffiront, je
pense
, à montrer la richesse artistique et l'intérêt
1 hagiquc ¡ntra-pic-mél ienne"alleint son maximum nous au- torise à
penser
qu'il a été le point de départ de l'hémorragie qu
Et quant t la commotion cérébrale, à laquelle on peut tou- jours
penser
, surtout en l'absence d'anamnestiques précis, ell
mes de science, et que dans ces condi- tions : honni soit qui mal y
pense
. Pour se renseigner sur le sens génital des par
49 L'auteur ajoute en terminant que le système des menues récom-
penses
pécuniaires lui parait fort utile dans l'éducatio
est préférable à celui des asiles fermés ordinaires ; il persiste à
penser
toutefois, comme il l'a dit plus haut, qu'un ce
n de cette colonie est le résultat, plus heu- reux qu'on ne l'avait
pensé
, d'une tentative faite par l'Administra- tion p
leuse, rangée, est séduite par un jeune homme. Depuis lors, elle ne
pense
plus qu'à lui; pour le faire vivre, elle vole sa
apprendre qu'elle s'est remise assidûment à son travail, qu'elle ne
pense
plus à son individu, qu'elle redevient gentille
M. Paul Magnin. Cette personne a pleine confiance en vous et elle
pense
bien que vous saurez la débarrasser de cette para
ille de prolonger l'emploi du bromure le plus longtemps possible et
pense
que les résultats sont d'autant meilleurs que l
rme et le caractère de ses attaques devaient nécessaire- ment faire
penser
à des accès jacksonniens; et certainement à ce
iphériques ou cen- traux des vertébrés ou des invertébrés, il est à
penser
que les dernières fibrilles élémentaires qui do
s; il considère ces faits comme beaucoup plus fréquents qu'on ne le
pense
et en cite plusieurs exemples qui lui reviennen
une assassin. J'ai tué ma mère ! » » Cette déclaration causa, on le
pense
bien, une profonde sensation. Les gardes s'assu
. - On rit indulgemment des sommations de l'insensée et, comme on
pense
, il n'en fut tenu aucun compte. Mais elle, alors,
sur les progrès réalisés à l'étranger; l'autre composé de ceux qui
pensent
que l'assis- tance des aliénés est soumise, ell
ganisation et le fonctionne- ment de ces établissements, nous avons
pensé
que ceux qui s'in- téressent aux choses de la m
omment. M. Rieger a cherché à résoudre des difficultés que certains
pensaient
insolubles, exposons brièvement les idées ' Il
nes d'aimantation. Enfin l'étude des poissons électriques conduit à
penser
que leur fonction spé- ciale n'est qu'un cas pa
la puberté à physionomie clinique spéciale. M. Tokarski (Moscou)
pense
que les rapporteurs du Congrès n'ont pas suffis
ques. Au troisième degré la peur est devenue chronique. Le malade
pense
sans cesse à sa rougeur : elle devient une idée f
s l'appréciation de différents côtés du régime d'alitement. Les uns
pensaient
que l'introduction du régime en question créait
t Ci., éditeurs, 1900.) 276 thérapeutique. au lit. Ainsi, les uns
pensaient
qu'il devait avoir pour con- dition absolue l'o
tématiquement le repos au lit, se servent également de cellules, je
pense
que le refus de se servir par principe des cell
à tout ce qui pourrait éveiller l'énergie psychique du malade, on
pense
peu à ce qui pourrait utilement l'occuper, aux di
lit avec prudence et de n'en pas abuser en durée. Il faut toujours
penser
au fait que nous ne savons pas encore comment l
accumulateur électrique. Mais je dois ajouter que je suis arrivé à
penser
que certaines parties du cerveau seules doivent
'on observe dans le rendement si je puis dire du système nerveux,
pense
qu'elles sont dues à des barrages, et ce sont c
vaient se ramener aux lois de la physique générale; M. Binet-Sanglé
pense
qu'il y a identité. Je serais tout dis- posé à
ts, de produire une déformation cranienne, chez leurs enfants, car,
pensaient
-ils, « aux plus illustres, appartiennent les plus
maintenant aux opinions contemporaines, nous voyons que la façon de
penser
moderne au point de vue des vices mentaux, est
s étaient évidemment congénitales, et quoique la mère de cet enfant
pensât
qu'il était bien portant à la naissance, il sem
la circulation, défectueuses chez ces enfants, conduisirent l'un à
penser
que l'état vicieux des vaisseaux peut être un éta
res. Osier ne croit pas que tous les cas sont ainsi produits, et il
pense
avec Jacobi que certains cas sont dus à des mén
ation suffisamment nette entre les aphasies et les auarthries. Nous
pensons
que la doctrine des neurones peut jeter une viv
ment. La simulation du mutisme est infiniment plus rare que ne le
pensaient
les anciens médecins. Elle sera facilement déjoué
on dont il est atteint. Toutefois, on est bien souvent auto- risé à
penser
, sans pouvoir le démontrer d'une façon péremp-
oir un poids égal à 50 fois celui de l'animal. Rosenthal et Gréhant
pensent
être arrivés à l'extrême limite quand le muscle
ole et dépend de l'intensité du courant. Pour le moment l'auteur ne
pense
pas qu'il s'agisse là d'un phénomène physique d
ns des cas identiques porter un pronostic favorable. 11 y a lieu de
penser
en effet ou que dans la myasthénie généralisée
tantôt dans l'une, tantôt dans l'autre des circonvolutions. Nous
pensons
que la théorie de Flechsig, d'après laquelle tout
méthode de la myélinisation est incapable de nous la four- nir, je
pense
que tout au début, la plupart des fibres myélinis
fectionnent également les régions de substance grise médullaire, je
pense
que l'on peut admettre que la constitution de l
ts comme état criblé. M. le professeur OBERSTEINER (de Vienne). -Je
pense
, la subs- tance cérébrale étant incompressible,
es comme conséquence du contre-coup dans la substance blanche. M...
pense
que leur origine doit être cherchée dans de mul
rincipe et la raison même du phénomène, contrairement à ce qu'avait
pensé
Westphal. La division des obsessions en (a) int
pas la même chose. Lorsque je ne suis pas devant un libraire, je ne
pense
pas aux livres. Mais, dès que je vois des 448 B
eflète plus ou moins l'esprit de la loi du 30 juin 1838. Nous ne le
pensons
pas : l'obligation de l'instruction résulte, pour
ul Sollier, dont j'apprécie hautement plusieurs ouvrages, doit bien
penser
que je n'aurais pas manqué de citer ceux-là au
elle. Il faut reconnaître que beaucoup de magistrats inclinent à le
penser
ainsi, et l'un d'eux, au Congrès d'anthropologi
us confondons des états anatomiques et cliniques très différents et
pense
qu'il y aurait lieu de pratiquer une dissociati
avec une intensité plus grande que dans la partie opposée. L'auteur
pense
que ces expériences, dont 75,6 p. 100 des anima
r fraude découverte. Les méde- cins et la majorité de la population
pensent
, au contraire, que ce sont les calomnies des vo
e, et on ne peut donner de renseignements sur sa famille, mais on
pense
qu'il n'y a jamais eu de cas de maladie nerveuse.
E PATHOLOGIQUES. de concert avec les accidents ' cérébraux, d'abord
penser
à' une tumeur cérébrale. L'évolution fit abando
» Nous faisons toutefois une réserve pour ce dernier terme : nous
pensons
qu'il existe des lésions bien caractérisées susce
s dans l'histoire des sujets frappés de sclérose en plaques. Nous
pensons
donc qu'ici encore une anomalie dans le développe
faire courir après moi ; ce jour-là étant une fête de famille, elle
pensait
la déranger et l'assombrir par mon départ. A mo
uparavant l'extirpation du sein droit cancéreux, on est en droit de
penser
que des foyers cancé- reux secondaires ont fait
adhérences et épaississements des méninges et les tumeurs. Il est à
penser
que, par suite de ces altérations intracrânienn
iés. Ces deux malades entrèrent à l'asile le même jour. M. Wilcox
pense
qu'il s'agit bien ici de folie gémellaire et non
ibution de cette anomalie sensorielle devaient nécessairement faire
penser
à l'hystérie, malgré que rien dans l'histoire d
le dia- gnostic de méningo-encéphalite diffuse, mais doivent faire
pensera
à cette forme sensorielle de la paralysie génér
le sachant par avance, lui demander ce dont il souffre et ce qu'il
pense
. L'ex- pression habituelle de sa physionomie, s
ces scrupules de fausse pudibonderie ; ils croyaient au diable et
pensaient
, avec la figue, le vexer prodigieusement. Hallu
ôme important. Ces états sont beaucoup plus fré- quents qu'on ne le
pense
, et on peut admettre que toute psychose débute
mènes, les uns moteurs, les autres mentaux, il était légitime qu'on
pensât
à leur appliquer un double traitement, l'un s'a
un enfant, et surtout s'il a toujours été ainsi, il est légitime de
penser
que chez cet adulte le développement psychique
tic polygonal. Si j'admets que tout tiqueur est un psychique, je ne
pense
pas (et M. Brissaud non plus, je crois) qu'on p
produisant, par con- séquent, un acte physiologique déterminé. Il
pense
que cet élément moteur est le seul indispensable
(cicatriciel, névritique, osseux, etc.) ou mental enfin. Et si nous
pensons
qu'il est mental, nous chercherons a savoir, en
t à mesure que l'état physique général s'amendait lui-mêmc. ' Que
penser
d'un cas de ce genre ? Evidemment, il est d'un to
une mimique effrénée qui, par la monotonie de ses retours, ferait
penser
à des actes automatiques sous-corticaux, si cette
ité défini- tive à l'égard de la folie ? Ce serait une erreur de le
penser
. Bien au contraire, cette fréquentation d'un al
trat au sujet de leur dette envers le cocher, et au moment où elles
pensaient
redevenir libres, elles étaient amenées toutes
nous faisons gagner les cochers, c'est notre argent que nous dé-
pensons
, et nous ne faisons de tort à personne. D'ailleur
s, la première, s'est aperçue de ces allusions ? R. «Aucune. Nous
pensons
toutes les trois les mêmes choses. Nous pensons
R. «Aucune. Nous pensons toutes les trois les mêmes choses. Nous
pensons
toutes trois en même temps. « D'abord, depuis l
DE SAINTE THÉRÈSE 3 I j 5 Mais d'après les résultats obtenus, nous
pensons
avoir affaire à un cas de paralysie générale al
elle, mais encore par tous ceux qui suivent son enseignement. Aussi
pensait
-elle faire acte méritoire, en excitant les fidè
contre le clinicien dans le cas où le diagnostic est difficile. Ils
pensent
qu'au début de la paralysie générale l'augmentati
: la ques- tion financière. Nous n'avons pas hésité, car nous avons
pensé
que là où les pouvoirs publics, tenus en lisièr
vantages du campimètre, l'auteur russe décrit les altérations qu'il
pense
devoir exister et il fait appel à l'anatomie mi
x, sans mélange d'éléments névro- gliques, fibres ou cellules. Nous
pensons
donc avec Klippel que le glio-sarcome des auteu
et les réflexes (sauf les défensifs) dans le tronçon inférieur. Je
pense
que tout dépend de la nature de la lésion : si
malgré mes expériences, MM. Jendras- sick, Brissaud et llendelssobn
pensent
que cette circulation se fait en grande partie,
ire. J'in- sisterais volontiers sur cette dernière circonstance. Je
pense
que nous avons dans l'état de la mémoire un réa
lui enlève pas le besoin de se reconnaître coupable; elle arrive à
penser
que c'est peut-être pendant son sommeil qu'elle
intervalle. L'une des trois, Annette, était morte. Il est permis de
penser
que l'extraordinaire régime auquel la vie erran
, montre que les hystéries droites sont plus nombreuses qu'on ne le
pensait
et que tout au plus on pourrait dire : trois an
le mouvement du membre inférieur et reste en arrière. . M. Babinski
pense
que ce phénomène est pathognomonique d'une pert
ce secondaire. Pour ex- pliquer la genèse de l'hémiplégie, l'auteur
pense
que tout a été sous la dépendance de la compres
forte ne le contre-indique pas absolument, si l'on a des raisons de
penser
qu'elle n'est pas associée à l'état mental, car
res et des aggravations. Dernière- ment MM. Jaboulay et Lannois ont
pensé
devoir les rechercher et ont appliqué cette mét
lus nuisibles sont assurément- les paralytiques généraux. M. Savage
pense
qu'il ne faut jamais les faire voyager; et pour
venir d'une crise de rougeur, il en arrive à rougir. Dès lors, il y
pense
toujours, il y pense'sans cesse; une idée fixe s'
ont poussés à se contredire, à dire juste le contraire de ce qu'ils
pensent
on de ce qu'ils vou- draient. Un rudiment de ce
veulent se punir des crimes qu'ils croient avoir commis ; d'autres
pensent
se soustraire aux persécutions. Dans certains c
ie et de manie, c'est la confusion mentale et la stupidité qui font
penser
à un état d'auto-intoxication. Le pronostic est
t eu plusieurs attaques de chorée, ce .qui peut, suivant lui, faire
penser
à une altération de la composition du sang. R.
e-paraît pas s'ex- pliquer d'ailleurs, des oeuvres de Nietzche ; il
pense
toutefois qu'il faut attribuer ce succès, auprè
deux premières périodes de la maladie. De ces divers cas, l'auteur
pense
devoir dégager les conclusions suivantes : d'ab
les femmes, il a été donné 3,048 bains et 1,008 douches. M. Faucher
pense
que « le traitement hydro- thérapiquo n'a pas l
e à ces considérations d'ordre aiiatoriio-I)hysiologique. Buzzard
pense
, au contraire, que lorsqu'un choc arrêtant brus
commotion de la moelle épinière. Avec la plupart des auteurs, nous
pensons
qu'il n'y a pas de commotion, en tant que simpl
ce sans règle et l'attaque complète décrite par M. Charcot ? Nous
pensons
que les phénomènes précédents peuvent être comp
ours pahyméningite externe à la face antérieure de la moelle, aussi
pense-t
-il qu'on peut diviser en deux groupes les cas d
entier est re- présenté dans les lobes frontaux, il est légitime de
penser
que c'est dans la région frontale qu'il faut ch
n diagnostic; s'il fallait absolument en donner un il inclinerait à
penser
que c'est une paralysie générale qui va se déve
itérium ? M. Régis reconnaît la justesse de cette critique, mais il
pense
néanmoins que ces tableaux, qui indiquent à gra
gnostic de dyspepsie nerveuse résultant de neurasthénie. Il s'agit,
pense-t
-il, du degré le plus avancé de la névrose du nerf
elle compte aujourd'hui 18,000 habi- tants, trente grands hôtels et
pensions
. L'année dernière 2,003 Allemands sont venus s'
dans l'avenir de nombreux clients, à la condition que les prix de
pensions
, la nourriture, et la modicité relative des dépen
ue le défaut de relation entre l'ovulation et la menstruation, nous
pensâmes
tout d'abord à provoquer l'hémorrhagie et, en v
passer en revue les éléments divers du système nerveux, M. Kahler a
pensé
qu'il serait plus utile, sans négliger l'anatomie
ies du cerveau). -D'après les résultats qu'il a ob- tenus, l'auteur
pense
qu'il y a lieu d'établir une distinction for- m
ue l'est Erichsen en le présentant comme un type de commotion, nous
pensons
que le traumatisme a joué un rôle essentiel en
causes de la sclérose spinale multiple ne sont pas très connues,
pense
que des coups directs, portés sur l'épine dor-
ou d'hystérie; il y a là un tableau consécu- tif si frappant, qu'y
penser
c'est le différencier. Il n'en est toutefois pa
e l'acide phos- phorique contenu dans les urines et portent ainsi à
penser
qu'une certaine quantité de cet acide provient
1). 2a), tandis que llaxtltausen (m iNutib,-ILiei- et Vogel, p. 40)
pense
que l'acide P110,I)II(JrILI(ie tics exci-é- men
temps sous l'influence du travail intellectuel. Wood, au contraire,
pense
que la mise en activité du système ner- veux di
clusions que ces auteurs veulent tirer de leurs recherches. Nous ne
pensons
pas, qu'il suffise de constater, sous l'influen
era- t-on à attribuer ces modifications à ce travail ? Nous ne le
pensons
pas. , Ainsi, si chez un individu placé dans le
entait une prolifération interstitielle bien plus accusée, l'auteur
pense
qu'il y a eu d'abord myopathie interstitielle,
usions de 111. Shuttleworth n'en sont pas moins fortjudicieuses. 11
pense
avec raison que la responsabi- lité d'un imbéci
l pour expliquer la gravité des traumatismes chez les blessés; nous
pensions
, à la lecture des comptes-rendus, voir surgir a
onaire, nous ne trouvons rien; rien dans les urines, il n'y a pas à
penser
non plus à de l'alcoolisme dissimulé, menstruat
ts appartiennent aux deux sexes, mais surtout ou sexe féminin, nous
pensons
que parmi eux doivent se trouver des héréditair
erait l'accumulation d'une quantité de sang con- sidérable, on peut
penser
que la distinction de J.-L. Petit en phénomènes
excitation, observés dans les hémorrhagies ménin- gées, on pourrait
penser
qu'il y a là un élément propre à les faire dist
tement subordonnés à l'ébranlement primitif, et l'on est autorisé à
penser
que la structure de la moelle lui donne une sus
ié à vingt et un ans. [Père, mort à quatre-vingts ans; on l'a noyé,
pense-t
-on, ou il est tombé par accident dans le canal
etdeWood. Ces auteurs arrivent à des conclusions variables. Les uns
pensent
que dans lesinflam- matious aiguës du cerveau l
utour de la normale (Lom- broso, Mendel). D'autres, au contraire,
pensent
que, sous l'influence de l'alié- nation mentale
i trouvent dans les urines une augmentation de l'acide phosphorique
pensent
que cette augmentation est un indice de la dépe
se d'influx nerveux ; ceux qui ne constatent pas cette augmentation
pensent
que l'étude de l'élimination de l'acide phospho
nt toujours la même dans un laps de temps restreint. Ne peut-on pas
penser
que, dans ces conditions l'économie de cet indi
etles troubles cérébraux. En effet, si ces résultats nous portent à
penser
que, dans ces maladies, les échanges qui se pas
homme que je croyais irresponsable. Jugez-moi à votre tour. J'ai
pensé
, messieurs, que votre jugement adoucirait pour
ous les comptes, préside à l'encaissement et au rembour- sement des
pensions
; c'est à ce comité que le médecin en chef propo
erritoire entier de la colonie. Celui qui a tout vu sans parti pris
pense
que le soin des aliénés dans les familles, tel
cas qui se présentaient à l'observation; à cet égard, M. Uhthoff
pense
que, parmi les malades atteints d'atrophie spinal
veut de Kralft-Ebing, ni une forme de folie systématique, comme le
pense
Schuele. Discussion : .' M. Westphal. Il a en
re, dit l'auteur dans sa préface, s'est trouvé écrit presque sans y
penser
, au jour le jour, au hasard de l'inspiration et d
ngueur, présente sur son bord antérieur 3 légères saillies, faisant
penser
au tuber- cule de Darwin; sa cavité est très pr
ler (Deutsch. Zeitschrf. jVen'el1lteilh, 1900, t. XVII). Cet auteur
pense
qu'il s'agit de ramilicalions de nouvelle formati
bifurcation uniquement dans des cavités en tuyaux où l'on pourrait
penser
à un simple effilochage des fibres ; j'ai vu le
alysie isolée du muscle ciliaire et du sphincter irien. M, Schullze
pense
qu'il s'agit d'une lésion du noyau de l'oculomo
nconstance de l'effet évacuateur des douches d'ilégar permettait de
penser
il un obstacle intermittent, il la circulation
s malades apparaissent les symptômes les plus inquiétants laisse il
penser
que, sur ces- lorrains de la prédisposition né,
Jamais de copiophagie. . REVUE DÉ PATHOLOGIE MENTALE. 01 11 est à
penser
que le système musculaire de l'intestin con- t
e mourir ' ! » « Oh ! si : encore parfois o. - « EL voire femme Y Y
pensez
-vous H. 11 reste muet et comme embarrassé, puis
ses idées et ses interprétations délirantes n'ont pas cessé. Il ne
pensait
d'abord qu'à se venger d'elle. Il voyait toujou
voir contenir certaines réponses, m'incite il signaler ce que nous
pensons
tous d'une organisation hospitalière qui ne rép
qui trouvent toujours que les impôts sont exagérés ; les électeurs
pensent
déjà que les fous coûtent bien' cher. 300 ou 40
iée il la surdité verbale connue à l'amnésie verbale, : 11. Qucnscl
pense
que la paraphasie présente une indépendance rel
droite. 11 sort avant guérison, quinze jours plus lard. L'auteur
pense
que l'lténturrltagio résultant de la fracture du
TE. Plusieurs années. M. Pactet. Les lésions diffuses permettent de
penser
à la paralysie générale. M. Vallon ne croit p
de la donorpbrnisation. Celle malade était hystérique. Les auteurs
pensent
que celte aphasie transitoire ôtaitdue à l'into
e, les lt'ou- bles délirants présentés par leur malade. M. Vallon
pense
que des intoxications diverses peuvent réveil-
bert Ballet, à propos d'une jeune lille atteinte des deux syndromes
pense
que les deux systèmes de glandes à sécré- Lion
ne preuve de plus la théorie de Stricker, d'après qui on ne saurait
pensera
une lettre ou à un chiffre, sans que lïlHhiln e
ntré qu'il fallait renoncer l'idée d'un cheval doué de l'aptitude à
penser
librement. C'el, l'n efl'L,t, Jà qU'l'sL lc noeud
refus d'aliments, et du mu- tisme. Dans une partie des cas, nous
pensons
que le refus d'a- liments et le mutisme doivent
açon générale de se comporter, qu'on reconnaîtra si, oui ou non, il
pense
et sent ce qu'il dit ou ce qu'il fait, et si la
eurs sur des crânes de normaux, d'aliénés et de criminels, l'auteur
pense
que l'on doit admettre que les aliénés ne prése
- La constatation de ces symptômes multiples d'involution conduit à
penser
que, plutôt que les traitements internes, c'est
et l'année suivante il y a une fausse-couche de 2 mois. On devait
penser
l-,t syphilis : cependant l'examen iso- INFLUEN
ellence son 'aspect morphologique et histolo- gique : il est donc à
penser
qu'il a une fonction propre et iden- tique chez
ait indique ce même groupe ; Sano et Ubersteiner aussi, bien qu'ils
pensent
que ce groupe n'est pas le seul. Gregoriew ment
ystérique ou épileptique, d'un dédoublement de la per- sonnalité et
pense
que l'altération de la mémoire est en rapport a
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. noyau lenticulaire. Parhon). Les ailleurs
pensent
que souvent ces héniioedèmcs sont en réalité so
consla- tant alors des troubles de sensibilité dans le côté droit,
pense
à l'hystérie et adresse la malade au Dr Abadie,
érique n'obéissant pas d'ailleurs aux règles classiques nous avions
pensé
que bien sou- vent la récupération consciente d
conseils d'une amie, etc. Et quand nous lui demandons ce qu'elle
pense
de ses actes, elle nous répond très simplement' :
nouement. «Un soir, nous dit-elle, je songeais à M ! ne[ ! ...et je
pensais
, sans plu ? III' arrêter, que je pourrais tuer
sous-sol n'est pas refroidi encore. Au- dessous, de l'humanité qui
pense
, la lave bouillonne de l'humanité barbare. Dans
oulent les bandelettes des vocables, jusqu'à ce que, juste récom-
pense
de ces héroïques logomachies, le baccalauréat, la
ssible une nouvelle différenciation histologique. Si, comme nous le
pensons
, la ditferenciation repose sur la séparation, dan
ls qu'ils furent, ils lui permettront de se rendre compte de ce que
pensent
ut éprouvent les religieux de vocation et les d
par L..Minou. (Neurolog. C"l1lmlhl., XXIII, 1904.) CHTSCHERB.11C
pense
que le périoste, les articulai ions, peul- etre
ses. Celles-ci furent plus courtes et d'intensité moindre. L'auteur
pense
qu'il s'agillà d'une modification dans la circula
s'agillà d'une modification dans la circula- tion encéphalique. 11
pense
qu'au début de l'accès épileptique il y REVUE D
oint de vue du traitement sérothérapique MM. Nicolas et llouriquand
pensent
que les tétaniques avérés doivent être di- visé
lté de ne pas mentir. Les enfants, en effet, à l'encontre de ce que
pensent
les mom11stes,sont nati 1 l'ment meilleurs. L't'n
l'âge où il lui était encore permis les longs espaces et les vastes
penser
.» ! 1 . Le Président lève la séance en signe de
nés. On observe aussi ce syndrome chez les circulaires. M. Vallon
pense
que les deux malades décrits par Esquirol et ci
exercice 1903 40G , 1 BIBLIOGRAPHIE. les agents subalternes. Nous
pensons
qu'il est naturel et équita- ble d'en faire aut
es charges supportées parla caisse de retraites pour le service des
pensions
d'anciens fonctionnaires de l'asile. » ' «Inter
nt pas là les centaines que fournit la méthode de lluscli mais nous
pensons
que nos 140 paralytiques suivis jusqu'à leur dé
ux toxines typhiques que sont dues les lésions et on est autorisé à
penser
que c'est par là voie sanguine que se produit l
uence, ne nous semblent pas avoir été suffisam- ment étudiées. Nous
pensons
que les .notions classiques sur ce sujet mé- ri
a ligne ombilicale (d'après le schéma de E. Flatau). Il y a lieu de
penser
qu'au-dessus de l'endroit de la compression dir
'une affection transversale toujours grandissante de la moelle font
penser
à un cas de tumeur progressive à la hauteur appro
manifestés éga- lement avant l'opération, il y a cependant lieu de
penser
que leur pa- roxysme répété était le fait cepen
doctrines, car sans cela il eût failli à sa mission. « Un riche ne
pense
qu'à lui, nous dit-il, et Dieu se sert de la misè
s altérées, et trahir leurs altérations par différents troubles, on
pensait
que ces altérations étaient très secondaires, p
rendue responsable de la genèse directe de chacun d'entre eux. Nous
pensons
, en effet, que si l'arrêt de développement du s
TIELLES 91 Henoch ne croit pas au succès du médicament. On pourrait
penser
dans ce cas-là à l'hystérie. En 1883, Remak e
s myoclonies chez les épileptiques et la maladie d'Unverricht. Nous
pensons
de la même manière. MYOCLONIES ESSENTIELLES 107
ître leur genèse, leur évolution, le psychisme du malade, etc. Je
pense
qu'on a trop généralisé les idées sur les tics à
nvulsifs, soit à l'hystérie. » Nous suivons cette opinion et nous
pensons
que toutes ces hyperciné- sies, variées dans le
ais si nous avons mis en avant la personnalité de cette reine, nous
pensons
néanmoins qu'on ne doit la considérer que comme
de ces préoccu- pations funèbres qui baillèrent Jeanne la Folle. Il
pensait
constamment à 1 (1) Recueil de M. Beiioemotii
lit Marie-Thérèse à Aune d'Autriche, qui lui demandait, ce qu'elle
pensait
de sa réception au Louvre, lors de son mariage
e sa réception au Louvre, lors de son mariage avec Louis XIV : « Je
pense
, dit la fille de Philippe IV, celle autre pompe
rmaux, qui doivent êlre recherchés avec soin. En secontl lieu, nous
pensons
avoir montré qu'à côté des nombreux caractères
sentent un exemple certain, bien qu'incomplet. M. Taruffi lui aussi
pense
que pour établir un jugement différentiel il fa
r parmi les for- mes incomplètes d'achondroplasie. On pourrait même
penser
à une forme de micromélie segmentaire symétriqu
ortante, je suis d'avis que ces formes sont moins rares que l'on ne
pense
, el qu'un examen soigné fait, soit dans la littér
es tels que ceux de la tuberculose et de la sypliilis. Les autres
pensent
que l'on doit admettre un état d'auto-intoxicatio
lléens normaux. Les réflexes plantaires faibles. Du côté droit nous
pensons
avoir remarqué une ébauche du signe de Babinski.
mes. La malade sortit guérie. Nos trois premiers cas constituent,
pensons
-nous, des exemples indis- cutables d'achondopla
dent (PI. XXXII), l'ensellure lombaire est plutôt .absente. On peut
penser
dans ce cas à un état d'achondroplasie fruste.
tte malade a présenté des troubles psychiques qu'on peut étiqueter,
pensons
-nous, du diagnostic de confusion mentale agitée o
ots sur l'état psychique dans l'achondroplasie. Certai ns auteurs
pensent
que cet état psychique est normal. Pourtant ce
ui consacra récemment sa thèse à l'état mental des achondro- plases
pense
pouvoir parler d'une manie achondroplasique. Si
pareille élude ne peul se présenter que très rarement, on pourrait,
pensons
-nous, étudier avec profit au même point de vue
nté étroite qui unit les diverses formes de nanisme; elle permet de
penser
que certaines de leurs manifestalations communes
e prédisposition générale incertaine. Nous n'avons aucune raison de
penser
que nous sommes en présence d'une dystrophie atav
tiques. Etant exclue la pensée d'une méningite cérébrale, on devait
penser
, en premier lieu, que la cause du complexus sym
ui ont leur origine dans la moelle allongée, il était nécessaire de
penser
, pour mon cas, aussi à cette possibilité diagno
il s'agissait d'un malade qui venait de la campagne, nous avons dû
penser
à la possibilité de nous trouver en présence d'
e ce phénomène n'est certainement' pas dif- ficile, alors que l'on-
pense
que chez mon malade l'hydrocéphalie était lo- c
ande, sans sensibilité à la pression des sutures, on est autorisé à
penser
la réacutisation d'une hydrocéphalie congénital
u chez ceux qui s'adonnent ci un sport vio- lent. t.. Nous devons
penser
, après avoir passé en revue et éliminé les différ
t dans certains cas très accentués de névrites. Il est plausible de
penser
qu'une névrite latente a évolué pendant de longs
ue ayant été observée par un certain nombre d'auteurs ; ceci a fait
penser
qu'il pour- rait y avoir un rapport pathogénéti
vec le commencement de l'amélioration. Ces considérations nous font
penser
que, malgré la fréquence relative de la sclérod
e atrophie de cette glande, en dernière analyse l'on peul arriver à
penser
que la sclérodermie reste subordonnée dans ces
ÉTUDE RADIOLOGIQUE D'UN CAS DE SCLERODERMIE 303 en était arrivé à
penser
que la sclérodermie pouvait avoir des relations
socié au goitre exophtalmique. Ainsi que nous l'avons vu, Gaucher
pense
que la syphilis agit en déter- minant des troub
des troubles de la nutrilion. En ce qui concerne ces troubles, nous
pensons
qu'ils pourraient agir de deux façons différent
eux malades ne présentaient pas de troubles du névraxe. Les auteurs
pensent
que dans les quatre cas que nous venons de cite
celles plus récentes de Bruce (16) l'ont démontré. On pourrait donc
penser
que la topographie, si caractéristique du vitil
HIE EN CEINTURE 315 5 Comme dans le cas de Delmas et Roger, on peut
penser
, dans le nôtre aussi, à des troubles endocrines
de rhu- matisme. L'existence de l'ulcération des cuisses donnait à
penser
qu'une anomalie du système nerveux pourrait êtr
eur surface de section et la cicatrice. Cela suffit-il ? Nous ne le
pensons
pas. Il faut s'opposer il la prolifération par-
Paget dans une famille de blanchisseurs. Mieux encore, on pourrait
penser
à une forme de maladie de Paget céphalique (Cat
horax sont normaux. Seule l'extrémité céphalique pour- rait y faire
penser
et encore il n'y a comme point commun que la sail
et de délire chez un enfant qui succomba au bout de huit jours ; il
pense
que dans ce cas la rétrocession s'est faite sou
aussi variables que le siège et le nombre des lésions. III.-Nous
pensons
donc, en résumé, que les acci- dents encéphalop
il semble donc que les cas soient plus fréquents qu'on aurait pu le
penser
tout d'abord; ajoutons que de l'analyse de tout
ès suivant. Remak n'a pas examiné le champ visuel de son malade. Il
pense
que Môbius a tort de considérer son observation
lesquelles se trouve le point de départ de ces phénomènes, nous ne
pensons
pas qu'il soit actuellement possible de la déte
t pas d'une lésion organique grossière, comme tendrait à le faire
penser
l'observation suivante de Weiss ? OBSERVATIONIX
au du bouchon fibrineux et des caractères même du caillot, l'auteur
pense
qu'il s'agit dans ce cas non pas d'une thrombose
des autres. Un gardien par six malades. L'Etat a la charge des dé-
penses
; mais, en certains cas, on obtient des contributi
lyrique. Ce n'est pas le roman, c'est l'histoire de l'homme. « J'ai
pensé
, dit l'auteur, que la science de l'homme devait
e cas l'existence d'un travail inflammatoire, comme paraissent le
penser
certains auteurs '. i Sajous. De la Folie pai-a
ébrales. L'aspect et l'histoire de ce malade font immédiate- ment
penser
à un tabes : l'incoordination motrice, l'influe
tés. L'examen ne révèle aucune trace d'anesthésie. Mais le malade
pense
que la sensibilité tactile est un peu plus lente
le malade se plaignait de ne pouvoir pas voir de l'ceil gauche, et
pensait
que I'oeil droit était sain. L'examen montra un
'exploration ne révélait pas d'hémiplégie nette ni d'anesthésie. Il
pensait
cependant que la sensibilité tactile, lorsqu'il
couche de pigment des deux rétines, principalement à gauche. Je ne
pense
pas que ces faits aient aucun rapport avec le t
sion du lobe occipital et de la' capsule interne du côté opposé. Il
pensait
avoir observé cette amblyopie d'un oeil et non
ux des connexions plus ou moins serrées; alors nous avons souvent
pensé
au livre de M. Charcot sur les « Maladies des vie
la connexion en- tre le cervelet et le cerveau, on ferait mieux de
penser
aux autres faisceaux, au pédoncule cérébelleux
ue marchant vers la dé- mence ; mais l'observation m'amène plutôt à
penser
que nous avons affaire à un état mélancolique v
ogique sans influence sur la forme morbide. Les autres au contraire
pensent
, aveemorel, qu'il excite un groupe de folies hé
l'urine exhalait aussi l'odeur douceâtre de la pomme; du reste nous
pensons
que cette odeur n'est pas celle de l'acétone et
apport à sa proportion dans les sulfates. On pourrait donc tendre à
penser
au tube intestinal, comme au lieu de formation
il y a plus de cas curables que jadis : cela tient à la gratuité de
pensions
qui concernent des cas morbides récents. M. N
vons que l'alcool est un poison du cerveau; il y avait donc lieu de
penser
que, comme l'ergotine, il anéantissait certaine
s. Depuis la transformation politique de la région, on a déjà dé-
pensé
4 millions pour transformer ou reconstruire des a
résidence, sur la facilité avec laquelle on surveille et l'on dis-
pense
le repas d'un bout à l'autre. Du ler octobre 1883
présente aucune altération appréciable. Il est donc ra- tionnel de
penser
que les lésions des nerfs périphéri- ques et de
e la fibre, et remonte progressivement vers son extrémité centrale,
pensera-t
-on que, dans l'espèce, cette dégénération exist
tômes qui conviennent le mieux à ses études spéciales à sa façon de
penser
ne pouvant produire qu'un peu des phénomènes ob
rs toujours faibles. Ici c'est au tabes dorsal spasmodique que l'on
pense
tout d'abord ; mais les douleurs du début, la d
s d'autre excuse que celle de la misère et de la faim. Elle n'a pas
pensé
à mettre au compte d'un trouble intellectuel un
formule de l'appel, puis l'avait signée. Nous dirons ce qu'il faut
penser
de cette pré- tendue suggestion. Il importait
se. - En résumé et comme conclusion de ces différents faits, nous
pensons
pouvoir admettre : - - 1" Qu'il existe un certa
ves du bras droit. Quant aux convulsions hémiplégiques, M. Bouveret
pense
qu'elles doivent être rapportées à l'excitation
ution de l'excitabilité redevenue nor- male, bien avant qu'on ait à
penser
au retour des phénomènes tendineux. Mais il exi
lic sous la forme la plus instructive que l'on puisse souhaiter. Il
pense
que dans la majorité des asiles les recherches
ient eu, pour conséquence, la guérison de l'affection mentale, « je
pense
que l'on n'en sera pas étonné si l'on songe que l
érine au moment de l'entrée des malades; et j'incline « fortement à
penser
que si ce point de pathologie attirait plus « q
ue ceux de la manie aiguë, en sorte que c'est à peine si l'on avait
pensé
à la possibilité de la paralysie générale : toute
lle toile d'image et à s'en servir plus ou moins exclusivement pour
penser
; d'où l'exis- tence de types sensoriels, comme
Cependant M. Ch. concède que « ne se suicide pas qui veut », et il
pense
que le suicide à deux peut être comparé à la fo
nhibiteur, rôle qui lui avait été attribué déjà par Charcot. Nous
pensons
que ce rôle d'inhibition existe et que son absenc
bas sur le trajet médullaire des fibres de projection. (1) Nous ne
pensons
pas que l'absence de FPyD doive être considérée a
moitié gauche du corps sont d'une explication plus difficile. Nous
pensons
qu'on peut la trouver en partie dans la réparti
de Raynaud est niée par le malade, on a cependant eu le devoir d'y
penser
, d'autant que la syphilis semble agir dans cert
ronique ne font pas mention de la température locale, ce qui laisse
penser
que celle-ci est normale dans la grande majorité
ué par les ornements de l'habit. Quand il s'agit de femmes, il faut
penser
, plutôt qu'à la masculinité comme caractère dég
uche. Mais la nature n'en a pas été reconnue. Rien ne pouvait faire
penser
à un anévrysme et le diagnostic avait été : tumeu
symptômes contingents qui in- clinent le diagnostic. Ici j'avais
pensé
d'abord à une lésion médullaire à cause du peu de
it été très agitée et qu'on l'avait con- tenue pendant une nuit, on
pensa
à la possibilité d'une paralysie du nerf radial
tard, à propos des altérations des nerfs périphériques, ce qui faut
penser
des critériums, adoptéspar certains auteurs, pour
é- rations de leurs cylindraxes (réaction à distance). On peut donc
penser
qu'une partie seulement des altérations de nos
e simple propagation d'un muscle à un autre de son voisinage, comme
pense
Sternberg. Quand nous percutons l'apophyse styl
uvement de s'appuyer sur la pointe du pied pour marcher, nous avons
pensé
tout de suite qu'une pareille excita- tion, uni
es ne soient pas absolument sans exemple, il serait par trop dur de
penser
que, seule, la malveillance administrative ou d
étendant le dernier des misérables, Lucifer, se disant incapable de
penser
sans outrager (1) Comme supplément des dessins
x, et si sensibles que toute pression sur ce membre inférieur droit
pensait
provoquer une défaillance. Du côté gauche, la c
ffectée, les vomissements qui peuvent se produire à ce moment, font
penser
une infection microbienne. Mais d'autre part, l
aques ont été abondamment répé- tées. En somme nous sommes enclin à
penser
que les « attaques aiguës » ne sont pas dues à
ne puisse être donné comme une explication très satisfaisante, nous
pensons
avec Milroy, Meige, et d'autres, que l'oedème d
endre pour des cas d'urticaire factice. On ne pourrait pas non plus,
pensons
-nous, les prendre pour une variété d'oedème ang
du champ visuel, ni anesthésie pharyngée, ni rien qui puisse faire
penser
à l'hystérie. En présence d'un pareil tableau s
périmentales avec les troubles psychiques des basedowiens permet de
penser
que ceux-ci sont sous la dépendance d'une intoxic
drome de Basedow, dans ses formes frustes, estplus souvent qu'on ne
pense
une cause d'aliénation mentale. Aussi convient-il
ndant qu'elle marche, lepied balaye (« sweeps ») le sol. « Cela, je
pense
, est caractéristique de la paralysie hystérique.»
écédé chez cet homme, l'apparition des para- lysies peuvent y faire
penser
. On peut aussi songer à une altération de la pl
é de la rudesse de la respiration qui, d'ailleurs, se fait mal ; et
pense
que là tuberculose pulmonaire est une compli- c
du monde, et qu'il n'y a pas de plus grand pays que l'Italie ; elle
pense
que les collines qui entourent Flo- rence sont
; souvent elle se corrige d'elle-même si elle se donne la peine de
penser
à ce qu'elle a dit. Cependant que sa soeur répo
ment déprimé. Son psychisme ne présente aucun caractère puéril ; il
pense
et raisonne comme un adulte d'intelligence très
tre seulement un excès de sécré- tion interne de la glande, si l'on
pense
qu'il y a des cas,et ils ne sont pas rares, où
echerche systématique conduite méthodique- ment. Peut-être a-t-on
pensé
que telle investigation était inutile, et que le
l'acromégalie. -, Sur cette question rien encore n'a été fait ; je
pense
donc qu'une contri- bution à cette étude n'est
Brugger (5), Vortisch (6). Le mécanisme de l'ossification précoce,
pense
Virchow, se produit à la (1) HIHSCHBERG, Sehner
ations sont insignifiantes. » Il semble donc qu'on puisse peut-être
penser
chez notre premier ma- lade qui présente à gauc
olence très accusée, la marche par à-coups de la maladie, faisaient
penser
à une tumeur. Le manque de phénomènes 368 R. WE
mènes, elles sont utiles et, certain point de vue, logiques. Mais je
pense
aussi qu'il est nécessaire de rappeler de temps
des excitations inaccoutumées. Il n'est pas toujours avantageux de
penser
en homme et il est grand et digne de savoir, à
se soit fait une représen- tation mentale delà chose et qu'on y ait
pensé
avec plus ou moins d'in- sistance. Que d'états
- duction en sont et de beaucoup les agents les plus importants, je
pense
aussi qu'elles sont impuissantes à expliquer to
Chez ces sujets l'infantilisme mental est moins grave. Lancer eaux
pense
que cette forme d'infantilisme est déterminée p
dégénérés comme le voudraient Dupréel Pagniez (Ferranini). Je ne
pense
pas devoir parler ici des autres syndromes analog
cation de la main d'Adrienne est encore plus arriérée, mais si l'on
pense
qu'elle est de 5 ans moins âgée que sa soeur on d
ges épiphysaires comme des caractères franchement eunuchoïdes ; ils
pensent
quej'insuffisance testiculaire est un facteur pat
es SOllS l'influence d'une seule et unique tare héréditaire. Nous
pensons
qu'on doit aujourd'hui accepter, en raison de sa
ystrophique qui ont été décrites par Rummo et Ferranini. 1 Schuller
pense
aussi que dans la genèse des infantilismes dystro
é dépendrait de la lésion d'un centre cérébral de la base. Schuller
pense
que dans de tels cas les affections de l'hypoph
que ne mesurait que 3/4 de centimètre. Il serait donc illogique de
penser
à toute autre localisation d'une tu- meur évent
abétique et paralytique général et la mère est tabétique. z Faut-il
penser
à une virulence spéciale de l'agent pathogène ? '
mère. Cette particularité, loin de prouver sa sincé- rité, comme le
pense
M. Valobra, la rend très douteuse. Si mon confrèr
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