s, pulmonaire, gastro-intestinale,génito-urinaire. 2° Au-dehors, la
peau
, enveloppe extérieure générale et continue, par a
les plus extrêmes entre les tissus différens, depuis la surface de la
peau
, enveloppe générale commune, jusqu'à la cellule a
ment, les aponévroses d'enveloppe des membres sont en rapport avec la
peau
, mais seulement par l'intermédiaire d'une couche
es superficielles, les nombreux vaisseaux sanguins et les nerfs de la
peau
, renfermés clans autant de petites gaines aponévr
ueuse, comme l'a parfaitement définie M. de Blainville, représente la
peau
extérieure dans sa couche dermique amincie, avec
s fèces. Par leur surface profonde, les membranes muqueuses, comme la
peau
, adhèrent à la couche musculaire qui leur est pro
ires qui représentent ici les cryptes et les bulbes plianériquesde la
peau
. Au-delà se présente comme à la peau, mais beauco
et les bulbes plianériquesde la peau. Au-delà se présente comme à la
peau
, mais beaucoup plus mince, la couche musculaire r
e séreuse, interposant entre-elle et le feuillet, dit pariétal, de la
peau
externe, la grande cavité centralede glissement.
sculaires et par conséquent plus humides, mais moins sensibles que la
peau
externe. Toutefois l'extrême diversité de leurs u
où elle se confond, par une dégradation insensible de tissu, avec la
peau
. Cette membrane renferme de nombreux cryptes qui
, est celle qui, par ses caractères, offre le plus d'analogie avec la
peau
externe. Étendue entre les deux orifices buccal e
ue l'existence d'une membrane muqueuse n'y est même pas prouvée. La
peau
par cela même qu'elle forme l'enveloppe extérieur
térieures, par un produit sécrété, [épi-derme. Par sa face interne la
peau
est séparée de la couche musculaire ou aponévroti
iques qui sécrètent les poilsdont le tuyau traverse l'épaisseur de la
peau
4 pour s'élever au dehors. Enfin, dans différ
in d'être encore suffisamment prouvée. Dans sa texture générale, la
peau
est plus épaisse sur la face postérieure, où il c
s les saillies osseuses ou tendineuses. Dans les plis articulaires la
peau
devient d'autant plus mince qu'ils sont mieux abr
es et les bulbes pileux plus nombreux; par l'effet de la flexion , la
peau
offre dans ces points un grand nombre de petites
considérée de la superficie vers la profondeur, donne pour élément la
peau
, la couche cellulo-vas-culaire sous-cutanée, et
e l'occipito-frontal, la couche cellulo-vasculaire sous-cutanée et la
peau
. Face. La face comme charpente osseuse est form
sses nasales, tapissée par une membrane muqueuse , continuation de la
peau
, offre des pro-longemens, ou sinus, dans l'épais
ifices de ses cavités, et dont l'adhérence intime avec le corps de la
peau
fait qu'ils ne présentent aucune loge spéciale. L
e l'occipital. Les limites du cou sont tracées à l'extérieur par la
peau
, enveloppe commune ; au-dessous de la peau s'éte
cées à l'extérieur par la peau , enveloppe commune ; au-dessous de la
peau
s'étend le peaucier qui ne forme que la moitié an
ux enveloppes organiques elle offre à considérer: i° à l'extérieur la
peau
mince en avant et dans les creux axillaires, épai
eloppes, la paroi abdominale se compose des parties suivantes : i° La
peau
, mince en avant, épaisse en arrière sur les lombe
bras, l'avant-bras et la main. L'enveloppe générale commune, ou la
peau
, présente pour ce membre des différences analogue
ochanter et genou.) Le fascia cellulo-vasculaire sous-cutané isole la
peau
de l'aponévrose d'enveloppe, dans toute la hauteu
es eaux du bassin. A la superfìcie, elle se continue seulement par ta
peau
, la démarcation n'étant pas moins tranchée en arr
corps étrangers contenus dans leurs cavités. Il en est de même de la
peau
, enveloppe tégumentairc générale, qui lait office
aches xiphoïdiennes du diaphragme, et vient former collection sous la
peau
à la partie supérieure de l'abdomen. Enfin, clans
cas très rares, de pareilles fistules viennent former tumeur sous la
peau
des parois thoraciques. Enfin, onconnaîtcles exem
ce que l'on appelle le sac herniaire, viennent faire saillie sous la
peau
, au travers de l'anneau inguinal externe. L'ori
ait de sa direction, vient former, sous le fascia superficialis et la
peau
, une tumeur ovoïde en travers. La hernie crural
ers lune ou l'autre surface tégumentairc, la membrane muqueuse, ou la
peau
. De ce nombre seront les abcès et les calculs du
s vaisseaux iliaques, et viennent ordinairement former tumeur sous la
peau
de la partie interne et supérieure de la cuisse.
e du crâne, fuyant en haut et en arrière. Parties constituantes. i°
Peau
. Lisse chez les jeunes sujets des deux sexes, cou
gère couche de tissu adipeux, qui constitue l'ad-hérence intime de la
peau
avec les muscles sous-jacenset le péri-crâne. La
scles et aponévrose. Les muscles, intimement unis avec le corps de la
peau
, font partie des peauciers delà face; ce sont : l
milieu de la hauteur du crâne en arrière. Parties constituantes. i°
Peau
. Épaisse et lisse, elle fait partie du cuir cheve
rière, par la circonférence du muscle. Parties constituantes. i° La
peau
. Mince, lisse, peu adhérente, dépourvue de cheveu
a été donné. 2° Couche cellulo-graisseuse. Mince, peu adhérente à la
peau
, garnie de bulbes pileux et d'une petite quantité
ne, derrière et au-dessous de l'oreille. Parties composantes. i° La
peau
. Lisse et dépourvue de cheveux au contour de l'or
éral. i° Cuir chevelu et couche cellulo-vasculnre. La densité de la
peau
du crâne et son adhérence intime avec la couche s
, dans les sinus frontaux. Parties composantes. A. Appendice nasal.
Peau
. — Elle ne revêt que l'appendice extérieur, le ne
oppement accidentel donne lieu aux petites tumeurs nommées tannes. La
peau
du nez, sur-tout celle du lobe et du pourtour des
la perte de substance par un nez artificiel. B. Fosses nasales. i°
Peau
interne ou membrane muqueuse. Sa texture et ses p
la fente transversale de l'orifice buccal. Parties composantes. i°
Peau
. Mince, garnie de bulbes pileux dans l'homme, for
ieure, le sillon nasal (philtrum); au contour de l'orifice buccal, la
peau
est remplacée sur les lèvres proprement dites par
ane muqueuse; 2° Muscles. Ils sont, par leur adhérence intime avec la
peau
, au nombre des peauciers de la face. Le principal
s supérieur et inférieur; 5° Membrane mu-» queuse. Continuation de la
peau
, elle se distingue par les glan-dulcs labiales, s
rieure de la face, dont elle forme l'extrémité libre ou le menton. La
peau
, recouverte de poils dits la barbe, dans l'homme,
culaire lui-même et ses annexes. A. Appareil protecteur de [œil. i°
Peau
. Épaisse sur le sourcil où elle est garnie tle bu
euse. Déjà connue dans sa texture et ses propriétés, elle continue la
peau
, tapisse en arrière chaque paupière, et forme cir
des caractères de races les plus prononcés. Parties composantes. i°
Peau
. Lisse, fine, d'une coloration intense, qui est é
te à peine en avant où les muscles élévateurs adhèrent fortement à la
peau
. 3° Muscles. Les peauciers de cette région sont :
par la région massétérine et parotidienne. Parties composantes. i°
Peau
. Lisse, unie, intimement adhérente aux muscles en
fondant au-dehors avec la naissance du cou. Parties composantes. i°
Peau
. Peu adhérente dans toute l'étendue de la surface
s. Le seul qui existe est en avant le masseter. Entre ce muscle et la
peau
s'interposent les appendices de la glande parotid
osantes. Ce sont celles qui forment le pavillon même de l'oreille. La
peau
, fine et très adhérente, revêt, par l'intermédiai
a mâchoire, ou élévateurs de l'os hyoïde. Parties constituantes. i°
Peau
. Mince, garnie de bulbes pileux dans l'homme, ell
onstitue en bas la fossette sus-sternale. Parties constituantes. i°
Peau
. Mince, lisse, et glabre dans les deux sexes. 2°
uscle doit être relevé, abaissé ou coupé. Parties constituantes. i°
Peau
. Lisse, mince, et unie, peu adhérente en regard d
Planche i, n° 17; et planche 10, fig. 1. Parties constituantes, i 0
Peau
. D'une épaisseur considérable, comme en général à
ment. 20 Couche celluleuse sous-cutanée. Dense et très adhérente à la
peau
et au ligament cervical avec lequel elle se confo
trations qui gagnent facilement en profondeur, vu la résistance de la
peau
. 3° Aponévrose. Elle ne forme point une couche is
eux muscles pectoraux. 1 Planche 1, n° 18. Parties constituantes.
Peau
. Lisse, glabre, et fortement adhérente au milieu.
n'indique au-dehors la transition entre la poitrine et l'abdomen. La
peau
n'offre rien de remarquable; elle est, comme part
pplique la glande mammaire dans la femme. Parties constituantes. i°
Peau
. Lisse, fine, principalement chez la femme, elle
une multitude de petites opérations communes à toute la surface de la
peau
; mais celles qui lui sont particulières sont néc
inal et de ses annexes qui remplissent les gouttières vertébrales. La
peau
y est épaisse et rude, comme dans toute la face p
s saillies obliques des côtes et les dépressions intermédiaires. La
peau
, lisse et fine en avant, devient épaisse et rugue
épigastrique est le lieu le plus habituel où viennent saillir sous la
peau
les abcès par congestion formés dans le médias-ti
ondrales nous sont déjà connues ; elles se composent au-dessous de la
peau
, de l'extrémité supérieure du grand oblique, qui
milieu par l'enfoncement que détermine la cicatrice ombilicale. La
peau
, lisse et couverte de quelques poils dans l'homme
e texture différente, suivant les couches des tissus superposés. A la
peau
, la cicatrice a l'aspect d'un nœud qui adhère trè
la taille, indiquant la ligne transversale de flexion du tronc. La
peau
n'offre rien de remarquable que ses dégradations
ie verticale considérable, déterminée par le relief des muscles. La
peau
, très épaisse, est coupée de rides transversales
ibuent dans la masse du sacro-spinal , les muscles superficiels et la
peau
, et dont les branches de continuation longent l'a
uant les bords externes des deux muscles. Parties constituantes. i°
Peau
. Lisse, unie et garnie au milieu de poils dont l'
n lui-même comme une région particulière. Parties constituantes. i°
Peau
. Lisse et fine, garnie de follicules sébacés au v
l'extérieur par la dépression des trois lignes qui la renferment. La
peau
, couverte de poils épais dans les deux sexes, est
, et se prolonge en arrière au milieu de la région ano -périnéale. La
peau
en est fine, très extensible pour s'adaptera l'au
Voici de dehors en dedans l'ordre de superposition des couches : (a)
Peau
. Épaisse, de couleur brune, rétractile sous l'inf
téro-postérieure. Parties constituantes de la cloison périnéale. \°
Peau
. Mince, brune et ridée dans l'homme, elle continu
par une sorte de crête tégunientaire sur le plan moyen. En arrière la
peau
s'amincit encore autour de l'orifice anal, et se
cuisses. Dans toute cette surface, mais principalement au milieu, la
peau
est garnie de poils et de follicules sébacés, plu
nsidérable de graisse, et permet des cléplacemens considérables de la
peau
, circonstance souvent fâcheuse dans les opération
e nom d'un renflement pyri-forme, le bulbe de l'urèthre, séparé de la
peau
par le muscle bulbo-caverneux. C'est ce même tiss
mposent de toute la portion postérieure ou des annexes de l'anus : la
peau
, le fascia superficialis, l'aponévrose périnéale,
orifice du vagin. Dans la texture des grandes lèvres se trouvent : la
peau
continuée en dedans par la membrane muqueuse, un
cle la plus haute importance en chirurgie. Parties composantes. La
peau
mince, fine, cle couleur brune, entrecoupée de pe
inaisons du sillon vertical du dos au fond duquel saillissent sous la
peau
les tubercules représentant les apophyses épineus
e le diamètre antéro-postérieur du bassin. Parties composantes : La
peau
fait suite à celledes lombes, son épaisseur dimin
serrée chez les sujets maigres, détermine une adhérence intime de la
peau
avec les tissus fibreux sous-jacens. La couche ap
terminée par le voisinage des os, sont les causes des gangrènes de la
peau
dont cette région est si fréquemment le siège che
moyen en permettant la dilatation des membranes rachidiennes et de la
peau
sous la pression du fluide cérébro-spinal, donne
a saillie sous-cutanée du grand trochanter. Parties composantes. i°
Peau
. Garnie de follicules sébacés et de quelques bulb
ns ce tissu, est la cause des phlegmons habituels que la densité delà
peau
transforme en foyers. 3° Couchefibro-musculaire.
aut, est le siège d'un grand nombre de maladies et d'opérations. A la
peau
se rapportent le furoncle, l'anthrax, des kystes
ors par la saillie de l'apophyse coracoide. Parties composantes. i°
Peau
: Fine, souple et peu adhérente. 2° Couche cellul
cipant aux maladies des unes et de l'autre. Parties composantes. i°
Peau
. Fine, molle, très extensible, parsemée de rides
e est remarquable par un grand nombre de maladies et d'opérations. La
peau
, perspiratoire et très vasculaire, est fréquemmen
bords antérieur et postérieur du deltoïde. Parties composantes. i"
Peau
. D'une texture serrée, adhérente aux os à la part
lle est lisse et unie. 2° Couche cellulo-adipeuse. Elle forme sous la
peau
un pannicule graisseux assez épais, et n'offre du
tecteur de la cavité thoracique en arrière. Parties composantes. i°
Peau
. Épaisse et dense comme en général à la face post
par les scapulaires postérieurs et inférieurs. Parmi les nerfs, à la
peau
se rendent les filets sus-acroiniens du plexus ce
portions interne et postérieure du triceps. Parties composantes. i°
Peau
. Mince, fine, très sensible, surtout en dedans, d
occupe les trois autres faces de l'os. 3° Vaisseaux et nerfs. Sous la
peau
régnent les deux grandes veines superficielles ba
e des pronateurs et fléchisseurs en dedans. Parties composantes. i°
Peau
. Lisse, fine et unie, parsemée de petites rides d
i maintiennent les os en rapport. Quant aux parties composantes, la
peau
, soumise à des pressions fréquentes,est âpre, rug
le, et en arrière de celui des extenseurs par la cloison cubitale. La
peau
en regard est mince et fine; le plan sous-cutané
ente un rétrécissement transversal avec un double pli de flexion à la
peau
, et s'élargit vers la main par la naissance des é
e l'os crochu ; sur les côtés de l'articulation se prononcent sous la
peau
les saillies des apophyses styloïdes du radius et
la superficie vers la profondeur les parties composantes sont : i0 La
peau
, lisse 1 Planche i, n° 44 ; et planche 9. 7 Pla
postérieure (Pl. I, n° 46) est moins compliquée dans sa structure. La
peau
est lisse dans toute son étendue et présente seul
minences thénar en dehors et hypothénar en dedans. Creux palmaire. La
Peau
épaisse et rude sur cette face 1 Planche 1, n°
s un tissu cellulaire très serré, qui fait adhérer très intimement la
peau
à l'aponévrose palmaire. Au dessous la couche tip
tous les doigts et qu'il suffit d'indiquer pour l'un d'entre eux. La
peau
du doigt sur la face palmaire, également épaisse
lle se divise également en deux portions. Portion métacarpienne. La
peau
lisse, douce et assez mince, est remarquable par
sse. L'aponévrose dorsale elle-même est très inince. Entre elle et la
peau
rampent les nerfs et les veines dorsales; au dess
seuses postérieures provenant des perforantes. Portion digitale. La
peau
du doigt, très dense quoique lisse, 1 Planche i,
1 Planche 1 , n° '\g ; et planches 7 et 8. Parties composantes. i°
Peau
. Continuation de celle du pli inguinal, mince, li
le du droit antérieur au milieu. Quant aux parties composantes , la
peau
est épaisse, garnie de follicules sébacés et de p
léchisseurs de la jambe, dont la saillie se prononce au-clehors. La
peau
est épaisse et rude, et le pannicule adipeux sous
longs s'amincissent pour devenir tendineux. Parties composantes. i°
Peau
. Mince, lisse, extensible, garnie de follicules s
est le siège d'un assez grand nombre de maladies et d'opérations. La
peau
est fréquemment affectée d'érysipèle et de dartre
la jambe, par l'interposition de la cloison aponévrotique interne. La
peau
, épaisse et rude, garnie de follicules sébacés, e
muscles et les ligamens de l'articulation. Parties composantes. i°
Peau
. Épaisse, rugueuse et ridée comme au coude, sa si
su cellulaire séreux très lâche, qui permet une grande mobilité de la
peau
, elle ne contient qu'une très petite quantité de
e pli de flexion de la jambe sur la cuisse. Parties composantes. i°
Peau
. Lisse, fine, garnie de follicules sébacés et sou
dans laquelle il est disposé, permet une assez grande mobilité de la
peau
, y Aponévrose superficielle. Constituée par une l
parées par des sillons d'insertion commune. Parties composantes. i°
Peau
. Épaisse et dense, couverte de poils chez l'homme
titude avec laquelle fuse le pus, sous l'aponévrose d'enveloppe et la
peau
, induit à débrider de bonne heure par de longues
oniers et la portion malléolaire du péroné. Parties composantes. i°
Peau
. Fine et lisse en haut, recouverte de quelques po
eur et des muscles postérieurs de la jambe. Parties composantes. i°
Peau
. Épaisse, d'une texture serrée, peu vasculaire, a
tendons fléchisseurs du pied. Les parties composantes sont : i° La
peau
, coupée de plis de flexion, épaisse, rude, fréque
aillie de l'épine du calcanéum. Les parues composantes sont : i° La
peau
mince, glabre, peu extensible, laissant voir les
sous-cutanée. Formée d'un tissu serré, qui établit l'adhérence de la
peau
à la malléole, elle contient peu de graisse, et f
ctures de l'extrémité inférieure du péroné. Parties composantes. La
peau
plus épaisse qu'en dedans, et fortement adhérente
e formant proprement le talon. Les parties composantes sont : i° La
peau
, âpre et rugueuse dans toute l'étendue, doublée a
ermé dans les mailles d'un tissu fibreux dense, qui unit fortement la
peau
épaissie au périoste et aux gaines des tendons. D
s des orteils. Parties composantes. Portion tarso-métatarsienne. i°
Peau
. Fine, lisse, extensible et très souple chez les
nombre de veines d'un fort volume et par les vaisseaux propres de la
peau
. 3"° Aponévrose. Mince, composée de fibres courbe
resque à plat. Parties composantes. Portion tarso-métatarsienne. i°
Peau
. Épaisse et dense dans toute la longueur du pied,
lamelles fibreuses qui la parcourent établissent les adhérences de la
peau
avec l'aponévrose. 3° Aponévrose plantaire. C'est
bords osseux du pied , fortement adhérente, sur les deux faces, à la
peau
par de nombreuses lamelles d'épanouissement, et à
en arrière et en dehors, à partir du second, qui est le plus long, i"
Peau
. Épaisse et rugueuse sur la face dorsale, elle pr
nons et durillons. A la face plantaire et sur les faces latérales, la
peau
, très mince, sensible, d'un tissu très vasculaire
ont symptômatiques d'une siphylis ancienne. A l'extrémité dorsale, la
peau
forme le repli cutané, organe excréteur de l'ongl
En regard de cette pulpe, arrondie en un bourrelet demi-sphérique, la
peau
, soumise à la pression, prend une grande épaisseu
s, l'éther, les alcoolats, l'ammoniaque étendue, les frictions sur la
peau
, etc. Toutefois, après que le malade a repris con
ofondément qu'il n'est convenable. La sécheresse et la dureté de la
peau
n'influent pas moins sur la pression à employer q
r la pression à employer que la résistance des tissus sous-jacens. La
peau
fine des enfans, des femmes, des sujets lymphatiq
ues, ou des vieillards. Enfin, dans le même sujet, les qualités de la
peau
varient suivant les diverses régions, depuis l'ex
le de n'inciser que couche par couche ; mais, clans ces cas mêmes, la
peau
, du premier trait, doit être coupée dans toute so
SIONS SIMPLES. Toute section doit être précédée de la tension de la
peau
; on 1 Planche i5, fig. 7. ' Planche i4, fig. 2,
uatre derniers doigts. 5° Enfin, le chirurgien peut faire tendre la
peau
ou écarter les parties par des aides, dans les ca
donné à l'incision la longueur qu'elle doit avoir, pour couper net la
peau
à l'ouverture de sortie, on redresse de nouveau l
sont situées à quelques lignes de profondeur ou immédiatement sous la
peau
. C'est sur ces considérations que sont fondés l
plusieurs fois le bistouri, présenté parallèlement à la surface de la
peau
, de manière à n'inciser cette membrane et les tis
La section terminée de l'une ou de l'autre manière, en abandonnant la
peau
à elle-même, on a une incision qui représente deu
ection convient pour les ablations d'excroissances à la surface de la
peau
; elle s'applique, en outre, dans tous les cas où
n gauche, et, en la soulevant, de la faire saillir à la surface de la
peau
. On peut de cette manière atteindre assez profond
ision. Pour inciser devant soi, on fait glisser parallèlement sous la
peau
le bistouri tenu en huitième position. Parvenu à
sous la lame du bistouri du milieu vers la pointe, en conservant à la
peau
une partie de son tissu cellulaire L'instrument e
NS DE DEDANS EN DEHORS ET DE DROITE ¦A GAUCHE a. Pour celles-ci, la
peau
est tendue, avec la paume de la main gauche appli
e la main droite en quatrième position, on en présente la pointe à la
peau
; et, après la ponction opérée, le bord cubital de
écaution, le bistouri pourrait ne pas inciser toute l'épaisseur de la
peau
, et, en outre, il diviserait inévitablement en li
ns, doit être constamment maintenu perpendiculaire à la surface de la
peau
, l'inclinaison latérale ayant nécessairement pour
asculer l'instrument, de telle sorte qu'amené au parallélisme avec la
peau
, il soulève les parties sous lesquelles il est pl
vert des trajets fistuleux, et diviser cle larges dé-colleinens de la
peau
. Lorsqu'il n'existe pas encore d'ouvertures, il
rme au-dessous des tégu-mens, pourvu que les parties situées entre la
peau
et la paroi correspondante du foyer n'aient pas u
pour les sections de tissus résistans et très sensibles, tels que la
peau
. Toutefois on doit convenir que la section faite
e fongosités, et d'excroissances de diverse nature à la surface de la
peau
et des membranes muqueuses. En appuyant la convex
s toute son étendue : tels sont les cas de détachement de lambeaux de
peau
mobile ou d'isolement d'une tumeur indolente, du
te et par petits coups. Cette variété s'applique soit aux lambeaux de
peau
dans les points où elle adhère par des prolongeme
a profondeur prévue à l'avance, et que limite, par la rencontre de la
peau
, le doigt indicateur étendu sur le dos de la lame
5, fig. 1. parallélisme entre l'ouverture intérieure et celle de la
peau
. Voici le procédé généralement usité. Muni du bis
dans le cas où le foyer à évacuer est superficiel, peu étendu, et la
peau
qui le revêt de texture fine ou très amincie par
tion. 3° S'il est inévitable de renfermer une portion ou un cercle de
peau
dans l'anse du fil, la diviser préalablement par
uche d'une demi-ligne d'épaisseur. On applique ce linge à plat sur la
peau
; après quelques minutes commence la rubéfaction q
autant que l'induration lorsque celle-ci envahit sous une portion de
peau
non encore affectée. Il faut, dans cette opératio
n vermeille, mais rétrécie, non déprimée, sans aucun froncement de la
peau
environnante, et qui tend à se cicatriser avec un
'humidité et l'acide carbonique. (a) Application à la surface de la
peau
. On étend d'abord sur la partie un emplâtre de di
eux millimètres suffit dans tous les cas pour détruire le corps de la
peau
jusqu'au tissu vasculaire sous-jacent. On recouvr
caustique, qui agit très promptement. Après quatre à six minutes, la
peau
est détruite dans son épaisseur; une ligne circul
e consiste à promener avec rapidité l'instrument sur la surface de la
peau
, en formant des raies parallèles entre elles, et
derme, ne convertisse pas en une escharre commune toute la portion de
peau
comprise entre deux raies. Ce mode d'emploi du ca
les raies tracées par l'instrument sont brunes, et les languettes de
peau
intermédiaires jaunâtres. Les escharres, étroites
au extérieur des deux lèvres. 4° La piqûre ne doit traverser que la
peau
et les muscles ; il faut éviter avec soin de piqu
la plaie. Quant à l'éloignement de la piqûre du bord de section de la
peau
, on lui donne rarement plus de quatre lignes et m
e sa pointe, présentée presque perpendiculairement à la surface de la
peau
, à une ligne et demie ou deux lignes de l'un des
ême manière le fil qui avait été placé le premier. Pour garantir la
peau
de la piqûre des pointes, si les aiguilles ne son
té avec des tenailles incisives, et on place de chaque côté, entre la
peau
et les extrémités métalliques, une cordelette de
de continuité très profondes ; mais elle laisse entre les bords de la
peau
un écarteinent d'autant plus prononcé que la stri
es agglutinatives qui rapprochent par un second temps les bords de la
peau
; enfin, aujourd'hui que l'on restreint de plus en
er que leur action est superficielle, et qu'elles n'affrontent que la
peau
; en sorte que, très convenables pour des plaies
rties molles, pour donner de la longueur aux muscles et sur-tout à la
peau
, M. Fouilloy s'est servi de larges bandelettes ag
esoin, on empêche la striction des parties en éloignant le lacs de la
peau
par l'application d'une compresse à plusieurs dou
la maxillaire interne sont faciles à comprimer à leur sortie sous la
peau
par une compresse graduée que fixe un lacs circul
s'écartant par leur direction, et le médian lui-même, mobile sous la
peau
, pouvant être un peu déplacé en arrière, les vais
, la compression médiate s'opère, par divers moyens, au travers de la
peau
, à la circonférence de la tumeur, sur le trajet c
ligatures de substance animale; il s'est servi de minces lanières de
peau
de daim, et il a réussi sur les animaux à obtenir
e, ou mieux une substance animale , la corde à boyau , un fragment de
peau
, ou de la gélatine solide du volume du calibre i
TAIRES OU TISSUS. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'ÉPIDERME ET LA
PEAU
. excroissances épidermiques. Ces excroissance
ue la végétation épidermique ne fait que traduire une contusion de la
peau
, toujours affectée en dessous, et, proportionnell
ngue par sa production spontanée, sans frottemens, à la surface de la
peau
, principalement clans ses portions les plus vascu
te mousse, ou sommet qui s'enfonce en profondeur dans le corps cle la
peau
, et souvent au-delà jusqu'au périoste et aux enve
ures centrales et le bourrelet de circonférence, jusqu'au corps de la
peau
, distinct par sa sensibilité et sa couleur d'un r
à repulluler une nouvelle excroissance, pareeque le corps même de la
peau
est malade. B. Cautérisation. C'était un moyen
analogie de texture le nom d'oignon. Ce dernier adhère au corps de la
peau
injecté et tuméfié au-dessous Le traitement des d
le bistouri ou les ciseaux, ou de les limer avec la pierre ponce, la
peau
de chagrin ou une lime fine. Verrue. La verrue
in ou une lime fine. Verrue. La verrue est plutôt une maladie de la
peau
qu'une simple excroissance épidermique. Rugueuse,
ate d'argent. Mais surtout comme pour toutes les petites tumeurs à la
peau
, ncevi-malerni, boutons fongueux ou cancroides, e
liser avec soin. Plus ordinairement, à part les cas de maladies de la
peau
, si l'affection est partielle, un ou deux ongles
stouri étant tenu à pleine main, coupe d'abord perpendiculairement la
peau
en arrière, puis, offert à plat, enlève d'un seul
e aux traces que laissent après elles les limaces. 70 Desséché sur la
peau
, il la tiraille, et, si on la distend dans divers
Lieu d'élection. On peut vacciner sur toute partie quelconque de la
peau
. Néanmoins le bras, à sa face externe, est le lie
e qu'elle n'en retienne qu'une très petite quantité, la présente à la
peau
dans une situation parallèle ou légèrement obliqu
rme dans l'intention de déterminer et d'entretenir à la surface de la
peau
une irritation prolongée , dont l'effet soit de d
égner de calorique à cent degrés, et l'appliquer immédiatement sur la
peau
. Ce moyen nous paraît lent et pourrait être ineff
ans l'ammoniaque liquide, après l'avoir exprimé, on l'applique sur la
peau
à travers le trou du diachylum. On doit surveille
l'alcali en raison de sa grande énergie. L'effet produit, on lave la
peau
, et on panse comme à l'ordinaire. Ce vésicatoire,
cédé d!application. L'emplâtre étant étendu en couche mince sur de la
peau
ou du linge, dans l'étendue convenable, et saupou
é à sa surfice libre d'une nouvelle couche de cantharides, on rase la
peau
et on la frictionne avec un linge imbibé de vinai
aitant des caustiques (page 88). 2° Cautère par incision. Saisir la
peau
entre le pouce et l'index de la main gauche en fo
ils qui en traversent l'épaisseur, et dont les bords sont collés à la
peau
par une bandelette agglutinative. Toutefois, la l
é d'une matière inflammable, et que l'on fait brûler lentement sur la
peau
jusqu'au point de la convertir en escharre. Le mo
e cautère. Les lieux que l'on doit éviter sont : i° les points où, la
peau
étant très fine, l'cscharrc peut s'étendre très p
imont une cautérisation plus ou moins profonde. Cautérisation de la
peau
en entier. On y emploie le coton cardé, que l'on
ne bougie ou au moyen d'un charbon en ignition, et on applique sur la
peau
l'autre extrémité. Pour maintenir le moxa en cont
; mais bientôt elle augmente au point de devenir très douloureuse. La
peau
rougit à l'entour du moxa ; elle se couvre de gou
ions des muscles sous-jacens. A mesure que la combustion s'achève, la
peau
se fronce; elle sèche, jaunit, et forme des rides
cette escharre est fendillée; elle intéresse toute l'épaisseur cle la
peau
, et souvent aussi le pannicule adipeux. Trois s
ar une bandelette agglutinative. Cautérisa lion superficielle de la
peau
. 2° Moxa de l'Hôtel-Dieu. C'est le moxa ordinai
t inter-pariétale. Pour en diminuer l'activité, il interpose entre la
peau
et le moxa un disque de drap humide qui transform
in, nous ne citons que pour les blâmer les combustions opérées sur la
peau
, en qualité de moxa, de petits fragmens de phosph
à double ouverture que l'on pratique avec l'instrument tranchant à la
peau
et au travers du tissu cellulaire, et dont on ent
chirurgien, placé derrière et au côté droit du malade assis, pince la
peau
entre le pouce et les doigts pour en former un pl
temps, on doit, en faisant rouler entre les doigts les deux plis cle
peau
juxta-posés , s'assurer qu'il n'y a point d'autre
blement enduite de cérat, traverse la plaie de part en part, lâche la
peau
et dégage le stylet. L'opération terminée , on pa
icielle, n'est qu'une piqûre bornée en profondeur à l'épaisseur de la
peau
et du tissu cellulaire sous-jacent. La scarifiai
ficielle et bornée au réseau vasculo-nerveux sous épidermique ou à la
peau
, mais qui parfois intéresse une grande épaisseur
ielles. A. Avec le bistouri. On promène légèrement à la surface de la
peau
le tranchant de l'instrument appliqué parallèleme
linéaire par une seconde qui en croise la direction, en tailladant la
peau
par polyèdres quadrilatères ou losangiques. Cette
nement, dans la ventouse scarifiée, est mauvaise, car elle découpe la
peau
en autant d'ilôts séparés qui, se trouvant prives
t, l'instrument étant armé, on applique sa surface vulné-rante sur la
peau
, avec une pression modérée , suffisante pour tend
n de ne pas autant effrayer le malade. RESTAURATION DES PORTIONS DE
PEAU
MUTILÉE, ou AUTOPLASTIQUE CHIRURCtICALE. En gén
laisse la facilité de recouvrir la plaie soit par le froncement de la
peau
, soit avec des lambeaux cutanés que l'on taille s
on que l'on enlève impunément. Si donc, au lieu de ces conditions, la
peau
est ulcérée ou dégénérée dans une certaine étendu
rit humain, farta procédé du simple au composé. L'extensibilité de la
peau
qui permet de recouvrir une partie avec un lambea
taines conditions donnant lieu à quelques préceptes généraux. i0 La
peau
de la région à laquelle on emprunte le lambeau do
elle est assez épaisse et peu adhérente aux parties sous-jacentes. La
peau
très mince et qui roule au toucher sur l'aponévro
ferme et de la multiplicité de leurs anastomoses à tous les plans, la
peau
de la tête offre anatomiquement une garantie très
pâlit et sa température s'abaisse beaucoup au-dessous de celle de la
peau
. Comme dans tous les cas cle refroidissement, les
de la plaie est telle que la mobilité obtenue par la dissection de la
peau
en deux lambeaux soit insuffisante pour l'affront
a plaie; cette incision, qui ne doit intéresser que l'épaisseur de la
peau
, ajoute beaucoup à la mobilité des lambeaux, dont
ques des deux incisions, et facilitant au besoin le refoulement de la
peau
par une compression graduée, Procédé de Chopart
ment trapézoïdal , isolé par trois côtés, adhérent par sa base. Si la
peau
est très mobile d'un côté, il peut suffire d'un s
te hauteur quelconque vers l'un des bords de la plaie, suivant que la
peau
présente une mobilité égale ou inégale dans les d
étend l'application à tous les cas où il s'agit de fermer, par de la
peau
normale, une ulcération ou un orifice accidentel.
tégumens sont froncés en plis rayonnatts vers le centre, comme si la
peau
était attirée forcément des différais points de l
on doit craindre les cicatrices vicieuses dans tous les points où la
peau
est épaisse, peu vasculaire, adhérente à des surf
es. Quant à la cause, la rétraction est d'autant plus probable que la
peau
a été plus complètement désorganisée dans son tis
'hémorragie par les moyens connus. On panse à plat et on maintient la
peau
tendue pendant toute la durée de la nouvelle cica
ite surface trop insuffisante, la déperdition d'une grande étendue de
peau
. Ces cicatrices sont le résultat d'une flexion vi
r des coutures et de fortes brides fibreuses qui tendent fortement la
peau
, et par elle les parties sous-jaecntes , et rende
utant que le permet la disposition des parties, par une incision à la
peau
en regard du point où s'exerce encore la rétracti
érence, soit la cicatrice : la première se guérit plus facilement, la
peau
des bords de la plaie étant saine ; la seconde pr
sultent de la section, et rapprocher exactement les deux lèvres de la
peau
, à chacune d'elles, pour en obtenir la réunion is
lie entre MM. Guérin et Bouvier, sur la convenance de couper, sous la
peau
, quelques muscles du dos, considérés par M. Guéri
chement, inciser a plat, avec lenteur et par petits coups ménagés, la
peau
et le muscle peaucier dans toute sa largeur, puis
vaisseaux. Deux méthodes sont employées:l'incision préalable de la
peau
et. la ponction sous-cutanée. i"Par incision cu
osé, appuyée sur un oreiller ou sur la poitrine d'un aide, faire à la
peau
et au muscle peaucier une incision perpendiculair
e, achève la section d'un seul coup. Procédé de M. Roux. Faire à la
peau
une incision verticale au milieu des deux portion
appliqué pour tout autre point de sa hauteur. 20Par ponction de la
peau
et incision sous-cutanée. Procédé de Dupuytren. P
ateur de la main gauche, le bord sternul du muscle, puis traverser la
peau
et le peaucier, en piquant à plat, avec le bistou
ever son tranchant vers soi, et couper, en sciant, les fibres sous la
peau
, de la profondeur vers la surface. Procédé de M
e, le sterno mastoïdien étant fortement tendu, le chirurgien fit à la
peau
un pli parallèle au bord du muscle, et, piquant à
côté opposé , de manière à faire saillir fortement le muscle sous la
peau
. Premier procédé. Faire , à un travers de doigt
le au bord externe et postérieur du muscle ; insinuer à plat, sous la
peau
tendue, la lame du bistouri concave , le tranchan
Second procédé. Dans celui-ci, sans qu'il soit besoin d'un pli à la
peau
, le bistouri convexe est glissé sous la face prof
la lésion de la jugulaire externe, ordinai renient visible sous la
peau
, surtout, dans l'état de tension du muscle. La v
lieu à un accident impossible à prévoir, surtout en agissant sous la
peau
. Ces considérations nous feraient recommander, co
ndon en totalité , d'avant en arrière, en prenant garde de blesser la
peau
. Dans le fait de Delpech, les deux bouts étant mi
ent de ponction : à peine la pointe de l'instrument a-t-elle piqué la
peau
de l'autre côté que le chirurgien, retirant le bi
ouri suivant une ligne courbe en haut, achève, mais sans toucher à la
peau
, la section du tendon, en revenant suivant le pre
de M. Stromeyer, seulement M. Duval ne fait qu'une seule piqûre à la
peau
. Modification de M. Bouvier. Il pique la peau a
une seule piqûre à la peau. Modification de M. Bouvier. Il pique la
peau
avec une lancette, du côté où le tendon offre la
rande saillie, puis il introduit par la plaie et fait glisser sous la
peau
un petit couteau droit, à pointe mousse, nommé té
Modification de M. Velpeau. Ce chirurgien, pour éviter de léser la
peau
, commence par l'isoler et la mettre en arrière du
'introduction de la lame il est convenable de pincer préalablement la
peau
avec les doigts de la main gauche. Au reste, dès
etire par la même ouverture sans avoir pratiqué une autre plaie de la
peau
en regard. Le procédé de M. Stromeyer et ses mo
d'un meilleur résultat, la cicatrice du tendon, isolée de celle de la
peau
, lui permettant de continuer à glisser librement
s du tendon. Enfin l'incision simple garantit mieux l'intégrité de la
peau
, qui n'est lésée que pour l'unique piqûre d'entré
étacaqxvphalangiennes, les unes et les autres adhérant fortement à la
peau
par des prolon-gemens fibreux. Si maintenant une
rce de rétraction de cette aponévrose formant un seul système avec la
peau
et le squelette. Au point de vue anatomique de la
t mieux continuer dans toute la longueur l'incision transversale à la
peau
et couper isolément chacune des bandes transversa
ns la crainte des récidives, si fréquentes, une section commune de la
peau
et des tissus fibreux, dans toute la largeur, ser
si, dans quelque point isolé, une bride verticale fait corde sous la
peau
, ou s'il s'en présente d'autres anormales, crois
aque doigt, une incision longitudinale longue d'un pouce, dissèque la
peau
en dessous pour la détacher des brides fibreuses,
nt été isolées. Procédé d'AsUey Cowper. (Fig. 5.) Il glisse sous la
peau
, à l'un des côtés de la bride, un bistouri à lame
transversale. Comme précepte général, la dissection préalable de la
peau
, qui l'isole des brides fibreuses, présente un av
rtion tarso-métatarsienne, ne consistent que dans un grippement de la
peau
amenée delà circonférence vers la cicatrice, et n
ns superficielles très étendues, intéressant à-la-fois le corps de la
peau
, le tissu adipeux et vasculaire, l'aponévrose d'e
loppe de glissement, forment une vaste adhérence outre eux, avec la
peau
et les débris clo l'aponévrose qu'ils entraînent
'ablation de la cicatriceou mieux son isolement, par dissection de la
peau
, avec les muscles sous-jacens, si le tégument est
e a fait l'ablation delà cicatrice, redressé les doigts, rapproché la
peau
et les extrémités des muscles par des sutures, et
les de la fontanelle. L'instrument, présenté directement, traverse la
peau
et le périoste crânien. On le glisse ensuite avec
e du même nom ; monte verticalement sur le péricrâne recouvert par la
peau
, les muscles sourcilier, orbiculaire et frontal,
haut et en dehors, en remontant vers l'angle externe de l'orbite. La
peau
étant coupée d'abord, à partir du sillon de l'ail
des libres du masseter. Cette première incision n'intéressant que la
peau
et l'attache correspondante du peaucier, isoler e
l'angle de la mâchoire inférieure; diviser successivement, à plat, la
peau
, le pannicule adipeux et l'aponévrose sous-cutané
jusqu'au trou stylo-mastoïdien, c'est-à-dire à quatorze lignes de la
peau
, dans un sillon très profond qui renferme la paro
rme un bord plat et lisse, susceptible de s'appliquer exactement à la
peau
sans la blesser. La ventouse remplit deux sortes
ue produire un engorgement du tissu cellulaire avec rubéfaction de la
peau
; la ventouse, dans ce cas, opère comme dérivatif
'on évacue le sang au dehors au moyen d'incisions superficielles à la
peau
; la ventouse agit alors à la manière des sangsues
alcool, puis appliquer rapidement le bord libre de la ventouse sur la
peau
préalablement garantie par une carte pour empêche
pas à opérer la condensation de l'air et de la vapeur alcoolique. La
peau
, comprimée par la pression atmosphérique extérieu
n détache la ventouse en l'inclinant et appuyant avec le doigt sur la
peau
du côté le plus élevé. Ce procédé est douloureux
e mal ; ou , au contraire, il échauffe trop le verre et brûle même la
peau
. On rend la combustion plus régulière en isolant
ol, soit une ou deux petites bougies allumées. Mais, en préservant la
peau
, on n'obvie pas à l'inefficacité de l'opération :
flamme d'une lampe à alcool. Dans les deux cas, il faut préserver la
peau
de la brûlure par l'interposition d'un linge sous
olide, pour en faciliter l'adhésion, et on l'applique exactement à la
peau
; on visse la pompe sur la tubulure, on ouvre le r
de la précédente que par les incisions préalablement pratiquées à la
peau
. Plusieurs instrumens, le rasoir, le bistouri, la
ticale qui commande le scarificateur on enfonce les lancettes dans la
peau
et on retire aussitôt la tige. Le bdellomètre, d'
t. Du reste, les caractères les plus favorables sont le luisant de la
peau
, la force, la souplesse, la rapidité des mouvemen
une profondeur de quelques pouces dans les canaux qui s'ouvrent à la
peau
, la cavité buccale, le rectum, le vagin et le col
t Brunninghausen , avec une mèche de linge huilé. Préparation de la
peau
. Les sangsues prennent d'autant plus vite, que la
paration de la peau. Les sangsues prennent d'autant plus vite, que la
peau
sur laquelle on les applique est plus mince, fine
mince, fine et molle, et au contraire ne mordent pas du tout sur une
peau
sèche et âpre ou recouverte d'un épidémie rugueux
d'un épidémie rugueux et épais. Il est donc convenable de disposer la
peau
à recevoir les sangsues : pour cela, on la rase;
ttire le sang par des frictions. Application. i° A la surface de la
peau
. S'il ne s'agit que de poser deux ou trois sangsu
r sa ventouse anale, entre le pouce et l'indicateur, est offerte à la
peau
par l'autre ventouse. Ce procédé est très long et
inge pour les empêcher d'adhérer. On renverse ensuite le verre sur la
peau
où elles ne tardent pas à prendre en masse. Le mi
t le siège d'un prurit très fort ; la température s'élève un peu : la
peau
rougit ; il s'y établit une transpiration abondan
éprouve un peu de raideur et d'engourdissement: les capillaires de la
peau
sont tellement injectés que les artérioles et les
nérale et dépression du pouls ; pilleur de la face et en général delà
peau
exposée à l'air; sensation de vide et légèreté au
lume du membre, affaissement des veines superficielles , pâleur de la
peau
. Si l'effet est trop intense, suspension cle la c
-thénar faisant opposition de l'autre côté, de manière à appliquer la
peau
contre la face correspondante de la veine. Cette
t se faire également de chaque côté, de sorte que le même point de la
peau
soit placé sur la veine avant et après la distens
our l'issue du fluide, le défaut de parallélisme entre la veine et la
peau
au contact ; au contraire plus la veine est profo
ent, de manière à former une plaie triangulaire dont la section de la
peau
forme la base élargie, et la veine le sommet tron
demi-pronation pendant que dure l'écoulement du jet. La section de la
peau
, dans ce cas, ayant glissé en dedans, on sait qu'
puis croiser les chefs en arrière, sans les tordre et sans pincer la
peau
, les rappeler en avant, faire un second tour du m
eine jugulaire externe. A sa face externe, elle est recouverte par la
peau
, le tissu adipeux et le muscle peaussier. Par sa
poser à couper entièrement la veine en travers, M. Magistel fait à la
peau
, avec le bistouri, une incision de six lignes qui
ontinue, M. Magistel a réussi à l'arrêter par un point de suture à la
peau
sans que ce moyen ait eu aucun inconvénient. sa
difficulté de trouver avec certitude cette veine, surtout lorsque la
peau
est elle-même tuméfiée: enfin on ne sait plus pos
t du sillon, une incision d'un pouce d'étendue; après avoir divisé la
peau
, le tissu adipeux et la gaine aponévrotique d'en
n est sans danger : l'instrument, pour y atteindre, doit traverser la
peau
et l'aponévrose sous-cutanée. i° Sur la région te
temens, très sensibles au toucher, sont souvent même visibles sous la
peau
. Appareils. L'instrument spécial est le bistour
le bandage dit nœud d'emballeur, aujourd'hui inusité. Opération. La
peau
étant préalablement rasée, si des cheveux la reco
uce de la main gauche, écartés de chaque côté de l'artère, tendent la
peau
et appuient le vaisseau sur l'os sous-jacent. On
sont rapprochées par un mouvement de vis. On saisit dans un pli à la
peau
la veine que l'on veut oblitérer et on l'engage e
Premier procédé de M. Davat. Soulever la veine dans un pli de la
peau
, traverser ce pli à sa base avec une aiguille de
c une aiguille de manière à comprimer la veine entre l'aiguille et la
peau
qui la recouvre, puis, avec une seconde aiguille
eau les parois veineuses et faire ressortir la pointeau travers de la
peau
. Ce mode opératoire rentre plutôt sous le chef de
qui renferme la veine, avec une seule aiguille et laisser retomber la
peau
de manière que l'aiguille soit interposée entre l
à resserrer, comme entre des pinces, le pli cutané sans étrangler la
peau
en regard. Suivant ce chirurgien, les diverses co
le nouveau la veine au delà et fait ressortir l'aiguille à travers la
peau
de manière que, les deux extrémités se trouvant l
é de M. Fricke. Le chirurgien armé d'une aiguille enfilée traverse la
peau
et la veine cle la surface vers la profondeur, gl
l'usage le plus fréquent en France. Procédé de Béclard. Faire à la
peau
, sur le point du membre où la veine est unique et
: i° inciser à plat avec un bistouri convexe et couper en travers la
peau
et les veines; 2° soulever les veines dans un rep
ncave, à lame étroite, il en insinue à plat la pointe acérée entre la
peau
et les veines et, retournant en arrière le tranch
la peau et les veines et, retournant en arrière le tranchant sous la
peau
, il coupe les vaisseaux en travers en retirant l'
mise à nu longitudinalement par l'incision d'un pli transversal à la
peau
, glisser sous la veine une sonde cannelée sur la
le supérieur de la plaie : la rétraction de chacun des bouts, sous la
peau
, les met à l'abri du contact de l'air extérieur.
ns longitudinal une incision de trois à six centimètres comprenant la
peau
et la paroi de la veine en regard. Si le vaisseau
i de la veine en regard. Si le vaisseau est mobile et roulant sous la
peau
, on le fixe préalablement par la pression des doi
ts, sur le côté, pour conserver le parallélisme avec la section de la
peau
et faciliter l'issue du sang au dehors. On fait a
pour les varices que leur position rend gênantes ou difformes. Si la
peau
en regard est saine, on l'incise sur un pli trans
rculaire, et on enlève en disséquant tout le peloton variqueux. Si la
peau
adhère aux veines dans une portion de son étendue
re dans une grande étendue. La première application ne détruit que la
peau
et un peu de tissu cellulaire, etn'empêche pas l'
éterminé, au lieu d'inciser immédiatement, sur le bord des doigts, la
peau
amenée vers soi et dont la section ne serait poin
illon sous-jacent soulever la main et tendre légèrement en travers la
peau
comme à l'ordinaire, puis inciser suivant la lign
où l'on en est. Ainsi : (a) une première incision n'intéresse que la
peau
; encore cette membrane ne doit elle-même être div
ère en avant, située à un centimètre de profondeur, recouverte par la
peau
, l'aponévrose dorsale du pied et le feuillet fibr
aillie du tendon du long extenseur propre. Diviser du premier coup la
peau
dans une longueur de six centimètres, puis le tis
rmé du bistouri tenu en troisième position diviser du premier coup la
peau
, dans une longueur de huit à neuf centimètres, en
terstice musculaire M. Lisfranc a proposé de diriger la section de la
peau
obliquement, de la tête du péroné vers la crête d
d'Achille. En profondeur le faisceau vasculaire est recouvert par la
peau
, l'aponévrose jambière et, dans ses trois quarts
rieure du membre tournée vers l'opérateur, inciser du premier coup la
peau
, suivant la ligne verticale et moyenne indiquée,
angle postérieur du tibia, toujours assez facile à déterminer sous la
peau
en déprimant en arrière les masses musculaires. Q
en arrière, par un aide de face, la masse du triceps sural, puis, la
peau
tendue par lecartement des doigts de la main gauc
des doigts de la main gauche du chirurgien, inciser verticalement la
peau
et le pannicule adipeux d'un seul coup, suivant l
le plan vertical, qui croise en diagonale l'espace intertendineux. La
peau
et l'aponévrose d'enveloppe étant incisées, il in
soléaire, elle est recouverte par ce muscle, le jumeau interne, et la
peau
. Procédé opératoire. La jambe demi-fléchie et p
ntimètres en dehors de l'angle postérieur du tibia, une incision à la
peau
longue d'un décimètre, puis diviser l'aponévrose.
vaisseaux. B. Incision du soléaire. Inciser, comme il a été dit, la
peau
et l'aponévrose superficielle, puis écarter en ar
res dans la même direction et suivant la longueur de la section de la
peau
. A mesure que l'on pénétrera en profondeur, procé
rmusculaire des péroniers et du bord externe du soléaire , inciser la
peau
et l'aponévrose dans une longueur cle huit centim
eur de trois à quatre centimètres plus en dedans que le contour de la
peau
sur la face externe. L'aponévrose profonde étant
vant de ces vaisseaux, à deux centimètres environ de profondeur de la
peau
, s'étalent les divisions du nerf sciatique poplit
t demi-tendineux à la cuisse. Cette incision , qui n'intéresse que la
peau
, est presque médiane, mais cependant un peu incli
meau interne plus volumineux que l'externe. Après la rétraction de la
peau
, écarter en dehors la veine-saphène externe et i
r, pour croiser, un peu en diagonale, la direction cle l'artère. La
peau
étant incisée , écarter d'abord la veine-saphène,
commençant à l'angle supérieur au-dessous des tendons prétibiaux; la
peau
étant coupée, écarter en avant la veine et le ner
on il faut prendre garde de ne pas intéresser toute l'épaisseur de la
peau
pour ne pas couper la veine et le nerf saphènes i
able de diviser les gros cordons lymphatiques. Après la section de la
peau
et de l'aponévrose, fléchir fortement l'articulat
s inférieur. Le lieu reconnu, vu la profondeur du vaisseau inciser la
peau
suivant une longueur d'environ dix centimètres do
s du tiers moyen et en haut du tiers inférieur. Dans l'incision de la
peau
il est inévitable de couper quelques troncs lymph
près le bord antérieur : si on la rencontre, l'écarter en arrière. La
peau
incisée jusqu'à l'aponévrose, reconnaître avec le
rieur du couturier au droit antérieur et au vaste interne, inciser la
peau
et l'aponévrose dans une longueur de huit centimè
supérieur de la cuisse). Procédé de Desault. Inciser en deux temps la
peau
et l'aponévrose parallèlement au milieu du muscle
terne du couturier au moyen adducteur, inciser en un premier temps la
peau
dans une longueur de huit centimètres mais en dir
donc plus à faire que quelques remarques spéciales. En incisant la
peau
dans une longueur de huit centimètres, prendre ga
superficialis rempli de vaisseaux et de ganglions lymphatiques, et la
peau
. Rien de plus facile que de trouver la ligne des
rtant de quatre ou cinq centimètres au-dessous de l'épine iliaque. La
peau
et le pannicule adipeux étant divisés du premier
s tendons de ses muscles long abducteur et long extenseur, inciser la
peau
parallèlement au dernier tendon dans une longueur
toucher sur le radius l'artère sensible à ses battemens. Déprimer la
peau
dans le sillon vertical qui longe le tendon du lo
long supinatcur, l'aponévrose d'enveloppe, le pannicule adipeux et la
peau
, sa profondeur chez un sujet médiocrement musclé
plaie à deux centimètres du plan inter-articulaire huméro-radial ; la
peau
divisée, il écarte la veine radiale commune qui d
rvient ainsi sur le faisceau vaseul aire. B. M. Marjolin déprime la
peau
, de bas en haut, le long du bord interne du long
récise le bord externe du tendon du biceps, toujours sensible sous la
peau
et auquel correspond l'origine de l'artère. Ter
s deux veines, le nerf cubital la côtoie plus en dedans. Inciser la
peau
dans une longueur de quatre centimètres parallèle
pisiforme et du tendon cubital et à un centimètre plus en dedans ; la
peau
, le pannicule adipeux et l'attache externe du mus
pronatcur et du grand palmaire; inciser, suivant la ligne indiquée,la
peau
et le pannicule adipeux dans une longueur de sept
ntimètres au-dessous de la saillie osseuse indiquée, l'incision de la
peau
et de l'aponévrose est traversée très obliquement
veine basilique, recouverte elle-même par le pannicule adipeux et la
peau
. Cas d'opération. L'artère humérale est de tous
bérosité bicipitalc du radius. Déprimant, suivant cette direction, la
peau
avec les doigts de la main gauche sur le bord int
s opératoire il importe de ne couper qu'avec lenteur et ménagement la
peau
très mince en ce point, pour ne pas intéresser la
uit centimètres; mais sans intéresser d'abord toute l'épaisseur de la
peau
, pour ne point blesser la veine basilique. Cette
xillaire du muscle grand pectoral écarté et soulevé en dedans sous la
peau
, l'artère sous-clavière comprimée sur la premièr
, dans une longueur de six à sept centimètres, sans couper d'abord la
peau
dans toute son épaisseur. La peau divisée, la vei
centimètres, sans couper d'abord la peau dans toute son épaisseur. La
peau
divisée, la veine basilique se présente, vers le
on de sept à huit centimètres à partir du dessous de la clavicule. La
peau
étantdivisée mais avec ménagement pour ne point l
u grand pectoral et, dans le sillon tracé, inciser du premier coup la
peau
et le pannicule adipeux, à un centimètre et demi
ce muscle au bord adjacent du grand pectoral. Après la section de la
peau
, inciser à plat, par couches successives, dans to
t pectoral en déprimant ce muscle au lieu de le couper en travers. La
peau
étant divisée, le bras dans l'abduction, M. Lisfr
. Le lambeau interne en L renversé, formé par le grand pectoral et la
peau
, étant déjeté en dedans et en bas, met à découve
muscle omoplat-hyoïdien qui le traverse au milieu. Si l'on déprime la
peau
au-dessus de la clavicule, en partant du sommet d
a profondeur, les parties que l'on rencontre en incisant sont : i° la
peau
et le tissu cellulaire sous-cutané, 20 l'aponévro
'épaule déprimée en bas et en arrière dans l'abduction pour tendre la
peau
et les muscles, et le chirurgien placé en dehors
ère section diviser, lentement et à plat, seulement l'épaisseur de la
peau
, pour ne point léser la veine jugulaire externe.
s doigts assemblés , le sillon intermédiaire aux scalènes, inciser la
peau
dans une longueur de sept centimètres à partir de
rieur du masseter , où l'on sent ses battemens au toucher. Inciser la
peau
en travers de la direction de l'os dans une longu
mastoï-dien et du trapèze. Raser d'abord les cheveux, puis inciser la
peau
dans une longueur de trois centimètres sur la lig
ligne courbe occipitale dans le lieu indiqué ; après la section de la
peau
et des libres aponévrotiques d'insertion superfic
t la tête tournée du côté opposé à l'o-pération , reconnaître sous la
peau
la saillie sous-cutanée formée par l'os hyoïde, p
aillie sous-cutanée formée par l'os hyoïde, puis inciser lentement la
peau
à quatre millimètres au-dessus de cet os et à un
n dedans, de trois à quatre centimètres de longueur, qui intéresse la
peau
et le peaucier ; le bord inférieur de la glande s
quatre s'étendent au-dessus et un seul au-dessous de l'os hyoïde. La
peau
, l'aponévrose cervicale et le muscle peaucier éta
e. De la surface vers la profondeur la carotide est recouverte par la
peau
, l'aponévrose cervicale et le peaucier; in-férie
ne incision de sept à huit centimètres qui n'intéresse d'abord que la
peau
. La plaie écartée, s'assurer qu'il n'existe sur l
s le sillon intermédiaire aux deux faisceaux du sterno-mastoïdien. La
peau
, l'aponévrose et le peaucier étant divisés, incis
ndre inclinaison faisant changer les rapports, M. Malgaigne fait à la
peau
une incision verticale cle sept à huit centimètre
elà plaie, remonte le long du bord antérieur du sterno-mastoïdien. La
peau
et le peaucier étant divisés , dénuder le faiscea
met les parties mieux à découvert et permet de voir dans la plaie. La
peau
étant incisée avec ménagement, s'assurer si la ve
ns et se dirige vers le muscle droit. Au-devant d'elle sont placés la
peau
, l'aponévrose du grand oblique et le cordon sper
blique parallèle au pli de faîne et à trois millimètres au-dessus. La
peau
étant incisée, diviser avec précaution le fascia-
centimètres en dedans de l'épine iliaque antérieure et supérieure. La
peau
étant coupée, diviser avec ménagement le fascia-s
rt jusqu'à la hauteur de l'épine iliaque antérieure et supérieure. La
peau
, le fascia su-perfîcialis et l'aponévrose du gran
u reste aucune signification à l'extérieur. Diviser successivement la
peau
, le fascia superficialis en ménageant les artères
ngueur jusqu'au point de bifurcation : séparée de la superficie de la
peau
par la paroi abdominale, le paquet de l'intestin
absorbées, Physick avait, en 1814, employé des fils formés avec de la
peau
de daim. Voici le résumé des tentatives pratiquée
eineux de le traverser, en guise de séton, avec une petite lanière de
peau
de daim laissée à demeure et confiée à l'absorpti
par trois procédés.—Premier procédé. Offerte perpendiculairement à la
peau
, le manche saisi entre le pouce et l'indicateur,
t un temps plus ou moins considérable. Pour la retirer on comprime la
peau
à son entrée entre deux doigts de la main gauche,
t ménagement, on arrive ainsi à traverser impunément non seulement la
peau
et les muscles, mais le tissu même des viscères à
a parcouru est trop oblique et s'est refermé, il fait saillie sous la
peau
, qu'il tend à excorier pour se faire jour au deho
la balle ou du pro-jectilequel qu'il soit. S'il fait saillie sous la
peau
ou que du moins on le sente à peu de distance au
qui aurait pour effet la formation de clapiers, le décollement de la
peau
, etc. Une ponction faite à temps convient dans ce
pour prévenir les accidens ultérieurs. La lancette peut suffire si la
peau
est déjà amincie; autrement on devrait se servir
ion commence à être remplacée par un suintement séro-purulent, que la
peau
reprend sa densité , et que les symptômes inflamm
Lorsque la fluctuation obscure indique que l'abcès est séparé de la
peau
par une grande épaisseur de tissus, la division o
de la fluctuation. L'incision n'est indispensable que pour diviser la
peau
, les aponévroses d'enveloppe, et, dans certains c
2° Inflammation des couches intermédiaires. Après l'incision cle la
peau
et de l'aponévrose ou des tissus les plus résista
deux incisions semi-elliptiques qui renferment une petite portion de
peau
non altérée, et glisser sous la tumeur, dans la c
a couche celluleuse sous-cutanée, en enlevant toute l'épaisseur de la
peau
. Réunir ensuite par première intention avec des b
c un point de suture. KYSTES A PRODUITS LIQUIDES. i° Kystes de la
peau
. Produits par le développement de cryptes de la p
i° Kystes de la peau. Produits par le développement de cryptes de la
peau
, on les nomme tannes quand ils n'ont encore qu'un
tout communs au crâne. Extirpation. — Procédé ordinaire. Inciser la
peau
avec un bis touri convexe, sans entamer le kyst
pour les kystes à enveloppes consistantes). Inciser d'un même coup la
peau
et le kyste ; le vider, par pression , de la subs
pression , de la substance cpi'il renferme, détacher ses parois de la
peau
des deux côtés de l'incision dans une étendue suf
c le bistouri ou les ciseaux l'excision d'un lambeau elliptique de la
peau
et de l'enveloppe adhérente du kyste qui en forme
rois consistantes doit être extirpé en entier, après l'incision de la
peau
, par dissection ou déchirure de ses adhérences, c
n ou déchirure de ses adhérences, comme il a été dit des kystes de la
peau
. Pour ceux à paroi celluleuse, ils peuvent être c
i la tumeur est très volumineuse, exciser un lambeau ellipsoïde de la
peau
et de la paroi du kyste en regard; enfin provoque
basculer l'instrument pour reconnaître la saillie de son bec sous la
peau
, et, par une nouvelle ponction dans la cannelure,
du tronc. Ils sont plus rares mais on en rencontre néanmoins là où la
peau
est plus épaisse ou plus adhérente, sur la paroi
u'autant que la tumeur est pédiculée. Pour faciliter la section de la
peau
, Sabatier conseille d'y aider par une action caus
odes opératoires en faisant préalablement la section circulaire de la
peau
, puis la ligature du pédicule; mais si on fait ta
et l'on étend à sa surface une couche de couleur imitant le ton de la
peau
voisine. L'auteur y emploie un mélange de céruse
lon, mais il est évident que clans ce cas c'est la couleur même de la
peau
qui doit décider de l'espèce et de la proportion
la proportion des matières colorantes à employer. Tendant ensuite la
peau
, on la teint à la surface du naevus en y introdui
ère dont on opère la section, il faut que l'incision pratiquée sur la
peau
saine pénètre au delà du siège présumablc des art
par deux incisions en ellipse, en divisant à quelque distance sur la
peau
intacte. 2° La division des tégumens opérée, si
plus déclive et en même temps le plus saillant, s'il est possible. La
peau
étant convenablement tendue, plonger le bistouri
oit jamais avoir une grande étendue. Après l'écoulement du liquide la
peau
revient sur elle-même et recouvre naturellement l
de la main gauche et, ordonnant à un aide de tendre en même temps la
peau
en haut et en dehors, il pratique, suivant la lon
lume du corps à extraire. Par cette incision, qui divise à la fois la
peau
et la capsule articulaire, le corps étranger sort
ts. Dès qu'on cesse d'écarter la plaie, la rétraction naturelle de la
peau
détruit le parallélisme existant entre son ouvert
te du grand trochanter une incision cruciale qui n'intéressait que la
peau
et dont la division verticale avait dix-neuf cent
érieur d'un fort cuir et garnie à l'intérieur pour ne pas excorier la
peau
; au moyen de boucles et de courroies on contient
une incision de sept centimètres (deux pouces et demi) qui divisa la
peau
et les muscles jusqu'à l'os. Portant ensuite son
ait au quart de la circonférence de la cuisse en n'intéressant que la
peau
. Les muscles étant divisés d'un second coup jusqu
isse une pyramide en bois dont le sommet tronqué était bien garni cle
peau
cle daim tandis que sa base était clouée sur la t
'il arrivait quelque accident qu'on n'eût pas prévu. Incision de la
peau
. Le lieu et la direction de l'incision de la peau
u. Incision de la peau. Le lieu et la direction de l'incision de la
peau
doivent être calculés d'après les rapports et le
'articulation de la première phalange avec la deuxième ; disséquer la
peau
et mettre à nu le tendon extenseur, qu'on écarte
ultant cle ces deux temps opératoires sont séparées par une partie de
peau
intacte qui occupe le dos du poignet et protège a
éunissant ces deux plaies par une incision transversale qui divise la
peau
et le triceps brachial immédiatement au-dessus de
. Chaque procédé se réduit également à deux temps : i° incision de la
peau
et des muscles, 2° désarticulation et résection d
sion transversale cpii divise les fibres du muscle sans intéresser la
peau
. Cette espèce de débridement en travers a pour bu
centimètres (cinq pouces) au-dessous. Du premier coup de bistouri, la
peau
, le deltoïde et la capsule sont divisés : les bor
de l'épaule. Du premier coup le bistouri a divisé dans son trajet la
peau
, les muscles et le ligament acromio-coracoïdien.
ce premier pont clermo-musculaire externe et supérieur, formé par la
peau
et la majeure partie de la masse charnue du delto
eur au moyen de deux incisions semi-elliptiques, en conservant cle la
peau
le plus possible; puis disséqua et renversa sur l
agale. Ce n'est guère qu'à la suite de luxations avec déchirure de la
peau
que l'ablation de l'astragale est raisonnablement
partir une seconde, dirigée transversalement, qui n'intéresse que la
peau
et s'arrête au niveau du tendon du muscle péronie
re de cette incision en faire partir une autre qui n'intéresse que la
peau
et se dirige transversalement jusqu'au tendon du
longuette qui embrassera une masse charnue antérieure composée par la
peau
, le faisceau des tendons des muscles extenseurs e
guette qui embrassera une masse charnue postérieure constituée par la
peau
, les tendons du triceps sural, des muscles profon
ne du péroné une incision proportionnée à l'étendue de la maladie. La
peau
et les muscles péroniers doivent être divisés jus
. Ces deux premières incisions, qui doivent diviser, du même coup, la
peau
et les muscles, seront réunies inférieurement par
. De l'extrémité supérieure de cette première incision, qui divise la
peau
et les muscles, en faire partir une seconde de on
tion réunisse les conditions de succès nécessaires il convient que la
peau
soit saine dans une assez grande étendue, afin de
a saillie de l'os hyoïde, son incision, qui n'intéressera plus que la
peau
et le tissu cellulaire. Deux lambeaux, l'un à dro
uveau menton, M. Gensoul retranche, après l'opération, une portion de
peau
sur un seul lambeau, qui, devenant plus court que
s molles devra varier suivant le volume de la tumeur, et l'état de la
peau
qui la recouvre. Dans les cas ordinaires, lorsque
'à l'os, qu'ils sciaient dans un troisième temps. Louis incisait la
peau
et les muscles superficiels dans un premier temps
dans le relâchement. Bell, suivi par M. Ilcllo, après avoir coupé la
peau
et les muscles d'un seul coup, comme.T.-L. Petit,
à trois centimètres environ de hauteur. Alanson divisait d'abord la
peau
, puis coupait d'un seul coup les muscles en forma
e, mais l'opération ne saurait être régulière. Dupuytren coupait la
peau
et les muscles d'un seul coup, d'après le procédé
chairs superficielles. Nous conseillons en général de disséquer la
peau
comme .T.-L. Petit, d'inciser d'abord les muscles
ité cle tissus. Dans ce cas on peut très bien, après avoir remonté la
peau
, inciser d'un seul coup jusqu'aux os, et détacher
aut pour tomber clans l'articulation: d'autres préfèrent disséquer la
peau
et diviser les muscles perpendiculairement ou obl
longueur des muscles, du centre à la circonférence sans intéresser la
peau
; ce procédé, qu'il trouve très simple, nous paraî
es os, entre trois et cinq centimètres; remonter ou mieux, relever la
peau
. Quand cette dernière manœuvre est rendue impossi
due impossible par la conicité trop prononcée du membre, on incise la
peau
plus bas en avant qu'en arrière. Deuxième temps
Affermir les muscles, conduire le couteau comme pour l'incision de la
peau
, et couper du même coup jusqu'aux os, en incisant
-son les muscles postérieurs après avoir d'abord incisé et remonté la
peau
. Procédé mixte. M. Sédillot taille deux lambeau
ns, au contraire, pour la partie inférieure de l'avant-bras divise la
peau
circulairement, taille en avant et en arrière, du
re bien faite donne à la partie inférieure une quantité suffisante de
peau
pour bien recouvrir les os et les tendons, et for
ue portion du biceps tend sans cesse à empêcher le rapprochement delà
peau
et la cicatrisation du moignon. Au dix-huitième
(pl. ^3, flg. 2, 3, 4). Premier temps. Le bras écarté du tronc, la
peau
tirée en haut, le couteau porté par-dessous le me
issent point de vide, comme il arrive par la méthode d'Alanson, et la
peau
retombe sans effort sur toute la surface du moign
mbeau cutané ovalaire incliné de trois travers de doigt; disséquer la
peau
en dehors jusqu'au niveau du bord interne, la rel
Au lieu de la deuxième incision, M. Malgaigne propose de disséquer la
peau
de la face dorsale jusqu'à l'articulation pbalang
à l'obliquité des séries articulaires tarsienne et plialangienne. La
peau
de la face dorsale, doublée d'un grand nombre de
ingt-sept millimètres plus bas que son point de départ (Sédillot); la
peau
ainsi divisée, couper les tendons, disséquer l'os
-âge et de la renaissance. Le précepte donné par Celse cle ménager la
peau
afin d'en recouvrir la plaie fut remis en pratiqu
es parties molles que du rapprochement et du peu de volume des os; la
peau
, doublée d'un tissu cellulaire lâche mais abondan
MM. Bell, Velpeau, Roux et Goyrand. Le chirurgien placé en dedans, la
peau
remontée par un aide, inciser circulairement et d
du tibia, l'autre sur le milieu du tendon d'Achille et comprenant la
peau
et l'aponévrose; disséquer et relever les lambeau
descendant en bas sur la face externe et antérieure, détache avec la
peau
les muscles extenseurs, dissèque et relève la pea
e, détache avec la peau les muscles extenseurs, dissèque et relève la
peau
en avant jusqu'au niveau de l'ovale en arrière, i
longue de quarante-deux millimètres, disséquer les deux angles cle la
peau
dans le tiers antérieur de la circonférence du me
étacher seulement les brides en arrière et sur les côtés, refouler la
peau
, ce qui donne un ovale suivant lequel on incise l
t deux ligatures, l'une contre l'hémorragie, l'autre pour remonter la
peau
et affermir les chairs; il se servait d'un vérita
rotulien, enfin à trouver les meilleurs moyens de conserver assez de
peau
pour recouvrir la plaie; c'est dans ce dernier bu
on conique, si l'on ne prend les précautions que nous indiquerons. La
peau
, plus épaisse antérieurement pour obvier à la pos
relevés aussi haut que possible: enfin, à leur niveau, section de la
peau
et des muscles du mollet, en inclinant le couteau
lairement le reste des tégumens. Dans ces deux procédés, après que la
peau
est divisée on la dissèque circulairement à une h
ce régulière : les os sont recouverts en arrière par les chairs et la
peau
, en avant par la peau et l'aponévrose seulement.
sont recouverts en arrière par les chairs et la peau, en avant par la
peau
et l'aponévrose seulement. Les artères ouvertes
en bas, suivant le grand diamètre des os (Richerand), en laissant la
peau
retomber sans effort sur la partie antérieure du
de lignes bien plus embarrassant qu'utile. Grœfe, pour avoir plus de
peau
que de muscles, fait remonter les tégumens et tir
et ne saurait s'échapper à travers l'angle antérieur de la plaie, la
peau
n'est point exposée à la gangrène, la cicatrice e
LAIRE. La modification ne porte ici que sur la manière d'inciser la
peau
, puisque les muscles sont toujours coupés circula
ère diviser circulairement les muscles au niveau de l'adhérence de la
peau
relevée. Appréciation. De l'avis de tous les pr
autant à redouter, le rapprochement des os simplifie l'opération : la
peau
existe seule à la vérité, mais elle est pourvue d
pour son exécution, que des règles mal précisées. La dissection de la
peau
demande des ménage-mcns, pour ne pas trop lacérer
rtoutGuillemeau, en parlant de la cuisse, recommandent de remonter la
peau
, de couper toutes les chairs d'un seul coup jusqu
t toutes les précautions que l'on prit si long-temps pour remonter la
peau
prouvent assez que les chirurgiens avaient vu, si
Petit, croyant que la saillie du fémur tenait à l'insuffisance de la
peau
pour recouvrir la plaie, propose son incision en
pratique, mais reste clans l'indécision à son égard. .Anatomie. La
peau
, assez lâchement unie aux fascias de la cuisse, n
s leur nombre et, par suite, leur volume sont plus considérables ; la
peau
se relève moins facilement, on est quelquefois ob
essous le membre, sur sa face antérieure, et incise circulairement la
peau
, d'un seul coup, aussi près du genou que la malad
i les avis sont partagés : les uns veulent qu'on remonte seulement la
peau
; les autres, qu'on détache à petits coups les bri
enfin la plupart des chirurgiens veulent qu'on dissèque largement la
peau
à environ huit centimètres de hauteur. Bien que l
largement la peau à environ huit centimètres de hauteur. Bien que la
peau
ne puisse en aucune façon obvier à la conicité du
elevés le chirurgien, dans la même position que pour l'incision de la
peau
, divise les muscles jusqu'à l'os en quatre temps,
ier à la saillie du fémur, si elle survenait. Procédé d'Alanson. La
peau
incisée et disséquée, porter le couteau sur le va
iatement au-dessus, faire embrasser le genou à deux mains, attirer la
peau
en haut pour inciser circulairement, au-dessous d
comme pour entrer dans l'articulation à plein tranchant; détacher la
peau
très peu adhérente au niveau des condyles, releve
appliquer sur le bout de l'os après la section, et préserver ainsi la
peau
(Chélius, traduct. de Pigné, t. II, p. 459). mé
che, à moins que l'on ne soit ambidextre, faire retirer avec force la
peau
par un aide, saisir soi-même le genou d'une main
ongueur offert obliquement, tailler d'un seul coup, en frappant de la
peau
vers le fémur et de bas en haut, un lambeau inter
, pour avoir une surface égale, les couper plus bas. L'incision de la
peau
et des muscles, opérée en trois temps, figure un
beau cutané ovalaire, adoptée par cet habile chirurgien, inciser la
peau
à partir de la rotule en avant et arrivant obliqu
escendre sur l'autre côlé au point de départ. Disséquer et relever la
peau
en avant, cle moitié de la hauteur. Couper circul
té proposées; la meilleure sera celle qui laissera à-la-fois assez de
peau
pour recouvrir la surface saignante, assez de mus
nd chirurgien savent qu'il a l'inconvénient de ne pas donner assez de
peau
et d'exposer à la saillie du fémur. Le procédé cl
les parties molles saines ou engorgées. 2° Assigner les plis de la
peau
qui suivent immédiatement la ligne articulaire ou
ner la position de l'article directement par le toucher, à travers la
peau
, ou, si l'on ne le peut, par des pressions méthod
mée la plus convenable. Le plan inter-articulaire reconnu, inciser la
peau
dans la direction convenable, la relever et s'ass
épassent le niveau de la surface saignante; quand la rétraction de la
peau
doit être considérable, avant de la diviser il fa
dans l'extension, sa face dorsale en haut, inciser circulairement la
peau
à six ou huit millimètres au-devant du plan artic
rocédé de Laroche. Le doigt tenu la face palmaire en haut, diviser la
peau
horizontalement à deux millimètres au-dessous du
ion, les doigts sains écartés par un aide qui en même temps relève la
peau
de la phalange à conserver, saisir la phalange qu
uxième phalange, et sur ce pli même pour la troisième: ponctionner la
peau
, faire glisser à plat la lame en rasant au plus p
articulaires, il est facile de le sentir au toucher au travers de la
peau
. Enfin, lorsqu'il y a engorgement dans les tissus
e la main droite; fléchissant alors l'articulation à 45° en tirant la
peau
en bas pendant qu'un aide la fait remonter, porte
e l'autre côté, offrir le tranchant verticalement vers soi, tendre la
peau
par une légère traction sur le doigt, et tailler,
e la première à cinq millimètres du point de départ. La section de la
peau
étant opérée, faire écarter largement les doigts
nge la succession des plis digito-palmaires diviser d'un seul coup la
peau
, l'aponévrose, les vaisseaux et nerfs et les tend
orsale, pour revenir au point de départ, en coupant d'un seul coup la
peau
et les tendons extenseurs. — Troisième temps. Lux
de manière que celles-ci, se trouvant débordées circulairement par la
peau
, en soient amplement recouvertes pour la réunion.
tre bord, comme dans le procédé qui précède. Faisant alors relever la
peau
sur le métacarpe, d'un second coup promener la po
masse de 1 eminenec thénar vers la face palmaire, n'est séparé de la
peau
que par les tendons extenseurs vers la face dorsa
digitale du pouce et de l'index; elle doit diviser du premier coup la
peau
, le tendon long extenseur et une partie du premie
0 Le lambeau relevé vers la paume de la main par un aide, détacher la
peau
de la face dorsale sans y comprendre le tendon ex
orsale sans y comprendre le tendon extenseur, ramener en dehors cette
peau
et la masse des muscles de l'éminence hypothénar,
partir de la commissure interdigitale, en prolongeant l'incision à la
peau
sur les faces dorsale et palmaire, un peu au delà
e, sur la face dorsale, rejoindre à angle aigu le point de départ. La
peau
incisée, le chirurgien, faisant écarter les lèvre
s deux bords et la face dorsale, en ayant soin de n'intéresser que la
peau
. Pour ce premier temps, M. Velpeau conseille d'in
incise en sens contraire. Ce précepte, qui a pour objet de tendre la
peau
, a l'inconvénient de la retirer de la pression dé
d'empêcher l'incision d'être aussi régulière. Arrivé là, disséquer la
peau
, en ayant soin d'éviter en avant le pisiforme, et
dius vers le cubitus pour la main gauche. Disséquer d'un seul coup la
peau
et faire relever le lambeau par l'aide. Par une s
soin de contourner le pisiforme pour ne pas le laisser adhérent à la
peau
. Nous ne voyons pas quel est l'inconvénient réel
nt en arrière; un bandage spiral, du coude vers le poignet, ramène la
peau
en bas, et deux compresses pyramidales, appliquée
t la première, du double en hauteur et en masse, et saillante sous la
peau
, est le point le plus facile à reconnaître à l'ex
du membre, faire une incision circulaire, bornée à l'épaisseur de la
peau
, à trois travers de doigt au-dessous du plan prés
au-dessous du plan présumé inter-articulaire; disséquer et relever la
peau
jusqu'au niveau de l'articulation, et, par une se
s peu d'épaisseur et le moignon est presque uniquement couvert par la
peau
. M. Cornuau, pour la même opération, pratique moi
ace externe du membre tournée en haut, tracer un trait d'encre sur la
peau
, à cinq travers de doigt au-dessous de l'épicondy
hors du membre, réunir ces deux traits par une section ovalaire de la
peau
seulement, disséquer le lambeau semi-lunaire exte
ier. L'avant bras dans l'extension , tailler de bas en haut, et de la
peau
vers la profondeur, un lambeau antérieur, en arrê
raux, tailler horizontalement les chairs en arrière, faire relever la
peau
et détacher l'olécrane du triceps. Procédé de D
ion circulaire. Procédé de M. Cornuau. Le membre relevé, diviser la
peau
à quatre travers de doigt au-dessous de l'aeromio
ncision circulaire qui n'intéresse que les tégumens, faire retirer la
peau
par un aide, puis diviser le deltoïde en offrant
essous de l'aeromion ; couper net et circulairement d'un seul coup la
peau
et les muscles au contour de l'os et faire écarte
haut, par un aide, les chairs vers la poitrine, afin d'avoir assez de
peau
et de muscles pour former une incision circulaire
eur vers la surface, cet auteur remonte de dehors en dedans, ou de la
peau
vers l'articulation, en se servant d'un couteau c
on plutôt de dedans en dehors ou de la profondeur de la plaie vers la
peau
; on pourrait également y procéder de la peau vers
deur de la plaie vers la peau; on pourrait également y procéder de la
peau
vers la profondeur, en commençant de bas en haut
t de l'acromion, diriger deux incisions en V qui n'intéressent que la
peau
et qui descendent de chaque côté jusqu'au bord de
ord de l'aisselle, l'une en avant et l'autre en arrière; après que la
peau
est rétractée, diviser, par deux autres incisions
er, par deux autres incisions, les muscles au plus près du bord de la
peau
: le reste comme il a été dit précédemment. Pro
é de M. Scoutetten. Il ne diffère en réalité que par la section de la
peau
pratiquée sans discontinuer d'après la manière ha
'a laissée et la terminer en arrière de bas en haut; la section de la
peau
opérée, l'opération se termine comme il a été dit
e, d'obtenir immédiatement avec certitude une section régulière de la
peau
, qui, en outre, guide ultérieurement pour la sect
rsien pour rejoindre le point de départ. 20 L'incision ovalaire de la
peau
étant effectuée, en soulevant l'orteil et le méta
sésamoïdes, et détacher les chairs sur la face externe de l'os et la
peau
sur le côté interne. 3° Le métatarsien isolé dans
ied droit; isoler l'os sur les faces plantaire et inter-osscuse et la
peau
sur la face interne, désarticuler comme il a été
ire, une incision semi-lunaire, à convexité antérieure, qui divise la
peau
et les tendons extenseurs et ne s'arrête partout
nce le même trajet en diagonale sous la face plantaire, en coupant la
peau
et les muscles jusque sur les os, pour arriver à
la circonférence du membre : cette incision divise du premier coup la
peau
, les ligamens et les autres tissus fibreux. Fléch
atrisation. Méthode circulaire. — Procédé de M. Velpeau. Inciser la
peau
circulairement à trois ou quatre travers de doigt
cende obliquement de l'autre côté au point de départ. 20 Disséquer la
peau
de bas en haut jusqu'au niveau de l'anse poplitée
ulement en taillant les lambeaux de la surface vers la profondeur. La
peau
incisée d'abord, l'auteur la dissèque et la relèv
interne et remonte en arrière juqua la tubérosité de l'ischion; 20 la
peau
relevée immédiatement par un aide, avec le coutea
par deux circonstances : i° de commencer par la section isolée de la
peau
; et 20 de tailler les lambeaux un peu obliquemen
hode mixte ce procédé, qui se compose d'une incision circulaire de la
peau
avec section des muscles en deux lambeaux latérau
vasculaire, comme il est montré dans la figure. En un second temps la
peau
est coupée circulaircment au niveau de l'angle in
ture, de manière à confondre les deux incisions; puis, en relevant la
peau
, on procède à la taille des lambeaux, l'interne d
homme est d'environ deux décimètres (sept pouces), intéresse, avec la
peau
, les attaches des fessiers et les muscles antérie
upérieur et difficile à maintenir réunie par manque d'une longueur de
peau
suffisante. Pour obvier à cet inconvénient M. Mal
ou de l'extrémité inférieure de cette incision, suivant l'étendue de
peau
à conserver, il fait partir, en avant et en arriè
ce à y reconnaître des incon-véniens. Si la section n'embrasse que la
peau
, elle est insuffisante et ne peut résister à la p
éorie la méthode la meilleure est celle qui fournirait une étendue de
peau
suffisante avec le moins de chairs possible et pe
postéro-externe, surtout si les muscles sont coupés plus haut que la
peau
(Dupuytren). Enfin les procédés de Lalouette et M
ssus. Page 110. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR L'ÉPIDERME ET LA
PEAU
. Page 111 — 114. Excroissances épidermiques.
en, Larrey, Lisfranc, 113, 114. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LA
PEAU
ET SES DÉPENDANCES. Page 114—131. Opérations
relevée, le bord cubital en haut. Fig. 5. Incision sur un pli à la
peau
, le bistouri tenu en première position. F/g. 6.
s la mâchoire, où une compresse en double prévient toute lésion de la
peau
. La pelotte appliquée au-devant de l'oreille et a
e ou en corne , mais qui peut être en bois ou en carton , préserve la
peau
de la striction du lacs; si on le juge nécessaire
réserve la peau de la striction du lacs; si on le juge nécessaire, la
peau
peut encore être mieux préservée par une compress
le diamètre opposé du membre. Une compresse en double (d) préserve la
peau
de toute atteinte; le lacs est maintenu par une b
, des compresses en double préservent d'une trop forte compression la
peau
et les veines sous- cutanées. Le même instrumen
ère sous le pli de la fesse; des compresses en double garantissent la
peau
de toute meurtrissure dans les points de pression
sage sous la voûte de cet os. Une compresse en double (L) préserve la
peau
de la pression directe du lacs de contension sur
. Application d'un séton à la nuque. Fig. 1. Un pli étant fait à la
peau
et maintenu avec les doigts de la main gauche, l'
ù l'on vient de passer, avec le stilet aiguillé, la mèche à séton, la
peau
étant abandonnée à elle-même. Fig. 3. Aiguille
application. Fig. 5. Moxa ordinaire en combustion, maintenu sur la
peau
par une pince, et alimenté parle chalumeau. On su
ige centrale les mouve-mens du crochet. 6. Clef à panneton garni de
peau
. 7, 8, 9, 10. Diverses clefs tournantes qui per
INSTRUMENS FIGURE 1. Ventouse simple, représentée en action sur la
peau
. Un petit trépied, en toile métallique, disposé d
oulette de coton imbibée d'alcool en ignition, de manière à isoler la
peau
du contact de la flamme. FIGURES 2 et 3. Cloche
dans lequel sont encastrées dix lancettes verticales, qui piquent la
peau
tuméfiée, par l'abaissement du disque que l'on re
trémité supérieure du membre. 3. Bourrelet circulaire, formé par la
peau
, qui se produit lui-même sous l'aspiration de la
ent de l'opération représenté est celui où, l'incision veticale de la
peau
étant pratiquée avec le bistouri, on fait avec la
r la compression médiate sur une aiguille, avec l'intermédiaire de la
peau
, parla suture entortillée. 2. Modification, de
etit séton passé au travers de la veine, avec l'intermédiaire de la
peau
. Figure 2. (d) Incision. 7. 7, 7. Procédé par
ué par les ligures. TEMPS OPÉRATOIRES. FIGURE \. Incision de la
peau
par le bistouri tenu en première position. Cett
droite à gauche. a. Plaie opératoire, qui ne doit intéresser que la
peau
et le fascia superfîcialis. b. Bistouri incisan
RE. 1° (A et A2) Au tiers SUPÉRIEUR de la jambe. 1. Section de la
peau
. 2. Section de l'aponévrose jambière, doublée e
ps. 2° (B ET B2) Au TIERS INFÉRIEUR DE la jambe. 1. Section de la
peau
. 2. Section de l'aponévrose jambière. 3. Tend
nde cannelée. (C) LIGATURE DE L'ARTÈRE PÉDIEUSE. 1. Section de la
peau
. 2. Section de l'aponévrose dorsale du pied.
dex d'un aide ; en arrière, par un crochet mousse. 1. Section de la
peau
. — 2. Section de l'aponévrose jambière. — 3. Sect
(B et B2) Fig. 2. Au tiers inférieur de la jambe. I. Section de la
peau
. — 2. Section de l'aponévrose jambière. —3. Secti
ce, qui refoule et contient les muscles du mollet. 1. Section de la
peau
. — 2. Section de l'aponévrose jambière. — 3. Sect
vrose. LIGATURE DE L'ARTÈRE PÉRONIÈRE, FIGURE 3. 1. Section de la
peau
. — 2. Section de l'aponévrose jambière. — 3. Musc
eur de l'aide de face, qui écarte l'angle interne. 1. Section de la
peau
. 2. Section de l'aponévrose fémorale. 3. Sail
ace, qui dépriment en arrière les muscles jumeaux. 1. Section de la
peau
. 2. Section de l'aponévrose jambière. 3. Vein
de l'instrument. DÉTAILS DE LA PLAIE, FIGURE 2. 1. Section de la
peau
. — 2. Section du fascia superficialis. — 3. Secti
us de difficulté. DÉTAILS DE LA PLAIE, FIGURE 4. 1. Section de la
peau
. — 2. Section du fascia superficialis fémoral. —
HUMÉRALEj, au pli du coude. (A) Figure 2 et A2. — 1. Sectionne la
peau
. —2. Section de l'aponévrose superficielle. — 3.
er à l'opérateur la disposition de ses deux mains. — 1. Section de la
peau
. —2. Section de l'aponévrose antibrachiale. — 3.
2° Portion carpienne. (C) Figures 1, 2, et C2. — 1. Section de la
peau
. —2. Section du ligament antérieur du carpe. — 3.
férieure anTibrachiale. (E) Figures 1, 2, et E2. — 1. Section de la
peau
. —2. Section de l'aponévrose antibrachiale. — 3.
) (F) Figure 2 ; et planche 41, Fig. 1 ; et F2. — 1. Section de la
peau
. — 2. Section de l'aponévrose antibrachiale. — 3.
n avant et en dehors par la main de l'opérateur. 1. Section de la
peau
. — 2. Section de l'aponévrose superficielle.— 3.
RADIALE, a sa portion supérieure antibrachiale. 1. Section de la
peau
. — 2. Section de l'aponévrose antibrachiale.— 3.
CUBITALE, a sa partie inférieure antibrachiale. 1. Section de la
peau
. — 2. Section de l'aponévrose antibrachiale. —
tal. (H) LIGATURE DE L'ARCADE PALMAIRE CUBITALE. 1. Section de la
peau
. — 2. Section de l'aponévrose palmaire. — 3. Artè
GURE 2. LIGATURE DE LA RADIALE, portion dorsale. 1. Section de la
peau
. — 2. Section de l'aponévrose. — 3. Artère radial
extrémité superieure. [Procède de M. Lis franc). 1. Section de la
peau
. — 2. Section de l'aponévrose brachiale. — 3. Bor
ARTÈRE SOUS-CLAVIÈRE. ( Procédé de Chamberlayne. ) 1. Section de la
peau
. — 2. Lambeau formé par la peau et une portion
é de Chamberlayne. ) 1. Section de la peau. — 2. Lambeau formé par la
peau
et une portion Section de la peau. — 2. Section
a peau. — 2. Lambeau formé par la peau et une portion Section de la
peau
. — 2. Section du peaucier et de l'aponévrose cerv
la plaie est soulevée par deux crochets mousses. 1. Section delà
peau
et du peaucier. —2. Muscle scapulo-hyoïdien, main
TURE DE L'ARTÈRE AXILLAIRE. (Procédé ordinaire.) 1. Section de la
peau
et du peaucier. — 2. Section des attaches clavicu
toral. — 3. Bord supérieur du muscle petit pectoral, déprimé, avec la
peau
et la section inférieure du muscle grand pectoral
et 2; et pl. 43, fig. 1.) 1° Portion cervicale. 1. Section de la
peau
. —2. Section du muscle peaucier. — 3. Muscle ster
A et A2. LIGATURE DE L'ARTÈRE CAROTIDE EXTERNE. 1. Section de la
peau
et du peaucier. 2. Ventre mastoïdien du muscle
, entre celles du sterno-mastoïdien et du trapèze. 1. Section de la
peau
et des attaches du muscle occipital. 2. Surface
C2. LIGATURE DE L'ARTÈRE TEMPORALE SUPERFICIELLE. 1. Section de la
peau
et du feuillet aponévrotique superficiel. 2. Bo
gature. FIGURE 2. LIGATURE DE L'ARTÈRE LINGUALE. 1. Section de la
peau
et du peaucier. 2. Section du muscle hypoglosse
ur le numérotage, la petite figure au trait (A2 ). 1. Section de la
peau
.— 2. Section du peaucier. — 3. Bord interne du mu
l'incision faite à la face, au-devant du masseter. 1. Section de la
peau
. — 2. Section du peaucier. — 3. Veine faciale.
calène antérieur, comme dans le procédé de Dupuytren. 1. Section de
peau
. —2. Section du peaucier. — 3. Veine jugulaire ex
de pouvoir lier l'artère au-dessus et au-dessous. 1. Section de la
peau
. — 2. Bord du deltoïde, écarté par un crochet mou
trer la possibilité de les lier en cas d'accident. 1. Section de la
peau
appartenant à l'incision transversale ou sus-elav
ant à l'incision transversale ou sus-elaviculaire. 2. Section de la
peau
appartenant à l'incision verticale ou oblique sur
xterne et supérieur, rejeté en haut et en dehors. Il est formé par la
peau
et le muscle sterno-mastoïdien, coupé en travers
scle sterno-cléido-mastoïdien dans le relâchement. 1. Section de la
peau
et du peaucier. 2. Crochet mousse qui écarte en
URE \. LIGATURE DE L'ARTÈRE FÉMORALE, (A et A2). 1. Section de la
peau
. 2. Section du fascia superficialis, très épais
usses qui dépriment l'angle inférieur de la plaie. 1. Section de la
peau
. 2. Section des trois muscles abdominaux. 3.
in gauche du même aide, qui comprime l'aorte. 1, 1, 1. Section delà
peau
. 2, 2, 2. Section du fascia superficialis abdom
Séquestre du tibia. (Voyez pl. 54, fig. 8.) Après une incision de la
peau
en T, une ouverture suffisante étant pratiquée au
ongueur de la face externe de l'avant-bras, a divisé préalablement la
peau
et l'aponévrose anti-brachiale. Aucune descriptio
icale ayant été faite sur le trajet du péroné, après la section de la
peau
(a) et de l'aponévrose jambière (b), le bistouri
plaie par quelques points de suture entortillée. La dépression de la
peau
et la forme du membre indiquent l'absence des ext
e la plaie (vus entre deux incisions elliptiques). 1,1. Section de la
peau
. 2, 3. Section en travers du grand et du petit
la plaie (vus entre deux incisions elliptiques). 1,1. Section de la
peau
. 2. Section supérieure du trapèze. 3. Section
essaire. détails de la plaie. 1,1,1, 1. Les quatre lambeaux de la
peau
, formant une incision cruciale. 2. Section de l
ment les chairs sur la ligne médiane , en continuant la section de la
peau
jusqu'au-dessus de l'hyoïde, disséqué et rejeté d
e phalange de l'indicateur. La section des chairs étant pratiquée, la
peau
relevée par deux petites bandelettes en croix, l'
RPO-ME TA CARPIENNE DU POUCE. ( Membre droit.) L'incision de la
peau
et des chairs étant effectuée , l'opération est r
e l'opération est représenté lorsqu'après la section circulaire de la
peau
, le couteau qui a coupé les tendons extenseurs en
mier temps de l'opération ; le chirurgien étant occupé à disséquer la
peau
circulairement, la main gauche (a) soulève le lam
e M. Velpeau. ) La section des chairs a été faite après celle de la
peau
, pour tailler le moignon en un cône creux. L'opé
on modifié. (Membre droit.) FIGURE \. La section circulaire de la
peau
étant faite dans un premier temps , cette figure
l'opération est représentée lorsqu'après la section circulaire de la
peau
, le bistouri, qui a coupé les ligamens, pénètre
(MEMBRE DROIT.) FIGURE \. SECTION DES CHAIRS. La section de la
peau
a été faite par le procédé ovalaire de M. Sé-dill
M. Sé-dillot, de (a) en (a), pour laisser une plus grande longueur de
peau
en recouvrement sur le contour antérieur du moign
d'un aide qui supporte le moignon dont il rassemble les chairs et la
peau
de recouvrement. m, Fils à ligature des artères
atiquer la section du lambeau interne et postérieur sans taillader la
peau
vers Fangle supérieur d'entrée, et en offrant la
, jusque sur le jambier antérieur, une incision perpendiculaire de la
peau
(b), qui doit faire partie du lambeau interne ; e
, glissant du haut en bas la pointe du couteau , en remontant sous la
peau
le long du tibia, nous l'avons amenée en (c), où
Le lambeau tégu-mentaire, soulevé entre deux doigts, est formé par la
peau
de toute la face dorsale du pied en avant, et par
LA CUISSE A SA PARTIE INFÉRIEURE. (MEMBRE DB OIT.) figure \. La
peau
, ayant été coupée par une incision ovalaire (a) d
ortent le moignon et refoulent en bas les muscles et le contour de la
peau
. Extrémité des artères dont la ligature est eff
puis renversées en haut vers l'aine, les fils à ligature accolés à la
peau
par une bandelette agglutinative et maintenus par
dans son premier temps, où l'on pratique la section circulaire de la
peau
; le couteau, ayant parcouru le côté externe (k),
ration précédente, l'opérateur a fait circulairement la section de la
peau
à trois pouces et demi au-dessous de l'aine, diss
ation de la jambe à son quart supérieur par l'incision ovalaire de la
peau
et la section plus élevée des muscles à deux lamb
Amputation de la cuisse par la méthode mixte. Section ovalaire de la
peau
formant lambeau inférieur de recouvrement, et au-
trajet les conduits lacrymaux sont recouverts par l'orbiculaire et la
peau
. Tous ces détails sont très importans pour l'inje
lacrymal, et recouverte seulement par quelques fibres charnues et la
peau
, se prête davantage à la distension : aussi est-c
main droite. Le doigt indicateur de la main qui est libre déprime la
peau
en regard du tubercule lacrymal pour renverser et
6), suit obliquement la direction du conduit lacrymal en tendant la
peau
vers la racine du nez, puis parvenu dans le sac l
té le long du canal lui-même; dès qu'il l'a franchi, la tension de la
peau
qu'il détermine, au-devant du sac lacrymal, au-de
nté en sens inverse la courbure du canal ,vient faire saillie sous la
peau
dans le sac lacrymal. Rien de si rapide que ce pr
de la saillie visible du muscle orbiculaire, le relief formé sous la
peau
par le tubercule lacrymal. Entre l'ongle et le te
rière en avant et un peu de de-hors en dedans, pour la ponction de la
peau
et du muscle orbi-culaire, jusqu'à une profondeur
te à l'angle interne de l'œil la difformité qu'il voulait éviter à la
peau
, et détermine en outre l'irritation inutile et da
EIL. Les paupières, dans les diverses couches qui les composent, la
peau
, les cartilages tarses et la conjonctive, sont le
renversement de la paupière en dehors : 2° le raccourcissement de la
peau
par une cicatrice vicieuse ; cas plus rare , mais
njonctive seule est tuméfiée ou que, par le progrès de la maladie, la
peau
et même le cartilage tarse ont subi un allongemen
HODE DE M. DlEFFENBACH--Excision de la conjonctive au travers de la
peau
. Applicable à l'une et l'autre paupière , ce proc
dé a pour objet, après l'excision de la conjonctive, de la fixer à la
peau
par une cicatrice commune , de manière à s'oppose
différemment de l'angle externe vers l'interne ou en sens inverse. La
peau
étant incisée , isoler un peu son bord palpé-bral
pro-cédé, où le cartilage tarse et la conjonctive sont intéressés, la
peau
étant intacte, qui nous paraît ressembler le plus
rurgien, à Béclard et à M. Roux. Ectropion par rétrécissement de la
peau
(cicatrice vicieuse). Blépharoptastique (pl. 6,
une cicatrice vicieuse a déformé la paupière par rétrécissement de la
peau
, de manière que l'œil est maintenu irrégulièreme
u prononcée, on peut essayer d'abord d'obte-nir le resserrement de la
peau
par l'emploi des astringens et des caustiques. Ma
ns et des caustiques. Mais si l'œil est entièrement recouvert par une
peau
tombante, flasque et ridée , il vaut mieux avoir
e sour-cilière de l'occipito-frontal, en y fixant artificiellement la
peau
de la paupière elle-même. C'est la réalisation pr
ieure, dont la courbe se prolonge d'autant plus inférieurement que la
peau
est plus surabondante. Les deux in-cisions réunie
'œil proportionnée à la perte de substance et, après la cicatrice, la
peau
de la paupière elle-même adhérant à l'extrémité i
agglutinatives, les cathérétiques ou les caustiques; l'excision de la
peau
seule, ou accompagnée de la ré-section du cartila
on, encore récent et accidentel, reconnaît pour cause la laxité de la
peau
qui succède à un œdème de la paupière. Rien de pl
ellement pendant l'espace de quinze à vingt jours, pour donner à la
peau
le temps de reprendre sa tonicité. On y aide même
bois ou en filasse imbibé d'acide sulfurique ne faire que mouiller la
peau
dans une largeur de quatre à cinq millimètres au-
ère avec soin et s'assurer de l'effet produit. Si la rétraction de la
peau
paraît suffisante pour corriger l'introversion de
in et un peu plus haut,pour intéresser une surface plus étendue de la
peau
, et nettoyer éga-lement après quelques secondes.
ble et employer un acide moins concentré. Dès que la rétraction de la
peau
est suffi-sante, laver et essuyer, puis enlever l
trop graves pour que nous en recommandions l'emploi. Excision de la
peau
. C'est la même opération que nous avons décrite p
à craindre la paralysie de l'élévateur qui conti-nuera de soulever la
peau
et la conjonctive. Mais, en supposant qu'il en so
éno-mène persiste, pratiquer une excision transversale intéressant la
peau
et le cartilage vers la base du lambeau. L'opérat
arallèles, de trois millimètres de longueur, qui n'intéressent que la
peau
. Réunir ces deux incisions par une autre transver
ge aux paupières, quels que soient leur nature et leur siège entre la
peau
et la conjonctive. Les tumeurs palpébrales qui
ncéreuses. Les deux premiers se rapportent plus particulièrement à la
peau
et au tissu cellulaire sous-jacent; l'autre intér
Suivant la profondeur du kyste, on l'attaque ou par la surface de la
peau
, ou par celle de la conjonc-tive. Le dernier proc
autant qu'on le peut, pour éviter une cicatrice. i° Excision par la
peau
(pl. 6, fig. 9). Armé d'un bistouri convexe très
millimètres d'éten-due , est tout-à-fait superficielle et bornée à la
peau
, on peut la soulever dans un pli et l'enlever d'u
is-seur en rend la suture très facile dans les plaies du pavillon. La
peau
qui le recouvre, line, glabre, très adhérente à s
s de substance du pavillon de l'oreille en empruntant des lambeaux de
peau
aux parties voisines. Procédé de M. Dieffenbach
lement avec des ciseaux, armé du bistouri droit tailler le lambeau de
peau
en arrière vers l'apo-physe mastoïde, le disséque
lastiquc, qui, à part le danger commun à toutes les opérations sur la
peau
du crâne, ne remédie à une simple dif-formité qu'
nconvéniens des nez arti-ficiels, comme nous le verrons plus tard. La
peau
assez épaisse et mobile en haut, mince et adhéren
ifférentes espèces de tumeurs érectiles : la grande vitalité de cette
peau
rend la cicatrisation très facile après les diver
ent deux opérations distincies. La première consiste à tailler sur la
peau
du bras un lambeau triangulaire dont on a mesuré
du nez mutilé, pour les faire adhérer avec les bords de section de la
peau
; il ne s'agit plus alors que de former un lam-be
uérison parfaite. 20 Méthode indienne. Procédé ordinaire, avec la
peau
du front (pl. 1/1, fig. 1,2, 10 3 ). On comme
in. Au lieu de faire simplement la sec-tion du pédicule, on enlève la
peau
delà racine du nez, qui se trouve au-dessous de l
triangle à pointe supé-rieure, et lui creuser une échancrure dans la
peau
du front, où on le fixe à l'aide de quelques nouv
ant les contours de la forme nasale. Il en résulte ainsi une bande de
peau
isolée ne tenant aux tégumens qu'en haut et en ba
employée. Elle est indiquée quand les os du nez manquent, et quand la
peau
du front est saine (Grœfe). La méthode de Celse
a écarté les cartilages des ailes du nez et est venue saillir sous la
peau
, on met en usage le procédé de M. Rigal, qui cons
en arrière et en dehors, en forme d'Y ren-versé. La dissection de la
peau
étant faite, il ne s'agit plus que de séparer ave
congéniale il est supposable que , la réunion n'ayant lieu que par la
peau
, rien ne serait plus facile que cette incision, e
ir enveloppé la surface de section du lambeau , on l'affronte avec la
peau
et on l'y maintient fixée par un nombre suffisant
tpellier divise en regard l'une de l'autre la membrane muqueuse et la
peau
; mais il nous semble qu'en agissant ainsi il perd
uche, et de la droite porter la pointe d'une première aiguille sur la
peau
, à six millimètres (trois lignes) en dehors de la
, et traverser alors le lambeau droit de la surface saignante vers la
peau
, d'arrière en avant et un peu obliquement de haut
ste à offrir le bistouri en troisième position, le dos tourné vers la
peau
et le tranchant vers soi, et à faire agir l'instr
par la face buc-cale des plaies inoins bien affrontée que celle de la
peau
. Cet accident est surtout à craindre chez les jeu
o-sanguinolentes, de manière à pouvoir enlever le tout et nettoyer la
peau
sans causer le moindre ébranlement. On procède en
ncipalement à la lèvre inférieure. Si l'altération n'intéresse que la
peau
ou l'épaisseur de la lèvre, on peut la guérir par
convient lorsque la maladie n'intéresse au plus que l'épaisseur de la
peau
; si elle est plus profonde, il faut avoir recour
bes sur le plat. Disons tout de suite que ce pro-cédé est mauvais, la
peau
adhérente des lèvres ne pouvant pas être assez at
irée en saillie, et les ciseaux ne devant opérer qu'une section de la
peau
mâchée et très oblique, trop large et pas assez p
rs toute l'épaisseur des chairs sur la mâchoire, et seulement dans la
peau
au-dessous, parallèlement et au niveau delà précé
du masseter, et qui descend jusque sur le cou en n'intéressant que la
peau
au-dessous de la mâchoire, limite la maladie en d
eur des chairs sur les deux mâchoires et se prolonge au travers de la
peau
sur la mâchoire comme l'incision externe, de mani
ancien ou récent et par conséquent qu'il est ou non or-ganisé, que la
peau
en est molle et saine ou qu'elle est calleuse, (p
ne exté-rieure superficielle plate et en quelque sorte étalée sous la
peau
, et qui se prolonge en appendice granuleux sur la
née au volume de la tumeur; ren-verser en bas le lambeau formé par la
peau
et le peaucier. La glande sous-maxi llaire se tro
es. Les unes, abcès ou tu-meurs de diverse nature, qui intéressent la
peau
, le tissu cellulaire inter-organique ou les diver
rface du cou. A mesure qu'il se développe, il distend outre mesure la
peau
et les muscles, et, par sa pression en profondeur
mostatique. Tout étant disposé, pratiquer à travers l'épaisseur de la
peau
et des muscles sous-hyoïdiens, une incision média
e cinq à sept centimètres. Les parties qui la recouvrent sont : 1" la
peau
et l'aponévrose cervicale; 20 les deux plans supe
oïde jusqu'à la fossette du sternum , qui n'in-téresse d'abord que la
peau
et l'aponévrose cervicale. Par un second trait, d
ncision. Guattani incise du côté gauche , sur un pli transversal à la
peau
, depuis le sternum jusqu'à la hauteur du cartilag
ivement, par couches régu-lières, dans toute l'étendue delà plaie, la
peau
, le muscle peau-cier, l'aponévrose cervicale. Arr
disposé , le chi-rurgien, de la main gauche, soulève le sein, tend la
peau
sous la tumeur, et commence, avec le bistouri con
sion doit être pratiquée au-delà des limites de la maladie, sur de la
peau
saine, la portion renfermée dans l'ellipse, devan
re de rapprocher les deux bords, M. Lisfranc conseille d'en isoler la
peau
en dessous par dissection, dans une longueur de q
n , qui n'agit que sur le bord de la plaie, peut être utile cpiand la
peau
est abondante, il est évident que, dans le cas co
ce intercostal et le point sur lequel il doit agir; puis, ten-dant la
peau
avec le pouce , l'indicateur et le médius de la m
oite, armé d'un bistouri ordinaire en première position, il incise la
peau
dans une longueur de trois à quatre centimètres (
cette n'étant applicable qu'autant cpie la collection arrive sous la
peau
, n'exige aucune description. %" Parle bistouri.
es agauche du plan moyen. La paroi thoracique en regard renferme : la
peau
et le pannicule adipeux, les attaches sterno-cost
présente le plus de garantie. Une incision cruciale étant faite à la
peau
, en regard de l'extré-mité inférieure gauche du s
au dehors, et réclament à peine, en dernier lieu , une incision à la
peau
. Les corps ou vulnérans ou chassés par ces dernie
t, soit par le tube intestinal, soit par les poumons, soit enfin à la
peau
par une ulcération, ou un trajet fistuleux. Ce ré
oigt la pointe d'un bistouri, et incise successivement par couches la
peau
et les muscles jusqu'au voisinage du péritoine. P
curité, re-tirer le fil. Coupant l'un de ses chefs à la surface de la
peau
, d'une main on tire doucement et avec lenteur sur
ehors. Après quelques jours on coupe l'un des fils à la surface de la
peau
et l'on tire avec pré-caution sur l'autre chef po
trer dans le ventre les parties herniées, on cherchait à dé-truire la
peau
et à obtenir la réunion du sac, soit par la ligat
e, molle, ordinairement indolente, et sans changement de couleur à la
peau
qui la recouvre. Son caractère essentiel est de p
guinal, nous trouvons : i" que ce canal est recouvert en avant par la
peau
, la couche graisseuse et les deux lames du fascia
ois descendue dans le scrotum, on rencontre, par plans superposés, la
peau
, le fascia sous-cutané superficiel, le dartos, le
trouve de la sérosité amas-sée dans un kyste placé entre le sac et la
peau
, et d'autres fois ce sont des flocons adipeux plu
scia propria qui, à la vérité, est quelquefois rompu, elle soulève la
peau
, le tissu cellulaire sous-cutané, des flocons de
eaux ombi-licaux entourés de tissu cellulaire, se cicatrisent avec la
peau
, et forment ainsi l'ouverture ou anneau ombilical
e intime entre les élémens du cordon, le pourtour aponévrotique et la
peau
, et conséquemment, au moin-dre effort, les viscèr
ne du péritoine, et qui, d'autre part, est confondu au-debors avec la
peau
. L'ouverture aponévrotique elle-même s'est consid
-nales augmentent d'épaisseur par l'interposition de graisse entre la
peau
et la couche musculaire, au pourtour de la cicatr
temps sentir, le péri- 3i toine est difficilement séparable de la
peau
; le sac est à peine vi-sible, ce qui a fait nier
la hernie sont aussi très peu épaisses. Le fascia superficialis et la
peau
seids les constituent chez l'a-dulte et chez l'en
tituent chez l'a-dulte et chez l'enfant. Dans la hernie congéniale la
peau
manque sur le sommet de la tumeur, où elle est re
ont au voisinage de l'ouverture, et ensuite celles qui répondent à la
peau
. Si la manœuvre est couronnée de succès, on sent
e toute autre substance molle et élastique, et on recouvre le tout de
peau
de chamois ou de maroquin. La courroie qui se fix
que l'on ma-telasse avec du crin ou du coton, et que l'on recouvre de
peau
de chamois. ITeritz avait imaginé, en 1771, de re
courroie n'occasionnent de douleur en tiraillant ou en comprimant la
peau
; il suffira de faire lever le malade en lui re-c
a hernie glissait sous le bandage, pour être étranglée par lui, ou la
peau
et les parties sous-jacentes, continuellement con
fréquem-ment des excoriations et de la douleur, sur les points de la
peau
qui sont comprimés par lui ; d'autant plus que l'
une compresse de linge fin, et plié en doubles entre la pe-lote et la
peau
. Un bandagiste moderne, M. Lasserre, est parvenu
eur usage devient moins dispendieux et plus commode. Pour garantir la
peau
contre toute irritation , limiter recouvrait la p
la peau contre toute irritation , limiter recouvrait la pelote d'une
peau
derenard brun, le poil en dehors, et Camper, cpii
icates, remarque que la sueur ne fait point tomber les poils de cette
peau
, tandis qu'ils tombent de suite, si l'on emploie
ils de cette peau, tandis qu'ils tombent de suite, si l'on emploie la
peau
d'un renard blanc. Le bandage de la hernie crur
cire re-commandée par Platner, car celle-ci fondrait au contact de la
peau
, mais on peut très bien remplacer l'une et l'autr
e immobile ; un autre se tiendra en face du chirurgien pour tendre la
peau
, éponger la plaie et aider l'opérateur; un dernie
ition ; tantôt il vaut mieux inciser sur le milieu d'un pli fait à la
peau
, pli dont l'aide tient une extrémité et l'opérate
crainte de rencontrer l'intestin, qui n'est quelquefois séparé de la
peau
que par des couches très minces. Ce précepte est
ssu cellulaire ou des kystes séreux se rencontrent entre le sac et la
peau
. La recherche du sac est donc ordinaire-ment asse
ccessivement toutes les couches qui sont comprises entre le sac et la
peau
, Louis propose cle pénétrer, du premier coup, jus
ce débridement sous-cutané, fait au moyen d'une simple ponction à la
peau
, on ne débride que l'anneau fibreux aponévrotique
u'à la région inguinale, à commencer l'in-cision sur un pli fait à la
peau
. C'est surtout au-devant de la her-nie crurale qu
et également l'orifice herniaire sans l'enfoncer, sans y dé-primer la
peau
; mais par-dessus tout, il est indispensable que
ce chi-rurgien , ayant mis l'anneau crural à découvert tailla dans la
peau
voisine un petit lambeau en forme cle lame cle la
qu'il contenait, on soulève sa paroi antérieure dans un pli fait à la
peau
, et on pousse l'aiguille à travers le sac en la f
ration n'est applicable qu'à la hernie inguinale. M. Gerdy refoule la
peau
du scrotum comme un doigt de gant dans l'anneau e
u ctd-de-sac, puis d'autres à l'entrée de l'infundibulum formé par la
peau
. En outre, tantôt il avivait l'orifice de l'infun
et nettoyé la région, le chirur-gien réduit la hernie; il soulève la
peau
du scrotum sur un ou deux des doigts de sa main g
u porte-aiguille se relève par ce mouvement de bascule et sou-lève la
peau
de l'abdomen au niveau du cul-de-sac dans le fond
he profonde à la surface, d'abord la lame antérieure du cul-de-sac de
peau
in-vaginé, puis toute la paroi antérieure du cana
l'épaisseur des parties; un aide soutenant à l'extérieur le bouton de
peau
sou-levé, facilitera la sortie de la pointe. On d
eur, mais pas assez cependant pour amener la gangrène des portions de
peau
comprises entre les fils. On reporte le malade au
ne fois, à serrer les tissus embrassés par l'épingle et à pro-tegerla
peau
contre les extrémités de la tige; il est bon de t
era un fil à chaque mor-ceau de liège, pour que, le gonflement cle la
peau
survenant autour de lui , on puisse le retirer fa
au consiste à scarifier l'inté-rieur du sac. Pour cela il invagine la
peau
du scrotum et en soutient le cul-de-sac, non avec
rminée en 1er cle lance; puis, la conduisant obliquement à travers la
peau
, il pénètre dans l'intérieur du sac et au pourto
ens. Tant qu'il n'y a cpie quelques colicpies, un peu de chaleur à la
peau
et une légère accélération du pouls, il y a peu c
s agglutinatives , enfin l'excision cle ces mêmes bords formés par la
peau
et la membrane muqueuse, et leur exacte réunion p
uent cette paroi sont, en procédant cle l'extérieur à l'intérieur, la
peau
, le tissu cellulaire, la graisse, le muscle grand
stin vient faire saillir la partie postérieure du flanc. On fait à la
peau
une incision trans-versale et un peu oblique en b
cinq travers de doigts de son point d'origine. Après avoir divisé la
peau
et les couches sous-cutanées, on coupe d'a-bord d
on bord externe si cela est nécessaire; on devrait de même inciser la
peau
crucialeinent t. VII. si le sujet avait beauc
stin vers soi, à l'aide de trois pinces à torsion, et on la fixe à la
peau
par quatre points de suture entrecoupée, en renve
im. environ de la masse des muscles précités. Après avoir divisé la
peau
et le tissu graisseux , il glisse une spatule pla
imètres dans le rectum. L'imperforation superficielle formée par la
peau
, doublée ou non par une couche celluleuse et aus
nt de première vue à plusieurs caractères : la couleur violacée de la
peau
, la saillie qu'elle forme pendant les cris de l'e
tour déterminé par les sphincters. Levret conseillait d'emporter la
peau
par une incision circu-laire; mais au lieu de cet
cet orifice (Cnoeffélius, Fristo). Si l'anus anormal, s'ouvrant à la
peau
, dans un point éloigné, est assez large et donne
re l'orifice s'ouvre sur la membrane muqueuse génito-urinaire ou à la
peau
de la région ano-génitale , comme il est évident
ente, la tension de la région ano-génitale, la couleur violacée de la
peau
, etc., manquent complètement, et surtout si le ra
, et demi au-devant de la saillie sous-cutanée du coccyx et incise la
peau
en regard, sur le plan moyen, dans une longueur d
xtrémités du fil, l'in-testin put être descendu jusqu'au niveau de la
peau
. Une inci-sion cruciale , pratiquée entre l'anse
pinces plates, les bords de la plaie intestinale furent accolées à la
peau
et réunis avec elles par des sutures. L'opération
NUS. La fissure ou crevasse de l'anus, analogue aux crevasses de la
peau
, est un petit ulcère plus ou moins linéaire, c'es
tres à 1 centimètre et demi, au plus, elle commence sur le bord de la
peau
qui avoisine l'anus et remonte plus ou moins sur
ue Boyer l'a rencontrée sur une centaine de malades et M. Vel- 38
peau
sur une quarantaine au moins, outre qu'il n'est p
phincter dans toute son épaisseur, etprolongeun peu l'incision sur la
peau
. De cette section résulte , comme dans l'opératio
ne plaie triangulaire dont le sommet est à l'intestin et la base à la
peau
. Deux vices peuvent, se présenter clans cette in-
stin en regard avec la pointe du bistouri; ou bien c'est à la base la
peau
qui n'est pas divisée assez loin et ferait cul-de
'ou-vre par un bout dans l'intestin et par l'autre à la surface de la
peau
. La fistule incomplète ou fistule borgne n'a qu'u
islingue deux espèces : la fistule bor-gne externe qui s'ouvre sur la
peau
et ne communique point dans l'intestin, et la fis
tule complète en voie de formation et procédant de l'intestin vers la
peau
. Foubert, en particulier, ne croyait pas que le p
in, qu'au bout de quelques jours il ne dût causer une ulcération à la
peau
. L'expérience pourtant infirme cette théorie; la
de tous les chirurgiens, peut per-sister des mois entiers sans que la
peau
soit altérée. A. Dubois , Boyer, Dupuytren, L. Sa
emontant au- tour du rectum, soit en s'étalant vers le sacrum ou la
peau
de la marge de l'anus, et alors il se produit des
connaître. Ordinairement situées à quelques millimètres du bord de la
peau
, il est rare qu'elles s'en écartent de plus d'un
la marge de l'anus, ou bien on voit immédiatement à la surface de la
peau
une ulcération or-dinairement assez étroite, circ
tué au fond de quelque pli cutané, ce dont on s'as-sure en tendant la
peau
avec les doigts. La sortie d'un peu de liquide et
ation, les caractères généraux d'une fistule à l'anus, ouvrant sur la
peau
. Mais s'il n'est pas sorti de matières intestinal
défécation. Dans une certaine étendue, auprès de l'ori-fice anal, la
peau
est plus ou moins violacée avec ou sans amin-ciss
fait un pro-cédé régulier qui trouve son cas d'application lorsque la
peau
amincie est trop complètement décollée pour que l
ie de lier sur les chairs à diviser. On peut lier direc-tement sur la
peau
, mais ce moyen est peu sûr parce qu'il faudrait d
pareille situation un peu prolongée. Ordi-nairement la division de la
peau
se faisant trop attendre, le chi-rurgien, pour en
eul coup la section des parties contenues dans l'anse de la soude, la
peau
, l'intestin et le bord musculaire de l'anus. 2°
ajet en dehors dans toute sa longueur en prolongeant l'incision de la
peau
sur la fesse de 2 à 3 centimètres au-delà de l'or
commencé par le rectum tendant en général à se frayer un orifice à la
peau
et par conséquent à se transformer en fistule com
juge convenable. A moins que le foyer n'ait déjà aminci et décollé la
peau
, on peut se dispenser d'inciser en totalité le sp
intenus écartés, il peut arriver que la cicatrisation commence par la
peau
, auquel cas la fistule se reproduit, l'agglutinat
re en incisant la mu-queuse , le sphincter, le tissu cellulaire et la
peau
à une profon-deur d'environ un centimètre et demi
tement des deux demi-sphincters, de sorte qu'il n'y a d'incisé que la
peau
, la mem-brane muqueuse, le tissu cellulaire et to
ectum sont la réduction simple ou avec débridement ; l'excision de la
peau
à l'en tour de l'anus , l'excision de la tumeur e
amolli, et dilaté, les plis cutanés se relâchent et s'effacent, et la
peau
de la marge de l'anus est distendue , flasque et
procédé de Dupuytren a été, en enlevant des segmens rayonnes de cette
peau
trop étendue, de déterminer, par le froncement ré
s, en faisant, attention de ne pas cautériser toute l'épaisseur de la
peau
. Le nombre de raies qu'on doit faire n'a rien de
uche toute la circonférence de la partie du bourrelet qui adhère à la
peau
. Appliquée de cette manière, la cautérisation e
era le siège d'une exsudation assez abondante, comme l'excision de la
peau
ne peut que retenir l'intestin sans lui rendre sa
i-lunaires, qui viennent se réunir en avant et en arrière. Lorsque la
peau
est incisée, et qu'on est arrivé sur le tissu cel
ueur de la tu-meur, un fil double qu'il nouait serré au dehors sur la
peau
du scrotum. Son aiguille a été modifiée par Kerst
fait une incision verticale d'environ huit centimètres, dis-sèque la
peau
d'un côté, et se servant ensuite de ciseaux courb
ourbes sur le plat, circonscrit sur la partie disséquée un lambeau de
peau
ovalaire , qu'il enlève. Puis, se servant alors d
ès de sa réflexion sur le testicule. Douglas conseillait d'inciser la
peau
seulement d'un premier coup de bistouri , car il
t ouvert. Dans le principe, il incisait le kyste en même temps que la
peau
, et sans prendre la peine de disséquer un lambea
mps que la peau , et sans prendre la peine de disséquer un lambeau de
peau
, excisait une partie du kyste avec son lam-beau
ique : le malade étant placé comme pour le procédé de M. Frick, et la
peau
du scrotum étant saisie de la même manière, on is
Le chirurgien, armé d'une épingle ou d'une aiguille, la porte sur la
peau
qu'il tra-verse de part en part, de manière à ce
ur la suture entortillée, et l'on opère une forte constriction sur la
peau
, la veine et les deux épingles. 3° Compression.
crotum. L'opérateur maintient lui - même les veines dans le pli de la
peau
ou bien il les confie à un aide. Les mors de la
e y déterminer d'eschares. Afin de ne pas comprendre sous les mors la
peau
nécessaire à l'extension de la verge pendant l'ér
conservera la partie externe, hors l'action des mors, un pédicule de
peau
d'environ deux lignes de largeur. Dès que la pinc
ue d'abord les deux aiguilles au-dessus des veines , en traversant la
peau
des deux côtés à une distance égale à celle qui s
squelles les aiguilles sont à demeure , de sorte que l'on traverse la
peau
avec les aiguilles , en même temps qu'on applique
scrotum à l'aide seulement de la compression, mais sans endommager la
peau
, aussi inventa-t-il un instrument qui, ci priori,
ons dit, et les veines du cordon ramenées dans un pli extérieur de la
peau
, le canal déférent repoussé en arrière , on appli
de fil derrière les veines isolées et venait ensuite le nouer sur la
peau
qu'il étranglait ainsi que les veines. Ce ruban d
les veines. Ce ruban de fd devait rester en place, jusqu'à ce que la
peau
, les tissus sous-jacenset les veines eussent été
llée, en 8 de chiffre. Il faut attendre pour enlever l'épingle que la
peau
soit toute en gangrène, ce qui a lieu au bout de
un des premiers qui ait songé à faire la ligature des veines sous la
peau
; cependant cette idée a été émise quoique assez v
u debout, le chirurgien saisit les veines dans un pli antérieur de la
peau
des bourses, cherche le canal déférent qu'il repo
l'épingle. Les veines se trouvent ainsi étranglées isolément sous la
peau
restée intacte. Le fil est laissé en place jusqu'
ord. Ce chirurgien, guidé par la même idée de lier les veines sous la
peau
, mais de plus pensant que la constriction devait
gien, armé d'une première aiguille munie d'un fil double, traverse la
peau
du scrotum , passe son fil derrière le paquet vei
d'agir, il fallait attendre, pour enlever le fil et l'épingle, que la
peau
liée fût tombée en gangrène; c'était déjà un vice
ection caractérisée par un dé-veloppement hypertropbique énorme de la
peau
et du tissu cellu-laire sous-cutané des bourses.
le plus généralement employé, à cause de l'a-nalogie que présente la
peau
avec celle de l'éléphant. Bien qu'observée déjà
ns quelques parties, molles dans d'autres , elles sont indolentes, la
peau
qui les recouvre est considérablement hypertrophi
ue la maladie, malgré son volume, n'est qu'une simple affection de la
peau
sans réaction sur l'orga-nisme. OPÉRATIONS SUR
Il comprend plusieurs temps, le premier a pour objet l'incision de la
peau
; le second , la dissection de la tu-meur, et le
, la section et la ligature du cordon. Premier temps. Section de la
peau
. Le malade étant couché sur Je bord de son lit, o
tendre les tégumens. Puis de la main droite armée du bistouri, si la
peau
n'est pas malade, il pratique une incision obliqu
longitudi-nale une double incision elliptique qui doit comprendre la
peau
et les couches superficielles de la poche testicu
nous venons de le dire, on a proposé de faire un pli transversal à la
peau
, d'en don-ner un côté à tenir à un aide, et de l
es parties profondes afin d'éviter de pratiquer des boutonnières à la
peau
, et d'inté-resser l'urètre, les corps caverneux
les quatre doigts de la main gauche le cordon à travers un pli de la
peau
du scrotum et de l'aine, le soulève et l'isole. U
es deux mains placés en arrière, et les doigts appliqués en avant, la
peau
saine du scrotum au-delà de la cloison , maintien
e hori-t. vu. zontalement un bistouri étroit, à travers le pli delà
peau
scrotale qu'il tient entre ses doigts, derrière l
essous du point où il le tient, et le tran-che d'un seul coup avec la
peau
qui le recouvre. Le plus souvent aussitôt que la
pplicable , il faut que la tumeur ne soit pas trop volumineuse, ni la
peau
altérée dans.une trop grande étendue. Procède d
re de la tumeur et presque parallèle à l'arcade crurale. On divise la
peau
et lefascia superficialis, on lie l'artère tégume
érection, ou bien le gland ne peut passer à travers l'ouverture de la
peau
, et une vive dou-leur s'oppose à l'accomplissemen
oppe du gland , jusqu'au point, de réflexion de la muqueuse. Comme la
peau
se laisse toujours couper plus en arrière que cet
tenir la verge et de maintenir le bec de la sonde en rap-port avec la
peau
, attire un peu celle-ci en arrière, jusqu'à ce qu
couronne du gland, en tourne la pointe et le tranchant du côté de la
peau
, abaisse son manche, pousse sa pointe vers le pré
ramenant avec vivacité la lame en avant. Bien qu'on ait fait tirer la
peau
en arrière, si cette membrane était divisée plus
en dessous et l'indicateur en dessus , puis avec le pouce il tire la
peau
vers le pubis , applique ce doigt derrière le poi
le prépuce , incline fortement le manche en tendant en même temps la
peau
, et termine comme dans le cas précédent en poussa
nt avec les mors d'une pince à anneaux, placée au-devant du gland, la
peau
qui est tirée par les aides; et enfin emporter d'
qui doit limiter les parties qu'il veut inciser. Puis il abandonne la
peau
à elle-même pour savoir si la ligne tracée est si
ctifier sa position s'il y a lieu. Cela fait, il ramène de nouveau la
peau
du prépuce en avant, la saisit transversalement a
s sa partie dorsale, la fend d'avant en arrière jusqu'au niveau de la
peau
, et excise ses lambeaux la-téraux. Procédé de M
ex de la main gauche, le tire à lui, introduit, par l'ouverture de la
peau
, une branche de ciseaux courbes sur le plat, fai
qu'il comprend dans l'excision. Si la muqueuse dépasse de beaucoup la
peau
, on l'incise d'abord d'avant en arrière, puis on
oduit. Procédé de Richter. Richter voulait qu'on incisât d'abord la
peau
en arrière de la bride, et qu'on glissât par cett
elet constricteur directement par sa face externe. Faisant retirer la
peau
vers le pubis, pendant qu'un aide cherche à ren-v
le cas où le prépuce manque par vice de con-formation. On étendait la
peau
des environs du gland jusqu'à ce qu'elle le couvr
u gland jusqu'à ce qu'elle le couvrît : puis, on assujettissait cette
peau
au-delà de l'extrémité du gland avec un fil; on i
là de l'extrémité du gland avec un fil; on incisait circulairement la
peau
vers la partie supérieure de la verge, avec la pr
verge, ni les corps caverneux : cela fait, on ramenait dou-cement la
peau
vers la ligature, en laissant un vide circulaire
tre des chairs qui remplissent cet intervalle, et qui permissent à la
peau
de prêter assez pour re-couvrir le gland; on tena
t inutile. On comprend en effet que l'incision circulaire, faite à la
peau
de la verge, en se cicatrisant, oblige celle dont
te de l'opé-ration de la circoncision. On détachait circulairement la
peau
de Ja racine du gland avec le scalpel, dans l'éte
u gland avec le scalpel, dans l'étendue de 27 millim. on tirait cette
peau
en bas jusqu'à ce qu'elle vînt couvrir le gland;
ande, depuis sa racine jusqu'à la couronne du gland; par ce moyen, la
peau
s'agglutinait au corps de la verge, et celle qui
s ainsi. Dieffenbach, qui a mis la circoncision en usage, a vu que la
peau
attirée par le travail de la cicatrisation , reco
uand il est sain en exciser le moins possible, afin de garder plus de
peau
; mais s'il est malade ne garder absolument que la
e la partie saine. Ce premier temps achevé, on retire en arrière la
peau
de la verge, et la lame externe du prépuce qui la
ne peuvent n'envahir qu'une étendue plus ou moins cir-conscrite de la
peau
et du tissu cellulaire sans intéresser les corps
orps de la verge ou à sa racine, et même sur le scrotum, c'est par la
peau
qu'il commence d'abord, et que les membranes fibr
se rappeler quelques particularités anatomiques : i° la laxité de la
peau
sur le corps caverneux, qui exige que celle-ci so
les malades ne pourraient supporter la ligature directement sur la
peau
, on pourrait, ainsi que le conseillait Sabatier,
enlevée, et l'embrasse de la main gauche avec l'attention de tirer la
peau
vers le gland, tandis qu'un aide saisit la verge
n aide saisit la verge à sa racine près du pubis et tend également la
peau
qui la couvre. Sans cette pré-caution lorsque la
t coupée près de sa racine, on ris-querait d'enlever une partie de la
peau
des bourses, et de don-ner à la plaie une étendue
nt ainsi disposées, le chirurgien coupe d'un seul coup de bistouri la
peau
, le corps caverneux et l'urètre. Cependant, si l'
ant, si l'on est obligé d'abattre la verge près de sa racine et si la
peau
n'est pas très mobile sur le corps caverneux, au
re au niveau de la lèvre inférieure de la plaie circulaire faite à la
peau
. Lorsque la verge est amputée, il faut procéder
au au bistouri, et que , dans tous lescas, on'divise préalablement la
peau
un peu en avant du lieu où les corps caverneux do
en prenant la précaution d'unir la membrane muqueuse de l'urètre à la
peau
, au moyen de trois points de suture. Lorsque l
le ligament suspenseur ou qu'on le conserve, suivant qu'on détache la
peau
de la verge ou qu'on la laisse in-tacte, suivant
cles bulbo-caverneuxou accélérateurs de l'urine qui le séparent de la
peau
; ces muscles, unis par un raphé sur la ligne médi
ure est d'au-tant plus épaisse qu'on l'examine plus près du bulbe. La
peau
et la couche sous-cutanée qui se continue avec l'
naviculaire, saisissant le gland avec précaution et sans comprimer la
peau
en regard du frein entre le pouce et l'indicateur
padias en avivant les bords de la gout-tière du pénis , disséquant la
peau
de chaque côté de dedans en dehors, et reconstrui
t reconstruisant au canal une paroi inférieure cutanée au moyen de la
peau
allongée et réunie sur une sonde. Au reste, il
ndant, en avivant les bords de la gouttière du pénis, et détachant la
peau
de chaque côté, reproduire au canal une pa-roi su
eproduire au canal une pa-roi supérieure cutanée, soit au moyen de la
peau
allongée et réunie sur une sonde, soit à l'aide d
en revêtant leurs deux surfaces avec de la baudruche, ou toute autre
peau
fine et lisse mainte-nue en place à l'aide d'une
erte de cire. Cherchant toujours à perfectionner, on a substitué à la
peau
le parchemin sur lequel on contournait en spirale
x dépens du calibre de l'urètre, comme dans les cas de brûlures de la
peau
avec perle de substance. Mais en se bornant à app
vent plusieurs orifices cutanés. Lorsque leur trajet est voisin de la
peau
, il donne au toucher, dans toute son étendue, la
ins arrondie, en une fente un peu allongée, en empruntant plus sur la
peau
que sur la paroi même de l'urètre qu'il faut ména
e indienne, consistant, comme on sait, à prendre 55 un lambeau de
peau
dans le voisinage de la partie à restaurer, soit
r adhésion; tantôt c'était le lambeau qui se gangrenait, parce que la
peau
qui le formait était trop mince, ou que son pédic
limètres, et pût être adopté, par la suture, avec le bord avivé de la
peau
de l'autre côté. D'autres points de suture mainti
el on voudrait combler la perte de substance au moyen d'un bouchon de
peau
. Mais si le procédé de M. Alliot est le meilleu
ies en maintenant la canule en place, on trouve qu'elle a traversé la
peau
, une couche épaisse de tissu cellulaire graisseux
r et le pouce sur les côtés du lieu qu'il veut percer, pour tendre la
peau
et faciliter l'entrée de l'instrument, saisit ave
eleau, encore moins applicable, la poche du calcul est formée par une
peau
d'anguille. Il serait bien inutile d'insister sur
s de nou-veau. Le lithoprione à filet de M. Leroy (d'Etiolles), et la
peau
d'anguille de M. Deleau présentent un inconvénien
extérieur à l'intérieur, on trouve pat-ordre de superposition , i" la
peau
; 20 le tissu cellulaire sous-jacent; 3° l'aponévr
s qui constituent le périnée en particulier, nous trou-vons , i0 La
peau
, garnie de poils, mince et très élastique, glisse
s le raphé jusque sur le côté gauche de l'anus. Après avoir divisé la
peau
il continuait à inciser toutes les parties profon
ère. Suivant Boyer, les parties divisées dans cette méthode sont la
peau
, le tissu cellulaire, le muscle transverse, une
ec le lithotome tenu de la main droite, comme une plume à écrire , la
peau
et le tissu cellulaire paral-lèlement au raphé, à
se dirigeant vers la tubérosité de l'is-« chion. Après avoir coupé la
peau
et. la graisse, il portait le « pouce et l'indica
it les bourses. Alors, libre des deux mains, ce chirurgien tendait la
peau
avec la gauche, tandis qu'a-vec la droite , armée
e l'espace qui sépare cet orifice cle la tubérosité de l'is-chion. La
peau
, le tissu cellulaire , l'aponévrose superficielle
tant faite dans la même direction , et les tissus intermédiaires à la
peau
et à la vessie étant divisés de la même manière,
isait l'urètre de bas en haut jusqu'à la hauteur cle l'incision de la
peau
, faisait glisser sa sonde cannelée sur la lame de
il abaissait le poignet de manière à n'intéresser, en sortant, que la
peau
et les graisses, et à laisser les parties intermé
vessie pour faciliter la sortie des calculs, de diviser largement la
peau
et le tissu cellulaire pour éviter l'infiltration
assujetti, et le cathéter placé comme de cou-tume , Lecat incisait la
peau
suivant une ligne oblique partant du raphé à 27 m
ute la taille bilatérale. Procédé de Béclard. Après avoir fait à la
peau
une incision semi-lunaire, qui circonscrivait l'a
11 millim. au devant de l'anus. Toutes les couches si-tuées entre la
peau
et l'urètre, le tissu cellulaire, l'aponévrose su
individus. L'opérateur divise ensuite les parties intermédiaires à la
peau
et à l'urètre, en se guidant sur la cannelure du
re les cuisses du malade, tendait en travers, avec la main gauche, la
peau
de la région hypogastrique, qu'il avait eu le soi
prises, il incisait, avec un rasoir, le long de la ligne médiane, la
peau
, le fascia superficialis et les aponévroses de la
sser le péritoine. 3" Sous-procédé de Morand. Après avoir incisé la
peau
et les aponévroses comme Douglas, Morand portait
aide, remettait son malade dans la situation ordinaire et incisait la
peau
de l'hypo-gastre et le tissu cellulaire le long d
ètres. S'armant alors du bistouri, il divise dans un premier temps la
peau
et le tissu adipeux sous-cutané, puis, après avoi
he, il incise à 6 ou 8 millim. au dehors, dans la même étendue que la
peau
, le feuillet aponévrotique qui recouvre la face a
bremens d'autant plus considérables qu'ils seront plus éloignés de la
peau
. Les phlegmons simples dépendraient, d'après le
e aiguille courbe , garnie d'un fil ciré , en ayant soin de piquer la
peau
de 9 à i3 millimètres du bord saignant, et de fai
me la précédente , mais en sens inverse, pour venir ressortir dans la
peau
à la même distance de son bord avivé. Après avoir
e decette dernière de la même façon, mais en sens inverse, jusqu'à la
peau
, d'où elle sort à une égale distance du bord libr
e, la cloison recto-vaginale s'abaisse, se durcit, se rapproche de la
peau
, mais la fente du périnée elle-même ne se rapproc
chirurgien porta l'index delà main droite recouvert d'un doigtier en
peau
jusque dans la vessie, en introduisant ce doigt p
vésico-vaginales en obturant l'ouverture anormale avec un lam-beau de
peau
pris dans le voisinage du vagin. Il a déjà appliq
pas être trop volumineux, parce qu'il gênerait l'opérateur. Outre la
peau
il doit encore comprendre, dans son épaisseur, le
s en de-dans, en se rapprochant plutôt des parties profondes que delà
peau
. Il s'agit alors d'introduire le lambeau ; pour
uire le lambeau ; pour cela on le rabat sur lui-même, de façon que la
peau
soit en contact avec la peau, et on le traverse à
n le rabat sur lui-même, de façon que la peau soit en contact avec la
peau
, et on le traverse à l'endroit du pli avec un fil
elâchés de la muqueuse de la face interne des grandes lèvres et de la
peau
du périnée, en ayant le soin de les faire tous co
e sphère qu'il fait bien garnir de coton et recouvrir d'un morceau de
peau
très souple. M. Capuron pense qu'il serait plus
s coussins, et fixées par un autre aide. Le chirurgien fait tendre la
peau
du ventre, et se plaçant à la droite ou entre les
au-devant de la commissure des grandes lèvres. Après avoir divisé la
peau
, on incise succes-sivement toutes les parties mo
er peu-à-peu d'eux-mêmes, de 4 à 6 centimètres, et se retirer sous la
peau
du mont de Vénus. Le plus souvent, comme la symét
côté opposé à l'inclinaison de la matrice, tous les tissus depuis la
peau
jusqu'au péritoine, en ménageant l'artère épigast
rmé d'un bistouri convexe, se place à la droite delà femme, divise la
peau
en regard de la ligne blanche, dans l'étendue de
sse pour abais-seur, en les plaçant, non sur la muqueuse, mais sur la
peau
, près des cils. On fit porter l'œil dévié aussi e
anière convenable pour l'une et l'autre paupière, s'appliquent sur la
peau
à-peu-près en regard des bords périphériques des
ur, on le ramène en avant, jusqu'à ce qu'on le sente au-dessous de la
peau
; il accroche nécessairement alors l'insertion du
bilité de la muqueuse. La langue était si complètement coupée sous la
peau
dans toute sa largeur qu'il eût suffi, pour la fa
iginal. Appareil instrumental. 1° Une lancette destinée à percer la
peau
, le muscle peaucier et l'intervalle qui sépare le
he au-dessus des apophyses géni. « Après avoir fait une piqûre à la
peau
et aux tissus sous-jacens , à trois ou quatre cen
qui a pour objet, en faisant glisser obliquement l'instrument sous la
peau
, d'éviter l'introduction de l'air dans la plaie.
la tension des parties sur lesquelles on opère ; 20 la ponction de la
peau
avec un instrument quelconque ressemblant plus ou
sur laquelle on opère pour la faire saillir, comme une corde, sous la
peau
, par l'écartement des points d'attache. Un aide e
nt recours qu'à un seul instrument aigu, se contentent de perforer la
peau
obliquement pour arriver sur le tendon. M. Bouvie
arriver sur le tendon. M. Bouvier fait préalablement une piqûre à la
peau
avec une petite lancette d'une forme particulière
rticulière (PlancheN, fig. 16). La pointe de l'instrument traverse la
peau
perpendiculairement à un centimètre environ du te
le ténotome introduit par cette plaie et glissé parallèlement sous la
peau
jusque sur la corde qui doit être divisé. M. J. G
it de la main droite, de cette main il fait d'abord la ponction de la
peau
avec sa lancette, la retire et sans désemparer y
sés, entre les-quels l'extrémité du doigt s'introduit en déprimant la
peau
, et enfin la facilité de faire produire au membre
ouper, est naturellement celui où ils font le plus de saillie sous la
peau
, l'opération dans ce point en étant plus facile,
faire saillir les tendons raccourcis. Insinuant alors à plat, sous la
peau
, son ténotome en forme de canif, Dieffenbach coup
sections, sont un peu différentes. M. Bouvier pique préalablement la
peau
avec sa lancette, mais pour chaque tendon, à deux
es au-dessus de son insertion sternale. Je fais cette section sous la
peau
au moyen d'une seule ponction et suivant deux pro
rasser en totalité entre le pouce et l'index, de ma-nière à ce que la
peau
seule soit interposée entre les deux doigts qui l
ts qui la pressent. Une fois le muscle soulevé et tendu, je fais à la
peau
, à six ou huit lignes au-dessus de l'insertion st
à la direction de ce dernier, pli dont la base répond au point de la
peau
qui, dans le relâchement, longe le bord externe d
e de manière à dépasser le bord interne du muscle, sans tra-verser la
peau
du côté opposé, je relève, dans un second temps,
chant sur le muscle. Dans un troisième temps, j'abandonnele pli de la
peau
et coupe le tendon. La peau relâchée et revenue s
troisième temps, j'abandonnele pli de la peau et coupe le tendon. La
peau
relâchée et revenue sur elle-même s'applique cont
d'une simple ponction, et après avoir fait préalablement un pli à la
peau
, je coupe le muscle d'arrière en avant jusqu'à c
sistance, ayant soin, comme dans le cas précédent de ne pas percer la
peau
du côté opposé à la piqûre d'introduction. » {Mém
us-jacentes, à l'i-mitation de M. Bouvier, il glisse au travers de la
peau
, sous le faisceau sternal, le doigt médius qui so
a saillie. J'enfonçai l'indicateur de la main gauche, en refoulant la
peau
, derrière le bord externe et la face postérieure
sur l'index, derrière le muscle, jusqu'à ce que la pointe soulevât la
peau
en dehors de la portion clavicu-laire, et tournan
l'exté-rieur, aussi complètement que possible, en laissant intacte la
peau
cpii les recouvrait. Peu de sang s'écoula au deho
coula au dehors; une pe-tite quantité de ce liquide, épanchée sous la
peau
, forma un trombus assez saillant. Un morceau de t
ement d'extension du tronc, vous voyez se dessiner nettement, sous la
peau
, des cordes fibro-musculaires qui, tantôt se rend
tension du principe, il pourra devenir possi-ble de pratiquer sous la
peau
. Dans cette formule se trouvent comprises le stra
Delpech, le premier, imagina de diviser le tendon d'Achille sous la
peau
, à l'aide d'une double incision longitudinale sur
s avec inflammation et suppuration. En 1822, Dupuytren divisa sous la
peau
une portion du sterno-mastoïdien par le procédé i
e peu réactive du tissu tendineux et à la petitesse de la plaie de la
peau
, mais à l'absence du contact de l'air. Nous ne po
us-cutanées des tendons. A partir du moment où la piqûre de la i3
peau
est fermée, il s'établit un travail de séparation
le moyen de l'obtenir est de pratiquer une très petite ouverture à la
peau
, le plus loin possible du siège de la plaie inte
: physique, en favorisant parles espaces libres qu'il laisse sous la
peau
, au fur et à mesure de la résorption des parties
l'air, aux conditions des plaies sous-cu-tanées, et de faire, sous la
peau
, les opérations qui ne réclament pas indispensabl
, après avoir déterminé le lieu d'élection, forme un pli soulevé à la
peau
en ramenant de très loin, de bas en haut, les tég
te dans le tissu cellulaire sous-cutané un em-pâtement qui empêche la
peau
d'être suffisamment mobile, on rechasse néanmoins
'un pli de hauteur convenable en faisant glisser l'instrument sous la
peau
jusqu'au bord supérieur de la côte où doit se fai
cateur étendu sur la tige, il pique d'abord brusque-ment à travers la
peau
et le plan sous-musculaire, en arrêtant le mouvem
ané (fig. 2), le chirur-gien presse de haut en bas et fait glisser la
peau
le long de la ca-nule du trocart, de manière à l'
qui doit avoir de six à sept centimètres de longueur, si le pli de la
peau
a été suffisamment élevé. Dans ce mouvement, le c
ours sans cesser de maintenir hermétiquement appliqué l'orifice de la
peau
, le chirurgien fait substituer au manche du troca
ané, avec les doigts de l'autre main , le chirurgien comprime sous la
peau
l'autre extrémité de la canule correspondant, à l
le numérotage. Région oculaire. Figures 1 et 1 bis. Section de la
peau
et du muscle orbiculaire palpé-bral, pratiquée ci
ans un tissu cellulaire séreux. 11, II. Surface des paupières, la
peau
enlevée. Elle montre le plan des fibro-cartilag
on releveur. 12, 12. Bords palpébraux auprès desquels est coupée la
peau
au con- tour. 13. Glande lacrymale. 14. Car
é par un dard. Il a pour objet de suppléer à l'incision en perçant la
peau
de dedans en dehors, après l'introduction de la s
on du sac lacrymal par deux procédés : celui de J.-L. Petit (a), à la
peau
, entre la caroncule et la saillie du tubercule la
xcision d'une portion de la conjonc-tive, à travers une incision à la
peau
, est représenlée à la paupière supérieure (procéd
ient de tailler un autre lambeau de recouvrement (a) aux dépens de la
peau
de la région fronto-sourcilière. Suivant le procé
de la paupière inférieure. — Figure 3. (b) Plaie par enlèvement de la
peau
de la paupière difforme. ( c) Lambeau taillé aux
es des paupières.—Figure 9. Exci-sion à la paupière inférieure par la
peau
avec la pince et le bistouri. — Figure 10. Excisi
ère avec une pince plate (d); après avoir pratiqué une inci-sion à la
peau
, parallèle au bord palpébral, puis disséqué de ba
s ïablation des chairs dégénérées ou ulcérées. La section a ravivé la
peau
dans tout le contour embrassant réminence du nez
Figure 2. Application du lambeau, (c) Plaie frontale formée par la
peau
du front taillée pour le lambeau. Elle forme troi
tance. (h) Réunion, par des sutures, du pédicule du lambeau avec la
peau
naturelle de la racine du nez, après le retour
temps vient d'en être achevé ; le lambeau (a) taillé aux dépens de la
peau
du bras (b) est appliqué et fixé par des sutures.
la perte de substance pour commencer le rapprochement des bords de la
peau
. d. Pédicule. Figure 3. Procédé de Celse. A
tion d'une pièce de monnaie engagée dans l'ouverture de la glotte. La
peau
et l'aponévrose superficielle incisées, les muscl
nt l'ouverture de la glotte et est tombé dans la trachée-artère. La
peau
et l'aponévrose divisées, les muscles sous-hyoïdi
laquelle tient encore la masse can-céreuse formée par une portion de
peau
, la glande mammaire en entier, des ganglions lymp
n gauche du chirurgien, appuyée sur l'une et l'autre côte, tendant la
peau
en travers, l'incision a été pratiquée parallèlem
et, comme renseignement, on a ponctué leur trajet à la surface de la
peau
, (g) est le trajet de l'artère épigastrique et de
uqueux qui, de l'intérieur de l'estomac, s'ouvrait à la surface de la
peau
, était maintenue habituellement bouchée par un ta
ou inguinale, renfermée dans le canal. a, a. Lambeaux relevés de la
peau
et du fascia superficialis. b, b. Lambeaux de l
portion sous-cutanée. a, a. Lambeaux cutanés de l'incision en T. La
peau
y est doublée par le fascia superficialis. b. A
xterne, entre les tégumens et le cordon. B. Procédé de M. Gerdy. La
peau
conduite parle doigt indicateur est insinuée sous
paroi antérieure intermédiaire du canal. C. Opération terminée, la
peau
du bord de l'ouverture réunie avec celle placée a
rt. Figure 2. Ponction au travers du sac herniaire, sur un pli à la
peau
. Figure 3. Second temps dans lequel l'opérateur
substitue au doigt un gorgeret plat pour soutenir le cul-de-sac de la
peau
, retournée en dedans, et sur cet instrument (a) g
aire. Des lignes ponctuées indiquent le trajet des instrument sous la
peau
. PLANCHE 4L DEBRIDEMENT DE LA HERNIE ÉTRANGLÉ
HERNIE INGUINALE EXTERNE ÉTRANGLÉE. Figure 1. Ouverture du sac. La
peau
et les enveloppes de la hernie sont incisées. Le
du sac. La tumeur étant mise à découvert par une incision en T de la
peau
et du fascia superficialis, l'orifice de l'anneau
s et quatre pour la jonction de la plaie intestinale avec celle de la
peau
. FIGURE 4. Aspect de l'anus artificiel après gu
orifice de l'anus dans son lieu naturel, la membrane mu-queuse et la
peau
étant réunies par des points de suture. Tome 7.
nte pour l'empêcher de pénétrer trop loin. Figure 3. Excision de la
peau
et de la tunique vaginale. Procédé de Dupuytren,
ieurement, l'opérateur excise en masse une portion des enveloppes, la
peau
et le kyste compris. Figure 4. Procédé de M. Ba
(cas communiqué par M. d'Aremberg). Le pénis est bridé en bas par la
peau
du scro-tum. Le méat urinaire anormal, consistant
d. — Figure 4. Une incision transversale étant faite pour débrider la
peau
et relever la verge, un trocart introduit par la
e, un trocart introduit par la fistule dans le canal a formé, sous la
peau
, la portion de trajet qui manque. — Figure 5. Dan
le gland. Figure 6. Mode de réunion de M. Hawkins, qui affronte la
peau
et la muqueuse par cinq points de Suture. PARAP
tion du releveur de l'anus. E. Pénis. Sur la planche 51 le trait de
peau
est conservé au contour. Sur la planche 52 la p
e 51 le trait de peau est conservé au contour. Sur la planche 52 la
peau
est enlevée en tota-lité, excepté une portion du
t l'autre plus large (d) qui débouche latéralement à la surface de la
peau
. En ar-rière le canal est un peu rétréci par le d
s bords de la plaie, deux incisions latérales ont été pratiquées à la
peau
, suivant le procédé de M. Dieffenbach, emprunté d
a été avivé. Figure 2. a. Angle gauche du lambeau déjà fixé avec la
peau
par une anse de fil confiée à un aide. b. Extré
gien, avec le porte-aiguille à staphyloraphie, passe au travers de la
peau
l'autre extrémité du même fil pour compléter l'an
former la suture. Figure 2 bis. Réunion du lambeau vaginal avec la
peau
par trois sutures à points séparés. Deux sutures
appuyant sur le front; de la main droite, le chirurgien amène sous la
peau
le muscle repoussé avec le myotome, pour en faire
ique sur le profil. Dans la figure 5, une piqûre avant été faite à la
peau
le té-notome (figure 7) introduit au travers, ent
Guérin. Figure 1. Ponction avec la lancette de l'auteur. Un pli à la
peau
est pratiqué par la main droite d'un aide (a) et
ie sur le cadavre après la section du tendon d'Achille. Un lambeau de
peau
étant enlevé, la gaine ten-dineuse est entr'ouver
de varus équin avec rétraction des fléchisseurs des orteils. Sous la
peau
se dessine la saillie (a, b) des tendons des jamb
s représenté de l'opération est la ponction sous-cutanée; un pli à la
peau
est formé par la main droite d'un second aide (c)
ps. Le doigt médius de la main gauche (a) étant insinué, revêtu de la
peau
, sous le bord interne du muscle, la face pal-mair
, tenu comme une plume à écrire, le chirurgien fait la ponction de la
peau
et glisse à plat en arrière au plus près du muscl
que l'instrument pénètre, la pointe qui le suit perfore de nouveau la
peau
de dedans en dehors , et en continuant de faire g
lésion des vaisseaux : c'est dans cette intention que la piqûre à la
peau
est faite, sur le bord externe, pour laisser tout
e pour opérer la section sous-lendiiiense ou de la profondeur vers la
peau
. Tome 7. Pl. N. D'après nature par N.H. Jac
FIGURE 2. Disposition de l'instrument dont la tige est revêtue par la
peau
et la seringue vissée sur la canule pour pratique
mbre était facile; celle en dedans difficile. On sentait à travers la
peau
, au niveau du grand tro chanter des inégalités qu
nt été respectées. Les inégalités que l'on avait senties à travers la
peau
appartenaient au bord antérieur du grand trochant
lle. Elle n'est pas moins remarquable par l'algidité permanente de la
peau
, et par le sentiment continuel de frisson accusé
es yeux augmenta d'une manière sensible; une petite tumeur souleva la
peau
entre les deux sourcils, obstrua la narine gauche
n, une cicatrice circulaire qui remplace une perte de substance de la
peau
. Cette cicatrice a un aspect muqueux. La dissecti
ties latérales du tronc, sans effort,sans traction considérable de la
peau
du col, tandis que tout rentre pour ainsi dire da
pophyse mastoïde et le bord postérieur de la mâchoire inférieure ; la
peau
s'affaisse, le vide se remplit en partie, et, au
s, ne guérit pas de la même manière que les pertes de substance de la
peau
; que la membrane muqueuse ne se répare pas; qu'ap
suie, couleur de bistre, couleur du pigment choroïdien, couleur de la
peau
de nègre, couleur des productions mélaniques. Cet
in-4, fig.—P. Rayer, Traité théorique et pratique des maladies de la
peau
, 2e édition , Paris, i835, t. m, p. 688 et suiv.
lesse dans les membres, de la fréquence du pouls, de la chaleur de la
peau
, une sueur continuelle, et presque constamment u
ceux qui se voient sous la mâchoire inférieure. Rien aux testicules:
peau
chaude , habituellement couverte de sueur et d'un
écarter tout sujet de doute, et fournir une analogie de plus entre la
peau
et les muqueuses, puisque ces kystes ne sont rien
ses, puisque ces kystes ne sont rien autre chose que les tannes de la
peau
. « Maintenant quelle cause a pu donner lieu à u
les jours des ganglions se développer autour d'une muqueuse ou d'une
peau
saine. Voyez les ganglions sous-maxillaires, les
état suivant : maigreur excessive, sans coloration particulière de la
peau
; les vomissemens sont in-termittens. Contraireme
so-labiale extrêmement prononcée : point de teinte particulière de la
peau
.— Gracilité très grande du pouls : appétit : lors
ceux d'un fœtus à terme. 20 Au-dessous de cette coque se voyait la
peau
parfaitement conservée dans toute son étendue, mo
de 6 à 7 ans. On ne voit pas non plus ici de rigole circulaire : la
peau
du périnée et du pourtour de l'anus P se continue
upuytren, qui consiste dans plusieurs pertes de substance faites à la
peau
lâche qui répond au pourtour de l'anus, est très
anneau étroit et peu extensible qui résulte de la cicatrisation de la
peau
ainsi excisée, s'oppose mécaniquement à la sortie
on se proposait de faire, au bout de quelques jours, l'excision de la
peau
du pourtour de l'anus. Le lendemain, la face s'
l'état suivant : Face altérée, grippée; extrémités presque froides;
peau
sèche; pouls petit, serré; 124 pulsations par min
ue l'ombilic? Oui, par rapport aux vaisseaux qui le traversent , à la
peau
qui s'est séparée circulairement du cordon ; mais
, quelque amincies qu'on les suppose, pouvait être intermédiaire à la
peau
et aux intestins. La peau elle-même était extrême
es suppose, pouvait être intermédiaire à la peau et aux intestins. La
peau
elle-même était extrêmement fine , représentait a
La peau elle-même était extrêmement fine , représentait assez bien la
peau
du scrotum et glissait sur les parois abdominales
enveloppes de ces hernies ombilicales volumineuses; on dirait qu'une
peau
amincie, et demi transparente, sépare seule les i
ormée aux dépens de la plus grande partie des viscères abdominaux. La
peau
qui la recouvrait était d'une couleur violacée; l
que dans les hernies ombilicales volumineuses consistait à inciser la
peau
, puis le sac herniaire, sur un des points de la c
ns ou à des cicatrices provenant d'une ulcération superficielle de la
peau
, qu'à des cicatrices comprenant toute l'épaisseur
erme. Or, on sait que rien n'est plus commun que l'inflammation de la
peau
amincie qui revêt les hernies ombilicales volumin
e. — Une incision, circulaire est faite tout autour de la tumeur : la
peau
enlevée, on trouve deux hernies bien distinctes.
utions et le sac herniaire. Le sac péritonéal put être séparé de la
peau
dans toute son étendue, excepté au niveau de la c
ente les bourses d'un sujet affecté d'une hernie inguinale double. La
peau
de la verge, celle du gland exceptée, avait été m
e de la moitié d'une orange, présentait une fluctuation manifeste. La
peau
qui la recouvrait était couleur lie-de-vin. Etait
l'exactitude de mes paroles. Voici quel était l'état de l'enfant : «
Peau
froide et livide, pouls à peine sensible, cris ai
. XXX l( LIVRAISON. 1 « Les 27 et 28, borborygmes, éructation; la
peau
qui entoure la tumeur se tend et prend une teinte
ventre et surtout à l'épigastre. Le pouls est toujours filiforme; la
peau
froide, « surtout aux pieds ; les cris énergiques
traitement, même nourriture. « Le 3o, toute la tumeur est noire, la
peau
qui l'entoure est très tendue et d'un rouge luisa
lleurs que, depuis sa naissance , l'enfant a beau-ce coup maigri : la
peau
flasque, froide et terne, repose pour ainsi dire
évacuations alvines. Strophulus de diverses espèces à la face et à la
peau
du ventre. Ces strophulus « ont cédé à des lotion
d'ailleurs parfaitement tranchées ; il n'y a pas transition entre la
peau
et la poche ; mais la peau cesse brusquement, net
anchées ; il n'y a pas transition entre la peau et la poche ; mais la
peau
cesse brusquement, nettement, comme si elle avait
membrane externe, très résistante, se continuait, d'une part, avec la
peau
, et de l'autre avec l'enveloppe la plus extérieur
Du reste, il paraît qu'un travail de séparation entre la poche et la
peau
commençait à s'effectuer : je crois du moins pouv
ure de la circonférence de la tumeur, aussi bien au péritoine qu'à la
peau
. Considérations générales. Une conséquence prat
ation bien tranchée d'une perte de substance au moins apparente de la
peau
, faite comme avec un emporte-pièce. i° Le cordon
dance à la séparation non équivoque se voit au point de réunion de la
peau
et de la poche. 6° Dans l'éventration, les partie
ntre précéder la naissance , l'enveloppe extérieure est formée par la
peau
; dans la seconde, l'enveloppe extérieure est form
tuation liquide manifeste, et d'ailleurs indolente à la pression : la
peau
présentait une rubéfication qui annonçait qu'elle
d. Perte de myotilité, perte de sensibilité, perte d'intelligence. La
peau
était brûlante et couverte de sueur; les pupilles
cicatrices des solutions de continuité avec perte de substance de la
peau
; tandis, en effet, que, dans celles-ci, la peau
e de substance de la peau ; tandis, en effet, que, dans celles-ci, la
peau
prête autant que possible, si bien que le tissu n
bien que le tissu nouveau de la cicatrice ne se forme que lorsque la
peau
circonvoisine a atteint, en quelque sorte, la lim
moins remarquable, c'est que la cicatrice cutanée se continue avec la
peau
, nettement, sans ligne de démarcation autre que c
que la cicatrice cutanée ressemble à beaucoup d'égards au tissu de la
peau
, la cicatrice des ulcères muqueux n'a aucune anal
es follicules sébacés et pileux qui font essentiellement partie de la
peau
, et qui constituent même ses élémens caractérique
muqueuses, tandis que les cicatrices cutanées semblent représenter la
peau
dont elles partagent les fonctions protectrices,
ans les cicatrices cutanées; le seul changement de coloration dont la
peau
soit susceptible dépend de son pigmentum, qui peu
gre, au voisinage d'ulcères anciens. C'est ce qu'on voit souvent à la
peau
qui avoisine des ulcères chroniques des jambes.
ugeur, que révélait une couleur légèrement rosacée avec élevure de la
peau
. Cet érysipèle ne pouvait en quelque sorte se rec
grêle et gros. Il doit être mis à côté du purpura hemorrhagicum de la
peau
qu'on observe si souvent en pareille occurrence.
r lie-de-vin , d'une fétidité gangreneuse; sensibilité hypogastrique;
peau
froide, surtout aux extrémités; pouls fréquent, p
ur de la saison. C'est toujours à un trouble dans les fonctions de la
peau
, ou à des erreurs volontaires ou forcées de régim
revêtu par une membrane vasculaire laquelle tient le milieu entre la
peau
et les membranes muqueuses : on conçoit combien f
muniquant d'une part avec l'intestin rectum, d'une autre part avec la
peau
qui entoure l'anus. Femme Queulen, 46 ans, régl
quait avec des clapiers qui pénétraient jusque dans l'épaisseur de la
peau
dégénérée quiavoisinait l'anus. La dégénération
grande facilité; cette dégénération s'étendait dans l'épaisseur de la
peau
; une pellicule extrêmement mince, presque épiderm
fièvre intermittente , et dont l'excellente santé, la fraîcheur de la
peau
, étaient bien peu en rapport avec cette augmentat
normal à droite, mais obscur et lointain en bas, pouls très fréquent,
peau
chaude et sèche. Diagnostic. Pleurésie compliqu
ation que surmontent des tubercules développés dans l'épaisseur de la
peau
. Un assez grand nombre de tubercules cutanés et s
¦ La glande mammaire droite est convertie en une masse cancéreuse. La
peau
et le tissu cellulaire subjacent, qui ont subi un
r à la dégénération. Dans l'épaisseur de ce tissu cellulaire et de la
peau
sont développés des tubercules reconnaissables mo
s de suc cancéreux, sont développés au loin et dans l'épaisseur de la
peau
et dans l'épaisseur du tissu cellulaire sous-cuta
es organes suivans : i° sur la mamelle gauche (tubercules); i° sur la
peau
et sur le tissu cellulaire dans un rayon assez ét
délire, sentiment de bien-être ; épanchemens affectueux. Chaleur à la
peau
. Le pouls est moins misérable. Mort pendant la nu
agit beaucoup plus profondément que plusieurs grains appliqués sur la
peau
. Le 11 au soir, j'incise couche par couche l'esch
ble, ce qui tient probablement à ce que le sang colore un peu plus la
peau
que les jours précédens; je retire la mèche et ri
aucun doute à cet égard. Je ne parle pas de la teinte ictérique de la
peau
, à laquelle je n'attache qu'une médiocre importan
rda;3eruird. cl C. Cancer mélanique. Cancer mélanique occupant la
peau
, le foie, les poumons et l'intérieur du globe de
mois, et obligeaient le malade à changer continuellement de linge. La
peau
ne présenta pas la plus légère teinte ictérique,
evelu, dans l'épaisseur de la cicatrice d'un séton à la nuque, sur la
peau
de l'abdomen. Or, comme, d'une part, il est sans
u prochaine dans d'autres points. Les petits cancers mélaniques de la
peau
qui ont si utilement servi au diagnostic dans le
umeur adipeuse, sans fluctuation, sans bosselures, peu mobile sous la
peau
, et paraissait indépendante du corps thyroïde. Je
n de la tumeur nous montra , i° que la tumeur était recouverte par la
peau
, par le bord antérieur du muscle sterno-cléido-m
érable (fig. 2), qui donnait passage aux parties déplacées. Sous la
peau
, on trouvait : i° une couche de tissu adipeux, et
e des muscles intercostaux et fracture des côtes avec intégrité de la
peau
; 3° pneumocèle k la suite d'efforts de toux, de l
'expiration, et surtout pendant les efforts, de manière à soulever la
peau
en une tumeur plus ou moins considérable; mais le
arrondie du volume d'une petite noix, sans changement de couleur à la
peau
, résistante et fort douloureuse au toucher. Cette
a nuit du 3o septembre au Ier octobre : quelques crachats verdâtres ;
peau
un peu plus chaude que de coutume ; l'auscultatio
le côté sain : il sort de son lit pendant la nuit. Le 5, au matin,
peau
livide, violacée, surtout aux mains et à la face,
TV, TV, bosselées, bleuâtres, de volumes divers, recouvertes par une
peau
amincie, mais saine, mobile, qui glissait sur ell
sur elles avec une grande facilité : pour quelques-unes seulement, la
peau
participait à l'altération, et alors la tumeur ét
s, qui occupaient non-seulement le tissu cellulaire sous-cutané de la
peau
, mais encore la surface et l'épaisseur des muscle
sur laquelle il importe de fixer toute notre attention. Isolées de la
peau
qui glisse sur elles avec la plus grande facilité
'intermédiaire d'une petite synoviale, à l'exception des points où la
peau
est envahie, ces tumeurs se présentent sous l'asp
se au toucher. Les petites veines superficielles se dessinent sous la
peau
. Point de fréquence dans le pouls. Sous l'influ
ns douleur : les veines superficielles ne se dessinaient plus sous la
peau
: mais des symptômes plus graves appellent mon at
uses étaient les unes cutanées, je veux dire formées aux dépens de la
peau
: elles offraient une couleur bleu foncé qui en d
itable caractère; les autres étaient sous-cutanées, et soulevaient la
peau
amincie, mais non altérée dans sa texture: la nat
e positivement déterminée dans les tumeurs profondément situées. La
peau
ayant été incisée verticalement et disséquée (voy
° Les tumeurs couleur bleu foncé étaient développées aux dépens de la
peau
dont les divers élémens, lepiderme excepté, avaie
ns l'épaisseur du tissu adipeux étaient à-la-fois indépendantes de la
peau
et de l'aponévrose d'enveloppe subjacente. 3° I
s variqueuses, des varices capillaires aplaties, appliquées contre la
peau
, à travers la transparence de laquelle elles appa
nes des autres et se continuant manifestement avec les veinules de la
peau
; XXXe LIVRAISON. 1 d'autres fois, des tumeurs
quant les unes avec les autres, et développées dans l'épaisseur de la
peau
dont elles étaient une dépendance, (i) Les tume
ous-cutanées se divisaient en celles qui se dirigeaient du côté de la
peau
, et en celles qui restaient plongées au milieu du
s premières avaient écarté le tissu adipeux sous-cutané et soulevé la
peau
amincie, dont la demi-transparence permettait d'a
aractère variqueux de la tumeur. Plusieurs adhéraient intimement à la
peau
: plusieurs étaient accolées à l'aponévrose érail
système capillaire, et nous savons que le système capillaire (i) La
peau
a deux réseaux veineux :un réseau veineux capilla
ées dans le tissu cellulaire sous-cutané peuvent s étendre jusqu'à la
peau
et envahir consécutivement le réseau des veines c
dégénérations, ce soient les fibres musculaires, les aponévroses, la
peau
, le tissu cellulaire, qui subissent la transform
hène comme d'ailleurs la veine saphène elle-même, sont séparées de la
peau
par un fascia superficiel assez résistant; que le
e, érailler le fascia et devenir sous-cutanées, et c'est alors que la
peau
s'amincissant par les progrès de la dilatation ve
se convertissent en des cordons imperméables, sensibles à travers la
peau
,pendant longues années. Le phlébite suppurée de
trière, morte par suite d'une phlébite capillaire hémorrhagique de la
peau
du pied et de la jambe. Cette femme n'appartenait
le et le long de son bord interne. La couche sous-épidermique de la
peau
, le derme lui-même étaient pénétrés de sang noir
ent imbibé. Toutes les veinules si nombreuses, qui sont accolées à la
peau
et qui, nées de son réseau capillaire, s'en détac
ette veine et les capillaires veineux avaient été respectés: aussi la
peau
et le tissu cellulaire étaient-ils dans l'état le
lus commun chez les vieilles femmes de la Salpêtrière, que de voir la
peau
des jambes se couvrir de taches, de plaques d'ecc
j'ai désignée (i) ailleurs sous le titre d'Apoplexie capillaire de la
peau
et du tissu cellulaire, et qui me paraît mieux dé
à un épanchement de sang sous-cutané, mais que le tissu propre de la
peau
était complètement exempt d'infiltration sanguine
e altération appréciable. L'intensité de la douleur, la chaleur de la
peau
et le volume du membre me parurent indiquer l'uti
pport avec la nature de la maladie. Ces hémorrhagies spontanées de la
peau
(i), du tissu cellulaire, des muscles, du périost
eines de substances irritantes. (i) Voyez Traité des maladies dé la
peau
, par M. Rayer, Paris, i835, tome m, pag. 5o3 et s
le est très exactement délimitée. Le pied est desséché et momifié. La
peau
de la jambe est également desséchée. Il n'y a pas
nt après l'injection : le membre est pendant, insensible ; le soir la
peau
était devenue « livide comme dans la putréfaction
qu'une paralysie complète du membre, sans changement de couleur à la
peau
, précède de plusieurs jours les signes physiques
aralysie du sentiment et du mouvement sans changement de couleur à la
peau
et sans douleur notable. Or voici les caractères
tion artérielle s'accompagne de froid algide et de décoloration de la
peau
à la manière d'un cadavre, ce qui n'a jamais lieu
le pied sont décolorés, blancs, sans aucune trace de putréfaction. La
peau
de la cuisse est livide, avec décollement de l'ép
e est livide, avec décollement de l'épiderme, qui, lorsqu'on pince la
peau
, se détache comme sur un cadavre qui commence à s
re d'un cadavre dans un commencement de putréfaction : les parties de
peau
dépouillées d'épiderme par le pincement de la vei
été enlevé. Les vaisseaux veineux qui rampent dans l'épaisseur de la
peau
étaient desséchés et visibles à travers la transp
Le 25, gangrène sénile bien constatée par la couleur violacée de la
peau
depuis le bout des doigts jusqu'au coude ; en out
intercostaux, un engourdissement, une insensibilité douloureuse à la
peau
qui recouvre les dernières côtes, je fis applique
ensation douloureuse de froid glacial, de froid profond , bien que la
peau
présente à l'observateur sa chaleur naturelle. Le
ident que la tumeur ne tarderait pas à s'ouvrir à l'extérieur; car la
peau
qui recouvrait le sommet de cette tumeur était am
rs; à peine impulsion; sentiment de froid intérieur, lors même que la
peau
est réchauffée. Le 8 janvier, à ma dernière visit
elle rapporte constamment au sommet de la tête; engourdissement de la
peau
de la face, et, par instans,douleur très vive à l
e 1828, dans lesquels la cause rhumatismale se portait d'abord sur la
peau
de la plante des pieds , où elle restait long-tem
té successivement pratiquées ; et la décoloration des lèvres et de la
peau
, la faiblesse du pouls , m'ont seuls imposé des l
eu de la région cervicale. 7 juin : la paralysie du sentiment de la
peau
et la paralysie douloureuse des muscles ont envah
tristesse et du découragement. Point d'accélération dans le pouls. La
peau
est fraîche, bien qu'il fasse très chaud ; souven
t douloureux, ce n'est point par l'exaltation de la sensibilité de la
peau
(car nous avons vu que la peau était insensible),
r l'exaltation de la sensibilité de la peau (car nous avons vu que la
peau
était insensible), mais bien par l'endolorissemen
morbide de la sensibilité cutanée, j'ai observé l'insensibilité de la
peau
. Cette dissidence tient probablement moins à une
s phénomènes chez mademoiselle Honoré, que j'ai pu reconnaître que la
peau
était complètement étrangère à l'exaltation du se
aurait pas pincé son malade, car il aurait dit que le pincement de la
peau
déterminait une excessive douleur. En attendant
ans le doute sur la solution de cette question : la sensibilité de la
peau
est-elle augmentée ? Je dois aussi, sous le poi
ntelligence : sa tête est fortement inclinée à droite, si bien que la
peau
du cou échauffée fournit un suintement purulent f
la sensibilité la lenteur de perception des impressions faites sur la
peau
. Chez cette malade, les nerfs conducteurs du sent
he , sur quelques-unes des circonvolutions pariétales, des cicatrices
peau
de chamois. Ces cicatrices sont bornées à la surf
ce interne, près de son extrémité antérieure, une cicatrice également
peau
de chamois, formée par une membrane mince. La cir
de tressaillemens douloureux : elle assure que, dans le principe, la
peau
conservait toute sa sensibilité. En même temps ur
ur cesser complètement en septembre 1832. C'est à cette époque que la
peau
des membres a perdu sa sensibilité. Voici son é
té tactile du tronc est engourdie. La malade ne sent très bien que la
peau
de la face et de la partie supérieure du col : ur
membre par l'effet de la moindre pression et du moindre mouvement, la
peau
a conservé son insensibilité : je ne puis pas tou
ce; mais si je n'exerce pas de pression, je puis pincer violemment la
peau
, au niveau de la région douloureuse, sans causer
eur. C'est cette opposition, ce contraste entre l'insensibilité de la
peau
et la sensibilité exquise des muscles et autres p
la pression des muscles et de l'insensibilité presque complète de la
peau
; mais la circonstance commémorative d'une anesthé
malade souffre peu, dépérissement sans coloration jaune-paille de la
peau
. — Le toucher me fait reconnaître que le vagin es
'autres fois elle est inégale : ainsi j'ai vu un paraplégique dont la
peau
des jambes était notablement sensible aux pinceme
s jambes était notablement sensible aux pincemens, aux piqûres, et la
peau
des cuisses complètement insensible. La perceptio
es complètement insensible. La perception des impressions faites à la
peau
est souvent très tardive, ce n'est quelquefois qu
est des malades qui ne perçoivent pas le pincement le plus fort de la
peau
et qui perçoivent assez bien un chatouillement lé
tement insensibles à tous les stimulans, il suffit d'appliquer sur la
peau
des cuisses le pot d'étain qui sert dans les hôpi
Paralysie complète du sentiment dans les membres inférieurs et à la
peau
des parois thoraciques et abdominales jusqu'au ni
, qu'on peut à peine la saisir ; pouls fréquent et dur; chaleur de la
peau
: cet état fébrile consécutif me paraît indiquer
l'arrêter; le coccyx et la partie inférieure du sacrum sont à nu ; la
peau
de la région fessière et une partie des muscles f
e désordre produit par l'escarre du sacrum est considérable. Toute la
peau
correspondante et une partie des muscles fessiers
lent les nuances de coloration» rouge du ramollissement. La cicatrice
peau
de chamois clair appartient probablement au ramol
ir appartient probablement au ramollissement hortensia, et la couleur
peau
de chamois foncé, jaune, orangé, appartient aux n
¦ Cerveau. — Hémisphère gauche {coté opposé à la paralysie). Membrane
peau
de daim remplaçant les circonvolutions du lobule
s parfait d'intégrité. Le corps strié interne était sain. La membrane
peau
de daim n'était pas limitée au lobule du corps st
une anfractuosité , à une certaine distance, se voyait une pellicule
peau
de daim remplaçant une portion de substance grise
tion des circonvolutions inférieures du lobe occipital. Une cicatrice
peau
de daim remplace les circonvolutions détruites. I
étaient le siège spécial de l'atrophie sénile. Plusieurs cicatrices
peau
de chamois du cerveau, suite probable de ramollis
lutions occipitales inférieures, qui sont remplacées par une membrane
peau
de chamois très adhérente à la pie-mère et par un
s occipitales présentent, au lieu de substance grise , des pellicules
peau
de chamois. Dans l'épaisseur de la couche optique
la cellulosité infiltrée de liquide lait de chaux, et les pellicules
peau
de chamois; on conçoit l'impossibilité absolue de
passer dans le membre par suite d'une action directe des nerfs de la
peau
sur les nerfs musculaires. Je trouve un pouls d
u cerveau présente en outre plusieurs de ces cicatrices pelliculaires
peau
de chamois, que je considère comme la suite du ra
e l'hémisphère et de la scissure de Sylvius présentent des cicatrices
peau
de daim, qui me paraissent appartenir à d'anciens
s à pic, dentelés et recouverts par une pellicule très ténue, couleur
peau
de daim; les autres sont formées par un pulpe jau
eau de daim; les autres sont formées par un pulpe jaunâtre, également
peau
de daim, qui remplace la portion de circonvolutio
irconvolution détruite. On trouve aussi un grand nombre de cicatrices
peau
de daim. En procédant à la recherche des causes
la forme insolite de la poche, remplie par le liquide. On voit que la
peau
est entièrement étrangère aux enveloppes de cette
ration. Eh bien! chez ces individus, la poche était recouverte par la
peau
. Voici un fait bien remarquable, que je dois à M.
are blanchâtre , lenticulaire, qui avait donné issue à ce liquide. La
peau
qui recou- (1) Voyez Dictionnaire de médecine e
xixe livraison. 2 vrait la tumeur offrait tous les caractères d'une
peau
normale bien constituée et nullement ceux d'une p
caractères d'une peau normale bien constituée et nullement ceux d'une
peau
amincie ou d'une cicatrice. Une rougeur érysipéla
rougeur érysipélateuse s'était manifestée depuis quelques jours à la
peau
de la tumeur et des parties voisines : le moindre
térieures, avait pénétré dans la tumeur, où il décrivait une anse. La
peau
était très adhérente sur un des côtés de la tumeu
hement adhérente de l'autre côté. Le tissu cellulaire qui unissait la
peau
à la poche subjacente était serré, fibreux, et ne
upportait difficilement la lumière. D'ailleurs, point de chaleur à la
peau
, pouls naturel. Le malade médit que la veille il
rêves pénibles; le décubitus a lieu sur l'un et sur l'autre côté; la
peau
est naturelle, la langue sale: point de dégoût, l
A ma visite du soir, je veux produire une dérivation puissante sur la
peau
à l'aide d'un demi-bain sinapisé. A peine a-t-il
au dernier degré. — Kyste apoplectique dans le cervelet. — Cicatrices
peau
de daim et ramollissement occupant la portion inf
nférieure du lobe postérieur droit du cerveau, présente cette couleur
peau
de daim qui annonce une apoplexie capillaire anci
Î.. Ñêàëà/, (Û. 1òïð - ñ1å,Õåòà-àá'; Âåïñè-à. è Ñ* MALADIES DE LA
PEAU
. Productions cornees. (Planche m, xxivc livra
vité peu régulière que remplissait une production ou végétation de la
peau
. Les fig. 1' et 2' représentent une coupe longitu
en biseau et par laquelle ce les tubercules se trouvent attachés à la
peau
. Un commencement de canal existe au centre de cet
cornes comme sur la plupart c des matières animales, notamment sur la
peau
qu'il jaunit à froid : elle s'y divise en feuille
pendant tout le temps que ces « excroissances ont été attachées à la
peau
. Ce ne serait que si l'on possédait des caractère
t opiacés furent prescrits : la corne parut ébranlée et mobile sur la
peau
, et le lendemain matin, la malade voulant boire,
ion, et qu'une couche cornée restait encore adhérente à la portion de
peau
qui lui avait donné naissance. Il était d'ailleur
ois et demi, la saillie était augmentée de 5 à 6 lignes. Du reste, la
peau
était parfaitement libre d'adhérence avec l'os de
ion lombaire gauche. Ablation de cette production et de la portion de
peau
qui lui sert de support. Cicatrisation. (Fig. 4
production cornée horizontalement dirigée, qui semblait naître de la
peau
comme le poil sort de son bulbe. « La base de cet
dait guère en étendue le périmètre du prisme qu'elle représentait. La
peau
était parfaitement saine autour de la végétation
alait à une longueur de 10 pouces. Persuadé que l'extirpation de la
peau
qui servait de support à la tumeur pouvait seule
la fin de la sixième semaine. » Il résulterait de cet exposé que la
peau
qui servait de support à la tumeur, que le tissu
aces d'une transformation médullaire. Si j'en juge par l'état de la
peau
qui supporte et avoisine la tumeur (fig. 4), la d
exemples de productions cornées avec dégénérescence cancéreuse de la
peau
qui sont à ma connaissance , la corne avait perdu
aissance , la corne avait perdu presque toutes ses adhérences avec la
peau
par suite de l'altération du tissu de la peau et
ses adhérences avec la peau par suite de l'altération du tissu de la
peau
et du suintement ichoreux qui avait lieu à sa sur
e stries de pigment noirâtre qui s'affaiblissent en s'éloignant de la
peau
. La coupe verticale de cette végétation (fig. 4
pparence cornée qui naissent accidentellement sur divers points de la
peau
de l'homme et des animaux. M. Alibert les a ran
ente au crâne, « ou bien prenait-elle son origine dans le tissu de la
peau
?» Et oui, certainement, elle ne pouvait être autr
ertainement, elle ne pouvait être autre chose qu'une production de la
peau
. On n'est pas moins surpris de voir Vicq-d'Azir (
e noyau qui servait de base à cette végétation était implanté dans la
peau
sans adhérer à l'os. Il s'en est convaincu en pin
une espèce de corne à la partie postérieure de la cuisse gauche. La
peau
qui supporte la production cornée peut dégénérer
s la progression et causait de très vives douleurs dans la portion de
peau
qui lui servait de support. Cette pauvre femme av
issance arrachée plusieurs fois s'était plusieurs fois reproduite; la
peau
delà joue qui lui servait de support augmenta d'é
ne : c'est en effet du milieu de vergetures linéaires noires comme la
peau
de nègre que j'ai vu naître plusieurs de ces conc
concrétions cornées; or, ces vergetures noires attestent assez que la
peau
a été le siège d'une irritation répétée et même d
t (1) Voy. P. Rayer, Traité théorique et pratique des maladies delà
peau
. 2" edit. Paris, i835. T. HT , pag. 640 et planch
oductions cornées peuvent occuper tous les points de la surface de la
peau
, parce qu'il n'en est aucun qui ne puisse devenir
st développée sur la tubérosité de l'ischion. On en a vu naître de la
peau
qui revêt le calcanéum. Quelques individus présen
, aux coudes, aux genoux, au front : une écorchure, une érosion de la
peau
ont été quelquefois la cause de productions corné
dans cet état qu'il fut présenté à la Société royale de médecine. La
peau
était très sensible à la base. Ce malheureux ouvr
extrémité libre était comme tronquée. Ils adhéraient extrêmement à la
peau
, du corps de laquelle ils semblaient naître. La m
inage des articulations, une multitude de cornes qui naissaient de la
peau
à la manière de verrues, et qui paraissaient avoi
ientôt remplacées par d'autres excroissances de même nature. Toute la
peau
des bras, des jambes et des pieds avait un aspect
us blanches que les autres. Il en poussait une à chaque oreille et la
peau
du col commençait à devenir calleuse, lorsque cet
bles par leur nombre et par leur volume, et la guérison du vice de la
peau
dont elles étaient le résultat, et qu'on a rappor
ces productions est la suite d'une inflammation vive de la portion de
peau
qui lui sert de support ; et on conçoit qu'un ébr
ée; par elle sont atténués les tiraillemens douloureux exercés sur la
peau
par le contact de la corne ou même par le poids d
'on considère que la scie a été appliquée le plus près possible de la
peau
, la matrice de la corne entamée, la cautérisation
te, ou bien que la douleur qui résulte des ébranlemens exercés sur la
peau
dans les divers mouvemens ne portent pas le malad
te à circonscrire entre deux incisions semi-elliptiques la portion de
peau
qui supporte la production cornée; c'est le trait
ri porté à la base de cette production, et à cautériser la portion de
peau
qui lui sert de support. Tel est le traitement mi
venable. L'extirpation de ces productions cornées et de la portion de
peau
sur laquelle elles sont implantées, qui n'est que
es, qui n'est que de simple conseil, devient une nécessité lorsque la
peau
qui leur sert de matrice a subi la dégénération c
si bien circonstancié que celui qu'on vient de lire. MALADIES DE LA
PEAU
Productions cornées. 24e Livraison, Pl.3. A
de tumeurs dont les uns paraissent développés dans l'épaisseur de la
peau
, dont les autres sont sous-cutanés, avec ou sans
peau, dont les autres sont sous-cutanés, avec ou sans adhérence à la
peau
qu'ils soulèvent. Le plus grand nombre de ces tum
ent consécutive. Un certain nombre de ces tubercules s'enlève avec la
peau
, bien qu'ils ne soient pas formés aux dépens de l
nlève avec la peau, bien qu'ils ne soient pas formés aux dépens de la
peau
elle-même, mais bien accolés à sa face interne. C
sa face interne. C'est ce qui se voit parfaitement sur la portion de
peau
renversée PR. Il est des tubercules développés da
e cancer tuberculeux. (i) Voyez P. Rayer, Traité des maladies de la
peau
, 2 e édition, Paris , i835 , t. n, p. 2 2 , et p
aris , i835 , t. n, p. 2 2 , et pl. xiv, in-4 , col. MALADIES DE LA
PEAU
,DU TISSU CELLULAIRE SOUS-CUTANE ET DES MUSCLES
A. Chazal del. Imp. de demereur ; £trw.rd, et t: MALADIES DE LA
PEAU
.DU TISSU CELLULAIRE SOUS-CUTANE ET DES MUSCLES
tion du bras, au-dessous de sa partie moyenne. La cicatrice C de la
peau
P, P, adhérait intimement à l'extrémité inférieur
lemens extrêmement remarquables, qui pouvaient se sentir à travers la
peau
avant toute dissection. Les renflemens les plus c
ecchymoses sur les diverses surfaces libres. Il arrive souvent que la
peau
, que la muqueuse gastro-intestinale, et même la m
s enfans nouveau-nés avec des ecchymoses ou taches pétéchiales sur la
peau
et sur les origines des muqueuses. Chez ceux qui
u'a débuté la dégénération; car les muscles, la glande mammaire et la
peau
étaient dans l'état le plus parfait d'intégrité.
d'un temps assez long, proémina en deux ou trois petits mamelons : la
peau
changea de couleur, s'excoria, et bientôt se déve
une membrane mince et vasculaire, qu'on pourrait considérer comme la
peau
amincie ou comme une couche superficielle de la p
sidérer comme la peau amincie ou comme une couche superficielle de la
peau
dégénérée dans toute son épaisseur. L'œil, armé d
t que ces gros mamelons étaient formés aux dépens du corps même de la
peau
, dont les mailles étaient pénétrées de suc cancér
cancéreux. Du reste, les parties envahies par le cancer étaient la
peau
, la glande mammaire et le tissu adipeux sous-cuta
non fongueux qu'on observe si souvent à la mamelle. Dans celui-ci, la
peau
n'est que consécutivement envahie. Les bosselures
la glande mammaire et par le tissu adipeux sous-cutané dégénérés. La
peau
ne participe qu'en dernier lieu à la dégénérescen
par suite de l'altération cancéreuse. Dans celui-là, au contraire, la
peau
acquiert un développement prodigieux, et se conve
ans lequel il est presque impossible de reconnaître les élémens de la
peau
. Nous voyons, par l'enchaînement des faits, s'o
it commissionnaire et menait une vie extrêmement active. Fig. i. La
peau
était mobile sur la tumeur qui présentait une for
uleuse, parfaitement mobile en tous sens, excepté dans un point où la
peau
présentait une ulcération circulaire faite comme
tait une ulcération circulaire faite comme avec un emporte-pièce ; la
peau
qui revêtait la tumeur était d'ailleurs rouge, ex
termédiaires. J'ai pu déterminer la manière dont procède l'usure delà
peau
: des vaisseaux veineux, flexueux, se manifestent
Ce qu'il faut bien constater, c'est que, dans ce cas, la plaie de la
peau
n'est pas un ulcère cancéreux, mais bien une solu
eur était enkystée. C'était par son kyste que la tumeur adhérait à la
peau
dans les points rouges et proéminens, c'est-à-dir
ne multitude de tubercules miliaires, pisiformes, etc., occupaient la
peau
et le tissu cellulaire sous-cutané. Il y avait, e
dont l'aspect rugueux et comme gauffré, tenait évidemment à ce que la
peau
cédait beaucoup moins facilement dans les points
re du thorax, peut servir de type pour les tubercules cancéreux de la
peau
. Il en est de miliaires qu'on reconnaît plutôt au
use. Les plus petites proéminent seulement à la surface externe de la
peau
; les plus considérables proéminent à-la-fois et
le. D'où il résulte que c'est dans ses couches su-perficielles que la
peau
avait été primitivement affectée. Non-seulement i
ectée. Non-seulement il y avait des tubercules dans l'épaisseur de la
peau
, mais encore il y en avait dans le tissu cellulai
blique de l'abdomen. Du côté gauche, le cancer mammaire occupait la
peau
, le tissu cellulaire sous-cutané et la glande mam
it exempt. Du côté droit, où la dégénération était plus avancée, la
peau
, le tissu adipeux sous-cutané, la glande mammaire
gnée, séparer dans la tumeur mammaire droite, ce qui appartenait à la
peau
de ce qui appartenait à la glande mammaire et iso
coupe perpendiculaire m'a permis de voir la disposition suivante : la
peau
, le tissu cellulaire sous-cutané , la glande mamm
vait parfaitement distinguer ce qui, dans la tumeur, appartenait à la
peau
de ce qui appartenait au tissu adipeux , et celui
appartenait au tissu adipeux , et celui-ci de la glande mammaire. La
peau
très épaisse au centre de la tumeur et formant à
qu'on approchait de la circonférence. A cette grande épaisseur de la
peau
se joignait une densité excessive : aux limites d
se joignait une densité excessive : aux limites de l'induration , la
peau
présentait des épaississemens circonscrits qui lu
côté de la surface libre, tantôt du côté de la surface profonde de la
peau
. Ce cas est un type de cancer dur atrophique; l
e foie et les poumons en particulier, mais on a peu étudié celle delà
peau
et celle de l'épaisseur des muscles.—Un fait bien
.—Un fait bien remarquable, c'est que la présence des tubercules à la
peau
ne suppose pas celle des tubercules dans d'autres
us, mamelles, etc., ou dans leur atmosphère (ganglions, lymphatiques,
peau
des parties voisines). Il semble, parfois, qu'on
éreuse suite de cancer mammaire peut ne manifester ses effets qu'à la
peau
, je mentionnerai ici le fait d'une femme de 5g an
, avec induration des ganglions axillaires, tubercules cancéreux à la
peau
de toutes les parties voisines et même en arrière
reuse , ayant chacun l'épaisseur et l'étendue d'une pièce de 5 fr. La
peau
et le tissu cellulaire sous-cutané étaient seuls
extrêmement volumineux, et ont subi la dégénération cancéreuse. La
peau
renversée P, P présente à sa face profonde et ent
u premier abord, on dirait une glande mammaire dans l'état normal. La
peau
qui recouvre la mamelle offre une grande épaisseu
née ; guérison temporaire apparente ; développement du cancer dans la
peau
des parties voisines et dans l'épaisseur de la ci
alles avec des tubercules situés et au niveau de la cicatrice et à la
peau
du voisinage. La mamelle droite devient le siège
ercules de couleur rosée, proéminens , constitués à-la-fois et par la
peau
et par la glande mammaire. Au mois de mai 1838,
ercules très durs, proéminens. Plusieurs sont formés aux dépens de la
peau
seule qui s'épaissit considérablement à leur nive
it considérablement à leur niveau. La pression des coupes faites à la
peau
en fait suinter du suc cancéreux. Les plus grosse
cancéreux. Les plus grosses tumeurs sont formées à-la-fois et par la
peau
et par la glande mammaire. Une couche mince de ti
t par la glande mammaire. Une couche mince de tissu adipeux sépare la
peau
de la glande altérée. L'altération de la glande m
on de la glande mammaire est aussi exactement limitée que celle de la
peau
. Il n'y avait pas d'intermédiaire entre la portio
portion dégénérée de la glande et la portion dégénérée du tissu de la
peau
. Toutes deux présentaient à la coupe la dureté d'
lement découpée. L'ulcération s'est étendue de la mamelle droite à la
peau
qui revêt le sternum, et même à la peau qui revêt
due de la mamelle droite à la peau qui revêt le sternum, et même à la
peau
qui revêt la mamelle gauche. Cette dernière mamel
t saine , mais complètement atrophiée au milieu de l'induration de la
peau
et du tissu cellulaire. Un grand nombre de tuberc
côté externe de cette mamelle. La dégénération s'est étendue de la
peau
qui revêt le sternum au sternum lui-même, qui est
entourés de tissu cancéreux induré. L'altération s'est étendue de la
peau
et du tissu cellulaire sous-cutané au sternum. Il
ré de suc cancéreux, contenu dans des débris d'aréoles osseuses. La
peau
et le tissu cellulaire sous-cutanés sont au loin
iques sont encéphaloïdes, tandis que l'altération des mamelles, de la
peau
et du tissu cellulaire, appartient au cancer dur
droite. Pendant toute la durée de l'attaque, la face était rouge, la
peau
couverte de sueur, le pouls plein, vibrant, mais
lavicnlaire présenta un accroissement rapide et devint fluctuante. La
peau
qui la recouvrait était violacée. On aurait dit d
e la tumeur tenait à un réseau veineux considérable développé sous la
peau
extrêmement amincie et transparente qui la recouv
. Sa direction était oblique de droite à gauche et de haut en bas. La
peau
avait tellement cédé qu'elle formait une vraie bo
ui semble n'être autre chose que le résultat de la dessiccation de la
peau
et des muscles. Cette pellicule a été enlevée dan
entes. Je fus témoin de ces mouvemens; on eût dit que c'était sous la
peau
que s'agitaient les membres du fœtus , qui s'éten
dans leurs altitudes : cette bande est-elle formée uniquement par la
peau
, le tissu cellulaire et les muscles ? contient-el
grène spontanée : guérison apparente. Développement du cancer dans la
peau
des parties voisines et dans l'épaisseur de la ci
du choléra. 14e liv., pl. 1, 11, m, iv, v, p. 4y. ANUS.Excision delà
peau
du pourtour de l'anusdanslecasdeelnile du rectum.
éolaire des os. 21e liv., pl. 1, p. /. — Cancer mélanique occupant la
peau
, le foie, les poumons et l'intérieur du globe de
muniquant d'une part avec l'intestin rectum, d'une autre part avec la
peau
qui entoure l'anus. 25e liv., pl. m, p. 4- — Form
ntanée.Guérison temporaire apparente. Développement du cancer dans la
peau
des parties voisines et dans l'épaisseur de la ci
e antérieur du cerveau. 33e liv., pl. m, p. 3. — Plusieurs cicatrices
peau
de chamois du cerveau, suite probable de ramollis
tée au dernier degré. Kyste apoplectique dans le cervelet. Cicatrices
peau
de daim et ramollissement, occupant la portion in
concentration ou asphyxique. A. Moyens thérapeutiques dirigés sur la
peau
. 1° Frictions ; 2° Caléfaclion ; 3° Réfrigération
e et blanc du cerveau. 33e liv., pl. 11, p. 2. — Plusieurs cicatrices
peau
de chamois du cerveau, suite probable de ramollis
ion lombaire gauche. Ablation de celte production et de la portion de
peau
qui lui servait de support. Cicatrisation. 24e li
de l'estomac. 12eliv., pl. n, m, p. g. — Cancer mélanique occupant la
peau
, le foie, les poumons et l'intérieur du globe de
par exhalation. 31e liv., pl. 1, p. 2. — Hémorrhagie spontanée de la
peau
, du tissu cellulaire et des muscles de la jambe.
concentration ou asphyxique : A. Moyens thérapeutiques dirigés sur la
peau
: Io Frictions; 2° Caléfaction; 3° Réfrigération;
liv., pl. iv, p. 4: — de la parotide. 39e liv., pl. v, p. /y — de la
peau
. 7e liv. , pl. VI , p. 4; 24e liV., pl. III, p.
ntanée; guérison temporaire apparente ; développement du cancer de la
peau
dans les parties voisines et dans Fépaisseur de l
if ou simultané du cancer mélanique. — Cancer mélanique occupant la
peau
, le foie, les poumons et l'intérieur du globe de
te rachidienne. 32e liv., pl. 1, 11, p. 8, //. — La sensibilité de la
peau
est-elle augmentée dans la paraplégie par méningi
. OEIL. Cancer mélanique occupant l'intérieur du globe de l'œil, la
peau
, le foie et les poumons. 22e liv., pl. 1, f. *. —
de cette paralysie. 32e liv., pl. 1, n,p. 8,n. — La sensibilité de la
peau
est-elle augmentée dans la paraplégie par méningi
n actuelle de l'anatomie pathologique. lre liv., Avant-propos ,p-v.
PEAU
. Maladies de la peau. Productions cornées. 7e liv
mie pathologique. lre liv., Avant-propos ,p-v. PEAU. Maladies de la
peau
. Productions cornées. 7e liv., pl. vi, p. 4; 24e
ion lombaire gauche. Ablation de celle production et de la portion de
peau
qui lui sert de support. Cicatrisation. 24e liv.,
ornées. 24e liv., pl. ni,p.,9. — Moyens thérapeutiques dirigés sur la
peau
dans le traitement du choléra. 14e liv., pl. I, i
14e liv., pl. I, il, ni, iv, v, p. 46. — Cancer mélanique occupant la
peau
, le foie , les poumons et l'intérieur du globe de
cicatrices muqueuses. 30e liv., pl. ni, p. 4. — La sensibilité de la
peau
est-elle augmentée dans la paraplégie par méningi
Foie gras. 32e liv., pl. ni, iv, p. 4. — Hémorrhagîe spontanée de la
peau
. 35e liv., pl. v, p. 4. —Sur la sensibilité cutan
21e liv., pl. m, p. 3. — Cancer mélanique , occupant les poumons , la
peau
, le foie et l'intérieur du globe de l'œil. 22e li
rnées. 7e liv., pl. vi, p. / ; 24e liv., pl. m, p. / (Voyez Cornes et
Peau
). — Productions graisseuses dans les reins. 36e
ssemens rouge et blanc. 33e liv., pl. 11, p. 2.— Plusieurs cicatrices
peau
de chamois du cerveau, suite probable de ramollis
quant, d'une part, avec l'intestin rectum ; d'une autre part, avec la
peau
qui entoure l'anus. 25e liv., pl. m, p. 4-— Forme
lle de la myolilité. 32e liv., pl. 1,11, p. 6. — La sensibilité de la
peau
est-elle augmentée dans la paraplégie par méningi
e hémorrhagique. 36e liv., pl. v, p. a. — Hémorrhagie spontanée de la
peau
, du tissu cellulaire et des muscles de la jambe.
MPLÈTES DE J. M. CHARCOT MALADIES INFECTIEUSES AFFECTIONS DE LA
PEAU
, KYSTES HYDATIQUES ESTOMAC ET RATE, THÉRAPEUTIQUE
ar la sta-tion. La langue est rouge, sans enduit, parfois sèche. La
peau
s'é-chauffe un peu le soir, et il y a, de temps e
ement arrondies, et font une légère saillie au dessus du niveau de la
peau
. La plupart présentent une dépression centrale
y ont leur volume ordinaire. Si l'on fait une coupe verticale de la
peau
passant par le mi-lieu d'une pustule, et qu'on ex
-tablement propres à la dothiénentérie ne s'est encore décelé ; si la
peau
n'est pas acre et brûlante; si la céphalalgie, l'
r sur son lit ; la face est froide, pâle, les traits sont altérés; la
peau
des extrémités et parfois aussi, celle des par-ti
lutition devient difficile, le larynx est sensible à la pression ; la
peau
qui le recouvre est souvent soulevée en raison de
me ont pâli, le pouls est devenu moins fréquent et plus résistant; la
peau
plus douce au tou-cher; la langue est humide sur
ombre : elles sont très légèrement élevées au-dessus du ni-veau de la
peau
; elles s'effacent complètement sous la pression d
u doigt; elles ne font plus du tout saillie au-dessus du niveau de la
peau
. Les taches livides peuvent reprendre spontanémen
r rash). L'éruption composée de ces deux espèces de taches donne à la
peau
un aspect tigré ; elle a été désignée par M. Jenn
le temps de leur durée, lé-gèrement élevées au-dessus du niveau de la
peau
. Elles dispa-raissent toujours sous la pression d
aît plus rapide-ment que dans les cas de fièvre typhoïde (Jenner). La
peau
du tronc et des extrémités, surtout aux parties d
atrième jour, une légère teinte iclérique.Cépha-lalgie gravative ; la
peau
est chaude et sèche ; quelquefois cependant, on o
tisme; fièvre intense; le pouls bat de 100 à 120 fois par minute ; la
peau
est chaude et sèche ; anorexie, souvent épigastra
larges péléchies d'une couleur livide apparaissent quelquefois sur la
peau
du cou, de la poitrine ou même des membres. Le pe
ubons apparaissent dans les lieux ordinaires ; le pouls se relève, la
peau
devient plus chaude. On peut croire, un instant,
ou par des frissons répétés; puis, on observe une chaleur vive de la
peau
, accompagnée de sécheresse; parfois, cependant, c
Peste bénigne. — a, Le malade éprouve une légère horri-pilation : la
peau
s'échauffe, mais elle est moite; le pouls s'accél
inte rouge, violacée, d'autres fois sans changement de cou-leur de la
peau
. Souvent ils ne sont pas plus gros qu'un pois, qu
animaux à l'homme, se développent, en général, sur les parties de la
peau
habituellement recouvertes par les vêtements; on
aligne : tantôt, en effet, la gangrène est superficielle, bornée à la
peau
circonscrite ; tantôt, au con-traire, elle est di
angrène dif-fuse. (Voy. Clot-Beyef,0/?. «7., p. 34; — Ray, Mal. de la
peau
, t- H, p. 12; — Nélaton, Pathol. chir., 1.1.) Y
ROSCOPIE. A. a. Chez les pestiférés qui ont succombé rapidement, la
peau
est parsemée principalement à la face et au cou,
ndement marqué de tous les symp-tômes; chaleur douce et moiteur de la
peau
se montrant dès le début de la maladie, et persis
nt quelques auteurs, par une affection gangreneuse toute locale de la
peau
. voit plus au-delà d'une ligne fictive qui join
s; la troisième, enfin, par l'apparition d'une coloration jaune de la
peau
et des conjonctives, par des vomissements noirs (
au moins pendant l'exacerbation, il bat 90 à 100 fois par minute. La
peau
est brûlante, sèche et fait éprouvera la main qui
e 50, 40, ou même 30 pulsations à la minute. (LaRoche, loc. cit.); la
peau
devient fraîche ; en même temps les douleurs lomb
ls devient très rare; il survient des épistaxis; les conjonctives, la
peau
du front, puis celle de la face, du cou, commence
ois, au contraire, il acquiert une fréquence extrême; en tous cas, la
peau
est froide, quelquefois comme glacée et recouvert
énomènes fébriles de la période initiale ; le pouls est résistant, la
peau
est chaude et sèche, haute en couleur; les douleu
orme à peine perceptible ou encore tout à fait nul. En pareil cas, la
peau
froide comme du marbre et recouverte d'une sueur
ci, le pouls paraît naturel ou peu s'en faut, la langue est nette, la
peau
est fraîche ou obscurément chaude dans la région
la plupart des sujets une coloration jaune plus ou moins foncée de la
peau
, du tissu cellulaire sous-cu-tané, de la sérosité
es cas où la teinte jaune est franche et uniformément répandue sur la
peau
, ainsi que sur les conjonctives, qu'elle peut êtr
ang, en dehors des vaisseaux. (Desmoulins, Sur létal anatomique de la
peau
dans la fièvre jaune, in Journal compl. du Dict.
peut, cette fois, exister le moindre doute, dans le tissu même de la
peau
, sous les conjonctives, dans le tissu cellulaire
tisme; fièvre intense: le pouls bat de 400 à 120 fois par minute ; la
peau
est chaude et sèche ; anorexie, souvent épi-gastr
conquête. Quant à ces fièvres très violentes avec teinte jaune de la
peau
et déjections noires dont il est fait mention dan
tat typhoïde. 7 novembre. Etat typhoïde, subdelirium. 0 novembre.
Peau
chaude. 29 octobre. Etat typhoïde 6 novembre.
Peau chaude. 29 octobre. Etat typhoïde 6 novembre. Etat typhoïde,
peau
chaude, subdelirium 5 novembre Algidité et cyan
n (réaction typhoïde). L'algidité était à peine prononcée ou même la.
peau
était chaude. Le chiffre maximum a été 39°, 6 (
S DU TÉGUMENT EXTERNE i. Note sur quelques cas d'affections de la
peau
, dépendant d'une influence du système nerveux '.
et les doigts, principalement dans le pouce, l'index et le médius. La
peau
qui recouvre ces parties est aujourd'hui complète
t superfi-cielles, ovalaires, d'une couleur plus rose que celle de la
peau
environnante, luisantes, d'un aspect rayonné, trè
sthésie paraît gagner vers la racine des deux membres, si bien que la
peau
qui recouvre les mains, les avant-bras et les bra
dans la main gauche, à savoir: l'anesthésie à peu près complète de la
peau
, l'atrophie des muscles et leur paralysie, les do
cicatrices qui correspond le mieux au trajet d'un nerf et qui rend la
peau
fortement adhérente aux tissus sous-jacents ; en
rup-tion huileuse se fait presque exclusivement sur les parties de la
peau
qui correspondent aux divisions du nerf qu'on sup
xistence d'une affeclion du cerveau ou de la moelle. On sait que la
peau
des parties, dont les nerfs sont affectés de névr
lus remarqua-bles dans l'article Herpès, du Traité des maladies de la
peau
, de M. Rayer, dans le Trente de Romberg, sur les
deuxième accès, quinze ou vingt jours après le début des douleurs, la
peau
de la jambe et de la partie inférieure de la cuis
out à fait semblables à celles de l'herpès zosterle, sié-geant sur la
peau
des parties douloureuses. L'éruption huileuse o
zona qui, aune certaine époque, s'est produite dans les régions de la
peau
auxquelles se distribuent les filets nerveux éman
on observe quel-ques tubercules cancéreux, occupant l'épaisseur de la
peau
et qui se sont développés tout récemment, au dire
pectoral. On voit que cette éruption occupe toutes les par-ties de la
peau
auxquelles se distribuent les rameaux du plexus c
cancéreux sié-geant dans l'épaisseur de la cicatrice du sein et de la
peau
avoisi-nante ; les deux plèvres sont couvertes de
elle épinière influence, dans une certaine mesure, la nutrition de la
peau
(voir Brown-Séquard, Journal de physiologie, t. I
s, au moins fort analogues au zona, se développent quelquefois sur la
peau
des extrémités, consécutivement à des altérations
ublié par M. Charcot dans une Note sur quelques cas d'affection de la
peau
dépendant dune influence du système nerveux (Jour
t que certaines affections des nerfs déterminent des érup-tions de la
peau
, tandis que d'autres affections de ces mêmes nerf
atement que les cas où une névrite s'accompagne d'une affection de la
peau
sont relativement peu nombreux. La question, quan
n intéressant passage que nous extrayons du Traité des maladies de la
peau
de Lorry (De morb. cutan. Paris, 1777, p. 602) :
pas mentionnée Charcot. Œuvr. comp. t. vin, 2' pl. Affections de la
peau
. 13 — Les faits qui précèdent peuvent avoir été
s mèches blanchirent de même, puis d'autres encore. En même temps, la
peau
des diverses parties du corps, qui jusque-là avai
espace d'une nuit. M. Rayer enfin, dans son Traité des maladies de la
peau
(t. III, p. 733), rapporte un cas recueilli par M
n effet, sous le nom de momie rhumatismale, n'est pas autre chose; la
peau
y est également pâle, comme desséchée et collée s
atrophie et défor-mations diverses. En un mot, dans tous les cas, la
peau
finit par devenir trop courte. La malade de M.
es où l'altération est le plus avancée ne présentent plus d'œdème. La
peau
est rigide, sans plis, lisse et dure comme du par
'érylhème. Sur l'un comme sur l'autre expérimentateur, l'aspect de la
peau
, dans les endroits atteints, était exactement cel
de la lumière, ce ne sont pas les rayons calorifères qui attaquent la
peau
. Faut-il invoquer l'action des rayons éclai-rants
ndants «que dans la lumière solaire. VI. Coloration bronzée de la
peau
dans un cas de phthisie pulmonaire avec albuminur
— Tubercules pulmonaires. — Albuminurie. — Co-loration bronzée de la
peau
: ses caractères, sa répartition. — État lichénoid
es reins.—Altérations hislologiques des capsules surrénales et ¦de la
peau
. Larnon, âgé de 57 ans, journalier, est entré l
maigrissement, de marasme des plus prononcés; la face est crispée, la
peau
du visage terreuse; le nez est effilé, froid, vio
age terreuse; le nez est effilé, froid, violacé. La température de la
peau
est basse, très basse ; même aux extrémités, le p
ible. Le 15 septembre, on constate les particularités suivantes: La
peau
du malade présente une coloration brune, bronzée,
ée, plus foncée en certaines parties que ne l'est la coloration de la
peau
d'un mulâtre. Celte coloration est à peine sensib
ce n'est un étal lichénoïde léger, mais presque général, qui rend la
peau
rugueuse et qui oblige le malade à se gratter.
la réaction caractéristique des capsules surrénales à l'état sain.
Peau
. — Les parties colorées de la peau ont été aussi
psules surrénales à l'état sain. Peau. — Les parties colorées de la
peau
ont été aussi exa-minées au microscope. — Les cel
de dimensions très variables. Dans un cas de maladie bronzée où la
peau
avait été examinée au microscope par l'un de no
on sans faire deux remarques importantes. La coloration bronzée de la
peau
a été constatée sur notre malade à un moment où i
'hôpital Beaujon, eût jamais présenté la moindre teinte bronzée de la
peau
. 1. Vulpian, Note sur les réactions propres aux
laquelle il existait une dégénérescence amyloïde des vaisseaux de la
peau
. Relativement à l'hémorragie cérébrale, M. Charco
. Gurlt, ayant trait à un fœtus de veau né à terme, présentant sur la
peau
des sillons fort analogues à ceux qu'on voyait ch
, 1850, p. Charcot. Œuvres complètes, t. viii, 2° p. Affections de la
peau
. 14 2° C'est là le premier cas d'iclilyose corn
sillons rappelle, d'ailleurs, la dis-position normale des plis de la
peau
des fœtus de veaux sains et encore dépourvus de p
articulation du genou. De plus, en examinant avec soin le reste de la
peau
, surtout avec une loupe, on y rencontre par-tout
illie au-dessus du niveau de sa surface externe. L'état morbide de la
peau
consiste sur-tout en un trop grand développement
iés. Il serait donc fort intéressant de répéter, sur une partie de la
peau
du fœtus présenté par M. Houel, les observations
es traits sont altérés ; les chairs deviennent molles et flasques, la
peau
présente la teinte que l'on remarque après une hé
t jamais eu ni écoulements, ni chancres aux parties, ni taches sur la
peau
. Elle ne peut donner aucun renseignement valable
nes de ces bulles se sont crevées et laissent voir à la surface de la
peau
une petite ulcération; d'autres sont encore rempl
organs. » London, 1857, passim. 2. Rayer, Traité des maladies de la
peau
, t. i, p. 45, 1835. la Charité d'un eczéma des
z les vieillards, dit M. Rayer *, les in-flammations chroniques de la
peau
, indépendantes des causes externes, doivent être
ies de longue durée : c'est ainsi qu'on a vu plusieurs maladies de la
peau
guéries par un érysi-pèle2 ; l'état fébrile provo
doses pendant assez longtemps sans qu'il y ait à craindre de voir la
peau
prendre la teinte noire de l'argyriase. M. Wunder
it pas qu'il y eût la moindre apparence de colora-tion noirâtre de la
peau
. Le nitrate d'argent a déjà été employé dans le t
eints de cette dernière maladie qu'on a observé la teinte noire de la
peau
, et seulement après qu'ils avaient été soumis à l
on, même au prix d'une légère modification de la teinte normale de la
peau
. devenaient de plus en plus prononcés, elle ven
nts réflexes, mais après un intervalle assez long. Le pincement de la
peau
produit une douleur plus vive que dans l'état nor
rs, ayant la rapidité de soubresauts, démangeai-sons très vives de la
peau
de ces membres, où l'on voit une érup-tion lichén
s plus grands efforts. La sensibilité tactile est plus nette sur la
peau
du visage que sur les autres points du corps. Il
us diverses, principalement par l'application d'un corps froid sur la
peau
des cuisses, les membres inférieurs sont pris de
e se sèche, les narines sont pulvérulentes. Le pouls est fréquent, la
peau
chaude; l'état est des plus graves. Application d
oins tirés, l'appétit persiste. L'application d'un corps froid sur la
peau
des cuisses ne provoque plus de mouve- ments co
tactile obtuse. Les excitations telles que pincement ou piqûre de la
peau
causent une douleur d'un autre genre et plus insu
Sensations de douleurs provoquées par la piqûre ou le pincement de la
peau
, peut-être un peu plus vives que dans l'état norm
ière antérieure. Sensibilité musculaire diminuée. L'excita-tion de la
peau
ne produit une douleur vive qu'à la condition d'e
é tactile ; lorsque l'on posait doucement le doigt sur un point de la
peau
des parties affectées, les malades, qui étaient a
squ'on touchait une partie qu'elles ne pouvaient voir, par exemple la
peau
de la région lombaire. Nous sommes portés à pense
e nitrate d'argent, le malade peut offrir cette teinte ardoisée de la
peau
, qui constitue le seul inconvénient sérieux delà
nistrant de l'iodure de potassium à l'intérieur; en pratiquant sur la
peau
des lavages d'acide nitrique dilué, de cyanure de
présent, unique dans la science. C'est dans le corps muqueux de la
peau
que le métal est déposé, au dire de la plupart de
e singulier phénomène à un travail d'élimination qui se ferait par la
peau
, et qui après un certain temps aurait pour conséq
e ; et ce qui le prouve, c'est qu'on voit souvent la coloration de la
peau
se produire longtemps après qu'on a suspendu tout
tre. On examina au microscope les os, les cartilages, les reins et la
peau
. Il existait des granula-tions noires, qui prenai
; enfin dans les glandes sudori-pares et les follicules sébacés de la
peau
. Dans un cas à'argyrie, observé par Frommann, à
s des radi-cules de la veine porte et des veines hépatiques : dans la
peau
, le pourtour des follicules sébacés et des glande
, d'ailleurs excessivement lente, se fait surtout par les reins et la
peau
. En effet, divers observateurs ont retrouvé des t
ent chez des épilep-tiques qu'on a constaté la coloration bleue de la
peau
. Il serait donc de la plus haute importance de sa
e ne point exposer inu-tilement le malade à la coloration bleue de la
peau
: si l'on obtient, au contraire, des effets avant
ns du tégument externe. I. Note sur quelques cas d'affections de la
peau
dépendant d'une influence du système nerveux...
de la lumière électrique.......... 201 VI. Coloration bronzée de la
peau
dans un cas d'altération grais- seuse des capsu
Canitie rapide, 191. Capsules surrénales (Coloration bronzée de la
peau
dans un cas d'altération graisseuse des —), 204.
, 188. Nerveux (Système) : influence sur certaines affections de la
peau
, 171. Névralgie accompagnée d'herpès, 176.
Paraplégie, sels d'argent dans la —, 396, 427; — douloureuse, 181.
Peau
, coloration bronzée de la — dans un cas d'altérat
valu un plein succès à la clinique photographique des maladies de la
peau
,par MM. A. Hardy et A. de Montméja. Nous espérons
lle d'un homme de 29 ans affecté d'un èléphantiasis du prépuce, de la
peau
de la verge et du scrotum. Le pénis et les testic
llée, excepté sur la face dorsale qui est recouverte par unlambeau de
peau
. De chaque côté on voit les testicules enveloppés
leur épaisseur et leur dureté. Aucun de ces accidents n'eut lieu. La
peau
de la verge devint de plus en plus souple; l'espè
nt en bec de canard, de façon à faire une saillie appréciable sous la
peau
. — Quand on a franchi le détroit inférieur, on ar
issaient par la compression de la carotide à sa partie inférieure. La
peau
n'était ni adhérente ni altérée dans sa couleur;
au moins à ma connaissance, dans aucune des affections connues de la
peau
. Je l'ai observée cinq ou six fois parmi les qu
iste dans des plaques rouges légèrement saillantes à la surface de la
peau
; elles sont plates et unies, de forme très variab
couches stratifiées, comme cela a lieu dans la muqueuse buccale et la
peau
, tantôt elles sont cylindriques et généralement n
acer l'histoire ne porte sur elle aucun stigmate delà scrofule, et sa
peau
, fine et colorée, présente aux cuisses et aux jam
iers, on a déjà obtenu deux à trois cents spécimens de maladies de la
peau
, dont les modèles sont déjà copiés par l'étranger
es plus recherchés et les plus importants relatifs aux maladies de la
peau
. Tous les médecins des hôpitaux pourront venir da
avantage d'injecter moins de liquide ; or, certaines personnes ont la
peau
si délicate, les femmes surtout, que bien que la
tion des fils avait même beaucoup diminué, ainsi que la rougeur de la
peau
. Même traitement : opium à la dose d'un décigra
millimètres, et constitué par la réunion de la muqueuse vaginale à la
peau
du périnée. Ce périnée de nouvelle formation of
e, de petites saillies offrant, comme les autres, la coloration de la
peau
saine. Les grosses papilles s'affaissent et s'eff
es papilles s'affaissent et s'effacent progressivement, tandis que la
peau
, qui était recouverte de croûtes, prend un aspect
t déjà disparu sans laisser aucune autre trace de leur passage qu'une
peau
brunâtre et luisante comme on le voit si souvent
partie du pied que recouvre la chaussure et qu'elle dessinait sur la
peau
la forme parfaitement régulière du soulier-escarp
d'alcool, a été injectée, à l'aide de la seringue de Pravaz, sous la
peau
de la cuisse d'un chien, d'un lapin et d'une gren
faire pour porter sur sa tête des charges parfois considérables. La
peau
était mobile à la surface et légèrement rougeâtre
triangulaire, à base supérieure, de cheveux noirs. Des deux côtés, la
peau
est d'un blanc rosé, parsemée de quelques poils r
premier abord elle paraît avoir été rasée. Cette particularité de la
peau
rend plus saillantes les tumeurs qu'elle recouvre
et les aponévroses prennent sur la ligne courbe de l'occipital. La
peau
n'est pas adhérente à ces tumeurs ; elle peut êtr
e d'épingle jusqu'à celle d'une forte lentille. Sur ces tumeurs, la
peau
épaissie est encore souple, mobile ; elle peut êt
avons établis en nous basant sur la simple apparence extérieure. La
peau
a sa couleur normale, mais on y voit se dessiner
caractère est encore plus sensible aux veines de l"avant-bras. Ici la
peau
est rugueuse, sèche, semée d'une multitude de pet
commence en pointe, va en s'élargissant vers la partie moyenne. La
peau
en est rosée et son hypertrophie entre manifestem
Il nous reste à parler de la sensibilité de ces tumeurs. Partout la
peau
a conservé sa sensibilité normale : pas la moindr
trer à l'hôpital. A ce moment, toutes ces tumeurs sur lesquelles la
peau
était d'ailleurs très mobile, et seulement un peu
s se confondent, en bas, avec l'empâtement de la région cervicale. La
peau
qui les couvre présente un aspect violacé ; ell.e
orment un épais bourrelet sur les parties antéro-latérales du cou. La
peau
qu'elles soulèvent semble plus' normale qu'à la r
groupe occipital, et sur les côtés avec le groupe sous-maxillaire. La
peau
un peu violacée ne présente en cet endroit aucune
nge, de nos jours, dans la classe des fibromes, est une maladie de la
peau
caractérisée par des tubercules répandus sur dive
peau caractérisée par des tubercules répandus sur divers points de la
peau
, principalement dans les régions du cou, du périn
emple se trouve représenté dans l'iconographie sur les maladies de la
peau
, par MM. Hardy et de Montméja. Quelquefois en se
alisées du corps, rentre tout à fait dans le cadre des maladies de la
peau
. La seconde variété, au contraire, le molluscum p
donnant quelquefois la sensation de la consistance d'une mamelle, la
peau
amincie en des points ou ridée est quelquefois re
Il vient de paraître un livre intitulé Traité des affections de la
peau
, par le docteur Baudot d'après les doctrines de M
juxtaposer les leçons de M. Bazin sur les Affections génériques de la
peau
et le traité qui se publie aujourd'hui. Le premie
le du membre malade, qui prend véritablement un aspect monstrueux. La
peau
et le tissu cellulaire sous-jacent paraissent int
ssent intéressés tout d'abord; ils sont comme confondus ensemble ; la
peau
ne plisse plus. Le derme et l'épiderme particip
les, plus saillantes qu'à l'état normal, dessinent à la surface de la
peau
de nombreuses élevures; tantôt l'éléphantiasis es
is est dit lœvis, glabra, les papilles gardent leur aspect normal, la
peau
est lisse. Les modifications du tissu cellulair
sentirez sous le doigt une résistance considérable, en aucun point la
peau
n'est mobile, tous les tissus semblent transformé
développé que la jambe. Toutes les formes du membre sont effacées. La
peau
n'a pas subi dans son aspect extérieur de modific
bre inférieur, et se termine au pli de l'aine. L'épaississement de la
peau
et des couches sous-cutanées empêche de constater
le avec le lobule du nez, la muqueuse se continue directement avec la
peau
. L'enfant meurt au bout de quelques jours. En o
te entre le deuxième et le troisième orteils, on voit, en incisant la
peau
, qu'il répond à un orteil supplémentaire ; mais c
existe une dépression curviligne dont le fond a la couleur grise, la
peau
voisine étant rosée, on pourrait croire qu'il y a
ar les muscles de l'éminence thénar. Elle n'a pas de coloration AA.
Peau
et tissu cellulaire sous-cutané. B. Aponévrose
s cet état, il occupe le tissu cellulaire, la graisse, ou est sous la
peau
, les aponévroses comme dans l'individu dont je fa
t et disparaissent plusieurs fois avant de rester stationnaires. La
peau
devient anesthésique sur les taches, quelquefois
ur faire place à des tubercules de forme et de volume variables. La
peau
, après avoir présenté des taches, s'épaissit de p
arcomateuses. Les tubercules ne se développent pas seulement sur la
peau
, mais bien su': toutes les muqueuses, nasale, buc
e quelques jours la cicatrisation est parfaite. Vers le 11 février la
peau
de la face et des membres se congestionne, la lan
les. Ces ulcérations ont laissé un tissu cicatriciel qui a épaissi la
peau
, et on voit encore des tubercules à différents de
ment, avec la coloration bistre spéciale et anesthésie complète. La
peau
de cette main est transparente et offre un réseau
de analogie avec les dilatations vari queuses des capillaires de la
peau
des pommettes de vieillards à figure congestionné
s de la peau des pommettes de vieillards à figure congestionnée. La
peau
n'est plus mobile sur les parties sous-jacentes,
usse abondante, blanchâtre au pôle négatif; dégagement de gaz sous la
peau
. Le passage du courant est assez douloureux et re
rendit des services signalés. Après avoir anesthésié localement la
peau
du cou par l'éva-poration de l'éther, je fis une
hyoïde jusqu'au bord interne du cartilage cricoïde, en sectionnant la
peau
seulement. Quelques petits réseaux veineux nécess
je fus obligé de les retirer par suite du gonflement survenu dans la
peau
qui s'était rétractée. Le trente-cinquième jour
s ce matin jusqu'à 5 h 1/2, 84 accès. Suspension d'une heure ou deux.
Peau
moite, brûlante ; face inondée de sueur. Râle lar
té. Nous empruntons à la Clinique photographique des maladies de la
peau
(i), deux planches qui en disent plus à elles seu
au tube en le serrant un peu ; j'amenai cette plaque au contact de la
peau
et l'y appliquai à l'aide d'un bandage. Ainsi le
avec le chloroforme. 20 Introduite dans le tube digestif ou sous la
peau
, cette substance produit d'abord le sommeil, puis
arition au talon gauche d'une large phlvc-tène qui a décollé toute la
peau
. En l'ouvrant, on obtient une sérosité louche pur
des conjonctives catarrhales........ 77 Traité des affections de la
peau
par Baudot................ 79 Une élection acad
muscle petit rond et un rameau cutané sensitif qui s'épuise dans la
peau
de l'épaule. ¡ Le schéma que vous avez sous
étique. UN ALGÉS1MÈTRE APPAREIL POUR MESURER LA SENSIBILITÉ DE LA
PEAU
A LA DOULEUR. par A. MOCZVTKOWSKI, Professe
le défaut essentiel de ne pas exprimer la douleur d'un point de la
peau
, puisque la surface de la peau couverte par la ra
exprimer la douleur d'un point de la peau, puisque la surface de la
peau
couverte par la rainure de l'appareil est trop
nte une assez grande surface peut em- brasser des territoires de la
peau
très différents d'après 'leur susceptibi- lité
a déviation de l'ai- guille. En outre, dans beaucoup d'endroits, la
peau
ne se laisse plisser. J'ai vu survenir chez des
e aiguille une idée sur l'état de la sensibilité à la douleur de la
peau
, mais quand cette sensibilité n'est que faiblem
de méthode pratique pour mesurer la sensibilité à la douleur de la
peau
(1). Voilà pourquoi jusqu'à présent l'aiguille
d'autres procédés barbares comme la brûlure ou la perforation de la
peau
de part en part. Je me permets de recommander
ps,si on n'augmente pas la pression. Les piqûres produisent dans la
peau
des modifications matérielles, traumatiques, de
à la môme place ; et si les piqûres ont été fortes il faut laisser la
peau
se reposer au moins pendant une ai deux heures.
iquée, qui est le résultat de deux piqûres. Tous les endroits de la
peau
ne donnent pas une sensation de douleur de la m
reste facilement. A la piqûre avec nne épingle la résistance de la
peau
est trop insignifiante par rapport à la pressio
pression d'une si petite surface que la pointe d'une ai- guille. La
peau
cède facilement à cette pression et la pointe de
se passent autrement. Ici, avec l'augmenta- tion de la pression la
peau
couverte par la surface du bouton subit égale-
on de l'instrument, ne s'enfonce pas sensiblement davantage dans la
peau
. Je dis « pas sensiblement davantage », parce q
e ouverture dont le diamètre mesure un millimètre, dans laquelle la
peau
peut s'enfoncer au moment de la pression par suit
rture; mais par suite des petites dimensions de cette ouverture, la
peau
s'y en- fonce à peine, môme à une très grande p
ainement exerce une influence sur la circulation de l'endroit de la
peau
qu'on examine, ainsi que sur l'excitabilité de se
ne aiguille détruit ou irrite les appareils nerveux terminaux de la
peau
, destinés à toutes les fonctions physiologiques
moyen pour irriter séparément chaque appareil physio- logique de la
peau
, sans toucher en même temps les autres appareils
résultats obtenus par Bernhard en irritant les mêmes endroits de la
peau
par l'élec- tricité, on trouve sur certains poi
uses n'est pas partout en propor- tion inverse de l'épaisseur de la
peau
. A épaisseur égale de la peau, c'est la densité
- tion inverse de l'épaisseur de la peau. A épaisseur égale de la
peau
, c'est la densité du tissu sous-jacent qui en d
Les membranes muqueuses sont moins sensibles à la douleur que la
peau
. Leur sensibililé est sujette à des grandes flu
la tête, c'est-à-dire d'avant en arrière et d'en bas en haut. La
peau
de la partie cartilagineuse du nez esl moins sens
rtie cartilagineuse du nez esl moins sensible à la dou- leur que la
peau
de la partie osseuse. Une différence marquée en
nfluence sur l'affai- blissementde la sensibilité douloureuse de la
peau
, surtout sur la paume des mains. Les avantage
30 novembre 1891, le Dr Thomas D. Savill a décrit « une maladie de
peau
épidémique, res- semblant il certains égards a
hes histologiques inédites entreprises par le 1)° T. D. Savill sur la
peau
d'un malade ayant succombé au cours de cette af
puriques sur la jambe gauche. 4 septembre. Persistance de l'oedème.
Peau
rouge brillante. Prostra- tion profonde. Secous
il éprouve à la langue et dans la gorge. Température très basse. La
peau
se desquame en larges lambeaux. (Voy. la photog
eproduite pl. VII. On y voit nettement l'exfoliation générale de la
peau
et ce qui persiste du rash). 1.4 septembre. A
de l'affec- tion. La fin ne peut être attribuée qu'à la maladie de
peau
, à la gastro- entérite et à la diarrhée. La t
la période de grand collapsus. Autopsie. 24 heures après la mort.
Peau
écailleuse sur tout le corps. Pigmentation des br
onique au genou droit. ÉTUDE IIISTOLOGIQUE (1). Des morceaux de
peau
ont été recueillis 24 heures après la mort avant
Nouv. ICONOGR.. DE LA SaLPÊTRI1vRE T. VIII PL. V a, VI COUPES DE LA
PEAU
DANS LA MALADIE DE SAVILL (EPidl'mie Ski/J dise
ielles, et elle n'est pas aussi apparente dans les cas bénins où la
peau
a été le siège d'une inflammation moins vive. L
à l'intérieur, envahissant successivement toutes les couches de la
peau
. Dans un autre cas plus bénin j'ai trouvé la couc
s semaines et demie. Deux fois, j'ai pu me procurer des morceaux de
peau
pendant la vie; une autre fois, vingt minutes a
au pendant la vie; une autre fois, vingt minutes après la mort ; la
peau
a été mise aussitôt dans l'alcool et examinée q
mme résultant d'un durcissement trop prolongé. Dans un morceau de
peau
pris en 1891, sur un autre malade pen- dant la
ut le corps, en suivant un plan général préétabli. Le squelette, la
peau
, les glandes, l'habitus général, et jusqu'aux fac
hes, hyperesthésie qui se ma- nifeste au moindre attouchement de la
peau
de ces régions. Celte hyperes- thésie se retrou
68 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE ment même léger de la
peau
, de la palpation du 1 uscle, de la percussion d
tit mouvement du membre, le moindre attouchement à la surface de la
peau
, principalement à la face antérieure de la cuisse
d'une hyperémie secondaire ; pourtant il n'y a pas de rougeur de la
peau
, plu- tôt, au contraire, un peu de pâleur avec
il devenait turgide, plus volumineux que celui du côté opposé et la
peau
prenait une teinte légèrement rosée. Cette mala
nente du volume de l'organe avec hyperes- thésie considérable de la
peau
qui recouvre la mamelle. Comme nous avons pu no
e et parfois peut- être, comme nous le verrons, à la gangrène de la
peau
. Cette pathogénie avait été déjà entrevue par F
principaux de cette description som- maire. L'hyperesthésie de la
peau
du sein, notée dans tous les cas, ne diffère pa
plus contradictoires. Brodie note qu'il n'y a pas de rougeur de la
peau
, bien plutôt il existe un peu de pâleur avec un
que « les seins sont tuméfiés et augmentés d'un tiers envi- ron. La
peau
qui les recouvre est chaude, rouge et tendue ».
parfaitement symétriques, sans aucune alté- ration de couleur de la
peau
. « La personne qui accompagnait la malade, dit-
devenue le siège d'une sensation de cuisson avec picotements de la
peau
et élancements dans la glande mammaire, qui dev
réside tout particulièrement dans les couches superficielles de la
peau
. Le mémoire de Fowler est très intéressant à ce
est sous la dépendance d'une zone hyperesthésique-hystérogène de la
peau
de la région mammaire, et d'un oedème du tissu co
118 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE 1 l'ulcération de la
peau
ou plus particulièrement du mamelon, signe si pré
nt le processus est assez intense pour pro- duire la gangrène de la
peau
, limitée au mamelon ; infection secondaire de l
SEIN HYSTÉRIQUE 121 que les os n'en furent plus couverts que d'une
peau
aride, qui. collée sur ces os, en laissoit voir
les plaies (dues probablement au décubitus) sont couver- tes d'une
peau
nouvelle; la miraculée lève au ciel les bras dont
se du corps, qu'il est en grande partie situé immédiatement sous la
peau
, on comprendra toute l'importance qu'acquiert, au
e qui leur importe c'est le muscle humain en place, recouvert de la
peau
qu'il soulève de façon différente, suivant qu'il
la IVe apophyse épineuse cervicale à la Ille dorsale (fig. 19). La
peau
, puis l'apo- névrose ayant été divisées au bist
utures profondes au catgut passées dans les plans musculaires et la
peau
suturée au fil d'argent. Le petit tampon qui avai
nous décide à enlever les fils d'argent qui commencent à couper la
peau
. Malheureusement, au cours de cette ablation, le
scapulum. En ce point, la cage thoracique n'est plus séparée de la
peau
que par le corps mince du grand dorsal. Cet espac
ce. l '. DU RAPPORT DE L'ECZÉMA CHRONIQUE AVEC L'ANESTHÉSIE DE LA
PEAU
PAR le Professeur STOUKOVENKOFF (de Kieff).
HÉSIE DE LA PEAU PAR le Professeur STOUKOVENKOFF (de Kieff). La
peau
est un organe intimement lié avec le système nerv
timement lié avec le système nerveux. La membrane épithétiate de la
peau
se forme des mêmes vésicules germinati- ves téc
es supérieurs des sens. Dans l'économie générale de l'organisme, la
peau
se présente comme l'organe par excellence de la
rieures de douleur, de tempéra- ture etc. Ce rôle important de la
peau
comme organe dans la sensibilité con- duit à la
ibilité con- duit à la supposition que les centres trophiques de la
peau
sont situés, avec les centres trophiques des ne
s cliniques qui démon- trent que les modifications trophiques de la
peau
sont toujours liées à des troubles de la sensib
ph (1), Justus Gaule (2)] montrent que les centres trophiques de la
peau
sont effective- ment situés dans les ganglions,
écoule celle proposition générale que les troubles trophiques de la
peau
doivent être accompagnés, au moins fréquemment,
ONIQUE AVEC L'ANESTHÉSIE DE LA PEAU 165 ' dans les affections de la
peau
où, pour une raison quelconque, on peut soupçon
entiel à notre avis, la détermination du degré de sensibilité de la
peau
, est complètement négligé. Dans un seul travail
endu (1), nous trouvons des obser- vations sur la sensibilité de la
peau
dans l'eczéma. Il est regrettable que l'auteur
t à rechercher le degré de , sensibilité delà partie attaquée de la
peau
, comparée à la partie saine environnante, de so
oin l'état du système nerveux en général et de la sensibilité de la
peau
en particulier chez les malades affectés d'un e
hes sur les altérations de la sensibilité dans les affections de la
peau
. Annales de derm. et de syph. l8ll-l815. (2) Le
Fie. 45 DU RAPPORT DE L'ECZÉMA CHRONIQUE AVEC L'ANESTHÉSIE DE LA
PEAU
169 Je commencerai par un bref résumé des cas o
ost-a-diro la vue, l'ouic, le goût et. t'odorat. Auestbé- sie de la
peau
du dessus du pied gauche et de la surface antérie
et de la surface antérieure de la jambe gauche. L'anesthésie de la
peau
comprend toutes les variétés de la sensibilité.
siée que sur la région sensible. De profondes piqûres, faites dans la
peau
du tôté aneslhésié, n'ont pas provoqué d'bémorr
s d'eczéma chronique, on'voit que la durée de, l'état morbide de la
peau
a varié de 1 an à -19 ans ; les parties du corp
upart des cas, l'ec-- zéma affectait les régions anesthésiées de la
peau
(8 cas) ; dans les autres, il s'étendait aussi
'a- vait pas procédé ;I un minutieux examen de la sensihililë de la
peau
. La présence de l'eczéma dans l'hystérie ne peu
plaques ont un aspect uniforme, toute trace de poils a disparu, la
peau
est lisse et saine sans aucune desquammation, san
ce de con- gestion ou de lésions de grattage, ni d'altération de la
peau
ou des cheveux , ni à leur surface, ni à leur p
aules s'élargissent, le corps et le visage se couvrent de poils, la
peau
se durcit et se fonce, les muscles saillent au-
décis. 1 Inversement, si c'est une fille, le bassin s'aggrandit, la
peau
reste fine et glabre sur le visage et sur le co
arrondi, ventre un peu gros, membres potelés enveloppés de graisse,
peau
fine et rosée ; visage, pubis, aisselles, vierges
Lèvres saillantes et charnues. Nez peu déve- loppé. Visage glabre.
Peau
fine et de couleur claire. Cheveux fins, sourcils
ne voit les reliefs musculaires. La figure ronde est imberbe et la
peau
du corps est glabre. Pas de poils aux aisselles
tion congé- nitale, qui me semble aussi intéressante que rare. La
peau
cle la verge est soudée par ses bords latéraux av
le des bourses, en sorle qu'on ne voit de la verge que le gland, la
peau
de la sur- face antérieure du pénis et la parti
En examinant cependant plus attentivement la région, on voit que la
peau
de la face antérieure de la verge se distingue ne
s. Le feuillet interne du prépuce se confond insensiblement avec la
peau
NOUV. ICONOGR Dt Ln SALPÈr¡Ji'ÎE T VIII PL ?
différents chapitres de la pathologie interne. " Les maladies de
peau
, la syphilis, la lèpre, les maladies épidémiques,
irurgien, armé d'un bistouri ou d'une sonde, fait une incision à la
peau
ou semble explorer la plaie. Souvent aussi il a l
es meilleurs tranchants, qui parfois viennent faire saillie sous la
peau
, comme on en voit un exemple opéré par Jobert a
nt la tête avec fermeté : ses doigts marquent leur empreinte sur la
peau
. Enfin il est propre : car il a relevé ses man-
e guerre, par une pierre de fronde ou un projectile d'arquebuse. La
peau
du front est incisée verticalement de la naissanc
es jambes, le corps rejeté en arrière, audacieusement, il incise la
peau
du front avec un énorme bistouri : c'est le premi
certains malades atteints de tétanie, la compression d'un membre :
peau
, muscles, filets nerveux, veines ou artères, est
tille. Ce sont des papules, légèrement surélevées, reposant sur une
peau
saine, avec un rebord périphérique nettement déli
droite, armée d'un bistouri, incise plus ou moins profondé- ment la
peau
du front, tandis que la main gauche, munie de for
férieure. De la main gauche, il tend, entre le pouce et l'index, la
peau
de la région parotidienne où est pratiquée l'op
sa main gauche, et, tandis que de la droite il pique légèrement la
peau
de son client, il laisse échapper une à une les
souffrances. 1 L'opération consistait en une incision légère delà
peau
, suivie d'un tour de passe-passe ayant pour but
eschares trochantériennes : : - ces ulcérations sont indolentes, la
peau
des membres inférieurs s'ulcère sous l'influenc
piqûre, ni le thcrmoesthésiomctrca 80°, ni la glace promenée sur la
peau
. La perte du sens musculaire aux quatre membres e
iculièrement à la région abdominale où les attaches profondes de la
peau
à l'ombilic leur impriment une direction toute
malade n'a que 62 ans et on lui donnerait bien da- vantage. 1 La
peau
est fine et le pannicule adipeux a presque entièr
chez la femme pour l'accumulation de la graisse. En cet endroit, la
peau
trop lâche retombe à la partie inférieure où elle
Richer, 158. Eczéma chronique. Rapports avec l'anes- thésie de la
peau
, par Stoukovenkoff, 164. Epidémie Skindisease
ukovenkoff. Rapport de l'eczéma chro- nique avec l'anesthésie de la
peau
, 164. VEULLLOT. Gangrène d'origine hystéri- q
. Epidémie Skin Disease. Habitus extérieur, VII. - Coupes de la
peau
, V et VI. Formes du corps en mouvement. Flexion
e, que la localisation de ces sensa- tions à tel ou tel point de la
peau
peuvent être troublées par des mécanismes diffé
ées par des mécanismes différents ; encore faut-il remarquer que la
peau
n'a pas le privilège de ces sensations dites si
ciation de la forme des objets il n'y a rien là de surprenant, leur
peau
sent mal ou pas du tout, leurs articulations se m
- tique des sensibilités tactiles, douloureuses et thermiques de la
peau
et même de la sensibilité musculaire proprement
faire des déductions sur l'étiologie des différentes maladies de la
peau
, qu'on a commencé à donner plus d'attention à l'e
les directions sur de nombreux malades souffrant de maladies de la
peau
, un matériel qui puisse servir à généraliser le
par F. Hebra en 1860 ; en 1866 E. Wilson a décrit une maladie de la
peau
sous le nom de lichen planus qui, après une étu
es observations cliniques. Dans tous les traités des maladies de la
peau
les plus connus, on ne fait presque pas mention
se contente de démontrer que la haute température, agissant sur la
peau
nue, y prédispose. Kaposi dit de même que nous ne
des bacilles très menus dans les petits espaces lymphatiques de la
peau
des malades; mais ces explorations jusqu'à prés
e celle maladie on observe l'atrophie de la couche papillaire de la
peau
. Plusieurs dermatologisles anglais et français
'était montrée DE L'ÉTIOLOGIE DU LICHEN RUBER 91 en stries sur la
peau
le long des nerfs sur les membres inférieurs; un
ent à un côté du corps dans la direction d'un nerf quelconque de la
peau
; on a aussi observé des cas où pendant l'appari
es malades, les considérant comme bien portants en tout (excepté la
peau
) et ne s'inlé- ressant qu'au côté morphologique
nsi que d'une diminution de la sensibilité à la douleur de toute la
peau
. IL- Un )lOmme de 48 ans,j ni f. - Lichen ruber
les endroits non couverts d'éruption des parties symétriques de la
peau
de près de 6 centimètres de diamètre où toutes
bres inférieurs, s'est étendue peu à pen sur toute la surface de la
peau
et fut accompagnée d'une forte démangeaison. Le
et pâlissent. Ici, on peut remarquer des stries blan- châtres de la
peau
atrophiée et luisante à la place des éruptions qu
nt en forme de stries rappelant celles qu'on avait observées sur la
peau
de la paume. Le père du malade est un vieillard
ent les données suivantes : DE L'ÉTIOLOGIE DU LICHEN RUBER 103 la
peau
qui doivent être considérées comme les plus primi
ènes qu'on observe dans tout, un groupe de maladies nerveuses de la
peau
au nombre desquelles il faut certainement compt
bies et des mammifères, a provoqué divers troubles trophiques de la
peau
, en variant la force d'excitation qu'il a emplo
rophie du pigment, l'hypertrophie de l'épithélium, l'atrophie de la
peau
, la formation de plaies et autres troubles trop
la peau, la formation de plaies et autres troubles trophiques de la
peau
. On doit croire que tout le tableau des altérat
On doit croire que tout le tableau des altérations maladives de la
peau
qui s'expriment principalement par l'altération
tre acquis. De quelque manière que commencent les altérations de la
peau
que nous observons cliniquement comme éléments
tatoseu, 1883. HARDY, Traité pratique descriptif des maladies de la
peau
. Paris, 1881. HILLAHET, Traité théorique et pra
is, 1881. HILLAHET, Traité théorique et pratique des maladies de la
peau
. Paris, 1881, VIDAL, Annales de dermatologie et
f il est vrai ; mais leurs reliefs demeurent « enveloppés » par une
peau
fine, sum- samment rembourrée de graisse. S'il
assés de la gangue graisseuse de l'enfance; on lit aisément sous la
peau
leurs insertions, leurs faisceaux, leurs reliefs
e : « Une incision au niveau de la tùmeur, dit-il, fait voir que la
peau
et le tissu cellulaire sont normaux.Le muscle e
il se présente sous cet aspect, là où les os longs affleu- rent la
peau
, à la partie interne du bras, à la face antérieur
(Hawkins, notre cas). Lorsque la tumeur est assez superficielle, la
peau
qui la recouvre y adhère intimement, on ne peut
ipeux. Un réseau veineux superficiel s'est parfois développé sur la
peau
qui recouvrait la tumeur osseuse; plus rarement
dépressions profondes, vérita- ble charnier osseux couvert par une
peau
pâle, épaissie, ayant perdu toute mobilité par
physique et intellectuel du petit malade. Il cessa de gran- dir, sa
peau
s'épaissit ; il souffrit de douleurs dans les mem
son pouls se sont élevés rapidement; puis il a maigri beaucoup; sa
peau
s'est amincie, est devenue plus souple; ses cheve
e est entourée d'une bordure rose, qui occupe la partie saine de la
peau
sur les limites de la plaque, et au niveau de laq
s de Dermatologie, février 1898. (3) Kaposi, Traité des maladies de
peau
, Traduction de MM. Besnier et Doyon, p. 112. NO
x ainsi que les deux plaques blanches. Au niveau de ces plaques, la
peau
est décolorée, lisse. Il semble exister, par pl
palpation. Ces bandes ont des bords irréguliers. La limite entre la
peau
saine et la surface malade est formée par une z
dienne du sommet du crâne. Il semble que l'on touche une portion de
peau
gelée par un jet de chlorure de méthyle. Ces ba
nerf frontal externe et du nerf frontal interne (Voy. Fig. 1). La
peau
avoisinante est intacte. La sensibilité est norma
tre de ce côté. 11 n'existe aucun trouble de la sensibilité de la
peau
ni des muqueuses de la face, et en particulier
péritoine. De larges ulcérations peuvent se montrer au niveau de la
peau
qui couvre les tumeurs osseuses; elles peuvent
de trans- pirations, avec peu ou pas de modifications du côté de la
peau
. Tout autre est le début de la myosite ossifian
dieus durs, rigides, dépourvus d'ossifications se dessinent sous la
peau
comme chez les individus âgés et amaigris. A la
rtie inférieure où elle se montre bosselée, irrégulière, à fleur de
peau
. (Fig.1.) Elle se continue en haut avec celle des
1, flexible et très mobile ; elle est située immédiatement sous la
peau
, à cheval sur le biceps et le brachial antérieur.
F Autopsie. On constata ce qui suit : une coloration cyanosée de la
peau
avéc nuance ictérique. La conjonctive était jau
s d'un seul mem- bre (avec une piqûre ou avec une égratignure de la
peau
) ces mouve- ments ne restaient pas localisés et
ci laquelle on rapportait tous leurs maux. Une incision légère de la
peau
était suivie d'un tour de passe-passe à l'aide
e chirurgien peul examiner la plaie. Elle est béante, enta- mant la
peau
du front sur une assez grande longueur, mais la p
enta- mant la peau du front sur une assez grande longueur, mais la
peau
seule probablement, car le blessé conserve tout
e ceux que nécessite la recherche d'un corps étranger caché sous la
peau
. » Comme le fait judicieusement observer le Dr
x paysans, debout, vêtus comme l'opéré, d'étoffes rapié- cées et de
peaux
de mouton, regardent et commentent l'opération. U
t, malheureusement difficile à reconnaître. Est-ce un lambeau de la
peau
du crâne ? Est-ce un morceau d'emplàtre à moitié
émergents de quelques nerfs. DE LA SENSIBILITÉ DOULOUREUSE DE LA
PEAU
. ALGÉSIMÉTRIE PAR MOCZUTKOWSKY, Professeu
- phique de la sensibilité douloureuse de toute la superficie de la
peau
. Bien- tôt, j'ai fait exécuter un dessin d'aprè
on du trouble de chaque espèce particulière de la sensibilité de la
peau
s'éclaircira quand nous saurons employer des irri
yer des irritateurs spéciaux pour chaque terminaison nerveuse de la
peau
, sans irriter les autres ter- minaisons voisine
isons voisines destinées aux autres espèces de la sensibilité de la
peau
. Notre ignorance actuelle au sujet de savoir à qu
nce actuelle au sujet de savoir à quel genre de sensibi- lité de la
peau
est destinée l'une ou l'aulre terminaison nerveus
eur non seulement par irritation des termi- naisons nerveuses de la
peau
, mais encore on peut la provoquer en irri- tant
ême dans les plus récents, on parle « du sens de la douleur » de la
peau
. Ad- mettant la douleur comme un phénomène path
aux pour se défendre contre ses DE LA SENSIBILITÉ DOULOUREUSE DE LA
PEAU
. ALGÉSIMÉTRIE 231 nombreux ennemis. Au contrair
douloureuse et si en outre on accepte que chaque terminaison de la
peau
est capable de recevoir la douleur indépendamment
tion physiologique, alors on peut nier la nécessité d'avoir dans la
peau
des appareils spéciaux destinés exclusivement il
accepte la supposition de Goldscheider et de Blix qu'il y a dans la
peau
des terminaisons spéciales pour deux espèces du s
Le même corps, à une température constante et sans influence sur la
peau
, faiblement louché, donne seulement une sensati
eur. De sorte qu'on peut se passer d'admettre, qu'il existe dans la
peau
des fonctions spéciales, exclusivement destinées
ort avec leurs relations quantitatives dans une région donnée de la
peau
, se trouve le caractère de la douleur. Tantôt e
besoin journellement d'examiner les sensa- tions douloureuses de la
peau
. Les cliniciens et les physiologistes dans leurs
ve, quelquefois même doublement DE LA SENSIBILITÉ DOULOUREUSE DE LA
PEAU
. ALGÉSIMÉTRIE 233 subjective parce qu'elle dépe
s mensurations : Les variations de la sensibilité douloureuse de la
peau
chez les per- sonnes tout à fait bien portantes
- limètres. Le centre de la moindre sensibilité douloureuse de la
peau
c'est la région du bassin ; de là vers la tète
extrémités la sensibilité douloureuse augmente graduellement. La
peau
la plus sensible aux piqûres se trouve sur la lim
chauve de 0,15 à 0,2 millimètres. Le% endroits de passage entre la
peau
et la muqueuse (les lèvres) ont une plus grande
euses est de beaucoup inférieure à la sensibilité douloureuse de la
peau
. Le degré de sensibilité des différentes muqueu
est différent : Fig. 1 et 2. DE LA SENSIBILITÉ DOULOUREUSE DE LA
PEAU
. ALGÉSIMÉTRIE 235 La surface intérieure de la l
re à 1/2 hau- 236 MOCZUTKOWSKY la sensation des irritations de la
peau
. Comme preuve il donne l'observa- tion qu'avec
, on n'a pas la sensation du pouls. - Dans les plis normaux de la
peau
la sensibilité douloureuse est toujours plus gr
est toujours plus grande. Sur les articulations fléchies, quand la
peau
qui les recouvre est tendue, la sensibilité est
plus grande que quand les articulations sont en extension, avec la
peau
en plis (les doigts). La sensibilité douloureus
tandis qu'on ne définit pas cette pointe quand on la promène sur la
peau
du front, place la plus sensible aux pi- qûres.
, place la plus sensible aux pi- qûres. Les petites parties de la
peau
, qui sont à côté l'une de l'autre, ne possè- de
ette question attend encore des explications ultérieures. Plus la
peau
est mince, plus la sensibilité douloureuse est gr
loureuses n'est pas toujours en raison inverse de l'épaisseur de la
peau
: derrière l'oreille où la peau est plus mince, o
raison inverse de l'épaisseur de la peau : derrière l'oreille où la
peau
est plus mince, on a des sensations douloureuse
t de 0,5 millimètres ; sur la limite du cuir chevelu du front où la
peau
est plus épaisse, de 0,2 millimètres. L'épaisse
rande influence sur la sensibi- DE LA SENSIBILITÉ DOULOUREUSE DE LA
PEAU
. ALGÉSIMÉTR1E 237 lité douloureuse de la peau :
ITÉ DOULOUREUSE DE LA PEAU. ALGÉSIMÉTR1E 237 lité douloureuse de la
peau
: leurs grandeurs sont en raison inverse. Entre
u : leurs grandeurs sont en raison inverse. Entre l'épaisseur de la
peau
d'un côté et la sensibilité douloureuse et tactil
ôté il n'y a pas de relation directe : sur la plante du pied, où la
peau
est très épaisse, la sensibilité tactile est très
ses sous l'influence de l'accumulation des vaisseaux sanguins de la
peau
, des cou- rants électriques et des narcotiques
ssi des grandeurs non relatives de la sensation doulou- reuse de la
peau
. L'exercice a une bonne influence, parce que le
de la sensibilité doulou- reuse dans les différentes régions de la
peau
en même temps que A. de Wattewitte et le profes
trouvé la sensibilité douloureuse égale sur-toute la surface de la
peau
. LES MALFORMATIONS CRANIENNES CHEZ LES IIL`R1
s qui a détruit la paroi musculaire, ce qui permet, en refoulant la
peau
, de pénétrer dans la cavité abdominale et de palp
as traitée comme telle par son médecin pour « des taches roses à la
peau
». Trois grossesses : Première grossesse : en
u à droite. Les sterno-mastoïdiens sont tendus et saillants sous la
peau
. Ankylose des articulations scapulo-humérales.
19 la tu- meur diminue, devient très dure et irrégulière, le 2fi la
peau
et le tissu cellu- laire redeviennent mobiles s
pas de dépôt calcaire dans les urines, pas de sécrétion acide de la
peau
. Les ossifications ne sont pas composées par des
et tous les éléments d'un véritable os à l'examen micros- copique.
Peau
crasseuse, sécrétion sébacée abondante. L'affecti
ux coudes. Des saillies et des dépressions au dos. On sent, sous la
peau
, des tubérosités et des bandelettes osseuses ir
- lettes osseuses au-dessus des omoplates. Perte de substance de la
peau
du dos en plusieurs endroits. Atrophie consid
de t'age de 10 ans, il n'a jamais donné des signes de virilité. La
peau
adhère intimement aux muscles ossifiés. Etat géné
ièrement remarrluable. Front et parties molles de la tête durs ; la
peau
y est peu mobile. Une petite exostose sur le pa
la paroi abdominale, il 7 centimètres de la ligne blanche, sous la
peau
, se voient des bandelettes osseuses, grosses comm
juin. z On sent alors a la région inguinale, immédiatement sous la
peau
saine, une tumeur osseuse, indolore it la press
aux osseux sont ronds, coniques, pointus, tranchants, recouverts de
peau
saine, au début un peu mobiles dans les parties m
on pâteuse dans les tissus mous sus-jacents sans modification de la
peau
à son niveau ; la tuméfaction est un peu sensib
r de taille, au niveau des mamelles, 62 centimètres. Teint pâle. La
peau
qui recouvre les ossifications semble moins ric
pâteuse, douloureuse au moindre attou- chement et recouverte d'une
peau
saine, légèrement chaude. Kohts ajoute que dans
ite. La malade éprouve une sensation subjec- tive de chaleur sur la
peau
du côté droit de la face qui, plus colorée qu'il
nerfs crâniens et des deux moi- tiés du cerveau et du cervelet. La
peau
du visage n'a pas été examinée. OBS. IV. (IIeum
taie de la moitié gauche de la face intéressant tous les tissus, la
peau
qui a conservé son aspect normal, les os qui so
membres et la face avec participation des os en quelques points. La
peau
nor- male présente par places des plaques qui d
re buccale droite d'où s'écoule constamment de la salive qui érode la
peau
en un sillon vertical. Les lèvres sont trois
ntimètres à droite et 11 centimètres il gauche. La coloration de la
peau
du visage est nor- male, sauf au niveau d'une z
u corps est normal. L'intelligence est bonne. De grands lambeaux de
peau
ayant été enlevés dans un but esthétique, l'exa
des tissus adipeux et conjonctif; le premier, pré- dominant sous la
peau
, a sa structure habituelle ; le second, surtout a
et un huitième à gauche et de 4 pouces sept huitièmes à droite. La
peau
qui recouvre le côté gauche de la face est partou
ainsi qu'à la présence de nombreux comédons dans l'intérieur de la
peau
. L'oreille gauche est hypertrophiée dans sa moi
eure et cette hyper- trophie tient au cartilage épaissi et non à la
peau
qui est normale. Le cuir chevelu et les cheveux
sillon est cependant assez marqué et à son extrémité inférieure la
peau
est verruqueuse, comme dans certains cas d'élép
tement mais manifestement progressive. L'examen microscopique de la
peau
a été fait sur des lambeaux cutanés en- levés p
n faisait sourdre une grande quantité de matière sébacée, et que la
peau
du menton, où les glandes sébacées sont plus déve
sébacées. Les petites nodosités intra-dermiques qui soulevaient la
peau
de la joue étaient dues à de grands amas de cel
tait de même le long et au pourtour des vaisseaux. L'épithélium de la
peau
nÉDIInIPI;liTR01'IiIE FACIALE 365 n'était pas
n'existe chez le malade ni éruptions ni pigmentation anormale de la
peau
. Le système musculaire est modérément développé.
i manque,est développée régulièrement. Point de voûte crânienne. La
peau
, qui entoure la base du crâne, apparaît comme c
qu'ici, dans la partie supérieure de la tète, les os crâniens et la
peau
qui les entoure sont conservés et occupent un esp
me d'un ovale, limité sur les côtés par ce qui reste des os et par la
peau
3' ! t lê NICOLAS SOLOVTZOFF retournée en ded
te se trouve prise daus l'intérieur de cette masse. A son niveau la
peau
est épaissie par place ; elle offre des veines
colonne vertébrale à con- vexité droite. Le 20 mai éruption de la
peau
avec T. 38° à 38e. Le bras gauche ne peut être
ent dans différents endroits du corps, indolores à la pression ; la
peau
est mobile à leur niveau. Les mieux développées
e, et un nodule comme un petit pois, immédiatement au-dessous de la
peau
. Epaississement de la tubérosité interne du tibia
elle est légèrement mobile et semble appartenir au grand dorsal. La
peau
offre à-son niveau une cicatrice, résultat d'un
de l'épaule droite très limités surtout l'abduction et l'élévation.
Peau
et tissu cellulaire sous-cutané nor- maux. Les
une noix. ' 27 avril. - Une incision au niveau de la tumeur donne :
peau
et tissu cel- lulaire normaux ; le muscle est t
sain,le relief du trapèze in- férieur se dessine nettement sous la
peau
(PI. XLVIII, A). Dans cette attitude, l'omoplat
et se rapproche de la ligne médiane, en faisant une saillie sous la
peau
. » ' C'est exactement ce qui a lieu dans notre
se rapproçhant en même temps du rachis et venant sail- lir sous la
peau
. L'élévation in tolo de l'omoplate relève plus de
avec force le sus-épineux et môme le sous-épineux qui font sous la
peau
des reliefs très accusés. Chez cet homme, le delt
ur témoignage que les reliefs exagérés que ces muscles font sous la
peau
, et l'attitude vicieuse qu'ils im- priment à la
t sail- lant d'aspect verruqueux, ayant la coloration vineuse de la
peau
sous- jacente ; un autre semblable existe sur l
aux, sans prédominance latérale mar- quée ; mais du côté gauche, la
peau
de la région naso-orbitaire est d'une sensi- bi
apophyses épineuses dorsales, sans trouble de la sensibilité de la
peau
. Pas de points douloureux dans les régions mamm
l'omoplate s'éloigne de la paroi thoracique et fait saillie sous la
peau
. En appliquant sur les faisceaux antérieurs et
ues jours d'un gonflement presque pâteux, avec légère rougeur de la
peau
et douleur très vive à la pression ; pas de fièvr
l'humérus gauche; ce dernier est plein de nodosités et adhèrent à la
peau
. En outre une exostose existe sur la première c
dème dans toute la région du ster- num à la mâchoire. Rougeur de la
peau
. 4$6 A. 'WEIL ET J. NISSIM La température rev
d'associa- tion, par G. GASNE, 46. Sensibilité douloureuse de la
peau
: algé- simétrie, par MocxHTKOVSKY (2 fig.), 23
r), 492. 1`IOC%U1'IiovSliY. De la sensibilité doulou- reuse de la
peau
: algésimétrie (2 fig.), 230. TABLE DES AUTEU
s. I), soit de ces surfaces contre les corps étrangers (obs., II). La
peau
conserve son aspect ordinaire; le plus souvent le
epuis le poignet jusqu'à l'épaule, était considérablement tuméfié; la
peau
était « rouge, comme bronzée. » Au bout de trois
rsistent. 1er juillet. L'épaule gauche est toujours volumineuse. La
peau
est normale ; quelques veines sous-cutanées sont
y a eu deux selles abondantes. Injection de 5sr,50 de chloral sous la
peau
des régions iliaques. — P. assez petit, 120; R. 5
vers les membres intérieurs.— Injection de 5gr,50 de chloral sous la
peau
de l'abdomen. P. 156; R. 40; T. ax. 59°. 2 heur
la région était plus serré ; en effet, les piqûres pratiquées sous la
peau
des parties moyennes et latérales de l'abdomen ne
conjonctive oculo-palpébrale a une teinte sub-ictérique. La face, la
peau
, en général, sont jaunâtres. Langue sèche, rouge
inal peu considérable, noirâtre. Miction et défécation inconscientes.
Peau
chaude, ni sèche, ni sudorale. Le muguet s'étend.
malade meurt le 24 octobre à six heures. Autopsie le 25 octobre. La
peau
de l'abdomen a une couleur verdâtre. La rigidité
omplète. L'épiderme, soulevé, ridé, se détache en larges lambeaux. La
peau
est molle, flasque, d'un rouge vineux ; à la coup
is, prenaient la forme d'accès. Les animaux atteints de maladies de
peau
avec prurit, forcés de se gratter et de se lécher
ar raymond la formation de l'égagropile, dans certaines maladies de
peau
. On trouve également chez cet animal des égagropi
r une trace même légère, doit être assez énergique. Simulta-nément la
peau
, à part la distension qui rend les veines sous-cu
vives, une augmentation de la température ;—dans l'arthro-pathie, la
peau
est pâle, légèrement bronzée et luisante; la temp
ère. Le bras etl'avant-bras sont le siège à'mi œdème considérable. La
peau
qui recouvre l'articulation est à l'état normal.
es populeuses plates, et que M. Bazin appelle plaques muqueuses de la
peau
, alors qu'elles s'accusent avec un certain aspect
aucune croûte, comme on en rencontre dans les plaques muqueuses de la
peau
, de M. Bazin. L'éruption a pâli graduellement,
Le système musculaire était en général affaibli, surtout au bras. La
peau
, toujours chaude, transpirait li-brement. Parfois
25 janvier ; elle y est complète le 9 février. Le 25 du même mois, la
peau
de la région sacrée est le siège d'une plaque éry
isme sont, du reste, assez nombreuses. On observe de la rougeur de la
peau
, qui est souvent un peu chaude; la jointure est g
2 à 5 millimètres. Quand on efface cette dépression en tirant sur la
peau
, on ne découvre au-cune trace de cicatrice, mais
e interne une petite apophyse d'où part un ligament qui s'insère à la
peau
au niveau de la dépression la moins profonde. L
styloïde et s'insère au niveau de la dépression infundibuhforme de la
peau
. Le corps du radius présente deux tubérosités. Un
t du ligament interosseux à l'extrémité in-férieure du radius et à la
peau
. Cette masse remplit tout l'espace situé entre le
aire qui s'étend du bord externe de l'humérus et de l'épicondyle à la
peau
du moignon. Le court supinateur s'étend de l'épic
de l'avant-bras avaient leurs représentant s qui se perdaient dans la
peau
du moignon1. ARRÊT 0E DÉVELOPPEMENT DE L'AVANT-
M. Rosapelly, E repré-sente une sorte de ligament qui se perd dans la
peau
du moignon, F. REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPIT
és suivantes : long de quatre centimètres et demi, il est conique. La
peau
a sa coloration natu-relle. — Le pli du coude pré
s de J'avant-bras : on dirait qu'à cet endroit il y a adhérence de la
peau
avec chaque extrémité osseuse. La dépression inte
de l'enfance. (Voy. planches VIII et XVI.) 5* La dépression de la
peau
au niveau du cubitus est circonscrite à sa partie
petit sillon incomplet à concavité externe. En déprimant fortement la
peau
, on peut introduire entre ces deux os l'extrémité
ne forme arrondie ; alors disparaissent en partie dans les plis de la
peau
les particu-larités qui viennent d'être indiquées
molles; sécrétion jaunâtre. Physionomie calme. La malade parle bien.
Peau
fraîche. Langue moins grosse; les ulcérations se
lexion et d'extension sont du reste très-éfendus. Sur le moignon la
peau
a sa coloration normale ; à peine voit-on un pli
le et ne s'acquitte de sa besogne qu'avec lenteur. Dans l'hiver, la
peau
du membre supérieur droit devient violacée, marbr
3,3 — — du métatarse..... 22,5 — 23 — L'influence du froid sur la
peau
est moins forte qu'au membre 1 La planche XVI ind
masse sur les couches profondes, du volume d'un sein de femme pubère.
Peau
adhérente partout, rouge et très-amincie vers l'a
tuée sur le grand pectoral, mobile sur son aponévrose, adhérente à la
peau
dans toute son étendue ; elle est oblongue et mes
. — Soir : P. 120 ; T. V. 59°,7. 6 avril. P. 112-116; T. V. 41°. La
peau
est chaude, la langue sèche; ni coliques, ni gârd
après-midi, un léger frisson. — Ac-tuellement la face est colorée, la
peau
chaude. Les seins sont mous. — Les parties génita
°,5. 13 avril. P. 68; T. V. 38°,5. — Soir : P. 88 ; T. V. 39°,6. La
peau
est chaude ainsi que les joues, qui sont colorées
pour admettre des marbrures, des plaques érythémateuses éparses. — La
peau
a souvent un aspect terreux, cireux. Si l'os atte
La respiration, accélérée, laisse entendre des râles disséminés. La
peau
est le plus souvent sèche, terreuse, chaude, acre
64; R. 28 ; T. R. 32°,6. 10 heures. Pâleur et refroidissement de la
peau
sans qu'il y ait de différence entre les deux côt
e. Les yeux, aussi, sont dirigés à droite. Même refroidissement de la
peau
; pas de sueurs. — Râles trachéaux. — P. 52; R. 20
ire intestin; 3° Les eaux diaphorétiques s'adressant à l'émonctoire
peau
; Nous devons reconnaître, d'ailleurs, que cett
t ces deux phalanges sont unies enlre elles par un prolongement de la
peau
, dont la disposition rappelle la membrane des pal
facilement, se détachant par grandes squa-mes; au-dessous d'elles, la
peau
présente une teinte rouge rosé vif, ressemblant f
des pla-ques ; elles se détachent facilement, laissant à découvert la
peau
rouge rosé, mais d'une coloration moins foncée qu
ment, les croûtes ne tardent pas à tom-ber, sans se reformer. Mais la
peau
garde toujours un aspect rouge ; cette coloration
turelle delà région ne s'y fait-elle pas sentir? Sous les plaques, la
peau
ne présentait nulle trace de vésiculation. Bien p
quames sont épaisses et adhéren-tes, et non pas minces, foliacées; la
peau
sous-jacente n'a pas l'as-pect luisant qu'on obse
er à la pellagre; mais nous n'avons pas ici l'apparence flétrie de la
peau
, la desquamation par écailles furfuracées, l'amin
eau, la desquamation par écailles furfuracées, l'amin-cissement de la
peau
; les crevasses ne siègent que dans les croûtes; i
ent sur une surface fortement colorée ; il y a de la congestion de la
peau
; enfin, les squames sont constituées, outre les l
érysipèle remonte jusqu'à la crête iliaque gauche. Desquamation de la
peau
de la pointe de la fesse gauche. —Soir : P. 80 ;
dans le voisinage de la plaie périnéale, car 1 tes frictions sur la
peau
avec l'onguent napolitain constituent un excellen
c, etc. Cette altération de la sensibilité intéresse non-seulement la
peau
, mais encore les muscles et peut-être les os ; el
nt les modifica-tions de la sensibilité, la coloration ardoisée de la
peau
, l'exfolia-tion épidermique, la perte d'une phala
mets de la charpie; on continue toujours à arroser le pansement. La
peau
est chaude, sèche, âpre à la main; cependant il n
litre d'eau. Il y a des garde-robes abondantes, la sécheresse de la
peau
dimi-nue; en même temps l'appétit se réveille. On
épandent une odeur infecte. La sensi-bilité au froid est exagérée; la
peau
est chaude et sèche. La plaie est un peu blafarde
us entre l'omoplate et le bout supérieur de l'humérus se froncent, la
peau
se plisse, et l'excavation de la plaie, qui était
e haut en bas la sonde can-nelée dans ce trajet purulent, j'incise la
peau
au niveau de l'extré-mité inférieure de cette fus
rritation dues aux sécrétions retenues dans les replis profonds de la
peau
. La plaie, dont la cicatrisation des parties supe
rées avec friction, rétablit très-vite le fonctionnement normal de la
peau
. J'ai été conduit à cette pratique dans les cas d
'est chercher à rétablir les fonctions phy-siologiques altérées de la
peau
et du tube gastrique. C'est, croyons-nous, à ces
e ulcération serpigineuse occupe le bord du moignon auriculaire et la
peau
du crâne avoisinante. Les parties supérieures de
se louer de procéder de la manière suivante : Après avoir fait à la
peau
, sur la partie moyenne et dans toute la longueur
-maigre, qui a évidemment vécu dans des conditions très-défavorables.
Peau
brûlante, pouls petit, très-fréquent (142) et trè
pendiculairement le bord postérieur du sterno-clôido-mastoïdien. La
peau
ayant été divisée avec soin dans toute la région
an bout de quelques minutes; le chirurgien fit alors la section de la
peau
parallèlement à la direc-tion du muscle sterno-cl
aient subi aucune altéra-tion, et, par le toucher, on sentait sous la
peau
des masses élasti-ques, homogènes, ni pulsátiles,
dans la rate vu son extrême sensibilité, du sang que l'ischémie de la
peau
fait refluer vers les parties centrales. Ce qui t
quatre ou cinq gouttes d'essence de Cannabis indica injectées sous la
peau
d'une grenouille ont suffi pour déterminer chez l
e hauteur. Sa base fait intimement corps avec toute l'épaisseur de la
peau
et du tissu cellulaire sous-jacent, mais elle ne
ltérations situées dans les cornes antérieures de la moelle : mais la
peau
, organe de sensibilité, échapperait complètement
t arrondie, dure, fixe sur les parties profondes, sans adhérence à la
peau
. Depuis cette époque, elle s'est développée pro
consistance est plus molle et se rap-proche de celle du lipome. La
peau
qui la recouvre est parfaitement saine, elle glis
s caractères du début iournis par le malade : glissement facile de la
peau
, fixité de la tumeur sur les parties profondes,
ies profondes, s'accordent avec les signes ac-tuels : intégrité de la
peau
, limitation exacte de la tumeur à la région parot
oroforme. Par une incision verti-cale de 6 centimètres comprenant- la
peau
et le tissu cellulaire sous-cutané, on arrive sur
e cicatrice ayant 2 à 5 millimètres de large, encore un peu rouge. La
peau
, à son ni-veau, glisse assez facilement. B... se
15, la coloration était violacée ; le refroidissement persistait. La
peau
, à ce niveau, est, pour ainsi dire, indurée; l'em
e a lm,06 de tour. Léger embarras gastrique. P. 106 ; T. R. 58°,4. La
peau
de laface est terreuse ; les yeux sont en-foncés
abdominale. A droite, au contraire, le ventre est souple. 27 déc.ha
peau
de la face a un aspect moins terreux ; les yeux s
satisfaisant. L... se disait aussi vigoureux qu'avant sa maladie. La
peau
était fraîche, rosée; le ventre n'avait que 85 ce
par Bourne-ville, 176.. Essence de térébenthine, son action sur la
peau
,215,215. Estomac [voy. Cheveux). Étranglement
es, courts, épais; il en est de même des pieds et des or- teils. La
peau
, sauf celle de la face, est rugueuse et présente
nheau de la radiale, on ne le sent qu'au niveau de l'humérale. La
peau
présente sur les membres et la plus grande partie
etite orange, une consistance gélati- niforme et se déplace avec la
peau
; du côté gauche, il en existe une deuxième anal
.25. 16 décembre. Il est procédé à un nouvel examen du malade. La
peau
du cuir chevelu est sèche, couverte d'écailles br
des paupières des albuminuriques. Patte d'oie très prononcée. - La
peau
de la face est sèche, squameuse, rugueuse au to
me. - Arrêt de développe- ment. - Etat oedémateux et rénitent de la
peau
(cachexie pachy- dermique) avec tumeurs myxoeti
z la plupart des petits enfants; sur toute l'étendue de la face, la
peau
est mate, d'une couleur blanc jaunâtre et bouff
vieillot, contrastant encore avec l'apparence fine et cireuse de la
peau
qui est absolument glabre; les sourcils sont à pe
conséquent extrêmement atrophié. Sur toute l'étendue du tronc, la
peau
est fine, d'un blanc mat, assez résistante sous
entre est volumineux. Les membres sont gros, courts, empâtés, et la
peau
y présente les mêmes caractères que sur le tron
e ou les bonbons qu'on lui présente. Sur le dos de celte main, la
peau
, comme oedémateuse, forme une pelotte épaisse, ma
a bouffissure est surtout prononcée aux jambes et aux pieds dont la
peau
est plus ou moins cyanosée. Les deux membres so
de vice de conformation, mais un arrêt de développement complet; la
peau
y est épaisse Fig. 9. - Th... à l'âge de 21 ans
doser l'urée éliminée de ce côté. Sur le tronc et les membres, la
peau
est absolument glabre, même aux aisselles et au
390. -Soir : 40°,2. 30. - Le bas du visage n'est plus tuméfié ; la
peau
desquame par place ; les paupières restent gonf
prend un aspect rouge-clair moucheté ; le bourrelet fait défaut; la
peau
n'est ni chaude, ni résistante. La peau du bras e
e bourrelet fait défaut; la peau n'est ni chaude, ni résistante. La
peau
du bras est le siège d'une desquamation furfura
marcher. 1or juin. - Hier, il était mal en train ; il semble que la
peau
du côté droit de la tête, tempe, et région pari
nte. On ne peut que présumer l'érysipèle, vu l'état ordinaire de la
peau
; pas d'ap- pétit ; un vomitif. - T. R. 40°. 2
R. 3 ? 4. 17. - L'érysipèle est en voie de desquamation totale; la
peau
a repris sa coloration et sa rénitence habituel
et présentent une rougeur uniforme sans bourrelet périphérique; la
peau
n'est ni chaude, ni douloureuse à la pression ;
corps : aisselles, dos, thorax, anus, lèvres supérieures, joues. La
peau
a un aspect cireux, pâle. Les ongles sont assez m
on n'a besoin de les couper qu'à des intervalles très éloignés. La
peau
des bourses est épaisse, ridée et, au premier .ab
dessine pas. Il existe quelques poils rares et courts au pénil ; la
peau
de la verge et surtout du prépuce est épaisse,
t. - Les hémisphères cérébelleux paraissent normaux. Analyses de la
peau
. - Nous avons fait faire deux analyses de fragm
e la peau. - Nous avons fait faire deux analyses de fragments de la
peau
; voici les notes qui nous ont été transmises :
enfant; les testicules ont la grosseur d'une petite noisette. La
peau
est pâle, lisse et peu tendue ; elle est mobile s
rps. Les mains et les pieds sont potelés comme ceux d'un enfant; la
peau
y est même tendue et d'une teinte foncée, légèr
rt obtuse; il se montre très peu impressionnable quand on irrite la
peau
. Les sens sont intacts ; il voit et il entend ;
levée et ne parait pas descendre au- dessous de 15°. Ce matin, la
peau
est encore froide et le thermomètre placé sous
vec le concours de deux de nos collègues. Des incisions faites à la
peau
niellent à découvert une épaisse couche de tiss
me temps que les poumons et l'oesophage, après une incision de la
peau
pratiquée sur la ligne médiane, on recherche le c
cutanée. Il esta noter, du reste, que l'examen chimique de cette
peau
n'a pas été pratiqué et que la présence de la m
'examen général de l'enfant, et nous constatâmes le même état de la
peau
sur les membres supérieurs et inférieurs, à l'a
êmes carac- tères : sensation de froid désagréable au toucher de la
peau
qui n'est ni sèche, ni écailleuse, ni gluante;
ux mains, le creux palmaire est remplacé par une surface bombée, la
peau
est épaissie, le pli que l'on y produit en la p
résistance, mollasse et élastique à la fois. Pas d'adhérences de la
peau
aux organes sous-jacents sur lesquels on parvie
ables de la sensibilité cutanée. Les caractères pathologiques de la
peau
dimi- nuent à mesure que l'exploration remonle
en et n'existent plus au thorax qui, ainsi que le cou, présente une
peau
normale; l'empâtement signalé des régions sus-c
C'est sur ces entrefaites que la mère remarqua la bouffissure de la
peau
qui, depuis, n'a pas diminué. Ce ne fut que p
du D° Hughliugs Jackson. Son facies donnait l'idée du myxoedème, sa
peau
était translucide avec une tache circonscrite d
semble raccourci, perdu dans la tuméfaction sus-claviculaire. La
peau
est pâle et couleur de cire, excepté à la face où
sont petites, ramassées, les doigts sont courts, et les rides de la
peau
, plus abondantes sur ce point que partout aille
de la rotule. Absence de l'instinct génital (Pas d'onanisme). La
peau
est terreuse, blafarde, écailleuse et sèche. Elle
é atteints de pseudo- oedème dur', par l'état de la dentition, delà
peau
, la sen- sibilitéau froid, etc., présente tous
abdomen était volumineux et flasque; les membres étaient grêles, la
peau
était lâche; aucune force. Ce malade restait as
Idiotie complète; parole et marche nulles; teinte cachectique de la
peau
; brachycéphalie ; retard de la dentition; langu
urs en pleine santé, dont un bébé de seize mois marchant déjà. La
peau
, d'une pâleur jaunâtre, a attiré aussitôt l'atten
aille de cette enfant était de 4m, 30; le cou était large, gros; la
peau
comme oedématiée; les mains ramassées; les doig
k. Rigidité cadavérique; sugillations sanguines étendues du .dos;
peau
assez pâle. - Les veines des extrémités et du tro
rares et plus forts, au scrotum; quelques hémorroïdes au rectum, la
peau
du thorax et de l'ab- domen n'est pas modifiée,
fibrilles musculaires; tissu adipeux interstitiel abondant. - 4° La
peau
des diverses parties du corps (tête, tronc, mem
- pation totale cinq à six mois après, forte anémie, pâleur de la
peau
, faiblesse très grande et oedème des jambes ; au
YDERMIQUE OPÉRATOIRE. 91 d'oedème marqué, mais épaississement de la
peau
du visage et des mains. 26'' Baumjdrtner 1. F
hiens avaient été opérés les 1" et 15 septembre 1884 et M. Phili-
peaux
donnait le résultat de ses expériences dès le 8
s'établit sans difficulté; dans la sclérodermie oedéma- teuse la
peau
, inégalement dure, offre dans certaines parties
t deux ou trois heures ; pas de rhumatismes. Il a eu une maladie de
peau
qui a duré trois ans, s'ac- compagnant de déman
normaux à la percussion. Ganglions lymphatiques non hypertrophiés.
Peau
bistrée, assez épaisse; duvet assez abondant à
lanche, constipation opiniâtre. Ab- domen ni ballonné, ni rétracté.
Peau
légèrement jaunâ- tre. Le foie ne déborde pas l
oindrie. Pas de mouvements fibriliaires. La teinte jaunâtre de la
peau
est moins accusée que les- jours précédents. Fa
un peu stertoreuse ; pouls rapide, incomptable. Température de la
peau
assez élevée. Strabisme persistant, regard fixe,
atre membres. Trois jours après, coma presque absolu et résolution.
Peau
sèche, pouls petit, lent. - Pupilles dilatables
s bas que le droit. Prépuce long, gland découvrable, méat normal.
Peau
fine, bistrée, surtout sur l'abdomen. Cicatrice à
Le pouls est à 80, un peu irrégulier, la phy- sionomie abattue, la
peau
chaude. L'enfant se plaint tou- jours de la têt
tites olives ; prépuce assez long; pas de phimosis ; méat normal.
Peau
blanche et fine, pas de cicatrices; cheveux châta
core seul à son entrée à Bicêtre (fin novembre) ne marche plus. La
peau
est recouverte d'un duvet fin et abondant, Eryt
itié droite du bassin est arrondie, la gauche un peu déprimée. - La
peau
est saine sur la moitié droite, qui est irrégul
de dimension, alors que le thorax mesure à sa base 27 cent. 1/2. La
peau
est épaissie, principalement sur le tiers média
de la verge. Sa consistance est analogue à celle d'un mamelon. La
peau
du dos, dans sa partie supérieure, est souple ;
antérieur) sont bien conformés,- l'inclusion seule du gland dans la
peau
du périnée, par suite du développement de la tu
ire larges et saillantes dans leur moitié externe; à ce nheau, la
peau
est épaissie, couturée de cicatrices, privée d'un
ît normale. Sen- sibilité spéciale, d'une exploration impossible. -
Peau
et poils : Cheveux clair-semés noir foncé, quel
8 mars. Nuit assez bonne. La rougeur de la face et la chaleur de la
peau
ont diminué et presque disparu. La peau est moi
face et la chaleur de la peau ont diminué et presque disparu. La
peau
est moite. Les sécrétions sont aussi moins abon-
sur les joues. A l'auscultation, râles nombreux sous-cré- pitants.
Peau
très chaude, sèche. Nuit dernière très agitée,
ant, ne fumant pas, n'ayant ni accidents nerveux, ni maladies de la
peau
, marchand de vin, ne faisant, assuro-t-on, aucu
ventre, dit-il. » Lo regard est brillant ; le blanc des yeux et la
peau
du visage deviennent « jaunes » ; la parole est
ible, à 130; batte- ments du coeur un peu vibrants. Abdomen normal.
Peau
modéré- ment chaude, sans sécheresse. Extrémité
ts ; nausées sans vomissements. P. à 120 ; miction involontaire. La
peau
, principalement à la face, est couverte d'une s
o la nuque et du coude droit. Parfois, secousses du poignet gauche.
Peau
moite, mains cyanosées. Traitement : Sangsues d
er l'excitation électrique dans les organes sans piquer ni inciser la
peau
, nouvelle méthode d'électrisation, appelée ëlcctr
s reliefs nombreux et infiniment variés que chacun d'eux imprime à la
peau
? Ils no pourraient, en un mot, montrer l'influen
dre le problème en question, car il faudrait, pour cela, sacrifier la
peau
sur laquelle se dessinent les signes du langage e
rface. De même, sous l'influence d'une simple traction exercée sur la
peau
de la face, on voit naître à sa surface des rides
e électrique à la surface du corps, et puis, lui faisant traverser la
peau
sans l'intéresser et sans l'exciser, de concentre
équilibre. (Test ainsi qu'à la face, les tissus, et principalement la
peau
, sont entraînés dans le sens des plus forts. Ch
eptions près, les muscles en contraction ne font aucun relief sous la
peau
. Peu importe, en effet, à l'artiste, de connaît
femme (voy. fig. 35, 36), et enfin sur une femme plus âgée et dont la
peau
est brûlée par le soleil (voy. fig. 11, 26, 27).
, afin de ne pas masquer les traits de la face, sont recouverts d'une
peau
humide, et placés sur les points d'élection. Ces
; car il est difficile de trouver les points d'élection à travers la
peau
. L'expérience représentée par la figure 6 en es
orte du frontal, chez une femme âgée de quarante et un ans et dont la
peau
a été brûlée par le soleil. A droite, électrisa
fig. 3) ; l'autre est jeune et beau (voyez son portrait, fig. û); la
peau
de son front et de son espace intersourcilier est
ains individus âgés et maigres, on voit quelques plis verticaux de la
peau
se former au-dessus de la portion interne du sour
électrique, que le pyramidal du nez se termine supérieurement dans la
peau
, au niveau de la tête du sourcil. Contraction é
s : la terminaison supérieure du pyramidal du nez (P, fig. 1) dans la
peau
de l'espace intersourcilier, au niveau de la tête
ant été posés sur la racine du nez, on voit que, chez notre sujet, la
peau
de l'espace intersourcilier a été attirée de haut
r ce sillon transversal intersourcilier, les rhéophores ont tiré la
peau
de bas en haut, en sens inverse du pyramidal ; ce
ction aponévrotique. Elle est indiquée dans la figure 6. Lorsque la
peau
du front située au-dessus de l'espace inter-sourc
. Ainsi, chez le vieillard représenté dans les figures 17 et 18, la
peau
du front, qui est très mobile, a été considérable
ement abaissée par la contraction électrique de ses pyramidaux, et la
peau
de la racine du nez, refoulée en bas, s'est sillo
du sourcil est d'autant plus attirée en bas par le pyramidal, que la
peau
du front a obéi davantage à l'action de ce dernie
tion oblique de dehors en dedans et de haut en bas, et enfin que la
peau
de la partie médiane du front est nécessairement
ce intersourcilier. J'ai déjà fait remarquer que, chez ce sujet, la
peau
de la partie médiane du front résiste à l'action
âgée de cinquante-deux ans, représentée dans la figure 11, et dont la
peau
est line ou brûlée par l'air et par le soleil.
médiane du front, du côté électrisé, et qu'en dehors de ces plis, la
peau
s'est tendue au-dessus de la moitié interne du so
la moitié interne du sourcil; !i° enfin qu'au-dessous du sourcil, la
peau
est tendue au niveau de la tète du sourcil et dan
urciliers à la fois. C'est ce qui arrive chez les sujets âgés dont la
peau
est très fine ou a été exposée longtemps à l'air
ire palpébral supérieur abaisse le sourcil en masse, et tend toute la
peau
du front placée au-dessus de lui, c'est-à-dire qu
pour le tiers interne. J'ai engagé mon sujet à plisser fortement la
peau
de son front, ce qu'il n'a pu faire sans regarder
de cette expérience. A gauche, son sourcil est élevé en masse, et la
peau
de son front est sillonnée de rides dans toute sa
rbe sinueuse et oblique de haut en bas et de dedans en dehors; que la
peau
est sillonnée seulement sur la partie médiane, ta
anes douloureuses du front, chez un sujet d'un certain âge et dont la
peau
est très fine ou brûlée par une que ce mouvemen
nombreuses et plus profondes, qu'il est plus avancé en âge et que sa
peau
a été plus brûlée par le soleil. Les lignes et
t la direction du grand zygomatique, les conditions anatomiques de la
peau
, rendent parfaitement compte de la formation des
ire à ce dernier une légère courbe à convexité inférieure ; 2° que la
peau
refoulée en haut et en dehors forme un relief plu
ère inférieure ; 3° qu'au niveau de l'angle externe des paupières, la
peau
, très fine, se plisse et se ride à la longue, plu
sale, à concavité supérieure, et qu'au-dessous de cette dépression la
peau
de la paupière est légèrement gonflée et fait rel
a contraction énergique du transverse du nez chez deux sujets dont la
peau
des parties latérales du nez se plisse ou se ride
né qui contourne la narine en arrière est plus accentué; enfin que la
peau
des parties latérales du nez s'est plissée parall
ui est le point fixe de ce muscle. Tout le monde comprend pourquoi la
peau
des parties latérales du nez, refoulée en haut et
figures, des reliefs et des plis occasionnés par le refoulement de la
peau
, et qui sont d'autant plus prononcés et plus nomb
s prononcée que dans la figure /16. Chez ce vieillard, on voit sur la
peau
de la lèvre supérieure de petites rides obliques
propre presque jusqu'au bord libre des lèvres et se terminent dans la
peau
. On conçoit donc que l'attache inférieure mobile
inférieure mobile du petit zygomatique se faisant au bord libre de la
peau
de la lèvre supérieure, ce muscle ait une tendanc
ns toutes ces figures qu'un relief transversal s'est développé sur la
peau
située au-dessous de la mâchoire infé H. — Expr
face, et font comprendre comment ces muscles soulèvent et tendent la
peau
de la moitié antérieure du cou, à la manière d'un
anatomiques du peaucier (voy. Y, %. 1). Le peaucier, placé sous la
peau
, dont il est difficile de le séparer par le scalp
tant ses fibres deviennent recti-ligncs, il soulève nécessairement la
peau
qui le recouvre, c'est-à-dire la moitié antérieur
e du front, tandis que, sur les parties latérales de cette région, la
peau
est nécessairement tendue et forme un méplat, ain
'y a pas de rapport entre le modelé du sourcil et celui du front : la
peau
du front devrait offrir quelques rides J'ai pro
uemment que sa terminaison supérieure étant mobile et se faisant à la
peau
, dans l'espace intersourcilier, au niveau de la t
de la tête des sourcils, sa contraction doit nécessairement tirer la
peau
de haut en bas, de telle sorte qu'elle la plisse
s en dedans son sourcil épais, et en lui plissant transversalement la
peau
de la racine du nez. — Ce mouvement expressif dém
ologiste que le pyramidal du nez est puissamment contracté, et que la
peau
de la partie médiane du front doit être attirée e
irement tendue. Delaroche, au contraire, a plissé transversalement la
peau
de cette région du front, comme on l'observe sous
ténuant. Les réflexes tendineux sont conservés. A la main droite la
peau
pré- sente un état lisse au petit doigt. Il y a
griffe. Les éminences thénar et hypothénar étaient amaigries et la
peau
qui les couvre était lisse. Les tendons des flé
it pas de secousses à la fermeture du courant. La sensibilité de la
peau
du dos de la main était altérée au niveau des t
s sueurs, des sensations de froid au Loucher, de l'état lisse de la
peau
. Electriquement, on constate de la diminution d
s des accidents qui les ont occasionnées, elle n'a pas souffert. La
peau
des mêmes doigts est lisse, paraît épaissie et
e par une saillie. Le nerf pouvait être senti immédiatement sous la
peau
comme un cordon volumineux, dur, et qui glissait
ngestionner, les veines superficielles se dessiner gonflées sous la
peau
; la turgescence ne il. 18 NOUVELLE ICONOGRAPH
dème considérable de la main droite, avec coloration violacée de la
peau
. Peu après se montra il l'annulaire de cette ma
de 4 centimètres. Cette partie du rachis formait en outre, sous la
peau
, une saillie exagérée. Sur toute la longueur de l
gettienne présente des mouvements de latéralité assez prononcés. La
peau
de la cuisse gauche se montre beaucoup plus épais
beaucoup plus épaisse, quand on la pince entre deux doigts, que la
peau
des régions correspondantes de la cuisse droite
suivantes : sur la face supérieure du gros orteil du pied droit, la
peau
présente une légère tuméfaction, d'un rouge foncé
ntimètres. Au-dessus de cette eschare, séparée par un intervalle de
peau
saine d'un centimètre, une cicatrice arrondie,
roubles trophiques cutanés, on trouvait : de l'épaississement de la
peau
de l'une des cuisses, des lésions érythémateuses
pitting) ni la ni ailleurs. La langue était grosse et plutôt pâle. La
peau
n'était pas sèche au toucher, mais la malade af
ent nor- maux. Le réflexe rotulien existait. Pas d'anesthésie de la
peau
. Urine nor- male il tous les points de vue. «
qui était particulière- ment évident au bord interne de la main. La
peau
était moite, il existait des plis sur le dos de
mme jouissait d'une assez grande activité physique el psychique. La
peau
du corps était natu- relie ainsi que lasécrétio
ont peu marquées. Le tissu cellulaire sous-cutané, de même que la
peau
, est dans toute sa pro- fondeur hypertrophié, m
à part cela, présenter un aspect nor- mal, sauf que les plis de la
peau
et les bulbes pileux semblent s'être un peu éca
et puissant. La lèvre inférieure très épaisse, un peu pendante. La
peau
du visage est épaissie et montre une coloration
nt notable du tissu conjonctif sous-cutané. Aucune trace d'oe,dème.
Peau
souple. Oreilles normales comme dimensions et c
des résultats obtenus est formulé par lui de la façon suivante : la
peau
présentait une résistance électrique extraordinai
de pathologique, étant donné l'âge de la malade, l'épaisseur de la
peau
et celle de la couche adipeuse sous-cutanée, ma
chez certains d'entre eux l'existence de plaques de sphacèle sur la
peau
. , 3° Un dernier point nous reste à étudier, ce
rare qu'on soit obligé d'in- terposer, entre cette courroie et la
peau
, un corps mou,'un mouchoir, de l'ouate, de faço
une dépression qui n'existe pas du côté opposé. On ne sent entre la
peau
et les côtes aucun faisceau musculaire : du res
s oreilles et probablement du nez et du larynx épais et résistants.
Peau
grossière et avec de larges glandes sébacées à la
antité par ( suite de l'émaciation. Sueurs profuses ; auparavant la
peau
ne présentait pas d'humidité anormale. Muscles
e ces parties n'est que difficilement accessible à la palpation. La
peau
est partout molle et élastique, non oedémateuse
aux pieds sillonnée en tous sens de plis massifs. La couleur de la
peau
est celle ordinaire chez les blondes pâles. Il
e et du coude et la moindre pression, le plus léger frôlement de la
peau
à leur niveau provoquent une douleur assez intens
s articulations douloureuses ou que l'on frôle, même légèrement, la
peau
qui les recouvre, son faciès exprime la douleur
cture énergique et permanente de l'orbiculaire', à tel point que la
peau
des paupières et de la région péripalpébrale es
on quelques poils aulour du mamelon. En arrière, on constate sur la
peau
une légère éruption d'acné. La colonne vertébra
de l'arcade orbitaire gauche était implanté dans l'épaisseur de la
peau
un kyste sébacé du volume d'une noisette. ANATO
e ces troubles de nutrition des os. Les troubles trophiques de la
peau
et de ses annexes sont mieux établis. Les accid
e générale : Scinde dit pourtant que dans les dernières périodes la
peau
devient sèche, cassante et squa- meuse '. Ce mê
e son état. Poids riz Idiogr. 500. 8 décembre. On remarque sur la
peau
du thorax et des membres une des- quamation de
de des parties voisines. 25 février 1889. L'état ichtyoique de la
peau
est de plus en plus marqué, il se fait sur tout
ation ni diarrhée'. Urines normales, ni sucre ni albumine. ; , La
peau
est le siège d'une desquamation spéciale rappelan
sieurs points dans la planche XXV.' ' ' ' . Cet état squameux de la
peau
donne au toucher une sensation de rugosité; il
asis. ' ' ' - Sur les mains, absence- complète d'écaillés, mais la.
peau
a. perdu sa 160 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
cette région un aspect ridé (pl. XXVI). A la région plantaire la
peau
a le même aspect; mais, en outre, on constate a
VII). Rien de semblable au pied droit. .Cet état. ichtyosique de la
peau
s'accompagne d'une absence complète de sécrétio
es aisselles qu'on constate une légère moiteur; partout ailleurs la
peau
est absolument sèche. Les masses musculaires de
sidérable. Le doigt élargi à sa base rappelle le doigt en radis. La
peau
a sa coloration normale, on ne constate à la palp
de la phalange parait augmentée de volume. Toujours même état de la
peau
. Même'état mental. Mendel * signale à côté de
ui se.sont particulièrement occupés de cette lésion trophique de la
peau
(Leloir) ·. Le fait suivant que j'ai observé à la
de petites taches brunâtres un peu plus foncées que le reste de la
peau
. 162 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA,5.\ LPt,TI\I I
ICONOGRAPHIE DE LA,5.\ LPt,TI\I I\E. Des troubles trophiques de la
peau
on peut rapprocher la décolo- ration rapide et
e système nerveux central n'ait rien à faire avec les lésions de la
peau
. . Cit. Féré, Mdo'in tic tticuti'c. 1. Ch.
e du sterno-cléido mastoïdien gauche fait une forte saillie sous la
peau
, sous forme d'une corde rigide. La tète est lég
astoïdien gauche est contracture et forme une, corde rigide sous la
peau
. Il existe à gauche une zone d'anesthésie cutanée
ortion cervicale du trapèze, à gauche, fait une furie saillie sous la
peau
. A ce moment il existe une bande d'aneslhésie l
toujours été très abondante et détermine souvent des rougeurs de la
peau
sans cesse humide. A la fin de mars 1887, on lu
muscle, je veux parler de la graisse accumulée en ce point sous la
peau
, et que le pli fessier tient à d'autres causes
rand fessier de celle du moyen. La graisse qui double toujours la
peau
de la région, joue un rôle morphologique import
de ces apparences. Au niveau du pli fessier, la face profonde de la
peau
contracte non seulement des adhérences avec l'a
e formée inférieurement par les adhérences fibreuses qui vont de la
peau
à l'ischion et qui, l'empêchant de descendre ve
tre et le muscle contracté dessine sa forme très exactement sous la
peau
avec son bord inférieur très oblique en bas et
t donc un pli permanent maintenu par des adhérences profondes de la
peau
au squelette, à l'égal du pli de l'aisselle. Il
trouve de meilleures. Autopsie de l'Observation XI (IIenrot). - La
peau
est saine partout, elle n'est nulle part adhére
émoussée. La pression du testicule droit, de la glande et non de la
peau
, est doulou- reusement ressentie, elle s'accomp
ments dans les tempes; il ? perdrait connaissances ! on insistait. La
peau
à ce niveau est insensible. Goût, odorat abol
La main et les doigts sont gonflés, oedémateux; la coloration de la
peau
est normale (pl. XLII). Sens spéciaux. - Rien
e malade en s'évcillanl trouve la main complètement dégon- flée, la
peau
cependant en est un peu cyanosée; il peut remuer
entes. Le gonflement consiste en une infiltration oedémateuse de la
peau
et des tissus sous-cutanés. Cet oedème est dur;
ues minutes l'empreinte en godet formée par la pulpe du doigt. La
peau
, au niveau des parties gonflées, est cyanosée; el
e des téguments. Les frôlements, les excitations légères à fleur de
peau
, y déterminent une sensation de cuisson insuppo
DE LA SALPÊTRIÈRE, son membre inférieur droit en même temps que la
peau
de la région tuméfiée prenait une teinte rougea
ments' hystériques, avec l'état congestif, la teinte violacée de la
peau
qui presque toujours coïncide, peuvent revêtir un
enté il plusieurs reprises non plus un amincissement scléreux de la
peau
, mais un léger soulèvement de la peau déterminé
amincissement scléreux de la peau, mais un léger soulèvement de la
peau
déterminé par un oedème dur, peu abondant, appara
pression nous paraît consacrée par l'usage qui a force de loi. La
peau
de niveau peut avoir sa coloration normale, mais
c troubles de sensibilité. Dans un cas, rougeur inflammatoire de la
peau
avec élévation locale de la température. 2X2
aphique, unphénomène singulier dû à une excitabilité spéciale de la
peau
, qui consiste dans l'apparition de saillies oed
de l'urticaire l'excitabilité vaso-motrice que présente parfois la
peau
des malades atteints de cette affection. Mais G
75). 3. Dujardin-Beaumetz, Note sur les troubles vaso-moteurs de la
peau
observés chez une hystérique (Union médicale, d
exercent une pression éner- gique, un boursoufflement diffus de la
peau
, avec rougeur et saillies oedémateuses, ressemb
est ainsi que nous avons découvert l'excitabilité remarquable de la
peau
chez le malade dont nous donnons ici la reprodu
choisir, dit Gull, une région riche en fibres lisses. C'est sur la
peau
du thorax qu'on réussit le mieux à produire le
'extrémité. Nous avons également pu le produire sur la face, sur la
peau
du front; M. Cham- bard sur la muqueuse buccale
ut vérifier en prenant la distance entre deux points marqués sur la
peau
. Le fait avancé par Gull n'est pas si facile à vé
ée de l'expérience. Or en choisissant pour faire cette recherche la
peau
qui recouvre la crête du tibia, nous avons évit
e au froid. L'effigie d'une pièce de monnaie se reproduisait sur sa
peau
avec un relief d'une netteté remarquable. , L
ALPÊTRIÈRE. pendant 1 ou 2 minutes) une ligne tracée, partie sur la
peau
intacte, partie sur la région anesthésiée, devi
durable. Il s'agit vraisemblablement là d'une manière d'être de la
peau
, d'un état permanent. Seul, Zunker1 a noté sa d
rdinaire, de voir des eschares ou d'autres troubles dénutrition de la
peau
se produire dans les myopathies spinales, même da
râne, 0m,52; de l'olécrâne à l'apophyse styloïde du cubitus 0m,29; la
peau
est sèche, farineuse, pâle; les muscles sont peu
t interne à sa partie supérieure, dont le tendon fait saillie sous la
peau
. Longueur de l'épine iliaque antérieure et supé
s muscles du mollet existent encore un peu, mais fortement atrophiés.
Peau
pâle, sèche et farineuse. Diamètre au-dessus de
es deux côtés, au pincement, à l'électricité, à la température sur la
peau
. Mouvements en partie détruits, en partie conse
p du microscope, quand on examine le sang veineux ou capillaire de la
peau
. Mais que Y activité de la rate vienne à dépasser
argeur. Elle est un peu affaissée par rapport à la partie saine de la
peau
avoisinante. Elle correspond sur la Planche IV, à
e condition fâcheuse qui devait rendre laborieuse la dissection de la
peau
, et qui pouvait constituer un obstacle aune répar
est dé-primée au lieu d'être convexe, ce qu'explique l'adhérence delà
peau
, réduite à son derme, et privée de parties muscul
nt à la première opération, les autres à celle que j'ai pratiquée. La
peau
adhère au bord inférieur du maxillaire, principal
incomplet de l'opération tient en grande partie à l'ad-hérence de la
peau
au maxillaire et à l'atrophie de la peau, condi-t
partie à l'ad-hérence de la peau au maxillaire et à l'atrophie de la
peau
, condi-tions qui mettent obstacle au jeu normal d
organes des sens, et principalement de celui de l'ouïe. Du côté de la
peau
, à close moyenne, on n'a signalé aucun changement
ction sur la température. — Suivant Fronmùller, la tempéra-ture de la
peau
baisse un peu ; d'après Schroff, elle serait suje
ltat de l'absence d'alimentation. REVUE ANALYTIQUE MALADIES DE LA
PEAU
I. Ulcérations de la peau consécutives a l'usag
tion. REVUE ANALYTIQUE MALADIES DE LA PEAU I. Ulcérations de la
peau
consécutives a l'usage des rromures, par S. Weir
selon la re-marque du Dr J. Darrah, de surveiller les fonctions de la
peau
(the American Journal of the Med. Sciences, n° cx
us l'influence du peigne; absence d'intricalions et d'odeur fétide;
peau
saine, sans démangeaisons, tels étaient en résumé
cette affection n'a aucun rapport avec la plique, dans laquelle « la
peau
est sen-sible, douloureuse, suintante, les cheveu
m simplex, par Purser. — Une femme très-âgée pré-sentait sur toute la
peau
, depuis un grand nombre d'années, des tumeurs qui
Elles étaient indolentes, molles, et. se mouvaient facilement sur la
peau
, lisse à leur niveau. Les plus petites étaient se
développé. Elles étaient recouvertes par la couche papil-laire de la
peau
et par l'épiderme dont la couche muqueuse (mu-cou
elles étaient évidemment formées aux dépens des tissus fibreux de la
peau
. De nombreuses cellules fusiformes étaient mêlées
constate que la couche épideimique est moins épaisse que celle de la
peau
voisine, qu'elle se compose de cellules épithô-li
s au début, qu'elles résultent de l'hypertrophie hyperpla-sique de la
peau
; on pourrait même préciser davantage et dire : d
même préciser davantage et dire : des couches superficielles de cette
peau
et d'une partie très-limitée de ces couches. »
des phénomènes que nous avons observés. Il reste maintenant sous la
peau
une corde comme tendineuse, occupant la place des
au niveau de cet os. Le petit palmaire déjà épanoui est adhérent à la
peau
et à la cicatrice. L'étude de ces lésions de la
.Dans les deux doigts fléchis, annulaire et auriculaire, on trouve la
peau
adhérente par des tractus fibreux et rougeàlres à
asale, la distance est de 7 centimètres. On trouve des cheveux sur la
peau
qui recou-vre le segment antérieur de la tumeur ;
est donné d'achever son examen que le 16 février. La section de la
peau
étant complétée, on voit que, au niveau de l'orif
ent le plus souvent que grâce à un ou deux verres d'eau de Pullna. La
peau
est sèche, le teint est pâle et terreux.—La langu
e je le vois pour la première fois. Pour rétablir les fonctions de la
peau
, je fais faire de temps en temps une lotion d'eau
ume, dont quelques-unes parfaitement appréciables à la simple vue. La
peau
qui la recou-vrait avait conservé sa coloration e
usque qu'en avant, de telle sorte que la saillie qu'elle fait sous la
peau
est beaucoup moins sensible. En dehors, on remarq
e dire, fait corps avec le fémur, et soulève les muscles ainsi que la
peau
de la cuisse. Cette dernière est fortement tendue
de 9 centimètres au lieu de 10 (voy. Planche XIII). En même temps, la
peau
de la partie pos-térieure et externe sur laquelle
se découvre à tout instant. Pouls 128, respiration 42. Langue sèche,
peau
couverte de sueur. Dans la matinée du 7, l'état d
ur la partie antérieure et médiane de la tumeur. On dissèque alors la
peau
et le tissu cellulaire sous-cutané. Ces deux couc
s, résistantes, sans mamelons ou bosselures, sans points ramollis; la
peau
glissait facilement sur le testicule, dont l'épid
cet angle, dirigé en avant, vient faire saillie immédiatement sous la
peau
, à laquelle il adhère dans une certaine étendue.
aintenant ce que la dissection de la pièce a permis de constater : la
peau
n'est adhérente nulle part, excepté au niveau du
t se termine par une extrémité arrondie, immédiatement située sous la
peau
. L'inférieur présente en haut deux ou trois mince
itement. — Amélioration rapide. — Marie March..., 45 ans, ouvrière en
peaux
de lapins, entre à l'hôpital Saint-Louis, à la fi
lques jours après sa sortie, elle reprit son métier d'apprêteuse de
peaux
de lapins; mais à peine avait-elle travaillé quel
stériques. Notons encore que les matières fécales étaient rares. La
peau
n'offrit jamais ni sueurs, ni ces dépôts de pouss
ous n'avons constaté d'évacuation supplémentaire par l'intestin ou la
peau
. La malade est d'habitude constipée, et cette foi
ins qu'une tête de fœtus à terme; elle était absolument indolente. La
peau
qui la recouvrait était mobile, très-épaisse, d'a
ière, do telle sorte qu'elle fait un angle saillant en avant, sous la
peau
qui prései.te un petit sillon longitudinal répond
opérée, huit semaines environ après l'accouchement. L'avivement de la
peau
et de la muqueuse fut pratiqué. Les surfaces mise
s profondes ; le hui-tième, les (lis qui réunissaient les bords de la
peau
; le dixième, la cicatrisation était parfaite, il
éfutable de cette action trop peu connue des sels de potassium sur la
peau
. Un Irlandais, âgé de 28 ans, fut admis à l'hôp
rnu sur la partie postérieure et supérieure de la cuisse gauche. La
peau
qui recouvre le pédicule de la tumeur est molle,
u bleuâtre à mailles très-serrées et se dessinant en saillies sous la
peau
. kjuin. — Rupture spontanée des membranes. Prés
lle est molle, flasque, ridée sans trace d'œdème (voy Planche XX). La
peau
qui la recouvre est terne, brunâtre. — Le poids a
ase de la paupière inférieure et vers l'angle externe; il disséqua la
peau
, de manière à remonter le bord palpèbral; mais il
e losangique cruenté, que le chirurgien se proposa de combler avec la
peau
empruntée au bras. Le lambeau fut suturé et tenu
t a présenté un malade chez lequel la transplantation d'un lambeau de
peau
a réussi. La méthode est donc jugée; elle peut do
e, a rapporté un fait où le chirurgien avait emprunté un lambeau à la
peau
du bras et l'avait transporté sur la plaie qu'il
d'irritation, pathologique ou traumatique, récente ou ancienne de la
peau
ou des muqueuses. Sans vouloir aborder la questio
février de la Revue, analysant divers travaux sur les maladies de la
peau
, nous avons résumé plusieurs faits com-muniqués p
ar M. Malassez à la Société anatomique, et relatifs aux tumeurs de la
peau
, connus sous le nom de molluscum. M. Malassez a e
t constituée par une hypertrophie du tissu cellulaire sous-cutané. La
peau
est complètement indépen-dante, nouveau signe qui
ntage de ne pas s'oxyder; on les recouvre de toile ou d'un morceau de
peau
. Les rhéophores les plus mauvais qu'on puisse emp
rce de pression on met les bords du tube en cuivre en contact avec la
peau
, ce qui est toujours douloureux; et, de plus, l'e
ur électriser le malade? On humecte d'abord la toile ou le morceau de
peau
qui recouvre les tampons et on s'assure que le co
d'abord attiré l'attention du malade, lorsque, mobile encore sous la
peau
, elle avait le volume d'une petite noix. — L'accr
llante de la masse. Les bords on sont actuellement constitués par une
peau
amincie, dessi-nant, comme le montre la Planche x
lanche xxv, un contour très-irrêgu-lier, duquel partent des bandes de
peau
, larges de quatre à cinq millimètres, en partie a
a sensibilité cutanée est abolie en certains points sur les bandes de
peau
décrites plus haut. A la circonférence ou plutôt
e peau décrites plus haut. A la circonférence ou plutôt à la base, la
peau
est saine et mobile. — Rien à noter du côté des m
rneuil circonscrit la tumeur à sa base par un sillon qui intéresse la
peau
et les parties molles jusqu'à une profondeur de d
nterruption de quatorze ans ; il a toujours été employé à brosser des
peaux
de lapin avec de l'acide nitrique et du mercure
l'hôpital, le malade présente un état ca-chectique très-prononcé ; la
peau
est terne, jaunâtre, profondément ané-miée, ainsi
de varicosités plus fines qu'on voit serpenter dans l'épaisseur de la
peau
. Le lobule seul, bien qu'augmenté de volume, ne p
AUX ANÉVRYS ME CIRSOÏDE DE L'OREILLE des petites aïiérioles de la
peau
; elles se sont dilatées, sont deve-nues superfici
ndes dilatations, sortes de lacunes si superficielles qu'à travers la
peau
très-amincie, on voit la coloration rouge avec un
ue volumineuses et remplies de dilatations très-considérables, ont la
peau
moins amin-cie à leur niveau. Le fer à cheval se
les hémorrhagies se produisent plus facile-ment qu'à tout autre. La
peau
du pavillon de l'oreille paraît plus chaude au to
de. Ainsi pour le côté droit 36°,8 et pour le côté gauche 57°,6. La
peau
du pavillon se recouvre de croûtes brunâtres ress
ulté un érythème assez intense dans tous les points où il a touché la
peau
. On comprime la carotide primitive, et pendant ce
omir et a eu quelques hoquets. ffijuin. Aggravation des phénomènes,
peau
chaude et fièvre per-sistante. Embarras de la par
viron d'un tiers plus volumineuse que la droite. Puis disséquant la
peau
du cuir chevelu et la rabattant en avant avec le
e, en un mot, dans tous les cas où il n'y a aucun danger à exciter la
peau
et la circu-lation. Il n'en est plus de même dans
abord le courant n'est même pas constant, car la conductibilité de la
peau
varie certai-nement d'un moment à l'autre à mesur
nt en même temps que la couche de tissu celfulo-adipeux qui double la
peau
devient plus épaisse. Fait important sur lequel M
Gubler mesure avec un com-pas d'épaisseur qu'il a fait construire. La
peau
semble conserver ses aptitudes physiologiques ; s
La physionomie exprime la satisfaction. Le cou est gros, large ; la
peau
du cou est lâche, comme œdé-matiée. Il existe une
. Il existe une légère voussure au niveau des premières dor-sales. La
peau
du dos est couverte de poils roides. Lesmembres s
s, rouges, cyanoses, comme infiltrés; les doigts sont très courts. La
peau
des mains est flasque, lâche, fortement plissée.
que, lâche, fortement plissée. Les pieds sont courts, ramassés ; la
peau
y est violacée, épaisse et lâche. Pas de poils au
du diamètre d'une pièce de 50 centimes environ, autour de laquelle la
peau
offrit, pendant quelques semaines, une vive réact
n bruit de souffle anémique très-intense. Les membres sont grêles, la
peau
est décolorée et la face présente cette teinte ja
et qui ressemble à un mamelon quand il est caché dans les plis de la
peau
. Le lobe gauche, plus saillant et plus tombant, p
e trouve la poche dont nous avons déjà parlé, qui se continue par une
peau
épaisse avec les téguments de la partie postérieu
par une peau épaisse avec les téguments de la partie postérieure. La
peau
est partout as-sez opaque, et l'épiderme des port
. Le diagnostic de l'ictère se borne à distinguer la coloration de la
peau
, produite par la bile, des autres colorations mor
la peau, produite par la bile, des autres colorations morbides de la
peau
. « Pour la rédaction de ce travail, dit M. Pouz
159, 206, 258, 272. Brocv (P.), 66.' Bromures. Ulcérations de la
peau
con-sécutives à l'usage des—, par S.Weir Mitehell
e, 355. Pathologie comparée (Revue de), par F. Raymond, 152, 19U.
Peau
(Maladies de la), revue par Bour-neville, 57. 201
rtie antérieure, cette épaule gau¬che vous parait aplatie. Déplus, la
peau
a une teinte particulière qui provient certaineme
s nombreux: c'est là ce qui a produit cette teinte particulière de la
peau
recouvrant le moignon scapulaire. Les trois fis
ts ; les pupilles sont à peu près normales. Pas d'hypéresthôsie de la
peau
; plutôt de l'anesthésie : la malade ne sentait r
te observation deux symptômes importants : ce sont l'anesthôsie de la
peau
et l'hypertrophie des glandules delà base delà la
de rage, on voit, en effet, presque toujours de l'hypéresthésie delà
peau
, et à tel point que, dans une observation rapport
agnée d'une inflammation capable d'intéresser toute l'épaisseur de la
peau
, et, partant, de détruire la tumeur lorsqu'elle n
osse hernie irréductible. Or, l'altération cancroïdale ayant gagné la
peau
du scrotum, on courrait grand risque, dans l'opér
e le menton repose sur le sternum et semble même collé sur cet os. La
peau
do la face, en passant sur la poitrine, forme un
l en est de même entre les yeux, au-dessus de la racine du nez, où la
peau
est couverte de poils. Sur la planche VI, on voit
rte de poils. Sur la planche VI, on voit parfaitement la limite de la
peau
et, en outre, la face tégumentaire des pau¬pières
HOPITAUX ANENCÉP H ALIE FifiriiK 2. Sur toute cette surface, la
peau
n'existe pas. Elle est remplacée par une membrane
me s'il y avait dans la bouche un objet de la grosseur du poing. La
peau
ne présente aucune rougeur ni altération quelconq
u¬che, a subi un accroissement prodigieux. Aussi remarquc-t-on que la
peau
en est tendue, lisse, luisante et dure. A sa part
station constitutionnelle (ni adé¬nite, ni alopécie, ni taches sur la
peau
, etc.). En juillet 1868, sans cause connue, S...
comprendre l'image exacte de tous les signes empruntés à l'état de la
peau
(tumeurs, difformités, hernies, cicatrices, tatou
. DE MONTMÉJA Dans les auteurs qui ont écrit sur les maladies de la
peau
, on trouve la description de trois lésions différ
poussées aiguës que l'on voit arriver l'épaississement du derme de la
peau
, dans les régions affectées ; sur le scrotum, pri
t cet épaississement par le toucher et on constate à la surface de la
peau
des rides profondes, des plaques luisantes, des n
s étions attaché en qualité d'externe, à un service de maladies de la
peau
, les choses marchèrent de pis en pis. Notre titre
mi, l'eczéma avait disparu : il restait un peu d'épaississement de la
peau
du scrotum, et une dé¬coloration assez remarquabl
de paroxysmes, il y avait du malaise : bouche mau¬vaise, langue sale;
peau
sèche, teint jaunâtre ; prostration des for¬ces.
a partie supérieure. Les orteils sont méconnaissables. Sur le pied la
peau
est fine et blanche, mais mas¬quée en grande part
e interne ou gaine commune des ten¬dons fléchisseurs des doigts. La
peau
est à ce niveau épaissie, résistante, peu souple.
on aux parties sous-jacentes, soit et surtout à cause de l'état de la
peau
, qui dans les synovites fongueuses est luisante,
core plus frappante la ressemblance avec un coquillage. La portion de
peau
ainsi mise à nu est légèrement sail¬lante, dénudé
'à l'état d'une petite dépression constituée par un petit repli de la
peau
. A l'autopsie, on ne trouva aucun vestige ni du v
munication, 27 pouls mortels. Ils étudient le pouls superficiel de la
peau
et des chairs, le pouls moyen du sang et des nerf
eurs une jeune fdle pré¬sentant, outre des lésions scrofuleuses de la
peau
, des déformations graves consécutives à des lésio
et des joues. Si l'on en excepte une altération superficielle de la
peau
et une ulcération siégeant sur son bord interne (
urt et recourbé. La face palmaire est un peu renversée en arrière. La
peau
de la face dorsale de ce débris digital, moins lo
ace palmaire, nous n'avons qu'à mentionner une coloration rosée de la
peau
, au voisinage des doigts, et la saillie de la têt
métatarsien qu'à droite ; l'ongle est en quelque sorte couché sur la
peau
, qui répond â la phalange, laquelle n'existe plus
bsence congénitale du sternum. Un très-mince septum musculaire, une
peau
fine, doublée d'un léger tissu cellulaire, font à
x mouve¬ments du cœur, dont les diverses parties se dessinent sous la
peau
. En présence de tous les membres de la société,
T. V. 38°,8. — Suir : lo¬chies sanguinolentes, abondantes. Soif vive;
peau
sèche. P. 114 ; T. V. 59°,4. 22. Douleurs dans
u nez par une bride mince et étroite formée par un prolongement de la
peau
(voy. planches XX, XXI, L'enfant ne présente au
elte femme est amaigrie ; elle présente une teinte particulière de la
peau
, teinte pâle, anémique, un peu jaunâtre, mais bie
OPITAUX NÉPHRITE CALCULEUSE secs au sommet du poumon gauche. — La
peau
de la malade est sèche, brûlante et son pouls bat
bord un gonflement assez indolent ; plus tard la dou¬leur survint, la
peau
s'excoria, et le membre se couvrit de squames et
traitement des maladies chroniques en général et des affections de la
peau
en particulier, par l'emploi des eaux minérales,
ies, ou, pour parler le langage du professeur, des affections de la
peau
. On trouve dans chacune des parties qui le compos
des aperçus originaux. Les leçons sur les affections génériques delà
peau
(1862, 1865), sur les affections parasitaires (18
édition), sur les affections artifi¬cielles et les "difformités de la
peau
(1862), etc , sont ou méritent d'être dans toutes
re, livre au public ses Leçons sur le traitement des affections de la
peau
par l'emploi des eaux minérales, de l'hy¬drothéra
asitaires. La découverte des animaux et des végétaux parasites sur la
peau
de l'homme a été le point de départ d'une grande
crofule, l'arthritis, l'herpétis, et c'est suivant que la lésion delà
peau
se rapportera à telle ou telle entité morbide, qu
est que précisément les leçons sur le traitement des affections de la
peau
ont pour but, sinon de détruire, au moins de dimi
mercure, tandis que l'iode et le brome, s'ils ne rappellent pas à la
peau
l'exanthème syphilitique, produisent dans l'intim
l'auteur distingue dans le traitement des affections chroniques de la
peau
le spécifique et le traitement adjuvant, la médic
manque pas de simplifier l'é¬tude et le traitement des maladies de la
peau
, mais elle n'est pas acceptée par tous les auteur
aucoup encore sur la pathologie et le traitement des affections de la
peau
avant de s'entendre. Reconnaissons néan¬moins les
osité se produit quand, sous l'influence d'une contusion violente, la
peau
se décolle, dans une assez grande étendue, des ti
anées, (zona, affections eczémateuses, pemphigoides, érythème pernio,
peau
lisse ou glossy skin) ; b. atrophie des muscles ;
sein est très-tuméfié et autour du mamelon il y a un peu de rougeur.
Peau
chaude. P. 100 ; T. 41°,2 ; montée du lait: — 26
. P. 68; T. 56°,2 ; l'enfant tette. Soir : P. 72; T. 56°,7. — 18 mai.
Peau
brûlante, mamelles tendues et gorgées de lait. P.
Vers quatre heures, léger frisson; seins tendus. — 20 mai. Insomnie.
Peau
sèche, brûlante, quelques vomissements bilieux; v
mammaires à peu près flasques. P. 84; T. 56°,7. — 21 mai. Nuit bonne.
Peau
fraîche. Lochies peu abondantes. P. 68 ; T. 36°.
ule. Nulle cicatrice n'existe entre cette cicatrice et l'aisselle; la
peau
est lisse, unie, quel que soit le mouvement impri
pé¬rieure. Entre elle et la cicatrice inférieure on voit une bande de
peau
saine, régulière. C'est à partir de cette seconde
té et un refuge toujours ouvert à de nombreux parasites. Chez lui, la
peau
de la face, du front et des joues, aussi bien que
erte d'une couche épaisse de poussière qui suffirait pour donner à la
peau
de ces régions la teinte bron¬zée que lui imprime
vement. Une heure après, agitation, malaise, mais pas de contracture.
Peau
chaude. Pouls 150 ; R. 45 ; Temp. 100° (37°,9); (
est pâteuse, la soif vive; les douleurs abdo:: inales persistent. La
peau
est sèche. P. 120; T. V. 59u,4, 23 déc. Pouls p
it thébaïque ; cataplasme laudanisé. 5 nov. P. 124; T. V. 40°,8. La
peau
est le siège d'une chaleur intense, mordicante. L
e et peut-être même plus régulièrement. Froide pendant le frisson, la
peau
devient ensuite le siège d'une cha¬ leur ardent
cre et mordicante. Dans les quelques heures qui précèdent la mort, la
peau
se couvre d'une sueur froide et visqueuse, les ex
raitement des mala¬dies chroniques en général et des affections de la
peau
en particu¬lier, etc., par E. Bazin (anal. G. Bou
qui augmente durant les jours qui suivent l'entrée à l'hôpital. La
peau
est cyanosée et froide ; au niveau de la région
e long du corps, les mains sont ouvertes et les doigts étendus ; la
peau
à leur niveau est blanche et lisse ; il existe
si-constante, tandis que le peaucier droit ne peut être vu sous la-
peau
. Les yeux ont conservé leurs mouvements ; il n'
ques augmentant sous l'influence de la plus petite excitation de la
peau
, ou bien au contact du froid. Dans cette même pér
entuée à droite. Acuité visuelle : 0. VI. Troubles t1'ophiques. -
Peau
un peu sèche. Engelures fréquentes aux mains et
uefois des contractions énergiques, et forment des saillies sous la
peau
; d'autres fois ce ne sont que quelques fascicule
t les deux nuances aréolaire et mamelonnaire physiolo- giques. La
peau
est chaude, mais souple, sans le moindre capitonn
nchaînement avec le présent : « Il n'y a plus de pain... J'aurai ta
peau
... Mes nièces sont les bourgeoises... » Il est pr
issions pour les uns et les autres), tas de v..., tu n'auras pas ma
peau
..., va donc trouver X..., il est aussi bête que
tits athlètes, et en effet ils jouissent d'une excellente santé. La
peau
et le système pileux sont nor- malement dévelop
eur et fumeur. A tout prendre notre sujet paraît bien constitué, sa
peau
est blanche sur toute la surface du corps, élas
horax, abdomen, aisselles, puhis et jambes, tout en est recouvert. La
peau
est brunâtre. Les muqueuses visibles sont rosée
, les épiphyses ne sont pas soudées. Les extrémités sont fines ; la
peau
est peu épaisse, délicate. L'altération de lo
s, son corps ne transpirait que rarement, ses mains pas du tout. Sa
peau
ne montre aucun trouble vasomoteur, tel que ref
ressions du goût et de l'odorat, bien perçues ; sen- sibilité de la
peau
, parfaite. Les fondions mimiques de ses muscles
rrait concevoir ainsi l'influence nocive de ces agents chez lui, la
peau
de ses mains aurait absorbé ces substances, dans
gauche ; une seule est atteinte. L'agent nocif était absorbé par la
peau
de l'éminence thénar ; or ce ne sont pas ces musc
le muscle et les terminai- sons nerveuses, après absorption par la
peau
, que le corps chimique a pu agir, mais par l'in
oxication générale, la térébenthine étant très bien absorbée par la
peau
(1) ; en outre elle l'est aussi parfaite- ment
nerfs périphériques par l'application de substances toxiques sur la
peau
». Aussi ne devons-nous pas considé- rer comme
t une tache brunâtre ayant une bordure plus intensément colorée. La
peau
durcit à cet endroit, puis elle se déprime. L'a
aphie faite pour voir jusqu'à quelle profondeur va l'induration de la
peau
. La malàde ne peut pas préciser l'ordre dans le
hies et des contractures, accompagnée d'un état de sclé- rose de la
peau
des membres inférieurs. Plusieurs auteurs mettent
nné aucune modification sclérodermiquc. Dans le cas I il dit que la
peau
de la jambe est épaissie par une sclérose ; dans
cas II et VIII, il s'agit seulement d'une coloration brunâtre de la
peau
, dans le cas XVII, la peau est lisse, brune, sèch
eulement d'une coloration brunâtre de la peau, dans le cas XVII, la
peau
est lisse, brune, sèche. Dans le cas de Jonas (
auf à la face an- térieure où ils persistent et deviennent durs. La
peau
y subit une infiltra- tion, devient luisante, l
ires, puis il s'est produit l'in- duration et la pigmentation de la
peau
. Plus lard il apparaît des palpita- tions, la t
au visage, au cou, moins aux pieds, avec pigmentation intense de la
peau
. Après quelque temps, au cours de la même année,
de sclérodermie, de goitre, de tachycardie et de pigmentations de la
peau
. Il est d'avis que dans ce cas il s'agit d'une
l différant de la forme ordinaire par un moindre parcheminage de ia
peau
et donnant au toucher la sensation d'une sorte
son Traité des épidémies l'histoire d'un certain athé- nien dont la
peau
était si indurée qu'on ne pouvait la pincer ; Gal
stegnose et qui consistait en une sorte d'obstruction des pores de la
peau
; il décrit encore comme symptômes de celle aff
comme symptômes de celle affection la dureté et la blancheur de la
peau
, la pigmentation fréquente et l'absence de sueurs
s, Thibtere en 1890 montra que la sclérose, loin de se limiter à la
peau
, est très envahissante et il insista sur l'atroph
put relever entre la sclérodermie et la maladie dite pierres de la
peau
ou syndrome de Profi- chet. Observation. Ca
roides, violacées, les mouvements des doigts se font difficiles. La
peau
se durcit, se rétracte, présente des traînées scl
uelque temps les douleurs aux genoux sont devenues continuelles, la
peau
et même le tissu sous-cutané de la région prérotu
ltats appré- ciables. Etat actuel (mars 1910). Femme amaigrie, la
peau
est fortement pig- mentée, d'une coloration qui
porales et sur le cou. Le nez est un peu effilé, lisse d'aspect, la
peau
est adhérente et sèche, les yeux» paraissent prof
e sur l'oreille gauche; les lèvres sont plutôt effilées et minces. La
peau
dé la région faciale est un peu épaissie et peu
pect cireux, leur courbe est continue, ils sont écourtés au bout, la
peau
qui les recouvre est très dure, presque ligneus
marqué depuis longtemps cette hyperhydrose des mains. Au tronc la
peau
est lisse, sauf sur le ventre ; les poils sont ra
os comme un pois, de consistance pierreuse, qui sont adhérents à la
peau
, ces nodules sont le siège de douleurs fort péni-
roubles trophiques que nous avons décrits aux doigts des mains ; la
peau
est lisse, de couleur bru- nâtre, parsemée de t
s règles) depuis 6 ans, atteinte d'altérations sclérémateuses de la
peau
el des tissus sous-jacents, présentant leur max
tion, dans le syndrome de Profichet ou « maladie ries pierres de la
peau
». Enfin à la radiographie du crâne, celte femm
able au premier chef de toute la maladie est loin de se borner à la
peau
; et c'est là justement ce qui caractérise la s
sclérodermie et permet de la distinguer des scléroses banales de la
peau
. Après le derme et le tissu cellulaire hypodermiq
ur ce fait qu'elle ne résulte pas seulement de la compression de la
peau
contractée, mais qu'elle peut en- core se renco
ite inters- titielle aux mollets, dans un endroit recouvert par une
peau
presque nor- male. Ces déformations musculair
au menton et aux extrémités. Or pendant que dans l'acromégalie la
peau
devient hyperplasique et que les os qu'elle rec
recouvre deviennent plus ou moins épais, dans la sclé- rodermie la
peau
s'atrophie, se rétracte, et à cette atrophie les
jusqu'à présent, des cas appartenant à la maladie des pierres de la
peau
, on peut constater que plusieurs des sujets attei
ermiques. On connaît depuis longtemps, sous le nom de pierres de la
peau
, des exemples de calcification des tissus sous-
eau, des exemples de calcification des tissus sous-cutanés ou de la
peau
elle-même. La première observation qui ait rapp
S DE SCLÉRODERMIE 30S lion très intéressante de calcification de la
peau
chez un homme de 30 ans, et Vogel en 1843 faisa
Derville ont signalé isolé- ment quelques cas de calcification delà
peau
, mais ce ne fut que Profichet qui le premier pu
affirmer que le syndrome de Profichet ou maladie des pierres de la
peau
est carac- térisé par la présence dans les tiss
ations appartenant au syndrome de Profichet un état spé- cial de la
peau
qui est lisse, luisante, rétractée, d'une couleur
être discuté. Mais plus souvent encore la maladie des pierres de la
peau
(1) G. Cil. Profichet, Sur une variété de concr
variété de concrétions plaosptealiques sous-cutanée (pierres de la
peau
). Thèse de Paris, 1900. (2) A. Busi, Un cas de
e Paris, 1900. (2) A. Busi, Un cas de la maladie dite pierres de la
peau
. Annales d'électro-biologie et de radiologie, 1
e de constater parmi elles l'existence de troubles trophiques de la
peau
à allure franchement sclérotÍel'- mique. A ce'p
ypique : son malade, âgé de 61 ans, était maigre, à teint pâle ; la
peau
est pigmentée, le système musculaire est atroph
le système musculaire est atrophié, les articulations sont raides, la
peau
est lisse, luisante, rétractée, épaissie, l'ins
indolores, de dimensions et de formes différentes, siégeant sous la
peau
. Ajoutons encore qu'à l'autopsie on constata la
eux que ce cas a présenté, en plus de l'existence des pierres de la
peau
, un véritable syndrome sclérémateux généralisé te
s, le facies est adénoïdien, il y a des troubles articulaires et la
peau
est sclérémateasse. Dans le cas de Derville (4)
uleurs dans les extrémités, les mains sont froides et cyauiques, la
peau
est durcie, il y a de l'ichthyose, des eschares
bles vaso-moteurs et trophiques ; les extrémités sont violacées, la
peau
présente des taches pigmentaires, le malade est c
eurs lancinantes, limitation dans les mouvements arti- culaires, la
peau
adhère aux plaques sous-jacentes. Enfin la mala
dans l'eau chaude. Les mains étaient cyanoiiques, recouvertes d'une
peau
dure, scier èmateuse, particulièrement à leur f
xposé de ces observations, que dans la maladie dite : pierres de la
peau
, très fréquemment il y a des troubles francheme
e la sclérodermie. (1) J. BAYLE, Elude sur les calcifications de la
peau
. Thèse de Paris, 1905. 308 BERTOLOTTI Or comm
les analogies entre la sclérodermie et la maladie des pierres de la
peau
restent, croyons-nous, assez bien démon- trées.
nt il est probable, selon nous, que la ma- ladie des pierrres de la
peau
, alors qu'elle s'associe à la sclérodermie, doit
es dégénérescences calcaires des tumeurs bénignes ou malignes de la
peau
, celles des athéromes multiples calcifiés et de
ls psychique* sur les changements de cou- leur des cheveux et de la
peau
et sur la guérison de la lepre biblique, Revue de
scrotum est remarquablement distendu. Quand on presse un peu sur la
peau
des jambes, il s'y marque une empreinte, qui dure
s mêmes empreintes se présentent si l'on presse entre les doigts la
peau
du scrotum. Nous avons donc affaire : ') un oedèm
de Jong, qui fil l'examen au micros- cope, nous apprit que dans la
peau
scrolaleentre les larges faisceaux mus- (1) D'a
normal. Quand nous regardons, ce qu'il y a encore à remarquer à la
peau
des jambes, nous trouvons qu'elle est en généra
vantage entre les orteils ; à ces endroits et sur le cou-de-pied la
peau
est plus dure que normalement et ici et là entr
e constater aux pieds que les ongles sont anor- malement petits. La
peau
des jambes est aussi plus foncée de couleur qu'
qu'à l'état normal ; pendant qu'on soignait le malade à l'hôpital. la
peau
a été presque tout le temps normale de couleur,
tait d'une couleur rose tirant sur le rouge. La tem- pérature de la
peau
des jambes est normale et n'a jamais été, pendant
gnalé que l'oedème était assez dur ou élastique ; dans notre cas la
peau
oedématiée est rugueuse et desquame un peu, tan
lcères sur les pieds et à la cuisse, la rugosité particulière de la
peau
, les papilles entre les orteils, la mauvaise cr
des muscles dans lesquels elles se montrent, fronçant rapidement la
peau
et disparaissant aussi rapidement qu'elles sont
du peaucier lui-même dont les fibres se dessinent nettement sous la
peau
du cou. Cet ensemble donne à la physionomie du
tes contractions fibrillaires ou fasciculaires impriment ainsi à la
peau
susjacente de petites ondulations plus ou moins
il faut signaler cependant qu'au début de l'état spas- modique, la
peau
de l'hémiface gauche était le siège d'une hyperes
niquement que ceux du côté opposé. Les excitations por- tées sur la
peau
recouvrant ces muscles ou sur la face interne de
involontaires, brèves, fibrillaires ou fasciculaires, soulevant la
peau
en ondulations légères, siégeant dans presque tou
de chaque côté de la ligne médiane, les peauciers, enfin, tendent la
peau
de la partie supérieure du cou. Si maintenant o
ents sous- cutanés, suffisants cependant pour plisser légèrement la
peau
, présentant l'aspect de contractions fibrillair
u quatre faisceaux obliques généralement très bien dessinés sous la
peau
. Aux points 9 et 10, apparaissent quelquefois,
se manifestant sous forme de frémissements et de plissements de la
peau
. Elles ne se montrent jamais en dehors du clign
les se présentent sous la forme de secousses musculaires à fleur de
peau
, brèves, rapidement effacées, déplaçant légèremen
ive : ce sont de petites ondulations, de petites palpitations de la
peau
, ne modifiant en rien la physionomie du malade.
tude. Elle consiste en une petite contraction déplaçant vivement la
peau
sans la froncer. Au niveau du point 3, les seco
point 1. Elles paraissent même faire suite à celles du point 1 : la
peau
est en effet en- traînée à cet endroit par les
arqué 3 ; il n'existe pas à proprement parler de plisse- ment de la
peau
, mais d'un déplacement cutané en masse sur une su
dont les poils enregistrent en les amplifiant les déplacements de la
peau
située au-dessus. Fw. 2. - Obs. Il 1. HÉMIS
le mois de mai dernier elles reparaissent constamment, et comme la
peau
du sujet ne supporte plus guère les rayons X, i
aspect à la fois juvénile et sénile. Il a l'air d'un enfant car sa
peau
est glabre et rappelle ceile d'une vieille femm
n. Malgré le développe- ment de la graisse en certaines régions, la
peau
n'est nullement infiltrée com- me celle des myx
gle des mâchoires, au niveau du menton et près des ailes du nez. La
peau
* du visage n'offre pas de rides anormales. Dans l
st mince comme celle des doigts de femme. Sur le dos des mains la
peau
est légèrement craquelée, froide et sèche; du c
des fesses et le peu de développement des masses mus- culaires ; la
peau
est normale et il n'existe pas de troubles trophi
ns. La voix est enfantine, très grêle ; elle n'a jamais mué. ' La
peau
du corps ne présente pas de pigmentation anormale
, peu profondes, à bords anfractueux, séparées par un intervalle de
peau
rouge et tuméfiée. Le fond de ces ulcérations trè
e ces ulcérations et dans toute l'éten- due du pli interfessier, la
peau
est rouge et enflammée, au niveau des plis in-
aux il existe une zone rouge et suintante sans ulcération nette. La
peau
du scrotum présente également des lésions eczémat
abres; organes génitaux infantiles et anaphrodisie ; voix fluette ;
peau
sèche; etc. Or les auteurs citent à l'appui de
maux. Les mains sont volumineuses, avec une forme de battoir et une
peau
ferme et épaisse. Les os du membre inférieur so
a sensibilité cutanée, aucun trouble trophique soit au niveau de la
peau
soit au niveau des articulations. Les différent
ais notre malade n'a pas une face épaisse, aux lèvres grosses, à la
peau
bistrée, comme les acromégaliqutJs. A l'examen
trouve élevée de 3-4 centimètres au-dessus de celle de droite. La
peau
n'est pas hyperhémiée, on ne sent pas de fluctuat
9 juin 1828, dans l'état suivant : Emaciation sans teinte jaune de la
peau
; débilité extrême; infiltration des membres infér
lleurs réduit à une vie purement végétative : son corps est fruid, la
peau
décolorée. Gémissemens sourds, membres contractés
t d'anus, point de tubercule qui en décèle la place. A son niveau, la
peau
est soulevée par un flot de méconium (fig. 6); le
e issue à ce méconium. Une incision A est pratiquée sur la portion de
peau
soulevée qui répond à l'anus; il s'écoule une gra
énétrer n'y arrive que par transsudation. Il a vainement cherché à la
peau
, ainsi qu'aux membranes muqueuses, les ouvertures
, celle des larmes ? N'avons-nous pas encore les orifices béans de la
peau
, si visibles à l'œil armé d'une loupe ordinaire,
es de papilles ? (**) J'ai examiné avec la plus grande attention la
peau
de la plante des pieds d'un ours ; les canaux épi
coccyx, petite dépression qui résulte de l'adhérence^de^ce sommera la
peau
. Organes génitaux rejetés en avant, très-bien con
ouche adipeuse sous-cutanée avait une épaisseur très-considérable. La
peau
était calleuse, c'est-à-dire le derme épaissi, l'
ule synoviale sous-cutanée irrégulière favorisait le glissement de la
peau
sur cette tubérosité. La peau de la plante des pi
égulière favorisait le glissement de la peau sur cette tubérosité. La
peau
de la plante des pieds était ténue comme celle qu
de décroissement. La figure 1 représente la jambe dépouillée de la
peau
et de l'aponévrose jambière, vue par son côté ext
n'existait pas de bourse synoviale entre la tête de l'astragale et la
peau
^ mais bien un tissu fibreux. Fig. 4- Elle repr
, ayant abandonné la cavité du scaphoïde, est venue se placer sous la
peau
qu'elle soulève et forme une tumeur d'autant plus
là la saillie que forme la tubérosité antérieure du calcanéum sous la
peau
, saillie quelquefois énorme, devenue supplémentai
et sur laquelle repose en général le pied dans la marche : alors la
peau
si ténue du dos du pied devient épaisse, calleuse
si ténue du dos du pied devient épaisse, calleuse; quelquefois cette
peau
, irritée parle frottement, s'enflamme, s'use; d'o
u la nécrose des os dénudés, ainsi que j'en ai vu un exemple, sous la
peau
qui répond à la tubérosité antérieure du calcanéu
c sirop d ether. Touic La journée du iG est excellente : bien-être.
Peau
naturelle; pouls presque naturel pour la fréquenc
hémorrhagie spontanée. J'en ai rencontré dans tous les organes: à la
peau
; c'est le purpura hemorrhagicum ; morbus hemorrha
es, les ecchymoses de la conjonctive, les ecchymoses spontanées de la
peau
de la face ou d'autres parties du corps : dans le
é anatomique par M. Robert, l'un de ses membres. Tous les organes, la
peau
, le tissu cellulaire, les muscles, le cerveau, le
est pas augmentée sensiblement de volume; elle est recouverte par une
peau
très - saine, mobile ; mais l'amaigrissement est
a moitié droite du sternum et des cartilages costaux du même côté. La
peau
était saine et mobile, et con-sequemment point de
brusque que le malade meurt en parlant. Chez ce dernier malade, la
peau
, les intestins, le foie et la rate étaient très-i
tique, quelle qu'elle soit, se fixe sur les capillaires nerveux dé la
peau
; d'où engourdissement, fourmillement douloureux a
e la jambe, à toute une extrémité inférieure; rarement occupait-il la
peau
du tronc. Dans d'autres cas, cette cause se fixe
st propagée le long des attaches des muscles thoraciques et même à la
peau
du thorax : le besoin d'uriner et de rendre les m
la langue naturelle ; maigreur sans marasme ; teinte naturelle de la
peau
; pouls peu développé, mais sans fréquence. Une c
s synoviales sous-cutanées; l'une, plus considérable, située entre la
peau
et la lame aponévrotique qui revêt la rotule, une
ques points, dure en quelques autres, sans changement de couleur à la
peau
. Articulations huméro-cubitales fléchies à angle
entre le derme et le cartilage, petits grumeaux apparens à travers la
peau
. RÉFLEXIONS SUR LES FAITS PRÉCÉDENS ET CONSIDÉR
'autres individus ; les taches de sang qu'on observe quelquefois à la
peau
autour d'une articulation malade, tous phénomènes
odus d'urate augmentent peu à peu, irritent le tissu cellulaire et la
peau
à la manière d'un corps étranger, et sont expulsé
ge et de fortes douleurs dans les membres. Le pouls est fréquent ; la
peau
brûlante.—Le troisième jour, grande douleur a la
x ; et de même que dans les phlegmons diffus sous-cutanés, on voit la
peau
privée de ses vaisseaux nourriciers s'escarifier
stances de localité ; une fluxion érysipélateuse a-t-elle lieu sur la
peau
de la face, un œdème sous-cutané la précède et l'
est sous cette membrane que le pus est versé. Il en est de même de la
peau
dans l'inflammation des paupières et du scrotum ;
bout d'une ou deux secondes. La douleur causée par le pincement de la
peau
n'était pas non plus perçue immédiatement. Surdit
ce sont là des mouvemens qui résultent d'un consensus local entre la
peau
et les muscles. Tel était son état lorsqu'il fut
ns. Assoupissement continuel, et néanmoins sensibilité exagérée de la
peau
: pansement des vésicatoires très-douloureux : fa
très-pré-cipitée. Le pouls très-petit et très-lent. La chaleur de la
peau
est d'ailleurs naturelle. (Calomel, seize grains
qu'on l'y engage. La déglutition est impossible. La sensibilité de la
peau
est exquise. — Le 27, mouvemens convulsifs qui
ge de convulsions et d'assoupissement, une sensibilité exagérée de la
peau
jointe à des symptômes de compression. Obs erva
on royale de Santé, dans l'état suivant : face tout-à-fait naturelle,
peau
fraîche ; pouls très-lent et un peu inégal : la r
ils soient restés plusieurs heures et qu'ils aient fortement rougi la
peau
, je porte un pronostic fort grave. Trois jours se
ais y porte l'autre main. D'ailleurs le pouls est toujours lent et la
peau
naturelle. — Le sixième jour, même état des yeux;
urelle. — Le sixième jour, même état des yeux; un peu de chaleur à la
peau
et de fréquence dans le pouls. Le petit malade ré
s questions. Le soir, paroxysme fébrile extrêmement fort. Face rouge,
peau
brûlante. Mort peu de temps après. Ouverture du
malade ne répond h aucune question, et néanmoins la sensibilité de la
peau
est tellement exaltée qu'on ne peut la toucher sa
la partie interne des cuisses.) Le lendemain, la sensibilité de la
peau
est remplacée par l'insensibilité la plus complèt
e verdâtre; langue rouge et sèche ; vomissemens muqueux; chaleur à la
peau
et fréquence dans le pouls. Les derniers jours, a
it absolument les mêmes lois que celles des pertes de substance de la
peau
et de tous les autres organes. Formes cliniques
utanées, une sorte de crise qui, salutaire si elle se fût portée à la
peau
, devient nuisible parce qu'elle se dirige sur un
causes morbides, et en cela cette muqueuse est en opposition avec la
peau
et la muqueuse intestinale. Ce miasme absorbé est
le ; les causes parurent agir de deux manières différentes, et sur la
peau
et sur le canal alimentaire (**). XXXV. Si la t
mes. vne livraison. 4 XLV. Les liens sympathiques qui unissent la
peau
au canal intestinal; d'une autre part l'exquise s
e la douleur. Un pouls très-petit et très-fréquent, sans chaleur à la
peau
, sans diminution correspondante des forces muscul
pas m'entcndre; sa face exprime le découragement le plus complet ; la
peau
est brûlante; le pouls large , mou , peu fréquent
— Année 1829. viie lvraison. 7e. Livraison. Pl. 6. MALADIES DE LA
PEAU
. (Productions Cornées) MALADIES DE LA PEAU. (
Pl. 6. MALADIES DE LA PEAU. (Productions Cornées) MALADIES DE LA
PEAU
. (Planche vi, vne livraison.) Productions corné
cornée particulière, et (1) Voyez Rayer, Traité des maladies de la
peau
. Paris, i835, tom. m, p. 640. (2) Voyez Carus,
he; il s'est même levé une fois pour s'en aller. La sensibilité de la
peau
est dans son état d'intégrité. Le malade n'accuse
un cas semblable, j'avais observé une terminaison par suppuration. La
peau
commence à rougir ; je me décide à ouvrir cet abc
me décide à ouvrir cet abcès prétendu. Par une première incision, la
peau
est incisée dans l'étendue d'un pouce; je fais en
entôt pour de la matière encéphaloïde. J'agrandis et l'incision de la
peau
et celle de la tumeur; mon doigt, introduit dans
opération n'a présenté de remarquable que l'excessive adhérence de la
peau
aux parties subja-centes, en sorte qu'au lieu d'u
lieu le plus souvent, il a été nécessaire de disséquer péniblement la
peau
dans une bonne partie de son étendue. Il n'est pa
ques. Dans un cas semblable, j'enlèverais une plus grande quantité de
peau
et je m'éloignerais davantage de la cicatrice. J'
a longueur au double de l'état naturel. La cicatrice déprimée de la
peau
adhérait au testicule à l'aide d'un tissu fibreux
a cicatrice s'est faite lentement, et le renversement des bords de la
peau
en dedans a para retarder la guérison, qui n'a ét
gure; les extrémités inférieures du radius et du cubitus font sous la
peau
une saillie considérable; celle du radius R est m
de doute que l'extrémité supérieure du carpe ne fît en avant, sous la
peau
, une saillie proportionnelle à celle que font en
pas la première fois que des brûlures, avec perte de substance de la
peau
, ont entraîné de semblables déplacemens des os ;
rtère brachiale, des veines brachiales, du nerf médian, et même de la
peau
, à travers laquelle s'échappe l'humérus. J'ai vu
la douce excitation qu'imprime le calorique sur toute l'étendue de la
peau
, provoque la sueur et produit une dérivation puis
es, prostration extrême; mort à dix heures. Ouverture du cadavre. —
Peau
décolorée, embonpoint notable. L'abdomen ouvert,
on regarde comme due au pylore cancéreux. Le teint jaune-paille de la
peau
semble encore confirmer ce diagnostic. Trois sema
es matières fécales, car l'animal léchait sans cesse la surface de sa
peau
. XXIX. Je ne connais que trois voies pour l'int
autre se dévia de sa direction première et vint faire saillie sous la
peau
, à la partie interne du membre. Ce malade entre à
mollet. On examine : on trouve les veines superficielles soulevant la
peau
à la manière de cordons très-durs. Le malade mour
sons que la tumeur axiilaire n'eût pas existé et qu'on eût emporté la
peau
cancéreuse; si le malade avait succombé au bout d
une lésion de cet organe. En effet, le malade dépérit à vue d'œil; la
peau
devient jaune; les extrémités inférieures s'infil
me consulter le 15 octobre 1820. Il présentait l'état suivant : La
peau
de la face et de toute la surface du corps, les l
uytren procéda à la dissection de la tumeur. A peine eût-il incisé la
peau
dans une certaine étendue, qu'on vit se former de
res de l'incision. Surpris de ce phénomène , il dissèque avec soin la
peau
qui recouvre la tumeur et le tissu cellulaire sou
même que le canal thoracique n'en présentaient aucune trace. Comme la
peau
qui recouvrait la partie interne de la tumeur ava
phlegmoneux, nous pensâmes alors que le pus formé à la surface de la
peau
, et dans le tissu cellulaire sous-cutané avait ét
Les synapismes de la veille, laissés trop long-temps, ont enflammé la
peau
. Prescription : Eau gommeuse glacée. Un demi-la
itié. Alors, il se trouvait mieux: la face n'était point altérée ; la
peau
était chaude ; le pouls résistant, Il y avait mêm
rnées aux muscles du pied et de la jambe; refroidissement léger de la
peau
; point de teinte violacée; pouls petit, à 100 pul
l'aspect étonné des cholériques arrivés à la période de réaction; la
peau
est chaude, le pouls lent, large, mais peu résist
la visite, altération de la face, pouls faible, refroidissement de la
peau
, soif vive. Prescription : Eau de tilleul chau
uivant : Face cholérique, mais non violette; narines pulvérulentes;
peau
froide; pouls à peine appréciable ; angoisse; sen
lcooliques. A la visite de neuf heures du soir, un peu de réaction.
Peau
fraîche et non froide; le pouls est moins misérab
ible. Les traits de la face sont moins tirés : un peu de chaleur à la
peau
; pouls fréquent , un peu plus développé; nausées
st presque nulle, sous le point de vue de la revification du sang; la
peau
, livide, a perdu toute sa tonicité, si bien que l
lèvres; point d'emaciation notable; couche épaisse de graisse sous la
peau
. L'estomac et les intestins offrent à l'extérie
lement supportée. Le malade se plaint qu'on le brûle, et néanmoins la
peau
ne se réchauffe pas. Quelques larmes ont coulé de
a même de la chaleur à l'abdomen et au thorax. Couleur verdâtre de la
peau
au niveau de l'arcade fémorale et au-dessus. Esto
tion des vomissements. 21. Réaction; face colorée ; assoupissement;
peau
chaude; pouls fréquent; selles peu fréquentes. Vé
mment supportées par l'estomac. Le 15. La face est moins livide; la
peau
n'est plus algide, mais seulement refroidie; plus
tion depuis hier au soir ; face vultueuse; le pouls peut être perçu ;
peau
chaude ; étouffements ; vomissements et selles ja
gauche. Les intersections aponévrotiques se prononçaient à travers la
peau
par des dépressions transversales. Soif ardente;
ge de ne pas participer à la dessiccation. La teinte bleuâtre de la
peau
est moins foncée et moins générale que sur le viv
crut d'abord que ces extrémités étaient gangrenées. Le froid de la
peau
est moins intense sur le cadavre que sur le vivan
t en grande partie à l'absence de cette sueur visqueuse qui inonde la
peau
pendant la dernière période du choléra : chez plu
sa couleur violacée. 11 y a cyanose du péritoine aussi bien que de la
peau
: souvent j'ai vu le péritoine parcouru par des b
quels la maladie paraissait bornée à une sécrétion surabondante de la
peau
, et qui était à la Suette la plus intense, ce qu'
ution de l'électricité, dans des animalcules qui s'attacheraient à la
peau
, aux vêtements; dans les qualités du riz et autre
à l'extérieur doivent être utilisées pour cet objet : on agira sur la
peau
, sur la muqueuse digestive, sur la muqueuse respi
e, dans le système veineux. A. Moyens thérapeutiques dirigés sur la
peau
: i° Frictions. Des frictions sèches avec une bro
rt, complètement renoncé. •2° Caléfaction. Le refroidissement de la
peau
, porté jusqu'à F algidité, a fait imaginer une fo
ue la caléfaction est impatiemment supportée par les malades, dont la
peau
reste glacée au milieu de vapeurs brûlantes, et r
Cette idée mérite d'être suivie. Quant à la qualité des boissons ;
Peau
de Seltz, l'orangeade, la limonade minérale, l'ea
vrier, déglutition gênée, rougeur de l'isthme du gosier. Chaleur à la
peau
(orge, sirop de gomme; lait coupé; cataplasmes su
a face s'altère, le pouls devient petit, inégal; état de prostration;
peau
froide; vomissements, hoquets; ignorance complète
2) a la forme d'un cœur de carte à jouer; elle est recouverte par une
peau
très fine, de couleur rosacée à sa circonférence,
héroïdale ; mais affaissée, plissée sur elle-même. Recouverte par une
peau
fine à sa circonférence, cette tumeur est ulcérée
en une dilatation veineuse bien digne de fixer l'attention. Sous la
peau
(pl. VI.) rampaient, en zig-zags, de grosses vein
he VI, XVIe livraison. Les veines dilatées étaient situées entre la
peau
et une lame fibreuse très mince qui les séparait
s. Cette lame était évidemment le fascia superficiel de l'abdomen. La
peau
était soulevée et amincie au niveau de chaque cir
me s'il y avait eu une membrane séreuse interposée à la veine et à la
peau
. Quelques circonvolutions seules adhéraient à la
a veine et à la peau. Quelques circonvolutions seules adhéraient à la
peau
à l'aide d'un tissu cellulaire extrêmement délié.
lulaire extrêmement délié. Des prolongements fibreux et indurés de la
peau
au fascia superficiel séparaient les circonvoluti
e, juxta-posées, extrêmement saillantes, VV,VV, et qui soulevaient la
peau
très mince qui revêt cette région. Ces tumeurs ét
neuse, bosselée, dont le siège me parut être l'ovaire ou l'utérus. La
peau
des parois abdominales était soulevée par de gros
t de l'abdomen par un éraillement de la ligne blanche formait sous la
peau
une anse de trois à quatre pouces de longueur^ po
erfs cutanés, ou sensoriaux, ou viscéraux, quand la douleur occupe la
peau
, les organes des sens ou les viscères. (Névralgie
rieure du membre abdominal; fluctuation manifeste autour du genou; la
peau
est à peine de couleur rosée. La toux provoque de
l'état suivant : maigreur générale ; pâleur de la face et de toute la
peau
. Céphalalgie occipitale ; déviation de la bouche
abondante Selles involontaires. Emission libre et facile des urines.
Peau
sèche et chaude ; pouls petit, régulier , 124 pul
voit un tissu criblé de trous qui est bien évidemment un fragment de
peau
. La fig. 5 représente la portion osseuse qui so
ion longitudinale pratiquée à côté de la mèche , a démontré 1° que la
peau
était doublée par une couche assez épaisse de tis
étrer à un pouce et demi de profondeur, et se diriger d'abord sous la
peau
, puis plus profondément du côté des sinus frontau
il était doublé par du tissu adipeux et recouvrait le squelette. La
peau
des kystes pileux est remarquable par le développ
s on voit naître les poils. Le cuir chevelu est la seule partie de la
peau
où cette disposition soit aussi prononcée : par-t
t-elle pas le produit de la sécrétion des follicules ou cryptes de la
peau
? Cette opinion pourrait être soutenue à quelques
iennent à l'appui de cette manière de voir. Dans ces kystes, c'est la
peau
qui se prolonge pour tapisser la poche ou si l'on
à des bulbes de plus retournés dont le fond regarde la surface de la
peau
, et l'orifice le tissu cellulaire sous-cutané. Re
enant la question de savoir si un tissu aussi composé que celui de la
peau
peut se former accidentellement avec toutes ses d
plicité de structure des cicatrices cutanées qui ne présentent qu'une
peau
imparfaite toujours dépourvue de cet ordre d'appe
ète de l'embryon lui-même; or, tantôt il ne reste de l'embryon que la
peau
qui entre dans la structure des parois du kyste e
implement pileux, tantôt une portion plus ou moins considérable de la
peau
, quelques portions de mâchoires, ou d'autres port
nt assez pour altérer sa consistance et sa couleur. Aux membres, la
peau
distincte recouvrait des muscles distincts, au ce
le parfaitement conservé, sans )) être environné d'aucune liqueur. La
peau
de cet enfant était fort épaisse : il avait des c
1er espace interosseux. Fig. 4. Tumeur mélanique T' M', occupant la
peau
delà région calcanéenne de la plante du pied. (Ce
sette ou d'un pois. Ces tumeurs paraissaient formées aux dépens de la
peau
. Plusieurs étaient lobulées ; l'une d'elles occup
re du cadavre. Indépendamment des tubercules anciens mélaniques de la
peau
, on trouva un grand nombre de tumeurs de la même
ui d'une noisette. De ces tumeurs , les unes formées aux dépens de la
peau
, présentaient une coloration noire qui révélait
des faisaient saillie à l'extérieur , sans changement de couleur à la
peau
; la surface de toutes ces tumeurs était inégale e
pas sortir de l'espèce humaine) du pigmentum de la choroïde ou de la
peau
du Nègre. Ses caractères microscopiques sont iden
et même sous l'arachnoïde à la base du cerveau. Le pigmentum de la
peau
du Blanc devient noir, soit partiellement, soit d
nc devient noir, soit partiellement, soit dans toute la surface de la
peau
, par l'effet de causes impossibles à apprécier. L
r l'effet de causes impossibles à apprécier. Le morbus maculosus delà
peau
, qui n'est autre chose que le dépôt sous-épidermi
e sang, est bien distinct de la couleur mélanique proprement dite. La
peau
devient noire autour d'un vésicatoire, d'un vieil
tinctes l'une de l'autre dans ce dernier sens que dans le premier. La
peau
qui revêt la tumeur supérieure est parsemée de qu
t ses mailles; la partie du grand pectoral qui revêt le sternum et la
peau
correspondante avaient été envahies. Ainsi dans c
du volume d'une petite noix; tumeur indolente, sans adhérence avec la
peau
, et sur laquelle la malade n'avait point appelé l
r; quelques taches noires çà et là; épaississement considérable de la
peau
, qui revêt la mamelle, mais sans sucs cancéreux.
ubstance des circonvolutions avec coloration jaunâtre, brun-jaunâtre,
peau
de chamois, dont chacune répond probablement à un
aux deux hémisphères présentent à leur surface des cicatrices couleur
peau
de daim plus ou moins étendues, avec perte de sub
stance de l'estomac, de même que celle des pertes de substances de la
peau
, se fait de deux manières : i° par le rapprocheme
NS SE L'APPAREIL SES SENSATIONS ET SE L'INNERVATION. Maladies de la
peau
. Productions cornées............. Maladies des
orse et ses bras sont peu musclés, ses jambes le sont davantage. La
peau
, qui n'est pas très fine, présente une coloration
ns ; de plus, son torse est cylindri- que, et un peu proéminent, la
peau
uniformément glabre (pas un poil au pubis, aux
« Il s'habille à l'ancienne mode ; il a un grand ruban à son cll3-
peau
; il ne sait pas s'arranger; il paraît 10 ans de
pas de phéno- mènes inflammatoires de tuméfaction, de rougeur de la
peau
; il nj ni pas d'élévation de température. Les
mement dans la profondeur à l'os, de consistance solide plutôt ; la
peau
est mobile sur cette tumeur, qui est douloureus
ture, grande comme une pièce de 5 francs en surface et soulevant la
peau
, ayant une hau- teur de 2 centimètres environ,
t sous le sein ; elle adhère intimement aux côtes sous-jacentes, la
peau
est mobile sur elle ; elle est de consistance plu
ade des mouvements de défense et provoque des cris de douleur. La
peau
est sèche, rugueuse et presque totalement dépourv
de trace, en apparence du moins, et l'on dut se borner à suturer la
peau
aussi bien que possible. L'opération eut pour r
de l'autopsie est que J. avait en outre quelques an- giomes dans la
peau
de la poitrine et au foie. Fausses côtes en majeu
est plus rapidement absorbé que si l'injection a été faite sous la
peau
. Cela se comprend aisément si l'on songe que, d
lendemain de la 17e piqûre, on constatait une large ecchymose de la
peau
de la fesse droite, qui avait ainsi reçu 8 centig
es, l'atteinte portée à la vitalité de leurs tissus est générale.
Peau
, tissu cellulaire, et muscles du côté valide, son
llade, en grec ophiasis, moyennant laquelle on change de poil et de
peau
» (Pantagruel, L. V, ch. XXI), car « une chose qu
0 (L. Moland), 190 M. TRMNEL ses et farcineuses et rudes comme la
peau
d'ung chien marin, en coulleur et forme de la p
ASPECT PARTICULIER DE LA MAIN DANS LA SYRINGOMYÉLIE. LA MAIN EN «
PEAU
DE LÉZARD , PAR Pierre BOVERI, Pnvat-docent
és de retentissement de l'affection primaire sur la nutrition de la
peau
et des tissus sous jacents. J'ai eu dernièremen
malade de syringomyélie, qui présentait un aspect particulier de la
peau
de la main. C'est sur cette particularité sympt
nsulter. D'autres fois il se trouve une aiguille en- foncée dans la
peau
sans qu'il en ait été averti par la douleur ; il
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPLrRIERE. T. XXIV. m. XXX[ MAINS EN
PEAU
DE LEZARD DANS LA SYRINGOMYÉLIE (Boveri) . Ma
Les nerfs crâniens ne semblent pas touchés. Aspect spécial de la
peau
de la main droite. Nous avons donné plus hau t
al qui nous a frappé de suite en voyant le malade, c'est l'état de la
peau
. Les petits carrés de la peau, compris et limit
voyant le malade, c'est l'état de la peau. Les petits carrés de la
peau
, compris et limités entre les plis épidermiques,
ôté sain et sont plutôt luisants. Il en résulte que les pores de la
peau
sont très éloignés les uus des autres, ils semble
de l'épiderme sont très marqués. Cette façon de se présenter de la
peau
, rappelle la peau d'un lézard ou d'un crocodile,
t très marqués. Cette façon de se présenter de la peau, rappelle la
peau
d'un lézard ou d'un crocodile, où la peau de la f
r de la peau, rappelle la peau d'un lézard ou d'un crocodile, où la
peau
de la face ventrale est précisément en larges c
uVËHH Iconographie de la Salpêtrière. T. XXIV. PI. XXXII MAINS EN
PEAU
DE LÉZARD DANS LA SYRINGOMYÉLIE 1 (Boveri).
très légèrement, il répond : piqué. Mais si on lui enfonce dans la
peau
l'aiguille, profondément, il répond : vous me p
ous raconte qu'il se trouve parfois des aiguilles enfoncées dans la
peau
des mains le malade est tailleur sans s'en aperce
étant déjà évidente. Je me limiterai donc à considérer l'état de la
peau
de la main. La peau de la main n'est ni oedémat
Je me limiterai donc à considérer l'état de la peau de la main. La
peau
de la main n'est ni oedémateuse, ni sèche, elle n
omme nous l'avons dit, une largeur anormale des petits carrés de la
peau
, entre les plis épidermi- dues. Ces carrés sont
plis cutanés, unie à une légère boursouflure, donne l'aspect d'une
peau
en écailles, juxtaposées et non superposées, co
en écailles, juxtaposées et non superposées, comme il en est de la
peau
d'un lézard ou d'un crocodile sur la face ventral
bien marqués, même plus marqués que d'ha- bitude. Les pores de la
peau
semblent plus rares parce que la distance entre
gent, interrogea ce propos, dit avoir constaté que z les pores de la
peau
depuis sa maladie sont devenus plus distants en
ts entre eux du côté malade que du côté sain n. L'épaisseur de la
peau
est très peu augmentée; la peau est parfaite- m
e du côté sain n. L'épaisseur de la peau est très peu augmentée; la
peau
est parfaite- ment mobile. La couleur est norma
phalange avec la deuxième. Il va sans dire que, de l'autre côlé, la
peau
de la main est tout à fait normale, même délica
malade. Nous sommes donc en présence d'un aspect particulier de la
peau
qu'on ASPRCT PABTTCUDnn DE LA MAIN DANS LA SYRI
SPRCT PABTTCUDnn DE LA MAIN DANS LA SYRINGOMYÉLIE 213 peut dénommer
peau
de lézard, terme qui fait image et traduit approx
i : «... Le derme fait corps avec les parties sous-jacentes..... la
peau
est lisse, sans plis, sans mobilité aux doigts
. la peau est lisse, sans plis, sans mobilité aux doigts surtout la
peau
est lisse, collée sur les dessous fibro-périost
ine () : « La sclérodermie débute par une tuméfaction diffuse de la
peau
et du tissu cellulaire sous-cutané, sorte d'oedèm
é, sorte d'oedème dur qui peut s'étendre à tout le tégument..... la
peau
a une consistance ligneuse et a perdu sa mobili
me cela se voit dans un cas d'atrophie vulgaire. La couleur de la
peau
de la face dorsale contribue aussi à lui donner
nerveuses. Ce sont plutôt des phénomènes d'atrophie cutanée, où la
peau
est lisse, luisante même, sans plis, altération
es corps papillaires, et souvent aussi de toute la profondeur de la
peau
; celle-ci est sèche et se laisse soulever en g
ont exprimé en employant la dénomination d'état ichthyosique de la
peau
. Mais ce n'est pas ainsi que se présente la pea
ichthyosique de la peau. Mais ce n'est pas ainsi que se présente la
peau
chez notre malade. En effet, chez lui l'altérat
e, il n'y a pas de desquamation, pas d'épaisseur considérable de la
peau
, et celle-ci n'est pas plus sèche que d'habitud
ude chez l'individu sain. Il y a donc là un trouble trophique de la
peau
, comparable aux autres de ces troubles déjà con
1891. 4. G. Ballet et DUTIL. - Noie sur un trouble trophique de la
peau
, etc., Progrès médical, 1883. INTERMITTENCE E
sur la face postérieure du membre supérieur, et autour des îlots de
peau
saine que nous décrirons tout à l'heure, la col
le membre supérieur est envahi, à part cependant quelques îlots de
peau
saine, à bords dentelés, situés au niveau et un p
ur la face postéro-interne du membre supérieur une série d'îlots de
peau
saine qui dans leur ensemble dessinent une bande
nerveuses. Les dépôts osseux extérieurs peuvent être sentis sous la
peau
d'un malade, ce qui n'arrive pas dans la spondylo
ndant que le bord supérieur du trapèze se dessine fortement sous la
peau
. Au contraire, du côté gauche l'omoplate reste
nt bien dessinées, plutôt petites; le lobule n'est pas adhérent. La
peau
est épaisse et contribue à donner au visage un as
es réflexes cutanés non adap- tés ; par exemple, un pincement de la
peau
du bras ou d'un endroit quelconque du corps pro
énar et hypothénar, des lomhricaux et interosseux. Sécheresse de la
peau
dorsale de la main. On- gles striés, déformés,
téral. Réflectivité cutanée de défense exagérée. Le pincement de la
peau
de la rotule provoque une série de contractions
ibrillaires ou fasciculaires de cer- tains muscles. La piqûre de la
peau
de la face interne des cuisses provoque des mou
ythème purpurique à la face dorsale du pied droit. Sécheresse de la
peau
. Sensibilité diminuée. - Variations dans les ré
énéral, caractérisé par une fai- blesse générale et la teinte de sa
peau
qui est très pâle, ce qui s'explique par le rég
es sont tellement contractés à l'unisson, que rien ne bouge sous la
peau
. Au contraire, chez l'ataxique, pendant que la
ique, pendant que la jambe oscille latéralement, on observe sous la
peau
de la hanche et de la cuisse une vraie chorée m
uchement prématuré à 7 mois. Elle n'a jamais subi de césarienne. La
peau
ne présente aucun trouble. Il n'y a pas trace de
rma une escarre, qui se détacha assez vite, en laissant à sa place Il
peau
reformée. Cette mortification, qui s'accompagna
t s'accrl"trégulièrementjusqu'à l'extrémité, qui est globuleuse. La
peau
, qui est f ! , sans trace de cicatrice et recouve
la racine et des sillons naso-géniens, cette teinte se dégrade et la
peau
reprend ses caractères normaux. .. Il suffit
n est perma- nente ; en outre le nez gonfle dans son ensemble et la
peau
devient luisante. 400 AKA ET LAFON A mesure q
moussée et la sensibilité à la douleur abolie. La température de la
peau
dépend de celle du milieu où est l'enfant ; ell
lus qu'une escarre qui se détache entière- ment en laissant à nu la
peau
reformée, encore fine et rose. En somme la nécr
on très générale,que les malades ont le teint pâle et blafard et la
peau
fine ; accessoirement ils ont un peu d'oedème, so
s entin des rides. Voyons avec quelle fréquence. De la pâleur de la
peau
toutes les observations s'occupeut, sans except
as de myxoedème. Dans les neuf dernières observations (IX à XVIII),
peau
n'est pas infil- trée ; dans l'observation de D
nt que s'est installée un myxoedème généralisé. Rumpell parle d'une
peau
qui semble infiltrée de graisse, Sainton de bouf-
on de bouf- fissure localisée à la face, Gandy (obs. IX et XIII) de
peau
sèche, dans un seul cas d'oedème passager, et.
t un symptôme qui s'installe tardivement. Enfin le plissement de la
peau
, les rides restent un fait d'exception : sauf p
ique bilatérale à 25 ans, avec atrophie consécutive des testicules.
Peau
blanche. Cheveux longs. Formes féminines. Point d
is frigidité, épaississement des mains et des pieds, sécheresse de la
peau
. Pâleur de la peau et des muqueuses. Peau squam
ssement des mains et des pieds, sécheresse de la peau. Pâleur de la
peau
et des muqueuses. Peau squameuse semblant infiltr
s pieds, sécheresse de la peau. Pâleur de la peau et des muqueuses.
Peau
squameuse semblant infiltrée de graisse, sèche
énérale; puis gonflement des membres inférieurs et de la face. La
peau
est pâle, non infiltrée de graisse, ne semble pas
cette date, chute progres- sive des poils, mais non des cheveux.
Peau
pâle, bouffie. Le facies est loin de donner l'imp
bouffissure du visage, ni épaississement des téguments, ni rides. La
peau
est sèche, légèrement squameuse. La moustache e
visibles sur le pubis ; le reste du corps est entièrement glabre ; la
peau
est sèche, légèrement squameuse. Le scrotum r
uments du tronc et des membres inférieurs sont un peu épaissis ; la
peau
est ridée au niveau du visage et du cou, de la
n. Les sourcils sont peu fournis. Les poils du pubis sont rares. La
peau
est sèche, pâle, terreuse, flas- que, épaisse e
ations sexuelles. En même temps ses testicules s'atrophièrent. La
peau
est pâle, épaissie, sans myxoedème ; le malade n'
pas perçu à la palpation ; pas d'infiltration des tégu- ments ; la
peau
est ridée ; le visage est celui d'un vieux (mais
pas les lobes latéraux du corps thyroïde; apathie et frigidité; la
peau
est lisse, un peu épaissie et blafarde ; pas de t
En même temps il constata une espèce de boursouflement général, sa
peau
deve- nait grasse, infiltrée, surtout au niveau
ntile d'aspect cyphotique, glabre d'une façon généralisée, avec une
peau
myxoedémateuse et des testicules de la grosseur d
e de 42 ans ; le teint est pâle, d'un jaune cireux particulier ; la
peau
est sèche et finement plissée de rides parallèl
les pau- pières sont délicatement plissées, le nez est massif et la
peau
il ce niveau sem- ble un peu tendue et épaissie
notone. - Le cou, le tronc et les membres sont un peu amaigris : la
peau
est lisse, semble un peu épaissie et blafarde.
t des bourses. Les mains et les pieds sont légèrement pigmentés, la
peau
du dos du pied est tendue presque d'aspect scléro
es troubles généraux et locaux s'accentuent. La teinte bistre de la
peau
s'accroît particulièrement aux pommettes et dan
de la chute des poils, de la desquamation et de la consistance de la
peau
, il palpe la région thyroïdienne et trouve la g
ompagne de troubles trophiques et vaso-moteurs des muscles et de la
peau
. ïmbert et Gagnière, tout en admet- tant au déb
, pensent que plus lard les lésions objectives des muscles et de la
peau
peuvent disparaître, laissant subsister une alt
résente un gonflement uniforme, sans changement de coloration de la
peau
. Il n'y a pas d'oedème. L'augmentation de volume
jusque dans la région du grand pectoral et la région scapulaire. La
peau
est légèrement cyanosée. La contrac- tilité far
es lésions de même ordre observées plus tard dans les muscles et la
peau
. Les lésions osseuses ne sont pas limi- tées au
és, seul le pouce a conservé une certaine liberté de mouvements. La
peau
des quatre derniers doigts est épaissie, lisse,
ment à ce qui existe pour le pouce qui présente l'aspect normal. La
peau
de la face palmaire et de la face dorsale de la m
court, mais sans quitter un moment le contact entre son doigt et la
peau
de la figure. En effet de cette manière, le malad
le toucher un morceau de papier qu'on lui passe légè- rement sur la
peau
- que seulement sur la peau de la tête, du cou et
ier qu'on lui passe légè- rement sur la peau - que seulement sur la
peau
de la tête, du cou et jus- qu'à deux travers de
eille, son point de départ, jusqu'au nez, son point d'ar- rivée, la
peau
avait conservé le toucher, mais à la condition qu
u nez, et d'aller toucher l'om- bilic sans quitter le contact de la
peau
. Observons ce qu'il fait : il part résolu- ment
qu'il a dépassé la ligue des clavi- 484 NOICA cules, il quitte la
peau
-à ce moment il est tombé dans la zone où le touc
hé l'ombilic, et cessé d'appuyer sur son ventre, le doigt quitte la
peau
, et il serait en impossibilité d'exécuter notre d
her le bout de son nez, cette fois-ci sans quitter le contact de la
peau
. . Voici encore une dernière expérience de ce g
rs l'om- bilic,il n'y arrive pas ; car en quittant immédiatemont la
peau
,dès qu'il a com- mencé à déplacer son doigt,le
'épine iliaque, sont situés, nous le rappelons, dans une zone de la
peau
qui a perdu le sens du toucher. Il nous semble
puis. comme il se rend compte en tâtonnant que son talon touche la
peau
de la cuisse au-dessus du genou, il glisse alors
sibilité la pression est abolie. Il localise mal les piqûres sur la
peau
des jambes et des pieds, et toujours avec un ce
ation spontanée du poi- gnet) (1 1'1.). par QUADRONE, 71. Main en
peau
de lézard dans la syringomyé- lie (2 pl.), par
Syr,w/onl.'lé[¡e (Aspect particulier de la main dans la -. Main en
peau
de lézill d) (2 1'1.1, par 13ovrnt, 207. Tabe
spect particulier de la main dans la s) l'Ingomyéllc La main en «
peau
de lézard » (2 [il.), 207. Caryophlylis (G ? Ar
et démence précoce (CnASDN et Séglas), \1XIII et XXXIV. Mains en
peau
de lézard dans la syringo- myélie (Bo\EnI), XXX
'oméliens. .32 G. GASNE et aux aisselles. Aucune cicatrice sur la
peau
. Dents cariées : presque tou- tes celles de la
traité de la guéri- son des cors, verrues et autres maladies de la
peau
, par le D ROUSSELOT, chirurgien ' de Mgr le Dau
tail- ler les cheveux, de raser la barbe, d'inciser ou de racler la
peau
, de cou- per les cors et les durillons. En un
lcères, aimerais-tu mieux une femme méchante ? L'ulcère te ronge la
peau
, une mauvaise femme te salera trop ton souper »
de la face palmaire il n'y a pas de changement de coloration de la
peau
. L'impression digitale . laisse une fossette lé
de était tuméfiée, tuméfaction due à une espèce d'oedème solide. La
peau
de la face dorsale a un aspect pourpré et elle es
des tendons des extenseurs est presque invisible. La couleur de la
peau
est changée ; très souvent elle est rouge avec
euses de l'articulation métacarpo-phalangienne. Mais si on pince la
peau
la racine des doigts, on s'aperçoit que cette tum
e la face dorsale de la main gauche et des doigts. La couleur de la
peau
a la face dorsale est celle d'une main gelée. E
du poignet. Il n'y a pas d'empreinte manifeste par la pression de la
peau
et cette pression ne laisse qu'une pâleur passa
gère ; la coloration reparait rapi- dement. Cette tuméfaction de la
peau
cache presque complètement le relief des tendon
resque complètement le relief des tendons dé l'extenseur commun. La
peau
est fine, mollasse. La température de la main t
se.. - Les doigts du malade sont fusiformes, mais très allongés. La
peau
qui les recouvre'est tendue, unie et lissé dans
sion et adduction. Ils ne peuvent exécuter le moindre mouvement. La
peau
est lisse et luisante, et comme collée à l'os au
i qu'il ne s'agit pas d'un oedème banal parce que la pression de la
peau
détermine une pâleur transitoire sans godet. En
la peau détermine une pâleur transitoire sans godet. En palpant la
peau
de la face dorsale on a la sensation d'une surf
cette malade contrairement ce qui s'observe dans les autres cas, la
peau
de la face dorsale est un peu calleuse tout en
qui existent entre les têtes de méta- carpiens sont remplies et la
peau
forme des espèces de ponts. La couleur de la pe
nt remplies et la peau forme des espèces de ponts. La couleur de la
peau
de la face dorsale contribue aussi à lui donner c
ale ; elle s'arrondit brusquement il cause de la boursouflure de la
peau
interdigitale. La tuméfaction delà main peut s'
n est moite et il existe habituellement des crises douloureuses. La
peau
n'est pas souple comme dans la main succulente. L
Dans cette affection, la face dorsale de la main est lisse comme la
peau
des doigts ; ceux-ci sont coiffés par une petite
et déformé. Par le palper, on se rend compte de l'induration de la
peau
; enfin dans quelques cas, si on dirige le rega
là température ambiante. Ainsi un fragment de glace appliqué sur la
peau
où il existe de la thermoanesthésie ne provoque a
, sont contractés d'une façon permanente. . Ils dessinent sous la
peau
de l'abdomen leurs saillies quadrilatères fort
côté gauche et sur le dos. Dans cette zone le frôlement léger de la
peau
n'est pas douloureux, sauf en un point très cir
- nuiez. » 1 La pression profonde et même un simple pli fait à la
peau
réveillent les mêmes phénomènes. Mais ici la zo
e dents. Il existe un amaigrissement généralisé à tout le corps. La
peau
est ridée, avec tendance à l'escharification au
solus d'employer ici le même petit moyen. Après avoir désinfecté la
peau
de la région, je fis, après en avoir raccourci la
émontra n'avoir leur siège ni dans les corps vertébraux, ni dans la
peau
que l'on pouvait serrer entre les doigts sans ,
érique surajoutée par ce simple frôlement ou par le pincement de la
peau
: tous modes de recherches qui n'exercent aucune
rbifie selon les règles, renversant la tête en arrière pour tendre la
peau
du cou. Un tonneau défoncé sert de siège au cli
derrière il un second singe vêtu de vert, qui entaille largement la
peau
; le sang coule abondamment. Le singe opérateur po
essure avait déterminé une paralysie du membre inférieur droit ; la
peau
de ce membre conser- vait sa sensibilité intact
1890. SUR UN CAS D'RÉ1111nECTlo\ TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 169 la
peau
du ventre engourdie et dure comme la pierre. Huit
alysie, de même que la vessie et le rec- tum. De ce même côté droit
peau
était le le siège d'une hyperesthésie très mani
r des parties molles de la région palmaire, et en particulier de la
peau
et de l'aponévrose sous-jacente. Cette insuffis
et comme le moule d'un segment de sphère ou plutôt d'ellipsoïde. La
peau
ne semblepas amincie ni différente en quoi que
at avec un appareil orthopédique. Je n'ai pas retrouvé trace sur la
peau
soit de la pulpe des doigts, soit de la paume d
paume, et quelquefois seulement vers la par- tie supérieure. « La
peau
située dans la direction du doigt forme des plica
a ici ni saillie tendineuse ou aponé, l'otique, ni plicatures de la
peau
, ni participation de la deuxième phalange à la
réside entièrement dans les brides fibreuses qui se tendent sous la
peau
el la soulèvent lorsqu'on exerce une fraction s
ue une hyperplasie des éléments du tissu conjonctif sous-cutané. La
peau
elle-même ne paraît pas épaissie. Elle est liss
ue, lèvres saillantes et charnues,nez peu développé, visage glabre,
peau
fine et de couleur claire, cheveux fins, sourcils
ventre un peu gros, les membres potelés, enveloppés de graisse, la
peau
fine et rosée, le visage, le pubis, les aissell
ontaux, c'est-à-dire arrêt de développement de l'appareil génital ;
peau
glabre sur le thorax, sur le visage ; cheveux lon
illons profonds et très étroits ; le relief for- mé au-dessus de la
peau
saine est d'environ 5 millimètres. La couleur est
ent labial et la partie sous-palpébrale de la tache, une encoche de
peau
saine arrive jusqu'à la base de l'aile du nez.
crète, à contours géographiques, décomposées par des intervalles de
peau
saine. Ces taches occupent la zone d'innervatio
es de poils noirs, assez fins, soyeux, tranchant nette- ment sur la
peau
glabre voisine, développés, ayant une longueur mo
fibreux (Recklinghausen). Les diverses parties constituantes de la
peau
peuvent donc y prendre part; et d'ailleurs, on
ux, puisque nous avons montré plus haut que tous les éléments de la
peau
peuvent intervenir dans la produc- tion du naev
accepte que l'abolition de l'influx nerveux sur la nutrition de la
peau
peut déter- miner des troubles trophiques neuro
ertains cas, à des lésions développées suivant la projection sur la
peau
de cette branche. Sans méconnaître la portée de c
lles se rencontrent, pendant le déve- loppement embryologique de la
peau
, les territoires cutanés, sont aussi celles où
nt s'appliquer à tous les éléments histologiques constitutifs de la
peau
, dé- veloppement des vaisseaux, des glandes, de
re attribuée à un trouble dans le développement embryologique de la
peau
. Quelle peut être la cause de ce trouble de dév
, la mère a présenté une pig- mentation extrêmement prononcée de la
peau
. 3° Les nævi croisant plus ou moins obliquement
araîtra plus possible encore si l'on se rappel le que d'une part la
peau
et ses annexes, poils, glandes sébacées et sudori
ce travail était sous presse lorsque parut la note de \191. Hallo-
peau
et Weil sur les localisations métamériques des na
sediat. Jahrbuch, VIII, 1877. Pécirka. - Sur les papillomes de la
peau
. Sborniku lekarskeho, Prague, 1891. Petersen. -
animaux. Journ. de Robin, 1876. Rayer. - Traité des maladies de la
peau
. Recklinghausen. - Multiple Fibrome der Haut, S
ite ne peut pas être attribuée à une exten- sibilité anormale de la
peau
du côté gauche car chez les sujets normaux la^dév
emble une glande mammaire hors d'usage qui pend avec mélancolie; la
peau
qui la recouvre est peu modifiée, peut-être un pe
hérie et se met en rapport avec les cellules épithé- liales de la
peau
et des muqueu- ses. L'autre branche de division
Trousseau, il fut sou- mis à l'électricité (bouteilles de Leyde et
peaux
de chat ? ). A l'âge de 7 ans, il se forma, dan
a fesse droite est plus basse que la gauche. Cette fesse aplatie, à
peau
flasque, est souvent ani- mée de contractions f
s membres inférieurs sont le siège d'atrophie et de déformation. La
peau
qui les recouvre est atteinte de troubles vaso-mo
CH. FÉRÉ Médecin de Bicêtre. On sait combien la circulation de la
peau
et la contraction de ses mus- cles sont influen
s et en particulier de l'urlicaire, on peut citer les oedèmes de la
peau
et les troubles trophiques, le vitiligo et la déc
; ce- pendant Rostan cite l'observation d'une vieille femme dont la
peau
se co- lora dans l'espace d'une nuit à la suite
ides, dans la folie, on observe aussi des troubles trophiques de la
peau
et des poils. Le système pileux est sou- vent a
On pouvait s'attendre à ce que les changements de coloration de la
peau
n'étaient pas rares chez les aliénés. On a cité
nodermie. ' On avait bien reconnu que la pigmentation légère de la
peau
pouvait être liée à des lésions rachidiennes au
i quelquefois de mélanodermie. Certains troubles tro- phiques de la
peau
peuvent'encore coïncider avec une pigmentation pl
, p. 473. (4) A. MABLIO, Des modifications de la pigmentation de la
peau
au cours de la gros- sesse, th. 1891. (5) U;P
ph., 188'r, I, (8) Boucher, Deux cas de coloration anormale de la
peau
liée à un état cachectique de cause indéterminé
XXIV, p. 161. (9) Chomel, Observation sur la coloration noire de la
peau
d'un homme naturelle- ment blanc. Bull. de la f
es externes capables de provoquer la pigmentation généralisée de la
peau
avec enva- hissement partiel des muqueuses (2).
u ni- veau des apophyses épineuses lombaires une pigmentation de la
peau
que l'on attribue à la position assise prolongé
ne très ogivale. Il présente une diminution de la sensibilité de la
peau
et des sens spé- ciaux et surtout une analgésie
iné à nu le 11 août, on n'avait rien remarqué de particulier sur sa
peau
. Il pesait 47 kilogrammes. Quelques jours après
depuis le 11, mais on fut frappé du changement de coloration de sa
peau
. Tout le tronc, aussi bien la partie postérieur
, les mains et les pieds avait conservé leur coloration normale. La
peau
était restée lisse, ne présentant aucune érupti
En même temps que l'état général s'améliorait, la coloration de la
peau
s'atténuait. Quand je revins de nou- veau au pr
ars. Le 5 on avait de plus remarqué la teinte marbrée en brun de la
peau
. Dans l'espace de 3 jours, elle était passée au
eux kilogrammes, l'état men- tal était le même, la coloration de la
peau
était fixe. Elle n'a commencé à s'atténuer nett
, et il a eu une série d'accès, il ne pesait que 45 kilogrammes. La
peau
des aines était déjà fortement teintée, autour
à s'alimenter et à re- prendre son médicament. La coloration de la
peau
s'est atténuée.progres- sivement, et s'est rétr
alades. On en trouvait partout, sur la tête et sur le corps, sur la
peau
et sous la peau. Ces derniers donnaient, pa- ra
ouvait partout, sur la tête et sur le corps, sur la peau et sous la
peau
. Ces derniers donnaient, pa- raît-il, naissance
E PËDICULO. POUIL. « Pediculus.- (YsiDORE). Pouil est ung ver de la
peau
. Et est ainsi ap- pellé pour ce que il a moult
? Il y lieu d'hésiter un peu. Il va être difficile de trouver de la
peau
pour empêcher l'adhé- rence ; des greffes dans
is il y avait des mouvements athétosiques. Lésions trophiques de la
peau
et de ses annexes aux deux mains, mais surtout
maux (Pl. XLV). Si l'aspect du médius est celui d'un doigt normal à
peau
blanche, sou- ple, sans développement exagéré d
ent après un examen minutieux. La Lèpre débute ordinairement sur la
peau
par des plaques érythé- mateuses, d'un rouge pl
D'autres fois, c'est la Lèpre noire ou mélanique. Dans ces cas « la
peau
plus blanche, la plus caucasique, devient abyss
sson, 1897, p. 10. 424 HENRY MEIGE phoneurotiques siégeant sur la
peau
, vient se joindre l'atrophie musculaire avec l'
ccidents trophiques viennent encore modifier les déformations. La
peau
s'amincit, se dessèche, revêt un aspect parchemin
mbres en sont réduits à leur squelette sur lequel semble moulée une
peau
de momie. C'est la variété sclérodermique de la
t les patients à l'état de squelettes ambu- lants, recouverts d'une
peau
ratatinée, coriace et de couleur brun foncé. Ce
laire qui réduit l'une d'elles à l'état de squelette revêtu par une
peau
d'un brun très foncé. Un pied raccorni paraît ter
tres membres sont nus. Ils sem- blent réduits à leur squelette., La
peau
,d'un brun très foncé,est collée sur les os, mou
ature. Et non seu- lement les muscles sont réduits à néant; mais la
peau
encore semble par- ticiper à ce processus d'atr
t les jointures, raccourcissant muscles et tendons, parcheminant la
peau
, en un mot réduisant cet être misérable à l'éta
que sur le tableau de van Orley. Et même, la coloration brune de la
peau
signalée dans les formes sclérosantes de la Lè-
e la face ; le voisinage de la bouche semble être plat et raide, la
peau
y est rouge, eczéma- teuse. La malade tient con
d conseillait au lion vieilli de se réchauffer : en s'appliquant la
peau
du loup, son rival, frais écor- ché : « D'un lo
val, frais écor- ché : « D'un loup frais écorché, appliquez-vous la
peau
». Ne pourrait-on voir dans cette parole un vest
que ses cheveux et sa barbe étant successivement tombés, et que sa
peau
même s'étant desséchée et pelée, on vit bientôt
unément employé pour désigner toute espèce de maladie rebelle de la
peau
. Le compartiment de gauche de la toile peinte d
ue ; vaisseaux ombilicaux très courts ; le placenta adhé- rent à la
peau
. Vessie anormale. Imperforation de l'anus. - Abse
ès qu'il écrivait, aussi durs que du fer, et se dessinaient sous la
peau
comme des barres rigides. Il pouvait cependant co
u jeune homme est entièrement atrophié, il n'a littéralement que la
peau
et les os, sans aucun relief mus- culaire. L'av
ination des vaisseaux les rapproche, dit-il, des épithéliomes de la
peau
, de la langue et du col de l'utérus. Ro- bin in
sont tous normaux : il n'y a ni sucre ni albumine. Du côté de la
peau
on note un phénomène intéressant. Outre un certai
conque et de préférence avec une épingle, écrire ce qu'on veut sur la
peau
de cette femme. Il se produit tout d'abord au p
e boire que deux sous d'eau-de-vie par semaine. I. Coloration DE la
peau
. Il présente une coloration rouge vineux de la
oloration DE la peau. Il présente une coloration rouge vineux de la
peau
, limitée au côté gauche pour les membres supérieu
é gauche. - Large tache rouge vineux, à laquelle des par- celles de
peau
ayant conservé leur coloration normale donnent un
gle formé par l'extrémité interne de la clavicule et le sternum, la
peau
est rosée et présente l'aspect de la couperose.
ontinuent avec la précédente. Face antérieure : plaque irrégulière de
peau
saine. Face externe : quelques taches couvrant
tion identique occupant tout le bras, à l'exception d'une région de
peau
saine située à la face antérieure et s'étendant d
Tout le reste du bras est uniformément violacé sans interposition de
peau
saine. La coloration est plus accusée dans la r
state un semis de taches violacées sur un fond rougeâtre donnant à la
peau
un aspect marbré. ' Poignet gauche. - Colorat
erne, au niveau de l'apophyse styloide du radius, petite portion de
peau
presque saine. Main gauche. - Coloration unifor
doigt pour reparaître immédiatement après. De même si l'on étire la
peau
avec deux doigts de chaque main. Les taches dev
in degré de dermographisme. On peut facilement tracer un nom sur sa
peau
avec le doigt ou avec le manche d'un porte-plum
de Jules Soury apparaît assez nettement. Si l'on applique sur la
peau
deux poids de 50 grammes, l'nn chaud, l'autre f
est plus rapide et plus marquée avec ce poids. Température de la
peau
. - Il existe une différence dans la température d
re de la peau. - Il existe une différence dans la température de la
peau
entre le côté gauche et le côté droit. A la main
re de la salle : au début : 14o ; à la fin : 14°. Epaisseur de la
peau
., - La peau et le tissu cellulaire sous-cutané so
le : au début : 14o ; à la fin : 14°. Epaisseur de la peau., - La
peau
et le tissu cellulaire sous-cutané sont épaissi
les résultats obtenus sont dues uniquement à l'hypertro- phie de la
peau
et du tissu cellulaire sous-cutané à gauche, et à
ques,une coloration rose, rouge ou pourpre de certaines régions de la
peau
(face dorsale des mains et du poignet gauche) e
t gauche et des mains. 3° Comme il existe un épaississement de la
peau
du côté cyanosé, on pourrait songer à l'oedème
la paralysie vaso-motrice, c'est-à-dire une hyperémie passive de la
peau
se manifestant par de la cyanose, un abaissement
Aussi bien ne le ferai-je pas et voici pourquoi. Les lésions de la
peau
qui résultent des lésions trau- matiques des ne
se manifestent chez lui : 1° par une paralysie des vaisseaux de la
peau
du bras gauche ; 2° par des décharges épileptiq
i en effet les diverses régions de sa 230 BINET-SANGLÉ ET VANNIER
peau
rangées par ordre décroissant, quant au diamètre
nous avons constatées chez notre malade. Tout objet appliqué sur la
peau
impressionne à la fois les nerfs du froid et le
du froid, l'impression de froid l'emportait, dans les régions de la
peau
correspondantes à ces groupes, sur l'impression
du chaud, l'impression de chaud l'emportait, dans les régions de la
peau
correspondantes à ces groupes, sur l'impression d
haud dans les régions de l'écorce cor- respondant aux régions de la
peau
hyperesthésiques pour le froid, et par la rétra
roid dans les régions de l'é- corce correspondant aux régions de la
peau
hyperesthésiques pour le chaud. Toutefois, bi
tefois, bien que d'ordinaire l'accumulation du sang veineux dans la
peau
diminue la sensibilité thermique, les plaques d'h
euses que présente notre malade, à la paralysie des vaisseaux de la
peau
. Il n'est pas possible en effet de douter de l'
a formation d'un réseau de saccules sanguins, réseau qui donne à la
peau
sa coloration spéciale. Cette coloration se fonce
ion se fonce naturellement dans tous les cas où le sang afflue à la
peau
(effort, froid, chaud, etc...). Mais ce n'est p
hiénen- térique. 1 C'est sans doute à la congestion passive de la
peau
due au naevus et à l'hyperamiboïsme des autres
es vaso-constricteurs qu'il faut attri- buer l'hypertrophisme de la
peau
du côté gauche, l'hypertrophisme qui se traduit
sen avait déjà remarqué que les troubles neuro-paraly- tiques de la
peau
déterminaient une hypertrophie des papilles. Lebe
, ainsi que l'élévation de la température et l'épaississement de la
peau
du même côté. La lésion initiale parait siéger
Aux mains les ongles sont courts, fendillés, recou- verts par de la
peau
à leur partie supérieure. Du côté de la poitrine
que velue, disait-il, ne présente aucune alté- ration visible de la
peau
qui conserve sa coloration, son épaisseur et sa
ormales. A la périphérie les poils se raréfient graduellement et la
peau
reprend sans ligne de démarcation brusque son asp
se... chez une fille âgée de 16 ans qui présentait implantés sur la
peau
de la région lombaire de longs poils lisses et no
nisme tout à fait caractéristique. Pour le dire immédiatement, la
peau
et ses annexes, ongles et poils, ne présentent
u et ses annexes, ongles et poils, ne présentent rien d'anormal. La
peau
est souple, sans icthyose ; les ongles non cass
on trouvera la bouffissure du visage, l'oedème si particulier de la
peau
, l'état somnolent, la sécheresse des poils, l'inf
férence de 1 millimètre en moins pour le pouce du côté malade. La
peau
est de coloration normale, la consistance des par
Elle est manifeste à la piqûre comme partout ailleurs. Au froid, la
peau
ne de- vient pas violacée. Pas de sécrétion sud
la pression elle se réduit un peu, pour se reproduire aussitôt. La
peau
, à son niveau est normale. Cette tuméfaction se
s artères collatérales. Six ou sept ligatures au catgut. Suture de la
peau
aux crins de Florence. Les suites opératoires
nterne de l'index et externe du médius, va à la face profonde de la
peau
, cloison plus tendue vers l'extrémité inférieur
son plus tendue vers l'extrémité inférieure. A égale distance de la
peau
et de l'os, tou- jours sur la face palmaire, ou
ns feutrées, on trouve un peu de tissu adipeux qui con- duit sur la
peau
dorsale, faisant le fond du sillon interdigital a
s fonctionnent également des deux côtés; pas de modifications de la
peau
du côté paralysé ; pas de différences de la tempé
t maigre, le sein droit est très volumineux, piriforme et tendu. La
peau
a l'aspect normal. Lacirconférencedu sein passa
isses étaient un peu contractés nous a donné : 404 ' LANNOIS la
peau
de l'aréole ou le bout du sein : le pincement de
LANNOIS la peau de l'aréole ou le bout du sein : le pincement de la
peau
du sein lui-même reste sans effet. A la parti
du sein on sent une masse dure et arrondie, un peu aplatie sous la
peau
, ayant le volume d'une petite manda- rine. El
ine Dans quelques cas rares, c'est l'ulcération du mamelon et de la
peau
du sein que l'on a rencontrée. A vrai dire les
ai- greur générale, car il ne lui restait littéralement plus que la
peau
et lesos . (1) G. Gasne, Un cas d'anorexie hyst
rière, t. XIII, 1900. 408 LANNOIS Chez ma malade l'aspect de la
peau
était normale : ceci ne se rencon- tre guère qu
cas anciens. Il semble bien d'ailleurs qu'au début du gonflement la
peau
était violacée. Le plus souvent la peau est rouge
u'au début du gonflement la peau était violacée. Le plus souvent la
peau
est rouge et chaude, ou violacée, parfois même
Gilles de la Tourette. Plaque hyperesthésique ou hystérogène de la
peau
de la mamelle avec oedème sous-jacent de la gla
ain, avec tant d'intensité que leurs ongles s'enfonceraient dans la
peau
, si l'on n'avait le soin de les cou- per souven
e uniformément sur le tronc, les bras et les membres inférieurs. La
peau
était dans ces régions d'un brun foncé, presque n
à la face. Il y avait des masses ganglionnaires qui soulevaient la
peau
aux aines, de chaque côté, et dans l'aisselle d
T 417 7 tions osseuses,ni troubles trophiques d'aucune espèce de la
peau
ou des ongles. Les muscles de la cuisse et des
érieur est émoussé et arrondi ; la face interne, qui répondait à la
peau
, est convexe ; sur la face externe se creuse ve
as à qualifier de cirrhose. Le texte ne dit pas si la malade avait la
peau
bronzée, mais vu le mal qui avait amené la mort
rmie extrêmement accusée. Nous croyons donc que l'état bronzé de la
peau
de notre sujet s'explique très simplement et tr
ument, la position de la main gauche dont le pouce semble tendre la
peau
de la région cubitale, peuvent être interprétées
les de la sensibilité, de douleurs, de changements de couleur de la
peau
, et souvent aussi d'autres troubles trophiques
sa longueur, y compris la main ; les tissus sont enflés, tendus; la
peau
bleuâtre, violacée. L'enfant pleure et paraît sou
li fessier, sans participation de la fesse à l'hy- pertrophie. La
peau
est de couleur naturelle, douce au toucher, et do
fférence de volume de 2 centimètres soit actif. Lorsqu'on saisit la
peau
du liras à pleine main, l'on tient un pli plus
més. Vaccinée à 13 mois, présente deux cicatrices à chaque bras. La
peau
est partout d'égale coloration ; elle est assez
euse surajoutée. L'on ne remarque pas en bas ces plis indurés de la
peau
, tombant sur le pied comme dans l'éléphantiasis v
desquamation. S'il n'y a pas eu ici pul- vérulence manifeste de la
peau
, l'épiderme n'en a pas moins été rugueux et fendi
SUR UNE FORME D'nYPEnTROPniE DES MEMBRES 477 La température dé la
peau
parait être légèrement plus basse à la jambe hype
d'après Landouzy, que Duchenne avait coutume de faire des plis à la
peau
, pour dépister l'atrophie musculaire, alors que,
n'ont ni mêmes centres, ni mêmes conducteurs que les muscles et la
peau
.. Ce qui revient à dire que l'adi- pose, pas p
tro- phique est conduite d'une part aux muscles, d'autre part à la
peau
, d'autre part enfin au tissu cellulaire sous-cu
ulté de Paris (1897), rappelle que, en cas d'éruption générale à la
peau
, rien ne se montre dans les régions para- lysée
une enflure douloureuse accom- pagnée de cyanose et de chaleur à la
peau
. Il s'est produit là un état d'acuité que l'on
entement, sans désordres circulatoires apparents, sans chaleur à la
peau
, donnant aux tissus une consistance ferme, comp
pale au bas de la jambe et sur le pied, après la station debout. La
peau
adhérente aux tissus sous-jacents est lisse et d'
RME D·II1P);ItTR01'llIL DES MEMBRES 493 3't : i la jambe droite. La
peau
est blanche, saine, sans varices, ni vaisseaux
is c'est aux mains qu'elle a acquis le plus grand développement. La
peau
est blanche, douce au toucher et partout paraît
au chaude, pendant un savon- nage, par exemple, durcit également la
peau
. La palpation donne l'impression d'un tissu adi
hypertrophié sont marbrés de ces mêmes taches, sans élevures de la
peau
. Le système dentaire est digne d'attention. Les
en temps, le membre inférieur subit une poussée d'accroissement. La
peau
s'éràille ; il se fait un écoulement abondant de
oration en zone des cheveux, les taches pigmentaires vineuses de la
peau
. A remarquer enfin que le traitement thyroïdien
t douloureuses. La face, vue de près pré- sente un oedème léger. La
peau
est lisse, luisante sur le dos du nez. L'exces-
du thorax, les anomalies du système dentaire, les altérations de la
peau
, des cheveux sont des phénomènes que l'on retro
ue ; la joue droite est charnue, plus grosse que la joue gauche, la
peau
y paraît plus épaisse, mais il n'existe aucune
pour les membres infé- rieurs que pour les membres supérieurs. La
peau
est plus épaisse sur tout le côté gauche, mais pr
, et au repos les doigts restent à gauche naturellement écartés. La
peau
présente le même aspect sur les deux mains, elle
lume anor- mal, leur aspect extérieur n'est nullement modifié et la
peau
se présente avec les mêmes qualités des deux cô
inférieurs comme aux supérieurs, il n'existe aucune anomalie, de la
peau
, de la sensibilité, de la température, de la forc
st due encore à d'autres causes ; ainsi, à notre deuxième examen,la
peau
nous' a paru beaucoup moins épaisse que la prem
première malade, en raison de l'épaississement considé- rable de la
peau
, on peut invoquer l'augmentation de résistance de
é- tation n'est plus valable pour notre deuxième malade, puisque la
peau
et ses dépendances ne sont pas épaissies. Cet
costumes. Ici, comme là, les deux scytes sont vêtus d'un caftan en
peau
, en fourrure, et dont le poil est vrai- semblab
elle serait pesante, qu'il ait les doigts longs et grêles et que la
peau
soit blanche et fine, parce que le tact en est
; la maigreur d'un corps autrefois athlétique, la flétrissure de la
peau
, ses plis, ses glis- sements, sont d'une parfai
ni fièvres infectieuses, ni syphilis, ni migraines, ni maladies de
peau
, ni panaris. Il avoue faire des excès de boisso
uinales. Rien aux organes génitaux, à l'anus, au cuir chevelu, à la
peau
. Dans Vais- selle droite, on trouve une demi-do
s dorsales et surtout les trois dernières sont assez saillantes. La
peau
qui les .recouvre est épaissie par suite du fro
ège de troubles tl'oph'(l/¡eS IL. treize ans et demi. cutanés. La
peau
est brunâtre, épaissie dans son ensemble, avec
at des mains mérite une description détaillée. a) Main gauche. - La
peau
de toute la main, surtout des doigls, Fi ! l. 3
par un fragment d'ongle un peu plus large que celui de l'index. La
peau
de ce doigt est le siège dune induration cornée
tte persiste. Les autres doigts n'offrent qu'une hypertrophie de la
peau
. Il n'y a pas d'atrophie des éminences thénar e
e des éminences thénar et hypothénar (fig. 4). b) Main droite. - La
peau
est épaisse, principalement autour des articula
Rétraction de la phalangette du pouce; mouvements très limités. La
peau
des deux mains est le siège de crevasses assez pr
tendon d'Achille est rétracté et forme une corde saillante sous la
peau
; Le pied semble ankylose. Il est dans l'extensi
an- chet. Les doigts sont boudinés; les ongles sont réguliers. La
peau
est épaissie sur le dos du métacarpe et sur la
e sorte de cône bas (un centi- mètre et demi au plus), formé par la
peau
très épaissie, et terminé par un tout petit fra
termine par un ongle déformé, épais de 3 à 5 millimètres. Toute la
peau
de la phalan- gette, sauf sur la face externe,
phalango-phalanginiennes. De là, des épaississements anciens de la
peau
qui s'étendent jusqu'aux articulations des phal
e et d'une phalangine. De plus, il présente un épaississement de la
peau
, des crevasses, une 1 Grasset. - Leçons cle cli
trode active est cons- tituée par un tampon de charbon recouvert de
peau
de chamois de 2 centimètres de diamètre. Nous d
ordes saillantes. Le pied gauche est contracturé en extension et la
peau
de ce pied est cyanosée. Le membre inférieur dr
en extension forcée, le pied droit en attitude de valgus équin. La
peau
est cyanosée. Les réflexes, exagérés de chaque
ydermique des mains et des pieds. Ongles petits poussant lentement.
Peau
pâle, cireuse, sèche, sans transpi- ration habi
myxcedène. - Teint cireux, état pachydermique, avec pseudo-lipomes.
Peau
froide. Plaques d'alopécie. - Fontanelle antéri
de l'ingestion de la glande elle-même. Modifications du côté de la
peau
, diminution du volume de la langue. - Développe
n'a eu ni convul- sions, ni fièvres intermittentes, ni maladies de
peau
. Elle ne pense pas qu'il ait eu de maladie véné
uchement, pas de crises, pas de chorée, de migraines, de maladie de
peau
. - [Père, facteur d'orgue s'est mis à boire au
blanc des yeux n'était pas jaune. Ensuite la coloration jaune de la
peau
a diminué peu à peu. - Quinze jours après la na
t par des bandages que l'on a supprimés parce qu'ils écorchaient la
peau
. - Pas d'accès de cris diurnes ou noc- turnes.
d'emblée l'idiotie avec cache- xie pachydermique L'enfant a la
peau
d'un as- pect cireux, un peu luisant, les jou
né, l'attention difficile il fixer. Partout, même aux joues, la
peau
a une coloration cireuse et offre une infiltra-
Les pommettes sont sail- lantes, symétriques ; à leur niveau, la
peau
est très épais- se, infiltrée de graisse (joues
rrondie, cachée en partie par la lèvre inférieure ren- versée. La
peau
du cou qui se continue avec le menton est trè
Cou très court, mesurant 30 centimètres de circonfé- rence. La
peau
est flasque, comme bouffie. - Le palper, fait
ux de l'ai- selle en plis secondaires. La main est globuleuse, la
peau
y est bouffie, vioiacée. Les doigts sont très
nt une bonne alti- tude. La face plantaire est un peu aplalic. La
peau
y est 68 IDIOTIE avec cachexie pachydermique
sur les jambes. Elle parait bien appuyer la plante des pieds. La
peau
de la face dor- sale seule est un peu colorée.
a môme, mais les cheveux tombent moins sans cependant repousser. La
peau
qui jaunissait com- me par accès, jaunit un peu
angue est rentrée dans la bouche qui parait maintenant être fermée.
Peau
sèche ; insomnie toujours complète la nuit. Les
ulations ; pas d'athéose, pas de modification de la nutrition de la
peau
, ni du système pileux. A la palpation, le membr
de mouve- ments choréiformes ; pas de modification nutritive de la
peau
ni du système pileux; température plus basse du
ni du système pileux; température plus basse du côté para- lysé.
Peau
et tissu cellulaire. Cheveux, sourcils et cils ch
ntc- riennes, toutefois l'escharre à droite est plus profonde, la
peau
est décollée sur une asse grande étendue, environ
eux, de gourmes, de dartres, d'adénites, d'engelures, de maladie de
peau
. Elle n'a jamais eu de traumatismes céphaliques
ct pach1j- dermique, pour employer les expressions de Charcot. La
peau
, glabre, blanche, sèche, rugueuse, ichthyosi- q
t, le siège d'une éruption eczémateuse assez étendue. A la face, la
peau
est un peu jaunâtre, cireuse, analogue dans une
énagère, pas de migraines, caractère assez calme, pas de maladie de
peau
ni de rhumatismes. Aucun détail sur les grands-
avec un lacis veineux, nettement dessiné pour peu qu'on tende la
peau
. On ne trouve pas de dilatations veineuses sur le
des bras est en rapport avec celui des autres parties du corps; la
peau
est sèche, pas très épaissie. Rien au niveau de
rachitique, etc.). La voûte plan- taire est un peu affaissée. La
peau
est d'une couleur de cire, décolorée à la face.
vrier. 31 janvier. - Agitation très grande, pleurs continuels. La
peau
, qui n'est plus d'un jaune cireux, est chaude. Il
augmenté de volume et revêtu l'aspect pachydermique. Par- tout la
peau
a une coloration cireuse. La physionomie est en
ondante, prédominant aux mains et surtout aux pieds qui changent de
peau
. Lucie a gagné en activité; elle demande toujou
, de la cyanose; - régularisation des garde- robes ; - retour de la
peau
à l'état presque normal ; développement de la c
bilité au froid. - Alopécie partielle. - Colo- ration cireuse de la
peau
, etc. Description de la malade en juillet 1895
A la naissance, pas d'asphyxie, aspect naturel, plutôt grosse; la
peau
n'était ni jaune ni bouffie ; la langue n'était
aime qu'on l'approche du feu. La colo- ration jaune, cireuse, de la
peau
n'aurait paru qu'au mois de mars de cette année
s et grandes lèvres grais- seux. 168 Idiotie myxoedémateuse. La
peau
a partout une coloration jaune cireuse, en parti-
n de continuité ; les cheveux châtain clair, abondants, assez tins.
Peau
satinée, teint mat; visage rond, joues pleines,
ière l'oreille gauche, cicatrice se terminant en infundi- bnlum. La
peau
est fine, sensible aux contusions. Les oreilles
ves probablement à des pointes de feu. Petites adénites cervicales.
Peau
assez fine, généralement pigmentée. 1887. 18
mesure, et on voit apparaître des mou- vements fibrillaires sur la
peau
des paupières dans la région de l'orbiculaire.
l ne parait pas pouvoir les élever sans cette flexion préalable. La
peau
des condyles internes des fémurs est un peu épa
n ; rien au-dessous. Entre le menton et les angles du maxillaire la
peau
est glabre. Petite mouche à la lèvre inférieure
a sensibilité au toucher, à la douleur, à la température et pour la
peau
et pour les muqueuses (bouche, pharynx, nez, oe
nts bien portants), il a le nez peu développé et sans caractère, la
peau
fine et claire, les cheveux fins, les sourcils
sserait facilement pour un adolescent de-quatorze à seize ans si la
peau
n'avait été déjà flétrie par un nombre d'années
la chasse aux tigres ; il en tuera des masses et nous enverra les s
peaux
. Il va partir la semaine prochaine et gagnera des
cuisse et de la jambe aucun trouble des réac- tions électriques. La
peau
est sèche, un peu rugueuse, mais sans lésion tr
depuis cette époque). Refroidissement des mains et état lisse de la
peau
qui est très mince. La face, le tronc et les me
troncs nerveux et des filets musculaires. Les filets sensitifs de la
peau
sont' intacts. ' Friedreich, on le voit, expl
uoi bon ? Tout pour l'organe : os, muscle, nerf, articulation. La
peau
, le pannicule graisseux ? - Déchets superflus.
retrouver telle ou telle apophyse, telle ou telle gouttière sous la
peau
d'un sujet en vie ? Non, jamais. L'enseignement
rme vivante, mais les modifications de cette forme entrevue sous la
peau
, suivant les sujets, suivant les attitudes....
lume, mais aussitôt après venait l'étude du mus- cle vivant sous la
peau
vivante. Enfin, les planches consacrées à la re
c'est un pli permanent maintenu par des adhérences profondes de la
peau
au squelette, comme le pli de l'aisselle ; la s
e du cadavre qui, faisant si trop volontiers de la graisse et de la
peau
, ne saurait donner une idée exacte de la forme
les formes trop heurtées, sans y rien changer d'essentiel. Entre la
peau
et les muscles in- tervient le pannicule adipeu
NATOMIQUE 109 gnements préliminaires. Il est si simple d'inciser la
peau
pour aller voir « ce qu'il y a dessous », aujou
t referme proprement. A quoi bon perdre son temps devant une faible
peau
qui nous cache peut-être quelque chose ? .. z L
le plastique du tissu graisseux sous-cutané, des vaisseaux et de la
peau
elle-même avec ses dépendances. De là une étude t
manifestes, accusés surtout au ni- veau de la jambe et du pied ; la
peau
est très froide et violacée. Tandis que la jamb
lité passive, tandis que le pied droit est fixé en talus valgûs. La
peau
du membre inférieur gauche est cyanotiqueet fro
; à la région dorsale de la main, l'oedème donne l'aspect à pleine
peau
, mais sans le luisant de la main succulente syr
phique de la syringomyélie, la main succulente, son type « à pleine
peau
», luisant, ne rappelle pas l'aspect pâteux du tr
de la malléole interne gauche, sans modification décoloration de la
peau
, gonflement blanc, lisse, qui s'étendit peu à p
fragments des nerfs médian et cubital et une tranche comprenant la
peau
, le tissu sous-cutané et les muscles sous-jacen
constitué par des fibres allongées parallèlement à la surface de la
peau
; on y trouve des noyaux en assez grand nombre
ur petitesse avec l'aspect massif des deux segments supérieurs ; la
peau
comme trop grande pour les plans qu'elle recouv
ux téguments, aux endroits où l'adipose est prononcée, l'aspect d'une
peau
d'orjnge. On ne voit point de poils sous les ai
urs très congestionnée est rouge, les épistaxis sont fréquentes, la
peau
du visage est parcourue par de multiples et fines
. Cette région est froide, indurée, des tractus fibreux plissent la
peau
complètement adhérente aux tissus sous- jacents
ertain nombre de traits communs. Nous avons vu chez notre malade la
peau
sèche, les poils très rares (notons cependant q
lui-même, le patron des Ecor- chés, son couteau à la main, avec sa
peau
tout entière déposée comme un pardessus sur le
lis que l'on voit seraient peut-être exacts chez un sujet revêtu de
peau
et de graisse, mais ne correspondent nulle- men
modelé ; et, pour cela, il n'a pas tenu compte de l'épaisseur de la
peau
, et surtout du pannicule adipeux qqi la double.
l'une,disséquée, donnerait l'explication de l'autre, recouverte de
peau
. « 3° Le nu ne trouvant pas toute son explicati
t certainement du soin que j'ai mis à leur faire distinguer sous la
peau
du modèle ces divers états musculaires qui sont
et mi-nu ; c'est-à-dire que, sur une moitié du corps, à gauche, la
peau
et le pannicule adipeux ayant été enlevés, les
de la démonstration. Du côté droit, le sujet est enve- loppé de sa
peau
et de la graisse sous-jacente ayant l'épaisseur q
face, traduisant surtout leur existence par des modifications de la
peau
à laquelle ils adhèrent, sont moins importants à
s appui, troubles trophiques diffus des muscles contractés et de la
peau
, quelquefois légère incontinence vési- cale). J
ides du radius et du cubitus plus volumineuses fout saillie sous la
peau
. La main enfin a un aspect particulier ; elle e
ndaires n'était apparu chez lui. La face est entièrement glabre, la
peau
est sèche et légèrement jaunâtre, ridée aux tem
Le tronc est d'apparence normale, le bassin est légèrement élargi. La
peau
est entièrement glabre au niveau des aisselles
s doigts rouler le corps caver- neux qui tend à disparaître sous la
peau
du pubis. C'est la verge d'un enfant de quelque
tout due à l'augmentation de volume des parties molles, sans que la
peau
paraisse prendre une très grande part au pro- c
e cette hémimélie. Au niveau du segment brachial, on trouve sous la
peau
dont l'aspect et l'épaisseur sont normaux, une
se perd, sans limites précises, d'une part à la face profonde de la
peau
, d'autre part au tissu fibreux dense situé aux li
face antérieure de l'avant-bras, ces nerfs envoient des filets à la
peau
et s'éparpillent en faisceaux ténus ; leurs tro
que l'étendue de deux centimètres et demi ; là, il n'y a que de la
peau
très épaissie, un peu de graisse, et sur- tout
seul ; son volume était normal, et on sentait distinctement sous la
peau
un humérus terminé par deux condyles très bien
tie inférieure. L'extrémité inférieure de l'os fait saillie sous la
peau
. La cuisse gauche n'a que 4 centimètres ; les m
r laquelle on remarque un petit tubercule cutané et deux plis de la
peau
, dont l'un adhère aux parties profon- des. Le m
des deux apophyses styloïdes et s'insèrent à la face profonde de la
peau
, au niveau des plis que nous avons signalés sur l
radius, et pour le profond à l'extrémité inférieure du radius et à la
peau
. (légion externe. - Les insertions du court sup
sertions inférieures du long supinateur et des radiaux se font à la
peau
de l'ex- trémité du moignon. Les muscles de la
erminent par des filets excessivement déliés qui se perdent dans la
peau
du moignon. Le tubercule cutané ne reçoit ni fibr
ce petit moignon était susceptible de mouvements rudimentaires. La
peau
, à l'extrémité du tronçon autibrachial était épai
sertions tendineuses devenaient confuses. Les deux tubercules de la
peau
correspondaient aux extrémités des os, mais ne
iaux externes s'insèrent au sommet du cône à la face profonde de la
peau
. Parmi les muscles de la région antérieure on ne
léchisseur des doigts, insérés tous deux à la face pro- fonde de la
peau
. A la région postérieure, on trouve l'extenseur d
région postérieure, on trouve l'extenseur des doigts in- séré à la
peau
, et le cubital postérieur inséré sur le petit os
large de fibres tendineuses qui se fixent à la face profonde de la
peau
recouvrant l'espace iuterdigital. Mais les fibr
rmal, tandis que l'autre va se perdre dans la couche profonde de la
peau
interdigitale. Comme le tendon interne n'est pas
ermétacarpien. De plus, cette lame contracte des adhérences avec la
peau
. L'extenseur propre du 5e, normal en haut, mais
l'extrémité inférieure du tibia, et se portent obliquement sous la
peau
, de la partie ex- terne du tibia jusqu'à l'extr
e et interne du bourgeon cutané et se perd à la face profonde de la
peau
de cette région. Membre inférieur gauche. Cuiss
ng supinateur au tiers inférieur de l'avant-bras et se perd dans la
peau
du poignet après un court trajet. La cubitale à
x- terne du tibia, devient aussitôt sous-cutané et s'épuise dans la
peau
, mais après s'être d'abord anastomosé avec le s
ntant le tibia, suit le tendon d'Achille et vient se perdre dans la
peau
du moignon terminal du membre. Les nerfs se com-
'épaule et l'humérus sont bien conformés ; on reconnaît, à travers la
peau
, la trochlée, l'épitrochlée, l'épicondyle, la c
gée de 55 ans, avait un moignon droit conique, sans adhérence de la
peau
à l'os. Pas de tra- ces de cicatrice, mais au s
au à l'os. Pas de tra- ces de cicatrice, mais au sommet du cône, la
peau
était un peu modifiée dans sa couleur et son as
reuse où s'insèrent tous les muscles. Cette coque est séparée de la
peau
par une très grande bourse séreuse large environ
amputé est d'autant plus exacte qu'on remarque un pli déprimé de la
peau
à l'extrémité du moignon, comme si deux lambeaux
saillies très petites de la grosseur de petits plombs de chasse. La
peau
est saine et de coloration nor- male. On sent t
métriques dans les deux hémisphères. Dissection. L'enlèvement de la
peau
met à nu une couche de tissu cellulo- adipeux u
ensé et a pris une apparence fibreuse. Les tubercules cutanés et la
peau
adjacente, sur une coupe au rasoir, ne montrent
forment un moignon conique parfait. A l'extrémité de ce- lui-ci, la
peau
forme un ou deux replis, sortes de cicatrices, et
tres de haut sur 12 millimètres de dia. mètre, recouverte par de la
peau
normale. II. A droite : 55 ans ; il existe seul
. A l'extrémité du' moignon, on remarque l'aspect cicatriciel de la
peau
; la cica- trice qui occupe exaotement le bout
trice qui occupe exaotement le bout du cône, est constituée par une
peau
un peu adhérente, d'aspect presque normale, mai
diminuée.. Dissection. A l'extrémité du moignon, on trouve : 1° la
peau
adhérente; 2° un plan fibreux aponévrotique sur
laires ; son bord inférieur lisse et arrondi, faisait saillie sous la
peau
, et est mamelonné; on trouve un tubercule saill
eux radiaux et le grand palmaire. Sa face superficielle adhère à la
peau
. Sa face profonde est séparée de l'os par une cou
terosseuse, se perd en suivant le tendon du long supinateur dans la
peau
de la partie antérieure du moignon. Il nous a é
se de la région sous-maxillaire droite avec fièvre et rougeur de la
peau
. Bientôt il se fait un abcès qui fut incisé qui
'une atrophie manifeste [Schlesinger (1)] et l'épaississement de la
peau
et du tissu cellulaire sous-cutané est beaucoup p
s-cutané est beaucoup plus souvent relevé. Cette hypertrophie de la
peau
peut être déterminée par un processus in- flamm
. Dans certains muscles existe une infiltration adipeuse marquée.
Peau
. La peau de la paume de la main droite et de la f
rtains muscles existe une infiltration adipeuse marquée. Peau. La
peau
de la paume de la main droite et de la face dorsa
re d'une constatation difficile et que souvent l'hypertrophie de la
peau
mas- que complètement l'amyotrophie, (Macfarlan
ement l'amyotrophie, (Macfarlane, notre cas). Les altérations de la
peau
facilement visibles sont un signe différentiel
ibles sont un signe différentiel moins trompeur. Il est rare que la
peau
ne soit pas le siège de quelque fissure, callos
existaient des exostoses, les articulations étaient nor- males. La
peau
présentait des rides, des fentes, des épaississem
longitudinalement. Les pieds étaient gros, trapus, à leur niveau la
peau
était normale. Dans la moelle épinière, existai
réactions, .11olseliewnilçoff' déclare être des corps hyalins. La
peau
de la main, notablement épaissie, présentait dans
en graisse. Il n'existait pas trace de lésions inflammatoires de la
peau
et les vaisseaux étaient de tous points normaux
ses, du moins nous avons relevé des altérations considérables de la
peau
, des muscles, des nerfs périphéri- ques. 1 Le
ire et l'étude histologique nous fait voir que l'hypertrophie de la
peau
était due à l'augmentation de la couche épidermiq
noté que les petits muscles de la main sont atrophiés tandis que la
peau
et le tissu cellulaire sous-cutané sont en voie d
constitutifs d'un segment de membre (os, muscles, tissu conjonctif,
peau
) réagissent différemment, elle reste cachée et no
rvation sensitive par le nerf frontal externe à la muqueuse et à la
peau
de la paupière supérieure (filets palpébraux) e
et à la peau de la paupière supérieure (filets palpébraux) et à la
peau
du front et du cuir chevelu (filets ascen- dant
filets ascen- dants frontaux) ; et par le nerf frontal interne à la
peau
de la partie in- terne de la paupière supérieur
rtie in- terne de la paupière supérieure (filets descendants), à la
peau
de la partie médiane du front (filets ascendant
, à la peau de la partie médiane du front (filets ascendants), à la
peau
de la racine du nez (filets internes) et à l'es
tique d'un chien,ont trouvé, dans des coupes mi- croscopiques de la
peau
des doigts, des trainées anastomosées de globules
, et de 7 pour la gauche, qui paraissait un peu plus développée. La
peau
, qui recouvre ces immenses glandes mammaires (c
insi que de tous les éléments anatomiques, tissu cellulo-graisseux,
peau
, etc., qui entrent dans la constitution normale
, peau, etc., qui entrent dans la constitution normale du sein), la
peau
, disons-nous, ne paraissait en aucun point avoi
vers points de ces deux mamel- les, on sentait partout à travers la
peau
la consistance et la sensation que donne au doi
et s'étendant d'un bord à l'autre du pédicule. Après avoir coupé la
peau
amincie et le tissu cellulaire sous-cutané, l'i
pansée avec des plumasseaux de charpie imbibés d'eau froide. » La
peau
de la face supérieure du pédicule avait été telle
ès l'ablation de la tumeur, par suite du retrait considérable de la
peau
. Aussi, nous a-t-il semblé que M. Manec regrett
r cela, en mettant l'appareil sur la tête, il faut mar- quer sur la
peau
de la tête rasée, à l'aide du crayon de la goupil
est passable. Elle ne présente pas d'hypertrophies glandulaires. Sa
peau
est brune, avec des ta- ches de pigmentation ja
t les deux stemo-mastoïdiens se contracter, faisant saillie sous la
peau
; la tête alors ne tourne pas. Le malade explique
e ne fait plus l'énorme saillie constatée les premiers jours et 1(t
peau
qui le recou- vre, autrefois distendue, rouge e
terme d'une suggestion approche. Quelques minutes après, on voit la
peau
de l'avant-bras gauche se congestionner; il se
ies de l'encé- phale, des nerfs périphériques, des muscles et de la
peau
, etc.,dans le but d'établir J'influence d'une d
mois. Il n'est pas rare alors de voir le malade s'incarner dans la
peau
de grands personnages, émettre des idées de gra
largement. Railway- spine : deux cas; anesthésie très étendue de la
peau
et de la mu- queuse des voies aériennes supérie
ent les pieds et de pié- tiner. Grande sensibilité au contact de la
peau
et des muscles. Mort en état de collapsus. Les
es, courts, épais; il en est de même des pieds et des or- teils. La
peau
, sauf celle de la face, est rugueuse et présente
iveau de la radiale, on ne le sent qu'au niveau de l'humérale. La
peau
présente sur les membres et la plus grande partie
etite orange, une consistance gélati- niforme et se déplace avec la
peau
; du côté gauche, il en existe IDIOTIE AVEC CACH
m2o. 16 décembre. Il est procédé à un nouvel examen du malade. La
peau
du cuir chevelu est sèche, couverte d'écailles br
des paupières des albuminuriques. Patte d'oie très prononcée. - La
peau
de la face est sèche, squameuse, rugueuse au to
ncent dans la paume de la main, et pour empêcher l'ulcération de la
peau
, on interpose entre les doigts et la paume de l
. Le malade lui- même souffrait, dans sa jeunesse, d'éruptions à la
peau
et il s'adonnait souvent à l'usage immodéré du
nuance légèrement jaunâtre; les membranes muqueuses sont pâles, la
peau
est pâle, sèche, Sur- tout aux jambes et aux br
ans résistance. Au toucher, les extrémités sont plus froides que la
peau
du tronc. Le malade, soulevé sur le lit, ne peu
sibilité cutanée, on y constate l'analgésie universelle, excepté la
peau
de la tête et de la face où la sensibilité n'es
n de réaction de dégéné- ration est constatée. Les réflexes de la
peau
et des tendons ont fortement diminué. Pas de dé
es tendons ont fortement diminué. Pas de désordres trophiques de la
peau
, pas de décubitus. La quantité de l'urine penda
et d'une partie des muscles de la nuque, troubles trophiques de la
peau
.) Intégrité de la vessie et du rectum, des facu
mum de 0,20 produisait une irritation du tissu cellulaire et de la
peau
fort tenace quoique sans occasionner de douleurs
os est très sen- sible à la palpation; le passage de la main sur la
peau
cause aussi de vives douleurs; il se plaint aus
ussi émoussée; il ne retire pas la main même quand on transperce la
peau
avec une épingle. Les réflexes tendineux de la
t de la jambe, même lorsque D... était couché; la sensibilité de la
peau
était normale comme aupara- vant ; le champ de
loureuses sont abolies; il est possible de transpercer un pli de la
peau
; le malade ne peut plus se représenter la posi
pression superficielle des articulations causait des douleurs; la
peau
est oedémateuse, mais elle n'est pas rouge; au-
nisme. Arrêt de développe- ment. Etat oedém,¡teux et rénilent de la
peau
(cachexie pczchl, - dermique) avec tumeurs myxo
z la plupart des petits entants; sur toute l'étendue de la face, la
peau
est mate, d'une couleur blanc jaunâtre et bouff
vieillot, contrastant encore avec l'apparence fine et cireuse de la
peau
qui est absolument glabre; les sourcils sont à pe
conséquent extrêmement atrophié. Sur toute l'étendue du tronc, la
peau
est fine, d'un blanc mat, assez résistante sous
entre est volumineux. Les membres sont gros, courts, empâtés, et la
peau
y présente les mêmes caractères que sur le tron
e ou les bonbons qu'on lui présente. Sur le dos de cette main, la
peau
, comme oedémateuse, forme une pelotte épaisse, ma
a bouffissure est surtout prononcée aux jambes et aux pieds dont la
peau
est plus ou moins cyanosée. Les deux membres so
de vice de conformation, mais un arrêt de développement complet; la
peau
y est épaisse et pseudo-oedémateuse, comme dans
IE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 301 Sur le tronc et les membres, la
peau
est absolument glabre, même aux aisselles et au
de la cachexie pachydermique) empêche d'explorer les gan- glions. -
Peau
chaude, état saburral des premières voies digesti
39°. -Soir : 40°,2. 30. - Le bas du visage n'est plus tuméfié ; la
peau
desquame par place ; les paupières restent gonf
prend un aspect rouge-clair moucheté; le bourrelet fait défaut; la
peau
n'est ni chaude, ni résistante. La peau du bras e
e bourrelet fait défaut; la peau n'est ni chaude, ni résistante. La
peau
du bras est le siège d'une desquamation furfura
marcher. 4 °r juin. Hier, il était mal en train ; il semble que la
peau
du côté droit de la tête, tempe, et région pari
nte. On ne peut que présumer l'érysipèle, vu l'état ordinaire de la
peau
; pas d'ap- pétit ; un vomitif. - T. R. 40°... '
ir : 38°6. 17. - L'érysipèle est en voie de desquamation totale; la
peau
a repris sa coloration et sa rénitence habituel
et présentent une rougeur uniforme sans bourrelet périphérique; la
peau
n'est ni chaude, ni douloureuse à la pression ;
corps : aisselles, dos, thorax, anus, lèvres supérieures, joues. La
peau
a un aspect cireux, pâle. Les ongles sont assez m
on n'a besoin de les couper qu'à des intervalles très éloignés. La
peau
des bourses est épaisse, ridée et, au premier a
sine pas. , Il existe quelques poils rares et courts au pénil ; la
peau
de la verge et surtout du prépuce est épaisse,
et. ' Les hémisphères cérébelleux paraissent normaux. Analyse de la
peau
. Nous avons fait faire deux analyses de fragmen
de la peau. Nous avons fait faire deux analyses de fragments de la
peau
; voici les notes qui nous ont été transmises :
enfant; les testicules ont la grosseur d'une petite noisette. La
peau
est pâle, lisse et peu tendue ; elle est mobile s
ps. Les mains et les pieds sont potelés comme ceux d'un enfant ; la
peau
y est même tendue et d'une teinte foncée, légèr
rt obtuse; il se montre très peu impressionnable quand on irrite la
peau
. Les sens sont intacts ; il voit et il entend ;
vée et ne parait pas descendre au- ' dessous de 15°. Ce matin, la
peau
est encore froide et le thermomètre placé sous
vec le concours de deux de nos collègues. Des incisions faites à la
peau
mettent à découvert une épaisse couche de tissu
me temps que les poumons et l'oesophage, après une incision de la
peau
pratiquée sur la ligne médiane, on recherche le c
s- cutanée. Il est noter, dureste, que l'examen chimique de cette
peau
n'a pas été pratiqué et que la présence de la m
'examen général de l'enfant, et nous constatâmes le même état de la
peau
sur les membres supérieurs et inférieurs, à l'a
êmes carac- tères : sensation de froid désagréable au toucher de la
peau
qui n'est ni sèche, ni écailleuse, ni gluante;
ux mains, le creux palmaire est remplacé par une surface bombée, la
peau
est épaissie, le pli que l'on y produit en la p
résistance, mollasse et élastique à la fois. Pas d'adhérences de la
peau
aux organes sous-jacen ts sur lesquels on parvi
ables de la sensibilité cutanée. Les caractères pathologiques de la
peau
dimi- nuent mesure que l'exploration remonte ve
en et n'existent plus au thorax qui, ainsi que le cou,'présente une
peau
normale; l'empâtement signalé des régions sus-c
C'est sur ces entrefaites que la mère remarqua la bouffissure de la
peau
qui, depuis, n'a pas diminué. Ce ne fut que p
e dur Hughlings Jackson. Son facies donnait l'idée du myxoedème, sa
peau
était translucide avec une tache circonscrite d
semble raccourci, perdu dans la tuméfaction sus-claviculaire. La
peau
est pâle et couleur de cire, excepté à la face où
culation est si pauvre qu'il y a un état chronique d'engelures. La (
peau
est sèche etdure par places, mais la paume des
sont petites, ramassées, les doigts sont courts, et les rides de la
peau
, plus abondantes sur ce point que partout aille
de la rotule. Absence de l'instinct génital (Pas d'onanisme). La
peau
est terreuse, blatarde, écailleuse et sèche. Elle
atteints de pseudo- oedème dur \ par l'état de la dentition, de la
peau
, la sen- sibilitéau.froid, etc., présente tous
abdomen était volumineux et flasque; les membres étaient grêles, la
peau
était lâche ; aucune force. Ce malade restait a
Idiotie complète; parole et marche nulles; teinte cachectique de la
peau
; brachycéphalie ; retard de la dentition; langu
urs en pleine santé, dont un bébé de seize mois marchant déjà. La
peau
, d'une pâleur jaunâtre, a attiré aussitôt l'atten
aille de cette enfant était de 1D1,30; le cou était large, gros; la
peau
commeoedématiée; les mains ramassées; les doigt
: Rigidité cadavérique; sugillalions sanguines étendues 'du dos;
peau
assez pâle. Les veines des extrémités et du tronc
rares et plus forts, au scrotum; quelques hémorroïdes au rectum, la
peau
du thorax et de l'ab- domen n'est pas modifiée,
fibrilles musculaires; tissu adipeux interstitiel abondant. - 4° La
peau
des diverses parties du corps (tête, tronc, mem
- pation totale cinq à six mois après, forte anémie, pâleur de la
peau
, faiblesse très grande et oedème des jambes ; au
364 CLINIQUE NERVEUSE. d'oedème marqué, mais épaississement de la
peau
du visage et des mains. 26° Baumgartner 1. -
iens avaient été opérés les 1er et 15 septembre 1884 et M. Phili-
peaux
donnait le résultat de ses expériences dès le 1
s'établit sans difficulté; dans la sclérodermie oedéma- teuse la
peau
, inégalement dure, offre dans certaines parties
qu'à gauche, et sur un espace de 7 à 8 centimètres de longueur, la
peau
du cou est sca- rifiée ; la largeur de la plaie
. Je n'ai pas besoin de dire que l'usage de la ouate sublimée, la
peau
étant protégée par la gaze phéniquée, peut rendre
- ques chaudes et être replacées à la fin de l'opération entre la
peau
et la dure-mère, après avoir été divisée en petit
oses de telle façon qu'après la guérison de la plaie, le morceau de
peau
puisse être séparé du cerveau par un coussin de
'est le tissu connectif qui formera une barrière élastique entre la
peau
et le cerveau. Règle générale, il n'est jamai
ne ouverture fut librement enlevé; la dure-mère, l'arachnoïde et la
peau
formaient une mass homo- gène de tissu fibreux;
uérit par bourgeonnement, après la réparation d'un petit morceau de
peau
sur le bord. L'état du malade après l'opération
très robustes. Le cadavre est un peu gonflé à la face et au cou, la
peau
du crâne et des oreilles bleuâtre, à la partie
gue est pincée entre les dents, ces dernières en mauvais état. La
peau
du crâne est très épaisse et gorgée de sang, le c
t au loin, on inspecte la pupille tandis que sont pratiquées sur la
peau
des excitations diverses (piqûres, pincement, cha
la paupière sont conservés. Dans certains cas, d'ailleurs rares, la
peau
de la paupière perd son élasticité, devient fla
t ouvert, plus grand que celui du côté opposé. Autour de l'oeil, la
peau
du front est plus lisse, le sourcil plus élevé
estion cépha- lique, érythème, oedème et autres modifications de la
peau
) ». Il nous parait inutile de nous appesantir s
mais l'onction avant tout de l'infection et de l'irrita- tion de la
peau
par les déjections de l'apoplectique. Le début pe
une pneumonie; le pa- ludisme se décèlera par sa sptenomegatie. La
peau
peut présenter toute une série d'indices, de pr
tôt possible afin de prévenir les troubles tropho-infectieux de la
peau
, afin de lutter également contre l'hypostase et
que seront faites à travers le linge humide des fric- tions sur la
peau
pendant quelques minutes, puis le malade sera ent
(magnums. Blix, Goldscheider, von Frey), on est arrivé à diviser la
peau
en un grand nombre, de points disposés plus ou
l'explorateur doit être à peu près de la même tem- pérature que la
peau
du sujet examiné. 11 est préférable de. se servir
osé sain, ou avec une région supposée saine, puis de marquer sur la
peau
, avec un crayon dermogra- phique, les limites d
ions glabres. La présence du système pileux donne aux régions de la
peau
qu'elle occupe une sensibilité particulière, en d
provoque l'attouchement des poils, en dehors de tout contact de la
peau
; c'est une sensation,» sui eneris », la plus ex
la peau; c'est une sensation,» sui eneris », la plus exquise de la
peau
. Les régions calleuses (plante des pieds, paume
ion douloureuse intense, à la suite d'une simple application sur la
peau
d'une substance qui, à l'état normal, ne provoq
guille ou une épingle d'acier bien effilée, ou encore en pinçant la
peau
entre le pouce et l'index. L'excitation faradiq
ant la peau entre le pouce et l'index. L'excitation faradique de la
peau
est un bon moyen pour étudier la douleur, parce
t surtout exquise pour des températures s'approchant de celle de la
peau
, entre 25 degrés et 27 degrés C. Tandis que la pe
de celle de la peau, entre 25 degrés et 27 degrés C. Tandis que la
peau
des joues et des tempes distinguent des différe
C. Tableau des différences de degré de température perçues par la
peau
(d'après Nothnagel). ? .90 SENSIBILITÉ. moyen
sensi- bilité à la pression n'est pas ou fort peu transmise par la
peau
; la pression de la peau chez les individus prés
sion n'est pas ou fort peu transmise par la peau; la pression de la
peau
chez les individus présentant une certaine laxité
ertaine laxité des tégu- ments permet de voir que la pression de la
peau
soulevée ne révèle pas la sensation de pression
électrique. Cette sensation n'est nullement fonction des nerfs de la
peau
, car elle peut persister dans les cas d'anesthé
ion des muscles périarticulaires, ainsi que par le plissement de la
peau
et des tissus mous qui environnent les articula
» La projection des fibres d'une racine postérieure sensitive sur la
peau
ne revêt pas le même mode de distribution que c
peuvent même sup- porter le contact d'une chemise de toile sur la :
peau
. . L'hype1'esthésie relative (Leyden) est carac
rs très superficiellement diverses parties du corps, puis je pince la
peau
, je la pique, j'exerce des pressions avec le do
esthésique. - C'est le type le plus fréquent. L'anesthésie prend la
peau
et les muqueuses de toute une moitié du corps e
anque pour le tact; aussi, pour la rechercher, faut-il soit pincer la
peau
entre le pouce et l'index, soit piquer avec une
ce sont des phénomènes vaso- moteurs, de la rougeur ou pâleur de la
peau
, des modifications de la température locale, et
elles. On cherche à réveiller la douleur par l'ef- fleurement de la
peau
, par la pression profonde des masses musculaires,
te aucune lésion locale susceptible de la provoquer : lésions de la
peau
, érysipèle, lésions des os, des yeux, des oreille
ait qu'elles sont plutôt superficielles et affir- ment que c'est la
peau
et les plans cellulo-graisseux sous-jacents qui
, tantôt d'hyperesthésie quelquefois très intense. Le contact de la
peau
, la pression même légère provoquent de vives do
à des pressions violentes et douloureuses qu on exercerait sous la
peau
, à des coups de poignard. Ces phénomènes doulou
lérables apparaissent, en môme temps que la teinte cyanotique de la
peau
, les phlyctènes, le parchemine- ment et les esc
rveux traverse un muscle ou une aponévrose pour se rapprocher de la
peau
, le lieu où un nerf devient très superficiel et
point où les rameaux terminaux d'un nerf viennent s'épuiser dans la
peau
. Trousseau a ajouté aux points douloureux de Vall
cocaïne pratiquées pendant les paroxysmes douloureux, soit sous la
peau
de la région endolorie, soit le long du trajet
e sont pas calmées par les injections de cocaïne pratiquées sous la
peau
ou le long du trajet des troncs nerveux; mais, qu
aso-moteurs : pâleur ou congestion de la face, aspect luisant de la
peau
, hyperemie des muqueuses conjonclivale, pituita
des sourcils, de la barbe, canitie, hypertrophie ou atrophie de la
peau
de la face, augmentation du tissu graisseux sous-
tteint les rameaux postérieurs de ces nerfs qui se distribuent à la
peau
du dos et les rameaux antérieurs qui, par leurs
s filets nerveux traversent les aponévroses pour se distribuer à la
peau
. Les névralgies brachiales irradient souvent ve
u niveau de l'orifice du canal inguinal 1. La glande mammaire et la
peau
qui la recouvre reçoivent la plus grande partie d
urs, de l'atrophie musculaire, des troubles de la sensibilité de la
peau
, le nerf serait parfois augmenté de volume. Celle
ice du canal palatin postérieur. On anesthésie superficiellement la
peau
et le trajet sous-cutané ou muqueux au sur et i
ndineux. Si le point de départ du réflexe se trouve au niveau de la
peau
, on dit que le réflexe est cutané. Nous étudier
: on peut percuter avec le marteau le muscle masséter à travers la
peau
de la joue et on voit alors se produire la cont
flexe abdominal ou le réflexe épigastrique en frôlant rapidement la
peau
avec la pointe d'une épingle au niveau de l'abdom
ns la contraction des muscles "-rands fessiers par excitation de la
peau
qui les recouvre. Réflexe anal. Il consiste dan
ion du sphincter de l'anus sous l'influence du chatouillement de la
peau
de la région anale avec une épingle. Il impor
les organes sensitifs contenus dans l'appareil tendineux ou dans la
peau
. Dans le cas particulier du réflexe rotulien, l
embre paralysé, de le pincer pendant une demi-minute, en serrant la
peau
entre les ongles. On voit alors le malade prése
és sont fréquents dans les grosses hémi- plégies : sécheresse de la
peau
, desquamation ou macération épider- mique, lési
si que divers troubles trophiques. cyanose, état ichthyosique de la
peau
,adipose, escarres du talon, des chevilles, des
ne d'une faible tendance à la spasticité, mais sans contracture. La
peau
de celle région est anesthésique. La zone insen
ilaire se produit au niveau de la malformation rachidienne, sur une
peau
souvent amincie. Ajoutons que les membres inférie
e de l'aponévrose pal- maire, d'autre part à la face profonde de la
peau
de l'éminence hypo- thénar. Innervation. Bran
perficielle du cubital. Physiologie. Le palmaire cutané agit sur la
peau
qui recouvre 1 éminence hypothénar, il la pliss
inférieur se porte en arrière et en dedans et fait saillie sous la
peau
. Le trapèze peut cependant suppléer le grand de
ES PEAUCIERS DU COU ET DE LA TÊTE Les muscles peauciers ont avec la
peau
des connexions très intimes. Les muscles peauci
ceux du côté opposé et viennent s'attacher à la face profonde de la
peau
de la région mentonnière; 2° les faisceaux moye
s surtout avec le carré, du menton, les autres remontent jusqu'à la
peau
de la commissure labiale. Innervation. Nerf fac
ranche cervico-faciale. Physiologie. Le peaucier soulève et tend la
peau
du cou au-devant du sterno-mastoïdien, mouvemen
rtie inférieure, de la joue et les narines sont attirées en bas, la
peau
de la poitrine s'élève un peu. Testut a vu chez u
Tons les faisceaux du frontal s'attachent à la face pEpfonde de la
peau
de ces régions. " Innervation. L'occipital est
ilière et sur la queue du sourcil, il en résulte rabaissement de la
peau
du front, la formation d'un sillon transversal da
it dans la région de l'angle interne de l'oeil et se termine sur la
peau
de l'angle externe. Muscle de Horner. Borner a
aire et du frontal et viennent s'attacher il la face profonde de la
peau
des sourcils. Innervation. Nerf facial. Physi
A TÈTE. 585 rieure et viennent se terminer à la face profonde de la
peau
qui recouvre le bord externe de la narine. In
qui recouvre la région parotidienne, il se termine en avant sur la
peau
et sur la muqueuse de la commissure des lèvres.
t et se termine, il coté des élévateurs, sur la lace profonde de la
peau
de la lèvre supérieure. Innervation. Nerf facia
n deux ordres de faisceaux : des faisceaux internes s'iuserant à la
peau
de la partie postérieure de l'aile du nez, des
obliquant un peu en dehors et s'insérant il la face profonde de la
peau
de la lèvre supérieure. Innervation. Nerf fac
rtent en bas et en dedans et se terminent il la face profonde de la
peau
et la lèvre supérieure. Innervation. Nerf facia
porte en bas et en dehors et se termine il la face profonde, de la
peau
et dé la muqueuse de, la région des commissures
vergent vers la commissure des lèvres et s'insèrent d'une part à la
peau
de la commissure des lèvres au même point que l
le canin, d'autre part, à l'aide d'un double faisceau irradié à la
peau
de la lèvre supérieure jusqu'au sillon médian et
i du côté oppose et vient se fixer en haut à la face profonde de la
peau
de la lèvre inférieure. Innervation. Nerf fac
nt à la manière d'une houppe, se terminent a la face profonde de la
peau
du menton. Innervation. Nerf facial. . Phys
. Physiologie. Le muscle de la houppe du menton attire en haut la
peau
du menton, il élève, et renverse en dehors la lèv
à droite et à gauche de la ligne médiane de la face profonde de la
peau
et de la muqueuse des lèvres, se dirigent en de
ent en dehors et se terminent dans la région des commissures sur la
peau
et la muqueuse en s'entre-croisant avec les lib
oite et à gauche de la symphyse du menton il la face profonde de la
peau
et de la muqueuse labiale, ils se dirigent en h
ERS DU COU ET DE LA TÈTE. 589 dans la région des commissures sur la
peau
de la muqueuse en s'entre- croisant avec les fi
des lèvres. Ces fibres naissent en avant à la face, profonde de la
peau
depuis la première jusqu'à la douzième rangée, de
nes l'examen clinique est difficile. C'est sur- tout en excitant la
peau
et en examinant alors les mouvements instinctifs
s de la cornée, par absence de clignement, teinte porcclainec de la
peau
du côté para- lysé. D'après Straus, dans les pa
du membre sur tout son pourtour, il faut encore qu'il s'accole à la
peau
, mais ne comprime ou ne déprime les tissus sur au
ou moins constants, portant sur tous les tissus, os, articulations,
peau
, système vasculaire, système nerveux, 1. Oppenh
bascule du bassin qui tend à le faire tomber en avant. ' .. , La
peau
des myopathiques est souvent mince, tendue, marbr
froide, cela surtout au niveau des membres les plus atrophiés ; la
peau
ressemble alors à celle de certains hémiplégiqu
ique par Ballet et Del- lierm (9) ; l'épaississement scléreux de la
peau
était à peu près propor- tionnel à l'impotence
l, bra- chial cutané interne, etc.) peuvent faire saillie sous la
peau
(P. Marie) ; cette hy- pertrophie ne se trouve
Chez ce malade on voyait les nerfs superficiels saillants sous la
peau
. G08 ATROPHIES MUSCULAIRES. exophtalmie avec
Les membres atrophiés sont souvent froids, légèrement cyanosés, la
peau
est mince, parfois épaisse, couverte d'éruptions
n, à l'avant-bras, au bras. Le doigt lésé s'atrophie, s'el'lile, sa
peau
devient mince, lissé, luisante, violacée, froid
esthésie en plaques, par l'importance des troubles trophiques de la
peau
et de ses annexes, des tendons, des os (lèpre mut
cràne, aplatissement du bassin; articulations : pseudo-luxations;
peau
: troubles trophiques, vaso-moteurs et sécrétoire
tiques. La saillie des masses musculaires est souvent telle sous la
peau
qu'elle permet vérita- blement d'étudier l'anat
ux, même des troncs superficiels qui sont parfois saillants sous la
peau
IP. Marie), l'atrophie musculaire manifeste des m
uvriers qui manient le mercure professionnellement (préparation des
peaux
de lapins dans l'industrie des chapeaux, dorure
il se ferme par contraction.de l'orhiculaire en même temps que la
peau
du front se porte en . haut par la contraction
îne une flaccidité de la paroi : les intestins apparaissent sous la
peau
, on peut percevoir leurs mouve- ments. Enfin,
et théra- peutique. Les troubles trophiques peuvent intéresser la
peau
et les téguments sous-jacents, les phanères, le
ue l'épiderme et le derme Dans cer- taines affections nerveuses, la
peau
présente seulement des changements de couleur,
Nous rangerons, parmi les altérations les plus superficielles de la
peau
, la glossy-skin, la sclérodermie, l'hyperkérato
La glossy-skin (ou glanz-haut) consiste en un amincissement de la
peau
avec état lisse, aspect de vernis luisant. Ce tro
ace dorsale des dernières pha- langes des doigts et des orteils. La
peau
est sèche, adhérente aux plans sous-jacents. El
isolées,' plus ou moins vastes. Au niveau des lésions étendues, la
peau
est dure et fibreuse, résistante, lisse, fixée
dermie des extrémités. Dans cette très singulière affection, la
peau
ri- gide, dure, immobi- lise dans un véritabl
ses, s'observe très fréquemment un état ichtyosique du tégument. La
peau
est sèche, mince et squa- meuse; la sécrétion s
anesthésique. Des éruptions s'observent parfois à la surface de la
peau
: il s'agit soit d'é1'ythl'lIU's, soit d'érupti
hé1'édo- 1)'(iiiiii(iliqiie, dans laquelle la simple friction de la
peau
fait rapidement apparaître un élément vésiculeu
ou diarrhée, inappétence, fatigue. Quelquefois le précèdent sur la
peau
des ecchymoses spontanées ou une éruption purpu
cen- timètres de large. L'oedème est peu surélevé par rapport à la
peau
saine ; ;- un rebord le limite plus ou moins ne
joutons que l'oedème peut se déclarer non seulement au niveau de la
peau
mais encore des muqueuses. Il peut éclater en c
ave de l'éléphan- tiasis (Meige). Les orteils sont peu atteints. La
peau
est blanche, ferme. épaisse. Il n'existe jamais
atrophie locale des tissus sous-cutanés s'étendant jusqu'à l'os, la
peau
elle-même s'amincit légèrement. Il semble qu'il
membre ou d'un tronc paralysé. C'est ainsi que peut se gangrener la
peau
au niveau des apophyses épineuses, des crêtes
les lèvres (du côté atteint) -et l'aile du nez sont amincies; la
peau
est flasque, hypotonique; la moitié du cou et d
t abaissée en dépit de la fréquence du pouls et de la chaleur de la
peau
; au bout de 24 heures, la température est redeve
ses, imprécis d'abord, puis de plus en plus accusés, teint terreux,
peau
sèche, haleine fétide, consti- pation opiniâtre
ent sur tous les tissus, os, muscles,- tissu cellulo-adi- peux,
peau
; il n'y a pas d'oedème.- Les éminences thénar
endant plus ou moins longtemps. Sur ces mains de rhumatisants, la
peau
semble lopins souvent adhérer aux os par suite
d'une atrophie en masse des muscles et du tissu sous- cutané; cette
peau
est sèche, lisse ou couverte d'une fine desquamat
que de petites indurations, des callosités, très adhé- rentes à la
peau
, au niveau de la première phalange des doigts, su
N. premières phalanges et de la; paume jusqu'au sillon médian de la
peau
. La paume est excavée, bourrelée de sillons et
mmence à"Iléchir le médius; à gauche rétraction au début, tirant la
peau
de la paume vers le poignet et formant des repl
minés irrégulièrement dans le tissu cellulaire sous-cutané et dans la
peau
, mobiles sur les parties profondes; plus ou moi
ses; il ce niveau le doigt est gonflé. fusiforme, comme soufflé, la
peau
est tendue, amincie, pâle au début. plus tard v
la fois à l'atrophie musculaire et à des troubles trophiques de la
peau
et du tissu sous-cutané. Par suite de l'amyo- t
insertion s'arrondit brus- quement à cause de la boursouflure de la
peau
interdigitale. La tuméfaction de la main peut s
vêtrés, la rugosité, la pigmentation et la pilosité fréquente de la
peau
, la coïncidence des deux grands signes ordinair
ue delà main, sont grosses, épaisses, irrégulières, couvertes d'une
peau
sèche, écailleuse, insensible, souvent parcourue
es jointures. Les doigts immo- bilisés s'indurent et s'effilent, la
peau
mince, lisse, luisante, dure. adhère aux os, le
ur, les bras, la face et plus ou moins toute la surface cutanée. La
peau
prend souvent une teinte brunâtre plus ou moins f
a deuxième phalange et étendus dans la première et la troisième. La
peau
du pied du rhumatisant chronique est sèche, rud
ulaires et par des dépôts d'urates dans le tissu sous- cutané et la
peau
, près ou loin'des articulations. Les tophus se lo
us-cutané; les pieds sont élargis, épaissis, pachydermi- ques; la
peau
, est sèche et squameuse, les ongles cassants,
des troubles trophiques et vaso-moteurs de la jambe et du pied, la
peau
est froide, violacée, le membre est atrophié, le
tile et simple. On pourra marquer certains points de repère .sur la
peau
; quant aux cheveux, ils gênent plus ou moins, i
compas d'épaisseur sur les crêtes frontales, faciles à sentir sous la
peau
immédiatement, au-dessus -des apophyses orbitai
l'in- l'anlilisnlc. Les géants eunuchoïdes sont par leur voix, leur
peau
nue et pale, leur pnerilisme psychique, de gran
ofil. Les paupières sont lourdes sur les yeux sans expres- sion. La
peau
sèche, épaisse et foncée, descend de la tète sur
; les seins se développent parfois et les hanches s'élargissent. La
peau
est fine et particulièrement glabre, délicateme
sont de faible hauteur; leur faciès est anguleux, ridé, sénile. La
peau
est couleur de cire vieillie; elle est glabre et
ires pour des « grains de beauté ». Anus. Imperforation. Cloaque.
Peau
. Phanèrés. Anomalies de la coloration, molluscum,
forme de petits ganglions durs roulant sous le doigt. Examen de la
peau
. Les lésions de la peau peuvent, dans certains
ns durs roulant sous le doigt. Examen de la peau. Les lésions de la
peau
peuvent, dans certains cas, coexister avec des
ieux et Farnarier (Revue de Médecine, 1900), etc. Les lésions de la
peau
: roséole, syphilides papuleuses, papulo- squam
ournier et qui sont caractérisés par l'aspecl fripé et irrité de la
peau
au niveau des commissures et du menton, aspect
us les objets nécessaires à assurer l'asepsie et l'anesthésie de la
peau
du malade. 1° L'aiguille sera une aiguille en p
n acier, car, même après un long usage, elles glissent bien dans la
peau
. L'ai- guille devra avoir un biseau court, de f
que t sera pratiquée la ponction. 4" Asepsie et anesthésie de la
peau
. - La région lombaire, autour du point choisi,
oyée à la teinture d'iode et, après avoir fait cette toilette de la
peau
, on pourra placer sur la région lombo-iliaque une
crêtes iliaques sans se contaminer les mains. L'ancsthésie de la
peau
pourra être obtenue par la simple application d
ne trompe pas, analogue à celle que l'on percevrait en piquant une
peau
de tambour; cette sensation étant perçue, on pour
antes : l'aiguille en traversant les tissus a piqué une veine de la
peau
ou des muscles, dans ce cas le début seul de l'
x et des masses musculaires, la sécheresse et la pigmentation de la
peau
ne commencèrent qu'au bout de deux ans. La fi
ce rayon passe par l'extrémité de l'os à mesurer, on marque sur la
peau
au crayon der- Congrès de l'avancement des Scie
. Il s'ensuit qu'à la dose maxima compatible avec l'intégrité de la
peau
correspond toujours pour les tissus sous-cutané
perficielles, c'est-à-dire sans porter atteinte à l'intégrité de la
peau
, est le suivant : il consiste à diriger le rayo
uteur de la moelle, par exemple, la moitié de la dose que reçoit la
peau
; grâce à l'heureuse sensibilité de certaines tu
diations effectives et actives tout en respectant l'intégrité de la
peau
. M. Béclère s'efforça de rendre encore le trait
solément le maximum d'irradiation compatible avec l'intégrité de la
peau
; seules ainsi s'additionnaient les doses profon
iée ou non à des lésions du squelette avec adipose et lésions de la
peau
, qui rappelle le tuyxoedeme et que certains aut
Ù une hyperi"mie du corps thyroïde parallèle à l'l7yperémi(` de la
peau
et disparaissant avec cette dernière. Névralgie
à croître sous l'influence de la diminution de la résistance de la
peau
produite par le passage du courant. On la ramène
nerveuses. Comme les électrodes sont habituellement placées sur la
peau
, la résistance opposée au passage du courant sera
ne pas mettre ce métal ou ce charbon directement en contact avec la
peau
; on choisit aussi le vase ou la baignoire en sub
tiques formés par l'attaque du métal peuvent être entraînés vers la
peau
et avoir des actions nocives. Les métaux inatta
u de tarlatane interposées , entre le métal ou le charbon et la
peau
du corps. Il peut être formé aussi par de la
e sou- vent encore le métal ou le charbon des électrodes avec de la
peau
de chamois; une seule épaisseur de peau n'est p
n des électrodes avec de la peau de chamois; une seule épaisseur de
peau
n'est pas suffisante; le métal ou le charbon se
nte; le métal ou le charbon se trouvent ainsi trop rapprochés de la
peau
du corps exposée alors au développement facile
s. Cet inconvé- nient peut être écarté avec plusieurs épaisseurs de
peau
ou par l'interpo- sition d'autres substances sp
la' plaque de métal, le tout recouvert d'un tissu hydrophile ou de
peau
de chamois. Il importe que 1' i. 90. - I : Icct
e 1' i. 90. - I : Icctroles en l'orme de ]ihucs(etuin, l'entre et
peau
de chamois). Divers modèles d'électrodes en charb
li- mètres, sinon celui-ci pourrait se trouver trop rapproché de la
peau
du corps ou même prendre contact avec elle, ce
g. l 1 . - Électrodes en charbon rccomcrles de plusieurs doubles de
peau
de 'chamois, les unes on forme de tampon, les a
courant sur une étendue plus grande mais encore peu éloignée de la
peau
, par exemple sur des muscles gros ou larges, co
les lignes qui les réunissent le plus directement au-dessous de la
peau
traversent cet espace. 5° Pour atteindre avec l
la plus grande partie du courant resterait dans le voisinage de la
peau
(A. fig. 1 ! ) ; éloignées, au contraire, un pl
On en tiendra compte, par exemple, pour éviter les brûlures de la
peau
. Si l'on doit employer des courants de forte inte
de petites électrodes, la densité du courant est très grande sur la
peau
et les actions chimiques s'y développent avec une
n éloignant suffisamment le métal ou le charbon de la surface de la
peau
avec des revêtements spongieux plus ou moins ép
ue; ils permettent d'introduire localement des médi- caments par la
peau
. On a longtemps discuté sur la réalité de l'int
oduction électrolytique des substances médicamenteuses à travers la
peau
, la rapportant soit simplement à l'absorption c
orps. Pour faire pénétrer une substance médicamenteuse à travers la
peau
, en un point déterminé, il suffit d'orienter co
de remarquer, cependant, que les ions ainsi introduits à travers la
peau
ne doivent pas pénétrer très profondément dans le
emblable d'admettre, en effet, que les ions qui ont pénétré dans la
peau
se trouvent bientôt entraînés dans la circulati
électrodes, au début de l'appli- cation, les petits vaisseaux de la
peau
se resserrent, la peau est anémiée et présente
l'appli- cation, les petits vaisseaux de la peau se resserrent, la
peau
est anémiée et présente une coloration blanchât
rs de courte durée, bientôt les vaisseaux cutanés se dilatent et la
peau
prend une colo- ration rouge fortement prononcé
il se déplace légèrement, soit qu'il communique des mouvements à la
peau
et aux tissus sous-jacents. . [E. HUET 122S 8
u d'un disque, est promenée de haut en bas et de bas en haut sur la
peau
suivant la direction des nerfs et des muscles.
tre, on la voit, alors même que l'électrode mobile ne quitte pas la
peau
, indiquer des fluctuations plus ou moins grande
'intensité provenant des variations de résistance des régions de la
peau
rencontrées par l'électrode. On voit aussi, lorsq
ps que l'on veut suspendre l'excitation; on la replace alors sur la
peau
pour la faire rouler de nouveau plus ou moins r
e est une électrode métallique que l'on applique directement sur la
peau
. Il convient pour ces applications que la peau so
e directement sur la peau. Il convient pour ces applications que la
peau
soit bien sèche; au besoin on peut l'assécher a
un rouleau de métal. On la promène plus ou moins rapidement sur la
peau
en prenant un courant a intermittences fréquent
emières excitations, on observe souvent de la vaso-constrielion, la
peau
est anémiée et blanche; cet effet est très fugi
t très fugitif et fait rapidement place à de la vaso-difatation, la
peau
rougit et reste rouge tissez longtemps. Lorsque l
longtemps. Lorsque les courants sont suffisamment faibles et que la
peau
est bien sèche, les excitations sensi- tives pe
Le râteau de Tripier sert aussi au traitement; on le promène sur la
peau
sans qu'il y ait à employer une électrode mouil
t galvanique et en raison de la dimi- nution de la résistance de la
peau
, produite par le passage de ce même «courant.
abord, sans doute en raison de la diminution de la résistance de la
peau
produite par le passage du courant galvanique,
plus apparente que réelle, lorsque par exemple la résistance de la
peau
se trouve notablement diminuée ('). Lorsque l'a
telles dans leur situation, ayant pour effet de les rapprocher de la
peau
, les rendent plus accessibles à l'excitation et
S SENSITIFS ET SENSORIELS - VERTIGE VOLTÀIQUE Nerfs sensitifs de la
peau
et nerfs de la sensibilité générale. Le courant
dique, impressionne comme nous l'avons déjà vu la sensibilité de la
peau
, et met en jeu l'excitabilité des nerfs sensiti
e ou si elle reste peu près normale. ' L'excitation faradique de la
peau
, avec des électrodes humides et des courants su
e la résistance électrique. ¡ Dans l'examen de la sensibilité de la
peau
envers le courant électrique on peut rechercher
i de conditions qui déterminent la péné- tration du courant dans la
peau
. Lorsque les électrodes sont de dimensions inég
t avec des électrodes contenant des sels de zinc en contact avec la
peau
: elle s'observe aussi avec des électrodes cont
par conséquent 150 l'ois plus forte pour chacune des régions de la
peau
en contact avec les électrodes. \'ciss est arri
épaules par un procédé permet- tant d'éliminer la résistance de la
peau
tout en laissant celle-ci intacte; il a trouvé
tance mesurée entre les deux mains, y compris la résis- tance de la
peau
, variait de 1000 à 2000 ohms. Les tissus situés
au, variait de 1000 à 2000 ohms. Les tissus situés au-dessous de la
peau
ont donc une conductibilité infiniment meilleure;
leur calibre, comme en témoigne la rougeur qui se développe sur la
peau
au-dessous des électrodes; il en résulte une meil
ue le nombre des orifices glandulaires s'ouvrant à la surface de la
peau
jouait un rôle important pour les différences de
tite, de 9cm2 par exemple (le côté) sera placée sur la région de la
peau
dont on veut rechercher particulièrement la résis
e Eulenhurg a trouvé la résistance augmentée dans les parties de la
peau
plus ou moins altérées, et plutôt diminuée dans l
fin l'ingestion de certains médicaments diminue la résistance de la
peau
; c'est le cas pour l'antipyrine et pour la piloc
p prolongés ; au pinceau ou au rou- leau promené directement sur la
peau
on pourrait substituer un procédé plus doux app
romène son autre main qui représente l'électrode excitatrice sur la
peau
des régions qu'il veut soumettre à l'électrisat
être traitées aussi en plaçant extérieurement les électrodes sur la
peau
: anode sur la nuque, cathode successivement su
avantage à répéter les séances tous les jours, lorsque l'étal de la
peau
le permet. Il n'en est pas toujours ainsi, surt
les points d'application des électrodes. four ménager l'état de la
peau
, il convient d'ailleurs, après chaque appli- ca
bon [E. HUET.] 1516 G ÉLECTROTHERAPIE. d'enduire légèrement la
peau
de vaseline avant de la saupoudrer avec le laïc
avec le laïc ou l'amidon. Lorsqu'il existe des excoriations de la
peau
, ou de simples éraflures de l'épiderme, au nive
même J NÉVRALGIE SCIATIQUE. 1517 ï tous les jours si l'état de la
peau
le permet. L'ion salicylique est très bien supp
e permet. L'ion salicylique est très bien supporté et altère peu la
peau
; l'ion quinine l'altère davantage : après le pa
; l'ion quinine l'altère davantage : après le passage du courant la
peau
reste longtemps rouge, puis elle prend une, col
et une révulsion plus énergiques en promenant directe- ment sur la
peau
, suivant le même trajet, le balai métallique ou u
t : n1 1 pendant 20 à 50 minutes, parfois davantage si l'état de la
peau
le permet. Pour cesser l'électrisation on ramèn
on fait intervenir de fortes intensités; pour ménager l'état de la
peau
on se voit obligé à ne répéter les séances d'él
davantage tant qu'il n avait pas menaces d'escarrili- calion de, la
peau
. Dans les observations que Cuilloz a publiées il
nt sur la polarité à donner à l'électrode et sur la tolérance de la
peau
envers l'ion salicylique et envers l'ion quinine.
mu. Cette électrisation est répétée tous les jours, si l'état de la
peau
le permet; au besoin on change un peu les points
epos de plusieurs jours si [E. HUET ] 1558 i ? cfl3ormrarlr. la
peau
se trouve un peu irritée à la suite des séances p
er ou briser les os juste au-dessus des points de décollement de la
peau
du crâne. Que l'on scie les os ou qu'on les bri
illot, sous le sternum pour faire saillir la colonne vertébrale. La
peau
est incisée depuis l'occipital jusqu'au coccyx,
es médullaires et les apophyses épi- neuses, 608. - sensitifs de la
peau
, réactions électriques, 1269. - senso- riels,
périphérique, 103. - dans la paralysie du facial inférieur, 106.
Peau
des zzopatltiques, 677. Peaucier du cou. Innerv
e du malade, l 120. - Points de repère. Asepsie et anesthésie de la
peau
, 1121. - Ecoulement du liquide. Inci- dents,
mie était complètement aboli ; le malade ne pou- vait ni plisser la
peau
du front, ni froncer les sourcils, ni abaisser ou
qui se dit; il ne donne aucun signe d'insuffisance intellectuelle.
Peau
,. On note une cicatrice incolore de la forme et d
s leur moitié inférieure. L'humérus se trouve immédiatement sous la
peau
; celle-ci est flasque, beaucoup plus large que
urvés sur le sol (digitigrade). Sensibilité. - La sensibilité de la
peau
et des muqueuses est intacte sous ses divers mo
phériques des nerfs se révèlent exclusivement par une maladie de la
peau
; et, selon le siège, la forme, l'étendue de l'
véritables dermatoses. Vous savez que la plupart des maladies de la
peau
a l'exception de quelques affections parasitair
ré- (1) IOHIZ 1W rost, Pathologie el traitement des maladies de la
peau
. Traduction de Ernest Besnier et Doyon, t. I, p
étamérique spinale. Or il est toute une catégorie de maladies de la
peau
, qui équiva- lent il de véritables malformation
rmopathie n'est-elle pas précédée de névropalhie. Les « maladies de
peau
» existent pour elles- mêmes et par elles-mêmes
s, cotonneux, et ressemblant beaucoup à ceux des chiens barbets. La
peau
sur laquelle s'élevaient ces poils était aussi no
ire que celledes nè- gres. Ce changement brusque de couleur dans la
peau
formait autour du corps et des genoux de cette
rfaitement blanche et celle qui était d'un noir aussi prononcé que la
peau
d'une Africaine. Le mari qui adorait sa femme t
oit était enveloppé d'une énorme gaine mélanodenni- que. La zone de
peau
teintée remontait jusqu'au-dessus'du coude et s'a
Le reste de l'avant-bras était d'une nuance brune plus claire ; la
peau
à ce niveau, était plus souple (I). Ces compara
ent noir qui le recouvre, le fait ressortir sur le fond blanc de la
peau
, comme s'il eût été, seul parmi tous les autres d
clavicule, extrémité supérieure de l'humérus) se dessinent sous la
peau
au point qu'en prenant l'épaule à pleine main, on
de l'éminence thénar ; son sque- lette est pour ainsi dire sous la
peau
et les mouvements d'opposition quoique pos- sib
il l'application de topiques par un rebou- teur. Quand on pince la
peau
, on constate il droite un état particulier des té
bras. Cet épaississe- ment n'est pas dû à de l'oedème. De plus, la
peau
est souple il gauche ; elle est plus résistante
ands efforts ; la corde tendineuse du biceps qui se dessine sous la
peau
limite ce mouvement. La flexion des doigts da
est exagérée dans les mômes zones. Au pincement,- à la piqûre de la
peau
, hyperalgésie très vive dans la zone sensitive
t. Pas de tremblement à gauche. Quand on chatouille légèrement la
peau
, au-dessous de l'omoplate, on voit que le malad
dans les mêmes points. La douleur provoquée par le pincement de la
peau
a conservé à droite la même distribution : les
ue par une chute que fit V... il y a deux mois, en glissant sur des
peaux
d'orange. V... ajoute qu'il tomba sur le côté g
t ; 2° Le bord spinal du scapulum rester en place, puis soulever la
peau
en se portant un peu en arrière par un mouvemen
uvement de recul et faire saillir davantage son bord spinal sous la
peau
. Ce sont là des signes intéressants à connaître
é que l'angle externe : l'angle inférieur saille en arrière sous la
peau
; enfin le bord spinal est très légèrement obli-
yme du côté sain, l'angle inférieur est saillant en arrière sous la
peau
, le bord spinal presque vertical se rapproche de
paroi postérieure de la cage thoracique, en faisant saillir sous la
peau
son bord spinal. Entre ce bord spinal et le point
eu l'occasion d'observer quelques cas de troublestrophi- ques de la
peau
chez des enfants. Les uns rentrent nettement dans
gagné le cuir chevelu et à son niveau, les cheveux étant tombés, la
peau
était lisse et brillante. Etal actuel. - Enfant
. IIAUSEIALTER ET L. SPILLMANN se continuant insensiblement avec la
peau
saine par une zone violacée. Au niveau de la mo
e, il existe un léger degré d'oedème. Dans la moitié supérieure, la
peau
adhère intimement il l'os. La palpation fait co
on pourrait cepen- dant trouver des rapports entre la lésion de la
peau
et des filets nerveux (br. oplitalm. du trijume
MM. Besnier et Doyon (2) : « La localisation d'une altération de la
peau
sur un territoire nerveux déterminé, indique bien
(2) E. Hesnier et A. Doyon, Traduction du Traité des Maladies de la
peau
de Ka- posi, t. II, p. 108. CAS DE SCLÉRODERM
inaperçue. Tout au plus a-t-on remarqué depuis quelques mois que la
peau
du flanc était sèche. Etat actuel, 25 février.
ire, encadrée d'une auréole pigmentée. Au niveau de cette tache, la
peau
est légèrement affaissée, donne à la palpation
, de consistance dure, ressemblant à une cicatrice supérieure de la
peau
. Dans la partie latérale droite de l'abdomen et
a peau. Dans la partie latérale droite de l'abdomen et du flanc, la
peau
est plus pigmentée qu'à gauche. Sur ce fond pig
iliaque, les plis cutanés sont plus accen- tués. A la palpation, la
peau
est dure, pachydermique, donne l'impression du
au cou-de- pied. Cette plaqïia. est limitée à sa périphérie par une
peau
pigmentée brun violacé. Au niveau de la bande n
r une peau pigmentée brun violacé. Au niveau de la bande nacrée, la
peau
est déprimée, lisse, adhérente aux parties sous
iers inférieurs de la jambe, le long du bord antérieur du tibia, la
peau
est livide, dure, Jar- dacée, adhérente à l'os.
u tibia, la peau est livide, dure, Jar- dacée, adhérente à l'os. La
peau
des régions malléolaires est épaisse et donne a
sur le dos du pied droit une petite tache au niveau de laquelle la
peau
était blanche, fine, d'aspect cicatriciel. Cetl
sse, fine, légèrement pigmentée, se continuant par une auréole de
peau
pâle, lisse. A la face interne du tiers su- pér
droit, tache des dimensions d'une pièce de 5 francs, peu visible, à
peau
plus fine. Une autre plaque de même dimen- si
oie antérieure du tibia elle dos du pied. Sauf au dos du pied où la
peau
a un aspect fin, cicatriciel, la plupart de ces
nt de plaques blanchâtres, mais au niveau de toutes ces plaques, la
peau
est lisse, déprimée, d'aspect cica- triciel et
e depuis quelque temps, tous les phénomènes tendent à régresser. La
peau
au niveau des taches sclérodermiques est moins
surtout au niveau des dernières phalanges,- est recouverte par une
peau
très fine, vernissée, bleuâtre, froide et au nive
érations des ongles, l'aspect ver- ' nissé et l'amincissement de la
peau
au niveau des phalanges, l'exfoliation de l'épi
es mailles arrondies d'un brun lilas, circonscrivant des espaces de
peau
livide. A ce niveau la peau est très amincie, e
un lilas, circonscrivant des espaces de peau livide. A ce niveau la
peau
est très amincie, et le tissu cellulo-adipeux est
et A. DoyoN, loc. cit., p. 94. 204 P. HAUSHALTER ET L. SPILLMANN
peau
était accompagné d'une atrophie très accentuée de
agi de sclérodermie à forme circonscrite avec épaississement de la
peau
. L'atro- phie consécutive de la peau ne fut obs
rite avec épaississement de la peau. L'atro- phie consécutive de la
peau
ne fut observée que dans un cas (Cruse). La gué
mann et de Cruse. A ces 5 observations de troubles trophiques de la
peau
à forme de sclé- rodermie, nous ajoutons, sans
chevelu à la limite des cheveux sont plus accentuées. A ce niveau la
peau
est fine et transparente. Les urines renferment
à ce niveau sans qu'il y ait. de dépression cutanée appréciable, la
peau
est amincie, plus fine, et se laisse plisser plus
et, notre malade va très fréquemment au lavoir : il exis- tait à la
peau
des mains, à la face antérieure et postérieure de
Le fond de la face est jaune ambré; la voix, lente et coassante. La
peau
est sèche, rugueuse; le cuir chevelu, squameux,
nfiltration notable. J'ai vu des myxoedémateux qui n'avaient que la
peau
sur les os. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
ie préalable et que le ralentis- sement de vitalité organique de la
peau
et l'abaissement de température du corps ont pu
tation. Cette dermatile se traduit par une rougeur assez vive de la
peau
. Elle s'accompagne d'une desquamation assez rap
très sensibles. Le sourcil une fois tombé en tout ou en partie, la
peau
reprend sa coloration primi- tive, devient peu
rlé du ventre et de la constipation ; nous n'y reviendrons plus. La
peau
est sèche, fen- dillée, rugueuse ; déshabillés,
nent souvent de' troubles de la circulation et de la motilité de la
peau
plus ou moins dura- hles ; elles jouent le rôle
ques généraux, on a signalé souvent des troubles tro- phiques de la
peau
(2) se manifestant tantôt d'une manière aiguë, ta
s, le purpura, le zona ; on a observé aussi des pigmentations de la
peau
(3),t'ichthyose(4). L'érylbromélalgie, les escha-
mal perforant peuvent être rattachés aux troubles trophiques de la
peau
. En dehors de ces manifestations grossières des
ces manifestations grossières des troubles de la nu- trition de la
peau
on peut observer chez les paralytiques généraux d
le siège de la démangeaison. Le prurit sans lésion apparente de la
peau
peut être interprété, soit par une excitation d
beaucoup maigri. La contraction idio-musculaire est peu marquée. La
peau
est intacte : on ne provoque pas l'urticaire ar
sous la ceinture et qu'il passait son temps à tirer ses poils.' La
peau
ne présentait aucune lésion, à part quelques éc
il tenu entre l'in- dex et le médius doit entrer en contact avec la
peau
par son seul poids : on évite par ces moyens le
s exercices au lit. Etat actuel. - La malade a l'aspect fatigué, la
peau
est sèche et ridée», l'amaigrissement est manif
n n'est plus instructif que ce défilé des robes longues et des cha-
peaux
pointus dans les nombreux tableaux genre de l'éco
er, état absolument mollasse des muscles. Au bras on ne sent que la
peau
et le tissu cellulaire sous-cutané. Le triceps
ent ne forme plus de relief, mais est représentée par un méplat; la
peau
, trop large à son niveau, fait des plis à la su
atrophie presque complète du grand dorsal ; à ce niveau on soulève la
peau
qui semble reposer directement sur le système o
ué que par quelques fibres musculaires à peine perceptibles sous la
peau
. Relief très considérable de la tête de l'humér
cordon de 1 cm. 1/2 d'épaisseur ; atrophie en masse du triceps; la
peau
est trop ample. Atrophie musculaire également m
brale ne semblent pas atrophiés. Pas de troubles trophiques de la
peau
, pas de troubles vaso-moteurs. Rien dans les mu
a pression, ayant la forme d'un épais bourrelet dans l'aisselle; la
peau
la recouvrant a sa cou- leur et son aspect norm
Très rapidement, en quelques jours, la clavicule se dénude, puis la
peau
du menton s'escharifie à son tour. Eschare no
our ainsi dire totalement disparu, et l'on arrive directement de la
peau
sur le sa- crum à nu. 1° Eschare profonde au
ui recouvrent ces massifs osseux sont également hypertrophiées : la
peau
est épaisse, mais sans oedème, très rouge; les
t carrés ; les éminences thénar et hypothénar sont développées ; la
peau
, particulièrement sur la face dor- sale, est ép
a du dermographisme et la trace d'un crayon fait apparaître sur la
peau
des raies rouges plus prononcées et plus rapideme
ompte dans ce fait des relations de l'innervation sensi- tive de la
peau
avec les racines postérieures, ensuite cette anes
tre, la poitrine, le dos, sur les bras, sur le cou, sur la face, la
peau
est mince et souple, les contours sont réguliers,
me du membre oedématié. Ce dernier n'est pas seulement difforme. La
peau
en est très épaissie et distendue ; elle ne pré
trophiques des mains et des pieds (cyanose, petites ulcérations). La
peau
était par endroits, tuméfiée et oedématiée comm
pendant l'auteur a observé l'oedème avec coloration ordinaire de la
peau
, légèrement rosée. OEdème dur, élastique, garda
re, à l'avant-bras et à la main. D'abord blanche, lisse et dure, la
peau
devint ensuite cyanosée et des ulcérations apparu
arqué à droite, donnant la- sensation du lipome ou du myxoedème, la
peau
conservant sa coloration normale, survenu chez
mbes. (1) RtCocnoN.Cas familiaux '0'dëMM aigus et récidivants de la
peau
, 2e Congrès fran- çais de médecine interne, ten
indolence, sa localisation, l'absence de lésions ulcératives de la
peau
'sont assez [caractéristiques, pour justifier un
ble. En prenant des .précautions pour éviter les excoriations de la
peau
, les malades devront se contenter, jusqu'à nouv
,60 c. Circonférence au niveau de la cuisse .. 0,5, c. 0,66 c. La
peau
est blanche, sans excoriations, luisante, elle po
de la jambe sur la cuisse ne sont limités que par l'épaisseur de la
peau
, qui cependant, est plus lisse et moins épaisse a
boursouflure en masse dont elle est le siège (pholostéréographie) :
peau
remarquablement lisse et luisante depuis le pli
pect très potelé. La face palmaire est tuméfiée mais les plis de la
peau
y sont moins effacés. Les muscles des éminences
vec l'annulaire un angle assez ouvert. A la surface des doigts la
peau
est lisse, luisante, cyanotique, froide et comm
uche, mais la cyanose est moindre ; une pression forte creusesur la
peau
oedémateuseun godet profond. La surfacedeta main
u toute facul té de se mouvoir. Au-dessus de la limite des mains la
peau
n'est ni épaissie ni oedéma- teuse ; on note si
uis cette époque aucune au- tre manifestation de la syphilis sur la
peau
ou sur les muqueuses. A noter qu'au moment de l
mpâtement diffus très manifeste gardant l'empreinte des doigts ; la
peau
est écailleuse. La pression des masses 0 NOUVEL
des membres inférieurs, les troubles trophiques et vaso-moteurs de la
peau
et peut-être une prédominance de la paralysie d
) La sensibilité générale est diminuée il droite ; la piqûre de la
peau
est il peine sentie. L'examen des sens spéciaux
icales, elle atteint dans les paralysies hystériques non seulement la
peau
, mais les parties profondes, elle se manifeste
si on lui ferme les yeux. Cette anesthésie est étendue il toute la
peau
. Pas de réflexes pharyn- giens. Pas de points h
e c'est du bleu, ou inversement, elle proteste par sa mimique. La
peau
est en outre très sensible aux impressions qu'ell
tampon humecté ; ce n'est alors qu'un bord du tampon qui touche la
peau
au-dessus de la partie médiane du sternum. Je p
, on constate d'abord un épaississement et une desquama- tion de la
peau
dans tout ce territoire, avec des phlyctènes siég
érature locale. Puis des changements se manifestent du côté de , la
peau
, qui s'amincit et présente un aspect luisant que
a malade les cueillait avec les doigts. Les ongles, les cheveux, la
peau
sont normaux. Arthropathies. Le genou droit est
lésions syphilitiques manifestes : syphilides pig- mentaires sur la
peau
du cou. Syphilides tuberculo-ulcéreuses sur les m
servés. Pas de troubles sphinc- tériens. Sensibilité normale à la
peau
. Attitude hostile à tout examen. Si on essaie d
généralisée. La sensibilité reste normale sur toute l'étendue do la
peau
. Pas de crises convulsives, pas de contractures
e aneslhésie complète du pharynx et une anesthésie incomplète de la
peau
sur toute une moitié du corps. Autographisme tr
itié du corps. Autographisme très marquée sur toute l'étendue de la
peau
. 116 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
uverte du bacille de Hansen dans un fragment du nerf excisé sous la
peau
de F avant-bas. B..... (François), couvreur, âg
m- plantation. Les deux lobules des oreilles sont adhérents. Sur la
peau
et sur les muqueuses il n'existe point de troub
membres s'hypertrophiaient, prenaient des dimensions démesurées. La
peau
était hyperesthésique. En même temps, mouvements
i- derme dans la paume des mains. B... n'a jamais constaté sur sa
peau
la présence de nodosités. Il n'a eu ni syphilis
ouvements sont encore possibles sauf l'adduction et l'abduction. La
peau
est sèche, rugueuse sur la face palmaire, et pa
e desquames épaisses et cornées. Sur la face dorsale de la main, la
peau
est lisse, rosée, moins plissée que normalement
e à la 2e pha- lange. Sur l'index, épaississement cicatriciel de la
peau
autour de la 1 rye ar- ticulation interphalangi
encore écrire mal- gré la raideur des doigts. Les callosités de la
peau
signalées plus haut sont d'origine cicatriciell
s douleurs pendant la flexion ou l'extension forcée des orteils. La
peau
est sèche, rugueuse, cou- verle d'une desquamat
RME SYR1NGOVLYÉLIQUE 129 Pied gauche (fig. 8). Les caractères de la
peau
et des ongles sont identiques à ceux que nous a
M. le Professeur Bergonié par M. Regnier. Face. Résistance de la
peau
considérable, surtout au niveau du front et des
d'ajouter que cette intensité varie avec la résistance opposée par la
peau
. Au niveau de l'épaule, du dos, du bras, la rés
e N F C = P F C. A noter dans cet examen la résistance énorme de la
peau
à tel point que dans une première exploration o
rallèlement à un filet du nerf musculo-cutané que l'on sent sous la
peau
. Celui-ci est mis à nu sans difficulté ; on en ex
r la fréquence et sur la distribution de quelques difformités de la
peau
chez les épileptiques (C. IL Soc. de biologie, 18
article des cavités articulaires et viennent faire saillie sous la
peau
l3ATTAILLE et ...cI ! ! éditeurs Nouvelle I
s grands trochanters se reporter en arrière pour apparaître sous la
peau
(Pl. XXII). Il semble alors que le tronc soit s
XXV, Fig. 1 et 2. Hormis les signes dont je viens déparier, si la
peau
est peu élastique, on peut remarquer des plis v
érer que la plupart des fibres musculaires se terminent non sous la
peau
, comme dans les muscles du squelette, mais dans
non sous la peau, comme dans les muscles du squelette, mais dans la
peau
môme (chorion) et que beau- coup d'entre elles
ion) et que beau- coup d'entre elles aboutissent aux papilles de la
peau
, en sorte que le tissu lui-même de la peau offr
ssent aux papilles de la peau, en sorte que le tissu lui-même de la
peau
offre une surface étendue à laquelle les muscles
Le biceps brachial par exemple, en se con- tractant glisse sous la
peau
, comme un corps étranger, montrant son relief à
la peau, comme un corps étranger, montrant son relief à travers la
peau
, tandis qu'un muscle de la face, le grand zygomat
nts d'attache inférieurs, relevant, ramassant et retroussant toute la
peau
de la joue qui se trouve au-dessus et dans laqu
ses sont répandues, produisant souvent des plis supplémentaires. La
peau
en- vahie par des milliers de ces fils invisibl
faciaux, cette fidélité de transmission disparaît tout d'abord; la
peau
rend bien encore, il est vrai, les principaux p
restent intacts, peu mobiles, Pendant la contraction mimi- que, la
peau
qui couvre le muscle affaibli, fait l'effet d'une
e l'ouverture de la bouche, laisse cependant peu de mo- bilité à la
peau
des joues. Chez l'homme bien portant, au contrair
aire, le sou- rire produit immédiatement un mouvement général de la
peau
, depuis le coin de la bouchejusqu'à l'angle ext
Tout cela à son tour in- due sur les conditions de nutrition de la
peau
de la face et lui prête son expression oedémate
oit : le malade les compare il une griffe qui lui aurait déchiré la
peau
. La vessie a été prise de très bonne heure. Dès
scles. Il n'existe pas de troubles trophiques marqués du côté de la
peau
et des ongles. État de la motilité.- - Tous les
urs de cet accident, qui ne fut suivi, dit-il, ni de rougeur sur la
peau
ni de céphalées. En 1886, il remarqua pour la p
ni de céphalées. En 1886, il remarqua pour la première fois sur la
peau
des jambes, des bras, de la poitrine, une érupt
iste encore actuellement des stigmates de syphilis a la surface de la
peau
. / Aux membres inférieurs, cicatrice d'ecthyma
epoussante. Des souliers tout percés de trous. Sur la tête, un cha-
peau
haut déforme indescriptible. Son faciès rappell
che ; 20 Les deux testicules très douloureux, le gaucho surtout, la
peau
aussi bien que le testicule lui-même; 3° Point
hée qu'il puisse enlever, il le fera, de même que si la plaie de la
peau
n'est pas assez grande, il l'agrandira. Le pati
hain, nous ont fait connaître ce fait intéressant : la friction de la
peau
chez des sujets hystériques hypnotisés produit
cles du corps. Si l'on pratique disait Charcot des frictions sur la
peau
des hypnotisés, dans le stade de somnambulisme,
racture s'efface, si on pratique, par exemple, des frictions sur la
peau
. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière T VI
itations tactiles. a). Si je frictionne avec la hampe du marteau la
peau
du côté droit de la face, malgré l'anesthésie q
modifier, mais si nous employons une excitation nouvelle soit de la
peau
soit de l'ouïe ou des autres appareils sensoriels
actures disparaissent. Par exemple, si je fais des frictions sur la
peau
du pied quand les muscles sont contracturés, la d
en 15-20 secondes. , Con,cl1ysions : 1. L'excitation- tactile de la
peau
du côté droit est suivie d'une llémicontracture
liquent les contractures acoustiques ; ce sont des sensations de la
peau
analogues aux excitations tactiles. Le son du
de lui faire changer de position ; dans la région de la glabelle la
peau
forme des rides profondes : les yeux sont fermés
26 juin. La température du corps est normale ; la température de la
peau
sur la face interne de l'articulation et dans la
les mouvements passifs y deviennent possibles. La température de la
peau
sur la face interne de l'articulation est presq
n cubitale diminue encore. Sur sa face interne la température de la
peau
est normale. A partir du 4 l'intestm fonctionne
st de 38°. On constate également une élévation de température de la
peau
. 3-9 février.- La température du corps est norm
'in- filtration disparaît, la rougeur cesse et la température de la
peau
redevient normale. Bandage sec sans application
de la bulle a été absorbé, l'épiderme exfolié adhère fortement à la
peau
; rougeur tout autour; l'infiltration a disparu.
e et de la plante des deux pieds, taches violacées des tissus de la
peau
dans la région située au- dessus du genou, abai
ion située au- dessus du genou, abaissement de la température de la
peau
des extrémités inférieures. Tous ces phénomènes
t de vue clinique. Ces troubles comprennent des modifications de la
peau
et des formations épidermoïdales, qui se manifest
la formation anormale du pigment (nigrities), la décoloration de la
peau
(vitiligo) et des cheveux, l'irrégularité de la
trouvons ce qui suit : variations inégales de la température de la
peau
, apparition sur la peau de taches de teinte ble
variations inégales de la température de la peau, apparition sur la
peau
de taches de teinte bleuâtre, oedème du tissu c
estin) et qui suivent (phlegmon antibrachial, lésion huileuse de la
peau
) l'ostéo-artI1l'0pathie, nous obligent à reconn
ouleur indécise, un manteau rapiécé, des souliers fatigués, un cha-
peau
informe et cependant on y sent une certaine préte
d degré ont été produites par une chaleur très supportable pour nne
peau
saine. SCLÉROSE MÉDULLAIRE 19 Traduisant an
nte, qui fait saillir à ce moment les faisceaux musculaires sous la
peau
, à la façon d'une corde qui se ten- drait brusq
nfant conserve même à l'état de repos une teinte cyano- tique de la
peau
et des muqueuses qui augmente au moindre effort.
L'appareil lacrymal est sain, les paupières sont normales, mais leur
peau
partage la teinte cyanotique du reste des tégum
lement, l'aspect du malade est chétif, ses téguments sont pâles, sa
peau
fine ; on note une teinte un peu violacée au nive
ip- tion de cette forme morbide : l'oedème circonscrit et aigu delà
peau
. Se- lon son auteur elle serait caractérisée pa
ou trois jours apparaissaient aussi au matin des tuméfactions de la
peau
, bien circonscrites, diversement localisées sans
rconscrites, diversement localisées sans ordre et sans symétrie. La
peau
des régions tuméfiées était pâle; elle ne conserv
ières. Douze heures après cet oedème aussi avait disparu, et sur la
peau
du tronc surgirent des oedèmes de la grandeur de
jection de sérum curatif ne produisit aucun phénomène du côté de la
peau
. OBS. III. M. G..., 38 ans, professeur à la Fac
frappé par le fait suivant : le matin, au réveil, il voyait sur sa
peau
des oedèmes circonscrits, d'une couleur rosée, de
rconscrits, de grandeur variable lors- qu'ils apparaissaient sur la
peau
du tronc, dans les membres ils prenaient toujou
température locale était toujours un demi- degré moindre que sur la
peau
saine. L'oedème était toujours pâle et ne conser-
la figure). Le dos est tuméfié; on ne voit plus les tendons sous la
peau
, et cette tuméfaction commence à la ligne interar
tte tuméfaction commence à la ligne interarticulaire du poignet. La
peau
pâle, plus froide d'un degré que celle de l'avant
d'hémoglobinurie s'accompagnait d'une éruption d'urti- caire sur la
peau
du tronc, et avec des oedèmes de Quinke au dos de
cculent. La cou- leur de la portion tuméfiée du membre est pâle; la
peau
est un peu ridée. La pression du doigt ne laiss
beaucoup plus que le malade lui-même qui sait nous dire que sur la
peau
de son corps se forment des oedèmes circonscrit
s accusés. Les muscles peauciers droits sont tendus et soulèvent la
peau
, comme des cordes, alors qu'à gauche ils ne s'a
et à la douleur paraît conservée sur tout le corps. La piqûre de la
peau
détermine des réflexes communs de protection, mai
s relief (1). Les extrémités sont un peu violacées et froides. La
peau
est normale, sans exagération, généralisée ou loc
ssons la symptomatologie classique de la maladie de Quinke : sur la
peau
survient un oedème circonscrit, d'une grandeur
; cela nous l'expliquerons par l'augmentation de la ^surface de la
peau
tendue par l'oedème. Cependant le degré d'excitab
j'ai étudiés, était toujours 0°, 5-1° Il plus basse que celle de la
peau
voisine. Diagnostic. Nous avons vu les caractèr
nt, tandis que l'urticaire trouve sa place parmi les maladies de la
peau
, l'oedème circonscrit se trouve dans le chapitre
ssiques, dans sa définition de l'urticaire parle des éléments de la
peau
« plus rouges ou plus pâles que la peau saine ».
re parle des éléments de la peau « plus rouges ou plus pâles que la
peau
saine ». Et nous avons vu l'oedème de Quinke po
edème de Quinke pouvoir se présenter plus pâle ou plus rouge que la
peau
saine. Et encore une donnée très importante pour
dans l'oedème de Quinke des taches rouges de vasodilatation sur la
peau
[Wills and Cooper (31), Ya- l'ion (32), Osier (
squ'il tomba malade de tuberculose, on a vu des hémorragies sous la
peau
disparaissant aussi très rapidement. Une associ
alogue. Elles peuvent même très souvent se trouver associées sur la
peau
du même sujet comme des nuances d'un seul phéno
ir disparu nombre de fois en plusieurs accès, dans une région de la
peau
sur laquelle il était revenu très souvent, s'étab
ge (54)], dans les régions supraclaviculaires (Potain) (67), sur la
peau
du tronc [nodosités rhumatismales de Troisier (66
érations d'un des grands appareils qui dirigent les fonctions de la
peau
? Nous avons vu que les trois formes sont indép
aités classiques. Lorsque nous glissons le manche du marteau sur la
peau
d'un sujet neurasthénique, nous pro- duisons un
tout se souvenir qu'il suffit parfois de couper un petit nerf de la
peau
pour produire une éruption classique d'urticaire
phénomènes de compression dans les membres infé- rieurs a vu sur la
peau
de ces derniers des oedèmes circonscrits qui disp
moelle ont certainement sous leur dépendance les altérations de la
peau
. Avant tout dans la syringomyélie, vu la prédilec
us et passagers peuvent se présenter indépendants des oedèmes de la
peau
. Cet llydrops articuloruna intennittens (Schles
tion d'une migraineuse, la- quelle présenta des oedèmes aigus de la
peau
, et plus tard un trophoedème permanent de la fi
nt liquide plus ou moins profond dans les couches anatomiques de la
peau
, lequel liquide se résorbe rapidement. Dans le
natomique dans une dilatation des petites artères capillaires de la
peau
suivie par une transsudation de sérum, et on ad
as suivies d'oedème. Dans le dermographisme on peut observer sur la
peau
des di- vers sujets, ou même du même sujet une
caire, c'est-à-dire de petits oedèmes localisés dans le derme de la
peau
. Ces petits oedèmes que nous avons démontré pou
oedème passager de cer- taines parties du corps sans rougeur de. la
peau
est un phénomène fré- quent» (Lesser) (80). Nou
de Quinke peut s'accompagner aussi de phénomènes vasomoteurs de la
peau
, tout en pouvant avoir une évolution indépen- d
sujet qui présentait depuis quinze jours des oedèmes de Quinke à la
peau
et aux muqueuses, j'ai vu survenir la guérison pa
s, mais plutôt comme analogues aux phéno- mènes contemporains de la
peau
dans un autre sens, à savoir qu'il s'agit pour
lymphatiques ; dans les formes qui suivent la staphylococcie de la
peau
(Sec- chi) (115) qui suivent la tuberculose de
coccie de la peau (Sec- chi) (115) qui suivent la tuberculose de la
peau
ou bien la syphilis (soit sous la forme de lymp
enter des oedèmes passagers (Cassi- rer), tandis que le reste de la
peau
du corps en est parfaitement libre. Nous savons
Edème. 130. Kaposi (Besnier, Doyon). Path. et trait. des mal. de la
peau
, Paris, 1891. 131 RicHAnDiERE. Annales de derma
s les épaules, le cou disparaît complètement, de telle sorte que la
peau
du menton est en continuité directe avec la pea
telle sorte que la peau du menton est en continuité directe avec la
peau
du thorax ; parfois un ou deux sillons transversa
eure, de profondeur variable, marquent la limite du menton et de la
peau
du cou. Celle-ci est, en quelque sorte, projetée
u nez (fig. 1) ; parfois au contraire elles laissent une étendue de
peau
saine correspondant à peu près à l'os frontal. Il
u près à l'os frontal. Il arrive alors, dans ce dernier cas, que la
peau
du front est doublée par une quan- tité de grai
tères. Quelles que soient, du reste, les limites postérieures de la
peau
frontale, la voûte crânienne fait toujours comp
; en réalité, d'ailleurs, cette ligne postérieure est tracée sur la
peau
du dos avec laquelle la nuque ! ] renversée est
urement, à la seule région de l'écaille occipitale. A ce niveau, la
peau
semble être perforée et livrer passage à une fo
PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 355 et se trouve séparée de la
peau
dorsale, sur laquelle elle repose par son bord
dos de l'individu. J'ai pu en observer deux cas. Dans l'un d'eux la
peau
crânienne saine s'étendait assez loin en arrière,
rable au premier, quant à son aspect super- ficiel. L'étendue de la
peau
crânienne est beaucoup plus restreinte, elle reco
fois la tumeur déborde légèrement en un bour- relet au-dessus de la
peau
saine.La plupart des auteurs ont avancé que la li
ancé que la ligne de séparation superficielle de la tumeur et de la
peau
correspondait à une dis- continuité de tissu. C
n est complètement inexacte. Si l'on prend la peine de disséquer la
peau
saine et de la décoller de ses attaches profondes
ressées par la tumeur cérébrale, on constate faci- lement que cette
peau
, loin de s'arrêter brusquement au niveau du sillo
'un chorion très peu épais. Il va sans dire que la continuité de la
peau
existe aussi dans la région dorsale lorsque le ca
« comparable à l'arachnoïde » (1) ; Duplay dit explicitement que la
peau
s'arrête à quelque distance de la fissure céréb
atif : « la tumeur, dit-il, est enveloppée d'une membrane, sorte de
peau
très fine qui se continuerait avec la peau du c
d'une membrane, sorte de peau très fine qui se continuerait avec la
peau
du crâne. » L'existence de la peau sur la tumeu
fine qui se continuerait avec la peau du crâne. » L'existence de la
peau
sur la tumeur est nettement affirmée dans un tr
enveloppe la plus superficielle de la tumeur n'est autre chose que la
peau
, amincie, altérée autant que l'on voudra, perfo
altérée autant que l'on voudra, perforée même par endroits, mais la
peau
cependant. L'indication fournie par la dissection
le est formelle. Parfois même, ainsi que je l'ai vu une fois, cette
peau
gravement atteinte par le processus morbide pré
estiges des cheveux que l'on retrouve généralement abondants sur la
peau
frontale saine. Du reste, l'examen histologique c
la plus nette les indications fournies par la dissection simple. La
peau
, cependant, a subi des modifications fort impor
- tude ces éléments cornés qui représentent tout ce qui reste de la
peau
à la sur- face de la tumeur si l'on n'avait pou
it avoir, la constatation de la continuité de ce revêtement avec la
peau
relativement saine du pourtour de la tumeur. Su
ouve sur toute la périphérie de la tumeur ; elle est séparée de. la
peau
par une membrane conjonctive, assez épaisse, dans
uant des capillaires dont la paroi s'est secondairement épaissie ; la
peau
a été elle-même indirectement touchée dans sa n
nt encore n'ait abouti à la destruction et de la dure-mère et de la
peau
. L'inflammation a également marché vers l'intér
avons la preuve, non seulement par les dispositions que présente la
peau
, mais aussi par l'envahissement tar- dif des ga
assez compacte où prédo- mine le tissu conjonctif embryonnaire. La
peau
qui revêt la tumeur présente également tous les
hidienne est, aussi bien que la tumeur encéphalique, revêtue par la
peau
présentant exactement les caractères que nous avo
chidienne est fermée en haut par une membrane de nature cutanée. La
peau
est évidemment fort amincie ; mais elle a cepen
ccumulation de vais- seaux, formant une assise très épaisse sous la
peau
, quelques-uns isolés, ayant, pour la plupart, c
il se ferme, la partie interne du muscle frontal se contracte et la
peau
de cette région se porte de bas en haut; c'est là
entoure l'avant-bras, et qu'ensuite on palpe les os par des- sus la
peau
, on a certainement l'impression qu'ils sont beauc
rteils sur lesquels perlent même fréquemment des gout- telettes. La
peau
des extrémités est moite et parcheminée. C'est ég
re est si atrophiée, qu'on ne voit plus aucun relief musculaire, la
peau
couvre directement les os cubitus et radius. Les
es très fins, constitués presque partout seule- ment par l'os et la
peau
qui l'entoure. Le muscle deltoïde est de même a
iatement après cette dernière la tête de l'humérus proémine sous la
peau
. La force dynamométrique à chaque main est zéro
de défense, lorsque nous prome- nons la pointe de l'aiguille sur la
peau
de la plante du pied. Les réflexes cutanés, ana
. La face palmaire des mains et la face plantaire des pieds ont une
peau
, blanche-rosée, parcheminée et tout le temps co
e, ne paraît avoir aucunement maigri, ses muscles s sont'fermes, la
peau
ne se laisse pas plisser, l'état général est exce
sence de déformation du thorax, l'épaississement très marqué de la
peau
. Au point de vue pathogénique, c'était une mala
la jambe : 2,6 cent. et leur diamètre transversal 2 centimètres. La
peau
, souvent un peu épaissie, sous-tendue par un abon
ngé parmi les achondroplases le n° 991 du Musée Dupuy- tren dont la
peau
, au lieu de former des plis transversaux, dessine
ouvait pas mar- cher. L'appareil produisait aussi des lésions de la
peau
par compression. On le changea souvent sans rés
eure de ce dernier est assez libre et elle fait une saillie sous la
peau
à quelques centimètres de la face dorsale du pi
ette idée : avant tout, la présence fréquente des cicatrices sur la
peau
de ces membres mal formés. Ces cicatrices, selo
d'Handeclc (72) présentent tous les caractères d'une atrophie de la
peau
résultant d'un pression exercée du dehors en de
r. Dans notre observation nous n'observons pas de cicatrices sur la
peau
de la jambe. Nous ne croyons pas en effet à l'i
nférieur. L'extrémité inférieure du fémur luxée en avant et sous la
peau
, presque au niveau du dos du pied; la jambe con
yndactylie. Seulement l'os de la cuisse faisait une saillie sous la
peau
qui rendait presque impossible la déambulation ca
YPHILITIQUE 597 tissu mou intercalé entre les deux épaisseurs de la
peau
. Il n'offre aucune ré- sistance dans les mouvem
a presque totalement disparu, on touche le métacarpien à travers la
peau
. L'émi- nence hypothénar, très atrophiée, est r
e son tibia droit au-devant duquel il y a une teinte violacée de la
peau
et un développement veineux très accusé. Il est c
st ce- pendant affirmatif sur ce point que la première lésion de la
peau
, celle de la jambe droite, est apparue à la sui
, car chronologiquement l'atrophie a débuté avant les lésions de la
peau
et des 600 LANNOIS os. D'autre part il n'y a
s est connue. Des membranes osseuses, les lésions se propagent à la
peau
: nous savons que, d'une façon très générale, la
BAUD la remplace n'occupe plus qu'un volume restreint. Par suite la
peau
, seule partie de la voûte qui persiste, s'aplat
gnalées. Nous constaterions certainement aussi des déchirures de la
peau
sur une étendue variable, tandis que, en réalit
ndaire des pièces cartilagi- neuses du squelette s'effectue sous la
peau
, sans provoquer la moindre solution de continui
e longueur. Constamment d'ailleurs, et grâce à son élas- ticité, la
peau
résiste à la rupture ; elle est refoulée par le c
ncher. Sur ce plancher repose la tumeur médullaire revê- tue par la
peau
dans toute son étendue. La situation relative d
équence immédiate et néces- saire, une solution de continuité de la
peau
suivant la ligne dorsale : nous trou- verions l
d'épingle, d'autres forment de véritables épines saillantes sous la
peau
; quelques-unes 624 LAUNOIS ET TRÉMOLIÈRES so
ée de part et d'autre par des ex- ostoses épaisses pointant sous la
peau
du dos et que la radiographie montre bien ; sur
ne con- court pas à cette articulation ; elle fait saillie sous la
peau
. Sur la radiographie on voit nettement les exos
supérieure du radius est complètement luxée et fait hernie sous la
peau
en arrière. Au poignet, cubitus et radius sont
tus et radius sont intimement liés : il existe là un véritable cha-
peau
osseux fixé au radius et surplombant les extrémit
sure plus de 4 centimètres et fait une saillie très notable sous la
peau
. Les radiographies montrent nettement l'intégri
ans l'angle externe du pli de l'aîne, l'artère fémorale soulever la
peau
par ses battements. L'extrémité supérieure du f
tre épine très pointue, longue de 2 centimères au moins, tendant la
peau
qui la recouvre, au point de presque l'ulcérer au
t elle présente un pannicule adipeux assez abondant, le teint de la
peau
et des muqueuses visibles est rosé, l'appareil di
la précédente, 11 ans. Sa constitution est robuste ; le teint de la
peau
et des muqueuses visibles ro- sés : il a vaincu
l'omoplate et les bords spinaux se détachent très nettement sous la
peau
; toutefois, la saillie qu'ils déterminent n'est g
d'élévation et d'extension n'est limité que par l'élasticité de la
peau
. Les deux angles inférieurs s'écartent, et la dis
usée, le bord interne de l'omoplate est détaché et proémine sous la
peau
. L'insuffisance de certains muscles (grand dorsal
seuse, car l'examen histologique permet de voir les éléments de la
peau
, aussi bien que le tissu conjonctif sous-cutané
opère ; on voit dis- paraître peu à peu les diverses parties de la
peau
, à l'exception des assises superficielles de la
où XVIII 45 686 RABAUD la destruction sous-cutanée a réduit la
peau
à une mince pellicule ; la disposition de cette
ci-sion rayon née des plis de la muqueuse des grandes lèvres et de la
peau
du périnée, opération déjà décrite à la page 3i5
ement considérable de l'urèthre et des tissus voisins; rigidité de la
peau
du périnée soit par une ancienne cicatrice, soit
r les incisions libératrices consiste à diviser non plus seulement la
peau
et son tissu cel-lulaire, mais le sphincter de l'
l'on pousse vivement en dehors et en arrière de manière à cou-per la
peau
, le tissu cellulaire sous-cutané et les hbres du
ortée sur un manche et munie d'un fil double. Cette aiguille pique la
peau
à 27 mil-limètres en dehors de la surface avivée
ces points de suture superficielle assurent la réunion parfaite de la
peau
le long de la ligne médiane. Pour vérifier l'exac
asse dans ce tracé les limites de la cicatrice sur le vagin et sur la
peau
du périnée. Pour aviver, il se sert d'un bistouri
ouri qui n'enlève des deux côtés qu'une couche très-mince, soit de la
peau
, soit de tissu cicatriciel, soit de muqueuse vagi
s points de suture n'intéressent aussi que la muqueuse vaginale ou la
peau
et les tissus avivés, au lieu de perforer la cloi
métallique ; elle est passée de gauche à droite en pénétrant dans la
peau
à i centimètre i\i en dehors de l'angle in-férieu
ns antéro-postérieur et on a soin d'éviter la muqueuse du vagin et la
peau
en bas. Ce quadrilatère doit avoir 4 centimètres
la suture, que l'on commence par le rectum. On fait pénétrer dans la
peau
, à gauche du bord antérieur de l'anus et à 1 cent
distance à droite de la ligne médiane, pour la faire ressortir sur la
peau
du côté opposé. En tirant un peu sur l'extrémité
he X. action de Técrasenienl linéaire sur les différents tissus. La
peau
présente une résistance très-grande à l'écraseur,
nt enveloppée, l'instrument pourra se rompre plutôt que de cou-per la
peau
. Les os, jusqu'ici du moins, ne peuvent être util
lacé. Si la tumeur à pédiculiser était entièrement enve-loppée par la
peau
, la résistance à l'action de l'instrument se-rait
se-rait trop grande ; M. Chassaignac conseille alors de diviser cette
peau
sur le pourtour du pédicule sans en dépasser l'é-
craseur ; cette conduite est surtout recommandée quand il entre de la
peau
dans la com-position du pédicule. Pour opérer ain
un degré de simplicité déjà moindre, puisqu'il faut diviser un peu de
peau
, la fistule à l'anus. Toutes ces opérations peuve
embrane mu-queuse du vagin, de la même manière qu'on recouvre avec la
peau
la plaie d'un membre amputé par la méthode circul
les battements du cœur étaient à peine sen-sibles, la figure pâle, la
peau
froide; des nausées, des vomis-sements, la tendan
la patiente après l'opération. Le premier acte est l'in-cision de la
peau
de l'abdomen sur la ligne médiane. La longueur de
ir présent à l'esprit les plans qu'on devra successi-vement diviser :
peau
, tissu cellulaire sous-cutané, tissu fibreux de l
en place; on retire alors les épingles, mais on laisse les fds sur la
peau
après les avoir rendus plus adhérents à l'aide de
tienne bien, il faut avoir eu la précaution de laver préalablement la
peau
avec un mélange d'éther et d'alcool pour enlever
sement, refroidissement, soif, diminution de l'urine, exanthèmes à la
peau
, au voile du palais, pustules d'acné sur le visag
e; vomis-sements, pouls filiforme, face violette^ insensibilité de la
peau
, suppression de l'urine ; tels sont les symptômes
'éfimi-nation a lieu en deux septénaires, l'albumine s'élimine par la
peau
et l'iode par les urines. [F. Rose.) Pour se me
s on faisait la ponction en commençant par une petite incision à la
peau
, pour que le trocart pût pénétrer faci-lement et
roi abdominale. D'autre part, un manchon à vis fait avancer contre la
peau
un disque métalh-que basculant, formé de deux pla
r les côtés du trocart, on fait adhérer la rondelle de baudruche à la
peau
à l'aide de collodion élastique. Un robinet, plac
manchon avec son disque incliné à l'angle voulu, est rapproché de la
peau
, de manière à la toucher sans la comprimer. Avec
comprimer. Avec du collodion on fixe la rondelle de baudruche, sur la
peau
, principalement autour de la piqûre. Ceci fait, o
tation fortement réparatrice; des frictions quotidiennes sur toute la
peau
; l'emploi répété des bains dans le but de nettoy
épété des bains dans le but de nettoyer par-faitement et d'adoucir la
peau
, sont d'une grande importance ; on assure ainsi l
nt de la perspiration cuta-née après l'opération. Après le soin de la
peau
, ce qui doit le plus préoccuper, c'est l'état du
ts sur cette sonde, divisent le péritoine dans la même étendue que la
peau
. Puis on introduit un ou deux doigts dans le ve
e liquide du kyste. L'instrument de Thomson, modifié par MM. Nélaton,
Peau
et plusieurs au-tres chirurgiens(voyez la planche
la plaie à l'angle in-férieur, où il prend des points d'appui sur la
peau
de chaque côté, attirant ainsi modérément le pédi
ngers de l'ovariotomie, et ils ne font passer les sutures que sous la
peau
. M. Kœberlé, qui blâme aussi la suture du péritoi
aisseur des tissus à traverser, il la pousse obliquement à travers la
peau
et les muscles, jusqu'à l'angle que fait la plaie
cellulaire sous-péritonéal, les apo-névroses, les muscles et enfin la
peau
. L'aiguille porte deux fils de soie qu'on fixe de
sec-tion, la conduit obliquement de manière à la faire sortir par la
peau
à 2 ou 3 centimètres de la plaie, et serre ensuit
des sutures profondes , on rapproche soigneuse-ment les lèvres de la
peau
à l'aide de la suture entortdlée. La plupart des
upées une pe-tite bandelette de linge assez épaisse pour préserver la
peau
; puis on recouvre toute la plaie de collodion ri
on locale qu'elles provoquent et avec la rnpidité de la réunion de la
peau
. Quand on a employé le clamp, on l'enlève le deux
lames ayant chacune une partie h jrizontale qui est appliquée sur la
peau
, et une autre par-tie coudée à angle droit, en fo
les extrémités libres ont été préalablement écartées et fixées sur la
peau
en BB, à l'aide de plu-sieurs couches de collodio
d'enlever toute la membrane muqueuse sur la limite du vagin là où la
peau
se continue avec elle. Deux sutures profondes son
eut avoir 7 centimètres de longueur ; elle comprend successivement la
peau
, le fascia superficialis, les muscles grand et pe
raux formés de deux lignes courbes , qu'on voit ici. a. Section de la
peau
et du tissu cellulaire sous-cutané, produite, ain
qui sert de base au triangle, par l'incision courbe, h. Section de la
peau
produite par l'incision verticale, c, Bulbe de l'
incision au-dessus et au-des-sous de la fistule, et on décollerait la
peau
autour de la fistule ; on voit la position du bis
roduite dans la cavité préputiale. b, Pointe à vis qui immobi-lise la
peau
et la muqueuse, à l'extrémité de cette pince, c,
sous de la première. Figure xii. Serre-fine employée pour réunir la
peau
à la muqueuse, après la section du prépuce. Fig
t la gout-tière uréthrale. surmontée en arrière d'un petit lambeau de
peau
. En ce point, un petit gorgeret a, est introduit
ement de la chute du rectum par quatre piqûres faites à l'union de la
peau
et de la muqueuse, avec un cautère actuel très-po
tre serré. Figure xii. Premier temps de l'opération. Ponction de la
peau
. Une dissection sous-cutanée sépare la peau des f
opération. Ponction de la peau. Une dissection sous-cutanée sépare la
peau
des fascia. Figure xiii. Coupe fictive pour fai
n, c'est-à-dire le passage de l'indicateur par l'ouverture faite â la
peau
, et l'invagination des fascia et du sac. Figure
invagination des fascia et du sac. Figure xiy. Troisiètne temps. La
peau
a été divisée. L'aponévrose du grand oblique est
eux mains d'un aide, dd; elle est légèrement renversée en arrière. La
peau
et les muscles sont écartés par des cro-chets mou
s entraînent sur les côtés et compriment tous les vaisseaux contre la
peau
, comme le conseillait Malgaigne. Figure ii. Pin
le voit en a, et on la pousse jusqu'à ce que la plaque c rencontre la
peau
. Un mouvement de rotation porte en haut la coudur
ber. Elle permet de parler, d'éviter le contact des mucosités avec la
peau
, et de rendre indépendants l'un de l'autre le cou
es transpirations abondantes. Toutes les em- preintes faites sur la
peau
avec le manche du marteau à percussion ou un cr
loppé partout, richement même au niveau du thorax et du pubis. La
peau
est le siège de petites tumeurs molluscoïdes et d
is. Beaucoup ne sont guère plus volumineuses qu'un grain de blé. La
peau
il leur niveau a conservé sa coloration et ses ca
ous-cutané : on les fait rouler avec le doigt immédiatement sous la
peau
. En même temps que ces tumeurs, sont apparues s
cale à la région lombaire, Les os des membres restent normaux. La
peau
ne présente pas plus de taches pigmentaires qu'au
re un filet secondaire avec ses renflements multiples et inégaux.
Peau
. - Sur la peau proprement dite on ne peut macrosc
econdaire avec ses renflements multiples et inégaux. Peau. - Sur la
peau
proprement dite on ne peut macroscopiquement fair
nterfasciculaire avec ramuscules nerveux 5. Coupe F Coupe de la
peau
de la région sous-clavi- culaire au niveau d'nn
sé de la méninge molle avec sclérose des vaisseaux pie-mé- riens.
Peau
. * Des fragments de peau appartenant aux régions
ec sclérose des vaisseaux pie-mé- riens. Peau. * Des fragments de
peau
appartenant aux régions thoracique anté- rieure
par l'hématoxyline-éo- sine. - On doit distinguer au niveau de la
peau
des tumeurs fibreuses infra-dermi- ques et hypo
ontinuent directement sans démarcation tranchée avec le derme de la
peau
avoisinante. Elles semblent n'être qu'une hyper
ixation, même inclusion, mêmes colorations que pour les nerfs et la
peau
. Aucun muscle ne semblait présenter macroscopiq
illard, Contribution à l'étude des malformations congénitales de la
peau
et de l'hypo'derine. Revue de chirurgie, janvier
cutanées ne semblent pas avoir pour point de départ les nerfs de la
peau
. Nous avons, dans notre description, nettement di
t différencié les deux sortes de tumeurs que l'on rencontre dans la
peau
. Les unes appartenant ' l'hypoderme sont des no
inuent avec le tissu cellulo-adipeux environnant. A leur niveau, la
peau
est fine et normale et a conservé toute sa mobi
s multiples à la face profonde du derme, varices lymphatiques de la
peau
(Sibley), aspect éléphanliasique localisé à l'ais
cou divisé en deux par un sillon médian antérieur et postérieur. La
peau
au niveau de la tumeur est peu mobile et adhé-
rs de même nature se trouvent plus haut derrière chaque oreille. La
peau
qui recouvre celle du côté gauche est rouge et
- tement aux lignes courbes occipitales supérieures. A ce niveau la
peau
est mobile et nullement adhérente. A l'épaule d
ipome ordinaire ( ? ) ; il est circonscrit, mo- bile, adhérent à la
peau
. Deux autres masses graisseuses sont situées au
de consistance ferme, nettement circonscrites et adhé- rentes à la
peau
. 30 P. E.'LAUUioIS ET Il. BEXSAUUE Ons. 1 (PI
te jeune fille, on pourrait vraiment dire qu'il ne lui reste que la
peau
et les os, le thorax surtout et le bassin pré-
uivi, s'alarme de ce que ce traitement a été interrompu, examine sa
peau
et ses muqueuses, semble en un mot un vrai syphil
uantité considérable de liquide se mit à suinter par les pores delà
peau
recouvrant la tumeur. Ce 72 P. PIOLLET suinte
t assise dans son lit, la tumeur s'étale tout autour du siège. La
peau
qui la recouvre est fortement pigmentée en brun,
gion lombaire et s'ar- rêtant à une ligne nette, irrégulière. Cette
peau
est oedématiée, distendue, présentant un aspect
e sont pas nettes ; elle parait, au contraire, se continuer sous la
peau
au pourtour du pédicule. Aucune autre tumeur su
seur du pédicule et laissant persister seu- lement une manchette de
peau
à la périphérie. Celle manchette est disse quée
ord que la tumeur est diffuse, au moins dans ses rap- ports avec la
peau
et avec les tissus superficiels, et qu'elle ne pe
longueur, verticale et médiane, au niveau de la région lombaire. La
peau
présente de nombreux plis horizontaux, et il re
largeur de 20 centimètres; l'épaisseur est de 2 doigts environ; la
peau
semble infiltrée par la tumeur, qui est mobile su
ortion portant sur un cordon moniliforme presque isolable. c) De la
peau
et de la tumeur sous-jacente. Des coupes de a)
c'est la seule paroi propre qu'on leur distingue. Les coupes de la
peau
offrent le même tissu et permettent de se rendre
ndre compte aussi que les dépressions puncliformes observées sur la
peau
de la surface de la tumeur répondent à des bulb
t également se présenter sous une apparence analogue, infiltrant la
peau
et les tissus voisins, quoique ordinairement se
ière année, la vascularisation très abondante, l'infiltration de la
peau
et des parties voisines par le néoplasme, la prés
qui portent sur toutes les glandes de l'économie, sur celles de la
peau
- d'où la sueur froide des traumatismes, - comme
qui disparut par la suite fut une hyperesthé- sie généralisée de la
peau
surtout accentuée aux jambes et au tronc. La ma
on sacrée plane, en- foncée. Apophyses épineuses saillantes sous la
peau
et volumineuses. Motilité de la colonne intégra
maigrissement devient de l'atrophie dans les membres inférieurs. La
peau
est blanche, sèche, écailleuse,sans oedème, sans
sus-jacents et l'artère fémorale bat très superficiellement sous la
peau
. L'article est d'une mobilité extrême, la tête
apophyses épineuses sont épaissies, en volumineuses saillies sous la
peau
. Au- dessous, la région sacrée est plane et par
l'apparition de troubles moteurs, apparition de syphi- lides de la
peau
et des muqueuses, syphilidcs qui font découvrir l
e domaine des différents nerfs rachidiens, avec hyperesthésie de la
peau
, ou parfois des douleurs en ceinture, signes de l
dolen- tes, panaris indolents. Depuis cette époque résorption de la
peau
, du tissu fibreux, dp portions de phalanges : n
pied droit. Le malade présen- tait une véritable hyperplasie de la
peau
ayant tous les caractères d'une infiltra- tion
peau ayant tous les caractères d'une infiltra- tion gommeuse de la
peau
et du tissu sous-jacent ainsi qu'une, périostite
bras,le bras et le thorax des tumeurs plus ou moins volumineuses.La
peau
a conservé partout son aspect normal, elle n'es
tenu des lymphangiomes est relativement rare. L'aspect normal de la
peau
, l'absence de naevi, de taches pigmentaires nou
es est déterminée par la distribution des glandes sécrétantes de la
peau
. En général, la fréquence des lipomes dans une ré
a graisse de l'organisme se faisant en partie par les glandes de la
peau
, tout trouble survenu dans leur fonctionnement
ignalée, souvent les auteurs ont été frappés de la sécheresse de la
peau
(Sick,Cursch- mann). Unna lui-même avoue que da
eaux nerveux. Hennigsen a noté, dans le fait qu'il a publié, que la
peau
était peu velue et remarquablement sèche. Rosenst
ement, après une injection de pilocarpine, au niveau des parties de
peau
qui recouvraient les tuméfac- tions. Mais une a
ais une altération secondaire n'est-elle pas très probable dans une
peau
distendue et mal Irourrie' ? L'ADÉNO-LIPOMATOSE
nce de tuméfactions lipomateuses avec un état éléphantiasique de la
peau
, avec des varices lymphatiques, une hy- pertrop
landes dilatées n'apparaissent pas d'abord après l'in- cision de la
peau
. Il faut les chercher au milieu d'une atmosphère
oplate gauche, aux aisselles, aux aines. Etat éléphantiasique de la
peau
au niveau de l'aisselle droite. Les tumeurs emp
savait pas tout d'abord ce qu'elle voulait dire, mais, si son cha-
peau
lui tombait sous la main, il reconnaissait l'obje
-orbitaire. Il y avait une incrustation de grains de poudre dans la
peau
. Il y eut, dès le début de l'accident, un énorme
lètement anesthésique ; le médecin lui enfonça des épingles dans la
peau
sans provoquer aucune douleur. Huit jours après
pal- pation fait découvrir des grains de plomb qui roulent sous la
peau
. On trouve aussi d'autres grains erratiques dan
a une forme assez régulière : il ne paraît que vaguement lobulé. La
peau
n'a pas subi d'al- tération. Sous elle on voit
d'une seule tumeur et non pas de tumeurs enkystées juxtaposées. La
peau
glisse assez bien à la surface; on perçoit une ce
un peu au-dessous de l'oreille, une tumeur mobile, roulant sous la
peau
, et ayant le Volume d'une amande. Deux ou trois j
né une légère excoriation sur le côté gauche de la tumeur ; mais la
peau
est partout molle, souple, sans adhérence. Il exi
volume ; l'effort mus- culaire ne l'augmente pas. A sa surface, la
peau
ne prend pas l'aspect gau- fré par le pincement
es deiix foetus. Le malade n'avait et n'a jamais eu de maladies de la
peau
et des muqueuses (du moins à sa connaissance) n
e3Õkiios actuellement alors que son poids était de 71 kilos. , La
peau
est sèche à la surface de tout le corps mais part
rès à la hauteur de l'ombilic, on remarque deux plis profonds de la
peau
à ce niveau, indiquant un rapproche- ment consi
mal. Musculature flasque, couche cellulo-graisseuse très réduite.
Peau
sèche par- tout, exfoliée par places. Rien à co
s une chute pro- fonde, donne lieu à une tension considérable de la
peau
du côté gauche, et cette tension devient presqu
res costales gauches sont agrandies, les côtes font saillie sous la
peau
, il existe LES OSTÉO-ARTIIROPAT91ES VERTÉBRALES
LES DANS LE TABES 275 présenté de manifestations spécifiques sur la
peau
ou les muqueuses : elle n'a jamais constaté de
oût sont normaux. Il n'y a pas de troubles trophiques apparents. La
peau
est sèche, mais très LES OSTÉO-ARTHROPATIIIES V
es sont au-dessous de ce niveau, volumi- neuses, en saillie sous la
peau
; elles sont espacées et laissent entre elles des
antes, térébran- tes, constrictives, hyperalgésie généralisée de la
peau
et des muqueuses se succédèrent sans interrupti
des vertèbres prises une à une. La crête épineuse saillante sous la
peau
, n'est pas épaissie. La pression exercée le lon
nation motrice. La cuisse droite est aplatie d'avant en arrière. La
peau
est flasque, moins garnie de poils sur la face
atrophié. Le genou droit est atteint d'une énorme arthropathie. La
peau
, à ce niveau, est parsemée de petites taches bl
s petits mouvements de flexion et d'extension pen- dant lesquels la
peau
est soulevée par les contractions musculaires. Ce
particulièrement intéressante par l'anesthésie géné- ralisée de la
peau
et des muqueuses. (1) PIERRET, Note sur un cas
ement atrophiés, mais les chairs du côté malade sont fraîches et la
peau
présente une teinte basanée. Quand elle est au
gr. 3 en 24 heures. Une injection de 10 grammes de glycose sous la
peau
fit monter la quantité de l'urine à 5 litres et
ications d'aspect et de structure des organes voisins. Le crâne, la
peau
, le bassin, sont rarement intéressés à cette péri
ose, lordose ou scoliose, la ligne apo- physaire, saillante sous la
peau
, du fait de la maigreur habituelle des ma- lade
semble. La crête apo- physaire fait de plus en plus saillie sous la
peau
: les apophyses épineu- ses unies entre elles f
les deux paupières, il n'y a qu'une fente de deux millimètres ; la
peau
de la paupière est un peu creusée par des ridps
t la contraction consensuelle de la pupille droite. En. excitant la
peau
dans la nuque avec le courant faradique, on voi
s vio- lents... La suppuration était tarie derrière l'oreille et la
peau
de cette région était dure et sèche. Le second
ièrement fermé, tandis que le droit est normal, aucune lésion de la
peau
ou des muqueuses ; aucune cicatrice.... Il n'y
sque sans troubles, La musculature est flasque La sensibilité de la
peau
(à la douleur surtout, la sensibilité électro-c
con- naissance, poussant de temps en temps des sons inarticulés, la
peau
et les mu- queuses visibles très pâles. Tempéra
sion, une déchirure oblique superficielle et n'inté- ressant que la
peau
. Au corps du pariétal, plusieurs contusions et
a peau. Au corps du pariétal, plusieurs contusions et lésions de la
peau
tumé- faction, relèvement des fragments, destru
ée ou une muqueuse déjà altérée. Citons quelques exemples : pour la
peau
, nous connaissons quelques observations de myél
ar exemple, dans la rage, dans les ulcérations gangré- neuses de la
peau
qui ont mis en contact les nerfs et leurs ramific
nai- rement pas indiqué ; dans la première observation de Heuck, la
peau
était lisse et portait une cicatrice linéaire,
ération faite antérieurement ; dans notre observation (Cabannes) la
peau
était lisse, mais des poils follets et surtout
retard du début sur la droite ; la dureté et l'épaississement de la
peau
ont fait de lents progrès aux jambes. En hiver
me, 49 centimètres à 10 centimètres au-dessus de la rotule. Mais la
peau
n'y a pas la même consistance. - Sur la jambe,
la cuisse, on trouve la même dureté, mais à un degré moindre et la
peau
ne retrouve sa souplesse que vers la racine du
n peu ternes, striés dans le sens de la longueur, non écailleux. La
peau
est presque totalement glabre, mais la malade l'a
aspect. - Les grandes lèvres ne sont pas liypertro- phiées. , La
peau
du ventre est souple, molle, la paroi est celle d
temps debout. Malgré quelques faisceaux de varices superficielles, la
peau
a un aspect blanc et luisant. Pas d'affection
ez la mère et la soeur, un peu élastique, sans épaississement de la
peau
, gardant passagèrement l'empreinte du doigt. Il o
le dos du pied est considérablement tu- méfié, surtout à droite. La
peau
a conservé sa teinte rosée, l'oedème se laisse
ère des muscles des deux mollets ; pas de troubles trophiques de la
peau
. Sensibilité. - Strabisme interne de l'oeil gau
s précédents. A cet examen d'avril, nous constatons au niveau de la
peau
des symptômes et des lésions qui jusqu'alors ne
avaient pas frappé ou étaient moins pro- noncés. Altération de la
peau
. - Sur le front, au niveau delà bosse frontale dr
etite lentille, mobile, roulant sous le doigt, soulevant à peine la
peau
; au niveau de la bosse frontale gauche, deux p
épingle. A gauche de l'appendice xyphoïde, une petite élevure de la
peau
, aplatie, à peine saillante, visible surtout à
au du pli du coude droit, une masse sous-cutanée faisant saillir la
peau
, du volume d'une petite noix, dure,ronde, mobile
ir la peau, du volume d'une petite noix, dure,ronde, mobile sous la
peau
, non dou- loureuse. Au tiers antérieur de la
e de notre premier examen, lorsque les lésions peu apparentes de la
peau
, n'avaient pas encore frappé notre atten- tion.
existât des tumeurs le long des nerfs rachidiens. Ces lésions de la
peau
suffisent au diagnostic de la maladie de Recklin-
première année que les parents du jeune malade remarquèrent sous la
peau
du front les petites fibromes qui depuis cette
axe cérébro-spinal et des nerfs. — Ces altérations peuvenl occuper la
peau
, le tissu cellulaire, les muscles, les articulati
porte non seulement sur les muscles, mais encore sur les os et sur la
peau
, ainsi que l'avait déjà reconnu J. Reid. Elle ne
la cinquième paire (1). 1. Note sur quelques cas d'affection de la
peau
, dépendant d'une influence du système nerveux, pa
oration est modifiée. Malheureusement, l'état de la sensibilité de la
peau
de la face n'est pas indiqué dans ce cas. (F.-A.
ptement à la formation d'ulcérations ou d'eschares apparaisent sur la
peau
, alors même qu'on met en œuvre les soins dé propr
il s'agit peuvent donner lieu à des phénomènes morbides affectant la
peau
, le tissu cellulaire sous-cutané, les muscles, le
ont été rassemblés avec le plus grand soin (2). a) Affections de la
peau
,. Les accidents que les lésions trau-matiques des
zéma-teuses, les chirurgiens américains ont décrit une affection delà
peau
qui peut être rapprochée de la forme précédente.
tout à fait semblables à celle de l'herpès zoster et siégeant sur la
peau
des par-ties douloureuses. » 'Charcot. — Surquelq
ar-ties douloureuses. » 'Charcot. — Surquelques cas d'affection de la
peau
, dépen-dant d'une influence du système nerveux. I
cutanée qui rappelle Vérythème pernio, et certaine tuméfaction de la
peau
etdutissu cellulaire sous-cutané, déjà remarquéep
par les chirurgiens américains sous le nom de Glossy Skin, mot à mot,
peau
lisse. La peau est lisse, en effet, pâle, anémiqu
iens américains sous le nom de Glossy Skin, mot à mot, peau lisse. La
peau
est lisse, en effet, pâle, anémique; les glandes
quable. Il s'agit là, en somme, d'une inflammation particulière de la
peau
qui aboutit à l'atro-phie du derme et qui rappell
quel comprimait le nerf médian. En conséquence il s'étaitformé sur la
peau
du pouce et des deux premiers doigts de la main,
cas, une éruption de zona occuper, à droite, toutes les régions de la
peau
où se distribuent les branches du plexus cervical
nsprung, l'apparition d'une érup-tion de zona, sui' les parties de la
peau
correspondant à la, distribution des nerfs irrité
-crites : a) le pemphigus, pemphigus leprosus ; b) l'état lisse de la
peau
(Glossy S/un) ; c) l'atrophie des muscles ; d) la
e se trouve dans la nécessité de n'explorer le muscle qu'à travers la
peau
, tandis que le phy-siologiste, ainsi que nous l'a
er encore des contractions alors que l'exploration faite à travers la
peau
se montrerait peut-être impuissante à en produire
Dans ce cas,si l'on en juge par analogie, l'exploration à travers la
peau
n'eût vraisemblablement donné aucun résultat. Que
un mois environ auparavant, l'électricité appliquée au travers de la
peau
rasée et humectée d'eau, sur les muscles fa-ciaux
même genre. 11 devient démontré par là que l'exploration à travers la
peau
ne peut fournir que des don-nées relatives, qu'el
marquée de la contractilité, accusée par une exploration à travers la
peau
, correspond à une diminution, ou tout au moins à
eurs s'adjointfréquemmentrapparition de ces troubles trophiques de la
peau
(éruptions pemphigoïdes, peau lisse,herpès)., que
rition de ces troubles trophiques de la peau (éruptions pemphigoïdes,
peau
lisse,herpès)., que nous avons appris à connaître
trer associée à d'autres troubles nutritifs du même genre occupant la
peau
ou ses annexes. » (Mitchell, Morehouse and Keen.
Des faits assez nombreux montrent, au contraire, qu'en pareil cas, la
peau
est,leplus souvent, pâle, anémiée, en même temps
gés tour à tour. L'ôlecliïsation était prati-quée tantôt à travers la
peau
, comme on le fait en médecine, tantôt directement
à accomplir. D'une façon générale, Messieurs, on peut dire que la,
peau
, les muscles, les articulations, les os, les visc
gressa rapidement. Dans le temps même où l'atrophie se prononçait, la
peau
des membres du côté gauche présenta sur tous les
et de la moelle épinière. — Mode d'évolution de cette affection de la
peau
: Erythème, bulles, mortification du derme. — Acc
résultat de mes observations à ce sujet. Il n'est pas rare devoir la
peau
des jambes et des cuisses se couvrir temporaireme
des points où siègent les douleurs les plus vives. Chez une autre, la
peau
de la région fessiôre droite s'est couverte d'une
us du côté droit. Pendant ce temps, les parties correspondantes de la
peau
se couvrirent de très nombreuses pustules, analog
interne gauche, et une éruption pustuleuse se développa bientôtsur la
peau
des régions où se distribue ce nerf. Un caractè
entrifuges et qui ont, sur l'exercice des fonctions nutri-tives de la
peau
, une influence plus ou moins directe. L'irrita-ti
re quantité de liquide sans être pris de nausées et de vo-missements.
Peau
chaude, pouls très fréquent. On crut qu'il s'agis
temp. recl. 40°, 5. —Sur la poitrine, les avant-bras, les cuisses, la
peau
présenle un grand nombre de petites ecchymoses as
en soit, à défaut du zona, il est d'autres troubles trophiques de la
peau
, dont l'existence peut être rattachée quelquefois
re attention d'une façon toute spéciale sur une autre affection de la
peau
, à laquelle revient un rôle très important dans l
tion en vous faisant remarquer, toutefois, que la mortification de la
peau
n'est pas tout dans le decubitusacutus. Elle répo
certion de ces affections, il se mani-feste sur certains points de la
peau
une ou plusieurs plaques t. Charcot. — Noie sur
s, d'étendue variable et à contours plus ou moins irréguliers (1). La
peau
ofîrelà tantôtune teinte rosée tantôt une colorat
er également si le mode de production de cette lésion trophique de la
peau
rentre dans la théorie générale à laquelle nous a
tions des muscles de la face en pinçant fortement divers points de la
peau
. Selles et urines involontaires. Peau chaude, cou
t fortement divers points de la peau. Selles et urines involontaires.
Peau
chaude, couverte de sœur; température axillairc,
chemin fai-sant, que, d'après mes observations, cette affection de la
peau
ne se montre que fort exceptionnellement dans les
maladie, de manière à éviter, autant que possible, l'irritation delà
peau
du siège, et malgré tout, l'eschare s'est produit
pièces et ayant éprouvé un grand déplacement. Le jour delà chute, la
peau
était froide, le pouls à peine perceptible. Toute
mbre, exagérée dansla plupart de ses modes ; le moindre contact de la
peau
, surtout au voisinage du pied, provoque de la dou
es cornes antérieures, tandis que les autres, celles qui affectent la
peau
, relèveraient de lésions irritatives occupant, so
ions articulaires, suivant la nature des 1. Rayer. — Maladies de la
peau
, t. I, p. 333. 2. Un jeune garde mobile reçut u
r; elle y était devenue complète le 9 février. Le 23 du même mois, la
peau
de la région sacrée présentait une plaque érythém
e se fait pas sentir seulement sur les parties périphériques : sur la
peau
, les os, les muscles. Les viscères, eux aussi, pe
; elle peut être poussée assez loin pour qu'une piqûre pratiquée à la
peau
ne donne pas même une goutte de sang (1). Les par
te une excitation en plaçant une gout-telette d'acide azotique sur la
peau
d'une des lames membra-neuses interdigitales, il
n de la raideur cadavéri-que (1) ». La faradisationje pincement de la
peau
de la jambe, plus rarement le massage du membre i
us n'avons constaté d'éva-cuation supplémentaire par l'intestin ou la
peau
. La malade est d'habitude constipée, et cette foi
émie très marquée, et caractérisée surtout par la décolora-tion de la
peau
et des muqueuses; névralgie intercostale; sensibi
té gauche, douleur à. la pression ; anesthésie en divers points de la
peau
: anesthésie plantaire complète; analgésie profond
toujours de l'hé-mianesthésie hystérique, en ce que dans celle-là, la
peau
de la face ne participe pas à l'insensibilité, ou
te juste à la ligne médiane. La moitié correspon-dante de la face, la
peau
aussi bien que les membranes mu-queuses (1), se m
tonitis des médecins anglais. Il est évident qu'ici les muscles et la
peau
elle-même sont de la partie. La douleur occupe al
et, en pareille circonstance, on note les phénomènes suivants: a) la
peau
est partout anesthésiée ; — frjles muscles, s'ils
e n'ai pas à indiquer pour le moment, s'étend jusqu'aux muscles, à la
peau
elle-même, de manière à satisfaire à la descripti
c, etc. Cette altération de la sensibilité intéresse non seulement la
peau
, mais encore les muscles et peut-être les os ; el
e complète, absolue. Vous voyez, en effet, comment un pli épais de la
peau
de l'avant-bras, de la nuque, de la jambe, les pl
axe cérébro-spinal et des nerfs. — Ces altérations peuvent occuper la
peau
, le tissu cellulaire, les muscles, les articulati
de la moelle épinière. — Mode d'évolution de celte affection de la
peau
: Erythème, bulles, mortification du derme. — Acc
s la pa-ralysie agitante, 168 ; — dans la sclérose en plaques, 235.
Peau
'Troubles trophiques de la), 22 ; — lisse, 25, 32
dème, mou et élastique, où la pression du doigt ne persiste pas. La
peau
qui la couvre, légèrement chiffonnée, présente
et la fréquence du pouls. Mais ce n'est pas tout. La fétidité de la
peau
est presque disparue, les joues ne sont pas si
fut jamais malade pendant son enfance, mais le teint bleuâtre de la
peau
et des membranes pituitaires se montra toujours d
même atrophiée en comparaison d'une grande partie du squelette. La
peau
, et surtout celle des extrémités, montre une tr
tôt lisse et tendre. Ici il est même difficile de faire un pli à la
peau
. La peau des paumes a un aspect très singulier
et tendre. Ici il est même difficile de faire un pli à la peau. La
peau
des paumes a un aspect très singulier : avec sa
e, sa surface gluante, et ses sillons profonds, elle ressemble à la
peau
des mains des blanchisseuses. La tête, la bouche,
giennes épaissies attireront votre attention au plus haut degré. La
peau
est couverte de sueur, et en vous approchant'da
approchant'davantage, vous verrez un réseau de veines à travers la
peau
. Je vous'ai déjà montré l'aspect singulier de la
à travers la peau. Je vous'ai déjà montré l'aspect singulier de la
peau
des paumes de la main. Mesures des membres su
tôme, : qui n'existait pas tout à l'heure. Partout où on a touché, la
peau
, vous remarquez des taches rondes, disparaissan
'une action contraire des nerfs vaso-moteurs. Et si je passe sur la
peau
avec un objet aigu dans une direction longitudina
e, rouge bientôt remplacée par une élévation blanche linéaire de la
peau
, entourée d'une zone rouge hyperhémique. De cette
rhémique. De cette façon je pourrais écrire le nom du garçon sur sa
peau
. Cet oedème linéaire angio-neurotique dans lequ
Cet oedème linéaire angio-neurotique dans lequel les muscles de la
peau
jouent probablement aussi un rôle est en premie
ent parfaitement au tableau clinique de cette maladie remarquable. Le
peau
des jambes mince, lisse, luisante, pas facile à
basale des enfants et les stries colorées après l'irritation de la
peau
, la « dermographie», qu'on a rencontrée en étud
e sont tantôt les parties osseuses, tantôt les par- ties molles (la
peau
p. ex.) dans lesquelles les altérations se montre
e extrémité, combiné avec atrophie musculaire, épaississement de la
peau
ou résidus de panaris chez des malades atteints d
a introduit la substance glandulaire soit par la bouche, soit sous la
peau
dans le corps animal ont donné peu de résultats
est très basse : 22° (sept. 1904). Les mains sont recouvertes d'une
peau
ridée, beaucoup trop grande pour leur contenu,
abord le dermographisme est très net : le plus léger grattage de la
peau
avec l'ongle ou un crayon produit une ligne blanc
e, l'atrophie numérique d'un membre consécutive à une brûlure de la
peau
ou à une arthrite ancienne, datant de l'enfance.
même temps la possibilité d'une régénération de ces parties ! La
peau
qui revêt les extrémités est libre de toutes trac
est piriforme, son tendon fait une saillie qui soulève notablement la
peau
et semble fixer la 2° phalange au métatarsien.
peu d'attention, ils ne mesurent qu' à peine 1 cent. 1/2 de long. La
peau
qui les recouvre est absolument normale. Mais,
state une anesthésie tactile (3) presque sur toute la surface de la
peau
, sauf sur la peau de la tête, du cou, sur les (
ie tactile (3) presque sur toute la surface de la peau, sauf sur la
peau
de la tête, du cou, sur les (1) Voir Nouvelle I
une bandelette de.pa- pier promenée légèrement sur la surface de la
peau
. 152 NOICA paumes des mains et les plantes
lantes des pieds où la sensibilité est normale. Sur la poitrine, la
peau
comprise entre une ligne horizontale qui passe au
u-dessus des mamelons et une ligne qui correspond aux clavicules la
peau
est seulement hypoesthésiée (Fig. 1 et 2). Su
seulement hypoesthésiée (Fig. 1 et 2). Sur toute la surface de la
peau
où le tact est disparu complètement ; il existe
cette règle : la bande d'hypoesthésie au-dessus des mame- lons, la
peau
qui couvre le dos des doigts, le dos des orteils,
des orteils, le dos des pieds, la verge et le scrotum qui, avec la
peau
des paumes des mains, des plantes des FiG. 1 et
lètement paralysé des doigts). Les cercles de Weber examinés sur la
peau
de la paume de la main et de la face palmaire d
ligne horizontale mamelonnaire est devenue aussi anesthé- sique. La
peau
qui couvre les clavicules sent normalement (Fig.
re les clavicules sent normalement (Fig. S). Toute la surface de la
peau
qui était seulement livpoa Igésiqtie,c'est-à -dir
avers de doigt au-dessous de la ligne inguinale. On remarque que la
peau
de la paume des mains, y compris celle des face
me des mains, y compris celle des faces palmaires des doigts, et la
peau
de la plante des pieds y compris celle FiG. S e
orteils ont la sensibilité tactile normale. Sur le dos des mains la
peau
est hypoesthésique, mais celle qui recouvre les f
e sont pas altérées. Les champs de Weber sont agrandis sur toute la
peau
de la paume des mains et des faces plantaires d
Partout l'hypoesthésie tactile a été remplacée par l'anesthésie. La
peau
du tronc et de l'abdomen présente cette fois-ci u
mencement d'hypoesthésie et surtout des troubles de localisation. La
peau
de la tête, du cou, celle des faces plantaires,
ie est devenue plus intense. Il est remarquer aussi que tandis que la
peau
des fesses est anesthésique, la peau sur la lig
arquer aussi que tandis que la peau des fesses est anesthésique, la
peau
sur la ligne inter-fessière. est seulement hypo
thermie et du retard dans la percep- tion. On remarque aussi que la
peau
de la paume des mains, de la plante des pieds e
de la plante des pieds et de la verge est un peu hypothermique (la
peau
du scrotum est nor- male). La peau de l'abdom
e est un peu hypothermique (la peau du scrotum est nor- male). La
peau
de l'abdomen est normale et limitée en bas par un
raphie. 158 NOICA cuisses. De même sur le dos des mains et sur la
peau
des avant-bras plus accentués que sur les bras.
eur, tandis que sur les faces palmaires et plante des pieds, sur la
peau
de l'abdomen, sur le cou et la tête les pressio
de l'ichthyose des membres supérieurs et du dos (état rugueux de la
peau
qui est sèche et semble recouverte d'une couche d
généralisée plus accentuée que chez les autres membres de la famille (
peau
fen- dillée, craquelée, engelures rebelles des
GÉNÉRALISÉE 163 dante comme une mamelle (Feindel), assez lourde. La
peau
qui la recouvre est normale de coloration, de c
appliqué contre le tronc. Même consis- tance que la précédente. La
peau
, chagrinée sur la tumeur, présente de petites t
périeure du pli interfessier, du volume d'une noix, hémisphérique ;
peau
normale recouverte de poils. On observe d'autre
rs sessiles, molles, indolentes, superficielles, non adhéren- tes ;
peau
normale, sauf exception signalée. Les photograp
e aucune. Examen du fond de l'oeil négatif. 3° Pigmentation de la
peau
. Semis pigmentaire du dos et de l'abdomen, poin
te, le cou, le dos ou les parois costales (3). « Ils siègent sur la
peau
, dans le tissu conjonctif sous-cutané ou sous-muq
le Pr CADIOT, de l'Ecole vétérinaire d'Alfort) (5). Fibromes de la
peau
(chien). Chienne épagneule âgée de 7 ans, affecté
tes, fermes et légèrement rénitentes, quelques-unes mobiles sous la
peau
, la plupart développées dans l'épaisseur de celle
happe à toute description. La trame des tumeurs développées dans la
peau
se continue sans aucune démarcation nette avec
he profonde du derme. Bien que (1) Cadéac, Path, chirurgicale de la
peau
et des vaisseaux, p. 141. (2) IGid., p. 249.
oir aucun rapport avec les nombreu- ses tumeurs développées dans la
peau
.) La littérature étrangère que M. le professeur
uvent une réaction à un prurit intense en général sans lésion de la
peau
ou au moins sans lésion grossière ; cepen- dant
it on a signalé comme point de départ des sensations bizarres de la
peau
, de douleur vague, d'énervement, une illusion de
izarres de la peau, de douleur vague, d'énervement, une illusion de
peau
trop courte, etc (1).En général les sujets atte
éruption de furoncles. Mais sur toutes les autres parties du corps la
peau
était intacte, ses cheveux et sa moustache étai
ligne mé- diane de la moustache (fig. C). On ne trouva rien sur la
peau
et on n'obtint rien sur des sensations pénibles
que les deux malades qui n'ont pas eu d'anthrax ou de lésions de la
peau
ont eu un prurit quelconque puis- qu'ils se lab
de la peau ont eu un prurit quelconque puis- qu'ils se labourent la
peau
en se grattant. Chez nos sujets la trichotilloma-
le reconnaîtra à la distri- bution spéciale dans les muscles et la
peau
, distribution qui ne répond pas à celle du plex
des sont comme raidis, leurs muscles durs et tendus forment sous la
peau
des cor- des dont la saillie s'exagère dès qu'o
est intégralement respectée dans tous ses modes, aussi bien sur la
peau
que dans la profondeur. Le sens articulaire est
s avancé de la cachexie. Le squelette thoracique se dessine sous la
peau
; les vertèbres sont saillantes, les omoplates dé
jamais troublé. Les troubles trophiques cutanés sont l'exception, la
peau
est écailleuse, sèche, parfois ichtyosique ; su
cht (1) s'accompagne d'un état général grave, d'un gonflement de la
peau
et des muqueuses, elle ne donne jamais lieu à d
t très émacié, les tendons des muscles rétractés saillent t sous la
peau
. Lorsqu'on essaie par des tractions vigoureuses d
août 1904. Etat actuel. Nous constatons alors l'état suivant : La
peau
ne présente rien d'anormal, sauf un durillon bana
nou est assez régulièrement t sphérique avec quelques nodosités; la
peau
est sillonnée de veinosités bleuâtres. Au palpe
; puis la tuméfaction semble glisser peu à peu le long du bras ; la
peau
se plisse, se gaufre et forme bientôt de grands
ion de l'épaule et du bras ne tarda pas à s'accroître davantage; la
peau
semblait s'allonger, elle proliférait en larges r
aire,et recouverts à la partie moyenne et en haut par des placards de
peau
excoriée, rosée et finement plissée dans le sen
a pigmentation : troubles diffus, taches de vitiligo, por- tions de
peau
inégalement colorées sans limites bien nettes, pl
ces petites tumeurs sous-cutanées, un peu molles et roulant sous la
peau
sont de petits névromes, la coexistence de noevi
lante n'ont malheureusement pu être examinés. Dans les filets de la
peau
de la fesse et de la cuisse gauche, nons n'avons
ehors de la queue du sourcil droit. Le projectile étaitrestésous la
peau
. Incisions libératrices faites par les chirurgi
r rapport à l'âge de l'enfant. L'examen des téguments montre que la
peau
est comme infiltrée, épaissie et adhérente aux
isier) des clous ou des échardes de bois pouvaient en- trer dans sa
peau
sans-lui faire de mal. A la même époque, il s'est
es placards qui tranchent légèrement par leur coloration rosée sur la
peau
voisine, surtout après exposition à l'air, et a
syringomyélie sont muets sur ce point. D'autre part, l'aspect de la
peau
au niveau des parties dé- pourvues de poils et
rancher le diagnostic, il faudrait dans les coupes d'un fragment de
peau
prélevé au niveau d'une des plaques d'anesthésie,
Elle n'est pas maigre. Son teint et ses muqueuses sont colorés. La
peau
, brune, présente quel- ques naevi pigmentaires.
s étendu, surtout en arrière et survenu vers l'âge de 1 ¡-¡ ans. La
peau
est souple, n'est pas épaissie ; elle n'est le
ers la fin de la première an- née des veines se dessinaient sous la
peau
du cuir chevelu. Disons tout de suite qu'elle a
gmates est négative. Rien ne rappelle chez elle le myxoedème : la
peau
n'a pas perdu sa sou- plesse ; les cheveux sont
des corps caverneux ni repli scrotal, le méat urinaire s'ouvre à la
peau
entre deux surfaces planes. Le toucher rectal m
lui du gros orteil principalement,sont tendus et se dessinent sous la
peau
. L'é- quinisme des pieds n'est pas tout à fait
482 DEJERINE ET ANDHÉ THOMAS bres. Le retard, très prononcé sur la
peau
des mains, diminue également en remontant. Su
les et n'arrive à l'endroit désigné qu'en glissant son doigt sur la
peau
jusqu'a ce qu'il ait atteint le but. A la face,
ceux de la face. Intégrité des sphincters et de la nutrition de la
peau
. Altération très marquée de la con- tractilité
'at- teint l'endroit indiqué qu'en faisant glisser son doigt sur la
peau
jusqu'à ce qu'elle arrive au point demandé..
ée, si on fait une excitation douloureuse forte trans- fixion de la
peau
avec l'épingle, pincement énergique prolongé, - o
té aux doigts et aux paumes est devenue de moins en moins vive : la
peau
est deve- nue froide et cyanotique ; elle est p
t totalement disparu : on peut toucher directement au-dessous de la
peau
, l'espace interoseux. Les reliefs des muscles é
rophie : localisée aux extrémités ; tous les tissus sont atteints :
peau
, ou plutôt sa production différenciée, les ongles
u processus et la colonne s'incurve. Dans cette forme classique, la
peau
et les parties molles sont peu touchées, le sys
éré; en effet l'on sent au toucher un certain degré de dureté de la
peau
avec desquamation ; les ongles aussi sont mal d
alformations des extrémités digitales avec un état atrophique de la
peau
et dans quelques cas encore avec dépression de la
nissement des rides du muscle frontal; l'apparition de rides sur la
peau
des paupières, tandis que la fente palpébrale acq
galement tumé- fiée. Des oedèmes ne sont constatés nulle part. La
peau
et les muqueuses sont subictériques. L'urine ne
asphyxique. Enfin nous avons observé une coloration rougeâtre de la
peau
à la face pos- térieure des coudes droit et gau
nes les téguments de l'extrémité des orteils et du nez ainsi que la
peau
du coude avait repris même aspect, même tempéra
ette de l'index droit,cicatrice douloureuse avec perte de l'ongle. La
peau
de cette phalangette est mince et sensible. Doi
prend le membre dès qu'on l'excite en un point). Le pincement de la
peau
du dos du pied suffit à provoquer un vif mouve-
ire le moindre mouvement réflexe du membre inférieur eu excitant la
peau
des régions abdominale et thoracique. Les réf
sacrée et des régions fessières, se sont ulcérées ; en ces zones la
peau
est souvent imbibée d'urine et une escarre sacr
la droite sur là gauche. Les ongles sont élargis et craquelés ; la
peau
est normale, sans altérations trophiques. Les m
ssa dans l'oisiveté, il dépensait toute son activité à se piquer la
peau
des bras et du.visage avec des épingles ou des ca
quer, si bien qu'à l'heure actuelle l'examen le plus attentif de la
peau
du sujet ne décèle plus aucun vestige des piqûres
gnes de croix). En 1910, on le trouve un jour occupé à se piquer la
peau
des bras avec un faisceau d'épingles assemblées c
stes et neurolo- gistes d'Amiens, t911.. 106 CHAITON Er COURSON
peau
sans infiltration et il n'existe aucune démangeai
es des organes les plus superli- ciels, en particulier celles de la
peau
, sont atteintes les premières. Le système sensi
de marcher à cause de la douleur que leur cause la pression sur la
peau
des pieds. Aussi beaucoup gardent-ils le lit, e
uses. Si dans la région douloureuse il n'y a pas d'hyperalgésie, la
peau
ne perçoit pas les excitations. Mais si elle ex
portant ou bien se disposer suivant la distribution radiculaire, la
peau
se trouve déjà anesthésiée dans de grandes éten
dans le reste du corps. La forme segmentaire de l'aneslhésie de la
peau
de tète et des mu- queuses qui a été rencontrée
Elle consiste dans l'invasion d'une partie ou de la lolalilé de la
peau
des exlrémilés par une anesthésie en forme de g
aux membranes mu- queuses. Mais il n'est pas rare de la voir sur la
peau
du dos, dela poitrine et du ventre. Tous les
sitive normale. Ces faits se constatent sur les grandes étendues de
peau
anesthé- siée. La sensibilité se conserve ou re
représente les pieds de la malade correspondant à la figure 8 ; la
peau
est complètement anesthésique (ce que j'indique
nts marqués à l'encre ; là la sensibilité est conservée normale. La
peau
de la face externe ou concavité de la conque de l
sie tactile, el il n'est pas rare de trouver de grandes portions de
peau
aneslhésiée thermi- quement à un degré accentué
hésiée thermi- quement à un degré accentué, tandis que dans la même
peau
il n'y a qu'un certain degré d'hypoeslhésie tac
lhésie tactile. Le jeune homme de la figure 5 en est un exemple. La
peau
de ses membres inférieurs ne sent pas, jusqu'au I
s que nous explorons, faisant abstraction de la sensi- bilité de la
peau
et de la sensibilité douloureuse. Il faut exami
adie accusent, lorsqu'on pratique l'examen, la seule pression de la
peau
, soit sur les orteils, soit en dessous, suivant q
ues-uns accusent aussi en même temps une sensation de tension de la
peau
au niveau de l'articulation. Pour se rendre com
me de 50 ans, robuste et de bonne taille. Il a des lépromes dans la
peau
des avant-bras et des mains. ' Les symptômes ne
. ' Les symptômes nerveux consistent en aneslhésie incomplète de la
peau
des pieds; anesthésie des attitudes segmenta ir
ites par les excitants mécaniques, thermiques et électriques sur la
peau
dans les cas où elle est sensible. Quand elle n
ces- sairement primitive, le spasme apparaît par l'excitation de la
peau
. Le réflexe a pour point de départ un certain d
t être employée pour d'autres individus chez qui l'anesthésie de la
peau
ne serait pas si foit et 166 BARRAQUER on com
famille lépreux, pré- sente des vésicules dans quelque point de la
peau
des extrémités, surtout autour des articulation
les périodes de la maladie chez beaucoup de lé- preux, tant sur la
peau
saine que sur celle qui est déjà malade. La dispo
dans les périodes plus avancées . et si elles se présentent sur la
peau
saine ou sur la peau lésionnée ; c'est ce que d
us avancées . et si elles se présentent sur la peau saine ou sur la
peau
lésionnée ; c'est ce que démontrent les figures
pécialement dans la figure 39, la variété appelée glossy skin. La
peau
des doigts de la figure 3 est un type de dépigmen
correspondante. Ces phénomènes cessent et on voit apparaître sur la
peau
, du côté de l'articulation, un point de 168 BAH
ment etde la vasomotricité, la mortifi- cation et la gangrène de la
peau
, ainsi que des phlegmons consécutifs sui- vant
rfs voisins. Et que, lorsqu'elles ne peuvent pas être innervées, la
peau
de ces zones souffre alors facilement de lésion
ment, et qu'avec sa charpente cellulaire il élait dévié du côté de la
peau
, il m'avait fallu le disséquer un peu afin de d
le est très convexe, la tête de l'aslragale faisant saillie sous la
peau
; la voûte plantaire est très excavée, le bord in
ertains filets du plexus cervical superficiel sont visibles sous la
peau
; le scialique pnplité externe, le cubital, le b
Le larynx est gros ; le cartilage thyroïde est très saillant sous la
peau
et le timbre de la voix est, au dire du malade,
r des fonctions cérébrales, la chute des poils, la sécheresse de la
peau
, la diminution du poids du corps et le fléchiss
extrémité et maintenus dans une gaine cutanée indivise comme si la
peau
avait subi un arrêt de croissance, spécialement
eint d'une anesthésie ou d'une amaurose, sent affectivement avec la
peau
anesthésique ou voit avec l'oeil amaurotique, m
e cutané et musculaire tel que les piqûres les plus profondes de la
peau
et des muscles ne saignaient pas. Dans un cas d
s éminences thénar et hypothéuar ; une sorte d'épaississement de la
peau
masque la dépression des espaces interosseux, m
Pl. LU). « Femme de taille moyenne, avec forte obésité générale. La
peau
est lnle. 11 la région sacro-coccygienne existe
n arrêt dans le développement des organes génitaux, un aspect de la
peau
rappelant le myxoedème symptômes produits par une
préfé- rence sur l'abdomen, sur les hanches, sur les mamelles. La
peau
de ces malades rappelle assez souvent celle des m
et les mamelles qui sont en même temps flasques et volumineuses. La
peau
est d'un blanc d'albâtre. Les mains sont petite
lait ou brunes uu peu plus foncées, séparées par des intervalles de
peau
normale. La pigmentation existe il la face, sur
Les muqueuses sont intactes, in- demnes de toute tache. Sur celle
peau
piquetée de mouchetures brunes font saillie un no
les déformations sont assez parti- culiers. La pigmentation de la
peau
est apparente, une série de taches chamois ou c
surtout à la base et s'effilent à l'extrémité comme une rave. La
peau
est sèche et fendillée. Le tissu sous-cutané es
t limité à la base par un léger sillon dorsal et porte un ongle. La
peau
est lisse en tous ses poinls. Les mensurations
présenté que par un léger épaississement cutané fort peu marqué. La
peau
de la région est normale, sillonnée de plis tra
ctionnerait dans un sens quelconque. Déplus, nous constatons que la
peau
est toujours lisse, d'aspect normal, ne présent
vers os du pied. On ne remarque aucune particularité notable sur la
peau
des jambes. Dans la région des cuisses, on ne c
rrasse ainsi, c'est-a-dire au moyen des reins, des poumons et de la
peau
, d'une masse de toxines : l'urine qui s'écoule
n'est que pendant l'attaque que sont expulsées, par les reins et la
peau
, de grandes quantités de toxines. Probablement le
e sang se débar- rasse le premier de ses toxines (reins, poumons et
peau
) et ensuite le cortex cérébral donne une partie
t bien établi) que l'organisme tâche, de la manière susdite (par la
peau
, les poumons et les reins), de se débarrasser d'u
débarrasse de' ces toxines au niveau des reins, des poumons et de la
peau
, plus tard le cortex cérébral en évacue une par
i fait de la misère ! Tu es pris, mon voyou de Gribaldi, on aura ta
peau
», et il rit largement. Il demande à uriner.
resque normale. La pupille gauche est plus grande que la droite. La
peau
est moite et en toutes régions liyperestliésiée
s, pu dit : oui, non. Toujours couché dans le décubitus horizontal.
Peau
moite, luisante et graisseuse. il. --Ne répon
empérature descend à 37°; le poids n'est plus que de 24 kg. 100. La
peau
devient moite. Pouls : 120. 20 juin. La langue
. Firl. 4. TROIS CAS D'IDIOTIE MYXOEDEMATEUSE. li 9 juillet. La
peau
du malade reste toujours moite. savant le trait
traitement, chez lui comme chez les malades de cette catégorie, la
peau
était sèche. Les croûtes du cuir chevelu ont comp
chevelu ont complètement disparu. On observe une desquamation de la
peau
des mains et des pieds. Deb... taquine les' inf
ppétit. Urine : 500 gram- mes. Pas de'glande. La desquamation de la
peau
des mains et des pieds continue. Pouls : 120. U
15 juillet. -Pas de glande. Pouls : 120. Urine : 500 grammes. La
peau
est moite. 1G juillet. - Demi-lobe. Pouls : 120
au niveau de l'ombilic 0 m. 740, il ne mesure plus que 0 m. 67. La
peau
des mains demeure moite et devient souple ; les
, la parole est plus nette. 12 juillet. Les mains et les pieds font
peau
neuve, 'les ongles poussent bien, les cheveux r
ique, il ne semble plus y avoir de dépôt graisseux exagéré entre la
peau
et les'muscles. Modifications de la voix. Depui
fumeur, caractère sournois, grand, vigoureux ; aucune maladie de
peau
, nez aquilin, cheveux châtain foncé. Il était sol
régulière, cheveux châ- lain foncé, nez aquilin, pas de maladie de
peau
ni de syphilis. Bien qu'elle se soit mariée il
s, était petite, ne marchait pas, ne prononçait aucun mot, avait la
peau
blanche et non cireuse. Elle aurait été bien so
es et le rapprochement des genoux en dedans, l'épaississement de la
peau
des pieds et son aspect violacé. Sur tout le co
nt de la peau des pieds et son aspect violacé. Sur tout le corps la
peau
est pâle, jaunâtre, cireuse, principale- ment à
ne en bas, deux en haut (ce qui fait une étendue de sept notes). La
peau
est blanche, sans aucun caractère myxoedémateux,
miques, sueurs profuses remplaçant la sécheresse habituelle de la
peau
; affaiblissement des jambes, augmentation du tr
tères pachydermiques, coloration de plus en plus na- turelle de la
peau
qui perd sa teinte jaune de cire, diarrhée au l
E PATHOLOGIE NERVEUSE. 47 culaires, les tissus et eu particulier la
peau
s'altèrent, des throm- boses capillaires se pro
On constata alors une hémiparésie droite avec parti- cipation de la
peau
et du sens musculaire de la main droite ; ces s
ment à se rapprocher de la normale. Après deux ou trois semaines la
peau
se desquame, surtout au visage et aux extrémités,
e large mesure la glande thyroïde agit sur l'état tro- phique de la
peau
et influence le système nerveux, on a. expéri-
groupes de symptômes fondamentaux du myxoedème (modifications de la
peau
modifications du tissu sous-cutané modification
je vous présentais dernièrement, il croyait sentir des vers sous sa
peau
et de la sorte paraissait avoir des hallucinati
ribuant aux mouvements de vers qui s'agi- taient et sortaient de sa
peau
. En un mot il y avait une sensation réelle qu'i
produites par la faradisation. 11 constate que la température de la
peau
et celle obtenue par rayonnement s'élèvent prog
différence de potentiel au niveau des électrodes appliquées sur la
peau
, de la polarisation des électrodes et des tissu
particulières qui résultent, entre les électrodes appliquées sur la
peau
, de cette manière de produire les fermetures et l
douleur l'oblige à rester tranquille. Les pieds sont oedémateux. La
peau
est boursouflée. Quant aux organes digestifs, i
on de continuité; les cheveux châtain clair, abondants, assez fins.
Peau
satinée, teint mat; visage rond, joues pleines,
rrière l'oreille gauche, cicatrice se terminant en infundibulum. La
peau
est Une, sensible aux contusions. Les oreilles
nt d'ar- matures appropriées on dirige sur un point déterminé de la
peau
des étincelles longues de 1 à 2 millimètres; on
ate tout près de la paume de la patte une élévation thermique de la
peau
, c'est-à-dire une dilata- tion vasculaire. Il e
sensation de chaleur et de brûlure au périnée, avec élevures de la
peau
se propageant aux fesses et aux cuisses : l'épa
eau se propageant aux fesses et aux cuisses : l'épaisissement de la
peau
était énorme : les bords en étaient d'un rouge
t de quelques heures la saillie cutanée devient moins dure, mais la
peau
reste considérablement épaissie, rouge, gonflée
s il demeure convaincu qu'il s'agit là de troubles trophiques de la
peau
ayant la même origine névropathique que l'ancien
. Exagération dans la transmission des impulsions centripètes de la
peau
, du sens musculaire, et des centres psychiques
rieur de l'avant-bras gauche jusqu'à l'extrémité des doigts. La a
peau
est d'un rou ? e vineux, bleu noirâtre sur les pa
e vineux, bleu noirâtre sur les parties saillantes. Le passage à la
peau
normalement colorée se fait presque brus- queme
le gonflement oedémateux est resté tel quel. Après avoir enlevé la
peau
des deux membres supérieurs, ce qui frappe surtou
thique, les vaisseaux et les nerfs des extrémités supé- rieures, la
peau
des différents points du membre atteint au-dessus
es vaisseaux lymphatiques sont partout notablement dilatés. Dans la
peau
au-dessus des parlies oedématiées, on trouve des
a lumière et atrophie des parois. Sur quelques préparations de la
peau
on trouve des hémorragies interstitielles. Les ce
des bacilles de la tuberculose dans les nerfs, les vaisseaux et la
peau
a donné des résultats négatifs. Dans les muscle
nssudation rie survient qu'en second lieu. En effet la piqûre de la
peau
n'amène pas d'écoulement de la moindre gouttele
au début que j'ai constatées, plus prononcées dans les nerfs de la
peau
que dans le gros tronc nerveux. Ainsi donc les
; décollement de l'endothélium (c). Fig. 3. Coupe verticale de la
peau
de la région oedématiée. Fentes lymphatiques di
vaisseau sanguin oblitéré (b) ; hémorragies (c). Fig. 4. Nerf de la
peau
dégénéré, pris à la région oedématlée. ' l'ill.
x de rencontrer des lésions trophiques, telles que l'atrophie de la
peau
, des muscles et des os, des destructions de tis
airsemées qui témoignent des limites primitives de sa chevelure. La
peau
ne présente, à cet endroit, aucune altération :
e de la main, une sorte d'engourdissement en surface qui gagnait la
peau
de la région ; bientôt survenait une sensation de
objectifs tels que la réaction pupillaire, les vaso-moteurs de la
peau
de la face et de la tête, l'état de la respiratio
hermie rectale. - G° Diminution de la radiation du calorique par la
peau
. 7° Légère diminution de la sensibilité tactile e
itation génitale se développait à l'idée de manger un morceau de la
peau
fine et blanche d'une jeune fille et de boire le
e analgésie cutanée, d'un coup de ciseau détachait nn morceau de sa
peau
, au niveau des parties du corps où elle a le pl
e donnant de son mieux, à ce moment, l'illusion que c'était de la
peau
féminine, et entrant aussitôt en érection à cette
établit les mêmes connexions ou qui s'en va jusqu'aux muscles, à la
peau
, aux organes des sens, etc., etc. La cellule
ervertébral, s'en va à travers le nerf sensible se terminer dans'la
peau
. Le prolongement neural de ces mêmes cellules v
manière de voir. L'impression sensible au moment où elle part de la
peau
pour arriver au ganglion intervertébral marche
n- draxe. 1 Au point de vue physiologique le neurone qui va de la
peau
à la moelle a donc ses prolongements dendritiqu
ensibilité est un neurone géant. Ses racines se distribuent dans la
peau
sous forme de dendrites qui constituent les ner
ni fièvres infectieuses, ni syphilis, ni migraines, ni maladies de
peau
, ni panaris. Il avoue faire des excès de boisso
uinales. Rien aux organes génitaux, à l'anus, au cuir chevelu, à la
peau
. Dans l'ctis- selle droite, on trouve une demi-
s dorsales et surtout les trois dernières sont assez saillantes. La
peau
qui les recouvre est épaissie par suite du frot
. L'aisselle droite est le siège de troubles trophiques cutanés. La
peau
est brunâtre, épaissie dans son ensemble, avec
état des mains mérite une description détaillée. a) Main gauche. La
peau
de toute la main, surtout des doigtf, Archives.
par un fragment d'ongle un peu plus large que celui de l'index. La
peau
de ce doigt est le siège d'une induration corné
tte persiste. Les autres doigts n'offrent qu'une hypertrophie de la
peau
. Il n'y a pas d'atrophie des éminences thénar e
ie des éminences thénar et hypothénar (fig. 28). b) Main droite. La
peau
est épaisse, principalement autour des articula
Rétraction de la phalangette du pouce; mouvements très limités. La
peau
des deux mains est le siège de crevasses assez pr
tendon d'Achille est rétracté et forme une corde saillante sous la
peau
. Le pied semble ankylose. Il est dans l'exlensi
n- chet. Les doigts sont boudinés ; les ongles sont réguliers. La
peau
est épaissie sur le dos du métacarpe et sur la
e sorte de cône bas (un centi- mètre et demi au plus), formé par la
peau
très épaissie, et terminé par un tout petit fra
termine par un ongle déformé, épais de 3 à 5 millimètres. Toute la
peau
de la phalan- gette, sauf sur la face externe,
phalango-phalanginiennes. De là, des épaississements anciens de la
peau
qui s'étendent jusqu'aux articulations des phal
e et d'une phalangine. De plus, il présente un épaississement de la
peau
, des crevasses, une sorte d'hypertrophie des do
trode active est cons- tituée par un tampon de charbon recouvert de
peau
de chamois de 2 centimètres de diamètre. Nous d
ppareil POUR apprécier LE DEGRÉ DE la SENSIBILITÉ DOULOUREUSE DE LA
PEAU
, OU ALGI;SIOMi·,TRE pal' O.-O. MOTSCHUT- KOWSKY
ir sur la surface cutanée. Cette longueur de pointe qui actionne la
peau
est numérotée sur le cylindre, en vertu de conv
. Un connaît, en effet, exactement le moment où la pointe touche la
peau
et de combien elle l'intéresse; on con- 470 REV
ation douloureuse ne correspond point partout à l'épais- seur de la
peau
: à épaisseur égale de la peau en diverses places
point partout à l'épais- seur de la peau : à épaisseur égale de la
peau
en diverses places, la sensation douloureuse es
onnelles l'une à l'autre.-Les muqueuses sont moins sensibles que la
peau
. La sensibilité atteint son acmé à la face dors
btenait plus rien du tout. Les nerfs périphériques recouverts de la
peau
sont encore sensibles au courant faradique cinq q
rouble est d'origine mécanique. Quant aux troubles trophiques de la
peau
, il faut penser aux auto-mutilations : un cas t
rrespondent jamais aux groupe- ments des nerfs des muscles et de la
peau
, soit à la périphérie, soit dans la moelle. Bru
décollement de l'endothélium (c). Firl. 3. Coupe verticale de la
peau
de la région oedématiée. Fentes lymphatiques di
aisseau sanguin oblitéré (b); hémorragies (c). Fig. 4. - Nerf de la
peau
dégénéré, pris à la région oedématiée. Fig. 1,
ne, 'les poils étant peu à peu tomhés ; les cils sont conservés. La
peau
du visage est froide. Volume de la tête normal.
, un lipome. Le système veineux se dessine bien en évidence sous la
peau
, surtout aux membres inférieurs où l'on trouve de
peau, surtout aux membres inférieurs où l'on trouve des varices. La
peau
est ridée et peu adhérente sur la face dorsale de
st un individu maigre, pâle, au facies adénoïde. Scapulæ alaise. La
peau
est fine et glabre ; il n'y a pas trace de poils
été éliminés grâce au traitement institué. Le sujet mesure 1 m. 32.
Peau
glabre. Voix enfantine. Un certain degré de gen
yenne. Tête en forme de tour; absence de toute voussure occipitale.
Peau
de la figure et du ventre légèrement pig- menté
inaux sont contractés et leur relief se dessine nette- ment sous la
peau
. Les plis transversaux très accentués passent par
vulsions, durant une minute environ. Pendant l'état con- vulsif, la
peau
est rouge, violacée, puis olJ ! libulation avec r
tendons de la tabatière anatomi- que ne font aucune saillie sous la
peau
. - Le nerf radial innerve également les muscles
crétoires, caloriques et trophiques sont souvent appréciables. La
peau
est toujours froide, et sèche au niveau de l'auri
Parfois on constate une coloration violacée, un épaisissement de la
peau
, une déformation de l'ongle du petit doigt; il
t chez les sujets, robustes avec le fort relief que dessine sous la
peau
le long supi- nateur. Les téguments sont plus
pparaît très modifiée dans un grand nombre de lésions du médian. La
peau
est rouge, violacée, quelquefois même l'index est
ndex est bleu et froid, les ongles sont blanchâtres ou violacés, la
peau
est sèche et comme fen- dillée. Il est certai
Les doigts sont amincis, fuselés, les ongles bombés et roses. La
peau
, très fine, est blanche sur le dos de la main, ro
thénar et aux talons des doigts. Sur la face dorsale des doigts, la
peau
est tendue, elle est comme frip- pée et plissée
n. Dans des cas très nombreux, cette coloration et cet aspect de la
peau
n'occupent que le territoire du médian, trancha
miers doigts. Parfois il y a disparition totale de la sudation ; la
peau
est alors âpre et sèche, au point qu'elle se fe
se de la coloration plus rosée, avec le territoire du cubital où la
peau
est plus brune et plus sèche. L'atrophie musc
phie de la main va en augmentant et porte sur tous les éléments. La
peau
est plus fine, les crêtes épidermiques effacées,
dermiques effacées, les couches profondes semblent avoir fondu ; la
peau
se plisse de plus en plus à la paume, et au con
ain ostéoporeuse » de Sicard) (pl. XIX, fig. C). Le trophisme de la
peau
, du tissu cellulaire sous-cutané, des os, des o
ractérisés par une coloration rouge violacée ou bleu noiràtre de la
peau
. Ces troubles vasomoteurs sont tantôt généralis
s. Les troubles trophiques peuvent intéresser tous les tissus. La
peau
peut présenter des signes de dégénérescence diver
des doigts est affiné, comme scléroder- mique et sous les ongles la
peau
remonte en un bourrelet. Au niveau de cette pea
sous les ongles la peau remonte en un bourrelet. Au niveau de cette
peau
mal nourrie et mal innervée, deux sortes d'acci
des troubles peu marqués de la trophicité : macération légère de la
peau
(IV, V, VI, toutes réflexes). Troubles trophiqu
tion de ces troubles trophiques sur le squelette, les muscles et la
peau
, ne nous est pas apparu. La simple immobilisation
L'aspect général est celui d'un membre atteint d'éléphantiasis. La
peau
, surtout dans la paume, est écailleuse. La main e
ne à l'extrémité. La matrice des ongles est épaissie et saillante. La
peau
est froide, violacée, et paraît amincie (PI. XX
s. OEdème blanc, mou, dans lequel on détermine facilement un godet.
Peau
écailleuse, mouchetée. Doigts infléchis dans la
milieu du bras, comme si le tricot du malade s'était imprimé sur sa
peau
, pressé par une striction extérieure. Des décou
main est gonflée, violacée sur le dos, rougeâtre dans la paume, la
peau
lisse, tendue, brillante, les doigts infiltrés,
ongles bosselés et incurvés, leur matrice fortement saillante ; la
peau
à leur niveau est terreuse et farineuse. Le 4e
ni changement de teinte, ni altération trophi- que quelconque de la
peau
. Tout ce que nous venons de dire concernant les
reuse {pl. XXX, fig. F), ordi- nairement maintenue' en bénitier; la
peau
est lisse, mince et moite contrastant avec la p
en bénitier; la peau est lisse, mince et moite contrastant avec la
peau
épajsse et calleuse de la main opposée. Il n'y
s se caractérisant par un effilement d'ensemble de l'extrémité, une
peau
fine, lisse et moite, surtout douleurs violentes,
les douleurs étaient très vives et les troubles trophiques cutanés (
peau
sèche, écailleuse, rougeâtre) très marqués. N
INO-PHALANGETTIENNES 163 Leurs plis articulaires sont effacés. Leur
peau
est inextensible, adhérente aux tissus sous-jac
portants. Au- cune maladie analogue n'existe dans sa famille. La
peau
de la face, des oreilles, des diverses parties du
e l'ébène jusqu'à celles du cuir boucané en passant par celle de la
peau
de chamois. - Mais ces différences ne sont qu
gal, disent-ils, tout y a même chose comme la France ; seulement la
peau
et le parler sont pas la même ; mais tout le re
avec un toit pointu, une seule ouverture comme porte fermée par une
peau
de bêle. Pas de fenêtre, ni de tables, ni d'arm
fois l'artiste exploite la facilité de production des chéloïdes de la
peau
nègre pour boursoufler ses dessins grossiers. A
e, improvisant des tams-tams avec des moitiés de courge vide et une
peau
, des guitares avec une vieille boite à sardine
léchir les doigts ni bouger les pieds ; tête en boule de bilboquet.
Peau
bien humide, fraîche. Langue blanche, épaisse. Ma
à la pression. Aucun ganglion dans l'aisselle, sans adhérence de la
peau
. Deux trépidations déterminées par l'extension
lier, égal. T. : 37°6. Pas de taches rosées. Teinte ictérique de la
peau
. Les jambes sont extrêmement douloureuses. No
gauche. Aspect extérieur. Le corps assez gracile. La couleur de la
peau
est un peu brunâtre. Cerveau. La dure-mère es
es quatre membres, Deux mois plus tard, éruption syphilitique de la
peau
et des muqueuses. Amélioration par le traitemen
rieure ; les tendons fléchisseurs sont bien moins saillants sous la
peau
que ceux du côté opposé. - Néanmoins, les mou
ent tombante en épaulette; la tête humérale se sent presque sous la
peau
; au-dessus, l'acromion et la partie externe de l
seux presque aussi déprimés. On sent au doigt et on voit à travers la
peau
un reste bien peu épais de muscle pédieux. La
jambes donnent l'impression de ne pas appartenir au même malade. La
peau
est sèche. Il n'y a pas de poils à l'aisselle et
l'adrénaline et la cocaïne. I. Atropine. Avant d'injecter sous la
peau
1 milligramme de sulfate neutre d'atropine, on
amment des atrophies musculaires, on constate des altérations de la
peau
, des os et des articulations. , La peau peut pr
ate des altérations de la peau, des os et des articulations. , La
peau
peut présenter des lésions épidermiques, état lis
r, qu'il existe enfin des troubles trophiques considé- rables de la
peau
et des os et que tout ce syndrome contraste singu
xus brachial supérieur, moins l'avant-bras Sur toute cette zone, la
peau
est dure, épaissie, . rebelle à tout plissement
ins accentué, sur tout le territoire cutané. L'irritabilité de la
peau
est telle qu'on a dû renoncer au massage qui, out
ération osseuse. c Les troubles trophiques portent également sur la
peau
qui est lisse, amincie et plaquée sur les phala
dans ce syndrome on observe de façon cons- tante des tumeurs de la
peau
, des taches de pigmentation spéciale ; d'autre
la cuisse et de la jambe. Il est assez régulièrement sphérique ; la
peau
est amincie, marbrée par une légère circulation
ls, ou leur imparfaite formation, mais encore des altérations de la
peau
elle-même et des ongles, c'est-à-dire des altérat
quence sur les fonctions qui en dépendent, et un état spécial de la
peau
, dont l'aspect sénile se traduit par le terme g
r- phisme cutané, à propos de l'observation d'une fillette, dont la
peau
avait pris l'aspect sénile à la suite d'une éru
ale- rons ensuite les différences chez l'autre sexe. L'état de la
peau
est typique dans l'espèce, et concourt extraordin
rmica) (1). Dans le type eunuchoïde les plis sont plus discrets, la
peau
plus fine et moins crispée, l'accumulation de gra
leur si le diagnostic se fait sur un vieillard. L'aspect ridé de la
peau
, et surtout du visage, rappelle avec exactitude
et surtout du visage, rappelle avec exactitude, en quelques cas, la
peau
de certaines oranges, à laquelle on l'a déjà co
utanés dans la gérodermie : «... un ton général de cire vieille, la
peau
lâche, chiffée, rugueuse, ratatinée, morbide et
ainsi qu'aux aisselles et au pubis, aussi bien à 15 ans qu'à à 50 » (
peau
de vieil- lard ou gérodermie, op. cit., loc..ci
eu de chose et nous avons montré déjà quelle elle est, l'état de la
peau
précocementsénile dans le type gérodermique. L'
pas confirmé. Pour l'état de sang, sans exclure l'aspect pâle de la
peau
, il n'y a pas d'anémie. Falta signale l'existen
, et les mêmes caractères de l'eunuchoïdisme masculin du côté de la
peau
. . Quant à l'évolution des types gérodermique e
larités qui se rapportent aux caractères de la voix, à l'état de la
peau
et aux conditions psychiques, où tout se règle
st bon de remarquer que les veinules superficielles visibles sur la
peau
, rapportées dans diverses observations du syndr
ais il reste, adhérente à la face interne de l'ongle une portion de
peau
qui donne au bout du doigt une apparence de gri
duit à un morceau de corne coiffant à plat le sommet du moignon. La
peau
a perdu ses plis et ses stries et est adhérente
érente aux tissus profonds. Il en est de même en ce qui concerne la
peau
pour le doigt annulaire. DEUX CAS DE MALADIE DE
ée en arrière sur l'avant-dernière (psi. II). Chose remarquable, la
peau
du petit doigt, qui n'a eu aucun pana- ris, pré
partie par l'énorme résistance due à l'épaisseur et la dureté de la
peau
. Pas de déformation de la colonne vertébrale. P
s laissent après elles des cicatrices étoilées, blanchâtres. Sur la
peau
de- la jambe, de la cuisse et du genou droit de
cher, ni même se tenir debout. Les membres sont comme desséchés, la
peau
est sèche et rugueuse ; il y a une atrophie mus
ux localisations différentes : Elle est disposée en couche entre la
peau
et l'aponévrose générale d'enveloppe, c'est le
re, plus loin peut-être qu'on ne pense généralement. En effet, la
peau
n'est pas directement appliquée sur les muscles
ormes trop heurtées, mais sans y rien changer d'essentiel. Entre la
peau
et les muscles intervient cette nouvelle couche
te couche cellulo-graisseuse, ainsi que je l'ai déjà dit, double la
peau
dans la plus grande partie de son étendue et y ad
s grande partie de son étendue et y adhère intime- ment. Lorsque la
peau
se déplace, c'est cette dernière couche qui gli
donné les résultats suivants` : Le pannicule adipeux manque sous la
peau
du nez, des paupiè- res, etc. ; il est très min
vant. Me basant sur ce fait que, dans les replis que l'on fait à la
peau
en la pinçant largement, l'épaisseur de ces repli
paisseur du pannicule adipeux, y compris, bien entendu, celle de la
peau
. Mais comme les variations de la peau elle-même
is, bien entendu, celle de la peau. Mais comme les variations de la
peau
elle-même sont relativement fort minimes, on peut
ipe, ce procédé n'a pu être employé que sur les parties mobiles de la
peau
. C'est pourquoi il n'est pas question dans nos
la main et plantaire du pied, à cause des adhérences étroites de la
peau
de ces régions avec les surfaces aponévrotiques.
SATYRES. 47 verticale, de sorte que sa pointe fait saillie sous la
peau
et rappelle la terminaison en queue. Quelquefoi
ion du coccyx coïncide avec une adhérence de la face profonde de la
peau
à la partie posté- rieure de l'os ou des os qui
èles de Bacchus qui, dans les fêtes des vendanges, se couvraient de
peaux
de bouc. Laqueue desfaunes, qui, parleur conf
s sur la ligne médiane.-ne présente aucune altération visible de la
peau
, qui conserve sa coloration,- son épaisseur et sa
males. A la périphérie; les poils se raréfient graduellement, et la
peau
reprend,' sans ligne de. démarcation brusque, son
-légal, au même titre d'ailleurs que les écoulements de sang par la
peau
dont elles sont les compagnes et que nous envis
t pas; bien au contraire, elles apparaissent au niveau des cils, la
peau
se couvre de taches ecchymotiques, il y a des v
graduellement le volume d'une petite mandarine et « s'attacha à la
peau
du sein ». Elle ne s'accompagna jamais de doule
ébrale Déformations vues de face. - Les modifications du côté de la
peau
sont dues a des traces de pointes de feu LEfR
CARCINOSE DE LA COLONNE VERTÉBRALE Plis transversaux profonds de la
peau
dus au rapprochement de l'abdomen et du thorax
deux parties, entre l'ombilic et l'épigastre, un pli profond de la
peau
de direction horizontale et transversale. De ces
r commun apparaissent comme autant de cordes faisant relief sous la
peau
. Le membre inférieur comme le supérieur est fac
er. 92 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. piquer, pincer la
peau
, tordre les articulations, presser fortement le t
rrecte « comme une plume à écrire » le bistouri qui fouille dans la
peau
pour arracher quelque écharde. D'ailleurs, si l
ière supérieure est très accentué à cause de l'épaississement de la
peau
. La physionomie est indifférente, sans expressi
ssement de l'annulaire gauche porte surtout sur la phalan- gine. La
peau
est pigmentée en brun au niveau du dos de la main
porte pas seulement sur le squelette, les parties molles, muscles,
peau
, etc., y prennent une large part. Après avoir b
presque toujours en fil, et a été obligée de supprimer les gants de
peau
, non pas que sa main fut devenue plus longue, mai
mais il existe une épaisseur considérable des ailes du nez et de la
peau
qui recouvre la cloison. i , La lèvre supérie
aux deux poignets. Il n'existe en outre aucun trouble du côté de la
peau
. L'ouïe, l'odorat et le goût sont conservés.
. Thénar, contraction faible (sous l'influence de l'électricité, la
peau
devient très rouge). A droite. - Sensibilité él
on caractéristique, un amaigrissement notable. Sur tout le corps la
peau
conserve sa coloration habituelle. Les chairs son
me toute la paume de la main offre l'aspect d'une surface plane, la
peau
de cette région est lisse et tendue. Sur le dos d
métacarpiens; ces dépressions sont surtout sensibles au toucher, la
peau
qui les recouvre est ridée et flasque. Les doig
ir dans les régions atrophiées; malgré toutes les excitations de la
peau
, on ne parvient pas à faire naître de secousses
re normale comme hier, se trouve à 1° ou 2° au-dessous. En outre la
peau
de cette main gauche est fortement cyanosée, tand
s qui,partant des parties profondes de la jambe, s'échappent par la
peau
. Elles sont peu vives du reste, supportables et
d'une fine' collerette épidermique et par une petite croùtelle. La
peau
de la paume et du dos de la main est toujours r
toujours restée indemne. Au niveau des doigts. 'un peu amaigris, la
peau
a perdu de son élasticité et de sa mobilité sur
t été couverts de bulles. Actuellement au niveau de l'annulaire -la
peau
est rouge, épaissie, dépourvue de sillons, peu
les membres supérieurs à partir du coude. On peut appliquer sur la
peau
de la glace ou un corps à la température de 80.,
est absolue pour les mêmes segments de membres. Le pincement de la
peau
, la piqûre, ne déterminent aucune dou- leur. Su
à la malade de le contracter on voit les fibres se dessiner sous la
peau
du côté gauche seulement, le côté droit restant
bromisme sont fréquemment conjurés par les soins de propreté de la
peau
: j'attribue en grande partie à la fréquence des
qui est tout à fait normal. Au niveau des régions hypertrophiées la
peau
est lisse et unie (élé- phantiasis loevis) sèch
otamment, où elle ne dépasse pas le tiers inférieur. L'aspect de la
peau
est absolument identique. A droite comme à gauc
iii bes), Gui lotit, 1S73. 2. Kaposi, Leçons sur les maladies de la
peau
(Tr.id. et annotées par MM. Résilier et Doyon,
ères sont plutôt accentuées, les sourcils sont à peine ébauchés. La
peau
du visage est pâle et légèrement teintée en ivoir
re présente un contraste étrange ; l'état complètement glabre de la
peau
et les rides nombreuses qui sillonnent les joue
qui est le plus intéressant à étudier dans la main de Michel c'est la
peau
. En effet les téguments des mains de notre suje
des mains de notre sujet présentent les caractères d'une véritable
peau
de batracien : la peau du dos de la main est fine
et présentent les caractères d'une véritable peau de batracien : la
peau
du dos de la main est fine, lisse et tout à fai
irection oblique d'avant en arrière et de dedans en dehors. Cette
peau
est lisse et luisante comme du parchemin et ne pr
ent aucune trace de crevasse. Cette conformation particulière de la
peau
du dos de la main dépend de l'absence totale de
qui se sont déjà ulcé- rées plusieurs fois et qui ont laissé sur la
peau
une pigmentation anormale. Les pieds sont très
on d'insister sur l'aspect spécial des téguments de cet homme. Sa
peau
est lisse, luisante et très blanche ; au toucher
on sent qu'elle est très fine. Il s'agit, il n'en pas douter d'une
peau
véritablement atrophiée et l'on ne ÉTUDE DU GIG
ur le système pileux, mais aussi sur les glandes sébacées et que la
peau
est sèche et luisante sans toutefois présenter au
ement du tronc et des membres, le faciès imberbe, la voix haute, la
peau
fine et blanche, le bassin infantile, l'hypo- t
aux sont bien développés et le réflexe crémas- térien est vif. La
peau
ne présente rien d'anormal, elle est souple et sa
nterne de la cicatrice, sur le sternum, on palpe une induration de la
peau
sous forme d'une tumeur de la grandeur d'une pr
le, se trouve une petite tumeur de volume d'un pois, mobile sous la
peau
. Elle n'est pas douloureuse au palper. Mais cette
e, A la percussion, le sang est plus mat de ce côté qu'à droite. La
peau
de la région fessière est tout à fait flasque. Le
te. Le foie, la rate sont normaux. Pas de tumeurs palpables sous la
peau
. Mort dans la seconde moitié d'oc- tobre 1908.
réflexe patellaire, le gonflement du membre et la paresthésie de la
peau
sur l'étendue de tout le membre (1). Observatio
ive que les malades se plaignent d'une hyperesthésie générale de la
peau
. Le simple toucher leur fait mal. Les douleurs
rtébrale parlent en faveur du cancer. Les troubles trophiques de la
peau
et le zona parlent en faveur du cancer. La dégé
gidité. Dans les deux tiers inférieurs de la jambe et aux'pieds, la
peau
se présente rouge, cyanosée et froide. Les tr
suffit de regarder la planche XIII pour en saisir les détails : la
peau
qui recouvre les genoux est rugueuse avec un cert
s trophiques aux membres in- férieurs : les pieds maigrissaient, la
peau
était devenue livide, les extrémités étaient to
vant-bras ne sont pas limités seulement à l'atrophie musculaire. La
peau
aussi semble y participer d'une façon très partic
gnet présentent des alté- rations trophiques extrêmement graves, la
peau
de l'avant-bras est souple et à peu près normal
Il suffit de regarder notre photographie pour s'en apercevoir : la
peau
de la XXIII g 114 BCRTOLOTTI maiu est trave
versée par des raies nombreuses, disséminées dans tous les sens; la
peau
est cyanosée, livide et très froide au toucher ;
hie extrême. Dans cette région, les parties molles sont réduites à la
peau
, au tissu sous-cutané et à quelques traînées de
promis comme chez ses soeurs. Elle démontre son état infantile; sa
peau
est blanche et fine, ses traits sont presque jo
droit n'est pas particulièrement douloureux à la pression. 12. La
peau
des doigts de la main droite est lisse ; les ongl
ticulations des doigts de la main droite paraissent ankylosées ; la
peau
des doigts est luisante, lisse, amincie, cyanos
on a la sensation que les doigts sont en bois. La température de la
peau
n'est pas modifiée. Les dou- leurs sont violent
A. commence à mobiliser légèrement les articulations des doigts. La
peau
conserve son aspect luisant ; quelques rides appa
iques sont en partie disparus, mais il persiste un état lisse de la
peau
et une sensi- bilité spéciale de la main au fro
e la jambe droite, troubles trophi- ques des articulations et de la
peau
des doigts. Quelques jouis plus tard, apparaiss
es accidents rappelait celle de la sclérodermie ; aux lésions de la
peau
et des ongles s'associaient des al- térations d
lques petites tumeurs réunies ensemble. Sa mobilité est moyenne, la
peau
glisse dessus librement, elle est normale et ne
VII) . C'est ainsi qu'on désigne un phénomène qui se produit sur la
peau
de certains malades sous l'influence d'irritati
rit par Dujal'din-Beaumelz en 1879, qui a observé une malade sur la
peau
de laquelle, à la suite d'irritations mécaniques,
faits quelques conclusions utiles pour J'étiologie des maladies de la
peau
. Il est hors de doute, que chez les aliénés, le
sage, poi- trine, partie supérieure du dos, la teinte marbrée de la
peau
des bras, jambes, cuisses elle cyanose des main
e l'état cyanotique des mains et des pieds, la teinte marbrée de la
peau
, et quelquefois une abondante sécrétion de sueu
eune fille citée par Brissaud qui s'enfonçait des aiguilles so s la
peau
, toute la série de mala- des ayant, par des moy
lorsque elles sont extrêmes au point d'enfoncer les ongles dans la
peau
, et tenaces au point d'amener des rétractions fib
e l'héroïs- me. Enfin la contracture qui enfonce les ongles dans la
peau
, dont la ténacité est attestée par l'accumulati
paralysie organique, le peaucier du cou dessiner des cordes sous la
peau
, seulement ou tout au moins d'une façon prédomi
ser en aucun point précis, en aucun tissu ; l'hyperesthé- sie de la
peau
elle-même ; l'absence de gonflement, de rougeur;
, si la malade, imbécile, n'était incapable de quoi que ce soit. La
peau
est souple, d'épaisseur et de couleur normales.
main droite, le doigt moyen et l'annulaire ont la même longueur. La
peau
sur les mains est grosse et épaisse, elle pré-
tés montrent les caractéristiques typiques de l'achondroplasie). La
peau
est brunâtre, épais- sie et onctueuse au touche
crite par M. P. Marie. Aucune anomalie dans la longueur des doigts.
Peau
des mains normale ; réflexes périostés et tendi
ables. Masses musculaires et tissu adipeux suffisamment développés.
Peau
et muqueuses légèrement pâles. Erup- tion macul
miparésie gauche et en même temps l'éruption maculo-papuleuse de la
peau
. 298 COSTANT1NI remarque seulement que le mem
on qu'elle éprouve, comme si l'on piquait avec des épingles sous la
peau
des membres infé- rieurs. De temps en temps, do
u des vertèbres dorsales inférieures. on voit une proéminence de la
peau
qui forme un pli assez gros dirigé avec ses deu
lpation on s'aperçoit que le pli est constitué non seulement par la
peau
et le tissu graisseux, mais aussi par une conve
a exécuté l'opération de la laminectomie. On fait une incision de la
peau
depuis la ne jusqu'à la Ve vertèbre dorsale. Ap
opéré. Les méninges furent réunies, de même que les mus- cles et la
peau
, on a mis des drains, de la gaze et le pansement.
auparavant. Au-dessus, le pansement cacheté : bl, place où, sur la
peau
de la main, été appliquée une pièce de monnaie,
e, - A côté, le sparadrap qui recouvrait la pièce, appliquée sur la
peau
. On voit en la la partie du sparadrap dé- collé
ation du malade dans les conditions expérimentales suivantes : à la
peau
de la face dorsale de la main été appliquée une
e et on a vu nettement que le sparadrap couvrant cette partie de la
peau
était décollé, ce qui prouve que la bulle était d
u du bord inférieur du grand fessier, apportent la sensibilité à la
peau
de la partie inférieure de la fesse. Le deuxièm
artir par ses terminales, les nerfs perforants antérieurs, à toute la
peau
de la partie antérieure de la zone du 2e espace
f accessoire du cutané brachial in- terne, lequel se répand dans la
peau
de la partie interne du bras par deux branches
e son rameau antérieur, allant horizontalement en avant, innerve la
peau
de la région antéro-latérale du 3° espace inter
-latérale du 3° espace intercostal,puis vient se distribuer dans la
peau
de la région mammaire où convergent également s
é dans le nerf accessoire du cutané brachial interne qui innerve la
peau
de la partie interne et antéro-interne du bras,
tout recouvert par le naevus ; et son rameau postérieur innerve la
peau
de la partie latérale de l'ais- selle, et aussi
ué par une pigmentation de teinte fauve assez légère, existe sur la
peau
au niveau de l'angle interne de l'omoplate SUR
thorax. Obs. VII. Nævus fissuraire pigmentaire et verruqueux de la
peau
et - - dP5 .m ! M.t),EH ? [race et cou)- SUR
se, la mère a présenté une pigmentation extrêmement prononcée de la
peau
. Ce naevus se superpose à la distribution des r
n premier mémoire) ou reproduisant sa disposi- tion projetée sur la
peau
(obs. 1, 6, de mon premier mémoire), ou plus ex
ent qu'une lésion de cet appareil embryonnaire peut retentir sur la
peau
en faisant partie intégrante, et sur ses annexes,
au niveau desquelles, pendant le développement embryologique de la
peau
, se rencontrent deux territoires cutanés. Or Bl
pour lesquelles elle fut opérée de néphro- pexie. La couleur de la
peau
et des muqueuses visibles est pâle. Coeur, dans
puis une douzaine d'années, intéresse la face dorsale des mains. La
peau
est rosée, lisse et tendue ; mais il est facile
ace. des régions dorso-lombaire et anale. Les cheveux sont noirs ; la
peau
est foncée : ses parents sont aussi, paraît-il,
cesse des matières diarrhéiques ; autour et au-dessus do l'orifice,la
peau
est irri- tée, verruqueuse, suintante. BRACHY
t aussi des contractions douloureuses au moindre attouchement de la
peau
(Quante). Si nous passons maintenant au second
e rappeler la loi de Sherrington complétée par Bruns (toute zone de
peau
est innervée par les racines de 3 ou 5 segments m
nheim), des troubles sphinctériens et des troubles trophiques de la
peau
(mal perforant). TUMEURS DE LA MOELLE I ? f'INI
de la syringomyélie : les troubles vaso-moteurs et trophiques de la
peau
, des os et des articula- tions, les troubles se
ne nous dit rien malheureusement sur le trophisme des poils, de la
peau
et des tissus sous-cutanés chez ces deux naines.
race de lésions rachitiques soit des extrémités, soit du thorax. La
peau
est de constitution normale sur toute la surface
lle n'avait pas du tout cet aspect avant la quarantième année. La
peau
n'est d'ailleurs ui trop fine ni trop lisse et de
rugosité est relative à l'âge de notre malade. La coloration de la
peau
est normale ; on observe seu- lement sur les jo
ls qu'on les voit constamment chez les éthyliques. Le grain de la
peau
est parfaitement normal ; les poils de la barbe e
ges des doigts qui ont l'aspect typique, en baguette de tambour. La
peau
ne présente aux mains aucune anomalie ; elle est
s deux côtés une. base d'implantation commune. Le trophisme de la
peau
, des ongles et des tissus sous-cutanés est parfai
bsoluments parfaites; aucune trace de dystrophie des téguments : la
peau
est fine, lisse, sur toute la surface du corps
s, quoique le développement du crâne ne soit pas encore complet. La
peau
du front et de la face est fine et en tout sens n
implantés sur une base com- mune. Aucun signe distrophique de la
peau
et des ongles. Les bras et les jambes sont plut
qui est plus petit, par le manque de toute sorte de rugosité de la
peau
du visage (il faut remar- quer qu'il est de 16
ônes du VIIe nerf ne sont pas hyperexcitables mécaniquement. , La
peau
du visage, légèrement tannée par le grand air, ne
sus sous-cutanés ne sont, en aucun point, ni bouffis ni imbibés. La
peau
n'est point fine, ni trop dense, absolument nor-
mation : La surface cutanée est aux extrémités partout normale ; la
peau
est recou- ' verte de poils assez abondants à l
ymélie MÉTAPODIALE est toujours le même. L'as seul est atteint ; la
peau
et ses annexes, les tendons, le tissu cellulaire,
xtrémités : ce sont deux mâles bien poilus. La constitution de la
peau
et du tissu sous-cutané est, chez tous deux, pa
la peau et du tissu sous-cutané est, chez tous deux, parfaite : la
peau
n'estni trop lisse, ni rugueuse, ni bouffie, ni r
à l'alcoolisme et elle n'existait pas auparavant. La couleur de la
peau
n'a chez ces deux individus rien d'anormal ; le
opos de sujets normaux par leur intelligence/par le trophisme'de la
peau
, des tissus sous-cutanés, des poils, du squelette
: du type Brissaud il a le nez peu développé, le visage glabre, la
peau
fine et claire, la physionomie infantile et la
r d'autres symptômes secondaires tels que le trophisme normal de la
peau
qui n'est qu'un peu fine,cependant que les tissus
2 ; sa consistance est ferme, mais non dure ; il est mobile avec la
peau
du doigt. Le pied gauche est normal. Le droit p
ns y adhérer la première phalange du quatrième doigt. Un manteau de
peau
réunit ici doigt normal et doigt supplémentaire
entation de volume des extré- mités, la coloration asphyxique de la
peau
, avec participation de la face et prédominance
CHRONIQUE HYPERTROPIIIANTE 5 des pieds. Aux membres inférieurs, la
peau
était tendue ; la pression n'y déter- minait au
participaient en aucune façon à cette aug- mentation de volume. La
peau
des mains est épaisse. Sensibilité tactile et the
eu augmentés de volume, sans qu'on puisse l'affirmer cependant : la
peau
y est augmentée de volume et comme marmoréenne.
t longs, mais pas élargis et se terminent d'une façon ordinaire. La
peau
sur le dos de la main et à l'origine des phalan
ont fortement cannelés. A un examen plus attentif, on remarque que la
peau
n'est pas uniformément colorée mais que de plac
, mais d'une teinte beaucoup moins marquée. Pas de scléro-dactylie.
Peau
au contraire, épaissie. Sensibilité intacte. Ongl
s deux ans environ, la coloration des mains et des pieds change. La
peau
devient rouge, puis violette. Cette coloration ne
ent des sortes de picote- ments ; il lui semblait qu'on traverse la
peau
avec des aiguilles. Il éprouve une sorte de dou
rtement des branches du compas doit être agrandi quand on touche la
peau
des doigts à gauche : tandis que du côté droit, i
ace postérieure. La paume de la main est indemne : la couleur de la
peau
est légèrement rosée, mais sans trace de cyanos
ont violacés sur la face dorsale, il y a une teinte biga- rée de la
peau
, quelques places ayant un aspect normal. Il fau
que les surfaces osseuses sont absolument saines (Pl. Il). Sur la
peau
de la main, principalement à gauche, et avec uue
rmaux, sans cannelure, sans courbure exagérée. La température de la
peau
a été prise au moyen du thermomètre à mensu- ra
d'une ligne à peine ondulée, comme si les capillaires dilatés de la
peau
étaient le siège d'une stase marquée. 25. - I
ote des signes conco- mitants d'hystérie. La coloration bleue de la
peau
marche de pair avec l'oedème : et celui-ci est
ceux d'une perturbation vasculaire intense avec rougeur vive de la
peau
,sensation de brûlure intense,modifi- cations op
es hivers que les phénomènes précurseurs : coloration bleutée de la
peau
, fourmillements, picotements, se montrent d'abo
s ; tout au contraire, elle s'aggrave. La coloration cyanique de la
peau
devient insensiblement plus marquée et plus durab
es. Les seuls phénomènes sont à ce stade : la teinte violacée de la
peau
, l'engour- dissement des doitgs, le gonflement
e y est d'une richesse différente et d'une facilité plus grande. La
peau
ainsi modifiée dans sa couleur est un peu ridée,é
s saillantes, d'une colora- tion violacée, tendant la surface de la
peau
, sensibles à la pression. Ces lupus peuvent pré
ut. Tout d'abord il ne s'est pas fait par une tache décolorée de la
peau
, comme on l'a constaté le plus souvent. Cette j
cette vue d'ensemble, nous passons aux détails, nous voyons que la
peau
de la joue est souple, se laisse plisser, ne donn
est pas moins assez intense. Si nous explorons la sensibilité de la
peau
, nous la trouvons normale pour tous ses modes (
Au point de vue sécrétoire, la sécrétion sébacée est conservée : la
peau
ne présente pas de sécheresse ; la malade sue é
l'excellente thèse de Le Calvé, OEdème aigu toxinévropathique de la
peau
et des muqueuses. - Maladie de QuincLe. 1901, Par
elle s'aperçut d'un gonflement sans changement de coloration de la
peau
de la région malléolaire interne gauche. Ce gonfl
êtant au genou et prédominant dans les régions sus-malléolaires. La
peau
de la jambe gauche, blanche, lisse, douce au touc
edème mou que sur la face dorsale du pied. Au niveau de la jambe la
peau
avait une résistance élastique. La pression au ni
faite en injectant 2 centigrammes de nitrate de pilocarpiue sous la
peau
au niveau de la ligne médiane de l'abdomen a pro-
il figure une sorte de gros boudin gras, très droit, d'ailleurs. La
peau
conserve ses plis normaux, elle n'est ni tendue
ou- rent à créer nos muscles, nos articulations, nos tendons, notre
peau
, etc. Et la preuve en est qu'on l'emploie coura
n, par mouvement, par contact, avec ou non les yeux ouverts,'sur la
peau
même ou sur un mo- dèle (1). Les résultats obte
nt sur ses antécédents. C'est un garçon de taille moyenne, trapu, à
peau
très pigmentée, d'intelli- gence très peu dével
ernières périodes de la maladie. En même temps se fit jour, sous la
peau
cicatrisée au devant de la perforation crânienn
ment reconnus. On ne constate aucun trouble de la sensibilité de la
peau
et des muqueuses, sous ses divers modes, ni de
ec un pilon prenant son appui sur ce qui représente la cuisse. La
peau
est normale sauf une légère cyanose et un dévelop
nt l'intérieur même du cordon. A son large pédicule, on passe de la
peau
à l'amnios du cordon, sous lequel on trouve une a
ntimètres au crâne, de 5 au rachis. Au pourtour de cette cavité, la
peau
s'arrête et une pellicule mince, blanchâtre, tran
ifice et on ne peut que soupçonner son inté- grité antérieure. La
peau
qui limite cette baie à la portion crânienne et d
pithélium sont d'ailleurs la continuation de ces formations dans la
peau
qui arrive au bord de la cavité. L'épiderme de
elques follicules pileux mais bien moins développés que ceux que la
peau
pré- sente à sa terminaison voisine. En dedans
s émanés des ganglions sensitifs peuvent être suivis jusque dans la
peau
et jusque dans les muscles. Les muscles ont une s
euf mois, mais d'un garçon de quinze ou seize ans. La couleur de la
peau
est jaunâtre, les cheveux sont blonds. Le corps
ume des os, mais elle est difficilement appréciable à tra- vers une
peau
épaissie et indurée. » Dans la discussion qui a
meaux..... Celui sorti le premier était roux et tout velu comme une
peau
d'animal et il fut nommé Esaii, c'est-à-dire «
l y ait aucune modification de la sensibilité superfi- cielle de la
peau
et surtout de la sensibilité profonde des muscles
nt plus proéminente qu'à gauche, abaissée et portée en dehors. La
peau
et le tissu cellulaire ne présentent rien d'anorm
on du long supinateur semble s'effectuer normalement ; toutefois la
peau
pincée semble plus mobile qu'à gauche. A la m
ès grande ; de plus, L... fait 222 rudler mouvoir en tous sens la
peau
du visage et le cuir chevelu ; il imprime à ses
jour et nuit. C'est, à n'en pas douter, une « adénoïdienne ». La
peau
du visage est colorée, presque couperosée, avec d
rée, presque couperosée, avec de fréquentes bouffées de rougeur. La
peau
du corps est partout doublé d'une forte panne a
« café au lait » de quelques centimètres carrés de surface, sur la
peau
qui recouvre la région de l'omoplate gauche. Il
pertes de mémoire, alors même qu'il n'existe pas de fibromes de la
peau
(3). L'un de nous a soutenu aussi avec R. Oppen
est extrêmement réduit. C'est un appendice directement attaché à la
peau
qui revêt le deuxième métacarpien, au niveau de l
de, à peu de chose près, le même diamètre que le doigt lui-même. La
peau
passe directement du bord radial sur le pouce,
re d'une pièce de 1 franc, donnant issue à une sanie purulente ; la
peau
est violacée sur son pourtour. Du côté extern
acée sur son pourtour. Du côté externe, la région est gonflée, la
peau
est lisse, tendue. Le pied tout entier semble l
r des extrémités osseuses, nécrosées, ayant fait issue à travers la
peau
, soit que l'on fasse une résection véritable, dan
l'extrémité inférieure de l'humérus, nécrosée et luxée à travers la
peau
. Sokoloff (l), en 1896, rapporte l'observation
tule au milieu du bras gauche, après amincissement progressif de la
peau
; la fistule passe au dessous du muscle biceps
n'est pas lo- calisée aux membres; elle s'étend à l'abdomen dont la
peau
retombe comme un épais tablier sur la racine de
tion inférieure du tronc est due en partie à l'épaississement de la
peau
, mais surtout à la prolifération du tissu cellu
s, du cou, de la face et aussi des mains. D'une façon générale,la
peau
a conservé sa coloration normale, sauf aux memb
cé. A la face postérieure des cuisses et au niveau de l'abdomen, la
peau
,au lieu d'être tendue, est plissée, flasque et co
avoir un peu diminué de volume dans ces derniers temps. Partout la
peau
fait corps avec le pannicule adipeux qui la dou
cet intervalle ne dépasse guère 1 centimètre. La température de la
peau
est normale, sauf au niveau des membres inférie
d'autant plus qu'on se rapproche de la racine des membres. Enfin, la
peau
, aux extrémités, en hiver surtout, a une colora
cutanée était un peu augmentée. L'excitabilité vaso-motrice de la
peau
également. Les réflexes tendineux vifs. L'exc
Outre une augmentation légère de l'excitabilité vasomotrice de la*
peau
et de l'excitabilité mécanique des muscles, et
eur. On peut m'objecter aussi qu'un bon fauteuil vaut mieux que des
peaux
d'ours, d'aurochs, des quartiers de roche ou des
ules fusiformes remplissant les vieilles gaines de Schwann. Philip.
peaux
et Vulpian avaient avancé la possibilité d'une ré
tit'Ie plan osseux.(V oir Pl. LXV, fig. 1 et PI.LXVI, fig. 3.) La
peau
du pied infiltré est de teinte grisâtre : mais so
1873 l'existence d'une maladie caractérisée par un gonflement de la
peau
et un état d'indiffé- rence complète survenant
t) : l'un au niveau du testicule gauche - c'est la glande et non la
peau
qui est dou- luureuse - l'autre dans le flanc d
es de la sensibilité. Ilémianesthésie gauche totale et complète. La
peau
et les muqueuses (conjonctive, pharynx, bouche) s
s accès de convulsions toniques déterminés par une excitation de la
peau
ou une mise en action des muscles, l'émotivité, l
aux membres inférieurs, par une exci- tation quelconque, soit de la
peau
sur quelqu'un des points où elle était hyperest
qui occupait la face, le cuir chevelu, la plus grande partie de la
peau
des jambes, le cou-de-pied, etc. Vers la fin de
ce qui s'observe, le plus sou- vent, en cas d'épilepsie spinale. La
peau
des cuisses esl anesthésiée presque en totalité
sur les régions hypothénar et sur divers autres poinls du corps. La
peau
est toujours sudorale, particulièrement aux jambe
dans le membre inférieur droit, comme si elle était couverte d'une
peau
de che- vreau. Fréquemment, elle ne sait où est
e volume, l'aspect d'un phlegmon total de la main. Il semble que la
peau
, sèche et luisante, est près de se rompre. En m
ant à un haut degré du phénomène de dermographie, produisait sur sa
peau
, par des pro- cédés à lui connus, les diverses
des pinces hémostatiques, et lorsqu'on procédera à la suture de la
peau
, le plus souvent il n'y a pas chez les enfants de
itique et suivait un traitement mercuriel. Jamais il ne maniait les
peaux
mercuriahsées. « Dansun atelier de coupeurs de
elle du côté opposé. L'hémihypo- esthésie existait également sur la
peau
, les tissus profonds et les sens spé- ciaux. La
les. Les membres inférieurs sont ri- gides ; ils sont atrophiés; la
peau
est sèche, ulcérée. Les réflexes sont toujours
acée au bon endroit, au lieu d'élection. Peut-être l'ouverture à la
peau
est-elle faite un peu obliquement; peut-être, c
a surface cutanée. C'est à la face qu'elle est le plus marquée ; la
peau
de la région est lisse, flasque, pendante, comm
ie. Sous le menton, pli cutané flasque et ridé, et plissement de la
peau
de la face antérieure du cou comme chez les gens
sque de vieillard sur le corps d'un enfant. Cette disposition de la
peau
est aussi marquée sur la partie supé- rieure du
ependant sur les cuisses et aux genoux. Toutefois, à l'examen de la
peau
, on ne trouve pas d'altération apparente de sa
ou sclérodermique; il semblerait qu'on ait simplement affaire aune
peau
quia été fortement distendue par un oedème, et qu
Le 25 avril, la poussée est presque éteinte. Le 30, plus rien à la
peau
. La malade pesée le 2 mai pèse 53 livres. Le 15
ulcérer, sans laisser de trace, sans modification appréciable de la
peau
à ce niveau. Il y aurait eu une série de poussé
étaient assez espacés, paraît-il, laissant entre eux des espaces de
peau
saine, très rapprochés cependant au niveau des br
et les pieds auraient élé épargnés. Il n'y avait aucun oedème de la
peau
, sauf une petite aréole circonscrite et saillante
encore son éruption cutanée. C'est à la sortie de l'hôpital que la
peau
aurait commencé à se rider, la figure se serait
, la figure se serait plissée quelque temps après. Cet aspect de la
peau
s'est pro- duit très rapidement, dit-on, dans u
É. 173 mais ayant encore de temps en temps une nouvelle poussée. Sa
peau
, dit- elle, était « comme un poisson écaillé ».
c'est une décrépitude apparente du système cutané et surtout de la
peau
proprement dite. ' La surface cutanée, dans tou
d'éruption actuelle et en exa- minant de très près'la surface de la
peau
, on ne découvre, au visage en parti- culier, qu
en dehors des sillons, son aspect lisse et uni. L'aspect ridé de la
peau
varie suivant les régions et suivant l'altitude-
ription fastidieuse et presque fatalement incomplète. A la face, la
peau
du front est peu touchée : quelques rides transve
joues est peu vieillie. ' C'est surtout la moitié inférieure de la
peau
du visage qui est intéressée. Les plis haso-gén
nton, la direction des rides n'a pas de direction bien uniforme; la
peau
esl très mobile sur les plans profonds. La mo
e et très âgée. Le cou, en effet, offre des rides très accusées. La
peau
molle et pendante forme au-dessous du menton une
stance de masses ganglionnaires. Dans la région sous-hyoïdienne, la
peau
est également ridée, pendante, flasque et mobile,
t examinée dans le décubitus hori- zontal, même aspect sénile de la
peau
avec ses rides et ses plis. Les seins plutôt pe
s, les aisselles sont garnies de quelques poils rares et courls. La
peau
y est très ridée ainsi qu'à la face interne des b
qu'à la main, sauf à la face dorsale du carpe et du métacarpe où la
peau
est très nettement plissée. Aux membres infér
oint dans l'attitude couchée. Outre cette apparence objective de la
peau
, surtout accusée à la moitié inférieure de la f
LA SALPÊTRIÈRE. cuisse, dans les régions exactement symétriques, la
peau
présente d'autres phénomènes intéressants. El
reprend assez lentement sa position première, absolu- ment comme la
peau
du cadavre. Lorsqu'on la pince entre deux doigts,
gions peu touchées une infinité de plis plus manifestes que sur une
peau
saine. - Les diverses fonctions de la peau ne s
manifestes que sur une peau saine. - Les diverses fonctions de la
peau
ne sont que peu altérées. La peau est moite; ni
e. - Les diverses fonctions de la peau ne sont que peu altérées. La
peau
est moite; ni sèche, ni écaillée, ni luisante;
taille normale, le poids du corps inférieur à la normale. Seule la
peau
semble trop large pour couvrir les parties profon
r ici de sénilité, même précoce au sens strict du mot; en effet, la
peau
seule, et encore, dans quelques-uns de ses élé-
ez tous, dit M. Charcot', l'aspect extérieur du vieil- lard ; cette
peau
sèche et ridée, ces cheveux rares et grisonnants,
ment dans leur système cutané, sécheresse et teinte terreuse de la
peau
, rides du visage et de la face dorsale des mains,
ureuse qu'une pression profonde, un pen énergique, révèle seule. La
peau
n'est pas hypereslhésique. Pas d'aneslhésie pha
ux et de mettre les instruments le plus possible en contact avec la
peau
. La connaissance de ces deux diamètres nous mèn
dissement très intense dans les membres supérieurs; et cependant la
peau
n'est ni froide ni cyanosée. Enfin, la nutrit
que chose de particulier, en raison du froncement transversal de la
peau
du front, de l'immobilité des yeux et du rétréc
es rétractés, dont on ne sentait plus les tendons saillants sous la
peau
, mais des tissus péri-articulaires épaissis et in
Il était facile de constater la tension des muscles formant sous la
peau
de la région postérieure de la cuisse des cordes
érieurs de la cuisse qu'on sentait et qui faisaient saillie sous la
peau
quand on cherchait à pro- duire l'extension.
à leur sommet et lais- sent échapper un peu de pus et de sang. La
peau
du membre, quand il est découvert, se refroidit v
he de veste (fig. 54, 55). La pointe d'une épingle enfoncée dans la
peau
est perçue comme une piqûre simple, nullement d
f. Ces examens calorimétriques symétriques laissent en effet sur la
peau
des traces perma- nentes du thermomètre, sous f
crémaster et des muscles abdominaux font défaut. La sensibilité de la
peau
a partout persisté, mais elle a quelque peu dim
nomalies de conformation. Organes géni- taux : examen descriptif. -
Peau
et appendices cutanés : examen descriptif. Clas
ervant des points de repère indiqués et marqués au préalable sur la
peau
. Pour avoir la longueur d'une partie, vous retran
s du mamelon (petit, rétracté, parfois sans conduits excréteurs).
Peau
et appendices cutanés. L'examen morphologique du
L'examen morphologique du corps devra se terminer par l'étude de la
peau
. Outre sa couleur variable suivant la nature de
cicatrices ganglionnaires (scrofule, syphilis); la flaccidité de la
peau
, l'état du tissu cellulaire sous-cutané (dermat
ers, depuis quelques années. L'été, ces crevasses disparaissent, la
peau
redevient lisse, mais garde sa coloration viola
gauche et inférieure de l'entonnoir un soulèvement rythmique de- la
peau
. Le maximum de matité du coeur correspond à un
s nerfs ; g. L'aimantation; h. L'excitation superficielle de la
peau
consistant en un simple frôlement, ou pro- du
assage des muscles antagonistes, une contracture par souffle sur la
peau
ne sera réduite que par le souffle appliqué de no
c des tendons, que par le souffle et l'excitation très légère de la
peau
-les deux variétés lé- thargique et somnambuliq
des doigts et des mains, avec épais- sissement pachydermique de la
peau
, assez prononcé pour que les- mouvements en soi
éformation profonde, mais une cicatrice superficielle et dure de la
peau
de la pulpe ; elle aurait duré très longtemps.
, mais tranchant nettement sur la coloration blanche du reste de la
peau
(Pl. XXXVI). La partie postérieure des bras et le
érence très nette dans les mêmes régions, dans la sensibilité de la
peau
considérée dans les régions saines et dans les
, face postérieure de la fesse gauche : plaque asphyxique, ` ? J°8;
peau
saine voisine, 31°. 29 avril, région lombaire d
, 31°. 29 avril, région lombaire droite : plaque asphyxique, 33°l.;
peau
saine voisine, 3 f ? u. Peu à peu la recrudes
s. L'anesthésie, comme on l'a cru longtemps, sur la foi de Gendrin,
Peau
, IIenrot, etc., n'estpas inséparable des manife
s du rachis (région dorso- lombaire, région dorsale supérieure). La
peau
est sensible d'ordinaire au plus léger frôlemen
y a toujours au pli du coude et la paume de la main des plaques de
peau
saine. Aux membres inférieurs, la distribution
lcères, aimerais-tu mieux une femme méchante ? L'ulcère te ronge la
peau
, une mauvaise femme te salera trop ton souper. »
s certainement avec moins de sens pratique : « L'ulcère te ronge la
peau
, une mauvaise femme te torture l'âme. » . Enfin
contracture était accompagnée de quelques troubles vaso-moteurs; la
peau
était, parait- il, rouge et froide « comme les
omme,je le fais maintenant, promener le thermo-cautère rougi sur la
peau
de la cuisse sans qu'il en éprouve la 1. Dlinor
ère gauche avec des anomalies de développement des muscles et de la
peau
du côté opposé semble en faveur d'un trouble d'
ines et les cordons postérieurs de la moelle ont une terminaison à la
peau
plus complexe qu'on ne le croyait autrefois ; les
me et troisième jours ; le pouls est dur et prend de la fréquence; la
peau
est chaude et couverte de sueur; le visage est ro
e moins prononcée. Sur les membres contractures, la sensibilité de la
peau
n'est pas complètement abolie, car, lorsqu'on pin
; seulement, son attention n'est éveillée que longtemps après que la
peau
a été pincée. La déglutition s'opère d'une manièr
a peau a été pincée. La déglutition s'opère d'une manière normale. La
peau
est chaude, le pouls à 80-90, régulier, dur, peti
emps en temps, elle fait entendre des grognements inintelligibles. La
peau
est moins chaude que ces jours passés, le pouls m
ire éprouver une douleur légère, en est obligé de pincer fortement la
peau
de ce côté. Du côté gauche, la sensibilité est to
plus prononcées. On constate de la fièvre ; le pouls est fréquent; la
peau
est chaude et sèche. (On lui prescrit outre sa sc
ence d'une grande quantité de liquide clans la cavité articulaire. La
peau
était blanche, luisante ; la seule rougeur qui y
ée ; elle s'étendait môme jusqu'àlapartie inférieure de la cuisse. La
peau
avait conservé sa couleur naturelle ; elle était
ouve une sensation de froid lorsqu'un corps froid est appliqué sur la
peau
des membres inférieurs, mais la transmission do
nts sur lesquels j'appelle ici l'attention : on voit assez souvent la
peau
des jambes et des cuisses se couvrir d'une érupti
us du côté droit. Pendant ce temps, les parties correspondantes de la
peau
se couvrirent de 1res nombreuses pustules d'ecthy
nterne gauche, et une éruption pustuleuse se produisit bientôt sur la
peau
des régions où se distribue ce nerf. On peut, c
t affectés. Ces dernières articulations sont, en outre, tuméfiées, la
peau
qui les recouvre est rosée et luisante. 11 y a de
, vineuse ; respiration précipitée, irrégulière. La température de la
peau
paraît très-élevée : une sueur visqueuse couvre t
nnée après avoir été soulevée, elle retombe lourdement sur le lit, La
peau
y est plus chaude etplus colorée, principalement
opposé. Toute sensibilité n'y est pas éteinte, car lorsqu'on pince la
peau
du bras ou de l'avant-bras la malade donne des si
eur. Les pommettes sont rouges, la langue sèche, le pouls à 100, la
peau
chaude. On constate tous les signes d'une pneumon
flasque, inerte. Le poignet et le dos de la main sont volumineux; la
peau
présente là une coloration• d'un rouge livide, Il
lysé ne paraissent occasionner que de légères douleurs. Cependant, la
peau
n'est point privée de sensibilité, et quand on la
ril. — L'état s'est aggravé. Délire bruyant, langue sèche, pouls 108,
peau
chaude; soif. T. R. 38°, 4. — La malade ne paraît
t ces jours passés une tache ecchymotique. 15. Stupeur, somnolence,
peau
chaude et moite. Temp. r. 39°, 4; pouls 109. 16
s, qui sont des pièces de 20 francs, sont en contact immédiat avec la
peau
. Deux minutes plus tard, après la production d'un
exemple, et, afin d'éviter d'une façon certaine tout contact entre la
peau
et l'aimant, on interpose entre les deux une feui
ssenti par le malade est une impression de froid, dans bipartie de la
peau
voisine de l'aimant; mais alors, il y a déjà roug
de la peau voisine de l'aimant; mais alors, il y a déjà rougeur de la
peau
; un instant plus tard, la sensibilité renaît dans
'est manifestée. « Si, alors, on examine la pirtie symétrique de la
peau
du côté opposé, on voit que cette partie est deve
tMsiqae, de saine qu'elle était auparavant. « L'application, sur la
peau
du front, des pôles des barreaux aimantés produit
lliques. Si l'on prolonge le contact des pièces métalliques avec la
peau
, il y a, comme on le sait, une période de réactio
gauche, après avoir constaté, par exemple, qu'en lui transperçant la
peau
avec une aiguille, on ne provoque chez la malade
xer sur une petite bande et de les maintenir ainsi en contact avec la
peau
. Voici alors ce que l'on observe, si la malade
ertit qu'elle sent son bras comme engourdi ; alors, si vous piquez la
peau
au voisinage de la bande, vous voyez que la sensi
remarquez en môme temps un certain nombre d'autres particularités. La
peau
rougit et les piqûres qui, avant l'application du
s la continuez, c'est-à-dire si vous laissez le métal appliqué sur la
peau
, il se passe un phénomène très singulier sur lequ
attention d'une manière toute spéciale. Si vous continuez à piquer la
peau
, vous vous apercevez qu'à un moment donné, la sen
gue, un sentiment de chaleur dans l'estomac, des démangeaisons à la
peau
, en un mot des symptômes d'intolérance. Le mieux,
ulaire : il suffit d'exciter mécaniquement un muscle au travers de la
peau
, soit en pressant, soit en frottant, même légèrem
r le bras gauche, en plaçant ses pôles actifs à peu de distance de la
peau
, le bras gauche, au bout de peu d'instants se con
omme plongé dans un sommeil profond. — H y a analgésie complète de la
peau
et des membranes muqueuses accessibles. Les appar
membre (passes), ou encore, à l'aide d'un souffle léger dirigé sur la
peau
, développer dans ce membre une rigidité qui diifô
peracui-té fort remarquable de certains modes de la sensibilité de la
peau
, du sens musculaire et de quelques-uns des sens s
seur des doigts dont les reliefs sont facilement appréciables sous la
peau
, pour qu'aussitôt le doigt correspondant — et cel
ée, reposant sur un plan osseux résistant, recouvert seulement par la
peau
et éloigné de toute autre partie molle. 11 est do
légère, de façon à ne consister qu'en un grattement superficiel de la
peau
, elle retentit presque toujours sur un plus ou mo
dessus de la moitié externe du sourcil. — Au-dessous des sourcils, la
peau
est tendue au niveau de la tête et dans l'espace
terne du sourcil dirigée de haut en bas et de dehors en dedans ; — la
peau
de la partie médiane du front est lisse et tendue
es : l'aile du nez est attirée obliquement en haut et en avant, et la
peau
des parties latérales du nez se marque de plis pa
çant dans le conduit auditif externe un réophore conique coiffé d'une
peau
humide et en appuyant sur le cartilage inférieur;
d'un membre postérieur de la grenouille, a indiqué des régions de la
peau
dont l'excitation donne lieu à des mouvements réf
à des muscles, ses rameaux sensitifs se distribuent à la partie de la
peau
qui est en rapport avec ces mêmes muscles. M. Vul
e est la suivante : Une excitation mécanique qui n'intéresse que la
peau
comme le pincement, la piqûre, — en ayant bien so
oler le point excité des parties sous-cutanées en faisant un pli à la
peau
, demeure également sans résultat. Tandis qu'au mê
muscle tibial antérieur, dont on voit le tendon faire saillie sous la
peau
. Le même résultat peut être obtenu à la suite d
entre tenue par l'excitation permanente venant des muscles ou de la
peau
. Si, dans cet état, l'excitabilité des cellules m
sive, au moins dans ses effets locaux ; elle laisse simplement sur la
peau
une rougeur pa-puleuse qui disparaît en quelques
quables ; par exemple, on peut développer une plaie sur une région de
peau
saine. Il était tout naturel que certains expérim
musculaire serait incapable de deviner quand on excite un point de la
peau
, quels sont les muscles qui doivent entrer en con
écrétions directes et réflexes des glandes de la diges- tion, de la
peau
, des glandes sexuelles et autres, la sécrétion di
localisée à un point déterminé du corps grâce à l'excitation de la
peau
locale tactile ou d'autres nerfs. Si on détruit
au bord interne du gros orteil une petite ulcération entourée d'une
peau
indurée épaissie. L'ulcération ne s'étend ni en s
en 1902, les douleurs reprennent, intenses, au 50 orteil droit ; la
peau
, épaissie et indurée, s'ulcère sur le bord intern
douleurs apparaissent au sillon sous-unguéal de l'index gauche, la
peau
est épaissie, non ulcérée, l'extrémité du pouce g
rations, et ulcérations précédées d'épaississement blanchâtre de la
peau
, tels sont les symptômes; il n'y a jamais eu ni
t déprimée en cupule, l'épider- me est très épaissi, blanchâtre, la
peau
semble morte, la sensibilité tactile est émouss
oint gris noir, vermoulu. L'ongle est blanchâtre, lisse, opaque. La
peau
autour de l'ulcération et sur le dos de la phalan
lie mousse de3 à 5 millimètres, de couleur terne, brun verdâtre; la
peau
entoure l'os dénudé d'un gros bourrelet rosé; le
n, il semble diminué de hauteur, il est opa- que et blanchâtre ; la
peau
du doigt est lisse et tendue sur la 3° phalange.
e postérieure de l'avant-bras remontant un peu au delà du coude. La
peau
ne présente de changement d'aspect qu'au niveau
il ne dépasse pas la tubérosité tibiale. Sur toute cette étendue la
peau
a sa couleur normale ou est un peu rouge ; elle
ent à gauche, alors qu'elle persiste quelques instants à droite. La
peau
de cette jambe oedématiée a l'air remplie, disten
due, par endroits elle est comme capitonnée et prend l'aspect de la
peau
d'orange ; très épaissie, elle ne glisse pas su
nt de vue clinique, nous relevons les particularités suivantes : La
peau
n'est pas blanche dans toute son étendue ; elle e
e. Nous attirons l'attention sur l'élévation de température dont la
peau
est le siège, au niveau de l'infirmité. La plup
lle image radiographique concorde bien avec l'aspect clinique de la
peau
d'orange ; elle est curieuse à rapprocher de la
athologique. A l'autopsie, anasarque absolument géné- ralisée, avec
peau
ichtyosique, rouge à tous les points de pression,
res supérieurs sont extrêmement atrophiés, il n'y reste plus que la
peau
et les os. La paralysie est complète sauf dans le
iques, parce que nous savions à priori qu'un point quelconque de la
peau
reçoit l'intervention au moins de deux racines
associations d'idées il était poussé à entrer non seulement dans la
peau
selon l'expression banale mais bien aussi dans
es orteils eux-mêmes. La tuméfaction semblait être sous-cutanée, la
peau
elle-même semblant sèche, seulement mo- dérémen
le mollet droit et paraissait beaucoup plus chaud au toucher que la
peau
avoisinante. Il n'était pas surélevé comme une
et enflée comme au commencement de l'attaque. La température de la
peau
rougie était de 99° 4 F. prise avec un thermomètr
sume Halma- grand, par une face joufflue, des lèvres saillantes, la
peau
fine et glabre, des cheveux fins, un ventre pro
arca- des zygomatiques très visibles, les pommettes saillantes; la
peau
est lisse ; toute ride frontale a disparu ainsi
ant surtout sur le front et les bras. De même, le frottement ^de la
peau
détermina plusieurs fois l'apparition d'une rou
au niveau d'un pied. Le malade est profondément cachectisé, il a la
peau
collée sur les os, l'amyo- trophie est extrême
les hanches seules montrent des contours un peu moins pointus. La
peau
est partout très pâle et fine avec un fond grisât
et de la Vlle paire sont indo- lents à la pression digitale. ' La
peau
est sur toute la figure très pâle et avec un fond
nts ; le sternum n'est pas saillant. Pas de chapelet rachilique. La
peau
est partout fine et élastique; 310 ' ETTORE LEV
ni faciale ni crânienne. Nous avons déjà dit que les cheveux et la
peau
ne montrent rien d'anormal ; pas la moindre tra
, petit et pas sail- lant ; la colonne vertébrale bien droite. La
peau
est sur le visage à fond brun, fine et élastiqu
lus sa physionomie s'est altérée : les traits se sont accentués, la
peau
du visage s'est comme épaissie : Les parents ont
re sous-cutané est très développé ; les muscles sont flasques et la
peau
très épaisse. On note une cyanose de degré assez
pement énorme du tissu cellulaire sous-cutané, épaississement de la
peau
; tout cela réalise un tableau très semblable à
ns l'acromégalie l'hypertrophie de la langue, les altérations de la
peau
et du tissu cellulaire sous-cutané, sont causée
'angle du sourcil en haut et à gauche et plissent à cet endroit la [
peau
du front. Nous nous sommes demandé.en raison de c
physiques et psychiques caractéristique. Sa taille est moyenne. La
peau
ne présente pas d'anomalies d'épaisseur, mais sa
naissables facilement par le teint, brun-terreux ou ictérique de la
peau
et par l'énorme volume du ventre déformé par la
lèvres saillantes et charnues, nez peu développé ; visage glabre ;
peau
fine et claire ; che- veux fins ; sourcils et c
Petite taille, formes délicates et élancées, squelette très grêle,
peau
fine, pâle, formes anguleuses, épaules larges, ex
nitaux sont typiquement infantiles. Chez l'ainée des deux soeurs la
peau
est pâle avec un fond terreux gri- satre,pendan
, les quatre fausses couches de la mère ; la couleur terreuse de la
peau
et les déforma- tions dentaires chez Marguerite
, complètement anesthésique. L'examen, avec du papier réactif de la
peau
et du bas baignés avec de l'eau distillée, et p
ies ayant produit à un moment donné, les plaques gangreneuses de la
peau
, et en dernier lieu l'ulcération de l'esto- mac
c une endocardite végétante ? Pas possible. Reste l'embolie de la
peau
; c'est bien : mais embolie de quelles artères ?
ouvons manquer de nous rappeler une autre série d'altérations de la
peau
qui présente des analogies frappantes avec les ma
s. D'autre part, Joffroy a observé une vraie gangrène cutanée de la
peau
en îlot chez les tabétiques. En outre, chez un
'il ne s'agit pas des autres varié- tés de gangrène spontanée de la
peau
connues en clinique médicale, et que les plaque
que, dans mon observation, il s'agit d'une gangrène spontanée de la
peau
chez une hystérique. Pouvons-nous affirmer enco
vons-nous affirmer encore qu'il s'agit d'une gangrène cutanée de la
peau
ayant un rapport de dépendance avec l'hystérie
athologie, il faudrait pour cela : a) Démontrer que la lésion de la
peau
ne dépend d'aucune autre maladie. Ce que nous a
bien encore associée à l'hystérie (1). La gangrène spontanée de la
peau
se produit-elle donc avec une certaine fréquenc
vant tout, faire une remarque générale. La gangrène spontanée de la
peau
(lorsqu'elle n'estpas symptomatique d'une cachexi
pitre de son traité à la description des altérations trophiques de la
peau
de nature hystérique, parle longuement de la ga
Gall, M. Doutrelepontont fait des analyses chimiques répétées de la
peau
cor- respondant aux plaques, et ils n'ont pu dé
etites plaques gangreneuses parfaite- ment égales aux plaques de la
peau
, sur le repli glosso-épiglottique et sur la con
ystérique a vu se produire de petites lésions gahgré- neuses sur la
peau
, sur le conduit auditif et sur la membrane du tym
La bouteille s'est débouchée par accident; le liquide a atteint la
peau
de ma cuisse. Je n'ai éprouvé aucune douleur ; lo
er de ce fait, à savoir « qu'il existe une gangrène spontanée de la
peau
, bien caractérisée par sa symptomatologie, qui
J'espère avoir démontré assez bien que la gangrène spontanée de la
peau
doit être considérée d'iniquement comme ayant un
rsuasion », c'est-à-dire : « est-ce que la gangrène spontanée de la
peau
appartient au «pithiatisme}) sensu stricto, sel
e dans ses deux parties : a) Est-ce que la gangrène spontanée de la
peau
peut être 1'ep1'o- duite par la suggestion ?
on hystérique les lésions gangreneuses sur un point déterminé de la
peau
: il recouvre cet endroit par un large et épais
. Bruchon on a remarqué la coïncidence des plaques gangréneuses de la
peau
avec des phénomènes dus à un ulcère gastrique.
it depuis longtemps des plaques multiples de gangrène spontanée de la
peau
une plaque de gangrène survenue sur la paroi du
u du duodénum (ictère), de la même nature que les ulcérations de la
peau
a été la cause de sa mort rapide. Je crois qu'a
t de la suggestion. Bien qu'il ne s'agisse pas d'une gangrène de la
peau
, je désire rappeler ici que M. le professeur, K
ion des hémorragies cutanées en apposant des cachets de cire sur la
peau
. Je rappelle encore que chez le malade présenté
hez tous les sujets qui ont présenté de la gangrène spontanée de la
peau
il y a eu un traumatisme initial, et chez tous le
e paralysie des artérioles commandant les zo- nes vasculaires de la
peau
,ouvre,dans la sphère de distribution de l'artère,
quence, une gan- grène superficielle siégeant dans la portion de la
peau
voisine du corps muqueux, laquelle ne peut subs
du système vasomoteur, avec les plaques de gangrène spontanée de la
peau
. , Rien de plus. Nous ne pouvons pas encore exp
a formulée de la manière suivante : « La gangrène spontanée de la
peau
peut se produire chez des su- jets hystériques
due à la fonction de coudre. Est-ce que la gangrène spontanée de la
peau
chez les sujets hystériques peut donc guérir ra
que. IV Conclusions : 1° Il existe une gangrène spontanée de la
peau
, indépendante de toute affection organique et d
organique et de toute supercherie. 2° Celte forme de gangrène de la
peau
se produit, dans l'énorme majo- rité des cas, c
nous avons émises d'après l'élude de la gan- grène spontanée de la
peau
, ce syndrome aurait un lien d'interdépendance a
tion; nombre des sujets prétendaient sentir un léger souffle sur la
peau
du visage ; d'autres parlaient d'une légère sensa
ulièrement le plus profond, c'est-à-dire la gangrène spontanée delà
peau
, puisque nous avons démontré qu'ils sont soumis
apitre de son Traité au traitement des altérations trophiques de la
peau
de nature hystérique, parle longuement de la ga
; l'autre, symptomatique d'une véritable névrose vaso-motrice de la
peau
. La première de ces affections est connue des d
; actions des excitants mécaniques, chimiques, élec- triques de la
peau
; sensibilité; température locale. R... (Georges
phie cutanée. C'est aussi par hasard en voyant se des- siner sur sa
peau
, d'abord en rouge, puis en relief les objets qui
elle nous consacrons ce travail. Toute excitation mécanique de la
peau
et des dermo-muqueuses détermine chez lui l'app
cette membrane; aussi peut-on imprimer un objet quelconque sur la
peau
de notre malade comme sur un cachet de cire ou
longueur varie, selon les dimensions du corps mousse promené sur la
peau
, de cinq à dix millimètres et dont le relief qu
Quelle que soit donc l'intensité de l'excitation mécanique dont la
peau
et aussi les dermo-muqueuses, telles que la muque
ption de la sérosité oedémateuse par les espaces lymphatiques de la
peau
et retour progressif à l'état normal. (Phase de
QUE ET ERYTHRASMA. 15 ortiées dont on peut si facilement couvrir la
peau
de R..., nous nous sommes attaché à déterminer
leur développement : L'inlluence des excitations mécaniques de la
peau
a d'abord attiré notre attention. Nous avons vu
mille manières. C'est ainsi que l'on peut à volonté imprimer sur la
peau
du patient le chiffre d'un cachet ou l'effigie
force (douche en colonne et en pluie) détermine à la surface de la
peau
de R... les mêmes phénomènes que le conctact et l
évoquée en doute la légitimité. Les excitations électriques de la
peau
ne nous donnèrent pas des résultats aussi posit
L'électricité statique fut d'abord essayée. Nous dirigeâmes sur la
peau
de R... des étincelles d'une longueur variant de
type Dubois- Raymond, avec interruptions fréquentes, localisé à la
peau
à l'aide d'un bouton métallique sec, ne détermi
ation pendant quelques secondes d'un tampon circulaire recouvert de
peau
humectée d'eau, fut cependant suivie de l'appar
n courant induit, assez intense et assez pénétrant, produise sur la
peau
de R... des effets neuro-paralytiques analogues
ous la clavicule du malade deux plaques en étain, recouvertes d'une
peau
humide, mais sans faire passer le courant. Cett
t, par une coïncidence assez heureuse deux affections rares de la
peau
, l'une parasitaire, ]'autre, d'ori- z gine vaso
onçaient des plaques d'urticaire et des (roubles vaso-moteurs de la
peau
; mais il s'agissait là, si nous ne nous trompon
enta le 11 janvier 1887 à la Société médicale des hôpitaux', sur la
peau
de laquelle l'on pouvait écrire en relief avec
. Si l'hystérie semble favoriser les troubles vaso- moteurs de la
peau
et notamment la stéréographie 1 Huchard. Traité
z notre malade, mais beaucoup moins prononcés, s'observent sur la
peau
de certains sujets atteints de pyrexie, adyna-
inférer de notre observation que les excitations mécaniques de la
peau
, même très légères, ont sur sa détermination un
ns le cas que nous envisageons, à des exci- tations mécaniques delà
peau
. Les phases successives et le mécanisme de ces
euvre. Au moment de sa contraction, il ne forme plus relief sous la
peau
et à la palpation, il est flasque et mou. Nous
s la tête ni le cou, a 0"'GO de hauteur. Il existe partout, sous la
peau
, un pseudo-oedème plus ou moins abondant, selon
reilles (bajoues), aux extré- mités, mains et pieds. En pressant la
peau
avec le doigt, on éprouve une sensation sui gen
les caractères du pseudo- oedème de la cachexie pachydermique. La
peau
est jaune cireux à la face, sauf au milieu des jo
la teinte cireuse est moins pro- noncée; aux cuisses et au dos, la
peau
est même rosée. La peau est en général rugueuse
ns pro- noncée; aux cuisses et au dos, la peau est même rosée. La
peau
est en général rugueuse. Aux bras, il existe une
0"'22 de longueur, les inférieurs, également égaux, ont0'"31. La
peau
du bras est; nous l'avons déjà dit, très rugueuse
déjà dit, très rugueuse, ictliyo- sique. Aux mains et aux pieds, la
peau
est épaisse, rude et un peu eczémateuse. Les ex
e de sentir la glande thyroïde : il ne paraît y avoir rien entre la
peau
et les carti- lages thyroïde et cricoïde. Les d
mme plongé dans un sommeil profond. Il y a analgésie complète de la
peau
et des membranes mu- queuses accessibles. Les a
eracuité fort remarquable de certains modes de la sensibilité de la
peau
, du sens musculaire et de quelques-uns des sens
tem- pérature, enfin, la sensibilité des parties sous-jacentes à la
peau
. Les sensations excentriques sont en outre l'ob
a syphilis, en 1884 : ulcères aux organes génitaux, éruption sur la
peau
, maux de gorge et chute du nez. Elle fut soigné
lis, du nerf ilio-inguinalis, du nerf cutaneus posterior et dans la
peau
des fesses, où elle est réduite à zéro. Hyperes
aux organes génitaux, des condylomes à l'anus, une éruption sur la
peau
, des ulcères dans la bouche et la gorge, sur la
ités supérieu- res normales. Dans les hanches, et en partie dans la
peau
du dos, plaques d'hyperesthésie, et paresthésie
uables; par exemple, on peut développer une plaie sur une région de
peau
saine. Il était tout naturel que certains expér
culaire serait incapable de deviner, quand on excite un point de la
peau
, quels sont les muscles qui doivent entrer en c
itabilité modifiable des expansions nerveuses à la périphérie de la
peau
, la prolongation même de l'examen (exercice delà
? zalyliqties. L 'Idem. . 300 SOCIÉTÉS SAVANTES. fection de la
peau
, à laquelle doit son nom la maladie, n'a rien d
. On eut à se louer des courants d'étincelles excitant fortement la
peau
dans les anesthésies cutanées, les atrophies mu
(cas légers) à des frictions froides en frottant énergique- ment la
peau
, employer peu les calmants, tels qu'opium, mor-
nouveau et pendant quelque temps il y eut une certaine enflure (la
peau
était rouge) dans la région de l'articulation t
durée, périodes de chaleur au contraire très longues; au contact,
peau
brûlante; visage écarlate, forte douleur au front
frottait, sans rou- geur ni autre changement de la coloration de la
peau
de cette région. Il comprenait parfaitement la
ers, on voit aussi deux plaies ; l'une a amené la destruction de la
peau
; dans l'autre, l'os est à nu. Eschare au calca
étant loin de son pays, il n'était pas convenablement soigné, la
peau
à la région du sacrum avait commencé à devenir ro
ns par des lavements. L'état du malade s'améliora par ces soins, la
peau
à la région du sacrum revint à son état normal et
sentèrent de nouveau les symptômes de la gangrène très intenses; la
peau
devint de nouveau rouge, elle s'ulcéra et les p
'apprécier bien au juste cependant, s'il faut. pincer assez fort la
peau
pour provoquer des mouvements, un mot suffit quel
r la contraction des muscles qui se tendent et font saillie sous la
peau
, à peu près comme chez tout le monde; et, d'un
REVUE STATISTIQUE. de la fermer éncrgiquement, le plissement de la
peau
est très incomplet. Nous attirons particulièr
de l'injection, mais que le contact prolongé de la solution avec la
peau
ne produit rien, fait antérieurement constaté p
entral dans le vernissage REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 469 de la
peau
. Les recherches de M. Anfimoff tendent à légi-
s du système nerveux central des ani- maux dans le vernissage de la
peau
. Thèse inaugurale. Saint-Pétesbourg, 1887. De
é- nital. Le Médecin, n 44., 188G. Tekouteff. Du vernissage de la
peau
chez les individus bien portants. Thèse inaugur
Elisa X... présente un air bestial, sa figure est repoussante; la
peau
est pâle, mate, bouffie ; les paupières, atteinte
temps de la vie, les membres avaient beaucoup diminué de volume, la
peau
y était ridée, sans moiteur et donnaient une tr
pais; cyanoses; froids; absence de poils aux aisselles et au pénil;
peau
cireuse, blafarde, avec un peu de desquamma- ti
al (dégénérescences secondaires dans le), par Bech- terew, 109.
Peau
(modifications du système ner- TABLE DES AUTEUR
habituellement employées, mais garnies au milieu d'un coussinet en
peau
de chamois ; des* petites courroies transversal
lète de troubles de la sensibilité. G. D. VI. OEdème scléreux de la
peau
; par VERRIEST. (jours. de Neurolo- gie, 1900, n
ns, non syphilitique, qui était atteinte d'un oedème scléreux de la
peau
du cou, du thorax et des membres supérieurs, et
ieures rend compte des troubles peu accusés de la sensibilité de la
peau
. Quant à la spontanéité de l'épanchement sangui
bes. Puis, trois heures après l'accident, coloration bleuâtre de la
peau
et phéno- mènes mentaux. Absence d'hémoglobinur
, ainsi que l'élévation de la température et l'épaississement de la
peau
du même côté. La lésion initiale parait siéger
edémateuse ; pas de changement appréciable de la colo- ration de la
peau
. Le malade est incapable de saisir un petit obj
auche est d'aspect normal, sans la moindre diminution de volume, la
peau
est normalement colorée, aussi chaude que la pe
n de volume, la peau est normalement colorée, aussi chaude que la
peau
du bras droit. Pas de contractures. Pas de troubl
bien que, cependant, on constate la contraction des muscles sous la
peau
. Peu à peu la sensibilité faradique réappa- raî
, paraissant même notablement plus vigoureux que le bras gauche. La
peau
en est normale. Pas de troubles trophiques ni v
présentaient un affaiblissement très marqué de la sensibilité de la
peau
aux courants faradiques. Quand nous commencions
a conductibilité centripète et la somma- tion des excitations de la
peau
. La méthode des dégénérescences, elle, ne paraî
la bouche. Puis elle lui dévora le nez, la bouche et le menton; la
peau
du front, depuis l'arcade sour- cillière, était
1897. CLINIQUE MENTALE Contribution à l'étude des réactions de la
peau
chez les aliénés l ; Par le Il E. nlaltawov D
degré excessif, c'est-à-dire de l'absence de toute réaction de la
peau
. Relevons tout d'abord que si l'hystérie a le max
nilité. Ainsi donc chez les vieillards en enfance la réaction de la
peau
est rarement normale et l'altération qu'elle subi
s arrivons sont conformes à ce que nous savons de la vitalité de la
peau
aux âges avancés. Le minimum se montre après l'
chives de Neurologie, n° 71, t. XII, p. 384, 1901. -RÉACTIONS DE LA
PEAU
CHEZ LES ALIENES. 195 rations en moins, réactio
stématique. Il serait intéressant de rechercher les réactions de la
peau
dans chacune d'elles. Nous allons le tenter, ma
02 0 r S S c M 'S e m z > RÉACTIONS DE LA
PEAU
CHEZ LES ALIENES. 197 7 Ce tableau montre que n
à une assez forte proportion d'affaiblissement de la réaction de la
peau
chez les mélancoliques que suivent à 2 p. 100 p
i bien intéressant de rechercher les variations des réactions de la
peau
aux trois périodes de la 198 - CLINIQUE MENTALE
jours restés à la même période ont eu les réactions suivantes de la
peau
. " RÉACTIONS DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 199
iode ont eu les réactions suivantes de la peau. " RÉACTIONS DE LA
PEAU
CHEZ LES ALIÉNÉS. 199 aurons toutes les réactio
DE LA PEAU CHEZ LES ALIÉNÉS. 199 aurons toutes les réactions de la
peau
que nous avons ren- contrées aux trois périodes
et et établit clairement que les altérations de la réaction de la
peau
croissent parallèlement à l'évolution du mal. 2
our étudier d'une façon complète l'évolu- tion de la réaction de la
peau
à toutes les périodes de la para- lysie général
i l'ûge n'aurai L pas une influence marquée sur les réactions de la
peau
. C'est la forte proportion d'altérations en moi
ouvons encore là la confirmation des faits que nous RÉACTIONS DE LA
PEAU
CHEZ LES ALIÉNÉS. 201 l signalons. Nous laisson
e chez les vieillards en enfance la normalité des réactions de la
peau
était assez rare, celles-ci étant dans la gra
ieur. Les orteils sont libres au bout de dix minutes. - Sentez la
peau
du cou-de-pied : mouvements de flexion et d'ext
de flexion et d'extension du pied et de latéralité des orteils + La
peau
brûle, est pleine de fourmis-)- Quelques craque
e la main droite, puis de tous les doigts. - Cinq minutes après, la
peau
du cou-de-pied est réveillée. Sentez le pied :
ce + La cheville se débloque au bout de cinq minutes. - Sentez la
peau
de la jambe : mouvements de flexion, d'exten- s
e sur la cuisse, de pronation et de supination du poignet droit. La
peau
du genou est comme raide -f- ll-y a des noeuds
l'articulation, qui craque et se débloque Cinq minutes. Sentez la
peau
de la cùisse : mouvements très étendus de flexion
ouvements très étendus de flexion de la cuisse sur le bassin -E- La
peau
est -un peu raide ? Mouve- ments de rotation en
e ? Mouve- ments de rotation en dehors de la cuisse et du bras + La
peau
pique un peu + Crise de contracture de trente s
s + Ce qui était bloqué à la hanche a disparu après la crise, et la
peau
a récupéré toute sa sensibilit , GRANDE HYSTE
plus- L'épaule a récupéré sa sensibilité. Sentez votre ventre : la
peau
brûle, on dirait d'une barre de feu transversal
ns et demi + Si je savais où il est celui-là, je lui ferais bien la
peau
+ Il y a un chien là-bas + Soubresaut -j- Le ch
ns en moins son cerveau et je puis constater que l'anesthésie de la
peau
du front et du cuir chevelu va en s'accentuant
a suralimentation éventuelle. On veille au bon fonctionnement de la
peau
, sans agir sur elle trop fréquemment et trop br
u- rant indiquée, on éprouve l'impression d'une vive chaleur : la
peau
incontinent rougit et présente une exagération de
ent exposées aux rayons lumineux comme le visage, tandis que sur la
peau
tendre ordinairement couverte, elles subsistent
s lumi- neux et non aux rayons caloriques, car, si l'on recouvre la
peau
d'un léger enduit de suie, malgré le renforceme
re ordinairement une, deux, trois minutes et demie au maximum. La
peau
s'habituant à l'action de la lumière, les dernièr
us longues. Généralement après une séance d'une minute et demie, la
peau
du patient fait les frais d'une légère inflamma
ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. résistance opposée par la
peau
à la pénétration du courant, car, en plaçant le
deux côtés, la partie supé- rieure de l'oreille est adhérente à la
peau
du crâne, la peau de la région temporale se con
rtie supé- rieure de l'oreille est adhérente à la peau du crâne, la
peau
de la région temporale se continuant avec le re
forts trousseaux de fibres de l'élévateur de la paupière vont à la
peau
, et, par suite sont aisément accessibles au coura
ns les expériences per- sonnelles de l'auteur. Il introduit sous la
peau
et sous les muscles des chiens des pellicules d
pose le géla- . tinobromure d'argent des pellicules placées sous la
peau
et der- - rière l'oreille après une exposition
- La sensibilité pilaire représente la plus fine sensibilité de la
peau
. On l'étudie à l'aide des tricho-esthésiomètres
a sensibilité au chatouillement. Toute pression ou élongation de la
peau
fait instantanément disparaître la sensibilité pi
s téguments, au niveau des pieds et la consistance différente de la
peau
à la région des jambes. Celle-ci, en ce point,
: il s'agit d'une nodosité indolore située dans l'épais- seur de la
peau
et correspondant à une tache rougeâtre de 1 c. 1/
demi-noisette et à peine sensible à la pression, est située sous la
peau
, qui ne présente d'ailleurs aucune altération v
ité au bras gauche a presque disparu; la tache correspondante de la
peau
est devenue bleuâtre et semblable aux ecchymose
elles observées antérieurement. - 2. Légère teinte bleuâtre de la
peau
au-dessus de la nodosité de la cuisse gauche. D
ble au mollet gauche, un peu plus petite et située également sousla
peau
, légèrement rouge à cet endroit. 3. Deuxième
bien caractérisée, avec zone hyper- esthésique correspondante de la
peau
de l'abdomen. L'existence de l'hystérie, dûment
oulou- reuses dans le tissu sous-cutané ou dans l'épaisseur de la
peau
(dans ce dernier cas, observé le 24 janvier, avec
ômes généraux habituels (tachycardie, sang à la tête, chaleur de la
peau
) nous avaient fait admettre la probabilité de l
tte pertur- bation est nettement limitée à certains nerfs. C'est la
peau
de la tête qui est la moins affectée : à la têt
ériphérie, et par des différences de la réaction vaso-motrice de la
peau
. Si l'on prend la température en des points sym
e ovale, creuse, du volume d'une noisette, librement mobile avec la
peau
, insensible à la pres- sion, siège à droite et
l tissu qu'on doit chercher ses stigmates, et qu'il faut étudier la
peau
, les muqueuses, les yeux, le coeur, les vaissea
ne compte indiquer que les points importants pour le diagnostic. 1°
Peau
: ne pas oublier que l'on sera rarement en pré-
ion donne un peu de sang et une ecchymose, malgré la pâleur de la
peau
. Toutes les lignes de démarcation entre les zones
e chronique. MM. Raymond et SICARD présentent un malade, ouvrier en
peaux
de lapins, atteint de tous les signes de l'hydr
ucifiement d'un -, 17. Contribution à l'étude des réactions de la
peau
chez les -, par Marandon de 1<lonty'el, 19
otre et ses limites, par E. Hunge, 223. OEDi;\11 : scléreux de la
peau
, par Verriest, 47. OREILLE externe. Une anoma
ue de -, 493. Patronage familial en Ecosse, par Peeters, 507. 1
Peau
. Voir Aliénés. i Perversions SEXUELLES en Orien
poignet sous la forme de plaques en bracelet, sans inter- valles de
peau
saine. L'état général est bon. - Soir : T. Il.
dée, nasonnée. Del... regarde les gens en riant d'un air hébété. La
peau
est très pigmentée; les cheveux font très noirs,
étonnée, parait intelligente, propre, soigneuse, et se tient bien.
Peau
glabre, lisse, assez fortement pigmentée en brun.
t maigre, et le pli de pincement entre deux doigts est peu épais.
Peau
blanche, très écailleuse, cheveux châtain foncé b
urs régulièrement conformés; les ongles ne sont pas rongés, mais la
peau
de la face dorsale présente au niveau du métaca
générale satisfai- sante, adipose assez marquée, face colorée. - La
peau
pig- mentée est rude. Tète. Les cheveux sont
oïde à 18 ans. Marié à 29 ans. Caractère emporté. Pas de maladie de
peau
, pas de migraines; quelquefois douleurs dans le
ns lon- gues ; doigts-volumineux. - Membres inférieurs, normaux ;
Peau
blanche. Cicatrice de la trachéotomie. Viscères n
ans). Un ou deux mois après, sa femme a remarqué une éruption à la
peau
, des maux de gorge, etc. Il a dû suivre de nouv
chaque main, davantage à droite, épaississement papittomateux de la
peau
, avec desquamation croùieusc qui parait due aux
développé que le droit. - La marche est dillicile, hésitante. La
peau
du tronc est rugueuse; le pannicule adipeux est
Il était « très sain », dit la mère, n'a jamais eu de maladies de
peau
, ni de signes de syphilis. - [Son père, cultivate
se moyenne, aspect de bonne santé; l'expression est hébétée. - La
peau
est blanche ; nulle part ni au cou ni aux aines,
ée, téguments colorés. Expression géné- rale stupide, air hébété.
Peau
fine, pas de cicatrices. Cheveux châtains foncés,
allongé, sans bosses frontales. Du côté droit l'on sent, sous la
peau
, des irrégularités de la surface osseuse; une crê
éformation ; circonférence au niveau des seins : 61 centimètres. La
peau
du thorax est le siège d'une desquamation furfu
et à demi-fléchis sur les bras ; les doigts sont à demi-fléchis. La
peau
des mains est violacée et froide. Membres inf
mpérature descend à 37°; le poids n'est plus que de 24 kil. 100. La
peau
devient moite. Pouls : 120. Fig. 21. - Deb... e
uillet. - Pouls : 70 ; T.R. 37", 2. Urine : 525 gr. 9 juillet. - La
peau
du malade reste toujours moite. Avant le traite
traitement chez lui, comme chez les malades de cette catégorie, la
peau
était sèche. Les croûtes du cuir chevelu ont co
evelu ont complètement disparu. On observe une desquamation de la
peau
des mains et des pieds, Deb.... taquine les infir
pas d'appétit. Urine : 500 gr. Pas de glande. La desquamation de la
peau
des mains et des pieds continue. Pouls : 120. U
). 15 juillet. - l'as de glande. Pouls : 120. Urine : 500 gr. La
peau
est moite. 16 juillet. - Va lobe. Pouls : 120.
ait au niveau de l'ombilic Om,740, il ne mesure plus que Om, 67. La
peau
des mains demeure moite et devient souple ; les
parole est plus nette. 12 juillet. - Les mains et les pieds font
peau
neuve, les ongles poussent bien, les cheveux re
ique, il ne semble plus y avoir de dépôt graisseux exagéré entre la
peau
et les muscles. Modifications de la voix. - Dep
e, fumeur, caractère sournois, grand, vigoureux ; aucune maladie de
peau
, nez aquilin, cheveux châtain foncé. Il était s
ie régulière, cheveux châtain foncé, nez aquilin, pas de maladie de
peau
ni de syphilis. Bien qu'elle se soit mariée il
nts, était petite, ne marchait pas ne prononçait aucunmot, avait la
peau
blanche et non cireuse. Elle aurait été bien so
et le rapprochement des ge- noux en dedans, l'épaississement de la
peau
des pieds et son aspect violacé. Sur tout le
de la peau des pieds et son aspect violacé. Sur tout le corps la
peau
est pâle, jaunâtre, cireuse, prin- cipalement à
le, elle semble moins sensible au froid, elle devient joueuse. La
peau
est blanche, sans aucun caractère myxoedémateux,
miques, sueurs profuses remplaçant la sécheresse habituelle de la
peau
; affaiblissement des jambes, augmentation du tr
leurs caractères Lies, coloration de plus en plus naturelle de la
peau
qui perd sa teinte jaune de cire, diarrhée au l
s céphalalgie ; pas de maladies 208 Amélioration considérable. de
peau
; pas de rhumatismes, marié à 27 ans ; pas de mala
lèvres tou- jours closes sont minces, le menton est proéminent. La
peau
est rude, d'un teint jaunâtre, desquamation.
nts aussi aux purgatifs, ils assurent le bon fonctionnement de la
peau
, l'élimination du bromure. Aussi n'avons- nous
général médiocre : enfant maigre et pâle. Physionomie : air hébété.
Peau
: ni éruption, ni nævi. Têle : cheveux châtai
herche. Réflexe cré11wslérie11. On chatouille avec une épingle la
peau
de la face interne des cuisses, on voit une éléva
iga.clridttn. : - Un les recherche en chatouillant d'une épingle la
peau
de la paroi abdominale successivement à droite
l'anus sous l'influence du chatouillement, avec une épingle, de la
peau
de la région anale. Il importe de donner au mal
Icstes rénaux. Description du squelelle. - .1nalyse chimique de la
peau
, Examen histologique du cerveau. Réflexions.
mpérature descend à 37° ; le poids n'est plus que de 24 kg. 100. La
peau
devient moite. Pouls : 120. 20 juin. - La langu
b... en septembre 1S95. 102 Idiotie myxoedémateuse. ! ) juillet. La
peau
du malade reste toujours moite. Avant le traite
aitement, chez lui, comme chez les malades de cette caté- gorie, la
peau
était sèche. Les croûtes du cuir chevelu ont t
elu ont t complètement disparu. On observe une desquamation de la
peau
des mains et des pieds. Deb... taquine les infirm
ppétit. Urine : 500 grammes. Pas de glande. La desquamation de la
peau
des mains et des pieds continue. Pouls : 120. Uri
15 juillet. Pas de glande. Pouls : 120. Urine : 500 gram- mes. La
peau
est moite. .. Fiy. 12. DeL... en septembre 1895
au niveau de l'ombilic 0 m. 740, il ne mesure plus que 0 m. 67. La
peau
des mains demeure moite et devient souple ; les
érature après la mort. RIGIDITÉ cadavérique. 107 L'ensemble de la
peau
est jaune, le ventre est ballonné; les lèvres \
etc. - 126 Idiotie myxoedémateuse. Recherche de la mucine dans la
peau
d'un myxoedémateux; par M. Berthoud, pharmacien
il s'agit là d'un fait général ou non. A cet effet, un lambeau de
peau
, mesurant environ 270 centimè- tres carrés, a é
ntéro-supérieure gauche du thorax (région sous-claviculaire). Cette
peau
, glabre, est doublée d'un pannicule adipeux abo
érique. Voici la marche suivie pour la recherche de la mucine. La
peau
proprement dite, débarassée aussi bien que possib
'eau acétifiée, séché et pesé, s'éleva à 0 gr 032 pour 20 gr. 30 de
peau
mise en oeuvre, soit O,f : i7 pour 100 grammes.
tion, fut trouvé égal àO gr. 0675 soit Ogr. 332 pour 100 grammes de
peau
. Ainsi la macération et la décoction donnent à
n la précipitant par l'acide acétique qu'on l'isole : Analyse DE la
PEAU
. '127 généralement : lorsque, dans un liquide a
obtenu par l'acide acétique dans le décocté filtré de 11 gr. 923 de
peau
hachée. Ce précipité lavé, a été délayé dans 20
du précipité déterminé par l'acide acéti- que dans la macérationd e
peau
hachée. Il se pouvait, en effet, qu'il fût pass
iable de la mucine ou d'un mucoïde quelconque dans l'échantillon de
peau
examiné. Examen histologique ; par M. CI. Phili
un examen histologique du cerveau de Cab ? (myxoedémateux) et de sa
peau
(Compte rendu de 1889, p. 97). - Du même auteur
s'il est seul ; quand on est près de lui, il se tait brusque- ment.
Peau
blanche, glabre; aucune cicatrice de vaccin; ab
chorée, ni rhumatismes, ni dartres, ni syphilis ; pas de maladie de
peau
; pas d'alcoolisme, tabagie moyenne, pas de tra
ssi longs, mais plus fins, plus soyeux, que les cheveux voisins. La
peau
d'où sort la mèche est fine, d'une blancheur ro
blancheur rosée. Au-dessous, sur le front, il y a une partie de la
peau
, ayant la forme d'un triangle, mesurant 3 centi
touffe, ni plaque 170 Canitie partielle héréditaire. blanches. Sa
peau
, en général assez fine, est plutôt brune que bl
ste, en arrière, à partir de la base du cou jusqu'à la ceinture, la
peau
est de couleur moins foncée que sur les membres
ellement jusqu'à se confondre avec la 'pig- mentation normale de la
peau
saine qui est légèrement brune. Le ventre et le
saurait dire si les régions décolorées suent plus ou moins que la
peau
saine. Tel que nous venons de l'exposer, ce cas
Sylla est une meure asperse de farine. La coloration brunâtre de la
peau
au-dessous de la tache sous-ombilicale se renco
- (3) IIARDY (A.). Traité pratique et descriptif des maladies de la
peau
; 1886, p. 57. XIII. Hémorragies de la peau
f des maladies de la peau; 1886, p. 57. XIII. Hémorragies de la
peau
et des muqueuses pendant et après les accès d'é
exco- riations, en tout cas une diminution de la résistance de la
peau
et finalement, au cours de l'arque extatique, l'é
t d'une maladie de coeur, était sobre, n'avait pas eu de maladie de
peau
. - Mère, âgée de 71 à 72 ans, bien por- tante,
nerveux, sauf quelquefois des doul-urs de tête; pas de maladie de
peau
, a reçu une certaine éducation, a obtenu son cert
- seigne, âgé de 67 ans, bien conservé, n'a pas eu de maladies de
peau
, ni de maladies vénériennes, sobre, a été soldat,
téro- postérieure concave en avant. L'émaciation est générale, la
peau
est fine, le corps est glabre. Examen des oreil
adies de la poitrine, celles du cœur, les affections chroniques de la
peau
étaient une terre à peu près inexplorée. Et lorsq
regards. Vous connaissez tous l'aspect extérieur du vieillard ; cette
peau
sèche et ridée, ces cheveux rares et grisonnants,
ent dans les princi-paux viscères, mais encore dans l'épaisseur de la
peau
et des membranes muqueuses. Celles-ci perdent en
Ici, le pouls paraît nature ou peu s'en faut, la langue est nette, la
peau
est fraîche ou légèrement chaude dans la région d
hez les vieillards par l'accélération du pouls et la sécheresse de la
peau
, sans que l'augmentation de la température soit b
uemment dans la clinique du vieillard ; c'est qu'au moment même où la
peau
des fébricitants est pâle, violacée et re-froidie
ng Bird) et dans la poussière blanche qui se forme quelquefois sur la
peau
des goutteux; elle se compose surtout d'urate de
ans le tissu cellulaire sous-cutané ; 5° dans l'épais-seur même de la
peau
. Ces deux derniers points méritent une attention
toujours. Elles n'offrent aucune symétrie dans leur distribution. La
peau
qui les recouvre est luisante, quel-quefois d'un
lquefois sans aucune dou-leur, un liquide fluctuant vient soulever la
peau
, ainsi que l'avait observé Gcelius Aurelianus. A
même dans l'intervalle des attaques. Enfin, à la troisième période la
peau
s'ulcère et livre passage à des quan-tités souven
intures : on les voit occuper les muscles, les tendons, les nerfs, la
peau
, et quelques autres points de l'économie. A. Da
ance aux lésions les plus variées. A. Lorsque les capillaires de la
peau
sont oblitérés, on voit se produire des taches ec
laires et les affections des jointures. Enfin les affections de la,
peau
, si bien connues dans la goutte et le rhumatisme
Dans la forme atrophique, (Vidal) il se produit une induration de la
peau
, une sorte de sclérodermie : l'enveloppe cutanée
ongtemps indolore, finit par donner lieu à de vives souf-frances : la
peau
rougit, et l'on constate une aggravation évidente
es concrétions sont petites et superficielles, on peut ponctionner la
peau
pour les extraire, surtout lorsqu'elles sont demi
l des phénomènes extérieurs de l'état fébrile, tels que chaleur de la
peau
, prostration des forces, fréquence du pouls peuve
affaiblies? Il faut, sans doute, invoquer ici, sur-tout l'état de la
peau
qui, chez les vieillards, présente un appauvrisse
moins de chaleur que l'adulte, mais ils en perdent moins, soit par la
peau
, soit par les voies pulmonaires, et ainsi s'établ
al. En pareil cas, vous ne l'ignorez pas, la surface pulmonaire et la
peau
sont le siège d'une déperdition énorme de caloriq
is l'expérience de Kussmaul a mis le fait dans tout son jour. Sous la
peau
d'un membre ainsi séparé, au moins en appa-rence,
uitter le lit où le siège sur lequel on les place pendant le jour. La
peau
de ces derniers malades est pâle, luisante et sem
, s'ils sont très saillants, amincissent et usent pro-gressivement la
peau
par une sorte de compression de dedans en dehors,
ans) que nous avons observée presque tous les jours pendant un an, la
peau
était habituel-lement recouverte d'une sueur visq
uite de la pronation, le cubitus semble luxé et faire saillie sous la
peau
, en arrière du carpe ; il est environ à 1 centimè
cu-laire, on sent de petites crêtes osseuses qui font saillie sous la
peau
; il en existe de semblables, au pourtour des cond
uces sont dans l'abduction, et encore mo-biles, la main est sèche, la
peau
y est comme collée sur les os, dont les têtes fon
s ou moins régulières et plus ou moins saillantes ; mobiles avec la
peau
ou adhérentes au cartilage sous-jacent, parfois o
tuantes, elles ont d'au-tres fois une consistance comme pierreuse; la
peau
qui les recouvre peut avoir conservé sa coloratio
s de diamètre environ, d'un blanc mat parais-sant faire corps avec la
peau
, et recouverte seulement par une mince couche d'é
. Or, ce travail d'élimination spontanée s'est effectué sans que la
peau
ait jamais présenté aucun indice d'inflammation.
trent quelquefois, au dire de M. Todd (loc. cit., lect. XVI), sous la
peau
qui recouvre les cartilages des ailes du nez. Jus
sque complètement libres, se trouvaient placées immédiatement sous la
peau
. Leurs cartilages diarthrodiaux, ulcérés et détru
nt ils étaient tout à fait indépendants, placés immédiatement sous la
peau
, et pressés, pour ainsi dire, contre les têtes os
les articulations du cou-de-pied sont tuméfiées, douloureuses, et la
peau
qui les recouvre est d'un rose sombre. Le genou d
uloureuses et chaudes au toucher, avec fa même coloration rosée de la
peau
. Le malade a de la fièvre, la peau chaude, le p
c fa même coloration rosée de la peau. Le malade a de la fièvre, la
peau
chaude, le pouls fréquent; sa respiration est dif
nulaire droit sont tumé-fiées, leurs mouvements sont difficiles et la
peau
rosée à leur niveau. Cette nouvelle recrudescen
n plus que les orteils; on y observe seulement un état scléreux de la
peau
qui, surtout au gros orteil, paraît faire corps a
abolis ; ces jointures ne sont nullement tuméfiées ou déformées ; la
peau
qui les recouvre est sclérosée, pâle, comme polie
compris entre les deux articulations. Au sommet de cette tu-meur, la
peau
amincie laisse voir par transparence une colora-t
culaire chronique primitif. Thèse inaugurale. Paris, 1855, p. 25), la
peau
qui recouvre ces parties est pâle, lisse, polie,
sque complètement libres, se trouvaient placées immédiatement sous la
peau
. Leurs cartilages diarthrodiaux étaient partout i
t ils étaient tout à fait indépendants : placés immédiatement sous la
peau
et pressés pour ainsi dire, contre les extrémités
la subluxa-tion des os dont les têtes arrondies font saillie sous la
peau
. Conséquemment, à part le cas assez exceptionnel
elles ne reprodui-sent pas, d'ailleurs, la forme et les contours. La
peau
qui les recouvre, distendue et luisante, fait sou
n travail d'élimination qui s'effectue d'ailleurs souvent sans que la
peau
présente le moindre indice d'inflammation. Àiors,
ide urique parfaitement caractérisés (p. 146). Dépôts d'urée sur la
peau
dans l'urémie. — La fine pous-sière blanche, d'as
aspect brillant, qu'on trouve répandue sur les parties du corps où la
peau
est recouverte de poils, — à la tête, au cou, sur
, t. II, p. 46), l'urate de soude accumulé en grande quantité sous la
peau
, au voisinage de plusieurs articulations des doig
umatisme noueux, les muscles des membres immobilisés s'atrophient. La
peau
est lisse, luisante, comme parcheminée. En même t
t même arrivé quelquefois que ces productions osseuses ont ul-céré la
peau
et se sont montrées à nu. On distinguerait aiséme
ules osseux ainsi mis à découvert, par suite de la per-foration de la
peau
, des masses tophacées blanches, de consis-tance c
, et paraissent tuméfiées plus que de coutume, en même temps que la
peau
qui les recou-vre prend une coloration rouge plus
es, existaient des dépôts tophacés, qui, placés immédiatement sous la
peau
et pressés contre les extrémités osseuses, s'étai
orique, 5 ; — difficultés de la —, 294 ; — anoma-lies de la —, 296.
Peau
: affections de la — dans le rhu-matisme, 223.
48. Urée, 156, 157 ; — formation dans le rein, 158 ; — dépôt sur la
peau
dans l'urémie, 518; — action du col-chique sur 1'
APEUTIQUE. pitations.11 y a deux ans, gonflement de la face dont la
peau
devient sèche et rugueuse. Il y a un an et demi
uel, avec deux zones de sensation brûlantes au milieu, du tibia; la
peau
du corps entier était sèche, rude, fendillée par
; il a un peu saigné du nez. La table osseuse est déprimée, mais la
peau
est intacte. - Une heure et demie après, le ble
les parties lointaines étant respectivement les arborisations de la
peau
et de la moelle. La conséquence de cette doctri
a quantité voulue d'huile d'amandes douce stérilisée : aseptiser la
peau
au niveau de l'injection avec une solution de s
parfois, lorsqu'il a bêché plusieurs heures, qu'on lui tiraille la
peau
à la partie anté- rieure de la cuisse. Plaque d
Dans le cas d'hydrocéphalie interne, on pratique une incision à la
peau
des deux côtés de la suture sagit- tale, on per
douleurs. IEadVAL. P. KERAVAL. XV. Sensibilité à la douleur de la
peau
; par 0. nlOTSCHU7KO\VSK1'. (N £ 1ll'otoy. Cent
ètre. Le centre de la sensibilité douloureuse la plus faible est la
peau
du bassin. De là elle s'accroît graduellement,
bas jusqu'aux orteils. La plus grande sensibilité est dévolue à la
peau
du front, près la limite du cuir chevelu, et au
la peau du front, près la limite du cuir chevelu, et aux plis de la
peau
entre les phalanges du côté de la paume de la m
n'est pas parallèle au degré de la sensibilité douloureuse. Plus la
peau
est mince, plus sa sensibilité est grande. Mais
IOLOGIE PATHOLOGIQUES. 151 sement proportionnel à l'épaisseur de la
peau
; ainsi, en arrière de l'oreille, où la peau est
nel à l'épaisseur de la peau; ainsi, en arrière de l'oreille, où la
peau
est si mince, il faut pour sentir la douleur 0,
douleur 0,5 millimètre ; à la limite des cheveux et du front où la
peau
est épaisse 0,2 millimètres suffisent. Entre l'
peau est épaisse 0,2 millimètres suffisent. Entre l'épaisseur de la
peau
, d'une part, et la sensibilité tactile et doulo
forme, les doigts étant à demi fléchis, produit un plissement de la
peau
du bord cubital de la main, dont l'intensité va
adduc- tion l'annulaire étendu. Les divers modes d'excitation de la
peau
ne jouent dans l'espèce aucun rôle ou le rôle e
Le petit palmaire s'insère à l'aponévrose palmaire ainsi qu'à la
peau
et au bord cubital de la main ; l'aponévrose palm
Cen- tralbl., XVII, 1898.) En touchant à peine les parties de la
peau
recouvertes de poils, on produit une sensation
ple attouchement mettant en mouvement les poils de la surface de la
peau
sans déterminer la sensation de contact (Nois-
n enclave entre les extrémités d'une pince et qui sert à toucher la
peau
recouverte de poils (Ossipow et Noischewsky '%-
niveau de la glabelle, à la limite du cuir chevelu de la tête, à la
peau
des joues, au-dessus du pli naso-labial; l'at-
u pubis ou au pourtour de l'anus. La sensibilité plus faible sur la
peau
de la face, plus encore dans les régions barbue
'Achille ou bien ne sont pas simplement dues à l'excita- tion de la
peau
. C'est le problème que je me suis posé et voici
n des orteils. Puis, je me suis contenté de pincer exclusivement la
peau
dans le voisi- nage du tendon d'Achille ou enco
tégument. M. P. A1 me demande jusqu'où s'étend la zone active de la
peau
. M. Babinski. Les recherches précises n'ont pas
les limites varient selon les sujet ? . Affection singulière de la
peau
de la barbe chez un tabètique. M. Pierre Marie.
ètique. M. Pierre Marie. Le malade présenté porte au niveau de la
peau
de la barbe des ulcérations superficielles assez
it depuis la cheville jusqu'au genou : Je ne sens rien. z Sentez la
peau
seulement : çà me pique, çà me brûle, j'ai des
chatouille + c'est froid, c'est tiède + Il me semble que je sens la
peau
. Sentez la chair, votre mollet. Zoé fait des mouv
sure que je réveille la ' TRAITEMENT MÉCANIQUE DE L'HYSTÉRIE. 215
peau
, les muscles, l'os de la cuisse. La malade fléchi
ivement la boule. Pour la poitrine, je dé- compose en partant de la
peau
, des seins, des muscles, de laçage osseuse thor
che, sur une étendue de deux centi- mètres environ. A ce niveau, la
peau
est déprimée, mais mobile sur les plans profond
ans replacer les rondelles osseuses, on suture les mé- ninges et la
peau
. Les suites opératoires sont des plus simples.
réunir, et la dentition est retardée. Dans la forme sporadique, la
peau
est beaucoup plus nettement myxoedé- mateuse qu
lles-des vrais crétins; il manque enfin cette teinte verdâtre de la
peau
et ce prognathisme qui se rencontrent dans le c
e, pas de chute des cheveux, pas de sé- cheresse ni de dureté de la
peau
; l'auteur rapporte ici deux obser- vations rés
e la paralysie des jambes et de la vessie, de l'hyperesthésie de la
peau
du dos, de la diminution de la puissance génita
u, était dans une anxiété très vive. Ce matin la face est rouge, la
peau
chaude, la langue un peu saburrale. Elle se plain
-six ans. Au point de vue so- matique : couleur jaune terreux de la
peau
; absence complète de poilsàla face, aux aissell
paraissent (Krafft-Ebing). M. Magnan -a noté « que des chocs sur la
peau
peuvent provoquer la sensation d'une morsure, d
ur a observé un alcoolique chez lequel la sensation éprouvée par la
peau
se confondait avec l'halluci- nation, et en dét
i- nation, et en déterminait la localisation. La percussion de la
peau
avec l'aide d'un marteau, provoquait chez cet ind
e taire, ou devenaient-elles confuses, le malade se frictionnait la
peau
de l'avant-bras à plusieurs reprises en prêtant
ée, et il semble que ce soit surtout une couche superficielle de la
peau
qui soit hyperesthésiée. Cette exagération de l
fondement rationnel à préférer ces parties de la superficie de la
peau
, car les glandes sudorifères et les bulbes des
quelles on frictionne, existent aussi dans les autres parties de la
peau
. Moi, personnelle- ment, je préfère le dos, les
y a aucun doute, que le mercure introduit dans l'organisme, sous la
peau
est absorbé immédiatement par les capillaires d
oup plus vite de l'organisme que le mercure dont on fric- tionne la
peau
et qui reste sous la forme d'albuminates. C'est
Il y a anesthésie de la sensibilité douloureuse et tactile de la
peau
des membres inférieurs, de la partie inférieure d
lut stéril. hydrarg. bichlor. cor. (1 : 5000) 15,0 Injecter sous la
peau
1/2-2/3 gramme). Cette combinaison de narcotiqu
triction du tronc, la sensibilité douloureuse un peu émoussée de la
peau
des extrémités inférieures et de la partie infé
du lobe pariétal et les ter- minaisons des nerfs sensoriels dans la
peau
, le sens stéréognos- tique se perd si le sens d
5 phique, à évolution lente (3-4 ans). Fracture de l'acromion. La
peau
de la paume gauche est calleuse, toute la main ga
t le malade l'arracha sans aucune douleur. Quelque temps après la
peau
au-dessus de l'abcès s'amincit et donna issue à d
mesure 83 millimètres ; celle du pouce gauche 125 millimètres). La
peau
du pouce gauche est rouge, chaude, tendue, dure
conduites principalement par les os et le périoste, mais pas par la
peau
ni les parties molles. Discussion : M. 13GRNSTE
s Les oreilles sont restées sourdes aux excitations externes, et la
peau
n'a pu réveilleraucune hullucination sous l'act
à l'excitation : il sent du rhum, dit-il, mais du mauvais rhum. La
peau
ne donne rien, les mains tremblent toujours.
arrive, le chien a l'air d'aboyer, mais j'entends (nous pinçons la
peau
de la main droite), j'entends un roulement de t
sation de l'excitant. Nous faisons remarquer que l'excitation de la
peau
, le pincement a produit, au milieu des hallucin
onvulsions survinrent la nuit, débutèrent par un cri, envahirent la
peau
et les membres; elles durèrent quatre heures. O
uelques papules d'un rouge brunâtre, isolées par des intervalles de
peau
saine (éruption papuleuse des gâteux). Juin. Mê
se raidit, les pupilles se contractent, la température s'élève, la
peau
devient hyperesthésique ; il s'y ajoute une cer
mités ; secousses dans les muscles. Symptôme de Koenig quelquefois.
Peau
hyperesthésiée. Abdomen rétracté. Langue chargé
ude, état semi-comateux. Cou moins rigide, extrémités moins raides.
Peau
520 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. . toujours
toujours très sensible. Troubles vaso-moteurs (tâche cérébrale).
Peau
perd son élasticité (putty skin). Quelquefois mic
Trouble de la-, à la cuisse, par Good, 150 - A la douleur de la
peau
, par Motschiitlcowsky, 150. - osseuse, par Dvoi
399. - conjuguai, par Souques. 440. Tarétique. Affection de la
peau
chez un -, par P. Marie, 170. Tatouage chez l
ait avec une petite pince. Le volet osseux fut rabattu aussitôt et la
peau
suturée en surjet. Une bande de tarlatane fut a
qu'elle s'est complètement arrêtée quand le volet a été rabattu et la
peau
suturée. L'état actuel du malade ne semble pas
nsibilité moindre que ses autres doigts à cause du durcissement de la
peau
. L'usage des sens est donc un art qu'on apprend
me qu'elle ne va jamais à la garde-robe et qu'elle n'urine jamais. Sa
peau
est un peu moite ; cette légère perspiration cuta
ville, les a vus produire, à volonté, des troubles vaso-moteurs de la
peau
de tel ou tel de leurs membres, contracturer, par
estion chez une hystérique, et en apposant des cachets de cire sur la
peau
, comme le demandent si justement les négateur
.1. K., notre collègue lui suggère qu'il applique un sinapisme sur sa
peau
, que celle-ci va devenir rouge et brûlante, etc.
hystériques avaient précisément consisté en gangrènes multiples de la
peau
. Donc le trouble trophique que l'on voudra obte
ndemain la mère me présente sa fille ; elle est de taille moyenne, la
peau
et les muqueuses sont pâles, la couche graisseuse
états psychiques sur les changements de couleur des cheveux et de la
peau
, — et sur la guérison de la lèpre biblique (zaraa
uvrier qui travaillent de leurs muscles. Ce sont : les corps gras, la
peau
, les tendons et aponévroses, les sauces grasses,
juge convaincu de prévari- cation, et ordonna de recouvrir de sa
peau
le siège sur lequel devaient s'asseoir les succes
l'enfant insensible aux piqûres des scorpions et des myriapodes. La
peau
d'un petit d'une biche (Hidang) venue avant terme
ès ornementés, couverts d'hermine et étince-lants de pierreries. Sa
peau
présentait une hyperesthésie maladive. Pour évite
. Influence des états psychiques sur les changements de couleur de la
peau
, etc. M. le Président met aux voix les candidat
linique : Le malade est de taille moyenne, de bonne constitution ; sa
peau
est fine ; la face s'empourpre fréquemment ; le t
états psychiques sur les changements de couleur des cheveux et de la
peau
, et sur la guérison de la « lèpre biblique » (zar
t naturel de se rappeler qu'il existe un genre de o blanchiment de la
peau
». Nous avons en vue le o .vitiligo » maladie trè
, qui se manifeste sur le corps par des taches blanches ou plaques de
peau
non pigmentées. Ces taches augmentent de volume e
lume et de nombre ; elles se voient surtout très distinctement sur la
peau
brune des orientaux. Le a vitiligo » attaque égal
sur la peau brune des orientaux. Le a vitiligo » attaque également la
peau
faiblement pigmentée de l'Européen, mais l'affect
ment, de la tête aux pieds. Comme la perte du pigment d'un segment de
peau
entraine aussi une dépigmentation du cheveu nourr
nourri par ce segment, il est clair que le « vitiligo » affectant la
peau
affecte aussi les annexes de cette dernière — les
pital, on constata unefracture du bras. Ses cheveux blanchirent et sa
peau
se couvrit de taches blanches, qui grandirent, de
? 50). Ce cas est intéressant comme exemple d'un « blanchiment de la
peau
» presque instantané par suite d'une vive émotion
ien. L'hiver, elles sont moins visibles à cause de la blancheur de la
peau
; en été, elles sont plus apparentes sur la peau
e la blancheur de la peau ; en été, elles sont plus apparentes sur la
peau
hâlée par le soleil. Pour les hypnologues, ces
intime entre les émotions et la perte du pigment des cheveux et de la
peau
ont une valeur particulière : l'idée d'appliquer
un sujet pour réaliser cette expérience, parce que, chez les hommes à
peau
blanche, cette maladie est peu apparente, est con
stan, il ramena de Russie un t&djik affecté d'une bigarrure de la
peau
qui porte en Turkestan le nom de pièss et qui n'e
kbanov de Omsk, on connaitdans la steppe des Kirguises une maladie de
peau
du même genre. Elle n'amène pas un isolement auss
e nom de ala-pièss et se traduit par les mêmes taches blanches sur la
peau
brune de Kirguises. M. Boukéïkhanov m'écrit qu'un
l me paraissait admissible que dans tons les cas de blanchiment de la
peau
et des cheveux, où les cellules productrices du p
ux, s'affublaient de costumes bizarres, jetaientsur leurs épaules une
peau
d'ours ou de lion qui leur servait en même temps
états psychiques sur les changements de couleur des cheveux et de la
peau
, et sur la guérison de la « lèpre biblique » (zar
ncheur ne l'est nullement. Au contraire, la coloration violacée de la
peau
, des enflures, desamputationsspontanées de fragme
hébreu signifie la marque ou le stigmate du zaraath, d'une maladie de
peau
spéciale, qui ne correspond nullement à la lèpre.
cicatrice. La Bible décrit : 1° les phénomènes de la maladie sur la
peau
saine (Lev. XIII, 2-17) ; 2° le zaraath d une pea
la maladie sur la peau saine (Lev. XIII, 2-17) ; 2° le zaraath d une
peau
affectée par le Schechin ou le mihhwath esct (18-
se multiplier, lorsque la blancheur envahit les cheveux avoisinant la
peau
malade et enfin lorsque la tache o parait n plus
ur les excellentes photographies du Professeur Miinch. Les régions de
peau
saine, brune, fortement pigmentée des Orientaux p
fortement pigmentée des Orientaux paraissent comme superposées sur la
peau
blanche, dénuée de pigment, et les places blanche
d'après Mienne et Septuaginta, cela signifie « une chair saine, » une
peau
saine et pas du tout une plaie ; du reste, commen
ont envahi toute la surface du corps, il peut rester des parcelles de
peau
saine qui forment des taches brunes sur un fond c
19-11). Dans sa période dernière la maladie envahit tout le corps, la
peau
de l'individu blanchit de la téte aux pieds (12-1
e le patient esteonsidéré comme » pur ! » (13). Mais les parcelles de
peau
brune disparues peuvent réapparaître sur le corps
ntation. 11 s'en suit que l'impureté réside dans la bigarrure de la
peau
, puisque l'individu de coloration uniforme, brune
uvé ». Sans entrer dans l'analyse du mécanisme du blanchiment de la
peau
et des cheveux — deux phénomènes étroitement liés
out son poids, où elle s'impose si manifestement à l'attention sur la
peau
brune d'hommes à moitié nus. Nous sommes en dro
ique, et un blanchiment fonctionnel, où la coloration primitive de la
peau
et des cheveux peut être reconstituée. Ces conclu
ter, que l'application de la pièce d'or sur un point quelconque de la
peau
ne provoquait plus aucune sensation de brûlure.
états psychiques sur les changements de couleur des cheveux et de la
peau
et sur la guérison de la « lèpre biblique (Zaraat
d'épaisseur ; les muscles dessinent fortement leurs reliefs sur la
peau
; leur consistance est élastique, normale. La c
le tout entier se gonfle, devient dur, dessine ses contours sous la
peau
, se comporte en un mot comme un muscle tétanisé
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. cle se gonfler et se dessiner sous la
peau
, comme précédemment, mais les contractions isoc
le grand zygomatique du même côté est-il contracté, les rides de la
peau
sont très marquées et souvent la contracture est
- mer les lèvres. Le long du nez, à droite, les petites rides de la
peau
sont prononcées et l'oeil droit est plus petit
menton étant contracture, celui-ci fait une saillie ri- gide et la
peau
laisse voir de petites fossettes correspondant au
ateur du menton seulement du côté gau- che, le menton se levait, la
peau
devenait inégale par les pelites fossettes qui
tout le côté gauche (face, bras, jambe) : quand on lui faradise la
peau
av ec la brosse électrique, la sensation de picot
axillaire ne s'é- lève qu'el 37° 4, 37° 6 c. tandis que celle de la
peau
(mesurée sur le visage, le cou et le thorax), e
décroître dès le jour suivant. L'état général, la coloration de la
peau
, l'état de la langue, dissipaient toujours les
jointures attaquées de rhumatisme sont plus ou moins gonflées et la
peau
présente une couleur rouge-vif, ou rouge violacée
oint gonflées et il n'y avait pas de changement dans l'aspect de la
peau
. Les pressions faibles augmen-. taient les doul
ve dans le rhumatisme. Dans cette maladie l'anémie est rapide et la
peau
prend un teint pâle; dans notre cas, le teint f
ompagnent toujours le rhumatisme, on cons- tata la sécheresse de la
peau
et l'urine, au lieu d'être obscure et riche en
est animée de mouvements involontaires presque continuellement ; la
peau
du front se plisse en haut en bas. Les quatre ext
e fois chez des dégénérés peut exister sans aucune altération de la
peau
, ni des tissus mous sous-jacents, ni du squelet
cemment dans deux autopsies. En même temps que ces anomalies de la
peau
, j'ai déjà signalé chez quel- ques épileptiques
rière, le redressement forcé du coccyx devenait très douloureux. La
peau
qui tapisse la dépression rétro-coccygienne ne
est gonllé, dur, et dessine fortement .ses reliefs au-dessous de la
peau
; puis on voit ses reliefs disparaître pro- gre
chenne (de Boulogne). Il s'agit de sujets dont la sensibilité de la
peau
de la face est émoussée et qui, en outre, ont p
sacrée, se pro- jetant en arrière, jusqu'à un quart de pouce de la
peau
». Tout isolées qu'elles sont, ces observations
elle avait 2 centimètres de diamètre, en y comprenant la rondelle de
peau
de chamois interposée entre la partie métalliqu
de chamois interposée entre la partie métallique de l'électrode et la
peau
. L'appareil, dont nous nous sommes servi, était
On peut les provoquer par des excitations diverses, pincement de la
peau
, percussion des muscles, etc., souvent il existe
ncomplètes, fibrillaires ou fasciculaires, qui se dessinent sous la
peau
, mais sont insuffisantes pour produire un mouve-
ments éruptifs, disséminés et groupés, d'une façon symétrique, sur la
peau
des régions carpiennes et métacarpiennes des de
sur les avant- bras. Voici en quoi consiste cette éruption : sur la
peau
saine apparaît (au dire de la malade) une petit
nt régulièrement disséminés et séparés les uns des autres par de la
peau
saine. Ils ont le diamètre d'une lentille environ
plète guérison. Bibliographie bornée aux lésions gangreneuses de la
peau
survenant chez les hysté- riques. Obs. XI de la
S SYMÉTRIQUES 203 Paris, 1890. Deux cas de gangrène spontanée de la
peau
chez les hystériques dans Kaposi : Pathologie u
4. - Obs. XXX de la thèse de Leloir, 1881. Gangrènes mulliples de la
peau
chez une jeune fille de 18 ans. Sangster. A Cas
Renaut. Sur une forme de la gangrène succes- sive et disomnie de la
peau
. La Médecine moderne, 20 février 1890, no 9, p. 1
rfs sensitifs, éma- nés du même plexus, et qui, pour se rendre à la
peau
, traversent les mas- ses musculaires, pouvaient
inuellement sur l'index. Au niveau des deux dernières phalanges, la
peau
est lisse, tendue, amincie. Le tremblement oc
erniers, au point que parfois les ongles laissent leur trace sur la
peau
de la face palmaire, la flexion de l'index est
le muscle tout entier peut entrer en contrac- tion et former sur la
peau
des reliefs saillants et plus ou moins durs. Les
la sensibilité. En appliquant la tige vibrante sur un point cle la
peau
assez sensible, la région sus-orbitaire par exe
s os sont saillants sur tout le corps, les muscles très accusés, la
peau
terne, flasque, froide et visqueuse. Les yeux s
langue sale, l'haleine fétide (PL XXXIV, XXXV). Sur les jambes, la
peau
est couperosée et il y a un léger oedème sur le
des commissures labiales et les rides du cou sont peu prononcés, la
peau
est restée assez élastique et ne garde pas les
ors. Les ongles sont bosselés, épaissis, irréguliers. A la main, la
peau
est d'as- pect normal ; aux doigts, elle est li
x doigts, elle est lisse, fine et rosée. Aux membres inférieurs, la
peau
de la face dorsale des pieds est tendue, aminci
s de migraine, ni de névralgie, ni de rhumatismes, ni de maladie de
peau
, aucun indice de syphilis. Caractère emporté. Pèr
1887. Face immobile, seulement de temps en temps contraction de la
peau
du front, front peu élevé, 6 centimètres de la
ute environ. La ligne épineuse des ver- tèbres fait saillie sous la
peau
; elle ne présente pas de courbure anormale. Me
la piqûre. L'autographisme est manifeste sur toute l'étendue de la
peau
. M. le Dr Vigouroux, qui a bien voulu examiner
ce qui suit : La sensibilité électrique est abolie à droite pour la
peau
et les muscles ; elle est très vive au contrair
s quand on serre vigoureusement le mollet, la cuisse ou le bras. La
peau
est insensible ; le tremblement n'a pas varié.
sur la tôle plusieurs cicatrices. En examinant la sensibilité de la
peau
, nous la trouvons diminuée dans la moitié gauch
pour le sujet qui s'y soumet, en irritant les nerfs sensibles de la
peau
et en provoquant de fortes contractions muscu-
us sous-jacents pour faciliter le passage du cou- rant à travers la
peau
, la parotide et le gros tissu ligamenteux qui l'e
sentent une jeune femme étendue sur une draperie, un coussin ou une
peau
de fauve, dans le décubitus latéral droit, la jam
dans la moelle épinière ». Pour ces auteurs, les affections de la
peau
qu'on observe sont « en raison même des soins d
peut rencontrer : le zona, le vitiligo, l'aspect ichthyosique de la
peau
, l'atrophie muscu- laire, la diminution de l'ex
coloration de leurs ongles, de la desqua- mation ichthyosique de la
peau
, et les troubles trophiques en général douloure
un état passager d'hyperesthésie considérable à la surface de la
peau
. ' L'oedème est dû souvent à cette même influen
'agrégation, 1880, p. 81). 3 Brocq. - Traitement des maladies de la
peau
, 2e édit., Paris, 1892, p. 820. 30 CLINIQUE M
le hasard de la clinique. CHAPITRE III Troubles trophiques de la
peau
et des annexes. Le revêtement cutané est souven
petit, brun. L'affaiblissement intellectuel est très pro- noncé. La
peau
de la région fessière est rouge, érythémateuse ;
entuée sur tout le cuir chevelu. Anesthésie cutanée généralisée. La
peau
des jambes et des avant-bras est couverte de fi
ici d'ail- leurs l'observation. Observation V. Pigmentation de la
peau
. C... Albert, cinquante ans, jardinier. Certi
enseignements pris dans le service. Le malade n'a ni lentigo sur la
peau
ni plithiriase sur le corps. - Réflexion. Que l
ie et ne peuvent être que le résultat des troubles trophiques de la
peau
. Purpura. - Le purpura est considéré comme trou
se in Dict. Jaccoud. 2 Duhring. Traité pratique' des maladies de la
peau
. Trad. fran- çaise, 1883. 3 Kaposi (Moritz).
an- çaise, 1883. 3 Kaposi (Moritz). leçons sur les maladies de la
peau
. Trad. fran- çaise 1881. » * Charcot. Leçons
ue épileptiforme; nous la faisons coucher le 20 décembre. Le 25, la
peau
de la région fessière est érythéma- teuse, mais
. Chacune, entourée d'une zone érythémateuse. Insensibi- lité de la
peau
environnant les eschares du pied droit. A la ré
de volume malgré tous les soins hygiéniques et antiseptiques. La
peau
des membres inférieurs et supérieurs est rugueuse
de dormir. Inégalité pupillaire. Embarras de la parole. ' ' ' La
peau
des deux jambes est sèche, rugueuse au toucher ;
de l'ouverture du canal central les territoires en rapport avec la
peau
de la face n'occupent que la moitié antérieure de
température, rapidité et faiblesse du pouls, nausées, moiteur de la
peau
et perte de poids. Les changements de l'état me
s TROPuiQUES chroniques. A côté des troubles trophiques aigus de la
peau
et des annexes dans la paralysie générale, il e
eux central ou périphérique, un état iehthyosique particulier de la
peau
, et qui se caractérise par l'amincissement, la
térise par l'amincissement, la sécheresse et la, desquamation de la
peau
. » ' . , z C'est par la sécheresse du revêtemen
revêtement cutané que l'ichthyose débute chez les paralytiques : la
peau
devient rugueuse, elle 1 Voir Archives de Neuro
de sa situation. Les deux mains sont oedématiées, viola- cées ; la
peau
est lisse, tendue. Les parties infiltrées ne sont
tandis qu'elle est conservée sur les autres parties du corps. La
peau
des jambes est rude au toucher, sèche, légèrement
paralysie générale. 179 sur tout le corps. Légère alopécie. Sur la
peau
des pieds, on trouve une desquamation assez acc
assez accentuée, ichthyosique, sous forme de lamelles jaunâtres. La
peau
est sèche. Les dents sont usées. Observation XI
est petit, gros, rouge. Souriant et béat. Anesthésie cutanée. La
peau
des jambes, jusqu'à la partie moyenne des cuisses
sie cutanée généralisée. 0 Alopécie en clairière sur les tempes. La
peau
des mains et des 180 clinique mentale. doigts
sparu. Les ongles des doigts ont une coloration rouge- brun. Sur la
peau
des pieds et des jambes existe une ichthyose, f
ie généralisée sur tout le cuir chevelu, qui se. trouve dénudé ; la
peau
y est lisse, brillante. L'anesthésie cutanée es
es coquilles d'huîtres, sont atrophiés et de colo- ration brune. La
peau
des jambes est recouverte de fines lamelles arg
u'à l'alopécie la plus accentuée. Le cuir chevelu devient alors une
peau
brillante, unie, lisse (calvitie). Dans quelques
cuir chevelu dénudé, on trouve quelques pigmentations brunes. La
peau
des jambes est rugueuse, parcheminée; elle se des
d'Italie, tout ceci dit sur un ton monotone, sans convic- tion. La
peau
est complètement anesthésiée. L'alopécie est ac
hevelu est dépourvu de cheveux, le sommet de la tête est dénudé, la
peau
en est lisse et brillante. Les dents sont légèr
abolie sur tout le corps. Forte alopécie au sommet de la tête ; la
peau
y est devenue lisse, brillante; aux tempes exis
alopécie en clairière. Les deux mains sont oedématiées, froides. La
peau
en est anesthésiée. D'ailleurs l'anesthésie est c
ire est très mauvaise. Nous ne savons pas s'il a eu la syphilis. La
peau
n'est pas anes- thésiée, mais il y a retard con
LE. CHAPITRE IV . Troubles trophiques du système locomoteur. La
peau
et ses annexes ne présentent pas seules des tro
sibles, et la main gauche avait légèrement l'as- pect de griffe. La
peau
de la main restait insensible à la piqûre ; mai
le malade présentait une anesthésie cutanée de tout le corps. La
peau
de la main gauche était rose, lisse. Les ongles d
: le 14 janvier 1897, elle ne pèse plus que 60 kilo- grammes. La
peau
est anesthésiéo sur tout le corps. Les urines ne
u quelques jours de décubitus pour provoquer l'inflammation de la
peau
et l'eschare, la nutrition des nerfs périphérique
la disparition à peu près complète de l'aspect ichthyosique de la
peau
, etc. Divers accidents, énervement, vomissements,
toux sanguinolente, vertiges, céphalée intense, hyperesthésie de la
peau
. Contraction fibrillaire et fasciculaire des mu
ion, d'une émotion morale vive, d'une petite lésion passagère de la
peau
ou des muqueuses, mais plus souvent sans cause ap
ée. Visage coloré. Air de bonne santé. Physionomie sans expression.
Peau
blanche, 292 RECUEIL DE FAITS. assez fine. Ch
, de l'élévation de la température, de la fétidité de l'haleine, la
peau
sèche et chaude. La tyrosine produite pendant l
n, non seu- lement pour l'intestin, mais aussi pour les reins et la
peau
. La diaphorèse sera stimulée par des bains chau
ces douleur ? d'origine ventri- culaire occupent précisément sur la
peau
l'aire innervée par les 5°, 6°, 7°, 8° et 9° se
s de façon caractéristique par épaississement du squelette et de la
peau
, hypothermie, trou- bles circulatoires, trophiq
, supposition qui s'appuie sur le fait àgiila. localisation dans la
peau
d'une partie considérable des cellules de sensi
sensibilité, cellules d'origine des fibres qui se ramifient dans la
peau
. Il en est ainsi chez l'amphioxus (Retzius). Les
s stercoraux et urinaire d'arriver en contact avec la plaie ou la
peau
avoisinante, 2° en supprimant d'une façon complèt
reux, démangeaison, etc. Par l'application sur la plaie et sur la
peau
environnante, dans une assez grande étendue, d'
près soins locaux de propreté bien entendu, sur toute rougeur de la
peau
constituantune menace d'eschare, chez les paral
uides stercoraux et urinaire exercent, dans beaucoup de cas, sur la
peau
ou sur les eschares de nos paralytiques ou de n
e normale ; le long supinaleur se durcit et forme une corde sous la
peau
. La flexion de l'avant-bras se fait avec force
it pas de lésion notable delà portion lombaire, car en pinçant la
peau
de la racine du membre on provoquait encore des c
s plusieurs fois essayé de tourner la difficulté en anesthésiant la
peau
à l'aide de la réfrigération, et en faisant con
n des sensibilités profondes : il est très facile de voir que si la
peau
ne sent rien, les tissus profonds sentent très
oguet quand l'in- dividu est fils de sorcier, quand il porte sur la
peau
des signes faits par le diable, quand il parle
travaillent ; une nuit elle a cru saisir une araignée à travers la
peau
de son bras. Elle comprend, dit-elle, ces anima
s énorme sur la poitrine. Tout son corps peu à peu s'est changé, sa
peau
est comme celle d'un sours (sorcier) ; elle com
allée à la selle depuis vingt ans ; son corps est un sac fait de la
peau
du diable, plein de crapauds, de serpents. Elle
à son tour, atteinte, quoique à un moindre degré. La pression de la
peau
492 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
attribuée à un trouble dans le dévelop- pement embryologique de la
peau
. Quelle est la cause de ce trouble ? Névrite in
est qu'elle forme bientôt des amas qui exercent une pression sur ta
peau
des malades. 11 y a une dizaine d'années Hert
tercellulaire qui contient de la mucine. Cette infiltration de la
peau
entraîne l'atrophie des bulbes pileux, des glan
ne peut se démontrer. Il faudrait, en effet, dans l'espèce, que la
peau
et le tisssu cellulaire fussent infiltrés longt
se intellec- tuelle, engraissement considérable, sécheresse de la
peau
, état pachydermique de la paume des mains et de
tique suivante : ané- mie profonde, altérations remarquables de la-
peau
et du tissu cellulaire, état cérébral particuli
isage hideux; front et racine du nez couverts de rides; nez camard;
peau
de la face mate, d'un blanc jaunâtre, bouffie e
t renversée (état dû en partie à une rétraction cicatricielle de la
peau
du menton) et laisse échapper presque continuel
asillarde; les réponses sont lentes à venir et comme traînées. La
peau
du cou est notablement épaissie et le corps thy-
est notablement épaissie et le corps thy- roïde à peine marqué. La
peau
du tronc paraît fine, d'un blanc mat, résistant
lusieurs reprises, n'a présenté ni glycose, ni albumine. Partout la
peau
est absolu- ment glabre; la sensibilité général
les grandes chaleurs. La température axillaire est de 95° Fahr. La
peau
est sèche, dure et sa sensibilité est émoussée
abord, on croirait avoir affaire à un cas de maladie de Bright. La
peau
de la face est bouffie, particulièrement au niv
cireuse, à l'excep- tion des pommettes qui sont rouges. La face, la
peau
du crâne et l'épaule gauche présentent quelques
e. Le visage et particulièrement les paupières sont tuméfiées, la
peau
du front, rude, est enflée par places, le nez est
un grand coup de poing sur la bouche. Au niveau des pommettes, la
peau
est épaissie et colorée en rouge de chaque côté,
, la pression ne détermine de cupule. La sensibilité générale de la
peau
est notablement diminuée; ainsi sur les joues,
tolérés, par suite peut-être de l'entrave que l'infiltration de la
peau
et des muqueuses apporte aux fonctions d'excrét
on peut apprécier la sensi- bilité cutanée. En pinçant fortement la
peau
du membre supérieur ou inférieur droit, on voit
plusieurs fois, donne, chaque fois, le même résultat. En pinçant la
peau
de la même façon à gauche, on ne voit se produi
t de la sensi- bilité ; l'hémianesthésie persiste ; la piqûre de la
peau
n'est pas sentie à gauche, pas plus que le pinc
la sécrétion purulente se tarit; les fissures se cicatrisèrent, la
peau
devint blanche et ferme ; au bout de qua- tre m
hon- teufes pour les femmes, marqués d'un signe auqueldevient la
peau
infensible. La forme de ce signe n'eft toujours l
même temps qu'elle éprouvait des sensations bizarres, du côté de la
peau
, sensations douloureuses, de brûlure, de piqûres
rdinaire, si l'on né- glige un état de sécheresse particulier de la
peau
. L'améliora- tion Bégaiement porté sur la paume
. L'améliora- tion Bégaiement porté sur la paume des mains, dont la
peau
est devenue moins épaisse et plus souple. L'oed
est grosse, comme oedématiée et pend sur la base de la langue. La
peau
et le tissu cellulaire du cou sont aussi fortemen
ofonds. Sur le tronc, le système pileux est assez déve- loppé et la
peau
présente le même aspect général que sur le rest
ue totalement disparu sur les mains. Au niveau de ces dernières, la
peau
est particulièrement sèche et rugueuse, gercée,
et sur les côtés. Nulle part la DE LA CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 151
peau
ne conserve l'empreinte du doigt. Les rides sont
rides sont très accusées, particulièrement au niveau du front. La
peau
de la face présente une teinte cireuse, sur laque
quelquefois même tremblottantes, qui s'étaient développées dans la
peau
de la face, du crâne et du tronc. Du côté des o
a défécation (D' Ord, Bourneviue). Sur toute l'étendue du corps, la
peau
est sèche, rugueuse, écailleuse même sur certai
le ne diffère que par la nature de l'ee- dème. Dans les deux cas la
peau
présente des altéra- tions. dureté, desquamatio
ts, qui est bien vite atteinte, par suite de l'imperméabilité de la
peau
fermée à toute excrétion ? ou bien est-ce dû à
s mouvements sont devenus douloureux sans que l'insensibilité de la
peau
ait disparu. - 27. Les douleurs s'étendent au
e la rougeur. Le moindre mouvement exaspère les douleurs, mais la
peau
est restée insensible, on peut la transpercer com
istent encore aux arti- culations des doigts. L'insensibilité de la
peau
est toujours la même. La malade, quoique très a
flement. On peut s'assurer que non seule- ment la sensibilité de la
peau
, mais encore la sensibilité spé- ciale n'ont pa
ique ; cal- vitie complète ; la suture sagittale se dessine sous la
peau
, en forme de crête. L'occipital est déprimé au
s, le long de la colonne vertébrale, qui immobilisent le malade. La
peau
et le panicule adipeux s'amincissent de sorte q
e manifestations d'ordre réflexe puisque ni le chatouillement de la
peau
ni de légers coups frappés à côté des troncs nerv
donneleçons de maléfices. Il leurs apprend à deftrui're les trou-
peaux
; ce qu'ilz font foit en répandant du poifon, foi
la moindre douleur transpercer de part en part avec des épingles la
peau
du malade. Dans toutes ces régions aussi, la se
e de douleurs continues, mais sans chan- gement de coloration de la
peau
. Le pouls est presque régu- lier. Du 23 au 31
é de pleurésie 2812 CLINIQUE NERVEUSE. s'étend non seulement à la
peau
et aux muqueuses, mais ordinairement aussi aux
le se reproduit en même temps que cette insensibilité limitée de la
peau
. Ce que nous venons de dire pour ici) peut d'ai
éflexe rotulien est un peu plus prononcé à droite qu'à gauche. La
peau
du côté droit est plus chaude que celle des parti
iocrement déformé, et ne repose que sur la pointe dans la marche.
Peau
: cheveux noirs, clair-semés', sourcils et cils n
ovoqué par l'excitation du tendon lui- même, et non par celle de la
peau
; ce réflexe use pour se produire de la 6° pair
Soir : T. R. 38°,8. 5 janvier. L'enfant décline de plus en plus. La
peau
est légèrement chaude à la main. Les mains et l
es jours suivants, plusieurs crises de cyanose durant lesquelles la
peau
des narines et des lèvres devient bleuâtre. Le
une que ceux des observations rapportées jusqu'ici ; l'état de sa
peau
diffère un peu des descriptions qui ont été faite
at analogue de certaines régions CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 17 de la
peau
et en particulier des paupières. Nous aurons bi
sme.- Arrêt de développe- ment. - Etat oedémateux et rénitent de la
peau
(ca- chexie pachydermique) avec tumeurs myxomat
la plupart des petits enfants; sur toute l'étendue de la face, la
peau
est mate, d'une couleur blanc jaunâtre et bouffie
ACHYDERMIQUE. 19 tant encore avec l'apparence fine et cireuse de la
peau
qu i est absolument glabre ; les sourcils sont
légèrement fléchie sur le thorax. Sur toute l'étendue du tronc, la
peau
est fine, d'un blanc mat, assez ré- sistante so
entre est volumineux. Les membres sont gros, courts, empâtés, et la
peau
y pré- sente les mêmes caractères que sur le tr
aie ou les bonbons qu'on lui présente. Sur le dps de cette main, la
peau
, comme oedémateuse, forme une pelote épaisse, m
bouffissure est surtout pro- noncée aux jambes et aux pieds dont la
peau
est plus ou moins cyanosée. Les deux membres so
ce de con- formation, mais un arrêt de développement complet ; la
peau
y est épaisse et oedémateuse, comme dans les autr
e doser l'urée éliminée de ce côté. Sur le tronc et les membres, la
peau
est absolument gla- bre, même aux aisselles et
de la même maladie. L'ensemble des symptômes notés du côté de la
peau
, aujourd'hui moins marqués qu'il y a dix mois,
x Quinze-Vingts en 1874. Pas d'excès de boisson ni de maladies de
peau
; blennorrhagie à 18 ans. Il a été admis à Bicêtr
douleurs névralgiques dans les mâchoires, mais pas de maladies de
peau
, d'adénites inguinales, de plaques mu- queuses
côté de l'hémianesthésie) est insensible ; au niveau des autres, la
peau
a conservé sa sensi- bilité. La pression sur un
est de nouveau absolument insensible, même à une transfixion de la
peau
au niveau de la cuisse. A 10 h. 37, c'est-à-dir
st produit : hémianesthésie gauche complète. La transfixion de la
peau
par une épingle, pratiquée en plusieurs points,
ent répété, lorsqu'on voit des malades subir la transfixion de la
peau
sans qu'aucune modification appréciable se pro-
rapide : là où il n'existait la veille qu'une tache violacée de la
peau
, on constatait, le lendemain, la présence d'une
, et toutes deux présentaient un gonflement avec rougeur vive de la
peau
, limité par un bourrelet nettement accentué à l
omateux dont il ne sortit plus ; les yeux étaient ternes, fixes, la
peau
sans élas- ticité, comme figée sur les parties
figures, 60 c. Pour nos. abonnés 40 cent. ORY (E.) Maladies de la
peau
. Notes de thérapeutique, recueillies aux cliniq
39°,6. - Soir : 41°. Huit accès. 19 mai. L'enfant est grognon ; la
peau
est chaude ; perte de l'appétit; rien à l'auscu
obre on constate une bosse sanguine avec chaleur et rougeur de la
peau
. 13 octobre. Il s'est formé un vaste décollemen
été battu par les frères, au point qu'il avait le dos tout bleu, la
peau
écorchée. Etat actuel (4 mars 1882). - L'enfant
eu aucun accident ni du côté des voies diges- tives, ni côté de la
peau
ou du système nerveux. Vers la fin de décembre
rouvo par la palpation le testicule gauche inclus dans un pli de la
peau
au niveau du canal inguinal ; la pression en ce
ux extrémités infé- rieures. - 1 cicatrice à la fesse gauche). La
peau
est glabre; les cheveux, les sourcils sont d'un b
ttaques de nerfs; sujette aux migraines, elle n'a eu ni maladies de
peau
, ni maladies vénériennes. [Père : pas de rensei
auche, on trouve deux indurations sous-cutanées sans adhérence à la
peau
qui est rouge dans la partie correspondante ; u
rs. 13 oct.Langue moins chargée; ganglions inguinaux à gauche. La
peau
, .au-dessus des indurations de la cuisse, est moi
icon). 15 oct. Les indurations de la cuisse gauche diminuent ; la
peau
, à leur niveau, n'est plus que légèrement rouge ;
artie médiane de la base du cou, en arrière, est fort diminuée ; la
peau
qui la recouvre est re- couverte de légères pel
la cuisse gauche persistent toujours sans douleur ni rougeur de la
peau
. Langue nette; l'appétit est bon ; l'oeil gauch
ment disparu, laissant comme traces des taches rouges, brunes de la
peau
dont une, siégeant à la partie supérieure de la
oints rouges plus foncés, un peu soulevés au-dessus du niveau de la
peau
et ressemblant à de la miliaire rouge ; il exis
ignets, n'offrent rien d'anor- mal. Il n'y a pas de larmoiement. La
peau
est brûlante. T. R. h0°, 6. - Soir : T. R. 40°,
. 111 et suivantes. AIMANTS. 89 dant une heure en contact avec la
peau
,soit sur la nuque, soit sur une autre région du
lité au chatouillement et au pincement conservée. Ventre déprimé;
peau
chaude et sèche; pouls impercep- tible aux radi
heures après lamort.-Corps très amaigri^ ventre excavé et verdâtre,
peau
pâle sur les autres partiez la rigidité cadavér
ras bien du chagrin. » T. R. à 5 heures du soir, 39°,2. Ce matin,
peau
très chaude, un peu moite : T. R. : 8°, ? ; P.
ssi la trace (forme des sourcils, rareté de la barbe, couleur de la
peau
, direc- tion oblique des yeux en haut et en deh
aussi bien sur les muqueuses (mu- queuse du gland, etc.) que sur la
peau
, sauf en certains points (pourtour des lèvres,
icile à compter pendant l'inhala- 138 BROMURE D'ÉTHYLE. tion ; la
peau
médiocrement chaude, sans sécheresse. - Poumons
e de chaque côté. Les paupières inférieures sont tuméfiées ; - la
peau
rouge, lisse, chaude, tendue ; taches blanches à
ne sorte de coma analogue à celui qui accompagne l'état de mal ; la
peau
est brûlante, le pouls ample, fébrile, rapide ;
corpulence (70 kilog.). Elle est blonde et d'un teint lymphatique. La
peau
est blanche et offre à la fois, de nombreuses éph
es (auriculaire, oculaire, buccale, vulvo-vaginale, etc.) que pour la
peau
. Les yeux fermés, W... est incapable d'indiquer a
it les distinguer de la dermalgie, dans laquelle la sensibilité de la
peau
est non seulement exagérée mais encore douloureus
nsibilité cutanée est exaltée, au niveau des régions hysté-rogènes la
peau
a généralement perdu toute sensibilité au toucher
ait par le mamelon. Elle a les dimensions d'une pièce de un franc. La
peau
correspondante est insensible au toucher, mais se
igne verticale qui passerait à un centimètre en dedans du mamelon. La
peau
correspondante est insensible. (Fig. 1). . 3° R
eveux sont indolores ; en un mot, sauf à droite, la sensibilité de la
peau
est abolie. Les cheveux tombent un peu partout et
n qui est de nul effet dans la gouttière droite. La sensibilité de la
peau
au toucher, à la piqûre, etc., est détruite dans
ue (?). 5° Hyperesthésie ovarienne gauche, avec insensibilité de la
peau
. La pression ne détermine pas d'attaque. La compr
s jamais découvert la moindre trace de manifestation syphilitique. La
peau
est absolument immaculée; l'aspect général excell
s porteraient à le croire. 1879.19 Janvier. — P... est grande, a la
peau
blanche, les cheveux châtains, les traits régulie
. Io Hyperesthésie de la région ovarienne gauche. — A ce niveau, la
peau
est absolument insensible. Profondément, la malad
t, dans la région correspondante à l'ovaire (3 centimètres sur 3), la
peau
a une sensibilité plus délicate, sans être maladi
e cas, et en particulier dans les cas réguliers, la sensibilité de la
peau
est abolie dans les points qui répondent à la rég
ste une anesthésie absolue. Chez d'autres malades, au contraire, la
peau
a conservé sa sensibilité dans une étendue de que
e et ces diverses sensations s'évanouissent en quelques instants. —La
peau
est insensible dans la région de l'ovaire. — Rien
re, puis reprennent leurs dimensions primitives. Presque partout la
peau
est moite. Les membres supérieurs et inférieurs s
. — Les traits correspondant aux lettres se distinguent à peine de la
peau
. Hier soir, D... s'est endormie à 7 heures, sur l
mencement de cette attaque de sommeil ; les membres sont souples ; la
peau
, sauf à la face, est normale. D... se réveille à
abolie sur tout le corps et aussi bien pour les muqueuses que pour la
peau
. Les attaques commencent ordinairement le matin
part, le simple contact n'est perçu. On peut pincer vigoureusement la
peau
, transpercer des plis avec une épingle, appliquer
hez une malade ils sont descendus à 40, leur force était moyenne ; la
peau
était fraîche , mais non froide ; les membres éta
multanée des deux zones produit une attaque. — 3° Clou hystérique] la
peau
correspondante est sensible; la pression ne donne
s elles et les attaques. La sensibilité a reparu par tout le corps (
peau
et muqueuses.) — Les zones hystérogènes n'existen
sition. État actuel. — Suzanne est petite, maigre (42 kilogr.) ; la
peau
est blanche ; les muqueuses sont peu colorées. Le
algie.—Elle répond à la gouttière de la dixième vertèbre dorsale ; la
peau
a conservé sa sensibilité dans une étendue de tro
erait par le mamelon. Elle a environ deux centimètres de diamètre. La
peau
correspondante a conservé sa sensibilité et , qua
emblable de trois hommes qu'il penfoit auoir tuez, qui eftoient trois
peaux
de bouc, eftant fafciné par la Sorcière Pamphile.
, de chair. (Fig. 22). L'on y boit auiïi tantoft du vin, tantolt de
Peau
. Mais il n'y a iamais de fel : ce qui se fait pou
tourmentée et grimaçante, les yeux sont injectés et hagards, toute la
peau
du visage est congestionnée. II n'y a pas d'écume
e, pique avec ton couteau ! » et à ce moment il se pince fortement la
peau
recouvrant la fosse iliaque, et il indique l'endr
le piquer. Les ongles, lorsqu'il se pince, restent imprimés dans la
peau
. Il porte les poignets à sa bouche et, si on ne l
is ses yeux sont encore hagards; il est halluciné; car il montre la
peau
de son ventre en nous disant de le piquer. Il fau
en ces circonstances qu'il maniait le toxique pour la préparation des
peaux
), il n'avait jamais été malade, et que c'est à pa
manifeste pas ; on avait eu soin de garnir le bouton de cuivre d'une
peau
de gant. Telle fut l'origine de la découverte de
t les diversités ethnographiques, quelles que soient la couleur de la
peau
, la couleur et la structure des cheveux, sur tout
é. J'ai maintes lois appliqué des métaux divers ou des aimants sur la
peau
anesthésiée d'hystériques, sans rien leur dire, s
le d'un docteur de l'église, il aura dépouillé le vieil homme et fait
peau
neuve. Et ce ne sera point un dévôt ordinaire ; i
oquée par suggestion est tellement profonde qu'on peut leur piquer la
peau
ou les muqueuses avec une épingle sans provoquer
uperficielle. Le pied gauche est également chaud, mais je sens que la
peau
est légèrement fraîche à la superficie. Il faut
un peu étroit, à la figure imberbe, douce et presque angélique, à la
peau
blanche et fine, au pubis glabre, à la verge infa
icules petits. Il est condamné pour la première fois. I1 a volé des
peaux
de lapin, en compagnie d'un autre individu âgé de
èrent un médecin. Le médecin chercha a réveiller la sensibilité de la
peau
par divers moyens: rien n'y fit, le sommeil persi
pour la retirer de cet état, que de lui appliquer un fer rouge sur la
peau
. A chaque brulure, la malade faisait un soubresau
le paraissait profondément engourdie, sinon endormie complètement. La
peau
est devenue insensible à la piqûre, les membres s
n est amené à reconnaître que son foyer producteur n'est autre que la
peau
. Pour lui, le cervelet est l'organe régulateur
ent serrées la respiration accélérée; le pouls fréquent et faible; la
peau
un peu chaude et visqueuse. Du côté des membres,
e un autre phénomène: sur différents point* du corps, tout a coup, la
peau
devient rouge, douloureuse, enflammée pendant un
s atiénuées. II G. VARIOT. - LES TATOUAGES ET LES PEINTURES DE LA
PEAU
. Extrait de la Revue scientifique. 1889. Le D
gretté professeur Damaschino. Ensuite il étudie les peintures de la
peau
chez les Peaux-Rouges de Bceuf-a-l'huile, et les
ous avons donc pu y assister el en analyser les détails. « Toute la
peau
du visage et du cou est d'abord enduite d'une sor
urbée, est tracée de la même manière au-devant des oreilles, sur la
peau
des joues. Les sourcils sont noircis et un peu al
excès de blanc est essuyé très légèrement avec un petit tampon, et la
peau
du visage reste recouverte d'une sorte de duvet q
termine par quelques considérations générales. « La décoration de la
peau
, dit-il, cultivée dans tous les temps et chez tou
côté gauche, et que, lorsqu'elle recouvrerait la sensibilité de la
peau
et des sens à droite, elle conserverait la sensib
me. Ces phénomènes consistent dans la production expérimentale sur la
peau
de certains sujets, de stigmates ayant une analog
ses de l'urticaire, mais qui en différent en ce que tes reliefs de la
peau
procèdent d'une cause matérielle et sont toujours
jours provoqués par une excitation mécanique faite à la surface de la
peau
. L'autographisme a pour caractère generis la repr
que signe particulier apparent a la surface du corps: une tache de la
peau
, une touffe de poils sur une plaque épaissie du
ue et ami Dujardin-Beaumetz, avait dans son service une femme dont la
peau
rougissait au moindre contact, sans que la malade
x, et des manifestations cutanées qu'elle présentait. Elle avait la
peau
blanche, fine, d'aspect normal sur toute la surfa
e avait été promenée. Il en était de même pour toute excitation de la
peau
produite par un corps dur quelconque : par les on
ommet, et atteindre le volume d'une demi-plume d'oie appliquée sur la
peau
. Bien des fois, nous avons obtenu ainsi des ins
ssance de l'opération pratiquée sur elle ; l'impression portée sur sa
peau
sera pour elle indifférente et nulle, puisqu'elle
ans différence appréciable. Il est évident que la sensibilité de la
peau
est bien une condition indifférente, puisque l'im
es malades m'ont signalé ce fait particulier: que les reliefs de leur
peau
variaient aux différentes saisons de l'année, et
use qui suit immédiatement la pression de l'ongle ou du stylet sur la
peau
du malade en expérience. Il n'en est pas de mêm
ause matérielle, d'une excitation mécanique portée à la surface de la
peau
; et il a, pour caractères sui generis, la reprod
iphériques, provoqué par l'action, mécanique d'un stylet porté sur la
peau
, et les perturbations dynamiques qui accompagnent
s fatal ! Celait le stigma ou sigillum diaboli! Une éraillure de ta
peau
, une ou plusieurs empreintes accusaient la griffe
nt auriculaire — soit par tous les doigts ensemblent appliqués sur la
peau
. Une cicatrice — où qu elle fut placée — était
plus redoutable ! car si le démon, seul, pouvait, disait-on rendre la
peau
insensible â la piqûre, lui seul pouvait bien mie
sthésie, analgésie complète, on peut lui traverser de part en part la
peau
des membres, du ventre, des seins, sans qu'elle r
en éprouvât d'autre incommodité que la persistance des reliefs sur la
peau
de la face chaque fois qu'elle se piquait ou se g
s quatre ans que nous suivions celte malade ; les tracés faits sur la
peau
donnaient toujours les mêmes reliefs, dont la dur
s sensibilités nous révèle les mêmes troubles du côté gauche, vers la
peau
, comme du côté des organes des sens. L'au-tograph
e (côté non anesthésique) et quand un refroidissement fût complet, la
peau
fortement érythémateuse, et descendue a une basse
mon cabinet une dame fort inquiète des élevures qui se fardent sur sa
peau
. Mme A..., âgée de trente-deux ans. née dans le
neuf ans. — elle éprouva, dit-elle, des sensations de chaleur vers la
peau
, et des démangeaisons qui la firent se gratter; e
t devenu un des faits habituels de sa vie: l'impressionnabilité de sa
peau
était telle que le moindre contact, de quelque na
n direct de la malade nous démontra que toutes les sensibilités de la
peau
étaient conservées et égales des deux côtés ; ell
it la pointe d'une épingle, le contact des objets, la pression sur la
peau
, l'impression du froid et du chaud. Les yeux te
t de la pointe lui donnait la sensation d'un fer rouge passé sur la
peau
. L'exaltation de la sensibilité et du sentiment é
verses sensibilités relève une hémianesthésie complète à droite. La
peau
est insensible à toutes les excitations, qu'elles
rve souvent en pareil cas. Les recherches que j'avais faites sur la
peau
de cet homme pour explorer ses sensibilités à l'a
éciable sur l'un comme sur l'autre bras, malgré l'émianesthésie de la
peau
. Guidé par la notion acquise, depuis longtemps,
Il est dur, résistant : la pression du doigt ne fait que décolorer la
peau
sans y produire d'enfoncement; il n'occupe qu'un
pois et un groupe de petites bulles. Tout autour de celle place, la
peau
était rouge et sensible 1 avant l'ex- Îiériencc
a liquide jaunâtre fl demi transparent perça el une croule couvrit la
peau
découverte. Huit jours après, la sensibilité revi
dans les pre-mières périodes de son développement à la surface de la
peau
. On voit, en pareil cas, sur des coupes pratiquée
aigreur très prononcée, pommettes rouges et saillantes, œil brillant,
peau
chaude, pouls assez fréquent. Il se plaint de dou
uable et devient un peu violacée. Les extrémités se refroidissent, la
peau
des mains est violacée et les plis qu'on y imprim
fébrile très manifeste. A la visite du matin, le pouls est à 132, la
peau
très chaude, aride, l'expression faciale naturell
cigrammes, pilules de cynoglosse, bouillon). 13. Chaleur vive de la
peau
; dyspnée ; intelligence présente. 14. Pouls, 1
ssine d'une manière plus prononcée, plus persistante. Chaque soir, la
peau
est chaude et la face s'anime; il y a quelquefois
bservation, l'évolution de la maladie a été re-lativement rapide ; la
peau
était constamment brûlante, le pouls d'une grande
ste au sommet. — Le 7, soixante-huit pulsations, la température de la
peau
tout à fait normale. — Du 8 au 11, même état géné
qu'en dehors et en bas le stylet touche des os dénudés ; on incise la
peau
dans diverses directions et après l'ouverture d
de-puis Hunter que pour les pertes de substance des parties exposées (
peau
, membrane muqueuse). Mais M. Charcot rap-pelle qu
que du poumon par un pigment analogue à celui de la choroïde ou de la
peau
, pigment constitué par des granula-tions de mélan
fer sont projetées avec force, si bien qu'elles s'incrustent dans la
peau
des mains et de la face des ouvriers. 2° Un aut
. Dans les ganglions lymphatiques, dans la muqueuse du larynx, à la
peau
de la face (lupus dit scrofuleux), des tuber-cule
s la deuxième édition de l'ouvrage de M. Rayer sur les Maladies de la
Peau
(t. III, p. 539) pourrait encore être rapprochée
illet ou même plus, qui ne font pas saillie au-dessus du niveau de la
peau
, et ne disparaissant pas sous la pression des doi
s sous la pression des doigts : ce sont de véritables pétéchies. La
peau
est chaude, surtout vers les parties centrales, s
èche aux parties centrales. Le pouls est à 92, faible, irrégulier. La
peau
est toujours chaude. Les mouvements respiratoires
uls à 80, très faible. L'impulsion cardiaque est à peine sensible. La
peau
est chaude et couverte d'une sueur gluante. Stupe
sane par vomissement. Pouls fai- ble, irrégulier, 56 pulsations. La
peau
est froide et couverte d'une sueur abondante. Par
matin à 132; il est très petit et très faible. La tempé-rature de la
peau
, qui hier s'était abaissée, est aujourd'hui très
z plein, le cœur a son volume normal et ses bruits sont naturels ; la
peau
présente une tempéra-ture convenable. Le malade a
ce de sérosité. Des veines volumi-neuses se dessinent en bleu sous la
peau
de la partie latérale gau-che de l'abdomen et de
nt dans le sang qui circule à travers les vaisseaux capillaires de la
peau
que serait due, suivant Frerichs, la coloration t
les recherches de M. le docteur Vulpian, la coloration bron-zée de la
peau
, dans la maladie d'Addison, serait due à un dépôt
ntivement qu'on ne l'a fait jusqu'ici celte coloration anormale de la
peau
, dans ses rapports avec la mélanémie; de recherch
nt serait contenu dans la cavité même des vaisseaux capillaires de la
peau
. ' Gazette hebdomadaire, 5 juin 1857, p. 387.
édicale de Toscane\ et considérées par l'auteur comme des exemples de
peau
bron-zée, semblent pouvoir se rattacher par tous
ères, existent, l'un, dans l'épaisseur de la mamelle, l'autre sous la
peau
de l'épaule gauche, au voisi-nage de l'insertion
n'éprouve pas de fièvre le soir; il n'a pas de sueurs-tiocturnes. Sa
peau
paraît, quand on la touche, au-dessous de la temp
malade s'agite beau-coup et parle sans cesse, la langue est sèche, la
peau
est chaude, le pouls est remarquablement petit et
emarquablement petit et très fréquent. 25. Pouls très petit, à 108;
peau
très chaude, langue très sèche, état typhoïde, co
L'œil est hagard et la malade paraît en proie à une vive anxiété. La
peau
n'est pas chaude. Le pouls des artères radiales e
re qu'elle est dans ces moments-là en proie à une vive oppression. La
peau
devient un peu chaude; la langue est couverte d'u
iffuses; des plaques ecchy-motiques enfin, occupant l'épaisseur de la
peau
, des mem-branes séreuses et muqueuses, où siégean
, cependant l'ensemble de la physionomie indique un état typhoïde. La
peau
est chaude et couverte d'une sueur visqueuse. Le
d'un façon très nette aux questions. Sueur sur tous les points de la
peau
. Pas de douleurs thoraciques ou précordiales. Pou
abondante de mucus par les conjonctives, surtout du côté gauche. La
peau
est chaude et humectée de sueur. Les veines sous-
la muqueuse linguale devient de plus en plus sèche ; on trouve sur la
peau
de l'ab-domen une tache assez analogue aux taches
sez prononcé, qui coïncide avec une teinte blafarde et terreuse de la
peau
. Enfin, l'arc sénile, dont la coïncidence avec l'
d'un anévrisme perforant remplacée par les muscles intercostaux et la
peau
; les tuni-ques vasculaires avaient cessé d'existe
ques auteurs. Quand la rupture se l'ait à l'extérieur, à travers la
peau
, elle succède généralement à l'élimination d'une
inue, et fait subir à l'enveloppe cuta-née des lésions spéciales : la
peau
rougit, s'amincit et pré-sente autour du point ma
de l'abdomen ont contracté des adhérences avec la tumeur, on voit la
peau
devenir violacée, et subir peu à peu les diverses
ile d'insister sur la gravité d'un pareil accident. Lorsqu'on voit la
peau
qui recouvre le sac anévris-mal rougir, s'amincir
y provoque point de douleur. On a vu dans un certain nombre de cas la
peau
du membre affecté rester sèche alors que le reste
de savoir si, pendant les accès, la température s'y abaisse, et si la
peau
y est affectée d'une anesthésie plus ou moins mar
l'hôpital. — Anémie profonde : teinte jaunâtre et comme cireuse de la
peau
, souffle intense à la base du cœur, au premier te
dernier, un peu œdémateux; on constate, à plusieurs reprises, que la
peau
n'y est pas anesthésiée, et que la température n'
exemple, dans les expériences auxquelles nous avons fait allusion, la
peau
devient le siège d'une anesthésie très marquée, t
la paralysie est complète au bout d'une heure, l'animal souffre ; la
peau
du membre est cependant anesthé-siée. Enfin, deux
ons nerveuses motrices sont paralysées; il y a aussi anesthésie de la
peau
, parce que les terminaisons sensitives sont affec
ns un état de mai-greur extrême, présentant une teinte jaunâtre de la
peau
très pro-noncée, n'offrait de remarquable à l'exa
entent vers six heures du soir, une exacerbation très manifeste. La
peau
du tronc devient plus chaude, le pouls est plus i
es cris violents; elle ne peut elle-même la remuer. Quand on pince la
peau
de ce membre, la douleur accu-sée par la malade p
d'opium, de 0,05 chaque jour). Il y a toujours de la chaleur de la
peau
, une intermittence très prononcée des battements
Palpitations nerveuses de l'aorte, 571. Paludéens (coloration de la
peau
chez les —), 345. Paralysie de la paupière supé
compte qu'une fois qu'on lui a fait remarquer l'insensibilité de sa
peau
. Notez en outre que notre malade ne présente aucu
e'remplie d'eau à la température de la salle était appliquée sur la
peau
, V... accusait une sensation de brûlure. Mais à
e jours. En examinant les articulations malades, on constate que la
peau
est légère- ment épaissie à leur niveau; profon
à une seringue. Un trocart (G), une pince dentelée pour soulever la
peau
(1), une autre (T) pour saisir les fragments d'os
bles trophiques. Il n'existe pas d'eschare sacrée, ni fessière ; la
peau
est seulement plus rouge dans ces régions. Les ma
de la gros- seur d'une noix, élastique, fluctuante, couverte d'une
peau
normale, lisse. En pratiquant une incision, on
ne vertébrale est modérément douloureuse. Cicatrices cutanées. La
peau
de la région postérieure du tronc est parse- mé
fférents, l'adhé- rence ou non de l'os aux parties voisines ou à la
peau
permettront d'ordi- naire de dire, même rétrosp
tantôt sur les articulations, tantôt sur les muscles, tantôt sur la
peau
, et les glandes. Le plus souvent il intéresse plu
évolutives portant sur les os, les articulations, les muscles ou la
peau
, qu'on doit considérer les nains conformes à la d
son évo- lution (2). Face arrondie, joufflue, nez peu développé,
peau
fine;.poils rares ; torse allongé, ventre proém
pas pu- rement imaginaire. L'embonpoint flasque de ces individus à
peau
fine et pâle, à chairs molles, à circulation pa
terminent, des jambes et des pieds boursouflés. , . Les plis de la
peau
, distendue par la graisse, donnent aux bras l'app
et de chair grasse, et se prolongent vers l'oreille par un repli de
peau
infiltrée qui arrondit en bas l'ovale du visage e
e du corps, ni sur les muqueuses. Pas de douleur; sensibilité de la
peau
intacte. Il existe un oedème léger des deux pie
acre et si corrosive, qu'elle cautérisait la surpeau et presque la
peau
, comme auraient fait de forts vésicatoires. 2
uption dartreuse, semée de grosses phlyctènes qui laissaient sur la
peau
des traces analogues à celles de forts vésicatoir
» SCLÉRODERMIE GÉNÉRALISÉE CONGÉNITALE (Sclérose atrophique de la
peau
, des muscles, des os), par LE Pr GRASSET. Leç
tané a disparu, les muscles elles os sont atrophiés à l'extrême, la
peau
présente une sclérose des plus étendues. Par sa
duit à l'état de sque- lette, mais c'est un squelette habillé d'une
peau
sèche et collée, comme une momie. Ce n'est pa
n bel exemple do dystrophie atrophique généralisée por- tant sur la
peau
, le tissu cellulaire, les muscles, les tendons, l
ée. Etudions maintenant le cas. Voyez la face (I'1. XXXVIII) ; la
peau
est appliquée contre les os ; l'ah- sence de mu
thies. Ces rétractions, plus encore que la sclérose atrophique de la
peau
et des muscles, brident les mouvements articula
semble être le seul muscle qui tient encore un peu. A ce niveau la
peau
serait plutôt un peu épaissie ; quoique peu mobil
nce entre l'atropine musculaire et les lésions tégumentaires. Cette
peau
, d'un jaune sale, est tachetée de points rosés,
proche de la main, la 260 nouvelle iconographie DE la salpêtrière
peau
devient de plus en plus serrée, mince, tendue, co
es avant-bras. Ici encore, malgré le haut degré dedermatosclérose, la
peau
ne semble pas devoir être rendue responsable de
ès effilés, la main donne l'impression d'une dissection achevée; la
peau
de coloration rosée est très amincie, lisse, ap
les « seins de statue », l'absence de bourgeons mamelonnaires ; la
peau
est glabre et se laisse facilement plisser. Dans
la peau est glabre et se laisse facilement plisser. Dans le dos, la
peau
présente les mêmes caractères ; mais en plus, sur
en rapport avec (IL[ sujet. L'abdomen est tendu, et à ce niveau la
peau
est un peu dure, épaissie, sans coloration brun
ses, on voit encore se dessiner quelques faisceaux musculaires ; la
peau
est un peu épaissie, indurée, mais encore assez m
muscles n'apparaissent plus que comme des cordages tendineux et la
peau
, parsemée de quelques poils, présente une sclér
serrée contre les os. - Au niveau des pieds, à la face dorsale, la
peau
, d'un rouge cuivré, mais sans cyanose, sillonné
e mutilation, par congélation notamment. Au niveau de la plante, la
peau
est tout a fait lisse, luisante, un peu moins adh
is. Par contraste avec ces altérations si accentuées portant sur la
peau
le tissu cellulaire sous-cutané, les muscles, l
ystème nerveux nous devons rapprocher le bon état de l'épidémie. La
peau
esl à peu près uniformément pigmentée, jaune sa
une teinte franche- ment rosée' qui n'est pas de l'acrocyanose. La
peau
ne présente pas un état de sécheresse spécial,
ous dit très explicitement que son enfant est né malingre, avec une
peau
dure, appliquée en masse contre les os. Ce point
progression du liquide de rompre les téguments. A son niveau, la
peau
est sillonnée de grosses veines dilatées, sans
de la grosseur d'une noix, élastique, fluctuante, cou- verte d'une
peau
normale lisse. En pratiquant une incision, on voi
tes par Hutinel, aux lésions de la rate, des poumons, des os, de la
peau
, des muqueuses et des ganglions décrites pré- c
le, la main gauche appliquée sur l'épaule du client pour' tendre la
peau
de la région où il opère ; de la droite, il tient
ptômes de gastro-entérite et par une pigmentation plus foncée de la
peau
. Puis sont survenues de l'anesthésie cutanée et u
le lit. Elle avait les membres inférieurs paralysés et amaigris; la
peau
de ses membres était sèche, rugueuse, froide. L
stes, principalement aux fléchisseurs des doigts et des orteils. La
peau
se desquame au niveau des membres paralysés, el
la paralysie alcoolique ne s'accompagne d'une desqua- mation de la
peau
par vastes lamelles épidermiques, comme dans cett
ormée, allongée dans le sens antéro-postérieur. A l'ouverture de la
peau
du crâne il s'écoule une boullie rougeâtre conten
istique et réaliste. Le bistouri, le filet de sang tranchant sur la
peau
brune ne sont la que pour établir un lien entre
doigts dont les reliefs sont facilement apprécia- bles sous la
peau
, pour qu'aussitôt le doigt correspondant et
reposant sur un plan osseux résistant, recouvert seulement par la
peau
et éloigné de toute autre partie molle. Il est do
p. 59; Paris, 1873. ÉTUDE SUR LES ARTHROPATHIES TABÉTIQUES. 79
peau
, toute l'extrémité articulaire a disparu. A la
une fluctuation manifeste ; la région de l'épaule est tuméfiée, la
peau
en est blanche, lisse, et laisse voir de nombre
mpte du peu d'épaisseur de tissus qui sépare la tête humérale de la
peau
, il est facile de reconnaître que le muscle del
ose antérieure de ce muscle, et en ce point adhérant fortement à la
peau
, forme le ligament suspenseur de l'aisselle. C'
ses expériences, Vierordt a Nui que l'application d'un métal sur la
peau
, augmente notablement l'excitabilité réflexe chez
r but de rechercher si l'application d'une plaque métallique sur la
peau
détermine ou non un courant. Pour s'en assurer,
aux est due au courant électrique résultant de leur contact avec la
peau
. Dans cette explication, la force électro-motri
osé par la galvanoplastie, ne donnait lieu, par son contact avec la
peau
, à aucun courant et, par suite, à aucune modifica
solante ne recouvrait que la partie du métal qui ne touchait pas la
peau
. Les plaques de cuivre, de laiton, de zinc, d'a
ns ce cas, bien que le métal actif soit toujours en contact avec la
peau
et que rien ne puisse modifier l'action chi- mi
ent le même effet que si la plaque qui se trouve en contact avec la
peau
avait été appliquée seule. Disons-le en passant
- trique ou plus exactement un potentiel différent de celui de la
peau
, en un mot, que la peau et le métal se comportent
ement un potentiel différent de celui de la peau, en un mot, que la
peau
et le métal se comportent l'un par rapport à l'
métal qui n'agit pas chez notre malade, la série des contacts est :
peau
, or, argent. En vertu de la loi des tensions, c
nsions, c'est comme si l'argent était appli- qué directement sur la
peau
, et en conséquence il n'y a pas d'action métall
utons une pièce.d'or, le résultat est de nouveau celui du contact :
peau
et or, et l'action métallos- copique reparaît.
ons d'après cela cherché à imiter l'action des métaux en mettant la
peau
en communication avec des sources très faible d
n rapport, au moyen d'une électrode ordinaire (charbon recouvert de
peau
de chamois humide) avec le corps, on obtient le
ogénie à la polarité électrique résultant de leur con- tact avec la
peau
. Cette conclusion nous autorise à ranger à la s
firmer les prévisions de M. Seure. L'évaporation de l'éther, sur la
peau
, ne suffit pas a elle seule à produire des effets
ique. C'est ainsi que le contact, pendant un certain temps, de la
peau
avec de l'eau plus chaude ou plus froide qu'elle,
a été question plus haut, lors- qu'on place la pièce neutre sur la
peau
, le résultat dépend de sa position par rapport
e anesthésique, est subordonné à un certain degré d'hypérémie de la
peau
, ou du moins à la disparition du spasme vascula
ariable. Les symptômes caracté- ristiques sont : l'anesthésie de la
peau
, l'hyperesthésie et la paralysie des muscles, l
partie anté- rieure de la jambe; puis l'oedème se généralise et la
peau
, principalement, à la face, prend une teinte li
re, de façon à ne consister qu'en un grattement superficiel de la
peau
, elle retentit presque toujours sur un plus ou
dessus de la moitié externe du sourcil.-Au-dessous des sourcils, la
peau
est ten- due au niveau de la tête et dans l'esp
e du sourcil dirigée de haut en bas et de dehors en de- dans ; la
peau
de la partie médiane du front est lisse et tend
: l'aile du nez est attirée obliquement en haut et en avant, et la
peau
des parties latérales du nez se marquer de plis
le conduit auditif, externe un rhéophore col. 1 nique coiffé d'une
peau
humide- et, en appuyant sur- le . cartilage inf
moment dans le vidé et marmottait des paroles incompréhensibles. La
peau
était brûlante et le pouls petit et très rapide
tronc nerveux de petites tumeurs fusiformes, non adhé- rentes à la
peau
, mobiles transversalement et non longitudma- le
irement amincie, en comparaison avec le côté droit, au point que la
peau
et la muqueuse paraissent appliquées l'une cont
l'autre sans tissu interposé. 11 est impossiblede faire un pli à la
peau
, tant elle est mince et exactement adhérente àl'o
la syphylis, on trouve dans la période de début l'hyperémie de la
peau
(roséole, érythème),'des muqueuses (angine, bronc
les altérations vasculaires dans les affections syphilitiques de la
peau
; des muqueuses, des viscères,' puis'rappelle'qu
n surviennent les phénomènes de dyspnée et de parésie cardiaque; la
peau
est livide et non cya- nosée, les extrémités so
OGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. hanche droite. Le testicule droit et la
peau
des bourses du même côté sont aussi hyperesthés
mbaire. En ce point particulièrement, la plus légère friction de la
peau
détermine une vive douleur; toute la région de la
nt un peu maigri; elles ne présentent aucun trouble trophique de la
peau
et de ses dépendances ; explorés électriquement p
phénomènes vaso-moteurs, atrophie mus- culaire : altérations de la
peau
, rétractions fibreuses, dont la rareté dans les
ndons des extenseurs faisaient alors une saillie très marquée sous la
peau
. Ces orteils sont agités de mouvements incessan
ée, les tendons extérieurs faisant une saillie très marquée sous la
peau
. Il existe là un ensemble de phénomènes véritab
rillon : État à l'arrivée. Les jambes sont dans la demi-flexion. La
peau
, au niveau du genou, est adhérente aux parties
rbre de couche d'une machine. Au niveau de la tête de l'os, sous la
peau
, existait une petite tumeur osseuse du volume d
utané et par le tibial antérieur qui, à cet endroit, envoie sous la
peau
un rameau grêle et dirigé dans le sens de la- jam
l antérieur et quel- ques rameaux du musculo-cutané, si bien que la
peau
de la moitié externe du premier orteil, de la m
tibial antérieur, puisque, partout où se dernier se distribue il la
peau
, l'anesthésie a existé. Or, tous les muscles
les doigts fléchis dans la paume de la main menacent de perforer la
peau
. Cette contracture, probablement de nature hyst
tions ni nouures. Tronc nor- mal. Organes génitaux bien développés.
Peau
brune, flasque et ridée. Muscles émaciés. État
celle d'un haricot, surtout foncées et con- fluentes sur le cou. La
peau
qui environne ces taches est absolument normale
igne médiane. A gauche de cette ligne, il n'existe aucune tache, la
peau
est d'une couleur parfai- tement uniforme. ,
apidement et, malgré la douleur et le gonflement avec rougeur de la
peau
qui gênent la malade, elle peut bientôt marcher a
peu; les tendons extenseurs font, alors seulement, saillie sous la
peau
; le tendon d'Achille et celui du long péronier
Ailleurs elle est aussi, je crois, un peu émoussée. J'ai mis sur la
peau
, le membre étant au repos et reposant sur le lit,
particulier ; les masses mus- culaires en sont un peu flasques, la
peau
en est sèche, rugueuse ; quelques vergetures ho
- naire depuis ce laps de temps. Sur toute l'étendue du corps, la
peau
du malade a une teinte jaune brun mélangé d'une
nce olivâtre ; cette coloration est encore plus nette à la face. La
peau
est d'ailleurs flasque et comme trop large pour l
re entre 27° et 30°, et à des températures voisines de celles de la
peau
, ce qui est plus favorable encore, j'ai été à mêm
droite. Troubles trophiques. Pas de changement de coloration de la
peau
. Le membre inférieur droit est notablement plus
la palpation. 224 1V,4UVEL1.1, ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. La
peau
est très légèrement épaissie sur la face postérie
auche. Chez lui, comme chez le premier malade, épaississement de la
peau
du côté atrophié. Pas de lésions cutanées appré
« Mes jambes étaient comme des bâtons, » nousj dit-il. De plus, la
peau
en était pâle et jaunâtre. Pendant trois mois
ant un certain temps, une tendance à la paralysie vasomotrice de la
peau
des pieds. 3° Que penser des accidents épilepti
nor- maux, les ongles ne présentent pas de dystrophie notable ; la
peau
a sa con- sistance et sa coloration ordinaires.
fémur, 41. Circonférence à la partie moyenne de la cuisse, 5G. La
peau
de la cuisse est absolument normale. Au-dessus du
général de la malade estïun peu cachectique, teinte jaunâtre de la
peau
, muqueuses pâles, peau molle, chairs flasques, né
stïun peu cachectique, teinte jaunâtre de la peau, muqueuses pâles,
peau
molle, chairs flasques, nécessité de garder le
dinaire, seraient attaquées d'un gonflement, comme on dit, à pleine
peau
. Les jambes paraissent à la première inspection
'affection : il pesait 120 kilogr. 400, sa taille était de 1m80, la
peau
d'un jaune foncé, la barbe un peu rare; les che
lent plutôt amaigris si on les compare à l'ensemble de l'individu; la
peau
est saine, blanche, fine, atémique, sans oedème
LIE. - . 255 trophie se remarque aussi aux coudes et aux genoux. La
peau
y semble comme trop large, elle est extraordina
s bien plus largement que d'habitude. L'accroissement anormal de la
peau
est surtout visible il la région occipitale. Au n
articulaires sont épaissies, indépendamment de l'hypertrophie de la
peau
. -Aucun exsudât dans les jointures, mais, dans le
et des menaces. Il éprouve des picotements et des brûlures sur la
peau
, des crampes dans les bras et les jambes. Ces hal
s dents, pousse des cris ; la voix est aussi claire que d'habitude.
Peau
légèrement sèche et modéré- ment chaude malgré
xcite. Elle a pris du potage et du lait avec assez de facilité. -La
peau
est fraîche ; les yeux sont nets.-PIt... recomm
moindre dou- leur, transpercer de part en part avec des épingles la
peau
du malade. ' A l'hémianesthésie sensitive se
l'hémiplégie est accompagnée d'hémianesthésie; on peut traverser la
peau
de part en part avec une épingle, sans que la m
jambe et le bras. Elle se plaint toujours de la douleur de tête. La
peau
est assez chaude. P. 96 ; T. Ax. 38°,5. - Dansl
t-bras paralysé. Les muscles répondent très bien à l'excitation. La
peau
, d'abord complètement insensible, devient rapid
tative dont voici le principe : si par une action quelconque sur la
peau
, on arrive à augmen- ter un de ses modes de sen
à présent, obtenu les résultats suivants : la friction agit, et la
peau
diminue la sen- sibilité, au contact et à la pr
de circonférence, tenant au plan osseux, et sans adhérence avec la
peau
, dont les veines pré- sentaient un développemen
erveau et de la moelle, M. Arnozan celle des articulations et de la
peau
, et M. Landouzy décrire l'attaque de choléra ou
contracturés;[,e,t.eu terjdons11fon,t .une; forte sailli;Æ ? u.ll¡¡
peau
. Les secousses sont très nettement visibles sur l
bien portante pas d'hé- moptysie, pas nerveuse, pas de malàdies de
peau
; quelquefois douleurs, névralgiques vers les d
ns se trou- w vent, anssi,modifiées par le contact du métal avec la
peau
. C'est a[ d'abord,la circulation. Nous l'avons
pas de, sang, mais à mesure que la sensibi- J9.liJ .r.ep51l'aîJ, la,
peau
,perd sa coloration blafarde pour prendre .,une,
hyperémie, plus ou : moins marquée. De plus, la température de , là,
peau
,sélève et cette élévation peut être de plusieurs
ouver que le zinc augmente manifestement la vascu- larisation de la
peau
etlatempératiiresansinfluencerla sensibi- lité,
osyncrasie d'un malade, c'est-à-dire lorsque son application sur la
peau
détermine chez 264 REVUE CRITIQUE. Ir . ce ma
t des lames de platine,' tantôt des' lares 'd'étaiii'7ecouvèrtes de
peau
de chamois) ? furent pla- cés sur une région an
éra- " 1 d31.. I¡, III ? 01 , 1 Il, ql .. hf' ¡J lement à même la
peau
, sans interposition d'aucune sorte entre elle e
rendus Acad. des scien- ces, 29 décembre 1879.) Sur un morceau de
peau
pris sur un malade de l'hôpital St-Louis, on pu
e d'abord - i Il " /[je 1. 1 ' 'mi.. J; ? Il 1 - l , ." 1 dans la
peau
. Le dr Ord a montré que ce dépôt ou cette trans-
l défini, qu'on retrouve identique dans les muscles, lés'glandes/lâ
peau
? certainement aussi dans''la moelle et péut-èt
tion' des capillaires,' les ailes du nez sont dilatées. Partout, la
peau
est sèche et rude. La température 'est' abaissé
VALLIER (Ipswich) demande si on peut observer ces colorations de la
peau
chez d'autres personnes que chez des aliénés.
fin, aux extrémités des membres, une impression douloureuse, sur la
peau
, suscitait des réflexes. A l'autopsie, on décou
ngestion pulmo- naire qui correspond aux troubles vasculaires de la
peau
. Le traitement hydrothérapique ayant été abando
cheveux sont châtains, peu abondants, ainsi que les sour- cils. La
peau
est normale. On sent quelques ganglions dans le
oir : T. R. 38°, 8. 5 janvier. L'enfant décline de plus en plus. La
peau
est légèrement chaude à la main. Les mains et l
des métaux (bagues, bracelets, dés à coudre), on trouve souvent la
peau
sensible dans la portion circonscrite qui est e
aire le métal a rétabli sensibilité dans une certaine étendue de la
peau
d'un mem- bre, une plaque d'anesthésie de dimen
mant placé à proximité de la région temporale. On voit alors que la
peau
devient d'abord sensible en face de l'aimant ;
mécaniques, un frôlement léger être perçu avant le pincement de la
peau
. On trouverait dans ce genre de comparaisons de
fonctionnelle ainsi que nous venons de voir que cela a lieu pour la
peau
. En dehors des cas qui ont servi de type aux de
ut émettre un petit rameau perforant latéral qui se termine dans la
peau
REVUE d'anatomie. 429 du creux axillaire ou b
niveau des insertions du grand dentelé, allait se ramifier dans la
peau
de la région postérieure du coude. Le deuxième
ème nerf intercostal, et se perdait par ses ramifications dans la
peau
du creux de l'aisselle. II. Anomalie non encore
e terminait dans le muscle pédieux ; l'interne se terminait dans la
peau
des parties correspondantes du premier et du de
termittente, la pneumonie, l'érysipèle, les accidents du côté de la
peau
et du tissu cellulaire (furoncle, phlegmon, pse
-paralysie saturnine le liseré gingival, la teinte ter- reuse de la
peau
, les crampes, les fourmillements, les anesthé-
'' ? 0q vatioils. à ce @sujet.1 11, n'est, p' 'a s'ràré"de voii, la
peau
des .».u.r,^ , . r . ? n..... · mrimtmt od 1J0
é 4oit ? j-Pendantleeàteiîips, les parties correspondantes; de Llai
peau
se couvrirent de très nombreuses. pustules ! .
e zauche-1. et «une éruption pustuleuse se produisit, bient8tsursla
peau
des régions où se,dlstribue ce nerf.i .1-ivuoi
. .9 ? uit9)'n (lu Les éruptions et ces troubles vasculaires de. la
peau
i, c Mi'-i'jbU 10JJ' il dli«)11111 Wl.'JIf.IH'I
t)'); ! T)-)ii)t s ? P-firs« rition de tac71es ecchymotzïiës sur là
peau
des.mem- .oi' il, 3M'jo : ')ar' -i ? ) -) 8 ? r
<r;0' ! est .)v-, .tnjtts voir apparaître sur divers point de la
peau
, des mem- ,-91 )i.o',9'. 90C (SUIS , 9189-1.10)
cïe'vestà da t. , base du\ thorax. Apparition, d'ecchymoses, sur la
peau
.des ^membres , inférieurs et supérieurs, ,a la
st, elliptiqufcoUToyalejJEnesfn.e.fqnfî pas^saillie au-dessus de la
peau
. Elles ne sont pas douloureuses. Leur apparitio
ers les couches plus super- 1·rCÇHYSIOSE gBEIpUES. 55 CS ? s, 4 ?
peau
.;r IlilrrJOUS çrovnpou5.oir,i,f,rmen qw'ip s'ag
r ''r'j ? i .j'riKfn ment) des loleus) ou-d un fort pincement de la
peau
. cr- .-vt-to- (to« ? > , l'Ir-v . ^t ? «rmro
pas,sur la,partie de u zif q cmiioiu( inud (.1`rt UD ' ; cu.u'tT
peau
correspondant au siège maximum.de.la ? douleur,
rale 9,IUUb .rusl . La distribution des taches ecchymotiques surila
peau
liei U JkOJ ! )Àiûtltiq iii eu G.7Jlil : t j.,
ieuse, proposée par 11. Charcot, pour les troubles trophiques de la
peau
(urti- caire, pemphigus, etc.) que l'on constat
la plaque neutre non plus sur la plaque active, mais à côté, sur la
peau
même. Le résultat fut identique. L'effet d'arrê
pend dans ce cas, c'est-à-dire lorsque les deux plaques sont sur la
peau
, de leur position relative par un rapport au cent
central d'origine syphilitique coïncident avec l'intégrité de la
peau
, des muqueuses et des os à ce moment, comme il s'
obtenu expérimentalement ces mêmes résultats en injectant sous la
peau
avec prudence de la graisse liquide ; aussi M. J.
longation des chocs et des coups (trituration de la graisse sous la
peau
). '- 3 'La'relation entre les'suppurations simp
réveillé par une double excitation. On l'appelle et on lui pince la
peau
; les pupilles demeurent absolument immobiles et
contractées. De même chez un sujet bien portant, l'irritation de la
peau
par un courant faradique, le pincement, l'excit
urs. Mais cette restauration de la sensibilité ne concernait que la
peau
et nullement les parties profondes; et le fait
ur décrit sous ce nom un trouble de la sensibilité subjective de la
peau
, donnant lieu à ce qu'on appelle vulgai- rement
de raideur des doigts, d'autres fois un changement de couleur de la
peau
. qui devient pâle ou rouge. Dans quelques cas, il
se contractèrent, les yeux étaient à demi-clos, le pouls faible, la
peau
froide et couverte d'une sueur visqueuse. Au bo
nutritifs, de tonifier le système nerveux, de faire fonctionner la
peau
et le système musculaire, les bains de vapeur s
la première atteinte. Ces troubles portent sur la sensibilité de la
peau
des muqueuses, et sur la sensibi- lité spéciale
de la dermalgie, car tandis que dans celle-ci la sensibilité de la
peau
est exaltée au niveau des régions hysté- rogène
ité de la peau est exaltée au niveau des régions hysté- rogènes, la
peau
a souvent perdu toute sensibilité, quelquefois
hypertrophie du tissu cellulo-adipeux sous-cutané, l'atrophie de la
peau
, les lésions des poils et des glandes, l'état lis
e la peau, les lésions des poils et des glandes, l'état lisse de la
peau
; la contracture accompagne souvent les paralysies
lles apparurent, qui crevaient, puis se desséchaient. Peu à peu, la
peau
, d'abord gonflée, s'atrophie, devient lisse, se c
s et effilés. Les phalangettes ont presque complètement disparu et la
peau
qui recouvre les phalangines est lisse, tendue et
mineux. Au pourtour de l'orbite, il existe une atrophie notable de la
peau
qui est tendue, adhérente à l'os. Il en est de mê
creusée au-dessous des os malaires, qui font une saillie anormale, la
peau
mince et lisse qui adhère aux os sous-jacents d
pect est tout à fait caractéristique. Au-dessous de lui et au cou, la
peau
est devenue véritablement trop courte et ce racco
hiques variés, siégeant sur les doigts, pouce, index, gros orteil. La
peau
se fendille, un ulcère se produit, qui pénètre pr
profondes, des ulcérations siégeant au niveau des plis naturels de la
peau
, constituant une sorte de mal perforant palmaire,
manifestent aussi dans la syringomyélie, tels que les gerçures de la
peau
, les arthropathies, la scoliose. Mais le panaris
dernière phalange, mais il reste, adhérente à l'ongle, une portion de
peau
qui donne au bout de ce doigt une apparence de
à un petit morceau de corne coiffant à plat le sommet du moignon. La
peau
a perdu ses plis et ses stries, et n'est pas adhé
dhérente aux tissus profonds. Il en est de môme en ce qui concerne la
peau
pour le doigt annulaire. Pour celui-ci la rétract
tes par la maladie de Morvan (face palmaire). Chose remarquable, la
peau
du petit^doigt, qui n'a eu aucun panaris, présent
e par la résistance énorme opposée par l'épaisseur et la dureté de la
peau
. Pas de déformation de la colonne vertébrale. P
une constriction douloureuse frontale et temporale, pendant lequel la
peau
est douloureuse au niveau des tempes. Ces étourdi
nommé Desf... leur qui lui coupe la respiration. Le pincement de la
peau
aux mêmes places n'est point douloureux. Les de
ée, il se relève avec un mal de tête bien particulier, dans lequel la
peau
du crâne et du front est le siège d'une hyperesth
ème dur, coloration violacée, bleue, quelquefois presque noire, de la
peau
. Refroidissement notable des parties atteintes. E
osée, violacée, parsemée de marbrures d'une coloration lie de vin. La
peau
était sèche et froide. De plus il existait une hy
encore plus manifeste par la recherche de la température locale de la
peau
à cet endroit. Celle de la main gauche (côté sain
igts sont comme bridés au niveau des articulations des phalanges ; la
peau
à ce niveau, à la face dorsale, forme un bourrele
oloration plus foncée. Le creux de la main est également gonflé, la
peau
est tendue et ne fait plus de plis comme au côté
la peau est tendue et ne fait plus de plis comme au côté opposé. La
peau
en général est lisse, un peu luisante, les stries
ment des tissus sous-cutanés ne gênait les mouvements en bridant la
peau
. La main est anesthésiée dans toute son étendue
pas d'empreinte permanente. Cicatrices nombreuses de pointes de feu.
Peau
violacée. Main un peu plus froide que du côté opp
sent, plus loin en arrière que de coutume, les condyles fémoraux. La
peau
de la région est fortement pigmentée, épaissie, c
eillée par les mouvements de flexion qui sont cependant possibles. La
peau
ne paraît pas douloureuse, mais seulement la pres
rticalement en bas en laissant indemne le quart interne environ de la
peau
de cette face antérieure ; suivant enfin la face
A la face postérieure un grand nombre de nerfs se distribuent à la
peau
. Parmi eux le sciatique poplité externe fournit,
ités). —e. Nerf tibial antérieur (branche du poplité externe). à la
peau
de la région externe de la jambe, suivant une ban
er à l'appui le cas de M. Hérard déjà cité dans la thèse de M, Hallo«
peau
(1868). Tout récemment j'ai observé moi-même un f
droit. Pas d'adipose sous-cutanée, pas de troubles trophiques de la
peau
. Le malade ne souffre en aucun point des membre
ériphériques. Ressortissent à cette catégorie pour ce qui concerne la
peau
et le tissu cellulaire sous-cutané, les éruptions
nne, de l'atrophie des muscles, des troubles trophiques du côté de la
peau
, qui était lisse, et des deux derniers doigts. Il
nergiquement que son homonyme du côté malade, de telle manière que la
peau
du front se ride transversalement à droite, tandi
reste à peu près lisse et unie du côté gauche. A l'état de repos, la
peau
du front n'est ridée ni d'un côté ni de l'autre.
rappelle l'atrophie musculaire du type Duchenne-Aran. Ajoutons que la
peau
, non plus que le squelette, ne sont altérés dan
anal rachidien. Suture des plans musculaires au catgut ; suture de la
peau
au crin de Florence. Pas de drainage. Suites op
ètement abolie, ne subsiste qu'à peine. La piqûre, le pincement de 'a
peau
ne donnent à peu près que des sensations de conta
menté de longueur ; les doigts sont volumineux, comme boursouflés; la
peau
est plus rugueuse; les plis de la surface palmair
à la malade de le contracter, on voit les fibres se dessiner sous la
peau
du côté gauche seulement, le côté droit restant a
ème dur, coloration violacée, bleue, quelquefois presque noire, de la
peau
. Refroidissement notable des parties atteintes. E
qui auraient échappé sans cela : par exemple des affections de la
peau
, l'éruption produite aux fesses chez les enfants
endre dans les bourses, égaux, de la grosseur d'un petit haricot.
Peau
assez fine, cheveux et sourcils blonds. Cicatrice
harite ciliaire, conjonctivite, adénites, engelures, maladies de la
peau
. Traumatismes céphaliques et divers, fractures,
e supérieure et à la face antérieure des jambes. Sensibilité delà
peau
, médiocre. Odorat peu développé. Goût paraissan
aru qu'au bout d'un an, puis de deux ans. Elle n'a eu ni maladie de
peau
, ni rhumatisme. C'est une femme intelligente, c
t jusqu'aux sourcils qu'ils rejoignent dans leur moitié externe. La
peau
du front est assez épaisse et présente quelques
Les joues sont assez proéminen- tes, légèrement teintées de son. La
peau
à leur niveau est assez fine et souple. On n'y
te quelques analogies avec une tête de veau. La sensi- bilité de la
peau
est assez marquée. L'enfant sent hien la pi- qû
ontres court, circonférence à sa partie moyenne SO'eentimè- tres,la
peau
à son niveau est assez fine, le tissu cellulaire
rtie inférieure du cou, au niveau des régions sus-claviculaires, la
peau
est comme soulevée, et à la palpation, on const
utané, assez abondant et lâche, permet un déplacement facile cle la
peau
sur les plans sous-jacents. La peau est assez b
et un déplacement facile cle la peau sur les plans sous-jacents. La
peau
est assez blanche, un peu rude au toucher ; ell
-bras, plus volumineux que les bras, présentent les mêmes cas de la
peau
; leurs masses muscu- laires sont assez dévelop
oup plus développées dans leur largeur que dans leur lon- gueur. La
peau
est assez rude et épaisse, d'une coloration vio
hiques, pas de stries ni de cassures. Par places on remarque sur la
peau
des membres supérieurs, surtout au voisinage de
s articulations, au pli du coude, au poignet, un état rugueux de la
peau
, qui est dû à une desquamation très marquée de
longueur, et par la courbure anormale du squelette de la jambe. La
peau
n'y présente pas de caractères différents de ce
pelant un peu celui d'une femme atteinte de kyste de l'ovaire. La
peau
à son niveau présente les mêmes caractères de rud
cône en avant ; cette petite tumeur est réductible et à travers la
peau
, fine en cet endroit, on sent nettement avec le
est leur grande simplicité. Tronc. -Une incision pratiquée sur la
peau
depuis le men- ton jusqu'à la vulve montre que
s mince sur l'abdomen. Les muscles semblent collés directement à la
peau
. Ce dévelop- pement très minime de la couche gr
avec les énormes amas graisseux que nous allons décrire. Cou. La
peau
et les aponévroses étant disséquées de chaque c
couvert par une sorte de sécrétion colloïde. Analyse chimique de la
peau
, faite par leD' Paul Cornet, aulaboratoire de t
ire de thérapeutique de la Faculté. Il m'a été remis, un morceau de
peau
très adipeux et macérant dans de l'alcool. Cett
cle de fourneaux allumés, de réchauds sur lesquels ils chauffent la
peau
de leur tambourin, et si la séance a lieu dans
la pointe du poignard, mais ne manoeuvre jamais le tranchant sur la
peau
. Le tranchant ne joue de rôle que quand il mont
cours des exercices, constamment couverts d'une sueur abondante. La
peau
est donc en ce cas tout naturellement protégée
t avec beaucoup d'adresse : ils font courir sur le thorax ou sur la
peau
DE L'HYSTÉItIE CHEZ l'homme. 35 du ventre une
es. Ils la saisissent bien au bout du manche et la passent sur la
peau
de façon à ce qu'aucune pointe ne pénètre profo
t un mouvement convulsif du bras droit au moment où l'on pinça la
peau
de ce membre, et un mouvement semblable au mome
me 80 RECUEIL DE FAITS. DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. saillie sous la
peau
. - C'est le plus bel exemple qu'on puisse prése
et muscles, contribueraient à le constituer. Les impressions de la
peau
devraient aussi y être rattachées. C'est cet en
ces d'un tiers du poids, quel qu'il soit, mis en contact avec notre
peau
, tan- dis que si nos muscles sont appelés à jou
- minées par la pression externe ont leur siège en partie dans la
peau
et appartiennent alors au sens du toucher proprem
nsitifs qui 86 REVUE CRITIQUE. se distribuent aux muscles et à la
peau
. » Pour Millier et Hamilton, le sens musculaire
ment, impressions centripètes émanant des muscles, ou émanant de la
peau
. Ludwig pense aussi « qu'il est conce- vable et
, ils ont cherché : 1° à les ramener aux sensations dépression delà
peau
; 2° ils ont voulu y voir des sensations muscula
cscaeraen, 1844, Heidelberg) et de CI. Bernard, qui, en enlevant la
peau
d'un 88 REVUE CRITIQUE. des membres d'une gre
'anesthésie cutanée, si le trouble de la sensibilité est borné à la
peau
, la sensibilité pour l'élévation des poids peut
donc admettre que cette sensation de mouvement, indépendante de la
peau
, réside dans une sensibilité particulière aux m
mou- vement, par exemple des muscles, des articulations et de la
peau
, d'autres impressions, inconcientes celles-là, ve
provenant de trois facteurs différents, sensation de pression de la
peau
et des parties sous-cutanées, sensation de cont
traire en des impressions venues de la périphérie, à sa- voir de la
peau
, des muscles, des aponévroses, des tendons, des
amblyopie, ni de dyschroma- topsie. Pas de troubles sensitifs de la
peau
ou des muqueuses. Réflexes tendineux, fonctions
que à celui du côté sain. Rien aux articulations ni aux muscles. La
peau
de- 102 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. vient l
races de brûlure sur le dos de la main. Anesthésie complète de la
peau
au toucher, à la pression, à la piqûre, à la br
s appareils ner- veux récepteurs (organes terminaux sensitifs de la
peau
), ou per- cepteurs (centres sensoriels de l'éco
tée. - 11 n'y a pas de lésion des organes terminaux sensitifs de la
peau
, car, dans ce cas, ou bien l'anesthésie est durab
ble, et alors il y a destruction nécessaire de ces organes et de la
peau
,ou bien elle est passagère et cesse avec la cau
aucun résultat même par des applications prolongées (5 heures). La
peau
avait rougi, s'était enflammée et couverte de v
i, sauf quand l'enfant criait ou qu'on lui pressait sur sa tête. La
peau
s'arrêtait brusquement sur le bord de cette fen
e. Quelque temps auparavant le malade s'était aperçu que son cha-
peau
etait trop étroit pour sa tête. Le troisième jour
ccède avec la plus grande facilité aux excitations mécaniques de la
peau
; de sorte que l'on peut voir s'y dessiner, d'ab
côté sain, on peut enfoncer une épingle assez profondément dans la
peau
du bras sans faire crier la malade qui accuse s
ture sont presque complètement abolies. On peut pincer, piquer la
peau
, sans que la ma- lade perçoive autre chose qu'u
éaction appré- ciable : avec une pile de Chardin de 12 éléments, la
peau
rou- git, et au moment de l'interruption 'du co
ste aucun trouble trophique au niveau des régions anesthésiées : la
peau
de la main n'est pas altérée, on ne constate, n
visuel, ni de cécité.des couleurs, ni de troubles sensi- tifs de la
peau
ou des muqueuses. Les phénomènes morbides sont
actère doux à l'état normal. Pas de migraines, pas de ma- ladies de
peau
. Il travaillait peu; établi tourneur, il a tout b
(1 m. 27), de constitution faible, de tempérament lymphatique. La
peau
et les muqueuses sont pâles, anémiées. La boite c
croisent avec tant d'énergie qu'il se creuse des empreintes dans la
peau
; les membres sont en contracture, la jambe gauc
gide. L'anesthésie est absolue et généralisée. On peut traverser la
peau
avec une épingle sans déterminer la moindre dou
des symptômes bulbaires passagers et des troubles trophiques de la
peau
(des bulles à la main droite). A l'autopsie on
gésie partielle avec paresthé- sies et altérations trophiques de la
peau
de la main droite, perte des réflexes cutanés e
locomoteurs, d'atrophie musculaire, de troubles trophiques de la
peau
et d'altérations articulaires de l'épaule. Le s
avec analgésie et thermanes- thésie partielles, et dystrophie de la
peau
étudié' par l'auteur en 1886 27 étaient caracté
nesthésie thermique et analgésie partielles, de la dystrophie de la
peau
et du tissu cellulaire sous- cutané, de la faib
roubles locomoteurs, l'atro- phie musculaire, les altérations de la
peau
, etc., peu- vent faire complètement défaut, il
algésie par- 376 PATHOLOGIE NERVEUSE. tielle et des lésions de la
peau
et du tissu cellulaire sous-cutané. Le sens de
. - Le malade est un homme robuste, bien fait, au teint clair. - La
peau
du dos et de la jambe porte des taches pigmenté
de boisson. Quelques douleurs rhumatis- males ; pas de maladies de
peau
, pas de migraines. [Père, maître d'école en Hol
journalière, faisait des ménages; asthma- tique, pas de maladies de
peau
, ni d'attaques; n'est pas nerveuse, aucun excès
ête consécutives aux excès; pas de migraines; pas de maladies de la
peau
; on ne sait s'il a eu la syphilis; pas d'angine
e l'autre, que la sécrétion sudorale y est plus abondante et que la
peau
a une coloration rouge violacée, vous pouvez af
longtemps dans une position déclive et d'amener la vésication de la
peau
par l'application de substances irritantes. Je
hez certains paraplégiques, sous l'influence d'une excitation de la
peau
des membres inférieurs, des mou- RÉFLEXES TENDI
rotulien occasionne indirectement, par suite de l'excitation de la
peau
dans la zone du tendon du quadriceps, un mouvem
rd sur ces réflexes à l'état normal. On sait que l'excitation de la
peau
à la partie supéro-interne de la cuisse provoqu
défense peuvent être provoqués non seulement par l'excitation de la
peau
, mais aussi au moyen de tractions ou de pressio
stement volontaires. b) Le sujet étant assis ou couché, on pince la
peau
de la face dorsale du pied ou de la partie infé
s orteils, ceux-ci se fléchissent très nettement quand on excite la
peau
de la partie supérieure de la cuisse ou de la par
j'ai constaté un mouvement réflexe consécutif à l'excitation de la
peau
de l'abdomen. Néanmoins, chez quelques hystériq
mouvement de la paroi abdominale à la suite d'une excitation de la
peau
de l'abdomen dans un cas d'hémiplégie doit être
l'amplitude des mou- vements. Tantôt le moindre attouchement de la
peau
d'un membre suffira a à déclencher une flexion
et d'extension ; tantôt, au contraire, le pincement très vif de la
peau
ne déterminera qu'avec peine une simple flexion
fense sont multiples. L'un des plus employés est le pincement de la
peau
. C'est tou- jours à lui que j'ai recours d'abor
nomonique : si on obtient une flexion réflexe du pied en pinçant la
peau
du membre inférieur hors de la zone plantaire,
n des orteils. Puis, je me suis contenté de pincer exclusivement la
peau
dans le voisinage du tendon d'Achille ou encore e
ki- nésie réflexe » des mouvements provoqués par le pincement de la
peau
, la pression transversale du métacarpe, la supi
des phénomènes spasmodiques sous l'influence de l'excitation de la
peau
éta- (') Les réflexes de défense pouvant être p
rottement de la plante du pied avec une épingle, le pincement de la
peau
de la région dorsale du pied ou de la jambe, no
autre modalité de la réaction dont je m'occupe : le pincement de la
peau
de la partie inférieure de la jambe est suivi d'u
, l'amplitude des mouvements. Tantôt, le moindre attouchement de la
peau
d'un membre suffira à déclencher une flexion tr
n et d'extension; tantôt, au contraire, le pincement très vif de la
peau
ne déterminera qu'avec peine une simple flexion
e moyen le plus simple pour constater ce phénomène est de pincer la
peau
du dos du pied ou de la par- tie inférieure de
niste du pied, que, dans l'hémiphégie organique, le pincement de la
peau
en diverses parties du pied et de la jambe peut
forte ou répétée, ou encore mieux par un pincement énergique de la
peau
du dos des pieds, le mou- vement réflexe de fle
e précédent. Il m'est arrivé alors d'observer, après avoir pincé la
peau
de la jambe ou du dos du pied, la flexion des o
u pied, celles-ci sont généralement obtenues par le pincement de la
peau
seule dans le voisinage du tendon ou encore en d'
nous avait échappé autrefois : «Le point où le chatouillement de la
peau
cesse de provoquer des contractions réflexes in
ouvements de défense sont toujours très accusés. Le pincement de la
peau
de la face antérieure de la cuisse détermine l'ex
ement que la flexion réflexe du pied obtenue par le pincement de la
peau
de la jambe est particulièrement lente : le pie
faibles; les réflexes achilléens restent abolis; le pincement de la
peau
de la face dorsale du pied ne provoque aucun mo
excitation des parties profondes ; il suffit que l'excitation de la
peau
seule puisse y donner naissance pour qu'on ait le
les traits essentiels : une excitation telle que le pincement de la
peau
du côté de la lésion, où il y a de l'hyperalgés
s réflexes cutanés de défense, et alors la moindre excitation de la
peau
provoque momentanément une contrac- ture en fle
des indications précieuses : nous appliquons simulta- nément sur la
peau
deux excitants de nature différente, soit par exe
en extension, mais d'une manière inconstante. Le pincement de la
peau
à la face dorsale du pied ne provoque de flexion
on trouve donc là un réflexe croisé provoqué par l'excitation de la
peau
du côté de la lésion et se traduisant par une r
ne sensation doulou- reuse extrêmement pénible ; le pincement de la
peau
détermine la même sensation. Cette hyperalgésie
ion est inconstante et relativement faible. ' Les excitations de la
peau
du côté droit ne sont suivies d'aucun mouvement d
les traits essentiels : une excitation telle que le pincement de la
peau
du côté de la lésion, où il y a de l'hyperalgés
x de façon à éviter toute compression de la substance cérébrale et la
peau
est suturée par-dessus le cerveau. En somme, on
détache de la paroi thoracique gauche et vient faire saillie sous la
peau
. L'avant-bras est fléchi sur le bras. Le malade
droite ; on observe alors à la nuque du côté gauche des plis de la
peau
, qui sont la conséquence de la contraction du t
plus forte à gauche, et le peaucier gauche seul se dessine sous la
peau
. Enfin, il nous est arrivé d'observer des spasm
te également de la surréflectivité hyperalgésique : quand on pince la
peau
du cou-de-pied gauche le malade parait souffrir
culaires : c'est ainsi que le geste seul d'approcher la glace de la
peau
, la simple menace de réfrigération que ce geste
que l'on peut provoquer chez certains sujets par le pincement de la
peau
des jambes, des cuisses et même du tronc, par l
ons des muscles lisses de 34o .UMPLHCS AFFECTIONS DE LA MOELLE la
peau
(innervation sympathique) et des muscles striés d
puisque la sueur perlait des orifices glandulaires au moment où la
peau
de la paroi abdominale présentait son maximum de
. Voici un exemple du premier genre d'erreur : une excitation de la
peau
au-dessus de la zone en question peut, surtout
s avait échappé autrefois : « Le point où le chatouillement de la «
peau
cesse de provoquer des contractions réflexes indi
les masses musculaires sont rapprochées par un surjet de catgut et la
peau
est réunie sans drainage. L'opération a duré
qui augmente durant les jours qui suivent l'entrée à l'hôpital. La
peau
est cyanosée et froide ; au niveau de la région s
e long du corps, les mains sont ouvertes et les doigts étendus ; la
peau
à leur niveau est blanche et lisse ; il existe un
inférieurs, sont plus difficiles à provoquer par l'excitation de la
peau
au-dessus du pli de l'aine. Toutefois, nous avons
i- cielle fermée par des points séparés au catgut. « Crins sur la
peau
. Cicatrisation de la plaie sans incidents. » Fi
antes : « La sensation n'est pas naturelle » ou « c'est comme si ma
peau
n'était pas vivante », etc... Un trouble de ce
il se ferme, la partie interne du muscle frontal se contracte et la
peau
de cette région se porte de bas en haut ; c'est l
ut : si l'hystérie est capable d'engendrer de pareils troubles à la
peau
, pourquoi n'en produirait-elle pas aussi dans les
ul fait d'érythème, de phlyctène, d'ul- cération, de gangrène de la
peau
, d'hémorragie, d'hématémèse, de mé- lama, d'hém
troubles trophiques divers du système osseux, des ligaments, de la
peau
et des phanères. Ces différents symptômes forme
dans la région. » Vulpian insiste sur les troubles trophiques de la
peau
et des phanères, les troubles sécré- toires, le
refroidissement du membre, la teinte cyanique ou rose sombre de la
peau
. Il montre que les plaies qui se forment accident
e l'autre, que la sécrétion sudorale y est plus abondante et que la
peau
a une colo- 5 5 ! 1 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES
uite ne s'efface que lentement. Ce trouble dans la coloration de la
peau
apparaît nettement par la comparaison du côté (
uence de la marche. Outre le changement de teinte des téguments, la
peau
présente assez souvent un aspect légèrement inf
nstate, le plus souvent, qu'elle est encore nette à un niveau où la
peau
a repris sa coloration normale. L'hypothermie dép
t à l'extrémité du membre malade, sont moites ; quelquefois même la
peau
est comme légèrement macérée. Nous avons vu che
de 10 centimètres carrés sur 12 recouverte d'une épaisse couche de
peau
de chamois et d'ouate, fut placée sur la région
n'y a pas de troubles sphinctériens, pas de troubles trophiques à la
peau
, pas de fièvre. Dans le courant du mois de ju
nant des rayons assez pénétrants, est située à 20 centimètres de la
peau
(distance prise de l'anti- cathode). Au préalab
H a été répartie en trois séances pour tâter la susceptibilité de la
peau
. Dix-sept jours après, une deuxième série compr
3. Kyste hydatique du cerveau (Id.). Lt. Epithélioma tubulé de la
peau
de la région fessière développé aux dépens du cor
5 décembre Ig07). t45. Sur les prétendus troubles trophiques de la
peau
dans l'hystérie (Société médi- cale des Hôpitau
use. Même traitement; gargarisme au chlorate de potasse. 25. - La
peau
reste marbrée; les adénites inguinales persis-
es cheveux. Quelques ganglions cer- vicaux. Quelques macules sur la
peau
. Les plaques muqueuses de l'anus ont bien dimin
La jambe est tuméfiée; l'empâtement s'est étendu de haut en bas. La
peau
a toujours une teinte érysipélateuse, pas de bo
pansement phéniqué'. 10. - Pas de fièvre, la douleur a disparu, la
peau
ne se recolle pas. 12. La fièvre reparaît ain
nde intensité daus les membres supérieurs; douleurs en ceinture. La
peau
est le siège d'une vive hyperesthésie, le simpl
st rare qu'on soit obligé d'interposer entre cette courroie et la
peau
un corps mou, un mouchoir, de l'ouate, de façon
és : 8 fr. Cuancor(.1.-lL). Maladies infectieuses, affections de la
peau
, kystes hydatiques, thérapeutique (Tome VIII de
entrave au fonc- tionnement régulier des voies éliminatrices, de la
peau
, des poumons et de l'appareil digestif. Mais so
, il n'y a pas eu d'entrave au fonctionnement libre, régulier de la
peau
, des poumons, ou des voies digestives, car il n
ne peuvent être ici invoquées, car le fonctionnement libre de la
peau
des poumons et des voies digestives n'a été nul
es causes qui agissent en s'opposant à l'élimination des gaz par la
peau
, les poumons et les voies digestives. Le voici
s en moins forte. Cette élimination se fait par les poumons, par la
peau
et peut-être par le tube digestif. , Eh bien,
sur la production de gaz, s'opposent à son élimination, soit par la
peau
, soit par les poumons, soit par l'in- testin, e
emier agit en mettant des entraves au fonctionnement régulier de la
peau
et par suite en bourrant cette voie d'éliminati
le qui agit en mettant des en- traves au fonctionnement libre de la
peau
et par suite en s'opposant à l'élimination de l
essives. Enfin, si l'on songe : l°que le libre fonctionnement de la
peau
de ce plongeur n'était pas entravé, car aucun s
e ne dénotait la moindre entrave au fonctionnement régulier de la
peau
et qu'il n'avait pas chargé son estomac, on doit
e la décompression par l'entrave au fonctionne- ment régulier de la
peau
, des poumons et des voies digestives, ces homme
écrite nulle part et qui s'exprimait surtout dans deux régions : la
peau
et les fonctions psychiques. L'état morbide de
régions : la peau et les fonctions psychiques. L'état morbide de la
peau
consistait dans un gonflement général, très diffé
contenant la mucine, substance se développant non seulement dans la
peau
et le tissu cellulaire sous-cutané, mais même d
gonflement de la face ôtant toute expression à la physionomie , la
peau
par elle-même ne chan- geait pas et présentait
et présentait seulement un léger écaillement, la colo- ration de la
peau
restait normale, mais les lèvres et les mains r
sous-normale, diminution de la quantité d'urine, oedème isolé de la
peau
et du tissu sous-cutané, diminution de la glande
emment mal tolérés, par suite de l'entrave que l'infiltration de la
peau
et des muqueuses apporte aux fonc- tions d'excr
iles, oedème des pieds ne conservant pas de trace de pression, la
peau
pâle, à teinte gris-blanchâtre, même une irritati
le, à teinte gris-blanchâtre, même une irritation mé- canique de la
peau
ne produit pas de rougeur à sa surface, hyperes
ieures, cutis ansérina, absence presque totale de transpiration. La
peau
de la région inférieure de l'abdomen prit une t
lVochensch¡'if1, 1887, n04. 2ot Il. REVUE CRITIQUE. général de la
peau
, pâleur, cyanose, physionomie à expression stup
as de myxoedème observé par Hirsch avec analyse microscopique de la
peau
qui donna quantité exagérée des fibres élastiqu
e des malades d'Ord consentit à se faire couper un petit morceau de
peau
qui fut analysé mycroscopiquement. Peu de temps
ussi la cornée, les muqueuses nasale, buccale et pha- ryngienne, la
peau
du conduit auditif externe, et les sens spéciaux
: 8 fr. Cnaacor (J.-i\L). - Maladies infectieuses, affections de la
peau
, kystes hydatlques, thérapeutique (t. VU des OE
e et sont purement secondaires. A l'appui de cette anesthésie de la
peau
et des mu- queuses, consécutive aux lésions des
Assez nerveux ; bon caractère... Enfant naturel. Pas de maladie de
peau
, pas de trace de syphilis ; pas d'attaques de n
strumipriva de l'autre côté. Hirsch analysa mycroscopiquement la
peau
et trouva une quantité exagérée de fibres élast
est impossible de la faire venir aux paupières et aux lèvres. La
peau
à ces endroits gonflés devient tirée, livide et l
ueur et de graisse ne se font pas, ce qui a pour suite de rendre la
peau
sèche et parfois écaillée. Les poils, qui se tr
parfois écaillée. Les poils, qui se trouvent sur ces endroits de la
peau
, tombent de suite et la peau reste parfaitement
i se trouvent sur ces endroits de la peau, tombent de suite et la
peau
reste parfaitement à nu. La température de ces en
uver dans un sac bien plus large que son corps et en conséquence la
peau
pend en gros plis. Mais un développe- ment auss
un tissu muqueux contenant de la mucine. En examinant une pareille
peau
microscopiquement, nous trouvons une proli- fér
ns la répion de la cheville et plus haut, même jusqu'aux genoux. La
peau
était tendue, d'une teinte gris sale, luisante,
poils. Les sécrétions sébacées et sudorales ne se voyaient pas. La
peau
était froide et sèche au contact. L'enflure céd
pareil à celui des pieds, se présentait aux joues et aux lèvres, la
peau
des paupières était très ridée, mais pas gonflé
de l'estomac restèrent intacts, mais elle ne transpirait pas et sa
peau
ne portait pas trace de sécrétion graisseuse; à
res éruptions. Tout ceci démontre que dans la maladie de Basedow la
peau
est aussi soumise à des changements. Les symptô
à la condition de procéder avec énergie et de faire absorber par la
peau
, progressivement, de cinq à dix grammes d'onguent
que nous le poussons à marcher, il reste en place. Nous pinçons la
peau
, mais pas de réaction ; cependant nous savons q
ais pas de réaction ; cependant nous savons que les lapins ont la
peau
très sensible et qu'au moindre tâtonnement ils ré
phtalmie, ni de palpitations. Les organes internes sont normaux. La
peau
ne présente pas de troubles trophiques, le sque
ou moins de probabilité. Dans ce cas, les troubles trophiques de la
peau
ont fait défaut, mais les abcès ont été cités d
des phénomènes de neuras- thénie. Etat actuel (16 juillet 1885).
Peau
pâle et fine. Nutrition moyenne. Le squelette n
utres, il sent la différence de 2°. La main droite est frileuse. La
peau
ne présente pas de troubles tro- phiques. Les
rte sur toute la moitié gauche du crâne, on arrive, en déprimant la
peau
, jusque sur la base du crâne dont on touche les
uit dans le cours du tabes de nouvelles poussées syphilitiques à la
peau
et sur les muqueuses, elles n'exercent sur l'év
s les pieds, faiblesse musculaire généralisée, apathie, amnésie. La
peau
de la face, du tronc, des extrémités et par-des
Les mouvements réflexes provoqués par diverses excitations de la
peau
et particulièrement par le chatouillement de la p
mouvements réflexes provoqués par les diverses excita- tions de la
peau
et surtout par le chatouillement de la plante du
éflexes facile- ment constatable par les diverses excitations de la
peau
, surtout par le chatouillement de la plante du
ralysés aurait été complètement abolie. On pouvait lui traverser la
peau
de part en part avec une aiguille, sans que le
herine le 8 mars 1887. Etat PRÉSENT.- Homme robuste et bien bâti.
Peau
. - Cyanose légère des mains, la chair de poule se
le 38 avril 1887. Etat actuel. - Bonne complexion et nutrition. La
peau
des par- ties périphériques des membres supérie
imi- tait à cela ou bien l'on observait des endroits isolés de la
peau
, où la sensibilité tactile était aussi affaiblie.
de cette maladie, lorsque, peut-être, la plus grande partie de la
peau
est atteinte d'un certain degré de thermanesthé
ions des ramifications nerveuses, mais suivant les seg- ments de la
peau
, limités par des lignes horizontales, arrivant
cer de plus en plus, jusqu'à ce que la totalité de la surface de la
peau
ne soit envahie par l'anesthésie. Le degré de l
.V), on observait à côté d'une thermanesthésie de la totalité de la
peau
une anesthésie incomplète des autres espèces de
oidissement de ces parties, sensation du froid se répandant sous la
peau
, etc.; parfois, au DE LA GLI011ATOSr MEDULLAIRE
etc. Ces pa- resthésies ne se localisent pas exclusivement sur la
peau
: elles se font sentir aussi dans les muscles,
ment des membres. Dans d'autres cas, l'ir- ritation mécanique de la
peau
provoque une hypé- rhémie locale disproportionn
des nerfs vaso-moteurs s'éten- dait à une plus grande surface de la
peau
et avait été plus accusée d'un côté. Dans d'aut
utres cas, il se dé- veloppe comme des hypérhémies spontanées de la
peau
, de la rougeur en plaques, etc. Morvan signale
i avait ras- semblé ses cas, en se basant sur ce symptôme. Sur la
peau
de la paume et des doigts surtout, on voit sou-
impétigineux, les dartres, etc. Kahler a observé la nécrose de la
peau
avec formation de cicatrice kéloïdale. Le pana-
s également. Ces tumeurs ne sont pas accompagnées de rougeurs de la
peau
, ne dépendent pas seulement de l'oedème locale,
posons pas, qu'en général la source unique des dis- trophies de la
peau
etc., siège dans la diminution de la sensibilit
un caractère acci- dentel, épisodique : de grandes cicatrices de la
peau
sont attribuées par le malade à une brûlure « a
lade d'absorber l'antipyrine, celle-ci peut être in- jectée sous la
peau
à la dose de 1 gramme. En résu- mé, comme médic
de AI. LOEHR. M. GocK. D'une forme rare de névrose vasculaire de la
peau
. La première observation concerne un érythème n
r, quand il n'y a pas infection, à un réflexe vaso-moteur vers la
peau
. En outre , l'étroitesse particulière des vaissea
ilité faradique; rougeur, tumé- faction, surcharge graisseuse de la
peau
du tronc jusqu'au nombril; sudation, surtout à
imple piqûre, mais encore plus d'une fois, quand on a transpercé la
peau
. L'existence des troubles de la sensibilité est
autres mouvements réflexes provoqués par diverses excitations de la
peau
, et surtout par le cha- touillement de la plant
ed , soit par diverses excitations, faradisation, pincement de la
peau
, chatouillement de la plante des pieds, ex- ten
é à son tour était complètement abolie; on pouvait lui traverser la
peau
avec une aiguille sans provoquer la moindre sensa
parétiques ou 3) les atrophies mus- culaires. Les distrophies de la
peau
et du tissu cellu- laire sous-cutané, les troub
ouvent après elle des troubles de circulation et de nutrition de la
peau
, des muscles, des articulations et probablement
as présentant de l'analgésie, il est très important de préserver la
peau
du malade des influen- ces nocives traumatiques
t gâteux, fiileux, résiste au mouvement et aime beaucoup le lit. La
peau
est pâle, cireuse. Observation II. Pih... (Pa
ix millimètres et longue de plusieurs centimètres. Front bas, ridé,
peau
de la face jaune, cireuse; paupières supérieure
urde, très lente, dandinante. Pih... est très sensible au froid. Sa
peau
est jaunâtre, cireuse ; eczéma des lombes, du d
persistante ' ; 4" la denti- tion défectueuse et en retard; - 5° la
peau
cireuse, un peu jaunâtre, luisante, eczémateuse
e s'annonce par une légère douleur spéciale, des tremblements de la
peau
, elle arrive ensuite d'em- blée, généralement à
morale, le décubitus, l'excitation mécanique des tendons et de la
peau
, elle se calme par l'exercice et l'activité; de f
qu'il désigne du nom d'Urticaire gra- phique'. Si l'on écrit sur la
peau
de cet individu avec une pointe mousse, il se p
ure maniaque, et insomnie, jusqu'au 2G du même mois. A ce moment,
peau
froide, pouls petit; comme elle n'a pas pris de n
ATEURS. - 49o Paramyoclonus multiplex, par Bpch-' tercw, 441.
Peau
(névrose vasculaire de la), par Gock, 294. Pl
ûte cher ; il permet d'afficher une fortune. L'automobiliste, vêtu de
peaux
d'ours, portant par dessus son masque, les lunett
par la simple suggestion. Sur le pourtour d'un point hystérogène, la
peau
devient douloureuse ; un gonflement apparaît et i
du genou gauche. La contracture était telle que le talon touchait la
peau
des cuisses, de sorte que la jambe avait l'air d'
que la jambe avait l'air d'un moignon consécutif à une amputation. La
peau
du genou était hyperesthésique; le malade ne pouv
e fort bien l'ongle; la chair parait en être desséchée; un morceau de
peau
déborde dans la partie inférieure et présente à l
nce d'une phalange, c'est-à-dire d'une région anatomique complète(os,
peau
, ongle, etc. )ï — Il y a eu là, évidemment, dès l
ventures d'un jeune Breton [*), qui, finalement, découvrit « entre la
peau
et la chair de son poignet, le saint doigt », qui
Pyrénées, etc. [Rachitisme]; au bout de cet effroyable cercle de
peau
humaine, que l'os est prêt de percer au coude, s'
e lie de vin, prêts à crever au moindre choc qui entr'ouvrirait cette
peau
reluisante, toute fine, à force d'être tendue [Ab
nd. Chez les grenouilles immobilisées, les paupières sont fermées, la
peau
est très fortement pâlie. Heubel a observé aussi
nt pendant des semaines après l'opération. Le moindre contact avec la
peau
, une irritation électrique à peine perceptible à
ercent pendant l'hypnose une influence directe sur l'anesthésie de la
peau
; au contraire, après l'ablation des hémisphères,
thésie de la peau; au contraire, après l'ablation des hémisphères, la
peau
se trouve dans un état d'hyperex-citabilité réfle
ur à une fille qui présentait les particularités suivantes : Toute sa
peau
était comme brûlée, lisse et luisante en môme tem
de la bouche et la langue présentaient les mêmes modifications que la
peau
. Les conduits auditifs externes et les fosses nas
; les bruits les plus violents, les aiguilles enfoncées à travers la
peau
ou les muscles, les vapeurs d'ammoniaque, la glac
sursautent, en effet, au moindre bruit, réagissant au pincement de la
peau
; leur sensibilité cutanée est ou bien normale, o
a table d'expériences, la grenouille continue à rester immobile. La
peau
est devenue insensible au toucher et à la douleur
ses expériences le prouvent. Ainsi, on peut souffler fortement sur la
peau
des grenouilles endormies, ou bien frotter légère
ur la peau des grenouilles endormies, ou bien frotter légèrement leur
peau
avec la pointe d'une aiguille, chatouiller les lè
une pointe fuit et avec quel poids en pression elle s'enfonce dans la
peau
. Le cadran est divisé en 50 parties, dont chacune
LA DOULEUR MESURÉE A l'aLGÉSIMÈTRE Enfoncement de la pointe dans la
peau
en dixièmes de millimètres. Expérience A (13 ju
Troisième piqûre... 50 — — Tarse : Piqûre........ 30 — réveil. La
peau
se montre transpercée dans cette expérience. Ex
0 divisions pas de mouvement. Jambe : Piqûre..... 45 — réveil. La
peau
présente des lésions. Il est à remarquer que ce
sa virulence. Comme une humeur malsaine, l'erreur apparut à fleur de
peau
, et il se produisit, lors de ces grandes crises,
ses, leurs paupières se ferment. La respiration est très ralentie, la
peau
devient très pâle. Au bout de dix minutes, on les
l'autre, d une semaine à l'autre et même d'un jour à l'autre. la
peau
pâlit fortement chez les grenouilles; elle prend
jaune à peine verdàtre. J'ai souvent remarqué que cette pâleur de la
peau
persiste après l'expérience jusqu'à une demi-heur
périence se distingue nettement de ses congénères par la pâleur de la
peau
. Enfin, il y a lieu de mentionner ici que j'ai
lus en plus. Il n'y a pas de troubles trophiques à la surface de la
peau
. Celle-ci est tendue, lisse, mais ne présente auc
té et la durée de la contracture, les ongles ne pénétrent pas dans la
peau
; ils n'ont môme laissé sur celle-ci aucune trace
à transpirer, alors la sudation s'établit peu à peu, en même temps la
peau
de sèche et jaunâtre qu'elle était, devient plus
de la desquamation épidermique et dont le pourtour se confond avec la
peau
saine. Il y a quinze jours, existait dans cette r
eau matin, elle se plaint de douleurs dans le poignet gauche. Puis la
peau
se dénude et offre l'apparence d'une brûlure; bie
l'appelait Charcot. Quand, avec le doigt, on raie la surface de la
peau
, on voit apparaître une coloration blanchâtre, à
narcose éthyl-méthylique, m'asepsier de nouveau les mains, inciser la
peau
, faire sourdre abondamment le pus, introduire une
, les mouvements des doigts devenaient de plus en plus difficiles: la
peau
se couvrit d'abcès sans douleur ; puis, peu à pe.
ciles: la peau se couvrit d'abcès sans douleur ; puis, peu à pe.u, la
peau
des mains et du thorax devint insensible à la dou
ion normale ; le teint du visage et des muqueuses est sans pâleur; la
peau
de la tête, des extrémités et du corps jusqu'à la
ilité à la température et à la douleur est complète notamment dans la
peau
de la tête, des bras et du thorax jusqu'à la lign
nique ; même, on est encore parvenu à lui rendre la sensibilité de la
peau
(douleur et température). Il est vrai qu'il y a q
le malade reconnaît parfaitement la piqûre d'une épingle. De même la
peau
redevient normalement sensible au froid et à la c
'épaule, insensibilité à ta douleur et à la température siégeant à la
peau
du cou jusqu'à la ceinture et aux bras. On l'a tr
Elle est pâle et un peu amaigrie depuis ces derniers quatre mois. La
peau
est pâle, fiasque, les yeux cernés, les mains fro
du sens génital et les sensations subjectives ressenties dans la
peau
par certains paralytiques. Dans 72 de nos constat
e la sensibilité dans tous ses modes, non seulement au niveau de la
peau
et des muqueuses, mais encore au niveau des os.
énonce avec seulement de rares erreurs, les chiffres tracés sur sa
peau
. Le sens musculaire est conservé. Les sensibili
elle épinière des vertébrés. L'estomac, les intestins, le coeur, la
peau
, etc ? possèdent nombre d'appareils réflexes in
près normal, mais son bord supérieur se fond obliquement avec la
peau
; à sa partie supérieure et antérieure, ou sent un
stylet ordinaire. L'oreille tout entière se meut librement avec la
peau
. L'oreille gauche est normale et entend très bi
la droite; elles se dilatent également quand on pince fortement la
peau
, soit dans sa moitié anesthésique soit dans l'a
x lui compriment la poitrine de.leurs genoux ; ils lui arrachent la
peau
elles ongles. A ces souf- frances, antipyrine n
lles qui lui font fuir la lumière et sursauter au moindre bruit. Sa
peau
devient aride, son visage amaigri exprime la te
tions ont eu lieu dans l'ordre suivant : Des hémol'l'hagies de la
peau
et des muqueuses pendant et après les accès d'é
teurs ont signalé des hémorrha- SOCIÉTÉS SAVANTES. 265 gies de la
peau
immédiatement après l'accès épileptique. Tels son
téguments occupée par elles paraît au moins égale à l'étendue de'la
peau
restée normale. Les plus grandes taches ont à p
s excoriations, en tout cas une dimi- nution de la résistance de la
peau
et, finalement, au cours de l'attaque extatique
ques, eau, alcool, huile. L'évapora- tion de l'éther répandu sur la
peau
analgésique donne lieu à une sensation de chale
ente; 4° L'application d'un sinapisme sur un point quelconque de la
peau
analgésique ne provoque aucune tubéfaction, auc
nférieures du tronc, les membres infé- rieurs étaient épargnés : la
peau
analgésiée restait sèche et 296 PHYSIOLOGIE.
e et 296 PHYSIOLOGIE. fraîche et constrastait étrangement avec la
peau
humide et chaude des parties épargnées par la c
applicable aux troubles de la sensibilité spéciale ou générale : la
peau
sent, l'écorce ne perçoit pas. L'hystérie est d
s supéiieurs et inférieurs un rapport parfaitement défini. Entre la
peau
et ses modifications sensorielles et les couche
yphilis avec ses accidents divers, les principales affections de la
peau
sont successivement passées en revue, et les mé
re.) CLINIQUE MENTALE, Contribution à l'étude des réactions de la
peau
chez les aliénés ; Par le D' E. MARANDON DE M
DE MOXTYEL, Médecin en chef de Ville-Evrard. Les réactions de la
peau
chez les aliénés ont été jusqu'ici très peu étu
ltération dont était susceptible chez les aliénés la réaction de la
peau
; nous avons tout de suite vu qu'à côté des alt
travail. (C. R. Soc. de Biologie, 1900, p. 825.). RÉACTIONS DE LA
PEAU
CHEZ LES ALIÉNÉS. 385 moins qui se présentent à
NIQUE MENTALE. Voici ce très instructif tableau : RÉACTIONS DE LA
PEAU
CHEZ LES ALIÉNÉS. 387 Antérieurement, en 1889,
oire qu'il s'agit là vraisembla- blement d'une manière d'être de la
peau
, d'un état perma- nent et à ce propos ils rappe
mois d'intervalle, de grandes variations dans les réactions de la
peau
chez 104 des 291 aliénés de toutes catégories qui
par ces résultats qu'il ne s'agit pas là d'un état permanent de la
peau
, mais bien d'un état transitoire apparaissant e
'un état transitoire apparaissant et. disparaissant RÉACTIONS DE LA
PEAU
CHEZ LES ALIÉNÉS. 389 sous l'influence de cause
anée. Aucun de nos sujets n'ayant de manifestations du côté de la
peau
, nous n'avons pas pu nous assurer de cette partic
dit, ni à l'urticaire, ni à d'autres manifestations du côté de la
peau
. La parenté avec la névropathie me semble bien pl
aphie il en est un certain nombre chez lesquels la réaction de la
peau
n'était pas pour cela normale : certains ne prése
produire 'et quelques-uns même n'avaient aucune manifestation : la
peau
conservait sa coloration habi- tuelle. Il y a d
n qu'elle est d'intensité modérée ou excessive. . RÉACTIONS DE LA
PEAU
CHEZ LES ALIÉNÉS. 391 la dermographie excessive
ute l'année, nous n'avions pas retrouvé l'été les réactions de la
peau
que nous avions constatées l'hiver. Yoici par ord
les varia- tions apportées par les saisons dans les réactions de la
peau
chez les mêmes aliénés, ils ne nous donnent pas
12 cas. Ils nous fournissent le tableau suivant : RÉACTIONS DE LA
PEAU
CHEZ LES ALIÉNÉS. 393 l'absence de toute réacti
t un très fort contingent d'altérations en plus des réactions de la
peau
comme nous l'établirons un peu plus loin. Pour
ons étudier les altérations en plus et en moins des réactions de la
peau
dans chacune des variétés mentales. Une pourtan
me plus particulièrement sujets aux altérations des réactions de la
peau
. Restent les altérations en moins. Envisageons
de 430 grains (25 grammes). Dans la période aiguë, sécheresse de la
peau
; dans la subaigue, peau souple et moite. Etat
). Dans la période aiguë, sécheresse de la peau ; dans la subaigue,
peau
souple et moite. Etat aigu : pouls de 90 Il 120 p
l'albumine coagulée pratiquement nul : activité motrice faible : 6°
peau
sèche. L'état subaigu est caractérisé par les '
suc gastrique, faible d'abord mais se relevant progressivement; 6°
peau
devenue moite; quelquefois sucurs abondantes.
de l'excrétion de l'urée; 3° utilité d'activer les fonctions de la
peau
; 4° nécessité d'aider la digestion et l'assimila
connaissent certaines modifications de couleur, de souplesse de la
peau
dans certaines maladies mentales : l'auteur se
e par quelques considérations sur les rapports des affections de la
peau
avec les modifications des maladies mentales et
si que l'a fait justement remarquer le Dr Savage « si vous voyez la
peau
s'éclaircir graduel- « lement, vous ne tarderez
tarderez pas à voir apparaitre l'amélioration « mentale ; mais une
peau
rebelle présage une guérison tardive et « diffi
l'oeil, donne la sensation de lumière, donnera, si elle agit sur la
peau
, la sensation de chaleur, et pourra ne pas donn
rum bro-- muré ou ioduré, restent sans retentissement du côté de la
peau
et ne produisent jamais d'acné. C'est, à ce tit
ique des - du canton de Zurich, par Sérieux, 166. Réactions de la
peau
chez les , par Marandon de Montre), 384. De l
entre la migraine et 1 ? par Spiller, 144. Des hémorrhagies de la
peau
et des muqueuses pendant et après les accès d'-
Hemitonie apoplectique, par de Bechterew, 397. Hémorragies de la
peau
et des mu- queuses pendant et après les accès
'étude des -, par Cohen, 4zig. Stigmates. Des hémorragies de la
peau
et des muqueuses pendant et après les accès «l'
u de phénomènes scrofuleux du côté des yeux, des oreilles, ou de la
peau
. Il n'a pas eu d'au- tres maladies que la rouge
strique est douloureux. Erythème de la région sacrée, érosion de la
peau
au niveau des deux trochanters. Purpura dissémi
inférieurs et sur le thorax; ce purpura a débuté il y a deux jours.
Peau
sèche, ichthiosique. Tous ces symptômes et ballon
x. , Absence presque complète de tissu cellulaire sous-cutané, la
peau
est sèche, dure,collée pour ainsi-dire aux muscle
s à quitter sa chaise. Il pleure et pousse des cris sans raison. La
peau
est glabre. Les cheveux sont blonds, régulièrem
, on trouve une grosseur de 2 cm. de diam. au niveau de laquelle la
peau
est légèrement rosée, molle et vaguement fluctu
as de convulsions de l'enfance, de fièvre typhoïde, de maladie de
peau
. Ni rhumatismes, ni migraines, ni névralgies, ni
ni ! î0\Te typho- ide, ni migraines, ni névralgies, ni maladies de
peau
. [Père, laboureur, sobre, non nerveux de même q
ement agitée de petits mouvements convulsifs, faisant s'abaisser la
peau
de la partie inférieure du front et les sourcil
x paraissent volumineux, en raison de la maigreur des membres. La
peau
est assez blanche et ne présente pas de lésions
uelquefois céphalalgie frontale; un peu nerveuse; pas de maladie de
peau
, etc. - [Père mort, à quatre-vingt-deux ans, on
taillon scolaire; l'arbre de Noël; sale bêle, je te vas arracher la
peau
, je te vas crever les yeux.» Ce malin il est moin
biscum, patapouf ! C'est le chat; viens ici que je t'attrape par la
peau
comme une hirondelle ! Papa et maman s'en a-t-e
ïde à sept ans; pas de convulsions dans l'enfance, ni de maladie de
peau
, ni de céphalalgies, etc. Mariée à seize ans. [
gente. Dou- leurs rhumatismales; pas de migraines ni de maladies de
peau
. Pas de convulsions dans l'enfance. Assez impre
Description DU malade. 195 dans la rectitude. Pas d'athétose. La
peau
du membre para- lyse parait plus rugueuse que d
gues, écartées, en forme d'ailes. Le teint est terreux et blême, la
peau
ne peut être pincée sans comprendre du tissu so
ntes, épaisses et saillantes. La physionomie est peu expressive. La
peau
de la face est ter- reuse, la langue longue et
clavicules. Les seins sont peu développés et les bouts petits. La
peau
du corps est très dure, sèche et a de la tendance
paru. Les mains sont courtes, larges, bouffies et froides ; « la
peau
y est plissée et forme une espèce de sttc u, les
toupie, dit sa mère. Les extrémités sont toujours froides comme la
peau
d'une grenouille. Elle aime beaucoup s'étendre
ifférences ci-après l'éruption du cuir chevelu est plus accusée; la
peau
est plus sèche et ressemble, au loucher, à du p
à l'huile d'olive. Leslélvressontpluslpaisses et plus tombantes. La
peau
est moins sèche et moins rude. Dans les régions
à ceux qui ont été notés dans l'ob- servation III. Cheveux rouges.
Peau
des mains pareille à du parchemin; celle du cor
e, semi-translucide, très immobile, physio- nomie sans expression ;
peau
sèche et rude, tendance au dou- ble menton (' ?
rincipalement la gauche ; les mains et les pieds sont très gros, la
peau
est ridée aux mains, hypertrophiée aux mains et
eau est ridée aux mains, hypertrophiée aux mains et aux pieds. La
peau
est sèche, épaisse et on observe une éruption ecz
chitique, sauf peut-être une légère incurvation du tibia en bas; la
peau
des pieds et des mains n'est pas épaissie, pach
ique, et ne donne pas de gros plis sacci formes à la pression. La
peau
est blanche, n'offrant nulle part l'aspect cireux
2 représente Jan. dans une de ses périodes de folie, vêtu d'ori-
peaux
. Ces trois planches permettent de suivre le dével
t gâteux, frileux, résiste au mouvement et aime beaucoup le lit. La
peau
est pâle, cireuse. Observation IL Pih... (Pau
ix millimètres et longue de plusieurs centimètres. Front bas, ridé,
peau
delà face jaune, cireuse; paupières supérieure
urde, très lente, dandinante. Pih... est très sensible au froid. Sa
peau
est jaunâtre. cireuse ; eczéma des lombes, du d
t persistante' ; 4° la denti- tion défectueuse et en retard ; à" la
peau
cireuse, un peu jaunâtre, luisante, eczémateuse
s la tête ni le cou, a On,60 de hauteur. Il existe partout, sous la
peau
, un pseudo-oedème plus ou moins abondant, selon
reilles (bajoues), aux extré- mités, mains et pieds. En pressant la
peau
avec le doigt, on éprouve une sensation sui gen
les caractères du pseudo- oedème de la cachexie pachydermique. La
peau
est jaune cireux à la face, sauf au milieu des jo
la teinte cireuse est moins pro- noncée ; aux cuisses et au dos, la
peau
est même rosée. La peau est en général rugueuse
s pro- noncée ; aux cuisses et au dos, la peau est même rosée. La
peau
est en général rugueuse. Aux bras, il existe une
ngueur, les inférieurs, également égaux, ontOm31. '10 IDIOTIE. La
peau
du bras est, nous l'avons déjà dit, très rugueuse
déjà dit, très rugueuse, icthyo- sique. Aux mains et aux pieds, la
peau
est épaisse, rude et un peu eczémateuse. Les ex
Elisa X... présente un air bestial, sa figure est repoussante; la
peau
est pâle, mate, bouffie ; les paupières, atteinte
. La sensibilité est obtuse, car il faut irriter assez fortement la
peau
pour susci- ter un cri de mécontentement. Elle
x aisselles et '16 IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. au pénil;
peau
cireuse, blafarde, avec un peu de desquama- tio
e de sentir la glande thyroïde : il ne paraît y avoir rien entre la
peau
et les car- tilages de la trachée. Les deux aut
à des névralgies céphaliques depuis 4 à 5 ans ; pas de maladies de
peau
; mariée à 22 ans ; aucune maladie depuis le ma
ureuse. Même traitement; gargarisme au chlorate de potasse. 2. La
peau
reste marbrée; les adénites inguinales persis-
es cheveux. Quelques ganglions cer- vicaux. Quelques macules sur la
peau
. Les plaques muqueuses de l'anus ont bien dimin
La jambe est tuméfiée; l'empâtement s'est étendu de haut en bas. La
peau
a toujours une teinte érysipélateuse, pas de bo
ge; pansement phéniqué. 10. Pas de fièvre, la douleur a disparu, la
peau
ne se recolle pas. 12. La fièvre reparait ain
peu après sa division en deux bran- ches ; disséquée et relevée, la
peau
laisse voir à sa face profonde une grosse veine
nts en bon état; pas de gingivite. Pas d'érup- - tiens cutanées. La
peau
est de couleur normale sans sécheresse manifest
à ce niveau et le fond osseux est recouvert immédiatement par une
peau
très amincie, glabre, sèche, dépourvue de poils.
courant interrompu, qu'avec le courant continu. L'excitation de la
peau
avec le courant interrompu pro- voque une rouge
). Infiltration sous-cutanée, mais sans sécheresse ni rudesse de la
peau
, fréquentes sudations. Démence à peine marquée, m
des sueurs, de l'atrophie musculaire et de l'amincissement de la
peau
. La coexistence de tous ces symptômes, siégeant
tant par moment d'intensité ; il n'y a pas de points douloureux. La
peau
de l'endroit malade est rose rouge, luisante, é
nt-bras et à la main, à l'un ou à l'autre et rarement à la face. La
peau
variait aussi, tantôt rose rouge, bleue ou violet
il exer- çait disait gravement aux malades : Appliquez -vous sur la
peau
tant de plaques dynamodermiques, et vous guérir
e- ment du deuxième bruit à la base. Un certain degré d'athérome.
Peau
froide, sèche, flasque. Etouffements quand elle r
augmente et les troubles mentaux restent très accusés. Eu avril la
peau
est froide et sèche, lisse à la face, mais dure
es lèvres et les paupières sont épaissies : à la paume des mains la
peau
est épaissie, sèche, mais lisse. Un peu d'oedèm
tout entier concourt à l'effort respiratoire. - Pas d'éruption à la
peau
, qui est sèche et rude, avec de minces écailles
ne la direction de ses membres, leurs proportions, les taches de la
peau
. Et ce n'est qu'au bout d'un certain temps, que
ans les formes de mélancolie qui s'accompagnent de sécheresse de la
peau
et de troubles de la fonc- tion hépatique; D, d
. Etat actuel : Côté gauche de la face d'un aspect sénil et plissé,
peau
amincie, disparition complète de la couche grai
ard s'étaient pigmentées. Dans la région occupée par les taches, la
peau
s'était durcie et raidie, les veines étaient fo
n'a aucune communication avec son entourage. La sensibilité de la
peau
est à ce moment fort exagérée; lors- qu'on la t
ation de ses joues ne variait pas, sa respiration restait calme, sa
peau
fraîche, jamais - de transpiration, alors que l
e ciseaux, il détachait de son bras gauche un large frag- ment de
peau
. Interrogé sur les motifs de cette muti- lation
uis plusieurs heures il était à la poursuite d'une jeune fille à la
peau
blanche et fine, avec l'ardent désir de lui tai
et fine, avec l'ardent désir de lui tailler au cou un lambeau de
peau
et de le manger. Ses antécédents héréditaires s
âge de six ans, la vue d'une jeune fille ou d'un jeune garçon, à la
peau
fine et délicate, provoquait chez lui une certa
tion génitale et le désir de mordre et de manger un morceau de leur
peau
. A partir de treize ans les jeunes filles seule
l, il ne put résister au besoin de mordre, après l'avoir léchée, la
peau
fine des naseaux. Plus tard, les souvenirs de l
ir léchée, la peau fine des naseaux. Plus tard, les souvenirs de la
peau
fine, léchée et mordue de ce cheval, le poussai
ÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. 321 L'idée obsédante de mordre et de manger la
peau
n'est pas provoquée seulement par la vue d'une
s comme les couteaux, les ciseaux -qui peuvent servir à couper la
peau
font naître cette obsession ; cela lui porte sur
Il a toujours résisté à cette obsession, et jamais il n'a mordu la
peau
d'une jeune fille, mais il a dû beaucoup lutter
depuis huit mois, à tourner sa rage sur lui-même et à se couper la
peau
; c'est au moment où il allait sauter sur la jeu
DITAIRES DÉGÉNÉRÉS. Quelquefois, il ne se contente pas d'enlever la
peau
et de la manger, il coupe ensuite les parties s
der la jeune fille, de coha- biter avec elle; c'est l'appétit de la
peau
fine et blanche qui pousse L... Dès qu'il tient
peau fine et blanche qui pousse L... Dès qu'il tient le lambeau de
peau
entre les dents et qu'il peut la mâcher, il a u
rs de la masturbation, au moment où une lame est enfoncée dans la
peau
. Dans tous les cas, la mutilation est pré- cédé
nesthésie hystérique. 323 session bizarre de mordre et de manger la
peau
fine et blanche. La résistance s'accompagne d'a
moins complète, et qu'elle peut atteindre toutes les parties de la
peau
, toutes les muqueuses accessibles et tous les o
voudrais seule- ment savoir comment cette malade qui avait toute la
peau
du L'ANESTHÉSIE HYSTÉRIQUE. 333 corps absolum
nt vous tous ces symptômes, vous voyez que l'aiguille traverse la
peau
de son bras gauche sans qu'elle paraisse s'en ape
tampon à tenir et avecl'autre tampon, je lui touche légère- ment la
peau
de l'avant-bras gauche sans qu'elle puisse voir à
vous ? Sont-elles sensibles du côté gauche ? On peut traverser leur
peau
avec des épingles sans qu'elles le sachent. Son
sique du côté gauche. Il suffisait d'elfleurer, même à son insu, la
peau
insensible de la paroi abdominale du côté gauche
cinations sensorielles. P. K. IX. DES TROUBLES vaso-moteurs DE la
peau
dans la NÉVROSE TBAU- MAT1QUE; par H. KRIEGER.
muscles du tronc (pectoraux, sous et sus-épineux) ; atrophie de la
peau
de l'extrémité supérieure et surtout du dos de
admise par Brown-Séquard comme con- sécutive aux excitations de la
peau
et de la région cervicale anté- rieure, ne prov
ÉVROSESTRAUMATIQUES,parSchultze, 238; - troubles trophiques de la
peau
dans la-, par Krieger, 399; Freund, 434. Obse
c, mais en nous servant de thermomètres ordinaires appliqués sur la
peau
pendant un certain temps, en nous plaçant de ch
ne s'accompagne ni de rougeur, ni d'aucun état inflammatoire de la
peau
, et nous insistons sur ce point. Elle est liée
érature locale ne s'accompagnait d'aucun état inflam- matoire de la
peau
: pas la moindre rougeur, pas la moindre circulat
toujours par sa largeur ; les muscles fessiers sont atrophiés et la
peau
se plisse à leur niveau ; mais une grosse scoli
nt, nous voulons insister sur ce point,il il n'y a ni rougeur de la
peau
, ni le moindre état inflammatoire des téguments
x côtés de la nuque l'on peut suivre deux cordons re- levés sous la
peau
, qui vont se terminer à l'acromion et qui constit
l'on peut entre- voir le relief du rhomboïde qui se dessine sous la
peau
. Si l'on regarde la malade pendant qu'on lui or
tube de verre contenant 1 centigramme de bromure de radium sous la
peau
du dos, contre le rachis, à une souris, et répè
ais avec des différences individuelles. Outre les modifications de la
peau
, ils consistent en troubles nerveux, presque un
d'ac- tivité 500.000 (1). Nos appareils étaient assujettis sur la
peau
des lapins, laissés en liberté dans leur cage.
minici) ; c'est ce qui explique pourquoi, dans la 3e expérience, la
peau
était bien moins altérée que dans les deux prem
à peu après identiques. Le point d'application était marqué, sur la
peau
, par des lésions (épaississement, chute des poi
convulsions. A l'âge de 3 ou 4 ans survient une petite tumeur de la
peau
du cou dans la région prélaryn-ienne. Cette tum
aux aisselles et au menton, très abondants et normaux au pubis. La
peau
est brune au visage et noirâtre au scrotum et à l
e d'implantation un peu postérieure à celle des autres doigts. La
peau
des mains est extrêmement ridée et surabondante ;
mains ; celles-ci ap- paraissent en effet toutes ridées comme si la
peau
était en excès et les doigts sont unis entre eu
e, la tête humérale fait 241 ip VIllES ET ANGLADA saillie sous la
peau
. Les avant-bras sont au contraire bien développés
très nettement visibles et les reliefs osseux se dessinent sous la
peau
. Les bras grêles dans leur partie supérieure, s
ité absolue de toutes les sensi- bilités. Troubles trophiques. La
peau
est légèrement violacée ; hypothermie cons- tan
a pas non plus de phénomènes douloureux. Troubles trophiques. La
peau
violacée devient blanchâtre lorsqu'on la compri
limité auxgastrocnémiens qui font saillie et dessinent à travers la
peau
leur relief, l'hypertrophie empiète du reste su
lu est parsemé d'un fin duvet grisâtre ; au toucher on sent sous la
peau
que la boîte osseuse du crâne est lisse, que le
ieurs l'on peut noter un léger tremblement à caractère sénile. La
peau
est lisse, humide, pâle et légèrement teintée en
t trouvé ü plusieurs reprises une hy- perthermie considérable de la
peau
d'un ou deux degrés plus haute que du côté sain.
urs fois dans ce but ont permis de constater que la température de la
peau
était parfaitement égale des deux côtés. 264
s tissus; on décrit les atrophies et les différentes maladies de la
peau
d'origine cérébrale. Le docteur Majevsky examin
la main. La douleur du coup disparut au bout d'un quart d'heure. La
peau
ne fut pas entamée, il ne remarqua pas d'ecchy-
semaines, il apparut à l'endroit du coup une dépression comme si la
peau
fut tirée. Cette dépression infundibuliforme, i
n, et pour cela on résolut de faire une opération. L'incision de la
peau
commença au niveau de la deuxième phalange et p
e qu'après l'extirpation du trous- seau fibreux qui fut lié avec la
peau
et le tissu conjonctif environnant. Le MALADIE
ion du faisceau fibreux ; -l'incision doit dépasser le ten- don, la
peau
ne doit pas donner une nouvelle contracture cicat
angage. L'appareil cutané présente les modifications suivantes : la
peau
des mains est pâle, lisse, luisante, glabre ; l
ts et portent dessillons longitudinaux; les doigts sont effilés. La
peau
des membres, aussi i bien que celle du corps, n
est pas dépressible ; il est moins accentué le matin au réveil ; la
peau
ne présente aucune modification de couleur; sa
ET MARCHAND L'oedème des membres inférieurs a encore augmenté ; la
peau
présente par places de petites écailles brunâtr
membres inférieurs, mais il est plus accentué à la jambe droite. La
peau
est de couleur rosée et d'une température normale
prolongés ; elle est irrégulière, granuleuse, a les rugosités d'une
peau
d'orange. Au toucher, la pean donne une sensation
eines, des capillaires, des os ; aucune veine ne se dessine sous la
peau
des régions oedématiées ; pas de varices veineuse
t des troubles mentaux, un goitre avec altérations trophiques de la
peau
, des poils et des dents, de l'oedème des membre
à rapprocher de,ceux l'apportés. actuellement à la dysthyroïdie. La
peau
lisse et glabre 282 RAMADIER ET MARCHAND des
u'il est impossible de rattacher à un type nosographique défini. La
peau
des régions oedématiées est rosée et non pâle c
de la jambe l'in- filtration va en progressant de haut en bas ; la
peau
et le tissu cellulaire sous-cutané sont distend
ssible, l'oedème de notre sujet est géla- tineux ; il semble que la
peau
très hypertrophiée repose sur un tissu plus mou
tanées dans les membres inférieurs et gémit dès qu'on exerce sur la
peau
la plus légère pression ; or, le trophoedème es
(2) a rapporté dernièrement un cas de ce genre ; chez son sujet la
peau
des régions oedématiées était rosée ;on obtenait
présence de plusieurs nodosités cancéreuses faisant saillie sous la
peau
; les unes adhèrent au sternum et aux côtes ; les
sécutive à un ulcère de la cornée de l'oeil droit, s'est accrue. La
peau
de la jambe droite est le siège d'une manifesta
cuisses, les pieds en supination reposent sur leur bord externe. La
peau
des membres inférieurs est d'une pâleur cireuse
e de la volonté) ; à en juger d'après la direction dans laquelle la
peau
s'y meut. on serait tenté de conclure qu'il s'a
la sensibilité tactile est éprouvée en touchant très légèrement la
peau
avec du cotou aussi fin que possible (d'après la
L'aspect général est celui d'un ado- lescent, mais en même temps la
peau
est celle d'une vieille femme. Ce mé- lange mér
nsions sont à peu près proportionnelles à celles de la taille. La
peau
est de couleur brunâtre, très foncée partout ; au
as très accentuées ; les sourcils et les cils sont bien fournis. La
peau
du visage est épaisse et brunâtre ; aucune trac
l ne l'est pas par rapport au corps. Il est large, gros, épais ; la
peau
a l'aspect spongieux ; les narines sont très am
si à cause de leur aspect extérieur ; nous avons vu en effet que la
peau
est au visage et aux extrémités (inférieures su
(Brocq). La plupart des altérations chroniques et localisées de la
peau
apparues au cours du développement ontologique
de localisation tout autre, facteur lié au développement même de la
peau
. On sait que la surface cutanée se forme par la
orsqu'on touche le ventre ou bien lorsqu'on passe les doigts sur la
peau
, on provoque un rire que le malade ne peut pas co
ographie rouge ou blanche appa- raît suivant que l'excitation de la
peau
est forte ou faible. Tous les réflexes distendu
iculaires des membres, spécialement delà partie droite du corps. La
peau
et les muqueuses visibles sont pâles ; la graisse
La rotule est mobile. Au tiers médian et inférieur de la jambe, la
peau
pré- sente sur une certaine étendue une ulcérat
phose, disparition de l'espace iléo-costal, plis transversaux de la
peau
au-dessus et au niveau de l'ombilic. C'est là u
dégradés, la petite quantité de la sécrétion,la couleur brune de la
peau
sur une large étendue autour de l'ul- cération,
influence de l'épaississement du tibia qui avait tendu et aminci la
peau
, un trauma occasionnel (rappelé même par le malad
sation est expliqué par les mauvaises conditions de nutrition de la
peau
, par l'âge, et par la nature peu soigneuse de L
atrice nacrée de 3 centimètres de long sur 1 cent. 1/2 de large, la
peau
est mince; tout autour les tissus ont une color
s autres au niveau des fesses.Leur diamètre est d'un centimètre, la
peau
à ce niveau est nacrée, brillante, amincie. Elles
é sous ses yeux à la suite d'une tumeur de la glande pituitaire. Sa
peau
devient muco-adipeuse, les mamelles molles, (1)
sont pas très développées, sont un peu flasques. Le trophisme de la
peau
est normal. La résistance aux mouvements passif
périeur de la rotule). D : 23.5 cm. G : 24. 652 ALESSANDRINI La
peau
ne présente rien d'anormal ; au niveau des pieds,
ilité tactile est normale partout, à l'exception des pieds et de la
peau
sur les deuxièmes et troisièmes phalanges des doi
e etses réactions réflexes quand on place une goutte d'acide sur sa
peau
; avec sa patte du même côté et même avec l'aut
onc, la main à 25 centimètres en dehors de la hanche, je grattai la
peau
de la poitrine avec un scalpel, au niveau de l'
qu'un passait présentant une légère rougeur ou une efflorescence à la
peau
, le doute lui venait d'avoir touché cet individu.
partie par suite de décubitus, partie par suite de l'enlèvement de la
peau
, pour la transplantation de Réverdin. Ces cicatri
trices très douloureuses a la m.oindre compression. Sensibilité de la
peau
; réflexes de la peau et des tendons normaux. L'e
es a la m.oindre compression. Sensibilité de la peau ; réflexes de la
peau
et des tendons normaux. L'examen électrique des n
andevoir paraît imentibte aux pincements que nous lui pratiquons à la
peau
des bras, mais if ne passe pas à l'état catalepti
œtus, la suggestion de marques à paraître, après la naissance, sur la
peau
de ce dernier; bref, un tatouage par action sugge
se devrait se transmettre des nerfs d'un homme, par les couches de la
peau
, aux nerfs d'un autre. Une pareille supposition
de ces organes. Quand le froid agit sur le corps, la surface de la
peau
devient, comme on le sait, raboteuse, rude, à cau
e en jeu les nerfs qui gouvernent les muscles des bulbes pileux de la
peau
et qui, par leur contraction, provoquent cet état
en voici un moyen. Le sujet en expérience prétend par exemple que sa
peau
est tout à fait insensible; j'applique alors à l'
çât et accusât une grande douleur. Quand je lui permis de regarder la
peau
de son bras, comprimée entre les mâchoires d'acie
à deviner en se laissant guider par les sensations qui affectent leur
peau
et leur système musculaire sous l'influence des t
actions et les contractures provoquées par la simple excitation de la
peau
dans la période somnambuliqite. Nous avons nett
ation du diapason près des oreilles, le chatouillement prolongé de la
peau
. Sous l'action de ces excitations, on remarque la
musculaire (la contracture des muscles lorsqu'on excite légèrement la
peau
qui les couvre), si nous considérons attentivemen
le massage des muscles, l'application du diapason, qui vibre sous la
peau
, la diathèse, dite contractu-rale, constitue l'un
ossède un spécimen d'une petite fille morte à l'âge de trois mois. La
peau
de cette enfant est d'un brun noirâtre, couverte
alade et sans que l'on puisse invoquer une supercherie quelconque. La
peau
était absolument saine au niveau du point qui sai
us devons retenir, c'est la façon dont se produisait le phénomène. La
peau
était saine, de même que la conjonctive de notr
ommet, et atteindre le volume d'une demi-plume d'oie appliquée sur la
peau
. » Chez cette dame, l'érythème était d'un rouge
t avec une pointe fine et légère, on aurait dit qu'on passait sous la
peau
un fil délié. On pouvait lui imprimer sur le dos
ait-elle plus de largeur? on aurait dit qu'on avait introduit sous la
peau
un épais cordonnet. La figure se maintenait pen
, et de faire de l'un la dépendance de l'autre. Autre curiosité. La
peau
étant revenue en apparence à son état normal, si
ce du 11 juillet 1879. Ce phénomène consiste dans l'apparition sur la
peau
, chez certains sujets, de saillies urticariennes
es anatomo-pathologiques et cliniques sur l'eut dermo-graphique de la
peau
. Communication a la Société clinique de Paris, 18
mie polychrome ou stigmasie (10). M Chambanl donna à cet état de la
peau
le nom de dermatoneurose stéréographiqae ; MM.
été Clinique de Paris, trois (1) Abrégé pratique des maladie» de ta
peau
, de Willan, par Baieman, 1620, p. 131. (2) Alph
Alph. Cazenave et H.-E. Schedel : Abrégé pratique de» maladies de la
peau
. f édit., 1833, p. 56. (3) Rater : Traité des m
a peau. f édit., 1833, p. 56. (3) Rater : Traité des maladies de la
peau
, t. 1, 1835, p. 248. (4) William Gcu : On facti
Willaa, comme l'indiquent les traducteurs?. Traité des maladies de la
peau
. Trad. de G. et E. Darin, I880, p. 162. (6) Baz
: Leçons théoriques et cliniques sur les affections génériques de la
peau
, L. 2, p. 47. Paris, 1885 (7) Heusinger : In Ar
son : In Notes de la Traduction du Traité pratique des Maladies de la
peau
de L.-A. Duhring, I8SÏ, p. 693. observations re
de ce fait fort intéressant sous le titre d'état dermographique de la
peau
. Nous avouons qu'aucune de ces dénominations n'
neurose stéréographique, de dermographie, d'état dermographique de la
peau
, nous semblent meilleurs, maïs ils ont le défaut,
illeurs, maïs ils ont le défaut, à nos yeux, tout en indiquant que la
peau
garde l'empreinte des signes qui ont été tracés à
bilité exagérée, colères fréquentes, etc.).-Jamais rien du coté de la
peau
. En novembre 1890, il commence à s'adonner à l'
lufnce du grattage, le sujet s aperçoit que les ongles tracent sur la
peau
des raies blanches, saillantes, persistantes. Il
amen. Nous traçons des caractères à l'aide d'un coupe-papier sur la
peau
de la région interscapulaire (lieu d'élection de
fre, d'une manière frappante, l'aspect d'une plume d'oie posée sur la
peau
et encadrée d'une auréole bilatérale éry thémateu
ète : les signes pathognomoniques se manifestent non seulemont sur la
peau
de la face dorsale du thorax, siège de prédilecti
existe entre la température de ces parties et celle des régions de la
peau
plus éloignées. Nous n'avons pu noter le raccou
(Paul Raymond a constaté la cessation de l'état dermographique de la
peau
chez des alcooliques dont la crise aiguë était pa
isée par la résolution des membres, par de l'analgésie complète de la
peau
et des muqueuses, mais surtout par l'opposition d
abilité neuro-musculaire. Lorsqu'on excite mécaniquement à travers la
peau
, les muscles, les tendons ou les nerfs moteurs de
bililé qui se traduit par ce (ait que la plus légère excitation de la
peau
amène la contracture des muscles sous-jaceuts. On
e de l'hypnose dans un état d anesthésie profonde portant sur toute ?
peau
et toutes les muqueuses. Eu résumé, cher un suj
était remplace par celui du sens du tact; seul le choc produit sur sa
peau
par les vibrations de l'air lui révélait à peu pr
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈHË. l'eecléme, et celte région dont la
peau
est distendue par de gros bourrelets a pris l'a
ntes du maxillaire supérieur qui'font une véritable saillie sous la
peau
et déforment complètement la région. Le nez qui p
Les hallucinations négatives en ce qui concerne la sensibilité de la
peau
. En suggérant l'hémianesthésie du côté droit je
lignes sui- vantes : a., En suggérant l'idée d'nne friction de la
peau
du côté droit du corps, ou un bruit près de l'o
relet sus-rotulien disparaît. On voit également se dessiner sous la
peau
du cou-de-pied les tendons des muscles antérieu
ssier vu 7 98 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. et de la
peau
, et qu'en outre le redressement de la colonne lom
du coude normaux. Troubles trophiques très prononcés du côté de la
peau
des mains et des doigts. La peau est lisse, lui
iques très prononcés du côté de la peau des mains et des doigts. La
peau
est lisse, luisante, semble collée sur les os.
ochondre et du flanc gauches, sensation d'eau froide coulant sur la
peau
, douleur insignifiante, frissons légers ou plut
i paraît plus froid que l'au- tre ; à la main, la température de la
peau
semble être la même des deux côtés. La partie m
CAS D'.1\ITO'l'ROPfllr PRIMITIVE 195 7° L'lryjrere.,l,lrésie de la
peau
à l'âge de 18 ans au moment de l'entrée à l'hôp
D'un moment il l'autre, l'aspect de la jointure est transformé. La
peau
est lisse, 212 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
qu'elle se soit complctement résorbée (PI. 1\\-). D'ailleurs, la
peau
reste encore lisse, tendue et sillonnée de vein
t'acromion et de la clavicule forment un relief très accusé sous lai
peau
, sans ètre hypertrophiées. Ou enfonce les doigt
érence au moment de ses règles et pendant la nuit. Les points de la
peau
où siégeaient ces douleurs étaient d'une sensibil
chevilles sont très oedématiées et dou- loureuses à la pression. La
peau
est très tendue mais normale, sauf au niveau des
lange d'environ un centimètre : on le sent parfaitement sous la
peau
qui se renfle Ù son niveau sous forme d'un peti
la face palmaire, correspond un petit tubercule d'as- pect rosé. La
peau
, du reste, est normale et l'on n'y trouve pas de
ces : les plis qu'on y rencontre paraissent bien être naturels. Cette
peau
est lisse et parfaitement mobile sur les partie
côté droit ; sonlinge est toujours souillé sur la moitié gauche. La
peau
de la paume de. la main droite est épaissie, liss
tres ; la mémo circonfé- rence il gauche est de 37 centimètres ; la
peau
n'est pas tendue ; pas d'oedème, ni d'infiltrat
endez-vous que la douleur ne peut-être qu'imaginaire attendu que la
peau
du visage, les muqueuses et les dents sont sain
volume dans sa totalité, n'a presque plus de relief musculaire ; la
peau
elle-même est comme parcheminée, et les extrémi
thie existant, il y a toujours analgésie et thermo-anesthésie de la
peau
et des parties profondes. Pour ce qui est de la
exceptionnels on a vu (Blasius) l'issue des os luxés à tra- vers la
peau
. A côté des luxations il faut signaler les atti
des mus- cles superficiels de la face ; l'absence de taches sur la
peau
; l'intégrité du système pileux ; les déviation
ée des phalanges qui s'accompagne quelquefois d'amincissement de la
peau
mais jamais d'inflammation ni d'oedème, peut en
use et à l'hydarthrose se joint un oedème dur péri-arliculaire avec
peau
lisse et veinosités donnant à l'arti- culation
qués (les uns et les autres un peu limités) de l'articula- tion. La
peau
avait sa sensibilité normale, légèrement exagérée
ou ulcération trophique, soit à l'extrémité du membre, soit sur la
peau
même qui recouvre l'arti- culation ; lésion vis
encore les lésions connexes constantes du tissu cellulaire et de la
peau
. ARTHROPATHIES TROPHIQUES AU POINT DE VUE CHIRU
arthrites suppurées consécutives à des ulcérations trophiques de la
peau
, chez des paralytiques infantiles ? Cela doit dép
e, l'extrémité inférieure de l'hu- mérus s'était luxée à travers la
peau
, puis nécrosée, la résection de toutes les part
eci d'ordinaire à cause de la sclérose du tissu cellulaire et de la
peau
péri-articulaire, on aura le droit de tenter l'
n tel état de faiblesse et de maigreur, qu'elle n'avait plus que la
peau
sur les os. Ses parents, non sans peine, la tra
on songe en outre que le poids total du corps est de 29 kilogr. La
peau
est brune, ridée, flasque, sèche et trop large po
- dire a doublé son poids et acquis un embonpoint très enviable. La
peau
a repris sa coloration, ses propriétés et ses f
couvre en grande partie le globe de l'oeil. Il n'y a aucun pli à la
peau
. Le sourcil est élevé. L'oeil est fixé on dehor
rvé, le rotulien très médiocre, le plantaire nul ; le pincement de la
peau
provoquait, sur le membre inférieur paralysé de
se sont reproduits presque intégralement et l'on voit même sous la
peau
la saillie habituelle de ces dernières. En somme
it la luxation réduite, je suturai le pé- rioste, les muscles et la
peau
, puis mis une volumineuse et solide minerve plâ
tête et de la face ; que cette anesthésie n'occupé pas uniquement la
peau
, qu'elle s'étend encore aux parties profondes. Ai
e section hémilatéraîe du côté opposé à celui où l'arme a traversé la
peau
, quelquefois fort régulière, et qui ferait presqu
agération des réflexes tendineux, ten-danceà la contracture ; — 2° La
peau
de ce membre est hypéresthésiée, et l'hy-péresthé
cessé depuis; — 2° Aujourd'hui, pas d'élévation de température sur la
peau
de ce membre, au contraire ce membre est relative
ulaire de ce côté, mais modification profonde de la sensibilité de la
peau
. A proprement parler ce n'est pas l'anesthésie pr
-tam, ni l'inspiration d'ammoniaque, ni la faradisation intense de la
peau
ou des muscles, des troncs nerveux eux-mêmes, ne
d'hui, elle est de 37° 2 avec un pouls de 72,80; en même temps que la
peau
reste fraîche. Vous le voyez par ce qui précède
permanente, tout cela l'empêchait habituellement de dormir. Alors la
peau
des jambes et des pieds était peu sensible aux pi
troubles de la sensibilité, déjà très prononcés en ce qui concerne la
peau
, sont pour le moins tout aussi accentués en ce qu
amaigri, s'il s'agit d'un enfant, s'arrête dans son développement. La
peau
y devient habituellement froide, violacée,'couver
é (1), les réflexes cutanés et tendineux font complètement défaut, la
peau
du membre est froide, livide surtout à la jambe e
Et les coups de couteaux, sur le point où vous les avez ressentis, la
peau
devient-elle très sensible, douloureuse au moindr
ce que j'ai éprouvé dans le dos. Quand les douleurs sont apaisées, la
peau
devient extrêmement sensible, je ne puis pas y to
mant sur un point quelconque des parties hyperesthésiées un pli de la
peau
que l'on comprime en suite entre le pouce et l'in
s l'espèce une révélation très significative. Lorsqu'on presse sur la
peau
, même doucement, qu'on y exerce un frôlement supe
de s'assurer, en effet, que les moindres tiraillements exercés sur la
peau
des cuisses, surtout à droite au voisinage de la
Il est rare qu'on soit obligé d'interposer entre cette courroie et la
peau
un corps mou, un mouchoir, de l'ouate, de façon à
e gauche une petite tumeur dure, paraissant occuper l'épaisseur de la
peau
, mobile, qui nous paraît être constituée par un t
souvent des sueurs profuses répandues principalement sur le tronc. La
peau
paraît chaude, le pouls varie de 100 à 150. (La m
ent rapide et considérable, toux sèche, diarrhée, fréquence du pouls,
peau
chaude, sueurs profuses, etc., etc., voilà certes
te, pas de secousses fibrillaires entre autres ; la température de la
peau
et sa coloration sont normales. La malade n'y acc
es ai la nuit, je ne puis pas dormir, elles me font crier. Souvent la
peau
devient extrêmement sensible au moindre toucher s
oindre toucher sur le point où j e les ressens ; là, on dirait que la
peau
est à vif. M. Charcot. — Voilà qui rappelle la
mbre contracture est complètement privé de sensibilité, aussi bien la
peau
que les parties profondes. 38 L'anesthésie cu
bilité, ainsi que je le disais tout à l'heure, n'est pas limitée à la
peau
: elle s'étend aux parties profondes ; on peut tor
le siège de douleurs et d'engourdissements qui ont disparu depuis. La
peau
du membre contracture est dans toute son étendue,
ouge ou violacée du tégument, des altérations décrites sous le nom de
peau
lisse, de la formation de bulles pemphigoïdes, de
ues musculaires déjà signalés, mais nous vous ferons remarquer que la
peau
des genoux, collée en quelque sorte aux parties s
troubles tropbiquesou vaso-moteurs,tels que l'œdème, l'empâtement, la
peau
lisse, les lésions des ongles enfin, y sont vulga
ovoquées, elles se manifestent par un simple contact même léger de la
peau
, sur les pieds principalement et sur le tiers inf
s. Il est intéressant de relever que les excitations portant sur la
peau
de lajambe et du pied sont perçues avec un retard
e en se frottant les mains et en se grattant la poitrine, comme si la
peau
de ces parties était le siège d'une vive démangea
dorat sont manifestement obnubilés à gauche. Fig. 79. Fig- 80. La
peau
du scrotum à gauche est très sensible à la moindr
s inférieurs, la coloration violacée et les rugosités que présente la
peau
des jambes et des pieds, en même temps que l'appl
semble que les masses musculaires aient en grande partie disparu. La
peau
qui les couvre,est comme on l'a dit, froide, rugu
ps est très atrophié mais se dessine encore à l'état de corde sous la
peau
. L'adduction et l'abduction du bras sont impossib
t cette anesthésie est parfaite. Vous voyez qu'on peut traverser la
peau
du malade de part en part avec uneaiguille, prome
fort, je n'avais ressenti aucune douleur ; alors je me suis pincé la
peau
de toutes mes forces et je n'ai absolument rien s
chez notre homme, de toute marque de fulguration imprimée soit sur sa
peau
soit même sur ses vêtements.Mais ce ne saurait êt
toyable ; ajoutons qu'en raison des coups répétés qu'elle y porte, la
peau
du ventre elle-même, dans la région correspondant
ans ces trou-« blesdela sensibilité, c'est que, sur les parties de la
peau
qui en sont affec-« tées on trouve, au moins d'un
s dans des conditions physiologiques par la piqûre, le pincement delà
peau
,l'application sur elle d'un corps chauffé à soixa
aide duquel nous avons mesure le degré de sensibilité thermique de la
peau
chez nos malades, se compose ainsi que le montre
0*). Les fig. 113,114, montrent les régions où l'application sur la
peau
d'un bloc de glace ne produit pas de sensations d
t comme je le fais maintenant, promener le thermocautère rougi sur la
peau
de la cuisse, sans qu'il en éprouve la moindre so
oubles vasomoteurs, l'œdème, l'empâtement, les lésions des ongles, la
peau
lisse sont fréquents dans les parties où siège la
périeur et du membre inférieur. Sensibilité. — La sensibilité de la
peau
au contact, à la piqûre et à la température (froi
ine dorsale qu'elle atteint à la hauteur de la deuxième dorsale. La
peau
du membre inférieur est également insensible au c
en avant elle descend obliquement dans le pli inguinal scrotal. La
peau
du tronc a conservé toute sa sensibilité dans la
la pilule « l'a violemment travaillé, qu'il va beaucoup mieux, que la
peau
est redevenue sensible ». Nous constatons en effe
494. —Lésions, 491, 492. — Localisation, 491, 492. — Œdèmes, 497. —
Peau
lisse, 498. — Processus anatomique,490. — Pronost
er la moindre souffrance, et que l'anesthésie occupe non seulement la
peau
, mais encore les parties profondes, muscles et tr
ronc, la tète ; la malade n'est pas affectée parla faradisation de la
peau
. Il y a, en outre, une hémianesthésie sensorielle
ystériques de longue durée, il existe un état lisse particulier de la
peau
de l'extrémité des doigts et en particulier de l'
i peut se manifester sous forme d'une simple dépression indurée de la
peau
, dont la malade n'a quelquefois pas connaissance
service. Etat à Ventrée. — Les jambes sont dans la demi-flexion. La
peau
, au niveau du genou, et même de la partie inférie
tantanément : on ne peut du reste pas la provoquer de celte façon. La
peau
, à ce niveau, ne présente aucun trouble de la sen
ajet du cordon spermatique, presque jusqu'à l'aine, du côté droit. La
peau
du scrotum de ce côté est très sensible et lorsqu
directe, —du traumatisme. Nous étions frappé, d'ailleurs, de voir la
peau
des régions carotidiennes soulevée par des battem
mètre environ. \1 insensibilité, d'ailleurs, n'est pas limitée à la
peau
; elle s'étend aux parties profondes-, c'est ains
bras et de l'avant-bras, avec perte complète de la sensibilité de la
peau
, des muscles, des nerfs, des tendons, des capsule
e et très significatif dans l'espèce, que les muscles pas plus que la
peau
ne présentent aucune marque de troubles trophi-qu
nerveux. 20 D'un autre côté, pas de teinte livide ou violacée de la
peau
, pas d'œdome; seulement, il existe peut-être sur
ortée à son plus haut degré ; les réflexes tendineux sont abolis : la
peau
, enfin, est froide, marbrée de taches violettes s
poitrine du côté droit. Elle n'intéresse pas d'ailleurs seulement la
peau
, elle occupe encore, au plus haut degré, les part
ilosophique, octobre 1885.) presse le dynamomètre, dessiner sous la
peau
des reliefs remarquables. En ce moment même, vous
est pas exactement limitée à la jointure elle-même, elle s'étend à la
peau
qui correspond à la jointure, empiète au-dessus d
une part, une douleur superficielle, résidant pour ainsi dire dans la
peau
, dételle sorte que le pincement de la partie du t
soit au niveau de l'aine, soit sur la partie antérieure du genou, la
peau
saisie entre les doigts est soulevée et légèremen
ntensité du pincement exercé. J'insiste sur cette hyperesthésie de la
peau
au voisinage de la hanche, parce qu'elle a été re
J'ajouterai qu'ayant remarqué qu'à la suite de ces excitations de la
peau
de l'aine et du genou, Ch... présentait les signe
citation de véritables zones hystô-rogènes, dont les unes occupent la
peau
qui recouvre les join tures de la hanche et du
; ceux du membre malade furent les derniers à parvenir à cet état; la
peau
était devenue insensible au pincement, même aux e
n douloureuse se montrât du côté de la jointure. La sensibilité de la
peau
était déjà en partie revenue, le malade commençai
ade fût anes-thésique de ce côté, on peut constater maintenant que la
peau
, au niveau de la hanche et du genou, est devenue
mot, hémianesthésique du côté gauche, à part certaines régions où. la
peau
est non-seulement sensible, mais encore hypéresth
la hanche et du genou; sur ces différents points, le pincement de la
peau
provoque de la douleur et des phénomènes d'aura ;
nes d'aura ; cette hypé-resthésie n'est, d'ailleurs, pas limitée à la
peau
qui recouvre la jointure, mais atteint également
hypéreslhésie du genou et de la hanche ont disparu, on peut pincer la
peau
impunément. Mais, de plus, l'anes-thésie a gagné
avons produit chez elles, sur le côté sensible, une anes-thésie de la
peau
, puis des parties profondes et enfin une paralysi
de la main et l'ongle de ce doigt marque une forte empreinte sur la
peau
de la face externe de l'index (fig. 80 et fig. 81
ontraire, être observée au plus haut degré, occupant non-seulement la
peau
, mais aussi les parties profondes et s'accompagna
déviée. Le malade est maigre ; son pouls plutôt lent et faible. La
peau
des extrémités est chaude et habituellement couve
s inférieurs sont des plus remarquables. Ils portent à la fois sur la
peau
et sur les parties profondes. Pour ce qui concern
a hanche, posé sur l'autre, le malade n'en sait rien absolument; à la
peau
, les piqûres, les pincements, l'application du ch
ontraire, en des impressions venant de la périphérie, à savoir, de la
peau
, des muscles, des aponévroses, des tendons, des c
nd: la main, l'avant-bras, la bras jusqu'au niveau de l'acromion ; la
peau
de la poitrine est restée sensible, la limite de
our des douleurs de ventre, on constate une hémianesthésie droite; la
peau
, la conjonctive, la muqueuse nasale sont insensib
réservoirs, ou bien s'amasser en dehors de ces organes et soulever la
peau
du périnée ou de la marge de l'anus. Ces abcès pe
erficiels sont indolents, fluctuants, sans changement de couleur à la
peau
; ils n'offrent pas, en général, d'inflammation.
ceux-ci, les signes d'une forte inflammation, rougeur, chaleur de la
peau
, douleur, fièvre. On a vu des praticiens éminents
peut s'en laisser imposer par un examen superficiel; appliquez sur la
peau
tous les genres de stimulation avant de croire à
et une desquamation de l'épiderme, et enfin une vive irritation d la
peau
sans suppuration, si l'on réitère dans le même en
iquement l'instrument dans la paroi de l'abcès de manière à piquer la
peau
et la membrane du kyste en deux endroits différen
l'aspiration, on a l'avantage de pouvoir pratiquer l'ouverture de la
peau
plus loin de celle du kyste; on est alors moins e
s, à des chutes, et l'empêche d'accomplir une longue marche. Enfin la
peau
, comprimée douloureusemeut vis-à-vis la saillie d
à l'extrémité antérieure du calcanéum et à la tête de l'astragale. La
peau
de cette région devient épaisse, calleuse ; le ti
ent cédé; le triceps sural a également résisté à ses antagonistes. La
peau
du talon est fine et douce. IVe cas. — Voici un
e des muscles : aussi ne voyez-vous pas ici de talon surnuméraire; la
peau
est restée fine et devient douloureuse dans la st
une pièce; la démarche est mal assurée, souvent douloureuse, quand la
peau
, exposée à des frottemi nts répétés, s'excorie et
il s'abaisse avec l'astragale; le talon se rapproche de la jambe; la
peau
se plisse en travers, au niveau du tendon d'Achil
tion. Le talon antérieur sous-métatarsien supplée au talon normal. La
peau
et le tissu cellulaire de celte région s'organise
t contenant une forte proportion de résine, « pour mieux adhérer à la
peau
, dit Galien, et pour mieux tenir les parties immo
u de laxité du tissu cellulaire en ce point a probablement empêché la
peau
de se laisser distendre par le tissu adipeux, com
nuit. Seulement on doit le visiter souvent, s'assurer de l'état de la
peau
dans les points où elle supporte le plus de press
à l'état où ils sont aujourd'hui. D'abord, on a coupé simplement la
peau
et le tendon d'Achille en travers, suivant le pro
. Les uns se servent d'un ténotome à pointe aiguë pour traverser la
peau
et diviser le tendon; d'autres ne font avec cet i
le tendon; d'autres ne font avec cet instrument que l'incision de la
peau
, et, pour la section tendineuse, ils emploient un
nt surtout pour les tendons très-saillants, entourés d'un repli de la
peau
que l'on risque moins d'entamer par ce procédé. T
ns un premier temps, le chirurgien fait une piqûre longitudinale à la
peau
, près du bord externe du tendon, si on opère le p
rait de nouveau le ténotome pour les diviser. S'il s'amasse sous la
peau
et dans la gaîne du tendon une certaine quantité
aponévroses ou de fortes gaines fibreuses, et qu'ils soulèvent peu la
peau
. On les divise au bas de la jambe ou au côté exte
mble à une piqûre de vaccine. J'introduis le ténolome mousse entre la
peau
et le tendon; je retourne l'instrument, et, par d
, l'innocuité des opérations de ténotomie. Ce sont : une piqûre de la
peau
aussi petite que possible et une prompte occlusio
Si l'air ne se renouvelle pas, s'il est simplement emprisonné sous la
peau
, il est rapidement absorbé, et sa présence momen
la guérison , la cicatrice conserve en général des adhérences avec la
peau
et les parties profondes. D. Mode d'action de l
re moule, que le redressement a été complet. Remarquez ces plis de la
peau
, là où existait le talon supplémentaire, complète
é, d'une part, à rétrier d'un brodequin, de l'autre à une ceinture en
peau
. Une large courroie presse le côté interne du 2
as de cyphose. On peut encore placer une large bande de toile ou de
peau
sur l'abdomen et le bas du thorax, en même temps
, nous offre quelque chose de singulier : c'est une anesthésie de la
peau
qui recouvre les côtes gauches, dépendant probabl
ni, mais non glissant; on peut envelopper l'un et l'autre de drap, de
peau
, de velours. Le volume des supports sera proporti
tudes et des mouvements sur les courbures du rachis. Je marque sur la
peau
la direction des apophyses épineuses , afin de po
ophyses mastoïdes. On a soin de surveiller la pression exercée sur la
peau
de ces parties, pour prévenir les excoriations.
rt afin de ne pas se déformer, garnie d'un coussinet de crin et d'une
peau
douce, pour ne pas excorier les hanches sur lesqu
e fais habituellement usage. Des pelotes de pression, des bandes de
peau
ou de cuir mince, de longs ressorts fixés aux bor
és. La pression antérieure se fait au moyen de cette large bande de
peau
douce, solidement fixée sur le lit h une petite d
viation dorsale dominante, s'opèrent à l'aide de ces autres bandes de
peau
. Pour le bassin, rien de plus simple: cette courr
s sa construction et dans son application, pour éviter de froisser la
peau
ou les nerfs sous-cutanés vers le bord antérieur
Cours d'opérations, 1708, p. 327. espèces de coques, de goussets en
peau
douce, tels que ceux-ci, qui appuient sur les crê
urs pelotes ou plaques métalliques minces, ou des bandes de toile, de
peau
, de caoutchouc, appliquées sur les côtes saillant
lus haut, tantôt plus bas, en ne faisant qu'une petite ouverture à la
peau
, par la méthode sous-cutanée. Ce que l'on sait
ND masses musculaires, très réduites de volume, se dessiner sous la
peau
, à la manière de cordes tendues, donnant, au pa
et les sterno-mastoïdiens dessiner nettement leurs saillies sous la
peau
; la rigidité est, dans ces muscles, particulière
uis huit ans,lorsqu'il succomba à une sarcomatose généralisée de la
peau
. Dans la moelle, Dana constate une légère proli
, le DrFraenkel (de Heiden), qui a décrit des épaississements de la
peau
, fréquents, d'après lui et auxquels il rapporte
bre inférieur droit. Troubles de la sensibilité du trijumeau, de la
peau
, des bourses et delà verge. Examen histologique
le membre inférieur : des excitations portées successivement sur la
peau
du mollet, du genou, de la cuisse peuvent produ
ques obtenus par le grattage : A : de la plante gauche. B : de la
peau
de la cuisse gauche. 78 VERGER ET ABADIE la n
sse et à la fesse.Pas de troubles vasculaires, cyanose notable à la
peau
du membre. Sensibilité cutanée. - La peau est m
res, cyanose notable à la peau du membre. Sensibilité cutanée. - La
peau
est moins sensible, au contact, du côté sain qu
ion sur les deux autres fléchies. Ces doigts sont atro- phiés et la
peau
est fine et luisante. Pendant un mois la situat
s ; ses jambes le sont davantage Tout le corps est enveloppé' d'une
peau
fine, glabre, doublée d'une cou- che adipeuse d
i l'on ajoute à ces différents signes l'aspect très particulier de la
peau
170 BRISSAUD ET MEIGE du visage, certainement
t pas la face bouffie des myxoedémateux du type Bourneville, car la
peau
n'est pas lisse, ni caoutchoutée; elle est cepend
uelques va- rices de la jambe et quelques troubles trophiques de la
peau
, comme on en voit souvent sur les membres variq
x, dit des injures à tout le monde, ne travaille plus, s'arrache la
peau
des mains avec les ongles. 8 juillet. La mala
f pour découvrir des taches rosées très pâ- les, disséminées sur la
peau
. A la face dorsale du pied, on voit une pigmenta-
raphisme (PI. XXVII). - Nous avons tracé quelques caractères sur la
peau
avec une pointé mousse : il s'est produit immédia
é, mais l'oedème anémique persistait. 11. En frottant légèrement la
peau
dans la région où nous avions écrit : « Démence
ma- ternels sont vivants, en bonne santé, exempts de lésions de la
peau
. Antécédents personnels. Le quatrième des six e
le calcul. 20 RUDLER Histoire DE la maladie. A sa naissance, la
peau
de D... est intacte. Vers 4 ans, la première tu
le tronc et les membres, respectant la face. La pigmentation de la
peau
, plaques et ponctua- tion, date de la première
0 m. 84 (PI. XXIX et XXX) . D... est atteint d'une affection de la
peau
caractérisée, objectivement, par un grand nombr
es, petites, de consistance molle et siègent dans l'épaisseur de la
peau
. a) Multiples, on en compte 236, ainsi répartie
iformes. L'examen du fond de l'oeil est négatif. Pigmentation de la
peau
. Elle est double, représentée par des plaques p
Cette pigmentation est formée de taches lenticulaires brunes. La
peau
du visage, exempte de tumeurs et de pigmentation,
usen : les tumeurs cu- tanées (236) et la double pigmentation de la
peau
en plaques et en taches. Si l'on joint, à ces d
ande d'hyperestbésie, le frottement de la pointe d'un crayon sur la
peau
(expérience de Vulpian) ne détermine aucune ligne
INE, Recherches sur l'activité de la circulation capil- laire de la
peau
dans divers cas pathologiques à l'aide d'un procé
mps qu'on ne peut préciser, peut-être vers le XVe siècle, les trou-
peaux
qui paissaient dans les prairies d'Echternach fur
ile, thermique et douloureuse, ne révèle rien d'anormal, ni dans la
peau
, ni dans les muqueuses accessibles. Les sensa-
d sur l'avant-bras gauche, le 20 juillet 1903. Après incision de la
peau
et séparation de deux tendons, nous arrivons su
e périostique, rapprochement des tendons au catgut et réunion de la
peau
au crin de florence ; pansement aseptique, immobi
a seule flexion forcée de la tête qui détermine ce plissement de la
peau
et du pannicule. sous-cutané, car la palpa- tio
ospasme ou plus exactement du clignotement rapide des paupières, la
peau
du front se creuse de rides profondes. Les ph
pla- 460 GÉNÉVII1EII ques grandes comme le creux de la main ; la
peau
, à ce niveau, devenait très pâle, puis se recol
ffet une plaque longue de 10 centimètres environ, large de 4, où la
peau
est déjà sphacélée..L'as- pect de cette plaque
uvrir toute la sur- face sphacélée. Au voisinage de cette plaque la
peau
est marbrée, présen- tant des placards livides,
; trois jours après, apparition de bulles ; et enfin sphacèle de la
peau
. La malade quitta l'hôpital ayant guéri la prem
qu'étant donné les troubles « de la circulation vaso-motrice de la
peau
, on peut se demander si les troubles analogues
ique. Or, peut-on, par suggestion, provoquer de la gan- grène de la
peau
? Nous ne croyons pas que cette lésion ait pu êtr
uatés possibles. Les orteils offrent l'aspect du « doigt mort ». La
peau
est marbrée, cyanosée par endroits : elle donne
par endroits : elle donne à la vue et au toucher l'impression d'une
peau
de cadavre, sur laquelle les contacts auraient
en « carte de géogra- phie ; quel est le topique qui laisse sur la
peau
de semblables figures ? N'est-il pas plus simpl
e d'admettre, au moins à titre d'hypothèse, que ces sphacèles de la
peau
reconnaissent pour cause un spasme vasculaire pro
s » (1) un certain nombre de ces manifestations pathologiques de la
peau
, parmi lesquelles il distingue : le pseudo-oedè
e, luisant, rosé, présentant des tractus parallèles qui plissent la
peau
saine avoi- sinante. Les cicatrices plus ancien
organes des sens, le tronc et les membres, les organes génitaux, la
peau
et les appendices cutanés. Crâne. Les procédés
plus que pour le mâle, jamais été rapportés à la dégénérescence.
Peau
et appendices cutanés. - Les caractères ethniques
jamais eu d'accidents nerveux, ni de rhumatisme, ni de maladie de
peau
. - [Père, 73 ans, a eu dernièrement une attaque d
at actuel de l'enfant rappelle tout à fait le type du myxoe- dème :
Peau
de la face pâle et translucide ; faux oedème des
sse, ordinairement sortie de la bouche ; pa- pilles hypertrophiées.
Peau
généralement très rude, surtout aux mains et au
que les croûtes du cuir chevelu ont paru. La coloration jaune de la
peau
de la face se serait montrée à 5 ans, peu après
de la trachée et le cartilage thyroïde comme s'ils étaient sous la
peau
, sans aucune interposition. - Il existe, dans les
as grossi; le pénil est glabre, ainsi que les aisselles et toute la
peau
, jamais de sueurs. (Fig. 2, 3 et 4). W... fait
lipomateux des joues, des creux sus-claviculaires, des aisselles ;
peau
cireuse, eczémateuse ; état pachydermique des p
ctère doux, aucun indice de syphilis; ni rhumatisme, ni maladies de
peau
. Il est actuellement soigné à l'hôpital Lariboi
a 4 centimètres de longueur et 5 centimètres de circonférence. La
peau
est glabre, rugueuse, sèche, bouffie, jaunâtre, s
rait maintenue jusqu'au com- mencement du mois de mai, époque où la
peau
a blanchi. La mère pense que cette modification
: 4 kil. 800. 31 juillet. - L'enfant paraît venir assez bien. La
peau
est sèche et a, partout, un teint cireux. Les c
sont gonflés, froids, cyanosés. La teinte jaunâtre et cireuse de la
peau
, surtout à la face, est plus pro- noncée. La vo
te, mais elle avait la langue, les pieds et les mains épais et la
peau
cireuse, et, dès la naissance, on avait remarqué
s membres inférieurs présentent absolument les mêmes caractères. La
peau
a une teinte mate, d'aspect cireux et est rugue
es travées connectives assez fortes, riches en fibres élastiques.
Peau
de la main. - Même aspect en général. Les glandes
long séjour des pièces dans l'alcool. Analyse d'une portion de la
peau
, faite par M. RÉQUIER, pharmacien en chef de l'
eux. Les phénomènes de cachexie pachydermique : état cireux de la
peau
, épaississement de la langue, des mains et des
sés, épais, présentent, en un mot, l'aspect pachydeT- mique. La
peau
, glabre, blanche, sèche, rugueuse, ichthyo- siq
chitiques (rachis, thorax, os des membres). En ce qui concerne la
peau
et le tissu cellulo-adipeux, elle se manifeste pa
x gros, rudes, longs, bruns ou blonds roux, calvitie partielle.
Peau
de la face et du corps glabre. Aspect trapu, ra
Assez nerveux ; bon caractère... Enfant naturel. Pas de maladie de
peau
, pas de trace de syphilis ; pas d'attaques de n
ut et en dedans. En ce point la cage thoracique n'est séparée de la
peau
que par le corps mince du grand dorsal. Or, la
vés. C. V. DU RAPPORT DE L'ECZÉMA CHRONIQUE AVEC L'ANESTHÉSIE DE LA
PEAU
; par le professeur Stookovenloff (de Kieff). (
hie de la Salpêtrière, 1895, n° 3.) Partant de ce principe que la
peau
est un organe intimement lié avec le système ne
ystème nerveux, l'auteur suppose que les centres tro- phiques de la
peau
, organe de la sensibilité, sont situés, avec les
Il déduit de cette supposition que les trou- bles trophiques de la
peau
doivent être accompagnés, au moins fréquemment,
sibilité. C'est pourquoi l'on doit, dans certaines affections de la
peau
, dans l'eczéma chronique, par exemple, examiner
emment, ils étaient le siège de douleurs plus ou moins vives, et la
peau
insensible, auparavant, était au contraire hypé
olorée, barbe et chevelure touffues et soyeuses d'un châtain clair,
peau
fine et saine. Son père, vieil attbritiffue, es
ble que les appareils terminaux de la sensibilité, situés dans la
peau
, dans les muscles, les tendons, les ligaments, le
trémités le malade sent et localise bien le moindre frôlement de la
peau
. Retard dans la perception de la douleur aux pl
ondes après, 7 environ, sans laisser de traces. La coloration de la
peau
est à peu près normale, avec marbrures rosées.
ires et digitaux forment comme autant de brides entre lesquelles la
peau
bombe fortement. La main est le siège d'une dou
EIL DE FAITS. central ; 2° l'oedème avec coloration ordinaire de la
peau
, ou plutôt coloration rosée; 3° l'oedème violac
it, la veille, fait frotter la main ave; une telle vigueur que « la
peau
en aurait craqué ». Les mouvements bien restrei
sée, généra- lisée aussi, de petites élevures, dont est couverte la
peau
du thorax antérieur, de l'abdomen, des membres,
s, « une chair de poule » si géné- ralisée qu'elle donne à toute la
peau
un aspect gaufré. Il y a, de plus, un redressem
ourd'hui en passant un crayon mousse, ou simplement l'ongle, sur la
peau
de la face antérieure ou postérieure du thorax
i à l'extré- mité « atteint le volume d'un cordonnet enfilé sous la
peau
» (Barthélemy). En frictionnant légèrement, la
une période de réaction avec fourmillements insupportables, puis la
peau
reprend insensiblement sa coloration normale. D
nsensiblement sa coloration normale. Dans l'intervalle des accès la
peau
présente un aspect sain. Ces deux formes d'asph
. Cet aspect parcheminé peut aussi se produire sans phlyctènes : la
peau
prend alors une coloration jaune en un endroit,
'exci- tation, puis le sommeil, la lassitude, l'hyperesthésie de la
peau
. Il y a impossibilité de l'hypnose chez les fum
nuance feu permanent en infiltrant entre la première et la deuxième
peau
un liquide quelconque, absolument comme on fait
, quelques jours plus tard, persistance d'une teinte verdâtre de la
peau
et coloration noire des urines. Dès ce moment l
lates, albu- mines, moules, sucre, etc. Condition trophique de la
peau
. Examen des organes thoraciques... Coeur... Pou
nente du volume du sein, avec une hyperesthésie considérable de la
peau
qui recouvre cet organe. Il s'agit donc, en réali
vont de la congestion simple à l'oedème et même à la gangrène de la
peau
. L'hyperesthésie est excessivement développée,
eufs de poule. Suivant l'impor- tance des troubles vaso-moteurs, la
peau
est blanche, rosée ou vio- lacée. Enfin il peut
lanche, rosée ou vio- lacée. Enfin il peut y avoir ulcération de la
peau
, le mamelon peut 294 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEU
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 295 d'anesthésie tactile occupant la
peau
de la portion interne de la main et de celle d'
athésiques que des 300 REVUE DE pathologie NERVEUSE. gommes de la
peau
il y a un an. Début par un ictus apoplectique s
de la tête; l'action de la cocaïne se fait-elle sentir à travers la
peau
, l'os cranien et les méninges sur l'écorce gris
oïde ne parvient pas directement à l'écorce grise, en traversant la
peau
, l'os et les mé- ninges ; il n'y arrive qu'indi
e. Plomb dans les urines. On dénote aussi la présence du plomb à la
peau
au moyen du sulfure de sodium. Il est évident
sidérable des pieds et des jambes avec température très basse de la
peau
. A l'auscultation du coeur, souffle systolique
ongé et enveloppé de graisse, peu musclé, figure ronde, imberbe, la
peau
est glabre partout, il n'y ade poil nulle part.
ophiés. Ils sont surtout déformés, et par suite de la soudure de la
peau
de la verge avec celle du scrotum, ils rappellent
lgurantes aux quatre extrémités. Ces douleurs siégeaient à fleur de
peau
et le moindre frôlement, même le contact du drap,
égale, plutôt gaie. Aucune anomalie, aucun trouble trophique de la
peau
ou de ses annexes, les dents sont saines. Inéga
cée de le consoler. En 1888, premières douleurs fulgurantes dans la
peau
des cuisses et des fesses. Ces crises deviennent
1895). Le malade est de grande taille, maigre, la coloration de la
peau
est d'un pâle verdâtre. Le malade s'occupe acti
ir chevelu révèle au niveau de l'oreille droite une adhérence de la
peau
au crâne, on trépane la surface correspondante
et. Enfin il favorise tous les émonctoires dans leurs fonctions, (
peau
, reins, intestins), stimule l'estomac et lutte co
impossible, on peut provoquer des mouvements réflexes en pinçant la
peau
de la plante des pieds. Sensibilité normale, ve
s, goutte et rhumatisme. - 6" Maladies infectieuses, maladies de la
peau
; k,/sles hydatiques, </tf't'apeu/t ? He. 7°
l' -, par Gohlmann, 491. I'C7L)IA chronique et anesthésie de la
peau
, par StoukovcnlolT, 'i3. Electricité dans les m
éloi- gnées et que les parties constituantes sont diverses pour la
peau
et pour les muscles. Pour la peau, à un endroit
nstituantes sont diverses pour la peau et pour les muscles. Pour la
peau
, à un endroit donné, la neuvième, et les cin- T
e la patte d'oie) qui font alors une saillie très prononcée sous la
peau
. 11 n'existe pas de brides périarticulaires, au
limitée par les rétractions des adducteurs qui font saillie sous la
peau
; au surplus le malade ne peut résister à une add
r- teils nous explique d'ailleurs la possibilité de la marche. La
peau
est normale, sans adipose sous-cutanée, sans trou
it avec une certaine énergie et le biceps se contracte bien sous la
peau
. L'extension passive ne dépasse pas l'angle droit
musculaire. Les réflexes osseux et tendineux sont très faibles. La
peau
ne présente pas de troubles trophiques. La sensib
i- que, forte obliquité des dernières côtes très saillantes sous la
peau
, enfonce- ment prononcé de la partie inférieure
des pectoraux qui viennent former alors un relief saillant sous la
peau
. L'élévation à l'horizontale des bras est très
les apophyses épi- neuses de la région cervicale saillantes sous la
peau
par l'atrophie des chefs médians et inférieurs
hologiques, pas de douleur an choc et aux palpations. Indexa 79. La
peau
du front est lisse, adjacente solidement aux os.
mme, en donnant à la surface de la fibre musculaire un aspect d'une
peau
de léopard (c, fig. 5) ; tantôt enfin, les noya
, très dou- loureux à la pression ; au contraire le pincement de la
peau
et même le sim- ple pincement des fibres muscul
constitué par le sacrum mis à nu. Elle était très douloureuse. La
peau
des jambes était épaissie, rugueuse, jaunâtre ; l
ques, c'est-à-dire une sécheresse insolite et un état rugueux de la
peau
des membres inférieurs, un état cassant des poils
étend à la muqueuse de la vessie, de l'urèlhre, dit- intestin, à la
peau
du pourtour de l'anus, du périnée, du scrotum, au
es, des trochanters, dans un état rugueux et un aspect flétri de la
peau
. dans une fragilité anormale des poils et des ong
A plus forte raison faut-il intervenir énergiquement, sitôt que la
peau
s'écorche aux endroits où elle est exposée à l'
examen détaillé révèle les particularités suivantes : Téguments. La
peau
, de coloration normale, est lisse. Il existe une
entre. 126 DUPRÉ ET PAGNIEZ Ni sueurs, ni séchesse exagérée de la
peau
. La face est pâle, sans plaque vermillon aux po
ecs, courts, et ne mesurent guère plus de 20 à 25 centimètres. La
peau
est glabre partout : pas de poils au niveau du pu
la région pectorale droite a presque entièrement disparu et que la
peau
plus adhérente aux plans sous- jacents, est moi
est moins mobile que dans la région pectorale opposée. En effet, la
peau
est adhérente aux plans profonds. C'est, du reste
i antérieure de l'aisselle, il semble que l'on sente au-dessous de la
peau
un faible plan musculaire, vestige du grand pec
l'abaisser quand il est soulevé, les faisceaux ne soulèvent pas la
peau
.] , NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière.
côte à la coulisse bicipitale de l'humérus. C'est un simple pli de la
peau
, renfermant dans son intérieur une membrane ten
ation globale de tous les plans de la paroi thoracique, à savoir la
peau
, le mamelon, les côtes, les espaces intercostaux
dessèche la gratelle, les dartres et les autres démangeaisons de la
peau
(1). 1) Comment s'étonner après cela de la fave
existe un gros bourrelet du volume d'un gros pois (fig. B et C), à
peau
molle et rose, séparé dans sa partie mé- diane
zontalement, presque sur le même plan que le front. A l'extrémité, la
peau
est ulcérée sur la surface d'une pièce d'un fra
-dessus de la portion de lèvre, toujours dans le bourgeon frontal, la
peau
présente un aspect étoilé, froncé, paraissant r
émité même la large croûte terminale occupe toute l'épaisseur de la
peau
et des méninges existant seules à l'exclusion de
ous mouvements spontanés. Il n'y a pas de troubles trophiques de la
peau
, sauf un peu d'hyperlro- phie des poils sur la
eux extrémités du péroné, qui viennent former deux saillies sous la
peau
(Launois et Kùss). L'absence du péroné a été bi
mission de la sensibilité à la douleur. Hyperesthésie extrême de la
peau
du thorax. Inégalité pupil- laire. Signe d'Argy
les exostoses augmentèrent ra- pidement de volume. Le 1S juin, la
peau
s'étant ulcérée au niveau d'une des saillies osse
troisièmes phalanges de l'index et du médius de la main gauche. La
peau
s'ulcère peu peu à leur niveau. En l'espace de
équemment, par les extrémités en s'insinuant entre les ongles et la
peau
. C'est le « dé- lire de possession par les rena
dulations semblables aux mouvements des vagues se dessinent sous la
peau
, lors du passage du courant, et pendant la décont
rt le dos et les fesses. Deux grosses ampoules, qui boursouflent la
peau
des deux côtés du dos, témoignent que deux vent
seulement reçoivent des excitations, partant de la superficie de la
peau
et qui leur sont transmises par le premier neuron
es ses dimensions et que tout chez lui est gigantesque : squelette,
peau
, musculature. La peau, pâle au visage, brune su
ue tout chez lui est gigantesque : squelette, peau, musculature. La
peau
, pâle au visage, brune sur les avant-bras et la p
ant les territoires situés entre Khar- toum et le Bahr-el-Gazal. La
peau
était d'un vert de bronze foncé. Le crâne est p
, musclé en hercule, souvent barbu, avec des traits gros- siers, la
peau
très brune, en opposition avec David, adolescent
de Berlin, montre un saint Christophe hercu- léen, barbu et noir de
peau
, à côté d'un saint Sébastien tout féminin. LEON
se manifestait un symptôme curieux : c'était une hyperesthésie de la
peau
, sur différents points du tronc, plus sou-vent à
ie à un degré quelconque puisse intéresser l'un des sens, sans que la
peau
perde sa sensibilité. Cette considération ferait
tonitis des médecins anglais. Il est évident qu'ici les muscles et la
peau
elle-même sont de la partie... » 2° D'autres fo
et, en pareille circonstance, on note les phénomènes suivants : a. la
peau
est partout anesthésiée; — b. les muscles, s'ils
mière exploration montre que le siège de la douleur n'est pas dans la
peau
ni dans les muscles. Il est par conséquent indisp
sible de provoquer ces attaques en excitant une certaine région de la
peau
que M. Brown-Séquard désigne sous le nom de zone
ure et s'étend de là vers l'œil et vers la région latérale du cou. La
peau
de cette région est un peu moins sen-sible que ce
ont plus ou moins superficielles. Si l'hyperesthésie n'affecte pas la
peau
elle-même, elle parait intéresser les ramificatio
s'accuse par- tout à la fois, tous les muscles se dessinent sous la
peau
en sail-lies vigoureuses, et ces exacerbations de
couleurs. L'hémianesthésie coïncide avec une pâleur relative de la
peau
et un abais-sement de la température du côté corr
uffocation est imminente; la stran-gulation fait tirer la langue : la
peau
est rouge et pâle alternativement; les convulsion
anente complète de tout le côté droit. De ce côté, les pi-qûres de la
peau
ne saignent pas. Jamais ce côté n'est atteint de
eines, distendues par le sang, font une saillie con-sidérable sous la
peau
; la face est souvent aussi livide que dans l'épil
on s'efíectue d'une façon normale. IWlbis elle se ralentit un peu. La
peau
conserve habituel-lement sa chaleur. Parfois cepe
rçoive et pousse un cri très fort, elle tressaille légèrement. ))La
peau
paraît insensible aux piqûres,aux pincements. Not
ment de thermomètre pour constater exactement les variations. Mais la
peau
devient chaude. » 1 h. 49 m. 84 respirations, 8
ulaire : il suffit d'exciter mécaniquement un muscle au travers de la
peau
, soit en pressant, soit en frottant, même légèrem
r le bras gauche, en plaçant ses pôles actifs à peu de distance de la
peau
, le bras gauche, au bout de peu d'instants, se co
uro-musculaire. La sensibilité à la piqûre est abolie aussi bien à la
peau
qu'aux muqueuses. Mais l'état des sens reste à pe
supporté par la malade peut à son gré, par l'excitation légère de la
peau
, provoquer des contractures in-tenses qu'il détru
les principaux caractères : 1° Anesthésie totale à la douleur de la
peau
et des muqueuses. T L'œil est ouvert, le regard
e ainsi obtenue sont les suivants : 1° Lisensibilité complète de la
peau
et des muqueuses '\ 1. Lasègue, loc. cit., p. 4
par aucun signe extérieur. 2° Même insensibilité à la douleur de la
peau
et des muqueuses que dans la léthargie avec hyper
culier, leur respiration était normale, le pouls était à soixante, la
peau
était fraîche, et les membres étaient en résoluti
par un morceau de fer doux, tantôt nous avons mis en contact avec la
peau
le bout de l'aimant opposé aux pôles, tantôt nous
s tétaniques tellement violentes qu'on les voyait se dessiner sous la
peau
, maintenaient le bras dans la position que je lui
elconque des téguments de la ma-lade, avec quelques millimètres de la
peau
du bout de mon doigt, non isolée par un gant, dét
normalement dilatées et normalement mobiles. Anesthésie absolue de la
peau
et des mu-queuses. L'attouchement de la conjoncti
ptomatique. L'anes-thésie est complète sur toute la surface du corps,
peau
et mu-queuse; la sensibihté générale est abolie p
que de crudités et de vinaigre) et de plus anesthésie profonde de la
peau
, perte de la sensibilité tactile, thermique et mu
répond pas aux questions et ne les entend pas; toute l'étendue de sa
peau
est anesthésiée, son pouls est calme, elle rit et
e très légère sensation de chatouillement. Il mai. — Même état ; la
peau
est froide, d'un blanc mat, complètement exsangue
rès émoussée; on peut pincer fortement la malade, serrer un pli de sa
peau
sans déterminer de plaintes ni de mouvements de d
ur les yeux, fric-tions des paupières, excitations douloureuses de la
peau
sans qu'il soit possible toutefois de réveiller l
ur écraser, dit-il, une grosse araignée noire, qui se glisse entre la
peau
et le pantalon. Il regarde à travers la fenêtre,
ux, des objets de toute sorte. » Le visage est couvert de sueur, la
peau
est modérément chaude, la tem-pérature donne 38"
attention : il a, dit-il, mal à la tète, des picotements sur toute la
peau
, des crampes dans les jambes. « Il se dit être
. Llnesthésie sensitive n'est point limitée à l'enveloppe cutanée, (
peau
et membranes muqueuses) on la voit parfois gagner
t même sans faire de piqûre on constate, à la simple inspection de la
peau
, une augmentation évidente de la vas-cularisation
est placé en regard de la tempe gauche, à un centimètre environ de la
peau
, l'œil droit est main-tenu fermé avec la main, et
rsistant ce retour de la sensibilité, de maintenir en contact avec la
peau
redevenue sensible une plaque de métal neutre, c'
pendant la contracture s'accompagne d'une hyperesthésie intense de la
peau
. Nous en avons vu un exemple fort intéressant plu
charpie ou un rouleau de bande pour empêcher les ongles d'entamer la
peau
. Les récentes recherches entreprises au laborat
yen des branches d'un diapason mises en vibration et promenées sur la
peau
de la région, produit dans les muscles une contra
8 heures d'application, on constate seulement un peu de rougeur de la
peau
, mais pas la moindre douleur soit superficielle,
gal des deux côtés, disparaissait à chaque séance et cela sans que la
peau
du pourtour de l'œil redevînt sensible. Fait abso
n avait aussi » tellement desséchées, qu'elles se pelaient, et que la
peau
paraissait toute blanche » et soulevée i On voi
le nez : qu'ede était presque insensible, puisque le père lui prit la
peau
du bras et la perça d^outre en outre avec une épi
s de force que jamais. Onvoyaitles nerfs et les veines remuer sous la
peau
avec une agitation prodigieuse ; et on entendait
onne aux convulsionnaires n'est point arrêtée sur la superficie de la
peau
. Par exemple, le chenet, lorsque les coups en s
st calme, l'expression du visage naturelle, sa coloration normale; la
peau
est fraîche, le pouls bat soi-xante-douze fois pa
Lateau est assise, et l'état organique et fonctionnel varie peu : la
peau
est fraîche, la figure a sa coloration ordinaire;
réduit à un frémis-sement presque imperceptible, la température de la
peau
s'abaisse et celle-ci se couvre d'une sueur froid
rend sa force et sa fréquence normales, la res-piration se relève, la
peau
revient à sa température habituelle. La jeune p
at se couronne d'épines, dont trois ou quatre pénétrèrent dans la
peau
du front; un mouchoir blanc serré autour des flan
ls : les deux derniers doigts de chaque main étaient en flexion, la
peau
de la paume de la main adhérait fortement aux t
releveur atrophié est attiré et coupé en son milieu . Cela fait, la
peau
recouvrant le muscle frontal est détachée jusqu
lade ; le membre était frappé d'incapacité fonctionnelle totale; la
peau
du tiers infé- rieur de la cuisse était rouge,
et des cuisses, avec pieds en varus équin, oedème des extrémités et
peau
luisante. Pas d'albumine, pas de sucr.e, pas de
cesse, et demandaient des absinthes. Ils n'avaient point de cha-
peau
, l'un des trois était même vêtu simplement d'une
plus épaisses aussi à gauche. 11 est plus facile de plisser la
peau
de ce côté et le pli est plus gros. Les fosses su
ns vaso-motrices sont plus faciles de ce côté : le frottement de la
peau
fait apparaître une raie rouge persistante ; l'ai
système pileux est bien développé, il n'y a rien d'anormal sur la
peau
: quelques noevi pigmentaires très clairsemés. Le
jours. de Neurologie, 1898, nez 23.) La possibilité d'écrire sur la
peau
en faisant saillir le derme a été rencontrée pa
; elle ne peut davantage mouvoir les ailes du nez, les joues et la
peau
du menton, etc. ». Il existait en outre des tro
non toujours tombe dans un état syncopal avec refroidissement de la
peau
et un pouls faible. Il peut apparaître aussi qu
limenter le malade dans son bain, ménager la suscep- tibi11té clela
peau
(bains garnis, peau enduite de vaseline aux endro
ans son bain, ménager la suscep- tibi11té clela peau (bains garnis,
peau
enduite de vaseline aux endroits qui portent).-
s grammes, en frictions d'un quart d'heure à une demi- heure sur la
peau
une fois par jour, est très active. On peut donne
ervé une séche- resse très accusée de toutes les muqueuses et de la
peau
; exulcé- rations des amygdales; constipation, a
que. La température parait plus élevée que celle du membre sain, la
peau
plus rouge et les veines plus apparentes. Ecchy
roites, comme il est de règle dans le sexe féminin. Ajoutons que la
peau
du visage est ratatinée, creusée de rides nombreu
harité (1895). IDIOTIE CONGÉNITALE ET HYPOSPADIAS. 293 gomery. La
peau
du thorax, comme aussi celle de l'abdomen, est
les mêmes à droite et à gauche. Le pied est petit, bien cambré. La
peau
des membres rappelle de tous points celle du tr
un petit cercle bleuâtre de 1 millimètre environ de diamètre. La
peau
recouvre la face supérieure et les faces latérale
faces latérales de la verge, mais la face inférieure est à nu ; la
peau
forme donc une 394 RECUEIL DE FAITS. sorte de
rface rectangulaire, allongée dans le sens antéro-postérieur, où la
peau
est recouverte d'une mince membrane rosée, prés
est moins développée qu'à l'entrée de M... à l'asile ; cependant la
peau
du tronc et des membres a gardé sa blancheur et
a gardé sa blancheur et sa finesse et contraste étrangement avec la
peau
du visage, ridée et flétrie, couverte d'une bar
iron de diamètre, qu'on aperçoit par transparence et qui donne à la
peau
, au point où devrait se trouver normale- ment l
voix, le larynx, par le bassin; il était femme par la chevelure, la
peau
du tronc et des membres, la finesse des dents,
lait une furonculose assez incommode oècupant le ter- ritoire de la
peau
innervée par le nerf et qui récidiva pendant asse
marche rapide, sans aucuns symptômes cérébraux. On constata sous la
peau
la présence de nombreuses petites tumeurs vésic
parler. La température monte (39°.0 hier soir, 40°2 ce matin) ; la
peau
est chaude, la figure colorée et couverte de su
ommissure labiale gauche se relève un peu ; le visage est rond ; la
peau
est fine. Le cou est moyen, circonférence méd
est bien proportionné, un peu bouffi ; la musculature est ferme, la
peau
est fine. Le thorax est un peu aplati, la régio
résultats de scarifications, se détachant sur le fond bistré de la
peau
, les unes en bleu, les autres en blanc. Il veut
de fumée et de lait de femme, ils les enfoncent obliquement dans la
peau
, en y faisant pénétrer ce même mélange. Sur 97
ans 29 cas; des maladies d'estomac dans 4 cas; des mala- dies de la
peau
dans 4 cas ; des tumeurs dans 2 cas. 2° Problèm
int dans les muscles, au moins dans les muscles seuls, mais dans la
peau
et l'expression de sens des mouvements substitu
tte sensation simple. Trois sortes d'organes sont àcon- sidérer, la
peau
, les muscles et les articulations avec les tendon
capsules et des ligaments, dans l'extension ou le plissement de la
peau
, des tissus mous, des muscles et de leurs tendo
s aliments ne passent pas. Il se cachectise, maigrit beaucoup et sa
peau
prend une teinte terreuse. L'alimentation est cep
tit est nul ; pas de douleurs stoma- cales ; pas d'hématémèses ; la
peau
est absolument terreuse. La palpitation du vent
ie du bras droit parait porter surtout sur le sys- tème osseux ; la
peau
a conservé son aspect normal. En même temps, to
, à trois ou quatre centimètres au-dessous du périnée, un pli de la
peau
: c'est le pli des adducteurs. Chez les REVUE D
uit souvent des troubles plus considérables de la sensibilité de la
peau
des doigts que de la motilité des muscles de l'
ies de la moitié gauche de la face (engourdissement, sensation de
peau
adhérente) ; une diminution de la sensibilité cép
atteints de crétinisme, étaient affligés en outre d'une maladie de
peau
et vêtus de haillons. Chez eux, ils cou- chaien
nts aussi aux purgatifs, ils assurent le bon fonctionnement de la
peau
, l'élimination du bromure. Aussi n'avons- nous
1/icrosphyynie. - Membres supérieurs sans saillie muscu- laire ; la
peau
en est doublée d'un pannicule épais. Mem- bres
èvre ty- phoïde, pas de rhumatisme, de chorée, pas de maladies de
peau
, pas de syphilis, ni alcoolisme, ni tabagisme. Ca
de maladie infec- tieuse, ni rhumatismes, ni chorée. Ni maladies de
peau
, ni syphilis,ni alcoolisme, ni caféisme.Pas de
ers cinquante ans ; méno- pause à cinquante-deux ans. Ni maladie de
peau
, ni syphi- . FIG, 27. - R..., en 1904. Nanism
omen est proémi- nent, recouvert d'un pannicule adipeux épais. La
peau
du thorax et des membres est également doublée
d'une santé et d'une constitution médiocres. Le visage est pâle, la
peau
fine, le tissu cellulaire sous-cutané est peu d
ie nerveuse. Pas de migraine. Pas de syphilis, ni d'affection de la
peau
. Il y a six ans, douleur sciatique à la suite d
mier examen, l'enfant peut être classée parmi les naines obèses. Sa
peau
est doublée d'un pannicule adipeux un peu épais
uuscuitaiion ni a la percussion ? 1 Monter volumineux, saillant, la
peau
en est très épaisse. Matité du foie normale. Ra
s haut surie dos du pied que du côté sain. Thorax développé. - La
peau
est doublée d'un épais pan- nicule, les mamelle
ion des poumons, du coeur; pouls normal. Abdomen assez saillant. La
peau
est doublée d'un panicule adipeux assez épais.
Les plis naso-géniens sont très marqués. Dans toutes ces régions la
peau
est doublée d'une épaisse couche de graisse trè
dipose, ayant le volume d'une noix, arrondi, limité par des plis de
peau
profonds. Cou. Gros, arrondi. Circonférence : 3
graisseux, doublant le menton. Le cou est délimité par des plis de
peau
profonds à sa partie supérieure et à sa partie
non soudé, déjeté un peu en avant t et e i dehors. Ouïe normale.
Peau
. Pas de cicatrice. Quatre noevi pigmentaires sur
ne dorsale. Sur tout le corps le pannicule adipeux, qui double la
peau
, est d'une épaisseur considérable. La peau de la
e adipeux, qui double la peau, est d'une épaisseur considérable. La
peau
de la région des aisselles, des régions pectora
des aines est couverte de vergetures. Kératose péripilaire sur la
peau
des membres. (Fig. 32, 33, 34). Membres supérie
s creux. Les fossettes dorsales du métacarpe sont très marquées. La
peau
de la face dorsale du carpe et du métacarpe est
hauteur de 5 cent. Entre eux et le pli de Faine, il y a 2 cent. de
peau
glabre. Les poils sont un peu plus fournis, comme
sseux (2) se développent, l'infiltration grais- seuse disparaît, la
peau
et la sécrétion cutanéedeviennent normales ; la
ssive. Ses cheveux sont blonds, normalement implantés, sans épi. La
peau
ne présente ni cicatrices, ni nævi. On ne const
égissiers................................ 2 Fouleurs, appréteurs de
peaux
............ 4 Miroitiers.......................
01. 11 janvier. - Dans un accès, chute sur la face, éraillure de la
peau
avec ecchymose, siégeant au niveau de la pommet
nt, le visage est coloré, l'air éveillé. Pas d'amaigrisse- ment. La
peau
est blanche, les cheveux longs, blonds et soyeu
fait saillie, mais de ce côté là le radius seul a été fracturé. La
peau
est fort mince et le tissu cellulaire absolumen
est coupé ras; on pratique au moyen d'un scalpel une incision de la
peau
, de l'éten- due de 3 à 5 centimètres, dans la d
K. V. CONTRIBUTION A la connaissance DES NERFS VASO-MOTEURS DE la
peau
DE l'homme, par M. BucH d'Helsingfors). (Cen- t
n de la couver- ture, compresse d'eau) sur une partie limitée de la
peau
, provoque de l'hyperthermie des régions voisine
momètre de surface ou un thermomètre ordinaire que l'on fixe sur la
peau
à l'aide de ouate et d'un tour de bande légèrem
itions normales, une violente excitation mécanique (pincement de la
peau
) détermine de l'hyperthermie sur un large circu
cliniques chez des malades atteint de névroses vas- culaires de la
peau
, ont établi que les deux sortes de courants élec-
ité déterminerait aussi, dans les cas de névroses vasculaires de la
peau
, une action différente, suivant le genre de cou
suel. 12o L'action, pendant quelques minutes de l'eau froide sui la
peau
, est la même, quant au champ visuel, que celle
vations sont au reste 1 cet égard peu nombreuses. La friction de la
peau
peut aussi agir sur le champ visuel. - 13' L'ac
t les deux espèces de courants produisent par l'intermédiaire de la
peau
des résultats positifs; tantôt ils exercent cha
n, toux, oppression, engoûment céphalique, vertiges, cha- leur à la
peau
, miction au lit); elle s'élimine par les poumons
ulsions limitées. Sous l'influence de cette excitation locale de la
peau
, on voit les convulsions changer de côté. Ces c
cordiale, des troubles de la parole, une coloration gris bleu de la
peau
. Une quatrième observation témoigna, après une
té peut être mise en jeu par des excitations superfi- cielles de la
peau
: le contact avec le doigt, ou un pinceau à aqua-
nes cutanées siègent dans les expansions nerveuses terminales de la
peau
. Il est curieux de constater à ce sujet qu'elles
citations précédemment énumérées; elles ne siègent donc pas dans la
peau
, ni dans les muscles et tendons, car on peut, d
mamelle, on le prouve en montrant que l'excitation énergique de la
peau
qui recouvre le sein ne produit rien et que la
ui possèdent ces zones, à arrêter l'attaque en pinçant un pli de la
peau
qui recouvre le sein, sans comprimer la glande,
eau qui recouvre le sein, sans comprimer la glande, ou un pli de la
peau
du flanc, sans comprimer profondément l'abdomen
l'anémie locale (par exemple sur un membre), la réfrigération de la
peau
qui recouvre une zone sous-cutanée, l'application
ions hypnogènes ne sont pas le résultat d'irritations banales de la
peau
ou des tissus pro- fonds chez des sujets partic
euse, pas de phimosis, méat normal, testicules bien développés. ,
Peau
: cheveux, cils, sourcils châtains, abondants; po
ormal, testicules assez développés; pas d'onanisme si- gnale. li,
Peau
: cheveux, sourcils et -cils chàlain-clail' assez
t très développé; ses trois chefs se dessinent avec netteté sous la
peau
: ils se terminent brusquement sur le tendon rolu
. , On ne constate chez notre malade aucun trouble trophique : la
peau
est fine, le tissu cellulaire sous-cutané n'est p
sie sensitivo-sensorielle complète du côté gauche. On tra- verse la
peau
avec une forte épingle sans qu'il s'écoule une go
supérieures, dans le dos (domaine des taches lépreuses) et sur la
peau
de la face intacte, atrophie des petits muscles d
des petits muscles des deux mains avec troubles de nutrition, de la
peau
, des phalanges, anomalies pigmentaires toutes s
rémités inférieures pour agir finalement sur toute la surface de la
peau
, sur tous les mus- cles : on stimule ainsi l'as
erfs optique et auditif; ' , ici' 1 2° Parles nerfs sensitifs de là
peau
; ' , 3o Et par une parlie'dcs fibres du pneumo-
e en état de repos, leurs con- tours se dessinent nettement sous la
peau
. On remarque une rigidité, une tension dans tou
de gâtisme. La. sensibilité générale et spéciale est conservée...
Peau
: cheveux, cils, sourcils bruns, abondants ; lége
0 juin. Poids, 28 kil. 9; taille, 1m,30. 1884. 4 janvier. Rien à la
peau
si ce n'est de l'érythème chro- nique des fesse
mais ne sont pas sur le même plan. . des familles' D'IDIOTS. 357
Peau
: cheveux, cils, sourcils châtains, abondants ; p
viande crue. 374 CLINIQUE mentale. 4 mars. Maigreur extrême : la
peau
est collée sur les os. - L'enfant ne peut tenir
des deux sortes de courants électriques dans l'électrisation de la
peau
) se résument comme il suit. Premier exemple : U
flammation généralisée diffuse des membranes et de la surface de la
peau
. Eh bien, quand il existe une predisposition à
fection du nerf- dans le - tabès dorsal), 118. Vaso-moteurs de la
peau
de l'homme, par Bucb, 87. Zones (des) hystéro
été acheté 1 ballon, 4 tambourins, 8 balles, un arc, 34 balles en
peau
et 2 fanions. La société a en outre donné une sub
'elle ( ? ). DESCRIPTION DU malade. 5 État actuel (25 janvier). -
Peau
blanche et laiteuse ; che- veux châtains blonds
halalgies. Elle n'est pas nerveuse, est sobre, n'a eu ni maladie de
peau
, ni rhumatis- mes. D'une instruction nulle et d
oraciques.. Abdomen : Rien de pathologique. Région anale normale.
Peau
absolument glabre. Verge 2 cm. de longueur, 3 cm.
convulsions de l'enfance, attaques de nerfs etc. Pas de maladies de
peau
.- [Père, excès modérés de cidre, mort d'une mal
rature. - Les réflexes pharyngiens et rotuliens sont abolis) ? ). -
Peau
, normale.Adé- nites cervicales gauches. - Diges
son embonpointest satisfaisant. Malgré l'éruption rubéolique, sa
peau
parait être normalement très blanche. Les cheveux
ation, car le petit malade présente des troubles trophi- ques de la
peau
se traduisant par une sorte de desquamation ict
ernale assez accusée. Les clavicules se dessinent nettement sous la
peau
et sont dirigées très obliquement en arrière, e
icétre (1). 1892. Etat actuel (leur avril) ? État général médiocre;
peau
d'un blanc jaunâtre, adipeuse, cheveux châtains
seul; il est gaucher. Le 24 mars 1891, 152 DESCRIPTION DU malade.
peau
rude, marbrée de rouge aux extrémités. Les mains
ait à Bicêtre (service des idiots) ». État actuel (mars). - Brun de
peau
, un peu émacié, l'enfant parait de complexion d
embre. - Depuis hier, l'enfant a de l'ictère, avec coloration de la
peau
, des conjonctives, de l'urine, et décolo- ratio
nt à se colorer. 16 novembre. - Augmentation de la coloration de la
peau
et des conjonctives. '. 20 novembre. - L'ictè
ussi des douleurs lombaires, a de la fièvre (40° hier au soir) ; sa
peau
est chaude et moite. Traitement : diète, régime
la face. Pas d'embonpoint, mais pas d'émaciation. Air souffreteux.
Peau
pâle, rosée on certains points, sans cicatrices
voix est fausse. Il commence à faire de l'escrime. 18 juillet. -
Peau
. - Puberté. Visage et aisselles glabres. Nævus
spontanés et provoqués, des mem- bres inférieurs sont possibles.
Peau
labre. - Verge : longueur, 2 centimètres 5. - Cir
est extrêmement rapide. Il n'y a pas de dyspnée, ni d'agitation. La
peau
est brûlante. Oxygène, ipéca, sulfate de quinin
irop de Gibert formaient la base. Etal actuel (8 janvier 1892). -
Peau
pâle. Maigreur assez prononcée. Atropine notabl
cune tendance au bourgeonnement. 26 octobre. - La destruction de la
peau
a découvert non seulement le tendon du jambier
t laisse pénétrer le stylet, dans une assez grande étendue, sous la
peau
décollée. Il aété impossible de maintenir un pa
ansement derrière l'omoplate droite. Là aussi, le décollement de la
peau
est considérable. TEMPÉRATURE. Fig. 6. 244
tion normale. Pannicule adipeux assez épais, muscles peu saillants,
peau
rude au tou- cher, duvet assez abondant entre l
t 7 centimètres et demi de diamè- tre. Membres supérieurs grêles,
peau
saine, sans cicatrice, quelques poils sur la fa
peu bombés. - Membres inférieurs égale- ment peu développés ; leur
peau
présente quelques boutons d'acné. Poils sur la
cune souffrance. La diarrhée continue. Le ventre est très tendu, la
peau
est lisse, sillonnée de quelques veines dilatée
ndant laquelle elle aurait maigri au point de n'avoir plus « que la
peau
et les os. » Serait-ce le carreau ? ' ! 5 Les
teux des joues, des creux sus et sous-claviculaires, des aisselles;
peau
cireuse, eczé- mateuse ; état pachydertnique de
u une inflammation d'intestins pendant un mois. Pas de maladie de
peau
; aucun indice de maladies vénériennes, « il a la
de maladie de peau; aucun indice de maladies vénériennes, « il a la
peau
aussi 4 DEUX nouvelles observations d'hystérie
ALE. 'l ï Pas de névralgies, pas de rhumatismes, pas de maladies de
peau
. Très impressionnable. Aucune maladie sérieuse
pouce étendu. Gonflement du cou, battements préci- pités du coeur;
peau
moite. Résolution de sept minutes. Il entr'ou-
. Menton droit ; sillon mento-labial à peine marqué. Joues maigres.
Peau
sèche, pâle. Oreilles très grandes, BOURNEVILLE
ternes, sans modifications de la pupille. Respiration très faible.
Peau
chaude. l'as d'éruption d'au- cune sorte. Un pe
ne symétrique. 60 Erysipèle DE la face. sur les deux trochanters.
Peau
blanche ; pas d'éruptions; pieds et mains un pe
sorte de coma ana- logue à celui qui accompagne l'état de niai ; la
peau
est brû- lante, le pouls ample, fébrile, rapide
t les cils sont presque entière- ment tombés. Le bord externe et la
peau
avoisinant l'angle externe de l'oeil, ont un as
euf de pigeon. En aucun point, on ne cons- tate de la rougeur de la
peau
; il existe quelques dilatations veineuses à la
dilatées, à la partie antérieure et il, la partie postérieure. La
peau
est sèche, ichthyosique. La respiration semble, à
u-dessus de celle-ci, on sent une autre tumeur non adhérente it le.
peau
et fixe. Dans la fosse iliaque, au-dessus du li
s dans la même place. Pas de migraine, de rhumatisme, de maladie de
peau
, etc. Père, 59 ans, cultiva- teur, fort, bien p
il. Pas d'éruption, rien dans la poitrine; abdomne un peu ballonné;
peau
chaude, yeux brillants, langue sèche et saburra
on ne trouve de trace d'inflammation. Au dehors, au contraire, la
peau
de la région mastoïdienne étant disséquée et raba
lui arri- vait presque tous les jours. Il aurait eu une maladie de
peau
dont on n'a pu préciser la nature. Il courait b
x ou trois fois; le tout dure environ 24 heures. Pas de maladies de
peau
, ni de maladies infectieuses, ni de convulsions
ni scarlatine, ni méningite, ni fièvre typhoïde, ni de maladies de
peau
, ni migraines. Elle n'était pas encore propre a
his, membres supérieurs et inférieurs normaux et bien développés.
Peau
un peu brune présentant un noevus pilaris un peu
disséminés dans les deux poumons. La langue est noire, sèche, la
peau
est froide, couverte par endroits de sueur. Dan
a cause de ces singuliers phénomènes: l'imagination, £ érotisme de la
peau
, la chaleur animale ai l’imitation. Dans ce cas a
esque subitement, à la suite de mes expériences, des affections de la
peau
qui n’attendaient, sans doute, pour se manifester
été le siège et les souffrances qu’il y a endurées. Quelquefois la
peau
devient moite, les extrémités brûlantes, la saliv
plus plein, moins fréquent, ne serait-ce que pour peu de minutes. La
peau
sèche cesse de l’être, mais pour un instant aussi
, ainsi que la langue ; l’abdomen ballonné, chaleur sèche et âcroà la
peau
. Je la magnétisai dans cet état. Ehabien, la nu
nt ; il avait quelque chose de fébrile ; une sueur froide couvrait sa
peau
, et cc sommeil me parut si singulier, si différen
ane en souffrance, votre main à plat appliquée sur lui et touchant la
peau
si vous pouvez le faire, sont des procédés dont l
se du choléra. En quelques minutes le pouls avait cessé de battre; la
peau
était d’un froid glacial et offrait cette colorat
oire qui doit servir de voie d’expulsion se découvrira à vos yeux; la
peau
, par des transpirations, les reins, par des sécré
s. Le travail était évident : des plaques cuivrées survenaient à la
peau
; la vessie, tranquillo jusqu'alors, devenait doul
et produisis le sommeil en moins de quinze minutes. La chaleur de la
peau
et la circulation des vaisseaux capillaires furen
e ville, fut atteinte, il y a environ dix huit mois, d’une maladie de
peau
invétérée, accompagnée d’une intolérable démangea
sayé différentes choses qui n’avaient produit aucun soulagement. La
peau
était pâle cl les extrémités glacées. Je conseill
peu après il survint une transpiration abondante, de la chaleur à la
peau
et aux extrémilés, et la malade se trouva soulagé
d’assentiment. Sa physionomie exprime la gaîté, la satisfaction ; la
peau
a pris une teinte très-pâle; le pouls donne cent
disparaître en quelques joursdes dartres, différentes maladies de la
peau
, et môme certaines affections scrofuleuscs. C’est
passe lui semblait un fer chaud tenu à une irès-petite distance de la
peau
. Il demandes revenir à la séance suivante. L’au
se, a eu une somnambule qui a supporté sans sourciller l’ustion de la
peau
dans toute son épaisseur, sur l’avant-brasgauche,
espiration, « sans môme provoquer l’éternuement ; à ce point que « la
peau
était insensible à la brûlure du moxa, à la « viv
étaient « vivement senties et extrêmement douloureuses lors-« que la
peau
reprenait sa sensibilité normale. » Ici encore
ue donne la vapeur; la neige, la pluie ne peuvent pénétrer jusqu’à la
peau
, que protègent de triples couches de vêtements fo
d’apparent. Mais de petites modifications ont lieu dans le pouls ; la
peau
, par suite, devient plus chaude. Plus lard le ven
ère se manifeste. Attendez encore; tout se prépare. Ce n’est point la
peau
qui servira d'émoncloire , les urines non plus ,
hagrines. Fatigue extrême à 1a moindre marche, besoin de la solitude.
Peau
couverte de petites élevures écailleuses que le f
it, plus rare; la langue se couvrit d’un enduit d’un jaune foncé ; la
peau
devint plus sèuhc et une fièvre lente ne quitta p
de nombreux essais, on reconnaît qu’en effet le simple contact de la
peau
avec le papier de tournesol le fait rougir aussit
ÉE. Nous avons rapporté (1) un cas d’insensibilité à l’ustion de la
peau
et des chairs chez un jeune Grec (1) Page 288.
qu’une émanation de vos nerfs projetée par les yeux ou exhalée par la
peau
. On ne peut s’en défaire qu’en fuyant, qu’en chan
ain le disque, dans ses points de contact, adhérait si fortement à la
peau
qu’il y resta collé douze jours, après lesquels,
cl les corps vitrifiés en général, lesuccin, le corail, la soie, les
peaux
mégies, la laine, les ongles, les cornes el lous
it le double de volume de celui du côlé opposé, sans altération de la
peau
, d’une consistance très-dure. Le pouls offrait qu
croûtes. Sur le côté du cou, le long du bord externe du trapèze, la
peau
est rouge et indurée, comme si un furoncle alla
nâtres, épaisses, suintantes ne laissant entre elles presque pas de
peau
saine. Pas de rou- geur de la face, du pharynx,
inflammatoire, bien qu'il soit accompagné d'un peu de chaleur de la
peau
, et que son apparition est précédée d'une sensa
i accompagnent l'érythème. En tous cas, les soins de propreté de la
peau
ont toujours été suf- fisants pour faire cesser
isseur du derme, restent d'abord sans altérer la coloration de la
peau
; mais peu à peu celle-ci prend une teinte d'un
ement et ont formé des saillies hémisphéri- ques à la surface de la
peau
: elles s'ulcèrent et suppu- rent, mais l'indur
u peu marqués ; tantôt elles ne font aucune saillie au-dessus de la
peau
, tantôt, au contraire, elles sont légèrement su
nre : un malade pré- sentait une coloration jaune sale foncée de la
peau
de la face ; chez un autre, la face se recouvri
en terminant que l'état santé- EOSINATE de sodium. 49 rieur de la
peau
, les soins de propreté dont M. Féré a signalé l
e intercostal, séparées les unes des autres par des intervalles" de
peau
saine. Sur les surfaces 1- il. 1. 1. Zona tho
s vésicules isolées ; croûtes superficielles sur les phlyctènes. La
peau
correspondant aux plaques éruptives a une color
e creux de l'ais- selle, qui abandonne en outre un petit filet à la
peau
de la région mammaire et vient ensuite se distr
la peau de la région mammaire et vient ensuite se distribuer à la
peau
de la face interne du bras en s'anastomosant av
essoire du brachial cutané interne. On aurait voulu dessiner sur la
peau
la zone d'activité de ce nerf qu'on aurait circ
la plèvre. Il n'a jamais toussé, ni eu d'hémoptysie, de maladies de
peau
, de névralgies ; il a un tempérament nerveux et
Pas de traumatisme céphalique ; pas de dartres ni de mala- dies de
peau
; pas de syphilis. Caractère calme, mais cause
anémie, pas de maux de tête, pas de rhumatisme, pas de maladie de
peau
. Fréquentes crampes d'estomac depuis dix ans. Mar
nation lorsque la malade soulève sa jambe au-dessus du plan du lit.
Peau
des extrémités froide et cyanosée, sans présent
commissure labiale gauche se relève un peu; le visage est rond ; la
peau
est fine. Le cou est moyen, circonférence méd
nt à cause d'une sorte de contracture du tendon correspondant. La
peau
est fine, un peu halée ; quelques taches de rouss
lui maintenant les jambe ? on sent comme un fourmille- ment sous la
peau
; si on exerce une pression, on sont sous les d
uelques papules d'un rouge brunâtre, isolées par des intervalles de
peau
saine (éruption papuleuse des gâteux. Juin. -
ente, elle est mobile, éclairée par deux yeux vifs et brillants, La
peau
est blanche, pas de cicatrices) pas de ganglion
du thorax, de l'abdomen et des membres, est bonne et normale. - La
peau
de la face est couverte de cicatrices consécuti
frayant, les yeux fixes, largement ouverts expriment la terreur, la
peau
est couverte de sueur : « Il est là, s'écrie-t-
iveau des deltoïdes provoquent l'appari- tion d'une « élevure de la
peau
D blanche. Tronc. Motilité. Pas de paralysie de
ou moins considérable du membre, un changement de coloration de la
peau
, un abais- sement de la température cutanée, un
es hystériques. Pour ce qui est des changements de coloration de la
peau
, dé l'abaissement de la température cu- tanée,
iscutable : nous avons constaté chezD... entre autres signes que la
peau
était « froide, marbrée de ta- ches violettes »
est affaiblie. (On peut dire la même chose de la sensibilité de la
peau
.) L'excitabilité électro- musculaire est conser
e. 115 convulsions générales. Or, si l'on excite mécaniquement la
peau
des joues, des oreilles ou du dos dé l'animal, de
CONTRIBUTION casuistique aux TROUBLES TROPHIQUES SECRÉTOIRES DE la
peau
dans la névrite ; par A. ERLENMEYER. (Centralbl.
ppelle l'atrophie musculaire du type Duchesne-Aran. Ajoutons que la
peau
, non plus que le squelette, ne sont altérés dan
al rachidien. Suture des plans musculaires au catgut ; suture de la
peau
au crin de Florence. Pas de .drainage. TRAUMA
, de mieux net- toyer la plaie, d'enlever les dernières portions de
peau
spha- célée et de cheveux qui l'infectaient, de
. Les mouvements de l'extrémité droite sont tout à fait normaux. La
peau
'Voir le n° Ci, page 52. 't90 anatomie. sur
Jendrassik et Krafft-Ebing touchant la production d'ampoules sur la
peau
par la suggestion hypnotique. Les expériences d
un érythème de la face sur lequel tranchent plusieurs plaques où la
peau
est absolu- ment dépigmentée ; le àos des mains
t atteint d'un érythème avec desquamation sèche et induration de la
peau
. La localisation éveille l'idée de la pellagre,
es névralgies, des douleurs superficielles ou des opérations sur la
peau
. Elle sera utile pour la médication topique de
tate que les muscles et le tissu adipeux y ont disparu et que la
peau
mince, lisse, sèche et privée de cheveux recouvre
cavité très marquée; dans le même endroit et directement sous la
peau
amincie on remarque un enfoncement dans le corps
dévie à droite et de petites rides très marquées se forment sur la
peau
du même côté. La moitié droite de la langue est a
ente pas d'altérations de qualité. Si l'on applique le courant à la
peau
du côté atrophié de la face, on le fait, certes
la sensibilité conslatée à l'aide de certaines explorations, a). La
peau
du membre présente une disposition remarquable
tion de l'épaule est sensible à la torsion, il en est de même de la
peau
de la partie postérieure du coude quoique l'art
ent de la conservation de la sensibilité de certaines parties de la
peau
. Par exemple, les mouvements passifs des doigts
exemple, les mouvements passifs des doigts et de la main, là où la
peau
est complètement anesthésiée, ne sont pas perçus,
d'une part, parce qu'il existe dans cette région une languette de
peau
non anesthésiée, de l'autre parce que les muscles
u bras qui prennent part à ces mouvements sont recouverts par une
peau
ayant conservé sa sensibilité. L'articulation d
u une inflammation d'intestins pendant un mois. Pas de maladie de
peau
; aucun indice de maladies vénériennes, il il a la
e maladie de peau; aucun indice de maladies vénériennes, il il a la
peau
aussi DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MA
DE FAITS. Pas de névralgies, pas de rhumatismes, pas de maladies de
peau
. Très impressionnable. Aucune maladie sérieuse
pouce étendu. Gonflement du cou, battements préci- pités du coeur;
peau
moite. Résolution de sept minutes. Il entr'ou-
sur la température, il a opéré sur le cobaye. Il a injecté sous la
peau
une solution aqueuse de sulfonal à la dose de 0
trale s'est abaissée de 14 dixièmes de degré; la température de la
peau
a paru s'abaisser également; mais ce dernier résu
amique externe). , P. K. , XXXV.I)'ui'\E excitation trophique de la
peau
produite par LE courant galvanique; par Il. KOE
voient et sentent des poux, des fourmis leur sortir des pores de la
peau
ou sous les ongles des doigts, ils sont prolixe
Jendrassik et Krafft-Ebing touchant la production d'ampoules sur la
peau
par la suggestion hypnotique. Les expériences d
périphériques, par Epoff, 147. Névrite, troubles trophiques de la
peau
dans la -, par Erlenmeyer, 125; - alcoolique mu
et les religieux, par Bouchaud 406; - aiué, par Zacher, 416. '
Peau
, excitation trophique de la par le courant galv
s plus actives ne peuvent en faire plus de trois). Dans l'hiver, la
peau
du membre supérieur droit devient violacée, marbr
lle-ci à l'orteil médian......... 17 18 L'influence du froid sur la
peau
est moins grande qu'au membre supérieur. Au palpe
ns, d'une pneumonie. Jamais de phénomènes nerveux; pas de maladies de
peau
; santé très-bonne. Elle ne s'occupait que de son
r l'épilepsie. Etat actuel (1878). — Taille lm,57 ; poids, 49 kil.,
peau
assez brune ; système pileux abondant. — Le front
attaques toutefois ; on n'a plus de ses nouvelles; pas de maladies de
peau
; elle était saine. [Père, 69 ans, santé excellent
; 3° à 10 centimètres au-dessous du genou. — Ajoutons, enfin,, que la
peau
des membres paralysés a une coloration un peu vio
que 51 kilogr. La figure est vieille ; les rides sont nombreuses. La
peau
est très-brune ; elle présente des cicatrices à l
bilité au froid, obtuse. — L'insensibilité porte non-seulement sur la
peau
, mais encore sur les muqueuses ; on peut promener
ité. Elle intéresse, on le sait, non-seulement la sensibilité de la
peau
dans tous ses modes ainsi que la sensibilité des
ite noté 3 attaques avortées. L'anesthésie est totale et affecte la
peau
et les muqueuses ; le goût et l'odorat sont aboli
tact, piqûres, pincement, froid, chaleur, etc.), qu'elle intéresse la
peau
et les muqueuses (auriculaire, nasale, vulvaire,
juin 1878). — A... est de taille assez élevée; son teint est pâle, la
peau
blanche ; ses cheveux, assez abondants, sont chât
aime qu'on s'occupe d'elle. Hémianesthésie complète du côté droit (
peau
, muqueuses, sens). Hyperesthésie ovarienne doub
mentant sous la moindre pression, sans tuméfaction, sans rougeur à la
peau
, et paraissant dépendre de l'affection hystérique
e l'afflux du sang dans les petits vaisseaux, mais sans rougeur de la
peau
qui au contraire est ordinairement plus pâle que
tc. M. P. Briquet a noté chez cinq de ses malades une douleur de la
peau
s'étendant à toute l'épaisseur de la mamelle, qua
is, 1875. tuméfiés et augmentés du tiers environ de leur volume. La
peau
était rouge, chaude et tendue. Malgré cette tensi
s, douloureux. On y perçoit, à la palpation, de petites nodosités. La
peau
qui les recouvre est pâle. On constate chez elle
reprises. 9 décembre. — La sensibilité est normale des deux côtés (
peau
, muqueuses, sens). G. . est un peu excitée, dit q
, d'une maladie de coeur, était sobre, n'avait pas eu de maladie de
peau
. Mère, âgée de 71 à 72 ans, bien portante, sans
nerveux, sauf quelquefois des douleurs de tête; pas de maladie de
peau
, a reçu une certaine éducation, a obtenu son cert
- seigne, âgé de G7 ans, bien conservé, n'a pas eu de maladies de
peau
, ni de maladies vénériennes, sobre, a été soldat,
ose des pieds et des mains, otite. Blèpharite et coryza chroniques.
Peau
eczémateuse; transpiration nulle. Déformations
violent, emporté, se met en colère pour un rien, pas de maladies de
peau
, « Mon mari, nous dit Madame T... ? s'est marié
» Elle n'a jamais eu ni syncopes, ni migraines, pas de maladie de
peau
. Réglée à 11 ans 1/2, régulièrement, jusqu'à ce j
. une blépharite cilière intermittente, mais jamais d'adénite. Sa
peau
a toujours été sèche, farineuse, la transpiration
prolonge au-dessous des clavicules jus- qu'auprès des aisselles. La
peau
des aisselles est sèche, comme ridée et complèt
il est plutôt déprimé. Il est recouvert de téguments très épais. La
peau
est sèche. L'abdomen est gros et très proéminen
pieds et les orteils sont courts, épais, légèrement cyanosés. - La
peau
, quoique peu épaissie, est dure, résistante. Le
d. L'examen général de la surface cutanée montre que par- tout la
peau
est pâle, luisante, bleuâtre, plutôt jaunâtre sur
glions du cou, pas d'otorrhée, ni de maux d'yeux, ni de maladies de
peau
. Aucun traumatisme céphalique ou autre. Les par
x. Elle est sujette nux céphalalgies ; n'a jamais eu de maladies de
peau
. Caractère assez vif : « J'ai le caractère empo
Idiotie 1111CROCGPHALItUG. ajouter à la description qui précède. La
peau
est pàle, avec une teinte brune cuivrée qui s'e
physionomie est sans expression, le regard peu mobile et vague. La -
peau
est blanche, sauf au niveau des extrémités où e
égèrement saillantes, les joues sont régulières, symé- triques ; la
peau
est rosée à ce niveau. La bouche, moyenne, est
pas. Nulle inégalité de développe- ment entre les deux membres. La
peau
des pieds est rouge, froide et présente des eng
res enfants. Le sommeil a toujours été calme. Elle a toujours eu la
peau
très blanche. Pas de maladies infectieuses, L
l'idiote 111U.\ : (I'- 158 Idiotie myxoedémateuse. rlémateuse. La
peau
est blanche, sèche. Le crâne est élargi en arri
organique ne saurait la réaliser. Si je plante une épingle dans la
peau
de la jambe gauche de cet homme, non seulement il
e la main et du poignet est considérablement augmentée de volume ; la
peau
est lisse, rouge, chaude ; le poignet est contrac
otale complète et du rétrécissement du champ visuel. Si l'on pince la
peau
, la pupille se dilate d'une manière réflexe, mais
e pemphigus et des troubles trophiques qui simulent la gangrène de la
peau
. Pour comprendre la pathogénie de cet œdème, il
s il existe une zone nettement rouge. Les bouquets d'artérioles de la
peau
se paralysent; les veinules n'arrivent pas à débi
lors quand l'œdème a disparu riiématoidinc peut subsister, colorer la
peau
en rouge et même donner naissance aux stigmates s
a pression exercée par l'œdème provoque de l'anémie, il suffit que la
peau
subisse une pression même peu intense ou que le c
quand je commençai à le connaître si atténué « et si décharné que sa
peau
ressemblait plutôt à une écorce d'arbre « desséch
oque une légère dépression et fait disparaître l'aspect violacé de la
peau
à ce niveau. (1) Le rétrécisse ment de la pensé
hait dans le vide ; au lieu de coudre son ouvrage, elle se perçait la
peau
; en tirant son fil elle le cassait, car elle ne
x. a Alors, le marabout lui enfonça la pointe de l'aiguille dans la
peau
du ventre; prit ensuite de plus petites aiguilles
t aucune résistance. J'enfonce assez profondément une épingle dans la
peau
du visage : je provoque une légère contraction de
ahissement, si cicatrice et plaie sont déprimées sur la surface de la
peau
, et si le poil qui pousse sur les parties malades
: il proclamera pur au contraire celui dont la lèpre couvre toute la
peau
de façon à rendre le malade tout blanc et sans ch
tre chose que les taches blanches, vitiligo, fréquent chez les gens à
peau
bronzée, cicatrices des C'est ce dernier genr
ent lourdement quand on les abandonne à eux-mêmes.— L'analgésie de la
peau
et des muqueuses accessibles à l'exploration est
es contractures diffuses sous l'influence d'excitations légères de la
peau
. Il y a analgésie cutanée, mais en même temps
à mon avis extrêmement important de noter que dans les trois cas, la
peau
du sujet reçut l'impression d'une croix au moment
à elle, on la transporte à l'hôpital dans un service de chirurgie. Sa
peau
, raconte-t-elle, était noire partout où la roue a
sa circonférence mesure quatre centimètres de moins qu'à droite ; la
peau
de cette région est. en outre, rouge et froide. S
rétrotrochantérienne et le pli fessier est descendu. Si j'effleure la
peau
de ces régions, je constate de l'hyperesthésie ;
e à vaincre la douleur. Donc la douleur a son point de départ dans la
peau
et non dans les parties sous-jacentes : c'est de
douleur revient non parles muscles ou les articulations, mais par la
peau
, là où la dermalgie avait déjà été constatée. L'h
le diabète; tuberculose pulmonaire au début; certaines maladies de la
peau
; maladies organiques consécutives à une dépressi
anisme, morphinomanic, dipsomanie, certains troubles trophiques de la
peau
, etc. ('). 3. Beaucoup de guérisons attribuées
tion qu'à la condition de porter sur les organes ou les régions de la
peau
sensibles ; ces mêmes procédés seront sans effet
seront sans effet s'ils portent sur les organes ou les régions de la
peau
anesthésiques. Les phénomènes pro- SOCIÉTÉ D'HY
s six mois, suppression menstruelle. Insomnie, picotement de toute la
peau
. Zones d'hypereslhésie et d'insensibilité. Inerti
Amphithéâtre — Leçons cliniques et théoriques sur les maladies de la
peau
. Jeudi, à 10 h. — Laboratoire Piorry — Conféren
vec démonstrations microscopiques sur l'histologie des maladies de la
peau
. Lundi et vendredi, k9h. — Salle des consultati
hommes que ceux que nous sommes. Il faut nous réformer, il faut faire
peau
neuve..., il faut faire des hommes, non des homme
observe au-dessus de la crête iliaque droite plusieurs plis de la
peau
dirigés transversalement et correspondant à l'inc
-dessus de la crête iliaque droite, on observe plusieurs plis de la
peau
dirigés transversalement, et le rebord costal d
de tumeur cérébrale d'hystérie. 12 janvier. On a injecté sous la
peau
de la joue droite un milligramme de chlorhydrat
omme atteint d'é- phidrose latérale gauche de la face et du cou. La
peau
n'était pas rouge : il n'y avait aucun trouble
ux a presque complètement disparu ; cepen- dant, lorsqu'on pince la
peau
, le pli ne persiste que très peu de temps. Pa
e de renflements nerveux semblables à ceux que l'on rencontre il la
peau
des poissons et des amphibies aquatiques. Par c
- suite ; il n'était accompagné ni de douleur ni de rougeur de la
peau
. En automne 1883, le malade se brûla le dos pour
de taille moyenne, de com- plexion faible, la face maigre'; il a la
peau
et les muqueuses pâles. Sur la surface postérie
. En outre, sur la face antérieure du bras et de l'avant-bras, la
peau
est couverte de rayures toutes blanches; ce sont
à 2 centimètres; ce sont les restes des dartres antécédentes; la
peau
des mains un peu cyanosée, froide au palper, n'es
phiés au plus haut degré ; au palper ils semblent avoir disparu; la
peau
paraît comme collée sur l'os; pourtant l'existenc
la sphère de l'anesthésie partielle, des troubles trophiques de la
peau
, un panaris dans les antécédents. Autant de sym
sité considérables. Etat actuel (janvier 1885). Bonne nutrition; la
peau
, le tissu cellulaire sous-cutané, les muscles,
gauche, ni dans d'autres endroits. Pas de troubles trophiques de la
peau
. La région de l'anesthésie a de nouveau augment
compagnent de vertiges légers. Le squelette est bien régu- lier, la
peau
ne présente pas d'altérations trophiques. Toute l
la main. Outre la douleur, existe une forte hyperes- thésie de la
peau
: les plis de la robe, la moindre secousse irri
halangiennes. Le thénar est très aplati, ainsi que l'hypothénar. La
peau
de la paume de la main est facilement dépressib
cheveu ; cela est moins bien senti sur les bouts des doigts, où la
peau
est légèrement épaissie. L'examen par le compas
ine,- des fourmillements sous-cutanés, d'eau froide coulant sous la
peau
des membres inférieurs dans la direc- tion du n
est de consistance plus solide; il n'existe pas de fluctuation. La
peau
est rougeâtre, point de douleur, les mouvements
déterminait une sudation peu abon- dante, mais très évidente sur la
peau
de la face préala- blement rasée. Ces expérie
cul- tation normales. Membres supérieurs et inférieurs réguliers-
Peau
blanche et fine; les cheveux, rouges, descendent
en général sèche et pâteuse, bien que tenue complètement fermée; la
peau
était le plus souvent sèche mais le moindre eff
é que dans cer- tains cas, rares à la vérité, la faradisation de la
peau
pou- vait faire reparaître momentanément tout a
analyse, à l'étude 1 De l'influence qu'exerce la faradisation de la
peau
dans certains cas d'anesthésie cutanée. (Archiv
tome de l'oreille ; pour l'auteur, l'épanchement se ferait entre la
peau
et le périchondre. M. Motet rappelle qu'il a au
culaire, ni d'adipose sous-cutanée, ni de troubles trophiques de la
peau
ou des ongles. La sensation de position des mem
e après l'élliérisation locale, jusqu'à insensibilité absolue, delà
peau
qui recouvre les tendons rotuliens. La percus-
l à gauche et légèrement affaibli à droite. Pas de dystrophie de la
peau
ou des ongles. Pas d'atrophie mus- culaire. Le
parfait d'inté- grité, Quelques filets cutanés, recueillis dans la
peau
du scrotum, sont également tout à fait normaux.
nt sourds. Constipation. Ventre excavé. Vessie en demi-replétion.
Peau
chaude et sèche. Raies méningitiques étroites; ma
sente la respiration diaphragmatique prise indirecte- ment sur la
peau
. A gauche du tracé, on voit une courbure de res
86, p. 298.) A. RAOULT. XXV. Changements dans la pigmentation DE la
peau
CHEZ LES , aliénés; par le Dr 111ERN : 1N (de C
o- phthalmie et hypertrophie du côté thyroïde. Du côté gauche, la
peau
présentait des taches brunes ou noires sur la fac
che accompagnée d'aphasie. Six mois après ce dernier acci- dent, la
peau
devint blanche par places, et en certains endroit
her ni les muscles, ni les nerfs; il suffit de toucher un point de la
peau
pour la déterminer à se mouvoir, et même elle se
rritation des extrémités des nerfs tangibles qui se répandent dans la
peau
a sur la force de réactivité de la moelle une inf
vation prouve deux faits, savoir : 1° que des nerfs sensibles dans la
peau
cessent graduellement d'être excitables dans les
ncs nerveux qui se rapprochent de la moelle, et 2° qu'il y a entre la
peau
et les muscles, par l'intermédiaire de la moelle,
pathol. sur les sensations tactiles. (Arch. gén. de mid. 1852.) La
peau
et les surfaces libres des muqueuses sont essenti
ssions qu'il a choisies sont inexactes. C'est donc seulement par la
peau
que nous touchons d'une manière distincte, et nou
out par ses parties superficielles. Cependant toute l'épaisseur de la
peau
est sensible, et si elle est impressionnable à la
ble à la superficie, elle ne l'est pas moins par sa face profonde. La
peau
peut donc recevoir des impressions afleclant l'un
t si lent, qu'abandonnée à son propre poids, elle ne détermine sur la
peau
de la face palmaire de l'avant-bras, aucune sensa
d aux sensations de contact superficiel, ces dernières portions de la
peau
sont plus sensi bles que la peau palmaire de l'
ciel, ces dernières portions de la peau sont plus sensi bles que la
peau
palmaire de l'avant-bras. L'on prouverait de la m
d'un plus grand poids l'aiguille appliquée à, ces deux régions de la
peau
. Eh bien! cette peau si sensible de l'extrémité d
s l'aiguille appliquée à, ces deux régions de la peau. Eh bien! cette
peau
si sensible de l'extrémité digitale en sera peu a
sensible de l'extrémité digitale en sera peu affectée, et cette autre
peau
moins sensible qui recouvre la face palmaire de l
que aisément ce paradoxe. Nous avons dit que la face profonde de la
peau
est sensible. Lorsqu'une pression un peu forte es
a-t-elle soustrait par des coussins graisseux la face profonde de la
peau
au contact immédiat des parties dures sous-jacent
lerai la sensation de traction. Cette sensation se développe quand la
peau
se détache d'une chose qui lui est adhérente, com
e est surtout vive et distincte, au moment où l'adhérence cessant, la
peau
, d'abord tiraillée, revient brusquement sur elle-
corps plongés dans l'huile. L'étude approfondie de la surface de la
peau
révèle des détails d'organisation dont la connais
r est plus délicat. On sait que l'impression d'un corps pointu sur la
peau
s'étend toujours au delà du point directement tou
ux contacts affectent simultanément deux points très-rapprochés de la
peau
, les zones d'impressions sympathiques se confonde
ée d'un corps rugueux ; mais celte idée n'est complète que lorsque la
peau
, glissant sur un corps ou réciproquement, sent le
par des impressions simultanées de tous les points d'un objet sur la
peau
, que par l'application exacte d'un organe du touc
est moins parfait. N'est-ce pas là une preuve que ce n'est pas par la
peau
seule que nous apprécions la figure des corps?
s distinguerons : 1° Les impressions spéciales que détermine sur la
peau
l'application d'un corps styptique ou acide, tel
parlons ici. 3° Un troisième ordre de sentiments localisés, dont la
peau
est le siège ou le point de départ, est le chatou
leurent à peine les sommités des papilles ou du duvet qui recouvre la
peau
sont les plus puissants à cet égard, surtout (I
profitent peu, sinon dans un seul cas : quand un corps glisse sur la
peau
il en résulte un frottement, un frottement qui ch
isir, peut se perdre, les autres manières de sentir, qui sont dans la
peau
, demeurant intactes; par conséquent elle suppose
eurs de ces effets sont à peine distincts de ceux qu'amènerait sur la
peau
dénudée l'application des mêmes excitants, et les
ainte ou de la terreur. J'ai vu un petit chien qu'un vieux morceau de
peau
de loup usé jusqu'au cuir, mettait, par son ode
poitrine une lame de sang. Il le sent manifestement, et cependant la
peau
, à peine meurtrie, n'avait pas même été entamée.
se histoire de Taliacot. Il avait fait un nez à un homme riche, de la
peau
d'un pauvre diable. Le jour de la mort de celui-c
n pauvre diable. Le jour de la mort de celui-ci, le nez emprunté à sa
peau
se flétrit et tomba. Voltaire a mis cela en vers
élève de l'établissement, grand amateur d'ornithologie, convoitait la
peau
d'une de ces pauvres bêtes. Comment s'en emparer?
inants, tels que les girafes, témoignent leur affection en léchant la
peau
de leur ami comme pour le savourer. L'homme a le
rois heures. A. partir de là, le coma s'est accentué davantage ; la
peau
, par tout le corps, a revêtu une coloration d'u
té 122 en même temps que l'on consignait les symptômes suivants. La
peau
était le siège d'une chaleur mordicante; les na
es lèvres se cyanosèrent, les traits de la face s'al- térèrent ; la
peau
, de plus en plus chaude, revêtit une colo- rati
inue; les fonctions digestives se rétablissent; les fonctions de la
peau
s'accomplissent nor- malement et, après avoir o
Deux ou trois minutes après l'apposition de la vessie de glace, la
peau
commence à rougir et est très- froide au touche
y avoir de zone intermédiaire. Après l'éloignement de la glace, la
peau
con- serve sa rougeur pendant sept ou huit minu
é normales (1), (l) Souvent la température dépasse même celle de la
peau
voisine et la main seule permet de s'assurer de
.... pas bu ! '/1 Le cou et la face étaient rouges et brûlants ; la
peau
sur le reste du corps (mains, pieds et tronc),
u tronc et sur les membres supérieurs, mérite qu'on s'y arrête : La
peau
de ces régions, les lèvres, la langue, la muque
38°,8 le matin et 40° le soir. Le corps était couvert de sueurs, la
peau
cyanosée. Deux injections d'ergotine de 60 cent
température est entièrement abolie sur la moi- tié droite du corps (
peau
et membranes muqueuses). La vi- sion est ni'oin
respiration n'est modifiée qu'au moment des paroxysmes. Partout, la
peau
est couverte de sueurs abondantes. De 7 heure
e de douleurs spontanées que la pression exagère. L'analgésie de la
peau
est complète sur toute la moitié gauche du corp
st la même. Toutefois, il semble qu'au niveau de cette région, la
peau
a conservé sa sensibilité. La contracture de la f
48 UYSTL ? 0-lPlLEPSIL. transpercer la langue ou un large pli de la
peau
du bras, du ventre ou des jambes (1). La desc
traversé d'outre en outre avec une grosse épingle, un pli fait à la
peau
des mains ou de l'a- vant bras ; je ne parvenai
sentir quand on excite la mu- queuse palpébrale. , Oreille. - La
peau
du conduit auditif externe est insensible quand
be droite, la sensation du toucher existe ; mais le pincement de la
peau
et la piqûre ne sont pas perçus. La pression de
passifs y sont très douloureux. Sensation de chaleur brûlante à la
peau
sur toute la surface du corps. L'injection d'un
et disparition à peu près complète de la sensation de chaleur à la
peau
. Tempéra- ture du matin, 37°, du soir, 38 ? 1..
omplète, au contact, à la douleur, aux impressions thermiques de la
peau
et des muqueuses, nasale, labiale, buccale, gin
t. Suit l'appréciation critique. P. K. XI. Sur la SENSIBILITÉ DE la
peau
A l'égard DES excitants ÉLEC- TRIQUES ; par P.-
main gauche, Kâ sur le lieu d'excitation), il constate que c'est la
peau
de la face qui présente la plus grande sensibil
rtout, pour M. Moehius, à la variété d'excitabilité des nerfs de la
peau
ou des organes centraux; l'exercice plus ou moins
t de l'excitation de petits troncules cutanés. La sensibilité de la
peau
vis-à-vis du courant continu (An à la main,Ka s
sions caractéristiques de l'atrophie. Intégrité de coloration de la
peau
(excepté sur la cicatrice du foyer trauma- tiqu
arler; elles m'ont en\o\é du « pis » dans les reins; je trouerai la
peau
à tous ceux qui m'ennuieront». mesure que D...
séquence, on recherchera quelles sont, en chacune des régions de la
peau
, les barres qui sont nécessaires pour transmett
te des doigts qui perçoit non plus la barre n° 1, mais le n° 1.; la
peau
de l'avant-bras distingue la rugosité non plus
n instant à la différence physiologique des muscles striés et de la
peau
: autant vaudrait s'étonner que les altérations
nostic est parfois possible, quand on sent des cysticerques sous la
peau
et dans les muscles. Un de ses malades atteint
tions de pesanteur fournies d'une part par pression du corps sur la
peau
, d'autre part par l'action mus- culaire ; la dé
oisson habituels; n'a jamais eu de migraines, ni d'affections de la
peau
, etc.; marié depuis qua- torze ans, « c'est un
fron- tale, vomissements, etc.); elle n'a jamais eu de maladies de
peau
ni fait de maladies graves. [Père, jardinier, f
onnable, a eu beaucoup d'ennuis avec son mari. Jamais de maladie de
peau
.[Pe;'e, mort de vieillesse, à soixante-dix-huit
r son mari qui la battait souvent, lui enfonçait les ongles dans la
peau
durant ses moments de rage. Elle resta alitée p
endus, peu volumineux, le gauche surtout parait comme atrophié '.
Peau
et système piteux. La face est assez colorée, le
spontanées très faibles, des zones d'hyperesthésie extrêmes sur la
peau
et dans les muscles, une diminution évidente de
leurs attaques, un singulier trouble vasomoteur ; en effleurant la
peau
à l'aide d'un objet mousse, on déterminait une ra
ent dans leur système cutané, séche- resse et teinte terreuse de la
peau
, rides du visage et de la face dorsale des main
n'est sujet ni aux migraines, ni aux névralgies, ni aux maladies de
peau
. Il ne fume pas, mais il fait des excès de bois
elle n'a jamais eu de convulsions dans l'enfance, ni de maladies de
peau
. [Père, soixante et onze ans, maçon, bien porta
des indurations au niveau du deltoïde avec douleur et rougeur de la
peau
. On fera dorénavant à gauche l'injection à la rég
lit, parle peu, mais avec la même volubilité. Elle se sent bien. La
peau
est froide et marbrée de taches rouges aux extr
méca- nique, exagération très nette de l'excitabilité réflexe de la
peau
qui entraîne la réaction des muscles sous-jacen
mènes, et il n'existe pas d'hyperexcitabilité réflexe du côté de la
peau
. Cette observation rentrerait, au contraire, parf
la température qui ont le plus souffert, car on peut tra- verser la
peau
par une aiguille, la soumettre indéfiniment au ci
Paralysie spinale spasmodique avec autopsie, par Westphal, 259.
Peau
(sur la seiisibilitétle la - à l'égard des exci
CÉRÉBRALES MOTRICES. 31 de la face (des lèvres en particulier), la
peau
desséchée et terreuse, le malade meurt dans le
rcha à démontrer expérimentalement la théorie. En injectant sous la
peau
ou en faisant inhaler à des animaux de 8 à 10 g
n expérience, vigoureux, bien portants, auxquels on injecte sous la
peau
une certaine quantité de poison et le diabétiqu
hologique. On inj ecte à un animal 8 à 10 grammes d'acétone sous la
peau
; cette acétone est absorbée, puis éliminée plus
ison appréciable, on vit augmenter la quan- tité d'urine rendue; la
peau
et les muqueuses pâlirent, en même temps qne su
es cutanés, la sensibilité générale et spéciale, la nutrition de la
peau
, les sphincters restent intacts. La lésion an
llures de chacun des appareils sensoriels et la sen- sibilité de la
peau
. On trouverait, par exemple, de l'anesthésie se
ensibilité cutanée, et, inversement, une insensibilité totale de la
peau
de la tête contrastant avec un fonctionnement pre
e enflure généralisée qui, au contraire, persista. Actuellement, la
peau
des membres, du tronc et surtout du visage,' es
tercostales névralyiformes en ceinture (hypéresthésie modérée de la
peau
) ; elles disparaissent et laissent après elles un
le cas de paralysie, mettre à l'abri des accidents du décubitus la
peau
bien plus résistante, en régulaiisunt la pressi
éfaction de cette région, avec oedème de la paupière inférieure. La
peau
est à ce niveau, rouge, tendue ; la pression du
agitation extrêmes, incohérence absolue. Il y a de la fièvre, la
peau
est chaude; le pouls est fréquent, à 108; la lang
douleur splénique avec hypertrophie, des taches décolorées sous la
peau
. (Dans le mois de novembre précédent, après l'a
t. On constate, à ce moment, que l'insensibilité habituelle de la
peau
à ses différents excitants n'est pas totale, comm
nt leur explo- ration. Malgré le retour de la sensibilité dans la
peau
et les tissus des articulations envahies, modif
elonles divers endroits du revêtement cutané, entre-11,4 et+2,8. La
peau
du ventre et la face dorsale du coude présentent
onales de l'économie, va en ce qui concerne les divers points de la
peau
, de 35, 1 à 64 ; en ce qui concerne les côtés d
. XVIII. Contribution A la QUESTION DES TROUBLES trophiques DE la
peau
chez LES tabétiques ; par G. Rossolymmo (Arch. f.
masloïdiens fortement tendus. Type de respiration coslo-abdominale.
Peau
très chaude. Température normale dans l'aissell
ériphérie, par exemple, par les rameaux termi- naux des nerfs de la
peau
ou dans les travées interstitielles de la moell
s nerfs (trophonévroses); 4" on observe de semblables névroses à la
peau
, aux appareils terminaux (muscles, os, articula
lieu chez les tabétiques syphilitiques, ayant pris du mercure. « Ma
peau
, disait l'un d'eux, mt, comme du papier buvard hu
sensibilité, surtout à gauche ; extrémités froides et cyanosées. La
peau
conduit très peu Je courant élec- trique ; cont
hystériforme. La cyanose, le refroidisse- ment, la résistance de la
peau
à conduire le courant électrique, prouveraient
et arrêt serait produit par l'irritation légère des yeux et de la
peau
de la face; plus tard, en collaboration avec Be
eur spécifique quelconque. L'excitation purement périphérique de la
peau
d'un sujet sain (extenseurs et fléchisseurs du
ntre l'électrisation centrale et l'électrisation périphérique de la
peau
. Il met en relief les effets curatifs réflexes
parties. eau de laurier cerise, 2 parties. -En l'injectant sous la
peau
on obtient une légère brûlure sans autres accid
quia du reste expéri- menté sur lui-même, l'a aussi injecté sous la
peau
de personnes saines aux doses de 0,005 à 0,02 ;
ëtique(pied),parBoyer,8D. Tabétiqup,s.4trotibles trophiques de la
peau
chez les), par Rossoiym- ino, 256. Thomsen (m
Après cinq ou six minutes, lorsque je pensai que la sensibilité de la
peau
dans le bras étendu et insensible se serait émous
t nous avertisse de l’état de nos membres ; mais le sentiment dans la
peau
(je n’admets pas de sentiment musculaire excepté
«Le délire est le résultat d’une action toute nerveuse; quel rôle la
peau
joue-t-elle pour le produire? « Mon frère aîné,
par des expériences que j’ai répétées bien des fois avec lui, que la
peau
est électrisée négativement, et que sa tension él
u fluide nerveux. « Il est facile dès lors de comprendre comment la
peau
surexcitée occasionne le délire. C’est que tantôt
nheur de découvrir l’électricité négative à l’état de tension dans la
peau
de l’homme sain , en quantité d’autant plus consi
peau de l’homme sain , en quantité d’autant plus considérable que la
peau
fonctionne davantage et sécrète des ma- tières
rétions qui produisent l’épilepsie, la plus fréquente est celle de la
peau
; aussi Tissot dit-il, dans son traité sur cette
epsie et que la frayeur a pour premier elfet le refroidissement de la
peau
. « Mœstitia et timor itnpediunt perspirationem cr
ffrayées s’épaissit, suite nécessaire de la diminution d’action de la
peau
; enfin Tissot a reconnu que, dans les maladies n
e par un courant électrique ; celles de mon frère ont démontré que la
peau
de l’homme vivant contient toujours de l’électric
ative à l’état de tension, et en quantité d’autant plus grande que la
peau
sécrète davantage. Elles ont prouvé aussi la prop
bservation très-curieuse où le >}*lus important des sécréteurs, la
peau
, joue évidemment ce rôle. Un jeune Américain s'en
que le point de départ de l’épilepsie était dans le cuir chevelu. La
peau
de ce jeune homme représentait dans ce cas le pla
aiguilles d’or que l’on ferait pénétrer à travers un large pli de la
peau
comme le ruban d’un séton. On pourrait en placer
« Bien plus puissant que les simples frictions, il peut donner à la
peau
la plus grande énergie. A son aide, on guérit une
physiques de la vision, il nie que la faculté de voir à l’aide de la
peau
soit possible par une exaltation ou par un change
igts, dans l’état qu’on appelle magnétisme animal. Quand bien même la
peau
de la région épigastrique et du bout des doigts a
muscles extenseurs d’un membre en frottant doucement ou comprimant la
peau
qui les recouvre ; et cette contraction, non-seul
cesser cette contraction quand on voudra en dirigeant sur cette même
peau
un courant d’air par lequel l’attention semble dé
six heures, le pouls était 65, régulier, la respiration normale, la
peau
moite; enfin, sauf une anesthésie complète (le lu
on normale, la peau moite; enfin, sauf une anesthésie complète (le lu
peau
et l’état des yeux qui sont convulsés vers le hau
e magnétisme et qu’il tend toujours de plus en plus à arriver sous la
peau
du crâne. Elle nous annonce de nouveau un accès e
forte que la malade croit étouffer. La face est d’un rouge violet, la
peau
froide. La malade a des vertiges. Je la magnétise
malade ouvre les yeux, scs joues se colorent, la chaleur revient à la
peau
, la respiration redevient normale, et la malade n
èdes des commères : pigeons vivants ouverts et appliqués sur le cœur,
peaux
de moutons saignantes pour envelopper le corps, j
le sont les pustules dans la variole, et il me semblait que toute la
peau
de mon corps, à l’exception de celle de jambes, a
ne croit pas enragé ; il en est quitte pour quelques déchirures de la
peau
, passe plusieurs mois sans avoir un seul jour int
t aride dépouillé de toute humidité. Eh bien ! voici comment : « La
peau
de cet homme était brûlante, sa langue était couv
rose, aménorrhée, lèpre, paralysie, hydropisie, l’affreuse maladie de
peau
appelée lupus, etc. Forcé, par le manque d’espa
sa chaleur: s'y faire friclionner, de la plante des pieds au que la
peau
se montrera craintive. » La justesse du terme, le
r satisfaisantes pour une ceinture, et la porter immédiatement sur la
peau
. « Ventouses scarifiées. — En poser trois ou qu
spécialement sur la tumeur et ayant pour but de faire disparaître la
peau
ou enveloppe qui avait contenu le liquide. Mais c
t une teinte d’un rouge violacé, puis elle diminuait tout à coup ; la
peau
devenait écailleuse, puis reprenait l’as- pect
i que MIUC Ogier, qu’il fallait une forte inflammation pour souder la
peau
. C’était aussi l’avis de M. Léger. L’enflure qui
Pourquoi le pentagramme, l’emploi de caractères cabalisti-tiques, la
peau
d’agneau, le réchaud de cuivre, l’encens, la robe
culaires sont atrophiés. P. K. VIII. L'innervation collatérale de H
peau
; parR. JAcoBi. . (Arch. f. Psych. XV. 1-2.) I
tation des effets physiologiques annon- cés. L'or appliqué sur sa
peau
donne ordinairement lieu à une ru- béfaction in
de- vant rester sans effet, et j'ai constaté, le lendemain, que la
peau
n'avait subi, en cet endroit, aucune modificati
es conduits auditifs, en les oblitérant ensuite par des lambeaux de
peau
suturés, si on le condamne à une ré- clusion pa
elle pouvait déplacer ses jambes, mais avec beaucoup de volonté. La
peau
de son visage ainsi que celle de son corps étai
utes les côtes faisaient saillie et n'étaient recouvertes que parla
peau
, absolument comme un squelette. Bien plus, le c
vertébrale. On ne voyait sur le corps ni éruption ni pustules ; la
peau
était au contraire lisse, douce au toucher; elle
rugueuse, quoique tout pût faire songer à sa sécheresse. Cette même
peau
, pour celui qui la touchait, n'était nullement
comme l'année précédente, tout à. fait émaciée et recouverte d'une
peau
sèche; les côtes faisaient saillie. L'enflure a
er des secousses musculaires en chatouillant, pinçant ou piquant la
peau
de diverses parties du corps, ou en exerçant un
nt ou en percutant ce muscle pendant un instant. Les réflexes de la
peau
ne paraissaient pas sensiblement augmentés ; quan
e dans les autres observations par diverses'autres excitations delà
peau
, et moins aussi par une excitation mécanique de
s du système musculaire, l'anesthésie occupe toute la surface de la
peau
; cet ensemble contredit à l'idée de la sclérose
cutanée, effet semblable zut celui de l'excitation mécanique de la
peau
(Ur- bantschisch), etc.... Au fond, tout en ent
des affections cutanées (érythème papuleux, eczéma, gangrènes de la
peau
), de la suppuration et du fendillement, de la f
Dans l'état hystérique, on doit agir sur les nerfs sensitifs de la
peau
; les douches froides sont le meilleur remède. E
dégénérescence; - 30 les , lésions trophiques des muqueuses de la
peau
, des os et des articulations, les mutilations. AI
fréquents et peuvent être isolés. La sensi- bilité faradique de la
peau
est diminuée ou complètement abolie, tantôt d'u
exes tendineux, parésie musculaire, parésie des fibres lisses de la
peau
, absence d'horripilation, de réflexe cremastérien
traitement du rhumatisme articulaire aigu par la faradisation de la
peau
au niveau des articulations malades, par séance
, châtaine, bien portante, d'abord fleuriste, puis raccommodeuse de
peaux
de lapinspour fourrures; elle n'est pas migrain
avoir des hallucinations. Cyanose très pro- noncée des extrémités.
Peau
sèche. Toujours d'une saleté repoussante. 188
serve particulièrement aux pieds et aux mains ; en même temps, la
peau
qui les recouvre prend une apparence spéciale que
Elle consiste eu un poli et brillant avec une sorte de finesse e la
peau
. Les téguments paraissent comme tirés et tendus
ue chose comme si les tissus sous-jacents étaient enllés, mais la
peau
n'est pas décolorée. 11 n'y a aucun épanchement s
a peau n'est pas décolorée. 11 n'y a aucun épanchement sous la la
peau
dans cette, maladie, et son caractère spécial nai
t : bains tièdes, frictions et autresapplications stimulantes de la
peau
. Quatrièmement : régler les fonctions de l'esto
faiblesse des extense71rs. . La description de l'aspect lisse de la
peau
des mem- bres est parfaite : on peut s'étonner
us les injections dans la tumeur même, mais au voi- sinage, sous la
peau
. Cette absorption est très manifeste; en effet
en rapport constant avec les troubles sensitifs ou trophiques de la
peau
, des bourses et du pénis, ni avec l'abolition o
ophie du cerveau, parCulerre, 53. Innervation collatérale de la
peau
, par Jacobi, 82. Interdiction (procédure pour 1
ltiples, par Homen, 200. Paranoïa, par Séglas, 62, 32'), 393.
Peau
(innervation collatérale de la), par Jacobi, 82
é gauche de la face. La lèvre inférieure, la lèvre supérieure et la
peau
de l'arcade sourci- lière furent divisées. Les
r de l'organe ; elle est aussi apparente sur la muqueuse que sur la
peau
. La troisième occupe le sourcil à sa partie méd
au niveau de l'os malaire. Lorsque la contrac- tion se produit, la
peau
se plisse dans le sens transversal; ce sont des
, Ma..., en dehors de toute cause occasionnelle s'est apeiçu que la
peau
du front était le siège de tiraillements. Eta
ette cicatrice, avoisinant la racine du nez, on voit par moments la
peau
du front entraînée en haut et pré- senter des r
ême; quand elles se produisent, elles ont pour résultat d'élever la
peau
du front correspondant à la naissance du sourcil.
E DES TICS. 17 Etat actuel. - Taille : 1m.22; constitution chétive,
peau
blanche, système pileux développé, blépharite d
uche. Examen objectif. B... est un homme de haute taille, avec la
peau
bronzée par le soleil, il est très bien musclé ;
ie dans les mem- bres paralysés; 2° l'état dans lequel se trouve la
peau
de sa main gauche; elle est calleuse presque au
cception his- tologique moderne. Les ulcérations persistantes de la
peau
ne sont pas rares dans la névrose, témoin les p
haut. - Sur une forme de la gangrène successive et disséminée de la
peau
; l'urticaire gangreneuse. (La Médecine moderne, n
s'effectuer, et ce n'est en effet que quinze jours plus tard que la
peau
de l'organe est devenue lisse, indemne de toute
quand, à l'aide d'une tête d'épingle ou d'une plume, 'on touche la
peau
et la muqueuse de l'anus. Le centre de ce réfle
elle est au-dessus de 00 ohms. Cette résistance tient surtout à la
peau
; elle dépend de la dimension des organes traver
a sensibilité douloureuse en sens inverse du trajet des nerfs de la
peau
de la tête, et dans le sens des filets dure-mér
ites plaques hypéresthésiques, d'autres régions assez grandes de la
peau
ne présentent aucun trouble de la sensibilité.
s électriques et thermiques. Troubles vaso-moteurs stabiles de la
peau
. Augmentation de l'excitabilité électrique des ne
matismale ; 2° la folie dans ses rapports avec les maladies de la
peau
, l'artério-sclérose, l'obésité ; 3° la folie par
s qu'il était soldat, il lui vint un jour quelques bou- tons sur la
peau
de l'abdomen, à la ceinture. Il alla le montrer a
cters. Pas de troubles oculaires. Sensibilité. La sensibilité de la
peau
et des muqueuses est partout intacte. Il n'exis
m bascule très fortement, et son extrémité inférieure fait, sous la
peau
, une saillie anormale. Pendant le repos, l'axe
a subi ces mutilations. Le train pos- térieur est paralysé, mais la
peau
ne présente aucun trouble de nutrition ; les ul
normale aussi exacte que celle qui régit les nerfs sensibles de la
peau
. M. J. HOFFMANN. De l'atrophie musculaire spina
ien marqués, mais pas exagérés. Une opération ayant été décidée, la
peau
et le périoste furent découverts. Un mor- ceau
eux variétés suivant l'état d'anesthésie ou d'hy- péresthésie de la
peau
; 2° contracture hystérique de forme psy- chique
es de monoplégie hystérique '. Non seulement la sensibilité de la
peau
est conservée dans tous ses modes, mais aussi le
USE. , L'extrémité du sacrum et le coccyx soulèvent modérément la
peau
en arrière En outre, le sacrum a décrit un petit
t ces opérations entière- ment de tête. Il ne sait pas écrire. La
peau
des jambes est un peu froide et violacée. Voix
d'ulcères inguérissables, symétriquement disposés. A ce niveau, la
peau
est épaisse, mais lisse. Par places, croûtes épai
onné à lui-même, l'hématome guérit la plupart du temps, soit que la
peau
distendue ait subi un nouveau traumatisme qui dé-
sical et rectal », par M. le Dr K. Meyer; c Sur l'innervation de la
peau
de la surface plantaire des extrémités infé- ri
nt de celle de la partie latérale gauche de l'abdomen et du dos, la
peau
est non seulement sensible, mais nettement hypé-
lement sensible, mais nettement hypé- reslhésique. Sur ce point, la
peau
est plus rosée et plus vasculaire qu'ailleurs;
l'on frictionne un peu énergiquement les parties in- sensibles, la
peau
rougit d'abord, puis bientôt, sa sensibilité repa
au niveau des membres parésiés. On peut loucher, piquer, brûler la
peau
sans. que D... accuse la moindre sensation. Au
maintenant en fusion, et en l'exprimant, sous l'eau, à travers une
peau
de chamois ; puis on le moule en bàtons ou en b
86.) I. Furoncle de la nuque. Méningite cérébrale. Furoncle de la
peau
ayant versé des amas de streptococcus pyogènes da
e- ment en bas en laissant indemne le quart interne environ de la
peau
de cette face antérieure; suivant enfin la face i
la face postérieure un grand nombre de nerfs se distribuent à la
peau
. Parmi eux le sciatique poplité externe fournit
iltra- tion gélatiniforme du tissu sous-cutané et des muscles; la
peau
avait un aspect rouge bleuâtre. De même, Leudet
e point une plaque rouge elliptique, avec notable soulèvement de la
peau
. Une autre fois, l'empâtement siégeait dans un
'est ainsi que dans un cas de paralysie de l'avant- bras (Rendu) la
peau
des doigts était tendue et lisse, les ongles st
suivront le trajet du nerf para- lysé et intéresseront seulement la
peau
. 1 Réactions électriques, état des réflexes.
es agents toxiques ou infectieux, l'alcool, l'éther injecté sous la
peau
, le plomb, la diphtérie, etc. Même, l'apparitio
mpathique. L'auteur conclut à une atonie locale des vaisseaux de la
peau
par prédisposition congénitale et non à une par
ches bronzées dans la région axillaire; pigmentation diffuse sur la
peau
qui entoure les yeux. En quatre semaines le bra
e-ci facilite, par la modification des conditions sécrétoires de la
peau
, la pénétration, la cataphorèse du courant. P. KE
a pour but d'égaliser les épaisseurs de courants à la surface de la
peau
. P. K. IV. Recherches expérimentales relative
stion suivante : Des modifications de la résistance que présente la
peau
de l'homme à la conductibilité du courant const
nstant. - Ce que l'on sait jusqu'ici, c'est que la résistance de la
peau
décroît proportionnellement à l'intensité du co
r la modification du nombre des éléments) entre la résistance de la
peau
aux forts cou- rants et sa résistance aux coura
ectrode (cataphorèse) au milieu même des éléments anatomiques de la
peau
, et agit de concert avec l'élec- tricité galvan
électrique; ce n'est donc pas la pénétration du chloroforme dans la
peau
qui produit l'anesthésie. Le même phénomène se pa
t l'anesthésie. Le même phénomène se passe quand on applique sur la
peau
l'électrode pleine de chloroforme sans faire ag
l'électricité n'est pra- tique que si, après avoir injecté sous la
peau
au point douloureux le médicament, l'on appliqu
gnée d'affaissement de la paroi des vaisseaux. On in- jecte sous la
peau
, dès le début de l'accès, de trois à cinq milli-
vé un malade analogue, qui croyait aussi avoir des insectes sous la
peau
et les extrayait avec une aiguille. M. lVionDRE
ui regarde les ex- trémités supérieures, la pression exercée sur la
peau
, M. Hitzig a faitinstallersur les parties latér
ques de l'hystérie en quatre catégories : troubles trophiques de la
peau
et de ses dépendances, troubles vaso-moteurs et
, peuvent être considérées comme des troubles des dépendances de la
peau
; de même les lésions des appareils liga- menteu
es sont raides et incapables de la soutenir. Au dire des parents la
peau
des membres inférieurs était à cette époque com
férieurs aux muscles durs, dessinés en saillies vigoureuses sous la
peau
, sont immobilisés en contracture : au repos lég
, est celle d'une main sans force, sans énergie. La couleur de la
peau
varie avec la température du milieu ambiant; pe
es de cyanose. Les doigts de la main succulente sont fusiformes, la
peau
qui les recouvre est lisse et luisante; il n'y ap
s et les lésions des organes (tube diges- tif, foie, rate, poumons,
peau
, reins, coeur et circulation), ainsi que l'opin
est sans graisse et sans muscles, son squelette est revêtu d'une
peau
ridée, flasque et pâle, soulevée par quelques c
rition générale soit relevée. Il faut songer à ces propriétés de la
peau
dans le cas d'émacia- tion extrême avec mauvais
ue secondairement les centres réflexes subordonnés, les muscles, la
peau
, les os, les,indi- cations que nous venons de f
endent traiter d'égal à égal avec le directeur; ils entrent dans la
peau
des gens influents à qui ils doivent leur nomin
e absolue sur tout le territoire du trijumeau à droite, tant sur la
peau
que sur les muqueuses (conjonctive, muqueuse bu
te-neuf ans. - On trouva simultanément sur toutes les régions de la
peau
, une grande quantité de vésicules d'herpès isol
is, de grouper certains troubles circulatoires et sécrétoires de la
peau
. Chez deux fillettes j'ai observé sans cause ap
alcoolique. 0 P. K. X. Contribution a la pathologie DES NERFS DE la
peau
; par K. Gum- PERTZ. (Neurolog. Cenh·al6l. , XV,
urolog. Cenh·al6l. , XV, 1896.) Suivre les fibres nerveuses dans la
peau
pour bien en déterminer le nombre et la disposi
de névrite du cubital, on ne rencontre aucun élément nerveux de la
peau
nulle part; 2° dans un cas d'herpès zoster avec n
e fonctionnement, une autre dyspragie, celle-ci d'ordre cutané : la
peau
était le siège de ce trouble congénital de la k
orme d'ichtyose. A ce propos, il est intéressant de rappeler que la
peau
et le système nerveux dérivent embryologiquemen
à sa base une ligne de sé- paration circulaire bien nette entre la
peau
crânienne et l'enveloppe. Cette tumeur est reli
te affection le malade tomba sur un verre et eut une blessure il la
peau
du front, et trois mois avant la maladie il a e
effets morbides peuvent se montrer superficiellement du côté de la
peau
ou plus profondément. Du côté de la. peau nous
iellement du côté de la peau ou plus profondément. Du côté de la.
peau
nous observons des éruptions diverses; le zona,
muler la pellagre (pseudo-pellagre due à la faible résistance de la
peau
aux effets congestifs des rayons solaires, qui
a- mation ichtyosique superficielle de la couche épidermique). La
peau
des paralytiques généraux est fréquemment onc-
es glandes et un trouble d'inner- vation. Les démangeaisons de la
peau
se produisent aussi fréquem- ment, si on en jug
ure à la pression ; on ne sent pas de pulsations ; la couleur de la
peau
est normale. Les pupilles sont égales, mais ne
SOCIÉTÉS SAVANTES. pas d'ictère ni de manifestations du côté de la
peau
. Elle a pour- tant perdu une grosse partie de s
ains jusqu'à l'articulation radiocarpienne. Sur tout le reste de la
peau
les sen- sibilités sont normales. Ce qui plus e
plans des tissus de la main; os, muscles, tissu cellulo- adipeux et
peau
. Cette dernière est résistante, ferme, sans oedèm
: os, muscles, etc., participent, à l'hypertrophie; l'aspect de la
peau
est identique. Les orteils ont gardé leur foi me
efois profuses. La sensibilité générale et spéciale est intacte; la
peau
dans son ensemble a une teinte jaune brun. Etat
eurs; 3° troubles trophiques ; modification de la consistance de la
peau
des mains; graves mutilations des doigts de la
sée à des influences traumatiques. Rare aussi cette adhérence de la
peau
du bras droit avec l'aponévrose et les expan- s
int de bacilles de la lèpre; les troncs des nerfs sont indemnes; la
peau
ne présente pas d'anomalies pigmentaires ; il y
et existe, en même temps que d'autres manifestations syphilitiques (
peau
, os, muqueuses, etc.), enfin dans les cas où le
e couches d'acide chlorhydrique pur appliqué eu badigeonnage sur la
peau
suivant le trajet du grand nerf sciatique. Un i
aron, 362. Calluaud, par Vallon, 463. Nerfs. Pathologie des-de la
peau
par tlumpertz, 320. Neurasthénie. Dégénéresce
▲